6, rue des Drapiers
Rue des Drapiers n° 6 – IV 190 (Blondel), N 804 puis section 59 parcelle 13 (cadastre)
Autre adresse, rue du Fossé-des-Tanneurs n° 39
Maison voisine (IV 191) réunie en 1774
Maître d’ouvrage, Jean Michel Braunwald, teinturier (1785)
Joseph Schumpff, marchand de fer (1849)
Démolie en 1912 – Voir ensuite 26-28, rue du Vingt-deux-novembre
Elévations des n° 35 à 39 rue du Fossé des Tanneurs
Plan du début de l’îlot – Coupe du 6, rue des Drapiers (Service d’architecture, 1912, AMS, cote 907 W 161)
La maison et sa voisine au sud (partie de l’actuel 41, rue du Fossé-des-Tanneurs) appartiennent en 1587 aux fondations Saint-Marc et Saint-Nicolas-aux-Ondes ; des marches sont posées sur le communal, tant à l’avant sur la rue qu’à l’arrière vers le canal. Les fondations la vendent en 1695 au menuisier Kilien Eger, originaire de Bohême. Sa veuve la lègue à la femme du marchand Jean Christophe Engelhard qui en fait une maison de rapport puis la vend en 1751 au manant Jean Bibernick, ancien compagnon maçon devenu chiffonnier. Lors de l’acquisition, Jean Bibernick déclare vouloir y faire des travaux avant la mauvaise saison. Jean Bibernick épouse en secondes noces Susanne Theurkauff, fille de son voisin au nord. La maison comprend en 1755 deux poêles et deux cuisines, ensuite (1764, 1774, 1782) trois poêles et trois cuisines. A la mort de Susanne Theurkauff en 1774, sa sœur Marie Salomé Theurkauff réunit la maison héritée de sa sœur à la voisine héritée de son père. Le teinturier Jean Michel Braunwald qui les achète en 1784 est autorisé la même année à faire de nouvelles croisées vers la rue et vers le canal et l’année suivante à réunir les deux bâtiments. Le maître maçon Jean Michel Gruber est autorisé en janvier 1785 à construire une nouvelle façade en suivant le nouvel alignement. Jean Michel Braunwald abaisse en 1812 de six pouces les appuis des croisées au rez-de-chaussée.
Le fossé des Tanneurs entre la Grande rue de la Grange et la Grand rue, plan-relief de 1725. La maison se trouve sous la partie droite de la troisième toiture à partir de la gauche (Musée historique, cliché Thierry Hatt)
Elévations préparatoires au plan-relief de 1830, îlot 142, façades rue des Tanneurs et rue des Drapiers (Musée des Plans-relief) 1
L’Atlas des alignements (années 1820) signale un bâtiment à rez-de-chaussée en maçonnerie et trois étages en bois. Sur les élévations préparatoires au plan-relief de 1830, la façade sur la rue des Drapiers est la cinquième à droite du repère (h), identique à celle sur la gauche : porte suivie de deux fenêtres, trois étages à trois fenêtres chacun, toiture à deux niveaux de lucarnes. La façade vers la rue du Fossé-des-Tanneurs est la huitième à partir de la gauche, à quatre niveaux de trois fenêtres chacun.
La maison porte d’abord le n° 16 (1784-1857) puis le n° 9 de la rue des Drapiers soit le n° 51 (avant 1857) puis le n° 39 rue du Fossé-des-Tanneurs.
Ancien tailleur devenu marchand ferrailleur, Joseph Schumpff démolit puis reconstruit en 1849 la maison qui a une entrée par le fossé des Tanneurs comblé, ce qui fait passer le revenu de 140 à 150 francs. Le marchand de lait et d’épices Lapp y tient boutique au début du XX° siècle. La Ville acquiert la maison (exercice 1911), la fait démolir l’année suivante. Le sol sert à construire l’actuel 26-28, rue du Vingt-deux-novembre.
Aspect actuel (juillet 2017). L’ancienne maison occupait la façade de droite du bâtiment d’angle
janvier 2021
Sommaire
Cadastre – Relevé d’actes
Récapitulatif des propriétaires
La liste ci-dessous donne tous les propriétaires de 1605 à 1912 (démolition). La propriété change par vente (v), par héritage ou cession de parts (h) ou encore par adjudication (adj). L’étoile (*) signale une date approximative de mutation.
fondations Saint-Marc et Saint-Nicolas-aux-Ondes | ||
1695 | v | Kilien Eger, menuisier, et (1682) Anne Marie Verius – luthériens |
1704 | h | Jean Thiébaut Strauss, menuisier, et (1704) Anne Marie Verius veuve de Kilien Eger – luthériens |
1733 | h | Jean Christophe Engelhard, marchand, et (1705) Marie Ursule Erhard – luthériens |
1751 | v | Jean Bibernick, tailleur de pierres et chiffonnier, et (1731) Anne Madeleine Hottinger puis (1756) Susanne Theurkauff – luthériens |
1774 | h | Jean Jacques Bein, tonnelier, et (1741) Marie Salomé Theurkauff – luthériens |
1784 | v | Jean Michel Braunwald, teinturier, et (1785) Marie Madeleine Gutmann – luthériens |
1827 | h | Thiébaut Antoine Schott, facteur de pianos, et (1828) Caroline Braunwald |
1839 | h | François Joseph Bind, propriétaire, et (1839) Caroline Braunwald, veuve de Thiébaut Antoine Schott |
1840 | v | Joseph Schumpff, tailleur puis marchand de fer, et (1827) Louise Schæffer, d’abord (1812) femme de Jean Joseph Schmidt |
1863 | h | François Joseph Schumpff dit Morini, musicien, et (1854) Marie Claire Compaing |
1887 | Marguerite Antoinette Schæffer | |
1911* | v | Ville de Strasbourg |
Valeur de la maison selon les billets d’estimation : 175 livres en 1704 et en 1726, 400 livres en 1755, 450 livres en 1764, 350 livres en 1774 et 400 livres en 1782
(1765, Liste Blondel) IV 190, Jean Bibernick
(Etat du développement des façades des maisons, AMS cote V 61) Wagendorffer, 1 toises, 2 pieds et 0 pouce [mauvaise correspondance des propriétaires]
(1843, Tableau indicatif du cadastre) N 804, Schott, Thiébaut, fabricant de limes – maison, sol – 0,68 are / Schumpf Joseph
Locations
1733, (jouissance) Catherine Müller et (1734) Jean Henri Wehring, tisserand en tapis, manant, veuf de Catherine Huck – luthériens
1791, Antoine Prior, dessinateur
Livres des communaux
1587, Livre des communaux (VII 1450) f° 176-v
Devant la maison (ensuite IV 190 et 189) qui appartient aux fondations Saint-Marc et Saint-Nicolas-aux-Ondes se trouvent une porte de cave (7 pieds de long, 4 ½ pieds de saillie), trois marches en pierre (7 ½ pieds de long, 4 ½ pieds de saillie), un chenal en bois, vers le canal des latrines maçonnées sur des corbeaux en pierre (3 ½ pieds de large, 2 ½ pieds de saillie), deux marches en bois donnant dans le canal (7 pieds de long, 3 pieds de saillie), doit pour la jouissance 1 livre 1 sol 6 deniers
Das gebrandt End vff dem Barfüesser Blatz, gegen dem bronnen ane Jacob Eisenheim des Kandtengiessers Behausung der Rechten Hand nach vntz hienauß an die Oberstrassen gemessen
Die beden Clöster Zu Sanct Marx vnd zu Sanct Claus In Undis Jedes Zum halben Theÿl, haben daselbsten ein Hauß, Daruor ein lehenete Kellerthüer vij schu lang, Vndt iii+ schu herauß, Dreÿ besezter Tritt vi+ schu lang, Vndt iii+ schu herauß, sampt einem hülzenen Naach hinden vff das Wasser ein vff steinen Käepfern außgestossen gemaurt Profeÿ ii+ schu breit, i+ schu herauß, Vnden Vff dem Wasser Zwen hülzene Tritt vij schu lang, iij schu herauß, Bessert & l lb j ß vj d
Préposés au bâtiment (Bauherren), Protocole des Quinze
1784, Préposés au bâtiment (VII 1421)
Les préposés autorisent Jean Michel Braunwald (propriétaire des deux maisons contiguës VII 191 et 190) à faire de nouvelles croisées aussi bien vers la rue que vers le canal.
(f° 185) Dienstags den 26. Octobris 1784 – Johann Michael Braunwald, Färber
Herr Gruber, der Maurer, nôe Johann Michael Braunwald, des Färbers, bittet zu erlauben an deßen in der Tucherstub Gaß gelegenen Behausung, sowol gegen erstgedachter Gaß als auch gegen dem Gerber: Graben neue Kreutzstöck versetzen Zu laßen. Erkannt, Willfahrt.
1785, Préposés au bâtiment (VII 1421)
Le maître maçon Gruber est autorisé en janvier 1785 au nom du teinturier Jean Michel Braunwald à construire une nouvelle façade en suivant le nouvel alignement. Les préposés réitèrent leur précédente réponse en mars quand Jean Michel Braunwald demande l’autorisation de construire sur les anciennes fondations ou au moins de modifier la porte et les croisées.
(f° 218) Dienstags den 25. Januarii 1785. – Joh: Michael Braunwald, Färber
Herr Gruber, der Maurer, nôe. Herrn Joh: Michael Braunwald, des Färbers, bittet zu erlauben, an deßen behausung in der Tucherstub Gaß gelegen, eine neue façade machen Zu laßen. Erkannt, dem alda adoptirten alignement nach willfahrt.
(f° 205-v) Dienstags den 1. Martii 1785. – Joh: Michael Braunwald, Ferber
Johann Michael Braunwald, des Färbers, bittet ihme zu erlauben, seine in der Tucherstub Gaß gelegene behausung auf dem alten fudament neu aufbauen, oder wenigstens an derselben die Hausthür und Kreutzstöck verändern Zu laßen.
Erkannt, Seie der Implorant mit seinem begehren ab: und an das alda zu beobachtende alignement Zu verweisen.
1785, Protocole des Quinze (2 R 195)
Les Quinze autorisent Jean Michel Braunwald à réunir ses deux maisons contiguës rue des Drapiers
Durchbruch, Michael Braunwald in der Tucherstubgaß
(p. 279) Sambstags den 27.ten Augusti 1785. – Rang nomine Michael Braunwald des hiesigen burgers schwartz und Schönfärbers, producirt unterthäniges memoriale und bitten samt beÿlag sub N° 1 puncto Gnädiger Erlaubnus aus zweÿen häusern eines zu machen.
Erkandt wird Imploranten erlaubt seine Zwo in der Tucherstubgaß neben einander gelegene behaußungen mit einander vereinbahren und aus solchen ein hauß machen Zu dörfen.
1812, Voirie (283 MW 342)
N° 282, Braunwald teinturier, Le soussigné propriétaire de la Maison sise rue des Drapiers N° 15, qu’il est intentionné de faire baisser à 6 pouces plus bas les appuis des croisées du Rez de chaussée de sa susdite Maison, le 10 août 1812. Considérant que la maison dont s’agit n’a point d’avance et qu’elle est alignée suis d’avis que l’on peut accorder la permission demandée, Villot le 31 août 1812 – Ratifié par le maire 1. 7.bre, par le Préfet le 3 septembre
Description de la maison
- 1755 (billet d’estimation traduit) La maison comprend deux poêles, deux cuisines et plusieurs chambres, le comble est couvert de tuiles creuses, la cave est solivée, le tout estimé avec appartenances et dépendances à la somme de 800 florins
- 1764 (billet d’estimation traduit) La maison comprend trois poêles, trois cuisines et plusieurs chambres, le comble est couvert de tuiles plates, la cave est solivée, le tout estimé avec appartenances et dépendances à la somme de 900 florins
- 1774 (billet d’estimation traduit) La maison comprend trois poêles, trois vestibules dans lesquels se trouvent le fourneau et l’âtre, deux chambres, le comble est couvert de tuiles plates, la cave est solivée, le tout estimé avec appartenances et dépendances à la somme de 700 florins
- 1782 (billet d’estimation traduit) La maison comprend trois poêles, trois cuisines et plusieurs chambres, le comble est couvert de tuiles plates, la cave est solivée, le tout estimé avec appartenances et dépendances à la somme de 800 florins
Atlas des alignements (cote 1197 W 37)
2° arrondissement ou Canton Nord – Rue des Drapiers
nouveau N° / ancien N° : 29 / 15
Braunwald
Rez de chaussée en maçonnerie et 3 étages en bois médiocre état
(Légende)
Cadastre
Cadastre napoléonien, registre 21 f° 228 case 4
Schumpf Joseph à Strasbourg
N 804, sol, maison, R. des drapiers 15
Contenance : 0,68
Revenu total : 140,35 (140 et 0,35)
Folio de provenance :
Folio de destination : démolie
Année d’entrée :
Année de sortie : 1849
Ouvertures, portes cochères, charretières :
portes et fenêtres ordinaires : 24 / 19
fenêtres du 3° et au-dessus : 6
N 804, maison
Revenu total : 154,35 (154 et 0,35)
Folio de provenance : N.C.
