16, rue de l’Argile
Rue de l’Argile n° 16 – IV 70 (Blondel), P 649 puis section 58 parcelle 86 (cadastre)
Démolie lors de la Grande Percée (1912)
Porte d’entrée (JK sur la fausse clé) et vue de la cour
(vers 1911, AMS cotes 1 Fi 20 n° 28 et 118 MW)
La maison qui forme au XIX° siècle le n° 16 puis le n° 15 comprend jusqu’en 1700 deux bâtiments, ce qui explique que la façade soit deux fois plus large que celle des maisons plus au nord (vers la droite sur les élévations du plan-relief). Les deux maisons appartenaient à la fondation Saint-Marc qui vend la première, celle du sud, en 1674 à la femme du péager Daniel Œsinger. Elle comprend un bâtiment arrière en 1695. Elle est détruite en même temps que sa voisine par un incendie en 1696. Le propriétaire reçoit une indemnité collectée par le magistrat puis vend le terrain au menuisier Martin Fluck qui achète de la fondation Saint-Marc le terrain voisin. Il y édifie deux remises à simple demi-toit qui lui servent de chantier de charpenterie. Le propriétaire suivant, le passementier Jean Louis Stuber (1722-1740) s’en sert d’entrepôt de marchandises. On y trouve alors une buanderie et une cave solivée. Le maçon Jean Gaspard Gœbel l’achète en 1740 et y construit une maison qui sera vendue par adjudication judiciaire après sa mort en 1742. Elle appartient ensuite (1742-1753) au maçon Philippe Jacques Zell qui cède à son voisin vers le nord le droit de puiser l’eau dans son puits, à un orfèvre (1753-1770), à des chapeliers (1770-1784) puis à des peigniers (1784-1844).
Elévations pour le plan-relief de 1830, îlot 146 (© Musée des Plans-relief)
L’Atlas des alignements signale un rez-de-chaussée en maçonnerie et deux étages en bois en médiocre état. Sur les élévations pour le plan-relief de 1830 (1), la maison est la deuxième à droite du repère (p) : une porte au milieu et deux fenêtres de chaque côté. Les deux étages comprennent chacun cinq fenêtres régulièrement disposées. La toiture abrite deux niveaux de greniers. La cour (L) entourée des différents bâtiments qui dépendent de la maison montre le bâtiment sur rue (2-3), le bâtiment au sud (3-4), le bâtiment arrière (4-1) et le bâtiment au nord (1-2) qui ont tous deux étages. Le cadastre ne signale aucun changement tout au long du XIX° siècle.
Cour L
Dessin de 1911 (Service d’architecture, AMS cote 907 W 161)
La maison se trouve juste à l’arrière des premières démolitions prévues pour la Grande Percée. La commission d’enquête qui visite les maisons à détruire ne relève que des ferrures à une porte de chambre et une grille à l’imposte au-dessus de la porte donnant sur la rue. La photographie de 1911 ne permet pas de la voir mais montre sur la fausse clé les initiales JK (Isaac Koebelé qui a été autorisé en 1785 à transformer la façade). Les dessins levés par le Service d’architecture de la Ville représentent la même maison qu’en 1830, seules les ouvertures dans la toiture sont différentes. La Ville achète la maison (exercice 1908) et la fait démolir (novembre 1912, voir référence) en réunissant le terrain à la voie publique.
Rue Gustave Doré, à l’intersection de la rue du Vingt-deux-novembre (avril 2015)
Annexé à la voie publique, le 16, rue de l’Argile se trouvait devant la première partie du bâtiment de gauche
avril 2015
Récapitulatif des propriétaires
La liste ci-dessous donne tous les propriétaires de 1680 à 1952. La propriété change par vente (v), par héritage ou cession de parts (h) ou encore par adjudication (adj). L’étoile (*) signale une date donnée par les registres du cadastre.
Fondation Saint-Marc | ||
1674 | v | Marguerite Brühlinger veuve du greffier Jean Edel remariée (1668) à Daniel Œlinger, orfèvre et péager, mari en premières noces (1642) de Catherine Brand – luthériens |
1692 | v | Jean Louis Leis, maçon, et (v. 1678) Marie Madeleine Voltz, remariée (1695) avec le tailleur Jean Georges Rudolff – catholiques |
1699 | v | Martin Fluck, charpentier, et (1687) Susanne Graff, d’abord (1675) femme du cordier Jean Pierre Gering – luthériens |
1722 | v | Jean Louis Stuber, passementier, et (1703) Agnès Geiger puis (1735) Catherine Elisabeth Werner, veuve de Jean Martin Lauth, meunier de la Robertsau – luthériens |
1740 | v | Jean Gaspard Gœbel, maçon, et (1736) Anne Marie Erhard – catholiques |
1742 | adj | Philippe Jacques Zell, maçon, et (1712) Marie Claire Keller puis (1736) Marie Müller – catholiques |
1753 | adj | Frédéric Daniel Schrœder, orfèvre, et (1750) Marie Salomé Schwing – luthériens |
1770 | v | Jean Frédéric Menges, chapelier, et (1734) Marie Salomé Rieth – luthériens |
1781 | h | Jean Frédéric Menges, chapelier, et (1767) Barbe Seegmüller – luthériens |
1784 | v | Isaac Kœbelé, peignier, et (1749) Anne Marguerite Bernhard puis (1784) Anne Marguerite Renner – luthériens |
1802 | h | Isaac Kœbelé, peignier, et (1777) Marie Madeleine Bernhard puis (1814) Marie Dorothée Lang veuve du cordonnier Georges Bilger – luthériens |
1844 | h | Marie Salomé Kœbelé femme (1811) du maître d’école Louis Régnard Rathgeber |
1864* | Jean Théodore Mann, ébéniste | |
1905* | Etienne Gross, maçon, et Marie Catherine Gænter | |
1908* | Marie Mathilde Gross, marchande épicière | |
1908* | v | Ville de Strasbourg |
Valeur de la maison selon les billets d’estimation : 87 livres (vieille maison) en 1695, 115 livres (remise) en 1722, 250 livres (remise) en 1735, 600 livres (maison) en 1752, 500 livres en 1775
(1765, Liste Blondel) IV 70 au nommé Schreder
(Etat du développement des façades des maisons, AMS cote V 61) Menges, 5 toises, 4 pieds et 2 pouces
(1843, Tableau indicatif du cadastre) P 649, Koebele, Isaac, propriétaire – maison, sol, cour – 1,34 are
Locations
Voir les comptes de tutelle de 1762 et de 1769 et 1780
Localisation sur le plan Blondel (1765)
Préposés au bâtiment (Bauherren)
1784, Préposés au bâtiment (VII 1421)
Les Préposés au bâtiment autorisent le maître maçon Lingenhœlin au nom du peignier Isaac Kœbelé à refaire l’écoulement muré de l’évier (il pourrait s’agir de travaux dans la maison voisine qui appartient depuis plusieurs années à Isaac Kœbelé plutôt que de la maison qu’il vient d’acheter).
(f° 95-v) Dienstags den 11. Maji 1784. Isaac Köbele, Strehlmacher – Idem [Hr. Lingenhölin, der Maurer] nôe. Isaac Köbele, des Strehlmachers bittet zu erlauben an deßen behaußung in dem Leimen Gäßel gelegenen, den eingemaurten Wasserstein Naach ausbrechen, ausbeßern und wieder einmauren zu laßen. Erkannt Willfahrt.
1785, Préposés au bâtiment (VII 1421)
Isaac Kœbelé qui vient d’acheter la maison contiguë à la sienne déplace le portail d’entrée et ajoute quelques croisées
(f° 227) Dienstags den 15. Februarii 1785. Isaac Köbele, Strehlmacher – Hr. Lingenhölin, der Maurer, nôe. Isaac Köbele, des Strehl Machers, bittet zu erlauben an deßen behaußung im Leimen Gäßel den Einfahrt bogen Zu einer Hauthür versetzen, und einige Kreuzstöck einsetzen Zu laßen. Erkannt, Willfahrt.
Protocole des Maçons (XI 238)
Frédéric Daniel Schrœder qui vient d’acheter la maison charge le compagnon Jean Léonard Weiss d’y faire des travaux. Le conseil des Maçons lui reproche de ne pas s’être adressé à un maître. Il se justifie en disant qu’il ne savait pas que Jean Léonard Weiss ne fût pas maître. Le maître d’ouvrage est condamné pour n’avoir pas tenu compte de l’injonction de l’ammestre et le compagnon pour avoir travaillé sans maître. L’amende du compagnon est réduite de moitié à la demande de sa femme qui argue qu’il est malade
Friderich Daniel Schrödter den Silberarbeiter, und Johann Leonhardt Weiß den Verburgerten Maurergesellen
(f° 184) Donnerstags den 22.t Martÿ 1753. – Mr Lorentz Götz der Steinhauer undt maurer als Rüeger klagt wieder H. Friderich Daniel Schrödter den Silberarbeiter, und Johann Leonhardt Weiß den Verburgerten Maurergesellen, daß erstere sich des Letztern in reparirung seiner behaußung ane dem Leimengäßel bedienet, und Letsterer die arbeit ohne unter einem meister Zu stehen übernommen habe, bitt beed. Zu Condemniren den articul mit 6. lb d. zu beßern, nebst abtrag Kösten.
Er Schrödter beklagter Zugegen, sagt Zu seiner Verantwortung, hätte Johann Leonhardt Weißen nicht arbeit gegeben, wan er gewußt, daß Er kein meister noch befugt seÿe arbeith Zu übernehmen. Er Weiß habe Ihn Versichert, Er wäre meister, vnd arbeite, wo es Ihm gefalle, ja er habe würcklichen einen gesellen auff dem schießreÿn in arbeit, in dißer persuasion hätte er Ihme arbeit gegeben, ignorire anbeÿ des von Gnädigen Herren den XV. der Pfuscher halben emmanirte Verbott vom monath februario Jüngsthien und bitt Ihne von angestellter Klag Zuentlasten.
Kläger replicirt, Es wäre beklagter straff fällig masen nachdeme Ihme von seithen Ihro Gnaden des regirenden Herrn ammeisters anbefohlen worden Ihme Weißen Keine arbeit mehr zue geben, Er der gesell einige täg hernach annoch beÿ Ihme gearbeitet habe.
Beklagter duplicirt, seÿe Zwar wahr daß Er weiß nach dem Verbott noch mehrere arbeit beÿ Ihme berrichtet allein seÿe ohne sein wißen und willen weilen er abweßend ware, geschehen.
Nach anhörung der Partheien und da Leonhard weiß der gesell wiewohlen debité Citirt, nicht erschienen, ist Erkandt worden, seÿe die Sach, so viel den beklagten Friderich Daniel Schrödter betrifft, noch biß ato und bis Zue beßern bewußthumb ohndecidirt zu laßen, der beklagte gesell aber weilen Er wider den articul gehandelt derselbe mit 3. lb d zu beßern in Contumaciam Zu condemniren, denselben auch zu injungiren sich nicht mehr in diesem casu betretten zu laßen, in entstehung deßen aber mit höherer straff als der articul vorschreibt, angesehen zu werden.
[in margine :] Vide 17. Aprilis huius anni – Straff 3 lb d
(f° 189-v) Dienstags den 3.ten Aprilis 1753. Mr Lorentz Götz der Steinhauer in qualitæt als Rüeger klagt wieder H. Friderich Daniel Schrödter den Silberarbeiter, und wiederhohlet seine beÿ Letztern gericht vom 22.t Martÿ genommene Conclusiones dahien Zielend, der beklagte weilen Er ohnerachtet das von Ihro Gnädigen dem Regierenden herrn Ammeister ihme durch den Soldner angelegten, Leonhard Weisen dem Verburgerten mauergesellen annoch nach dem Verbott arbeit gegeben, in die beßerung des articuls der 3. lb d Zu Condemniren, unter dem oblato den Ihme beÿ letztern gericht auffgelegte beweißthumb nunmehro Zuthun, zudem Endte Er als Zeugen producirt Mr Johannes Klein den Zimmermann, Frantz Wölffle den Zimmergesellen und schirmer allhier und Gabriel Koch den Ledigen Zimmergesellen von Schertzingen in Schwaben, welche dreÿ Zeugen, nachdeme Sie errinert wordten die wahrheit Zue sage einer nach dem andern unanimiter declariret und außgesagt, Ihnen wohl bewußt Zu seÿn, umb in der nachbarschafft gearbeitet Zu haben daß, nachdeme Ihro gnade der Regirende herr Ammeister so wohl Friderich Daniel Schrödter dem Silberarbeiter daß Er Leonhardt Weißen nicht ferner arbeiten laßen, als auch diesen, daß Er nicht weiter arbeiten sollen durch den Soldtner das Verbott anlegen Laßen, letsterer mit despectuosen außdruckungen das Verbott Vermachet, und deße, ohnerachtet einige tag darauff wieder beÿ Ihme Schrödter in angefangener arbeit fortgefahren, welcher arbeit Er Schröder Zugesehen, und die jenige Zeit ausgenommen, die Er sagte auff Eckboltzheim zu gehen, beÿ der arbeit præsens geweßen. Facta lectura Confirmiren die Zeugen nochmalen Ihre Aussag, und begehren die Zweÿ gesellen Salaria, so Ihnen mit 3 ß jedem Zugestanden, weilen aber die beedte bekagte nicht erschienen, daß deßhalben nachstens wieder Ein Kauffgericht gehaltend, Und dieselbe beÿ 10. ß straaff Dar zu Citirtt werden sollen. Erkannt wordten.
(f° 194) Dienstags den 17.ten Aprilis 1753. – In Wiederhohlten Streitsachen Mr Lorentz Götzen Steinhauers und maurers als geschwornen Rüegers Klägers an einem entgegen und wieder Friderich Daniel Schrödter den silberarbeiter und Johann Leonhard Weißen den Verburgerten maurergesellen beklagte andern theils. Ist nach wiederhohlten Conclusionen des Klägers vom 22. Martÿ und 3.ten Aprilis jüngsthin abgeleßener und durch die Zu diesem Zihl und Endt nochmalen anhero citirte dreÿ gezeugen bestättigter Zeugen außag vom 3.ten huius auch übriges der Parthen vor und anbringen, und nachdeme sowohl Er Schröder als sein Weißen Ehefrau wieder Sie die Zeugen nichts ein zu wenden und des gewohnlichen Zeugen Eÿdtes Sie zurücklaßen declarirt hatten. Erkandt, solle gemelter Friderich Daniel Schrödter den articul mit 3. lb. d beßern Zumahlen sowohl des Kauffgerichts Vom 3.t aprilis Jüngsthin, da wedter Er noch Leonhard Weiß wiewohlen debite Citirt, erschienen, als gegenwärtige gerichts gebott, vnd Zeugen Kösten, so zusammen ad 7. fl. 9 ß 6 d sich Erstrecken, Zu bezahlen schuldig seÿnd, Jedoch Ihne sein regress wieder gedachten Johann Leonhardt Weiß oder wieder wen Er einen Zu haben vermeint vorbehaten seÿn.
(f° 259-v) Johann Leonhardt Weißen des Verburgerten maurergesellen allhier Ehefrau bittet umb nachlaß der Ihrem Ehemann den 22.t Martÿ 1753. wegen Pfuschereÿ angesetzten 3. lb straaff, Ihr Ehemann seÿe schon ein halbes Jahr Kranck, und Sie mit vielen Kindern beladten.
Erkandt, in ansehung sothaner Motiven die helffte nach Zu laßen, und weilen den 22.t Julÿ Jüngst 3. fl. durch Mr Enßfelder dem Schwartzecken Vor Ihre Weißen beÿ dem Protocollo deponirt worden, seÿen solche den jetzigen H. Zunfftmeister auszulüffern.
