20, quai des Pêcheurs
Quai des Pêcheurs n° 20 – X 73 (Blondel), O 1033 puis section 28 parcelle 13 (cadastre)
Teinturerie Brion (1606-1704), auberge au Bateau d’or (zum guldenen Schiff, 1704-vers 1820) – Détruite en 1870 – Nouveau bâtiment (1871), maître d’ouvrage Charles Wirth, entrepreneur Henri Dietz
Maison arrière, 15, rue des Bains
La maison et ses voisines (août 2017) – Façade (juillet 2025)
Le pêcheur Sixte Baldner vend en 1588 sa maison qui a une issue dans la rue Neuve (ou rue Traversière, actuelle rue des Bains) au constructeur de bateaux Benoît Münck, au nom duquel elle est inscrite dans le Livre des communaux (1587). L’auvent de vingt-neuf pieds doit correspondre à la largeur de la maison. Le teinturier en soie Abel Prion (Brion), venu d’Anvers et de « Dorneck » après des persécutions religieuses, acquiert la maison en 1606 et y installe sa teinturerie, ensuite exploitée par son fils Jacques, son petit-fils Jean Jacques et son arrière petit-fils Jean Pierre Brion. Jacques Brion réunit en 1659 à sa maison la voisine à l’est (actuel n° 21) qui en est à nouveau détachée en 1687. Le teinturier Jean Jacques Billet demande en 1698 à être dispensé de construire un pignon en pierre étant donné que le nouveau bâtiment est une simple grange qui servira de teinturerie sans qu’il y soit jamais fait de feu. L’aubergiste Léopold Winter qui acquiert la maison en 1704 y établit l’enseigne au Bateau d’or (zum guldenen Schiff) qu’elle gardera pendant plus d’une centaine d’années. Il transforme la façade en déplaçant notamment la porte d’entrée devant laquelle il établit sur le communal une marche qui subsiste jusqu’en 1789. Il fait construire en 1719 un nouveau bâtiment à l’arrière de celui sur le quai, sans doute celui où se trouve la salle de danse mentionnée dans les estimations dressées en 1721 et en 1736. Il y a une salle de débit au rez-de-chaussée et une autre plus grande à l’étage lors de l’estimation dressée après la mort de la femme de l’aubergiste Jean Lorentz en 1736. L’aubergiste Jean Georges Braun achète la maison en 1780 et fait modifier la porte d’entrée et ouvrir plusieurs croisées vers la rue Traversière en 1785.
Plan-relief de 1727 (Musée historique, cliché Thierry Hatt). La maison est la troisième à droite de la ruelle de la Carpe sur la gauche de l’image.
Elévations préparatoires au plan-relief de 1830, îlot 91 (Musée des Plans-relief) 1
L’Atlas des alignements (années 1820) signale un bâtiment à rez-de-chaussée et premier étage en maçonnerie, deuxième étage en bois. Le bâtiment rue Traversière a un rez-de-chaussée et un étage en bois. Sur les élévations préparatoires au plan-relief de 1830, la façade vers le quai se trouve à gauche du repère (e) : porte et trois fenêtres au rez-de-chaussée, deux étages à quatre fenêtres chacun, toiture à deux niveaux de lucarnes. Le bâtiment rue des Bains est le deuxième à gauche de (r) : porte entourée de chaque côté d’une fenêtre, étage à trois fenêtres, toiture à une lucarne. La cour C représente l’arrière (7-8) du bâtiment sur quai, l’arrière (1-9) du bâtiment rue des Bains. Le bâtiment (8-9) à un étage longe le côté ouest de la cour, la remise (3 à 5) faisant saillie sur le côté est (1-7).
La maison porte d’abord le n° 64 (1784-1857) puis le n° 20 quai des Pêcheurs, le n° 12 (1784-1857) puis le n° 15 rue Traversière (rue des Bains)
Le batelier Jacques Wirth achète la maison en 1838 puis en 1847 la parcelle sise 2, rue de la Carpe (voir ci-dessous le plan d’arpentage). Charles Wirth charge en 1871 l’entrepreneur Henri Dietz de démolir les vestiges des anciens bâtiments détruits pendant le siège de 1870 et de reconstruire une maison en pierre de taille à rez-de-chaussée et trois étages (le revenu passe de 162 à 460 francs, il y a dix-huit fenêtres au deuxième et au-delà alors que les anciens bâtiments n’en avaient aucune). Les garagistes Marcel et Pierre Krœhly font aménager en 1947 un logement dans les mansardes.
Le propriétaire Henri-Paul Weil qui a l’intention de remplacer en 1979 les volets défectueux par des volets roulants n’y est pas autorisé, les nouveaux devront être identiques aux anciens. Il fait diviser sa propriété en 1982 en rendant indépendants les bâtiments 20, quai des Pêcheurs de ceux 15, rue des Bains.
Plan d’arpentage (1982, dossier 808 W 13) lors du partage, représentant le 20, quai des Pêcheurs, le 15, rue des Bains et le 2, ruelle de la Carpe
Façade rue des Bains (juillet 2007) – Arrière du bâtiment quai des Pêcheurs, bâtiment ruelle de la Carpe à droite – Vue de la cour (octobre 2010)
juillet 2025
Sommaire
Cadastre – Police du Bâtiment – Relevé d’actes
Récapitulatif des propriétaires
La liste ci-dessous donne tous les propriétaires de 1582 à 1952. La propriété change par vente (v), par héritage ou cession de parts (h) ou encore par adjudication (adj). L’étoile (*) signale une date approximative de mutation.
Sixte Baldner, pêcheur, et (1570) Marguerite Lamp, d’abord (1564) femme du pêcheur Jean von Hipsen, puis (1586) Agnès Metzger – luthériens | ||
1588 | v | Benoît Münck, constructeur de bateaux, et (1578) Aurélie Luck, remariée (1593) avec le fondeur Marc Metzger – luthériens |
1595 | v | Jacques von Molsheim, et (1574) Salomé Ingold – luthériens |
1606 | v | Abel Brion (Prion), teinturier en soie († v. 1608), et Marguerite Monier |
1623 | h | Jacques Brion, teinturier en soie, et (1611) Susanne Thomé – luthériens |
1640* | h | Jacques Brion, teinturier en soie, et (1640) Marthe Glitz puis (1659) Anne Marguerite Stocker, remariée (1675) avec le batelier André Krieck – luthériens |
1673 | h | Jean Pierre Brion, teinturier en soie, et (1675) Barbe Kuntz – luthériens |
1697 | h | Jean Jacques Billet, teinturier en soie, et (1697) Barbe Kuntz, veuve de Jean Pierre Brion – luthériens |
1704 | v | Léopold Winter, aubergiste, et (1695) Marguerite Flettner puis (1723) Marie Elisabeth Kiener – luthériens |
1723 | adj | Jean Lorentz, aubergiste, et (1720) Marie Françoise Sollinger, d’abord (v. 1708) femme de l’aubergiste Jean Jacques Diemer, puis (1737) Anne Marie Schlegel – luthériens un tiers à Jean Frédéric Dannenreuther (1763), Jean Samuel Rapp (1765) puis à la veuve du précédent (1767) |
1780 | v | Jean Georges Braun, aubergiste, et (1769) Marie Barbe von Zabern – luthériens |
1809 | h | (Jacques) Jonathan Braun, aubergiste puis meunier, receveur de l’octroi, et (1801) Catherine (Dorothée) Rœderer – luthériens |
1821 | v | Jean Louis Hatt, brasseur, et (1810) Catherine Elisabeth Kreiss, d’abord (1806) femme de Christophe Louis Bader, brasseur |
1838 | v | Jacques Wirth, batelier, et (1815) Barbe Kreller (cohéritier) Charles Wirth, batelier, et (1859) Salomé Steinbach |
1892 | v | Gustave Krœly, marchand, et (1874) Marie Rosalie Philomène Lux |
1925* | h | (copropriétaires) Marcel Joseph Krœly, marchand d’automobiles, et (1910) Marie Thérèse Schwartz Marie Louis René Krœly, marchand d’automobiles |
Valeur de la maison selon les billets d’estimation : 1250 livres en 1721, 1750 livres en 1736, 1250 livres en 1755
(1765, Liste Blondel) X 73, Mde Laurent
(Etat du développement des façades des maisons, AMS cote V 61) Lorentz Wittib, 8 toises, 4 pieds et 0 pouce
(1843, Tableau indicatif du cadastre) O 1033, Wirt, Jacques, quai des Pêcheurs 64 – maison, sol – 3,25 ares
Locations
1721, Jean Nicolas Joner, aubergiste
1821, Jean Daniel Weber, aubergiste
Livres des communaux
1587, Livre des communaux (VII 1450) f° 528-v
Le constructeur de bateaux Benoît Münck règle 9 sols pour sa maison, à savoir un auvent (29 pieds de long, saillie de 4 pieds), plus haut un autre auvent (20 pieds de long, saillie de 3 pieds), deux marches en pierre
Ane dem Andern Eckh der Newen Gassen gegen Philips Bulians Eckh übern, gegen der Preüschen wider Den Vischer Thurn hinab.
Benedict Münckh Der Schiff Zimmermann hatt Oben ane seinem Hauß ein Wettertach xxix schu lang, iiij schu herauß, Darüber aber ein Wettertach xx schu lang, iij schu herauß, Zween steinene Tritt, Vnden Vor der Haußthüren v schu lang, ij schu herauß, Bessert für das Niessen, ix ß d.
1673, Livre des loyers communaux, VII 1466 (1673-1741) f° 635
L’aubergiste au Bateau d’or Léopold Winter doit chaque année et pour la première fois en 1706 un sol pour une marche (14 pouces de large) devant sa maison. Le contribuable suivant est Jean Lorentz
Leopold Winter der gastgeber Zum Gulden Schiff, Soll Von einer 5. Schuh Langen Und 14. Zoll breiten staffel vor Seiner am fischer Staaden liegenden behaußung, Jahrs vf Annunc: Mariæ und A° 1706. I.mo, 1 ß
laut Prot. de 1705. fol: 143-b
jetzt Johannes Lorentz
(Quittungen 1706-1741)
Neuzb. fol 759-b
1741, Livre des loyers communaux VII 1472 (1741-1802) f° 759-b
Même loyer éteint en 1789 quand la marche est supprimée
alzb. 635
Joh: Lorentz der gastgeber Zum Guldenen schiff, solle von einer 5. sch. lang und14. Zoll breiten staffel vor seiner am Fischer Staaden Liegenden behaußung Jahrs auf Ann: Mariæ, id est 25. Martii, 1 ß
(Quittungen 1741-1789)
ist weg gemacht word.
Préposés au bâtiment (Bauherren)
1705, Préposés au bâtiment (VII 1381)
L’aubergiste Léopold Winter déclare avoir l’intention de supprimer deux marches en pierre devant sa maison et d’en établir une devant sa nouvelle porte (5 pieds de long, 14 pouces de large). Les préposés donnent leur accord moyennant un cens annuel de 5 sols, ramenés à un sol.
(f° 143-v) Dienstags den 31. Martÿ 1705. – Leopold Winter der Gastgeber Zum Schiff puncto etliche Staffeln.
Leopold Winter, der Gastgeber Zum Guldenen Schiff, berichtet, daß Er Vor seiner am Fischer Staaden gelegenen Gastherberg Zwo steinere stafflen auff dem Allmend ligen habe, und solche hinweg thun Zu laßen gesinnet seÿe, alldieweilen Er aber an einem andern orth vor gedachter Herberg und Zwar vor der alda gemachte neuen thür ein einige staffel 5. schuhe lang und 14 Zoll breit auff das allmend Zu legen nöthig hätte, alß bate Er und.thänig umb deßen gnd. erlaubnus.
Erkannt Willfahrt, soll aber jährlichen auff Annunciationis Mariæ und Anno 1706. Zum ersten mahl 5 ß d. allmend Zinnß davon abrichten, moderirt à 1 ß d.
1746, Préposés au bâtiment (VII 1402)
Jean Lorentz et Martin Engel sont autorisés à enfoncer un nouveau pieu dans la rivière à la place d’un ancien qui s’est brisé
(f° 163) Mittwoch den 20. Septembris 1747. wurden folgende augenschein eingenommen – Johannes Lorentz. Martin Engel
am stadten beÿm guldenen Schiff wegen eines Pfahls den Johannes Lorentz der Würth allda, und Martin Engel der schiffmann anstatt des in dem Wasser stehenden Strumpff Von einem abgebrochenen Pfahl Zuschlagen, um erlaubnus gebetten. Erkannt Willfahrt sollen den Augenschein bezahlen.
1752, Préposés au bâtiment (VII 1405)
Le menuisier Jean Georges Zimmer est autorisé au nom de l’aubergiste Jean Lorentz à remplacer un pieu brisé où il accroche ses viviers
(f° 104-v) Dienstags den 10.t Aprilis 1753. – Johannes Lorentz.
Johann Georg Zimmer der Zimmermann nôe Johannes Lorentz des Würths Zum guldenen schiff bittet um erlaubnus, anstatt des jhme durch einen Unfall abgestoßenen pfahls, Vor seinem hauß in der Preüsch, woran er seie schiffarch hangen gehabt, einen andern schlagen Zulaßen. Erkannt Willfahrt.
1781, Préposés au bâtiment (VII 1419)
Le maçon Nagel est autorisé au nom de l’aubergiste Jean Georges Braun à repeindre la maison
(f° 197-v) Dienstags den 6. Martii 1781. – Joh. Georg Braun Würth
Hr. Nagel, der Maurer, nôe. Johann Georg Braun, des Würths bittet zu erlauben deßen behausung Zum goldenen Schiff genannt am Fischer Staden gelegen anstreichen zu laßen. Erkannt, Willfahrt
1785, Préposés au bâtiment (VII 1421)
Léonard Haas est autorisé au nom de l’aubergiste Jean Georges Braun à modifier la porte d’entrée et à ouvrir plusieurs croisées vers la rue Traversière
(f° 368-v) Dienstags den 11. Octobris 1785. – Joh: Georg Braun, Gastgeber
Mr Leonhard Haas, der Zimmermann [nôe Joh: Georg Braun,] der Gastgeber Zum goldenen Schiff, bittet zu erlauben, an seinem Hinterhaus in der Zwerg Gaß bei der neu Gaß N° 12 die Hausthür Zu verändern und etliche Kreutzstöck ein zu brechen. Erkannt, Willfahrt.
Description de la maison
- 1721 (billet d’estimation traduit) La maison comprend plusieurs poêles, chambres, vestibules, une salle de débit, cuisine, un bâtiment accessoire à demi toit comprenant quatre poêles, cuisines, buanderie et écurie, une cave sous solives, un bâtiment arrière renfermant deux salles de danse dallées, cuisine, porcherie, le tout estimé avec la cour, le puits, autres appartenances et dépendances à la somme de 2500 florins
- 1736 (billet d’estimation traduit) La maison comprend au rez-de-chaussée la salle de débit, vestibule, dépense, à l’étage une grande salle de débit, vestibule, et galerie, à main droite bâtiment latéral comprenant trois petits poêles, à l’arrière un grand vestibule, trois chambres sous les combles couverts d’un demi toit, le bâtiment arrière renferme la salle de danse, au-dessous l’entrée, cour puits, petit poêle pour officier et chambre pour le domestique, petite cuisine, écurie des logements militaires, cave sous solives, le tout estimé avec appartenances et dépendances à la somme de 3500 florins.
- 1882, (police d’assurance) 65 000 marks sur une maison nouvellement construite en pierre, couverte d’ardoises, comprenant sous-sol, rez-de-chaussée et trois étages, mansardes et greniers, y compris le bâtiment latéral à droite de la cour
9 600 marks sur une autre maison et un petit bâtiment y attenant donnant dans la rue Traversière n° 15, comprenant rez-de-chaussée, étage et greniers, de construction mixte où la pierre domine, couvert de tuiles - 1880, (police d’assurance) 12 000 francs sur une maison sise ruelle de la Carpe n° 2, comprenant cave voûtée, rez-de-chaussée, un étage et greniers
8 000 francs sur un bâtiment séparé du précédent, comprenant buanderie et bûcher, surmonté d’un étage et de greniers
Atlas des alignements (cote 1197 W 37)
4° arrondissement ou Canton est – Quai des Pêcheurs
nouveau N° / ancien N° : nouveau N° / ancien N° : 48 / 64
Hatt
Rez de chaussée et 1° étage en maçonnerie le 2° étage en bois médiocre
(Légende)
4° arrondissement ou Canton est – Rue Traversière
nouveau N° / ancien N° : nouveau N° / ancien N° : 15 / 12
porte de derrière du N° 64 quai des pêcheurs
Rez de chaussée et 1° étage mauvais en bois
Cadastre
Cadastre napoléonien, registre 25 f° 348 case 1
Wirt Jacques, quai des pêcheurs N° 64
O 1033, maison, sol, quai des pêcheurs 64
Contenance : 3,25
Revenu total : 163,69 (162 et 1,69)
Ouvertures, portes cochères, charretières :
portes et fenêtres ordinaires : 47, 42 / 34
fenêtres du 3° et au-dessus :
Cadastre napoléonien, registre 27 f° 1183 case 1
Wert Jacques
93/94 Kroely Gustav, Kaufmann
O 1033, Maison, sol, Quai des Pêcheurs 20
Contenance : 3,25
Revenu total : 163,69 (162 et 1,69)
Folio de provenance : (348)
Folio de destination : zerstört – (sol) Gb
Année d’entrée :
Année de sortie : 1871
Ouvertures, portes cochères, charretières :
portes et fenêtres ordinaires : 42
fenêtres du 3° et au-dessus :
O 1033, Haus
Revenu total : 81,69 (80 et 1,69)
Folio de provenance : Rest d Zerstörung
Folio de destination : 1183 Vergröss.
Année d’entrée :1871
Année de sortie : 1875
Ouvertures, portes cochères, charretières :
portes et fenêtres ordinaires : 42
fenêtres du 3° et au-dessus :
1871 Augmentations – Wert Jakob f° 1183, O 1033, Haus, revenu 80, desgl.
Diminutions – Wert Jakob f° 1183, O 1133, Haus, revenu 162, Zerstörung, supp. 1871
O 1033, maison
Revenu total : 461,69 (460 et 1,69)
Folio de provenance : 1183
Folio de destination : Gb
Année d’entrée :1875
Année de sortie :
Ouvertures, portes cochères, charretières :
portes et fenêtres ordinaires : 41 / 33
fenêtres du 3° et au-dessus : 18 / 14
1875 Augmentations – Wirth Jakob f° 1183-I, O 1033, maison, revenu 380, Vergrösserung, achevée en 1872, imposable en 1875, imposée en 1875
Cadastre allemand, registre 30 page 360 case 3
Les parcelles 12 (O 1047), ruelle de la Carpe n° 2 (case 2 du même folio) et 14 (O 1049), rue des Bains n° 15 (case 4 du même folio) sont réunies à la parcelle 13
Parcelle, section 28, n° 13 – autrefois O 1033, 1047.p – 1517
Canton : Fischerstaden Hs N° 20, Neubadgasse Hs N° 15
Désignation : Hf, Whs u. N.G. – sol, maison deux / 3 maisons, bât. acc.
Contenance : 3,64 / 5,87
Revenu : 2500 – 3100 – 3850
Remarques : Augm. col. 2, 4 – N.C. 1924
(Propriétaire jusqu’à l’exercice 1925), compte 702
Kroely Gustav – die Erben u. Witwe
(rayé 1925)
(Propriétaire à partir de l’exercice 1925), compte 4722
Kroely Marcel Joseph négociant et Kroely Marie Louis René / Pierre Robert négociant chacun pour moitié
(2496)
1789, Etat des habitants (cote 5 R 26)
Canton X, Rue 368 et Quai des Pêcheurs
64
pr. Braun, J. George – Fribourg.
loc. Nagel, Jacques – Pêcheurs
loc. Schertel André – Pêcheurs
loc. Schmetz, Mathie – Bouchers
loc. Bivolo, Pierre, pensionnaire
Canton X, Rue 366 Neuve [Rue 366 Traversiere Neuve dite Uberzwerch Gass]
12
Braun, bateau d’or
Annuaire de 1905
Verzeichnis sämtlicher Häuser von Strassburg und ihrer Bewohner, in alphabetischer Reihenfolge der Strassennamen (Répertoire de toutes les maisons de Strasbourg et de leurs habitants, par ordre alphabétique des rues)
Abréviations : 0, 1,2, etc. : rez de chaussée, 1, 2° étage – E, Eigentümer (propriétaire) – H. Hinterhaus (bâtiment arrière)
Fischerstaden (Seite 39)
(Haus Nr.) 20
Riedinger, Schneiderin. 0
Kroely, Wwe. Rentnerin. E 1
Zorn A. Hebamme.
Zorn, Wwe. 2
Grosserrt, Wwe. 3
Neubadgasse (Seite 122)
(Haus Nr.) 15
Maucher, Tagnerin. 0
Seguda, Schuhmacherm. 0
Dossier de la Police du Bâtiment (cote 808 W 13)
20, quai des Pêcheurs (1876-1988)
Charles Wirth charge en 1871 l’entrepreneur Henri Dietz de démolir les anciens bâtiments et de reconstruire une maison en pierre de taille à rez-de-chaussée et trois étages. Le Ministère de la Reconstruction et de l’Urbanisme et le maire autorisent en 1947 les garagistes Marcel et Pierre Krœhly à aménager un logement dans les mansardes.
Le propriétaire Henri-Paul Weil qui a l’intention de remplacer en 1979 les volets défectueux par des volets roulants n’y est pas autorisé, les nouveaux devront être identiques aux anciens. Il fait diviser sa propriété en 1982 en rendant indépendants les bâtiments 20, quai des Pêcheurs de ceux 15, rue des Bains ; le règlement municipal des constructions en date du 4 février 1966 ne sera plus respecté (prospect, emprise au sol) après division.
Un assureur établit son agence au rez-de-chaussée en 1975.
Sommaire
- 1871 – L’entrepreneur Henri Dietz (2, rue du Jeu-de-Paume) demande au nom du propriétaire Charles Wirth l’autorisation de démolir et reconstruire la maison en pierre de taille d’après l’alignement qu’on lui indiquera (coupe non jointe). – L’agent voyer constate que le bâtiment à rez-de-chaussée et trois étages n’atteint pas la hauteur maximale réglementaire (la largeur de la rue étant de huit mètres).
- 1892 – Le directeur de l’usine à gaz demande au nom du propriétaire Kroehly l’autorisation de faire une prise pour environ cinq becs. – Autorisation – Travaux terminés, février 1892
- 1913 – Le peintre en bâtiment E. Bieth (19, quai des Pêcheurs) demande l’autorisation de poser un échafaudage devant la maison. Le commissaire de police transmet au maire – Autorisation de poser un échafaudage sur la voie publique pour réparer le crépi. – Travaux terminés, août 1913
- Commission contre les logements insalubres. 1902, propriétaire Kroehly demeurant sur place. Les logements sont bien tenus, la maison arrière était fermée
Commission des logements militaires, 1916. Remarques en deux points. Travaux terminés, mai 1916 - 1947 – Le maire autorise les garagistes Marcel et Pierre Kroehly (demeurant quai Finkmatt) à aménager un logement de deux pièces et cuisine dans les mansardes suivant l’autorisation accordée par le Ministère de la Reconstruction et de l’Urbanisme – Dessin – Travaux terminés, décembre 1947
- 1958 – Rose Weill (demeurant 33, avenue des Vosges) demande à la Police du Bâtiment une attestation afin d’obtenir une subvention pour avoir fait réparer la toiture. – La Police du Bâtiment établit que la grêle a endommagé la toiture réparée par l’entreprise Keil.
- 1969 – Le maire demande à Henri Weil (demeurant 39, rue du Maréchal Foch) de faire ravaler la façade – Devis de Sesto Gaetani (quai de l’Ill à la Robertsau), de Filippo Quattrone (9, rue de l’Oberelsau à la Montagne-Verte), de Jeannot J’espère (rue des Orfèvres à Bischheim), de la société d’exploitation de l’entreprise André Nonnenmacher (24-a, route de Strasbourg à Brumath)
1969 (août) – Henri-Paul Weil est autorisé à poser un échafaudage sur la voie publique. – Le ravalement est terminé, novembre 1969 - 1975 (août) – La Police du Bâtiment constate que le Groupe Drouot a posé sans autorisation trois enseignes plates et une enseigne lumineuse – Raymond Junger (agence générale d’assurances) dépose une demande en joignant une attestation du propriétaire Henri-Paul Weil – L’architecte des Bâtiments de France Fernand Guri émet un avis défavorable (les panneaux posés sur le grilles d’appui contreviennent à la loi du 12 avril 1943, l’enseigne Assurances a été posée sans autorisation)
1975 (14 octobre) – Arrêté du maire portant refus de poser des enseignes (panneaux)
1975 (14 octobre) – Arrêté du maire portant autorisation de poser des enseignes (enseigne en lettres détachées)
1975 (décembre) – L’architecte des Bâtiments de France E. During émet un avis défavorable pour les inscriptions sur les vitres, favorable pour l’enseigne en lettres détachées.
1975 (23 décembre) – Arrêté du maire portant refus de poser des enseignes (inscriptions) – Note, l’enseigne en lettres détachées est autorisée depuis le 14 octobre
1976 (janvier) – Le maire écrit à l’architecte des Bâtiments de France qu’il n’a pas les moyens d’intervenir pour supprimer les inscriptions
1976 (mars) – Les panneaux sur les grilles d’appui sont toujours en place (en arrière de l’alignement légal). Dossier classé - 1979 – Henri-Paul Weil demande l’autorisation de remplacer les volets défectueux par des volets roulants – L’architecte des Bâtiments de France E. During émet un avis défavorable. Les volets défectueux doivent être remplacés par de nouveaux identiques aux anciens.
- 1979 – La Police du Bâtiment constate que les Assurances Drouot ont posé sans autorisation une enseigne lumineuse (libellé, Canon) – L’enseigne est retirée, septembre 1979.
