4, rue des Drapiers
Rue des Drapiers n° 4 – IV 192 (Blondel), N 805 puis section 59 parcelle 14 (cadastre)
Autre adresse, rue du Fossé-des-Tanneurs n° 37 bis
Reconstruite en 1785 par le faiseur de chaises Jean Laurent Riss (maître maçon, Jean Lingenhœl) – Démolie en 1912 lors de la Grande Percée
Elévations des n° 35 à 39 rue du Fossé des Tanneurs
Plan du début de l’îlot – Coupe du 4, rue des Drapiers (Service d’architecture, 1912, AMS, cote 907 W 161)
La maison est inscrite au Livre des communaux (1587) au nom de la veuve du tonnelier Georges Wolff l’aîné. La façade vers le fossé des Tanneurs comprend un auvent et des latrines maçonnées. Elle appartient ensuite au tonnelier Georges Leitersperger, au tailleur Christophe Goldbach (1626-vers 1650) puis aux passementiers Jean Baum et Jean Pierre Nigrinus. Le fripier Simon Jacques l’achète en 1708. Le chirurgien Jean Beauvalet l’achète par enchère judiciaire alors qu’il est manant. Il est autorisé en 1738 à réparer la risberme à l’arrière de sa maison. D’après le procès verbal d’estimation dressé en 1742, la maison très étroite comprend au rez-de-chaussée un poêle et un étroit vestibule où se trouve le fourneau, les greniers ne sont pas dallés. Le faiseur de chaises Jean Georges Riss qui est manant en devient propriétaire par l’entremise de son fils bourgeois Jean Laurent. Il est autorisé en 1775 à faire une nouvelle façade vers le fossé des Tanneurs. Il charge en 1785 le maître maçon Jean Lingenhœl de reconstruire la maison et de poser une nouvelle porte en pierre au rez-de-chaussée de la façade en galandure. La Ville rachète en 1787 le terrain libéré après que Jean Riss a reculé sa façade de deux pieds six pouces. Jean Laurent Riss fait agrandir en 1788 une croisée au rez-de-chaussée.
Le fossé des Tanneurs entre la Grande rue de la Grange et la Grand rue, plan-relief de 1725. La maison se trouve sous la partie gauche de la deuxième toiture à partir de la gauche (Musée historique, cliché Thierry Hatt)
Elévations préparatoires au plan-relief de 1830, îlot 142, façades rue des Tanneurs et rue des Drapiers (Musée des Plans-relief) 1
L’Atlas des alignements (années 1820) mentionne un bâtiment à rez-de-chaussée en maçonnerie et quatre étages en bois. Sur les élévations préparatoires au plan-relief de 1830, la façade vers la rue des Drapiers est la deuxième à gauche du repère (i) : porte et fenêtre au rez-de-chaussée, quatre étages à deux fenêtres chacun, toiture à une lucarne. La façade vers le Fossé des Tanneurs est la deuxième à partir de la gauche (cinq niveaux à deux fenêtres chacun).
La maison porte d’abord le n° 16 (1784-1857) puis le n° 4 de la rue des Drapiers, le n° 50 puis le n° 37 bis de celle du Fossé des Tanneurs.
La maison appartient à partir de 1821 à Christine Fischbach, femme de Jean Windesheim, qui fait rectifier le revenu cadastral en 1845. Les propriétaires suivants n’habitent pas le bâtiment jusqu’à ce que le voisin Eugène Jost, restaurateur, ne l’achète en 1873. La Ville acquiert la maison vers 1906 et la fait démolir en 1912 lors de la Grande Percée. Le sol est réuni à la voie publique. La commission d’enquête qui se rend en 1907 dans les maisons à démolir ne relève pas d’éléments remarquables.
Aspect actuel (juillet 2017). L’ancienne maison se trouvait à gauche du bâtiment d’angle
mars 2022
Sommaire
Cadastre – Relevé d’actes
Récapitulatif des propriétaires
La liste ci-dessous donne tous les propriétaires de 1601 à 1952. La propriété change par vente (v), par héritage ou cession de parts (h) ou encore par adjudication (adj). L’étoile (*) signale une date approximative de mutation.
Georges Leitersperger, tonnelier, et (1588) Marie Wolff, d’abord (1585) femme du tonnelier Martin Nessel – luthériens | ||
1622 | v | Jean Ulric Eberlin, plumassier, et (1605) Marguerite Replin puis Catherine – luthériens |
1622 | v | Barthelémy Koch, pelletier, et (1581) Catherine Kleiber, veuve du pelletier Georges Klaffky, puis (1593) Salomé Hirsmann – luthériens |
1626 | v | Christophe Goldbach, tailleur, et (1621) Marie Cléophée Wittert puis (1639) Anne Marguerite Leonhard, d’abord (1637) femme du notaire François Jacques Eisenhuth – luthériens |
1650* | adj | Georges Siler, farinier, et (1638) Salomé Müller, divorcée de Melchior Meyer, puis (1652) Barbe Steigenbock d’abord (1636) femme de Jean Adam Rammel et (1638) de Jean Gaspard Ursch, potiers – luthériens pour ½ et l’Orphelinat pour ½ |
1650* | h | Jean Baum, passementier, et (1642) Salomé Meyer – luthériens |
1676 | v | Jean Pierre Nigrinus, passementier, et (1662) Marguerite Treuttel puis (1691) Marie Rosine Steinbach – luthériens |
1694 | v | André Schmidt, maçon, et (1657) Anne Marguerite Hess – luthériens |
1705 | v | Jean Philippe Hessler, pelletier, et (1706) Dorothée Hauff, d’abord (1698) femme du tailleur Thomas Pfeil, puis (1730) Anne Barbe Wagner – luthériens |
1708 | v | Simon Jacques, fripier puis cabaretier, et (v. 1700) Ursule Treimer – catholiques |
1719 | adj | Jean Beauvalet, chirurgien puis cabaretier, et (1731) Catherine Gaudemar, remariée (1744) avec Jean Louis Pillon – catholiques |
1767 | v | Jean Georges Riss, fabricant de chaises, et (1735) Félicité Heyd, manants – catholiques |
1783 | h | Jean Laurent Riss, fabricant de chaises, et (1770) Caroline Françoise Pierret – catholiques |
1794 | v | Jean Henri Fischbach, chaussetier, et (1781) Marie Chrétienne Engelhard, d’abord (1772) femme du tisserand Jean Adam Jœrger – luthériens |
1813* | h | Henri Fischbach, cordonnier, et (1813) Marguerite Becker, remariée (1831) avec le tisserand Maurice Théophile Hagenschmidt |
1821 | v | Jean Henri Windesheim, farinier, et (1809) Anne Marie Müller puis (1819) Marie Christine Fischbach |
1862 | v | Frédéric Meinzer, serrurier, et (1844) Salomé Rosenstiel |
1868 | v | (copropriétaires) (Charles) Frédéric Neunhoeffer, tailleur, et (1847) Louise Dorothée Lœwenstein Joseph Meyer, tailleur, et (1858) Sophie Lœwenstein |
1873 | v | Eugène Jost, journalier puis restaurateur, et (1862) Caroline Lustig |
1906* | v | Ville de Strasbourg |
Valeur de la maison selon les billets d’estimation : 225 livres en 1743
(1765, Liste Blondel) IV 192, les héritiers du nommé Bonvalet
(Etat du développement des façades des maisons, AMS cote V 61) Riß, 2 toises, 0 pied et 9 pouces
(1843, Tableau indicatif du cadastre) N 805, Windesheim, Jean, veuve – maison, sol – 0,72 are
Locations
1712, Louis Meyé, tailleur
1720, Pierre Denoyé, rémouleur (manant)
1722, Mathurin Bichon, revendeur (manant)
1724, Jean Léonard Rœderer, tanneur
1728, Nicolas Febvre, postillon (manant)
Livres des communaux
1587, Livre des communaux (VII 1450) f° 176
La veuve du tonnelier Georges Wolff l’aîné règle 3 sols pour un gradin dallé (5 pieds de long, 2 pieds 3 pouces de saillie) devant sa porte, une porte de cave inclinée (6 pieds de large, 3 pieds 4 pouces de saillie)
Elle règle en outre 7 sols pour sa façade vers le fossé des Tanneurs, à savoir un auvent (12 pieds de long, 1 pied de saillie) et des latrines maçonnées posées sur des corbeaux (3 pieds de large, 1 pied ½ de saillie)
Das gebrandt End vff dem Barfüesser Blatz, gegen dem bronnen ane Jacob Eisenheim des Kandtengiessers Behausung der Rechten Hand nach vntz hienauß an die Oberstrassen gemessen
Georg Wolffen des Altten Statt Küffers Wittwe hatt daselbsten Vor ihrer Thüeren ij besetzter Tritt v schu lang, Vnd ij schu iij Zoll herauß, Ein lehenene Kellerthüer vj schu breit, vnd iij schu iiij Zoll herauß, Bessert für das Niessen, iij ß d
Sie hatt auch Hinden am Hauß vf dem Gerbergraben ein Wettertach xij schu lang, vnd j schu herauß, ein gemaurt Vßgestossen Profeÿ vff Kaepfern iij schu breit i+ schu herauß, Bessert für dieße Nüessung, vij ß d
Préposés au bâtiment (Bauherren)
1738, Préposés au bâtiment (VII 1398)
Jean Beauvalet est autorisé à réparer la risberme à l’arrière de sa maison
(f° 19) Sambstags den 12. Ejusdem [Aprilis] – seÿnd folgende augenschein eingenommen worden
Jean Beauvalet – An Jean Beauvalet dit Antoine 2. schuhe 4 Zoll breit und 10 schuhe Langen Land Vest hinder seinem Hauß am Gerbergraben, welche er repariren Zu laßen umb erlaubnus gebetten. Erkant in Obigem Meß Willfahrt
1775, Préposés au bâtiment (VII 1416)
Le faiseur de chaises Jean Riss est autorisé à faire une nouvelle façade vers le fossé des Tanneurs
(f° 188) Dienstags den 2. Maji 1775. – Johann Riß, Seßelmacher
Mr. Joh. Jacob Krieg, der Zimmermann, nôe. Joh: Riß, des Seßelmachers, bittet Zu erlauben an deßen auf dem Gerbergraben gelegener behausung ein neue façade aufzuführen. Erkannt, Willfahrt.
1785, Préposés au bâtiment (VII 1421)
Le faiseur de chaises Jean Riss est autorisé à faire faire une nouvelle porte en pierre et une croisée au rez-de-chaussée, le reste de la façade rue des Drapiers étant en galandure
(f° 227) Dienstags den 15. Februarÿ 1785. – Johann Riß Sesselmacher
Idem [H. Lingenhölin] nôe Johann Riß, des Sesselmachers, bittet zu erlauben an deßen Behausung in der Tucherstub Gaß gelegen, au Rez de chaussée ein steinern Haußthür Gestell und am Kreuzstock zu einsetzen, den Rest mit einer Riegelwand aufzuführen. Erkannt, dem Alignement nach willfahrt.
1787, Préposés au bâtiment (VII 1422)
La Ville règle 10 livres au faiseur de chaises Jean Riss qui a reculé sa façade de deux pieds 6 pouces
(f° 261) Dienstags den 27. Martii 1787. – Johann Riß Seßelmacher
Herr Bau Inspector Boudhors producirt Procès verbal ausweis deßen Johann Riß, der Seßelmacher, bei Erbauung seiner Behausung in der Tucherstub Gaß zurück gefahren, und Zween Schuh Sechs Zoll quadrat Meß dem Allmend überlaßen, so à 24. lnn das Quadrat Klaffter antrift 10. lb. Erkannt, bezalung.
1788, Préposés au bâtiment (VII 1423)
Le faiseur de chaises Jean Riss est autorisé à agrandir une croisée au rez-de-chaussée
(f° 102) Dienstags den 1. Julii 1788. Johann Riß Seßelmacher
Idem [H. Lingenhölin, der Maurer] nomine Johann Riß, des Sesselmachers, bittet zu erlauben an deßen Behausung in der Tucherstub Gaß gelegen N° 16 au Rez de chaussée Einen Kreuzstock erweitern und vergrößern Zu laßen. Erkannt, Willfahrt.
Préposés aux feux (Feuerherren, 4 R 91)
1785, Préposés aux feux (Feuerherren, 4 R 91)
Le maître maçon Jean Lingenhœl expose les travaux qu’il va faire dans la maison du faiseur de chaises Jean Riss rue des Drapiers, à gauche du rez de chaussée une cuisine pourvue d’un fourneau et d’une hotte, chauffée depuis le poêle. Le premier, le deuxième et le troisième étage sont pareils au rez-de-chaussée. Les préposés de la Ville devront inspecter la hotte du rez-de-chaussée une fois qu’elle sera terminée.
(p. 614) Montags den 21.sten Novembris 1785 – Mstr Riß der Seßelmacher will in seiner ane der tucherstub gaß gelegenen behaußung au rez de chaussée Linckerhand eine Kuche mit heerd und Caminschoß wohl versehen machen das Rohr am steineren gäbel hinauf von allem holtz entfernt nebens eine stube in die der Kuch eingefeurt wird.
Der 1.ste 2.te und 3.te stock sind dem rez de chaussée gleich. Erkandt willfahrt, doch solle der Caminschoß in dem rez de chaussée durch gemeiner Stadt Werckleuth wann er verfertiget noch mal untersucht werden. Mr. Linckenhölin.
