7, rue du Coq
Rue du Coq n° 7 – VII 173 (Blondel), P 908 puis section 1 parcelle 61 (cadastre)
Troisième étage ajouté en 1843 par l’emballeur Frédéric Charles Fausser
Démolie en 1957
Le numéro 7 en 1955, le rez-de-chaussée et les deux étages sont pareils qu’en 1830 (croquis dans le dossier de la Police du Bâtiment)
Le début du bâtiment est à l’emplacement de l’ancien n° 7 (août 2023)
La maison est inscrite au Livre des communaux au nom du barbier Thomas Küntzinger qui la loue à un tonnelier. Elle appartient ensuite au revendeur Adrien Dietrich puis (1593-1622) successivement aux tisserands Chrétien Sontag, Jean Metz et Jacques Hummel. Le marchand Jean Adam Hünerer l’achète en 1629 de son débiteur. Le manant Jean Trœscher s’en rend propriétaire (1653) avant de devenir bourgeois. Elle fait partie des nombreuses petites maisons dont Susanne Goll est propriétaire. Son fils la vend en 1704 à la femme de l’employé de l’Aumône David Hartmann. La maison appartient à partir de 1712 au tanneur réformé Daniel Dourbeau puis à son beau-frère charretier Jean Jacques Büry. La commission qui visite la maison en 1733 constate qu’elle comprend au rez-de-chaussée un vestibule, un petit poêle, une cour et une écurie pour deux chevaux, chacun des deux étages comprend deux chambres, elle a un grenier à grains et une cave. Le remueur de grains Jean Jacques Frœlich la cède en 1786 au revendeur Jean Georges Schmitt qui la conserve jusqu’en 1818.
Elévations préparatoires au plan-relief de 1830, face ouest de la rue du Coq, îlot 123 (Musée des Plans-relief) 1
L’Atlas des alignements (années 1820) mentionne une maison à rez-de-chaussée et deux étages en bois. Sur les élévations préparatoires au plan-relief de 1830, la façade est la deuxième à droite du repère (c) : fenêtre et porte au rez-de-chaussée, deux étages à deux fenêtres chacun, toiture à combles aménagés. La cour E représente l’arrière (1-2) du bâtiment sur rue, la remise (3-4) au fond de la petite cour, les murs au nord (1-4) et au sud (2-3).
La maison porte d’abord le n° 11 (1784-1857) puis le n° 7.
Le cadastre porte que la maison a été reconstruite (transformée) en 1843 par Frédéric Charles Fausser, après quoi elle a des fenêtres au troisième étage, le revenu passant de 37 à 43 francs. Un rapport d’architecte constate en 1940 que la façade s’incline vers la cour à partir du deuxième étage et que les pans de bois sont en partie pourris. En 1955, le pignon menace de s’écrouler vers la voie publique et sur le n° 9 voisin. La maison est occupée par des sans-abri. En 1957, un étai qui tombe déstabilise la maison qui est démolie jusqu’au niveau du trottoir en laissant subsister une partie du mur de façade qui forme clôture.
Le terrain réuni à celui des maisons suivantes sert à construire un nouveau bâtiment.
La maison se trouvait à l’emplacement du bâtiment à l’arrière de la place où se trouvaient des maisons non reconstruites (avril 2016)
août 2023
Sommaire
Cadastre – Police du Bâtiment – Relevé d’actes
Récapitulatif des propriétaires
La liste ci-dessous donne tous les propriétaires de 1594 à 1952. La propriété change par vente (v), par héritage ou cession de parts (h) ou encore par adjudication (adj). L’étoile (*) signale une date approximative de mutation.
Thomas Kentzinger, barbier, et (1577) Barbe Fritsch – luthériens | ||
v | Adrien Dietrich, revendeur, et (v. 1557) Claire, veuve du revendeur Jean Riel, puis (1574) Véronique Dirion – luthériens | |
1593 | v | Chrétien Sontag, tisserand en laine, et (v. 1584) Elisabeth Spring – catholique converti |
1605 | v | Jean Metz, tisserand, et (1601) Marie Peter puis (1623) Rosine Mutterspach – luthériens |
1615* | Jacques Hummel, tisserand, et (1605) Elisabeth Schwartz, d’abord (1592) femme du coutelier Jacques Bessenet puis (1600) du serrurier Bernard Müller – luthériens | |
1622 | v | Jean Georges Meyer, chapelier, et (1615) Ursule Poppel, d’abord (1603) femme du receveur Martin Faber, puis (1619) Marie Ohler – luthériens |
1629 | v | Jean Adam Hünerer, marchand, et (1621) Marguerite Hartung – luthériens |
1638 | v | Daniel Kurbau, fabricant de chausses, et (1597) Marguerite Abel puis (1611) Ursule Hackfort, d’abord (1604) femme du tailleur Jean Deiss – luthériens |
1653 | v | Jean Trœscher, musicien à Ostwald puis journalier († 1684), et Jeanne Mack – luthériens |
1686 | v | Jean Raoul Bechtold, pasteur à Eckbolsheim, et (1671) Susanne Goll, remariée (1678) au docteur en médecine Frédéric Schilling puis (1680) au juriste Jean Jacques Gambs – luthériens |
1690* | h | Jean Bechtold, receveur, et (1687) Anne Madeleine Saladin – luthériens |
1704 | v | David Hartmann, mousquetaire puis fabricant de chausses et employé à l’Aumône, et (1671) Marguerite Lœs puis (1699) Anne Marguerite Scholl – luthériens (bien propre à la femme) |
1712 | v | Daniel Dourbeau (Dorbo), tanneur, et (1708) Chrétienne Madeleine Büry – réformés |
1733 | v | Jean Jacques Büry, charretier, et (1717) Anne Bolly veuve de Pierre Dalmann – réformés |
1742 | h | Jean Melchior Büry, revendeur et (1745) Madeleine Zimmer – réformé et luthérienne |
1778 | v | Jean Jacques Frœlich, remueur de grains, et (1760) Catherine von Bœrsch puis (1776) Eve Marguerite Schwab – luthériens |
1786 | v | Jean Georges Schmidt, revendeur, et (1783) Madeleine Bronner – luthériens |
1818 | adj | Georges Michel Gruber, architecte, et (1800) Catherine Elisabeth Redslob puis (1808) Marguerite Salomé Ottmann |
1824 | v | Jean François Zerling, tailleur de pierres, et (1811) Sophie Frédérique Kaumann |
1826 | v | Jean Nicolas Schaal, serrurier, et (1795) Marie Barbe Kniebiehler |
1837 | v | Frédéric Charles Fauser, emballeur, et (1817) Barbe Schaffner |
1872 | v | Jacques Ritt, journalier, et (1823) Catherine Lobstein |
1876 | v | Raphael Weil et Emilie Weil |
1877 | v | Maurice Bendelé, aubergiste, et (1873) Anne Marie Lutz |
1890 | v | Philippe Merck, journalier puis marchand de charbon, et (1868) Madeleine Neff puis (1888) Marguerite Kalb, veuve du maçon Jacques Frantz |
1899* | v | Lazare Levy, marchand de meubles, et (1865) Marie Heimann |
h | Henri Levy, fabricant de couronnes, et (1899) Palmyre Levi | |
1940* | h | Louis Roger Levy, avocat |
Valeur de la maison selon les billets d’estimation : 150 livres en 1773
Valeur vénale, 350 livres en 1712, 425 livres en 1733, 335 livres en 1778, 375 livres en 1786
(1765, Liste Blondel) VII 173, Melchior Burÿ
(Etat du développement des façades des maisons, AMS cote V 61) Bürrische Erben, 2 toises, 0 pied et 0 pouce
(1843, Tableau indicatif du cadastre) P 908, Fausser, Frédéric Charles, emballeur – maison, sol, cour – 0,57 are
Locations
1587, Jean Hess, tonnelier
Livres des communaux
1587, Livre des communaux (VII 1450)
Le barbier Thomas Küntzinger règle 8 deniers pour sa maison qu’il loue au tonnelier Jean Hess, à savoir un chenal en bois
Anderseit Hanengeßlins
Thoman Küntzinger der Balbierer hatt an seinem Hauß da Hannß Heß der Küeffer Innen sitzt, ein hültzenen Naach, Bessert &, viij d.
Description de la maison
- 1733. La commission qui visite la maison constate qu’elle comprend au rez-de-chaussée un vestibule, un petit poêle, une cour et une écurie pour deux chevaux, chacun des deux étages comprend deux chambres, elle a une cave et un grenier pour y conserver les grains
- 1773 (billet d’estimation traduit) La maison comprend un poêle, une cuisine et plusieurs chambres. Le comble est couvert de tuiles plates, la cave voûtée est délabrée. Le tout est estimé à la somme de 300 florins
Atlas des alignements (cote 1197 W 37)
3° arrondissement ou Canton Sud – Rue du Coq
nouveau N° / ancien N° : 10 / 11
Schmitt veuve
Rez de chaussée et 1° étage en maçonnerie et 2 étages médiocresen bois
(à corriger en Rez de chaussée et 1° étage en maçonnerie et 2° étage mauvais en bois, voir les élévations de 1830)
(Légende)
Cadastre
Cadastre napoléonien, registre 28 f° 255 case 1
Fausser Frédéric Charles, Embaleur
P 908, sol, maison et cour, Rue du Coq 11
Contenance : 0,57
Revenu total : 37,30 (37 et 0,30)
Folio de provenance :
Folio de destination : démolie
Année d’entrée :
Année de sortie : 1846
Ouvertures, portes cochères, charretières :
portes et fenêtres ordinaires : 13
fenêtres du 3° et au-dessus :
P 908, maison
Revenu total : 43,30 (43 et 0,30)
Folio de provenance : R.on
Folio de destination :
Année d’entrée : 1846
Année de sortie :
Ouvertures, portes cochères, charretières :
portes et fenêtres ordinaires : 13 / 10
fenêtres du 3° et au-dessus : 3 / 2
1846 Augmentations – Fausser Frédéric f° 255, P 908, Maison, revenu 43, nlle. constr., achevée en 1843, imposable en 1846, imposée en 1846
Diminutions – Fausser Frédéric f° 255, P 908, Maison, revenu 37, – suppression en 1846
Cadastre napoléonien, registre 26 f° 534 case 1
Fausser Frédéric Charles emballeur
1873 Ried Jacob, Wittwe Christine geb. Lobstein
1877 Weill Michael Handelsmann
1879 Bendele Moritz, Schenkwirt
1891/92 Merck Philipp, Kohlenhändler
1899 Levy, Heinrich, durch den Nutznießer Levy, Lazarus
P 908, maison, sol, Rue du Coq
Contenance : 0,57
Revenu total : 43,30 (43 et 0,30)
Folio de provenance : (255)
Folio de destination : Gb
Ouvertures, portes cochères, charretières :
portes et fenêtres ordinaires : 13
fenêtres du 3° et au-dessus : 3
Cadastre allemand, registre 29 p. 6 case 2
Remarque – La Ville restitue l’immeuble a son propriétaire légitime, juif spolié de ses biens, sans que cette mutation soit portée au cadastre
Parcelle, section 1, n° 61 – autrefois P 908
Canton : Hahnengasse Haus N° 7
Désignation : Hf, Whs – sol, maison
Contenance : 0,57
Revenu : 550 – 800
Remarques
(Propriétaire jusqu’à l’exercice 1940), compte 761
Levy Lazarus – Wittwe
clos 1940
(Propriétaire à partir de l’exercice 1940), compte 2801
Levy Heinrich
1940 Levy Louis Roger
(2654)
(Propriétaire à partir de l’exercice 1945), compte 34
Strassburg die Gemeinde
1909 Gemeinde Strassburg / Ville de Strasbourg
(33)
1789, Etat des habitants (cote 5 R 26)
Canton VII, Rue 227 Rue du Coq p. 369
11
Pr. Schmidt, J. Georges – Moresse
loc. Buri, Melchior – Moresse
Annuaire de 1905
Verzeichnis sämtlicher Häuser von Strassburg und ihrer Bewohner, in alphabetischer Reihenfolge der Strassennamen (Répertoire de toutes les maisons de Strasbourg et de leurs habitants, par ordre alphabétique des rues)
Abréviations : 0, 1,2, etc. : rez de chaussée, 1, 2° étage – E, Eigentümer (propriétaire) – H. Hinterhaus (bâtiment arrière)
Hahnengasse (Seite 57)
(Haus Nr.) 7
Bardoli, Gypsfigurenhdlr. 1
Humbert, Installateur. 2
Sauter, Sesselflechterin. 2
Richert, Feilenhauer. 3
Dossier de la Police du Bâtiment (cote 924 W 640)
Rue du Coq, n° 7 (1884-1994)
Le sellier Jacques Fehrenbach est en 1884 locataire du logement en contrebas de la cour qu’un agent de police estime insalubre. La Commission contre les logements insalubres déclare en 1899 que le logement du rez-de-chaussée ne doit pas être occupé par plus de deux personnes. Le propriétaire fait régulièrement faire les travaux que demande la Commission. Un rapport d’architecte constate en 1940 que la façade s’incline vers la cour à partir du deuxième étage, le bois du colombage est en partie pourri. Le mandataire général des biens appartenant aux ennemis du peuple et de l’empire (General Bevollmächtigter für volks- und reichsfeindliches Vermögen) fait poser des étais à l’intérieur du bâtiment. L’entreprise Th. et Ed. Wagner qui va démolir le n° 11 déclare en 1955 qu’il faut consolider le n° 7 qui perdra son appui. Le pignon menace de s’écrouler vers la voie publique et sur le voisin n° 9. Un incendie se déclare dans les combles du n° 7 occupé par une douzaine de sans-abri. Le juge cantonal nomme un expert qui constate que certaines parties de la maison se sont effondrées et que d’autres risquent de s’effondrer. Un étai qui tombe en 1957 déstabilise la construction. Le propriétaire ordonne de faire démolir les parties qui présentent un danger en laissant subsister les autres à cause du litige qui l’oppose au Ministère de la Reconstruction et du Logement. La maison est démolie en 1957 jusqu’au niveau du trottoir en laissant subsister une partie du mur de façade qui forme clôture.
Sommaire
- 1884 – L’agent de police Jund, chargé d’une enquête par la Commission contre le choléra, signale que (1) le logement du rez-de-chaussée en contrebas de la cour est insalubre parce qu’il est privé d’air et de lumière, (2) la fosse d’aisances n’a pas de tuyau d’aération. La maison appartient à l’aubergiste Maurice Bendelé, demeurant 9, place du Fossé des Tanneurs. – Le sellier Jacques Fehrenbach, locataire du logement, en est notifié. – Le commissaire de police déclare que l’affaire n’est plus de sa compétence.
Une visite des lieux montre que le logement est bien tenu et qu’il n’est pas humide. La fenêtre qui donne dans la petite cour est souvent nettoyée.
Le maire notifie le propriétaire de pourvoir la fosse d’aisances d’un tuyau d’aération. – Travaux terminés, octobre 1884. - 1886 – Le maire notifie le propriétaire Maurice Bendelé, demeurant 9, place du Fossé des Tanneurs, de faire ravaler la façade – Le propriétaire déclare avoir fait un ravalement trois ans plus tôt. – Le maire accorde un an de délai – La façade qui a été lavée est propre, avril 1887.
- 1890 – La fosse d’aisances de la maison Fehrenbach a seulement une contenance de trois mètres cubes.
- 1893 – Le maire notifie Ph. Merk de faire ravaler la façade du 7, rue du Coq.
Le maître maçon Xavier Matter (demeurant 7, rue des Aveugles) demande l’autorisation de repeindre la façade de la maison qui appartient à Ch. Merg. – Autorisation – Travaux terminés, juillet 1893. - 1895 – Le maire notifie le propriétaire de se conformer au règlement du 30 novembre 1891 en supprimant le volet qui s’ouvre à moins de 2,20 mètres de la voie publique. – Rappels, 1898 et 1900 – Travaux terminés, septembre 1900.
- 1901 – Le maire notifie Henri Levy (demeurant 32, rue du Fossé des Tanneurs) de faire ravaler la façade du 7, rue du Coq. – Le propriétaire qui déclare avoir fait ravaler cinq de ses maisons demande un délai. – Il charge l’entreprise Gruner et Vogt des travaux qui sont terminés en juillet 1902.
- 1908 – Dossier ouvert suite à un courrier du commissaire de police relatif à la fosse d’aisances. La visite montre que l’ouverture est assez grande mais que les parois intérieures doivent être entretenues. – Travaux terminés, mars 1909.
- 1898 – Commission contre les logements insalubres. Rapport sur les logements 1) du rez-de-chaussée occupé par le journalier Gockel (7 personnes, loyer 40 marks), 2) du premier étage occupé par le tonnelier Sonnendrucker (3 personnes, loyer 60 marks). Propriétaire, Lazare Levy, demeurant 16, rue Sainte-Barbe
1899 – La Commission déclare que le logement du rez-de-chaussée ne doit pas être occupé par plus de deux personnes et que la pièce donnant dans la cour ne doit pas servir de chambre à coucher.
1902 – Les logements des premier et troisième étages sont rénovés. Pas de changement au rez-de-chaussée qui est à nouveau occupé par les anciens locataires
1903 – Le rez-de-chaussée est en bon état
1903 – La chambre sous les combles ne doit pas servir de chambre à coucher.
1905 – La maison n’est pas raccordée aux canalisations
Courriers de Henri Levy, fils du propriétaire
1906 – Liste de travaux à faire en 6 points – Travaux terminés, août 1906.
1908 – Rapport sur une famille de concubins (cinq personnes) qui occupe les combles.
1910 – Rapport en cinq points
1913 – Rapport en 8 points
1914 – L’inspecteur de l’orphelinat fait un rapport sur le logement mal tenu de Félix Nichts (8 personnes)
1915 – Commission des logements militaires. Rapport en 9 points - 1929 – Le locataire Jülg se plaint que la chasse d’eau ne fonctionne plus. La Police du Bâtiment constate aussi des traces d’humidité au plafond et sur les murs qui sont dues à des fuites de la toiture
- 1927 – Le service d’hygiène informe la Division V que la famille polonaise qui occupe le rez-de-chaussée déverse toutes sortes d’ordures dans la cave. Le voisinage se plaint des mauvaises odeurs. Propriétaire, Levy, demeurant 8, rue de Sébastopol.
L’enquête montre que la maison occupée par les familles Taterkowski, Bastler, Roth et Jülg est raccordée aux canalisations depuis 1912. Le propriétaire devra réparer la porte de cave qui s’ouvre dans la cour et veiller à ce que les locataires du rez-de-chaussée ne se servent plus de la cave comme dépôt d’ordures. – La Police du Bâtiment écrit au propriétaire. Rappel en 1928 – Travaux terminés, janvier 1928.
1930 – Courrier d’Aloïse Julg sur papier à lettres (atelier électromécanique, 14, rue des Serruriers) pour les mêmes motifs – Travaux terminés, juin 1930 - 1940 – Le mandataire général des biens appartenant aux ennemis du peuple et de l’empire (General Bevollmächtigter für volks- und reichsfeindliches Vermögen) accuse réception du courrier envoyé par la Police du Bâtiment.
La Police du Bâtiment a déclaré le 4 octobre 1940 que les bâtiments sis 7 et 9, rue du Coq sont inhabitables. Certains logements sont cependant toujours occupés fin octobre.
1940 (2 octobre) – Rapport de l’architecte Adolphe Wolff sur le 7, rue du Coq, suite à la plainte du propriétaire du n° 9 (Jérôme Weibel, demeurant à Brumath). La façade s’incline vers la cour à partir du deuxième étage. Le bois du colombage est en partie pourri. L’entreprise Wagner a posé des étais à l’intérieur du bâtiment à la demande du mandataire général. L’architecte conclut que les n° 7 et 9 menacent de s’écrouler.
1940 (4 octobre) – La Police du Bâtiment demande au propriétaire de faire évacuer les locataires et de ne plus louer les logements
Jérôme Weibel déclare avoir l’intention de démolir la maison. Il déclare que le risque d’écroulement est dû à la maison voisine n° 7, que la guerre en est la cause et que la remise en état est impossible. - 1949 – L’entreprise Th. et Ed. Wagner (14, rue Adolphe Seyboth) est autorisée à occuper la voie publique pour réparer la toiture.
- 1955 (16 février) – L’entreprise Th. et Ed. Wagner qui va démolir le n° 11 appartenant à Pierre Schmitt comme le n° 9 déclare que le n° 7 qui menace aussi ruine repose sur le n° 11. Comme le n° 7 perdra son appui, il y a lieu de le consolider ou de le démolir.
1955 (28 février) – Le maire écrit au juge cantonal sur l’affaire qui l’oppose à Roger Louis Levy, demeurant 8, rue de Sébastopol. Il demande au juge de nommer un expert chargé d’examiner le bâtiment menaçant ruine. Le juge nomme Cromback.
1955 (18 février) – Rapport fait à la demande de l’entreprise Wagner, en présence de MM. Charlier et Sauer (Police du Bâtiment), Wagner et Fœrster (contremaître), Pierre Schmidt (propriétaire du n° 9, demeurant 36, Grand rue). Le pignon du n° 7, inhabité, menace de s’écrouler vers la voie publique et sur le voisin n° 9. Croquis. Il faudra prendre un arrêt de péril pour démolir le pignon nord et la partie postérieure de la cage d’escalier.
1955 (23 février) – Certificat de notification à Roger Louis Levy
1955 (11 mars) – Pierre Schmitt dépose 10.003 francs auprès du receveur municipal au cas où la Ville doive supporter les frais d’expertise
1955 (5 avril) – Un incendie s’est déclaré le premier avril dans les combles du n° 7. – Article de presse (L’Humanité du 2 avril) d’après lequel une douzaine de sans-abri occupent les lieux, l’un d’entre eux y étant mort quatre mois auparavant. – Rapport du service des incendies - 1955 (6 avril) – L’architecte René Muller passe au nom de Roger Louis Levy commande à la maison Martin-Degoumois (2, rue de Kolbsheim à Strasbourg) de démolir le pignon nord jusqu’au niveau de l’ancienne toiture du n° 9, d’étayer les combles, de condamner l’entrée principale et de faire divers autres travaux.
1955 (12 avril) – Rapport de l’expert Cromback qui joint une photographie publiée par les Dernières Nouvelles du 10-11 avril (non jointe au dossier)
La partie haute du pignon nord situé vers l’immeuble n° 9 de la même rue et comprenant le triangle de la toiture et l’étage en dessous n’existe déjà plus. La partie inférieure jusqu’au niveau du plancher au rez-de-chaussée risque de s’effondrer, le bois de charpente de ce pignon étant vermoulu et surtout le pied d’un arbalétrier du côté de la façade manque d’appui, étant complètement rongé.
