70, rue de Zurich


Rue de Zurich n° 70 – X 210 (Blondel), O 866 puis section 33 parcelle 32 (cadastre)

Auberge au Grand Cerf (zum Großen Hirtzen) à partir de 1689
Nouveau bâtiment (1843 puis 1853), maître d’ouvrage, Antoine Klotz, menuisier
Bâtiments arrière, 7, rue de l’Hôpital militaire, maître d’ouvrage Jacques Schultz, ébéniste (1896 et 1898)
Ancienne partie ouest, 5, rue de l’Hôpital militaire


Façade rue de Zurich – Façades rue de l’Hôpital militaire (2013)

La maison qui doit avoir appartenu au début du XVII° siècle au jardinier Benoît Hirth suit la destinée des jardins situés à l’arrière. Le cordier David Beuther l’acquiert en plusieurs fois entre 1674 et 1676. Son gendre huilier Etienne Amberger établit dans son jardin une auberge où les clients tirent aussi à l’arquebuse, ce qui lui vaut l’opposition des préposés du champ des Arquebusiers. Etienne Amberger est autorisé en 1696 à pomper l’eau dans le canal Saint-Jean pour la conduire dans son jardin où il a établi des jeux d’eau. Le premier aubergiste est l’ancien vivandier Jean Jacques Stempfel. Son successeur Léopold Winter (1695-1704) est locataire, Jacques Louis Herrmann (1704-1724) devient propriétaire en 1712. Jacques Louis Herrmann et son voisin Jean Koch auquel il a vendu en 1715 la partie ouest de sa propriété sont tenus en 1717 de faire curer le fossé encombré d’immondices. Propriétaire du Grand Cerf depuis 1724, Jean Jacques Lutz y réunit à nouveau en 1733 la maison détachée en 1715 et y construit à neuf un bâtiment latéral. Après sa mort en 1734, l’auberge est reprise par Jean Jacques Grün avec lequel sa veuve s’est remariée puis par différents locataires. Ses héritiers détachent définitivement la partie ouest de la propriété. Le bâtiment au Grand Cerf appartient ensuite au batelier Jean Georges Kieffer (1784-1811) puis à partir de 1820 au marchand de bois Michel Rudloff.


Plan-relief de 1725 (Musée historique). Le Grand Cerf se trouve en bas à droite de l’îlot.
L’îlot sur le plan Blondel (plan de l’existant, ADBR, 1 L Plan 5)



Elévations préparatoires au plan-relief de 1830 – Plan, îlot 240 (Musée des Plans-relief) 1

L’Atlas des alignements (années 1820) mentionne un bâtiment à rez-de-chaussée en maçonnerie surmonté d’un étage en bois. Sur les élévations préparatoires au plan-relief de 1830, la façade se trouve de part et d’autre du repère (q) qui représente l’angle. Sur la gauche, le pignon vers l’hôpital militaire a deux fenêtres à chaque étage. Sur la droite, la façade vers le quai comprend une fenêtre, la porte puis quatre autres fenêtres, le premier étage six fenêtres ; la toiture a deux fenêtres et deux lucarnes. Un deuxième bâtiment à pignon a deux fenêtres et une porte au rez-de-chaussée, deux fenêtres à l’étage. La cour H représente l’arrière (1-13) du bâtiment sur le quai puis l’aile (13-12) et le pignon (9-12) sur cour, à l’arrière du bâtiment à pignon sur quai.
Les anciens bâtiments sont décrits avec précision dans deux rapports d’experts en 1819 et en 1840. La Ville achète en 1842 pour élargir la rue devant l’hôpital militaire environ la moitié du terrain où se trouvent une maison incendiée et des hangars neufs. Me menuisier Antoine Klotz construit le bâtiment en 1843 puis en 1853.
La maison porte d’abord le n° 27 du quai aux Fleurs (1784-1857) puis le n° 12 qui devient ensuite le 50, rue de Zurich puis le n° 70.


Cour H – Plan du terrain cédé à la Ville (1842, ADBR cote 7 E 57, 10-97)

Elévation en 1925 – Photographie avant transformations, 1968 (dossier de la Police du Bâtiment)

Le maître menuisier Jacques Schultz qui vient d’acheter la maison fait aménager en 1894 dans un hangar à gauche du portail d’entrée un atelier de menuiserie dont il convertit la partie avant en maison d’habitation en 1896 : les pans de bois y sont posés sur la maçonnerie. Il fait construire en 1898 à droite de l’entrée un bureau en maçonnerie recouvert de pan de bois. L’atelier à gauche du portail d’entrée est transformé en maison d’habitation en 1903 et l’atelier est agrandi. L’atelier du sculpteur Albert Schultz est transformé en atelier de tourneur en 1926. Le maître menuisier André Bonnet a un autre atelier à gauche de la cour (1921, 1926). Le pâtissier Henri Husser charge l’architecte Belling de transformer une partie du rez-de-chaussée en pâtisserie, notamment en perçant une devanture (1927 puis 1929). La Ville renonce en 1957 à demander au propriétaire d’acquérir le terrain qui sépare sa propriété de l’alignement légal de la rue de Zurich. Henri Husser fait transformer la façade en 1963, ouvre en 1964 un débit de boissons dans sa pâtisserie. Il fait aménager les combles en 1964 puis transformer le magasin en 1968 en y posant de grandes devantures


Atelier construit en 1894 – Bâtiment à gauche du portail, construit en 1896 – Bâtiment à droite du portail, construit en 1898 – Plan de la parcelle, 1903 – Nouvelle devanture du n° 70, 1968 (dossier de la Police du Bâtiment)

juillet 2021

Sommaire
CadastrePolice du BâtimentRelevé d’actes

Récapitulatif des propriétaires

La liste ci-dessous donne tous les propriétaires de 1676 à 1952 (auparavant, voir le jardin Kolb. La propriété change par vente (v), par héritage ou cession de parts (h) ou encore par adjudication (adj). L’étoile (*) signale une date approximative de mutation.

1676 v David Beuther, cordier, et (1646) Aurélie Obelé puis (1648) Marguerite Klinger – luthériens
1679* h Etienne Amberger, huilier, et (1671) Marie Madeleine Beuther – luthériens
1712 v Jacques Louis Hermann, aubergiste, et (1704) Marie Ursule Eisenmann puis (1721) Marie Madeleine Ziegler – luthériens
1724 v Jacques Lutz, aubergiste, et (1724) Marie Dorothée Klein – luthériens
1733 h Jean Jacques Grün, aubergiste, et (1733) Marie Dorothée Klein, veuve de Jacques Lutz, puis (1735) Anne Marie Stamm – luthériens (usufruitiers)
1783 h Jean Memminger, pêcheur, et (1757) Marie Dorothée Lutz – luthériens
1784 v Jean Georges Kieffer, batelier, et (1760) Susanne Salomé Ochs – luthériens
1811 adj Jean Georges Erhard, horticulteur, et (1791) Anne Marie Schwing – luthériens
1820 adj Jean Michel Rudloff (Rudolph), marchand de bois, et (1795) Marie Catherine Kling
1840 h Jean Antoine Klotz, menuisier, et (1827) Catherine Rudloff
h Louis Kreitmann, fabricant de papiers peints, et (1850) Sophie Adèle Klotz
1877 v Alfred Schwind, imprimeur, et (1867) Marie Caroline Staat
1895* v Jacques Schultz, ébéniste, et Madeleine Bürcki
1922-* h Charles Albert Schultz, sculpteur, et copropriétaires
1926* v Henri Husser, pâtissier, et Eugénie Caspar

Valeur de la maison selon les billets d’estimation : 700 livres en 1710 – sans la maison voisine, 675 livres en 1721, 1500 livres en 1733

(1765, Liste Blondel) X 210, les enfants du nommé Lutz
(Etat du développement des façades des maisons, AMS cote V 61) Grün, 23 toises, 2 pieds et 0 pouce
son jardin 9 toises, 5 pieds et 0 pouce
(1843, Tableau indicatif du cadastre) O 866, Rudolph, Michel, quartier des Souabes 26 – maison, sol – 4,3 ares

Locations

1688, Abraham Müller, boucher
1689, Jean Jacques Stempel, aubergiste au Grand Cerf.
1692, Balthasar Faver, employé des fortifications
1695, Léopold Winther, aubergiste
1744, Jean Jacques Wintersinger, aubergiste
1753, Jean Jacques Koch, aubergiste
1774, Jean Philippe Schæcker, brasseur
Liste de locataires, 1760
Liste de locataires, 1782
1795, Anne Marguerite Voll, célibataire
1806, Daniel Kieffer, batelier
1812, Jean Martin Engel, charpentier, et Madeleine Kieffer
1819, Michel Rudolph (futur propriétaire)
1827, Samuel Riebel, garçon batelier

Aubergistes

1689-1695, Jean Jacques Stempfel d’abord vivandier
1695-1704, Léopold Winter
1704-1724, Jacques Louis Herrmann
1724-1734, Jacques Lutz
1734, Jean Jacques Grün
1744, Jean Jacques Wintersinger, aubergiste (bail)
1753, Jean Jacques Koch
1758, Philippe Jacques Lutz
1761, Jean Philippe Schropp
1762-1765, Madeleine Bügler veuve de l’aubergiste Laurent Gillig
1774, Jean Philippe Schæcker, brasseur (bail)

Livres des communaux

1673, Livre des loyers communaux, VII 1465 (1673-1741) f° 319
L’huilier Etienne Amberger doit pour une partie de son jardin 2 livres par an

Stephan Amberger, der Ohlmann soll wegen vergröserung seines garttens inn Crautenaw gegen St. Johannnis gießen, neben Hannß Voltzen, Jahrs vff Johannis Baptistæ, und A° 1691. zum ersten mahl, 2 lb
Protoc: p. 1690. p. 48
Jetzt H. Jacob Ludwig Hermann 1713. i.o
jetzt H. Jacob Lutz
Jetzt Johann Jacob Grün
(Quittungen 1691-1741)
Neuzb fol 808

1741, Livre des loyers communaux, VII 1472 (1741-1802) f° 808

alzb. 319
Joh: Jacob Grün (sen.) solle wegen vergrößerung seines gartens in der Crautenau gegen St. Johannnis Gießen, Jahrs auf Joh: Bapt. (id est 24. Junii), 2 lb
(Quittungen 1741-an 10)
C. 430

[in margine :] 6. Messidor
modo Georg Fischer
Georg Kieffer

Préposés au bâtiment (Bauherren)

1689, Préposés au bâtiment ,VII 1373
Le préposé des arquebusiers et l’aubergiste du champ des Arquebusiers s’opposent à ce que l’huilier Etienne Amberger obtienne un terrain pour agrandir son jardin où les clients tirent à l’arquebuse alors que les pétitionnaires déclarent en avoir le privilège. Les Préposés au bâtiment renvoient l’affaire aux Conseillers et aux Vingt-et-Un avant de prendre une décision.

(f° 74) Freÿtags den 25. ejusdem [Novembris] – Johann Blümele, Johann Mock Ca. Stephan Amberger
Johann Blümele, der Schützenmeister, und Johann Mock, der Würth auff dem Armbrustrhein, bringen an, daß Sie in erfahrung Gebracht hetten daß Stephan Amberger der Ohlmann ein stück Allmendts an seinem Gartten in der Crautenauw Von gemeiner Statt begehre, umb desto mehrere bequemlichkeit Zuhaben, mit Armbrusten allda Zuschießen : Es thäte aber solches dem Armbrust Rhein großen abbruch, Were ihren privilegien Zu wider, und gehe allda Große üppigkeit und entheÿligung deß Sontags Vor. Item Sie setzen Schützen meister, Siebner und straffen die leüth, und treiben allerhand umrednungen und mißbraüche, so nicht Zuleiden, bitten dahero ihme solches nicht Zugestatten, sondern sein begehren abzuleinen, Amberger regerirte dargegen, daß bißher in dem Gartten, und an verschiedenen andern orthen mehr mit Armbrusten seÿe geschoßen und niemandts Verwehret worden, Sein hauß seÿe ein offenes Würths hauß, wer am Sontag darinnen pleiben, und nicht inn die Kirch gehen wolle, dem wehre es der würth nicht gleich wie anderstwo, die Schützenmeister hätten Sie gemacht, damit es desto ordentlicher beÿ ihnen hergehe, verhoffe er also nicht daß mann ihme sein begehren schwehr machen werde. Erkandt, Klägere sollen ihre beschwehrnuß beÿ Herren Räthen und XXI. anbringen, und wann die Sach allda außgemacht sein würdt, solle alß dann weithers Von dem behehrten platz geredet werd.

1690, Conseillers et XXI (1 R 173)
Les parties s’opposent devant les Conseillers et les Vingt-et-Un sans qu’aucune décision soit prise.

Staahlschützen Ca. Stephan Ambergern. 94. 95. 97. 102. 106.
(p. 94) Sambstags d. 11. Martii 1690. – Staahlschützen des armbrustreins c. Ambergern
Salsm. n. Gesambter Stahl Schützen des Armbrust Rheins contra H. Stephan Amberger den Ohlman, producirt hochgemäßigt unterth. Klag ane exis. petitis mit beÿlag L. a. Gol cop. et 8 tag, obt.

(p. 95) Montags d. 13.ten Martÿ – Amberger ca. die Staahlschützen
Goll n. Stephan Ambergers deß Ohlmanns ca. die sambtliche Stahl Schützen produciren Unterth. gegenbericht annexo petito.

(p. 97) Sambstags d. 18.ten Martÿ 1690 – Staahlschützen des armbrustreins c. Ambergern
Salsm. d. Hh. Stahl Schützen auff dem armbrust Rhein præsentirt H. Johann Georg Grauß Barbiereren und büchsen Meisters vicarium, welcher umb Stephan Amberger, und producirt mand. auff sein persohn, bittet recogn. mand. et sig. Goll recogn. et*
Salsm. producirt replicam juncto petito
Goll n. Stephan Ambergers pet. cop. Salsm. will es Zulaßen.

(p. 102) Sambstags d. 25. Martÿ 1690 – Amberger ca. Staahlschützen
Goll n. Stephan Ambergers ca. die Stahl Schützen producirt mand. und bittet recogn. m. et sigil. Salsm. recogn. b. fidem, Goll accept.
Goll Weilen die Gegenschrifft mit lauther falsis angeführt, also sagt er generalia, und schlieset darauff more solito, Salsm. Mündlichen Gegen beschluß bittet ad prox. Goll laßet es Zu.

(p. 106) Sambstag d. 1. april 1690 – Amberger ca. Staahlschützen
D G. n. Ambergers ca. die sämbtliche Stahl Schützen vom 25. jüngst will gegenschluß vernehmen, saltz. n. part. adirt schließet similiter cum repetitione hatt weg. actorum stellent es Zu Mhh. erk. renunciatis* ferÿs. Erk. vor geschloßen angenommen

1690, Préposés au bâtiment (VII 1374)
Le secrétaire rapporte sa conversation avec le préteur royal qui est d’avis d’accéder à la demande d’Etienne Amberger. Le terrain est accordé moyennant un loyer annuel de deux livres. Etienne Amberger demande quelques jours plus tard le droit d’avancer son pavillon d’un pied et demi vers l’ancien alignement et vers le nouveau ainsi que d’établir un auvent. La permission lui est accordée sans majorer le loyer.

(f° 43) Dienstags den 20. dito [Junÿ] – Stephan Amberger
Ego referire, daß erstbemelter Herr Syndicus mit mir Geredt, und angezeigt, daß in Stephan Ambergers Sachen contra die Schützen meister deß Armbrust Rheins, so vor Hh Räth und XXI. nun eine Zeit hero geschwebet, auß Gewissen Ursachen Kein bescheidt ergehen werden und daß mann demselben in seinem den 24. Novembr: Anno 1689. Gesuchten begehren gar Wohl Willfahen Könne, darauff ist das protocoll de A° 1689. auff Geschlagen und abgeleßen, und ihme in seinem begehren dergestaldt Willfahrt worden, daß er davon Jährlichen und vff Johannis Baptistæ Anno & 1691. Zum ersten mahl 2. lb d zinß davon geben solle.

(f° 46-v) Montags den 26. Junÿ. Augenschein eingenommen – Stephan Amberger
Ferner Augenschein eingenommen, beÿ H. Stephan Ambergers gartten inn der Crautenau, allwo er, über die bereits ihme Vergönstigte Vergrößerung deßelben, noch weither begehrt, ihme Zuerlauben, daß er mit seinem garttenhäußlein 1 ½ schuh Gegen St. Johannis Gießen, und eben soviel gegen dem ihme erlaubten neüen Allmend heraußfahren, und einen Überhang machen dörffe. Erkandt, bedacht.

(f° 48-v) Freÿtags den 7. Julÿ – p° Eingenommenen Augenscheins beÿ H. Stephan Ambergers Gartten, ist demselben in seinem den 20. Junÿ gethanen begehren ebenmäßig willfahrt worden und hatt sein Verpleibens beÿ denen angesetzten 2. lb d.

1696, Préposés au bâtiment, VII 1377
Etienne Amberger demande l’autorisation de pomper l’eau dans le canal Saint-Jean pour la conduire dans son jardin où il a établi des jeux d’eau. Il y est autorisé moyennant un loyer annuel d’une livre, ramené à cinq sols après qu’il s’est engagé à mettre sa pompe à disposition en cas d’incendie.

(f° 22) Mittwochs den 7. Ejusdem [Martÿ 1696] Stephan Amberger umb erlaubnus eine Waßer leitung Zu machen – Augenschein eingenommen Vor Herrn Stephan Ambergers, des Ohlmanns, in der Krautenau ohnfern des Newen Hospithals gelegener behaußung, alwo derselbe eine Waßer spritz in den Vorüber fließenden sogenanten Johannes Gießen setzen, und das Waßer über einen gang durch legende röhr in die in seinem Gartten befindliche Waßerkunst Zu laiten. Erk. Bedacht.

(f° 28) Dienstags den 3. Ejusd: [Aprilis1696] Herr Stephan Amberger pt° einer Waßer leitung in seinem Garten – Wegen eingenommenen augenscheins an Herrn Stephan Ambergers, des Ohlmanns Garten in der Krautenau, ist demselben mit setzung einer Waßerspritz in den fluß wie auch außführung einer Gallerie, umb daß Waßer darüber in seinen Garten Zulaiten, gegen erlag 1. lb. boden Zinnß Willfahrt. Herr Amberger ersucht Mghh. Ihme solches gratis Zu gönnen, in betrachtung Er sich obligiren wolte diese fewer spritz in fewers nöthen, zu loschung der brunsten Zu Verschaffen. Erk. Würd der Allmend Zinnß in solcher Consideration auff 5. ß d. moderirt.

1696, Conseillers et XXI (1 R 179)
Nouveau litige entre les arquebusiers et Etienne Amberger. Les Conseillers et les Vingt-et-Un laissent l’affaire en suspens.

die Stallschützen Ca. Stephan Amberger. 56. 60. 61.
(p. 56) den 31. Martÿ 1696 – die Stallschützen Ca. Amberger
G. n. der gesambten die Schützen des Stahlschießens Auff dem Armbruster Rhein ca. Stephan Amberger producirt Unterth. Memoriale und bitten. S. citatus p.sens b. copeÿ vnd T. O.. G. 8. Tag und copeÿ. S. priora. Erk. 8 Tag und copeÿ

(p. 60) den 7. Aprilis 1696 – Stallschützen Ca. Amberger
G. n. der gesambten die Schützen citiren H. Stephan Amberger Vom 26. Martÿ Will er erklärung vernehmen. S. citatus p.sens bes* handlung in concepto, will das mundum annoch heuth Zur Cancelleÿ lüffern, H. will es ohnfehlbar erwarthen und b. copeÿ. Obt.

(p. 61) Montags den 9. Aprilis 1696 – Stallschützen Ca. Ambergers
G. ersch. die sambtliche Stahlschützen cit. H. Stephanum Ambergers, weilen ggners schrifft Vom 2. hus. allzu Weithlaüffig, und mit lauther falsis narratio auch ohngegeründten falschen Zulag. angefüllet ist, alß widerspricht Mann derselben p. generalia sich per expressum reservirend, die inseri* Klag gehörigen Orthen einzuführen, erhohlet contenta producti Vom 26. Martÿ und 6. umb gdig. Willfahr, schließet und s. S. citatus p.sens generalia et contra schliesset und f. cum repetitione dißeithig. producti, deßen inhalt leicht probirt werd. Kann.

1717, Préposés au bâtiment (VII 1387)
Les préposés se rendent à l’auberge au Cerf pour examiner la rigole qui ne permet plus aux eaux de s’écouler parce qu’elle est encombrée d’immondices. Ils constatent que les maisons Herrmann et Koch ont posé du fumier près du fossé et que des latrines ont été établies sans autorisation dans le fossé. Hermann et Koch devront supprimer les latrines et reculer le fumier, le chef des travaux fera ensuite curer le fossé aux frais des défendeurs

(f° 248) Donnerstags den 4. Ejusdem [9.bris 1717] französische Hospithal – Augenschein eingenommen beÿ dem alhiesigen Königlichen Hospithal, alwo die Waßerrinne an dem Würths hauß Zum Hirtzel dergestalten mit unraht angefüllet, daß das keinen ablauff haben kann. Erk. Bedacht

(f° 252) Dienstags den 9. 9.bris 1717. französischer Hospithal, Johannes Koch, Jacob Ludwig Hermann – Wegen des am selbigen tag beÿ dem französischen Königl. Hospithal eingenommenen augenschein, ist Johannes Koch der Metzger, undt Herr Jacob Ludwig Hermann der Würth Zum Hirtzel, beschickt und Ihnen angezeigt worden, daß Weilen Koch Zween häußern beßerung an dem gräbel ligen habe, und ein s:v: secret in gedachtes Gräblein ohnerlaubt machen laß. Hermann aber das grablein Vor das Waßer beÿ entstehenden großen regen nicht ablauffen Könte, sondern alda halten bliebe, daß die oben daran Wohnende burger, Wie auch die so in gedachtem Hospithal Zu thun Hätten, dadurch sehr incommodirt würden, Sie solche beßerung Hinwegthun, das s:v: secret Hinweg brechen und das gräbel außwerffen laßen sollen. Illi offeriren so weith eines jeden gerechtigkeit gehet, das gräbel außheben Zu laßen, die beßerung Hinter sich von dem gräbel Zulegen und das s:v: secret Hinweg Zuthun. Erk. Soll der Herr Statt Lohner, wann solches ins werck gesetzt werde, das gräbel in einen guten standt stellen, und sie beede Zu refundirung der daran wendenden unkosten angehalten werden.

1779, Préposés au bâtiment, VII 1418 (731)
André Müller est autorisé au nom de l’aubergiste Grün à reconstruire le mur abattu par le vent à condition de ne pas toucher à la maison.

(f° 367) Dienstags den 14. Decembris 1779. – N. Grün Gastgeber
Mr Andreas Müller, der maurer nôe. N Grün, des Gastgebers Zum Hirsch bittet zu erlauben ane deßen beÿ dem französischen Hospithal gelegenen behausung zum Hirsch genannt, ein Stuck Maur, so der Wind umgerißen, wieder repariren zu laßen. Erkannt, Willfahrt auser diesem aber nichts an der behausung machen zu laßen.

1784, Préposés au bâtiment (VII 1421)
Le maître maçon Gruber est autorisé à réparer et repeindre la maison du batelier Jean Georges Kieffer

(f° 160-v) Dienstags den 31. Augusti 1784. – Joh: Georg Kiefer, Schiffmann
Idem [Hr. Gruber der Maurer] nôe Joh: Georg Kiefer, des Schiffmanns, bittet zu erlauben deßen bei dem französischen Spithal gelegene behausung repariren und anstreichen Zu laßen. Erkannt Willfahrt.

1785, Préposés au bâtiment (VII 1421)
Le batelier Georges Kieffer charge le maître menuisier Léonard Haas de poser un écarteur à l’angle de la maison.

(f° 212) Dienstags den 18. Januarii 1785. Georg Kiefer Schiffmann – Mr Leonhard Haas, der Zimmermann, nôe. Georg Kiefer, des Schiffmanns, bittet zu erlauben an das Eck seiner gegen dem Französischen Spithal über gelegenen behausung einen Abweiser setzen zu laßen. Erkannt Willfahrt, doch so, daß er der passage nicht hinderlich.

Protocole des Quinze

1689, Protocole des Quinze (2 R 193)
Le vivandier Jean Jacques Stempfel demande aux Quinze de lever l’amende qui lui a été infligée pour avoir servi des oiseaux grillés en assurant qu’il a sollicité le droit de bourgeoisie. Il demande le droit de débiter des boissons après que les préposés de l’accise lui ont attribué une enseigne ; il est renvoyé aux préposés à l’accise.

(f° 257-v) Donnerst. den 28. 8.bris – Johann Jacob Stempffel der Marquetänd zum großen Hirsch, per D Gollen, bericht daß die Herren dreÿ des Umbgeldts ihn, weilen er den gästen gebratene Vögel Vorgestelt, und 8 lb. gestrafft haben bitt Und.th. Umb derer gn. Nachlaß, weilen er ohne dem biß Monntag sich Umb das Burgerrecht anmelden, Und ein ordentl. Würth werden Will. Erk. Vor Obere Umbgelts herren gewießen.

(f° 303) Sambstags den 31. Xbris. – Johann Jacob Stempffel Würth Zum großen Hirsch, per D. Gollen, weilen ihme die Herren im Umgeld den schild gegeben, als bitt er underth. umb den offenen schanck und Zugleich auch umb die gerechtigkeit des schildts, selbigen anderwärtig hie zu nehmen, wann er von dar weg Ziehen werd. Erk. Vor Obere Umbgelts herren gewießen.

1695, Protocole des Quinze (2 R 99)
L’aubergiste célibataire Léopold Winter demande le droit de débiter le vin au Grand Cerf à la Krutenau. Il reprend l’auberge que Jean Jacques Stempfel vient de quitter pour le Trou aux navets. Il habite à Strasbourg depuis sept ans, a servi à Schiltigheim et au Champ des arquebusiers. Il est déjà bourgeois et va épouser une réformée. Le droit lui est accordé puisqu’il n’établit pas de nouvelle auberge et qu’il s’engage à se conformer au règlement.

(f° 165-v) Sambst. den 24. 7.bris) Leopold Winther pt° Weinschancks
Leopold Winther der ledige Würth Und Burger alhier, per Saltzman, bitt Und.th. ihme den schanck Zum großen Hirschen jnn d. Krautenau zu gestatten. Erk. Vor Obere Umbgeldt Herren gewießen.

(f° 169-v) Freÿtag den 30. 7.bris – Leopold Winther pt° Weinschancks
H. XV.er Johann Sebastian Gambß, als Ober Umbgeldt Herr, läßt in absentia Herrn XV. Kellermans per Herrn Schrag referiren, daß Leopold Winther vmb den Weinschanck Zum großen Hirschen jn des Hn Ambergers Gartten angehalten und, da mann ihn Noch Ferners gehört, er vermeldt habe, daß der vorige Würth, Nahmens hannß Jacob Ständel von dar Weg Zum Rubenloch gezogen seÿe, erscheint, er seines orths schohn beÿ Sieben jahr alhier, Zu Schiltigheim vnd auff dem Schießrhein servirt habe, bereits burger seÿe, sich an eine Von Bern, so beÿ Hn Räth und XXI. Umb d. Burgerrecht angesucht, Und beÿ Rathes erhalten, Verheurathen, Und das Ungeld gleich bezahlen wolte, auch Wegen des schildts, als d. bereits da ware, er seine richtigkeit hätte, Weilen nun er inn Kein Neues Würthshauß kombt, und er præstanda Zu præstiren sich erbiethig machet, so vermeine mann mit MGHh ratification daß ihme inn seinem begehren gratificirt werden könte. Bedacht beliebt.

1704, Protocole des Quinze (2 R 108)
Jacques Louis Herrmann est autorisé en octobre 1704 à exploiter l’auberge au Poirier rue des Veaux en attendant de trouver une autre occasion. Il est autorisé en décembre à débiter le vin au Cerf dans le jardin Amberger en prenant la succession de Léopold Winter.

(f° 265) Sambstags den 25. Octobris 1704 – Jacob Ludwig Hermann pt° Weinschancks
H. noîne Jacob Ludwig Hermann burgers vnd Würths allhier, der bittet unterth. in dem Würthshauß Zum birenbaum in der Kalbsgaß den weißbeck ihme Zuerluauben so lang bißEr eine andere gelegenheit werde haben können, Erk. wie vor [ahne die Obere Ungeltsherren gewiesen]

(f° 305) Sambstags den 29. Novembris 1704 – H. nôe. Leopold Winthers deß burgers vnd Gastgebers allhie der hat eine behausung ahne dem hürtzel gelehnt, bittet ihme den schild und schanck daselbsten gn. Zu willfahren. Erk. ahne die Obere Ungelts Herren gewiesen

(f° 305-v) H. noîe. Jacob Ludwig Hermannn deß Würths Zum bierbaum vnd burgers allhier, principalis, hat die wohnung in H. Ambergers garten Zum guldin hirsch genant entlehnt, bittet underthänig ihme die weinschanck daselbsten Zu erlauben. Erk. ahne die Obere Ungelt Herren gewießen.

(f° 308) Freÿtags den 5. Decemb. 1704 – Johann Ludwig Hermann pt° weinschancks
Iidem [Obere Ungeltsherren laßen] per herrn Friden, es seÿe errinnerlich, daß Johann Ludwig Hermann umb den weinschanck Zum Bierbaum sich angemeldet, und derselbe erhalten, es seÿe aber derselbe seithero wider eingekommen, und habe bericht daß Er alda, aus verschiedenen ursachen nicht bleiben könne, deßwegen des H. Ambergers Gartten in der Krautenau, aus welchem Leopold Winter der vorige würth weg ziehe, gelehnt habe, mit bitt Ihme den schanck alda Zu Continuiren. Weilen es nun ein altes würthhauß und der Implorant burger seÿe, auch alle requisita habe, als stüde Zu Mghherren, Ob Sie demselben in seinem begehren willfahren wollen, Erk. willfahrt

1707, Protocole des Quinze (2 R 111)
Jacques Louis Herrmann demande que ses pensionnaires vivandiers puissent contiinuer à exercer leur métier. Les Quinze répondent qu’il doit leur donner congé avant la Saint-Michel ou cesser d’être aubergiste.
Il informe en novembre de la même année qu’il est seulement locataire quand on l’avertit que sa cave sera contrôlée.

Jacob Ludwig Hermanns burger und Würths pt° erlaubnus seine haußleuth zu behalten
Jacob Ludwig Hermann pt° wid. eröffnung seines Kellers
weÿl. Stephan Ambergers Wtb vnd Erben pt° dero Würthshaußes Zum Hirschen in der Krautenau
(f° 240-v) Sambstags den 25. Junÿ – Jacob Ludwig Hermann pt° erlaubnus seine haußleuth zu behalten
S. noîe. Jacob Ludwig Hermanns burgers und Würths Zum Kleinen Hirschen beÿm frantzösischen Spitthal Plis. hat einen Sergeanten von H. Cap° Meÿers Comp° beÿ sich in losament, welcher aber sowohl als seine fraw Marcketendereÿ treiben vndt deßwegen die wenigste Zeit hier seindt, vndt nur die alte Mutter sich beÿ den Kindern auffhalte, also keine gefährde Zu besorgen, bittet deßwegen Zu erlauben daß Er selbige behalten dörffe. Erk. wird es beÿ voriger Erkantnus gelaßen undt dem Imploranten die alternativ gegeben, entwed. dieße leüth auff Michaelis fortzuschaffen oder die Würtschafft zu quittiren.

(f° 351-v) Sambstags den 26. Novembris 1707. – Jacob Ludwig Hermann pt° wid. eröffnung seines Kellers
K. noîe Jacob Ludwig Hermanns des Würths Zum großen Hirschen in der Krautenaw, weilen Ihme sein Keller secretirt worden, das haus aber nicht sein eigen seÿe, als bitt unterth. in ansehung er einen großen Zinß gebe, vndt die Einquartierung leiden müße, den Keller wid. eröffnen Zu lassen. Erk. wie vor [an die Oberen Ungelth. gewießen)]

(f° 366-v) Sambstags den 10. Decembr. 1707 – Kn. weÿl. Stephan Ambergers gew. Ohlmanns vnd burgers allhier hinterlaßener Wtb. vnd Erben Curatoris, H. Abraham Helcken, prod. wegen dero Würthshaußes Zum großen Hirschen in der Krautenau, unterthäniges memoriale vnd bitten wie inhalts. Erkant an die Obern Ungelts Hh. gewießen.

1710, Protocole des Quinze (2 R 114)
Jacques Louis Herrmann souhaite quitter l’auberge au Grand Cerf dans le jardin Amberger pour débiter le vin au Jeu de Paume. Les Quinze répondent qu’aucun droit de débit n’est attaché au Jeu de Paume.

Jacob Ludwig Hermann pt° Weinschancks im ballenhauß, 93. 107.
Sebastian Beck pt° erlaubnus daß Ludwig Jacob Hermann den Weinschanck im ballhauß treiben dörffe 114
Jacob Ludwig Hermann pt° continuationis des weinschancks im ballenhauß 237
(f° 107-v) Sambstags den 12. Aprilis 1710 – Jacob Ludwig Hermann pt° Weinschancks
Iidem [Obere Ungelts Herren] laßen durch H Friden referiren, daß Jacob Ludwig Hermann der burger vnd bißherige Würth Zum hirtzen in dem Ambergischen garten vmb den Weinschanck im Blatterhauß angehalten habe, deme Er alß man ihme ferner gehört, beigefügt, wie doch Er nicht allein burger sondern beÿ E. E. Zunfft der Freÿburger Leibzünfftig were, vnd schon eine geraume Zeit Würtheÿ getrieben hette, allein in dem Würthshauß Zum Hirtzen nicht mehr bleiben Könte, weilen Er jährlich 108 fl. Zinß geben solle, vnd vmb sich künfftighien ernehren zu können, hett Er H Becken dem bestäter im Kauffhauß das ballenhauß abgelehnt, allwo Er wein auffzäpffen jederman setzen, vnd eßen vnd trincken geben wolte, wie es bißhero geschehen, auch Er nichts anders in lehnung hette, alß nur das Kleine hauß, die Zweÿ groß Ballenheüser H Graff von Hanaw gelehnet und selibige mit häw angefüllet hette
Auff seithen der H. Deputirten, habe man ihme gleich widersprochen daß das ballenhauß niemahlen kein Wirthshauß gewesen were, vnd der Ballenmeister niemahlen die erlaubnus gehabt hette, jedermäniglich eßen vnd trincken Zugeben, wohl aber denen jenigen so beÿ ihme im Ballenhauß sich divertirt vnd erlustiget haben, vnd weillen man besorgt es dörffe hierudurch den Ballenhauß ein recht der Würtheÿ Zugezogen werden, daßelbe auch Zimlich abgesetzen alß habe man dem vorgehalten, dem Implorant mit seinem begehren abgewieß, werden könte. Erk. bedacht beliebt.

1712, Protocole des Quinze (2 R 116)
Michel Lobstein sollicite le droit de débit au Grand Cerf. Jacques Louis Herrmann qui a acheté l’auberge demande le droit de l’exploiter. Michel Lobstein s’installe à l’Ancre et Jacques Louis Herrmann au Grand Cerf.

Michael Lobstein pt° Weinschancks zum Hirtzel in der Krautenau, – zum Ancker
Jacob Ludwig Hermann pt° Weinschancks zum Hirtzel in der Krautenau
(f° 79) Sambstags den 19. Martÿ 1712. – G. noîe Michael Lobsteins des burgers vndt gastgebers alhie der bittet unterth. Ihme den Weinschanck zum Hirtzel in der Krautenau, vndt wegen instehend. Ferien bis Zu außtrag der Sach, gn. Zu willfahren. Erk. an die Oberen Ungelts Hh.gewießen vndt Inen die Händt geöffnet, dem Imploranten wann Er die requisita habe, Zu willfahren.

(f° 127-v) Sambstag den 28. May 1712 – G. noîe Jacob Ludwig Hermanns des burgers vndt würths alhie, der hat as Würthshauß Zum Hirtzel in der Krautenau gekaufft, bitt unterth. Ihme den weinschanck alda gn. Zu erlauben. Erk.wie vor [an die Oberen Ungelts Hh.gewießen]

(f° 128) Sambstag den 28. May 1712 – G. noîe Michael Lobsteins des burgers vndt Gastgebers alhie der hat die gastherberg Zum Ancker gekaufft, bitt ihme den weinschanck alda gn. Zu willfahren. Erk. an die Oberen Ungelts Hh.gewießen.

(f° 156) Freÿtag den 17. Junÿ 1712 – Jacob Ludwig Hermann pt° weinschancks
Iidem [Obere Ungelts Hh] per H. Friden, es habe Jacob Ludwig Hermann ansuchung gethan, daß Ihme der weinschanck Zum Hirtzel gn. erlaubt werden möchte, Nun seÿe Er im Ungelt nichts schuldig vndt weilen er schon Längst præstanda præstirt, so halte man davor daß Ihme Willfahrt werden könte. Erk, Willfahrt.

Joh: Michael Lobstein pt° weinschancks
Iidem [Obere Ungelts Hh] per H. Friden, es hette Johann Michael Lobstein so beÿ dem Hirtzel gewesen, umb den weinschanck Zum Encker angehalten, vnd weilen derselbe auch im Ungelt nichts schuldig vndt præstanda præstirt, so halte man davor daß Ihme ebenmäßig Willfahrt werden könte. Erkannt, Willfahrt.