Description de la maison
- 1695 (billet d’estimation traduit) la maison est petite et en mauvais état, elle comprend un bâtiment arrière, le tout estimé à la somme de 175 florins
- 1722 (billet d’estimation traduit) le bâtiment à demi toit comprend une pièce et une remise, les combles comprennent plusieurs chambres, il y a un passage et à l’arrière une remise à demi toit sur des piliers en bois, le tout estimé à la somme de 225 florins
- 1735 (billet d’estimation traduit) la remise à simple demi toit sert d’entrepôt de marchandises, il y a un puits, une buanderie et une cave solivée, le tout estimé à la somme de 500 florins
- 1775 (billet d’estimation traduit) la maison comprend plusieurs poêles, chambres et cuisines, le comble est couvert de tuiles plates, la cave est solivée, le puits commun, le tout estimé à la somme de 1000 florins
Atlas des alignements (cote 1197 W 37)
1° arrondissement ou Canton ouest – Rue de l’Argile
nouveau N° / ancien N° : 29 / 15
Kebelé
Rez de chaussée en maçonnerie et 2 étages en bois médiocre état
(Légende)
Cadastre
Cadastre napoléonien, registre 28 f° 179 Case 3
Isaac Koebelé
P 649, maison, cour, sol, rue de l’argile 15
Contenance : 1,34
Revenu total : 95,70 (95 et 0,70)
Ouvertures, portes cochères, charretières :
portes et fenêtres ordinaires : 29 / 23
fenêtres du 3° et au-dessus : 3 / 2
Cadastre napoléonien, registre 22 f° 848 case 2
Koebele Jean
1864 Mann Jean Théodore ébéniste
1905 Gross Stephan Maurer u. Ehefrau Maria Katharina geb. Gaenter in Gtg.
1908 (2881) Gross Maria Mathilde Inhaberin eines Spezereigeschäfts in Straßburg
1908 Strassburg die Gemeinde
(ancien f° 596)
P 649, maison, sol, cour, Rue de l’Argile 16
Contenance : 1,34
Revenu total : 95,70 (95 et 0,70)
Folio de provenance : (179)
Folio de destination : Gb
Année d’entrée :
Année de sortie :
Ouvertures, portes cochères, charretières :
portes et fenêtres ordinaires : 29
fenêtres du 3° et au-dessus : 3
Cadastre allemand, registre 31 p. 338 case 1
Parcelle, section 58, n° 86 – autrefois P 649
Canton : Leimengasse Hs. N° 16
Désignation : Hf, Whs
Contenance : 1,27
Revenu : 900 – 1400
Remarques : 1913 ab S 324 F. 4
(Propriétaire), compte 34
Strassburg die Gemeinde
1909 Gemeinde Strassburg / Ville de Strasbourg
(33)
1789, Etat des habitants (cote 5 R 26)
Canton IV, Rue 94 Rue de l’Argile (p. 226)
(maison n°) 15
loc. Eckard, Henri, Tailleur – Echasses
loc. Strohmeyer, Joseph, maçon – Manant
loc. Engelhardt, Daniel, Cabaretier – Fribourg
loc. Weber, Jean, journalier – Manant
loc. Engelhardt, Bernard Ignace, Tailleur – Tailleurs
loc. Koebelé, Isaac jun., peignier – Miroir
loc. Attinger, Thiébault, ouvr. en tabac – Moresse
Annuaire de 1905
Verzeichnis sämtlicher Häuser von Strassburg und ihrer Bewohner, in alphabetischer Reihenfolge der Strassennamen (Répertoire de toutes les maisons de Strasbourg et de leurs habitants, par ordre alphabétique des rues)
Abréviations : 0, 1,2, etc. : rez de chaussée, 1, 2° étage – E, Eigentümer (propriétaire) – H. Hinterhaus (bâtiment arrière)
Leimengasse (Seite) 100
(Haus Nr.) 16
Schmidt, Tagner. 0
Denninger, Spenglerm. 1
Levy, Schneidermeister. 1
Hildebrand, Wwe. 2
Schmidt, Tagner. 2
Mayer, Schreiner. 4
Enquête sur les maisons du tracé de la Grande percée, 1907 (cote 133 MW 999), n° 30
Fragebogen
zur Feststellung der Altertümer in den für den Straßendurchbruch zum Abbruch bestimmten Häusern in Straßburg i. E. 1907
Questionnaire destiné à répertorier les antiquités dans les maisons vouées à la démolition pour réaliser la percée, Strasbourg, 1907]
Anmerkung. Den aufzuführenden Gegenständen ist ein Vermerk der Erhaltung hinzuzufügen und zwar bedeutet
+ sofort zu entfernen, * dringend zu erhalten, o an Ort und Stelle zu erhalten.
Diejenige Gegenstände die sofort zu entfernen sind, sind umgehend dem Kaiserlichen Denkmal-Archiv mitzuteilen.
[Remarque. On joindra aux éléments à répertorier une mention relative à la conservation, à savoir : (+) à démonter immédiatement, (*) à conserver absolument, (o) à conserver sur place. Il faudra signaler au Service impérial des monuments historiques les éléments à démonter immédiatement]
Haus : Leimengasse N° 16 [Maison :]
a) Geschichtliches : [Historique]
b) Zeitbestimmung : [Epoque]
c) Zeicheriche Aufnahmen : [Relevés sous forme de dessin]
d) Photographische Aufnahmen : [Relevé photographique]
I. Das Äussere [Extérieur]
- 11. Türeinfassungen – n. d. Strasse, nimmt die Holtzthür mit Oberlichtgitter
[Encadrement de porte] Grille à l’imposte au-dessus de la porte donnant sur la rue
II. Im Inneren [Intérieur]
- 25. Türbeschläge- I. Stock, im Zimmer
[Ferrures de porte] dans la chambre au premier étage
Dossier de la Police du Bâtiment (aucun)
Relevé d’actes
La fondation Saint-Marc vend à Marguerite, femme du péager au Pont du Rhin Daniel Œlinger, qui est assistée de ses deux fils Jean Henri Edel et Jean Frédéric Edel, une maison sise rue de l’Argile, à côté d’une autre de la même fondation. La maison vendue est celle à côté de la maison de Jacques Ansorg (situé au sud, IV 69 au plan Blondel). Une mention marginale porte quittance remise à Madeleine Voltz veuve de Jean Louis Leiss
1674 (28. Dec.), Chambre des Contrats, vol. 543 f° 733
Johann Daniel Heß Oberschreiber deß großen gemeinen Allmosens Zu St. Marx im nahmen herren Georg Rehmen Schaffners daselbst und hierzu genugsam befelcht
in gegensein Margarethæ Daniel Öhlingers Zollers ahn der Rheinbruckhen Eheweibs mit assistentz hannß Henrich Edels deß Schneiders und hannß Friderich Edels deß Strählmachers beeder Ihrer eheleiblichen Söhn
hauß, höfflin, hoffstatt mit allen deren Gebäwen, Begriffen, zugehördten, rechten und Gerechtigkeiten alhier in der Laÿmengaßen einseit neben H. M. Johann Jacob Ansorg Præceptori Classico ehevögtlicher weiße anderseit neben der Verkauffenden Stifft hinden uff den Klugischen Hoff stoßend gelegen, für freÿ ledig und eigen – umb 100. lb
[in margine :] (…) in gegensein hannß Georg Rudolphs deß Schneiders alß Ehevogt Magdalenæ gebohrner Voltzin, weÿl. Johann Ludwig Lausen gewesenen Maurers welcher d. hierinn beschriebene hauß an sich erkaufft hinderlaßener wittibin (quittung) act. d. 29.ten Junÿ 1697.
Orfèvre et péager, Daniel Œlinger épouse en premières noces en 1642 Catherine Brand, fille de marchand puis en secondes noces (1668) Marguerite Brühlinger veuve du greffier Jean Edel
Mariage, cathédrale (luth. f° 461)
1642. domin: 22. Trinitatis. Daniel Ölinger der goldschmidt, H Samuel Ölingers deß geweßenen Goldschmidts Und burgers allhier nachgelaßener ehelicher Sohn, Und Jungfr Catharina H. Johann Jacob Branden deß gewesenen handelßmanns, und Großen Rhats beÿsitzers allhie nachgelaßene eheliche Tochter. Eingesegnet Im Münster: Dienst. den 15. Novemb. (i 235)
Mariage, Saint-Pierre-le-Vieux (luth. f° 143-a, n° 36)
1668. Hr Daniel Öhlinger der Silberarbeiter und Burger alhie, Vnd Fr. Margaretha Weil Johann Edels des gewesenen Scribenten v. Burgers alhier hinderl. Wittib. Donnerstags den 10. Xbris (i 145)
Proclamation, cathédrale (f° 108-v, n° XXVI) 1668. Zum 2 mahl Hr Daniel Öhlinger der Silberarbeiter und burger alhie, Fr. Margaretha Weiland Hr Johann Edels gewesenen Scribenten u. Burgers alhier nachgelaßene Wittib. Donnerstags den 10.ten 10.br. A. St Peter (i 111)
Accord passé entre Marguerite Brühlinger et les enfants de son deuxième mari Daniel Œlinger
1675 (13. 10.br), Chambre des Contrats, vol. 544 f° 787
Margaretha Brülingerin, weÿl. Daniel Öhlingers deß Silberarbeiters nunmehr seel: nachgelaßene Wittib mit beÿstand Sebastian Schultheißen deß Schirmbgerichts bottens ihres Curatoris und Johann Friderich Redwitzen Notarÿ an einem,
So dann Chilian Klenckhner der Jünger, Schuhmacher, alß Ehevogt Annæ Catharinæ Öhlingerin und herr Johann Kelterer der Kieffer alß Curator Jacobi Öhlingers stud. und Dorotheä Öhlingerin, sein Daniel Öhlingers ehelich erziehlten und nachgelaßener Kinder am andern, und beÿde theil mit Zuziehnug der Ehrenvest- fürsichtig undt weÿßen herren Johann Christmann Merckhlins und herren hannß Jacob Ruoffen beÿder alß aus E.E. Großen Rhats mittel hierzu insonderheit deputirter
Zeigten an und bekannten freÿ guthwillig offentlich, dEmnach Sie die Öhlingerische Wittib, so wohl durante matrimonio alß auch nach deß Mannß Zeitlichen hintritt sich wegen ihres eingebrachten ohnveränderten Guths, und daß Sie zu ergäntzung selbiges nicht gelangen könne, beÿ obwohlgedachtem Rhat erklagte (…)
Jean Henri Edel et Jean Frédéric Edel (les deux fils de Marguerite Brühlinger) vendent 95 livres la maison au maçon Jean Louis Leis et à Marie Madeleine Voltz. D’après la mention marginale, la vente est annulée en mars suivant à cause de la part qui reviendrait aux enfants de Frédéric Stoll et aux héritiers disparus, Philippe et Sébastien Edel.
1688 (6.8.), Chambre des Contrats, vol. 559 f° 463-v
hans Henrich Edel der Schneider und Friderich Edel der Strähl macher, beede Brüdere [unterzeichnet] Johann haÿnrich Öttell, H F O
in gegensein hans Ludwig Leis, deß Maurers und Steinhauers und Maria Magdalena gebohrne Voltzin
hauß, höfflein, hoffstatt mit allen deren Gebäuen, begriffen. weith. recht. zugehördt. und Gerechtigkeiten allhier in der Leimengaß, einseit neben H. M. Johann Jacob Ansorg, Præcept. Class. ehevögtlicher weiß, anderseit neben einer behaußung dem Stifft St. Marx gehörig, hinten auff dem Klugisch. hoff stoßend gelegen, welche behaußung umb 75 pfund Capital dem blaterhauß allhier verhafftet – umb 95 pfund
[in margine :] hierinn gemeldte beede angegebene Verkaüffer, haben in gegensein deß kaüffers angezeigt und bekandt, d. in dießer Verschreibung ein irthumb vorgegang. und sie beede nicht allein sondern auch weil. Friderich Stollen Kind., deren vogt hierin bemeldter hans Henrich Edel seÿe, So dann Philipß und Sebastian Edel respect. Weber und Kirßnergesell, so beede in d. Frembde und niemand wiße wo sie seÿen, Ihrer Antheÿl an solcher hierinn vekauffte behaußung haben, Es wolle aber nicht allein Er bemeldte Vogt, und Zwar auff d. beÿ E.E. großen Raths am 9.ten huj. Obrigkeilich ertheÿlte decretum alienendi weg. seiner Vogts Kind. sondern auch Sie beede weg. d. abwesende brüd. solche Verschreibung und Kauff verstand. haben, solchen nach er Vogt für seine Vogts Kinder, sie beede brüder aber auch weg. d. abwesend. ins künfftige für alle Ansprach steh. – den 1. Mart. 1689
L’acquéreur de la vente résolue rachète la maison 112 livres de Jean Georges Holder et Mathias Holder
1692 (6. 7.bris), Chambre des Contrats, vol. 564 f° 588
(prot. fol. 76.b) hans Geörg Holder, der wagner, und Matthiß Holder d. Kieffer, beede Gebrüdere
in gegensein hans Ludwig Leuß deß Maurers und Steinhauers [unterzeichnet] hannß Ludwig Leiß
hauß, höfflein, und dero hoffstätte, mit alllen deren Gebäuen, rechten und Zugehördten allhier in der leimengaß, einseit neb. dem Käuffer selbsten anderseit neben Einer behaußung dem Stifft St. Marx gehörig, hind auff den Klugisch. hoff stoßend gelegen, welche behaußung umb 100 lb Capital alt. kauffschilling dem ged. stifft St. Marx verhafftet – umb 12 pfund
Jean Louis Leiss est inscrit en 1682 sur la liste des compagnons qui travaillent à Strasbourg. Catholique originaire de Neckarsulm, il est au service de Jean Henri Stübler. Il devient bourgeois en 1687 avec sa femme Marie Madeleine Voltz, originaire d’Ettenheim
1682, Protocole des Maçons (XI 231)
Sontags den 3. Augusti Styli novi Anno 1682
(Folgende Gesellen seind heüt dato eingeschrieben Worden und haben das Jurament abgelegt)
hannß Ludwig Leiß, Von Neckars Ulm, beÿ hannß Heinrich Stübler
1687, 3° Livre de bourgeoisie p. 1038
hans Ludwig Leiß der Maurer und Steinhauer von Neckars Ulm nach dem Ampt Mergenthal gehörig erkaufft das burger recht für sich und seine haußfr. Mariam Magdalenam Voltzin von Ettenheim und Vier Namens Magd., hans Ludwig, Ulrich undt Anna Barbara p. 2. goltR und 16 ß current geldt so auff dem Pfenningthurn erlegt word. seind, Zünfftig Zu denen Maurern, Jurav. 2. Aug. 1688
Anne Madeleine est leur premier enfant baptisé à Strasbourg peu après la Capitulation (fin septembre 1681)
Baptême, Saint-Laurent (cath. p. 7)
30. Martÿ 1682. Infans Anna Magda. obstetrix Luth. Parentes Hanß Ludwig Leiß, Mutter Magdalena Felsen (i 6)
Baptême, Saint-Laurent (cath. p. 56)
31.a janua. 84, Joannes (parentes) Ludouicus Leüs et Magdalena Leüs (i 33)
Baptême, Saint-Laurent (cath. p 286)
1687. Augustus. 24.do Huius fuit baptizata maria Barbara Joannis Ludovici Leis Incola Et Magdalenæ Volzerin Conjugum filia legitima (signé) hans Ludwig Leiß (i 149)
Baptême, Saint-Pierre-le-Vieux (cath. p 94) 1689. 20.mo martÿ Baptizatus est Joannes Christophorus Joannis Ludovici Leiss civis argent. et Mariæ Magdalenæ Leissin coniugum filius (signé) hanns Ludwig Leiß (i 54)
(idem, p. 202, Jean Thiébaut et Anne Marie Dorothée, 6 août 1693, i 111)
Le Conseil des maçons fait grief à Louis Leiss de travailler sans maître pour un tailleur près de l’auberge du Chapelet (rue du Parchemin). Il devient tributaire en septembre 1688
1688, Protocole des Maçons (XI 232)
4.te Gericht. Sambst. 31. Julÿ 1688. in conventu E. E. Gerichts hora 7 ante merid. Wurde Verhandelt
(f° 131-v) Ludwig Leiß vorgefordert, umb daß Er wider Ordnung vor sich, beÿm Schneider am Roßen Krantz gearbeitet, der excusirte sich, hette Keinen Meister, gleich wohl 4. Kinder Könte Sie nicht hunger leÿden laßen, bäthe umb gnad und vergebung.
Erk. wurd die Straff des articulls vff die helffte, nempê 15. ß moderirt, bathe as erlegen werden soll ferners gnad. gedeÿen.
5.te Gericht. Donnerst. 23. 7.bris 1688. convenirt E. E. gericht, wurde Verhandelt
(f° 136-v) Neu Zünfftig. – Ludwig Leiß wegen seiner straff erschienen, bathe nochmahlen umb gnad. Erk. wann Er alßbalden 1. fl. erlegen werde, solte Er damit absolvirt sein, hats Zahlt et absolutus est (10. ß dt.)
Neu Zünfftig. – Er ferner, producirt schein wegen des Zunfft Rechtens, der dann Krafft desselben gegen Erlag der gebühr Nembl. 2. lb 5 ß darunder j. lb. uff den pfthrn. gehörig angeommen worden.
Jean Louis Leiss meurt en novembre 1694 en délaissant quatre enfants. L’inventaire est dressé dans une des deux maisons qu’il possède rue de l’Argile. La succession est réglée selon la coutume de Strasbourg puisqu’il n’existe aucun contrat de mariage. L’actif de la succession s’élève à 132 livres, le passif à 15 livres.
1695 (14.3.), Me Oesinger (Jean Adam, 39 Not 1) n° 5
Inventarium und beschreibung aller derjenigen Haab Nahrung und Gütter, Liegender und Vahrender, so Weÿland der Wohl Ehren Veste, Weiße und Vorachtbahre Herr Johann Ludwig Leÿß geweßener Maurer und Steinhawer auch E. E. Kleinen Raths alhier zu Straßburg beÿsitzer, nach seinem den 9.ten Novembris deß jüngst Zurückgelegten 1694.sten Jahrs beschehen tödlichen Hintritts Zeitlichen verlaßen, Welche auf freundliches ansuchen erfordern und begehren deß Ehrengeachten und bescheidenen Mr Johann Carl Logel Maurers und Steinhauers auch burgers alhier Zu Straßburg, alß geordnet und geschworenen Vogts Mariæ Magdalenæ, Johann Ludwigs, Ulrichs und Johann Christophs aller Vier deß Verstorbenen seelig. mit hernachbenannter sein der hindterbliebenen Wittib ehelich erzeugter und Nachgelaßener Kinder und ab intestato Erben inventirt und ersucht durch die Viel Ehren: und tugendsamme fraw Mariam Magdalenam Leÿßin gebohrne Voltzin die Nachgebliebene Wittib mit beÿstand deß Wohl Ehren Vesten Weiß und Vorachtbahren Herrn Johann Adam Schellen Schuhmachers E.E. Kleinen Raths jetzmahligen beÿsitzers Ihres geschwornenn H Vogts – Actum in d. Königlichen freÿen Statt Straßb. Montags den 14.ten Martÿ Anno 1695.
