26, place Kleber


Place Kleber n° 26 – IV 449 (Blondel), N 737 puis section 61 parcelle 12 (cadastre)

Restaurant (1866), à l’enseigne Restaurant de la place Kleber (1906) puis American Bar (1907), réuni au n° 25, Grande Brasserie de Dombasle-Nancy (1925)
Démolie en 1936


Le n° 26 à droite, enseigne American Bar (vers 1930, AMS cote 1 Fi 26)
Vue en août 2024. Le n° 26 se trouvait à la jonction du bâtiment au crépi rose et du suivant en décrochement

La maison est inscrite dans le Livre des communaux (1587) au nom du chirurgien Balthasar Heilig qui est autorisé l’année suivante à façonner du bois place des Cordeliers, sans doute pour y faire des travaux. Il la vend en 1593 au tonnelier Pierre Ermelhauss qui la conserve jusqu’à sa mort en 1636. Le brasseur au Soleil Jean Kelterer en est propriétaire pendant vingt ans (1637-1657), le cordonnier Jean Georges Bernegger pendant plus de vingt ans (1668-1690). Le chaudronnier Jean Frédéric Zeyssolff qui y établit son atelier y fait sans doute des travaux puisque la valeur vénale passe de 750 à 1 000 livres de 1702 à 1726. Le sellier Vincent Gayneau y établit son atelier (1738-1752). Sa part d’immeuble est vendue par adjudication judiciaire à Michel Georger qui rachète les parts de ses enfants.


La maison se trouve à l’extrémité droite de l’alignement, Plan-relief de 1727 (Musée historique, cliché Thierry Hatt)

Elévations préparatoires au plan-relief de 1830, îlot 139 (Musée des Plans-relief) 1

L’Atlas des alignements (années 1820) mentionne un bâtiment à rez-de-chaussée et deux étages en maçonnerie. Sur les élévations préparatoires au plan-relief de 1830, la façade vers la place est à gauche du repère (g) : porte et deux arcades au rez-de-chaussée, trois fenêtres au premier étage et deux au second, toiture à trois niveaux de lucarnes. La façade rue du Coin Brûlé est la deuxième à droite de (k) : porte et fenêtre en arcade au rez-de-chaussée, deux étages à deux fenêtres chacun, toiture à trois niveaux de lucarnes.
La maison porte d’abord le n° 30 (1784-1857) puis le n° 26.


Devanture place Kleber (1886) – Devanture rue du Coin-Brûlé (1906) – Plan du rez-de-chaussée (dossier de la Police du Bâtiment)

Les héritiers Georger vendent en 1840 l’immeuble à leurs voisins de droite Salomon Schwartz et Jacques Schwartz. L’aubergiste Marc Nerson prend à bail (1866) la maison que sa fille Frédérique Nerson, veuve du coiffeur Joseph Baum, achète en 1886. Elle fait faire une devanture en supprimant le vestibule vers la place. Abraham Kahn (1899-1906) puis Ernest Müller exploitent le restaurant dont ils sont propriétaires. L’enseigne Restaurant de la place Kleber (Restaurant zum Kleberplatz) devient American Bar (1907). La Ville de Strasbourg cède en 1901 par voie d’alignement à Abraham Kahn un terrain de 15,8 mètres carrés. Joseph Fournaise est le dernier exploitant avant que la maison soit réunie à sa voisine vers l’est dont l’enseigne est à partir de 1925 Grande Brasserie de Dombasle-Nancy. La maison est démolie en 1936.


Le n° 25 (Hôtel de Mulhouse) et le n° 26 (American Bar) vers 1920 (détail d’une photographie de Lucien Blumer, AMS cote 8 Z 3330)
Ecran devant l’emplacement des n° 25 et 26, vers 1938 (AMS, cote 1 Fi 146)

août 2024

Sommaire
CadastrePolice du BâtimentRelevé d’actes

Récapitulatif des propriétaires

La liste ci-dessous donne tous les propriétaires de 1587 à 1952. La propriété change par vente (v), par héritage ou cession de parts (h) ou encore par adjudication (adj). L’étoile (*) signale une date approximative de mutation.

Balthasar Heilig, chirurgien, et Madeleine († 1611) – luthériens
1593 v Pierre Ermelhauss, tonnelier, et (1588) Judith Mauler, veuve du tonnelier Thiébaut Burger, puis (1623) Eve Hammerer – luthériens
1637 v Jean Kelterer, tonnelier, et (1616) Anne Walch d’abord femme du potier Ulric Scheffer de Sélestat puis (1589) du tonnelier Kilian Odenmann, (1639) Ursule Lamp, d’abord (1626) femme d’Emmanuel Frœlich puis (1628) du marchand de bois Jonas Lutz, (1652) Jacqueline Wendrumm, d’abord femme du sellier Conrad Kesselmeyer (1617), du tonnelier Georges Thomann (1636) et du marchand Jean Wilhelm (1643) – luthériens
1657 v Jean Horb, docteur en médecine, et (1634) Marie Susanne Renger – luthériens
1668 v Jean Georges Bernegger, cordonnier, et (1644) Marie Daudel, puis (1675) Annne Chrétienne Klein, d’abord (1646) femme du marchand drapier Jean Adam Bott puis (1664) du tonnelier Jean Jacques Schweinlin – luthériens
1697* h Jean Georges Gerlach, cordonnier, et (1690) Susanne Bernegger d’abord (1673) femme du cordonnier Jean Jacques von Auenheim – luthériens
1698 h Jean Thierry Schlehenacker, brasseur, et (1682) Marie Madeleine Schmidt, (1694) Marie Barbe Vogt puis (1704) Marie Dorothée Milius, d’abord (1692) femme du notaire Jean Daniel Scherer – luthériens
1701 v Jean Frédéric Zeyssolff, chaudronnier, et (1695) Chrétienne Félicité Keck – luthériens
1726 h Jean Frédéric Zeyssolff, chaudronnier, et (1722) Marie Madeleine Schrœder – luthériens
1726 v Jean Baptiste Hœgel, enseignant, et (1726) Rosine Schillinger, d’abord (1704) femme de Simon Rolle – catholiques
1736 h Vincent Gayneau, sellier, et (1738) Marie Rosine Rolle puis (1752) Marie Françoise Scheitel – catholiques
1763 v Jean Michel Georger, sellier, et (1751) Marie Marthe Holdermann – catholiques
1772 h François (Antoine) Rieth, sellier, et (1772) Marie Marthe Holdermann veuve du sellier Jean Michel Georger, puis (1802) Catherine Barbe Brunck – catholiques
1802 h François Michel Georger, garde magasin, et (1798) Thérèse Ritter
1833* h François Jérôme Edouard Georger, tapissier, et (1833) Marie Weyer
1840 v (copropriétaires) Salomon Schwartz, marchand quincaillier, et (1794) Reiss Levy ensuite Claire Levy
Jacques Schwartz, raffineur d’or, et (1818) Jeanne Offenbach
1863 h Léon Schwartz, joaillier, et (1848) Babette dite Jeannette Altschul
1886 v Joseph Baum, coiffeur, et (1868) Frédérique Nerson, remariée (1892) avec le maître d’école Nephtali Levy, veuf de Mathilde Trabbel
1899 v Abraham Kahn, restaurateur, et (1892) Caroline Levy
1906 v Ernest Müller, restaurateur, et Antoinette Hessing
1921* v Joseph Fournaise, restaurateur, et (1907) Amélie Fega
1925* v Société Immobilière Lorraine, société anonyme à Paris
1938* v Société Immobilière de la Place Kléber, s.à r.l.

Valeur de la maison selon les billets d’estimation : 317 livres en 1691, 950 livres en 1722, 900 livres en 1751, 800 livres en 1771

(1765, Liste Blondel) IV 449, Michel Görger
(Etat du développement des façades des maisons, AMS cote V 61) Rieth, 6 toises, 0 pied et 2 pouces
(1843, Tableau indicatif du cadastre) N 737, Goerger, Michel, veuve – maison, sol – 0,75 are / Schwartz Salomon 2/3 et Jacques 1/3

Locations

1686, Jean Philippe Redslob, cordonnier, et David Hœlbé, aubergiste
1690 (cave), Georges Eydgenoss, boulanger
1695 (cave), Thierry Schlehenacker, brasseur
1695, Jean Frédéric Simon, fondeur de pichets
1866, Marc Nerson, aubergiste

Livres des communaux

1587, Livre des communaux (VII 145) f° 171-v
Le chirurgien Balthasar Hailig règle 2 sols 4 deniers pour sa maison, à savoir une porte de cave ouverte (6 pieds 3 pouces de large, saillie de 2 pieds) un soupirail incliné (2 pieds 4 pouces de long, saillie de 15 pouces)

Barfüesser Platz
Balthasar Heilig der Wundartzt oder Steinschneÿder daselbsten, hatt ein offene Kellerthüer vj schu iij zoll breit, vnd ij schu herauß, Ein ligend Kellerfenster ij schu iiij Zoll lang, Vnd xv Zoll herauß, Bessert für das Niessen, ij ß iiij d

Préposés au bâtiment (Bauherren)

1588, Préposés au bâtiment (VII 1304)
Le chirurgien Balthasar Heilig est autorisé à poser et à façonner 300 pièces de bois place des Cordeliers

(f° 214-v) Sambstag den 9.t Novembris – Platz vff dem Barfüßerplatz
Balthasar Hellig der Steinschneider begert Zu 300 stuck bawholtz Im Platz Zugeben vff dem Barfüßerplatz Zu Zÿmern, Ist Im bewilligt doch d. geschmeÿdig* Zusammen Zulegen.

Description de la maison

  • 1722 (billet d’estimation traduit) La maison comprend plusieurs poêles, chambres, cuisines, vestibules, un atelier où se trouve un creuset de chaudronnier, estimée avec toutes appartenances et dépendances à la somme de 1900 florins
  • 1752 (billet d’estimation traduit) La maison comprend au rez-de-chaussée une boutique de sellier derrière laquelle se trouve un petit poêle, au premier étage un poêle, alcôve, dépense, cuisine et vestibule, au deuxième aussi un poêle, alcôve, dépense, cuisine et vestibule, le comble qui renferme des chambres cloisonnées a une double couverture de tuiles plates, la cave est en partie voûtée en partie solivée, le tout estimé avec appartenances et dépendances à la somme de 1800 florins

Atlas des alignements (cote 1197 W 37)

2° arrondissement ou Canton nord – Place d’Armes

nouveau N° / ancien N° : 57 / 30
Goerger
Rez de chaussée et 2 étages médiocres en maçonnerie
(Légende)

Cadastre

Cadastre napoléonien, registre 21 f° 209 case 1

Schwartz Salomon à Strasbourg

N 737 2/3, maison, sol, place d’armes 30
Contenance : 0,30
Revenu total : 96,26 (96 et 0,26)
Folio de provenance :
Folio de destination : 209
Année d’entrée :
Année de sortie : 1857
Ouvertures, portes cochères, charretières :
portes et fenêtres ordinaires : 9 1/3
fenêtres du 3° et au-dessus :, 2 2/3

Cadastre napoléonien, registre 21 f° 209 case 2

Schwartz Jacques à Strasbourg

N 737 1/3, maison, sol, place d’armes 30
Contenance : 0,30
Revenu total : 48,13 (48 et 0,13
Folio de provenance : 209
Année d’entrée :
Année de sortie : 1857
Ouvertures, portes cochères, charretières :
portes et fenêtres ordinaires : 4 2/3
fenêtres du 3° et au-dessus : 1 1/3

N 737, maison, sol, place d’armes 30
Contenance : 0,30
Revenu total : 96 et 0,26 (total 96 et 48 – 0,50 et 0,25)
Folio de provenance : 209
Année d’entrée : 1857
Année de sortie :
Ouvertures, portes cochères, charretières :
portes et fenêtres ordinaires : 4
fenêtres du 3° et au-dessus : 1

Cadastre napoléonien, 23 f° 1060 case 1

Schwartz Jacques
1865 Schwartz Léon, bijoutier, changeur, banquier
1887/88 Baum Josef Wittwe geb. Nerson
1900 Kahn, Abraham, Restaurateur und Ehefrau Karoline geb. Levy in Gg.
1907, 2395 Müller Ernst, Restaurateur in Hagenau

N 737.p, Maison, sol, Place Kleber 26
Contenance : 0,25
Revenu total : 144,39 (48 et 96, 0,25 et 0,50)
Folio de provenance : (209)
Folio de destination : Gb
Ouvertures, portes cochères, charretières :
portes et fenêtres ordinaires : 4 2/3
fenêtres du 3° et au-dessus : 1 1/3

N 737.p, Maison, sol, Place Kleber 26
Contenance : 0,50
Revenu total : 96
Folio de provenance : (209)
Folio de destination : Gb
Ouvertures, portes cochères, charretières :
portes et fenêtres ordinaires : 9 1/3
fenêtres du 3° et au-dessus :, 2 2/3

N 1338, Hf
Contenance : 0,16
Revenu total : 96
Folio de provenance : von Straße
Année d’entrée : 1902

Cadastre allemand, registre 32 page 417 case 2

Parcelle, section 61, n°12 – autrefois N 727 – 2418, 1669, 665
Canton : Kleberplatz Hs. N° 36 / Place Kléber / Karl-Roos-Platz / Place Kléber
Désignation : Hf, Whs u. N.G.
Contenance : 0,96 – 0,80 – 0,96
Revenu : 1100 – 1900 – 4000 – 2800 / Reinertrag 4,80
Remarques : B.U. 1907. 197 – 1915 Vereinigt – 1916 Minderung – 1936 démolit. – 1944 Veranlg.

(Propriétaire), compte 2999
Müller Ernst
1921 Fournaise Joseph restaurateur épouse Amélie née Fega et copropriétaires
1925 Société Immobilière Loraine, société anonyme à Paris
1938 Société Immobilière de la Place Kléber, société à r.l.
(464)

Cadastre allemand, registre 32 page 417 case 2 bis

Parcelle, section 61, n°12 bis – autrefois 1338
Canton : Kleberplatz Hs. N° 36
Désignation : Hf
Contenance : 0,16
Revenu :
Remarques :

(Propriétaire), compte 2999
(voir ci-dessus)

1789, Etat des habitants (cote 5 R 26)

Canton IV, Rue 98 Place d’Armes (p. 159)

30
Prop. Riett, François Antoine, sellier – Tanneurs

Annuaire de 1905

Verzeichnis sämtlicher Häuser von Strassburg und ihrer Bewohner, in alphabetischer Reihenfolge der Strassennamen (Répertoire de toutes les maisons de Strasbourg et de leurs habitants, par ordre alphabétique des rues)
Abréviations : 0, 1,2, etc. : rez de chaussée, 1, 2° étage – E, Eigentümer (propriétaire) – H. Hinterhaus (bâtiment arrière)

Kleberplatz (Seite 79)

(Haus Nr.) 26
Kahn, Restaur. E 01
Hirschfeld, Kaufmann. 2

Annuaire de 1884 (p. 45, i 166), Nerson, Restaur. E.
Annuaire de 1890 (p. 83, i 261), Baum, Weinwirtsch. E 01
Annuaire de 1899 (p. 68, i 268), Kahn, Restaur. E 123
Annuaire de 1907 (p. 96, i 339), Müller, E. Wirt, Restaurt. zum Kleberplatz E 01
Annuaire de 1909 (p. 101, i 344), Müller, E. Wirt, Restaurt. zum Kleberplatz E
Annuaire de 1911 (p. 102, i 353), Müller, E. Wirt, American Bar E
Annuaire de 1914 (p. 102, i 335), Müller, E. Wirt, American Bar E
Annuaire de 1920 (p. 147, i 76), Fournaise J, American Bar 012
Annuaire de 1923 (p. 171, i 99), Fournaise Jos, propriétaire, Américain Bar
Annuaire de 1925 (p. 161, i 94), (n° 25) Grande Brasserie de Dombasle-Nancy

Dossier de la Police du Bâtiment (cote 727 W 58)

Place Kléber n° 26 (1886-1919, 1946) La suite du dossier (1946-1980) a trait au n° 28.

La veuve Baum charge en 1886 l’entrepreneur Théodore Wagner de faire une devanture en supprimant le vestibule vers la place. Le propriétaire Kahn déclare en 1901 que les travaux de canalisation ont provoqué des fissures qui paraissent cependant anciennes. Louis Ulrich est autorisé en 1905 à continuer d’exploiter le débit de boissons après des travaux qui ont amélioré l’état de la maison. Il convertit la même année une fenêtre en porte rue du Coin Brûlé et y agrandit la devanture. Le débit de boissons est repris par Bohn en 1906. Le nouveau propriétaire Ernest Müller fait réparer la cheminée en 1907. Le voisin Arnold (à la Ville de Mulhouse) se plaint de la fissure dans le pignon qui le sépare de l’American Bar. Le cafetier Ernest Müller fait poser six plaques publicitaires en 1912. Amélie Fega, femme de Joseph Fournaise, demande en 1919 l’autorisation d’exploiter un débit de boissons. Les entrepreneurs Sigel Frères repeignent la même année la façade de l’American Bar.

Sommaire
  • 1886 – L’entrepreneur Th. Wagner demande au nom de la veuve Baum de faire une devanture au 26, place Kleber selon le dessin joint – Note en marge, le vestibule peut être supprimé puisque la maison est habitée par une seule famille et qu’elle donne dans deux rues, la place Kleber et la rue du Coin Brûlé. – L’entrepreneur Th. Wagner (14, rue des Livres) est autorisé à transformer la façade du rez-de-chaussée – La démolition est commencée, juillet 1886. Le revêtement de la devanture et les soupiraux sont terminés. L’entablement empiète de 34 centimètres sur la voie publique, juillet 1886 – Dessin
  • 1886 – Le maire notifie Henriette Nersohn née Meyer (corrigé en veuve Baum) de faire ravaler la façade. La veuve Meyer répond que Th. Wagner fait des travaux dans le caveau appartenant à la veuve Baum.
    L’entrepreneur Th. Wagner demande l’autorisation de réparer et de repeindre le crépi – Autorisation
  • 1901 –Dossier ouvert suite à un courrier du maire. Le propriétaire A. Kahn déclare que sa maison s’affaisse à cause des travaux de canalisation – La Police du Bâtiment visite la maison. Les fissures sont anciennes. Le bâtiment ne court pas de risque – Rapport de visite. On pose des bandes plâtrées sur les fissures. Les petites fissures sur le nouveau crépi son dues au crépi lui-même. On n’observe pas de nouvel affaissement – Le dossier est classé
  • 1905 – Dossier ouvert suite à un courrier de la Division II. Louis Ulrich demande l’autorisation de continuer à exploiter le débit de boissons. Les transformations des salles de débit et des cabinets d’aisance ont amélioré l’état général. La hauteur des pièces au rez-de-chaussée est de 2,93 mètres, au premier étage de 2,25 mètres et au deuxième étage de 2,15 mètres. Conditions à respecter pour continuer l’exploitation, revêtir l’escalier de plâtre (ignifuge) pour que les deux chambres à coucher des étages puissent être louées à des hôtes, terminer d’aménager les cabinet d’aisance.
    1905 – L’entrepreneur Louis Ulrich (11, place du Marché aux Cochons de lait) demande l’autorisation de transformer la maison (agrandir la devanture rue du Coin Brûlé et y convertir une fenêtre en porte, poser une cloison entre le vestibule et la salle) – Autorisation – Dessin – Droits réglés pour une nouvelle porte vers la rue, la devanture transformée et un nouveau soupirail – Louis Ulrich déclare que la cage d’escalier ne sera pas en maçonnerie parce que le plafond de la cave est fait de poutres en bois. L’architecte municipal Nebelung répond en émettant un avis favorable. – Extrait du plan cadastral – Le maire demande à l’entrepreneur de fournir un dessin et un calcul statique – Calcul statique. – Avenant, juillet 1905 – Travaux terminés, août 1905 – Plan du premier étage
  • 1906 – Dossier. Le sieur Bohn demande l’autorisation d’exploiter un débit de boissons – Rapport de l’architecte municipal Nebelung. Les locaux très étroits se prêtent mal au débit de boissons. Le fourneau et la cheminée ne satisfont pas aux prescriptions. Comme la maison a déjà servi de débit et qu’elle a été notablement améliorée, l’autorisation pourra être accordée sous quatre conditions
    L’aubergiste Louis Ulrich demande de surseoir à la transformation de la cheminée. Il supprime les fourneaux au rez-de-chaussée et à l’étage. Si les travaux ne sont pas faits avant l’hiver, il posera des fourneaux à gaz.
    1906 (mai) – La menuiserie proche du fourneau de la cuisine n’est pas encore revêtue de plâtre
    1905 (novembre) – Ernest Müller est le nouveau propriétaire – Il demande une expertise qui montre que les travaux sont impossibles sans percer la voûte du sous-sol. La Police du Bâtiment déclare que la cheminée peut s’appuyer sur le pignon. – La cheminée est terminée, janvier 1907.
  • 1907 – Chr. Arnold de Bischwiller (enseigne à la Ville de Mulhouse) se plaint que son voisin (American Bar) a fait faire une cheminée sans paroi dont la fumée noircit ses murs – La Police du Bâtiment constate qu’il y a une grande fissure dans le pignon entre les deux maisons. Elle demande à Arnold de colmater la fissure et au propriétaire du n° 26 (Müller) de faire vérifier sa cheminée au deuxième étage (salle de bains). – La vérification a été faite, le dossier est classé, janvier 1908.
  • 1912 – Le cafetier Ernest Müller demande l’autorisation de poser six enseignes plates, sans saillie (plaques publicitaires). Dessin (Fyne Hollandsche Likeuren van Enst & Co. – Autorisation – Les enseignes sont posées
  • 1913 – Dossier suite à un courrier du commissaire de police. Ernest Müller (American Bar) demande l’autorisation de poser une enseigne. Une enseigne plate a été transformée en enseigne lumineuse – Autorisation
  • 1919 – Dossier suite à un courrier du commissaire de police. Amélie Fega, femme de Joseph Fournaise, demande l’autorisation d’exploiter un débit de boissons – Les locaux satisfont aux prescriptions ministérielles du 24 mars 1890, sauf la hauteur de la salle au rez-de-chaussée qui a entre 2,93 et 2,25 mètres de haut au lieu de 3,50 à 2,80 mètres.
  • 1919 – Les entrepreneurs Sigel Frères (rue des Juifs) demandent l’autorisation de poser un échafaudage sur la voie publique pour repeindre la façade de l’American Bar. – Accord. Travaux terminés, octobre 1919
  • 1946 – Courrier de la Division VI à la Division I, courrier du maire à l’UNC – L’Union Nationale des Combattants demande un emplacement pour construire un baraquement. Le terrain entre le Café de France et la banque Schwartz appartient à la Brasserie de Phalsbourg.

Relevé d’actes

La maison est inscrite au nom du chirurgien Balthasar Heilig dans le Livre des communaux (1587).

Originaire de Lindau, le chirurgien Balthasar Heilig achète le droit de bourgeoisie le 12 juin 1578 en s’inscrivant à la tribu de la Lanterne
1578, 3° Livre de bourgeoisie (4 R 105) p. 299
Balthasar Heilig von Lindaw brech od. steinschneid. hatt das burgkrecht kaufft und dinet Zur Lucernen, Eod. die [12. Junÿ 78]

Baptême d’un enfant de Balthasar Heilig et de sa femme Madeleine
Baptême, Saint-Pierre-le-Jeune (luth. p. 100)
1579. An Zinstag vor Festum paschatis. P. Balthasar Heilig steinschneider, M. Magdalena, I. Anna Maria, Compatres Ulricus Marbacus sun, Maria, Matthis deckers des scherers fraw, Martha N des schaffners fraw Zu Obernh. (i 55)

1589 Conseillers et XXI (1 R 66) Balthasar Heÿlig vmb abforderung am geistlichen Gericht. 98. 129. [wegen Costgelts]
1592 Conseillers et XXI (1 R 70) Balthasar Heilig pt° schwägerin zu Oberkirch. 54.

