52, rue de Zurich (X 235)


Rue de Zurich n° 52 – X 235 (Blondel), O 853 ensuite section 33 parcelle 7 (cadastre)

Construite par Julie Bausch, mercière. Architectes entrepreneurs, Jacques et Emile Klein (1891)


La numéro 52 entre le 50 à droite et le 54 à gauche (février 2017) – Vue en avril 2008

La maison à encorbellement est inscrite au Livre des communaux (1587) au nom de Michel von Hipsheim. La femme du pasteur David Friderich en devient seule propriétaire en 1600 en rachetant les parts de ses cohéritiers. Elle fait réparer la risberme en 1625. Son gendre batelier Philippe Rixner vend en 1626 à son voisin au sud Jean Jacques Kauffmann une écurie qu’il a l’intention de convertir en jardin puis une cuisine et une petite cour. C’est sans doute à cause de cette transaction que la cour B (plan de 1830 ci-dessous) à l’arrière du bâtiment fait partie de la propriété voisine. Le voisin au nord Urbain Beyer achète la maison en 1652. On parle ensuite (1653) de deux maisons sous un même toit. Urbain Beyer vend en 1654 la partie nord à Jacques Riehm puis en 1659 la partie sud au batelier Daniel Jung, propriétaire de plusieurs maisons du quartier. Il en fait un bâtiment de rapport, comme son fils tailleur Philippe Jung, puis la veuve du notaire Jean Henri Merckel qui le vend au journalier Jean Bass. Le batelier Gabriel Meyer l’habite. Ses héritiers la vendent à l’ancien consul Jean Thiébaut Reis. Les propriétaires suivants l’habitent à nouveau, à commencer par le tonnelier Jean Michel Stein (1738). La maison qui appartient alors au batelier André von Zabern comprend en 1754 deux poêles, deux cuisines, deux petites chambres, la toiture est couverte de tuiles creuses. Le garçon batelier Jean Michel Muderer charge en 1763 le maître maçon Jean Lingenhœlin de poser un chaudron à lessive dans le bâtiment à droite de la cour. La maison a été agrandie de plusieurs chambres et la toiture couverte en tuiles plates d’après le billet d’estimation établi en 1788.


Plan-relief de 1725 – Quai aux Fleurs, passerelle au milieu de l’image. La maison est la deuxième à droite de la passerelle
Vue du quai (Musée historique, cliché Thierry Hatt)

Elévations préparatoires au plan-relief de 1830, îlot 239 (Musée des Plans-relief) 1

L’Atlas des alignements (années 1820) mentionne une maison à rez-de-chaussée et un étage en bois. Sur les élévations préparatoires au plan-relief de 1830, la façade vers le quai (à l’est) comprend le bâtiment bas entre les repères (e-g) et la moitié gauche du bâtiment à pignon à droite du repère (g). La porte qui donne accès à la cour et le pignon du bâtiment bas forment le côté sud (e-f), la façade vers le quai le côté est (f-g). La cour C représente l’arrière (1-2) du bâtiment sur rue puis (2-3) la porte qui donne accès à la cour et le bâtiment du voisin au sud, le bâtiment (3-4) au fond de la cour dont le rez-de-chaussée sert de remise, le côté nord (4-1) faisant partie du bâtiment à pignon vers le quai. D’après le rapport d’experts (1818) la cour est pavée, les murs sont en bois, briques, chaux et argile.
La maison porte d’abord le n° 12 (1784-1857) puis le n° 1 quai du Brochet. Le nouveau bâtiment porte le n° 30 rue de Zurich puis à partir des années 1970 le n° 52.


Cour C – Plan de l’îlot (1830), passerelle du Brochet, quai du Brochet le long du canal, impasse du Brochet (repères h-l), venelle au nord
La passerelle du Brochet en 1868 (série de cartes postales
Strasbourg disparu). On voit à l’arrière de la passerelle le petit bâtiment à pignon orienté vers le sud, suivi du pignon (orienté vers l’est) dont la moitié fait partie de l’ancien n° 12.

La maison est vendue en 1818 par adjudication judiciaire au créancier qui la revend en 1823 au brasseur Georges Frédéric Schützenberger et à la veuve du pasteur Charles Maximilien Fritz. Depuis cette date, les numéros 12 et 13 (au nord) sont détenus par le même propriétaire. Le tisserand Jean Runtz qui achète la maison en 1841 l’agrandit en 1846 ; le revenu passe de 63 à 68 francs, le nombre d’ouvertures de 24 à 27. La mercière Julie Bausch s’entend en 1890 avec son voisin Schneitz au nord pour proposer un nouvel alignement de l’impasse du Brochet entre leurs maisons. Elle fait un échange de terrains avec la Ville puis construit un nouveau bâtiment à trois étages dont le gros œuvre est terminé en juillet 1891. Le tapissier Haas fait poser une devanture en 1892. Les architectes Grünewald et Keller transforment les deux magasins au rez-de-chaussée en 1903.



Terrains échangés avec la Ville qui acquiert les surfaces teintées en jaune et cède celles teintées en rose (1891)
Élévation (1890, J. & E. Klein) – Plan du rez-de-chaussée lors des transformations de 1903
Devanture de droite avant et après transformation (1957), dossier de la Police du Bâtiment

juin 2022

Sommaire
CadastrePolice du BâtimentRelevé d’actes

Récapitulatif des propriétaires

La liste ci-dessous donne tous les propriétaires de 1600 à 1952. La propriété change par vente (v), par héritage ou cession de parts (h) ou encore par adjudication (adj). L’étoile (*) signale une date approximative de mutation.

(copropriétaires) Michel von Hipsheim, pêcheur, et Chrétienne Gerhard, d’abord (1573) femme du journalier Mathias Kling – luthériens
Marie von Hipsheim et (1563) Balthasar Herlin, boucher, (1573) Thiébaut Schoner, boucher, puis (1587) Jean Barth, employé à la Douane – luthériens
1600 v David Friedrich, pasteur, et (1587) Barbe Frantz – luthériens
1625* h Philippe Rixner, batelier, et (1611) Marie Friderich – luthériens
1652 v Urbain Beyer, batelier, et (1636) Anne Friedrich, (1654) Susanne Obrecht – luthériens
1659 v Daniel Jung, batelier, et (1628) Susanne Rapp, (1639) Barbe Lempfried, puis (1661) Susanne Roth – luthériens
1680* h Jean Philippe Jung, tailleur, et (1691) Marie Salomé Rauscher – luthériens
1697 v Anne Catherine Kayser, veuve du notaire Henri Merckel – luthériens
1711 v Jean Bass, journalier, et Marguerite Thorer († 1719) – luthériens
1713 v Gabriel Meyer, pilote, et (1689) Ursule Riehm – luthériens
1728 v Jean Thiébaut Reis, receveur du chapitre Saint-Pierre-le-Jeune, et Anne Catherine Rueff puis (1683) Marie Elisabeth Oberlin, veuve Heinrich – catholiques
1729 h Anastasie Reis, célibataire) († 1729) – catholique
1729 h Charles Joseph Reis, juriste, et (1743) Marguerite Louise Dumont, veuve d’Etienne Dangoisse – catholiques
1738 v Jean Michel Stein, tonnelier, et (1730) Marie Barbe Blœchel, d’abord (1712) femme du jardinier Jean Daniel Gori, puis (1736) Marie Salomé Schmutz – luthériens
1753 adj André von Zabern, batelier, et (1728) Anne Marguerite Weidenmann – luthériens
1763 v Michel Muderer, batelier, et (1752) Catherine Barbe Frech – luthériens
1787* h Jean Georges Kieffer, batelier, et (1785) Catherine Madeleine Muderer – luthériens
1818 adj Jean Jacques Schæff, juriste, célibataire († 1830)
1823 v (½) Georges Frédéric Schützenberger, brasseur, et (1798) Marie Madeleine Læmmermann
puis (1830) Georges Frédéric Schützenberger, avocat, maire, et (1826) Frédérique Fischer
(½) Charles Maximilien Fritz, pasteur, et (1793) Barbe Ziegenhagen
1841 v Jean Runtz, tisserand, et (1837) Marguerite Hamion
1853 adj (copropriétaires) Antoine Gendner, tisserand, et (1823) Barbe Hamion
Nicolas Denu, entrepreneur, et (1836) Marie Madeleine Thérèse Hollender
1864 v Aloyse Heinrich, employé à la manufacture des tabacs, et (1860) Louise Zimmer, veuve de l’employé au chemin de fer Charles Michel Wagner, puis (1871) Barbe Hickel
1892* v Julie Bausch, mercière, célibataire (1844-1924)
1918* v Frédéric (Charles Frédéric Bernard) Mayer et Hélène (Catherine Hélène) Hoss puis (1907) Rosine (Jeanne Rosine Hoss) Hoss
1939* h épouse Brinckert et Théophile Mayer

Valeur de la maison selon les billets d’estimation : 50 livres en 1670, 250 livres en 1720, 175 livres en 1754, 500 livres en 1788

(1765, Liste Blondel) X 235, Michel Mutterer
(Etat du développement des façades des maisons, AMS cote V 61) Muterer, 6 toises, 3 pieds et 5 pouces
(1843, Tableau indicatif du cadastre) O 853, Schützenberger – maison, sol – 2,55 – Runtz Jean cordonnier

Locations

1657, Jacques Horn, tailleur

Livres des communaux

1587, Livre des communaux (VII 1450) f° 491
Michel von Hipsheim règle 5 sols pour sa maison proche des ponts couverts, à savoir un encorbellement (28 pieds de long, saillie de 3 pieds), une plate-forme en pierre devant sa porte (4 pieds de long, deux pieds de large)

Beÿ der Undern gedeckten Brucken Vnd daselbs durch das Allmend Gäßlein herfür.
Michell von Hipßheim hatt ane seinem hauß oben ein Ausstoß xxviij schu lang, iij schu herauß, Vor der Thür ein steinen Tritt iiij schu lang, ij schu herauß, bessert für das Niessen, v ß d

Préposés au bâtiment (Bauherren)

1625, Préposés au bâtiment (VII 1340)
La veuve du pasteur David Friderich demande du bois servant aux ponts pour consolider sa risberme. Son charpentier devra dire combien de bois il lui faut.

(f° 214-v) Sambstag 3. Septembris – Bruckholtz begehrt
David Friedrichß des Pfarrers Zu Keÿl Wittwe, Bitt vmb Bruckholtz Zur Landvest beÿ Ihrem häusell in Crautenaw, Weiß nicht wievil sie bedarff. Ihr besohl* soll Ihren Zimmermann frag.*

Préposés aux feux (Feuerherren, 4 R 91)

1763. Le maître maçon Lingenhœlin expose les travaux qu’il va faire chez le garçon batelier Jean Michel Muderer, à savoir poser un chaudron à lessive à droite de la cour.

(f° 15) Freÿtags den 8.ten Julii 1763. – Johann Michael Muderer der schiff Knecht will in seiner behaußung ane der Hechten bruck gelegen in dem hoff rechter hand einen Bauch Keßel setzen, mit einem Camin schoos, das rohr an steinern gäbel fünff schuh über den ausschnitt des tachs hinauf, Von allem holtz entfernt. Erkannt Willfahrt – Mr Linckenhölin.

Description de la maison

  • 1720 (billet d’estimation traduit) La maison comprend plusieurs poêles, chambres, vestibules, une remise en planches, estimée avec toutes ses appartenances et dépendances à la somme de 450 florins
  • 1754 (billet d’estimation traduit) La maison comprend deux poêles, deux cuisines, deux petites chambres, le comble est couvert de tuiles creuses, la petite cave est solivée, estimée avec toutes ses appartenances et dépendances à la somme de 350 florins
  • 1788 (billet d’estimation traduit) La maison comprend deux poêles, deux cuisines, plusieurs chambres, le comble est couvert de tuiles plates, la petite cave est solivée, estimée avec le puits, appartenances et dépendances à la somme de 500 florins
  • 1818 (rapport d’experts)

Atlas des alignements (cote 1197 W 37)

4° arrondissement ou Canton est – Quai du Brochet

nouveau N° / ancien N° : 1 / 12
veuve Kiefer
Rez de chaussée et 1° étage médiocre en bois
(Légende)

Cadastre

Cadastre napoléonien, registre 25 f° 276 case 3

Buntz, Jean cordonnier à Strasbourg, Runtz (Rectif. pr. 1845)
1856, Gendner, Antoine tisserand & Denu, Nicolas entrepreneur rue du Brochet N° 12 (Finckwiller 55)

O 853, maison, sol, Rue du Brochet 12
Contenance : 2,55
Revenu total : 64,33 (63 et 1,33)
Folio de provenance :
Folio de destination : démolie
Année d’entrée :
Année de sortie : 1849
Ouvertures, portes cochères, charretières :
portes et fenêtres ordinaires : 24 / 22
fenêtres du 3° et au-dessus :

O 853, maison
Revenu total : 69,33 (68 et 1,33)
Folio de provenance : Rec.
Folio de destination :
Année d’entrée :1849
Année de sortie :
Ouvertures, portes cochères, charretières :
portes et fenêtres ordinaires : 27
fenêtres du 3° et au-dessus :
1849, Augmentations – Runtz Jean f° 276, O 853, maison, revenu 68, Augm.on de Const.on, achevée en 1846, imposable en 1849, imposée en 1849
Diminutions – Runtz Jn. f° 276, O 853, maison, revenu 63, Démolition, en 1849

Cadastre napoléonien, registre 27 f° 1028 case 1

Gentner Antoine et Denn Nicolas entrepreneur, rue du finckwiller
pr. 1866, Heinrich, Aloise
1892/93, Bausch Julia, Fräulein
1902, Bausch Julie, Inhaberin eines Merceriegeschäfts in Strassburg

O 853, maison, sol, Quai du Brochet 1
Contenance : 2,55
Revenu total : 69,33 (68 et 1,33)
Folio de provenance : (276)
Folio de destination : Abbruch – (sol) theilweise zur Straße
Année d’entrée :
Année de sortie : 92/93 – (sol) 93/94
Ouvertures, portes cochères, charretières :
portes et fenêtres ordinaires : 27
fenêtres du 3° et au-dessus :
1892, Heinrich Aloys f° 1028, O 853, Maison, Reinertrag 68, Abbruch, Zeit 1891

O 853, sol, Züricherstrasse 30
Contenance : 2,47
Revenu total : 1,29
Folio de provenance : 1028
Folio de destination : Gb
Année d’entrée : 93/94
Année de sortie :

O 1223, sol, Züricherstrasse 30
Contenance : 0,21 (total 2,68)
Revenu total : 0,11 (total 1,40)
Folio de provenance : von der öffentl. sraß
Folio de destination : Gb
Année d’entrée : 93/94
Année de sortie :
1893 – Bausch Julia f° 1028, O 853, sol 0,08, Reinertrag 0,04, zu öffentl. Straße

O 853, maison, Züricherstrasse 30
Revenu total : (4)97,40 (496 et 1,40)
Folio de provenance : Neu
Folio de destination : Gb
Année d’entrée : 94/95
Année de sortie :
Ouvertures, portes cochères, charretières :
portes et fenêtres ordinaires : 41 / 33
fenêtres du 3° et au-dessus : 23 / 18
1894, Bausch Julie, Frl. f° 1028, O 853, Maison, Reinertrag 496, Neubau, vollendet 1891, steuerbar 1894, besteuert 1894/95

Cadastre allemand, registre 30, page 411 case 7

Parcelle, section 33, n° 7 – autrefois O 863.p, O 1223
Canton : Züricherstraße, Hs N° 30 – Rue de Zurich
Désignation : Hf, Whs u NG
Contenance : 1,99
Revenu : 3400 – 4000
Remarques

(Propriétaire), compte 152
Bausch Julie
1918 Mayer Friderich Kaufman und Ehefrau Rosina geb. Hoss
1935 Mayer Charles Frédéric les héritiers et sa veuve
1939 Brinckert Fr. son épouse & Mayer Théophile
(962)

1789, Etat des habitants (cote 5 R 26)

Canton IX, Rue 344 Rue du Brochet p. 485

12
Pr. Muderer, veuve – Bateliers
[loc.] Muderer, Jean Michel, étudiant
[loc.] Kieffer Jean George – Bateliers
[loc.] Ramée, François, invalide

Annuaire de 1905

Verzeichnis sämtlicher Häuser von Strassburg und ihrer Bewohner, in alphabetischer Reihenfolge der Strassennamen (Répertoire de toutes les maisons de Strasbourg et de leurs habitants, par ordre alphabétique des rues)
Abréviations : 0, 1,2, etc. : rez de chaussée, 1, 2° étage – E, Eigentümer (propriétaire) – H. Hinterhaus (bâtiment arrière)

Züricherstrasse (Seite 203)

(Haus Nr.) 30
Restaur. z. Blauen Kreuz. 0
Geschw. Mayer, Kurz- u. Weisswarengeschäft. 01
Bausch, Rentnerin. E 1
Kretschmar, Eisb.-Sekr. 2
Schultze, Schuhmm. 2
Graf, Kaufmann. 3
Artzner, Näherin. 4
Hoss, Verkäuferin. 4
Sannwald, Schmied. 4

Dossier de la Police du Bâtiment (cote 954 W 516)

Rue de Zurich n° 52 (1884-1995)

Julie Bausch s’entend en 1890 avec son voisin Schneitz au nord pour proposer un nouvel alignement de l’impasse du Brochet entre leurs maisons. Elle fait un échange de terrains avec la Ville (vers l’impasse et vers la rue de Zurich) puis construit un nouveau bâtiment à trois étages dont le gros œuvre est terminé en juillet 1891. Le tapissier Haas fait poser une devanture en 1892. Les architectes Grünewald et Keller transforment les deux magasins en 1903. La maison est vendue en 1971 au boucher Marcel Stocki, demeurant au Neuhof.
Commerces – Coiffeur Charles Bœgelmann (1892) puis Straub (1897), Eugène Ochs (1933-1938)
Mercerie, bonnetterie, literie, tissus de Julie Bausch (propriétaire de la maison) puis Frédéric Mayer (1911), Ch. Rohfritsch (1926)
Association protestante Restaurant à la Croix bleue (1913), société Loegler et Wantz (1948), manufacture de chaussures Rapide (Ripa, 1951-1954), Quincaillerie de la Cité (Raymond Feuerstoss, 1957) puis Jean-Claude Mathis (1987)

Sommaire
  • 1884 – Le propriétaire Aloyse Heinrich se plaint de l’humidité due à un canal souterrain qui provient des maisons voisines, rue du Brochet n° 1, 1-bis et 3
  • 1888 – L’entrepreneur Haussmann (13, rue Kageneck) demande au nom de la famille Heinrich l’autorisation de ravaler la façade du 30, rue de Zurich – Autorisation – Travaux terminés, juillet 1888
  • 1890 – Les services municipaux constatent que la fosse d’aisances du bâtiment Bieler (30, rue de Zurich) n’a que trois mètres cubes – 1890 – Le maire demande au propriétaire de modifier un conduit d’aération. Travaux terminés, mai 1890
  • 1890 – Julie Bausch, propriétaire, projette de démolir la maison et de la remplacer par un bâtiment à quatre étages sur les plans des entrepreneurs J. et E. Klein. Les voisins vers l’impasse du Brochet sont Julie Bausch elle-même et le Sr Schneitz qui ont convenu d’un nouvel alignement – Une autorisation du Conseil municipal est nécessaire pour modifier l’alignement – Travaux commencés, juin 1891, on pose le quatrième plancher – Le gros œuvre est terminé, juillet 1891
  • 1890 – Les entrepreneurs J. et E. Klein (9, rue Fritz) demandent l’autorisation de bâtir la nouvelle maison selon les plans joints
    Plan du nouvel alignement impasse du Brochet (entre Bausch et Schneitz) – Plan du nouvel alignement rue de Zurich. Le préfet ratifie le 9 juin 1891 la modification de l’alignement. La Ville achète 7,60 mètres carrés et vend à Julie Bausch 20,60 mètres carrés.
    Les entrepreneurs sont autorisés à construire pour J. Bausch un bâtiment à trois étages selon le nouvel alignement
    Les menuisiers travaillent, août 1891. Travaux terminés, septembre 1891
    L’entrepreneur demande l’autorisation d’occuper la voie publique – Autorisation de poser une clôture provisoire.
  • 1892 – Le tapissier Haas demande l’autorisation de poser une devanture – Autorisation, croquis
    1892 – Rapport sur le volet roulant qu’a fait poser la mercière Julie Bausch – Croquis
    1892 – Le coiffeur Charles Bœgelmann demande l’autorisation de poser une enseigne perpendiculaire – Autorisation (manuscrite)
  • 1891 – Le directeur de l’usine à gaz demande au nom des consorts Bausch l’autorisation de faire une prise pour environ 10 becs – Autorisation
    1891 – Le même demande au nom du locataire Bœgelmann l’autorisation de faire une prise pour environ 5 becs – Autorisation
  • 1894 – Le coiffeur Charles Bœgelmann demande l’autorisation de poser une vitrine pour du matériel d’écriture – Autorisation (la vitrine a 1,95 mètre de haut, 50 centimètres de large et dépasse de 10 centimètres de la façade)
    1897 – Rappel pour recouvrer les droits. Le successeur de Bœgelmann est le coiffeur Straub
  • 1899 – La Police du Bâtiment constate que le coiffeur Strub a posé sans autorisation une enseigne perpendiculaire – Demande
  • 1903 – Les architectes Grünewald et Keller demandent l’autorisation de détruire le mur entre les deux magasins d’après le plan joint – Autorisation de modifier le rez-de-chaussée
    Le mur porteur est démoli dans le magasin de droite et remplacé par des étais avant que le nouveau mur soit construit. Travaux terminés, juillet
  • 1909 – Mlle Bausch demande à la Police du Bâtiment une visite des lieux concernant la fumée qui provient de sa maison voisine. Différentes visites ne permettent pas de relever d’anomalie.
  • 1911 – Frédéric Mayer demande au nom des consorts Mayer, successeurs de J. Bausch (mercerie, lingerie, literie, tissus), l’autorisation de poser une enseigne perpendiculaire (sur papier à lettres imprimé) – Autorisation
    1913 – Autre demande pour une inscription sur le mur vers l’impasse. Il retire sa demande après que le commissaire de police lui a dit qu’il n’avait aucun droit à verser pour une enseigne plate. La Police du Bâtiment répond que le droit de pose est réglementaire mais qu’il n’y a pas de droit annuel si la saillie est inférieure à 16 centimètres.
  • 1913 – La Police du Bâtiment constate que l’association protestante Restaurant à la Croix bleue a posé sans autorisation une enseigne perpendiculaire – Demande – Autorisation
  • 1914 – Frédéric Mayer demande l’autorisation de poser une enseigne perpendiculaire en forme de parapluie – Autorisation
  • 1926 – Ch. Rohfritsch (mercerie, bonnetterie, literie, tissus) demande l’autorisation de poser une antenne de radio entre les immeubles 30 rue de Zurich et 2 rue Fritz – Autorisation – Croquis
  • 1906 – Commission contre les logements insalubres – Les latrines sont raccordées aux canalisations, mai 1911
    1915 – Commission des logements militaires. Listes de travaux à faire, en quatre points. Correspondance, les travaux sont reportés à la fin de la guerre.
  • 1933 – Le coiffeur Eugène Ochs demande l’autorisation de poser une enseigne perpendiculaire Salon de coiffure – Autorisation, 29 mai 1933
    1933 (décembre) – La Police du Bâtiment constate qu’Eugène Ochs a posé sans autorisation une enseigne-tableau au-dessus de la devanture – Demande – Autorisation, 27 janvier 1934
    1938 – Le nouveau propriétaire Charles Graff informe la Police du Bâtiment que l’enseigne Ochs a été retirée (Eugène Ochs s’est établi 48 avenue des Vosges)
    1938 – Eugène Ochs (Salon de coiffure Chez Eugène) informe la Police du Bâtiment que son magasin est fermé depuis le premier juillet 1938
  • 1942 – Charles Graff informe la Police du Bâtiment que le store a été retiré
  • 1950 – Emile Hansmann informe la Police du Bâtiment que le nouveau propriétaire du magasin est la société Loegler et Wantz depuis le premier août 1948
  • 1951 (février) – La manufacture de chaussures Rapide (Ripa, Colmar) demande l’autorisation de poser une enseigne perpendiculaire – Croquis – Autorisation
    1951 (novembre) – La même demande l’autorisation de poser une inscription sur la devanture de droite et sur celle de gauche – Autorisation
    1954 – La maison Ripa informe la Police du Bâtiment que l’enseigne est retirée
  • 1957 – L’ingénieur Francis Reichel est autorisé au nom de Raymond Feuerstoss (propriétaire du magasin) à occuper la voie publique pendant la transformation du magasin
    Raymond Feuerstoss (11, rue Jean-Jaurès à Schiltigheim) dépose une demande de permis de construire (propriétaire Théophile Mayer, rue du Lazaret au Neudorf) – Plan de situation – Dessin (ancienne et nouvelle devanture, Quincaillerie de la Cité) – Arrêté portant permis de construire pour transformer la façade au rez-de-chaussée – Le cadre métallique est posé par Victor Hihn de Sélestat, travaux terminés, juillet 1957
    1957 – Francis Reichel demande au nom de Raymond Feuerstoss l’autorisation de poser une enseigne fixe au néon en lettres détachées – Autorisation – L’enseigne est posée
  • 1964 – Les propriétaires (M. Mayer, rue du Lazaret au Neudorf et Mme Brinckert à Colmar) sont autorisés à poser un échafaudage sur la voie publique pour ravaler la façade
  • 1965 – La société CIPEL (Compagnie Industrielle des Piles Electriques, à Levallois-Perret) demande l’autorisation de poser une enseigne perpendiculaire – Autorisation – L’autorisation est périmée sans que l’enseigne soit posée
  • 1972 – M. Brinckert, de Geispolsheim, retourne une facture en déclarant que la maison a été vendue en 1971 au boucher Stocki, demeurant au Neuhof. La gérance est assurée par l’agence Pfeiffer, rue Thomann
    1978 – Chargement de débiteur. La facture pour puits de descente jusqu’à présent au nom de l’agence Pfeiffer passe à Marcel Stocki (29, rue Principale à Offenheim)
  • 1980 – La Police du Bâtiment constate que la Quincaillerie de la Cité (Raymond Feuerstoss, 48-52, rue de Zurich) a posé sans autorisation une enseigne lumineuse à double face – Demande, photo polaroïd, croquis – Autorisation
  • 1982 – La Division II constate que les façades mitoyennes de l’immeuble 52, rue de Zurich ne présentent aucun danger – Le maire envoie à Claude Bintz (rue des Francs-Bourgeois) un courrier à propos du mur mitoyen entre le 13, rue du Renard Prêchant et la propriété de l’Office public d’HLM rue du Brochet
  • 1987 – La Police du Bâtiment constate que la Quincaillerie de la Cité a posé sans autorisation une enseigne lumineuse double face – Jean-Claude Mathis (Quincaillerie de la Cité) dépose une demande – L’architecte des Bâtiments de France émet un avis défavorable
    1987 – L’agent commercial Raymond Feuerstoss demande l’autorisation de poser à la Quincaillerie de la Cité une enseigne (Chevilles Fischer)
  • (suite non traitée)