Es ist Keine Eheberedung Zwischen dem Verstorbenen und der fr. Wittib auffgerichtet Worden, deroselben nach hießem Statuto die Verlassenschafft alß Theilbahr Zuhalten sintemahlen Wie die fraw berichtet sie beede ehe wenig in den Ehestand Zusammen gebracht haben.
In einer in der statt Straßburg in dem Leÿmengäßel gelegenen in dieße Verlassenschafft gehörigen schlaff behaußung ist befund. word. Wie volgt.
Höltzen und Schreinerwerck. Auff der Obersten bühn, In der Cammer A, In dem Nebens Cämmerlein, In der Cammer B, In der Cammer C, In d. Cammer D, Auff dem Gang, In dem Hindern Stockh, In der Cammer E, In der Cammer F, Im Hoff, In dem Hoffstüblein, In d. Kuchen Vor dem stübel, In der Undern Groß. stub, In der Kuch ane dießer Stub.
Eigenthumb ane Häußern. Hauß Hoffstatt und höfflein sampt allen andern deren gebäwen begriffen Weithen rechten Zugehördten und gerechtigkeit gelegen in der statt straßb. in der Leÿmengaß einseit neben weÿl. H Johann Jacob Ansorgs geweßenen præceptoris Classici hinderlaßene sel. Wittib, anderseit neben einer behaußung dem Stifft St. Marx gehörig, hind. auff den Klugischen hoff stoßend, dauon gibt mann Jährlichen auff den 10. Xbris dem Stifft St: Marx alhie so in hauptg. abzulößen mit 50. lb. Sonsten ggen jedermänniglichen freÿ ledig und eigen und ist diese behaußung dh. die geschworne Werckh leuth Vermög der Zu dem Concept gelüfferten Abschatzung über obgedachten beschwert angeschlagen word. p. 37. lb 10. Darüber besagt i. teutscher Pergamentene Kaufbrieff in allhießiger Cantzleÿ Contractstub gefertiget anhangend. Insigell verwahrt datirt den 6. Aug. Anno 1688. mit N° 1 notirt.
Item hauß, hoffstatt, höfflein und Gärtlein, so eine Schlaff hauß in der Leÿmengaß (…)
Abzug in dießes gegenwärtige Inventarium gehörig. Sa. haußraths 43, Sa. Schiff und geschirr Zum Maurer Handwerck gehörig 5, Sa. frucht 3, Sa. Silbergeschmeids 1, Sa. Guldener Ring 2, Sa. Eigenthumbs ane häußern 77, Summa summarum 132 lb – Schulden 15 – Verstallungs Summ 116 lb
– Abschatzung Mitwochs d. 23.t Martzi 1695. Weillandt deß Ehrenhafften Vnd bescheidnen herrn Johann Ludwig Leiß burger und Maurer Vnd Steinhawer see: hinder laßene fraw wittib Und Erben behaußung alhier in der Statt Straßburg in dem Leimen Geßlin, ist Ein schlaff hauß (…)
die andere behaußung auch alhier in gedachtem leimen gäßlein, Ein Seits Neben Johannes feinbuch See: hinder laßene Erben, ander Seits Neben Maister Tobias schuster dem Strellmacher hinden auff dem Kluogen hoff Stoßent, Welche behaußung Klein Und schlecht ist mit sampt hinder gebeÿ Klein höfflein auch aller dero begriff recht Und gerechtigkeit, Wie solches in der besichtigung befunden, Vnd dem Jetzigen preiß und Wehrt Nach angeschlagen Vor Vnd Vmb Ein hundert Und Sibentzig Vinff Gulden. Bezeigens der Statt Straßburg geschwohrne Werckh leithe [unterzeichnet] Joseph Lauttenschlager alter Werck Maister deß Münsters, Johann Faÿlotter WerckMeister deß Zimmerhoffs, Jacob Staudacher werckh Meister des Maurhofs.
La veuve se remarie en 1695 avec le tailleur Jean Georges Rudolff originaire d’Altorf près de Molsheim. La maison figure à l’inventaire de leurs apports dressé en août 1698
Mariage, Saint-Pierre-le-Vieux (cath. p. 92)
Die 11 Jullii anno 1695. honestus Joannes georgius Rudolff ex Altorff huius diœcesis et Maria Magdalena Voltz vidua matrimonii Juncti sunt (…) + + signa sponsi et sponsæ (i 68)
Inventaire des apports
1695 (10.8.), Me Oesinger (Jean Adam, 39 Not 1) n° 11
Inventarium und Beschreibung aller derjenigen Haab Nahrung und Güether, liegender und Vahrender, so der Ehrengeachte und bescheidene Meister Hannß Georg Rudolph der Schneider und fraw Maria Magdalena gebohrne Voltzin beede Eheleüth und burgere alhier zu Straßb. einander in den Ehestand zugebracht und Vermög Ihme mit einander aufgericht. Eheberedung sich für Unverändert Vorbehalten haben – Actum in der königlichen freÿen Statt Straßb. in fernerem gegensein deß Ehren Vesten Weißen und Vorachtbahren Herrn Johann Adam Schellen Schuhmachers und E: E: Kleinen Raths jetzmahligen beÿsitzers, obgemelder Ehefr. annoch ohnentledigten Curatoris und deß Ehrengeachten und bescheidenen Meister Johann Carl Logels Maurers und Steinmetzen burgers alhie mehrgedachter Ehefr. mit Weÿl. H: Johann Ludwig Leÿßen Maurer und E: E: Kleinen Raths geweßenen beÿsitzern in Erster Ehe erzeugten 4. Kin. geschwornen Vogts, Mittwochs den 10.ten Aug. A° 1695.
In einer in der Statt Straßburg in dem so genannten Leÿmengäßel gelegenen der fr: Zum dritten und Ihren in erster ehe erzeügten 4. Kindern Zu Zween dritten theilen Eigenthümlich zuständigen Schlaff behaußung befund. Word. Wie Volgt
Eigenthumb ane Häußern. (F.) Erstlichen ein 1/3 theil Vor ohnvertheilt dar Von die übrige 2/3 theil der Fr. 4. Kindern erster Ehe als Vätterlich guth zuständig Von und ane dem Hauß Hoffstatt und höfflein sampt allen andern deren gebäwen, begriffen, Weith. rechten Zugehördten und gerechtigkeit gelegen in der Statt Straßb. in der Leÿmengaß 1.seit neben weÿl. H Johann Jacob Ansorgs geweßenen præceptoris Classici seeligen hinderlaßene fr. Wittib, anderseith neben einer behaußung dem Stifft St. Marx gehörig, hinden auff den Klugischen hoff stoßend, dauon gibt mann Jähr. auf den 10.ten Xbris 2. lb Zinnß dem Stifft St: Marx so in hauptg. abzulößen mit 50. lb. Sonsten geg. jedermänniglichen freÿ ledig und eig. und hiehero jedoch nienamd Zur præjudiz angeschlag. p. 37. lb 10. Und hiehero Zur tertz 12 lb 10 ß. Darüber sagt i. teutscher Perg. Kfbr. in alh. C. C. gefert. mit daren anhangend. Insigell verwahrt dat: den 6. Aug. A° 1688. mit N° 1 notirt.
Item h1/3 theil ane Hauß Hoffstatt, höfflein und Gärtlein, so eine Schlaff hauß in der Leÿmengaß (…)
Series rubricarum hujus Inventarÿ. Des Ehemanns in den Ehestandt gebrachte Nahrung. Sa. haußraths 11, Sa. Pfenningzinß hauptgüter 75, Summa summarum 86 lb – Schulden 25 lb. Nach solchem abzug 65 lb.
Der Ehefrawen in dieße Ehe gebrachtes Vermögen. Sa. Haußraths 180, Sa. Silbergeschmeids 2, Sa. Guldener ring 7, Sa. dr Baarschafft 14, Sa. Eigenthums ahne häußern 25, Sa. der Schuld 12 lb, Summa summarum 243 lb – Schulden 65 lb, Compensando 178 lb
Beschluß und Final summa 246 lb
Jean Georges Rudolff devient bourgeois quelques jours après son mariage
1695, 3° Livre de bourgeoisie p. 1161
Johann Georg Rudolph der schneider Weÿl. Michael Rudolpffs Von Altorff beÿ Moltzheim, gewes. huffschmids daselbst Ehl: sohn, erkaufft das burgerrecht p. 2. GoldR. und 16. ß. so bereits auf dem Pfenningthurn erlegt worden Vnd wird Zu E. E. Zunfft der Schneider dienen. Jur: d. 30. Julÿ 1695.
Marie Madeleine Voltz meurt en décembre 1704 en délaissant quatre enfants issus de son premier mariage. La succession comprend deux maisons (celle louée en meublé rue de l’Argile et une autre hors la porte des Bouchers). L’autre maison rue de l’Argile a été détruite par un incendie. Elle a été vendue 30 livres à Martin Fluck après que le Magistrat a remis un dédommagement de 50 livres au propriétaire. La masse propre au veuf est de 54 livres, celle des héritiers de 149 livres. L’actif de la succession s’élève à 267 livres, le passif à 124 livres.
1705 (2.2.), Me Oesinger (Jean Adam, 39 Not 7) n° 165
Inventarium und beschreibung aller der Jenigen Haab, Nahrung undt Güettere, Liegender Undt fahrender Verändert und unverändert Keinerleÿ davon außgenommen, so Weÿlandt die Ehren und tugendsamme fraw Maria Magdalena Rudolphin gebohrne Voltzin deß Ehrenhafften und bescheidenen herrn Joh. Georg Rudolphs burgers in der Statt Straßburg und Würths zum grünen baum zwischen beeden Rheinbrucken außerhalb gedachter Statt Straßburg geweßene eheliche Haußfrau, nach Ihrem dienstags den 30.ten decembris deß ohnlängst abgewichenen 1704.ten Jahrs beschehenen tödlichen Hienscheiden, Zeitlichen verlaßen, Welche auf freundliches ansuchen erfordern und begehren deß Ehrenvesten, Weißen und Wohlvorgeachten Herrn Johann Carl Logels Steinmetzens und Maurers auch eines Ehrsamen Kleinen Raths alten beÿsitzers, alß geordnet und geschworenen Vogts Jungfrawen Mariæ Magdalenä, Johann Ludwigs Ledigen hoßenstrickers, Ulrichs Ledigen Schneiders und Johann Christophs der Leÿßen, aller Vier der Verstorbenen seeligen mit Weÿl. herrn Johann Ludwig Leÿßen geweßenen Maurern und E: E: Kleinen Raths alten beÿsitzern in erster Ehe ehelich erzeugten Vier Kinder und ab intestato nachgelaßene Erben Inventirt und ersucht durch den Wittiber – Actum Vor der Königlichen Statt Straßburg Zwischen denen beeden Rheinbrucken, Montags den 2.ten Februarÿ A° 1705.
In einer vor der Statt Straßburg Zwischen denen beeden Rheinbrucken gelegenen Zum Grünen baum genannten hernach beschriebenen in dieße Verlassenschafft gehörigen behaußung befund. word. Wie volgt.
Ane Höltzen und Schreinerwerck. In der Cammer A, In der Cammer B, In der Cammer C, In der Cammer Lit. D. In der Cammer E, In deß Wittibers Schlaff Cammer, In der Gaststub, In der Kuchen
Eigenthumb ane Häußern. (E.) Erstlichen Hauß Hoffstatt, Höfflein und Gärtlein, so eine Schlaff hauß in der Leÿmengaß (…)
(T.) Item eine behaußung und Stallung sampt übrigen gebäwen, Zugehördten und gerechtigkeiten, Vor dem Metzgerthor jenseith der Kleinen Rheinbrucken, auff der Lincken seithen, Wann mann Zur großen Rheinbrucken gehet, Ringsherumb auff Ihro Excell. herrn Synd. Klinglin stoßend, so das Würths hauß Zum grünen baum genannt
Abschatzung (…)
Ergäntzung deß Wittibers Unveränderten Gueths. Nach anleÿtung Inventarÿ welches über deß Wittibers u. der Verstorbenen seeligen in den Ehestandt gebracht Unveränderte Nahrung durch mich Notarium in Anno 1695. auffgerichtet worden
Ergäntzung der Erben (…) Ahne einer Behaußung. Item fol: 38.a findet sich daß eine behaußung in dem Leÿmengäßel gelegen einseith neben weÿl. hrn: Johann Jacob Ansorgs geweßenen Præceptoris classisi seel. hinderlaßener fr. Wittib, anderseit neben einer behaußung dem Stifft St Marx gehörig, hinden auf den Klugischen hoff stoßendt Vorhanden war, welche aber in währender Ehe abgebrandt Undt wegen solchen Vnglücks Von hießigem Löbl. Magistrat vermittelst einer gesamleten Steür empfangen worden so Zuergäntzen 50. lb. Item so ist der platz Von solch abgebrandten hauß ahne Martin Flucken dem Zimmermann Undt darab erlößt worden 30. lb
Abzug in dießes Inventarium. Des Wittibers Unverändertes Vermögen. so einig und allein in der Ergäntzung bestehet mit 54 lb
Der Erben Unveränderte Verlassenschafft, Sa. hausraths 64, Sa. Silbergeschmeidts 1, Sa. Guldener ring 3, Sa. Eigenthumbs ahne einer behaußung 130, Sa. der Ergäntzung (165, Abgang 200, Übertrifft umb 34), Summa summarum 199 lb – Schulden 50, Nach deren Abzug 149 lb
Das Gemein Verändert und Theilbahr Guth, Sa. haußraths 25, Sa. Pferdts und Schwein 8, Sa. Weins und Lährer Vaß 40, Sa. Silbergeschmeids 2, Sa. der baarschafft 51, Sa. Eigenthumbs ahne einer behaußung 105, Sa. der Schuldt 34, Summa summarum 267 lb – Schulden 124 lb, Nach deren Abzug 132 lb
Conclusio finalis Inventarÿ 346 lb
Vergleichung wegen deß Wittibers Ihme in der Eheberedung Verschriebenen Wÿdumbs und der Zwischen beed. Rheinbrucken gelegenen Zum Grünen baum genannten theilbaren Gast behaußung (…)
Vergleichung und übergaab der alhier in dem Leÿmengaßlein gelegenen und in Vorbemeldter Vier Erben Mütterl. Unveränderte Verlassenschafft gehörige und bißdaher Under Ihren Erben ohnvertheilt gemein geweßene behaußung
Compte de tutelle que rend Jean Charles Logel de la gestion des biens qui appartiennent aux enfants Leiss
1706 (Mich:), Me Oesinger (Jean Adam, 39 Not 9) n° 218
Rechnung Mein Johann Carl Logels Steinmetzen und Maurers, burgers alhier zu Straßburg alß geordnet und geschworenen Vogts Johann Ludwigs, Ledig. Hoßenstrickers, Johann Ulrichs, Ledig. Schneiders und Johann Christophs auch Ledig. Hoßenstrickers der dreÿ Leÿßischen gebrüdere, Weÿl. herrn Johann Ludwig Leÿßen geweßenen Maurers und E: E: kleinen Raths alhier alten beÿsitzers, mit auch Weÿl. Frawen Maria Magdalena gebohrner Voltzin seelig ehelich erzeügter und hinderlaßener Kindere in sich haltend alles das jenige waß Ich gedachter meiner Curanden wegen Von dem zweÿten februarÿ Aanno 1705. alß da nach der Curanden Mutter seel. Zeitlichen absterben meine Verwaltung Ihren anfang genommen, biß Michaelis Anno 1706. Eingenommen und außgegeben, auch sonsten Ihrenthalben in Underschiedliche Weiß Verrichtet und Verhandelt habe. Erste Rechnung dieße Vogteÿ
Bericht dießer Rechnung. Alhier berichte daß Zwar meiner Curanden Vatter seelig schon in Anno 1695. dießes Zeitliche gesegnet, dieweilen aber da zumahlen die Curanden noch Klein waren so hatt deren Mutter auch das Vätterliche Guth in handen behalten, Nachdeme aber erstberührte Ihro Mutter so Letztlichen mit Johann Georg Rudolphen dem Wirth Zum Grünen baum Zwischen denen beed. Rheinbrucken gelegen Verehelicht gewesen den 30. Xbris Anno 1704. auch Verstorben alß habe mir angelegen sein laßen, daß deroselben Verlaßenschafft gleich darauff den 2.ten Februarÿ Anno 1705. ordnungs mäßig Inventirt Worden, warüber dann das sub Lit. A. hiebeÿ gehende Inventarium meldung thut Volglichen so Wurde auch die separation solcher Verlassenschafft Zwischen dem stieff Vatter und denen Curanden den 25.t dicti mensis vorgenommen also daß waß meinen Curanden beÿ so bemelder Mütterlichen Verlaßenschaffts Separation für dreÿ Vierde Stammtheil Erblichen Zu und dargefallen das hiebeÿ sub Lit. D. Kommende für meine dreÿ Curand. und ihre Schwester Mariam Magdalenam /:dero Vogt Ich auch geweßen die mich aber nach Ihrer Verheürathung ledig geschlag:/ Verfertigte General Theil Registerlein Zeiget (…)
Eigenthumb ahne einer behaußung. Die meinen dreÿen Curanden und Ihrer Schwester Zugliechen theilen eigenthümlich zuständige im Leÿmengäßel alhie gelegene Schlaff behaußung bringe hernacher fol. (-) in ein Corpus welche anjetzo Von Mstr Marx Anthoni Löwenstein der Steinhawer und Maurer vmb Jährl. 50. fl. Zinnß bewohnt wird und gehet solcher zinnß ahn d. 24. brachmonat aô 1705.
