18, rue des Charpentiers


Rue des Charpentiers n° 18 – V 38 (Blondel), N 1268 puis section 64 parcelle 19 (cadastre)

Maître d’ouvrage, Jean Philippe Wittmann, garde de l’accise, 1762
Bâtiment démoli (1987) en conservant les façades


Le n° 18 au premier plan (avril 2017) – Façade vers la rue (mai 2014), vers l’impasse (octobre 2012)

Le gentilhomme Thiébaut Joham de Mundolsheim vend en 1593 au libraire Jean Richard Müller les maisons situées entre l’impasse des Charpentiers et la rue des Juifs. Jean Richard Müller revend l’année suivante la maison à l’angle de l’impasse des Charpentiers au tisserand Michel Haut, nommé commissaire priseur en 1609. Le tisserand Jean Dreiding en est propriétaire pendant plus de quarante ans, le tourneur Samuel Berion pendant plus de trente ans (1656-1691). Elle reste jusqu’en 1857 aux mains des descendants de Jean David Apffel qui l’achète en 1693 et y établit une boulangerie. D’après l’estimation jointe à l’inventaire dressé en 1746 après la mort du boulanger Jean Philippe Wittmann, elle a une cave voûtée, un rez-de-chaussée où se trouve le fournil, deux étages et un grenier non dallé. Son fils Philippe Wittmann, peseur à la Halle, n’est pas autorisé à construire un encorbellement dans l’impasse (1761). A sa mort l’année suivante, la maison est en cours de construction. La nouvelle maison a quatre ouvertures à chaque niveau vers la rue des Charpentiers et trois vers l’impasse. Un cordon sépare le rez-de-chaussée de l’étage rue des Charpentiers, un autre le premier du deuxième étage vers l’impasse. Le boulanger Jean David Wittmann qui devient compositeur d’imprimerie loue la maison au boulanger Adam Kiehl (1829, 1849).


La maison est dans le milieu inférieur de l’image, à l’angle de la ruelle. A l’arrière, l’ancienne propriété Joham de Mundolsheim (Plan-relief de 1727, Musée historique, cliché Thierry Hatt)

Elévations préparatoires au plan-relief de 1830, îlot 66 (Musée des Plans-relief) 1

L’Atlas des alignements (années 1820) mentionne un bâtiment à rez-de-chaussée et deux étages en maçonnerie. Sur les élévations préparatoires au plan-relief de 1830, la façade se trouve de part et d’autre du repère (v) : sur la gauche (rue des Charpentiers), porte et trois fenêtres au rez-de-chaussée, deux étages à quatre fenêtres chacun, un étage mansardé et deux niveaux de lucarnes. Sur la droite (impasse) deux fenêtres et une porte au rez-de-chaussée, deux étages à trois fenêtres, mansardes et lucarnes.
La maison porte d’abord le n° 3 (1784-1857) puis le n° 18.


Garage, façade selon le projet réalisé, selon le premier projet (1923, dossier de la Police du Bâtiment)

L’ancien militaire puis employé à l’octroi Antoine Schneider, propriétaire de la maison depuis 1859, la vend en 1868 à l’imprimeur Oscar Berger-Levrault, locataire puis propriétaire de la maison voisine 15, rue des Juifs. Oscar Berger-Levrault fait convertir en 1868 la porte ordinaire en porte charretière. Le bâtiment à usage industriel n’est pas habité (voir les annuaires d’adresses). L’Imprimerie strasbourgeoise charge en 1923 les architectes Mewes et Widmann de transformer l’atelier de menuiserie en garage automobile. Le bâtiment est rénové et transformé (1987-1990) en même temps que les autres qui appartenaient à l’Imprimerie Strasbourgeoise (Istra, voir les dossiers IV et suivants au 15, rue des Juifs).


Photographie dans le dossier dossier VII du 15, rue des Juifs (1988) – Etages rue des Charpentiers (octobre 2012)

janvier 2024

Sommaire
CadastrePolice du BâtimentRelevé d’actes

Récapitulatif des propriétaires

La liste ci-dessous donne tous les propriétaires de 1594 à 1868. La propriété change par vente (v), par héritage ou cession de parts (h) ou encore par adjudication (adj). L’étoile (*) signale une date approximative de mutation.

Voir auparavant 15, rue des Juifs puis 20, rue des Charpentiers
Jean Richard Müller, libraire
1594 v Michel Haut, tisserand, et (1593) Anne Zech puis (1597) Marie Fürst – luthériens
1603 v Jean Dreiding, tisserand, et (1603) Marie Hutzler – luthériens
1650* adj Jean Georges Sonticus, tailleur, et (1614) Susanne Schneider – luthériens
1656 v Samuel Berion, tourneur, et (v. 1647) Barbe Straub, (1658) Catherine Cunégonde Mægelin puis (1667) Marie Salomé Frühinsholtz, veuve du maréchal ferrant Christophe Gesensohn – luthériens
1691 v Orphelinat
1693 v Jean David Apffel, boulanger, et (1687) Marie Elisabeth Ulner puis (1690) Anne Marguerite Billinger – luthériens
1722 h Jean Philippe Wittmann, boulanger, et (1721) Marie Salomé Apffel – luthériens
1755 h Jean Philippe Wittmann, garde de l’accise, et (1749) Anne Marie Fuchs, remariée (1763) avec le boulanger Jean Michel Klein – luthériens
1778 h Jean David Wittmann, boulanger, et (1778) Marie Sara Rœsch – luthériens
1822 h Jean David Wittmann, boulanger puis compositeur d’imprimerie, et (1804) Catherine Elisabeth Stoll
1840 h Jean David Wittmann, professeur au collège de Mulhouse, et (1833) Adélaïde Wilhelmine Hodel
1857 v Caroline Fausser, rentière (° 1817)
1858 v Michel Hirlimann, garçon de bureau à l’entrepôt du tabac, et (1843) Catherine Jœrger
1859 v Antoine Schneider, tailleur, gendarme à cheval, employé à l’octroi et (1815) Anne Marie Breiss puis Madeleine Ferlin
1868 v Oscar Berger-Levrault, négociant, et (1851) Anne Caroline Eléonore Pitois
voir ensuite 15, rue des Juifs

Valeur de la maison selon les billets d’estimation : 600 livres en 1746, 800 livres en 1762 (bâtiment non terminé) – Valeur vénale, 1778, 3 000 livres

(1765, Liste Blondel) V 38, Jean Philippe Weittmann
(Etat du développement des façades des maisons, AMS cote V 61) Wittmann, 9 toises, 0 pied et 6 pouces
(1843, Tableau indicatif du cadastre) N 1268, Wittmann, David fils – maison, sol – 0,85 are

Locations

1746, Jean Georges Binninger, fournier
1746, André Blinder, fournier
1763, Jean Michel Klein, fournier
1795, Frédéric Strentz, boulanger
1804, Jean David Wittmann, boulanger (futur propriétaire)
1829, 1849, Adam Kiehl, boulanger, et Madeleine Ehret
1863, Antoine Riche

Préposés au bâtiment (Bauherren)

1761, Préposés au bâtiment (VII 1409)
Philippe Wittmann, peseur à la Halle, demande l’autorisation de construire un encorbellement d’un pied de large dans l’impasse. Les préposés refusent.

(f° 89-v) Dienstags den 28. Aprilis 1761. – Philipp Wittmann
Augenschein eingenommen in der Zimmerleuth Gaß an Philipp Wittmann des wiegers im Kauffhauß seinem hauß, welcher umb erlaubnus gebetten einen überhang von einem schuh breit auff der seite in den schlupff Zu machen. Erkannt, abgeschlagen.

Description de la maison

  • 1746 (billet d’estimation traduit) La maison comprend à droite en entrant un fournil, un four, une cuisine et un vestibule, cave voûtée, au premier et au deuxième étage un poêle, alcôve, cuisine, vestibule, dépense et passage, le vieux comble comprend des greniers non dallés, le pignon est en bois, le tout estimé avec appartenances et dépendances à la somme de 1200 florins
  • 1822

Atlas des alignements (cote 1197 W 37)

2° arrondissement ou Canton nord – Rue des Charpentiers

nouveau N° / ancien N° : 5 / 3
Wittmann
Rez de chaussée et 2 étages bons en maçonnerie
(Légende)

Cadastre

Cadastre napoléonien, registre 21 f° 377 case 2

Wittmann David boulanger R. des charpentiers N° 3 à Strasbourg
Wittmann Jean David profeseur au Collège à Mulhouse, Rue des Charpentiers 3 / 1853 à Mühlhouse

N 1268, maison, sol, R. des charpentiers 3
Contenance : 0,85
Revenu total : 162,44 (162 et 0,44)
Ouvertures, portes cochères, charretières :
portes et fenêtres ordinaires : 16 / 13
fenêtres du 3° et au-dessus : 6 / 5

Cadastre napoléonien, registre 23 f° 1246 case 2

Wittmann Jean David profeseur à Mulhouse
1859, Hirlimann Michel à Strasbourg
1860, Schneider Antoine, pensionné
1878 Beger Levrault François Georges Oscar

N 1268, maison, sol, Rue des charpentiers 18
Contenance : 0,85
Revenu total : 162,44 (162 et 0,44)
Folio de provenance : (377)
Folio de destination : Berichtigung – sol 1230
Année d’entrée :
Année de sortie : 1875 – sol 1877
Ouvertures, portes cochères, charretières :
portes et fenêtres ordinaires : 16 / 13
fenêtres du 3° et au-dessus : 6 / 5

N 1268, maison
Revenu total : 106,44 (106 et 0,44)
Folio de provenance : Rectfc.
Folio de destination : steuerfrei
Année d’entrée :1875
Année de sortie : 1877

Voir ensuite 15, rue des Juifs

Cadastre allemand, registre 32 folio 498 case 3

Parcelle, section 64, n° 18 – autrefois N 1268
Canton : Zimmerleutgasse Hs N° 18
Désignation : Hf, Whs
Contenance : 0,85
Revenu : 7500 zu Pz. 22
Remarques

(Propriétaire), compte 1674
Straßburger Verlaganstalt
Imprimerie strasbourgeoise société anonyme
(256)

1789, Enquête préparatoire à l’Etat des habitants (cote VII 1295)

Canton 5, Rue 146 des Charpentiers

3
Pr. Widmann David Boulanger – Boulangers
loc. Graugan – Comedien
loc. Rothfeld Sophie – Figuriste

1789, Etat des habitants (cote 5 R 26)

Canton V, Rue 146 des Charpentiers p. 264

3
Pr. Widmann David, Boulanger – boulangers
loc. Graugeur, Comedien (délogé)
loc. Rothfeld Sophie, Figurante
(ajout) Derozes Elisabeth, Subrette de la Comoed.

Annuaire de 1905

Verzeichnis sämtlicher Häuser von Strassburg und ihrer Bewohner, in alphabetischer Reihenfolge der Strassennamen (Répertoire de toutes les maisons de Strasbourg et de leurs habitants, par ordre alphabétique des rues)
Abréviations : 0, 1,2, etc. : rez de chaussée, 1, 2° étage – E, Eigentümer (propriétaire) – H. Hinterhaus (bâtiment arrière)

Zimmerleutgasse (Seite 201)

(Haus Nr.) 18 unbewohnt

Dossier de la Police du Bâtiment (cote 675 W 207)

Charpentiers n° 18 (1868-1989)

Oscar Berger-Levrault charge en 1868 l’architecte E. Salomon de convertir la porte ordinaire en porte charretière. L’entrepreneur J. Hug raccorde en 1886 la maison aux canalisations municipales dans l’impasse des Charpentiers.
L’Imprimerie strasbourgeoise charge en 1923 les architectes Mewes et Widmann et les entrepreneurs P. Guri et E. Meyer de transformer l’atelier de menuiserie en garage automobile. La garage d’abord prévu du côté droit est ensuite déplacé du côté gauche de la façade rue des Charpentiers.

Sommaire
  • 1868 – L’architecte E. Salomon (21, rue du Finckwiller) demande au nom d’Oscar Berger-Levrault l’autorisation de convertir la porte ordinaire en porte charretière et d’abaisser le trottoir. L’agent voyer note que la maison suit l’alignement et n’a pas d’avance.
  • 1886 – Le maire notifie R. Schultz et & Cie (15, rue des Juifs) de faire ravaler la façade 18, rue des Charpentiers et impasse des Charpentiers – R. Schultz et & Cie renvoie le maire à l’imprimeur Oscar Berge-Levrault, demeurant à Nancy – Le représentant du propriétaire à Strasbourg est le concierge Henri Mittelbach, demeurant 15, rue des Juifs
    1886 – Nouvelle notification adressée à Henri Mittelbach et Oscar Berge-Levrault
    1886 (avril) – L’entrepreneur J. Hug (25, rue de la Porte Blanche) demande l’autorisation de faire un raccord aux canalisations municipales – Autorisation – Dessin du raccord impasse des Charpentiers – Le maire constate que le pavé n’a pas été remis en état
  • 1890 – Le maire notifie R. Schultz et & Cie (15, rue des Juifs) de faire ravaler la façade 18, rue des Charpentiers – Travaux terminés, octobre 1890
    1894 – Idem – La société R. Schultz et & Cie fait remarquer qu’un ravalement a eu lieu en 1890. Le maire répond que le crépi est défectueux par endroits et que les deux façades devront être lavées – Travaux terminés, octobre 1894.
  • 1900 (mai) – Le maire notifie R. Schultz et & Cie (15, rue des Juifs) de faire ravaler la façade.
    1900 (mai) – Le peintre en bâtiment M. Bœgelmann (10, rue des Charpentiers) demande l’autorisation de poster un échafaudage sur la voie publique 18, rue des Charpentiers et 15, rue des Juifs – Autorisation de poser un échafaudage rue et impasse des Charpentiers – Travaux terminés, août 1900
    1900 (octobre) – Courrier de l’Imprimerie strasbourgeoise anciennement R. Schultz et Compagnie sur papier à lettre illustré
  • 1895 – Le maire notifie le propriétaire de se conformer au règlement du 30 novembre 1891 en supprimant les volets qui s’ouvrent à moins de 2,20 mètres de la voie publique, en l’occurrence à quatre fenêtres du rez-de-chaussée et trois soupiraux – Rappel, 1900 – Les volets des fenêtres sont réglementaires, octobre 1900 – Rappel en 1901 pour les soupiraux. L’Imprimerie strasbourgeoise répond que les volets sont verrouillés – Nouveau rappel en 1902. Les volets sont transformés, février 1902.
  • 1907 (mai) – Le maire notifie R. Schultz et & Cie (15, rue des Juifs) de faire ravaler la façade. – Travaux terminés, novembre 1907
    1907 (août) – Le peintre en bâtiment M. Bœgelmann (10, rue des Charpentiers) demande l’autorisation de poser un échafaudage sur la voie publique – Autorisation
  • 1923 – Les entrepreneurs P. Guri et E. Meyer (rue des Balayeurs) demandent l’autorisation d’occuper la voie publique. Accord
    L’Imprimerie strasbourgeoise demande l’autorisation de transformer l’atelier de menuiserie en garage automobile sous la direction des architectes Mewes et Widmann (1, place Saint-Louis) – Autorisation, août 1923 – Calculs statiques – Dessin
    1923 (septembre) – L’Imprimerie strasbourgeoise demande l’autorisation de réaliser le projet mais du côté opposé, sans cloison qui sépare le garage de l’atelier d’expédition ou à défaut avec une cloison vitrée. Le maire déclare que seul un guichet vitré peut être autorisé puisqu’un garage doit être en matériau incombustible
    1923 (novembre) – La Police du Bâtiment constate que l’Imprimerie strasbourgeoise n’a pas respecté les conditions de l’autorisation – Elle se rend sur place et retire ses objections en mentionnant cinq raisons. – Nouveau dessin rectifié
  • 1988 (août) – L’entreprise Technique peinture (12, rue de Châtenois au Neudorf) est autorisée à poser un échafaudage devant le bâtiment
    1988, 1990 – Décompte des droits de voirie, entreprise Technique peinture (12, rue de Châtenois au Neudorf)

Relevé d’actes

Le libraire Jean Richard Müller achète en 1593 de Thiébaut Joham de Mundolsheim les maisons le long de la rue des Charpentiers.
Jean Richard Müller revend la maison à l’angle de l’impasse au tisserand Michel Haut et à sa femme Anne.

1594 (xix Junÿ), Chancellerie, vol. 291 (Registranda Kügler) f° 208
Erschienen H. Reychart Müller buchfürer vnd Frauw Agnes Störinn sein eheliche hußfraw wÿland H Martin Stor burg. alhie selig dochter haben vnuer. verkaufft
Michell haut dem Schnÿder vnd Annen sein ehegemahel Iren v Ir erb
huß hoffestatt hofflin v Stallung m all Ir gebeud geleg. In der S S Inn Bippernants gaß einsyt die Behußung Zum Judenbad genant den Verkheüffern Zustendig andersyt ein eck gegen dem gäßlin ane der Zimmerleüth stuben hinden vff hans Conrad v hanns Philips der Joham von Mundoltsheim gebrüdere, für freÿ ledig eÿgen, v wiewol jetzverkhauffte vnd der verkheüffern heüßer darneben geleg. samthafft verhafftet für 600 guld SW die Jerlich vff Simon v Jude m xij lb xij ß verzist werd. den herrn vicarien v deputaten des Chors hoher stifft Straßburg Soll doch die verkheuffere solche hauptgut v. Zins für sich Iren erben v n.komm. über sich zu nemmen (…) were diß verkauff für ledig eÿg. Zugang. v bescheh vmb 500 guld. Straßburger werung

Originaire de Schönaich en Wurtemberg, Michel Haut épouse en 1593 Anne, fille du tisserand Abraham Zech
Mariage, Saint-Pierre-le-Jeune (luth. f° 43 n° 40)
1593. Dominica II. Michel Hautt von Schon eich im Wurtenberger land ein schneider, vnd Anna Abraham Zechin des schneiders hinterlaßene tochter. Eingesegnet Zinstag den 10. Julÿ (i 24)

Michel Haut devient bourgeois par sa femme Anne, fille du tisserand Abraham Zech
1593, 2° Livre de bourgeoisie (4 R 104) p. 699
Michael Huot vonn Schönüch der schneider Kaufft mit beÿstanndt Christman Geßners deß schneiders, empfanndt daß burckrecht vonn Anna, Abraham Zechenn deß schneiders selig. dochter vnndt will dienen Zu den schneidern Actum donnerstags denn 9.ten Julÿ Ao 93.

Michel Haut se remarie en 1597 avec Marie, fille du musicien Jean Fürst
Mariage, cathédrale (luth. p. 12)
1597. den 3. sontagk Epiphaniæ. Michael Haut der schneider, Maria Hans fürst des spilmans Nachgelaßene tochter (i 9)

Michel Haut est nommé commissaire priseur le 31 mai 1609 en remplacement de Jean Eigenbach.