Balthasar Heilig qui a épouse la veuve du greffier de la ville d’Oberkirch demande que sa femme soit relevée de son droit de bourgeoisie. L’évêque de Strasbourg objecte que les dettes doivent avoir été préalablement réglées.
1590, Conseillers et XXI (1 R 67)
Balthasar Heylig der Schneidartzt. 466. 589.
(f° 466) XXVI Augusti – Balthasar Heÿlig – Bedacht
Balthasar Heÿlig der Schneidt artzt vbergigt p. H. Greiß ein spllôn darinnen er erzehlt wie er sich mitt des geweßenen Stattschreibers hinderlaßenen wittib zu Oberkirch ehelich verheurat, Sich auch mitt maniglich. daselbst ehelich verglich. allein er will sÿe der Ambtman zuver burgeren dawil* sÿe In frembde ortt geheurat recht erlassen, Sÿe hab sich dan Zuuor mitt dem Bischoff derweg. Verglich. Bitt also Im fürschrifft an den Bischoff Zuertheÿlen damitt sye des burgerrechtens erlassen werd. Erkandt, Man soll solches auß suchnlich* bedenck. das er Mh. mag vffs best f*ge* werden, H Hans von Hohenburg, H. Teurer, H W* H Tenes Zeugnus ahn

(f° 589-v) IX Novembris – Balthasar Heÿlig
Balthasar Heÿlig des Schneidtartztes suppliôn vmb erledigung seines haußfrauwen burgerrechtens so den 26. aug: für mein Hn kommen gelegen darauff H hans Richels vnd Hn Theüerers bedencken so sie mit beed. herrn aduocat. bedencken gefaßt. referiren darauf beruhend, wie das ungeselt schreiben, Wie wol Missivs A sub dato huius gelassen. Erkant Ist das bedencken vnd vngeselten schreiben geuolgt, vnd soll dem supplicant angezeigt werd. das schreiben hin Zuschaffen.

1591 Conseillers et XXI (1 R 68)
Balthasar Heilig des Steinschneider creditoren zu Oberkirch (Bischoffs schreiben). 75. Balthasar Heilig der Schneidartzt. 108.
(f° 75-v) XXVII Februarÿ – Balthasar Heÿlig – Conservatores
Bischoff Zu Straßburg schreibt vnd gibt antwort vff ein schreÿben wegen Balthasar Heÿligen den Steinschneid. an Ihro außgang, Ihr nharung Zu Oberkirch betreffend, vnd d. er leichtlich vermutten Können das die sachen seinem fürbring. noch nichr geschafft. sein werden, hab er dem Amptman darüber gehört, der thu dieß bericht d. er Ihne Heÿlig nicht allein s. deg.* publicirten eheordnung sonder auch deßen bericht d er sie die fraw des burgerrechtens nicht werde entschlagen können, d. sie sich wid Landtsordnyung v.heurhat, derwegen sie ein freuel v.würcket den sie Zuuorderst abzurichten, erbeutt sich doch das er sie des burgerechtens relassen wöll, wan er angelob allen denen so ansprach an sein frauw haben vnd seinen stab Active & passiue rechtens Zusein beschwerdt sich sonsten abermalen d man Ihme vest Zu allen schreib. seinen Reverß d. es dem vertrag Zuwuder. Erkandt, Man solls mit den Rechtsgelehrten bedencken. Ist den H. Conservatoribus geuohlen.
(f° 108-v) XVII Martÿ – Balthasar Heÿlig

Les Quinze ordonnent qu’on leur remette l’inventaire dressé après la mort de Balthasar Heilig
1611, Protocole des Quinze (2 R 39) Balthasar Heiligen Inventarium. 202.
(f° 202) Sambstag den 3. Augusti – daß mann Diebold Branden wie vor dießem erkant vnd Balthasar Heÿligen Inventarium solte Zur hand pringen
1611 Conseillers et XXI (1 R 90) Andres Baur Müller Knecht contra Balthasar Heylig wittib. 69. 70.

Balthasar Heilig vend la maison au tonnelier Pierre Ermelhauss

1593 (vts [8. Junÿ]), Chancellerie, vol. 286 (Registranda Kügler) f° 190-v
Erschienen Balthazar heÿlig der S S Schnydartzt hat für sich verkaufft
dem Erbaren Peter Ermelhuß Khüffern burg.
huß vnd hoffestatt m. all. Iren gebeu glg. In der S S vff d Barfusserblatz einseit neben (-) Bubenhoffers selig. erben die and seyt neben Balthazar Huldrich d. Notario stoßend hind. vff das Brandtend, Dauon gnd Vier gold gld vff Viti v Modesti ablosig mit 100 guld. SW d Closter Fr. Zu den Rewerin, Mehr fünffthalb guld. gelt vff Johannis Baptistæ Std In hauptgut 100 guld SW h Caspar Nesseln, It. 20 dritthalb guld glts vff d heÿlig. wÿhnacht tag losig m. 455 guld SW wÿland David Burger Zu S selig erb. Sunst frey ledig eÿg, der khouff vber solche beschwerd. für 350 guld.

Le tonnelier Pierre Ermelhauss épouse en 1588 Judith, veuve du tonnelier Thiébaut Burger
Mariage, Saint-Pierre-le-Vieux (luth. f° 7 n° 42)
1588. 2. Septemb. [à corriger en Octob.] Peter Ermelhaus Kieffer Judith Diebolt Burgers Verlasne Wittwe (i 9)

Le tonnelier Pierre Ermelhauss devient bourgeois par sa femme Judith Müller, veuve du tonnelier Thiébaut Burger, un mois et demie après son mariage
1588, 2° Livre de bourgeoisie (4 R 104) p. 608
Peter Ermelhauß ein Küeffer Hatt das Burgkrecht empfang. von Juditt Müllerin, Weÿland Diebold Burgers deß Küeffers selig. wittibin vnnd will Zue den Küeffern dienen Actum 23. Nouemb. A° & 88.

Judith, fille de Wendelin Mauler d’Ottenwald, femme du tonnelier Pierre Ermelhauss, fait son testament prar lequel elle fait différents legs et nomme pour ses héritiers les enfants du tonnelier André Junth
1591 (30.3.), Chancellerie, vol. 277 (Registranda Instrumentorum publicorum de Annis 1591-1598) f° 127
Zuwißen das vff Donnerstag den xxx tag Martÿ Anno 1596 des wenigern Zal Vor mir Notario v erbettenen gezeugen alle hernachbemelt persönlich erschienen Ist die Erbar Fraw Judith weÿland Wendling Muler Zu Ottenwald selig dochter, Peter Ermelshuß des Khüffers und burgers Zu Straßburg eheliche hußfr. und von d. gnad. Gottes gesundes leybs. (…)
Ir baß Christine Barthell herber des Schnÿders ehegemahell (…)
Nach dem sie auch von den Jenig. Iren erb. so bemelt. Fr. Judith Ir leben lang vonn h. Diebold burgers Irem eheren hußwurth selig. Zunießen gehapt (…)
Item Ferner verschafft die bemelter Christine auch Agneßen Junthin Hanns Isen des alten gartners hußfrauwen, Item Elizabeth Junthin Michell Thümlers des Schnyders hußfrouw, So dann Judithen Junthin Andres Remers des Statt schossers ehegemahln all vieren Iren lieben baß zu einem p.legat (…)
Jerg heÿntzen Zu Berß Ihren vettern (…)
Erhart Mulern Zu Gertweyler, Thobie Mulern zu Bertschwÿler (…)
So hat sie Zu Iren recht. erben ernant vnd yngesetzt herr Joseph Junthen vnd Andres Junthen vnd Andres Junthen auch Elizabeth, Agneß vnd Judith alle fünff geschwüsterden wÿland Andres Junthen des Khuffers selig Sun vnd dochter Iren lieben vettern vnd baaß Jedem Zu einem Sechstentheÿl
[in margine :] Cassirt von wegen einem andern verschrbg den xii May 519. vffgrt.
vide 96 sub dato 20. Decembris

Pierre Ermelhauss et sa femme Judith, fille de Wendelin Mauler d’Ottenwald, font leur testament
1596 (20.12.), Chancellerie, vol. 277 (Registranda Instrumentorum publicorum de Annis 1591-1598)
(f° 372) Zuwißen das vff Montag den xx.t tag December Anno 96 des wenigeren Zal Vor mir Notario v erbettenen gezeugen alle hernachbemelt persönlich erschienen sind der Ersam Peter Ermelhuß der Khüffer, So dann die Erbar Fraw Judith sein eheliche gemahll wÿland Wendling Mulers Zu Ottenwald selig dochter, Beÿde gesunder leybs (…)
Judith (…) Mathis Heyntz Zu Ruffach welchem sie 50 guldin legirt mit Tod abgangen will sie dleselben 50 guldin Catharinen heÿntzen Jorgen Zu Berß dochter legiren haben (…) Christinen bemelt. heynzten Jörgen dochter Barthell heelers des Schnyders Ehegemahln
(vide 93 sub dato 29. Maÿ) was die Fr. Innsonderheÿt geordnet Ist Inn einem neweren Testament den xii Maj 619. vffgericht wider be* vnd dißes dann* auch cassirt
Testatments 1593-1596 (KS 288)
(f° 54-v) Testatments 1593-1596 (KS 288)
Testament frauwen Judithen Peter Ermelhuß des Khüffers ehegemahel. In regist. f° 127

Judith, veuve de Thiébaut Burger et femme du tonnelier Pierre Ermelhauss, révoque les dispositions testamentaires qu’elle a faites environ un mois et demie plus tôt en faveur de son mari, eu égard qu’il ne se comporte pas mieux envers elle.
1597 (1. Februarÿ), Chancellerie, vol. 310-II (Imbreviaturæ Contractuum) f° 12
Testamentum nuncupativum Judit Maulerin Thiebald Burg.s selig. hind.laßne wittiben Peter Ermelhauß deß Kueffers eheliche haußfr.
Erschienen Fraw Judith Maulerin wÿland Thiebold Burg.s des Kueffers vnd handelßmanns burgs. alhie nachgelaßene wittib Jetz Peter Ermelhausen des Kueffers eheliche haußfrauw vnd hat angezeigt Nachdem sie vor ohngefahrlich and.halb Monats od. mehr beÿ H. Jacob Kuglern dem Notario Iren letzten willen auffgerichtet darinn sie Jetzeran* Irem haußwurth auf vilfaltig * * vnd treÿben auch hoffnung das er sich geg. Ir ettwas freundlich. vnd bescheydener dann er Zuuor sich erwisen, verhalten solte den nueß aller Ihrer Verlaßenschafft da er sie vberleb. werde verordnet, er sich aber biß dah. In solch. fahl nit allein Zu bessern vnd mehre freundlichkeÿt den Ihenegen* so er ohne das alle erbarkheyt nach schuldig nit geand. od. sie besser, sond. gleych wie Zuvor geg. Ir ohnfreudlich vnd also erwisen das sie Keine besserung bey Ime Zuerhofen, darumb sie auch solchen Ihren letzt. willen Zuandern hochlich verursacht worden
(legaten) Thobiæ Maulern Zu Bernhardsweÿler Ihrem vetter (…) Erhard Mauler seinem Bruder (…) Heintzen Georg Burg. zu Bers (…) Mariæ Salome Andres Jundt ihres Vettern (…) Catharinæ vorgemelts heintzen Georg tochter (…) Judith Michael Demlers tochter, Christinæ Barthel Herlers des schneÿds. burg. alhie eheliche haußfr. (…) Margarethæ Lienhard Isein des schreÿners wittib, (…) Item Magdalenæ Jetzgemeld Margarethæ Tochter (…)
Prælegirt Agnessen Isen hanßen haußfr., Elisabeth vorgemelt Michel Temlers des schneyders eheliche hußfr. Judithen Andres Remes des Statt schossers eheliche haußfr. alle treÿen geschwister. vnd obnermelter Christineæ Barthel Herbers haußfr
Item Joseph Jundten Kindern
Instituirt In alle Irer vbrig Verlaßenschafft Agneßen Ißen Hanßen hußfrauwen, Elizabeth Michell Tembes hssfr. Judit Andres Romers haußfr h. Joseph Jundten Stattschreybers vnd Christineen Barthel Herbers haußfr.

Pierre Ermelhauss se remarie en 1623 avec Eve, fille de l’aiguillier David Hammerer, de Haguenau : contrat de mariage tel qu’il est copié à l’inventaire, célébration
Eheberedungs Copeÿ zwischen dem Ehnhafft vndt fürnehmen herrn Peter Ermelhaußen burgern vnd alten beÿsitzern des Kleinen raths Zue Straßburg ahne einem, So dann der Tugendsamen Jungfr. Eva Hammerin weÿlandt des Ersamen David hammerers Nodlers vnd burgers Zu hagenaw selig. ehelichen tochter, am Andern theil (…) Zum dritten Hatt der Herr Hochzeiter, von seiner ietzo Zuebringenden Haab undt Nahrung ihme vnndt seinen Erben für ein freÿ Eigen vndt vorbehalten, Nemlich sein ietz bewohnende behaußung mit deren begriffen vndt Zugehörden in der Statt Straßburg, ahm Barfüßer Platz gelegen, darzu auch 500 pfund Pfenning Straßburger in bahrem geldt – Beschehen vnndt verhandelt in d. Statt Straßburg vff Zinstag den 18,ten Novembris Anno 1623. Vrbanus Roßenberg, Notarius

Mariage, Saint-Pierre-le-Vieux (luth. f° 167-v)
1623. Dominica XXIV post Trinit. Hr. Peter Ermel hauß d. Kieffer allhie, H. Eva David Hamerers deß Nadlers Zue hagenaw nachgelaßene tochter, 5. Xbris (i 172)

Inventaire dressé après la mort de Pierre Ermelhauss qui délaisse deux nièces pour héritières testamentaires. Sa veuve a nommé pour héritière sa sœur Judith Hammmer de Haguenau, femme du receveur Adam Mühler. L’inventaire est dressé dans la maison place des Cordeliers. La masse propre aux héritières s’élève à 713 livres. L’actif de la communauté est de 701 livres, le passif de 17 livres.
1636 (29 11.), Not. Ursinus (Jérémie, 60 Not 6) n° 38
Inventarium vndt beschreibung aller haab vndt Nahrung, so weÿl. der Ehrenvest vorgeacht undt weiß Herr Peter Ermelhauß, altter großer Raths bewanther, burger alhie Zu Straßburg nunmehr seel. nach seinem aus dießer welth tödlichen hinscheiden hinder Ihme verlaßen, welche durch die ehre: vndt tugendsame fraw Evam Hammererin, sein hinderlaßene wittib, mitt rath, hülff vndt beÿstand deß Ehrenuesten vndt vorgeachten Herrn Johann Keltterers d. Ehrsammen Kleinen Raths alhie beÿsitzers, Ihres geschwornen vogts, vff freundliches ansuchen erfordern vndt begehren deß Ehrenhafften Georg Schillings, Kurschners vnndt deß Raths Zu Eppingen, in d. vndern Churfürstlich Pfaltz Im namen vnd von weg. Elisabethæ Ermelhaußin seiner haußfren. So dann Barbara Ermelhaußin (ha)nnß wagners (-)old Schultheißen (zu) Mülbach im (-)altz eheliche hsfraun, auch mit beÿstand vor* ernannts Georg Schillings als beede deß abgestorbenen herrrn seel. bruders döchtern vndt ab intestato nechster Erben geügt vnd gezeigt (…) Beschehen vf dinstag den 29.ten 9.bris A° 1639.

Ersuchung deß Jenigen Wÿdems, so Eva hammererin von weÿl. H Peter Ermelhaußen geweßenen Küeffers vndt E. Ehrs. Großen Raths Alttem Beÿsitzer, Ihrem haußwürth seel. ad dies vitæ zu genießen gehabt, Johann Keltterer undt fr. Anna Walchin aber den 29.t Maÿ A° 1637 v.mög Extracts auß alhießiger Cancelleÿ Contractstuben, von ermeltts H Peter Ermelhaußen seel. Erben eigenthümlich an sich erkaufft
Eheberedungs Copeÿ (…) Beschehen vnndt verhandelt in d. Statt Straßburg vff Zinstag den 18.ten Novembris Anno 1623. Vrbanus Roßenberg, Notarius
Copia Codicilli – persönlich erschienen der Ehrenvest fürnem und weiß. hern Peter Ermelhauß Alter Kleinen Raths verwandter vndt fr. Eva hammerein sein eheliche haußfr. beede gesundt gehnd vndt stehends leib (…) Beschehen seindt dieße ding in des heiligen Reichs freÿen Statt Straßburg in ihr der beeden ehegemecht Eigenen Behaußung auf dem Barfüßer Platz neben herr Samuel Ferner gelegen, oben inn der Stuben vff die Gaß sehend, Freÿtags den 29. tag 7.bris Anno 1626. – Johann Ulrich Heisch, Nots.
Testamentum nuncupativum. 1636. vff Mittwochs den 20. Aprilis Zwischen ein vnd Zweÿ vhren nachmittag (…) Persönlichen erschienen der Ehrenvest vnnd fürnehme Herr Peter Ermelhauß Eines Ersamen Großen Raths Zu Straßburg beÿsitzer, vnd die Tugendsame fr. Eva Hammererin sein eheliche haußfrau, Er Zwar etwa Engbrüstig sie aber Er gesundes gehendes vnd stehendes Leibs (…) Was dann Schließlichen die Institution vnd Erbeinsetzung (…) nominirt, ernent, Instituirt vndt eingesetzt haben, Georg Ermelhaußen Zue Eppingen beede Töchter Als Nemlichen Barbara Zue eim Elisabetham Zum Andern, vnd dann Barbaræ Ermelhaußin Zu Niederhoffen im Würtenberger Landt, seiner schwester tochter Zum übigen drittentheil (…) Sie Fraw Eve Hammererin die Testirerin ernant vnnd setzet ein Zu ihren gewißen vnnd warhafften Testaments Erben Davidt Hammerern burgern Zue Hagenaw vndt Judith Hammmererin Adam Mühlers schaffners vnd burgers in gemeltem hagenaw haußfr. ihren Brudern vndt Schwestern (…) Vnd dieweil dann Ich Caspar Medler von Ölßnitz, Auß dem Vogtlandt, (…) Nots. vndt burger Zu Straßb.

Inn Hernach geschribnener in dieße Erbschafft gehöriger Behaußung Ist befunden worden, wie volgt. Auff dem dritten Boden, In d. Cam: Lit. A, In d. Cammer B, A, In d. Cammer C, Inn d. Kuchen, Inn d. Stuben, Inn d. Stub Cammer, Im vndern haußöhren, Im Keller
Eigenthumb ane einer Behaußung. Item Hauß vndt hoffstatt mitt allen and.n Ihren gebeuwen, begriffenn weithen, rechten Zugehörden, vndt gerechtigkeiten gelegen alhie in d. Statt Straßburg, ane dem Barrfüßerplatz, j. seith neben weÿl. Jacob Hemmerlins geweßenen Stattglaßers alhie sel. Erben, 2.s. neben Jeremia Rebstocken, vogt Zu Oppenau schrims V.wanthen alhie, stoßend hinden vff d. Brandt Endt, dauon gehen j lib 6 ß 3 d geltts vff Michaelis blößig mit 50 fl. St. w. den Klosterfrawen Zue den Reüren, sonsten ledig vnd eigen, hiehero angeschlagen für vndt vmb 472 lb 10. Darüber sagt j. t. P. br. mit d. St. Str. anhangendem Contract Insigel, durch herrn Jacob Küglern vfgericht, deßen dat. den 8. Junÿ A° 1593. weißt wie d. Herr seel. solche behaußung von H. Balthasar Heÿlig. Statt Arzten alhie erkaufft habe, sign. mit N° 1
Theilbare Besserung ane der Erben unveränderten Behaußung
Der Erben unveränderte Nahrung. Sa. Silbergeschmeids 15, Sa. Pfenningzinß hauptgüter 251, Sa. Behaußung 472, Summa summarum 739 lb – Schuld, Per se, Nach deren Abzug 713 lb
Theilbahre Nahrung, Sa. haußraths 119,Sa. Weins Eßigs vnd Lehrer vaß 75, Sa. Werckzeugs Schiff und geschirrs Zum Kieffer handwerckh gehörig 4, Sa. Silber geschirr und Geschmeids 32, Sa. Guldenen ring 7, Sa. Baarschafft 151, Sa. beßerung ahne j behaußung 52, Sa. Pfenningzinß hauptgüter 250, Sa. Schulden 8, Summa summarum 701 lib – Schulden 17, Nach deren Abzug (und noch 35 lb für Leidtkleÿder) 638 lb
Conclusio finalis Inventarÿ 1396. lib

Les Quinze ratifient le droit de détraction réduit que doivent les héritiers demeurant à Eppingen.
1637, Protocole des Quinze (2 R 62)
(f° 97-v) Sambstag den 20. Maÿ – Peter Ermelhaußen Verlaßenschafft.- Frembder Erbfäll Abzug
H. Frantz legt Extract auß kleinen Rhats protocollo vor, crafft deßen H. Peter Ermelhausen Alten Großen Rhatsverwanthen nachgelassen fremde Erben von Eppingen im württenbergerland in die Hæreditet nach solches brauch immittirten, wegen des Abzugs aber für meine herren gewießen worden, & Nun bring das urkunden buch Zwar mit sich, das an dießem Orth allein den haben Abzug nemblichen vom hundert fünff sollen gegeben werden, es seÿe aber Zu besorgen, da man es dabeÿ würde laßen, das es beÿ künftigen fällen möcht ein præjuditz verursachen, stelle man also was Zu thun ? Erkanndt den Zehenden Pfenning Zum abzug geben, im übrigen der hauptbedacht gehörigen Orthen befürdert werden. Aber ist vff meinen H Statt schrbs das geschäfft widerumb vff ettlich tag eingestellt worden, doch nachgehends beÿ meinen gn. herren Erkandtniß verpleiben.