- 1982 – Division de la propriété section 28 n° 13, sise 20, quai des Pêcheurs et 15, rue des Bains. Demandeur Nicolas Heitz, notaire (3, place Saint-Pierre-le-Jeune), propriétaire Henri-Paul Weil (demeurant 39, rue du Maréchal Foch)
Rapport du géomètre Gérard Ney (22, boulevard de Lyon) – Servitudes pour les garages lors de la division de la propriété – Plan d’arpentage – Surface de plancher hors œuvre du 20, quai des Pêcheurs (971,70 m²), du 15, rue des Bains (261,89 m²), 587 m² avant division, 469 m² après division
Selon le Plan de Sauvegarde et de Mise en Valeur (P.S.M.V.), le bâtiment vers le quai doit être conservé, les garages dans la cour peuvent être soumis à démolition. Le règlement municipal des constructions en date du 4 février 1966 ne sera plus respecté (prospect, emprise au sol) après division. - 1988 (novembre) – L’agent d’assurances Guy Barthel demande l’autorisation de poser une enseigne sous la nouvelle dénomination Axa
1988 (décembre) – L’architecte des Bâtiments de France Chantal Lavillaureix émet un avis défavorable pour l’enseigne plate (caisson lumineux interdit dans le secteur sauvegardé) et favorable pour l’enseigne perpendiculaire au même emplacement que lors de la demande du 20 septembre 1988) – Le maire autorise l’enseigne perpendiculaire
Autre dossiers
20, quai des Pêcheurs (1999-2000, ravalement) cote 1308 W 1236
Relevé d’actes
La maison appartient jusqu’en 1588 à Sixte Baldner.
Fils de l’assesseur des Quinze Sixte Baldner, Sixte Baldner épouse en 1570 Marguerite, veuve du pêcheur Jean von Hipsen (von Hipsheim). L’épouse assistée de son père Thiébaut Lamp a quatre enfants de son premier mari, les apports s’élèvent à 1 200 florins.
Mariage, Saint-Guillaume (luth. f° 78 n° IIII)
1570. Dnca 19. Feb. Sixt Baltner der Jung, Herrn Sixt Baltner des fünffzehners Sohn, Margaretha Hanßen von Hipsen des fischers nachgelaßene witwe. Celebarunt nuptias die 27 Februarÿ 70.
Die Stund ist gehaltten worden in Hilarÿ meyers Hauß vff freÿtag nach mittag den 17. Februarÿ anno 70. vff des Breutigams seiten sindt gewesen der vatter herr Sixt Baltner füffzehner, Mattheus Vogelin pfarrer Zu S. Wilhelm, Michell Baltner fischer vnd des Breutigams vogt der Marcolff in Ruprechtsaw, vff der Brautt Seytten der vatter Herr diebold Lamp, Hilarius Meyer, veltin j* vnd der Habermüllerder Braut muter Kinder, Haben vff verstatten das gutt angeschlagen inhalt Inuentarij 1200 guldin, da die Braut vier Kinder Zum voraus behallten, das ander was sie Zusammen bringen erringen vnd gewinnen, auch ererben das soll aller gehaltten werden nach der Stadt Straßburg brauch vnd gewonheit, der Bräutigam soll haben j C guldin von seinem mütterlichen erbe. (im 82)
Le pêcheur Jean von Hipsen épouse en 1564 Marguerite, fille du pêcheur Thiébaut Lamp
Mariage, Saint-Guillaume (luth. f° 29-v n° XXV)
1564. Hanns von Hipsen ein fischer, Margaretha, Herr Diepolt Lampen des Fischers tochter. Dise seind ausgeruffen worden den dritten sontag nach Trinitatis den 18. tag Junÿ, vnd Haben Hochzeitt gehalltten vff montag nach Johannis den 26. tag Junÿ. Der Imbiß ist gehaltten worden Zur Lutzernen, Ich bin auch darbeÿ gewesen, die stundt ist gehalltern worden in Hilarÿ meyer Hauß, hinder dem alls aberdung* verschneben* worden (i 205)
Le pêcheur Sixte Baldner se remarie en 1586 avec Agnès, fille du meunier Jean Metzger.
Mariage, Saint-Guillaume (luth. f° 98 n° XXXVI)
1586. Item [Am XVI Sonntag nach Trinitatis den 18. Septemb.] Sixt Baltner der fischer, Agnes, Hanßen Metzigers des Spittalmüllers Tochter. Confirmatio facta vtsupra [fir lunæ post matthiæ 26. septemb.] (i 309 )
Sixte Baldner et sa femme Agnès vendent en 1588 la maison en aval de l’auberge au Loup au constructeur de bateaux Benoît Münck et à sa femme Aurélie
1588 (9. Septembris), Chancellerie, vol. 256 (Registranda Kügler) f° 459-v
Erschienen Sixt Balthner vischer vnd Agnes sein ehelich hußfrouw hans Meygers des Spittalmüller dochter
haben vnver. verkhaufft Benedict Münck dem Schiff Zimmermann v Aurelien seiner hußfr. Inen v hren beyde erben
huß hoffestatt Scheur hofflin v gerttin m. all. and. Iren gebeu & geleg. Inn der voorstatt Straßburg Inn Crutenouw am gestaden vnderhalb der herrberg Zum Wolff einseyt neb. hanns Schultheÿß dem gartner and.syt Diebold Schiffer des vischers selig. erben stost hind. vff die Neuwgaß, Dauon gond Fünff guldin gelts vff vnser Frouwen Verkhundung tag fallend losig mit 100 guld. Sw der Ellend herbergen, Mehr fünff guld gelts vff Martini losig mit 100 guld. Sw der verpfendten frouwen Inn der Samblung Zum thurn, So dann fünff guldin gls vff S Jerg tag ablosig mit 100 guld SW wÿland hans Kerlen des Schiffmanns selig. erben, Sunst ledig eÿg. Der khuouff bescheh. vber solche beschwerd. für 424 guldin SW
La maison est inscrite au nom du constructeur de bateaux Benoît Münck dans le Livre des communaux (1587)
Originaire d’Ensisheim, Benoît Münck achète le droit de bourgeoisie en 1576 en s’inscrivant à la tribu de l’Ancre
1576, 3° Livre de bourgeoisie (4 R 105) p. 269
Benedickt Mÿnck von Enßißh. der schiff Zÿmmerman hatt das Burgkrecht Kaufft und dient Zum Encker den 19.ten 9.bris a° & 76.
Fils du péager d’Ottmarsheim Ottmar Münck, Benoît Münck d’Ensisheim épouse en 1578 Aurélie, fille de Sébastien Luck de la Robertsau
Mariage, Saint-Guillaume (luth. f° 100-v)
1578. Am XXVI Sontag nach Trinitatis. Benedict Minck von Enßheim, ein Schiff Zimmermann wolff Lexi gemeiner, Ottmar Mincken, des Ertzhertzogs Ferdinandi Zollers Zu ottmarßheim Sohn, Aurelia, weÿland Bastian Lucken eines burgers in Ruprechtsaw nachgelaßene tochter, Ist * der bey Michel Baltner des fünffzeheners Sohn * vetter – Confirmatio facta die Martis post aduentum Dei die 2. Decembris (i 205)
Le fondeur Marc Metzger épouse en 1593 Aurélie, veuve de Benoît Münck
Mariage, Saint-Thomas (luth. f° 184 n° 561)
1593. Eodem die [10. Trinit.] Marx Metzg. der Rotgieser vnd Aurelia Benedict Mincken des Schiff Zimmermanns nachgelaßene witwe (i 198)
Le fondeur Marc Metzger et sa femme Aurélie veuve de Benoît Münck vendent la maison au marchand Jacques von Molsheim
1595 (xvj tag Martÿ), Chancellerie, vol. 297 (Registranda Meyger) f° 67
(P. fol. 104) Erschienen Marx Metziger der Rothgiesser burger Zu St. vnd Aurelia sein eheliche hußfrouw Wÿland Benedict Münck des Schiff zimmermanns selig Wittwe Haben vnver. für sich & mit beÿstandt guten wisen Willen vnd gehell vnsers Raths bewandten Sixt Balthners, gedachts Benedict Müncken selig hinderlaßener Kinder Vogt Verkaufft &
Jacob von Molßheim dem handelßmann burgern Zu St. So Zugeg. Ime & Kauffte
Huß, hoffestatt, höfflin Vnd Scheür Mit Allen Iren gebeuwen & gelegen Inn der Voorstatt Straßburg Inn Crutenouw, Nidewendig der Neuwen gassen Am fischer gestaden, Einsit nebent Hannß Schutheissen des gartners selig Erben, Vnd Andersit nebent Dieboldt Illhock dem fischern hinden vffs Allmendt, In die Neuw gaß stoßend, Da sie auch einen vßgang haben, Dauon gond fünff guldin gelts ablösig mit C guldin Straßburger Werung vff Martini der Samblung Zum thurn, Mehr fünff guldin gelts Losig mit C guldin St. Werung vff Marie Verkhündung der ellend. Herrberg vnd dan aber fünff guldin gelts Widerkhouffig mit C guldin, St. Werung vff Sant Jörg tag, Wÿland herrn Matheus Mügen selig wittwe, järlich & vnd alles Recht Vnd aller Recht & Also d & der Khouff Zugang vber disse beschwerd. vmb 400 gulden St. werung
Hiebeÿ vnd mit sind auch gewesen, Herr Friderich Ingolt, Diebolt Weinman Schiff Zimmerman vnd Jost Müncker Schneÿders, burgern Zu Straßburg
Jacques von Molsheim le jeune épouse en 1574 Salomé Ingold.
Mariage, Saint-Thomas (luth. f° 101-v n° 273)
1574. Dominica VIII. Jacob von Moltzen der Jünger J. Salome Ingoltin h. Georg Ingolts dochter. 31. Augusti (i 104)
Les héritiers de Henri Ingold (Jacqueline Ingold, veuve de Frédéric Wolff dit Schœnecker, Jean Frédéric Ingold de Sainte-Marie-aux-Mines, Jean Georges Kips, Félicité Wolff femme de Jean Charles Fuchs, Jacques Kips, Charles Stœr et les enfants mineurs de Jonas Stœr) vendent la maison au teinturier Abel Prion et à sa femme Marguerite Monier
1606 (3. Aprilis), Chancellerie, vol. 368-II (Imbreviaturæ Contractuum) f° 15
Kauffverschreÿbung Abell Prions deß Ferbers vber ein behaußung In Crautenaw beÿm vischerthor
Erschienen der Erenvest fürsichtig vnd Weiß H Jacob Kips regirender Ammeister vnd H Eberhard Beer der Notarius alß Ober: vnd vndervogt Fr Jacobæ Ingoldtin, weÿland herrn Friderich Wolffen genant Schöneckers geweßenen Fünffzeheners seelig. nachgelaßener wittiben, H Hans Friderich Ingold burger Zu Mariakirch, H Hanns Georg Kips verordneter Inn allhieig. Wixel beede für sich selbs, H Hans Carol Fuchs als ehevogt Fr. Felicitæ Wölffin H Jacob Kips der Jüng für sich selbsten, H Carol Stör auch für sich selbsten, H Hanns Friderich Jung dreÿer ahn allhieig. Müntz alß verordneter Vogt Susannæ und Jonæ Storen H Jonæ Stören des eltern vnd beÿsitzers des großen Rhats dochter vnd Sohns, alle alß Erben weÿland H Heinrich Ingoldts geweßenen burgs allhie haben (verkaufft)
Abell Prion dem Seidenferber vnd Margreth Monier seiner ehelichen haußfr. burgern allhier (…) mit beÿstand H Simon Pulians des handelßmanns vnd H Johann Bauren allhies. burger
Hauß Hoffstatt höflin vnnd scheür mit allen Iren gebeuwen, begriffen, weith. rechten Zugehörd. vnd gerechtigkeiten, gelegen in der vorstatt alhier die Crautenauw genant, nid.wendig der neuwen gassen, einseit neben hanß Schultheißen des gartners s. erben, anderseits Diebold Illhocken dem vischer, hind. vff die Allmend in die neuw gaß stoßend, dauon gehnd Järlich 5. fl. geldt vff Martini der Samblung Zum Thurn, ablösig mit 100 guld. Mehr 5 guld. geldts vff Mariæ Verkündung d. Ellend Herberg wid.lösig mit 100 guld. Weiters 5 guld. gelts vff Georgÿ H Mathei Muegen s. wittib stoht in Hauptgut 100 guld. letzlich 10 guld. gelts vff (-) ablösig mit 200 guld. Marx Metzig. dem rhotgießer alles Straßburger wehrung, sonst Zinßfreÿ, ledig vnnd eig. (…) der Kauff vber vnnd nach abzug bemelter beschwerd. Zugangen vnd bescheh. vmb 150 pfund pfenning
[in margine :] Erschienen Carle Stöhr vnd hatt in gegenwertigkeyt Margarethæ Munier, Abel Prions seligen Wittib mit beÿstandt Isaac Bisantzers deß hosenstrickers Ires geschwornen vogts vnd dann Heinrich Bussarts als gemelter ehegemecht Kinder vogts (…) Actum Montags den 31. Julÿ Anno & 609.
Originaire d’Anvers, le tisserand de bombasin (soie) Abel Prion achète le droit de bourgeoisie le 29 janvier 1597 en s’inscrivant à la tribu des drapiers
1596, 3° Livre de bourgeoisie (4 R 105) p. 605
Abell Prien v. Anttorff, d. Bombasin weber, Khoufft d. Burgerecht mit beÿstandt Marttin de Lanoÿ und Heinrich Zornen, vnd will Zun Tuchern diehnen, Act. den 29. Jan. 97.
Le tisserand en velours Abel Brion et sa femme Marguerite font baptiser une fille, Ester
Baptême, cathédrale (luth. f° 131-v)
1598. den 20. Augusti. Abel Brion Samtweber. M. Margretha, I. Ester, compatres h Niclaus fischer handelsman hr Peter Dablins fraw vnd Martini de lan[oi] fraw (im 138)
Le tuteur de Marguerite Monier, veuve d’Abel Prion, et le tuteur de leurs enfants Rachel, Anne, Jacques, Paul et Ester passent un accord relatif à la succession d’Abel Brion
1608 (sd), Chancellerie, vol. 374 (Gemein Contract Buch) f° 57-v
Außkauff vnd vergleÿchung zwischen Abel Prions deß Seÿdenferbers s. wittib vnd Kind.
(Confirmirt Dienstag den 17. 9.br Ano 1608)
erschienen seind vnsere Burger Isaac Bysantzer der Hosenstricker als von vns geordneter vogt Margarethæ Moniere weÿland Abel Prions des Seydenferbers seligen hinderlaßene Wittwen an einem
Vnd dann Heinrich Bussart der wollenweber als geordnet und geschworner Vogt Rachel, Annæ, Jacoben, Pauli vnd Ester ehegedachts Abel Prions mit ernanter Margaretha seiner ehelichen haußfrawen erzeugt vnd hind.lassener Kinder am andern theÿl, vnd vns erzehlen vnd fürpringen lassen
Nachdem sie die bede Vögt auff mehrgemelts Abel Prions tödliches ableÿben ernanten desselben hinderlaßene wittwen vnd Kidern von vns Zu vogt geordnet worden, vnd sie darauff alle desselben Verlaßenschafft durch Vnserer darzu deputirte Personen gepürlichen ersuchen, beschreÿben, anschlagen vnd ein ordentliches Inventarium darüber auffrichten laßen vnd auß demselben sich befunden das das gantze Vermögen ehegerürten anschlag vnd æstimation nach vber abzug der schulden weÿthers nit dann auff 73 pfund 1 schilling 10 pfenning sich erstrecken (…)
Les tuteurs de la veuve et des enfants d’Abel Prion demandent l’intercession du Magistrat pour rentrer en possession des biens à « Dorneck », provenant de leurs parents et grands-parents, d’abord confisqués à cause de leur religion puis restitués par contrat passé à Anvers et confirmé par le grand-duc Albert
1616, Conseillers et XXI (1 R 97)
(f° 227) Sambstag den III. Aug. – Abel Prions wittib und Kinder vogt vmb fürschrift.
Abel Prions Seidenferbers s wittib vnd Kind. Vögt Isaac Besanson vnd Heinrich Bussart vbergeben ein Supplôn dorin Eltern und Groß Eltern ansehnliche ligente gutter vnd heuser Zu Dorneck gehabt, davon die Eltern der Religion halb vertrieben vnd die gutter confiscirt aber hernach wegen des Antorffischen vertrags die gutter wid. restituirt vnd etlich Jar wid. besessen hernach Irem freundt* * vmb Jarlichen Zinß geleyhen, der es hernach alienirt vnd verkaufft vnd dl. sie sehr Jung geweßen haben so hoch nit geacht biß ein rechten grundt d. sach erfahren wie dan der frawen schwester man Johann Vorsterman burg. Zu Franckfurt albereit bey Ertzhertzog Alberto die sach angebracht Ir dh. auch die restitution den dornecker auferlegt aber nichts erlang. konnen. Bitt derwegen vmb fürsch. an Ertzhertzog & Statt Dorneck Zur restitution vorhelff Zu sein. Erk. Ist Willfahrt, H. Lamb H. Grienwald v. Miss b. fol. 67. 68.
Suite de l’affaire. Les biens proviennent de Jacques Musnier qui a dû émigrer à cause de sa religion cinquante ans auparavant
1619 Conseillers et XXI (1 R 101)
(f° 189) Sambstag den XVII Julÿ. – Margret Abel Prions wittib vmb fürschrifft Jacob Musnier.
Margret weÿland Abel Prions des Seidenferbers wittib alhie vbergibt ein supplîon, bericht dorin wie Ir vatter (Jacob Musnier) wegen tyrannen vor 50 Jaren aus Antorff v. dorneck der religion halb hienweg Zogen v alles verlassen, dl. aber die Hn Staden in troffenem accord dahien mit Ertzhertzog (od. Konig nach Hispanien) Alberto verglichen, d. allen ausgewichenen Ire gutter sollen ([biffé] confiscirt) restituirt werd. vnd sie Zwar *onach Iren schwesterman Johann Forsterman s*th lassen aber nichts erhaltten. Als sie ane Princ* Montzen Zusch.ben Ime behelfflich Zu sein, d Ir antheil d. werth dofer auch mag gelieffert werd. Erk. Ist willfaht. – h. Schilling, h Strintz.
Litige de la veuve avec les teinturiers
1617 Conseillers et XXI (1 R 98)
Margreta Abel Prions wittib die Ferberin beschwert ab dem j. K. für s. stuck Buret. 22.
Marguerite Müller veuve du teinturier en soie Abel Brion et ses enfants Anne, femme du chapelier Jacques Thomann, Paul et Esther vendent la maison à leur fils et frère respectif Jacques Brion et à sa femme Susanne Thomé
1623 (21. Januarÿ), Chancellerie, vol. 449 (Registranda Meyger) f° 60-v
(Inchoat. in Prot. fol. 72.) Erschienen Margredt Müllerin Weÿland Abell Brion Seÿdenferber Vndt burger s Zu Straßburg witwe, Mit beÿstand Isaac Bisansen hoßenstrickers, So dann Anna, H. Jacob Thoman huttmachers haußfraw, Paulus Brion, Vndt Ester Brion, Ihrer Kindern (verkaufft)
Jacob Brion Seÿdenferbern Ihrem Sohn Vndt burgern Zu Straßburg, Vndt Susannæ Thomin seiner ehelichen haußfrauwen
Hauß, Hoffstatt, Höfflin, hinderhauß, Scheür, Stall Vndt Gärttlin, mit Allen Ihren gebäwen d gelegen Inn d. St: St: Am Vischerstaden einseit neben Jn: Christoff Von Biettenheim, Vndt Anderseit neben dieboldt Illhock dem Vischer hinden Vff Clade Schweinlin den Paßmentmacher, dauon gnd v. gld gelts lößig mit j. C. gld. weg. vff Georgÿ Inn die Ellend herrberg, So dann v. gld. gelts widerkheüffig mit j. C. gld d vff Martini der Samlung Zum thurn, Sonst eÿgen & Vnd Alles Recht & Also & Vnd Jst disser Khauff vber obgehörtte beschwerd. so die Kheüffere vff sich nemmen Zugangen vndt beschehen für vnd vmb 600 gulden Straßburger Wehrung
Hiemit hatt Ihne die Verkäufferin obgemelt vßtrucklichen Vorbehaltten den Sitz Vndt wohnung Ihr lebenlang neben Ihrem Sohn Vnd Sohns frawen Inn hieobgeschriebenen Verkaufften Behaußung Zuhaben
[in margine :] Erschienen Paul Brion der Schuhmacher hatt in gegensein Jacob Brion Ferbers bekannt dieseil ihme Paul Brion ahne dießem Kauffschilling (…) Actum d. 22. april a° 1648.
Fils d’Abel Brion, le teinturier en soie Jacques Brion épouse en 1611 Susanne, fille du chapelier François Thomé
Mariage, Saint-Pierre-le-Jeune (luth. p. 242 n° 126)
1611. Domin. 26. post Trin. 17. Nov. Jacob Brion d. Seid. ferber, Abel Brion des seid.ferbers Hind.lassener sohn, Susanna, Frantz Thomæ des hutmachers Tochter. Eingesegnet Mont. 25. Novembr. (im 125, procl. Saint-Guillaume f° 140-v n° 67)
Jacques Brion hypothèque la maison au profit de sa sœur Esther Brion. En marge, quittance accordée par Esther Brion et son mari Josse Kœnig, tonnelier
1626 (ut spâ. [13. 9.bris]), Chambre des Contrats, vol. 459 f° 699
Erschienen Jacob Brion der Seÿden ferber
hatt in gegensein Ester Brionin seiner schwester – schuldig seÿe 150 Pfund
vnderpfand eingesetzt Vnd Verlegt hauß, hoffstatt, höfflin hinderhauß, Scheür, Ställ vnd gärtlin mit & gelegen Inn d. St: St: Am Vischer stad. einseit neben J. Christoff Von Bietenheim, And.seit dieboldt Illhock, hind. vff Clade Schweinlin d. Pasmentmacher stoßend, dauon gant. v. gld wehrung lößig mit 1. C. gld.w. der Elenden herrberg Mehr v. gld. gelts wider Kheüffig vnd j. C gld. berüerter wehrung der Samlung Zum thurnb Vnd dan Ist diße behausung noch verhafftet vmb 150. gld. wehrung des bekhenners brud. Paulus Brion dem schuomacher
(vide in Meÿ. Regist. 1623 fol. 61. – vide in Regist. 1639. fol. 60.)
[in margine :] Erschienen Ester Brionin, hatt in gegensein Jacob Brions ihres bruders vnd seiner Kinder Vogts Paul Brions auch ihres brud. mit beÿstand Jost Königs deß Küeffers ihres Ehemanns bekannt (…) qttirt, Act. den 30. 9.brus. 630.
Jacques Brion règle un complément sur un remboursement fait pendant la dévaluation monétaire en 1622. L’obligation date de 1529. En marge, quittance accordée en 1655 à son fils Jacques Brion
1633 (12. Novembris), Chambre des Contrats, vol. 471 f° 509
Erschienen Jacob Brion der Seÿdenferber An einem,
so dann der Ehrenvest, fürsichtig und wolweise herr Georg Müeg Allt Ammeister der St. St. am andern theil
Zeigten an vnd bekannten gegen einander, demnach Er Brion, in Anno 1622 in dermaligen hohen dem Reichßthaler nach Zu sechs gulden gerechneten gelt ihme herrn Ammeister Müegen die 100 gld. St. w. Capital, So er Brion von, vf, vnd Abe seinem hauß Alhie in Crautenaw am Staden im Nidern Teuch gelegen, hinden auf die Newgaß stoßend, Järlich vff Georgÿ, vermög eines vnder deß Bischofflichen hoffs alhie Insigel durch Notm. Sebastian Schmidten 6. Cal. Maÿ A° 1529. vfgerichteten brieffs mit 5. gld. werung Zuuerzinsen schuldig gewesen, erlegt vnd abgestossen, Als heten sie sich mit einander güetlichen dahien verglichen, daß Er Brion innerhalb 14. tagen, von dato anzurechnen, ehrengemeltem herrn Ammeist. für Capital Zinß und Marzal (…)
[in margine :] (…) in gegensein Jacob Brions deß Seÿdenferber hierinn gemelts Jacob Brions nunmehr seel. hinderlaßenen ehelich. Sohns (…) Act. 26. 8.bris 1655.
Les héritiers de Jacques Brion (le teinturier en soie Jacques Brion et les mineures Cléophée et Susanne Brion) hypothèquent la maison au profit de Marguerite Ipper, veuve du farinier Georges Stigler remariée avec Jacques Greisel
1637 (29. Julÿ), Chambre des Contrats, vol. 478 f° 640
Erschienen weÿ: Jacob Brions deß Seÿdenferbers burgers alhie see: nachgelaßene Erben benantlichen Jacob Brion auch Seÿdenferber für sich selbsten, So dan Paulus Brion der Schuhmacher burger Zu Straßburg Alß vogt Cleophe und Susannæ Brionin
haben in gegenwärtigkeit Margreth Ipperin weÿ: Georg Stiglers gewesenen Meelmanns see. nachgelaßener Wittiben an ietzo Jacob Greisels Burgers alhie ehelicher haußfrawen mit beÿstand Dauid Stiglers deß Weißbecken Ihrer in Voriger Ehe erzeugter Kindern Vogts – schuldig seÿen 50. lb
zu Vnderpfand eingesetzt und verlegt hauß vndt hoffstat sampt dem Hoff undt allen andern Ihren gebäwen & gelegen on der Statt Straßburg undt der Vorstatt Crautenau beim Fischerthor, neben Jr. Christoff von Bietenheim see: Erben, anderseit neben dieboldt Ilhocken deß eltern Fischers seel. Erben, hinden vff Clauß Schweinlin den Paßmentmacher, so zuuor verhafftet vmb 52. lb 10. ß der Ellenden Herbergen, Item vmb 52. lb 10 ß der Samblung Zum Thurn, Item vmb 150. fl. Straßburg Wehrung obbesagtem Paul Brion, Item vmb 50 fl. wehrung Ester Brion Jost Königs deß Küeffers haußfrawen, So dann vmb 100. fl. gerüerter Wehrung herrn Georg Müegen Alt ammeister der St. Straßburg
Josse Kœnig et Esther Brion vendent aux enfants de l’aubergiste Nicolas Welt la créance de vingt-cinq livres sur la maison de Jacques Brion
1639 (17. Janu:), Chambre des Contrats, vol. 482 f° 59-v
Erschienen Jost König der Küeffer Burger Zu St. vnd Ester Brionin sein eheliche haußfr.
haben in gegensein weÿ. Niclauß Welten geweßenen Würths see: Zum Weinstock alhie Zweÿer Jüngern Kindern vogts Lorentz Rosers auch Küefers, bekant, daß sie besagten Vogts Kinder vffrecht vnuersch. verkaufft vnd Zukauffen geben
25. lb. d so weÿ: Jacob Brion deß Eltern Seÿdenferbers see: alhie Erb. laut der auch in der Contractstuben den 13. Novembris A° 1626. vffgerichteten verschreibung, noch ane 150. lb d schuldig per rest, so ledig eigen vnd were dieser Kauff beschehen per xx lb.d. so par bezalt q.tirt, vbergeb. & wehr. stet
Hierauff hat Er Roser in auch gegenwertigkeit Jacob Brions des Jüngern, Alß Einsen vnd obgedachten Erben verwilligt solche 25. lb d noch Zweÿ Jar lang (…)
La maison revient à Jacques Brion (voir l’acte de 1633) qui épouse en 1640 Marthe, fille du sachetier Simon Glitz
Mariage, cathédrale (luth. p. 434)
1640. Domin: Reminiscere. Jacob Brion der Seÿdenferber Vnd Burger allhier, Jacob Brions deß Seÿdenferbers nachgelaßener Sohn, vnndt Martha Simon Klitzen, Secklers vnd Burgers allhie nachgelaßene tochter. Eingesegnet In der Ruprechts Aw Mont. 16. Martÿ
Jacques Brion se remarie en 1659 avec Anne Marguerite, fille du coutelier Jean Conrad Stocker
Mariage, cathédrale (luth. p. 105, n° 33)
1659. den 5.t Junÿ. Zum 2. mahl Jacob Brion der Ferber undt Burger alhie undt Jfr. Anna Margaretha Weiland hans Conrad Stocker gewesenen Meßerschmidts hinterlaßene ehel. tochter. Montags den 12. Jun. Fischerst. Münster. Beck (i 106)
Jacques Brion achète en 1659 de Samuel Illhock la maison voisine de gauche (à l’est) qui reviendra à sa veuve et sera vendue en 1687 au constructeur de bateaux Paul Reich.
