15, rue Saint-Marc


Saint-Marc n° 15 – VIII 222 (Blondel), P 1238 puis section 8 parcelle 24 (cadastre)

Reconstruite en 1770, maître d’ouvrage Jean Jacques Menninger (Memminger), apprêteur de tabac, maître maçon Jacques Ferdinand Hærtelmeyer


Façade vue de l’est et de l’ouest (novembre 2019) – Porte et fenêtres (août 2025)

Le chef cuisinier de l’hôpital Jérôme Scheubel achète en 1581 la maison qui reviendra quelques années plus tard à sa fille, femme du pelletier Jean Hoffmann. Le fabricant d’émaux champlevés Jacques Klein porté au Livre des communaux (1587) doit en être locataire. L’ancien créancier Jacques Scholl acquiert la maison qui devient pendant une cinquantaine d’années une maison de rapport (1643-1706). Le domestique catholique André Falck l’achète en 1708. Rosine Karcher, femme de l’apprêteur de tabac Jean Jacques Memminger, en devient propriétaire à la mort de sa grand-mère en 1763. Jean Jacques Memminger charge en 1769 le maître maçon Jacques Ferdinand Hærtelmeyer de reconstruire le bâtiment qui prend son aspect actuel : rez-de-chaussée et deux étages dans le goût du XVIII° siècle (chaînes d’angle, bandeaux entre les différents niveaux, fenêtres à fausse clé et appuis galbés). Le linteau de la fenêtre centrale du premier étage est surmonté d’une moulure sur laquelle s’étend la fausse clé.


Plan-relief de 1727, la maison est à gauche de celle à pignon dans l’îlot central (Musée historique)
Elévations préparatoires au plan-relief de 1830, îlot 257 (Musée des Plans-relief) 1

L’Atlas des alignements (années 1820) signale une maison à rez-de-chaussée et trois étages en pierre de taille – soit un étage de plus que la maison voisine, ce qui ne correspond pas aux élévations préparatoires au plan-relief de 1830. La façade sur rue s’y trouve entre les repères (f-g) : deux fenêtres et porte au rez-de-chaussée, deux étages à trois fenêtres chacun, toiture à deux niveaux de lucarnes. La petite façade latérale (g-h) correspond à l’avance par rapport à la maison suivante. La cour A montre l’arrière (1-2) du bâtiment sur rue, le bâtiment arrière (3-4), le bâtiment latéral de droite (1-4) et le bâtiment (2-3) du voisin.
La maison porte d’abord le n° 24 (1784-1857) puis le n° 15.


Plan, cour A – Plan d’arpentage et alignement légaux (1970, dossier de la Police du Bâtiment)

Propriétaire de 1811 à 1839, le rentier André Pierret n’habite pas la maison d’après les registres, contrairement au peintre Joseph Schweiss (1839-1848) puis à l’employé à l’octroi François Joseph Arnheiter et son gendre négociant Charles Louis Lœper (registre 600 MW 357, fiche 108). Le typographe Aloïse Naura, propriétaire à partir de 1883, habite 3, place Saint-Thomas puis 13, rue des Juifs. La maison appartient à partir des années 1930 au cheminot Emile Grüneisen. Marcel Zumsteeg, demeurant au Neudorf, demande en 1970 un certificat d’urbanisme au nom de sa belle-mère la veuve Gruneisen ; en cas de démolition, le propriétaire doit céder le terrain en avant de l’alignement, le restant du terrain étant trop exigu n’est pas constructible. Le propriétaire Jean-Jacques Mitschler remplace la toiture en 1976-1977, les établissements Rauscher remplacent le soubassement en 1991.


Etages (mars 2020)

août 2025

Sommaire
CadastrePolice du BâtimentRelevé d’actes

Récapitulatif des propriétaires

La liste ci-dessous donne tous les propriétaires de 1580 à 1952. La propriété change par vente (v), par héritage ou cession de parts (h) ou encore par adjudication (adj). L’étoile (*) signale une date approximative de mutation.

Jacques Schmitt, pelletier, et Barbe Michel – luthériens
Jean Lechelmeyer, charpentier, et (1576) Madeleine Krumm – luthériens
1581 v Jérôme Scheubel, chef cuisinier, remarié (1574) avec Walburge Seitz, veuve de Jean Schweighart – luthériens
1605* h Jean Hoffmann, pelletier, et (1585) Ursule Scheubel puis (1611) Anne Ehr, veuve du charretier Jacques Schœffler – luthériens
1620* h Daniel Koch, pelletier, et (1610) Barbe Hoffmann – luthériens
1634 v Marc Speckard, boucher, et (1625) Catherine Tretter d’abord (1615) femme du boucher Jean Jacques Krug puis (1639) Anne Marie Weisshard, auparavant femme du boulanger Jean Stœtz puis (1631) du batelier Antoine Knoll – luthériens
1643* adj Jean Jacques Scholl, boucher, et (1629) Marie Burger puis (1637) Barbe Pfeffinger, remariée (1667) avec Kilian Schœnmann – luthériens
1673 h Jean Rœmer, orfèvre, et (1667) Madeleine Scholl – luthériens
1696 v Frédéric Scholl, boucher, (1695) Ursule Goldbach – luthériens
1706 v Barthelémy Schnabel, transporteur de bois, et (v. 1705) Marie Lutzweiller – catholiques
1708 v André Falck, domestique, et Catherine Kohler puis (1704) Anne Catherine Trompeter – catholiques
1739 h Frédéric Huss, cocher, et Barbe Blumstein puis (1739) Anne Catherine Trompeter veuve d’André Falck – catholiques
(cohéritier) Sébastien Karcher, domestique, geôlier, et (1739) Marie Barbe Falck – catholiques
1763 h Jean Jacques Menninger (Memminger), apprêteur de tabac, et (1763) Rosine Karcher – catholiques
1808 v Benoît Jacques Dannhorn, négociant, et (1765) Susanne Elisabeth Dambach – luthériens
1811 v André Pierret, rentier, et (1806) Madeleine Barbe le Tellier
1839 v Joseph Schweiss, peintre, et (v. 1810) Madeleine Laubersheimer
1847 v Jean Jacques Wagner, tonnelier, et (1831) Marie Madeleine Schweiss (vente résolue en 1848)
1849 v François Joseph Arnheiter, employé à l’octroi, et (1826) Marie Madeleine Schmidt
1871 h Charles Louis Lœper, commis négociant, et (1854) Amélie Victoire Arnheiter
1883 v Aloïse° Georges Naura, typographe, et (1875) Marguerite Louise Marie Meyer
1923* v Emile Grüneisen, cheminot, et (1910) Anne Helmbacher puis (1919) Louise Helmbacher

Valeur de la maison selon les billets d’estimation : 200 livres en 1697, 250 livres en 1738 et en 1763

(1765, Liste Blondel) VIII 222, au nommé Modelmeyer [mis pour Memminger]
(Etat du développement des façades des maisons, AMS cote V 61) Memminger, 3 toises, 4 pieds et 0 pouce
(1843, Tableau indicatif du cadastre) P 1238, Pierret, André, employé de St Marc – maison, sol, cour, bâtiment – 1 are / Schweiss vernisseur et peintre en bat.

Livres des communaux

1587, Livre des communaux (VII 1450) f° 333
D’après les voisins, la maison doit être celle inscrite au nom du fabricant d’émaux champlevés Jacques Klein qui règle 2 sols pour une marche de cave (4 pieds de long, saillie de 15 pouces) et une marche dallée devant la porte (4 pieds de long, saillie de 2 pieds)

Vornen auß in der Gaßen Beÿm Lumbardts Hoff.
Jacob Klein der Grüebenschmeltzer hatt ein Hauß Inn dißer Gaß, daran ein offenen Keller Tritt iiij schu lang xv Zoll herauß, Vndt Vor der Thüer ein besetzten Tritt iiij schu lang ij schu breÿt, Bessert, ij ß

Préposés aux feux (Feuerherren, 4 R 91)

Le maître maçon Jacques Ferdinand Hærtelmeyer présente les travaux qu’il va faire chez l’apprêteur de tabac Jacques Memminger près de la Mouche, à savoir à gauche du rez-de-chaussée un poêle donnant sur la rue, par derrière une cuisine dans laquelle se trouvent un fourneau et une hotte, au premier et au deuxième étage à gauche de l’escalier un poêle donnant vers la rue, par derrière une cuisine dans laquelle se trouvent un fourneau et une hotte.

(p. 206) Sambstags den 2.ten Decembris 1769. – H. Jacob Memminger der Tabac fabricant, will in seiner behausung beÿ der Muck gelegen in der rez de chaussée lincker hand eine stube gegen der gaß, hinder daran eine Kuchen mit herd und Camin schoß machen, das rohr am steinern gäbel hinauf von allem holtz entfernt.
Ferner im ersten und zweÿten stock lincker hand an dem aus tritt der Steeg jedes mal eine Stube gegen der gaß hinden daran eine Kuchen mit heerd und Camin schoß, die rohr am steinern gäbel hinauf von allem holtz entfernt. Erkannt Willfahrt. – Mr Hattelmeÿer

Préposés au bâtiment (Bauherren)

1770, Préposés au bâtiment (VII 1414)
Les préposés visitent les lieux à la demande des voisins qui se plaignent que l’apprêteur de tabac Memminger a ouvert une porte dans la venelle où s’écoulent les eaux et d’où on peut entrer dans leur maison. Memminger s’engage à construire un petit mur séparatif.

(f° 10) Donnerstags den 22. febr: 1770. – seÿnd folgende dreÿ Augenschein in der Statt eingenommen worden, als N. N. Memminger
Im Finckweiler beÿ der Muck allwo sich die nachbaren beklagen daß N. N. Memminger der tabackbereiter ohne erlaubnus eine thür von seinem hauß in ein gemeinschafftliches trauffrecht gäßel Zwischen denen häußern hat machen laßen, durch welche man in die jhrige Kommen Könne, worauff aber Memminger sich erbotten wieder ein Kleines scheidmäurel auff führen zu laßen und die parthen sich miteinander verglichen.

Description de la maison

  • 1738 (billet d’estimation traduit) La maison comprend à l’arrière du rez-de-chaussée un petit poêle, petite cuisine, vestibule, petite cour, petite écurie, cave sous solives, à l’étage un poêle, chambre, cuisine à soldats, vestibule, greniers dallés comble ancien à simple couverture de tuiles, le tout estimé à la somme de 500 florins [on s’attend à trouver chambre à soldats]
  • 1763 (billet d’estimation traduit) La maison comprend deux poêles, deux cuisines, plusieurs chambres, le comble est couvert de tuiles plates et de tuiles creuses, la cave est solivée, le tout estimé avec la cour, autres appartenances et dépendances à la somme de 500 florins

Atlas des alignements (cote 1197 W 37)

3° arrondissement ou Canton Sud – Rue St. Marc (f° 36)

nouveau N° / ancien N° : Pierret
Rez de chaussée et 3 étages bons en pierre de taille
(Légende)

Cadastre

Cadastre napoléonien, registre 28 f° 352 case 4

Schweiss Joseph, Vernisseur
Wagner Jacques (sub.on p. 1748)
Arnheitter François Joseph employé de l’octroi (substitution p. 1851)

P 1238, sol, M.on bat. et cour, rue St Marc 24
Contenance : 1,00
Revenu total : 108,52 (108 et 0,52)
Ouvertures, portes cochères, charretières :
portes et fenêtres ordinaires : 25
fenêtres du 3° et au-dessus : 7

Cadastre napoléonien, registre 26 f° 670 case 2

Arnheiter François Joseph employé de l’octroi
1884/85 Naura Aloÿs Georg Typograph

P 1238, Maison, sol, Rue St Marc 15
Contenance : 1,00
Revenu total : 108,52 (108 et 0,52)
Folio de provenance : (352)
Folio de destination : Gb
Ouvertures, portes cochères, charretières :
portes et fenêtres ordinaires : 25
fenêtres du 3° et au-dessus : 7

Cadastre allemand, registre 29 page 99 case 8

Parcelle, section 8, n° 29 – autrefois P 1238
Canton : St. Marxgasse Hs. N° 15
Désignation : Hf, Whs
Contenance : 1,08
Revenu : 900 – 1400
Remarques :

(Propriétaire), compte 892
Naura Aloÿs
1932 Gruneisen Emile et son épouse
(1723)

1789, Etat des habitants (cote 5 R 26)

Canton VIII, Rue 240 Finckweiler Derrière la Mouche (p. 437)

24
pr. Memminger, fab: de tab. dem. ailleurs
loc. Heller, Abraham, Cordonnier – Cordonniers
loc. Necker, dom. de M. Leroux – Echasses
loc. Hottinger, Daniel, Garde de l’ammeistre – Moresse
loc. Langen, non mariée – Manante
loc. Schaeffer, non mariée

Annuaire de 1905

Verzeichnis sämtlicher Häuser von Strassburg und ihrer Bewohner, in alphabetischer Reihenfolge der Strassennamen (Répertoire de toutes les maisons de Strasbourg et de leurs habitants, par ordre alphabétique des rues)
Abréviations : 0, 1,2, etc. : rez de chaussée, 1, 2° étage – E, Eigentümer (propriétaire) – H. Hinterhaus (bâtiment arrière)

St. Marxgasse (Seite 109)

(Haus Nr.) 15
Zimmer, Buchdrucker. 0
Zimmer, Näherin. 0
Steidle, Privatier. 1
Hansmann, Kleiderm. 2
Hansmann, Tagner. 2
Wagner, Metzger .3
Kalk, Tagner, H 1
Seiler, Wwe. H 2
Engelhard, Tagner. H 3
Weber, Ingenieur. H 4

Dossier de la Police du Bâtiment (cote 735 W 294)

15, rue Saint-Marc (1889-1991)

Marcel Zumsteeg, demeurant au Neudorf, demande en 1970 un certificat d’urbanisme au nom de sa belle-mère la veuve Gruneisen. En cas de démolition, le propriétaire doit céder le terrain en avant de l’alignement, le restant du terrain étant trop exigu n’est pas constructible. Le propriétaire Jean-Jacques Mitschler remplace la toiture en 1976-1977, les établissements Rauscher remplacent le soubassement en 1991.

Sommaire
  • 1889 – Le maire notifie Aloïse Naura de faire ravaler la façade – Le propriétaire demande un délai jusqu’au printemps suivant – Travaux terminés, juillet 1890
  • 1895 – Le maire notifie l’imprimeur Naura de se conformer au règlement du 30 novembre 1891 en supprimant les volets qui s’ouvrent à moins de 2,20 mètres de la voie publique, à savoir à deux fenêtres au rez-de-chaussée, deux soupiraux et une porte de cave. – Travaux terminés, décembre 1896.
  • 1906 – Le maire notifie Aloïse Naura (demeurant 3, place Saint-Thomas) de faire ravaler la façade – Le propriétaire déclare qu’il fait raccorder la maison aux canalisations et réparer le bâtiment arrière et la cour. Il évoque aussi les démolitions lors de l’extension de la ville. – La Police du Bâtiment note que la façade est sale – Le maire accorde un an de délai – Travaux terminés, août 1907.
  • Commission contre les logements insalubres. (Formulaire sans date) Propriétaire, Namant, prote à l’imprimerie Fischbach – La commission demande de plâtrer le plafond des cuisines – Travaux terminés, juin 1902
    (Formulaire daté de 1901) propriétaire, Naura, demeurant 3-4, place Saint-Thomas. remarque en trois points
    Commission des logements militaires. 1910. Le propriétaire doit faire apposer un écriteau Eau non potable au puits dans la cour.
    1917. Rapport sur le logement Kœlsch (premier étage du bâtiment arrière) (propriétaire, Naura, demeurant 13, rue des Juifs)
    1920. Caroline Welsch qui aurait un orphelin en pension a quitté la maison. Les réparations qu’il faudrait faire peuvent attendre que les prix baissent.
  • 1941 – Georges Hubart (demeurant 4, ruelle de la Cuiller à pot, sur papier à lettres de la caisse mutuelle d’assurance maladie de Strasbourg -Strassburger Krankenversicherung) informe la Police du Bâtiment que certains logements sont insalubres au 15, rue Saint-Marc (propriétaire, Emile Grüneisen à Geispolsheim)
    Les locataires Kapps et Frédéric Bickel (bâtiment arrière) se plaignent de l’humidité. Le rapport conclut que le logement Bickel est insalubre
    Rapport sur le logement Kapps (rez-de-chaussée du bâtiment arrière) Zimmermann (famille de sept enfants aux premier et deuxième étages du bâtiment arrière, Morel (troisième étage du bâtiment avant), Gœtz (deuxième étage du bâtiment avant). Les deux premiers locataires sont invités à s’adresser au bureau municipal du logement.
    Le maire écrit au propriétaire. – Travaux terminés, avril 1942.
  • 1957 – La Police du Bâtiment constate que la toiture au-dessus du logement d’Eugène Ungerer est défectueuse – Le maire écrit à la veuve Emile Gruneisen (demeurant 1, rue de la Suisse à Geispolsheim-Gare). Gérant, Marcel Zumsteeg (21, rue du Chêne au Neudorf) – Travaux terminés, juin 1957.
  • 1970 – Marcel Zumsteeg (21, rue du Chêne au Neudorf), gendre de la dame Gruneisen, demande un certificat d’urbanisme en demandant notamment si la mairie envisage de faire démolir le bâtiment et si un nouveau bâtiment pourra être élevé sur le même terrain – Plan d’arpentage où figurent les alignements légaux
    Le maire transmet la demande à l’architecte des Bâtiments de France Fernand Guri qui est chargé d’étudier la rénovation du quartier. Fernand Guri répond que le secteur dont il est chargé s’arrête aux numéros impairs mais estime qu’il faudrait supprimer l’étranglement entre l’îlot et le 43, rue Finckwiller.
    Le maire transmet la demande au directeur départemental de l’équipement
    Le terrain de 108 m² n’aura plus que 65 m² après que le terrain qui dépasse de l’alignement sera réuni à la voie publique. Le terrain pris seul n’est donc pas constructible.
  • 1976 (novembre) – Une nouvelle toiture se trouve sur la partie avant, un quart de la partie arrière reste à couvrir. Le propriétaire Jean-Jacques Mitschler (27. rue du Bain-aux-Plantes) doit terminer les travaux. La Fédération des locataires agissant au nom du locataire Ganter se plaint que les travaux ne sont pas terminés – Le service du contentieux rédige une note à l’attention du maire – Article de presse (Dernières Nouvelles d’Alsace, 15 décembre 1976)
    1976 (septembre) – L’entrepreneur Gino Di Pol (rue des Lys à Eckbolsheim) demande l’autorisation de poser un échafaudage sur la voie publique – L’architecte des Bâtiments de France E. During émet un avis favorable
    1977 (mars) – La Division VIII informe le secrétariat général que la toiture est entièrement terminée, le propriétaire ayant fait procéder aux travaux qui lui ont été imposés par jugement en référé.
    1977 (mai) – Avis de perception de triple taxe pour les travaux
  • 1991 – Les établissements Rauscher demandent l’autorisation de remplacer le soubassement – L’architecte des Bâtiments de France Chantal Lavillaureix émet un avis favorable

Dossier de la Police du Bâtiment (cote 1688 W 809)

15, rue Saint-Marc (2011-2012, nouvelle couverture)

La société Dehner de Kolbsheim remplace la couverture en 2011.