Autre dossier, 1198 W 1979 – Zurich (rue de) n° 52 (ravalement) DT 482 96 v 0974, 1996-1997


Relevé d’actes

Le pêcheur Michel von Hipsheim et sa sœur Marie, femme de Jean Barth, les deux enfants de Gaspard von Hipsheim, vendent deux tiers de la maison à David Friderici, pasteur à Freistett en Bade, et à sa femme Barbe Frentz qui détient le dernier tiers, moyennant 100 florins

1600 (26. 7.bris), Chancellerie, vol. 327 (Imbreviaturæ Contractuum) f° 83-v
Hn Davidis Friderici Pfarrherrn zu freystetten vnd seiner Haußfr.
Erschienen Michael von Hÿpsheim der vischer vnnd Maria von Hÿpsheim deßelben eheleibliche Schwester Hans Barthen Im Zollkeller eheliche haußfraw vnd haben (verkaufft)
Herrn Davidi Friderici Pfarrherrn zu freystetten vnnd Barbarae Frentzin seiner eheligen haußfrauwen, Ihr der beeden verkeuffer Schwester Tochter
Zwehn drittheil da der dritte drittheil ihr de Keufferin Zuvor eÿgenthümblich zugehörigh ahn einer behausungk, hoffstatt, hoefflin vnd einer halben Schewren sambt allen derselben gebewen weiten begriffen Rechten vnnd gerechtigkeÿten alhie In dieser Statt Straßburg In der Krautenaw beÿ der vndersten gedeckten brucken einseit neben Michael von Hÿpsheim den verkäuffer, vnnd anderseit der verkeufferin gelegen, Hind. vff gemeldte beede verkeuffer, vornen vff S Johanns Gyß. stoßend, für freÿ ledigk vnd eÿgen (…) vnd bekandt d dieser Kauff fürgang. vnd beschehen für vnd vmb 100 fl. Straßburger wehrung

Marie, fille de Gaspard von Hipsheim, épouse en 1563 le pêcheur Balthasar Herlin puis en 1573 le boucher Thiébaut Schoner
Mariage, Saint-Guillaume (luth. n° XLIX)
1563 Balthasar Herlin der Fischer, Maria Caspar von Hipsen des Fischers tochter, die 7. Novembris. Diese seind ausgeruffen worden den XXII Sontag nach Trinitatis vnd haben hochzeitt gehaltten Zum Hirtzen vff montag vor Catharine den 22. tag Novembris, vff welchen tag ich auch mein hochzeit gehalten, wie hernach folgen wirdt. Die braut ist gar ein stille Zuchtige tochter, welche sampt irer schwester aus dem cathechismo nicht gewichen ist biß das sie in die Ehe Kommen, der Breuttigam hatt vor ein gottsförchtige fraw gehabt die den armen viel gutts gethan, aber lange Zeitt Kranck vnd blöd gewesen (i 199)
(idem, f° 77) Ehe ausgeruffen doîca xxii post Trinitatis. Balthasar Herlin, Fischer, Maria Caspar von Hipsen des Fischers tochter, celebraverunt nuptias die Lunæ ante Catharinæ die 22 Novembris Anno 63. (i 166)

Mariage, Saint-Guillaume (luth. f° 73, n° XXXIII)
1573. Diebolt Schoner ein Rindmetzger sonst Herlin Diebolt, Maria Hipsin, weÿland Balthasar Herlins nachgelaßene wittwe. Confirmatio facta die lunæ post Jacobi die 27 Iulÿ (i 261)

Marie von Hipsheim épouse en 1587 l’employé à la douane Jean Bart. Elle est veuve du boucher Thiébaut Schoner et habite aux Ponts couverts de la Krutenau dans la maison de son premier mari Balthasar Herlin
Mariage, Saint-Guillaume (luth. f° 74-v, n° III)
1587. Herr Johannes Bart Haußherr im Zollkeller, Maria von Hipsen, Diebolt Schoners des Rindermetzgers hinderlaßene wittwe (:wohnhaft beÿ der deckten brucken in Crauttenaw in Balthasar Herlins seligen ires ersten mans behausung, das sie Zum widem bekommen:), der Herr Brauttigam Hat am Schwertag vff der ge* Stülen mich gestreng* gebetten aus ursachen, das er mich nit hat konnen Zur hochzeit laden, von wegen der ordnung, die nit* wider* dann * * erlaubt Zuhalten [in margine :] Confirmatio facta die 17 Januarÿ (i 81)

Fils du pêcheur Gaspard von Hipsheim, Michel von Hipsheim épouse en 1598 Chrétienne, veuve du journalier Mathias Kling
Mariage, Saint-Guillaume (luth. f° 132, n° 13)
1598. Dominica Misericordiæ. Michel von hipßen d. fischer, Caspar v. Hipßen seligen, des fischers Son, vnd Christina Mathis Klingen des Taglöners (Botten) selig witwe (i 297)

Originaire d’Ellmendingen (près de Pforzheim), le jardinier Matthias Kling épouse en 1573 Chrétienne, fille de Frédéric Gerhard, de Calw
Mariage, Saint-Pierre-le-Jeune (luth. f° 198-v) 1573. Dominica 11. post Trinitatis. Matthis Kling von Elmedingen ein gartners knecht vnd Christina Fridrich Gerharts von Kalb nachgelaßene tochter. Eingesegnet am Montag den 10. Augusti hora 9. Außgangen in der steinstraß auß Kunigund der wiffrawen hauß (i 104)

Matthias Kling devient bourgeois un an après son mariage
1574, 3° Livre de bourgeoisie (4 R 105) p. 228
Mathis Kling von Ellmeding. der Garthner hatt das burgkrecht Kaufft cit. dient Zu den garthnern In Steinstraß Eod. die [24.ten Augusti 74]

Fils du tailleur Christophe Friedrich de Mosbach en Palatinat, le pasteur de Kehl David Friedrich épouse en 1587 Barbe, fille de l’aubergiste Claude Frantz, de Schiltigheim
Mariage, Saint-Guillaume (luth. f° 87-v)
1587. Dominica I. Aduentus. M. Dauid Friderich pfarrh. Zu Kel, Christoffel Friderichen schneiders Zu Moßbach in der pfaltz Son vnd J: Barbara Claudi Frantzen eines wirts vnd gasthalters zu Schildigheim seligen tochter, in die cantzleÿ geliefert. Confirmatio facta 11. decemb. (i 95)

Le messager Jean Kachler et sa femme Anne Frantz vendent à David Friderici, pasteur à Freistett, et à Barbe Frantz un quart de l’usufruit dont bénéficie Chrétienne Erhard, veuve du pêcheur Michel von Hipsheim, sur une maison aux ponts couverts de la Krutenau et sur un étal au marché aux poissons

1607 (xxvij tag Februarÿ), Chancellerie, vol. 370 (Registranda Meyger) f° 94-v
(Inchoat. in Proth. fol: 102.) Erschienen Hannß Kachler d. Bott burg. Zu Straßburg vnnd Anna Frantzin sein eheliche haußfrauw mit beÿstandt h. Maximiliani Erhardt burgers Zu Straßburg Ouch Bernhard Freüders auch burgers Alhier beder Ihres nechsten haben (verkaufft)
herrn David Friderici disser Zeit pfarrern Zu Freüstett vnnd Barbeln Frantzin seiner ehelich. haußwürthin bemelter Annen schwester
Einen Vierdten theil obgenannter annen der Verkoüfferin für vngetheilt gebürende Ane der Verfangenschaft des Wÿdembs Benantlich Ane Einer Behausung, In Crutenouw beÿ d. Vnderst. gedeckt. bruck. Mehr An dem Zinßbrieff vff dem Pfenningthurn j C. xxx lb d So dann Ane dem standt vff dem fischmarck welche post Christin Erhardten wÿland Michel von Hüpßheim des fischers selig. Witwe die Zeit Ihres lebens Inn wÿdems wÿß Zu nÿess. Vnd alles Recht & Also d. & Vnnd Ist dißer Kauff Zugangen vnd beschehen für vnd vmb 38 Pfund Pfenning

Barbe Frantz veuve de David Friderici, pasteur à Freudenstadt (sans doute mis pour Freistett), achète le droit de bourgeoisie le 12 février 1610 en s’inscrivant à la tribu des Pêcheurs
1610, 3° Livre de bourgeoisie (4 R 105) p. 753
Barbara Frantzin, weÿland M David Friderichs deß geweßenen Pfarrers Zu Freudenstatt hind.laßener wittib khaufft d. Burgerrecht mit Beÿstandt Bernhard Freüders deß Zieglers vnd will Zu den Vischern dienen, Actum den 12. Februarÿ 1610.

La maison revient à sa fille Marie Friderich qui épouse en 1611 le batelier Philippe Rixner, fils de Thomas Rixner : contrat de mariage, célébration

1611 (xxxj tag Julÿ), Chancellerie, vol. 396 (Registranda Meyger) f° 334
(Inchoat. in Proth. fol: 271. [Eheberedung]) Erschienen Philippß Rixner der schiffmann burger Zu Straßburg mit beÿstand & Simon Marckuta Hosenstrickers burgers Zu Straßburg seines vogts Ane eim
Sodann Maria wÿland h. David Friedrich gewesenen Pfarrers zu Freÿstett seligen dochter mit beÿstandt & Bernhard freÿdens des Zieglers burgers Zu Straßburg Ihres bißhero geweßenen vogts vnd Barbell Fräntzin Ihrer Mutter vnd Martin Baldners des vischers Ihr Barblen vogts burgers Alhie Am Anden theil
das Vor Acht wuchen ungeuorlich Als obgenante Philipß Rixner Vnnd Maria einand. ehelichen vermehlet zwüschen Ihnen vßdruckenlich Abgeredt vnd beschloßen worden seÿe

Mariage, Saint-Guillaume (luth. f° 134-v, n° 44)
1611. Dominica III. Trinit. 9. Junÿ. Philips Rixinger ein Schifknecht Thomas Rixing.s seligen nachgelaßener Sohn, J Maria, H Dauit friderichs seligen, geweßenen pfarherrs Zue Freÿstedt tochter. Eingesegnet Zinstags den 18. Junÿ, hora 10. (i 139)

Philippe Rixner et Marie Friderich vendent à leur voisin tisserand Jean Jacques Kauffmann une écurie qu’il a l’intention de convertir en jardin. L’acquéreur s’engage à ne pas y construire de bâtiment de plus d’un étage.

1626 (ut spâ. [xiij. Martÿ]), Chambre des Contrats, vol. 459 f° 205-v
(P. fol. 111) Erschienen Philipß Rixner d. Schiffmann burger Zu Straßburg vnd Maria Friderichin sein eheliche haußfr. für sich selbst, So dann Clauß Roser d. Jüng. fisch. als vogt dauid vnd anna wÿl. dauid Friderich geweßenen pfarrers Zu freüstett s. Khind. vögtlich. weiß (verkaufft)
hannß Jacob Khauffman dem leinenweber burg. Zu Straßburg
ein Stall mit Allen begriff. vnd Zugehördt. geleg. Inn d. vorstatt Straßburg, In Crutenauw beÿ d. Vnderst gedeckht. bruck. einseit nebent der verkäuffern behaußung anderseit vnd hind. neben dem Kheüffer selbst, für led. eÿgen, Vnd Ist diser Khauff & Vmb j. C. lb
vnd Ist hierin Abgered, die weil er d. Khoüffer dissen Stall Zu einem gartt. Zuvert. Vorhabens, das Zu ewig. Zeit. nicht höher als ein eintzig. stock hoch vff dessen platz soll gebauwen werd.

Autre contrat entre les mêmes, portant vente d’une cuisine et d’une petite cour

1626 (ut spâ. [22. Martÿ]), Chambre des Contrats, vol. 459 f° 237-v
(Inchoat. in Prot. fol. 131) Erschienen Maria Frid.ichin mit beÿstand s. Philipß Rixners deß schiffmanns ihres ehevogts burgers Zu St. vnd Clauß Rosers des Jüngern Vischers
bekannte in gegensein hannß Jacob Kaufmanns deß Leinenwebers, auch burgers Alhie (verkaufft)
Ein Küchen vnd höfflin alhie im Crautenaw beÿ der vndersten gedecken Brucken, einseit neben ihr der verkäufferin vnd ihrem eheman 2. seit Niclauß Bechtoldt dem leinenweber hinden vff dem Stall, so er Keüffer allererst von ihme Rixner vnd Clauß Rosern obgedacht den 13. diß, wie hieuornen fol. 205. f. 2. Zusehen, erkaufft, stoßend gelegen, so gantz ledig eÿgen Vnd ist diser Kauff geschehen per xxv. lb
dabeÿ auch angedingt, daß an disen ohrt zu ewigen Zeiten nit höher Alß ein eintzigen stockh hoch soll gebawen werd.

Les six enfants de feu Philippe Rixner vendent la maison à leur voisin le garçon batelier Urbain Beyer moyennant 65 livres

1652 (15. Julÿ), Chambre des Contrats, vol. 512 f° 436
Erschienen Philipß Rixner der Schiffknecht für sich selbst und Georg Fritschmann der Schiffmann alß Vogt Mariæ, Annæ Sÿbillæ, Margarethæ, Elisabethæ, und Saræ sein Philipß. Schwestern, alle weÿl. Philipß Rixners deß Schiffmanns seel: Kinder, mit beÿstand H Johann Wolffgang Heßners und H Mathiæ Hellbeckhß genannt Behem, beed. alß vß E.E groß. Rhats mittel hierzu insonderheit Deputirter
in gegensein Urban Baÿers deß Schiffknechts
hauß, hoffstatt, höfflin, mit allen deren Gebäwen alhie in der Krautenaw, beÿ der undern etwann gedeckhten Bruckh. einseit neben dem Käuffern, anderseit neben (-) Schmutzen deß Fischers seel. Erben, hind. vff H Hannß Jacob Kauffmann alt. groß. Rhats Verwanthen stoßend gelegen – umb 65 lib
[in margine :] Erschienen hierinngemelter Philipß Rixner der Schiff Knecht, Mehr hannß Jacob Schmid auch Schiffknecht Und Burger alhie alß Ehevogt Annæ Sibillæ, Und dann Johannes Zoller der Leinenweber und burger alhie alß Ehevogt Mariæ der Rixnerischen Schwestern bekannten in gegensein deß Käuffers (…) Act. den 25. Julÿ a° 1653

Fils du batelier Urbain Beyer, Urbain Beyer épouse en 1636 Anne Friedrich, fille du pasteur Thiébaut Friderich, qui a épousé en premières noces Jean Thiébaut Philipps en 1628.
Mariage, Saint-Guillaume (luth. p. 183 n° 9)
1628. Dncis ÿsdem [3 et 4 p. Epiph.] Hans Diebolt Philips Schiffknecht Erhardt Philipsen Schiffmanns p. m. Sohn, J. Anna, h. diebold Friderichs gewesenen pfarrherrn zu Bech* Tochter. Aderat (…) Confirmatione facta Zinstags 5. Febr. horâ 10. (i 365)

Mariage, Saint-Guillaume (luth. f° 90)
1636. Dominica IX et X. Urban Beÿer d. Schiffmann alhie Urban Beÿers des Schiffmanns burgers alhie ehe: Sohn, vndt Anna, Weÿl. Hanns Diebolt Philipsen deß Schiffmanns vnd burgers alhie nachge. eheliche witwe. Cop. Montags d. 22. Aug. Zu St. W. (i 289)

Urbain Beyer se remarie en 1654 avec Susanne, fille du garçon batelier Jean Obrecht
Mariage, Saint-Guillaume (luth. f° 26, n° 22)
1654. Dncis Iidem [IX et X p. Trinitatis 23/31 Julÿ] Urban beÿer der Schiffknecht oder Steur Mann auch B. alhier, vndt Jungfr. Susanna, hans Obrechts auch gewesenen Schiffknechts v. B. alhie (…) Conf.Mont. 31. Julÿ (i 29)
Mariage, Saint-Guillaume (luth.

Urbain Beyer hypothèque deux maisons sous un même toit au profit du pasteur Balthasar Frédéric Saltzmann pour délivrer sa part d’héritage à sa belle-fille Anne Marie, fille du batelier Jean Thiébaut Philipps

1653 (23. Julÿ), Chambre des Contrats, vol. 514 f° 382-v
Erschienen Urban Beÿer der Schiffmann und Burger alhie
hatt in gegensein H. Balthasar Friderich Saltzmanns SS Theol. Licent. und Freÿ Predigers alhie, bekannt, daß Er Beÿer von ehrengedachtem H. Lt. Saltzmann Zu Völligen Außweißung Annæ Mariæ weÿl. hannß Diebolt Philipßen des Schiffmanns seel. dochter seiner Stieff dochter und liberirung nachgeschriebener Behaußung , schuldig seÿen 25 Pfundt
Underpfand sein sollen Zweÿ häußer under Einem dach mit deren höffen, hoffstätten und allen anderen deren Gebäwen alhie in Krautenaw in St. Johannis Gießen, beÿ der understen gedeckhten Brucken, einseit neben H Hannß Jacob Kauffmann dem ältern EE. großen Rhats alten Beÿsitzern anderseit neben hannß Philipßen dem Fischern hinden uff vorgemelts H Kauffmanns Garten stoßend gelegen, Welche Behaußung noch verhafftet seindt Vmb 14. lb. d Saræ weÿl. Philipß Rixingers deß Schiffknechts undt Burgers alhier seel. dochter sonsten seÿen

Urbain Beyer vend la moitié de la maison au garçon batelier Jacques Riehm et à sa femme Ursule en se réservant l’autre moitié. Un mur de séparation sera élevé et entretenu à frais communs

1654 (9. Febr.), Chambre des Contrats, vol. 516 f° 88-v
(Protocoll. fol. 113.) Erschienen Vrban Beÿer der Steurmann
hatt in gegensein Jacob Rhiemen deß Schiffknechts und Ursulæ seiner ehelich. haußfrawen
Eine abgetheilte Behaußung so mit ein deß Verkäuffers zurück behaltend. Behaußung under eben eiinem dach stehet, und einen abgetheilten Keller, einen abgetheilt. hoff, ein abgetheilt. haußehren, ein sonderbahre Kuch und Stub, und treÿ Kammern, aber keinen theil ahne der Bühnen hatt, alhie iin der Krautenaw, beÿ der underst. etwann gedeckhten Bruckh. einseit neben dem Verkäuffern, anderseit neben hannß Philipß dem Fischern, hind. vff H hannß Jacob Kauffmanns alten groß. Rhats verwanthens Garten stoßend gelegen, Vnd seÿen zwar beÿde häußer noch umb 25. lib d. Balthasar Friderich Saltzmann SS Theol. Lto. und Freÿpredigern alhie verhafftet, Es gelobte aber der Verkäuffer die kauffende Eheleuth dißer Beschwärd. halben allerdingß clag: und schadloß Zumachen, beÿ verhafftung seiner Zu rückh behaltenen Behaußung, sonst. seÿe die verkauffte Behaußung ledig. und eig. Dabeÿ ist außtruckhlich abgeredt word., daß es beÿ obgedachter Abtheilung der häußern Zwisch dem Verkäuffern und den Kauffend. Eheleuth und allen deren Nachkommen für und für, und insonderheit die gantze Bühn so vor dißem zu beÿd. häußern gehört hatt, dem Verkäuffern und iedesmahligen Besitzern seiner Behaußung verbleiben, Nichts desto wenig. aber die kauffende Eheleuthe und iedesmahlige Besitzer d. erkaufften Behaußung daß halbe tach, und so weit ihr Gebäw und. der Bühnen raÿcht, in ihrem Costen und dann beÿde iedesmahlige Nachbahren, die Vnderscheidung, Maur und wand, damit die beÿde häußer abgesondert seind in gemeinen Cost. Zu erhalten schuldig sein solle – umb 65. lib

Urbain Beyer loue au tailleur Jacques Horn sa maison à côté de l’auberge au Brochet

1657 (29. Maÿ), Chambre des Contrats, vol. 522 f° 252-v
Erschienen Urban Beÿer der Stewrmann
in gegensein Jacob Hornen deß Schneiders
Verlühen habe, hauß, hoff, hoffstatt mit allen deren Gebäwen & alhie in der Krautenaw beÿ der Vndern etwan gedeckht geweßenen Bruckhen, einseit neben hannß Jacob Kauffmann Würth Zum Hechten, and.seit neben Jacob Rihmen dem Schiffknecht, und hinden vff Michael Pfennings Garten stoßend gelegen, Vff Sechß Jahr lang Von Michaelis dißes Jahrs angerechten, für Und Umb einen Jährlich. Zinnß benantlich. 5. lb 15. ß

Urbain Beyer vend sa maison au batelier Daniel Jung moyennant 65 livres

1659 (30. Maÿ), Chambre des Contrats, vol. 524 f° 392-v
(Protocoll. fol. 51.) Erschienen Urban Beÿer der Schiffmann und Burger Zu Straßburg
in gegensein Daniel Jungen deß Schiffmanns
Hauß, hoff, hoffstatt, mit allen deren Gebäwen und zugehördten alhie in der Vorstatt Krautenaw einseit neben Jacob Riehmen dem Schiff knecht anderseit neben der Herberg Zum Guldenen Hechten, hinden vff Michael Pfennings deß Gartners garten stoßend gelegen – umb 65. lb

Le garçon batelier Daniel Jung épouse en 1628 Susanne, fille de l’arquebusier Thomas Rapp.
Mariage, cathédrale (luth. p. 264)
1628. Donâ 23. Trin: 16. 9.bris. Daniel Jung der Schifknecht, Hans Jung des schifmans e. sohn, vnd J. Susanna Thoman Rab des büchsenmachers e. tochter, eingesegnet montag 24. 9.br (i 137)

Le batelier Daniel Jung se remarie en 1639 avec Barbe, fille du teinturier Gaspard Lempfried, de Molsheim
Mariage, Saint-Guillaume (luth. p. 137)
1639. Dominica VIII Trinitatis. Daniel Jung der Schiffmann vndt burger alhier vndt Jungfraw Barbara, weÿlandt Caspar Lambfrid deß Ferbers vnd burgers Zue Moltzheim nachgelaßene eheliche Tochter. Copulirt zue St Wilhelm d. 19. Aug. (i 314)

Il se remarie en 1661 avec Susanne, fille du boulanger Michel Roth
Mariage, cathédrale (luth. f° 4 n° 13)
1661. Dom: Invocavit den 3.ten Martÿ. Zur 2. mahl hr Daniel Jung der Schiffmann undt Bürger alhier undt Jfr. Susanna Michel Rothen des Weißbecken undt Burgers alhie ehel. Tochter. Montags den 11.ten Martÿ Fischerst: Münster (i 5)

Daniel Jung l’aîné meurt en 1670 en délaissant neuf enfants issus de ses deux derniers mariages. La succession comprend six maisons à la Krutenau. La masse propre à la veuve est de 67 livres, celle propre aux héritiers de 1629 livres. L’actif de la communauté s’élève à 1011 livres, le passif à 1527 livres. Les experts estiment la maison à 50 livres.