1668 Conseillers et XXI (1 R 151) Andreß Kriegg [contra Adam Zollern dem Schiffknecht von Newenburg]. 128
1674 Conseillers et XXI (1 R 157) Hanß Jacob Brion. 344. Franckfort, wegen Hanß Jacob Brions. 394.
Le batelier André Krieck épouse en 1675 Anne Marguerite, veuve du teinturier en soie Jacques Brion
Mariage, Saint-Guillaume (luth. f° 109)
1675. Dominic: Trinit. 13. u. 14. den 29. Aug. u. 5. 7.bris. Herr Andreas Krieck der Schiffmann und Fr. Anna Margaretha, Hr. Jacob Brion des Seidenfärbers nachgelaßene Wittib (i 73, proclamation cathédrale f° 9 n° XIV))
Jacques Brion meurt en avril 1673 en délaissant quatre enfants de sa première femme et quatre de sa veuve. Les titres de propriété allégués pour les deux maisons ont en fait trait à la même, celle acquise en 1659. La masse propre à la veuve s’élève à 73 livres, celle des héritiers à 494 livres. L’actif de la communauté est de 406 livres, le passif de 179 livres.
1673 (6.6.), Not. Oesinger (David le jeune, 38 Not 6) n° 12
Inventarium vnd Beschreibung aller vndt Jeder Haab, Nahrung vndt Güttere, Ligender: vndt Vahrender, Veränderter vndt Unveränderter So weÿl. der Ehrengeachte Herr Jacob Brion, gewesene Seidenferber Vndt Burger alhie Zue Straßburg seel. nach dero derselbe den 10.ten Aprilis des fortlauffenden 1673.ten Jahrs in Gott verschieden Verlaßen, Welche war Erstlichen vmb allen Argwohn Zu vermeiden vff aller seits Interessenten ansuchen gleichbaldten durch E. E. Kleinen Rath sonderlich aber den Ehrenvesten fürsichtigen vndt weisen herren Niclaus Claußen den handelßmann vndt Wohlgeachten Kleinen Raths Beÿsitzern, vndt auß deßelben Mittel deputirten herren obsignirt Jetztmahlen aber beÿ vorhabender Inventation wid. recogniscirt vndt ohn argwöhnisch erfunden, auff erfordern vndt begehren aller vff nächstem bladt beschriebener vnd ab intestato verlaßener Erben inventirt, durch die Ehren: vndt tugendsammen fr. Annam Margaretham Stockin die hinderbliebene Wittib mit beÿstandt des auch Ehren vesten fürsichtigen vnd weisen auch vorgeachten herrn Lienhardt Balthner wohlverordneteen Haagmeisters beÿ hiesiger Statt v ihres geschwornen Vogts (…) So beschehen vndt angefang. Freÿtag den 6.ten Junÿ A° 1673.
Der in Gott entschlaffene H. Jacob Brion hatt Zu seinen Erben ab intestato verlaßen seine auß beed. Ehen erziehlte Söhn vndt döchter Nahmentlich 1. den Ehrengeachten Johann Jacob Brion Seidenferber vnd Burgern alhie für sich selbsten 2. Fr. Marthan Brionin so mit dem Ehrsamen vndt bescheidenen Mr Johann Müllern Leinenwebern vndt Burgern alhie verehelichet mit assistentz deßelben, 3. Fr. Annam Catharinam Brionin des auch Ehrsammen vndt bescheidenen Mr Hanß Michel Rothen Weißbeckens vnd auch burgers alhier eheliche haußfr. beÿständlich deßen, 4. den auch Ehrengeachten Hanß Peter Brion den ledigen Seidenferber, deßen geordneter Vogt der auch Ehrengeachte Michel Glitz der Jünger Seckler, Alle des verstorbenen auß erster Ehe mit auch weÿl. Fr. Martha Glitzin seel. ehelich erzielte Sohn und döchter
Ferners 5. 6. 7. 8. Hanß Ludwig, Friderichen, Annam Margarethma, Annam Barbaram Alle mehr erwehnt. des verschiedenen mit d. eingangs gedachter hind.bliben Wittib erzeügter hind.laßene Kind. deren geschworne Vormundt der auch Ehrengeachte H. Hanß Ludwig Kuentz der Jung. Meßerschmidt, vnd burg. alhie
Inn einer an dem fischer staaden in der Statt Straßburg gelegenen vnd in die Verlaßenschafft gehörigen, wie hernach Zubefunden, ist befund word. alß volgt
In der Cammer A, In d. Cammer B, In der Cammer C, Im Hintern Stübel, In der vndern Wohnstuben, In der Cammer C, Vor dießer Cammer, Vff dem gänglin, Im hindern Stübel, Vff dem Bühnlin über diesem Stübel, In d. Wohnstub, Vor der Stuben im Hauß öhren, In dem Cammerlein vber den Keller, Im hoff, Im Keller, Neben dem hindern Stübel
Werckzeug, Schiff und geschirr Zur ferbereÿ gehörig
Kunstwerckh Zum feürwerckh gehörig
Eigenthum ahne Häußern. (E.) j hauß, hoffstatt Zusambt einer Mang, mit allen jhren gebewen, begriffen, weithen, recht Zugehörden v. gerechtigkeit geleg. in der St. St. vorstatt in d. Crautenauw ahne dem Fischerstaden, 1.s. neb. Andreß Heinrichen, Schiff Zimmermann v burger, alhier, 2.s. den Erben selbsten Stoßt hind. Zum theil vff weÿl. H. Ammeister Reichßhoffers seel. Erben Zum theil vff der Allmendgaß geg. dem Bollwerckh, Davon gehet 2 lb 12 ß 6 s Jahrs vff Mariæ Verkündigung dem Stifft Zue St. Wilhelm in hauptgut widerlößig mit 52. lb 12 ß 6 d geldts, Mehr 2 lb 12 ß 6 d Geldts d. Samblung Zum thurn Jahrs vff Martini von 52. lb 10 ß d Capital, Sonsten über hievorgemelte Beschwerd. freÿ ledig vnd eigen v hiehero gewürdiget per 395. lb
Meldet hierüber j in alhies. C. C. Perg. aufgerichte Kauffverschreibung, v dero anh. Kleinen Insiegel verwahrt, welche datirt den 18.ten 7.bris 1591. sign. mit alt. N° 9 jetzt aber N° 1. Ferners j. Lateinischer in dem Bischoffl. hoff auffgerichtet Perg: Kauffverschr.
(E.) It. j. haußlin v. hoffstatt, m. allen dero gebeuwen, begriffen, recht. Zugehörden v. gerechtigkeit. in hies. St. Straßb. am Fischerstad. nidwendig d. herberg Zum Wolff, 1.s. neben den Erben selbst. 2.s. neben hanß Martin Hemin, d. fischer, hind. vff weÿl. H. Ammeister Reichßhoffers seel. Erben geleg. Davon gehet Jahrs termino Invocavit 5 ß d Lößig mit 5 ß d, d. Fabric Zue St. Wilhelm, sonst freÿ, Ledig v. Eig. vnd hiehero vber bedeüte beschwerd. gewürdiget worden pro 37. 10. Sagt hierüber j. teütsch Pergam: Kauffverschreibung so in alhies. Cancelleÿ Contractstub. d. 11. Februarÿ 1659 auffgerichtet worden, mit dero anhangendem Kleinern Insigel vwahret, Sign: m. N° 2.
It: j hauß, hoffstatt, höfflin, s. allen andern jhren gebewen in d. Brandtgaß (…)
Wÿdembs Verfangenschaft So der verstorbene seel. von weÿl. Fr. Marthann glitzin seiner 1.sten v.storb. haußfr. seel. v.mög auffgerichtet. Testamenti nuncupativi, besonders aber deß Zwischen jhme v seinen 4 erzeügt. erster Ehe Kinder, geschwornen Vogt auffgerichtet. v.trags Zeit lebens Zugenieß. gehabt hätte
It. Ein tritter Theil ahne Hauß Hoffstatt höfflin, Gärtlin beÿ St. Andreßen Thörlin (…)
Abzug In dießes Inventarium gehörig. Der Wittiben unverändert guth, Sa. haußraths 6, Sa. Silbergeschmeids 3, Sa. Guldener Ring 4, Sa. Pfenningzinß Capitals 50, Sa. Schulden 10, Summa summarum 73 lb
Der Erben unverändert Verlaßenschafft, Sa. haußraths 67, Sa. Lähren vaßen 1, Sa. Werckzeug Schiff und geschirr Zur Ferbereÿ vnd trägen gehörig 23, Sa. Silbers 1, Sa. Guldener Ring 2, Sa. Eigenthums ahne d. häußern 432, Sa. unverändert. guths Ergäntzung (334, abgang 267 Nach deren Abzug) 66, Summa summarum 594 lb – Schulden 99 lb, Der Erben unveränderte Verlaßenschafft 494 lb
Theilbahre Verlaßenschafft, Sa. haußraths 77, Sa. frucht 7, Sa. Lähren vaßen 16, Sa. Kunstwerckh Zum feurwerckh gehörig 4, Sa. Silber geschirr und Geschmeids 66, Sa. baarschafft 99, Sa. Eigenthums ahne einer behaußung 66, Sa. Schulden 68, Summa summarum 406 lb – Schulden 179 lb, verbleibt 227, 10 lb liebthat, 216 lb
Summa finalis 1061. lb
La maison revient à Jean Pierre Brion selon le testament de son père (voir l’acte suivant).
Jean Pierre Brion hypothèque la maison au profit du marchand épicier Elie Kirsner
1690 (23.Xbr), Chambre des Contrats, vol. 562 f° 718
H. Hans Peter Brion, der Seidenfärber
in gegensein H. Eliæ Kirßners, deß Specereÿ händlers seines Schwagers – schuldig seÿe 50 pfund
unterpfand, Hauß, Hoffstatt, Höfflein und Scheur, mit allen Ihren Gebäuen Recht. und zugehördten allhier in der Vorstatt am Fischerstaden, underhalb der Neuengaß, einseit neben hans Paul Reichard dem Schiffbaüer, anderseit neb. Andres Hennigen deß Schiffbaüers sel. Erben, hind. auffs Allmend auff eine Gaß in die Neue gaß gehend, stoßend, darvon gehend jährlich 5 fl. gelds auff Martini der Samlung Zum Thurn ablößig mit 100 gulden, Mehr 5 guld gelds auff Mariæ Verkündung der Fabric Zu St. Wilhelm auch wid.lösig mit 100 guld. beedes Straßb. wehr.
Le tonnelier Jean Louis Brion et le sachetier Frédéric Brion d’une part, leur mère Anne Marguerite Stock remariée avec le batelier André Krieck d’autre part passent un accord relatif aux sommes qui leur sont dues sur la maison que leur père et mari respectif a léguée à Jean Pierre Brion et à sa femme Barbe Cuntz. Les sommes garanties sur la maison sont en partie remboursées par l’aubergiste Léopold Winter en 1705.
1694 (27.7.), Chambre des Contrats, vol. 566 f° 483-v
Johann Ludwig Brion, der Kübler und Friderich Brion, der Säckler, beede Gebrüdere an einem,
So dann Anna Margaretha gebohrne Stockin, weil. H. Andres Kriecken geweßenen Schiffmanns sel. nachgelaßene Wittib deren leiblich Mutter, mit beÿstand H. Johann Andreæ Mergileti, Schaffners deß Closters S. Mariæ Magdalenæ und Stattrichters allhier Ihres Curatoris am andern theil
haben angezeigt und bekandt, dem nach Ihnen beeden Brionischen Brüdern von weil. Johann Jacob Brion, dem Schwartz und Schönfärber Ihrem Vatter seel. an einer ane dem Fischerstaden ohnweit dem Fischer Thor einseit neben Philipß Rübel dem Haagknecht, anderseit neben Paul Reichen dem Schiffbaüer gelegenen behaußung, Zween achte theil eÿgenthümlich Zugefallen, die gantze behaußung aber Zu folg Vätterlichen Testaments weil. Johann Peter Brion auch Schwartz und Schönfärber und nach deßen tod Barbara gebohrne Cuntzin deßen hinterlaßener wittib eÿgenthümlich überlaßen worden, solchem nach ihnen obged. beeden Brionischen Brüderen an statt deß Eÿgentumbs Zween achte theil am Kauffschilling dato gebühren, sich in summa auff 143 gulden (…) belauffen, welche aber Ihro obged. deren leiblich Mutter, ad dies vitæ widembs weiß zu genüßen befugt, Alß hat Sie die Mutter beÿständlich Ihres Hn Vogts auff solchen widems genuß hierbeÿ formlich und bester maßen renuncirt (…)
beÿ fernern Verpfändung obgemeldte Brionisch. ietzo Ihro d. debitricj gehörig. behaußung – auch hätten so wol Ihr der debitricis mit obged. Joh: Peter Brion erzielte 3. ehlige Kinder, alß auch Catharina Brionin, Sebastian Gasten, deß weißbeck. eheliche hauß fr. Martha Brion mit weil. (-) erzeugte 3. Kind. und weÿl. hans Jacob Brions gewesenen Färbers sel. Tochter Margarethæ, vor 4. achte theil Ihr. Kauffschilling, daran aber etwas bezahlt und auff berechnung berührt, Zu erfordern, in fernern beÿsein Hans Martin Schlauch, Visitatoris beÿ E. Löbl. Policeÿgericht obged. d. debitricis Kind. Vogts
[in margine :] (…) in gegensein Leopold Winthers, Gastgebers Zuem guldenen Schiff, alß nunmahligen possessoris hierinn versetzten Haußes (quittung), den 28. mart. 1705
Accord de paiement entre Anne Catherine Brion, veuve de Michel Roth remariée avec Sébastien Gass, et Barbe Kuntz, veuve de Jean Pierre Brion
1695 (1.7.), Chambre des Contrats, vol. 567 f° 408-v
Anna Catharina geb. Brionin, vorhin Michael Rothen, anietzo Johann Sebastian Gaßen deß weißbecken haußfrau mit beÿstand erstged. Gasts Ihres ietzmahlig. Ehevogts, und hans Jacob Brionen auch weißbecken, ihrer Kinder erster Ehe Vogts
Barbaræ geb. Kuntzin weil. Johann Peter Brions, gewesenen Schwartz und Schönfärbers hind.laßene Wittib mit beÿstand Hn. Eliæ Kießners, des Specereÿ händlers Ihres Curatoris
angezeigt und bekandt, demnach Ihro Catharina Gastin am Kauffschilling einer am Fischer Staden ohnweit dem Fischer thor, einseit neben Philipß Rübel dem haagknecht, anderseit neben Paul Reichen den Schiffbaüer gelegenen behaußung, zween achte theil und darvon der eine weg. ihres vätterlich. daran gehabten Erbtheils, der andere aber weg. Ihrer Schwester Martha und deren Ehemanns hans Müllers gewesenen Leinenwebers, auß deßen falliment zu gekommen, das hauß aber nunmehro Ihro Brionische wittib gehörig, Alß habe anietzo Sie Brionische wittib Ihro Annæ Catharinæ solche Zweÿ achte theil Kauffschillings heut dato mit 71 pfund baar erlegt, dieweilen aber H. Johann Henrich Felß, J.U.Ddus alß Curator Balthasar Friderich Krauth. seines Schwagers die Vorlag solcher Zahlung alß ged. seines Schwagers Mittlen gethan
[in margine :] (…) in gegensein Leopold Winthers gastgebers Zum guldenen schiff alß nunmahligen possessoris hierinnen versetzten haußes, (quittung) den 28. Martÿ 1705
Barbe Kuntz, veuve de Jean Pierre Brion, remariée avec Jean Jacques Billet, hypothèque la maison au profit de Balthasar Frédéric Kraus, pensionnaire à l’hôpital.
1697 (17. 8.bris), Chambre des Contrats, vol. 569 f° 492
Fr. Barbara geb. Kuntzin weil. Johann Peter Brions, gewesenen Schwartz und Schönfärbers sel. hind. laßene wittib anjetzo Johann Jacob Billet auch Schwartz und schönfärbers haußfrau
in gegensein H. Johann Heinrich Felsen, J.U. Doctori & Professoris alß Curatoris Balthasar Friderich Krauten, deß Pfründs im Spitahl seines Schwagers, schuldig seÿen 50 pfund
unterpfand, Hauß, hoff, hind. hauß und dero hoffstätten sambt allen deren Gebaüen, recht. und Zugehördt. allhier und. am Fischerstaden, ohnweit dem Fischer thor einseit neben H. Johann Baptista Bourste anderseit neben Paul Reichen dem Schiffbaüer, hind. auff ein Allmendgaß, darin solche auch ein außfahrt hat, stoßend gelegen
Jean Jacques Billet et Barbe Cuntz hypothèquent la maison au profit du professeur de mathématiques Jules Reichelt
1698 (16.5.), Chambre des Contrats, vol. 570 f° 291
Johann Jacob Billet, der Schwartz und Schönfärber, Und Barbara geb. Cuntzin, und zwar dieselbe mit beÿstand H. Eliä Kirschners, deß Specereÿhändlers, und H. Johann Ludwig Cuntzen, deß Meßerschmids und E:E: Kleinen Raths alten beÿsitzers Ihres respective H. Schwagers und leiblichen bruders
in gegensein Hn. Julÿ Reichelts Mathes. Profess. Publ., schuldig seÿen 75 pfund
unterpfand, diejenige neue Gebaü, welches Sie beede Eheleuthe in der d. Frauen gehörig, am Fischer Stad. einseit neben Paul Reichen, dem Schiffbauer anderseit neben H. Joh: Baptista Bourste, hind. einen außgang geg. d. wahl habend. gelegenen behaußung, in specie deren hind. Stock, so mit ein and. nid. geriß. und d. entlehte Geld darin verwendet werd. solle
[in margine :] in gegensein Leopold Winthers, des Würths als ietzigen besitzers der hierinn beschriebener am fischer Staden gelegenen gantzen behaußung (Quittung), den 28. martÿ 1705
Le teinturier Jean Jacques Billet demande aux Quinze à être dispensé de construire un pignon en pierre à sa maison arrière étant donné que le nouveau bâtiment est une simple grange qui servira de teinturerie sans qu’il y soit jamais fait de feu. Il argue que son voisin Daniel Verius a fait de même. Les Quinze renvoient l’affaire aux Préposés aux feux en leur demandant de respecter autant que possible le règlement.
1698, Protocole des Quinze (2 R 102)
(f° 112) Sambstag den 24. Maÿ – 112 Johann Jacob Billet pt° Gäbels
Johann Jacob Billet, d. Schwartz: und Schönfärber, und burger alhier, per Künast, Weilen ihme jnn seinem hinderhauß einen Steineren Gäbel auff Zu Führen Zugemüthet werden will, da doch d. anlegende gebäu nur wie eine scheur ist, Und allein Zu einer Ferbereÿ gebraucht, Auch wed. Feur Noch rauch darinnen gehalten werden solle, als will ihn des großen Unkostens jnn gn. Zu erheben jndeme sein Nachbahr und mitmeister Daniel Verius dgl. wid. hatt, Erk. Vor Obere Feuerh. gewießen, Umb so viel möglich beÿ Ordnung Zu bleiben.
Barbe Billet née Kuntz vend la maison à l’aubergiste Léopold Winter et à sa femme Marguerite Fledner moyennant 800 livres
1704 (4.Xbris), Chambre des Contrats, vol. 577 f° 600-v
(800) Barbara Billetin geb. Kuntzin mit beÿstand Joh: frid: Kuntzen küblers ihres Vogts
in gegensein Leopold Winther Gastgebers u. Marg: geb. Flednerin
eine behaußung Hoffstatt mit allen ihren gebäuen begriffen weithen zugehörden u. Gerechtigkeit doch ohne die mang, färbkessel u. übrigen färbgeschirr allhier in der Crautenau ahn dem fischerstaden einseit neben Hn Joh: Bursten Schultheißen zu Lampertheim an Paul Reich schiffbaüren hinten aufs allmend auf eine gass in die neue gass gehend stoßend gelegen – um 52, 52, 200, 50, 150 pfund verhafftet geschehen umb 295 pfund
Léopold Winter demande aux Quinze l’autorisation d’établir une auberge dans la maison dite à la Teinturerie du bas qu’il vient d’acheter. Il déclare à la commission des Quinze qu’il doit quitter l’auberge au Grand Cerf et qu’il a acheté la maison du teinturier Billet qui a quitté la ville quelques années auparavant. Les Quinze donnent leur accord eu égard que le pétitionnaire est déjà tributaire chez les Fribourgeois et qu’il y a une seule auberge au quai des Pêcheurs, celle au Loup.
1705, Protocole des Quinze (2 R 109)
(f° 3) Sambstags den 17.ten January 1705. – Leopoldt Winter pt° Weinschancks
G. noîe Leopoldt Winters Burgers undt Gastgebers alhie, der bittet unterth. Ihme den weinschanckh am Fischerstaden in der Untern Farb gn. Zu willfahren. Erk. an die oberen Ungelthh. gewießen.
(f° 83-v) Freÿtags den 13.ten Marty 1705. – Leopoldt Winter pt° Weinschancks
Iidem [Obere Ungelt herren] per Herren Friden, es habe Leopoldt Winter burger vndt würth alhier vmb des Weinschanckh in seinem newerkaufften hauß am Fischer Staden angehalten, Worauff man einen augenschein ennehmen laßen vndt vernommen, daß die Gelegenheit allda sehr guth seÿe, und alß man den Imploranten auch ferner angehört, habe dießer beditten, daß Er Zuvor in Stephan Anbergers gartt. Zum großen hirschen, die Würtschafft getrieben undt weilen Er allda wegziehen müßen, dießes hauß gekaufft, welches N. Billet dem färber, so vor einigen Jahren von hier weggezogen, gehört habe, deßen verlaßene Fr. vndt tochter wohneten Zwar noch darinnen, so aber auff Ostern auß Ziehen werden. Weilen nun der Implorant burger, beÿ EE. Zunfft der Freÿburger leibzünfftig vndt schon die würtschafft getrieben, auch sonsten keine profession habe, auch kein anderer würth als der Zum Wolff in selbiger Gegend seÿe, So habe man davor gehalten, daß demselben in seinem begehren willfahrt werden könte.
Erk. Bedacht gefolgt.
Léopold Winter, aubergiste au Bateau d’or, demande une réduction de l’accise parce qu’il a beaucoup transformé sa maison et donné du vin à boire aux ouvriers. Les Quinze lui accordent dix mesures de vin sur les quatorze demandées.
(f° 201) Sambstags den 1. Aug. 1705 – Leopold Winther pt° Ungelts
K. nôe Leopoldt Winthers Burgers und Gastgebers Zum guldenen Schiff, weilen Er ein Zimbliches in seinem hauß verbawen müßen undt Ihme über 20. oh. wein auff die arbeith leüth darauff gegangen alß bittet unterth. Ihme an seiner ungelts gebühr einen Nachlass Zu thun, Zumahlen Er noch 14. oh. verungelten wein gehabt ehe Er in dießes hauß gezogen. Erk. wie vor [an die Obere Ungelts hh. gewießen]
(f° 218) Freÿtags den 21. Aug. 1705. – Leopold Winther pt° Ungelts
Iidem [Obere Ungelt herren] per Herren Friden, es habe Leopold Winter der würth Zum guldenen Schiff am Fischer Staden angesucht, daß weilen er in seinem hauß viel Verbuwen, undt viel wein auff der arbeits leuth gegangen, ihme dagegen ein nachlaß im ungelt gethan werden möchte. Nun seÿe wahr, daß derselbe viel verbawen, und das hauß fast gantz verändert und 14. oh. freÿ verlangt, allein halte man davor, daß er mit 10 oh. sich begnügen, und ihme solche von dem geringen schatz passirt werden könne. Erk. gefolgt.
Léopold Winter, aubergiste au Bateau d’or, et Marguerite Flœdner hypothèquent la maison au profit du juriste Jean Ernest Schwend
1718 (29.10.), Chambre des Contrats, vol. 591 f° 542-v
Leopold Winter gastgeber zuem guldenen schiff und marg: geb. Flödnerin beÿständlich Andres Wachter und H. Jacob Christoph Pantrion Not. publ.
in gegensein H. Johann Ernst Schwenden U.J.Lti – schuldig seÿen
unterpfand, ihr Gasthauß zuem guldenen schiff allhier ahm Fischerstaden, einseit neben H. Joh. Georg Langenbach anderseit neben Bruder præcept: privato hinten aufs allmend
Léopold Winter hypothèque la maison au profit de Jean Christophe Rosenzweig, greffier aux affaires criminelles
1719 (20. Julÿ), Chambre des Contrats, vol. 593 f° 375
Erschienen Leopoldt Winther gastgeber zuem guldenen schiff
hatt in gegensein H. Joh. Christoph Roßenzweig Actuarÿ beÿ E. E. Vogteÿ gericht angezeigt und bekandt – schuldig seÿe 550 pfund d. baar
zur erbauung eines gebäues in besagtem seinem Gasthauß allhier ahm Fischerstaden eins. neben Langenbach gerbern anders. neben Ezechiel Bruder hinten aufs Allmendt stoßend
[in margine :] auff abschlag hiegegen verschribener 550 lb sind am 13. Decembris 1731. 112 Pfund durch Johannes Lorentz als Kauffer Verpfänderer Gastherberg Zum guldenen Schiff ahn Hn Actuarÿ Roßenzweigs bruders Joh: Jacob Roßenzweig dreÿer Kinder vogt Zalt worden und wurde er Lorentz eodem die davor quittiret, wie in reg. C. Contr. de anno 1721. fol. 102.b marg. mit mehrem Zusehen ist. Actum den 13. Decembris 1731.