1618 VII 1331 Bauherren
Michel Hautt contra Peter Cameel. 190.

Michel Haut et sa femme Marie, fille du musicien Jean Fürst, vendent la maison à Jean Dreiding et à sa fiancée Marie

1603 (xxviij Maÿ), Chancellerie, vol. 348 (Registranda Kügler) n° 180
Erschienen Michel Hutt der Schneÿder V Marien sein ehelichen haußfr. wÿland hans Fürsten des Spylmans selig. dochter haben vnuer. verkaufft
hannß Dreÿding b. Jungfr Marien seiner Zugelopt. hußfr. Mit beÿstand Urban Kratt des Schneyders Ires geschwornen vogts
huß hoffestatt v. hofflin m all Ir gebeu geleg. in der S S Innn Büppernantsgaß beÿ der Zimmerleüth Stuben, einseyt neben Daniel Boch, and.seyt ein eck ane einer Almend gaß so nit durchgeht stoßen hind. vff den Junckhern Johamen hoff, welche noch verhafftet für 200 guld. SW, daran vff Johannis Baptistæ nechstkünfftig 25 guld. (…) Rychart Mullern Buchhändler sunst ledig eÿg. der Khautt vber solche beschwerd 245 pfund pfenning Straßburg
hiebeÿ geweßen hanns Clein dienst der Kheuffer Stieffvatter, hannß heberlin der scheyner hierzu erbett.

Originaire de Gollmuthhausen en Franconie, le tailleur Jean Dreiding (ici Dreiling) épouse en 1603 Marie, fille du tailleur Philippe Hutzler
Mariage, Saint-Pierre-le-Vieux (luth. f° 85 n° 20)
1603. Johann Dreiling der schneider von Golmetshausen in francken, J Maria Philips hutzler des schneiders hinderlaßene tochter. 6. Junÿ (i 87)

Jean Dreiding de « Gallmitzhaussen » devient bourgeois par sa femme quatre jours après son mariage
1603, 2° Livre de bourgeoisie (4 R 104) p. 826
Hannß Treÿding der schneider, von Gallmitzhaußen, empfahet vonn seiner Haußfrawen Maria weÿl. Philipps Hutzels deß schneiders seligen dochter d. B: Vnnd will Zun Schneideren dienen Actum den 10. Junÿ

Jean Dreiding hypothèque la maison au profit de son beau-frère Jean Büchner

1618 (ut spâ [xix. Jenner]), Chancellerie, vol. 432 (Registranda Kügler) f° 14-v
(Inchoat. fol. 12.) Erschÿnen hanns dreÿdin Schneyder
hatt in gegensein des Ersamen hanns Büchnern seines Schwagern auch Schneyders – schuldig seÿen 50 pfund
vnderpfand hauß, hoffestatt vnd höfflin mit all Ihren gebau. gelegen Inn d. St St. Inn Boppernants gass. einseit neben dem Judenbad, anderseit ein eck ane einem Allmend gäßlin so nicht durch geth stoßend hinden vff Junckher Sebastian Mugen hoff So freÿ ledig eÿgen

Jean Dreiding hypothèque la maison au profit du tailleur Tobie Roth.

1621 (ut spâ. [xxj. Februarÿ]), Chancellerie, vol. 443 (Registranda Meyger) f° 119-v
(Inchoat. in Prot. fol. 70.) Erschienen hannß Treÿwding der schneÿder burger Zu Straßburg
hat bekhandt vndt In gegenwärtigkheit Thobias Rothen des schneÿders burgers Zu Straßburg – schuldig seÿe 25 pfundt pfenning Straßburger
Zu vnderpfand eingesetzt vnd verlegt, hauß, hannß vnd höfflin mit Allen Ihren gebeüwen gelegen Inn der Statt Straßburg Inn der Pimpernants gassen, einseit neben einem Allmend gäßell, Anderseit neben dem Juden badt Jr: Sebastian Mügen von Bofftzheim stoßend Zuständig hinden auch vff ermelten Jr. Müegen stoßend, Welche behaußung noch verhafftet Ist vmb L. lb d hannß Büchner dem schneÿder

Jean Dreiding et sa femme Marie « Butzler » hypothèquent à nouveau la maison au profit de leur beau-frère Jean Büchner

1622 (xix. Julÿ), Chancellerie, vol. 446 (Registranda Meyger) f° 248-v
(Inchoat. in Prot. fol. 194.) Erschienen Hannß Dreÿding d. schneÿd. burg. Zu Straßbg. vnd Maria Butzlerin sein eheliche haußfr.
haben bekhandt vndt In gegenwärtigkheit hannß Bücheners schneÿd. burg. Zu Straßburg seines schwagers – schuldig seÿen 100 pfund
vnderpfand hauß, hoffstatt vnd höfflin mit Allen Ihren geb. & glg. Inn d. St. St. Inn d. Bimpernants gaß. einsd. n. dem Jud. badt and. seit ein Eck Ane e. Allmend gäßlin, hind. vff J. Sebastian Müeg stoßend

Jean Dreiding et Marie Hutzler hypothèquent la maison au profit de Barbe Kleindienst, veuve de Laurent Dorsch

1625 (ut spâ. [viij Septembr.]), Chambre des Contrats, vol. 455 f° 370-v
(Inchoat. in Prot. fol. 326) Erschienen hannß Treüding d. schneÿd. burger Zu Straßburg vnd Maria Hutzlerin sein eheliche haußfrauw
haben in gegensein hannß Büchner des schneÿders burgers Zu Str. Alß vogt Barbaræ Cleindienstin, weÿland Lorentz Dorsch. s. witwe – schuldig seÿen xxv. lb
vnderpfand hauß, hoffstatt mit Allen Ihren geb. & geg. Inn d. St. St. Inn d. Zimmerleüthgaß. einseit neben d. Jud. Badt, And.seit ein Eck Ane eim Allmend gäßlin, hind. vff J. Sebastian Müeg. erb. stoßend

Jean Dreiding et Marie Hutzler hypothèquent la maison au profit de Daniel Gerber

1626 (7. Aug.), Chambre des Contrats, vol. 459 f° 527-v
Erschienen M. hannß Treÿding d. schneid. burger Zu St. und Maria Hutzlerin sein ehefr.
hab. in gegensein M. Hannß Büchners auch schneiders Alß vogt Daniel Gerbers – schuldig seÿen L. lb d St.
Vnderpfand hauß vnd hoffstat & alhie in Zimmerleüth gaß neben dem Judenbadt ein vnd 2. seit ein Eck, hind. vff Jrn Sebastian Müegen see. Wittib und Erben stoßend gelegen, vnd ist d. hauß Zuuor hafft vmb 25. lb Barbara Kleindienstin Lorentz dorsten wittib, sonst eig.

Jean Dreiding et Marie Hutzler hypothèquent la maison au profit d’Anne Marie Grassmann, femme de Charles Schwend

1627 (17. Julÿ), Chambre des Contrats, vol. 461 f° 386
Erschienen hannß dreÿding der schneider vnd Maria hutzlerin sein ehefr.
haben in gegensein hanß Bühners deß Keüffers Alß Vogts Anna Maria Graßmännin, Carol Schwenden deß vßgetrenenen haußfr. – schuldig seÿen L. lb. St.
vnderpfand, hauß vnd hofstat mit allen and. & In der Zimmerleüth gaßen einseit ein Eck gegen der Zimmer Leüth stuben 2. seit neben dem Jud. bad. hinden vff Jr. Sebastian Müeg wittib vnd Erben, vnd ist zuuor hafft vmb 50. lb. d Daniel herber dessen Vogt auch er Büchner ist, item vmb 25. lb. Barbara Kleindienstin

Jean Dreiding hypothèque la maison au profit du marchand Jean Jacques Haas

1628 (ut spâ. [11. Decembris]), Chambre des Contrats, vol. 462 f° 662-v
Erschienen Mr hannß dreÿding der Schneider burger Zu Straßburg
hatt in gegensein herrn hannß Jacob Haasen des Handelßmanns für allerhand außgenommene Wahren schuldig sein 50. lib.
Vnderpfand Eine Behausung in Pimpernants gaßen alhie einseit ein Eck, anderseit daß Juden bad, hinden vff Jr. ß Müegen Wittib stoßend gelegen. Vnd ist dise behausung Zuuor Verhafft Barthel Ferbers seeligen Sohn dem Balbierer Vmb 50. lib. Mehr Carlen Schwenden haußfrawen auch Vmb 50. lib. deren beÿder Vogt hannß Büchner der Schneider

Jean Dreiding hypothèque la maison au profit de la fille de Laurent Dorsch

1629 (19. Maÿ), Chambre des Contrats, vol. 464 f° 319
Erschienen hanß Dreÿding d. schneid. burg. Zu St.
hatt in gegensein Anna Margarethen weÿ: Lorentz Dorschen deß schuhmachers see: alhie in 2. ehe erziehlte dochter vogts hanß Büchners deß Käufflers auch burgers alhie – schuldig seÿ L. lb.
Vnderpfand hauß vnd hoffstat mit allen & alhie in d. Zimmerleüt gaß neben dem Juden Bad ein vnd 2.seit und hind. bff Bastian Müg. s: witib und Erben, welche zuuor verhafftet vmb 50. lb Daniel Gerber deß vogt. auch er Büchner, Item vmb 25. lb, Anna Maria Großmännin, Item vmb 25. lb. d Barbaræ Kleindienstin Ulrich Bauren deß weißgerbers ietzig. haußfr.
[in margine :] vide cessionem vff hannß büchners wittib von 16. 7.br. a° 1641. in selbig. Jahrs registrand.

Jean Dreiding hypothèque la maison au profit de Susanne Kleindienst, veuve du commissaire priseur Jean Büchner

1641 (ut supra [16. 7.br]), Chambre des Contrats, vol. 487 f° 593-v
Erschienen Hannß Dreÿding der schneid. burg. Zue Straßburg
hatt in gegensein Susannæ Kleindienstin weÿl. hannß Büchners deß Käufflers sel. wittib – schuldig seÿen 50 Pfund pfenning
dafür in spê. Und.pfand sein soll hauß, höfflin, hoffstatt mit allen andern deren gebäw. alhie in Zimmerleüthgaß einseit ein Eckh beÿm bronnen, anderseit neben dem Judenbad, hind. vff die Adelich. Müegischen stoßend gelegen, so zuvor verhafftet umb 50. lib. Daniel Herbern deß Vogt hannß Pickhard der Käuffler, Item umb 25. lib. Annæ Mariæ Graßmännin Erben, Item umb 25. lib. Barbaræ Kleindienstin, Item sein Treidingß haußfrawen 150. lib. item umb 50. lib etwann Annæ Margarethæ dorschin nunmehr ihr der schuldglaubigerin ex iure cesso selbst. Mehr umb 50. lib. hannß Jacob hasen dem handelsmann, Und dann H Henrich Geigen dem Notario umb 35. lib

Le Petit Sénat rend un jugement de collocation au profit des créanciers de Jean Dreiding (Marie Dreiding, Chrétien Rœderer et Jacques Sonticus). La maison rue des Charpentiers sert de garantie

1650 (13. Sept.), Chambre des Contrats, vol. 508 f° 831
(Prot. fol. 150.) Erschienen Jungfr. Maria Treÿdingerin mit beÿstand H Tobiæ Roth deß Ganthkäufflers ihres Vogts, Ferners H Christmann Röderer E.E. groß. Raths Beÿsitzers an einem
So dann Jacob Sonticus der Schneiderknecht mit beÿstand Hannß Henrich Schneiders deß Trähers seines Vogts und hannß Georg Sonticus deß Altgewänders seines Bruders am andern, Vnd beede theil mit beÿstand H. Georg Obrechts V.I.D. und E.E. kl. Rhats Advocati & Procuratoris
haben bekannt, dEmnach diße treÿ alß vff Weÿl. hannß Dreÿdingß deß Schneiders seel. hinderlaßene alhier in der Zimmerleuth gaß. neben dem Judenbad gelegener Behausung versicherten ältere Creditoren vermög E. E. Kl. Rhats Collocation und Außweißung dergestalt collocirt und außgewiß. word. seÿn, daß Sie Maria Dreÿdingerin umb 243 fl. v ß 10 d. die erste, Er h. Röderer umb 50 fl. Capital sampt denen de 4 9.br a° 1646. exclusive verfallenen Zinß die andere und Er Jacob Sonticus umb 100 fl. hauptgut und hab und Gütter bester maßen versichert bleiben sollen
Vnd Zur mehrern Versicherung ist auch persönlich erschienen Ostermann Schäffer von Kriegßheim beÿ Hagenaw, der hatt sich hiefür diße Schuld zu einem Bürgen dargestelt (…)
[in margine :] Erschienen hierinn gemeldte Maria Treÿdingerin mit beÿstand hierinn genannts ihres Vogts hatt in gegensein hierin gedachts H. Henrich Schneiders alß Vogts Jacob Sonticus alß deme in brüderlicher Abtheilung diße behaußung gantz word. ist (…) quittirtend. Act. 25. Martÿ a° 1652.

La maison revient à Jean Georges Sonticus, frère de Jacques Sonticus, qui épouse en 1614 Susanne fille du serrurier Henri Schneider

Mariage, Saint-Pierre-le-Jeune (luth. p. 257, n° 2)
1614. Dom. 2 post Epi. 16. Jan. hans Jorg Sonticus d schneidern Susanna Heinrich schneiders des schloßers tochter. Eingesegnet Mont. d. 24. Jan. (i 133)

Le curateur de Jean Georges Sonticus vend la maison au tourneur Samuel Berion

1656 (15. Aprilis), Chambre des Contrats, vol. 518 f° 232-v
(Prot. fol. 45) Erschienen Hannß Henrich Schneider der Träher, alß Vogt hannß Georg Sonticus, mit beÿstand H Johann Wolffgang Heßlers und H Johann Christmann Merkhlins, bed. alß auß E.E. groß. Rhats mittel hierzu insonderheit Deputirte
in gegensein Samuel Berions deß Trähers
hauß, hoff, werckhstatt, höfflin, mit allen deren Gebäwen, alhie in Pimpernants oder Zimmerleuth Gaß. einseit neben dem Judenbad, anderseit neben einen Allmend gäßlin, hind. vff den Freÿh. Birckhenfeldisch. hoff stoßend gelegen, so umb 75. lib. Mariæ Dreÿdingin, Item umb 25. lib. H. Christmann Röderern alten groß. Rhats Verwanthen, Item umb 100. lib. Jacob Sonticus des Verkäuffers Bruders, verhafftet – umb 200. lib

Samuel Berion naît à Strasbourg le 19 avril 1618, fils du tourneur Jean Berion et de sa femme Marie Rapp
Baptême, Saint-Pierre-le-Jeune (luth. p.140 n° 56)
1618. Dominica Misericord. 19. April. p. Hans Berion d. dreher, M. Maria Rappin, I. Samuel (i 73)

Samuel Berion rachète le droit de bourgeoisie qu’il a perdu en se mariant hors de la ville, à Saint-Gall en Suisse (voir l’inventaire), pour lui et pour sa femme Barbe Straub, originaire de Saint-Gall. Il n’apporte aucun enfant.
1648, 3° Livre de bourgeoisie p. 924
Samuel Berion der treher so sein Burgerrecht verzogen gehabt, erkhaufft es wider, für sich vnd sein haußfrauw Barbaram Straubin von St Gallen vmb 8 Gold fl. bringen keine kinder mit sich, vnd würd Er Zu den Zimmerleuth. dienen. Jur. den 29. Julÿ 1648.

Samuel Berion et Barbe Straub font baptiser Anne Catherine en janvier 1650.
Baptême, Saint-Pierre-le-Jeune (luth. p. 389)
1650. Dominica 1. post Epiph. Zinst. 15. Jan. P. Samuel Berion der dücher und Barbara Straubin, I. Anna Catharina (i 203)

Barbe Straub meurt en 1652 en délaissant une fille. Une note liminaire fait état du mariage sans contrat à Saint-Gall en Suisse. L’inventaire décrit la maison. La somme finale s’élève à 122 livres.

1657 (17. 8.br), Not. Winter (Jean Christophe, 62 not 6) n° 17
Inventarium vnd beschreibung aller v. Jed. Haab, Nahrung v. Güethern, liegender vndt vahrender, Keinerleÿ dauon außgenommen, so weÿl. die tugendsame Barbara Straubin deß Ehrsamen Mr Samuel Berions hohltrehers, burgers Zu Straßburg Haußfraw, beÿ ihrem den 25. Julÿ deß 1652. Jahrs beschehenen seel. ableiben verlaßen, welches auff erfordern v begehren, deß auch Ersamen Mr Andreæ Stegmans Schreiners vndt burgers alhie, alß geschw. vogts Mariæ Barbaræ, der abgeleibten frawen seel. mit obegdachtem Mr Samuel Berion, dem hinterbliebenen Wittibern ehelich erzeugten döchteleins vndt ab intestato nachgelaßener Erbin (…) Actum Sambstags diese 17. 8.bris 1687.
Es ist ein Testament vorhanden aber Kein Eheberedung
Bericht an Statt der Eheberedung. Demnach der Wittwer beÿ gegenwertiger vorgehabter Inuentur angezeigt, daß keine Eheberedung entzwischen ihnen geweßenen Eheleuten Zur Zeit Ihrer Verheurathung, Welche Zu St Gallen In der Schweitz beschehen, auffgerichtet word. benebens d. auch in werender Ehe vff keiner seiten Ichtwaß ererbt worden, alß ist die gantze Verlaßenschafft dem alhiesigen Statuto vndt herkommen gemeß für ein gemein theilbar guth Inventirt vndt beschrieben worden

In Einer in der Statt Straßburg ane Zimmerleuth gaßen gelegenen vndt in dieße verlaßenschafft gehöriger Behaußung befunden worden Alß volgt
Erstlichen Ane Haußrath, In der Cammern A, In der Camm. B, In d. Cam. C, In der Cam. D. Obern Stuben, Im Obern Haußöhren, In undern Kuchen, In undern Stuben, Im Keller
Eÿgenthumb Ane einer Behaußung. It. hauß, hoff, werckhstatt höfflin mit allen deren gebäuen, begriffen, Rechten, Zugehördten vnd gerechtigkeiten, gelegen in der Statt Str. in Bimpernanz od. Zimmerleuth gaßen, einseit neben dem Jud. bad, 2.seit neben einem Allmendtgäßlein, hind. vf den fstl. Bürckenfeldisch. hoff stoßend, dauon gohnd Jahrs 4 lb 10 ß Maria Treilingen od. Tobiæ Roth dem Ganthkäufflern Vögtlicher wiß, Jahrs vff Johannis Baptistæ wid.lößig in h.gutt mit 50. lb, Ferner j lb 5 ß d geltz Zinß H Christman Röderern E. E. gr. R. beisitzern, Jährlich vff Martini ablößig mit 25 lb. So dann 5 lb gelts Hanß Heinrich Schneid. dem hohltrehern, Alß vogten hanß Georg Sondici Jahrs vff Johannis bapt. wid.khouffig mit 100 lb, sonst ledig vnd Eigen, vnd über diße beschwerd. so th. 175. lb, angeschlagen 35 lb. Vermög Pergm. Kaufbriefs in d. St. St. Cantzleÿ gtstben gefertigt, v mit deren anh. Insigel v.wahrt datirt d. 15. Aprilis 1656. mit N° 1 notirt
Werckzeug Zur Treh. Kunst: vnd hohn treger handwerck gehörig
Bericht loco deß aufgerichten aber ohnaußgefertigten Testam. Nuncup.
Abzug und Abtheil. haußrath 62, Wkhzeug 19, Silber 3, g. Ring 16 ß, Eigenthumb ane Einer behaußung 35, Summa summarum, Conclusio finalis Inventarÿ 122

Samuel Berion rembourse à Chrétien Rœderer un capital de 25 livres garanti sur la maison.

