10, rue Sainte-Madeleine
Rue Sainte-Madeleine n° 10 – IX 149 (Blondel), O 694 puis section 17 parcelle 5 (cadastre)
Reconstruite par le fabricant de chandelles Jean Chapuis, 1737
Façade, bâtiment sur cour, porte à crossettes (octobre 2018)
La maison qui porte aujourd’hui le numéro 10 comprenait jusqu’au XVIII° siècle trois maisons distinctes, réunies en une seule propriété par le fabricant de chandelles Jean Chapuis en 1737. Les deux du nord, appelées ici (a-1) et (a-2), se trouvaient sous un même toit et étaient réputées en 1737 n’en avoir formé qu’une dans les anciens temps ; elles appartiennent au même propriétaire de 1661 à 1676 puis à partir de 1730. Ces deux maisons qui correspondent à la partie actuellement séparée par la courette sont réunies en 1737 à la troisième, appelée ici (b). La première maison que Jean Chapuis a achetée correspond à l’actuel numéro 12. Il en détache un terrain à l’arrière des précédentes où se trouvait son atelier à fabriquer les chandelles. Les parcelles actuelles remontent à 1737, la distribution des bâtiments résulte des reconstructions de Jean Chapuis.
Maison (a-1)
Le charpentier Jean Gretz qui fait divers travaux en 1618 est autorisé par son voisin (actuel n° 8) à poser un corbeau dans son mur. Après avoir appartenu à des artisans (cordonnier, fabricant de capes, graveur de sceaux), elle est réunie à la voisine par le chapelier François von Hipsheim de 1661 à 1676, date à laquelle le confiseur Jean Martin Stroh l’achète. Le tailleur Jean André Gimpel en est propriétaire pendant plus de trente ans. Le fabricant de chandelles Claude François Vernier la réunit à la la maison (a-2) en 1730. La maison comprend trois petits poêles, trois vestibules où se trouvent l’évier et le fourneau, une cour très étroite et une petite cave solivée d’après le billet d’estimation de 1735. En 1742, c’est-à-dire après la reconstruction, la maison comprend au rez-de-chaussée deux poêles, deux chambres, deux cuisines, un vestibule, le premier et le deuxième étages comprennent chacun un logement sur la droite et un autre sur la gauche.
Maison (a-2)
Elle appartient pendant presque tout le XVII° siècle à des chapeliers (Conrad Stumpf, Christophe Spleis, son gendre François von Hipsheim puis Paul von Hipsheim). La femme du fabricant de pâtés infirme Jean Haubenstricker en est propriétaire un an. Son mari demande en 1694 l’autorisation de poser un auvent d’une planche de large qu’on pourrait lever et baisser à l’aide d’une corde. Propriétaire de 1724 à 1726, le maître maçon Philippe Jacques Zell revend la maison au fabricant de chandelles Claude François Vernier en promettant de faire des travaux qui ne satisfont pas l’acheteur. D’après le billet d’estimation de 1735, la maison comprend deux caves dont l’une est voûtée et l’autre solivée, un poêle, une cuisine, un atelier à fabriquer les chandelles, resserre à suif, boutique, à l’étage deux poêles, deux cuisines, passage, dans le bâtiment latéral deux chambres, logement militaire et greniers.
Jean Chapuis achète en 1737 les deux maisons réunies par Claude François Vernier. Son voisin (actuel n° 8) lui cède la même année la partie du cabinet d’aisance et de la fosse qui avance dans sa propriété pour obtenir une limite rectiligne. Il est par ailleurs autorisé à reconstruire d’un seul tenant les deux maisons délabrées qu’il vient d’acquérir et n’en faisaient anciennement qu’une seule. Celle vers le sud a 33 pieds 3 pouces de long sur une profondeur de 36 pieds, celle au nord a 16 pieds 10 pouces de long sur une profondeur de 36 pieds.
Maison (b)
Elle appartient au début des années 1620 au potier Daniel Fiedel. Le droit de feu qui y est attaché passe ensuite au boulanger Georges Lentz. La maison revient à nouveau à un potier, Jean Gaspard Ursch, en 1638 puis, après avoir appartenu à des fariniers, au potier Jean Georges Ruff (1687-1695) et Paul Heyer (1695-1728). Déjà propriétaire de la maison voisine (actuel numéro 12), Jean Chapuis l’acquiert puis est autorisé à ouvrir une porte pour faire communiquer les deux maisons. Quand il achète les maisons au nord en 1737, les Quinze l’autorisent à détacher de l’actuel numéro 12 un jardin et un terrain de 50 pieds de long sur 20 de large sur lequel se trouve son atelier à fabriquer les chandelles pour le réunir aux trois autres maisons. En 1742, le rez-de-chaussée comprend une boutique de chandelier, un poêle, une cuisine et un vestibule, un logement à chacun des deux étages et un niveau mansardé, le bâtiment arrière un rez-de-chaussée, deux étages et le logement d’officier sous les combles.
Les maisons (a) et (b) réunies sont toujours considérées comme indépendantes, chacune est donc soumise au logement militaire. Les héritiers Chapuis vendent l’actuel n° 12 au menuisier Jean André Lux et cèdent en 1767 les deux maisons formant l’actuel n° 10 à leur sœur Marie Dorothée Chapuis. Comme il n’est pas bourgeois, son mari André Braulle déclare ignorer les règlements quand les contrôleurs des Maçons lui reprochent en 1779 de faire faire des travaux sans avoir recours à un maître.
Elévations préparatoires au plan-relief de 1830, cours O et N, plan (îlot 210)
L’Atlas des alignements (années 1820) signale un bâtiment à rez-de-chaussée et deux étages en maçonnerie. Sur les élévations préparatoires au plan-relief de 1830 (1), la façade sur rue est la deuxième à droite du repère (s) : au rez-de-chaussée une ouverture en arcade à chaque extrémité, séparée par deux fenêtres de la porte au milieu du bâtiment. Comme le nombre de fenêtres aux étages ne correspond pas au nombre actuel, il est probable que le dessin s’écarte de la réalité. La petite cour O entre les deux bâtiments successifs représente l’arrière (3-4) du bâtiment sur rue, l’extrémité nord (2-3) et le bâtiment arrière (1-2), à deux étages moins hauts que ceux du bâtiment avant. La cour N montre la face postérieure (7-8) du bâtiment arrière qui se prolonge en aile (8-9) vers le sud. Le bâtiment (6-7) occupe la face nord, (5-6) la face sud, les autres bâtiments 9-10-1-2-3-4-5) occupant l’angle sud ouest.
La maison porte d’abord le n° 26 (1784-1857) puis le n° 10.
Courette – Plan du rez-de-chaussée (1980, Police du Bâtiment, dossier II)
Maurice Thiebault dont la femme vient de racheter les parts de la maison fait démolir et reconstruire en 1844 un bâtiment, sans doute à l’arrière, ce qui porte le revenu cadastral de 378 à 395 francs et le nombre d’ouvertures imposables au-dessus du deuxième étage de 76 à 91.
Chrétien Greiner installe en 1894 un atelier de menuiserie. Le maître tapissier Jean-Daniel Wolff fait aménager un magasin en 1973 à gauche de la porte d’entrée en transformant les deux arcades. Le propriétaire fait remplacer en 1980 la porte d’entrée et celle qui donne dans la cour arrière. Le vannier Alain Vogelsperger fait aménager en 1980 un local commercial et transformer les arcades à droite de la porte d’entrée. Jean-Daniel Wolff est autorisé en 1986 à couvrir la partie sud de la petite cour au niveau de l’étage. La société d’ébénisterie Gottfried Muller aménage les combles en 1985 et 1986. Jean-Daniel Wolff est autorisé en 1986 à couvrir la partie sud de la petite cour au niveau de l’étage.
Vue en 1973 et en 1980, on y voit l’ancienne porte et le fer forgé dans l’imposte
Transformations des arcades en 1973 (Police du Bâtiment, dossier I)
octobre 2018
Sommaire
Cadastre – Police du Bâtiment, dossier I, dossier II
Maison (a-1), Maison (a-2), Maison (b) puis maison entière
Récapitulatif des propriétaires
La liste ci-dessous donne tous les propriétaires de 1616 à 1952. La propriété change par vente (v), par héritage ou cession de parts (h) ou encore par adjudication (adj). L’étoile (*) signale une date donnée par les registres du cadastre.
Maison (a-1), correspondant à la partie droite de l’actuel n° 10
Jean Gretz, charpentier, et (1602) Gertrude Træher – luthériens | ||
1621 | v | Frédéric Lindenberger, cordonnier, et (1614) Barbe Haderbeck veuve du cordonnier Pierre Bleicher – luthériens |
1636 | v | Pierre Brentz, fabricant de capes, et (1618) Madeleine Wilhelm, veuve du fabricant de capes Jean Sontag – luthériens |
1643 | v | Abraham Schiller, graveur de sceaux, et (1635) Ursule Kretz puis (1654) Elisabeth Neher remariée (1666) à Michel Diebold – luthériens |
1661 | v | François von Hipsheim (ci-dessous) |
1676 | v | Jean Martin Stroh, confiseur, et (1671) Marthe Winschel veuve du revendeur Philippe Eusèbe Angelin (ancien locataire) – luthériens |
1680 | v | Jean Weiss, cordonnier, et (1670) Marguerite Scheubel – luthériens |
1693 | adj | Ernest Frédéric Mollinger, adjudicataire par procédure judiciaire, puis le précédent par faculté de rachat |
1696 | v | Jean André Gimpel, tailleur, et (1694) Anne Barbe Schæffer – luthériens |
1730 | v | Claude François Vernier (ci-dessous) |
Maison (a-2), correspondant à la partie centrale de l’actuel n° 10
Conrad Stumpf, chapelier, et (1608) Elisabeth Kegereis, veuve du boucher Antoine Mangold – luthériens | ||
1619 | v | Christophe Spleis, chapelier, et (1611) Anne Thomas veuve du chapelier Jean Ulric Meyer – luthériens |
1651 | h | François von Hipsheim, chapelier, et (1640) Anne Marthe Spleiss, (1651) Marie Madeleine Wagner puis (1662) Susanne Schurer – luthériens |
1670 | h | Paul von Hipsheim, chapelier, et (1682) Anne Salomé Schwenck – luthériens |
1694 | v | Jean Haubenstricker, fabricant de pâtés, et (1684) Anne Marie Wagner – luthériens |
1695 | v | Paul Rœmer, cloutier, et (1673) Susanne Rœmer – luthériens |
1703 | h | Jean Rœmer, cloutier, et (1696) Anne Hildenbrand puis (1704) Anne Catherine Neustœckel – luthériens |
1624 | v | Philippe Jacques Zell, maçon, et (1712) Marie Claire Keller puis (1736) Marie Müller – catholiques |
1626 | v | Claude François Vernier, fabricant de chandelles, et (1723) Marie Eve Reinbold – catholiques |
1735 | h | Jean Guillaume Lender, compagnon maçon puis fabricant de chandelles, et (1735) Marie Eve Reinbold veuve de Claude François Vernier – catholiques |
Jean Chapuis (ci-dessous) |
Maison (b), correspondant à la partie gauche de l’actuel n° 10 puis maison entière
Daniel Fiedell, potier | ||
Georges Lentz, boulanger, et (1601) Ursule Siebenhorn – luthériens | ||
1638 | v | Jean Gaspard Ursch, potier, et (1638) Barbe Steigenbock d’abord (1636) femme du potier Jean Adam Rammel – luthériens |
1652 | h | Georges Siler, farinier, et (1638) Salomé Müller, divorcée de Melchior Meyer, puis (1652) Barbe Steigenbock d’abord (1636) femme de Jean Adam Rammel et (1638) de Jean Gaspard Ursch, potiers – luthériens |
1662 | v | Jean Balthasar Hahn, meunier, et Anne Catherine Lauth – luthériens |
1664 | v | Jean Frédéric Linck, farinier, et (1632) Sara Damon – luthériens puis les héritiers dont Jean Susé et (1677) Anne Marie Linck |
1687 | v | Jean Georges Ruff, potier, et (1683) Anne Marguerite Notter – luthériens |
1695 | v | Paul Heyer, potier, et (1691) Ursule Rantzmer puis (1710) Marie Ursule Cœllner –catholiques |
1728 | v | Jean Chapuis, fabricant de chandelles, et (1712) Antoinette Maury puis (1718) Marie Gasque dite Duportal – catholiques |
1767 | h | François André Braulle, employé pour le roi, et (1772) Marie Dorothée Chapuis – catholiques |
1835 | v | Jean Baptiste Picard, négociant, et (1805) Anne Marguerite Chatelain |
1843 | h | Maurice Thiebault, avocat, et (1840) Hortense Picard puis (1862) Emma Eugénie Stéphanie Bartel |
1933* | h | Emile Oscar Thiebault et copropriétaires |
1940- | h | Georges Pitiot, son épouse et copropriétaires |
Valeur de la maison selon les billets d’estimation.
Maison (a-1), 350 livres en 1721, 285 livres en 1729, 300 livres en 1734, 500 livres en 1735
Maison (a-2), 550 livres en 1713, 500 livres en 1734, 900 livres en 1735 – Les deux maisons (a) 600 livres en 1743
Maison (b), 225 livres en 1710, 375 livres en 1726, 1 700 livres en 1743
Maisons (a) et (b), 1 250 livres en 1757
(1765, Liste Blondel) IX 149, veuve Jean Chappuy
(Etat du développement des façades des maisons, AMS cote V 61) Broll, 11 toises, 3 pieds et 0 pouce
149 ½ Schweigheimer, 2 toises, 5 pieds et 0 pouce
149 ¾ Lux, 6 toises, 2 pieds et 0 pouce
(1843, Tableau indicatif du cadastre) O 694, Picard, Marguerite, veuve rue Ste Hélène / rue Ste Barbe – maison, sol – 5,45 are
Locations
Maison a-1
1669, Philippe Eusèbe Angelin, revendeur, et (1658) Anne Catherine Schertzer puis (1666) Marthe Winschel (remariée à Jean Martin Stroh, propriétaire de la maison)
Maison a-2
1695, Gaspard Seyfried, fabricant de pâtés
Maison b
1622, Georges Lentz, futur propriétaire
Etat des loyers en 1743
1792, Joseph Rosetti, marchand épicier
1807, François Joseph Rosset, négociant, et Marie Jeanne Hürstel
1811, Donat Marchal, négociant
1821, Joseph Jacques Antoine Delcominette, négociant, et Marie Claire Pougnet
1825, Guillaume Becker, mécanicien
Préposés aux affaires foncières (Bauherren)
Voir à la rubrique de chacune des trois maisons
Atlas des alignements (cote 1197 W 37)
4° arrondissement ou Canton est – Rue Ste Madeleine
nouveau N° / ancien N° : 10 / 26
Braul
Rez de chaussée et 2 étages bons en maçonnerie
(Légende)
Cadastre
Cadastre napoléonien, registre 25 f° 226 case 3
Picard Marguerite veuve négociant rue Ste Barbe N° 3
Thiebaut, Maurice (Subst.on pr. 1845)
O 694, maison, sol, R. Ste Madeleine 26
Contenance : 5,45
Revenu total : 380,84 (378 et 2,84)
Folio de provenance :
Folio de destination : démolie
Année d’entrée :
Année de sortie : 1847
Ouvertures, portes cochères, charretières :
portes et fenêtres ordinaires : 76 / 73
fenêtres du 3° et au-dessus : 16 / 13
O 694, maison
Revenu total : 395,84 (393 et 2,84)
Folio de provenance : N.C.
Folio de destination :
Année d’entrée : 1847
Année de sortie :
Ouvertures, portes cochères, charretières :
portes et fenêtres ordinaires : 91
fenêtres du 3° et au-dessus : 16
1847, Diminutions – Thiebaut Maurice f° 226, O 694, maison, revenu 378, démolie en 1847
Augmentations – Thiebaut Maurice f° 226, O 694, maison, revenu 393, nlle. construction, achevée en 1844, imposable en 1847, imposée en 1847
Cadastre napoléonien, registre 27 f° 948 case 1
Thiébault Maurice
O 694, maison, sol, Rue Ste Madeleine 10
Contenance : 5,45
Revenu total : 395,84 (393 et 2,84)
Folio de provenance : (226)
Folio de destination : Gb
Ouvertures, portes cochères, charretières :
portes et fenêtres ordinaires : 91
fenêtres du 3° et au-dessus : 16
O 694, atelier
Revenu : 105
Revenu total : 500,84 (393, 100 et 2,84)
Folio de provenance : Neubau
Folio de destination : Abbruch
Année d’entrée : 1878
Année de sortie : 1879
Ouvertures, portes cochères, charretières :
portes et fenêtres ordinaires : 6
fenêtres du 3° et au-dessus :
1878, Zugang – Thiebaut Moriz f° 1548, O 694, atelier, revenu 105, Neubau, achevée en 1875, imposable en 1878, imposée en 1878
1879, Abgang – Thiebaut Moriz f° 948, O 694, atelier, revenu 105, Abbruch, supp. 1879
Cadastre allemand, registre 29 p. 195 case 5
Parcelle, section, 17 n° 5 – autrefois O 694
Canton : St. Magdalenengasse Hs N° 10
Désignation : Hf, 2 Whs – sol, deux maisons
Contenance : 5,63
Revenu : 3400 – 4900
Remarques :
(Propriétaire), compte 1232
Thiebault Moritz Ww
1911 Thiebault Eugenie für ¼. u. Miteigent.
1933 Thiebault Emile Oscar pour 5/9 et copropriétaires
1940 Pitiot Georges son épouse et copropriétaires
(3237)
1789, Etat des habitants (cote 5 R 26)
Canton IX, Rue 355 Rue de Ste Magdeleine ou R. D’Uton (p. 513)
26
loc: Gigling, Jean Michel, menuisier – Charpentiers
loc: Rühle, Caspar – Tailleurs
loc: Weisbeck, Jean – Moresse
loc: Choula, Dominique, perruquier – Privilégié
loc: Grevillan, graissier – Moresse
loc: Pierret, Jacques Ph. – Privilégié
loc: Pierret, Anne Françoise- (-)
loc: Linder, George, empl, a la Douane – Moresse
loc: Madlon, veuve – Maçons
loc: Hirschel, Caspar, Courtier – Miroir
loc: Colmann, Jean – Maréchaux
loc: Bellicam, Mariane – Moresse
loc: Weickert, Marguerithe – Manante
loc: Rollin, Marguerithe – Manante
Annuaire de 1905
Verzeichnis sämtlicher Häuser von Strassburg und ihrer Bewohner, in alphabetischer Reihenfolge der Strassennamen (Répertoire de toutes les maisons de Strasbourg et de leurs habitants, par ordre alphabétique des rues)
Abréviations : 0, 1,2, etc. : rez de chaussée, 1, 2° étage – E, Eigentümer (propriétaire) – H. Hinterhaus (bâtiment arrière)
St. Magdalenengasse (Seite 106)
(Haus Nr.) 10
Gräling, Pförtner u. Schuhmachermeister. 0
Morgenthaler, Tagner. 0
Missel, Spezereihdl. 0
Koeber, Verkäufer. 1
Meyer, Tapezierer. 1
Nussbaum, Ladendiener. 2
Rapp, Postschaffner. 2
Schmocker, Bildhauerm. 2
Ernwein, Fab.-Arbeiterin. 3
Guth, Wwe. 3
Merkel, Tagner. H 0
Kitter, Wäscherin. H 1
Müller, Maschinenführ. H 1
Fink, Schuhmacher. H 2
Bächler, Gemüsehdl. H 2
Contram, Wwe. H 3
Broehm, Vergolder. H 3
Lutz, Wochenbettpfleg.H 3
Rinn, Postbote. H 3
Schaffhauser, Monatsfr. H 3
Dossier de la Police du Bâtiment (cote 739 W 267)
Sainte-Madeleine 10 (dossier I, 1873-1986)
Le menuisier Chrétien Greiner aménage en 1894 un atelier de menuiserie comportant une machine à vapeur. Le bâtiment est raccordé aux canalisations en 1889.
Le maître tapissier Jean-Daniel Wolff fait aménager un magasin en 1973. Les deux arcades à gauche de la porte d’entrée sont transformées en supprimant le muret qui occupe une partie de l’arcade à l’extrémité du bâtiment et en partie celui qui occupe entièrement l’autre arcade. Les deux devantures sont à nouveau transformées en 1977. Le propriétaire fait remplacer en 1980 la porte d’entrée et celle qui donne dans la cour arrière. Le vannier Alain Vogelsperger fait aménager en 1980 un local commercial et transformer les arcades à droite de la porte d’entrée malgré l’opposition de l’architecte des Bâtiments de France. La société Portaloff transforme ces mêmes locaux en 1982. Jean-Daniel Wolff est autorisé en 1986 à couvrir la partie sud de la petite cour au niveau de l’étage.
Sommaire
- 1873 – Le directeur de l’usine à gaz demande que le plombier Hommaire soit autorisé à faire une prise pour six becs au nom du menuisier Greiner 10, rue Sainte-Madeleine
- 1874 – Le menuisier Chrétien Greiner, locataire de Maurice Thiebaut, vient d’aménager un atelier de menuiserie comportant une machine à vapeur. Le voisin Louis Sprauel, propriétaire de l’immeuble sis 13, quai des Bateliers, se plaint que la cave et la glacière qui jouxtent l’atelier deviennent inutilisables – Le maire établit que la plainte est sans fondement puisque les machines sont installées selon le règlement et que les murs ont l’épaisseur et la hauteur réglementaires.
- 1886 – Le directeur de l’usine à gaz demande que le sieur Greiner soit autorisé à faire une prise pour environ vingt six becs 10, rue Sainte-Madeleine – Autorisation – Travaux terminés, juin 1886
- 1890 – Le maire notifie la veuve Thiebault née Barthel, domiciliée 4, rue de l’hôpital au Neudorf, de faire ravaler la façade. La propriétaire qui a l’intention de faire des travaux demande un an de délai. Les services municipaux notent que le rez-de-chaussée est assez propre mais que l’étage supérieur est sale et qu’un simple lavage suffirait. Ils accordent ensuite le délai demandé – Travaux terminés, septembre
1891 (mars) – Le maître maçon Ludæscher (rue du Coq) demande l’autorisation de crépir et de peindre la façade – Autorisation – Travaux terminés, juillet - 1892 – L’agent de police Brunner rapporte que le maçon Botzenhard, demeurant 10, rue Sainte-Madeleine, a déclaré qu’un petit incendie s’est déclaré dans son logement la nuit du 10 janvier, le feu est dû à une étincelle qui a enflammé une poutre. Le commissaire de police transmet le rapport au maire – Les services municipaux qui se rendent sur place font un rapport illustré de croquis et de plans. Le maire demande au propriétaire de faire en sorte qu’il y ait au moins 23 centimètres entre la cheminée et les parties en bois
1892 (février) – Le maître maçon Ludæscher et l’architecte Stieffel demandent au maire de ratifier leur plan – Dessin - 1889 – Le maître maçon Ludæscher demande au nom de madame Thiebault l’autorisation de raccorder le bâtiment aux canalisations par un tuyau en ciment de 25 centimètres de diamètre – Autorisation, octobre 1890 – Dessin
- 1895 – La Police du Bâtiment constate que l’agence de placement de G. Diemer a posé sans autorisation une enseigne perpendiculaire – G. Diemer répond qu’il a obtenu l’autorisation du commissaire de police, ce qui est confirmé
- 1895 – Un incendie a endommagé les combles le 23 août – Rapport des pompiers
- 1895 – Le maire notifie le concierge Grænling de se conformer au règlement du 30 novembre 1891 en supprimant cinq volets qui s’ouvrent à moins de 2,20 mètres de la voie publique, – Travaux terminés, novembre 1897
- 1907 (13 août) – L’entrepreneur Imberger, demeurant sur place, demande au commissaire de police l’autorisation de poser un échafaudage sur la voie publique pour ravaler la façade. Le commissaire transmet au maire. – Autorisation accordée le 20 août – Travaux terminés, août
1907 (21 août) – La Police du Bâtiment constate que la veuve Thiebaut (demeurant 147, route du Polygone) a fait poser sans autorisation un échafaudage. Le dossier est mis en rapport avec la demande d’Imberger le 23 - 1910 – C. Finck informe le maire qu’il transporte son affaire et son enseigne du 7, rue de Rhinau (Neudorf) au 10, rue Sainte-Madeleine
- 1903 – La veuve Heuer demande une visite de son logement au deuxième étage qu’elle estime insalubre – Une visite constate que le logement n’est pas humide mais que la plaignante, blanchisseuse, y suspend du linge mouillé. La plaignante quittera les lieux qui seront mis à neuf
1906 – La Commission contre les logements insalubres fait un rapport en 4 points – Le dossier est classé, les travaux ayant été faits – Paul Thiébault (commerce de cigares en gros et en détail, 79, route du Polygone) obtient un délai en arguant qu’il a fait récemment des réparations.
1908 – Albert Lutz déclare que les travaux ont été faits après son premier courrier où il a omis d’indiquer le numéro de la maison
1913 – La Police du Bâtiment constate que la plainte du locataire Bapst (12, rue Sainte-Madeleine) est fondée. La petite cour humide et malpropre entre les n° 10 et 12 n’est pas raccordée aux canalisations
1914 – Rapport en sept points. Propriétaire, Thiebault, demeurant 25, rue Sainte-Madeleine
1915 – Rapport de la Commission des logements militaires (sol des combles à nettoyer, pièces à rénover)
1915 – Nouveau rapport. Travaux terminés, juillet 1916
1917 – Deux locataires élèvent des lapins dans leur logement - 1930 – Fr. Mailænder (demeurant 15, quai des Bateliers) signale qu’une cheminée menace de s’écrouler – La Police du Bâtiment constate les faits, elle avertit le propriétaire, le marchand de charbons Thiébault demeurant 1, rue de l’Hôpital au Neudorf – Travaux terminés, février 1931
- 1959 – L’entrepreneur de construction Ketterer (16, rue des Petites Fermes à Kœnigshoffen) est autorisé à occuper la voie publique
- 1961 – Mme Pitiot, demeurant sur place, est autorisée à occuper la voie publique pour crépir la façade
- 1966 – La Fédération des Locataires du Bas-Rhin signale au nom de Louise Beck que le tirage de la cheminée est mauvais et qu’elle n’a pas obtenu satisfaction auprès de la propriétaire, Mme Pitiot, demeurant 10, rue des Sœurs – La Police du Bâtiment se rend sur place. Elle demande au propriétaire de faire faire des réparations et établir un certificat par un ramoneur – Certificat de René Arnold, de Schiltigheim
- 1973 – Le maître tapissier Jean-Daniel Wolff demande l’autorisation de poser une enseigne perpendiculaire (J. D. Wolff, maître tapissier décorateur) – Autorisation
Le même demande l’autorisation de transformer un magasin, avec l’accord de la propriétaire, Mme Georges Pitiot. Les travaux consistent à supprimer un muret et une devanture pour les remplacer par une nouvelle devanture à châssis en aluminium, à poser un grillage métallique pliant, à remplacer le fer forgé au-dessus de la devanture, à établir une deuxième devanture dans une arcade en supprimant un muret – Plan cadastral de situation – Autorisation (arrêté portant permis de construire) – Les travaux sont presque terminés, mars 1973 - 1977 – Jean-Daniel Wolff demande l’autorisation de transformer deux devantures en supprimant un muret de deux arcades et en remplaçant les fenêtres par une vitre d’un seul tenant, avec l’accord du propriétaire – Dessin – L’architecte des Bâtiments de France émet un avis favorable – Le préfet délivre le permis de construire le 6 janvier 1978 – La réception finale a lieu le 31 janvier 1978
- 1980 (février) – Marie Thiebault (demeurant 6, rue Chopin) demande l’autorisation de remplacer la porte d’entrée et une porte qui donne dans la cour arrière – L’architecte des Bâtiments de France émet un avis favorable
- 1980 (mars) – Alain Vogelsperger demande l’autorisation de transformer la façade (aménager un local commercial, ouvrir une porte de magasin dans une arcade à droite de la porte d’entrée) sous la direction d’Yves L’Hermitte (25, rue des Frères) avec l’accord des propriétaires, Mme Georges Pitiot et Mme Emile Thiebault – Dessin avant et après transformation – Photographies – Plan
L’inspecteur du travail émet un avis favorable. L’architecte des Bâtiments de France qui estime que les travaux prévus nuisent à l’aspect du bâtiment émet un avis défavorable. Le préfet refuse d’accorder le permis de construire – Les travaux ont été entrepris avant autorisation. Les poursuites sont laissées à la discrétion des Monuments historiques. L’architecte des Bâtiments de France émet un avis favorable après s’être rendu sur place. Le préfet accorde le permis de construire le 27 octobre 1980 – La réception finale a lieu le 20 novembre - 1980 – La Police du Bâtiment constate qu’Alain Vogelsperger a posé sans autorisation une enseigne plate – Demande, photographie. L’architecte des Bâtiments de France émet un avis favorable. Maquette (Alain Vogelsperger, artisan, osiériculteur, vannier) – Autorisation
- 1980 – Le maire demande au propriétaire de faire ravaler la façade du bâtiment situé dans le secteur sauvegardé – L’architecte des Bâtiments de France émet un avis favorable pour poser un échafaudage sur la voie publique et ravaler la façade – Mme Thiébault sollicite une subvention. Devis de l’entreprise Roger Tomat et Fils (78, route de Colmar), de l’entreprise Roeser (rue du Commandant Reibel à la Robertsau)
1981 (septembre) – L’entreprise Roger Tomat et Fils est autorisée à poser un échafaudage sur la voie publique – Travaux terminés, février 1982 (le crépi tyrolien a été maintenu, les pierres de taille repeintes, les encadrements des baies entièrement décapés, à la satisfaction du contrôleur) – La Ville verse la subvention. - 1982 (août) – Isabelle Gangloff, gérante de la société Portaloff (sàrl), magasin Dorothée Bis, demande l’autorisation de transformer les devantures et la distribution intérieure sous la direction d’Yves L’Hermitte (25, rue des Frères). Plans avant at après transformation (magasin à droite de la porte d’entrée, à la place du magasin de vannerie). L’inspecteur du travail et l’architecte des Bâtiments de France émettent un avis favorable. Le préfet accorde le permis de construire le 12 novembre 1982. La réception finale a lieu le 16 décembre 1982
- 1983 – Jean-Daniel Wolff demande que les droits d’enseigne soient rectifiés. Le tarif double est rectifié en tarif ordinaire, l’objet se trouvant à plus de 3,50 mètres du sol
- 1984 – Le notaire Jean-Pierre Meyer, à Drulingen, demande des renseignements d’urbanisme (10, rue Sainte-Madeleine, section 17 n° 5, appartenant à Hubert et Bernard Thiebault)
- 1986 janvier) – Jean-Daniel Wolff demande l’autorisation de couvrir la partie sud de la petite cour. La division II émet un avis défavorable. La demande est reprise, il s’agit de couvrir la cour au niveau du plancher du premier étage. Photographie, dessins de l’architecte A. G. Mehl (15, rue Ehrmann). L’architecte des Bâtiments de France émet un avis favorable
Dossier de la Police du Bâtiment (cote 739 W 269)
Sainte-Madeleine 10 (dossier II, 1984-1988)
La société d’ébénisterie Gottfried Muller, de Weislingen, est autorisée en 1985 à aménager les combles après avoir présenté un premier projet non conforme à la réglementation. Les troisième et quatrième étages sont réunis (duplex) dans le bâtiment arrière. Les travaux sont terminés conformément en septembre 1986. Jean-Daniel Wolff est autorisé en 1986 à couvrir la partie sud de la petite cour au niveau de l’étage.
Sommaire
- 1984 (octobre) – La société Gottfried Muller (ébénisterie à Weislingen) demande l’autorisation d’aménager les combles et de poser des vasistas dans la toiture sous la direction de l’architecte Marcel Keller, de Pfaffenhoffen. Dessins (toiture vers la rue, vers la cour intérieure, bâtiment 1 et bâtiment 2, plan, coupe). Dans le bâtiment arrière, le projet contrevient à l’article 111 du Code de la construction et à l’article 40 du Règlement sanitaire départemental.
1984 (novembre) – Le propriétaire et l’architecte proposent un nouveau projet en reliant les troisième et quatrième étages (duplex) dans le bâtiment arrière. Les nouveaux plans sont transmis à la Police du Bâtiment en janvier 1985. Plan cadastral, plan de situation, dessins correspondants à ceux ci-dessus. L’architecte des Bâtiments de France émet un avis favorable. Le préfet délivre le permis de construire en janvier 1985.
Les travaux sont en cours (avril 1985), un échafaudage est posé devant le bâtiment. L’aménagement se poursuit, l’échafaudage a été démonté. Les travaux sont terminés conformément aux plans (septembre 1986) - 1986 (juin) – Jean-Daniel Wolff demande l’autorisation de couvrir la courette au niveau du premier étage. Plan cadastral, plan du rez-de-chaussée. L’architecte des Bâtiments de France donne son accord eu égard que la galerie surplombe une grande partie de la courette. Le préfet délivre le permis de construire en août 1986, le pétitionnaire devant régler une taxe pour dépasser le plafond légal de densité. Les travaux sont réalisés conformément aux plans, janvier 1987.
- 1991 – Le notaire Jean-Paul Traband de Weyersheim demande des renseignements d’urbanisme pour les lots 14 et 39 du bâtiment
- 1992 – Le maire autorise la boutique Gris bleu à vendre par liquidation avant transformations
- 1988 – L’architecte des Bâtiments de France émet un avis favorable à la demande de faire ravaler la façade déposée par le décorateur Wolff.
Maison (a-1), correspondant à la partie droite de l’actuel n° 10
Sous le même toit que la voisine (a-2) d’après les actes de 1737
Description de la maison
- 1721 (billet d’estimation traduit) La maison comprend plusieurs poêles, chambres et cuisines, une cave sous solives, estimée avec le sol, les aisances et appartenances à la somme de 700 florins
- 1730 (billet d’estimation traduit) La maison comprend plusieurs poêles, chambres, chambre à soldats et cuisines, une petite cave sous solives, estimée avec le sol, les aisances et appartenances à la somme de 575 florins
- 1734 (billet d’estimation traduit) La maison comprend plusieurs petits poêles, petites cuisines et petites chambres au rez-de-chaussée, un étroit corridor d’entrée, une petite cave sous solives à demi-toit, estimée avec le sol, les aisances et appartenances à la somme de 600 florins
- 1735 (billet d’estimation traduit) La maison comprend trois petits poêles, trois vestibules où se trouvent l’évier et le fourneau , très petite chambre, une cour très étroite, petite cave solivée, le tout estimé avec le sol, les aisances et appartenances à la somme de 1 000 florins
Relevé d’actes
La maison appartient au charpentier Jean Gretz, originaire de Buchenbach en Allgäu, qui épouse en 1602 Gertrude Træher, fille de charpentier. La mariée a dû porter un voile lors de la cérémonie parce qu’elle avait eu auparavant un enfant.
Mariage, Saint-Pierre-le-Jeune (luth. f° 155) 1602.Hans Kretz aus dem Allgöw ein Zimmermann, Gertrut Adam Drehers des Zimmermann hind.laßene Tochter. dise * * Zu Kirchgang sein, weil sie aber Zuuor mit ander Zu gehdrn. ein Kind bekommen, ist sie für die Kirch pfleg gestehen, hatt ein schleÿer muß Zu Kirch geh. Eingesegnet Zinst. d. 27. Aprilis (i 81)
Jean Gretz devient bourgeois quelques mois après son mariage
1602, 2° Livre de bourgeoisie (4 R 104) p. 620
Hanns Kretz von Buchenbach d. Zimmermann empfahet von seiner Haußfrauwen Gertraudt Treÿherin weÿland Adam Treÿher deß Zimmermanns dochter das B: vnnd will Zin Zimmerleüthen dienen. Act. 9. decemb: 1602.
Jean Gretz et Gertrude Træher hypothèquent la maison en 1616 au profit de Joachim Rüderer, receveur des Pénitentes
1616 (ut spâ [2. Augusti]), Chancellerie, vol. 421 (Registranda Meyger) f° 356-v
(Inchoat. in Prot. fol. 384.) Erschienen hannß Gretz der Zimmermann burger Zue Straßburg vnd Gertrudt trägerin sein eheliche haußfrauw
haben bekhandt vndt In gegenwertigkheit herrn Joachim Rüderers schaffners Zu Ruwern burgers Alhier – schuldig sigen 71 pfundt
Zum Vnderpfand verlegt hauß, hoffestatt vnd höfflin mit Allen Ihren gebeüwen & gelegen Inn der St. St. Jenseit Am gestaden, Inn der Uttengaß, einsit nebent Cunradt Stumpffen dem huettmacher, Andersit nebent Stoffell Retzen des Kappenmachers seligen witwen vnd Erben hinden vff Samson Strintzen seligen erben stoßend, Dauon gend ij lb x ß d gelts Ablößig mit L lb d Michel Ziegler schaffner Zu Sanct Steffen seligen erben Sunst ledig vnd eÿgen
Jean Gretz et Gertrude Træher hypothèquent la maison au profit de Dominique Schilling
1618 (xiij. 8.bris), Chancellerie, vol. 430 f° 402-v
(Inchoat. in Prot. fol. 298.) Erschienen hannß Kretz der Zimmermann burger Zue Straßburg vnd Gertrudt Treigerin sein eheliche haußfrauw
haben bekhandt vndt In gegenwertigkheit herrn dominici Schillings burgers Alhier Zu Straßburg – schuldig sigen 100 pfund pfenning
Zum vnderpfand eingesetzt vnd verlegt in specie hauß, hoffestatt vnd höfflin mit Allen Ihren gebeuwen & gelegen Inn der Statt Straßburg Inn der Vttengaß, einseit neben Daniel Büttner dem Notarium Anderseit neben Cunradt Stumpff hinden vff herrn doctori Bechts behaußung stoßend dauon gnd. 2 pfund 10 schilling pfenning gelts Ablößig mit L lb d Cunradt Stumpffen vorgedacht, So dann seind sie verhafftet vmb xxxvij lb x ß d Jacob Koppen dem balbierer sunst ledig vnd eigen
Jean Gretz et Gertrude Træher hypothèquent la maison au profit de Jean Hessler, receveur de l’hôpital
1617 (ut spâ [xxiij. Junÿ]), Chancellerie, vol. 426 (Registranda Meyger) f° 281-v
(Inchoat. in Proth. fol: 303.) Erschienen hannß Kretz der Zimmermann burger Zue Straßburg vnd Gertrud Trägerin sein eheliche haußfrauw
haben bekhandt vndt In gegenwertigkheit herrn Johann Heßlern schaffnern des Mehrern Spittals burgers Zu Straßburg – schuldig sigen 250 pfund
Zum vnderpfand eingesetzt vnd verlegt, hauß, hoffestatt vnd höfflin mit Allen Ihren gebeüwen & gelegen Inn der Statt Straßburg Inn der Vttengaß, einseit neben Cunradt Stumpff dem huttmacher, anderseit neben Christoff Retz* des Kappenmachers seligen erben, hinden vff herrn Doctor Becht, Welche behaußung noch verhafftet Ist vmb L lb d Michell Ziegels geweßenen schiffmann Zu Sanct Steffan seligen erben, sunst ledig vnd eÿgen
Même acte joint au précédent
1617 (23. Junÿ), Chancellerie, vol. 426 (Registranda Meyger), scheda ad fol: 282
Zuwüßen daß Hannß Kretz der Zimmermann burger Zu Straßburg vnd Gertrudt Trägerin sein eheliche haußfrauw
bekhandt haben vndt In gegenwertigkheit herrn Johann Heßlern schaffnern des mehren Spittals burgers Zu Straßburg schuldig sigen 250 pfund
Zum vnderpfand eingesetzt vnd verlegt hauß, hoffestatt vnd höfflin mit Allen Ihren gebeüden, begriffen, Weÿthen, Rechten vnd Zugehörden, gelegen Inn der Statt Straßburg Inn der Uttengaß einseit nebent Conradt Stumpffen dem huttmacher, Anderseit neben Christoff N des Kappenmachers seligen erbenn hinden vff herrn Doctor Bechten stoßend, Welche behaußung noch verhafftet Ist vmb 50 pfund pfenning Michell Ziegels geweßenen schaffners Zu Sant Steffan seligen erben, Sunst ledig vnd eigen – vff den 23. Junÿ Anno xvj C vnd Sübenzehen [unterzeichnet] Hilarius Meÿger Nots
Le notaire Daniel Büttner (propriétaire de l’actuel n° 8) permet à titre de simple tolérance à Jean Gretz et à sa femme Gertrude qui reconstruisent la maison de poser un corbeau dans son mur
1618 (xxix. Januarÿ), Chancellerie, vol. 430 f° 57-v
(Inchoat. in Prot. fol. 49.) Erschienen herr Daniel Büttner Notarius burger Zu Straßburg Ane eim,
So dann hannß Gretz der Zimmermann vnd Gertrudt sein eheliche haußfr. An Andrern theil, Anzeigend
Demnach ermeltte bede ehegemecht Allerhand gebeüw Inn Ihrer behausung vff Zubauwen vnd Zumachen vorgenommen vnd Aber Ihnen mercklich under Anderm gelegen were, Inn sein h. Büttners gerechtigkeit vnd Mauer ein Käpffer vff ein halben stein Zulegen, vnd hienein Zubrechen, damit Aber sie bede ehegemecht oder Ihre nachkommen solche nachbarliche freündtliche Zulassung Inn Kein gerechtigkeit vff vnd Anzunemmen befugt sein sollen, Als hatt hierauf besagter herr Büttner für sich & Angeregter Köpffer Inn seine Mauwr dergestalt ein zu setzen oder Zulegen, Zugelaßen vnd vergönt, das sie nach ihrer nachkommen diß für Kein gerechtigkeit sondern für ein freündlich gönnung vnd halten Belopten
Jean Gretz et Gertrude Træher hypothèquent la maison au profit de Louis Mürsel
1619 (xxiij. Augusti), Chancellerie, vol. 436 f° 455
(Inchoat. in Prot. fol. 326.) Erschienen hannß Kretz der Zimmermann burger Zu Straßburg Vnd Gertrudt Trägerin sein eheliche haußfr.
haben bekhandt vndt In gegenwertigkheit h. Friderich Mürsell so Zugeg. Inn nammen seines Bruders herrn Ludwig Mürsells burgers Zu Straßburg – schuldig seÿen L lb
Zum vnd.pfd einges. vnd v.legt, hauß, hoffestatt vnd höfflin mit Allen Ihren gebeüwen & geleg. Inn d. St. St. Inn d. Vttengaß, einseit neben Cunradt Stumpff And seit n. Martin Heinrich dem schiffman hind. vff doctorÿs Johann Becht behausung stoßend, dauon gnd 2 lb 10 ß d gls loßig mit L lb ermelten Cunradt Stumpff. It. seind sie verhafftet vmb L. lb obgedachtem herrn Friderich Mürsell, Mehr vmb L lb Andreß Dieffebech. Item vmb j C lb Sontag Schilling
(disse Verschreÿbung Ist weg. eines Newern contracts pnt. in Reg. 1621. fol. 314. vß geheÿß bed. parth. cassirt vnd vßgethan, Act. .d. 6. Junÿ Anno 1621.)