Autre hypothèque entre les mêmes
1721 (18.2.), Chambre des Contrats, vol. 595 f° 102-v
Erschienen Leopold Winther, gastgeber zum guldenen Schiff allhier
hatt in gegensein Hn Johann Christoph Roßenzweigs E. Löbl. Vogteÿ gerichts allhier actuarÿ – schuldig seÿe 175 pfund Ihme noch beÿ lebzeiten seiner Haußfrau seel. bereits vor einem Jahr baar gelühenen gelts
dafüt in specie Und.pfand sein solle d. Gasthauß zum guldenen Schiff genandt cum appertinentÿs allhier ahm Fischerstad. ohnfern dem Fischerthor eins. neben Ezechiel brudern vnd Marggraffen Schiffbäuern, and.s neben H. Langenbach, Gerber hind. auf die sogenannte überzwerche gaß stoßend, gelegen, davon gibt man Jährlich1 ß. d. allmend Zinß weg. einer Staffel vor d. Haußthür dem Pfenningthurn allhier, so seÿe ged. Gantze Hauß Zuvor vmb 55. lb d Cap. d. Schuel Schaffeneÿ allhier Mehr umb 550. lb d Capital Zuvor Ihme Hn actario Roßenzweig verhafftet
[in margine :] (Quittung 13. Decembris 1731)
Léopold Winter loue l’auberge au Bateau d’or à Jean Nicolas Joner, assisté de son beau-père Jean Jacques Frantz
1721 (24.11.), Chambre des Contrats, vol. 595 f° 547
Erschienen Leopold Winther, Gastgeber Zum guldenen Schiff allhier, und Lorentz Reichhard, Kieffer und burger als Vogt gedachten Winthers dreÿ Kinder
haben in gegensein Johann Niclauß Joners, ledigen Gastgebers, beÿständlich Joh. Jacob Frantzen, Gastgebers zum kleinen hirschen allhier seines Stieff Vatters angezeigt und bekandt (…) aufrichtig und redlich Verlühen, maßen auch dießer mit genehmhaltung und Vorwißen seines Curatoris Samuel Moßeders, Consigne ahm Juden thor
entlehnt zu haben bekanntlich ware die Gastherberg zum guldenen Schiff allhier ahm Fischerstaden, einseit neben Bürck dem Garttenmann, anderseit neben Langenbach dem gerber gelegen, nichts davon als eine Stub, in dem neuen: gebäu, eines Stockwercks hoch, und dann eine Kammer auff dem Zweÿten Stockwerck des neuen gebäus, so der Verlehner sich zu seiner wohnung und genuß vorbehält, außgenommen, Sambt sechs ausgerüsteten betten und dero bettstätten, 17 würthsdisch, 10 doppelte Lehnen Stühl, zweÿ dutzet Lehnen Stühl, den bräter in der Kuchen sambt zweÿ spißen und dem haaffenschafft, In der Spießkammer einen Zinnkasten Im Keller Fünff Thierlein Vaß, So dann Zweÿ Schiffersteinerne Schreibstaffeln, Endlich so ist in dieser lehnung Ein gartlein, so der Verlehner von Joh. Georg Marggraff, dem schiffbäuer lehnungs weiß besitzet begriffen, Ist demnach solche lehnung besagter Gastherberg Gärtlein und der spcificirten mobilien getroffen worden auff Vier jahr lang, anfangend auff weÿhnachten 1721 und siche endigend auff gleiche Zeith 1725. Umb einen jährlichen Zinß Vo, 110 Pfund
Les experts estiment la maison à 1 250 livres lors de l’inventaire dressé en 1721 après la mort de Marguerite Flettner, femme de Léopold Winter.
Anne Catherine Winter, femme de l’aubergiste Georges Charles Hoffmann, vend sa part de maison à son père Léopold Winter.
1722 (23.3.), Chambre des Contrats, vol. 596 f° 191
(prot. fol. 10.b) Erschienen Anna Catharina, gebohrne Wintherin, Georg Carl Hoffmann, des gastgebers und burgers allhier ehefrau, beÿständlich deßelben
hatt in gegensein ihres vatters Leopold Winthers auch gastgebers und burgers allhier angezeigt und bekandt, daß Sie Hoffmannische ehefrau, mit genehmhaltung ihres Ehemanns, ihme winther, dem Vatter (verkaufft)
Einen Zwölfften theil für ohnvertheilt ahne Einer Behausung, hoff und hoffstatt mit allen derselben gebäuden, begriffen, weithen, Recht: und gerechtigkeiten, allhier in der Krauttenau, ahm Fischerstaden, einseith neben Joh. Georg Graff, dem Schiffbäuer, anderseith neben Hn. Joh. Georg Langenbach, dem Rothgerber, hinden auff eine Überzwerche, in die Neue gaß gehende gaß, stoßend gelegen, und die Gastherberg Zum guldenen schiff genannt, wovon dem Käufer schon zuvorhin 8/12. theil, oder Zwo tertzen, die übrige 3/12.te theil aber deßelben Kindern, der verkäuferin geschwisterden Zugehörig sind, So seÿe auch dieselbe annoch der Sammlung Zum Thurn, modo dem Corpori Pensionum allhier, umb 52. lb, Mehr Hn Lt Schwerdten umb 350.lb, So dann Hn actuario Roßenzweig, in unterschiedlichen posten umb 725. lb alles ahne capital verhafftet (…) über angegebene capitalien, zugangen und beschehen vor und umb 156 Pfund
La maison est vendue par adjudication judiciaire le 4 août 1723 à l’aubergiste Jean Lorentz et à Marie Françoise Sollinger.
Jean Lorentz et Marie Françoise Sollinger hypothèquent la maison au profit du notaire Jean Adam Œsinger
1723 (6.9.), Chambre des Contrats, vol. 597 f° 471
Johannes Lorentz der gastgeber und Maria Francisca geb. Sollingerin beÿständlich ihres Schwagers Johannes hirschenbauer des Schuemachers und ihres vettern Johann Daniel Cammerer des glaßers
in gegensein H. Johann Adam Ößinger Not: Publ. – schuldig seÿen 300 pfund
unterpfand, Eine Gastbehausung zum goldenen Schiff genannt mit allen derselben gebäuden, begriffen, weithen, zugehörden, Rechten und gerechtigkeiten ahm Fischen staden, einseit neben H. Johann Georg Langenbacher dem Rothgerber anderseit neben Heinrich Bürck dem grempen hinten auff die so genannte überzwerche gaß stoßend, und einen außgang in dieselbe habend gelegen – davon gibt man hiesiger Stadt Pfenning Thurn wegen einer vor dem hauß befindlichen Staffel 1 ß ane allmend zinß
Les Quinze autorisent Jean Lorentz à exploiter le débit de boissons au Bateau d’Or sous l’enseigne de la Carpe bleue jusqu’à ce qu’un nouveau tenancier reprenne l’enseigne
1723, Protocole des Quinze (2 R 128)
(f° 277) Sambstag d. 21. Aug. 1723. – Johann Lorentz pt° Weinschancks
Moss. nôe Johann Lorentz des burgers undt Würths bitt umb den weinschanckh in dem Würths hauß Zum Guldenen Schiff am Fischerstad. undt umb gnädige Erlaubnus den Schild zum blauwen Karpen einzuhencken, biß ein anderer den weinschanck allda erbetten wird. Erkandt, Ober Ungelt herren
(f° 292) Sambstag d. Sept. 1723. – Johann Lorentz pt° Weinschancks
Ober Ungelt hrn laßen durch Hrn Secret. Kleinclaus referiren, daß Johann Lorentz der burger undt Würth umb den weinschanck Zum Guldenen Schiff am Fischer-Staaden, undt umb g. erlaubnus den Schild Zum blauwen Karpen einzuhencken, biß ein anderer den weinschanck allda erbetten werde, und.thg. angesucht, Welche Zweÿ petita er beÿ der Conferenz wiederhohlet, und weil der Implorant ein alter Verburgerter würth, auch in dießen beeden häußern schon lang wein außgeschenckt word. alß Vermeine man daß demselben in beeden puncten Zu willfahren sein werde. Erk. in beeden puncten willfahrt.
Originaire de Strasbourg, Marie Françoise Sollinger devient bourgeoise par son mari Jean Jacques Diemer
1708, 4° Livre de bourgeoisie p. 769
Maria Francisca Solingerin V. hier, empfangt d. burgerrecht v. ihrem Mann Joh: Jacob Diemer dem Würth p. 2. gold fl. 16 ß W. beÿ den Freÿburgern dienen. Prom. 16. Dito [Februarÿ 1708.]
Fils du charron Jacques Lorentz, l’aubergiste Jean Lorentz épouse en 1720 Marie Françoise Sollinger, veuve de l’aubergiste Jean Jacques Diemar : contrat de mariage, célébration
1720 (10.7.), Not. Hoffmann (Christophe Michel, 19 Not 6) n° 280
Eheberedung Zwischen dem Ehren und Wohlvorgeachten H. Johann Lorentzen ledigen Gastgebern und burgern alhier alß brauthigam ane einem
So dann der Viel Ehren: und Tugendreichen Frauen Mariæ Franciscæ gebohrner Sollingerin, weÿl. des Wohl Ehrengeachten Hn Johann Jacob Diemars gewesten Gastgebers zum blauen Karppen und burgers alhier nunmehr seel. nachgelaßener wittib als hochzeiterin andern theÿls
so beschehen Straßburg den 10. Julÿ Anno 1720. [unterzeichnet] Johannes Lorentz als Hochzeiter, maria frantzisca Sollinger als hoch zieterin
Mariage, Saint-Pierre-le-Vieux (luth. f° 85-v)
1720. domin: IX et X Trin: sindt proclamirt vndt Mittwochs den 7. Augusti copulirt worden H Johann Lorentz der ledige wirth vndt burger alhier, Jacob Lorentzen geweßenen burgers vndt Wagners alhier nachgel. ehel. Sohn vndt fraw Maria Francisca geborne Sollingerin H Johann Jacob Diemers geweßenen burgers vndt Carpenwirths alhier nachgelaßene wittwe. [unterzeichnet] Johannes Lorentz als hochzeitern, maria frantzisca lorentzin als hohzeiterin (i 88)
Les nouveaux mariés font dresser l’inventaire de leurs apports dans la maison dont l’épouse a l’usufruit à l’angle du quai des Pêcheurs et de la ruelle de la Carpe (Stummengäßel). Les apports du mari s’élèvent à 389 livres, ceux de la femme à 1373 livres.
1720 (14.8.), Not. Hoffmann (Christophe Michel, 19 Not 10) n° 419
Inventarium über Herrn Johannis Lorentzen, des Gastgebers zum blauen Carpen, und Frauen Mariæ Franciscæ gebohrner Sollingerin beeder Eheleuthe und bürgere alhier zu Straßburg einander für unverändert in die Ehe zusammengebrachte Nahrungen auffgerichtet Anno 1720. – durch ihnen und ihren Erben als ein freÿ reservirt unverändert und vorbehalten Guth mithin die Ergäntzung Ins künfftigen abgangs denenselben expresse reservirt, conditionirt und bedungen (…) So beschehen in fernerm beÿseÿn auff seiner der Ehefrauen S.T. Hn Johann Christoph Rosenzweig E.E. Vogtheÿ Gerichts wohlbestellten Actuarÿ Straßburg den 14. Augusti Anni 1720.
In der ane Fischerstaaden gelegenen von der Ehefraun wÿdembsweis besitzenden und deßwegen hernacher fol: (-) beschriebenen Gastherberg Zum blauen Karpen volgendermaßen befunden
hausrath. Schrein: und Höltzenwerck. Cam. A, Camer B, Soldat. Camer, Oberstub, Stubkammer, Im obern haußöhren, Cammer an der Kuchen, Gaststub, im Kl. Keller
Sa. haußraths M 37, F 451, Sa. Frucht 50, Sa. Faß u. Wein 161, F. 242, Sa. Silbers M 12, F 23, Sa. Goldener ring M 3, F 28, Sa. Baarschafft M 6, F 350, Sa. pfenningzinß hauptgüter M 131, F 450, Sa. Activ Schulden M 31, F 94, Summa summarum M 389, F 1373 – Haussteuren 56 lb, Jedem Ehegatt die helffte nemblichen 28 lb
(f° 18-v) Eÿgenthumb ane einer behaußung. Ein gewißer Antheil für ungetheilt Von vnd ane hauß, höfflein, hoffstatt, hinterhauß mit allen begriffen auff dem alten weinmarck gegen der blindengaß (…)
(f° 19) Gültguth so der Frau lebtägig geneüßt, das Eÿgenthumb aber dero Kindern erster Ehe prælegats weis zustendig
(f° 21) Häußer, so die Ehefrau lebtägig im Genuß daß Eigenthum aber denen dreÿen diemarischen Kinder Zuständig. auff dem alten weinmarck gegen der blindengaß (…)
Hauß hoff hoffstatt u. höfflein am unteren fischerstaden nahe dem fischer tor 1.s. ist ein Eckh am Stummengäßel (…)
Wÿdumbs Verfangenschaft
Jean Lorentz et Marie Françoise Sollinger, assistée de son frère Michel Sollinger et de son beau-frère Jean Hirschenbauer, hypothèquent la maison au profit du brasseur Jean Charles Rœderer
1727 (25.2.), Chambre des Contrats, vol. 601 f° 155-v
Johannes Lorentz gastgeber zum guldenen Schiff und Maria Francisca geb. Sohlingerin mit beÿstand ihres bruders Michael Sohlinger Informatoris privati und ihres schwagers Johannes hirschenbaur Schuemachers
Inventir schreiber H. Johann Carl Röderer Biersieders – schuldig seÿen 250 pfund
unterpfand, ein im Ittenheimer bann liegender 18. theils Feldt theils Reebacker haltendes (…) gültguth
Ferner die zum guldenen Schiff genanne gastherberg bestehend in Vorder: und hinderhauß hoff und hoffstatt cum omnibus appertinentÿs ahm Fischerstaden ohnfen dem Fischer: thor einseit neben H. Johann Heinrich Langenbach dem Rothgerber anderseit neben Heinrich Brucker dem grempen hinten auff die überzwerch gaß beÿ der Neuen gaß und einen ausgang in dieselbe habend, gelegen, davon gibt mann jährlich wegen einer staffel 1 ß ane allmend zinß hiesiger Stadt Pfenning Thurn
Jean Lorentz et Marie Françoise Sollinger se lèguent mutuellement leurs biens. La femme lègue à son mari l’usufruit de l’auberge à la Carpe bleue.
1727 (15.12.), Not. Marbach (Ph. Jacques, 33 Not 44)
Codicillus Reciprocus – der Ehren und Großachtbahre Herr Johannes Lorentz, Würth undt Gastgeber Zum guldenen Schiff ahne dem Fischerstaaden gelegen, und die viel Ehr und Tugendsahme Frau Maria Francisca Lorentzin gebohrene Sollingerin, beede Eheleuthe und Burgere allhier zu Straßburg
mich Notarium Zu Ihnen in bemeldtes würth undt Gasthauß Zum guldenen Schiff requiriren und fordern Laßen, welche ich dann, auff geschehenes erscheinen daßelbsten in der Oberen vorderen Gast Stuben mit denen Fenstern auff die Gaß außsehendt undt Zwar beede von der Gnade des grundgütigen Gottes gesund, gehendt und stehenden Leibes
Fünfftens, Ist Ihro der fr. Codicillantin wohlbedachter ernster will Meÿnung und expresser befehl daß, weilen Ihr geliebter Ehemann inn dem würths hauß Zum blauen Karpen ahne dem fischer staaden allhier gelegen woran dieselbe von weÿl. herrn Joh: Jacob Diemer obgemeldt Ihrem erstern Ehemanns seel Krafft Codicilli wÿdumbß weiß (…)
Monntags den 15. deß monats Decembris Anno Domini Salvatoris Nostri 1727.
Jean Lorentz acquitte au Corps des Pensions le capital d’une rente établie en 1572 au profit du Béguinage à la Tour
1734 (11.1.), Chambre des Contrats, vol. 608 f° 6
der Sammlung zum Thurn modo des Corporis Pensionum Schaffner H. Philipp Jacob Oesinger von dasigen H. Pflegern bevollmächtigt
Johann Lorentz des gastgebers zum guldenen Schiff
daß diejenige 100 gulden so vermög eines Vorgenommen vor dem Richter des hoffs zu Straßburg am 4. Novembris 1572 auffgerichteten Zinnßkauffbrieffs auff der am Fischerstaden einseit neben Heinrich Bürckel dem grempen anderseit neben weÿl. Diebold Hügel des schiffmanns wittib hinten auf die überzwerch gaß stoßend gelegen, zum guldenen Schiff genannten ihme Lorentz zugehörigen gast behausung hafften mit 105 gulden völlig baar bezalt – wie auch beigefügtes Transfix vom 30. Octobris 1576 cassirt
Marie Françoise Sollinger meurt en 1736 en délaissant une fille de son premier mariage avec Jean Jacques Diemer. Les experts estiment à 1 750 livres la maison au quai des Pêcheurs. La masse propre à la veuve est de 371 livres, celle propre aux héritiers de 1 555 livres. L’actif de la communauté s’élève à 2 749 livres, le passif à 2 703 livres
1736 (17.10.), Not. Marbach (Ph. Jacques, 33 Not 12) n° 177 (*)
Inventarium über Weÿl. Fraun Mariæ Franciscæ Lorentzin geborener Sollingerin, H. Johann Lorentzen des würths undt Gastgebers Zum goldenen Schiff und burgers Zu Straßburg ehelichen Haußfrauen seel. Verl. Auffgerichtet Anno 1736. (…) nach ihrem Montags den 1. fortlauffend. Monats Octobris gegenwärtigen 1736.ten Jahrs genommenen tödlichen hientritt, hinder Ihro Zeitlichen verlaßen. Welche Verlaßenschafft auf geschehenes dienst freundliches Ansuchen, Erfordern und Begehren sowohlen obgedachten hinterbliebenen H. Wittibers, als auch der viel Ehren und tugendtreich. fr. Maria Dorothea Geroldtin gebohrener Diemerin, des Ehren achtbachen H. Johann Georg Geroldt, des Caminfegers und burgers hieselbsten, ehelichen Haußfrauen, der seelig verstorbenen in erster Ehe erzeugten Tochter und ab intestato verlaßener einzigen rechtsmäßiger Erbin (…) So beschehen und angefangen allhier in der Königlichen Stat Straßburg Mittwoch den 17.ten des Monats Octobris A° Dn 1736.
Copia der Eheberedung – Copia Codicilli reciproci
In der allhier Zu Straßburg ane dem fischer Staaden gelegene und hernach beschriebener Gastberberg Zum goldenen Schiff genannten behausung ist befunden worden wie volgt
Ane Höltzen und Schreinwerck, Auff der hintersten bühn, Auff der Nebens bühn, Im Sommerhauß, Auff dem Gang, Im hinterm Stübel, In Mittlern Stubel, Im Wohnstübel, In der Magd Cammer, Auff dem Kl. Gang, In der obern Gaststub, In der Cammer A, In der Cammer B, In der Cammer C, In der untern Gaststub, In der Speiß Cammer, In des officiers Stub, In der bauch Kuchen, In der Kuchen, In dem Würths hauß zum Carppen
Liegende güther Osthoffen bann
Eÿgenthumb ane einer behaußung. (T.) Eine Behaußung die gastherberg Zum goldenen Schiff genannt, mit allen deren begriffen, weithen, zugehörden, rechten und gerechtigkeiten allhier Zu Straßb. ane dem Fischerstaaden 1.s neben Heinrich bürck dem grempen, 2.s neben weÿl. diebold hügels deß gewesenen Schiffmanns allhier seel. wittib und Erben hinten auff die überzwerch Neugaß beÿ der neuen reuter Cazern stoßend gelegen, so über 1. ß bodenzinß Jährlich dem allhießigen Pfenningthurn Zulieffern und hernacher eingetragene passiv Capitalien freÿ leedig, eigen, und durch (die Werckmeistere) zufolg der oben allegirten Abschatzung vom 13. oct. 1736 taxirt und angeschlagen vor 1748. lb Darüber besagt ein teutscher perg. Gant kaufbrieff in E. E. Kl. Rath gefertigt und deßen anhangenden größern Insigel verwahret datirt den (-) aug. 1723, dermahlen mit Lit. A. marquirt. Weiter ein perg. teutscher Kaufbrieff in allg. C.C. Stb. gefertigt de dato 4. Xb. A° 1704 mit dero anhangenden Insigel verwahrt mit altem Lit. A* notirt und dießmahlen wieder dabeÿ gelaßen
(E.) Nemlichen der dritte theil vor ohnvertheilt von und ane einer behaußung, die gastherberg zum Kessel genannt (…)
Ergäntzung des Wittibers abgegangenen ohnveränderten Guths, Inhalts Inventarÿ über beeder (Eheleuthe) Zugebrachte Nahrung durch hrn Notarium Christoph Michael Hoffmann in A° 1720 auffgerichtet
Eigenthum ane einer behaußung so die verstorbene seel. lebtägig in wÿdemb Zu genießen. Nemblichen Zween dritte theil Vor ohnvertheilt von und ane einer behaußung, die gastherberg Zum Cärpel genannt (…)
Norma hujus inventarÿ. Des Wittibers ohnveränderten Vermögens, Sa. Silbers 1, Sa. Schulden 25, Ergäntzung 344, Summa summarum 371 lb
Dießemnach wird auch der Frau der Erbin anerstorben ohnverändert guth beschrieben, Sa. hausraths 75, Sa. Lähren Vaß 2, Sa. Silbers 5, Sa. goldener Ring 4, Sa. Gülthen von liegenden güthern 25, Sa. Eigenthums ane liegenden Reebgüther (in Handschuhheim) 16, Sa. Eigenthums ane einer behaußung 200, Sa. Schulden 543, Ergäntzung 733, Summa summarum 1605 lb – Schulden 50, Nach deren Abzug 1555 lb
Endlichen Volgt auch das gemein verändert und theilbahr Guth, Sa. hausraths 191, Sa. der Wein und Vaß 229, Sa. Silbers 100, Sa. gold. Rings 1, Sa. baarschafft 320, Sa. brennholtzs 15, Sa. behaußung 1748, Sa. Schulden 143, Summa summarum 2749 lb – Schulden 2703, Nach deren abzug 46 lb – Stall summ 1846 lb
Zweiffelhaffte und verlohrene Schulden in die theilbare Verlaßenschafft Zugeltend 194 lb
Copia der Eheberedung (…) Straßburg den 10. Julii 1720, Christoph Michael Hoffmann Not.
– Abschatzung Vom 13. oct. 1736, Auff begehren deß wohll achtbahren und bescheiteten Herrn Johann Lorentz deß wierthß und gast gebers zum Gulten schiff, ist eine behausung alhier in der Statt Straßburg, unden am fischer Statten gelegen, ein seits Neben Meister Diebolt Higellß wittib, geweßenen schiffmann, anderseits Neben Heinrich Birck dem grëmpen hinden auff ïber Zwërg Neüe gaß Stoßent, welche behaußung, unden auff dem botten die Gaststuben haus Ehren und Nebenß Cammer, oben dar über ein große Gast stuben, haus Ehren und gang rëchter handt daß seiten gebau worinn treÿ Stubell hind. daran großer hauß Ehren, oben under dem tach treÿ Cammern, der dach stull mit einem halben dach, hinder gebäu worinnen der tantz blatz, unden dar under die ein fahrdt der hoff bronnen Kuchen officier Stubell und Cammer vor dem Knecht Küchell ein Loschirungß stall und getrëmbter keller sambt aller gerechtig Keidt, wie solches durch der Statt Straßburg geschworene werckleuthe sich in der besichtigung befundten und Jetzigen Preÿß nach an geschlagen wierdt Vor und Umb Dreÿ Tausent und Vunff hundert Gulten
Der 2:t: begrieff ist auch allhier in der Statt Straßburg am undern fischer Statten gelegen daß wiertzhauß zum Kärpell genandt ein seits Neben Lienhard rehbärger dem wolffenwierdth ander seits ist ein Eck an daß Stein gäßlein hinden auff Johannes Diemer Stoßent, welche behaußung unden eine Stube hinden daran die Kuchen, oben dar über ein Stuben Cammer hauß Ehren mit einem herrdt und waßerstein, Lincker handt under dem dach ein Klein Stübell und hauß Ehrell oben under dem tach treÿ Cammeren eine da von die Soldaten Cammer Hoff und getrembter Keller ein Klein schöpffell worinnen ein Klein Kellerlein sambt aller gerechtig Keidt, vor und umb 1300 Gulden, [unterzeichnet] Michael Ehrlacher Werck Meister deß Münsters, Johann Jacob Biermeÿer. Werckmeister deß Zimmerhofs, Johann Peter Pflug werck Meister deß Mauerhoffs
Abhandlung, zum Blauen Cärpel (…)
Extractus aus H. Johannes Lorentzen Gastg. zum goldenen Schiff und fr. Maria Francisca geb. Sollingerin beeden eheleuthe unterm 15. dec. 1727 auffgerichteten Disp. Cod. Recipr. – Copia Codicillj
Les préposés de la Taille font figurer la succession dans leur registre parce que les impôts acquittés étaient calculés d’après une fortune sous-évaluée de 1 000 florins (500 livres) sur un total de 3 600 florins
1736, Livres de la Taille (VII 1178) f° 190
Freÿburger F. N. 7284. – Weÿl. Fr. Mariæ Franciscæ gebohrner Sollingerin H. Johannes Lorentz Gastgebers Zum Goldenen Schiff und burgers alhier Ehel. Haußfrauen Verlaßenschafft inventirt H. Not. Philipp Jacob Marbach.
Concl. Fin. Inv. ist Fol. 227. 1846 lb 18 ß 2 d, die machen 3600 fl. Verstallte nur 2600. fl. Zu wenig 1000 fl.