Le reste du pignon n’est du reste plus d’aplomb et est incliné vers l’immeuble n° 9. Celui-ci ne comprenait qu’un rez-de-chaussée dont le toit s’est effondré sous le poids de la maçonnerie tombée du haut du pignon du n° 7.
La partie postérieure de la cage d’escalier dont l’état d’ébranlement est mentionné dans la requête est complètement enlevée.
L’ensemble de la maison, ouverte actuellement et latéralement et à l’arrière et exposé au vent, représente d’après mon avis un danger pour les passants dans la rue.
1955 (13 avril) – L’architecte René Muller déclare au maire que les travaux sont terminés.
1955 (22 avril) – La Police du Bâtiment note que le propriétaire fait démolir en partie le pignon nord. L’affaire engagée avant l’incendie sera poursuivie.
Le maire écrit au propriétaire de faire étayer le bâtiment conformément au rapport de l’expert Cromback - 1957 (septembre) – Le pignon du n° 7 dont l’étaiement est tombé après la démolition du n° 11 menace de s’effondrer. « Dans l’intervalle de 24 heures, l’ensemble de la construction s’est détaché du mur de l’immeuble n° 5 d’environ 8 centimètres ».
1957 (11 août) – Le maire ordonne au propriétaire de faire démolir les bâtiments dans les huit jours.
1957 (18 septembre) – L’architecte René Muller (72, allée de la Robertsau) passe commande à l’entreprise Ketterer et Compagnie (16, rue des Petites Fermes à Kœnigshoffen) de démolir les bâtiments.
Courrier de Roger Louis Levy. Il déclare que le voisin Schmidt a sciemment endommagé sa propriété en supprimant un étai. Il a ordonné de faire démolir les parties qui présentent un danger en laissant subsister les autres à cause du litige qui l’oppose au M.R.L. (Ministère de la Reconstruction et du Logement).
1957 (25 septembre) – La partie avant est démolie jusqu’au niveau du plancher du premier étage, le deuxième étage de la partie arrière est en cours de démolition.
1957 (3 octobre) – « L’immeuble a été arasé jusqu’au niveau du trottoir. Seule une partie du mur de façade formant clôture, d’une hauteur d’environ 1,50 m. subsiste. »
1957 (23 octobre) – Roger Louis Levy demande au maire ce qu’il doit retenir de la déclaration verbale faite à son architecte de maintenir une partie de la façade sur rue et une grande partie du mur latéral gauche. – La Police du Bâtiment note que l’accord a été passé avec l’architecte, ce qui dispense de répondre au courrier du propriétaire (le mur avant sert de clôture, le mur gauche est maintenu jusqu’à la démolition du n° 5). - 1960 – La cour à côté du n° 5 sert de dépôt d’ordures au voisinage. – Le mur maintenu en 1957 comprend une brèche sans doute pratiquée par le voisin Schmidt quand il a construit des ateliers sur le terrain voisin.
- 1979 – Le notaire René Rieger (13, rue Jules-Rathgeber) et les ayants droit de Roger Louis Levy demandent un certificat d’urbanisme – Le terrain tombe dans l’emprise réservée pour un ouvrage public d’après le Plan de sauvegarde et de mise en valeur
- 1994 – Le notaire Jean-Paul Traband (à Weyersheim) demande un certificat d’urbanisme
Relevé d’actes
La maison est inscrite dans le Livre des communaux (1587) au nom du barbier Thomas Kentzinger. Originaire de Neuweiler, il épouse en 1577 Barbe, fille de Jacques Fritsch
Mariage, Sainte-Aurélie (luth. p. 85)
1577. Thoman Küntzinger w(eÿl.) Caspar Küntzingers von newÿler nachgelaßener Son, vnd Barbara Jacob Fritschen dochter
Le barbier Thomas Kentzinger devient bourgeois par sa femme Barbe, fille du chanvrier Jacques Fritsch, le 19 janvier 1577
1577, 2° Livre de bourgeoisie (4 R 104) p. 426
Thoman Kentzinger von Neuweiler der scherer hatt das burg recht von Barbara Fritschin Jacob Fritschen des Henffers dochter seiner Ehefrauen empfangen vnd will mit den scherern Zur Lucern dienen. Actum den 19. Januarÿ Ao & 1577
La maison appartient ensuite au revendeur Adrien Dietrich. Originaire de Pont-à-Mousson, il acquiert le droit de bourgeoisie par sa femme Claire, veuve du revendeur Jean Riel de Rosheim (il est probable que le mariage ait été célébré à Saint-Pierre-le-Vieux dont le registre est lacunaire de 1550 à 1560)
1557, 2° Livre de bourgeoisie (4 R 104) p. 126
Adrian diettrich von ponttemouson der Kremmer hatt d. brugkrecht empfang. von Clara hansen Rüehels von Roßheÿm des Kremers v.laßener wittwe seiner ehe Frawen vnd wÿll Zum spiegell diennen vff den 23.t Februarÿ a° & 57
Adrien Dietrich se remarie avec Véronique, fille du boucher Nicolas Dirion (Thirion), de « Bergart »
Proclamation, Saint-Pierre-le-Vieux (luth. f° 162)
1574. Adrianus Dieterich der Kremer von pontamont burg. Zu Straßburg vnnd J. feronica, Claus Dirion des Metzgers selig. nachgelaßene tochter von Bergart. Ist Zu S. thoman Zu Kirch gangen (i 164)
Mariage, Saint-Thomas (luth. f° 100-v n° 265) 1574. Hadrian dieterich von ponto printi* der kremer Veronica Niclaus Diriuns von Bergart. nachgelaßene dochter. 1. Iunÿ (i 103)
Véronique, veuve du revendeur Adrien Dietrich, vend la maison au tisserand en laine Chrétien Sontag et à sa femme Elisabeth Spring. En marge, quittance donnée par Jean Ziegler, tuteur des six enfants d’Adrien Dietrich
1593 (16. Martÿ), Chancellerie, vol. 282 (Imbreviaturæ Contractuum) f° 103-v
Kauffbrieff Christmann Sontags des Wullenwebers
Erschienen Veronica, Adrian Diettrichs des Landt Kremers burg. alhie seligen witwe, mit beÿstandt Frantz Thoman des Huttmachers Ires gewesenen Vogts vnd Hanns Ziegler der Kremer als vogt Mariæ, Abrahams, Daniels, Isaac, Hans Jacobs, vnd Christoffels geschwüsterd. alle sechs obgemelter veronice mit Adrian Diettrichs Irem ehern selig obgemelt ehelich erzielter Kinder vnd haben (verkaufft)
Christmann Sontag dem Wullenweber vnd Elisabeth Springin* seiner ehelich. haußfrauw burg. alhie
Ein Hauß Hoffstatt vnd höfflin mit allen seinen gebeuwen rechten vnd gerechtigkeiten geleg. alhie Im hanen geßlin, einsit neben Lutz von Marleÿ andersit neben Diebold N von Marleÿ hinden vff h Gabriel Blumen dem beckh. stoßend, dauon gehn Jarlich vff S Johans tag fünff guld. gelts Straßburg. werung mit 100 guld. derselbig. wehrung lösig Thoman Kintzing. dem scherern sonst Ledig vnd eig. (…) das der Kauff Zugeg. seÿ vber obgemelt. beschwerd. für vnd vmb 200 guld. Straß. werung
[in margine :] erschienen Frantz Thoman als vogt veron: Adrian Diettrichs witwe, vnd hatt in gegensein Christman Sontags des bekenners (…) quitirt Act 8 Maÿ 93.
Erschienen Frantz Thoman als vogt Veronicæ vnd ermelte sein Vogtspen. deßgleich. Hans Zieglers als verordneten Vogt Adrian Thiederichs s. hinderlaßenen sechs Kind. (…) Act. den 4. Feb. 94*
Chrétien Sontag sollicite le droit de bourgeoisie auprès des Conseillers et Vingt-et-Un. Il déclare avoir travaillé à Strasbourg pendant seize ans, qu’il a épousé cinq ans auparavant une servante de Jean Jacques Schütterlin, qu’il a habité pendant quatre ans à Fürdenheim. Comme il doit acheter ses marchandises à Strasbourg, il sera plus commode pour lui d’être bourgeois. L’assemblée accepte de le recevoir bourgeois à cause de son bon comportement.
1589, Conseillers et XXI (1 R 66)
(f° 82-v) XIX Februarÿ – Christman Sontag vmb d. Burgerrecht.
Christman Sontag der Wullenweber mit beÿstandt Thoman Vischers vbergibt & Bittelb. ein supplôn vnd bitt Ihne Zu einem burger anzunehmen, v.meldet d. er 16 Jar hie gearbeit, sich vor fünff Jaren mit einer dienstmagd so beÿ Hn Hanß Jacob Schötterlin gedient verheurhat und 4. Jarlang Zu Fürdenheim gewohnt, sich ehrlich gehalt. v.mög Abscheidt d. er aber alles Zu seinem handwerck gehörig alhie einkauffen müeß. welches Ihme gar unbequem, hat er m. Hn hiemit vmb d. burgerrecht vnd.thenig ersuch. wöllen, bericht h. Phil. Mösing d. er ein gutt Zeugnus, und wo es sein gelegenh. geweß lang drauß Zusein, das er Ihne hatte wol leid. mögen. Erkandt, Man soll Ihne vff sein wolhalten annehmen, H Schilling, H Schotterl.
Originaire de Méricourt, Chrétien Sontag achète le droit de bourgeoisie le 19 février 1589.
1589, 3° Livre de bourgeoisie (4 R 105) p. 499
Christmann Sontag von Mericort der wullen weber, Hatt mit beÿstandt Sontag Wirichs deß Wullen webers, das Burckrecht erkauft, vnd will Zu den duchern dienen Act. 19. Febr. 89.
Chrétien Sontag cède par échange la maison au tisserand Jean Metz
1605 (vt spâ [xx Septembris]), Chancellerie, vol. 357 (Registranda Kügler) f° 239-v
Erschienen hanns Metz der Wullenweber ane eim
So dann Christmann Sontag auch wulinweber am andern theyl
haben beyde partey. gegen einand. bekhant v. offentlich verÿeh. das sie ein Vfrecht redlich vertusch wie da einmutig urtels* getroffen vnd yngang.
Namlich vertuscht hanns Metz für sich v. sein. erb. gedch. Christian Sontag v sein erb. hauß v hoffestatt Sampt einem germeyn profey V der gerechtigkeyt der ÿn v vßgangs durch Lazari goldters witwe höfflin m all Ir gebeu geleg. In der S S vnd. am pflantzhoff einseyt neben bemeld. Lazar goldter andersyt hans Cleynen stosst hind. vffm Allmend + (+ doch so wyth sich der begriff Jetzverkhauffter Behausung des Almends gegen der damen* erstreckt Soll Christman Sontag fürbaß d Staden* Zu erhalten schuldig) davon gnd ij lb x ß gld All Jar vff d heylig. wÿhenachtag loßig mit L lb d (-) dem goldschmid sunst eÿg. So dan Achtzigh guld Zu xv batzen
Dagegen vertuscht Christian Sontag für sich v sein erben gedch. hans Metzen v sein erben huß hoffstatt v. hefflin m. den gebeu. & geleg Inn der SS Inn haanen gaß, ein seyt Melchior dick den Steinmetz ander seyt ([biffé] Christmann N.) Michel Khundt Scharachberckheim (+ stoßen hind. vff Gabriel Blumens erb.) dauon gend 5 gulden glt vff Johannis Baptistæ losig mit 100 guld. SW hans Ulrich Schultheÿß witwe In Altenh. Sunst eÿg.
Originaire de Seckingen an der Bergstrasse (Seckenheim), le tisserand Jean Metz épouse en 1601 Marie, fille du tisserand Barthelémy Peter
Mariage, Saint-Pierre-le-Vieux (luth. f° 75-v n° 36)
1601. Hans Metz Wullen Weber Von Seckingen an der bergstrasse, J. Maria Bartel Peter des Wullen Webers verlasene tochter 14. Julÿ (i 78)
Originaire de Seckenhein près de Heidelberg, Jean Metz devient bourgeois par sa femme Marie, fille de feu Barthelémy Peter
1601, 2° Livre de bourgeoisie (4 R 104) p. 798
Hannß Metz der Wullinweber von Seckenh. beÿ Heidelberg empfahet d. B: von Maria Weÿland Barthel Peters wullinwebers selig. dochter will Zun tuchern dienen vnd sein Nahrung für 100 fl. angeben Act. 25. ditto [Julÿ 1601]
Le tisserand Jean Metz, originaire de Seckingen en Palatinat, (r)achète le droit de bourgeoisie le 24 mars 1604
1604, 3° Livre de bourgeoisie (4 R 105) p. 680
Hans Metz, der Wullinweber Vonn Seckingen vß der Churf. Pfaltz Kaufft mit beÿstandt Christoph Schawmann deß Rhatsbotten das Burg: will Zun Tuchern dienen, vnnd sein Narung für 300 fl angeben, Actum vt supra [24 Martÿ]
Jean Metz se remarie en 1623 avec Rosine, fille de Jean Georges Mutterspach, préposé à Haguenau
Mariage, Saint-Pierre-le-Vieux (luth. f° 166-v) 1623. Dominica XI. post Trinit: hans Metz d. Wullenweber allhie, Rosina Hanß Gorg Muterspachs d. Landvogthei Zu Hagenau gewesenen Marschalcks hinderlaßene tochter. Calend, Septemb. im frühgebett (i 171)
Jean Metz demande au nom de sa femme Rosine, fille du préposé Jean Georges Mutterspach l’intercession du Magistrat pour entrer en possession de son héritage maternel. Il reste des biens à partager après que les créanciers ont été satisfaits.
1623, Conseillers et XXI (1 R 105)
(f° 254-v) Sambstag den XV. No.bris – Hans Metz ehevogt Rosinæ Mutterspachin umb fürschrifft. 254. R. 279
Hans Metz d. Wullenweber alß Ehevogt Rosinæ Hans Georg Mutterspachs Marschalcks Zu Hagenaw dochter vbergibt supplôn meldt wie Ir Mutterlich gutt dan d. geschwistert 3. von vogten erstlich verwaltet hernach L. Westermeyer vnd D. (-) Bosen beid. Sattlermeistern vbergeben worden von denen er Inventaria u. andere documenta begert damit d* gutt getheilt vnd sein hausf. Ir Antheil gehaben vnd gebrauch mög, aber nichts erlang. konnen, daher sie bey Rhatt angehalten vnd auf Kunfftig Montag bescheiden damit sie dan desto mehr befindet Bitten sie umb fürschrifft. Erk. Ist wilfahrt, h. Rathh. Seubel v. Nuss* fol. 86.
(f° 279) Sambstag den XIII Decemb. – Hans Metz Ca. Hagenauwische
Hagenauwisch. antwort schben abgelesen dorin sie auf ein fürschrifft für Hans Metz und Rosinæ Mietterspachin antworten beschweren sich ab den narratis solang. Irer Stettmeister L Philipp Otto Westermeÿer und D. Lorentz Bosens in hptal gestand. d. Innen unmht* domit geschehe seyen auch administratores der Mieterspachischen gutter geweßen, sonder allein underhandler, Item sein Metz beystand hatt schla* erzeugt d. sintemal ursach gehabt inder* gegen Ime anzunehmen, aber mhhn. weg. verschont u. doch mit maten* Zurkennen geben, hetten dißmal ursach sich gentzlich der sach Zuentschlagen wollen aber doch mann sich die interessenten dazu schicken werd. gern* d. best dabeÿ schein, wie dan Philipp Jacob Mutterspach selben würdt berichten Konnen an wann er bißher ermanglt Sey an sonst Conrad Grau u. Heinrich Zimmerer* verwalter geweßen u. Rechnung gethan. Erk. Man soll Metzen zustellen u. darüber horen H. Baur H Merckle*
1625 Conseillers et XXI (1 R 107)
(f° 199) Sambstag den III. Septemb. – Hans Metz vmb fürschrifft.
Hans Metz d. Wollenweber alß dochterman Hans Georg Mutterspachs burgers zu Hagenaw vbergibt supplôn meldt seinen Schwehr, verlaßenschafft und. die creditores getheit, aber noch etwas vbrig dazu aber weder er noch seine Schwager gelang. konnen, vnd will man auch keine Rechnung es sey dan sein Schwager Wolffgang Hecker Bamberg. furst Maler mhben* d. soll, der aber bitzher allerhand ursach wegen nit kommen konnen, und ob wol hrn des Raths Zu Hagenaw an seiner statt dobey sein konnen, hab er dahil* erlangen dazu ein Zukommen bitt er umb fürschrifft an Statthalter Cantzler und Rhatt Zu Zabern. Erk. Willfahrt v. niß A. fol. 73.
La maison revient d’une manière non établie au tisserand Jacques Hummel.
Originaire de Vöhringen près d’Ulm, il épouse en 1605 Elisabeth, veuve du serrurier Bernard Müller
Mariage, Saint-Pierre-le-Vieux (luth. f° 105-v n° 24)
1605. Jacob Humel Weber von fehring. bej Ulm vnd Elisabeth Bernhart Müller des schlossers Hinderlaßene Wittwe. 13. Aprilis (i 108)
Le serrurier Bernard Müller épouse en 1600 Elisabeth, veuve du coutelier Jacques Bessenet
Mariage, Saint-Pierre-le-Jeune (luth. f° 119 n° 24)
1600. Doîca Misericord. 6. April. Bernhart Müller d. schlosser Elisabeth Jacob pessonet des Messerschmids Hind.lassene witwe. Eingesegnet Mont. d. 14. April. (i 73)
Le coutelier Jacques Bessenet épouse en 1592 Elisabeth, fille de Nicolas Schwartz
>Mariage, Saint-Pierre-le-Vieux (luth. f° 27-v n° 31)
1592. Jacob Besenet der Messerschmid J. Elisabeth Claus Schwartzen des Zundelmachers verlasne tochter eingesegnet 9. Maÿ (i 30)
Originaire de Vöhringen, Jacques Hummel acquiert le droit de bourgeoisie par sa femme Elisabeth veuve du serrurier Bernard Müller deux ans après son mariage
1607, 2° Livre de bourgeoisie (4 R 104) p. 884
Jacob Hummel der Leinenweber von Föring. Empfahet d. Burgerrecht von Elisabetha weÿland Bernhardt Müllers des Schloßers seelig wittib, wüll Zu den Tuchern dienen vnd 100 fl verstalllen Geschehen den 9 Junÿ Aô 1609.
Jacques Hummel hypothèque la maison au profit de Barthelémy Kirchhofer en garantie d’une dette contractée par Bernard Müller, précédent mari de sa femme
1621 (5. 7.br.), Chancellerie, vol. 441 (Imbreviaturæ Contractuum) f° 67
Schuldbekandtnus Barthel Kirchhofers vmb xj lib.
Erschienen Jacob hummel d. Leyneweber vnd burg. alhie vnd
hatt in gegenwertigkeyt Bartholomei Kirchhofers bekant, das er demselben von einer Schuld von Bernhard Muller seinem vorfahren herrührend schuldig worden 11 pfund
Zum vnderpfand verlegt sein Behausung alhie In d. Hanen Gaß einseyt neben Georg Serren hoßenstricker and.seyt neben Michel von Scharrenbergkh. hinden offere* becken huß davon gehnd Jährlichs 5 gl. Daniel Igeln selig. erb.
Jacques Hummel et Elisabeth Schwartz vendent la maison au chapelier Jean Georges Meyer
1622 (ut spâ. [xxv. Septembris]), Chancellerie, vol. 446 (Registranda Meyger) f° 358
(P. fol. 266.) Erschienen Jacob hummell d. leinenweber burger Zu Straßburg vnd Elisabeth Schwartzin sein eheliche haußfr. (verkaufft)
hannß Geörg Meÿer dem huotmacher burgern Zu Straßburg
hauß, hoffstatt vnd höfflin mit All Ihr. geb. & gelg. Inn d. St. St. Inn der haanen gaß, Ane d. obern straß. einseit n. Andreß wassermann schuomach. And. seit n. eim Bauren Vonn Scharrachbergh. hind. vff Michell Schrancken den weÿßbeck. stoßend, Dauon gnd. v. gl. gld loß mit j C. gl Werungh vff Johannis Baptæ weÿland hanß Jacob Igells selig witwe, Mehr seind sie verhafftet vmb j C xxv lb hannß Jacob Rümmellsperg. vnd dann vmb xj lb Barthell Kirchhoff Sunst led. eÿg. Vnd Ist disser Khauff vber obgehörtte beschwerd. Zugang. v. besch. für vnd vmb j C Lx lv x ß
Le chapelier Jean Georges Meyer épouse en 1615 Ursule, veuve du receveur Martin Faber
Mariage, Saint-Pierre-le-Vieux (luth. f° 137-v n° 13)
1615. 18. Aprilis. Hans Jerg Mayr der Hutmacher, Ursula Martin Fabers Schaffners wittib (i 142)
Originaire de « Windenspach », Martin Faber épouse en 1603 Ursule, fille du pelletier Jacques Poppel
Mariage, cathédrale (luth. p. 122 n° 33.)
1603. Dominica 11. post Tinitatis. Martinus Faber von Windenspach und Ursula Jacob Poppel deß kürschners n: g: dochter (i 64)
Le chapelier Jean Georges Meyer se remarie en 1619 avec Marie, fille du tonnelier Martin Ohler
Mariage, cathédrale (luth. p. 93)
1619. dominica 24. Trinit. den 7. 9.bris. Hans Jörg Meyer der Hutmacher und J. Maria Martin Oler des Küeffers tochter. eingesegnet montag d. 1. 9.bris (i 51)
Jean Georges Meyer hypothèque la maison au profit du boulanger Jean Blanck. En marge, quittance en 1629 remise par Jean Blanck à Adam Hünerer, alors propriétaire de la maison
1626 (ut spâ. [xix. Septembris]), Chambre des Contrats, vol. 459 f° 606-v
Erschienen hannß Georg Meÿer d. hutmacher burger Zu Straßburg
hatt in gegensein Hannß Blancken des Weißbecken auch burgs. Zu St. – schuldig seÿen 20. Pfund
Vnderpfand, seine In der Hahnengaßen gelegene Behausung einseit neben Andres Waßermann dem Schumacher, anderseit neben Michel Cuntzen hinden vff Michel Schrancken stoßend, dauon gehen herrn Georg Nägele Pfarrern Zu Dorolßheim 100. lb d Capital
[in margine :] Erschienen hannß Planck hatt in gegensein H Johann Adam Hüenerers deß Handelßmanns auch burgers alhie Alß ietzigen Inhabers deß vnderpfandts (…) q.tirt den 2. Septembris A° 1629.