Folio de destination :
Année d’entrée :1849
Année de sortie :
Ouvertures, portes cochères, charretières :
portes et fenêtres ordinaires : 24 / 19
fenêtres du 3° et au-dessus : 11 / 8
1849, Augmentations – Schumpf Joseph f° 228, N 804, Maison, revenu 154, Nouv. constr. imposable en 1849, imposée en 1849
Diminutions – Schumpf Joseph f° 228, N 804, Maison, revenu 140, Aug.tion voir d’autre part, suppression en 1849
Cadastre napoléonien, registre 23 f° 934 case 2
Schumpf Joseph genannt Morini, Schauspieler Joseph Rentner
1887/88 Schaeffer Margaretha Antoinette, Barbarhasse 7
N 804, maison, sol, Rue des drapiers 6
Contenance : 0,68
Revenu total : 154,35 (154 et 0,35)
Folio de provenance : (228)
Folio de destination : Gb
Ouvertures, portes cochères, charretières :
portes et fenêtres ordinaires : 24
fenêtres du 3° et au-dessus : 11
Cadastre allemand, registre 32 p. 357 case 3
Parcelle, section 59, n° 13 – autrefois N 804
Canton : Gerbergraben Hs. N° 39 u. Tucherstubgasse 6 – 265/13, 236
Désignation : Hf, Whs
Contenance : 0,86
Revenu : (4,30) 1700 – 1900
Remarques : 1913 ab S 362 F 5 – 1912 Abbruch
(Propriétaire jusqu’à l’exercice 1911), compte 2940
May Luise, Rentnerin ( Porst)
rayé 1927
(Propriétaire à partir de l’exercice 1911), compte 34
Strassburg die Gemeinde
1909 Gemeinde Strassburg / Ville de Strasbourg
(33)
1789, Etat des habitants (cote 5 R 26)
Canton IV, Rue 102 Rue des Drapiers p. 175
Les ajouts sont signalés par une +
15
Pr. Braunwald, J. Michel, teinturier – Drapiers
+ loc. Borsch, Dorothée, veuve, Bourgeoise
loc. Marckwald, Jean, gantier – Miroir
+ loc. Paulus, George, Domestique
loc. Beck, Balthasar, garç. tailleur – Manant
+ loc. Maylaender, Michel, Domestique
loc. Dipeene, Tambour
+ loc. Perliat*, Jean, Garde au Péage
loc. Staedel, Chrét. Henry, revendeur – Moresse
+ loc. Schneider, Joseph, Domestique
Annuaire de 1905
Verzeichnis sämtlicher Häuser von Strassburg und ihrer Bewohner, in alphabetischer Reihenfolge der Strassennamen (Répertoire de toutes les maisons de Strasbourg et de leurs habitants, par ordre alphabétique des rues)
Abréviations : 0, 1,2, etc. : rez de chaussée, 1, 2° étage – E, Eigentümer (propriétaire) – H. Hinterhaus (bâtiment arrière)
Tücherstubgasse (Seite 183)
(Haus Nr.) 6
Lapp, Spezereihdlg. 04
Betz, Schreiner. 1
Velten, Tagner. 1
Briem, Metzger. 2
Reinert, Spengler. 2
Schüssler, Tagner. 3
Gerbergraben (Seite 45)
(Haus Nr.) 39
Lapp, Milch- u. Spezereihandlung
Relevé d’actes
Les administrateurs des fondations Saint-Marc et Saint-Nicolas-aux-Ondes vendent la maison au menuisier Kilien Eger et à sa femme Anne Marie Verius moyennant 275 livres
1695 (30.4.), Chambre des Contrats, vol. 567 f° 288
(prot. fol. 29.b) Erschienen /:salv. tit:/ herr Josias Städel alter Ammeister und XIII alß Pfleger und H. Johann Schmid alß Schaffer zu St. Marx, So dann /:tit:/ herr Johann Philipp Brun deß geheimen Collegÿ der HHn. XIII. beÿsitzer alß Pfleger und H. Johann Jacob Herberling alß Schaffner zu St. Niclaus in Undis
haben in gegensein Kilian Eger, deß Schreiners vnd Annæ Mariæ gebohrner Verinen, deßen ehelicher Haußfrawen daß gesambte Hhn Pflegere obged. Stiffter St. Marx vnd St. Niclaus in Undis und Zwar auff die respectivé am 12. vndt 19.ten Martÿ jüngst von Hh. Räth vnd XXI. Obrigkeitlich ertheilte permission, Ihnen beed. Eheleuthen auffrichtig, vest und ohn widerrufflich verkaufft vnd zu kauffen gegeben
Hauß und Hoffstatt samt übrigen deren gebaüen, begriffen, weithen zugehördten, rechten und Gerechtigkeiten allhier in der Tucherstub gaß, einseit neben Matthiß Hoffen dem Schirms Verwanthen anderseit neben Jacob Männel dem Gerber und lederbereiter hinden auff den Rindshäuter od. Gerbergraben stoßend gelegen – umb 275 pfund
Les Conseillers et les Vingt-et-Un autorisent la fondation Saint-Marc à vendre une petite maison à Kilien Eger
1695, Conseillers et XXI (1 R 178)
(f° 46) den 14. Martÿ 1695. – H. Johann Schmidt Schaffner Zu St Marx pct° decreti alienandi und außweißung wie mann sich ins Künfftig beÿ dergleichen alienationen Zu verhalten. 46.
G. ersch. H. Johann Schmidt, deß Stiffts Zu St Marx verordneten Schaffner n. der Herren Pflegern daselbsten producirt dienst: geflißends Memoriale mit beÿl. 1 et 2. die bitten vmb consens ein häußlein an Kilian Eger Verkauffen Zu dörffen und umb außweißung, wie sie seith ins Künfftig beÿ dergleich. alienation Zu verhalten.
Erk. Willfahrt, et quoad alterum petitum ane die V.O. Herren gewießen.
H. XV. Brackenhoffer, H. Ziegler
Fils de Jean Eger, juré à Joachimsthal en Bohême (Sankt Joachimsthal, aujourd’hui Jáchymov), Kilien Eger épouse en 1682 Anne Marie Verius, fille du cordonnier Adam Verius.
Mariage, Temple-Neuf (luth. f° 99-v, n° 6)
1682. Fest. Paschalis. Zum 2 mahl Kilian Egerer der Schreiner H Johann Egerer Burger geschwornen im Joachimsthal ehel. S. Jfr. Anna Maria, Weiland Adam Feri gewesenen Schumachers u. Burgers allhier nachgelaß. ehel. T. Freÿt. den 9.ten Aprilis Zur Prediger (i 101)
Kilien Eger acquiert le droit de bourgeoisie trois mois après son mariage en s’inscrivant à la tribu des charpentiers
1682, 4° Livre de bourgeoisie p. 487
Kilian Egerer der Schreiner von Joachims thal, aus dem Königreich Böhmen, empfahet das burgerrecht von seiner haußfr. Anna Maria Färin pro 8 goltfl. welche Er beÿ der Cantzleÿ erlegt, ist ledigen standts gewesen, vndt wirdt Zun Zimmerleüthen dienen. Jur. 17. Junÿ. 1682.
Kilien Eger devient tributaire le 6 juillet 1682.
1682, Protocole de la tribu des Charpentiers (XI 30)
(f° 11) Dienstags den 6.ten Julÿ 1682 – Neuzünfftiger
Kilian Eger der Schreiner auß Joachimsthal, dem Königraich Böheimb erscheint v. producirt Cantzleÿ: Stall: vnd Pfenningthurns Schein sub dato 17. Junÿ 1682. bitt ihme das Zunfftrecht widerfahren Zulaßen, Erkandt, wird demselben gegen erlegung 7 lb 3 ß 6 d willfahrt.
Erlegte gleich baar darauff 4 lb d Restiert demnach noch 3 lb 3 ß 6 d Wafür Herr Christian Kuhn cavirt.
Kilien Eger meurt en 1704 après avoir institué sa femme légataire universelle de ses biens. Les experts estiment la maison 175 livres. La succession s’élève à 116 livres.
1704 (14.5.), Not. Rohr (Daniel, 46 Not 11) n° 443
Inventarium und beschreibung aller derjenigen haab und Nahrung, so weÿland der Ehrsam: vnd bescheidene Meister Kilian Eger geweßener Schreiner vnd burger allhier zu Straßburg nunmehr seel. nach seinem den 6.ten Aprilis instehenden 1704.ten Jahrs aus dießer welt genommenen tödlichen ableiben, Zeitlichen verlaßen, welche verlaßenschafft auf freundliches ansuchen erfordern vnd begehren der Ehren vnd tugendsamen frawen Annæ Mariæ Egerin gebohrner Veerin die hinderbliebene Wittib vnd nach dem beÿ hochlöblichem Magistrat allhier gnädigst erhaltenen Indulto Testandi, per Testamentum instituirte eintzige Erbin, beÿständlich des Ehren: vnd vorgeachten herrn Hanß Georg Fritschmann auch Schreiners vnd burgers allhier deroselben geschwornen Curatoris, fleißig inventirt und ersucht (…) So beschehen allhier in der Königlichen freÿen Statt Straßburg Mittwoch den 14. Maÿ Anno 1704.
Copia Testamenti nuncupativi
In einer allhier Zu Straßburg ahne der Thucherstubgaß gelegenen vnd in dieße Verlaßenschafft eigenthümlich gehörigen behaußung volgendermaßen befunden worden
Soldaten Cammer, In der Cammer A, In der Cammer B, In der Wohnstub, Im Haußöhren, Im undern Haußöhren
Eÿgenthumb ane einer behaußung. It. hauß v. hoffstatt sambt vberig deren gebewen, begriffen, weithen, Zugehörden, rechten V. gerechtigkeiten allhier in der thucherstub gaß, einseith neben Mathis Hoffen dem Schirmsverwanthen, anderseit neben Philipp Fischer dem Schuhmacher, hinden auf den Rindshäuter oder gerbergraben stoßend gelegen, davon gibt mann jahrs auff Annunciationis Mariæ 4 lb 10 ß d Zinß dem großen allmoßen Zu St Marx allhier, widerlößig in Capital 112. lb 10 ß, sonsten gegen Männiglich freÿ leedig vnd eigen Vnd ist solche behaußung durch die allhießig geschwornen Werckmeistere, Vermög deren beÿ mein Notarÿ Concept befindlichen schrifftlichen Abschatzung de dato 23. Maÿ æstimirt worden per 175. lb. Nach abzug der auff der behaußung hafftenden beschwerden, verbleibt ane vorstehendem anschlag allhier annoch außzuwerffen übrig benandlich 62 lb 10. Darüber besagt ein pergamentener Kauffbrieff in allhießiger CC stub, Vnder dero anhangendem Kleinen Insiegel gefertiget de dato 30 Aprilis A° 1695. mit N° 1 notirt.
Series rubricarum hujus Inventarÿ, Sa. haußraths 47, Sa. Werckzeugs 4, Sa. Silbers 6 ß, Sa. Guldener Ring 1, Sa. Eÿgenthumbs ane einer behaußung 62, Summa summarum 116 lb
Abschatzung d. 23. Maÿ aô 1704. Weÿlandt des Ehrenhafften und bescheidenen Meister Kiljan Eger Schreiner seel. hinderlaßene fr. Wittib und Erben ist eine behausung alhie in der Statt Straßburg in die tucherstub gaß gelegen einseits Neben Mathes hoffen Wittib anderseits Neben Philipps fischer hinden auff den gerber graben stosendt Welche behausung sampt aller gerechtigkeit wie solches durch der Statt Straßburg geschwornen Werckleuthe sich in der besichtigung befunden undt Jetzigem Preiß nach angeschlagen wirdet Vor undt Umb Dreÿhundert Und Fünfftzig gulden. Bezeichnus durch der Statt Straßburg geschworene Werckhleuthe. Jacob Staudacher Werck Meister des Maur hoffs. Johann Jacob osterrieth Werck Meister deß Zimmer Hoffs
Anne Marie veuve de Kilien Eger se remarie en 1704 avec le menuisier célibataire Jean Thiébaut Strauss, fils du menuisier Jean Georges Strauss
Mariage, Temple-Neuf (luth. f° 159-v n° 1771)
1706. Mitwoch den 21.t Julÿ Seind nach 2.mählicher proclamation ehl. copulirt worden Johann diebold Strauß, der ledige Schreiner, weÿl. Johann Georg Straußen gew. burgers und Schreiners allhier hinterl. ehl. Sohn Und fr. Anna Maria weÿland Kilian Egers gewesenn burgers und Schreiners allhier hinterl. wittib [unterzeichnet] Johan dieboltt strouß, v, fr. Annæ Mariæ die Hochzeiterin (i 168)
Jean Thiébaut Strauss et Anne Marie Verius font dresser l’inventaire de leurs apports dans la maison qui appartient à l’épouse. Les apports du mari s’élèvent à 83 livres, ceux de la femme à 609 livres.
1707 (9.8.), Not. Mader (6 E 41, 665) n° 18
Inventarium und Beschreibung aller der Jenigen Haab, Nahrung undt Güther, liegeder Vahrender so der Ehrsame und bescheidene Meister Johann Diebold Strauß Schreiner undt die Ehren: und Tugendbegabte fraw Anna Maria Straußin gebohrne Verÿn beeder Eheleuthe und Burgere allhier Zu Straßburg einander in den Ehestand Zugebracht und Vermög auffgerichteter Eheberedung sich Vor unverändert Vorbehalten haben, auf freundliches ansuchen erfordern und begehren beeder New angehender Eheleuthe selbsten (…) Actum undt angefangen in der Königlichen freÿen Statt Straßburg in fernerem gegensein des Ehren: und Vorgeachten herrn Georg Jacob Straußen buchbinders deß Manns leiblichen Bruder undt Meister Georg Fritschmann Schreiners der Fr. noch ohnentledigten Curatoris, beeder burgere allhier alß hierzu Von beeden theilen erbettener beÿständere, auff Dienstag den 9. aug: Anno 1707.
In Einer in der Statt Strassburg ane der Thucher Stub Gaß gelegenen In der Frawen Nahrung Eÿgenthümlich gehörige behaußung ist befunden worden wie Volgt.
Eÿgenthumb ane einer behaußung. Item eine behaußung sambt übrigen deren gebewen, begriffen, Weithen, Zugehörden undt gerechtigkeiten allhier in der Thucher Stubgaß, einseit neben Mathis Hoffen Erben, anderseit neben Philipp Fischer dem Schumacher, hinden auf den Rindshäuter oder gerber Graben stoßend gelegen, so gegen Männiglich freÿ ledig und eigen und hiehero angeschlagen wie selbige erkaufft worden vor 275 lb. Über dieße behaußung besagt ein teutscher perg: Kauffbrieff in allh. Cancelleÿ Contract: stuben gefertiget Mit dero Canc: Contr: Inns: verwahrt dat: d. 30: Aprilis 1695. meldet wie solche behaußung Von beeden Stifftern St. Marx und St. Nicolasi i Vndis erkaufft worden, darauff à tergo Zusehen wie die helffte Kauffschilling nechstged. Stifft Schuldig, völlig bezahlt worden, mit altem N° 1 notirt und nach besichtigung dabeÿ gelaßen. Darbeÿ eine papÿrene Quittung von dem Stifft St Marx weißet, wie die 112. lb 10 ß rest. Kauffschilling auch völlig bezahlt worden seind, dat. 25. Martÿ 1707.
Series rubricarum hujus Inventarÿ, Deß manns in den Ehestand gebrachtes Vermögen, Sa. haußraths 39, Sa. Werckzeugs Zum Schreiner handwerck gehörig 22, Sa. Silbergeschmeids 8, Sa. der baarschafft 12, Summa summarum 83 lb
Der Frawen in die Ehe gebrachte Nahrung, Sa. haußraths 166, Sa. Silbergeschmeid 12, Sa. Guldener Ring 15, Sa. baarschafft 140, Sa. Eigenthums ane Einer Behaußung 275, Summa summarum 609 lb
Jean Thiébaut Strauss meurt en mai 1726 après avoir institué sa femme légataire universelle de ses biens. Les experts estiment la maison à 175 livres. La masse propre à la veuve est de 407 livres, la masse propre aux héritiers de 49 livres. L’actif de la communauté s’élève à 175 livres, le passif à 240 livres.
1726 (20.5.), Not. Mader (6 E 41, 685) n° 565
Inventarium über Weÿland deß Ehrengeachten Meister Johann Dieboldt Straußen geweßenen Schreiners und burgers allhier zu Straßburg nunmehr seel. Verlaßenschafft, auffgerichtet in Anno 1726.
Inventarium vnd Beschreibung aller derjenigen Haab Nahrung und Güttere ligend vnd fahrender, Verändert und Unverändert so weÿl. der Ehrengeachte Meister Johann Diebold Strauß geweßener Schreiner und burger allhier Zu Straßburg nach seinem Mittwoch den 1.sten Maÿ dießes fortlauffenden 1726.sten Jahrs beschehenem todtlichem ableiben Zeitlichen verlaßen, welche Verlaßenschafft dann auf freundliches ansuchen erfordern und begehren der Tugendsahmen frauen Annæ Mariæ Straußin gebohrner Verijn, der hinterbliebenen Wittib, als welche des Verstorbenen seel. Erben nach innhalt Testamenti ernennen soll, Inventirt und ersucht durch obgedachte Wittib, mit beÿstandt des Wohl Ehrenvesten und Großachtbahren Herrn Johann Christoph Engelhardt Handelßmann und Burgers allhier dero gewesenen Vogts (…) So Geschehen in der Königlichen Statt Straßburg auff Montag den 20. Maÿ Anno 1726.