Description de la maison
- 1742 (billet d’estimation traduit). La maison très étroite comprend au rez-de-chaussée un étroit vestibule où se trouve le fourneau, derrière un poêle, une petite cave sous solives, à l’étage aussi un poêle, un vestibule où se trouve le fourneau, sous le toit deux chambres, un vieux comble délabré, des greniers non dallés et un pignon en bois, le tout estimé avec ses appartenances et dépendances à la somme de 420 florins
Atlas des alignements (cote 1197 W 37)
2° arrondissement ou Canton Nord – Rue des Drapiers
nouveau N° / ancien N° : 31 / 16
veuve Fischbach
Rez de chaussée en maçonnerie et 4 étages en bois médiocre état
(Légende)
Cadastre
Cadastre napoléonien, registre 21 f° 229 case 1
Windesheim, Jean veuve à Strasbourg
N 805, maison, sol, Rue des drapiers 16
Contenance : 0,72
Revenu total : 108,38 (108 et 0,38)
Folio de provenance :
Folio de destination : 229 (D.on)
Année d’entrée :
Année de sortie : 1846
Ouvertures, portes cochères, charretières :
portes et fenêtres ordinaires : 13
fenêtres du 3° et au-dessus : 8
N 805, maison
Revenu total : 80,38 (80 et 0,38)
Folio de provenance : 229
Folio de destination :
Année d’entrée : 1846
Année de sortie :
Ouvertures, portes cochères, charretières :
portes et fenêtres ordinaires : 13 / 10
fenêtres du 3° et au-dessus : 8 / 6
1846, Diminutions – Windesheim Jn Ve, f° 249, N 805, Maison, revenu 80, A.on de revenu par D.on du 12 août 1845, imposable en 1846, imposée en 1846<
1857, Diminutions – Windesheim Jn Ve, f° 229, N 805, maison, revenu 108, M.on par D.on du 12 août 1845, suppression en 1846
Cadastre napoléonien, registre 23 f° 935 case 1
Windesheim, Jean veuve
1870 Neunhoeffer, Frédéric et Meyer, Joseph
1874 Jost, Eugen Wirth, Tucherstubgasse N& 4
1878 Jost Eugen ([biffé] und Karl) Gastwirt
N 805, maison, sol, Rue des Drapiers 4
Contenance : 0,72
Revenu total : 80,38 (80 et 0,38)
Folio de provenance : (229)
Folio de destination : Gb
Ouvertures, portes cochères, charretières :
portes et fenêtres ordinaires : 13 (14) / 11
fenêtres du 3° et au-dessus : 8 / 6
Cadastre allemand, registre 32 p. 357 case 4
Parcelle, section 59, n° 14 – autrefois N 805
Canton : Gerbergraben, Hs N° 37-bis, Tücherstubgasse 4
265/13 – 236
Désignation : Hf, Whs
Contenance : 0,48
Revenu : (Reinertrag 2,40) 1000 – 800
Remarques : 1913 ab S 362 F 5 [voie publique]
1912 Abbruch
(Propriétaire), compte 34
Strassburg die Gemeinde
1909 Gemeinde Strassburg / Ville de Strasbourg
(33)
1789, Etat des habitants (cote 5 R 26)
Canton IV, Rue 102 Rue des Drapiers p. 176
16
Pr. Riss, Jean, feseur de chaises – Charpent.
loc. Besenberger, Geoffroi, menuisier – Charpent.
loc. Wildberger, Michel, bucheron – Manant
loc. Stieber, V° de fend. de bois – Manante
loc. Andreas, Anne M. fille maj. – Manante
loc. Dubois, dt. le mari est à l am des pauvres – Manante
Annuaire de 1905
Verzeichnis sämtlicher Häuser von Strassburg und ihrer Bewohner, in alphabetischer Reihenfolge der Strassennamen (Répertoire de toutes les maisons de Strasbourg et de leurs habitants, par ordre alphabétique des rues)
Abréviations : 0, 1,2, etc. : rez de chaussée, 1, 2° étage – E, Eigentümer (propriétaire) – H. Hinterhaus (bâtiment arrière)
Tücherstubgasse (Seite 183)
(Haus Nr.) 4
Jost, Hotel-Restaur. E 01
Jost,Wwe, Rentnerin. 1
Schumann, Schreiner. 2
Kugler, Schlosser. 3
Enquête sur les maisons du tracé de la Grande percée, 1907 (cote 133 MW 999)
(50)
Fragebogen
Les enquêteurs n’ont pas rempli la fiche
zur Feststellung der Altertümer in den für den Straßendurchbruch zum Abbruch bestimmten Häusern in Straßburg i. E. 1907
Questionnaire destiné à répertorier les antiquités dans les maisons vouées à la démolition pour réaliser la percée, Strasbourg, 1907]
Haus : Gergergraben 27 u. 37.bis
a) Geschichtliches : Bis 1838 Hinterhäuser von Tücherstubgasse N° 2 u. 4.
Relevé d’actes
La maison appartient au début du XVII° siècle au tonnelier Ulric Leitersperger.
Fils du tonnelier Georges Leitersperger, il épouse en 1588 Marie, veuve du tonnelier Martin Nessel
Mariage, Saint-Pierre-le-Jeune (luth. p. 395, n° 62)
1588. Dominica XIII. Ulrich Leitersberger Gerg Leitersbergers des Kieffers sohn, vnd Maria Martin Nessels des Kieffers hinterlaßener Wittwe, Eingesegnet Montag den 2 Septembris (i 205)
Le tonnelier Martin Nessel épouse en 1585 Marie Wolff, originaire de Hochfelden
Mariage, Saint-Pierre-le-Jeune (luth. p. 346 n° 60)
1585. Dominica prima adventus, Matthis Nessel der Küffer vnd Maria * Wolffen von Hochfelden hinterlaßene tochter. Eingesegnet Montag 13. Decembr. Ausgang beÿ dlen Statt Kieffer (i 181)
1606 (12 Augusti), Chancellerie, vol. 368-II (Imbreviaturæ Contractuum) f° 38
Gewerbs vergleichung Blasÿ und Ulrich Leitersperger der beeder kieffer vnnd gebrüdere
André Müller de Francfort cède à Ulric Leitersperger le tiers qui lui revient dans la succession de son frère Tobie Müller, les deux autres tiers appartenant à Sébastien Müller et aux enfants de Noé Cullmann
1610 (x tag Junÿ), Chancellerie, vol. 390 (Registranda Meyger) f° 258
(Inchoat. in Proth. fol: 209.) Erschienen Andreas Müller burger Zu franckforth (hatt verkaufft)
Ulrich Leüttersperg. dem küeffer burgern Zu Straßburg
ein drittentheil Inn dem Verkhoüffer für ungetheilt gebürende ane wÿland Thobiä Müllers seines bruders seel. Verlaßenschafft, Inn massen solches hieher vß Michael Beringers gewesenen Vogts Rechnung de Anno 1608. bitz 1609 specificirt vnd beschrieb. (…)
Welche post. Alle zusammen sich belauffen viij C Lj lb xij ß vij d Thott daran der drittetheil ij C Lxxxiij lb xvj ß vj d Vnd daran ein drittetheil obgedachten Sebastian Müller, Ouch der vbrig. drittetheil wÿland Noë Culmans des Bürbrühers selig. Khindern für Vngetheilt Zustendig, Vnd Alles Recht & Vnd Ist disser Khauff Zugang. vnnd bescheh. Für vnd vmb 181 pfund
Les deux enfants de feu Ulric Leitersperger (Madeleine Leitersperger femme de Jean Melchior Silberrad et le mineur Ulric Leitersperger) vendent la maison au préparateur de plumes Jean Ulric Eberlin le 20 mai. L’acquéreur et sa femme Catherine cèdent le 7 juin leurs droits à Madeleine Hirsmann. En marge, quittance accordée en 1647 au propriétaire Christophe Goldbach.
1622 (20 Maÿ), Chancellerie, vol. 444 (Imbreviaturæ Contractuum) f° 42
Kauffverschreybung Hans Ulrich Eberlin des Federschmuckers
(Extendirt wie In dem Contract buch de Anno 1622. folio 82. Zubefind.) Erschienen weÿl. Ulrich Leiterspergers see: Erben benantlich. H. D. Johann Renger groß. Raths procurator, alß vogt ernt. v.storbenen Leitersperger hinderlaßenen ehelich Sohns Ulrich, So dann Hannß Melchior Sÿlberradt d. Jung alß ehevogt Magdalenen Leiterspergerin auch vorents. Ulrich Leiterspergers tochter
bekannten in gegensein Hanns Ulrich Eberlin des Federschmuckers, burgers alhie (verkaufft)
Ein hauß, hoffstatt mit allen Zugehörd. alhier am gebrandten End 1. seit neben Hannß Jacob Rümmelsperger Lederbereiter, 2. seit Paulo Komern Kursnern* hinden vffm gerbergraben stoßend geleg. So allerdings ledig vnd eyg. vnd ist der Kauff beschehen p. 550 fl. a 15 bz.
[in margine :] Erschienen Hanß Ulrich Eberlin vnd Catharina sein eheliche haußfr haben in gegensein Salome Hirsmans bekant das sie derselben diesen Kauff Krafft aller maß ber* den von den Kauffern beschehen, hiemit übergeben haben, mit der bescheydenheit das sie der *n vorig. Kauffverschreibung. erstatt. soll. Geschehen auff Donnerstag den 7.ten Junÿ Anno & 1622. In beysein Herrmann Kornkauff Ihres vogts vnd Caspar Großen Notarÿ
[in margine :] Erschienen der Ehrenvest Fürsichtig weÿse H Philipß Jacob Reichßeißen XXI alß Vogt hierinn gemeldter Magdalena Leiterspergerin und Paulus Ansorg dreÿer der Müntz alß Vogt Ihre Fr Magdalenæ Kind. haben in gegensein H Christoph Goltbachß deß Käufflers alß ietzig. eigenthümlich Innhabers hieob beschriebener Behaußung (…) Act. d. 17. Xbris a° 1647.
Le plumassier Jean Ulric Eberlin épouse en 1605 Marguerite, fille de Jean Replin, originaire de Renningen en Wurtemberg
Mariage, Saint-Pierre-le-Jeune (luth. p. 178)
1605. Hans Ulrich Eberlin d. federmach. Margaretha Jacob Replin von Rennig. im Württenbergerland hind. lassene Tochter. dise sind Zum alten S Peter eingesegnet worden, sind aber *ens Zum Jung. S Peter Zu Kirch gang. Mont. d. 21. Januarÿ 1605. (i 94)
Proclamation, Saint-Pierre-le-Vieux (luth. f° 94-v, n° 3) 1605. Hans Ulrich Eberlin der federmacher, vnnd J. Margaretha Replein Jacob Replein Hinderlaßene tochter 21. Januarÿ Zum Jungen S. Peter eingesegnet (i 97)
Catherine naît en 1618 du plumassier Jean Ulrich Eberlin et de sa femme Catherine
Baptême, Saint-Pierre-le-Jeune (luth. p. 133, n° 13)
1618. Dom. Septuag. 1. Febr. P. Hans Ulrich Eberlin d. fed.mach. M. Catharina, I. Catharina (i 69)
Originaire de Silésie (Sprottau, Szprotawa) Barthelémy Koch épouse en 1581 Catherine, veuve du pelletier Georges Klaffky.
Mariage, Saint-Pierre-le-Jeune (luth. f° 191, n° 40)
1581. Dominica XIIII. Barthel Koch von der Sprottele in der Schlesÿ ein Kürßner vnnd Katharina Gorg Klaffkÿ des kürßners hinderlaßene wittwe. Eingesegnet Zinstag den 5. Septembris (i 153)
Barthelémy Koch devient bourgeois par sa femme Catherine Kleiber, veuve du pelletier Georges Klaffge
1581, 2° Livre de bourgeoisie (4 R 104) p. 494
Barthel Koch vonn der Sprütten Inn d. schlessi der kurschner Hatt das burck Rechtt Empfangenn von Catterinæ Kleiberine Weilandtt Jorg Klaffge des Kurschners seligenn wittwe seiner Hausfrauwenn vnnd will Zuo denn Kurschnern dienenn Act. denn 20.t 7.br 1581.
Barthelémy Koch se remarie en 1593 avec Salomé, fille du revendeur David Hirsmann
Mariage, Saint-Pierre-le-Jeune (luth. f° 48-v, n° 62)
1593. Dominica XIIII post Trinitatis. Barthel Koch der Kürßner, vnnd Salome David Hirsmans des grempen hinterlaßene tochter eingesegnet Zinstag den 2. Octobris (i 27)
Mariage, Saint-Pierre-le-Jeune (luth.
Les héritiers collatéraux de Salomé Hirsmann veuve de Barthelémy Koch vendent la maison au tailleur Christophe Goldbach. En marge, quittance accordée à l’acquéreur devenu commissaire priseur.