1660 (10. Maÿ), Chambre des Contrats, vol. 525 f° 473
Erschienen H Christmann Röderer EE groß Rhats alter Beÿsitzer
in gegensein Samuel Berions deß Trähers
bekannt, daß Er, von demselben, die Jenige 25. lib. welche besagter Berion, Krafft der am 15.ten april a° 1656. in der Cancelleÿ contractstuben vffgerichteter Kauff Verschreibung, beÿ erkauffung seiner alhie in der Zimmerleuth Gaß. gelegener Behaußung alß eine darauff gehafftete Beschwärdt übernohmen, und ihme H Röderern bißhero iährlich vff den 12.ten 8.br verzinnßt gehabt (…)

Samuel Berion se remarie en 1658 avec Catherine Cunégonde, fille du pasteur Abraham Mægelin de Birkenau en Palatinat
Mariage, Saint-Pierre-le-Jeune (luth. f° 91 n° 2)
1658. Eâdem Dominica 1. Epiph. Samuel Berion der Hohltreher undt Burger alhie undt Jungfr. Katharina Künigunda, H Abraham Mägelins, Pfarrers Zu Bürckenaw in der untern Pfaltz eheliche Tochter. Copulabantur Zindt. d. 29.t Januarÿ Zum JS Peter (i 102)

Samuel Berion se remarie en 1667 avec Marie Salomé Frühinsholtz, veuve du maréchal ferrant Christophe Gesensohn : contrat de mariage, célébration
1667 (12. Jan.), Chambre des Contrats, vol. 534 f° 18-v
(Eheberedung) Erschienen Samuel Berion der Träher und Segmüller Burger alhie alß hochzeiter, mit beÿstand hannß Friderich Berions des hohltrehers seines Eheleiblichen Bruders, an Einem
So dann Maria Salome diebold früeinsholtz des hueffschmidts eheliche dochter weÿl. Christoph Geßensohns des hueffschmidts burgers alhie nunmehr seel. nachgelaßene wittib als hochzeiterin mit assistentz Martin Meÿers des waffenschmidts ihres Curatoris und hannß Conrad Gesellen des hueffschmidts von Schiltigheim ihres Schwagers am andern theil

Mariage, Saint-Pierre-le-Jeune (luth. f° 167 n° 1)
1667. Dominica post Novum Annum sive in Festo Epiphaniæ. 6. Jan. Samuel Berion der Hohltreher Vnd Segmüller, auch Burgern allhie, Vndt Maria Salome, Christoph Gisenson deß Huffschmidts Vndt Burgers alhie nachgelas. Wittib. Copulavi Mont. 14. Januarÿ (i 181)

Samuel Berion hypothèque la maison au profit de Catherine, veuve de l’aubergiste Jean Jacques Frantz

1673 (4. 7.br), Chambre des Contrats, vol. 541 f° 500-v
Samuel Berion der Träher
in gegensein deß Ehrenvest- Fürsichtig- und weÿsen herren Jacob Wenckhers E.E. Großen Rhats alten Beÿsitzers alß Curatoris frawen Catharinæ weÿl. herren Hannß Jacob Frantzen geweßenen Würth Zum Hirschen nunmehr seel. nachgelaßener Wittibin – schuldig seÿe 15. Pfund pfenning
Unterpfand, Eine behausung mit allen deren Gebäwen und Zugehördten, alhier in der Zimmerleüth: oder Bimpernants: gaßen, einseit neben dem Judenbad, anderseit neben einem Allmend Gäßlein hinden uff den Bürckenfeldischen hoff stoßend gelegen

Samuel Berion est candidat au poste de garde à la Montagne Verte
1677, Conseillers et XXI (1 R 160)
(p. 345) Sambstags den 3. 9.bris – Samuel Berion umb die Wahrtmannstell auf der Grünen Wahrt.
Samuel Berion, der hohldräher und Burger allhier, überreicht per Eundem [Dr Reusner] Unterthäniges Ansuchen und bitten umb gn. conferirung der vacirenden Wahrtmannstell auf der Grünen Wahrt. Erk. Soll sich beÿ der Cancelleÿ einschreiben, umb seiner beÿ vornemmender Wahl eingedenck Zu sein

Samuel Berion meurt en 1679 en délaissant quatre filles de Catherine Cunégonde Mægelin et deux de sa veuve. L’inventaire décrit la maison. La masse propre à la veuve est de 2 livres. L’actif des héritiers et de la communauté s’élève à 317 livres, le passif à 163 livres.

1679 (10. 9.br), Not. Oesinger (David le jeune, 38 Not 13) n° 39
Inventarium vnd beschreibung aller Haab, Nahrung vndt Güethere Liegend: vndt vahrend. So weÿl. der Ehrengeachte Samuel Berion geweßene Hohlträger, undt Burgern alhie Zu Straßburg alß der selbe den 7.ten Septembris dieses noch lauffend. 1679.ten Jahrs sein Zeitliches leben geendet, verlaßen, welche auf gebührliches ansuchen erfordern und begehren seiner auß Zweÿen auff nächst volgend. blatt beschriebener Kind. v. nächster ab intestato Erben, Herren vögte inventirt, durch die Ehren: und Tugendtsame fr. Mariam Salome Früeinsholtzin die hinterbliebene Wittib mit beÿstandt des auch Ehrenhafften Mr Niclaus Nonnenmachers Büchßenmachers undt Burgers alhier ihres geschwornen Vogts (…) geeügt – So beschehen Montags d. 10.ten 9.bris A° 1679.
Der verstorbene hatt Zu Erben ab intestato verlaßen alß volgt, Annam Catharinam, Susannam Elisabeth, Mariam Salome vndt Mariam Elisabeth, Alle vier des Verstorbenen mit auch weÿl. fr. Catharina Küniguntha Meÿelÿ ehelich erzeigter Vier döchter deren geschworner Vogt der Ehrenveste vnd Kunsterfahrene H H. Jacob Gebhardt Kl. uhrenmacher v. burger alhie
Ferner Dorotheam vndt Margaretham die Berion, Mit deßen hind.bliebenen wittiben Im Eingang erwehnt, ehelich erzeigt Dießer beed. Kind. geordnet und geschworner Vogt der auch Ehrenhaffte Friderich Kuentz auch hohlträger und burger alhie
NB Es hatt eingangs gedachte Wittib beÿständlich Ihres Vogts sich dahien erclärt, In erwegung Zimlich vil Schuld. vorhand. sein werd. auff die theilbare Verlaßenschafft tam active quam passive vorzukh Zuthun

In einer in der Statt Straßb. in der Zimmerleuth Gaßen gelegenen vndt in diese verlaßenschafft Gehörige Behaußung ist befund. word. Alß volgt
In der Cammer A, In der Nebens Cammer, In der obern Wohnstuben, Im der Stub Cammer, Auff dem Gang Cämmerlin, Im Obern hauß Öhren, In der Kuch. Im Keller
Eügenthumb ahne einer Behaußung. Hauß, hoffstatt, Werckhstatt, höfflin mit allen deren gebäuen, begriffen, Rechten, Zugehördten vndt gerechtigkeit, gelegen in der St. St. In der Bimpernanz od. Zimmerleuth Gaßen, 1. s. neben dem Judenbad, 2. s. neben j. Allmendt, hind. auff den fürstl. Bürckenfeld. hoff stoßendt, dauon geht Jahrs 2 lb 10 ß Herrn Michel Reitzlen dem Schreinern vndt Burgern vff Johannis Bapt. stohnd in haubtg. wid.lößig mit 50. lb. d Mehr j lb 5 ß d Jahrs vff Michaelis H 13. Eliæ Brackenhoffern stond in haubtg. ablößig mit 25 lb d. It. 15 ß d Jahrs auff Adolphi Herrn N Stöffelin dem handelßmann alhie abzulößen mit 15 lb Sonsten Allerdings freÿ ledig und eüg. vndt vber obspecificirte beschwerden nach angeschlagen pro 110. Vermög Perg. Kauffb. in der St. St. Cancelleÿ Contract stub. gefertigt, v mit dero anhang. Ins. verwahrt datirt den 15. April. A° 1656. mit Altem N° 1 notirt vnd darbeÿ gelaß.
Abzug in dießes Inventarium gehörig, Summa summarum d. wittiben gantzes Vermögen bestehet in vorstehend. Guldenen Ring so thut 2 lb
der Erben unverändert Verlaßenschafft, Sa. haußraths 34, ß Werckzeugs Zum tröher hdtwerckh gehörig 6, Sa. Silbergeschidds 1, Sa. Eigenthums ahn Einer behaußung 110, Summa summarum 151 lb – Passiva 317, die Passiva übertreffen beeder seiths Substantien 163 lb

Mentions de Samuel Berion dans les registres du Magistrat.
1660, Protocole des Quinze (2 R 78) Samuel Berion Ca. Träher. 237. 251.
1661, Conseillers et XXI (1 R 144) Samuel Berion. 151. (pro intercessionalibus)

Les héritiers hypothèquent la maison au profit de la Tour aux deniers de laquelle le défunt était débiteur

1680 (18. 9.br), Chambre des Contrats, vol. 549 f° 670
Erschienen H. Johann Jacob Gebhard Klein Uhrenmacher, alß Vogt weÿl. Samuel Berions deß Hohlträhers nunmehr seel. nachgelaßener Kinder zweÿter ehe an einem,
So dann herr Friderich Maÿle Notarius alß Curator Johann Frantz Richhoffers am andern theil – Demnach erwehnter Berion alß geweßener Segmüller dießer Statt, dem Pfenningthurn lauth gemeinen Schuldbuchß p. 58. et 63. in abrechnung schuldig verblieben seÿe
unterpfand, hauß hoffstatt mit allen deren Gebäwen und zugehördten alhier in der Zimmerleuth Gaß, einseit neben dem sogenannten Juden badt, anderseit ist ein Eckh am Bimbermannß gäßlein, hinden uff den Birckenfeldischen Hoff stoßend gelegen welche behaußung annoch umb 50 lb d Herrn Michael Reitzel dem Schreiner, So dann umb 25 lb d Herrn Eliæ Brackenhoffern XIII verhafftet sonsten gegen männiglichen freÿ ledig und eÿgen seÿe

Compte que rend l’horloger Jean Jacques Gebhard de la gestion des biens qui appartiennent aux enfants issus de Catherine Cunégonde Mægelin, provenant de la faillite de leur père et de la succession de leur grand-père pasteur.
1681 (12.1.), Not. Kitsch (Jean, 1 AH 6064) n° 12
Rechnung Mein Johann Jacob Gebhardts, Klein Uhrenmachers burg.s allhier Zu Straßburg, als geschwornen Vogts Annæ Catharinæ, Susannæ Elisabethæ, Mariæ Salome undt Mariæ Elisabethæ, aller Vier weÿlandt Samuel Berions des hohltrehers, mit auch weÿland Catharina Künigunda Meigelin ehelich. erzeugt Kind., Innhaltend d.jenige W. Ich von meiner erst. rechnung vom 20. Maÿ 1675. biß d. 12. Jan: 1681. Meiner Vogts Kind. weg. eingenommen, dahien geg. wied. außgegeb. od. inn and. weg. vögtlich. weiß verrichtet undt Verhandelt habe. and. Rechnung dießer Vogteÿ.
(…) weilen sein deß vatters verlaßenschafft Zum falliment gerath. als ist d.entweg. d. Kind. forderung crafft Collocations bescheidts nach and. vorh. versichert. undt mehrers privilegirt geweßten Creditoren (…)
Nachdem nun H Abraham Meigelius gewes. Pfarrer Zu Burckenaw u. Schirmsv.wanth. alhie d. Mütterliche Großvatt. d. 28. Jan: 1679. dieses Zeitliche Leb. geendet

Anne Catherine Berion et Susanne Elisabeth Berion vendent leurs parts, au total la moitié de la maison, à l’Orphelinat, déjà propriétaire de l’autre moitié

1691 (31.8.), Chambre des Contrats, vol. 563 f° 703-v
Anna Catharina, gebohrne Perionin Johannis Farren, deß Leinenwebers eheliche haußfrau, mit beÿstand deßelben, Ferner Susanna Elisabetha Perionin noch ledig. stands aber majorennis und ohnbevögtigt, mit beÿstand Johannis Waßenauer deß Sporers anstatt Matthäi Hintsche deß Uhrenmachers ihres Vettern, alß von demselb. hierzu schrifftlich befehlt
in gegensein H. Johann Friderich Sachßen, Schaffners deß Waisenhaußes – daß Sie beede Schwestern ged. waisenhauß zu kauffen gegeben
Zweÿ Vierdte theil, das ist die helffte an hauß, höfflein den. hoffstätte, sambt allen deren Gebäuen, recht. und Zugehördt. allhier in d. Zimmerleuth od. Pimpernants gaß, so einseit ein Eck an einem Eng. nicht durchgehend. gäßlein, anderseit neb. dem Judenbad, Christoph Wannern gehörig, hind. auff d. birckenfeldisch. hoff stoßend geleg., welche gantze behaußung (umb 50 lb Capital, So dann umb 25 lb Capital verhafftet), Zumahl die übrige helffte dem Waisenhauß Zuvorhin gehörig, geschehen umb 150 gulden

L’Orphelinat vend la maison au fournier Jean David Apffel moyennant 370 livres. En marge, quittance remise en 1758 à Jean Philippe Wittmann et Anne Marie Fuchs.

1693 (2.5.), Chambre des Contrats, vol. 565 f° 363-v
H. Johann Friderich Sachs, Schaffner des Waisenhaußes
in gegensein Johann David Apffel deß Haußfeurers, daß Gesambte Wohlverordnete Herrn Pfleger ged. Waisenhaußes auff die am 14. Febr. jüngst beÿ herrn Räth und XXI. ertheilte permission
Hauß, hoffstatt, höffein, mit allen deren Gebaüen, Rechten und Zugehörd allhier in der Zimmerleuth: oder Pimpernantz: gaßen, einseit neben dem Judenbad, anjetzo Johann Friderich Frichel, dem Commiss. gehörig anderseit neben ist Ein Eck an einem eng. Allmendgäßlein so nicht durchgehet, hind. auff den Fürstl. Pfaltz Birckenfeldisch. hoff stoßend gelegen – umb 370 pfund
[in margine :] (…) in gegensein Johann Philipp Wittmann des Kauffhauß Knechts alhier und deßen Ehefrauen Annä Mariä geb. Fuchßin als dermahlig. proprietariorum hievor verpfändeter behausung (Quittung), den 16. feb. 1758

Les Conseillers et les Vingt-et-Un autorisent l’Orphelinat à aliéner la maison. L’acquéreur devra solliciter le droit de feu auprès des Quinze (les registres des Quinze n’en font pas mention)
1693 Conseillers et XXI (1 R 176)
(p. 28) Sambstags d. 14. febr:
H Johann Friderich Sachs pt° Decreti alienandi
Saltzm: noîe Joh: Friderich Sachßen, alß verordneten Schaffners des Weÿßenhaußes, der ist willens, eine sehr alte behaußung in der Zimmerleuth gaß neben dem Juden bad gelegen, an Johann Daniel Apffeln, den burger und haußfewrer allhier vmb 750 fl. über alle beschwerdten, Zu Verkauffen, bittet deswegen, Ihme das Decretum alienandi Gnd. gdeÿen Zu laßen. Erk. mit gebettenem decreti alinandi Zwar Willfahrt doch daß der Käuffer wegen erhaltung des Fewr rechts, an E. Löbl. Collegium Mghh. der XV. gewiesen sein solle.
Herr XXI. Reÿß, Hrr .Rathh. Wagner

Originaire de Barr, le boulanger Jean David Apffel épouse en 1687 Marie Elisabeth, fille de Georges Chrétien Ulner : contrat de mariage tel qu’il est copié à l’inventaire, célébration
Copia Eheberedung – Zwischen dem Ehrsam und bescheidenen David Apffel dem noch ledigen Becken von Barr, weÿland deß Ehrengeachten Eberhard Apffels, geweßenen Müllers Zu Barr seeligen hinderblieben Eheleiblichem Sohn, alß dem Brätigamb an einem, So dann der Ehren Züchtig: vnd Tugendreichen Jungfrauwen Mariæ Elisabethæ weÿland herrn Georg Christmann Ulners gewesenen burgers Zu Straßburg seligen hinderlaßener Ehelicher Tochter alß der Jungfrau hochzeiterin am Andern theil (…) durch vnderhandlung der Ehrenvest, Weiß, auch Ehrenhafft Vorachtbar und bescheidenen Meister Pauli Kleinen Müllers zu gemelten Barr, deß hochzeiters Stieff Vatters vnd herrn Johann Christian Hornuß Rothgerbers vnd Lederbereiters wie auch meister Hanß Philipp Magen weißbeckens beeder burgere alhier zu gerührtem Straßburg auf sein deß bräuttigambs, So dann auf Ihr der Jungfrau hochzeiterin seitten herrn Georg Gollen, barchethändlers Ihres geschwornen Curatoris, herrn Johann Jacob Grießbach Rothgerber und Lederbereiters auch E. E. kleinen Rhats beÿsitzers vnd herrn H. Leonhard Röderers auch Rothgerbers vnd Lederbereiters Ihres Schwagers aller dreÿ burgere allhier zu offerwehnten Straßburg – Geschehen in der Königlichen Freÿen Statt Straßburg, Donnerstags den 15. Monatstag Maÿ Anno 1687. Elias Winckler, Nots. Cæs. Juratus

Mariage, Saint-Pierre-le-Jeune (luth. f° 328)
1687. Domin. IX post Trinit. 27. Julÿ. Johann Davidt Apffel der Weißbeck von Barr, weÿl. Eberhardt Apffels gewesenenen Müllers Zu Barr Nachgel. ehl. Sohn, Vndt Jfr. Maria Elisabetha, weÿl. hrn Georg Christman Ulners gewesenen burgers alhier nachgel. ehl. tochter. copul. Mittw. 6. Augusti (i 342)

Jean David Apffel devient bourgeois par sa femme un mois après son mariage
1687, 4° Livre de bourgeoisie p. 532
Johann Davidt Apffel von Barr der weißbeck, empfangt das burgerrecht von seiner haußfr. Maria Elisabetha Ulnerin p. 2. Gold fl. undt 16 ß, sobeÿ der Cancelleÿ erlegt, ist ledig. standts gewesen, undt wird beÿ den becken Zünfftig Jur. 10. 7.br

Jean David Apffel hypothèque la maison au profit du brasseur Georges Pick. En marge, quittance remise en 1722 au débiteur et à Philippe Wittmann et Anne Salomé Apffel.