Weilen aber pro 1733. 1500 fl. abgeschrieben so biß dahien Verstallet worden, alß wird der Nachtrag allein gerechnet auff Vier Jahr in duplo à 3. lb, 12. lb
Und auf Vier Jahr in simplo à 1 lb 10 ß, 6 lb
Extat kein Stallgeltt
Gebott 2 ß
Abhandlung 2 lb 7 ß 6 d – Summa 28 lb 9 ß 6 d
Nachgelaßen 6 lb, restirt 14 lb 9 ß 6 d
dt. 12. Decembr. 1736
Jean Lorentz se remarie en 1737 avec Anne Marie Schlegel, fille du tonnelier Bernard Schlegel : contrat de mariage, célébration
1737 (4.4.), Not. Marbach (Ph. Jacques, 33 Not 40)
Eheberedung So zwischen dem Ehrenvesten Hn Johann Lorentzen würt undt Gastgebern Zum goldenen Schiff Wittibern und burgern Zu Straßburg alß Hochzeitern alhier Einem
So dann der Tugendreichen Jungfr. Anna Maria Schlögelin H. Bernhardt Schlögels Küblers und burgers allhier undt fr. Anna Maria Schlögelin gebohrener Steinbachin ehelichen erzeugten Tochter, mit beÿstandt deßelben
So beschehen allhier in der Königlichen freÿen Statt Straßburg Donnerstags den 4. des Monats Aprilis A° Dni 1737 [unterzeichnet] Johannes Lorentz alß hochzeiter, Anna Maria Schlegelin alls Hochzeiterin
Mariage, Saint-Thomas (luth. f° 15-v n° 74)
1737. Mittwoch d. 8. Maÿ. sind nach Zweymahliger ordentlichen außruffung so Zu St. Thomæ vnd St. Wilhelm geschehen in der Kirch St. Thomæ ehelich copulirt Worden, H Johannes Lorentz der Gastgeber Vnd burger allhier vnd Jungfr. Anna Maria H. Bernhard Schlegel des Küblers und burgers allhier eheliche tochter [unterzeichnet] Johannes Lorentz alß hochzeiterin, Anna Maria Schlegelin als hochzeitrin (i 17, proclamation, Saint-Guillaume f° 79-v n° 8)
Les nouveaux mariés font dresser l’inventaire de leurs apports dans la maison acquise par le mari pendant la première communauté. Ceux du mari s’élèvent à 2 228 livres, ceux de la femme à 930 livres.
1737 (3.6.), Not. Marbach (Ph. Jacques, 33 Not 27) n° 375
Inventarium über H. Johannes Lorentzen Würths und Gastgebers zum Goldenen Schiff undt Frauen Anna Maria geb. Schlegelin, beeder Eheleuten burgere allhier Zu Straßburg vor ohnverändert im Ehestand Zugebrachte Nahrungen, Auffgerichtet in Anno 1737 – in Ihrem unterm 8. des Monats Maÿ fortlauffenden 1737.ten Jahrs in Gottes des Allerhöchsten Nahmen angetrettenen Ehestandt einander Zugebracht und in ihrem vor unterzeichneten Notario den 4.ten Apr. Jüngst auffgerichteten Ehe Pactis §° 4.to Vor ohnverändert Sich i außtrucklichen Reservirt und vorbehanten Haben (…) zwar die Ehefrau beÿständlich Herrn Bernhard Schlegels, Küblers und burgers allhier Zu Straßburg, deroselben eheleiblichen Vatters
So beschehen vndt Angefangen allhier in der Königlichen freÿen Statt Straßburg, Montags den 3. des Monats Junii Anno 1737.
In einer allhier Zu Straßburg ane dem Fischer Staaden gelegene dem Eheherrn theil zuständigen behausung
Ane Höltzen und Schreinwerck, In der Kuchen, In deß Officiers Stub, In der Bauchküchen, Auff dem untern dantz Platz, In der untern Gaststuben, In der obern Gaststuben, Oben In der Cammer A, In der Cammer B, In der Cammer C, In der Cammer D, In deß Officiers Knechts Cammer, In der Wohnstuben, In dem Mittlern Stubel, In dem hintern Stübel, Auff dem Gang
Eÿgenthümliche Antheile ahne einer Würths: Behaußung so deß Ehemanns ohnverändert. (M.) Nemblichen Zween dritte theile für ohnvertheilt von vndt ahne einer Behaußung, das Würths: und Gast: Hauß zum goldenen Schiff genandt mit allen deren Gebäuden, begriffen, Weithen, Zugehörden, Rechten und Gerechtigkeiten, welche allhier Zu Straßburg ahne dem Fischer Staadenn Ein seith neben Heinrich Bürckh dem Gremppen, ander Seith neben weÿl. Joh: Theobald Hügels deß gewesenen Schiffmanns vnd auch burgers Zu Straßb seel. Nachgelaßener Wittib Vnd Erben gelegen, hinten auff die überzwerche Neugaß beÿ der neu Erbauten koeniglichen Cazernen stoßendt, Welche völlige Behausung außer 1 ß Boden Zinß so man Jährlichen dem allhiesigen Pfenningthurn davon Zu entrichten Schuldig ist, Vndt hernacher Eingetragenen Passiv Capit. gegen Männiglichen Freÿ Ledig vndt Eÿgen, Vor Welche 2/3.te dem Ehemann v. solcher würths behauß. zuständige antheile vor 2250 lb. d. alß nemblich wie solche völlige behaußung in den weg. fr: Maria Dor: Geroldin geb. Diemerin, H. Joh: Georg Geroldten des Caminf: v: bury. allhier Ehefr. alß sein des Ehemanns Stiefftochter Zu Erfordern habendte Mütterlichen Guth unterm 14. Februarÿ A° 1737: Errichteten Summarischen Calculi ratione Legit: Jedoch auch mit Vorbehalt Ihr der vorgedachten Stieffdt. darahn Zu prætendiren habendten Eÿgenthumbs gebracht worden, allhier vndt Zwar auch in alle weege ohnpræjudicirlichen in Außwurff gebracht wordten 1500. lb. Die übrige Tertz solcher Würths: und Gast: behausung aber hat Maria Dorothea Geroldin geb. Diemerin wegen mütterlicher Erbschafft eÿgenthümlich zu prætendiren, Weilen aber der Ehem. nach Anleitung vorher angeregten Summarischen Calculi (…) Über die Vorbeschriebene Völlige Würths: undt Gast: behausung Zum goldenen Schiff aber Meldet ein teutscher Pergam. von E. E. Kl. Rath gefert: Ganthkauffbr: so mit deßen Anhangenden Insig. verw. vndt datiret d. 4. August. 1723, auch mit altem Litera A bezeichnet. Wie auch Perg. teutsch Kauffbr. in der Statt Straßb. C.C. Stb. gefertiget so datiret d. 4. dec. A° 1704 vndt mit der anhangendem Ins. becräfftiget Vnd auch mit altem Lit. A notirt, Hiehero Zum bericht.
Wÿdumb welchen Hr. Johannes Lorentz der dießorts Ehemann Eingangs gedacht wegen Frauen Mariæ Franciscæ Lorentzin gebohrner Sollingerin derßelben Erstern Ehefrau seel. nach Anleitung (…) vor Unterschriebenem Notario sub dato 15. Dec. 1727 auffgerichteter Codicillarischer Disposition, auff Maria Dorothea Geroldin geb. Diemerin hern Johann Georg Gerold des Caminfegers alß ermelter Fr. Mariæ Franciscæ Lorentzin geb. Sollingerin derselben in Erster ehe mit auch weÿl. H. Johann Jacob Diemer Tochter, Alß Antheile ahne einer Würths: behaußung, Nemlichen [ut supra] 750 pf. so deß Ehemanns ohnverändert
Norma hujus inventarii. Deß Ehemanns in den Ehestand gebrachtes Guth, Sa. Hausraths 693, Sa. Weins und faßen 524, Sa. brennholtz 22, Sa. Silbers 26, Sa. Goldene ringe 13, Sa. baarschafft 117, Sa. Eigenth. Antheiler ahne einer Würth vnd Gast behaußung 1500, Sa. Schulden 247, Summa summarum 3885 lb – Schulden 1157, verbleiben 2228 lb
Dießemnach wirdt auch der Ehefr. Für ohnv. in d. Ehest. gebrachtes Vermögen inventirt undt beschrieben, Sa. Hausraths 459, Sa. Silbers 102, Sa. gold. Ringe 80, Sa. Baarschafft 293, Summa summarum 930 lb – Wÿdumb 388 lb
La tribu des Boulangers inflige une amende à Jean Lorentz pour avoir vendu du pain hors de l’auberge.
1750, Protocole de la tribu des Boulangers (XI 11)
(f° 6) Donnerstags den 5.ten Martÿ 1750 – Straff
Hr. Johannes Lorentz der würth Zum goldenen Schiff dahier ist angeklagt, daß Er brodt wider articul über die gaß Verkaufft, ipse præsens sagt wiße nichts davon, Er Könne weder ja noch nein darzusagen, auch seÿe das brodt so ihme wider nacher Hauß geschickt worden, nicht von seinem brodt geweßt, auff der Rüeger außsag ist Erkandt soll beklagter Nebst 5 ß unkösten auch in 2 lb 10 ß d straff Condemnirt seÿn, ipse bittet umb gnädige Moderirung der Straff. Erkandt soll die Straff ad 1 lb 10 ß moderirt seÿn.
Jean Lorentz meurt en 1754 en délaissant quatre enfants de la veuve. Les experts estiment la maison à 1 250 livres. La masse propre à la veuve est de 856 livres, celle des héritiers de 994 livres. L’actif de la communauté s’élève à 382 livres et le passif à 2 024 livres.
1755 (17.3.), Not. Marbach (Ph. Jacques, 33 Not 28) n° 393
Inventarium über Weÿland deß Wohl Ehren und Vorgeachten Herrn Johannes Lorentzen, deß geweßenen Würths und Gastgebers zum Goldenen Schiff vnd burgers Zu Straßburg seeligen Verlaßenschafft auffgerichtet Anno 1755. (…) nach seinem am Sonntag den 20.ten des Monats Octobris in hiengelegtem 1754.ten Jahre genommenen tödlichen hintritt, hinter Ihme Zeitl. verlaßen, Welche Verlaßenschafft auff des so wohlen von der hernachbenannten hinterbliebenen Frau Wittib als auch des Verstorbenen seel. mit Ihro der Frau Wittib ehelich erzeugter Kinder geordnet und geschworenen Vogten (…) durch die Viel Ehr: und tugendreiche Frau Annam Mariam Lorentzin gebohrener Schlögelin beÿständl. des wohl Ehren Vesten und Großachtbahren H. Bernhard Schlögel des ältern Küblers und burgers allhier ihres geliebten Vatters
So geschehen und angefangen allhier Zu Straßburg Montags den 17.ten Martÿ in Anno 1755.
Denominatio Hæredum, der Verstorbene Herr Johannes Lorentz seel. eingangs gedacht hat ab intestato Zu seinen rechtsmäßigen Erben Verlaßen mit Nahmen und 1.mo den Ehrsamen Johannes Lorentz den Haußknecht, welcher das 17.de Jahr seines alters Zurückgelegt und hierbeÿ persöhn. Zugegen gewesen, 2. Johann Daniel, so die 5.te Class frequentirt und in das 14.de Jahr seines alters gehet, 3.tio Carl Friedrich, welcher in Circa 11 Jahr seines Alters hat und in die 2.te Class gehet und dann 4.to Maria Magdalena, welche in das 6.te Jahr eines Alters gehet, Mithin samtl. vier des abgeleibten H. seel. mit der nachgelaßenen Frau Wittib ehelich erzeugte und nach Tod ab intestato verlaßene rechtmäsige Kinder und Erben, jeedes dererselben Zur quart berührend. In welcher gesamten der Zeit annoch minorennen Kinder und Erben Nahmen der Ehrengeachte H. Johann Daniel Schmid, der Wagner und burger allhier Zu Straßburg, als dererselben (…) Curatorÿ geordnet und geschwohrener Vogt, solcher Inventur in Persohn beÿgewohnet und seiner Curanden Interesse observiret
In einer allhier Zu Straßburg ane dem Fischer Staden gelegenen in der Erben ohnveränderte Nahrung Zum theil und Zum theil auch in des Verstorbenen seel. lebtägig genoßenen Wÿdum gehörigen, dahero hernach beschriebener Zum goldenen Schiff genannten Würths und Gast behaußung befunden hat, wie folgt
Ane Holtzern und Schreinwerck, Oben In der Camer lit. A, In der Camer lit. B, Ins Hausknechts Camer, Auff dem vordern gang, In der vordern obern Stuben, In der officiers Knecht Cammer, In der Magd Cammer, In der Frau Wittib Schlaffzimmer, Im mittlern Stübel, Im Vorzimmer neben dem mittlern Stübel, Auff dem hintern Gang, Im tantzplatz, Auff der hintern obern bühn, In der Gast stub, Im Officiers Zimmer, In der Schwartz getüch Cammer, In der bauch Küchen, In der Küchen, In der Magd Cammer, Im mittlern Stübel, Im Keller, Auff der oben bühn
(f° 21) Eigenthümliche Antheile ane einer Würths behausung. (E.) Nembl. 2/3. theil vor ohnvertheilt von und ane einer behaußung das Würths und Gasthauß zum goldenen Schiff genannt, mit allen deren Gebäuden, Begriffen, Weithen, Rechten, Zugehörden und Gerechtigkeiten, so gelegen allhier Zu Straßburg ane dem Fischer Staden einseith neben Daniel Marggraff der Schiffzimmermann v. burg. allhier eigenthümlich zuständigen Behaußung, anderseith neben weÿl. Johann Theobald Hügels des gewesenen Schifmanns und burgers allhier seel. nachgelaßene Wittib und Erben hinten auff die Überzwerge Neugaß beÿ denen neuerbauten Koenigl. Cazernen stoßend, davon gibt man und zwar von der gantzen behaußung löbl. Statt Pfenningthurn Jährl. auff Annunc. Mariæ 1 ß bodenzinß, sonsten freÿ ledig eigen und ist die völlige behaußung durch (die Werckmeistere) laut eines beÿ mein Notarÿ Concepto befindl. den 19. Februarÿ 1755 datirten abschatzung Zeduls dem jetzigen Werth nach æstimirt und angeschlagen worden pro 2500 gulden oder 1250 lb. d. Hievon ist abzuziehen obige 1 ß d. bodenzinß, so zu doppeltem Capital gerechnet antrifft 2 lb d. Nach solchem Abgang verbleibt ane dem Anschlag der gantzen behaußung annoch per Rest benant. 1248 lb. d. Hieran seind denen dießortigen Erben 2/3 theil vor ohnvertheilt eigenth. Zuständig derhalben hier in Außwurff zu bringen mit 832. Der übrige eine dritte Theil ane mehrged. Würths und Gast behaußung aber ist Fraun Mariæ Dorotheæ Geroldin gebohrener Diemerin H. Joh: Georg Gerold, des Caminfegers Ehefrauen des Defuncti Stiefftochter vor Mütterlichen guth eigenthümlich gehörig, wie hieunten beÿ dem Eintrag deß verstorbenen seel. Lebtäg. genossenen Wÿdumb mit mehrerm abzunehmen. Hierüber und Zwar und die gantze Würths und Gastbehausung ist vorhanden / ein teutscher Pergam. von E. E. Kl. Rath gefert: Ganthkauffbr: so mit deßen Anhangeden Insig. verw. vndt datiret d. 4. August. 1723, auch mit altem Litera A bezeichnet. Wie auch Perg. teutsch Kauffbr. in der Statt Straßb. C.C. Stb. gefertiget so datiret d. 4. dec. A° 1704 vndt mit der anhangendem Ins. becräfftiget Vnd auch mit altem Lit. A notirt
(f° 24 v) Ergäntzung der Frau Wittib wehrender Ehe abgegangenen ohnveränderten Guths. Vermög Inventarii über beeder gewesener Eheleute einander für ohnverändert in den Ehestand Zugebrachte Nahrungen durch mich unterschriebenen Notarium in A° 1737 aufgerichtet
(f° 42) Series rubricarum hujus Inventarÿ. Der Frau Wittib ohnverändertes Vermögen, Sa. hausraths 29, Sa. Silbers und Geschmeids 22, Sa. gold. Ringe und dergl. Geschmeids 26, Sa. Schulden 150, Ergäntzung 627, Summa summarum 856 lb
Dießemnach wird nun auch der Erben ohnveränderten Nahrung beschrieben, Sa. Hausraths 124, Sa. Lähren Faß 2, Sa. Silbers und Geschmeids 46, Sa. gold. rings 1, Sa. eigenth. Antheile ane einer Würths und Gastbeh. 832, Sa. Schulden 2, Ergäntzung (1300, Abgang 1165, Rest) 134, Summa summarum 1144 lb – Schulden 150, Nach deren Abzug 994 lb
Endlichen wird nun auch das gemein verändert und theilbar Guth beschreben, Sa. Hausraths 179, Sa. Schmucken 1, Sa. Schwein 3, Sa. Wein und lähren faß 109, Sa. Silbergeschirr und Geschmeids 51, Sa. baarschafft 8, Sa. Schulden 28, Summa summarum 382 lb – Schulden 2024 lb, Compensando 1642 lb – Stall summ 1382 lb
Wÿdumb, so der Verstorbene hr. auß weÿl. Fr. Mariæ Franciscæ Lorentzin gebohrener Sollingerin deßen Ersteren Ehefr. längst seel. Lebtägig Genoßen, warvon das Eÿgenth. der hernacher benandten Frau Geroldtin gebohrene Diemerin, die dießorth Stieff: Tochter nach des Verstorbenen seel. Erfolgten tödltchem hintritt anheim gefallen, welches bestehet wie Volget. Erstlichen Ahne einem Antheil einer einer Würths: undt Gast: behaußung. Benandlichen ?.ter theil vor ohnvertheilt, von und ane der zum goldenen Schiff genandten Würths undt Gastbehaußung, sambt allen deroselben Gebäuden, begriffen, Weithen, Zugehörden, Rechten und Gerechtigkeiten /:wavon dem Abgeleibten die übrige 2/3.te theil für ohnverändert Zuständig waren dahero solche denen KK. v. Erben dermahlen wie hieroben fol. (-) et Seq. Ersichtlich hiemit wiederumb als ohnverändert Zugeschrieben worden seind so gelegen allhier Zu Straßburg ane dem Fischer Staaden einseit neben Daniel Marggraff Schiffzimmermann v. b. Zu Straßb. eigenthümlich gehörig behaußung anderseit neben weÿl. H. Joh: Theobaldt Hügels des gewesenen Schifmanns vndt burgers allhier seel. Nachgelaßener Wb. vnd erben hinten auff die Überzwerche Neue gaß beÿ der Neu Erbauten Koenigl. Cazernen stoßend Welche völlige Würths undt Gastbehaußung (…) davon ist in der von dem Abgeleibten Hn seel. Lebtägig genoßenen Wÿdum ?.ter theil eÿgenthümblich gehörig derowegen hievon dißorths in Außwurff Zu bringen 416. lb
Copia der heuraths Verschreibung (…) den 4. Aprilis 1737, Philipp Jacob Marbach Not.
Marie Dorothée Diemer, femme du ramoneur Jean Georges Gerold, fille et héritière de Marie Françoise Sollinger, vend le tiers de la maison à l’aubergiste Jean Frédéric Dannenreuther
1763 (3.11.), Chambre des Contrats, vol. 637 f° 553-v
Fr. Maria Dorothea gebohrene Diemerin weÿl. H. Johann Georg Gerold des caminfegers wittib beÿständlich H. Not. Frantz Heinrich Dautel
in gegensein H. Johann Friedrich Dannenreuther des gastgebers
den 3.t theil vor unvertheilt ane einer behausung zum goldenen Schiff genandt bestehend in vorder, hinter und nebens gebäu, hoff und hoffstatt mit allen gebäu, begriffen, zugehörden, rechten und gerechtigkeiten ane dem untern Fischerstaden, einseit neben Heinrich Birck dem krempen, anderseit neben weÿl. Theobald Hügel des schiffmanns wittib hinten auff die Neugaß und einen außgang dahin habend – von dieser gantzen behausung und einer staffel auf dem staden gibt man 1 ß ane bodenzinß – um 900 pfund
Jean Frédéric Dannenreuther revend sa part à l’aubergiste Jean Samuel Rapp et à sa femme Catherine Salomé Lauth
1765 (3.9.), Chambre des Contrats, vol. 639 f° 583-v
H. Johann Friedrich Dannenreuter der gastgeber
in gegensein Johann Samuel Rapp des gastgebers und Catharina Salome geb. Lauthin beÿständlich Jacob Daniel Fibich des caffesieders und H. Daniel Pfeffinger des metzgers
ein 3t theil vor unvertheilt ane einer behausung zum goldenen Schiff genannt mit allen deßen gebäu, begriffen, zugehörden, rechten und gerechtigkeiten ane dem untern Fischerstaden, einseit neben Heinrich Birck dem krempen, anderseit neben weÿl. Theobald Hügel des schiffmanns wittib hinten auff die Neugaß – von dieser gantzen behausung und einer staffel auf dem staden gibt man 1 ß ane bodenzinß – um 500 lb capitalien verhafftet, geschehen um 500 pfund
Jean Samuel Rapp et Catherine Salomé Lauth vendent le même tiers à Anne Marie Schlegel, veuve de Jean Lorentz
1767 (23.2.), Chambre des Contrats, vol. 641 /1 f° 106-v
H. Johann Samuel Rapp der gastgeber und Catharina Salome geb. Lauthin
in gegensein Fr. Annæ Mariæ geb. Schlegelin weÿl. Johann Lorentz des gastgebers wittib beÿständlich H. Johann Krieg des weinstichers
1/3 theil vor unvertheilt ane einer behausung, hoff und hoffstatt mit allen gebäu, begriffen, zugehörden, rechten und gerechtigkeiten ane dem Fischerstaden einseit neben Johann Stahl dem krempen, anderseit neben Barbara Hügelin geb. Helckin hinten auff die gaß – davon gibt man hiesiger Pfenning Thurn wegen einer staffel 1 ß ane Allmend zinß – 100 pfund und übernimmt 500 pfund
Anne Marie Lorentz née Schlegel hypothèque son tiers de maison au profit de Susanne Marie Würtz née Treuttel
1770 (10.5.), Chambre des Contrats, vol. 644 f° 244-v
Anna Maria Lorentzin geb. Schlegelin
in gegensein Fr. Susannæ Mariæ Würtzin geb. Treuttelin – schuldig seÿen 250 pfund
unterpfand, das dritte theil vor unvertheilt ane einer behausung cum appertinentis ane dem Fischerstaden, einseit neben Fr. Hügelin geb. Helckin, anderseit neben Johann Stahl dem Fastenspeishändler, hinten auff die Neuengaß
La veuve et les enfants de Jean Lorentz vendent la maison à l’aubergiste Jean Georges Braun et à sa femme Marie Barbe von Zabern pour 5 500 florins (2 750 livres)
1780 (28.11.), Chambre des Contrats, vol. 654 f° 438-v
Fr. Anna Maria Lorentzin geb. Schlägelin weÿl. H. Johannes Lorentz des gastgebers wittib unter assistentz H.M. Johann Daniel Lorentz des pfarrherren der evangelischen gemeinde zu Niederhausbergheim, ihres H. Sohns, welcher letztere zugleich vor sich selbst stipulirend, H. Joachim Friedrich Lorentz der sattler meister als geordneter vogt weÿl. Carl Friedrich Lorentz des gastgebers hinterbliebenen Sohns nahmens Carl Friedrich und weÿl. Fr. Maria Magdalena geb. Lorentzin H. Andreas Rasp des wagners Ehefrau 2 kinder, benantlichen Andreas und Johann Daniel
in gegensein H. Johann Georg Braun des gastgebers und Mariæ Barbaræ von Zabern unter assistentz H. Johann Gottfried von Zabern des pfarrherren der evangelischen gemeinde zu Ittenheim ihres eheleiblichen bruders und H. Johann Conrad Stüttge des kunstmahlers ihres schwagers
die unter ihnen unvertheilt gebliebene zum Goldschiff geschildete gastbehausung bestehend in vorder nebens und hinter gebäu, hoff, bronnen und hoffstatt nebst stallung mit allen deren übrigen begriffen, weithen, zugehörden, rechten und gerechtigkeiten ane der unteren Schiffleuthstaden nächst dem Fischerthor, einseit neben Mr Murr dem kieffer, anderseit neben Diebold Hügel dem schiffcapitaine, hinten auff die Cazernen – davon gibt man d. löbl: Stadt Pfenning Thurn ane staffelgeld 1 ß – der Fr. Lorentzin zur helffte, ihme pfarrer Lorentz zu 1/6, den Lorentzischen curando 1/6, den Raspischen curanden 1/6
unterpfand, das ihme zuständige antheil einer ane der Krautenau neben dem zum Schlüßel genannte behausung gelegen – um 500 fl. verhafftet, geschehen um 5000 gulden
Fils du boulanger Jean Jacques Braun, Jean Georges Braun épouse en 1768 Marie Barbe von Zabern : contrat de mariage, célébration
1768 (11.10.), Not. Fické (6 E 41, 774) n° 168
Eheberedung – erschienen der Ehren: und achtbare Herr Johann Georg Braun, der ledige Gastgeber, weil. H. Johann Jacob Braun, gewesener Schwartzbecken und burgers allhier mit auch weiland Fraun Susanna Barbara gebohrner Vogelin längst seel. ehelich erzeugter Sohn, eines,
und andern Theil die Viel Ehren: und tugendsame Jungfrau Maria Barbara von Zabern, weiland H. Johann Jacob von Zabern gewesenen Inventierkäuflers und burgers hieselbst mit Fraun Maria Barbara gebohrner Galsterin ehelich erzielt hinterlaßene Jungfer Tochter, großjährig und unbevögtigt, mit herrn Johann Adam Trötschern dem Metzger und burgern alhier Verbeÿstandet
Straßburg (…) auf Dienstag den 11. Octobris 1768 [unterzeichnet] Johann Georg Braun als Hochzeiter, maria barbara von zaberin Als hochzeiterin
Mariage, Saint-Guillaume (luth. f° 95-v n° 10)
Im Jahr 1769 den 26. Martii und 2. Aprilis auf das Heilige Oster: fest und den folgenden Sonntag Quasimodo geniti wurden in der Kirchen Zu St. Niclaus und St: Wilhelm nach Ordnung ausgerufen und Mittwoch den 5. Septembris Zu St: Wilhelm Zur Ehe eingesegnet Johann Georg Braun der ledige Gastgeber und Burger allhier weiland Johann Jacob Braun Gewesenen weißbecken und burgers allhier und Frauen Susanna Barbara geborner Vogelin hinterlaßener ehelicher Sohn, und Jungfrau Maria Barbara weiland Herrn Johann Jacob Von Zabern gewesenen geschwornen Käufler und burgers allhier mit Frauen Barbara geborner Galsterin ehelich erzeugte Tochter [unterzeichnet] Johann Georg Braun als hochzeiter, maria Barbara von Zaberin als hochzeiterin (i 101)
Jean Georges Braun devient tributaire chez les Fribourgeois après avoir produit son certificat de baptême d’après lequel il est majeur, son certificat d’apprentissage, des attestations de ses différents emplois, et un certificat de la Taille.