1626 (24. Jan:), Chambre des Contrats, vol. 459 f° 65-v
(inchoat. in Prot. fol. 41. – Protocollat. fol. 279) Erschienen weÿ: Salome hirschmännin weÿ: Barthel Kochen geweßenen Kürschners burgers s: witib nachgelaßene Erben benantlichen H. hannß Georg Stein gerichtschreiber Zu Ingenheim alß ehevogt Maria Jacobe hirschmännin, H. Theobaldt Kipß von Hagenaw alß vogt Catharinen weÿ: Paul hirschmans s: tochter von Hagenaw, H. Caspar Lotringer teutscher schulmeister Zu Cron weissenburg für sich selbst, Samuel Freÿmund Maurer vnd Steinhauern burger alhie, alß Ehevogt Jacobe Goldbächin weÿ: H Sebastian Goldbachen geweßenen Großen Rahts V.wanthen mit Jacoben hirschmännin see. erzeugter ehelicher dochter, hannß Schweickhardt der Kachler alhie Alß vogt vorermelts H Sebastian Goldbachs s: mit besagter hirschmännin s. erzielter 2.er Jüngerer Kindern namens Paul vnd hannß Georg Goldbach, Christoph Goldbach der schneider alhie alß vogt Leuini Stigenbocks deß Becken burgers alhie mit weÿl. Barbara hirschmännin s. ehelich erziehler 7. Kinder, So dann hieronimus Kornkauff, Kürschner, welcher der abgestorbener vogt geweßenen anietzo beÿ disem Contract im Nahmen vnd von wegen hannß Georg Handten deß Kürschners gesellen, so für dißmahl in der Wanderschafft, weÿ: Susannæ hirschmännin mit hannß Georg Jandten geweßenen Becken s: ehelich erzeugt Sohns, mit beÿstand herrn hanß Peter Müllers vnd H hannß Weckenmanns beeder Kleinen Rahts Verwanthen Alß vß mittel erst ehrenbesagts Raht An stat der vßländisch. Erben hierzu insonderheit v.ordneten herren, bekanten
in gegensein Christoff Goldbachen deß Schneiders burg. (verkaufft)
Ein hauß sampt hoffstatt und allen Zugehörd. In der großen Stadel gaßen neben hannß Jacob Rummmelsperger lederbereiter, j. vnd 2. seit Paul Kamerer Kürschner, hind. vff den Gerbergraben stoßend gelegen, So gantz eÿg. Vnd ist der Kauff gesch. p. iij. C. L. lb d übergeben
[in margine :] Erschienen obgemelt Barbara mit beÿstandt hannß Caspar Vrschen deß haffners ihres ietzig. Ehevogts hatt in gegensein Christoff Goltbachß jetzig. Käufflers deß Käuffers (…) act. d. 25. martÿ a° 1641.
[in margine :] Erschienen vorgemelt Barbara mit beÿstand hannß Caspar Vrschen ihres ietzig. Ehevogts so dann hannß Georg Schantzen deß buchbinders und hieronÿmi Kornkauffs deß Kürschners beed. ihrer nechsen Verwanth. bekandten in gegensein deß Käuffers, demnach ihren brudern Andreß Stigenboch ahne deßen Kauffschilling auch 24. lb gebührt, Vnd aber derselbe nun in die 20. jahr in d. frembde, also daß Sie bißheo nie nichts von ihme gehört, dannenhero vermuthe daß Er hie zwischen verstorb. sein möchte (…) Act. d. 25. martÿ a° 1641.
[in margine f° 66-v :] Erschienen Bastian Stigenbock, weÿ: Leuini Stigenbocks see: sohn, welcher nun 12. Jar in der frembde geweßen, deßwegen steht er Hieronimum Kornkauffen den Kürschner burger alhier, vnd weil der Käuffer ihne Bastian Stigenbock nicht gekennet (…) q.tir den 9. Decembris Anno 1628.
[in margine f° 67 :] Erschienen Andreß Jundt von Heiligenstein in namen hanß Michel Stigenbock, so in der frembde im Kriegs weßen crafft der in der Cantzleÿ den 12. octob. 1628 abgehördten Kundtschafft verstorben hatt in gegensein deß Käuffers (…) Act. 25. Martÿ 629.
Le tailleur Christophe Goldbach épouse en 1621 Marie Cléophée, fille du menuisier Martin Wittert
Mariage, cathédrale (luth. f° 123)
1621. Christoff Goldbach der schneider vnd Maria Cleophe Martin Wittert des Schreiners n. tochter, eingesegnet Zinstag 2. 8.bris (i 66)
Christophe Goldbach prend en pension le commissaire priseur Martin Repplin qui ne peut plus gagner sa vie et n’a pas les moyens d’acheter une pension dans un hospice.
1627 (10. Aprilis), Chambre des Contrats, vol. 461 f° 192-v
(Leibgeding) Erschienen Christoff Goldtbach der Schneider an einem,
So dann M Martin Repplin der St. St. geschwornen Käuffler andern theils
Zeigten an und bekannten gegen einander, demnach Er Repplin nun ein lange Zeit mit leibs blödigkeit also vnd dergestalt belad. daß leider nicht mehr sich zugetrosten, deren in disem leb. wid. entlad. Zu werd., Sonder solche leibskranckheiten ie mehr und mehr Zunehmen, vnd er Repplin daneben nicht souil im Vermögen, daß er dar für ein Pfrundt im Mehren Spitahl od. Blaterhauß erkauffen köndte, Alß heten sie beede sich mit einander eines Leibgedings dergestalt v.glichen, deß Er Goldbach od. seine Erben ihme Repplin Zu sich in sin behausung Auff und Annemmen (…)
Jedoch soll er goldtbach sein Repplins schwester Margrethen mit hannß Ulrich Eberlin dem federmacher alhier erziehltem sohn X lb nach sein Repplins absterben für sein Erbs gerechtigkeit erstaten
[in margine :] Erschienen hanß Jacob Eberlin alß weÿ: hanß Ulrich Eberlins s. Sohn, alß welcher sich Zu Ambsterdam ehelich ein Zu laß. willens, mit beÿstand Gerhard Frentzen deß Grempen vnd Martin Schnellers deß hosenstrickers (…) Actum den 6. Januarÿ Anno 1638
Sébastien Steigenbock qui s’est établi à Emmerich sur le Rhin donne quittance à son frère boulanger David Steigenbock de capitaux provenant de sa tante Salomé Hirschmann
1628 (ut spâ. [16]), Chambre des Contrats, vol. 462 f° 670-v
Erschienen Sebastian Steigenbock der Beck von Straßburg, an ietzo sich Zu Emmerich inn Niderland vfhaltendt, mit beÿstand Christoff Goldtbachen deß schneid.s burg. Zu St. seines gewesenen vogts
in gegenwärtigkeit Dauid Steigenbockhs auch Becken vnd Burgers alhie seines eheleiblichen Bruds.
Zeigten an und bekannten, demnach er Sebastian vnd Dauid die Steigenbock gebrüedere noch fünff geschwisterden, mit namen hanß Michel, Johannes, Andreß, Philipßs vnd Barbara gehabt vnd theils noch haben, vnder welchen fünff hanß Michel vnd Johannes, wie sie eüßerlichen berichtet, albereit in der frembde v.storben sein sollen, Andreß auch also von hinnen & v.schollen, vnd dem bewussten Manßfeldischen Kriegs wesen nach gezogen, daß man nicht weis, obe er todt od. lebendig
Vnd aber Vorbemelte ihren Fünf geschwisterden noch 250. fl. Capital gebürt, so sie von Salome Hirschmännin ihrer Muter Schwester see. ererbt (…)
(vide in Reg. 1626 fol. 66.)
Christophe Goldbach hypothèque la maison au profit de Sabine, fille du tisserand Pierre Linder
1631 (ut spâ. [9. Junÿ]), Chambre des Contrats, vol. 470 f° 312-v
Erschienen Christoff Goldbach d. schneid. burger Zu St.
hatt in gegensein Sabina Linderin, weÿ: Peter Linders deß Leinenwebers vnd burgers s alhie tochter – schuldig seÿ L. lb
dafür Vnd.pfand hauß vnd hoffstat vnd. an der Stadelgaß neben hanß Jacob Rummelsperger & Paul Kammerer Kürschner, hind. vff den Gerbergraben stoßend
Le commissare priseur Christophe Goldbach se remarie en 1639 avec Anne Marguerite, veuve du notaire François Jacques Eisenhuth
Mariage, Saint-Pierre-le-Jeune (luth. f° 7-v)
1639. Dominica XVII. Trinitatis 6. octob. Christoph Goldbach der Käuffler v. burger allhie v. Anna Margaretha Frantz Jacob Eisenhutt deß Notarÿ n. Wittib. Eingesegnet J S Peter Mont. 14. octob. (i 10)
François Jacques Eisenhuth épouse en 1637 Anne Marguerite, fille d’Abraham Leonhard
Mariage, cathédrale (luth. f° 401)
1637. Dominica XV. Trinit. 17. 7.br. Frantz Jacob Eißenhut d. Notarius Vndt J. Anna Margret h. Abraham Leonhardt n. Tochter eingesegnet Mont. 3. eingesegnet Mont. 28. 7.bris (i 125)
Le commissare priseur Christophe Goldbach hypothèque la maison au profit du relieur Jean Georges Schantz
1640 (ut supra [10. febr.]), Chambre des Contrats, vol. 485 f° 112
Erschienen Christoff Goldbach d. Käuffler alhie
hatt in gegensein hannß Georg Schantzen deß Buchbinders auch burgers Zu Str. – schuldig seÿ. 75. lb
dafür Vndpfand sein soll hauß und hoffstatt alhie beÿ der Tucher Zunfftstuben neben Isaac Rummelsperger dem Lederbereiter && Paul Cammerer den Kürschnern, hind. vf dem Gerbergraben stoßend, so zuuor v.hafftet umb 40. lb. weÿl. Leuinÿ Stigbocks see: zweÿ söhnen
D’après l’acte de 1663 ci-dessous, la maison appartient pour moitié à l’Orphelinat et pour moitié à Georges Siler, pensionnaire à l’hôpital, qui a épousé Barbe Steigenbock.
Georges Siler hypothèque la maison au profit du receveur de Saint-Thomas Jean Jacques Mosseder pour défrayer son beau-frère Sébastien Steigenbock
1663 (27. Augusti), Chambre des Contrats, vol. 528 f° 483-v
Erschienen Georg Siler der Pfründer im Mehrern hospital mit beÿstand H Johann Joel Leoparts E.E. Kleinen Rhats Beÿsitzers, Sebastian Stigenbockhs von Emmerich sein Silers Schwagers und H Nicolai Reben Notarÿ
hatt in gegensein H Johann Jacob Moseders alß Schaffners E.E. Collegiatstiffts Zu St Thoman, bekannt – schuldig seÿe 50 Pfund Ihme Zu Außweißung obernannts Stigenbockhß von weÿl. Barbara Stiegenbockhin seiner Schwester besagts Silers geweßenen Eheweib nunmehr seel: geerbten Verlaßenschafft bahr gelühenen Gelts
Unterpfand sein soll, die helffte ahne hauß hoffstatt und allen deren Gebäwen & alhie in der großen Stadelgaßen, Zwischen weÿl. H Isaac Rummerspergers deß Lederhändlers seel. Erben, hind. vff den Gerber graben stoßend gelegen, Und die übrige helffte dem Weÿsenhauß gehörig seÿe
La part de maison qui appartient à Georges Siler revient au passementier Jean Baum, originaire de Brandoberndorf dans le bailliage de Cleeberg en Hesse, qui épouse en 1642 Salomé Meyer, fille de la première femme de Georges Siler.
Mariage, Saint-Pierre-le-Jeune (luth. f° 17-v)
1642. Dominica XII. Trinit. 28. Augusti. Johannes Baum der paßmentmach. Christophori Baum deß schneiders Von brand obern dorff im Ampt Kleeberg, darmstettischen gebiets nachg. Sohn, Vnndt Jfr. Salome Melchior Meyers des burgers V Mehlmans nachg. eheliche Tochter, Copulirt 5. Septembris J S Peter (i 23)
Jean Baum devient bourgeois par sa femme Salomé Meyer.
1642, 4° Livre de bourgeoisie p. 210
Johann Baum von Oberndorff der Paßmentmacher, empfahet daß Burgerrecht von seiner haußfrawen Salome Melchior Meÿers deß Meelmans alhie Tochter, vmb 8 Gold fl., ist ledigen Stands gewesen, vnd würd Zu dem Spiegel dienen Jur. den 15.ten 7.br. 1642.
Jean Baum et Salomé Meyer font leur testament par lequel ils instituent pour héritiers leurs enfants et font un legs aux deux cadets Matthieu et Elisabeth
1674 (21. Decembris), Not. Werbeck (Jean Christophe, 1 AH 6257)
Testamentum nuncupativum. H. Johannes Baumen, Paßmentirers, Vndt Frawen Salome Meÿerin, beeder Eheleüthen vndt burgern alhier Zue Straßburg 1674
(Extendirt, prothocollirt undt Instrumentirt den 12. Xbris St. nov. 1682 von Joh: Kitschen Noto.
persönlich erschienen der Ehrenhafft vndt achtbare Herr Johannes Baum, Paßmentirer vnd beneben Ihme die Ehren und tugendsahme Fraw Salome Meÿerin, beede Eheleüthe vndt burgere allhier Zu Straßburg Von der Gnaden deß grundgüetigen Gottes annoch vffrechter gehendt: vndt stehender leiber (…)
dießem nach vnd fürs Andere, Vmb erzeigter Vndt bewißener hertzlicher liebe vndt ehelicher pflicht willen, so obgdachter H Johannes Baum vndt Fraw Salome Meÿerin beÿde Testirende Eheleüthe einander nun über 30. Jahr erzeigt vnd bewießen (…)
Vndt weilen Zum dritten die Institutio hæredum vndt einsatzung der Erben eines Jeden formlich vnd Zu Recht bestendigen Testament fundament vnd grundfeste ist (…) alß wollen obenehrgemelte Testirende Eheleuthe H Johann Baum vndt Frau Salome Meÿerin Zu Ihren Rechten wahr vnd ohngezweiffelten Erben hiemit nominirt vnd eingesetzt haben Ihre lieben bereits habende Kinder alß welche ohne daß ihre ab intestato Erben sein wollen denselben auch bester form Rechtens deren eheliche Kinder vnndt leibs Erben substituirt haben, Waß aber weÿl. Ihre dochter Margrethen Meister Michel Wÿdeman den Paßmentirer ehelichen erziehltes Kindt betreffen thut (…)
Zum vierdten wollen beede Testirende Eheleuthe falls Ihr beÿde Jungste Kinder Mattheus vndt Elisabeth nicht Zu völliger erziehung vor der Testirend. Eheleuth todt Kommen sollten einen Jed. Zu einem prælegat 50 guld. verordnet haben
Johann Christoph Werbeck Notarius publicus
Le receveur de l’Orphelinat et Jean Baum vendent la maison au passementier Jean Pierre Nigrinus. En marge, quittance accordée en 1719 à Jean Beauvalet.