Sommaire
  • 2011 (mars) – Jean-Marie Dehner, agissant pour la s.à.r.l. Dehner (6, rue de la Liberté à Kolbsheim), demande l’autorisation de remplacer la couverture
    Photographies
    2011 (mai) – Le maire accorde le permis de construire

Relevé d’actes

D’après le titre de 1568 cité dans les actes de 1645 et de 1689 (voir plus loin), la maison appartient alors au pelletier Jacques Schmitt et à sa femme Barbe, fille du journalier Blaise Michel qui l’hypothèquent au profit du docteur en médecine Sebald Hauenreitter

1568 (Ersten tag Novembris), Cour épiscopale, vol. 140 (Registranda Meyger) f° 368
Erschienen Jacob schmÿdt d. Kürschner burger Zu Straßburg vnd Barbara sein eheliche hußfrouw Wÿland Bläsin Michell des taglöners burgers Zu Straßburg seligen dochter, verschriben sich unverscheidenlich für sich &
gegen dem hochgelertten Herrn Seobald Hohenreitter der Medecin doctorn burger Zu Straßburg vnnd Applonia Rülin seiner ehelichen haußfrauen derselben Zu Zinßen fünff guldin gelts wid.lösig mit 100 guldin Straßburger Werung
dafür Zum vnderpfandt ÿngesetzt vnd verlegt hoff, huß, hoffestatt vnd höfflin mir allen Iren gebeüwen & gelegen In der S. S. obwendig Sant Thomans bruck, Im Finckweÿler, einsit nebent Hanns Mülle, and.sit nebent ([biffé] einer scheüren) so obgedachtem ([biffé] Keüffern) den keuffern selbs, stossent hinden vff Jacob vonn freÿburg den Zimmerman Sunst freÿ ledig vnd eigen wie man sagt

Le pelletier Jacques Schmitt achète le droit de bourgeoisie le 16 décembre 1560
1560, 3° Livre de bourgeoisie (4 R 105) p. 19
Jacob Schmidt der Kürßner Hatt d. burgkrecht Kaufft vnd wil dien mit den Kürßnern Actt. Montag den 16 december Anno & 60.

Naissance d’un enfant de Jacques Schmitt et de sa femme Barbe
Baptême, Saint-Pierre-le-Jeune (luth. p. 201)
1566. Vff Montag den 25. Nouemb. p. Jacob schmidt der Kirsner, m. Barbara, I. Maria
Compartinii, Hans Martin Beÿer von Schaffhaußen d. Kauffman. Susanna Jörg Saurwein fraw, Barbara Jörg Jägers dochter (i 106)

La maison revient au charpentier Jean Lechelmeyer. Originaire de Heilbronn, il épouse en 1576 Madeleine, fille du charpentier Jean Krumm ou Krunn

Mariage, Saint-Pierre-le-Vieux (luth. f° 71-v)
1576. October. Hannß Lechelmeÿer Zimmergesell von heilbrun J. Magdalena hans Krunn. selig des Zimmermans nachgelaße tochter von Straßburg, Montag den 12. Novembris (i 237)

Jean Lechelmeyer (ici Leihelmeyer sans doute par erreur de copie) de Heilbronn devient bourgeois par sa femme Madeleine Grumm cinq semaines après son mariage
1576, 2° Livre de bourgeoisie (4 R 104) p. 425
Hans Leihelmeÿer von Hail Pruen der Zimmerman hat d. burgrecht empfangen von Magdalena Grumin weilandt hans Grumen des Zimmermans dochter, vnd Wil Zun Zimmerleüthen denen Actum eod. die [20.t Decembris Ao & 1576]

Jean Lechelmeyer et sa femme Madeleine vendent la maison à Jérôme Scheubel, chef cuisinier à l’Hôpital

1581 (vts [6. August]), Cour épiscopale, vol. 213 (Registranda) f° 173
Erschienen Hannß Lechellmeÿger der Zimerman burger Zu St. vnnd Magdalen sein eheliche haußfr. haben unverscheidenlich Verkaufft
dem Ehrsamen Jheronimo Scheübeln Kuchen Schaffner Ine Spittal alhie der gegenwärtig Ime &
hauß hofestatt vnnd höfflin mit allen andern Iren gebeuwen gelegen Inn der St. St. Ime Vingkweÿler, einsit neben Paulus hansen dem Kolen rüger andersit herren doctor Sebolt hauwenreütter stosst hind. vff Melchior Wurren, davon gondt Achthalben guldin gelts, Alle Jar vff allerseelen tag, vnd den ersten Martÿ gefallendt, ablösig mit Anderthalben hundert guldin St. W. herren doctor Sebolden, obgenant Alle Jar & vnd alles Recht & der Kauff beschehen vmb 230 guldin St W

Originaire d’Aurach (Urach, en Wurtemberg), Jérôme Scheuble achète le droit de bourgeoisie en 1572.
1572, 3° Livre de bourgeoisie (4 R 105) p. 208
Jheronimus scheüble von Aurach hatt das burgkrecht Kaufft vnd dient Zu den Weinstichern den 8.ten Octobris a° & 72.

Veuf lorsque sa fille se marie en 1585, Jérôme Scheubel épouse en 1574 Walburge Seitz, veuve de Jean Schweighart de Stuttgart.
Mariage, Saint-Nicolas (luth. f° 110 n° 16)
1574. Den 16. August sind eingesegnet word. Hieronymus Scheÿbel von Vrach Kirchenschaffner im spittal, vnd walpurg Seÿtzen hans Schweigharts selig. widwe von Studgarten (i 125)

Le journalier Melchior Wurer qui a construit un mur d’un étage vers son voisin Jérôme Scheubel, passe un accord avec lui. Jérôme Scheubel aura le droit d’y élever un bâtiment en le consolidant par des pierres et sera tenu comme par le passé à recevoir les eaux de pluie

1582 (4. Januarÿ), Cour épiscopale, vol. 219 (Registranda) f° 3-v
Erschienen Melchior Wurer der taglöner burger Zu Straßburg vnnd Otilg sein eheliche hußfr.
So dann Jheronimus scheübler der Kuchenschaffner Im Spittal Zu Straßburg am andern theyl
Haben gegen einander bekhant vnd offentlich verÿehen Nach dem sie nachburen Zweÿ heußer vff einander stossenn haben dermalen eines Ime Jheronimus scheübler welches Inn Finckwÿler eins. neben Diebolt halter anders. neben doctor Sebald hohenreütter der Artzney doctor gelegen, das andere Melchior Wurer vnd Otilgen seiner haußfrauw Zustendig so geleg. einseit neben Jerg langen anderß. Diebolt holben das sie sich vsser freundlicher gutter nachburschafft verglichen Inn diß weÿß
Namblich die weÿl bemelter Ehegemechd behußung hinden her gegen sein Jheronimi scheübler hefflin Ein Meurlin eins gadens hoch vffgefürt hatt daruff mhnds* allein ein heltzen gewand gesetzt v. aber Jheronimus scheübler daselbs hyn* seiner gelegenheÿt nach ein beüwlin Zusetzen vorhabens Das er Jheronimus scheübler gutt fug vnd macht hab. soll angegeregt Ir Melchior wurers vnd Otilge Meurlin Zuuerbeßern daßelbig hoher Steinendick vff Zufüren bitz vnder das dach gedacht. Ehegemechden behußung Auch* derselb. Ehegemechd dach also Zurichten das das Wasser vonn demselb. fürbaß wie bitzher sein fall habe, Inn sein Jheronimus scheübler hofflin, Doch das auch sein Jheronimus scheübler fürgenommen beüwlin also vffgefürt das dadurch gedacht Ehegemechd Kein schaden Zugefüg. werde was auch dadurch für tagfenster v.mach v. sie die Ehegemechd andere gegen dem Almend schlüpfflin haben wollte das Jheronimus scheübler solcher mehr lassen Welches alles die Murlin so er Jheronimus scheübler Zumachen vorhabens auff die gemelte tagfenster er Inn seinen costen verfertigen laßen soll vnd one Zuthun bemelter Ehegemechd, dagegen allein* fürbß gedacht Mürlin ein* beyder seÿten obmelten Parteyen heußern gemeyn sein v Inn gemeyn cost. erhalten wie die notturfft erfordern rhd* wird.

Le duc de Wurtemberg demande l’intercession du Magistrat contre le maître de cuisine Jérôme Scheubel au nom du greffier de la ville d’Urach
1584, Conseillers et XXI (1 R 59)
(f° 496) V. Octobris – Hieronimus Scheublin
Ludwig Hertzog von Würtenberg beantragt meine Herren vff ein fürschrifft für Hieronimum Scheublin Kuchenmeister Im Spittal Ca. dem Stattschreiber Zu Urach außgang. vberschickt dasselben gegenbericht, vnnd begert den alhieig. von seinem fürnehmen abzuweÿs. Erkandt, Herr Rihel, H. Weller sollen Ihme für halt.

1585 Conseillers et XXI (1 R 61) Hieronimus Scheublin der Koch im Spittal. 78. (suite de l’affaire ci-dessus)
1586 Conseillers et XXI (1 R 63) Hieronimus Scheublin pt° arrests zu Stuttgart. 572. (suite)

La maison revient à Ursule Scheubel, fille de Jérôme Scheubel, qui épouse en 1585 le pelletier Jean Hoffmann

Contrat de mariage dans lequel Jean Hoffmann est assisté de son beau-père Jean Rœss, emballeur, puis célébration
1585 (vts [xxx Januarÿ]), Cour épiscopale, vol. 234-II (Registranda Kügler) f° 22-v
Erschienen Hannß Hoffman d. Kürßner vonn Straßburg mit beÿstandt Hannß Rößen des Spanners burg. Alhie seines Stieffvatters An Eim
So dann Jeronimus Scheübel Kuchenschaffner Im spittal Zu Straßburg Inamen vnd von wegen Ursula seiner docht. am And.theil
haben beÿde Partheÿen gegeneinand. bekandt vnd offentlich verÿehen, das vff heüt dato Als sie bede Hanß hoffman vnd vrsula mit einand. ehelich. verlopt vnd versproch. word. mit vßgetruckt. wortt sond. lich bedingt, abgeredt vnd beschloßen word. seÿe (…)

Mariage, Saint-Thomas (luth. f° 20-v n° 57)
1585. Dom. 3. post Epiphan. Hanß Hoffman der Kirßner vnd Ursula hieronimus Scheüblin des Kuchenschaffners im Spital dochter, eingesegnet 8. Februarÿ (i 23)

Jean Hoffmann, pelletier originaire de Kupferberg (en Bavière) et bourgeois de Strasbourg prend en apprentissage Gaspard Hefflinger
1586 (9. Januarÿ), Cour épiscopale, vol. 238-I (Registranda Mechler) f° 4-v
Assumptio ad discendum artificium per Joannem Hoffman Pellionem Ciuem Arg.
Erschienen der Ersam Jerg Hegele geschworner bott der Statt Bruosel Im Bruorein hatt den Bescheidenen Caspar Hefflinger von Bruosel vß beuelch vnnd vollem gewalt desselbigen Caspar Hefflingers vormünder vnndt geschworner vögten,
dem Ersamen Hanß Hoffman von Kupfferberg Kirßner vnd burger Zu Straßb. dreÿ Jar lang so vff Mathej deß heÿligen Apostels tag des verschienen 84. Jars angefangen vnd vff derselbig. fest des 87. Jars vßgehen sollen Inen daß Kirßner handwerck Zu vnderweÿsen verdingt

Le pelletier Jean Hoffmann et sa femme Ursule, fille de feu Jérôme Scheubel, hypothèquent la maison au profit du tailleur Jean Raubach et de sa femme Anne Buchter

1588 (xxiij. Aprilis), Chancellerie, vol. 256 (Registranda Kügler) f° 209
(Inchoat fo: 188) Erschienen Hanns Hoffman Kürßner burg. Zu Straßburg vnd Ursula sein Eheliche haußfr. weÿland Jheronimy Scheyblins selig. docht.
Haben bekandt In gegensein Hanns Raubach Schneÿders vnd Anna Buchterin seiner ehelicher haußfr. – schuldig sein 100 guld. Zu xv batzen
Zum vnd.pfand verlegt Hauß hoffstatt vnd höfflin mit Allen And.n Iren gebeüwen & geleg. In d. Statt. St. Im Finckweiler Einseit neben Paulus hanß dem Kolenträg. And.seit neben doctor Sebolt hauwenreütter stoßt hind. vff Jörg lang dauon gohnd Achthalben guld. gelts lößig mit 150 guld. obgemelten doctor Sebolt hauwenreütt. Alle Jar sunst ledig eÿg.

Jean Hoffmann et Marie Scheubel hypothèquent la maison au profit d’Agnès Lett, veuve de Jacques Kamm

1594 (vts [3. Septembris]), Chancellerie, vol. 291 (Registranda Kügler) f° 271
Erschÿnen Hanß Hoffman kürßner vnd burg. alhie vnd Ursula Scheubin sein eheliche Hußfrouw
Haben Inn gegensein Herrn Zachariæ didicæ Alls geschworner vogt Frauwen Agnesen Lettin wÿland Jacob Kammen seligen wittwe (…) verkaufft
Zweÿ Pfund 10 schilling von vff vnd abe Huß Hoffstatt Hoff vnd hind.huß mit Ihr. gebeu begriffen Zugehörd. geleg. In d. St. St. Im Finckweÿler gelegen, ein seÿt neben Paulus Hanßen dem Kolenträger, And.seÿt neben Mathÿs Sultz. stoßend hind. vff Jorg Leng Mourer, dauon gehend Achthalben guldin Straßburg w. hrn (-) Hauwenreütter der Artzeneÿ doctor Jarlich vff den Heÿlgen Wÿhnacht tag vnd vff den drittentag Martÿ In hauptgut 150 guld. Straßburg. Sunst ledig vnd eÿg. vnd soll d. Zinß Jährlich gehandigt werd. vff Sanct Michaels tag

Jean Hoffmann l’aîné se remarie en 1611 avec Anne Ehr, veuve du charretier Jacques Schœffler
Proclamation, Saint-Thomas (luth. f° 311 n° 901)
1611. Sontag den 28. Aprilis. Hanß Hoffman der Kürßner d. Elter vnd Anna Jacob Schoffler deß fuhrmans Alhie Nachgelaßene wittib Eingeseg. Zu St. Claus (i 320)

Mariage, Saint-Nicolas (luth. f° 89-v n° 20)
1611. den 7. Maÿ seindt ehelich eingesegnett worden Hanns Hoffman der Kürßner vnndt Burger allhie, vndt Anna Ehrin, weÿlandt Jacob Schöfflers des gewesenen Fuhrmans vnd Burgers seligen alhie nachgelaßene wittib (i 99)

Affaire entre Jean Hoffmann et ses enfants en premières noces
1628 Conseillers et XXI (1 R 110) Johann Hoffmann vmb Nachtrag. 209. [seinen Khind. auß erster ehe]

Le pelletier Jean Hoffmann et sa femme Anne Nehr (Ehr) cède à Daniel Koch, comme mari de sa fille et unique héritière Barbe, ses droits sur la maison décrite à l’inventaire de sa première femme Ursule Scheubel