1693 (15. 7.br), Chambre des Contrats, vol. 565 f° 623-v
David Apffel der haußfeurer
in gegensein Hn Georg Pick deß biersieders zum Schwartzen bähren, schuldig seÿe 75 pfund
unterpfand, hauß, hoffstatt, höfflein mit allen deren gebaüen, recht. und zugehördten, allhier in der Zimmerleuth: oder Pimpernantz gaß einseit neben dem Judenbad anjetzo H. Johann Friderich Frichel dem Commissario gehörig anderseit ist ein Eck an einem gegen Allmend gaßlein, so nicht durchgehet, hind. auff dem Fürstl. Pfaltz Birckenfeldisch. hoff stoßend gelegen
[in margine :] hingegen gemeldter Creditor Cessionarius Daniel Schäffer, der Vormalige Kupfferschmid, und jetzige Koch zo Linkiöping, nächst Noerkoping, in öster Jutland Königlicher Schwedischer Herrschafft wohnhaft beÿständlich seines annoch ohnentledigten Vogts Joh: Georg Schlegel, Sen. Küblers, hat in gegensein David Apffel, deß haußfeurers des debitoris und Philipp Wittmann, haußfeurers und deßen ehelicher haußfrauen Annæ Salome gebohrne Apffelin, als jetzmahliger proprietariorum hier verpfändeter behaußung (quittung), den 8. aug. 1722

Marie Elisabeth Ulner meurt en 1690 en délaissant deux filles dont l’une meurt peu de temps après. L’inventaire est dressé dans la maison dite Zur Höll (à l’Enfer) rue Sainte-Hélène. La masse propre aux héritiers s’élève à 184 livres, l’actif de la communauté à 40 livres, le passif à 221 livres
1690 (6.6.), Not. Theus (Philippe Henri, 59 not 22) n° 741
Inventarium undt Beschreibung aller und ieder Haab und Nahrung, so weÿland die Ehren: und Tugendsame Fraw Maria Elisabetha, gebohrne Ulnerin, deß Ehrsam und bescheidenen Mstr Johann David Apffels, Haußfeurers vnd burgers alhier, geweßene geliebte Eheliche haußfraw, nach Ihrem dinstags den 21. Martÿ diß Zur End gemelten Jahrs aus dießer Zergänglichen Welt genommenen seel. hienscheid. hinder Ihro v.laß. welche Verlaßenschafft auf fr. ansuchen, erfordern vnd begehren deß Ehrengeachten H Johann Werner Renders, Kieffers vnd burgers allhier, alß Wohlgeordneten vnd geschwornen Vogts Mariæ Elisabethæ Ihr der seel. abgeleibten Frawen beneben noch einem Töchterlein nahmens Maria Salome alß beeder mit vorgemelt Ihrem geliebten Ehevogten haußwürth dem nunmahligen Wittibern Ehelich erziehlter Kinder vnd ab intestato hinderlaßener Erben, welch letzters Kind aber bald nach Ihr der Mutter nemblichen den 25.ten Martÿ, dießes zeitliche Leben auch seeliglich geendiget vnd alßo deß. Mütterlicher Erbentheil auf besagte, Wittibern als leiblichen Vattern Erblich erwaxen ist (…) Actum in der Königlichen Freÿen Statt Straßburg Dienstags den 6. Junÿ A° 1690.

In einer der Statt Straßburg der Höllengaßen gelegen Zur Höll genant und hiehero nicht gehörig. Schwartzbecken behaußung ist befunden worden wie volgt
Ane Haußrhat. uffm vndern Fruchtkasten, In der Cammer A, In der Cammer B, Vor dießer Cammer, In dem obern Stübel, Vor dießem Stübel, Vfm gang, In der Wohnstuben, In der Küchen, Im vndern haußöhren, Im hoff vnderm Gang, Im Keller
Summar. deß Wittwers gantzen unverändert. Vermögens 16 ß
Summar. der Erben unveränderten haußraths 49, Silbers 7, Pfenningzinß hauptgüter 31
Summar. Theilb: haußraths 14, Schiff und geschirr zum Becken handwerck gehörig 8, Silbers 5 ß, Schulden 15
Ergäntzung d. Erben unveränderten guths, Aus dem über ihr Frawen Mariæ Elisabethæ Apffelin gebohrner Martin sel. durch Notarium H Johann Reinhard Langen A° 1686. d. 2.ten Aprilis auffgerichtet vnd ausgefertigten Special Theil Register (…) 122 lb, Abzug 6, rest 116 lb
Summa summarum der Erben gantzen unveränderten Nahrung 188 lb – Schulden 3, Rest 184 lb
Summa summarum Theilbaren guths 40 lb – Schulden 221 lb, (In Vergleichung) 180 lb
Conclusio finalis Inventarÿ 93 lb
Copia Eheberedung (…) Geschehen in der Königlichen Freÿen Statt Straßburg, Donnerstags den 15. Monatstag Maÿ Anno 1687. Elias Winckler, Nots. Cæs. Juratus
Bericht und Vergleich wegen beederseits einander für unverändert in die Ehe Zugebrachten Nahrungen

Jean David Apffel se remarie en 1690 avec Anne Marguerite, fille du fabricant de pâtés Jean Melchior Billinger
Mariage, Saint-Pierre-le-Jeune (luth. f° 28)
1690. Dom. Rogat. et Exaudi proclamati sunt Johann Davidt Apffell der schwartzbeck vndt burger alhier Vndt Jfr. Anna Margaretha, weÿl. Johann Melchior Böllingers gewesenen Pastettenbecken v burgers alhier nachgel. ehel. tochter. copulati sunt Mittw. d. 30. Maÿ (unterzeichnet) Johann David Appe als hochzeiter, An Margretha Billingerin Als hochzeiterin (i 30)

Les nouveaux mariés font dresser l’inventaire de leurs apports dans leur maison dite Zur Höll. L’actif du mari s’élève à 218 livres, le passif à 243 livres. Les apports de la femme s’élèvent 212 livres.

1691 (28.9.), Not. Theus (Philippe Henri, 59 not 23) n° 780
Inventarium vndt Beschreibung Aller und jeder Haab vndt Nahrung, so der Ehrsam Vndt bescheidene Meister Johann David Apffel, haußfeurer, Vndt die Ehren und Tugendsahme Fraw Anna Margaretha gebohrne Billingerin beede Eheleüth v. burgere alhier einander in der ohnlängsten mitteinander angetrettenen Ehestand für Unverändert Zugebracht haben (…) Actum in der Königlichen Freÿen Statt Straßburg Freÿtag den 28. 7.bris Anno 1691.
In Einer d. Statt Straßb. in d. Höllengaß gelegenen Zur Höllen genantt dem Mann gehörig. und hernach beschriebenen behaußung ist befunden worden wie volgt
Haußrath M 119, F 48, Schiff und geschirr Zum beckenhandwerck M 6, Silbergeschirr M 3, Guldinen ring 10, Baarschafft F 150
Eigenthumb an einer Behaußung (M.) Item j. schwartzbecken vor alters Zur höllen genannten behausung (…)
M. 74, Summa summarum M 218 lb, F 212 – Schulden M 243, die passiv Schulden übertreffen deß Manns Zugebrachte Nahrung 25 lb
Wÿdemb so Er Johann David Apffel lebtägig Zu usufruiren befugt, Vermög Inventarÿ über seiner vorig. alß Erst Ehefr. Mariæ Salome gebohrnen Ulnerin seel. verlaßenschafft durch mich vor undt nachgemelt. Notarium auffgerichtet
Ungewiß vnd Zweiffelhaffte Pfenningzinß hauptgut (…) woran die helffte sein Mstr Johann David nachgemelten döchterlein (Mariæ Elisabethæ Apffelin gehörig) Erster Ehe gehörig, die übrige Helffte aber gebührt Ihme Mstr Johann David Apffel weg. seines seel. Verstorbenen Kindes Erster Ehe Erb. vnd Eigenthümlich
Haussteüren 23 lb

Jean David Apffel et Marguerite Billinger hypothèquent la maison au profit d’Anne Catherine Rieffel, femme abandonnée du fondeur d’étain Abraham Eckel

1697 (28. 8.bris), Chambre des Contrats, vol. 569 f° 507-v
Johann David Apffel, der Haußfeurer und Margaretha geb. Billingerin, und Zwar dieselbe mit beÿstand Johann Paul Apffel des Schneiders Ihres Schwagers und Johann Paul Stuber des Nadlers Ihres Vettern
in gegensein Fr. Annæ Catharinæ geb. Rieffelin, Abraham Eckels des Zinngießers Verlaßener haußfrauen, mit beÿstand H. Isaac Böhren des Seidenhändlers Ihres Curatoris – schuldig seÿen 50 pfund
unterpfand, Eine Schwartzbecken behaußung mit allen deren Gebaüen, Begriffen, Rechten Und zugehörden allhier in der Zimmerleuth oder Pimpernantz Gaß, einseit neben der alten Zimmerleuth stuben, bewohnt anjetzo H. XV. Johann Jacob Richshoffern dar zwischen ein gäßel, das nicht durchgehet, anderseit neben dem so genandten Jud. bad anjetzo H. Ambtmann Sponen gehörig, hind. auff den Pfaltz Birckenfeldischen Hoff, anjetzo /tit/ Hn Johann Baptistæ Klinglin Königl. Rath Und syndico und dießer Statt Cancelleÿ Directoris zuständig stoßend gelegen

Jean David Apffel et Marguerite Billinger hypothèquent la maison au profit d’Elisabeth Apffel, fille issue du premier mariage du débiteur

1707 (5.9.), Chambre des Contrats, vol. 580 f° 567-v
Joh. David Apffel Haußfeurer u. Marg: geb. Bullingerin beÿständlich Johann Paul Apfel schneiders u. Isaac Glitz secklers
in gegensein Joh. Leonhard Röderers rothgerbers alß vogts Mariæ Elisabeth Apfelin sein Apfels tochter erster ehe – schuldig seÿen, 128 pfund
unterpfand, ihre behaußung allhier in der Zimmerleuth gass, einseit neben dem Judenbad, anderseit neben einem allmend gäßlein hinten auf H. Prætore

Jean David Apffel et Marguerite Billinger hypothèquent la maison au profit de Jean Güntzlin, enseignant au Gymnase

1708 (13.7.), Chambre des Contrats, vol. 581 f° 446
David Apffel Haußfeurer und Margaretha Billingerin mit beÿstand Johann Paul Apffels Schneiders Ihres Schwagers und Isaac Glitzen des Secklers Ihres Vettern
in gegensein hrn M Johann Güntzlins Præceptoris infer. Gymnasÿ – schuldig seÿen 25 pfund
unterpfand, eine Schwartzbecken behaußung mit allen gebäuen, begriffen und zugehörden allhier in der Pimperantz gaßen, einseit neben dem hauß zum Judenbad genandt anderseit ist ein Eck ahn einem nicht durchgehend. Gäßlein hind. auf den birckenfeldische Hoff stoßend

Marie Marguerite Billinger meurt en 1728 en délaissant cinq enfants. L’inventaire est dressé rue des Charpentiers. La masse propre aux héritiers s’élève à 239 livres. L’actif de la communauté et du veuf s’élève à 195 livres, le passif à 332 livres
1728 (19.5.), Not. Kolb (Abraham, 22 Not 1) n° 5
Inventarium undt Beschreibung aller Haab undt Nahrung so weÿl. die Tugendsame fr. Maria Margaretha gebohrne Billingerin Mstr. Joh: Davidt Apffels deß Ehemahlig. haußfeurers geweste Ehefrau nach ihrem den 11. Februarÿ dieses lauffenden 1728.ten Jahrs genommenen tödlichen ableiben Zeitlichen v.laßen, welche auf ansuchen undt begehren dero ane nechst folgendtem folio benambster undt ab intestato nachgelaßener Erben inventirt (…) So bescheh. in der Königl. Statt Straßb. auff Mittwoch den 19. maÿ anno 1728.
Kurtzer Bericht Ane statt der Eheberedung. Es berichtet Zwar der wittiber daß Er undt seine nunmehr seelig verstorbene Ehefraw Eingangs gedacht beÿ ihren Ehe Mahligen Eheverspruch Eine Eheberedung auffgerichtet, die Sich aber dermahlen wider allen angewenden fleiß nirgendt finden will, als hat Sich der Wittiber dahien erkläret vnd beeidigt daß Mann der Verstorbenen Erben vor die vesprochene Morgengaab undt vor die hochzeit Kleÿdung 40 gulden Zuschreiben
Die abgeleibte seel. hat ab intestato Zue Erben Verlaßen alß volgt 1. Fr. Mariam Salome so ane Joh: Philipp Wittmann dem schwb. allhier verheurathet undt præsentes waren, 2. S.T. H. Joh: Friderich apffell S.. Th. Stud. so nicht erschienen, so aber nachgehendts mir Nortario selbsten beditten daß Er wider diese Inventation nichts Einzuwenden habe, 3. Jfr Catharinam Margaretham Apffelin so 27 Jahr alt und ohnbevögtigt ist die auch Zugegen war, 4. Joh: Görg apffell lediger miller der 25. Jahr alt und auch gegenwärtig war, 5. Jfr Susannam Margaretham apffelin die 23 Jahr So dann 6. annam Mariam apffelin von 21 Jahren beede noch ledig. Standts und ohnbevögtigt, In welcher unbevögtigter Nahmen herr H. Geörg Kuntz der Perruquenmacher u. burger allhier Zu geg. geweß.

Inn Einer allhier in der Statt Straßburg in der Zimmerleuth gaß gelegener becken behaußung hat Sich befunden, alß volgt
Ergäntzung der Kindter und Erben Ermanglenden ohnveränderten guths. Nach inhalt deß über Eingangs berührter beeder gewesten Eheleuthen durch weÿl. Herrn Notm Philipp Heinrich Theum seel. in anno 1691. auffgerichteten undt verfertigten Zugebrachten Nahrungs Inventary hat mann denen Kindtern undt Erben anjetzo alß manglendt Zu Ergäntzen wie volgt
Norma hujus invent. der Kindter undt Erben unverändertes Vermögen Sa. Ergäntzung 219, Morgengaab 20, Summa summarum 239 lb
Würdt dann auch d. Wittibers und die theilbahre Nahrung nach vorher Eingetragenem bericht unter Einer massa alß theilbahr Consignirt und beschrieben, Sa. haußraths 20, Silber 7 ß, activ Schuldt 175, Summa summarum 195 lb – davon solten die passiva abgezogen werdten 332 lb, Übertreffen also die Schulden auß dem Erbe zu bezahlendt deß Wittibers unverändertt und theilbare Nahrung dem Stall Tax nach umb 131 lb
Verstallungs Summa 102 lb

Les préposés de la Taille font figurer la succession dans leur registre parce que les impôts acquittés étaient calculés d’après une fortune sous-évaluée de 100 florins (50 livres) sur un total de 200 florins
1728, Livres de la Taille (VII 1176) f° 225-v
Becker A. N. 4551. – Weÿl. Fr. Mariæ Margarethæ gebohrner Billingerin Johann David Apffel Haußfeurers und burgers alhier gewesener Ehel. haußfrauen Verlaßenschafft inventirt H. Not. Kolb
Concl. Fin. Inv. ist fol. 33 – 182 lb 11 ß, die machen 200 fl. verstallte 100 fl. also Zu wenig 100 fl.
Warvon der Nachtrag gerechnet wird auff Sechs Jahr in duplo à 6 ß – 1 lb 1 ß
Und auf Vier Jahr in simplo à 3 ß – 12 ß
Ext. 1725 per rest – 15 ß
ferner pro 1728. – 1 lb 10 ß
gebott – 2 ß
Abhandlung – 5 ß 6 d – Summa 5 lb 6 s
auf suppliciren Haben die Herren dreÿ den Nachtrag auff die Helffte reducirt gehet alßo ab – 1 lb 4 – rest 3 lb 16 ß 6 d
dt. 9. Febr. 1729

Jean David Apffel et Marguerite Billinger vendent la maison boulangerie à Jean Philippe Wittmann et Marie Salomé Apffel, leur gendre et fille respectifs.

1722 (8.8.), Chambre des Contrats, vol. 596 f° 476
(825) Joh. David Apffel der haußfeurer und Margaretha geb. Billingerin
in gegensein Johann Philipp Wittmann haußfeurers und Mariæ Salome geb. Apffelin ihrer respective tochter und tochtermann
Eine Schwartz: becken behausung höfflein und hoffstatt mit allen derselben gebäuden, begriffen, weithen, zugehörden, Rechten und gerechtigkeiten in der zimmermeuth oder Pimpermannß gaßen, einseit neben dem Judenbad so anjetzo H. Ambtmann Spoon zuständig anderseit ist ein eck ahn einem engen nicht durchgehenden Almend: gäßlein hinten auff den wohlgeb. H. Joh. Baptistam von Klinglin Prætore regium – um 550 capital (verhafftet, geschehen umb 275 pfund

Marie Elisabeth Apffel donne quittance des sommes stipulées dans le contrat de vente à son beau-frère Jean Philippe Wittmann et à sa sœur Salomé Apffel

1722 (8.8.), Chambre des Contrats, vol. 596 f° 475-v
Maria Elisabetha Apffelin so majorennis und ohnbevögtigt beÿständlich Jacob Christoph Kolb des weißbecken
in gegensein Joh. david Apffel des haußfeurers ihres vatters
demnach sie wegen mütterlichen ihrem vatter bißhero mit wÿdumb verfangenen guths krafft den 12. Februarÿ 1691 auffgerichteten Kinder Vertrags 128 pfund zu fordern gehabt (…) nunmehro baar entrichtet worden als wolle sie hiemit ged. ihrem Vater wie nicht weniger ihren Schwager und Schwester Johann Philipp Wittmann haußfeurer und Maria Salome geb. Apffelin als dermahliger proprietarius der ihr in genere hypothecirten in der Zimmerleuth gaß gelegenen in hernach stehender Kauffverschreibung beschriebenen Schwartzbecken behausung deßwegen bester maßen davor quittiren
als hat sie apffelische tochter die Creditrix alle ihre aus angezogenen Kinder Vertrag und sonsten her habende jura et actiones absq. ulla novatione ged. Hn. Flach umb so viel cedirt, beÿ nochmaliger unterpfändung obberührter behausung

Fils du tanneur et aubergiste Jean Georges Wittmann à Ingwiller, Jean Philippe Wittmann épouse Marie Salomé Apffel en 1721 : contrat de mariage, célébration
1721 (13.3.), Not. Kolb (Abraham, 22 Not 24) n° 301
Eheberedung zwischen dem Ehrbaren undt bescheidenen Johann Philipp Wittmann dem ledigen becken, des auch Ehrsam und bescheidenen hannß Georg Wittmanns Rothgerbers und Blumenwürths Zu Ingweÿller Ehelichem Sohn hochzeitern ane Einem
So dann der Ehr: undt Tugendbegabten Jfr. Mariæ Salome Apffelin Davidt Apffell deß hauß feuers undt burgers allhier in Straßburg mit Maria Margaretha gebohrner Billingerin Ehelich erzielter dochter hochzeiterin am andern Theil
Actum et Conclusum Donnerstags den 13.ten Martÿ anno: 1721. (unterzeichnet) hanß Plips Wittman als hoschzeiter, marisalome Apffelin

Mariage, Saint-Pierre-le-Jeune (luth. f° 50-v n° XVI)
1721. Iisdem diebus [Dominica 6. et 7. Trinitatis] proclamati sunt Johann Philipp Wittmann lediger Weißbeck Hanß Georg Wittmann burg. und Rothgerbers wie auch gastgebers Zu Ingweiler ehel. Sohn, und Jfr. Maria Salome Johann David Apffels burg. und Schwartzbecks allhier ehel. Tochter. Copulati sunt Mittw. d. 30. Julÿ (unterzeichnet) hanß Pils wettman hoch Zieter, Mari salom Apffrin hoh Zeiterin (i 55)

Jean Philippe Wittmann devient bourgeois par sa femme six mois après son mariage
1722, 4° Livre de bourgeoisie p. 871
Johann Philipp Wÿdtmann der haußfeürer Von Inweiller geb. Johann Georg Wÿdtmanns des würths allda ehelicher sohn, erhalt das burgerrecht von seiner ehefr. Maria Salome Johann Davidt Apfels burgers undt schwartzbecken ehelicher tochter umb die tertz des alten burger schillings, will beÿ E: E: Zunfft der becker dienen Jur: den 21.ten Jan: 1722

Il devient tributaire chez les Boulangers le 18 mars 1722.
1722, Protocole de la tribu des Boulangers (XI 9)
(f° 377) Mittwochs den 18.ten Martÿ 1722 – Neuzünfftiger
Johann Philipp Wittmann der beckh von Ingweiller beÿ Pfaffenhoffen auß dem hanawischen gebürtig Erscheint, prod. burger urkundt undt Stallschein mit bitt ihme alß Einen mit Zünfftigen auffzunehmen. Erk. seÿe ihme Zue willfahren undt weillen Er Eines Meister dochter geheurath habe Er vor alle gebühr 4. lb 14 ß zu erleg.