1769, Protocole de la tribu des Fribourgeois (XI 168)
(f° 363) Mittwoch den 1.ten mensis Martÿ 1769 – Neuzünfftiger
Johann Georg Braun der Ledige Würth von Straßburg gebürtig weÿland Johann Jacob Braunen deß gewesenen weißbecken undt burgers Zu Straßburg Nachgelaßener ehelicher Sohn erscheinet dato und bringt vor inn dem würths hauß Zur goldenen Andten die würtschafft Zu treiben gesonnen, bittet demnach Ihme alß einem, so die würtschafft allhier nach Ordnung Erlernt, auch sonsten all nöthige præstanda Zu præstiren, im Standt ist, das Zunfft undt Würth: Recht dießorths Zu conferiren, producirt Zu dem Endte i.mo seinen thauffschein, vnd beweißet dardurch daß er 31 Jahr alt, Mithin Majorennis seÿe, 2.do Pergamenten Lehrbrieff de dato Straßburg den 2. Aprilis 1759. vnd probiret damit daß Er die profession der würtschafft beÿ Herrn Johann David Winther, dem damahligen Gastgeber Zum goldenen Apffel allhie, solche profession Innerhalb 2. Jahren, Nämblichen Von Weÿhenachten 1752. nach Ordnung Erlernet, auch nach besag deß beÿ dießer Ehrs. Zunfft haltendten Gesindts Prothocolli beÿ Hn Koch dem hießigen Würth Zum goldenen Beeren Ein Jahr beÿ herrn Isaac Jundt dem weinsticher Stub: würth aber in circâ dreÿ Jahr alßo Zu sammen ahne solchen beeden orthen vier Jahre alß haußknecht serviret, So dann producirte derßelbe Statt Stall Schein de dato 27.t mensis Februarÿ hujus anni Undt Erholet also deßen gethanes petitum.
Hierauff ist Erkannt worden, daß demselben in Seinem begehren Zu willfahren, Mithin derselbe alß ein Leibzünfftiger Würth Anzunehmen undt Zwar gegen Erlag 6 lb 12 ß d und 6 ß Stubengeldt pro hôc Anno, im uberigen und wegen dem weinschanck aber wirdt derselbe ahne S. T. Unßre Gnädige Herren die XV. verwießen. Dedit et juravit eodem auff die Ordnung.
Les nouveaux mariés font dresser l’inventaire de leurs apports dans la maison au Canard d’or à l’entrée de la rue Sainte-Madeleine. Ceux du mari s’élèvent à 249 livres, ceux de la femme à 208 livres.
1769 (22.4.), Not. Fické (J. Charles, 6 E 41, 762) n° 400
Inventarium über Herrn Johann Georg Braun, des Gastgebers und fraun Mariæ Barbaræ gebohrener von Zabern, beeder Eheleuthe und Burgere allhier Zu Straßburg einander vor unverändert in die Ehe Zu: und eingebrachte Vermögenschaften auffgerichtet im Jahr 1769. (…) einander in ihrem am 5.ten Aprilis jüngst angetrettenen Ehestand vor unverändert Zu und eingebracht haben
So geschehen Strasburg, in fenerer Gegenwart S. T. Herrn Joh: Gottfried von Zabern, dermaliger Wohlmeritirten Feldpredigers beÿ dem hochlöbl. Regiment Elsaß der Ehefraun dermalen hier anwesenden Herrn Bruders und erbettenen beistandts auff Sambstag den 22.ten Aprilis 1769.
In einer alhier Zu Straßburg an der St. Magdalenæ Gaß gelegenen Zum goldenen Endel genanten Wirths Behausung hat sich befunden als
Eigenthum an einer Behausung (F.) Nämlich an der Vorstadt Krautenau (…)
Series rubricarum hujus Inventarii. Des Ehemanns in die Ehe gebrachte haabschaft, Sa. haußraths 72, Sa. Weins und leeren Faß 108, Sa. Silbers und dergleichen Geschmeids 53, Sa. goldenen Rings 3, Sa. baarschafft 10, Summa summarum 249 lb
Diesemnach so wird auch der Ehefraun eingebrachte Vermögenschaft in Beschreibung gebracht, Sa. haußraths 65, Sa. Silbers und dergleichen Geschmeids 11, Sa. goldener Ring und dergleichen Geschmeids 10, Sa. baarschafft 75, Sa. Eigenthums an einer behaußung 400, Summa summarum 562 lb – Schulden 353 lb, Nach deren Abzug 208 lb
Haussteuren 57 lb
Les Quinze autorisent Jean Georges Braun à tenir l’auberge au Bateau d’Or
1781, Protocole des Quinze (2 R 191)
(f° 293) Sambstags den 7.ten Julii 1781 – Wilhelm noê Johann Georg Braun des burgers und wirths dieser bitt E. G. unterthänig ihme mit dem weinschanck auf das wirthshauß zum goldenen Schiff gnädig Zu willfahren und setzt. Erkandt, nach ordnung willfahrt.
Jean Georges Braun est caution d’une dette.
1785, Protocole des Quinze (2 R 195)
(f° 49) Sambstags den 19.ten februarii 1785. – Claus nomine Johann Georg Braun des Burgers und wirths Zum goldenen Schiff allhier anwald Cavirt für die andere helffte der Straf mit 25. fl. producirt unterthäniges memoriale und bitten handelt innhalts. Erkandt wird Implorant mit seinem gesuch abgewießen und solle derselbe seinen antheil der Strafe mit 50. fl. gantz erlegen.
Marie Barbe Braun épouse en 1800 Georges François Delarue, natif de Saint-Pois près de Mortain (Manche)
1800 (5 compl. 8), Strasbourg 14 (12), M° Lex n° 739
Contrat de mariage – Cit. Georges François Delarue, natif de St Poix ci devant district de Mortin Département de la Manche Capitaine au Corps des Pontonniers fils majeur de feu Cit. François Delarue et de Marguerite Brochet
Cit. Marie Barbe Braun fille majeure du cit. Jean Georges Braun, Cabaretier au Bateau d’or quai des pécheurs N° 64, et de Marie Barbe Zabern
Enregistrement, acp 75 f° 130 du 6 vend. 9
Jean Georges Braun meurt en 1802 en délaissant six enfants.
1802 (8 ventôse 10), Strasbourg 3 (24), M° Übersaal n° 726, 1256
Inventarium über des weÿl. bürgers Johann Georg Braun gewesenen ehemaligen Gastgebers Verlassenschafft, nach seinem den 29. frimaire X erfolgen absterben hinterlassen hat – auf ansuchen dessen wittib der brin Maria Barbara geb. Zabern beiständlich des bürgers Johann Daniel Heinrich Schreiners
Der verstorbene hat mit seiner Wittib erzeuget und ab intestato zu seinen Erben hinterlassen nachgenannte 6 Kinder 1. den br Georg Ludwig Braun, adjudant major des Pontonniers du 1. bataillon, 2. Frau Mariam Barbaram geb. Braun des brs Georg Frantz Larüe, Capitaine des Pontonniers Ehegattin, 3. Frau Mariam Magdalenam geb. Braun des brs Philipp Jakob Faudel Caffesieders Ehegattin, 4. der br Jakob Jonathan Braun Gastgeber, 5. den br Johann Gottfried Braun, sergent des Pontonniers so majorennis und 6. Jungfrau Catharinam Dorotheam Braun so 19 jahr alt, zum streitvogt ernannt br Johann Christian Glock Sigrist bei der Kirch zum Alten St Peter
in einer an dem Fischer staden gelegen zum goldenen Schiff geschildeten in diese Verlassenschafft gehörige und hernach eingetragenen Gastbehausung N° 64
Eigenthum an einer behausung und einem Metzigbanck so in die theilbare Massam gehörig. Nämlich die zum goldenen Schiff geschildete Gastbehausung mit N° 64 bezeichnet bestehend in Vorder: Nebens: und hinter Gebäuden hoff bronnen Stallung und hoffstatt samt allen übrigen derselben Gebäuden, begriffen, zugehörden und Rechten gelegen zu Straßburg an dem untern Fischerstaden nächst dem Fischer thor einseit neben des brs Murr Kiefers Erbschaft anderseit neben des weÿl. brs Theobald Hügel gewesten Schiff Capitaine Erbschaft hinten auf die Gaße an der Caserne stoßend und dahin einen Ausgang habend sub N° 12, an dem diesortigen Sohn br Jakob Jonathan Braun Gastgeber verlehnt um 700 fr. in Capital 14.000 fr. – darüber ist vorhanden ein Kaufbrief aus der Cantzleÿ Contract vom 28. November 1780, die lehnung mit Jakob Jonathan Braun Sohn mit seiner Ehegattin Fr. Catharina Dorothea geb. Röderer den 1. flo IX vor Not. Zimmer im Ehe Contract (copie)
Item ein Metzigbanck gelegen allhier unter des grosen Metzger N° (-) einseit neben bürger Koch anderseit neben bürger Kohler beeder Metzgern hinten auf die Mauer an den bürger Johann Gottfried Mann Metzger verlehnt und 120 fr in capital 2400 fr, darüber lautet ein Acquisitions Contrat vor Notario Laquiante den 28. Julÿ 1786
mobilier (non additionné, deuxième vacation non enregistrée)
Verkauf register
Enregistrement, acp 83 F° 148 du 9 vent. 10
Lors du partage, Jacques Jonathan Braun devient propriétaire de la maison qu’il tenait à bail par son contrat de mariage.
1809 (26.1.), Strasbourg 10 (20), Georges Frédéric Zimmer n° 393
Partage – furent présens 1. Mr George Louis Braun, Chevalier de la légion d’honneur, Capitaine Adjudant major au premier Bataillon de Pontonniers en garnison à Strasbourg, 2. Dame Marie Barbe Braun, demeurant à Strasbourg, Epouse de Mr George François Delarue, Capitaine Commandant la première Compagnie du premier Bataillon de Pontonniers se trouvant à l’Armée, dûment autorisée dudit son Epoux à l’effet des présentes par Pouvoir passé (…) à Moewe le 3 octobre 1808 (…), 3. D° Marie Madeleine Braun, Epouse de Mr Philippe Jacques Faudel Cafetier demeurant à Strasbourg, dûment autorisée dudit son Epoux cy présent, 4. M. Jacques Jonathan Braun, Aubergiste demeurant à Strasbourg, 5. Dlle Catherine Dorothée Braun, fille majeure d’ans usant et jouissant de ses droits et demeurant à Strasbourg, Tous Enfans du légitime mariage de feu le sieur Jean George Braun aubergiste et de feue Dame Marie Barbe Zabern, vivant Conjoints à Strasbourg, leurs père et mère respectifs. Lesquels Comparans ont volontairement reconnu et declaré que ladite Marie Barbe Zabern, veuve Braun, leur mère est décédée à Strasbourg le 25 juin 1808, qu’elle a delaissé ses dits cinq Enfans Comparans pour ses seuls et uniques héritiers ab intestat et à portions égales, qu’enfin la succession délaissée par ladite défunte consiste dans les objets ci après détaillés, dont une partie vient de son chef et l’autre partie du chef de son Epoux et père des Comparans prédécédé, laquelle partie paternelle fut grevée d’usufruit à vie au profit de ladite défunts sa veuve par l’art. 8. du contrat de mariage passé entre lesdits Conjoints Braun père et mère devant M° Fické alors Notaire à Strasbourg l’onze octobre 1868. (…)
Garde robe et meubles meublans 413, mobilier compris dans la bail de l’auberge passé au profit dudit Sr Jacques Jonathan Braun, cohéritier dans son Contrat de mariage reçu par ledit Notaire le premier floréal an neuf 400, argent comptant 300
Etal de Boucher aux grandes Boucheries N° 30 (…)
Maison à Strasbourg. Plus les Comparans déclarent que ladite Défunte a delaissé une Maison Auberge, moitié paternelle, moitié maternelle, à l’enseigne du Bateau d’or, consistant en Maison, Bâtimens accessoires, Cour, Ecurie, appartenances & dépendances, scise à Strasbourg quay des Pêcheurs N° 64 entre le Sr Pavie Perruquier et la succession Burger Employé à l’armée donnant par derrière sur les casernes, laquelle lesdits héritiers reconnaisent avoir pour eux, leurs hoirs et ayant cause irrevocablement cédé et transporté en toute propriété et très fonds avec garantie de droit audit sieur Jacques Jonathan Braun, Aubergiste leur frère et héritier ce acceptant (…) moyennant le prix de 14.000 francs
Plus ledit Sieur Braun fils doit faire Etat à la succession des loyers de ladite Auberge 355. Total de la masse active 17.858 francs – Passif 612, Deduction faite 17.245 francs
Enregistrement, acp 110 f° 14 du 27.1.
Etal de boucher. Un étal de boucher moitié paternel moitié maternel situé à Strasbourg aux grandes boucheries n° 30 entre Erad Koch et Christophe Kohler qu’ils auroient vendu au Sr Jean Geofroi Mann boucher, acquis par acte reçu Übersaal notaire le 25 octobre 1808
(Jacques) Jonathan Braun épouse en 1799 Catherine Dorothée Rœderer. Sa mère lui loue l’auberge au Bateau d’Or
Jonathan Braun et Catherine Rœderer exposent la maison aux enchères sur une mise à prix de 28 000 francs. Jacques Baumhauer de Wasselonne en offre 29 500 francs, les vendeurs retirent l’immeuble de l’enchère.
1812 (4.4.), Strasbourg 15 (15), M° Lacombe n° 2477
Procès verbal d’enchère – Jacques Jonathan Braun aubergiste et Catherine Dorothée Roederer
une auberge sise à Strasbourg quai des Pêcheurs n° 64 ayant pour enseigne la bateau d’or d’un côté le Sr Pavie, de l’autre les héritiers Burger, derrière les casernes, consistant en maison de devant, maison de derrière qui a issue sur les casernes et maison latérale, cour, puits, écuries, caves et aisances
au Sr Braun pour un 5° par héritage de Jean Georges Braun, aubergiste, et Marie Barbe Zabern ses père et mère, quatre 5° par cession de Marie Madeleine Braun épouse de Philippe Jacques Faudel cafetier, Georges Louis Braun Chevalier de la Légion d’Honneur capitaine adjudant major au premier bataillon des pontonniers, Marie Barbe Braun épouse de Georges François Delarue baron d’empire chef de bataillon des pontonniers et Catherine Dorothée Braun majeure au bas de la liquidation dressée par M° Zimmer le 26 janvier 1809
mise à prix 28.000 fr
Jacques Baumhauer de Wasselonne, 29.500 fr – Retrait
Jonathan Braun et Catherine Rœderer louent la maison à l’aubergiste Jean Daniel Weber
1812 (4.5.), Strasbourg 15 (15), M° Lacombe n° 2528
Bail de 3 années à commencer à Noël 1812 – Jacques Jonathan Braun aubergiste
à Jean Daniel Weber aubergiste
l’auberge au bateau d’or appartenant au Sr Braun sise en cette ville quai des Pêcheurs n° 64, d’un côté le Sr Pavie, de l’autre les héritiers Burger consistant en maison de devant, maison de derrière qui a issue sur la caserne des pêcheurs et maison latérale avec cour, écurie, puits et greniers, Plus les tables bancs et fourneaux dont le détail sera rapporté par un état estimatif (non joint) – moyennant un loyer annuel de 1800 francs
Enregistrement, acp 119 F° 137 du 5.5.
Jacques Jonathan Braun, alors meunier à Brumath, vend la maison au brasseur Jean Louis Hatt
1821 (12.5.), Strasbourg 15 (29), M° Lacombe n° 5945
Jean Georges Hatt, gradué en droit mandataire de Jacques Jonathan Braun, meunier à Brumath
à Jean Louis Hatt, brasseur
une maison avec appartenances et dépendances, cour, écurie, maison de derrière et maison latérale où était autrefois établie une auberge connue sous le nom de bateau d’or située à Strasbourg quai des Pêcheurs n° 64, d’un côté le Sr Pavie perruquier, de l’autre les héritiers Burger, derrière la caserne des Pêcheurs – au Sr Braun comme héritier pour un cinquième de la succession de ses père et mère Jean Georges Braun, aubergiste et Marie Barbe Zabern, que par l’abandon que lui en ont fait ses frères et sœurs des quatre 5°, inventaire dressé par M° Zimmer le 26 janvier 1809 – moyennant 7422 fr
Enregistrement, acp 152 F° 130 du 18.5.
Jean Louis Hatt vend la maison au batelier Jacques Wirth et à sa femme Barbe Kreller
1838 (17.12.), Strasbourg 11 (31), M° Keller n° 414
Jean Louis Hatt, propriétaire et brasseur
à Jacques Wirth, mre batelier, et Barbe Kreller
une maison avec appartenances et dépendances, cour, écurie, maison de derrière et maison latérale où était établi autrefois une auberge sous le nom de Bateau d’or située à Strasbourg quai des Pêcheurs n° 64, d’un côté Philippe Hatt brasseur, de l’autre le Sr Goerner charpentier – acquis sur Jacques Jonathan Braun & Catherine Dorothée Roederer de Brumath par acte reçu M° Lacombe le 12 mai 1821 transcrit au bureau des hypothèques de Strasbourg volume 141 n° 47 – pour 12.000 francs
Enregistrement, acp 264 f° 68-v du 22.12.
Natif de Lohr sur le Main, Jacques Wirth épouse en 1815 Catherine Barbe Kreller, originaire de Westhoffen
1815 (2.8.), Strasbourg 8 (12), M° Roessel n° 2642
Contrat de mariage – Jacques Wirth, calfat en cette ville fils de feu Jacques Wirth, batelier à Lohr sur Mein, et de Catherine Weis
Catherine Barbe Kreller, fille de feu Etienne Kreller, tonnelier à Westhoffen, et de feu Madeleine Fürnstein demeurant à Strasbourg
acp 128 (3 Q 29 842) f° 139-v du 7.8. communauté d’acquêts, réserve d’apports ceux de la future épouse consistent en une somme de 2200 francs en créances
ceux du futur époux comprennent la moitié de ce dont se compose sa société avec le Sr Trost sur laquelle moitié sont à déduire 1100 francs dus à la future épouse par cette société & compris dans ses apports. Donation au survivant de l’usufruit à vie des biens du prémourant, réductible à la moitié en cas d’enfants
Catherine Barbe Kreller meurt en 1846 en délaissant cinq enfants
1846 (14.11.), Strasbourg 2 (92), M° Roessel n° 1160
Inventaire après le décès de la Dame Catherine Barbe Kreller, décédée épouse du Sr Jacques Wirth maître batelier à Strasbourg
inventaire après le décès de Dame Catherine Barbe Kreller, épouse de Mr Jacques Wirth, batelier, autrefois calfat, demeurant à Strasbourg, décédée à Strasbourg le 8 octobre 1846.
L’an 1846 samedi le 14 novembre à neuf neures du matin A la requête et en présence 1° de Mr Jacques Wirth, batelier, autrefois calfat, demeurant à Strasbourg, agissant tant en son propre nom 1° à cause de la communauté de biens réduite aux acquêts qui a existé entre entre lui & son épouse défunte, aux termes de leur contrat de mariage reçu par M° Roessel père, autrefois notaire à Strasbourg le 2 août 1815, dûment enregistré, 2° en qualité de donataire, en vertu du même contrat, de la moitié des biens dépendant de la succession de la D° Wirth, qu’en qualité de tuteur légal de Charles Wirth son fils mineur issu de son mariage avec son épouse défunte
2° de Mr Jean Jacques Wirth, batelier, demeurant à Strasbourg, agissant tant en son propre nom qu’en qualité de subrogé tuteur de Mr Charles Wirth son frère (…) 3° Sophie Barbe Wirth, majeure demeurant à Strasbourg, 4° de Mlle Caroline Wirth, majeure demeurant aussi en ladite ville, majeure demeurant à Strasbourg, 5° de Mlle Salomé Wirth, majeure, demeurant aussi à Strasbourg,
Lesdits Sr Jean Jacques Wirth, Demoiselles Wirth et le mineur Wirth, habiles à se dire et porter héritiers de la dame Wirth née Kreller leur mère chacun pour un cinquième (…)
dans une maison de la communauté où Mad. Wirth est décédée le 8 octobre dernier quai des pêcheurs N° 64
Titres et papiers. Cote première. Contrat de mariage (…)
Cote 2. Déclaration relative aux successions échues aux époux Wirth durant leur mariage. Les requérans déclarent qu’il n’est échu aucune succession au Sr Wirth durant son mariage. Quant à la dame Wirth elle a recueilli en l’année 1832 sa part dans la succession de dame Salomé Kreller majeure décédée à Westhoffen (…) par acte reçu par M° Schaeffer Notaire à Westhoffen le 15 décembre 1832. (…)
Cote 3. Maison sise à Strasbourg quai des pêcheurs N° 64 faisant partie des biens de la communauté. Six pièces qui sont 1° Une expédition d’une vente reçue par M° Keller, Notaire à Strasbourg le 17 novembre 1838 enregistrée et transcrite au bureau des hypothèques de’ Strasbourg le 24 du même mois Volume 341 N° 104 et inscrite d’office le même jour Volume 290 N° 312, contenant vente par M Jean Louis Hatt, brasseur, demeurant à Strasbourg aux époux Wirth de la maison où est présentement procédé sise en cette ville quai des pêcheurs N° 64, appelée autrefois Auberge au bateau d’or, tenant à cette époque d’un côté à Mr Philippe Hatt brasseur de l’autre au Sr Goerner charpentier pour le prix de 12.000 francs. Les requérans déclarent que cette somme est encore due aujourd’hui (…) Les requérans déclarent estimer cette maison à une valeur de 15.000 francs
acp 354 (3 Q 30 069) f° 92. Il dépend de ladite succession et communauté un mobilier estimé à 1112 francs, garde robe de la défunte 110, bateaux et agrès 4469, autres objets de la communauté 120
Description des titres et papiers. Immeubles Une maison sise à Strasbourg quai des Pêcheurs N° 64 évaluée à 12.000 francs, loyers échus 17
acp 355 (3 Q 30 070) f° 62 (Continuation et clôture, n° 1179 du 4 décembre 1846) Passif de la communauté 447, de la succession 100 – actif 7473
Jacques Wirth acquiert en 1847 la maison contiguë sise 14, ruelle de la Carpe. Il meurt en 1870 en délaissant trois enfants (voir l’origine de la propriété dans les actes suivants).
Le batelier Charles Wirth et ses sœurs célibataires Barbe et Salomé Wirth hypothèquent au profit de Philippe Frédéric Steinbach la maison qu’ils ont fait reconstruire après sa destruction lors du siège de 1870.
1874 (2.3.), Strasbourg 8 (89) Gustave Edouard Loew n° 5890
Obligation, du 2 mars 1874. – Sind erschienen Herr Karl Wirth, Schiffer und Eigenthümer Wittwer von Salome Steinbach, aus welcher Ehe fünf minderjährige Kinder vorhanden, fräul. Barbara Wirth, großjährig, und fräul. Salome Wirth, großjährig, samtlich in Straßburg wohnhaft, dieselben bekennen hiermit
an Herrn Philipp Friedrich Steinbach, Eigenthümer, wohnhaft zu Straßburg, welcher mitanwesend ist und annimmt, ein Darlehen von 8000 Franken zu verschulden (…)
Hypothek-Bestellung. Ein Haus mit Bodengeschoß und drei Stockwerken, Neben- und Hintergebäuden, Hofraum und Zugehörden, belegen zu Straßburg, Fischerstaden N° 20, einerseits H. Jakob Zabern, anderseits Herr Zix, Herr Tournier und das Karpfengäßchen, wo es Nr 2 und 2-bis trägt, vorn der Staden, hinten die Quergasse, wo es Nr 15 führt, und Herr Tournier
Eigenthums-Nachweis. Die Schuldner haben die Gebäude auf der Stelle zweier Häuser aufrichten lassen, welche durch die Beschießung Straßburgs zerstört wurden. Das eine von diesen Häusern hatte der Schiffer Jakob Wirth daselbst während der bestandenen Gütergemeinschaft zwischen ihm und seiner verstorbenen frau Barbara Kreller von dem Eigenthümer Johann Ludwig Hatt in Straßburg gekauft, laut Vertrag vor Notar Keller hierselbst vom 17. Dezember 1838, das andere in seinem Wittwenstande von den Eheleuten Johann Philipp Schott und von der Wittwe und den Erben des Jakob Henninger zu Straßburg, auf Grund eines Vertrags vor Notar Friedrich Grimmer hierselbst vom 12. Juli 1847.
Die Ehefrau Wirth geb. Kreller starb zu Straßburg im Jahre 1846 mit Hinterlassung von fünf Kindern zu einzigen Erben, worunter die drei Schuldner sind, während die beiden andere in zwischen auch mit Tod abgingen, und zwar Johann Jakob Wirth lediger Schiffer im Jahre 1849 zu Besançon, und Karoline Wirth, großjährig den 12. Oktober 1859 zu Straßburg, welch beide von Ihren Eltern und Geschwistern beerbt wurden. Herr Wirth, Vater der Schuldner, starb gleichfalls zu Straßburg den 19. Februar 1870 und hinterließ dieselben zu einzigen Erben.
Erklärungen. Die Schuldner erklären, daß der Mitschuldner keine andere Vormundschaft verführt als jene über seine fünf minderjährigen Kinder, über welche der Gläubiger Steinbach Nebenvormund ist, und welcher der unterzeichneter Notar in Betreff Verpfändung des Anwesens, worauf den Minderjährigen gesetzliche Hypothek zusteht, von jeder Haftung freigibt
Les mêmes hypothèquent la maison au profit du marchand Gustave Jacques Adolphe Wagner
1880 (16.1.), Strasbourg 8 (108) Gustave Edouard Loew n° 11.909
Obligation, 16 Januar 1880. – sind erschienen herr Karl Wirth, Schiffer und Eigenthümer, Wittwer von Salome Steinbach, fräulein Barbara Wirth, großjährig, und fräulein Salome Wirth, großjährig, samtlich wohnhaft in Straßburg, dieselben bekennen hiermit
an den mitanwesenden, dieses annehmenden herrn Gustav Adolph Jakob Wagner, Kaufmann wohnhaft daselbst, ein Darlehen von 4800 Mark zu schulden (…)
als Spezialhypothek. Ein haus mit Bodengeschoß und drei Stockwerken, Neben- und hintergebäuden, hofraum und Zugehörden, belegen zu Straßburg, Fischerstaden N° 20, einerseits herr Jakob Zabern, anderseits Herr Zix, Herr Tournier und das Karpfengäßchen, wo es Nr 2 und 2-bis trägt, vorn der Staden, hinten die Quergasse, wo es Nr 15 führt, und Herr Tournier
Die Schuldner haben die Gebäude auf der Stelle zweier Häuser aufrichten lassen, welche durch die Beschießung Straßburgs zerstört wurden. Das eine von diesen häusern hatte der Schiffer Jakob Wirth daselbst während der bestandenen Gütergemeinschaft zwischen ihm und seiner verstorbenen frau Barbara Kreller von dem Eigenthümer Johann Ludwig Hatt zu Straßburg gekauft, laut Vertrag vor Notar Keller hierselbst vom 17. Dezember 1838, das andere in seinem Wittwenstande von den Eheleuten Johann Philipp Schott und der Wittwe und den Erben des Jakob Henninger zu Straßburg, auf Grund eines Vertrags vor Notar Friedrich Grimmer hierselbst vom 12. Juli 1847.