1629 (25. Junÿ), Chambre des Contrats, vol. 464 f° 383-v
Erschienen hannß hoffmanns deß Kürschners wegen, welchen wegen hohen Alters vnd dahero obligender leibs vnuermmöglichkeit halben nicht außgehen Kan, daßelben ietzige eheliche haußfraw Anna Nöhrin, mit beÿstand Julÿ Kleibers deß Kürschners ihres Vogts An einem,
so dann Daniel Koch der Kürschner alß ehevogt Barbaræ obgents hoffmanns tochter vnd eintziger Erbin, am 2. theÿl,
Zeigten an, demnach er hoffmann ein Vorder vnd hinderhauß alhie im Finckhweiler gelegen wie solche in weÿ: Ursulæ Scheüblerin sein hoffmanns erster haußfrawen, vnd ihr Barbaræ Mut. see: den 29. Januarÿ A° 1611. durch Sigmund Erhard. den Notm. Vfgerichrtem Inventario fol. 17. specificirt. Zubefund. ad dies vitæ usufructuarie Zunüßen hat, an welcher behaußung daß eÿgenthumb mehrgen.ter Barbaræ sein Koch. haußfrawen verfangen, Vnd aber er der Wÿdembs nüeßer seiner Leibs schwach vnd blödigkeit halben, wie gern er auch wolte, solche behausung in wÿdemb wie sich gebührt, nicht mehr erhalten Könne, Alß heten sie sich mit einander dahin verglichen, daß er Daniel Koch in namen obstehet, mehrberüerte behaußung alß seiner haußfrawen freÿ ledig eigenthum An sich nemmen, damit ohngehindert deß wÿdembs nüeßers nach seinem willen vnd wolgefallen Zuhandlen Zuschalten wolten zuthun vnd Zulaßen macht haben, hingegen ihme seinem Schweher an stat deß noch fürbaß ihme gebürend. wÿdembs nüeß so lang er auch im leben wochentlich fünff schilling pfenning ohnfehlbahr zugeben schuldig sein soll

Fils du pelletier Daniel Koch l’aîné, le pelletier Daniel Koch le jeune épouse en 1610 Barbe, fille du pelletier Jean Hoffmann : contrat de mariage, célébration
1610 (letzten Octobris), Chancellerie, vol. 388 (Registranda Kügler) f° 268
(Inchoat. fo: 264 [Eheberedung]) Erschienen Daniel Koch der Jünger Kürschner, mit beÿstandt Daniel Koch des Eiltern auch Kirschners seines lieben Vatters an Eim,
So dann Hans Hoffman der Eilter auch Kirschner burg. alhie In nammen vnd von wegen Jungfr. Barbara seiner lieben dochter am And. theil

Proclamation, Saint-Thomas (luth. f° 309-v n° 884)
1611. Sonntag den 3. Februarÿ. Daniel Koch der Kürßner d. Jünger vnd Barbara, Hans Hoffmann deß Kürßners Alhie tochter. Eingesegnet Zum Jungen St. Peter (i 319)
Mariage, Saint-Pierre-le-Jeune (luth. f° 231 n° 21) 1611. Dominica Quinquages. 3. febr. Daniel Koch ein Kürsner, Daniel Koch. des Kursners Sohn, Barbara, Hans Hoffmans deß Eltern eubes Kürsners Tochter. Eingesegnet Zinst. d. 20. febr. (i 120)

Mentions de Daniel Koch le jeune dans les registres du Magistrat
1617, Protocole des Quinze (2 R 45) Daniel Koch der Jüng. 160. [et alii Ca. Kürßner Zunfft]
1626, Protocole des Quinze (2 R 54) Stephan Gaßner, Daniel Koch Ca. Hieronimum Kornkauff, Schmachsach. 305. 307. 308.
1630, Conseillers et XXI (1 R 112) Daniel Koch et consorten. 38. [wegen Jacob werners Verlaßenschafft, E. E. Rath zu Spettauw]

Daniel Koch et Barbe Hoffmann vendent la maison au boucher Marc Speckard et à sa femme Catherine Tretter. On remarquera qu’un capital de 50 livres est dû au boucher Jean Jacques Scholl.

1634 (20. Janua:), Chambre des Contrats, vol. 473 f° 32
Erschienen Daniel Koch d. Kürschner, burg. Zu St. und Barbara hoffmännin sein eheliche haußfr.
haben in gegensein Marx Speckhardten deß Metzgers auch burgers alhie, vnd Catharina Tretterin deß. Ehef. (verkaufft)
Ein Vord. vnd hind.hauß sampt hoffstat, vnd höfflin, mit allen Anderen ihren gebäwen & Alhie im Finckweiler, neben weÿ: H Frantz Grasecken Alten groß. Rhats Verwanthen Scheüren & neben Ihnen den Verkäuffern selbsten, hind. vff Sebastian Schachen, dauon gehen Jarß vff Mariæ Verkündigung 2. lb 10. ß d gelts dem Mehrern Spitahll alhe, in hauptg. mit 50. lb. It. 2. lb 12. ß 6 d gelts vff Aller heÿligentag mit 52. lb 10. ß d It. II+ gld gelts St. wer. vff den 13. martÿ mit 50. gld. wer. beede negsgesetzte posten weÿ: H Carol Küglers deß Jüngern apoteckers s: döchterlin abzulösen, So seind sie auch noch v.hafftet vmb 50. lb hanß Jacob Schollen dem Metzger, vff erfordern zuerlegen, inmitelst vff Michaelis zuuerzinsen, so dan vmb 150. lb. hanß Jacob Rummelsperg. Lederbereiter, (…) sonst freÿ, ledig, eÿgen, Vnd were diser Kauff vber die beschw.d so die Käuffere vf sich genommen, geschehen p. LXXV. lb

Fils du musicien Georges Speckard de Pforzheim, Marc Speckard épouse en 1625 Catherine, veuve du boucher Jean Jacques Krug
Mariage, Saint-Nicolas (luth. f° 140-v n° 7)
1625. Domin. 70.a 1. Vice. Marx Speckhardt, Von Pfortzen der Metzger, Görg Speckhardt deß Musicanten vndt burgers daselbsten ehelicher Sohn, vndt Catharina, Hans Jacob Krugen seeligen deß Metzgers vndt burgers alhie hinterlaßene Wittwe. Mont. post Sexages. Zu S Claus (i 154)

Le boucher Jean Jacques Krug épouse en 1615 Catherine, fille du cultivateur Arbogast Tretter, d’Eckartsweier
Mariage, Saint-Nicolas (luth. f° 106, n° 6)
1615. den 17. Aprilis sind ehelich eingesegnet worden Hannß Jacob Krug, der Metzger, weÿland Hanß Jacob Krugen des Metzgers vnd Burgers see: allhie nachgelassener Sohn, vnnd Jungfraw Catharina von Eckhartweiler, weÿland Arbogast Tretters des Baursmanns vnd Burgers see: daselbst nachgelaßene Tochter (i 116)

Le boucher Marc Speckard de Pforzheim devient bourgeois par sa femme en mars 1625
1625 (4° Livre de bourgeoisie), p. 75
Marx Speckhard d. Metzger Von Pfortzheim empfangt d. Burg.recht von Catharina hanß Jacob krug. deß Metzg.s wittib vnd will Zu den Blumern Zunfftig sein Act. den j Martÿ Aô 1625.

Daniel Koch se remarie en 1639 avec Anne Marie Weisshard, veuve du batelier Antoine Knoll : contrat de mariage où il est assisté du tuteur de ses deux enfants mineurs, célébration
1639 (ut supra [27. Maÿ]), Chambre des Contrats, vol. 483 f° 456
(Eheberedung) Erschienen Daniel Koch der Kürschner burger Zu St. alß hochzeiter, mit beÿstand Dauid Rudolffen deß Kürschners und Gabriel Stebers auch Kürschners alß Vogts sein hochzeiters zweÿer Jüngern Kindern An einem,
So dann Anna Maria Weißhardtin, weÿl. Anthoni Knollen deß Schiffmanns see. Witib Alß Hochzeiterin, mit beÿstand Adam Löwen deß Steurmanns und hannß Carle Heüßlers deß Meelmanns alß ihres Kindes Vögtes, 2. theils

Mariage, Saint-Pierre-le-Jeune (luth. f° 5-v)
1639. Dom. Rogationum 19. May. H. Daniel Koch E E kleinen raths beÿsitzers v. Kirschner Vndt Anna Maria Anthoni Knoll deß Stewrmanns v. burgers n. Wittib. Eingesegnet Zum J S pet. 27. May (i 8)
Proclamation, Saint-Guillaume (luth. p. 133) 1639. Dominica Vocem Jucunditatis. H. Daniel Koch der Kürßner vndt Eines Ehrs. Kleinen Raths alhie beÿsitzer, vnd Fr. Anna Maria, weÿl. Anthoni Knollen deß Steürmanns vndt burgers alhie nachgelassene eheliche witwe. Copul. Zinstags vorgemelt. (i 312)

Le batelier Antoine Knoll épouse en 1631 Anne Marie, veuve du boulanger Jean Stœtz
Mariage, Saint-Guillaume (luth. f° 17 n° 20)
1631. Dnicis ijsdem [Dnica Trinitatis v i. post Trinit. d. 5. d. 13. Junÿ] Anton Knoll der Jung ein Stewrman, Antoni Knollen des Alten des Stewrmans v. burgers alhie Sohn, Anna Maria, Hans Stötzen des Schwartzbecken Witwe – W. 19 (i 251)

Le boucher Jean Jacques Scholl, (ancien créancier) propriétaire de la maison qui a appartenu au boucher Marc Speckard, rembourse Anne Ringler, femme du docteur en médecine Jean Albert Sebitzius, de deux capitaux constitués par les actes passés le premier novembre 1568 et 4 juillet 1572 (voir plus haut)

1645 (25. Aug.), Chambre des Contrats, vol. 494 f° 481
Erschienen Herr Samuel Hugwarth der Jünger burger Zu Straßburg alß Befelchhaber deß Edel, Ehrenvest, Hochgelehrten H Johann Albert Sebitzÿ, Med. Doct. auch Burgers alhie, alß Eheuogt Fr. Annæ Ringlerin (…) an einem,
So dann hannß Jacob Scholl der Metzger alhie für sich selbsten mit beÿstand herrn Christoph Schübler deß Notarÿ, am Andern theil
Zeigten an, demnach ehrengedachter H. Dr Sebitzius Erstlichen, Vermög eines Vnder deß Bischoff. Hoffs alhie anhangendem Insigel den 1. Novembris Anno 1568. Vffgerichten Pergamentinen Brieffs, ahne Capital 100. fl. so Jährlich Vff Aller heilig. tag mit 5. fl. So dann 50. fl. hauptgut, so Jährlich vff den 13. Martÿ Inhalt Pergamentiner Verschreibung sub dato den 4. Julÿ Anno 1572. mit 2 ½ fl. alles Straßburg. wehr. Verzinst werden müßen, vff seinem hauß, hoffstatt undt höfflein alhie obwendig S. Thomans Brucken im Finckhweiler gelegen, welche Vor Jahren Marx Speckhardt der Metzger bewohnt gehabt, ietzmahlen aber obgesagter Scholl besitzt, also Zusammen 150. fl. gerüerter wehr. zusampt dauon verfallen Und noch außtändig. Zinßen Nemlich dem erstern Capital vff omnium Sanctorum 1639. den rest 10. ß 3 d. (…) also in allem ahne zinß 18. lb 17 ß 9 d Zuerfordern habe (quittirt)

La maison est décrite dans l’inventaire dressé en 1665 après la mort de Jean Jacques Scholl.
La maison revient à sa fille Madeleine qui épouse en 1666 Jean Rœmer

La veuve de Jean Georges Brimmer cède à Jean Frédéric Sachs, receveur de l’orphelinat, les mêmes capitaux constitués en 1568 et en 1572, garantis sur la maison de l’orfèvre Jean Rœmer

1689 (6.6.), Chambre des Contrats, vol. 560 n° 297-v
Erschienen H. Johann Ulrich Frid, wolbestellter XV. Actuarius allhier, alß vogt Fr. Salome gebohrner Schillin* weÿl. H. Johann Georg Brimmers gewes. alten dreÿers der Statt Pfenningthurn hinterlassene wittib
hatt in gegensein H. Johann Friderich Sachßen Schaffners deß Waisenhaußes (cedirt vnd vberlaßen)
ein hundert Gulden Capital Straßburger wehrung so H. Johann Römer der Goldarbeiter vermög einer pergamentinen von weÿl. H. Hilario Meÿer Contract. Notar. sel underm 1.t 9.br 1568 außgefertigten und mitt deß bischofflich. hoffs anhangend. Insiegel bekräfftigt, ab einer behaußung hoff und höfflein mit denen Gebäuen und zugehördt. allhier im Finckweiler einseit neben einer Scheur, H. Francisco Reißeißen dieser Statt ietz. Regirend. Ammeister gehörig, anderseit neben einer behaußung dem Stifft St. Marx gehörig, zum theil und zum theil neben dem Carbischen erb. hinten auff einer behaußung dem blaterhauß gehörig stoßend gelegen, jährlich auff Omnium sanctorum etwann à 5 modo à 4 pro Cento zu verzinßen schuldig
So dann Fünffzig guld. Capital ged. wehr. so vorged. Römer ab vorbeschriebener behaußung vermög auch einer pergamentin Verschreibung von vorged. H Meÿern sel am 4.ten Jul. 1572 mit obgd. Sigel verwahrt jährlich auff d. 13. Mart. mit 1 lb 2 ß d zu verzinß. schuldig – umb 157 pfund
[in margine :] (…) in gegensein Catharinæ geb. Trompeterin Friderich Haus des Kutschers Ehefrau und dermaligen schuldnerin (quittung) den 17. 9.bris 1749

La maison est décrite dans l’inventaire dressé en 1695 après la mort de Jean Rœmer. Les experts estiment à 200 livres la maison au Finckwiller qui est attribuée à la veuve lors du partage.
[Joint] Den 21. Augusti anno 1673 seind samptliche Schollische Geschwüsterdt beÿsammen Erschienen und nachfolgendt tractirt
13. das häußel im Finckweÿler betreffend, dabeÿ die helffte einer Kuoh, so beÿ Matthiß Arbogast Zu Matzenheim verstellt, gelaßen und eingerechnet worden, ist vnder die Erben Zu Vertheilen Verglichen worden, dergestalten, welchem theil solches häußel Zufallen würdt, derselbe seinen Mit Erben 20. Rthlr. hienauß Zugeben schuldig sein solle. Ist hienauff Fr. Magdalena, im Looß Zu vnd angefallen, gibt deßwegen Erstlichen dem Enckel pro ein Vierzehenden Theil und ane Daniels Vierten theil pro ein quart zusammen 3. fl. 3 ß d.

Madeleine Scholl, veuve de l’orfèvre Jean Rœmer, vend la maison au boucher Frédéric Scholl

1696 (3.8.), Chambre des Contrats, vol. 568 f° 422-v
Fr. Magdalena geb. Schollin weil. H. Johannis Römers gewesenen Goldarbeithers sel. nachgelaßene Wittib mit beÿstand Hn Georg Freudenberger deß Silberarbeiters ihres Curatoris, wie auch H. Johann Jacob Römers, Juris Stud. ihres leiblichen Sohns
in gegensein Friderich Schollen, deß metzgers
hauß, höfflein, Stall, sambt dero hoffstätt, auch ellen übrig. deren Gebaüen Recht. und Zugehördt. allhier im Finckweÿler, einseit neben einer Scheur Hn Francisco Reißeißen dießer Statt alt. Ammeister Und XIII. anderseit neben (-) hind. auff hans Jacob Bären deß Kirßners sel. Wittib stoßend gelegen, welche behaußung umb 150 fl Capital (verhafftet) – umb 146 pfund

Frédéric Scholl hypothèque le même jour la maison au profit du fils mineur de Frédéric Hansmetzger pour en payer le prix d’achet et les réparations

1696 (3.8.), Chambre des Contrats, vol. 568 f° 423
Friderich Scholl der Metzger
in gegensein Niclaus hans Metzger, deß Metzgers alß weil. Friderich hans Metzgers sel. Söhnleins Vogts, schuldig seete 175 pfund, theilß zu erkauffung hernach gemeldter behaußung theils zu deren reparation und melioration
unterpfand, hauß, höfflein, p perge auß immediate vorstehend. Verschreibung

Frédéric Scholl vend la maison au transporteur de bois Barthelémy Schnabel moyennant 500 livres

1706 (4.6.), Chambre des Contrats, vol. 579 f° 426
(500) frid: Scholl metzger
in gegensein Barthel Schnabels holtz Karchers
hauß, Höfflein, Stall samt dero hoffstätten auch übrigen rechten u. zugehörden allhier im finckweiler, einseit neben H. Francisco Reißeißen alten Amstr. u. XIII.ner anderseit neben hans Leonhard Heÿtel küblern hinten auf ein hauß nach St Marx gehörig stoßend gelegen – (um 157 fl. capital verhafftet, geschehen& um und 421 lb)

L’emploi de transporteur de bois est vacant depuis que Georges Lix a été élu emballeur à la halle. Son remplaçant devra être catholique d’après l’alternative. Barthelémy Schnabel qui habite Strasbourg depuis dix ans et qui a été journalier pour le transport du bois est élu à condition de devenir bourgeois
1705, Protocole des Quinze (2 R 109)
(f° 13-v) Freÿtags den 23. Januarÿ 1705 – Barthel Schnabel Zu einem Holtz Karcher erwöhlt
Iidem [Obere Holtzherren] Laßen per me proponiren, daß nach dem Georg Lix der Holtz Karcher Zu einem Spanner im Kauffhauß erwöhlt worden, undt die alternativ Einem Cathol. berühre, sich deren 2. als Claude Besson und Barthel Schnabel, beede Schirmere darumb angemeldet hetten. Was den Besson betreffe, hette Ich denselben errinnert, daß Er sich beÿ den Obern Holtzherren præsentiren solte, so Er Zwar Zu thun versprochen, aber nicht verrichtet habe, deßwegen man außstehe, Ob Er dazu noch lust haben möchte. Schnabel seÿe bereits 10 Jahr hier vndt habe beÿ den holtz Karchern, knechtweiß gefahren, alßo Ihme, ein vnd anders schon bekant seÿe, man habe demeselben auch dabeneben angezeigt, daß wan Er Zu einem Holtz Karcher angenommen werden solte, Er burger werden müßte, welches Er auff solchen fall Zu thun, undt seinen Geburts brieff aus Schwaben, allwo Er gebürtig, herbeÿ Zu schaffen, versprochen habe, werde demnach Zu Mghherren stehen welchen Sie davon Zu einem holtzkarcher erwählen wollen.
Electus Barthel Schnabel

Fils du charron Jacques Schnabel d’Oberreute près de Lindau, Barthelémy Schnabel achète le droit de bourgeoisie en mars 1705 en s’inscrivant à la tribu de la Mauresse
1705, 3° Livre de bourgeoisie p. 1253
Bartholomeus Schnebel der Holtzknecht V. Ober Reiden zing* beÿ Lindaw, Weÿ. Jacob schnebels, gew: Wagners daselbst hint. sohn, erkaufft das burgerrecht p. 2. gold. fl. 16. ß Vnd Wird beÿ E. E. Zunfft der Möhrin dienen. Jur. d. 16. Dito [Martÿ] 1705.