Jean Philippe Wittmann meurt en 1746 en délaissant deux fils. Les experts estiment la maison 600 livres. La masse propre à la veuve est de 74 livres. L’actif des héritiers et de la communauté s’élève à 615 livres, le passif à 789 livres.

1746 (29.8.), Not. Kolb (Abraham, 94 Z 63) n° 604
Inventarium weÿl. Mstr. Johann Philipp Wittmann, geweßenen haußfeurers undt burgers allhier zu Straßburg seel. Verlaßenschafft, auffgerichtet anno 1746.
Inventarium undt beschreibung aller haab undt Nahrung so weÿl. der Ehrengeachte Mstr Johann Philipp Wittmann der geweste Haußfeurer oder schwartzbeckh undt burger dahier Zu Straßb. nach seinem den 5. Maÿ dieses 1746. Jahrs genommenen tödlichen ableiben, zeitlichen verlaßen, welche Verlaßenschafft auf ansuchen undt begehren, deßen ane Nechst folgendem folio benambster undt ab intestato verlaßenter Erben inventirt durch die Tugendsame Fr. Mariam Salome gebohrne Apffelin die hinderbliebene Wittib so ohnbevögtigt beÿständlich H Joh: Friderich Lung deß Schloßers auch burgers dahier (…) geeÿgt und gezeigt – So beschehen Straßburg auff Montag den 29.ten aug. 1746.
Denominatio hæredum. der Eingangs verstorbene seel. hat ab intestato Zu Erben verlaßen wie volgt. 1. Joh: Philipp Wittmann den bedienten in allhießigem Kauffhauß so majorennis undt præsens war, So dann 2. Joh: Davidt Wittmann so in der Lehr deß becken handwerckhs begriffen, so ohnbevögtigt, der mit assistentz H Conradt Höltzingers deß Meelhändlers allhier dem geschäfft beÿgewohnt, beede deß abgeleibten seel. mit Eingangs Erwehnten seiner hinterbliebener wittib ehelich erzielhter undt nach tod verlaßenter Söhnen deßen ab intestato Erben zu gleichen antheillern

Inn Einer dahier Zu Straßb. in der Zimmerleüth gaß gelegener undt hernach beschriebener Schwartzbecken behaußung hat sich befunden wie volgt
Eigenthumb ane Einer behaußung. Eine Behaußung höfflein u. hoffstatt mit allen deren begriffen, weithen, zugehörden Rechten undt gerechtigkeit gelegen dahier Zu Straßburg in der Zimmerleuthgaß i.s. H Lt Mueg 2.s. ein Eck in der Bimbermannß gäßlein, hinden auff der 24. Graffen hoff stoßend, welche behaußung inhalt abschatzungs scheins vom 5. Aug. 1746. durch der Statt Straßburg geschworene Herren Werck Meisteren vor ledig Eigen angeschlagen worden umb 1200. fl. th. 600 lb. Hierüber meldet ein Teutscher perg. Kbr. auß allhießiger Cancelleÿ Contract stub datirt d. 8. aug. 1722. mit dero anhagendem Innsiegell. Die darauff stehendte Capitalia befinden sich hernacher passive eingetragen.
(f° 6) Norma hujus Inventarÿ. Copia der Eheberedung.
Bericht. Wie auß hievor inserirter Eheberedung §° 3.tio ersichtlich, so haben Sich eingangs erwehnte beide geweste Eheleuth zwar ihre einander Zubringende alß auch stante matrimonio ererbente Nahrung alß ein Unverändert guth vorbehalten, deren abgehenden die Ergäntzung sipulirt, zu dem Endte Sie ihre einander Zubringendess Vermögen abgerder maßen bald nach vollzogener Copulation hätten sollen nach ordnung inventirt und æstimirt laßen, so aber von Ihnen unterlaßen wordten, dahero mann sann auch Keine Ergäntzung ersuchen können
Sa. der Wittib zuständiger haußraths Posten 4, Sa. Schulden 70, Summa summarum 74 lb
Demnach wirdt auch der Erben unveränderte undt die Theilbahre Nahrung unter Einer Massa beschrieben, Sa. haußraths 15, Sa. Eigenthums ane Einer behaußung 600, Summa summarum 615 lb – Schulden 789 lb, Übertreffen also die passiva der activ Nahrung dem Stall anschlag nach umb 173 lb
Mehr Schulden als guth 99 lb
Abschatzung vom 5: Augst: 1746. Auff begehren weillandt deß achtbahren und bescheiten Meister Johann Phlip weitmann deß gewëßenen hauß feurerers seel hindter Laßenen Frau wittib und Eben ist eine behausung allhier in der Statt Straßburg in der Zimmerleüth gaßen gelegen ein seitß an herrn Licentiat Mück andeseitß ein Eck in daß Bimber Mannß gëßlein hinten auff die vier und Zwantzig graffen hoff Stosent, welche behaußung unden ein gangß rechter handt die backstuben, bachoffen, Kuchen hauß Ehren, gewölbter Keller oben ihm Ersten und 2.ten Stock ein Stuben Cammer Kuchen hauß Ehren ein Nebenß Cammer und gang war über ein alter tach stull un besetzte bien holtzre gebell sambt alle gerëchtig keit wie solches turch der Statt Straßburg geschwornen werck Meistere sich in der besichtigung befundten und Jetzigen Preÿß nach an geschlagen wiredt vor und umb Ein Tausent und Zweÿ hundert Gulten. Bezeichnuß der Statt Straßburg geschwornen wërck Meistere, [unterzeichnet] Pflug Statt Lohner, Michael Ehrlacher Werck Meister deß Meinsters, Johann Jacob Biermeÿer Werck Meister deß Zimmerhoffs

Marie Salomé Apffel loue la boulangerie et un appartement au fournier Jean Georges Binninger

1746 (16.5.), Chambre des Contrats, vol. 620 f° 367
H. Johann Friedrich Lung der schloßer als gewalthaber Fr. Maria Salome geb. Apffelin weÿl. Johann Philipp Wittmann des haußfeurers und dero sohn Johann Philipp Wittmann der garde in hiesigen kaufhauß so dann H. Rathh. Johann David Wittmann
in gegensein Johann Georg Bininger des haußfeurers
entlehnt, In einer denen verlehner ane der Zimmerleuthgaß, einseit ein eck ane einem Allmend gäßlein, einseit neben H. Lt. Wilhelm Andreas Müeg E. E. kleinen raths advoc. und proc. gelegen schwartzbecken behausung, unten auff dem boden die bachstub, das backhauß den hoff um holtz zu legen auf dem ersten stock eine stub, stub kammer, kuchen, haußöhren und eine kammer an der stiegen der große bühn und den halben keller – auff 6 nacheinander folgenden jahren anfangend von dato, um einen jährlichen Zinß nemlich 130 gulden

Jean Georges Binninger sous-loue les localités au fournier André Blinder

1746 (30.12.), Chambre des Contrats, vol. 620 n° 1030
Johann Georg Binninger der haußfeurer
in gegensein Andreas Blinder des haußfeurers
affterlehnungsweiße, In einer Wittmännischen wittib und erben eigenthümlich gehörig ane der Zimmerleuthgaß gelegene schwartzbeck behausung unten auff dem boden die backstub den hoff um holtz zu legen auff dem ersten stock eine stub stubkammer, kuchen haußöhen und eine kammer an der stiege die große bühn und den halben keller – auff d. 3. innstehenden monats januarÿ anfangend und am 16. maÿ 1752 sich endigen solle – um einen wochentlichen Zinß nemlich 19 schilling

Garde à la Halle, Jean David Wittmann vend sa moitié de maison à son frère Jean Philippe Wittmann

1755 (15.4.), Chambre des Contrats, vol. 629 f° 128
Johann David Wittmann der garde im kaufhauß
in gegensein seines bruders Johann Philipp Wittmann des kauffhauß knechts und Annæ Mariæ geb. Fuchßin
die unvertheilte helffte einer beckenbehausung höfflein und hoffstatt mit deren allen begriffen, rechten und gerechtigkeiten ane der Zimmerleuthgaß einseit neben H. Lt. Mueg EE Kleinen Raths procurator und adv. ordinario, anderseit ist ein eck, hinten auff ein domb capitulischen hauß – als ein vätterliches erbguth – um 750 lb und 300 lb beladen, so die Käuffer zur helffte übernehmen, geschehen um 100 pfund

Jean Philippe Wittmann, garde de l’accise, épouse en 1749 Anne Marie Fuchs, fille de l’apprêteur de tabac Jean Jacques Fuchs : contrat de mariage, célébration
1749 (23.6.), Not. Langheinrich (J. Daniel, 6 E 41, 739) n° 28
Eheberedung – zwischen dem Ehrbahren und bescheidenen Johann Philipp Widtmann dem garde im Kauffhauß und burgern alhier des auch Ehrsamen weÿland Johann Philipp Widtmann gewesenen burgers und becken alhier Ehelichen sohn, hochzeitern ane Einem
so dan der Ehr und Tugend begabten Jungfrau Anna Maria Fuchsin weÿlandt Johann Jacob Fuchs gewesenen burgers und Tabackbereithers alhier mit Frauen Anna Maria geborner Zornin Ehelich erzeigter tochter am andern theil
Straßburg den 23. Junÿ 1749 (unterzeichnet) J: P: Wittmann als hochzeiter, Anna Maria Fuchsin als hozeitrin

Mariage, Saint-Pierre-le-Jeune (luth. f° 193-b, n° 11)
1749. Mittw. Eodem post Joh. Bapt: d. 25. Junii post proclamationel ordin. copulati sunt Joh: Philipp Wittmann, lediger Garde in hiesigem Kaufhaus weÿl. Joh: Philipp Widtmann gew. schwartzbeck u. b. h. l. ehel. sohn u. Jgfr. Anna Maria weÿl. Joh: Jacob Fuchs gew. taback fabricanten ehel. tochter u. burgers h. l. [unterzeichnet] J: P: Wittmann als Hoch Zeiter, Anna Maria fuchsin als hochzeiterin (i 198)

Jean Philippe Wittmann et Anne Marie Fuchs hypothèquent la maison au profit du marchand Jean David Bauch

1751 (5.2.), Chambre des Contrats, vol. 625 n° 48-v
Johann Philipp Wittmann der kaufhaußknecht und Anna Maria geb. Fuchßin so über 25 jahr zu seÿn versicherte beÿständlich ihres stieffbruders Johann David Weber des tabacbereiters und ihres vettern Johann Jacob Hörter des haußfeurers
in gegensein H. Johann David Bauch des handelsmann auch E.E. kleinen raths beÿsitzers – schuldig seÿen 750 pfund
unterpfand, eine schwartzbecken behausung samt denen Zugehörden und rechten an der Zimmerleuth: gaß, einseit ist ein eck ane einem allmend Gäßlein anderseit neben H Lt Müeg hinten auff das Dombcapitulische canonicat: hauß – als ein elterliches erbguth

Jean Philippe Wittmann meurt en 1762 en délaissant trois enfants. Il n’y a pas eu d’inventaire des apports. Les experts estiment la maison en cours de construction à la somme de 800 livres. La masse propre à la veuve est de 388 livres. L’actif des héritiers et de la communauté s’élève à 882 livres, le passif à 1 273 livres.

1762 (11.8.), Not. Langheinrich (J. Daniel, 6 E 41, 719) n° 440
Inventarium über Weÿland Herrn Johann Philipp Wittmanns geweßenen Kauffhauß Knechts und Burgers allhier Zu Straßburg seel. Verlaßenschafft auffgerichtet Anno 1762. – als derselbe Mittw: den 3. Februarÿ Anno 1762. dieses Zeitliche mit dem Ewigen verwechßelt nach solch seinem aus dießer welt genommenen tödlichen Ableiben hie zeitlichen Verlaßen, welche Verlaßenschafft auf freundliches ansuchen erfordern und begehren des Ehren und Vorgeachten Hn Johann David Wittmanns, Garde in allhießigem Kauffhauß und Burgers allhier als geordnet und geschworenen Vogts Johann Philipp, Johann David und Anna Maria der Wittmann, alle dreÿ des verstorbenen seel. mit hernach gemelter seiner hinterbliebenen Wittib ehel. erzielter Kinder und ab intestato Verlaßener Erben ersucht und inventirt durch die Ehren und tugendsahme Frau Annam Mariam geb. Fuchßin die hinterbliebene Wittib beÿständlich S. T. H. Heinrich Casimir Meinel verschiedener hoch Adelicher familien wohl verordneten H Schaffners und Vornehme burgers allhier, auff Zuvorhin ane dieselbe beschehene genugsame Erinner: und ableßung de gewohnlichen Articlus Äugens und Zeigens (…) geäugt und gezeigt – So beschehen in Straßburg auff Mittwoch den 11. Augusti A° 1762.

In einer allhier Zu Straßburg ane der Zimmerleuth gaß gelegener und in dieße Verlaßenschafft gehörigen Behaußung befunden worden wie folgt
Eigenthumb ane Einer behaußung. I. Behaußung hoff Hoffstatt und bronnen, mit allen deren übrigen Recht und Gerechtigkeiten gelegen Allhier Zu Straßburg ane der Zimmerleuth gaß i. seith ist ein Eck an einem ô durchgehenden Allmend Gäßlein, 2. seith neben H. Lt Wilhelm Andrea Müeg, E. E. Kleinen Raths und andere hoher Gerichts stellen wohlbestelltem Advocato et Procuratori Ordinario, hinten auff eine dem hochlöbl: Thom Capitul Zuständige behaußung, so gegen männiglich freÿ leedig eigen und ist solche Behaußung dh. (die Werckmeistere) laut Abschatzungs Zeduls vom 20.ten Maÿ 1762. æstimirt und Zwar weilen solche noch nicht völlig außgebauen pro 1600 fl. oder 800. Über dieße Behaußung hat sich beÿ gegenwärtiger Verlaßenschafft nichts schrifftliches hervorgethan, es rühret aber solche Von des Verstorbenen seel. Elterlicher Succession her
Series rubricarum hujus Inventarÿ. Copia Heuraths Verschreibung
Copia des Verstorbenen seel. vor mir Not° den 1. febr. 1762. errichteten Codicilli
Bericht wegen dießer Verlaßenschafft. Nachdeme nun dieße Verlaßenschafft völlig inventirt war und mann daraufhin Zu Ersuchung der hinterbliebenen Wittib ohnveränderten Guths schreiten wollen, so hat dieselbe berichtet, daß dero beederseitig in die ehe gebrachtes Vermögen nicht inventirt worden, sie hätte aber nebst Iher Kleidung und weißgezeug nur einige wenige haußrath und silberposten in die ehe gebracht (…)
Der Frau Wittib unverändert Vermögen, Sa. haußraths 3, Sa. Silbers 5, Sa. Schulden 380, Summa summarum 388 lb
Dießemnach Wird nun auch der Erben unverändert und theilbar Vermögen unter einem titul beschrieben, Sa. haußraths 73, Sa. Lährer faß 5, Sa. Silbers 3, Sa. Eigenthums ane einer behaußung 800, Summa summarum 882 lb – Schulden 1273 lb, In Vergleichung 390

Anne Marie Fuchs loue la boulangerie et un appartement au fournier Jean Michel Klein

1763 (17.1.), Chambre des Contrats, vol. 637 f° 19-v
Fr. Anna Maria geb. Fuchßin weÿl. Johann Philipp Wittmann des kaufhausknechts wittib beÿständlich Johann David Wittmann des kaufhausbeamten
in gegensein Johann Michael Klein des haußfeurers
verlühen, in ihrer ane dem Zimmerleuthgaß neben H. Lt. Mueg gelegenen behausung unten auf dem boden eine wohnung bachstub, im hoff platz für holtz zu legen darunter einen unterschlagenen keller auf den dritten stock zweÿ cammer samt die darüber befindliche bühnen – auff 3 nacheinander folgenden jahren auff Annunciationis Mariæ anfangend, um einen jährlichen Zinß nemlich 62 pfund

Le boulanger Jean Michel Klein épouse en avril 1763 Anne Marie Fuchs, veuve de Jean Philippe Wittmann
1763 (24.3.), Not. Langheinrich (J. Daniel, 6 E 41, 739) n° 211
Eheberedung – zwischen dem Ehren und Vorgeachten Hn Joh: Michael Klein dem Leedigen Becken und burgers allhier Zu Straßburg, weÿl. Hn Diebold Klein des geweßenen Ackers Manns und burgers Zu Hörd hanauischer Juridiction nunmehr sel. nachgelaßenem ehelich erzeugtem Sohn als dem Hn Bräutigam, ane einem
So dann der Viel Ehr und Tugendgezierten frauen Annæ Mariæ Widmännin geb. Fuchßin, weÿl. Hn Joh: Philipp Widmans des geweßenen Kauffhauß Knechts und Burgers allhier seel. nachgelaßener fr. Wittib als der fraun hochzeiterin am andern theil
auf donnerstag den 24. Martÿ A° 1763. (unterzeichnet) Johan Michael Klein, Annama Wittmennin

Mariage, Saint-Pierre-le-Jeune (luth. f° 234 n° 5)
Anno 1763 auff den Sonntag Quasimodo geniti und auff den Sonntag Misericordias Domini sind beÿ uns ausgeruffen und den 20. Aprilis als ane Mittwoch darauff beÿ uns copuliret worden Joh: Michael Klein lediger schwartzbeck und burger allhier des weÿland Diebold Klein gewesenen Ackermanns und burgers zu Hördt Hochfürstlich Hanau Liechtenbergischer Herrschafft hinterlassener ehelicher Sohn, und Frau Anna Maria Wittmännin gebohrne Fuchsin des weÿland hern Joh: Philipp Wittmans gewesenen Wiegers im allhiesigen Kauffhaus hinterlaßene Wittwe (unterzeichnet) Johan Michael Klein als hohzitter, Anna Maria Wittmennin als hohzitterin (i 238)

Les nouveaux mariés font dresser l’inventaire de leurs apports dans la maison rue des Charpentiers. Les apports du mari s’élèvent à 892 livres, ceux de la femme à 1 593 livres.