Jean Gretz et Gertrude Træher vendent la maison au cordonnier Frédéric Lindenberger et à sa femme Barbe
1621 (v. Martÿ), Chancellerie, vol. 443 f° 141
(Inchoat. in Prot. fol. 82. – Protocollatum fol. 533) Erschienen Hannß Gretz der Zimmermann burg. Zu Straßburg vnd Gertrud Trägerin sein eheliche haußfr. (verkaufft)
Friderich Lindenberger dem schuomach. burger Zu Straßburg Vnd Barbara seiner ehelich. haußwürthin
hauß, hoffestatt vnd höffell, mit Allen Ihren geb. & glg. Inn d. St. St. Inn d. Vten gaß, einseit neben Stoffell Spreÿß dem hutmach. Anderseit neb. Martin Heinrich dem Zoller Am Wasserzoll, hind. vff h. Johann Brecht. doctore stoßend, für freÿ ledig vnd eÿg. Vnd Alles Recht & Also & Vnd Ist disser Khauff Zugangen vnd beschehen für vnd vmb ij C L lb d
[in margine :] Erschienen H, Johann Melchior Cremer Von Wormbs alß Ehevogt Cleophe Mürßlerin bekante in gegensein Magdalenæ Peter Brantzen witwen alß Inhaberin dißer behaußung mit beÿstand Daniel Zipperer ihres Vogts (…) Actum den 19. Augusti 1640.
[in margine :] (…) Rest noch 150. lb vnd Ist er Lindenberg deßhalb. verwisen Ane h. Friderich Mürsell vmb 50. lb Ane h. Andreß dieffenbech. vmb 5. lb. vnd h. Joachim Brackenhoffer vmb die übrige 50. lb – Act. 14. Junÿ 1621.
Originaire de Biberach (sans doute le village de l’Ortenau), Frédéric Lindenberger épouse en 1614 Barbe veuve du cordonnier Pierre Bleicher
Mariage, cathédrale (luth. f° 18)
1614. Dominica Reminiscere den 20. Martÿ. Friderich Lindenberger der Schuhmacher von Byberach vnd Barbara Peter Bleichers des Schuhmachers nachgelaßene wittwe, eingesegnet montag den 25. Martÿ (i 14)
Il devient bourgeois quelques jours après son mariage
1614, 2° Livre de bourgeoisie (4 R 104) p. 974
Friderich Lindenberg. d. Schumach. von Bibrach Empfahet d. Burgerrecht von Barbara Kellerin Weÿlandt Peter Bleich. deß Schumachers hund.laßene wittib wüll beÿ den Schumach. dienen. Actum den 5. Aprilis 1614.
Frédéric Lindenberger et sa femme Barbe Haderbeck hypothèquent la maison au profit du tanneur Chrétien Rœderer le jeune
1627 (24 Aprilis), Chambre des Contrats, vol. 461 f° 228
Erschienen Friderich Lindenberger d. schuhmacher vnd Barbara haderbeckin sein eheliche haußfraw
hab. in gegensein Christman Röderers deß Jüngers Rohtgerbers – schuldig seÿen xxv. lb für aberkaufft Leder
dafür Vnderpfand sein soll hauß vnd hoffstatt mit allen & alhier in Vtengaßen i. seit neben Stoffel Spleißen em hutmacher 2.seit neben Martin Heinrichs deß Schiffmanns see: wittib, hind. vff herrn D. Johann Georg Bechten d. St. St. Aduocaten stoßend gelegen, vnd ist daß hauß Zuuor v.hafft vmb 50. lb hanß Büchel dem lederbereit. Item vmb 50. lb d Friderich Mürsel sonst ledig eÿgen
Frédéric Lindenberger hypothèque la maison au profit du tanneur Jean Otto
1628 (10. 9.bris), Chambre des Contrats, vol. 462 f° 592-v
Erschienen Friderich Lindenberg. d. schuemach burger Zu St.
hatt in gegensein hanß Otto deß Rothgerbers auch burgers alhie bekannt – schuldig seÿ xx lb
Vnderpfand hauß vnd hoffstat, höfflin mit allen andern & alhie in Uttengaß. neben Martin heinrichs deß schiffmanns wittib ein vnd 2.seit neben Christoff Schleiß huotmacher, hind. vff herrn D. Johann Georg Bechten stoßend gelegen, Welche Zuuor v.hafft vmb 50. lb. hanß Bühel, Item vmb 50. lb. Friderich Mürsel, Item vmb 25. lb Christmann Röderer dem Jüngern Rothgerber
Frédéric Lindenberger hypothèque la maison au profit du corroyeur Jean Büchel
1629 (9. Martÿ), Chambre des Contrats, vol. 464 f° 167-v
Erschienen Friderich Lindenberger schuhmach. alhie
hatt in gegensein hanß Büchel deß lederbereiters auch burgers alhie schuldig seÿe 50 pfund
dafür Vnderpfand sein soll hauß vnd hoffstat mit allen andern deren gebäwen alhie in Utengaßen neben Christoph Spleißen dem hutmacher ein vnd and.seit Martin Heinrichs s: wittib, hind. vff herrn D. Johann Georg Bechten, stoßend gelegen, welche Zuuor auch noch v.hafftet ist umb 50. lb. d dem Glaubigern selbsten, Item H. Friderich Müesel umb 50. lb d, Item umb 25. lb d Christman Röderer Rothgerber, Item vmb 20. lb hanß Otto Rhotgerber
Barbe Haderbeck veuve de Frédéric Lindenberger vend la maison au fabricant de capes Pierre Brentz
1636 (ut supra [11. Aug.]), Chambre des Contrats, vol. 475 f° 714-v
(Protocoll. fol. 53.) Erschienen Barbara Haderbeckin, weÿ: Friderich Lindenbergers deß Schuhmachers alhie see. hinderlaßene wittib, mit beÿstand hanß Georg Löfflers deß Körbmachers ihres Zukünfftigen Eheuogts und hannß Philipp Romels deß Schuhmachers ihres noch ohnentledigten Vogts (verkaufft)
Peter Brentzen dem Kappenmacher alhie
hauß, hoffstatt und höfflin, mit allen ihren gebäwen gelegen in der St. Str. in der Utengassen, einseit neben Stoffel Spreÿßen dem Huetmacher, anderseit neben Martin Heinrichs deß gewesenen Zollers see. Wittib und Erben, hinden vff H D. Johann Georg Bechten stoßend, so noch verhafftet vmb 50. lb Friderich Mürsels Burgers alhie see. Erben, Item vmb 100. lb hanß Büchels Alten grossen Rhats Verwanth see. Erben, So dann vmb 25. lb hanß dieboldt Rohren dem Rohtgerber alhie – mit dden beschwerden per 275 lb
Originaire de Niedernhall en Franconie, Pierre Brentz se marie en 1618 avec Madeleine Wilhelm, fille du fabricant d’amadou Thiébaut Wilhelm, qui avait épousé en 1614 le fabricant de capes Jean Sontag
Mariage, Saint-Thomas (luth. f° 361-v, n° 1102)
1614. Dominica 15. Trinitatis. Hans Suntag der Kappenmacher Vndt J. Magdalena Tiebold Wilhelms d. Zudelmachers Hinderlaßene Tochter (i 373)
Mariage, cathédrale (luth. p. 64)
1618. Dominica Sexagesima den 8. febr. Peter Brentz der Schneider von Niderhall in Franck. land und Magdalena Hans Sontag des Kappenmachers n. witwe. eingesegnet montag im frügebett montag d 16. febr. (i 37)
Pierre Brentz natif de Niedenhall dans le comté de Hohenlohe devient bourgeois trois mois après son mariage
1618, 2° Livre de bourgeoisie (4 R 104) p. 1021
Peter Brenn d. Kappenmach. von Niderhall In d. Grauenschafft hohenlohe Empfaht d. Burg.recht von weÿl. hanß Sontag deß Kappenmachers wittib Magthalena Wulhelmin vnd wüll zu den schneid. dienen. Actum den 7. Aprilis 1618.
Le cordonnier Philippe Brentz hypothèque le tiers qui lui revient de la maison au profit de son frère Thomas Brentz
1641 (3. martÿ), Chambre des Contrats, vol. 486 f° 182-v
(Mutuum cum speciali) Erschienen Philipp Brentz der Schuhmacher burg. alhie
hat in in gegenwart seines Bruders hannß Thoman Brentzen geschwornen Vogts Christoph Spleiß. deß huotmachers burg. Zu Straßburg – schuldig seÿen 20. Pfund
Unterpfand ein tritter theil Ihme für ohngetheilt gebührend ahne hauß hoffstatt höfflin alhie in der Vttengaß, neben Gabriel Waldeckh dem golt Arbeiter ein und anderseit neben den obgenandt. Vogt hind. vff H Dr Johann Georg Becht stoßend gelegen. daran die übrige zwen tritte theil ihme dem Schuldglaubig. und Jonæ Brentz beed. des bekenners brüdern Zuständig
Les enfants de Pierre Brentz, Jean Thomas, Jonas et Philippe Brentz, vendent la maison au graveur de sceaux Abraham Schiller
1643 (23. Jan:) Chambre des Contrats, vol. 491 (expéditions) f° 350
Kauffbrieff Abraham Schillert deß Pittschier Grabers und Ursulæ Kretzin Eheleuth
Wir Bernhard von Kageneckh & Notario erschienen Weÿl. Vnßers Burgers Peter Pretzen deß Kappenmachers nachgelaßener iüngerer in der Wanderschafft begriffener Sohn hannß Thoman Prentzen deß Schuh Knechts, und Jonæ Prentzen deß huetmacher Gesellen geschworner Vogt Vnßer Burg. Christoph Spleiß der huetmach. mit beÿstand unßerer mitraths Verwanth. Zu der minderjähriger handlungen Von Vnnß insonderheit deputirter, Samuel Spielmanns und Adam Burckhardts wie auch Philipß Prentzen der Vogts Söhn, älten Bruders
hatt in gegensein auch vnsers Burgers Abraham Schillerts deß Pitschier Grabers und Ursulæ Kretzin seiner ehelich. haußfrawen
hauß, hoffstatt und höfflin, mit allen deren Gebäwen & in vnßerer Statt in d. Vtengaß. neb. vorgenanndt. Spleiß. ein: und anderseit neb. Gabriel Waldeckh dem Golt Arbeiters, hind. vff Weÿl. deß hochgelehrt. Dr. Johann Georg Becht. wittib und Erb. stoßend gelegen, so Verhafftet ist umb 100. lib. hannß Jacob Büchels, sonst. freÿ ledig und eig. dann ob wohlen Johann Wernhard Gambß diße Behaußung umb 15. lib. Nachträglich hauptgut bespricht, So seÿen iedoch dieselbe noch strittig, derentweg. der Verkauffende Vogt Versproch. dieselbe entwed. richtig; und daß verkauffte hauß davon ledig zu mach. od. wa fern es nicht geschehen köndte od. würde, so sollen die Käuffer solche Beschwärdt Zwar Zu übernehmen verbund. hiengeg. aber so viel am Kauffschilling innzubehalt. und abzuzieh. befugt sein – über die angezogene 100. lib so die Käuffer übernohmen (…) zugang. umb 100 lb
Originaire de Meissenheim en Bade, le graveur de sceaux et de monnaie Abraham Schiller épouse en 1635 Ursule Kretz, fille du charpentier Jean Kretz, puis en 1654 Elisabeth Neher, fille de marchand
Mariage, cathédrale (luth. f° 363)
1635. Dominica VIII. Trinitatis, 19. Julÿ. Abraham Schiller von Meÿsenheim, sigel und müntzeÿsen schneider, H. M. Johann Georg Schiller Pfarrers daselbsten ehl. Sohn, vnd J. Ursula Hanß Krätz, Zimmermanns ehl. tochter (eingesegnet Mont. 28. Julÿ) i 186
Mariage, cathédrale (luth. f° 565-v), n° LII)
1654. Dom. 24. Trin. 5. 9.br. H Abraham Schiller der Burger, Sigell vnndt wappenstein schneider alhier, Unndt J. Elisabetha, weiland herrn Sebaldt Neher des burgers Vndt handelßmanns alhier hinderlaßene Eheliche dochter – Mont. 13. 9.br. Münster, Spiegell. H.stub (i 315)
Abraham Schiller devient bourgeois par sa femme
1635, 4° Livre de bourgeoisie p. 150
Abraham Schiller Von Meißenheim der Pütschier graber Empfangt d. Burg.recht von seiner frauwen Ursula weÿl. hanß Kretzen deß Zimmermanns vnd Burg. Alhier hinderlaßene dochter Will Zu den Steltz. Zünfftig sein Actum den 20. August. 1635.
Le graveur de sceaux Abraham Schiller et Elisabeth Næher font leur testament et nomment leurs héritiers respectifs au cas où ils mourraient sans que Dieu leur fasse la grâce d’avoir des enfants
1663 (23.4.), Not. Oesinger (David le jeune, 38 Not 17)
Testamentum nuncupativum Herrn Abraham Schillers Wappen vndt Sigill schneiders undt frawen Elisabeth Näherin beeder Eheleuth vndt Burgere alhie Zu Straßburg, Act. den 23. Aprilis 1663
Persönlich kommen undt Erschienen seindt der Ehrengeachte, vndt Kunstreiche H. Abraham Schiller Wappenstein vndt Sigelschneid., beneben Ihme die Ehren und Tugendtreiche fr: Elisabetha Näherin beede Eheleüth vndt Burgere alhie Zu Straßburg durch Gottes güethe gesunden gehend. undt stehenden Leibs, auch guter richtiger Sinnen, reden vndt Gesprächs
zuvorderst aber wollen Sie daß Jenige Testamentum nuncupativum so Sie den 2. Feb: 1659 vor mir Notario und Gezeüg angeben wid. gäntzlich annilliret, cassirt vnd auffgehoben (…)
Zum Andern legirt der Herr Testator H. Hanß Geörg Schillern Studioso so sich an Jeto in dem Wilhelmer Collegio enthaltet alle seine nach todt hinderlaßene bücher (…)
Beÿ dem Vierdten Verordnet Sie Fr Testirerin auch auf vorhergedachten Fall Wann Sie ohne hinderlaßung Kind. dieße Weldt gesegnen solte, vnd der hernach bestimbte Wÿdumlb seine endschafft erreicht haben würdt, Johannes Selinger, Paßmentmachers und burgers allhier Kinder (…) undt Veronicæ beeden geschwisterden undt Weÿl. Heinrich Seelingers geweßenen burgers alhie mit auch Weÿl. Fr. Mari Bannwarttin sel. ehelich erzeigten Kindern ihrem Vettern vndt Baßen Jedem Insonderheit 50 Pfundt (…)
Wann dann Achtens die Einsetz: oder benennung derr Erben Eines Jeden in rechten gültig Testaments vornambsten wesentlcih Hauptstück vnd fundament ist (…) derohalben wollen beede Testirende Ehegemächt Ins gesambt Zu ihren wahren, rechten vnd ohnzweifflich. Erben ernennen undt einsetzen Zuvorderst ihre lieben Kind. da Sie erer durch die Gnade Gottes erziehlen und hinder Ihnen verlaßen werden. Solte aber dem Allgüettigen Gott nicht belieben Ihnen einig. Ehe seegen Zu beschehren, (…) So Ernant, vndt bestimbt Herr Testator auf solchen fall Zu seinen rechtsmäßigen Erben Erstichen Mariam Schillerin seine Schwester Zu einem dritten Stammtheil, Item Samuel Schillers seines bruders Kinder so Er bereits hatt oder nach Künfftiger Zeit ehelich erziehlen möchte, Vnd so viel deren seinen Todtfall erleben werd. Zu einem dritten Stammtheil, So dann H. Hans Geörg Schillern Studiosim Weÿl. H. Hanß Geörg Schillers geweßenen Pfarrers Zu Meißenh. seines Bruders seel. nachgelaßenen Sohn auch zu einem dritten Stammtheil (…)
Sie Fr. Elisabetha Neherin die Testiererin setzt undt ordentlich auf den fall da Sie ohne Leibs Erben versterb. Würdt Zu ihrer Einigen Erbin Fr. Veronica Näherin H. Hans Friderich Großmanns deß Paßmentmachers vnd Burgers alhie eheliche Haußfrauw ihre Schwester
Elisabeth Næher veuve d’Abraham Schiller fait un codicille
1666 (14.3.), Not. Oesinger (David le jeune, 38 Not 17)
Codicill, Frawen Elisabethæ Näherin Weÿland H. Abraham Schillers gewesenen Wappen schneiders vndt Burgers alhie seel. nachgelaßener Wittiben. Act. den 14. Martÿ 1666.
Dieses hierinn beschrieben Codicill wie auch das den 23. April. 1663. auffgerichte Testamentum nuncupativum hatt obgedachte fraw in beÿsein 7. Gezeug wie hierin Zu endt Zu sehen gäntzlich cassiren laß. Act. Mont. 19. 9.bris 1666
Persönlich kommen undt Erschienen Ist die Viel Ehren: undt Tugendsame fr: Elisabeth Näherin Weÿlandt Herrn Abraham Schillers geweßenen Wappenstein Schneids. vndt Burgers alhie seel. nachgelaßene Wittib: etwas vnpäßlich, Jedoch vermittelst göttlicher gnad. guten richtigen Verstandts (…)
Beschehen seind Alle diese ding In einer In der Statt Straßburg ahne dem Schiffleüth Stad. gelegenen Vndt der Fr. Codiillirerin eügenthümlich Zustandig. behaußung dero Obern Stuben mit den Fenstern auff die Breüsch außsehendt
La veuve Elisabeth Neher se remarie en 1666 avec un ancien officier, Michel Diebold : contrat de mariage par lequel le marié fait un legs à sa sœur s’il venait à mourir sans enfant, célébration
1666 (8.8.), Not. Oesinger (David le jeune, 38 Not 16)
Eheberedung – Zwischen dem Ehrenvesten Großachtbaren Vndt Mannhafften Herrn Michel Dieboldt geweßenen Majorn vnder dem Zillerischen Regiment Vnd Jetzmahligen Schirmbs Verwanthen alhie Zu Straßburg Alß Bräuttigam an Einem,
So dann der viel Ehren vndt tugendreichen Frauwen Elisabethæ Näherin Weÿl. des Ehrenvesten Wohlvorgedachten vndt Kunstreichen Herrn Abraham Schillers geweßenen Sigel: vndt Wappenstein Schneiders alhie seel. nachgelaßener Wittiben alß hochzeiterin andern Theils
Vber dießen Vndt Zum Fünfften will mehr ernandter H. Bräuttigamb Zu Anzeig seiner geg. der Fr. Hochzeiterin tragenden ehelichen affection vnd Liebe Ihro auf den fall da Er ohne erziehl: vnd Hind.laßung ehelicher Leibs Erben die Schuld der Nattur vor ihro bezahlen, vndt versterben solte, Alle seine Hinderlaßene Haab, Nahrung vndt Güettere, nichts Als 100 Reichsthaler Welche Er Catharinæ Dieboldin Michel N. des taglöhners alhier ehelich haußfr. seiner Schwester für ein eigenthumb sollen alß bald nach seinem todt abgevolgt werd. davon außgeschloßen, Zu einem rechten und wahren Eigenthumb verschafft
So beschehen In Straßburg Mittwoch den 8.ten Augusti A° 1666. [unterzeichnet] Michel Dieboldt alß hochzeiter, Ehlisabeht Naherin alls hochzeidterin
Mariage, cathédrale (luth. 78-v, n° 36)
1666. Zum 2. mahl hr Michael Diebold geweßener Major unter Weiland H. Obr. Zilhard, Fr. Elisabeth Weiland hr. Abraham Schiller gewesenen Pitschirer und Steinschneiders nachgel: W. Donnerstag den 23.ten Aug: Münster (i 81)
Abraham Schiller et sa femme Elisabeth vendent la maison au chapelier François von Hipsheim, propriétaire de la maison voisine (voir plus bas)
1661 (27. Maÿ), Chambre des Contrats, vol. 526 f° 374
(Prot. fol. 28.) Erschienen H Abraham Schillerts Pitschier Graber und Elisabethæ sein eheliche haußfrau, beÿde Eheleuth mit assistentz H Michael Großmanns E.E. groß. Rhats Beÿsitzers
in gegensein Frantz von hüpffßheim deß huetmachers mit beÿstand H hannß Jacobs von Zabern deß jüngern wohlgedachten Rhats Beÿsitzers
hauß, hoffstatt, höfflin, mit allen deren Gebäwen, Begriffen, Zugehördten und Gerechtigkeiten alhie in der Utengaßen, einseit neben dem Käuffern selbsten, anderseit neben H. Gabriel Waldeckh Treÿern deß Pfenningthurns hind. vff H Johann Melchior Saxen V.I.D. & Instit. Imper. Professorem stoßend geleg. welche umb 25. lib. H Balthasar Friderich Saltzmann SS Theol. Lt. und Pfarrherrn deß Münsters und umb 50. lib. Kauffschillingß rests hannß Thoman und Jonæ denen Prentzen, Gebrüdern, verhafftet (übernohmen) – umb 125. lb
François von Hipsheim revend la même maison au confiseur Jean Martin Stroh. En marge, quittance remise en 1696 à Jean Weiss, alors propriétaire
1676 (11. Apr.), Chambre des Contrats, vol. 545 f° 453
Frantz Von Hipßheim der Huetmacher
in gegensein hannß Martin Stroh deß Zuckherbeckhers
hauß, hoffstatt höfflin mit allen deren Gebäwen, begriffen, weithen, zugehördten, rechten und Gerechtigkeiten alhier in der Uttengaß einseit neben dem Verkäuffern selbsten, anderseit neben weÿl. herrn Gabriel Waldeckhen dreÿers deß Pfenningthurns nunmehr seel: nachgelaßener wittibin und Erben, hinden uff weÿl. herrn Johann Melchior Saxen U.I.D. et Instit. Imperial. Profess. nunmehr seel. nachgelaßener Erben stoßend gelegen – umb 300. lb
[in margine :] (…) in gegensein Johannis weisen deß Schuemachers, dem d hierin verschriebener hauß nachmals verkaufft word. (quittung) Act. d 14.ten Febr. 1696
Jean Martin Stroh épouse Marthe Winschel veuve du revendeur Philippe Eusèbe Angelin qui a été locataire de la maison.
Originaire de Bergzabern en Palatinat, le domestique Philippe Eusèbe Angelin épouse en 1658 Anne Catherine Schertzer, fille d’un aubergiste de Göppingen
Mariage, cathédrale (luth. f° 94, LVI)
1658. Zum erst. mahl Philippus Eusebius Angelin Von Bergzabern d. hauß knecht Weÿland h. Melchior Angelin pfarrherrn daselbst hind.laßer Sohn, Vnd Jugfr. Anna Catharina Lorentz Schertzers würths Zu Göppingen hinderlaßene Eheliche Tochter. Im münster, fischerstub, am Montag (i 95)
Ils font dresser l’année suivante un inventaire de leurs apports en présence de la mère de l’épouse
1659 (21. 9.br), Not. Oesinger (David le jeune, 38 Not 1) n° 11
Inventarium Vndt beschreibung Aller der Jenig. Haab, Nahrung vndt Güettere, Migender vndt Vahrender, So der Ehrengeachte H. Philips Eusebius Angelin, Vndt die Ehren und tugendtsamme Fr. Anna Catharina Schertzerin beede Eheleuth Vndt Schirms Verwanthe Alhie In Straßburg einander in diese Ehe alß ein Vnverändert Guth Zugebracht haben, Welche Zu künfftiger beßerer Nachricht In beÿsein der Fr. Muter (…) So beschehen Zu Straßburg Montags den 21. Novembris 1659.
Philippe Eusèbe Angelin et Anne Catherine Schertzer acquièrent le droit de bourgeoisie en 1663 sans apporter d’enfant. Ils s’inscrivent à la tribu du Miroir
1663, 3° Livre de bourgeoisie p. 968
Philipp Eusebius Angelin von Bergzabern, Weÿl. Melchior Angelin geweßenen Pfarrers Zu Seltz hinderlaßener Sohn, Erkaufft das burgerrecht vor sich Vnd sein Haußfr. Annam Catharinam Störtzerin Vmb 20 gold guld. so vffm Pfenningthurn erlegt, haben bede noch keine Kind. vnd willer Zu EE Zunft der Spiegler dienen. Jurav den 1 Junÿ A° 1664.
Philippe Eusèbe Angelin se remarie avec Marthe-Anne Winschel, fille de confiseur : contrat de mariage, célébration
1666 (27. 7.bris), Not. Oesinger (David le jeune, 38 Not 16) n° 202
(Eheberedung) zwischen dem Ehrengeachten vnd nunmehrn H. Philipp Eüsepio Angelin Burgers alhie Zu Straßburg alß bräutgamb an Einem
Vndt der Ehren vndt tugendsammen Jfr Marthannæ, Weÿl. H. Jacob Winschel, geweßenen zuckherbeckhen vnd Formen schneiders alhie seel. nachgelaßener dochter alß hochzeiterin Andern theils – So beschehen Donnerstags den 27.ten Septembris A° 1666 [unterzeichnet] Philip Eusebÿ Angelin Hochzeiter Vnd burger, Mathäus öpp der hochzeiterin vogt vnd schwager
Mariage, cathédrale (luth. f° 80-v, n° 45)
1666. Dom: 17 post Tris. Zum 2 mahl Philipp Eusebius Angelin, becker vndt Burger alhie undt Jfr. Martha einander Jacob Wönschels gewesenen Zuckerbeckers undt Burgers alhie nachgelaßene Tochter. Donnerstags den 18.t 8.bris Münster (i 83)
Philippe Eusèbe Angelin meurt en 1669 dans la maison de François von Hipsheim rue Sainte-Madeleine en délaissant des héritiers collatéraux. La masse propre à la veuve s’élève à 42 livres, celle des héritiers à 265 livres. L’actif de la communauté qui comprend une maison à la Krutenau est de 90 livres, le passif de 103 livres.
1669 (27.8.), Not. Oesinger (David le jeune, 38 Not 3) n° 18
Inventarium Vndt Beschreibung aller undt Jeder Haab, Nahrung undt Güethere, Ligender undt Vahrender, Keinerleÿ davon außgeschloßen, So weÿl. der Ehrengeachte H Philipp Eusepius Angelin geweßene Krämer undt Burger alhie Zu Straßburg, nach seinem aus dießer welt zeitlichen genommenen Abschiedt verlaßen Welche auf freundliches ansuchen erfordern und begehren der auff nachbeschrienem blatt beschriebenen Erbin undt dero beÿständer Inventirt, durch die Ehren vndt tugendsame Fr. Marthan Wünschlerin die hinterbliebene Wittib mit beÿstandt des Ehrenvesten vndt Wohl vorachtbahren Herrn Matthä(i Eggen Lauttenmacjers undt Burgers alhie Ihres geordneten Vogts (…). So beschehen vnd Angefangen Freÿtags den 27. Augusti A° 1669.
Der In Gott verschidene H. Philipp Eusepius Angelin hatt Zu Erben ab intestato Verlaßen nach eschriebene Persohnen. die Ehren vndt tugendsamme Jfr. Catharina Angelin, Weÿl. H. Melchior Angelins geweßenen Pfarrers vndt Inspectoris Zu Seltz nachgelaßene dochter Zu Einem halben Stammtheil, So dann Mariam Catharinam Schipffin des Ehrenachtbahren vorgeachten H. Egidÿ Schöpffels Handelßmanns und burger meister Zu Bergzabern mit auch weÿl. Fr. Anna Sibilla Angelni seiner haußfr. sel. erzeigt vnd nachgelaßenes döcherlin, Zum And. Stammtheil mit assistentz erstgemelt H. Egidÿ Schöpffels ihres Vatters, In deren aller nahmen Zugegen der Ehrenveste fürsichtig vndt Weißen Geörg Sigmundt Fettich E E. Kleinen Raths Jetzig. Beÿsitzers auß derselben Mittel hirzu Insonderheit erbettener Deputirte
In einer In der Statt Straßburg In der Uttengaßen gelegenen Vndt H. Frantz von Hüpßen dem huetmacher und burgern alhie eigenthümlich zuständig. behaußung Ist befunden worden alß volgt
Eigenthum an Einer behausung so der Erben unverändert. Item ein Hauß vnd hoffstatt
in der Vorstatt Krautenau im hell gäßlin (…)
Ergäntzung der Erben unveränderten Guths. Vermög Eines über mehr beditter beeder Ehepersohnen In den Ehestand zusammen gebrachter Nahrung in A° 1666. auffgerichteten Inventarÿ
Sa. der Wittib unveränderten haußraths 7, Sa. Silbergeschmeids 9, Sa. Guldener Ring 3, Sa. Baarschafft 6, Sa. Ergäntzung 15, Summa summarum 42 lb
Summa der Erben unveränderten haußraths 119, Sa. Wahren 15, Sa. Silbergeschmeids 13, Sa. ehne einer behaußung 50, Sa. Ergäntzung (105, Abzugs 5, restirt) 60, Summa summarum 265 lb
Sa. Anschlags des Theilbaren haußraths 27, Sa.Wahren 45, Sa. baarschafft 17, Summa summarum 90 lb – Schulden 103. Die Theilbare Passiva übertreffen die Theilbare Verlaßenschafft 67 lb
Conclusio finalis Inventarÿ 294 lb
Fils d’un cordonnier de Leonberg en Wurtemberg, le marchand épicier Jean Martin Stroh épouse en 1671 Marthe, veuve du confiseur Philippe Eusèbe Angelin
Mariage, cathédrale (luth. f° 138-v, n° 12)
1671. [Dom. Reminiscere] zum 2. mahl Johann Hr. Martin Stroh des Spetzereÿhändler, Martin Stroh des Schuhmachers u. Burgers Zu Leonberg im Hertzogthumb Würtenberg ehel: Sohn, Fr. Martha Weiland Philipp Eusebi Angelins gewesenen Zuckerbecks u. Burgers alhie nachgelaßene Wittib. Montags den 27. Mart: Münster (i 141)
Jean Martin Stroh devient bourgeois quelques jours après son mariage en s’inscrivant à la tribu du Miroir
1671, 4° Livre de bourgeoisie p. 385
Hannß Martin Stroh der Specereÿhändler, Martin Strohen deß Schuhmachers Zu Leonberg im Hertzogthumb Württemberg ehelicher Sohn, empfangt das Burgerrecht von seiner haußfrauen Martha, Weÿl. Philip Eusebÿ Angelins deß Krämers und burgers ahie Wittib, umb 8. Goldt fl. so er beÿ der Cantzleÿ erlegt. Ist Zuuor ledigen standts geweßen und Würdt auff E. E. Zunfft Zum Spiegel dienen. Jurav. den 13. Aprilis A° 1671.
Le tuteur des enfants de Jean Martin Stroh vend la maison au cordonnier Jean Weiss et à sa femme Marguerite. En marge, quittance remise en 1693 à l’administrateur de la Monnaie Ernest Frédéric Mollinger qui a acquis la maison par enchère judiciaire. D’autres capitaux sont ensuite réglés par Jean Weiss après que l’adjudicataire à renoncé à ses droits en vertu d’une faculté de réméré de deux ans (voir la vente de 1696).
1680 (2.7.), Chambre des Contrats, vol. 549 f° 460
Herr Sebastian Schranckenmüller der Pastetenbeckh und E.E. Sibenergerichts alter beÿsitzer alß Vogt weÿl. hannß Martin Strohen deß geweßenen Zuckherbeckhers nunmehr seel. nachgelaßener Kinder
in gegensein Johann Weißen des Schuhmachers, undt Margarethæ beÿdter Eheleuth
hauß, hoffstatt, höfflein, mit allen deren gebäwen, begriffen, Weithen, Zugehördten, Rechten undt gerechtigkeiten alhier in der Uttengaß, einseit neben weÿl. Frantz Von Hipßheim des huotmachers nunmehr seel. nachgelaßener Wittibin, anderseit neben Weÿl. Gabriel Wahldeckhs dreÿers des Pfenningthurns nunmehr seel. hinderblieben Erben hinden uff Weÿl. hans Melchior Saxen V.J. S. et Instit. Profess. Publ. nunmehr seel. nachgelaßene Kinder stoßend gelegen, undt seÿe solche behaußung umb 125. lb Kauffschillings rest obged. Frantz von Hipßheim Kindern Verhafftet – umb 175 fl.
[in margine :] (…) in gegensein Hn Ernst Friderich Mollingers dießer Statt Müntzverwalters alß ietzmahlig. possessoris der hierin verschriebenen behaußung, dem solche an der Ganth Zuerkannt word. (quittung) Act. d. 15.te 7.br. 1693
[in margine :] Erschien obhemeldter H. Mollinger hat in gegensein Johannis Weißen deß hierin gemeldt. Käuffers wie auch Johann Conrad B*eigers deß Schuemachers seiner Kind. Vogts angezeigt und bekandt, d. Er H. Mollinger auff die obgem. Ganth wid. verzug gethan, dargeg. heut dato die hievor auß gelegte 60. fl. Capital empfang. haben – Act. d. 13. Febr. 1696.
Fils de cordonnier, Jean Weiss épouse en 1670 Marguerite Scheubel, fille de boucher : contrat de mariage tel qu’il est copié à l’inventaire, célébration
Eheberedung. (…) zwischen dem Erbaren und bescheÿdenen Johann Weisen dem ledigen Schuhmacher und burgern allhier Zu Straßburg, Johann weisen des Schuhmachers und burgers allhier ehelicher Sohn, alß bräutigamb an Einem, So dann der Tugendsamen Jungfrauen Margarethæ Christian Scheubels burgers und Metzgers allhier ehelichen tochter, alß hochzeiterin andern theils – So beschehen in Straßburg Sonntags den 3. Julÿ im Jahr alß man nach der geburth Jesu Christi Zahlte 1670
Mariage, Saint-Thomas (luth. f° 14)
1670. Den 8. et 9. Trinit. wurde zum I. und II. mahl außgeruffen Johannes Weiß der Ledige Schumacher, Johannis Weißen deß hießigen Schumachers u. burgers ehelich. Sohn, und Jungfr. Margaretha, Christian scheubels deß Metzgers u. burgers allhier eheliche tochter. Copuati Zu S. Thomæ Mont. post 9 Trinit. (i 9)
Paul von Hipsheim donne quittance de 125 livres à Ernest Frédéric Mollinger
1683 (11.1.), Chambre des Contrats, vol. 553 f° 13-v
Paulus Von Hipßheim der Huetmacher
in gegensein herren Ernst Friderich Mollingers dißer statt Müntzverwalters
125 lb d Kauffschillingß rest so Johann Weiß der Schuhmacher hierbetiers zugegen Vermög der am 11. April. a° 1676. und 2. Julÿ a° 1680. in der Cancelleÿ Contractstuben uffgerichteter Kauffverschreibungen Von seiner alhier in der Uttengaßen gelegener behaußung jährlichen Zu Verzinnßen schuldig Zumahlen erwehnte behaußung gegen männiglichen freÿ ledig und eÿgen
Marguerite Scheubel meurt en 1691 en délaissant trois enfants. L’inventaire ne comprend pas le résumé habituel.
1691 (3. 8.br), Not. Kitsch (Jean, 1 AH 6123) n° 333
Inventarium undt beschreibung, aller undt Jeder Haab undt Nahrung, so weÿl. die Ehren: undt tugen.dtsahme Anna Margaretha Scheibelin, deß Ehrsamen Johann Weißen Schuhmachers burgers alhier Zu Straßb. gewesene eheliche Haußfr. nunmehr seelig. nach ihrem d. 9. Jan: Jüngsthien tödlich genommenen hienscheid. hind. ihro v.laß. welche verlaßenschafft auf freundliches ansuch. erford.n und begehren des Ehrenhafft. hanß Conradt Kriegers, eb.mäßig Schuhmachers burgers Zu gerührtem Straßburg als geordnet und geschworenen Vogts Johann Christians, Johann Philippßen undt Mariæ Margarethæ, d. verstorb. seel. mit undt ab intestato nachgelaß.er Erb. – Mittwochs den 3. 8.bris 1691.