Marie Lutzweiller, originaire de Marlenheim, devient bourgeoise par son mari Barthelémy Schnabel en juillet 1706
1706, 4° Livre de bourgeoisie p. 763
Maria Lutzweilerin V. Marlenheim empfangt d. burgerrecht V. ihrem Mann Bartholome Schnabel, V. 2. Gold fl. V. 16 ß, wird zur Mörin dienen, P: d. 26. Dito [Julÿ] 1706

Barthelémy Schnabel, originaire de Landau (pour Lindau), fait batiser un enfant de sa femme Anne Marie Lutzwiller, originaire de Marlenheim
Baptême, Saint-Louis (cath. p. 16)
Die 18 Decembris 1706. nata est ex matrimonio legitimo Anna Maria filia Bartholomæi Schnabel Rhedarii in hac civitate oriundus ex territorio Landauiensis et Annæ Mariæ Lotzvillerin oriunda ex Marlem et die 19 eiusdem mensis et anni baptizata est (i 11)

Le journalier Barthelémy Schnabel vend la maison au domestique André Falck et à sa femme Anne Catherine Trompeter

1708 (27.4.), Chambre des Contrats, vol. 581 f° 310
(612) Barthel Schnabel Taglöhner
in gegensein Andres Falck wichßers u. Anna Cath: geb. Trompeterin
Hauß Höfflein Stall sambt dero Hoffstätten auch übrigen gebäuen, rechten und zugehörden im finckweiler, einseit neben H. Francisco Reißeißen altem ammeister u. xiii.nern anderseit neben Joh: Leonhard Heÿckel Kublern hinten auf ein hauß nach St. Marx gehörig – (um 200 und 200 pf. capitalien verhafftet, geschehen um und 212 pfund)

Anne Catherine Trompeter, fiancée au manant André Falck, fait dresser l’état de sa fortune. André Falck déclare dans une mention finale avoir reçu 7 livres en argent comptant de son beau-père Laurent Trompeter.
1704 (25.4.), Not. Rohr (Daniel, 46 Not 11) n° 441
Designatio derjenigen Nahrung welche Jungfraw Anna Catharina Trompeterin, Andreß Falcken dem allhießigen Schirms Verwanthen als Ihrem der Zeit Verlobten Brauthigam, in bevorstehenden Ehestandt Zubringen würdt (…) æstimirt worden den 25. Aprilis A° 1704.
haußrath, Schuldt, Summa 59 lb
den 23. Jan: 1706. bekande Andreß falck deß er von seinem Schwahrvatter Lorentz Trompeter im Nahmen deßen haußfrawen Zu einem heürath guth in baarem geldt empfangen habe 7 lb 10 ß

Originaire de « Gerchsausé » en Bade, André Falck qui est au service de l’intendant de la Houssaye se remarie à l’âge de 48 ans avec la Strasbourgeoise Anne Catherine Trompeter, fille de Laurent Trompeter et de Marguerite Mayer.
Mariage, Saint-Pierre-le-Vieux (cath. p. 154)
Die 4.to Maÿ 1704. (…) sacro matrimonii vinculo copulati sunt honesti andreas Falck viduus ætatis suæ 48 annorum oriundus ex Gerchsausé ditione Badensi et unus é domesticis prænobilis domini de la hussaÿe Intendentis Superioris et Inferioris alsatiæ. Et pudica virgo Anna Catharina Trombeterin Argentinensis, Et ætatis sua 23 annorum ac filia legitima Laurentii Trumbeter Civis Argentinensis et margarithæ meyerin (signé) Andreß falk, + signum sponsæ (i99)

Femme d’André Falck de Baden en Wurtembert, Catherine Kohler, originaire de Rothenburg, meurt le 24 décembre 1703
Sépulture, Saint-Pierre-le-Vieux (cath. p. 115)
Die 24. Xbris 1703. pie in dnô obiit debitis prouisa sacramentis Catharina Kolerin de Rottenburg Coniux Andreæ Falck de Baden in Wirtenbergensi ditione et a me infra subscripto sepulta in cœmeterio de 25° Eiusdem mensis et anni (i 62)

Le domestique André Falck, de Baden, et sa femme Anne Catherine Trompeter de Strasbourg achètent le droit de bourgeoisie en s’inscrivant à la tribu de la Mauresse. Leurs deux enfants suivent la coutume (ils ne deviennent pas bourgeois).
1708, 3° Livre de bourgeoisie p. 1269
Andreas Falck der Wichßer v. Baden v. sein Fr. Anna Catharina Trompeterin Von hier erkauffen das Burgerrecht p. 2. gold fl. 16. ß bringen 2. Kinder mit mit welchen es beÿ ordnung gelaßen worden, w. Zur Mörin dienen. Jur. 16. Dito [16. Aprilis] 1708.

André Falck et Anne Catherine Trompeter, assistée de son gendre Laurent Mini, hypothèquent la maison au profit du chirurgien Jean Reuchlin

1734 (16.4.), Chambre des Contrats, vol. 608 f° 145-v
Andreas Falck der wixer und Anna Catharina geb. Trompeterin mit beÿstand ihres tochtermanns Lorentz Mini des Bereuters auff hießigen Marstall und deßen bruders François Mini des Laquayen [unterzeichnet] Lorentz Mini, François Mini handzeichen +
in gegensein H. Johannes Reuchlin des Chirurgi – schuldig seÿen 100 pfund
unterpfand, Eine Behausung, höfflein, stallung und hoffstatt mit allen deren begriffen, weithen, zugehörden, rechten und gerechtigkeiten im Finckweÿler einseit neben Johann Ehrmann des Courtier Scheur anderseit neben Holtzinger dem garde des Domaines hinten auff dem Allmoßen zu St Marx gelegenen hauß – als ein Anno 1708 erkaufftes guth

André Falck, au service de l’intendant, meurt en 1738 en délaissant deux fils ou leurs représentants de son premier mariage avec Anne Catherine Kohler et trois enfants de son deuxième mariage. Les experts estiment la maison à 250 livres. La masse propre à la veuve est de 27 livres, celle des héritiers de 4 livres. L’actif de la communauté s’élève à 308 livres et le passif à 225 livres.

1738 (12.9.), Not. Lichtenberger (Jean Frédéric, 6 E 41, 303) f° 122
Inventarium über Weÿland des Ehrenhafften und bescheidenen Andreä Falcken geweßenen Wixers beÿ Ihro Gnaden dem Herrn Intendanten und burgers allhier nunmehr seel. Verlaßenschafft auffgerichtet Anno 1738.
Inventarium und Beschreibung aller Haab und Nahrung, so weÿl. der Ehrenhaffte und bescheidene Andreas Falck, gewesener Wixer beÿ Ihro Gnaden dem Herrn Intendanten und burger allhier Zu Straßburg, nunmehr seel. nach seinem Freÿtag den 15.t August Jüngsthin aus dießem Mühesamen Leben genommenen tödlichen hintritt Zeitlichen verlaßen, Welche Verlaßenschafft auf freundliches ansuchen erfordern und begehren des verstorbenen seel. Zum theil mit Weÿl. Fr. Anna Catharina gebohrener Köhlerin seiner Zuvor abgeleibten Ehe Frauen seel. und zum theil mit hernach gemelter hinterbliebenen Wittib ehelich erzeugter Kinder und Enckel wie solche ane folgendem Fol. ordentlich benamset, ersucht, durch die Ehren und tugendsame Frau Annam Catharinam gebohrne trompeterin die hinterlaßene Wittib mit assistentz des Ehren und Vorachtbahren Hn Joh: Rudolph Gümpels, Fastenspeishändlers und Burgers alhier deroselben ane vogts statt hierzu erbettenen beÿstands (…) So beschehen in der Königlichen Freÿen Statt Straßburg Freÿtags d. 12.ten Septembris Anno 1738.
Der Abgeleibte seel. hat ab intestato Zu Erben Verlaßen, wie folgt. 1. den Ehren und vorgeachten H. Johann Christoph Casimir Falck, Garde des allhießigen Umgelds und Burgern alhier, so seine stelle selbst vertretten,
2. Weÿl. Johann Niclaus Falcken, auch gewesenen garde des allhießigen Umgelds und Burgers allhier mit auch Weÿl. Fr. Maria Clara Falckin gebohrener Zieglerin ehelich erzeügte und nachgelaßene dreÿ Kinder, nahmentl. 1. H. Johann Christoph Falck Leedigen Scribenten, so dermahlen in der Frembde aber unwißend an welchem ort er sich befindet, in deßen Nahmen beÿ dießem Geschäfft erschienen, der Wohl Ehren Veste und Großachtbahre H. Johann Georg Hammers E. E. Kleinen Raths alhie wohlverdienter beÿsitzer, als aus erst wohlgedachten kleinen Raths Mittel hierzu insonderheit abgeordneter H. Deputatus, 2. Susannam Margaretham deren geschworner Vogt Vorgedachter Johann Christoph Casimir Falck, 3. Mariam Franciscam, so beÿ nahe 14. Jahr alt und dermahlen im allhießigen Weißenhauß sicht aufhaltet, in deren Nahmen dießem Geschäfft beÿ gewohnet der Ehren und wohlvorgeachte H. Joh: Leonhard wohlverordneter catholischer Weißen Vatter, hierzu nomine des Stiffts mündlich bevollmächtigt, Welche Sohn und Enckel aus des Verstorbenen seel. erster Ehe mit auch weÿl. Fr. Anna Catharina gebohrener Kohlerin besessener Ehe herstammen
3. den Ehren und wohlachtbahren Hn Andream Anthonium Falck Perrucquenmacher und Burgern Zu Bitsch in Lotaringen, in deßen Nahmen Vor wohlernandter H. Rathh Hammerer der H. Deputatus gleichfalls dießem Geschäfft abgewartet
4. die Ehren und tugendsahme Fr. Annam Catharinam Miny gebohrne Falckin, des Ehrenhafften und bescheidenen Lorentz Miny des Vorreiters beÿ dem herren Stall und burgers alhier Ehe Fr., welche mit assistentz ersternandten ihres Ehe Vogts Zugegen gewesen,
5. Die Ehren und tugendgezierte Jgfrau Mariam Barbaram Falckin, welche mit beÿstand des Ehren Vorgeachten Hn Johann Peter Schepplers Schneiders und burgers allhier, dießer Inventur Persönlich abgewartet.
Nechst Vor benamßte dreÿ des abgeleibten seel. mit eingangs erwehnter seiner hinterbliebenen Wittib Ehel. erzeügte Sohn und töchter, Alle Fünff aber deßelben ab intestato Zu gliechen Stammtheilen Verlaßene Erben

In einer alhier Zu Straßburg ane dem Finckweiler gelegener und in dieße Verlaßenschafft gehöriger behaußung ist befunden worden wie folgt
Ane Höltzen und Schreinerwerck, In der Soldaten Werck Kammer, In der Schwartz gethüch Cammer, In der Holtz Cammer, In der Kuchen, In der Stub Cammer, In der Wohnstub
Eigenthum ane einer Behausung. Eine behaußung höfflein, Stall und hoffstatt samt den übrigen gebäuen rechten Zugehörden und Gerechtigkeiten allhier im Finckweiler 1.s. neben Jacob Schützen dem Fischer, 2.s. neben Hn N. Grädel dem handelsmann, hinten auff ein hauß dem Stifft St: Marx gehörig stosend, gelegen, so außer denen hernach unter den Passivis Inventirt darauff hafftenden Capitalien freÿ Ledig und eigen, und durch Hn Johann Peter Pflug (…) vermög dero überschickter und beÿ mein Notarÿ Concept befindlicher Abschatzung de dato 12. Septembris 1738. æstimirt worden, pro 500 fl. oder 250. lb. Hierüber ist Vorhanden ein teutscher pergamentener Kauffbr: in allh. C: C: stub: gefertiget datirt d. 22. Aprilis Anno 1708.
Series rubricarum hujus Inventarÿ. Copia der Letzten Willens Disposition welche beede durch den Zeitlichen tod getrennte Eheleut A° 1709. mit einander auffgerichtet (…)
Bericht über gegenwärtige Verlaßenschafft. Es declarirte die hinterbliebene wittib gleich anfangs der Inventur, daß sie mit ihrem verstorbenen Ehemann seel. Zur Zeit ihrer verheÿrathung Keinen Ehe Contract auffgerichtet folglich auch dero einander in die Ehe Zugebrachte Nahrung nicht inventiren Laßen (…)
Sa. haußraths so der Wittib unverändert 24, Sa. Goldenen Rings 2, Summa summarum 27. lb
Dießemnach wird auch der Erben Nahrung beschrieben, Sa. Haußraths 4
Endlichen folget auch die Beschreibung des Gemein Verändert v. theilbaren Guths, Sa. haußraths 32, Sa. Eigenthums ane einer Behaußung 250, Sa. Schulden 26, Summa summarum 308 lb – Schulden 225 lb, Detrahendo verbleiben 83 lb
Beschluß und Verstallungs Summa 92 lb
Abschatzung dem 12: Sept. 1738. Auff begehren, weilandt deß bescheitenen andreaß falcken deß gewesenen wickser in deß Intendanten hauß seel. hinterlassene fraw wittib und Erben ist eine behausung alhie in der Statt Straßburg hinden der Mucke beÿ st: Marx gelegen, ein seits neben jackob schutzen dem fischer, anderseits Neben H. Grättell dem handelßmann hinden auff st: Marx stoßend welche behaußung hinden auff dem botten ein stubell Kuchell hauß Ehren Klein höffell und Ställein gebtremter Keller, obern dar auff ein Stuben Cammer soldaten Küchell hauß Ehren und besetzte bienen und alten tach stull daß tach mit ein fachen Ziglen belegt sambt allen gerechtig Keitt wie solches turch der Statt Straßburg geschwornen wërck Meistern sich in der besichtigung befunden und Jetzigen Preÿß nach angeschlagen wirdt Vor und Umb Vunff hundert Gulten. bezeichnuß der Statt Straßburg geschwornen wërck Meistere, [unterzeichnet] Johann Peter Pflug Statt Lohner, Michael Ehrlacher Werck Meister deß Meinsters, Johann Jacob Biermeÿer Werck Meister deß Zimmerhoffs

Les préposés de la Taille font figurer la succession dans leur registre parce que les héritiers non bourgeois doivent régler le droit de détraction.
1738, Livres de la Taille (VII 1178) f° 335-v
Möhrin F. N. 7763. – Weÿl. Andreas Falcken geweßenen Wixers und burgers alhier Verlaßenschafft inventirt H Not. Lichtenberger jun.
Concl. Fin. Inv: ist fol. 48
92 lb 12 ß, die machen beÿ 200. fl. Verstallte 300. fl.
Est. kein Stallgeltt
Gebott 2 ß
Abhandlung 5 ß 6 d, Summa 7 ß 6 d.
Abzug. Andreas Antonius Falck der Peruckenmacher Zu Bitsch hat Von 11. lb 7 ß 10 d Vätter. Erbe den Abzug Zu erlegen mit 1 lb 3 ß 9 d
dt. 25. Octobris 1738.