Jean Georges Meyer hypothèque la maison au profit de Jean Adam Hünerer et de son beau-père Melchior Hartung.
1627 (28. Junÿ), Chambre des Contrats, vol. 461 f° 335
Erschienen hanß Jörg Meÿer hutmacher burg. Alhie
hatt in gegensein hn Johann Adam hüenerer für sich Vnd Innamen seines Hn Schwähers Melchior hartung – schuldig seÿe 60. Reichßthaler
Zu vnderpfand verlegt hauß hoffstatt höfflein Vnd schopff mit allen & geleg. In der obern Straß Inn d. hanengaßen, einseit Michell Kuntzen, and.seit Andreß Waßerman, hind. vff Micheli Schrancken Müller den Weißbecken stoßend, dauon gend 110 pfund hauptguett Wiland hn Jörg Nagell Pfarrers zu doroltzh. s. Erben, Item ist sie Verhafftet Vmb 70 pfund hanß Plancken Vnd dann Vmb 50. pfund Margredt fischerin
Jean Georges Meyer vend la maison au marchand Jean Adam Hünerer
1629 (23. Julÿ), Chambre des Contrats, vol. 465 f° 467-v
(Protocollat. fol. 57.) Erschienen hannß Georg Meÿer d. hutmach. burger Zu St.
hatt in gegensein herrn Johann Adam Hüenerers deß handelsmanns auch burgers alhie (verkaufft)
hauß, hoff, hoffstat, sampt einem schöpflin vnd allen Andern deren gebäwen & geleg. alhie in der hanengassen neben Andreß Wassermann schuhmach. & neben Michel Kuntzen hind. vff Michel Schranckenmüller den Weißbecken stoßend, welche Zuuor v.hafftet vmb 110. lb d Capital (…) Georg Nagels deß Pfarrers s: Zu dorolßh. wittib vnd Erb. Item vmb 70. lb. d (…) hanß Planck dem Weißbecken, Item vmb 15. ß Capital (…) Jeremiæ Fischer dem Metzig. Item vmb 45. lb (…) H Melchior Hartung dem handelßmann sonst ledig, eÿgen, Vnd ist diser Kauff vber die beschwerd., so der Käuffer vff sich genommen, geschehen per 18. lb
(hanß Planck ist allerdings contentirt wie in Reg. 1626. fol. 607. zubefind.)
Fils de Jean Hünerer, au service des comtes de Falkenstein, le marchand Jean Adam Hünerer épouse en 1621 Marguerite, fille du marchand Melchior Hartung
Mariage, cathédrale (luth. p. 122)
1621. Dominica 19. Trin: 7. 8.bris. Johann Adam Hünerer der Handelsmann, H. Johann Hünerer gräfflichen Falckensteinischen Amptskeller auf newbambergk sohn, vnd J. Margreth hr. Melchior Hartung des Handelsmanns tochter, eingesegnet Zinstag 16. 8.bris (i 66)
Jean Adam Hünerer vend la maison au fabricant de chausses Daniel Kurbau
1638 (23. Augusti), Chambre des Contrats, vol. 480 f° 600
(Protocollat. fol. 114) Erschienen Herr Johann Adam Hüenerer der handelßmann burger Zue Straßburg (verkaufft)
Daniel Kurbaw dem Hosenstricker auch burgers alhie
hauß, hoff, hoffstatt und Schopfflin, mit allen andern ihren gebäwen & alhie in der Hanen gaßen, einseit neben Andreß Wassermann dem Schuhmacher, anderseit neben Thoman Burckharden dem Tagner, hinden vff Michel Schranckenmüller den Weißbecken stoßend gelegen, so gantz freÿ ledig eigen – vmb 175 Pfund
dabeÿ gewesen herr Hanß Jacob Meÿer handelßmann Zu Nürenberg an ietzo Schirbms Verwanther alhier vnd hans Salinus hosenstricker Burger Zue Straßburg
Jean Kurbau vend son tiers de la maison au chapelier Christophe Futterer, assisté de son père Georges Futterer
1649 (29. Maÿ), Chambre des Contrats, vol. 503 f° 390-v
(Prot. fol. 112.) Erschienen Hannß Kurbaw der Hosenstrickher Vnd Burger Zue Straßburg mit beÿstand Hannß Georg doni deß hosenstrickhers alhie seines Schwagers
hatt in gegensein Christoph Futerers deß hutmachers alhie mit beÿstand Georg Fueterer auch hutmachers seines Vatters
Einen tritten theil ahne hauß, hoffstatt, höfflin, mit allen deren Gebäwen und Zugehördten gelegen alhie an der Obern Straß. in de Hanen gaßen neben Andreß Waßermann dem Schuhmachern ein: und anderseit neben Ambrosius Geiger dem Einspenniger hinden vff Michael Schranckhenmüllern d. Weißbeckh stoßend gelegen, daran die übrige Zwen tritte theil Daniel Kurbaw dem Hutmacher Vnd Daniel Avenheim dem hosenstrickhern so sich beÿde in der Wanderschafft auff halten, gehörig seind, vnd dißer ietzt Verkauffte 13. theil ohn verhafftet ledig und eig. seÿn – Verhafftet 25. lb
Les ayants droit de Daniel Kurbau vendent la maison à Jean Trœscher d’Ostwald
1653 (19. febr:), Chambre des Contrats, vol. 514 f° 96
(Protocoll. fol. 152) Erschienen Melchior Reiff der Schuhmacher alß Vogt Daniel Kurbawers Zue einem tritten theil, Vnd Paulus Gandj der Hosenstricker burg. alhie alß Vogt Daniel v. Avenheims Zum einem Halben, Vnndt Niclaus Elles der Hosenstricker alß Vogt Margrethen Hannß Georg Donj deß Hosenstrickers eheliche dochter Zum übrigen halben tritten theil, Vnndt dann Christoph Fuoterer der Hutmacher Zum letztern tritten theil, Vnndt sie die obgemelte Vögt insonderheit mit beÿstand H. Johann Wolffgang Heßlers und H. Johann Peter Schmidts beeder Kinder Vertragß herren und auß E.E. großen Rhats mittel hierzu insonderheit Deputirter
in gegensein hannß Tröschers Von Illwickerßheim
hauß v. höfflin mit allen deren Gebäwen vndt Zugehörden alhie in der hanen Gaß einseit neben Ambrosio Geÿer dem Soldner, and.seit neben Martha Waßermännin, hinden vff Michel Schranckenmüllern den Becken stoßend gelegen – umb 200 Gulden
Les Conseillers et les Vingt-et-Un autorisent les héritiers de Daniel Kurbau à vendre au manant Jean Trœscher d’Ostwald la petite maison délabrée moyennant 100 livres
1653 Conseillers et XXI (1 R 136)
(f° 21) Montag d. 14. Febru: – Daniel Kurbawerß Erben
Daniel Kurbawerß Erben bericht. d. sie eine behaußung an Hanß Troscher Von Illwickerßh. Zu verkauffen Vorhabenß Bitt. vmb Decretum alienandi.
H. Heßler vnd H. Schmidt bericht. d. es Ein schlechtes Heüßlin so sie hienzugeben vorhabenß, Will nicht mehr gelt. als 100 lb Vermeinen Man konne d. Interesse d. Wohl gratificiren. Erk. Wilfarth word.
Jean Trœscher, musicien d’Ostwald, et sa femme Jeanne, manants de Strasbourg, s’obligent à entretenir Marthe Wassermann dont les biens inventoriés par le notaire Ursinus s’élèvent à moins de dix livres.
1655 (1. Xbr.), Chambre des Contrats, vol. 517 f° 649
Erschienen Michael Loos der Büttel beÿ E.E. Zunfft der Beckh alß Vogt Marthæ Waßermännin mit beÿstand H Jeremiæ Ursini Notarÿ und E.E. Kleinen Rhats alten Beÿsitzers an einem,
So dann hannß Tröscher der Spielmann von Illwickherßheim Schirms Verwanther alhie und Johanna sein Eheweib, vnd beede theil mit beÿstand der Ehrenvest- Fürsichtig- und weÿsen H Johann Christmann Merckhlins und H Caroli Eggen beede E.E. groß. Rhats Beÿsitzer auß deßelben mittel verordneten Kinder Vertragßheren
bekannten freÿ gutwillig offentlich, wiewohl. einganß gemelter Marthæ Waßermännin restirende Nahrung vermög deß, durch vorgedachten H Not. Ursinum vffgerichtet. Inventarÿ über Abzug der gegenschuld. sich nur 9. lib 18 ß belauffen, hetten sich soch Sie beÿde Eheleuth für sich und ihre Erben dahien verbindlich erclärt, daß dieselbe besagte Martham waßermännin umb solchen rest die übrige Zeit ihres lebens versorgen verpflegen (…)
Le journalier Jean Trescher d’Ostwald et sa femme Jeanne Mack originaire de Lingolsheim acquièrent le droit de bourgeoisie. Ils n’apportent pas d’enfant, s’inscrivent à la tribu des Gourmets
1657, 3° Livre de bourgeoisie f° 955
Johannes Trescher der Tagner Von St: oßwaldt erkaufft das Burgerrecht für sich und sein Haußfrau Johanna Mackin von Lingelßheim gebürtig, vmb 20 golt fl. so er vff dem Pfen: thurn erlegt, haben Keine Kind. vnd will Zu E. E. Zunfft der Weinsticher dienen. Jurav: den 11. Aprilis A° 1657.
Jean Trœscher est emballeur en 1672
1672, Chambre des Contrats, vol. 532 f° 163-v (…) mit beÿstand Johann Tröschers deß Ballenbinders Burg.
Il meurt à l’âge de 72 ans en 1684
Sépulture, Saint-Pierre-le-Vieux (luth. p. 103, n° 1)
1684. Januarius. d. 9. H Joh Dröscher alt 72 Jahr (i 53)
Jeanne Mack, veuve de Jean Trœscher, vend la maison à Susanne Goll, femme du rapporteur Jean Jacques Gambs. La maison figure dans l’état de ses revenus dressé en 1684.
1686 (20.4.), Chambre des Contrats, vol. 556 f° 176
Johanna Mackin, weÿl. Johann Tröschers gewesenen Sinners am Crahn allhier sel. nachgelaßene wittib, mit beÿstand H. Tobiæ Rothen deß Ganth käufflers Ihres vogts
in gegensein Susannæ gebohrner Gollin, Hn Dr Johann Jacob Gambsen, E.E. Statt gerichts allhier Referenten haußfrauen mit beÿstand herrn Johann Stößers hießiger Statt Rentmeisters ihres tochtermanns und vogts
hauß und höfflein mit allen deren gebäuen, begriffen, zugehördten, Rechten und Gerechtigkeiten allhier in der Hahnengaßen, einseit neben diebold Örteln anderseit neben weil. H. Johann Friderich Gambßen gewesenen Pulverhändlers sel. Erben hinden uff Georg Pfister den Weißbecken stoßend gelegen – umb 300 fl. baaren gelds
Son fils Jean Bechtold vend en 1704 la maison à Anne Marguerite Scholl, femme de David Hartmann, employé à l’Aumône. En marge, quittance remise en 1721 à Madeleine Büry, femme du tanneur Daniel Durvo.
1704 (14.4.), Chambre des Contrats, vol. 577 f° 186
(250) Joh: Bechtoldt saltz verwalter (unterzeichnet) Johannes Bechtold
in gegensein Annæ Marg: geb. Schollin David Hartmanns allmoßen Knechts beÿ Löbl. Policeÿ Gerichts allhier Haußfrn.
eine behaußung Hoff Hoffstatt mit allen deren begriffen, weithen, zugehörden, rechten u. Gerechtigkeit allhier in der Hahnengass einseit neben Martin Kielen maurern anderseit neben weÿl. Diebold örtels Granknechts EE. hinten auf erwehnten Kielen stoßend gelegen – um 250 pfund
[in margine :] Quittung, hierin bemeldter H. Bechtold der creditor in gegensein Christinæ Magdalena Durwo geb. Bürgin Daniel Durwo Gerbers ehefrauen dero und ihrem ehemann hierinn beschriebene behaußung nunmehr eigenthümlich zuständig ist, den 18. aug. 1721
Fils de David Hartmann, aubergiste à la Hallebarde, le mousquetaire David Hartmann épouse en 1671 Marguerite, fille du revendeur Michel Lœs : contrat de mariage, célébration
1671 (20. febr:), Chambre des Contrats, vol. 538 f° 170-v
(Eheberedung) Erschienen David Hartmann der Mußquetirer in alhießiger Guarnison und Burger alhier alß Hochzeiter mit beÿstand Daniel Nägelin deß Würthß zum thiergarten seines annoch ohnentledigtenn Curatoris an einem
So dann Jgfr. Margaretha Michael Lösen deß Grempen Burgers Zu Straßburg eheleibliche dochter alß hochzeiterin, mit assistentz erstbemelts ihres eheleiblichen Vatters und hannß Henrich Schnellers deß Hoßenstrickhers Burgers alhie ihres Vogts am andern theil
Mariage, cathédrale (luth. f° 139-v n° 18)
1671. Dom: Quasimodogeniti. Zum 2.mahl David Hartman der Musquetirer unter Hr Capitain alhier, Weiland David Hartmans geweßenen Würths Zum Spieß alhier nachgelaßene ehel: Sohn: Jfr. Margaretha Michel Lößen, *ers Burgers alhier ehel. T. Montags den 8.ten Maji Münster (i 142)
Son frère passementier Philipp Hartmann qui sera témoin à son acte de sépulture épouse en 1676 Anne Catherine (Leopard), veuve du passementier Jean Jacques Treutel
Mariage, Saint-Thomas (luth. f° 58-v n° 361)
1676. Dom. Sept. et Sexag. den 23. v. 30. Jan. Johann Philip Hartman der ledige passmantmacher, weÿl. David Hartmans gewesenen burgers u. Gastgebers allhier hind.lassener ehelicher Sohn, Fr. Anna Catharina Weÿl. Johann Jacob Treutels gewesenen passmantmachers undt burgers allhier hind.lassene wittib. St. Thomas den 3. febr. (i 31)
L’agent de police David Hartmann épouse en 1699 Anne Marguerite, fille du fabricant de chausses Jean Michel Scholl.
Mariage, Temple-Neuf (luth. f° 94-v n° 481)
1699. Mittw. d. 11. febr. wurd. nach ordentl. außruf. copul. David Hartmann, d. schirmsv: fausthammer allhier v. Anna Margaretha, weil. Hanß Michael Schollen, des geweßenen Hoßenstrickers v. B. allhie nachgel. ehel. Tochter (unterzeichnet) Davidt hartman als hoch Zeidter, 8 dieses handzeichen hat die hochzeiterin mit eigener hand beÿgefügt, Johann Philippus Kugler als schwager (i 94)
Anne Marguerite Scholl meurt le 7 mars 1709 à l’âge de 52 ans. L’inventaire dressé après sa mort est seulement connu par le répertoire du notaire
1709, Not. Pantrion (Jacques Christophe, répert. 65 Not 45)
Inv. über Weÿl. Fr. Anna Maria geb. Schollin David Hartmanns des hosenstrickers allmosen Knechts und schirmers alh. gew: Ehegattin Verlassenschafft
Sépulture, Temple-Neuf (luth. reg. 1687-1728 f° 140 n° 897)
1709. Donnerstag den 7.ten Martÿ ist gestorben v. Sambstag darauff nach gehaltener Leichpred. in der Prediger kirch, nach St. Helenen begraben word. Fr. Anna Margaretha, David Hartmans b. allhie ehel. haußfr. ætat. 52. jahr 16 wochen bezeug. solches neben mir (unterzeichnet) davidt hartman als Eman, Hans Caspar grutzer* als verwander (i 141)
Employé à l’Aumône, David Hartmann meurt à l’âge de 73 ans. Son frère Jean Philippe Hartmann est témoin.
Sépulture, Temple-Neuf (luth. reg. 1687-1728 f° 165-v n° 1041)
1712. Freÿtags den 16.ten 10.mbr. ist gestorben und Sontag darauff nach St. Galli begraben worden David Hartmann b. und Allmoßen Knecht ætat. 73. jahr. Testant. (unterzeichnet) Johann Philip hartman alß bruder, hanß Bernhard Reher* als schwäger (i 167)
Les sœurs et héritières d’Anne Marie Scholl vendent la maison au tanneur Daniel Dubro et à sa femme Chrétienne Madeleine Birri. David Hartmann renonce à la jouissance viagère de la maison.
1712 (uts. [10. Xbr.]), Chambre des Contrats, vol. 585 f° 721
(350) Maria Magd: Schaffnerin wittib geb. Schollin beÿständlich Joh: Caspar Geigers sen: hoßenstrickers ihres Curatoris, Item Anna Rohrin wittib geb. Schollin beÿständlich H. Joh: Martin Rüegers schuem: und E.E. Kleinen R. B. weilen unbevögtigt
in gegensein Daniel Durbo gerbers und lederb: und Christine Magd: geb. Birri, daß sie zwo schwestern ihnen Durboischen Eheleuthen (Durbo zeichen, CD, Christina maglena dorboin)
eine behaußung hoff hoffstatt mit allen deren begriffen, weithen, zugehörden, rechten und Gerechtigkeiten allhier in der hahnengass, einseit neben frauen Rennerin anderseit neben örtelischen EE, hinten auf Sie Rennerin
Worbeÿ erschienen David Hartmann allmoßenknecht der hat auf den natural genuß deß haußes renunciret – um 175 pfund verhafftet, geschehen um 175 pfund
Fils du tanneur Pierre Dourveau, Daniel Dourveau épouse en 1708 Chrétienne Madeleine Buri de Kirchlindach dans le canton de Berne
Mariage (réformés, f° 125)
1708. den 2.ten Decembris seind eingesegnet worden (2) Daniel Dourveau burger und Gerber in Straßburg weÿl. Peter Dourveau gewesenen Burgers und Gerbers daselbst nachgel. ehel. Sohn, Jfr. Christina Magdalena Burin weÿl. hanß Michael Burin von Kilchlindach Bernergebiets nachgel. ehel. Tochter (i 135)
Chrétienne Madeleine Büry fait dresser un état de ses biens pour accéder à la bourgeoisie, dans la maison rue de la Fontaine (rue Adolphe Seyboth) qui lui appartient en partie (il n’y a pas d’inscription au livre de bourgeoisie).
1708 (15. Xbris), Not. Pantrion (Jacques Christophe, 40 Not 21)
Inventarium und Beschreibung aller Haab und Nahrung, so der Ehren und tugendsammen frauen Christinæ Magdalenæ Dorbo gebohrner Bury, deß Ehrenhafften H. Daniel Dorbo Gerbers Undt burgers alhier haußfrauen eigenthümlich zuständig, welche aus Ursach dieselbe fürderich beÿ Unserer Gnädigen Obrigkeit Vmb das burger Recht anzuhalten, Vorhabens, auff Ihr fleißiges Ansuchen und erfordern (…) Act. Straßb. 15.ten Xbris 1708.
In einer alhie Zu Strassburg In der buchergaß gelegenen, der Fr. Mutter Zuständiger behaußung ist befund. word. wie volgt
Eigenthumb ane einer behaußung. Item ein drittertheil vor vngetheil, von vnd ane einem Zweiten Theil einer behaußung In der Büchergaßen (…)
Les nouveaux mariés font dresser l’inventaire de leurs apports dans la maison du marchand de cuir Jean Bouchard au Bain-aux-Plantes
1710 (10.1.), Not. Pantrion (Jacques Christophe, 40 Not 24)
Inventarium über H. Daniel Dorbo, Gerbers und Lederbereiters: und Frawen Christinæ Magdalenæ Dorboin gebohrner Burÿin, beeder Eheleuthe und burgere alhier einander in den Ehestand Zugebrachte Nahrungen auffgerichtet Anno 1710. – Actum in der Königl. Statt Straßburg Freÿtags den 10.en Jan: 1710.
In einer alhier beÿ dem Pflantzbad gelegener H. Johann Bouschard dem lederhändler gehöriger und Von Ihnen beeden Eheleuthen lehnungsweiß bewohnter behaußung ist befunden worden wie Volgt
Des Manns Unveränderte Nahrung, Sa. Haußraths 113, Sa. Silbers 5, Summa 49 llb
Der Frauen Vermögen, Sa. Haußraths 115, Sa. Silbers 2, Sa. Guldenen Ring 5, Sa. baarschafft 100, Summa summarum 222 lb
Le tanneur Daniel Durbo hypothèque la maison au profit de Susanne Stoll née Bouchard
1718 (11.4.), Chambre des Contrats, vol. 591 f° 206-v
Daniel durbo gerber und lederbereiter
in gegensein Susannæ Stollin Wittib geb. Buschardin mit beÿstand Johann Salomon Weißgerbers Ihres Vogts – schuldig seÿe 50 pfund
unterpfand, hauß hoffstatt cum appertinentÿs in der hahnengaß, einseit neben Rennerin anderseit neben öckelischen erben hinten auff gedachte Rennerin
Daniel Durbo et Madeleine Büry vendent la maison à leur beau-frère et frère respectif, le charretier Jean Jacques Büry et à sa femme Anne Bolly
1733 (26.11.), Chambre des Contrats, vol. 607 f° 483
Daniel Dirveau der Rothgerber Lederbereither und Magdalena geb. Boury
in gegensein ihres bruders und schwagers hanß Jacob Bury des Fuhrmanns und Schirmers und Anna geb. Bollÿn /:zufolg erkanntnus H. Räth und XXI (unterzeichnet) +, +
Eine Behausung hoff und hoffstatt mit allen derselben gebäuden, begriffen, weithen, zugehörden, rechten und gerechtigkeiten ahne der hahnen gaß, einseit neben Johann Jacob Bähr dem Paßmentirer anderseit neben Michael Gaß dem schuemacher hinten auff Johannes Stall den silberarbeiter behausung ehevögtl. weiß – als ein am 10. Decembris 1712 erkaufftes guth – geschehen um die angezeigte capitalien 200 pfund und 225 pfund
Les Conseillers et les Vingt-et-Un autorisent les propriétaires à vendre la maison à un manant. La commission qui visite la maison constate qu’elle comprend au rez-de-chaussée un vestibule, un petit poêle, une cour et une écurie pour deux chevaux, chacun des deux étages comprend deux chambres, elle a un grenier pour y conserver les grains et une cave. La vente sera passée pour 425 livres.