1724, Protocole des Quinze (2 R 129)
Jacques Lutz est autorisé à débiter le vin au Grand Cerf qu’il vient d’acheter. Il a fait son apprentissage de 1711 à 1713 chez l’aubergiste à L’Esprit Jean Jacques Kamm et va devenir bourgeois.

Jacob Lutz pt° Weinschancks Zum Hirsch ohnfern dem frantzösischen Spithal
(p. 241) Sambstag den 10. Junÿ 1724 – Römer pro Fuchß nahmens Jacob Lutz des Ledigen Würths undt burgers allhier dieser hat das Würthshauß Zum Hirsch ohnfern dem Frantzösischen Spithal gelegen gekaufft, bitt Vndthg. Ihm den Weinschanck allda gnädig Zu Willahren. Erk. Ober Vngelt herren.

(p. 273) Sambstag d. 1. Julÿ 1724. – Obere Vmbgelt herren laßen durch H. Secret. Kleinclaus referiren, daß Jacob Lutz der ledige Würth und burger allhier in einem gehaltenen Recess berichtet, er habe das Würths hauß Zum hirsch an dem Frantzösischen Spithal erkaufft mit Vndt.ges bitt Ihme den Weinschanck allda gnädig Zu willfahren. Auff geschehener Remission habe er seinen Lehrbrieff de dato 27. Junÿ 1723. laut deßen derselbe beÿ H. Joh: Jacob Kamm dem gewesenen Geistwürth allhier die Würtheÿ Zweÿ Jahr lang alß von Ostern 1711 biß widerdahin 1713. behörig erlernet, und sich Wehrender Lehrzeit wohl und wie es einem ehrliebenden Menschen Zukomme, erlernet, Vorgelegt, das burgerrecht aber betreffend, so habe er berichtet, daß er deßen allbereit beÿ E. E. Großen Rath Vertröstet worden, Auff seithen der Hh. Depp. halte man davor, daß weilen der Implorant die Würtheÿ Ordnungs: mäßig erlernet, und derselbe ein Altes Würthshaüß heziehe, Ihme in seinem begehren Zu Willfahren, selbiger anbeÿ aber auch Zu abschwöhrung des Eÿdts auff die Würths ordnung anzuhalten seÿe. Erkandt, bedacht gefolgt.

1731, Protocole des Quinze (2 R 137)
Jean Jacques Lutz n’est pas autorisé à servir de la bière dans sa salle de billard. Il devra s’adresser au bureau de police pour pouvoir servir du café.

(p. 82) Sambstag d. 17. Martÿ 1731. pt° Bier Stützenweis – Gug noe. Joh: Jacob Lutz burgers undt Gastgebers Zum Großen Hirsch bitt Ew. G. permission bier Stützenweis auff seinen Billard Saal kommen zu laßen, und außschencken zu dörffen, gleich auch umb permission im fall der Noth Caffé und Thée auß denen Caffé häußern alldahien kommen Zu laßen. Erk. Ober Umgldh.
(Manuale) Sams. den 17. Marty – G. noe. Joh: Jacob Lutz burgers u. Gastgebers Zum Großen Hirschen b. E. gn. p.mission bier stützenweis auf seinen billard saal kom. zu laßen u. außschenck. zu dörffen, gleich wie auch d. p.mission im fall d. Noth Caffé u. Thée auß den Caffé häußern aldahin kommen Zu laßen. Erk. Ober Umgelds H.
Mont. den 19. Marty – Iid. Lect. rec. d.d.d. [Vom 17. hus.] in s. Joh: Jacob Lutz Würths zu Großen Hirsch. pto. bier: und Caffé schancks. Ille gehört selbst beÿ andere, die billard halten schenckten auch bier auß, pto bierschcks. d. begehren abzuschlagen, pto. Caffé schancks ahn E. Löbl. pol. Gerichts gewießen. Erk. in plenum

1734, Protocole des Quinze (2 R 142)

Joh: Jacob Grien Weinschanck 122. 134. 292 (pages manquantes)

1753, Protocole des Quinze (2 R 163)
Jean Jacques Koch obtient dispense d’âge pour débiter le vin au Grand Cerf

(p. 515) Sambstag den 10. Novembris – Joh: Jacob Koch pt° dispensationis ætatis u weinschancks
Römer nôe. Johann Jacob Koch des ledigen b. und Würths ctra E. E. Zunfft der Freÿburger H. Zunfftmstr, producirt Zunft bescheid Vermög deßen pples pt° dispensationis ætatis wie auch pt° weinschancks an mghhrn Verwießen Worden, bitt unterth. dem imploranten mit dem weinschanck in dem Würthshauß zum großen Hirsch wie auch mit der dispensation ætatis Zuwilfahren.
Faust E. E. Zunfft setzt gegentheiles begehren Zu mherren, jedoch deßen übrigen die artickel in salvo bleiben. Erkandt denm imploranten gegen Erlag 3. lb zweÿ tertz gemeiner statt die andere tertz aber E. E. Zunfft heimfallen mit der gebettener dispensation ætatis, wie auch mit dem würths recht und weinschanck in dem Würthshauß zum großen Hirschen gegen erlag deren* in denen arctickel enthaltenen gebühren Zu willfahren seÿe. (Rapiarium f° 77)

1758, Protocole des Quinze (2 R 169)
Philippe Jacques Lutz qui a pris à bail l’auberge au Grand Cerf est autorisé à y débiter le vin

(p. 274) Sambstags den 19. Augusti 1758 – Freund nôe Philipp Jacob Lutz des ledigen burgers und Würths allhier der hat das würths hauß zum großen Hirschen gelehnet, producirt Zunfft Schein Vermög welches Er præstanda præstirt, bitt ihme daselbst mit dem Weinschanck gnädig zu willfahren ist. Erkandt nach ordnung Willfahrt.

1761, Protocole de la tribu des Fribourgeois (XI 168)
Jean Philippe Schropp, aubergiste célibataire qui a pris à bail le Grand Cerf près de l’hôpital français demande l’autorisation d’y exercer son métier. Il présente son certificat d’apprentissage daté de 1745. Il devra solliciter une dispense auprès des Quinze puisqu’il n’a pas atteint les vingt-cinq ans requis par le règlement. Il devient tributaire deux semaines plus tard après avoir obtenu dispense.

10.te Gericht de 1761. Mittwoch den 9.ten mensis Decembris 1761.
(f° 142) Johann Philipp Schropp der Ledige würth weÿl. Johann Philipp Schropp deß geweßenen Würths undt burgers allhier Nachgelaßener ehelicher Sohn, Erscheinet undt remonstriret, wie daß Er in dem würths hauß Zum großen Hirsch beÿ dem Frantzösischen Hospithal allhier gelegen, /:so derselbe in Lehnung würcklichen bestandten:/ würtschafft zu treiben gesonnen, will derohalben deß Zunfft und würths: rechtens wie auch deß Zunfft: Scheins wegen Erlangung deß Wein Schancks in Vor ermeldtem würths hauß gehorsambst gebetten, Undt zugleich seinen Thauff undt Statt Stall Schein welcher Letstere datiret den 2.ten Dec: 1761. Zusambt deßen Pergamentenem Lehrbrieff de dato Straßburg d. 23. Dec: 1745. hiemirt produciret habe.
Hierauff Erkandt worden, weilen der Implorant Krafft deß producirten Lehrbrieffs die profession der würtschafft Innerhalb 4. Jahren allhier Zwar nach Ordnung Er Lernet, auch Nachgehendt so wohlen allhier alß auch ausserhalb alß hauß Knecht serviret, alleine aber Zu folg deß producirten thauff Scheins, Ihme von der Majorennitæt oder dem alter von 25. Jahren, dermahlen in circa 2. jahr 8 Monat undt 19 tag Abgehen, Ein Solches aber wieder die von gn. Hn. denen XV.en unterm 17.ten 7.bris in Anno 1746. dießer Ehrs. Zunfft gnädig Ertheilte Articul Paragr: 6.to streitet, Alß wirdt derßelbe so wohlen puncto dispensatione ætatis, alß auch dem Wein Schanck in besagtem würths hauß Zum großen Hirschen allvorderistens ahne Gnäd. Herren die XV.en Verwießen undt denenselben, dabeÿ injungiret, wann Er solche dispensation Zusambt dem Weinschanck wirdt Erhalten haben, daß Er sich alß dann dießorths wieder umb stellen, den Ergangenen bescheid produciren, Undt sich Leibzünfftig machen solle.

11.te Gericht de 1761. Dienstag den 22.ten mensis Decembris 1761.
(f° 148) Neuzünfftiger – Johann Philipp Schropp der Ledige würth citiret soll Zufolg Gerichts Erkandtnus Vom 9.ten Xbris 1761: Sich Leibzünfftig machen, Zu dem Endte Gnäd: Herren derer XV.n Erkandtnus produciren. Ille Erscheinet undt produciret Zur partition solchen Gerichts bescheids ein intitulirtes Revidirtes undt vollziehen erneuertes Umgeldts Policeÿ undt getruckhtes Tarifs: Mandat &, so datiret den 30.ten 7.bris 1747: woselbsten von S.T. Herrn XV. Secretarius Städel unterm 12.ten Dec: 1761. geschrieben zu sehen, daß derßelbe nicht nur alleine dispensation wegen dem Ermanglendten Alter gegen Erlag 3. lb. Einer Ehrs. Zunfft der Freÿburger heimfällig sondern auch den weinschanck Zum großen Hirsch allhier würcklichen Erhalten, Undt dardurch alß ein würth alle Nöthige præstanda præstirt habe. Derowegen Ist Erkandt worden, daß demeßelben das völlige Zunfft und Würths: Recht gegen erlag der ordinarj gebühr der 6 lb. I4 ß d beneben 6 ß stubengeldt pro hôc anno, Zusambt dem vorgedachten Dispensations: geldt der 3 lb d Zu conferiren, Mithin derßelbe alß ein Leibzünfftiger Würth zu recipiren seÿe. juravit eodem auff die Ordnung.

1762, Protocole des Quinze (2 R 174)
La veuve Gilch est autorisée à débiter le vin au Grand Cerf en y transférant le droit attaché aux Six Moreaux.

(p. 529) Sambstags d. 25. Septembris 1762. – Gilchen Wb. pt° Weinschancks
Idem [Schlosser] nôe. N. Gilchein des Würths Wittib, diese ist gesonnen ihr bißherige ingehabtes Würths hauß zu denen 6. Rappen zu verlaßen und in das jenige Zum großen Hirsch beÿ dem Frantzösischen Hospithal Zu Ziehen, bitt ihro mit transferirung ihres schancks dahin Zu Willfahren. Erkandt, nach ordnung willfahrt.

1765, Protocole des Quinze (2 R 177)
Madeleine Bügler veuve de l’aubergiste Laurent Gillig quitte le Grand Cerf pour aller exploiter la Croix d’or

(p. 569) Sambstags d. 28. Septembris 1765. – Gillig Wittib pt° Weinschancks
Froereisen nôe. Frau Magdalenæ gebohrner Bühlerin weÿl. Lorentz Gillig geweßten Würths hinterlaßener Wittib, dieße will ihr biß dato beseßenes Würthshauß Zum großen Hirsch verlaßen und in das goldene Creutz ziehen, bitt ihro mit dem weinschanck daselbst gnädig Zu willfahren. Erk. Nach ordnung willfahrt.

Description de la maison

  • 1705 (billet d’estimation traduit) la maison comprend deux bâtiments arrière, deux petites cours, jardin et puits, estimée 1 400 florins
  • 1721 (billet d’estimation traduit) la maison comprend sol, poêles, cuisines, vestibule, bâtiment latéral à demi-toit sous lequel se trouvent poêles et petites chambres, un bâtiment arrière où se trouvent poêle, réduit, cave solivée, petite cour et puits. Le bâtiment avant comprend un passage latéral dallé, une salle de plaisance, estimée par les experts à 1 350 florins
  • 1733 (billet d’estimation traduit) la maison comprend un bâtiment latéral neuf, poêles, chambre d’officier, salle d’auberge, chambres, cuisine, salle à manger, vestibule, puits, salle à cheminée, cave solivée et petite cour, estimée 3 000 florins
  • 1819, Rapport d’experts
  • 1840, Rapport d’experts

Atlas des alignements (cote 1197 W 37)

4° arrondissement ou Canton est – Quai des Fleurs

nouveau N° / ancien N° : 2 / 27
Kieffer
Rez de chaussée en maçonnerie et 1° étage médiocre en bois
(Légende)

Cadastre

Cadastre napoléonien, registre 25 f° 264 case 1

Klotz Antoine à Strasbourg N° 26

O 867, maison, sol, quartier des souabes 27
Contenance : 8,00
Revenu total :
Ouvertures, portes cochères, charretières : 1 / 1
portes et fenêtres ordinaires : 33 / 26
fenêtres du 3° et au-dessus :

maison
Revenu total : 174,16 (170 et 4,16)
Folio de provenance : Nle Construction de 1843
Folio de destination :
Année d’entrée : 1853
Année de sortie :
Ouvertures, portes cochères, charretières : 1
portes et fenêtres ordinaires : 1 / 36
fenêtres du 3° et au-dessus : :
1853, Augmentations – Klotz Antoine f° 264, O 867, Maison, revenu 170, N.elle Construction, achevée en 1850, imposable en 1853, imposée en 1853

Cadastre napoléonien, 27 f° 1019 case 1

Klotz Antoine
1877 Schwind Alfred, Buchdrucker
1895/96 Schultz Jakob (Möbel-) Schreiner – und Ehefrau Magdalena geb. Bürcki in Gütergemeinschaft

O 867, maison, sol, quai des fleurs 12
Contenance : 8
Revenu total : 170
Folio de provenance : (264)
Folio de destination : Gb
Année d’entrée :
Année de sortie :
Ouvertures, portes cochères, charretières : 1
portes et fenêtres ordinaires : 36 puis 45
fenêtres du 3° et au-dessus :

O 867, sol, Zürcherstraße 50
Contenance : 8
Revenu total : 4,16
Folio de provenance :
Folio de destination : Gb
Année d’entrée :
Année de sortie : v

Cadastre allemand, 30, p. 414 case 2

Parcelle, section 33, n° 32 – autrefois O 866
Canton : Züricherstraße Nr 50 und Militärlazaretstraße Nr. 7 – Rue de Zurich rue de l’Hôpital militaire
Désignation : Hf, 2 Whs, Wst u. NG – sol 3 maisons et bât. acc.
Contenance : 5,10
Revenu : 3700 – 3450 – 1950 – 2350
Remarques : 1910 Berufung – 1933 CN – (Neubau 190-)

(Propriétaire ), compte 1133
Schultz Jakob u. Ehefr. in Gg.
1922 Schultz Charles Albert sculpteur et copropriétaires
1926 Husser Henri et Caspar Eugénie épouse
1947 Husser Henri maître pâtissier
(2133)

1789, Etat des habitants (cote 5 R 26)

Canton IX, Rue 341 Rue du Jeu de Paume p. 489

27
Pr. – Kiefer, Georges – batelier
loc. – Scherf, Guillaume, boucher
loc. – Mutz, Phil. Jacques – boucher
loc. – Fritschmann, Jacques – pêcheur
loc. – Rey, Conrad – batelier
Hollerin, Elisabeth
loc. – Hubrin, Madeleine – Manant
loc. – Springer, Adam – Manant
loc. – Fritschmann, Dorothée, fille – pêcheurs
loc. – Viatte, Jean Pierre, invalide
loc. – Besancon, Jeannette

Annuaire de 1905

Verzeichnis sämtlicher Häuser von Strassburg und ihrer Bewohner, in alphabetischer Reihenfolge der Strassennamen (Répertoire de toutes les maisons de Strasbourg et de leurs habitants, par ordre alphabétique des rues)
Abréviations : 0, 1,2, etc. : rez de chaussée, 1, 2° étage – E, Eigentümer (propriétaire) – H. Hinterhaus (bâtiment arrière)

Züricherstrasse (Seite 204)

(Haus Nr.) 50
Rühfel, Schriftsetzer. 0
Schulz, Schreinermeister. E 0
Waltz, Küfer. 0
Heitz, Pensionär. 1
Steinberg, Kaufmann. 2
Straub, Steinhauer. H 1
Dahl, Tagner. H 2
Schmidt, Schneiderm. H 2
Fösser,Wwe. H 3
Ley, Bur.-Vorst. H 3
Willem, Buchbinder. H 3

Dossier de la Police du Bâtiment (cote 702 W 220)

Rue de Zurich n° 70 et 7 rue de l’Hôpital militaire ()

L’entrepreneur Greiner remplace en 1885 par un mur la clôture en lattes qui donne dans la rue de l’Hôpital militaire. Le maître menuisier Jacques Schultz fait aménager en 1894 un atelier de menuiserie dans un hangar. Il fait convertir en 1896 en maison d’habitation la partie avant de l’atelier rue de l’Hôpital militaire ; les pans de bois ne forment pas la structure du bâtiment mais sont posés sur la maçonnerie. Jacques Schultz fait construire en 1898 un bureau en maçonnerie recouvert de pan de bois comme l’atelier de 1896 (le bureau se trouve à droite de l’entrée, accolé à la maison avant 50 rue de Zurich, alors que l’atelier se trouve à gauche du portail d’entrée). Il fait installer en 1900 un moteur électrique dans son atelier. L’atelier d’Albert Schultz à gauche du portail d’entrée est transformé en maison d’habitation et l’atelier de sculpture est agrandi en 1903. Un litige s’élève avec la Police du Bâtiment quand elle constate qu’une ouverture se trouve dans le mur coupe-feu avec le voisin Schaaf (5, rue de l’Hôpital militaire). L’entrepreneur Widman perce en 1911 une fenêtre vers la rue dans l’atelier Schultz. Le tourneur sur bois Ræber fait aménager en 1926 un atelier de tourneur dans l’ancien atelier de sculpteur.
Le maître menuisier André Bonnet fait installer en 1921 une fraiseuse électrique dans son atelier, situé à gauche de la cour, à l’arrière de l’atelier Schultz, puis d’autres machines en 1926.
Le pâtissier Henri Husser établit des latrines en 1926 bien que la surface bâtie dépasse déjà le maximum autorisé. Il charge en 1927 l’architecte Belling de transformer une partie du rez-de-chaussée en pâtisserie, notamment en perçant une devanture, puis en 1929 de transformer le rez-de-chaussée du 50 rue de Zurich et d’aménager deux garages pour automobiles.
Le propriétaire Henri Husser demande en 1957 l’autorisation de construire une pièce d’habitation au 50 rue de Zurich. La Ville renonce à demander au propriétaire d’acquérir le terrain qui sépare sa propriété de l’alignement légal de la rue de Zurich. Il fait transformer la façade en 1963. Il est autorisé en 1964 à établir un débit de boissons de première catégorie dans sa pâtisserie. Il fait aménager les combles en 1964 puis transformer le magasin en 1968 en posant de grandes devantures.

Sommaire
  • 1885 – L’entrepreneur en bâtiments Greiner (20 rue du Jeu-des-Enfants) demande l’autorisation de remplacer la clôture en lattes qui donne dans la rue de l’Hôpital militaire par un mur de clôture d’après le dessin joint. Propriétaire, Schwindt – Travaux terminés, avril 1885
  • 1890 – Le maire notifie le typographe Eugène Schwind (domicilié sur place 50 rue de Zurich) de faire ravaler les façades. L’intéressé demande un délai, d’autant que le dernier ravalement date de 1881. Le maire accorde le délai jusqu’en juin 1891 – Travaux terminés, juin 1891
  • 1893 – La Police du Bâtiment fait observer que l’atelier de menuiserie dont la toiture n’est pas à l’épreuve du feu ne satisfait pas au règlement. Le propriétaire qui a l’intention de convertir l’atelier en habitation demande un délai. Le délai est accordé d’autant que l’atelier est petit et que le poêle repose sur des dalles.
  • 1894 (septembre) – Les entrepreneurs J. & E. Klein (9 rue Fritz) demandent au nom du propriétaire Schultz l’autorisation d’installer un atelier de menuiserie. Le propriétaire joint une description des travaux prévus. – La Police du Bâtiment fait part de ses observations – Observations du bureau chargé des affaires commerciales (kaiserlicher Gewerbe-Aufsichtsbeamte) sur les machines qui se trouveront dans le nouvel atelier
    1894 (octobre) – Autorisation d’installer dans un hangar un atelier de menuiserie pourvu de machines mais sans local d’habitation – Plan, coupe, élévation. Le bâtiment existant est un appentis allongé à 6 travées, soutenues par des pieux en bois, dont les 5 dernières sont ouvertes et la première fermée par un mur en briques
    Mars 1895 – Le propriétaire demande des précisions sur la borne d’incendie dont fait mention le permis de construire – L’installation est conforme au réglement, le dossier est classé, juin 1895
  • 1894 – Le directeur de l’usine à gaz demande l’autorisation d’installer une prise pour 20 becs dans la propriété Schultz rue de l’Hôpital militaire – Autorisation
  • 1896 – Le propriétaire demande l’autorisation de faire un soubassement en ciment au 50 rue de Zurich – Travaux terminés, juin 1896
  • 1896 – La Police du Bâtiment fait observer au ferblantier Jæger qu’il a posé sans autorisation une enseigne perpendiculaire au 50 rue de Zurich – Demande – Autorisation
  • 1896 – La Police du Bâtiment constate que le maître cordonnier Jacques Schæfer a posé sans autorisation une vitrine au 50 rue de Zurich – Demande – Autorisation
  • 1896 – Le propriétaire J. Schultz demande l’autorisation de transformer le bâtiment en précisant que les pans de bois ne forment pas la structure du bâtiment mais qu’ils sont posés sur la maçonnerie – Autorisation de convertir la partie avant de l’atelier rue de l’Hôpital militaire en maison d’habitation – En marge, suivi des travaux : les murs sont terminés, la charpente du toit est commencée en mars 1896, le gros œuvre est terminé en avril 1896, la plâtrerie est terminée en mai 1896, l’aménagement intérieur est en cours en juin 1896, travaux suspendus de juillet à décembre 1896, travaux terminés en janvier 1897 – Plans et élévations
  • 1897 – La Police du Bâtiment notifie le maître menuisier Jacques Schultz, propriétaire, de faire ravaler la façade du 50 rue de Zurich. Le propriétaire qui prévoit d’importantes réparations l’année suivante demande un délai qui lui est accordé – Travaux terminés, juin 1898
  • 1898 – Le sculpteur Albert Schultz demande l’autorisation de poser une enseigne au 50 rue de Zurich – Autorisation – L’enseigne a été posée juste au-dessous de la lanterne d’éclairage public fixée au mur de la maison, janvier 1899
  • 1897 – La Police du Bâtiment notifie le propriétaire de supprimer les volets qui s’ouvrent sur la voie publique au rez-de-chaussée du 50 rue de Zurich. Rappel, juillet 1898 – Travaux terminés, mai 1899
  • 1898 – Le maître menuisier Jacques Schultz demande l’autorisation de construire un bureau en maçonnerie recouvert de pan de bois comme l’atelier de 1896 – Autorisation de construire le bâtiment le long de la rue de l’Hôpital militaire. Suivi des travaux, les murs sont en construction en novembre, le gros œuvre est terminé en décembre, l’aménagement intérieur est en cours en mars 1899, le bâtiment est terminé sauf la peinture en avril 1899 – Plans, élévations (le bureau se trouve à droite de l’entrée, accolé à la maison avant 50 rue de Zurich alors que l’atelier se trouve à gauche du portail d’entrée)
  • 1899 – La Police du Bâtiment observe que le sculpteur Schultz a posé sans autorisation une enseigne perpendiculaire. L’intéressé répond que la pose a été autorisée en 1898. La Police du Bâtiment suppose que l’enseigne a été un temps retirée pour le ravalement.
  • 1900 – Le maître menuisier J. Schultz demande l’autorisation d’installer un moteur électrique de trois chevaux dans son atelier – Autorisation – Travaux terminés, février 1900 – Plan
  • 1903 – L’entrepreneur Widmann fils demande l’autorisation d’agrandir l’atelier d’A. Schultz à l’angle de la rue de Zurich et de celle de l’Hôpital militaire. Autorisation de transformer la maison Schultz en maison d’habitation pour une famille et d’agrandir l’atelier de sculpture. On remarque lors du suivi des travaux que l’exécution ne correspond pas entièrement aux plans puisqu’une fenêtre a été déplacée – Plan de situation (les travaux ont lieu dans l’atelier à gauche du portail d’entrée rue de l’Hôpital militaire) – Le propriétaire donne les raisons du changement (accord avec le voisin Schaaf [5, rue de l’Hôpital militaire]. La Police du Bâtiment répond qu’elle ne peut pas autoriser une ouverture dans le mur coupe-feu vers le voisin et propose des solutions. – Novembre 1903, courriers de la Police du Bâtiment destinés (a) au ministère public, (b) à Albert Schultz, sculpteur demeurant 7 rue de l’Hôpital militaire. Albert Schultz demande un délai jusqu’au printemps, ce qui lui est accordé – Décembre 1903, la Police du Bâtiment écrit au préfet (Bezirkspräsident des Unter-Elsaß). Réponse du préfet (janvier 1904), la Police du Bâtiment informe Albert Schultz que le préfet n’a pas encore pris de décision suite à la requête du 18 décembre. Le préfet rejette les arguments du propriétaire et propose d’établir un puits d’air dans la toiture du grenier voisin en demandant à cet effet une autorisation à la Police du Bâtiment, ce que fait le propriétaire
    1904 (février) – L’entrepreneur Widmann (place Saint-Louis) demande l’autorisation de modifier la fenêtre de cuisine. Autorisation de percer une fenêtre de cuisine vers la cour – Travaux terminés, la nouvelle fenêtre est percée et l’ancienne remplacée par des briques translucides. – Plan
  • 1906 – L’entrepreneur Widmann (place Saint-Louis) demande l’autorisation d’établir des latrines contre la maison. Observations de la Police du Bâtiment – Autorisation – Travaux terminés, juillet 1906 – Plan
    La Police du Bâtiment dresse un rapport d’inspection illustré d’un croquis. Le rez-de-chaussée sert d’atelier et le premier d’entrepôt à bois. Deux ouvriers y travaillent. En cas d’incendie, les secours peuvent venir de la cour. Les copeaux sont conservés dans une pièce au-dessous du bâtiment voisin. Les latrines communiquent avec l’atelier. La Police du Bâtiment demande au propriétaire de procéder à des transformations.
  • 1911 (avril) – Albert Schultz informe la Police du Bâtiment qu’il a retiré son enseigne
    1911 (juin) – L’entrepreneur Widmann (1 place Saint-Louis) demande l’autorisation de ravaler la maison 50 rue de Zurich – Autorisation
    1911 (mai) – L’entrepreneur Widman demande l’autorisation d’ouvrir une fenêtre dans le bâtiment du sieur Schultz 7 rue de l’Hôpital militaire – Autorisation de percer une fenêtre vers la rue dans l’atelier Schultz – Travaux terminés, septembre 1911 – Plan
  • 1915 – Rapport de la Commission des logements militaires
    1915 – Le propriétaire Jacques Schultz se plaint que le fripier Fischer (domicilié 42 rue de Sélestat au Neudorf) entrepose de vieux objets dans la remise. La plainte est fondée.
    1926 – Le locataire Bertrand se plaint que la pluie pénètre dans son logement. La plainte est justifiée, la toiture est défectueuse. Le propriétaire promet de faire réparer la toiture.
  • 1916 – Le tapissier Gustave Knoblich demande l’autorisation de pratiquer son métier dans les locaux d’après des plans joints – Autorisation
    F.W. Kirchner (52 rue du Vieux-marché-aux-poissons) décrit une machine électrique à installer dans les locaux – Autorisation de l’installer au 50 rue de Zurich – Travaux terminés, mai 1919 – Plan de situation
  • 1921 – André Bonnet demande l’autorisation d’installer une fraiseuse électrique – Description, relative à l’installation d’un atelier d’ébénisterie pour le maître menuisier André Bonnet au 50 rue de Zurich, l’accès a lieu par la rue de l’Hôpital militaire – Plan – L’inspecteur du travail fait observer qu’une autorisation du préfet est nécessaire à cause de la proximité de l’hôpital militaire – Autorisation accordée à l’ébéniste André Bonnet, demeurant 14 rue des Poules – Plan (l’atelier Bonnet se trouve à gauche de la cour, à l’arrière de l’atelier Schultz)
  • 1921 – La Police du Bâtiment notifie le sieur Schultz de faire ravaler le bâtiment 50 rue de Zurich. Jacques Schultz répond que la maison est son seul revenu et qu’il lui est impossible de faire faire les travaux demandés.
  • 1925 – Jacques Schultz demande l’autorisation d’aménager une pâtisserie dans une partie d’un logement d’habitation – Plans
  • 1923 – Jacques Schultz demande l’autorisation de construire une chambre et une cuisine au premier étage de sa maison 7 rue de l’Hôpital militaire – Autorisation de rehausser la maison – Le projet n’est pas réalisé – Plan
  • 1926 – Le tourneur sur bois Ræber demande l’autorisation d’aménager un atelier de tourneur dans l’ancien atelier de sculpteur 7 rue de l’Hôpital militaire – Accord de l’inspecteur du travail – Autorisation, le tourneur sur bois Ræber et l’architecte Charles Krebs et fils (24 rue Brûlée) sont autorisés à installer des machines électriques au 7 rue de l’Hôpital militaire – Description de l’aménagement – Plans – La préfecture du Bas-Rhin délivre un récépissé suite à la déclaration d’un établissement de troisième classe,
  • 1926 – Le pâtissier Henri Husser demande l’autorisation d’établir des latrines dans sa propriété. Henri Husser et l’architecte Adolphe Stückle (5 rue des Bateliers) sont autorisés à construire une annexe pour le W.C. sur sa propriété 7 rue de l’Hôpital militaire bien que la surface bâtie dépasse déjà le maximum autorisé – Travaux terminés, décembre 1926 – Plan
  • 1926 – A Bonnet demande l’autorisation d’installer différentes machines électriques dans son atelier situé dans la cour du 50 rue de Zurich – Autorisation – Plan des machines – Récépissé suite à la déclaration d’un établissement de troisième classe, préfecture du Bas-Rhin
    1927 – L’entrepreneur Scheyen et fils (4 rue de la Course) est autorisé à occuper la voie publique à cause de transformations dans la cour
    L’entrepreneur Guri-Meyer (4 rue des Balayeurs) est autorisé à occuper la voie publique à cause de transformations
  • 1926 – Copie d’un jugement du tribunal cantonal dans l’affaire opposant le propriétaire Henri Husser, demeurant 4 rue de l’Abreuvoir, demandeur, et Albert Schranckenmueller, locataire demeurant 50 rue de Zurich, qui n’a pas droit à la prorogation de jouissance instituée par la loi du 1 avril 1926.
    Copie d’un jugement qui accorde prorogation de bail jusqu’au 1 janvier 1926.
  • 1927 – Le propriétaire Henri Husser et l’architecte Belling demandent l’autorisation de transformer une partie du rez-de-chaussée en pâtisserie confiserie, notamment en perçant une devanture – Plan – Le propriétaire qui louait un appartement 3 rue Sainte-Catherine compte entrer en jouissance de deux appartements loués respectivement aux familles Scholwing et Schranckenmuller – La Police du Bâtiment expose que le requérant ne remplit pas les conditions stipulées par l’article 20 de la loi du 2 avril 1926. L’architecte et le propriétaire demandent l’autorisation de transformer la façade de la maison dont le propriétaire occupe exclusivement le rez-de-chaussée. Le procureur de la République estime que le changement de destination n’est pas contraire aux dispositions légales.
    Henri Husser est autorisé le 27 mai 1927 à transformer le rez-de-chaussée du 50 rue de Zurich d’après sa demande du 18 janvier 1927 – Travaux terminés, juin 1927
  • 1929 – Henri Husser et l’architecte Belling (5 rue de Thann au Neudorf) demandent l’autorisation de transformer le rez-de-chaussée du 50 rue de Zurich et d’aménager deux garages pour automobiles – Plans – Suivi des travaux, la maçonnerie est terminée, février 1930, les travaux sont terminés, avril 1930
  • 1930 – Les agents de publicité Blindt et Félix (12 quai Saint-Nicolas) demandent l’autorisation de poser en saillie un panonceau métallique (La Maison du café, en vente ici) – Autorisation
  • 1927 – La Police du Bâtiment observe qu’Henri Husser a fait poser sans autorisation un store de 2,50 mètres à sa devanture – Demande – Autorisation
  • 1941 – La Police du Bâtiment demande à A. Bonnet (50 rue de Zurich) de retirer dans les deux semaines le panneau en bois d’un mètre qui porte une inscription. L’enseigne a été retirée, mai 1941
    1941 – La Police du Bâtiment demande à Henri Husser, 50 rue de Zurich, de retirer l’enseigne de 2,00 mètres qui porte une inscription.
  • 1946 – L’entrepreneur R. Braun (18 rue Saint-Nicolas) est autorisé à occuper la voie publique devant la maison Husser pour crépir la façade et déposer des matériaux
  • 1957 – Le propriétaire Henri Husser, domicilié 50 rue de Zurich, dépose un permis de construire une pièce d’habitation au 50 rue de Zurich. Commentaire de la Division VI  » Le terrain en question se trouve dans l’alignement de la rue de l’Hôpital militaire. Il est situé jusqu’à près de 2 m en arrière de l’alignement légal de la rue de Zurich. Pour avancer dans ledit alignement le pétitionnaire devrait acquérir environ 10 m². La transformation est projetée dans l’alignement de la rue de l’Hôpital militaire. « . Réponse de la Division I:  » Dans l’état actuel des choses, il n’y a pas lieu de demander à M. Husser d’acquérir la parcelle de terrain séparant sa propriété de l’alignement légal de la rue de Zurich.  » – Arrêté portant permis de construire (entrepreneur, Motz, 11 rue de Lucerne) – Plans – Compte rendu après que les travaux sont terminés, avril 1957
  • 1959 – Henri Husser est autorisé à poser un échafaudage en partie rue de Zurich et en partie rue de l’Hôpital militaire
    1963 – Idem
    1963 – Demande de permis de construire pour transformer et modifier la façade – Extrait du plan cadastral, devis par l’entreprise Wehr (70 rue du faubourg national) – Arrêté portant permis de construire qui régularise une situation de fait
  • 1964 – Demande d’enquête de conformité pour installer un débit de boissons de première catégorie dans un salon de pâtisserie – Certificat de conformité – Arrêté du préfet délivré à Henri Husser
  • 1964 – Autorisation d’occuper la voie publique après occupation sans autorisation
    Demande de permis de construire pour aménager les combles – Devis descriptif – La Direction départementale de la construction accorde une dérogation relative à la hauteur des pièces à aménager qui n’auront pas 2,50 mais seulement 2,38 mètres de haut – Arrêté portant permis de construire, décembre 1964 – Suivi des travaux, travaux terminés, juillet 1965
  • 1967 – Rapport de feu de cheminée
    Demande de permis de construire pour transformer le magasin – Plans, inscription Confiseur-Chocolatier – Plan cadastral – L’affaire est remise
    1968 – L’entreprise Schœttel (7 place Saint-Florent à Cronenbourg) est autorisée à occuper la voie publique (dépôt de matériaux) – Novembre 1968, janvier 1969, Henri Husser (8 rue Robert-Kieffer à Bischheim) est autorisé à poser un échafaudage sur la voie publique devant les deux façades
    1968 – Demande de permis de construire pour transformer le magasin – Plan cadastral – Photographies – Devis estimatif et devis descriptif établi par Jo Schwartz (Illkirch) – Arrêté portant permis de construire – Avenant au permis de construire, affectation à la Caisse mutuelle de dépôts et de prêts – Plan – Arrêté portant permis de construire, novembre 1968, architecte Léon Herrmann (29 rue de la Nuée-Bleue) – Travaux terminés janvier 1969
  • 1982 – La Caisse mutuelle de dépôts et de prêts informe la Police du Bâtiment que l’enseigne lumineuse a été supprimée
    1986 – L’entreprise Fourmenal (papiers peints) demande l’autorisation de poser une enseigne lumineuse – Clichés polaroïd – L’architecte des Bâtiments de France émet un avis défavorable
  • 1990 – L’entreprise Fourmenal demande l’autorisation de repeindre les encadrements de vitrine – Autorisation – Travaux terminés

Relevé d’actes

Voir auparavant les propriétaires cités au jardin Kolb. Benoît Hirt devait être propriétaire de la maison, revenue ensuite par héritage à des propriétaires morts sans descendance. D’après les actes suivants, leurs héritiers sont pour un tiers Jean Walter et sa femme Catherine et pour un autre tiers Martin Wurtz, les représentants d’Anne Wurtz femme d’Isaac Trens (dont Marie Trens femme de Jean Hitsch), Marie von Fridolsheim épouse de Jean Wild, Aurélie von Fridolsheim épouse succssive de Jean Hügel et de Jacques Schmidt.
Jean Walter, jardinier au quartier des Charrons, hypothèque au profit de l’huilier David Beuther le tiers de la maison sise entre les deux ponts couverts dans le Petit pré (im Kleinen Auel) et le quart de deux autres proches de la précédente.