In einer in der Statt Straßb. in der Uttengaßen gelegenen von dem Wittiber
Haußrath, auf der Ober bühn, In der Cammer A, Cammer B. In der Wohnstub
Eigenthumb ane einer behaußung so Theilbar. Item hauß, hoffestatt höfflein mit allen deren gebeuen begriffen weithen Zugehördten rechten und gerechtigkeiten allhier in der Statt Straßburg in der Uttengaßen jenseit der Preüsch einseit Frantz von Hipßen dem Huthmacher, anderseit neben weil. H. Johann Heinrich Waldecks gewesenen Goldarbeiters seel. hinderlaßener Wittib und Erben, hinden neben weil. Hn Hartmann Wörtzen gewesenen weisenschaffners seel. nachgelaßener wittib stoßend gelegen, davon gend jährlichen (-) ablösig mit 125 pfund Ferner (-) ablosig mit 30 pfund Kauffschillings rest, sonsten wäre diese behausung freÿ ledig und eÿgen und hiehero was darauf bezehlt worden angeschlagen umb 57. lb 10 ß. Darüber Vorhanden ein teutscher Pergamentiner Kauffbrieff in allhiesiger Cancelleÿ Contract stub Verfertiget und mit deroselben anhangendem Insiegel bekräfftiget sub dato den 2. Julÿ 1680.
Copia der von dem hinterbliebenen wittiber und der Verstorbenen seel. Zu Zeit ihrer Verheürathung mit einander auffgerichteter Eheberedung. (…) den 3. Julÿ im Jahr alß man nach der geburth Jesu Christi Zahlte 1670.
Copia des Von der Verstorbenen, seel. auffgerichteten Codicilli. 1691 (…) auff Dienstag den 9. Januarÿ neuen Calenders Morgens Zwischen 9 und 10 Uhren in einer in der Statt Straßburg in der Uttengaßen gelegenen der Codicillirerin Zum theil eÿgenthümblich gehörigen und Von Ihro und dero Ehemann bewohnenden behaußung, dero wohnstuben mit den Fenstern auff gemelte gaß sehens Vor mir Benedicto Grosen offenbahrem geschwornem Notario (…) Persönlich erschienen Margaretha gebohrne Schaübelin Meister Johann Weisen des Schuhmachers burgers allhier eheliche haußfrau, Zwar wegen Zugestandener schwehren Kranckheit auff einem bett liegendt sich enthaltend, gleich wohlen aber durch die gnade Gottes richtigen Sinnen guten Verstandts und Vernehmlicher reden (…) Benedictus Groß, Notar: publ. juratus ac requisitus
Jean Weiss et le tuteur de ses enfants vendent la maison au tailleur Jean André Gimpel et à sa femme Anne Barbe Schæffer
1696 (13.2.), Chambre des Contrats, vol. 568 f° 93-v
(Prot. fol. 14.b) Erschienen Johann Weiß der Schuemacher für sich selbst, So dann Johann Conrad Krieger der Schuhmacher alß Vogt sein weißen mit weil. Margaretha Schüblerin sel. erzielter 3. Kinder
in gegensein Johann Andreæ Gimpels, deß Schneiders und Annæ Barbaræ geb. Schäfferin mit beÿstand Johann Friderich Günthers des Glaßers und Johannis Brechtels deß Schuhmachers ihres repect. Vettern und Schwagers
Hauß, hoffstatt, höfflein mit allen deren Gebaüen, begriffen, weith. zugehörden recht. und gerechtigkeit. allhier in der Uttengaß einseit neben Paul Römer dem Nagelschmid anderseit neben weil. Hn hans Heinrich Waldecks, gewesenen Goldarbeiters sel. nachgelaßenen Erb. hinten auf die alte Bechtische modo Sachßische behausung, stoßend gelegen – umb 250 pfund
Pro Nota, Es hat Zwar H. Ernst Friderich Mollinger d. Müntzverwalther die hieob. verkauffte behausung, weg. darauff gehabte zweÿ und.schiedlich. Capitalien, und Zinß, bereits A° 1693. in d. Ganth gezog. darüber auch d. biennium reluitionis würcklich verstrich., hat aber heut dato bei d. Contractstub allein sein Capital Zinß und unkost. gezog. und die quittung gehörig. orth gemacht, auch will geg. d.obige verschreibung d.gestalt eingerichtet word.
Les acquéreurs hypothèquent le même jour la maison au profit de l’administrateur de la Monnaie Ernest Frédéric Mollinger
1696 (13.2.), Chambre des Contrats, vol. 568 f° 95
Johann Andreas Gimpel, der Schneider und Anna Barbara geb. Schäfferin und Zwar dieselbe mit beÿstand Johann Friderich Günthers deß Glaßers und Johannis Brechtels deß Schuhmachers ihres repect. Vettern und Schwagers [unterzeichnet] Johan Andreas Gimbel, der Schneider und Anna Barbara gimblerin
in gegensein Hn Ernst Friderich Mollinger dieser Statt Müntz Verwalthers, schuldig seÿen 225 pfund zu erkauffung hernach beschriebener behaußung
unterpfand, hauß, hoffstatt, p perge auß immediate vorstehend. Verschreibung
Jean André Gimpel se marie en 1694 avec Anne Barbe Schæffer qui avait épousé en premières noces le baigneur Jean Georges Hengstein (dit Hengst) en 1691 : contrat de mariage tel qu’il est copié à l’inventaire, célébration
Mariage, Saint-Thomas (luth. f° 27 n° 140)
Heüt den 10. octob. 1691. ist (…) nach geschehener p.clamation eingesegnet word. Johann Geörg Hengstein (genannt Hengst) der burger undt Bader, undt Jgfr. Anna Barbara Weÿl. H. Philipp Schäffers des gewesten burgers undt Kauffhauß beampten nachgelaßene eheliche Tochter [unterzeichnet] Hans georg Hengstein als hochzeiter, Anna Barba Schefferin (i 29)
Copia der Eheberedung – entzwischen dem Ehrenhafft und Achtbarhen Meister Johann Andreæ Gimbeln dem Leedigen Schneider, weÿlandt Meister Johann Andeæ Gimbels, des Schneiders und burgers allhier Zu Straßburg, nunmehr seeligen hinderlaßenen eheleiblichem Sohn, als dem bräutigamb ane einem, So dann der Ehren: und tugendsamen Frawen Annæ Barbaræ gebohrner Schäfferin weÿland Meister hannß Georg Hänpffen* geweßenen Baders in allhießigem Trusen bad, und burgers allhier nun auch seeligen hinterbliebene Wittib, als der hochzeiterin am andern theil – auff dem Pfingst Montag, So da war den 31. tag des monaths Maÿ stÿli novi im jahr als man nach Christi unsers Einigen Erlößers und Seligenmachers Gebuhrt Zahlte 1694. Johann Reinhard Lang, Notarius juratus
Mariage, Temple-Neuf (luth. f° 46, n° 283)
1694. Dom: 3. post Trinit. seÿnd Zum I. außgruffen worden Johann Andreas Gümpel lediger Schneider weiland Andreas Gümepls geweßenen Schneiders und burgers allhier nachgel. ehl . Sohn, Fr. Anna Barbara weÿl. Joh: Georg Hengsters geweßenen Drußen baders und burgers nachg. Wittib, seÿnd copulirt worden Mittw. den 7. Julÿ deßen seÿn Zeugen [unterzeichnet] hans Andras Gimbel als hoch Zeidter, Annabarbara schefferin Als hochzerin (i 46)
Jean André Gimpel et Anne Barbe Schæffer font dresser l’inventaire de leurs apports dans une maison de location rue du Maroquin. Ceux du mari s’élèvent à 49 livres, ceux de la femme à 351 livres.
1694 (29.7.), Not. Lang (Jean Régnard, 29 Not 36) n° 351 [restitué]
Inventarium und Beschreibung der Jenigen Haab, Nahrung und Güthere, so der Ehrenthafft und Achtbahre Meister Johann Andreas Gümpel, der Schneider und die Ehren: und tugendsame Fraw Anna Barbara Gümpelin, gebohrne Schäfferin, beede Eheleuthe und b. allhier zu Straßburg einander in den Ehestand zugebracht, welche der Ursach. allweilen in iht beeder Eheleuthe mit einander auffgerichteten Ehepactis außtrucklich versehen daß einem jeden deroselben seine in die Ehe zubringende Nahrung unverändert sein, auch was davon stehend. Ehe verändert werd. wird mit gebührendem billig. werth wid. ersetzt und ergäntzt werden solle – So beschehen in Straßb. in fernerm beÿsein des Ehrenhafft und Achtbaren meister Andreas Schäffers Schuhmachers und b. allhier der Fr. eheleiblich. Bruders und noch ohnentledigten vogts
In einer in der Statt Straßburg unden ane St: Urwans gaßen gelegenen behaußung hat sich befunden wie volgt
Abzug in dießes Inventarium gehörig. Des Manns in die Ehe Gebrachte Nahrung, Sa. haußraths 35, Sa. Werckzeugs Zum Schneider handwerckh gehörig 4, Sa.Silbers 16 ß, Summa summarum 40 lb – darzu Zu legen die dem Mann ane der haussteuren gebührige Zween dritte theile 13 lb 2 ß, des Manns gantzes zugebrachtes Vermögen 49 lb
der Frawen in die Ehe gebrachtes Guth, Sa. haußraths 116, Sa. Silber geschirr und Geschmeids 9, Sa. goldener Ringe 16, Sa. baarschafft 33, Sa. Pfenningzinß hauptgüter 166, Sa. Schulden 4, Summa summarum 347 lb – Dazu ist Zu rechnen der Ihro der Frawen ans denen haussteuren gebürige dritte theil ane 13 lb, 4 lb, der Frawen in die ehe gebrachtes gantzes gueth 351 lb
Jean André Gimpel et Anne Barbe Schæffer hypothèquent la maison au profit du boulanger André Fischer
1698 (3.7.), Chambre des Contrats, vol. 570 f° 418
Johann Andreas Gimpel der Schneider Und Anna Barbara geb. Schäfferin, und Zwar dieselbe mit beÿstand Johannes Prechtels und Johann Melchior Graudj, beeder Schuhmacher Ihrer Schwägere [unterzeichnet] Johann Andreas Gimbel, Annabar Bara gimblerin geborne ch-, Johannes Brechtel, Johann Melchior Grauti
in gegensein H. Philipp Jacob Erhards, Schaffners alß Vogts Andreä Fischers, deß ledig. becken – schuldig seÿen, 50 pfund
unterpfand, Eine Behaußung mit allen deren Gebaüen, Recht. und Zugehördt. allhier in der Uttengaßen einseit neben weÿl. H. Johann Henrich Waldecks gewesenen Goldarbeiters sel. Wittib, anderseit neben Johann Römer, dem Nagelschmid, hind. auff d. Sachßische behaußung stoßend gelegen
Anne Barbe Schæffer meurt en 1721 en délaissant un fils. Les experts estiment la maison 225 livres. La masse propre au veuf s’élève à 3 livres, celle des héritiers à 841 livres. L’actif de la communauté s’élève à 267 livres, le passif à 661 livres
1721 (12.8.), Not. Lang (Jean Régnard, 29 Not 118) n° 1072
Inventarium und Beschreibung aller derjenigan haab, Nahrung und Güethere, so weÿl. die Ehren und tugendsamme fraw Anna Barbara Gimpelin, gebohrne Schäfferin, des wohl Ehren und Vorgeachten herrn Johann Andreæ Gimpels des Schneiders und burgers allhier zu Straßb: eheliche haußfrau nunmehr seel. nachdeme dieselbe dienstags d. 27. Martÿ diessen lauffenden 1721. Jahrs Zeitlichen todts verblichen, nach solch Ihrem seel. hintritt Zeitlichen verlaßen, welche verlaßenschafft auf freundliches ansuchen erfordern und begehren des Ehren vest und wohl vorgeachte H: Johann Schäffers des Knöpffmachers und Seidenhändlers, auch burgers allhier der frawen seel. eheleiblichen bruders als geschwornen Vogts Johann Andreæ Gimpels, der Abgeleibten Frawen seel. mit Vorermeltem Ihren hinterbliebenen Wittiber ehelich erziehlt und nach tod verlaßenen einigen Sohns und ab intestato verlaßenen einig. Erben inventirt, durch Ihn den hinterbliebenen wittiber, wie auch Jgfr. Barbaram Kraudiin alhier gebürtig der Frawen seel. eheleiblichen Schwester seel. Tochter – So beschehen in Straßburg auff Dienstag den 12.ten Augusti Anno 1721.
In einer allhier Zu Straßburg in der Uttengaßen liegenden, in diße Verlaßenschafft gehörigen behaußung ist befunden worden Wie volgt.
Ane Höltzen und Schreinwerck, In der Soldaten Cammer, In der mittlern Stub, In der Undern Stub
(f° 12) Eigenthumb ane einer behaußung (T.) Eine behaußung hoff, hoffstatt und höfflin mit allen deren Gebäuwen, begriffen, weiten, Zugehörden Rechten und Gerechtigkeiten gelegen allhier in der Utten Gaß, eins: neben Johann Römern dem Nagelschmid, and. neben weÿl. Hn Johann Heinrich Wald Ecks gewes. goldarbeiters seel. Erben, hinten auff die alt Bechtische oder Sächsische wohn behaußung, jetztaber Johann heppiche den Liechtermacher stoßend, davon gehen jährlichen 3. lb. d. Zinß weÿl. hrn Ernst Friderich Mollingers gewes. Jur. u. Lti und Müntz Verwalters allhier seel: hinterbliebener fraw wittib, widerlößig in Cap. mit 75. lb. d. Mehr 2. lb d Zinß Fr. Annæ Barbaræ Gümppelin gebohrner Schäfferin der Verstorbenen Fr. seel. Erben ohnverändte Nahrung redimibel in Capital mit 50. lb, Mach. dieße beede beschwährd. Zusammen 125. lb. sonsten freÿ leedig und eigen und über dieße beschwerd. durch (die Werckmeistere) vermög übergebenen Abschatzungs Zeduls Vom 17.ten May 1721. angeschlagen pro 225. lb. Darüber vorhanden 1. teutsches pergam. Kauffbrieff mit der Statt Straßburg anhangendem Contract Innsiegel verwahrt datirt d. 13. Februarÿ A° 1693. mit jetzigel N° 1 signirt
Ergäntzung des Wittibers ohnveränderten Guths. Nach besag Inventarÿ über eingangs erwehnter beeder Eheleuthe einander in die Ehe gebrachte Nahrungen durch mich Notarium Joh: Reinhard Lang in Anno 1694. auffgerichtet
(f° 15-v) Abzug in dießes Inventarium gehörig. Des Wittibers ohnverändert Vermögen, (Sa. haussteuren 1 lb) Sa. Werckzeugs Zum Schneider handwerck gehörig 15 ß, Sa. Ergäntzung (7, abzuziehen 6, per rest) 1, Summa summarum 3 lb
Der Erben ohnveränderte Nahrung, Sa. haußraths 47, Sa. Silbers 2, Sa. golderner ring 5, Sa. pfenningzinß hauptgüter 150, Sa. Ergäntzung (644, abzuziehen 8, rest) 635, Summa summarum 841 lb
Das gemein, verändert und theilbar guth, Sa. haußraths 38, Sa. Silbers 3, Sa. Eigenthums ane einer behaußung 225, Summa summarum 267 lb – Schulden 661 lb, Die theilbare Passiva decediren das theilbar guth 394 lb
Copia der Eheberedung (…) Johann Reinhard Lang, Notarius juratus
Copia des zwischen eingange gedachten Eheleuth mit einander auffgerichteten Codicilli reciprici – 1695 (…) auff Freÿtag den 7. tag des Monaths Aprilis neuen Calenders abends Zwischen Sieben und Aht Uhren (…) persönlich erschienen der Ehrenhafft undt achtbahre meister Johann Andreas Gimbel der Schneider und die Ehren undt Tugendsame Frau Fraw Anna Barbara Gimpelin gebohrne Schäfferin bede Eheleuth und burger allhier zu Straßburg, Von der Gnade Gottes gesunden, gehenden und stehender, Sie die Frau aber hochschwangern Leibs (…) Johann Reinhard Lang, Notarius juratus
Special Theil Register Inhaltens Alles das Jenige was Frauen Annæ Barbaræ Gimpelin gebohrner Schäfferin Herrn Johann Andreæ Gimpels, des Schneiders und burgers allhier Zu Straßburg ehelicher haußfraww, in weÿland Frawen Annæ Barbaræ Schäfferin gebohrner Fischerin auch weÿland herrn Johann Philipp Schäffers geweßenen Kauffhauß beambten und burgers allhier Zu Straßburg nunmehr seeligen hinderbliebener Fraw Wittib ihrer lieben Mutter seeligen Verlaßenschafft abtheilung vor einen Achten Stammtheil erblichen Zu: und angefallen Zubefinden auffgerichtet Anno 1705.
Inventarium über des Ehrenhafft und Achtbaren Meister Johann Andreæ Gümpels, Schneiders, und der Ehren undt Tugendsamen Frauen Anna Barbara Gümpelin gebohrner Schäfferin beeder Eheleuth und burgere allhier Zu Straßburg einander Zugebrachte Nahrungen auffgerichtet Anno 1694.
Abschatzung: d 17.t Maÿ: ano: 1721. Auff begehren deß Ehrenhafften Vnd bescheÿten Meister Andreß Gümpel schneider Ist Eine behaußung alhier in der Statt Straßburg in der Rudten gaßen gelegen Ein seith Neben Johannes Romer, Nagell schmitt, Ander seith Neben Niclauß Elles Wittib, hinden auff Johannes Heppie, Lichter Macher stoßend, Welche behaußung, hoff statt, Stuben, Kammern, Küchen, Ein gebälckter Keller, Sampt Aller Ihrer gerechtigkeit, wie solches durch der Statt geschwohren werckh Leüthen, in der besichtigung befunden, Vnd dem Jetzigen preiß Nach Angeschlagen wirt, Vor, undt umb Süben Hundert Gulten. Bezeichnüß durch der Statt Straßburg Geschworen werckh leüthen, Jacob Staudacher werckh Meister des Maurhofs, Michel Ehrlacher Werck Meister des Minsters, Johann Jacob Biermeÿer Werck Meister deß Zimmerhoffs
Jean André Gimpel meurt en décembre 1729. Les experts estiment la maison 575 livres. L’actif de la succession s’élève à 403 livres, le passif à 60 livres.
1729 (29.12.), Not. Lang l’aîné (Jean Daniel, 25 Not 27) n° 262
Inventarium über Weÿland des Ehren und vorgeachten Herrn Johann Andreä Gümpels, geweßenen Schneiders und burgers allhier nunmehr seeligen Verlaßenschafft auffgerichtet Anno 1729 – nachdeme dieselbe den 18.ten dießes Monaths von dem lieben Gott aus dießer welt abgefordert worden, Zeitl. hinter sich verlaßen, welche verlaßenschafft auf freundliches ansuchen erfordern und begehren herrn Johann Schäffers, Knöpffmachers und burgers allhier, als geordnet und geschworenen Vogts Joh. Andreä Gimpels, des Abgeleibten. mit weÿl. der Ehren und tugendsahmen frauen Anna Barbara Gimpelin gebohrner Schäfferin seiner Verstorbenen ehel. haußwürthin ehel. erzeugten Sohns und ab intestato verlaßenen einigen Erben inventirt, durch Mstr: Johann Jacob Nivern den leedigen allhier noch ohnverburgerten Schneider von Lützelstein gebürtig Welcher nun ein Jahr hero beÿ dem Verstorbenen in diensten sich auffgehalten, deßgleichen frau Catharina Sutterin gebohrne Fritschin Frantz Joseph Sutters des bedienten der frembden herren Ehegattin, so schon acht Jahr hero in dem Sterbhauß wohnhaft (geäugt und gezeigt) – So beschehen in Straßburg auff Donnerstag den 29.ten Decembris 1729.
In einer allhier Zu Straßburg in der Uttengaß gelegen in diße Verlaßenschafft eigenthümlich gehörigen behaußung ist befunden worden Wie volgt.
Eigenthumb ane einer behaußung. Eine behaußung hoffstatt und höfflin mit allen deren gebäuwen, begriffen, weithen, Zugehörden, rechten und gerechtigkeiten, gelegen allhier zu Straßburg in der Utten gaß, einseit neben François Claude Vernier dem liechtermacher, anderseit neben weÿland Johann Jacob Elleßen Erben, hinten auff Vorbemelten Vernier des liechtermachers behaußung stoßend, so gegen männiglich freÿ leedig u. eigen und durch (die Werckmeistere) Vermög übergebenen schrifftlichen abschatzungs dedato 9. Januarÿ 1760 angeschlagen pro 287. lb. 10 ß Wie der Verstorbene und seine Ehefrau seel. dieße behausung von Johann Weißen dem Schuhmacher proprio und Johann Conrad Kriegers dem Schuhmacher Curatorio nomine sein Weißen mit weÿland Margarethæ Scheublerin seiner Ehefrauen ehelich erzeugter dreÿer Kinder vor sich erkaufft haben Weiset ein teutscher Perg: Kauffbrieff in allhieß: C C Stuben verfertiget u. m. ders. vorgedr. Kl. Inns: verwahret de dato 13. febr. anno 1696. m. a. N° 1 notirt und dabeÿ gelaßen. dabeÿ i. T. Perg. Ganth Kauffbrieff mit E. E. Kl. Raths d. St. Straßb. anhangendem größ: Inns: corroborirt datirt den 11.t Martÿ anno 1693. Und dan i. a. Pergam. Kaufbr. in obgem: Stuben gefert: u. mit deros. anhang. Inns. verw. datirt d. 2. Julÿ 1680.
Series rubricarum hujus Inventarÿ, Sa. haußraths 32, Sa. Werckzeugs Zum Schneider handwerck gehörig 10 ß, Sa. Silbers 1, Sa. pfenningzinß hauptgüter 80, Sa. Eigenthumb ane einer behaußung 287, Sa. Schulden 1, Summa summarum 403 lb – Schulden 60 lb, Nach deren Abzug, Conclusio finalis Inventarÿ 342 lb
Abschatzung d. 9. Januarÿ 1730. Auff begehren Weÿland des Ehrenvesten und Vorachtbahren Meister Andreæ Gimbel gewesenen Schneiders seel. hinterlaßene Erben ist eine behausung allhier in der Statt Straßburg in der Rutten gaßen gelegen, einseits Neben den Ellischen Erben, anderseits wie auch hinden auf Claude François Verny liechtermacher stosend, welche behausung, stuben, Cammren, soldaten Cammern Küchen und gebälcktes Kellerlein sambt aller gerechtigkeit wie solches durch der Statt Straßburg geschwornen Werckleuthe sich in der besichtigung befunden und Jetzigem preiß nach angeschlagen Wird Vor und Umb Fünff hundert Siebenzig und Fünff gulden. Bezeichnuß durch der Statt Straßburg Geschworene Werckleuthe [unterzeichnet] Michael Ehrlacher Werck Meister deß Meinsters, Johann Jacob Biermeÿer Werck Meister deß Zimmerhoffs, Johann Peter Pflug Werckmeister deß Mauerhofs
Les administrateurs de l’Orphelinat où le fils Gimpel a été admis vendent la maison 362 livres au fabricant de chandelles Claude François Vernier et à sa femme Marie Eve Reinbold, propriétaires de la maison voisine (ci-dessous, a-2).
1730 (13.3.), Chambre des Contrats, vol. 604 f° 127-v
allhießigen weÿßenhaußes H. Mitpfleger S.T. H. Fünffzehner Johannes Sainctlo und H. Johann Friedrich Heupel Schaffner daselbst
in gegensein Claude François Vernier des Liechtermachers und Mariæ Evæ geb. Reinboldtin
Eine Behausung höfflein und hoffstatt mit allen derselben gebäuden, begriffen, weithen, zugehörden, Rechten und gerechtigkeiten ahne der Uttengaß einseit denen käuffern selbst anderseit neben weÿl. Johann Jacob Elles fastenspeishändlers Erben, hinten auff bemeldte Käuffer als Rechts: innhaber weÿl. Johann Andreas Gimpel schneiders und deßen sich im weÿßenhauß befindlichen hinterlaßenen einigen kindts Johann Andreas gimpel eigenthümlich zuständig – um 362 pfund
Maison (a-2), correspondant à la partie centrale de l’actuel n° 10
Préposés aux affaires foncières (Bauherren), protocole de tribus et des Quinze
1694, Préposés aux affaires foncières (VII 1376)
Jean Haubenstricker demande l’autorisation de poser un auvent d’une planche de large qu’on pourrait lever et baisser à l’aide d’une corde. Les préposés renvoient l’affaire aux deux chefs de chantier
(f° 7-v) Dienstags den 2. Februarÿ – Johann Haubenstricker
Johann Haubenstricker der Pastetenbeck, haltet an, ihme Zuerlauben, daß er an seinem hauß in der Uthengaß ein Wetterdächlein nur Von einem diehlen machen laßen möchte, welches mann mit einem Seÿl auff: und ablaßen Könte.
Erk. die beede Werckmeister sollen augenschein einnehmen und wiedrumb berichten.
1727, Protocole de la tribu des Maçons (XI 235)
Le fabricant de chandelles Claude François Vernier demande au conseil des maçons d’inspecter le travail qu’a fait Philippe Jacques Zell : les dalles qu’il a posées dans la cour pour éviter au pan de bois de pourrir ne remplissent pas leur fonction, l’encadrement de porte doit être remplacé, le toit du bâtiment en équerre laisse passer l’eau de pluie, le chenal doit être réparé, le chaudron à savon doit être utilisable. Le maître maçon renvoie aux termes de l’accord passé avec le maître d’ouvrage. Le représentant des maçons déclare cependant qu’il n’a pas vu l’accord. La commission ajoute que le défendeur a promis de mettre la maison en état quand il l’a vendue et enjoint au maçon de terminer le travail dans les quatre semaines.
(f° 224) Freÿtags den 31. Januarÿ 1727
Hr Zanger proponirte, daß Er vnd Mr Knott auf Claude François Vernier des Lichtermachers in der Uttengaß Ansuchen von herrn Oberherrn deputirt worden des Mr Zellers arbeit allda zu besichtigen welche sie dergestalten befunden
1) habe im hoff auff dem alten auff Zweÿ seithen Blatten gesetzt welche Vor das holtz damit solches nicht verfaulen gehen solle, allein liege solche nur den holtz Zugleich, daß es in Kurtzer Zeit Verfaulen müße.
2) das thurgestell muße außgebrochen vnd wieder ein anders eingesetzt werden indeme es allweeg nur Von einem halben schuh.
3) das tach auffm Zwerchhauß vnd das übrige tachwerck ist nicht gemacht, daß der Mann im hauß wohnen Kan, Indeme es darein regnet.
4) der Nach hinderm hauß ist frisch Zu legen, Vnd zu Verkutten, daß das waßer seinen ablauff habe.
5) der Seÿffen Keßel in stand Zu setzen daß er denselben brauchen vnd seÿff darinnen sieden könne.
Welches alles Mr Knott ebenmäßig affirmirte, nachdeme Ine solches Vorgelesen worden, vnd referiten beede noch weiter daß alles dießes er Zeller den mann Zumachen vnd in guten stand Zu stellen Versprochen, aber bis daro nicht geschehen habe.
Hr François vernier der Liechtermacher so dieses gericht gekaufft Vnd die Gebühr erlegt, beruffe sich auf dem rapport der Hh. Deputirten.
Beklagter Zeller ad 1. das gängel seÿe schon belegt gewesen, wie die beede Deputirte darauß geweßen, warauff er Verlangt, daß man seine arbeit abschatzen solle, welche dannoch umb 9 ß höher gekommen als sein Verding antraffe, beÿ welcher Abschatzung auch der Klagende verniers bewenden zu laßen, vnd waß er ferner begehre, ein tagloch arbeiten Laßen.
H. Zanger referirte Ihne niemahlen einen Verding Vorgewießen zu haben Vnd habe er Zeller expresse damalen gesagt, daß es muße anders belegt werden.
ad 2) Ja habe er Versprochen einen andern stein, wan ers Verlange, hinein Zu setzen, vernier aber habe Ihm 5. fl. deßwegen in seinem Zedul abziehen wollen.
ad 3) habe Ihme deßelbe machen wollen, der vernier aber seinen gesellen ins teuffels nahmen fortgeschickt.
ad 4) seÿe ein alter nach gewesen, den nie frisch gelegt worden, Vnder auch denselben nicht frisch zu Legen Versprochen, seÿe auch nicht im Verding.
ad 5) seÿe gemacht.
Kläger Replicirte, daß er mit dießem Keßel nunmehro Zufrieden seÿe, die übrige puncten aber instand gesetzt Zu haben Verlange.
Die beede deputirte berichteten ferner mit und beneben dem Kläger daß Beklagter beÿ Verkäuffung des haußes alles in guten stand zu setzen, vnd beÿ Abschatzung seiner gethanen arbeit in specie noch dieße vier puncyen zu befriedigung des Klägers Zu machen Versprochen, dahero vnd weilen Keinen Verding Vorwießen, noch solches in abrede seÿn kan, alß solle derselbe die noch restirende vier puncten von dato innerhalb Vier wochen auff seinen Costen in guten stand setzen vnd verbeßern, Zumahlen sowohl die Kauffgerichts gebühr alß andere unkosten auß dem seinigen erlegen, weilen Er denen beeden Hh. Deputirten die Verbeßerung deselben Versprochen, vnd wan die arbeit gemacht, solle wolche von denen beeden Deputirten wieder besichtiget werden.
1727, Protocole des Quinze (2 R 132)
Philippe Jacques Zell porte l’affaire devant les Quinze. La procédure engagée n’a pas de suite
(p .39) Sambstag d. 8. Febr. 1729
Gug nomine Philipp Jacob Zell des Maurers und Steinhauers Citavit François Vernier den Lichtermachen producirt Undtg. Appellations klag juncto petito mit beÿlag N° 1. Moss bitt Cop. et T. ord. Gug laßt Copeÿ Zu bitt Deputationem. Erkandt wird Copeÿ und Deputation willfahrt
Description de la maison
- 1713 (billet d’estimation traduit) La maison est estimée avec sa cave et son atelier à la somme de 1 100 florins
- 1734 (billet d’estimation traduit) La maison comprend plusieurs poêles, chambres, cuisines, vestibule, chambre à soldats, deux chambres sous le toit, au rez-de-chaussée cuisine, placard, atelier à fabriquer les chandelles, petite cave en partie voûtée en partie solivée, le tout estimé avec le puits, la petite cour, appartenances et dépendances à la somme de 1 000 florins
- 1735 (billet d’estimation traduit) La maison comprend à l’arrière deux caves dont l’une est voûtée et l’autre solivée, au-dessus un poêle, une cuisine, un atelier à fabriquer les chandelles, resserre à suif, boutique, à l’étage deux poêles, deux cuisines, passage, dans le bâtiment latéral deux chambres, chambre à soldats et greniers, estimés avec le puits à bras, la petite cour, appartenances et dépendances à la somme de 1 800 florins
- (parties a-1 et a-2 réunies) 1742 (billet d’estimation traduit) La maison comprend au rez-de-chaussée deux poêles, deux chambres, deux cuisines, un vestibule et une cave sous solives ainsi qu’un puits, aux premier et deuxième étages à gauche un poêle, chambre, cuisine et vestibule, à droite aussi un poêle, une chambre, une cuisine, un vestibule, le tout estimé avec ses aisances et appartenances à la somme de 1 200 florins
Relevé d’actes
La maison appartient en 1619 au chapelier Conrad Stumpf qui épouse en 1608 Elisabeth, veuve du boucher Antoine Mangold
Mariage, cathédrale (luth. p. 212)
1608. Dominica 17. Trinitatis. Conrad Stumpf der hutmacher, Elisabetha Antoni Mangold des metzigers n: g: witwe
Conrad Stumpf et Elisabeth Kegereis vendent deux maisons contiguës au chapelier Christophe Spleis et à sa femme Anne Thomas. En marge, quittance remise par les enfants et héritiers des vendeurs
1619 (xiij. Januarÿ), Chancellerie, vol. 436 f° 36-v
(Inchoat. in Prot. fol. 30.) Erschienen Cunradt Stumpff d. huottmach. burg. Zu Straßburg vnd Elisabeth Keger Isin sein ehelich. haußfr. (verkaufft)
Stoffell Spleÿß. dem huttmacher burger Zu Straßburg vnd Annæ Thommin seiner ehelich. haußwürthin
Zweÿ heüser neb. einand. sampt dem höfflin, mit Allen Ihren gebeüw & gelegen Inn d. St. St. Inn der Utten gaß einseit neben Daniel Fridell dem Kachlern And. seit hanß Retz dem Zimmermann, hind. vff h. Johann Bechten d. Recht. doctoris stoßend, dauon v. lb d gelts Abloßig mit j C. lb vff Weÿhenachten fallend, herrn Albanus Ruckus diacono Zu Jung. S. Peter So dann sie verhafftet vmb L lb d wann es gefordert würd. Zuerleg. Julianæ Fißlerin seiner ledig. dochter mit dem Zinß, Wie man sagt, Vnd Alles recht, Vnnd Alles Recht & Also das & Vnnd Ist dißer Khauff vber obgehörtte beschwerd. so die Kheüffere vff sich genommen Zugangen vnd bescheh. für vnd vmb 200 pfund
[in margine :] Erschienen Christoph Spleiß an j. So dann Conrad Stumpfen s: erben mit nammen hannß Jacob Krimmer alß ehevogt Elisabeth Stumpfin Johann Pauli s. wittib vnd Vincentz Lümberger alß vogt ernts. Pauli s. Kind. 2. theils (Nachtrag) Act. den 22. Aug. 1629.
Christophe Spleis se marie en 1611 avec Anne Thomas, fille du gourmet Georges Thomas, qui avait épousé en 1605 le chapelier Jean Ulric Meyer
Mariage, Saint-Pierre-le-Vieux (luth. 97-v, n° 38)
1605. Hans Ulrich Meier hutmacher, Jr. Anna Thomass Jörgen des Weinstichers tochter. 16. Julÿ (i 109)
Mariage, Saint-Pierre-le-Vieux (luth. f° 125, n° 50)
1611. 29. April. Christoff Spleyß der Hutmacher, Anna, Hans Ulrich Mayr Hutmachers Wittib (i 127)
Christophe Spleis hypothèque la maison au profit du diacre Jean Jacques Rueckus
1621 (xj. Julÿ), Chancellerie, vol. 443 f° 402
(Inchoat. in Prot. fol. 274.) Erschienen Stoffell Spleÿß der huttmacher burger Zu Straßburg
hatt bekhandt vndt In gegenwärtigkheit des ehrwürdigen vnd wohlgelehrten herrn hannß Jacob Rueckus Diaconi Zum Jungen Sanct Peter Alhie – schuldig seÿe 50 pfund
Zum vnderpfand eingesetzt vnd verlegt, Zweÿ heüßer nebent einander sampt der höflin Auch Allen Andern Ihren gebeüwen gelegen Inn der Statt Straßburg Inn der Utten gassen, neben Daniel Fidell dem Kachler, anderseit neben einem schuhmacher hanß Kretzen nachkomm. hinden vff herrn Johann Bechden der Rechten doctor stoßend dauon gend v lb gelts Ablößig mit j C lb d dem herrn gläubiger obgedacht Zuuor, So dann sind die heüßer verhafftet vmb j C. Lx lb Cunradt Stumpff dem huttmacher sunst ledig vnd eÿgenn
Nouvelle hypothèque entre les mêmes
1624 (xvj. Augusti), Chancellerie, vol. 452 f° 362-v
(Inchoat. in Prot. fol. 213.) Erschienen Stoffell Spleÿß der huttmach. burger Zu Straßburg
hatt in gegensein des Ehr: wolhelehrt. herrn Johann Jacob Ruckus diaconi Zum Jung. Sant Peter alhie – schuldig seÿe L. lb
vnderpfand Zweÿ heüßer nebent einand. samt den höfflin, Auch Allen Ihren gebaw. & gelegen Inn d. St. St. Inn der Vten gassen, einseit nebent Daniel Fidell dem Kachlern, anderseit n. Friderich Lindenberger hind. vff herrn Johann Georg Bechten der Rechten doctori stoßend, dauon gnd. b. lb d. gelds Ablößig mit j.C. lb dem gläubiger *geht Zuuor
(vide cassaturam in Reg. 1621. fol. 402.)
[in margine :] Erschienen H Urban Kißlin der Nots. alß befehlhaber Fr. Maria Jacobe Ziegelin deß H. Creditoris seel. witwen gralichs* leibs blödikeit halben nit erscheinen kann, bekannte in gegensein Stoffell Spleißes der Deb. (…) q.tirt den 25. 7.bris a° 1631.