1733 Conseillers et XXI (1 R 216)
(p. 387) Sambstag d. 14. 9.bris. Daniel Durbo et uxor bitten umb erlaubnuß ein hauß an Joh. Jacob Büri den schirmer Verkauffen zu dörffen.
Lt. Mosseder Nomine Daniel Durbo des hiesigen burgers und Rothgerbers et uxoris Magdalenæ gebohrner Buriin die bitten unterthänig umb gnädige permission ein in der Hahnengaß gelegenes häüßlein an Hanß Jacob Buri des schirmer und fuhrmann allhier umb 850 gulden, mit übernahm aller unkosten, verkauffen zu dörffen. Gug nomine erstgedachten Buri, bitt ebenfalls umb Obrihgeitliche erlaubnus sothanes häüßlein umb den ernandten preiß kauffen Zu dörffen.
Erkandt werden H. XV. Schenck und H. Rht. Ößinger abgeordnet, und den augenschein besagten häüßleins Vorläuffig einzunehmen, auff deren über deßen Zustand abgelegte Relation ferners ergehen soll, was recht ist.
Deputati ijdem umb den Bescheid Zuzeigen.
(p. 392) Montag d. 23. 9.bris 1733 – Daniel Durbo et uxor und Hanß Jacob Büri erhalten erlaubnuß resp.vé ein häüßlein zu Verkauffen und Zu Kauffen.
H. XV. Schenck referirte, Er habe beneben H. Rht. Ößinger, Mghh. am 14.ten huius ertheilten Interlocuto gemäß, das ienige häüßlein, Welches Daniel Durbo et uxor an Hanß Jacob Buri den schirmer und fuhrmann umb 850. fl. Zu verkaufften Willens seind, in augenschein genommen und befunden daß Selbiges in der sogenandten Hahnen: gaß liege, gleich im eingang ein Haußehren auch kleine Stub, höfflein und Stallung vor Zweÿ pferd habe, in iedem der Zweÿ darüber gebauten Stöcken wären Zweÿ Cammern befindlich, dabeneben hätte es auch ein bühnlein Zur Frucht: Schütt und kleinen Keller, der Kauffschilling bestünde in 850. fl. und seÿe der Käüffer erbietig, sich deren ordnungen Zu Submittiren. H. Rathh. Ößinger beruffe sich auff des H. Fünffzehners abgelegte Relation.
Erkandt, Wird Daniel Durbo und dessen haußfrauen, Wie auch Hanß Jacob Buri vorgemeltes häüßlein umb den gemelten preis respectiué Verkauffen und Zu Kauffen zu dörffen, Obrigkeitlicjh erlaubt, iedoch mit diesem außdrucklichen anhang und beding daß der Kauff in hiesiger Contract: Stub in gegenwart vorbenambster Herren Deputirten solle Verschriben und Hanß Jacob Buri der Käüffer sich daselbst deren in den ordnungen enthaltenen oneribus und beschwerden per Reversalen Zu submittiren angehalten Werden.
Deputati ijdem zu anzeigung des Bescheids.
Fils de Michel Bürry de Kirchlindach dans le canton de Berne, Jean Jacques Bürry épouse en 1717 Anne Bolly, veuve de Pierre Dalmann. Le pasteur note qu’Anne Bolly n’a jamais été mariée avec Pierre Dalmann, les certificats qu’elle a produits étant faux.
Mariage (réformés, f° 131-v)
1717. Aprilis. 4.t sind eingesegnet worden Johann Jacob Burri weÿl. Michel Burri von Kilchlindach berng. nachgel. ehel. Sohn, Fr. Anna Bollin weÿl. Peter Dalmann nachgel. wittib. NB. wurde niemals mit dem Peter dalman copulirt sondern Ihre Schein waren falsch deßweg. auch censurirt. (i 147)
Anne Bolly veuve de Jean Jacques Büry fait divers legs, notamment à la paroisse réformée, et institue pour ses héritiers ses trois enfants Jean Jacques, Anne et Jean Melchior
1742 (1.10.), Not. Dautel (Fr. Henri, 6 E 41, 289) n° 113
Testamentum Annæ Burin gebohrner Bollin – persönlich zu sich kommen laßen und erschienen seÿe die Tugendsame Frau Anna Bürÿ gebohrne Bollin, weÿl. des Ehrsamen Johann Jacob Burÿ, gewesenen Tagners und Schirmers allhier Zu Straßburg, seeligen hinterbliebene Wittib, von Verliehung göttlicher Gnaden gesund, gehend und stehenden Leibes, auch guter richtiger Sinnen und Verstands (…)
vor das andere, so legirt die Testiererin (…) denen haußarmen beÿ der Reformirten Gemeinde zu Wolffisheim in baarem Geld 6 gulden
Ane dem gritten, so verordnet die Testiererin Reformirten Kirchen zu Wolffisheim in baarem Geld 150 gulden
Viertens (…) will Sie die Testiererin hiemit Zu ihren wahren und ungezweiffelten Erben aller ihrer nach tod verlaßender über Abzug Kundlicher dahier Schulden und vorher verschaffter Legaten restirender Haab, Nahrung und Güthere (…) ernennet, instituirt und eingesetzt haben 1° Johann Jacob Bürÿ ihrem ältisten Sohn, da er noch im Leben, in dem einen Völligen dritten Stammtheil,
2° Annam Bürÿ die Tochter, und Zwar dieße allein in die mütterliche Legitimam und in den überrest dießes Zweÿten dritten Stammtheils deroselben Künfftighin im Ehestand ehelich erzeugende Kinder (…)
So dann 3° Johann Melchior Bürÿ, ihrem jüngsten ledigen Sohn, in den letzten dritten Stammtheil
Beschehen allhier Zu Straßburg und einer daselbst ane der Blindengaß gelegenen, Meister Johann Melchior Ehrismann, dem Fuhrmann allhier eigenthümlich zugehörigen Behaußung, deren von ihme Ehrismann bewohennden Wohnstuben mit denen fenstern auff die gaß außehen, auff Montag den Ersten Octobris vormittags zwischen zehen und Eilff uhren anno 1742 (unterzeichnet) +
La maison revient par licitation puis adjudication judiciaire prononcée le 17 octobre 1742 (référence à l’inventaire ci-dessous, 1773) à son fils cadet Jean Melchior Büry qui épouse en 1745 la luthérienne Madeleine Zimmer, fille du laboureur Jean Georges Zimmer de Bischheim : contrat de mariage, proclamation par le pasteur réformé et célébration à Bischheim par le pasteur luthérien
1745 (18.6), Not. Dautel (Fr. Henri, 6 E 41, 284) n° 156
Eheberedung Zwischen dem Ehrsamen Johann Melchior Bürrÿ, dem Ledigen Kremer, weÿl. Johann Jacob Bürrÿ, des geweßenen Tagners und Schirmers allhier mit auch weÿl. Frauen Anna gebohrner Bollin, seiner geweßenen haußfrauen, beeder seel. ehelich erzeugten Sohn, als dem hochzeitern, mit beÿstand herrn Johann Melchior Ehrismann des Kutschers und Burgers allhier, seines biß dato annoch ohnentledigten vogts ane einem
So dann der tugendsamen Jungfrauen Magdalena Zimmerin des Ehrsamen Johann Georg Zimmer des Ackersmanns und Frauen Magdalenæ gebohrner Schlagdenhauffen beeder Eheleuthe und burgere Zu Bischoffsheim am Saum ehelich erzeugter Tochter als der hochzeiterin mit assistentz vorgedachts ihres leiblichen Vatters am andern theil
So beschehen allhier Zu Straßburg auf Freÿtag den 18.ten Junii Anno 1745. unterzeichnet Johann Melchior burri als hochzeiter, + der Hochzeiterin Handzeichen
Mariage (proclamation, réformés, f° 150)
1745. Oct. d. 24. seÿnd proclamirt und den 2. Nov. zu Bischofsheim am Saum, Eingesegnet worden Melchior Buri weÿland Jacobs geweßenen Schirmers und Fuhrmans in Straßburg hinterl. Ehel. Sohn, Jfr. Magdalen, Hanß Georg Zimmers des Burgers in Bischofsheim Ehel. Tochter (i 162)
Mariage, Bischheim (luth. p. 222)
Anno 745. d. 2. 9.bris. Seÿnd nach göttl ordnung v. zweÿmahlicher proclamation ehelich eingesegnet worden Melchior Buri der Ledige hüner händler Von Straßburg v. Jfr. Magdalena Hans geörg Zimmers b. v. ackersm. allhie mit Magdalena gebohrner schladenhauffin ehelich erzeugte Jgfr. dochter unterzeichnet Johann Melchior burri als hochzeitter, Magdalena Zimmerin als hochzeiterin (i 115)
Le marchand de volaille Jean Melchior Büry meurt le 4 août 1773 en délaissant cinq enfants. Les experts estiment la maison à 150 livres. La masse propre à la veuve est de 264 livres, celle propre aux héritiers de 9 livres. L’actif de la communauté s’élève à 466 livres, le passif à 896 livres
1773 (30.11.), Not. Lichtenberger (Jean Frédéric, 6 E 41, 342) n° 1067
Inventarium über Weiland H. Johann Melchior Bürÿ des gewesenen Geflügel Grempen und Burgers allhier Zu Straßburg, nunmehr sel. Verlaßenschafft, auffgerichtet Anno 1773 – nach seiner d. 4. aug. jüngst aus dießer Welt genommenen tödl. hientritt Zeitlichen verlaßen, Welche Verlaßenschafft auf Ansuchen der hinterbliebenen Wittib, Fr. Magdalenæ gebohrner Zimmerin, des ältesten Sohns und der disortigen minorennen Kinder Vogts, hernach gemel, inventirt und ersucht durch sie die Wittib (…) So geschehen alhier Zu Straßburg und einer daselbst ane der Hanen Gaß gelegenen, in disortige Nachlaßenschafft gehörigen Behausung, in fernerer Gegenwarth S. T. Herrn Lt. Joh: Philipp Grafenauer Proc. vic. und Burgers alhier, als der Wittib hierzu erbettenen beistandts auf Dienstag den 30. Novembris A° 1773.
Der Verstorbene sel. hat ab intestato Zu Erben verlaßen seine 5. hernach gemelten mit Eingangs gedachter hinterbl. Wittib erzeugte Söhne Zu Fünff gleichen Antheilen als 1°) Melchior Büry den majorennen Geflügel Gremp und Brn alh. persönlich Zugegen, 2°) Joh: Georg Burÿ den Kübler gesell, so ohngefehr 24. Jahr alt und seit fünf viertel Jahr in Indien sich befinden soll (geb. d. 9. oct. 1749), 3°) Johann Gottfried Bury so beÿ nahe 22 jahr alt (geb. d. 7. oct. 1751), 4°) Joh: Michael Burÿ, so 20 Jahr alt seÿe die Metzger profession erlernet hat (geb. d. 25. oct. 1753) und 5°) Joh: Jacob Bürÿ, geboren d. 11. Juny 1757. Dieser 4 nechst gemeldter minorenner Kinder geordnet und geschworenen Vogts ist Joh: Daniel Wagner der Buttergemp und Burger alhier, welcher unter assistentz S. T. Herrn Joh: Carl Fické Notarÿ publici alhier sich beÿ diesem geschäfft eingefunden
Eigenthum ane Häuser. Erstlich eine behausung, höflein u. hoffstadt mit allen deren Gebäuden, Begriffen, weithen, Zugehörden, Recht und gerechtigkeiten gelegen alhie Zu Straßburg ane der hahnengaß einseit neben Georg Geÿer den Metzger, anderseit neben N. Haas den Schifman und hinten auf Joh: Fuchs den (-) stoßend, so außer dem darauf haftenden und hernach passivé eingetragenen Capital frei, ledig, eigen und durch (die Werckmeistere) vermög deroselben ad Concept hujus Inventarÿ gelieferter schriftlicher Abschatzung d. d. 7. Dec. 1773. æstimirt u. angeschlagen word. pro 300 fl od. 150. lb.
Nota ane sothaner behaußung habe der Erblasser 1/3. theil von seinen Verstorbenen Eltern hannß Jacob Burÿ dem Fuhrmann und Anna gebohrner Bollÿin ererbt, die übrige 2/3 aber habe er nachgehends von seinen beed. Geschwüstrig. Annä Wolfin gebohrner Burÿn und Jacob Burÿ cessions weis ane sich eigenthümlichen gebracht. übrigens besagt über solche Behaußung ein pergam. in alh. C. C. stb geferiger Kfbr. d. d. 26. Nov. 1733. Ferner ein Ganth Kfbr. mit E. E. Kl. Raths Ins. Verwahrt datirt d. 17. 8.br. 1742.
It. eine Behaußung ane der Pickergaß gegen Pflantzhoff garten über (…)
Ergäntzung der Wittib währender Ehe ererbten, anjetzo aber sich mangenld befundenen unveränderten Guths. Zufolg Abtheilung aller derjenigen Haab, Nahrung und güthere, so weiland hans Georg Zimmer der sogenant Botten Geörg, Burger und ackersmann zu Bischheim am Saum hinterlaßen durch J Klein d Amtschreiber zu Bischheim am Saum den 12. Maj 1766. errichtet (…)
Series rubricarum hujus Invent. Copia der Eheberedung
Der Wb. ohnveränderten Vermögens, Sa. haußraths 1, Sa. Schuld. 33, Sa. Erg. rest 228, Summa summarum 264. lb
Diesemnach wid auch der Erben ohnveränderte Nahrung beschrieben, Sa. Kleidung 9 lb
Endlich wird auch die gemein Verändert und theilb. Verl. beschrieben, Sa. haußraths 41, Sa. Pferd und Fuhrgeschirr 8, Sa. geflügel 9, Sa. Schwein 2, Sa. Silbers 2, Sa. Eigenthum ane häusern 400, Sa. schuld 1, Summa summarum 466 lb – Schulden 896 lb, In Vergleichung 430 lb – Passiv onus loco der Stall Summ 157 lb
Zweiffelhaffte Schulden in die theilbare Nahrung zugelten 14 lb
Copia der Eheberedung (…) So beschehen allhier Zu Straßburg auf Freÿtag den 18. Junii Anno 1745. Frantz Heinrich Dautel Notarius Jur.
Theil: Register inhalttend und außweißend alles daßienige Waß Magdalenæ Zimmerin deß Ehrengeachten Melchior Burÿ des burgers und hühner Krempen Zu Straßburg Ehelichen haußfrauen beÿ Weÿland des Ehrbahren undt bescheidenen Hannß Geörg Zimmer des sogenannen Botten Georgen, ihres Verstorbenen Vatters seel. Verlaßenschafft abtheillung (…) anheim gefallen
Abschatzung Vom 7. Dec 1773. Auff Begehren Weil. Meister Melchior Burÿ ist eine behausung alhie in der Statt Straßburg in der Hanen Gas Gelegen Ein seit Neben hans Geiger ander Seit Neben Meister Klein und hienden auf Johannes Fux Stosent gelegen solche behausung besteht in Einer Stube eine kichen und Ettliche Kamern Dar jber ist Der Dach Stuhl mit breitziglein belegt hat auch ein baufelgigen gewölbten Keller Vor und Vmb Dreÿ Hundert Gulden
Der Zweÿte begriff (…) unterzeichnet Hueber, Werner
Madeleine Zimmer meurt en 1775 en délaissant cinq fils. L’évaluation de la maison est reprise de l’inventaire précédent. L’actif de la succession s’élève à 907 livres, le passif à environ 800 livres.
1775 (20.11.), Not. Nenter (Georges Fréd. 6 E 41, 967) n° 295
Inventarium über Weiland Frauen Magdalenæ geborner Zimmerin, auch weiland Joh. Melchior Bürÿ, des Geflügel Grempen und Burgers alhier, hinterlassener Wittib nunmehr auch sel. Verlassenschafft, auffgerichtet Anno 1775. (…) nach ihrem dienstags d. 7. Novembris dieses jahrs aus dießer welt genommenen töd. hientritt, Zeitlichen verlaßen – So geschehen alhier Zu Straßburg und einer daselbst ane der hauer Gaß gelegenen in diese Verlt. gehörigen behausung, aug Montag den 20. Novembris A° 1775.
Die verstorbene Fr. Büriin hat ab intestato verlassen, ihre 5. mit Eingangsgedachtem ihrem Ehemann erzeugte Söhne, Zu gleichen Antheilen. 1°) Melchior Bürÿ, den majorennen annoch ledig. Geflügel grempen und Br. alh. persönlich zugegen, 2°) Joh. Georg Bürÿ, der Kübler gesellen, so d. 9. oct. 1749 geboren 3 Jahre in Indien sich befinden soll, 3°) Joh. Gottfried Bürÿ geb. d. 7. oct. 1751, 4. Joh. Michael Bürÿ, so die Metzger profession erlernet geboren d. 25. oct. 1753 und 5°) Joh: Jacob Bürÿ geb. d. 11. junÿ 1757, dieser 4. minorennen Söhn geschwohrner Vogt ist Joh. Daniel Wagner, der butter gremp u/ b. alhier, welcher auch in eigener Person seine Curanden Interesse beÿ deisem Geschäfft observieret.
Vorbericht. Hiebeÿ ist berichtsweis anzuzeigen daß beÿ der Benef. Erben vätterlicher Verlassenschaffts Erörterung kein vätterliches Vermögen ausgefallen, derwegen die damalen vorhandene Activ-Mass nach Ausweis einer vor H. Joh: Friderich Lichtenberger d. 22. febr. 1774. errichete und beÿ En En grosen Rathd. 30. apr. d. a. confirmirten Summarischen berechnung angemerckten conditionen entschlagen worden (…)
Eigenthum ane Haüßern. Eine behausung, höflein und hofstatt mit allen deren gebäuden, begriffen, weiten, Zugehörden, recht und Gerechtigkeiten, gelegen alhier Zu Straßburg ane der hahnengaß, einseit neben Georg Geÿer dem metzger anderseit neben N. Haas dem Schifmann und hinten auf Joh. Fuchs den (-) stoßend, so ausser der darauf haftender und hernach passive eingetragenen Capitalien frei ledig und eigen, und wird sothane behausung um den, in der über väterl. verl. gepflogene summarisch. berechnung d. d. 22. feb. 1774 angesetzten Preis, hier ausgeworffen pro 300 lb. Die hierüber besagende Documenten und übrige berichte sind zufinden in dem väterl. Verl. Inv. de A° 1773 fol° 60 et seqq.
It. eine behausung, höflein und hofstatt mit allen Gebäuen, begriffen, Zugehörden, recht. und Gerechtigkeiten, alhie ane der Pickergaß gegen Pflantzhof Garten über (…)
Series rubricarum hujus Invent. Sa. hausrath 83, Sa. des Pferdts 3, Sa. geflügels 27, Sa. Silbers 6, Sa. baarschafft 50 lb, Sa. des Eigenthuls der beeden häuser 700, Sa. der activ schulden 36, Summa summarum 907 lb – Schulden [sine additio circa 800], zweiffelhaffte schulden 8 lb
Le tuteur des enfants Büry vend la maison au remueur de grains Jean Jacques Frœlich
1778 (7.9.), Chambre des Contrats, vol. 652 f° 280-v
Mr Johann Daniel Wagner der schuhmacher als geordneter und geschworener vogt weÿl. Melchior Bury des hünerkremps hinterbliebenen 4 minderjährigen kinder nahmentlich Johann Georg und Johann Gottfried, Michael und Jacob
in gegensein Johann Jacob Frölich des kornwerffers
eine behausung, kleines höfflein und hoffstatt mit allen denen begriffen, weithen, zugehörden, rechten und gerechtigkeiten ane der Hahnengaß, einseit neben Georg Geÿer dem metzger, anderseit neben N. Schmidt, hinten auff Mr Jacob – um 550 fl. beladen, geschehen um 670 gulden worunter die capital summ begriffen
Fils de Jacques Frœlich, Jacques Frœlich fait son apprentissage de 1748 à 1751 chez Jean Philippe Schlæber puis chez François Henri Lauth, tous deux meuniers au moulin à Huit tournants
1748, Protocole de la tribu de la Lanterne (XI 211)
(f° 209-v) Kauffgericht Gehalten den 19. Junÿ 1748
Joh: Phil. Schlaber der achträder müller stelt Zum Lehrjungen Jacob auch Jacob Frölich dahier Ehelichen sohn bittet Ihne solchen vom 4.den Junÿ letsts bis solche Zeit 1731. das müller handwerckh beÿ Ihme Zu Erlernen Zue Zuschreiben. Erkandt ist wilfahrt.
(f° 217-v) Kauffgericht Gehalten den 18. Junÿ 1749 – Hr Frantz Heinrich Lauth der achträder müller bittet Ihme Jacob Frölich, welcher von Phl. Schläber der von hier hinweggezogenen Eingeschrieb. worden, Ihne annoch 2 Jahr den Müller handwerck auszulernen Zu Zuschreiben. Erkandt willfahrt.
(f° 229-v) Kauffgericht Gehalten den 19. Maÿ 1751 – Jacob Frölich der Leedige müller bittet Ihne seine beÿ H. Phl Schläber und Hn Frantz Heinrich Lauth dem achträder müller außgestandenen 3 Lehrjahr vorzuschreiben.
Jacques Frœlich fait son apprentissage de remueur de grains auprès de Joseph Graff
(f° 280) Kauffgericht Gehalten den 17. apr. 1760 – Joseph Graff der Kornwerffer bittet Ihme Johann Jacob Frölich auch von hier Zweÿ Jahr lang das Kornwerffer Handwerckh beÿ Ihme Zu Erlernen Zu Zucourreiben. Erkandt willfahrt.
Il devient tributaire le 26 juillet 1760 (le livre de bourgeoisie manque entre 1754 et 1760)
(f° 281-v) Kauffgericht Gehalten den 26. Julÿ 1760 – Johann Jacob Fröhlich der Kornwerffer prod. statt Stall und burgerschein bittet Ihnen dießes orthß under denen Kornwerffern leibzünfftiger Zu recipiren. Erkandt Willfahrt.