1669 (5. Apr.), Chambre des Contrats, vol. 536 f° 201
Erschienen Hannß Walter Gartner und. Wagner
in gegensein David Beüters deß Ohlmanns – schuldig seÿe 60. lib.
Unterpfand sein solle ein tritter theil ahne Zweÿen Häußern an einander und ihren hoffstätten, höfflin, Scheur, Ställen, Gärtlin und allen Gebäwen, alhie in Vorstatt Krautenaw Zwischen den Zwöen gedeckhten Brucken, im Kleinen Awel, einseit neben hannß Voltz dem Gartner, anderseit neben der Allmend, hinden uff gedachten hannß Voltz,
Item Ein Vierter theil an dem vordern hauß auch allen deßen Gebäwen und Zugehördten, einseit neben gedachtem Voltz, anderseit neben dem obgemelten Gärthlin hind. uff obbeschriebene Zweÿ häußer,
Item ein Vierte theil an einem häußlin, höfflin und Ställelin, in obgenennter Krautenaw ohnfern obbeschriebenen häußern, anderseit neben mehrgemeltem hannß Voltz, anderseit neben Ludwig Baldners seel. Erben mit einem End vff ihme Voltz. und mit dem andern End vffs waßer stoßend gelegen

Jean Walter et sa femme Catherine vendent à David Beuther les maisons citées ci-dessus

1674 (21. 9.br), Chambre des Contrats, vol. 543 f° 673
hannß Walter Gartner Vnderwagner und Catharina beÿde Eheleuth
in gegensein herrn David Beuters deß Ohlmanns
Einen tritten theil ahn Zweÿen häußern aneinander sambt Ihren hoffstätten, höfflin, Scheur, Ställen, Gärtlein und allen Gebäwen und Zugehördten alhier in der Vorstatt Krautenau, Zwischen den Zwoen gedeckhten bruckhen in Kleinen Awel, einseit neben hannß Voltzen dem Gartner, anderseit neben dem Allmend, hinden uff gedachten hannß Voltzen,
Item Einen Vierdten theil an dem Vordern hauß auch allen deßen Gebäwen und Zugehördten, einseit neben gedachtem Voltzen, anderseit neben dem obgemelten Gärtlein hinden uff obbeschriebene Zweÿ häußer,
Item Einen Vierdten theil an einem häußlein, höfflin und Ställelin in obernannter Krautenau ohnfern obbeschriebenen Häusern, einseit neben mehrgemeltem Hannß Voltzen, anderseit neben Ludwig Baldners seel. Erben, mit Einem Ende uff Ihne Voltzen und mit dem andern End uffs waßer stoßend gelegen,
Item Einen dritten theil ahn Zweÿen halb waitzen und rockh. iährlicher Gült, so Lorentz Andres Zu druckterßheim (…) zu geben pflichtig (…) – umb 125 pfund

Marie, femme du jardinier aux Charrons Georges Rinck vend un douzième de la même maison à David Beuther

1675 (21. 7.br), Chambre des Contrats, vol. 544 f° 540-v
Maria, Georg Rincken Gartners Vnderwagner Eheweib, mit beÿstand erstgedachts ihres Ehevogts
in gegensein herren Davidt Beuters deß Ohlmanns
Einen Zwölfften theil ahne Zweÿen haüßern ahn einander, und deren hoffstätten, höfflin, Scheur Ställen Gärttlin und allen Gebäwen begriffen und zugehördten alhier in der Vorstatt Krautenau, Zwischen den Zwoen gedeckhten Bruckhen im Kleinen Äwel, einseit neben hannß Voltzen Garten, anderseit neben dem Allmend hinden uff gedachten Voltzen, Item Einen Zwölfften theil ahn Zweÿern Viertel, halb waitzen und Rockhen, so Lorentz Andres Zu Druchterßheim Von gewißen unßerm Pflug habende Güttern, Item Einen Zwölfften theil ahne einem Viertel gedachter früchten so Adam Diebolt von Handschuhheim iährlichen Zu Gülten zu geben schuldig seÿe, sampt den güttern solche antheiler früchten ertragend, Item j. Vierzahl feldts ohngefähr beÿ dem Kammischen Hoff im Newenbruoch (…) – umb 25. lb

Le boulanger Philippe Metzger vend un quart de la même maison à David Beuther
1676 (10. Jan:), Chambre des Contrats, vol. 545 f° 36-v
Philipps Metzger der Weißbeckh
in gegensein herrn Davidt Beuters deß Ohlmanns
Einen Vierdten theil dem Verkäufern für ohnvertheilt gebührend ahn Einem Vordern hauß, auch allen deßen Gebäwen und Zugehördten alhier in der Vorstatt Krautenau einseit neben hannß Voltzen Gartnern in Krautenau einseit neben hannß Voltzen Grtnern in Krautenaw, anderseit neben dem Käuffern Zum theil und theils neben – hinden auch uff den Käuffern.
Item Einen Vierten theil dem Käuffern für ohnvertheilt gebührend ahn einem häußlein, höfflein und Ställelein in erwehnter Krautenaw ohnfern obbeschriebenem Vorder hauß, einseit neben obg. Hannß Voltzen, anderseit neben Ludwig Baldners seel. Erben mit einem End uff nehrgemelten Voltzen, und mit dem andern End uffs waßer stoßend gelegen, So dann 10. fl. von und ahne 40. fl. so hannß Beckher Zu Marlenheim bekanntlich schuldig – umb 50 pfund

Le jardinier célibataire André Rencher vend au même un douzième de la même maison.

1676 (20. Apr.), Chambre des Contrats, vol. 545 f° 495-v
Andres Rencher der ledige Gartner
in gegensein Davidt Beuthers deß Ohlmanns
Einen Zwölfften theil ahne Zweÿen häußern an einander und deren hoffstätten, Scheur, Ställen, Gärtlin und allen übrigen Gebäwen, begriffen und Zugehördten, alhier in der Vorstatt Krautenau Zwischen den Zwoen gedeckhten bruckhen, im Kleinen Äwel, einseit neben hannß Voltzen Gartnern, anderseit neben dem Allmend, hinden uff gedachten Voltzen,
Item einen Zwölfften theil ahn zweÿen Viertel halb Waitzen und rocken so Lorentz Andres zue Druchterßheim Von gewißen, underm Pflug habenden Güttern zu geben pflichtig, Item einen Zwölfften theil von und ahne Einem Viertzel gedachter früchten, so Adams Diebolt Von Handschuhheim jährlich zugülten zu geben schuldig seÿe – umb 25. lb

Jean Voltz en son nom et au nom de son pupille Georges Schultheiss vend deux douzièmes de la même maison à David Beuther

1676 (12. Maÿ), Chambre des Contrats, vol. 545 f° 568-v
hannß Voltz Gartner in Krautenau für sich selbsten und alß Vogt Georg Schultheißen
in gegensein herrn David Beuthers deß Ohlmanns
Zwen dritte theil am Viertentheil Ihme dem Verkäuffer gehörig und einen tritten theil am Vierten theil den seinem curando Zustehend ahne hauß, höfflin, hoffstatt und allen übrigen Gebäwen, begriffen und Zugehördten in der Krautenau Zwischen den Zwoen gedeckhten bruckhen, einseit neben dem Verkäuffern, anderseit neben Georg Veltin dem Fischer, hinden auch uff Ihne den Verkäuffer,
Item Zwen dritte theil am Viertentheil, und einen dritten theil am Viertentheil, ahne hauß, höfflin hoffstatt und allen übrig. Gebäwen und Zugehördten allda, einseit neben dem Verkäuffern, anderseit neben dem Käuffern, hinden auch uff denselben stoßend gelegen
Item Zwen dritte theil am Viertentheil, und wieder Einen dritten theil am Viertentheil, ahne denen zu Druchterßheim und Munoltzheim iährlich fallenden Gülten, welche etwann in allem 2 Viertzel frucht halb Waitzen und rocken ertragen und – raichen, Item Zwen dritte theil am Viertentheil, und Einen dritten theil am Viertentheil ahn einem Viertzel Gülten halb Waitzen und rocken, so Adams Diebolt Von Handschuhheim jährlichen Zu geben Pflichtig, so dann Zwen dritte theil am Viertentheil, und einen dritten theil am Viertentheil ahne 40. fm. so hannß Beckher Zu Marlenheim bekantlich schuldig seÿe – umb 75 lb
dafür hatt der Käuffer dem Verkäuffer in solutum cedirt 25. lb so diebolt Schwing der Schiff zimmermann von seiner alhier in der Vorstatt Krautenau beÿ St. Catharinæ bruckhen Zwischen Ihme Schwing und hannß Adam Frießen dem Ohlmann gelegener behaußung bekantlich schuldig seÿe (…)

Martin Wurtz, jardinier au Faubourg de Pierre, Aurélie femme de Jacques Schmitt, Marie femme de Jacques Wild, André Trens, Marie femme de Jean Hirsch et Augustin Trens, vendent ensemble un tiers de la maison au même David Beuther.

1676 (12. Maÿ), Chambre des Contrats, vol. 545 f° 570-v
Martin Wurtz Gartner ahne Steinstraß, ferners Aurelia, Jacob Schmidts Gartners Vnderwagner Eheweib mit beÿstand erstgedachts ihres Ehevogts, Mehr Maria, Jacob Wildten Gartners daselbst eheliche haußfrau mit assistentz erstgemelts ihres Ehemanns, weiter Andres Trenns Gartner alda, Ithem Maria, hannß Hirschen deß Huffschmidts Eheweib mit beÿstand ietz benambst ihres Ehevogts und dann Er Hirsch alß Vogt Augustin Trennßen
in gegensein herrn David Beüthers deß Ohlmanns
Einen dritten theil denen Verkäuffern für ohnvertheilt gebührend, ahne Zweÿen häußern aneinander und deren hoffstätten, höfflin, Scheur, Ställen, Gärtlin und allen deren Gebäwen rechten und Zugehördten, alhier in der Vorstatt Krautenau, Zwischen den Zwoen gedeckhten bruckhen im Kleinen Äwel, einseit neben hannß Voltzen Gartnern, anderseit neben dem Allmend, hinden uff gedachten Voltzen,
Item einen dritten theil ahne 2. Viertel halb Waitzen und Rocken Jährlicher Gült so Lorentz Andres Zu Druchterßheim Von gewißen, underm Pflug habenden Güttern Zu geben pflichtig, Item Einen dritten theil, Von und ahne Einem Viertzel halb Waitzen und Rocken, so Adams Diebolt Von Handschuhheim jährlich zu gülten zu geben schuldig seÿe, item Einen dritte theil Von und ahne 2. Viertzel Gülten halb Waitzen und rocken, so Andres Lobstein Zu Munoltzheim iährlich Zu gülten Zu geben schuldig seÿe – umb 100. lb

Jacques Rencher, jardinier aux Charrons, vend au même un sixième de la même maison

1678 (25.2.), Chambre des Contrats, vol. 547 f° 153-v
Jacob Rencher Gartner Vnderwagner
in gegensein herren David Beüthers deß ohlmanns und E:E: Kleinen Rhats beÿsitzers mit beÿstand Herren Hannß Michael Gilgen E.E. Großen Rhats alten beÿsitzers seines Gegen Schwähers
einen sechsten theil, demselben für ohnvertheilt gebührend, ahne Zweÿen häußern an einander deren hoffstätten, Scheur, Stallen, Gärtlein und allen übrigen Gebäwen, begriffen, und Zugehördten, alhier in der Vorstatt Krautenaw, Zwischen den Zweÿen gedeckhten bruckhen, im Kleinen Äwel, einseit neben hannß Voltzen Gartners, anderseit neben dem Allmend, hinden uff gedachten Volzen, Item Einen sechsten theil ahn zweÿen Viertel halb waitzen und Rockhen, so Lorentz Andres zu Druchterßheim Von gewißen underm Pflug habenden güttern zugeben pflichtig, Item (…) – umb 75. lb

Fils du marchand et cordier Nicolas Beuther de Constance, David Beuther épouse en 1646 Aurélie, fille du charron Adolphe Obelé.
Mariage, Saint-Nicolas (luth. f° 232-v, n° 22)
1646. Dominica XXVI. post trinitatis. David Beuter, der Seÿler vnd Burger allhie, herr Niclauß Beuther des Seilers vnd handelßmanns Zu Costnitz ehelicher Son, vnd Jungfr. Aurelia Hanß Adolph Obele gewesenen wagners vnd burgers allhier hinderlaßene eheliche tochter. Mont. Clauß (i 251)

Le sellier David Beuther devient bourgeois par sa femme le 7 décembre 1646.
1646, 4° Livre de bourgeoisie p. 239
David Beuter der Seÿler, empfangt d. burgerrecht vonn seiner haußfrauwen Aurelia, weÿl. hannß Adolph Obelin des Wagners v. burgers alhie seel. dochter vmb 8. Gold fl. ist ledigen stands gewesen v. würd Zur Mörin dienen. Jur. den 7. 10.bris 1646.

Il se remarie en 1648 avec Marguerite, fille du jardinier Sébastien Klinger
Mariage, Saint-Guillaume (luth. f° 12-v)
1648. Dominica Reminiscere & Oculi, David Beuther der Seÿler und Burger alhie, Vnd Jungfr. Margaretha, Balthasar Klinger des Gartners und Burgers allhier Eheliche Tochter. Cop. Wilh. Dienst. 7. Martÿ h. X. (i 16)
Proclamation, Saint-Nicolas (luth. f° 234-v, n° 6) 1648. Eadem Dominica [Reminiscere] dauid Beuther der Seÿler und burger alhie und Jungfr. Margaretha Balthasar Klinger des Gärtners und burgers allhier eheliche tochter. Zinst. Wilhelm (i 253)

Mentions de David Beuther dans les registres des Quinze et ceux des Conseillers et des Vingt-et-Un. Il est question en 1659 d’une attestation de son frère Nicolas Beuther à Constance
1648 XV (2 R 67) David Beüther. 98. vid: Ohlleüth Ca. Ohlleüth Ca. David beüthern. 53. 65. 71. 80. 56. 86.
1652 XV (2 R 70) David Beither. 55 [Zins]. 185 [wein]. 229. 231 [Straff]. 286 [wein].
1653 XV (2 R 71) David Beither. 73. 143. 190. [wein]
1654 XV (2 R 72) David Beither. 62. 127. 173. 209 [Wein].
1656 XV (2 R 74) David Beither. 13 [Zins]. 136 [wein]. 193 [wein].
1657 XV (2 R 75) David Beither. 120 [umb wein]. 226 [umb wein].
1658 XV (2 R 76) David Beither. 138 [umb wein]. 229. [umb früchten]
1662 Conseillers et XXI (1 R 145) David Beÿther Öhlman. 193. [Intercessionalibus nacher Gernspach]
1662 XV (2 R 79) David Beither. 9. [wein]
1667 XV (2 R 84) David Beÿtern. 203. Ohlleüth Ca.
1668 XV (2 R 85) Öhlleüth Ca. David Beÿtern. 12. Ca. David Beÿter. 194. 204. 215. 227.
1670 XV (2 R 87) Jacob Teutsch et Cons. die Ohlleüth Ca. David Beÿter den Mitt meister 20, Straff moderation 28

1659 Conseillers et XXI (1 R 142) David Beuther [Intercessionalibus nacher Costnitz]. 198. (f° 246) Sambstag d. 7. Januar. 1660 – Dauit Beither Vberreicht Und.ge Supplication Bitt Um eine attestation auff seinen Bruder Niclauß Beither von Constantz. Erk. Ist an E. E. Rath gewiß word.

David Beuther passe un accord avec les héritiers d’Aurélie Obelé (Oberlin)
1664 (11. Julÿ), Chambre des Contrats, vol. 529 f° 392
Erschienen David Beüther der ohlmann alß weÿl. Aureliæ Oberlin seel. wittiber an einem,
So dann Maria Samuel Goltbachß deß Metzgers Eheweib mit assistentz erstermelts ihres Ehevogts, Daniel Bär der Kürschner Und Mathiß Bär der Küeffer alß Vogt hannß Jacobs, Mariæ Salomeen und Mariæ Magdalenæ der Bärisch. alle weÿl. hannß Mathiß Bären seel. Kind. und alß obernannater Aureliæ Oberlin Erbins Erben Vnd Zwar Er der Vogt mit assistentz H Johann Christmann Merckhlins und H Johann Leonhard Fröreißens beed. alß aus E.E. Groß. Rhats mittel hierzu insonderheit Deputirter, am andern theil
Zeigten an und bekannten freÿ gutwillig offentlich, Wiewohlen gemelter Beüther, aus ernannter Aureliæ Oberlin Verlaßenschafft 400. lib. und 43. lib. 15. R. iährlich termino Jacobi Zinnßbahrer Pfenningthurns Capitalien (…)

David Beuther meurt le 2 novembre 1678 à l’âge de 56 ans
Sépulture, Saint-Nicolas (luth. f° 71, n° 39) 1678. Mens. 7.bri. – d. 2. ist hr. David Beuther, Burger und ohlmann wie auch E. E. Kleinen Raths beÿsitzer im 56. iahr vnd 13 wochen seines alters gestorben vnd nach gehaltener Leichnpredigt Zu St: Wilhelm (…) auff S Urbani begraben worden (i 73)

La maison reient à sa fille Marie Madeleine qui épouse en 1671 Etienne Amberger, employé à l’auberge au Bœuf, fils de l’aubergiste Georges Amberger à Altdorf près de Nuremberg : contrat de mariage tel qu’il est copié à l’inventaire, célébration.

Copia der Eheberedung – zwischen dem Ehrengeachten herrn Stephan Ambergern gebürttig von Alttorff, der Zeit Oberhauß Knecht in der Gastherberg Zum Ochßen alhier Zue Straßburg Weÿland deß Ehrenvesten und Weißen herrn Georg Ambergers geweßenen älttisten Mittraths gedachter in deß heiligen Römischen Reichts Statt Nürnberg jurisdiction gelegenen Statt Alttdorff Ehelich nachgelaßenem Sohn, alß Hochzeitter ane einem, Undt dann der Viel Ehren undt Tugendsamen Jungfrauen Mariæ Magdalenæ Beütterin deß Ehrenvesten undt Vorgeachten herrn David Beütters Ohlmanns Undt burgers allhier Eheleiblichen dochter alß hochzeiterin – Straßburg Sonntags den 16. Aprilis Style Vet. Anno 1671. [unterzeichnet] Steffan Amberger alß Hochzeiterer – Balthasar Klinger alß Groß Vater, dauid beüter oll Man alß Vater, Hannß Michael Gilg als schwager, Philipp Heinrich Theus

Mariage, Saint-Nicolas (luth. f° 286-v, n° 15)
1671. Domin. Quasim: I. vice Stephan Amberg. von Altorff beÿ Nürnberg, weÿl. Hrn Georgÿ Amberg.s gewesenen gastgebers zum Schwartzen Bären hind.laßener ehelicher Sohn, und Jgfr. Maria Magd: David Beittner, deß Oelman in d. Viehgaß, eheliche Tochter. Cop. ad D: Nic: 11. Maÿ (i 306)

Etienne Amberger devient bourgeois quinze jours après son mariage.
1671, 4° Livre de bourgeoisie p. 386
Stephan Amberger, Von Alttorff beÿ Nürnberg, empfangt daß Burgerrecht Von seiner Haußfrauen Maria Magdalena, dauid Beüters, deß ohlmanns und burgers alhie dochter, umb 8. Gold fm. so beÿ der Cantzleÿ erlegt worden den 18. Maÿ A° 1671. ist zuuor ledigen standts Geweßen, und will auff E. Ehrs. Zunfft der Becker dienen Jurav. eod. ut supra [26. Maÿ A° 1671]

Les nouveaux mariés font dresser l’inventaire de leurs apports dans une maison qui appartient aux parents de la femme rue des Bestiaux face à l’auberge au Bœuf. Ceux du mari s’élèvent à 409 livres, ceux de la femme à 419 livres.
1674 (12.3.), Not. Theus (Philippe Henri, 59 not 9) n° 220
Inventarium und Beschreibung aller v. ieder Haab v. Nahrung, so der Ehrengeachte Stephan Amberger der Zeit Ohlmann v. burg. alhie, V. die Viel Ehren V. Tugendsame Fr. Maria Magdalena Beutterin, beede Eheleuth und burgere Allhie einander in Ihrem bereits in A° 1671. angetrettenen Ehestand alß unverändert würcklich. Zugebracht hab. (…) Actum Straßburg in beÿsein der Ehrenvest Wohlvorgeachtn v. weiß H. David Beutters Ohlmans v. Burg.s alhier, Ihr d. beed. Eheleuth geliebt. respectibé Vatters vnd Schwehers wie auch H. Johann Michael Gilg des ältern E. E. Groß. Rhats alhuer alt. beÿsitzers Seines H. Gegen Schwehers, Donnerstags d. 12. Martÿ Anno 1674.
In einer der Statt Straßburg in der Viehgaß gegen der Gastherberg Zum Ochßen über gelegenen Ihr der Fr. Elttern Eigenthümlich zuständigen behaußung ist befunden worden, wie volgt
F. haußrath 141, Silbergeschmeid 29, gold. Ring 28, baarschafft 219, Summa summarum 419 lb
Hierauff wird nun auch des Manns sein für unverändert in die Ehe gebrachts Vermögen beschrieben, haußrath 75, Silbergeschmeid 9, Baarschafft 258, Schulden 65, Summa summarum 409 lb

Etienne Amberger est nommé préposé aux portes
1679 Conseillers et XXI (1 R 162) Conseillers et XXI (1 R 120
Stephan Amberger wirdt Zu einem Thorschließer confirmirt. 288.

Etienne Amberger et Marie Madeleine Beuthner louent la maison au quartier des Souabes au boucher Abraham Müller

1688 (11.3.), Chambre des Contrats, vol. 559 f° 163
H. Stephan Amberger, der ohlmann alß Ehevogt Mariæ Magdalenæ gebohrner Beutherin
in gegensein Abraham Müllers, deß Metzgers
entlehnt, In einer in der Krautenau im Schwabenlädlein, einseit neb. H. hans Voltzen dem Garttner und E.E. Kl. Raths Beÿsitzer, and. seit neben dem Verleiher selbst. geleg. hind. auff ged. Voltzen stoßende Behaußung, Erstlich und. auff dem bod. Eine stub, Küch. und zwo Cammern, gemeinen gebrauch deß hoffs, und bronnen, wie auch den Schopff, Ferner im Ersten Stockwerck Zwo Cammern, deren die eine hind auß gehet, die andere vornen im hoff, so dann oben auff Zwo Fruchtschütt., Item Zweÿ und.schlagene Kellerlein, und in der Scheur einen doppelten Stall, und heübühnen, so breit alß die Scheur ist zur helffte auff ein Jahr lang von Johannis B. dießes jahrs anzurechnen, umb Eilff pfund

Etienne Amberger loue au nom de sa femme Marie Madeleine Beuthner la maison à Jean Jacques Stempel, aubergiste au Grand Cerf.

1689 (15. Xbr), Chambre des Contrats, vol. 560 f° 618-v
H. Stephan Amberger, d. Ohlmann, alß Ehevogt Mariæ Magdalenæ, gebohrner Beutherin
in gegensein hans Jacob Stempelß deß würths zum großen Hirschen
entlehnt, Eine Behaußung in d. Krautenau im Schwabenländel an St. Johannis gießen mit allen deren Gebäuen und Zugehördt., außerhalb Einer Stub und Zwo Cammeren, welche anderwerts verlehnt sind, wie auch dem daran gelegenen garten und Sommerhauß, so d. H. erleiher sich selbsten reservirt, auff fünff Jahr lang von instehend. Weihnacht. an zu rechnen, umb 20 pfund pfenning

L’huilier Etienne Amberger loue une partie de sa maison arrière à l’employé des fortifications Balthasar Faver.

1692 (25. July), Chambre des Contrats, vol. 564 f° 502
H. Stephan Amberger der Ohlmann
an H. Balthasar Faber deß Schantzmeisters (signé) Baltazard fauer
entlehnt, In dem hinder hauß seiner in der Krautenau gelegenen behaußung Eine Stub, Zwo Cammeren, die underste Fruchtschütte, den vordern halb. Keller, Item die obere Küch. So dann den Großen Stall und die helffte der Scheur, alles auff ein Jahr lang von jüngst verwich. Johannis Baptistæ anzurechnen, um einen jährlichen Zinß nemlich 15 pfund

L’huilier Etienne Amberger loue l’auberge au Grand Cerf à l’aubergiste Léopold Winter

1695 (17. 8.br), Chambre des Contrats, vol. 567 f° 612
H. Stephan Amberger, der Ohlmann
Leopold Winthers, deß würths
entlehnt, d. wüthshauß Zum großen Hirtzen, in der Vorstatt in Krautenau, einseit neben H. hans Voltzen, Garttnern in Krautenau und E.E. Kleinen Raths alt. beÿsitzern anderseit auff deß Verleihers Gartten und hind. auff deß andern behaußung, stoßend geleg., inmaßen solches bißhero hans Jacob Stempel in Lehnung gehabt, auff ein Jahr lang von Michaelis dieß Jahrs an zu rechnen, um einen Zinß nemblich 30 pfund

Compte rendu des Quinze qui visitent les auberges de la ville. Le luthérien Léopold Winter, tributaire chez les Fribourgeois et marié à une réformée, exploite l’auberge au Grand Cerf dans le jardin Amberger. Les Quinze devront convoquer le propriétaire Amberger suite aux rapports qui leur ont été transmis sur l’auberge très bien située

1696, Protocole des Quinze (2 R 100)
(f° 83) Mittwochs den 11. Aprilis. Visitation der Würthshäußer
5. der Große Hirsch beÿm Königl. Spithal – So Leopold Winther, d. Evangelische burger bewohnet, Und eine reformirte Frau auß der Schweitz, Und eine sehr schöhne gelegenheit (:welche des Hn Ambergers Garten ist:) hatt, auch leibzüfftig beÿ den Freÿburgern ist, Weilen unterschiedliches von dießem Würthshauß vor dießem referirt worden, so soll H. Amberger darüber gehört werden.

Etienne Amberger meurt en 1705 en délaissant une fille mariée au marchand Abraham Helck. L’inventaire est dressé dans une maison rue de l’Outre et plade des Cordeliers. Les experts estiment la maison à la Krutenau à la somme de 700 livres. La masse propre à la veuve qui renonce à la communauté est de 4 370 livres. L’actif des héritiers et de la communauté s’élève à 2 035 livres, le passif à 3 435 livres

1705 (3.6.), Not. Pantrion (Jacques Christophe, 40 Not 15)
Inventarium und beschreibung aller Haab und Nahrung, so weÿland der Ehrenveste Herr Stephan Amberger, geweßener ohlmann und E:E: Kleinen Raths Alter beÿsitzer, und EE: Kleinen Raths Alter beÿsitzer nunmehr seel. nach seinem Sontags den 12.en Aprilis Jüngsthien Aus dießem zeitlichen leben genommenen tödlichen Ableiben Verlaßen, welche auf freundliches Ansuch. erfordern und begehren der viel Ehren: und tugendreichen Frawen Mariæ Magdalenæ Helckin gebohrner Ambergerin, des Ehrenvesten und vorachtbahrren herrn Abraham Helcken Vornehmen handelßmanns und burgers alhier geliebte haußfrawen, beÿständlich erstgemelts Ihres Ehevogts alß des Verstorbenen seel. Einiger dochter und ab intestato verlaßener Erbin, so aber dieße Inventation änderer Gestalten nicht dann cum beneficio Inventarÿ et legis cedirt und angetretten, durch die Ehren und tugendsahme fraw Mariam Magdalenam Ambergerin Gebohrne Beiterin, die hinderlaßene Wittib dero Geschworner Vogt obgemelter H Abraham Helck, Ihr dochtermann, weilen er aber selbsten beÿ dißem Geschäfft interessirt, alß hat der Wohl Ehrenvest und Großachtbahre Herr Georg Jacob Duppert ebenmäßig vornehmer handelßmann und burger alhier dero geliebter Herr Schwager und hierzu in specie verordneter und geschwornener Theilvogt dießer Inventation Persönlich beÿgewohnet – Actum Straßburg, Mitwochs den 3.ten Junÿ 1705.

In einer alhie zu Straßburg In der Schlauchgaßen Gelegener und in dieße Verlaßenschafft gehöriger behaußung, Ist befund. worden wie Volgt.
Ane Hültzen: und Schreiner werck, Auff der bühn, Cammer A, Cammer B, Cammer C, In der mittl. Stub Cammer, Im mittl. Haußöhr., Im hindern Stübel, In der Hindern Stub Cammer, In der undern Stub, Im Keller, Im Garten
(f° 26) Eigenthumb ane einem freÿen Meÿerhoff Und Zugehörigen Gütern Zue Freÿstätt über Rhein gelegen
(f° 27) Eigenthum ane einer behaußung (W.) Erstlichen eine behaußung und hoffstatt mit allen ihrs gebäwen, begriffen, weiten rechten Zugehördden und Gerechtigkeiten gelegen alhier zu Straßburg ane dem baarfüßer Platz (…)
(W.) Item Zweÿ häußer aneinand. sambt ihren Hoffstätten, Höfflein, Scheürn Ställe,, Gärtlein, undt allen andern dero Gebäwen, begriffen, Zugehörden und Gerechtigkeiten, geleg. alhier in der vorstatt Krautenauw, Gegen dem Newen Spital über, ist ein Eck an St. Johannes Gießen im Schwabenländlein ein: und and.seit neben H Andres Kauffmann E.E. Kleinen Raths alten beÿsitzern geleg. davon und Zwar von dem daselbst auffgerichteten Amrbrustrhein, so von dem allmend darzu Kommen gibt mann jahrs vff Joh. Bapt:æ der Statt Straßburg Pfenningthurn 2. lb. bodenzinß sonst freÿ, ledig und eig. durch die geschworne Werckmeister alhier über hievorgeschriebene beschwerd annoch æstimirt, 650 lb. Über vorherbeschriebene häußer seind vorhanden Sieben underschiedene Perg. Kauffbrieff, ieder mit der Statt Straßburg Contract stuben anhang. Ins: verwahrt, davon der erste datirt den 21. 9.bris 1674, der and. den 21. 7.bris 1675., der dritte den 10. Januarÿ 1676, der vierte den 20. Aprilis. 1676, der fünffte den 12. Maÿ 1676, der sechste auch den 12. Maÿ 1675, so dann der Siebende den 25. febr. 1678. Inhaltend welcher gestalten H David Beüter, der fraw wittib herr Vatter seel. solche häußer nach und nach benebens denen hernach geschriebenen Gültgüthern ane sich erhandelt
– Abschatzung den 25. Maÿ ao. 1705. Weÿlands des Ehrenhafften und bescheidenen H. Amberger gewesenen ohlmann seel. hinderlaßene Fr. Wittib und Erben ist eine behausung alhie in der Statt Straßburg gegen dem baarfüßer Platz, ein Eckh an der Schluchgaßen einseits neben hannß Michel Ferius Kupfferschmidt anderseit neben H Philippus Spachin buchbinder, stosendt Welche behausung sambt aller gerechtigkeit wie solches durch der Statt Straßburg geschwornen Werckhleuthe sich in der besichtigung befunden und jetzigem Preiß nach angeschlagen wird Vor und Umb Ein tausend undt achthudert gulden
Die ander behausung auch alhier in der statt Straßburg in der grautenau gelegen gegen dem Neuen Spithal, ein Eck am St. Johannes gießen im Schwaben Ländlein einseit neben H Andres Kauffmann, anderseit auch auff Vorgedachten Kauffmann stosendt Welche behausung sambt zweÿ hinder häusern Scheur beÿden höfflein garten und bronnen sambt aller gerechtigkeit angeschlagen wirdt Vor und Umb Ein tausend undt vierhudert gulden Bezeichnus durch der Statt Straßburg geschwornen Werckleute [unterzeichnet] Jacob Staudacher Werck Meister des Maur hoffs, Johann Jacob osterrieth Werck Meister des Zimmer hoffs
Ergäntzung, vermög des über beeder Eheleuthe in den Ehestand zugebrachter Nahrung durch H. Philipp Heinrich Theum Notarium seel. in Anno 1674. auffgerichteten Inventarÿ
Series rubricarum hujus Inventarÿ, Der Wittib unverändert Guth, Sa. hausraths 108, Sa. Silber geschirr und Geschmeids 45, Sa. Guldenen Ring 22, Sa. der baarschafft 204, Sa. des Eigenthumbs ane häußern 1550, Sa. der fruchtgülten 17, Sa. der Schulden 50, Sa. der Erg. 2372, Summa summarum 4370 lb
der Fraw Erbin und die Theilbahre Nahrung /:in erwegung die Fraw wittib gleich anfangs der Inventation vff dieße letstere optimo modo renuncirt und solche der Erbin tam active quam passive überlaßen:/ under einer Massa beschrieben, Sa. Hausraths 290, Sa. der früchten 221, Sa. der Wein und vaß 67, Sa. des öhls wie auch schiff und geschirrs Zum öhlmach. 169, Sa. es Karchs, Chaise und Schlitten 21, Sa. der Pferd und rindviehes 32, Sa. des Silbers 86, Sa. des guldnen rings 2, Sa. der baarschafft 23, Sa. deß Eigenthumbs am einem freÿ. Meÿerhoff und Zugehörig. Gütern zu freÿstett über Rhein 900, Sa. der Schulden 221, Summa summarum 2035 lb. – Passiv Schulden 3435 lb, Mehr Schulden als Guth 4370 lb – Conclusio finalis Inventarÿ 2970. lb
Copia der Eheberedung (…) Straßburg Sonntags den 16. Aprilis Style Vet. Anno 1671. Philipp Heinrich Theus

Marie Madeleine Beuther meurt en 1717 dans sa maison place des cordeliers. La succession s’élève à 4 975 livres.
1717 (9.3.), Not. Lang (Jean Henri l’aîné, 27 Not 43) n° 5
Inventarium über Weÿland der Viel Ehren: und Tugendreichen frawen Mariæ Magdalenæ Ambergerin, gebohrner Beÿderin, auch Weÿl. deß Ehrenvest und wohlgeachten Herrn Stephan Ambergers, Geweßenen Ohlmanns und E:E: kleinen Raths alten beÿsitzers burgers zu Straßburg nunmehr beeden seelige nachgelaßene fraw Wittib Verlaßenschafft – nach ihrem den 15. Januarÿ dießes 1717. Jahrs genommenen tödlichen ableiben, Zeitlichen verlaßen, Welche Verlaßenschafft auf freindliches Ansuchen, erfordern und begehren der Viel Ehren: und tugendreichen frawen Mariæ Magdalenæ Helckin, gebohrner Ambergerin, deß Ehrenvest undt Vorachtbahren Herrn Abraham Helcken Vornehmen Handelßmann und burgers alhier Ehelicher Haußfrawen, als der Jetzt abgeleibten frawen seeligen Eheleiblicher dochter und ab intestato nachgelaßener Eintziger Erbin – Actum Straßburg dienstags den 9.ten Martÿ A° 1717.

In einer alhier Zu Straßburg am Baarfüßerplatz, neben der Schlauchgaß Gelegener und in dieße Verlaßenschafft Gehöriger behaußung befund. worden wie Volgt
Ane hültzen u. Schreinwerck. Auff der Obern bühn, In der Cammer A, In der Cammer B, In der Cammer C, In d. obern Stub Cammer, In der Hidnern Wohnstub, In der Stub Cammer, Im haußöhren, In der Vordern Wohnstub, In d. Stub Cammer, Im Keller
Eÿgenthumb an einer Behaußung. Item Eine behaußung und hoffstatt ane dem Barfüßer platz (…)
Rubricæs hujus Inventarÿ. Sa. Hausraths 400, Sa. schiff und geschirrs Zum Öhlmachen Gehörig 25, Sa. Frucht und Meel 5, Sa. Weins und Leeren Vaß 32, Sa. Silber geschirr und Geschmeids 99, Sa. Guldener Ring 17, Sa. baarschafft 484, Sa. Eigenthums an einer behaußung 950, Sa. Gülten von liegende güthern 19, Sa. Pfenningzinß hauptgütter 2387, Sa. Schulden 553, Summa summarum, Summa Finalis Inventarÿ 4975 lb
Copia Letzten Willens

Les préposés de la Taille font figurer la succession dans leur registre parce que la servante Anne Marie Lagay, légataire non bourgeoise, doit régler le droit de détraction.
1717, Livres de la Taille (VII 1175) n° 232-v
(Becker, F. N° 1847) Weÿl. Fr. Mariæ Magdalenæ gebohrner Beÿderin auch weÿl. H. Stephan Ambergers geweßenen Ohlmanns und burgers alhier hinderlaßener Wittib Verlaßenschafft inventirt H. Not. Johann Heinrich Lang senior.
Concl. fin. Inv. ist fol. 70, 4975. lb. 16 ß 11 d, die machen 9900. fl, dieselbe verstallte Hiengegen 11.000. fl.
Extat das Stallgeltt pro 1717 mit – 16 lb 10 ß
Gebott – 1 ß 4 d
Abhandlung 5 lb 2 ß 6 d – Summa 21. lb. 13 ß 10 d.
Abzug. Anna Maria Lagayin die dienst Magd von Lahr gebürtig soll von 13. lb. 14. ß d. anverschafftem Legat alß alhier ohnverburgert den Abzug entrichten mit 1. lb. 7 ß 5 d
dt. omnia d. 10° Maÿ 1717.