Autres mentions de Pierre Ermelhauss dans les registres du Magistrat
1614, Conseillers et XXI (1 R 95) Peter Ermelhausen contra Hans Caspar von Rhatsamhausen. 113. R. 180. 195. 202. [Reben zu Ottrott]
1615, Bauherren (VII 1330) Vogteÿ geldt abgelöst, Peter Ermelhauß. 17.
1616, Bauherren (VII 1331) Vogteÿ geldt abgelöst, Daniel Strintz, Peter Ermelhauß und Heinrich Engel. 156.
1617, Protocole des Quinze (2 R 47) Peter Ermelhauß. 186. [dem Stattküeffer Zugeordnet worden]

Les héritiers de Pierre Ermelhauss vendent la maison à Jean Kelterer, brasseur au Soleil

1637 (29. Maÿ) Chambre des Contrats, vol. 478 f° 510
Erschienen weÿ: H Peter Ermelhausen Alten grossen Rhats Verwanthen see: alhie nachgelaßener Erben wegen, Georg Schilling der Kürschner Zu Eppingen alß Ehevogt Elisabetha Ermelhausin, vnd Alß befehlhaber seiner haußfrawen Schwester und Miterbin Barbaræ Ermelhausin hanß Wagners Schultheiß. Anwaldt Zu Mühlbach in besagter vnd. Pfaltz ehelich. haußfrawen crafft deß An herrn hanß Reinhard Kreßen Alten Kleinen Rhats v.wanthen den 14. diß abgangen und hiebeÿ eingesteckhten Schreibens
hatt in gegensein H Johann Kelterers des Biersüders Zur Sonnen auch Beÿsitzers Zu St.
bekannt demnach sein Peter Ermelhausen wittib Eva Hammererin nach, vermög deß vber sein deß verstorbenen verlaßenschafft durch Jeremiam Ursinum den Notm. in A° 1636. vffgerichteten Inventarÿ, fol. 72. et 75. 975 lb ad dies vitæ wÿdems weiß genüeß. hat, vnd aber ihnen den Erben ihr der Wÿdembsnüesserin todtfall Zuewarten vnthunlich, dar neben die Pfenningzinß hauptgüter vnd Schuld. Ins Erb grössern theils wegen deß Langwürigen Kriegswesens vnd Landverderbens schwehrlich einzubringen seindt, dahero ihnen den Erben solchen nicht wed. in eigner Person, noch durch einen Befehlhaber abzuwarten, rahtsamb, daß Er Schilling in namen obstehet, vnd für alle seiner haußfr. vnd deren schwestern Erb. einer vffrechten & Außkauffs verkaufft vnd Zuverauffen geben ermeltem Kelterer, welcher auch ihme & kauffe, obberührte wÿdembs Verfangenschafft der 974 ln 9 ß für ledig eÿgen vnd were diser Kauff geschehen per 300 lb

Les héritiers de Jean Kelterer vendent à Marie Susanne, veuve du docteur en médecine Jean Horb de Colmar, deux tiers de la maison dont le dernier tiers appartient à l’acquéreuse et à ses enfants

1657 (23. Aprilis), Chambre des Contrats, vol. 522 f° 190-v
(Protocol. fol. 38.) Erschienen Maria Magdalena, Johann Zittele deß Schneiders eheliche haußfr. Undt Anna Maria Gottfrid Berußen deß Schuhmachers Ehweib iede mit beÿstand ersternannts ihres Ehevogts, so dann Er Zittele, alß in Crafft eines sub dato 14. Janu: A° 1656, in der Cancelleÿ Contractstuben vffgerichteten Und in dero Protocolli extens: fol. 4. befindlichen Gewalts, gevollmächtigter Befelchhaber hannß Jacob Kelterers deß Schneiders seines Schwagers, alle treÿ alß Weÿl. Johann Kelterers seel. Erben, mit beÿstand deß Ehrenvest- from, wohlweiß. Und hochgelehrt. H. Dominici Dietrichs deß beständigen Regiments der herren fünffzehen
in gegensein fr. Mariæ Susannæ weÿl. H. Johann Horben geweßenen Med. Doct. Vnd Statt Physici in Collmar nunmehr seel. hinderlaßener Wittibin mit beÿstand deß Ehrenvest Hochgelehrten H. Johann Georg Erhardts Med. Doct. ihres Curatoris, Vnd dann H Johann Thoman Tromers deß Notarÿ, alß Vogts sein H Dr Horben mit Ihro fr. Maria Susanna ehelich erziehlter Zweÿ Kinder, Und Er H. Tromer mit beÿstand der ehrenvest- fürsichtig- Und Weÿßen H. Johann Wolffgang Heßlers Und Herrn hannß Peter Schmidts beeder alß E.E. Groß. Rhats mittem hierzu insonderheit Deputirter
einen Zweÿten theil, Ihnen denen Kelterisch. Erben für ohnvertheilt gebührend, ahne hauß Vnd hoffstatt, auch allen deren Gebäwen & Alhie am Parfüßer Platz, einseit neben weÿl. Jacob Hämmerlins deß Glaß Krämers seel. Erben, anderseit neben weÿl. Fr. Annæ Mariæ auch weÿl. H Jeremiæ Rebstockhs geweßenen Vogts Zu Oppenaw hinderlaßener Wittibin seel. Erben, hind. vffs Brand End stoßend gelegen, daran der Übrige tritte theil Vorhien den Kauffenden Wittib Und Kindern Undt Ihren mit Erben gehörig, Welche gantze Behaußung umb 50. fl. Straßb. Wehr. Jährlich. termino Michaelis mit 2 ½ fl. basagter Wehr. Zuverzinnß dem Closter Zun Rewern Verhafftet – Zugang. vmb 300. lb

Fils du boucher Georges Horb, Jean Horb épouse en 1634 Marie Susanne, fille du docteur en droit Jean Renger
Mariage, Saint-Pierre-le-Jeune (luth. p. 161)
1634. Eadem [In Fest. Pasch. 1. Ap.] der Ehrenvest v. Hochgelehrt H. Johannes Horb d. Artzneÿ Doct. herr Görg Horben gewesenen Metzigers v. burgs alhie nachgelaßener Sohn, vnnd J. Maria Susanna deß Ehrenvesten vnd hochgelehrten H Johannis Rengeri beÿder Rechten Doctoris eheliche tochter. cop. 15. Ap. zu J. St. Peter (i 82)

Mentions de Jean Horb dans les registres du Magistrat
1656, XV (2 R 74) H. Dr. Johann Horben wittib. 192. [Zinß]
1657, XV (2 R 75) Dr. Johann Horben Wittib. 178. 230. [Compensation, Zinß]
1658, XV (2 R 76) H. Dr. Johann Horben Erben. 54. 88. [Zinß]
1659, XV (2 R 77) H. Dr. Johann Horben Wittib. 19 [Zinß, früchten].
1660, XV (2 R 78) H. Dr. Johann Horben Wittib [155-b, Zinß]

L’étudiant Jean Henri Horb et sa sœur Marie Madeleine, femme du marchand Jonas Gertenbrod de Comar, vendent la maison au cordonnier Jean Georges Bernegger et à sa femme Anne Marie moyennant 650 florins. En marge, quittance remise à Frédéric Reinthaler et à Jean Georges Gerlach en 1696 alors que la maison est indivise entre eux.

1668 (7. Julÿ), Chambre des Contrats, vol. 535 f° 361
(Prot. fol. 24. – 650. fl) Erschienen H. Thomann Tromer Notarius alß Curator H M. Johann Henrich Horben SS. Theol. Studioso mit assistentz der Ehrenvest fürsichtig weÿßen H. Andres Fischers und H. Francisci Reißeisens beeder alß aus E.E. Großen Rhats mittel ad Contractus Minorum insond.heit Deputirter, So dann fr. Maria Margaretha H Jonæ Gertenbrodts des handelßmanns Zu Collmar eheliche haußfraw sein H M. Horben eheleibliche Schwester, mit beÿstand erstermelts ihres Ehevogts
in gegensein hannß Georg Berneggers des Schuhmachers und Annæ Mariæ deßen Eheweibs
hauß und hoffstatt, mit allen deren Gebäwen, Begriffen, Zugehördten, Rechten und Gerechtigkeiten, alhie am Barfüßer Platz, einseit neben Michael Kösen dem Schuhmachern, anderseit neben hannß Martin Scherbaumen dem Barbierern, hinden uffs Brandtenendt stoßend gelegen, welche Behaußung umb 50. fl. Straßburg wehrung Jährlichen termino Michaelis mit 2 ½ berührter wehrung dem Closter zu Rewerin Zu verzinnßen, und 4. fl. 6. ß 4 d. davon außäniger Zinnß und Marzahl, verhafftet (übernohmen) umb 592 fl.
[in margine :] (…) in gegensein Friderich Rheinthalers des Schuhmachers und Hans Georg Gerlachs auch Schuhmachers beed. Ehevögtlicher Weiße angezeigt und bekandt, daß Sie beede Rheinthaler und Gerlach dictis noîbus schon vor vier Jahren, als Ihnen die hierinn beschriebene am baarfüßer Platz gelegene behaußung annoch ins gemein gehörig gewesen, die (50. fl. erlegt und bezahlt) den 18.ten Febr. 1696.

Jean Georges Bernegger hypothèque le même jour la maison au profit des enfants du diacre Philippe Feyleher.

1668 (7. Julÿ), Chambre des Contrats, vol. 535 n° 364
Erschienen Hannß Georg Bernegger der Schuhmacher
in gegensein H Andres Fischers E.E. Großen Rhats Beÿsitzers als Curatoris weÿl. H M Philippi feÿlehers gewesenen Diaconi im Münster nunmehr seel. in erster ehe erziehlter Kinder und alß vogts hannß Conrad Bochen Zweÿ Kinder hannß Daniels und Georgs (…) zusammen 15. lb schuldig seÿe, daß Er damit nach beschriebene behaußung Behaußung erkauffen, daß Angelt bezahlen
Unterpfand sein soll, hauß und hoffstatt mit allen deren Gebäwen & alhie am Barfüeßer Platz einseit neben Michael Käsern dem Schuhmacher, anderseit neben hannß Martin Scherbaum dem Barbierern hinden uffs Brand End stoßend gelegen, welche Behaußung Zuvor umb 50 fl. Straßburger wehrung dem Closter Zur Rewern und 71 lb. 8 ß s Kauffschillingß rest Johann Henrich und Mariæ Margarethæ den Horbischen geschwisterdten verhafftet

Fils du cordonnier Pierre Bernegger, Jean Georges Bernegger épouse en 1644 Marie, fille du boulanger Jean Daudel : contrat de mariage, célébration
1644 (23. Maÿ), Chambre des Contrats, vol. 493 f° 326
(Prot. fol. 364.) Erschienen Hannß Georg Bernegger Schumach. und Burg. Zu Straßburg alß hochzeiter, mit beÿstand Jacob Kappelß deß Schuhmachers seines noch ohnentledigten Vogts, wie auch Lorentz Frantzen und Conrad welß. seiner Muter Vogts, beed. Schuhmach. an einem,
So dann Jungfraw Maria, weÿl. hannß Daudelß deß weißbeckh. und Burgers Zu Straßburg nunmehr sel. nachgelaßene eheleibliche dochter alß hochzeiteri, mit beÿstand Lienhard Pfölers deß ohlmanns ihres Vogts wie auch Georg Kilian deß weißbeckh ihres Stieffvatters und hannß Kilian deß Schneiders daßelb. Bruders am andern theil

Mariage, Saint-Nicolas (luth. f° 228-v n° 10)
1644. Auff den h. Pfingstag, Hanß Georg Bern Egger der Schumacher Peter Berneggers des Schemachers und burgers allhie Ehelich hinderlaßener Sohn, vnd Jungfr. Maria Hanß Daudel deß Weißbecken vnd burgers allhie Eheliche hinderlaßene tochter. Cop. Mont. post Trinit. Zu St Clauß (i 247)
Proclamation, Saint-Pierre-le-Jeune (luth. f° 23) 1644. Dominica Pentecostes 9. Junÿ Hannß Georg Bernegger der schuemacher Peter Bernegger deß schuemachers nachg. sohn, vnnd Jf. Maria Hannß Daudel deß Weißbecken vndt burgers nachgel. tochter. Copulirt Mont. 17. Junÿ S. Claus (i 30)

Testament des mêmes
1652 (27. X.br), Chambre des Contrats, vol. 512 f° 735
Erschienen Hannß Georg Bernegger der Schuhmacher und Burger Zu Straßburg, und Maria sein eheliche haußfraw, Jedes, durch Gottes miltreiche Güte, noch vffgerichtet. stehend. und gehend. leibß, auch völlig. Verstandts, richtig. Sinn und Vernünfftig. Red.
[in margine :] Beÿde Eheleuth haben dißes Codicill durch ein anderwertiges revocirt und wid. vffgehoben, Dienst. 3. aug: a° 1658.
(…)

Jean Georges Bernegger se remarie en 1675 avec Chrétienne, veuve du tonnelier Jean Jacques Schweinlin : contrat de mariage tel qu’il est copié à l’accord de 1683, célébration
Copia der Eheberedung – zwischen dem Ehrenhafften Hans Georg Berneckern, Schuhmacher vndt burgern Zue Straßburg, Wittwen alß hochzeiter, an einem, So dann der Ehren: vndt Tugendsamen frawen Annæ Christinæ deß Weÿland Ehrengeachten Hanß Jacob Schweinle, Küblers vnd burgers alhie seel. nachgelaßenen wittib, alß der Hochzeitherin, anderntheils, (…) Actum vnd Zugangen in Straßburg vff der Thucher Zunfftstuben, Sontags den 27. Junÿ Anno 1675. Johann Georg Jäger Nots. publ.

Mariage, Saint-Pierre-le-Jeune (luth. f° 255-v n° 41)
1675. Sonnt. X Trinitatis 1. Augusti, Hr Hanß Georg Bernegger der schuomacher Vndt Burger allhie vndt Fr. Christina Weÿl. Hanß Jacob Schweinlin gewesenen Burgers vndt Küblers allhie nachgelasene Wittib. Copulavi Donnerst. 12. Augusti (i 269)

Jean Jacques Schweinlin épouse en 1664 Chrétienne, veuve du marchand drapier Jean Adam Bott
Mariage, Saint-Pierre-le-Jeune (luth. f° 145-v, n° 47)
1664. Dominica XXIII Trinitatis 13. Novemb. Hanß Jacob Schweinle der Kübler vnd Burger allhie, Vndt Christina Weÿl. Hanß Adam Botten, deß Weißlein Wadhändlers vndt Burgers allhie nachgel. Wittib. Copulavi Donnerst. 24. 9.br (i 158)

Jean Adam Bott épouse en 1646 Anne Chrétienne fille du boulanger Léonard Klein
Mariage, Saint-Thomas (luth. f° 320-v)
1646. Domin: XIV. Trinit. 30. Aug. Johann Adam Bott weißcrämer Adam Botten weißcrämers vndt burgers alhie Ehelicher Sohn, Jungfr. Anna Christina, Lienhard Kleinen, weißbecken v. burgers alhie nachgelaßene tochter (i 327)

Inventaire de la fortune de Jean Adam Bott et de Chrétienne Klein, dressé rue des Tonneliers dans la maison du marchand Jean Georges Mengès
1683 (18.6.), Not. Theus (Philippe Henri, 59 not 18) n° 558
Inventarium Über die Jenige Nahrung So Hannß Adam Bott der Harpffenist vndt nunmehr von hinnen entwichene Burger wie auch Christina Kleinin, beede Ehegemächde activé et passivé bißhero mit einander beseßen, auffgerichtet. Anno 1660. (…) Actum Straßburg in gegensein Herrn Daniel Gaßners des ältern burgers alhier, der frawen Mutter geordneten Curatoris, Sambstags den 19. Maÿ Anno 1660. Johann Christoph Orttner, Nots publicus, Civis Argentinensis
Copia Heüraths Verschreibung. zwischen dem Ehrenhafften Hannß Adam Botten dem Leinwadthändlern vnd burgern alhier, Herrn Adam Botten auch Leinwadthändlers vnd burgers alhier Ehelichen Sohn, an einem, So dann der Tugendsamen Jungfrawen Christina weÿland Jerrn Leonhardt Kleinen, des gewesenen Würths Zum Jäger alhier hinderlaßener dochter, andern theils (…) Weil dann solche Eheberedungs pacta in weÿland mehr Ehrengedachts Herrn M. Daniel Werbecks hierzu dieser Eheberedung requirirten Notarÿ (…) abgehandelt vndt abgeschloßen worden, vnd aber ehegerührter Herr Daniel Werbeckh seeliger vor außfertigung dieser Eheberedung Zeitlichen todtes verfahren, so habe Ich nachgemelyer Notarius als dem alle vnd Jed. sein Herrn M. Daniel Werbecks seeligen hinderlaßene Protocolla v& Notariats-Geschäfften von Räth vndt Ein vnd Zwantzig meiner gnädig gebietenden Herren gnädig conferirt vnd anvertrawet (…) Beschehen vnd verhandelt in Straßburg, Montags den 6. Julÿ Im Jahr des Herrn Als mann Zahlte 1646. Johann Friderich Medlern Notarius juratus
(f° 7) In einer allhier in Strassburg in der Küeffergaß gelegener, Herrn Georg Mengeßen dem Handelßmann vnd Burgern alhier Eÿgenthümblich Zuständiger Behaußung befunden worden, wie folgt
Ane haußrath, In der ober Cammer, In der Wohnstuben, Im Haußöhren
Des Manns Vermög. 200 lib
Der Frawen unveränderte Nahrung, haußrath 20, Gemahl Ring 1, Ergäntzung Lxxviij, Summa summarum 100 lib
Theilbahre Gutt, haußrath 37, Wahren und Weiß Leinwdt 16, silbergeschmeid 1, guldener Ring 2, Summa summarum 78 lib – Schulden 244 lib, Mehr Schulden als Gutt 166

Jean Georges Bernegger fait dresser l’inventaire de ses apports dans une maison rue des Dominicains après son mariage avec Anne Chrétienne Klein. La maison place des Cordeliers y est décrite. L’actif est de 1 284 livres, le passif de 604 livres.

1675 (23.8.), Not. Jaeger (Jean Georges), grosse jointe à Philippe Henri Theus (59 not 23) n° 766
Inventarium über die Jenige Haab und Nahrung, so der Ehrengeachte Mr Hanß Georg Bernegger, Schuhmacher, Frawen Annæ Christinæ Kleinin seiner geliebten Zweÿten haußfrauwen in den Ehestand alß ein unverändert Gutt gebracht, vffgericht 1675.
Inventarium vnd Beschreibung aller der Jenigen Haab, Nahrung vndt Güttere, so dem Ehrengeachten Meister Hanß Georg Berneggern, burger vnd Schuhmachern alhie zu Straßburg eigenthümlich zuständig vnd derselbe seiner Jetzig geliebten Zweÿten haußfrawen Annæ Christinæ Kleinin, alß ein unverändert Gutt in den Ehestandt Zugebracht, Welche Nahrung durch Ihne Berneggeren, in beÿsein deßen beeder döchtere, Fr. Mariæ Salomeen, Daniel Füßels vndt Susannæ Berneggerin, hanß Jacob von Awenheims, beeder Schuemacher, ehelicher haußfrawen, selbsten geeigt vnd gezeigt (…) Actum Straßburg Montags den 23.ten Augusti Anno 1675. – Johann Georg Jäger, Nots. publicus
In einer Behaußung im Prediger gäßlin gelegen, hernach beschrieben, vnd in diße Nahrung gehörig, ist befunden worden wie folgt
Ane haußrath, Vff der Obern bühn, In der Cammer A, 205 lb, Gemachte Arbeit, Leeder vnd werckzeug Zum Schuhmacher handwerckh gehörig 118, Frucht 42, Wein vnd Lähre Vaß 44, Silbergeschmeid 2, Baarschafft 43
Eigenthumb ane Hausern. Item hauß, hoffstatt in der Kleinen Prediger gaßen (…)
Item hauß hoff, hoffstatt im Thomaloch zwischen dem Thurn vnd langen gäßlin (…)
Item hauß vndt hoffstatt mit allen deren gebäwen, begriffen, Zugehörden vndt gerechtigkeiten gelegen in der Statt Straßburg am Baarfüßerblatz, Einseit neben Georg Pfettern dem Lauttenmacher, anderseit hanß Martin Scherbaum dem Barbierer, hinden vff das Brändt End stoßend, davon gohnd Jahrs vff Mittwochs dritthalb Gulden wehrung gelts dem Closter Zun Rewern in Capital mit 50 Gulden ermelter Werung abzulößen sonsten freÿ ledig eigen vnd über diße beschwerd taxirt per ij C xxv lb d. Hierüber ist vorhanden ein Pergamenen Kauffbrieff mit der Statt Straßburg Cancelleÿ Contract Insigell deßen datum den 7. Julÿ A° 1668. signirt mit N° 3.
Sa. Eigenthumbs ane Häußern 785, Schulden 25, Summa summarum 1284 lb – Schulden 604, Nach deren Abzug 679 lb

Accord entre Jean Georges Bernegger et sa belle-fille Anne Chrétienne Bott relatif aux frais de maladie d’Anne Chrétienne Klein
1683 (4.6.), Not. Theus (Philippe Henri, 59 not 18) n° 557
Zuwißen demnach deß Ehrenvest vndt Vorgeachten herrn Johann Georg Berneckers Schuhmachers vndt burgers alhier Zu Straßburg geliebte Eheliche haußfr: die Viel Ehren V. Tugendsame Fr. Anna Christina Kleinin seither der mit Ihme herrn Bernegger durch die gnade Gottes Anno 1675. im Julio angetrettenen Ehe bergestalten beharrlich mit Leibenblödigkeit behafftet, daß nicht nur ein merckliches an Sie verwend, sondern auch nebens dero dochter Anna Christina Bottin, beständig in Costen gehabten vnd noch Zur Zeit, ihrentwegen einiger V.glich nicht getroffen worden, Wann aber hierdurch an Herrn Berneckers Nahrung in den beÿ nahe nun verfloßenen 8. Jahren sich Zimlich consumirt vnd Ihme H Berneckern beÿ noch allweil wehrender bawfälligkeit seiner fr. also damit Zu Continuiren, viel Zu schwehr fallen will, Alß haben Sie beede Eheleut sich auf verhoffende Obrigkeitliche Gn. Ratification vnd Confirmation, vnd Zwar auf seitten ihr der Fr. mit belieben vnd beÿstand gemelt ihrer dochter wohlgeordnenten Vogten deß Ehr Vest vndt Vorgeachtt. H. Jacob Gollen burgers alhier dahien sich mit einander Verabschiedet vnd verglichen (…)
[in margine :] Nota; dieße beede Eheleütt seindt der Zeitlich Nahrung weg. für ietzo Vnd Kauff fig* gäntzlich Verglich. vnd (.doch ohne trennung d. Ehe.) mitt einander entschied. auff erfolgte g. ratification vnd confirmation E. E. großen Raths Allhier, wie Innligend befindlich.
Hierauf volgt nun die revision ihr Fr. Annæ Christinæ Kleinin ihrem nunmaligen geliebt. Ehelich haußwürth A° 1675. d. 26. Aug. v.mög deß damals durch Notarium H Joh: Georg Jägern darüber auffgerichtet. Inventarÿ, für unverändert wie dieselbe anjetzo beschaffen befinden word. ane ihro selbst
Summa summarum 757 lb, Ergäntzungs Rest 67, der Frawe, jetzmaliges gantzes eigenthümlich Vermögen 814 lb
Copia der Eheberedung (…) Actum vnd Zugangen in Straßburg vff der Thucher Zunfftstuben, Sontags den 27. Junÿ Anno 1675. Johann Georg Jäger Nots. publ.

Vente d’effets mobiliers appartenant à Anne Chrétienne Klein
1683 (18.6.), Not. Theus (Philippe Henri, 59 not 18) n° 558
Verkauff: und Löß Registerlein Inhalttend Undt außweißend, Was ob der Viel Ehren und Tugendsahmen Frawen Annæ Christinæ Kleinin, deß Ehren Vest Vorgeacht Vnd Weißen herrn Johann Georg Berneckers, Schuhmachers Vndt burgers allhier Ehelichen haußfr. ihren Verschiedenen hierinn befandlichen haußrathsposten, wie auch Silber geschmeidt, so vor dem ane dem Kleinen Roßmarck am Waßer gelegene vnd gemelt ihrem Ehelich haußwürth, d. beschehenen Gn. ratificirten vndt confirmirten Revision vnd darauf erfolgt. Nahrungs separation nach, Eigenthümlich gehörigen Behaußung (…) Actum Straßburg den 18. Vndt 19. Junÿ Stylo Novo Anno 1683.