1670 (2.4.), Not. Oesinger (David le jeune, 38 Not 4) n° 9
Inventarium Vndt Beschreibung aller vndt Jeder Haab, Nahrung undt Güeter, Ligender vndt Vahrender, Veränderter vnd Vnveränderter, Keinerleÿ davon außgeschloßen noch hindengesetzt, So Weÿland der Ehrengeachte H Daniel Jung der Eltere geweßene Schiffmann vndt burger alhie Zu Straßburg auff deßelben den 19. Februarÿ deß fortruckenden 1670.sten Jahrs erfolgten tödlichen Hintritt Verlaßen, welche auff gepühriches ansuchen erfordern vndt begehren, Aller auff nachbeschriebenem Blatt bemelter vndt auß Zweÿerleÿ Ehen erzeügter Kinder vnd par Testamentum Nuncupativum eingesetzter (…) Erben – So beschehen in Straßburg Donnerstags den 21. Aprilis Anno 1670.
Copia Codicilli. 1669 (…) Montag den 8. Tag deß Monats Februarÿ Alten Calenders (…) vor mir Gottfried Stößern dem Alten alß hierzu in specie req.rirten Kaÿßerl. Notario publico, wie aich H Johann Ludwig Imlin, Cancelleÿ Secretario (…) persönlich erschienen sind der Ehrsame Hr Daniel Jung Schiffmann vnd burger Zu Straßburg vnd die tugendsame Fraw Susanna Jungin gebohrne Rothin, sein Eheliche haußfrau, Jede durch Gottes miltreiche Güthe noch uffgerichten stehenden und gehenden Leibs, auch völligen versatnds, Richtiger Sinn vnd vernünfftiger Rede (…) Gottfrid Stößer senior, Sacræ Cæsare. Majest: Auth: publicus et Reipubl. Argent. Cancell. Contract. Notarius mpp.
Der abgeleibte Daniel Jung seel. hatt zu Erben per Testamentum nuncupativum Verlaßen seine auß mittler vnd Letster Ehe erzeugte Kinder 1. Daniel Jung den Jüngern Vnd Verzogenen Schiffmann vnd burgern alhie, welcher sich für dießen mahl in Ost Indien auffhalten solle, der Allein Vermög Testaments in die Legitimam instituirt ist, In dessen Nahmen der Ehren Veste, Fürsichtige vndt Weiße Herr Abraham Goll unschlittverwalter vnd E. E. Kleinen Raths Jetzmahliger beÿsitzer, vnd auß deßelben Mittel erbettenen Deputirten Zugegen. 2. Annam Mariam Jungin, deß Ehrsamen vnd bescheidenen Hanß Jacob Bößen deß Schiffmans vnd burgers alhier, Eheliche haußfraw, So zugegen, 3. Hanß Jacob Jungen, den Ledigen Schiffknecht, 4. Hanß Martin Jungen, dieße 4 auß Mittler Ehe mit weÿl. Fr. Barbara Lempfridin Ehelich erzeugter Kinder, dießer dreÿen Letztere Geschworner vnd noch Vnerledigter Vogt H. Christoph Milling burger vnd Metzger alhie,
5. Hanß Daniel, 6. Susannam, 7. Hanß Philippßen, 8. Hanß Michael, 9. Hanß Fridrich, 10. Weilen wie die Wittib berichtet, daß Sie schwangern Leibs, so hatt mann dann, noch ein Posthumum Zugewarten, dieße 5. Letzeren Vorhanden vnndt Künfftig noch erwartenden Posthumum mit eingangs bemelter Wittib auß dritter vnd letzter Ehe erzeugte Kinder geschworner Vogt der Wohl Ehrenvest, Fürsichtig vnd Weiße Herr Geörg Sigmund Fettich E.E. Kleinen Raths alter beÿsitzer

In Einer In der Statt Straßburg In der Krautenau in dem Breüschgäßlein gelegenen, vndt In dieße Verlaßenschafft gehörige Behausung so hernacher auch eingetragen vnd specificirt würdt Ist befunden worden Als Volgt
Hultzenwerck, Auff der Obern bühn, In der Obern Stuben, In der Kuchen, Im Hauß Öhren, In der Cammer A, In d. Wohnstub, In der Kuchen, Im Undern haußöhren,, Cammer B, Vor dißer Cammer, Auff dem Kleinen Bühnel, Im Vord.n Vndern Haußöhren, Im Kleinen Keller, Im Nebens Hauß Keller
Eügenthumb ahne Haußern. (E.) Item ein Hauß vnd Hoffstatt in der Statt Straßburg vnd dero vorstatt Krautenauw im Breüschgäßlin (…)
(E.) Item ein Hauß vnd Hoffstatt in der Statt Straßburg vnd dero vorstatt Krautenauw im Breüschgäßel (…)
(E.) Item ein Hauß vnd Hoffstatt in d. Vorstatt Krautenauw beÿm fischer thor im Finsternuß gäßlein (…)
(E.) Item ein Hauß Hoff vnd Hoffstatt in d. Vorstatt Krautenauw in der Viehgaß (…)
(E.) Item ein Hauß, Hoff, Hoffstatt mit allen dero gebäwen, begriffen, rechten, Zugehörden vnd gerechtigkeiten in d. Vorstatt Crautenauw, j.s n. Jacob Riemen dem Schiffknecht, 2. s der Herberg Zum Guldenen Hechten, Hinden auff Michell Pfennings deß gartners garten stoßend gelegen, so auch allerdings freÿ Ledig vnd eigen vnd hiehero æstimirt vnd angeschlagen word. vmb 50. lb. Hierüber sagt ein teutscher Pergamentener Kauffbrieff in allhißiger Cancelleÿ Contract stuben gefertiget vnd dero anhangenden Insigell verwahret datirt den 30. Maÿ Anno 1659. bezeichnet mit N° 6.
(T.) Item ein Hauß, Hoffstatt, Höfflin in d. Vorstatt Crautenauw beÿ der hohen bruck (…)
Ergäntzung der Erben Unveränderten Guths. Vermög deßen über weÿl. Fr. Barbara Lempfridin deß verstorbenen andern Haußfr. seel. auffgerichteten Inventarÿ in A° 1660. durch Weÿl. H Christoph Kernstockh Not. sel.
Ahne Behausung, Item (…) in der Crautenaw ahn dem Fischerstaden Inn der Newen gaßen gelegen
Abzug In dießes Inventarium, Sa. haußraths 4, Sa. Silber geschirr und Geschmeids 24, Sa. Guldenen Ringen 20, Sa. baarschafft 19, Summa summarum der Fr. Wittib Unverändert Vermögens 67 lb
Der Erben Unveränderte Verlaßenschafft, Sa. hausraths 147, Sa. Schiff und geschirr 11, Sa. Lähren Vaßen 10, Sa. Silber geschirr und Geschmeids 78, Sa. Guldenen Ring 8, Sa. Pfenningzinß hauptgüter 66, Sa. Eigenthumbs ahne heüßern 385, Sa. Ergäntzung (1801 lb, Abgang 381, Nach deren Abzug) 1419 lb, Summa summarum 2128 lb – Schulden 498 lb,per Rest 1629 lb
Theilbahre Verlaßenschafft, Sa. haußraths 39, Sa. Schiff und geschirr zur Schiffarth 151, Sa. Früchten 15, Sa. Weins 78, Sa. Silbergeschmeids 9, Sa. baarschafft 573, Sa. Eigenthumbs ahne einer Behaußung 125, Sa. Schulden 18, Summa summarum 1011 lb – Schulden 1527 lb, Passiv onus 516 lb – Conclusio finalis Inventarÿ 1410 lb

La maison revient à son fils tailleur Jean Philippe Jung qui épouse en 1691 Marie Salomé, fille du cordonnier Michel Rauscher

Mariage, cathédrale (luth. 27-v, n° 167)
1691. Dom: 18 post Trinit: seind Zum I mahl außgeruffen Word. Johann Philipp Jung der Schneider Weiland Daniel Jungen Burgers und Schiffmanns ehel: S. Jfr. Maria Salome Hans Michel Rauschers Schuhmachers und burgers ehel. T. Sind Mittwoch den 24.ten 8.bris copulirt Word. [unterzeichnet] iohan philib iung als hochzeiter, m Ist de Hochzeiterin Zeichen (i 28)

Ancien aubergiste à l’Ecrevisse rouge, Jean Philippe Jung meurt en 1723 dans sa maison rue des Juifs en délaissant cinq enfants. La masse propre à la veuve est de 28 livres, celle propre aux héritiers de 14 livres. L’actif de la communauté s’élève à 1767 livres, le passif à 443 livres.
1723 (17.6.), Not. Oesinger (Jean Adam, 39 Not 32) n° 849
Inventarium und Beschreibung aller derjenigen Haab, Nahrung und Güethere, Liegender und fahrender, Verändert und unveränderter, Keinerleÿ davon außgenommen, so Weÿl. der Ehrsame und achtbare Herr Johann Philipp Jung der geweßene Gastgeber zum Krebß vnd burger allhier zu Straßburg, nach seinem den 15.ten Octobris deß zurückgelegten 1722.ten Jahres aus dießer mühesammen und Zergänglichen Welt genommenen seel. hientritt, Zeitlichen verlaßen, Welche Verlaßenschafft auf freundliches ansuchen erfordern und begehren S.T. M. Joh: Philipp Jungen S. S. Theol. Cultoris, so majorennis Und herrn Johann Martin Rothen, Weißbeckens vnd burgers allhier als geschwornen Vogts Mariæ Margarethæ, Mariæ Magdalenæ, Susannæ Margarethæ vnd Geörg Friedrichs, der Jungen, deß verstorbenen seel. mit hernach gemelter seiner hinterbliebenen Wittib ehelich erzeugten vnd nach todt Verlaßenen fünff Kindern auch ab intestato nechsten rechtmäsigen Erben, Inventirt und ersucht durch die Erhen und tugendhaffte Fraw Mariam Salomeam gebohrne Reuschin, beÿständlich deß Ehrenhafften vnd bescheidenen Herrn Joh: Friderich Lungen Schloßers vnd burgers allhier, ihres beeÿdigten Curatoris (…) Actum ib der Königlichen Stadt Straßburg, Sambstags den 17. Julÿ Anno 1723.
Es ist eine Eheberedung Vorhanden, so durch weÿl. Jerrn Johann Friderich Schatzen Notarium publ. den 26.te Septembris Anno 1691. auffgerichtet worden
Sodann auch ein Codicillum reciprocum so auch durch vorgedachten H. Notarium seel. den 18.ten Aug. Anno 1697. auffgerichtet worden.
Bericht daß nicht in die Ehe inventirt worden

In einer allhier in der Königlichen Statt Straßburg theils ane der Juden theils ane der Zimmerleuth Gaßen gelegenen in dieße Verlaßenschafft gehörigen Zum rothen Krebs genannten vnd hernach beschriebenen Gastgeber behausung befunden orden wie folgt
Eigenthumb ane einer Behaußung. (T.) Hauß vnd hoffstätt, so das Würths hauß Zum roth. Krebß genannt (…)
Series rubricarum hujus Inventarÿ. Der Wittib ohnveränderte Nahrung, Sa. Silbers 8 ß, Sa. Guldener Ring 2, Sa. Schuld 25, Summa summarum 28 lb
Der Erben unverändert vätterlich Verlaßenschafft 11 lb – Schulden 25 lb, Compensando 14 lb
Das Gemein Verantwortung und theilbar Guth, Sa. haußraths 88, Sa. Wein und lehren faß 103, Sa. Pfenningzinß hauptguths 275, Sa. Eigenthumbs an einer behaußung 1300, Summa summarum 1767 lb – Schulden 443, Nach deren Abzug 1313 lb
Bestallung und Beschluß summa Inventarÿ 1337 lb

Jean Philippe Jung vend la maison à Anne Catherine Kayser, veuve du notaire Henri Merckel

1697 (17.1.), Chambre des Contrats, vol. 569 f° 25-v
Prot. fol. 8) Erschienen Hans Philips Jung der Schneider
hat in gegensein Fr. Annæ Catharinæ geb. Kaÿserin weÿl. H. Johann Heinrich Merckels gewesenen Not. publ. seel. nachgelaßener Wittib mit beÿstand Philips Sandrocks des Büttels beÿ E.E. Zunfft der Encker
Hauß, Hoffstatt, Höfflein, Schopff, mit allen übrig. deren gebauen, begriffen, weithen, rechten vnd Zugehördten allhier in d. Vorstatt Krautenau, beÿ der Nidersten gedeckten, modo Hechten brucken, einseit ist ein Eck am Waßer, anderseit neben Hans Georg Seifert dem Fischer, hind. auff H. Johann Carl Obechts, des Stuben Vatters auff d. beckenknecht Stuben Gartten, stoßend gelegen – umb 95 pfund

Anne Catherine Kayser vend la maison au journalier Jean Bass moyennant 150 livres

1711 (21. Xbr), Chambre des Contrats, vol. 584 f° 727
(150) Anna Cath: Merckelin wittib geb. Kaÿßerin beÿständlich H. Mathis Häß deß scribenten weilen unbevögtigt
in gegensein hanß Baß taglöhners
hauß hoffstatt höfflein Schopff mit allen deren gebäuen, begriffen, weithen, rechten und gerechtigkeiten in der Krautenau beÿ der hechtenbruck, einseit ist ein eck ahm wasser anderseit neben hanß Adam seifert hinten auff H. Frantz Kühn – um 150 pfund

Fils du journalier Jean Bass et d’Odile Nonnenmacher, Jean Bass naît en 1661. Il épouse Marguerite Thorer, meurt en 1719 à l’âge de 58 ans. Son fils Jean Michel Bass et son gendre par alliance Jean Wachter signent l’acte de sépulture
Sépulture, Saint-Guillaume (luth. reg. A, 1708-1729, f° 110.b, n° 44)
Donnerstag d. 15 Jun. vor 6 mat. 1719. starb Hans Baaß der tagner v. Burger allhier Margarethen Thorerin nunmaliger wittib, ehemann ward begraben Sambst d. 17. eiusd. ad D. Urb. morbus geschwulst ætas 58 jar 4 monat 16 tag Wie Zeug. [unterzeichnet] Johann Michael baß als sohn, * Ist d handzeichen Joh. wachter deß stief dochtermans (i 112)

Baptême, Saint-Guillaume (luth. f° 152, n° 7)
1661. Dom. III. P. Epiph 27. Jan. Johannes, Hans Baaß, Von Badenweÿher, Taglöhner (an d. G*), Othilia Nonnenmacherin (i 124)

Jean Bass revend la maison deux ans plus tard au pilote Gabriel Meyer et à sa femme Ursule Riehm

1713 (ut ante [2. Sept.]), Chambre des Contrats, vol. 586 f° 500
(170) hanß Baß Taglöhner
in gegensein Gabriel Meÿers steurmanns und Annæ Ursulæ geb. Rhimin
hauß hoffstatt höfflein schopff mit allen deren gebäuen, begriffen, weithen, rechten und zugehörden allhier in der Krautenau beÿ der hechtenbruck, einseit ist ein eck ahm wasser anderseit neben hanß Adam Seifert hinten auf Frantz Kühn – (um 125 und 25 pfund verhafftet) geschehen um 20 pfund

Le garçon batelier Gabriel Meyer épouse en 1689 à Schiltigheim Anne Ursule Riehm, enceinte, fille de batelier
Schiltigheim (luth. p. 84)
Heut dato d. 7. Martÿ 1689. hab ich (…) Gabriel Meÿer den ledigen Schiffknecht Gabriel Meÿers auch Schiknechts Zu Straßburg hinderlaßener ehelicher Sohn, Vnnd Anna Ursula Riemin seine geschwächten Abraham Riemen Schiffers Von Straßburg eheliche dochter nach geschehener außruffung ehelich allhier copulirt v. eingesegnet [unterzeichnet] Gabriel Meÿer hochzeiter, Anna Ursula Riemin hochzeiterin dero handzeichen a r (i 31)

Gabriel Meyer et Ursule Riehm hypothèquent leurs deux maisons au profit d’Anne Marie Quadt assistée de son fils le pasteur Jean Daniel Pflaum

1718 (5.11.), Chambre des Contrats, vol. 591 f° 556
Gabriel Meÿer der schiffmann und Anna Ursula geb. Riemin mit beÿstand Abraham Riem des Schiffmanns ihres leiblichen bruders und Johann dieboldt Jüngern fischhändlers ihres schwagers
in gegensein Annæ Mariæ Pflaumin geb. Quadin wittib so ohnbevögtigt mit H. Johann Daniel Pflaumen Diaconi zu Plobß: und gerstheim ihres leiblichen Sohns verbeÿstandet – schuldig seÿen 420 pfund
unterpfand, erst: hauß höffein hoffstatt mit allen deren gebäuen, begriffen, zugehörden und gerechtigkeiten in d. Krautenau ahm blumen gießen, einseit neben Daniel Hahnen Erben anderseit neben Johann Krauß dem Maurer hinten auff Johann Weinsticher gartenmann
Ferner hauß höfflein hoffstatt cum appertinentÿs in ged. Krautenau beÿ der hechten bruck einseit neben hans adam Sÿfert dem fischer anderseit ist ein eck hinten auff. H. Frantz Kuhn

Gabriel Meyer meurt en 1720 dans la maison en délaissant six enfants. L’observation préliminaire établit que les conjoints Meyer n’ont pas passé de contrat de mariage ni établi d’inventaire de leurs apports. L’inventaire mentionne trois maisons toutes près du pont du Brochet. Les experts estiment la maison 250 livres. La masse propre à la veuve s’élève à 27 livres. L’actif de la communauté s’élève à 783 livres, le passif à 781 livres.