In Einer in der Statt Straßburg ane der Thucher Stub gaßen gelegenen in dieße Verlaßenschafft gehörigen behaußung ist befunden worden wie folgt
Ane Höltzen vnd Schreinwerck. In der Cammer A, In der Cammer B, In der Cammer C, In der Wohnstub
Ergäntzung der Wittib unveränderten Guths. Innhart Inventarÿ über alles dasjenige was beede nun zertrennte Eheleuthe einander in den Ehestand Zugebracht durch Vor: und Nachgemelten Notarium in Anno 1707. auffgerichtet, hat mann der Wittib wegen Ihres wehrend Ehe abgegangenen Unveränderten guths Zu ergäntzen wie folgt
Eigenthum ane Einer behaußung (W.). Eine behausung samt übrigen deren Gebäuen, begriffen, weithen, rechten, Zugehördten und Gerechtigkeiten, allhier Zu Straßb. in der thucherstub Gaßen, einseith neben Joh: Dinckkauff Kürßner, 2.s neben Christmann Leuginger dem Schneid. hind. auff d. Rindshauter oder Gerbergrab. stoßend, gelegen, so gegen Männig. leedig und eig. und ist solche behausung laut einer von den Hh. Werckmeistern mit überschickten Abschatzung sub dato 25.ten Maÿ 1726 angeschlagen worden pro 175. lb. Über dieße behaußung bes. i. teutsch. perg. Kffbr. in allh. C. Cst gef. m. dero anh : Inns. Cor. dat. d. 30.ten Aprilis 1695. meldet wie solche behaus. von beeden Stifftern St. Marx und St. Nicolaj in undis erkaufft worden, darauff à tergo Zu sehen, wie die helffte Kauffschilling erstgedachtem Stifft schuldig, völlig bezahlt worden, mit altem N° 1 notirt und dabeÿ gelaßen. Darbeÿ eine pabierene Quittung von dem Stifft St Marx weiset, wie die Gemeltem Stifft gehörige 112. lb 10 ß restirenden Kauffschilling auch völlig bezahlt worden seind, datirt d. 25. Martÿ A° 1707.
Abzug in gegenwärtiges Inventarium. der W. V.mög. Sa. haußraths 20, Sa. Silbers 10 ß, Sa. Goldener ring 6, Sa. Eig. ane einer behaus. 175., Sa. Erg. (207, Abzug 1, Rest) 205, Summa summarum 407 lb
der Erben Guth, Sa. haußraths 13, Sa. Silbergeschmeids 1, Sa. Ergäntzung (35, abzug 13 ß, Rest) 34, Summa summarum 49 lb
d. theilbare Guth, Sa. haußrath 67, Sa. Wein und Lähren faßen 12, Sa. Werckzeugs 13, Sa. Holtz diehlen v. gemachter arb. 26. Sa. Silbers 4, Sa. baarschafft 50, Summa summarum 175 lb – Schulden 240 lb, Solchem werden die Theilbare Passiva die theilbahre Nahrung übersteigen um 64 lb
Conclusio finalis Inventarÿ 392 lb
Les préposés de la Taille font figurer la succession dans leur registre parce que les impôts acquittés étaient calculés d’après une fortune sous-évaluée de 200 florins (100 livres) sur un total de 600 florins
1726, Livres de la Taille (VII 1176) f° 57-v
(Zimmerleuth F. N. 3929) Weÿl. Johann Diebolt Straußen geweßenen Schreiners und burgers alhier Verlaßenschafft inventirt H Not. Mader.
Concl. Fin. Inv. ist Fol. 58.b 392 lb 17 ß 5 ½ d die machen 800 fl. Verstallte nur 600 fl. alßo Zu wenig 200 fl.
Warvon der Nachtrag gerechnet wird auf 8 Jahr in duplo à 12 ß macht 4 lb 16 ß
Und auff Sechs Jahr in simplo à 6 ß, 1 lb 16 ß
Extat Stallgeltt pro 1726 mit 2 lb 5 ß
Gebott , 2 ß
Abhandlung, 10 ß 6 d – Summa 9 lb 9 ß 6 s
Auf suppliciren haben die herren dreÿ nachgelassen 4 lb 13 ß – Rest 4 lb 16 ß 6 d
dt. 26. Aug. 1726.
Anne Marie Verius, veuve de Jean Thiébaut Strauss, fait un testament par lequel elle institue pour ses héritières Anne Ursule Erhard femme de l’apprêteur de chapeaux Christophe Engelhard et sa servante Catherine Müller. Par un codicille de 1731, elle lègue sa maison à Anne Ursule Erhard qui devra régler une rente viagère à Catherine Müller.
1729 (11. Oct.), Not. Hoffmann (Christophe Michel, 19 Not 57) n° 198
Testamentum nuncupativum Frauen Annæ Mariæ Straußin gebohrner Veriußin Wittib, Johann Diebold Straußen Schreiners Wittib
Zuwißen daß auff Dienstag den 11.ten Octobris Anno 1729. Vormittag Zwischen 8 und 9. Uhren, in einer alhier Zu Straßburg ane dem Alten Weinmarckh gegen dem Speÿerthor gelegenen Von mit dem Notario lehnungsweißs bewohnenden behausung meiner Ordinari Schreibstub, die fenster auff die Tächer außsehend, die Ehren und tugendsahme Frau Anna Maria Straußin gebohrne Veriusin weÿland Meister Johann diebold Straußen geweßenen Schreiners und burgers alhier seel. nachgelaßene wittib, alters halben blös und baufällig, dannoch aber durch die Gnade Gottes gehend und stehenden leibs auch richtiger Sinnen, gutes Vernunfft und verstandts (…)
4. Zum Grund und Fundament dießes ihres Testaments, setzt eingangs gedachte frau Testatrix, in alle ihre restirende Verlaßenschafft, was nach abzug der legaten übrig und vorhanden seÿn wird, vermittelst diß Zu ihren wahren und ungezweiffelten Erben ein, nemblichen H. Christoph Engelhards, des hutstaffirers und burgers alhier nahmentlichi frau Mariam Ursulam gebohrne Erhardin Zur helffte, in die übrige helffte aber Jungfer Catharinam Müllerin ihrer vormahlig geweste getreüe dienstmagd, und thut auch iedem Stamm dero ietzig habende und künfftig über Kommende Leibes Erben auff allenfall Zum Kräfftigsten substituiren und untersetzen.
+ der frau Testantin hand Zeichen.
Johann Daniel Lauttensackh Scriba
Johann Friderich Moßeder Scriba
Zuwißen, nachdeme die Ehren und Tugendsame Frau Anna Maria Straußin gebohrne Veriusin in ihrem vorher unterm 11.ten Octobris Anno 1729. auffgerichteten Testamento nuncupativo sich unter andere auch expressé Vorbehalten, daß wann Sie Künfftiger Zeit etwas oder alles, so solchem Testamento einverleibt wiederum cassiren oder ändern (…)
1. Prælegirt Sie frauen Mariæ Ursulæ Engelhardin gebohrner Erhardin ihr der Frau Testantin ietzmahlige wohn: oder Künfftiger Sterb behausung alßo und dergestalten, daß Sie hingegen schuldig und verbunden seÿen solle Vorher vermelter Catharina Müllerin der mit instiuirten Erbin solang Sie im leben seÿn wird Jährlichen 15 gulden ohnfehlbar Zubezahlen. 2. Joseph Verius dem Schreiner Zu Gebweilller ihrem vetter zu rinem andencken 10 thaler (…) den 24. Augusti Anno 1731.
L’inventaire dessé après la mort d’Anne Marie Verius est connu par le seul répertoire
1733, Not. Hoffmann (Christophe Michel, rép. 65 not 11) n° 1213
Inventarium über weÿland Frauen Annæ Mariæ Straußin gebohrner Veriusin, auch weÿl. meister Johann Diebold Straußen geweßenen Schreiners und burgers alhier nachgelaßener wittib seel. Verlassenschafft
La défunte réglait des impôts pour une fortune de 1 100 florins, davantage que la fortune constatée par inventaire (700 florins). Les préposés de la Taille font figurer la succession dans leur registre parce que les héritiers non bourgeois doivent régler le droit de détraction : la fille de l’apprêteur de tabac Jean Jacques Müller et Anne Marie Verius de Guebwiller, légataire particulière.
1733, Livres de la Taille (VII 1177) f° 229
(Zimmerleuth F. N. 5902) Weÿl. Fr. Annæ Mariæ gebohrner Veriusin auch Weÿl. Johann Theobald Straußen geweßenen Schreiners und burgers alhier Wittiben Verlaßenschafft inventirt H Not. Hoffmann.
Concl. Fin. Inv. ist Fol. 50.b, 363 lb 1 ½ d, die machen 700 fl. Verstallte hiengegen 1100 fl.
Extat kein Stallgeltt pro 1726 mit 2 lb 5 ß
Gebott, 2 ß
Abhandlung, 12 ß 6 d – Summa 14 ß 6 d
Abzug. Weÿl. Johann Jacob Müller geweßenen tabackbereiter und Schirmers alhier Ehel. Tochter hat von angefallenem Erb und prælegat der 22 lb 3 ß gulden Abzug Zu erlegen 2 lb 4 ß 4 s
Joseph Verius der Schreiner und Anna Maria Veriusin Von Gebweÿler Von 15 lb legat 1 lb 10. ß
dt. 11° Aprilis 1733.
La légataire Catherine Müller épouse en 1734 le tisserand en tapis et manant Jean Henri Wehring : contrat de mariage non conservé, célébration
1734, Not. Hoffmann (Christophe Michel, rép. 65 not 12) n° 795
Eheberedung – Johann Heinrich Währing, Carpetenmachers
und Jungfrauen Catharinä Margarethä Müllerin
Mariage, Saint-Thomas (luth. f° 1, n° 2)
Mittwoch d. 14. Jul. 1734. sind nach zweÿmahliger ordentlicher proclamation Vnd außruffung in der Kirch St. Thomæ ehelich copulirt Vnd eingesegnet Worden Johann Heinrich Wehring der Carpeten weber vnd Schirms verwandte alhier Vnd Jungfr. Catharina Margaretha, hanß Jacob Müllers hinterlaßene tochter [unterzeichnet] Johan henrich Währing als hochzeiter, Catharina margaretha millerin als hoch zeiterin (i 2)
Veuf d’Anne Marie Huck, Jean Henri Wehring originaire de Lahr est devenu bourgeois en 1706 en s’inscrivant à la tribu des Drapiers
1706, 4° Livre de bourgeoisie p. 763
Johann Heinrich Weringer V. Lohr, empfangt d. burgerrecht v. s. Fr: Anna Maria Huckin pro 2. Gold fl. V. 16 ß, wird beÿ denen Tucherin dienen, Jur: d. 2. 8.br 1706
Les nouveaux mariés font dresser l’inventaire de leurs apports, connu par le répertoire du notaire.
1734, Not. Hoffmann (Christophe Michel, rép. 65 not 11) n° 1329
Inventarium über Johann Heinrich Währing Carbetten webers und frauen Catharinæ Margarethæ gebohrner Müllerin beeder Eheleuthe und burgere alhier in die Ehe gebrachte Nahrungen
Jean Henri Wehring et Catherine Müller, malade, font leur testament. Catherine Müller institue pour héritière sa sœur Marie Ursule Remig femme de l’apprêteur de tabac Pierre Simon.
1741 (17. Jan.), Not. Hoffmann (Christophe Michel, 19 Not 59) n° 362
Testamentum nuncupativum respective Codicillus reciprocus Mstr Johann Heinrich Wehring des tapetenmachers und Schirmers alhier et uxoris (Expedirt)
Zuwißen seÿe hiemit daß auff Mittwoch den 17. Januarÿ Anno 1742. vormittag zwischen 10 und 11 Uhren in einer alhier Zu Straßburg ane der Tucherstub gelegenen weÿland H Christoph Engelhard geweßenen hutstaffirers und Erben eÿgenthümblich zuständigen behaußung, in der Obern Stuben die fenster auff dem rindshaüter Graben außsehend, der Ehrengeachte Meister Johann Heinrich Wehring tapetenmacher und die Ehren und tugendsahme Catharina Wehringin gebohrne Müllerin beede Eheleuthe und Schirmere alhier, Er der Mann auffrecht gesund gehend und stehenden Leibs, Sie die frau aber Kranckh und unpäßlich dannenhero Zu bett liegend, dannoch aber durch die Gnade Gottes guter Sinnen Vernunfft und Verstandts
3. legirt Sie Hannß Michael Thomann, boßler beÿ denen Metzgern ihrem bruder 100 gulden hiesig courrent
4. legirt sie Christmann Wagner Maurer und Steinhauer ihrem Pfetter zu einem andencken 10 Thaler hiesig courrent
7. Zum Grund und Fundament dießes Testaments setzt eingangs gedachte Frau Catharina Wehringin gebohrne Müllerin die Testatrix in alle übrige ihre Verlaßenschafft was nach abzug Vorher Verordneter legaten und Kundbahre passiv Schulden, annoch vorhanden seÿn wird, benantlichen Mariam Ursulam Simonin, gebohrne Remigin, Peter Simon des Tabackbereiters Zundelmachers und burgers allhier eheliche haußfrau ihre Schwester
+ der frau testantin handzeichen, Johann Heinrich wehring
Inventaire après décès non conservé de Catherine Müller
1742, Not. Hoffmann (Christophe Michel, rép. 65 not 11) n° 1747
Inventarium über Weÿland Frauen Catharinæ Wehringin gebohrner Müllerin, Johann Heinrich Wehring, tapetenmachers und Schirmers alhier eheliche haußfrau seel. Verlassenschafft
Jean Henri Wehring meurt peu après. Sa fille Anne Dorothée demande aux Quinze de réduire le droit de détraction en arguant qu’elle est née à Strasbourg et qu’elle est une pauvre servante qui n’a pas l’intention de quitter la ville. Les Quinze ramènent le droit à régler de 9 florins 4 sols à 3 florins.
1743, Protocole des Quinze (2 R 153)
(p. 45) Sambstag den 16. Februarÿ 1743. – Moss. nôe. weÿl. Joh: Heinrich Wehrings geweßenen Tapissiers und Schirmers allhier tochter Anna Dorothea Wehringin der dienstmagd prod. Unterth. Mem. mit beylagen 1 bbiß 4. pt° Abzugs. Erk. Ober Stall Hrn.