Fils du meunier et manant du même nom, le meunier Jacques Frœlich épouse en 1760 Catherine von Bœrsch, fille du remueur de grains Jean Adolphe von Bœrsch : contrat de mariage, célébration
1760 (17.4.), Not. Stoeber l’aîné (6 E 41, 1225) n° 667
Eheberedung Zwischen dem Ehrsam und bescheidenen Johann Jacob Frölich, dem Ledigen Müller Johann Jacob Frölich, des Müllers und schirmers allhier mit weÿl. Fr. Margaretha Brisachin seel. ehelich erzeugtem Sohn, alß dem hochzeiter unter assistentz solch seines Vaters wie auch des Ehrenvesten und Vorachtbahren H. Frantz Heinrich Lauth, acht räder Müllers und der Evangelischen Kirch Zum alten S Peter älteren wohlverdienten Fabric Pflegers auch angesehenen Burgers allhier ane einem
So dann der Ehren und tugendsamen Jgfr. Catharina Von Börsch, weÿl. Hn Johann Adolph Von Börsch geweßenen Kornwerffers und beÿ E. E. Zunfft Zur Lucern haupt Kanden auch burgers dahier mit nun auch weÿl. Fr. Catharina geb. Mehlin seiner hinterbliebenen Wb. nun beeder seel. ehelich erzeugten Tochter als der Jgfr. Hochzeiterin, beÿständlich H Johann Georg Voltz deß Schwartzbecken und Hn Johann Paul Dahlwitzer deß Bürstenbinders neede burgere allhier, ihrer Vettern, ane dem andern theil
So beschehen Straßburg Donnerstags den 17.ten Aprilis A° 1760. in Vorstehender der Jgfr. hochzeiterin eltern behaußung (unterzeichnet) Johann Jacob Frölich als hochzeiter, Catharina Von Börsch als hochzeiterin
Mariage, Saint-Pierre-le-Jeune (luth. f° 220 n° 13)
1760. Sont. Rog. et Exaudi proclamati Mittw. d. 21. Maji copulati in ædibus sponsæ Joh: Jacob Frölich, lediger Müller u. b. h. l. Joh: Jacob Frölich, Müllers und schirmers h. l. H. Sohn u. Jungfr. Catharina weÿl. Joh: Adolph Von Börsch gew. Kornwerffers b. h. l. u. Büttels E. E. Zunfft Zur Lucern p. m. (unterzeichnet) Johann Jacob Frölich als hochzeiter, Catharina Von Börsch als hochzeiterin (i 224)
Les nouveaux mariés font dresser l’inventaire de leurs apports dans la maison qui appartient à l’épouse rue de l’Arc-en-Ciel. Les apports du mari s’élèvent à 150 livres, l’actif de la femme s’élève à 774 livres, le passif à 668 livres.
1760 (27.10.), Not. Stoeber l’aîné (6 E 41, 1181) n° 1181
Inventarium über Des Ehrsam und bescheidenen Johann Jacob Frölich, Kornwerffers und der Ehren und tugendsamen Frauen Catharinä Frölichin gebr. von Börsch, beeder Eheleuthen und burgeren allhier zu Straßburg einander in den Ehestand Zugebrachte Nahrungen, aufgerichtet in Anno 1760. (…) welche der Ursachen, alldieweilen in Ihrer vor mir Notario den 7.ten Aprilis solchen Jahrs auffgerichteten Ehevertrag § 4.to wohlbedächtich abgeredt und verglichen worden, daß einem jeeden sein in die Ehe bringenes Vermögen Ihme und seinen Erben vor ohnverändert verbleiben solle (…) So beschehen on fernerem beÿseÿn S. T. Herrn Johann Christoph Germann hoch Adelichen Geilinischen Schaffners und brs alljier, der Ehefr. hierzu erbettenen Hn Assistenten, Straßburg Montag den 27.ten Octobris Anno 1760.
In einer allhier zu Straßburg ane der Regenbogen Gaß gelegenen in der Ehefraun zum theil zuständigen behausung befunden worden wie folgt.
Antheil ane einer Behaußung -F.) Neml. 7/9.te theil vor ohnvertheilt von und ane 1.r behaußung ane der Regenbogen Gaß (…)
Abzug gegenwärtigen Inventarii. Des Ehemanns ohnverändert Vermögen. Sa. Haußraths 14, Sa. Silbern geschmeids 30, Sa. der baarschafft 105, Summa summarum 150 lb
Diesemnach wird auch der Ehefraun in den Ehestand gebrachtes Guth beschrieben. Sa. haußraths 271, Sa. leeren Faß 15, Sa. Silbern geschmed 34, Sa. goldener Ring 15, Sa. der baarschafft 77, Sa. Antheil ane I. behaußung 330, Summa summarum 744 lb – Schuld 668 lb
Catherine von Bœrsch meurt en 1775 en délaissant trois héritières testamentaires. La masse propre au veuf est de 108 livres, celle propre aux héritiers de 537 livres. L’actif de la communauté s’élève à 341 livres, le passif à 238 livres
1775 (25.10.), Not. Ensfelder (J. Daniel 6 E 41, 629) n° 50
Inventarium über Weiland Frauen Catharina Frölichin gebohrne von Börsch, herrn Johann Jacob Frölich des Kornwerfers und burgers alhier zu Straßburg geweßener Ehefrauen seeligen Verlaßenschafft auffgerichtet in Anno 1775. – nach ihrem Donnerstags den 12.ten gegenwärtigen Monats Octobris aus dießer Welt genommenen tödlichen Hintritt Zeitlichen verlaßen hat (…) So geschehen in der königlichen Stadt Straßburg auf Mittwoch den 25. Octobris im Jahr nach Christi Geb. 1775.
Benennung der Erben. Der Verstorbenen seel. krafft des vor mir Notario und 7. Zeugen den 11.ten Octobris 1775. errichteten hernach Abschrifftsweise eingetragenen nämlich ausgesprochenen Testaments ernannt und eingsetzte Erben sind
1.mo Frau Catharina gebohrne Röschin, herrn Johann Heibold des alhier verbürgerten Metzgers Ehegattin unter dessen beÿstand anwesend, 2.do Jungfrau Saara Röschin so 23. Jahr alt, 3.tio Jungfrau Maria Magdalena Röschin, so in das 18.de Jahr ihres Alters gehet, Alle dreÿ Weiland H. Johannes Rösch gewesenen Kiefers u. b. alhier mit Frauen Maria gebohrner Braunin ehel. erzeugte nach todt hinterlaßene Frau und Jungfrau töchter, Ein jede vor Eine tertz berührend
In einer alhier Zu Straßburg ane der Reegenbogen Gaß gelegener in dißortiger Erbinin ohnveränderte Nahrung gehöriger Behausung ist befunden worden
(f° 11) Eigenthum ane einer Behaußung so der Erbinnen ohnverändert. Nemlich eine Behaußung höflein und hoffstatt auch allen deren Gebäuden
ane der Regenbogen Gaß (…)
Ergäntzung des Wittibers wehrnder Ehe abgegangenen unveränderten Vermögen. Nach Maaßgab des über beeder nun Zertrennter Ehepersohnen einander vor ohnverändert in den Ehestand Gebrachte Nahrungen durch herrn Johann Daniel Stöber Notarium publicum und Practicum alhier unterem 27. Octobris 1760. errichteten Inventarium
(f° 14) Series rubricarum hujus Inventarii – Copia Testamenti nuncupativi
Des Wittibers unveränderten Vermögens, Sa. Haußraths 3, Sa. Silbers und dergl. Geschmeids 8, Sa. Ergäntzung ist per rest 122, Summa summarum 133 lb – Schulden 25 lb, Nach deren Abzug 108 lb
Diesemnach wird auch der Erben ohnverändertes Guth verzeichnet, Sa. haußraths 111, Sa. Faßen 6, Sa. Silbers und dergl. Geschmeids 3, Sa. goldener Ringen , Sa. baarschafft 16, Sa. Eigenthums ane einer Behaußung 400, Sa. Schuld 96, Summa summarum 662 lb – Schuld 125, Nach deren Abzug 537 lb
Endlichen folgt auch die gemein verändert und theilbare Nahrung, Sa. Hausraths 35, Sa. Weins 21, Sa. Silbers und dergl. Geschmieds 10, Sa. goldenen Rings 4 ß, Sa. baarschafft 275, Summa summarum 341 lb – Schulden 238, Nach deren Abzug 103 lb
Beschluß und bißherige Stall summa 748 lb – Præ und Legata 23, künfftig Zuverstallen 725 lb
Abschrifft der Heiraths Abrede (…) Johann Daniel Stöber
Le remueur de grains Jean Jacques Frœlich se remarie en 1776 avec Eve Marguerite Schwab, fille du charron André Schwab de Cosswiller : contrat de mariage, célébration
1776 (24.5.), Not. Ensfelder (J. Daniel 6 E 41, 643) n° 37
Eheberedung – persönlich kommen und erschienen Herr Johann Jacob Frölich, der Kornkäufer Wittiber und Burger alhier als Hochzeiter ane einem
sodann Jungfrau Eva Margaretha Schwabin Weiland Andreas Schwaab gewesenen Wagner und burgers zu Coßweiler mit frauen Anna Maria gebohrner Wengerin ehelich erzeugte Tochter großjährigen Alters beÿständlich Herrn David Robert Weißgerbers und burgers dahier als Braut ane dem andern Theil
auf Freÿtag den 24. May im Jahr nach Christi Geburth 1776. (unterzeichnet) Johann Jacob Frölich als hannß, Eva margretha schwabin als hoch Zeiterin
Mariage, Saint-Pierre-le-Jeune (luth. f° 46-v n° 15)
1776 sind nach Zweÿmal nacheinander Dom: Pent.es et Trin: geschehener proclamation Zur Ehe eingesegnet worden Johann Jacob Frölich burger Wittwer und Kornwerffer allhier mit Jgfr. Eva Margaretha Schwabin weÿl. Andreas Schwab geweß. burgers wagners und tabacmüllers Zu Coßweiler hinterlaßene ehel. Tochter, So geschehen den vierdt. Junÿ dienstag morgens um achtuhren (unterzeichnet) Johann Jacob frölich als hochzeitter, Eva margreda schwabin hochzeitin (i 49)
Proclamation, Temple-Neuf (luth. f° 131-v) Im Jahr Christi 1776 sind in unserer Prediger: Kirch Festo Pentecostes und Festo S. S. Trinitatis offentlich proclamirt worden Johann Jacob Frölich, Kornwerffer, Wittwer und burger allhier, welcher in der Ersten Ehe gelebt hat mit weÿl. Fr. Catharina gb. von Börsch, und Jgf. Eva Margaretha Schwabin, weÿl. Andreas Schwab gewesenen Tabackbereiters und Wagners auch burgers Zu Coßweiler, und Fr. Anna Maria, gb. Wengerin nachgelaßene eheliche Tochter. diese Persohnen sollen Dienstags den 4 Junii in der Kirche Zum Jungen St. Peter copulirt werden (i 184)
Eve Schwab devient bourgeoise par son mari dix jours après son mariage : inscription et registre de traitement des demandes
1776, Livre de bourgeoisie 1769-1777 (VI 286) p. 153
Eva Schwabin von Coßweiler gebürtig erhalt das burgerrecht, verheurathet an Johann Jacob Frölich den Kornwerffer und burger allhier, wohlverhaltens wegen gratis, will dienen beÿ E. E. Zunfft Zur Lucern, prom. den 13. Junÿ 1776.
(VI 286 bis) p. 353. N° 26. den 23.ten Maÿ 1776. Lucern
Jfr. eva Schwabin weÿl. andreas schwab gewesenen tabac Müllers zu Coßweÿler ehel. erzeügte to, Verlobt mit joh. jacob frölich dem hiesigen burger und Kornwerffer, die Nöthig Producire schein erweisen das sie ehrl. gebohren augs. Conf. zugethan und das der Sponsus gehöriger orthen Satisfacirt.
das benöthigte Vermögen hat dieselbe in 300 fl baarschafft bestehend dargewiesen, dessen wahres eigenthum, sie handtreülich erhärtert, und 100 fl. ad Prot. Dep. implorantin beweiset ferner Vermög attestat das sie 7. jahr beÿ frau Marg. Salom. Brellin des Chirurgi und burgers allhier ehefrauen, treu und ehrlich gedienet dessen diese letztere mich handtreülich Versichert, es gehet sofort an Euren gnaden deroselben unterthäniges bitten, ihre mit dem burger recht gratis gnädigst zu willfahren.
Recepta wohl Verhaltens wegen gratis.
Jean Jacques Frœlich est nommé contrôleur du pain
1778, Conseillers et XXI (1 R 261)
(p. 85) Montag den 30.sten Martii 1778. – Joh: Jacob Frölich schwört als brodschauer.
Johann Jacob Frölich der burger und Kornkaufer, welcher laut Extractus E. E. Zunft der Lucern gerichts Memorialis an des Verstorbenen Joh: Friderich Huth stelle Zu einem brodschauer erwehlt worden, stehet vor und Legt auf die brodschauer ordnung den gewohnlichen Eÿd ab.
Eve Marguerite Schwab meurt en 1787 en délaissant trois enfants. La masse propre au veuf est de 66 livres, celle propre aux héritiers de 82 livres. L’actif de la communauté s’élève à 6 livres, le passif à 175 livres
1787 (11.9.), Not. Ensfelder (J. Daniel 6 E 41, 638) n° 271
Inventarium über Weiland Fraun Eva Margaretha Frölichin gebohrener Schwabin Meister Johann Jacob Frölich des Kornkäufers und Burgers alhier zu Straßburg gewesener Ehefrauen nunmehro seel. Verlaßenschaft, auffgerichtet im Jahr 1787. – (…) nach Ihrem den 19. letztverfloßenen Monaths Julÿ aus dießer welt genommenen tödlichen Hintritt hie Zeitlichen verlaßen hat, Welche Vermögens Nachlaßenschafft auf Ansuchen und begehren sowohl des hinterbliebenen Wittibers als auch Philipp Jacob Schwab burgers und Gartenmanns ane Krautenau als geordnet und geschworenen Vogts der Defunctæ mit erstbesagtem Wittiber ehelich erziehlter Kinder und ab intestato hinderlaßener Erben Nahmentlich Joh: Jacob so in das 11.te Jahr seines Alters gehet, Johann Gottfried, so 9 Jahr alt und Maria Magdalena sobald 4 Jahr alt, ane hieunten gemeldtem Tag ordnungsmäßig inventirt und ersucht durch Ihne den Wittiber wie auch Elisabetha Schmeltzin die dienstmagd (…) So beschehen alhie Zu Straßburg auf Dienstag den 11. Septembris im Jahr 1787.
Bericht. Es haben Zwar beede nun Zertrennte Ehepersonen in dem 4.ten Abschnitt dero errichteten bald hernach eingetragenen Heuraths Abrede ein ohnverändert Guth stipulirt und wegen dem Abgegangenen die Ergäntzung bedungen, allein Ihre einander Zugebrachte Vermögenschaften nicht verzeichnen noch in Anschlag bringen laßen. (…)
In einer alhier Zu Straßburg ane der Regenbogen Gaß gelegenen in des Wittibers Widtum aus erster Ehe gehörigen behaußung ist befunden worden.
Series rubricarum hujus Inventarii. Des hinterbliebenen Wittibers unverändertes Vermögen, Sa. Haußraths 105, Sa. Silbers und dergl. geschmeids 10, Summa summarum 116 lb – Schulden 50, Nach deren Abzug 66 lb
Diesemnach kommt die Verzeichniß der Erben ohnver. Guths, Sa. Kleidung 29, Sa. gold. Rings 3, Sa. Schuld 50, Summa summarum 82 lb
Endliche wird auch die gemein verändert und theilbare Vermögenschaft verzeichnet, Sa. haußraths 1, Sa. Silbers u dergl. Geschmeids 1, Sa. Golden Geschmeids 3, Summa summarum 6 lb – Schulden 175 lb, Passiv onus 168. lb
Widtum Welchen der dißortige Wittiber Kraft 9. Punctens des vor mir Notario und 7. Zeugen den 1. Oct. 1775. errichteten testaments aus weiland Fraun Catharina Gebohrner von Börsch seiner erstern Ehefrau seel. Verlaßenschafft Zeit lebens Zu genießen berechtiget ist, 544 lb
Calcul sommaire tenant lieu d’inventaire des biens ayant appartenu à Jean Jacques Frœlich, mort le 23 mai 1788 en délaissant trois enfants de son deuxième mariage
1788 (12.6.), Not. Ensfelder (J. Daniel 6 E 41, 639) n° 293
Summarische Berechnung loco Inventarii über Weiland Meister Johann Jacob Frölich, des den 23.ten maÿ 1788 verstorbenen Kornkäufers Wittibers und Burgers alhier zu Straßburg seel. Verlaßenschaft.
Deßen ab intestato hinterlaßene Erben sind Seine mit auch weiland fraun Eva Margaretha Schwabin in Zweiter Ehe erzielte Kinder, Nahmentlich Johann Jacob, so in das 12.te Jahr seines Alters gehet, Johann Gottfried, so 10 Jahr alt und Maria Magdalena in das 5.te Jahr gehend, mit Philipp Jacob Schwab dem hiesigen burger und Gartenmann ane Krautenau bevögtiget
Diese Verlaßenschafft allein in Effecten bestehend wurde den 4. Junÿ 1788. auf Zuvor erhaltene Großgünstige Erlaubnus der Wohlverordneten Herrn dreÿ Löbl. Stadt Stalls ofentlich versteigert, und darauf kraft Erlöß Registers erhaben 246 lb, die darauf haftende Beßerung thut Zur tertz 82, Nach deren Abzug 164 – Passiva 112 lb Nach deren Abgang 51. lb
Jean Jacques Frœlich et Eve Marguerite Schwab vendent la maison au revendeur Jean Georges Schmidt et à sa femme Madeleine Bronner
1786 (19.1.), Not. Laquiante (6 E 41, 1100)
Chambre des Contrats, vol. 660 F° 85 du 3.3.1786, Not. regio Laquiante, 19.1.1786
Johann Jacob Frölich der kornwerffer und Eva Margaretha Schwabin beÿständlich Philipp Jacob Schwab des gartenmanns ihres bruders und Johann Friedrich Roß des seÿlers ihres schwagers
in gegensein Johann Georg Schmidt des krämers und Magdalena Bronner
eine ane der Hahnen Gaß einseit neben Johann Georg Schmidt anderseit neben Johann Georg Geÿer vornen auf gedachte gaß, hinten auff Daniel Himberts eigenthum gelegene behausung nebst deren zugehörigen rechten, weithen, begriffen und gerechtigkeiten – um 750 gulden
Fils du marchand de chausses du même nom, Jean Georges Schmidt épouse en 1783 Marie Madeleine Brunner, fille de Nicolas Bronner, revendeur à Schiltigheim : contrat de mariage, célébration
1783 (8.3.), Not. Greis (Jean Frédéric 6 E 41, 894) n° 81
Eheberedung – persönlich erschienen Johann Georg Schmid, leediger Hoßenhändler, Johann Georg Schmid des hiesigen Burgers und Hoßenhändlers ehelich erzeugter Sohn unter assistentz dieses seines Vatters als Bräutigam an einem
So dann Jungfer Maria Magdalena Brunnerin, weiland Niclaus Brunners geweßenen Krempen und burgers Zu Schiltigheim hinterlaßene eheliche Tochter, beÿständlich Lorentz Dambach des Ohlmanns und burgers Zu gedachtem Schiltigheim ihres geordneten Vogts als Braut an dem andern Theil
Geschehen allhier Zu Straßburg in mein ds Notarii gewohnlicher Schreibstub, Sambstags den 8. Martii Anno 1783 (unterzeichnet) Johann Georg Schmidt als hochzeiter, Maria Magdalena Brunnerin hochzeiterin
Mariage, Temple-Neuf (luth. f° 120-v n° 33)
Im Jahr Christi 1783, Dienstags den 15. Julii sind (…) offentlich copulirt und ehelich eingesegnet worden, H. Georg Schmidt lediger Kremp und burger allhier, Johann Georg Schmidt Hasen: Fell: händlers und burgers allhier und Frau Anna Maria, gebohrner Münchin ehelich erzeugter Sohn, und Jgfr. Maria Magdalena Brunnerin, weÿl. Niclauß Brunners, gewesenen Krempen und burgers in Schiltigheim, und Frau Maria Magdalena gebohrner Regußin, ehelich erzeugte Tochter (unterzeichnet) Johan Georg Schmidt als hochzeiter, Maria Magdalena Brunnerin hochzeiterin (i 122)
Les deux maisons contiguës qui appartiennent à Madeleine Bronner veuve Schmitt et à Dorothée Schmitt épouse Mochel sont vendues par adjudication judiciaire. L’architecte Georges Michel Gruber se porte acquéreur du n° 11.
1818 (7.1.), Hypothèque de Strasbourg, Transcription reg. 107, n° 19
Tribunal Civil de de Première Instance, adjudication de la maison sise en ladite ville de Strasbourg rue du coq n° 10 et 11 réellement saisie sur Madeleine Bronner veuve Schmitt et sur Dorothée Schmitt femme de Mockel – Cahier des Charges, M° Klauhold, avoué des administrateurs de la Course Maurice à Strasbourg, que Madeleine Bronner veuve de Jean Georges Schmitt, marchand de volaille, tant en son privé nom que tutrice naturelle de ses deux fils mineurs et Dorothée Schmitt femme de Valentin Mockel, serrurier, d’une somme principale de 2060 francs par obligation reçue M° Ubersaal le 16 février 1816
Surenchère du 26 décembre, M° Klauhold, art .1 porté par M. Schneegans à 760 fr et l’art 2 par M° Klauhold à 760 fr
Désignation des immeubles et mise à prix, 1. une maison, cour, appartenances et dépendances sise à Strasbourg rue du Coq n° 10, d’un côté la maison Gemberlin, de l’autre celle ci après, mise à prix 600 fr
2. une maison sise dans la même rue n° 11, d’un côté celle ci dessus n° 10, de l’autre celle de Michel Hollender, mise à prix 400 francs
Cahier des Charges du 12 août 1817
Adjudication définitive du 11 décembre, l’article 1 pour 600 et art. 2 à M° Bloechel pour 410 fr, Déclaration de command du 13 décembre pour Jean Michel Wachsmuth, baquetier, la maison n° 11 pour 410 francs
l’art. 1 par M° Schneegans au nom de Jean Frédéric Auffschlager, homme de lettres et l’art. 2 par M° Klauhold pour Michel Gruber, architecte
La maison figure à l’inventaire dressé quelques mois plus tard après la mort de l’architecte-maçon Georges Michel Gruber.