1763 (3.5.), Not. Langheinrich (J. Daniel, 6 E 41, 720) n° 461
Inventarium über des Ehren und Vorgeachten Herrn Joh: Michael Klein, des Schwartzbecken und der Ehren und tugendsahmen Fraun Annä Mariä Kleinin geb. Fuchßin, beeder Eheleuthe und Burgere allhier Zu Straßburg einander für ohnverändert in den Ehestand Zugebrachte Nahrungen auffgerichtet A° 1763. – sich vermög der Vor mir unterschriebenem geschwornem Notario unterm 24.ten Martÿ Jüngst, Vor unverändert Vorbehalten haben (…) So beschehen allhier Zu Straßburg in præsentia Hn Joh: Diebold Meylings Schwartzbecken und S. T. Hn Heinrich Casimir Meinolts Verschiedener hochadelicher familien wohlbestellten Hn Schiffmanns beeder burgere allhier davon der Erstere von dem Ehemann der Letztere aber von der Ehefrauen Zu ihrem assistenten erbetten worden auf Donnerstag den 3.ten Maÿ A° 1763.

In einer allhier Zu Straßburg ane der Zimmerleuth gaß gelegener und in dieße zugebrachte Nahrung Wÿdumsweiß gehörigen Behaußung befunden worden, wie folgt
Wÿdum, Welcher die Ehe frau Von Weÿland Herrn Joh: Philipp Wÿdmann dem gewesenen Kauffhauß Knecht und Burgern allhier Ihrem gewesenen Erstern Ehemann seel. Zufolg seiner den 1. Febr. 1762. vor mir Notario errichteten Codicilli wegen Ihrer 3.en Kinder theils lebtägig theils biß Zu deren Majorennität Verheurathung oder Etablissement Zugenißen und bestehet solcher laut des über ddesselben Verlaßenschafft deb 11. aug: 1762. errichteten Inventarÿ und. den 14. febr: 1763. gezogenen Von E. Löbl. Vogteÿ Gericht approbirten Summarischen Calculi in folgendem
Nemblichen eine Behaußung hoff Hoffstatt und bronnen, mit allen übrigen dero Rechten Zugehörden und Gerechtig Keiten gelegen allhier Zu Straßburg ane der Zimmerleuth gaß, einseith ist die Behausung ein Eck an einem nicht durchgehenden Allmendgäßlein, anderseith neben H. Wilhelm Andrea Müeg, J.V.Lto Es. En. Kleinen Raths und anderer hoher Gerichts Stellen Advocato et procuratori ordinario, hinten auf eine dem hochlöblichen Thum Capitul Zuständige behaußung, so gegen männiglich außen dem jenigen was der hinterbliebenen Fr. Wittib als dißortiger Ehefrauen derentwegen Zu verguthen freÿ leedig eigen und ist solche Behaußung Zugold obangezogenen Summarischen Calculi ohnpræjudicirlichen angeschlagen worden pro 3000 lb
Series rubricarum hujus Inventarÿ. des Manns in die Ehe gebracht Vermögen, Sa. haußraths 69, Sa. Silbers 6, Sa. Baarschafft 815, Scribe die Liegende güther im Hörthheimer Bann gelegen biß beliebet worden o, Summa summarum 892 lb
Dießemnach Wird auch nun der Frauen in die Ehe gebracht Vermögen beschrieben, Sa. Hßraths 233, Sa. Lährer Faß 16, Sa. Silbers 12, Sa. goldenen Rings und Geschmeids 20, Sa. Schulden 1339, Summa summarum 1621 lb – Schulden 28, Nach solchem abzug 1593 lb

Le tuteur des enfants de Jean Philippe Wittmann hypothèque la maison au profit du diacre Raoul Saltzmann

1765 (25.1.), Chambre des Contrats, vol. 639 f° 74
Johann David Wittmann der stallknecht als vogt weÿl. Johann Philipp Wittmann des beamten im kaufhaus kinder Johann Philipp, Johann David und Anna Maria derer Wittmann
in gegensein H. Rudolph Saltzmann des diaconi in der Neuen kirch – schuldig seÿen 300 pfund
unterpfand, eine behausung cum appertinentis ane der Zimmerleuthgaß, einseit ist ein eck ane dem Bimbermannsgäßlein, anderseit neben ST. H. Müeg proc. ord. beÿ E. kleinen rath, hinten auff eine dem domb capitul gehörige behausung

Le boutonnier Jean Philippe Wittmann hypothèque le tiers de la maison au profit du diacre Raoul Saltzmann

1778 (16.2.), Chambre des Contrats, vol. 652 f° 61
Johann Philipp Wittmann der knopffmacher
in gegensein H. Johann Rudolph Saltzmann des diaconi beÿ der Neuen oder Prediger kirch – schuldig seÿe 900 gulden
unterpfand, den dritten theil vor unvertheilt von und ane einer behausung samt zugehörden ane der Zimmerleuth gaß, einseit neben weÿl. H. Lt. Mueg wittib und erben, anderseit ist ein eck, hinten auff eine dem hohen Dom capitul zuständige behausung

Le boulanger Jean David Wittmann rachète la moitié de la maison qui revient à sa mère

1778 (30.2.), Not. Langheinrich (J. Daniel, 6 E 41, 719) Joint au n° 440 du 11 août 1762
Erschienen vor mir unterschriebenenm geschwornem und Zu Weÿl. Hn Joh: Philipp Widmanns geweßenen Kauffhauß Knechts und Burgers allhier Zu Straßburg seel. Verlaßenschafft Inventation in specie requirirtem Notario Frau Anna Maria Fuchßin die damahls hinterbliebene Wittib beÿständlich Ihres jetzigen Ehemanns H Joh: Michael Klein des frantzösischen Becken und burgers allhier und H. Johann Philipp Widmann Knöpffmacher und Seidenhändler auch burger allhier der ältere Sohn, die haben
in gegensein Ihres jüngern Sohns und Bruders, Herrn Joh: David Wÿdmanns, Schwartzbecken und burgers allhier, angezeigt und bekandt (cedirt, überlaßen und abgetretten)
benantlich die aus Ihres Ehemanns unveränderten Nahrung herrührende annoch Zwischen Ihnen gemeinschaftliche behaußung Hoff Hoffstatt und Bronnen, mit allen deren übrigen dero Rechten und Gerechtigkeiten, gelegen allhier Zu Straßburg ane der Zimmerleuth gaß einseith ist ein Eck an einem nicht durchgehenden Allmend Gäßlein, anderseit neben H. Lic. Wilhelm Andreä Müegen geweßenen Proc: nachgelaßenen Erben und hinten auff eine dem hochlöblichen Thumb Capitul Zuständige behaußung tochter, so gegen männiglich freÿ leedig eigen und ist sie Cession und übergaab vorgemelter Behausung und übriger Zugehörde Zugegangen und beschehen Vor und um 600 Gulden hießig Courrent (…) So beschehen in Straßburg auf Freÿtag den 30. febr: Anno 1778

Le boulanger Jean David Wittmann épouse en 1778 Marie Sara Rœsch, fille du tonnelier et marchand de vins Jean Rœsch : contrat de mariage, célébration
1778 (20.2.), Not. Langheinrich (J. Daniel, 6 E 41, 740) n° 490
Eheberedung – zwischen dem Ehren und wohlvorgeachten Herrn Joh. David Wÿdmann dem leedigen Schwartzbecken und burgern allhier weÿl. Hn Joh: Philipp Wÿdmanns des gewesenen Kauffhauß Knechts und burgers allhier sel. nachgelaßenen Sohn als dem herrn Brautigam ane einem
Sodann der Viel Ehren und tugendgezierten Jungfer Maria Sarä Röschin weÿl. Herrn Joh: Rösch geweßenen Kiefers und weinhändlers auch burgers allher seel. nachgelaßener Jgfr. tochter als der Jgfr hochzeiterin ane dem anden theil
au Freÿtag den 20.ten Februarÿ Anno 1778 (unterzeichnet) Johann David Wittmann, Maria Sara Röschin

Mariage, Saint-Nicolas (luth. f° 28-v n° 9)
1778. den 9. Mertz sich nach ordentlich geschehenen ausrufungen in der Kirch Zu St Nicolai ehelich eingesegnet worden Johann David Wittmann der ledige Schwartzbeck und burger alhier, weÿland H Johann Philipp Wittmann gewesenen bestätters im Kaufhaus und burgers alhier mit deßen gewester Ehefrauen Frau Anna Maria geborner Fuchsin, nunmehr verheuratheter Kleinin, ehelich erzeugter Sohn, und Jungfer Maria Sara Röschin, weÿland H Johann Rösch, gewesten Kieffers und burgers alhier mit deßen hinterlaßenen wittib, Fraun Maria Sara geborner Braunin ehelich erzeugte tochter, wie solches bezeugen (unterzeichnet) Johann David Wittmann als bräutigam, Maria Sara Röschin als Braut (i 233 – proclamation Temple-Neuf f° 189-v)

Les nouveaux mariés font dresser l’inventaire de leurs apports dans la maison du mari, portée à une valeur de 3 000 livres. Les apports du mari s’élèvent à 1 092 livres, ceux de la femme à 593 livres.

1778 (23.5.), Not. Langheinrich (J. Daniel, 6 E 41, 737) n° 1030
Inventarium über des Ehren: und Wohlvorgeachten Herrn Joh: David Wittmanns des Schwartzbecken und der Viel Ehr: und tugendgezierten frauen Mariä Sarä Wittmännin geb. Röschin beeder Eheleuthe und Bürgere allhier Zu Straßburg einander für ohnverändert in den Ehestand zugebrachte Nahrungen, auffgerichtet Anno 1778. – (…) und sich vermög der Vor mit unterschriebenem Notario unterem 20.ten Februarÿ dießes lauffenden 1778.ten Jahrs errichteten Heuraths verschreibung Vor unverändert vorbehalten haben (…) So beschehen in Straßburg in præsentia H, Joh: Michael Klein frantzösischen Becken des Ehemanns gel. Stiefvaters, Hn Joh: David Wittmann Stallbotten deßelben geschwornen noch ohnentledigten Hn Vogts und H Joh: Georg Volck ehemaligen Schwartzbecken der Ehefrauen gel. H. Oncle aller burgere allhier Zu Straßburg auf Sambstag den 2.ten Maÿ Anno 1778.

In einer allhier Zu Straßburg ane dem Zimmerleuth gaß gelegener und in dieße Zugebrachte Nahrung gehöriger behaußung befunden worden, Wie folgt
Eigenthumb ane Einer behaußung (M.) Nemblichen eine Behaußung Hoff Hoffstatt und bronnen, mit allen übrigen deren Rechten Zugehörden und Gerechtigkeiten gelegen allhier Zu Straßburg ane der Zimmerleuth gaß, einseith neben Weÿl. H. Wilhelm Andreä Müeg gewesenen J.V.Lti und E. E. Kleinen Raths Advocati et procuratoris ordinarÿ nachgelaßene Wittib und Erben, anderseith neben einem nicht durchgehenden Allmend Gäßlein hinten auf eine dem hochlöb: Thomb Capitul Zuständige behaußung, so außer hernach eingetragenen Cessions Schilling freÿ leedig eigen und wird solche dißorths ohnpræjudicirlichen angeschlagen wie solche Ihme dem Ehemann von seiner noch lebenden Fr. Mutter und Vollbändligen Bruder überlaßen Worden vor 6000 fl. oder 3000 lb. Hierüber sagt die vor mir Notario Zwischen Ihme dem Ehemann und ane einem und Frauen Anna Maria Kleinin geb. Fuchßin, seiner eheleiblich. Mutter auch H Joh: Philipp Wittmann dem Knöpffmacher und Seidenhändler auch burgern allhier seinen Leiblichen Bruder errichtete Erbs Cession, Crafft deren Ihme dem Ehemann solche behaußung umb vorgememlten Preiß eigenthümlich überlaßen, Von Ihme auch dergestalten an und übernommen worden. Auch seind Ihme dem Ehemann alle übrige über solche behaußung besagende Documenten außgeliefert und behändigt worden
Series rubricarum hujus Inventarÿ. Des Ehemanns für ohnverändert gehörige Nahrung. Sa. Hausraths 59, Sa. Silbers 19, Sa. baarschafft 131, Sa. Eigenthums ane einer behaußung 3000, Summa summarum 3210 lb – Schulden 2147, Nach solchem abzug 1062, deme beÿzurechnen die Ihme dem Ehemann vermög der Eheberedung par. 4.to gehörige helffte ane denen haussteuren mit 30 ln, des Manns restirend in die Ehe gebracht Vermögen in vero pretio 1092 lb
Dießemnach wird nun auch der Frauen in die Ehe gebracht Vermögen beschrieben, Sa. haußraths 264, Sa. Silbers 43, Sa. Goldener ring 43, baarschafft 213, Summa summarum 563 lb – Darzugelegt der Ehefrauen Vermög der Eheberedung gebührige Helffte an denen Verehrten haußsteuren 30, der Frauen in die Ehe gebracht Vermögen dem billigen werth nach 593 lb

Jean David Wittmann devient tributaire chez les boulangers le 19 juin 1777
1777, Protocole de la tribu des Boulangers (XI 13)
(f° 99) Quartal-Gericht Montags den 19.ten Junii – Neuzünfftiger, Meisters: Sohn dt 1 lb 15 ß
Johann David Wittmann lediger Becker, weil. Johann Philipp Wittmanns, gewesenen Haußfeurers und Burgers allhiier ehel. Sohn, producirt Stall: Schein vom 16.ten h: m: et a: bitt ihne als leibzünfftigen Schwarzbecken: Meister gegen Erlag der Gebühr Zu recipiren. Erkanndt, Willfahrt.

Jean David Wittmann hypothèque la maison au profit de Jean Henri Gnilius

1778 (2.7.), Chambre des Contrats, vol. 652 f° 211
Johann David Wittmann der schwartzbeck so noch nicht gar sein großjährigen alters erreicht unter assistentz seines vogts H. Johann David Wittmann des stattbotten
in gegensein H. Johann Heinrich Gnilius membri seminari ecclesiastici – schuldig seÿe 600 gulden
unterpfand, eine beckenbehausung samt zugehörden ane der Zimmerleuthgaß, einseit neben weÿl. H. Lt. Mueg wittib und erben, anderseit ist ein eck an einem allmend gäßlein, hinten auff auff eine dem hohen Dom capitul zuständige behausung – von denen miterben cessions weiß überkommen

Jean David Wittmann meurt en 1795 en délaissant deux enfants. L’actif de la succession s’élève à 6 646 livres tournois, le passif à 9 025 livres.

1795 (15 prairial 3), Strasbourg 7 (7), Not. Stoeber n° 1120
Inventarium über Weiland bürgers Johann David Wittmann, gewesenen beckers, so den 5 frimaire mit tod abgegangen, Verlaßenschafft, angefangen den 24 germinal 3 – der abgeleibte hat zu deßen rechtsmäßigen Erben hinterlassen 1. Joh: David Wittmann so den 8. Septembris 1780 zur Welt gekommen, 2. Mariam Magdalena Wittmann so den 1. April 1782 geboren worden, beede mit Fraun Maria Sara geb. Röschin erzeugt, bevögtigt mit dem b. Joh: Philipp Wittmann employé beÿ hiesiger Commune, die wittib beÿständlich ihres Schwagers bs Joh: Heinold Metzgers
in einer an der Zimmerleutgaß N° 3 gelegen und in die Erben unveränderten Nahrung gehörigen behaußung
hausrath, auf dem zweÿten stock in der vordern Wohnstube, Im Schlafzimmer darneben, In der Bühn, In einer Mansard kammer, In des Knechts kammer, In der magd: Kammer, In der Soldaten Kammer, Im Haußehren, Auf der bühne, Auf den Esten Stock Im Schlafzimmer daneben, In der Küche, In der untern Wohnstube, In der bachstube
Eigenthum ane einer behaußung so den Erben unverändert. Nämlich eine behaußung hof hoffstatt mit allen übrigen Gebäuden, begriffen und Zugehörden alhier an der Zimmerleutgas N° 3, einseit neben weiland b. Willhelm Andres Mueg Erben, anderseit neben einem nicht durchgehgend. Gäßlein, hinten auf ein dem vormaligen dom Capitel zustendigen Nationalhauß ziehend – diese behausung ist dem verstorbenen vor Not. Langheinrich passirte Erbscession vom 30. Februarÿ 1778 überlaßen worden um die summ der 12.000 livres
Ergäntzung durch Not. Langheinrich den 20. maÿ 1778
die gemein und theilbare Verlaßenschafft, hausrath 2893 lb, silbers 26 lb, baarschafft 1350 lb, activ schulden 2377 lb, Summa summarum 6646 lb – Schulden 9025 lb, Compensando 2378 lb – 24 germinal 3
Summarische berechnung den 20 fructidor 3
Enregistrement, acp 34 F° 56-v du 25 prairial 3

La veuve et les enfants de Jean David Wittmann louent une partie de la maison au boulanger Frédéric Strentz.