Marie Madeleine Beuther vend en 1712 deux maisons adjacentes, sises au quartier des Souabes face au nouvel hôpital à l’angle du canal Saint-Jean, à l’aubergiste Jacques Louis Hermann et à sa femme Marie Ursule Eisenmann moyennant 1 600 livres

1712 (ut ante 2. Apr.), Chambre des Contrats, vol. 585 f° 255-v
(1600) fr: Maria Magd: Ambergerin wittib geb. Beutherin beÿständlich H. Abraham Helck handelsmann ihres Curatoris
in gegensein Jacob Ludwig Herrmanns würts und Mariæ Ursulæ geb. Eißenmännin
zweÿ häußer ahneinander sambt ihren hoffstätten höfflein Scheur Ställen Garten allen anderen deren gebäuen, begriffen, Zugehörden und Gerechtigkeiten in der Krautenau gegen dem neuen Spithal über ist ein eck ahn St Johann gießen im Schwabenländlein, einseit neben H. andres Kauffmann Exs: anderseit und hinten ahn einem Garten stoßend Daniel Voltzen dem Gärtner zuständig, darvon u. zwar von dem daßelbst aufgerichteten armbrusterin so von dem allmendt dar zu gekommen zahlt mann jahrs auf Joh: Bap: dem Pfthrn 2 lb bodenzinß – um 1600 lb
Worbeÿ verglichen, daß der jenige platz in der scheur allwo die verkäuferin eine Galetsch und schlitten stehen hat so lang Sie lebet ihro ohne zinß gelassen werd. solle

Fils de l’aubergiste Matthieu Hermann à Ulm, Jacques Louis Herrmann alors employé à la cave au Faucon épouse en 1704 Marie Ursule, fille de l’aubergiste à la Couchette Georges Jacques Eisenmann
Mariage, Robertsau (luth. f° 128-b, n° 171)
Dienst. den 12.ten Februarÿ Anno 1704. hab ich Pfarrer in der Ruprechts Au auf vorgewiesenen schein von Regirendem Hn Ammeister nach ex dispensatione Zusammen erzogener Proclamation Copulirt und eingesegnet H. Jacob Ludwig Herrmann den Ledigen hauß bedienten Zum Falckenkeller H Matthei Herrmanns burgers v. Gastgebers Zum baumgart in Ulm und weÿl. Maria Faulhaberin uxoris Ehelich. Sohn v. Maria Ursula weÿl. Hr Georg Jacob Eÿsenmanns Gewesenen burgers v. Gastgebers Zum Spanbett in Straßburg und fr. Mariæ Meÿerin Eheliche tochter [unterzeichnet] Jacob Ludwig Hermann als hochzeiter, Maria Ursula Eÿsenmannin als hochzeiterin

Jacques Louis Herrmann devient bourgeois sept mois après son mariage
1704, 4° Livre de bourgeoisie p. 753
Joh: Ludwig Hermann, der würth V. Ulm, auch würths daselbst sohn, empfangt das burgerrecht Von seiner Fr. Maria Ursula Eisenmännin Vhien* p. 2. Gold fl. 16. ß wird zu den Freÿburgern dienen. P. d. 17. d. [7.bris 1704]

Marie Ursule Eisenmann meurt en 1721 en délaissant quatre filles. Les experts estiment la maison 675 livres. La masse propre au veuf est de 15 livres, celle des héritiers de 9 livres. L’actif de la communauté s’élève à 732 livres, le passif à 77 livres.

1721 (15.5.), Not. Lobstein (Jean, 31 Not 6) n° 146
Inventarium und beschreibung aller derjenigen haab, Nahrung und güethere, so weÿland die Ehren und Tugendsahme frau Maria Ursula Herrmännin gebohrne Eißenmännin des Ehren: Und Wohlvorgeachten Herrn Jacob Ludwig Herrmanns, des gastgebers zum großen hirtzen vnd burgers allhier zu Straßburg geweßener eheliche haußfrau, nunmehr seelige, nach ihrem den 19.ten Decembris Anno 1719. aus dießer welth genommenen tödlichen ableiben Zeitlichen verlaßen, welche Verlaßenschafft auf freundliches Ansuchen Erfordern und Begehren des Ehren Und Vorgeachten herrn Georg Eißenmanns des Gastgebers auf E.E. Zunfft der Gartnern in Steinstraß und burgers allhier als geordnet und geschworenen Vogts Mariæ Salome, Mariæ Magdalenæ, Mariæ Elisabethæ und Sabinæ der Herrmännin, alle Vier der abgeleibten Frauen seel. mit Vor: und hernachgemeltem Ihrem hinderbliebenen Herrn Wittiber ehelich erziehlter Kinder und ab intestato Verlaßenen Erben, davon aber das jüngst Töchterlein mit Nahmen Sabinæ gleich nach der Mutter wider verstorben, ein volgig Von dem Herrn Wittiber geerbet worden – so beschehen in Straßburg den 15.ten Maÿ Anno 1721.

Bericht wegen dießer Verlaßenschafft. (…) weder Eheberedung noch letzter willen Von ihnen nicht ausgerichtet worden
In einer allhier zu Straßburg in der Krautenau nahe beÿ dem Frantzösischen Hospithal gelegen Zum großen Hirtzen genanden und in diese Verlaßenschafft gehörigen behaußung befunden worden Wie Volgt.
Ane Höltzen und Schreinerwerck, In dem obern Hindern Stübel, Vor diesem gemach, Auff der bühn, In der Cammer A, In der obern vordern wohn St., In der Hinden stub, In deren Cammer, Im hindern Sommerhauß, Im Undern hindern Sommerhauß, Im Vordern Sommer hauß, Im obern haußöhren, In des officiers Stub, In des Knechts Cammer, Im hind.n Keller In der undern Stuben, Im und.sten haußöhren, In d. Kuch.n Im Keller
Eigenthumb ane einer behaußung. Eine behaußung hoff, hoffstatt Graßboden und allen andern deren gebäuen, begriffen, weithen, rechten Zugehördten und gerechtigkeit. geleg. allhier in der Kraut.au gegen dem neuen Spithal über ist ein Eck an St. Johann Gißen im Schwab.ländlein, einseit neben Hn Philipp Fidel dem Metzger anderseit und hinden an Johann Kochen, den Metzger stoß. darvon und Zwar von dem daselbst aufgerichten Armbrustrein, so von dem allmend darzugekommen, zahlt mann jahrs auf Joh. Bapt: der Statt Straßburg Pfenningthurn 2. lb. d bod. Zinnß Mehr geh. von solcher behaußung jährl. auf Annunc: Mariæ 14. lb d Zinnß Hn Abraham Helcken dem huetstaffierer und burg. allhier vögtlich. weiß ablößig in haubtguth mit 350. lb. d sonsten freÿ ledig eig. und über dieße beschwährde durch der Statt Straßburg geschwornenn Werckmeister Laut Abschatzungs Zeduls vom 17.ten Maÿ Anno 1721. angeschlagen pro 245. lb. Über dieße und eine noch davon gehenckte behaußung welche aber seithero als d. Hr wittiber und seine haußfrau seel. solche erkaufft wird werkaufft worden, sagt ein teutscher pergamenter Kauffbrieff mit d. Statt Straßburg anhangendem Cancelleÿ Contract Insiegel verwahrt datirt d. 2.ten Aprilis Anno 1712.
– Abschatzung d. 17.ten Mäÿ ann. 1721. Auff gebehren deß Ehrenhafften, Und bescheÿtenen: H. Jacob Ludtwig hermman Gastgeber, ist Eine behaußung Alhier in der Statt Straßburg, ist Ein Eckhauß beÿ dem Frantzöischen spitall gelegen, ist Ein Wirtzhauß, Zu dem hürtzen genandt, Ein seith Neben H: Joh: Philippus Füdtell Metziger, Ander Seith Neben Johannes Koch, Metzger, stoßendt, welche behaußung Hoff statt, stuben Kammeren, Küchen, hauß Ehren, Neben gebeÿ, Mit Einem halben dach darunder Stuben Und Kämmerlin. Ein hinder gebell Mit Stuben, Kämmerlin Gebälckhter Keller, höffell und brunen, An dem fordern hauß, Ein Nebens gang, Mit Steineren platten beleget Ein Sommer hauß, Sammpt Aller Ihrer gerechtigkeit Wie solches durch der Statt Straßburg geschwornen werckh Leüthen, in der besichtigung befundten Und dem Jetzigen preiß Nach an geschlagen wirdt Vor undt umb Ein Tausend dreÿ Hundert Undt Fünffzüg Gulten, bezeichnüß durch der Statt Straßburg Geschwornen werch Leüth, [unterzeichnet] Michael Ehrlacher Werckh Meister deß Meinster, Johann Jacob biermeÿer Werck Meister deß zimmerhofs
Abzug gegenwärtigen Inventarium gehörig, des herrn Wittibers ohnverändert Vermögen, Sa. hausraths 10, Sa. Silber geschirr und Geschmeids 4, Sa. Goldenen Rings 16 ß, Summa summarum 15 lb
der Erben ohnverändert Guth, Sa. hausraths 6, Sa. Goldener Ring 3, Summa summarum 9 lb
das theilbahr Guth, Sa. haußraths 197, Sa. Wein und Lährer Vaß 54, Sa. Silber geschirr und Geschmeids 58, Sa. Goldener Ring 10 ß, Sa. baarschafft 67, Sa. Eigenthums ane einer behaußung 245, Sa. Schulden 10, Summa summarum 732 lb – Schulden 77 lb, Verbleibt 654 lb
Gantze Verlaßenschafft et Conclusio finalis Inventarÿ 679 lb
Sa. Zweiffelhaffte und verlohren Schulden ind. Erbe zugelten

Jacques Louis Herrmann se remarie en 1721 avec Marie Madeleine Ziegler, fille du marchand Jean Melchior Ziegler : contrat de mariage, célébration.
1721 (21.7.), Not. Lobstein (Jean, 31 Not 75) n° 59
(Eheberedung) zwischen dem Ehrenvest und wohlvorgeachten herrn Jacob Ludwig Herrmann dem Gastgebern Zum Großen Hirzen und burger allhier zu Straßburg als dem herrn bräutigam ane einem
So dann der Viel Ehren und Tugendgezierten Jungfrauen Mariæ Magdalenæ Zieglerin, des wohl Ehrenvest und Großachtbahren herrn Johann Melchior Zieglers, vornehmen Handelsmann auch burgers allhie zu ermeltem Straßburg ehelich erzeugter Tochter, als der Jungfrau Hochzeiterin ane dem andern theil – So beschehen auf Montag den 21. Julÿ in dem Jahr des herrn als mann Zahlte 1721.

Mariage, Saint-Nicolas (luth. f° 176, n° 12)
Mittwoch den 8. Octobr. 1721. seind nach Zweÿmahligen ordentlichen Außruffung in der Evangelisch Pfarrkrich Zu St. Nicol. in Straßburg Ehelich copulirt Und eingesegnet worden, H Jacob Ludwig Hermann der wirth Zum großen Hirsch Und burger alhier, Und Jfr Maria Magdalena Zieglerin, H Johann Melchior Zieglers, deß Handelßmanns Und burgers alhie Eheliche tochter welches bezeugen [unterzeichnet] Jacob Ludwig hermann als hochzeiter, Maria Magdalena Zieglerin als hochzeiterin (i 191)
Proclamation, Saint-Pierre-le-Jeune (luth. f° 52) 1721 – Dominica XVI et XVII post Trinit. proclamati sunt H. Jacob Ludwig Herrmann der Gastgeber V. burger alhier und Jgfr. Maria Magdalena H Johann Melchior Zieglers sen. deß specirers V. burg. alhier ehl. Tochter, copulati sunt Zu St. Niclaus

Marie Madeleine Ziegler fait dresser l’inventaire de ses apports (131 livres) dans la maison de son mari
1721 (4. 9.bris), Not. Lobstein (Jean, 31 Not 7) n° 159 [haut de l’acte abîmé par l’humidité]
Inventarium über der Ehren und tugendsahmen Frauen Mariæ Magdalenæ Herrmännin gebohrner Zieglerin zu dem Ehren und Vorgeachten Herrn Jacob Ludwig Herrmann, dem Gastgeber zu dem großen Hirtzen und burgern allhier Ihrem Haußwürth Vor ohnverändert in den Ehestand zugebrachte Nahrung – der Ursachen, allweilen in Ihr beeder Eheleuth mit einander aufgerichteter heuraths verschreibung expresse enthalten, daß eines Jeden in die Ehe bringende Nahrung reservirt und ohnverändert sein und bleiben solle – So beschehen in Straßb. in fernerem beÿsein Hn Johann Melchior Zieglers des ältern Specirers und frauen Mariæ Salome Zieglerin geb. Bochin beed. Eheleuth und burger alllh. zu Straßburg der frauen geliebter Eltern
In einer allhier zu Straßburg ane d. Vorstatt Steinstraß gelegenen und der frauen geliebten Eltern eigenthümlich zuständig. behaußung befunden worden wie volgt
Abzug gegenwärtigen Invent., Sa. (haußraths) 332, Sa. Silbergeschmeids 50, Sa. Goldener Ring 48, Sa. baarschafft 9, Sa. Pfenningzinß hauptgüter 175, Sa. Schuld 75, Summa summarum 690. lb – helffte ane deren haussteuren 41. lb – der Ehefrauen völlig in die Ehe gebracht Guth 131. lb

Jacques Louis Herrmann et Marie Madeleine Ziegler hypothèquent la maison qui comprend un bâtiment avant, un bâtiment arrière et un pavillon au profit de Jean André Schmutz, pasteur à Saint-Nicolas et chanoine de Saint-Thomas

1723 (12.8.), Chambre des Contrats, vol. 597 n° 427
H. Jacob Ludwig Herrmann der gastgeber zum großen hirschen und Fr. Maria Magdalena geb. Zieglerin mit beÿstand H. Johann Melchior Ziegler Junioris Specirers ihres bruders und Johann Georg Eißenmann des Gatgebers ihres schwagers /:in ansehung ihr Vatter H. Joh: Melchior Ziegler Senior Specirer und ihr leiblicher Schwager Johann Jacob Karcher der wittib dermahlen sich nicht in der statt befinden:/
in gegensein Hn M. Johann Andreas Schmutzen Pfarrers der evangelischen Gemeind St Nicolai und Capituli Thomani Canonici als von einem wohl Ehrwürdigen Conventu Ecclesiatico verordneten Administrators des Dannhauerischen für arme Schuelkinder in statt und land gewidmeten und der Stipendi Gottwaldiani legats – schuldig seÿen 200 pfund
unterpfand, Eine Behausung bestehend in Vorder: hinder: und Sommerhauß hoff hoffstatt und Gartten die gastherberg zum großen hirschen genannt mit allen derselben gebäuden, begriffen, weithen, Zugehörden und gerechtigkeiten ahne der Krauttenau ohnfern dem Frantzösischen hospitahl, einseit ist ein eck gegen gedachtem hospitahl anderseit neben Philipp Fiedel dem Metzger hinten auff Johann Koch dem Metzger – davon mann jährlich wegen des Armbrust Reins 2 lb ane bodenzinß hiesigen Stadt Pfenning Thurn

Marie Madeleine Ziegler fait vendre des effets mobiliers quand elle se sépare de son mari en 1729.
1729 (31.3.), Not. Brackenhoffer (Jean, 4 Not 35) Varia n° 87
Designatio deßjenigen Haußrathß, Effecten und mobilia welche heut dato frawen Mariæ Magdalenæ gebohrne Zieglerin, H. Jacob Ludwig Herrmanns dermahligen gastgebers zum lax undt burger alhier eheliche Haußfrauen, beÿ nunmahls vorhabendem außzug, undt von ihnen beeden Eheleuthen Zusuchen vorgenommenen obrigkeitl. Separation undt Ehescheidung zuer verwahrung, biß auff weitere verordnung Erlangende Separation und ersuchung deß Inventarÿ beed.seits zu gedachter Nahrungen ohngezwung.

Jacques Louis Herrmann vend les trois quarts de la maison à l’aubergiste célibataire Jacques Lutz

1724 (2.6.), Chambre des Contrats, vol. 598 n° 272
Jacob Ludwig Herrmann der gastgeber beiständlich seiner Kinder erster ehe Vogts Georg Eisenmann auch Gastgebers
in gegensein Jacob Lutz des ledigen gastgebers so ohnbevögtigt und über 25 jahr alt zu seÿn versicherte beÿständlich seines oncle Andreas Scheer Adlerwürths zu Eckboltzheim und Johann Heinrich Spielmann des haußfeurers
9/12 t theil oder 3 quart für ohnvertheilt ahne einer zum großen hirsch genannten Gastherberg bestehend in vorder: und hinderhauß einen Sommerhauß gartten höfflein und hoffstatt mit allen darzu gehörigen gebäuden, begriffen, weithen, Rechten und gerechtigkeiten in der Krauttenau gegen dem Frantzösischen hospitahl über, einseits ist ein eck an dem Spithal: gräbel ohnfern des Blumengießens im Schwabenländlein, anderseit neben Philipp Fiedel dem Metzger hinten auff Johannes Koch den Metzger, davon zwar von dem daselbst befindlich gewesten vom Allmend dazu gekommenen Armbrust Rhein und darauff gebauten Sommerhauß zahlt mann jährlich auff Joh. Baptistæ hiesiger Stadt Pfenning Thurn 2 lb ane bodenzinß – ihme zu gedachten ¾ theil, seinen dreÿ Kindern erster ehe aber zur übrigen quart – in welchem ein Kasten mit 4 thüren 8 tisch und ein doppeltes Kensterlein begriffen – um 262 lb Capital verhafftet, geschehen um 956 pfund

Fils du tonnelier Gaspard Lutz à Eckbolsheim, Jacques Lutz épouse en 1724 Marie Dorothée Klein, fille du tonnelier Jean Frédéric Klein : contrat de mariage, célébration. Le fiancé assure à la future épouse l’habitation viagère dans la maison qu’il vient d’acheter
1724 (14. Sept.), Not. Rohr (Daniel, 46 Not 60) n° 1148
Eheberedung Zwischen H. Jacob Lutzen, Leedigen Gastgeber zum Hirtzen, als Hochzeiter, beÿständlich Lorentz Karcher weißbeckens und burgers allhier und H. Andreas Scheeren burgers und Adlerwürths Zu Eckboltzheim ane einem
So dann Jgfrn Maria Dorothea gebohrner Kleinin, weÿl. Hn Johann Friderich Kleinen, geweßenen Kuttler mit auch weÿl. frauen Catharina gebohrner Lobsteinin ehel. erziehlten tochter als die Jgfr. Hochzeiterin, mit assistentz H. Johann Lobstein metzgers Ihres geschwornen Curatoris und Hn Johann Philipp Knoderer Sattlers beeder burgere allhier, andern theils
6. die wÿdumb betreffendt, so verschafft der H. Hochzeiter seiner geliebten Jgfr. Hochzeiterin deßen eÿgenthümbliche ohnlängst erkauffte und in der Crautenau beÿ dem Frantzösischen Spittahl gelegenen Gast behaußung Zum Großen Hirtzen genandt zu einem gemeinen Lebtägigen Zumahlen wider Rückfälligen wÿdumb und hiengegen Sie die Jgfr. brauth Ihme H. Sponso Zu einem gleichförmigen Gegenwÿdumb in baarem Geldt 1000 guldten à 15. batzen gerechnet
Actum Straßburg Donnerstag den 14. Septembris Anno 1724. [unterzeichnet] Jacob Lutz als hochzeiter beken we Vorstehet, Maria Dorothe Kleinen Alß hoh Zeitrin beken wie ob steht

Mariage, Saint-Nicolas (luth. f° 196, n° 23)
1724.- Eodem [Mittwoch d. 11. Octobr.] seind nach Zweÿmaliger öffentlicher Ausruffung in der Evangelischen Pfarrkirch Zu St. Niclaus ehelich copuliert u. eingesegnet word. Jacob Lutz, der ledige Gastgeber und Burg. allhier, Weil. Caspar Lutzen, geweßenen Kieffers u. Innwohners Zu Eckboltzheim hinterl. ehelicher Sohn, u. Jgfr. Maria Dorothea weil. Joh: Friederich Kleinen geweßenen Metzgers u. Burgers allhier hinterlaßene eheliche Tochter [unterzeichnet] Jacob Lutz als hochzeiter, Maria Dorothea Kleinin alß hochzeiterin (i 201)

Les nouveaux mariés font dresser l’inventaire de leurs apports. L’actif du mari s’élève à 215 livres, le passif à 1 105 livres, l’actif de l’épouse à 1 081 livres, le passif à 86 livres
1724 (12. Xbr), Not. Rohr (Daniel, 46 Not 56) n° 1867
Inventarium und beschreibung aller derjenigen Haab, Nahrung und Güthere, Keinerleÿ davon außschloßen, so der Ehrengeachte Herr Jacob Lutz, Gastgeber zum Hirtzen genant, und die Viel Ehren und tugendsahme Fraun Maria Dorothea Lutzin gebohrne Kleinin, beede Eheleuthe und burgere allhier zu Straßburg einander in dem Ehestand zugebracht, und vermög deren mit einander auffgerichteten Eheberedung sich vor ohnverändert vorbehalten haben – So beschehen (…) den 12.ten Decembr. Anno 1724.

In einer alhier zu Straßburg ane der Krauthenau ohnfern der Hechtenbruck gelegenen dem Ehemann eÿgenthümbl. zuständigen behaußung Volgender maßen befunden
Eÿgenthumb ane einem Kuttelbanck (F.) (…)
Item ein drittertheil von und ane einem Kuttelbanck
Eÿgenthumb ane einer behaußung (M.) Benantl. Neun zwölffter theÿl oder dreÿ quart von u. ane der Zum Groß. hirsch genannten und alhier zu Straßburg gelegenen Gastherberg, bestehend in vorder und hinderhauß, einem Sommerhauß, Garth. Höfflein und hoffstatt, mit allen darzu gehörigen Gebäuen begriffen, weith. Recht und Gerechtigkeit. alhie in der Krautenau, gegen dem Frantzösischen Hospital über, I.s ist ein Eck an dem Spithal Gräbel, ohnfern des Blumen Gießens im Schwabenländlein, 2.s. neben neben Philipp Fiedel dem Metzger, hinten auf Johannes Koch, den Metzger stoßend, davon u. Zwar von dem daselbst befindl. gewesten, vom allmend darzugekommenen Armbrust Rhein u. darauff gebauten Sommerhauß zahlt man Jährl. auf Joh. Baptistæ alhiesigem Pfgthrn. 2. lb bod. zinnß sonsten über hernach unter den Passivis specificirte darauff hafftende onera freÿ ledig eÿgen und wird allhier beliebter maßen ohne anschlag gelaßen, doch mit der expressen Anhang und beding, im fall diselbige stante hoc matrimonio verkaufft würde, das als dann der daraus gezogene wahre Kauffschilling ergäntzt werden solle. Die übrige 3/12.te theil der eine quart aber seind Jacob Ludwig Hermanns Gastgebers 3. Kindern erster Ehe eÿgenth. Zuständig. Darüber besagt ein teutscher Pergamenter Kauffbrieff in alhießig. Cantzleÿ Contractstuben gefertiget mit dero anhangenden Insiegel verwahrt, datirt d. 2.ten Junÿ A° 1724.
Series rubricarum hujus Inventarÿ, des Manns Vermögen betreffend, Sa. hausraths 132, Sa. Wein und leere Vaß 73, Sa. Silber und Geschmeid 9, Sa. Eÿgenthumb ane einer behaußung o, Summa summarum 215 lb – Passiv Schulden 1106 lb, In Compensatione 890 lb
der Ehefrauen Nahrung betr.n Sa. hausrath 91, Sa. Silber v. Geschmeid 14, Sa. Goldene Ringe 16, Sa. baarschafft 58, Sa. Pfenningzinß hauptgüter 900, Sa. Eÿgenthumb ane Kuttelbänck. o, Summa summarum 1081 lb – Schulden 86 lb, Nach deren Abzug 994 lb

Jacques Lutz devient bourgeois par sa femme en janvier 1725
1725, 4° Livre de bourgeoisie p. 914
Jacob Lutz d: würth erhalt das burgerrecht Von seiner ehefr. Dorothea Kleinin fried: Kleinen gewes. Kutlers undt b. hint: dochter umb die tertz d: alten b. will beÿ E E Zunfft d: freÿburger dienen Jur. Eodem [22.ten Jan. 1725]

Jacques Lutz achète des enfants Herrmann le quart restant de la maison.

1729 (24.3.), Chambre des Contrats, vol. 603 f° 156-v
Jacob Ludwig Herrmann des gastgebers mit weÿl. Maria Ursula geb. Eißenmännin seiner ersten haußfrauen erzeugt noch lebender dreÿ Kinder Maria Salome, Maria Magdalena und Maria Elisabetha der herrmännin geschworner vogt Johann Georg Eißenmann auch gastgeber und ged. Herrmann als usufructuarius seiner Kinder Mütterlichenn guths
in gegensein Jacob Lutz des Gastgebers zum großen hirsch mit beÿstand H. Johann Georg Flach Jurium practici, d. 26. hujus vorgegangenen Versteigerung
3/12 theil für unvertheilt oder die quart ahne einer zum großen hirschen genannten Gastherberg bestehend in Vorder: und hinderhauß, einem Sommer hauß Gartten höfflein und hoffstatt mit allen zugehörden, Rechten und gerechtigkeiten in der Vorstatt Krauttenau gegen dem Frantzösischen hospithals über, einseit ist ein eck ahn ged. Spithals gräbel ohnfern des Blumengießens im Schwaben Ländlein anderseit neben weÿl. H. Johann Ehehalt gewesten Metzgers hinterlassenen Erben hinten auff Johannes Koch den Metzger – von solchem hauß und zwar von dem allda befindlich geweste vom Allmend dazu gekommenen armbrust: Raÿn und darauff gebautem Sommerhauß auff Johann Baptistæ hiesigen Stadt Pfenning Thurn 2 lb ane bodenzinß, der verkaufende herrmänischen Kinder Vogts und Vatters welcher letstere auff den natural genuß bedüttener hauß antheiler verzug gethan hat, dem käuffer aber zuvorhin zu übrigen 9/12 theilen – um 87 pfund capitalien verhafftet, geschehen um 387 pfund

L’aubergiste au Grand Cerf Jacques Lutz hypothèque son auberge au profit du cordonnier Jean Balthasar Auffderbruck

1729 (24.3.), Chambre des Contrats, vol. 603 f° 158
Jacob Lutz der Gastgeber zum großen hirsch
in gegensein Johann Balthasar Auff der Bruck des Schuemachers – schuldig seÿe 250 pfund
unterpfand, die Gastherberg zum großen hirschen genannt bestehend in Vorder: und hinderhauß, einem Sommerhauß Gartten höfflein und hoffstatt mit allen weithen, zugehörden, Rechten und gerechtigkeiten in der Vorstatt Krauttenau gegen dem Frantzösischen hospithals über, einseit ist ein eck ahn ged. Hospithals gräbel ohnfern des Blumengießens im Schwaben Ländlein anderseit neben weÿl. H. Johann Ehehalt gewesten Metzgers hinterlassenen Erben hinten auf Johannes Koch den Metzger – davon und zwar von dem allda befindlich gewesten von dem Allmend dazu gekommenen Armbrust: Raÿn und darauff gebautem Sommerhauß auff Johann Baptistæ hiesigen Stadt Pfenning Thurn 2 lb ane bodenzinß

Jacques Lutz hypothèque son auberge au profit de Marie Madeleine Braun

1730 (16.3.), Chambre des Contrats, vol. 604 n° 135
Johann Jacob Lutz der Gastgeber zum großen Hirsch
in gegensein Jfr. Maria Magdalena Braunin beÿständlich H. Not. Johannes Lobstein – schuldig seÿe 200 pfund
unterpfand, Einen aus jetzigem vorschuß meliorirt und mit einem neuen Bau vermerckte gast behausung zum großen Hirschen genannt bestehend in Vorder: Nebens und hinder hauß hoff gartten und hoffstatt mit allen derselben gebäuden, begriffen, weithen, zugehörden, Rechten und gerechtigkeiten in der Vorstatt Krauttenau ohnfern dem Frantzösischen hospital, einseit ist ein eck am Allmend gegen ged. hospithal anderseit neben Ehehaldtischen Erben hinten auff Johannes Koch den Metzger – davon gibt man hiesigen Stadt Pfenning Thurn 2 b ane bodenzinß

Jacques Lutz et Marie Dorothée Klein hypothèquent l’auberge au profit de Jean Frédéric Faust, licencié en droit et receveur de l’hôpital bourgeois pour réparer la maison sise à côté de l’auberge, détachée en 1715, et que Jacques Lutz vient d’acheter.

1733 (11.5.), Chambre des Contrats, vol. 607 f° 223-v
Johann Jacob Lutz des gastgebers zum großen hirschen und Maria Dorothea geb. Kleinin mit beÿstand ihres mutter bruders Johann Lobstein des metzgers und ihres geschwistrig kindts ehemanns Johann Georg Faudel des sattlers
in gegensein des Mehrern hospitals Schaffners H. Johann Friedrich Faust J. V. Lti – schuldig seÿen 250 pfund zu vollzahlung des kauffschillings hiernach beschriebener behausung und zu dero vorhabender Reparation
unterpfand, Eine aus jetzigem vorschuß theils bezahlt theils zu repariren vorhabende Behausung bestehend in vorder: und hinderhauß hoff scheur gärttlein und hoffstatt mit allen derselben gebäuden, begriffen, weithen, zugehörden, Rechten und gerechtigkeiten in der Vorstatt Krauttenau beÿm frantzösischen hospital im Schwabenländlein einseit neben hernach beschriebener ihnen ebenfalls zugehörigen gastbehausung zum großen Hirsch anderseit neben Christian Allinger des blumengärtthners gartten hinten auff weÿl. H. Johann Daniel Kolb gew. Med. D. et Pract. wittib und erben
Ferner oberwehnte Gastbehausung eben daselbst einseit ist ein eck am allmend gegen dem Blumengießen und obged. Hospital über anderseit neben weÿl. H. Johann Ehehaldt Metzgers wittib und erben hinten auff die erst designirte behausung hoff gartten und stallung bestehend mit übrigen deren begriffen und zugehörden – davon gibt man hiesiger Stadt Pfenning Thurn 2 lt ane bodenzinß

Jacques Lutz meurt en 1733 en délaissant trois enfants. Les experts estiment l’auberge à 1 500 livres et la maison voisine à 400 livres. La masse propre à la veuve est de 1 352 livres. L’actif des héritiers s’élève à 1 106 livres, le passif à 1 662 livres. L’actif de la communauté s’élève à 2 658 livres, le passif à 2 714 livres.

1733 (9. 8.br), Not. Lobstein (Jean, 31 Not 37) n° 842 [haut abîmé par l’humidité]
Inventarium und [be]schreibung aller derjenigen Haab, Nahrung und Güthere, Liegender und Vahrender, Verändert und ohnveränderter, überall nichts davon ausgenommen, so Weÿland der Ehren: und Wohlvorgeachte Herr Johann Jacob Lutz der geweßene Gastgeber zum Großen Hirtzen nunmehr seel. als derselbe dienstags den 25.ten Augusti dießes Lauffenden 1733.sten Jahrs dieses zeitliche in das Ewige verwechßelt – auf Ansuchen anfordern und begehren des Ehren und Wohlvorgeachten herrn Johann Wilhelm Schatzen des zinngießers und burgers allhier als geordnet und geschworenen vogts Philipp Jacobs, Mariæ Dorotheæ und Johann Friderichs der Lutzen, des Verstorbenen seel. mit hernach gemelter seiner hinterbliebenen Frau Wittib erziehlter dreÿer Kinder und ab intestato Verlaßener Rechtsmäßiger Erben, ersucht und inventirt durch die Viel Ehren und tugendreiche Frau Mariam Dorotheam Lutzin geb. Kleinin die hinterbliebene Frau Wittib mit assistentz des Ehren und Wohlvorgeachten herrn Johann Georg Dörffers des Kieffers und Weinhändlers auch burgers allhier Ihres geschwornen Curatoris

In einer allhier ane der Vorstatt Krautenau ohnfern dem Frantzösischen Hospithal gelegenen zum großen Hirschen genanden und in dieße Verlaßenschafft gehörigen behaußung
Ane Höltzen und Schreinwerck, Auff der bühn, In der Magd Cammer, au Paradis, In der Wohnstub, In der Wohnstub Cammer, Im Stübel N° 1, Im Stübel N 2, In der Großen Stub, Im Saal, In der Gaststub, In der Kuchen, Im Garthen, In des Officiers Stub, In des Knechts Cammer, In der Bauchküchen, Im Keller, Im Nebenshauß
Eigenthumb ane Häußern – (E) Erstl. dreÿ Viertetheil Vor ohnvertheilt Von und ane der zum großen Hirsch genandten Gastherberg bestehend in Vorder und hinderhauß, höfflein, hoffstatt und allen darzu gehörigen, gebaüen, begriffen, weithen, Rechten und gerechtigkeiten gelegen allhier an der Vorstatt Krautenau gegen dem Frantzösischen hospithal hinüber einseit ein Eck ane dem Spithal gräbel ohnfern des blumengießens im Schwabenländel, anderseit neben Anthoni Dugret, dem Metzger hinten auf hernach beschriebene theilbahre behaußung stoßend, davon und zwar Von der gantzen behaußung reicht mann jährlich auff Joh: Bapt: 2 lb d bodenzinß der Statt Straßburg Pfenningthurn, (laut) Abschatzungs zeduls vom 7.t. 8.bris Anno 1733 angeschlagen per 1420 lb, Machen die hiehero gehörig dreÿ Viertetheil 1065 lb, Und ist der übrige eine Viertetheil wehrender dießer Ehe erkaufft worden, mithien in gegenwärtige theilbare Nahrung, wie hernacher fol: (-) fac: (-) zuesehen gehörig, Über obgemelte hiehero gehörige zweÿ Viertetheil sagt ein teutscher pergamentener Kauffbrieff in allhießiger Cancelleÿ Contract Stub gefertiget de dato 2.t Junÿ Anno 1724
(T.) It. ein Viertertheil Vor ohnvertheilt von und ane der hieoben fol: (-) fac: (-) et seqq: beschriebenen Gastherberg zum großen hirsch genandt cum appertinentiis so über 2 lb bodenzinß vor freÿ Ledig und eigen æstimirt vor 1420 lb, Th. d. hiehero gehörige Vierdte theil 355 lb, Von dießen Vierdtentheil reicht mann ferner 3 lb 10 ß à [5 p. C°] gerechneten genußes H. Johann Sebastian Gambßen J. U. Lto Jahrs auf den 6. Octobris redimibel in Capital mit 87 lb 10 ß, Nach deren Abzug restiret dem anschlag d. hiehero gehörigen Vierdten theil 267 lb, Über solchen Viertentheil meldet ein teutscher pergamentener Kauffbrieff mit der Statt Straßburg anhangendem Cancelleÿ Contract Insiegel verwahret datirt den 24. Martÿ 1729
(T.) It. eine behaußung bestehend in Vorder: und hinderhauß, hoff, Scheur, Stallung, Gärthlein und hoffstatt mit allen deroselben Gebäuen, begriffen, Weithen, zugehörden, Rechten und Gerechtigkeiten gelegen allhier ane der Vorstatt Krautenau in dem sogenanden Schwabenländlein gegen dem frantzösischen Hospithal hinüber, einseit neben hieoben beschriebenen Gastherberg zum großen hirsch anderseit neben Mr Christian Allingers des Blumengärthners garthen, hinten auf weÿl. Hn Joh: Daniel Kolben Med: Dris und E.E. großen Raths alten beÿsitzers alten Assessoris seel. frau Wittib stoßend, davon gibt mann Jährl. 8 lb d à 4 pro cento gerechneten zinnßes Hn Joh: Daniel Braunen dem Banquier und E.E. großen Raths alten Assessori ablößig in haubtguth mit 200 lb, durch hieoben gedachte der Statt Straßburg geschworene Werckleuthe inhalt gemelten Abschatzungs zeduls vom 7. 8.bris Anno 1733 taxirt für 200 lb, Hierüber sagt ein teutscher pergamentener Kauffverschreibung mit der Statt Straßburg anhangendem Cancelleÿ Contract Insiegel bekräfftiget datirt den 11. Maÿ Anno 1733, dabeÿ ein alter pergamentener Kauffbrieff mit berührten Insiegel verwahret de dato 15. jan. Anno 1715
Ergäntzung – Vermög Inventarÿ über der gewesenen Eheleuthe einander für ohnverändert in den Ehestand zugebrachte Nahrung in Anno 1724 durch Weÿl. Hn Not.um Daniel Rohren consignirt aber durch Hn Not. Joh: Philipp Lichtenberger in Anno 1726 expedirt
– Abschatzung d. 7. 8.bris ao 1733 – Auf begehren Weÿl. des Ehrenvesten und Vorachtbaren H Jacob Lutz gewesenen Wirth undt Gastgeber Zum grosen Hirtzen genandt seel: hinter laßene fr. Wittib und Erben, ist ein Eck hauß gegen dem frantzösischen Spittahl über gelegen und zum theil gegen dem blumen Gießen, einseits Neben Antoni decker hinden auf die Erben selbsten stosend, Welche behausung Neu Nebens gebäw, Stuben, Officier, gast Stuben, Cammern, Kuchen, Speiß Cammern hauß Ehren, bronnen, Sale mit einem Camin, gebäcklter Keller undt höffel, sambt aller gerechtigkeit wie solches durch der Statt Straßburg geschwornene Werckleuth sich in der besichtigung befunden undt Jetzigem preiß nach angeschlagen wird Vor und Um 3000 Gulden
Ferner befindet sich ein alt Nebens gebäw einseits Neben den Erben selbsten anderseits Neben der Fr. Doctorin Kolbin garten worin Stuben Kuchen, Hauß Ehren, Cammern, Soldaten Cammer, Stallung, schopff, Einfahrt, Nebens schopff, gädel, /s.h./ schweine stall, gebäcktes Keller, höffel und bronnen sambt aller gerechtigkeit wie solches durch der Statt Straßburg geschwornene Werckleuthe sich in der besichtigung befunden und jetzigem preiß Nach angeschlagen wird Vor und Um 800 gulden [unterzeichnet] Michael Ehrlacher Werck Meister deß Münsters, Johann Jacob Biermeÿer Werckmeister deß Zimmerhoffs, Johann Peter Pflug Werckmeister deß Mauerhoffs
Abzug gegenwärtigen Inventarii, der Wittib ohnverändert Vermögen, Sa. hausraths 7, Sa. Silbergeschmeids 3, Sa. Goldener Ring 8, Sa. Schuld 87, Erg. Rest 1348, Summa summarum 1454 lb, Schulden 102, Nach deren Abgang 1352 lb
Der Erben ohnverändert Nahrung, Sa. hausraths 35, Sa. Lährer Vaß 4, Sa. Silbers 1, Sa. antheils ane einer behaußung 1065, Summa summarum 1106 lb, Schulden 1662 lb, In Vergleichung, passiv onus, 556 lb
Theilbahre Verlaßenschafft, Sa. hausraths 135, Sa. Wein und Lährer Vaß 316, Sa. Silbergeschmeids 22, Sa. baarschafft 139, Sa. Eigenthumbs ane haüßern 467, Sa. Schuld 1575, Summa summarum 2658 lb, Sa. Schulden 2714, Theilbahrer Passiv onus 56 lb – Stall summ 739 lb – Zweiffelhaffte und Verlohrene Schulden in das Erbe zugeltend 44 lb

Marie Dorothée Klein se remarie en 1733 avec l’aubergiste Jean Jacques Grün, fils de l’aubergiste à la Couronne d’or : contrat de mariage, célébration
1733 (1. Xbr), Not. Lobstein (Jean, 31 Not 78) n° 303
(Eheberedung) zwischen dem Ehren und wohlvorgeachten Herrn Johann Jacob Grün dem ledigen Gastgeber, des Ehren: und wohlvorgeachten Herrn Johann Jacob Grünen, des ältern Gastgebers Zur gulden Cron Und burgers allhier Zu Straßburg ehelichem Sohn, als dem herrn bräutigamb ane einem
So dann der Viel Ehren und tugendreichen Frauen Maria Dorothea Lutzin geb. Kleinin, Weÿland des Ehren und wohlvorgeachten herrn Johann Jacob Lutzen, des geweßenen Gastgebers Zum großen Hirtzen und burgers allhier zu Straßburg nunmehr seel. nachgelaßener Frau Wittib als der Frauen hochzeiterin, ane dem andern theil – auf dienstag den 1.ten X.bris Anno 1733 [unterzeichnet] Johann Jacob Grün alß hochzeiter, Maria Dorothe Lutzin alß hochzeiterin

Mariage, Saint-Nicolas (luth. f° 13-v, n° 3)
1734. Mittwoch den 3. Hornung seind nach Zweÿmahl geschehener proclamation (…) in den Ehestand eingesegnet word. Johann Jacob Grün der ledige Gastgeber und burger allhier, Johann Jacob Grün deß Aeltern Gastgebers und burgers allhie ehl. Sohn, und Frau Maria Dorothe, weil. Jacob Lutzen geweßten Gastgebers und burgers allhier hinterlassene wittib [unterzeichnet] Johann Jacob Grün alß hochzeiter, Maria Dorothea Lutzin als hoch zeiterin (i 15)

Les nouveaux mariés font dresser l’inventaire de leurs apports dans la maison qui appartient en partie à la femme. Ceux du mari s’élèvent à 327 livres, ceux de la femme à 3 189 livres.