1676 (4 Jan:), Chambre des Contrats, vol. 545 f° 12
Herr Johann Hartmann Wörtz alß Schaffner deß Waÿsenhaußes, und Johannes Baum der Posomentirer für sich selbsten
in gegensein hannß Peter Nigrini deß Posomentirers, mit beÿstand herren hannß Georg Otten deß Gerbers und Lederbereÿters
hauß hoffstatt mit allen deren Gebäwen, begriffen, weithen, Zugehördten rechten und Gerechtigkeiten alhier in der Stadelgaßen ein: und anderseit neben Jacob Männel dem Gerber und Lederberaitern, hinden uff den Graben stoßend gelegen, ahne welcher behaußung die eine helffte dem Waÿßenhauß, und die übrige Ihme Baumen gehörig, Zumahlen sein Baumen helffte, dem Stifft St. Thomæ umb 50. lb Verhafftet – umb 200. lb
[in margine :] (…) in gegensein Jean Beauvallet Garçon Chirurgien alß ietzmahligen proprietarÿ hi vorbemel. haußes in d. Stadelgaßen so aber nicht in der Stadelgaßen sondern in d. Tucherstubgaßen lieget und Er Beauwalet im Ganth ahn sich bezogen (quittung), actum den 15. Julÿ 1719.
Jean Pierre Nigrinus et sa femme Marguerite hypothèquent le même jour la maison au profit du boutonnier Isaac Bæhr
1676 (4 Jan:), Chambre des Contrats, vol. 545 f° 14-v
Hannß Peter Nigrinus der Posomentirer und Margaretha sein Eheweib, und Zwar dieselbe insonderheit mit beÿstand Andreß Georg Holtzbergers und Philipp Jacob Bruders beÿder Posomentirer
in gegensein Isaac Bähren deß Knöpffmachers – schuldig seÿen 50. pfund
unterpfand, hauß, hoffstatt mit allen deren Gebäwen, begriffen und Zugehördten alhier in der Stadelgaßen ein: und anderseit neben Jacob Männel dem Gerber und Lederberaitern, hinden uff den Gerbergraben stoßend gelegen, welche behaußung eingangs gemelter Nigrinus Von wem Waÿsenhauß und Johann Baumen dem Posomentirer erkaufft hatt
[in margine :] (…) in gegenwartt Jean Beauvallet des Gastgebers, der obverpfändete behaußung ahne hießer Ganth am 3.ten Maÿi 1719. erkaufft und solches capital zu zahlen übernommen (quittung), actum den 28. Aprilis 1739.
Fils du pasteur de Muntzenheim près de Colmar, Jean Pierre Nigrinus épouse en 1662 Marguerite, fille du notaire Laurent Treuttel
Mariage, Saint-Thomas (luth. f° 46-v)
1662. Dnca. Septuagesima 26. Jan. Johann Peter Nigrinus der Passmentmacher, weiland H. M. Henrici Nigrini Pfarrers zu Muntzenheim hinderlaßener Ehelicher Sohn v. J. Margareta H Laurentii Dreüttel Notarii Publ. vnd E. E. Kleinen Rhats Alten Beÿsitzer allhier Eheliche Tochter. Copulirt Zinst. d. 4. Febr. Zu St. Thomæ (i 51)
Jean Pierre Nigrinus devient bourgeois par sa femme en s’inscrivant à la tribu du Miroir
1662, 4° Livre de bourgeoisie p. 331
Hans Peter Nigrinus der Paßmentmacher von Kochen atzenheim, weÿl. H. Heinrich Nigrini geweßenen Pfarrers daselbst ehelich Sohn, empfangt d. burgerrecht von seiner Haußfr. Margaretha H. Notarÿ Laurentÿ Treutels burgers alhie ehelich. dochter vmb 4 Golt fl. die er beÿ der Cantzleÿ erlegt, Ist hievor ledigen Stands gewesen, will Zu E. E. Zunfft d. Spieglen dienen Jurav: 13. febr. A° 1662.
Les nouveaux mariés font dresser chacun l’inventaire de leurs apports. Ceux du mari s’élèvent à 26 livres, ceux de la femme à 191 livres.
1662 (15.2.), Not. Ursinus (Jérémie, 60 Not 30) n° 6
Inventarium über Des Ehrenhafften vndt Achtbahren H Johann Petri Nigrini Paßmentmachers, Zu der Ehren undt vieltugendsammen frauen Margarethæ Träuttellin, seiner lieben hfren. in die Ehe Zugebrachte Nahrung auffgericht 1662. – als vermög Ihrer mitt einander auffgerichteten Eheberedung ein unverändert Guth un den Ehestandt Zugebracht (…) So beschehen auff Sambstag den 15.ten Februarÿ A° 1662.
Sa. Haußraths 52, Sa. Werckzeugs Zum Paßmentmachen gehörig 11, Summa summarum 63 lb – Schulden 37 lb, Nach deren Abzug 26 lib
1662 (15.2.), Not. Ursinus (Jérémie, 60 Not 30) n° 7
Inventarium vndt Beschreibung aller Haab vndt Nahrung, so die Ehren: und viel tugendtsahme fraw Margaretha Treüttelin, dem Ehrenhafften vndt Achtbahren H. Johann Petro Nigrino Paßmentmachern, Ihrem lieben haußwürth, Crafft Ihrer mitt einander auffgerichteten Eheberedung als ein unverändert Gueth in den Ehestandt Zugebracht, Welche durch Sie Fraw Margaretham selbsten, mit beÿstandt deß Ehrenvesten, wohlgelehrten vndt Weÿßen herrn Laurentÿ Treuttels Notarÿ Publici Cæsarei vnd E. Ers. Kleinen Raths alhier altten Beÿsitzers, Ihres vatters (…) So beschehen auff Sambstag den 15.ten Februarÿ A° 1662.
Sa. Haußraths 93, Sa. Silbers 12, Sa. Guldinen Ring 8, Sa. d. Baarschafft 25, Sa. Pfenningzinß hauptgueths 52, Summa summarum 191 lb
Jean Pierre Nigrinus se remarie en 1691 avec Marie Rosine Steinbach, fille du tisserand André Steinbach : contrat de mariage tel qu’il est copié à l’inventaire, célébration
Copia der Eheberedung – Zwischen dem Ehrengeachten und achtbaren Meister Hannß Peter Nigrino dem Paßmentmacher undt burgern allhier Zue Straßburg als dem Bräutigamb ane einem, So dann der Ehren: und Tugendsamen Jungfrauen Mariæ Rosinæ Steinbachin, Weÿland deß Ehrengeachten und achtbaren Mstr Andreas Steinbachs, gewesenen leinenwebers und burgers allhier Seeligen hinterlaßener eheleiblicher Tochter, als hochzeiterin am andern theil (…) Herrn Christian Bruders deß ämtern Paßmentmachers der Jungfrau hochzeiterin geschwornen vogts (…) So beschehen und verhandelt inn der Königlichen Freÿen Statt Straßburg auff Dienstag den 24. Tag deß Monaths Julÿ 1691, Christoph Stöffler, Nots.
Mariage, Saint-Thomas (luth. f° 26, n° 133)
den 15. Aug. A° 1691. seind nch gewohnlicher proclamation, so geschehen den 8. & 9 Trinit. copulirt v. eingesegnet worden Joh: Peter Nigrinus, der burger v. paßmentmacher allhier, v. Jungfr. Maria Rosina, Weÿland Andreæ Steinbachs, deß burgers v. leinenwebers allhier, nachgelaßene ehel. Tochter [unterzeichnet] hannß Petter Nigrinus alß hochzeiter, Maria rosine steinbhachinn als hochzeiterin (i 28)
Jean Pierre Nigrinus meurt en 1699 en délaissant trois enfants de sa première femme et deux de la veuve. L’inventaire est dressé rue des Cheveux dans la maison du tanneur Michel Kürser. La masse propre à la veuve est de 95 livres. L’actif des héritiers et de la communauté s’élève à 43 livres, le passif à 152 livres.
1699 (31.8.), Not. Kolb (Jean Pierre, 23 Not 2)
Inventarium und Beschreibung aller der Jenigen Haab und Nahrung, so weÿl. der Ehrengeachte und bescheidene Mstr. Hannß Peter Nigrinus geweßener Paßmentierer und burger alhier zu Straßb. nach seinem Sontags den 16.t aug. dieses laufenden 1699.ten jahrs genommenen tödt. ableiben Zeitlichen verlaßen (…) durch Maria Rosinam Nigrinusin gebohrne Steinbachin die hinterbliebene Wittib mit beÿstand Mstr Hanß Jacob Hummels Paßmentirers und burgers alhier deroselben geschwornen vogts (…) Actum in der Königl. freÿe Statt Str. auf Montag den 31.ten Aug. Anno 1699.
Der Verstorbene Seel. hat ab intestato Zu Erben verlaßen wie volgt. 1. den Ehrengeachten und bescheidenen Mstr. Lorentz Nigrinus, Paßmentierer vnd burger alhier so der Inventation in Persohn beÿgewohnt, 2. 3. Hannß Peter vnd Jfr. Annam Catharinan Nigrinusen beeder ledig. stands welche mit beÿstand Mstr. Hanns Paulus Strawern burgers und Paßmentirers aller dreÿer geordnet und geschworenen Vogts, persönlich dem geschäfft Zugegen gewesen, dieße dreÿ mit weÿl. Frn Anna Margaretha gebohrner Treüttlerin in erster Ehe erzeigte Söhn und dochter
4. 5. Hanns Friderich und Catharinam Barbaram Nigrinusin beede mit der hinterbliebenen vorhergedachten wittiben erziehlten Sohn und döchterl., in dero nahmen der Ehrengeachte H Abraham Goldbach, auch Paßmentirer vnd burger Zu Straßb. als geschworner Vogt dem Inventations geschäfft selbsten abgewartet, Also alle 5 deß verstorbenen seel. in 2.ter Ehe ehelich erzeügte und ab intestato hinderlaßene Erben
In einer allhier in der Statt Straßb. in dem so genanten Haargäßlein gelegenen und Hn Hannß Michel Kürßern, gerber und lederbereüter, auch burgern alhier eigenth. zugehörig. behauß. ist befund. worden wie volgt
In der Cammer A, In der Wohnstuben, In der Stub Cammer
Ergäntzung der Fr. wittib unveränderten Gutts. Vermög deß über der wittib in die Ehe gebrachte Nahrung durch weÿl. Hn Notarium Joh: Christoph Stöffel den 4. 8.bris in Anno 1691. auffgerichteten vnd gefertigten Inventarÿ
der Wittib unveränderte Nahrung, Ergäntzung 95
Nun wird auch der Erben unverändert und theilbarer Verlaßenschafft under einer Rubric beschrieben, Sa. haußraths 30, Sa. Silbers 3 ß, Sa. Werckzeugs, Schiff und geschirrs wie auch wahren Zum Paßmentmacher handwerckh gehörig 12, Summa summarum 43 lb – Schulden 152 lb, Passiv onus 109 lb
Copia der Eheberedung (…) So beschehen und verhandelt inn der Königlichen Freÿen Statt Straßburg auff Dienstag den 24. Tag deß Monaths Julÿ, Christoph Stöffler, Nots.
(Joint) Inventarium über er Ehrn: undt Tugendsamen Mariæ Rosinæ Nigrinußin geborner Steinbachin, deß Ehrngeachten Hanß Peter Nigrinußen, Paßmentirers und burgers alhier haußwürthi in die Ehe gebrachte nahrungen, auffgerichtet Anno 1691. (…) Actum Straßburg den 4. Octobris styli novi 1691. Johann Christoph Stöffel Nots. Publ.
Vertrag Zwischen Hannß Peter Nigrino dem Paßmentirer und seiner mit weÿland Frauen Margarethæ gebohrner Träutelin erzeigter dreÿen Kinder Vogte, Hannß Paul Strauern ebenmäßig Paßmentirern allen beeden burgern allhier Zu Straßburg
Les deux enfants cadets de Jean Pierre Nigrinus sont admis à l’orphelinat
1705, Conseillers et XXI (1 R 188)
weÿl. H. Joh: Peter Nigrinus hinderlaßene Zweÿ Kinder vmb auffnahm in das Waÿßenhauß. 89.