Anne, veuve de Christophe Spleis, passe un contrat alimentaire avec son fils Jean Jacques Spleis et sa bru Anne
1654 (8. Aug.), Chambre des Contrats, vol. 516 f° 422
Erschienen Anna, weÿl. Christoph Spleÿß. deß huetmachers seel: wittib, mit beÿstand hannß Georg Meÿers deß huetmachers ihres Vogts an einem,
So dann hannß Jacob Spleÿß der huetmacher, und Anna sein Eheweib ihr Annä eheleiblich. Sohn und Sohnsfraw, am andern theil,
haben bekannt, waß maß. sie sich mit einand. dahien vereinbahret, daß Sie beÿde Eheleuthe, ermeldte ihre Muter und Schwig. Zue sich in ihrer Stub und ahne ihrem disch nehmen, darinn und daran so gut sie es selbst. haben werd. versorg. (…)
Anne Thomas veuve de Christophe Spleis et ses enfants, le chapelier Jean Jacques Spleis et Salomé femme du cordonnier Jean Gaspard Griessinger, vendent la maison à François von Hipsheim (veuf de leur fille et sœur respective, voir ci-dessous). La veuve se réserve l’habitation dans un logement de la maison
1651 (2. Aprilis), Chambre des Contrats, vol. 510 f° 273
Erschienen Anna Thomin, weÿl. Christoph Spleiß. deß huetmachers seel. Wittib mit beÿstand hannß Georg Meÿers deß huetmachers ihres Curatoris, Ferner hannß Jacob Spleiß. der huetmacher für sich selbst. und hannß Caspar Grießingers Schuhmachers alß Ehevogt Salomeen Spleißin
haben in gegensein Frantz von Hipßheim deß huetmachers ihres resp. dochtermanns und Schwagers mit beÿstand Martin Rüdingers deß huetmachers seines Schwagers
ihr d. Mutter 1/3, so dann ahne den übrig. 2/3 hannß Jacobß und Salomeen ahne hauß, hoff, hoffstatt mit all. deren Gebäwen, alhie in d. Utengaß. einseit neben weÿl. Caspar Urschen deß Kachlers seel: Erb. anderseit neben Abraham Schiller dem Pitschiergrabern, hind. vff weÿl. H dr. Johann Georg Becht. seel. Erb. Gart. stoßend geleg., daran dem Käuffern deß übrige vorhien erbßweiß Zustehet, von welcher gantzen Behaußung gehend iahrs vff Jacobeæ 5. lib lößig mit 100. lib. denen armen im Kirchspiel deß Münsters, sonst für eldig und eig. dann ob wohlen solche behaußung dem darneb. gelegenen Schillertisch. hauß H. Lt. Balthasar Friderich Saltzmann noch umb 100. lib. verhafftet seÿe, haben iedoch die verkäuffere die verkauffte antheil d. vorbeschriebenen Behaußung solch. Unterpfands Ansprach vffs fürderlichst Zu entledig. und den Käuffern derentweg. freÿ und schadloß zu mach. zugesagt
die Muter hatt ihro vff ihr Persohn und für ihr leben lang deß Stüblin und Kämmerlin an einander. und in den hoff herauß gebawen, ohne Zinnß Zu bewohnen außtruckhlich auß und dem Käuffern angedingt
Fils du chapelier Jean Jacques von Hipsheim, François von Hipsheim épouse en 1640 Anne Marthe Spleiss
Mariage, cathédrale (luth. p. 433)
1640. Domin: Quinquages: Frantz von Hipsen der Huttmacher, Hanß Jacob von Hipsen Huttmachers Vnd burgers allhie nachgelaßener Ehelicher Sohn, Vnd Jungfrau Anna Marthan Christoff Spleißen Huttmachers vndt Burgers alhie Eheliche Tochter. Eingesegnet Mont. Im Münster den 24. Febr: (i 221)
François von Hipsheim se remarie en 1651 avec Marie Madeleine Wagner, fille de potier : contrat de mariage, célébration
1651 (12. Aug.), Chambre des Contrats, vol. 511 f° 611-v
(Prot. fol. 168. – Eheberedung) Erschienen Frantz von hipß. der huetmacher und Burger Zu Straßburg alß hochzeiter mit beÿstand Daniel Walters deß Metzgers seines Schwagers an einem,
So dann Jungfr. Maria Magdalena H Paul Wagners deß haffenmachers eheliche dochter alß hochzeiterin, mit beÿstand erstermeldts ihres Vatters, wie auch H Johann Schatzen deß handelßmanns und Michael Karchers deß Büttelß vff der Fischer zunfftstuben am andern theil
Mariage, cathédrale (luth. f° 538, XXXVIII)
1651. Dom. XII. Trinit. den 17. Aug. Frantz vonn Hipßheim Huetmacher vnndt burger alhier vnnd Maria Magdalena, herrn Pauli Wagners des burgers Vnndt haffenmachers alhier Eheliche dochter. den 25. Aug. Münster, Spiegell. Thiergarten (i 286)
Convention entre le barbier Jean Pfort et les pauvres de la paroisse de la cathédrale au sujet du capital assis sur la maison autrefois propriété de Christophe Spleiss et actuellement de François von Hipsheim
1657 (13. Aug.), Chambre des Contrats, vol. 522 f° 352
Erschienen H Johann Pfort der Barbierer
in gegensein h Michael Zentgraff deß Golt Arbeiters im nahmen der hauß Armen der Pfarr. deß Münsters, mit beÿstand H Urban Kißelß Notarÿ seines Schwagers
bekannt, Wiewohlen weÿl. Fr. Jacobea Ruckheißin gebohrne Zieglerin, in ihrem vffgerichteten Testamento §. Alß für das tritte & die ienige 100. lib Capital so sie vff einer alhie in der Utengaß. gelegenen dermahl. Christoph Spleiß. dem huetmacher Zugestandenen, anietzo aber Frantz von hipßen dem huetmach. gehörig. Behaußung, gehabte und iahrs vff weÿhenacht. Zinnßbahr. geweß. seind, denen Jeweilig. hauß Armen der Pfarr deß Münsters, der gestalt, legirt, daß der iährliche zinnß ied. Jahrs vff Jacobeæ tag und gemelte haußarmen distribuirt werd. solle (…) So habe eingangßgemelter H Pfort gedachte 100 lib Zu seinen hand. empfang. hiengeg. aner ahne deren statt, den hauß Armen assignirt und Zugeeignet die ienige 100. lib Capital, so anietzo die hohe Schul alhie, vermög der in der Cancelleÿ contract stuben am 11.t maÿ a° 1626. vffgerichteter obligation alle Jahr vff den 11. Maÿ Zu verzinnß. verbunden, von weÿl. Fr. Maria Elisabetha Sommerin, sein Pforten geweßenen Zweÿten ehelich. haußfrau, vff dero ienig. mit Ihme ehelich erzeugtes Söhnlin Johann Wilhelm Pforten, von demselben aber, vff ihme den Vattern erblich gelanget, und sein Johann Pforten geg. männiglich ohnansprüchiges Eigenthum seÿe, (…)
François von Hipsheim se remarie en 1662 avec Susanne, fille du tanneur Martin Schurer
Mariage, cathédrale (luth. f° 19)
1662. Dom: Quasimodogeniti den 6. April: Zum 2. mahl Frantz von Hipßheim der hutmacher vndt Bürger alhier und Jfr. Susanna, Martin Schurers des Rothgerbers vndt Bürgers alhier ehel: Tochter. Dienstags den 15.t April: Spiegel, Münster, Thiergart. (i 20)
Le marié fait dresser l’inventaire de ses apports. L’actif s’élève à 1 663 livres, dettes déduites à 1 232 livres. Il est propriétaire pour deux tiers de deux maisons contiguës rue Sainte-Madeleine, le troisième tiers revenant aux enfants issus en deuxièmes noces (il revend en 1676 la maison acquise en 1661, voir ci-dessus, a-1)
1662 (4. 7.bris), Not. Winter (Jean Christophe, 62 not 11) n° 14
Inventarium und beschreibung aller und Jeder Haab, Nahrung und Gütter, liegend. und vahrend. so dem Ehrenthafften Mr Frantzen von Hipßheim, huthmachern v. burgern Zu Str. eigenthümlichen Zuständig, v. d.selbe seiner geliebten hfr. Susannæ Schurerin in d. Ehestandt Zugebracht, Welches d. Vrsachen beschehen, weilen inn beed. der benanter Ehepersohnen auffgerichteten heuraths verschreibung vnd. and. p. expressum versehen, d. beed.seits Zu bringende v. in wehrend Ehe ererbende Gütter Jedem theil v. seinen Erben ein unverändert v. vorbehalten Gutt sein v. heißen – Actum vnd angefang. in fernerm beysein deß auch Ehrengeacht. H. Martin Schurers Rothgerbers v. deßen Eheprn. alß d. frauwen geliebt. Eltern in Straßburg Donnerstags d. 4 7.bris 1662.
In einer in d. Statt Str. ane Uttengaßen gelegener v. inn dieße Nahrung für unverändert gehöriger behaußg. befund. word. alß Volgt
Eÿgenthumb ane Häußer. Item huß, hoffestatt, höfflin und bronnen mit allen deren Rechten, Zugehördten vndt Gerechtigkeiten geleg. alhier Zu Str. ane Vdengaßen Einseit etwan neben Abraham Schiller dem Pitschiergraber anizo dißorts selbsten and.seit Georg Sieler der Meelman hinden vff den Edlen und hochgelehrten H. Melchior Sachßen J. V. Drm vnd Professorem stoßend, so gantz freÿ leedig v. eig. Vndt angeschlagen p. 312 lb 10 ß, Daran gebührt erstlichen Ihrer L. Frantzen v. hipßen für unverändert 61 lb 2 ß 2 1/3 s, vnd ane restirenden 351 lb 7 ß 9 1/3 d für 2/3. theil, 167 lb 11 ß 10 d, Vnd alßo in Summa 228 lb 14 ß 3/2 d. Die restirende 83 lb 15 ß 11 1/3 d seind den Kindern mittler Ehe Zuständig. Darüber sagt ein alter Pergament Kauffverschreibung mit d. St. Str. Cantzleÿ Contractstb. anhangendem Insigel v.wahrt datirt den 13. Oct. 1590.
Eÿgenthumb ane Häußern. It. 2/3 theil ane hauß, hoffestatt vnd höfflin mit allen anderen ihren gebäuwen, begriffen, Zugehördten Rechten vnd Gerechtigkeiten geleg. ane obbemelter Vden gaßen, einseit neben deren nechst Vorher beschriebener behausung 2.s neben H. Gabriel Waldeck dem Goldarbeitern hinden H. Dr. Johann Melchior Sachß, dauon gend iahrs vf Weÿhenachten j lb 5 ß d em Wohl Ehrwürdig und hochgeehrten H. Balthasar Friderich Salzman S. S. Theologiæ Licentiato vnd Pfarrern im Münster, wid. lößig in hg. mit 25. lb ferner 2 lb 10 ß d Hanß Thomæ vnd Jonæ den Brantzen Gebrüedern Jahrs vf (-) ablößig mit 50. lb. Sonsten freÿ ledig v. eig. vnd über dieß beschwerden angeschlag. vmb 125. lb. Thun die hiehero gehörige 2/3. theil 83. lb 6 ß. Der vbrige 1/3. theil ist uch ermelten Kindern gehörig. Vnd besagt vber diße behaußung ein teutsch. Prgmtiner brief in d. St. Str. Cantzleÿ Contractstuben gefertigt vnd mit dero fürhangendem Insigel verwahrt datirt den 27. Maÿ 1661.
Item 2/3. theil ane hauß, hoffestatt, höfflin vnd bronnen in s. Sr. Str. Zuhind.st im Encker gäßel (…)
Künfftige Ergenztung. Vermög Inventarÿ über weiland Frawen Maria Magdalena Wagnerin M. Frantzen v. Hipßen mittlern haußfr. seel. Verlaßenschafft d. 1661. vfgericht
Rubrices In hieuorger geschrieben Inventarium. Haußrath 446, Werckzeug Zum huthmacher handwerck gehörig. 13.
Wein und Vaß 101, Frucht 18, Silber geschirr und Geschmeidt 217, Guldine Ring 14, Baarschafft 172, Pfenningzinß hauptgüter 36, Eigenthumb ane Häußern 562, Schulden in die (Nahrung) Zugeltend 9, Künfftige Ergäntzung 72, Summa summarum 1663 lb, Nach deren Abzug 1232 lb
Les enfants et héritiers de François von Hipsheim vendent leurs parts de maison à leur frère Paul von Hipsheim
1690 (25.7.), Chambre des Contrats, vol. 562 f° 395
Henrich Seÿler der Rathsbott alß Ehevogt Salome von Hipßen, Mehr Frantz von Hipßen der Huthmacher für sich selbsten, Sigmund Waltz auch huthmacher alß Ehevogt Susannæ von Hipßen, David Schweinle der Riemenschneider alß Ehevogt Marthæ von Hipßen, so dann Johann Martin Schurer der Gerber und Lederbereiter, alß Vogt Martins, Gottfrieds und Mariæ Salome von Hipßen, und Andres Dirrbach alß Vogt Johann Schöttels
in gegensein Johann Paul von Hipßen deß huthmachers Ihres respect. leiblich. bruders und Schwagers [unterzeichnet] Johann Paulus von Hüpßen alß Keuffer
Acht Neundte theÿl Einer behaußung höfflein und dero hoffstätten, mit allen deren Gebäuen, Rechten und Zugehördten, allhier in der Uttengaß, einseit neben Johann Weißen dem Schuhmacher, anderseit neben hans Georg (-) dem Kachler, hind. auff die Sachsische Behaußung stoßend gelegen, daran der übrige Neundte theÿl Ihme Kaüffer zu vorhin Zuständig, Zumahlen die gantze Behaußung umb 137 pfund (so dann umb 25 pfund verhafftet) – geschehen umb 59 pfund
Le Grand Sénat autorise l’aliénation de la maison qui appartient aux enfants issus de deux mariages de François von Hipsheim
1690, AMS cote 94 Z 1 (Pièces produites à la Chambre des Contrats)
Auß Erkannus E E Großen Rhats der Statt Straßburg ist Frantz von Hipßen Kindter, Erster und anderer Ehe Joh: Martin Schurer und Andreß Dürbachs daß gebettene decretum alien. betreff. eine behaußung in der Uttengaß gelegen auff der Kinder Vertrags Hh. angehörte relation und der Vogt gewohnliche behabung ertheilt d. 22. Julÿ 1690 und ist die behabung geschehen Eod.
Scheffmacher Rhatschreib.
Le chapelier Paul von Hipsheim épouse en 1682 Anne Salomé Schwenck, fille de chapelier
Mariage, Temple-Neuf (luth. f° 104-v, n° 35)
1682. Domin. 17. post Trinit. Zum 2.mahl Paulus Von Hipsen der hutmacher Weiland Frantz Von hipsen auch geweßenen hutmachers u. Burgers alhier nachgelaß: ehel. Sohn, Jfr. Anna Salome Hans Schwencken hutmachers u. Burgers allhier ehel. T. Mittw. den I. 8.br. Zun Predigern (i 106)
Paul von Hipsheim et Anne Salomé Schwenck hypothèquent la maison au profit de Jean Frédéric Sachs, receveur de l’Orphelinat
1693 (24.2.), Chambre des Contrats, vol. 565 f° 148-v
Paulus von Hipßen, der Huthmacher und Anna Salome Schwenckin, deß. Eheliche haußfr. und Zwar dieselbe mit beÿstand Jacob Schwenck auch hutmachers Ihres leiblich. Vatters und hans Daniel Holländers deß huthmachers Ihres Vettern [unterzeichnet] Johann Paluluß Von Hüpßen, Anna Salme Schwenckin
in gegensein H. Johann Friderich Sachßen, Schaffners deß waisenhaußes, schuldig seÿen 200 pfund
unterpfand, Ein vord. und hind. hauß, höfflein, sambt dero hoffstätt. und allen deren gebaüen recht. und zugehördt allhier in d. Uttengaß, einseit neben Johann weißen dem Schuhmacher and.seit hans Georg (-) dem Kachler hinten auff die Sachßische behaußung stoßend gelegen
L’inventaire après décès dressé en 1712 n’est pas conservé
1712, Not. Hoffmann (Christophe Michel, rép. 65 not 11) n° 40
Inventarium über weÿl. Herrn Johann Paulus Von Hipßheim des huthmachers seel. Verlassenschafft
Anne Salomé Schwenck meurt en 1719 dans sa maison Grande rue de la Grange en délaissant sept enfants. L’actif de la succession s’élève à 314 livres, le passif à 590 livres.
1720 (28. 10.br), Not. Hoffmann (Christophe Michel, 19 Not 10) n° 418
Inventarium über Weÿl. Frauen Annæ Salomeæ von Hipßheim gebohrner Schwenckin auch Weÿl. Hn Paulus von Hipßheim gewesten Huthmachers und burgers alhier nachgelaßener Wittib, beeder nunmehro seel. Verlaßenschafft, auffgerichtet Anno 1720. – nach ihrem am 14. Decembris jüngsthin genommenen tödlichen hintritt hie zeitlichen verlaßen, Wie solche Verlaßenschafft auf freundliches ansuchen erfordern und begehren deroselben nechstfolgenden blatt benahmbster Kinder und Erben (…) So beschehen Straßb. den 28. 10.br A° 1720.
Die verstorbene seel. hat ab intestato Zu Erben verlaßen, wie folgt. 1. Fr. Mariam Magdalenam gebohrne v. Hipßheim Joh: Conrad Fischbach des jünger Hoßenstrickers u. burgers alhier Ehefrau mit beÿstand desselben 2. Joh: Jacob v. Hipßheim den in der frembde sich befindender lediger Schönferber, in deßen Nahmen u. bettener maßen in gegensein war Mstr. Frantz Waltz der Huthmacher u. burger alhier, 3. Weÿl. Fr. Mariæ Salomeæ gebohrner v. Hipßheim mit Mstr. Lorentz Rißen jun. dem Huthmacher burgern alhier ehel. erzielter 2. Kinder u. dißorts Enckele nahmens Lorentz u. Mariam Dorotheam so bevögtigt mit Mstr. Johann Frid. Dürbach dem Kupferschmid u. burgern allhier welcher neben d. Enckeln Vatter dem geschäfft beÿgewohnt, So dann 4. 5. 6. & 7. Frantz Paul, Annam Margaretham, Joh: Daniel u. Mariam Dorotheam dero geschworner Vogt Mstr Gottfried v. Hipßheim d. hutmacher u. burger allhier so gegenwärtig war. Alle 7. Zu gleichen portionen und Antheilern hinterlaßenen Kind. u. Erben
In einer alhier Zu Straßb. ane der großen Stadelgaß gelegenen in dießen Verl. gehörigen deßwegen hernach fol: beschriebener behaußung folgender maßen befunden.
Hültzenwercks. Cammer A. Obern Gang, Im undern Haußöhren, Wohnstub, Kuchen, Stub Cammer
In Gottes Nahmen ! Zuwißen daß auff (-) den (-) Xbris 1720. zwischen (-) und (-) Uhren in einer alhier zu Straßburg ane der großen Stadelgaß gelegenen hernach Vermelter Fr. Codicillantin eÿgenthümblich Zuständigen behaußung dero vordern wohnstuben die fenster auff gedachte gaß außsehend fraw Anna Salome gebohrne Schwendin weÿl. Hn Johann Paulus v. Hipsßheim gewesten Huthmachers u. burgers alhier seel. nachgelaßene Wittib, Kranckh (…)
Sa. haußraths 88, Sa. Leehren Faß 9, Sa. Werckzeug Zum hutmacher handwerck gehörig 7, Sa. Silbers 4, Sa. Goldener Ringe 10
(f° 9) Eÿgenthumb ane einer behaußung. Ein Behaußung in der großen Stadelgaß gelegen (…)
Sa. Eigenthumbs ane einer behausung 138, Sa. Schulden 55, Summa summarum 314 lb – Passiva 590 lb, Conferendo 216 lb – Conclusio finalis Inventarÿ 196 lb
Paul von Hipsheim vend la maison 400 livres à Anne Marie Wagner, femme de Jean Haubenstricker
1694 (29.3.), Chambre des Contrats, vol. 566 f° 242-v
Johann Paulus Von Hipßen der Huethmacher
in gegensein Annæ Mariæ geb. wagnerin Johannis Haubenstrickers des Pastetenbecks haußfrawen
Hauß, Hoffstatt, Höfflein sambt allen deren Gebaüen, Rechten und Zugehördten allhier in der Uttengaßen, einseit neben Hn Ernst Friderich Mollingern Müntzverwalthern anderseit neben Hanß Georg (-) dem Kachler, hinden auff die Sachßische behaußung stoßend gelegen, welche behaußung zu vorher um 200 lb dem waißenhauß allhier verhafftet – umb 200 pfund
[in margine :] (…) in gegensein Paul Römers des Nagelschmids alß ietzigen besitzers der hirin gemelten in der Uttengaß gelegenen behaußung (quittung) den 30. mart. 1696
Fils d’aubergiste, le fabricant de pâtés Jean Haubenstricker épouse en 1684 Anne Marie Wagner, fille d’huilier
Mariage, Saint-Pierre-le-Vieux (luth. f° 197-v, n° 15)
1684. Majus. den 29. Joh. Haubenstricker der ledige pastetenbeck H. Joh Jacob Haubenstrickers eines Ehrsamen Großen Raths alten Beÿsitzers v. gastgebers alhier ehel. sohn, J. Anna Maria H. Georg Wagners burgers v Ohlmans alhie ehe. Tochter (i 199)
Proclamation, Saint-Nicolas (luth. 26-v, n° 12) 1684. Johannes Haubenstricker der ledige Pastetenbeck Hrn Hans Jacob Haubenstrickers des würths zum Ochsen alhier vnd E. E. Großen Raths alten Beÿsitzers ehelicher Sohn, vnd Jungfr. Anna Maria Herrn Georg Wagners deß Burgers und Olmans alhier eheliche Tochter. Copul. Zum Alten St. Peter Montag 19/29 Maÿ
Malade depuis huit ans et paralysé des membres, Jean Haubenstricker demande aux Conseillers et aux Vingt-et-Un un subside pour subvenir à ses besoins et à ceux de sa famille. La tribu des boulangers à laquelle ressortissent les fabricants de pâtés apportait jusqu’à présent son aide qui devient une charge trop pesante. Le consul propose une recommandation à l’aumône Saint-Marc pour passer outre au règlement qui interdit de subvenir entièrement aux besoins d’une famille
1701, Conseillers et XXI (1 R 184)
Johann Haubenstricker Burger vnd Krempp vmb Eine Wochentliche Beÿsteur. 268.
(p. 268) Sambstagß den 1.ten 8.bris 1701 – G. Ersch. Johann Haubenstricker Burger Vnd Krempp allhier, Berichtet Ew. Gnad. daß Er schon vber 8 Jahr Kranck und Contract und Nichts Verdienen Kann Vmb sein Weib vndt Kinder Zu ernehren, b. deßwegen Ew. Gnd. vmb Eine Wochentliche beÿsteür. herr Advocat Geyger Gantze famillie Zu St. Marx Zu ernehren währe wieder die Allmoßen ordnung vnd ahne den Spithal Zu Weißen, währe auch Nicht Ublich, Er Vermeine daß der Implorant ahne d. Spithal Vnd St. Marx Conjunctim Könte Verwießen Werden.
Herr Stätt Meister Von Wickerßheim, Er Vermeine daß der Implorant ahne St. Marx allein Könte Remittirt Werden.
Herr Am Meister Friderici berichtet daß bede Ehe Leüth bißhero Von E: E: Zunft der Becken, da der Implorant als Ein Pastettenbecken Incorporirt, Viel guthes genoßen, allein wolte es Ihnen Jetzo Nicht Mehr Continuirt Werden, weilen es Ihr allzuschwehr fället, Sie währen Vbrigens Erbarmens würdig, Vnd die Fr. eine ehrliche Fraw, Vndt Muße die Kinder liegen, Unvermögens in dem bittel herumb Lauffen.
Erk. Auff beschehenen bericht herrn Am Meisters Friderici Könd der Implorant Cum Recommandtione ane St. Marx Verwießen.
Herr XV. Scherer, Herr Schäffer
Anne Marie Wagner meurt en novembre 1701 dans une maison sise au Fossé des Tanneurs en délaissant deux filles. La succession est décrite sous une seule masse pour éviter des frais inutiles, le veuf étant fort pauvre et ne pouvant subsister sans l’aide de l’hôpital. L’actif de la succession s’élève à 64 livres, le passif à 60 livres.
1701 (15. Xbris), Not. Rohr (Daniel, 46 Not 7) n° 292, 293
Inventarium und beschreibung aller derjenigen Haab vnd Nahrung, so weÿlandt die Ehren: und tugendsahme Fraw Anna Maria Haubenstrickerin gebohrne Wagnerin, des Ehrenachtbaren Johann Haubenstrickers vormahls geweßenen Pastetenbecks vnd burgers allhier zu Straßburg geweßene haußfrau nunmehr seel. nach ihrem den 26.t 9.bris dießes Zu endt eÿlenden 1701.sten Jahrs aus dießer welt genommenen tödlichen ableiben Zeitlichen verlaßen, Welche verlaßenschafft auf freundliches ansuchen erfordern und begehren des Ehren vnd vorgeachten Meister hanß Geörg Redtsloben hohltreger vnd burgers allhier als geordnet und geschworenen Vogts Jgfr Mariæ Ester vnd Annæ Mariæ der abgeleibten fraw seel. mit vorermeltem Ihrem hinterbliebenen Wittiber ehelich erzeugter beeder Kinder vnd ab intestato nachgelaßener Erben – So beschehen in der Königlichen freÿen Statt Straßburg in fernerem gegensein herrn Johann Ludwig Küchel des Kieffers vnd burgers allhier, Donnerstags den 15. Xbris A° 1701.
Pro nota. Es ist Zwahr Zwischen hievorbenanten nun getrennten beeden Eheleüthen Zur Zeit Ihrer angetrettenen Ehe eine formbliche Eheberedung auffgerichtet und darinnen von dem Wittiber der Verstorbenenn Fraw seel. ein gewißes stuck geldt Zur Morgengaab verschrieben (…), alldieweilen aber Er der Wittiber leiter in solchen Elendenstand v. aüßerste armuth gerathen, das er auch ohne Verpflegung gn. hoher Obrigkeit in allhießigem Mehren Hospital sich Künfftighien Zu erhalten ohnmöglich Vermag, also beÿ so gestalter Sachen von demselbigen nichts Zubekommen noch Zuhoffen, als hat mann auch ohnnöthig Zusein erachtet, die Eheberedung hier zu inseriren, noch viel weniger einige ersuchung der Kinder Mütterlichen guths Vorzunehmen, sondern Zu erspahrung weitläuffligkeit vnd unkosten ist Ihnen den Kindern mit verwilligung des Wittiber die gesambt Verheurathet mit Activé et passivé abgetretten, vnd eingelüffert worden, so hier Zur nachricht annectirt würdt.
In einer allhier Zu Straßburg ane dem Gerbergraben gelegenen hannß David Müller dem Rothgerber und burgern allhier eÿgenthümblich gehörigen behaußung, volgender maßen befunden worden.
Series rubricarum hujus Inventarÿ, Sa. haußraths 44, Sa. Silber Geschirr und Geschmeids 9, Sa. Guldenen Ring 9, Sa. Schuldt 2, Summa summarum 64 – Schulden 60, Nach deren Abzug, Conclusio finalis Inventarÿ 3 lb 19 ß
N° 293. Verkauff und Looß Registerlein – Actum den 29.ten et 30. Xbris Anno 1701.
Jean Georges Reslob, tuteur de Marie Esther Haubenstricker, fait admettre sa pupille infirme à l’orphelinat comme sa mère est morte et que son père est pensionnaire à l’hôpital
1702, Conseillers et XXI (1 R 185)
Johann Haubenstrickers töchterlein pt° receptionis ins Waÿßenhauß. 291.
(p. 291) Sambstags den 23.sten 7.bris 1702. – Künast Ersch. Johann Haubenstrickers des bürgers vndt Krämben allhier töchterleins Maria Ester Vogt Johann Geörg Retzlob weÿllen der Vatter in dem Hospital die Mutter gestorben, Keine Mittlen Vorhandten, Vndt das Kindt wegen leibsblödigkeit nichts Verdienen Kan, als bittet der Vogt seine Curandin in alließiges Weißenhauß gnädig Zu recipiren.
H. Syndicus Regius meldet, Es wären alle angebrachte Umbständt dießem Kind favorable Vndt Verneme Er weÿllen daß weißenhauß eigentlich Vor arme Elteren loße burgers Kindter Vnter welcher Zahl dießes imploranten Curandum auch ist gestifftet, daß Es ohne anstandt könte recipirt wrrdten.
Erk. wirdt der jmplorante Vogt mit seinem begehren denen Hh. Pflegeren des weißenhaußes recommendirt.
H. XV. Dietrich,vndt H. Rathh. Gangolff.
Anne Marie Wagner, femme de Jean Haubenstricker, loue la maison au fabricant de pâtés Gaspard Seyfried
1695 (18.7.), Chambre des Contrats, vol. 567 f° 452-v
Anna Maria geb. Wagnerin Johannis Haubenstrickers, deß Pastetenbecks haußfrau mit beÿstand Friderich Wagers deß Kieffers Ihres Vogts
in gegensein Caspar Seÿfrid deß Pastetenbecks
verlühen, Ihro in d. Uttengaß gelegene behaußung, mit allen deren Gebäuen, außerhalb deß Kleinen stocks den die Verleiherin würcklich bewohnt, auff ein Jahr lang von Joh:is Baptistæ dieß jahrs anzurechnen, umb 14 pfund
Anne Marie Wagner, femme de Jean Haubenstricker pensionnaire à l’hôpital, vend la maison 400 livres au cloutier Paul Rœmer
1695 (24. 8.br), Chambre des Contrats, vol. 567 f° 624-v
Anna Maria geb. Wagnerin Johann Haubenstrickers deß Pfründers im Spitahl Haußfrau, mit beÿstand Friderich Wagners, deß Küffers Ihres bruders und Vogts
in gegensein Paul Römers, deß Nagelschmids, mit beÿstand Christoph Hildenbrands deß Feÿelhauers seines Gegen Schwehers
hauß, hoffstatt, höfflein sambt allen deren gebaüen, rechten und Zugehördt. allhier in der Uttengaßen, einseit neben Hn. Ernst Friedrich Mollingern, dießer Statt Müntz Verwalthern, anderseit neben H. Paul Heÿer dem Kachlern hind. auff die Sachßische Behaußung stoßend gelegen, welche Behaußung umb 200 lb Capital (und umb 200 lb Capital verhafftet, welche) die Kaüffer übernehmen, und Kein theil dem andern nichts herauß geb. solle
Fils de cloutier, Paul Rœmer épouse en 1673 Susanne Rœmer, fille de cordonnier : contrat de mariage, célébration
1673 (28. Aug.), Chambre des Contrats, vol. 541 f° 481-v
(Eheberedung) Paulus Römer der Nagelschmidt Burger zu Straßburg alß hochzeiter mit beÿstand Paul Wagners deß haffenmachers seines Curatoris an einem
So dann Jungfr. Susanna weÿl. Alexander Römers gewesenen Schuhmachers Und Burgers alhie nunmehr seel. nachgelaßene Eheliche dochter alß hochzeiterin mit assistentz Caspar Römers deß Schuhmachers Ihres Vogts und Hannß Georg Kreßen deß Schneiders Ihrer Mutter Bruders beeder Burger zu Straßburg am andern theil
Mariage, cathédrale (luth. f° 170)
1673. Dom: XV. post Trinit: Zum 2.mahl Paulus Römer der nagelschmid Weiland Johann Römers geweßenen Nagelschmdts u. Burgers alhier nachgelaß: ehel: Sohn Jfr. Susanna Weiland Hr. Alexander Römers gewesenen Schumachers b. Burgers alhier nachgelaß: ehel: T. Dienstags den 18.t 7.br: Münster (i 172)
Paul Rœmer hypothèque la maison au profit du tailleur de limes Christophe Hildenbrand
1696 (30.3.), Chambre des Contrats, vol. 568 f° 196
Paulus Römer, der Nagelschmid
in gegensein H. Christoph Hildenbrand deß Feÿelhauers, schuldig seÿe 150 pfund
unterpfand, hauß, hoffstatt, höfflein mit allen deren Gebaüen, Recht. und zugehördt. allhier in d. Uttengaß, einseit neben Andres Gimpel dem Schneider anderseit neben Paul Heÿer, den Kachler, hind. auff die Sachßische behaußung stoßend gelegen
So dann hauß und hoffstatt, sambt allen deren Gebaüen, recht. und zugehörd. allhier in d. Kalbsgaß so einseit ein Eck am Tränckgäßel, anderseit neben der Färbereÿ Zur blauen hand, hind. auff Mathiß Ensel den Schuhmacher stoßend geleg.
Paul Rœmer meurt en 1713 dans sa maison rue des Veaux en délaissant trois enfants. L’actif de la succession s’élève à 173 livres, le passif à 137 livres.
1713 (30.8.), Not. Oesinger (Jean Adam, 39 Not 18) f° 466
Inventarium und Beschreibung aller derjenigen Haab Nahrung und Güthere, Liegender und fahrender, Veränderter und unveränderter, Keinerleÿ davon außgenommen, so weÿl. der Ehrenhaffte und Achtbahre Mstr. Paulus Römer, der geweßene Nagelschmid v. b. alhier nach seinem den 1.ten Julÿ dieses instehenden 1713.t Jahrs aus dießer welt genommenen seel. hientritt zeitlich. verlaßen, welche Verlaßenschafft auf Ansuchen erfordern und begehren des verstorbenen seel. hinterlassenen dreÿen Kindern und ab intestato rechtsmäßigen Erben, Inventirt und ersucht, dh. die Ehren und tugendsame fr. Susannam geb. Römerin, die dießorts Wittib, beÿständlich deß Ehrsamen vnd bescheidenen Mstr. Joh: Michael Scheurings, Nagelschmidts v. b. alhier Ihres geschwornenen Curatoris (…) Actum in der Königl. Statt Straßb. Mittwochs den 30.ten Aug. Anno 1713.
Der Verstorbene seel. hat ab intestato zu Erben verlaßen wie folgt 1. den Ehrsamen und bescheidenen Meister Joh: Römern Nagelschmidt und burgern alhier, so in persohn zugegen geweßen, 2. die Ehren und tugendbegabte fraw Mariam Magdalenam gebohrene Römerin deß Wohl Ehrenthafften vnd Vorachtbahren H. Abraham Metzgers wohlbestellten Ammeister Knechts und burgers alhier Haußfr, welche mit assistentz erstged. Ihres Ehwürths beÿ dem geschäfft erschienen, 3. die Ehren und Tugendsame Jgfr. Mariam Salomeam Römerin deren geschworner Vogt ist der Ehrsame und bescheidene Mstr. Johannes Römer Schuhmacher und burger alhier so beneben erstewehner seiner vogts tochter die Inventation beÿgewohnet hatt, Alle dreÿ deß Verstorbenen seel. mit eingangs ernannter Wüttib ehel. erzeugte und hinderlaßene Kind. und Zugleich portionen vnd Stammtheilen Erben
In einer in der statt Straßburg ahne der Kalbsgaßen gelegenen In dieße Verlaßenschafft gehörigen und hernach beschriebener behausung befund. worden wie folgt
Ane Höltzen und Schreinerwerck. Auff der bühn, In der Cammer A, Vor dießer cammer, In der Wohnstub, In der Kuchen, In der Cammer B
Eigenthumb ahne einer behaußung. Hauß, hoffstatt sampt allen deßen gebauen, begriffen, weithen, rechten, Zugehördten Und gerechtigkeit gelegen alhier in der Statt Straßb. ahne der Kalbßgaßen einseit ist ein Eck am trenckgäßel, anderseit neben H. David Schneider, dem ferber, hinden auff frid. Kochen dem Spielmann stoßend, davon gibt man Jährl. 2. lb 12 ß 6 d zinß fr. Fr. Dorothea, weÿl. H. Frantz Rudolph Mollingers geweßenen Stattlohners seel. Wittib auff Michaelis ist in hauptguth abzulößen mit 50 lb. It. 5 lb d Zinß H. Joh: frid. Rebhan auff den 1.t febr. in Cap. ablößig mit 100 lb. Ferner 11 lb zinß weÿl. H. Joh: frid. Spielmanns deß geweßenen dreÿzehn hinterlaßenen Erben Jährl. auff Joh: Bapt. loßig in hauptgut mit 275 lb, Summa der beschwerd. 425.Sonsten freÿ ledig und eig. und über dieße beschwerd. dh. der Statt straßb. geschworne werckleuthe crafft Ihrer Zu dießme, Concept geliefferten Abschatzung sub dato d. 21. Aug. Anno 1713. æstimirt per 125. lb. Dar. ist vorh. i. teutsch perg. Kbr. m. d. St. St. C.C. Stub secret Ins. verwahrt datirt den 8. 8.bris 1668 notirt m. altem N° 1 und dießmahlen wieder dabeÿ gelaß.
Series Rubricarum hujus Inventarÿ, Sa. hausraths 39 lb, Sa. Werckzeugs und gemachter arbeith zum Nagelschmid handwerck gehörig 7 lb, Sa. Silber und goldenen rings 18 ß, Sa. Eigenthums ahne einer behaußung, Summa summarum 173 lb – Sa. der Schulden 137 lb, Nach solchem abzug 36 lb
It. so hat H. Abraham hanß metzger in obenangezogener behaußung 10. Jahr lang gewohnt und darinnen eine stub, Stub Cammer Kuchen, sampt noch einer Cammer in gehabt dargeg. aber solche Gemach in seinen Costen gebawen, Weßwegen derselbe 175 fl. baw costen gefordet dannenhero zwischen den Parthen verglichen daß die baw costen geg. den Zinnßen auff gehen und kein theil an des anders etwas zu prætendiren befragt seÿ solle
– Abschatzung den 21.t Augusti 1713. Weylandt des Ehren hafften und bescheidenen Herren Paulus Röhmers des Nagelschmidts seel. hinderlaßene Fraw Wittib und Erben, ist eine behaußung alhier in der Statt Straßburg in der Kalbßgaßen Gelegen, ein Eck am Tränckgäßl. Ander seith. neben Hn. dauidt Schneider dem Ferber hinden auf Friederich Kochen den spielmann stoßendt, Welche behaußung Keller loch, Werckstatt sampt aller Ihrer recht: und gerechtigkeit sich in der besichtigung durch der Statt Straßburg Geschwohrne Weckhleüthe befunden, undt Jetzigem Preiß nach geschlagen Wirdt Vor und umb Ein Taußend und ein Hundert Gulden. bezeichnus durch der Statt Straßburg geschwohrene werckhleüthe. [unterzeichnet] Jacob Staudacher werck Meister des Maurhoffs
Paul Rœmer et Susanne Rœmer vendent la maison 500 livres à leur fils cloutier Jean Rœmer
1703 (7.7.), Chambre des Contrats, vol. 576 f° 292-v
(333) Paul Römer nagelschmid u. Susanna geb. Römerin
in gegensein Joh: Römers auch nagelschmids deß. sohns
Hauß, Hoffstatt, Höfflein sambt allen deren gebäuen, rechten u. zugehörden allhier in der utten gaßen, einseit neben andres Gimpel schneidern anderseit neben Paul Geÿer hafnern hinten auf Jacques Maury wachsbohrer stoßend gelegen – um 200, 75 und 150 pfund verhafftet, geschehen um) 75 pfund
Jean Rœmer épouse en 1696 Anne Hildenbrand, fille du tailleur de limes Christophe Hildenbrand : contrat de mariage, célébration
1695 (14.8.), Not. Kitsch (Jean, 1 AH 5892)
(Eheberedung) zwischen dem Ehrsamen undt bescheidenen Johannes Römern, dem ledigen Nagelschmidt, deß Ehrenhafften Meister Paul Römers ehelichem Sohn, alß hochzeitern an einem,
So dann der Ehren undt tugendsamen Jungfrawen Annæ, des Ehrengeachten Herrn Christoph Hillenbrandts feigelhawers, burgers Zu gerührten Straßburg eheleiblichen tochter der Jungfrauen Hochzeiterin am andern theil
Welches beschehen inn Straßburg Sontags den 14. Augusti Anno 1695 [unterzeichnet] Johannes Römer als hoch Zeider, Anna Hiller brandtin Als Hoch Zeiterin, Christoph hiellbrandt als der hoch Zeilth vatter
Protocollum tertium, f° 105-v
Mariage, Temple-Neuf (luth. f° 63, n° 355)
1696. Mittw. d. 14. Mart. wird. nach zweÿmahliger außruffungen eingesegnet, Johannes Römer der ledige Nagelschmidt v. burger alhier, Pauli Römers des Nagelschm. v. B. alhier ehel. sohn V. Anna, Christoph Hild.brandts des B. allhier v. feigelhawers ehel. Tochter [unterzeichnet] Johannes Römer als hochzeiter, Anna Hillenbrandtin als hochzeiterin (i 62)
Les nouveaux mariés font dresser l’inventaire de leurs apports. Ceux du mari qui comprennent deux maisons s’élèvent à 89 livres, ceux de la femme à 242 livres.
1696 (14.5.), Not. Kitsch (Jean, 1 AH 6314) n° 485
Inventarium undt beschreibung aller d. Jenig. Haab undt Nahrung so d. Ehrenhaffte Johannes Römer Nagelschmidt undt die Ehren: und tug.dsahme Anna Hillenbrandtin, beede Eheleuth burgere alhier zu Straßburg einand. in Ihren Ehestand Zubring. so umb d. ursach. beschrieb. wirdt, weilen inn d. Zwisch. beed. gedacht. Ehe Persohnen mit einand. auffgerichtet. Eheberedung außtrucklich verseh. d. eines Jed. inn die Ehe zugebrachte Vermög. einen Jed. theil undt seinen Erben ein freÿ eÿg. Ohnverändt. Vermögen seÿn undt künfftig. Zeit (…) – Beschehen in Straßb. inn beÿein d. Ehrengeacht. H. Paul Römers Nagelschmidts undt H. Christoph Hillenbrandts feigelhawers, beed. burg. alhie, als d. beed.Zeug. Eheleuth geehrten Vättern Montags d. 14. Maÿ anno 1696.