1720 (12.4.), Not. Oelinger (J. Frédéric, 36 Not 5) n° 127
Inventarium und beschreibung aller der Jenigen Haab undt Nahrung so Weÿl. der Ehrengeachte Herr Gabriel Meÿer geweßener Schiffmann Undt burger allhier zu Straßburg nunmehr Seel. nach seinem den 3. Aprilis deß Zurückgelegten 1719. Jahrs genommenen tödlichen ableiben zeitlichen Verlaßen, Welche Verlaßenschafft auf freundliches ansuchen erfordern und begehren des Ehrsamen und bescheidenen Johann Jacob Göppel Schiffer undt burgers allhier Zu Straßburg als geordnet und geschworenen Vogts deß abgeleibten Seel. mit hernach gemelter Wittib ehelich erzeugter Kinder undt ab intestato rechter Erben Welche alle dießem tituls Inventarÿ nach ordentlich benambset fleißig inventirt und ersucht durch die Ehren Undt tugendsame Fraw Annam Ursulam gebohrne Riehmin die hinderbliebene Wittib beÿständlich Herrn Andrea Eckerts Schiffmanns Vndt E. E. Kleinen Raths Zu ged. Straßburg Ihres geordnet und geschworenen Vogts (…) geäugt und gezeigt – Actum Straßburg Freÿtag den 12. Aprilis Anno 1720.
Bericht gegenwärthigen Inventarÿ. Nach deme Eingangs gemelte Wittib gleich beÿ anfang dießer Inventation auff Anfragen in gegenwarth des H. Deputati declarirt v. berichtet d. Sie mit Ihrem Verstorbenen Ehemann Seel. Zu Zeit Ihrer Verheurathung keine Eheberedung auffgerichtet auch das Zugebrachte nicht inventirt, Weilen aber die Wittib ein theilregister über herrn Abraham Riehmen geweßenen holtz Schiffmanns allhier Ihres Vatters Seel. Verlaßenschafft in A° 1713. producirt, so hat mann Ihro die annoch Vorhanden geweßenen Natural posten Eÿgenthümblich Zugeschrieben, das übrige aber nach hießiger Statt löblichen gebrauch und ordnung vor theilbar geachtet v. Inventirt word.
Der Verstorbene Seel. hat ab intestato Zu Erben verlaßen Wie Volgt. 1. Fr. Annam Margaretham Meÿerin Conrad Reißen Fischer und burgers Zu Seckenheim Ehefrau so allhier ohnverburgert, In deri Nahmen als frembd v. ohnverburgerte Erbin S. T. Herrn Johann Caspar Mühlbergers hochmeritirten Schaffners der Schenckbecherischen Stifftung und E.E. Klienen Raths allhie wohlansehnlichen beÿsitzers auß ged. Ehr. Kleinen Raths mittel Zu dieser Inventation in specie deputirten herren, dem Geschäfft in persohn beÿgewohnt,
2. Fr. Annam Catharinam Meÿerin, Johann Caspar Endriß beck undt burgers allhier Ehefr.
3. Gabriel Meÿer leediger Schiffknecht, 4. Annam Ursulam Meÿerin, 5. Hannß Jacob Meÿer und 6. Abraham Meÿern dero 4. Jüngste Nahmen hat hannß Jacob Göppel Schiffer allhier als dero geschworner Curator dem geschäfft beÿgewohnt. Alle Sechs des Verstorbenen Seel. ab intestato nächster Erben, alles zu gleichen portionen vnd Stammtheilen

In einer allhier Zu Straßburg ohnfern der hechten bruckh gelegenen Vndt in dieße Verlaßenschafft Eÿgenthümblich gehörigen behaußung sich Volgender maßen befund.
Ahne höltzenwerckh. In der Cammer A, In der Cammer B, In der Undern hindern Stub, In der Soldaten Cammer, Im Hauß Öhren, Im Keller
Eÿgenthumb ahne Häußern. (T.) It. eine behausung, hoffstatt v. höfflein, sambt all dero weithen zugehördten Rechten v. gerechtigkeiten gelegen allhier Zue Straßburg in der Krauttenaw beÿ der hechten bruckh, 1. s. ist ein Eck am waßer a.s. neben Mathiß Bilßen, geweßenen bleichers Erben, hinten vff S. T. Herrn Dr. Silberrad stoßend ([biffé] davon gehet ab j lb d Zinß Jahrs vff Joh. Baptistæ Hanß Baaßen deß geweßenen Taglöhners allhier Seel. Erben so wid. lößig in hauptgut mit 25. lb. d Sonsten freÿ leedig und) Eÿgen vnd ist solche behaußung vermög einer beÿ mein Notÿ Concept befindl. Schrifftl. Abschatzung datirt 11. Aprilis 1720. durch die allhießig geschworene Werckmeistere annoch æstimirt pro 225. lb. Hierüber sagt ein teutscher pergamentener Kauffbrieff auß allhießiger C. C. Stuben gefertiget und dero anhangend. Insiegel verwarth datirt den 4. 7.bris A° 1713 v. N° 1 notirt
(T.) It: eine behaußung hoffstatt höfflein v. hoffstatt m. allen gebäwen begriffen weithen zugehördten, Rechten v. gerechtigkeiten gelegen allhier Zu Straßburg in der Krautenaw ane dem blumengießen geleg. 1.s neben hanß Michael Wetzel Kachlern a.s. neben Johann Kraußen, Maurern, hindten vff Johann Weinsticher Gartenmann stoßend und ist solche behaußung durch sie allhießig. Werckmeistere vermög obiger abschatzung æstimirt worden pro 500. lb. Darüber ist vorhanden ein teutscher pergamentener Kbrieff auß allhieß. C. C. Stuben gefert. vndt mit dero anhangend. Insiegel Verwahrt datirt den 17. 8.bris A° 1715. und N° 2. not.
Item den achten theil ane einem Sechsten theil Von v. anr 3/6. theil ane einer behaußung
in der Vorstatt Krautenaw ohnfern der hechten brucken
– Abschatzung d. 11.t. Apprill: ano: 1720. Weÿlandt deß Ehren hafften Vnd bescheiten: H: Gabrüell Meÿer schiff Man, Seel: hündter Laßenen Frau Witib Vnd Erben Ist Eine behaußung Alhier in der Statt Straßburg, ane dem blumen Gießen gelegen, Ein Seith Neben Johannes Gruß Maurer, Ander seith Neben Joh: Michäll Wetzel Kachler hinden Auff Vor gedachten Kachlern stoßendt, Welche behaußung hoff statt, Stuben, Kammern, Küch, hauß Ehren, Ein Soldaten Kammern gebälckhter Keller, sambt Aller Ihrer gerechtigkeith, wie solches durch der Statt Straßburg Geschwornen Werckh leüthen in der besichtigung befunden, vnd dem Jetzigen preiß Nach an geschlagen Wirt Vor, undt umb Ein tausendt Gulten
der Ander begriff ist Auch Allhier in der Statt Straßburg an dem blumen güßen gelegen, ein seith Neben: H: Dockhter Sülberrat, Ander seith Neben Michäll bilß bleicher, hinden auff Vor gedachten: H: Sülberrat stoßend, Welche behaußung hoffstatt Stuben, Kammern, hauß Ehren, Ein tillen schopff, vnd höffell, sampt Aller Ihrer gerechtigkeit Keith wie solches durch der Statt geschwohren werckhleüthen in der besichtigung befund. Vnd dem Jetzigen preise Nach, an geschmagen Wirt, Vor und umb Vier Hundert vnd Fünffzüg Gulden
Bezeichnüß durch der Statt Straßburg geschwohren Werckleüth [unterzeichnet] Michael Ehrlacher Werck Meister deß Meinsters, Johann Jacob Biermeÿer Werck Meister deß Zimmerhoffs
Series rubricarum hujus Inventarÿ. Der Wittib ohnverändert Nahrung betreffendt, Sa. haußrath 19, ([biffé] Sa. Eÿgenthumb ane einer behaußung 7), Summa summarum 27 lb
([biffé] DerErben ohnveränderte Nahrung, Sa. Kleÿdung 10)
Die Theilbare Nahrung anlangendt, Sa. haußrath 41, Sa. Geschirr Zum Schiffahren gehörig 7, Sa. Guldener Ring 3, Sa. Eÿgenthumb ane einer behaußung 725, Sa. Activum 6, Summa summarum 783 lb – Schulden 781 lb, compensando 1 lb

Anne Ursule Riehm hypothèque la maison au profit du batelier Jean Philippe Meyer

1722 (30.7.), Chambre des Contrats, vol. 596 f° 452-v
Anna Ursula geb. Riehmin weÿl. Daniel Meÿer Schiffers wittib beÿständlich H. Andreas Ecker auch Schiffers ihres Curatoris /:wobeÿ erschienen Anna Catharina geb. Meÿer Joh. Caspar Endißen deß Becken Ehefrau so dann Gabriel Meÿer der Schiffknecht welcher wie auch vorgemeldte Endttißin über 25 Jahr alt und ohnbevögtigt beede der debitricis Kinder
in gegensein Joh. Philipp Meÿer des Schiffmanns – schuldig seÿen 100 pfund
unterpfand, Eine Behausung hoff und hoffstatt cum appertinentis allhier in der vorstatt Krauttenau beÿ der hechten bruck, einseit neben H. D.Silberad anderseit neben einer der E. E. Zunfft zum Spiegel gehörigen behausung hinten auff ged. H. D. Silberads gartten

Anne Ursule Riehm fait dresser un acte de vente au profit de l’amidonnier Jean Philippe Meyer et d’Anne Müeg. La vente n’est pas conclue.

1727 (s.d. [4.11.]), Chambre des Contrats, vol. 601 f° 602-v
Anna Ursula geb. Riemin weÿl. Gabriel Meÿer gewesten Schiffmanns wittib mit beÿstand ihres Vogts H. Andreas Eckardt Schiffmanns und EE. kleinen Raths alten beÿsitzers
in gegensein hannß Philipp Meÿer des Ammlung: machers und Annæ geb. Muegin
Eine Behausung höfflein hoff Schopff auch hoffstatt mit allen derselben gebäuden, begriffen, weithen, zugehörden, Rechten und gerechtigkeiten in der Vorstatt ahne Krauttenau beÿ der hechtenbruck, einseit ist ein eck ahm waßer neben dem hauß zu den dreÿen hechten anderseit neben E. E. Zunfft zum Spiegel hinten auffa ged. hauß zu den dreÿen hechten, so der Verkäuferin zweÿ jüngsten Kindern ahne vätterlichen guth umb 2 lb
Obige Verschreibung hat ihren fortgang nicht haben können

Anne Ursule Riehm meurt en 1737 dans la maison du jardinier Jean Jacques Gori quai aux Chevaux. Ses biens s’élèvent à une valeur de 13 livres

1737 (4.4.), Not. Stoeber l’aîné (6 E 41, 1128, signé Christophe Michel Hoffmann) n° 8
Inventarium über Weÿland Frauen Annæ Ursulæ Meÿerin gebohrner Riehmin auch weÿland Gabriel Meÿers des geweßenen Schiffmanns und burgers allhier zu Straßburg seel. hinterbliebener Wittib nunmehr seel. Verlassenschafft auffgerichtet in A° 1737. – nach ihrem sambstags den 22.ten Xbris letztabgewichenen 1736.gsten jahrs aus dießer welt genommenen tödlichen hientritt zeitlichen verlaßen – So beschehen Straßburg Donnerstags den 4.ten Aprilis A° 1737, Christoph Michael Hoffmann Notarius
Die abgeleibte seel. hat ab intestato Zu ihren rechtsmäßigen Erben verlaßen wie Volgt. 1. Fr. Annam Catharinam Endrißin gebohrne Meÿerin, Joh. Caspar Endriß deß taglöhner auff dem allhießigen Mauerhof und burgers allhier eheliche haußfrau.
2. Gabriel Meÿer den Christmann und burgern allhier
3.. Weÿl. Annæ Ursulæ Kärcherin gebohrner Meÿerin mit Daniel Kärchern dem Schiffknect und burger allhier, ihrem hinterbliebenen Wr. ehelich erziehltes und nach todt verlaßenes Kind als dießorts enckelin nahmens Mariam Ursulam, deßen geordnet und geschworener Vogt ist nechst Vorgedachter Gabriel Meÿer, dahero weilen Er selbsten hiebeÿ interessirt ist, beÿ dießem geschäfft erschienen als geordneten Teil vogt Johann Adam Jacob, der Fischer und burger allhier
4. Johann Jacob Meÿer, den ledigen Schiffknecht, So dann 5. Abraham Meÿer, den auch leedigen Schiffknecht, welch beede letztere majorennes und dahero ohnbevögtigt, Alle fünff der abgeleibten see. mit eingangs gedachtem ihrem auch verstorbenen ehemann seel. ehelich erzeihlte Kinder und respe. dochter Kind als Enckel
In einer allhier Zu Straßburg ane dem Gaul Staaden gelegenen, herrn Johann Jacob Gori dem Gartenmann et Consorten Eÿgenthümblich Zuständigen behaußung befunden worden wie folgt
Sa. haußraths 13, Sa. Schulden 27, Mehr Schulden dan Nahrung 13 lb

Anne Ursule Riehm et ses enfants vendent la maison à l’ancien consul et assesseur des Treize Jean Thiébaut Reis pour 265 livres

1728 (11.6.), Chambre des Contrats, vol. 602 f° 271-v
weÿl. Gabriel Meÿer gewesten Schiffmann wittib Anna Ursula geb. Riehmin beÿständlich ihres Curatoris Andreas Eckert Schiffmanns und E.E . großen Raths beÿsitzers, Ferner erstged. Meÿers und deßen wittib Kinder Gabriel Meÿer der Schiffknecht, Ferner Anna Catharina geb. Meÿerin Johann Caspar Endtriß des Becken und herrewerckers Ehefrau, Item erwehnte Meÿerische Wittib, Gabriel Meÿer und Endtische Eheleuthe im Nahmen ihrer respectivé tochter schwester und schwâgerin Anna Margaretha Meÿerin Johann Conrad Reiß des Schiffmanns zu Seckenheim Ehefrau wie auch ged. Gabriel Meÿer als vogts Ursulæ Kärcherin Johann Daniel Kärcher Schiffknechts mit weÿl. Ursula geb. Meÿerin ehelich erziehlten töchterleins, so dann Johann Daniel Schmidt als curator ad actum hannß Jacob und Abraham der Meÿer
in gegensein S.T. H. Johann Theobald Reiß ältesten Ammeisters und dreÿzeheners, d. 5. hujus obrigkeitlich confirmirten versteigerung
Eine Behausung höfflein, Schopff und hoffstatt mit allen derselben gebäuden, begriffen, weithen, zugehörden, Rechten und gerechtigkeiten in der Vorstatt Krauttenau beÿ der hechtenbruck, einseit ist ein eck ahm waßer oder Johannis gießen neben Philipp Heinrich haußer tabackhändler anderseit neben E. E. Zunfft zum Spiegel hinten auff ged. haußers gartten – ihro Meÿerischer Wittib zu 3/9 theilen so dann jedem ihrer 6 Kinder zu 1/9 theil eigenthümlich zuständig – um 265 pfund

La maison revient à Anastasie Reis, fille du consul Jean Thiébaut Reis, qui meurt célibataire en septembre 1729. Elle est portée à l’inventaire dressé après sa mort à la même somme qu’à l’inventaire de son père, soit 225 livres. Elle échoit à son frère Charles Joseph Reis qui épouse en 1743 Marguerite Louise Dumont, veuve d’Etienne Dangoisse, au service du duc de Lorraine : contrat de mariage, célébration

1743 (3.8.), Not. Humbourg (6 E 41, 70)
Mariage – furent presens Le Sieur Charles Joseph Reis Conseiller actuel au Petit Senat de cette ville de Strasbourg fils majeur d’ans usant et jouissant de ses droits de feu Mons.r Jean Theobald Reis a son deces ammeistre ou Consul et l’un des Treize de cette d° ville et de defunte Marie Elizabeth Henrich son Epouse, faisant stipulant et agissant pour luy et en son nom d’une part
Et dam.le Marguerite Louyse Dumont veuve du Sr Estienne Dangoisse a son decès arrivé a Nanci le 15° septembre 1734 Brigadier des Chasses de S.A.R. M Le Duc de Lorraine et de Barre, et fille aussy majeure d’ans de feu le Sr Nicolas Dumont, Bourgeois de Paris et de defunte damle Louise Perrin son Epouse, faisant stipulant et agissant pour elle et en son nom d’autre part
Fait lû et passé audit Straßburg Le Trois° Aoust 1743 (signé) Carl Joseph Reis, marguerite Louise Dumont

Mariage, Saint-Laurent (cath. p. 24)
Hodie 26 Augusti anni 1743 (…) sacro matrimonÿ vinculo in facie Ecclesiæ conjuncti fuerunt D. Carolus Josephus Reis Senator Magistratûs hujus Civitatis, defuctorum Johannis Theobaldi Reis, dum viverei hujus Civitatia Consulis et Mariæ Elisabethæ Henrich legitimus filius et Margaritha Ludovica Dumont, oriunda et parochiâ (-)uli Parisÿs, vidua defunci Dni Stephani D’angoisse dum viveret Nanceÿ Ducis manipularÿ venationum Ducatûs Lotharingiæ, ultimo Commorana ante suum in parochiâ Sti Rochi Parisÿs, nunc ambo parochiani mei, in parochiâ meâ commorantes (signé) Chartle Joseph Reis, Louise dangoisse nee dumont (i 14)

Marguerite Louise Dumont meurt en 1750 en délaissant deux enfants de son premier mariage. L’inventaire est dressé rue des Frères dans la maison du marchand de vins Jean David Kræutler. La masse propre au veuf est de 363 livres, celle propre aux héritiers présente un passif de 246 livres. L’actif de la communauté s’élève à 31 livres, le passif à 96 livres.
1750 (4.2.), Not. Dautel (Fr. Henri, 6 E 41, 252) n° 422
Inventarium und Beschreibung aller derjenigen Haab und Nahrung, keinerlei außgenommen, so Weÿl. die hoch Ehren und tugendreiche frau Marguerithe Louise gebohrene Dumont, des Wohl Ehren Vesten, Großachtbaren und Weißen Herrn Carl Joseph Reißen, E. E. Großen Raths alten wohlverdienten beÿsitzers, und dermaligen Vicarii des allhiesigen Umbgelds, auch vornehmen Burgers allhier zu Straßburg, gewesene frau Eheliebstin seel. nach ihrem den 28.ten Januarÿ dießes angefangenen 1750.ten Jahrs aus dießer welt genommenen tödlichen ableiben, Zeitlichen verlaßen, welche Verlaßenschafft nach deme solche von seithen E. E. Kleinen Raths ex officio secretirt, und nach beschehener derer angelegten Siegel recognition und befundener deren Illæsion zu gegenwärtigen Inventur reserirt worden, auf fleißiges Ansuchen Erfordern und Begehren Sieur Christian Drechßlers, apparitoris beÿ allhießiger Officialitæt und burgers allhier, des in dem von der verstorbenen frauen rhatherrn seel. hernach errichteten Testament ernander Executoris deßelben vor: und un Nahmen Sieur Robert und Damoiselle Louis Dangoise, deroselben mit weÿl. Herrn Etienne Dangoise gewesenen Brigadier des Chasses de S.A.R. M. le Duc de Loraine et de Barre ihrem erstern Eheherrn seel. ehelich erzeugter Zweÿer Kinder, beede abweßend, der Verstorbenen Frauen Rathh. seel. sowol ab intestato verlaßener als per testamentum eingesetzter Erben fleißig inventirt (…) So beschehen allhier zu Straßburg auff Freÿtag den 6.ten Februarii Anno 1750.
Bericht In Gegenwärtig Invm. gehörig. Demnach in hievor allegirter Eheberedung §° 3° gethan daß beeder seitige Zugebrachter und wehrender Ehe ererbten güthern unverändert seÿn sollen, so habe ich d. Nots. umb deren Ersuchung vorzubehmen, den hinterbliebenen H. Wittibern befragt, ob sie beede nun Zertrennte Ehepersonen Zur Zeit eingetrettener Ehe nach ordnung ihre Illata inventiren und beschreiben laßen, und so es geschehenn die darüber besagende Documenta Vorzulegen, darüber derselbe aber mir zur antwort ertheilt, daß sie solches nicht gethan (…)

In einer allhier Zu Straßburg ane der Bruderhoffsgaß gelegenen Herrn Johann David Kräutlers dem Weinhändlern und burgern allhier eigenthümlich Zugehörigen Behausung, folgender maßen sich befunden
In der Wohnstub, Auff der Bühn, In der Magd Cammer, Im haußöhren, In der Kuchen, In des H Wittibers Zimmer, Im Keller
Eigenthumb ane einer Behaußung und Garten zu Illwickersheim (W.)
Wÿdumbs Verfangenschaft welche Maria Eva Braunhuberin Zeit ihres ledigen stands Zu genießen berechtiget. Nehml. wie auß S. T. Herrn Johann Theobald Reißen gewes. hochverdienten, Ammeisters und XIII. allhier Zu Str. des H. Wittibers Vatters seel. Verl.Inv. de A° 1729. durch H. Notm. Joh: Marbach gef. (…)
Series rubricarum hujus Inv. des H Wittibers unveränderten Vermögens, Sa. haußraths 99, Sa. Silbers 14, Sa. Schuld 250, Summa summarum 363 lb
Solchemnach wird auch der KK: v. Erben anerstorbenen mütterl. Guth beschrieben, Sa. haußraths 67, Sa. Waaren 192, Sa. Silbers 68, Sa. gold. Ring 7, Summa summarum 335 lb – Schulden 582, In Compensatione 246 lb
Endlichen wird auch das theilbare Guth verzeichnet, Sa. haußraths 31 lb – Schulden aus der Theil. Nahrung Zugezahlend 96 lb
Schluß Sa. 52 lb
Copia der Eheberedung (…) Humbourg, notaire royal
Copia Testamenti – Je soussignee Margueritte Louis Dumont veuve en premières noces du sieur Etienne Dangoise a son decez Brigadier de chasses de .A.R. M. le Duc de Lorriane et a present Epouse du Sieur Charles Joseph Reis, Conseiller au Petit Senat de Strasbourg y demeurant rue Bruderhoffgass (…) Strasbourg le 25 juin 1749, déposé le 25 juin 1749, signé Laquiante

Charles Joseph Reis vend la maison au tonnelier Jean Michel Stein et à sa femme Marie Salomé Schmutz pour 400 livres

1738 (28.3.), Chambre des Contrats, vol. 612 f° 200
H. Carl Joseph Reiß EE. kleinen Raths alter beÿsitzer
in gegensein Johann Michael Stein des kieffers und Mariæ Salome geb. Schmutzin
Eine Behausung, höfflein, schopff und hoffstatt mit allen übrigen deren gebäuden, begriffen, weithen, zugehörden, rechten und gerechtigkeiten in der Vorstatt Krauttenau beÿ der hechtenbruck einseit ist ein eck am waßer oder an St Johannis gießen neben Johann Jacob von Zabern dem schiffmann oder neben dem hauß zu denen dreÿen hechten, anderseit neben Johannes Helck dem schiffmann deßen hauß ehedeßen E. E. Zunfft zum Spiegel gehörig ware, hinten auff ged. von Zabern gartten – in Abtheilung seines H. vatters weÿl. S.T. H. Ammeisters Johann Theobald Reißen seel. Verlaßenschafft von seinen miterben käuflich übernommen – um 400 pfund

Originaire de Kirrwiller près de Bouxwiller, Jean Michel Stein est au service de Laurent Reichard. Il s’inscrit pour faire son chef d’œuvre en novembre 1725.
1725, Protocole de la tribu des Tonneliers (XI 394)
(f° 99) Montags den 12. Novembris Anno 1725 – Johann Michael Stein der Kieffer Knecht beÿ Lorentz Reichard in arbeith, Von Kirrweiler gebürthig, producirt seinen ehrlichen Lehrbrieff sub dato Buchßweiler den 13. Novembris 1725, bittet Ihme Zu Verarbeithung der Zeith umb das Meisterstück machen Zu können einzuschreiben. Erkannd Willfahrt, Zahlt Werckstatten Zinnß 1 lb 10 ß et pro inscriptione 2 ß 6 d soll in vier wochen seinen gebuhrts brieff aufweißen

Jean Michel Stein devient tributaire le 13 novembre 1730.
(f° 267-v) Montags den 13. 9.bris 1730. – Mstr Joh: Michael Stein der Kieffer wurde Leibzünfftig, Zahlte als ein frembder 2 lb 1 ß 8 d für die feureÿmer 10 ß et pro inscriptione 2 lb 6 d

Jean Michel Stein épouse en septembre 1730 Marie Barbe Blœchel, veuve du jardinier Jean Daniel Gori avec lequel elle s’est mariée en 1712
Mariage, Saint-Guillaume (luth. f° 26-v n° 15)
Mitwoch d .27. 7.bris 1730. sind nach 2.maliger ausrufung Dominica XV & XVI Trin. in der Kirch Zu S Wilhelm ehelich eingesegnet w. Johann Michael Stein der ledige Kiefer, Joh: Georg Steinen, deß Kiefers v. Gastgebers in Kirweiler Hochgräfl. Hanawischer Herrschafft v. Annæ Mariæ Martin ehelicher Son vnd Fr. Maria Barbara Weiland Joh: Daniel Gori, gartenmanns v. b. nachgelaßene eheliche wittib, gebohrne Blöchelin [unterzeichnet] Johann Miche Stein ls hochzeiter, B Ist d. handzeichen der hochzeiterin, Johann Georg stei Als bruder, hanß Martin Herrmann Alß Vockt (i 29)

Mariage, Sainte-Aurélie (luth. f° 70, n° 5)
1712. Mittw. d. 20. Aprilis 1712 nach 2. mal Außruffung Ehl. copulirt Johann Daniel Gori, der Jünger, witwer burger v. Gartenmann allhier, v. Jgfr. Barbara, Johannis Blöchels, burgers v. gartners allh. Ehl. Tochter [unterzeichnet] Johann Daniel Gori als hoch Zeidter,, + der hochzeiterin zeichen (i 71)
Proclamation, Saint-Guillaume (luth. f° 156-v)
1712 d. 20. Aprilis 1712 wurden nach gleichmäßiger außrufung copulirt ad D Aurel. Joh: Daniel Gori der Gartenmann burger v. witwer allhier weiland Margarethae gebohrner Seÿfertin ehemann v. Jfr Barbara Hans Blöchels deß gartners b burgers in der Oberstraß vnd Maria Zerrmandlerin eheliche dochter, copulirt D. Aurelia (i 161)

Jean Michel Stein devient bourgeois un mois plus tard
1730, 4° Livre de bourgeoisie p. 961
Johann Michael Stein der Kieffer Von Kirweiller gebürtig Erhalt das burgerrecht von seiner Ehefraw Barbara weÿland Johann Daniel gorÿ geweßenen burgers vndt gartenmanns alhier hinterlaßene wittib, vmb die Tertz deß alten burger schillings will beÿ E: E: Zunfft der Kieffer dienen juravit den 6.ten 9.bris 1730.