La vente par licitation des immeubles a lieu devant le tribunal civil en 1824. Le tailleur de pierres Jean François Zerling se rend propriétaire de la maison sise 11, rue du Coq
1824 (25.3.), Hypothèque de Strasbourg, Transcription reg. 166, n° 105
devant M. Charles François Xavier Thiriet de Luyton juge au Tribunal Civil de Première Instance il a été procédé à la vente et adjudication par voie de licitation entre les héritiers de feu Gruber. Cahier des charges, licitation de la maison appartenant à la veuve et héritiers de Georges Michel Gruber, archictecte maçon, à la requête d’Elisabeth Louise Gruber épouse de Jean Jacques Redslob, propriétaire, en qualité d’héritière pour un 7° de Georges Michel Gruber son père, pour laquelle occupe Louis Auguste Eisen, avoué près le Tribunal Civil demeurant à rue du Vieux Marché aux Vins n° 88, Marguerite Salomé Ottmann veuve de Georges Michel Gruber en son nom et mère et tutrice légale de ses 5 enfants pour laquelle occupe M° Engelbach avoué demeurant rue du Broglie n° 1 – jugement du 18 août 1823, rapport d’experts du 15 septembre et jugement du 11 novembre – licitation de deux maisons acquises, savoir une maison rue Coq par expropriation forcée poursuivie contre Madeleine Bronner veuve de Jean Georges Schmitt marchand de volaille au Tribunal Civil le 26 décembre 1817 transcrit au bureau des hypothèques volume 101 n° 19
Désignation des immeubles, savoir 1. l’une dans la rue du Coq n° 11 d’un côté le Sr Hollender tourneur, de l’autre le Sr Riehl cordonnier, devant la rue, derrière le Sr Stoll boulanger, elle consiste dans un bâtiment sur la rue, petite cour et bâtiment du fond en entrant vestibule et une chambre dessus cave voutée, premier étage, cage d’escalier et deux chambre dessus comble renfermant deux greniers au premier deux chambre. Bâtiment du derrière bucher, lieux, le tout couvert de tuiles simples, ladite maison sise rue du Coq estimée 600 fr – Fait le 29 novembre 1823 – adjudication préparatoire 16 janvier 1830.
Adjudication définitive, M Eisen 1000 fr
Déclaration de command, 30 janvier, pour Jean François Zerling, tailleur de pierres
Originaire de Halberstadt en Westphalie, Jean François Zerling épouse Sophie Frédérique Kaumann en 1811 : contrat de mariage, célébration
1811 (10.12.), Strasbourg 12 (41), Not. Wengler n° 6263
Contrat de mariage – Jean François Zerling tailleur de pierres demeurant depuis deux années en cette ville natif de Halberstadt en Westphalie fils de feu (-) Zerling, caporal dans les troupes du Prince de Brunswick, et de Jeanne Rieben
Sophie Frédérique Kaumann, fille de feu Jean Kaumann, tailleur de pierres, et de Sophie Frédérique Gall, femme en secondes noces de David Beck, tailleur de pierres
Enregistrement, acp 118 f° 118-v du 11.12.
Mariage, Strasbourg (n° 414)
Acte de mariage, célébré à l’hôtel de ville de Strasbourg à neuf heures du matin le 14 décembre 1811. Jean François Zerling, majeur d’ans, né le 29 décembre 1783 à Halberstadt en Westphalie, domicilié à Strasbourg, tailleur de pierres, né hors le mariage de N Zerling, ancien militaire et de Jeanne Catherine Ribbe, non reconnu par le père, Sophie Frédérique Kaumann, mineure d’ans, née le 15 février 1793 à Strasbourg, domiciliée à Strasbourg, fille de feu Jean Henri Kaumann, tailleur de pierres décédé en cette ville le 3 janvier 1808 et de Sophie Frédérique Gahl, ci présente et consentante (signé) Johann Frantz Zerling, Sophie Friderika Kaumann (i 22)
Jean François Zerling et Sophie Frédérique Kaumann vendent la maison au serrurier Jean Nicolas Schaal moyennant 1 200 francs
1826 (1.6.), Strasbourg 12 (100), Me Wengler n° 14.367
Sophie Frédérique Kaumann épouse Jean François Zerling, tailleur de pierres, en son nom et mandataire de son époux
à Jean Nicolas Schaal, serrurier
une maison consistant en un bâtiment de devant et de derrière, cour très petite, appartenances, droits et dépendances le tout situé à Strasbourg rue du Coq n° 11, d’un côté le Sr Hollender tourneur, de l’autre le Sr Riehl cordonnier, devant la ruen derrière le Sr Stoll boulanger – acquis à la barre du Tribunal Civil par licitation entre les héritiers Georges Michel Gruber, maçon, par devant M. Tierriet de Loyson, juge audit tribunal, commissaire en cette partie le 30 janvier 1824 et déclaration de command même jour, transcrit au bureau des hypothèques volume 166 n° 105 – pour 1200 francs
Enregistrement, acp 178 f° 188-v du 2.6.
Jean Nicolas Schaal épouse Marie Barbe Kniebiehler, originaire de Kientzheim près de Kaysersberg
Mariage, Strasbourg (n° 374)
Cejourd’hui 5° Germinal l’an III de la République française une et indivisible (…) sont comparus pour contracter mariage d’une part Jean Nicolas Schall agé de 31 ans, serrurier, né et domicilié en cette commune, fils de feu mathias Schall, sellier, et de feue Elisabeth Schmitt, de l’d’autre part Marie Barbe Kniebiehler, agée de 31 ans, fille servante domiciliée en cette commune depuis douze ans, native de Kintzheim, département du haut Rhin, fille de Gaspard Kniebiehler, cultivateur audit lieu, et de feue Catherine Silberling (…) 1° l’acte de naissance du futur portant qu’il est né le 7 décembre 1763 (…) 2° l’acte de naissance de la future portant qu’elle est née le 26 janvier 1764 (signé) Johannes Nicolaus schaal, l’épouse a déclaré ne savoir signer (i 41)
Jean Nicolas Schaal meurt en 1836 en laissant pour héritière universelle sa veuve. La succession comprend deux maisons rue du Coq.
1836 (23.3.), Strasbourg 9 (anc. cote 69), Me Hickel n° 5255
Déclaration tenant lieu d’Inventaire de la succession de Jean Nicolas Schaal, serrurier décédé le 3 octobre dernier – à la requête de Marie Barbe Kniebieler la veuve, légataire universelle par testament reçu M° Hickel le 10 décembre 1829 enregistré le 5 octobre dernier – communauté partageable à deux et un tiers, mariés suivant les anciens statuts de la ville de Strasbourg, par mariage célébré le 5 germinal 3
Art. 2. immeubles. une maison avec appartenances et dépendances sise à Strasbourg rue du Coq n° 3 d’un côté le Sr Strauss de l’autre côté et derrière l’auberge du Coq Rouge, estimée 150 francs
une autre maison avec petite cour et autres appartenances et dépendances sise en la ville de Strasbourg rue du Coq n° 11, d’un côté le Sr Hollender tourneur, de l’autre Philibert Mathieu serrurier, estimée 1500 fr
Enregistrement, acp 239 F° 40 du 24.3.
Marie Barbe Knibihler meurt en 1836 en délaissant des héritiers collatéraux.
1836 (9.7.), Strasbourg 9 (anc. cote 70), Me Hickel n° 5360
Inventaire de la succession de Marie Barbe Knibihler veuve de Jean Nicolas Schaal, serrurier, décédée le 2 juin dernier – dressé à la requête de 1. Barbe Utter épouse d’Antoine Wetterer, journalier à Gerstheim, 2. Georges Utter, journalier à Osthausen, 3. André Utter, maçon à Gerstheim en son nom et mandataire de François Joseph Utter son frère fusilier à la 6° compagnie du 18° régiment d’infanterie de ligne en garnison à Lyon, 4. Martin Utter, soldat au 46° régiment d’infanterie de ligne en garnison à Strasbourg, 5. Jacques Joseph Risterer, cordonnier à Strasbourg, mandataire de Françoise Anastasie Knibihler femme de Blaise Wirtner, cordonnier, et de Françoise Briska Knibihler femme de Joseph Decker, maçon, demeurant à Altdorf (Grand Duché de Bade), 6. Eléonore Dietrich femme de Jean Allheilig, chanvrier à Marckolsheim, 7. Marie François Aloise Weiss, avoué, mandataire de Madeleine Dietrich femme d’Antoine Heyberger vigneron à Gueberschwyr, 8. Anne Marie Knibihler femme de Jonathan Treis, journalier à Strasbourg, 9. Marie Louise Knibihler femme de Martin Antoni, cordonnier, 10. Madeleine Knibihler femme de Mathias Reinbolt, cultivateur à Kientzheim, 11. Jean Kniebieler, journalier à Strasbourg
La D° Wetterer, Georges Utter, André Utter, François Joseph Utter et Martin Utter ensemble pour 5/21 par représentation de leur mère Marie Anne Knibihler femme d’André Utter, journalier à Gerstheim, sœur germaine de la défunte, Les D° Wirtner & Decker ensemble 6/21 par représentation de leur père Georges Knibihler, journalier à Altdorf, frère germain de la défunte, les D° Heyberger & Allheilig ensemble 5/21 par représentation de leur mère Ursule Knibihler femme de Jacques Dietrich, journalier à Marckolsheim, les D° Treis, Antoni, Reinbolt & Sr Knibihler chacun pour 3/42 ensemble pour 6/21, frères et sœurs consanguins de la défunte
dans une maison appartenant à la défunte rue du Coq n° 3 où la défunte est décédée
Titres et Papiers. Cote 1, maison sise à Strasbourg rue du Coq n° 3. Par testament reçu M° Hickel le 10 décembre 1829, Jean Nicolas Schaal a légué à la veuve tous ses biens, contrat de vente reçu M° Triponé le 5 juillet 1821 transcrit au bureau des hypothèques volume 141 n° 106 acquis de Jean Saum, propriétaire, la maison sise à Strasbourg rue du Coq n° 3
Cote 2, maison même rue n° 11, contrat de vente M° Wengler le 1 juin 1826 transcrit au bureau des hypothèques volume 191 n° 31, acquis de Sophie Frédérique Kaumann épouse de Jean François Zerling, tailleur de pierres, en son nom et mandataire de son mari
Enregistrement, acp 242 f° 38-v du 12.7.
Les héritiers de Marie Barbe Knibihler vendent le 20 mars 1837 la maison à Frédéric Charles Fauser.
1837 (10.4.), Hypothèque de Strasbourg, Transcription reg. 319 (2549) n° 9
Procès verbal d’adjudication définitive en date du 20 mars 1837 dressé par M° Hickel
à la requête 1° de Monsieur Marie François Aloïse Weiss, avoué près le tribunal civil séant à Strasbourg, demeurant en service ayant agi en qualité de mandataire de Dame Madeleine Dietrich femme du seiur Antoine Heyberger vigneron demeurant ensemble à Gueberschwyhr aux termes d’une procuration (…) dont le brevet est demeuré joint à la minute d’un inventaire dressé par ledit M° Hickel en date du commecement du 9 juillet même année, 2° en qualité de mandataire de a) Dame Barbe Utter femme du sieur Antoine Wetterer, journalier demeurant ensemble à Gerstheim, b) du sieur Georges Utter, journalier demeurant à Osthausen, c) du sieur André Utter, maçon demeurant à Gerstheim, d) du sieur Martin Utter soldat au 46° régiment de ligne en garnison à Strasbourg y demeurant, e) de Dame Eleonore Dietrich, femme du sieur Jean Allheilig chanvier demeurant ensemble à Marckolsheim, f) de Dame Madeleine Kniebihler femme du sieur Mathis Reinbold cultivateur demeurant ensemble à Kientzheim, g) et du sieur Jean Kniebieler, journalier demeurant à Strasbourg, le tout aux termes d’une procuration (…), 3° enfin en qualité de mandataire substitué par le sieur André Utter (…) dans tous les pouvoirs à lui conférés par le sieur François Joseph Utter, fusilier à la 6° compagnie du 3° bataillon du 18 régiment de ligne en garnison à Lyon (…)
2. de Monsieur Jacques Risterer, cordonnier domicilié et demeurant à Strasbourg, ayant agi en qualité de mandataire de Françoise Anastasie Kniebihler femme du sieur Blaise Wirtner, cordonnier, et de Françoise Briska Kniebihler femme du sieur Joseph Decker, maçon demeurant à Altdorff (grand duché de Baden) aux termes d’une procuration (…), 3. de Dame Marie Louise Kniebihler femme du sieur Martin Antoni, cordonnier demeurant à Strasbourg ayant agi sous l’autorisation de son mari 4. de Dame Anne Marie Kniebihler femme du sieur Jonathan Treis, journalier demeurant en ladite ville, ayant également agi sous l’autorisation de son mari à Strasbourg. Lesdits Dame Wetterer, sieur Georges Utter, sieur André Utter, sieur François Joseph Utter, sieur Martin Utter, Dame Decker, Dame Wirtner, Dame Allheilig, Dame Heyberger, Dame Antoni, Dame Treis, Dame Reinbolt et le Sieur Knibihler seuls héritiers sous bénéfice d’inventaire pour les parts et portions ci après indiquées de feue Dame Marie Barbe Knirbihler veuve du sieur Jean Nicolas Schaal, en son vivant serrurier à Strasbourg, leur sœur consanguine et tante respective, savoir
Lesdits D° Wetterer, sieur Georges Utter, sieur André Utter, sieur François Joseph Utter et sieur Martin Utter ensemble pour 5/21 chacun pour 2/42° par représentation de leur mère Dame Marie Anne Knibihler femme d’André Utter, en son vivant journalier à Gerstheim, sœur germaine de la défunte, Les Dames Heyberger & Allheilig ensemble 5/21 ou chacun pour 5/42 par représentation de leur mère Ursule Knibihler femme du sieur Jacques Dietrich en son vivant journalier à Marckolsheim, autre sœur germaine de la défunte. Les Dames Wirtner et Decker ensemble 5/21 ou chacun pour 5/42 par représentation de leur père sieur Georges Kniebihler, en son vivant journalier à Altdorff, frère germain de la défunte, Et les Dames Treis, Antoni, Reinbolt et les Sr Kniebihler chacun pour 3/42 ou ensemble pour les 6/21 restants comme frères et sœurs consanguins de la défunte. Ainsi que ces qualité d’héritiers se trouvent constatées par l’intitulé de l’inventaire dressé par ledit M° Hickel en date au commencement du 9 juillet 1736 et déjà allégué.
Il résulte que le sieur Frédéric Fausser, journalier demeurant à Strasbourg rue du bain aux plantes N° 29 s’est rendu adjudicataire d’une maison avec appartenances et dépendances sise à Strasbourg rue du coq N° 11 tenant d’un côté au sieur Philippert Mathieu serrurier de l’autre au Dr Michel Hollender, tourneur, par devant à la rue et par derrière au sieur Stahl moyennant le prix de 2150 outre les charges. L’adjudication a eu lieu sous les charges, clauses et conditions ci après littéralement extraites du cahier des charges dressé par ledit M° Hickel le 19 janvier 1837 (…) Les adjudicataires ne pourront réclamer d’autres titres de propriété que ceux ci après relatés savoir, l’adjudicataire de la maison N° 11 la grosse du jugement du 30 janvier 1824, l’expédition du contrat de vente passé devant M° Wengler le premier juin 1826 et le quittance passé devant M° Bremsinger le 15 février 1829. (…) La maison rue du coq n° 11 avait appartenu au sieur Georges Michel Gruber en son vivant architecte à Strasbourg qui l’avait acquise lors de la vente par expropriation forcée poursuivie contre Dame Madeleine Bronner veuve du sieur Jean Georges Schmitt en son vivant marchand de volailles à Strasbourg suivant jugement rendu à la barre du tribunal civil de Strasbourg le 26 décembre 1837 dûment enregistré. Le sieur Gruber étant décédé l’immeuble en question fut vendu par forme de licitation et adjugé du sieur Jean François Zerling, tailleur de pierres, à Strasbourg ainsi qu’il résulte d’un jugement d’adjudication définitive rendu à la barre dudit tribunal le 30 janvier 1824 et déclaration de command du même jour, le tout dûment enregistré. Par contrat passé devant M° Wengler notaire à Strasbourg le premier juin 1826 aussi enregistré et transcrit au bureau des hypothèques de Strasbourg le 10 du même mois volume 191 N° 31 avec inscription d’office du même jour volume 177 N° 692. Dame Sophie Frédérique Kaumann épouse dudit sieur Zerling et qui avait agi tant en son propre nom que comme mandataire de son mari a vendu l’immeuble en question à feu ledit Sr Schaal moyennant le prix de 1200 francs (…). Ledit sieur Schaal étant décédé sans laisser d’acendans ni de descendans en instituant sa légataire universelle en pleine propriété ladite Dame Schaal née Kniebihler sa femme suivant testament reçu par ledit M° Hickel en présence de témoins le 10 décembre 1829, enregistré, la Dame Schaal née Kniebihler est devenue propriétaire de la maison dont s’agit
Extrait par ledit M° Hickel notaire soussigné de la minute dudit procès verbal d’adjudication définitive et du cahier des charges susénoncé
Le brouetteur Frédéric Charles Fauser épouse en 1817 Barbe Schaffner
Mariage, Strasbourg (n° 162)
Acte de mariage, célébré à l’hôtel de ville de Strasbourg à dix heures du matin le 24 mai 1817. Charles Frédéric Fauser, majeur d’ans, né en légitime mariage le 29 janvier 1782 à Strasbourg, domicilié à Strasbourg, Brouëtteur, fils de feu Evrard Fauser, cordonnier décédé en cette ville le 2 vendémiaire en trois de la République française et de Catherine Fischer, ci présente et consentant, Barbe Schaffner, majeure d’ans, née en légitime mariage le 12 octobre 1793 à Strasbourg domiciliée à Strasbourg, fille de Daniel Schaffner, chargeur à la douane en cette ville et de Marie Bellé, ci présente et consentant (signé) Carl Friedrich Fauser, Barbara Schaffnerin (i 11)
Barbe Schaffner, femme de l’emballeur Frédéric Charles Fauser, meurt en 1848 en délaissant trois enfants
1849 (5.2.), Strasbourg 9 (98), Not. Becker n° 4091
Inventaire après le décès de Mad. Barbe Schaffner, en son vivant épouse de Mr Frédéric Charles Fauser, emballeur à la douane, demeurant à Strasbourg où elle est décédée le 29 décembre 1848.
L’an 1849 le Lundi 5 février à quatre heures de relevée, à la requête de 1° M. Frédéric Charles Fauser, emballeur à la douane, demeurant à Strasbourg, agissant 1) en son nom à cause de la communauté de biens légale qui a existé entre entre lui et feu la dame Barbe Schaffner son épouse, leur mariage ayant été célébré à Strasbourg le 4 mai 1817 sans que les conditions civiles de leur union eussent été préalablement établies par un contrat de mariage, 2) au nom et comme tuteur légal de Caroline Fauser et Auguste Fauser, ses deux enfants mineurs issus de son mariage avec son épouse défunte, 2° et de Mr Frédéric Charles Fauser, fils, commis négociant demeurant en la même ville, agissant tant en son propre nom que comme subrogé tuteur des dits mineurs (…) Lesdits Frédéric Charles Fauser, fils, Caroline Fauser et Auguste Fauser, habiles à se dire et porter seuls héritiers chacun pour un tiers de la dite dame Fauser née Schaffner leur mère défunte (…) dans une maison sise à Strasbourg rue du Coq N° 11 où Mad° Fauser est décédée le 29 décembre dernier et dépendante de la dite communauté
Titres et papiers. Cote première. Maison dépendante de la communauté. Vingt cinq pièces sont la première est un extrait d’un procès verbal d’adjudication définitive dressé par M° Hickel, notaire à Strasbourg le 20 mars 1837 par lequel les héritiers de dame Marie Barbe Kniebiler veuve du Sr Jean Nicolas Schaal en son vivant serrurier à Strasbourg ont adjugé à Mr Fauser, père, une maison avec dépendances sise à Strasbourg rue du Coq N° 11 où il est présentement procédé, moyennant le prix de 2150 francs (…) ledit extrait transcrit au bureau des hypothèques de Strasbourg le 10 avril 1837 volume 319 n° 9. Il résulte du dit procès verbal que ladite dame Schaal a recueilli la dite maison dans la succession de son mari qui l’avait instituée sa légataire universelle suivant testament ar acte public en date du 10 décembre 1829, reçu par le dit M° Hickel. (…) La troisième pièce est une expédition d’un contrat passé devant M° Wengler notaire en ladite ville le premier juin 1826 par lequel feu ledit Sr Schaal était devenu par propriétaire du dit immeuble.
acp 379 (3 Q 30 094) f° 54 (Déclaration de suc. du 21 février 1849 N° 90) Communauté, Un mobilier évalué 364, argent comptant 72, loyers échus 3,20 – Passif 1357
Immeuble, une maison à Strasbourg rue du Coq N° 11
Son fils commis négociant Frédéric Charles Fauser épouse en 1848 Caroline Salomé Heldenstab
1848 (1.8.), Strasbourg 9 (97), Not. Becker n° 3888
Contrat de mariage – Furent présens M. Frédéric Charles Fauser, commis négociant, fils majeur du Sr Frédéric Charles Fauser, emballeur à la halle commerciale de Strasbourg et de D° Barbe Schaffner sa femme tous demeurant à Strasbourg, M. Fauser stipulant pour lui et en son nom à cause du mariage dont il va être question
Et Madlle Caroline Salomé Heldenstab, demeurant à Strasbourg, fille majeure du Sr Jean Etienne Heldenstab, coiffeur et de D° Marie Salomé Ludwig, sa femme demeurant en la même ville, Mlle Heldenstab stipulant également pour elle et en son nom à cause dudit mariage
acp 374 (3 Q 30 089) f° 30 – regime de la communauté de biens réduite aux acquêts
Apports. Ceux du futur consistent en mobilier prisé 200 francs et créances pour 2600 francs
Ceux de la future épouse consistent en mobilier d’une valeur de 785 francs et en argent comptant pour 155 francs
Les futurs époux se font réciproquement donation en cas de survie de l’usufruit viager de la succession du prémourant
Frédéric Charles Fausser meurt le 31 janvier 1871. Lors de la liquidation, chacun des trois enfants reçoit un tiers de la maison
1871 (28.7.) M° Becker (minutes en déficit)
Theilung des Nachlases von Friedrich Karl Fauser und Barbara Schaffner
Theilung zwischen 1) Friedrich Karl Fauser, Kaufmann in Straßburg, 2) Caroline Fauser, Ehefrau von Theodor Rossel in Straßburg, 3) Jacob August Fauser, Schuster in Mülhausen, von dem Nachlass von Friedrich Karl Fauser lebend Packer an der Douane von Straßburg und von Barbara Schaffner seiner Ehefrau, der Ehegatte gestorben den 31. Januar 1871 und die Ehefrau den 29. December 1848
acp 599 (3 Q 30 314) f° 85 n° 1522 du 1.8. – Actif Masse. Ein Haus in Straßburg Hahnen Straße N° 11 abgeschättzt zu 8000
Zinsen 176, Sparkassen Büchlein 481, Nachtrag von Karl Fauser 80, Nachtrag von Mde Rossel 80, Nachtrag von August Fauser 585, zusammen 9447
Passif Masse 1923, Rest 7521
Abtretung (…) Friedrich Karl August Fauser, 1/3 vom Haus
Mme Rossel, 1/3 des Hauses
Jacob August, 1/3 des Hauses
Les enfants et héritiers de Frédéric Charles Fauser vendent la maison à Christine Lobstein, veuve de Jacques Ried
1872 (28.3.), Strasbourg 5 (54), Not. Laurent Hoffherr, s.n.