Die Ehefrau Wirth geborne Kreller starb zu Straßburg im Jahre 1846 mit Hinterlassung von fünf Kindern zu einzigen Erben, worunter die drei Schuldner sind, während die beiden andere in zwischen auch mit Tod abgingen, und zwar Johann Jakob Wirth, lediger Schiffer, im Jahre 1849 zu Besançon, und Karoline Wirth, großjährig, den 12. Oktober 1859 zu Straßburg. Beide wurden von Ihren Eltern und Geschwistern beerbt. Herr Wirth, Vater der Schuldner, starb gleichfalls zu Straßburg den 19. Februar 1870 und hinterließ dieselben zu einzigen Erben.
Es erklären die Schuldner I. daß Herr Wirth sonst noch keine Ehe eingegangen als diejenige mit seiner Gattin frau Salome Steinbach, II daß er bisher keine andere Vormundschaft führte, als jene über seine Kinder aus der Ehe mit seiner genannten verstorbenen Gattin, welche Vormundschaft noch besteht
Le cohéritier Charles Wirth épouse en 1859 Salomé Steinbach
1859 (11.8.), Frédéric Grimmer (minutes en déficit)
Contrat de mariage – Charles Wirth, batelier à Strasbourg, fils de Jean Jacques Wirth batelier à Strasbourg et de feue Catherine Barbe Kreller sa femme, d’une part
Salomé Steinbach, célibataire à Strasbourg, fille de Georges Henri Steinbach, jardinier, et de Salomé Roederer sa femme d’autre part
acp 480 (3 Q 30 195) f° 66 du 16.8. Stipulation de communauté de biens réduite aux acquêts partageable par moitié, réserve d’apports et d’héritages
Les apports du futur consistent dans sa part dans la succession de sa mère constatée par inventaire reçu Roessel notaire le 14 novembre 1846
Donation par le Sr Wirth au futur son fils ce acceptant en avancement d’hoirie 1) d’un bateau avec agrès appelé l’Inflexible estimé à 6000 francs, 2) un mobilier estimé à 230, 3) Une somme de 3770 francs
Donation par les conjoints Steinbach à la future épouse leur fille ce acceptant d’une somme de 2400 francs, Un mobilier estimé à 2604
Donation réciproque par les futur au survivant d’eux de l’usufruit de leur succession réductible à moitié en cas d’existence d’enfants
Salomé Steinbach meurt en 1871 en délaissant cinq enfants
1871 (12.7.), Strasbourg 8 (83) Gustave Edouard Loew n° 3858
Du 12 juillet 1871. Inventaire par déclaration de la succession délaissée par Salomé Steinbach femme de Charles Wirth
Ont comparu I. Charles Wirth, batelier demeurant et domicilié à Strasbourg, agissant I. En son nom personnel a) à cause de la communauté de biens réduite aux acquêts qui a existé entre entre lui et feu Mme Salomé Steinbach sa défunte épouse aux termes de leur contrat de mariage ci après analysé, b) à cause des avantages de survie que lui a assurés sa dite épouse par le même contrat de mariage, c) en raison des reprises et remploi qu’il peut avoir à exercer contre la communauté d’entre lui et sa dite épouse, d) et comme ayant l’usufruit légal des biens de ses cinq enfants mineurs qui vont être nommés jusqu’à ce quils aient atteint successivement leur 18° année
II. Et au nom et comme père et tuteur légal de ses cinq enfants, tous encore mineurs, issus de son mariage avec feu la dite dale Salomé Steinbach savoir 1. Eugénie Caroline Wirth, née le 14 novembre 1861, 2. Jacques Jean Wirth né le 26 mai 1863, 3. Charles Henri Wirth, né le 5 octobre 1865, 4. Salomé Elise Wirth, née le 25 mai 1868, 5. Et Frédéric Wirth né le 9 octobre 1965
Et M. Philippe Frédéric Steinbach, propriétaire cultivateur demeurant et domicilié en cette ville, agissant en qualité de subrogé tuteur des dits cinq enfants mineurs Wirth (…). Lesquels comparans ont déclaré que ladite Dame Wirth née Steinbach est décédée à Strasbourg le 12 janvier 1871 en délaissant pour seuls héritiers ses dits cinq enfants mineurs
Contrat de mariage reçu par M° Frédéric Grimmer lors notaire à Strasbourg le 11 août 1859
Successions échues à la défunte Dame Wirth durant son mariage. I. Succession de M. Georges Henri Steinbach père de la défunte (…) inventaire dressé par M° Grimmer le 4 août 1865. Par son contrat de mariage reçu par M° Trautmann lors notaire à Brumath le 25 octobre 1829 (…)
II. Succession de M. Georges Daniel Steinbach frère de la défunte
III. Succession de M. Charles Auguste Steinbach frère germain de la défunte
Succession échue à M. Wirth le veuf durant saon mariage. Déclare M. Wirth que son père M. Jean Jacques Wirth, prénommé est décédé à Strasbourg le 19 février 1870 en délaissant pour seuls héritiers, chacun pour un tiers, ses trois enfants qui sont M. Wirth le comparant et ses deux sœurs. Après le décès de M. Jean Jacques Wirth aucun inventaire n’a été dressé de sa succession, laquelle est restée jusqu’à ce jour indivise entre les trois héritiers, il n’en est fait mention ici que pour mémoire.
acp 599 (3 Q 30 314) f° 65-v du 22.7. Gemeinschaft, Mobilien 1073
Nachlass, Mobilien 1684, Schuldschein 1191, Schaden Ersatz 5610
5 Stück Feld Bann von Straßburg
1871 (6.6.), M° Loew
Notorietäts Akt bestätigend daß Salome Steinbach Ehefrau von Karl Wirth, Schiffer in Straßburg den 12. Januarÿ 1871 gestorben ist
acp 596 (3 Q 30 311) f° 79 n° 745 du 10.6.
Charles Wirth, Barbe Wirth et Salomé Wirth hypothèquent la maison au profit de Sophie Wieger, veuve du notaire Louis Charles Zeyssolff
1881 (10.3.), Strasbourg 8 (112) Gustave Edouard Loew n° 13.028
Obligation, 10 Maerz 1881. – sind erschienen 1) herr Karl Wirth, Schiffer und Eigenthümer, Wittwer von Salome Steinbach, 2) fräulein Barbara Wirth, großjährig, und 3) fräulein Salome Wirth, großjährig, sämtlich wohnhaft zu Straßburg, dieselben bekennen hiermit
an die mitanwesende, dieses annehmende frau Sophie Wieger, wohnhaft zu Straßburg, Wittwe des Eigenthümers und früheren Notars Ludwig Karl Zeyssolff daselbst, ein Darlehen von 2400 Mark zu schulden (…)
als Spezialhypothek. Ein haus mit Bodengeschoß und drei Stockwerken, Neben- und hintergebäuden, hofraum und Zugehörden, belegen zu Straßburg, Fischerstaden N° 20, einerseits herr Jakob Zabern, anderseits Herr Zix, Herr Tournier und das Karpfengäßchen, wo es Nr 2 und 2-bis trägt, vorn der Staden, hinten die Quergasse, wo es Nr 15 führt, und Herr Tournier
Die Schuldner haben die Gebäude auf der Stelle zweier Häuser aufrichten lassen, welche durch die Beschießung Straßburgs zerstört wurden. Das eine von diesen häusern hatte der Schiffer Jakob Wirth daselbst während der bestandenen Gütergemeinschaft zwischen ihm und seiner verstorbenen frau Barbara Kreller von dem Eigenthümer Johann Ludwig Hatt zu Straßburg gekauft, laut Vertrag vor Notar Keller hierselbst vom 17. Dezember 1838, das andere in seinem Wittwenstande von den Eheleuten Johann Philipp Schott und der Wittwe und den Erben des Jakob Henninger zu Straßburg, auf Grund eines Vertrags vor Notar Friedrich Grimmer hierselbst vom 12. Juli 1847.
Die Ehefrau Wirth geborne Kreller starb zu Straßburg im Jahre 1846 mit hinterlassung von fünf Kindern zu einzigen Erben, worunter die drei Schuldner sind, während die beiden andere in zwischen auch mit Tod abgingen, und zwar Johann Jakob Wirth, lediger Schiffer, im Jahre 1849 zu Besançon, und Karoline Wirth, großjährig, den 12. Oktober 1859 zu Straßburg. Beide wurden von Ihren Eltern und Geschwistern beerbt. Herr Wirth, Vater der Schuldner, starb gleichfalls zu Straßburg den 19. Februar 1870 und hinterließ dieselben zu einzigen Erben.
Es erklären die Schuldner I. daß Herr Wirth sonst noch keine Ehe eingegangen als diejenige mit seiner Gattin frau Salome Steinbach, II daß er bisher keine andere Vormundschaft führte, als jene über seine Kinder aus der Ehe mit seiner genannten verstorbenen Gattin, welche Vormundschaft noch besteht
Les mêmes hypothèquent la maison au profit de Madeleine Brumpter, veuve de Louis Knœpffler et Rosalie Dürrbach. Y est joint une police d’assurance pour le bâtiment principal
1884 (1.10.), Strasbourg 8 (124) Gustave Edouard Loew n° 16.284
Schuldverschreibung, 1. Oktober 1884. – sind erschienen 1. herr Achilles Haitz, Rentner, wohnend in Straßburg, handelnd als bevollmächtigter des zu Straßburg wohnenden Schiffers und Eigenthümers herrn Karl Wirth (…), 2. fräulein Barbara Wirth, 3. fräulein Salome Wirth, beide großjährig wohnende zu Straßburg, die Erschienenen bekennen hiermit, daß herr Wirth und beide fräulein Wirth folgende darlehen schulden
1. an die mitanwesende, dieß annehmende frau Magdalena Brumpter, wohnend zu Straßburg Wittwe von herrn Ludwig Knoepffler, 4000 Mark, 2. an fräulein Rosalie Dürrbach, großjährig von ihren Einkünften lebend, wohnend zu Straßburg, hier vertreten durch den mitanwesenden, für sie annehmenden herrn Eugen Ducommun, Uhrmacher, wohnend zu Straßburg 4000 Mark, zusammen 8000 Mark (…)
Hypothekenbestellung. Ein Haus mit Bodengeschoß und drei Stockwerken, Neben- und Hintergebäuden, hofraum und Zugehörden, belegen zu Straßburg, Fischerstaden N° 20, einerseits Herr Jakob Zabern, anderseits Herr Zix, Herr Tournier und das Karpfengäßchen, wo es Nr 2 und 2-bis trägt, vorn der Staden, hinten die Quergasse, wo es Nr 15 führt, und Herr Tournier
Eigenthumsnachweis. Die Schuldner haben die Gebäude auf der Stelle zweier häuser errichten lassen, welche bei der Beschießung Straßburgs zerstört waren. Das eine von diesen häusern hatte der Schiffer Jakob Wirth daselbst während der Gütergemeinschaft zwischen ihm und seiner verstorbenen frau Barbara Kreller von dem Eigenthümer Johann Ludwig Hatt in Straßburg gekauft, laut Vertrags vor Notar Keller hierselbst vom 17. Dezember 1838, das andere in seinem Wittwenstande von den Eheleuten Johann Philipp Schott sowie der Wittwe und den Erben des Herrn Jakob Henninger zu Straßburg, auf Grund eines Vertrags vor Notar Friedrich Grimmer hierselbst vom 12. Juli 1847.
Die Ehefrau Wirth geborne Kreller starb zu Straßburg im Jahre 1846 mit Hinterlassung von fünf Kindern zu einzigen Erben, worunter die drei Schuldner sind, während die beiden andere in zwischen auch mit Tod abgingen, und zwar Johann Jakob Wirth lediger Schiffer im Jahre 1849 zu Besançon und Karoline Wirth, großjährig den 12. Oktober 1859 zu Straßburg. Beide wurden von Ihren Eltern und Geschwistern beerbt. Herr Wirth, Vater der Schuldner, starb gleichfalls zu Straßburg den 19. Februar 1870 und hinterließ dieselben zu einzigen Erben.
Erklärungen. Es erklären herr Haitz und fräulein Wirth 1. daß herr Wirth sonst keine Ehe eingegangen hat als diejenige mit seiner verstorbenen, Gattin frau Salome Steinbach (…) – (Hypothekenbelastung, 13.600 Mark)
Police d’assurance. Phoenix de Londres, Police n° 49.424, somme assurée 82.400, prime annuelle 34,20, Date 4. avril 1882, expiration 3 avril 1892
Fräulein Barbara Wirth, Eigenthümerin wohnhaft in Strassburg, Eigenthümerin
1. 65.000 Mark auf ein zu Straßburg Fischerstaden N° 20 neu aus Stein erbaute und mit Schiefer gedecktes belegenes Wohnhaus, bestehend mit Keller, Erdgeschoß drei Stockwerk, Mansarden mit Speicher, mit inbegriffen ein Seiten Gebäude rechts in dem Hofe.
2. 9600 Mark auf ein anderes Wohnhaus mit inbegriffen ein kleines anstoßende Gebäude am Ende des Hofes belegen, welches sich in die Quergasse ergiebt und mit der Nummer 15 bezeichnet, bestehend aus Erdgeschoß ein Stockwerk und Speicher vnd von gemischter bauart, die Steine vorherrschend, gedeckt mit Ziegeln
3. 800 Mark auf die Oefen mit den Röhren, welche sich in allen Theilen des befragten Häuser befinden können
4. 6000 Mark auf Risiko gegen die Nachbar des besagten Eigenthums.
Les mêmes hypothèquent la maison au profit de Sophie Wieger, veuve de Louis Charles Zeyssolff
1885 (17.2.), Strasbourg 8 (126) Gustave Edouard Loew n° 16.693
Schuldverschreibung, 17 Februar 1885. – sind erschienen 1. herr Karl Wirth, Schiffer und Eigenthümer, Wittwer von Salome Steinbach, 2. fräulein Barbara Wirth, großjährig, und 3. fräulein Salome Wirth, großjährig, sämtlich wohnhaft zu Straßburg, dieselben bekennen hiermit
an frau Sophie Wieger, wohnhaft zu Straßburg, Wittwe des Eigenthümers und früheren Notars Ludwig Karl Zeyssolff daselbst, hier vertreten durch den mitanwesenden, für sie annehmenden herrn Friedrich August Adolph Silberzahn, Eigenthümer, wohnende zu Straßburg (…) ein Darlehen von 2400 Mark zu schulden (…)
als Hypothek. Ein haus mit Bodengeschoß und drei Stockwerken, Neben- und hintergebäuden, hofraum und Zugehörden, belegen zu Straßburg, Fischerstaden N° 20, einerseits herr Jakob Zabern, anderseits Herr Zix, Herr Tournier und das Karpfengäßchen, wo es Nr 2 und 2-bis trägt, vorn der Staden, hinten die Quergasse, wo es Nr 15 führt, und Herr Tournier
Die Schuldner haben die Gebäude auf der Stelle zweier Häuser errichten lassen, welche bei der Beschießung Straßburgs zerstört waren. Das eine von diesen häusern hatte der Schiffer Jakob Wirth daselbst während der bestandenen Gütergemeinschaft zwischen ihm und seiner verstorbenen frau Barbara Kreller von dem Eigenthümer Johann Ludwig Hatt zu Straßburg gekauft, laut Vertrag vor Notar Keller hierselbst vom 17. Dezember 1838, das andere in seinem Wittwenstande von den Eheleuten Johann Philipp Schott und der Wittwe und den Erben des Jakob Henninger zu Straßburg, auf Grund eines Vertrags vor Notar Friedrich Grimmer hierselbst vom 12. Juli 1847.
Die Ehefrau Wirth geborne Kreller starb zu Straßburg im Jahre 1846 mit hinterlassung von fünf Kindern zu einzigen Erben, worunter die drei Schuldner sind, während die beiden andere in zwischen auch mit Tod abgingen, und zwar Johann Jakob Wirth, lediger Schiffer, im Jahre 1849 zu Besançon, und Karoline Wirth, großjährig, den 12. Oktober 1859 zu Straßburg. Beide wurden von Ihren Eltern und Geschwistern beerbt. Herr Wirth, Vater der Schuldner, starb gleichfalls zu Straßburg den 19. Februar 1870 und hinterließ dieselben zu einzigen Erben.
Es erklären die Schuldner I. daß Herr Wirth weiter keine Ehe eingegangen als diejenige mit seiner Gattin frau Salome Steinbach, II. daß er bisher keine andere Vormundschaft führte, als jene über seine Kinder aus der Ehe mit seiner genannten verstorbenen Gattin, welche Vormundschaft noch besteht (…)
(Hypotheken) Summa 21.600 M.
Les mêmes font dresser un cahier des charges auquel est joint une police d’assurance pour le bâtiment arrière ruelle de la Carpe. L’adjudication n’a pas lieu.
1886 (4.9.), Strasbourg 8 (134) Gustave Edouard Loew
4 September 1886. Bedingnisheft. sind erschienen 1. Herr Charles Wirth, Schiffer und Eigenthümer Wittwer von frau Salomé Steinbach, 2. fräulein Barbe Wirth, großjährig und 3. fräulein Salomé Wirth, großjährig, sämtlich wohnend in Straßburg, dieselbe errichten hiemit wie folgt das Bedingnisheft zu einer von ihnen beabsichtigten haus Versteigerung
Bezeichnung. Es kommt zur Versteigerung. Ein Haus mit Erdgeschoß und drei Stockwerken nebst Seiten- und Hintergebäuden, Hof, und Zugehörden, gelegen zu Straßburg, Fischerstaden N° 20, einerseits Wittwe von Jakob Zabern, anderseits die Herren Zix und Tournier und das Karpfengäßchen, wo es Nr 2 und 2-bis trägt, vorn der Staden, hinten die Quergasse, wo es Nr 15 führt, und Herr Tournier. Im Kataster ist das Anwesen beschrieben, Fischerstaden unter Nr 1033, 1033 der Sektion O mit 3 Ar 25 Centiar
Karpfengäßchen unter Nr 1047, 1047.p, 1047.p der Sektion O mit 1 Ar 94 Centiar
Quergasse unter Nr 1049, 1049 der Sektion O mit 90 Centiar, zusammen 6 Ar 09 Centiar.
Als mitverkauft gelten, soweit sie sich als Eigenthum der Verkäuffer herausstellen werden, die im Hause stehenden Öfen nebst Rohren und Steinen. Angebot 60.000 Mark
Eigenthumsnachweis. Das Anwesen gemeines Eigenthum der drei Genossen Wirth. Dieselben haben die Gebäude auf der Stelle zweier Häuser errichten lassen, welche bei der Beschießung Straßburgs zerstört waren. Das eine von diesen häusern hatte der Schiffer Jakob Wirth daselbst während der bestandenen Gütergemeinschaft zwischen ihm und seiner verstorbenen frau Barbara Kreller von dem Eigenthümer Johann Ludwig Hatt in Straßburg gekauft, laut Vertrags vor Notar Keller hierselbst vom 17. Dezember 1838, überschrieben am Hypothenkenamte Straßburg den 24. desselben Monats Band 341 Nr 104, das andere in seinem Wittwenstande von den Eheleuten Johann Philipp Schott und von der Wittwe und den Erben des Herrn Jakob Henninger zu Straßburg, auf Grund eines Vertrags vor Notar Friedrich Grimmer hierselbst vom 12. Juli 1847, überschrieben am Hypothenkenamte Straßburg den 22. des nämlichen Monats, Band 464 Nr 12,.
Die Ehefrau Wirth geborne Kreller starb zu Straßburg im Jahre 1846 mit Hinterlassung von fünf Kindern zu einzigen Erben. Unter den letzteren befinden sich die drei Genossen Wirth, während die beiden andere in zwischen auch mit Tod abgingen, und zwar Johann Jakob Wirth, lediger Schiffer im Jahre 1849 zu Besançon und Karoline Wirth, großjährig, den 12. Oktober 1859 zu Straßburg. Beide wurden von Ihren Eltern und Geschwistern beerbt. Herr Wirth, Vater der Schuldner, starb gleichfalls zu Straßburg den 19. Februar 1870 und hinterließ seine drei anwesenden Kinder zu einzigen Erben.
Das durch herrn Hatt verkaufte haus hatte dieser gekauft von den Ehegatten Jakob Jonathan Braun und frau Catharina Dorothea Roederer von Brumath laut Vertrags vor Notar Lacombe in Straßburg vom 12. Mai 1821, überschrieben am Hypothekenamte Straßburg den 26. Juni desselben Jahres Band 141 Nr 47.
Das zweite haus hatten die Herren Schott und Henninger ersteigert laut Protokollen des Notars Zimmer in Straßburg vom 28. Januar, 9, 15, und 19. Februar 1839.
Hypothekenbelastung (…) zusammen 24.000
Erklärungen. Es erklären die Erschienenen daß herr Wirth nicht wieder verheiratheter Wittwer von der verlebten frau Salome Steinbach, daß die fräulein Wirth noch ledig sind, daß von der Erschienenen Niemand eine Vormundschaft oder sonst ein Amt mit gesetzlicher Hypothek geführt hat, ausgenommen die Vormundschaft des herrn Wirth über seine fünf Kinder, Namens 1. frau Eugénie Caroline Wirth, Gattin des Gerichtsschreibers Herrn Huvé, mit welche sie zu Berlin wohnt, 2. herr Jacques Jean Wirth, Schiffer wohnend zu Straßburg welche beide bereits ihr 22. Jahr zurückgelegt haben, ohne ihre gesetzliche Hypothek einschreiben Zu lassen, 3. herr Charles Henri Wirth, Schreiner in Strasbourg geboren den 10. Oktober 1865, 4. fräulein Salomé Elise Wirth geboren den 25. Mai 1868, 5. Frédéric Wirth, geboren den 9. Oktober 1870, welchen drei minderjährigen Kindern (…) herr Adolph Oster zum Nebenvormunde gegeben ist. Das Vermögen der fünf Kinder bestehe (…)
Artikel 13. Die Gebäude sind bei der Gesellschafft Londoner Phönix gegen Brand versichert zufolge Polize Nr 1416 mit dem datum Straßburg den 4. April 1882 (…) sowie bei der Gesellschaft Rhein und Mosel zufolge Polize Nr 81.430
23. Sept. 1886. Versteigerung (…) Es erfolgte jedoch kein Gebot und konte daher kein zuschlag ertheilt werden
Police d’assurance. Rhin et Moselle. N° 81.430, 10 Februar 1880, Dauer Zehn Jahre. Versicherter Wert 20.000 f. Jährlich Prämie 8,80
Fräulein Barbara Wirth wohnhaft in Straßburg, für ihre Rechnung und für diejenige ihres Bruders und ihrer Schwester Karl und Salome Wirth handelnd. Naemlich 1. 12.000 Franken auf ein Wohnhaus in Straßburg, Karpfengaesschen N° 2 gelegen aus Erdgeschoß über gewoelbten Keller, einer Etage und Speicher bestehend
2. 8000 Franken auf ein Gebaeude vom vorhergehenden getrennt, Waschküche und Holzremise enthaltend mit einer Etage und Speicher überbaut
Der Brunnen im Hofe & die Oefen mit ihrer Zubehör welche sich in dem Wohngebäuden befinden sind in der Versicherung inbegriffen. (…)
acp 781 (3 Q 30 496) f° 3-v du 11.9., Bedingnisheft
ibidem f° 22 du 28.9. Versteigerung
Salomé Wirth meurt en laissant pour héritiers son frère et sa sœur.
1887 (22.9.), Strasbourg 8 (139) Gustave Edouard Loew n° 19.313
Inventar auf Ableben des am 7. April 1887 in Straßburg verstorbene, daselbst wohnhaft gewesenen fräuleins Salomé Wirth, großjährig
Heute den 22. September 1887, auf der Amtstube, auf Ersuchen von 1. herrn Karl Wirth, Schiffer und Eigenthümer, 2. fräulein Barbara Wirth, großjährig und ohne Stand, beide einzig mit gleichen Hälften erbberechtigt im Nachlasse ihrer am 7. April 1887 in Straßburg verstorbene Schwester fräulein Salomé Wirth, großjährig daselbst,
Liegenschaft. Ein unabgetheiltes drittel an einem hause mit Erdgeschoß und drei Stockwerken, nebst Seiten- und hintergebäuden, hof und Zugehörden, gelegen zu Straßburg, fischerstaden N° 20, einerseits Wittwe von Jakob Zabern, anderseits die Herren Zix, Tournier und das Karpfengäßchen, wo es Nr 2 und 2-bis trägt, vorn der Staden, hinten die Quergasse, wo es Nr 15 führt, und Herr Tournier.
Im Kataster ist das Anwesen beschrieben Fischerstaden unter Nr 1033, 1033 der Sektion O mit 3 Ar 25 Centiar
Karpfengäßchen unter Nr 1047, 1047.p, 1047.p der Sektion O mit 1 Ar 94 Centiar
Quergasse unter Nr 1049, 1049 der Sektion O mit 90 Centiar, zusammen 6 Ar 09 Centiar.
Eigenthumsnachweis. Das Anwesen war beim Tode gemeinsames Eigenthum der drei Geschwister Wirth. Dieselben haben die Gebäude auf der Stelle zweier häuser errichten lassen, welche bei der Beschießung Straßburgs zerstört waren. Das eine von diesen häusern hatte der Schiffer Jakob Wirth, Schiffer daselbst während der bestandenen Gütergemeinschaft zwischen ihm und seiner vorverstorbenen frau Barbara Kreller von dem Eigenthümer Johann Ludwig Hatt in Straßburg gekauft laut Vertrags vor Notar Keller hierselbst vom 17. Dezember 1838, überschrieben am Hypothenkenamte Straßburg den 24. desselben Monats, Band 341 Nr 104, das andere in seinem Wittwenstande von den Eheleuten Johann Philipp Schott und von der Wittwe und den Erben des Jakob Henninger zu Straßburg auf Grund Vertrags vor Notar Friedrich Grimmer hierselbst vom 12. Juli 1847, überschrieben am Hypothenkenamte Straßburg den 22. des nämlichen Monats, Band 464 Nr 12.