(p. 70) Sambstag d. 23. febr. 1743. – Anna Dorothea Wehringerin pt° Abzugs
Obere Stall Herren laßen per me referiren, daß Weÿl. Johann Heinrich Wehring des gewesenen Tapetenmachers und Schirmers allhier ohnverburgerte Erbin Anna Dorothea Wehringerin in einem den 16. hujus producirten Underth. Memorial sambt beÿlagen sub N° 1. biß 4 gehorsambst Vorgetragen, Wie daß Ihr besag Beÿlag N° 1 der Abzug von ererbtem Vätterlichem Guth mit 9 fl. 4 ß 9 d beÿ E. E. Kleinen Rath angesetzet worden, Sie seÿe aber eine bedürfftige dienstmadg, Welche sich in Ihren diensten nach ausweis derer Schein sub Nis. 2. 3. et 4 wohl Verhalten, und seÿe sie auch gar nicht willens sich von hier weg zu begeben, noch sich an einem anderen Orth Zu Verheurathen als hier in Straßburg, mithien werde nichts Von der quæstionirten geringen Verlaßenschafft aus der Statt hinaus transportirt, Mit demuthiger bitt Mghh. geruhen möchten, den geforderten Abzug wo nicht gar nachzulaßen, jedoch auff ein geringes undt leidentliches in hohen Gnaden Zu moderiren. Welche bitte Sie auß geschehene Weisung wiederhohlet, mit dem beÿsatz, daß Sie hier gebohren, und ane Mütterlichem gar nichts ererbet, Weilen nun Mghh. in dergleichen fällen allezeit die milde Verziehen, auch das ererbte ein geringes, alß wolle man zu denenselben gestellet haben ob Sie dießen Abzug etwa auff dreÿ Guld. moderiren wollen.
Erkandt, wird dießer Abzug auff 3. fl. moderirt.
La maison revient à Marie Ursule Erhard, fille de l’orfèvre Jean Melchior Erhard qui épouse en 1705 le marchand Jean Christophe Engelhard : contrat de mariage tel qu’il est copié à l’inventaire, célébration
Copia der Heuraths Verschreibung – zwischen dem Ehrsam und bescheidene Johann Christoph Engelhard Hutstaffierern Handelsmann, und burgern allhier zu Straßburg, als dem Herrn bräuttigamn ane Einem, So dann der Ehren Züchtig und Tugendsamen Jungfrauen Maria Ursula Erhardin weÿland des Wohl Ehrenvest und Kunstreichen Herrn Johann Melchior Erhardts berühmten Silberarbeiters und burgers allhier zu ermeldem Straßburg, mit der hoch Ehr viel Tugendreichen Frauen Ursula Erhardin gebohrner Lobsteinin Ehelich erzeugter Tochter, als der Jungfer Hochzeiterin am andern theil (…) Und seind dieße ding beschehen und verhandelt in Straßburg Montags den 17. Julÿ Anno 1705 ausfertigt aber den 30. Monats Januarÿ Anno 1734. Johann Marbach Notarius publicus juratus
Mariage, Temple-Neuf (luth. f° 158, n° 1731)
1705 Eodem [Mittwoch den 12. Aug.] Seind nach zweÿmahl. proclamation ehl. copulirt worden H. Joh. Christoph Engelhard, Handelsmann u. burger allhier, und J. Maria Ursula H. Joh: Melchior Ehrhardt gew. b. und Silberarbeiters allhier hinterl. ehel. tochter [unterzeichnet] Johann Christoph Engelhardt als hoch Zeiter, Maria Ursula Erhadin als hochzeiderin, Johann Valentin Baauch Alß Vogt (i 157)
Jean Christophe Engelhard meurt en 1737 en délaissant quatre enfants. L’inventaire est rédigé dans leur maison au Vieux-Marché-aux-Poissons. La masse propre à la veuve est de 1 559 livres. L’actif des héritiers et de la communauté s’élève à 2 219 livres, le passif à 3 069 livres
1738 (16.4.), Not. Lobstein (Jean, 31 Not 48) n° 1116
Inventarium und Beschreibung aller derjenigen Haab, Nahrung und Güethere, so Weÿland der Ehren Vest und wohl Vorgeachten Herr Johann Christoph Engelhard der geweßen Handelsmann und burger allhier Zu Straßburg nunmehr seelig, als derselbe Freÿtags den 6.ten Decembris des Zurückgelegten 1737.ten Jahrs dießes Zeitliche in das Ewige verwechßelt, nach solch seinem aus dießer welt genommenen tödlichen hintritt Zeitlichen verlaßen, Welche Verlaßenschafft auf freundliches ansuchen erfordern und begehren des Verstorbenen Hn seel. mit hernach gemelter seiner hinterbliebenen Frau Wittib ehelich erzielten Hn Sohns und Jungfer Töchtere alß deßelben ab intestato verlaßene Beneficial Erben, auch dero geordneten und geschwornen Curatoris, aller gleich nach dem Eingangs dießes Inventarÿ insonderheit benahmßt, ersucht und inventirt durch die Viel Ehren und Tugendreiche Frau Mariam Ursulam Engelhardin gebohrne Ehrhardin die hinterbliebene Frau Wittib, mit beÿstand des sohl Ehrenvest und Großachtbahren herrn Johann Friderich Lobsteins, Vornehmen Handelsmannls und burgers allhier (…) So beschehen in Straßburg, auff Mittwoch den 10. Aprilis Anno 1738.
Der abgeleibte Herr seelig hat Zu seinen beneficial Erben ab intestato Verllaßen, Wie folgt. 1. Herrn Johann Engelhard, den leedigen Handelsmann, so Majorennis, welcher sich in selbst eigener Persohn beÿ dem Geschäfft eingefunden. 2. Jungfer Mariam Salome Engelhardin, so gleichfalls majorennis und ohnbevögtigt welche beneben Hn Johann Christoph Wurtzen, dem Paßmentirer und Seidehänlder, auch burgern allhier, Ihrer beeden hernach gemelten geschwüsterden Vogt, dem Geschäfft abwartete, 3. Jungfer Mariam Barbaram Engelhardin, und dann 4.to Jungfer Annam Mariam Engelhardin, deren beeden geschwornener Curator Vorgedachter Hr Johann Christoph Wurtz, welcher sich beneben seinen Curanden beÿ dem Geschäfft eingestelt. Also alle Vier des Verstorbenen seelige mit eingangs gedachter einer hinterbliebenen Frau Wittib ehelich erzeugte Kinder und ab intestato Zu vier gleichlingen Stammtheilen Verlaßene Erben
In einer allhier Zu Straßburg ane dem Fischmarck gelegenen und in dieße Verlaßenschafft gehörigen behaußung, befundern worden wie volgt.
Ergäntzung der Frau Wittib abgegangenen ohnveränderten guths. Inhalt Inventarÿ über beeder geweßener Eheleuthe einander vor ohnverändert in den Ehestand Zugebrachtte Nahrungen in Anno 1705. durch nun auch weÿl. H. Johann Heinrich Langen seniorem Notm. publ. und berühmten practicum seel. auffgerichtet
(f° 14) Wÿdembs Verfangenschaft, Welche Frau Catharina Werrigerin geb. Müllerin, Heinrich Werriger des Musicanten und Schirms Verwanthen allh. ehel. haußfrau von weÿl. Fraun Anna Maria Straußin geb. Veriusin auch weÿl. Mr Johann Diebold Straußen des geweßenen Schreiners und burgs. allh. nunmehr seel. nachgelaßener Wittib, nun auch seel. Zeit Lebens zu usufruiren hat.
Es hatt Vorgedachte Frau Anna Maria Straußin gebohrne Veriusin seelige Vorbesagter Frauen Catharinæ Werrigerin Nach Dispositionis Vom 11.ten Octobris 1729. durch Hn Notm. Christoph Michael Hoffmann auffgerichtetet .§pho 2.do Verordnet, daß die dißorts hinterbliebene frau Wittib als deroselben per Testamentum Zur helffte eingesetzte frau Erbin Ihro Frauen Catharinæ Werrigerin so lang Sie im Leben seÿn wird, von der Ihro Fraun Engelhardin prælegirten behaußung ane der tucherstubgaß geleg. jährl. 7. lb 10. ß d Zinß abrichten und bezahlen solle, th. in Capital à 5. pro Cento gerechnet 150. lb
Abzug in gegenwärtig Inventarium gehörig. Der Frau Wittib ohnverändert Vermögen, Sa. haußraths 34, Sa. Silbergeschmeids 4, Sa. guldener Rung 18, Sa. Schulden 100, Erg. Rest 1351, Summa summarum 1709 lb – Schulden 150, Nach solchem abzug 1559 lb
Der Erben ohnverändert und theilbahre Nahrung, Sa. haußraths 105, Sa. Gewerbs wahren 452, Sa. Lährer Vaß 8, Sa. Silber geschirr und Geschmeids 20, Sa. goldener Ring 18, Sa. baarschafft 89, Sa. Eigenthum ane einer behaußung 1524, Summa summarum 2219 lb – Schulden 3069 lb, Passiv onus 851 lb
Conclusio finalis Inventarÿ 1559 lb – Stall Summ 700 lb
Copia Codicilli reciproci – 1706 (…) auff Montag Octobris (…) persönlich erschienen der Ehrenvest und Wohlvorgeacht Herr Johann Christoph Engelhard, Huthstaffierer und Handelsmann undt mit ihme die Viel Ehren und Tugendreiche Fraw Maria Ursula gebohrne Erhardin, beede Eheleuthe und burgere alhier Zu Straßburg, von der Gnade des Grundgütigen Gottes, auffrechter, Gesunder, Gehend: und stehender Leiber, auch guter Verständiger Sinnen und Vernunfft (…) Johann Heinrich Lang
Copia der Heuraths Verschreibung (…) Straßburg Montags den 17. Julÿ Anno 1705 ausfertigt aber den 30. Monats Januarÿ Anno 1734. Johann Marbach Notarius publicus juratus
Marie Ursule Erhard vend la maison au maçon manant Jean Bibernick et à sa femme Anne Madeleine Hottinger
1751 (28.6.), Chambre des Contrats, vol. 625 f° 323
Fr. Maria Ursula geb. Erhardin weÿl. H. Johann Christoph Engelhard des handelsmanns wittib mit beÿstand H. Not. Johann Daniel Langheinrich
in gegensein Johann Bibernick des maurers und schirmers und Annæ Magdalenæ geb. Hottingerin /:zufolg erkanntnus H. Räth und XXI
eine behausung und hoffstatt mit allen deroselben begriffen, weithen, zugehörden und rechten ane der Tucherstub gaß, einseit neben Johann Theurkauff dem kürßner, anderseit neben Johann Wachendorff dem holtzleger, hinten auff den Rindshäutergraben – als ein elterliches guth – umb 830 pfund
Les Conseillers et les Vingt-et-Un autorisent Marie Ursule Erhard veuve du marchand Jean Christophe Engelhard à vendre la maison au maçon manant Jean Bibernick sans dresser d’estimation. La vente sera passée pendant les vacances du Magistrat parce que l’acquéreur a l’intention de faire des travaux avant la mauvaise saison.
1751, Conseillers et XXI (1 R 234)
(p. 79) Montag den 21. Junÿ 1751 – Maria Ursula geb. Erhardin erhalt erlaubnus das ihro zuständige hauß an Johann Bibernick den schirmer dispensatione obtenta von dem augenschein Zu verkauffen, dieser letzter aber also Kauffen Zu dörffen
Roemer n: fr. mariä Ursulä geb. Ehrhardtin weÿl. H. Johann Christoph Engelhardt geweßenen burgers und Handelsmanns alhier hinterl. wittib beÿständlich H. Notarii Johann Daniel Lang Heinrich die bittet E: G: unterthänig ihro gnädig Zu erlauben, das ihro eigenthümlich Zuständige und in der Tucherstubfaß gelegene hauß an Johann Bibernick den schirmer und Maurer umb den preis von 1660 fl. nebst übernahm aller unkosten Verkauffen Zu dörffen und ob instantes ferias und weilen der Kauffer beÿ guter Zeit noch bauen will umb gnädiger dispensation von dem augenschein gnädig Zu willfahren.
Christmann n. gedachten Johann Bibernick der bittet E: G: unterth. also Kauffen zu dörffen et propter allegatas rationes umb gnädige dispensation Von dem augenschein.
Erkandt wird denen Imploranten mit gebettener erlaubnus quæstionirtes Haus also respective umb gemelten preis Kauffen und verkauffen zu dörffen dispensando von dem augenschein Jedoch unter dießem anhang willfahrt, daß der Kauff in Mhhen Cantzleÿ Contractstube in gegenwart H. Rathh. Roederer und H. Rathh. Loger als den dazu verordneten Depp. Solle verschrieben und von denenselben gemeiner statt dißfalls versirendes interesse bester maßen besorgt werden.
Depp. Rathh. Roederer und H. Rathh. Loger
Les héritiers d’Anne Madeleine Hottinger cèdent leurs droits sur la maison au veuf Jean Bibernick qui renonce à l’usufruit de l’habitation
1755 (23.6.), Not. Lobstein (J. Frédéric, 6 E 41, 788) n° 57
Summarische Berechnung und respective Ersuchung Über Weÿland Frauen Annä Magdalenä Bieberickin gebohrner Hottingerin, Johann Biberick des Maurers und Schirms Verwanthen allhier geweßenen eheliche haußfrauen Verlaßenschafft aus dem darüber durch Hn. J. Mathiam Beguin E. E. Kleinen Raths Actuarium gefertigtem Inventario, errichtet
der Erben ohnverändert Vermögen 117 lb
das gemein und theilbahr Guth, hausrath 349 lb, beßerung 25 lb, silbers 49 lb, goldene ringe 46 lb, baarschafft 147 lb (…)
dießenwegen aber ist zwischen sambtlichen Erbs Interessenten und dem hinterbliebenen Wittiber, alle nebst dem Assistenten gleich nach dem Eingang des Inventarÿ umbständlichen bemerckt wißend und wohlbedächtlichen placidirt, verglichen und abgehandelt worden, daß Sie die Erben für sich und Ihren Nachkommen dem Wittiber Ihren Antheil ane der theilbahren Verlaßenschafft, bestehend in hievornen beschriebenen sowohl beweglich als unbewegl. Rubricen, worunter auch wisendenheit die theilbahre behaußung ane der Tucherstubgaß gelegen, begriffen, eigenthümbl. umb Vorhin ausgeworffenen Preiß ohne weitere Ersuchung cedirt, eingeraumbt und abgetretten
Es hat aber beÿ solchen Umbständen der hinterbliebene Wittiber, welcher die hierüberstehende 408 lb 4 ß 2 s solch Zeit lebens nebst dero ohnverändert frauen kleÿdung und weißen Gezeug Zu usufruiren hätte, sich mit denen Erben liebreich dahien Verglichen, daß Er auf den Völligen Genuß freÿwillig renuncire und Ihnen gleichbalden die frauen Kleÿdung und weisen gezeug auslüffern so dann ane statt besagter summ lüffern wolle 377 lb (…)
Hierbeÿ ist ferner erschienen herr Joh. Jacob Jung, der Müller zu Eckbolsheim und burger alhier zu Straßburg, declarirend und sich respective obligirend, daß wann über Kurtz oder lang frau Maria Salome geb. Kiefferin, H. Gottfried Jung des Müllers zu Bischweÿler und burgers allhier Zu Straßburg ehel. hausfrau oder jemand in dero Nahmen dießer Ersuch: Vergleich und Abhandlung auch Cession unter was prætext es auch wäre, besonders so man die Minorennitæt Vorschätzen thät, zu wider handlen oder impugniren wolte, Er H J. Jacob Jung aus seinen Mittlen deßfallls sowohl den hinterbliebenen Wittiber als männiglichen schadloßhalten wolle
Actum Straßburg den 23.sten Junÿ 1755.