La veuve et les héritiers Leiss vendent le terrain de la maison incendiée trois ans plus tôt au charpentier Martin Fluck
1699 (29. 7.br), Chambre des Contrats, vol. 571 n° 493
Maria Magdalena Voltzin, weÿl. H. Johann Ludwig Leißen, deß Maurers und E.E. Kl. Raths alt. beÿsitzers sel. nachgelaßene wittib, anietzo Johann Georg Rudolph deß Schneiders haußfrau, mit beÿstand Ihres Ehevogts, So dann H. Johann Carl Logel, der Maurer und Steinmetz, auch E.E. Kleinen raths alter beÿsitzer, alß Vogt ged. Leisen sel. nachgelaßene 4 Kinder
in gegensein Martin Fluck deß Zimmermanns
Eine abgebranndte hoffstatt, davon die Gebaü Vor ohngefähr 3. jahren durch das Feur consumirt word. mit allen deren begriff. annoch vorhandenen Steinen, allhier in der Leimengaß einseit neben Frantz Bernhard dem Kornwerffer, anderseit neben einen auch abgebrandten haußplatz dem Stifft St. Marx gehörig, hinden auff den Klugischen hoff stoßend gelegen – geschehen umb 32 pfund
Martin Fluck acquiert quelques mois plus tard 50 livres le terrain de la maison voisine, elle aussi incendiée, qui appartient à la fondation Saint-Marc.
1700 (26.1.), Chambre des Contrats, vol. 573 n° 58-v
/:tit:/ Herr Johann Jacob Richshoffer deß beständigen Regiments der HH. XV. alß Pfleger und H. Stephan Cornelius Saltzmann, Notarius Publicus alß Schaffners deß großen gemeinen Allmosens zu St Marx
in gegensein Martin Flucken deß zimmermanns [unterzeichnet] Martin Fluck
Eine abgebrandte hoffstatt sambt den ruderibus, Neun Zehn schuh vier Zoll vornenher in d. gaß., und 42 Schuhe auff der seit. haltend, das hauß A° 1696 abgebrandt, allhier in der Leimengaß einseit neben einen and. abgebrandt. hoffstatt dem Kaüffer selbst gehörig and. seit neben andres Fricken, den Schuhmacher, hinten auf d. alßo genandt Klugischen hoff, anjetzo Hn Obrist Lieut. v. Birckenwald gehörig, stoßend geleg. – um 50 pfund
Le charpentier Martin Fluck se marie en 1687 avec Susanne Graff veuve du cordier Jean Pierre Gering qu’elle a épousé en 1675 : contrat de mariage tel qu’il est copié à l’inventaire, célébration
Copia Eheberedung – Zwischen dem Ehrsammen und bescheidenen Meister Martin Fluckhen dem Leedigen Zimmermann undt burgern alhier weÿlandt des Ehrsam und bescheidenen Martin Fluckhs geweßenen Zimmermanns und burgers alhier nunmehr seel. hinderlaßenem eheleiblichem Sohn, alß dem bräuttigamb ane Einem, So dann der Ehren und tugendtsammen frawen Susannæ Gräffin weÿl. des Ehrsam und bescheidenen Peter Gerings, geweßenen Seÿlers und burgers alhie seel. nachgelaßenen Wittiben alß der hochzeitterin – Heinrich Meÿle, exped. den 3. Septembris Anno 1688, Johann Friderich Redwitz, Nots.
Mariage, Saint-Pierre-le-Vieux (luth. f° 206-v, n° 20)
1687. Martius d. 30. Martin Fluck d. ledig. Zimmermann, Martin Flucken deß Burgers und Zimmermanns allhier hinterl. ehl. sohn, fr: Susanna hans Peter gärings deß burgers v. Seilers ehl. wittib (i 208)
Mariage, Saint-Nicolas (luth. p. 295, n° 37)
1675. Dom: 20. tr. iun. Johann Peter Göring d. Seÿler Und Burger alhie V. Jft Susanna weÿl. Heinrich Graff gewesenen (Kornwer)ffer und burger alhie hind.laßene eheliche tochter. Cpo. S. Nic. den 28. Octobr. (i 315)
Martin Fluck meurt en 1721. Il laisse pour héritiers ses trois sœurs ou leurs représentants. La veuve est assistée de son fils en premières noces, Frédéric Gering. Les terrains sur lesquels s’élevaient deux maisons incendiées servent maintenant de chantier et comprennent une remise. La masse propre à la veuve est de 73 livres, celle des héritiers de 118 livres. L’actif de la communauté s’élève à 902 livres, le passif à 338 livres.
1722 (15.1.), Me Hoffmann (Christophe Michel, 19 Not 13) n° 469
Inventarium über Weÿl. des Ehrengeachten Mstr. Martin Fluckhen gewesten Zimmermanns und burgers alhier nunmehro seel. Verl. auffgerichtet In Anno 1722. – nach seinem am 10. Decembris des Nechstabgelegten 1721.sten Jahrs genommenen tödlichen hientritt hie Zeitlichen verlaßen – durch fr. Susannam gebohrner Graffin die hinterbliebene wittib, mit hülff und beÿstand H. Marx Antoni Löwenstein des Steinmetzen Maurern undt burgern alhie ihrs geordneten Curatoris u. Friderich Göring des Zimmermanns, der fr. Wittib sohn welcher im hauß logirt (geäugt und gezeigt) – So beschehen Straßburg d. 15. Jan. Anno 1722.
Der Verstorbene seel. hat ab intestato Zu Erben Verlaßen wie folgt. 1. Frau Mariam Cleophe gebohrne Fluckin Frantz Muthé des tabaccbereiters Zu Benfeld ehel. haußfrau weilen nun dieselbe fermbd und unverburgert, alß ist in ihrem Nahmen beÿ E. E. Kleinen Rath unterthänig erbetten undt gnädig Deputirt worden S. T. H Johannes Breßler, Apothecker und wohlgedachten E. E. Kleinen Raths jetzmahliger beÿsitzer welcher dem geschäfft in persohn abgewarttet. 2. Weÿl. Fr: Anna Margaretha gebohrner Fluckin mit auch weÿl. Johann Jacob Stangen geweßten Küblern und burgern allhier erziehlte und hinderlaßene tochter, nahmens Annam Margaretham Sigmung Stöhren des Steinhauern und Maurers auch burgers alhier ehel. haußfrau, mit beÿstand deßelben. 3. Weÿl. frauen Susanna Fluckin mit auch weÿl. Daniel Gütel geweßten Krempen und burgern alhier ihrem Mann beed. ssel. erzeugten u. hinterlaßenen Sohn nahmentlich Samuel Gütel den ledigen Zimmergesellen und burger alhier so gegenwärtig, Alle 3. des Verstorbenen seel. respectivé Leiblicher Schwester und Schwester Kinder mithien Zu gleichen portionen und antheilern nachgelaßene Erben
Zum theil in einer alhie Zu Straßburg ahne dem alten Wein Marckh lehen: Zum theil aber ane dem Zimmerblatz gelegenen in dieße Verl. gehörigen deßwegen hernach fol. beschriebenen behaußung folgender maßen befunden
Ane Schrein: und Höltzenwerckh, In der Cammer A, In der Wohnstub, Stub Cammer, Kuchen, Keller, In der nebens behauß. auff der bühn, Cam. B, Cam. C, Neu stub, In der nebens behauß.
(f° 11-v) Eÿgenthumb ahne häußern so Theÿlbahr. I. hauß, mit allen deren gebäuen, begriffen, u. gerechtigkeiten gelegen alhie Zu Straßburg auff dem alte wein Marckh (…)
It. ein abgebrant hoffstatt wo jetzund ein schopff Zum Zimmer handwerck ist, mit allen deren begriffen, weithen, Rechten zugehörd. und gerechtigkeiten, Gelegen alhie in der Leimen Gaß, 1.s neben Johannes Kluckeshertz, dem taglöhner, 2.s neben Jacob Steinhälwer, hinten uff den Klugischen hoff stoßend so freÿ Ledig und eigen und so freÿ Ledig und eigen, und ist Vermög ob allegirten Abschatzung der H. Werckmeister solcher Platz angeschlagen worden pro 112 lb. Darüber besagen 2. teutsche perg. Kauffbr. mit der Statt Straßb. anh. Insiegel Verwahrt der eine datirt d. 29. 7.bris Anno 1699. und der andere d. 26. Jan. Anno 1700. beede mit Lit. C. sign.
– Abschatzung d. 6. Jannarÿ Anô 1722: Weÿlandt deß Ehrenhafften Und bescheÿtenen Meister hanß Martin Fluckh Zimmer Man, Seel: hinder Lassenen Erben ist Eine behaußung alhie in der Statt Straßburg auff dem Alden weÿn Marckh gelegen (…)
der ander begriff ist auch alhie in der statt Straßburg in dem Leimen geßel gelegen Ein seÿth Neben Johannes Klenckhes hertz, taglöhner ander seÿth Neben Jacob Steinhelber Kornwerffer, hinden auff den Klugen hoff, Stoßendt, welchen gebeÿ besteht in einem Zimmer schopff, Mit Einem halben tach, darunder Kammern, Neben gang, hinder schopff, Mit Einem halben tach, So bestehet auff hülßeren pfosten Vnd höffell, Sampt Aller Ihrer gerechtigkeith, wie solches durch der Statt Straßburg Geschwornenn werckhleuthen in der besichtigung befunden Vnd dem Jetzigen preiß Nach Angeschlagen Wirt Vor, vndt umb. Zweÿ Hundert Zwantzig Vnd fünff Gulten Bezeichnuß durch der Statt Straßburg Geschworene Werckleuthe [unterzeichnet] Michael Ehrlacher Werck Meister deß Meinsters, Johann Jacob Biermeÿer Werck Meister deß Zimmer hoffs
Ergäntzung der Wittib abgegangenen unveränderten Vermögens, Nach außweiß Inventarÿ so weÿl. H Heinrich Meÿle geweßter Nots. publ. u. burger alhier seel. underm 6. Martÿ 1688. auffgerichtet.
Copia Eheberedung – (…) Heinrich Meÿle, exped. den 3. Septembris Anno 1688, Johann Friderich Redwitz, Nots.
Copia Codicilli – In Jahr 1721 (…) auff Dienstag den 2. Decembris (…) Christoph Michael Hoffmann
Wittib, haußrath 28, Silbers 2, goldene Ringe 12, Ergäntzung (64, abgang 35, Nach deren Abzug) 29, Summa summarum 73 lb
Erben, haußrath 52, Ergäntzung 66, Summa summarum 118 lb
Theilbar, haußrath 130, Wein 93, Frucht 13, Silbers 72, goldene Ringe 4, Sa. Eigenthumbs ahne häußern 225, Sa. Werckzeug, holtz und diehlen wie auch Geschehen Zimmer handwercks gehörig 248 lb, Activ Schulden 114 (Zweiffelhaffte 307) – Summa summarum 902 – Passiv Schulden 338, Nach deren Abzug 563 lb
L’inventaire après décès de Susanne Graff figure au répertoire du notaire, la minute n’est pas conservée
1725, Me Hoffmann (Christophe Michel, rép. 65 not 11) n° 686
Inventarium über Weÿl.die Ehren: und tugendsahmen Frawen Susannæ Fluckin geb. Graffin auch weÿl. des Ehrengeachten Mstr. Martin Flucken geweßenen Zimmermanns und burgers allhier nachgelaßener Wittib beÿde nunmehro seel. Verlassenschafft
Les héritiers Fluck vendent la remise 250 livres au passementier Jean Louis Stuber
1722 (11.4.), Chambre des Contrats, vol. 596 n° 238-v
weÿl. Martin Fluck gewesten zimmermanns wittib Fr. Susanna geb. Graffin, so dann ged. Flucken nachgelaßen hæredes ab intestato nahmenlich Fr. Maria Cleophe geb. Fluckin Frantz Mather tabackbereithers und Schirmers ehefrau, Ferner Anna Margaretha geb. Stangin Sigmund Störren Maurers und Steinhauers hausfrau, Mehr Samuel güthel lediger zimmergesell majorennis und ohnbevögtigt beÿständlich Joh. Jacob Kiel des zimmermanns
in gegensein Johann Ludwig Stuber Paßmentirers, daß sie Fluckischer wittib und zwar dieselbe beÿständlich Marx Anthoni Löwenstein Maurers und Steinhauers ihres Curatoris
Einen Schopff und deßen hoffstatt sambt dazu gehörigenen gebäuden, begriffen, weithen, Rechten und gerechtigkeiten ahne dem Leimengäßel, einseit neben Jacob Stein: welper dem Kornwerffer anderseit neben Johann Klugshertz Taglöhner hinten den klugischen hoff – umb 250 pfund
Fils d’un marchand de futaine, le passementier Jean Louis Stuber épouse en 1703 Agnès Geiger, fille de vitrier : contrat de mariage tel qu’il est copié à l’inventaire, célébration
Copia der Eheberedung – zwischen dem Ehren und vorgeachten Herrn Johann Ludwig stuber ledigen Paßmentirer und burger allhier Zu Straßburg, weÿland des Ehren und Wohlvorgeachten Herrn Johann Jacob Stubers geweßenen barchet händler und burgers allhier seeligen mit der Viel Ehren und tugendreichen Frauen Dorothea gebohrner Steinweilerin ehelich erzeugtem Sohn als dem Herren bräutigambs ane Einem, So dann der Viel Ehren und tugendsamen Jungfrauen Agnethæ Geigerin weÿland des Wohl Ehren und vorachtbahren herrn Davidt Geiger geweßenen Glaßer und auch burgers alhier mit weÿland der Viel Ehren und tugendbegabten frauen Annæ Catharinæ gebohrner Lienhardtin seeligen ehelich erzeugter dochter als der Jungfrau hochzeiterin an dern theils – So beschehen in der königlichen freÿen Statt Straßburg auff Montag den 6. Augusti in dem Jahr des Herren als man Zahlte 1703, Daniel Rohr
Mariage, Saint-Pierre-le-Jeune (luth. f° 117)
1703. Dominica XIII et XIV post Ttinit. proclamati sunt H Johann Ludwig Stuber der Paßmentirer allhier, Weÿl. H. Johann Jacobß Stuber hannßen Barchet Krämers und Burgers allhier nachgelaßener Ehl. Sohn v. Jfr Agneß Weÿl. David Geÿer gewesenen glasers und Burgers allhier nachgelaßenee Ehel. Tochter. Copulati sunt Mittw. d. 12. sept. [unterzeichnet] Johan Ludwig Stuber als hochzeiter, + Ist des beÿzeichen Jfr Agneß geÿerin der hochzeiterin (i 121)
Agnès Geyer meurt en 1735 en délaissant un fils. Les immeubles comprennent la maison au Vieux-Marché-aux-Vins et la remise rue de l’Argile. La masse propre au veuf est de 508 livres, celle des héritiers de 894 livres. L’actif de la succession s’élève à 3 082 livres, le passif à 1 564 livres.
1735 (9.5.), Me Lang l’aîné (Jean Daniel, 25 Not 53) n° 474
Inventarium über Weÿl. der Viel Ehren: und tugendreichen Frauen Agnes Stuberin gebohrner Geÿerin des Wohl Ehrenvest und Großachtbaren Herrn Johann Ludwig Stubers, Paßmentirers, Seÿdenhändlers und burgers allhier, geweßener Fr. Eheliebstin nunmehr seel. Verlassenschafft auffgerichtet Anno 1735. – nachdeme dieselbe den 31. Januarÿ dießes lauffenden 1735.te Jahrs von dem lieben Gott aus dießer welt genommenen tödlichen hintritt seelig abgefordert worden Zeitl. hinder sich verlaßen, Welche Verlaßenschafft auf freundliches ansuchen erfordern und begehren des Ehren und wohlvorgeachten herrn Johann Stammen dreÿer Knechts auff allhierßig. Statt Pfgth. v. burgers allhier, als geschwornen Vogts Herrn Joh: Georg Stubers, Primæ Curiæ Studiosi der abgel. seel. mit obernanndtem ihrem hinderbliebenen H Wittiber ehelich erzeugten einigen Sohns und ab intestato Verlaßenen einigen Erben, inventirt, durch Ihme den herrn Wittibern wie auch Jungfrau Annam Mariam Geÿerin der abgel. eheleibliche Schwester ingleichem durch Jungfrau Mariam Elisabetham Stammin obernandten Hn Stammen ehel. tochter so beede in dem Sterbhauß sich auffhalten und Mariam Maria Annaam Füeßingerin Von hier gehörig, die dienstmagd – So beschehen Zu Straßburg auff Montag den 9.teb Maji et seqq. A° 1735.