Inventaire des biens qu’Anne Chrétienne Klein apporte en mariage à Jean Georges Bernegger
1683 (18.6.), Not. Theus (Philippe Henri, 59 not 18) n° 558
Inventarium Über Frawen Annæ Christinæ Kleinin Eigenthümlichen undt Meister Hannß Georg Berneggern dem Schuhmacher alß Ihrem dritten Haußwürth in den Ehestand für unverändert zugebrachten Nahrung, vffgericht Anno 1675.
Inventarium vnd Beschreibung aller der Jenigen Haab, Nahrung vndt Güttere, so der Ehren und tugendsamen Frawen Annæ Christinæ Kleinin, weÿland herrn Hanß Jacob Schwenle deß Küblers vnd burgers Zu Straßburg seel. hinterlaßener wittib eigenthümlich zuständig, vnd dieselbe dem Ehrenhafften Meister Hanß Georg Berneggern, Schuhmachern vnd burgern daselbsten, Ihrem Jetzig. dritten haußwürtt in den Ehestandt alß ein unverändert Gut Zugebracht, Welche Nahrung durch Sie Fr. Annam Christinam, mit Zuziehung deß Ehrenvesten, Fürsichtig vndt weißen, auch Wohlgelehrten Herrn Christophori Schüblers, E. E. Großen Rhats Beÿsitzers vndt Notarÿ Cæsarei publici, Ihres geordneten herrn Curatoris, geeigt vnd gezeigt (…) Actum Straßburg Donnerstags den 26.ten Augusti Anno 1675. – Johann Georg Jäger, Nots. publicus
In einer Eckbehaußung am Graben nahe dem Hauß Zur Meißen genant gelegen vnd der Frawen Zuständig, auch hernach beschrieben, ist befunden worden wie volgt
Vff der obern Bühnen, Sa. haußraths 227, Frucht 27, Wein und lähre faß 44, Weißkrähmer Waar 12, Küblergeschirr 10, Silber geschirr und Geschmeid 92, Guldiger Rung vnd Geschmeids 40, baarschafft 41, Pfenningzinß hauptgutt 12
Eigenthumb ane Häusern. Item in der heiligen Liecht gaßen (…)
Item eine Eck behaußung an dem Kleinen Roßmarck (…)
Häuser 335, Gülth von liegenden güthern 15, Schulden 37, Summa summarum 910 lib

Jean Georges Bernegger loue la maison au cordonnier Jean Philippe Redslob et à David Hœlbé, aubergiste au Champ des Arquebusiers. Avenant en 1690, la maison revenant à Jean Philippe Redslob et la cave au boulanger Georges Eygnus (Eydgenoss)

1686 (19.10.br), Chambre des Contrats, vol. 556 n° 451-v
Hannß Georg Bernegger Schuhmacher
in gegensein Johann Philipp Redslobs auch Schuhmachers und David Hölbe deß Würths auff dem Armbruster Rein
Verlühen, ein behaußung mit allen deren Gebäuen, nichts davon alß nachgemelten Vordern Keller außgenommen, allhier auff dem barfueßer platz einseit neben Johann Scherbaum dem barbierer anderseit neben weÿl. H. Augusti Geÿlfussen ministri academiæ nachgelaßener wittib gelegen, Ihme Hölbe aber vorgedachten Vorden Keller under dießer Verlühenen behaußung sambt denen anietzo darinnn sich befindlich. Vaßen, beedes Von weÿhenachten dießes Jahrs angerechnet, vff Vier jahr lang, vmb einen Jährlichen Zinß benandtlichen 42 Gulden
[in margine :] hierinn gemelter verleÿer mit beÿstand Friderich Reinthalers deß Schuhmachers seines dochtermanns hat in gegensein hierin ged. Redslobs und Georg Eÿgnuß deß Schwartzbecken, bekandt daß Er Bernegger Ihme Redslob hierin verschriebene behaußung, Eÿgnuß aber den Keller Verlühen haben vff Sechß Jahr lang Von künnftig weÿhenachten angehendt – d Er Redslob gemelt Weÿhenacht. an 30 und Eÿgnuß Fünffzehen Gulden Jährlich Zu zinnß reichen solle, Act. den 9. Mart. Anno 1690.

Jean Georges Bernegger meurt en décembre 1690 en délaissant deux filles. L’inventaire est dressé dans une maison à côté de l’auberge au Canon devant le pont du Corbeau. Les experts estiment la maison 317 livres. L’actif de la succession s’élève à 576 livres, le passif à 49 livres.

1691 (4.1.), Not. Theus (Philippe Henri, 59 not 23) n° 766 [restitué]
Inventarium vndt Beschreibung aller der vndt Jeder Haab, Nahrung undt Güttere, so weÿland der Ehrenvest, Vorgeachte undt Weiße Herr Johann Georg Bernecker, Schuhmacher vnd burger, auch E.E. Siebner Gericht alhier Alte beÿsitzer, nach seinem Sonntags den 3. Decembris im nechst abgewichenen 1690. Jahr aus dießer zergänglich. Welt genommenen seel. hienscheiden hinder Ihme Verlaßen, welche Verlaßenschafft auf fr. Ansuchen, Erfordern vnd Begehren der Viel Ehren: vnd Tugendsamen Frawen Mariæ Salome gebohrnen Berneckerin, deß Ehrenhafften vnd achtbaren herrn Friedrich Rheinthalers, Schuhmachers vndt burgers alhier geliebten Ehelichen haußfrawen mit auch Fr. Susannæ Bernecker deß Ehrsam vnd bescheidenen Meister Johann Gerlachs, auch Schuhmachers und burgers alhier Eheliebsten, sein des jetzt seel. abgeleibten H. Berneckers beeder döchtere vnd ab intestato hinderlaßenen Erben (…) Actum in de Königlich. freÿen Statt Straßburg Donnerstags d. 4. Januarÿ A° 1691.

In einer in der Statt Straßburg neben dem bierhauß zur Carthauen geg. der Schindbruck über gelegenen vnd hiehero gehörigen behaußung ist befunden worden wie volgt.
Ane Haußrath, In der Obern stuben, In der Hind. Cammer, Ferner in d. obern stuben, summa 14, Schuhmacher Spinnhanff 27, Lehre Vaßen 27
Eigenthumb ane Behaußungen. Item hauß vnd hoffstatt mit allen deren gebäuwen, begriffen, Zugehördten, rechten v. gerechtigkeit. geleg. alhie in der Königl. freÿ. Statt Straßburg auf dem baarfüßer platz, einseit neben H Frid. Rehrmann dem Uhrenmacher and. neben Johann Streiten dem Pastetenbecken hinden auf das Brendtenend stoßend. Davon gehet Jahrs auff Michaelis * ½ fl. Wehrungs zins dem Closter Zuen Rewerin alhier, ablößig in Capital mit 50 fl. emelter Wehrung. Sonsten vber gemelte beschwerd freÿ Ledig v. Eigen vndt durch die hießige geschworne herren Werckmeistere v.mög behändigt Scheins angeschlag. pro 635 fl. Über abzug aber gemelter beschwerd, so mit d. Wehrung thut 26 lb od. 52 fl. 5 ß, verbleibt per rest noch außzuwerffen vbrig 582. fl. 5 ß thun 294 lb 5 d. Darüber ist vorhand. 1. teutsch. pergam. Kauffbr. mit d. Statt straßb. anhangend. Cancelleÿ Contract Insigel v.wahrt, de dato d. 7.ten Julÿ A° 1668 notirt mit alt. Nr 3. v. dabeÿ gelaß.
Item hauß, hoff, hoffstatt mit allen deren gebäwen im Thomanloch (…)
Item 1. behaußung geleg. allhier Zue Straßb. ane dem Roßmarckh beÿ der Meiß. (…)
Sa. Eigenthums ahne behaußungen 503
Bericht Wegen einig. vom seelig. verstorbenen Herrn beschehenen Disposition
Schulden 3, Summa summarum 576 lb – Schulden auß dem Erb zu bezahlend 49, Nach deren Abzug, Conclusio finalis Inventarÿ 527 lb
(Revision, 13 Aprilis 1684)

La maison revient à Susanne Bernegger qui épouse en 1673 le cordonnier Jean Jacques von Auenheim : contrat de mariage, célébration

1673 (3.9.), Not. Boeller (Jean Jacques, 3 Not 14) n° 49
Ehepacta H. Hannß Jacob von Awenheim v. Jfr. Susannæ Berneckerin
entzwischen H. Johann Jacob von Awenheim, schuomacher burgern alhier alß dem hochzeiter ane einem
So dann der Züchtig: v. tugendsamen Jungfr. Susanna deß Ehrenhafften v. wohluorgeachten herrn H. Geörg Berneggers auch schuomachers b. burgers alhier ehelich gezeügten dochter alß der Jungfr. Hochzeiterin andern theilß
So Beschehen Mittw. den 3. 7.bris A° 1673. [unterzeichnet] Hanß Jacob Von Awenheim, Hanß Georg Bernecker Der Hoch Zeidterin Vadter

Mariage, Saint-Pierre-le-Jeune (luth. f° 241-v n° 44)
1673. Sonnt. XVI Trinit. 14. 7.bris Hanß Jacob Von Awenheim, der Schuomacher vnd Burger allhie vndt Jfr. Susanna Hanß Georg Berneggern deß Schuomachers vnd burgers allhie ehl. Tochter. Copulavi Donnerst. 25. 7.bris (i 254, Proclamation, Temple-Neuf f° 170-v n° XIII)

Susanne, veuve de Jean Jacques von Auenheim, se remarie en 1690 avec le cordonnier Jean Georges Gerlach, originaire de Klettstedt en Thuringe, fils du pasteur Thierry Gerlach
Mariage, Temple-Neuf (luth. f° 170-v)
1690. Fest. Paschatis Zum II mal Hanß Georg Gerlach der Schumacher Von Klettstett in Thüringen Weiland hr. M. Dieterich Gerlachs Pfarrers allda u. Zu Grosen Munden nachg. ehel. S. Fr. Susanna Joh: Jacob von Awenheim Schumachers u. burgers W.. Mittw. den 12. April: N. Kirch (im 173)

Les Conseillers et les Vingt-et-Un autorisent Susanne, veuve de Jean Jacques von Auenheim, à se remarier avant la fin de son deuil.
1690, Conseillers et XXI (1 R 173)
(p. 96) Sambstags d. 18. Martÿ 1690. Jacob von Auenheim hinterl. Wittib
Goll n. Susannæ Hanß Jacob von Auenheim hinterlaßenen Wittib prod. ein Untert. Memoriale N. 1 p. dispensaône temporis luctus. Erk. wird der Implorantin vermittelst 3. lb ins Allmosen gratificirt.
Hn XXI. Friderici und Hr Rathh. Goll.

Jean Georges Gerlach devient bourgeois par sa femme un mois après son mariage
1690, 4° Livre de bourgeoisie f° 571
Hanns Georg Gerlach, der schumacher Von Klettstett in Türingen, weÿl. Dietrich Gerlach geweßenen Pfarrers daselbst hinterlas. sohn, empfangt das burgerrecht Von Susanna gebohrene Berneggerin deßen haußfr: p. 2. Gold fl. 16. ß. so er bereits beÿ der Cantzleÿ erlegt, ist Zu Vor ledig. standts geweßen, V. wird Zu E: E: Zunfft der schumacher dienen. Jur: d 11. May 1690

Jean Georges Gerlach et Susanne Bernegger font leur testatment. Le mari institue pour héritier, s’il meurt sans enfant, son beau-fils Jean Jacques von Auenheim
1692 (25.11.), Not. Saltzmann (Etienne Corneille, 49 Not 30)
Testamentum nuncupativum, H Johann Georg Gerlach Schuhmachers vnd Fr. Susannæ Berneggerin auffgerichtet Zinst. 25. 9.br. 1695. abends zwisch 6 & 7 Uhren
persönlich erschienen seind, der Ehrengeachte Herr Johann Georg Gerlach, Schuhmacher vnd beneben Ihme die Viel Ehren: und Tugendsame Frau Susanna, gebohrne Berneggerin, beede Eheleuten burgere allhier zu Straßburg, Er der Mann aufrecht gehend vndt stehenden, Sie die fraw aber Krancken leibs auf einem bette liegend (…)
Zum vierdten, die Erbeinsetzung eines jeden formblich Testaments fundament und hsuptstück ist, auch ohne solches Kein testament bestehen mag, so will Er Herr Testator, in mangel Notherben vnd wafern Er Keine Kinder hinderließen dann wo Er den hinderlaßen würde, dieselbe seine Eben sein sollen Zu einem rechten, wahren vnd ohngezweiffelten Erben hiemit eungesetzt vnd Ernennt haben hannß Jacob von Augenheim, den ledigen Schuh Knecht, weÿland herrn Johann Jacob von Augenheim, des Schuhmachers mit der Fr. Codicillirerin in erster Ehe erzeügten Sohn, seinem Stieffsohn

1694 (18.1.), Chambre des Contrats, vol. 566 f° 42-v
Johann Georg Gerlach der Schuhmacher
in gegensein Georg Christoph Seÿfert deß Schneiders
entlehnt, Eine behaußung mit allen deren Gebäuen und Zugehördt allhier am Baarfüßer Platz, einseit neben Hn Johann Streit dem Patstenbeck und E.E. Großen Rath ietz mahlig. Beÿsitzer and. seit neben (-) dem Uhrenmacher hind. auffs Brendten End stoßend gelegen auff zweÿ jahr lang von jüngst verwichenen Weihnacht. an zu rechnen, umb 17 pfund jährlich. zinß
zu wißen daß d. Keller welchen hans Georg Eÿdgenoß d. Schwartzbeck ln hat und. dieße lehnung nicht begriffen

Jean Georges Gerlach loue la maison au fondeur de pichets Jean Frédéric Simon

1695 (7.3.), Chambre des Contrats, vol. 567 f° 142-v
Hans Georg Gerlach der Schuhmacher
in gegensein Johann Friderich Simon, des ledigen Känten Gießers
entlehnt, Eine Behaußung mit allen deren gebaüen und zugehördten, allhier am Baarfüßer Platz einseit neben Hn Joachim Streit dem Pastetenbeck und E.E. großen Raths beÿsitzer, anderseit neben (-) dem Uhrenmacher, hind. auffs Brenten End stoßend gelegen, auff Vier jahr lang von nechstkünfftigen weÿhnachten dießes 1695. sten Jahrs anzurechnen, umb 22 pfund 10 schilling jährlichen zinnß

Jean Georges Gerlach loue la cave que détenait Jean Georges Eydgenoss au brasseur Thierry Schlehenacker

1695 (27.6.), Chambre des Contrats, vol. 567 f° 401
Hans Georg Gerlach, der Schuhmacher
in gegensein Dietrich Schlehenackers, deß biersieders Zum Störckel allhier [unterzeichnet] dietrich Schlenacker
entlehnt, den vordern Keller unter sein Gerlachs allhier auff dem Baarfüßer Platz einseit neben H. Johann Streit dem Pastetenbeck und E.E. großen Raths alten beÿsitzern, anderseit neben (-) dem Uhrenmacher gelegenen behaußung, maßen solchen Hanns Georg Eÿdgenoß der Haußfeurer seel. und deßen Erben bißhero in lehnung gehabt, sambt den darinn sich ehefrauen Liegerlingen und faßen, ohngefähr 350. Ohmen haltend, alles auff vier Jahr lang Von künfftig Weÿhnachten dießes lauffend. Jahrs anzurechnen, umb einen Jährlichen Zinns Nemblich 7 pfund

Litige sur les tonneaux qui se trouvaient dans la cave lors de la fin du bail accordé à Georges Eygenoss et qu’Emmanuel Werner, deuxième mari de sa veuve, n’aurait pas rendus dans l’état convenu. Le conseil de la tribu réduit les frais de remise en état.
1696, Protocole de la tribu des Tonneliers (XI 392)
(f° 32) Dienstags den 14. Februarÿ Anno 1696
Hannß Georg Gerlach Schuhmacher Kläger contra Emanuel Wernern den becken beklagten, berichtet Kläger daß deßen Schwehervatter hannß Georg Bernegger deß Wernern Vorfahren Georg Eugenußen einen Keller, sambt denen darinnen sich befundenen Väßern auff dem baarfüßer Platz den 9.ten Martÿ 1690. auff Sechs Jahr solchergestalten verliehen, daß Er deß Werners Vorfahr, die Vaß inn banden halten und wider lüfferen sollen, Nun hatte Er, Werner, Von seinem Vorfahren Vergangenes Jahr aber den Keller empfangen, vergangene Johannis 1695. Ihn wider einem andern nähmblichen Dietrich Schlehenackern dem biersieder Zum Störckel Verlehnet, aber die Vaß ungebunden dem H. Schlehenackern überlüffert, da doch in dem Contract Schreiben Welches Er Gerlach producirt, inn allhiesiger Contract Stuben auffgericht, den 19.ten Xbris anno 1686. und den 9. Martÿ anno 1690. expresse Versehen, daß deß Werners vorfahr die Vaß inn banden halten und beÿ cedirung deß Kellers wieder so lüffern solle, An welches Er Sich anjetzo halte, und weilen Er Werner den Keller nach Seinen Vorfahren empfangen und Ihn verlehnet, aber die Vaß deme, der Ihn gelehnet, nicht gebunden gelüffert, habe Er Gerlach Sie anjetzo binden laßen, deßweg. fordert Er die ausgelegte uncosten, und Verlange nichts mehr, alß daß die Vaß besichtiget werden sollen. Beklagter berichtet hierbeÿ, daß Seines Vorfahren Küeffer solle verhört werden, und wan die Vaß inn dem Stand wie Sie anjetzo seind /:Sintemahlen Sie anjetzo durch Seinen deß Gerlachen Küeffer, gebunden worden:/ Sich befunden, wegere Er Werner sich nicht, solche wider also Zu lüffern, widerigen falls aber erhalte Er sich gebürende Nothurfft an vor, hierauff wurden Zween herren E. E. Gerichts, als H. Johannes Knobloch und H Isaac Wagenmann, deputirt, die referirten, daß sie die Vaß Wohl besichtiget und gefunden, daß der Sache fast Zu viel Geschehen, inn deme noch unter denen Reiffen, so von denen Vasen herab gethan worden, mehrere an denenselben hätten bleiben können.

(f° 33-v) Dienstags den 20. Martÿ Anno 1696 – Hannß Georg Gerlach d. Schuhmacher und Emmanuel Wernert haußfrau erschienen wegen der beÿ Vorigem Kauffgericht inn einem Keller auff dem Baarfüßerplatz streitigen Vaßen und bittet Werner in specie erst. den Zedul deß Johann Haasen als Küeffers weilen d.selbe sehr starckh Zue taxiren und dann den Hern Ammeister Zue berichten Specifice darinnen beÿ der angelegten Reiffen Zu viel beschehen. Erkannt, daß dem Küeffer Ane statt 33. fl. 2 s nach E. E. Gerichts gemachten neuen Tax gegeben werden sollen 29. fl. 9 ß 4. d. Anlangend aber die Specification worinnen beÿ dem angelegten Reiffen Zu viel geschehen, könne man keine beßere Nachricht ertheilen, als bereits nach Relation der beeden herren deputirten dem Herrn Ammeister gegeben worden, Womit Ihme wid. erlaubt worden.

Jean Georges Gerlach demande à être relevé de l’amende de 30 sols qui lui a été infligée après un feu de joie en l’honneur de la prise de Barcelone et des injures à son voisin Michel Helbé. L’amende ne punit pas le feu mais les injures à son voisin cordonnier. Jean Georges Gerlach doit non seulement régler l’amende mais présenter ses excuses et promettre de mieux se comporter à l’avenir.
1698, Protocole des Quinze (2 R 102)
Procédure préparatoire en 1697 (2 R 101 f° 350) puis l’année suivante, f° 26 et 47
(f° 108-v) Freÿtag den 23. Maÿ – Joh: Georg Gerlach C. E. E. Zunfftgericht d. Schuhmacher.
Iidem [Obers Handwerck Herren] per me, daß Johann Georg Gerlach d. burger vnd schuhmacher alhier inn einem überreichten Memorial geklagt, daß E. E. Zunfftgericht d. Schuhmacher ihn umb 30. ß gestrafft weilen er Michael Helbe, seinem Nachbaren, und Schuhmacher als Beÿsitzer des gerichts, damahlen als weg. eroberung d. Statt Barcelone Freuden Feuer gehalten worden, Und er Zu bezeugen d. Freud einige schuß inn die butt gethan, höhnisch tractirt und injurirt haben solle, da doch solches Nicht er*ßlich, und seine Zeugen, die er benambßet, als verdächtig verworffen, hingegen ihme Helbe, alß Klägern, Zeug und Richter mehr glauben Zugestelt worden were, mit bitt ihn von d. Straff Zu absoluiren,
darauff das Zunfftgericht d. Schuhmacher inn producirter verantworthung berichtet, daß Kläger gar Nicht wegen seines schießens, sondern, daß er Helbe als ein gerichts Mitglied, offentl. geschimpfft, gestrafft worden seÿe, Und Zwar Nach besag Articuls, der haben wolte, daß wann ein Zünfftiger Wid. d. gericht od. jemanden davon übel redet, er* selbigen be*ern solte, 2. gebe Kläger gewißen boß und leichtsinnig vor, daß das gericht seinen Zeugen Nicht höhren wolle, alß Ob sie solche Idiotischen ungerichten und partheÿische Leuth weren, die Nichts verstünden, und Nach affecten richteten*, 3. Weren die Zeugen, so Kläger Vorgestellt, ehrlich Leuth, als Hn Christian Gebhard d. seckler, herr Johann Georg Finx, und herr Johann Ludwig Imlin, weche beÿ handen deponirt, daß Gerlach Michael Helbe gescholten und schimpflich tractirt hätte, 4. Wer eine unverantwordtliche Calumnie, daß die sie seine Zeug nicht hätten höhren wollen, da doch ihr protocoll klar weißen werde, daß Frantz Bielmeÿer, und Andreas Rebstock, die beede schuhknecht, außgesagt, daß gelach ihn, hölbe, mit seinem Gericht Ampt auffgezogen und deßwegen spöttisch außgelacht hätte, Anbeÿ gebetten, ihn, den Kläger, mit seiner Unbefugten Klag abzuweißen, und zu erlegung d. straff neben den Unkosten anzuhalten, Auch Zu erkennen, daß er ihme* ein gegengarg* Zuthun schuldig seÿn solte.
Worauff die sach Zur Deputation gewiesen worden, vnd als wann die beseßen habe Gerlach Weitläuffig Widerhohlt, Was inn seinem Memoriale enthalten, Darauff noîe E. E. Zunfftgericht Herrn Rathh. Leitersperger geantworthet, daß Gegner Keines Wegs des schießens halben, sondern wegen der iniurien, so er Wied. Hölbe außgestoßen gestrafft worden seÿe, Auch versichert, daß wan er sich Submittirt hätte, er mit einem halben thaler davon Kommen were, Anbeÿ d. waß dießer sach halben jnn dem Zunfft Prothocoll enthalten durch Hn Not. Pantrion ableßen laßen, daraus Zu ersehen* daß sowohl obbemeldte dreÿ burger, alß auch die zweÿ Schuh knecht abgehört worden, Allein habe mann auch beÿ d. exmination gefunden, daß beederseiths inn einem und Anderen gefehlt worden, deßwegen mann getrachtet, die sach Ihre Fernere Weitläuffigkeit außzumachen, Zumahlen Gerlach es auß handen gegeben, darauffhin es auch dahien außgefallen, daß er, Gerlach, vor Straff und Unkosten Ein pfund erlegen, dem herrn Rath. jnn dießer Stuben eine abbitt thun, und Künfftighin sich alß ein gehorsamer Zünfftiger einstellen, Auch d. gericht und deßen Beÿsitzeren respectirten soll dazu er sich Verstanden, herr Rathh. habe auch damit content Zu seÿn bezeugt, * Mghh. ad notitiam gebracht werden sollen.