Les nouveaux mariés font dresser l’inventaire de leurs apports dans une maison qui appartient à l’épouse à la Krutenau. Ceux du mari s’élèvent à 76 livres, ceux de la femme à 1 611 livres.
1731 (14.1.), Not. Mader (6 E 41, 687) n° 710
Inventarium über des Ehrengeachten Meister Johann Michael Steinen, Kieffers und der Tugendsamen frauen Barbarä gebohrner Blöchelin, beeder Eheleuthe und Burgere allhier Zu Straßburg, einander in den Ehestandt zugebrachte Nahrungen, auffgerichtet Anno 1731. – in Ihren ohnlängst angetrettenen Ehestandt zugebracht und sich vermög Ihren mit einander auffgerichteten Eheberedung Vor ohnverändert vorbehalten haben (…) So geschehen in der Königlichen Statt Straßburg, in fernerem gegensein H Joh: Martin Herrmanns Garthenmanns und burgers allhier der Ehefrauen noch ohnentledigten Vogs und Mstr. David Gori Kieffers, deroselben Kinder erster Ehe geschwornen Vogts auff Donnerstag den 18. Januarÿ A° 1731.

In Einer allhier Zu Straßburg in der Crautenau am Gaulstaden gelegenen in diese Nahrung gehörigen behaußung ist befunden word. wie folgt
Eÿgenthumb ane Einer behaußung (F.) Vier Behaußungen an einander, Hoff, hoffstätt
in der Statt Straßburg in der Vorstatt Crautenau ohnfern der Hechtenbruck (…)
Series rubricarum hujus Inventarÿ. Des Ehemanns Guth, Sa. haußraths 33, Sa. Werckzeugs 21, Sa. Silbers 5, Summa summarum 59 lb – Darzue gelegt die Ihme gebührige helffte ane denen haussteuren 17 lb, des Ehemanns in den Ehestand gebrachtes Guth 76 lb
Der Ehefrauen Vermögen, Sa. haußraths 268, Sa. Handtgeschirrs 4, Sa. blumen auf dem feld 42, Sa. des Saamens 3, Sa. lähren Faß 13, Sa. Silber geschirr und Geschmeids 22, Sa. der Guldtenen Ring 11 Sa. der baarschafft 28, Summa summarum 396 lb – ([biffé] Schulden 2152 lb), restiren 1611 lb

Jean Michel Stein se remarie en 1736 avec Marie Salomé, fille du pêcheur André Schmutz : contrat de mariage, célébration
1736 (7.2.), Not. Marbach (Ph. Jacques, 33 Not 40)
Eheberedung entzwischen Mr Johann Michael Steinen, dem Wittiber Kiefer und Burger allhier, alß Hochzeittern ahne Einem: vndt dann
Jungfr. Mariæ Salome Schmutzin H. Andreæ Schmutzen, Senioris, Fischers und burgers Zu Straßburg Ehelichen Tochter, alß der Hochzeiterin am Andern theil
So beschehen allhier in der Königlichen freÿen Statt Straßburg, Montags den 7.. Febr. A° Dni 1736.
[unterzeichnet] Johann Michael Stein als Hoch Zeitter, Maria Salome schmutzin als Hoch Zeitterin

Mariage, Saint-Guillaume (luth. f° 67, n° 17)
Aô 1736. den 12. Aprilis Seind nach Zweÿmahliger außrufung nämlich Dominica et Festo Paschatos et Quasimodogeniti in der Kirchen Zu S Wilhelm ehl. copulirt und eingesegnet worden Johann Michael Stein der Kieffer Wittwer und burger allhier und Jungfr. Maria Salome, Andreß Schmutzen deß ältern Fischers und burgers allhier und Maria Barbara Schorrin ehel. Tochter [unterzeichnet] Johann Michael Stein als Hochzeitter Maria Salome schmutzin als hoch Zeitterin, Johann Georg Stein als bruder, Johann Peter Schmutz als bruder (i 64)

Les nouveaux mariés font dresser l’inventaire de leurs apports dans une maison rue du Renard-prêchant. Ceux du mari s’élèvent à 102 livres, ceux de la femme à 186 livres.
1736 (14.4.), Not. Marbach (Ph. Jacques, 33 Not 11) n° 167-b
Inventarium über Mr Joh: Michael Steinen, des Kieffers und Mariæ Salome, gebohrner Schmutzin beeder Eheleut undt burgere Zu Straßb. vor ohnverändert in Ehestandt einander Zugebrachte Nahrungen, auffgerichtet Anno 1736 – in ihren: in Gottes des Allerhöchßten Nahmen den 12.ten Apr: lauffenden 1736.ten Jahrs mithin vor 2. Tagen angetretenen Ehestandt, einander Zugebracht, und in denen vor mir dem unterschriebenem Notario auffgerichteten Ehe Pactis §° 4.to vor ohnverändert sich außtruckhlichen Reserviret und vorbehalten haben (…) So beschehen allhier Zu Straßburg In fernerm Gegensein H Johann Georg Steinen, Kieffers und Weinhändlers deß Ehemanns bruders auff seithen deßelben und dann Hans Andreæ Schmutzen sen. Fischers der hochzeiterin Vatters auff deren Seith. hierzu erbettenen beÿstandts Beeder Burgere Zu Straßburg, Sambst. en 14. deß Monats Aprilis A° Dni 1736.

In einer allhier Zu Straßburg ohnfern dem Catharinæ bruckh, wo der Fuchß denen Enten Prediget, gelegenen hiehero nicht gehörigen behaußung
Norma hujus inventarii, des Ehemanns ohnverändert in den Ehestand gebrachte Nahrung, Sa. hausraths 54 lb, Sa. Werckzeugs 24 lb, Sa. Silbers und Geschmeids 7 lb, Summa summarum 86 lb – Sollte nun dießer Summæ beÿgelegt werden die helffte der Haussteuren 15 lb, deß Ehemanns gesambte ohnu. Nahrung dem vero pretio nach 102 lb
Dießemnach wirdt auch der Ehefrauen in den Ehestand vor ohnv: Gebrachtes Vermögen beschrieben, Sa. hausraths 149 lb, Sa. silbers 13 lb, Sa. gold. ring 8 lb, Summa summarum 171 lb – Da aber Zu hierüberstehende der Ehefrauen ahne denen haußteuren zu prætenduren habende helffte benantl. 15 lb, Der Ehefrau ohnv. vermögen dem vero pretio 186 lb

La tribu des boulangers inflige une amende à la femme de Jean Michel Stein pour avoir vendu du pain. Elle arive en retard à la convocation puis a des paroles vives envers l’assemblée
1746, Protocole de la tribu des Boulangers (XI 10)
(f° 93-v) Montags den 21. Martÿ 1746 – Johann Michael Stein der Kieffer undt burger dahier, deßen Ehefraw zugegen war, wurdte angeklagt, daß Sie brodt über die gaß verkaufft, Illa sagt, Sie seÿe nicht Zu Hauß geweßen, ihr Knecht so ein Taglöhner müße solches hinweg gegeben haben, seÿe nicht von ihrem brod geweß, ist gar nichts geständig.
Erkandt soll beÿ Nechster gericht der Jenigen so das brod abgehohlt, Vorgefordert werdten, undt deßwegen Zeugnuß ablegen.

(f° 96-v) Montags den 18. aprilis 1746) – In Sachen Johann Michael Stein des Kieffers dahier, Vom 21.ten martÿ Jüngst werde derselbe widerumb Citirt, daß Er brodt über die gaß verkaufft habe, welcher aber obwohlen Er auff halber Zweÿ uhr durch den Büttell Citirt worden, nach dreÿ uhr noch nicht erschienen, alß hat mann Sich genötiget gewesen die Zeugen abzuhören weillen Sie ihren geschäfften halben nicht mehr *ßerten wollen. Anna Ruebin weÿl. Abraham Rueben geweßenen Schirmers Tochter, welche nach gegebener handtrew ane Eÿdes statt die warheit Zusagen, außgesagt, daß daß beklagten Knecht ihren ein sol brodt verkaufft habe, welches ihren Jacob Letz der damahls geweßene Beck und jetzmahlige Meelmann ihro vor deß Steinen hauß abgenommen, gedachter Jacob Letz wurde nach abgelegter Handtreu die wahrheit zu sagen, Erinnert, welcher dann auch sagte, daß die Ruebin beÿ Steinin ein sol brodt gekaufft, undt Er es ihren abgenommen, so bald Er sie auß der Steinen hauß habe sehen Können.
Umb vier Uhr erschiene deß Beklagten seine Ehefrau, welcher mann der Zeugen außsag abgelesen, Sie negirte aber das Verbrechen widerumb undt stoßte beÿ E E. Gericht wüste worth auß; Ist Erkandt soll der Beklagte nebst denen unkosten den articul gnädiger Herren der XV. mit 5. lb beßern.

Jean Michel Stein porte l’affaire devant les Quinze. Il déclare avoir été malade et ne pas comprendre ce qu’on lui reproche. Il a peu de temps auparavant donné à son père qui habite avec lui de quoi acheter du pain à servir à un soldat. La commission estime que l’affaire est de peu d’importance, même si elle contrevient au règlement. Le préteur royal déclare que le boulanger n’a pas perdu d’argent puisque le pain venait de chez lui et propose d’annuler l’amende, les frais étant à partager entre les parties. Les Quinze se rangent à son avis. Ils publient une expédition de leur sentence.
1746, Protocole des Quinze (2 R 156)
(p. 308) Mittwochs d. 27. Aprilis – Idem [Fuchs] nôe Joh: Michael Stein, des Kieffers und burgers allhier Ca. E. E. Zunfft der Becker Hn Zunfftmeisters, prod. gerichts bescheid besagter E. E. Zunfft der Becker vom 18. hujus, von welchem pplis. an MGHhn appellirt, bitt deßen verzeichnuß. Erkanndt, Verzeichnet.

(p. 320) Sambstags den 30. Aprilis – Fuchs nôe Joh: Michael Stein, des burgers und Kieffers allhier Ca. E. E. Zunfft der Becker Hn Zunfftmsts, beruffe auch auff den beÿ MGHh protocoll d. 27. hujus übergebenen wiedrigen bescheid, wovon pplis. an MGHhn appellirt, bitt umb deppôn et Factâ relatione den Imploranten von angesetzter Straff gnädig Zu absolviren, idq. ref. exp. Freund, bitt auch umb deppôn und den Zunfftbescheid gnädig Zu confirmiren ref. exp. Erkanndt, deppôn Oberumbgelts Hhn.

(p. 353) Sambstags den 7. Maÿ – Joh: Michael Stein Ca. E. E. Zunfft der Becker
Iidem [Obere Umbgeldts Hh.] laßen ferner per me Vortragen, es habe Joh: Michael Stein der Kieffer, d. 27. Aprilis jüngst einen Extractum aus E. E. Zunfft der Becker gerichts memorial, vom 28. ejusdem Zu MGHh. protokoll gelieffert, vermög welches derselbe, weilen er ein Sols brod über die gaß solle verkaufft haben, nebst den Unkosten in 5 lb d Straaff condemnirt worden, von diesem bescheid habe derselbe an MGhh. appellirt und die interponirte appellation verzeichnuß gebetten und erhalten, d. 30. dicti mensis habe der appellant umb deppôn gebetten et factâ relatione denselben von angesetzter Straff ref. exp. gnädig Zu absolviren. Auff seithen der citirten Zunfft haben man auch umb deppôn und confirmation der sententiæ à quâ ref. exp. gebetten.
Auff geschehene Weißung habe der appellant ausgesagt, er seÿe Kranck und seine Frau nicht zu hauß geweßen er Wiße von allem dem, was wider ihn angesagt worden, nicht das mindeste, er Könne sich auch nicht einbilden, wie die sach solle Zugegangen seÿn, indeme er erst Kurtz Zuvor, als das factum sich solle Zugetragen haben, seinem Vatter, den er beÿ sich im hauß habe, 2. sols gegeben, umb brod Zuhohlen vor soldaten, welche brandenwein beÿ Ihme trincken wollen, bitt deßwegen nochmahlen ihn von angesetzter Straff Zu absolviren,
Michael Gori, der beck, als Zunfftmeister, zugegen replicirte hierauff, des Imploranten Ehefrau habe es ja beÿ gericht nicht erläugnet, daß das Brod aus Ihrem hauß verkaufft worden, haben sich aber nur mit dem unwißenden Kieffer Knecht entschuldigt, bitte deßwegen nochmahlen confirmationem sententiæ priores instantiæ idq. ref. exp.
Weilen die Hh. Deputirten auff einer seith den Artickel clar befunden, vermög welches allen burgern außer den Becken, verbotten brod über die gaß Zu verkauffen, auff der andern seith aber das Verbrechen sehr gering auch nicht rechtlichen erwießen, und einige animositæt darunter herfürleichte, als hätten sie die decision dießer sachen MGHh. gäntzlich anheim stellen Wollen.
H. Prætor Regius votirte, das factum seÿe von einer solchen Kleinigkeit, daß sich zu verwundern daß man den appellant deßwegen so hoch straffen wollen, überhaupt würde ja alldergleichen brod beÿ del Becken gekaufft und hätten sie dießfalls Keinen schaden davon, deßentwegen finde er den casum so gratiabilem, daß er dafür wolle gehalten haben, daß der appellant von angesetzter Straaff von 5. lb d zu absolviren, die Unkösten aber unter denen Parthen zu compensiren seÿen. Erkanndt, H. Prætoris Regÿ voto gefolgt.

(p. 419) Sambstags d. 4. Junÿ
Bescheid – Sambstags den 7. Maÿ. In Sachen Joh: Michael Stein des Kieffes und burgers allhier, appellanten, an einem, Entgegen und wieder E. E. Zunfft der Becker H. Zunfftmeister appellaten, am andern theil, auff producirten Extractum E. E. Zunfft der Becker gerichts memoriali vom 28. Aprilis jüngst vermög welches der appellant, weilen er ein Sols brod über die gaß solle verkaufft haben, nebst den Unkosten in 5 lb d Straaff condemnirt worden, Interponirte und Verzeichnete appellation, des appellanten von diesem bescheid habe derselbe an MGhh. appellirt und die interponirte appellation mündlich gethane bitt, deputationem zu erkennen et factâ relatione denselben von angesetzter Straff gnädig Zu absolviren, idq. ref. exp. Des appellaten auch mündlich vorgebrachtes bitten, die sententiam à quâ ref. exp. Zu confirmiren.
Gebettene, bewilligte und beseßene deputation, auch all übriges derer Parthen angehörte vor: und anbringen, ist derer Herrn Deputirten abgelegten relation nach Erkandt, daß der appellant von angesetzter Straff von 5. lb d zu absolviren, die unkösten aber aus bewegender Ursachen unter denen Parthen zu compensiren seÿen.

Jean Michel Stein et Marie Salomé Schmutz hypothèquent la maison au profit du potier Jean Léonard Lutz

1746 (10.11.), Chambre des Contrats, vol. 620 f° 887
Johann Michael Stein der kieffer und Maria Salome geb. Schmutzin mit beÿstand Martin Ripß des leinenwebers und Daniel Jung des jüngern fischkäuffers
in gegensein Johann Leonhard Lutz des haffners – schuldig seÿen 75 pfund
unterpfand, eine behausung, höfflein und hoffstatt in der Vorstatt Krautenau beÿ der Hechtenbruck einseit neben Andreas von Zabern dem holtzleger, anderseit neben Johannes Helck dem schiffmann, hinten auff gedachten von Zabern
(und bandplatz)

Marie Salomé Schmutz meurt en 1752 en délaissant deux filles. La maison est portée à l’inventaire d’après son prix d’achat, soit 400 livres. La masse propre aux héritiers s’élève à 170 livres. L’actif du mari et de la communauté est de 431 livres, le passif de 744 livres.

1752 (11. 8.br), Not. Marbach (Ph. Jacques, 33 Not 26) n° 366
Inventarium über Weÿl. Fr. Mariä Salome Steinin geb. Schmutzin Hn. Joh: Michael Steinen, des Kieffers vnd burgers zu Straßburg geweßener Ehefrau seel. Verlaßenschafft auffgerichtet Anno 1752. – welche am dienstag den 18.ten Mon: Jan: 1752: seeliglich mit todte abgegangen, hinter Ihro Zeitlichen verlaßen (…) So beschehen allhier in der Königlichen Statt Straßburg Mittwoch den 11. des Monaths Octobris A° Dni 1752.
Denominatio Hæeredum. Die verstorbene fr. hat ab intestato Zu Ihren rechtmäßigen Erben verlaßen, Nahmentlichen Und 1° Maria Salome, so das 12.te Jahr seines Alters am 8. Sept. jüngst Zurückgelegt hat Und dann 2.do Maria Margaretha, welche in das 8.te Jahr Ihres alters gehet (…) In welcher beeder KK. u. Erben Nahmen aber der Ehrenachtbar H. Andreas Jung, der Fischh. v. burger Zu Straßburg alß derenselben (…) geschw. Vogt

In einer allhier Zu Straßburg ahne dem Gaul Staaden ohnweit der Höchten bruck gelegenen in dieße Verl. gehörigen dahuero hernacher inventirten behaußung Ist befunden worden wie Volget
Beßerung ahne einem lehen: grund, Nemblich ein bandt Platz Und Garth. so Ohngef. ½ Ar Grundt in sich begrifft vor der Stadt Straßburg Mezger Thor in dem so genandten Sausteeg 1.s neben J. Jacob Gori d. Gartenmann 2.s neben der Gemeinen Allmend gelegen oben auff Andreas Seÿffert dem Garthen. und unten auff die Allmend außspitzend, davon gibt man Löbl. Stadt Pfth Jährl. auff Martini 1 b ahne bodenzinß die darinnen befindl. beßerung zu sambt denen Pflantzen 6 lb, bandt 3, Reeben und bäum 1 zusammen 10 pfund
Eÿgenthum ane Ir. behaußung. (T.) Nembl. i. beh. höffl. Schopff u. hoffstatt sambt allen deren überig. zugeh. rechten u. Gerechtigk. so gelegen allhier zu Straßb. ahne d. Vorstatt Krauttenau beÿ der höchtenbruck i. S. weÿl. Andr. von Zabern gewes. Schiffm. allhier nachgelaß. Wb. und E. od. d. hauß zu d. 3. höchten genandt, 2. S neben Joh: hellen d. holtzleger allhier, vornen auff den St Johannis gieß. hinten auff gedacht. Zabernische Wb. u. E. stoßend, so ausserdem hernacher passivé eingetragen auff solcher Behaußung hafftende Cap. Mannigl. freÿ led. u. Eigen, wann * mit grosg. permission der Hochv. H. 3. deß Stalls (…) so nach Maaß gaab deß hernach alleg. Kauffbr. thut 400. lb. Hierüber bes. ein in allhies. C. C. Stuben sub dato 28. Martÿ in A° 1738. gefert. teutscher Perg. Kauffbr. mit deroselb. anhangend. Ins. verw. v. hieher mit Lit. A notirt word. Weither meldet hierüber i. d° de dato 11. Junÿ 1728, so mit altem Lit. A mrquirt vnd dermalen auch darbeÿ gelaßen word. Und dann ist weg. der Vorher inv. behß. ferner vorhand. i. d° auß dito mit deßen datum ist der 4. Sept. 1713. welcher mit N° 1 bezeichnet, und auch beÿ gegenw. Verl. Inventur dabeÿ gelaßen worden.
Ergäntzung, Nach Anleitung deß vber beeden geweßener Eheleut vor ohnv. in den Ehestand einander zugebrachte Nahrung unterm 14. des Monaths Aprilis 1736 aufgerichteten Inventarii (…)
Copia der am 27. feb. 1736 vor unterschr. Notari aufgerichteten Heuraths Verschreibung (…)
Norma hujus inventarii, der KK. v. Beneficial E. Ohnv. Nahrung, Sa. hausraths 13 lb, Sa. Silbers 1 lb, Sa. Gold. Ringeen 1 lb, Sa. Schulden 50 lb, Ergäntzung 106 lb, Summa summarum 173 lb – Schulden 2 lb, Compensando 170 lb
Hierauff nun Wirdt auch sowol des Wrs. ohnv. v. T. Verl. (:weilen d. KK vnd dißorts Benef. E: geordnet undt geschworener vogt ob: ged. auff die letztere propter onus passiv. renunciren, v. facto ren* sich nur alleine das Ohnv. Guth zu reserviren gemüßigt ist:), unter einem Titul Nahmentlich des Wrs ohnv. V. T. inventiret und beschr., Sa. hausraths 15 lb, Sa. wein und lährer faß 3 lb, Sa. Silbers 3 ß, Sa. Gartengeschirrs 16 ß, Sa. Eÿgenth. ane einer behaußung 400 lb, Beßerung ane lehengüthern 10 lb, Summa summarum 431 lb – Schulden 744 lb, passiv onus 312 lb – Endliches passiv onus loco der stall Summa 142 lb

Marie Salomé Stein obtient un certificat de la tribu des Tonneliers attestant que son père était tributaire
1771, Protocole de la tribu des Tonneliers (XI 396)
den 18. Septembris 1771 (f° 293-v) Dienstags den 3. Septembris 1771 – Maria Salome Steinin, Johann Michael Steinen des Kieffers Leedige Tochter, stehet vor, und Bittet ihro einen Schein Zuertheilen daß ihr Vatter burger und zünfftig auf dieser Ehrsamen Zunfft geweßen. Erkannt Willfahrt.

La maison de Jean Michel Stein est vendue aux enchères à Marguerite Weidmann veuve d’André von Zabern, déjà propriétaire de la maison voisine

1753 (1. Martÿ), Ganth Protokoll, joint à Dinckel (J. Raoul, 6 E 41, 380) n° 562 du 19 janv. 1754
Extractus Ganth Protocolli der Stadt Straßburg de Anno 1753. sub dato Donnerstags den 1.ten Martÿ Anno 1753.
In Sachen Johann Michael Steinen, des Kieffers und burgers allhier falliment betreffend. Zufolg Erkandtnuß E. E. Großen Raths vom 29.t Januarÿ 1753. wurde nach Zuvorhin angeschlagenen Affichen die in gedachtes falliment gehörige behaußung, Höfflein, Schopff und Hoffstatt, mit allen deren Begriffen, Weithen, Gebäuden, Zugehörden und Gerechtigkeiten gelegen allhier ane der Vorstatt Krautenau beÿ der Hehtenbruck, einseit neben Johannes Helck dem Holtzlegern, anderseit neben weÿland Andres von Zabern geweßenen Schiffmanns allhier nachgelaßener wittib und Erben, oder dem Hauß Zu denen dreÿen Hechten genand, Vornen auff den St. Johannes Gießen hinden auff gedachten Zabern wittib und Erben stoßend, so außer denen darauff hafftenden passiv Capitalien leedig und eigen,
Frauen Margarethä gebohrner weidenmännin, weÿl. Andreä von Zabern, geweßensn Schiffmanns und Burgers allhier hinderbliebener wittib, beÿständlich Herrn Friedrich Haußen, des Meelmanns und burgers allhier ihres Schwagers als meistbietender, beÿ Erlöschung der dritten und letzten Liechtleins um die meistgebottene Summ der 710 Gulden, darauff Sie den 14.ten Martÿ 1753 Zalt 10 gulden, von ganth wegen eigenthümlichen adjudicirt.
Actum in Beÿsein, Herrn Rathherrn Kecken und Herrn Rathherrn Degermannns, beeder Herren Deputatorum, wie auch übriger Zugehöriger Herren und Ganthbeambten
Fideliter extrahirt, Frantz Heinrich Dautel, Notarius jur:

Anne Marguerite Weidenmann meurt en 1754. Les experts estiment la maison à la somme de 175 livres lors de l’inventaire.