In einer allhier Zu Straßburg ane dem alten Weinmarckt gelegenen in dieße Verlassenschafft gehörigen und hernach beschriebenen behaußung befunden worden, wie volgt
(f° 7-v) Ane Höltzen und Schreinwerck, Auff der ohneeins obersten bühn, In der obern Vordern Cammer, In der Kasten Cammer, In der Magd Cammer, In der Wohnstub, Im Laden, In dem Hoff im Leimengäßlein
Antheil ane einer behaußung (E.) Nembl. die helffte Vor ohnvertheilt ane I.r behaußung V. hoffstatt mit allen derselben Zugehörden begriffen, weith. rechten v. gerechtigkeiten gelegen allh. Zu Straßb. ane dem alten wein marckt (…)
(T.) Item i. behaußung v. hoffstatt mit allen übrig. deren gebäuen, begriffen, weith. Zugehörd. rechten V. gerechtigkeiten gelegen allh. Zu Straßb. ane d. tucherstub gaß (…)
(T.) It. i. Schopff V. deßen hoffstatt darinn. i. bauch Kuch. v. bronnen mit allen übrigen Zugehörd. begriffen, weith. Zugehörden rechten v. gerechtigkeiten gelegen allh. Zu Straßb. ane dem Leimengäßl. i.seith neben Jacob Steinwölper dem Kornwerffer, 2.seith neben Mathiß trescher dem ehemalig. Metzgern und hinden auff den Klugischen hoff stoßend, so gäntzlich freÿ ledig v. eigen v. dh. mehr erwehnten herrn Werckmeistern angeschlagen pro 500. fl. oder 250. lb. Wie d. Wittiber dießen Schopff v. Zugehörden Von weÿl. Martin Flucken gew. Zimmermanns v. burgers allh. nachgelas. Wittib v. Erben ane sich erkaufft hat, weißet i. teutscher pergam. Kauffbr. in mehrbesagter C. C. stuben gef. v. mit dero anhang. Innsiegel Verw. datirt d. 11. apr. A° 1722. mit Jetzig. N° 9 notirt.
(f° 24.) Ergäntzung des Hn Wittibers abgegangenen ohnveränderten Guths. Nach besag Inventarÿ (…) durch weÿl. Hn Daniel Rohren Notm: publ. seel. in A° 1703. gefertiget wehrender dißer Ehe angegangenen ohnveränderten Guths
(f° 28) Series rubricarum hujus Inventarÿ. Des H. Wittibers ohnveränderte Nahrung, Sa. haußraths 6, Sa. goldenen Ring 1, Sa. deßen was man dem Hn Wittiber wegen seines wehrender dißer Ehe angegangenen ohnveränderten Guths Zuergäntzen hat, beträgt (632. lb, wegzurechnen 80, compensando) 552 lb, Summa summarum 561. lb – Schulden 52 lb, Nach deren Abgang 508 lb
Dießem nach wird auch der abgeleibten frawen Stuberin seel. Verlaßenes ohnverändertes Guth beschrieben, Sa. Silbers 3, Sa. Goldener ring 8, Sa. Antheils ane einer behaußung 215, Sa. Schulden 52, Ergäntzung (618, Abgang 3, Nach deren Abzug) 614, Summa summarum 894 lb
Endlichen wird auch das gemein verändert und theilbar Guth, haußrath 225, Sa. Werckzeugs Zum Paßmentiren gehörig 942, Sa. Frucht 34, Sa. Wein und Faß 134, Sa. Silbers 19, Sa. Goldener ring 3, Sa. baarschafft 431, Sa. Pfenningzinß hauptgüter 450, Sa. Gülthen von liegenden güthern 29, Sa. Eigenthums ane häußern 800, Sa. Schulden 11, Summa summarum 3082 lb – Schulden 1564 lb, Nach deren Abzug 1517 lb
Gantze Verlassenschafft et Conclusio finalis Inventarÿ 2920. lb
Ungewiß zweiffelhaffte und verlohrener Schulden in die Theilbare Nahrung Zugeltend 35 lb
Copia der Eheberedung (…) – So beschehen in der königlichen freÿen Statt Straßburg auff Montag den 6. Augusti in dem Jahr des Herren als man Zahlte 1703, Daniel Rohr
Copia Codicilli reciproci – Im Jahr 1705 (…) Dienstags den 3. Februarÿ (…) persönlich kommen und erschienen seind der Ehren und Wohlvorgeachte Herr Johann Ludwig Stuber Paßmentirer und beneben Ihme die Ehren und tugendsame frau Agnetha gebohrne Geigerin beede Eheleuthe und burgere allhier zu Straßburg von verliehung Göttlicher Gnaden gesund gehend und stehender Leibere – Johann Daniel Rohr Notarius
– Abschatzung dem 16 Maÿ 1735. Auff begehren deß Wohl achtbahren und bescheitenen H. Johann Luttwig Stuber dem handelßmann ist eine behaußung alhie in der Statt Straßburg auff dem alten Wein marckh gelegen (…)
Der 2.te begriff ist auch alhie in der Statt Straßburg in dem leimen gäßlein gelegen so in einem alten schopff bestehet ein seits neben Mathias treßer dem Metzger anderseits neben hannß Jacob steinsäber dem Kornwerffer hinten auff dem Birckenwaldischen garten Stoßend, welches schopff nur in einem halben tach bestehet, so Zur wahren Maccassin gebraücht wirdt mit einem hoff, bronnen, bauch Küchell und getrëmbtes Keller, samt aller gerechtigkeit wie solches durch der statt Straßburg geschwornen werckhleüthe sich in der besichtigung befunden und Jetzigem Preÿß nach angeschlagen Wird Vor und umb 500 Gulden
Der 3.te begriff (…)
Bezeichnuß der Statt Straßburg Geschworene Werckleuthe [unterzeichnet] Michael Ehrlacher Werck Meister deß Meinsters, Johann Jacob Biermeÿer Werck Meister deß Zimmerhoffs, Johann Peter Pflug Werckmeister deß Mauer hofs
Les préposés de la Taille font figurer la succession dans leur registre parce que les impôts acquittés étaient calculés d’après une fortune sous-évaluée de 600 florins (300 livres)
1735, VII 1178 – Livres de la Taille f° 77
Spiegel F., N° 6872. Weÿl. Fr. Agnes gebohrner Geÿerin, H. Johann Ludwig Stuber Seidenhändler und burgers alhier Ehel. haußfrauen Verlassenschafft inventirt H. Not. Lang
Concl. Fin. Inv. ist fol. 193 2920. lb 10. ß 5 ½ d, die machen 5800 fl. Verstallte nur 5200. fl. Zu wenig 600. fl.
Nachtrag Sechs Jahr in duplo à 1 lb. 16. ß
Und Vier Jahr in simplo à 18 ß, 3 lb 12 ß
Extat kein Stallgelt
Gebott 3 ß
Abhandlung 3 lb 7 ß 5 s, Summa 17 lb 18 ß 5 s
Auff bitten haben die herren dreÿ nachgelaßen 3. lb 12 ß, restirt 14 lb. 6 ß 6 s
dt. 3° Octobris 1735.
Jean Louis Stuber se remarie avec Catherine Elisabeth Werner, veuve de Jean Martin Lauth, meunier de la Robertsau. L’inventaire des apports reprend les immeubles qui figurent à l’acte précédent
Mariage, Saint-Pierre-le-Jeune (luth. f° 132, n° XXXVIII)
1735. dominica XVIII et XIX Trinit. proclamati sunt Herr Johann Ludwig Stuber der Seÿdenhändler v. burger alhie v. frau Catharina Elisabetha gebohrne Wernerin Weÿl. Herrn Johann Martin Lauth geweßenen burgers v. Müllers in der Ruprechtsau nachgelaßene Wittib. Copulati sunt d. 19. Octobr: aus Erlaubnus deß Regirenden Herrn Ammeisters Zu Hauß [unterzeichnet] Johan Ludwig Stuber als hochzeiter, + Ist das beÿzeichen Catharina Elisabetha Lauthin der Hochzeiterin (i 138)
Inventaire des apports
1736 (9.4.), Me Lang l’aîné (Jean Daniel, 25 Not 59) n° 517
Inventarium über des Wohl Ehren Vesten und Großachtbaren herrn Johann Ludwig Stubers, Paßmentirers und Seÿdenhändlers wie auch der Viel Ehren und Tugendbegabten frauen Catharinæ Elisabethæ Stuberin gebohr. Wörnerin beeder Eheleuthe und burgere allhier einander in die Ehe zugebrachte Nahrung auffgerichtet Anno 1736. – welche der Ursachen, allweilen in deroselben den 11. aug. A° 1735. mit einander auffgerichteter Eheberedung außdrucklichen Versehen, daß einem jeeden derselben seine in die Ehe bringende Nahrung ein freÿ, eigen, ohnverändert und vorbehaltenen Guth seÿn und bleiben – So beschehen Zu Straßburg in fernerm beÿseÿn herrn Johann Stammen, beambten auff allhießiger statt Pfenningthurn des Eheherrn in erster Ehe mit Weÿl. frauen Agnes Stuberin gebohrner Geÿerin seel. ehelich erzeugten Sohns, nahmens H Joh: Georg Stubers, nunmaligen Philosophiæ studiosi geschwornen H Vogts und Hn Johann Martin Rothen, des Weißbecken als der Ehefrauen in erster Ehe mit weÿl. Hn Joh: Martin Lauthen gewesenen Müllern in Ruprechtsau seel. ehelich erzeugten sohns nahmens Hn Joh: Friderich Lauth des ledigen Mühlartzes geschwornen Vogts und hierzu erbettenen assistenten, auff Montag den 9. Aprilis et seqq. A° 1736.
In einer allhier Zu Straßburg ane dem alten Weinmarckt gelegenen in dieße Nahrung gehörigen und hernach beschriebenen behaußung befunden worden, wie volgt
(f° 26) Antheil ane einer behaußung (H.) Erstl. zween dritte theil Vor ohnvertheilt ane einer behaußung und hoffstatt mit allen übrigen deren Gebäuen, begriffen, weith. Zugehörd. rechten V. gerechtigkeiten gelegen allh. Zu Straßb. ane d. tucherstub gaß
(H.) It. Zween dritte theil für ohnvertheilt ane einem Schopff und deßen hoffstatt, darinnen eine bauch Küche und bronnen mit allen übrigen Gebäuden, begriffen, weithen, zugehörden rechten v. gerechtigk. geleg. allh. Zu Straßb. ane dem Leimengäßlel eins. neben Jacob Steinwölper, dem Kornwerffer, anderseith neben Mathiß trescher dem ehemaligen Metzgern v. hinden auff den Klugischen hoff stoßend, so freÿ ledig v. eigen und hiehero ohnvergreifflichen angeschlagen pro 500 lb. Wowvon voe des Eheherrn Zween dritte theil dißorts außzuwerffen 333. lb. Die übrige tertz ist dem H. Sohn erster Ehe vor Mutterl. Guth zuständig, auch infra fol. (-) fac: (-) deßen übrigem Mütterl. Vermög beÿgesetzt. zuersehen. Wie er der Eheherr dießen Schopff v. Zugehörden, Wehrend seiner ersten Ehe, Von weÿl. Martin Flucken geweßenen Zimmermanns v. burgers allh. nachgelaßener Wittib v. Erben ane sich erkaufft hat, weißet i. teutsch. perg. Kauffbrieff in mehrbesagter Canc. Contractst. gefert. v. mit dero anhang. Ins. Verwahr. dat. den. 11. Aprilis A° 1722. Dabeÿ noch 3. alte teutsche perg. Kauffbrieff in ermelter Contractst. gefertiget v. mit dero anhang. Insigel corrob. de datis 26. januarÿ A° 1700, 29. sept. A° 1699 et 6.t aug. A° 1688. alle 4. stuck mit N° 9 bezeichnet.
(f° 36) Series rubricarum hujus Inventarÿ. Des Eheherrn in die Ehe gebrachtes eigenthümliches Vermögen, Sa. haußraths 497, Sa. Werckzeugs Zum Paßmentiren gehörig 22, Sa. Waaren Zum Paßmentirer und Seÿdenhandel gehörig 1255, Sa. Frucht 39, Sa. Wein und Faß 225, Sa. Silbers 51, Sa. Goldener ring 67, Sa. baarschafft 485, Sa. Pfenningzinß hauptgüter 450, Sa. Gülthen von liegenden güthern 106, Sa. Antheils ane häußern 933, Sa. Schulden 30, Summa summarum 4166 lb – Schulden 1511 lb, Nach deren Abzug 2655 lb, deme beÿzufügen deßelben ane hernach beschriebenen haußsteuren 38, Des Eheherrn Zugebrachte eigenthümbl. Nahrung 2693. lb
Hierauff werden auch der Ehefrauen in die Ehe gebracht eigenthümliche Mittel und Effecten beschrieben, Sa. haußraths 367, Sa. Silbergeschirrs und geschmeids 48, Sa. goldener Ring 70, Sa. baarschafft 59, Sa. Pfenningzinß hauptgüter 650, Sa. Schulden 59, Summa summarum 1256 lb – Passiva 62, Nach deren Abzug 1193. lb
Wÿdemb Welchen der Eheherr Von weÿl. Frauen Agnes Stuberin gebohrner Geÿerin seiner ersten Ehegattin seel. Verlassenschafft zufolg deroselben auffgerichteten Codicilli theils lebtägig, theils bis zu dero Hn Sohns Achtzehenjährigen alter gegen deßen alimentation zugenießen hat. Solche verlassenschafft bestehet Vermög des der 9.t maji et seq. A° 1735. darüber errichteten Inventarÿ in folgenden Rubricen.
Immobilia so dem Hn Sohn Vor Mütterlich Guth gebührig und deßen herr Vatter ebenmäßig theils lebtägig theils biß zu des H Sohns 18. Jährigen Alter zugenießen hat. Von Mütterlich ohnveränderter Nahrung. Nembl. die helffte Vor ohnvertheilt ane einer behaußung und hoffstatt mit übrigen deroselben begriffen und zugehörden, allhier zu Straßburg ane dem alten weinmarckt (…)
It. ein dritter theil für ohnvertheilt ane einem Schopff und deßen hoffstatt, darinnen eine bauchkuchen und bronnen mit übrigen deren zugehörden gelegen allhier ane dem Leimen gäßel anhero ohnverfänglichen æstimirt pro 166. lb. Die übrige zwo tertzen ane dießen beÿden häußern seins dem H. Vatter eigenthümbl. gebührig, auch hievorn fol. fac. et seq: mit deroselben situation und darüber besagenden documentis außführlicher beschrieben
Wÿdemb Welchen eingangsgedachte Frau Catharina Elisabetha Stuberin gebohrne Wörnerin Von weÿl. Hn Johann Martin Lauth geweßtem Müllern in der Ruprechtsau, Ihrem vorigen Ehemann seel. lebtägig zu genießen hat. Die in Hn Johann Friderich Lauthen, des Mühlartzten, Ihro der Usufructuariæ leiblichen Sohns Vätterlichem Lieffer register de Anno 1736. fol. 31. fac: 2.da
Jean Louis Stuber meurt en 1751 dans la maison de sa sœur au Coin brûlé en délaissant son fils pasteur issu de son premier mariage. La succession comprend deux maisons. Le passif de la communauté surpasse l’actif de 2 188 livres
1751 (17.11.), Me Lang l’aîné (Jean Daniel, 25 Not 98) n° 809
Inventarium über Weÿl. des Wohl Ehren Vest und Großachtbaren Herrn Johann Ludwig Stubers geweßten Seidenhändlers und burgers allhier nun seel. Verlassenschafft – nachdeme derselbe den 13.ten dieses Monats Novembris und dem lieben Gott aus dießer welt abgefordert worden Zeitlichen hinder sich verlaßen hat, welche Verlassenschafft auf ansuchen und begehren des Wohl Ehrwürdig und wohlgelehrten Herrn Johann Georg Stuber treueifferigen und wohlmeritirten Pfarrers und Seelsorgers der Evangelischen Gemeinde Zu Waltersbach in dem Steinthal, vornehmer burger allhier des seel. Herrn Stubers mit weÿl. der Wohl Ehren und tugendbegabten Frauen Agnes Stuberin gebohrner Geÿerin, seiner geweßten erstern Ehegattin seel. ehelich erzeugten herrn Sohns und ab intestato Verlaßenen einigen Erben, Wie auch auf requisition der Wohl Ehren und Viel tugendreichen Frauen Catharinæ Elisabethæ Stuberin, gebohrner Wörnerin deßelben geweßter Zweÿten Frauen Eheliebstin und nunmahliger Wittib, mit zuziehung des Wohl Edlen und Rechts wohlgelehrten herrn Johannes Brackenhoffer, Notarÿ publici und berühmten Practici, vornehme burgers allhiern deroselben hierzu erbettenen herrn assitenten inventirt – So beschehen Zu Straßburg, auff Mittwoch en 17. Nov. et seq. diebus Anno 1751.