Susanne Bernegger, femme de Jean Georges Gerlach, vend la maison au brasseur Jean Thierry Schlehenacker pour 600 livres

1698 (10.1.), Chambre des Contrats, vol. 570 f° 26
Fr. Susanna geb. Berneggerin Johann Georg Gerlachs, deß Schuhmachers haußfrau
in gegensein Dietrich Schlehenackers deß Biersieders zum Störckel [unterzeichnet] dietrich Schlenacker
hauß und hoffstatt mit allen deren Gebaüen, begriff., Zugehördt. Recht. und Gerechtigkeit. allhier am Baarfüßer Platz einseit neben H. Johann Streit dem Pastetenbeck und E.E. großen Raths alt. beÿsitzern, anderseit neben Friderich Röhrmann dem Uhren macher, hind. auffs brenden End stoßend gelegen – umb 600 pfund

Jean Thierry Schlehenacker vend la maison au chaudronnier Jean Frédéric Zeyssolff pour 750 livres

1701 (16.Xbris), Chambre des Contrats, vol. 574 f° 633-v
Dietrich Schlehenacker der Bier Sieder Zum Störckel
in gegensein Johann Friderich Zeißolffs des Kupfferschmidts mit beÿstand Hn Johann Georg Wetzels Ober Secretarÿ des Pfenningthurns, seines Vettern
Hauß und Hoffstatt, mit allen deren Gebaüen, Begriffen, Zugehördten, Rechten Und Gerechtigkeiten allhier am Baarfüßer Platz einseit neben Hn Johann Streit dem Pastetenbeck Und E.E. großen Raths alten beÿsitzer, anderseit neben Friderich Röhrmann dem Uhren Macher, hinten auffs Brenten End stoßend gelegen – Paulo post ist Verglichen, daß dem Verkäufer der Vordere Keller im Verkauften Hauß annoch zweÿ Jahr lang ohne zinns gegönnt und gelaßen werd. solle – um 750 pfund

Fils du teinturier Jean Louis Zeyssolff, Jean Frédéric Zeyssolff épouse en 1695 Chrétienne Félicité, fille de Daniel Keck diacre à Lahr en margraviat de Bade Durlach
Mariage, Saint-Pierre-le-Jeune (luth. f° 63)
1695. Domin: II et III Adventus proclamat. sunt Johann Fridrich Zeÿßolff d. Kupfferschmidt alhier weÿl. Joh: Ludwig Zeÿßolff s, geweßenen Schönferbers v. burgers alhier, nachgel. Ehl. Sohn, v. Jfr. Christina Felicitas weÿl. Hrn M. Daniel Kecken geweßenen Diaconi v. Helffers Zu Lahr fürst. Marggräff. Durlachischer herrschafft Nachgel. ehl. Tochter, copulati sunt den 4. 10.br [unterzeichnet] Johann Friedrich Zeÿßolff Alß hochzeiter, Christina Felicitas Keckin alß hochzeiterin (i 65)

Jean Frédéric Zeyssolff hypothèque la maison au profit de Jean Georges Wetzel, secrétaire en chef de la Tour aux deniers

1701 (16.Xbris), Chambre des Contrats, vol. 574 f° 634-v
Johann Friderich Zeißolff der Kupfferschmidt
in gegensein Hn Johann Georg Wetzels Ober Secretarÿ des Pfenningthurns – schuldig seÿen 500 pfund, zu Erkauffung hiernach beschriebenen haußes und in specie zu bezahlung des angeldts
unterpfand, Hauß Und Hoffstatt, mit allen deren Gebaüen, Begriffen, Zugehördten, Rechten Und Gerechtigkeiten allhier am Baarfüßer Platz einseit neben Hn Johann Streit dem Pastetenbeck et Exsenat. anderseit neben Friderich Röhrmann dem Uhrenmacher hinten auffs Brenten End stoßend gelegen

Jean Frédéric Zeyssolff et Chrétienné Félicité Keck font leur testament alors qu’ils sont tous deux en bonne santé.
1712 (25. 8.br), Not. Goldtbach (6 E 41, 231)
Testament – persönlich kommen und erschienen der Ehren: und Vorgeachte Herr Johann Friderich Zeÿßolff, der Kupfferschmid und beneben Ihme die Ehren: und tugendsame Fraw Christina Felicitas Zeÿßolffin, gebohrne Keckin, beede Eheleuthe und burgere allhier Zu Straßburg, beede nicht allein gesund gehend und stehender Leiber, sondern auch durch die Gnade des Grundgüthigen Gottes guther richtiger Sinnen, Vernunfft, Verstandes und Gespräch (…)
Auf Freÿtag den 28.ten octobr. A° 1712 [unterzeichnet] Johann Friederich Zeÿßolff, Christina filietzitas Zeÿßolffin

Jean Frédéric Zeyssolff meurt en mars 1722 en délaissant quatre enfants. Les experts estiment la maison 950 livres. La masse propre à la veuve s’élève à 26 livres, celle des héritiers à 1 159 livres. L’actif de la communauté est de 1 230 livres, le passif de 403 livres.

1722 (20.8.), Not. Lobstein (Jean, 31 Not 9) f° 188
Inventarium und Beschreibung alle derjenigen Haab, Nahrung und güthere, so Weÿland der Ehren: und Wohlvorgeachte Herr Johann Friderich Zeÿßolff, der geweßene Kupfferschmid und burger allhier zu Straßburg nunmehr seel. nach seinem den 6.ten Martÿ dießes lauffenden 1722.sten Jahrs aus dießer Welth genommenem tödlichen hintritt, zeitlichen verlaßen, welche verlaßenschafft auf freundliches ansuchen, erfordern und begehren des abgeleibten seel. mit hernach benanter seiner hinderlaßenen Frau Wittib ehelich erzielter Söhne und Jgfr. tochter und ab intestato verlaßenen erben, auch dero geschwornen H. Vogts (…) durch die Viel Ehren und tugendsahme Frau Christinam Felicitatem Zeÿßolffin gebohrene Keckin, die hinderbliebene Frau Wittib, mit beÿstand des wohl Ehrenvest und Großachtbahren hn Johann Daniel Wetzels, vornehmen handelsmanns und burgers allhier, Ihres gewesenen Hn Curatoris (…) So beschehen in Straßburg, auf Dienstag den 20.ten Augusti Anno 1722.
Der Abgeleibte seelige Hat Zu seinen Erben ab intestato Verlaßen wie volgt. 1. Mr Johann Friderich Zeÿßolff, den Kupfferschmid und burgern allhier, noch ledigen standts, welcher sich beÿ dem geschäfft In selbst eigener Persohn eingefunden, 2. Herrn M. Johann Daniel Zeÿßolff, Theologiæ studiosum so Majorennis, dahero ohnbevögtigt, welcher gleichsam dem geschäfft abwartete, 3. 4. Jgf. Margaretham Salome und dann Philipp Jacob die Zeÿßolffen, deren geschworner Vogt der Ehren Vest Großachtbahr und Kunsterfahrene herr Johann Friderich Brackwehr, vornehmer Silberarbeiter und burger allhier welcher sich ebenmäßig in Nahmen seiner Vogtstpersonen beÿ dem geschäfft eingefunden, Alßo alle vier des verstorbenen seel. mit eingangs gemelter seiner hinterbliebenen Frau Wittib ehelich erziehlte Söhn und Jgf. tochter und ab intestato zu gleichen portionen und antheilern verlaßene Erben
Copia Testamenti reciproci
Bericht wegen dießer Verlaßenschafft. Es ist Zuwißen, als man Zu gegenwärtig. verlaßenschafft Inventation geschritten, hab ich d Nots. gleichbalden gefragt, ob zur zeit beeder Eheleuthe mit einander getroffenen heuraths, eine Eheberedung auffgerichtet word. seÿe, daß darauf eingangs gemelte die hinterbliebene wittib d. bericht gethan, daß Sie von keiner Eheberedung wiße (…)

In einer allhie Zu Straßburg ane dem Baarfußer platz gelegenen und in dieße Verlaßenschafft gehörigen behaußung befunden Worden Wie volgt
Ane Höltzen: und Schreinwerck, Auff dern Obern Bühn, Auf der Undern bühn, In Hn M. Johann Daniels Stüblein, In der Cammer A, In der Wohnstub, In deroselben stubkammern In haußöhren vor dießen gemachen, In der Kuchen, In d. Werckstatt, Im Keller
Eigenthumb ane einer Behaußung (T.) Eine behaußung, hoffstatt, mit allen d.en gebäuwen, begriffen, weith. Zugehörden, vnd gerechtigkeit, geleg. allier am baarfüßerplatz, einseit neben hn Philipp Tagen, dem Pastetenbeck, and.seit neb. Hn Johann Georg Weißhaar, dem Weinhändler, hinten auf das brentenend stoßend, so gegen männiglich. freÿ, ledig, eig. und durch (die Werckmeistere) laut Abschatzungs Zeduls vom 23.ten Julÿ Anno 1722 æstimirt pro 950 lb. Darüber besagt ein teutscher pergamentener Kauffbrieff mit d. Statt Straßburg anhangendem Cancelleÿ Contract Insiegel verwahrt, datirt den 16.ten Xbris Anno 1701. Dabeÿ ferner ein teutscher pergamentener Kauffbrieff, mit der Statt Straßburg anhangendem Cancelleÿ Contract Insiegel verwahrt, datirt den 10.ten Januarÿ Anno 1698. Weilter meldet darüber ein teutscher pergamentener Kffbrieff, mit der Statt Straßburg anhangendem Cancelleÿ Contract Insiegel corroboriret, de dato 17.ten Julÿ Anno 1668 alles mit N° 1. notirt.
Abzug in gegenwärtig Inventarium gehörig. Der wittib ohnverändert Vermögen, Sa. haußraths 13, Sa. Silber geschirr und Geschmeids 2, Sa. goldener Ring 9, baarschafft 1, Summa summarum 26 lb
Der Erben ohnveränderte Nahrung, Sa. haußraths 4, Sa. Silbergeschmeids 2, Sa. Pfenningzinß hauptgüter 988, Sa. Eigenthums ane Gülth von liegenden güthern 163, Summa summarum 1159 lb
Das theilbahr Guth, Sa. haußraths 82, Sa. Wahren und Werckzeugs Zum kupfferschmidt handwerck gehörig 103, Sa. Frucht 3, Sa. Weins und Lährer Vaß 42, Sa. Silbergeschmeids 5, Sa. baarschafft 15, Sa. Eigenthums ane einer behaußung 930, Sa. Schulden 25, Summa summarum 1230 lb – Schulden 403, Nach deren Abzug 736 lb
Conclusio finalis Inventarÿ 1922 lb
Abschatzung d. 23.t Jullÿ Anô 1722. Weÿlandt deß Ehrenhafften vnd bescheÿtene: H: Joh: Friterich Zeÿsolff, Kupfferschmit, Seel. hinder Lassene Frau: witib vnd Erben, ist Eine behausung Alhier in der Statt Straßburg, Auff dem parfüsser platz gelegen, Ein seÿth Neben, Joh: görg weisshorr, weinhändler, Ander seith Neben Phillippus dag Basteten beckh, hinden auff daß Brendten End stossend, welche behaußung, hoffstatt, Stuben, Kammeren, Küchen, hauß Ehren, Ein Werckh Statt, dar in Ein Kupfferschmit Eßen, Ein Gewölbts Keller Zum theill gebälckt, Sampt Aller Ihrer Gerechtigkeith wie solches, durch der Statt Straßburg, Geschwornen Weckh Leithe, in der besichtigung, befunden, vnd dem Jetzigen preiß Nach, an geschlagen wirt, Vor, und umb Ein tausendt Nein Hundert Gulten. Bezeichnüß, durch der Statt Straßburg, Geschwohrnen werckh Leüthen, Michel Ehrlacher Werck Meister des Meinsters, Johann Jacob Biermeÿer Werck Meister des Zimmer hofs

Chrétienne Félicité Keck meurt en mars 1725. L’estimation de la maison est reprise de l’inventaire précédent. L’actif de la succession s’élève à 1 282 livres, le passif à 1 540 livres.

1725 (19.4.), Not. Lobstein (Jean, 31 Not 91) n° 298
Inventarium und Beschreibung alle derjenigen Haab, Nahrung und güthere, so Weÿland die Ehren und tugendsahme Frau Christina Felicitas Zeÿßolffin gebohrene Keckin, auch Weÿland des Ehren: und Wohlvorgeachten Meister Johann Friderich Zeÿssolffs, des geweßenen Kupfferschmids und burgers allhier zu Straßburg nunmehr seel. hinderlaßene Wittib nun ebenmäßig seel. nach ihren Sambstags den 21. ten Martÿ dießes lauffenden 1725.sten Jahrs aus dießer Welth genommenem tödlichen hintritt, Zeitlichen verlaßen (…) So beschehen in Straßburg, auf Donnerstag den 19.ten Aprilis Anno 1725.
Die Verstorbene Frau seelige Hat Zu ihren Erben ab intestato Verlaßen wie volgt. 1. Meister Johann Friderich Zeÿßolff, den Kupfferschmid und burgern allhier zu Straßburg, welcher sich In selbst eigener Persohn beÿ dem geschäfft eingestellt, 2. Herrn M. Johann Daniel Zeÿßolff, S.St.æ Theologiæ studiosum so Majorennis, und ohnbevögtigt, welcher ebenmäßig in selbst eigener Persohn dem geschäfft abwartete, 3. Jungfer Margaretham Salome Zeÿßolffin und dann 4. Philipp Jacob Zeÿßolffen, welcher das Kupfferschmidt handwerck erlernet, dießer beeden Letstern geschworner Vogt Mr Johann Peter Berger der Bohrenmacher und burger allhier zu Straßburg, welcher sich beneben seinen beeden Curandis in selbst eigener Persohn beÿ dem geschäfft eingefunden. Alßo alle vier der in Gott ruhenden Frauen seel. mit eingangs gedachtem Mr Johann Friderich Zeÿssolffen Ihrem geweßenen haußwirth seel. ehelich erziehlte Söhn und Jungfer tochter und ab intestato zu gleichen portionen und antheilern verlaßene Erben

In einer allhier Zu Straßburg ane dem Baarfußerplatz gelegenen und in dieße Verlaßenschafft gehörigen behaußung befunden Worden Wie volgt
Ane Höltzen: und Schreinwerck, Auff dern Obern Bühn, Auf der Undern bühn, In der Cammer A, In der Cammer B, In der Cammer C, In der Wohnstub Cammer, In der Wohnstub, In haußöhren, In der Kuchen, In der Werckstatt, Im Keller – In H. Joh: Fried. Zeÿssolffs des Sohns behaußung
Eigenthumb ane einer Behaußung. Eine behaußung, hoffstatt, mit allen d.en gebäuwen, begriffen, weithen, Zugehörden vnd gerechtigkeit, gelegen allier am baarfüßerplatz, einseit neben H. Philipp Tagen, dem Pastetenbeck, anderseit neb. H. Johann Georg Weißhaar, dem Weinhändler, hinten auf das brentenend stoßend, davon gehen jährl. 24. lb 12 ß d. à 4 pro Cento gerechneten geldt Frauen Ceciliæ Felicitati Wetzelin, geb. Vintherin, weÿl. H. Johann Georg Wetzels des geweßenen Wohlmeritirten Oberschreibers auf dem Pfenningthurn hinderlaßener Frau Wittib, Jahrs auf den 6. Maÿ, ablösig in hauptgut mit 615. lb. Sonsten gegen männiglichen freÿ, ledig, eigen und in weÿl. Meister Johann Friderich Zeÿßolffs des geweßenen Kupfferschmids und burgers allhier, der Fr. seel. geweßenen haußwürths auch seel. dh. mich unterschriebenen Notm. in anno 1722. auffgerichtetem Inventario fol. 77. fac: 2.da vor freÿ, ledig und eigen angeschlagen, pro 950 lb. Nach abzug aber obiger Beschwerden verbleibt annoch übrig 335.lb. Darüber besagt j. teutscher perg. Kauffbrieff mit der Statt Straßburg anh. C. Contract Ins. verwahrt, datirt den 16.ten Xbris Anno 1701. Dabeÿ ferner j. teutsch. perg. Kauffbrieff, mit der Statt Straßb. anh. C. Contract Ins. corroboriret, datirt den 10.ten Januarÿ Anno 1698. Weilter meldet darüber j. teutsch. perg. Kauffbrieff, mit der Statt Straßb. anh. C. Contract Ins. bekräfftiget, de dato 17.ten Julÿ Anno 1668 alles mit altem N° 1. notirt.
Wÿdemb, Welchen die Abgeleibte Frau seelige Von auch weÿl. Mr Johann Friderich Zeÿßolffen dem geweßenen Kupfferschmid und burgern allhier zu Straßburg, ihrem haußwürth seel. ad dies vitæ und theils conditionaliter zu genießen gehabt hat
Abzug in gegenwärtig Inventarium gehörig. Sa. haußraths 114, Sa. Werckzeugs Zum Kupfferschmid handwerck gehörig 20, Sa. Frucht 4, Sa. Lährer Vaß 4, Sa. Silbergeschmeids 9, Sa. goldener ring 8, Sa. baarschafft 4, Sa. Pfenningzinß hauptgüter 750, Sa. Eigenthums ane einer behaußung 335, Sa. Schulden 30, Summa summarum 1282 lb – Schulden 1540, Mehr Schulden als Nahrung 257 lb
Copia Codicilli. 1725 (…) auf Sambstag den 31. tag des Monats Martÿ abends Zwischen vier und fünff Uhren in einer allhier Zu Straßburg an dem baaarfüßerplatz gelegenen und hernachgemelter Frauen Codicillerin eigenthümlich zuständigen behaußung deren Obern Stuben mit den fenstern auf den Platz außehend (…) persönlich kommen und erschienen die Ehren und tugendsame Frau Christina Felicitas Zeÿßolffin gebohrene Keckin, Weÿland des Ehren: undt Wohlvorgeachten Meister Johann Friderich Zeÿssolffs, des geweßenen Kupfferschmidts und burgers allhier zu Straßburg nunmehr seel. hinderlaßene Wittib, Zwar krancken und schwachen Leibes auf einem bette Liegend, dannoch aber von gnade des grundgütigen Gottes, guter richtiger Sinnen, Vernunfft, Verstandts und gesprächs (…) Johannes Lobstein Notarius juratus

Jean Frédéric Zeyssolff prend la maison à bail en laissant à son frère étudiant en théologie la jouissance de sa chambre.

1725 (14.8.), Not. Lobstein (Jean, 31 Not 91) Joint au n° 298 du 19 avril 1725
(Inventarium über Weÿland Frauen Christinæ Felicitatis Zeÿßolffin gebohrener Keckin, Meister Johann Friderich Zeÿssolffs, des Kupfferschmids Verlaßenschafft)
Verkauff: und Erlöß Register
Vergleich und Respectivé Lehenung wegen der behaußung
Die in dem Inventario fol. 62. fac: 2. et seqq beschriebene behaußung ane dem Baarfußerplatz allhier gelegen, ist von allerseits Interessenten außerhalb hernach erwahnter gemach Meister Johann Friderich Zeÿßolffen dem Kupfferschmidt und burger allhier dem ältesten Sohn in Lehenung überlaßen Worden, also daß er biß nechstkünfftige Michaelis dieses 1725.sten Jahrs daßelbe Zu beziehen zu bewohnen berechtiget sein solle und solle davon seinen dreÿen geschwüsterden Jährl. so lang Er solches bewohnen wird und biß etwa die behaußung wird verkaufftt werden Zu Zinß: 30 Gulden
Zweÿtens wurde Verglichen, daß hern M Johann Daniel Zeÿßolff S.St.æ Theologiæ stud.sein bißher bewohntes Studier Stüblein sambt der daneben befindlichen Cammer demselben wie biß anhero also auch im Künfftige Zu besizten gelaßen werden solle, und solle Er davon so lang h. Andreas Keller S.St.æ Theologiæ stud. solches ebenmäßig bewohnen wird Jährl. auch Von Michaelis dießes Jahrs angerechnet 15 Gulden abrichten, welche gleichfalls denen dreÿen Jüngsten Kindern allein gebühren sollen
Drittens, sollen diejenige 15 gulden so Jährl. auß dem Keller ane Interesse erhoben werden, gleichergestalten allein unter die dreÿ Jüngste Kinder vertheilt werden (…)
Actum Straßburg den 14.ten Augusti 1725.

Jean Frédéric Zeyssolff rachète les parts de la maison dont il devient seul propriétaire.

1726 (23.1.), Chambre des Contrats, vol. 600 f° 40
weÿl. Johann Friedrich Zeÿßolff geweßenen Kupfferschmidts mit auch weÿl. Christina Felicitas geb. Keckin erzeugte dreÿ Jünger Kinder nahmens H. M. Johann Daniel Zeÿßolff S.S. Theologiæ Studjosus, Ferner Johann Peter Berger der Bohrenmacher als vogt Jfr. Margaretha Salome Zeÿßolffin und Philipp Jacob Zeÿßolff Kupfferschmidts: gesellen
in gegensein ihres bruders Johann Friedrich Zeÿßolff Kupfferschmidts
dreÿ 4. theil für ohnvertheilt ahne einer Behausung und hoffstatt mit allen derselben gebäuden, begriffen, weithen, zugehörden und gerechtigkeiten ahm Baarfüßer platz, einseit neben Philipp Tag dem Pastetenbeck anderseit neben weÿl. Johann Georg Weißhaar des Weinhändlers Erben, hinten auff das Brendten End – ihnen verkäufern zu dreÿ, dem Käuffer aber zu einem vierten theil für ohnvertheilt als ein in elterlicher Verlaßenschafft erhaltenes guth – um 150 pfund verhafftet, gewesen um 637 pfund

Jean Frédéric Zeyssolff épouse en 1722 Marie Madeleine Schrœder, fille du chirurgien Jean Krafft Schrœder : contrat de mariage, célébration
1722 (9. 9.br), Not. Lobstein (Jean, 31 Not 76) n° 82
Eheberedung – entzwischen dem Ehen: vnd vorgeachten Meister Johann Friderich Zeÿßolff, dem Ledigen Kupfferschmid, weÿl. des Ehren: und vorgeachte, Mr Johann Friderich Zeÿßolffs, des geweßenen Kupfferschmidts und burg. allhier nunmehr seel: hinderlaßenem Sohn, als dem bräutigamb ane einem
So dann der Ehren: vnd tugendsamem Jungfrauen Mariæ Magdalenæ Schröderin, weÿland des Ehren und wohlvorgeachten auch Kunsterfahrenen Herrn Johann Krafft Schrötters, des geweßenen Chirurgi vnd burgers allhier Zu Straßburg seel. hinderlaßener tochter, als der Jungfrauen hochzeiterin ane dem andern Theil
zu Straßburg auff Montag den 9.ten 9.bris Anno 1722 [unterzeichnet] Johann Friedrich Zeÿsolff als hoch Zeitern, Maria Magdalena schröderin Alß hoch Zeiderin

Mariage, Saint-Pierre-le-Vieux (luth. f° 98-v)
1722. domin. XXIV. et XXV. Trinit. seindt außgeruffen vndt Mittwochs darauff als den 25. 9.bris Ehelich eingesegnet worden Johann Fridrich Zeisolph der ledige Kupfferschmidt vndt burger, Johann Friderich Zeÿßolffs gewesenen burgers vndt Kupfferschmidts allhier nachgel. Ehl. Sohn vndt Jungfrau Maria Magdalena Schröderin, H. Johann Crafft Schröders, gewesenen burgers vndt Barbierers allhie nachgel. Ehl. Tochter [unterzeichnet] Johann Friedrich Zeÿsolff alß hoch Zeitder, Maria Magdalena schröderin alß hoch Zeiderin (i 101)

Inventaire des apports dressé dans la maison place des Cordeliers
1723 (11.1.), Not. Lobstein (Jean, 31 Not 11) n° 206* [haut de l’acte abîmé par l’humidité]
Inventarium und Beschreibung aller derjenigen Haab, Nahrung und güethere, so der Ehren und Vorgeachte Meister Johann Friderich Zeÿßolff, der Kupfferschmidt vnd die Ehren und tugendsahme frau Maria Magdalena Zeÿßolffin gebohrene Schröderin, beede Eheleuthe vnd burgere allhier zu Straßburg einander Vor ohnverändert in den Ehestand Zugebracht, welche der ursachen allweilen in Ihre beede Eheleute mit einander auffgerichteten Heuraths Verschreibung expressé enthalten, daß eines jeden in die Ehe bringende Nahrung reservirt vnd ohnverändert sein vnd bleiben solle (…) So beschehen in Straßburg auf Montag den 11.ten Januarÿ Anno 1723.
In einer allhier Zu Straßburg ane dem Baarfüser platz gelegenen vnd in dieße Zugebrachte Nahrung nicht gehörigen behausung befunden worden wie volgt

Jean Frédéric Zeyssolff vend la maison à Rosine Schillinger, veuve du fripier Simon Rolle, moyennant 1 000 livres

1726 (23.1.), Chambre des Contrats, vol. 600 f° 41
Johann Friedrich Zeÿßolff Kupfferschmidt
in gegensein Fr. Rosinæ geb. Schillingerin weÿl. Simon Rolle Frippier wittib mit beÿstand ihres vogts H. Nicolauß Anstätt Exsenatoris
Eine Behausung und hoffstatt mit allen derselben gebäuden, begriffen, weithen, zugehörden und gerechtigkeiten ahm Baarfüßer platz, einseit neben Philipp Tag dem Pastetenbeck anderseit neben weÿl. Johann Georg weißhaar des weinhändlers Erben hinten auff das Brendten End – um 150 pfund verhafftet, geschehen um 850 pfund

Rosine Schillinger hypothèque la maison au profit de ses enfants

1726 (26.2.), Chambre des Contrats, vol. 600 f° 108
Fr. Rosina geb. Schillingerin weÿl. Simon Rolle Frippier wittib mit beÿstand ihres vogts H. Nicolaus Anstätt Exsenatoris
in gegensein Peter Frantz Uttilie Schneiders als vogts weÿl. Simon Rolle mit deßen wittib erzeugte zweÿer Kinder & Claudÿ und Maria Rosina der Rolle – schuldig seÿe 1213 gulden
unterpfand, Eine Behausung und hoffstatt mit allen derselben gebäuden, begriffen, weithen, zugehörden und gerechtigkeiten ahm Baarfüßerplatz, einseit neben Philipp Tag Pastettenbeck anderseit neben weÿl. Johann Georg Weißhaar des weißbecks Erben hinten auff das Brendten endt

Rosine Schillinger se remarie avec l’enseignant Jean Baptiste Hœgel, fils du marchand de draps François Hœgel de Limbourg en juridiction de Trèves : contrat de mariage, célébration
1726 (14.5.), Not. Rith (6 E 41, 945)
Eheberedung zwischen dem Vorgeachten herrn Johann Baptiste Högel informatori allhier herrn Frantz Högels des burgers und tuechhändtlers zu Limburg Churtrierischer jurisdiction herren sohn
sodann der Viel ehr und tugendsamben frawen Rosina geb. Schillingerin Weÿl. H. Simon Rollen gewesten frippiers fraw Witib [unterzeichnet] Joes Baptista Hoëgel, +

Mariage, Saint-Pierre-le-Vieux (cath. p. 148)
Hodie die 22 Mensis Junÿ Anni 1726 (…) sacro Matrimonii Vinculo conjuncti fuerunt in facie Ecclesiæ Joannes Högel oriundus ex Limburg Diœcesis Treuirensis et Rosina Schillingerin Vidua defuncti Simonis Roll (signé) Joannes Baptista Högel, +)

Jean Hœgel devient bourgeois par sa femme quatre semaines après son mariage (remarque, il manque une partie du texte, Jean Hœgel étant fils d’un marchand)
1726, 4° Livre de bourgeoisie p. 928
Johann Högel d. weinhändler Von Limburg geb. erhalt das b. von seiner ehefr. rosina schillingerin weÿl. Simon Rollen gewes. fripier allhier hint: wtb. umb die tertz d. alt. bs. will beÿ E. E. Zunfft d. Kiefer dienen. Jur. d. 15.ten Julÿ 1726.