Volgt nun hierauff die Inventation und beschreibung der Verlaßenschafft für und ahne sich selbsten, undt anfänglich des Ehemanns in die Ehe zugebrachte ohnverändert Vermögen, Sa. haußraths 55, Sa. Werckzeug Zum nagelschmidt handtwerck gehörig 26, Sa. Silbers 7, Summa summarum 89 lb
Auff solches wird auch der frawen Zugebrachte ohnverändert eÿgenthümblich guth beschrieben, Sa. haußraths 163, Sa. Silbers u. geschmeids 9, Sa. frücht 3, Sa. Guldener Ring 7, Sa. baarschafft 58, Summa summarum 242 lb
Anne Hildenbrand meurt en 1703 en délaissant trois enfants. La maison est portée à son prix d’achat, soit 500 livres. La masse propre au veuf s’élève à 3 livres, celle des héritiers à 205 livres. L’actif de la communauté s’élève à 99 livres, le passif à 299 livres
1703 (19. Xbris), Not. Schatz (Jean Frédéric, 51 Not 4) [partie supérieure détruite par l’humidité]
Inventarium über [Annæ Rö]merin gebohr[ne Hildenbrand]in deß Ehren und Vorgeachten Herrn Johann Römers deß Nagelschmidts und burgers allhier zu Straßburg gewesener Eheliche haußfraw nunmehr seelige, nach ihrem den 23.ten Septembr. dießen Lauffenden 1703.ten Jahrs auß dieser zeitlichkeit beschehenen tödtlichen hintritt Zeitlichen hinterlaßen, welche auf ansuchen erfordern und begehren deß Ehrsahmen und bescheidnen Meister Johann Jacob Schweickhardts deß Kachlers auch burgers Zu gedachten Straßburg alß geordnet und geschworenen Vogts der seelig verstorbenen mit dem hinterbliebenem wittibern ehelich erziehlten dreÿer Kinder nach dem eingang dießes Inventarÿ benambßet (…) – Geschehen in beÿsein herrn Christoph Hildebrandts deß feÿlhawers burgers allhier der seeligen frawen eheleiblichen Vatters nun obged. Kindern Vogts und wittibers, Straßburg den 19.te,Decembris 1703.
[die seelig verstorbene hat ab intestato Zu Erben v.laßen alß volgt] 1. Hanß [Christoph] so 7. Jahr alt, 2. Hanß Daniel, so 5. Jahr alt und 3. Susannam so 2 ½ Jahr alt, alle dreÿ der seelig verstorbenen frawen mit dem hinterbliebenen wittiber ehelich erziehlte Kinder und ab intestato Erben Zu dreÿen gleichlingen portionen und Erbs Antheÿlen, in deren Nahmen eingangs gemeldter meister Schweickhatdt, der geschworene Vogt dieser Inventation von anfang biß zu endt beÿgewohnt hat.
Eÿgenthumb ane einer behaußung. Item hauß, hoffstatt, höfflein sambt allen deren gebäuwen, rechten und zugehörden gelegen allhier in der Statt Straßburg in d. uttengaß 1.s. andreß Gümpel dem Schneider, 2. s. neben herrn Paul Heÿgern dem hafnern, hinten auf Jacques Maury Wachßpoßierer und vornen vf die Uttengaß stoßend, davon gehen Jährlich 10. lb d Jährlichen Zinnß dem hiesig. weisenhauß, vf Ann: Mariæ fällig lößig in haubtgutt mit 200. lb d, Item 3. lb 15. ß d Jungfr Margarethæ Preußelin, Mstr Jacob Carl Preußels deß Schneiders v. b. allh. ehelichen tochter, auch vf ged. termin fällig lößig in haubtguth mit 75. lb d. So dann 6. lb d Jährl. Zinßes vf ged. termin H. Christoph Hildebrand dem feÿlhawern v. b. allhier ablößig mit 150. lb. d Sonsten freÿ ledig und eÿg und wie sie d. Wittiber den 7.ten Julÿ 1703. an sich erkauft angeschlagen umb 500 lb. Abgezogen obige beschwerden restiret hier außzuwerffen 75. lb.
Hierüber bes. i. t. p. Kbr. mit j. d. St. St. anhang. inns. sub 7. Julÿ 1703. notirt mit N° 1, Ferner j. t. p. Kbr. m. dito de a° 1695. 28. Octobr. m. N° 1 Paul Römers deß nagelschmidts, So dann j. dito m. dito Annæ Mariæ Wagnerin Johann Haubenstrickers deß Pastetenbeckens haußfr. 29. Martÿ 1694. mit Lit. A. signirt
Summa hujus Inventarÿ. Wittiber, 1. haußrath 3, 2. Werckzeug 12, 3. Silber und geschmeid 1, 4. Ergäntzung 24, Summa summarum 41 lb – Passiva 45, Rest 3 lb
d. Erben gutt, 1. haußrathß 43, 2. Silbergeschmeid 4, 3. gold. Ring 1, 4. Ergäntzung 112, 5. Activorum 45, Summa summarum 205 lb
Theilbar, 1. haußrath 21, 2. Gld. Ring 2, 3. behaußung rest 75, Summa summarum 99 – Passivorum 299 lb, übertreffen 200 lb
Jean Rœmer se remarie avec Anne Catherine Neustœckel, fille de boulanger
Mariage, Temple-Neuf (luth. f° 144, n° 679)
1704. Mittw. d. 16. April. wurden nach ord.tl außruff. copulirt Johannes Römer d. Nagelschmidt v. Burger allhier v. J. Anna Catharina Johann Jacob Newstöckels des Weißbecken v. Burg. allhier ehel. Tochter [unterzeichnet] Johannes Römer als hochzeiter, Anna Catharina Neüstocken als hochzeiderin (i 143)
Les nouveaux mariés font dresser l’inventaire de leurs apports dans la maison du mari. Ceux du mari qui comprennent deux maisons s’élèvent à 62 livres, ceux de la femme à 109 livres.
1705 (17.3.), Not. Schatz (Jean Frédéric, 51 Not 6)
Inventarium und beschreibung aller der Jenigen haab nahrung und güther, liegender und vahrendter, so der Ehren und vorgeachte Herr Johann Römer, der nagelschmid und burger allhier, und die viel Ehren und Tugendsahme fraw Anna Catharina gebohrne Newstöcklerin deßen zweÿte eheliche haußfrau, einander vor ohnverändert in den Ehestand gebracht, welche crafft der Zwischen dießen beeden Eheleuthen uffgerichteten Eheberedung ohnverändert vorbehalten sein und verbleiben sollen, dergestalten daß solche mit der Zeit widerumb in natura ersetzt (…). Actum in fernerem beÿwesen herrn Johann Friderich Hucken, deß biersieders Zum Schwehrten der frawen annoch ohnentledigten vogts und herrn Johann Jacob Schweickarts deß Kachlers deß Ehemanns Kinder vogten, Straßburg den 17.ten Martÿ 1705.
In einer in der Statt Straßburg und uttengaß deß Ehemanns ohnverändert behaußung befunden worden.
Holtz: und Schreinwerckh, In der Cammer A, In der Cammer B, vor dießer Cammer, In der Wohnstuben, In der Soldaten Cammer, In d. Küchen, Im Hoff, Im Keller
Eÿgenthumb ane einer behaußung. (M.) It. hauß, hoffstatt, höfflein sambt allen deren gebäuwen, rechten und Zugehörd. gelegen allhier in der Statt Straßburg in d. uttengaß 1.s. andreß Gümpel dem Schneider, 2. s. neben herrn Paul Heÿgern dem hafnern und E. E. Kl. Rathß alten beÿsitzern, hinden auf Jacques Maury den Wachßpoßierer und vornen vf die Uttengaß stoßend, davon gehen Jährlich 10. lb d Jährlichen Zinnß dem allhießigen waÿsenhauß, auff Annunciationis fällig, lößig in haubtgutt mit 200. lb d, Item 3. lb 15. ß d Jungfr Margarethæ Preußelin, meister Jacob Carl Preußel deß Schneiders und burgers allhier ehelicher tochter auch auff gedachtem Termin fällig lößig in haubtguth mit 75. lb d. So dann 6. lb d Jährlichen Zinßes vff gedachtem Termin Herrn Christoph Hildebranden dem feÿlhawern und burgern allhier ablößig mit 150. lb. d. Sonsten freÿ ledig und eÿgen und wie sie der Mann in seiner erstern Ehe den 7.ten Julÿ 1703. an sich erkaufft angeschlagen umb 500 lb. obige beschwerden davon abgezogen restiret hier annoch an dem Kauffschilling 75. lb. Daran participiren deß Ehemanns dreÿen Kindern ersterer Ehe vor mütterlich Gut eine tertz und die überige tertz der Ehemann nemblichen 50 lb
Hierüber besagt i. t. p. Kbr. m. d. St. St. anh. C. C. inns. vw. sub dato 7. Julÿ 1703. notirt mit N° 1, Ferner j. t. p. Kbr. m. dito de a° 1695. 28. Octobr. m. N° 1. So dann So dann j. dito m. dito sub dato. 29. Martÿ 1694. m. L. A. signirt
(F.) So dann ist dem Mann gelüffert worden 100 thaler welche ane einer Mehrern Summ auff dem beckenhauß am Speÿer thor gestanden und der frawen vatter herr hannß Jacob Neuwtöckel der weißbeck und burger allhier in der zwischen beeden Eheleuthen vffgerichteten Eheberedung §° 6.to Ihro mit zugegen versprochen gehabt
Der Kinder Pfetter, Göttel und Geschenck, hannß Christophen gehörig, hannß Danielen gehörig, Susannä
Summa hujus Inventarÿ. des Manns ohnverändert, 1. haußrath 161, 2. Werckzeug 40, 3. Silber 14, 4. behaußung 50, Summa summarum 267 lb – Passiva 329 lb, übertreffen die vorstehende Passiv Schulden deß Ehemanns zugebrachte Nahrung umb 62 lb
der frawen ohnv.änderten. haußrathß 10, 2. Silber 17 ß, 3. gold. Ring 7, 4. baarschafft 78, Summa summarum 109 lb
Summa Haussteuren 14 lb
Jean Rœmer et Anne Catherine Neustœckel vendent la maison 700 livres au maçon Philippe Jacques Zell et à sa femme Marie Claire Keller
1724 (17.7.), Chambre des Contrats, vol. 598 n° 335-v
Johannes Römer der Nagelschmidt und Anna Catharina geb. Neustöckelin, Ferner sein Römer in erster ehe mit weÿl. Fr: Anna geb. Hildebandin noch lebende zweÿ Kinder Johann Christoph Römer der Feÿlhauer und Jfr Susanna Römerin mit assistentz ihres bruders so beede majorennes und ohnbevögtigt zu seÿn versicherten
in gegensein Philipp Jacob Zell des Maurers und Steinhauers und Mariæ Claræ geb. Kellerin
Eine Behausung bestehend in Vorder: Nebens: und hindergebäu hoff und hoffstatt mit allen derselben gebäuden, begriffen, weithen, zugehörden und Rechten in der Uttengaß, einseit neben Andreas gimpel dem Schneider anderseit neben Paul heÿer dem haffner hinten auff Jacques Maury modo deßen tochtermann Jean Chapuis beede Liechtermacher – als ein währender Ehe erkaufftes Guth nach deme die Kinder Vogt auff das theilbare verzug gethan angegebene 577 pfund ausmachende onera und 122 pfund
Philippe Jacques Zell et Marie Claire Keller revendent la maison 800 livres au fabricant de chandelles Claude François Vernier et à sa femme Marie Eve Reinboldt
1726 (2.5.), Chambre des Contrats, vol. 600 n° 202-v
Philipp Jacob Zell der Maurer und Steinhauer und Maria Clara geb. Kellerin
in gegensein Claude François Vernier des Liechtermachers und burgers allhier und Mariæ Evæ geb. Reinboldtin
Eine Behausung bestehend in vorder: nebens: und hinderhauß hoff und hoffstatt mit allen derselben gebäuden, begriffen, weithen, zugehörden, Rechten und gerechtigkeiten ahne der Uttengaß einseit neben Andreas Gimpel dem Schneider anderseit neben Paul Geÿer dem haffner hinten auff Jean Chapuis den Liechtermacher – um die angegebene 577 pfund hauptsummen und 222 pfund
Originaire de « Lory » près de Porrentruy, Claude François Vernier épouse en 1723 Marie Eve Reinbold native de Steinbach dans le diocèse de Strasbourg : contrat de mariage non conservé, célébration
1723, Not. Pantrion (Jacques Christophe, répert. 65 Not 45)
H Claudÿ Francisci Vernier liechtermach: und Jgfr Mariæ Evæ Reinboldin
Mariage, Saint-Laurent (cath. f° 65-v)
die 28 junii 1723 (…) sacro matrimonii vinculo coniuncti claudius Franciscus vernier oriundus del(-) diœcesis Basiliensis et Maria Eva Reinboldin oriunda ex Steinbach huius diœcesis – signum sponsi x, signum sponsæ x (i 65)
Tous deux deviennent bourgeois l’année suivante en s’inscrivant à la tribu de la Mauresse
1724, 3° Livre de bourgeoisie p. 1344
Claude François Vernier d. liechtenmacher Von Lory beÿ bruntrudt geb. undt seine ehefr. Maria Eva Reinboltin von Steinbach erhalten das burgerrecht umb die tertz d. Neuen burger schilling, wollen beÿ E. E. Zunfft d. Möhren dienen. Jur. et prom. d. 18.ten Martÿ 1724.
Claude François Vernier se plaint à la tribu des Maçons que Philippe Jacques Zell a mal exécuté les travaux promis lors de la vente (voir plus haut). Il achète en 1730 la maison contiguë à la sienne (a-1).
Claude François Vernier meurt en 1734 en délaissant deux enfants. Une note signale que les conjoints n’ont pas fait dresser d’inventaire de leurs apports. Les experts estiment la maison au nord 300 livres et celle au sud 500 livres. La masse propre à la veuve s’élève à 216 livres, celle des héritiers à 24 livres. L’actif de la communauté s’élève à 575 livres, le passif à 1770 livres.
1734 (21.6.), Not. Pantrion (Jacques Christophe, 40 Not 65)
Inventarium und Beschreibung aller Haab und Nahrung so weÿland der Ehrenhaffte Claude François Veurnier, geweßener Liechtermacher vnd burger alhier seel. nach seinem den 16. Aprilis Jüngsthin, aus dießem mühesamen leben genommenen tödlichen ableiben Zeitlichen verlaßen, welche auf freundliches ansuchen erfordern und begehren des Ehrenhafften Meister Johann Michael Strifflins, Schuemachers vndt burgers alhie, alß geordnet: und geschworenen Vogts Annæ Mariæ, und Andres Michaels der Veurnier, des Abgeleibten seel: mit der Ehren: vnd tugendsamen Frauen Maria Eva gebohrnen Reinboldin ehelich erzeugter Kinder vnd ab intestato verlaßener Erben, inventirt, durch die hinderlaßene Wittib, mit assistentz des Ehren vorgeachten herrn Johann Jacob Newstöckels, weißbecken vnd burgers alhie, dero geschwornen Curatoris – So beschehen in der Königlichen Statt Straßburg Montags den 21. Junÿ 1734.
Eheberedungs Copeÿ
Bericht wegen dießer Verlaßenschafft. deswegen ist Zuwißen, daß zwar die vorgemelte beede Eheleuthe in vorher geschriebener Eheberedung sich allerseits ein unverändert gutt und deren Ergäntzung vorbehalten, aber folgendts der ordung zu wider auß gewißen verhindernußen dero zugebrachte Nahrung nicht inventiren laßen, dahero dann beÿ so gestalten Sachen vordrist der Wittib gethanen handtreuwlichen bericht (…)
In einer alhier zu Straßburg in der Uttengaßen gelegenen vnd in dieße Verlaßenschafft gehöriger behaußung ist befund. worden wie folgt.
In der Soldaten Kammer, Im obern Vordern Cämmerlein, In der Vordern Stuben, In der hindern Stuben, In der Kuchen, Im Laden
Eigenthumb ane Häußern. (T.) Eine behaußung, als Vorder: hinder: und Nebenshaus, wie auch hoffstatt und höfflein, mit allen deßen begriffen weithen rechten Zugehörden vnd gerechtigkeiten, gelegen allhier Zu Straßburg, in der Uttengaßen, einseith neben hernach beschriebener behausung, and.seit neben, Mons. Jean Chapuÿ dem Liechter macher hinden auff erstdachten Chapuy stoßend, davon gehen Jährlichen 15. lb d Zinß dem Weÿßenhauß alhier vff Mathiæ n Capital ablößig mit 300 lb. d, Item 7. lb 10 ß gelts à 5. pro Cento H. Philipp Ramsperger dem Schuhmacher jahrs auff den 13. Julÿ ablößig in Hauptguth mit 150. lb. d, Vnd dann 3 lb 15 ß gelts herrn Johann Georg Reißeißen dem Scribenten, Jahrs vff Johannis Baptistæ in Capital wid. lößig mit 75. lb. Thun vorstehend. Posten zusammen 525. lb d. Sondten eigen, dargegen ist vorstehende behaußung durch der Statt Straßburg geschwornen Werckmeistere laut überschickten scheins vom 4. Junÿ 1734. allein angeschlag. worden pro 500. lb. ist also höher onerirt dann selbige angeschlagen 25. lb So hernacher fol: (-) beÿ den Passivis angeschlagen befindlich.
Uber vorstehende behaußung besagt j. teutscher Perg. Kauffbrieff mitder Cancelleÿ Contractstuben Anhang. Insigel verwahrt, datirt den 2. Maÿ 1726.
(T.) Item I. behaußung, höfflein und hoffstatt, mit allen deren gebäuen, begriffen, weiten, rechten, Zugehörden vnd Gerechtig keiten, geleg. allhier Zu Straßburg in ermelter Uttengaßen, einseith neben nechst Vorherbeschrieber behaußung, ands. neben Johann Georg Dörffer, dem Küeffer hinden auff gedachte behaußung stoßend, davon gehen Jährlichen 12 lb 10 ß gelts dem Weÿsenhauß alhier vff Annunc: Mariæ in Capital ablösig mit 250. lb. dargegen haben die Herren Werckmeistere besagte behaußung Laut vorhergemelten Scheins æstimirt pro 300 lb. Restiret also annoch außzuwerffen 50 lb. Über vorher geschriebene behaußung besagt ein teutscher perg. Kauffbrieff mit d. Cancelleÿ Contractstuben anhang. Insiegel de dato 13. Martÿ 1730.
Series rubricarum hujus Inventarÿ. Der Wittib unveränderte Nahrung. Sa. haußraths 11, Sa. Silbers 19 ß, Sa. Guldenen Rings 1, Sa. Schulden 202, Summa summarum 216 lb
Dießemnach würd auch der Erben unverändert Guth beschrieben, Sa. Kleÿder 11, Sa. Schiff und geschirr Zum Liechtermach. gehörig 16, Summa summarum 28 lb – Schulden fol. 7.a, In Compensatione 24 lb
Die Theilbahre Verlaßenschafft betr. Sa. haußraths 34, Sa. Wahren Zum Liechter handel 487, Sa. Silbers 3 Sa. Eigenthumbs an häußern 50, Summa summarum 575 lb – Schulden 1770 lb, Übertreffen also die Theilbare Passiva die sambtliche Theilbare Verlaßenschafft umb 1194 lb
Abschatzung dem 4. Junÿ 1734. Auff begehren Weilandt deß achtbahren und bescheitenen Frantz Blott Wernier dëß geweßenen Lichtermachers seel. hinderlaßenen frau wittib und Erben ist eine behausung alhier in der Statt Straßburg in der rutten gaßen gelegen eins eits Neben die Erben selbsten, anderseits Neben Johann Jörg törffer dem küffer hinden auff getachte Erben Stoßend welche behausung Stübell Küchell und Kleines Cämmerlin auff dem Botten stübell schmaler eingang und Kleines getrëmbtes Kellerlein und mit einen halben tach sambt aller gerechtig Keidt wie solches turch der Statt Straßburg geschworne werckhleuthe sich in der besichtigung befundten und Jetzigen Preÿß nach angeschlagen würdt Vor und Umb Sechs Hundert Gulten
Der 2.te begriff ist auh alhier in der Statt Straßburg in der rutten gaßen gelegen ein seits Neben die Erben selbsten, anderseits und hinden auff Musi Schapi dem Lichter macher Stoßent welche behausung Stuben Cammren Kuchen hauß Ehren sodaten Cammer 2. Cammeren under dem tach auff dem botten Kuchen der Casten Lichter machers werckstatt höffell bronen ein getrëmbtes und gewölbtes Kellerlein, sambt aller gerechtig Keidt wie solches turch dero Statt Straßburg geschworne Werckleüthe sich in der biersieder befunden und Jetzigem Preÿß nach angeschlagen wirdt Vor und Umb Ein Tausent Gulden. Bezeichnuß der Statt Straßburg geschworne Werckleuthe [unterzeichnet] Michael Ehrlacher Werck Meister deß Meinsters, Johann Jacob Biermeÿer Werck Meister deß Zimmerhoffs, Johann Peter Pflug Werckmeister deß Mauer hofs
Marie Eve Reinbold se remarie avec le compagnon maçon Jean Guillaume Lender originaire de Kitzingen en Bavière : contrat de mariage dans lequel la future épouse assure à son mari la jouissance viagère des deux maisons, célébration
1735 (12.7.), Not. Lang l’aîné (Jean Daniel, 25 Not 104) n° 144
(Eheberedung) entzwischen dem Ehrengeachten Johann Wilhelm Lender, ledigem Steinhauer und Maurergesellen von Kitzingen gebürtig, weÿland des Ehren und Vorachtbahren Meister Johann Wilhelm Lender geweßenen Steinhauers und Maurers auxh Werckmeisters allda seel hinderlaßenen ehelichem sohn als dem Bräutigamb ane einem,
So dann der Ehren und tugendbegabten Frauen Maria Eva Veurnier gebohrner Reinboldin weÿl. des Ehrengeachten Claude François Veurnier,geweßenen Liechtermachers und burgers allhier nachgelaßener Wittib als der hochzeiterin ane dem andern Theil
Siebendens hat die Frau Hochzeiterin umb besonderer Zu ihrem bräutigams habender Neigung willen demselben auff den fall Sie Zuerst Versterben würde Zu einem gemeinen lebtägigen und wiederrückfälligen Wÿdems bestimmet und Verschrieben Erstlichen die Ihre Vor ohnvertheilt gehörige helffte ane einer behaußung in Vorder: hinder: v. Nebenshaus, mit allen deßen begriffen, weithen, rechten, Zugehörden und gerechtigkeiten, gelegen allhier Zu Straßburg ane der Uttengaß, einseith neben hernach beschriebener behausung, anders. neben, Jean Chapuy dem Liechtermacher, hind. wieder auf denselben stoßend,
Ferner dero ohn Vertheilte helffte ane einer behaußung, höfflein und hoffstatt, mit allen deren gebäuen, begriffen, weith. rechten, Zugehörden vnd Gerechtig Keiten, auch ane der Uttengaß gelegen, eins. neben Joh. Georg Dörffer, dem Küeffer, anderseith neben obbedeutetem hauß, hinden auf gedachte behaußung stoßend, welche beede heüßer Sie die fr. hochzeiterin und dero erstere Ehemann seel. mit einander ane sich erkauffet haben und Ihro der hochzeiterin beeden Kindern erster Ehe die andere helffte daran gebührig ist, alßo und dergestalten daß Er der bräutigamb die helffte an erstbedittenen beeden häußern und deren Zugehörden die tag seines Lebens ruhig und ohngekränckt Zunutzen Zugenießen, Zubewohnen und Zugebrauchen berechtiget (…)
So beschehen in der Königl. Statt Straßburg in mein des Notarÿ Wohn behaußung ane dem alten Weinmarckt gelegen auff Dienstag den 12.ten Julÿ A° 1735 [unterzeichnet] Johann Willhelm Lendter alß hoch zeitter, MEV Frauen Mariæ Evæ Veurnier der hochzeiterin handzeichen
Mariage, Saint-Laurent (cath. f° 171-v)
Hodie die 21 mensis Augusti anni 1735 (…) sacro matrimonii vinculo in facie ecclesiæ conjuncti fuerunt Joannes wilhelmus Lender Lapicida filius legitimus wilhelmi Lander et Dorotheæ clauhammerin defunctorum parentum, dum viverent in Kintingen Diœcesis Herbipolensis, natus in dicto Kitzingen et commorans a octodecim annis argentinæ in Parochia ad dictum S. Petrum Seniorem et Maria Eva Reinboldin vidua Francisce vernier dum viveret Civis hujatis et candelarum opificis commorans in hac parochia nostrâ (signé) Johann Wilhelm Lendter, signum sponsæ x (i 173)
Le maçon Jean Guillaume Lender devient bourgeois en s’inscrivant à la tribu de la Mauresse
1735, 4° Livre de bourgeoisie p. 1024
Johann willhelm Lenter d. Maurer Von Kitzing. auß francken geb. erhalt d. b. von seiner ehefr: Maria Eva Frantz Vernier gew. b: undt Liechtenmachers wtb. ex gratia gratis, will beÿ E E Zunfft d. Mohrin dienen. Jur. eodem [18.t octob. 1735]
Marie Eve Reinbold, femme du fabricant de chandelles Jean Guillaume Lender meurt trois mois après son mariage en délaissant un fils de son premier mari. Les experts estiment la maison au nord 500 livres et celle au sud 900 livres. Le notaire fait observer qu’il est impossible d’évaluer les apports de la défunte à partir de l’inventaire dressé après la mort de son premier mari puisqu’elle a continué à exercer son métier en contractant plusieurs dettes. La succession est décrite sous une seule masse dont l’actif s’élève à 1 068 livres et le passif à 1 092 livres.
1735 (19. 9.bris), Not. Lang l’aîné (Jean Daniel, 25 Not 56) n° 500
Inventarium über Weÿland der Ehren und Tugendbegabten Frauen Mariæ Evæ Lenderin gebohrener Reinboldin letztmals des Ehren und Vorgeachten Herrn Johann Wilhelm Lenders Liechtenmachers und burgers allh. geweßener Haußwürthin nunmehr seel. Verlaßenschafft auffgerichtet 1735.
Inventarium und Beschreibung allerderjenigen Haab, Nahrung und güthere so weÿl. die Ehren und Tugendbegabte Frau Maria Eva gebohrene Reinboldin, erstmals weÿl. des Ehren und Vorgeachten H. Claude François Vuernier gewes. Liechterm. v. burgers allh. seel. und letztmals des Ehren und Vorgeachten Herrn Johann Wilhelm Lenders auch Liechtenmachers v. burgers allhier geweßene Ehegattin, nach Ihrem d. 10. dießes Monats 9.bris aus dießer welt genommenem tödl. hintritt zeitl. hinder sich Verlaßen, welche Verlaß. nachdeme Mstr. Joh: Mich. Strifflin der Schumach. v. burger allh. als geschworner Vogt Andres Michael Veurnier der abgeleibten seel. in 1. Ehe mit obgedachtem Ihrem erstern Ehemann ehelich erzeugten v. nach tod Verlaß. noch lebenden einigen Söhnleins und Zwar die in denen Kästen sich befindlichen Effecten V. in dem Laden enthaltenen Waaren mit E. E. Kl. Raths sigillo belegen anheute aber reseriren laßen, Zum theil auff sein Mr Strifflins des Vogts und theils auf obgedacgten Joh: Wilhelm Lenders des nunmal. Wittibers Ansuchen vnd begehren inventirt, durch Ihme dem hinderbl. Wittiber deßgl. Hubertum Niccard d. dienst Knecht V. Annam Mariam Doßwaldin die dienstmagd im hauß – So beschehen Zu Straßburg auff Sambstag den 19.ten 9.bris Anno 1735.
In einer allhier Zu Straßburg ane der Uttengaß gelegenen in dieße Verlaßenschafft gehörigen und hernach beschriebenen behaußung befund. worden, wie Volgt.
Ane Höltzen und Schreinwerck. In der Soldaten Cammer, Vor der Soldaten Cammer, In der Magd Cammer, Auff dem oberten hindern Bühnell, Im hindern Stübel, In der Kuchen, In der Wohnstub, Im Laden, Im Keller
Eigenthumb ane Häußern. Eine behaußung, als Vorder hinder: und Nebensgebäu, hoffstatt und höfflein, mit allen übrigen deroselben begriffen, weithen, rechten Zugehörden v. Gerechtigkeiten gelegen allh. Zu Straßb. ane der Uttengaß, einseith neben H. Jean Chapuy dem Liechtermacher, anders. neben hernach beschriebener behßg, Vornen auff besagte Uttengaß und hinden auff erstgemelten Chapuy stoßendt, und durch (die Werckmeistere) Vermög deroselben ad Conceptum geliefferter schrifftlicher Abschatzung Vom 24.ten Novemb. Aô 1735. angeschl. pro 900 lb.
Davon reicht mann Jährlichen dem Stifft des Waÿsenhaußes allhier auff Matthiæ Apostoli oder den 24. febr. 13. lb 10. ß Zu 4 ½ pro Cento gerechneten Geld Zinßes wiederlößig in haubtguth mit 300 lb. Mehr gefallen davon Jährlich auf dem 13. Julÿ 7 lb 10 ß Zu 5 pro C° gerechneten Geld Zinnßes H ? Philipp Ramsperger dem Schuhmacher und burger allhier redimibel in Capital mit 150. lb. Item dann gehen davon Jeweilen auff Joh. Bapt: oder den 24. Junÿ 3. lb 15 ß à 5. pro Ct° gerechneten Gld Zß H. Joh: Georg Reißeißen Cand. Notar: ablößig in haubtguth mit 75. lb. Welche dreÿ auff solcher behßg hafftende Capitalia zusammen antreffen 525 lb. Solche gegen obiger Abschatzung des haußes gehalten, so Verbleibt an derselben annoch per rest übrig und dißorts außzuwerffen 375 lb
Wie die Verstorbene und dero erstere Ehemann seel. diese behaußung Von Meister Philipp Jacob Zeller dem Steinhauer und Maurer allh. ane sich erkauffet haben, weißet j. Teutscher pergam. Kauffbr. in allhießig. Canc. Contractst. gefert. v. mit d° anhang. Insigel Verwahret dat. den 2.t Maÿ A° 1726. Dabeÿ noch 2. alte teutsche pergam. Kauffbrieff auch in allhießig. Canc. Contractst. gefert. v. mit dero anhangend. Insigel verseh, dat. den 17. Julÿ A° 1724. et 7. Julÿ A° 1703. alle 3. stuck mit N° 1 bemerckt
It. eine behaußung, höfflein und hoffstatt, mit allen deroselben gebäuen, begriffen, weithen, Zugehörden, rechten v. Gerechtig Keiten gelegen auch allhier ane der Uttengaß, einseith neben nechst Vorherbeschrieber behaußung, anderseith neben Meister Joh: Georg Dörffer, dem Küeffer vornen auff gesagte Gaß und hind. auff bemeltes hiehero gehöriges hauß stoßend, so eigen und durch Vorernandte allhießige herren Werckmeistere nach besag Abschatzung Zeduls Vom 24.te Nov: 1735 angeschlagen pro 500 lb. Davon hatt man Jährl. auff Annunc: Mariæ dem Stifft des allhiesigen Waÿsenhaußes 12 lb 10 ß Zu 5. pro Ct° gerechnet, ane Zinß Zurichten so in Capital abzulösen mit 250. lb. Nach deren Abgang restirt ane obigem hauß Anschlag annoch per rest außzuwerffen 250 lb. Dieße behaußung haben die Verstorbene und dero ersere Ehemann seel. Von wohlermeltem Stifft Waÿßenhauß als rechts Inhabern weÿl. Joh: Andres Gimpels geweßenen Schneiders und deßen hinderlaßenen in dem Waÿßenhauß sich befindlich einigen Sohns eigenthümlich ane sich erkauffet, wie der darüber in allhießiger Canc: Contractst. gefert: mit deroselben anhang. Insiegel verwahrte Kauffbrieff de dato 13.ten Martÿ A° 1730. mit mehrerm außweißet, mit N° 1 notirt.
Series rubricarum hujus Inventarÿ. Bericht wegen dießer Verlaßenschafft. Zuwißen Seÿe hiermit demnach man zu gegenwärtiger Verlaßenschafft Inventur geschritten und auß der Eheberedung ersehen daß beede geweßte Ehepersohnen ihr einander in die Ehe zugebrachte Nahrung sich zwar Vor ohnverändert vorbehalten, selbige aber nach Vollerzogener Ehe nicht haben inventiren laßen, sondern durch der Defunctæ bald darauff erfolgte Kranckheit davon Verhindert worden und obwolen erst in Anno 1734. den 21.t Junÿ Ihro der abgeleibten seel. erstern Ehemanns seel. Verlaßenschafft inventirt durch H. Notm. Jacob Christoph Pantrion ein formblich Inventarium darüber auffgerichtet worden, welches Inventarium man endlich in ermanglung eines nährern Documenti hätte sollen vor die hand nehmen und der Defunctæ Nahrung darauß ersuchen, allweilen aber Sie die Verstorbene seel in ihrem Wittwenstand das Gewerb fortgeführt und Von denen in solchem Invent. enthaltenen Vielen passiv schulden biß zu ihrer Zweÿten Verheürathung ein ansehnliches bezahlt (…)
Sa. haußraths 68. Sa. Werckzeug Zum Liechtermachen und handel gehörig 356. Sa. Silbers 4, Sa. Goldenen Ring 1. Sa. Eigenthumbs ane häußern 625, Sa. Schulden 12, Summa summarum 1068 lb – Schulden 1092 lb, Passiv onus 23 lb
Abschatzung dem 24. Nov: 1735. Auff begehren deß bescheitenen willhelm Lënter Lichter Macher, ist eine behausung alhier in der Statt Straßburg inn der rutten gaßen gelegen einseits H schapy dem Lichter macher anderseits neben die Erben selbsten hinden auff Johann Jörg Dörffer stoßend welche behaußung hinden auff dem botten Zweÿ Keller einer gewolbt der ander aber getrëmbt oben dar über eine stuben Kuchen Liecher macher werckstatt unschlig Kestell der Lahten, ihm obern stock Zweÿ stuben Zweÿ Kuchen der gang oben darüber ihm seiten gebeü Zweÿ Camren soltaten Cammer und bienen Klein hoffell und Gompbronnen sampt aller gerechtigkeidt wie solches durch der Statt Straßburg gewesen werckleuthe sich in der besichtigung befundten und Jetzigen Preÿß nach angeschlagen wird vor und Umb Ein dausent und acht hundert Gulten.
Der 2.te begrieff ist auch alhier in der Statt Straßburg in der rutten gaßen gelegen einseits ann die Erben selbst anderseits und hinden auff Meister Johann Jörg Dörffer Stoßend welche behaußung: 3 stübel, 3. hauß Ehren worinn die herd und waßer stein sehr Kleine Cammerlein höffell welches sehr schmall und Kleiner getrembter Keller sambt aller gerechtig Keidt wie solches turch der Statt Straßburg geschwornen werckleuthe sich in der besichtigung befundten und Jetzigen Preÿß nach angeschlagen wird vor und Umb Ein dausent Gulden. Bezeichnuß der Statt Straßburg geschworen wërckleuthe [unterzeichnet] Michael Ehrlacher Werck Meister deß Meinsters, Johann Jacob Biermeÿer Werck Meister deß Zimmerhoffs, Johann Peter Pflug Werckmeister deß Mauer hofs
Jean Guillaume Lender qui est devenu propriétaire des deux maisons en vertu d’une cession faite le premier mars 1736 par le tuteur de son beau-fils les hypothèque au profit du notaire Mathias Koch. L’actif s’élève à 1945 livres, le passif à 2096 livres.
1736 (19.6.), Chambre des Contrats, vol. 610 f° 604
Johann Willhelm Lender der Liechtermacher
in gegensein H. Mathias Koch Notarÿ Publici und Practici – schuldig seÿe 75 pfund
unterpfand, dreÿ neben einander liegende Behausungen, deren eine in Vorder: hinder: und Nebenshauß auch höfflein bestehet mit allen übrigen deren gebäuden, begriffen, weithen, zugehörden, hoffstätten und gerechtigkeiten ahne der Uttengaß, einseit neben Jean Chapuy dem Liechtermacher anderseit neben Johann Georg Dörffer dem kieffer hinten auff ged. Chapuy, welche beede häußer deren jedes mit einem höfflein versehen ist – als ein durch den am 1. Martÿ jüngst mit vorbemelten seines stieffkindts (Andreas Michael Vernier) vogt errichtet und am 14. ejusdem vor E.E. Großen Rath confirmirten Kinder Vertrag eigenthümlich überlaßenes guth
Les créanciers de Jean Guillaume Lender qui a quitté la ville font dresser l’inventaire de ses biens. Les experts les estiment au même prix qu’à l’inventaire précédent
1736 (27. 9.br), Not. Lang l’aîné (Jean Daniel, 25 Not 60) n° 528
Inventarium über Mr Johann Wilhelm Lenders, des Liechtermachers und burgers allhier nunmehr habende Activ und Passiv Nahrung, auffgerichtet Anno 1736 – welche umb willen derselbe verwichenen freÿtags alß den 23.ten hujus sich Von hier absentiret und deßen Nahrung mit Passiv schulden merckl. beladen, auf Ansuchen und begehren herrn Eberhard Hartmanns des Metzgers, Viehhändlers und burgers allhier, alß eines derer Herren Creditoren und Von E. E. Kleinen Rath allhier unterm 26.ten hujus constituirten Syndici Massæ, inventirt, durch Peter Knotter von Cronweißenburg gebürtig, des ausgettrettenen geweßenen Gesellen, deßgleichen durch Catharinam gebohrne Frickin Johannes Butschers Steinhauers und Schirmers allhier Ehewürthin, so in dem Hauß wohnet – So beschehen allher Zu Straßburg in beÿsein und persönlicher Gegenwart Mr Johann Michael Strifflins, Schuhmachers und burgers allhier, als geschwornen Vogts Andres Michael Vernier, des außgetrettenen Stieffsohns, welcher über äugen und zeigen ebenmäßig angelobet hat, mit fernerer zuziehnung S. T. Herrn Johann Ulrich Cammerers des Seÿlers und E. E. Kleinen Raths dermahligen wohlverdienteen beÿsitzer, als auß deßen Mittel hierzu in Specie aobgeordneten Deputati, auf Dienstag den 27. Novembris Anno 1736.
In einer allhier Zu Straßburg ahn der Uttengaß gelegenen in dieße Nahrung gehörigen und hernach beschriebenen behaußung befund. worden, wie folgt.
Eÿgenthumb ane Häußern. Erstl. eine behaußung als Vorder hinder: und Nebensgebäu, hoffstatt und höfflein, mit allen übrigen deroselben begriffen, weith. rechten zugehörden und Gerechtigkeiten gelegen allhier Zu Straßburg ane der Uttengaß, einseit neben H. Jean Chapuy dem Liechtermacher, anderseith neben gleich hernach beschriebener behaußung, Vornen auff besagte Uttengaß v. hinden auff erstgemelten Chapuy stoßend, so eigen und den 24.ten 9.bris A° 1735 beÿ weÿl. Frauen Mariæ Evæ Lenderin gebohrner Reinboldin, des außgetrettenen geweßter Ehegattin seel. Verlaßenschafft Inventation, durch (die Werckmeistere) angeschlag. auch dermalen, Wiewohl ohnpræjudicirlichen dabeÿ Zulaßen beliebet worden, nemblich pro 900 lb.