Anne Catherine Trompeter se remarie en 1739 avec le cocher Frédéric Huss, veuf de Barbe Blumenstein (Blumstein) : contrat de mariage, célébration

1739 (27.4.), Not. Lichtenberger (Jean Frédéric, 6 E 41, 348) n° 74
Eheberedung – Persönlich erschienen der Ehrsame und bescheidene Friderich Huß, Kutscher auff der Statt Stall und burger allhier Zu Straßburg, mit assistentz des Ehrengeachten Meister Johann Philipp Meÿers Schuhmachers und burgers allhier, als hochzeither ane einem,
So dann die Ehren und Tugendsahme Frau Anna Catharina Falckin gebohrne Trompeterin, Weÿland Andreæ Falcken, geweßenen Wixers beÿ Ihro Gn. dem Herrn Intendanten, und Burgers allhier Zu Straßburg hinterlaßene Wittib, mit beÿstand des Ehren: und Vorgeachten H. Johann Christoph Casimir Falck, Garde des allhiesigen Umbgelds und burgers allhier, ihres Stieff Sohns, als hochzeiterin, am andern Theil
So geschehen und Verhandelt in der Königlichen freÿen Statt Straßburg Montags den 27.t Aprilis Anno 1739 [unterzeichnet] + Friedrich Hußen Handzeichen, + Annæ Catharinæ Falckin Handzeichen

Mariage, Saint-Louis (cath. p. 146)
Hodie 4. mensis Maji anno 1739. (…) sacro matrimonii vinculo conjuncti sunt fridericus Huss civis hujatis & vidui defunctæ Barbaræ Blumenstein a quatuor mensibus in hac parochiâ & Catharina Trompeterin vidua defuncti andreæ falck ex hac parochiâ, + signum sponsi + signum sponsæ (i 77)

Originaire de Dambach-la-Ville, Barbe Blumstein, femme du cocher Frédéric Huss, meurt le 20 avril 1738
Sépulture, Saint-Marc (cath. p. 208)
Anno Domino 1738 die vero 20.â mensis Aprilis mortua est sacramentis Eucharistiæ et extremæ unctionis præmunita Barbara Blumensteinin Oriunda ex Dambach Friderici Huss Inquilini et unius ex Rhedariis huius urbis vidui superstitis uxor et postridie â me infra scripto sepulta fuit in Cœmeterio ad. Gallum (i 111)

Cocher originaire d’Ohlungen près de Haguenau, le cocher Frédéric Huss devient tributaire à la Mauresse le 3 juin 1739 (il est devenu bourgeois avant cette date, le livre de bourgeoisie manque pour cette année)
1739, Protocole de la tribu de la Mauresse (XI 258)
(f° 425-v) Mittwochs den 3.t Junÿ Anno 1739 – Neuer Leibzünfftiger CR
Friderich Huß, der Kutscher auff der hießigen Statt Stall, Von Ohlungen beÿ Hagenau gebürtig producirt Cantzleÿ Pfenningthurn und Stallschein, davon die Zweÿ erstere den 20.t. Aprilis 1739 der letztere aber den 25. ejudsem datirt, bittet um ertheilung des Zunfft Rechts. Erkandt gegen Erlag der Gebühr willfahrt.
Erlegte Vor den Pfenningthurn 1 lb, vor das Zunfft Recht 5 ß, Vor die Feuer Eÿmerer 3 ß 4 s Und Vor die Einschreib Gebühr 2 ß (Zusammen) 1 lb 10 ß 4 d.

Jean Frédéric Huss et Anne Catherine Trompeter font dresser l’inventaire de leurs apports dans la maison qui appartient en partie à l’épouse et en partie à ses enfants

1740 (27.8.), Not. Lichtenberger (Jean Frédéric, 6 E 41, 306) n° 186
Inventarium über deß Ehrsahmen und bescheidenen Johann Friderich Huß, Statt Kutschers und burgers allhier Zu Straßburg, Zu der Ehren und tugendsahmen Frauen Annä Catharina gebohrener Trompeterin seiner Ehefrauen in den Ehestand gebrachte Nahrung auffgerichtet Anno 1740. (…) und Er sich vermög ihr beeder Eheleute vor mir Notario den 27.ten Aprilis Anno 1739. mit einander auffgerichteter Eheberedung §° 2.do vor unverändert vorbehalten hat – So beschehen in der Königl. Statt Straßburg auff Sambstag den 27.ten Aug. A° 1740.
In einer allhier Zu Straßburg ane dem Finckweiller gelegener der dißorts Ehefrauen und ihren Kindern eigenthümlich zuständiger Behaußung ist befunden worden wie folgt.

Catherine Trompeter, femme du cocher Frédéric Hauss, hypothèque la maison au profit des enfants mineurs de Sébastien Karcher

1749 (18.11.), Chambre des Contrats, vol. 623 f° 675
Fr. Catharina geb. Trompeterin Friedrich Hauß des kutschers ehefrau
in gegensein Ludwig Müller des maurermeisters als vogt weÿl. Sebastian Karcher des frantzösischen thurnhüters zweÿer kinder Rosina und Francisca der Karcher – schuldig seÿen 160 fl.
unterpfand, eine behausung, hofflein und hoffstatt im Finckweiler, einseit neben Jacob Schmutz dem chaisentrager, anderseit neben H. Grätel dem handelsmann, hinten auff eine dem stifft S. Marx gehörigen behausung

Autre hypothèque entre les mêmes parties

1751 (9.12.), Chambre des Contrats, vol. 625 f° 603
Fr. Anna Catharina geb. Trompeterin Friedrich Hauß des stadt: kutschers ehefrau
in gegensein Ludwig Müller des maurer meisters als vogt Sebastian Karcher des frantzösischen thurnhüters zweÿer kinder Rosina und Francisca der Karcher – schuldig seÿen 25 pfund
unterpfand, eine behausung, höfflein und hoffstatt im Finckweiler hinder dem wirths hauß zur Mucken, einseit neben Daniel Schmutz dem chaisen träger, anderseit neben H. Gräthel dem handelsmann, hinten auff zweÿ dem Stifft St Marx gehörigen häußer

Originaire de « Niel » dans le diocèse de Strasbourg, Sébastien Karcher épouse en 1739 Marie Barbe Falck, fille des prédécents
Mariage, Saint-Louis (cath. p. 138)
Anno domini 1739 die 8. mensis januarii (…) sacro matrimonii vinculo conjuncti sunt sebastianus Karcher filius legitimus defuncti Jacobi Karcher & Mariæ Böhin ex parochiâ Nylensi huius diœcesis nunc vero civis argentinensis & Maria Barbara falckin filia legitima defuncti andreæ falck, dum viveret civis huiusce civitatis & annæ Catharinæ Trompeterin ex hac parochiâ (signé) + signum sponsi, maria barbara falckin (i 72)

Sébastien Karcher, domestique au service du commandant de Saint-Victor, et Marie Barbe Falck font dresser un état de leur fortune dans la maison qui appartient à la mère de l’épouse. Celle du mari s’élève à 162 livres, celle de la femme à 84 livres.
1740 (27.8.), Not. Lichtenberger (Jean Frédéric, 6 E 41, 306) n° 187
Inventarium über deß Ehrsamen und bescheidenen Sebastian Karchers dermaligen bedienten beÿ H. Major Saint Victor allhier und der Ehren und tugendsahmen Frauen Mariä Barbarä Karcherin gebohrener Falckin, beeder Eheleuthe und burgere allhier Zu Straßburg einander in den Ehestand zugebrachte Nahrungen auffgerichtet Anno 1740. (…) So beschehen in der Königl. Statt Straßburg auff Sambstag den 27.ten August A° 1740.
In einer allhier Zu Straßburg ane dem Finckweiler gelegener der Ehefrauen Mutter theils eigenthumbs: und theils Wÿdumbs weiß Zuständiger Behaußung, ist befunden worden wie folgt
Series rubricarum hujus Inventarÿ. Des Ehemanns in die Ehe gebrachtes Vermögen, Sa. Silbers 1 Sa. Schulden 161, Summa summarum 162 lb
Dießemnach werden auch der Ehefrauen in die Ehe gebrachte Mittel beschrieben, Sa. haußraths 65, Sa. Silbers 9, Sa. Goldenen Rings 2, Sa. Baarschafft 7, Summa summarum 84 lb

Le geôlier Sébastien Karcher meurt en janvier 1749 en délaissant deux filles. Il existe un inventaire des apports sans contrat de mariage antérieur. Les experts estiment la maison à 250 livres. La masse propre à la veuve est de 24 livres, celle des héritiers de 24 livres. L’actif de la communauté s’élève à 703 livres et le passif à 151 livres.
1749 (12.2.), Not. Lichtenberger (Jean Frédéric, 6 E 41, 323) n° 518
Inventarium über Weÿland Sebastian Karchers, geweßenen Thurnhüters in dem allhiesig frantzösischen Thurn und burgers allhier Zu Straßburg nunmehro seel. Verlaßenschafft, aufgerichtet Anno 1749. (…) nach seinem Dienstags den 28.ten Januarÿ dießes 1749.ten Jahrs aus dießer Welt genommenen tödlichen hientritt hier Zeitlichen verlaßen, Welche Verlaßenschafft auf freundliches ansuchen erfordern und begehren Hn Ludwig Müllers des Maurer und Steinhauers auch burgers allhier, als geordnet und geschworenen Vogts Rosinæ Karcherin, so 8 Jahr alt und Franciscæ Karcherin, so 3 Jahr alt, alles Zweÿ des verstorbenen seeligen mit hernach gemeldter seiner hinterbliebenen Wittib ehelich erzeugter Kinder und ab intestato Zu Zween gleichen portionen und Antheilern verlaßener Erben, inventirt, durch Frau Mariam Barbaram Karcherin gebohrener Falckin die hinterbliebene Wittib, mit beÿstand Jacob Müller des Metzgers und Burgers allher (…) So beschehen in der Königlichen Stadt Straßburg auf Mittwoch den 12.ten Februarÿ Anno 1749.

Bericht gegenwärtigen Inventarii. Es haben, wie die hinterbliebene Wittib gleich anfangs dieser Inventation auf befragen berichtete, beede nunmehro durch die Zeitliche Todes Schickung zertrennte Eheleute zur Zeit ihrer Vermählung keine Eheberedung mit einander errichtet, nichts desto weniger aber den 20. aug. 1740. ihr einander in die Ehe zugebrachtes Vermögen durch mich Not. behörig inventiren und beschreiben laßen (…)
In dem ane dem Finckweiler ohnfern denen gedeckten Brucken gelegenen frantzösischen Thurn allhier Zu Straßburg befunden worden wie folgt
Ane Höltzen: und Schreinwerck, (…) Im officier Zimmer, Im Zimmer Pistole genandt, In der Kuchen, Im Keller. Ane Bett: und Federwerck. Auf der Pistole, In der Magd Cammer, Neben der Magd Cammer, In der Wohnstub
Norma hujus Inventarÿ – Copia Codicilli de dato 11. 8.bris 1748.
Der hinterbliebenen Wittib ohnveränderten in deren Natural Posten und einigen von Defuncto seel. erhaltener Geschmuck bestehenden Vermögens, Sa. haußraths 12, Sa. Silber und dergleichen Geschmeids 9, Sa. goldenen Rings und dergleichen Geschmeids 2, Summa summarum 24 lb
(Perge sub hoc qq signo) Dießemnach wird auch der Erben ohnveränderte Nahrung beschrieben, Kleÿdung 24 lb
Endlichen so wird auch die gemein und theilbar Verlaßenschafft, Sa. haußraths 133, Sa. Wein und leerer faßen 66, Sa. Silbers 3, Sa. Pfenningzinß hauptgths 500, Summa summarum 703 lb – Schulden 151 lb, Nach deren Abzug 552 lb
Conclusio finalis Inventarÿ 601 lb
Copia Codicilli 1748 (…) auf Freÿtag den 11. Octobris Sebastian Karcher der Thurnhüter in dem allhiesig frantzösischen Thurn und burger allhier Zu Straßburg, mich (…) in besagten frantzösischen Thurn beruffen und erfordern laßen den wir dann zwar schwachen und Krancken leibes auf einem bette liegend, jedoch von Verleÿhung göttlicher Gnade guter richtiger Sinnen, Vernunfft und Verstandts (…) in obgedachtem frantzösisch in dem Finckweiler ohnfern denen gedeckten brucken gelegenen thurn und deßen darneben befindlichen Stuben mit denen vordern Fenstern in das höfflein und mit den hintern in den Stadt Graben außsehend – Johann Friderich Lichtenberger
Verzeichnus dererjenigen Posten, so Herr Joseph Bruland der neue Thurnhüter in dem frantzösischen Thurn allhier zu Straßburg den 19.ten Februarÿ Anno 1749. aus der Karcherischen Succession angenommen, welche aber annoch ohnbezahlt außstehen

La veuve passe un contrat de mariage avec Jacques Boichot, au service du commandant Daudevald, originaire de La Chapelle près de Belfort
1749 (19.11), Not. Lichtenberger (Jean Frédéric, 6 E 41, 349) n° 267
Eheberedung – Persönlich erschienen Jacques Boichot, Leedigen standts und dermahlen in diensten beÿ Hn Major Daudevald allhier, Heinrich Boichot des Schuhmachers und burgers Zu la Chapelle im Obern Elsaß, mit Weÿland Frauen Margarethä gebohrener Bardrit, Ehelich erzeugter Sohn, für sich selbsten, als Hochzeiter ane einem
So dann Frau Maria Barbara gebohrene Falckin, Weÿland Sebastian Karchers, geweßenen Thurnhüters in dem alhiesig Frantzösischen Thurn und burgers allhier Zu Straßburg seel. hinterlaßene Wittib, mit assistentz Heren Jacob Müllers des Metzgers ihres ane Vogtstatt habenden beÿstands und Herrn Ludwig Müllers des Maurers und Steinhauers auch ihrer Kinder Erster Ehe geschwornen Vogts, beeder Burgere allhier, als Hochzeiterin ane dem andern theil
So beschehen in der Königlichen Stadt Straßburg auf Mittwoch den 19.ten Novembris Anno 1749. [unterzeichnet] Jacque Boichat comme aespos, maria barbara Karcherin gebohrne falckin als hochzeitherin

Marie Barbe Falck meurt six jours après avoir passé le contrat de mariage. L’actif s’élève à 895 livres, le passif à 30 livres
1749 (2.12.), Not. Lichtenberger (Jean Frédéric, 6 E 41, 324) n° 550
Inventarium über Weÿland der Ehren und Tugendsahmen Frauen Mariæ Barbaræ Karcherin gebohrener Falckin, auch Weÿland Sebastian Karchers, gewesenen Thurnhüters in dem allhiesig Frantzösischen Thurn und burgers allhier Zu Straßburg seel. hinterbliebener Wittib, nunmehro auch seel. Verlaßenschafft auffgerichtet in Anno 1749. (…) nach ihrem Dienstag den 25.ten Novembris dieses annoch lauffenden 1749.ten Jahrs aus dießer Zeit und Welt genommenen tödlichen hientritt hier Zeitlichen verlaßen, Welche Nahrungs Verlaßenschafft heut dato Zu End ermelt auf freundliches ansuchen erfordern und begehren herrn Ludwig Müllers des Maurer, Steinhauers und burgers allhier, als geordnet und geschworenen Vogts Rosinæ Karcherin, so Neun Jahr alt, und Franciscæ Karcherin, so vier Jahr alt, beede der Verstorbenen seel. mit obbemelt ihrem im Leben gewesenen Ehemann ehelich erzeugt und ab intestato Zu Erben Verlaßener Zweÿer töchterlein fleißig ersucht und inventirt, durch ihne den geschwornen Vogt und deßen Ehefrau wie auch Frau Annam Catharinam Hußin gebohrner Trompeterin, Friedrich Huß des Stall Kutschers Ehefrau, der abgeleibten seel. leibliche Mutter, so dann Frau Annam Catharinam Miny gebohrne Falckin, Laurent Miny des gewesenen Kutschers und burgers allhier hinterlaßene Wb. der Verstorbenen Schwester ferner Jungfrau François Henriette Miny und Jgfr. Philippina Falckin, weiters Frau Annam Mariam Westermännin gebohrene Anckerin, weÿl. Frantz Wetsermann geweßenen tabackbereiters und Schirmers allhier Verlaßene Wb. der Defunctæ seel. gewesene dienstmagd, und endlcihen Jacques Boichot den bedienten beÿ herrn Majot Daudevald, als welcher mit der verstorbenen seel. Verlobt ware (…) So beschehen allhier Zu Straßburg den 2.ten und 3.ten Decembris Anno 1749.
In einer allhier Zu Straßburg ane dem Finckweiler hinter der Gast behaußung Zur Muck gelegener Frauen Annæ Catharinæ Hußin gebohrener Trompeterin eigenthümlich zuständiger und der verstorbenen seel. Leibl. Mutter Eingangsgedacht befunden worden wie folgt
Series rubricarum hujus Inventarÿ, Sa. haußraths 160, Sa. Silbers und dergleichen Geschmeids 29, Sa. Pfenningzinß hauptgüter 230, Sa. Schulden 471, Summa summarum 895 lb – Schulden 30 lb, Nach deren Abzug, Stall Summ 865 lb

Sépulture, Saint-Louis (cath. p. 175)
Anno domini 1749 die 25. novembris mortua est maria barbara falckin vidua defuncti Sebastiani Karker hujus civitatis, dum viveret, civis oïbus sacramentis rité munita, Et die sequenti (…) sepulta est in Cœmeterio Ecclesiæ ejusdem Loci, testes fuerunt Ludovicus Müler huius urbis Civis, Jacobum boichat hujus urbis pariter Civis, Conradus Scholl aeditum noster (i 94)

Compte que rend le maçon Jean Louis Müller de la tutelle des biens qui appartiennent aux deux filles, Rosine femme de l’apprêteur de tabac Jean Jacques Memminger et la défunte Françoise Karcher
1764 (1.2.), Not. Nenter (Georges Fréd. 6 E 41, 973) n° 95
Berechnung Über Weÿl. Sebastian Karchers, des geweßenen Thurnhüters in dem allhießigen Frantzösischen thurn und burgers allhier, mit auch Weÿl. Fr. Maria Barbara gebohrener Falckin, ehelich erzeugt und nach tod Verlaßener Zweÿer Töchtere, Nahmentlichen Fr. Rosinä Karcherin, H. Johann Jacob Memmingers, des taback fabricanten und burgers allhier nunmahliger Ehefrauen und Weÿl. Francisca Karcherin, durch H. Johann Ludwig Müller, den Maurer und Steinhauer Meister wie auch burgers allhier als deroselben geordnet und geschwohrner Vogt in Verwaltung habendes Vermögen

Anne Catherine Trompeter, veuve de Frédéric Huss, ancien cocher aux écuries municipales, meurt en 1763 en délaissant un fils, une fille et une petite-fille (Rosine Karcher femme de Jean Jacques Memminger) issue de sa fille Marie Barbe. Les experts estiment la maison à 250 livres. L’actif de la succession s’élève à 270 livres, le passif à 343 livres.