In einer allhier Zu Straßburg ane dem sogenandten brendein End und der Frauen Pfarrerin Engelbrechtin des Defuncti Frauen Schwester befunden worden, wie folgt.
(f° 21) Eigenthumb ane Häußern. (E.) Erstlich 2/3. theil vor ohnvertheilt ane einer behaußung v. hoffstatt ane der tucherstubgaß (…)
(T.) It. eine behaußung, hoff, holtzschopff in der Vorstatt Cronenburger Straß (…)
(f° 32) Copia der Eheberedung (…) So beschehen auf Donnerstag den 11. Augusti Im Jahr 1735
Copia Codicilli – wie daß der Wohl Ehrenveste und Großachtbare Herr Johann Ludwig Stuber Seidenhändler und burger allhier (…) zu sich in deßen ane dem Branden End gelegene behaußung hat beruffen – So beschehen zu Straßburg in hievornen gedachter stuberischen behaußung ane dem brenden End gelegen, deren undern Stuben mit denen Fenstern auf den Rindtsheuter oder Gärber Graben außsehend (…) auf Mittwoch den 15. Septembris Abends zwischen Vier und Sechß Uhren in Anno 1751. Johann Daniel Lang, Notarius publicus juratus
(f° 39) Ergäntzung, Vermög Inventarÿ über deroselben und des herrn Stubers seel. einander in die Ehe zugebrachte Nahrung durch mich Not. den 9.ten Aprilis er seq. Anno 1736. auffgerichtet
(f° 42-v) Wÿdemb Welchen die Frau Wittib Von weÿl. herrn Johann Martin Lauth geweßten Müllern in Ruprechtsaw Ihrem ersten Ehemann seel. lebtägig zu genießen hat. Daran auff künfftig begebenden Wÿdembsfall (…)
(f° 44-v) Wÿdemb Welchen die Frau wegen mehrernantem Herrn Johann Friderich Lauthen Ihrem Sohn erster Ehe insonderheit zu genießen hat
(f° 45) Wÿdemb So der Verstorbene herr Stuber seelig wegen eingangs Wohl Ehrengedachtem H Pfarrer Johann Georg Stuber, seinem Hn Sohn erster Ehe biß an seinem tödtl. hintritt genoßen hat (…) So dann seind dießem Herrn Sohn folgende annoch in natura vorhendene Immobilia ebenmäßig vor Mütterlich guth gehörig und von dem Defuncto bis an sein Absterben genoßen worden.
Nembl. die helffte Vor Unvertheilt ane einer behaußung und hoffstatt ane dem alten Weinmarckt (…)
Wÿdemb Verfangenschaft Von Weÿl. herrn Johann Jacob Stuber dem ältern geweßenen ledigen handelsmann und burgern alhier seel. herrührend (…)
(f° 52) Series rubricarum hujus Inventarÿ. Deßen hinderblieben Frauen Wittib ohnveränderte Nahrung, Sa. hausraths 83, Sa. Silbergeschmeids 14, Sa. goldene Ring 5, Sa. der Schuld 75, Sa. Wÿdumbs Nahrung (2055, abzuziehen 84, verbleibt) 1966, Summa summarum 2415 lb – Schulden 1250, Nach deren Abzug 895 lb
Dießemnach und weilen nicht nur keine Errungenschaft sondern annoch ein starckes passiv onus außfallet, mithin die Frau Wittib und dero herr assistent auf die theilbar Verlassenschafft zu renunciren, sich mündlich vernehmen laßen worden, die übrige Rubricen und Posten, sie seÿen gleich des Defuncto ohnverändert oder theilbar, beliebter Kürtze halben unter einer Massa beschrieben. Sa. hausraths 131, Sa. Werckzeug Zum Paßmentiren gehörig 4, Sa. Waaren 357, Sa. Wein und Faß 30, Sa. silbers 20, Sa. Goldener Ring 17, Sa. Pfenningzinß hauptgüter 150, Sa. Antheils ane einer gülth von liegende güthern 11, Sa. Eigenthums ane häußern 1181, Sa. Schulden 366, Sa. Interesse 54, Summa summarum 2324 lb – Schulden 4513 lb, theilbarer passiv onus 2188 lb – Stall Summ 1251 lb
Jean Louis Stuber et son fils vendent la remise 605 livres au maçon Jean Gaspard Gœbel et à sa femme Anne Marie Erhard
1740 (9.6.), Chambre des Contrats, vol. 614 f° 321-v
weÿl. Fr. Agnes geb. Geÿerin mit ihrem hinterlassenen wittiber Johann Ludwig Stuber des Paßmentirers erzeugten eingen kindts H. Johann Georg Stuber studiosi Theologiæ geschwornen vogt Johannes Stamm dreÿerknecht und besagter Johann Ludwig Stuber für sich selbst
in gegensein Johann Caspar Göbel des Steinhauers und Annæ Mariæ geb. Ehrhardtin – versteigerung
Einen schopff und deßen hoffstatt samt dazu gehörigen gebäuden, begriffen, weithen und gerechtigkeiten ahne dem Leimengäßlein, einseit neben Jacob Steinhülber dem kornwerffer, anderseit neben Mathias Brauschmeÿer dem strohschneider, hinten auff den Klugischen hoff – als ein währender sein Stubers erster Zhe am 11. Aprilis 1722 umb 350 lt erkaufft mithin theilbares guth zu 2/3 theilen und bemelten seinem sohn zur übrigen tertz – umb 605 pfund
Jean Gaspard Gœbel hypothèque la maison pour en payer le prix d’achat
1741 (29.5.), Chambre des Contrats, vol. 615 f° 276, Not. royal Humbourg, 16.9.1740
Auff ansuchen Joseph Göttling des Kutscher, nachstehende vor H. Not. Regio Humbourg d. 16. sept. 1740 passirte Obligation
Sr Jean Caspar Goebel maître masson tailleur de pierres demeurant proche le vieux marché au vin paroisse st Pierre le vieux
au Sr Joseph Göttling cocher de Mgr l’Eveque d’Uranople (devoir) 1200 lit
hypothèque, employé au payement partie du prix de la maison qu’il a acquise de Jean Louis Stuber passementier et qu’il occupe présentement située rue dite Leimengässel, d’un côté Jean Georges Steinhelber mesureur de blé d’autre (-) coupeur de paille, devant la rue, derrière le jardin feu Sr Chasseur greffier des terres de la noblese de la Basse Alsace
Jean Gaspard Gœbel construit une maison à la place de la remise. Le maçon Philippe Jacques Zell s’en rend acquéreur moyennant 450 livres lors de la vente aux enchères après la mort de Jean Gaspard Gœbel
1742 (10.5.), Chambre des Contrats, vol. 616 f° 619-v
Ganthkauff, Donnerstag d. 10. maÿ 1742 – Insachen weÿl. Johann Caspar Göbel gewesten Maurers falliment betreffend ist die dahin gehörige behausung, hoff und hoffstatt gelegen ane dem Leimengäßlein, neben weÿl. Mathias Rauschmeÿer des strohschneiders erben anderseit neben Jacob Steinhilber dem kornwerffer hinten auff weÿl. H. Rathh. Balthasar le Chasseur Garthen
an Philipp Jacob Zell dem Maurer und steinhauer umb 900 fl. adjudicirt worden
Philippe Jacques Zell cède le droit de puiser l’eau de son puits au voisin (maison IV 71 sur le plan Blondel, ultérieurement n° 16 puis n° 14), l’amidonnier Jean Michel Ell
1742 (12.7.), Chambre des Contrats, vol. 616 f° 333
Philipp Jacob Zell der Maurermeister
in gegensein Johann Michael Ell des Amlungmachers
die gerechtigkeit in sein des verkäufers alhier im Leimengäßlein einseit neben Steinhilber dem Kornwerffer anderseit neben dem käuffer selbst hinten auff den sogenannten Schauenburgerhoff gelegen eigenthümliche behausung und dem darinn befindlichen brunnen waßer zu schöpfen und zu dem ende die dem käuffer gehörige wand so viel nöthig öffnen zu dörffen
Anbeÿ wurde verabscheidet, daß die reparation des bronnens auf gemeinschaftlichen kosten gemacht werden und der käuffer befugt seÿn soll ein loch durch seine Maur zu mach. damit das von denen Eÿmern abfallende waßer seinen ablauff durch des verkäufers hoff haben könne
vor der unterschrifft wurde noch verabschiedet daß die ane dem bronnen von dem käuffer zu machende öffnung mit einem Verriegelten laden verwahret werden solle – um 20 pfund
Philippe Jacques Zell et Anne Marie Müller hypothèquent les maisons rue de l’Argile et rue du Fort au profit du receveur François Antoine Kellermann
1745 (17.5.), Chambre des Contrats, vol. 619 f° 333
Philipp Jacob Zell der maurer meister und Anna Maria geb. Müllerin mit beÿstand ihres schwagers und Michel Latti des schloßers und H. Zeyß beede EE. kleinen Raths beÿsitzer
in gegensein des Stiffts St Mariæ Magdalenæ Schaffners H. Frantz Anthoni Kellermann – schuldig seÿen 300 pfund
unterpfand, erstlich eine behausung, hoff und hoffstatt cum appertinentis im Leimengäßlein einseit neben N. Weiß dem maurer gesellen anderseit neben Michel dem Amlungmacher hinten auff den sogenannten Klingenhoff
so dann die unvertheilte helffte ane einer behausung und hoffstatt auf der burggaß, einseit neben einem dem Stifft Jungen St Peter gehörigen hauß anderseit neben dem Stifft Frauen hauß hinten auff das trappengäßlein – von solcher gantzen behausung dem Stifft Jungen St Peter 12 ß ane ewigen zinß
Philippe Jacques Zell et Anne Marie Müller hypothèquent les maisons rue de l’Argile et rue Sainte-Madeleine au profit des enfants Schlæber
1748 (23.9.), Chambre des Contrats, vol. 622 f° 677-v
Philipp Jacob Zell der maurer meister und Maria geb. Müllerin mit beÿstand Michel Latti des schloßers und Johannes Pfrimmer des meelmanns
in gegensein Johann Christoph Flach des weinhändlers als vogts Susannæ Margarethæ und Jean Ludwig der Schläber – schuldig seÿen 150 pfund
unterpfand, eine behausung und hoffstatt ane der Uttengaß, einseit neben Andreas Denniger dem schuhmacher anderseit neben N. Grandjean hinten auff ein der hohen Schul gehörigen hauß
so dann eine behausung, hoff und hoffstatt im Leimengäßlein, einseit neben Leonhard Weiß dem maurer gesellen anderseit neben Michael Ell dem amlungmacher hinten auff das Wirthßhauß zum Fischer
Philippe Jacques Zell et Anne Marie Müller hypothèquent les maisons rue de l’Argile, rue des Poules et rue du Fort au profit de la veuve du remueur de grains Jean Jacques Kieffer
1749 (30.8.), Chambre des Contrats, vol. 623 f° 507
Philipp Jacob Zell der maurer meister und Anna Maria geb. Müllerin mit beÿstand Michel Latti des schloßers und Johann Pfrimmer des meelmann beede ihrer schwäger
in gegensein Fr. Mariæ Margarethæ geb. Bitschin weÿl. Johann Jacob Kieffer des kornwerffers – schuldig seÿen 100 lt
unterpfand, erstlich eine behausung, hoff und hoffstatt im Leimengäßlein, einseit neben Leonhard Weiß dem maurer, anderseit neben Michael Ell dem amlungmacher, hinten auff die gastbehausung zum Fischer
mehr eine behausung hoff, bronnen und hoffstatt in der vorstadt Krautenau ane dem Hennengaß, einseit neben dem bierhauß zum Lamm, anderseit neben den Kellermännischen erben , hinten auff dießelbe
so dann die unvertheilte helffte einer behausung und hoffstatt auf der Burggaß, einseit neben einem dem Stifft Frauenhauß gehörigen hauß, anderseit neben einem dem Stifft jungen St Peter gehörigen hauß, hinten auff das Trappengäßlein
Philippe Jacques Zell est propriétaire de plusieurs maisons à sa mort en 1752. L’inventaire après décès est dressé dans la maison rue de l’Argile que les experts estiment 600 livres. La maison est ensuite vendue par adjudication le 15 février 1753 à l’orfèvre Frédéric Daniel Schrœder qui l’hypothèque aussitôt au profit de l’employé à la chancellerie Jean Frédéric Kess pour en payer le prix d’achat
1753 (19.2.), Chambre des Contrats, vol. 627 f° 78-v
H. Friedrich Daniel Schröder der goldarbeiter
in gegensein H. Lt. Johann Friedrich Keß cantzleÿ verwalter, zu bezalung des ganthschilings hiernach beschriebener behausung – schuldig seÿe 500 lt
unterpfand, eine am 15. hujus ane der ganth ersteigte behausung, höfflein und hoffstatt ane dem Leimen:Gäßlein, einseit neben Leonhard Weiß dem maurer, anderseit neben Lorentz Meÿ dem krempen, hinten auff die gastbehausung zum Fischer
ferner hypothecirt er in specie eine behausung, höfflein und hoffstatt an dem alten weinmarckt, ein und anderseit neben Adam Gerung dem weinhändler weißbeck, hinten auff H. Schübler
Après la mort de Frédéric Daniel Schrœder, les héritiers vendent la maison 855 livres au chapelier Jean Frédéric Menges et à sa femme Marie Salomé Rieth
1770 (5.4.), Chambre des Contrats, vol. 644 f° 204-v
Johann Michel Schröter der goldarbeiter als vogt weÿl. Friedrich Daniel Schröter gewesten goldarbeiters 2 kinder Friedrich Christian und Johann Philipp der Schröter
in gegensein Johann Friedrich Menges des hutmachers und Mariæ Salome geb. Riethin
eine behausung, höflein und hoffstatt und gemeinschafft des bronnens mit allen gebäuden, begriffen, zugehörden, rechten und gerechtigkeiten ane dem Leimen gäßlein, einseit neben N. Kobel dem kammacher, anderseit neben Lorentz Meyer dem krempen hinten auff H. Jacob Dannenreuther den gastgeber – denen curanden als ein elterliches erbguth – um 855 pfund
Originaire de Wasselonne, le chapelier Jean Frédéric Menges épouse en 1734 Marie Salomé Rieth, fille d’un apprêteur de tabac et devient bourgeois quelques semaines plus tard : contrat de mariage tel qu’il est copié à l’inventaire, célébration
Abschrift der den 7. aug. A° 1734 vor weiland H. Not. Johann Marbach alhier aufgerichteten Eheberedung – zwischen dem Ehrengeacht undt bescheidenen Meister Johann Friederich Menges dem leedigen Hutmacher von Waßlenheim gebürtig deß Frantz Menges auch hutmacher und burgers zu Westhoffen Ehelichem Sohn an einem, So dann der Ehren und tugendsahmen Jungfer Maria Salome Riethin Weÿlandt deß Ehrsahmen Daniel Riethen deß Thabackbereÿters und burgers allhier Seeligen Nachgelaßenen eheliche Tochter, alß der Hochzeiterin am a,der, theil – Sambstags den 7. Augusti Anno 1734, Johann Marbach Notarius
Mariage, Saint-Pierre-le-Vieux (luth. f° 152-v)
1734. Domin. VII. et VIII. Trinit. seind außgeruffen Undt Mittwochs darauff als den 18. august. Ehelich eingesegnet worden Johann Friderich Menges der ledige Huthmacher, Von Waßlenheim Frantz Menges deß Huthmachers Undt Burgers Zu Westhoffen Ehel. Sohn, und Jungfrau Maria Salome Rhietin, Daniel Rhiet geweßenen Burgers und Tabackmachers allhier Nachgel. Ehel. Tochter [unterzeichnet] Johan Friderich Menges als Hochzeiter, + Ist d. Jfr. Hochzeiterin Zeichen (i 155)
1734, 4° Livre de bourgeoisie p. 1015
Johann Friderich Menges d hutmacher Von Waßlenheim geb. erhalt d b: von sein ehefr. Maria Salome Rieth umb d. alt. b. will beÿ E. e. Zunfft Zum Spiegel dienen Jur. eodem [13.t 9.b 1734]
Jean Frédéric Menges meurt en 1775 en délaissant une fille et un fils. L’actif s’élève à 1951 livres, le passif à 800 livres. L’inventaire comprend aussi celui de la veuve Marie Salomé Rieth dressé en 1781. Un état des loyers encaissés donne la liste des logements loués au rez-de-chaussée, autre et deuxième étage de la maison avant, rez-de-chaussée et premier de la maison du milieu, rez-de-chaussée de la maison arrière.