(p. 89) Sambstags den ii.ten Aprilis 1705 – H. Ersch. weÿl. Johann Peter Nigrinus des gewesenen burgers vndt Paßmentmachers allhier hinterlaßene Zweÿ Kinder mit beÿstandt Abraham Goldtbachs deren Vogts prod. Inventarium auß welchem in fine Zu ersehen daß die passiva die activa vmb 109. lb d übertreffen bitten Unterthänigst Sie in allhießiges weißenhauß auff zu nemmen. Erk. werden beede Implorirende Kindter mit Ihrem begehren denen Hhn. Pflegern des Weißenhaußes bestens recommendirt. H. Rathh. Wirtz vnd H. Rathh. Billonius.
Jean Pierre Nigrinus vend la maison à Anne Marguerite Hess, veuve du chef de chantier André Schmidt
1694 (6. 7.br), Chambre des Contrats, vol. 566 f° 557
Johann Peter Nigrini der Paßmentirer
in gegensein Annæ Margarethæ gebohrner Heßin, weil. Andreæ Schmids gewesenen Werckmeisters auff dem Mauerhoff sel. nachgelaßener Wittib so ohnbevögtigt mit beÿstand H. H. Joh: Jacob Rauchen, deß buch händlers
hauß und hoffstatt, mit allen deren Gebaüen, begriffen, weithen, Zugehördt. rechten und Gerechtigkeit. allhier in der Tucherstubgaßen, ein: und anderseit neben Jacob Mänel den gerbern und lederbereiter hind. auff den Rindshäuter oder Gerbergraben stoßend gelegen, welche behaußung umb 500 lb Capital (und umb 100 lb Capital, So dann umb 50 lb Capital verhafftet) – umb 45 pfund
Remariée au potier Gaspard Steiner dont elle est séparée, Anne Marguerite Hess hypothèque la maison au profit de Jean Joachim Mosseder, receveur de Saint-Thomas
1698 (10.2.), Chambre des Contrats, vol. 570 f° 76
Fr. Anna Margaretha geb. Heßin Caspar Steiners deß Stattkachlers geschiedene haußfrau, so dißmal ohnbevögtigt, mit beÿstand H. Dietrich Schlenackers, des Biersieders zum Störcken Und H. Johann Philipß Brandhoffers, Biersieders zum guldenen Löwen, Ihres respect. Ihres Tochtermanns und Vetteren [unterzeichnet] Anna Margretha schmidin
in gegensein H. Johann Joachim Moseders, Schaffners zu St. Thomæ, schuldig seÿe 250 pfund, damit hernach zuerst beschriebene behaußung hat erkauffen und d. angeld damit bezahl. können
unterpfand, Erstlich hauß, hoff, p perge auß immediate vorstehend Verschreibung (…)
So dann hauß und hoffstatt mit allen deren Gebaüen und Zugehördt. allhier in der Tucherstub gaß, ein und and.seit neb. Jacob Männel dem gerber und Lederbereiter hind. auff d. Rindshäuter oder Gerbergraben stoßend gelegen
Anne Marguerite Hess hypothèque la maison au profit de ses petits-enfants issus de Thierry Schlehenacker
1702 (7. Xbris), Chambre des Contrats, vol. 575 f° 494-v
Anna Marg: geb. Heßin weÿl. Andres Schmids geweßenen Werckmeÿsters auf dem Maurhoff wittib mit beÿstand Hn Georg Bahnen Assessoris beÿ löbl. Policeÿ gerichts ihres Curatoris
Hn Joh: Philipp Brandhoffers bierwürths Zuem guldenen Löwen /:alß vogts Dietrich Schlehenackers bierwürth zuem Störckel alß Tochtermanns:/ 2 KK. erster ehe
demnach Sie, Schmidin alß berührter KK. Großmutter kraft hierbeÿ prod: abrechnung von erwehntem ihrem marito 185 pf. wÿdembs weiß zu genießen woran ihnen denen KK. d. eÿgenthum gehören alß wolle Sie Großmutter die KK. folgender maßen in specie versichern, Erstlichhen auf Hauß u. hoffstatt cum appertinentiis in der Tucherstuebgaßen allhier ein und anderseith neben weÿl. Jacob Männels gerbers EE. hinten auf den graben stoßend gelegen,
ferners auf ihre behaußung cum appertinentiis in der Zimmerleuthgaßen einseit neben S. T. Hn. Philipp Heinrich v. Wickersheim alten Stättmeÿster u. XIII.nern anderseit neben Joh: Georg Bertoleitenmeÿer todenträger hinten auf eundem stoßend gelegen
Anne Marguerite Hess vend la maison à Dorothée Hauff veuve Pfeil
1705 (3. 8.br), Chambre des Contrats, vol. 578 f° 792
(350) Anna Marg: Schmidin Wittib geb. Heßin beÿständlich Hn Georg Bahnen Consigne à La porte de L’Hopital ihre vogts
in gegensein Dorotheæ Pfeilin Wittib geb. Hauffin beÿständlich Hartwig Grieße schreiners dero vogts
Hauß u. Hoffstatt mit allen Gebäuen, begriffen, weithen, Zugehörden, rechten u. Gerechtigkeit allhier in der Tucherstueb gass ein u. anders. neben Jacob Männel Gerber u. Lederbereithern hinten auf den Gerber graben stoßend gelegen – (um 50, 100 und 50 Capitalien verhafftet) geschehen um 150 pfund
Fils du tisserand Jean Jacques Pfeil, le tailleur Thomas Pfeil épouse en 1698 Dorothée, fille du parcheminier Jean Georges Hauff
Mariage, Saint-Thomas (luth. f° 66-v, n° 356)
Heüt den 9. April: 1698 ist nach geschehener außruffung Copulirt word. Thomas Pfeil der ledige Schneider weÿl. Johann Jacob Pfeil. gewesenen Burgers und woll. webers allhier nachgelaßener ehelicher Sohn, und Jfr. Dorothea, weÿl. Johann Georg Hauff. geweßenen burgers undt pergamenters nachgelaßene eheliche tochter [unterzeichnet] Thomas pfeil Als hohzeider, Dorothea Hauffen Als hochzeiterin (i 69)
Fils du manant Jean Hessler, le pelletier Jean Philippe Hessler épouse en 1706 Dorothée, veuve du tailleur Jean Thomas Pfeil
Mariage, Robertsau (luth. f° 146)
den 17. Februarÿ Anno 1706. hab ich Pfarrer in der Ruprechtsaw auf vorgewiesenen schein von regierendem Hn Ammeister, und contrahirter Proclamation ehelich eingesegnet Johann Philipp Heßler den Ledigen Kirschner Gesellen in Straßburg weÿl. Johann Heßlers gewesenen schirms verwanden und Weg Meisters wie auch Aurelia Sigfridin hinterlaßenen Ehelichen Sohne und Fr. Dorothea, weÿl. Johann Thomæ Pfeilen gewesenen burger und Schneiders in Straßburg h hinterbliebene wittib [unterzeichnet] + H. Philipp Heßler der Hochzeiter kan nicht Schreiben sein Zeichen ist dieses +, Dorothea Hauffin als hochzeiterin (i 148)
Jean Philippe Hessler devient bourgeois par sa femme
1706, 4° Livre de bourgeoisie p. 759
Joh: Philipp Heßler d. Kürßner V. hier, weÿl. Joh: Heßlers gew: tagners hint. sohn, empf. d. Burgerrecht v. seiner Fr. Dorothea Pfeilin p. 2. gold. fl. 16 ß wird beÿ den Kürßner, dienen, Jur. d. 12. Dito 1706.
Jean Philippe Hessler s’adresse aux Quinze pour devenir maître bien que sa demande soit contraire au règlement parce qu’il est marié et qu’il ne s’est pas inscrit. Le pétitionnaire déclare avoir appris le métier dans les règles et que les moyens lui manquaint pour faire son tour de compagnon. La commission estime qu’une dispense pourrait lui être accordée à condition qu’il n’engage ni employé ni apprenti pendant un an. Le préteur royal propose de ramener ce délai à six mois, ce qu’aprouve l’assemblée.
1706, Protocole des Quinze (2 R 110)
Joh: Philipp Heßler Ca. EE. Zunfft der Kürßner fol. 121. 132.b
(f° 121-v) Sambstags den 17. Aprilis 1706 – K. nôe Joh: Philipp Keßlers burgers und Kürßners alhie Cit. per sched. E. E. Zunfft der Kürßner alhie, weilen prplis nach dem Er burger, auch meister Zu werden begehrt, als bittet unterth. Ihme das Meister Recht gnd gedeÿen Zu laßen.
S. Citatus præs. weilen Implorant erst Zweÿ Jahr aus der lehr, 2) schon verheürathet, nicht gewandert, noch die geordnete Zeit verarbeitet noch sich einschreiben laßen, alß bittet unterth. Sie beÿ den articulen gnd. Zu manuteniren, vndt den Imploranten mit seinem begehren abzuweißen.
K. bittet zu fererer Verantworttung deputaônem. S Priora. Erk. wie vor [deputaôn willfahrt, Obere handwerckh.]
(f° 132-v) Freÿtags de, 23. Aprilis 1706. – Joh: Fridr. Heßner Ca. E. E. Zunfft der Kürßner
Iidem [Obere handwerckh] per herrn Friden, es habe Joh: Friderich Heßner Ca. E. E. Zunfft der Kürßner geklagt, daß Sie Ihne zu dem Meister Recht nicht admittiren wollen anbeÿ umb dispensation gebetten. Alß man die Parthen angehört, habe Kläger gesagt, daß sein vater ein Schirmer geweßen, vndt auff MGHheren werckh gearbeitet habe, Er aber were vor kurzer Zeit burger worden, habe umb das Meisterrecht angesucht, so Ihme darumb erschwert worden, weilen Er in einen vndt ander stucke wid. articul gehandelt.
Worauff im nahmen der Zunfft Andreas Wittmann et Cons. berichtet, daß Kläger verheürathet, (2) vermög articul 3 Jahr wandern vnd (3) darauff 3 Jahr beÿ einem Mstr. arbeiten sollen, so Er nicht gethan habe. (4) derselbe sich 3 jahr Zuvor Zum Meisterstück hette einschreinen laßen sollen, so auch nicht geschehen, (5) Er sein handtwerkh nicht am besten verstünde, vndt wann mann dergleichen junge Leüth, so nichts erfahren, annehmen wolle, man endlich lauter schlechte handwercks leüth haben würde, anbeÿ sich auff einen articul vom 9. 9.br 1655. bezogen, so dahin gehet daß ein frembder gesell 9. gantzer jahr beÿm handwerckh seÿn solle, ehe er Zum Meister Recht gelangen könne, und beÿ der annahm 30 ß erlegen solte. Gegner habe replicirt, daß Er seine Lehr Zeit außgestanden, undt Zum Reißen die mittel nicht gehabt habe, es seÿe aber auch beÿ andern dispensirt worden. Er haben eines Schneiders Wtb. geheÿrathet vndt verstünde nichts, als ein handwerck dabeÿ Er sich ernehren müße.
Auff seithen der Herren Deputirte habe man davor gehalten, daß weilen der Implorant in vielen stucken wider articul gehandelt, Er noch ein Jahr lang ohne Gesind und Jungen seÿe, nach deßen verfließung aber, ihme solche Zu fordern erlaubt werden Könte, iedoch daß Er pro Dispensatione 3. lb d vnd auch 30 ß vor die einschreibung Zu erlegen schuldig seyn solle.
Herr Prætor Regius hielte davor daß der Bedacht confirmirt die Zeiy aber deß der Implorant ein Jahr lang ohn gesindt vndt Jungen seÿn solte, auff 6. Monat gesetzt weden könte. Erk. dem Herrn Prætori gefolgt.
Jean Philippe Hessler et Dorothée Hauff hypothèquent la maison au profit de Susanne Enderis veuve Rimbach
1707 (18.1.), Chambre des Contrats, vol. 580 f° 52
Joh: Philipp Hessler Kürßner u. Dorothea geb. Hauffin beÿständlich Benjamin frantz barchethändlers u. Joh: G. Hauff secklers
in gegensein Susannæ Rimmbächin wittib geb. Enderis beÿständlich Andres Enderis schneiders – schuldig seÿen 25 lb
unterpfand, ihre behaußung in der Tucherstueb gass einseit neben männel anderseit neben Röderer
Dorothée Hauff meurt en 1729 en délaissant une fille. L’inventaire est dressé dans une maison de location rue de la Soupe-à-l’eau. La masse propre au veuf est de 4 livres. celle propre aux héritiers de 8 livres. L’actif de la communauté s’élève à 11 livres, le passif à 10 livres.
1729 (29.3.), Not. Hoffmann (Christophe Michel, 19 Not 31) n° 958
Inventarium über Weÿland frauen Dorothea Heßlerin gebohrner Hauffin des Ehrsahmen Mstr. Johann Philipp Heßler des Kürschners und Burgers allhier geweßener ehel. haußfrauen nunmehro seel. Verlaßenschafft auffgerichtet Anno 1729. – nach Ihrem am 14.ten Jahrs genommenen Tödlichen hiendritt hie Zeitlichen verlaßen wie solche Verlaßenschafft auf freundliches ansuchen erfordern und begehren Jgfr. Evæ Margarethæ Heßlerin, so die verstorbene seel: mit vor und nachgemeltem Ihrem hinterbliebenen wittiber ehel. erziehlt und ab intestato einiges Erbin verlaßen mit beÿstand Hn Benjamin Frantzen des barchet Krähmers und burgers alhier heut dato ordnungsmäßig Inventirt (…) so beschehen Straßburg den 29. Martÿ Anno 1729.