28 mars 1872. Vente – Ont comparu 1° M. Frédéric-Charles Fauser, ancien négociant et Mme Caroline-Salomé Heldenstab, son épouse qu’il autorise, demeurant et domiciliés à Strasbourg rue des grandes arcades N° 47, 2° M. Théodore Rossel, cordonnier, et Mme Caroline Fauser, son épouse qu’il autorise, demeurant et domiciliés à Strasbourg, rue du coq n° 7, 3° Et M. Gaspard Herrmann, cordonnier, demeurant et domicilié à Strasbourg, rue des cordonniers n° 16, agissant au nom et comme mandataire de M. Jacques-Auguste Fauser, employé du chemin de fer à la gare de Mulhouse et D° Adèle Coquelin son épouse demeurant et domiciliés à Mulhouse aux termes de la procuration (…) Lesquels ont par les présentes vendu
à Mme Christine Lobstein, sans profession, demeurant et domiciliée à Strasbourg veuve de M. Jacques Ried, à ce présente et acceptant
Une maison située à Strasbourg rue du coq n° 7 consistant en rez-de-chaussée, trois étages, deux chambres au-dessus, grenier sur le tout couvert en tuiles, caves dessous, puits, aisances et dépendances, le tout tenant d’un côté à M. Arnaud, de l’autre M. Koebelé, devant la rue du coq et derrière M. Litt boulanger. Ainsi que cet immeuble se trouve, se poursuit et comporte (…)
Origine de la propriété. M. Frédéric-Charles Fauser, Mme Rossel et M. Jacques Auguste Fauser sont les propriétaires de l’immeuble dont il s’agit pour l’avoir hérité dans la succession de M. Frédéric-Charles Fauser, ancien emballeur à la douane et de Dlle Barbe Schaffner, conjoints à Strasbourg, leur père et mère, décédés le premier le 31 janvier 1871, l’autre le 29 décembre 1848, dont ils étaient seuls et uniques héritiers et comme leur ayant été plus spécialement attribué par le partage des dites successions, dressé par M° Becker, notaire à Strasbourg le 28 juillet 1871. M. et Mde Fauser, père et mère, en avaient été propriétaires au moyen de l’acquisition qu’ils en avaient faite de Mme Marie-Barbe Kniebihler, veuve de M. Jean-Nicolas Schaal, de Strasbourg, suivant procès verbal d’adjudication dressé par M° Hickel alors notaire à Strasbourg le 20 mars 1837. Cette acquisition eut lieu moyennant le prix de 2150 francs, complètement payé – Prix, moyennant la somme de 6000 francs. (…)
Etat civil des vendeurs. M. et Mme Fauser déclarent qu’ils sont mariés en premières noces sous le régime de la communauté de biens aux termes de leur contrat de mariage passé devant M° Becker notaire à Strasbourg le premier août 1848, M. et Mme Rossel qu’ils sont mariés sous le régime de la communauté légale ainsi que M. et Mde Jacques-Auguste Fauser, leurs unions n’ayant été précédées d’aucun contrat de mariage.
acp 601 (3 Q 30 316) f° 121 du 4.4.
Originaire de Kittersburg en Bade, Jacques Ritt épouse en 1823 Catherine Lobstein, native de Mittelhausbergen. Les mariés reconnaissent deux enfants
Mariage, Strasbourg (n° 371)
Acte de mariage, célébré à l’hôtel de ville de Strasbourg à dix heures du matin le 30 octobre 1823. Jacques Ritt, majeur d’ans, né en légitime mariage le 10 janvier 1798 à Kittersbourg, grand Duché de Bade, domicilié à Strasbourg, journalier, fils de Jacques Ritt, Cultivateur audit lieu et de feu Marie Marzloff, décédée à Kittersbourg le 17 mars 1806, et Christine Lobstein, majeure d’ans, née en légitime mariage le 21 brumaire an V à Mittelhausbergen /bas Rhin/ domiciliée à Strasbourg, fille de feu Michel Lobstein, Cultivateur décédé à Mittelhausbergen le 26 mars 1814 et de Marie Moll ci présente et consentante (…) Et aussitôt les dits Epoux ont déclaré reconnaître et légitimer Eve Lobstein, née d’eux à Mittelhausbergen le 11 mai 1817, inscrite ledit jour sur les registres de l’Etat civil de ladite Commune et Jacques Ritt né d’eux en cette ville le 18 juin dernier, inscrit le 19 suivant sur les registres de l’état civil de cette ville (signé) Jacob rith, Christina Lobsteinin (i 42)
Jacques Rith meurt en 1844 en délaissant trois enfants.
1844 (23. 9.br), Strasbourg 7 (101), Me Boersch n° 5097
23 novembre 1844. Inventaire de la succession du sieur Jacques Rieth, journalier demeurant à Strasbourg décédé en cette ville le premier juillet 1844 et de la communauté qui a existé entre entre lui et Dame Christine Lobstein son épouse.
L’an 1844 le 23 novembre à neuf heures du matin. A la requête de Dame Christine Lobstein veuve du Sieur Jacques Rieth, journalier demeurant à Strasbourg, journalier, demeurant et domiciliée à Strasbourg, agissant ès présentes 1° comme ayant été commune en biens avec son défunt époux, 2° comme créancière de la communauté qui a existé entre entre elle et son mari, 3° et comme mère et tutrice légale de Daniel Rieth âgé de 18 ans, Barbe Rieth âgée de 13 ans, Michel Rieth âgé de 7 ans, les trois enfants mineurs procréés avec son défunt époux, lesdits mineurs habiles à se dire et porter héritiers sous bénéfice d’inventaire chacun d’eux pour un cinquième de la succession du sieur Jacques Rieth leur père, 2° De Dame Eve Rieth épouse à ce autorisée du sieur Daniel Vix, journalier demeurant et domiciliés à Strasbourg rue des payens n° 16, 3° Et du sieur Jacques Rieth, journalier, demeurant et domicilié à Strasbourg rue des payens n° 16, agissant tous deux comme habiles à se dire et porter héritiers sous bénéfice d’inventaire chacun d’eux pour un cinquième de la succession du sieur Jacques Rieth leur père, En présence du Sieur Jean Bernhard, laitier demeurant et domicilié à Strasbourg rue des payens n° 15 en qualité de subrogé tuteur desdits trois enfants mineurs Rieth (…) Attendu que les conjoints Rieth n’ont point réglé par contrat de mariage leurs conventions matrimoniales ils se sont trouvés soumis au régime de la communauté légale qui servira de base à cette opération
en la maison mortuaire rue des payens N° 16.
Immeubles. Ville de Strasbourg. 1° La moitié indivise d’une maison sise à Strasbourg rue des payens N° 16 (…)
acp 330 (3 Q 30 045) f° 61-v – La succession du défunt se compose de sa garde robe évaluée 22
La communauté se compose activement, Mobilièrement de meubles et objets mobiliers estimés 368
Immobilièrement 1° La moitié divisée d’une maison sise à Strasbourg rue des payens N° 16 d’un revenu de 110 francs, 2° 48 ares 75 centiares de terre ban de Strasbourg en cinq pièces d’un revenu de 73 francs
Décès, Strasbourg (n° 1169)
Déclaration faite le 2 juillet 1844 du décès de Jacques Ritt, âgé de 46 ans, né à Kittersbourg /grand Duché de Bade/ journalier, Epoux de Christine Lobstein, domicilié à Strasbourg, mort en cette mairie le premier du mois courant à 10 heures du soir dans la maison située N° 16, rue des payens, fils de feu Jacques Ritt, cultivateur, et de feu Marie Marzloff Premier déclarant, Jacques Ritt âgé de 21 ans, fils du défunt, Jacques Bernhardt, âgé de 40 ans, tailleur, voisin du défunt (i 3)
Christine Lobstein veuve de Jacques Rieth lègue par testament l’usufruit du rez-de-chaussée de sa maison à son fils Michel et du premier étage à son autre fils Jacques
1875, M° Hoffherr
26 mars 1872, Testament – Christine Lobstein Wittwe von Jakob Ried, lebend Gärtner zu Straßburg, durch welches sie 1) ihrem Sohne Michael Ried, Ackerer zu schreiner, die lebenslängliche Nutznießung vom Bodengeschoßes ihres Hauses Hahnengasse N° 7, platz im Keller und Speicher vermacht
2) ihrem Sohne Jacob Ried, Tagner zu Straßburg und an Salome Ernwein, seiner Ehefrau und dem überlebenden die lebenslänglich Nutznießung vom ersten Stock ihres Hauses Hahnengasse N° 7
3) ihrer Tochter Barbara Fried Ehefrau von Johann Bernhard, Mecker zu Bischheim eine Summe von 1000 Franken
4) ihrem Sohn Michael Ried das Eigenthum von einem zwei ständigen Waagen (…)
† 31. October 1875
acp 646 (3 Q 30 361) f° 4-v du 4.11.
Christine Lobstein meurt le 31 octobre 1875 en délaissant pour héritiers ses enfants Michel et Barbe ainsi que ses petits-enfants issus de son fils Jacques.
1876 (3.2.), Strasbourg 24 (15), Not. Joseph Allonas n° 2516
3. Februar 1876. Inventar nach dem Ableben von Christine Lobstein Wittwe des Ackergärtners H. Jakob Rith, im Leben zu Straßburg Hahnengasse 7 wohnhaft, wo sie den 31. October 1875 gestorben ist
Im Jahr 1876, Donnerstag den 3. Februar um acht Uhr Vormittags in dem Sterbehause in Strassburg Hahnengasse 7. Auf Anstehen I. des Hrn Michael Rith, Ackergärtner zu Straßburg wohnhaft, II. der Frau Barbara Rith, ermächtigte und verbeiständete Ehefrau des hier gegenwärtigen H. Johannes Bernhard, Ackerer, beisammen zu Bischheim-am-Saum wohnhaft, III der Frl. Salome Rith, großjährig, ledig zu Straßburg wohnhaft, handelnd alle eigenen Namens, IV. der Frau Eva Rith ermächtigte und verbeiständete Ehefrau des hier gegenwärtigen H. Daniel Vix, Gärtner zu Königshoffen 14, Bann von Straßburg wohnhaft, V. des H. Daniel Rith, Schloßer in Straßburg wohnhaft, handelnd als Vormund der zwei noch unmündigen Kinder entsprossen aus der Ehe des Herrn Jacob Rith, im Leben Tagner, mit Frau Salome Ernwein, beide dahier, der Ehemann den 25. und die Frau den 17. April letzthin verstorben, Namens 1) Sophie Rith geboren dahier den 23. Januar 1856, und 2) Emilie Valerie Rieth geboren dahier am 15. August 1860, hierzu ernannt (…), VI. Herr Adolph Beyer, Chef der Comptabilität der Civil Hospizien zu Straßburg wohnhaft, handelnd als Special Bevollmächtigter des Herrn Adolph Sengenwald, Kaufmann, ehemaliger Präsident des Handels Gerichts, Ritter der Ehrenlegion Vice Präsident der Civil Hospicien der Stadt Strassburg, daselbst wohnhaft, (…) handelnd selbst als Vormund der in dem städischen Waisenanstalt aufgenommenen Kinder (…) Anna Maria Rith, geboren dahier den 15. November 1863 erzeugt aus der Ehe des besagten Herrn Jacob Rith und dessen genannten Ehefrau (…)
die genannten Hr Michael Rith, Frau Bernhard, Frau Vix, Daniel Rith, Salome Rith und die drei minderjährigen Rieth einzige Erberechtigten an dem Nachlasse ihrer Mutter und Großmutter Frau Christine Lobstein verlebte H Jacob Rith zu Straßburg, wo sie den 31. October letzthin gestorben ist, nämlich a) H Michael Rith ihr Sohn für ein fünftel, b) Frau Bernhard ihre Tochter für ein fünftel, c) Daniel Rith ihr Sohn für ein fünftel, d) Frau Vix ihre Tochter für ein fünftel, e) Frl. Salome Rith und die minderjährige Kinder Rith ihre Enkel, durch Vorstellung ihres genannten verlebten Vaters H Jacob Rith für das letzte fünftel, Und in Gegenwart des Herrn Lorentz Ernwein, Magazinier, zu Straßburg wohnhaft, handelnd als Nebenvormund der gedachten minderjährigen Frl. Sophia und Emilie Valerie Rith hierzu ernannt (…)
Inhalt eines testamentes der Verlebten aufgenommen von Hr Hoffherr damals Notar dahier am 26. März 1872 (…) Je donne et lègue par préciput et hors part à 1) M Michel Rith mon fils, cultivateur demeurant avec moi à Strasbourg la jouissance viagère et gratuite de tout le rez-de-chaussée de la maison que je possède à Strasbourg rue du Coq N° 7, d’une chambre dite des soldats, au premier étage de la même maison ainsi que de place suffisante dans la cave et au grenier de lad. maison, 2) M. Jacques Rith mon autre fils, journalier demeurant aussi à Strasbourg et à Mme Salomé Ernwein épouse de ce dernier et au survivant d’eux, la jouissance viagère et gratuite du premier étage de ma maison sise à Strasbourg rue du Coq N° 7 (moins cependant la chambre dite des soldats) et de place suffisante dans la cave et au grenier, 3) Mad. Barbe Rith ma fille épouse de Jean Bernhard laitier avec lequel elle demeure à Bischheim, la pleine propriété d’une somme de 1000 francs 4) Et audit Michel Rith la pleine propriété et jouissance d’une petite voiture à deux roues (…)
Liegenschaften, II. Diejenigen zum Nachlass der verlebten Frau Wittwe Rith gehoerend. Stadt Strassburg. 5) Ein Haus zu Straßburg Hahnengaß Nr 7 gelegen, bestehend aus Erdgeschoß, drei Stockwerken, darüber zwei Zimmer, Speicher, Keller, Brunnen, Rechten und Dependenzien, Alles begrenzt einerseits durch Frau Osswald anderseits durch H Koebelé, vornen die Hahnengasse und hinten der Bäcker Hr Litt.
Erkauft durch Wittwe Rith von den Erben von Friedrich Carl Fauser, ehemaliger Packmeister bei der Verwaltung der Zölle und dessen Ehefrau Barbara Schaffner, im Leben Eheleute zu Straßburg, welche waren die drei nachgenannten Kinder nämlich Friedrich Karl Fauser, ehemaliger Kaufmann zu Straßburg, Karolina Fauser, Ehefrau von Theodor Rössel Schuhmacher beisammen zu Straßburg wohnhaft, Jakob August Fauser, Angestellter am Bahnhof zu Mülhausen, welchen Kindern gedachtes Haus außerdem speciell zugeschrieben wurden, in der Theilung der gedachten Nachlässe, errichtet durch H. Becker, damals Notar dahier am 18. Juli 1871. Laut Vertrag vor H. Hoffherr, damals Notar zu Straßburg, vom 28. März 1872 wovon eine Ausfertigung auf dem Hypothekenamte zu Straßburg den 15. April 1872 Band 1337 N° 71 überschrieben und von Amtswegen denselben Tag Band 1098 N° 116 eigeschrieben wurde. Dieser Kauf hatte statt mittels einem Preis von 6000 Franken (…). Eheleuthe Fauser wurden Eigenthümer desselben Hauses, so sie es erwaren steigerungsweise von Maria Barbara Kniebiehler, Wittwe von Johann Nicolaus Schaal zu Straßburg laut Protokoll errichtet durch H. Hickel, damals Notar dahier am 20. März 1837.
acp 649 (3 Q 30 364) f° 10 n° 526 du 9.2. (Sterbefalltafel B. 61 Fol. 104) Nachlass, Mobilien 97, Baares Geld 1906, Schuldforderung 800
Ein Haus Hahnengasse N° 7, Bann Mittelhausbergen 8 Ar Feld
Liquidation et partage de la succession de Christine Lobstein
1876 (15.7.), Strasbourg 24 (17), Not. Joseph Allonas n° 2897
Liquidation und Theilung Nachlasses der Frau Christine Lobstein Wwe. Jacob Rieth
sind erschienen 1°) H. Daniel Rieth, Schloßer in Straßburg wohnhaft, handelnd sowohl eigenen Namens, wie auch als Vormund der zwei noch unmündigen Kinder entsprossen aus der Ehe des Herrn Jacob Rieth, im Leben Tagner, mit Frau Salome Ernwein, beide dahier gestorben, der Ehemann den 25. und die Frau den 17. April 1875, nämlich a) Sophie Rieth dahier geboren amn 23. Januar 1856, b) und Emilie Valeria Rieth auch dahier geboren am 15. August 1860, hierzu ernannt (…), 2°) Hr Michael Rieth, Ackergärtner zu Straßburg wohnhaft, 3°) Frau Barbara Rieth, ermächtigte Ehefrau des hier anwesenden H. Johannes Bernhard mit welchem sie zu Bischheim-am-Saum wohnhaft ist, 4°) Frau Eva Rieth, ermächtigte Ehefrau des hier anwesenden Ackergärtners Daniel Vix, mit welchem sie zu Königshoffen, Bannweile Straßburg wohnhaft ist, 5°) Fräulein Salome Rieth, großjährig, gewerblos zu Straßburg wohnhaft, 6°) Herr Adolph Beyer, Großer Rechnungsführer der Civil Hospizien der Stadt Straßburg in welcher er wohnhaft ist, handelnd als Specialbevollmächtigter des Herrn Adolph Sengenwald, Kaufmann, Vice Präsident der Civil Hospicien der Stadt Strassburg, daselbst wohnhaft, (…) handelnd selbst als Vormund der in dem Straßburger Waisen-Anstalt aufgenommenen Kinder (…) also als Vormund von Anna Maria Rieth, geboren dahier den 15. November 1863 aus der Ehe des genannten verlebten Jacob Rieth und Salome Ernwein, die genannten 1°) Daniel Rieth, 2°) Michael Rieth, 3°) Frau Bernhard, 4°) Frau Vix und 5°) Fräulein Salome Rieth und die drei unmündigen Kinder Rieth, diese vier letztere durch Representation ihres Vaters der genannte verlebte Jacob Rieth einzige Erberechtigten an dem Nachlasse ihrer Mutter und Großmutter Frau Christine Lobstein verlebte Wittwe des schon früher verlebten Ackergärtners Jacob Rieth, nämlich Ihre vier Kinder je zu einem fünften Theil und ihre vier Enkel miteinander Zum letzten fünften Theil, so wie diese Eigenschaften durch das Inventar errichtet durch unterzeichneten Notar nach dem Ableben der Frau Wittwe Rieth am 3. Februar letzthin bestätigt sind, 7°) Und H. Lorentz Ernwein, Magazinier, zu Straßburg wohnhaft, handelnd als Nebenvormund der gedachten minderjährigen Frl. Sophia und Emilie Valerie Rieth hierzu ernannt (…)
Vorbemerkungen. I. Tod der Wittwe Rieth. Wittwe Rieth gebohrne Lobstein ist am 31. Oktober letzthin gestorben. II. Testament (…), III. Inventar (…), IV Versteigerung der Liegenschaften
acp 653 (3 Q 30 368) f° 40 n° 2428 du 19.7. – Rechnung des Notars dessen Einnahmen bestehen aus dem eingegangenem Steigpreise im Antrag vom M. 7453, Ausgaben für Kosten 1509, bleibt ein Ueberschuß von 5944
Liquidation. Activa 1) Ueberschuß der Rechnung des Notars 5944, 2) Werthschaften welche der Miterbe Michael Rieth schuldet 419, 3) Daniel Rieth hat zu verrechnen 2760, 4) Frau Bernhard hat zu verrechnen 2, 5) die minderjährigen haben zu verrechnen 4, 6) die andere Miteren haben zu verrechnen 168, 6) Steigpreis Rest geschuldet durch den Steigerer Weill 3733, 7) Fr. Salome Rieth verrechnet 56, Liegenschaft unvertheilt geblieben p. m., Summa der Masse 13.028
Passiva, 1) Beerdigungs & Krankheits Kosten 216, 2) ½ des Erlöses der Gemeinschafts Güter 1886, 3) de Frau Bernhard particular Legat 800, Summa 2902
Bleibt ein Ueberschuß von 10.185
Die Hälfte des Erlöses der Liegenschaften der Gütergemeinschaft beträgt 1866, abzuziehen für Kosten 168, bleiben 1717
Rechnungen und Anweisungen
Accord passé entre les héritiers préalablement à la vente des immeubles
1876 (18.3.), Strasbourg 24 (15), Not. Joseph Allonas
N° 2632 den 18. März 1876. Vereinbarung – Sind erschienen 1. Herr Daniel Rith, Schloßer zu Straßburg wohnhaft, handelnd als Vormund der zwei noch unmündigen Kinder entsprossen aus der Ehe des Herrn Jacob Rith, im Leben Tagner, mit Frau Salome Ernwein, beide dahier, der Ehemann den 25. und die Frau den 17. April 1875 verstorben, Namens 1) Sophie Rith geboren dahier den 23. Januar 1856, 2) Emilie Valerie Rieth geboren dahier am 15. August 1860, hierzu ernannt (…)
2. Herr Adolph Beyer, Chef der Comptabilität der Civil Hospizien zu Straßburg wohnhaft, handelnd als Special Bevollmächtigter des Herrn Adolph Sengenwald, Kaufmann, ehemaliger Präsident des Handels Gerichts, Ritter der Ehrenlegion Vice Präsident der Civil Hospicien der Stadt Strassburg daselbst wohnhaft (…) handelnd selbst als Vormund der in dem städischen Waisenanstalt aufgenommenen Kinder (…) Anna Maria Rith, geboren dahier den 15. November 1863 erzeugt aus der Ehe des besagten Herrn Jacob Rith und dessen genannten Ehefrau (…)
A. die drei minderjährigen Kinder Rieth und Fräulein Salome Rith großjährig gewerblos zu Straßburg erzeugt aus der besagten Ehe Rith Ernwein, B. H Michael Rith, Ackergärtner zu Straßburg wohnhaft, C. Barbara Rith, Ehefrau des Ackermanns Johann Bernhard zu Bischheim am Saum wohnhaft D. Eva Rith Ehefrau des Gärtner Daniel Vix zu Koenigshoffen wohnhaft, E. der schon genannte H. Daniel Rith, als einzigen Erberechtigten an dem Nachlass ihrer Großmutter und Mutter Frau Christina Lobstein verlebten Wittwe des Ackergärtners H Jacob Rith zu Straßburg, wo sie den 31. October letzthin gestorben ist, nämlich
1) Fräulein Salome Rith und die minderjährigen Kinder Rith, ihre Enkel durch Vorstellung ihres genannten verlebten Vaters H Jacob Rith für 1/5
2) H Michel Rith für 1/5, 3) Frau Bernhard ihre Tochter für 1/5, 4) Frau Vix ihre Tochter für 1/5, 5) H Daniel Rith ihr Sohn für 1/5, so wie diese Erb Eigenschaften aus dem Eingang des nach Ableben der Wittwe Rith gebornen Lobstein durch unterzeichneten Notar am 3. Februar dahin errichteten Inventar bestätigt sind, Und Herr Lorentz Ernwein, Magazinier, zu Straßburg wohnhaft, handelnd als Nebenvormund der gedachten minderjährigen Sophia und Emilie Valerie Rith hierzu ernannt (…)
II. Immöbel zum Nachlass der verlebten Frau Wittwe Rith gehörend 1) Section P N° 908. Ein Haus zu Straßburg Hahnengaß N° 7 gelegen, bestehend aus Erdgeschoß, drei Stockwerken, darüber zwei Zimmer Speicher, Keller, Brunnen, Rechten & Dependenzien alles begrenzt einerseits durch Frau Osswald anderseits durch H Koebele, vornen die Hahnengaße und hinten der Bäcker H. Litt.