1775 (26.8.), Me Saltzmann (Jean Daniel, 6 E 41, 597) n° 239
Inventarium über Weiland Johann Friderich Menges des ältern gewesenen Hutmachermeisters und burgers alhier zu Straßburg, Verlassenschafft, aufgerichtet in dem Jahr 1775 – nach seinem den 31. Jänner dieses laufenden Jahrs aus dießer Welt genommenen tödlichen Abschied zurückgelaßen hat. Welche Verlassenschafft auf Ansuchen sowol der hinterbliebenen tugendsamen Wittwe Fraun Maria Salome gebohrner Riethin beiständlich Elias Jacob Keppler, des Schumachermeisters und burgers alhier, als auch derer nach dem Eingang dieses Inventarii genannter Erben – so gewesen in Straßburg in hernach inventirter an der langen Straß gelegener Sterb behaußung auf Sambstag den 16. Augstmonats Nachmittags in dem Jahr 1775.
Benennung der Erben, des Verstorbenen ohntestirt Zu Zweÿ gleichlingen Theilen hinterlassene Erben sind seine mit Eingangs erwähnter Wittib erzeugte Kinder, mit Namen 1. Frau Maria Salome geborene Mengesin des Joh: Georg Allheilig, hiesigen burgers und Schlossermeiters Ehegattin, beiständlich deßelben anwesend, 2. Johann Friderich Menges der jüngere ebenmäßiger Hutmachermeister und burger alhier, hiebei Zugegen
in hiernach inventirter an der langen Straß gelegener Sterbbehausung, auf Sontag den 26. Augstmonat Nachmittag
Beschreibung dieser Verlassenschafft nur unter einer enzigen Mass, Sa. Hausrats 34 lb, Sa. Silbers 3 lb, Sa. goldene ring 1 lb, Sa. baarschafft 300 lb, (cont. f. 5) Sa. Häusern 1400 lb, Sa. Eigentums an I. Grundstück a, Sa. Pfenningzinß hauptgüter 212 lb, Summa summarum
Eigentum an Häusern – (7. C. N° 402 – 20°, 13 L 10 s 8 d – Logt. 12. 16. -) Nemlich ein Häuslein, Höflein u. Hofstatt mit allen übrigen deren begriffen, weiten, zugehörden u. Rechten gelegen alhier an der obern langen Straß ein seit ist I. Eck an dem Linsenfelsergäßl. 2.S neb. Conrad Velten dem Seiler hinten auf Heß den Schwarzbecken stosend, so frei u. eigen, sofort d. H. Sebastian Huber den Werckmeister des Zimmerhofs u. H. Kaltner den Werckmeister des Maurhofs inhaly zu disortigem concept gelieferten Abschatzungszedels d. 19. Junii jüngsthin angeschlagen word. um 300, Darüb. ist i.perg. in hies. CCSt. verf. u. m. der ahn. Ins. verw. teutsch. Kbr. v. 9. Junii 1752 vorh.
It. (4. Cant. N° 409-b – 20° 24 lb 11 s 4 d – Logt. 19. 4. -) i. behausung, Höflein, Hoffstatt u. Gemeinschaft des bronnens m. allen deren Gebäuden, begriffen, zugehörden u. Rechten, in hies. Stadt an dem Leimengäßlein i. S. neb. Isaac Köbele dem Kamm macher 2. S. neb. Lorenz Meÿer, dem Kremp gelegen, hinten auf H. Joh: Jacob Tannenreuter zum Ficher geschildte Gastherberg stosend, so ebenfalls frei und eigen, auch durch solche bede H. Werckmeister der Stall ordnung gemäs gewürdiget vor 500, Laut des vorberürter C. St. ausgef. perg. teutsche Kbr. m. der. aufgedr. Ins. verw. datirt d. 5. april. 1770 u. I. Gantkbr. v. 15. febr. 1753.
It: (2. Cant. N° 257) i. Haus, welches in Vorder- u. Hinter-haus, Scheuer, Schopf, Stallungen, Hof, Hoffstatt und bronnen in hiesiger Vorstadt Steinstraß (…)
It. i. Häuslein in dem Flecken Westhoffen im Ziselgäßl.
– Abschatzung Vom 19. Junÿ 1775 – Auff begehren Weil: H. Johann Friderich Menges Des gewesen Hudtmachers sellig hinder Lasener Frau Witib und Erben ist Eine behausung alhir in der Statt Straßburg in der Lange Stras gelegen Ein Seits Neben Conradt Felden dem Säiller ander Seits Ein Eck in Das Linsenfelser geslein und hienden auff Meister Heeß dem haus Feirer Stosent gelegen solche behausung besteht in zweÿ Stuben zweÿ Kichen und Ettliche Kamern Dar jber ist der dach Stuhl mit breitziglein belecht, hat auch ein Gewölbten Keller Kleines höfflein und Hudtmachers werckstatt Vor und Vmb Sechs Hundert gulden
der zweÿte Begriff ist Auch allhir in der Statt Straßburg in dem Leimen geslein gelegen Ein Seits Neben Meister Nesman Dem Gremben ander Seits Neben Meister Köbele Dem Strellmacher und hienden an die gastbehausung zum Fischer genant Stosent gelegen solche behausung besteht in Ettlichen Stuben Kammern und Kichen Dar jber ist der dach Stuhl mit breitziglein belegt hat auch ein Getrembten Keller Hoff und gemeinschafftlichen brunnen Vor und Vmb Ein Thausent gulden
Der Dritte Begriff ist Auch allhir in der Statt Straßburg in der Steinstras gelegen Ein Seits Neben dem Zollhauß ander Seits Neben Johan Jacob Stepffell dem Säiller und hinden auff hanns Hoch witib Stosent Gelegen solche behausung besteht in Ettlichen Stuben Kammern und Kichen Dar jber seint die Dach Stühl mit breitziglein belegt hat auch Ein Getrembten Köller Hoff und brunnen, Ferner befindet sich Eine Scheirr und Stallung der jber seindt Ebenfals Die dachstühl mit breitziglein belegt, Von uns Unterschriebenen der Statt Strasburg Geschwornenn Werckmeister nach Vorhero beschehener besichtigung mit aller jhrer Gerechtigkeit Dem Jetzigen wahren werth nach æstimirt und angeschlagen worden Vor und Umb Zwelf hundert gulden [unterzeichnet] Hueber, Kaltner
Series rubricarum hujus Inventarÿ, (f° 1-b) Sa. hausrath 34, Silber 3 lb, Goldene ring 1 lb, Baarschafft 300 lb, (f° 5) Sa. Häusern 1400, Sa. Grundstück (Westhoffener banns) &, Sa. Pfenningzinse Hauptgüter 212, Summa summarum 1951 – Schulden 800 Nach deren Abzug, Stallsumm 1151 lb – Zweiffelhaffte Pfenningzinß hauptgut 175 lb, Zweiffelhaffte Schulden in die Verl. zu bezalend 61 lb
Abschrift der den 7. aug. A° 1734 vor weiland H. Not. Johann Marbach alhier aufgerichteten Eheberedung (…)
(f° 8-v) Inventarium über Weiland Fraun Maria Salome Mengesin geb. Riethin, weil. Johann Frid. Menges des ältern gew. Hutmachers u. b. Zu Straßb. nunmehr auch verst. Wb. Verlt., aufgerichtet den 11. Junii Anno 1781 – nach ihrem den letztabgewichenen 12. Maj in dem 82. Jahr ihres Alters aus dießer Welt genommenen seligen Abschied zurückgelassen hat. Welche Verlassenschaft auf Ansuchen der Abgelebten mit ihrem verstorbenen gewesenn Ehemann erzielter zweier Kinder, zu gleichlingen Theilen ohntestirt hinterlassener und nach diesem Eingang genannter Erben nach dem den 26. Augusti A° 1775 durch mich Notarius aufgerichteten väterl. Verlassenschaft Inventarium revidirt und untersucht worden in Strasbourg den 11. Junius in dem Jahr 1781.
Benennung der Erben. Der Verstorbenen ohntestirt hinterlassene Kinder und Erben sind. 1. Frau, Siehe fol. 1.
(f° 9) Vermögens, Hausrat 17 ß, Silber 2 ß, Gold. Ringe 1, Häuser 1400, Grundstück &, Capitalien 75 und 25, Summa summarum 1519 lb – das Fol. 41-b hiesigen Pfenningthurn schuldige Capital abgezogen mit 700 lb,, Nach deren Abzug, Stallsumm 819 lb
– (f° 12) Rechnung des Sohns über die Zinse aus denen hieher gehörigen dreien Häusern seit Michaelis 1780 bis Johannis des Täufers 1781
Einnahm Aus dem Haus an der langen Strasse
Von dem Sohn selbst bis Mariä Verkündigung dieses Jahrs vor ½ Jahr. Und zwar weil er jährlich 12 fl. vor diese seine Verwaltung hatte, nur 14 fl.
It: von demselben vor das Johannis Quartal in dem er nachgenannten Kepplers Wohnung dazu nahm, 14 fl.
Item von Elias Keppler dem Schumacher vor jenes ½ Jahr a 7 fl. 6 ß 3 d, 15 fl. 2- 6-
Aus dem Haus an dem Leimengäßlein
Von Eisen, dem Taglöhner, wegen der Wohnung auf dem boden vor ¾ Jahre à 5 fl. 15 fl.
It: von Schernie dem Gimpelkäufler auf dem ersten Stockwerk vor die nämliche Zeit a 7 fl. 5 ß, 22 fl. 5
It: von Scherer dem Taglöhner auf dem näml. Stockwerk vor das Quartal Weihnachten 4 fl. 5-
It: von i. Amlungmacher vor das Osterquartal aus der näml. Wohnung 4 fl. 5
It: ebendeßwegen vor das Johannisquartal von nachgenannter Barbara Tochtermann der ein Tabackbereiter ist 4 fl. 5
It: von obigen Schernie Tochtermann, welcher ein Schreinergesell auf dem zweiten Stockwerk vor ¾ Jahr à 5 fl. 15 fl.
It: von Barbara einer Gimpelkäuflers Wittwe auf solchem Stockwerk, just so 15 fl.
Aus dem Haus an der Steinstraß
Von Joh: Daniel Strohl dem Kiefer wegen der Wohnung auf dem boden u. i. Stockwerk des Vorderhauses, vor ¾ Jahr à 14 fl. 45 fl.
It: von einem Invalid wegen dem dasigen zweiten Stockwerk vor die nämliche Zeit à 5 fl. 15
It: von einem Garde wegen der Wohnung auf dem boden des mittlern Hauses, vor das Quartal Weihnachten 6 fl. 7- 6-
It: von Keller dem Melker, wegen ebendieser Wohnung, auch Stallung u. Hausbühne vor die 2. folgenden Quartalien, a 18 fl. 7 ß 6 d, 37 fl. 5-
It: von einem Wollspinner wegen der Wohnung auf dem ersten Stockwerk des mittlern Hauses vor das Weihnachten-Quartal 5,
It: von einer Zundelfrau deßwegen vor das Osterquartal u. Johanni, a fl. 5, 10
It: von Schaaff, dem Taglöhner, wegen der zweiten dasigen Wohnung auf Weihnachten 4 fl. 5-
It: von einem sogenannten Klapperer ebendavor auf Ostern 4 fl. 5
das letzte Vierteljahr stunde solche Wohnung leer
It: von Schultz dem Gartenmann wegen der Wohnung auf dem Boden des Hinterhauses vor das Quartal Weihnachten 8 fl. 5
It: von obigem Garde ebendeßwegen vor das Osterquartal 5 fl.
It: von eben demselben an dem Johanniszins nur Restiret annoch 1 fl.
die Wohnung des ersten hintersten Stockwerk stunde bis Weihnachten leer
It: von Kaÿser dem Maurergesell ebendieser Wohnung halben vor die 2. übrigen Quartalien, a 4 fl. 5 ß, 9 fl.
Ueberlaßung des Hauses in der Steinstraß 5888
Les héritiers exposent la maison aux enchères. Le menuisier Michel Giegling s’en porte acquéreur moyennant 1 800 livres. La vente est annulée parce que l’acquéreur ne trouve personne qui lui avance le prix d’achat
1781 (9.7.), Me Saltzmann (Jean Daniel, 6 E 41, 597)
Joint au n° 239 du 26.8.1775
(fol. 18) Versteigerung des Hauses in dem Leimengäßl.
Mittwochs den 20. October in dem Jahr 1784 nachmittag um zwei Uhr auf Ansuchen Joh: Friderich Menges des Hutmachermeisters
ist seine von Eltern ererbte in hiesiger Stadt an dem Leimengäßlein ein Seit neben Isaac Köbele dem Kammmacher ander Seit neben Lorentz Meÿer dem Kremp gelegene, hinten auf H. Joh: Jacob Tannenreuters zum Fischer geschildete Gastherberg stosende behausung, Hofstatt, Höflein und Gemeinschafft des bronns, mit allen deren Gebäuden, begriffen, Weiten, Zugehörden, Rechten Und Gerechtigkeiten, vor frei und eigen, nach der sowol durch das hiesige Wochenblättlein als auch durch den Stadt-Ausrufer geschehenen offentlichen Verkündigung, unter nachstehenden bedingungen zu verkaufen ausgesetzt worden, (…) in dem Wirtshaus zum roten Hahn ausgerufen wurde um 1500 fl.
Isaac Koebele ältern hies. b. u. Kammachermeisster um 1700 Gulden
Und den 25. Octobris 1784 erschiene Mr Joh: Michael Giegling der hiesige burger und Schreiner, und that auf das zu verkaufende Haus ein Geboy mit 1800 Gulden
Mittwochs den 3. Novembris 1784 erschiene obiger Schreinermeister Giegling bei diesem Concept, und Zeigte in Gegenwart verkaufend. Mr Mengus offentlich an, daß ihm Giegling das bewußte Haus zwar um 1800 Gulden gelassen werden müste, da er aber zugleich mit ihm Menges beseondes dahin übereingekommen, daß solches Gebot nur in dem Fall gelten solte, insofern Giegling einen Gelddarleiher finden würde, dieses jedoch nicht geschehen, und er aus eigenen Mittlen zu bezahlten auser Stand seÿe, Als haben bede teile einander hiemit Von aller Verbindlichkeit und Entschädigungforderung vor immerdar frei gesprochen
Marie Salomé Menges cède sa part de maison à son frère, le chapelier Jean Frédéric Menges qui accepte par le même acte la maison Grand rue aux conditions qui figurent à son contrat de mariage
1781 (9.7.), Me Saltzmann (Jean Daniel, 6 E 41, 597) Joint au n° 239 du 26.8.1775
(fol. 10-v) Ueberlassung des Hauses in dem Leimengäßl. und eines in der langen Straß
Erschienen & – perge fol. 9-b – [als zu Erörterung weil. Joh: Frid. Menges des ältern, Hutmachermsisters und auch weil. Fraun Maria Salome geb. Rieth beder gewesenen Eheleut Verlassenschafft-Geschäft, deren] ohntestirt hinterlassene einzige Tochter Frau Maria Salome gebohrne Menges beiständlich ihres Ehemanns Joh: Georg Allheilig, des hiesigen burgers und Schlossermeisters
ihrem einzigen Bruder und Mit Erb Joh: Friderich Menges dem jüngeren, hiesigen burger und Hutmachermeister
die unvertheilte Hälfte an einer behausung, hoffstatt, höflein und Gemeinschafft des bronnens mit allen deren Gebäuden, Begriffen, Weiten, Zugehörden und Rechten, gelegen in hiesiger Stadt an dem Leimengäßlein. Einn Seit neben Isaac Köbele dem Kammmacher anderseit neben Lorentz Meÿer, dem Gremp hinten auf H. Joh: Jacob Tannenreuters zum Fischer geschildete Gastherberg stosend, so freii und eigen. Diesem nach ist die Ueberlassung und Annahm solcher halben hauses, deren übrige Hälfte dem Uebernehmer selbst vor elterlich Erbgut gehöret, zugegangen um 855 Gulden (…)
Da hiernächst nachgenannter Johann Friderich Menges der Sohn kraft des sechsten Punkts seiner den 11. Junii 1767 vor mir Notario errichteten Eheberedung anjetzo die Wahl hat, das in hiesiger Stadt an der obern langen Straße gelegene elterliche Haus Hoffstatt und höflein mit allen deßen begriffen, Weiten, Zugehörden und Rechten, so einseit ein Eck an dem Linsenfelsergäßlein anderseit neben Conrad Veltin dem Seiler ehevögtlicher Weise, vornen auf besagte Straaß und hinten auf Johannes Heß den hausfeurer stosend beneben Zu dem hutmacher handwerck gehörigen und jetzo vorhandenen Werckzeug und Geschirr vor frei und eigen um den darinnen bestimten Preis derer 1600 fl. anzunehmen und solchen Wert in die gemeine elterliche Verlassenschafft einzuschiesen. So hat derselbe berührtes Haus und Werckzeug um erstgemelte Summ hiemit angenommen (…)
Zum Zeichen dieses ganzen Vorgangs sind die über das Haus im Leimengäßlein besagende zween Kaufbriefe, deren einer vom 5. April. 1770 aus hiesiger Contractstub, der andere aber von Seiten E. E. kleinen Raths d. 15. febr. 1753 als ein Gantkaufbrief ausgefertiget ist, der über das haus in der langen Straß aus mehrgedachter Stub d. 9. Junii 1752. verfertigte Kaufbrief und darauf d. 9. sept. 1769 von Seiten gedachter C. Stub geschriebene Quittung über solchem Haus gestandene und dem Stift Frauenhaus alhier d. 7. Octobr. 1752 abgelößte 40 lb zugestellt worden – Abgelesen, Versprochen und unterschrieben in Straßburg den 9. Julius in dem Jahr 1781.