Les héritiers vendent la maison au garçon batelier Michel Muderer

1763 (25.6.), Chambre des Contrats, vol. 637 f° 321
Johann Jacob von Zabern der schiffmann als vogt Andreæ von Zabern des schiffmanns zweÿen töchtern Mariæ Magdalenæ und Mariæ Elisabethæ die Zaberer und Johann Daniel von Zabern der knopffmacher als vogt Johann Daniel von Zabern gewesten schiffmanns tochter Catharinæ Dorotheæ Zabererin
in gegensein Michael Muderer des schiffknechts
eine behausung, höfflein und hoffstatt mit allen begriffen, rechten und gerechtigkeiten ane der vorstatt Krautenau beÿ dem hechtenbruck, einseit neben Johannes Helck dem holtzleger, anderseit neben den verkäuffern, hinten auff dieselbe – um 350 lb verhafftet, geschehen um 12 pfund

Fils du garçon batelier Jean Philippe Muderer, Michel Muderer épouse en 1752 Catherine Barbe Frech, fille de l’apprêteur de tabac manant Erard Frech : contrat de mariage, célébration
1752 (18.7.), Not. Dautel (Fr. Henri, 6 E 41, 285) n° 288
Eheberedung – zwischen dem Ehrenachtbaren Michael Mauderer, dem leedigen Schiffknecht, des Ehrengeachten Johann Philipp Mauderers ebenmäßigen Schiffknechts und der tugendsamen Frauen Susannä gebohrner Gaÿerin, beeder Eheleuthe und Burgere Zu Straßburg ehelich erzeugtem Sohn, als dem Hochzeitern ane einem
So dann der Tugendgezierten Jungfrauen Catharinä Barbarä Frechin, Weÿland des Ehrenachtbare, Erhard Frechen gewesenen Tabackbereiters und Schirms Verwanthen allhier Zu Straßburg nunmehr seeligen mit der Tugendreichen Fr. Mariæ Magdalenæ gebohrner Straußin, seiner hinterbliebenen Wittib ehelich erzeugtter Tochter, als der Hochzeiterin am andern Theil
So beschehen allhier Zu Straßburg auf Sambstag den 18. Julÿ Anno 1752. [unterzeichnet] declarirt der hochzeiter daß er Schreibens ohnerfahren +, Catharina Barbara Frechin alß hochzeiterin

Mariage, Saint-Pierre-le-Jeune (luth. f° 203-v n° 2)
1753. Mittw. d. 7. febr. sind nach 2 mahl. Proclamation Sonnt. IV et V Epiph. copulirt worden Joh: Michael Muderer lediger schiffmann u. b. h. l. Philipp Muderers n schiffknechts u. b. h. l. ehel. sohn u. Jgfr. Cathar. Barbara weÿl. Ehrhart Frechen tabacber. u. b. h. l. ehel. Tochter [unterzeichnet] M hiemit Zeuget sponsus, Catharin Barbara Frechin als hohzeterin (i 208, procl. Saint-Guillaume f° 185.a n° 2 i 189)

Catherine Barbe Frech devient bourgeoise par son mari six mois après son mariage
1753, Livre de bourgeoisie 1740-1754 (VII 284) p. 537
Cathar. Barb. Frechin von hier gebürtig erhalt d. b. r. von ihrem Ehemann Michael Muterer demb. und schiffknecht um d. A. b. ß will dienen beÿ E. E. Zunfft Zum Encker, jur. d. 4. Aug. 1753.

Catherine Barbe Frech fait dresser l’inventaire de ses apports (56 livres) dans la maison Marbach au quartier dit Thomanloch.
1753 (12.2.), Not. Dautel (Fr. Henri, 6 E 41, 257) n° 531
Inventarium und Beschreibung aller derjenigen Haab und Nahrung, Keinerleÿ davon außgenomme, so die Viel Ehren und tugendbegabte Frau Catharina Barbara gebohrne Frechin, zu dem Ehrenachtbaren Michael Mauderer, dem Schiffmann und burgern allhier Zu Straßburg in den Ehestand zugebracht, auch sich crafft der vor mir Notario den 15.ten Julii Anno 1752. auffgerichteten Eheberedung vor unverändert vorbehalten hat, welche Nahrung auf freundliches ansuchen erfordern und begehren ihr der Ehefr. selbsten mit beÿstand H Johann Georg Theürkauf des Paßmentirers und burgers allhier der Ehefrauen geliebten Schwagers (…) So geschehen allhier zu Straßburg auf Montag den 12.ten Februarii Anno 1753.
In einer allhier Zu Straßburg ane dem Thomanloch gelegenen, dem Marbachischen Hoff genandten und der Ehefrauen leiblichen Mutter Zum theil lehnungsweiß bewohnenden Behaußung sich folgender massen befunden
Series rubricarum hujus Inventarÿ Sa. haußraths 46, Sa. Silbergeschmeids 4, Sa. goldener Ring 5, Summa summarum 56 lb
Dazu gerechnet die ane denen Haussteuren ihro gebührige Helffte mit 8 lb, Warmit alßo der Ehefrauen gesampte in die Ehe gebrachte Nahrung dem Werth nach bestehet in 65 lb

Michel Muderer et Catherine Barbe Frech hypothèquent la maison au profit du pelletier Jean Michel Theurkauff.

1769 (7.2.), Chambre des Contrats, vol. 643 f° 97
Johann Michael Muderer der schiffknecht und Catharina Barbara geb. Frechin mit beÿstand Johann Friedrich und Johann Gottfried der Sigfrid die Pflästerer beede ihren nächsten
in gegensein H. Johann Michel Theuerkauff des kürschners – schuldig seÿen 100 pfund
unterpfand, eine behausung cum appertinentis ane der Hechtenbruck, einseit neben Andreas Kammerer dem wannenmacher anderseit neben N. Gießbrecht dem schiffmann hinten auff dieselbe

Ancien batelier devenu employé au pont du Rhin, Michel Muderer meurt en 1787 en délaissant deux enfants. Les experts estiment la maison à 250 livres. La masse propre à la veuve est de 244 livres. L’actif des héritiers et de la communauté s’élève à 292 livres, le passif à 725 livres.

1787 (7.12.), Not. Übersaal (6 E 41, 658) n° 205
Inventarium über Weiland des Ehrenachtbaren Michael Mauderer, gewesenen Schiffers und Beamten ane der Rheinbruck auch burgers alhier Zu Straßburg Verlaßenschafft, auffgerichtet den 7. Decembris im Jahr 1787. – nach seinem den 8. Novembris jüngst aus der Welt genommenen tödlichen hintritt hinterlassen hat. Solches wurde auf Ansuchen der hinterbliebenen Wittib Fraun Catharinæ Barbaræ gebohrner Frechin, beiständlich Herrn Johann Gottfried Siegfried, des Stadt: Pflästerers und hiesigen Burgers (…) So geschehen alhier Zu Straßburg in einer in der Vorstadt Krautenau ane der hechtenbruck gelegenen in diese Verlaßenschaft gehörigen und hernach eingetragenen behaußung N° 12. auf Freÿtag den 7. Decembris im Jahr 1787.
Der verstorbene hat mit Eingangs benamster seiner Wittib ehelich erzeuget und ab intestato Zu Erben hinterlassen, 1° Frau Catharinam Magdalenam Kiefferin gebohrne Maudererin, Johann Georg Kieffer des jüngern Schiffers und Burgers alhier Ehegattin, unter Authorisation und Verbeistandung dieses ihres Ehevogts, 2° Herrn Johann Michael Mauderer Philosophiæ Studiosum, so 21 Jahr alt und daher ohnbevögtiget ist, Beede zu gleichen Theilen Erben, welche dießer Inventur beÿgewohnet haben

Declaratio über Gegenwärtige Verlaßenschafft. In dem vierten Artickel der Zwischen beeden gewesenen Eheleuten vor weiland Herren Notario Frantz Heinrich Dautel dem Vater den 18. Julii 1752 aufgerichteten Eheberedung haben dieselbbe ihr Zugebrachtes und währender Ehe ererbendes Gut als unverändert auch eine Ergäntzung das davon abgehenden stipulirt. Wobey die Wittib auf mein des Notarii befragen declariret hat, daß sie ihr eingebrachtes Guth durch gedachten Herrn Notarium Dautel den 12. Februarii 1753. Ordungs mäßig inventiren laßen (…)
Eigenthum ane einer Behausung. Nämlich eine Behausung, Höflein, Bronnen und hoffstatt, mit allen deroselben Zugehörden und Rechten, gelegen alhier Zu Strasburg in der Vorstast Krautenau an der Hechtenbruck, mit N° 12 bezeichnet, einseit neben Andreä Kammerer, dem Wannenmacher, anderseit neben einer behausung Zu denen drei hechten genannt, so Johann Jacob Giesbrecht, des Schiffers Wittib gehörig, vornen auf den St Johannis oder Blumen: Giesen und hinten auf gedachte Gießbrechts’sche Wittib Ziehend, so auser denen Zweien darauf haftenden und hernach passivé eingetragenen Capitalien frei ledig, eigen und durch (die Werckmeistere) nach Ausweis ihrer schriftlichen Abschatzung vom 3. Januarii 1788. angeschlagen Worden vor 250. lb. Diese behausung seie der Wittib Declaration nach währender Ehe vor ohngefehr 24. Jahren erkauft worden, Darüber ist vorhanden ein teutscher pergamentener Gant: Kauf: brieff vom 1. Martii 1753. von Herrn Actuario Beguin unterschriebenen und mit Eines Ehrsamen Kleinen Raths anhangendem Insiegel versehen.
Ergäntzung der Wittib währdner Ehe abgegangen unter verbeÿstandungen Guts. Zufolg Inventarii über deroselben zu ihrem verstorbenenn Ehemann in den Ehestand gebrachtes Vermögen durch weiland Hn Notarium Frantz Heinrich Dautel den Vater den 12. Februarÿ 1753. auffgerichtet
Series rubricarum hujus Inventarii. Der Wittib unverändertes Vermögens, Sa. hausraths 3, Sa. silbers 6 ß, Sa. goldene Ringe 1, Sa. schulden 25, Sa. der Ergäntzung 214, Summa summarum 244 lb
Diesemnach wird der Erben unverändertes und das theilbare Gut und Zwar weil dieses letztere von deren Passiv Schulden übertroffen wird, unter einer Massa verzeichnet, Sa. hausraths 40, Sa. silbers 2, Sa. Eigentum an einer behausung 250, Summa summarum 292 lb – Sa. schulden 725, In Vergleichung, der Erben Passiv onus 432 lb
Passiv Onus an statt Ver Stall: Summæ
Copia der Eheberedung (…) den 15. Julÿ 1752, Frantz Heinrich Dautel Nots.
– Abschatzung vom 3.t. jenner 1788. Auf begeren Weÿland Herr johann Michael Muderer dem geweßenen Brucken Knecht, ist Eine behausung alhie in der statt strasburg beÿ der Hechten bruck gelegen, Ein seÿts neben frau Gisbrechtin Wittib, anderer seÿts Neben dem Blumen giesen, und Hinten auff andreas Kamm stoßend gelegen, solche behausung bestehet in Zweÿ stuben, Zweÿ Kuchen und Etlichen Kammeren, darüber ist der dachstuhl mit breidziegel belegt, hat auch Ein getremter Keller, Hoff und brunen, Von uns unterschriebenen der statt strasburg geschwornen Baujnspector und Werckmeister und Vorhero geschehener besichtigung mit aller jhrer gerechtigkeit dem jetzigenn wahren werth nach Estimirt und angeschlagen Vor und umb Fünff Hundert gulden [unterzeichnet] Boudhors architecte, Kaltner WMstr, Klotz WMstr

La maison revient à sa fille Catherine Madeleine Muderer qui épouse en 1785 le batelier Jean Georges Kieffer, fils du batelier du même nom : contrat de mariage, célébration

1785 (1.10.), Not. Lung (6 E 41, 1528) n° 59
Eheberedung – persönlich erschienen der Ehrenachtbare Johann Georg Kiefer, lediger Schiffer, H Joh: Georg Kiefer, des Schiffmanns und Burgers alhier, mit Fr. Salomea Susanna gebohrner Ochßin ehelich erzeugter annoch minderjähriger Sohn, von erstgedachtem seinem Vater hierzu authorisirt vnd verbeÿstandet, als Hochzeiter, ane einem,
So dann die Viel Ehr und tugendsame Jungfrau Catharina Magdalena Mudererin, H. Joh: Michael Muderer, des Schiffers und Burgers alhier mit Fr. Catharina Barbara gebohrneer Frechin ehelich erzeugte Tochter, auch beÿständlich erstgenannten ihres Vaters, als hochzeiterin ane dem andern theil
So geschehen alhier Zu Straßburg (…) auf Samstag den 1.ten Octobris Anno 1785. [unterzeichnet] H. Georg Kiefer als Hochzeitern Catharina Magdalena Mutererin als Hochzeiterin

Mariage, Saint-Guillaume (luth. f° 180)
Im Jahr 1785 Dominica XXII und XXIII post Trinit. als den 23. und 30. Octobris sind in unserer Kirche Zu St. Wilhelm Ordnungs mäßig ausgerufen und Dienstag den ersten Novembris ehelich eingesegnet worden Johann Georg Kiefer, der ledige Schiffer und burger alhier, Johann Georg Kiefer, Schiffers und burgers allhier mit Susanna Salome Ochsin ehelich erzeugter Sohn, und Jungfer Catharina Magdalena Mutererin, H. Michael Muterer Brucken Schiffmanns und burgers allhier mit Catharina Magdalena Frechin ehelich erzeugte tochter [unterzeichnet] Johann Georg Kiefer als Hochzeiter, Catharina Magdalena Mutererin als Hochzeiterin (i 183)

Le marchand de bois Jean Georges Kieffer meurt en 1810 en délaissant cinq enfants.

1810 (24.9.), Strasbourg 7 (27), Not. Stoeber n° 2359
Inventaire de la succession de Jean Georges Kieffer batelier et marchand de bois décédé le 3 juin dernier – à la requête de Catherine Madeleine Mutterer la veuve, à cause de la communauté de biens par contrat de mariage passé devant M° Lung le 1 oct. 1785, mère et tutrice naturelle de 1. Frédéric Charles 19 ans, 2. Sophie Caroline 17 ans, 3. Louis Savine 14 ans, 4. Salomé 10 ans et à la requête de 5. Madeleine Kieffer majeure – en présence d’André Kieffer maître batelier tuteur subrogé

en la demeure du défunt quai du brochet n° 12
Part de maison. Le 6° par indivis d’une maison, cour puits avec toutes ses appartenances et dépendances sise en cette ville fauxbourg de la Krautenau vis à vis de l’hôpital militaire appelée au grand Cerf n° 27, d’un côté au coin du ruisseau de l’hôpital militaire proche l’écluse dite Thunengießen et le quartier des Suabes d’autre Georges Ehrhart jardinier, devant le quai, derrière Georges Keller laitier – chargée d’une rente foncière de 8 francs payable au 4 mess. correspondant au 23 juin – échue de la succession de son père, inventaire Me Anrich le 16 messidor 13, lettre d’achapt passée à la Chambre des Contrats le 5 août 1784 – elle est louée au Sr Daniel Kieffer marchand de bois pour 800 fr, en capital 16.000 francs dont le 6° fait 2666, cette maison est grévée d’usufruit au profit de Susanne Salomé Ochs veuve dudit Georges Kieffer
maison appartenante à la veuve. Une maison sise en cette ville faubourg de la Krautenau quai du brochet n° 12, d’un côté la maison acquise durant la communauté d’autre le Sr Giesbrecht abou. sur le Sr Habersoth – échue à la veuve dans la succession de Michel Mauderer batelier son père, Jean Michel Mauderer homme de lettres son frère en partie suivant inventaire Me Ubersaal 7 dec. 1787, Cette maison a été originairement acquise à la Chambre des subhastations le 1 mars 1753
Maison dépendant de la communauté. Une maison avec cour, bâtiments, appartenances et dépendances sise en cette ville quai du brochet n° 13, d’un côté la maison appartenant à la veuve, d’autre Jean Stamm, devant la rivière, derrière les héritiers Giesbrecht – acquis souss. le 4 avril 1810 occupée par le Sr Schmutz pêcheur pour 160 fr, en capital 3200 francs
Dépouillement. masse commune, meubles 326 fr, bateaux 1098 fr, bois de chauffage 180 fr, maison 3200 fr, total 4804 fr, passif 3620 fr, reste 1184 francs
masse des héritiers, moitié de la communauté 592 fr, remplacement 300 fr, garde robe 227 fr, maison 2666 fr, total 3785 fr, passif 1016 fr, reste 2769 francs
prétentions de la veuve, moitié de la communauté 592 fr, don matutinal 200 fr, meubles 833 fr, total 1625 fr, déduire le passif 1000 fr, reste 625 francs
Enregistrement, acp 115 F° 133-v du 1.10.

Les deux maisons au quai du Brochet sont vendues par adjudication judiciaire. L’acquéreur du numéro 12 est l’homme de lettres Jean Jacques Schæff, créancier.

1818 (14.11.), Hypothèque de Strasbourg, Transcription reg. 111, n° 17
Tribunal Civil de Première Instance, adjudication par expropriation forcée des immeubles réellement saisis sur les veuve et héritiers de Georges Kieffer, batelier – Cahier des Charges, M° Rauter, avoué du Sr Jean Jacques Schaeff, homme de lettres, déclare que le Sr Schaeff cessionnaire de Charles Maxilimilien Fritz, professeur, est créancier de Catherine Mutterer veuve de Georges Kieffer, batelier, en son nom et mère et tutrice légale de Salomé Kieffer, Madeleine Kieffer veuve de Martin Engel, charpentier, Louise Kieffer fille majeure sans profession en qualité d’héritiers de Georges Kieffer de 222 francs suivant obligation passée devant M° Stoeber le 24 avril 1810
le 29 octobre, à Georges Frédéric Schützenberger la maison n° 13 pour 640 fr et
au Sr Schaeff la maison n° 12 pour 390 fr
Désignation des immeubles, deux maisons dont l’une est située en la ville de Strasbourg rue dite quai du Brochet n° 13, d’un côté la maison appartenant aux débiteurs n° 12, d’autre Jean Eydt n° 14, devant la rivère, derrière le Sr Giesbrecht, LL art. 136 l’autre art. 197, cette maison est composée au rez de chaussée en entrant à gauche d’une chambre en mauvais état prenant jour sur la petite cour et sur le quai derrière est la pompe qui est commune entre eux et la maison n° 14, à droite est la cuisine et sur le devant est un poele à deux croisées occupé par Joseph Frantz, le premier étage est composé d’un poele prenant jour par deux croisées sur le quai à côté est une chambre à une croisée sur le quai et une encore sur le derrière entre les deux pièces est une petite chambre à une croisée sur la petite cour et une cuisine, au dessus grenier, occupé par François Haas le tout batie en bois, briques, argile et le toit couvert de tuiles et sur un fond d’environ 2 ares
plus une autre maison à Strasbourg audit quai n° 12 d’un côté faisant le coin de la rue vers le pont à côté de la maison n° 13, d’autre le pont du Brochet, derrière le Sr Gros, LL 196, elle est composée au rez de chaussée d’une petite cour pavée à droite est la pompe, la buanderie et la cave à gauche vers la rivière est un petit corps de logis composé d’un poele et d’une chambre ayant deux petites cuisines à une demi croisée occupé par le Sr Bottiger, le premier étage est composé vers la rivière de deux chambres prenant jour sur le devant par trois croisées derrière la cuisine éclairée par la chambre au dessus, au second étage et à deux chambres par le derrière éclairées par deux demi croisées sur la cour et sur le devant il y a une grande chambre éclairée sur la rivière ayant deux croisées il y a des petits greniers, occupé savoir le premier étage par la partie saisie et le second par le Sr Bayer ouvrier en tabac, la totalité batie en bois, briques, chaux et argile les toits couverts de tuiles situé sur le fond de 2 ares – mise à prix n° 13 n° 1 à 500 fr, l’autre à 300, Cahier des Charges remis le 15 juin 1818
15 octobre, Adjudication définitive à Me Laemmerman la maison n° 13 pour 510 fr ; Déclaration de command le 17 octobre au nom de Georges Frédéric Schützenberger

Fils du notaire Jean Frédéric Schæff, le juriste Jean Jacques Schæff meurt célibataire en 1830
1830 (18.2.), Strasbourg 4 (71), Me Hatt n° 5277
Inventaire par déclaration de la succession de Jean Jacques Schaeff, propriétaire décédé le 9 novembre dernier, dressé à la requête de 1. Catherine Dorothée Schaeff femme de Georges Louis Schlag, rentier, 2. Jean Frédéric Schaeff, propriétaire, 3. Madeleine Schaeff veuve de Jean François Beguin chef de bataillon, héritiers de leur frère
dans la ville de Strasbourg, contrat de vente à reméré reçu par M° Hatt le 23 avril 1827 de Caroline Reumann épouse de Jean Baptiste Damey, employé des Contributions directes, 1/7 indivis dans une maison boulanger sise à Strasbourg Vieux Marché aux Poissons n° 84, d’un côté la veuve Senn, d’autre M Berger, 600 fr
2. ledit 19 août 1827, Louise Frédérique Reumann, 1/7 de la maison ci dessus désignée, 600 fr
3. réméré ledit 11 mars 1828 par Théodore Reymann, professeur de musique, 1/7 à la maison ci dessus désignée
4. réméré ledit 16 juillet 1828 Amélie Sophie Reymann 1/7 de la maison,
5. réméré même 16 avril même années Sophie Wilhelmine Reymann son 7° de la maison,
6. réméré du 9 août même par Marie Julie Reymann, son 7°
corps de beins à Strasbourg 2600 fr, à Neugartheim 1050 fr, totalité de l’actif 35.350 fr – passif 1900 fr – mobilier 393 fr, garde robe 65 fr, argenterie 180 fr, tonneaux 316 fr bis 912 fr, créances 28.533 fr, biens à Reichstett 300 fr
acp 198 (3 Q 29 913) f° 101-v du 1.3.

Décès, Strasbourg (n° 1986)
Déclaration de décès faite (…) le 10 novembre 1829. Jean Jacques Schaeff, âgé de 57 ans 3 mois 6 jours né à Strasbourg, Maître clerc de notaire, non marié, domicilié à Strasbourg, mort en cette mairie le 9 du mois courant à 5 heures du soir dans la maison située N° 86 Vieux Marché aux Vins, fils de feu Jean Frédéric Schaeff, Notaire, et de feu Marie Dorothée Oelinger. Premier déclarant, Daniel Ehrenfried Stoeber âgé de 50 ans, avocat, deuxième déclarant Pierre François Belot, âge de 26 ans, principal clerc de notaire, tous deux voisins du défunt

Jean Jacques Schæff revend la maison au brasseur Georges Frédéric Schützenberger pour moitié et à Barbe Ziegenhagen veuve du professeur en théologie Charles Maximilien Fritz pour l’autre moitié

1823 (25.7.), Strasbourg 4 (56), Me Hatt n° 1171
Jean Jacques Schaeff, homme de lettres
à Barbe née Ziegenhagen veuve de Charles Maximilien Fritz, professeur en théologie, et Georges Frédéric Schützenberger, brasseur, acquéreurs par moitié
une maison à deux étages avec cour, pompe, appartenances et dépendances sise à Strasbourg quai du Brochet n° 12, d’un côté le coin de la rue vers le pont, de l’autre la maison du Sr Schützenberger, devant le pont du Brochet, derrière le Sr Griesbrecht – acquis à l’audience des criées du Tribunal Civil sur l’expropriation forcée poursuivie contre la veuve et héritiers de Georges Kieffer, batelier, le 29 octobre 1818 – moyennant 300 francs
Enregistrement, acp 164 F° 36 du 1.8.