Auff solcher behaußung stehet in 3. verschiedenen Posten ane Capital 525 lb d welche hernach umb mehrerer richtigkeit willen passive eingetragen und Wie obgedachte Fr. Maria Eva geb. Reinboldin und Claude François Veurnier geweßener Liechtermach. v. burg. allh. deroselben erstere Ehemann dieße behaußung Von Meister Philipp Jacob Zeller dem Steinhauer und Maurer allh. ane sich erkauffet haben weißet j. Teutscher pergament. Kauffbrieff in allhießiger Cancelleÿ Contract stube, gefert: v. mit deroselben anhang. Insigel Verwahret dat. den 2.tn Maÿ A° 1726. Dabeÿ noch 2. alte teutsche pergament. Kauffbrieff auch in allhießig. Canc. Contractst. gefert. v. mit deroselb. anhangend. Insigel versehen, datirt den 17. Julÿ A° 1724. et 7. Julÿ A° 1703. alle 3. stuck mit alt.N. 1 signirt
It. eine behaußung, höfflein v. hoffstatt, mit allen deroselben gebäuen, begriffen, weithen, zugehörden, rechten v. Gerechtigkeiten gelegen auch allhier Zu Straßburg ane der Uttengaß, einseit neben nechst Vorherbeschrieber behaußung anderseith neben Meister Joh: Georg Dörffer, dem Küeffer vornen auff gesagte Gaß und hinden auff bemeltes auch hiehero gehöriges hauß stoßend so eigen und dicto 24. 9.bris 1735 beÿ des von hier sich absentirten geweßter Ehefrauen Verlaßenschafft Inventur (…) æstimirt auch anjetzo Wiewohl ohnverfängl. dabeÿ gelaßen worden, nemblichen pro 500 lb
Auff dießer behaußung stehet auch ein Capital Von 250. lb so aber dißorts von dem pretio desselben nicht abgezogen, sondern umb mehrerer richtigkeit willen hernach passivé eingetragen worden. Dießes hauß haben mehrgemelte Veurnierische Eheleuthe Von dem Stifft des Waÿßenhaußes als rechts Inhabern weÿl. Joh: Andres Gimpels geweßenen Schneiders allhier seel. hinderlaßenen in dem Waÿßenhauß sich befindlich ane sich erkauffet, wie der darüber in allhießiger Canc: Contractstuben gefertigte mit deroselben anhang. Insiegel verwahrte Kauffbrieff de dato 13.ten Martÿ A° 1730. mit mehrerm außweißet mit altem N° 1 bemerckt.
Pro nota. Vorherbeschriebene beede häußer seind dem außgetrettenen nach absterben mehr ernandter seiner Ehefrauen, durch einen mit Ihres Sohns erster Ehe geschwornen Vogten Joh: Michael Strifflin dem Schuhmach. und burgern allh. dere 1.ten Martÿ 1736. Vor Hn Joh: Friderich Lichtenberger, Not: publ. allh. getroffenen den 3.ten ejusdem beÿ einem Löbl. Vogteÿgericht und den 14.ten dießes beÿ E. E. Grosen Raths confirmirten auch darauffhin in allhießig Löbl. Canceleÿ Contract stuben enregistrirten Vertrag umb obig. außgeworfenen preÿß eigenthümlichen entschlagen worden.
Series rubricarum hujus Inventarÿ. Sa. haußraths 130. Sa. Werckzeug Zum Liechtermachen gehörig 87. Sa. Wahren Zum Liechterhandel gehörig 257. Sa. baarschafft 68. Sa. Eigenthumbs ane häußern 1400, Summa summarum 1945 lb – Schulden 2096 lb, Passiv onus 150 lb
Ungewiß Zweiffelhafft und Verlohrene Schulden 29 lb
Jean Chapuis, propriétaire de la maison voisine, acquiert les deux maisons de la masse délaissée par Jean Guillaume Lender.
1737 (6.2.), Chambre des Contrats, vol. 611 f° 874-v
Ganth kauff – Mittwoch d. 6. Februarÿ 1737, zufolg E. E. kleinen Raths Erkanntnus vom 12. Decembris 1736 ist eine in Johann Philipp Lender des ausgetrettenen Liechtermachers fallliments mass gehörige in vorder und hinderhauß, hoff und hoffstatt bestehenden allhier ane der Uttengaß liegende behausung einseit neben Jean Chappuy dem Liechtermacher anderseit neben hiernach beschriebenem hauß hinten auff ged. Chappuy
erwehntem Chapuy umb 1850 gulden
Eodem wurde auch die kleiner in ged. Lenders falliment gehörigen einseit neben obbeschriebenem hauß anderseit neben Johann Georg Dörffer dem kieffer hinten auff. bemeldten Chappuy stoßene gelegenen behausung
erst besagtem Chappuy umb 850 gulden
(Jean Chappuy dem Liechtermacher)
Jean Chapuis qui a l’intention de reconstruire la maison achète de son voisin tonnelier Jean Georges Dœrffer (propriétaire de l’actuel n° 8) la partie du cabinet d’aisance et de la fosse qui avance dans sa propriété pour obtenir une limite rectiligne. En contrepartie Jean Chapuis accorde à son voisin le droit de pratiquer dans sa remise une fenêtre grillagée qui donne vers son jardin.
1737 (15.4.), Chambre des Contrats, vol. 611 f° 274
Johann Georg Dörffer der Kieffer
Jean Chapuis des Liechtermachers
zufolg mit demselben vor H. Not. Johann Jacob Oelinger am 13. hujus getroffen von E. E. kleinen Rath confirmirten vergleichs auch verkauffs
Einen theil sein Dörffers Profeÿ:sitzes gewölbs, zugangs und zugehörden umb so viel solches seinem giebel vorgehet welcher hinten auff sein Chapuis oder ehedeßen auff das gimpelische hauß stoßet und unten auf ged. Chapuis platz 6 schuh und einen halben in der länge und in der breitte 5 schueh im ersten und zweiten stock aber nur 4 schuh lang oder tieff und 5 schuh breitt ist alles in der Absicht damit er Chapuis mit seinem neu auffzuführen vorhabenden gebäu und giebel biß in das fundament so tief es von nöthen grad in einer flucht fahren möge, jedoch nicht weiter als biß an des verkäufers hindern Reiffschopff und mit dem beding daß der verkäufer solchen profeÿsitz und zugang und seinen eigenen costen abbrechen, jedoch auch die abbrechender materialien für sich behalten solle, um 135 pfund
anbeÿ verpflichtet sich der kaüffer die profeÿ dermahlen auff seine Unkosten säubern zu laßen und die scheidmaur ohne des verkäufer beÿtrag auffzubauen und in des verkäufers Reiffschopff so auff sein Chapuis gärttlein stoßet ein wohlvergittert und eng vergrembstes einen weg 2 und en andern weg 3 schuh hoch und 2 schuh breittes fenster von gehauenen steinen auff sein des kauffenden Chapuis cösten machen zu laßen und als ein immerwährendes Recht ohne selbiges verfinstern verstellen oder verlegen zu können in sein Chapuis maur ohngeändert zu laßen: worauff beede theile solche zwischen ihnen und wegen ihrer allhier ahne der Uttengaß einseit neben Georg Heinrich Delscher dem Schwerdtfeger anderseit neben dem käuffer selbst gelegenen behausungen getroffene Kaufverschreibung und vergleich
Maison (b), correspondant à la partie gauche de l’actuel n° 10
Les trois anciennes maisons sont réunies à partir de 1737
Livres des communaux
1730, Livre des loyers communaux, VII 1466 (1673-1741) f° 776-v
Jean Chapuis est autorisé à ouvrir une porte de communication entre son ancienne maison (actuel n° 12) et celle qu’il vient d’acquérir (partie de l’actuel n° 10) moyennant un loyer annuel de 10 sols dont il rachète le capital en 1737.
Jean Chappuy der Liechtermacher allhier, soll vor die Erlaubnus eine Communication mit seiner wohn behaußung in sein gekaufftes nebens hauß in der Uttengaß machen zu laßen, laut der H. XV. Erk. de 4. Junÿ 1729. auf Eduardi 1730. I.mo, 10 ß
1737
Ist Laut erk. der H. XV. aberkaufft und im Einnahmbuch de A° 1737. Verrechnet worden mit 10 lb
Préposés aux affaires foncières et protocole des Quinze
1729, Préposés aux affaires foncières (VII 1393)
Même affaire traitée par le Préposés aux affaires foncières. Jean Chapuis demande l’autorisation d’ouvrir une communication avec la maison de potier qu’il vient d’acheter et de décharger le sable nécessaire à sa nouvelle construction près du Pont neuf. Les préposés se rendent sur place et constatent que la porte fera 3 pieds et demi de large sur 7 de haut.
(f° 170-v) Dienstags den 3. May 1729. – Mre Jean Chapuy weg. Bawens
Jean Chapuy der Liechtermacher, sucht erlaubnus einen durchbruch in des Haffners wohnung, so neben Seiner in der Uttengaß ligenden gelegen ist, und Er erkaufft hat, machen Zu laßen, ingleichem daß Er Zum Vorhabenden baw an der newen bruck den benöthigten Sand dörffe außladen laßen.
Erk. wird Implorant mit dem Ersten begehren an Gnd. Herrn die Fünffzehen gewiesen, den Sand aber anlangend, mag Er wohl beÿ der Newen bruck außladen laßen wann er alsobald hinweg und in Seine wohnung geführt wird.
(f° 181) Montags den 30. Maÿ 1729. – Jean Chapuy weg. durchbruchs
Augenschein eingenommen Beÿ Jean Chapuy dem Liechtermacher in der Uttengaß, Welcher beÿ Gnädigen Herren den Fünff Zehen umb erlaubnus gebetten eine 3 ½ schuhe breit und 7 schuhe Hoh Thür in die Scheidmaur seiner Zweÿ Häußern gegen dem Closter Zu der Rewerin über Zubrechen und dardurch eine Communication Von seinem Hauß in das Andere Zumachen.
1729, Protocole des Quinze (2 R 135)
Les préposés aux affaires foncières transmettent l’affaire aux Quinze qui autorisent la communication moyennant un loyer annuel de 10 sols. Les Quinze délivent une expédition de leur arrêt.
Jean Chappuy pt° Durchbruchs
(p. 212) Sambstag d. 4. Junÿ 1729. Ober bawherren laßen durch Hrn Secret. Kleinclauß referiren daß Jean Chappuy der burger und Liechtermacher allhier in einem gehaltenen recess umb gnädige Erlaubnuß eine Communication in sein gekaufft Nebens hauß in der Uttengaß gelegen machen Zu dörffen Vndthg. gebetten habe.
auff geschehener Remission seÿe der augenschein eingenommen worden, da man ersehen daß Implorant aus seinem wohnhauß unten in der Einfahrt Rechter hand in ermeltes Nebens hauß durchbrechen undt eine thür in dem Liecht 3 ½ schuh breit und 7 schuh hoch machen laßen wolle. Nun finde mann auff seithen der Hh. Deputirten Keinen anstand Ihme hierinn Zu willfahren, jedoch wolte mit der meinung sein, daß er jährlich gemeiner Statt Pfenningthurn Zehen schilling davon Zu bezahlen gehalten sein allein die Genehmhaltung Zu Mgh. stellend. Erk. Bedacht gefolgt.
(p. 218) Sambstag den 18. Junÿ 1729. Ober bawherren laßen durch Hrn Secret. Kleinclauß proponiren daß Comm. hienach gesetzten bescheids seÿe begehrt und willfahrt so fort Wie folgt Zu papier gebracht worden.
Bescheid. Sambstag d. 4. Junÿ 1729. Auff Jean Chappuy des burgers und Liechtermachers allhier gethanes Unterthäniges ansuchen und bitten Ihme in seinem gekaufften Nebens hauß in der Uttengaß gelegen eine Communication mit seiner Wohnbehausung allda machen Zu dörffen gnädig Zu erlauben, undt Zwahr dergestalten daß Ihme aus gedachter seiner Wohnbehausung unten in der Einfahrt Rechter hand in ermeltes Nebens hauß durchbrechen, undt eine thür in dem Liecht Vierthalben schuhe breit und sieben schuh hoch machen laßen erlaubt sein möchte. Ist nach genohmenen Bedacht, eingenommen Augenschein und der Oberhauheren hierüber abgelegten relation, Erkandt, wird dem Imploranten in seinem begehren Willfahrt, jedoch mit dem anhang daß er deßwegen gemeiner Statt Pfenningthurn Zehen schilling Jährlich Zu bezahlen und abzurichten schuldig sein solle.
Zu MGHhn stellend, ob Sie [-]
Mêmes pièces en copie
Cote VII 27 (Plans et décisions)
108-a, b, c – Jean Chappuy in der Uttengaß
N° b 108.a Auß Gnädiger Herrn der Fünffzehen der Statt Straßburg Memoriali de Anno 1729, Sambstags den 4. Junÿ
N° b 108.c Auß Gnädiger Herrn der Fünffzehen der Statt Straßburg Memoriali de Anno 1737, Sambstags den 6. Aprilis
N° b 108.b Auß Gnädiger Herrn der Fünffzehen der Statt Straßburg Memoriali de Anno 1737, Sambstag den 25. Maÿ
1737, Protocole des Quinze (2 R 146)
Jean Chapuis demande l’autorisation de démolir les maisons qu’il vient d’acheter et de reconstruire un seul bâtiment. Le chef de chantier qui s’est rendu sur place rapporte que les deux maisons acquises, vieilles et délabrées, n’en faisaient anciennement qu’une seule. Celle vers le sud (à côté de l’acquéreur) a 33 pieds 3 pouces de long sur une profondeur de 36 pieds, celle au nord (à côté de Jean Georges Dœrffer) a 16 pieds 10 pouces de long sur une profondeur de 36 pieds. Le pétitionnaire a en outre l’intention de détacher un terrain de 50 pieds de long sur 20 de large à l’arrière de son ancienne maison pour le réunir à celle qu’il va reconstruire. Les Quinze donnent leur accord moyennant paiement de 10 livres. Ils délivrent une expédition de leur arrêt.
Jean Chapuy pt° Zusammenbrechung 2. Häußer
(p. 159) Sambstag d. 23. Martÿ 1737 Jean Chapuy pt° Zusammenbrechung 2. Häußer
Moss. Nôe Jean Chapuy burgers und Liechtermachers bitt Underth. umb gn. Erlaubnuß seine Zweÿ an einander stehende häußer in der Vttengaß gelegen abzubrechen, undt Zusammen alß ein New Hauß Wieder auffzubawen. Erkandt, Oberbawherren.
(p. 174) Sambstags d. 6. Aprilis 1737. Jean Chapuy pt° Zusammenbrechung 2. Häußer
Idem laßen ferner per Eundem Referiren Jean Chappuy der burger und Liechtermacher allhier habe umb g. Erlaubnuß gebetten seine Zweÿ aneinander stehende häußer in der Uttengaß gelegen, abzubrechen, und zusammen alß ein New hauß wieder auffzubauwen. Auff geschehene weisung seÿe der Augenschein eingenommen, und besag der beeden Hh. Werckmeister auffgesetzten und eingeliefferten schrifftlichen Relation befunden worden, daß Chapuy an seinem in gedachter Vttengaß gelegenen Wohnhauß Zweÿ an einander stoßende behaußungen erkaufft, welche aber Zuvor nur eine behaußung gewesen, welche beede häußer er, Chappuy willens beede häußer abzureißen und wiederumb eine behaußung daraus zu machen, anbeÿ ein stuck Von seinem Hinder Hauß 50. schuh lang und 20. schuh breit darzu Zu ziehen, das einte erkauffte Hauß, welches an deßen wohnbehaußung anschließt ist gegen der Gaß 33. Schuhe 3. Zoll breit, und gegen dem Hoff biß an die hinder Maur 36 schuh tieff, das andere erkauffte Hauß, welches dem Waÿßenhauß Zuvor gehörig war, so an Ihne, Chappuy, und Meister Johann Georg Dörffer den Kieffer stoßet, befindet sich gegen der Gaß 16. Schuhe 10. Zoll breit, und in der tieffe auch gleich wie das andere 36. Schuh, welche behaußung von unden biß oben auff sehr schlecht, alt, und bawfällig, Auff seithen der Herrn Deputirten Verneme man, daß dem Imploranten gegen einmahliger bezahlung 10. lb. für die Vergönstigung in seinem begehren zu willfahren, die genehmhaltung Zu Mgh. stellend. Erkannt, bedacht gefolgt.
(p. 183) Sambstags d. 13. Aprilis 1737. Bescheid – In Sachen Jean Chapuy des burgers und Liechtermachers allhier Auff deßelben gethanes Underthäniges ansuchen und bitten Gnädig zu erlauben, daß er seine Zweÿ aneinander stehende häußer in der Vttengaß gelegen, abbrechen und zusammen alß ein Neue Hauß Wieder auffbawen dörffe, erkandten und ein genommemen Augenschein, abgeleßenen schrifftlichen Bericht der beeden Werckmeister dahien gehend, daß der Implorant an seinem in ged. Vttengaß gelegenem Wohnhauß Zweÿ an einander stehende behaußungen erkaufft, Welche aber Zuvor nur eine behaußung gewesen, die er beede abzureißen und wiederumb eine behaußung daraus zu machen, anbeÿ ein stuck Von seinem Hinder Hauß 50. Schuh lang und 20. Schuh breit darzu Zu ziehen, willens seÿe, das einte erkauffte Hauß, welches an deßen Wohnbehaußung anschließt, seÿe gegen der Gaß 33. Schuhe 3. Zoll breit, und gegen dem Hoff biß an die hinder Maur 36. Schuh tieff, das andere erkauffte Hauß, welches dem Waÿßenhauß Zuvor gehörig war, so an Ihne dem Imploranten, und Johann Georg Dörffer den Kieffer stoßt, befinde sich gegen der Gaß 16. Schuhe 10. Zoll breit, und in der tieffe auch 36. Schuh, Welche behaußung von unden biß oben auff, sehr schlecht, alt, und bawfällig seÿen. Ist der Herrn Deputirten abgelegten Relation nach, Erkandt, Wird dem Imploranten gegen einmahliger bezahlung Zehen Pfundt d. für die Vergönstigung in seinem begehren willfahrt.
Zu Mghh. stellend, Ob Sie deßen Auffsatz alßo genehmhalten, und dabeÿ erkennen willen, daß selbiger in dieser formb expedirt und ged. Chappuy Zugestellet werden solle. Erk. quod Sic.
Jean Chapuis est autorisé à éteindre les 10 sols de loyer pour le droit de communication accordé en 1727 en payant un capital de 10 livres. Les Quinze délivrent une expédition de leur arrêt.
(p. 207) Sambstag d. 11. Maÿ 1737. Moss. Nôe Jean Chapuy b. und Liechtermachers allhier prod. Vnderth. Mem. pt° eines jährlichen oneris auff seinem hauß. Erkandt, Oberbawherren.
(p. 226) Sambstag d. 24. Maÿ 1737. – Jean Chapuy pt° ablößung 10. ß wegen einer thür
Iidem [Oberbawherren] laßen ferner per Eundem [Secret. Kleinclaus] referiren, daß Jean Chapuy burger und Liechtermacher allhier den 11. hujus ein Underthg. Memorial producirt, darinnen Vortragend, Es wurde Mgh. aus dem protocoll vom 4. Junÿ 1729 erinnerlich seÿn, wie daß Ihme, Imploranten, gn. erlaubt worden eine thür unden in sein Nebens hauß durch zubrechen jedoch daß er deßwegen Gemeiner Statt Pfenningthurn Zehen schilling jährlich bezahlen solle Es wurde aber solch jährlich onus Ihme, Imploranten, Zu beschwehrlich, undt wolte er die behaußung lieber freÿ haben, befinde er sich also genöthiget ehender ged. thür oder Oeffnung Zumachen Zu laßen, alß solche 10 ß jährlich abzurichten, Wann nicht Mghh. gnädigst gelieben wolten, solch onus Zu moderiren, undt auff ein leidentliches einmahl für allemahl Zu bezahlen, Zu setzen, geruheten, Mit demuthiger bitt Mghh. belieben möchten sothane jährliche Zehen Schilling in ein geringes und leidentliches auff einmahl Zu bezahlen, ex gratia Zu Verwandlen. Auff geschehene Weisung habe der Implorant sich auff den jnhalt seines Memorials bezogen.
Auff seithen der Hh. Deputirten vermeine man daß in die ablößung dieses oneris in alle weg gegen einmahliger bezahlung Zehen pfundt zu consentiren, anerwogen wann der Supplicant die thür wegen welcher deselbe jährlich 10 ß bezahle, wieder Zumauren laße, Gemeine Statt alßdann weder Capital noch Zinß mehr bekommen würde, dahienngen solchen falls Gemeine Statt das Völlige Capital à 5 pro Ct° beziehe und bekomme, jedoch stehe zu Mghh. was die erkennen wollen. Erkandt, bedacht gefolgt.
(p. 247) Montag d. 3. Junÿ 1737.
Bedacht – Sambstag d. 24. Maÿ 1737. In Sachen Jean Chapuy des burgers und Liechtermachers auff deßelben producires Unterthäniges Memoriale und bitten, die Ihme wegen einer unden in sein Nebens hauß durchgebrochene thür angesetzte, und jährlich Gemeiner Statt Pfenningthurn zu bezahlen habende Zehen schilling in ein geringes und leidentliches auff einmahl Zu bezahlen, ex gratia Zu Verwandlen. genommenen Bedacht, und der Oberbaw herren abgelegte relation ist Erkandt, Wird der Implorant gegen einmahliger bezahlung Zehen pfund. von diesem onere befreÿt.
Zu Mghh. stellendt, Ob sie auch deßen Auffsatz genehmhalten undt deßen expedition und extradition erkennen wollen. Erkandt, quoadsic.
1737, Préposés aux affaires foncières (VII 1397)
Les préposés aux affaires foncières visitent la maison de Jean Chapuis qui a demandé l’autorisation de réunir les deux maisons sous un seul toit qu’il vient d’acheter et de détacher de son ancienne maison un terrain où se trouve son atelier servant à fabriquer les chandelles en le réunissant à la nouvelle qu’il va construire.
(f° 117-v) Donnerstags den 28. Martÿ 1737. – Augenschein, Jean Chapuy
beÿ Jean Chapuy dem Liechtermacher in der Uttenhaß welcher beÿ Gnädigen Herren den XV. umb erlaubnus gebetten, Zweÿ neben seinem neüerbauten Wohnhauß allda habende, unter einem dach stehende Häußer, So Vor disem nur ein Hauß geweßen, und nochmahls Zu Zweÿen Getheillt und abgesöndert worden, abzubrechen und wieder eines auf den Platz Zubauen, und damit selbiges mehr tieffer bekommen möge, seine hinten daran Habende fonderie Zum Unschlittschmeltzen, welche Zu dem Von jhme bewohnten Hauß gehört, darzu zu ziehen und durch eine Scheidmaur Von diesem abzusöndern und Alle Communication abzuschneiden.
Nota ist ihme den 6. Aprilis 1737. beÿ Gnd. Herren den XV. gegen einmahliger bezahlung 10. lb willfahrt worden.
1779, Protocole de la tribu des Maçons (XI 240)
Les contrôleurs de maçons constatent qu’André Braulle fait faire des travaux (blanchissage et peinture, réparation d’une cheminée) par le journalier Jean Guillaume Finck sans avoir recours à un maître. André Braulle déclare que le journalier travaille pour lui au lieu de verser un loyer et qu’il ignore le règlement puisqu’il n’est pas bourgeois. Le Conseil l’exempte d’amende pour cette fois, condamne le journalier aux dépens et à la confiscation de ses outils mais lève aussitôt la condamnation eu égard à sa pauvreté.
(p. 459) Mittwochs den 30.ten ejusdem [Junii 1779] Klag – Vorbenannte E: E: Maurer Meisterschafft pro hoc anno geschworene Rügere ließen citiren Herrn Andream Braulle, ancien Controlleur du droit sur les Cartes alhier wohnhaft, und Johann Wilhelm Finck, den Tagner und Schirmer alhier, klagen wider dieselben, und Zwar vordersamst wider ihn Herrn Braulle, daß er in seiner behaußung ane der Uttengaß alhier durch einen Handlanger ohne Meister noch Gesellen Zweÿ Zimmer mit weicher Kreide und Leim waßer habe weißlen und in dem einen das Getäfel perlfarb anstreichen, auch einen Feurherd und Caminschoos ausbeßern, folglich Maurer arbeit verrichten laßen, so dann wider gedachten Finck den Tagner, daß er solche Arbeit gemacht und also gepfuscht habe, welches alles wider Ordnung, bitten daher beede beklagten den Articklen gemäß abzustrafen, dieselben solidarie in die Unkosten zu condemniren und das hinweggenommene Geschirr Zu confisciren.
Weilen aber Herr Braulle der eine beklagte nicht erschienen, sondern sich excusiren laßen, so wurde diese Sache auf künftige Gerichts; Session remittirt.
(p. 461) Freÿtag den 5.ten Novembris. Klag – Meister Johann Jacob Fäßler, Meister Johann Michael Gruber und meister Frantz Marx Spohrer, samtliche Maurer und Steinhauer meistere alhier, als E: E: hiesigen Maurer Meisterschafft pro hoc anno geschworene Rügere ließen Zum Zweÿten mal citiren Herrn Andream Braulle, ancien Controlleur du droit sur les Cartes alhier wohnhaft, und Johann Wilhelm Finck, den Tagner und Schirmer alhier, klagen wider dieselben, und Zwar vordersamst wider ihn Herrn Braulle, daß er in seiner behaußung ane der Uttengaß alhier durch einen Handlanger ohne Meister noch Gesellen Zweÿ Zimmer mit weicher Kreide und Leim waßer habe weißlen und in dem einen das Getäfel perlfarb anstreichen, auch einen Feurherd und Caminschoos ausbeßern, folglich Maurer arbeit verrichten laßen, so dann wider gedachten Finck den Tagner, daß er solche Arbeit gemacht und also gepfuscht habe, welches alles wider Ordnung, produciren demnach den desfalls errichteten Procesverbal vom 5.ten Junii Jüngst und bitten beede Beklagten den Articklen gemäß abzustrafen, dieselben solidarie in die Unkosten zu condemniren und das hinweggenommene Geschirr Zu confisciren.
Beeder Beklagte Zugegen seind der Anklag geständig, sagen aber Zu ihrer Verantwortung, und Zwar Herr Braulle daß Ihme, da Er kein hießiger Burger ist, die Ordnungen und Artickel dieser Ehrsamen Zunft unbewußt sind, daher er solche Arbeit durch den Mitbeklagten auf abschlag das an ihn zu fordern habenden Haußzinses habe machen laßen um Zu seiner Zahlung Zugelangen. Bemelter Johann Wilhelm Finck aber hat ihne diesen Fehler Zu verzeihen, indeme ihn seine äußerste Armuth dazu verleitet habe, und Er außer stand sich sehe, seiner schuldigen Haußzins abzurichten, Bitten demnach beede um absolutionem.
Erkannt, Seÿe beklagter Herr Braulle für dieses mal, in Ansehung ihme der Artickel unbewußt, von der Klag gäntzlich Zu absolviren, mitbeklagter Johann Wilhelm Finck hingegen in den aufgelaufene Unkösten ad 17. ß 8 d taxirt Zu condemniren und das hinweggenommene Geschirr Zu confisdciren. In Betrachtung aber seiner bedürftigten Umstände und Armuth wurde Ihme die Strafe ex speciali gratia erlaßen, Wobeÿ beÿden Beklagten injungirt worden, sich künftighin dem Artickel Zu conformiren, widrigenfalls Sie mit desto härterer Strafe angesehen werden sollen.
(Procès verbal, Zeugen 6 ß, Transport des Geschirrs 5 ß, 4. Citationes 2 ß 8, Büttel 4 ß, zusammen 17 ß 8 d)
Description de la maison
- 1726 (billet d’estimation traduit) 1726 la maison comprend plusieurs poêles, chambres, cuisines, chambre à soldats, atelier de potier avec son four, petit vestibule, le tout estimé avec ses aisances et appartenances à la somme de 750 florins
- 1742 (billet d’estimation traduit) La maison comprend à l’avant vers la rue une boutique de chandelier, à côté un poêle, une cuisine et un vestibule, une cave sous solives, dans les deux étages un poêle, une chambre, une cuisine et un vestibule, dans la mansarde sous le toit trois chambres, greniers dalles, le bâtiment arrière comprend au rez-de-chaussée un poêle, une chambre à cheminée, une cuisine et un vestibule, passage avec deux dépenses, au premier et au deuxième étage un poêle, une chambre à cheminée, une cuisine et un vestibule ainsi que deux dépenses, sous le toit logement d’officier comprenant un poêle, une chambre et une dépense pour le domestique, un long couloir, le comble renferme un grenier dallé, estimé pour ce qui est du bâtiment arrière posé sur un terrain de 45 pieds sur 17 pieds ½ à 400 florins, pour ce qui est des deux autres bâtiments, un à l’avant et un à l’arrière, à la somme de 3 000 florins
Relevé d’actes
La maison appartient au début des années 1620 au potier Daniel Fiedell.
Le potier Gaspard Schweickhard loue la maison au boulanger Georges Lentz
1622 (xv. Septembris), Chancellerie, vol. 446 f° 337
(Inchoat. in Prot. fol. 248.) Erschienen Caspar Schweÿckhard d. Kachler burger Zu Straßburg
hat bekhandt vndt In gegenwärtigkheit Georg Lentz des weÿßbeckens burgers Zu Straßburg offentlich verÿehen
das er Jme vonn ermeltem Geörg Lentzen ein gantz Jahr so vff Weÿhenachten Jetz nechst Khünfftig Angehen vnd nit fürbaß desselben Geörg Lentzen behaußung Inn d. St. St. Inn d. Vten gassen & geleg. entlehnet Vnd bestand. hette, für vnd vmb ein Jährlich Zinß Nemmlich xviij ln Straßb.
Georges Lentz devient ensuite propriétaire de la maison. Originaire de Dettwiller, il épouse en juillet 1601 Ursule Siebenhorn, fille de meunier, et devient bourgeois le mois suivant
Mariage, Saint-Pierre-le-Jeune (luth. f° 149)
1601. Jerg Lentz von Detweiler ein Beck, Ursula Wolf sibenhorns des müllers hind.lassene Tochter. Eingesegnet Zinst. 28. Julÿ (i 78)
1601, 2° Livre de bourgeoisie (4 R 104) p. 799
Georg Lentz vonn Dettweiler der Beckh empfangt d. B: Von Ursula w: Wolff Sibenhorn deß Müllers seligen dochter will Zun Becken dienen vnd 100 fl für sein v.mogen angeben.Act. 11.t August.
Les enfants et héritiers de Georges Lentz vendent la maison 400 livres au potier Jean Gaspard Ursch
1638 (27. Decembris), Chambre des Contrats, vol. 480 f° 890
(Protocollat. fol. 137. f. 2.) Erschienen weÿ: Georg Lentzen geweßenen Weißbecken vndt burgers Zu Straßburg see. nachgelaßene Erben: auch deren Ehe: vnd Vögt mit namen Georg Lentz der Jünger Weißbeck undt hanß Lentz, hauptkann vf der Gartner Vnder Wagner Zunfft stuben, beede gebrüedere für sich selbsten, Mehr herr Georg Mahler Würth Zum Gerttenfisch, hanß Oberle Weißbeck, undt hanß Werner Würth Zum Engel, alß Eheuögt Catharinæ, Barbaræ vndt Annæ Lentzin, So dann Er hanß Werner, alß geordneter Vogt Ulrich Lentz (verkaufft)
hanß Caspar Urschen dem Kachler auch burgern alhie, so Zugegen, ihme & Kauffe
hauß undt Hoffstatt, mit allen and. ihren gebäwen & gelegen in der Statt Straßburg, Jenseit der Breüschen in der Vttengaßen einseit neben herrn D. Johann Georg Bechten anderseit neben Christoff Sprießen, dem huetmacher, hinden vff ernannten herr D. Bechten Scheür stoßend – für und umb 400. lb
L’acquéreur hypothèque le même jour la maison au profit du commissaire priseur Christophe Goldbach
1638 (27. Xbris), Chambre des Contrats, vol. 480 f° 892
Erschienen hanß Caspar Ursch der Kachler, burger zu Straßburg
hat in gegenwärtigkeit Christoph Goldbachen der Statt Straßburg geschwornen Käufflers bekannt – schuldig seÿe 25. lb. Str.
dafür in specie Vnderpfand sein soll hauß undt Hoffstatt, mit allen and.en ihren gebäwen & alhie Jenseit der Breüschen in der Vttengaßen gelegen, einseit neben herrn D. Johann Georg Bechten & Christoff Sprießen, dem Huetmacher, hinden vff ernannten H. D. Becht. stoßend, so Zuuor verhafftet vmb 350. lb rest am Kauffschilling weÿ: Georg Lentzen deß Weißbecken alhie see: Erben
Fils d’un aubergiste de Pfaffenhoffen, Jean Gaspard Ursch se marie en 1638 avec Barbe Steigenbock, fille de boulanger, qui avait épousé en 1636 le potier Jean Adam Rammel.
Mariage, Saint-Pierre-le-Jeune (luth. p. 218)
1636. Dom. III. Trinitat. 3. Julÿ. Hanß Adam Rammel von Schwäbisch Hall d. Kachler, Balthasar Rammels gewesenen Kachlers v. burgers daselbst Sohn v. J. Barbara Levini Steigenbecks gewesenen weißbecken v. burgers nachgelaßene tochter. Cop. II. Julÿ J. S. Peter (i 111)
Mariage, Saint-Pierre-le-Vieux (luth. f° 41-v)
1638. Hanß Caspar Ursch d. Kachler Hanß Ursch des Würths Zue Pfaffenhoffen nachgelaßener Sohn, Barbara Hans Adam Rummel deß Kachlers alhie nachgelaßene Wittib. 4. Junÿ (i 43)
Jean Gaspard Ursch devient bourgeois trois semaines après son mariage
4° Livre de bourgeoisie p. 176
Hannß Caspar Urs d. Kachler Von Pfaff. hoff. Empfangt d. Burgerrecht von Barbara Weÿl. Hanß Adam Rumels geweßenen Kachlers vnd Burg. Alhie seel. hind.laßene Wittib vmb 8 goldguld. Wüll Zu den Maurern Zunfftig sein den 27. Junÿ 1638.
Jean Gaspard Ursch hypothèque la maison au profit de la fille du charpentier Jacques Müller
1645 (29. Decembr.), Chambre des Contrats, vol. 494 f° 655-v
Erschienen Hannß Caspar Vrsch, Kachler Vnd Burger alhie
hatt in gegensein Mariæ Magdalenæ, Jacob Müllers, deß Zimmermanns nachgelaßener dochter Vogts Hannß Georg Schantzen, deß Buchbinders alhie bekannt – schuldig seÿe 25. lib
dafür in specie Vnderpfand sein soll, Hauß Vnd Hoffstatt, mit allen deren Gebäwen alhie in der Rudengaßen neben H. D. Johann Georg Bechten seel. Wittib Und Erben ein Vnd anderseit neben Christoph Spließen deß Huetmachers seel. Wittibin hinden vff vorgemelts H D. Bechten Gärtlin stoßend gelegen, so zu Vor Verhafftet Vmb 150. lib. Kauffschillings Rest Georg Lentzen deß ältern geweßenen Weißbeckhen alhie seel. Erben, so dann Vmb 25. lb. obgedachten Hannß Georg Schantzen
[in margine :] Erschienen Johann Elbert der Kachler alß Ehevogt hierinngemelter Mariæ Magdalenæ Müllerin, hatt in gegensein Barbara Steigenbockhin deß debitoris ehelicher haußfrawen (quittung) Act. d. 14. Janu. A° 1651.
Georges Lentz cède un capital qui lui reste dû suite à la vente de la maison à Jean Gaspard Ursch
1646 (7. febr.), Chambre des Contrats, vol. 497 f° 69-v
Erschienen Georg Lentz der Weißbeck
hatt in gegensein H Hannß Wörners Würths Zum Engel
vor ohngefährd 1 ½ Jahren cedirt und übergeben habe, einen sechsten theil, ihme gebührend, ahne 200. lib so hannß Caspar Ursch der Kachler, vermög der am 27. Xbr. a° 1638. in der Cancelleÿ Contractstub vffgerichteter Kauff Verschreibung Zur Zeit solch. Cession schuldig verblieben ist, und dann einen sechsten theil ahne d Behaußung, so Marx Rueff der Kachler Zwar hiebevor von denen gesampt. Lentzisch. Erben erkaufft, Sie die Erben aber weg. mangel d. Zahlung wid. durch die Ganth ahne sich gezogen hetten – p. 90 Rthlr
Jean Gaspard Ursch hypothèque la maison au profit du relieur Jean Georges Schantz
1647 (ut supra [10. Martÿ]), Chambre des Contrats, vol. 498 f° 198-v
Erschienen Hannß Caspar Ursch der Kachler Vnd Burger Zu Straßburg
in gegensein Hannß Georg Schantzen deß Buchbinders auch burgers alhie – schuldig seÿe 25. lib
dafür in specie Vnderpfand sein soll Hauß vnd Hoffstatt, mit allen deren Gebäwen alhie ienseit der Preüsch in der Uttengaßen einseit neben H Johann Georg Bechten dero recht. Doctoris Und deß hochlöbl. Kaÿß. Cammer Gerichts Zu Speÿer geweßenen Advocati seel. Wittib und Erben & neb. Christoph Sprießen seel. Erben hinden vff ernannts H Bechten seel: wittib Und Erben Gart: stoßend gelegen, so Zuvor noch verhafftet ist umb 25. lib Ihne Schantzen selbsten, Mehr vmb 25. lb Mariæ Magdalenæ Müllerin sein Schantzen Vogts dochter Vnd dann vmb 75. lb Kauffschillingß rest obgedacht. Lentzischen Erben
Veuve de Jean Gaspard Ursch, Barbe Steigenbock se remarie en 1652 avec le farinier Georges Siler. Originaire de Wettringen près de Rothenburg sur la Tauber, le meunier Georges Siler a épousé en premières noces Salomé Müller, femme divorcée du farinier Melchior Meyer, et a accédé à la bourgeoisie une semaine après son mariage en s’inscrivant à la tribu de la Lanterne
Mariage, cathédrale (luth. p. 408)
1638. Dominica Jubilate 15. April. Görg Sÿler der Müller Von Wetteringen beÿ Rotenburg an der Tauber Michel Syler burger daselbsten n. sohn, Vndt Salome Melchior Meÿer des Meelmanns Vndt geweßenen burgers alhie durch den Ordentlichen Eherichter geschieden, Eingesegnet Mont. 23. April (i 209)
1638, 4° Livre de bourgeoisie p. 174
Georg Sÿler der Müller von Rottenburg an der Tauber Empfangt d. burgerrecht von seiner haußfrawen Salome Müllerin weÿl. Hanß Jacob Müllers des Rothgießers seel. hinderlmaßener tochter vmb 8. goldt fl. würdt Zur Lucernen dienen. Jur. d. 30. Aprilis 1638.