1763 (26.8.), Not. Lichtenberger (Jean Frédéric, 6 E 41, 337) n° 877
Inventarium über Weiland Frauen Annæ Catharinæ Hußin geborner Trompeterin auch längst weil. Friderich Huß, des geweßenen Kutschers auf der herren Statt Stall und Burgers alh. Zu Strasburg hinterbliebene Wittib nunmehr auch sel. Verl. auffgerichtet Anno 1763.
Inventarium u. Beschreibung aller derjenigen Haab und Nahrung, so weil. Frau Anna Catharin Hußin geborne Trompeterin, auch weil. Friderich Huß, des geweßenen Kutschers auf der herren Statt Stall und Burgers alh. Zu Strasburg hinterbliebene Wb. nunmehr auch sel. nach ihrem Donnerstag d. 4. aug. an. curr. aus dießem Weltleben genommenen töd. hintritt hie Zeit. Verlaßen (…) So geschehen in der Königl. Statt Straßburg auf Freÿtag d. 26. aug. A° 1763.
Die abgeleibte fr. hat ab intestato Zu Erb. Verlaßen wie folgt. 1° H. Andream Antonium Falck dem Perruquenmacher und Burger Zu Bitsch in Lotharingen, so dermalen selbsten Zugegen, u. dießem geschäft in Persohn beigewohnt, Nichts destoweniger aber, weilen derselbe alh. ohnverburgert so ist seinetwegen hiebeÿ erschienen H. Niclaus Meÿer, der Schumacher u. E. E. Kl. Raths alh. dermalig. wohlverdienter Beÿsitzer, als aus Ehrengedacht. Kleinen Raths mittel hierzu in specie abgeordneter Deputatus, 2. Frau Annam Catharinam Miny geborne Falckin, weil. Lorentz Miny, des geweßenen Kutschers und Burgers alh. hinterl. Wb. welche mit beÿstand H. Ludwig Zindel, des Silberarbeiters und Burgers alhier dießer Inventur abwartete und 3. Weiland Frauen Mariæ Barbaræ Karcherin geborner Falckin, auch weil. Sebastian Karcher, gewesenen frantzösischen Thurnhüters und burgers alhier als der Verstorbenen seel. im leben geweßener leibl. tochter nachgelaßene tochter u. dißorts Enckelin mit Namen Rosina Menningerin, H. Joh: Jacob Menninger des tabackfabricant. und b. alh. Ehegattin welche unter assistentz erstgedachten ihren Ehemann beÿ diesem Inventations Geschäft Zugegen gewesen, Alle 3 der Verstorbenen seel. längst weil. Andreas Falck dem geweßenen Wichsers beÿ Ihro Gnaden dem Herrn Intendanten u. bn. alh. Zu Straßburg in erster Ehe ehel. erzeugte Sohn und tochter und der jüngsten Verst. tochter hinterl. Tochter disorts Eckelin und ab intestato Zu 3. gleich. portionen und Antheiler Verlaßene Erben

In einer alhier Zu Straßburg im Finckweiler ohnfern dem Stift St. Marx gelegener und in diese Verl. gehöriger bhßg. ist befund. worden wie folgt
Eigenthum ane einer Behausung. Eine behaußung höflein, Stall u. hoffstatt samt den übrig. gebäuen, Rechten, Zugehörden und Gerechtigkeiten allhier Zu Straßburg im Finckweiler 1.s. neben Daniel Beringer, dem Paßmentirer, 2.s. neben H. N. Grädel dem hdlsmann, hinten auf N. N. stoßend, gelegen, so außer hernach beschriebenen darauff haftenden Capitalien freÿ, ledig u. eigen, und durch (die Werckmeistere) vermög deroselben ad conceptum hujus Inventarÿ gelieferten schriftlicher Abschatzung d. d. 25. Septembris 1763. æstimirt worden, pro 500 fl. od. 250. lb. Hierüber ist Vorhanden ein teutscher pergamentener Kauffbr: in allh. Cantz: Contract Stuben gefertiget datirt den 27. Apr. A° 1708.
Series rubricarum hujus Inventarii. Sa. haußraths 20, Sa. Eigenthums ane einer behaußung 250, Summa summarum 270 lb – Schulden 343 lb, Passiv onus loco der Stallsumm 73 lb
Abschatzung Vom 25:ten Sept. 1763. Auff Begehren Weil. Andreas Hueß seil. hiender Lasener Erben ist eine behausung alhie in der Statt Strasburg in dem Finckweiller Gelegen Ein seits Neben N. Daniel, Anderseits Neben H: Gredell dem handels man und hienden auff N: N: Stostend Gelegen solche behausung besteht in Zweÿ Stuben Zweÿ Kichen und Ettliche Kammern dar jber ist der dach Stull mit holl und Breidt Ziglein belegt hat auch ein Getrembten Keller und hoff. Von uns Unterschriebnen der Statt Strasburg Geschworgnen werck Meister Nach vorher geschehener besichtigung mit aller Ihrer Gerechtigkeit dem Jetzigen Wahren werth Nach Estimirt und Angeschlagen worden Vor und Vmb Finff hundert Gulden. [unterzeichnet] Werner, Sebastian Huber

La maison revient à sa petite-fille Anne Rose (Rosine) Karcher qui épouse en 1763 le marchand de tabac Jean Jacques Menninger.

Mariage, Saint-Louis (cath. p. 140)
Hodie 14 Februarii Anni 1763 (…) sacro matrimonii vinculo in facie Ecclesiæ conjuncti fuerunt Joannes Jacobus Menninger Civis et tabaci Negotiator filius Joannis Jacobi Menninger et Barbaræ Rösslerin defunctorum Conjugum Parochianus ad Stum Petrum Seniorem et Maria Anna Rosa Karcher filia Sebastiani Karcher et Barbaræ Falckin defunctorum Conjugum, Parochiana nostra (signé) Johan Jacob Menninger, Rosina Karcherin (i 72)

Rosine Karcher, femme de Jean Jacques Menninger, hypothèque la maison au profit de Marie Salomé Lichtenberger née Wagner, pour en régler le prix de cession

1764 (22.8.), Chambre des Contrats, vol. 638 n° 586
Fr. Rosina geb. Karcherin so über 25. jahr alt zu seÿn versicherte und Johann Jacob Memminger des tabac fabricanten ehefrau
in gegensein Fr. Maria Salome Lichtenbergerin geb. Wagnerin beÿständlich H. Lt. Johann Heinrich Faust E.E. Kleinen Raths advocati und Procuratoris ord., zu bezahlung des cessions schillings hiernach beschriebener behausung – schuldig seÿen 200 pfund
unterpfand, eine Behausung cum appertinentis im Finckweiler, einseit neben Johann Daniel Böringer dem knopffmacher, anderseit neben H. Daniel Gräthel dem handelsmann hinten auff ein dem Stifft St Marx gehöriges haus

Jean Jacques Menninger et Rosine Karcher hypothèquent la maison au profit du soldat invalide Gaspard Haller.

1770 (14.12.), Chambre des Contrats, vol. 644 n° 581
Johann Jacob Memminger der tabackhändler und Rosine geb. Karcherin mit beÿstand Johann Jacob Hartmann des bedienten und Jacob Wendling des schneiders beede ihren nächsten
in gegensein Caspar Haller des Invaliden – schuldig seÿen 250 pfund
unterpfand, eine behausung cum appertinentis im Finckweiler, einseit neben Daniel Böringer dem knopffmacher, anderseit neben Jacob Dieterlin dem tabackfabricanten, hinten auff die Schaffneÿ zu St. Marx

Leur fils Jean Guillaume Menninger, marchand épicier, épouse en 1810 Anne Auguste Sophie Sander en reconnaissant en enfant
Mariage, Strasbourg (n° 16)
L’an 1810 le 6° jour du mois de janvier (…) sont comparus Jean Guillaume Menninger, âgé de 30 ans, marchand épicier, né en cette ville le 28 juillet 1779, y domicilié, fils de Jean Jacques Menninger, ci devant fabricant de tabac, consentant ainsi qu’il résulte de son acte de consentement passé (…) devant Bremsinger notaire impérial en cette ville le 8 décembre dernier, et de feu Barbe Rosine Karcher décédée en cette ville le 24 Prairial an trois, comme il est constaté par son acte de décès
et Anne Auguste Sophie Sander, âgée de 28 ans, domiciliée en cette ville depuis deux ans, née à Hannovre le 6 mai 1781, fille de feu Jean Rodolphe Sandée, chirurgien audit lieu, y décédé le 7 mai 1784, comme il est constaté par son acte de décès, et de Marie Elisabeth Damicken, consentant ainsi qu’il résulte de son acte de consentement passé à Hannovre le 25 avril 1784 par devant Charles Louis Ziehen notaire (…) Et aussitôt lesdits époux ont déclaré qu’il est né d’eux un enfant inscrit sur le registre des naissances de Brunswic en Westphalie en date du 28 mai 1805 et sous le nom de Josephine Wilhelmine Sophie Sander laquelle ils reconnaissent pour leur fille (signé) Joh Guill. Menninger, Anne Augusta Sophie Sander (i 9)

Jean Jacques Menninger meurt en 1814 en délaissant pour héritiers testamentaires ses petits-enfants issus de son fils Jean Guillaume
1814 (11.7.), Strasbourg 14 (53), M° Lex n° 139
Inventaire de la succession de Jean Jacques Menninger, vivant fabricant de tabac à Strasbourg décédé le premier avril dernier, fait à la requête de Anne Auguste Sophie Sander femme de Guillaume Menninger négociant, agissant en qualité de tutrice de ses trois enfants Joséphine Guillemine Sophie âgée de 9 ans, Barbe Julie âgée de 4 ans et Guillaume Auguste âgé de 15 mois, héritiers du défunt leur grand père suivant testament olographe du 23 janvier 1812 – en présence de Théophile Busch négociant subrogé tuteur desdits mineurs, dressé dans le logement qu’il occupe
acp 125 (3 Q 29 840) f° 3 du 13.7. – Il n’y a point de mobilier
Immeubles à Sundheim outre Rhin une maison 400 fr, un emplacement de maison brûlée à Kehl 300 fr
plus une maison située à Strasbourg quai St Nicolas n° 65, d’un côté le Sr Engelhard de l’autre le Sr Lindenlaub, devant la rue derrière la Carpe bidée, estimée à 12.400 francs
créances 924 fr – passif 22.395 fr

Jean Guillaume Menninger et Jean Jacques Menninger vendent la maison au négociant Benoît Jacques Dannhorn

1808 (29.4.), Strasbourg 13 (28), M° Bremsinger n° 4310
Jean Guillaume Memminger négociant tant en son nom et fondé de pouvoir de Jean Jacques Memminger ancien fabricant de tabac en cette ville
à Benoit Jacques Dannhorn négociant
une maison avec maison de derrière cour ayant deux étages et mansardes et ayant aussi façade en pierres devant en cette ville rue St Marc n° 24, d’un côté Daniel Böhlinger, de l’autre le Sr Koffler, devant la rue, derrière le Sr Schott – moyennant 7500 francs
Enregistrement, acp 106 F° 6 du 3.5.

La maison est décrite dans l’inventaire dressé en 1810 après sa mort.

Les héritiers de Benoît Jacques Dannhorn vendent par adjudication la maison à André Pierret

1811 (20.5.), Strasbourg 12 (37), Henri Joseph Wengler n° 5761
Cahier des charges n° 5720 du 30 avril – Adjudication définitive – Jean Michel Wegler, mécanicien domicilié à Anspach en Franconie, Royaume de Bavière, mandataire tant de Jean Ulric Dannhorn, tambour major de la Garde nationale de la troisième classe à Schwobach dit Royaume que d’Anne Marie Dannhorn femme de Jean Thomas Hollenbach demeurant à Anspach
à André Pierret rentier demeurant rue des Bouchers n° 13
une maison batie en pierres consistant en bâtiment de devant et de derrière, petite cour, pompe et tres fond avec toutes ses autres appartenances, droits et dépendances sise en cette ville rue St Marc n° 24, d’un côté le Sr Koffler fabricant de tabac, de l’autre la veuve Boeringer, devant la rue, derrière le Sr Barthelmé – échu aux vendeur dans la succession de Benoit Jacques Dannhorn négociant, le défunt l’a acquis de Jean Jacques Memminger et Jean Guillaume Memminger négociants père et fils par acte reçu M° Bremsinger le 29 avril 1808 – mise à prix 10.000 francs – moyennant 11.875 francs
Enregistrement, acp 117 f° 49 du 21.5.

André Pierret épouse Marie Madeleine Barbe le Tellier en 1806
1806 (17.11.), Strasbourg 14 (31), M° Lex n° 906
Contrat de mariage – André Pierret, natif de Bussang département des Vosges, domicilié à Strasbourg, fils de feux Pierre Pierret, négociant, et de Barbe Souvey
Marie Madeleine Barbe le Tellier, native dudit Strasbourg fille mineure de François le Tellier, maître menuisier absent
Enregistrement, acp 101 F° 68 du 22.11.

André Pierret et Madeleine Barbe Letellier vendent la maison au peintre Joseph Schweiss et à sa femme Madeleine Laubersheimer

1839 (9.1.), Hypothèque de Strasbourg, Transcription reg. 342, n° 48 – Frédéric Grimmer
André Pierrel ou Pierret, propriétaire, et Madeleine Barbe Letellier
à Joseph Schweiss, peintre, et Madeleine Laubersheimer
une maison construite en pierres composée de bâtiment de devant et de derrière avec petite cour, pompe de aisances, dépendances sise à Strasbourg rue Saint Marc n° 24, d’un côté François Charles Sauvage, de l’autre Daniel Wiedersohn, derrière la propriété de Jean Georges Mühl – acquise sur Jean Ulric Dannhorn, tambour major de la garde nationale de troisième classe à Schwalbach (Bavière) et Anne Marie Dannhorn épouse de Jean Thomas Hollenbach demeurant à Anspach, par acte reçu M° Wengler le 20 mai 1811. Lesdits Dannhorn et D° Hollenbach héritiers de Benoît Jacques Dannhorn leur père, négociant, lui même propriétaire par acquet sur Jean Jacques Menninger, fabricant de tabacs et Jean Guillaume Menninger, négociant, suivant vente passée devant M° Bremsinger le 29 avril 1808 – pour 8000 francs

Originaire de Spire, Joseph Schweiss habite à Strasbourg depuis 1810. Marie Madeleine Laubersheimer est née à Pirmasens. Marie Madeleine naît en 1811, Marie Caroline en 1812.
Registre de population 600 MW 70 (1808 sqq) Rue Finckwiller n° 3, p. 985-d (i 306-306)
Schweiss Joseph, 26, Peintre – del. Pont couvert N° 30
id. née Laubersheimer, Marie Mad, 30, Epouse
id. Marie Madeleine née le 14 fev. 1811
(…) Schweis Marie Caroline 17 mars 1812

Registre de population 600 MW 170 (1835 sqq) Rue St Marc 24, p. 236 (i 136)
Schmitt (Schweis) Joseph, 1784, Spire, Vernisseur, marié, (à Str. depuis) 1810, admis à domicile, (auparavant) r St Thomas 19, (entré) 29. Janv. 39, (sorti) 20 Janv. 51 même rue 6
id. née Laubersheimer, Marie Madeleine, 1784, Pirmasens, Epouse, idem
id. Caroline, 1812, Strasbourg, fille, (sortie) 6 Xbre 41, Bâle, mariée à Rümisperger
id. Frédérique Joséphine, 1819, Strasbourg fille, (sortie, comme les parents), mariée Théodore Burgy