Le lettré Jean Hœgel devient tributaire chez les Tonneliers deux mois plus tard.
1726, Protocole de la tribu des Tonneliers (XI 394)
(f° 121) Mittwoch den 11. Septembris Anno 1726
Herr Johannes Högel der Literatus producirt burger Schein Sub dato den 15.ten Julÿ 1726. Von der Cantzleÿ, Statt Stall, und Pfenningthurn unterschrieben, bate Ihne alß einen Leibzünfftig Zu recipiren.
Erkannd Willfahrt Zahlt gebühr alß ein fremder 2 lb 1 ß 8 d für die Zu den Feuer Eÿmern geordnete 10 ß. et pro inscriptione 2 ß 6 d

Inventaire des apports dans lequel figure la maison

1726 (22.5.), Not. Rith (6 E 41, 945)
Inventarium undt Beschreibung aller der Jenigen haab nahrung und güetter nichts davon außgenohmen, reseruirt noch vorbehalten, so herr Johann Baptiste Högel jnformator allhier undt fraw Rosina gebohrene Schillingerin beedte eheleuth in ihren vor geraumer zeit mitgrt. ahngetrettenen ehestandt würcklich eingebracht undt Crafft deren mit einander auffgerichteten Eheberedung sich undt ihren erben alß ein ohnverändert undt vorbehalten gutt (…) expressé reseruirt, conditionirt und bedungen (…) so beschehen Straßburg den 22.ten Maÿ 1726.
In einer hiernach beschriebener behaußung befunden worden wie folgt
Des Manns Nahrung, gold. Ring 1, baarschafft 27, schulden 250, des ehemanns nahrung 325 lb
Nun folget auch der frawen nahrung
Eigenthum ahne behaußung. I. eine Baraque dans l’enclos du Bastion de la Bruche $ 8349
Item I. behaußung und hoffstatt und all deroselben gebeuwen, begriffen, weiten, Zugehörden recht. und gerechtigkeit allhier ahm baarfüßer Platz gelegen 1.s. Philipp dag pasteten beck, 2.s. neben Weÿl. Joh: görg Weißhar des Weinhändlers erben, hinten auff das brendten end stoßend, so freÿ ledig eigen undt hat sie die ehefrau Zeit ihres witwenstandes sothane behaußung Kaufflich. ahne sich gebracht undt gleich bar bezalt mit 1000. lb, So dann ahne pfundt Zoll, Contract verschreibung und ohngedungene verhehrung hat sie ferner in allem Zusammen gerechneter maß. außgelegt 50 lb, 1050 lb. Und thut mithin der ahnschlag deßen Zusammen der auß bag* nach gerechnet 1050 lb.. Darüber ist Vorhanden ein teutsch pergamentener Kauffbr. dedato 23.ten Jan. 1726. mit allhießiger Cantzleÿ Contract stub Insigel Verwahrt stehet geschrieben, was gestalten sie die ehefraw due vormahls auff sothaner behaußung gestandtene 150. lb der Wetzlisch. fraw witib abgetrag. Vid. Cantzleÿ Contract stub registand. de A° 1723. f. 81-n jn margine
summa 1145 lb – Summa summarum 1601. lb – Schulden 856, Verbleibet 744 lb

Rosine Schillinger hypothèque la maison au profit des enfants de Marie Anne Rolle, épouse du tonnelier Jean Georges Carlen.

1729 (8.3.), Chambre des Contrats, vol. 603 f° 130-v
Fr. Rosina geb. Schillingerin weÿl. Simon Rolle gewesten Frippier wittib mit beÿstand ihres Vogts H. Nicolaus Anstätt Exsenatoris
in gegensein Peter Frantz Utulie Schneiders als vogt der einbändigen schwester seel. weÿl. Maria Anna geb. Role Johann Georg Carlen des kieffers und weinhändlers vor weÿl. H. Not. Oeßinger errichtet ahm 2. nov. 1726 auffgerichtete testamento nuncupativo 40 gulden
unterpfand, Eine Behausung und hoffstatt mit allen derselben gebäuden, begriffen, weithen, zugehörden, Rechten und gerechtigkeiten ahm Baarfüßer platz einseit neben Philipp Tag dem Pastetebeck anderseit neben weÿl. Johann Georg weißhaar des weinhändlers

Le barbier François Conrad prend en apprentissage pour trois ans Jean Claude Rolle, fils du fripier Simon Rolle, assisté de son tuteur Pierre François Utilier.
1732, Protocole de la tribu de la Lanterne (XI 211)
(f° 56-v) Dienstags den 16. Xbr 1732
Herr Frantz Conrad scheerer burger vndt Chyrurgus allhier Stellt Zum Lehrjungen Johann Claudius Roll, weÿl. Simon Roll gewesten burgers vndt frippiers dahier see. hinderlaßenen Ehelichen sohn, verbeÿstandet mit meister Peter Frantz Uttilie auch burgers vnd schneiders allda seines Vogts, bittet Ihnen vom 1. 9.bris letzthin biß solche Zeith 1735. Ihme In Lehr Zu Zueschreiben gegen bezahlung vor daß lehrgelt 150 fl. sambt 18 fl. pro Discretione, davon die helffte deß Lehr Gelts sambt der Discretion Jetzt gleich Vndt die andtere helffte deß lehr geldts beÿ halb verfloßener Lehr Zeith solle bezahlt werdten, wonach Ersehenem schein von denen ober Handwerckß herren Ist Erkandt solle Er Lehrjung einen Tauff schein ad prothocollum bring. übrigens willfahrt.

Etudiant en droit, Jean Claude Rolle hypothèque sa moitié de maison au profit de sa sœur Marie Rosine

1735 (7.10.), Chambre des Contrats, vol. 609 f° 677
Johann Claudius Rolle studiosus Juris mit beÿstand seines Curatoris ad hunc actum Stephan Schlidt des gastgebers zum großen Bartt
in gegensein Peter Frantz Uttilier des schneiders als vogts sein Rolle vollbürtiger Schwester Maria Rosina Rolle – schuldig seÿe 100 pfund
unterpfand, die ohnvertheilt helffte ahne einer Behausung und hoffstatt mit allen deren übrigen gebäuden, begriffen, zugehörden, rechten und gerechtigkeiten am Baarfüßer Platz einseit neben Philipp Tag dem Pastettenbeck anderseit neben weÿl. Johann Georg Weißhaar des weinhändlers Erben modo Stephan Schreiber des kieffers uxorio nomine hinten auff das Brandten End – zur andern helffte aber seiner creditirenden schwester

Nouvelle hypothèque entre les mêmes parties

1736 (24.7.), Chambre des Contrats, vol. 610 f° 686-v
H. Johann Claudius Rolle J.V.Ltus beÿständlich seines Curatoris ad hunc actum Stephan Schmidt des gastgebers zum großen Barth
in gegensein Peter Frantz Utilie des Schneiders als vogts sein H. Lt. Rolle vollbürtigen schwester Mariæ Rosinæ Rolle – schuldig seÿe 300 pfund
unterpfand, die ohnvertheilt helffte an einer Behausung und hoffstatt mit allen übrigen deren gebäuden, begriffen, zugehörden und gerechtigkeiten am Baarfüßerplatz einseit neben Georg Friedrich Tag dem Pastetenbeck, anderseit neben weÿl. Johann Georg Weißhaar des weinhändlers Erben modo Stephan Schreiber dem kieffer ehevögtl. weiß hinten auff dem Brandten End
Mehr die ohnvertheilt helffte eines häußes am ged. Baarfüßerplatz gegen der Schlauch gaß hinüber einseit wie auch anderseit neben dem Stattkeller hinten auff eben derselben – davon gibt man 1 lb 2 ane bodenzinß – zur anderen helffte seiner creditirenden schwester eigenthümlich zuständig

Licencié en droit, Jean Claude Rolle hypothèque sa moitié de maison au profit de Jean Jacques Dorsner

1737 (18.2.), Chambre des Contrats, vol. 611 f° 120
H. Johann Claudius Rolle J.V.Ltus beÿständlich seines curatoris ad hunc actum Stephan Schmidt des gastgebers
in gegensein H. Johann Jacob Dorßner J.V.Lti und Schaffners des Stiffts Carthauß – schuldig seÿe 150 pfund
die helffte für ohnvertheilt ahne einer behausung und hoffstatt mit allen übrigen deren gebäuden, begriffen, weithen, zugehörden und gerechtigkeiten ahne dem Baarfüßer platz, einseit neben Johannes Tag dem Pastettenbeck anderseit neben Stephan Schreiber dem kieffer und weinhändler hinten auff den brandt ein end
Ferner die helffte eines kleinen haußes und dabeÿ liegendes gädleins inerhalb des Pfennningthurns ahne ges. Baarfüßer platz, einseit neben einem gemeiner statt gehörigen gädlein anderseit neben Allmend hinten auff der Statt Kellereÿ – davon gibt man hiesiger Stadt Pfenning Thurn 1 lb ane allmend zinß
weither die helffte einer barraque cum appertinentis au Bastion de la Bruche beÿ denen gedeckten brucken ohnfern der schweitzer Cazerne einseit neben weÿl. Pellisier gewesten würths wittib anderseit neben einem denen H. Patribus zu St Louis gehörigen gartten,davon gibt man bemeldtem pfenning thurn jeden jahr 1 pf 10 ß ane bodenzinß – als von seinen elteren ererbt zu einem halben theil und zur andern helffte benennter seiner schwester eigenthümlich zuständig

Vice intendant au service des princes de Wurtemberg, Jean Claude Rolle vend sa moitié de maison à son beau-frère le sellier Vincent Gayneau (marié à Marie Rosine Rolle)

1738 (8.8.), Chambre des Contrats, vol. 612 f° 448
Johann Georg Paur der schuhmacher als gewalthaber H. Johann Claudÿ Rolle J.V.Lti. und Unterhoffmeister der durchlauchtigsten Printzen von Würtemberg
in gegensein Vincent Gayneau des sattlers
die helffte für ohnabgetheilt ahne hiernach beschriebenen häußer, Nemlich ahne einem kleinen hauß und Laden am Baarfüßerplatz gegen dem Pfenning: thurn über, einseit neben einem gemeiner statt gehörigen gädel anderseit ist ein eck gegen ged. Pftenningthurn hi. dem Herren keller
ferner ahne einer Behausung und hoffstatt samt übrigen deren gebäuden, begriffen, weithen, zugehörden und rechten auff dem Baarfüßerplatz einseit neben Stephan Schreiber weinhändler anderseit neben Johann Daniel Mamberger dem scherdtfeger hinten auff das Branndt ein End und einen ausgang dahin habend
Mehr ahne dem zum schwartzen Adler genannten au Bastion de la Bruche beÿ denen Ponts Couverts, einseit neben dem würthshauß au Dauphin anderseit neben Gasthauß a la Reyne de France Mre Miane gehörig, hinten auff den H. Patruum zu St Louis gärttlein gelegenes haus cum appertinentis
So dann an einem hauß, gärttlein und höfflein samt zugehörden in ged. Bastion de la Bruche einseit neben allererst beschriebenem hauß anderseit ein eck gegen denen Casernes hinten auff der H. Patrum zu St Louis gartten gelegen au Dauphin genannt
davon und zwar von dem beÿ dem pfenningthurn liegendes gädlein und hauß gibt man hiesiger Stadt Pfenning Thurn 1 lb 2 ß und von denen au Bastion de la Bruche liegenden beeden häußern eben dahin 3 lb Ane allmend zinß – um 400 und 150 pfund verhafftet – als ein elterliches erbguth zu einer und zur anden helffte des käuffers ehefrau jenes schwester eigenthümlich zuständig – auff den fueß von 1262 pfund

Vincent Gayneau hypothèque les différents immeubles qu’il vient d’acheter au profit du maître de danse Jean Le Comte

1738 (8.8.), Chambre des Contrats, vol. 612 f° 449-v
Vincent Gayneau der sattler
in gegensein H. Jean Le Comte des Tanzmeisters – schuldig seÿe 750 pfund zu bezalung des kauffschillings der helffte hiernach beschriebener vier häußer
unterpfand, die heutigen tags erkaufft und aus jetzigem vorschuß bezalte helffte ahne hiernach beschriebener häußer, Nemlich ahne einem Laden und kleinen hauß am Baarfüßerplatz gegen del Pfenning: thurn über, einseit neben einem gemeiner Statt gehörigen gädel anderseit ist ein eck gegen ged. Pftenningthurn hinten auff dem Herren keller
mehr an einer Behausung auff dem Baarfüßerplatz einseit neben Stephan Schreiber dem weinhändler, anderseit neben Johann Daniel Mamberger dem scherdtfeger hi. das Branndt ein End und einen ausgang dahin habend
weither ahne zweÿen nebeneinander liegenden alhier au Bastion de la Bruche ohnfern denen gedeckten Brucken einseit neben dem Gasthauß a la Reyne de France Mre Miane gehörig, anderseit ist ein eck gegen denen Casernen hinten auff den H. Patrum zu St Louis gartten gelegenen hausern, höfflein, gärttlein und zugehörden, denen eines zum schwartzen Adler und das andere zum Dauphin genannt, davon gibt man hiesiger Stadt Pfenning Thurn 3 lb
und von dem gegen dem pfenningthurn liegenden haus und gädlein 11 ß 2 d – der andere halbe theil aber seiner ehefrau zuständig

La maison est estimée à 900 livres à l’inventaire de Marie Rosine Rolle, dressé en 1751.
Le sellier Jean Michel Georger rend compte de la tutelle des biens appartenant aux trois fils de Vincent Gayneau et de Marie Rosine Rolle. Il est locataire de la maison place des Cordeliers dont il a acquis la moitié dans la faillite du père de ses pupilles

1764, Not. Fické (6 E 41, 782) n° 86
Rechnung mein Johannes Michael Georger des Sattlers als geordnet und geschworenen Vogts weiland S.T. Herrn Vincent Gayneau gewesenen Statt Sattlers und E.E. großen Raths alten beÿsitzers mit längst weiland fr. Maria Rosina geb. Rollin in erster Ehe erzeugt nach tod verlaßener dreÿer Söhne, nahmentl. Vincent des leedigen und bereits volljährigen Sattlers, Johannis und francisci der Gayneau, inhaltend und ausweißend was ich im Nahmen derselben pt° ihres ererbten mütterl. Guth vom 10. feb. 1762 biß 10.febr. 1764 behandelt, eingenommen und hingegen wieder ausgegeben habe – Erste Rechnung dieser Vogteÿ

Corpus der Curanden jährlich falle habende Hauß Zinnßen. So viel die behausung am barfüßer Platz gelegen antrift, woran den Curanden die helfte für mütterlich Erbguth zuständig ist, so habe ich der Vogt, der ich die andere in die Vätterliche falliments Mass gehörig gewesene Helffte an mich ersteÿgert schon ehemahlen Vom Defuncto der Curanden H. Vater seel. in Lehnung genommen, und seithero damit continuirt um einen Jahres zinß von 75 lb.
die andere helffte einer behaußung au pont couvert gelegen, die Ihnen Curanden ebenfalß für mütterlich Guth gehörig ist, ist immerbald ganz bald zum theil und allemal so gut, als sich die Gelegenheit darzu offenbahrt verlehnt worden, Es kann also davon weiter nichts gewißes angezeigt werden, alß daß solche gantze behausung erst an Weÿhenachten 1763. an eine verwittibte frau Cholly um einen Jahres Zinnß von 15. lb. 10. ß verlehnt gewesen, daß aber solche beständerin schon auf nächst kommendes quartal Annunciationis Mariæ wieder quittirt und N. Braun ein Melcker hingegen einziehen wird, der einen Jahres Zinnß versprochen hat von 26 lb

Autre compte de tutelle rendu par le même

1766, Not. Fické (6 E 41, 783) n° 115
Rechnung mein Johann Michael Görger des Sattlers als geordnet und geschworenen Vogts Weÿl. S.T. Hn Vincent Gayneau gewesenen Statt Sattlers und E.E. großen Raths alten beÿsitzers mit längst Weÿl. Fr. Maria Rosina geb. Rollin in 1. Ehe erzeugt nach tod verlaßener 2.er jüngster Söhne nahmentlich Johannis und Francisci der Gayneau, inhaltend und ausweisend was ich im Nahmen derselben vom 10. martÿ 1764 als dem beschluß meiner 1.en Rechnung bis 18. apr. 1766 fernerhin eingenommen und dagegen wieder ausgegeben habe – Zweÿte Rechnung dieser Vogteÿ
Erstlich vereinnahme ich der Vogt selbsten von der denen beeden Curanden und ihrem volljährigen bruder gemeinschaftlich gehörigen Helfte einer am barfüßer Platz gelegen behaußung den zinß (…)
Item so hat N.N. eine Soldaten Frau die behaußung au Pont couvert gelegen von Weÿhenachten 1763 bis Frauentag 1764
Item habe ich von hieher gehörigen helffte der behausung au Pont Couvert den Zinß bezogen von Annunciationis Mariæ 1764 bis Michaelis 1764 für I. und einhalb Jahr, betragt à 13 lb des Jahrs 19.
Nota, der Rückstand für den Quartal weÿhenachten 1765 und frauentag 1766 fidet sich auf N. Lutz dem Melcker, als Eigenthümer der I.en und beständer der andern hieher gehörig. hellffte in Extanzen

Vincent Gayneau (fils de Rosine Rolle) vend sa part à Jean Michel Georger (son ancien tuteur)

1768 (27.5.), Chambre des Contrats, vol. 642 f° 342
H. Vincent Gaynau der ledige sattler so über 25 jahr alt
in gegensein H. Johann Michel Georger des sattlers
den fünfften theil vor ohnvertheilt ane einer behausung mit allen gebäuen, begriffen, rechten und gerechtigkeiten davon die helffte zufolge ganthkauff brief vom 13. junÿ 1763 dem keuffer vorhin gehörig ist, ane dem Barfußerplatz, einseit neben Stephan Schreiber des kieffers erben, anderseit neben N. Pugein des schneiders, hinten auff das Brand ein end – um 262 pfund

Autre compte de tutelle

1771, Not. Fické (6 E 41, 783) n° 167
Rechnung über alles dasjenige besagend, was nunmehro Weiland herr Johann Michael Georger, der gewesene Sattler und Burger dahier zu Straßburg, in gehabter Qualitæt geordnet und verpflichteten Vogts François Gayneau, des leedigen Schreiners, Weiland Herrn Vincent Gayneau gewesenen Stadt: Sattlers und E. E. großen Raths alten Beisitzers, mit längst Weiland Fraun Maria Rosina gebohrner Rollin in I.ter Ehe erzeugt nach Tod verlaßenen Sohns, vom 18.ten Maÿ 1768. bis und mit dem Anfang des 1771. Jahrs eingenommen und hingegen ausgegeben hat – Vierte und letzte Rechnung dieser Vogteÿ
Des Curandi jährlich fallen habenden haußzinses.
Nämlich von demjenigen einen fünfften Theil si dam Curandi als Elterlich und bruderlich Erb anfällig worden von und ane einer alhier Zu Straßburg an dem Barfüßer platz gelegenen behausung hat der Verstorbene Vogt der bereits 21/30.te theil daran an sich erkauft gehabt und die überige Antheiler in Lehnung übernommen gehabt, alljährlich Zu Zinns gereicht 15. lb

Jean Michel Georger porte devant les Quinze une affaire qui l’oppose à la tribu des Tanneurs (le registre lacunaire n’en apprend pas davantage)
1748, Protocole des Quinze (2 R 158)
Joh: Michael Görger contra teutsche Sattler. 45 (fragment)

Sellier célibataire originaire de Saverne, Jean Michel Georger demande une dispense pour présenter son chef d’œuvre sans faire les trois années d’épreuve préalables. Il déclare avoir travaillé pendant deux ans à Strasbourg chez le sellier Dabeind puis pendant six ans à Paris. La veuve Dabeind est disposée à lui céder son atelier. La tribu objecte que la requête contrevient à tous les règlements. La commission est du même avis. Les Quinze rejettent la demande. Les Quinze délivrent une expédition de leur jugement.
1750, Protocole des Quinze (2 R 161)
(p. 80) Sambstags d. 21. Februarÿ – Joh: Michael Görger Ca. die teutsche Sattler (fragment)