Mariage, cathédrale (luth. f° 546, n° XXXIII)
1652. Dom. 6. Trin. 25. Julÿ. Geörg Siler der burger Vnnd Mehlmann alhier vnndt Barbara, weilandt Johann Caspar Ursch des burgers vnndt Kachlers alhier hinderlaßene Wittib. d. 2. Aug. Münster, Fischerstub, zum Ochßen (i 294)
Le farinier Jean Siler et sa femme Barbe achètent une pension à l’Hôpital
1662 (18. Martÿ), Chambre des Contrats, vol. 527 f° 183
Erschienen H. Daniel Freÿ als Oberschreiber deß Mehrern hospitals, hatt
in gegensein Georg Silers deß Meelmanns
bekannt, daß die Hh Pflegere besagten hospitals, Ihme Silern und sein Eheweib Barbaram vff dero bitt, Zu mittelpfündern, im mehr gedachten hospital auffgenohmen, daß Sie, darinn ihr lebtag nach der mittel Pfründer ietzig. gleichwohl also underhalten werden, daß sie Zugleich die Jenige Stub und Kammer welche H M Braun seel: inn gehabt genieß: Auch täglich weiß brot, in der woch ein mahl ein stückh Gebratens und auf freÿtag ein eß. fisch haben, hiengeg. sie beÿde Eheleuthe, dem Hospithal, für solche Pfrund 500 Pfund erstatten, wie auch zweÿ halbe bett, einer stangenbettlad und ein klein bettlädlein (…) ahne gemelten 500. lib. 200. lib albereÿt bahr erlegt, und die übrige 300. lib vff ihr beÿder Eheleuth alhie in der Vtengaßen gelegene, nunmehr ahne Balthasar Haanen den Müllern verkauffter Behaußung
Georges Siler et sa femme Barbe vendent la maison au meunier Jean Balthasar Hahn et à sa femme Anne Catherine
1662 (24. Martÿ), Chambre des Contrats, vol. 527 f° 194-v
(Protocoll.) Erschienen Georg Siler, und Barbara sein Eheweib
in gegensein Hannß Balthasar Haanen deß Müllers und Annæ Catharinæ seines Eheweibs
hauß und hoffstatt mit allen deren Gebäwen, Begriffen, Zugehördten und Gerechtigkeiten alhie in der Utengaßen, einseit neben H. Johann Melchior Saxen U.I.D. & Instit. Profess., anderseit neben Frantz von hüffßheim dem hutmach. hinden uff gemelten H. dr. Saxen stoßend gelegen – umb 325 Pfund
Jean Balthasar Hahn et Anne Catherine Lauth, assistée de son père meunier Wendelin Lauth, hypothèquent la maison au profit du Chapitre Saint-Thomas au nom duquel son receveur Jean Jacques Moseder. En marge, quittance accordée en 1675 aux enfants du farinier Jean Frédéric Linck, alors propriétaires.
1662 (20. 7.br), Chambre des Contrats, vol. 527 f° 509-v
Erschienen Hannß Balthasar Haan der Müller, und Anna Catharina sein Eheweib, und Sie Anna Catharina mit beÿstand Wendling Luten deß Müllers ihres eheleiblich. Vatters Wie auch Wolfgang Sÿbenhorns deß Müllers und hannß Jacob Jundten deß Weißbeckhen ihrer Vettern
in gegensein herrn Johann Jacob Moseders alß E.E. Collegiat Stiffts Zu St. Thomä bestelten Schaffners – schuldig seÿen 200. lb /:darunder 100 lib Zu Völliger bezahung der hierund. beschriebenen behaußung bereits am 2.t. hus. cum acto de insistendo, und die übrige 100. lb. heut dato bahr Vorgelühen worden seÿen:/
Unterpfand sein soll hauß hoffstatt mit allen deren Gebäwen, begriffen, Zugehördten, Rechten und Gerechtigkeiten alhie in der Vtengaßen einseit neben H Johann Melchior Saxen U.I.D. et Inst. Imper. Profess. anderseit neben Frantzen Von Hüpßheim dem huetmacher, hinden uf gemelter H. Dr Saxen stoßend gelegen
[in margine :] (…) in gegensein Herrn Hermann Kämpffers deß Lederhändlers alß Vogts hannß Friderich Linckhen deß Meelmanns Kinder alß ietziger besitzer hierinn gemelter behaußung (quittung) Act. 16. 7.br 1675
Jean Balthasar Hahn vend la maison 250 livres au farinier Jean Frédéric Linck
1664 (27. 8.bris), Chambre des Contrats, vol. 529 f° 528
(Prot. fol. 52) Erschienen hannß Balthasar Haan der Müller
in gegensein hannß Friderich Linckh deß Meelmanns
hauß und hoffstatt mit allen deren Gebäwen, Begriffen, Zugehördten und Gerechtigkeiten alhie in der Utengaß. einseit neben H Johann Melchior Saxen U.I.D. v. Instrit. Imper. Profess anderseit neben Frantzen von Hupffeßheim den huetmachern, hind. vff gemelten H. Saxen stoßend gelegen, welchen Behaußung umb 200. lib. dem Stifft St. thoman verhafftet (übernohmen) – umb 50 Pfund
Fils du meunier de la Habermühl, Jean Frédéric Linck épouse en 1632 Sara Damon
Mariage, cathédrale (luth. p. 309)
1632. Doîca Jubilat. 22. April. Friderich Linck der Müller Friderich Lincken deß Habermüllers sohn, J. Sara Hans Ludwig Damonn. tochter. eingesegnet Zinstag den 15. Maÿ (i 159)
Proclamation, Saint-Pierre-le-Jeune (luth. f° 126) 1632. Eadem [Dom. Voc. Jucundat. 6. Maÿ] Friderich Linck j. Müller Friderich Linck deß eltern v. habermüllers ehelicher Sohn, vnnd J. Sara H. Hans Ludwig Damons gewesenen burgers alhie nachgelaßene Tochter. Cop. 15. Maÿ Im Münster (i 65)
Leur fille Anne Marie épouse en 1677 Jean Susé, originaire de Lyon
Mariage, cathédrale (luth. f° 51-v, n° 79)
1677. Dom. 1. Adventus. Zum 2 mahl H. Suse Von Lyon Weÿl. Peter Suse geweßenen Paßmentmacher alda nachgelaßener ehel. Sohn, Jfr. Anna Maria Weiland Friderich Linck gewesenen Mehlmanns u. burgers alhie nachgel. ehel. T., Donnerstags den 13.10.bris (i 53)
Jean Susé et sa femme Anne Marie hypothèquent la maison au profit de Marie Madeleine Biccius
1680 (10.1.), Chambre des Contrats, vol. 549 f° 30-v
Jean Suse undt Anna Maria beÿdte Eheleuth derer nahrung gemein undt theÿlbahrt seÿe
daß Sie Jgfr. Mariæ Magdalenæ Biccin schuldig seÿen, 25. lb
unterpfand, der Vierdte theÿl ahn einer behausung und deren gebäwen und Zugehördten allhier in der Rewerin gaß einseit neben weÿl. Johann Johann Melchior Sachß V.J.D. et Ino tit: Profess. publ. nunmehr seel. nachgelaßenen Erben, anderseit neben weÿl. Frantz Von Hipßheim des huotmachers nunmehr seel. nachgelaßener Wittibin, hinden uff ged. Saxische Erben stoßend gelegen
Anne Marguerite, femme de l’apprêteur de tabac Chrétien Adler, vend le quart de la maison au profit de l’appariteur Jean Susé
1685 (20. 10.br), Chambre des Contrats, vol. 555 f° 571-v
Anna Margaretha Christian Adlers deß tabackbereiters eheweib mit beÿstand deßelben
in gegensein Jean Suse deß Geistlichen Rhatspedellen und Schirmbs Verwanthen – maßen Er dann uff den am 15. 10.bis iüngsthien Obrigkeitlich ertheilt. Consens festiglich gekaufft zuhaben geständig war
einen Viertentheil ahne einer behaußung, hoffstatt, sambt allen übrigen deren Gebawen, begriffen, Weithen, Rechten, Zugehördten und Gerechtigkeiten allhier in der Uttengaß einseit neben weÿl. H. Johann Melchior Saxen Prof: Juris beÿ hießiger löbl. Universität nachgelaßener wittib, anderseit neben Frantz Von Hipßen deß Hutmachers Seel. Erben, hinden uff obgedachte Saxische behaußung stoßend gelegen – umb 115. fl.
Les Conseillers et les Vingt-et-Un autorisent Jean Susé qui n’est ni manant ni bourgeois et dont le seul revenu provient de sa place auprès du vicaire général à acquérir une part de maison de sa belle-sœur. La commission rapporte que la maison est en mauvais état.
1685, Conseillers et XXI (1 R 168)
Johannes Susé. 202. 205. [der geistlichen Rath pedell wegen einer behaußung in der Rauerer Gaß]
(p. 202) Montags den 10. Xbris 1683 – G. nôie Johannes Susé des geistlichen Raths pedell alhier, Will etliche Antheil ane einer behaußung, in der Reuerer Gaß gelegen daran ohne das seine frau participirt, An sich erhandlen, bitt umb gn. erlaubnuß. Werden Zu einziehnung fernern berichts deputirt Herr XXI. Mockel, Herr Mollinger
(p. 205) Sambstags den 15. Xbris 1685. Herr XXI. Mockel, Und Herr Rathh. Mollinger referiren, Sie Auffgetragener Commission Zufolg dasjenige hauß, daran Jean Susé Noch einige Antheil An sich erkaufen wolte, besichtigt, daßelbige seÿe in der Rueuerin Gaß harth An dem Saxischen Hauß gelegen, Von schlechtem wert, ohnerachtet es Sie dießem Umb 500. fl. erkaufft worden. Gedachter Jean habe bereits einen Vierdten theil uxorio nomine daran, und wolte seiner frauen Verheurathete Schwester ihme ihren Antheil Umb 115. fl. überlaßen, die Zweÿ Noch ledige Geschwistern aber wolten ihren halben theil ohnabgelößt behalten, der Käuffer seÿe weder burger, Noch jm schirm, Auch Keinen Anden dienst als daß er beÿ dem Herrn General Vicario als pedell Aufzuwerthen habe. Zu Mghh stellend, was Sie hierinnen erkennen wollen. Erk. Willfahrt.
Herr XXI. Mockel, Herr Mollinger.
Les héritiers Linck dont Jean Susé et sa femme Anne Marie Linck vendent la maison 262 livres au potier Jean Georges Ruff et à sa femme Anne Marguerite Notter
1687 (13. 9.br), Chambre des Contrats, vol. 557 f° 640-v
Erschienen H. Jean Susé Schultheiß Zu Bischoffsheim am Saum und Anna Maria gebohrne Linckin, So dann Johann Philipp Bechtold, der Huthmacher, alß Vogt Weÿl. Friderich Lincken gewesenen Mehlmanns hinderlaßenen Sohns und tochter ([unterzeichnet] Jeannsuse Prevot de biche)
in gegensein hans Georg Rueffen, deß Kachlers und Annæ Margarethæ gebohrner Notterin
eine Behaußung und hoffstatt sambt allen deren gebäyen begriffen, weithen Zugehördten Rechten und Gerechtigkeit allhier in der Vttengaß, einseit neben weÿl. H. Johann Melchior Sachßen gewes. U.J. Doctoirs & Professoris allhier hind.laßene wittib und Erben anderseit neben Daniel von Hipßen dem Huthmacher, hinden auff vorbesagte Sachsische Behausung stoßend gelegen – umb 262 pfund
[in margine :] Erschienen herin gemelte beede Susische eheleuthe, so dann Anna Margaretha gebohrne Linckin Christian Nadlers deß Tabacbereiters haußfr. mit beÿstand deßelben, beede theile im nahmen deß hierinnged. Linckischen sohns so in d. frembde deßen Nahrung Sie beede außge* beÿ E: E: Kleinen Rhat wie auch im nahmen Saræ Linckin so ledigen standts aber majorennisn haben in gegensein deß Käuffers (quittung) den 20. Jun: 1690
Les acquéreurs hypothèquent le même jour la maison au profit de la fille mineure du potier municipal Georges Nussbaum. En marge, quittance remise à Paul Heyer en 1697
1687 (13. 9.br), Chambre des Contrats, vol. 557 n° 642
hans Georg Rueff, der Kachler und Anna Margaretha gebohrne Notterin deßen eheliche haußfrau und zwar dieselbe mit beÿstand hans Georg Schlegels deß Küblers und Georg Friderich Spangenbergs deß buchbinders ihres respect. Mutter bruders und leiblich. Schwagers
in gegensein H. Christian Kuhnen, deß Schreiners alß Vogts Anna Maria weÿl. H. Georg Nußbaums gewesenen Statt Kachlers hinderlaßener Tochter – schuldig seÿen 196 pfund Ihnen Zu erkauffung nach beschriebenen Unterpfands
unterpfand, Eine Behaußung und hoffstatt & perge auß vorstehend. Verschreibung
[in margine :] der hierinngemeldten Annæ Mariæ Nußbaumin der Creditricis welche ledig verstorben, hinderlaßen Erben nahmentlich erstlich von wegen Elisabethæ gebohrner Rueffin deroselben Steiffmutter und Ex testamento Erbin, anietzo Johannis Bauren deß Anckerwürths Eheliche haußfraun welche ohnpäßlichkeit halben nicht außgeh. kan vorgedachter deroselb. Ehevogt mit beÿstand deß hierin gemeldt. Hn Kuhnen dero vormahligen Vogts, H Johann Henrich Buck der Schreiner alß Ehevogt Annæ Mariæ Stegmännin und hans Georg Litsche der hohltreher alß ehevogt Barbaræ Wagnerin, hans Philipß Gsell der Schneider und Maria Ursula Gsellin deß. Schwester anietzo hans Jacob Litschen deß Zeugschmids eheliche haußfrau haben in gegensein Hn Paul Heÿers, deß Kachlers und ietzmahlig. besitzers deß Und.pfands (quittung) den 26. Febr. 1697
Les héritiers de la fille mineure du potier municipal Georges Nussbaum s’accordent au sujet du capital assis sur la maison
1689 (21.2.), Chambre des Contrats, vol. 560 f° 104
Anna Maria Steegmännin Hannß Henrich Bucken deß Schreiners Eheweib, Andreß Steegmann der Schreiner für sich selbst, so dann Catharina Steegmännin Michel Däninger deß Schreiners haußfr. ahn einem,
Elisabeth Ruffin hannß Christoph Wagners deß Hohltrehers Haußfr. mit beÿstand deßelben am andern und beede theÿle mit assistentz H. Sebastian Röderers und H. Hannß Georg Ehrlen beede E.E. Großen Rhats beÿsitzer (verglichen)
[unterzeichnet] Anna Maria buckin, Hannß Heinrig Buckh, Andtres Steg Man, C., Michel dähnichen, E.W., Hanß Christoph Wagner, Sebastian Röderer, Hanß Görg Ehrlen
demnach Weÿl. Georg Nußbaum der Haffner und Barbara gebohrne Huberin deßen Haußfr. in einem durch Weÿl. H. Johann Georg Retzlob Not. Seel. in Anno 1666. uffgerichteten Testamento Nuncupativo §. 5. Ihr eintzige tochter Maria Nußbaumin /:iedoch mit dießer Condition daß Wann selbige ohne Leibß Erben versterben würde alß dann Anna Maria Fischerin mit weÿl. andreß Steegmann auch Schreiner Seel. hinderlaßene obgemelte dreÿ Kind. subrogirt sein sollen:/ Zue Erbin eingesetzt, und Aber Sie Maria Nußbaumin Ledigen standts zwar verstorben, aber in Anno 1687. in einem Von H. Benedicto Großen Not. aufgerichteten Testamento Nuncupativo fr. Elisabetham Nußbäumin gebohrner Rueffin deren Stieffmutter Zu Ihrer Erbin instituirt und eingesetzt habe, Weren Sie hierauff ein process beÿ E: E: Großen Rhat gerathen endlich aber under sich mit einand. dahien guthlichen auff Volgende Weiß, zu abschneidung fernerer verdrüßlichen processes verglich. und solchen Vergleich nachgehend beÿ volgend. Raths obrigkeitlich confirmiren laßen,
Nemblich und zum Ersten soll gemelte Elisabetha gebohrne Ruffin 100 guld. Capital so hannß Georg Rueffin der Kachler Von seiner in d. Uttengaß gelegenen behaußung ahn einer mehrern Summ schuldig zum vorauß habe und dann Versproch Sie deroselben, die Vormahls Maria Nußbaumin gebührende vätter: und mütterliche Legitimam od. dritte theÿl der Verlaßenschafft durch alle rubriquen zu kommen zu laßen, Hingegen soll Sie Elisabetha ahne deren von ged. Maria Nußbaumin Verschaffte legaten denen Legatariis 120 Gulden bahr außzahlen
Les créanciers de Jean Georges Ruff ont été mis en possession le 4 juin 1695 de la maison avec faculté de rachat pendant deux ans. Ils la vendent en septembre au potier Paul Heyer et à sa femme Ursule Rantzmer.
1695 (26. 7.br), Chambre des Contrats, vol. 567 f° 562-v
Barbara geb. Wagnerin, Johann Georg Litschen, deß hohltrehers haußfrau, Anna Maria geb. Stegmännin, Henrich Bucken, deß Schreiners haußfrau, Ferner Johann Philippß Gsell, der Schneider, So dann Maria Ursula G’sellin deß. Schwester, hans Jacob Litschen, deß bohrenmachers und Zeugschmids haußfrau, und Sie alle auch im Nahmen Jacob Wagners, deß Schneiders und ietzmahlig. Officier zu Liuorno
in gegensein Paul Heÿers, deß Kachlers, und Ursulæ Rantzmarin
hauß und hoffstatt, samt allen deren Gebaüen, weith. Zugehördt. recht. und Gerechtigkeit allhier in der Uttengaß, einseit neben weil. H. Johann Melchior Sachßen gewesenen U.J. D. Profes. sel. hind. laßen Fr. witt. und Erb. anderseit neben Anna Maria wagnerin, Johann Haubenstricker deß Pastetenbecks hind. auff besagte Sachßische behaußung stoßend geleg., welche behaußung annoch umb 49 lb (verhafftet), freÿ ledig und eÿg., inmaßen dieselbe auff die am 4.ten Junÿ dießes Jahrs beschehehe Expulsion hans Georg Rueffen, deß Kieffers, Ihnen an d. gantz heimgeschlag. word. Ist demnach solcher Verkauff und Kauff über die angegebene beschwerde, welche die Kauffende Eheleuthe übernommen, auch mit vorbehalt deß exequrt. Rueffen biennÿ reluitionis, Zugegen und geschehen für 325 pfund
[in margine :] (…) in gegensein Jean Chapuis des Liechtermachers alß Kaüffers und jetzigen proprietarÿ hier beschriebener behaußung, den 29. dec. 1728
Les acquéreurs hypothèquent le même jour la maison au profit du potier Jean Brunner
1695 (26. 7.br), Chambre des Contrats, vol. 567 f° 564-v
Paul Heÿer, der Kachler, und Ursula Rantzmarin und Zwar dieselbe mit beÿstand H. Johann Michael Rebhan und H. Josiæ Städels, beede E.E. Großen Raths beÿsitzer und hierzu insonderheit deputirte
in gegensein Johannis Brunners, deß Kachlers, schuldig seÿen, 100 pfund, daß die damit hernach beschriebene hypothecirte behaußung hab. erkauf. und d. Angeld damit bezahl. Können
unterpfand, hauß und hoffstatt p perge auß immediate vorstehend. Verschreibung
Fils d’un laboureur de Sélestat, le potier Paul Heyer et sa fiancée Ursule Rantzmer, native de Diessen am Ammersee en Bavière, acquièrent le droit de bourgeoisie en s’inscrivant à la tribu des Maçons
1691, 3° Livre de bourgeoisie p. 1080
Paulus Heÿer der haffner Von Schlettstatt gebürtig Weÿl. Geörg heÿers geweßen Ackermanns daselbst hinterlaß: sohn, erkaufft das burgerrecht Vor sich, Vnd seiner Verlobten Ursulam Ratzmerin, Von Closterdießen auß baÿern gebürtig, weil: hannß Rantzmers des geweßenen Ackermanns daselbst hinterl: tochter p. 6 Gold fl. 16 ß. so Er bereits auf dem Pfenningth: erlegt hat, seind beede noch ledigen standes, Vnd werden Zu E.E. Zunfft der Maurer dienen. Jur: d 15. 7.bris 1691.
Paul Heyer devient tributaire chez les Maçons
1690, Protocole de la tribu des Maçons (XI 232)
(f° 212) Mittw. 20.t 7.br. 1691 – Neu Zünfftiger
Paulus Heÿer der haffner Von Schlettstatt producirt gehörige Documenta krafft deren Er umb das Zunfftrecht gegen erlag der Gebühr, ansuchen thäte, Erkandt wird besagter maßen sollicitanten willfahrt, erlegt darauff vor E.E. Zunfft Zu ihrer gebühr 1. lb 5 ß d undt auff den Pfgth 1 lb. d so dann die Zschbr und büttel 4 ß.
Paul Heyer épouse Ursule Ratzmer
Mariage, Saint-Pierre-le-Vieux (cath. p. 69)
Die prima Octobris An. 1691 Honestus Juuenis Paulus Heÿer Selestadianus et pudica virgo Ursula Rantzmerin ex Closterdisem ex Bavaria præhabita unica proclamatione cum dispensatione (…) Matrimoio iuncti sunt (signé) Pauluß heÿer, + (i 55)
Ursule Ratzmer meurt en 1710 en délaissant deux enfants. Le veuf déclare n’avoir pas passé de contrat de mariage. Les experts estiment 550 livres la maison qui est hypothéquée pour une somme supérieure à cette valeur. L’actif de la succession s’élève à 17 livres, le passif à 124 livres.
1710 (13.5.), Not. Goldtbach (6 E 41, 229) n° 68
Inventarium und Beschreibung aller der Jenigen Hab und Nahrung, so weÿland die Viel Ehren und tugendsame Fraw Ursula Heÿerin gebohrne Rambsnerin, deß Wohl Ehrenvesten und Weißen Herrn Paul Heÿers deß Hafners und E: E: Kleinen Raths alhier jetzmahligen Assessoris, gewesene Eheliche Haußfraw, nunmehr seel. nach Ihrem den 18.ten Martÿ dieses fortlauffenden 1710.ten Jahrs, aus dießer welt genommenen tödlichen hintritt zeitlichen verlaßen, welche Verlaßenschafft auf freundliches ansuchen erfordern und begehren deß Ehren: undt vorachtbahren Herrn Johann Stratzen deß Schreiners und b. alhier, alß geordnet und geschworenen Vogts Johannj und Mariæ Franciscæ, der Heÿer, der abgelebten Frawen seel. mit obgemeltem herrn Paul Heÿern, Ihrem hinterlaßenen herrn Wittiber, Ehelich erzeugter Kinder und ab intestato hinterbliebener Erben (…) Actum Straßburg den 13.ten Maÿ Anno 1710.
Bericht Wie dieße Verlaßenschafft Zu inventiren. Demnach ich der adhibirte Inventir: Notarius den Eingang gegenwärtigen Inventarÿ Verfertigt gehabt, so habe den hinterlaßenen herrn Wittiber befragt, ob nicht Zur Zeit der Verheürathung einige Ehe pacta auffgerichtet worden seind und Je eines dem andern Unveränderte Mittel in die ehe zugebracht habe, Warauf derselbe, mir, Crafft abgelegter handtrew, geantworttet, daß Sie Keine Eheberedung auffgerichtet, massen dazumahl Kein theil nichts ane Nahrung gehabt, Auf solch mir dem Notario ertheilten bericht nun habe ich vermög hiesiger ordnung die gesambte Verlaßenschafft, Vor theilbar Inventirt.
In seiner alhie Zu Straßburg ane der Uttengaß gelegener und in dieße Verlaßenschafft gehörigen behaußung befunden worden, Wie folgt
In der Soldaten Cammer, In deß gesellen Cammer, In der obern Stub
Eigenthumb ane einer Behaußung. It. eine hauß und Hoffstatt s. allen deren Gebäuwen, Weithen, Zugehörden, rechten und gerechtigkeiten gelegen alhier Zu Strb. in der Uttengaß, eins. neben herrn Moritzen dem Frantzösischen Liechtermacher, 2. s. neben Mstr Johann Römern, dem Jüngern Nagelschmid und hinden auf besagte Moritzische behaußung stoßend, welche gesambte behaußung annoch Mstr. Heinrich Bucken dem Schreiner und b. alhier umb 100. lb d Mehr dem Closter zu den Reweren St Mariæ Magdalenä Vm 128. lb 17 ß 11 d, Sodann herrn Rathherr Rebhaans seel. hiderlaßener Fraw Wittib 75 lb d verhafftet, und durch der St. Strbg. geschworene Werckmeister den 13. Maÿ Anno 1710. æstimirt worden pro 275. lb. Wann nun dießer anschlag von obiger beschwerden abgezogen werden solte, so befindet sich daß die Capitalien so auf der behausung stehen, dem anschlag übertreffen umb 28. lb 12 ß, derowegen in auswurf zu bringen o. Über dieße behausung besagt 1. teutscher pergament. Kaufbrieff mit der Statt Strbg. angangendem Cantzleÿ Contract Innsiegel verwahrt datirt den 26. 7.bris A° 1695.
Werckzeug Zum haffner handwerck gehörig, wie auch gerbrand: und ungbrand Geschirr. die gesambte Werckzeug Zum hafner handwerck gehörig, wie auch etwas wenig gebrandt: v: ungebrandte Geschirr ist durch H. Johann Adam Acker den Statt Kachler und E: E: Groß, Raths alten Beÿsitzern, æstimirt worden per 6. lb
(Scheda) S: T.herrn Paulus heÿer werck Zeuch. betreffet ist der selbige benantlich in dem haubt Stucken 2 scheiben ein müll sambt Und schiedlich mödel Zu einem offen Zu machen, 30 häffin bretter Vndt Vnterschiedliche allerhandt Kleine sachen was sonsten noch Zu handwerck gehörig auch gebrendt vndt un gebrennt geschirr auch noch etwaß wenich weiß undt roth Erdt alles zusammen gerechnet 6 lb [unterzeichnet] Joh: Adam Acker
Norma hujus Inventarÿ. Sa. haußraths 11, Sa. Werckzeugs 6 lb, Sa. Eigenthums ane einer behaußung, Nihil, Summa summarum 17 lb – Schulden 124 lb, die Passiva übertreffen die vorhandene Activ: Nahrung 107 lb
Abschatzung den 13. Maÿ 1710. Auff begehren deß Ehrenhafften vndt bescheidenen herrn Rathh: Paulus Heÿer Kachler ist eine behaußung allhier in der Statt Straßburg in der Uttengaßen Gelegen einseith neben Johann Renner dem Nagelschmidt, Anderseith neben herrn Moritz dem Liechtermacher, hinden auch auf Vorgedachten Liechtermacher stoßendt, Welche behaußung undt Gebälckter Keller, sambt alle Ihrer Recht. und Gerechtigkeiten Jetzigem Preiß nach angeschlagen wird Vor: und umb Fünff hundert und Fünffzig Gulden. Bezeuchnüß durch der Statt Straßburg Geschworne Werckhleuth, [unterzeichnet] Jacob Staudacher werckh Meister des Maurhofs, Johann Jacob Osterrieth Werck Meister deß Zimmer Hoffs.
Assesseur au Petit Sénat, Paul Heyer se remarie avec Marie Ursule Cœllner, fille d’un potier de Sélestat : contrat de mariage, célébration
1710 (3.6.), Not. Goldtbach (6 E 41, 231)
Verglichene Heuraths Puncten Zwischen dem Wohl Ehrenvest und Weißen herrn Paul Heÿern, dem Hafnern und E. E. Kleinen Raths jetzmahligen beÿsitzer, beÿständlich Herrn Johann Strantzen deß Schreiners und burgers alhier deßen Kinder Vogten und
der Viel Ehren und Tugendsahmen Jungfrauen Mariæ Ursulæ Cöllnerin Weÿl. Herrn Johann Caspar Cölners gewesenen hafners und b. Zu Schlettstatt hinterlassen Tochter beÿständlich herrn Christian Bärthelins des Küefers und b. Zu Schlettstatt Ihres Curatoris v. H. Hans Jacob Newstöckels deß Weißbecken und burgers alhier
Beschehen in der Königlichen Freÿen Statt Straßburg den 3.ten Junÿ A° 1710. [unterzeichnet] Pauluß Heÿer alß hochzeiter, + der Jfr. hochzeiterin handzeichen
Mariage, Saint-Laurent (cath. p. 3)
Die 9° Junÿ 1710 a me infra scripto parochi sacro matrimonÿ vinculo copulati sunt Viduus Paulus Heÿer civis argent. cum pudica virgine Maria Ursula Kellnerin Selestadiana (signé) Pauluß Heÿer, signum sponsæ x
Marie Ursule Cœllner fait dresser l’inventaire de ses apports qui s’élèvent à 156 livres
1710 (3.6.), Not. Goldtbach (6 E 41, 229) f° 69
Summarische Designation der Jenigen Nahrung so Jungfrawen Maria Ursula Cöllnerin, Weÿl. herrn Johann Caspar Cöllners, geweßenen Haffners und burgers zu Schlettstatt nunmehr seel. hinterlaßener dochter /:welche sich an Herrn Paul Heÿer den hafner und E: E: kleinen Raths jetzmahligen beÿsitzern, verheurathen wird:/ Eigenthümlichen zuständig, welche dieselbe beÿständlich Hn Christian Bärthelins deß Küefers und burgers Zu gedachttem Schlettstatt, Ihres Curatoris (…) angegeben
Sa. haußraths 50
Item einen tritten theil ane einem garthen Vor der Statt Schlettstatt 25
Item ein tertz ane einem halb acker Veldt 6
Und dann in Capital 75 lb – Summarum 156 lb
Actum Straßburg den 3. Junÿ Anno 1710.
Marie Ursule Cœllner (Kellner) devient bourgeoise un mois après son mariage
1710, 4° Livre de bourgeoisie p. 778
Maria Ursula Kelnerin, Von Schlettstaht, Weÿl. Joh. Caspar Kellner hew. schaffnern daselbst tochter empfangt das burgerrecht Von Ihrem Mann Paul Heÿer p. 2. gold fl. 16 ß Wird beÿ den Maurern dienen. P. 19. Dito [Julÿ 1710]
Paul Heyer meurt en 1726 en délaissant deux enfants de son premier mariage et deux du deuxième. Les experts estiment la maison 375 livres. La masse propre à la veuve s’élève à 130 livres, celle des héritiers à 39 livres. L’actif de la communauté s’élève à 45 livres, le passif à 156 livres.
1726 (10. Xbr), Not. Lang l’aîné (Jean Daniel, 25 Not 13) n° 151
Inventarium über Weÿl. des Ehrenvest, Wohlvorgeacht und weißen Herrn Paul Heÿers, gewesenen Haffners u. E: E: Kleinen Raths alten beÿsitzers auch burgers allh. nunmehr seel. Verlaßenschafft, auffgerichtet Anno 1726.
Inventarium und Beschreibung aller derjenigen Haab, Nahrung und Güther, so Weÿl. der Ehrenveste, Wohlvorgeacht und weiße Herr Paul Heÿer, gewesener Haffner u. E: E: Kleinen Raths alter beÿsitzer auch burger alh. nach deme derselbe den 24. 8.bris jüngst Von dem l. Gott auß dieser Zeit und Welt abgefordert worden, Zeitlichen hind. sich verlaßen, welche Verlaßenschafft auf freundliches ansuchen erfordern u. begehren deßelben in 2. Ehen erzeugter Kinder u. ab intestato Zu gleichen antheilen v.laßener Erben wie auch d.selben respectivé Hh. Assistenten und geschwornen Vogts aller gleich dem Eingang dießes Inventarÿ benambset, inventirt durch die Ehren: und tugendsame Frau Mariam Ursulam Heÿerin gebohrne Cöllnerin, die hinterbliebene Wittib, mit beÿstand des Ehren und Vorgeachten Meister Johann Melchior Schröder haffners u. burgers allh. deroselben geschwornen Vogts, wie auch den Sohn u. Tochter erster Ehe selbsten – So beschehen in Strb. Dienstags den 10. Xbr: A° 1720.
Der abgeleibte H. Heÿer seel. hat Zu Erben ab intestato Verlaßen wie volgt. 1. Johann Heÿer und 2. Mariam Franciscam Heÿerin, diese beede in erster Ehe mit Weÿl. Fr. Ursula gebohrner Rambßerin längst seel. erzeugt Kinder, so bereits majorennes und dahero ohnbevögtigt, mit assistentz deß Wohl Ehrenvest und Rechts wohlgelehrten H, Philipp Jacob Marbachs Notarÿ publicj et practicj dem geschäfft persönlich erschienen beÿgewohnet.
3. Mariam Salome und 4. Mariam Catharinam die Heÿerin diese beede in Letzter Ehe mit Eingangs gedachter Maria Ursula gebohrner Cöllnerin der hind.bliebenen Wittib erzeugte Kinder, deren geschwornen, Vogt der Ehren u. Vorgeachte H. Joh: Georg Kießler, Rothgerber und burger alh. welcher im nahmen seiner beÿden Vogt perohnen hiebeÿ Zugegen ware. Also alle Vier des abgeleibten seel. in Zwoen Ehen erzeugte Kind u. ab intestato Zu gleichen Antheilen verlaßene Erben
In seiner alhie Zu Straßburg ane der Uttengaß gelegener u. hernach beschriebener behaußung befunden worden, Wie volgt
Schrein und Höltzenwerck. In der Wohnstuben, In der Stub Cammer, In der Kuchen, In der Hindern Kuchen Cammer, In der Soldaten Cammer, Auf der Bühn, Im Keller
Werckzeug Zum Haffner Handwerck gehörig. Dieser ist durch Mstr Georg Andream Huck dem burger und haffner alh. angegeben und æstimirt worden wie volgt
(T.) Ertl. 2. a. Scheiben pro 1 lb
2. a. Mühlen, 1 lb
Vor Rothe Erd, 6 ß
Vor Weiße Erd, 7 ß 6
Vor 46. Haffen bretter, 6 ß
Vor allerleÿ Kleinigkeiten ständl. hammer und d.gleichen, 7 ß 6
Vor die Mödel, 15 ß
Vor gebrannnte Kachlen, 15 ß
1. a. Klingelstein s. dem stößel, 3 ß
Vor gebrannt Geschirr, 1 lb 15 ß
Vor 1 eiß. schierstang, 4 ß
Vor 5. lb Kupffer äsch, 5 ß
Ergäntzung der Wittib ohnveränderten Guths. Vermög Extractus aus Mstr Johann Jippon geweßenen haffners und burgers Zu Schlettstatt und auch weÿl. frauen Mariæ Magdalenä gebohrner Steinmetzin, deßelben ehelicher haußwürthin, der Wittib respectivé Stieff Vatters und eheleibl. Mutter seel. Verlaßenschafft haubt Inventario de dato 18. Martÿ 1709. über die Ihro erblich zugefallennen Posten, durch H. Rumpler gerichtsschreiber und Königl. Notarium allda gefertiget (…)
Eigenthumb ane einer Behaußung (E.) eine Behaußung u. Hoffstatt mit allen deroselb. Zugehörden, begriffen, Weith. Rechten u. Gerechtigkeiten gelegen alh. Zu Strb. ane d. Uttengaß, 1. s. neben François Verney dem lichtermacher 2. s. neben Jean Japÿ auch liechtermacher, hinden wider auf denselben stoßend, So über hernach gemelte daroben stehede Capitalia eig. und durch (die Werckmeister) v.mög d.oselben ad Conceptum gelüfferten schrifftl. Abschatzung vom 20. 9.br: 1726. Vor freÿ ledig u. eig. angeschlagen pro 375. lb
Wavon wied. wegzurechnen Erstl. so man Mstr. Heinrich Bucken dem Schreiner und burger alh. ane Capital Jährl. auf Michael. mit 4. lb 17 ß 6 d Zinßl. schuldig, 97. lb 18 ß 4, Mehr so man dem Closter Zur Reüerin Stæ Mariæ Magdalenæ in Haubtguth jeweilen auf Jacobi mit 10. lb d Zinßbar schuldig 125. lb, Und dann so man Weÿl. frauen Susannæ Rebhanin seel. hind. laßen Erben ane Cap. jährlich auff Michael mit 3 lb 15. ß Verinteressirlich Zu entrichten 75 lb. Machen dise 3. auf Vorbeschriebener behaußung hafftende Capitalia zusammen 297 lb 18 ß 4 d. Nach d. abgang v.bleibt ane deren anschlag annoch 77 lb 1 ß 8 d. Waran vor die dem Verstorb. seel. u. nunmehr deßen Erben gebührige 2/3 theil dißorths außzuwerffen 51. lb 7 ß 9 1/3
die übrige tertz ist dem Sohn und tochter erster Ehe vor Mütterl. Guth gebührig auch hernach f° (-) fac (-) des abgeleibten seel. Lebtägig genoßenem Wÿdumb einverleibt befindlich. Wie dieße behaußung wehrendern Ersten Ehe erkauffet worden, weißet 1. teutscher pergament. Kauffbrieff mit d. Statt Strb. angangend. Cantzleÿ Contract Insiegel v.wahrt dat. 26. 7.br 1695. Dabeÿ noch 2. alte teutsche pergament. Ganth und Respectivé Kauffbrieff mit E. E. Kl. raths wie auch vorgemeltem Contract Innsiegel bekräfftiget, datirt d. 6.ten Aprilis A° 1695. und 13. 9.br 1687. alle 3. mit jetzigem N° 1 bemerckt.
Series rubricarum hujus Inventarÿ. Der Wittib unveränderte Nahrung, Sa. haußraths 10, Sa. gold. Rings 4 ß, Sa. Schuld 25, Sa. ergäntzung (95, Abgang 10 ß, Compensando) 95, Summa summarum 130 lb
Hierauff nun wird auch der Erben ohnverändert Guth beschrieben, Sa. Eigenthums an einer behaußung 51, Sa. Ergäntzung 25, Summa summarum 77 lb – Schulden 37, Nach deren Abgang 39 lb
Endlichen wird auch das gemein, Verändert und theilbar Guth beschieben, Sa. haußraths 38, Sa. Werckzeugs Zum haffner handwerck gehörig 7 lb Summa summarum 45 lb – Schulden 156 lb, In Vergleichung 110 lb
Gantze nach abzug der Passivorum restirende Verlaßenschafft 93 lb
Wÿdemb, Welchen der Verstorbene Herr Heÿer wegen Johannis und Mariæ Franciscæ der Heÿer seiner beeden Kindern erster Ehe gegen derselben education und alimentation bis an sein seeliges Ende genoßen
Solcher bestehet, Erstl. in dem dritten theil ane der hievorn fol. (-) fac (-) et seqq. beschriebenen behaußung und deren Zugehördten in der Uttengaß alhier gelegen, deren dasigen anschlag nach über abzug der obensteheder Capitalien zu hiehero gehörigem rato antreffend 25. lb
Copia der Eheberedung (…)
Abschatzung d. 20.t. 9.bris aô 1726. Auff begehren Wÿland de Ehren hafft und bescheidenen H. Johann Paulÿ Heÿer gewesenen Kachlers seel. hinter laßene Fraw Wittib und Erben ist eine behausung allhier in der Statt Straßburg in der Rutten gaßen gelegen, einseits Neben Frantz Wernÿ Liechtermacher, anderseits Neben und hinden auf Johannes Schaby liechtermacher stosend, welche behausung Stuben Cammren, Kuche, Soldaten Cammer, Kachler Werckstatt, mit einem offen, ferner bren ofen und hauß Ehrlein sambt aller gerechtig Keit wie solches durch der Statt Straßburg geschwornen Werckleithe sich in der besichtigung befunden und Jetzigem preiß Nach angeschlagen wird Vor und umb. Sieben Hundert und Fünffzig gulden. Bezeichnuß durch der Statt Straßburg geschworene Werckleuthe [unterzeichnet] Michael Ehrlacher Werck Meister deß Meinsters, Johann Jacob Biermeÿer Werck Meister deß Zimmerhoffs, Johann Peter Pflug Werckmeister deß Mauer hofs
Les enfants et héritiers de Paul Heyer vendent la maison 550 livres à Jean Chapuis, déjà propriétaire de la maison voisine (actuel n° 12)
1728 (29.12.), Chambre des Contrats, vol. 602 f° 565-v
weÿl. Paul Heÿer gewesten haffners und deßen ersterer Ehefrau weÿl. Ursula geb. Rantzmarin erzeugt und hinterlaßenen beede Kinder nahmens Johannes Heÿer ledigen standts so majorennis und ohnbevögtigt zu sein versicherte und Fr. Maria Francisca geb. Heÿerin Johann Martin Hörle des haffners Ehefrau, so dann ged. Heÿers in zweÿter Ehe mit Fr. Maria Ursula geb. Kellnerin deßen hinterbliebenen wittib erzeugt und hinterlaßenen zweÿer Kinder Maria Salome und Maria Catharina der Heÿer geschworner Vogt Joseph Diller der Schneider mit zuziehung der Curandi Mutter und dero Curatoris Johann Melchior Schröder haffners
in gegensein Jean Chapuy des Liechtemachers, unter dem 1.t hujus ergangen: und obrigkeitlich confirmirten versteigerung
Eine Behausung und hoffstatt mit allen derselben gebäuden, begriffen, weithen, zugehörden, Rechten und gerechtigkeiten ahne der Uttengaß, einseit neben dem käuffer selbst anderseit neben Claude francois Vernier auch Liechtermacher hinten auff bemeldten kauffenden Chapuy – den Kindern erster ehe zu 8/12 theil den beÿden Kindern letzter ehe aber zu 4/12 – um 320 pfund verhafftet, geschehen um 229 pfund
Les maisons sont décrites à l’inventaire dressé en 1743 après la mort de Jean Chapuis.