Fils de diacre, le pasteur Charles Maximilien Fritz épouse en 1793 Barbe Ziegenhagen, fille du chirurgien Daniel Théophile Ziegenhagen
1793 (26. Aug.), Strasbourg 7 (27), Not. Stoeber du 28.8. n° 433
Eheberedung – der Burger Carl Maximilian Fritz, dermaliger Parrer der evangelischen Gemeinde zu Barr, des Burgers Carl Maximilian Fritz, Diaconi bey der hiesigen Evangelischen Pfarrkirche zum Jungen St Peter mit weil. Fr. Maria Magd. Rußin seiner verstorbenen Ehegattin Jüngster Sohn als Bräutigam
Und Jgfr. Catharina Barbara Ziegenhagin, weiland des Burgers Daniel Gottlieb Ziegenhagin geweßenen geschwornen Wundartzt alhier mit Fraun Maria Margaretha geb. Schwarzin seiner Wittib ehelich erzeugte Tochter als Braut unter Genehmigung erstbesagter ihrer Mutter, wie auch beiständlich Burgers Philipp Christian Libich vöghändlers ihres Schwagers
Straßburg den 26. augst 1793 / 2 [unterzeichnet] Carl Maximilian Fritz als Bräutigam, Catharina Barbara Ziegenhagen, als Braut
acp 18 f° 32-v du 2. 7.br – il n’y a pas désignation d’apports. Les futurs donnent au survivant l’usufruit des biens du prémourant, de plus le futur fait don matutinal à la future de 800 livres.
Est comparu le futur lequel a déclaré que son revenu n’excède pas 600 livres par an

Fils de brasseur, Georges Frédéric Schützenberger épouse en 1798 Marie Madeleine Læmmermann, fille de tonnelier
1798 (5 Prairial 6), Strasbourg 4 (10), Not. Greis
Eheberedung – persönlich erschienen der Bürger Georg Friedrich Schützenberger, Bierbrauer und Inwohner allhier, weiland des Bürgers Johann Daniel Schützenberger, geweßenen bierbrauers und Inwohners allhier mit auch weiland der Bürgerin Anna Catharina gebohrner Bickelhaub ehelich erzeugter hinterlaßener großjähriger leediger Sohn an einem Theil,
so dann die Bürgerin Maria Magdalena Lämmermann, des Bürgers Johannes Lämmermann, Küblers und Inwohners allhier, mit Maria Magdalena gebohrner Steltzin, ehelich erzeugte ledige Tochter unter assistentz und Verbeÿstandung dieses ihres Vaters an dem andern Theil
Straßburg den fünfften Priiarial 6. Jahrs, [unterzeichnet] Georg Friedrich Schützenberger, Maria Magdalena Lämmermann

Les nouveaux mariés font dresser l’inventaire de leurs apports. Ceux du mari s’élèvent à 4 166 francs, ceux de la femme à 6 961 francs.
1800 (9 messidor 8), Strasbourg 7 (12), Not. Stoeber n° 1557
Inventarium über bürgers Georg Friedrich Schützenberger bierbrauers und bürgerin Maria Magdalena geb. Lämmermann einander für unveränderte in den Ehestand gebrache Mittel, angefangen im VI. geendiget aber im VII. Jahr – in ihrem am 21. gegenwärtigen Monats Messidor im 6.t jahr der Fränkischen republick angetrettenen Ehestand, vor Not. Greis Not. am 5. prairial vorher errichteten Eheberedung
durch vorgedachten seither verstorbenen Not. Greis am 28. Messidor bei dem Esplanade gegen dem hangard über gelegenen mit N° 23 bezeichneten behausung
in beÿsein bs. Johannes Lämmermann des Küblers der Ehefrauen geliebten Vaters
Series rubricarum hujus Inventarÿ, der Ehemann in die Ehe gebrachtes Vermögen, hausrath 100 fr, mütterl. Guth 3115 fr, silber 47 fr, Goldene ringe 300 fr, Summa summarum 3562 fr – Haussteur 604 fr, summa 4166 fr
der Ehefrau in die Ehe gebrachten guts, hausrath 1483 fr, gold. ring 73 fr, baarschafft 4800 fr, Summa summarum 6356 fr – Haussteur 604 fr, summa 6961 fr
Enregistrement, acp 74 F° 114 du 16 mess. 8

Marie Madeleine Læmmermann meurt en 1818 en délaissant quatre enfants

1818 (29.12.), Strasbourg 4 (49), Not. Stoeber aîné n° 4536
Inventaire de la succession de Marie Madeleine Laemmermann épouse de Georges Frédéric Schützenberger, brasseur, décédée le 9 juillet dernier – dressé à la requête du veuf, père et tuteur légal de Georges Frédéric âgé de 20 ans, Louis âgé de 17 ans, Sophie Wilhelmine âgée de 12 ans et Charles âgé de 9 ans – en présence de Philippe Laemmermann, avocat avoué près le tribunal civil de première instance, subrogé tuteur – Contrat de mariage devant M° Greis le 5 prairial 6
reprises du veuf 13.011 fr, passif 13.262 fr, passif excède l’actif de 250 fr
propre, 8513 fr – garde robe 324 fr, bijoux 78 fr, dettes actives 1000 fr, immeubles à Griesheim, reprises 6888, communauté 7687 fr
maison, une maison sise à Strasbourg rue dite quai du Brochet n° 13, d’un côté le Sr Schaeff, d’autre Jean Eydt, devant la rivière, derrière le Sr Griesbrecht, adjugée au Sieur Schützenberger à l’audience des criées du tribunal civil par jugement du 29 octobre dernier, 640 fr
passif 24.019 fr
Enregistrement, acp 141 F° 99-v du 6.1.

Georges Frédéric Schützenberger cède sa moitié des deux maisons contiguës au quai du Brochet à son fils avocat Georges Frédéric Schützenberger

1830 (30.12.), Strasbourg 3 (82), Me Schreider n° 4780
Georges Frédéric Schützenberger, ancien brasseur
à Georges Frédéric Schützenberger son fils, avocat
1. la moitié indivise d’une maison à deux étages avec cour, pompe, appartenances et dépendances située à Strasbourg quai du Brochet n° 12, d’un côté faisant le coin de la rue vers le pont, d’autre côté la maison ci après, devant le pont du Brochet, derrière le Sr Giesbrecht
2. et l’autre moitié indivise d’une maison à un étage avec petite cour, communauté de puits, appartenances & dépendances sise à Strasbourg au quai susdit n° 13, d’un côté la maison ci dessus désignée, d’autre Jean Eydt, devant la rivière, derrière le Sr Giesbrecht
propriété de la maison, d’acquisition que lui et Barbe Ziegenhagen veuve de Charles Maximilien Fritz, professeur de théologie, ont fait ensemble de la totalité de Jean Jacques Schaeff, homme de lettres, suivant contrat passé devant M° Hatt le 25 juillet 1823, ledit Schaeff l’a acquis par adjudication au tribunal civil sur l’expropriation poursuivie contre la veuve et héritiers Georges Kieffer, batelier, suivant jugement du 29 octobre 1818, au moyen du même jugement le vendeur est devenu propriétaire de la totalité des maisons ci dessus désignées mais il en a vendu plus tard la moitié à la veuve Fritz par contrat reçu M° Hatt le 25 juillet 1823 – pour 1200 francs
acp 202 (3 Q 29 917) f° 61 du 3.1.

Georges Frédéric Schützenberger fils épouse en 1826 Frédérique Fischer, fille de brasseur
1826 (24.2.), Strasbourg 3 (74), M° Schreider n° 2739
Contrat de mariage – Georges Frédéric Schützenberger, avocat près le Tribunal de Première Instance
Frédérique Fischer, fille majeure de feu Jean Jacques Fischer, brasseur, et de feu Madeleine Sophie Bader
Enregistrement, acp 177 F° 57 du 25.2. – communauté d’acquets partageable par moitié

Mariage, Strasbourg (n° 80)
Acte de mariage célébré à dix heures du matin le 14 mars 1826. Georges Frédéric Schützenberger, majeur d’ans, né en légitime mariage le 19 germinal an VII, domicilié à Strasbourg, Avocat, fils de Georges Frédéric Schützenberger, brasseur, ci présente et consentant, et de feu Marie Madeleine Laemmermann, décédée en cette ville le 9 juillet 1818, et Frédérique Fischer, Majeure d’ans, née en légitime mariage le 26 Brumaire an X à Strasbourg, domiciliée à Strasbourg, fille de feu Jean Jacques Fischer, brasseur, décédé en cette ville le premier septembre 1819 et de feu Madeleine Sophie Bader, décédée en cette ville le 4 novembre 1813. (signé) George frederic Schutzenberger, Frédérique Fischer (i 6)

Les nouveaux mariés font dresser l’inventaire de leurs apports
1826 (6.6.), Strasbourg 3 (75), Me Schreider n° 2894
Inventaire des apports de Georges Frédéric Schützenberger, avocat, et de Frédérique Fischer, suivant contrat de mariage dressé par le soussigné notaire le 24 février dernier
le mari 16.969 fr, plus terres à Griesheim
la femme 117.235 fr
Enregistrement, acp 179 F° 18 du 13.6.

Ancien maire et professeur à la faculté de droit Georges Frédéric Schützenberger meurt en 1859 en délaissant trois fils
1859 (7.2.), M° Zeyssolff
Inventaire de la communauté de biens qui a existé entre Georges Frédéric Schützenberger, vivant professeur à la faculté de droit à Strasbourg et Frédérique Fischer, sa veuve, et de la succession dudit Sr Schützenberger décédé le 24 janvier 1859, dressé à la requête 1) de la veuve comme commune en biens, 2) Frédéric Schützenberger, avocat à Strasbourg, 3) Paul Schützenberger, professeur de chimie à l’école profession,elle de Mulhouse, 4) Ernest Schützenberger, aide major à Constantine
acp 476 (3 Q 30 191) f° 31 du 14.2. (succession déclarée le 25 juin 1859) Communauté, maison 3616 – succession, garde robe 289
Décharge donnée au gardien des scellés
acp 478 (3 Q 30 193) f° 11-v du 19.4. (vacation du 9 avril) Un grand domaine à la Robertsau dit le Waldhoff
Produit de la vente du mobilier 3263, créances 19.988
acp 478 (3 Q 30 193) f° 16-v du 21.4. (vacation du 12 avril) Communauté, actif 53.252, passif 90.237
Reprises dues par la communauté à la veuve 126.494, à la succession 16.969
Succession, garde robe 289
acp 478 (3 Q 30 193) f° 37-v du 2.5. (vacation du 29 avril) Solde de traitement 336

1859 (20.4.), M° Zeyssolff
Renonciation par Frédérique Fischer veuve de Georges Frédéric Schützenberger, vivant professeur à Strasbourg, aux avantages que lui a assuré feu son mari par l’article 6 de son contrat de mariage reçu Schreider le 24 février 1826.
acp 478 (3 Q 30 193) f° 16-v du 21.4. (succession déclarée le 25 juin 1859)

Georges Frédéric Schützenberger et Théodore Fritz, héritier de sa mère Barbe Ziegenhagen, vendent les deux maisons contiguës au tisserand Jean Runtz et à Marguerite Hamion

1841 (25.7.bre), Strasbourg 10 (98), Me Zimmer n° 4063
Ont comparu 1° Mr George Frédéric Schützenberger, maire de la Ville de Strasbourg, professeur à la faculté de droit de cette ville et chevalier de la légion d’honneur et D° Frédérique Fischer, son épouse qu’il autorise pour tout ce qui suit, tous deux demeurant et domiciliés à Strasbourg, 2° M. Théodore Fritz, professeur à la faculté de théologie de Strasbourg et D° Catherine Marguerite Wilhelmine Fried, son épouse, qu’il autorise pour tout ce qui suit, les deux demeurant et domiciliés également à Strasbourg lesquels (vendent)
au Sr Jean Runtz, tisserand, & à Marguerite Hamion sa femme qu’il autorise pour tout ce qui suit, tous deux demeurant à Strasbourg
1) une maison à deux étages avec cour, pompe, appartenances et dépendances, sise à Strasbourg, quai du brochet N° 12, d’un côté faisant le coin de la rue vers le pont, de l’autre la maison dont suit la désignation, par devant le pont du brochet et par derrière la propriété du Sr Griesbrecht
2) une maison à un étage, avec petite cour, communauté de puits, appartenances et dépendances, sise à Strasbourg quai du brochet N° 13, d’un côté la maison cidessus désignée, de l’autre le Sr Jean Eydt (…)
Mr Schützenberger comparant a acquis la moitié indivise de ces deux maisons de son père Mr Georges Schützenberger, propriétaire, suivant contrat passé devant M° Schreider, alors Notaire à Strasbourg le 30 décembre 1830, transcrit au bureau des hypothèques de Strasbourg le 9 février 1831 vol. 242 numéro 94 met portant quittance du prix. Et Mr Fritz comparant est devenu propriétaire de la moitié de ces mêmes immeubles pour l’avoir recueilli dans la succession de Mme Barbe Ziegenhagen, veuve du Sr Charles Maximilien Fritz, professeur en théologie à Strasbourg, sa mère, dont il était seul et unique héritier, qualité dont il s’oblige à justifier à première réquisition. Ledit Mr Schützenberger père & ladite veuve Fritz ont acquis la maison N° 12 d’un Sr Jean Jacques Schaeff, homme de lettres à Strasbourg, suivant contrat passé devant M° Hatt, Notaire à Strasbourg le 25 juillet 1823 portant quittance du prix. Ledit Sr Schaeff était devenu propriétaire de cette même maison suivant jugement d’adjudication rendu par le tribunal civil de Strasbourg le 29 octobre 1818.
Quant à la maison portant le numéro 13, elle a été acquise par Mr Schützenberger père suivant jugement d’adjudication du tribunal civil de Strasbourg déjà relaté, D° veuve Fritz née Ziegenhagen en était devenue propriétaire pour moitié suivant contrat de ventepassé devant ledit M° Hatt le 25 juillet 1823 portant également quittance du prix. – La présente vente a été consentir pour la somme de 4000 francs
acp 291 (3 Q 30 006) f° 32-v

Originaire de Hohatzenheim, Jean Runtz épouse en 1837 Marguerite Hamion native de Mutzig
1837 (21.4.), Strasbourg 12 (143), Me Noetinger n° 9158
Contrat de mariage – Jean Runtz, tisserand à Strasbourg fils de feu Jean Runtz et d’Eve Metz à Hohatzenheim
Marguerite Hamion, majeure à Strasbourg, fille de Michel Hamion, vigneron, et de feu Marguerite Lambert à Mutzig
Enregistrement, acp 249 f° 55-v du 24.4. – régime de la communauté universelle

Jean Runtz et Marguerite Hamion hypothèquent leurs maisons au profit de la Caisse des veuves des pasteurs

1842 (14.6.), Strasbourg 10 (99), Me Zimmer n° 4366
Obligation – Ont comparu Le Sieur Jean Runtz, tisserand, & D° Marguerite Hamion, sa femme qu’il autorise pour tout ce qui suit, les deux demeurant à Strasbourg, lesquels ont reconnu devoir bien & légitimement
à la Caisse des veuves des pasteurs, tant en ville qu’à la campagne & des maîtres d’école de la confession d’Augsbourg dans la Ville de Strasbourg, pour laquelle caisse est ici présent & accepte M. Frédéric Guillaume Edel, Ministre du culte protestant prè la paroisse du temple neuf à Strasbourg, président du consistoire de ladite église, impression eccésiastique, demeurant et domicilié à Strasbourg, administrateur inspecteur de ladite caisse, la somme principale de 800 francs
hypothèque, 1) une Maison à deux étages avec cour, pompe, appartenances et dépendances, sise à Strasbourg, quai du brochet N° 12, d’un côté faisant le coin de la rue vers le pont, de l’autre la maison dont suit la désignation, pardevant le pont du brochet et par derrière la propriété du Sr Griesbrecht
2) une Maison à un étage, avec petite cour, communauté de puits, appartenances et dépendances, sise à Strasbourg, quai du brochet N° 13, d’un côté la maison cidessus désignée, de l’autre le Sr Jean Eydt, pardevant le pont du brochet et par derrière la propriété du Sr Griesbrecht. Ces deux maisons contiguës appartiennent aux conjoints Runtz pour les avoir acquises de 1° M. Georges Frédéric Schützenberger maire de la Ville de Strasbourg et D° Frédérique Fischer son épouse, 2° de M. Théodore Fritz professeur à la faculté de théologie de Strasbourg & D° Catherine Marguerite Wilhelmine Fried, son épouse tous demeurant à Strasbourg suivant contrat de vente passé devant M° Zimmer, soussigné, le 25 septembre 1841. transcrit au bureau des hypothèques le 9 novembre 1841, vol. 377 N° 19 & inscrit d’office le même jour vol. 333 N° 115. Les débiteurs certifient sous les peines de droit que ces immeubles leur appartiennent encore en toute propriété et qu’ils ne sont grevés d’aucune autre dette, rente, priviliège et hypothèque que d’une somme de 3000 francs due à ladite caisse des veuves pour solde de prix de vente desdites deux maisons (…)

Jean Runtz et Marguerite Hamion hypothèquent leurs maisons au profit du cordonnier François Charles Dauphiné

1845 (9.8.), Strasbourg 12 (167), Me Noetinger n° 17.915
Obligation. 9 août 1845 – Ont comparu Sr Jean Runtz, tisserand, et Dme Marguerite Hamion, son épouse demeurant ensemble à Strasbourg, cette dernière de son mari dûment autorisée à l’effet des présentes, lesquels reconnaissent devoir bien & légitimement
à M. François Charles Dauphiné, marchand cordonnier demeurant à Strasbourgn la somme principale de 6000 francs
hypothèquent, 1° Une maison à deux étages avec cour, pompe, appartenances et dépendances, sise à Strasbourg, quai du brochet N° 12, d’un côté faisant le coin de la rue vers le pont, de l’autre la maison dont suit la désignation, pardevant le pont du brochet et par derrière la propriété du Sr Griesbrecht
2° Une maison à un étage, avec petite cour, communauté de puits, appartenances et dépendances, sise à Strasbourg, quai du brochet N° 13, d’un côté la maison cidessus désignée, de l’autre le Sr Jean Eydt, pardevant la rivière et par derrière le Sr Griesbrecht. Les débiteurs ont acquis ces deux maisons de M. Georges Frédéric Schützenberger, Maire de la Ville de Strasbourg et de Dme Frédérique Fischer son épouse, et de M. Théodore Fritz professeur à la faculté de théologie de Strasbourg et de D° Catherine Marguerite Wilhelmine Fried, son épouse, tous demeurant à Strasbourg, aux termes d’un contrat de vente reçu par M° Zimmer et son collègue, notaires à Strasbourg, le 25 septembre 1841. Ils déclarent que le prox d’acquisition de ces immeubles est entièrement soldén que ces immeubles leur appartiennent en toute propriété et qu’ils sont francs et libres et tout priviliège et hypothèque (…)

Jean Runtz meurt en 1852 en délaissant trois enfants

1852 (16.6.), M° Noetinger
Inventaire de la succession de Jean Runtz, tisserand décédé à Strasbourg le 2 janvier 1852 à la requête de Marguerite Hamion, sa veuve agissant comme commune en biens avec lui suivant contrat de mariage reçu M° Noetinger le 21 avril 1837 et comme mère et tutrice légale de ses enfants nommés Sophie, Jean Charles et Théophile Runtz
acp 410 (3 Q 30 125) f° 96 du 21.6. (1 juillet 1852 N° 1012) Communauté, meubles et effets 790
deux maisons contiguës à Strasbourg quai du brochet 12 & 13, capital 6000,Total 6790 – Passiv 6600, reste 190

Liquidation de la succession de Jean Runtz et de son fils Jean Charles
1855 (2.7.), M° Noetinger
Liquidation de la communauté de biens qui a existé entre Jean Runtz, tisserand, et Marguerite Hamion, conjoints à Strasbourg, II. de la succession du dit Sr Runtz décédé le 2 janvier 1852, III. Jean Charles Runtz fils décédé le 17 novembre 1754, dressé par M Noetinger au nom d’Auguste Hamion, ancien huissier à Strasbourg, en qualité de syndic définitif de la faillite de Marguerite Hamion veuve du Sr Runtz, du tuteur de Sophie et d’Auguste Théophile Runtz
acp 441 (3 Q 30 156) f° 35-v du 4.7. (succession déclarée le 1° juillet 1852, le 22 juin 1855)
Communauté, masse active 8194, masse passive 7450, reste 1043 (dont moitié 525)
Succession, masse active 521, masse passive 260, reste 260, (le tiers 86)
Succession de Jean Charles Runtz, masse active 173, masse passive 89, reste 84
Droits des parties (…)

1855 (29.X.bre), M° Noetinger
Renonciation par Auguste Stromeyer, ancien huissier à Strasbourg, agissant en qualité de syndic définitif à la faillite de Marguerite Hamion épicière à Strasbourg, veuve de Jean Runtz, vivant tisserand, à l’usufruit viager compétant à la veuve Runtz et par suite à la masse de sa faillite sur une somme de 205 francs appartenant en nue propriété à Sophie Runtz et à Auguste Théophile Runtz ses deux enfants
acp 446 (3 Q 30 161) f° 44 du 2.1.1856

Les créanciers de Marguerite Hamion veuve de Jean Runtz exposent les maisons aux enchères. L’entrepreneur Charles Schæffer se porte enchérisseur. Suite à une surenchère, la maison est adjugée au tribunal civil au tisserand Antoine Gendner et à l’entrepreneur de constructions Nicolas Denu

1855 (5.3.), M° Noetinger
26 janvier 1855. Cahier des charges pour parvenir à la vente de deux maisons à Strasbourg quai du Brochet N° 12 et 13, dressé à la requête de Henri Stromeyer, ancien huissier à Strasbourg, agissant en qualité de syndic de la faillite de Marguerite Hamion veuve de Georges Runtz, épicière à Strasbourg
Dépôt du Cahier des charges ci-dessus et approbation par le Sr Stromeyer ainsi que par Urbain Hansz, tisserand à Strasbourg, agissant en qualité de tuteur de Sophie et d’Auguste Théophile Runtz, enfants mineurs des époux Runtz, des conditions retenues audit cahier des charges dressé par M° Noetinger
acp 437 (3 Q 30 152) f° 4-v du 29.1.
acp 437 (3 Q 30 152) f° 100 du 5.3. (succession déclarée le le 1 juillet 1852, le 22 juin 1855)
22 février. Adjudication définitive au profit de Charles Schaeffer, Entrepreneur à Strasbourg moyennant 6825 francs. Le prix d’adjudication payable, savoir (…)