Bericht in gegenwärtig Inventarium gehörig. Es hatt der Wittiber, gleich anfangs der Inventation beÿ seiner gegebenen handtreu glaubwürdig berichtet, daß als Er sich Vor ohngefehr 22 Jahren mit seiner Verstorbenen hausfr. Verheÿrathet, dazumahlen Zwischen ihnen beeden Keine Eheberedung auffgerichtet weniger etwas schrifftliches Zu Papÿr gebracht worden, wohlerwogen Sie gar wenig ane Zeitlicher Nahrung zusammen gebracht, dannenhero beÿ sogestalt der Sachen sothane verlaßenschafft nach hiesigen Ordnungen (…)
In einer alhier Zu Straßburg ane der Waßersuppgaß gelegenen Lehn behaußung und dero inhabenden gemachen folgender laßen Befunden.
Haußrath W. 4, E. 8, T. 9, Silber T 16 ß, Goldener Ring T 16 ß
(f° 7) Sa. Bett und Federwercks, als worinnen des Wittibers gantz ohnverändert Vermögen bestehet ist 4 lb
Dießemnach wird auch der Tochter und Erbin unverändert Nahrung beschrieben, so auch nur in folgenden haußraths Posten beruhet 8 lb
Endlichen Folgt die beschreibung des gemein Theÿlbahren Guths 11 lb – Schulden 10 lb, Conferendo bleibt 14 ß
Conclusio finalis Inventarÿ 14 lb
Jean Philippe Hessler se remarie avec Anne Barbe Wagner, originaire de Goxwiller : contrat de mariage, célébration
1730 (21. 9.br), Not. Hoffmann (Christophe Michel, 19 Not 75) n° 674
Eheberedung Zwischen dem Ehrsam und bescheidenen Philipp Heßler Kürschner und burgern alhier alß Bräutigam an einem
So dann der Ehr: und tugendsahmen Jungfer Annæ Barbaræ Wagnerin, Hanß Martin Wagner des Rebmanns Zu Goxweiller ehel. Tochter alß hochzeiterin am andern Theÿl
So beschehen Straßburg den 21.ten Novembris Anno 1730 [unterzeichnet] + des bodenzinßs handzeichen, v der Jgfr. hochzeitterin handzeichen
Mariage, Saint-Thomas (luth. f° 218, n° 1238)
Anno 1730, den 29. Novembr. seind nach geschehener ordentl. ausruffung in der Kirche Zu S Thomas ehelich eingesegnet worden Johann Philipp Heßler der burger und Kürßner alhie und Jungfr. Anna Barbara Johann Martin wagner, deß burgers und Rebmans zu gocksweil eheliche tochter [unterzeichnet] + diß Zeichen hat gemacht der hochzeiter der nicht schreiben kan, s das Zeichen hat gemacht die hochzeiterin, benjamin frantz als schwager (i 222)
Anne Barbe Wagner devient bourgeoise par son mari
1731, 4° Livre de bourgeoisie p. 966
Anna Barbara wagnerin von gotsweiler geb. Johann Philipp Heslers ehefr. erhalt d. b. gratis, will beÿ E E Zunfft d. Kürßner dienen. Prom. 10.ten Feb. 1731.
La veuve et la fille de Jean Philippe Hessler sont dispensés de faire dresser un inventaire de la succession à cause de la pauvreté du défunt.
1734 (13. Sept.), Livres de la Taille (VII 1177) f° 351
Hannß Philipp Heßler des Kürßners Wb. mit beÿstand Philipp Jacob Schildknecht des trehers producirt schein Von des Verstorbenen Tochter Johann Caspar Däffner des Mehlmanns Ehefrauen, deß Sie nicht an ihrem Vatter zu erben Verlange. Erkant wegen Armuht der Inventur erlaßen.
La tribu des Pelletiers délivre à Anne Barbe Wagner un certificat pour qu’elle puisse bénéficier de l’aumône Saint-Marc
1734, Protocole de la tribu des Pelletiers (XI 331)
(f° 81-v) Montags den 16.ten Augusti 1734 – Anna Barbara Heßlerin gebohrne Wagnerin weÿl. Meister Johann Philipp Heßlers geweßenen Kürßners und burgers allhier seeligen Wittib bittet ein gleiches [Schein Zu erlangeung allmoßens Zu St Marx angedeÿen werden möchte], Erkandt auch willfahrt.
Dorothée Hauff femme de Jean Philippe Hessler vend la maison au fripier Simon Jacques et à sa femme Ursule Treimer moyennant 500 livres
1708 (14.5.), Chambre des Contrats, vol. 581 f° 352-v
(500) Dorothea geb. Hauffin Joh: Philipp Heßlers Kürßners haußfrau
in gegensein Simon Jacques frippier u. Urßulæ geb. Traümerin
Hauß u. hoffstatt mit allen deren Gebäuen, begriffen, weithen, zugehörden, rechten und Gerechtigkeiten in der Tucherstueb gass ein und anderseit neben Jacob Männel gerber hinten auf den Gerbergraben stoßend – um 50, 100, 50 und 100 capitalien verhafftet, geschehen um 200 pfund
Simon Jacques, originaire de Saint-Girons en Gascogne, fait baptiser un enfant de sa femme Ursule Treimer, originaire de Bâle
Baptême, Saint-Pierre-le-Vieux (cath. p. 209)
Die 10. Maÿ 1705. natus est Joannes Georgius ac filius Legitimus Simonis Jacque de Sainct Giron in Gasconia ac incola huiatis Et Ursula Treiner Basiliensis fuit Baptisatus die 11.mo Eiusdem Mensis (i 112)
Les Quinze rejettent la demande du fripier Simon Jacques de pouvoir exercer son métier de fripier bien qu’il ne soit pas bourgeois.
1704, Protocole des Quinze (2 R 108)
(f° 290-v) Sambstags den 15. Novembris 1704 – H. nôe Simon Jacques deß Schirmverwanthen allhier cit. per Sched. E. E. Zunfft der Mörin H Zunfftmeister, Gegner wollen principalen ursach derselbe nicht verburgert, alß frippier feil zu haben nicht erlauben, bittet deßweg. ihme in seinem petito Zu willfahren, vnd offerirt sich unterthänig in das Burgerrecht Zutretten. Kun. weilen Kläger vmb der vrsach willen, daß nicht burger ist, auch nicht Zünfftig sein kan, alß s. die dispensation halben. Erk. wird das begehren abgeschlagen.
Fils du tricoteur Matthieu Jacques de Saint-Girons en Gascogne, Simon Jacques et sa femme Ursule Treimer originaire de Bâle achètent le droit de bourgeoisie le 24 avril 1706 en apportant deux enfants qui ne deviennent pas bourgeois
1706, 3° Livre de bourgeoisie p. 1259
Simon Jaquet der frippier V. St. Giron en Gassegogne, Weÿl. Mathieu Jaquet gew. Strickers daselbst sohn, V. sein Fr: Ursula Treimerin V. Basel, erkauffen das burgerrecht p. 2. gold. fl. 16. ß mit ihren 2. Kindern ist es beÿ ordnung geblieben, Wird beÿ E. E. Zunfft Zur Möhrin dienen, Jur: d. 24. Aprilis 1706.
Le fripier Simon Jacques hypothèque la maison au profit du tonnelier Jean Jacques Schmitz
1709 (12.11.), Chambre des Contrats, vol. 582 f° 635
Simon Jacques frippier
in gegensein Joh: Jacob Schmitz Kiefers – schuldig seÿe 150 pfund
unterpfand, seine behaußung allhier in der tucherstueb gass gelegen
Simon Jacques hypothèque la maison au profit du farinier Wendelin Lauth
1710 (ut supra [8. Julÿ]), Chambre des Contrats, vol. 583 f° 437
Simon Jacques frippier [unterzeichnet] +
in gegensein Wendlin Lauth meelmanns [unterzeichnet] wendling Laudt
in seinem hauß allhier in der Tucherstueb gass eine stueb u. Cammer auch keller sambt der Kuchen, auf ein halb jahr lang anfangend auf Mich: nächstkünfftig – um einen jährlichen Zinß nemlich 24 fl.
Simon Jacques loue une partie de sa maison au tailleur Louis Meyé
1712 (4.2.), Chambre des Contrats, vol. 585 f° 79-v
Simon Jacques frippier
bail à Louis Meye tailleur
dans sa maison in der Tucherstueb gass d’un côté a fischer de l’autre a Röderer, un poele et une cuisine en bas et une petite chambre en haut et plaçe dans La caue pour 3 mois à commencer a pasque 1712 – moyennant un loyer annuel de 44 livres tournois
Simon Jacques et Ursule Traumer hypothèquent la maison au profit du précepteur Jean Adolphe Rumetsch
1712 (ut ante [25. Aug.]), Chambre des Contrats, vol. 585 f° 521-v
Simon Jacques frippier und Ursula geb. Traunerin beÿständlich H. david Stamm und H. Joh: Strehlin
Joh: adolph Rumetsch Præceptoris privati
unterpfand, ihr hauß c. appert: in der Tucherstueb gass
es. Christmann Röderer as. fischern
Simon Jacques et Ursule Traumer hypothèquent la maison au profit du fripier Simon Roole
1712 (23.6.), Chambre des Contrats, vol. 585 f° 458-v
Simon Jacques der Altgewändter und Ursula geb. Traümerin mit beÿstand hn Johann Strehlin und hrn Johann Georg Gursing beder EE Kleinen raths beÿsitzer
in gegensein Simon Roole des altgewänders – schuldig seÿen 75 pfund
unterpfand, hauß und hoffstatt mit allen deren Gebäuen, begriffen, weithen, rechten und gerechtigkeiten in der Tucherstueb gaß, einseit neben Christmann Röderer gerber anderseit neben (-) Fischern Schumachern hinten auff den Rindshäuter graben
Simon Jacques et Ursule Traumer hypothèquent la maison au profit du pelletier Jean Philippe Fleckhammer
1714 (15.6.), Chambre des Contrats, vol. 587 f° 415-v
Simon Jacques frippier und Ursula geb. Traümerin beÿständlich H. Johann Linder und H. Johann Niclaus Mannberger in Ermanglung verwanther aus Mittel E.E. Kl. Rath deputiret
in gegensein Joh: Philipp Fleckhammer Küßners als vogt Mariæ Dorotheæ Köbelin – schuldig seÿen 100 pfund
unterpfand, ihre behaußung c. appert: in der Tucherstub gass, einseit neben Christian Röderer anderseit neben Philipp Fischer hinten auf den gerbergraben
Simon Jacques, cabaretier à l’enseigne de la Fontaine royale, et sa femme Ursule Traumer hypothèquent la maison au profit du chirurgien Pierre Grateloup
1717 (8.3.), Chambre des Contrats, vol. 590 f° 157
Simon Schack Cabaretier à La fontaine Royale und Ursula geb. Traumerin beÿständlich H. Joh. Frantz Michel Schenck E.E. großen Raths alten beÿsitzers und H Joh: Reinholdt Dulsecker buchführers
in gegensein H. Pierre Grateloup chirurgi – schuldig seÿen 37 pfund
unterpfand, ihr hauß c. appert: in der Tucherstueb gass, einseit neben Cristmann Röderer anderseit neben Joh: Philipp Fischer hinten auf den graben
Le notaire Christophe Michel Hoffmann dresse l’inventaire de la succession d’Ursule Treimer, femme du cabaretier à la Petite fontaine. L’inventaire n’est pas conservé mais les préposés de la Taille font figurer la succession dans leur registre parce que les héritiers non bourgeois doivent régler le droit de détraction.
1735, Not. Hoffmann (Christophe Michel, rép. 65 not 11) n° 1375
Inventarium über weÿland Frauen Ursulæ Cochat gebohrner Träumerin des Brünel wirths geweßener Haußfrauen seel. Verlassenschafft
1735, Livres de la Taille (VII 1178), f° 47
Freÿburger. F. N. 6683 – Weÿl. Fr. Ursulæ gebohrner Träumerin H Simon Jacques Würths Zum brünnel und Burgers alhier Ehel. haußfrauen Verlaßenschafft, inventirt H. Not. Hoffmann.
Concl. Fin. Inv. ist fol. 41 – 70 lb 1 ß, Verstallte hiengegen 400 fl.
Extat kein Stallgeltt
Gebott – 2 ß 8 d
Abhandlung – 5 ß 6 d – Summa 8 ß 2 d
Abzug. H. Carl Jacques der Würth Zu Schlettstatt hat Von Mütterlichem Erbe den Erbgulden Zu erlegen mit 10 ß
H. Georg und Fr. Maria Ursula gebohrne Jacques Von 36. lb 7 ß d den Abzug mit 3. lb 12 ß9 f
dt. 21. Maÿ 1738.
La maison est vendue par adjudication judiciaire au chirurgien Jean Beauvalet le 3 mai 1719. Comme il n’est ni manant ni bourgeois, il demande aux Conseillers et aux Vingt-et-Un l’autorisation de conserver son achat. Il déclare avoir l’intention de continuer à servir le chirurgien Pierre Grateloup quelques années avant de s’établir et qu’il a dû acheter la maison pour ne pas perdre sa créance.
1719, Conseillers et XXI (1 R 202)
Jean Beauvalet halt an umb Erlaubnuß ein in der Ganth angenommenes hauß Zu behalten. 99. erhalt solche mit gewißen Conditionen. 150.