1734 (26.2.), Not. Lobstein (Jean, 31 Not 38) n° 870
Inventarium und beschreibung aller derjenigen Haab, Nahrung und Güthere, so der Ehren: und Wohlvorgeachte Herr Johann Jacob Grün, der Gastgeber zum großen Hirsch und die Viel Ehren und tugendsahme Frau Maria Dorothea Grünin gebohrne Kleinin beede Eheleuthe und burgere allhier zu Straßburg, einander für ohnverändert in den Ehestand zugebracht, welche der Ursachen allweilen in Ihr beeder Eheleuthe mit einander aufgerichteten heuraths verschreibung expresse enthalten, daß eines Jeden in die ehe bringende Nahrung reservirt und ohnverändert seÿn und bleiben solle – So beschehen in Straßburg in præsentia der Ehren und Wohlvorgeachten Herrn Johann Jacob Grünen des ältern Gastgebers Zur Cronen und burgers allhier des Ehemanns eheleibl. Vatters und herrn Johann Bleßig Gastgebers zur goldenen Äxt und burgers allhier seines erbettenen Beÿstands, So dann herrn Johann Georg Dörffers des Kieffers und Weinhändlers, auch burgers allhier, der Ehefrauen noch ohnentledigten Curatoris, wie auch herrn Johann Wilhelm Schatzen, des Zinngießers und auch burgers allhier dero Kinder Erster Ege geschwornen Vogts, auf Freÿtag den 26.ten Februarÿ Anno 1734.

In einer allhier Zu Straßburg ane der Vorstatt Krautenau ohnfern dem frantzösischen Hospithal gelegenen Zum Großen Hirschen Genanden und in dieße Zugebrachte Nahrung gehörigen behaußung befunden worden, wie volgt.
Ane Höltzen und Schreinwerck, Auf der bühn, In der Magd Cammer, Au Paradis, Im Saal, In der großen Stub, Im Stübel N° 2, Im Stübel N° 1, Im haußöhren Vor der Wohnstub, In der Wohnstub, In der Stub Cammer, In der Gast Stub, Im untern haußöhren, In der Kuchen, In der bauch Küchen, In der Officiers Stub, In deßen Knechts Cammer, Im Keller, Im Nebenshauß
Eigenthumb ane häußern (F.) Erstl. die Gastherberg zum großen Hirsch genand, bestehend in Vorder und hinderhauß, höfflein, hoffstatt mit allen darzu gehörigen, gebaüen, begriffen, Weithen, Rechten und gerechtigkeiten, gelegen allhier in der Statt Straßburg ane der Vorstatt Krautenau gegen dem frantzösischen hospithal hinüber, einseit ein Eck ane dem Spithal gräbel ohnfern des blumengießens, im Schwabenländel, anderseit neben Anthoni Dugret, dem Metzger, hinden auf hernach beschriebene behaußung stoßend, davon reicht mann Jährl. auf Joh: Bapt: 2 lb d bodenzinß der Statt Straßburg Pfenningthurn, Sonsten wird dieselbe dißorths für freÿ Ledig und eigen ohnpræjudicirlich angeschlagen pro 2750 lb. Über dreÿ viertetheil dießer behaußung so der Ehefrauen Erster haußwürth seel. in seinem Ledigen Stand erkaufft, sagt ein teutscher pergamentener Kauffbrieff in allhießiger Cancelleÿ Contract Stub gefertiget und mit dero anhangendem Insiegel corroborirt de dato 2.t Junÿ Anno 1724. So dann meldet über den übrigen vierdten theil so in der Ehefrauen Erster Ehe erkaufft worden, auch ein dergleichen pergamenter Kauffbrieff mit berührtem der Statt Straßburg anhangendem Cancelleÿ Contract Insigel verwahret datirt den 24. Martÿ Anno 1729
(F.) It. eine Behaußung bestehend in Vorder und hinder hauß, hoff, Scheur, Stallung, gärthlein und hoffstatt und allen deroselben gebäuen, begriffen, Weithen, Zugehörden Rechten und gerechtigkeiten, gelegen allhier ane der Statt Straßburg ane der Vorstatt Krautenau in dem sogenanden Schwabenländlein gegen dem frantzösischen Hospithal hinüber, einseit neben vorher beschriebenen Gastherberg zum großen hirsch, anderseit neben Mr Christian Allingers, des Blumengärthners Garthen, hinden auf Weÿl. Hn Joh: Daniel Kolben Med: Dris und E.E. großen Raths alten Assessoris seel. frau Wittib stoßend, davon gibt mann Jährl. auf den 15.ten Jan. 8 lb d à 4 pro Cento gerechneten Zinnßes Hn Joh: Daniel Braunen dem Banquier und E.E. großen Raths alten Assessori ablößig in haubtguth mit 200 lb. Sonsten Vor freÿ Ledig und eigen dißorths ohnvergreifflichen æstimirt pro 450. lb. Hierüber sagt ein teutscher pergamentener Kauffbrieff, mit der Statt Straßburg anhangendem Cancelleÿ Contract Insiegel bekräfftiget, datirt den 11. Maÿ Anno 1733, dabeÿ ein alter pergamentener Kauffbrieff mit berührten Insiegel verwahret de dato 15. Januarÿ Anno 1715.
Abzug In gegenwärtigen Inventarium gehörig, des Herrn in die ehe gebracht Vermögen, Sa. hausraths 145, Sa. Silber geschirr und Geschmeids 13, Sa. Goldener Ring 13, Sa. baarschafft 110, Summa summarum 283 lb – halbe theil ane denen haussteuren 43. lb, des Eheherrn Völlig in die ehe gebracht Guth 327 lb
der Frauen in die Ehe gebrachte Nahrung, Sa. hausraths 538, Sa. Wein und Lährer Vaß 722, Sa. Silbergeschmeids 65, Sa. Goldener Ring 35, Sa. baarschafft 99, Sa. Eigenthumbs ane haüßern 3200, Sa. Schulden 78, Summa summarum 4739 lb – Sa. Schulden 1593, Detrahendo verbleibt 3145 lb – halbe theil ane denen haussteuren 43. lb, der frauen Völlig in die Ehe gebracht Vermögen 3189 lb
Zweiffelhaffte und verlohren schulden un die Nahrung zugeltend 38 lb

Jean Jacques Grün qui exploite l’auberge au Grand Cerf devient tributaire chez les Fribourgeois
1734, Protocole de la tribu des Fribourgeois (XI 165)
(2.te Gericht de 1734) Donnerstags den 29.ten Apr: 1734
(f° 157-v) Neu Zünfftiger – Johann Jacob Grün jun. Johann Jacob Grünen Sen.ris Würths und burgers allhier ehelicher sohn der nunmahlige würth zum großen Hirtzen beÿm Frantzösischen Spithal, bittet, weilen Er die würthschafft nach Ordnung erlernet, ihre Zufolg producirten Statt Stallschein vom 17. Martii 1734. Leibzünfftig Zu recipiren. Erkandt wird demselben gegen Erlag 6. lb 14. ß gebettener maßen willfahrt. Dedit nebst 6 ß. Stg. pro hoc A° jur. eod. auff die Ord.
[in margine :] dt Zfftgeb. 6. lb 10 ß, Prot. geldt 4 ß, Stg. pro 1734 6 ß Sa. 7 lb

Marie Dorothée Klein meurt en décembre 1734 en délaissant trois enfants de son premier mariage. La masse propre au veuf est de 176 livres, celle des héritiers de 1 477 livres. L’actif de la communauté s’élève à 827 livres, le passif à 833 livres. L’estimation des maisons est reprise de l’inventaire précédent.

1735 (1.2.), Not. Lobstein (Jean, 31 Not 41) n° 927
Inventarium und beschreibung aller derjengen Haab, Nahrung und Güthere, Liegender und Vahrender, Verändert und ohnveränderter, überall nichts davon ausgenommen, so Weÿland die Viel Ehren und tugendsahme Frau Maria Dorothea Grünin gebohrne Kleinin, des Ehren: und Wohlvorgeachten herrn Johann Jacob Grünen, des Gastgebers zum großen Hirsch und burgers allhier zu Straßburg gewesene eheliche Haußfrau nunmehr seel. als dieselbe Mittwochs den 22.ten Decembris des zurückgelegten 1734.sten Jahrs dieses Zeitliche in das Ewige verwechselt, nach solch Ihrem aus dießer welt genommenen tödlichen hintritt, Zeitlichen verlaßen, welche Verlaßenschafft auf freundliches Ansuchen Erfordern und begehren des Ehren und Wohl vorgeachten Herrn Johann Wilhelm Schatzen des Zinngießers und burgers allhier als geordnet und geschworenen Vogts Philipp Jacobs, Mariä Dorotheä und Johann Friderichs der Lutzen der verstorbenen Frauen seel. in Erster Ehe mit auch Weÿl. dem Ehren: und wohlvorgeachten Herrn Johann Jacob Lutzen dem geweßenen Gastgeber zum großen Hirsch und burgern allhier ebenmäßig seel. ehelich erzeugter dreÿer Kinder und sowohl per Testamentum als ab intestato verlaßener Rechtsmäßiger Erben – So beschehen in Straßburg auf dienstag den 1. Februarÿ er seqq. Anno 1735.

In einer allhier Zu Straßburg ane der Vorstatt Krautenau ohnfern dem frantzösischen Hospithal gelegenen, Zum Großen Hirsch genanden in dieße Verlaßenschafft gehörigen Gastbehaußung befunden worden, wie volgt.
Ane Höltzen und Schreinwerck, Auf der bühn, In der Magd Cammer, Im Stübel N° 1, Im Stübel N° 2, In der großen Stub, Im Saal, Au Paradis, In der Wohnstub, In dero Stub Cammer, In der Gast Stub, Im undern haußöhren, In der Kuchen, Im hoff, In der hauß Knechts Cammer, In der Officiers Stub, In der bauch Küchen, Im Keller in der Urbansgaß
Antheil ane häußern (E.) Erstl. ein zwölffter theil Vor ohnvertheilt Von und ane der zum großen Hirsch genanden Gastherberg, bestehend in Vorder: und hinderhauß, höfflein, hoffstatt mit allen darzu gehörigen Gebaüen, Begriffen, Weithen, Rechten und gerechtigkeiten, gelegen allhier in der Statt Straßburg ane der Vorstatt Krautenau gegen dem frantzösischen hospithal hinüber, einseit ist ein Eck ane dem Spithal gräbel ohnfern des blumengießens im Schwabenländel, anderseit neben Anthoni Dugret, dem Metzger, hinden auf hernach beschriebene behaußung stoßend, davon und zwar von der gantzen behaußung reicht mann Jährl. auf Joh: Bapt: 2 lb d bodenzinß der Statt Straßb. Pfenningthurn, Sonsten ist dieselbe für freÿ Ledig und eigen in dem, über weÿl. Hn Joh: Jacob Lutzen des geweßenen Gastgebers zum großen hirsch und burgers allhier der Verstorbenen frauen seel. Erstern haußwürths auch seel. Verlaßenschafft, durch mich Notarium Johann Lobstein in Anno 1733. aufgerichteten Inventario fol: 46. fac: I.ma durch der Statt Straßburg geschwornen Herren Werckmeistere Laut Abschatzungs Zeduls vom 7. 8.bris Anno 1733 angeschlagen pro 1420. Macht der hiehero gehörige Zwölffte theil 118. lb. Und seind die übrige Eilff Zwölffte theil denen Kindern für vätterlich guth, so die frau seel. gegen dero Education und Alimentation genossen, wie hernacher fol (-) fac. (-) Zusehen gebührig. Über dreÿ viertetheil dießer behaußung so der Ehefrauen Erster haußwürth seel. in seinem Ledigen Stand erkaufft, sagt ein teutscher pergamentener Kauffbrieff in allhießiger Cancelleÿ Contract Stub gefertiget und mit dero anhangendem Insiegel corroborirt de dato 2.t Junÿ Anno 1724. So dann meldet über den übrigen Vierdten theil so in der Ehefrauen Erster Ehe erkaufft worden, auch ein dergleichen teutscher pergamenter Kauffbrieff, mit erwehntem Insigel verwahret datirt den 24. Martÿ Anno 1729
(E.) It. ein dritter theil Vor unvertheilt von und ane einer Behaußung bestehend in Vorder: und hinder hauß, hoff, Scheur, Stallung, Gärthlein und hoffstatt, mit allen deroselben gebäuen, begriffen, weithen, Zugehörden, Rechten und gerechtigkeiten, gelegen allhier ane der Statt Straßburg ane der Vorstatt Krautenau in dem sogenanden Schwabenländlein gegen dem frantzösischen Hospithal hinüber, einseit neben hieoben beschriebenen Gastherberg zum großen hirsch, anderseit neben Meister Christian Allingers, des Blumengärthners Garthen, hinden auf Weÿl. Hn Joh: Daniel Kolben Med: Dris und E.E. großen Raths alten Assessoris seel. frau Wittib stoßend, davon und zwar von der gantzen behaußung gibt mann Jährl. auf den 15.ten Januarÿ 8 lb d à 4 pro Cento gerechneten Zinnßes Hn Johann Daniel Braunen dem Banquier und E.E. großen Raths alten Assessori ablößig in haubtguth mit 200 lb. Sonsten ist die Völlige behaußung über vorstehendes onus Vor freÿ Ledig und eigen in vorgedachten weÿl. Hn Joh: Jacob Lutzen seel. Verlaßenschafft Inventario de Anno 1733 fol: 99. fac: 2.da durch der Statt Straßburg geschwornen Herren Werckleuthe æstimirt Vor 200 lb. Beträgt der hiehero gehörig dritte theil 66. lb. Die übrige zwo tertzen seind ebenmäßig denen Kindern vor vätterlich guth maßen hieunden fol – fac – befindlich eigenthümlich gebührig. Über dieße Völlige behaußung sagt ein teutscher pergamentener Kauffbrieff mit berührtem Insiegel Verwahrt de dato 15.ten Januarÿ Anno 1715. beede mit N° 3. signirt
Wÿdemb, Welchen die Verstorbene Frau seelige Von auch Weÿland Herrn Johann Jacob Lutzen dem geweßenen Gastgeber zum Großen hirsch und burgern allhier Ihrem Erstern hauß würth ebenmäßig seel. theils ad dies vitæ und theils gegen deßen Kinder Education und Alimentation genoßen hat. Solcher bestehet inhalt des über gedachten herrn Johann Jacob Lutzen nunmehr seel. Verlaßenschafft durch mich Notarium in Anno 1733. aufgerichteten Inventarÿ (…)
Erstl. Eilff Zwölffte theil für ohnvertheilt Von und ane der hieoben fol. fac et seqq. beschriebenen Gast herberg Zum großen hirsch genand, cum appertinentÿs, so über 2. lb d bodenzinß vor freÿ Ledig und eigen æstimirt umb 1420. Thun die hiehero gehörige 11/12.te theil 1301. lb
It. zween drittetheil Vor unvertheilt von und ane der hievornen fol. fac. et seqq. eingetragenen behaußung mit allen deren zugehördten neben der Gastherberg Zum großen hirsch gelegen, so über 200. lb d darauf hafftender Capital für freÿ Ledig und eigen angeschlagen für 200. lb, Machen die hiehero gehörige 2/3.tetheil 133. lb
Ergäntzung, Nach besag Inventarÿ über Eingangs gedachter Eheleuth in den Ehestand zugebrachte Nahrungen in Anno 1734. durch mich Notarium aufgerichtet
Abzug in gegenwärtigen Inventarium gehörig, Des Herrn Wittibers ohnverändert Vermögen, Sa. hausraths 5, Sa. Silbergeschmeids 5, Sa. Goldener Ring 7, Sa. baarschafft 22, Sa. Schuld 25, Erg. Rest 110, Summa summarum 176 lb
Der Erben ohnveränderte Nahrung, Sa. hausraths 221, Sa. Lährer Vaß 34, Sa. Silber geschmeids 29, Sa. Goldenen Rings 10, Sa. baarschafft 10, Sa. Antheils ane häußern 185, Sa. Schuld 1758, Erg. Rest 638, Summa summarum 2887 lb – Schulden 1410 lb, Detrahendo verbleibt 1477 lb
Theilbahre Verlaßenschafft, Sa. haußraths 38, Sa. Wein und Lähren Vaßes 379, Sa. silbers 1 ß, Sa. baarschafft 355, Sa. beßerung auf der Kinder Vätterl. antheilern ane der gastherberg zum großen hirsch 45, Sa. Schulden 9, Summa summarum 827 lb – Schulden 833 lb, Theilbares Passiv-onus 6 lb
Stall Summ Et Conclusio finalis Inventarÿ 1278 lb
Zweiffelhaffte und verlohrene Schulden in der Fr. seel. theilbare Nahrung zugeltend 47 lb
Copia der Eheberedung (…) Not. Lobstein den 1.ten X.bris Anno 1733
Copia Testamenti – in dem Jahr 1734, den 17. tag des Monats Decembris in einer allhier zu Straßburg ane der Vorstatt Krautenau nahe beÿ dem frantzösischen Hospital gelegenen hernach gemelter Frauen testirerin und Ihren Kindern Erster Ehe eigenthümlich zuständigen zum großen Hirsch genannden Gast behaußung, dero Obern hindern stuben mit denen Fenstern in den hoff und Garthen außsehend (…) die Viel Ehren und Tugendreiche Frau Maria Dorothea Grünin gebohrne Kleinin des Ehrenvest und Wohlvorgeachten herrn Johann Jacob Grünen des Gastgebers Zum Großen Hirtzen und burgern (…) Johannes Lobstein, Not.

Le tuteur des enfants de Marie Dorothée Klein loue l’auberge au veuf.

1735 (1.2.), Not. Lobstein (Jean, 31 Not 41) Joint au n° 927
Vergleich und Respectivé Lehenung Zwischen Herrn Johann Jacob Grünen dem hinterbliebenen Wittiber mit assistentz herrn Johann Bleßig, des Gastgebers Zur guldenen Äxt und herrn Johann Jacob Grünen des ältern, auch Gastgebers und burgers allhier seines eheleiblichen Vatters ane einem
So dann Johann Wilhelm Schatzen dem Zinngießer und burgern allhier als Vogten Philipp Jacobs, Mariä Dorotheä und Johann Friderichs der Lutzen der Frauen seel. erziehlter dreÿer Kinder erster Ehe und sowohl per Testamentum als ab intestato nachgelaßene Erben, mit assistentz herrn Johann Friderich Lichtenbergers Notarÿ jurati publici und berühmbten Practici seines erbettenen herrn Beÿsitzers ane dem andern theil, getroffen
Erstlichen Verleÿhet der Kinder und Erben geordneter Herr Vogt Ihme dem hinterbliebeneen Wittiber seiner Curanden eigenthümliche theils Vor Vätter: und theils Vor Mütterlich guth gebührige beede häußer allhier in der Statt Straßburg ane der Vorstatt Krautenau gegen dem frantzösischen hospithal hinüber, deren das eine in Vorder: und hinderhauß, höfflein, hoffstatt und allen darzu gehörigen Gebaüen bestehend, die Gastherberg zum großen Hirsch genand, das andere aber auch in Vorder: und hinderhauß, hoff, Scheur, Stallung, Gärthlein und hoffstatt, mit allen übrigen dero gebäuen bestehend neben erwehnter Gastherberg gelegen, welche beede häußer auch Er der herr Wittiber hiemit in Lehenung acceptiret und übernimbt auf Neuen Jahr lang von Annunciationis Mariæ dießes 1735 Jahrs an und auf gleiche zeit Anno 1744, umb 200 Gulden – Actum Straßburg den 1. Martÿ Anno 1735

Jean Jacques Grün se remarie en mai 1735 avec Anne Marie Stamm, fille de batelier, après avoir obtenu permission de se marier avant la fin de son deuil. Contrat de mariage tel qu’il est copié à l’inventaire, célébration
1735, Not. Pantrion (Jacques Christophe, répert. 65 Not 45, Eheberedungs Concepta, welche noch Zu expediren, f° 259 sqq)
Eheberedung – Joh: Jacob Grünen Gastgeb: und Jfr Annæ Mariæ Staammin (Exp.)
Copia der Eheberedung – zwischen dem Ehrsam und bescheidenen H Johann Jacob Grün, Gastgebern Zum Hirschel , des Ehrenhafften H Johann Jacob Grünen, Gastgeber Zum rothen Apfel und burgers allhier ehelich erzeugten Sohn, als hochzeitern ane Einem, So dann der tugendsamen Jgfr. Anna Maria Stammin, Herrn Johann Jacob Stamm, Schiffmanns und E. E. Kleinen Raths allhier beÿsitzers ehelich erzeugten tochter als hochzeiterin andern theils (…) Geschehen, also abgeredt und verglichen, allhier Zu Straßburg den 5.ten Aprilis Anno 1735, Pantrion, coll. den 1. Aprilis 1747, Johannes Brackenhoffer, Notarius publicus juratus

Mariage, Saint-Nicolas (luth. f° 19-v, n° 5)
1735. Mittwoch den 12. Maÿ seind nach Zweÿmahl geschehener proclamation (…) in den Ehstand eingesegnet word. Johann Jacob Grün der jüngere Gastgeber und burg. allhier wittwer, und Jgfr. Anna Maria, Hn Johann Jacob Stammen deß Schiffmanns und E.E. Kleinen Raths jetztmahligen Beÿsitzers eheliche Tochter, [unterzeichnet] Johann Jacob Grün alß hochzeiter, Anna Maria Stamm als hochzeiterin (i 22)

1735 Conseillers et XXI (1 R 218)
Joh: Jacob Grün erhalt Dispensation in der Trauer: Zeit heürathen Zu dörffen. 239.
(p. 239) Montag d. 18. Aprilis – Lt. Christiani, Nomine Johann Jacob Grün des hiesigen burgers und gastgebers, producirt unterthäniges Memoriale und Bitten sambt beÿlag Lit. A. pro gratiosa Dispensatione intra tempus luctus heurathen Zu dörffen, handelt innhalts. Ist Erkandt Wird den Imploranten, in ansehung desen geweste Ehefrau Maria Dorothea grünun schon d. 22. 10.bris iüngst verstorben, und also delselben Zur Zeit seiner vorhabenden anderwerten Verheürathung ihme nicht Viel am dem Tempore lucus fehlen wird, sich mit Jacob Stammen des hiesigen burgers und schiffmanns tochter Ehelich Copuliren Zu laßen Erlaubt, und ihme die dazu nöthige Dispensation gegen erlag dreÿ pfund pfenning in das gemeine Allmoßen obrigkeitlichen ertheilt. Deputati H. Rht. Reineri und H. Rth Dulsecker.

Les nouveaux mariés font dresser l’inventaire de leurs apports. Ceux du mari s’élèvent à 525 livres, ceux de la femme à 418 livres.
1735 (13.6.), Not. Lobstein (Jean, 31 Not 42) n° 958
Inventarium und beschreibung aller derjenigen Haab Nahrung und Güethere, so der Ehren und Wohlvorgeachte Herr Johann Jacob Grün der Gastgeber zum großen Hirsch und die Ehren und tugendsahme Frau Anna Maria Grünin gebohrne Stammin, beede Eheleuthe und burgere allhier zu Straßburg einander für ohnverändert in den Ehestand zugebracht, welche der Ursachen allweilen in Ihr beeder Eheleuthe mit einander aufgerichteten heuraths Verschreibung expressé enthalten, daß eines Jeden in die Ehe bringende Nahrung reservirt und ohnverändert seÿn und bleiben solle – So beschehen (…) auff Montag den 13. Junÿ Anno 1735.

In einer allhier Zu Straßburg ane der Vorstatt Krautenau nahe beÿ dem frantzösischen Hospithal gelegenen, Zum Großen Hirsch genand in dieße zugebrachte Nahrung nicht gehörigen Gastbehaußung befunden worden, wie volgt.
(f° 11) Wÿdembs Verfangenschafft, Welche Herr Johann Jacob Stamm der Schiffmann und E.E. Kleinen Raths Jetzig wohlverdienter Assessor, der Ehefrauen eheleiblicher herr Vatter Von Weÿland Frauen Maria Salome Stammin gebohrner Vetterin seiner Erstern haußfrauen seel. Zeit lebens zugenießen hat. Vermög Inventarii (…) und des demselben in fine annectirten beÿ E. Löbl. Vogteÿ Gericht den 13. Junii Anno 1722. aufgerichteten Kinder Vertrags (…)
Wÿdembs Verfangenschafft, Welche Herr Cladÿ Hannßmetzger der Metzger und burger allhier zu Straßburg von Weÿland Frauen Anna Maria Hannßmetzgerin geb. Vetterin, seiner geliebten haußfrauen nunmehr seel. Zeit Lebens Zugeniesen hat. Inhalt Abtheilungs auch respectivé Wÿdems Register Concepti (…) durch mich unterschriebenenen Notarium den 15.ten Novembris Anno 1728. vergriffen
Abzug in gegenwärtig zugebrachte Nahrungs Inventarium gehörig. Des herrn in die Ehe gebracht Vermögen, Sa. hausraths 317n Sa. Wein und Lährer Vaß 628, Sa. Silber geschirr und Geschmeid 47, Sa. goldener Ring 6, Sa. baarschafft 232, Sa. Schulden 28, Summa summarum 1260 lb – Sa. Schulden 815 lb, Nach solchem rabbat 445 lb – helffte der haussteuren 80 – des Herrn Völlig in die Ehe gebracht Vermögen 525 lb
der Frauen in die Ehe gebracht Guth, Sa. hausraths 115, Sa. Silber geschirr und Geschmeids 46, Sa. Goldener Ring 27, Sa. baarschafft 148, Summa summarum 338 lb – helffte der haussteuren 80 – der Frauen Völlig in die Ehe gebracht gut 418 lb
Beschluß summa 943 lb

Jean Jacques Grün se plaint que son employé Martin Leonhard l’a quitté sans préavis quoiqu’il l’ait particulièrement bien traité. Le conseil des Fribourgeois condamne l’employé à une amende, il devra en outre reprendre son service chez le plaignant et y rester au moins jusqu’à la Saint-Michel.
1735, Protocole de la tribu des Fribourgeois (XI 165)
Hr Johann Jacob Grün der Würth zum großen Hirtzen contra Martin Leonhard seinen Hauß Kn.
(f° 172-v) Dienstags den 29.ten Martji A° 1735 – Hr Johann Jacob Grün, der Würth zum großen Hirtzen und deß Gerichts, Klagt Contra Martin Leonhard seinen Hauß Kn. daß Er die dienste ohne Ursach plötzlichen beÿ Ihme quittiret, Maßen Er nur einen tag vor dem Ziel Ihme Solche auffgekündet, undt würcklichen außgetretten, da Er doch im Hauß gelernet undt viel gutes, sowohlen in gesunden alß auch Letstlichen seinen Krancken tagen genoßen, bittet demnach weilen Er Ihne in seiner würtschafft dermahlen sehr benöthiget, denselben Anzuhalten, daß Er beÿ Ihme in diensten wiederumb Ein zugehen, und sich auff eine gewiße Zeit Einschreiben Zu laßen Schuldig seÿn solle.
Ille sagt es wäre die Stipulirte Zeit alß auff welche er sich Zu Klägern engagiret, verfloßen, geweßen, vermeÿnet alßo nicht obligiret geweßen Zu seÿn, Länger Zu verbleiben und den dienst ehender auff zu sagen.
Nach angehörter Klage und Antwort ist Erkant, daß beklagter Haußknecht weilen er seine dienste nicht nach ordnung auffgesaget, und dem Herrn auß dem hauße gegangen 1 lb 10 ß d Straff Zu Erlegen, und wenigstens biß Mich. a: c: Zu Klaggendem herrn sich wiederumb Einschreiben Zu laßen, und solche Zeit über gebührend sich auffzuführen schuldig seÿn solle, Mit dem noch fernerem anhang wann Er vor Verfließung solcher Zeit die dienste quittiren, oder aber sonsten nich wie es gebühret auch aufführen würd Er nicht nur allein Keinen lohn haben sondern auff Ihme die Abstraffung auch abnebebst vorbehalten seÿn solle. Compens. Expensis.

Le tuteur des trois enfants de Jean Jacques Lutz loue l’auberge à Jean Jacques Wintersinger

1744 (5.6.), Chambre des Contrats, vol. 618 f° 302-v
H. Johann Wilhelm Schatz der zinngießer als vogt weÿl. Johann Jacob Lutz des gastgebers dreÿer kinder Philipp Jacob, Maria Dorothea und Johann Friedrich Lutz
in gegensein H. Johann Jacob Windersinger gastgebers
entlehnt, die zum großen hirsch genannte in der Vorstatt Krautenau beÿ dem frantzösischen Hospital gelege gastbehausung samt allen deroselben zugehör und rechten ; auff 6 nacheinander folgenden jahren anfangend auff innstehenden Joh. Baptistæ, um einen jährlichen Zinß nemlich 150 gulden

Les aubergistes Jean Jacques Grün et Jean Bezold demandent aux Quinze de lever l’amende qui leur a été infligée après s’être opposés à ce que les inspecteurs et les gardes visitent leur cave afin de vérifier que le vin est vendu au juste prix et qu’il n’est pas frelaté. Les Quinze estiment que la défense qu’ils présentent aggrave leur cas plus qu’elle ne les disculpe. Ils confirment la décision d’infliger une amende.
1747, Protocole des Quinze (2 R 157)
(p. 438) Sambstags d. 2. Septembris – Joh: Jacob Grün und Johannes Bezold pt° nachlassung der Straff
Obere Umbgeltd Hn. lassen per eundem [Secretarium] referiren, es hätten Joh: Jacob Grün, und Johannes Bezold, beede Würth und burgere allhier, beÿ MGHhn d. 26. Augusti jüngst ein unterth. memoriale übergeben, und darinn Vorgestellt, wasmaßen Sie, Imploranten, d.19. ejusdem jeder umb 50. lb d gestrafft worden, nun könnten Sie hienauß nichts anderst schließen alß daß man Sie vor ohngehorsahme burger die sich denen ordnungen wiedersetzen, angesehen haben, allein sie könnten Versichern, daß Sie die visite des H. Inspectori & weinstichers und derer Gardes des Umbgelts also angesehen als ob sie schon etwas verbrochen und dahero durch die würckliche execution Zur straffe gezogen werden sollten, von der gegenwarth dener Obere Umbgeldts Hhn hätten sie (p. 439) aber nicht das geringste gewußt, In hoffnung nun einer gnädigen erhöhe ergehe derer Imploranten unterth. bitten an MGHhn, dieselbe geruhen möchten, Ihnen dießem fehler und verbrechten aus gnaden Zu condoniren, einfolglichen sie der Straffe in gnaden Zu erlaßen. Auff geschehene Weißung hätten die beede Imploranten præsentes sich nochmahlen auff contenta ihres memorialis und petiti bezogen, wann nun denen Imploranten beÿ der Keller visitation deutlich und zu wiederhohlten mahlen beditten worden, wie sothane visitation von seithen der Ihnen vorgesetzten Obere Umbgelthh. theils umb den wahren preiß Zu wißen, umb welche Sie, die würth, Ihre wein an das publicum würcklich verkaufften, theils umb allen vermischungen der Weine Vorzukommen, alter gewohnheit nach vorzunehmen vor nöthig erachtet worden, die Imploranten aber ohnerachtet solcher vorgekehrten notification und befehls, ungehorsahmer und wiederspänstiger weiß solcher visitation sich freventlich wiedersetzt, so daß die Obere Umgelts Hh. ohnverrichter sachen auff eine despectirliche weiß, sich von Ihren häußeren wegbegeben müßen, die vorgebrachte entschuldigung derer Imploranten dero aufführuing mehr aggraviret als entschuldiget, als hätten die Hhn deputirte darfür gehalten, daß es beÿ der d. 18. Augusti jüngst von seithen derer Oberen Umbgelts Hh. angesetzten Straff Zu laßen, mithin die Imploranten mit ihrem begehren abzuweißen seÿen, die confirmation dießes bedachts stehe Zu MGHhn.
H. Prætor Regius setzt beÿ, das Verfahren derer Imploranten, seÿe so beschaffen, daß es Keiner gnad würdig seÿe, weßwegen er auff die confirmation des bedachts wolle angespropchen haben. Erk. Bedacht gefolgt.

Le tuteur des enfants Lutz loue l’auberge à Jean Jacques Koch

1753 (2.10.), Chambre des Contrats, vol. 627 f° 420-v
Frantz Heinrich Gimmig des sattlers als vogt Philipp Jacob, Maria Dorothea und Johann Friedrich der Lutz
in gegensein Johann Jacob Koch des gastgebers
entlehnt, das wirthshauß zum Hirtzel genannt beÿ dem Französischen hospital, auff 3 nacheinander folgenden jahren auff innstehenden weÿhnachten anfangend – um einen jährlichen Zinß nemlich 160 gulden

Compte que rend Jean Frédéric Steinbach de la gestion des biens qui appartiennent aux mineurs Lutz. Le compte rapporte les différents loyers encaissés.