Même contrat transcrit à la Chambre des Contrats
1781 (4.10.), Chambre des Contrats, vol. 655 f° 399, Not. Joh. Daniel Saltzmann, 9.7.1781
auff ansuchen Johann Friedrich Menges des jüngeren huthmachers, nachstehende erbscession
Jean Frédéric Menges est admis à la tribu du Miroir en septembre 1766
1766, Protocole du Miroir (XI 278)
Mittwochs den 10. Septembris 1766 (f° 230-v) Leibzünftiger – Johann Friderich Menges der jüngere, des dißorts leibzünftigen Hutmachermeisters Johann Friderich Menges des ältern ehelicher Sohn ist aus Vorgelegten Stallschein Vom 5. Julii jüngsthin gegen Erlag ein Pfund d. leibzünftig als Hutmachermeister aufgenommen worden. pro : obed: (dt. 1 lb, 3 ß Findl.)
Jean Frédéric Menges épouse en 1767 Barbe Seegmüller, fille d’un manant journalier : contrat de mariage, célébration
Mariage, Saint-Pierre-le-Vieux (luth. f° 33-v, n° 31)
Im Jahr 1767 seind (…) 22. Junii copulirt worden Johann Friderich Menges lediger Hutmacher Johann Friderich Menges Hutmachers und burgers allhie und Fr. Mariæ Salome gebohrner Ridin ehelicher Sohn und Jgfr. Barbara weiland Johann Georg Seegmüllers geweßenen Schürmers und taglöhners allhie mit weil. Barbara gebohrner Pfitzerin ehelich erzeugte tochter, [unterzeichnet] Johann Friderich Menges als hochzeiter, Barbara seegmüllrin als hochzeitern (i 36)
Contrat de mariage par lequel les parents du marié cèdent leur maison à leur fils
1767 (11.6.), Me Saltzmann (Jean Daniel, 6 E 41, 613) n° 52
(Eheberedung) zwischen dem ehrengeachten Johann Friderich Menges dem jüngern, ledigen Hutmachermeister, Johann Friderich Menges des ältern, ebenmäßigen Hutmachermeisters und burgers allhier, mit seiner Ehefrau Maria Salome gebohrner Riethin erzeugtem einigem Sohn, als Hochzeiter, an einem Theil,
so dann der tugendsamen Jungfrau Barbarä Seegmüllerin, der vertrösteten burgerin allhier, weiland Johann Georg Seegmüllers, des gewesenen Taglöhners und Schirmers allhier, und auch weiland Fraun Barbarä gebohrner Pfetzerin, ehelich erzeugten jüngern Tochter, als Hochzeiterin an dem andern Theil
Sechstens, verschreiben des Hochzeiters Eingangs gemelte Eltern ihre währender Ehe, nemlich den 9. Junii 1752 erkauften, in allhiesiger Statt an der langen Stras gelegenen behausung, Höflein und Hoffstatt mit allen deren begriffen, Weiten, Zugehörten und Rechten ein Seit ist ein Eck an dem Linsenfelsergäßlein anderseit neben Conrad Veltin dem Seiler ehevögtlicher weis vornen auf besagte Stras und hinten auf dietrich Hanns des Hausfeurers Erben stoßend, diesem ihrem Sohn um 1600 Gulden, dergestalt daß es nur er allein nach beder Eltern Tod die Wahl haben soll, solche Haus und Werckzeug um oben bestimmten Preis anzunehmen (…) – den 11. Junii Anno 1767. [unterzeichnet] Johann Friederich Menges der Jünger als Hochzeiter, Johann Friederich Menges der äldere als Vatter, + Fraun Mariä Salome Mengesin der Mutter Handzeichen, Barbare seegmüllerin als hochzeiterin
Barbe Seegmüller devient bourgeoise quelques semaines plus tard après avoir fait dresser l’état de sa fortune
Etat de fortune
1767 (19.5.), Me Stoeber (6 E 41, 1232)
Designatio deßjenigen Vermögens so Jungfrau Barbara Sägmüllerin weÿl. Georg Sägmüller gew. tagners und schirmers allhier mit auch weÿl. Fr. Barbara Sägmüllerin geb. Pfützerin erzeugte tochter dermalen besitzet und in ansehung dieselbe beÿ Gnädiger hohen Obrigkeit um das burgerrecht unterthänig einzukommen willens
hausrath 133 lb, silber 19 lb, goldene ringe 8 lb, baarschafft 90 lb, summa summarum 251 lb
1767, Livre de bourgeoisie 1762-1769 (VI 285) f° 123-v
Barbara Sägmüllerin einer hiesigen schirmers hinterl. tochter verheurathet ane Johann Friderich Menges dem hutmacher und burger allhier, erhalt das burgerrecht wohlverhaltens weg. gratis, will dienen beÿ E. E. Zunfft Zum Spiegel. Prom. den 12. aug. 1767.
Les nouveaux mariés font dresser l’inventaire de leurs apports dans la maison léguée au mari
1767 (25.11.), Me Saltzmann (Jean Daniel, 6 E 41, 592) n° 104
Inventarium über Johann Friderich Menges des jüngern Hutmachermeisters, und Fraun Barbarä gebohrner Seegmüllerin beder Eheleut und burger allhier Zu Straßburg, einander vor unverändert in die Ehe zugebrachtes Vermögen, aufgerichtet in demJahr 1767 – in ihren den 22.ten Julii jüngsthin mit einander angetrettenen Ehestand gebracht, und Vermög des dritten Puncts ihrer den 11.ten Junii dieses Jahrs vor mir Notario aufgerichteten Eheberedung sich Vor unverändert Vorbehalten haben
So geschehen in Straßburg in einer an der Langen Straß und Linsenfelsergäßlein gelegenen, des Ehemanns Eltern eigenthümlich zuständigen Eckbehausung, in fernerem beiseÿn des Manns Eltern, wie auch Philipp Wabnitz, des Karchziehers und Schirmers allhier, der Ehefrau Schwagers und hierzu erbetenem beistandts auf Mittwoch den 25. Novembris nachmittag im Jahr nach Christi Geburt 1767.
Series rubricarum hujus Inventarÿ, des Manns Vermögen, Sa. hausrats 69 fl. Sa. Silbers 12 fl.Sa. baarschafft 516 fl. Summa summarum 597 fl. – Dazugelegt seinen halben Theil von nachgemelten Haussteuren mit 39 fl. Des Ehemanns Gut 637 fl.
Diesemnach wird auch der Ehefrau Beibringen verzeichnet, Sa. hausrats 154 Sa. Silbers 25 fl. Sa. goldener ringe 3 fl. Sa. baarschaft 5 fl. Summa summarum 188 fl. – Ihre von nachstehenden Haussteuren gebührige Hälfte dazugerechnet 39 fl. Der Ehefrau Vermögen 288 R
Jean Frédéric Menges et Barbe Seegmüller hypothèquent leurs deux maisons au profit de Marie Agnès Braun
1781 (1.10.), Chambre des Contrats, vol. 655 f° 395
Johann Friedrich Menges der huthmacher und Barbara geb. Seegmüllerin unter assistentz Martin und Jacob derer Seegmüller beede tagner ihrer leiblichen brüder
in gegensein Mlle Marie Agnes Braunin – schuldig seÿen 600 gulden
unterpfand, eine behausung samt zugehörden ane dem Leimengäßlein, einseit neben Isac Köebele dem kammacher anderseit neben Lorentz Meÿer dem krempen hinten auf Thannenreuther gastgeber, theils ererbt theils von den miterben seiner schwester in unvertheilt erb überkommen
weiter eine behausung ane der Obern Langen straß, einseit ist ein Eck ane dem Linßenfelßergäßlein anderseit neben Conrad Velten ehevögtl. weiß hinten auf Johannes Heß den haußfeurer
Jean Frédéric Menges vend la maison 1 700 florins (soit 850 livres) au peignier Isaac Kœbelé, propriétaire de la maison voisine au sud (IV 69, ultérieurement n° 18) depuis 1761
1784 (12.11.), Chambre des Contrats, vol. 658 f° 409
Johann Friedrich Menges der hutmacher
in gegensein Isac Köbele des ältern kamm machers
eine behausung, hoff, hoffstatt, gemeinschafft des bronnens mit allen deren übrigen gebäuden, begriffen, weithen, zugehörden, rechten und gerechtigkeiten ane dem Leimengäßlein, einseit neben dem Käuffer, anderseit neben Mr Neßmann, hinten auff die gastbehaußung zum Fischer – umb 1700 gulden
Isaac Kœbelé le vieux hypothèque la maison au profit du docteur en théologie Frédéric Jacques Reuchlin
1785 (1.8.), Chambre des Contrats, vol. 659 f° 329-v
Isac Köbele der ältere kamm macher
in gegensein SS. TT. H. Friedrich Jacob Reichlin S. S. Theologiæ doctoris und probst zu St Thomä -schuldig seÿe 600 gulden
unterpfand, zweÿ nebeneinander stehenden ane dem Leimengäßlein gelegenen behausungen, einseit neben N. Schweighäußer dem schreiner, anderseit neben N. Neßmann dem taback fabricanten, hinten auff die gastbehaußung zum Fischer
Après la mort d’Isaac Kœbelé père (voir son inventaire après décès), la maison au sud revient à Abraham Kœbelé et la maison au nord à Isaac Kœbelé qui est tributaire au Miroir depuis 1776
1776, Protocole du Miroir (XI 279)
Dienstags, den 17. Decembris 1776 (f° 160) Leibzünfftiger – Isaac Koebele jun. des hies. b. u. Kammachers ehl. Sohn gleiches Namens ist auf vorgelegten Stallschein von gestrigen Tag gegen Erlag 1. lb d leibzünftig als Kammachermeister angenommen word. prom. ([in margine :] dt. 1 lb, 6 ß Findl.)
Isaac Kœbelé fils épouse en 1777 Marie Madeleine Bernhard : contrat de mariage, célébration
1777 (11. hornung), Me Saltzmann (Jean Daniel, 6 E 41, 613) n° 158
(Eheberedung) Erschienen der ehrengeachte Isaac Koebele jünger, lediger Kammacher meister, des Meisters Isaac Köbele ältern, ebenmäsigen Kammachers und burgers alhier, mit seiner Ehefrau Anna Margaretha gebohrner Bernhardtin erzeugter älterer Sohn, als Hochzeiter ane einem Theil,
sodann die Tugendsame Jungfrau Maria Magdalena Bernhardtin, des weiland Friderich Bernhardt gewesenen hiesigen Burgers und Kammachers mit deßen hinterbliebenen Wittwe, Frau Maria Dorothea gebohrner von Hipsheim, nach Tod hinderlaßene ohneins älteste, anjetzo mehtjährige Tochter, als Hochzeiterin, an dem andern Theil – [unterzeichnet] Isaac Köbele als Hochzeiter, Maria Magdalena Bernhardtin als hochzeiterin
Mariage, Temple-Neuf (luth. f° 156)
Im Jahr 1777, Dienstag den 8. Aprilis vormittag umb zehen uhr (…) copulirt und ehelich eingesegnet worden, Isaac Köbele, lediger Kamm Macher und burger allhier, Isaac Köbele, Kamm Machers und burgers allhier, und Frau Anna Margaretha gb. Bernhardin ehelich erzeugter Sohn, und Jungfr. Maria Magdalena Bernhardtin, weÿl. Johann Friderich Bernhardts, gewesenen Kamm Machers und burgers allhier und deßen hinterlaßener Wittib, Frau Catharina Dorothea gb. von Hibsheim ehelich erzeugte Tochter [unterzeichnet] Isaac Köbele als hochzeiter, Maria Magdalena Bernhardtin als hochzeiterin (i 208) – Proclamation, Saint-Pierre-le-Vieux (luth. f° 51) i 54
Marie Madeleine Bernhardt meurt en 1808 et délaissant quatre enfants. Une des deux maisons est propre au veuf, l’autre fait partie de la communauté
1808 (7.10.), Strasbourg 3 (32), Me Übersaal n° 1088, 4571 – Enregistrement de Strasbourg, acp 108 F° 47-v du 8.10.
Inventaire de la succession de Marie Madeleine Bernhardt épouse d’Isaac Koebele peignier décédée le 20 juillet de la présente année – à la requête 1. du veuf, 2. de Marie Madeleine Koebele épouse de Jean Jacques Müller peignier, 3. d’Isaac Koebele, 4. de Jean Louis Koebele, peigniers, 5. de Marie Salomée Koebele les quatre enfants
Contrat de mariage, Me Saltzmann 1 février 1777
dans une maison dépendante de la succession de située grande rue n° 126
propres du veuf. Propriété d’une maison a Strasbourg, Savoir une maison avec cour communauté de puits tous droits appartenances et dépendances située en cette ville rue de l’argile n° 15, d’un côté Abraham Koebelé peignier frère du veuf d’autre N Nessmann journalier derrière la propriété du Sr Arnold architecte – propriété constatée par actes passés à la Chambre des Contrats le 5 avril 1770 et le 12 novembre 1784, acquis par le père du veuf et Isaac Koebele peignier de la succession duquel il lui est avenu la moitié et l’autre moitié lui a été cédée par le susdit son frère, par acte devant le soussigné le 16 pluviose 10, 6000 fr
remploi 1008 fr, total 7008 fr, déduire 6000 fr, reste1008 fr
propres des héritiers, mobilier 87 fr
communauté : meubles 628 fr, vin 120 fr, outils et ustensiles 2953 fr, dettes actives 3950 fr
Propriété d’une maison, Savoir une maison avec puis tous droits appartenances et dépendances située à Strasbourg grand rue n° 126, d’un côté le Sr Fischer tricotteur de bas d’autre le Sr Riff négociant, derrière la propriété de ces derniers – acquis de Jean Henri Fanck potier de terre par acte souss. le 23 vebdémiaire 13, lequel vendeur s’en est rendu propriétaire par acte reçu Me Laquiante le 1 octobre 1761 – rapportent en loyer, André Bedicam cordonnier paye du rez de chaussée 120 fr, Le logement du premier occupé par le veuf 130 fr, la veuve Fanck du deuxième étage 84 fr, Antoine Pfister tailleur d’habits du troisième étage 72 fr, Géofroi Verius garçon peignier d’un logement dans la maison de derrière 36 fr, total 442 fr de revenu en capital 8840 fr
ensemble 16 491 fr, déduire 8908 fr, restent 7583 fr
Isaac Kœbelé se remarie avec Marie Dorothée Lang veuve du cordonnier Georges Bilger
1814 (10.7.), Strasbourg 3 (40), Me Übersaal n° 676, 6640 – Enregistrement de Strasbourg, acp 124 F° 200 du 11.7.
Contrat de mariage – Sr Isaac Koebele pere peignier demeurant en cette ville, veuf de feue De Marie Madeleine Bernhardt
De Marie Dorothée Lang veuve du Sr Georges Bilger cordonnier
Isaac Kœbelé lègue la maison à sa fille Marie Salomé qui épouse en 1811 le maître d’école Louis Réné (Régnard) Rathgeber. Elle devient propriétaire à part entière lors de la liquidation dressée en 1844 par Frédéric Grimmer (actes non conservés)
1811 (7.11.), Strasbourg 3 (40), Me Übersaal n° 629, 5945 – Enregistrement de Strasbourg, acp 118 F° 75-v du 7.11.
Contrat de mariage – Sr Réné Louis Rathgeber Instituteur demeurant à Hürtigheim fils du Sr Louis Rathgeber, Commissaire de Police a Niederbronn, et de Catherine Sorgus
Dlle Marie Salomé Koebelé fille du Sr Isaac Koebelé, peignier, avec feue Marie Madeleine Bernhard
Marie Salomé Koebelé veuve de Louis Regnard Rathgeber hypothèque la maison au profit du boulanger Gustave Georgen
1847 (3. 7.br), Strasbourg 10 (109), Me Zimmer n° 6761
Obligation – Mad. Marie Salomé Koebelé demeurant à Strasbourg veuve de Mr Louis Regnard Rathgeber vivant instituteur à Strasbourg (devoir)
à Mr Gustave Georgen boulanger demeurant et domicilié à Strasbourg, la somme principale de 5000 francs
(hypothèque) 1° Une maison avec cour puits appartenances & dépendances sise à Strasbourg grand’rue n° 126 d’un côté Mr Stromeyer d’autre la veuve Müller par derrière le dit Sr Stromeyer,
2° Une maison située en la même ville rue de l’argile n° 15 d’un côté le Sr Rothbach de l’autre le Sr Beck par derrière Me Arnold. Mme Rathgeber a recueilli ces deux maisons dans la succession de son père Mr Isaac Koebelé vivant peignier à Strasbourg aux termes de ses testaments reçus par Me Grimmer les 7 mai 1838 & 4 septembre 1840 & d’une liquidation dressée par le même notaire le 16 mai 1844