Die Ehefrau Wirth geborne Kraller starb zu Straßburg im Jahre 1846 mit Hinterlassung von fünf Kindern zu einzigen Erben. Unter den letzteren befinden sich die drei Genossen Wirth, während die beiden ander, inzwischen auch mit Tod abgingen, und zwar Johann Jakob Wirth, lediger Schiffer, im Jahre 1849 zu Besançon, und Karoline Wirth, großjährig den 12. Oktober 1859 zu Straßburg. Beide wurden von Ihrem Vater und Geschwistern beerbt wurden. Herr Wirth Vater starb gleichfalls zu Straßburg den 19. Februar 1870 und hinterließ seine drei Eingangs genannten Kinder zu einzigen Erben.
Das durch herrn Hatt verkaufte haus hatte dieser gekauft von den Ehegatten h. Jacques Jonathan Braun und frau Catherine Dorothée Roederer von Brumath laut Vertrags vor Notar Lacombe in Straßburg vom 12. Mai 1821, überschrieben am Hypothekenamte Straßburg den 26. Juni desselben Jahres Band 141 Nr 47.
Das zweite haus hatten die Herren Schott und Henninger ersteigert laut Protokollen des Notars Zimmer in Straßburg vom 28. Januar, 9, 15, und 19. Februar 1839.
acp 793 (3 Q 30 508) f° 31-v n° 2245 du 23.9. (Tab. Bd. 73 Bl. 186 N° 56 – Sterb. Erk. vom 23.9.87 Bd. 154. n° 281) Nachlass. 1) Möbel und Kleidung 1471, 2) Ein ungetheiltes drittel an einem Hause (…), Verfallene Mietzinse 31
Passiva, 1/3 Hypothekenschulden 8097, sonstiges Passiv 214
Charles Wirth et Barbe Wirth hypothèquent la maison au profit du notaire Gustave Edouard Lœw
1887 (22.9.), Strasbourg 10 (220) Frédéric Pierron n° 8786
Schuldverschreibung, 22. Sept. 1887. – sind erschienen 1. Herr Karl Wirth, Schiffer und Eigenthümer, 2. fräulein Barbara Wirth, großjährig und ohne Stand, beide wohnend zu Straßburg, dieselben bekennen hiermit,
an den mitanwesenden, dies annehmenden Herrn Gustav Eduard Loew, kaiserlicher Notar, wohnend in Straßburg, für ihren außer Beisein des beurkundenden Notars gemachte Vorschüsse (…) den betrag zu 2000 Mark zu schulden
Hypothek-Bestellung. Ein Haus mit Erdgeschoß und drei Stockwerken nebst Seiten- und Hintergebäuden, Hof, und Zugehörden, gelegen zu Straßburg, Fischerstaden N° 20, einerseits Wittwe von Jakob Zabern, anderseits die Herren Zix, Tournier und das Karpfengäßchen, wo es Nr 2 und 2-bis trägt, vorn der Staden, hinten die Quergasse, wo es Nr 17 führt, und Herr Tournier. Im Kataster ist das Anwesen beschrieben, Fischerstaden unter Nr 1033, 1033 der Sektion O mit 3 Ar 25 Centiar
Karpfengäßchen unter Nr 1047, 1047.p, 1047.p der Sektion O mit 1 Ar 94 Centiar
Quergasse unter Nr 1049, 1049 der Sektion O mit 90 Centiar, zusammen 6 Ar 09 Centiar.
Eigenthumsnachweis. Das Anwesen gehört den erschienenen Geschwistern Wirth gemeinsam zu gleichen Hälften. Die Gebäude wurden auf der Stelle zweier Häuser errichtet, welche bei der Beschießung Straßburgs 1870 zerstört waren, und welche den Eltern der anwesenden Schuldner, den Eheleuten Jakob Wirth, Schiffer, und Barbara Kreller dahier gehört hatten. Das eine Haus war für die elterliche Gütergemeinschaft gekauft laut Vertrags vor Notar Keller hierselbst vom 17. Dezember 1838, überschrieben am Hypothenkenamte Straßburg den 24. desselben Monats Band 341 Nr 104, von dem Eigenthümer Johann Ludwig Hatt in Straßburg, welcher es laut Vertrags vor Notar Lacombe daselbst vom 12. Mai 1821, überschrieben den 26. Juni desselben Jahres Band 141 Nr 47, von den Ehegatten Jakob Jonathan Braun und Katharina Dorothea Roederer von Brumath gekauft hatten.
Das andere haus hatte herr Wirth Vater nach dem Tode seiner Ehefrau laut Urkunde des Notars Friedrich Grimmer hierselbst vom 12. Juli 1847, überschrieben am Hypothenkenamte Straßburg den 22. des nämlichen Monats, Band 464 Nr 12, von den Eheleuten Johann Philipp Schott, sowie der Wittwe und den Erben des Herrn Jakob Henninger zu Straßburg gekauft, und die Herren Schott und Henninger hatten es laut Protokoll des Notars Zimmer in Straßburg vom 28. Januar, 9, 15, und 19. Februar 1839 ersteigert.
Nach und nach ging das Gesamtanwesen im Erbwege ins Alleineigenthum der zwei anwesenden Schuldner über. Es starb nämlich ihre Mutter im Jahre 1846 und wurde von fünf Kindern aus der Ehe mit ihrem genannten Mann beerbt. 1849 starb eines dieser Kinder, der ledige Schiffer Johann Jakob Wirth in Besançon, den Vater und die vier Geschwister zu Erben hinterlassend, am 12. Oktober 1859 starb in Straßburg ein zweites Kind, die ledige Karoline Wirth, und hinterließ als Erben den Vater und die drei Geschwister, am 19. Februar 1878 starb der Vater mit Hinterlassung seiner drei überlebenden Kinder zu einzigen Erben, endlich starb am 7. April dieses Jahrs eins von den letztern, die ledige Salome Wirth in Straßburg, und wurde von ihren zwei anweseden Geschwistern ausschließlich beerbt.
Hypothekenbelastung (…) zusammen 24.000
Personenstand. Es erklären die Schuldner daß herr Wirth nicht wieder verheiratheter Wittwer von der verlebten frau Salome Steinbach, daß fräulein Wirth noch ledig ist, daß sie beide keine Vormundschaft oder sonst ein Amt mit gesetzlicher Hypothek geführt haben, ausgenommen die Vormundschaft des herrn Wirth über seine fünf Kinder, Namens 1. frau Eugénie Caroline Wirth, Gattin des Gerichtsschreibers Herrn Huvé in Berlin, 2. herr Jacques Jean Wirth, Schiffer in Straßburg welch beide bereits ihr 22. Jahr zurückgelegt haben, ohne ihre gesetzliche Hypothek einschreiben Zu lassen, 3. herr Charles Henri Wirth, Schreiner in Strasbourg geboren den 10. Oktober 1865, 4. fräulein Salome Elise Wirth geboren den 25. Mai 1868, 5. Frédéric Wirth, geboren den 9. Oktober 1870. Das Vermögen der fünf Kinder bestehe (…)
Charles Wirth et ses enfants font dresser la liquidation de la succession de Salomé Steinbach
1888 (19.3.), Strasbourg 8 (142) Gustave Edouard Loew n° 19.861
19. März 1888. Liquidation und Theilung des Nachlasses Salome Steinbach Ehefrau von Karl Wirth, Schiffer
sind erschienen 1. Herr Karl Wirth, Schiffer in Straßburg wohnhaft, handelnd A. eigenen Namens, a) wegen der auf der Errungenschaft beschränkte Gütergemeinschaft welche zwischen ihm und seiner verlebten Ehefrau Salome Steinbach zufolge ihres hiernach erwähnten Ehevertrags bestanden hat, b) wegen den zu seinen Gunsten laut demselben Vertrage gemachten Zuwendungen, c) wegen den Rücknahmen und Ersatzforderungen welche ihm gegen die Gütergemeinschaft zustehen, B. als Vater und gesetzlicher Vormund seiner mit der gedachten Gattin erzeugten minderjährigen Kinder a) Salome Elise Wirth geboren den 25. Mai 1868, b) Frédéric Wirth, geboren den 9. Oktober 1870, c) und Nahmens und als bevollmächtigter des Herrn Julius Heinrich Theodor Huwe, Gerichtsassistent und der Frau Eugénie Caroline geborene Wirth seiner Gattin zusammen zu Boskow an der Spree, Junkerstraße N° 37 wohnhaft (…)
II. des Herrn Jacob Johann Wirth, Schiffer in Straßburg wohnhaft auf Grund einer Vollmacht (…), Herr Carl Heinrich Wirth, Schreiner daselbst wohnhaft und Herr Adolph Oster, Goldschmied in Straßburg wohnhaft handelnd dieser Letztere Namens und als Nebenvormung der oben genannten minderjährigen Salome Elise Wirth und Friedrich Wirth (…) die genannten Frau Huwe, Herren Jakob Johann Wirth und Karl Heinrich Wirth und die zwei minderjährigen Salome Elise und Friedrich Wirth allein erbberechtigt je zu einem Fünftel am Nachlasse ihrer obgenannten Mutter Frau Wirth geborene Salomea Steinbach
acp 800 (3 Q 30 515) f° 38-v n° 4667 du 26.3. Die Theilung umfasst 1. die Gütergemeinschaft Wirth Steinbach
2 den Nachlass der Ehefrau Wirth
3 das Vermögen welches den Kindern Wirth aus dem Nachlasse ihres Oheims Carl August Steinbach ohne Gewerb zu Straßburg verstorben zugefallen ist († 9.9.70)
4 und das Vermögen, welches denselben Kindern im Nachlass ihrer Großmutter Salome Roederer Wittwe des Melkers und Ackergärtners Georg Heinrich Steinbach aus Straßburg anerfallen ist
Vorbemerkungen. Eheleut Wirth Steinbach haben im Ehevertrag vor in Straßburg vom 11 August 1859. die Errungenschaft gemeinschafft angenommen (…) Notar Grimmer (…)
Genannte Salomea Steinbach starb am 12. Januarÿ 1871 und wurde von ihren vorgenannten 5 Kindern beerbt, das Erbverzeichnis ist durch Notar Loew vom 12. Juli 1871 errichtet worden
Wittwe Steinbach geb. Roederer, Großmutter der Kinder Wirth starb zu Straßburg den 23. März 1871 und erhalten die Kinder Wirth in der Theilung vor Notar Loew vom 25. Juli 1871 zugewiesen (…)
Die Gütergemeinschaft umfaßt 1. baares Geld 800, Sparkassenguthaben 67, M 867, Passivmasse beträgt 7885, Passiv überschuß 6937 zu Last des Wittwers
Nachlass der Ehefrau Wirth, 1) Fahrnisgegenstände 1347, 2) seither eingegangenen Forderungen 5591, 3) Preis des Sonderguts der Erblasserin 11.904, 4) Liegenschaften geschätat zu 3794, 5) Ersatzforderung des Nachlasses an die Gemeinschaft 4488, zusammen 27.126 M
dem überlebenden Wittwer steht die lebenslänglich Nutznießung der Hälfte zu mit 13.563 M (…)
Charles Wirth et Barbe Wirth hypothèquent la maison au profit de Julie Hepp, veuve du cordier Charles Kammerer
1890 (20.2.), Strasbourg 8 (151) Gustave Edouard Loew n° 21.786
Obligation, 20 Februar 1890. – sind erschienen 1. herr Karl Wirth, Schiffer und Eigenthümer, und 2. fräulein Barbara Wirth, großjährig und ohne Stand, beide wohnend zu Straßburg, dieselben bekennen hiermit
an die mitanwesende, dieß annehmende Rentnerin frau Henriette Julie Hepp, wohnend in Straßburg, Wittwe des Seilfabrikanten Herrn Karl Kammerer, ein Darlehen von 3000 Mark zu schulden (…)
Hypothek-Bestellung. Ein haus mit Bodengeschoß und drei Stockwerken, nebst Seiten- und hintergebäuden, hof und Zugehörden, gelegen zu Straßburg, Fischerstaden N° 20, einerseits Wittwe von Jakob Zabern, anderseits die Herren Zix, Tournier und das Karpfengäßchen, wo es Nr 2 und 2-bis trägt, vorn der Staden, hinten die Quergasse, wo es Nr 15 führt, und Herr Tournier.
Im Kataster ist das Anwesen beschrieben Fischerstaden unter Nr 1033, 1033 der Sektion O mit 3 Ar 25 Centiar
Karpfengäßchen unter Nr 1047, 1047.p, 1047.p der Sektion O mit 1 Ar 94 Centiar
Quergasse unter Nr 1049, 1049 der Sektion O mit 90 Centiar, zusammen 6 Ar 09 Centiar.
Eigenthumsnachweis. Das Anwesen gehört den erschienenen Geschwistern Wirth gemeinsam zu gleichen Hälften. Die Gebäude wurden auf der Stelle zweier Häuser errichtet, welche bei der Beschießung Straßburgs 1870 zerstört waren und welche den Eltern der anwesenden Schuldner, den Eheleuten Jakob Wirth, Schiffer, und Barbara Kreller dahier, gehört hatten. Das eine Haus war für die elterliche Gütergemeinschaft gekauft laut Vertrags vor Notar Keller hierselbst vom 17. Dezember 1838, überschrieben am Hypothenkenamte Straßburg den 24. desselben Monats, Band 341 Nr 104, von dem Eigenthümer Johann Ludwig Hatt in Straßburg, welcher es laut Vertrags vor Notar Lacombe daselbst vom 12. Mai 1821, überschrieben den 26. Juni desselben Jahres Band 141 Nr 47, von den Ehegatten Jakob Jonathan Braun und Katharina Dorothea Roederer von Brumath gekauft hatten.
Das andere haus hatte herr Wirth Vater nach dem Tode seiner Ehefrau laut Urkunde des Notars Friedrich Grimmer hierselbst vom 12. Juli 1847, überschrieben am Hypothenkenamte Straßburg den 22. des nämlichen Monats, Band 464 Nr 12, von den Eheleuten Johann Philipp Schott sowie der Wittwe und den Erben des Herrn Jakob Henninger zu Straßburg gekauft, und die Herren Schott und Henninger hatten es laut Protokoll des Notars Zimmer in Straßburg vom 28. Januar, 9, 15, und 19. Februar 1839 ersteigert.
Nach und nach ging das Gesamtanwesen im Erbwege ins Alleineigenthum der anwesenden Schuldner über. Es starb nämlich ihre Mutter im Jahre 1846 und wurde von fünf Kindern aus der Ehe mit ihrem genannten Mann beerbt. 1849 starb eines dieser Kinder, der ledige Schiffer Johann Jakob Wirth in Besançon, den Vater und die vier Geschwister zu Erben hinterlassend, am 12. Oktober 1859 starb in Straßburg ein zweites Kind, die ledige Karoline Wirth und hinterließ als Erben den Vater und die drei Geschwister, am 19. Februar 1878 starb der Vater mit Hinterlassung seiner drei überlebenden Kinder zu einzigen Erben, endlich starb am 7. April 1887 Eines von den letztern, die ledige Salome Wirth in Straßburg, und wurde ausweislich ihres von Notar Loew am 22. September nachher aufgenommenen Nachlassinventars von ihren zwei anweseden Geschwistern ausschließlich beerbt.
Hypothekenbelastung (…) zusammen 26.000 M
Personenstand. Es erklären die Schuldner daß herr Wirth nicht wieder verheiratheter Wittwer von der verlebten frau Salome Steinbach, daß fräulein Wirth noch ledig ist, daß sie beide keine Vormundschaft oder sonst ein Amt mit gesetzlicher Hypothek geführt haben, ausgenommen die Vormundschaft des herrn Wirth über seine fünf Kinder, Namens 1. frau Eugenie Karoline Wirth, Gattin des Gerichtsschreibers Herrn Huwe zu Berlin, 2. herrn Jacob Johann Wirth, Schiffer in Straßburg, 3. herrn Karl Heinrich Wirth, Schreiner in Strasbourg, 4. fräulein Salome Elise Wirth, großjährig seit den 25. Mai vorigen Jahres, und 5. Friedrich Wirth, geboren den 9. Oktober 1870. Die gesetzliche Mündelhypothek dieser fünf Kinder sei noch nicht eingeschrieben (…)
Charles Wirth et Barbe Wirth vendent la maison au marchand Gustave Krœly
1892 (22.1.), Strasbourg 8 (162) Gustave Edouard Loew n° 23.847
22 Januar 1892. Kauf – sind erschienen 1. Herr Karl Wirth, Schiffer und Eigenthümer, und 2. Fräulein Barbara Wirth, großjährig und ohne Stand, beide wohnend zu Straßburg, dieselbe verkaufen und überlassen hiemit zu vollem Eigenthum (…)
an den mitanwesenden, dies annehmenden Herrn Gustav Kroely, Kaufmann, wohnend in Straßburg, das nachbeschriebene Anwesen
Beschreibung. Ein Haus mit Erdgeschoß und drei Stockwerken nebst Seiten- und Hintergebäuden, Hof, und Zugehörden, gelegen zu Straßburg, Fischerstaden N° 20, einerseits Wittwe von Jakob Zabern, anderseits die Herren Zix und Tournier und das Karpfengäßchen wo es Nr 2 und 2-bis trägt, vorn der Staden, hinten die Quergasse, wo es Nr 15 führt, und Herr Tournier. Im Kataster ist das Anwesen beschrieben Fischerstaden unter Nr 1033, 1033 der Sektion O mit 3 Ar 25 Centiar
Karpfengäßchen unter Nr 1047, 1047.p, 1047.p der Sektion O mit 1 Ar 94 Centiar
Quergasse unter Nr 1049, 1049 der Sektion O mit 90 Centiar, zusammen 6 Ar 09 Centiar.
Als mitverkauft gelten die im Hause stehenden Öfen nebst Rohren und Steinen, soweit sie den Verkäuffern gehören, ferner ein kupferner Kessel, ein gußeiserner Kessel und die Faßlager. Ein Ofen mit Rohren und Stein im Eßzimmer des Erdgeschosses bleibt jedoch den Verkäufern. (…)
Eigenthumsnachweis. Das Anwesen gehört den beiden Verkäufern gemeinsam zu gleichen Hälften. Die Gebäude wurden auf der Stelle zweier Häuser errichtet, welche bei der Beschießung Straßburgs 1870 zerstört waren und welche ihren Eltern, den Eheleuten Jakob Wirth, Schiffer, und Barbara Kreller dahier gehört hatten. Das eine Haus war für die elterliche Gütergemeinschaft gekauft laut Vertrags vor Notar Keller hierselbst vom 17. Dezember 1838, überschrieben am Hypothenkenamte Straßburg den 24. desselben Monats Band 341 Nr 104, von dem Eigenthümer Johann Ludwig Hatt in Straßburg, welcher es laut Vertrags vor Notar Lacombe daselbst vom 12. Mai 1821, überschrieben am Hypothekenamte Straßburg den 26. Juni desselben Jahres Band 141 Nr 47, von den Ehegatten Jakob Jonathan Braun und Katharina Dorothea Roederer von Brumath gekauft hatten.
Das andere haus hatte herr Wirth Vater nach dem Tode seiner Ehefrau laut Urkunde des Notars Friedrich Grimmer hierselbst vom 12. Juli 1847, überschrieben am Hypothenkenamte Straßburg den 22. des nämlichen Monats, Band 464 Nr 12, von den Eheleuten Johann Philipp Schott sowie der Wittwe und den Erben des Herrn Jakob Henninger zu Straßburg gekauft, und die Herren Schott und Henninger hatten es laut Protokoll des Notars Zimmer in Straßburg vom 28. Januar, 9, 15, und 19. Februar 1839 ersteigert.
Nach und nach ging das Gesamtanwesen im Erbwege ins Alleineigenthum der zwei heutigen Verkäuffer über. Es starb nämlich ihre Mutter im Jahre 1846 und wurde von fünf Kindern aus der Ehe mit ihrem genannten Mann beerbt. 1849 starb eines dieser Kinder, der ledige Schiffer Johann Jakob Wirth in Besançon, den Vater und die vier Geschwister zu Erben hinterlassend, am 12. Oktober 1859 starb in Straßburg ein zweites Kind, die ledige Karoline Wirth und hinterließ als Erben den Vater und die drei Geschwister, am 19. Februar 1878 starb der Vater mit Hinterlassung seiner drei überlebenden Kinder zu einzigen Erben, endlich starb am 7. April 1887 Eines von den letztern, die ledige Salome Wirth in Straßburg, und wurde ausweislich ihres von Notar Loew am 22. September nachher aufgenommenen Nachlassinventars von ihren zwei anweseden Geschwistern ausschließlich beerbt.
Hypothekenbelastung (…) zusammen 29.000 – Kaufpreis 67.000 Mark
acp 853 (3 Q 30 568) f° 28 n° 4639 du 28.1.
Natif de Sainte-Marie-aux-Mines, Gustave Krœly épouse en 1874 Marie Rosalie Philomène Lux, fille du cultivateur et maire de Schnersheim.
Mariage, Schnersheim (n° 1)
Schnersheim den 22. Januar 1874. Heirathsurkunde von Gustave Kroely, geboren zu Markirch den 5. Mai 1849, Kaufmann wohnhaft zu Straßburg, Sohn von Ludwig Kroely alt 59 Jahre, und von † Maria Salome Traber, welche bei ihrem Absterben alt war 46 Jahre, Gattin von Ludwig Kroely zu Strassburg allda verstorben den 17. Juni 1855
und von Maria Rosalia Philomena Lux, geboren zu Schnersheim den 6. September 1844, ohne Beruf, wohnhaft zu Schnersheim eheliche und großjährige Tochter von Johann Michael Lux, alt 68 Jahre, Ackerer und Bürgermeister zu Schnersheim, hier wohnend und einwilligend, und der † Marie Thérèse Klein, welche bei ihrem Absterben alt 38 Jahre zu Schnersheim allda gestorben den 11. Januar 1853 (…)
zufolg Bescheinigung des Notars Kieffer zu Willgottheim dem 11. letzter Dezember 1873 ein Ehevertrag beschlossen sei (i 2)
Gustave Krœly meurt dans sa maison en 1902.
Décès, Strasbourg (n° 3150)
Strassburg am 31. Dezember 1902. Vor dem Standesbeamten erschienen heute der Droguist Marcellus Kroelÿ, wohnhaft zu Strassburg, Fischerstaden 20, und zeigte an, daß der Rentner Gustav Kroelÿ 53 ½ Jahre alt, Katholischer Religion, wohnhaft in Strassburg geboren zu Markirch, Ober Elsass, Ehemann von Marie Rosalie Philomene geborne Lux, Sohn der verstorbenen Eheleute Ludwig Kroelÿ Rentner und Salome geborener Traber zuletzt hier wohnhaft gewesen, zu Straßburg in des Anzeigers Wohnung am 31. Dezember des Jahres 1902 Nachmittags um zwei Uhr gestorben sei (i 277)
Marie Rosalie Philomène Lux et ses trois fils hypothèquent la maison au profit de la société anonyme du Crédit foncier
1908 (28.2.), Adolphe Riff n° 4263
Schuldbrief – I. Maria Rosalie Philomene Lux, hier Fischerstaden 20, Wittwe des Rentners Gustav Kroely
II deren Kinder 1. Georg Heinrich Kroely, Generalagent hier Schwendistraße N° 20. 2. Marzellus Joseph Kroely, Automobilhändler hier, Fischerstaden 20, 3. Maria Ludwig René Kroely, Automobilhändler ebenda
zu Gunsten Bodenkredit A.G. hier über 15.000 M.
Pfand, Haus hier Fischerstaden N° 20
acp 1077 (3 Q 30 792. I) f° 73 n° 3103 du 9.3.
Les mêmes hypothèquent la maison au profit du rentier Joseph Lippmann
1908 (26.10.), Adolphe Riff n° 5270
Schuldbrief – 1. Maria Rosalie geb. Lux Wittwe Gustav Kroely Fischerstaden 20
2. Georg Heinrich Kroely, Generalagent hier Schwendistr. 20. 3. Marcellus Kroely, Automobilhändler hier Fischerstaden 20, 4. Maria Ludwig Rene Kroely, Automobilhändler allda
zu Gunsten Joseph Lippmann Rentner hier Kaiser Wilhelmstr. 7. über ein bares Darlehen von M. 25.000
Pfand, Anwesen hier Karpfengäßchen N° 2
Fischerstaden N° 20 & Quergasse N° 15
acp 1086 (3 Q 30 801. I) f° 6 du 4.11.
Marie Rosalie Philomène Lux meurt dans sa maison en 1926.
Décès, Strasbourg (n° 925)
Le 7 avril 1926 à 21 heures est décédée en son domicile 20, quai des Pêcheurs Marie Rosalie Philomène Lux, née à Schnersheim (Bas-Rhin) le 6 septembre 1844, fille de Jean Michel Lux et de Thérèse Klein, décédés, veuve de Gustave Kroely. Dressé le 8 avril 1926 à huit heures sur la déclaration de Henri Kroehly, 48 ans, gérant, fils de la défunte, domicilié en cette commune, 20, rue Schwendi (im 236)
La maison revient à ses fils Marcel Joseph et Marie Louis René Krœly, marchands d’automobiles
Marcel Joseph Krœly épouse en 1910 Marie Thérèse Schwartz, fille du charcutier Georges Auguste Schwartz
Mariage, Strasbourg (n° 1289)
Strassburg am 12. November 1910. Vor dem Standesbeamten erschienen heute zum Zwecke der Eheschließung 1. der Kaufmann Marcellus Joseph Kroely, katholischer Religion geboren am 19. Mai des Jahres 1882 zu Strassburg, wohnhaft in Strassburg Fischerstaden 20, Sohn des verstorbenen Kaufmanns Gustav Kroely, zuletzt wohnhaft zu Straßburg, und seiner Ehefrau Marie Rosalie Philomene geborene Lux, wohnhaft in Strassburg
2. die Maria Theresia Schwartz, ohne Beruf, katholischer Religion, geboren am 29. October des Jahres 1886 zu Strassburg, wohnhaft in Strassburg Goldschmiedgasse 16, Tochter des verstorbenen Wurstlermeisters Georg August Schwartz zuletzt wohnhaft in Strassburg und seiner Ehefrau Julie geborenen Kränner in Strassburg (i 105)