1760 (31.5.), Not. Dinckel (J. Raoul, 6 E 41, 396) n° 847
Rechnung Mein Johann Friedrich Steinbach Gastgebers auf E.E. Zunfft der Garthner ane Steinstraß als geordnet und geschworenen vogts Johann Friedrich Lutzen Ledigen Perruquenmachers Weÿl. herrn Johann Jacob Lutz geweßenen Gastgebers mit auch weÿl. Fraun Maria Dorothea geb. Kleinin Jüngern Sohns außweißend alles desjenige was Ich von Anno 1756 da Ich zu dieße Vogteÿ gekommen biß den 31. maÿ Anno 1760 besagten meines Curandi und zum theil auch seiner zweÿen ältern geschwüsterde halben Eingenommen und hingegen wieder außgegeben habe

Bericht gegenwärtigen Rechnung, Herr Frantz Heinrich Gimmich der Meelwäger welcher vorhien dieße Vogteÿ vor alle dreÿ Lutzische Kinder Nahmentlich Philipp Jacob Lediger Gastgeber, Frau Mariam Dorotheam welche sich seithero ane herrn Johann Memminger den Fischer verheurathet und außwendigt benahmßten Johann Friedrich die Lutzen auf sich gehabte Legate über deßen Administration und Verwaltung vom 23. maÿ 1750 biß Joh. Bapt: 1756 seine Erste und Letste Rechnung gab (…)
Corpus der dreÿen Lutzischen Kinder ins gemein Jährlich zu gewarten habender haußzinnß
Erstl. Laut des vorherigen Vogts abgelegter Rechnung ist die Gastbehaußung zum großen hirsch genand ane der vorstatt Krautenau gegen dem Frantzösischen Hospital hienüber gelegen damahlen ane herrn Johann Jacob Koch den Gastgeber verlehnt geweßen umb einen Jährlich zinß von 80 lb
Nachgehends ist selbige ane herrn Johann Daniel Roth dem Gastgeber verlühen worden umb einen Jährlichen zinnß vom 65 lb, So derselbe biß Weÿenachten 1757 alßo ein Jahr lang beseßen,
hernach ist solche behaußung Lähr gestanden biß in Augustum 1758 auf welche Zeit meines Curandi ältester bruder Philipp Jacob Lutz selbige /:mit Consens herrn Grünen des Stieffvatters und herrn Memminger deß Schwagers:/ bezogen
Es hat sich aber derselbe im Martio 1760 von hier absentirt und stehet solche behaußung anjetzo wiederumb Lähr dahero hier Keine zinnß in außwurff zu bringen
It. aus der zweÿten behaußung auch ane der Vorstatt Krautenau im Schwabenländlein neben besagten Gastherberg gelegen gefallen anjetzo Jährlich ane haußzinnßen auf Georg Friedrich Wintersinger dem Schiffknecht aus der einen Obern wohnung 9 lb,
It. aus der zweÿten obern Wohnung zahlte Johann Georg Milius biß Johannis Baptistæ 1758 Jährlichen 9 lb, und biß Michaelis 1758 ist selbige ein Vierteljähr Lähr gestanden und anjetzo ist solche verlühen ane Johann Georg Wintersinger den Schiffknecht umb 11
It. aus der Unden Wohnung im Hoff lieffert anjetzo Antonj Schönenburger der Wäscher des Jahrs 12 lb,
It. von der heubühn solle herr Johann Jacob Grün des Curandi Stieffvatter Jährlichen 3 lb
Hierauff Folgt nun die Rechnung ane und vor sich selbsten, Einnahm Geldts die zweÿ Lutzischen Kinder ins gemein angehend,
Erstl. habe aus der Gastbehaußung zum großen hirsch genand ane haußzinßen eingenommen von herrn Johann Jacob Koch von Joh. Bapt: 1756 biß Weÿhnachten ejusden Anni vor ein halb Jahr 40 lb,
Item von herrn Johann Daniel Roth dem Gastgeber von Weÿenachten 1756 bis dergleichen zeit 1757 vor ein Jahr 65,
von Weÿenachten 1757 biß Augustum 1748 ist dieße behaußung Lähr gestanden und nachgehends von Philipp Jacob Lutz ledigen Gastgeber dem ältern Sohn bezogen worden so Er auch biß in Martium 1760 da Er sich von hier absentirt in gehabt, weßwegen Ihme vor solche zeit nemblich vor ein Jahr und 7 Monath der gemäß auszurechnen so annoch mit Ihme zu regulieren,
It. aus der Nebens behaußung habe eingezogen und zwar aus der einen Obern wohnung von Georg Friedrich Wintersinger dem Schiffknecht von Joh. Bapt: 1756 biß Annunciationis Mariæ 1760 vor ¾ Jahr à 9 lb,
It. aus der zweÿten obern Wohnung von Johann Georg Milius von Johannis Baptistæ 1756 biß gleiche zeit 1758 vor 2 Jahr à 9 lb,
It. ist dieße Wohnung von Joh. Bapt: 1758 biß Michaels ejusdem Anni ein viertel Jahr lang Lähr gestanden und von solcher zeit an biß Annunciationis Mariæ 1759 zahlte Johann Georg Wintersinger der Schiffknecht vor ein halb jahr haußzinnß 5 lb,
It. von Annunciationis Mariæ 1759 biß gedachten Termin 1760 liefferte besagter Johann Georg Wintersinger mit vor ein halb Jahr haußzinnß 11,
It. aus der Undern Wohnung im hoff empfinge Ich von Johann Mentzer dem tabackbereiter ane haußzinnß von Joh. Bapt: 1756 biß Michaelis 1758 vor 2 ½ jahr à 12 lb

Marie Madeleine Quellet, femme de l’aubergiste Jean Jacques Lutz, hypothèque le tiers des deux maisons au profit des enfants mineurs Deldono.

1768 (22.8.), Chambre des Contrats, vol. 642 f° 520
Fr. Maria Magdalena geb. Quelet Johann Jacob Lutz des wirths ehefrau
in gegensein H. Joseph Groß des handelsmanns als vogt ihrer kinder I. ehe Dominique und Jean Baptiste der Deldono, 292 pf
unterpfand, 1. 1/3 vor unvertheilt ane einer behausung cum appertinentis gegen dem frantzösischen hospital über zum Hirtzen genanndt
so dann 1/3 theil vor unvertheilt ane einer behausung neben erstgedachten behausung gelegen

Dorothée Lutz femme du pêcheur Jean Memminger, Philippe Jacques Lutz pensionnaire à l’hôpital, propriétaire, et Jean Jacques Grün, usufruitier, louent l’auberge au Cerf près de l’hôpital français au brasseur Jean Philippe Schæcker

1774 (24.2.), Chambre des Contrats, vol. 648 f° 83-v
Johann Memminger der fischer und Dorothea geb. Lutzin und Philipp Jacob Lutz der pfrunder in dem mehrern hospital, H. Johann Jacob Grün der gastgeber zum kleinen Hirsch als usufructuarius
in gegensein Mr Johann Philipp Schäcker des bierbrauers
lehnungsweiß, in der zum Hirschen geschildete beÿ dem frantzösischen hospital gelegenen behausung, den gantzen unteren stock oder rez de chaussée, nichts davon ausgenommen, nebst dem hinteren keller samt den garten – auff innstehenden Annunciationis Mariæ anzufangen, um einen jährlichen Zinß nemlich 62 gulden

Anne Marie Stamm meurt en 1782 en délaissant six enfants ou leurs représentants. L’inventaire est dressé rue d’Or dans l’auberge à la Pomme d’or. La masse propre au veuf est de 445 livres, celle des héritiers de 2 422 livres. L’actif de la communauté s’élève à 1904 livres, le passif à 3 438 livres.
1782 (17.5.), Not. Dautel fils (Fr. Henri, 6 E 41, 296) n° 27
Inventarium über Weil.der Viel Ehren und Tugendreichen Fraun Anna Maria gebohrner Stammin, des Ehren und Wohlvorgeachten Hn Johann Jacob Grün des ehemal. Gastgebers Zum Kleinen Hirtzen und burgers alhier Zu Straßburg geweßter Ehefrauen nun seel. Verlaßenschafft aufgerichtet anno 1782. – nach ihrem den 23. Märtz dieses lauffenden 1782.ten Jahrs aus dießer welt genommenen tödl. hinscheiden Zeitl. Verlaßen (…) So geschehen allhier Zu Straßburg auf Sambstag den 25. Maÿ im Jahr 1782.
Die verstorbene seel. hat ab intestato Zu Erben verlaßen wie folgt. 1. weil. Fr. Anna Maria geb. Grünin mit H Michael Braunen dem hiesigen burgern und Paßmentirer ehelich erzeugte annoch minderjährige vier Kinder, mit Nahmen 1° Johann Michael, 2° Johann Jacob, 3° Johann Friderich und 4° Johann Daniel, die Braun, deren geordnet : und geschworener Vogt gleich hernach gemeldter Hr Johann Jacob Grün ist, weilen aber derselbe hierbei selbst interessirt ist, als ist het deßen Verlaßenschafft Geschäfft nahmens derer braunuschen Kinder als geschworner Theilvogt beigewohnt Hr Johann Daniel Humann der hiesige burger und Procurator vicarius welcher seiner Curanden interesse hiebei besorgt hat, in den ersten sechsten Stammtheil
2° H. Johann Jacob Grün, der Gastgeber Zum goldenen Apfel und burger alhie, in den Zweiten sechsten Stammtheil, 3° Fr. Maria Catharina geb. Grün, H. Johann Dürr, des hochfürstlich heßen hanau Lichtenbergischen Ambtschultheißen und Gastgebers Zu Bischheim Zu hohen steg Ehefrau in den dritten sechsten Stammtheil, 4° H. Johann Daniel Grünn den Seidenhändler und burgern allhier, in den Vierten sechsten Stammtheil, 5° H. Johann Friderich Grün, den Gastgeber Zum blauen Hechten und Burgern allhier, in den fünften sechsten Stammtheil, sodann 6° H. Philipp Jacob Grün, en Gastgeber Zum Kleinen Hirtzen und burger, allhier, in den letzten sechsten Stammtheil, welche alle sambt und Zwar Fr. Maria Salome Dürrin von ihrem Ehemann hierzu verbeistandet, gegenwärtiger Inventur in Person beigewohnt haben.

In einer allhier zu Straßburg ane dem Goldgiesen gelegenen in diese Verlaßenschafft nicht gehörigen behausung folgender masen befunden worden
Ergäntzung derer Kinder und Erben abgegangenen unveränderten Guths. In Gefolg des hievor allegirten durch Weiland H Johann Lobstein Notm. juratum (…) in den Ehestand eingebachter Nahrungen
Antheil ane einer Behausung (E.) Nemlichen 1/6.ter theil für ohnvertheilt vor und ane einer behaußung in dem Goldgießen (…)
Folgt nun hierauff die Beschreibung der Verlaßenschafft ane und für sich selbsten. Des Herrn Wittibers unveränderten Vermögens, Schulden aus der Nahrung 75, Nach deren Abzug 445 lb
Solchemnach wird auch drer Kinder und Erben unveränderter Vermögen beschrieben, Sa. Kleidung 43, Sa. Schulden 75, Sa. Ergäntzung (2309, abgang 5, Restiret) 2303, Summa summarum 2422 lb
Endlichen wird auch das gemein verändert und theilbare Guth beschrieben, Sa. haußraths 59, Sa. Silbers 15, Sa. Golds 16, Sa. baarschafft 12, Sa. Pfenningzinß hauptgüter 1161, Sa. Schulden 639, Summa summarum 1904 lb – Schulden 3438 lb, Theilbar Passiv onus 1534 lb
Stamm Summ 1100 lb
Copia der Eheberedung (…) den 5. Aprilis Anno 1735
Copia Codicilli – persönlich kommen und erschienen die Viel Ehren und tugendreiche Frau Anna Maria Grünin gebohrne Stammin des ehren und Wohlvorgeachten H Joh: Jacob Grün Gastgebers Zum Kleinen Hirtzen und burgers allhier zu Straßburg eheliche Haußfrau, von der Gnade des Grundgütigen Gottes gesunden gehend und stehenden Leibs (…) auf Dienstag den 19. Decembris 1747.

Les préposés de la Taille font figurer la succession dans leur registre parce que les impôts acquittés étaient calculés d’après une fortune sous-évaluée de 1 100 florins (550 livres) sur un total de 2 200 florins
1785, Livres de la Taille (VII 1181)
Freÿburger N° 315 – Weÿland Fr. Annä Mariä, gebohrner Stammin H. Johann Jacob Grün Senioris, des ehemaligen Gastgebers und Burgers alhier gewesener Ehefr. Verlaßenschaft inventirt H. Not. Dautel.
Concl. fin: Inventarii ist fol. 108. 1100 lb 13 ß 4 3/5. d die machen 2200. fl. verstallte 1100 fl. also Zuwenig 1100 fl.
Wovon Nachtrag Acht Jahr in duplo à 3 lb 6 ß – 26 lb 8 ß
und Sechs Jahr in simplo à 1 lb 13 ß – 9 lb 18 ß
Ext. kein Stallgeld
Gebott – 2 ß 6 d, Abhandlung 3 ln 17 ß 6 d – Summa 40 lb 6 ß
Aus besonderen Ursachen ist der Nachtrag auf 13 lb 4 ß d moderirt worden, gehet also ab 23 lb 2 ß – Restiret 17 lb 4 ß
dt. 5. Januarii 1785.

Compte entre Jean Jacques Grün l’aîné, usufruitier, et les héritiers de sa première femme Marie Dorothée Klein, mentionnant les différents loyers encaissés.

1782 (25.5.), Not. Dautel fils (Fr. Henri, 6 E 41, 296)
Ersuch und Berechnung Inhaltend Alles dasjenige was herr Johann Jacob Grün der ältere burger und vormalige Gastgeber zum kleinen hirsch allhier zu Straßburg wegen Weÿl. Fraun Maria Dorothea geb. Klein seiner verstorbenen Erstern Ehegattin zuvor Weÿl. herrn Johann Jacobs Lutz im Leben geweßenen Gastgebers zum großen Hirsch und burgers allhier seel. hinterbliebener wittib auch seel. hinterlassenen annoch vorhandenen Erben, als Weÿl. H. Philipp Jacobs Lutz gewesten gastgebers zum goldenen Creutz u. b. dah. mit Frauen (-) geb.(-) ehel. erzeugt und nach tod hinterlaßenem töchterlein Nahmens Maria Margaretha Lutz und dann Fraun Maria Dorothea Memminger gebohrner Lutzin, H. Johannes Memminger des burgers und Fischers allhier Ehefrauen Zu gleichen helfften eigenthümlich zuständigen Ihme ermeldetem H Grün aber durch auch erwehnte seine Erstere Ehegattin seel. zu ihren Antheiler nebst anderen zum Lebtägigen Genuß mitvermachten Zwoen ane der Vorstatt Krautenau ohnfern dem Frantzösischen Hospithal liegenden behaußungen, ane daraus verfallenen Hauß Zinnßen seit dem 22. Wintermonaths Tag den 1779.sten Jahrs als dem Schluß der an eben diesen tag durch Jhne Herrn Grün solcherthalben abgelegten, approbirt und unterschriebenen Rechnung an, bis auf Weÿhenachten 1781. eingenommen und hiengegen innert erstbesagten Zeit berührter Zweÿer häußern wegen wieder ane Widerzinnßen Anlaagen und beschwerden, wie auch Reparations und dergleich Cösten außgegeben

Inhalt einer unterm 17.ten Februarÿ im Jahr 1744. gefertigten Ersuchung besteht Vorangezogener Wÿdum
Anfänglich in seinem Achtzehenden theil ane der ane der Vorstatt Krautenau ohnfern dem Frantzösischen Hospithal gelegenen Gast behaußung zum Großen hirsch genannt,
2° Ferner in Zween Neünten theilen ane der sothaner Gast behaußung anliehenden Nebens behaußung und
3° So dann in einer haubtsumm von 1082. lb (…)
Einnahm Geldt ane verfallenen Haußzinnßen bis auf Michaelis tag 1781 gerechnet als die Zeit, von welcher an der H Grün der Wÿdums Nießer sich des Ihme anverschafften Wÿdums genuß gäntzlichen und überhaubt begeben
Erstlichen so hat Er H. Grün Von H. Philipp Jacob Scheiber dem bierbrauer ane haußzinnß von zweÿ Jahr von Michaelis Tag 1779. bis wieder dahien 1781 gerechnet à 56. lb des Jahrs eingenommen 112.
It. Von diebold Von Friedolsheim zuwor Diebold Mötschel ane Tabackbühnen zinß vor 2 ¾ Jahrs Von Weÿhenachten 1778. bis Michaelis 1781 gerechnet à 5. lb d. des Jahrs 13. lb 15. ß (…)
It. hat Er H. Grün Von Joseph Gaßer ane haußzinnß vor 2 Jahr Von Michaelis tag 1779. biß daher 1781. gerechnet à 12. lb des Jahrs empfangen 24. lb
It. Von einer Frauen ane Zinnß von dem Barraque Vor 1 ¾. Jahr Von Michaelis tag 1779. bis aug Johannis Baptistæ tag 1781. gerechnet à 5 lb des Jahrs 8 lb 15 ß
ferner von solchem Baraque für I. Monath 10 ß
Item Von Philipp Mauderer ane hauß Zinnß Vor 2 ½ Jahr Von Annunciationis Mariæ 1779 an biß Michaelis tags 1781 gerechnet à 10. lb d des Jahrs, 25. lb
Item Von Georg Schott ane hauß zinnß Vor ¾. Jahr als pro quartali Weÿhnachten 1779 und Ostern ane Joh: Baptistæ quartal 1780 à 10. lb d des Jahrs 1 lb 10
It. Von Anthoni Horn ane hauß zinns Von ged. Schotts wohnung für die 2. letztere quartal 1780. à 10. lb des Jahrs 5 lb
Vor das Oster quartal 1781 ist derselben den Zinnß annoch schuldig, weilen Er nächslicher Weil ausgezogen
Item Von Meister N. Koch dem Schneider welcher nachhero gedacht Wohnung bezogen, ane Zinnß vor ½ Jahr Von Annunciationis Mariæ 1781. bis Michaelis tags dahien gerechnet auch à 10. lb des Jahrs 5
It. Von Georg Keller hat ged. Grün ane hauß Zinnß Vor 2 Jahr von Michaelis 1779 bis dahien 1781. à 24. lb des Jahrs erhalten 48
Vor demselben ferner für heubühnen zinnß Vor das Michaelis quartal 1781. à 7. lb 10. des jahrs 1. 17. 6
Item so wird Von Ihme Herrn Grün Vor sich selbst ane heubühn Zinnß für 1 ¾ Jahr Von Michaelis tag 1779 bis auf Johannis Baptista tag 1781. da solche gemeldter Georg Keller in Lehnung genommen gerechnet à 6 lb des jahrs 10. 10.

Jean Jacques Grün meurt en 1789 dans une maison derrière Saint-Nicolas. L’actif de la succession s’élève à 3 054 livres, le passif à 2 331 livres.
1789 (14.5.), Not. Zimmer (6 E 41, 1442) n° 855
Inventarium über Weiland H. Johann Jacob Grün, des ältern gewesenen Gastgebers und burgers alhier zu Straßburg nun seel. Verlaßenschaft, aufgerichtet Anno 1789 – nach seinem den 13.den Februar. 1789. aus dießerWelt genommenen tödlichen hintritt, hier zeitlichen verlaßen hat. Welche Verlaßenschaft auf Ansuchen der gleich hach diesem Eingang benandter anwesenden Erbs- Interessenten inventirt, durch Frau Mariam Barbaram gebohrne Grünin, weiland H Christian Gerold, gewesenen Caminfegers und burgers dahier hinterbliebene Wittib, sein des Verstorbenen eheleibliche Schwester, und Jgfr. Maria Salome Frießin, von hier gebürtig (…) So geschehen und angefangen alhier Zu Straßburg, mit Zuziehung H Abraham Reÿbel, E. E. grosen Raths alten und E. E. Kleinen Raths alhier dermalige beisitzers, als hierzu wegen der einen unverburgerter und auser dem Königreich verheüratheter Erbin ernannter H. Deputatus, auf Samstag den 14. Martii Anno 1789.
(f° 4) Der Verstorbene hat ab intestato zu seinen einigen Erben hinterlassen benandlich. I.mo Weiland Fraun Annä Mariä gebohrner Grünin, mit H. Johann Michael Braun, dem Seidenhändler und burger alhier ehelich erzeugte drei Kinder als a) Johann Michael Braun den ledigen Paßmentirer, b) Johann Jacob Braun den ebenmäsigen Paßmentirer und c) Johann Friderich Braun den ledigen Keller, deren geordnet und annoch ohnentledigter Vogt ist gleich hernach gemelter Hr Johann Jacob Grün der jüngere, weil derselbe aber hiebei selbst interessirt, als ist zu einem theilvogt Obrigkeitlich ernannt worden Hr Philipp Schmidt der Huefschmidt und burger alhier, welcher in seiner Qualitæt gegenwärtiger Inventur persönlich beigewohnet und seiner Curanden Interesse besorget hat. Diese 3. Braunische Kinder als des Verstorbenen Enckel ins gemein für den ersten sechsten Haupttheil.
2.do Hr Johann Jacob Grün der jüngere Gastgeber und burger alhier, hiebei zugegen, vor den 2.ten sechsten Haupttheil, 3.tio Frau Maria Salome gebohrne Grünin, H. Johannes Dürr des Schultheis und Gastgebers Zu Bischoffsheim am hohen Steeg, Hochfürstl. Heßen Hanau Lichtenbergischer Herrschafft Ehegattin, in deren Namen gemelter Hr Johann Jacob Grün, als von derselben hierzu bevollmächtigt zu seÿn declarirte, hiebei erschienen, in den dritten sechsten Haupttheil, 4.to H. Johann Daniel Grün, der Knöpffmacher und burger dahier, welcher bei dieser Inventur persönlich anwesend war, in den vierten sechsten Haupttheil, 5. H. Johann Friderich Grün, den Gastgeber und burger alhier, so hiebei persönlich anwesend war, in den fünften sechsten Haupttheil, So dann 6. H. Philipp Jacob Grün, den ebenmäßig Gastgeber und burger alhier, welcher dieser Inventur in Person beigewohnet hat, in den letzten sechsten Haupttheil, Alle 6. des Verstorbenen mit weiland Fraun Anna Maria gebohrner Stammin deßen im Leben gewester Ehegattin ehelich erzeugte Söhn, tochter und der Verstorbenen tochter nachgelaßene 3. Kindern, diesortige Enkel, als ab intestato zu 6. gleichen Haupttheilen nachgelaßeneer Beneficial Erben

(f° 2) In einer alhier Zu Straßburg hinter St Niclaus gelegenen so hiehero nicht gehörigen behaußung befunden worden wie folgt
(f° 6) Wÿdem Welchen der Verstorbene von Fraun Anna Maria gebohrner Stammin deßen in Leben gewesener Ehegattin, bis an sein Lebens Ende genoßen hat. Zufolg summarischen Calculi (…) durch H. Not. Dautel den 7. Maÿ 1785. errichtet
Series rubricarum hujus Inventarÿ. Sa. haußraths 100, Sa. Silbers und dergleichen Geschmeids 29, Sa. Golds 13, Sa. Schulden 2911, Summa summarum 3054 lb – Schulden 2331, Nach deren Abzug 722 lb
Stall Summ 1332 lb

Les préposés de la Taille font figurer la succession dans leur registre parce que les impôts acquittés étaient calculés d’après une fortune sous-évaluée de 200 florins (100 livres) sur un total de 2 600 florins
1789, Livres de la Taille (VII 1181)
Freÿburger N° 1540 – Weÿland H. Johann Jacob Grün, des ältern geweßten Gastgebers und Burgers alhier Verlaßenschaft inventirt H. Notarius Zimmer
Conclusio finalis Inventarii ist fol. 33 deductis deducendis 1332 lb 11 ß 4 11/30 d, diese machen 2600 fl. verstallte 2400 fl. also Zuwenig 200 fl.
Es wird aber der Nachtrag nur vor Vier Jahr angesetzt, und Zwar in simplo, als seit dem tod seiner Ehefrau thut à 6 ß – 1 lb 4 ß
Extat Stallgeld pro 1786. bis 1789. incl. von Vier Jahr à 4 lb 19 ß – 19 lb 16 ß
Gebott – 3 ß 2 d
Abhandlung – 2 lb 19 ß 6 d – Summa 24 lb 2 ß 8 d
dt. 13. Junii 1789.

Marie Dorothée Lutz femme du pêcheur Jean Memminger rachète la moitié de l’auberge au Cerf et en devient seule propriétaire.

1783 (15.11.), Chambre des Contrats, vol. 657 n° 469-v
Ludwig Wilhelm der gastgeber als vogt weÿl. Fr. Maria Dorothea geb. Kleinin in I. ehe mit auch weÿl. Johann Jacob Lutz gewesten gastgebers erzielte tochter nahmens Margaretha als enckelin und erbin weÿl. Philipp Jacob Lutz des gastgebers
in gegensein Fr. Mariæ Dorotheæ geb. Lutzin Johannes Memminger des fichers dißorthen curandæ tante
die helffte vor unvertheilt von und ane der zum Hirsch geschildete behausung, höfflein, hoffstatt, gärtlein mit allen deren gebäuden, begriffen, weithen, zugehörden, rechten und gerechtigkeiten zu Straßburg dero vorstatt Krautenau gegen dem frantzösischen hospital über, eins. ist ein Eck ane dem spithal gräbel ohnfern dem Blumengießen im Schwabenländel, anders. neben H. Steinbach dem metzger, vornen den Staden am blumengießen, hinten Johann Georg Keller den melcker – davon gibt mann auff Johannis Baptistæ d. löbl: Stadt Pfenning Thurn 4 gulden ane bodenzinß – die gantze behausung H. Johann Jacob Grün dem älteren ehemaligen gastgeber mit natural genuß verfangen (…) auff sothane natural gennuß verzug gethan (…) wÿdum genuß mit 1691 R vorbehalten in abschlag deren auch auß dem erlöß der nebens behausung so an vorbenannten Keller den melcker verkaufft worden, berechnung Not Dautel – um 450 gulden

L’acquéreuse hypothèque le même jour la maison au profit de Jean Jacques Grün l’aîné (ancien usufruitier)

1783 (15.11.), Chambre des Contrats, vol. 657 n° 471-v
Johannes Memminger der fischkäuffer und Fr. Maria Dorothea geb. Lutzin mit assistentz Johann Jacob Grün des jüngeren gastgeber und Johann Daniel Grün des seidenhändlers beede ihrer stieffbrüder
in gegensein H. Johann Jacob Grün des älteren ehemaligen gastgebers in deßen nahmen der actuarius stipulire – schuldig seÿen 300 gulden
unterpfand, die zum Hirsch geschildete behausung ane der vorstatt Krautenau gegen dem frantzösischen hospital über eins. ist ein Eck ane dem spithal gräbel ohnfern dem Blumengießen im Schwabenländel, anders. neben H. Steinbach dem metzger, vornen den Staden am blumengießen, hinten auf Johann Georg Keller den melcker – auff Johannis Baptistæ d. löbl: Stadt Pfenning Thurn 4 gulden ane bodenzinß

Fils de pêcheur, Jean Memminger épouse en 1757 Marie Dorothée Lutz : contrat de mariage, célébration
1757 (15.2.), Not. Dinckel (6 E 41, 426) n° 281
(Eheberedung) zwischen dem Ehren: und Wohlvorgeachten Herrn Johann Memminger, dem Ledigen Fischer und burger allhier zu Straßburg, Weÿland des Ehren: und Wohlvorachtbahren Herrn Johann Memmingers des geweßenen Fischers und burgers allhier mit auch Weÿland der Viel Ehren und Tugendsamen Frauen Susanna Margaretha gebohrner Deublerin, beeder nunmehr seeligen ehelich erzeugtem Sohn, als dem bräutigamb an einem,
So dann der Viel Ehren und Tugendreichen Jungfrauen Maria Dorothea Lutzin, Weÿland des Ehren und Wohlvorachtbahren herrn Johann Jacob Lutzen des geweßenen Gastgebers und burgers allhier mit auch Weÿland der Viel Ehren und tugendreichen frauen Maria Dorothea gebohrner Kleinin beeder nunmehr seeligen ehelich erziehler tochter, als der Jungfrauen hochzeiterin ane dem andern theil – den 15. Februarÿ 1757 – [unterzeichnet] Johannes Memminger als hochzeiter, Maria Dorothea lutzin als hochzeiterin

Mariage, Saint-Guillaume (luth. f° 208 n° 4)
Anno 1757. d. 7.te Martÿ Seind allhier (…) Zur Ehe eingesegnet worden, Johannes Memminger, lediger fischer und burger allhier weÿl. Johann Memmingers geweßten fischers und burgers allhie u. Susanna Margaretha Däublerin nachgelaßener ehl. Sohn, und Jungfrau Dorothea Weÿl. H Jacob Lutzen geweßenen Gastgebers und burgers allhie und Dorothea Kleinin nachgelaßene ehl. Tochter [unterzeichnet] Johannes Memminger als hochzeiter, dorothea lutzin als hochzeiterin (i 213)

Les nouveaux mariés font dresser l’inventaire de leurs apports. Ceux du mari s’élèvent à 536 livres, ceux de la femme à 213 livres, non comprise la valeur de sa part de maison.

1758 (30.10.), Not. Dinckel (J. Raoul, 6 E 41, 392) n° 786
Inventarium über des Ehren: und Vorachtbahren Herrn Johann Memmingers, des Fischers und der Viel Ehren und tugendsahmen Frauen Mariä Dorotheä Memmingerin gebohrner Lutzin, beeder Eheleuthe und burgere allhier zu Straßburg einander für ohnverändert in den Ehestand zugebrachte Nahrungen – welche der Ursachen alldieweilen in Ihr beeder Eheleuth mit einander aufgerichteten heüraths Verschreibung expressé enthalten, daß eines Jeden in die Ehe bringende Nahrung reservirt und ohnverändert seÿn und bleiben solle – So beschehen in Straßburg (…) auf Montag den 30. octobris Anno 1758.

In einer allhier Zu Straßburg ane der Vorstatt Krautenau im Hammengäßel gelegenen in dieße zugebrachte Nahrung nicht gehörigen behaußung befunden worden wie folgt.
Antheil ane häußern. (F.) Nemblichen ein drittertheil für ohnvertheilt Von und ane Zweÿen häusern allhier Zu Straßburg ane der Vorstatt Krautenau gegen dem frantzösischen Hospithal hinüber gelegen, deren das eine die Gastherberg Zum Großen Hirsch genand in Vorder: und hinderhauß, höfflein und hoffstatt und allen darzu gehörigen gebaüen bestehend, das andere aber auch in Vorder: und hinder hauß, hoff, Scheur, Stallung, Gärthlein und hoffstatt, mit allen übrigen dero gebäuen bestehend, neben Vorerwehnter Gastherberg Liegend, Worvon die Gast behaußung Zum Großen Hirsch genand der Statt Straßburg Pfenningthurn umb 2. lb. d Jährlichen Allmend zinnßes, Ferner die beede Häußer dem Dannhaurischen und Gottwaldischen Stipendio umb 200 lb, Mehr Mir Notario Johann Rudolph Dinckel umb 200. lb d Weiter dem mehrern Hospital allhier umb 250. lb, Item Weÿland herrn Johann Daniel Braunen geweßenen Bancquiers und Ex Senatoris seeligen Frau Wittib umb 200. lb. alles ane Capital, So dann herrn Johann Jacob Grün dem Gastgeber Zum Kleinen Hirsch und burgern allhier der Ehefrauen herrn Stieffvatter, umb den, Ihme von Weÿland Frauen Maria Dorothea Gebohrner Kleinin seiner Erstern Ehegattin, als der Ehefrauen eheleiblicher Mutter seeligen Verordneten Lebtägigen Wÿdembs genuß Verhafftet, Sonsten aber gegen Männiglichen freÿ Ledig eigen und wird der hiehero gehörige drittetheil dißorths mit allerseithigen belieben ahne Anschlag gelaßen. Die übrige Zween dritte theil aber seind der Ehefrauen Zweÿen eheleiblichen brüdern für ohnvertheilt eigenthümlich zuständig.
Hievon seind die biß in Martium 1757. als Zu dißortiger Verheurathung Verfallene haußzinnß zu hiehero gehörigem antheil zusamt dem Ihro der Ehefrauen in Ihres Vormahlig geweßenen Vogts herrn Frantz Heinrich Gimmig des Meelwägers und burgers allhier biß Joh. Baptistæ 1756. abgelegten Vogteÿ Rechnung ausgefallenen Activ: Recess zuvor einzubringen, aber beedes gegen denen biß vorgedachte Zeit nemlich in Martium 1757. Verfallenen Wieder: und Wÿdembs Zinnßen auch Reparations Kösten, nicht weniger denen zween drittentheilen so sie Ihren Zween brüdern ane denen 125. lb wie hieoben beÿ der baarschafft erwehnet, Von herrn Grün empfangenem gemeinschafften Capital heraus zugeben har, Zuverrechnen, welches alles dißorts auf künfftig erfolgend abrechnung außgesetzt verbleibet
Series rubricarum hujus Inventarÿ, des Ehemanns in die Ehe gebracht Vermögen, Sa. haußraths 39, Sa. Schiff und geschirr zum Fischer gehörig 84, Sa. Silbergeschmeids 16, Sa. baarschafft 190, Sa. Pfenningthurn 112, Sa. Schulden 60, Summa summarum 502 lb – halbe theil ane denen haussteuren 33 lb, des Ehemanns Völlig in die Ehe gebracht Guth 536 lb
der Ehefrauen in die Ehe gebrachte Nahrung, Sa. haußraths 73, Sa. Silbergeschmeids 16, Sa. Goldener Ring 15, Sa. baarschafft 74, Sa. Antheils ane Häußern Nihil, Summa summarum 179 lb – halbe theil ane denen haussteuren 33 lb, der Ehefrau Völlig in die Ehe gebracht Vermögen 213 lb
Beschluß summa 750 lb

Marie Dorothée Lutz vend la maison pour 1 200 livres au batelier Jean Georges Kieffer et à sa femme Susanne Salomé Ochs

1784 (5.8.), Chambre des Contrats, vol. 658 n° 294
Fr. Maria Dorothea geb. Lutzin Johannes Memminger des fischers ehefrau
in gegensein Johann Georg Kieffer des schiffers und Susannæ Salome geb. Ochßin unter assistentz Daniel winter des schuhmachers und Martin Heckman des Schiffknechts
die zum großen Hirschen geschildete behausung, höfflein, hoffstatt, gärtlein mit allen deren übrigen gebäuden, begriffen, weithen, zugehörden, rechten und gerechtigkeiten zu Straßburg dero vorstatt Krautenau gegen dem frantzösichen hospital über, einseit ist ein Eck ane dem Spital gräbel ohnfern dem Blumengießen im Schwabenländel anderseit neben H. Steinbach dem metzger vornen den Staden am Blumengießen hinten auff Georg Keller den melcker – davon gibt man auff Johannis Baptistæ d. löbl: Stadt Pfenning Thurn 1 fl. ane bodenzinß – als ein zum theil ererbt zum theil von deren miterben unterm 11. 9.bris 1783 cedirt erhaltenes hauß – um 2300 gulden

Le garçon batelier Jean Georges Kieffer épouse en 1760 Susanne Salomé Ochs, fille du garçon batelier Jean Philippe Ochs : contrat de mariage, célébration
1760 (17.11), Not. Lichtenberger (Jean Frédéric, 6 E 41, 350) n° 404
(Eheberedung) erschienen Johann Georg Kiefer der ledige Schif Knecht, Johann Georg Kiefer des nunmahligen Pfründers in dem mehrern Hospithals und burgers alhier mit weiland Frauen Maria Elisabetha gebohrner Nussin ehelich erzeugter Sohn, mit beÿstand Joh: Friderich Kiefer des tabackbereiters und burgers alhier seines leibl. bruders als hochzeiter ane einem
Sodann Jungfrau Susanna Salome Ochßin, Joh: Philipp Ochß des Schif Knechts und burgers alhier mit frauen Elisabetha gebohrner Burrerin ehelich erzeugte Tochter mit assistentz Johann Jacob Wagner des ebenmäßigen Schif Knechts und burgers dahier ihres vettern – auf Montag den 17. Novembris Anno 1760. [unterzeichnet] Johann Georg Kieffer als hochzeiter, Susana Salome Ohsin als hischzin

Mariage, Saint-Guillaume (luth. f° 233 n° 15)
Anno 1761 d. 13. Maji. Seind (…) Zur Ehe eingesegnet Worden Johann Georg Kieffer, lediger Schiffknecht u. burger allhie, Johann Georg Kieffers, Gümpel käufflers u. burgers allhie, und Susanna Nußin ehl. Sohn, und Jungfrau Susanna Salome, Philipp Ochßen, Schiffknechts u. burgers allhie und Elisabetha Burerin ehl. tochter [unterzeichnet] Johann Jorg Kieffer ams hochzeiter, Susana Salome Ohsin Als hochzerin (i 238)