Le maçon et tailleur de pierres Jean Bibernick hypothèque la maison au profit du cordeur de bois Jean Wachendœrffer (propriétaire de la maison voisine au sud)
1755 (1.7.), Chambre des Contrats, vol. 629 f° 226
Johann Biberneck der maurer und steinhauer auch schirmer
in gegensein Johann Wachendörffer des holtzlegers – schuldig seÿe 200 lb
unterpfand, eine behausung cum appertinentis ane der Tucherstubgaß, einseit neben dem creditore, anderseit neben Johann Theuerkauff dem kürßner, hinten auff den gerbergraben
Jean Bibernick meurt en 1764 après avoir institué pour héritière testamentaire sa veuve Susanne Theurkauff qui lègue en 1774 ses biens à sa sœur Marie Salomé Theurkauff.
Marie Salomé Theurkauff épouse en 1741 le tonnelier Jean Jacques Bein, fils de tonnelier : contrat de mariage, célébration
1741 (28.3.), Not. Dinckel (J. Raoul, 6 E 41, 425) n° 33
Eheberedung – zwischen dem Ehren und Wohlvorgeachten Herrn Johann Jacob Beinen dem jüngern, Ledigen Kieffer, des Ehren und Wohlvorgeachten Herrn Johann Jacob Beinen des ältern, Kieffers und burgers allhier Zu Straßburg ehelich erzeugtem Sohn, als dem Herrn Bräutigamb ane einem
So dann der Viel Ehren: und Tugendsahmen Jungfrauen Maria Salome Deurkauffin, des Ehren: und Wohlvorgeachten Herrn Johann Deurkauffins, des Kürßners und auch burgers allhier ehelich erziehkter Tochtern als der Jungfrauen hochzeiterin ane dem andern theil
So beschehen in Straßburg, in beÿsein (…) auf Dienstag den 38. Martÿ Anno 1741. [unterzeichnet] Johann Jacob bein, Als hochzeitter, Maria Salome dierkauffin als hochzeiterin
Mariage, Saint-Thomas (luth. f° 34-v n° 172)
1741. Mitwoch den 3. Maii sind nach zweÿmahliger ordentlicher proclamation Vnd außruffung zu St. Thomæ und Nicolai zu St. Thomæ ehelich copulirt Vnd eingesegnet Worden Johann Jacob Bein der Ledige Kieffer Johann Jacob Bein Kieffers u. burgers allhier ehel. Sohn und Jungfr. Maria Salome Theurkauffin, Johannes Theurkauff Kurßners und burgers allhier ehel. tochter [unterzeichnet] Johann Jacob Bein Alß hoch Zeider, Maria Salome deir Kauffin als hoch Zeiderin (i 36)
Les nouveaux mariés font dresser l’inventaire de leurs apports dans une maison au Vieux-Marché-aux-Vins. Les apports du mari s’élèvent à 341 livres, ceux de la femme à 190 livres.
1742 (15.2.), Not. Dinckel (J. Raoul, 6 E 41, 360) n° 106
Inventarium über des Ehren: und Wohlvorgeachten Herrn Johann Jacob Beinen, des Jüngern Kieffers und der Viel Ehren: und Tugendsahmen Frauen Mariä Salome Beinin, gebohrner Deurkauffin, beeder Eheleuthe und Burgere allhier Zu Straßburg einander für ohnverändert in den Ehestand zugebrachte Nahrungen, auffgerichtet Anno 1742. – der ursachen, alldiewelen in Ihr beeder Eheleuthe mit einander auffgerichteten heuraths Verschreibung expressé enthalten, daß eines Jeeden in die Ehe bringende nahrung reservirt und ohnverändert seÿn und bleiben solle (…) So beschehen in Straßburg in fernerem beÿsein des Ehren: und Wohlvorgeachten Herrn Johann Deurkauffs, des Kürßners und burgers allhier, der Ehefrauen eheleiblichen Vaters auf Donnerstag den 15. Februarÿ Anno 1742.
In einer allhier Zu Straßburg ane dem alten Wein Marck gelegenen von beeden Eheleuthen dermahlen Lehnungs Weiß bewohnenden behaußung befunden worden wie folgt
Series rubricarum hujus Inventarÿ. Des Manns in die Ehe gebracht Vermögen, Sa. haußraths 59, Sa. Werckzeugs, auch holtz, Reiff und band Zum Kieffer handwerck gehörig 78, Sa. Silbergeschmeids 7, Sa. baarschafft 29, Sa. Gülth von liegenden güthern 25, Sa. schuld 116, Summa summarum 317 lb – Hierzu Kombt nun ferner der halbe theil ane denen Verehrten haussteuren 23, des Manns Völlig in die ehe gebrachte Guth 341 lb
Solchemnach Wird nun auch der Frauen in die Ehe gebrachte Nahrung beschrieben, Sa. haußraths 121, Sa. Silber geschirr und Geschmeids 9, Sa. goldener Ring 8, Sa. der Baarschafft 28, Summa summarum 166 lb – Dazu gelegt die Helffte ane denen verehrten Haussteuren 23, Trifft demnach der Frauen völlig in die Ehe gebracht Vermögen in allem dem bilichen Werth nach an 190 lb
Jean Jacques Bein et Marie Salomé Theurkauff font dresser un état de leurs biens obérés de dettes pour que la femme puisse demander le bénéfice de cession. L’inventaire est dressé dans leur maison au Bain-aux-Plantes. La femme est propriétaire des deux maisons rue des Drapiers qui proviennent l’une de son père et l’autre de sa sœur. La masse propre à la femme s’élève à 1 437 livres. L’actif du mari et de la communauté est de 1 423 livres, le passif de 1 597 livres.
1781 (22.6.), Not. Heus (Phil. Fréd. 6 E 41, 1485) n° 66
Inventarium über Meister Johann Jacob Bein, des Kiefers und Fraun Mariä Salome gebohrner Theurkaufin, beeder Eheleuthe und Burgere allhier Zu Straßburg dermalen besitzende Activ: Nahrungen und hingegen wieder zu bezahlen habende Passiv Schulden. Auffgerichtet in anno 1781. – auf Ansuchen und begehren erstgedachter Ehefrauen, beiständlichen Hn Samuel Hetzels des Rothgerbers und Burgers allhier angesehen dieselbe sich genöthiget findet, wegen obhandenen Schulden Lasts, um ihr weiblich Recht gehöriger Orten geziemend einzukommen, fleißig inventirt – So beschehen in der Königlichen Stadt Straßburg den 22.ten Junÿ Anno 1781.
In einer allhier Zu Straßburg ane dem Pflantz baad gelegener in dieße Nahrung gehöriger behaußung ist befunden worden als
Eigenthumb ane Behaußungen. Nemlichen eine Behaußung und Hoffstatt mit allen deroselben Gebäuen, Begriffen, Weiten, Zugehörden, Rechten und Gerechtigkeiten gelegen allhier Zu Straßburg ane der Tucher Stub Gaß, I.s. neben nachbeschriebener Behaußung, 2.s. neben Weiland Johannes Riß des geweßten Seßelmachers und burgers allhier hinterlassener Wittib und Erben, hinten auf dem Rindshäuter Graben stoßend, so leedig und eigen, hiehero ohnpræjudicirlich æstimirt pro 350 lb. Hierüber besagt ein teutscher pergamentener Kauffbrieff in allhießiger Cantzleÿ Contract Stub gefertiget, und mit deroselben anhangenden Innsiegel verwahret, de dato 6. Augusti Anno 1717. Sothane behaußung hat die dießorts Ehefrau bei weiland H. Johann Theurkauf des geweßten Kirschners und burgers allhier ihres Vatters seel. Verlaßenschafft in anno 1774. als universal Erbin eigenthümlichen erhalten.
(F.) Item eine Behaußung und Hoffstatt mit allen deroselben Gebäuen, Zugehörden, Rechten und Gerechtigkeiten gelegen allhier Zu Straßburg, ane der Tucherstub Gaß, I.s. neben vorbeschriebener Behaußung, 2.s. neben weiland Johann Wachendörfers des geweßten Holtzlegers hinterlassener Wittib und Erben, hinten auf den Rindshäuter Graben stosend, so leedig und eigen, hiehero ohnpræjudicirlichen æstimirt vor 350 lb. Darüber ist vorhanden ein teutscher pergamentener Kauffbrieff mit der Stadt Straßburg anhangendem Cantzleÿ Contract Innsiegel verwahrt, dedato 28.ten Junÿ anno 1751.. Sothane behaußung hat die dißorts Ehefrau bei weÿl. Frauen Susannæ Bibernickin gebohrner Theurkaufin, auch weiland H Johann Bibernick, des gewesten Gimpelkäuflers und burgers alhier nachgelaßener Wittib dero Schwester, nun auch seeligen Verlaßenschaft in anno 1774. als geweßter universal Erbin erb eigenthümlichen erhalten
(T.) Item eine Behaußung, Hoffstatt, Höflein und Bronnen, mit allen übrigen dero Gebäuen, begriffen, Weiten, Rechten und Gerechtigkeiten allhier in der Pflantz baader Gaß, gegen dem Pflantz baad über gelegen, 1.s. neben H. Baldner dem Eisenhändler, 2.s neben Meister Churé, dem Schreiner hinten auf die Schöppqueische Erben stosend so auser dem darauf haftenden hienach passivé eingetragenen Capital leedig und eigen, hiehero ohnpræjudicirlichen æstimirt vor 900 lb. Hierüber besagt ein teutscher pergamentener Kauffbrieff aus allhießiger Cantzleÿ Contract Stub gefertiget, mit deroselben anhangendem grösern Insiegel verwahrt, sub dato 12.ten Septembris 1766. Sothane behausung haben dießorts beede Eheleuthe von weiland Johann Jacob Ratz, geweßenen Schneiders und burgers allhier hinderlaßener Wittib und Erben ane sich erkauft.
Ergäntzung der Ehefrauen wehrender Ehe abgegangener unveränderten Vermögen, durch nun weiland H. Notarium H. Rudolph Dünckel den 15.ten Februarÿ anno 1742. auffgerichteten Inventarÿ
Series Rubricarum hujus Inventarÿ, Copia der Eheberedung
Der Ehefrauen unveränderten Vermögens, Sa. haußraths 68, Sa. Silbers 16, Sa. Goldener Ring 8, Sa. Eigenthums ane behaußungen 730, Sa. Activ: Schuld 37, Sa. Ergäntzung 756, Summa summarum 1587 lb – Schulden 150 lb, Verbleibt 1437 lb
Dießemnach wird auch des Ehemanns unverändert und theilbare Nahrung und Zwar wegen allzuviel vorhandenen Passiv: Schulden unter einer Massa beschrieben, Sa. haußraths 192, Sa. leeder Faß 30, Sa. Silbers 6, Sa. Goldener Ring 1, Sa. Kleidung 17, Sa. Werckzeug und Waar Zum Kiefer Handwerck gehörig 15, Sa. Eigenthums an einer behaußung 900, Sa. Pfenningzinß hauptguth 350, Summa summarum 1423 lb – Schulden 1597 lb,Compensando 183 lb
Copia der Eheberedung (…) 1741, Johann Rudolph Dinckel Notarius publicus
Marie Salomé Theurkauff meurt en 1782 en délaissant trois enfants. Les experts estiment chacune des maisons rue des Drapiers à 400 livres. La masse propre aux héritiers s’élève à 1 505 livres. L’actif de la communauté et du veuf s’élève à 713 livres, le passif à 1 355 livres
1782 (18.1.), Not. Heus (Phil. Fréd. 6 E 41, 1485) n° 73
Inventarium über Weiland der Viel Ehren und tugendsahmen Fraun Mariæ Salome Beinin gebohrner Theurkauffin, H. Johann Jacob Bein Senioris, des Kiefer Meisters und Weinhändlers auch burgers allhier Zu Straßburg geweßter Ehefraun nunmehr seel. Verlaßenschafft auffgerichtet in Anno 1782. – nach Ihrem Sambstags den 5.ten Januarÿ dieses laufenden 1782.sten Jahrs aus dießer Welth genommenen tödtlichen Hientritt, hie Zeitlichen verlaßen, Welche Verlaßenschafft auf geziemendes ansuchen und begehren erstbesagten H. Johann Jacob Bein des Hinterbliebenen Wittibers, wie auch derer gleich nach dem Eingang dieses Inventarii in specie benahmster Kinder und Erben (…) So beschehen in der Königlichen Stadt Straßburg auf Freÿtag den 18.ten Januarÿ Anno 1782.
Die Verstorbene seel. hat mit Eingangs gemeltem Hinterbliebenen Wittiber nach benannte Kinder Ehelich erzogen und ab intestato Zu ihren Erben Verlaßen wie folgt, als 1° Lt. Herrn Johannes Bein, Philosophiæ Magister und des Ehrwürdigen Seminarii Ecclesiastici allhier wohlverdienten mitglied, welcher diesem Geschäfft persönlich beÿgewohnt, 2° H. Johann Jacob Bein, Juniorem, Kiefer Weinhändler und burger allhier, so sein interesse beÿ dieser Inventur observirte, 3° Jungfrau Catharinam Salome Beinin, so 27. Jahr alt und 4. Jungfrau Annam Mariam Beinin, so 25. Jahr alt, Welche beede letztere unter assistentz H. Johann Friderich Edel, des Goldarbeiters und burgers allhier, solchem Geschäfft abgewartet. Alle vier Zu gleichen portionen und antheilern Verlaßene Erben.
In einer alhier Zu Straßburg in der Pflantzbaader Gaß gelegener in diese Verlaßenschafft gehöriger und hiernach beschriebener Behausung befunden worden wie folgt.
Eigenthum ane Behaußungen (E.) Erstl. eine Behaußung und Hoffstatt, mit allen deroselben Gebäuen, Begriffen, Weiten, Zugehörden, Recht und Gerechtigkeiten, gelegen allhier Zu Straßburg ane der Tucherstub Gaß, einseit neben nachbeschriebener Behaußung, anderseit neben weil. Johannes Riß, des geweßten Seßelmachers und burgers allhier hinterl. Wittib und Erben, hinten auf dem Rindshäuter Graben stoßend, so freÿ leedig und eigen, und durch (die Werckmeistere) laut deren gelieferten und beÿ mein Notarii Concept befindlichen Abschatzung Zeduls vom 15. juius Januarÿ 1782 angeschlagen worden pro 800 fl. oder 400 lb. Hierüber besagt ein teutscher pergamentener Kauffbrieff in allhiesiger C. C. stub gefertiget, und mit deroselben anhangendem Innsiegel verwahret, de dato 6. Aug. 1717. Sothane behaußung hat die dießorts defuncta beÿ weil. H. Johann Theurkauf, des geweßten Kirschners und burgers allhier ihres Vatters seel. Verlaßenschafft in A° 1774. als universal Erbin eigenthümlichen erhalten.