(p. 127) Sambstag d. 7. Martÿ – Joh: Michael Görger Ca. die teutsche Sattler
Iidem [Obere handwercks Hhn] laßen per Eundem [Hn Secretarium] referiren, es habe Joh: Michael Görger, der ledige Sattler gesell von Elsaß Zabern, beÿ Mghh. d. 31. Januarÿ jüngst Ca. E. E. Meisterschafft der teutschen Sattler allhier ein unterth. Memoriale übergeben, und darinnen Vorgetragen, was maßen er das handwerck nach ordnung erlernt, und nach denen lehrjahren 2 Jahr als gesell beÿ weÿl. Mst. Dabin allhier gearbeithet, von dannen er nach Paris gereißet vnd sich in über 6 Jahr allda beÿ denen besten Meistern in arbeith befunden, Nun wolle gedachten Mstr Dabins wittib Ihme Ihre boutique unter gewißen conditionen überlaßen, zu dem ende er sich beÿ Imploratischer Meisterschafft angemeldet, welche Ihn aber anvorderist Zu Verarbeithung derer Muthjahr angewießen, weilen aber 1° Kein einiger Sattlergesell, der das handwerck allhier erlernet, oder darauff gearbeithet, jemahlen 3. Jahr Vemuthet, 2.do Implorant durch übenahm der Dabinischen werckstatt sein glück machen und einer Meisters wittib nutzen beförderen Könne, und 3.tio Keine neue werckstatt auffrichte, als gelange an Mghh deßeben unterth. bitten, Sie gnädig geruhen wollten, Imploranten Von denen dreÿ Muthjahren Zubefreÿen und dispensando zu der Verfertigung des Meisterstücks Zu admittiren.
Imploratischer Obermeister habe d. 21. febr. jüngst unterth. Exceptiones mit beÿl. Sub Lit. A. vorgelegt, und darinn exponirt, was maßen des Imploranten petitum höchstverwegen seÿe, indeme er, lauth beÿl. Lit A, sowohl beÿ Frantzösischer als Imploratischer Meisterschafft nichts anders, als nur in die Muthjahr eingeschrieben Zu werden, begehrt, damit aber beÿ der esteren abgewießen, Ihme aber von Imploratischer Meisterschafft gratificirt worden, der artickel seÿe gantz clar und deutlich, daß ein frembder Sattlers gesell Zu verfertigung des Meisterstücks nicht admittirt weden solle, er habe dann Zuvor 3. Jahr Vermuthet, welcher artickel auch den d. 5. Maÿ 1736. In sachen Joh: Christian Cullmanns des damahligen Sattlersgesellen wieder Imploratischer Meisterschafft contradictorie ergangenen bescheid gleichsahm confirmirt und roborirt worden, da nun über dießes der Implorant keine erhebliche motiv, wodurch Mghh. zur dispensation bewogen werden möchten, vorbring. könne, als gelange er hochdieselbe des Imploratischen Obermeisters unterth. bitten, Sie gnädig geruhen wollten, den Imploranten mit seinem wieder Ordnung lauffenden begehren, in ipso limine judicÿ ref. exp. abzuweißen,
Auff geschehene Weißung habe der Implorant sich nochmahlen auff contenta Memorialis bezogen, Augustin Güntzer als Obermeister, Joh: Friderich Kreß und Joh: Michael Klein, beede geschwohrnen præsentes, hätten auch Ihres orths contenta Exceptionum wiederhohlt,
Auff seithen denen Hhn deputirten seÿe des Imploranten petitum würcklich vor Zu früh Zeitig und Verwegen angesehen und gehalten worden, sintemahlen derselbe, ane statt in conformitæt des beÿ Imploratischer Meisterschafft ergangenen bescheids, in arbeith einzugehen, und die verordnete Muthjahr Zu verarbeithen, sogleich beÿ MGhh. von denenselben völlig dispensirt, und zur auffnahm des Meisterstücks admissible Zu seÿn, gebetten, welches doch wieder alle ordnung und artickel directe lauffe, weßwegen die Hhn deputirte auch der meinung seÿn wollen, daß der Implorant mit seinem begehren puncto gesuchter dispensation von denen Muthjahren und admission Zum Meisterstück, in ipso limine judicy, ref: exp: abzuweißen seÿe, die confirmation dießen bedachts stehen Zu MGHh. Erkandt, Bedacht gefolgt.
(idem, Rapiarium f° 57)

(p. 238) Sambstags den 2.ten Maji
Sambstag d. 7. Martÿ. In Sachen Joh: Michael Görgers, des ledigen Sattler gesellen, Imploranteb an einem, entgegen und Wieder E. E. Meisterschafft der teutschen, Imploraten am andern theil, auff producirt unterth. memor. und bitten, wie geruheten Imploranten Von denen dreÿ Muthjahren Zu befreÿen, und dispensando Zu der Verfertigung des Meisterstücks Zu admittiren, übergebene Exceptiones mit beÿl. Lit. A. juncto petito wir geruheten, Imploranten mit seinem wieder Ordnung lauffenden begehren, in ipso limine judicÿ, ref. exp. abzuweißen, Erkanndte und beseßene Deputation auch all übrig derer Parthen angehörtes Vor und anbringen, Ist derer Hhn deputirten abgelegten relation nach Erkannt, daß Implorant mit seinem begehren, puncto gesuchter dispensation von denen Muthjahren und admission Zum Meisterstück, in ipso limine judicy, ref: exp: abzuweißen seÿe

(p. 325, fragment) Sambstag d. 20. Junÿ – Joh: Michael Görger Ca. E. E. Meisterschafft der teutschen Sattler
Iidem laßen [-] de[-] Mem [-]meister [-] er sich beeÿ Imp [-]schreiben laßen [-] haben wann e[-] als gesell auff de[-]tickel nur 4. Jahr [-]derben, er auch [-] boutique auffrichten [-] wollen als gelang [-] gehorsambstes bitten [-] von den noch übrige[-]siren, solchemnach z[-] verfertigung des M[-] Imploratische Meistersch[-] verantwortung Vo[-] wie daß der Imploran[-]

(p. 345) Sambstag d. 4. Julÿ – Idem [Fuchs] nôe Joh: Michael Görgere Ca. E. E. Meisterschafft der teutschen Sattler, recepirt und bitt ut ante [bitt communication des letzthin ertheilten bescheyds]. Erk. ut ante [Willfahrt]

Originaire de Reutenbourg dans la juridiction de Marmoutier, Jean Michel Georger achète le droit de bourgeoisie le 20 janvier 1751.
1751, Livre de bourgeoisie 1740-1754 (VII 284) p. 441
Joh: Michael Georger der Leedige Sattler Meister Von Reutenburg Maurs Münsterischen jurisdiction gebürtig, erhalt des burger recht umb den B. B. ß, diennent beÿ E. E. Zunfft der Gerber, Jur. et prom. d. 20.ten Januarÿ 1751.

Jean Michel Georger, originaire de Reutenbourg, devient tributaire chez les Tanneurs le 12 mars suivant
1751, Protocole de la tribu des Tanneurs (XI 359)
(f° 4) Freÿtag den 12. Martÿ Anno 1751
Neuzünfftiger – Johann Michael Georger, der ledige Sattler Von Reutenburg Maursmünsterischer Jurisdiction gebürtig producirte burger und Stallschein vom 20. et 30. Januarÿ 1751. mit bitten Ihm das Zunfft Recht angedeÿen Zu lassen.
Erkannt, gegen Erlag der Gebühr willfahrt (2 lb 16 ß 2 d Zunfft, 1 lb Pfthurn, 10 ß 10 s Spend., 2 ß scribæ, 1 ß büttel, Summa 4 lb 10 ß)

Fils du censier Balthasar Georger de Reutenbourg, Jean Michel Georger épouse en 1751 Marie Marthe Holdermann, fille du chaudronnier Jean Thiébaut Holdermann : contrat de mariage, célébration
1751 (22.7.), Not. Dinckel (J. Raoul, 6 E 41, 425) n° 191
Eheberedung – entzwischen dem Ehren: und wohlvorachtbahren Herrn Johann Michael Görger, dem Ledigen Sattler und burgern allhier Zu Straßburg, Weÿland des Ehrengeachten Balthasar Görger des hochlöbl. Closters Marck Maurs Münsters benedictiner ordens geweßenen Meÿers zu Reitenburg, mit auch Weÿland der Tugendsamen Frauen Maria gebohrner Clementzin beeder nunmehr seeligen ehelich erzeugtem hinterlaßenem Sohn, als dem herrn bräutigamb ane einem,
So dann der Viel Ehren: und tugendsamen Jungfrauen Maria Martha Holdermännin, weÿland des Ehrenvest und Wohlvorachtbahren herrn Johann Theobald Holdermanns geweßenen Kupfferschmidts und burgers allhier Zu Straßburg mit auch weÿland der Viel Ehren und tugendbegabten Frauen Martha gebohrner Fendrichin beeder nunmehr seeligen ehelich erziehler tochter als der Jungfrauen hochzeiterin ane dem andern Theil
So beschehen in Straßburg, auf Donnerstag den 22. Julÿ Anno 1751 [unterzeichnet] Johann Michael görger als Hochzeiter, Maria Martha Holdermännin als hochzeiterin

Mariage, Saint-Louis (cath. p. 423)
Hodie 10 mensis augusti anni 1751 tribus proclamationibus in ecclesia nostra ad stum ludovicum totidemq. in ecclesia parochiali ad stum petrum juniorem in, hanc urbem publice factis (…) sacro matrimonii vinculo in facie ecclesiæ conjuncti fuerunt joannes michael görg, oriundus ex geitenburg suæ professione epipharius, filius defunctorum balthasar görg et Annæ Mariæ clementzin conjugum et maria martha Holdermann argentinensis filia Defunctorim joannis theobaldi Holdermann et marthæ fendrichin (signé) Johannes Michael Jörger, Maria martha Holdermännin (215)

1769, Protocole des Quinze (2 R 180)
Johann Michael Görger contra teutsche Sattler. 424. (Table)

Jean Michel Georger meurt en 1771 en délaissant huit enfants. Les experts estiment à 800 livres la maison dont sept dixièmes appartiennent au défunt. La masse propre à la veuve s’élève à 1 259 livres, celle des héritiers à 8 livres. L’actif de la communauté est de 2 416 livres, le passif de 3 063 livres.

1771 (10.10.), Not. Fické (J. Charles, 6 E 41, 764) n° 483
Inventarium über Weiland des Wohl Ehren und vorachtbaren Herrn Johann Michael Georger des gewesenen Teutschen Sattlers und Burgers alhier zu Straßburg nunmehro seeligen Vermögens Nachlassenschaft, aufgerichtet im Jahr 1771. (…) nach seinem Mittwochs den 23.ten Januarÿ dieses 1771.ten Jahrs aus dießer Zeitlichkeit genommenen tödlichen Hintritt, verlaßen hat, auf Veranstalten und Begehren Herrn Joseph Müller, des Kaufhaus Beamten und Burgers alhier, in qualitate des Herrn Defuncto mit hernach ermelter seiner nun hinterlaßenen Frau Wittib ehelich erzeugt und ab intestato Zu Erben verlaßener acht Kinder geordnet und geschworenen Vogts eines, und andern theils der viel Ehren und Tugendsamen Frau Mariæ Marthæ gebohrner Holdermännin des Herrn Erblaßers hinterbliebener Frau Wittib hiebeÿ mit Herrn Johann Theobald Imbß deß geschwornen Ganthkäuflers verbeistandet und da durch gemäß ersucht und inventirt worden. Wobeÿ dann alforderist aber diese die Frau Wittib wie auch die beede älteste Jungfer Töchter und Matthias Meÿblum, der Alt Gesell (geäugt und gezeigt), Beschehen Straßburg auf Donnerstag den 10. Octobris 1771.
Des verstorbenen Herrn Georger seeligen ab intestato Zu Erben verlaßene Kinder sind mit Nahmen und 1° Jungfrau Maria Susanna, so 19 Jahr erreicht, 2° Jungfrau Maria Martha Magdalena in das 17.te Jahr gehend, 3° Jungfrau Maria Anna, so ewta 14 Jahr erlangt, 4° Frantz Michael, so 12 Jahr zurückgelegt, 5° Catharina Elisabetha, in dem 11. Jahr ihres alters, 6° Clara Theresia so 10. Jahr erlebet, 7° Peter Lorentz 7 Jahr alt und dann 8° Georg Ludwig in das 5.te Jahr tretend, alle der Georger. Welche samtliche 8 Kinder und Erben mit eingangs ermelten H. Joseph Müller dem Beamten im Kauffhaus und br. alhier bevögtiget sind

Bericht zu dießem Inventario. Da die beede nun zertrennten Ehepersonen der in ihrem Ehe Contract gethane Versehung entgegen so beederseits Einbringen nicht inventiren laßen (…)
In einer alhier Zu Straßburg auf dem Baarfüßer Platz gelegenen Zum theil hiehero eigenthümlich gehöriger behausung hat sich befunden wie folgt.
Eigenthum an einer Behausung. Näml. d. 7/10. Theil vor unvertheilt von und ane I.r behausung und Hoffstatt, mit allen derselben Gebäuen, Begriffen, Weithen, Rechten und Gerechtigkeiten gelegen alhier zu Straßburg an dem Baarfüßer Platz, eins. neben den Gebrüdern Weißhaar Weinhänd. alhier, als Weil. H. Stephan Schreibers des gewesenen Weinhänd. u. bs. alhier hinderl. Wittib ihrer Mutter seel. Erben, anders. neben Hrn N. Bugin, dem Schneider alh., hinten auf das Brand ein Ende stosend. Solche behausung ist mit keinem real onus verhafftet, sondern auser dem darauf versichert stehenden und hiernach passivé inventirten Capitals, geg. männigl. freÿ ledig eigen und solcher Art, durch (die Werckmeistere) vermög deroselben unterm 17. August 1771. vorgenommenen und Zu diesem Inventur Geschäfft schrifftl. verabfolgter Abschatzung gewürdiget und angeschlagen vor 800 lb. Woran dann die hieher gehörige 7/10. theil hier in Auswurf anlangen 560.
Über die helffte oder 5/10.de theils so der Hr Defunctus aus Weil. H. Rathh. Vincent Gayneau gewesenen Sattlers falliments Massa beÿ alhies. Ganth Steigerungs weise acquirirt hat, besagt i. auf Pergament ausgefertigter Ganth Kauffbrieff de Dato 13.ten Junii 1763. So dann derselbe einen fünftel od. sie überige 2/10. theil v, Hn Pierre Vincent Gayneau dem Sattl. und Br. alh. der diese theils für sich als mütterl Guth theils aber nach Absterben Johannes Gayneau seines Bruders ererbet hatte erkaufet, die verschreibung deßelben v. Zwar in alhies. C. C. Stube vergangenen, die Ausfertigung des Kauffbrieffs aber hierorts nicht beÿ Handen
Ergäntzung der Frau Wittib wehrender Ehe abgegangen unveränderten Guths. (…) in Ermanglung eines Inventarii illatorum der Grund aus einer von nunmehr Weil. S. T. Herrn XV. Zæpffel ihrem gerodnet gewesenen Vogt kurtz vor ihrer Verheurathung abgelegten letzten Rechnung Zu Ziehen
Series rubricarum hujus Inventarii. Der Wittib unveränderten Vermögens, Sa. haußraths 20, Sa. Silbers und dergleichen Geschmeids 4, Sa. goldener Ring und dergleichen Geschmeids 3, Sa. unveränderten Vermögenschaft 150, Sa. Ergäntzung 1080, Summa summarum 1259 lb
Diesemnach so wird auch der Erben unverändert Guth beschrieben, Sa. Haußraths 26, Sa. Silbers 7 ß, Sa. Eigenthums ane liegenden güthern 38, Sa. Schuld 8, Sa. der Ergäntzung 86, Summa summarum 158 lb – Schulden 150, Nach solchem abzug 8 lb
Endlich so wid auch die gemein vnd theilbar Verlaßenschafft in ihre ordentl. beschreibung gesetzt, Sa. haußraths 78, Sa. Werckzeugs Zur Sattler Profession gehörig 3, Sa. Waar Zue Sattler Profession gehörig 1027, Sa. leeren Faß 11, Sa. Silbers und dergleichen Geschmeids 2, Sa. golden Geschmeids 18, Sa. theilbaren baarschafft 200, Sa. Eigenthum an einer Behaußung 360, Sa. Schulden 316, Summa summarum 2416 lb – Schulden 3063, In Vergleichung 647 lb
Beschluß summa 1268, dem Statt Stall nach 620 lb – Zweiffelhaffte und verlohrene Schulden 162 lb
Copia der Eheberedung (…) So beschehen in Straßburg auf Donnerstag den 22. Julii Anno 1751, Johann Rudolph Dincken Notarius juratus

Jean Michel Georger meurt alors qu’il est maître de tribu en exercice.
1771, Protocole de la tribu des Tanneurs (selliers, XI 371, 1755-1790)
Donnerstags den 31. Januarii 1771
Joh: Michael Georger der erwählte Ober meister ohnlängst mit tod angegangen

Propriétaire d’un sixième de la maison du chef de sa mère, Jean Gayneau, fils de Vincent Gayneau et de Rosine Rolle, meurt en 1767 en délaissant pour héritiers ses frères et sœurs.

1769 (21.1.), Not. Fické (J. Charles, 6 E 41, 762) n° 393
Inventarium über und respectivé Abtheilungs Register über diejenige Vermögens Haabschaft, welche der Ehrenachtbare Herr Jean Gayneau, geweßener lediger Peruquier, weil. Herrn Vincent Gayneau, gewesenen frantzösischen Sattlers und Exsenatoris alh. mit auch längst weil. Frau Mariæ Rosinæ geborner Rollin, ehelich erzeugt, nach Tod verlaßener Sohn, nunmehro seel. nach seinem d. 21.ten Juny 1767, in der Stadt Paris erproblich eingeschickten Todesscheins, aus dieser Zeitlichkeit genommenen tödlichen Hintritt, verlaßen hat. Welche Vermögens Nachlaßenschaft heut dato, auf befehl eines Löbl. Vogteÿ: Gerichts, und darauf beschehenes Erfordern Herrn Joh: Michael Georger, des Sattlers und Burgers alhie des Defuncti gewesenen, und François Gayneau, des ledigen Schreiners, deßelben vollbändigen Bruders annoch ohnentledigten Vogts, wie auch Herrn Pierre Vincent Gayneau, des ebenmäßigen Sattlers und burgers alh. sein des Erblaßes ältesten vollbändigen Bruders für sich und sogleich als verpflichteten Vogts der hienach gemelten dreÿ Gayneauischen Kindern zwoter Ehe, als zu 3/5.ten theilen Mit Erben, nach Ausweisung der von gedachtem Hrn Joh: Michael Georger, bis 18. May 1768. gestelten und zur Abhandlung eines löblichen Vogteÿgerichts Vorhandenen Rechnung (…) So beschehen Straßburg d. 21. Januarii 1769.
Des abgeleibten Jean Gayneau seel. ab intestato Zu Erben verlaßene voll: und einbändige Geschwister, sind mit Namen und 1.mo Herr Pierre Vincent Gayneau, Frantzösischen Sattler und burger alh. 2. François Gayneau, der ledige Schreiner Gesell, beide deßelben vollbändige Brüder davon der letztere annoch mit Eingangs ermeltem Herrn Joh: Mich. Georger bevögtiget
3.tio Clara Francisca Gayneau, 4. Dominicus Benedictus Gayneau und 5. Margaretha Gayneau, diese dreÿ deßelben einbändigen Geschwister, die des Erblaßers Hr Vater seel. in 2.ter Ehe mit noch lebender Fr. Maria Francisca gebohrner Scheidelin ehelichen erzeugt und verlaßen hat, welche mit obengedachtem Herrn Pierre Vincent Gayneau dem frantzös. Sattl. ihrem einbändigen Bruder, erst kürtzlich bevögtiget worden, der auch weilen die Sache der Erbschafft durch Herrn Georger Rechnung ganz klar zu Tage liegt, und keine Contestationes deshalben Zur Repartition fürwalten, hierzu keinen Theilvogt nöthig gehabt. Also alle fünf des Defuncti seel. zweÿ: und einbändige Geschwister, zu fünf gleichlingen Antheilern.

Eigenthum an einer Behausung. Nämlich 1/3. Theil vor unvertheilt von der Helfte das ist 1/6. Theil an einer behausung und Hoffstatt, mit allen übrigen deren Gebäuen, Begriffen, Weithen, Zugehördten, Rechten und Gerechtigkeiten alh. zu Straßburg an dem Baarfüßerplatz, einseit neben den Gebrüdern Weißhaar, den Weinhändlern alh. anderseit neben Hrn N. Bugin dem Schneider dahier, hinten auf das Gebrands ein Ende stoßend. Welche behausung gegen männiglichen freÿ ledig eigen und dermalen ohnnachtheilig für den Preis Zu æstimiren seÿn mag um welchen Herr Johann Michael Georger die eine Helfte davon auf hiesiger Statt Ganth an sich ersteigert hat, das ist 1320. fl. oder 660. lb.
An solcher unter den dreÿ Gayneauischen Brüder gemeinschafftlich gewesenen Helfte, trift die von dem verstorbenen Jean Gayneau verlassene tertz hie in Auswurf vor 220. Die überige 2/3 theil ane solcher Helfte sind Herrn Pierre Vincent Gayneau und Herrn François Gayneau der Erblaßers beeder vollbändigen Brüdern, für anererbt mütterlich Guth zuständig
Sa. Eigenthums an gemelter behaußung 220, Sa. Pfenningzinß hauptguths 83, ß Schulden 35, Summa summarum 338 lb
Zweiffelhaffte Schulden 8 lb

Le tuteur des enfants issus du deuxième mariage de Vincent Gayneau vend leur part (trois trentièmes) au sellier François (Antoine) Rieth (qui a épousé la veuve de Jean Michel Georger)

1773 (6.9.), Chambre des Contrats, vol. 647 f° 337
H. Pierre Vincent Gayneau der sattler alß geordneter und geschworener vogt weÿl. H. Exsenatoris Vincent Gayneau gewesten sattlers 3 kinder zweiter ehe benantlichen Benedict Dominic, Sara Franzisca und Margaretha derer Gayneau
in gegensein H. Franz Antoni Riett des sattlers
sothaner curanden eigenthümlich zuständige 3/30 theil vor unvertheilt von und ane einer behausung samt zugehörden, weithen, rechten und gerechtigkeiten ane dem Baarfüßer platz, einseit neben N. Bouchin dem schneider, anderseit neben N. Weißhaar dem kieffer, hinten auff dem brand ein end – ihme käuffer uxorio nomine bereits zweÿ dritte theil zuständig – um 364 gulden

François Gayneau (fils de Rosine Rolle) vend sa part au même François Antoine Rieth

1776 (9.12.), Chambre des Contrats, vol. 650 f° 375-v
François Gayneau der ledige aber großjährige schreinermeister
in gegensein H. Franz Antoni Rieth des sattlermeisters
der 5.te theil vor unvertheilt von und ane einer behausung und hoffstatt mit allen denen gebäu, begriffen, weithen, zugehörden, rechten und gerechtigkeiten ane dem Baarfußerplatz, einseit neben H. Weißhaar dem weinhändler, anderseit neben N. Payens dem schneider, hinten auff dem Brand ein end wohin diese behausung einen außgang hat – um 524 gulden oder 1048 livres

Les enfants et héritiers de Marthe Holdermann cèdent leurs parts à leur frère François Michel Georger