Les nouveaux mariés font dresser l’inventaire de leurs apports dans une maison qui appartient au commissaire priseur Jean Jacques von Zabern à la Krutenau. Ceux du mari s’élèvent à 53 livres, ceux de la femme à 88 livres.
1761 (10.7.), Not. Lichtenberger (Jean Frédéric, 6 E 41, 335) n° 818
Inventarium über Johann Georg Kiefer, des Schifknechts und Frauen Susannæ Salome gebohrner Ochßin, beeder Ehepersohnen und burgere alhier zu Straßburg einander für ohnverändert in den Ehestand zugebrachte Nahrungen – in ihren ohnlängst. angetrettenen Ehestand kraft deroselben den 17.ten 9.bris 1760. vor mir Notario mit einander aufgerichteter Eheberedung §° 4.to für ohnverändert Zugebracht – So beschehen in der Königl. Stadt Straßburg in fernerer Gegenwarth Jacob Ochß der Schiff Knechts u. b. alh. der Ehefrauen leibl. bruders als deroselben assistenten, wie auch Frauen Elisabethæ Ochßin geb. Burrerin deroselben leibl Mutter, auf Freÿtag den 10. Junÿ Anno 1761.
In einer alhier Zu Straßburg ane der Vorstadt Crautenau gelegener Hn Joh: Jacob Von Zabern dem geschwornen Käufler eigenthümlich zuständiger und dißorths Zum theil lehnungsweis bewohnender behausung ist befunden worden wie folgt
Series rubricarum hujus Inventarÿ, des Ehemanns in die Ehe gebrachtes Vermögen, Sa. hausraths 7, Sa. Silbers 5, Sa. baarschafft 18, Summa summarum 30 lb – haussteuren 22 lb – des Ehemanns völliges in die ehe gebrachtes Vermögen 53 lb
der Ehefrauen in die Ehe gebrachte Nahrung, Sa. hausraths 47, Sa. silbers 10, Sa. Goldener Ring 6, Sa. baarschafft 2, Summa summarum 65 lb – Sa. Haussteuren 22 lb – der Ehefrauen samtl. in die ehe gebrachte Nahrung 88 lb

Inventaire dressé dans la maison Kieffer après la mort de la locataire Anne Marguerite Voll

1795 (1 nivose 4), Strasbourg 5 (7), Not. Grimmer n° 262
Inventarium über Weiland der burgerin Anna Margaretha Voll der ledigen großjährigen zu Straßburg Verlaßenschafft, nach ihrem den 20. dieses monats geschehenen Absterben hinterlassen, auf Ansuchen bürger Johann Friedrich Groß hiesiger Gastgäber beÿ welchem die Verstorbene sich aufgehalten als auch der bürger Johann Georg Kiefer der Schiffmann, den 24. frimaire 4
benennung der Erben, da der Verstorbenen Erben ohnbekannt sind, zum Curator ernannt der bürger Martin Hosch
In einer ohnweit dem hospital Sedentaire gelegenen zum Hirsch genanten und dem bürger Kiefer hiesigen Schiffmann gehörigen behaußung
Manuductio et Series rubricarum hujus Inventarÿ, hausrath 88 li, activ schulden &, summa 88 li, schulden 160 li, In Vergleichung 71 li
Enregistrement, acp 38 F° 121 du 5 nivose 4

Le batelier et marchand de bois Jean Georges Kieffer meurt en 1805 en délaissant six enfants

1805 (16 mess. 13), Strasbourg 11 (2), Not. Anrich n° 463
Inventaire de la succession de feu Sr Jean Georges Kieffer le vieux vivant Batelier et Marchand de Bois décédé le 9 prairial dernier, à la requête de Susanne Salomé Ochs la veuve assistée du Sr Jean Charles Seyler aubergiste, ainsi que Jean Georges Kieffer le jeune, Daniel Kieffer, André Kieffer ces trois bateliers, Jacques Kieffer tourneur, Catherine Salomé Kieffer femme du Sr Michel Münch cabaretier et Marguerite Salomé Kieffer fille majeure d’ans enfants et héritiers du défunt procréés avec la veuve

en la maison mortuaire cy après designée
propres de la veuve, 412 fr
propres des héritiers, habits 119 fr, dettes actives 214 fr, total 333 fr, passif 273 francs
communauté, meubles 835 fr, argenterie 61 fr, Bateaux et ustensiles de Batelier 959 francs
Propriété d’une maison, Sçavoir une Maison Cour puits avec toutes ses appartenances et dépendances scize en cette ville fauxbourg Krautenau vis à vis l’hopital militaire appellée au grand cerf N° 27, d’un côté un Coin au Ruisseau de l’hopital militaire proche l’ecluse dite blumen gießen et le quartier des Suabes, d’autre Georges Ehrhart jardinier, pardevant le Quai, parderrière Georges Keller laitier, grevée d’une rente foncière annuelle de 8 fr payable au 4 messidor de chaque année a la commune de cette ville, estimée 10.000 francs – propriété constatée par acte passé à la Chambre des Contrats le 5. aout 1784
total général 11.855 fr, passif 6787 fr, reste 5067 fr
Observation, Contrat de mariage par devant Me Jean Frédéric Lichtenberger 17. nov. 1760
Dispositions testamentaires – in einer allhier in der gegend des sogenanntes Schwabenländleins ohnfern der hechtenbruck nahe beÿ dem frantzösischen hospithal gelegenen mit N° 27 bezeichneten zum grosen hirtzen genannten ihme und seiner Ehefrauen eigenthümlich zuständigen behausung (…) in einer auf dem boden unten befindlich mit zweÿen Creutzstock fenstern auf das waßer und auf den Gaulstaden außsehenden gewohnlichen Wohnung, 3. will er disponent seinen beeden söhnen Johann Daniel Kieffer dem schiffmann und Johann Andres Kieffer dem Steuermann die ihme an eingangs bemeldeter zum grosen hirtzen genannter behausung und allen dero zugehörden, worunter der im hoff stehende Stall samt hinterhäußlein begriffen und Verstanden sind, zuständigen zween dritte theil um einen preiß von 8000 lit., das gantze zu 12 000 lit. oder 11.851 francken angeschlagen habe – den 29 germinal 12, Not. Anrich
(Joints) Notoriété Jean Georges Kieffer naissance paroisse St Pierre le Vieux le 30. jan. 1737, Susanne Salomé Ochs paroisse St Guillaume 16. fev. 1739
Extrait de naissance, Susanna Salome dessen Eltern Johann Philipp Ochs Schiff: Knecht und burger allhier und Anna Elisabetha Bürerin
Johann Georg Par: Johann Georg Kieffer burger und Arbeiter auf dem bruckhoff et Anna Elisabetha geb. Nussin
Enregistrement de Strasbourg, acp 97 f° 25 du 22 mess 13

Le cohéritier Daniel Kieffer prend à bail la maison

1806 (20.9.), Strasbourg 11 (2), Not. Anrich n° 929 – Joint à l’Inventaire n° 463
Transaction – Susanne Salomé Ochs veuve de Jean Georges Kieffer le vieux vivant Batelier et Marchand de Bois, Jean Georges Kieffer le jeune, Daniel Kieffer, André Kieffer ces trois bateliers, Jacques Kieffer tourneur, Catherine Salomé Kieffer femme du Sr Michel Münch cabaretier et Marguerite Salomé Kieffer fille majeure d’ans enfants et héritiers du défunt procréés avec la veuve
que par l’article 3 il a évalué en faveur de ses deux fils Daniel et André Kieffer les deux tiers a lui competans dans une maison Cour puits et ses appartenances sise en cette ville vis à vis l’hopital militaire appellée au Grand Cerf marquée du n° 27 à 8000 francs
à Daniel Kieffer
bail de 6 ans, la susdite maison au grand Cerf de la Cour de ses bâtiments et toutes ses appartenances et dépendances à l’exception des appartements occupés présentement par la veuve, à commencer de la St Michel prochain, moyennant un loyer annuel de 800 francs
Enregistrement, acp 100 f° 180-v du 27.9.

Marguerite Dorothée Graff, bru du propriétaire et femme du batelier André Kieffer, meurt en 1807.

1808 (13.2.), Strasbourg 3 (31, 2), Not. Übersaal n° 1060, 4179
Inventaire de la succession de Marguerite Dorothée Graff épouse d’André Kieffer batelier décédée le 6 dec. 1807 – à la requête du veuf, commun en biens en vertu du contrat de mariage passé par devant Me Anrich le 29 germinal 11
dans une maison située vis à vis de l’hopital militaire n° 27 dépendant de la succession du père du comparant
propres : apports meubles, garde robe 662 fr
Enregistrement, acp 104 F° 174 du 16.2.

Le batelier et marchand de bois Jean Georges Kieffer meurt en 1810. Ses biens comprennent le sixième indivis de la maison

1810 (24.9.), Strasbourg 7 (27), Not. Stoeber n° 2359
Inventaire de la succession de Jean Georges Kieffer batelier et marchand de bois décédé le 3 juin dernier – à la requête de Catherine Madeleine Mutterer la veuve, à cause de la communauté de biens par contrat de mariage passé devant Me Lung le 1 oct. 1785, mère et tutrice naturelle de 1. Frédéric Charles 19 ans, 2. Sophie Caroline 17 ans, 3. Louis Savine 14 ans, 4. Salomé 10 ans et à la requête de 5. Madeleine Kieffer majeure – en présence d’André Kieffer maître batelier tuteur subrogé

en la demeure du défunt quai du brochet n° 12
Part de maison. Le 6° par indivis d’une maison, cour puits avec toutes ses appartenances et dépendances sise en cette ville fauxbourg de la Krautenau vis à vis de l’hôpital militaire appelée au grand Cerf n° 27, d’un côté au coin du ruisseau de l’hôpital militaire proche l’écluse dite Thunengießen et le quartier des Suabes d’autre Georges Ehrhart jardinier, devant le quai, derrière Georges Keller laitier – chargée d’une rente foncière de 8 francs payable au 4 mess. correspondant au 23 juin – échue de la succession de son père, inventaire Me Anrich le 16 messidor 13, lettre d’achapt passée à la Chambre des Contrats le 5 août 1784 – elle est louée au Sr Daniel Kieffer marchand de bois pour 800 fr, en capital 16.000 francs dont le 6° fait 2666, cette maison est grévée d’usufruit au profit de Susanne Salomé Ochs veuve dudit Georges Kieffer
maison appartenante à la veuve. Une maison sise en cette ville faubourg de la Krautenau quai du brochet n° 12, d’un côté la maison acquise durant la communauté d’autre le Sr Giesbrecht abou. sur le Sr Habersoth – échue à la veuve dans la succession de Michel Mauderer batelier son père, Jean Michel Mauderer homme de lettres son frère en partie suivant inventaire Me Ubersaal 7 dec. 1787, Cette maison a été originairement acquise à la Chambre des subhastations le 1 mars 1753
Maison dépendant de la communauté. Une maison avec cour, bâtiments, appartenances et dépendances sise en cette ville quai du brochet n° 13, d’un côté la maison appartenant à la veuve, d’autre Jean Stamm, devant la rivière, derrière les héritiers Giesbrecht – acquis souss. le 4 avril 1710 occupée par le Sr Schmutz pêcheur pour 160 fr, en capital 3200 francs
Dépouillement. masse commune, meubles 326 fr, bateaux 1098 fr, bois de chauffage 180 fr, maison 3200 fr, total 4804 fr, passif 3620 fr, reste 1184 francs
masse des héritiers, moitié de la communauté 592 fr, remplacement 300 fr, garde robe 227 fr, maison 2666 fr, total 3785 fr, passif 1016 fr, reste 2769 francs
prétentions de la veuve, moitié de la communauté 592 fr, don matutinal 200 fr, meubles 833 fr, total 1625 fr, déduire le passif 1000 fr, reste 625 francs
Enregistrement, acp 115 F° 133-v du 1.10.

Susanne Salomé Ochs meurt en 1811
1812 (27.1.), Strasbourg 3 (35 A), Not. Übersaal n° 1257, 6005
Inventaire de la succession de Susanne Salomé Kieffer née Ochs veuve de Jean Georges Kieffer bâtelier décédée le 19 oct. dernier délaissant I. les 5 enfants de Jean Georges Kieffer batelier procréés avec la veuve Catherine Madeleine Mauderer 1. Susanne Madeleine Kieffer épouse de Martin Engel charpentier, 2. Charles Frédéric garçon batelier 20 ans, 3. Sophie Caroline 18 ans, 4. Sabine Louise 15 ans et Salomé 11 ans, subrogé tuteur Jean André Kieffer batelier
II. Jean Daniel Kieffer bâtelier, III. Jean André Kieffer bâtelier, IV. Jean Jacques Kieffer tourneur, V. Catherine Salomé Kieffer épouse de Jean Michel Münch cabaretier, VI. Marguerite Salomé Kieffer épouse de Jean Daniel Fischer pilote
meubles 495 fr, capitaux portant rente 2585 fr
Joint : réglement de la vente de la maison quai des fleurs n° 27 vis à vis l’hopital militaire a l’enseigne du Cerf
Enregistrement, acp 118 F° 183-v du 28.1.

Le charpentier Jean Martin Engel meurt dans la maison en 1812. Une part de la maison appartient à sa femme Madeleine Kieffer

1812 (21.8.), Strasbourg 4 (41), Not. Stoeber n° 1998
Inventaire de la succession de Jean Martin Engel charpentier décédé le 7 juillet dernier – à la requête de Madeleine Kieffer la veuve mère et tutrice légale de Charles Auguste seul et unique héritier de son père – en présence de Jean Jacques Engel journalier subrogé tuteur – Contrat de mariage devant Me Stoeber le 1 août 1811
dans la maison quai des fleurs n° 27
meubles apportés en mariage par la veuve 592 fr, remplacements 600 francs
Immeuble. un 30° par indivis d’une maison, cour, puits avec toutes ses appartenances et dépendances sise en cette ville fauxbourg de la Krautenau vis à vis de l’hôpital militaire appelé au Grand cerf n° 27, d’un côté le coin au ruisseau de l’hôpital militaire proche l’écluse dite Blumengiesen et le quartier des Suabes, d’autre Georges Ehrhart jardinier, devant le quai, derrière Georges Keller laitier – chargé d’une rente foncière de 8 francs
plus le 10° d’une maison avec cour, bâtiments, appartenances et dépendances sise en cette ville quai du brochet n° 13, d’un côté la maison appartenant à la veuve Kieffer d’autre Jean Stamm, devant la rivière, derrière les héritiers Giesbrecht – estimée 300 fr, échus de la succession de Jean Georges Kiefer son père
du à la veuve, 200 fr, total 2192 fr, passif 400 fr, reste 1791 francs
propres du défunt meubles 76 fr, passif 200 fr, déficit 124 francs
communauté. meubles 69 fr, bois de construction 323 fr, total 392 fr, passif 3170 fr, déficit 2778 francs
Enregistrement, acp 120 F° 99 du 31.8.

Jean Martin Engel avait épousé Madeleine Kieffer l’année précédente.
1811 (1.7.), Strasbourg 7 (29), Not. Stoeber n° 2083
Contrat de mariage – le Sr Jean Martin Engel, charpentier domicilié en cette ville, fils de feu le Sr André Engel charpentier a Eckbolsheim et de feu De Catherine Münch comme futur époux d’une part
et Delle Madeleine Kieffer, fille majeure de feu le Sr Georges Kieffer vivant marchand de bois et batelier en cette ville et de De Catherine Madeleine Mutterer icelle domiciliée à Strasbourg comme future épouse
Enregistrement, acp 117 F° 119 du 8.7.

Jean Georges Erhard acquiert la maison par adjudication rendue au tribunal civil le 7 juin 1811.
Fils de jardinier, l’horticulteur Jean Georges Erhard épouse en 1791 Anne Marie Schwing fille d’un jardinier de la Robertsau : contrat de mariage, célébration

1791 (10. 8.br), Not. Zimmer (Georges Frédéric, 6 E 41, 1493) n° 18
(Eheberedung) persönlich erschienen Johann Georg Erhard der ledige Kunstgärtner allhier Johann Georg Erhard des Gärtners mit weiland Fraun Margaretha Salome gebohrner Strebin ehelich erzeugter Sohn, als hochzeiter an einem
So dann Jungfrau Anna Maria Schwingin, Johann Jacob Schwing des Ackersmanns in Ruprechts: au mit Fraun Anna Maria gebohrner Walterin ehelich erzeugte Tochter als braut ane dem andern theil – den 10. Octobris 1791 [unterzeichnet] Jean Gorge Erhart, Anna Maria Schwingin

Mariage, Temple-Neuf (luth. f° 137, n° 61)
Im Jahr Christi 1791 den 19. Octobris sind (…) copulirt und eingesegnet worden Johann Georg Ehrhardt der ledige Kunstgärtner und burger allhier weiland Johann Georg Ehrhardts Kunstgärtners und burgers allhier und weiland Frau Margaretha Salome gebohrner Strebin ehelicher Sohn und Jungfer Anna Maria Schwingin aus der Ruprechtsau Johann Jacob Schwing ackersmanns daselbst und fraw Annä Mariä gebohrner Walterin eheliche tochter, der hochzeiter ist 25. die hochzeiterin 24 Jahr alt. Als Zeugen haben unterschrieben Herr Johann David Zocher als Stiefvatter und Pfetter des hochzeiters(…) – [unterzeichnet] Johann Georg Erhart als Hochzeiter, Anna Maria Schwingin Als Hochzeiterin (i 128)

Georges Erhard loue une partie de la maison à Michel Rudolph

1819 (10.6.), Enregistrement de Strasbourg, ssp 44 ssp du 5.5.1819
L’accord suivant a été conclu ce jour entre nous, Michel Rudolph et Georges Erhard, par lequel le Sr Erhard
donne à bail au Sr Rudolph
le magasin au Cerf près l’hopital français /:militaire:/ avec la petite maisonnette et la treille. Le Sr Erhard accorde au Sr Rudolph la libre entrée avec voitures par la grande porte, il est aussi permis au Sr Rudolph de faire établir une porte cochere au magasin afin que les charrettes pour le transport du bois puissent entrer et sortir. La cloison qui entoure le magasin restera telle qu’elle est, cependant le Sr Rudolph pourra la reparer ou enlever. Le bail commence au 5 mai 1819 pour durer jusqu’au 5 mai 1821 (…) moyennant 250 francs pour le magasin et la maisonnette

Jean Georges Erhardt et Anne Marie Schwing exposent infructueusement la maison aux enchères

1819 (11.8.), Strasbourg 8 (27), Not. Roessel n° 6634
Enchère – Jean Georges Erhardt, jardinier, et Anne Marie Schwing
vente par enchère d’une maison avec cour, petit pavillon, aisances et dépendances située en ladite ville au coin du quai des Fleurs n° 27 vis à vis de l’hôpital militaire ayant pour enseigne le Cerf, d’un côté le requérant, d’autre le Sr Keller laitier – acquis des veuve et héritiers Jean Georges Kieffer batelier adjudication rendue au Tribunal Civil le 7 juin 1811 et déclaration de command même jour – criée 12.000 francs
adjudication provisoire au Sr Zix graissier pour 13.200 francs
n° 6670 du 27 août, personne ne s’est présenté remis au 3 sept. [pas d’acte ultérieur]

La maison est vendue par expropriation forcée contre le jardinier fleuriste Georges Erhard et Anne Marie Schwing au tribunal civil. Les différents bâtiments sont décrits avec précision. L’acquéreur est le marchand de bois Michel Rudloff.

1820 (25.5.), Hypothèque de Strasbourg, Transcription reg. 130, n° 17
Tribunal Civil de Première Instance, adjudication par voie d’expropriation forcée des immeubles réellement saisis sur Georges Erhard, jardinier fleuriste, et Anne Marie Schwing – Cahier des Charges vente par expropriation forcée de deux maisons, jardins potagers et 40 ares de terre, M Philippe Jacques Bloechel, avocat avoué près le Tribunal Civil de Première Instance demeurant à rue du Bouclier n° 6 occupant pour le Sr Jean Marie Riche, limonadier demeurant à Strasbourg, lequel est créancier de 1. une somme principale de 8000 francs suivant obligation passée par devant Me Lex le 12 juin 1811, 2. 4000 francs par cession par devant Me Zimmer le 17 oct. 1816, 3. 2000 francs aussi portée dans ladite cession, plus 1750 francs
Me Bloechel avoué
Déclaration de command du 4 mai à Michel Rudloff, marchand de bois
Désignation des immeubles saisis telle qu’elle a été inscrite dans le procès verbal de saisie 1. article premier, une maison sise à Strasbourg rue dite près de l’hôpital militaire n° 27, d’un côté la maison de Jean Georges Keller d’autre les parties saisies devant le quai des Fleurs derrière ledit Keller
1° bâtiment 1° corps de logis, Cette maison consiste en un grand poele d’auberge a une porte et deux croisées sur le quai, une croisée et une porte dans la cour, deux croisées vers l’hôpital, à côté il y a une petite cuisine à une croisée donnant dans la cour, à côté il y a une chambre a deux croisées sur le quai, à côté il y a une chambre à coucher à une croisée et une porte qui donne dans la cour, une à coucher a une croisée sur le quai occupé par le Sr Schwob cabaretier. 2. Le premier étage est composé d’une chambre à une croisée sur le quai et une croisée vers l’hôpital a côté il y a une autre chambre à deux croisées, derrière il y a une cuisine à une croisée, en face de la cuisine il y a une chambre donnant sur le quai occupé par les parties saisies, 3. une autre chambre à deux croisées sur le quai a côté il y a une chambre à coucher à une croisée sur le quai, derrière il y a une cuisine et un vestibule à deux croisées sur la cour, occupé par Adam Antoine, batelier, au dessus il y a des mansardes à lucarnes plus greniers et au dessus encore des greniers,
2° bâtiment corps de logis, 1. dans le vestibule, une pompe à droite de la porte d’entrée une chambre à deux croisées sur le quai, à côté il y a une autre chambre à coucher a deux croisées qui donnent sur la cour, derrière il y a une cuisine sur la cour occupée par le Sr Daniel Riebel sur le derrière il y a une grande cave. Premier étage 2. au dessous il y a une cuisine qui prend jour dans le vestibule, une chambre à une cuisine [sic] qui prend jour dans le vestibule une chambre a une croisée dans la cour et une autre chambre a une croisée sur le quai occupée par Sophie Willmann, 3. une chambre de deux croisées qui donne sur le quai a côté il y a une chambre à coucher a une croisée et une cuisine occupée par les parties saisies, 4. une chambre a deux croisées sur la cour, à côté il y a une cuisine à une croisée sur la cour, à côté une autre chambre a coucher à une croisée sur la cour occupée par le Sr Jean Jacques Velten, au dessus il y a des mansardes et des greniers consistant en deux pièces à une croisée, lucarne (?) et une cuisine occupée par le Sr Eichinger, derrière il y a dans un autre bâtiment au rez de chaussée une chambre à deux croisées dans la cour une cuisine à côté et a côté de cette cuisine il y a une chambre à une chambre [sic] a une croisée dans la cour, au dessous il y a une cave occupée par le Sr Brandt.
Troisième bâtiment, le premier étage est composé d’une chambre à deux croisées sur la cour, d’une cuisine a une croisée sur la cour, a côté il y a une chambre a coucher à deux croisées sur la cour, occupée par le Sr Courtel, au dessus il y a des mansardes et des greniers. Ladite maison avec ses appartenances et dépendances section LL n° 211 a un revenu net de 176 fr 80 d’après la matrice du role de 1819 et paye une contribution foncière de 59 fr 85. Ledit bâtiment bati bois, pierre, chaux, brique, argile couvert de tuiles situé sur un fond d’environ 5 ares, (fait) le 13 juillet 1819, mise à prix 500 francs
le 25 nov., remis l’adjudication à quatre mois – remis à quatre mois le 24 février – Adjudication définitive du 4 mai 1820, pour 8000 francs

Alors fossoyeur à l’hôpital militaire, Jean Michel Rudloff épouse en 1795 Marie Catherine Kling, originaire de Marlenheim
Mariage, Strasbourg (n° 517)
Aujourd’hui 2 messidor L’an trois de la République française (…) d’une part Jean michel Rudloff, agé de 24 ans, fossoyeur à l’hôpital militaire sédentaire en cette commune, né et domicilié en cette commune, fils de feu andré Rudloff, charpentier, et de marie Barbe Hutto, de l’autre part, marie catherine Kling agée de 21 ans accomplis, cuisinière audit hôpital, domiciliée en cette commune depuis quatre ans, native de marlenheim, département du bas rhin, fille de feu Georges Kling, serrurier audit lieu, et de marie barbe Dietrich (…) le futur né le 17 février 1771, la future née le 5 janvier 1774 (signé) Michael Rudolph, Maria Chatrina Kling (i 114)

Inventaire après décès du locataire Samuel Riebel, garçon batelier

1827 (20.2.), Strasbourg 4 (64), Me Hatt n° 3313
Inventaire de la succession de Samuel Riebel, garçon batelier décédé le 27 novembre dernier – à la requête d’Anne Marie Denni veuve de Samuel Riebel, mère et tutrice légale de Samuel, Marie, Jacques et Madeleine les quatre enfants, en présence de Michel Rudolph fils, marchand de bois, subrogé tuteur desdits enfants
dans la maison mortuaire quai des Fleurs n° 27
mobilier 161 fr, outils de batelier 500 fr, ensemble 661 fr, comptant 575 fr, ensemble 1236 fr – passif 831 fr – garde robe 27 francs
Enregistrement, acp 182 F° 149-v du 26.2.

Inventaire après décès de Marguerite Muhlberger, femme du batelier Michel Rudolph (bru du propriétaire)

1835 (22.9.), Strasbourg 10 (90), Me Zimmer, n° 2076
Inventaire de la succession de Marguerite Muhlberger décédée le 21 juin 1835 à cause de la communauté avec Michel Rudolph, batelier donataire de sa femme par le contrat de mariage dressé par devant M° Noetinger à Molsheim le 28 août 1823, père et tuteur légal de a) Marguerite Catherine née le 28 avril 1824, b) Marie Thérèse née le 12 février 1828, c) Louise Joséphine née le 22 avril 1833, d) Sophie Eugénie née le 25 avril 1835, en présence de Valère Wernert, marchand épicier à Molsheim, subrogé tuteur des enfants mineurs
dans la maison mortuaire quai des Fleurs n° 27
immeubles, maison à Avolsheim, vignes à Avolsheim et Molsheim
Enregistrement, acp 234 f° 50 du 25.9.

Catherine Kling meurt en 1837 à Marlenheim en délaissant cinq enfants ou leurs représentants

1837 (21.11.), Strasbourg 10 (93), Me Zimmer n° 2708
Inventaire de la succession de Catherine Kling femme de Michel Rudolph, marchand de bois et propriétaire en une maison quai aux Fleurs n° 27 – à la requête de 1. Michel Rudolph père en son nom à cause de la communauté légale, à cause de la donation de la moitié par testament passé devant Me Weigel le 25 avril 1830 et subrogé tuteur de Sophie Gel, 2. Michel Gel, père et tuteur légal de Sophie Gel née le 27 sept. 1822 issue de son mariage avec Sophie Rudolph, 3. Marie Catherine Rudolph épouse d’Antoine Klotz, menuisier, 4. Michel Rudolph fils, marchand de bois, 5. Marie Louise Rudolph épouse de Jean Chrétien Wolff, brasseur, 6. ledit Jean Chrétien Wolff mandataire de Marie Thérèse Rudolph épouse de Victor Ruppert, brasseur à St Etienne (Loire), seuls et uniques héritiers de leur mère et grand mère décédée à Marlenheim le 3 novembre du présent

Loyers, maison quai aux Fleurs n° 27, Michel Rudolph fils, Sr Bressmann cordier, Mad. Odoin, Sr Furler, Sr Lutz, Sr Schäffer journalier, Sr Weber cordier
maison quai aux Fleurs n° 26, Sr Wintz ouvrier en tabacs, Sr Walter journalier, Sr Huse charetier, Mad Jung couturière, Sr Carrelle marchand de volaille, Sr Génévitz pensionnaire
maison cul de sac du Glaive n° 2, Sr Speckel
Immeubles, une maison avec cour, appartenances et dépendances située à Strasbourg quai aux Fleurs n° 27, d’un côté le Sr Perrin charpentier, d’autre la maison ci après, derrière le Sr Perrin – acquis à la Barre du Tribunal Civil par expropriation sur Georges Erhard, jardinier fleuriste, et Anne Marie Schwing pour 8000 francs, Adjudication définitive du 4 mai 1820 et déclaration de command même jour, transcrit au bureau des hypothèques volume 130 n° 9,
2. maison quai aux Fleurs n° 26, d’un côté la maison citée précédemment, d’autre le jardin de la veuve Ehrhardt, derrière le Sr Perrin – acquis des veuve et héritiers Jean Husz, voiturier, par acte passé devant Me Weigel le 16 mars 1830 pour 7625 francs, les conjoints Husz l’ont acquis à la barre du Tribunal civil par expropriation contre Jean Georges Keller et licitation entre ce dernier et Marie Elisabeth Keller, majeure, par acte d’adjudication du 6 juillet 1820 et déclaration de command le 8 même jour
3. une autre petite maison avec ses appartenances et dépendances sise à Strasbourg cul de sac du Glaive n° 5 quai des Bateliers, des deux côtés et derrière Sr Meyer batelier, devant la ruelle du Glaive – acquis d’André Feltner, batelier, Marie Eckendoerffer par acte Me Wengler le 18 sept. 1812, les conjoints Feltner l’ont acquis de la succession de vacante de Nicolas Vierling par adjudication définitive par devant Me Wengler 20 fructidor 13 (7 sept. 1805)
Enregistrement, acp 254 f° 78-v du 24.11.

Michel Rudolph fils meurt en 1838 en délaissant cinq enfants
1838 (24.8.), Strasbourg 10 (94), Me Zimmer, 2935
Inventaire de la succession de Michel Rudolph, marchand de bois à Strasbourg décédé le 15 août dernier, à la requête de Joséphine Weith, veuve de Michel Rudolph, marchand de bois et batelier, en secondes noces sa seconde épouse, mère et tutrice légale de Michel Eugène né le 21 juillet 1838, 2. Georges Michel Gel, épicier, tuteur datif de 1 Marguerite Catherine née le 28 avril 1834, 2. Marie Thérèse née le 12 février 1828, 3. Louise Joséphine née le 22 avril 1833, 4. Sophie Eugénie née le 24 avril 1835 du premier mariage avec Marguerite Mühlberger, Jean Chrétien Wolff, brasseur, subrogé tuteur de Michel Eugène, 2. Valère Wernert, marchand épicier à Molsheim, subrogé tuteur des enfants du premier lit, Inventaire du premier mariage 22 sept. 1835
Enregistrement, acp 262 f° 12 du 29.8.

Michel Rudolph meurt en 1848 en délaissant cinq enfants ou leurs représentants

1848 (29.7.), Strasbourg 10 (112), Not. Zimmer n° 7203
Inventaire de la succession de Monsieur Michel Rudolph, propriétaire & ancien marchand de bois à Strasbourg décédé en cette ville le 16 juillet 1848.
L’an 1848 le samedi 29 juillet à une heure de relevée en la maison mortuaire quai Finckwiller N° 8, à la requête de 1. Dame Marie Catherine Rudolph demeurant à Strasbourg, veuve de Monsieur Antoine Klotz vivant ébéniste en la même ville, 2. Dame Marie Louise Rudolph, épouse de Mr Jean Chrétien Wolff ancien brasseur demeurant avec lui à Strasbourg, 3° Monsieur Jean Chrétien Wolff susnommé, agissant a) pour autoriser ladite Dame son épouse à l’effet des présentes, b) comme mandataire spécial à l’effet des présentes de D° Marie Thérèse Rudolph & M. Victor Ruppert, brasseur conjoints demeurant ensemble à St Etienne (Loire) aux termes de leur procuration (…), c) comme subrogé tuteur du mineur Michel Eugène Rudolph né le 21 juillet 1838 du second mariage du Sr Michel Rudolph fils, batelier à Strasbourg & D° Joséphine Weith sa veuve survivante épouse actuelle du Sr Christophe Baumann aubergiste à la Citadelle de Strasbourg, d) comme subrogé tuteur de 1) Marie Thérèse Rudolph née le 12 février 1828, 2) Louise Joséphine Rudolph née le 22 avril 1833, 3) Sophie Eugénie Rudolph née le 25 avril 1835, ces trois mineurs issus du premier mariage dudit Sr Michel Rudolph fils avec D° Marguerite Mühlberger (…), 4) Mlle Sophie Gel, majeure sans état demeurant à Strasbourg enfant issue du mariage du Sr Michel Gel épicier avec Dame Sophie Rudolpf, 5. Mr Georges Grunder, boulanger demeurant à la Citadelle de cette ville, agissant au nom & comme tuteur datif du mineur Michel Eugène Rudolph susnommé (…) 6° M° Valérie François Aloyse Wernert, huissier demeurant à Molsheim, agissant a) comme tuteur datif des trois enfants mineurs ci dessus nommés issus du premier mariage du Sr Michel Rudolph fils du premier lit, b) au nom et comme mandataire de Dlle Marguerite Catherine Rudolph dite en religion sœur Hildebert religieuse demeurant à Obernai (…) Lesdites Dames Klotz, Wolff & Ruppert habiles à se dire et porter héritières chacune pour un cinquième de la succession du Sr Michel Rudolph père décédé en qualité d’enfants de celui-ci issus de son mariage avec Dame Catherine Kling son épouse aussi décédée. Les quatre enfants mineurs du St Michel Rudolph fils & la Dlle Marguerite Catherine Rudolph habiles à se dire et porter héritiers ensemble pour un 5° chacun ou pour un 25° de la même succession par représentation de leur père décédé aussi fils du Sr Michel Rudolph père. Et Mademoiselle Sophie Gel habiles à se dire et porter héritière pour le dernier 5° dans ladite succession par représentation de sa mère susnommée fille du Sr Michel Rudolph père

Loyers. Il était dû au moment du décès par Mr Carelle pour loyer du logement qu’il occupait dans une maison appartenant à Mr Rudolph sise à Strasbourg près de l’hôpital militaire N° 26, 80 francs
par le Sr Koessel pour loyer des localités par lui occupées dans la même maison depuis le 24 juin dernier au jour du décès de M Rudolph 5 ff
par le Sr Wurtz pour loyer de localités par lui occupées dans la même maison depuis le 24 juin dernier au jour du décès de M Rudolph, 5 francs
par le Sr Hahn pour loyers arriérés depuis le 29 septembre au 25 décembre 1847 de localités par lui occupées dans la même maison, 22 francs, par le même (…) 5 francs
par le Sieur Düringer pour loyer depuis le 24 mars 1848 jusqu’au jour du décès de M Rudolph de localités par lui occupées dans la maison rue du Glaive N° 5 dépendances de la communauté Rudolph, 49 francs
Immeubles. La part indivise de Mr Rudolph dans une maison avec cour & dépendances située à Strasbourg quai des fleurs N° 26, tenant d’un côté à la maison n° 27 appartenant autrefois également à Mr Rudolph de l’autre au jardin de la veuve Erhardt & par derrière à Mr Perrin. Cet immeuble dépend de la communauté qui a existé entre Mr Rudolph et sa défunte épouse. L’établissement de propriété de cet immeuble se trouve relaté dans l’inventaire susrelaté, à l’appui de la propriété se trouve un contrat de vente passé devant M° Weigel alors notaire à Strasbourg le 16 mars 1830, 2° un procès verbal d’adjudication dressé au tribunal civil de cette ville le 6 juillet 1820 & déclaration de command du même jour
La part indivise de Mr Rudolph dans une maison sise à Strasbourg cul de sac du glaive N° 5 sur le quai des bateliers attenant des deux côtés & par derrière au Sr Laugel serrurier. Cet immeuble dépend également de la communauté qui a existé entre les époux Rudolph, L’établissement de propriété de cet immeuble se trouve également constaté dans l’inventaire susrelaté.
acp 374 (3 Q 30 089) f° 40 (succession déclarée le 11 juin 1846) Le mobilier est prisé 586, argent comptant 1648, créances et loyers 41.652, rapport à la succession dus par les héritiers 7199
Immeubles 1° (…), 2° (…). La passif de la succession non compris. Article pro memoria 956 francs

Liquidation. La maison sise 27, quartier des Souabes reste indivise
1849 (10.2.), Strasbourg 10 (113), Not. Zimmer n° 7586
Liquidation et partage de la succession de Michel Rudolph
Ont comparu 1. Dame Marie Catherine Rudolph demeurant à Strasbourg, veuve de Monsieur Antoine Klotz vivant ébéniste en la même ville, 2. Dame Marie Louise Rudolph, épouse dûment autorisée de Monsieur Jean Chrétien Wolff ancien brasseur demeurant ensemble à Strasbourg, 3° ledit Monsieur Wolff, agissant a) pour autoriser ladite Dame son épouse, b) comme mandataire spécial à l’effet des présentes de Dame Marie Thérèse Rudolph & M. Victor Ruppert brasseur conjoints demeurant ensemble à St Etienne (Loire) aux termes de leur procuration (…), c) comme subrogé tuteur de 1) Marie Thérèse Rudolph, 2) Louise Joséphine Rudolph, 3) Sophie Eugénie Rudolph enfants mineurs issus du mariage en premières noces de feu le Sieur Michel Rudolph fils, vivant batelier à Strasbourg avec Dame Marguerite Mühlberger, d) comme subrogé tuteur de Michel Eugène Rudolph, enfant mineur issu du mariage en secondes noces dudit Sr Michel Rudolph fils avec Dame Joséphine Weith sa veuve survivante épouse actuelle du Sr Christophe Baumann aubergiste à la Citadelle de Strasbourg (…), 4) Mlle Sophie Gel, majeure sans état demeurant à Strasbourg, 5. Mr Georges Grunder, boulanger aubergiste demeurant à l’île du Rhin hors la porte de la Citadelle de cette ville, agissant au nom & comme tuteur datif du mineur Michel Eugène Rudolph susnommé (…) 6° M° Valérie François Aloyse Wernert, huissier demeurant à Molsheim, agissant a) comme tuteur datif des trois enfants mineurs Rudolph du premier lit, b) au nom et comme mandataire de Dlle Marguerite Catherine Rudolph dite en religion Sœur Hildebert religieuse demeurant à Obernay (…) Lesquels ont préliminairement exposé ce qui suit
Monsieur Michel Rudolph vivant propriétaire ancien marchand de bois à Strasbourg est décédé en cette ville le 16 juillet 1848 veuf de Dame Catherine Kling son épouse prédécédée. Suivant inventaire dressé par M° Zimmer soussigné le 9 juillet dernier, Mr Rudolph a délaissé pour seuls héritiers lesdites Dames Klotz, Wolff & Ruppert ses enfants issus de son mariage avec sadite épouse chacune pour un cinquième, les quatre enfants mineurs Rudolph sus nommés ensemble pour un autre cinquième par représentation de leur père défunt enfant issu du même mariage & la Dlle Gel pour le dernier cinquième par représentation de sa mère défunte Sophie Rudolph épouse du Sieur Michel Gel épicier également enfant issu dudit mariage des époux Rudolph.
Madame Rudolph née Kling était elle-même décédée à Strasbourg le 3 novembre 1837 avait délaissé pour seuls héritiers chacun de pour un cinquième (…) ainsi qu’il résulte d’un intitulé d’inventaire dressé par M° Zimmer soussigné le 21 novembre 1837.
M. Rudolph depuis le décès de sa femme était resté en possession des biens dépendant tant de la communauté qui a exitée entre eux que de la succession de son épouse. Enfin les époux Rudolph père et mère ont de leur vivant fait donation par avancement d’hoirie à chacun de leurs enfants d’une certaine somme à titre de dot & de plus Mr Rudolph a depuis le décès de sa femme donné à Mlle Gel une somme de 800 francs sont il sera parlé lors de l’établissement des rapports