(E.) Item eine Behaußung und Hoffstatt, mit allen deroselben Gebäuen, Zugehörden, Recht: Zugehörden und Gerechtigkeiten, gelegen allhier Zu Straßburg, ane der Tucherstub Gaß, einseit neben vorbeschriebener Behaußung, anderseit neben weil. Johann Wachendörfers des gew. Holtzlegers hinterl. Wittib und Erben, hinten auf den Rindshäuter Graben stoßend, so freÿ leedig und eigen, und durch (die Werckmeistere) Zufolg deren gelieferten und beÿ mein Notarii Concept befindl. Abschatzung Zeduls vom 15. Januarii 1782 angeschlagen worden pro 800 fl. oder 400. lb. Darüber ist vorhanden ein teutscher perg. Kaufbrief mit der Stadt Straßburg anhangendem C. C. Insiegel verwahrt, de dato 28.t Junÿ 1751. Solche behaußung hat die dißorts defuncta beÿ weil. Frauen Susannæ Bibernickin geb. Theurkaufin, auch weil. H Johann Bibernick, des geweßten Gimpelkäuflers und burgers alhier nachgelaßener Wittib, dero Schwester, nun auch seel. Verlaßenschaft in anno 1774. als geweßte universal Erbin Erb eigenthümlichen erhalten.
(T.) Item eine Behaußung, Hofstatt, Höflein und Bronnen, mit allen übrigen dero Gebäuen, begriffen, Weiten, Rechten und Gerechtigkeiten, allhier in der Pflantzbaader Gaß, gegen dem Pflantzbaad über gelegen, einseit neben H. Baldner dem Eisenhändler, anderseit neben Mr Juré, dem Schreiner, hinten auf Meister Schätzel, dem Schuhmacher stosend, so auser dem darauf haftenden hienach passivé eingetragenen Capital leedig und eigen, und durch (die Werckmeistere) Crafft deren gelieferten und beÿ mein Notarii Concept befindl. Abschatzung Zeduls vom 15. Januarii 1782. æstimirt pro 900 fl. oder 450 lb. Wie sothane behaußung die dißorts geweßte beede Eheleute von weil. Johann Jacob Ratz gew. Schneiders und burgers alhier hinterl. wittib und Erben Kauflichen an sich gebracht, besagt ein teutscher perg. Kaufbrief aus allhießiger C. C. stuben gefertiget und mit deroselben anhangendem Insiegel verwahrt, sub dato 12.t Septembris 1776.
Ergäntzung der Erben währender Ehe abgegangenen unveränderten Guths. Zufolg des über eingangs gemelter beeder geweßter Ehe Persohnen einander für ohnverändert in die Ehe Zugebrachte Nahrungen durch nun Weÿl. H. Notarium Johann Rudolph Dinckel den 15. Februarii 1742 auffgerichteten Inventarii
Series Rubricarum hujus Inventarÿ, Copia der Eheberedung
Der Erben unveränderten Vermögens, Sa. haußraths 69, Sa. Silbers und dergleichen Geschmeids 4, Sa. Goldener Ring 8, Sa. Eigenthums ane behaußungen 800, Sa. Schuld 37, Sa. Ergäntzung 756, Summa summarum 1676 lb – Schulden 170 lb, Verbleibt 1505 lb
Dießemnach wird auch des Wittibers Ohnverändert und theilbares Vermögen und Zwar wegen vorhandenen Schulden last unter einer Massa beschrieben, Sa. haußraths 106, Sa. Silbers 17, Sa. baarschafft 75, Sa. Eigenthums ane einer behaußung 450, Sa. Schulden 50, Summa summarum 713 lb – Schulden 1355 lb, Detrahendo 641 lb
Summa von der Defunctæ gestiffteter Prælegaten, auch Ehesteur æquivalents, thut 625 ln, Deducendo verbleibt 238 – Conclusio finalis Inventarÿ 864 lb
Copia der Eheberedung (…) 1741, Johann Rudolph Dinckel Notarius publicus
Copia Codicilli clausi – ich Salome Beinin gebohrne Teurkauffin Meister Johann Jacob Bein des Kiefers, und weinhändlers auch burgers allhier Ehefrau (…) So geschehen in der Königlichen Stadt Straßburg auf Donnerstag den 2. Tag des Monats Maÿ im Jahr Christi 1766
Copia Nach Disposition (…) auf Freÿtag den 28. tag Novembris Anno 1777
Abschatzung Von 15.t jenner 1782. Aug begeren Herr johann javon Bein dem Kieffer Meister ist Eine behausung alhie in der statt strasburg in der tucherstub gaß gelegen
$ 6456
Der Zweÿte begriff ist auch alhie in der statt strasburg in der tucherstub gaß gelegen Ein seÿts neben den Erben selbsten anderer seÿts neben Meister adolff dem Mehlman und Hinten auf den gerber graben stosend gelegen solche behausung besteht in dreÿ stuben dreÿ Kuchen und Etlichen Kamren darüber ist der dachstuhl mit breidzigel belegt hat auch Ein getremter Keller Vor und um Acht hundert gulden
Der dritte begriff ist auch alhie in der statt strasburg am pflantzbad gelegen Ein seÿts neben Meister Baldner dem Kieffer anderer seÿts neben Meister schure dem schreiner und hinten auf Meister schetzel dem schuhmacher, stoßend gelegen solche behausung bestehet in fünff stuben fünff Kuchen und Etlichen Kammeren, ferner befindet sich Eine stallung darüber seÿn die dachstühl mit breidziegel belegt, Hat auch Ein getremter Keller Hoff und brunen. Von uns unterschriebenen der satatt strasburg geschwohrenen Werckmeister und Vorhero geschehener besichtigung mit aller jhrer gerechtigkeit dem jetzigen wahren werth nach Estimirt und angeschlagen worden Vor und um Neun Hundert gulden [unterzeichnet] Hueber, Kaltner WMstr.
Cession von der in sothane Verlaßenschafft gehörigen behaußung in der Pflantzbader Gaß allhier gelegen (…)
Les préposés de la Taille font figurer la succession dans leur registre parce que les impôts acquittés étaient calculés d’après une fortune sous-évaluée de 700 florins (350 livres) sur un total de 1 700 florins
1782, Livres de la Taille (VII 1180) f° 308
(Kieffer N. 5306) Weÿl. Fr. Mariæ Salome geb. Theurkauffin Johann Jacob Bein Sen. des Kieffers und burgers allhier gew. Ehefrau Verlaßenschafft invent. H Not. Heuß
Concl. Final Invent. Ist fol. 211.b, 864 lb 2 ß 3 d, die machen 1700 fl. Verstallte 1000 fl. allso Zu wenig 700 fl.
Weilen aber der Verstorbene bis ad annunc. 1781. 1500. fl. Verstallte so wird der nachtrag ein Vor 6 Jahr in duplo a 12 ß, 3 lb 12 ß
und 4 Jahr in simplo, 1 lb 4
Ext. Stallgeldt 1782. 2 lb 17 ß
Gebott, 2 ß
Abhandlung, 1 lb 12 ß 6 d – Summa 9 lb 7 ß
dt. 22. Aprilis 1782
Les héritiers exposent infructueusement les deux maisons contiguës aux enchères.
1782 (18.1.), Not. Heus (Phil. Fréd. 6 E 41, 1485), Joint au n° 73 du 18 Janv. 1782
Auf Ansuchen Weiland Fraun Mariæ Salome Beinin, gebohrner Theurkauffin, H. Johann Jacob Bein Senioris, des Kiefer Meisters und burgers allhier Zu Straßburg geweßter Ehefraun hinterlaßener Vier Kinder und Erben, Nahmentlichen S. T. H. M. Johannes Bein, Pfarrers beÿ der Evangelischen Gemeinde Zu Goxweiler und Burckheim, H. Johann Jacob Bein, Junioris, Kiefers Weinhändlers, Fraun Annæ Mariæ geb. Beinin, H. Johann Andreas König des Kiefers Ehefraun, unter assistentz und Verbeÿstandung erstgedacht ihres Ehemanns, So dann Jungfrauen Catharinæ Salome Beinin der Großjährigen, unter assistentz obgedachten H. Pfarrer Beins, ihres bruders, sambtlicher burgere allhier
wurde die ihnen als ohnvertheilt eigenthümlich zuständige und von bemelt ihrer Mutter seel. ererbte in der Tucherstubgaß allhier neben einander gelegenene behaußungen sambt Zugehörden, davon die eine einseit neben Weiland Johannes Riß, geweßten Seßelmachers und burgers allhier hinterlaßener Wittib und Erben, anderseit neben nachbeschriebener Behaußung und hinten auf dem Rindshäuter Graben stoßend,
die andere aber, einseit neben vorbeschriebener Behaußung, anderseit neben Weiland Johannes Wachendörfers, des geweßten Holtzlegers hinterlaßener Wittib und Erben, und hinten auch auf den Rindshäuter Graben stoßend, so freÿ leedig und eigen, heut dato Dienstags den 31. Augusti Anno 1784. in der Schreibstuben abe der von mir unterschriebenem Notario dermalen Lehnungsweiß bewohnenden behaußung ane dem Gerber Graben allhier gelegen, Nachmittags um 2 Uhr (…) offentlich ausgeruffen worden (…) ausgebotten für die summ von 1300.fl.
Weilen aber niemand Zugegen gewesen der einige Mise darauff thun wollen, als wurde (…) die Zweite Versteigerung sothaner beeden behaußungen auf heut über 14. täg als Dienstags den 14.ten Septembris 1784. und Zwar in der Gast Stuben auf E. E. Zunfft der Gerber alhier Nachmittags um 2 Uhr Vorzunehmen, Verlegt. Straßburg den 31. Augusti 1784.
Dienstags den 14.ten Septembris 1784. (…) Weilen aber Wieder niemand Zugegen gewesen der einige Mise darauff thun wollen, als wurde (…) die dritte Versteigerung sothaner beeden behaußungen biß und solang sich Liebhaber dazu finden werden, remittirt und ausgesetzt.
Anne Marie Bein hypothèque sa part de maison au profit de l’orfèvre Jean Louis Œttel.
1784 (23.1.), Chambre des Contrats, vol. 658 f° 22-v
Jfer Anna Maria Beinin großjährigen alters unter assistentz Johann Jacob Bein des kieffers ihres bruders
in gegensein H. Johann Ludwig Oëttel des goldarbeiters – schuldig seÿe 600 gulden
unterpfand, den ihro als ererbt zuständigen vierten theil vor unvertheilt von und ane zwo nebeneinander stehenden in der Tucherstueb gelegenen behausungen,
weiters den vierten theil vor unvertheilt von und ane einer im Pflantzbad stehende behausung samt zugehörden
Les enfants et héritiers Bein vendent les deux maisons au teinturier célibataire Jean Michel Braunwald moyennant 1 300 livres : vente provisoire devant notaire, acte définit à la Chambre des Contrats
1784 (7.10.), Not. Heus (Phil. Fréd. 6 E 41, 1490) n° 41
Interims Kauf – S.T. H. M Johannes Bein Pfarrer beÿ der Evangelischen Gemeinde zu Goxweiler und Burckheim, ferner frau Anna Maria geb. Beinin H. Johann Andreas Königs des Kiefers Ehefrau und Jungfrau Catharina Salome Beinin die Großjährige unter assistentz obgedachten H. Pfarrer beins ihres bruders, So dann H. Johann Jacob bein Junior Kiefer und Weinhändler
in gegensein H Johann Michael Braunwald dem leedigen Großjährigen Schwartz und schönfärbers
benandlichen zwo in der tucherstubgaß neben einander gelegene behaußungen samt zubehörden, davon die eine einseit neben weÿl. Johannes Riß geweßten Seßelmachers Wittib und Erben anderseit neben nachbeschriebener behaußung und hinten auf den Rindshäutergraben stoßend,
die andere behaußung aber einseit neben Weÿl. Johannes Wachendörfers des holtzlegers Wittib und Erben und hinten auf den Rindshäuter Graben, ihnen Verkäufer als ein von weÿl. Fraun Maria Salome Beinin geb. Theurkauffin H. Johann Jacob Bein senioris Ehefrauen ihrer Mutter seel. errbtes Guth eigenthümlich zuständig – um 2600 gulden
1785 (19.2.), Chambre des Contrats, vol. 659 f° 82
H. Philipp Jacob Dahler der ledige handelsmann vor und innahmen H. M. Johann Bein Pfarrers der evangelischen gemeinde zu Goxweiler und Burckheim und Fr. Maria Anna geb. Beinin, Johann Andreas König des kieffers Ehefrau, Jfer Catharina Salome geb. Beinin ledigen standts aber großjährigen alters, Johann Jacob Bein des kieffers weinhändlers
in gegensein Johann Michael Braunwaldt ledig aber großjährigen alters des schwartz und schönfärbers
zwo behausungen samt hoffstätten mit allen deren begriffen, weithen, zugehörden, rechten und gerechtigkeiten ane der Tucherstubgaß nebeneinander, einseit neben weÿl. Johann Riß des seßelmachers wittib und erben, anderseit neben nachbeschriebener behausung, hinten auf den Rindshäutergraben
die andere behausung aber einseit neben vorbeschriebener behausung, anderseit neben Johannes Wachendörffer des holtzlegers wittib, hinten auf den Rindshäutergraben – um 2600 gulden
Fils de teinturier, Jean Michel Braunwald épouse en 1784 Marie Madeleine Guthmann, fille de tonnelier : contrat de mariage d’après lequel le futur époux lègue à la future épouse la jouissance viagère de sa maison rue des Drapiers, célébration
1785 (1.2.), Not. Lederlin (6 E 41, 911) n° 82
(Eheberedung) Herr Johann Michael Braunwald, der leedige Kunst und Seidenfärber, Weiland H Johann Michael Braunwald, gewesten Färbers und burgers dahier, mit Fraun Catharina Barbara gebohrner Lutzingin seiner geweßten Ehegattin und hinterlassener Wittib ehelich erzeugter Sohn, beÿständlichen erstgedachter seiner geliebten Mutter und Herrn Georg Friderich Braunwald des auch Kunstfärbers und burgers hieselbst, seines Leiblichen bruders als Hochzeiter ane Einem,
So dann Jungfrau Maria Magdalena Gutmännin, Herrn Johann Daniel Gutmann Kieffer meisters und Weinhändlers und Frauen Mariæ Magdalenæ gebohrner Schellin beeder Eheleuthe und burgere dahier ehelich erzeugte tochter und Assistenz erstgedachter ihrer geliebten Eltern und Herrn Johann Daniel Schell des Sattler meisters und burgers dahier ihres Großvatters als braut ane dem andern theil
Siebendens, hat der brautigam seine Jgfr. braut da er Vor ihro versterben solte, dergestalten mit widem gedacht, daß wann derselbe vor ihro es geschehe gleich mit oder ohne Verlaßung Kinder versterben solte, dieselbe berechtigt seÿn solle seine beede erst kurtzen an sich erkaufte behaußungen gelegen allhier zu Straßburg ane der Tucherstubgaß einseit neben Mstr. Riß dem Seßelmacher anderseit neben Meister Adolph dem Meelhändler, vornen auf die Gaß und hinten auf den Gerber: oder Rindshäutergraben stoßend, so außer deenen darauf hafftenden Passiv Capitalien freÿ leedig und eigen, beneben dem samtlichen zur Färbereÿ gehörigen Groß und Kleinen Schiff und geschirr, was namen solches immer haben mag, und zu gemeldter Profession gehörig – So geschehen alhier in Straßburg auf dienstags den 1. Februarÿ Anno 1785 [unterzeichnet] Johann Michael braun wald, Maria Magdalena Gutmännin
Mariage, Saint-Guillaume (luth. f° 170-v)
Im Jahr 1785, dominica Exaudi et Fest. Pentecost. als den 8. und 15. Maÿ seind in unserer Kirche Zu St Wilhelm Ordnungs mäßig ausgerufen und Montag den 16. ejusdem ehelich eingesegnet worden, Johann Michael braunwald, der ledige Schwartz: und Schön: Ferber allhier, weÿl. Johann Michael Braunwald des gewesenen Schwartz: und Schön: Ferbers auch burgers allhier mit Catharina Barbara Lutzingin ehelich erzeugter Sohn, und Jungfer Maria Magdalena Gutmännin Johann Daniel Gutmann, hiesigen Kiefers und burgers mit Maria Magdalena Schollin ehelich erzeugte Tochter [unterzeichnet] Johann Michael Braun wald als hochzeiter, Maria Magdalena Gutmänin als Hichzetzein (i 174) – proclamation, Saint-Pierre-le-Jeune (luth. f° 191) den 16. Maji 1785
Les nouveaux mariés font dresser l’inventaire de leurs apports dans la maison propre au mari. Les apports du mari ne sont pas entièrement estimés, ceux de la femme s’élèvent à 474 livres.