Erkauft durch Wittwe Rith von den Erben von Friedrich Carl Fauser, ehemaliger Packmeister bei der Verwaltung der Zölle und dessen Ehefrau Barbara Schaffner, im Leben Eheleute zu Straßburg, welche waren die drei nachgenannten Kinder nämlich a) Friedrich Karl Fauser, ehemaliger Kaufmann zu Straßburg, b) Karolina Fauser, Ehefrau von Theodor Rössel Schuhmacher beisammen zu Straßburg wohnhaft, c) Jakob August Fauser, Angestellter am Bahnhofe zu Mülhausen, welchen Kindern gedachtes Haus außerdem speciall zugeschrieben wurden, in der Theilung der gedachten Nachlässe, errichtet durch Notar Becker zu Straßburg am 18. Juli 1871. Laut Vertrag vor H. Hoffherr, damals Notar zu Straßburg, vom 28. März 1872 wovon eine Ausfertigung auf dem Hypotheken Amte zu Straßburg am 15. April 1872 Band 1337 N° 71 überschrieben und von Amtswegen denselben Tag Band 1098 N° 116 eigeschrieben wurde. Dieser Kauf hatte statt mittels einem Preis von 6000 Franken (…). Eheleuthe Fauser erwarben dasselbe Eigenthum von Maria Barbara Kniebiehler wittwe von Johann Nicolaus Schaal zu Straßburg laut einem vor durch Notar Hickel dahier am 20. März 1837 errichteten Steigerungs protokoll.
(…) Bemerkung. Laut Testament vor Herrn Hoffherr, früher Notar zu Straßburg vom 26. März 1872 hat Wittwe Riehl zum voraus und vor aller Theilung ihrem Sohn dem Miterben H. Michael Rieth den lebenslänglichen und unentgeltlichen Genuß von deß Erdgeschoßes, der Einquartierungs Kammer im Ersten Stock, und des nöthigen Raumes im Keller und auf dem Speicher des oben beschriebenen Hauses vermacht. (…)
Dem obigen Ansuchen willfahrend, ist geschlossen worden wie folgt. Bec&&. Straßburger Bann (…)
Stadt Straßburg 5) Section P N° 908. Ein Haus zu Straßburg Hahnengaß N° 7 gelegen, bestehnd aus Erdgeschoß, drei Stockwerken, darüber zwei Zimmer Speicher, Keller, Brunnen, Rechten und Dependenzien alles begrenzt einerseits durch Frau Osswald anderseits durch H Koebele, vornen die Hahnengaße und hinten der Bäcker H. Litt. Flächen Inhalt 75 centiaren. Anschlagpreis 4800 Mark
acp 648 (3 Q 30 363) f° 59-v n° 898 – Lastenheft
Raphaël Weil se rend adjudicataire de la maison
1876 (15.4.), Strasbourg 24 (16), Not. Joseph Allonas n° 2748
N° 2748 den 3. Mai 1876. Steigerung – Sind erschienen 1°) Herr Daniel Rith, Schloßer zu Straßburg wohnhaft, sowohl eigenen Namens wie auch noch als Vormund der zwei noch unmündigen Kinder entsprossen aus der Ehe des Herrn Jacob Rith, im Leben Tagner, mit Frau Salome Ernwein, beide dahier, der Ehemann den 25. und die Frau den 17. April 1875 verstorben, Namens 1) Sophie Rith geboren dahier den 23. Januar 1856, 2) Emilie Valerie Rieth geboren dahier am 15. August 1860, hierzu ernannt (…)
2°) Herr Adolph Beyer, Chef der Comptabilität der Civil Hospizien zu Straßburg wohnhaft, handelnd als Special Bevollmächtigter des Herrn Adolph Sengenwald, Kaufmann, ehemaliger Präsident des Handels Gerichts, Ritter der Ehrenlegion Vice Präsident der Civil Hospicien der Stadt Strassburg daselbst wohnhaft (…) handelnd selbst als Vormund der in dem städischen Waisenanstalt aufgenommenen Kinder (…) Anna Maria Rith, geboren dahier den 15. November 1863 erzeugt aus der Ehe des besagten Herrn Jacob Rith und dessen genannten Ehefrau (…)
3°) Hr Michael Rieth, Ackergärtner zu Straßburg wohnhaft, 4°) Frau Barbara Rieth, ermächtigte Ehefrau des hier anwesenden Ackersmanns Johannes Bernhard, mit welchem sie zu Bischheim-am-Saum wohnhaft ist, 5°) Frau Eva Rieth, ermächtigte Ehefrau des hier anwesenden Ackergärtners Daniel Vix, mit welchem sie zu Königshoffen, Bannweile Straßburg wohnhaft ist, 6°) Fräulein Salome Rieth, großjährig, gewerblos zu Straßburg wohnhaft und 7°) H. Lorentz Ernwein, Magazinier, zu Straßburg wohnhaft, handelnd als Nebenvormund der gedachten minderjährigen Frl. Sophia und Emilie Valerie Rieth hierzu ernannt (…) die obengenannten 1°) Daniel Rieth, 2°) Michael Rieth, 3°) Frau Bernhard, 4°) Frau Vix 5°) und Fräulein Salome Rieth und die drei unmündigen Kinder Rieth, diese vier letztere durch Representation ihres Vaters der genannte verlebte Jacob Rieth einzige Erberechtigten an dem Nachlasse ihrer Mutter und Großmutter Frau Christine Lobstein verlebte Wittwe des schon früher verlebten Ackergärtners Jacob Rieth, nämlich Ihre vier Kinder je zu einem fünften Theil und ihre vier Enkel miteinander Zum letzten fünften Theil, so wie diese Eigenschaften durch das Inventar errichtet durch unterzeichneten Notar nach dem Ableben der Frau Wittwe Rieth am 3. Februar letzthin bestätigt sind
dieselben Comparenten erklären, daß laut Urkunde vor unterzeichnetem Notar vom 15. des letzt verfloßenen Monats April, die Versteigerung der in einem Vereinbarungs Acte vor selbem Notar vom 18. März letzthin bezeichnet sind (…)
Stadt Strassburg. 4°) Section P N° 908. Ein zu Straßburg, Hahnengasse N° 7 gelegenes Wohnhaus mit Zubehörungen. Anschlagpreis 4800.
Mehrer Lichter wurden nach und nach angezündet und während der dauer mehrerer Gebote gemacht, wovon das letzte Gebot im Betrage von 5600 Mark geschah durch Herrn Raphaël Weill, Kaufmann zu Straßburg wohnhaft
acp 652 (3 Q 30 367) f° 6-v n° 1570 du 6.5.
Raphaël Weil vend l’année suivante la maison à l’aubergiste Maurice Bendelé, demeurant 3, rue des Dentelles
1877 (18.9.), Strasbourg 24 (21), Not. Joseph Allonas n° 3674
Ist erschienen Herr Raphael Weil, Handelsmann & Eigenthümer zu Straßburg wohnhaft, derselbe verkauft (…)
dem hier gegenwärtigen und dies annehmenden H. Moritz Bendele, Schenckwirth zu Straßburg, Großspitzengaße N° 3 wohnhaft
Beschreibung. Section P N° 908 ein zu Straßburg Hahnengasse N° 7 gelegenes Wohnhaus, bestehend aus Erdgeschoß, drei Stockwerken, darüber zwei Zimmer Speicher, Keller, Brunnen, Rechten & Zubehörungen zwischen Frau Osswald & H Koebelen vornen die Hahnengaße und hinten der Bäcker H. Litt. Sowie sich dieses Wohnhaus nebst Zubehörungen wirklich befindet (…)
Eigenthumsnachweis. H. Weil erklärt, daß er die soeben bezeichnete Liegenschaft von den Kindern und Erben der zu Straßburg am 31. Oktober 1875 verlebten Christina Lobstein, gewesene Wittwe des schon früher verlebten Jacob Rieth, erworben hat zufolge einem durch den unterzeichneten Notar am 3. Mai 1876 aufgenommenen Steigerungsprotokolle. Da aber bei dieser Versteigerung minderjährige Kinder betheiligt waren, wurde durch den unterzeichneten Notar, auf *estenheft der volljährige Erbbetheiligten & der Vormünder der minderjährigen Betheiligten am 19. März 1876 ein Vereinbarungsakt errichtet (…) Diese Erwerbung geschah mittelst einer Summ vob 5600 Mark (…)
Frühere Eigenthumsnachweis. Frau Wittwe Rieth geborene Christina Lobstein hat dieselbe Liegenschaft erworben von den Erben von Friedrich Carl Fausser, ehemaliger Packmeister bei der Verwaltung der Zölle & dessen Ehefrau Barbara Schäffner lebend zu Straßburg wohnhaft als a. Friedrich Carl Fausser, ehemaliger Kaufmann zu Straßburg, b. Carolina Fauser, Ehefrau von Theodor Rössel Schuhmacher beisammen zu Straßburg wohnhaft, c. H Jakob August Fausser, Angestellter am Bahnhofe zu Mülhausen, welchen gedachtes Haus außerdem speciall* zufiel, in der Theilung der gedachten Nachlässe, errichtet durch Notar Becker zu Straßburg am 18. Juli 1871. Laut Vertrag vor Notar Hoffherr, unmittelbarer Amtsvorgänger des unterzeichneten Notars vom 28. März 1872 wovon eine Ausfertigung beim Hypothekenamte dahier am 15. April folgend Band 1337 N° 71 überschrieben wurde. Diese Erwerbung geschah mittels (…) 6000 Franken. Eheleuthe Fauser haben die nämliche Liegenschaft erworben von Maria Barbara Kniebiehler Wittwe von Johann Nicolaus Schaal aus Straßburg laut einem durch H. Hickel damals Notar dahier am 20. März 1837 errichteten Steigerungsprotokoll.
Bemerkung. H. Weil bemerkt hier daß zufolge Testament vor genantem Notar Hoffherr vom 26. März 1872 die genante Wittwe Riehl ihrem Sohn Michael Rieth, ohne Gewerbe, zu Straßburg wohnhaft, zum Voraus & vor aller Theilung den lebenslänglichen unentgeltlichen Genuß von obenbezeichnetem Wohnhaus als, deß Erdgeschoßes, der Einquartierungs Kammer im ersten Stockwerke und des ihm nötigen Raumes im Keller und auf dem Speicher vermacht hat, und daß ihm die betreffende Liegenschaft unter Uebernahme dießer Lasten zugeschlagen wurde, zufolge den obenerwähten Steigerungs protokolle vom 3. Mai 1876. (…) Kaufpreis, 5600 Mark (…) Uebertrag des Brandentschädigungseanspruchs (…)
Auf den Hÿpothekenamte von Straßburg an 30. October 1877 Band 1728 N° 51 transcribirt. Band 1333 N° 13 eingeschrieben
Police d’assurance N° 30.911 Compagnie du Soleil, rue de Châteaudun N° 44 à Paris. 10 septembre 1877, durée 10 ans, Bendelé, Maurice, débitant de boissons
1° 12.000 francs sur la propriété de Monsieur Bendelé sise à Strasbourg, Rue du Coq N° 7, élevée sur cave, de rez-de-chaussée, trois étages et gerniers, construite en pierres, briques & bois, couverte en tuiles, y compris la valeur de la gage d’escalier, celle de la pompe, des lieux d’aisances et de tous les objets réputés immeubles par destination et dans laquelle il existe des chambres louées en garni.
2° 8000 francs pour la garantie du recours des voisins
acp 669 (3 Q 30 384) f° 67 du 21.9.
Natif de Still, le garçon da café Maurice Bendelé épouse en 1873 Marie Anne Lutz, originaire de Rosheim
Mariage, Still (n° 10) Den 17. November 1873 um sechs Uhr des Abends, Heurathsurkunde von Moritz Bendelé, geboren zu Still den 3. Aprilis 1842, Kellner, wohnhaft zu Still, ehelicher Sohn von Bendelé, Ignatz alt 65 Jahre, Bäcker wohnhaft zu Still hier gegenwärtig und einwilligend, und von Petrolf, Sophie alt 61 Jahre, wohnhaft zu Still hier gegenwärtig und einwilligend, und von Maria Anna Lutz geboren zu Rosheim den 17. Juli 1843, Stand keinen, wohnhaft zu Rosheim eheliche Tochter von Lutz Ludwig wohnhaft zu Rosheim und alldort gestorben (…) und von Scherer Franziska, bei lebzeiten wohnhaft zu Rosheim (unterzeichnet) Bendelé, Marie Lutz (i 8)
Registre domiciliaire (602 MW 43)
Bendele, Keller Wirth
Bendele Maurice, 3.4.42, Still, kath.
Frau Maria geb. Lutz, 43, Rosheim
Kinder, Heinrich 15.10.74, Straßburg, todt 29/9. 75 Rosheim
Kinderspielgasse N° 14
Metzgergasse, Zu den drei Königen
p 1. 74 Metzgerplatz, Nolff
24.6.76, Grosse Renngasse 36. Lohmiller
1.11.77, Münsterplatz 13, Lämmermann
1.10.81, Schwesterngasse 2, Lerchmann
27/.6 82.Gerbergrabenplatz 9, Miethe
27.6.94 Langestrasse 112, Wwe Schwartz
7.5.98, Rosheim
Maurice Bendelé réside à Strasbourg de 1875 à 1879 d’après les annuaires d’adresses
1875. Bendele Moritz, Schenkwirt, Metzgerplatz 14
1890, Bendele Moritz, Wirt, Gerbergrabenplatz 9
1895, Bendele Moritz, Gastwirt, Langestr. 112
1898, Bendele Moritz, Gastwirt, Langestr. 112
Maurice Bendelé et Anne Marie Lutz vendent la maison au marchand de charbon Philippe Merck et à sa femme Marguerite Kalb
1890 (22.7.), M° Charles Lauterbach
Verkauf durch Moritz Bendele, Gastwirt und Anna Maria Lutz dessen Ehefrau hier
an Philipp Merck, Kohlenhändler und Margaretha Kalb
P n° 908, Ein Wohnhaus hier Hahnengasse N° 7 mit Erdgeschoß und 3 Stockwerken, Speicher, Keller, Brunnen, erworben laut Kauf Allonas vom 18. September 1877. Besitz sofort, Genuß 29. IX. 1890, Steuren von da an. Preis 8000 Mark
acp 831 (3 Q 30 546) f° 52 n° 2014 du 1.8.
Philippe Merck épouse en 1868 Madeleine Neff de la Robertsau. L’épouse reconnaît sa fille née quelques mois plus tôt.
Mariage, Strasbourg (n° 329)
Du 11° jour du mois de juin l’an 1868 à dix heures du matin. Acte de mariage de Philippe Merck, majeur d’ans,né en légitime mariage le 3 mars 1845 à Strasbourg, domicilié à Strasbourg, journalier, fils de Conrad Merck, journalier domicilié à Strasbourg ci présente et consentant et de feu Anne Marie Schott décédée à Strasbourg le 9 janvier 1846, et de Madeleine Neff, majeure d’ans, née en légitime mariage le 28 avril 1838 à la Robertsau banlieue de Strasbourg, domiciliée à Strasbourg, ouvrière en chapeaux de paille, fille de feu Michel Neff journalier décédé à la Robertsau le 18 mars 1858 et de feu Marie Madeleine Mathis décédée à la Robertsau le 20 août 1864 (…) Et aussitôt l’épouse a déclaré se reconnaître mère de Madeleine Merck née à Strasbourg le 12 avril 1868 et inscrite le 13 du même mois dans les registres de l’état civil de cette ville.
Marie Madeleine Neff meurt en 1888 en délaissant une fille. La succession comprend deux maisons à la Robertsau
1888 (17.7.), M° Gustave Loew
Erbverzeichniss nach den Ableben von Maria Magdalena Neff Ehefrau des Kohlenhändlers Philipp Merck in Strassburg wohnhaft wo die am 20. Juni 1888 gestorben ist. Auf Ansuchen von 1. Philipp Merck, obengenannt, handelnd eigenen Namens wegen der gesetzlichen Gütergemeinschaft die in Ermanglung eines Ehevertrags zwischen ihm und seiner Ehefrau bestanden hat, 2. Magdalena Merck, Ehefrau des Kohlenhändlers Georg Gutapfel in Straßburg, handelnd als einzige Erbin ihrer genannten Mutter, 3. der Firma Lamarche & Cie Kohlenhandlung in St Johann, Letztere steht bis zum Belaufe ihrer Forderungen in den Rechten der Eheleute Gutapfel auff Grund einer Privaturkunde vom 27. Junÿ 1888 registrirt eu Straßburg an denselben tag
acp 805 (3 Q 30 520) f° 5 n° 1744 du 25.7. (Sterbfallerk. Bd. 74 Vl. 127) Baares Geld am Todestag 70, Waarenvorrath 228.
Liegenschaften der Gemeinschaft 1. Ein Haus mit Hof, Brunnen, Garten vor und hinter dem Hause in der Ruprechtsau Bann Straßburg Hauptstraße N° 47, vorher Wenglerseck, rothes Quartier N° 73 früher N° 72
2. Ein Haus mit Erdgeschoß einem Stockwerk und Speicher nebst kleinem Stall, Remise, Hof, in der Ruprechtsau Bann Straßburg Hauptstraße N° 45, früher rothes Quartier N° 72 früher N° 89 in der Oberau und Wenglerseck
Passiv des Nachlasses 134 – Passiv der Gemeinschafft a) bezahltes 287, b) geschuldet 5230
Zur Gemeinschafft gehört ein Kohlenschuppen, welcher sich auf dem terrain von Benjamin Heydel befindet
Gute Geschäfts ausstände 165, schlechte 39, Geschuldete Miethzinsen 99, Schulden der Gemeinschaff 100, Mobilien der Gemeinschafft 234, Kleider der Erblasserin 33
Zur Gemeinschaff gehören noch weitere Mobilien zu 65
Les héritiers ne parviennent pas à un accord lors du partage. Le notaire les renvoie aux tribunaux.
1889 (13.4.), M° Gustave Loew
Theilung aufgestellt durch den amt. Notar 1) der gesetzlichen Gütergemeinschaft, welche zwischen Philipp Merck, Kohlenhändlers dahier, und dessen allda den 10. Juni 1888 verstorbenen Ehefrau Maria Magdalena Neff bestanden, 2) des Nachlasses der Letzteren
Die Theilung wird laut nachgeristrirtem Protocoll nicht genehmigt bzw. beanstandet.
acp 814 (3 Q 30 529) f° 92-v n° 288 du 23.4.
acp 814 (3 Q 30 529) f° 92-v n° 289 du 23.4. – 13. April 1889. Protocoll über die von der betheiligten Parteien durch allen zu vorregistrirter Theilung gemachten Beanstandungen, ins besondere bezüglich des Bestands der zu theilenden Gemeinschafft.
Der Wittwer erkennt an, daß er noch zwei Ringe seiner Frau und einen Karren geschätzt zu 10. Mark in Besitz hat, welche nicht inventarisirt worden.
Da die Parteien sich nicht einigen können werden dieselben durch den Notar auf den Processweg verwiesen.
Philippe Merck se remarie en 1888 avec Marguerite Kalb, originaire de Mundolsheim, veuve du maçon Jacques Frantz
Mariage, Strasbourg (n° 589)
Straßburg am 27. September 1888. Vor dem Standesbeamten erschienen heute zum Zwecke der Eheschließung 1. der Kohlenhändler Philipp Merck, katholischer Religion, geboren den 3. Maerz des Jahres 1845 zu Straßburg, wohnhaft zu Straßburg, Wittwer von Magdalena Neff, gestorben zu Straßburg den 20. Juli dieses Jahres, Sohn der verstorbenen Eheleute Conrad Merck, Tagner, und Anna Maria Schott, zuletzt wohnhaft zu Straßburg, 2. die gewerblose Margaretha Kalb, evangelischer Religion, geboren den 4. Januar des Jahres 1848 zu Mundolsheim, Wittwe des Maurers Jacob Frantz, gestorben zu Straßburg den 15. Maerz 1887 Tochter der verstorbenen Eheleute Georg Kalb, Milchhändler und Margaretha Imhof, zuletzt wohnhaft zu Straßburg (i 72)
La maison est inscrite à partir de 1899 au nom de Lazare Levy pour la jouissance viagère et de Henri Levy pour la nue propriété.