1855 (25.4.), Hypothèque de Strasbourg, Transcription reg. 603 et 605 (2262, 2263) n° 125
Le tribunal civil de première instance de l’arrondissement de Strasbourg département du Bas Rhin séant à ladite ville au palais de Justice a rendu le jugement d’adjudication sur surenchère ci-après
Première adjudication. Pardevant M° Charles Noetinger et son collègue notaires à la résidence de Strasbourg soussignés. Ledit M° Noetinger commis à l’effet des présentes suivant jugement rendu par le tribunal civil séant à Strasbourg le 11 décembre 1854 (…) ont comparu 1° Monsieur Auguste Stromeyer ancien huissier demeurant et domicilié à Strasbourg agissant en qualité de syndic définitif de la faillite de Marguerite Hamion épicière regratière demeurant et domiciliée en ladite ville veuve de Jean Runtz vivant tisserand à Strasbourg, nommé à cette fonction suivant jugement rendu par le tribunal de commerce séant à Strasbourg le 19 mai 1854 et 2° Monsieur Urbain Hansz tisserand demeurant à Strasbourg, agissant en qualité de tuteur datif de Sophie Runtz et d’Auguste Théophile Runtz les deux enfants mineurs issus du mariage des dits conjoints Runtz-Hamion (…) lesdits deux mineurs Runtz en qualité de seuls et uniques héritiers chacun pour un tiers conjointement avec Monsieur Jean Charles Runtz leur frère décédé héritier pour l’autre tiers de la succession du dit sieur Jean Runtz leur père décédé à Strasbourg le 2 janvier 1852 ainsi que ette qualité résulte de l’intitulé de l’inventaire de la succession du dit Sieur Runtz dressé par M° Noetinger qui en a la minute et son collègue le 16 juin 1852.
Lesquels ès qualités qu’ils agissent après que M° Noetinger leur a donné communication d’un cahier des charges par lui dressé cejourd’hui contenant les clauses et conditions sous lesquelles doit avoir lieu, en exécution d’un jugement du 11 décembre précité, la vente de deux maisons contiguës sises à Strasbourg au quai du Brochet numéro 12 et 13 la moitié d’un puits avec appartenances et dépendances d’un côté la rue qui conduit au pont, de l’autre le sieur Kohler avant Jean Eyth, par devant le quai par derrière le sieur Koenig (…) Le jour de l’adjudication des maisons à vendre demeure fixé au jeudi 22 février prochain à dix heures du matin en l’étude de M° Noetinger rue des serruriers numéro 29 où les parties sont promis de se trouver. Est aussi intervenu le sieur Antoine Gendner tisserand demeurant à Strasbourg subrogé tuteur des dits deux mineurs Runtz (…)
Dont acte en minute fait et passé à Strasbourg l’an 1855 le 26 janvier
(Antoine Gendner tisserand et Nicolas Denu entrepreneur de constructions)
Cahier des charges (…) Désignation des immeubles à vendre et mise à prix. Deux maisons contiguës sises à Strasbourg au quai du Brochet numéro 12 et 13, la moitié d’un puits avec appartenances et dépendances d’un côté la rue qui conduit au pont, de l’autre le sieur Kobler avant Jean Eyth, par devant le quai par derrière le sieur Koenig avant le sieur Griesbrecht (…) Mise à prix 6000 francs
Etablissement de la propriété. Le sieur Jean Runtz et Marguerite Hamion ont acquis les deux maisons durant la communauté réduite aux acquêts qui a existé entre eux, aux termes de leur contrat de mariage reçu par M° Noetinger qui en a la minute & son collègue le 21 avril 1837, de Monsieur Georges Frédéric Schützenberger maire de la Ville de Strasbourg et de Frédérique Fischer son épouse et de Monsieur Théodore Fritz professeur à la faculté de Théologie de Strasbourg et de Dame Marguerite Wilhelmine Fried son épouse tous demeurant à Strasbourg suivant contrat de vente reçu par M° Zimmer notaire à Strasbourg le 25 septembre 1841. Cette acquisition a eu lieu moyennant le prix de 4000 francs (…) Le sieur Runtz est décédé à Strasbourg le 2 janvier 1842 délaissant pour seuls et uniques héritiers 1° Sophie Runtz, 2° Jean Charles Runtz, 3. Théophile Runtz ses trois enfants nés de son union avec Marguerite Hamion sa veuve chacun pour un tiers et en outre cette dernière comme donataire en usufruit de la moitié de sa succession aux termes du contrat de mariage visé, ainsi que le tout résulte de l’intitulé de l’inventaire dressé après son décès par M° Noetinger qui en a la minute et son collègue le 16 juin 1852. Jean Charles Runtz fils est décédé en la même ville le 17 novembre 1854 à l’âge de 14 ans, par conséquent incapable de pouvoir disposer d’aucune partie de sa succession, délaissant pour seuls et uniques héritiers la Dame Runtz née Hamion sa mère pour un quart et lesdits Sophie et Auguste Théophile Runtz ses frère et sœur germains ensemble pour les autres trois quarts. Par suite de ce qui précède la maison et dépendances ci-dessus appartiennent savoir 1) à la veuve 1° en toute propriété pour 26/48 dont 24/48 en sa qualité de commune en biens avec don défunt mari aux termes du contrat de mariage visé et pour 2/48 en sa qualité d’héritière à réserve de son fils Jean Charles dont un 48° qu’elle confond avec l’usufruit qui lui appartient auc termes u contrat de mariage visé, II. Et en usufruit 11/48, B. Et aux mineurs Sophie et Auguste Théophile Runtz pour moitié, I. en toute propriété pour 8/48 en leur qualité d’héritiers de leur père et pour 3/48 en leur qualité d’héritiers de leur frère Jean Charles Runtz, Ensemble 11/48 dont moitié pour chacun fait 11/96. II. Et en nue propriété l’usufruit en appartenant à leur mère pour 11/48.
Monsieur Georges Frédéric Schützenberger a acquis la moitié indivise des deux maisons de Monsieur Georges Schützenberger ancien brasseur son père demeurant à Strasbourg suivant contrat reçu par M° Schreider et son collègue notaire à Strasbourg le 30 décembre 1830 transcrit au bureau des hypothèques de l’arrondissement de Strasbourg le 9 février 1831 volume 242 numéro 94 moyennant le prix de 1200 francs quittancé en l’acte. Monsieur Théodore Fritz a recueilli la moitié des dites maisons dans la succession de Dame Barbe Ziegenhagen veuve de Monsieur Charles Maximilien Fritz en son vivant professeur en théologie en cette ville sa mère dont il étaut seul et unique héritier.
Monsieur Georges Frédéric Schützenberger père et la Dame veuve Fritz née Ziegehagen sont devenus propriétaires de la maison sous le numéro 12 par suite de l’acquisition qu’ils en ont faite de Monsieur Jean Jacques Schaeff homme de lettres demeurant à Strasbourg suivant contrat de vente reçu par M° Hatt qui en a la minute et son collègue notaires à Strasbourg le 25 juillet 1823 moyennant le prix de 300 francs quittancés au contrat. Le sieur Schaeff l’avait acquise par suite de l’adjudication faite à l’audience des crées du tribunal séant à Strasbourg sur l’expropriation forcée poursuivie contre la veuve & héritiers de feu Georges Kieffer vivant batelier à Strasbourg suivant jugement du tribunal civil de Strasbourg en date du 29 octobre 1818.
Quant à la seconde maison portant le numéro 13 elle a été acquise par Monsieur Schützenberger père aux termes d’un jugement du 29 octobre précité et ladite veuve Fritz née Ziegenhagen est devenue propriétaire de la moitié indivise par suite de la vente qui lui en a passée le copropriétaire suivant acte reçu par M° Hatt notaire à Strasbourg le 25 juillet 1823 pour le prix de 300 francs payés comptant.
Charges, clauses et conditions (…)
(f° 199-v) Adjudication. Et cejourd’hui 22 février 1855 (…) cette enchère a été portée au prix de 6825 francs par Monsieur Charles Schaeffer entrepreneur de travaux publics demeurant à Strasbourg rue du Soleil numéro 29
(f° 1) Cahier des charges supplémentaire. M° Ambroise François Xavier Ackermann avoué au tribunal civil séant à Strasbourg déclaré que suivant acte dressé au greffe dudit tribunal le 28 février dernier le sieur Nicolas Denu maître maçon domicilié à Strasbourg a fait une surenchère du 6° sur deux maisons contiguës sises à Strasbourg quai du Brochet numéros 12 et 13. (…) Enregistré à Strasbourg le 13 mars
(f° 2) Adjudication. L’an 1855 le 23 mars à l’audience publique des criées du tribunal de Strasbourg (…) adjuge définitivement et sur surenchère lesdits immeubles à M° Ackermann avoué pour ladite somme de 7965 francs
(f° 3) Déclaration d’adjudication. L’an 1855 le 23 mars au greffe du tribunal civil de Strasbourg est comparu M° Ackermann avoué en ce siège lequel a déclaré qu’à l’audience de ce jour et au nom d’Antoine Gendner tisserand et Nicolas Denu entrepreneur de constructions les deux domiciliés à Strasbourg il a enchéri et est devenu adjudicataire de deux maisons contiguës sises à Strasbourg quai du Brochet numéros 12 et 13.

Originaire de Rohr, Antoine Gendner épouse en 1823 Barbe Hamion, originaire de Mutzig, qui s’est mariée en premières noces avec le tisserand Henri Scheer en 1817.
1823 (16.4.), Strasbourg 14 (75), Me Lex n° 565
Contrat de mariage – André Gendner, tisserand à Strasbourg, fils majeur de Michel Gendner, tisserand, et de Barbe Brasser à Rohr
Barbe née Hamion, veuve en premières noces sans enfants de Henri Scheer, tisserand fille de Nicolas Hamion, cultivateur, et de Catherine Wernert à Mutzig
Enregistrement, acp 162 F° 108 du 17.4. – régime de la communauté universelle

Mariage, Strasbourg (n° 17)
Acte de mariage célébré le 9 janvier 1817. Henri Scheer, majeur d’ans, né en légitime mariage le 19 mai 1787 à Hernsheim (Ex Mont-tonnerre) domicilié à Strasbourg, tisserand, veuf de Marie Sara Volck décédée en cette ville le 24 août 1815, fils de feu Jean Adam Scheer, tisserand à Hernsheim et de feu Madeleine Koch, Barbe Hamion, majeure d’ans, née en légitime mariage le 11 mai 1787 à Mutzig (Bas-Rhin), &dil&e à Strasbourg, fille de feu Nicolas Hamion, cultivateur décédé à Mutzig le juillet 1787 et de feu Catherine Wernet décédée audit lieu le 18 Messidor an II de la République française (signé) Heinrich Scheer, l’épouse a déclaré ne savoir signer (i

Barbe Hamion meurt sans enfant en 1859 en délaissant des héritiers collatéraux (dont Marguerite Hamion femme de Jean Runtz)
1859 (7. 9.bre), M° Noetinger
Inventaire de la communauté de biens qui a existé entre Barbe Hamion veuve en premières noces sans enfant de Henri Scheer, tisserand à Strasbourg, et épouse en secondes noces d’Antoine Gendner aussi tisserand, décédée le 24 octobre dernier, dressé à la requête de 1) Etienne Gerber, gendarme à Puteaux, 2) Joseph Gerber, journalier à Molsheim, 3) Marie Anne Gerber épouse de Thiébaut Hantz vigneron à Molsheim, par représentation de Catherine Hamion leur mère, B) Maurice Hamion, ouvrier à la manufacture d’armes à Mutzig, Marguerite Hamion veuve de Jean Runtz, vivant tisserand à Strasbourg, Catherine Hamion veuve de Bernard Kalt, tisserand à Strasbourg
acp 482 (3 Q 30 197) f° 94 du 14. 9.bre (succession non déclarée)
Communauté, mobilier estimé 1441, loyer 69
moitié de deux maisons à Strasbourg quai du brochet
une maison rue finckwiller N° 21
créances 19

1860 (2.2.), M° Noetinger
Renonciation par Antoine Gendner, tisserand à Strasbourg, à l’usufruit qui lui compète sur la succession de feue Barbe Hamion sa femme, par son contrat de mariage reçu Lex Nre le 13 avril 1823
acp 485 (3 Q 30 200) f° 47-v du 8.2.

M° Noetinger, 15 février. Dépôt par Jean Baptiste Burckel, payeur à Strasbourg d’un acte du greffe en date du 2 courant, portant renonciation par le mandataire de de 1) Joseph Gerber, journalier à Molsheim, 2) Marie Anne Gerber femme de Thiébaut Hantz, vigneron à Molsheim, 3) Etienne Gerber, gendarme à Puteaux, 4) Maurice Hamion, ouvrier à Mutzig, 5) Marguerite Hamion veuve de Jean Runtz, tisserand à Strasbourg, 6) Catherine Hamion veuve de Bernard Kalb à Strasbourg, à la communauté de biens qui a existé entre entre Antoine Gendner, tisserand, et Barbe Hamion sa femme à Strasbourg
acp 485 (3 Q 30 200) f° 86 du 23.2.

Originaire de Hochfelden, Nicolas Denu épouse en 1836 Marie Madeleine Thérèse Hollender
Mariage, Strasbourg (n° 344)
Du 24° jour du mois de septembre l’an 1836. Acte de mariage de Nicolas Denu, Majeur d’ans, né en légitime mariage le 19 novembre 1813 à Hochfelden (Bas-Rhin) domicilié à Strasbourg, Maçon, fils de feu François Joseph Denu, tisserand décédé à Hochfelden le 6 mai 1819 et de Brigitte Mertz domiciliée à Hochfelden ci présente et consentante, et de Marie Madeleine Thérèse Hollender, majeure d’ans, née en légitime mariage le 11 septembre 1809 à Strasbourg, domiciliée à Strasbourg, fille de Michel Laurent Hollender, tourneur, et de Marie Thérèse Vix, conjoints domiciliés en cette ville ci présents et consentants (signé) Nikolaus denu, Maria Magdalena theresia holender (i 8)

Inventaire suite à la séparation de biens entre Nicolas Denu et sa femme
1870 (15.2.), Strasbourg 10 (164), Not. Kœrttgé (Jean Théodore) n° 1529
Inventaire après séparation de biens entre Nicolas Denu, maître maçon, & Dame Marie-Madeleine-Thérèse Hollender, conjoints domiciliés à Strasbourg
L’an 1870 lundi le 14 février à deux heures de relevée à Strasbourg en l’étude de M° Koerttgé rue du bouclier N° 1. A la requête de Dame Marie-Madeleine-Thérèse Hollender, épouse de M. Nicolas Denu, maître maçon, avec laquelle elle demeure et est domiciliée à Strasbourg, agissant 1° comme ayant été déclarée séparée quant aux biens de son mari suivant jugement rendu par le tribunal civil de première instance de Strasbourg le 7 février courant, 2° à cause de la communauté légale qui à défaut de contrat de mariage a existé entre elle et son mari, communauté qu’elle se réserve d’accepter et de répudier, 3° Enfin comme créancière de cette communauté & même de son mari pour raison de ses créances & reprises Et en l’absence de M. Nicolas Denu
Prix d’adjudication d’immeubles saisis. La maison avec dépendances sise à Strasbourg rue des aveugles N° 10 & la propriété rurale située dans la banlieue de cette ville hors la porte d’Austerlitz au canton dit Bubenwaesserlin sur la route du Polygone N° 37, dépendant de la communauté dont s’agit
acp 591 (3 Q 30 306) f° 41 du 21.2. – reprises 4000 – passif 35.000

Nicolas Denu et Marie Madeleine Thérèse Hollender vendent la maison portant le numéro 1 à l’employé à la manufacture des tabacs Aloïse Heinrich et à Louise Zimmer

1864 (30.9.), M° Noetinger
Vente – Nicolas Denu, entrepreneur, et Marie Madeleine Thérèse Hollender sa femme à Strasbourg
à Aloïse Heinrich, employé à la manufacture des tabacs, et Louise Zimmer son épouse à Strasbourg
une maison sise à Strasbourg quai du Brochet n° 1, moyennant 8000 francs, dont 2000 francs payés, le surplus payable entre les mains de Charles Dauphiné marchand cordonnier à Strasbourg, créancier suivant obligation reçue Noetinger, Nre le 9 août 1845 – Origine, jugement d’adjudication du 23 mars 1855
acp 536 (3 Q 30 251) f° 60-v du 5.10.

Originaire de Breitenbach près de Villé, Aloyse Heinrich épouse en 1860 Louise Zimmer, native d’Obernai, veuve de l’employé au chemin de fer Charles Michel Wagner : contrat de mariage, célébration
1860 (28.3.), M° Keller
Contrat de mariage – Aloyse Heinrich, employé à la manufacture des tabacs à Strasbourg
Louise Zimmer veuve en premières noces de Charles Wagner, vivant employé au chemin de fer de l’Est à Strasbourg
acp 486 (3 Q 30 201) f° 83-v du 29.3. – Stipulation de communauté de biens réduite aux acquêts, partageable par moitié, réserve d’apports et d’héritages
Les apports du futur consistent en une valeur de 2864
ceux de la future épouse consistent en 1) mobilier estimé 750, 2) différents immeubles ban d’Obernai
Donation réciproque par les futurs au survivant d’eux de l’usufruit d’une valeur de 1000 francs

Mariage, Strasbourg (n° 213)
Du premier jour du mois de mai 1860 à dix heures du matin Acte de mariage d’Aloyse Heinrich, majeur d’ans, né en légitime mariage le 18 février 1825 à Breitenbach (Bas-Rhin) domicilié à Strasbourg, ouvrier en tabacs, fils de feu Jean Adam Heinrich, vigneron décédé à Breitenbach le 7 juin 1833, et de Françoise Haas, sans profession particulière, domiciliée à Breitenbach et Louise Zimmer, majeure d’ans, née en légitime mariage le 12 janvier 1830 à Obernai (Bas-Rhin), domiciliée à Strasbourg, sans profession, veuve de Charles Michel Wagner chef surveillant au chemin de fer décédé à Strasbourg le 2 septembre 1858, fille de feu Joseph Zimmer, charpentier décédé à Obernai le 26 septembre 1849 et de feu Thérèse Vielmeyer décédée à Obernai le 3 janvier 1844 (…) il a été passé le 28 mars dernier un contrat de mariage devant M° Keller notaire à Strasbourg (signé) Heinrich, Zimmer (i 2)

Louise Zimmer meurt en 1870 en délaissant une fille

1870 (8.7.), M° Keller
Inventaire de la communauté de biens qui a existé entre Aloyse Heinrich, employé à la manufacture des tabacs de Strasbourg, et Louise Zimmer décédée à Strasbourg le 3 mai 1870 et de la succession de cette dernière, dressé à la requête du veuf comme commun en biens suivant contrat de mariage reçu Keller le 28 mars 1860 et comme usufruitier d’une somme de 1000 francs d’après ledit contrat, agissant en outre comme père et tuteur légal de de sa fille nommée Marie Louise Heinrich
acp 594 (3 Q 30 309) f° 96-v du 12.7. – Communauté, mobilier 617, livret de la caisse d’épargne 519, argent 858
maison à Strasbourg quai du brochet N° 1
Passif 6364
Succession, garde robe 192, passif 171

Aloyse Heinrich se remarie en 1871 avec Barbe Hickel, originaire de Gœrsdorf : contrat de mariage, célébration
1871 (19.1.), M° Keller
Ehe Contract – Aloyse Heinrich, an der Taback Manufactur angestellt, Wittwer von Louise Zimmer mit einem Kind
Barbara Hickel, großjährig in Gersdorf
acp 597 (3 Q 30 312) f° 21 du 20.1. – die Eheleuth nehmen die Gemeinschafft nach dem CC an
des Einbringen in die Ehe von deù Bräutigam ist durch Inventar vor H Keller den 1. Juli 1870 beschrieben
die Braut bringtt in die Ehe 1) verschiedene Güter im Bann von Gerstorff gelegen 2) eine Summ von 570.
Gegenseitige Schenkung des Genusses vom Vermögen des zuerst sterebenden

Mariage, Strasbourg (n° 16)
Du 21° jour du mois de janvier 1871 à dix heures du matin. Acte de mariage d’Aloyse Heinrich, majeur d’ans, né en légitime mariage le 18 février 1825 à Breitenbach (Bas-Rhin) domicilié à Strasbourg, ouvrier en tabacs, veuf de Louise Zimmer décédée à Strasbourg le 13 mai 1870, fils de feu Jean Adam Heinrich, vigneron décédé à Breitenbach le 7 juin 1833, et de Françoise Haas, décédée à Breitenbach le 29 février 1864, et de Barbe Hickel, majeure d’ans, née en légitime mariage le 11 octobre 1835 à Goersdorf (Bas Rhin), domiciliée à Strasbourg, domestique, fille de feu Jean Georges Hickel, laboureur décédé à Goersdorf le 27 février 1870 et de feu Marie Elisabeth Thomann décédée à Goersdorf le 28 novembre 1853 (…) il a été passé le 19 de ce mois un contrat de mariage devant M° Charles Keller, notaire à Strasbourg (signé) Heinrich, Hickel (i 10)

La maison est inscrite au cadastre sous le nom de Julie Bausch à partir de 1892. Fille du journalier Auguste Bausch et de Madeleine Salomé Eschbacher, elle naît en 1844 et meurt en 1924. Sa sœur Salomé épouse Pierre Eugène Neunreiter en 1864.

1846, Registre de population 600 MW 258
Registre de population 600 MW 258 (p. 423) Faubourg national N° 75
Bausch, Auguste, 1815, Strasbourg, Journalier, (auparavant) grand rue 76, (entré) 5. 8.br 46, 15 janv. 49 décédé
idem née Eschbacher, Madeleine Salomé, 1819, Strasbourg, Ep., (délogé) 18 avril 1849 faub. de Saverne 20
id. Salomé, 16. Xbre 1840, Strasbourg, fille
id. Marie Madeleine, 6. 8.bre 1842, Strasbourg, fille
id. Julie, 10 juin 1844, Strasbourg, fille

Ficher domiciliaire (603 MW 43)
Julie Bausch († 11.4.23) 10.6.44, Strassburg, E(vangelisch)
Münsterpl. 9. Schneider
V. Z. 85, Tränkgasse 7
20/9 91 Züricherstraße 30
1912 wohnung Rev. Ber.
† 11.4.23 im Diaconat

Décès, Strasbourg (n° 889)
Strasbourg le 12 avril 1923. La Supérieure de la Maison des Diaconesses a communiqué que mademoiselle Julie Bausch, sans profession, âgée de 78 ans 10 mois, de religion protestante, demeurant à Strasbourg, 30. rue de Zurich, née à Strasbourg, fille de feu Auguste Bausch, marchand de grains et de feu Madeleine Salomé née Eschbacher, demeurant en dernier lieu à Strasbourg, est décédée à Strasbourg au Diaconat le 11 avril de l’année 1923 à treize heures quinze minutes

La maison est inscrite au cadastre sous le nom du garçon batelier Frédéric (Charles Frédéric Bernard) Mayer et de sa femme Rosine Hoss à partir de 1918. Natif de Strasbourg, il épouse en premières noces Hélène (Catherine Hélène) Hoss, native de Mundelsheim en Wurtemberg, puis en secondes noces en 1907 Jeanne Rosine Hoss, sœur de la précédente.

Mariage, Strasbourg (n° 32)
Strassburg am 12. Januar 1907. Vor dem Standesbeamten erschienen heute zum Zwecke der Eheschließung 1. der Kaufmann Karl Friderich Bernhard Mayer, Wittwer von Helene Hoss, evangelischer Religion, geboren am 28. Mai des Jahres 1864 zu Straßburg, wohnhaft in Straßburg Züricherstraße 30, Sohn des verstorbenen Malers Friderich Mayer und seiner verstorbenen Ehefrau Katharina gebornen Mehl, beide zuletzt wohnhaft in Straßburg, 2. die Johanna Rosina Hoss, ohne Beruf, evangelischer Religion, geboren am 10. Juli des Jahres 1869 zu Mundelsheim (Württemberg) wohnhaft in Straßburg, wie oben, Tochter des verstorbenen Weingärtners Christian Wilhelm Hoss, zuletzt wohnhaft in Weinsberg und seiner Ehefrau Barbara Wilhelmine Helene gebornen Harsch, wohnhaft in Weinsberg (Württemberg) – (i 32)

Décès, Strasbourg (n° 3211)
Strassburg am 5. Dezember 1905. Vor dem Standesbeamten erschienen heute der Kaufmann Georg Maÿer wohnhaft in Neudorf Schlutmattweg 25 und zeigte an, daß Katharina Helena Maÿer geborene Hoss, 35 Jahre alt, evangelischer Religion, wohnhaft in Straßburg, geboren zu Mundelsheim, Württemberg, Ehefrau des Kaufmanns Karl Friderich Bernhard Mayer, Tochter des verstorbenen Weingärtners Christian Wilhelm Hoss, zuletzt wohnhaft in Weinsberg und dessen Wittwe Barbara Wilhelmine Helene Harsch in Weinsberg wohnhaft zu Straßburg Züricherstraße 30 am 4. Dezember des Jahres 1906 Nachmittags um vier Uhr verstorben sei (i 68)


Les Maisons de Strasbourg sont présentées à l’aide de Word Press.