1785 (4.6.), Not. Lederlin (6 E 41, 907) n° 300
Inventarium über Herrn Johann Michael Braunwald des Kunst und Seidenfärbers und Frauen Mariæ Magdalenæ gebohrner Gutmännin, beeder Eheleuthe und Burgere dahier zu Straßburg einander in den Ehestand eingebrachte Nahrungen, auffgerichtet Anno 1785. – und sich vermög der vor mir Notario den 1.ten Februarii diesßes 1785. Jahrs errichteten Eheberedung für unverändert vorbehalten haben (…) auf freundliches Ansuchen Erfordern und Begehren ihr der beeden Eheleuthe selbsten, und Zwar Sie die Frau beÿständlichn Herrn Johann Daniel Guthmanns, des Kieffermeisters, Weinhändlers und burgers dahier ihres geliebten Vatters (…) So beschehen allhier Zu Straßburg auf Sambstag den 4.ten Junii Anno 1785.
In einer allhier Zu Straßburg ane der Tucher Stub Gaß gelegenen dem Ehemann eigenthümlich Zuständigen behausung folgender maßen sich befunden als
Eigenthum ane einer behausung. (M.) Zwo behausungen gelegen alhier zu Straßburg an der Tucherstubgaß einseit neben H. Roß dem Seßelmacher, anderseit neben Adolph Meelhändler, vornen auf die Gaß, hinten auff den Gerber oder Rindshäuter graben Ziehend, so auser den darauf hafftenden Capitalien ledig eigen, beneben dem samtlichen Zur Färbereÿ gehörigen grosen und kleinen Schiff und geschirr, so der Ehemann Vermög der in vormaliger Contract Stub den (-) passirten Kaufverschreibung an sich gebracht hat für (-)
Series Rubricarum hujus Inv. Des Ehemanns in die Ehe gebrachten unveränderten Vermögens, Sa. Hausraths 25, Sa. Werkzeugs zur Färbereÿ gehörig 45, Sa. Silbers 18, Sa. Eigenthums ane einer behausung (-), Summa summarum (-) – Schulden (-)
Solchemnach wird auch der Ehefrau Vermögen beschrieben, Sa. Hausraths 217, Sa. Silbers 7, Sa. Golds 25, Sa.baarschafft 158, Summa summarum 409 lb – Dazu gelegt die eine Helffte derer Haussteuren 65, der Ehefrau vermögen 474 lb
Les héritiers du dessinateur Antoine Prior font vendre des effets mobiliers devant la maison
1791 (28.9.), Not. Übersaal (6 E 41, 660) n° 324
Verkauf und Erloeß: Register über Diejenigen Mobilien, welche weiland Antoni Prior der gewesene Dessinateur alhier so den 1. Augusti 1791. verstorben, hinterlassen hat und auf Ansuchen desselben hinterlassener Erben und respective Vögte heute Dienstags den 27. Septembris 1791. vor einer ane der Tucherstubgaß gelegenen, Herrn Johann Michael Braunwald, dem Färber und Burger alhie Zuständigen Behausung N° 15
Summa des heutigen Erlöses ist, 120 fl.
Vor Uns dem Friedensrichter des Zweiten Gerichtsbezircks der Gemeine Zu Straßburg erscheinen Johann Georg Brisacher der reebmann von Bernhardsweiller als curator Antoni Prior des ledigen steinhauers so 24 und Joseph Prior so 22 jahr alt beede weil. Antoni Prior dessinateur so den 1. hujus verstorben in zweiter Ehe mit weil. Odilia geb. Siedel erzielten kinder, welche vorgetragen daß der verstorbene Antoni Prior einen Enckel von 1. ehe von weil. Catharina geb. Renchin herrührend hinterlassen nahmens Johann Baptist Mohr so 12 jahr alt – den 27. Augusti 1791, (nomination du curateur)
Marie Madeleine Guthmann meurt en 1825 en délaissant deux enfants. La maison sise 15, rue des Drapiers ne figure pas à l’inventaire puisqu’elle est un bien propre au mari
1825 (5.9.), Strasbourg 7 (71), Me Stoeber n° 8431
Inventaire de la succession de Marie Madeleine Gutmann épouse de Jean Michel Braunwald, teinturier décédée le 22 mars dernier, à la requête de 1. Charles Guillaume Braunwald majeur teinturier, 2. Caroline Braunwald majeure, seuls et uniques héritiers de leur mère, 3. Sr Braunwald veuf, commun en biens par le contrat de mariage passé devant Me Lederlin le 1 février 1785
dans la maison mortuaire rue des Drapiers n° 15
communauté mobilier 461 fr, indemnité 1500 fr, récompense 4000 fr
maisons, 1. une maison avec petite cour, appartenances et dépendances sise à Strasbourg rue des Drapiers n° 19, d’un côté les héritiers Roser, d’autre M. Notheisen marchand épicier, derrière la propriété de M. Kammerer brasseur – acquis des héritiers Koberstein, occupé par le Sr Lang cordonnier locataire principal pour 250 fr, estimée 5000 fr – acquise par M Braunwald veuf des enfants mineurs de Jean Geoffroi Klingelmeyer procréés avec Anne Marguerite née Braun par adjudication définitive devant la justice de paix du second arrondissement de la commune de Strasbourg en date du 19 ventose 7 homologuée par jugement du tribunal civil le 9 floréal suivant
2. une maison ayant écurie, remise, grenier à foin, magasin à bois et atteliers, cour, appartenances et dépendances sise Strasbourg rue du Foulon n° 21, d’un côté le Sr Schwartz cordonnier, d’autre formant le coin de ladite rue, derrière une maison appartenant à la veuve Fournier, occupée par le Sr Braunwald, estimée à un revenu de 1200 fr, en capital 24 000 francs – elle avait appartenu par indivis à 1. Joseph Louis Pezé militaire en retraite, 2. Marguerite Pezé épouse de François Umhoefer, peintre, 3. Louis Antides Pezé, majeur absent représenté par Jean Frédéric Grimmer, notaire, en qualité d’héritiers bénéficiaires de Nicolas Louis Pezé ancien négociant. Les titres élablissant la propriété de M Pezé, 1. Chambre des Contrats le 29 septembre 1788, 3. adjudication devant Me Zimmer le 11 février 1811, Inventaire dressé par Me Ubersaal le 21 août 1811, Braunwald a acquis ladite maison par adjudication définitive au Tribunal Civil de Première Instance par licitation, transcrite au bureau des hypothèques de Strasbourg volume 64 n° 33 le 7 janvier suivant
total 34 961 francs, passif 15 302 francs
propre, don matutinal 300 fr, remploi dû aux héritiers 7896 fr, garde robe 185 fr (et remploi dû au veuf 2000 fr)
un jardin de 20 ares hors la porte des Pêcheurs 2000 fr, total 10 381 francs
Enregistrement, acp 174 F° 153 du 6.9.
Jean Michel Braunwald meurt en février 1827. Lors de la liquidation, la maison qui lui était propre revient à sa fille Caroline.
1827 (14.7.), Strasbourg 9 (anc. cote 53), Me Hickel n° 2547
Liquidation et partage – Charles Guillaume Braunwald teinturier, Caroline Braunwald majeure asssitée de Georges Frédéric Doldé, propriétaire, son conseil, héritiers pour moitié de Jean Michel Braunwald, propriétaire, et Madeleine Gutmann, le père décédé le 19 février dernier et la mère le 22 mars1825, inventaire Me Stoeber le 5 septembre 1825
à Charles Guillaume la maison rue du Foulon n° 21
à Caroline la maison rue des Drapiers n° 15
Masse à partager. 1. la moitié par indivis d’une maison avec écurie, remises, grenier à foin, magasin à bois & ateliers, cour, droits & dépendances situé à Strasbourg rue du Foulon n° 21, d’un côté le Sr Schwartz cordonnier, d’autre formant le coin de ladite rue, derrière une maison appartenant à M Müller, cette moitié dépendait de la succession de Jean Michel Braunwald au moyen de l’acquisition de la totalité des héritiers bénéficiaires de Nicolas Louis Pezé, ancien négociant, par adjudication définitive devant M Herrmann juge suppléant au tribunal civil le 8 janvier 1812 et déclaration de command le même jour transcrite au buerau des hypothèques de Strasbourg volume 64 n° 33, l’autre moitié appartient comparant héritier pour moitié sa mère que comme ayant acquis de sa sœur le quart à elle échu par le dècès de sa mère par acte Me Stoeber le 19 décembre 1825, estimée 12 000 francs
2. une maison située à Strasbourg rue des Drapiers n° 15, d’un côté le Sr Windesheim farinier, d’autre les héritiers Castaillon, Cette maison est formée par la réunion de deux maisons contigues que feu Sr Braunwald a acquis avant son mariage du mandataire de Jean Bein, pasteur à Goxwiller, par acte passé à la cidevant Chambre des Contrats le 19 février 1785, évaluée 3250 francs
Au moyen de ce qui précède, il ne reste plus à partager que 1. une maison avec petite cour & puits, droits et dépendances située à Strasbourg rue des Drapiers n° 19, d’un côté M Notheisen, d’autre les Dlles Roos, derrière M Kamerer, provenant de la communauté des père et mère acquise du tuteur des filles mineures de Jean Geoffroi Klingelmeyer, amidonnier, et Anne Marguerite Braun, par acte Me Stoeber le 3 floréal 8, estimée 4000 francs
2. un jardin de la contenance d’environ 2 ares (un arpent) avec maisonnette située hors la porte des Pêcheurs à droite de l’avenue de la Robertsau, d’un côté M Rauch, d’autre M Jünger, derrière M Ehrmann, provenant de la succession de Mde Braunwald, recueilli dans la succession de Jean Daniel Gutmann, tonnelier, son père pour un quart, les trois quarts acquis par M Mde Braunwald de Marie Madeleine Schell veuve du Sr Gutmann & Anne Marie Gutmann veuve d’Abraham Jost par acte Me Stoeber le 19 juillet 1809 estimé 600 francs
Enregistrement, acp 184 F° 162 du 18.7.
Caroline Braunwald épouse en 1828 le facteur de pianos Thiébaut Antoine Schott. Elle apporte en mariage plusieurs immeubles dont la maison sise 16, rue des Drapiers
1828 (27.2.), Strasbourg 7 (77), Me Stoeber n° 10.594
Contrat de mariage – Thiébaut Antoine Schott, facteur de pianos, fils majeur de Thibaud Antoine Schott, jardinier, et de feue Marguerite Salomé Perse
Caroline Braunwald fille majeure de feu Jean Michel Braunwald, propriétaire, et de Madeleine Gutmann
communauté d’acquets partageable par moitié
art. 4 immeuble l) propres du futur époux, d’une maison, jardin, appartenances et dépendances sis à la Robertsau n° 76 comprenant 40 ares de terre ci devant d’une pièce au canton dit im Scheerersgarten, d’un côté les héritiers Haag, d’autre les héritiers Georges Fuchs, devant la maison et jardin de la succession de Martin Fuchs, derrière le Veitegarten. Ledit terrain de 40 ares acquis par les conjoints Schott d’Anne Marie Beck veuve de Martin Fuchs cultivateur à la Robertsau et Marie Salomé Fuchs, fille majeure, par acte passé devant Zimmer notaire à Strasbourg le 28 mars 1829 transcrit au bureau des hypothèques volume 42 n° 79, estimée 400 fr
art 5, d’après le partage de la succession Braunwald père de la future épouse devant Hickel notaire le 14 juillet 1827, 4. la moitié par indivis d’une maison avec petite cour, droits et dépendances située à Strasbourg, d’un côté M Notheisen, d’autre les Dles Roos, derrière M Kammerer – provenant de la communauté des père et mère qui l’ont acquis des enfants mineurs de Jean Geoffroi Klingelmayer, cordonnier, et de Marguerite Braun, devant Me Stoeber le 3 floréal 8, la moitié estimée 2000 fr
5. la moitié d’un jardin de la contenance d’environ 20 ares (1 arpent) avec maisonnette hors la porte des Pêcheurs à droite de l’avenue de la Robertsau, d’un côté M Rauch, d’autre M Jünger, derrière M Ehrmann – provenant de la succession de Mde Braunwald mère qui en a recueilli un quart dans la succession de Jean Daniel Gutmann, tonnelier, son père et trois quarts acquis par les conjoints Braunwald de Marie Madeleine Schell veuve du Sr Gutmann, et Anne Marie Gutmann veuve d’Abraham Jost, par ate devant Stoeber notaire à Strasbourg le 19 juillet 1809 pour 300 fr, l’autre moitié appartient à Charles Guillaume Brraunwald
6. une maison située à Strasbourg rue des Drapiers n° 15, d’un côté le Sr Windesheim farinier, d’autre le Sr Maurin horloger, derrière le fossé des Tanneurs. Cette maison a été formée par la réunion de deux maisons contiguës que le Sr Braunwald a acquises avant son mariage de Jean Bein, pasteur à Goxweiller, à la Chambre des Contrats le 19 février 1785, 3250 francs
Enregistrement de Strasbourg, acp 188 F° 91 du 4.3.
Thiébaut Antoine Schott meurt en 1837 dans une maison quai des Bateliers en délaissant deux enfants
1837 (21.4.), Strasbourg 3 (85), Me Kratz n° 492
Inventaire de la succession de Thiébaut Antoine Schott, facteur de pianos décédé le 20 décembre dernier – à la requête de Caroline Braunwald veuve commune en biens suivant contrat de mariage reçu Stoeber notaire le 27 février 1828, en son nom et en qualité de tutrice légale Caroline Emilie Fanny née le 2 juillet 1830 et Gustave Adolphe né le 11 mai 1834 – en présence de Thiébaut Antoine Schott père, jardinier subrogé tuteur
dans le logement qu’occupe la veuve dans une maison sise à Strasbourg quai des bateliers n° 39
garde robe 357 fr, apports 1919 fr, remploi 16.432 fr, passif propres 1000 fr
communauté, meubles 733 fr, pianos14 170 fr, créances 5635 fr, argent 237 fr, passif de la communauté 4921 fr, passif propres 765 fr
récapitulation, actif de la communauté 20 916 fr, masse 4921 fr, totalité après déduction 5686 fr, reste 15.230 fr, actif succession 5243 fr
Enregistrement, acp 249 F° 59-v du 25.4.