(p. 99) Sambstag d. 6. Maÿ – Lt. Mosseder, Nôe Jean Beauuallet bedienten beÿ H. Pierre Grateloup Chirurgo derselbe hat laut gegenwärtigen Extractus ganth Protocolli Vom 3.ten huius ein hauß, auff Welchem er der letzter Creditor hypothecarius war, im ganth über sich nehmen müßen, und den Pfundzoll mit übrigen unkosten erleiden, Weilen er aber nicht burger, alß bitt unterthänig ihme gnädig Zu erlauben, daß er solch hauß behalten möge.
ist Erkandt, Soll forderist Von dem Imploranten per Deputatos Vernommen Werden, ob er nicht Wolle sich in allhiesigen Burgerrecht oder Wenigstens den Schirm begeben, und auff dessen erfolgende Erklärung ferner ergehen, was recht ist. Deputati umb so wohl den bescheid anzuzeigen, als des Imploranten Erklärung anzuhören, H. XV. Leitersperger und H. Reineri.
(p. 150) Sambstag d. 17. Junÿ – H. XV. Leitersperger und H. Reineri referiren, daß Sie Zufolg des d. 6. Maÿ iüngst ergangenen Interlocuti Jean Beauuallet Vor sich beschieden und befragt, Ob er nicht wolle sich in allhiesiges Burgerrecht oder Wenigstens den Schirm begeben, Welcher sich dahin als garçon Chirurgien beÿ H Grateloup Seruire, auch noch ein paar iahr also Zu Verbleiben, nachgehendts aber sich allhier Zu establiren gesinnet seÿe, übrigens Wäre er genöthiget Worden das hauß quæstionis in der ganth anzunehmen, Wann er seine forderung nicht Völlig habe verlieren Wollen.
ist Erkandt, Wird der geschehene Ganthkauff Sine præjudicio et consequentia mit diesem anhang Obrigkeitlichen Confirmirt und bestättiget, daß der Implorant sich in allhiesigen Schirm Zu begeben und denen gewohnlichen oneribus, das Einstandts Recht ausgenommen, in der Contract: Stub præsentibus Dominis Deputatis Zu submittiren schuldig seÿn solle. Deputati ÿdem.
Le garçon chirurgien Jean Beauvalet loue la maison au rémouleur Pierre Denoyé
1720 (17.10.), Chambre des Contrats, vol. 594 f° 495
Jean Beauvallet Garçon Chirurgien
in gegensein Peter Du Noyer des Scheerschlieffers und schirmers
verlühen, ein hauß mit allen zugehörden in der Tucherstueb gaß neben dem graben, auff 2 Jahr lang anfangend auff Michaelis 1720 – um einen jährlichen Zinß nemlich 25 pfund
Jean Beauvalet loue la maison au revendeur manant Mathurin Bichon
1722 (4.8.), Chambre des Contrats, vol. 596 f° 462-v
Jean Beauvalet
in gegensein Mathurin Bichon des grempen und Schirmers
verlühen, Eine Behausung und hoffstatt cum appertinentÿs in der Tucher: stub gaß, einseit neben Röderer dem Rothgerber hinten auff den gerbergraben – auff 3 nacheinander folgenden jahren anfangend von nächstkünfftigen Michaelis, um einen jährlichen Zinß nemlich 25 pfund
Jean Beauvalet loue la maison au tanneur Jean Léonard Rœderer
1724 (3.2.), Chambre des Contrats, vol. 598 f° 49
Jean Beauvallet garçon Chirurgien und Schirmer
hatt in gegensein Johann Leonhard Röderer des Rothgerbers
entlehnt, Eine gantze behausung nichts davon ausgenommen allhier in der Tucherstubgaß einseit neben Christmann Röderer dem Rothgerber anderseit neben. Johann deürkauff dem Kürßner hinten auff den gerbergraben, mit allen derselben gebäuden, begriffen und gerechtigkeiten – auff 1 jahr lang anfangend auff Annunciationis Mariæ – um einen jährlichen Zinß nemlich 60 gulden
Chirurgien et valet du secrétaire de l’Intendant Peloux, Jean Beauvalet loue la maison au postillon manant Nicolas Febvre
1728 (10.5.), Chambre des Contrats, vol. 602 f° 209
Jean Beauvallet Chirurgus und Kammerdiener beÿ H. Peloux Secrétaire de Mgr l’Intendant
hatt in gegensein Nicolas Febvre des Postillons und schirmers [unterzeichnet] feure
verlehnt, Eine Behausung und hoffstatt mit allen derselben gebäuden, begriffen, weithen, zugehörden und gerechtigkeiten in der tucherstuebgaß, einseit neben Christmann Röderer dem Rothgerber Anderseit neben NN dem Kürßner hinten auff den Gerbergraben, nichts davon ausgenommen – auff dreÿ nacheinander folgenden jahren anfangend von Johann Baptistæ fürwährenden jahrs – um einen jährlichen Zinß nemlich 50 gulden
Originaire de Greneville en Beauce, le cabaretier Jean Beauvalet épouse en 1731 Catherine Gaudemar : contrat de mariage, célébration
1731 (11. 7.bre), Not. Lhanneur de Chantelou (6 E 41, 986)
Mariage du 11. 7.bre 1731 – furent presens Sr Jean Beauvallet hôte du cabaret ayant pour enseigne l’écurie neuve rue Ste Elisabeth aud. Strasbourg y demeurant natif de Grenneuille en Orleannois fils majeur de deffunts Sr François Beauvallet et Dlle Françoise Dauid Ses pere et mere stipulant pour lui et en son nom d’une part
Et Sieur Melchior Gaudemar manancier de cette d° ville demeurant rue St Elisabeth stipulant pour Dem.le Catherine Gaudemar sa fille mineure et de deffunte Dem.le Salomé Baptiste Son épouse, ses pere et mere, lad. Dem.lle Catherine Gaudemar a ce presente pour elle et de son consentement d’autre part
Les pere et mere de la future épouse lui constitüe en don la somme de 4800 liures provenantes du don gratuit et des deniers du Sr Pierre Gaudemar chef de cuisine de son Excellence Monseigneur le Comte de Passionné Nonce de la Sateté auprès de l’Empereur
(signé) jean Beauuallet, Catherine Gaudemar, Melchior Gaudemar
Mariage, Saint-Louis (cath. p. 423)
Hodie 17 Septembris Anni 1731 (…) conjuncti sunt Joannes Beauvallet filius Francisci Beauvallet et Franciscæ David conjugum oriundus ex diœcesi Aurellanensi et Catharina Gaudemar filia Melchioris Gaudemar manensis argentinensis et Salomé Baptiste cinjugum ambo in hac parochiâ nostrâ commorantes (signé) jean Beaucaller, caterine Gaudemar (i 228)
Jean Beauvalet et Catherine Gaudemar font dresser un état de leur fortune pour devenir bourgeois (le registre de bourgeoisie manque entre 1737 et 1740)
1738 (12. Nov.), Not. Koch (Matthias, 6 E 41, 504) f° 129
persönlich erschienen H. Jean Beauvallet, der Gastgeber und bißheriger Schirms Verwandter allhier v. beneben ihme Fr: Catharina gebohrne Gaudemar, deßen Eheliche Haußfrau, die zeigten mir dem Notario an, Wie daß sie willens seÿen beÿ allhießigem hochlöbl. Magistrat das burger recht unterthänig zu suchen, mich Notarium requirirend, uch möchte deren Eigenthümliches Vermögen Verzeichnen
Wein und Faßen 280, Capital 350 (…)
Le chapitre Saint-Thomas donne quittance à Jean Beauvalet d’un capital garanti sur la maison
1739 (16.4.), Chambre des Contrats, vol. 613 f° 196-v
des hochwürdigen Stiffts und Capituls zu St Thomas Cistarius senior S.T. H. Johann Andreas Gnilius S.S. Theologiæ D. et Prof. Publ. ord. und Capituli Caninicus wie auch H. Benedict Heinrich Marbach Schaffner allda
hatt in gegensein Jean Beauvallet des traitteur
demnach wohlgesagtes Stifft zu St Thomas auff einer alhier ahne der Tucherstub gaß einseit neben Chrismann Röderer, anderseit neben Johannes Theurkauff dem kürßner, hinten auff den gerbergraben stoßend gelegen, ihme Beauvallet am 3. Maÿ 1719 ahne hiesiger ganth umb 1030 fl. adjudicirte Behausung bißher 50 ahne capital stehend gehabt
Jean Beauvalet meurt en 1743 en délaissant trois enfants. L’inventaire est dressé dans son auberge à la Nouvelle Ecurie, rue Sainte-Elisabeth. Les experts estiment la maison rue des Drapiers à 225 livres. La masse propre à la veuve est de 2 202 livres. L’actif des héritiers et de la communauté s’élève à 1 254 livres, le passif à 3 362 livres.
1743 (25.2.), Not. Hoffmann (Christophe Michel, 19 Not 53) n° 1795
Inventarium über Weÿl. des Ehrengeachten H. Jean Baptiste Beauvalet des geweßenen wirths zum Stall und burgers alhier Zu Straßburg nunmehro seel. Verlaßenschafft, auffgerichtet in Anno 1743. – nach seinem Freÿtags den 11.ten Januarÿ jüngsthien aus dießer welt genommenen tödlichen hientritt hie Zeitlichen Verlaßen, Wie solche Verlaßenschafft auf freundfleißiges ansuchen erfordern und begehren des Ehrengeachten Meister Frantz Nicker, des Zimmermanns und burgers alhier, als geordnet und geschworenen Vogts Catharinæ, Claudinæ und Jean Baptiste aller dreÿ gebohrer Beauvalet, so der verstorbenen seel. mit hernach vermelter seiner hinterbliebenen wittib ehelich erziehlt und ab intestato zu gleichen portionen und antheÿlern Zu Erben Verlaßen, und weillen bemelte Zweÿ ältere Kinder und töchtere beÿ ordnung gelaßen worden, mithien dißorts ohnverburgert als ist in deren Nahlen beÿ E: E: Kleinen Rath unterthänig erbetten und gnädig deputirt worden S. T. H. Johann Gottfried Zeiß wohlermelten E: E: Kleinen Raths hochansehnlichen beÿsitzer, so den geschäfft in persohn abgewarttet, heut dato ordnungs mäßig inventirt und ersucht, durch die tugendsame Frau Catharinam Beauvalet gebohrne Gaudemar die hinterbliebene wittib, mit hülff und beÿstand des Ehrengeachten Meister Jacob Seemann Maurers Steinhauers und burgers alhier ihres geordneten Curatoris (…) So beschehen Straßburg den 25.ten Februarÿ 1743.
In einer allhier zu Straßburg ane St. Elisabethen gaß gelegenen in dieße Verlaßenschafft gehörigen und hieunten eingetragenen behausung, befunden worden, wie folgt
(f° 9) Eigenthumb ane Häußern. Erstl. eine Behaußung, die Gastherberg Zum Neuen Stall genand, sambt höfflein, hindergebäu, bronnen und hoffstatt, mit allen deroselben gebäuden, begriffen, Weithen, Zugehörden, Rechten und gerechtigkeiten, gelegen allhier Zu Straßburg ane St. Elisabethengaß, einseit neben Hannß Georg Datten, geweßten Metzgers Erben, anderseit neben Hannß Georg Greiner dem Tabackbereiter, hinden auf dem Schauenburgischen hoff stoßend, darzwischen ein allmend gäßlein ist, worein eine thüer aus dießem hauß gehet, so vor freÿ Ledig eigen durch (die Werck Meister) vermög überschickter Schrifftlicher Abschatzung Vom 11.ten Martÿ 1743. angeschlagen pro 400 lb.
Über dieße behaußung welche der Verstorbene seeliger von weÿl. H. Pierre Gaudemar ehemaligem Chef de Cuisine de Monsgr. Passioney Ertzbischoffen von Epheso und bäpstlichem Nuntio am Kaÿserlichen hoff Zu Wien, als deßen per Testamentum instituirter Universal Erb ererbet, ist vorhanden ein teutscher pergamentener Kauffbrieff in allhießiger Cancelleÿ Contract Stub gefertiget und mit dero anhangendem Insiegel corroboriret de dato 16.ten Januarÿ Anno 1731.
It. eine Behaußung und Hoffstatt mit allen deren gebäuen, begriffen, weithen, Rechten, Zugehörden und gerechtigkeiten, gelegen allhier Zu Straßburg ane der Tucherstub gaß, einseit neben H Christman Röderer dem Rothgerber, anderseit neben Johann Deur Kauff dem Kürßner hinden auf den Gerbergraben stoßend, so gegen Männiglichen freÿ Ledig eigen und durch Vorbenahmbste der Statt Straßburg Hn Lohner und geschworne Werckmeistere inhalt angeregten Abschatzungs Zeduls Vom 11. Martÿ 1743. æstimirt vor 225. lb. Darüber besagt ein teutscher pergamentener ganth Kauffbrieff mit E. E. Kleinen Raths der Statt Straßburg anhangendem Insiegel bekräfftigt datirt den 3. Maji Anno 1719.