1795 (17 fructidor 3), Strasbourg 7 (46), Not. Stoeber n° 337
persönlich erschienen Bürgerin Maria Sara gebohrne Röschin weil. bs Joh: David Wittmann gewes. beckers alh. Wittib beiständl. ihres Schwagers bs. Joh: Friderich Wittmann des Employé bey hies. Commune als Zugleich Vormunds dero beeder Kinder Joh: David und Maria Magdalena Wittmann diese haben
in Gegensein bs Friderich Strentz des beckers alhier freywillig angezeigt und bekannt, das Sie hiermit für sich und ihre Erben ihme Br Strentz in Lehnung bestand überlaßen und abtretten wollen
die in der alhier Zu Straßburg an der Zimmerleutgaß N° 3 gelegenen behausung den völligen Rhez de Chaussée nebst einen holtzkeller und daren befindlichen kleinen Keller unter dem backofen, in der Manzarde eun Stücklein und Zwo Kammern wovon der Entlehner bekandtschaft zu haben declarirt. Diesemnach ist gegenwärtige Lehnung Zugangen auf vier nächst nach einander folgende Jahr welche von dato an vierzehn tag nach Michaelis nächst kommend ihren Anfang zunehmen und auff solchen Termin 14. tag nach Michaelis 1799 a. Stiels sich endigen sollen unter folgenden bedingungen – wochentlich in klingenden Muntz und Silber vier gulden und einen sechspfündigen Leib brod (…) Straßburg den 17. fructidor im 3. Jahr der Republick (unterzeichnet) Sara Wittmänin, Friedrich Strentz
Enregistrement de Strasbourg, acp 37 F° 5-v du 22 fruct. 3

La locataire Marie Sara Braun, veuve du tonnelier et marchand de vins Jean Rœsch, meurt en 1802

1803 (18 pluviose 11), Strasbourg 9 (anc. cote 13), M° Bossenius n° 190, 1501
Inventarium über weÿl. Fraun Maria Sara geb. Braun des längst weÿl. bürgers Johann Rösch gewesten Kiefers den letztverfloßenen 18. frimaire verstorbenen Wittwe
Benennung der Erben, 1. weÿl. Fraun Catharina geb. Rösch und auch weÿl. Johann Haÿnoldt Metzgers abgelebter Eheleute nach tod hinterlassenene 3 Kinder mit Namen a) Johann Philipp Haÿnoldt großjähriger lediger Metzger, b) Johann Daniel Haÿnoldt auch Metzger der bis nächskommenden 18. ventose majorennen wird, c) Jfr. Catharina Magdalena Haÿnoldt welche den 11. feb. 1786 geboren, diese beiden Vormund ist ihr nachbenannten Oheim Schnitzler
2. Fr. Maria Sara geb. Rösch des weÿl. Johann david Wittmann bäckers hinterbliebene Wittwe, beiständlich ihres schwagers Johann Philipp Wittmann des vormaligen Seidenknopffmachers, 3. Frau Maria Magdalena geb. Rösch unter autorisation ihres Ehemanns Johann Jacob Schnitzler des Wagners
in nachgenannter Fr. Wittmann an der Zimmerleutgaße gelegenen behausung N° 3
capital 9200 fr, hausrath 556 fr, summa summarum 9756 fr
Enregistrement, acp 87 F° 8-v du 26 plu 11

Marie Sara Rœsch loue la maison à son fils Jean David Wittmann en s’y réservant l’habitation

1804 (8 brumaire 13), Strasbourg 7 (48), M° Stoeber n° 708, 6119
Bail de 6 ans à commencer le 9 vendemiaire – Marie Sara Roesch veuve de feu Jean David Wittmann boulanger
à Jean David Wittmann boulanger son fils
la Maison et boulangerie sise a Strasbourg rue des Charpentiers N° 3, d’un côté la maison de Frédéric Sträntz, de l’autre une ruelle, aboutissant sur (-)
la D° Wittmann se réserve dans la maison louée le premier étage avec une petite Cave une chambre dans les mansardes et une chambre pour le linge sale au grenier – 120 j, fr semaine et 2 miches de pain pésant ensemble 3 kg
Enregistrement de Strasbourg, acp 94 F° 83-v du 9 brum. 13

Propriétaire de la moitié de la maison, Marie Madeleine Wittmann, femme du boucher Jean Daniel Haynold, meurt en 1820.

1821 (11.5.), Strasbourg 4 (50), M° Stoeber aîné n° 5181
Inventaire de la succession de Marie Madeleine Wittmann femme de Jean Daniel Haynoldt, boucher décédée le 18 novembre dernier – à la requête du veuf, suivant contrat de mariage reçu M° Stoeber le 4 septembre 1807, père et tuteur légal de Caroline Louise âgée de 11 ans, Louise Caroline âgée de 8 ans et Charles Haynoldt âgé de 5 ans – en présence de Frédéric Liebold marchand de vin subrogé tuteur
Copie du contrat de mariage
dans une maison rue de l’Evêque n° 5
propre 699 fr, remploi 1604 fr, ensemble 2003 fr
Maison. La moitié d’une maison, cour, appartenances et dépendances sise à Strasbourg rue des Charpentiers n° 3, d’un côté un cule de sac, de l’autre le Sr Strintz boulanger, derrière le Sr Sarger propriétaire – provenant de la succession de Jean David Wittmann, boulanger père de la défunte suivant inventaire reçu Stoeber notaire à Strasbourg le 24 germinal 3
dettes actives 1200 fr, total de la masse de la défunte 3503 fr, passif 2100 fr, reste 1403 fr
mobilier de la communauté 403 fr ; passif 4759 fr
un étal de boucher sis à Strasbourg dans les petites Boucheries n° 105 de 1 m 660 mm de large sur environ 2 m 890 mm de profondeur, d’un côté (-à, de l’autre le Sr Exel frères – acquis par acte reçu M° Hickel le 10 février 1820, non estimé
Enregistrement, acp 152 F° 114 du 12.5.

Marie Sara Rœsch meurt en 1835 en délaissant deux enfants ou leurs représentants
1835 (5.2.), Strasbourg 4 (80), M° Hatt n° 8420
Inventaire par déclaration des biens délaissés par Marie Sara née Roesch, décédée le 14 septembre dernier, veuve de Jean David Wittmann, boulanger – à la requête de 1. Jean David Wittmann, ancien boulanger aujourd’hui compositeur à l’imprimerie Levrault, 2. Caroline Louise Haynold, 3. Caroline Haynold, 4. Jean Frédéric Liebold tuteur bénévole de Charles Haynoldt, les deux premiers majeurs le dernier mineur, héritiers le Sr Wittmann fils pour moitié, les enfants Haynold pour l’autre moitié par représentation de leur mère Marie Madeleine Wittmann, décédée femme de Jean Daniel Haynold, boucher
actif 184 fr, passif 176 fr
Enregistrement, acp 230 f° 53-v du 16.2.

Jean David Wittmann rachète les parts de la maison lors de la vente devant le tribunal civil

1822 (25.6.), Hypothèque de Strasbourg, Transcription reg. 151, n° 50
par devant M. Philippe Louis Ubersaal, juge suppléant au Tribunal Civil, vente et adjudication par licitation d’une maison sise dans la rue des Charpentiers n° 3.
Cahier des charges, M° Ackermann avoué de Jean David Wittmann, boulanger, celui ci héritier de Jean David Wittmann son père, déclare que dans la succession du défunt Wittmann il existe une maison sise à Strasbourg rue des Charpentiers n° 3 indivise entre lui et ses cohéritiers, que désirant sortir de l’indivision il a actionné Jean Daniel Haynold, boucher, tuteur naturel des enfants mineurs procréés avec Marie Madeleine Wittmann sa femme qui sont Caroline Louise, Louise Caroline, Charles pour lesquels occupe M° Doss
Jugement du 3 décembre 1821, expertise du 21 décembre estimée 9000 fr attendu l’usufruit de la veuve – ladite maison cédée et abandonnée au défunt par acte du 20 février 1778 devant M° Langheinrich
à M° Ackermann – Déclaration de command le 6 juin pour Jean David Wittmann, boulanger
Désignation de la maison, d’une maison et petite cour avec appartenances et dépendances située dans la ville de Strasbourg rue des Charpentiers n° 3, d’un côté une impasse, de l’autre le Sr Streith boulanger, derrière le Sr Sarger
Cette maison consiste en un rez de chaussée en entrant, passage à droite, une chambre et boulangerie au fond cage d’escalier, cuisine, deux chambres dont une à alcove, balcon et lieux, deuxième étage, cage d’escalier, cuisine et trois chambres, dessus comble à la mansard renfermant quatre chambres et au grenier, deux chambres à farine le tout couvert à tuiles doubles, dessous la maison cave sous solives – mise à prix 6000 francs, fait le 29 janvier 1822 M° Ackermann – le 30 avril, supplément au cahier des charges, Marie Sara Roesch veuve de Jean David Wittmann assitée de M° Schneegans – adjudication préparatoire du 23 mai – Adjudication définitive du 6 juin – 13.000 francs

Jean David Wittmann épouse en 1804 Catherine Elisabeth Stoll, fille du boulanger Jean Georges Stoll
1804 (2i fructidor 12), Strasbourg 7 (29), M° Stoeber n° 1094, 6009
Contrat de mariage – est comparu en personne le Sr Jean David Wittmann, Boulanger majeur d’ans, fils de feu le Sr Jean David Wittmann vivant Boulanger et de Marie Sare née Roesch sa veuve, du Consentement de mad° sa Mre, assistée du Sr Jean Philippe Witmann, Employé dans la Recette des Contributions de cette ville d’une part
Et Demlle Catherine Elisabeth Stoll, fille de feu le Sr Jean Georges Stoll Boulanger en cette ville et de feue Catherine Elisabeth née Martin, assistée du Sr Jean Michel Martin, tourneur de l’autre part
Fait lu et passé et interprété en langue allemande à Strasbourg le 26 fructidor an douze (signé) Jean David Wittmann, Catherine Elisabethe Stoll
Enregistrement, acp 94 F° 18 du 5 compl. 13

Jean David Wittmann loue le fonds de boulangerie à Adam Kiehl, boulanger originaire de Pfaffenhoffen

1829 (18.7.), Strasbourg 3 (80), M° Schreider n° 4159
Bail de 3 ans à commencer le 20 courant – Jean David Wittmann, boulanger et propriétaire
à Adam Kiehl, boulanger natif de Pfaffenhoffen demeurant à Strasbourg
le fonds de boulangerie et les lieux ci après désignés se trouvant dans une maison sise à Strasbourg rue des Charpentiers n° 3, savoir le poel au rez de chaussée, une chambre à coucher y attenant, la boulangerie et la cuisine, deux chambres aux mansardes et au dessus une chambre pour placer la farine et dans la cave au dessous des localités louées une place pour le bois et une pour le vin avec la jouissance de la buanderie et celle du grenier pour étendre la lessive. Dans cette localité se trouve compris les objets mobiliers ci après détaillés avec un fourneau en fer avec tuyau placé au poele un autre placé aux mansades, 16 planches en sapin, une jatte (Muld), un pétrin (Muhlkasten), un tour (Birckband), un chaudron en cuivre rouge de la contenance de 75 livres (…) à l’effet d’y exercer sa profession de boulanger – moyennant un loyer de 12 francs par semaine
Enregistrement, acp 195 F° 137 du 23.7.

Fils de Jean David Wittmann, ancien boulanger devenu compositeur d’imprimerie, l’étudiant Charles Edouard Wittmann meurt en 1833

1833 (7.11.), Strasbourg 7 (87), M° Stoeber n° 14.922
Inventaire par déclaration des biens délaissés par Charles Edouard Wittmann, candidat en théologie, décédé le 21 mai dernier – à la requête de Jean David Wittmann autrefois boulanger actuellement imprimeur compositeur à Strasbourg son père et Elisabeth Catherine Stoll sa mère, se portant fort de ses frères et sœurs Jean David Wittmann, professeur au collège de Mühlhausen, Jean David Wittmann stipulant aussi comme administrateur des biens personnels de 1. Alfred, 2. Victor et 3. Adèle mineurs et Philippe Auguste Wittmann, peintre domicilié à Strasbourg demeurant à Carlsruhe
garde robe 105 fr, dettes actives le 6° de 5000 fr, 833 fr
Enregistrement, acp 221 F° 75 du 15.11.

Jean David Wittmann expose la maison aux enchères puis l’en retire.

1839 (26.11.), Strasbourg 4 (90), M° Hatt
Adjudication définitive sous réserve de surmise – Cahier des charges, 30 octobre n° 11.750 – Jean David Wittmann, ancien maître boulanger aujourd’hui compositeur d’imprimerie
une maison et ses dépendances sise à Strasbourg rue des Charpentiers n° 3 – cette maison consistant en un rez de chaussée & deux étages, boulangerie, petite cour, aisances, appartenances & dépendances d’un côté M Delanne, de l’autre une impasse, derrière M Sarger.
Etablissement de la propriété, la maison dépendait de la succession de Jean David Wittmann, boulanger, père du vendeur qui en était propriétaire suivant acquisition reçue M° Langheinrich le 20 février 1778. Lors du partage il est échu à M. Wittmann vendeur la moitié et la moitié aux enfants mineurs de Marie Madeleine Wittmann, sœur du vendeur, décédée épouse de Jean Daniel Haynold, boucher, suivant adjudication par licitation à la barre du tribunal civil de Strasbourg le 6 juin 1822 et déclaration de command, transcrit au bureau des hypothèques de cette ville volume 151 n° 50 – moyennant 14 600 francs
Enregistrement, acp 273 F° 34-v du 29.11.
Adjudication défititive n° 11.791 mise à prix 14.100 fr, à Frédéric Auguste Dettweiler, maître boulanger – surmise par Alfred Wittmann, étudiant en théologie, n° 11.801
Retrait (f° 71 du 10.12) n° 11.802 du 3 décembre

Catherine Elisabeth Stoll meurt en 1837 en délaissant quatre enfants
1840 (28.3.), Strasbourg 7 (95), M° Boersch n° 1639
Inventaire de la succession de Catherine Elisabeth Stoll, décédée le 26 avril 1837 – à la requête de Jean David Wittmann, ex boulanger, le veuf, commun en bien par contrat de mariage, père et tuteur légal de Catherine Adèle, 2. Geoffroi Stromwald, candidat en théologie, mandataire de A. Jean David Wittmann, professeur au collège de Mühlhouse, B. Philippe Auguste Wittmann, peintre d’histoire domicilié à Strasbourg actuellement à Münich, 3. Alfred Wittmann, étudiant en théologie, héritiers pour un quart de leur mère, en présence de Joseph Stritt, tourneur, subrogé tuteur – Contrat de mariage passé le 26 fructidor 11 devant M° Stoeber notaire à Strasbourg
dans la maison mortuaire rue des Charpentiers n° 3
Enregistrement, acp 277 F° 14 du 2.4.

Jean David Wittmann vend la maison boulangerie à son fils Jean David Wittmann, professeur au collège de Mulhouse moyennant 12 200 francs

1840 (26.3.), Strasbourg 7 (95), M° Boersch n° 1632
Jean David Wittmann, ancien boulanger
à Jean David Wittmann son fils professeur au collège de Mulhouse pour lequel stipule Geoffroi Stromwald, candidat en théologie
une maison-boulangerie avec petite cour, appartenances, droits et dépendances sise à Strasbourg rue des Charpentiers n° 3, d’un côté une impasse, de l’autre le Sr Delan, devant la rue des Charpentiers, derrière propriété du Sr Sarger, plus cinq poëles dont trois en fayence et deux en fonte avec tuyaux et poêle – la moitié indivise est avenue au vendeur dans la succession de son père Jean David Wittmann, boulanger, dont il est héritier pour moitié, l’autre moitié acquise sur Caroline Louise, Louise Caroline et Charles Haynold les trois enfants de Jean David Haynold, boucher, et Marie Madeleine Wittmann, par devant M. Ubersaal, juge suppléant au tribunal civil, commissaire de cette partie le 6 juin 1822. Les enfants Haynold représentant leur mère la D° Haynold née Wittmann, celle ci était propriétaire de ladite maison comme héritière pour moitié de Jean David Wittmann susnommé – Jean David Wittmann a hérité ladite maison dans la succession de son père Jean David Wittmann – moyennant 12.200 francs
Enregistrement, acp 276 F° 99-v du 27.3.

Jean David Wittmann épouse en 1833 Adélaïde Wilhelmine Hodel, fille du jardinier pépiniériste Charles Régnard Hodel
Mariage, Strasbourg (n° 101)
Du 30° jour de mars 1833 à dix heures du matin. Acte de mariage de Jean David Wittmann, Majeur d’ans, né en légitime mariage le 29 janvier 1807 à Strasbourg, domicilié à Mülhausen /haut Rhin/ Professeur au Gymnase de Mülhausen, fils de Jean David Wittmann, cidevant boulanger et de Catherine Elisabeth Stoll, conjoints domiciliés en cette ville ci présents et consentants et de Adélaïde Wilhelmine Hodel, Majeure d’ans, née en légitime mariage le 10 décembre 1807 à Strasbourg, domiciliée à Strasbourg, fille de Jean Charles Régnard Hodel, Jardinier pépiniériste domicilié en cette ville ci présente et consentante et de feu Anne Marie Adélaïde Formier, décédée en cette ville le 31 octobre 1831 (i 18)

Jean David Wittmann loue la maison au boulanger Adam Kiehl et à sa femme Madeleine Ehret

1849, Enregistrement de Strasbourg, ssp 107 (3 Q 31 606) f° 14-v 27.9.
du 25 août 1849. Bail dont la teneur suit. Entre les Srs Jean David Wittmann, professeur au collège de Muhouse, lequel élit domicile en l’étude de M Frédéric Traut avoué à Strasbourg d’une part
Et le Sr Adam Kiehl, boulanger et Madeleine Ehret, sa femme à ce dûment autorisée demeurant à Strasbourg d’autre part
a été convenu de qui suit. M° Sr Wittmann donne à bail pour deux, six ou neuf ans qui commencent le 25 septembre prochain aux conjoints Kiehl, preneurs solidaires,
une maison boulangerue avec petite cour, appartenances, droits et dépendances sise en cette ville de Strasbourg rue des charpentiers N° 3, entre une impasse et le Sr Delan, par devant la rue par derrière la propriété du Sr Sarger, ensemble six poêles dont trois en fayence et trois en fonte avec tuyaux et pierre se trouvant dans ladite maison. Le présent bail est fait moyennant un loyer annuel de 1000 francs (…)

Jean David Wittmann meurt à Puteaux le 5 mai 1867 en délaissant une fille
1867 (13.6.), Strasbourg 10 (158), M° Kœrttgé (Jean Théodore) n° 74
Notoriété, 15 juin 1867. (…) 1) qu’ils ont parfaitement connu M. Jean David Wittmann, ancien professeur au collège de Mulhouse et époux de dame Adélaïde Wilhelmine Hodel
2) que les époux Wittmann étaient mariés en premières noces sous le régime de la communauté légale sans contrat
3) que ledit Sr Wittmann est décédé ab intestat à Puteaux (Seine) le 5 mai 1867
4) qu’après son décès il n’a pas été dressé d’inventaire
5) et qu’il a laissé pour seule et unique héritière sa fille dame Mina Wittmann épouse de Mr Charles Paravicini négociant demeurant ensemble à Puteaux, issue de son mariage avec dame Adélaïde Wilhelmine Hodel susnommée
et 6) que les époux Paravicini sont également mariés sous le régime de la communauté légale sans contrat
acp 558 (3 Q 30 273) f° 193 du 13.6.