Caroline Braunwald se remarie avec François Joseph Bind, propriétaire à Strasbourg originaire d’Ernolsheim. Elle apporte en mariage la maison rue des Drapiers
1839 (7.10.), Strasbourg 14 (108), Me Ritleng n° 9510
Contrat de mariage – François Joseph Bindt, propriétaire
Caroline Braunwald veuve sans enfant de Thiébaut Antoine Schott, facteur de pianos à Strasbourg
communauté réduite aux acquets
5. le futur époux se constitue un enclos avec maison d’habitation, grange, écurie, étables, appartenances, dépendances et 89 ares ou 4 arpents en nature de jardin et terre labourable à sis banlieue de Strasbourg canton dit Musau près du Polygone n° 84, d’un côté le fossé, d’autre la route, pour 4000 fr
6. la future épouse en constitue 1. une maison située à Strasbourg rue des Drapiers n° 15, d’un côté le Sr Windesheim farinier, d’autre Maurin horlogern derrière le Fossé des Tanneurs, évaluée à 9000 fr
2. la moitié invidise d’un jardin d’une contenance d’environ 20 ares ban de Strasbourg hors la porte des Pêcheurs à droite de l’avenue de la la Robertsau, d’un côté M. Rauch, d’autre Jünger derrière M. Ehrmann, estimé 1000 fr
Enregistrement, acp 272 f° 1-v du 11.10.
Mariage, Strasbourg (n° 410)
Du 23° jour du mois d’octobre 1839. Acte de mariage de François Joseph Bind, majeur d’ans, né en légitime mariage le 7 vendémiaire an V à Ernolsheim (Bas Rhin) domicilié à Strasbourg, Propriétaire, fils de feu André Bind, cultivateur, décédé à Strasbourg le 11 octobre 1819 et de feu Marie Anne Kuhn, décédée à Strasbourg me 22 janvier 1822, et de Caroline Braunwald, majeure d’ans, née en légitime mariage le 6 Nivôse an VIII à Strasbourg, domiciliée à Strasbourg veuve d’André Thiébaud Schott, facteur de pianos, décédé en cette ville le 20 décembre 1836 fille de feu Jean Michel Braunwald, teinturier décédé en cette ville le 19 février 1827 et de feu Marie Madeleine Guthmann décédée en cette ville le 22 mars 1825 (signé) Bind, Braunwald (i 34)
Le rentier François Joseph Bind meurt en 1873 en délaissant des héritiers collatéraux
1873 (21.5.), Strasbourg 4 (137), Not. Charles Lauterbach n° 552
Inventar des Nachlaßes von Frantz Joseph Bind, lebend Rentner in Straßburg
L’an 1876 Mercredi 21 mai en la demeure ci-après indiquée à Strasbourg où est décédé le 16 mars 1973 Monsieur François Joseph Bind en son vivant rentier à Strasbourg. A la requête et en présence 1. de Monsieur Alfred Ritleng notaire à Strasbourg demeurant en cette ville, agissant en qualité d’exécuteur testamentaire de Monsieur Bind sus nommé et ayant la saisine pendant l’an et jour de toute sa succession aux termes de son testament public dressé par M° Emile Ritleng Jeune en présence de témoins le 4 mars 1860 enregistré le 13 mai courant,
2 de Madame Marie Bind épouse assistée de et autorisée de Monsieur Laurent Cousin, propriétaire demeurant à Strasbourg, 3. Du sieur André Bind, aubergiste demeurant à Geispolsheim,
4. Du sieur Michel Uhring propriétaire demeurant à Wasselonne, 5. Du sieur Jean Zemp, carrossier demeurant à Paris, 6. De Monsieur Jean Baptiste Vetter, principal clerc de notaire demeurant à Strasbourg, agissant en qualité de mandataire A. De Madame Marie Barbe Kuhn, épouse autoriséz de Monsieur Jacques Ebel, cocher demeurant à Paris (…) B. De Madame Barbe Schott épouse du sieur Jean Herr, ancien boulanger demeurant à Mulhouse, de lui autorisée (…), 7. De Dame Thérèse Kuhn, épouse assistée de et autorisée du sieur Henry Bantz, cultivateur demeurant à Marlenheim, 8. Du sieur Bernard Schott, maçon demeurant à Nordheim, 9. Du sieur Jean Schott, maçon demeurant à Nordheim, 10. De Dame Catherine Kuhn épouse du sieur Aloyse Strub, cultivateur demeurant à Ittlenheim de lui assistée dee et autorisée, 11. Di sieur Pierre Kuhn, cultivateur demeurant à Schnersheim ;12. Du sieur Laurent Kuhn, cultivateur demeurant à Kirchheim, 13. De Dame Marguerite Kuhn, épouse du Sieur Louis Bingel, cultivateur demeurant à Kirchheim de lui assistée de et autorisée, 14. de Monsieur Holtzapffel, notaire à la résidence de Strasbourg demeurant en cette ville, agissant au nom et comme représentant A. La Dame Joséphine Kuhn, épouse de Monsieur François Crapoulet demeurant à Paris, B. Le sieur Joseph Kuhn, sans domicile connu en Amérique, C. Le sieur Michel Schott, cordonnier aussi sans domicile connu en Amérique, D. Le sieur Georges Schott, ancien militaire sans domicile connu en France, E. Et Mademoiselle Anne Marie Schtt religieuse demeurant à Flavigny
Savoie Le Sieur André Bind et Dame Cousin en qualité de cousins germains au quatrième dergré dans la ligne paternelle, ensemble pour moitié de toute la succession, soit chacun pour un quart
Et les sieurs Michel Uhring, Jean Zemp, femme Ebel, femme Crapoulet, femme Bantz, Joseph Kuhn, Dame Herr, sieur Michel Schott, sieur Léonard Schott, le sieur Georges Schott, Demoiselle Marie Anne Schott, le sieur Jean Schott, la Dame Strub, le sieur Pierre Kuhn, le sieur Laurent Kuhn, et la femme Bingel, tous ses cousisn germans au quatrième degré dans la ligne maternelle soit chacun pour un 32°
Suit la description des objets mobiliers. Salon au 1° étage, Antichambre, Chambre d’habitation, Chambre à coucher, 2° chambre à coucher, Chambre de derrière, Cuisine, Chambre de décharge
Testament du défunt
Immeubles. Ils consistent en deux Maison d’habitation avec bâtiments latéraux, pompe, appartenances et dépendances situées à Strasbourg la première dans la rue du Vieux marché aux vins N° 10 la seconde dans la rue du Jeu des enfants n° 11, les deux Maisons réunies par une cour (…)
Expédition du Contrat de mariage du défunt dressé par M° Ritleng le 7 octobre 1839
acp 616 (3 Q 30 331) f° 73-v du 28.5. n° 3407 – Nachlass, Mobilien 4723
120 Renten 5 %++ 57 Renten 3 %, 34 obligation west Eisenbahn
Sparkasse 5, Schuldschein 34.000
Ein haus alter Weinmarck N° 10 und Kinder Spielgasse N° 11
Testament public et testament olographe du défunt
1873, M° Ritleng
4 März 1871, Testament von Frantz Joseph Bind, Eigenthümer in Straßburg, durch welches er folgende Legaten macht (…)
acp 616 (3 Q 30 331) f° 38 du 13.5. n° 2150
1873 (18.6.), M° Lauterbach
Hinterlegungs Act, wonach Ernst Zwirin Obersecretär des K. Landgerichts in Straßburg dem Notar ein olographisches Testament des Joseph Bind vom 15. febr. 1872 gestorben in Straßburg, sowie eine Ordonnantz vom 24. Mai d. J. des K. Landgerichts zu Aufbewahrung übergeben hat
acp 614 (3 Q 30 329) f° 90 du 27.6. (Nachlaß erklärt den 4. September 1873)
Liquidation de la succession de François Joseph Bind
1873 (1.9), M° Ritleng
Liquidation und Theilung des Nachlasses von Frantz Joseph Bind, lebend Rentner zu Straßburg, den 6. März 1873 gestorben zwischen Marie Bind und 25 andere Consorten sub N° 3603 vom 19. August 1873 genannt
acp 620 (3 Q 30 335) f° 18-v du 10.9. n° 4083 – Actif Mass 160.317, Passif Masse 76.101 (Rest) 84.216n welche Summ in gleiche theile getheilt
Auslieferung der Legaten (…)
François Joseph Bind et Caroline Braunwald vendent la maison au marchand de fer Joseph Schumpff et à sa femme Louise Schaeffer moyennant 12 600 francs
1840 (21.5.), Strasbourg 4 (91), Me Hatt n° 12.214
François Joseph Bind, propriétaire, et Caroline Braunwald
à Joseph Schumpff et Louise Schaeffer, marchand de fers
une maison à rez de chaussée & trois étages avec aisances, appartenances et dépendances sise à Strasbourg rue des Drapiers n° 15, d’un côté la veuve Windersheim, d’autre M. Kopper, devant la rue des Drapiers, derrière la rue du quai du Fossé des Tanneurs – échue dans la succession de ses père et mère Jean Michel Braunwald et Madeleine Gutmann, selon partage reçu Hickel le 14 juillet 1827, les conjoints Braunwald père et mère ont acquis le même immeuble sur Jean Bein, pasteur à Goxwiller à la cidevant Chambre des Contrats le 19 février 1782 – moyennant 12.600 francs
Enregistrement, acp 278 f° 45 du 23.5.
Originaire de Brumath, Marie Louise Schæfer épouse en 1812 Jean Joseph Schmidt, propriétaire natif de Vienne en Autriche et habitant de Strasbourg depuis 1808
Mariage, Strasbourg (n° 452)
Acte de mariage le 18 novembre 1812, Jean Joseph Schmidt, majeur d’ans, né le 18 juin 1787 à Vienne en Autriche, domicilié à Strasbourg, Aubergiste, fils de feu Jean Michel Schmidt, maréchal ferrant décédé à Vienne le 2 janvier 1803 et de feu Thérèse Neidlinger décédée audit lieu le 20 février année dernière, Marie Louise Schaefer, majeure d’ans, née le 16 mars 1791 à Brumath, département du Bas Rhin domiciliée à Strasbourg, fille de Pierre Schaeffer, cloutier, et de Marguerite Kieffer, conjoints domiciliés à Strasbourg ci présents et consentants (signé) Jean Joseph Schmidt, Mari Louise Schaeffer (i 10)
Décès, Strasbourg (n° 2054)
Déclaration de décès le 26 novembre 1826. Jean Joseph Schmidt, âgé de 39 ans, 5 mois 6 jours né à Vienne (Autriche), Propriétaire, époux de Marie Louise Schafer, domicilié à Strasbourg mort en cette mairie le 26 du mois courant à 3 heures du matin dans la maison située N° 27 Ponts Couverts, fils de feu Jean Michel Schmidt, Maréchal ferrant, et de feu Thérèse Neidlinger. Premier déclarant, François Joseph Schaefer, âgé de 44 ans, Marchand de fer, beau frère du défunt/ [in margine :] Phth. pulm. (i 42)
Registre de population, 600 MW 137 (1816 sqq) f° 783 Pont Couvert N° 27
Schmitt, Jean Joseph, 1781, Vienne, Autriche, maréchal ferrant, Mari, (à Strasbourg depuis) 1808, (auparavant) même rue 3, (entré) 1814, décédé 26 9.br 1826
id. née Schaeffer, Louise, 1789,, Brumath Journalier, Epouse, (à Strasbourg depuis) 1807, (entré) 1814, voyez plus bas
Schumpff, Joseph, 1785, Strasbourg, Ex militaire, mari (auparavant à) Maubeuge, (entré) 29 8.b 1827, porté au nouveau registre
id. née Schaeffer, Louise, 1789,, Brumath Epouse, (entré) 1814
id. François Joseph, 2 avril 1829 Strasbourg fils, (entré) 26 juin 1829
Marie Louise Schæffer se remarie en 1827 avec le tailleur Joseph Schumpff : contrat de mariage, célébration
1827 (19.12.), Strasbourg 4 (66), Me Hatt n° 3778
Contrat de mariage – Joseph Schompff, tailleur d’habits célibataire
Marie Louise née Schaeffer, veuve en premières noces de Jean Joseph Schmitt, marchand de fer
communauté d’acquets partageable par moitié
art. 4, apports de la future épouse, une maison qu’elle possède en cette ville aux Ponts Couverts n° 27
Enregistrement, acp 187 F° 70 du 28.12.
Mariage, Strasbourg (n° 482)
Acte de mariage le 22 décembre 1827, Joseph Schumpff, Majeur d’ans, né hors le mariage le 29 décembre 1785 à Strasbourg, domicilié à Strasbourg, Ancien militaire, déclaré fils mais non reconnu de Joseph Schumpff, tailleur et de feu Marie Eve Weber, veuve de François Burger décédée à la Wantzenau (Bas Rhin) le 15 novembre 1818, Marie Louise Schaefer, majeure d’ans, née en légitime mariage le 16 mars 1791 à Brumath (Bas Rhin) domiciliée à Strasbourg, veuve de Jean Joseph Schmidt, aubergiste décédé en cette ville le 26 novembre 1826, fille de feu Pierre Schaeffer, Cloutier, décédé en cette ville le 13 mars dernier, et de Marguerite Kiefer, domiciliée en cette ville ci présente et consentante (signé) Joseph Schumpff, Mari Louise Schmidt (i 31)
Joseph Schumpff habite la maison à partir de 1849
Registre de population 600 MW 197 (f° 90, 1846 sqq) Rue des Drapiers 15 (Fossé des Tanneurs 51)
Schumpff, Joseph, 1785, Strasbourg, Md de fer, anc. tailleur (auparavant) pont couvert 27 (entré) 17 Janv. 49 (v. ci après, double emploi)
id. née Schaeffer, Louise, 1789, Brumath, épouse
id. François-Joseph, 1829 Paris, fils
Schumpff, Joseph, 1785, Strasbourg, Md de fer, (auparavant) pont couvert 27 (entré) 17 Janv. 49
id. née Schaeffer, Louise, 1789, Brumath, épouse
id. François-Joseph, 1829 Strasbourg, Profes. de Musique, Enf. (m)
id. née Lofterz, Claire, 1823 Paris, Epouse
Le ferrailleur Joseph Schumpff meurt en 1861 en délaissant un fils
1863 (20.1.), Strasbourg 15 (108), Not. Momy (Hippolyte) n° 8589
Notoriété – qu’ils ont parfaitement connu Monsieur Joseph Schumpf en son vivant marchand ferrailleur ayant demeuré à à Strasbourg où il est décédé le 13 février 1861 et savoir qu’après son décès il n’a pas été fait d’inventaire et qu’il a délaissé pour son seul et unique héritier Monsieur François Joseph Schumpff, son fils, artiste lyrique demeurant à Paris
acp 518 (3 Q 30 233) f° 26 du 21.1. (succession déclarée le 3 juillet 1861)
Les parents consentent au mariage de leur fils François Joseph Schumpff, musicien à Paris, avec Marie Claire Compaing
1854 (21.2.), M° Momy
Consentement par Joseph Schumpff Md de fer et Louise Schaeffer son épouse au mariage de leur fils François Joseph Schumpff musicien à Paris avec Marie Claire Compaing célibataire au dit lieu
acp 427 (3 Q 30 142) f° 59-v du 22.2.