Marie Duportail veuve de Jean Chapuis hypothèque les trois maisons contiguës au profit de la fondation ottonienne pour pouvoir remettre à son beau-fils Guillaume Chapuis sa part d’héritage
1744 (28.7.), Chambre des Contrats, vol. 618 f° 423-v
Fr. Marie geb. Duportail weÿl. Jean Chapuis des Lichtenmachers wittib mit beÿstand H. Frantz Ernst Cons des schaffners des Stiffts St Margaretha und vogt, daß sie mit obigem vorschuß ihrem stieffsohn Guillaume Chapuis wegen seinen vätterlichen erbgut ausweißen wolle
in gegensein S.T. H. Johann Friedrich Hammerer regierenden H. Ammeister XIII und scholarchæ als Obmanns der Ottonischen stifftung und S.T. H. Elias Christoph Lantz Jcti und hiesiger Stadt Consulenten als administratoris – schuldig seÿe 1000 pfund
unterpfand, erstlich dreÿ neben einander stehende behausungen samt deren höffen und hoffstätten auch übriger zugehörden ane der Uttengaß, einseit neben H. Georg Dorffer dem kieffer anderseit ist ein eck ane einem Allmendgäßlein hinten theils auff der Fischer Zunfftstub gelegen
mehr eine behausung, hoff, bronnen und hoffstatt cum appertinentis auff der Esplanade beÿ denen rothen häußern gegen den backöffen über, einseit neben François Delay dem wirth anderseit neben weÿl. Johann Melchior Klein des huffschmids erben hinten auff eben dieselbe
Marie Anne Gasque veuve de Jean Chapuis hypothèque les trois maisons contiguës au profit du receveur de l’orphelinat Jean Frédéric Heupel
1747 (23.12.), Chambre des Contrats, vol. 621 f° 879
Fr. Maria Anna geb. Gasque weÿl. Jean Chapuy des lichtenmachers wittib mit beÿstand ihres vogts H. Frantz Ernst Cons des schaffner des Closters zu St Margarethen
in gegensein des Stiffts Waÿßenhaußes schaffners H. Johann Friedrich Heupel – schuldig seÿen 300 lb
unterpfand, dreÿ häußern nebeneinander samt deren höffen und hoffstatt auch übrigen zughörden ane der Uttengaß, einseit neben Johann Georg Dörffer dem kieffer, anderseit ist ein eck am allmend gäßlein, hinten theils auff das Fridische stammhauß theils auff der Fischer zunfft stub
Marie Anne Gasque hypothèque les trois maisons contiguës au profit de l’employé à la halle Jacques Hector Gombault
1752 (24.4.), Chambre des Contrats, vol. 626 f° 199
Fr. Maria Anna geb. Gasque weÿl. Jean Chapuy gewesten lichtermachers wittib mit beÿstand ihres vogts H. Rathh Frantz Ernst Cons des schaffners des Closters zu St Margaretha und dero sohn H. Jean Pierre Louis Chapuy mit beÿstand seines curatoris ad lites H. Johann Friedrich Heupel des waÿßenschaffners
in gegensein H. Jacob Hector Gombault des beamten hiesigen Kaufhauß – schuldig seÿen 225 pfund
unterpfand, dreÿ häußer nebeneinaner samt deren zugehörden und rechten ane der Uttengaß, einseit neben Johann Georg Dörffer kieffer, anderseit ist ein eck ane einem Allmend gäßlein, hinten theils auff den Fridischen stammhauß theils auff die Fischer zunfft
Les maisons sont décrites à l’inventaire dressé en 1757 après la mort de Marie Gasque dite Duportal.
Jean Laurent Barbier et Marie Marguerite Agnès Chapuis hypothèquent plusieurs immeubles au profit du notaire Jean Daniel Schweighæusser
1763 (14.6.), Chambre des Contrats, vol. 637 f° 294-v
H. Jean Laurent Barbier employé dans les affaires du Roy und Maria Margaretha Agnes geb. Chapuis mit beÿstand H. Frantz Antoni Kellermann E. E. großen raths beÿsitzers und H. Ferdinand Blauw des medicinæ doctoris und practici
schuldig seÿen H. Not. Johann Daniel Schweighäußer – 250 pfund
unterpfand, primo einen vierten theil ane dreÿ nebeneinander liegenden behausungen ane der Uttengaß, einseit ist ein eck ane einem allmend gäßlein, anderseit neben N. Dörffer dem kieffer, hinten auff E. E. Zunfft der fischer
den vierten theil ane einer behausung cum appertinentis ane den rothen häußern auf der Esplanade, einseit neben H. Rathh. Delaÿ, anderseit neben N. Lobstein dem biersieder, hinten auff denselben
eine quart ane einer behausung cum appertinentis ane dem Rooßengäßlein, einseit neben den Vaudinischen erben, anderseit neben H. Gourmand, hinten auff Georg Kübler den weißbecken
Autre hypothèque entre les mêmes
1763 (17.9.), Chambre des Contrats, vol. 639 f° 474-v
H. Ferdinand Blauw medicinæ doctor und practicus und Maria Theresia geb. Chapuis mit beÿstand H. Jean Louis Barbier des employé dans les affaires du roy und H. Rathh. Frantz Antoni Keller E. E. kleinen raths beÿsitzers
in gegensein H. Not. Johann Daniel Schweighäußer – schuldig seÿen 100 pfund
unterpfand, 1. einen vierdten theil vor unvertheilt von und ane dreÿen nebeneinander liegenden behausungen ane der Uttengaß, einseit ist ein Eck ane dem Allmend gäßlein, anderseit neben N. Dörffer dem kieffer, hinten auff E. E. Zunfft der Fischer
ferner einen vierdten theil vor unvertheilt von und ane einer behausung cum appertinentis beÿ denen rothen häußern auf der Esplanade, einseit neben H. Rathh. Delaÿ, anderseit neben N. Lobstein dem biersieder, hinten auff eben denselben
so dann einen vierdten theil vor unvertheilt von und ane einer behausung cum appertinentis ane dem Roßengäßlein, einseit neben den Vaudinischen erben, anderseit neben H. Gourmand, hinten auff Georg Kübler den weißbecken
Nouvelle hypothèque entre les mêmes
1765 (22.6.), Chambre des Contrats, vol. 639 f° 456
H. Ferdinand Blauw medicinæ doctor et physicis zu Oberkirch und Maria Theresia geb. Chapuis mit beÿstand ihres bruders H. Jean Pierre Cahpuis des geographe und H. Rathh. Frantz Antoni Kellermann E. E. kleinen raths beÿsitzers
in gegensein H. Not. Johann Daniel Schweighäußer als mandatarii Jfer Mariæ Magdalenæ Hubmeÿerin – schuldig seÿen 100 pfund
unterpfand, 1. einen vierdten theil vor unvertheilt von und ane dreÿen nebeneinander liegenden behausungen ane der Uttengaß, einseit ist ein Eck ane dem Allmend gäßlein, anderseit neben N. Dörffer dem kieffer, hinten auff E. E. Zunfft der Fischer
ferner einen vierdten theil vor unvertheilt von und ane einer behausung cum appertinentis beÿ denen rothen häußern auf der Esplanade, einseit neben H. Rathh. Delaÿ, anderseit neben N. Lobstein dem biersieder, hinten auff eben denselben
so dann einen vierdten theil vor unvertheilt von und ane einer behausung cum appertinentis ane dem Roßengäßlein, einseit neben den Vaudinischen erben, anderseit neben H. Gourmand, hinten auff Georg Kübler den weißbecken
Le géomètre Jean Pierre Louis Chapuis et sa femme Marguerite Louise Kellermann hypothèquent leur quart de maisons au profit de Marguerite Barbe Hubmeyer
1765 (13.9.), Chambre des Contrats, vol. 639 f° 615-v
H. Johann Peter Louis Chapuis des geometre und Margaretha Louise geb. Kellermännin mit beÿstand ihres vatters Frantz Antoni Kellermann E. E. kleinen Raths dermahligen beÿsitzers und Louis Kellermann des lieutenant lieutenant au régiment d’Anhalt
in gegensein H. Not. Johann Daniel Schweighäußer als mandatarius Fr. Margarethæ Barbaræ Wittwe Herichin geb. Hubmeÿerin – schuldig seÿen 150 pfund
unterpfand, 1. ein vierdter theil vor unvertheilt ane dreÿen nebeneinander liegenden behausungen cum appertinentis ane der Uttengaß, eins. ane einem allmend gäßel,
ferner ein vierdter theil vor unvertheilt von und ane einer behausung cum appertinentis beÿ den rothen häußern auf der Esplanade,
so dann ein vierdter theil vor unvertheilt von und ane einer behausung cum appertinentis ane dem Roßengäßlein
Les héritiers Chapuis cèdent leurs parts de deux maisons rue Sainte-Madeleine (la troisième, actuel n° 12, ayant été vendue la même année au menuisier Jean André Lux) à leur sœur Marie Dorothée Chapuis moyennant 4 400 livres. L’acquéreuse s’engage à faire faire une porte d’entrée au logement qu’occupe son frère Jean Louis Chapuis
1767 (14.10.), Not. Humbourg (6 E 41, 128)
furent presens le Sr Jean Louis Chapuis Geometre demeurant en cette ville, le Sr Ferdinand Blau Docteur en medecine pour et au nom de De Marie Therese Chapuis son Epouse, Et le Sr Jean Laurent Barbier Trésorier du Regiment Suisse de Pfeiffer au nom de De Marie Marguerite Agnès Chapuis Son Epouse (…) d’une part
Et Dlle Marie Dorothée Chapuis leur sœur et belle sœur fille majeure d’ans usante et jouissante de Ses droitsn demeurant en cette ville, assistée, pour plus grande Validité de ce qui suit, du Sr François Antoine Kellermann assesseur au Senat, cy present, et qu’elle en a requis, d’autre part,
Lesquels ont dit, qu’entre autres Immeubles à eux Echus par le deceds de leurs pere et mere ils possedent deux maisons Scituées en cette ville l’une à côté de l’autre dans la rue Ste Madeleine, le Sr Dörffer Marchand de vin d’une part, le Sr Lux menuisier d’autre, Et par derrier la Tribu des Pecheurs, ils sont convenus que celuy d’entre eux quise trouverait vouloir en donner le plus en demeurant adjudicataire par forme de partage et licitation à l’amiable, et S’etant assemblés à cet effet le Jour d’hyer il s’est trouvé qu’après plusieurs mises et encheres faites de part et d’autre personne n’a voulu Surencherir la mise faite par lad. Dle Marie Dorothée Chapuis d’une somme de 17.600 livres, Et fut arreté que lesd. maisons Seroient laissées à lad. De Marie Dorothée Chapuis comme plus offrante et derniere encherisseuse – Lad. De Marie Dorothée chapuis retiendra une somme de 24 livres sur lesd. 17.600 livres a quoy elle a fait monter le prix total de la totalité desd. deux maisons et moyennant ladite somme Elle fera faire à ses frais une porte d’Entrée à celle desdites deux maisons qui est actuellement occupée par ledit Sr Chapuis mais lors du partage definif desd. Successions paternelle et maternelle ell ne tiendra aucun compte de ces 24 livres a ses frere et soeurs (procuration Barbier, demeurant presentement a Metz rue de la Crette paroisse St Gengoulf)
enregistré à la Chambre des Contrats, vol. 641 /2, f° 574 le 26 octobre 1767
Marie Dorothée Chapuis épouse en 1772 François André Braulle, contrôleur du droit sur les cartes : contrat de mariage, célébration
1772 (7.8.), Not. Haering (6 E 41, 1378) n° 619
(Contrat de mariage) fut present le sieur François André Braulle, Controlleur du Droit sur les Cartes fils majeur de defunt le Sr George Henry Braulle, en son vivant Employé dans le affaires du Roy et de feu Delle Felicité Geistodin son Epouse ayant demeuré dans cette ville d’une part
Et Demoiselle Marie Dorothée Chappuis fille majeure d’ans de feu le sieur Jean Chappuis en son vivant Marchand Chadelier et bourgeois domicilié en cette dite ville et de feu Delle Marie Anne Gasque Ses pere et Mere assistée du Sr Luc Schaaff Juriste demeurant dans lad. Ville de Strasbourg d’autre part
Fait lû et passé à Strasbourg cejourd’hui 7° aoust 1772 (signé) Braulle, chapuis
Mariage, Saint-Laurent (cath. 319)
Hodie 11. Augusti Anni 1772 (…) sacro Matrimonii vinculo in facie Ecclesiæ Conjuncti fuerunt Dns Franciscus Andreas Brolle Argentinensis in negotiis regiis occuptus, filus legitimus majorennisis et orphanus Dni Georgii Henrici Brolle in negotiis regiis olim occupati et Dnæ Felicitatis Geisdodin conjugum defuctorum ab Anno in parochia nostrâ commorans et Dlla Maria Dorothea Chapuis etiam Argentinensis, filia legitima majorennis et orphana defuncti Domini Joannis Chapuis civis quondam argentinensis et Mariæ Annæ Gasque conjugum defunctorum parochiana nostra. Testes Aderant Dns Joannes Petrus Ludovicus Chapuis Sponsæ frater civis hujas (signé) Braulle, chapuis (i 162)
François André Braulle loue une partie de la maison au profit du marchand épicier Joseph Rosetti
1792 (22.2.) Strasbourg 11 (3), Not. Anrich n° 230
Mr François André Braulle Receveur de le Lotterie cour de France, Bail et loyer d’argent pour 8 années consecutives qui ont commencé à courir à la St Michel dernier
à Mr Joseph Rosetti citoyen et marchand épicier
dans la Maison dudit Braulle sçise rue de la Magdeleine N° 26 consistante ladite Location dans un poel au Rez de chaussée donnant sur la rue dont le Sr Bailleur se charge de faire percer à ses frais une arcade, la munir d’une porte bien conditionnée et de faire murer celle qui donne dans l’allée a droite pour servir de Boutique au Sr preneur, Plus dans une Cuisine derrière ladite Boutique prenant son jour sur la cour dont le Sr preneur disposera pour sa commodité (…), Plus dans une chambre attenant à la boutique y ayant Communication, Plus dans une Cave dont le Sr bailleur fera agrandir L’entrée dont le Sr preneur aura seul la Jouissance, le Vestibule au dessus de ladite Cave doit être libre pour L’entrée et la Sortie des autres Locataires, Plus dans deux pièces au premier Etage attenants prenans Jour sur la rue, Plus dans une Cuisine donnant sur la cour, Plus dans deux chambres à la Mansarde, Le Grenier sera en commun avec un second Locataire et le Sr Preneur Jouira en outre de toutes les autres aisances locatives comme puits, Bouanderie – moyennant un loyer annuel de 300 livres
enregistré le 22 février
Inventaire après décès d’un locataire, le négociant François Joseph Rosset
1807 (20.2.), Strasbourg 15 (17), Not. Lacombe n° 300
Inventaire de la succession de François Joseph Rosset négociant décédé le 13 janvier dernier – à la requête de Jeanne Hürstel la veuve tutrice naturelle d’Auguste Charles leur fils mineur 4 ans, et de Joseph Brentano négociant subrogé tuteur dudit mineur – en présence de Catherine Hügel domestique de la maison
dans le logement du défunt rue de la Madeleine n° 26
meubles, argenterie 2570 fr, marchandises 10.395 fr, numéraire 736 fr, créances 4926 fr, créances 1137 fr, total de l’actif 19.765 fr, passif 47.275 fr, apports et reprises 14.400 fr, total 61.675 fr
Enregistrement de Strasbourg, acp 102 F° 25-v du 2.3.
André Braulle et Dorothée Chapuis louent une partie de la maison à Marie Jeanne Hürstel veuve de François Joseph Rosset
1809 (18.7.), Strasbourg 15 (10), Not. Lacombe n° 1022
Bail de 12 années qui commencent à la St Michel 29 sept. prochaine – André Braulle, caissier des articles d’argent à la poste aux lettres de cette ville, et Dorothée Chapuis
à Marie Jeanne Hürstel veuve de François Joseph Rosset négociant
En la maison des Sr et De Braulle sise en cette ville rue de la Madeleine n° 26, d’un côté les héritiers de la veuve Krenztinger d’autre le Sr Doerfer tonnelier derrière le caffé du Sr Reymann, le tout au rez de chaussée tant de la maison de devant que de celle entre deux cours, des ailes adjacentes et du fond de la seconde cour consistant en deux pièces et cuisine a côté de la boutique, la boutique, comptoir, allée attenante les divers magasins, écurie, appartenances et dépendances avec la seconde cour ainsi que les trois pièces et la cuisine formant le rez de chaussée occupé actuellement par le Sr Schmid dans la maison entre deux cours de manière que tout le rez de chaussée dans tous les bâtiments quelconques soient compris dans le présent bail avec les appartenances et dépendances exprimées ou non cy dessus. En outre dans la maison de devant tout le premier étage consistant en 6 pièces 3 cuisines et l’allée au second étage, les deux pièces, chambre et allée à côté du logement actuel occupé par le Sr Milty père, toutes les chambres en mansardes et les greniers excepté la chambre occupée actuellement par le Sr Milty père, les deux caves attenantes l’une à l’autre, les deux caves dans la maison de devant excepté les deux enclos dans l’une d’elles occupés par la De Poirot et le Sr Villars en outre la cave qui est sous la maison entre les deux cours à l’exception de la partie qui est occupée actuellement par le Sr Milty père – moyennant un loyer annuel de 1037 francs ou 1050 livres tournois
Enregistrement de Strasbourg, acp 113 F° 5 du 24.7.
Marie Jeanne Hürstel cède son bail au négociant Donat Marchal
1811 (24.12.), Strasbourg 15 (14), Not. Lacombe n° 2314
Cession – Marie Jeanne Hürstel veuve de François Joseph Rosset ayant un commerce d’épicerie en cette ville
à Donat Marchal négociant
cede le fond de commerce d’épicerie qu’elle fait en cette ville tel qu’il est établi rue de la Madeleine n° 26 avec toutes les marchandises tel que le tout se trouvera exister a l’époque du 14 avril 1812 à estimer par des experts
le bénéfice du bail qu’elle tient de M André Braul et Dorothée Chapuis propriétaires de la maison pour l’espace de 9 ans et demi que le bail aura encore à courir pour 1037 francs de loyer
Enregistrement de Strasbourg, acp 118 F° 145-v du 30.12.
Consentement au mariage de leur fils
1813 (27.1.), Strasbourg, Not. Knobloch
Consentement – André Braulle propriétaire à Strasbourg et Dorothée Chapuis au mariage de Charles Alexandre Hyppolite audit lieu avec Marie Anne Fischer
Enregistrement de Strasbourg, acp 121 F° 113 du 29.1.
François André Braulle et Marie Dorothée Chapuis font dresser l’inventaire de séparation
1814 (24.8.), Strasbourg 11 (18), Not. Thurmann n° 2765
Inventaire de séparation, François André Braulle ci devant caissier de la poste aux lettres et Marie Dorothée née Chapuis, par jugement du 9 août dernier
propres de la femme, deux maisons l’une a côté de l autre rue de la Madeleine tenant alors au Sr Dorffer marchand de vin d’autre Sr Lux menuisier derrière Tribu des Pêcheurs
de la maison faubourg de Pierre n° 95 – communauté, meubles 1269 fr
Enregistrement de Strasbourg, acp 125 f° 84 du 3.9.
Inventaire après décès d’une locataire, Marie Claire Pougnet femme du négociant Joseph Jacques Antoine Delcominette
1821 (22.5.), Strasbourg 8 (32), Me Roessel n° 7860
Inventaire de la succession de Marie Claire Pougnet femme de Joseph Jacques Antoine Delcominète, négociant décédée le 18 janvier dernier – à la requête du veuf, commun en biens en vertu du contrat de mariage passé devant Me Meister à Colmar le 6 avril 1818 père et tuteur légal de Claire Joséphine 2 ans et Françoise Catherine décédée le 11 février 1821 – en présence de Charles Marie Dagobert Pougnet substitut du procureur du Roi près le tribunal civil de première instance de Colmar, subrogé tuteur
dans une maison en cette ville rue de la Madeleine n° 26
propres, mobilier 4792 fr, garde robe 692 fr, bijoux 154 fr, reprises 8400 fr, ensemble 14.038 fr
communauté mobilier 992 fr, marchandises 11.829 fr, créances 4956 fr, numéraire 300 fr, ensemble 18.077 fr, passif 16.721 fr
Enregistrement de Strasbourg, acp 152 F° 146 du 24.5.
Propriétaire de la moitié de la maison, Charles Alexandre Hyppolité Braulle meurt en 1827
1827 (15.5.), Strasbourg, Me L’Ange
Inventaire de la succession de Charles Alexandre Hyppolité Braulle, employé à la poste aux lettres décédé le 5 mars dernier – à la requête de la veuve Marie Anne Fischer en son nom et mère et tutrice légale de Eugène Emile et Henri Hyppolite
mobilier 541 fr, créance 228 fr
la moitié d’une maison rue de la Madeleine n° 26 estimée 5000 fr ; passif 1608 fr
Enregistrement de Strasbourg, acp 184 F° 14 du 21.5.
Les enfants de Charles Alexandre Hyppolité Braulle louent une partie de la maison au mécanicien Guillaume Becker
1825 (2.7.), Strasbourg 7 (70), Me Stoeber n° 831
Bail de 3 ans à commencer le 29 septembre prochain – Emilie Braulle, fille majeure, Hipolite Braulle, employé à la poste aux lettres
à Guillaume Becker, mécanicien
les localités suivantes dans la maison à eux appartenante sise en cette ville rue Ste Madeleine n° 26, savoir une cave quelconque et une chambre aux mansardes, Dans la seconde cour le rez de chaussée composé de trois chambres et une cuisine ses deux bâtiments latéraux, la jouissance de cette cour avec le droit au profit du preneur d’y faire établir une forge et une cheminée à âtre et tout ce qui s’ensuit
Charges, clauses et conditions, 4. il aura le droit de faire une porte de communication de la cuisine avec le corridor dont il devra laisser l’entrée et sortie libre – moyennant un loyer annuel de 300 francs
Enregistrement de Strasbourg, acp 174 F° 11 du 7.7.
Les héritiers Braulle exposent la maison aux enchères. Marguerite Chatelain veuve du négociant Jean Baptiste Picard se porte acquéreuse
1835 (19.12.), Strasbourg 7 (89), Me Stoeber n° 16.506
Cahier des Charges du 22. 7.bre. n° 16.327 – Adjudication définitive – 1. Françoise Julie Emilie Braulle, rentière, comme poursuivant la licitation d’une maison indivise, propriétaire pour moitié d’une part,
2. Marie Anne Fischer veuve de Charles Alexandre Hyppolite Braulle, mère et tutrice légale d’Hypolite Henry Braulle 19 ans et demi, ayant pour subrogé tuteur Jean Oster, marchand épicier, 3. Angélique Emilie Braulle majeure, propriétaires de l’autre moitié-vente ordonnée par jugement à la première chambre du tribunal civil de première instance séant à Strasbourg le 23 juillet courant, rapport d’experts du 25 août, estimée à 19.000 fr, et jugement du 30 août dernier
à Laurent Schumacher, maître maçon, pour 24.600 fr
Déclaration de command n° 16.507 du 19 décembre, enchéri pour Marguerite Chatelain demeurant rue Mercière n° 3 veuve de Jean Baptiste Picard, négociant
Désignation de l’immeuble, une maison se composant de plusieurs corps de bâtiments avec cour, puits, écurie, petit jardin, autres droits, aisances, appartenances et dépendances le tout situé à Strasbourg rue de la Madeleine n° 26, d’un côté la Dlle Scholl, d’autre le Sr Christmann, derrière le Kohlenhof
Origine et Etablissement de l’immeuble à vendre. L’immeuble à vendre provient de la succession de Charles Alexandre Hypolite Braulle, suivant inventaire dressé par Me Lange le 15 mai 1827. Charles Alexandre Hypolite et sa sœur Françoise Julie Emilie sont propriétaires exclusifs chacun pour moitié, échue dans la succession de François André Braulle, employé à la porte de Strasbourg, et Marie Dorothée Chapuis. ladite maison et avenue au Sr Braulle et à ladite Chapuis suivant partage et licitation dans la succession de ses père et mère dressé par Me Humbourg le 14 octobre 1767
Adjudication préparatoire n° 16 407 du 7. 9.br
(Joint) Rapport d’experts du 25 août – Auguste Arnold, Jean Frédéric Klinck, Philippe Jacques Hennenberg tous trois architectes (…) le partage ne peut se faire commodément vu que la construction et la distribution des bâtiments dont le premier est situé entre ladite rue et la petite cour dans laquelle est un puits avec une pompe. Le second est entre la même cour et le petit jardin communiquant à travers ladite cour avec le premier bâtiment à chaque étage. Le troisième est à gauche au jardin et enfin le quatrième est au fond du même jardin.
Le premier contient au rez de chaussée qui est sur trois caves sous solives deux corridors d’entrée, une boutique et trois chambres vers la rue, une cage d’escalier, buanderie et une cuisine vers la cour. Le premier ainsi que le deuxième étage renferment chacun six chambres dont une avec alcove vers la rue une autre l’escalier et cuisine vers la cour. Dessus comble l’un avec mansardes contenant six galetas et l’esaclier, plus un grenier avec deux séparations en planches au dessus l’autre à deux greniers dont l’inférieur renferme trois galetas, un pignon un mur sépare les deux combles et portions de cette maison.
La seconde maison contient un rez de chaussée sur cave sous solives, une cage d’escalier, un bucher, une cuisine et trois chambres vers le jardin, lieux et fosses d’aisances aux deux extrémités. Le premier comme le second étage renferment chacun quatre chambres dont une avec alcove vers le jardin une cuisine et une galerie de communication vers la petite cour. Dessus comble avec mansarde dans laquelle cinq galetas plus un grenier au dessus ayant deux séparations en planches.
Le troisième bâtiment n’a que deux chambres avec rez de chaussée avec un grenier dans le demi toit au dessus.
Le quatrième bâtiment aussi simple rez de chaussée contient une cuisine et un magasin couvert d’un demi toit à un grenier. Dans l’angle une petite étable. Toutes les couvertures sont en tuiles doubles et peu de simples, estimé 19.000 francs
Enregistrement de Strasbourg, acp 236 F° 93-v du 21.12.
Originaire de Nancy, le coiffeur Jean Picard épouse en 1805 Anne Marguerite Chatelain, native du Fort-Louis
Mariage, Strasbourg (n° 107)
L’an XIII de la République, le 25° jour du mois de Nivôse (…) sont comparus Jean Picard, âgé de 38 ans, coëffeur, domicilié en cette ville depuis 17 ans, né à Nancy, Département de la Meurthe, le 19 avril 1766, majeur, fils de feu Antoine Picard, tailleur de pierres, décédé à Nancy le 6 avril 1777 et de Catherine Petit, consentante (…) et Anne Marguerite Chattelain, âgé de 24 ans, domiciliée en cette ville depuis 10 ans, née au Fort-Vauban, Département du Bas-Rhin le 20 juillet 1780, majeure, fille de feu Jean Jacques Chattelain, ancien militaire mort à Lille à l’hôpital militaire le 15 juin 1793, et de Marie Anne Boymond, ci présente et consentante (signé) Jean Picard, M. Chatelain (i 58)
Jean Baptiste Picard meurt en 1836 en délaissant deux filles
1836 (14.5.), Strasbourg 13 (51), Me Bremsinger n° 7648
Inventaire de la succession de Jean Baptiste Picard, marchand et fabricant, à la requête de Anne Marguerite Chatelain la veuve, communauté s’étant épousé à Strasbourg le 25 nivose XIII (15 janvier 1805) sans contrat de mariage, marchande et fabricante d’ouvrages, mère et tutrice naturelle de Florentine Eugénie Hortense Picard née le 7 mai 1817 sa fille mineure, 2. Adèle Juliette Picard, majeure, héritiers pour moitié de leur père, en présence de Benoît Joseph Ignace Doss, avoué près le Tribunal Civil mandataire de Felix Chavanne propriétaire à Paris rue d’Alger n° 29 près de celle de Rivoli, subrogé tuteur de la mineure
maison mortuaire rue Mercière n° 3 au rez de chaussée et au premier étage
Enregistrement de Strasbourg, acp 240 F° 84 du 16.5.
Juliette Picard cède sa moitié de maison à son beau frère et à sa sœur Maurice Thiebault et Hortense Picard
1843 (19.9.), Enregistrement de Strasbourg, ssp 86 (1875) f° 64
Vente du 25 juin 1843 – Je soussignée Juliette Picard rentière à Paris rue de l’Echiquier N° 4 déclare par ces présentes avoir vendu, cédé, quitté ét abandonné en tous droits de propriété et avec toute garantie de droit et de fait
à Maurice Thiebault, avocat demt. à Strasbourg et De Hortense Picard, son épouse autorisée à cet effet
la moitié d’une Maison que je possède par indivis à l’encontre des acquéreurs rue de la Madeleine N° 26 à Strasbourg, entre Delle Scholl et le Sr Christmann, donnant par derrière sur le Kohlenhoff, Telle ce cette moitié e maison se trouve contient et comporte, me provenant de la succession de Marguerite Châtelain V° Picard notre mère décédée. Cette vente faite pour et moyennant la somme de 10.000 francs en numéraire
Originaire de Puttelange, le licencié en droit Maurice Thiebault épouse en 1840 Florentine Eugénie Hortense Picard
1840 (16.6.), Strasbourg 13 (56), Me Arbogast n° 11
Contrat de mariage, communauté d’acquets – Maurice Thiebault, licencié en droit à Puttelange (Moselle) fils de Maurice Thiebault, propriétaire, et de Marie Marguerite Riquet
Florentine Eugénie Hortense Picard, fille de feu Jean Baptiste Picard, commerçant, et d’Anne Marguerite Chatelain
Enregistrement de Strasbourg, acp 279 F° 25-v du 18.6.
Hortense Picard meurt en 1861 en délaissant quatre enfants
1861 (18. Xbre), Strasbourg 15 (105), Not. Momy (Hippolyte) n° 7660
Inventaire de la communauté de biens qui a existé entre Maurice Thiébault propriétaire Florentine Eugénie Hortense Picard
L’an 1861 le Mercredi 18 décembre à neuf heures du matin en la Maison sise à Strasbourg rue des Orphelins N° 23. ou demeurait Mad. Florentine Eugénie Hortense Picard décédée épouse de M. Thiébault requérant en la Maison de campagne sise hors la porte d’Austerlitz le 22 juin dernier.
A le requête de Mr Maurice Thiébault, propriétaire, Agent de change demeurant et domicilié à Strasbourg agissant comme ayant été commun en biens avec son épouse défunte aux termes des dispositions de leur contrat de mariage passé devant M° Arbogast et son collègue notaires à Strasbourg le 16 juin 1840. à cause des reproses qu’il peut avoir à exercer sur ladite communauté et des avantages de survie lui ressortant du contrat de mariage ci-dessus relaté. En qualité de père et tuteur légal de de ses quatre enfants mineurs procréés de son mariage avec feue son épouse nommés 1) Marie Hortese Adéle Thiébault née le premier mai 1841, 2) Jules Ernest Maurice Thiébault, né le 21 septembre 1842, 3) Eugène Florentin Marie Thiébault né le 11 septembre 1846, 4) Maurice Ernest Marie Thiébault né le premier septembre 1850. Enfin comme légataire de tous les meubles (…) en vertu du testament de cette dernière fait olographe à Strasbourg le 20 août 1840 (…). Et en présence de Mr Paul Lamache, professeur à la faculté de droit de Strasbourg, Chevalier de la Légion d’Honneur, demeurant et domicilié à Strasbourg, agissant en qualité de subrogé tuteur des dits quatre enfants mineurs Thiébault
Contrat de mariage (…)
N° 7664, Continuation du 19 Xbre 1861. Immeuble bâti propre à la défunte
Maison rue de la Madeleine. Une Maison se composant de plusieurs corps de bâtiments, avec cour, puits, écurie, petit jardin, autres droits, aisances, appartenances et dépendances, le tout sis à Strasbourg rue de la Madeleine N° 26 ancien et 10 nouveau, d’un côté Mr Laugel de l’autre Mr Grün, devant la rue derrière la Brasserie du poel des pêcheurs. Cet immeuble était la propriété de Mad. Thiébault pour en avoir recueili une moitié, l’autre moitié étant échue à Mademoiselle Picard sa sœur ci après qualifiée, dans la succession de Mad. Marguerite Chateain veuve de Mr Jean Baptiste Picard en son vivant Négociant à Strasbourg, de quelle Mad. Thiébault était héritière pour moitié, et pour avoir acquis l’autre moitié de Madlle Juliette Picard, sa sœur, rentière demeurant à Paris aux termes d’un acte sous signature privée fait en double à Strasbourg le 25 juin 1843, enregistré à Strasbourg le 19 septembre 1846 folio 64
Communauté. Immeubles. Maison rue des Orphelins (…)
Campagne située hors la porte de l’hôpital (…)
Testament de la défunte (…)
Marchandises faisant partie du commerce de Mad. Thiébault
acp 505 (3 Q 30 220) f° 50-v du 21.12. (succession déclarée le 21. Xbre 1841)
Communauté, mobilier 8051
Garde robe de la défunte 405
Une maison rue de la Madeleine N° 10 propre à la défunte
Communauté, Une maison rue des Orphelins N° 21
Une campagne hors la porte d’Austerlitz de Strasbourg
La charge d’agent de change, le cautionnement de 8000 – argent 315, loyers 1735, extances 2948
Indemnités dues à la communauté 46.836
Récompenses dues au veuf par la communauté 57.005. Reprises de la défunte 40.000, Marchandises 24.091 – Passif de la communauté 1543
1861 (17.12.), Me Momy
Dépôt du testament olographe de Florentine Eugénie Hortense Picard épouse Maurice Thiébaut, ledit testament en date du 20 août 1840, enregistré aujourd’hui
acp 505 (3 Q 30 220) f° 36 du 18.12.
Marie Hortense Adèle Thiébault épouse du pharmacien Albert Antoine Alexandre Adolphe Laurent cède ses droits successifs à son père
1862 (29. 8.bre), Strasbourg 15 (107), Not. Momy (Hippolyte) n° 8400
Cession droits successifs – Ont comparu Dame Marie Hortense Adèle Thiébault épouse de Monsieur Albert Antoine Alexandre Adolphe Laurent, pharmacien de son mari présent assistée et autorisée, les deux demeurant et domiciliés ensemble à Haguenau (…) héritière pour un quart de feu sa mère Dame Florentine Eugénie Hortense Picard, décédée épouse de M. Maurice Thiébault propriétaire demeurant à Strasbourg
à Monsieur Maurice Thiébault, propriétaire, agent de change, son père demeurant et domicilié à Strasbourg
tous droits successifs mobiliers et immobiliers, tant en fonds et capitaux qu’en fruits et revenus échus et à échoir revenant à Madame Laurent dans la succession indivise de Madame sa mère – moyennant la somme de 18.000 francs
acp 515 (3 Q 30 230) f° 50 du 30.10.
Comptes de tutelle
1862 (22. 7.bre), Strasbourg 15 (107), Not. Momy (Hippolyte) n° 8321
Récépissé Compte de tutelle – Ont comparu Monsieur Maurice Thiébault, propriétaire, agent de change demeurant et domicilié à Strasbourg, d’une part
et Dlle Marie Hortense Adèle Thiebault, majeure d’ans, sans état, demeurant et domiciliée à Strasbourg d’autre part
Lesquels ont dit que M. Thiébault a entendu rendre compte à Madlle sa fille sus dénomée de la gestion et de l’administration qu’il a eues en sa qualité de tuteur légal de la personne, des biens et fortune demoiselle Marie Hortense Adèle Thiebault, depuis le décès de Dame Florentine Eugénie Hortense Picard son épouse défunte (…)
acp 514 (3 Q 30 229) f° 47-v du 23. 7.bre
1862 (28. 8.bre), Strasbourg 15 (107), Not. Momy (Hippolyte) n° 3397
Arrête de compte – Monsieur Maurice Thiebault, propriétaire, agent de change demeurant et domicilié à Strasbourg, d’une part
et Dame Marie Hortense Adèle Thiébault épouse de Monsieur Albert Antoine Alexandre Adolphe Laurent, pharmacien de son mari présent assistée et autorisée, les deux demeurant et domiciliés ensemble à Haguenau (…)
acp 515 (3 Q 30 230) f° 49-v du 30.10.
Maurice Thiébault se remarie avec Emma Eugénie Stéphanie Bartel
1862 (15. 7.bre), Strasbourg 15 (107), Not. Momy (Hippolyte) n° 8309
Contrat de mariage – Ont comparu Monsieur Maurice Thiébault, propriétaire, agent de change demeurant et domicilié à Strasbourg, veuf avec quatre enfants de Dame Eugénie Hortense Picard agissant et stipulant comme futur époux
Et Demoiselle Emma Eugénie Stephanie Bartel, sans profession demeurant et domiciliée à Strasbourg, fille majeure et légitime de feu Mr Conrad Louis Bartel ancien officier et de feue Dame Catherine Schott son épouse les deux décédés à Strasbourg, agissant et stipulant comme future épouse
acp 514 (3 Q 30 229) f° 23 du 16. 7.bre
stipulation de régime de communauté de biens réduite aux acquêts partageable par moitié, réserve d’apports et d’héritages
Les apports du futur époux sont constatés par inventaire reçu Momy le 18 Xbre 1861
Ceux de la future épouse consistent en argent et rentes sur l’Etat, montant à 15.000 francs
Point de donation éventuelle