Marie Madeleine Laubersheimer meurt à l’âge de 78 ans en 1855
Décès, Strasbourg (n° 2102)
Acte de décès. Le 15 septembre 1855 (…) ont comparu Joseph Schweis âgé de 71 ans, peintre, époux de la défunte domicilié à Strasbourg et Jean Jacques Wagner âgé de 53 ans, tonnelier gendre de la défunte domicilié à Strasbourg, lesquels nous ont déclaré que Marie Madeleine Laubersheimer, âgée de 78 ans, née à Pirmasens (Bavière) épouse de Joseph Schweis peintre domicilié à Strasbourg, fille de feu Frédéric Daniel Laubersheimer boulanger et de feu Marie Madeleine Harlacher, est décédée le 14 septembre 1855 à quatre heures du soir en la maison N° 26 rue finckwiller [in margine :] Vieillesse (i 35)

Joseph Schweis meurt à l’âge de 75 ans en 1860
Décès, Strasbourg (n° 956)
Acte de décès. Le 26 mai 1860 (…) ont comparu Théodore Bürgi âgé de 43 ans, peintre, gendre du défunt domicilié à Strasbourg et Jean Jacques Wagner âgé de 58 ans, tonnelier voisin du défunt domicilié à Strasbourg, lesquels nous ont déclaré que Joseph Schweis, âgé de 75 ans, né à Spire (Bavière), peintre, veuf de Marie Madeleine Laubersheimer, domicilié à Strasbourg, fils de feu François Schweis et de feu Marguerite Conrad, est décédé le 25 mai 1861 à six heures du soir en la maison rue St Marc 21 [in margine :] Apoplexie (i 39)

Joseph Schweiss et Madeleine Laubersheimer vendent la maison à (leur gendre) tonnelier Jean Jacques Wagner. La vente est résolue par jugement rendu au tribunal civil le 16 août 1848 à la demande des créanciers Schweis (voir infra l’acte de 1883)

1847 (19.2.), Hypothèque de Strasbourg, Transcription reg. 461 (2687) n° 41 – G.L.F. Grimmer
Cejourd’hui 19 février 1847 a été présenté en ce bureau pour être transcrit l’acte de mutation dont la teneur suit.
Pardevant M° Georges Louis Frédéric Grimmer (…) sont comparus le sieur Joseph Schweis, ancien peintre et sous son autorisation Dame Madeleine Laubersheimer, son épouse demeurant et domiciliés à Strasbourg, lesquels ont par ces présentes vendu (…)
au sieur Jean Jacques Wagner, tonnelier, demeurant et domicilié en ladite ville acquéreur ci présent et acceptant
Une maison construite en pierres, composée de bâtiment de devant et de derrière avec petite cour, pompe, droits, aisances et dépendances située à Strasbourg rue Saint Marc numéro 24 tenant d’un côté à la propriété de Monsieur François Charles Sauvage de l’autre à celle de Daniel Wiedersohn et donnant par derrière sur la propriété de Jean Georges Mühl.
Tel et en l’état où cette maison se poursuit et se comporte avec les doubles fenêtres, volets, jalousies, trois fourneaux en fer de fonte et deux en fayence, (…)
Les conjoints Schweis ont fait l’acquisition du dit immeuble du sieur André Pierrel ou Pierret propriétaire et de Dame Madeleine Barbe Letellier, conjoints à Strasbourg suivant contrat passé devant le soussigné notaire Grimmer le 28 décembre 1838, transcrit au bureau des hypothèques de la même ville le 9 janvier 1839 volume 342 numéro 48 avec inscription d’office prise le même jour volume 291 Numéro 192, pour le prix de 8000 francs qui fut payé comptant, savoir (…). Le sieur Pierrel a fait l’acquisition de ladite maison vendue du sieur Jean Ulrich Dannhorn, tambour major de la Garde nationale de troisième classe à Schwabach (Bavière) et de Dame Anne Marie Dannhorn épouse du sieur Jean Thomas Hollenbach demeurant à Anspach, suivant procès verbal d’adjudication définitive dressé par M° Wengler, vivant notaire à Strasbourg le 20 mai 1811. Ledits sieurs Dannhorn et Dame Hollenbach en étaient propriétaires comme héritiers chacun pour moitié du sieur Benoit Jacques Dannhorn leur pere négociant à Strasbourg. Ce dernier en était lui même propriétaire pour l’avoir acquis du sieur Jean Jacques Menninger fabricant de tabac et du sieur Jean Guillaume Menninger négociant les deux de Strasbourg, suivant contrat passé devant M° Bremsinger alors notaire en la même ville le 29 octobre 1808. – moyennant la somme de 10.000 francs
acp 358 (3 Q 30 073) f° 7

Joseph Schweiss et Madeleine Laubersheimer vendent la maison à l’employé à l’octroi François Joseph Arnheiter

1849 (11.7.), Strasbourg 10 (114), Louis Frédéric Zimmer n° 7928
11 juillet 1849, Vente – ont comparu le sieur Joseph Schweis, ancien peintre et Dame Madeleine Laubersheimer, son épouse de lui dûment autorisée demeurant et domiciliés à Strasbourg, lesquels ont par ces présentes vendu (…)
à M. François Joseph Arnheiter, employé à l’octroi de la ville de Strasbourg, y demeurant & domicilié, acquéreur ci présent et acceptant
Une maison construite en pierres, composée de bâtiment de devant et de derrière avec petite cour, pompe, droits, aisances et dépendances située à Strasbourg rue Saint Marc N° 24 tenant d’un côté à la propriété de M. François Charles Sauvage, de l’autre à celle de Daniel Wiedersohn et donnant par derrière sur la propriété de Jean Georges Mühl.
Cette maison est vendue telle et en l’état où elle se trouve actuellement (…) avec les doubles fenêtres, volets, jalousies et en outre quatre fourneaux en fer de fonte et deux en fayence avec leurs tuyaux et pierres (…)
Les vendeurs sont devenus propriétaires de la maison vendue pour en avoir fait l’acquisition du Sieur André Pierrel ou Pierret, propriétaire, et de Dame Madeleine Barbe Letellier, conjoints, demeurant à Strasbourg suivant contrat reçu parM° Georges Louis Frédéric Grimmer notaire en cette ville le 28 décembre 1838, transcrit au bureau des hypothèques de la même ville le 9 janvier 1839 volume 342 numéro 48 & inscrit d’office le même jour volume 291 Numéro 192. Cette acquisition a eu lieu moyennant le prix de 8000 francs (…). Le sieur Pierrel a fait l’acquisition dudit immeuble du sieur Jean Ulrich Dannhorn, tambour major de la Garde nationale de troisième classe à Schwabach (Bavière) et de Dame Anne Marie Dannhorn épouse du sieur Jean Thomas Hollenbach, demeurant à Anspach, suivant procès verbal d’adjudication définitive dressé par M° Wengler, en son vivant notaire à Strasbourg le 20 mai 1811. Lesdits sieurs Dannhorn et Dame Hollenbach en étaient propriétaires comme héritiers chacun pour moitié du sieur Benoit Jacques Dannhorn, leur père négociant à Strasbourg, ainsi déclaré dans le contrat d’acquisition des conjoints Schweis. Et le sieur Benoit Jacques Dannhorn en avait fait l’acquisition du sieur Jean Jacques Menninger, fabricant de tabac et du sieur Jean Guillaume Menninger, négociant, les deux de Strasbourg, suivant contrat passé devant M° Bremsinger alors notaire en la même ville le 29 octobre 1808. Les vendeurs certifient, sous les peines de droit, que ladite maison leur appartient encore en toute propriété & qu’elle n’est grevée d’aucune dette, rente, privilège ni hypothèque à l’exception (…) – La vente est faite et acceptée moyennant le prix de 11.000 francs
acp 385 (3 Q 30 100) f° 41

François Joseph Arnheiter passe un contrat de mariage avec Marie Anne Mathid d’Osthoffen. Le mariage n’est pas célébré.
1815 (9.11.), Strasbourg 5 (42), Frédéric Grimmer n° 9310
Contrat de mariage – François Joseph Arnheiter, musicien à Strasbourg, fils majeur de feu Auguste Arnheiter, peintre, et d’Anne Marie Daumont
et Marie Anne Mathis fille majeure d’Ignace Mathis, boulanger, et de Marie Wolff à Oshoffen
acp 129 (3 Q 29 844) f° 15-v du 10.11. – réserve d’apports, communauté d’acquets partageable par moitié
Donation mutuelle au survivant d’une somme de 600 francs à prendre sur la succession du prédécédé & de l’usufruit viager de tous les biens du prémourant réductible s’il y a des enfants

François Joseph Arnheiter épouse en 1826 Marie Madeleine Schmidt
Mariage, Strasbourg (n° 275) Acte de: mariage, célébré à l’hôtel de ville de Strasbourg à dix heures du matin le 3 août 1826. François Joseph Arnheiter, Majeur d’ans, né en légitime mariage le 22 juin 1790 à Strasbourg, domicilié à Strasbourg, militaire retiré, fils de feu Augustin Arnheiter, ancien officier d’Infantere, décédé à Selestatt (Bas Rhin) le 17 vendémiaire en quatre, et Anne Marie Daumont Epouse actuelle de Frédéric Charles Greuhm, Employé à la mairie
Marie Madeleine Schmidt, Majeure d’ans, née en légitime mariage le premier prairial an Sept, domiciliée à Strasbourg, fille de feu Jean Georges Schmidt, Marchand de volaille, décédé en cette ville le 13 Prairial an huit, et de feu Marie Madeleine Brunner, décédée en cette ville le 26 juin 1826 (signé) François Joseph Arnheiter, Maria Magdalena Schmidt (i 28)

Acte de notoriété constatant que François Joseph Arnheiter est mort en 1852 en délaissant pour unique héritière sa fille Amélie Victorine
1852 (28.6.), Strasbourg 10 (122), Louis Frédéric Zimmer n° 9563
Notoriété, 28 juin 1852. – (…) 1) qu’ils ont parfaitement connu M. François Joseph Arnheiter, en son vivant receveur de l’octroi municipal de Strasbourg où il était domicilié et savoir qu’il était marié sans contrat de mariage sous le régime de la communauté légale avec D° Marie Madeleine Schmidt, sa veuve demeurant et domiciliée en la même ville
2) que ledit Sr Arnheiter est décédé à Strasbourg le 24 mai 1852
3) qu’après ce décès il n’a point été fait d’inventaire de sa succession
4) que ledit défunt a laissé pour seul et unique héritière Mad° Amélie Victorine Arnheiter, sans état, demeurant et domiciliée à Strasbourg, sa fille née le 23 mai 1833 de son mariage avec ladite Dame sa veuve survivante.
En conséquence Mad. Veuve Arnheiter née Schmidt et Mlle Arnheiter sa fille ont seules droit chacune pour moitié à tous les arrérages de traitement du défunt et à tous autres biens & valeurs qui peuvent dépendre de ladite communauté légale
acp 411 (3 Q 30 126) f° 22 du 29.6.

Autre acte de notoriété. Amélie Victoire Arnheiter est la femme de Charles Louis Lœper, fondé de pouvoir de la Société anonyme d’expédition et de dépôt
1883 (5.2.), Strasbourg 24 (40), Joseph Allonas n° 7096
Notorietät – (…) daß sie die bei Lebzeiten zu Straßburg wohnenden Eheleute H. François Joseph Arnheiter, octroibeamter mit Frau Marie Madeleine Schmidt gekannt haben, und daß sie wißen daß dieselbe zu Strassburg gestorben sind, und Zwar H. am 24. Mai 1852 und die Frau Arnheiter am 6. Juni 1871, beide hinterlaßend als einzige Erbin die einzige Tochter Frau Amélie Victoire Arnheiter, Ehefrau des H. Charles Louis Loeper, Procurist der Speditions und Niederlagen-Actiengesellschaft zu Strassburg, beisammen Zu Straßburg St. Marxgasse n° 15 wohnend.
acp 732 (3 Q 30 447) f° 85-v du 10.2.

Amélie Victoire Arnheiter épouse en 1854 le commis négociant Charles Louis Lœper
1854 (15.6.), Strasbourg 10 (127), Louis Frédéric Zimmer n° 10.615
Contrat de mariage 15 Juin 1856 – Ont comparu 1. M. Charles Louis Loeper, commis négociant demeurant et domicilié à Strasbourg, né en ladite ville le 28 septembre 1820 du légitime mariage de M. Jean Charles Auguste Loeper, employé des tabacs, et de Dame Marie Madeleine Fritschmann son épouse, les deux demeurant à Strasbourg, futur époux, d’une part
2. Mad.lle Amélie Victoire Arnheiter, sans état en jouissance de ses droits, demeurant et domiciliée à Strasbourg, fille née en ladite ville le 23 mai 1833 du légitime mariage de feu M. François Joseph Arnheiter, vivant receveur de l’octroi et de Dame Marie Madeleine Schmidt, sa veuve survivante, demeurant à Strasbourg, future épouse d’autre part
acp 430 (3 Q 30 145) f° 79 du 15.6. – stipulation de communauté de biens réduite aux acquêts, réserve d’apports et d’héritages
Le survivant aura l’usufruit de la moitié des biens de la communauté
Les apports de ls future épouse consistent en une valeur de 3122 francs
La moitié indivise d’une Maison rue St Marc N° 24
Donation réciproque par les futurs époux au survivant d’eux de l’usufruit de toute la succession réductible en cas d’enfants

Charles Louis Lœper meurt en 1883 en délaissant sept enfants.
1883 (22.12.), Strasbourg 24 (44), Joseph Allonas n° 7675, 7929
22 Dezember 1883. – Inventar der auf die Errungenschaft beschränkten Gütergemeinschaft, welche zwischen den Eheleuten Karl Ludwig Loeper und Amelie Victoria Arnheiter bestanden hat und des Nachlasses des genannten Karl Ludwig Loeper, gestorben zu Strassburg den 29. November 1883.
Im Jahre 1883, Sambstag den 22. Dezember vier Uhr nachmittags zu Straßburg im Sterbhause Drachengasse N° 8.
Auf Anstehen von 1. Frau Amelie Victoria Arnheiter, gewerblos zu Straßburg wohnhaft, Wittwe des verlebten Kaufmanns Herrn Karl Ludwig Loeper, handelnd A. eigenen Namens a) wegen der auf die Errungenschaft beschränkten Gütergemeinschaft, welche zwischen ihr und ihrem verlebten Ehemann bestanden hat laut ihres Ehevertrags vir Notar Ludwig Friedrich Zimmer zu Straßburg vom 15. Juni 1854. b) wegen der Ersatzansprüche, ehelichen Forderungen die sie etwa gegen gedachte Gütergemeinschaft eventuell gegen den Nachlass ihres genannten Ehemanns geltend zu machen hat, c) als Schenknehmern in lebenslängliche und unentgeltliche Nutznießung der Hälfte des Sonder-Nachlasses ihres verlebten Ehemanns Kraft der in dem obenerwähnten Ehevertrage enthaltenen Schenkung, d) als Nutznießerin der dem Nachlasse des Verlebten gefallenden Hälfte der gedachten Gütergemeinschaft, laut der in obenerwähntem Ehevertrage getroffenen conventiollen Bedingungen
B. im Namen und als gesetzliche Vormünderin ihrer aus der Ehe mit ihrem verlebten Ehemann entsprossenen noch minderjährigen Kinder als a) Ernest Gustav Alfons Loeper, geboren den 22. Juni 1864, b) Alfred Lucien René Loeper, geboren den 26. August 1875
C. im Namen und als Bevollmächtigte von a) Herrn Karl Heinrich Edmond Loeper, Buchhalter zu Livry, canton du Raincy in Frankreich wohnhaft laut Vollmacht (…) b) Herrn Victor Charles Paul Loeper, ledig, großjährig, Koch zu Strassburg Drachengasse N° 8 wohnhaft (…) c) Fräulein Marie Hélène Loeper, volljährig ohne Gewerbe zu Strassburg Drachengasse N° 8 wohnhaft (…)
2. Fräulein Anna Juliette Loeper, großjährig, gewerblos zu Straßburg Drachengasse N° 8 wohnhaft, handelnd eigenen Namens
3. Frau Octavie Marie Jeanne Loeper, gewerblos handelnd eigenen Namens unter Ermächtigung ihres hier anwesenden Ehemanns Herrn August Bleyfuss, Handelsreisender mit welchem sie zu Straßburg, Alter Weinmarkt N° 5 wohnhaft ist, genannter Herr Bleyfuss handelnd noch im Namen und als Nebenvormund der obgenannten muthjahren Kinder Loeper (…)
die genannten Ernest Gustav Alfons Loeper, Alfred Lucien René Loeper, Karl Heinrich Edmond Loeper, Paul Loeper, Marie Hélène Loeper, Anna Juliette Loeper und Octavie Marie Jeanne Loeper einzige Erbberechtigte zu je einem Siebentel an dem Nachlasse ihres Vaters des genannten Herrn Karl Ludwig Loeper, gestorben dahier den 29. November 1883.