1802 (28 floreal 10), Strasbourg 11 (4), M° Anrich n° 465
zu weÿl. der bürgerin Marthä geb. Holdermann des bürgers Frantz Anton Friedrich Rieth Sattlers abgelebter Ehefrau Verlaßenschafft Erörterung, erschienen vorgemelter bürger Frantz Anton Friedrich Rieth der Wittwer, Ferner von deroselben in erster Ehe mit längst weÿl. dem bürger Johann Michael Geörger auch gewesten Sattler erzeugten vier Kindern und Erben nachbenamßte dreÿ als die bürgerin Maria Susanna Geörger leedigen standes und großjährigen Alters und Catharina Elisabetha Geörger Niclaus Isaac des von hier abweßenden Sattlers geschiedene Ehefrau, so dann die bürgerin Clara Theresia Geörger des bürgers Andreas Bremsingers Notari publici Ehegattin
der abgelebten vierdten Kinds des bürgers Frantz Michael Geörger ebenmäßigen Sattlers und zwar der Wittwer zu dreÿ 20. theilen und jedes obernannter dreÿ Kinder zu 17. 80 theilen /:woran jeedem aus Vätterlicher Nachlassenschafft 7/80 und aus mütterlicher Succession 10/20 erbsweiß zu gekommen:/ schon seit dem 6. gegenwärtigen Monats floreal cedirt
Eine behausung und hoffstatt mit allen deren übrigen gebäuden, begriffen, weithen, zugehörden, Rechten und Gerechtigkeiten mit N° 30 bezeichnet gelegen alhier zu Straßburg ane dem Paraden platz vornen auf gedachte platz hinten auf das brand einseit neben des H. Georg fischers des weinhändlers wittib und Erben anderseit neben Jacob Büchels des Caffée sieders behausung, wovon die Maur so dieße von jener behausung scheidet zur hälffte hiehero gehörig ist und die 4 in deßen Caffée hauß angebrachte fenster welche aus dießer gerechtigkeit das Licht empfangen zu Keiner zeit als ein Recht sondern als eine blose Vergönstigung anzusehen wie Er Jacob büchel der Eigenthümer besagten Caffée haußes ein solches krafft einer den 19. letzthin gelegtes Monats ventose vor mir passirten daclaration selbsten eingestanden hat, ihme Frantz Michael Geörger die übrige 17/80 theil bereits zuständig sind – um 15.198 francken, die gantze behausung zu 19.300 francken gerechnet
Eodem und in instanti bekannte der Cessionarius Frantz Michael Geörger dem auch herinn gemeldteten burger Frantz Anton Friedrich Rieth auf 18 nacheinander folgenden jahren die am 5. künfftigen Monath Messidor ihren Anfang nehmen, verlühen zu haben den zweÿten stock in der hierinn beschriebenen behausung in einer stuben einem schlafzimmer einer Kammer und einer Kuchen bestehend wie auch eine schwartz getüch kammer im dritten stock und einen unterschlagenen Kleinen Keller in das brend ein ed gehend um einen jährlichen zinß von 144 francken
Enregistrement, acp 84 f° 111-v du 1° prairial 10

François Michel Georger épouse en 1798 Thérèse Ritter, fille du sellier Joseph Ritter
1798 (1 floréal 6), Strasbourg 13 (10), Not. Vix (Bremsinger) n° 125
Contrat de mariage – Cit. François Michel Goerger, garde Magasin des Equipages Militaires, domicilié en cette commune, fils majeur de feu Jean Michel Goerger, sellier avec feu C. Marie Marthe née Holdermann
Cit. Therese Ritter fille du Cit Joseph Ritter, sellier et Thérèse née Rothéa
dans la maison appartenant aux père et mère de la future épouse située à la grand Rüe
Enregistrement, acp 60 F° 68-v du 4 floréal 6

L’inventaire des apports de François Michel Georger et de Thérèse Ritter est dressé au 16, rue du Coin brûlé qui appartient à la mère et au beau père du marié

1799 (15 brumaire 8), Strasbourg 13 (11), Not. Vix (Bremsinger) n° 303
Inventaire des biens apportés en Mariage par le Citoïen François Michel Goerger Garde Magasin des Equipages Militaires et la Cit. Thérèse née Ritter, mariage célébré au mois de floreal dernier
dans la maison occupée par lesd. Epoux située Rue du Coin brûlé N° 16, en présence du C. Joseph Ritter sellier pere de la Cit. Epouse et Cit. François Antoine Frédéric Rieth sellier pere du Cit. epoux
bien de la C. épouse 4751 fr (dont numéraire 3000 fr)
par le Cit. Epoux 457 fr
Enregistrement de Strasbourg, acp 70 F° 80 du 17 brum. 8

La maison revient à François Jérôme Edouard Georger, fils unique des précédents, qui épouse en 1833 Anne Marie Weyer, fille du journalier François Weyer

Mariage, Strasbourg (n° 66)
Du 28° jour du mois de février l’an 1833, Acte de mariage de François Jérôme Edouard Georger majeur d’ans né en légitime mariage le 5 floreal an douze à Strasbourg, domicilié à Strasbourg, tapissier, fils de feu François Michel Georger, Sellier décédé en cette ville le 11 septembre 1832 et de Marie Elisabeth Thérèse Ritter, domiciliée en cette ville, ci présente et consentante, et de Anne Marie Weyer, Majeure d’ans née en légitime mariage le 7 ventôse an Douze fille de feu François Weyer, Journalier décédé en cette ville le 9 août 1824 et de Salomé Schneider, domiciliée en cette ville ci présente et consentante (signé) F.ois Jérome Edouard Gorg, anne Marie Weyer (i 37)

Acte de notoriété qui établit que le précédent est le seul enfant de ses parents
1840 (12.12.), Strasbourg 2 (85), M° Tinchant n° 1941
Notoriété – (…) avoir parfaitement connu le sieur François Michel Goerger, en son vivant maître cellier et carossier à Strasbourgn ainsi que feu dame Thérèse Ritter, décédé veuve de celui-ci, savoir qu’ils étaint l’un et l’autre en premières noces au moment de leur décès, qu’après leur mort il n’a point été dressé d’inventaire et qu’ils ont délassé pour seul et unique héritier le sieur François Jérôme Edouard Goerger leur fils, autrefois tapissier demeurant à Haguenau.
De la déclaration qui précèdé découle la conséquence que l’inscription qui a été prise au bureau des hypothèques de Strasbourg le 24 mars 1838 au volume 273 sous le numéro 192, au profit de la dite dame Thérèse Ritter veuve de feu le sieur François Michel Goerger en son vivant maître sellier et carossier à Strasbourg contre ledit François Michel Goerger décédé et contre François Jérôme Edouard Goerger son fils et unique héritier, tapissier demeurant à Haguenau, est sans objet et sans cause aujourd’hui attendu la confusion qui s’est opérée en la personne du sieur François Jérôme Edouard Goerger par suite du décès de sa mère dont il était unique héritier ainsi qu’il a été constaté ci-dessus.
En conséquence la dame Anne Marie Weyer veuve du dit sieur François Jérôme Edouard Goerger domiciliée et demeurant à Strasbourg est intervenue comme tutrice naturelle et légale de 1° Adèle Goerger, 2° Marie Charles Gabriel Edouard Goerger ses deux enfants mineurs issus de son mariage avec ledit sieur François Jérôme Edouard Goerger requiert la radiation pure et simple de l’inscription hypothécaire ci-dessus relatée

Le tapissier François Jérôme Edouard Georger meurt en 1840 en délaissant deux enfants

1840 (8.4.), Strasbourg 13 (54), M° Bremsinger n° 8935
Inventaire à la requête de Marie Anne Weyer, veuve de François Jerome Edouard Goerger, tapissier à Strasbourg décédé le 8 mars dernier, à cause de la communauté légale qui a existé entre elle et son défunt mari, du testament reçu M° Bremsinger le 21 novembre dernier enregistré le 16 mars denier, et comme mère et tutrice légale d’Adèle Goerger née le 9 septembre 1836 et Marie Charles Gabriel Edouard Goerger né le 21 septembre 1838 ses deux enfants mineurs – en présence de Joseph Dominique Xavier Dutel, garde magasin à la halle communale, cousin germain par alliance du père des mineurs, et subrogé tuteur desdits mineurs
dressé dans une maison Place d’Armes n° 30 où il demeurait
Renseigement, le défunt comme unique héritier de Marie Thérèse Ritter sa mère veuve de François Michel Goerger, carossier est propriétaire d’une partie indivise dans une maison avec dépendances sise à Strasbourg Grand rue n° 152, qui dépend de la communauté entre François Joseph Ritter et Marie Thérèse Rothea décédés à Strasbourg, la veuve Goerger était héritière ab intestat pour 1/5 des conjoints Ritter ses père et mère, suivant liquidation dressée par M° Zimmer le 8 janvier 1831, de plus elle est venue à la succession de la mère comme légataire universelle pour un tiers dans la portion disponible formant le quart de cette succession. Ainsi que ses droits héréditaires sur cette maison se composant du chef de son père de 1/5 de la moitié appartenant audit Ritter père ou 1/10 soit 12/120 du chef sa mère née Rothea savoir à titre de préciput le 1/3 de la portion disponible réduite au quart de l’autre moitié de cette maison ou 1/24 soit 12/120 et ab instetstat le 1/5 des ¾ : 5/120, ladite moitié à partager entre les 5 enfants héritiers de sa mère ou 3/40 : 9/120 ensemble 26/120
Enregistrement, acp 277 F° 31-v du 9.4.

La veuve de François Jérôme Edouard Georger confirme par acte notarié la promesse de vente de la maison à Salomon Schwartz pour deux tiers et à Jacques Schwartz pour un tiers

1840 (29.4.), Strasbourg 2 (84), M° Tinchant n° 1606
Anne Marie Weyer veuve de François Jerome Edouard Goerger, épicier
à Salomon Schwartz, propriétaire, et Jacques Schwartz, changeur le premier pour 2/3 le dernier pour 1/3
un acte sous seing privé dressé à Strasbourg le 24 février 1840 enregistré aujourd’hui contient promesse par ledit Sr Goerger non encore décédé alors et Anne Marie née Weyer de vendre une maison avec appartenances et dépendances situé à Strasbourg Place d’Armes n° 30 moyennnant 14.000 francs plus amplement décrite audit acte – le Sieur Georger l’a recueilli dans la succession de son père François Goerger dont il était seul et unique héritier ainsi que la comparante déclare, ce dernier a acquis 63 90° indivis de 1. François Antoine Frédéric Rieth, carossier, 2. Marie Saus Goerger sp, 3. Catherine Elisabeth femme divorcée de Nicolas Isaac, carrossier, 4. Claire Thérèse Goerger épouse d’André Bremsinger, suivant acte reçu par le notaire Anrich le 28 floréal 10, François Michel Goerger était déjà propriétaire de 17/90, pour en avoir hérité 7/90° dans la succession de son père et 4/90° dans la succession de sa mère
[description sur l’acte ssp] d’un côté M. Schwartz acquéreur, de l’autre le Sr Treuschel, devant la Place d’Armes, derrière la rue du Coin Brûlé – pour 14.000 fr
Enregistrement, acp 277 F° 97-v du 8.5.

La maison revient à Léon Schwartz (voir le n° 27) qui la loue en 1866 à l’aubergiste Marc Nerson

1866 (2.6.), Enregistrement de Strasbourg, ssp 144 (3 Q 31 643) f° 44 du 5.6.
Bail – Entre les soussignés Mr Léon Schwartz, propriétaire,
et Marx Nerson, aubergiste, demeurant tous deux à Strasbourg, il a été convenu comme suit
1° Mr Léon Schwartz cède, abandonne à titre de Bail à loyer pour dix années consécutives commençant le 25 septembre 1866 et pour finir à pareil jour 1876.
La maison pardevant place Kleber N° 26, et par derrière coin brulé appartenant à Léon Schwartz.
Marx Nerson accepte la maison telle qu’elle est (…) Ce bail fait moyennant 1000 francs. (…) Comme condition essentielle des présentes, au cas que la Ville de Strasbourg viendroit à exproprier la maison à côté Place Kleber 27 appartenant également à Mr Léon Schwartz ledit bail cesseroit de plein droit sans aucune indemnité de part et d’autre

Léon Schwartz et Jeannette Altschul vendent la maison à Frédérique Nerson, veuve du coiffeur Joseph Baum, en conservant la voisine. La fosse d’aisances commune aux deux maisons sera entretenue à frais communs, les vendeurs conservent les ouvertures vers la propriété vendue mais ne pourront en ouvrir de nouvelles, l’acquéreuse s’engage à ne pas avancer sa maison au cours des vingt années suivantes.

1886 (8.4.), Strasbourg 4 (168). M° Charles Lauterbach n° 10.241
8. April 1886. Verkauf – Erschienen Herr Leo Schwartz, Banquier und dessen von ihm hierzu ermächtigte Ehegattin Frau Babette genannt Jeannette Altschuhl, beisammen in Strassburg wohnhaft, dieselben verkaufen (…)
an die hier anwesende, dies annehmende Frau Friederike Nerson, gewerblose Wittwe des Herrn Joseph Baum, in Strassburg wohnhaft, die folgende Liegenschaft
Beschreibung. Ein kleines Wohnhaus mit Erdgeschoß zwei Etagen und Mansarden, Rechten und Zubehörden zu Strassburg Kleberplatz N° 26 gelegen früher N° 30, begrenzt vorn von dem Kleberplatz hinten vom dem Gäßchen im Brand ein End auf einer Seite von dem vorbehaltenen Eigenthum der Verkäufer auf der andern Seite von Arnold, mit dem Bemerken daß die zwischen dem vorbehalten Hause der Verkäufer & des verkauften Hauses sich befindliche Scheidemauren gemeinschaflich sein wird. Sowie dieses Immöbel sich befindet (…)
Eigenthumsnachweis. Die verkaufte Liegenschaft bildet einen Bestandtheil von einem größern Anwesen, welches zum Nachlasse des in Remiremont am 31. Juli 1863 verstorbenen, ehemaligen Kaufmanns Herrn Jakob Schwartz gehörte, der es zum theil mit seinem Vater Herrn Salomon Schwartz, lebend Kaufmann in Straßburg, zufolge eines Kauffvertrages errichtet vor Notar Lange daselbst den 21. December 1826, überschrieben auf dem Hypothekenamte Straßburg den 24. Februar darauf Band 187 N° 37 erkauft und zum theil auf Grund eines Licitationskaufes des Notars Noetinger in Straßburg vom 15. October 1855 und eines Privatkaufes de dato Strassburg 24. Februar 184(-) als Urschrift auf der Amtstube des Notars Tinchant in Strassburg laut Hinterlegungsakt desselben vom 29. April desselben Jahres hinterlegt, erworben hatte. zufolg Urkunde des Notars Viktor Noetinger in Straßburg vom 23. November 1863 enthaltend die Theilung des Nachlasses des vorgenannten Herrn Jakob Schwartz ist das fragliche Anwesen dem Mit verkäufer Herrn Leo Schwartz seinem Sohn zugetheilt worden.
(…) In diser Beziehung wurde vereinbart a) daß die Senkgrube der Aborte gemeinschaftlich zwischen den Verkäufern und der Käuferin sein und daher auch auf gemeinsame Kosten zu unterhalten sein wird zu hälften, b) die im Kaufobjekte gegen das Haus N° 27 der Verkäufer zu, angebrachten Oeffnungen sollen fortbestehen können aber weder vermehrt noch vergrößert werden, c) Endlich wurde noch ausdrucklich vereinbart, daß während der nächsten 20 Jahr, es der Erwerberin und ihren Nachfolgern untersagt, ihre Gebäulichkeiten gegen den Kleberplatz zu vorrucken. – Kaufpreis 18.000 Mark
Civilstand der Verkläufer. Die Ehegattin Schwartz erklären, Sie seien unter dem Rechtsverhältnuß der Errungenschaft Gemeinschaft verheirathet, laut ihres Ehevertrags errichtet vor Notar Roessel dem ältern in Strassburg am 29. August 1848.
acp 775 (3 Q 30 490) f° 77 du 12.4.

Coiffeur originaire de Bischheim, Joseph Baum épouse en 1868 Frédérique Nerson, fille de l’aubergiste Marc Nerson (bailleur cité plus haut)
Mariage, Strasbourg (n° 414)
Du 30° jour du mois de juillet l’an 1868 à dix heures du matin. Acte de mariage, de Joseph Baum, majeur dans, né en légitime mariage le 14 septembre 1831 à Bischheim (Bas-Rhin) domicilié à Strasbourg, coiffeur, fils de feu Alexandre Baum, courtier décédé à Bischheim le 22 janvier 1851 et de feu Sara Gugenheim décédée à Bischheim le 6 novembre 1860 et de Frédérique Nerson, majeure d’ans, né en légitime mariage le 3 mai 1845 à Strasbourg, domiciliée à Strasbourg, sans profession, file de Marx Nerson, restaurateur domicilié à Strasbourg ci présent et consentant et de feu Marie Klein décédée à Strasbourg le 9 décembre 1849 (…) il n’a pas été fait de contrat de mariage (i 32)

Joseph Baum meurt en février 1870 en délaissant un fils et sa femme enceinte.
1870 (28.4.), Strasbourg 14 (176), M° Emile Ritleng jeune n° 18.732
Inventaire de la communauté de biens qui a existé entre Joseph Baum et Frédérique Nerson
L’an 1870 le lendi 28 mars à deux heures de relevée, en l’étude, à la requête et en présence de dame Frédérique Nerson, veuve de Monsieur Joseph Baum, coiffeur domicilié et demeurant à Strasbourg où il est décédé le 13 février denier, agissant 1° à cause de la communauté de biens légale qui à défaut de contrat de mariage avait existé entre elle et feu son dit mari, 20 comme tutrice légale de Alexandre Baum né le 15 juin 1869 de son mariage avec son dit mari défunt, 3° et en outre comme ayant été laissée enceinte par son dit mari ainsi qu’elle le déclare. Et en présence de Monsieur Heymann Metzger, marchand de bestiaux domicilié et demeurant à Bischheim au Saum, agissant tant enqualité du subrogé tuteur dudit mineur Alexandre Baum que comme curateur au ventre de l’enfant à naître
acp 592 (3 Q 30 307) f° 46-v du 6.4. (succession déclarée le le 14 mai 1870) Communauté, mobilier 584, quatre obligations de la ville de Paris
Succession, garde robe 115

Frédérique Nerson se remarie en 1892 avec le maître d’école Nephtali Levy, originaire de Herrlisheim et veuf de Mathilde Trabbel
Mariage, Strasbourg (n° 614)
Strassburg am 18. August 1892. Vor dem Standesbeamten erschienen heute zum Zwecke der Eheschließung I. der Hauptlehrer Nephtali Levy, Wittwer von Mathilde Trabbel gestorben zu Strassburg den 22.ten Oktober 1891, israelitischer Religion, geboren den 10. September des Jahres 1834 zu Herrlisheim (Unter-Elsass) wohnhaft zu Straßburg, Sohn der verstorbenen Eheleute Samuel Levy, Kaufmann, und Charlotte Ulman, zuletzt wohnhaft zu Strassburg
2. die Eigenthümerin Friederike Nerson, Wittwe des Friseurs Joseph Baum, gestorben zu Strassburg den 13. Februar 1871, israelitischer Religion, geboren den 3. Mai des Jahres 1845, Tochter der verstorbenen Eheleute Marx Nerson, Gastwirth und Marie Klein, zuletzt wohnhaft zu Straßburg (i 156)

Nephtali Levy épouse Mathilde Trabbel en 1864
1864 (26.7.), M° Noetinger substitué par M° Flach
Contrat de mariage – entre 1) Nephtali Levy, instituteur à Strasbourg d’une part
2) Mathilde Trabbel, célibataire à Strasbourg, d’autre part
acp 535 (3 Q 30 250) f° 5-v du 2.8. Stipulation de communauté de biens réduite aux acquêts, partageable par moitié, réserve d’apports et d’héritages. Le survivant aura l’usufruit des biens du prémourant
Les apports du futur consistent en une somme de 2000 francs et ceux de la future en une somme de 10.000 francs
Donation réciproque par les futur époux au survivant d’eux de la propriété de toute la succession réductible à l’usufruit de moitié en cas d’enfants

Nephtali Levy et Frédérique Nerson vendent la maison au restaurateur Abraham Kahn et à sa femme Caroline Levy

1899 (2.8.), M° Allonas vertreten durch Ritleng n° 18.167
Verkauf – Nephtalie Levy, Hauptlehrer, und Friederika Nerson hier
an Abraham Kahn, Restaurateur, und Karoline Levy Eheleute allda
Stadt Strassburg Ein am Kleberplatz N° 26 früher N° 30 gelegenes Wohnhaus mit Erdgeschoß worin eine Wirtschaft betrieben wird, zweÿ Stockwerken und Mansarden, Rechten & Zubehör, N 737.p, 737.p mit 0,75 a. – Der Frau eigen laut Kauf Lauterbach vom 8. April 1886. Genuß und steuren vom 29. IV. 99. ab. – Preis 36.000 M.
acp 956 (3 Q 30 671. II) f° 94-v n° 2398 du 4.8.

Les acquéreurs hypothèquent le même jour la maison au profit de l’enseignante Pauline Mayerhofer veuve de Paul Ducasse et du Crédit foncier

1899 (2.8.), Allonas vertreten durch Ritleng
(N° 18.125) Schuldbrief – Abraham Kahn, Restaurateur, und Karoline Levy Eheleute hier
zu Gunsten von Pauline Mayerhofer, Lehrerin, Wittwe des Lehrer Pauls Ducasse hier über ein Darlehen von 4000 Mark
Pfand, Wohnhaus hier Kleberplatz N° 26 früher N° 30
acp 956 (3 Q 30 671. II) f° 94-v n° 2309 du 4.8.

(N° 18.128) Schuldbrief – Abraham Kahn, Restaurateur, und Karoline Levy Eheleute hier
zu Gunsten des Bodencredits hier über ein Darlehen von 20.000 Mark
Pfand, Wohnhaus hier Kleberplatz N° 26 früher N° 30
acp 956 (3 Q 30 671. II) f° 95 n° 2310 du 4.8.

La Ville de Strasbourg cède par voie d’alignement un terrain de 15,8 mètres carrés à Abraham Kahn et à Caroline Levy. Le contrat de mariage passé entre les acquéreurs à Kehl en 1892 est joint à l’acte.

1901 (8.8.), Maire
Vertrag wonach die Stadt Strassburg abtritt behufs Herstellung der Bauflucht
an Eheleute Abraham Kahn und Caroline Levy, Wirt hier verehlicht laut Vertrag vom 3. Oktober 1892 vor Notar Hitzig in Kehl nachregistrirt
eine Bodenfläche von 15,8 qm. am Kleberplatz section [N] 737. Die Überlassung erfolgt unentgeltlich. Besitz und Genuß ist erfolgt. Ertrag jährlich 50.pf. M. 0,50 x 20 = 10,00 M, Gehört der Stadt Seit 30 Jahren

acp 987 (3 Q 30 702. III) f° 69 n° 1723 du 27.8.
Ehevertrag (Annexe zu 1723) vor Notar Hitzig in Kehl vom 3. Oktober 1892, zwischen Abraham Kahn, Handlungsgehülfe in Zabern jetzt hier, und Caroline Levy, Tochter von Moise Levy, hier.
Errungenschaft Gemeinschaft nach 1498/9 code civil. Der Vater der Braut schenkt derselben aus Mitteln der Gemeinschaft Fahrnisse zur Haushaltung und Wirtschaft einrichtung in Gesamtwerte von 6400 M.
Der Bräutigam bringt ein baar Gelt 1500 M
acp 987 (3 Q 30 702. III) f° 69 n° 1724 du 27.8.

Propriétaire inscrit au cadastre à partir de 1907, le restaurateur Ernest Müller, né à Cologne le 18 novembre 1871, et sa femme Antoinette Hessing, née à Münster le 7 février 1871, viennent de Haguenau s’établir à Strasbourg en 1906. Ils quittent la ville pour Baden Baden en décembre 1919.
Ficher domiciliaire (603 MW 595)
Müller, Würth
Ernst, 18.11.71, Köln, (Religion) K
Fraun Antonie Hessing, 7.2.71, Münster, (Religion) K
(Wohnungsverhältnis)
von Hagenau
10.10.06 n Kleberplatz 26 – Müller
19.1.19 n Nikolausring 39 – Hefermutt
1.12.19 n. Bad. Baden

Propriétaire inscrit au cadastre à partir de 1921, Joseph Fournaise, originaire d’Ettendorf, épouse en 1907 à Mulhouse Amélie Fega

François Joseph Fournaise (Ettendorf 11 juin 1875 – Mulhouse 21 mai 1936) f. Antoine Fournaise et Marie Hanns
marié le 9 juillet 1907 Mulhouse avec Amélie Marie Fega (Mulhouse 21 juillet 1884, Colmar 29 juillet 1965) f. Thiébaut Jules Fega et Marie Amélie Eglin – référence


Les Maisons de Strasbourg sont présentées à l’aide de Word Press.