Jean David Wittmann vend la maison à la rentière Caroline Fausser moyennant 12 200 francs

1857 (20.6.), M° Charles Noetinger – Hypothèque de Strasbourg, Transcription reg. 690 (2841) n° 18
A comparu Madame Adélaïde Wilhelmine Hodel, épouse de Monsieur Jean David Wittmann, professeur au collège de Mülhouse demeurant ensemble en la même ville, à ce spécialement autorisée (…) laquelle au nom qu’elle agit a cédé, vendu et abandonné en toute propriété (…)
à Madame Caroline Fausser, rentière, demeurant à Strasbourg ci présente et acceptant
Une maison boulangerie sise à Strasbourg rue des charpentiers N° 3 composée d’un rez-de-chaussée et de deux étages avec droits, aisances, appartenances & dépendances tenant d’un côté à Monsieur Hund de l’autre à une impasse communale, derrière Madame Raspieler et par devant la rue des charpentiers. Telle que cette maison et comporte présentement (…) Dans la vente sont compris cinq fourneaux en faïence, un fourneau en fer avec leurs tuyaux et pierres, les volets et jalousies. M. Wittmann est devenu propriétaire de la maison faisant l’objet de la présente vente pour l’avoir acquise de Monsieur Jean David Wittmann, ancien boulanger demeurant à Strasbourg aux termes d’un contrat de vente reçu par M° Boersch alors notaire à Strasbourg le 26 mars 1840, transcrit au bureau des hypothèques de Strasbourg le 28 du même mois Vol. 356 N° 91, inscrit d’office volume 322 N° 226 moyennant un prix de 12.200 francs – En outre cette vente faite moyennant un prix de 12.000 francs
acp 461 (3 Q 30 176) f° 25-v du 25.6.

Fille du cordonnier Jean Jacques Fausser et de Marguerite Salomé Roth, Caroline (Salomé) Fausser naît en 1817
Naissance, Strasbourg (n° 884)
Déclaration faite à l’hotel de ville de Strasbourg (…) le 12 juin 1817 de la naissance d’un enfant du sexe féminin né en légitime mariage cejourd’hui à cinq heures du matin et nommé Caroline Salomé. Déclarant, Jean Jacques Fausser, âgé de 34 ans, Cordonnier, père de l’enfant le déclarant, mère Marguerite Salomé Roth. L’accouchement a eu lieu en la maison N° 2 petite rue de l’Eglise (i 55)

Un temps établie à Paris, elle revient à Strasbourg en 1854 et adopte Barbe Jost native de Châtenois
Registre de population, 600 MW 198 (1846 sqq) Brûlée N° 3 p. 391 (i 210)
Fausser, Caroline Salomé, 1818, Strasbourg, venant de Paris, derechef depuis le (entrée dans le logement) 14 avril 1854
Jost, Barbe, 13 avril 1850, Châtenois, Bas-Rhin, enfant adoptif de Madame Fausser

Registre de population, 600 MW 411 (table) Caroline Fausser, propriétaire
rue brûlée 3 / 5
rue des Juifs 7 / 13
r des Charpentiers 3 / 18
rue des Pucelles 3
rue des Pierres 1
rue des Veaux 1
rue des Charpentiers 21
rue du Fort 24 (pas de fiche à cette maison)

Caroline Fausser vend la maison à Michel Hirlimann, garçon de bureau à l’entrepôt du tabac, et à Catherine Jœrger moyennant 15 000 francs

1858 (4.1.) M° Charles Noetinger – Hypothèque de Strasbourg, Transcription reg. 707 (2863) n° 150
A comparu Madame Caroline Fausser, rentière demeurant et domiciliée à Strasbourg, laquelle a par les présentes déclaré avoir vendu et abandonné en pleine propriété (…)
à Monsieur Michel Hirlimann, garçon de bureau à l’entrepôt du tabac à Strasbourg et dame Catherine Joerger sa femme de lui dument autorisée
Une maison d’habitation sise à Strasbourg rue des charpentiers N° 3, composée de rez-de-chaussée et de deux étages, avec droits, aisances, appartenances et dépendances tenant d’un côté à Monsieur Hundt, de l’autre à une impasse communale par devant la rue des charpentiers et par derrière Madame Raspieler. Telle que cette maison et ses dépendances se trouvent présentement et comportent en ce moment (…) De cette vente font partie tous les fourneaux avec les tuyaux et pierres, une chaudière et les âtres tels qu’ils sont en ce moment. La venderesse a acquis cet immeuble de Dame Adélaïde Wilhelmine Hodel, épouse dument autorisée de Monsieur Jean Daniel Wittmann, professeur au collège de Mulhouse, demeurant en cette ville, suivant contrat de vente reçu par M° Noetinger soussigné qui en a la minute et son collègue le 20 juin 1857 transcrit au bureau des hypothèques de cette ville le 26 du même mois Volume 690. N° 18 avec inscription d’office au Volume 690 N° 178. La dame Wittmann ayant agi comme mandataire de son mari. Cette acquisition eut lieu moyennant le prix de vente de 12.000 francs payés comptant et quittancés en l’acte avec subrogation à concurrence de 2000 francs en faveur de Monsieur Jean Daniel Wurtz jardinier cultivateur demeurant à Strasbourg. A l’égard de l’établissement de la propriété antérieure les parties se réfèrent à l’acte du 20 juin précité (…) En outre cette vente est faite moyennant le prix de 15.000 francs
acp 465 (3 Q 30 180) f° 88-v du 5.1.

Natif de Friesenheim, Jean Michel Hirlimann épouse en 1843 Marie Catherine Jœrger, originaire de Beinheim en légitimant une fille
Mariage, Strasbourg (n° 77)
Du 23° jour du mois de février l’an 1843 à dix heures du matin. Acte de mariage de Jean Michel Hirlimann, Majeur dans, né en légitime mariage le 20 septembre 1809 à Friesenheim (Bas Rhin), domicilié à Strasbourg, Domestique, fils de Thiébaut Hirlimann, Cultivateur domicilié à Friesenheim ci présent et consentant, et de feu Gertrude Loescher décédée à Friesenheim le19 mars 1834
Et de Marie Catherine Jœrger, majeure d’ans, née en légitime mariage le 4 septembre 1813 à Beinheim (Bas Rhin) domiciliée à Strasbourg, fille de feu Louis Joerger, cultivateur décédé à Beinheim le 10 novembre 1839 et de feu Elisabeth Schneider décédér à Diepholtz (Haut Rhin) le 4 juillet 1825 (…) Et aussitôt les dits époux ont déclaré reconnaître et légitimer Louise Pauline Joerger née d’eux en cette ville le 4 juillet 1840 inscrite le six du même mois sur les registres de l’état civil de cette ville (signé) Michael Hirlimann, maria tharinna Jörger (i 41)

Registre de population, 600 MW 339, Graumann 17 (i 164)
Hirlimann, Michel Jean, Friesenheim 10, hm, *lateur / aubergiste & cocher de citadines, cath. française, (à Str. depuis) 43, condamné le 1 Juillet 1864 à 2 mois de prison pour complicité d’Escroquerie
id. née Joerger, Catherine Marie, Beinheim 11, fm, sa femme, cath. française, (à Str. depuis) 34, [accolade] act. même rue 30, 30. 7.br 56
id. Louise Pauline, Strasbourg 41, f. sa fille, (à Str.) d.s.n. [depuis sa naissance]
id. Michel Jean, id 13 juin 45, g, sol fils / ex musicien 13° art., (à Str.) d.s.n. – Cert remplact le 1 Juin 1867 – Cert. délivré le 30 juin 1862, rentré le 6 Mai 1867 du 13° d’art. monti ayant fait annuler son acte d’engt. suivant décision M.le du 12 avril 1867
id. Eugène, id. 31 juillet 47 f sol fils, (à Str.) d.s.n., – p.p. Nancy 17 mai 1861
id. Charles Jules, id. 1. 7.b 49, g, son fils / cocher, (à Str.) d.s.n. – cert. eng.t délivré le 13 7.b 1867
(domiciles) Jeu des enfants 36, délogé 25 mars 1858
rue des Charpentiers 3 / 18, délogé 30 mars 59
rue des veaux 17, délogé 29 7.b 59
r. brulée 23, délogé 22 7.b 62
rue quartier St Nicolas 7, délogé 29 7. 1863
grand rue 57, délogé 25 juin 1865
place des Tanneurs 10, délogé 25 mars 1867
grand rue 36
faubourg de pierre 36, délogé 29 7.b 1867
grand rue 42, délogé 25 Xbre 1867
r Graumann 17

Michel Hirlimann et Catherine Jœrger hypothèquent la maison au profit du commis négociant Louis Frédéric Weig

1858 (5.10.), Strasbourg 3 (101), M° Burtz n° 4718
du 5. 8.bre 1858. Obligation – Ont comparu le Sr Michel Hirlimann, ancien garçon de bureau à l’entrepôt du tabac à Strasbourg et D° Catherine Joerger sa femme qu’il autorise demeurant ensemble à Strasbourg, lesquels reconnaissent par les présentes devoir légitimement
à M. Louis Frédéric Weig, commis négociant demeurant en la même ville, à ce présent et acceptant, la somme de 3000 francs pour prêt de pareille somme (…)
hypothèquent spécialement l’immeuble dont la désignation suit, savoir
Une Maison d’habitation composée d’un rez-de-chaussée et de deux étages, avec droits, appartenances et dépendances située à Strasbourg rue des charpentiers N° 18 niveau et N° 3 ancien, tenant d’un côté à M. Hund, de l’autre à une impasse communale, par devant la rue des charpentiers et par derrière Mad° Raspieler.
Etablissement de la propriété. Les emprunteurs déclarent que cette maison leur appartient en toute propriété au moyen de l’acquisition qu’ils en ont faite sur Mlle Caroline Fausser, rentière demeurant à Strasbourg, en vertu d’un contrat passé devant M° Noetinger notaire à Strasbourg le 4 janvier dernier, transcrit au bureau des hypothèques de Strasbourg le 11 du même mois volume 707 N° 150. Cette acquisition a eu lieu moyennant un prix de 15.000 francs (…) Mlle Caroline Fausser avait acquis ladite maison de Mad° Adélaïde Wilhelmine Hodel, épouse de M. Jean Daniel Wittmann, professeur au collège de Mulhouse, moyennant le prix de vente de 12.000 francs suivant contrat de vente passé devant M° Noetinger le 20 juin 1857 transcrit au bureau des hypothèques de Strasbourg le 26 du même mois vol. 690. N° 18

Le cocher Michel Hirlimann et sa femme Catherine Jœrger consentent au mariage de leur fils Jules Charles, conducteur d’omnibus à Paris
1873 (23.4.), M° Ritleng
Ehe Einwilligung, Herrn Michel Hirlimann Kutscher und dessen Ehefrau Maria Catharina Joerger willigen in die in die beabsichtigte Verbindung ihres Sohns Julius Carl Hirlimann Omnibus Conducteur in Paris mit Salomé Quiri Schneiderin ebendaselbst
acp 614 (3 Q 30 329) f° 45 du 23.4.

Michel Hirlimann et Catherine Jœrger vendent la maison à Antoine Schneider et à sa femme Madeleine Ferlin moyennant 15 000 francs

1859 (27.1.), M° Charles Noetinger – Hypothèque de Strasbourg, Transcription reg. 760 (2905) n° 3
Ont comparu Monsieur Michel Hirlimann, garçon de bureau à l’Entrepôt du tabac à Strasbourg et sous son assistance Dame Catherine Joerger sa femme demeurant et domiciliés tous deux à Strasbourg, lesquels ont par les présentes déclaré avoir cédé et abandonné en toute propriété (…)
au Sieur Antoine Schneider, pensionnaire de l’Etat et sous son assistance et autorisation sa femme Madeleine Ferlin, acquéreurs solidaires à ce présent et ce acceptant demeurant ensemble à Strasbourg
Une maison d’habitation sise à Strasbourg rue des charpentiers N° 3, nouveau N° 18, composée de rez-de-chaussée et de deux étages, avec droits, aisances, appartenances et dépendances, tenant d’un côté à Monsieur Hundt, de l’autre à une Impasse communale par devant à la rue et par derrière Madame Raspieler. Telle que cette maison et ses dépendances se trouvent présentement et comportent en ce moment (…) De cette vente font partie six fourneaux en faïence avec leurs tuyaux et pierres, une chaudière et les âtres tels qu’ils se trouvent en ce moment.
Les époux Hirlimann ont acquis la maison et ses dépendances de Madame Caroline Fausser, rentière demeurant à Strasbourg aux termes d’un contrat contenant vente et délégation par M° Noetinger l’un des notaires soussignés qui en a la minute et l’un de ses Collègues le 4 janvier 1858 transcrit au bureau des hypothèques de Strasbourg le 11 du même mois volume 707 N° 150 et inscrit d’office volume 703 numéro 167 le même jour. Cette vente a eu lieu moyennant un prix de 15.000 francs (…) Madame Fausser avait acquis elle-même cet immeuble de Madame Adélaïde Wilhelmine Hodel, épouse de Monsieur Jean Daniel Wittmann, professeur au collège de Mulhouse y demeurant aux termes d’un contrat de vente reçu par M° Noetinger susdit qui en a la minute et son collègue le 20 juin 1857 transcrit au bureau des hypothèques de cette ville le 26 du même mois Volume 690. N° 18 avec inscription d’office au Volume 691 N° 178. Cette acquisition avait eu lieu moyennant le prix de 12.000 francs payés comptant et quittancés en l’acte avec subrogation à concurrence de 2000 francs en faveur de Monsieur Wurtz susnommé. A l’égard de l’établissement de la propriété antérieure les parties se réfèrent à l’acte du 20 juin précité (…) En outre cette vente a été faite et conclue moyennant le prix de 15.000 francs (…) Comme les vendeurs ne comptent quitter la maison vendue que le 25 mars prochain, ils seront Responsables de tous les dégats et degradations survenus soit aux papiers de la tapisserie soit aux portes soit partout ailleurs dans ladite maison attendu qu’ils devront les remette en bon état d’entretien.
Monsieur et Madame Hirlimann declarent 1° qu’ils sont mariés en premières noces 2° qu’ils sont mariés sous le régime de la communauté légale à défaut de contrat de mariage qui ait réglé les conditions civiles de leur union.
acp 475 (3 Q 30 190) f° 93 du 1.2.

Antoine Schneider loue la maison à Antoine Riche et à sa femme

1863, Enregistrement de Strasbourg, ssp 136 (3 Q 31 635) f° 93-v du 6.2.
12 novembre 1862. Bail ainsi conçu. Le soussigné André Schneider propriétaire à Strasbourg déclare avoir cédé à titre de bail pour six années à partir du 25 Xbre 1862 jusqu’au 25 Xbre 1868
à M. et Mde Antoine Riche, les deux à Strasbourg, preneurs solidaires
Une maison d’habitation avec aisances et dépendances sise à Strasbourg rue des charpentiers N° 18 sans exception ni réserve. Le bail est consenti pour un loyer annuel de la somme de 1400 francs

Antoine Schneider et à sa femme Madeleine Ferlin vendent la maison à l’imprimeur Oscar Berger-Levrault (locataire puis propriétaire de la maison voisine 15, rue des Juifs)

1868 (6.11.), Strasbourg 15 (121), M° Momy (Hippolyte) n° 13.065
Vente du 6. 9.bre 1868. – Sont comparus Monsieur Antoine Schneider, pensionnaire de l’Etat & Dame Madeleine Ferlin, son épouse dûment autorisée à l’effet des présentes demeurant ensemble & domiciliés à Strasbourg, Lesquels ont déclaré vendre et abandonner en toute propriété (…)
à Monsieur François George Oscar Berger-Levrault, imprimeur, Chevalier de la Légion d’honneur demeurant et domicilié à Strasbourg, ci présent et acceptant
l’immeuble dont la désignation suit. Une maison d’habitation à rez-de-chaussée surmonté de deux étages, avec droits, aisances, appartenances & dépendances sise à Strasbourg rue des charpentiers N° 18 nouveau formant d’un côté le coin de l’impasse des charpentiers tenant de l’autre aux héritiers Hundt, pardevant la rue par derrière la propriété Laquiante. Tel que cet immeuble se trouve, poursuit & comporte présentement (…) Dans la vente sont en outre compris six poêles en faïence avec leurs Cors & pierres & généralement tous les objets mobiliers se trouvant dans ladite maisons & qui n’appartiennent pas aux locataires, toutefois les vendeurs se réservent le chaudron à lessive qui se trouve dans la buanderie de la maison vendue.
Origine de la propriété. L’immeuble vendu est la propriété des époux Schneider, vendeurs, pour avoir été par eux acquis de Mr Michel Hirlimann, garçon de bureau de l’entrepôt des tabacs à Strasbourg & D° Catherine Joerger, son épouse domiciliés en ladite ville, moyennant le prix de 15.000 francs suivant contrat reçu par M° Charles Noetinger lors notaire à Strasbourg et son collègue le 27 janvier 1849 enregistré transcrit au bureau des hypothèques de ladite ville le 4 février même année Vol. 760. N° 3 & inscrit d’office au Volume 728 N° 192, 193, 194. Sur les 15.000 francs formant le prix de leur acquisition (…). Les époux Hirlimann avaient acquis ledit immeuble & des dépendances de Dlle [Caroline] Fausser susqualifiée suivant contrat contenant vente et délégation reçu par M° Charles Noetinger le 4 janvier 1858. Cette vente a été conclue moyennant le prix de 15.000 francs (…) Dans ce Contrat et dans celui-ci après relaté passé devant M° Noetinger le 20 juin 1857 l’établissement de la propriété antérieuse se trouve relaté de la manière suivante.
Madlle Fausser avait acquis elle-même l’immeuble dont s’agit de Mr Jean Daniel Wittmann professeur au collège de Mulhouse & D° Adélaïde Wilhelmine Hodel son épouse demeurant en ladite ville aux termes d’un Contrat de vente reçu par M° Charles Noetinger le 20 juin 1857 transcrit au bureau des hypothèques de Strasbourg le 26 du même mois Vol. 690. N° 198 & inscrit d’office Vol. 690 N° 178. Cette acquisition avait eu lieu pour le prix de 12.000 francs payés comptant et quittancés en l’acte de subrogation jusqu’à concurrence de 2000 francs en faveur de Mr Wurtz susnommé. M. Wittmann est devenu propriétaire de la maison faisant l’objet de la présente vente pour l’avoir acquise de M. Jean David Wittmann ancien boulanger demeurant à Strasbourg aux termes d’un contrat de vente reçu M° Boersch lors notaire à Strasbourg le 26 mars 1840 transcrit au bureau des hypothèques de Strasbourg le 28 du même mois Vol. 356 N° 91, inscrit d’office Vol. 322 N° 226 moyennant un prix de 12.200 francs – Situation hypothécaire (…) – Prix. La présente vente est consentie et acceptée moyennant le prix de 29.000 francs (…) – Assurance contre l’incendie (…) – Etat civil des vendeurs. M. & Mad° Schneider affirment qu’ils sont mariés en premières noces sous le régime de la communauté légale pour n’avoir point fait de contrat de mariage
acp 577 (3 Q 30 292) f° 44 du 12.11.


Les Maisons de Strasbourg sont présentées à l’aide de Word Press.