Loyers. Il était dû au moment du décès
par Mr Carelle pour loyer du logement qu’il occupait dans une maison appartenant à Mr Rudolph sise à Strasbourg près de l’hôpital militaire N° 26, 80 francs
par le Sr Koessel pour loyer des localités par lui occupées dans la même maison depuis le 24 juin dernier au jour du décès de M Rudolph 5 ff
par le Sr Wurtz pour loyer de localités par lui occupées dans la même maison depuis le 24 juin dernier au jour du décès de M Rudolph, 5 francs
par le Sr Hahn pour loyers arriérés depuis le 29 septembre au 25 décembre 1847 de localités par lui occupées dans la même maison, 22 francs, par le même (…) 5 francs
par le Sieur Düringer pour loyer depuis le 24 mars 1848 jusqu’au jour du décès de M Rudolph de localités par lui occupées dans la maison rue du Glaive N° 5 dépendances de la communauté Rudolph, 49 francs
Objets restés dans l’indivision. 2° La maison avec cour & dépendances située à Strasbourg quai des fleurs N° 26, tenant d’un côté à la maison n° 27 appartenant autrefois à Mr Rudolph de l’autre au jardin de la veuve Erhardt & par derrière à Mr Perrin
3° La maison sise à Strasbourg cul de sac du glaive N° 5 sur le quai des bateliers attenant des deux côtés & par derrière au Sr Laugel serrurier
Ces deux immeubles dépendaient de la communauté qui a existé entre Mr & Mme Rudolph
acp 379 (3 Q 30 094) f° 85 – Masse active. Meubles vendus 889, argent comptant 1608, créances chirographaires 16.951, créances hypothécaires 24.405, loyers 168, rapports dus par les héritiers 15.000, Total 59.022
Passif 1846, Reste 57.175 francs

Acte de notoriété auquel est annexé l’acte de baptême de Jean Michel Rudloff
1850 (27. Xbr), Strasbourg 10 (117), Not. Zimmer n° 2531
Acte de dépôt et de notoriété – (…) ont déposé un extrait en langue latine du registre des actes de baptême de la paroisse St Etienne de la Ville de Strasbourg, constatant que feu le Sr Jean Michel Rudloff, vivant propriétaire ancien marchand de bois, est né en cette ville le 17 février 1771 (…)
2) qu’ils ont parfaitement connu le Sr Jean Michel Rudloff en son vivant propriétaire ancien marchand de bois à Strasbourg où il est décédé le 11 juillet 1848,
2) que de la succession du dit Sr Rudloff dépendait une rente de 64 francs inscrite au grand livre de la dette publique au nom de Rudloff (Michel) sous le numéro (…)
3) que c’est par erreur que dans l’inscription susmentionnée ledit Sr Rudloff est désigné seulement sous le prénom de Michel (…)

Cahier des charges dressé pour vendre la maison sise quai aux Fleurs n° 27, comprenant aussi un rapport d’experts sur le n° 26. Antoine Klotz acquiert la maison dont sa femme est copropriétaire

1840 (20.10.), Strasbourg 10 (97), Me Zimmer n° 3720
Cahier des Charges du 22 août n° 3670 – Adjudication préparatoire n° 3705 Adjudication définitive – 1. Michel Rudolph père, propriétaire & ancien marchand de bois, à cause de la communauté à défaut de contrat de mariage avec Catherine Kling selon les anciens statuts de la ville, testament par devant Me Weigel le 25 avril 1830, 2. Marie Catherine Rudolph épouse d’Antoine Klotz, menuisier, 3. Marie Louise Rudolph épouse de Jean Chrétien Wolff, brasseur, 4. ledit Jean Chrétien Wolff, mandataire de Marie Thérèse Rudolph épouse de Victor Ruppert, brasseur à St Etienne (Loire), et subrogé tuteur du mineur Michel Eugène Rudolph, 5. Michel Gel, épicier, tuteur légal de sa fille Sophie Gel née le 27 sept. 1822 et tuteur datif de 1. Marguerite Catherine Rudolph née le 28 avril 1824, 2. Marie Thérèse née le 12 février 1828, 3. Louise Joséphine née le 22 avril 1833, 4. Sophie Eugénie née le 25 avril 1835 issues du premier mariage de Michel Rudolph fils et de Marguerite Mühlberger, 6. Georges Grunder, boulanger, tuteur datif de Michel Eugène Rudolph né le 21 juillet 1838 de Michel Rudolph fils et Joséphine Weith sa veuve femme actuelle de Christophe Baumann, 7. Jean Théodore Körttgé, clerc de notaire, mandataire de Valère Wernert, épicier ancien huissier demeurant à Molsheim, subrogé tuteur des enfants Rudolph du premier lit, Inventaire Me Zimmer 21 novembre 1837 héritiers de leur mère et grand mère
à M Klotz co vendeur, qui se réserve faculté d’élire command
il dépend de la communauté de Michel Rudolph père et Catherine Kling entre autres immeuble une maison avec dépendances située à Strasbourg quai aux Fleurs n° 27. Cet immeuble a été en majeure partie détruit par un incendie vers la fin de l’année dernière. La ville de Strasbourg offrit alors de racheter 6435 m 77 cm carrés de terrain dépendant de cet immeuble, faisant partie tant de cet immeuble que de la maison sous n° 26 pour l’élargissement de la rue du côté de l’Hôpital Militaire. Le terrain nu dont la ville de Strasbourg demande à acquérir et indiqué et renfermé par les lettres ABRCDEL [sic] sur la copie du plan desdites propriétés, les tuteurs autorisèrent la vente à la ville par jugement du Tribunal civil du 23 avril 1840.
Désignation de l’immeuble à vendre et mise à prix, une maison avec appartenances & dépendances située à Strasbourg quai aux Fleurs n° 27, d’un côté le Sr Perrin, d’autre au terrain qui sera cédé à la ville de Strasbourg et la maison sous n° 26 faisant partie de la succession Rudloff, derrière ledit Perrin, estimée 2000 francs et tous les matériaux & débris, estimée à 100 francs – Etablissement de la propriété, de la communauté légale avec Catherine Kling, inventaire par Me Zimmer le 21 novembre 1837 acquis à la barre du tribunal civil sur expropriation forcée poursuivie contre Georges Erhard, jardinier fleuriste, et Anne Marie Schwing le 4 mai 1820 et déclaration de command même jour transcrit au bureau des hypothèques volume 130 n° 9 – Charges, Clauses et Conditions, les comparants font réserve comme n’étant pas compris dans la vente 1. de la propriété de 425 m 77 cm de terrain nu compris entre les lignes des lettres ABCDELA sur le plan annexé qui doit être cédé à la ville de Strasbourg, 2. du mur séparant la propriété à vendre de la maison sous n° 26 faisant également partie de la succession de Mde Rudolph, 3. du mur du hangard du côté de la maison n° 26 et des portes s’y trouvant & tournant vers les immeubles n° 26, 4. de la gouttière se trouvant au toit dudit hangard (…) 4. l’adjudicataire sera tenu de faire continuer & construire à ses frais le mur qui sépare les maisons 26 & 27, 5. l’adjudicataire n’aura droit aux matériaux du hangard se trouvant du côté de la maison n° 26 qu’à partir du parement intérieur du mur qui sépare les deux propriétés et en ligne droite jusqu’au terrain à céder à la ville – moyennant 7880 francs
Rapports d’experts, 11 et 21 mai, Jean Jacques Rodé, ancien agent des Contributions directes, Philippe Lauer, architecte, Christophe Goerner aussi architecte (…) nous avons reconnu qu’elles ne pouvaient en aucun cas être partagé entre les parties intéressées,
Maison et dépendances n° 26, cette maison se trouve entre deux cours l’une devant l’autre derrière elle est construite en maçonnerie sur une cave sous solive, elle consiste en un rez de chaussée, un étage, comble à la mansarde. Le rez de chaussée renferme un corridor, deux chambres, cuisine et escalier. Le premier étage deux logements l’un de deux chambres et une cuisine, l’autre de trois chambres et une cuisine. La mansarde deux logements dont chacun d’une chambre et d’une cuisine, le comble est divisé en trois compartiments, toiture en tuiles à double rangée. Dans la cour de derrière se trouve à droite un petit bâtiment en galandure construit sur une cave sous solives, ce bâtiment est composé d’un rez de chaussée, d’un étage, d’un petit grenier ayant toiture en tuiles à double rangée. Dans la cour de devant se trouve un puits avec pompe, fosse et lieux d’aisance et des écuries dont la couverture est en tuiles à simple rangée. Plus un hangard et des écuries qui seront démolis par suite de l’acquisition faite par la ville du terrain qui est destiné à l’élargissement de la rue, le tout estimé non compris la partie de terrain cédé à la ville et les bâtiments qui s’y trouvaient à 6000 francs
la maison et dépendances n° 27, cette propriété consiste en deux corps de bâtiment construits en galandure et une belle cour dont une partie a été également cédée à la ville pour cause d’utilité publique. Le bâtiment latéral donnant sur le quai aux Fleurs consiste en un rez de chaussée un étage, comble incendié. Le bâtiment de derrière consiste dans un rez de chaussée deux étages, un grenier comble en tuiles à double rangée le tout endommagé par l’incendie. Dans l’allée du bâtiment latéral se trouve un puits avec pompe. Cette maison dépendances estimée non compris la partie de terrain cédé à la ville et les débris de construction qui s’y trouvent à 2000 francs
s’est présenté Antoine Klotz, mari d’une des parties (qui déclare) que l’intention du père Rudolph ainsi que celle des enfants n’a jamais été de procéder à la licitation de la maison n° 26 et que c’est par erreur et malentendu qu’elle a été comprise dans la procédure
Enregistrement, acp 282 f° 47-v du 26.10.

Fils du maçon Louis Klotz, Jean Antoine Klotz épouse Catherine Rudolf en 1827
Mariage, Strasbourg (n° 281)
Acte de mariage célébré à dix heures du matin le 26 juillet 1827. Jean Antoine Klotz, majeur d’ans, né en légitime mariage le 28 nivôse an IV à Strasbourg, domicilié à Strasbourg, menuisier, fils de feu Louis Klotz, maçon décédé en cette ville le 23 mai 1809 et de Claire Barbe Rieder, domiciliée en cette ville, ci présente et consentante, Catherine Rudolf, mineure d’ans, née en légitime mariage le 25 septembre 1806 à Strasbourg, domiciliée à Strasbourg, fille de Michel Rudolf marchand de bois et de Catherine Kling conjoints domiciliés en cette ville ci présents et consentants (signé) jean antoine Klotz, Rudolph (i 21)

Inventaire des apports
1828 (11.6.), Strasbourg 4 (67), Me Hatt n° 4129
Déclaration d’apports – Jean Antoine Klotz, ébéniste, et Catherine Rudloff que lors de leur mariage ils n’ont pas fait de contrat de mariage
apports du mari, une maison appartenances et dépendances, cour, maison de derrière, sise rue de la Krutenau n° 126, estimée 11 000 fr, mobilier 3000 fr
apports de l’épouse 1115 fr
Enregistrement, acp 189 F° 183 du 16.6.

La Ville de Strasbourg acquiert une partie du terrain dépendant des maisons sises 26 et 27 quai aux Fleurs

1842 (16.9.), Strasbourg 10 (100), Me Zimmer n° 4478
1° M Michel Rudolph, père, propriétaire & ancien marchand de bois demeurant à Strasbourg, agissant tant en son nom personnel qu’au nom & comme subrogé tuteur de la mineure Gel ci après dénommée, 2° De Marie Catherine Rudolph épouse de M. Antoine Klotz ébéniste avec lequel elle demeure à Strasbourg, 3° Ledit M. Antoine Klotz agissant 1) pour autoriser ladite D. son épouse à l’effet des présentes, 2° au nom et comme tuteur datif de Dlle Sophie Gel née le 27 septembre 1822 du mariage du Sr Michel Gel épicier avec De Sophie Rudolph, tous décédés à Strasbourg (…), 4° De Marie Louise Rudolph, épouse de M Jean Chrétien Wolff, brasseur, tous domiciliés et demeurants à Strasbourg, 5. Ledit M Jean Chrétien Wolff, agissant 1) pour autoriser ladite De son épouse, 2) comme mandataire spécial de Marie Thérèse Rudolph épouse de M Victor Ruppert brasseur demeurant ensemble à St Etienne (Loire), 3) comme subrogé tuteur du mineur Michel Eugène Rudolph né le 21 juillet 1838 du second mariage du Sr Michel Rudolph fils batelier à Strasbourg et de De Joséphine Weith sa veuve survivante & femme actuelle du Sr Christophe Bomans aubergiste à la Citadelle de Strasbourg (…), 4) et comme subrogé tuteur de 1. Marguerite Catherine Rudolph née le 28 avril 1824, 2. Marie Thérèse Rudolph née le 12. février 1828, 3. Louise Joséphine Rudolph ne le 22 avril 1835, ces quatre mineurs issus du mariage dudit Sr Michel Rudolph fils et de De Marguerite Mühlberger (…), 6° M Georges Grunder, boulanger demeurant à la Citadelle de Strasbourg au nom & comme tuteur datif dudit mineur Michel Eugène Rudolph nommé à cette qualité en remplacement de ladite De Baumann née Weith (…), 7° M. Théodore Körttgé, clerc de notaire demeurant à Strasbourg agissant au nom & comme mandataire spécial de M. Valerie François Aloyse Wernert, huissier demeurant à Molsheim (…) au nom & comme tuteur datif des quatre enfants mineurs ci-dessus dénommés issus du premier mariage du Sr Michel Rudolph
A la ville de Strasbourg au nom de laquelle est ici présent stipule & accepte M Georges Frédéric Schützenberger son maire, professeur à la faculté de droit de cette ville, Député du Bas Rhin, Chevalier de la Légion d’Honneur demeurant à Strasbourg, comme autorisé à cet effet par une délibération du conseil municipal de Strasbourg du 13 Janvier 1840 devenue executoire en vertu d’un arreté pris par M. le Préfet du Bas Rhin le 27 mars suivant
435 mêtres 77 centimêtres carrés de terrain nu, situé à Strasbourg quai aux fleurs & dépendant des maisons situées audit quai sous les numéros n° 26 & 27, ces 435 mêtres 77 centimêtres carrés sont renfermés dans les lignes ABCD du côté de l’hôpital militaire et des lettres DEL du côté du quai aux fleurs sur un plan qui a été dressé à cet effet par M Villot architecte de la ville de Strasbourg le 21 octobre 1839 (…). Ledit terrain cédé se trouve encore désigné dans un rapport d’experts fait par M Jean Nicolas Villot architecte de la ville de Strasbourg & M Christophe Goenner, maître charpentier le 19 mars 1840 (…). Ce plan & ce rapport d’experts demeureront annexés au présent acte (…). Le tribunat civil séant à Strasbourg homologua les dites délibérations et par suite autorisa les dits tuteurs à passer vente à la ville de Strasbourg dudit terrain moyennant la somme de 6000 francs suivant jugement du 23 avril 1840 dont une expédition se trouve annexée au cahier des charges dressé par M Zimmer soussigné le 22 août 1840.
Etablissement de la propriété commune aux maisons N° 26 & 27 quai aux fleurs. Ainsi qu’il a été dit cidessus le terrain vendu dépendait des maisons N° 26 & 27 quai aux Fleurs qui elles mêmes faisaient partie de la communauté légale qui à défaut de contrat de mariage a existé entre le Sr Rudolph père, covendeur, & De Catherine Kling sa défunte épouse. Dans cette communauté M Rudolph, covendeur était intéressé pour deux tiers par suite de la célébration de son mariage avant la promulgation du code civil, De plus suivant le testament public reçu par Me Weigel le 25 Avril 1830, enregistré, ledit Sr Rudolph pere a droit à l’usufruit de la moitié des biens composant la succession de sadite défunte épouse De Rudolph née Kling. L’autre tiers de ladite communauté fait partie de la succession de la défunte De Rudolph qui a laissé pour ses seuls & uniques héritiers chacun pour un cinquième les dites Des Klotz, Ruppert & Wolff, feu le Sr Michel Rudolph fils et la mineure Gel, ses enfants & petit enfant. Ainsi que le tout résulte de l’inventaire de la succession de ladite De Rudolph dressé par Me Zimmer soussigné en date au commencement du 21 novembre 1837. Le Sr Michel Rudolph, fils, étant lui-même décédé laissa pour ses seuls & uniques héritiers chacun pour un 5°, les cinq mineurs Rudolph cidessus dénommés, suivant inventaire dressé par ledit Me Zimmer le 24 août 1838.
Etablissement de la propriété particulier à la maison Numéro 26 quai aux fleurs. M Rudolph père, comparant, a acquis la maison quai aux fleurs n° 26 avec ses dépendances de 1) De Thérèse Klein, Veuve du Sr Jean Huss, voiturier, 2) Sr Jean Philippe Huss voiturier, 3) De Marie Thérèse Huss épouse du Sr Sébastien Ockly, perruquier, tous demeurant à Strasbourg 4) & Sr Philippe Alexandre Huss, alors sergent au 6° régiment d’infanterie de ligne en garnison à Marseille domicilié à Strasbourg le 16 Mars 1830 (…) Ce procès verbal d’adjudication a été transcrit au bureau des hypothèques de Strasbourg le 27 mars 180., Vol. 233 N° 108. (…) Cet immeuble dépendait de la communauté de biens qui a existé entre ladite De Thérèse Klein & ledit Jean Husz son défunt mari, qui laissa pour ses seuls héritiers lesdits Jean Philippe Husss, Philippe Alexandre Huss & la De Ockly. Le défunt Sr Jean Hus a acquis ladite maison à la barre du Tribunal Civil de Strasbourg sur l’expropriation forcée poursuivie sur Jean Georges Keller marchand demeurant à Strasbourg et licitation entre ce dernier & Dlle Marie Elisabeth Keller, fille majeure demeurant à Strasbourg, suivant jugement rendu audit tribunal le 6 Juillet 1820 & déclaration de command du 8 du même mois.
Etablissement de la propriété particulier à la maison Numéro 27 quai aux fleurs. M Rudolph père a acquis la maison n° 27 avec ses dépendances à la barre du tribunal civil de Strasbourg sur expropriation poursuivie contre le Sr Georges Erhard, jardinier fleuriste, & De Anne Marie Schwing conjoints demeurant à Strasbourg suivant procès verbal d’adjudication définitive du 4 mai 1820 & déclaration de command du même jour. Cette adjudication définitive a été transcrite au bureau des hypothèques de Strasbourg le 25 mai 1825 Vol. 130 n° 9 – moyennant 6000 francs
(Pièces jointes) Arrêté qui autorise la Ville d’acquérir le terrain du Sr Rudolph pour f. 6000 – 27 mars 1840 (Copie) Préfecture du Bas-Rhin. Nous Préfet du Bas-Rhin séant au Conseil de préfecture, où étaient présens MM. Reibell, Poncet & Kern, Vû une délibération du Conseil municipal de Strasbourg du 16 janvier 1840 par laquelle il vote l’acquisition au prix de 6000 francs d’un terrain appartenant au Sieur Rudolph situé quai aux fleurs et joignant la voie publique, Vû le plan des lieux, Vû le procès verbal d’expertise contradictoire dressé le 19 du courant constatant que l’immeuble dont s’agit a une contenance de 435 mètres 77 carrés et une valeur de 6000 francs, Vû au bas de cet acte la promesse de vendre au prix de l’estimation souscrite par le Sieur Rudolph propriétaire le 26 de ce mois, Vû l’enquête de Commodo & incommodo à laquelle il a été procédé le 23 du même mois de Mars, Vû le budget de la Ville de Strasbourg pour 1840, Vû l’art. 46 de la loi du 18 Juillet 1837, L’avis du Conseil de Préfecture entendu, Considérant que le terrain dont l’acquisition est projetée a pour objet l’élargissement de la voie publique contre l’hôpital militaire, depuis longtemps reconnu indispensable, Considérant que ce projet n’a pas rencontré d’opposition & que les fonds pour acquitter ledit immeuble ont été votés au Budget en 1840, Arrêtons ce qui suit, Mr le Maire de Strasbourg stipulant au nom de la ville, est autorisé à acquérir du Sr Rudolph moyennant la somme de 6000 francs un terrain d’une contenance de 435 mêtres 77 centimètres carré, situé à Strasbourg quai aux fleurs, indiqué au plan annexé au présent arrêté, par les lettres A, B, C, D du côté de l’hôpital militaire et D. E. du côté du quai aux fleurs. Fait à Strasbourg le 27 Mars 1840
Extrait du Registre des Procès verbaux du Conseil Municipal de la Ville de Strasbourg. Séance du 16 Janvier 1840. M. J.J. Lauth fait au Conseil le rapport suivant sur la réclamation du Sr Rudolph contre l’alignement de sa maison.
Messieurs, A l’une de vos dernières séances, vous avéz renvoyé à une commission la demande du Sr Rudolph propriétaire de la maison incendiée quai aux fleurs N° 27. Le rapport que vous fit M. le Maire posa trois questions principales, d’abord si le nouvel alignement proposé par l’architecte de la ville pouvait être donné au propriétaire incendié, si la ville devait considérer comme terrain surbâti et payer comme tel l’espace occupé par une maison incendiée et enfin si la ville peut et doit profiter d’un malheur pour obtenir a peu de frais un alignement qu’elle n’aurait eû de longtemps sans l’événement.
Votre commission s’est transportée à plusieurs reprises sur le terrain pour prendre enfin et vous soumettre les observations suivantes. L’alignement provisoire demandé d’abord par le propriétaire, accordé par l’architecte et refusé en dernier lieu par le Sr Rudolph ne doit être accueilli par vous, car, plus que jamais, nous devons tenir à ce que l’alignement général de la ville qui a subi tant d’épreuves, qui, il n’y a pas encore deux ans, a reçu votre approbation, ne subisse plus la moindre altération, et certainement l’administration de l’hôpital militaire dont les abords doivent être faciles et larges afin d’éviter en tems de guerre tout encombrement, ne pourrait, puisqu’il y a moyen de le faire, se contenter de cette demi-mesure. Nous vous proposons donc de n’admettre que l’ancien alignement portant la rue à 20 mètres de large.
En adoptant ce que nous venons de vous proposer relativement à la largeur de la rue, la seconde question change de face, car il ne s’agit plus seulement de la maison incendiée, mais bien de deux hangards tout neufs et de deux maisonnettes auxquels le feu n’a pas touché, plus d’un vaste terrain non surbati mais clos.
Les architectes ont estimé à raison de cinq francs le mêtre carré de toute la superficie à prendre, nous croyons que c’est assez payé et nous vous prions d’accorder la somme de 2173 francs 15 c pour le terrain renfermé au plan par les lettres A.B.C.D.E.L. contenant 435 m 77 c carrés que le Sr Rudolph cède à la ville déduction faite de un mêtre 14 centimètes carrés que le Sr Rudolph gagne sur la voie publique et qui est enclavé au plan par les lettres I.E.F.
Les constructions sus dénommées que le feu a laissé intactes et auxquelles nous ne pourrions toucher sans expropriation, nous les avons estimées, les matériaux restant au vendeur, à 3827 francs. Total de la somme a payer au Sr Rudolph 6000 francs 15 centimes.
Nous espérons qu’en accordant cette somme et quoique primitivement le pétitionnaire ait demandé 18.000 francs, la troisième question se resoudra d’elle-même, car quoique la ville ne doit être tenu des prix exorbitans pour ce qu’elle achète, le Conseil ne voudra et n’a jamais voulu profiter du malheur d’un de ses concitoyens.
acp 303 (3 Q 30 017) f° 59-v

Accord au sujet d’une cave sous la maison n° 26 dont l’entrée se fait par le n° 27

1842 (5.9.), Strasbourg 10 (100), Me Zimmer n° 4463
1° M Michel Rudolph, père, propriétaire & ancien marchand de bois demeurant à Strasbourg, agissant au présent acte 1. à cause de la communauté légale qui a existé entre lui et feu De Catherine Kling son épouse, laquelle communauté à défaut de contrat de mariage & par la célébration de l’acte de mariage avant la promulgation du code civil est réglée par les anciens statuts de la ville de Strasbourg qui attribuent au mari deux tiers de la communauté, 2) comme usufruitière de la moitié des biens délaissés par ladite défunte dame Rudolph aux termes d’un testament public reçu par Me Weigel le 25 Avril 1830
2° De Marie Catherine Rudolph épouse de M. Antoine Klotz ébéniste avec lequel elle demeure à Strasbourg, 3° De Marie Louise Rudolph, épouse de M Jean Chrétien Wolff, brasseur, 4° ledit M Jean Chrétien Wolff agissant au présent acte 1) pour autoriser ladite D. son épouse à l’effet des présentes, 2) et comme mandataire spécial de Deme Marie Thérèse Rudolph épouse de M Victor Ruppert brasseur demeurant ensemble à St Etienne (Loire)
lesquels exposent ce qui suit. Suivant procès verbal d’adjudication sur licitation judiciaire qui eut lieu devant ledit Me Zimmer soussigné à ce commie le 20 octobre 1840, ledit Me Klotz s’est rendu adjudicataire d’une maison avec dépendances située à Strasbourg quai aux fleurs numéro 27. Cet immeuble qui faisait partie des biens de la communauté légale qui a existé entre ledit M. Rudolph et sa défunte épouse, appartenait pour deux tiers audit Sr Rudolph comparant et pour l’autre tiers aux héritiers de ladite Dame De Rudolph née Kling dont les dites Des Klotz, Wolff & Ruppert sont héritières chacune pour un cinquième.
Pour arriver à la vente de ladite maison, des experts nommés par justice ont dressé le 11 mai 1840 un rapport descriptif de ladite maison qui a été enregistré le 21 du même mois (…). Dans ledit rapport les experts ont omis de mentionner comme faisant partie des dépendances de ladite maison la partie de la cave qui se trouve sous la maison à côté portant le numéro 26, laquelle partie de cave n’a d’autre porte d’entrée que celle qui donne dans la cour de la maison sous le numéro 27. Par suite de cette omission, le cahier des charges qui a été dressé d’après ce rapport n’a pas non plus fait mention de cette cave.
Cet exposé fait les comparans, es noms qu’il agissent voulant prévenir les difficultés que cette omission pourrait occasionner plus tard, reconnaissent et déclarent, mais seulement pour les parts qui peuvent leur appartenir et à leur mandante dans la susdite maison sous le numéro 27, que M Klotz en acquerant la maison sous le numéro 27 suivant le procès verbal cidessus relaté, est nécessairement devenu aussi propriétaire de la partie de cave se trouvant sous la maison numéro 27 & ayant son unique porte d’entrée dans la cour de la maison nouvelle 27, dont cette partie de cave a toujours été une dépendance qui s’est transmise avec l’immeuble entier
acp 303 (3 Q 30 017) f° 4-v

Jean Antoine Klotz meurt en 1847 en délaissant trois enfants

1847 (23. 7.br), Strasbourg 15 (82), Not. Lacombe n° 5829
Inventaire de la succession de Jean Antoine Klotz
Cejourd’hui Jeudi 23 septembre 1847 à deux heures de relevée, en la maison faubourg de la Krutenau N° 126 à Strasbourg, à la requête de 1° Madame Catherine Rudloff, veuve de Mr Jean Antoine Klotz, en son vivant menuisier propriétaire à Strasbourg, ladite dame demeurant et domiciliée à Strasbourg agissant 1° en son nom personnel à cause de la communauté de biens légale qui a existé entre la Dame requérante et son défunt mari, Madame veuve Klotz ayant déclaré qu’elle s’est mariée sans avoir fait de contrat de mariage, 2° en qualité de tutrice légale de A. Louis Klotz âgé de 16 ans, B. Adèle Klotz agée de 14 ans, C. Charles Klotz âgé de 5 ans, ces trois enfants encore mineurs procréés en légitime mariage avec feu M. Jean Antoine Klotz, lesdits trois mineurs, habiles à se dire et porter seuls et uniques héritiers chacun pour un tiers de Mr Jean Antoine Klotz leur père en son vivant menuisier à Strasbourg où il est décédé le 15 août 1847.
Et en présence de M. Jean Jacques Eugène Petiti, Architecte demeurant à Strasbourg, subrogé tuteur desdits mineurs

Meubles meublants. Sallon au premier étage. Palier du premier étage. Chambre à coucher. Petite chambre à côté. Cuisine. Deuxième étage, chambre du fils. Grenier. Deuxième étage. Au rez-de-chaussée. Cave. Buanderie. Dans un magasin
Immeubles propres au défunt. I° Une maison à rez-de-chaussée et un étage avec cour, ateler de menuisier, hangard, droits, appartenances et dépendances, le tout situé à Strasbourg sur le quai des chevaux N° 126 (…)
II° Une Maison avec appartenances et dépendances sise à Strasbourg rue des Pucelles N° 7 (…)
III° Une Maison avec deux cours, droits appartenances et dépendances sise à Strasbourg rue des Juifs N° 7 (…)
Immeuble de la Communauté. Une Maison avec cour, appartenances et dépendances sise à Strasbourg au quai aux fleurs N° 27, donnant par devant sur le Quai, d’un côté sur la place de l’hôpital militaire et de l’autre côté Mad. veuve Perrin. Cet immeuble a été acquis par M° Klotz de Michel Rudolphe père, propriétaire, ancien marchand de bois à Strasbourg et des héritiers de Catherine Kling suivant procès verbal d’adjudication définitive sur licitation dressé par M° Zimmer et son Collègue notaires à Strasbourg le 20 octobre 1840 enregistré et transcrit au bureau des hypothèques de cette ville le 6 novembre suivant vol. 364 N° 43 et inscription d’office le même jour vol. 336 N° 13.
acp 365 (3 Q 30 080) f° 45-v, 25.9. (succession déclarée le 10 février 1846) Meubles de la communauté 2304, garde robe du défunt 570, garde robe de la veuve 368
acp 366 (3 Q 30 081) f° 31-v, 22 octobre – meubles 8175 francs
acp 368 (3 Q 30 083) f° 4, 2 décembre – créances 10.824, immeubles (supra), créances de la communauté 15.171, action de la société de la manufacture d’ornements d’architecture de M.M. Heiligenthal et Compagnie à Strasbourg 500
acp 391 (3 Q 30 106) f° 58-v du 15 mai 1850 – créances de la communauté 15.189, Passif de la communauté 11.028, Passif de la succession 2142
Indemnité due par la succession à la communauté 15.343. Vente d’outils et approvisionnements 5840 francs

Compte de tutelle
1848 (18.1.), M° Lacombe
Compte de tutelle par Catherine Rudloff veuve Jean Antoine Klotz agissant en qualité de tutrice de ses enfants mineurs Louis, Adèle et Charles Klotz, rendu
à Sophie Pauline Gel majeure à Strasbourg dont le susdit Sr Klotz était tuteur
dont il résulte due Mme Klotz en sadite qualité doit à la Dlle Gel 4291 francs qu’elle vient de lui payer, dont décharge
acp 368 (3 Q 30 083) f° 89 du 24.1.

1850 (8.5.),Strasbourg 15 (86), Not. Lacombe n° 7145
Continuation et clôture d’inventaire – Jean Antoine Klotz (vide supra)

Actes de notoriété dressés après la mort du mineur Charles Auguste Klotz
1854 (5.9.), M° Momy
Notoriété constatant que Charles Auguste Klotz, mineur est décédé à Strasbourg le 23 juillet 1854 laissant pour héritiers 1) Catherine Rudloff veuve Jean Antoine Klotz vivant Menuisier à Strasbourg, sa mère pour un quart, 2) Louis Alexandre Klotz, licencié en droit, 3) Sophie André Klotz épouse de Jean Louis Kreitmann, fabricant de papiers peints à Strasbourg frère et sœur pour trois quarts.
acp 432 (3 Q 30 147) f° 100 du 7.9.

1854 (13.11.), Strasbourg 15 (92), Not. Momy (Hippolyte) n° 1910
Notoriété – (…) avoir parfaitement connu M. Charles Auguste Klotz, mineur d’ans, sans profession, demeurant et domicilié à Strasbourg où il est décédé le 23 juillet de la présente année en état de célibat, savoir que ledit défunt a délaissé pour seuls héritiers 1° Dame Catherine Rudolff, sa mère, veuve de feu M. Jean Antoine Klotz, en son nom menuisier propriétaire, ladite dame demeurant et domiciliée à Strasbourg, héritière réservataire pour un quart.
2° M. Louis Alexandre Klotz, licencié en droit, demeurant à Erstein domicilié à Strasbourg, 3° Dame Sophie Adèle Klotz épouse de M. Jean Louis Kreitmann, fabricant de papiers peints demeurant et domiciliés à Strasbourg, lesdits Sr Louis Alexandre Klotz et Dame Kreitmann héritiers ensemble pour les trois autres quarts
acp 435 (3 Q 30 150) f° 1-v du 14.11.

Compte de tutelle
1855 (5.1.) Strasbourg 15 (92), Not. Momy (Hippolyte) n° 2052
Dépôt du Compte de tutelle rendu par Catherine Rudloff veuve Jean Antoine Klotz vivant menuisier à Strasbourg, à Louis Alexandre Klotz, licencié en droit et à Sophie Adèle Klotz épouse Jean Louis Kreitmann fabricant de papiers peints à Strasbourg par acte s. s. p. du 5 janvier 1855
et récépissé du dit compte rendu en bloc, à l’effet de vérifier et examiner dans le délai prescrit
acp 436 (3 Q 30 151) f° 48-v du 9.1.
16 janvier – Arrêté du Compte de tutelle rendu par Catherine Rudloff veuve Jean Antoine Klotz vivant menuisier à Strasbourg, à Louis Alexandre Klotz, licencié en droit et à Sophie Adèle Klotz épouse Jean Louis Kreitmann fabricant de papiers peints à Strasbourg par acte s. s. p. du 5 janvier 1855, duquel il résulte qu’ils ‘ont aucune fortune mobilière à réclamer de leur mère par suite ils la déchargent de la gestion qu’elle a eue de leurs biens
acp 436 (3 Q 30 151) f° 74-v du 17.1.

Adèle Klotz femme du fabricant de papiers peints Louis Kreitmann vend la maison à l’imprimeur Alfred Schwind et à sa femme Marie Caroline Staat

1875 (9.10.), M° Loew
Verkauf – Adele Klotz Ehefrau von Ludwig Kreitmann, Tapeten Fabrikant Zu Straßburg
an Alfred Schwind, Buchdrucker, und Maria Caroline Staat, seiner Ehefrauen Zu Straßburg
von einem Hause zu Straßburg Blumenstaden N° 12 zu 32.000 Mark, wovon 8000 Mark baar bezahlt – Erbschaft der Eltern vor 30 Jahren gestorben
acp 644 (3 Q 30 359) f° 69 n° 3280 du 18.10.

Alfred Schwind épouse Marie Caroline Staat en 1867
1867 (14.9.), Strasbourg 8 (79), Not. Gustave Edouard Loew n° 2404
Contrat de mariage du 14 septembre 1867 – Ont comparu M. Eugène Alfred Schwind, typographe demeurant et domicilié à Strasbourg, fils majeur de M. Charles Frédéric Schwind, ébéniste à Paris & de feue D° Caroline Reiss son, épouse décédée, procédant comme futur époux d’une part
Et Dlle Marie Caroline Staat, majeure demeurant et domiciliée à Strasbourg, fille de défunt M. Charles Frédéric Staat, épicier, & D° Julie Martinstein, décédés époux en la dite ville, stipulant comme future épouse d’autre part
acp 566 (3 Q 30 281) f° 51-v du 16.9. – Stipulation de régime de communauté de biens réduite aux acquêts réserve d’apports et d’héritages
Le futur époux ne stipule aucun apport
Les apports de la future épouse consistent en une valeur de 5233 et d’un tiers dans une maison sise à Strasbourg faubourg de Pierres N° 3.
Donation réciproque de l’usufruit viager de toute la succession réductibleen cas d’enfant


Les Maisons de Strasbourg sont présentées à l’aide de Word Press.