Verkauf des Hauses Marxgasse N° 24. Cote zwei. Ein Schriftstück. Dies ist die vollstreckbare Ausfertigung des am 5. Februar 1883 von dem unterschriebenenen Notar errichteten Kaufvertrags, vonach die Eheleute Loeper das zu Straßburg marxgasse N° 15 früher N° 24 gelegene Wohnhaus mit An- und Zubehörungen den Eheleuten Aloïs Georg Naura, Typograph, und dessen Ehefrau Marguerite Louise Marie Meyer, beisammen zu Straßburg wohnhaft verkauft haben um den Preis com 14.400 Mark
acp 745 (3 Q 30 460) f° 5 n° 3482 du 28.12. (Tafel 69 Bl. 107 N° 120 – Sterbfall Erklärung 8.5.84 Bd. 144 N° 74)
acp 749 (3 Q 30 464) f° 21-v n° 609 du 7.5. (Fortsetzung vom 1. Mai) Gemeinschaft, baares Geld 4000, Mobilien 1127
Nachlass, Kleider 200, die Passiven betragen 194. M
Ersatzforderung der Wittwe laut Ehevertrag 2497, und für ererbtes mobiliar Vermögen 40, laut Urkunde Allonas vom 5/1.83 6400 (zusammen) 8937
Rückbringen der Ehefrau Bleyfus laut Urkunde Holtzapfel vom 27. Februarÿ 1878, 1873
wegen der Frau aus* Rente sind die Erben verschiederner Meinung
Ferner hat die Wittwe zue Entlastung des Sohnes bezahlt 4000 weßhalb in dem vätterlich Nachlass zu verrechnen sind 2000

L’enseignante Marie Hélène Lœper constitue une rente de 240 marks au profit de sa mère Amélie Victoire Arnheiter
1888 (13.10.), Strasbourg 24 (65) Joseph Allonas n° 10.701
Rentenconstitution, 13 Oktober 1888. – Ist Erschienen Frl. Maria Helena Loeper Lehrerin an der hiesigen Gewerbeschule zu Straßburg wohnend, dieselbe im Hinblick auf Artikel 205 des burgerlichen Gesetz buches und indem ihre hiernach genannte Mutter sowol ihres Alters wie auch ihrer kräncklichen und Schwächlichen Zustandes wegen nicht mehr in der Lage für ihren Unterhalt zu sorgen und persönlich auszukommen
erklärte sie bestelle hiemit ihrer mitanwesenden und es annehmenden Mutter Amalie Victoire Arnheiter gewerblos zu Straßburg wohnhaft, Wittwe des H. Charles Louis Loeper, eine jährliche und lebenslängliche Leibrente von 240 Mark (…)
acp 807 (3 Q 30 522) f° 87-v du 16.10.

Amélie Victoire Arnheiter meurt en 1893 en délaissant six enfants
1893 (25 & 27.7.), Antoine Keller
Inventar über den Nachlass der an 7. März 1893 hier verstorbenen Amelie Victorie Arnheiter Wittwe des Kaufmanns Karl Louis Loeper.
Erben sind die Kinder 1. Johanna Octavie Loeper, Ehefrau von August Bleyfuss, Handelsrepräsentant hier, 2. Paul Loeper, Koch hier, 3. Karl Loeper, Kommis zu Livry, 4. Helene Loeper, Lehrerin an der Industrieschule hier, 5. Juliette Anna Loeper, Lehrerin in Paris, 6. Alfred Loeper, minderjährig hier, unter Vormundschaft seines Bruders Paul Loeper
acp 871 (3 Q 30 586) f° 25-v n° 6233 du 28.3. (St. Er 13/4..93 Bd 198 N° 20) Mobilien geschätzt zu 582, 2 Obligationen der Bodenkreditbank hier, 1 Obligation bei der Sparkasse hier, und Zinsen, Baares gald 364
Schulden des Nachlasses bereits bezahlt 212, noch geschuldet 493

Testament de la défunte par lequel elle lègue un quart de sa succession à ses deux filles
1893 (15.3.), Joseph Allonas
Eigenhändiges Testament der am 7. März 189. hier verstorbenen Amelie Arnheiter, Wittwe Loeper, wonach dieselbe ihren töchtern Maria Helene Loeper, Lehrerin hier, & Anna Juliette, Lehrein zu Paris den vierten Theil ihres Nachlasses zum Voraus vermacht
Errichtet zu Straßburg den 31. Januar 1888
acp 870 (3 Q 30 585) f° 100 n° 6131 du 22.3.

Les deux filles renoncent au legs ci-dessus
1893 (25.3.), Joseph Allonas
Verzicht durch 1) Marie Helene Loeper, Lehrerin in Straßburg, 2) Anna Juliette Loeper, Lehrerin in Paris auf alle Vortheile, welche ihnen ihr Mutter Viktorie Amalie Arnheiter, gestorben hier am 7. März 1893, Wittwe von Karl Ludwig Loeper gemäß ihres eigenhändigen Testaments vom 31. Januar 1888 hinterlegt beim amt. Notar am 15. März 1893 zugesichert hat
acp 869 (3 Q 30 584, II) f° 61 n° 4536 du 27.3.

Charles Louis Lœper et Amélie Victoire Arnheiter vendent la maison au typographe Aloïse Georges Naura et à sa femme Marguerite Louise Marie Meyer. L’origine de la propriété mentionne l’annulation de la vente de 1847.

1883 (5.2.), Strasbourg 24 (40), Joseph Allonas n° 7097
Erschienen Herr Charles Louis Loeper, Procurist der Speditions und Niederlagen-Actiengesellschaft zu Strassburg und dessen von ihm hierzu ermächtigte Ehefrau Amélie Victoire Arnheiter, beisammen zu Straßburg St Marxgasse no 15 wohnend, dieselben erklären sie verkaufen (…)
an die hier anwesensen, dies annehmender H. Aloyse George Naura, Typograph, und dessen ermächtigter Ehefrau Marguerite Louise Marie Meyer, beisammen Zu Straßburg wohnhaft Solidar Käufer
Nachbezeichnete Liegenschaft. Beschreibung. Ein in Stein erbautes Wohnhaus mit Bodegeschoß und zwei Stockwerken mit Mansarden, sammt einem dreistockigen Hinter Gebäude mit Remise, kleinem Hofraum, Pumpe, Rechten und Zubehörden, alles gelegen Zu Strassburg, St Marxgasse N° 15, früher N° 24 grenzend einerseits Georg Mayküchel, anderseits H. Dannert und Arnheiter Sohn, vorn die St. Marxhasse, hinten das Eigenthum von Jean Georg Mühl. Sammt allem was niet und nagelfest in den Mauern befestigt (…) namentlich mit acht befindlichen Öfen, wovon drei eiserne und die anderen in Porzellan, sammt den Röhren und Steinplatten welche dazu gehören, ein Bauchkessel im Bodengeschoß des vorder-Hauses nebst allen befindlichen Doppel Fenstern, Ladenflügel und Jalousie-Läden.
Eigenthums-Nachweis. Die Verkäufer erklären daß die Ehefrau Loeper Eigenthümerin georden ist von der gedachten Liegenschaft, in dem sie dieselbe geerbt hat in den Nachläßen ihrer verlebten Eltern H. François Joseph Arnheiter, früher octroibeamter der Stadt Strassburg daselbst verstorben am 24. Mai 1852 und Marie Madeleine Schmidt, dessen Wittwe gestorben am 6. Juni 1871 beide bei lebzeiten zu Straßburg wohnend, von welchen die Frau Loeper einzige Tochter und einzige Erbin ist, so wie dies erhellet aus einem Notorietätsact errichtet heute durch den amtierenden Notar, welcher vor oder mit Gegenwärtigem wird registrirt werden.
H. François Joseph Arnheiter hat dieselbe Liegenschaft, während seiner Ehe erworben von h. Joseph Schweis, ehemaliger Maler und dessen Ehefrau Madeleine Laubersheimer, beisammen zu Straßburg wohnend, auf Grund eines Kaufvertrages aufgenommen von dem früheren Notar Zimmer Zu Straßburg am 11. Juli 1849 überschrieben im Hypothekenamte zu Straßburg am 14. desselben Monates Juli Band 488 N° 65 und von Amtswegen eingeschrieben Band 510 no 75. mittelst eines Preises im Betrage von 11.000 Franken, auf welche sofort 1500 Franken bezahlt (…). Die Eheleute Schweis waren Eigenthümer des fraglichen Immöbel worden, indem sie daßelbe erworben haben von H. André Pierrel ou Pierret, Gutsbesitzer und dessen Ehefrau Madeleine Barbe Letellier zu Straßburg wohnhaft, zufolge eines Kaufertrages aufgenommen vor Notar Grimmer eines der Amtsvorgänger des unterzeichneten Notars am 28. Dezember 1838, überschrieben im Hypothekenamte zu Straßburg am 9. Januar nachher Band 362 no 42, und von Amtswegen eingeschrieben Band 291. no 192. mittelst eines Preises von 8000 Franken, welche sofort baar bezahlt worden (…)
Laut einer Urkunde aufgenommen von dem gedachten Notar Grimmer am 18. Februar 1847, überschrieben im Hypothekenamte zu Straßburg am 19. desselben Monates Band 461 no 41, hatten zwar die Eheleute Schweis das gedachte Besitzthum verkauft an den Küfer und Wirt Johann Jacob Wagner zu Straßburg, aber zufolge urtheil vom 16. August 1848 hat das Civil Gericht zu Strassburg denselben Verkauf, als zur Benachteiligung der Gläubiger der Eheleute Schweis eingegangen, für null und nichtig erklärt, und die Eheleute Schweis wurden angesehen als hätten sie niemals aufgehört Eigenthümer der gedachten Liegenschaft zu sein, mithin waren sie auch berechtigt dieselbe späterhin, und wie bereits hier oben zu sehen an die Eheleute Arnheiter zu verkaufen und mit Rechtskraft zu übertragen.
H. Pierrel hatte selbst das Immöbel erworben von H. Jean Ulrich Dannhorn, Tambour-major der National garde zu Schwabach, Baiern, und von der Frau Anne Marie Dannhorn, Ehefrau von H. Jean Thomas Hollenbach zu anspach wohnend, auf Grund eines Versteigerungs protocolles errichtet durch den früheren Notar Wengler Zu Straßburgam 20. Mai 1811.
Genuß-antritt (…) Lasten und Bedingungen (…) Bezüglich der Servituten, erklären die Parteien daß gegen der 14. Juli 1865 zwischen der Verkäufern und der oben genannten Wittwe von H. François Joseph Arnheiter einerseits und H. Charles Arnheiter, Eigenthümer des Hauses Finckweiler Straße no. 26 anderseits eine Uebereinkunft vereinbart wurde, wonach Ein theil der bede angrenzenden Eigenthümer von einander scheidenden Giebelmauer für beide Theile gemeinschaftlich erklärt wurde und anzusehen ist, mit ausnahme jedoch desjenigen Giebelantheiles, welches in einem Theile seiner breite auf der Seite des Eigenthums des H. Schreiner, Muckengasse No. 2., durch H. Charles Arnheiter erhöht wurde, und das außschließliche Eigenthum des H. Charles arnheiter verblieben ist. Hiengegen haben sich die Wittwe arnheiter und ioe Eheleute Loeper das Recht vorbehalten die zwei angebrachten Fenster, welche in der Uebereinkunft nicht berührt wurden, beizubehalten.
Kaufpreis, 14.400 Mark, in deren Auf rechnung doe Verkäufer bekennen, so eben angesichts des amtierenden Notars, 6400 Mark erhalten zu haben, wofür quittung (…) Vorbehalt des Vorzugs- u. Auflösungsrechts (…) Brandversicherung (…) Standesverhältnisse. Die Verkäufer erklären, 1. Sie seien verheiratet unter dem Rechtsverhältnisse der auf die Errungenschaft beschränkte Gütergemeinschaft, auf Grund ihres Ehevertrages errichtet durch den früheren Notar Zimmer am 16. Juni 1854 (…)
acp 734 (3 Q 30 449) f° 51-v du 10.2.

Le typographe Aloïse Georges Naura épouse en 1875 la repasseuse Marguerite Louise Marie Meyer, fille du contremaître Louis Frédéric Meyer
Mariage, Strasbourg (n° 296)
Den 8. Mai 1875 um zehn Uhr des Morgens. Heiraths-Urkunde öffentlich abgeschlossen im Stadthause von Straßburg von Alois Georg Naura, geboren zu Straßburg den 22. Juli 18-7, Schriftsetzer wohnhaft zu Strassburg, ehelicher Sohn von weiland Georg Valentin Naura, Schreiner zu Strassburg gestorben den 28. November 1857 und von weiland Maria Anna Flick daselbst gestorben den 16. (-) 1871
und von Margaretha Luise Maria Meyer, geboren zu Strassburg den 11 Mai 1851, Büglerin wohnhaft zu Strassburg volljährige eheliche Tochter von Ludwig Friedrich Meyer, Werkführer und von Caroline Herrmann, Eheleute zu Strassburg wohnhaft hier gegenwärtig und einwilligend (i 8)

La maison est inscrite à partir de 1932 au nom d’Emile Grüneisen. Le dossier de la Police du Bâtiment mentionne qu’il habite Geisposheim et que son gendre est Marcel Zumsteeg

Originaire d’Epfig, Emile Grüneisen, cheminot à Barr, épouse en 1910 Anne Helmbacher de Rosheim
Mariage, Rosheim (n° 12)
Rosheim am 29. August 1910. Vor dem Standesbeamten erschienen heute zum Zwecke der Eheschließung 1. der Stationsarbeiter Emil Grüneisen, katholischer Religion geboren am 22. Oktober des Jahres 1880 zu Epfig, wohnhaft in Barr, Sohn des Ackerers Georg Grüneisen, wohnhaft in Epfig und dessen verstorbenen Ehefrau Amelie, gebornen Mandry, zuletzt wohnhaft in Epfig
2. die gewerblose Anna Helmbacher, katholischer Religion, geboren den 28. Januar des Jahres 1889 zu Rosheim, wohnhaft zu Rosheim, Tochter des Fuhrunternehmers Alois Helmbacher wohnhaft in Rosheim und dessen verstorbenen Ehefrau Rosalie gebornen Herbstmeyer, zuletzt wohnhaft in Rosheim (i 15)

Alors cheminot à Dorlisheim, Emile Grüneisen se remarie avec Louise Helmbacher (sœur de sa première femme)
Mariage, Dorlisheim (n° 3)
Dorlisheim am 21. März 1919. Vor dem Standesbeamten erschienen heute zum Zwecke der Eheschließung 1. der Hilfsweichensteller Emil Grüneisen, katholischer Religion geboren am 22. Oktober des Jahres 1880 zu Epfig, wohnhaft in Dorlisheim, Sohn des verstorbenen Ackerers Georg Grüneisen und seiner verstorbenen Ehefrau Amaelie gebornen Mandry, beide zuletzt wohnhaft in Epfig
2. die gewerblose Luise Helmbacher, katholischer Religion, geboren den 16. Januar des Jahres 1897 zu Rosheim, wohnhaft in Dambach, Tochter des Sandgrubenbesitzers Alois Helmbacher wohnhaft in Rosheim und seiner verstorbenen Ehefrau Rosalie geborenen Herbstmeyer, zuletzt wohnhaft in Rosheim

Emile Grüneisen naît à Epfig le 22 octobre 1880 et meurt à Geispolsheim en 1955
Naissance, Epfig (n° 85)
Epfig am 25. October 1880. Vor dem Standesbeamten erschienen heute der Ackerer Georg Grüneissen, wohnhaft zu Epfig, katholischer Religion, und zeigte an, daß von der Amélie Grüneissen gebornener Mandry seiner Ehefrau, katholischer Religion, wohnhaft bei ihm zu Epfig in seiner Wohnung am 22. October des Jahres 1880 Nachmittags um halb sieben ein Kind männlichen Geschlechts geboren worden, welches den Vornamen Emil erhalten habe.
[in margine:] Décédé à Geispolsheim (B.R.) le 25.7.1955. Colmar le 30 mars 1961, le greffier de l’état-civil (i 44)

(Thérèse) Louise Helmbacher naît à Rosheim en 1897 et meurt à Strasbourg en 1984
Naissance, Rosheim (n° 6)
Rosheim am 18. Januar 1897. Vor dem Standesbeamten erschienen heute der Ackerer Alois Helmbacher wohnhaft in Rosheim, katholischer Religion, und zeigte an, daß von der Rosalia Helmbacher geborner Herbstmeyer, seiner Ehefrau, katholischer Religion, wohnhaft bei ihm zu Rosheim in seiner Wohnung am 16. Januar des Jahres 1897 Vormittags um fünf Uhr ein Kind weiblichen Geschlechts geboren worden, welches die Vornamen Theresia Luise erhalten habe.
[in margine:] Décédée le 29 avril 1984 à Strasbourg (i 8)

Marie Thérèse Madeleine Grüneisen naît à Barr en 1911. Elle épouse Marcel Zumsteeg en 1937 (voir la notice sur le peintre Marcel Zumsteeg dans le Nouveau dictionnaire de biographie alsacienne)
Naissance, Barr (n° 66)
Barr am 19. August 1911. Vor dem Standesbeamten erschienen heute der Stationsarbeiter Emil Grüneisen, wohnhaft zu Barr, katholischer Religion, und zeigte an, daß der Anna Grüneisen geborenen Helmbacher, seiner Ehefrau, katholischer Religion, wohnhaft bei ihm zu Barr in seiner Wohnung am 19. August des Jahres 1911 Vormittags um drei ein halb Uhr ein Mädchen geboren worden sei, und daß das Kind die Vornamen Maria Therese Magdalena erhalten habe.
[in margine:] Mariée à Strasbourg le 21 octobre 1937 avec Marcel Zumsteg. Colmar le 9 mars 1938, le greffier
Décédée à Strasbourg le 10 novembre 1980. (i 38)


Les Maisons de Strasbourg sont présentées à l’aide de Word Press.