(f° 11) Abzug in gegenwärtig Inventarium gehörig. Der Wittib ohnverändert Vermögen, Sa. goldener Ring 2, Sa. Schulden 1000, Sa. Ergäntzung 1200, Summa summarum 2202 lb
Der Erben ohnverändert und Theilbare Nahrung, Sa. haußraths 177, Sa. Frucht 7, Sa. Wein und Lehrer Vaß 92, Sa. Silbers 67, Sa. baarschafft 10, Sa. Pfenningzinß hauptgüter 275, Sa. Eigenthumbs ane häußern 625, Summa summarum 1254 lb – Schulden 3362 lb, passiv onus 2202 lb
Mehr Schulden als Nahrung dem Stall Tax nach 27 lb
Copia der Eheberedung (…) a Strasbourg l’an 1731 le 11 septembre, Lhanneur, Notaire royal
Copie du testament. Aujourd’huy Seiz. septembre 1737 (…) fut present le Sr Pierre Gaudemar, ci devant Chef de cuisine de son Excellence Monseigneur Passionet archeveque de fez nonce apostolique à la Cour imperiale de Vienne, led. Sr gaudemar etant de presant en cette ville logé en sa maison située Rüe Ste Elisabeth paroisse St Louis (lequel a ) présenté et exhibé le présent Cahier clos de soye noire (…) donne et legue à Jean Pierre Gaudemar et à Jean Joseph Gaudemar mes deux neveux a chacun la Somme de 2000 liures (…) à Damle Catherine Gaudemar ma niece femme de Jean Beauvalet manancier de Strasbourg la somme de 2000 liures (…) institue pour mon héritier seul unique et universel led. Sr Jean Bauvalet mon neveu du chef de sa femme (…) aujourd’hui 16. aoust 1738
Abschatzung dem: 11. Martÿ: 1742. Auff begehren weillandt deß wohll achtbahren und bescheitenen H Johann wowalle deß geweßenen wirthß seel. hinder Laßenen Frau wittib und Erben, ist eine behausung allhier in der Statt Straßburg auff der Elßbetter gaßen gelëgen, ein seitß Neben einen Allmënt gäßlein, anderseitß auch auff herrn allmend, hinden auff dem schauenburger hoff Stoßend, welche behausung unden ein gangß rëchter handt, ein Stuben, daß hauß Ehren Linckerhandt die ordians Stuben hinden daran ein höffell Kleiner Stall getrëmbter Keller und bauch Küchell oben dar auff ein Stuben Kuchen Zween Camren, hauß Ehren wor über daß tach mit einer unbesetzten bienen darinnen dreÿ Camren so mit diellen Zu geschlagen ein alter tachstull mit höltzren gäblein sambt aller gerechtig Keidt wie solches turch der Statt Straßburg geschwornen wërck Meister sich in der besichtigung befundten und jetzigen Preÿß nach angeschlagen wierdt vor und Umb Acht hundert Gulten
Der 2.te Begrieff ist auch allhier in der Statt Straßburg in der Tucher Stub gaßen gelegen, Ein seitß Neben Christmann rötterer dem Rothgerber, ander seitß an Johanneß teurkauff dem Kürschner hinden auff dem gerber graben Stoßend welche behausung sehr schmall So unden ein gangß ein schmaleß haus Ehren darinnen der herdt, hinden daran ein Stuben, Kleiner getrëmbter Keller, oben dar über widerum ein Stuben hauß Ehren darinnen der herdt, under dem tach Zweÿ Camren ein alter schlechter tach stull unbesetzte bienen und holtzerer gebell, sambt aller gerechtig Keit wie solches turch der Statt Straßburg geschwornen wërck Meister sich in der besichtigung befundten und jetzigen Preÿß nach angeschlagen wierdt vor und Umb Vier Hundert Vünffzig Gulten. bezeichnuß der Statt Straßburg geschwornen werck Meister, [unterzeichnet] Pflug Statt Lohner, Michael Ehrlacher Werck Meister deß Meinsters, Johann Jacob Biermeÿer Werck Meister deß Zimmerhof
Catherine Gaudemar se remarie avec Jean Louis Pillon en 1744.
Le menuisier Jean François Nicker rend compte de la tutelle des biens qui appartiennent à Catherine Beauvalet, mariée à Charles Vidal, à Claudine Beauvalet et à Jean Baptiste Beauvalet qui est mort.
1750 (1.3.), Not. Oelinger (J. Jacques, 35 Not 57) n° 1458
Bericht ane statt Rechnung Mein Johann Frantz Nicker Zimmermann vnd Burgers allhier Zue Straßburg alß geordnet vnd geschworenen Vogts Catharinæ, so dermahlen verheuratet ane H. Charles Vidal Secretaire beÿ Monseigneur le Baron de Trelans, Claudinæ und Jean Baptiste, welcher aber ohnlängst verstorben, weÿland herrn Jean Baptiste Beauvalet geweßenen Würts zum Stall und burgers allhier Zue Straßburg mit fraun Catharinæ gebohrner Gaudemar der hinterbliebenen Wittib Ehelich erziehlter und nach tod verlaßene dreÿer Kinder, Inhaltend, was ich de anno 1743. biß den 1. Martÿ 1750. Ihrentwegen eingenommen vnd ausgegeben auch sonsten Verhandelt vnd Verrichtet habe. Erste Rechnung dieser vogteÿ.
Inventaire dressé en 1769 après la mort de Catherine Gaudemar.
Catherine Gaudemar femme de l’aubergiste Louis Pillon vend la maison au fabricant de chaises Jean Laurent Riss
1767 (23.4.), Chambre des Contrats, vol. 641 /1 f° 262-v
Catharina geb. Gaudemar Louis Pillon des wirths ehefrau
hatt in gegensein Johann Lorentz Riß des sesselmachers
eine behausung und hoffstatt mit allen gebäuden, begriffen, zugehörden, rechten und gerechtigkeiten, ane der Tuchstubgaß, einseit neben Christian Röderer dem gerber anderseit neben (-), hinten auff den Gerbergraben – umb 375 pfund
Jean Laurent Riss qui a acquis la maison pour le compte de ses parents manants Jean Georges Riss et Félicité Heyd reconnaît avoir réglé le prix d’achat de leurs deniers et leur en cède la jouissance. L’inventaire dressé en 1776 expose que cet arrangement a évité qu’un bourgeois entre en possession de la maison si elle avait été acquise par des manants.
1768 (23.4.), Not. Humbourg (6 E 41, 130)
Jean Georges Riss faiseur de chaises manancier en cette ville et felicité heyde d’une part
et le Sr Jean Laurent Riss leur fils Bourgeois faiseur de chaises demeurant en cette ville d’autre part
Lesquelles parties sont convenues de ce qui suit, le Sr Riss fils reconnoit que ses père et mère ont fourni la somme de 400 livres et les Lods et frais de passation et expedition du contrat d’acquisition de la maison qu’il a achetée de la dam.le pilon née Gaudemar par acte (à la) Chambre des Contrats le 23. avril 1767 et promet de rapporter aux successions futures desd. ses père et mère non seulement ladite somme de 400 livres mais aussi les frais de réparation et amelioration que lesd. ses père et mère ont faits à ladite maison
led. S Riss fils (…) leur donne pour leurs vies durantes l’usufruit et jouissance de ladite maison située rue des drappiers vers la grande Stadel gass avec toutes ses appartenances et dépendances sans exception
Natif de Strasbourg, le tourneur Jean Georges Riss épouse en 1735 Félicité Heyd, fille du mesureur d’avoine Jean Heyd : contrat de mariage tel qu’il est copié à l’inventaire, célébration
Contrat de mariage d’entre Le Sieur Jean George Riss garçon Tourneur et Dlle Felicité Heyde du 31 mars 1735. (…) furent presens le Sieur Jean George Riss Tourneur de profession fils de feu Sr Jean Riss, vivant Marguillier de la Paroisse St Etienne et de Dlle Claude Catherine Paillot, assisté de lad. Dlle sa mere d’une part, Et Dlle Felicité Heyde, fille du Sieur Jean Heyde, Bourgeois et mesure[u]r des avoines pour le service du Roy en cette dite ville, et de feue Dlle Marie Madeleine Hechler, assistée dudt. Sieur Son Pere d’autre part – Fait à Strasbourg ce 31. avril 1735, Jean Christophe Fingado Notaire – Collationé et trouvé conforme à son original deposé au greffe du petit Senat, à l’instant rendu par le soussigné notaire à Strasbourg le 19 aoust 1749. Euth
Mariage, Saint-Louis (cath. p. 48)
Hodie die 18° Mensis Aprilis anni 1735 tribus proclamationibus in parochia nostra totidem in Ecclesia parochiali ad Stum Stephanum intra Argentinam factis (…) matrimonii vinculo conjuncti sunt Joannes Georgius Rÿss filius Joannis Rÿss et Catharinæ Palliot filius argentinæ natus et Felicitas Heidin filia Joannis Heid civis huius urbis et Magdalenæ hechlerin (signé) Jan gorige Rÿs, felitzitas heitin (i 27)
Jean Georges Riss et Félicité Heyd font dresser un état de leurs biens pour que la femme puisse retirer ses apports. L’inventaire est dressé Grand rue dans la maison du sellier Philippe Scholl. La masse propre à la femme s’élève à 48 livres. L’actif du mari et de la communauté est de 149 livres, le passif de 61 livres.
1750 (10.3.), Not. Nenter (Georges Fréd. 6 E 41, 958) n° 10
Inventarium über Herrn Johann Georg Rißen, des Seßelmachers, und Fraun Felicitas gebohrner Heÿdin, beede Eheleuthe und Schirmere allhier, dermalen tam active quam passive besitzende Nahrung auffgerichtet Anno 1750 – ursachen die Ehefrau das ihro Zugehörde Vermögen Zubeziehen und zu salviren gedencket, inventirt durch Sie beede Eheleuthe selbst, und Zwar die Ehefrau mit assistentz herrn Joh: Georg Mandersch J.U.L. wie auch burgers allhier (…) So beschehen allhier Zu Straßburg auf Dienstag den 10. Martÿ 1750.
In einer allhier Zu Straßburg ane der langen Straß gelegenen H: Philipp Schollen dem Sattlern und burgern allhier, eigenthümlich zuständigen von beeden eingangs gedachten Eheleuthen Lehnungs weiß bewohnenden behaußung, befunden worden wie folgt
Series rubricarum hujus Inventarÿ, der Ehefrauen vermögen, hausrath 11 lb, schulden 37 lb, summa summarum 48 lb
Der dreÿen Kinder Pfetter u. Göttel geld
Series rubricarum hujus Inventarÿ. Der Ehefrau Vermögen so in dero umb und ane ihren leib gehörige Kleÿdung und weißem Gezeug bestehet 11, Schulden 37, Summa summarum 48 lb
Dießemnach wird auch des Ehemanns und theilbare Nahrung unter einem Titul beschrieben, Sa. hausraths 75, Sa. Wahr und Werckzeugs 63, Sa. theilbaren Silbers 9, Sa. goldenen geschmeids 13 ß, Summa summarum 149 lb – Schulden 61 lb, In compensatione 87 lb
Contrat de mariage (…) Fait à Strasbourg ce 31. avril 1735, Jean Christophe Fingado Notaire
Jean Georges Riss meurt en 1776 en délaissant trois enfants. La maison est portée à son prix d’achat, soit 375 livres. L’actif de la succession s’élève à 472 livres, le passif à 372 livres.
1776 (30.11.), Matthieu Beguin, greffier du Petit Sénat (6 E 41, 1464) n° 351
Inventarium über Weiland Johann Georg Riß, des gewesenen Sesselmachers und Schirmers allhier Zu Straßburg Verlaßenschaft aufgerichtet Anno 1776 – nach seinem den 17.den dieses Monats und Jahrs, aus dießer Welt genommenen tödlichen Hintritt, Zeitlichen verlaßen hat.Welche Verlaßenschaft sowol auf Ansuchen Fr. Felicitas geborner Heÿdin, der hinterbliebenen Wittib, beÿständlich Hn. Georg Friedrich Nenter, Notarii publici und practici alhier, als auch der gleich nach diesem Eingang benamsten Erben (…) So geschehen allhier Zu Straßburg auf Sambstag den 30. Novembris Anno 1776.
Der Verstorbene hat ab intestato zu seinen einigen Erben hinterlaßen benandlich, 1. Andreas Riß, den Seßelmacher und Burger alhier, hiebeÿ Zugegen, 2.do Mariam Elisabetham Seßlerin geborner Rißin, Antoni Seßler des tagners und Schirmers allhier Ehefrau, dieses ihres Ehemanns der Inventur persönlich beÿgewohnet So dann 3.tio Johann Lorenz Riß, den Seßelmacher und Burger alhier, so auch dieser Inventur in Person abgewartet, Alle dreÿ des Verstorbenen mit Eingangs gedachter seines hinterbliebenen Wittib ehelich erzeugte Kinder und ab intestato zu gleichen Antheiler nachgelaßene Erben.
In einer alhier Zu Straßburg ane der Tucher Stubgaß gelegenen und hiehero gehörigen behaußung befunden worden, wie folgt
(f° 4-v) Eigenthum ane einer Behausung. Neml. eine Behaußung und Hoffstadt, samt allen deroselben Begriffen, Weithen, Zugehörden, Rechten u. Gerechtigkeit gelegen alh. Zu Strasb. ane der Tucher stub gaß eins. neben H. N. Haderer dem Rothgerber anders. neben Mr Bein dem Kiefer und hinten auf den Gerber Graben stosend, so über hernach eingetragenen u. darauf haftendes Capital freÿ ledig und eigen seÿe und wird dieselbe so wie der Verstorbene sohn dieselbe in A° 1767 erkaufet hat, hier ohnpræjudicirlich ausgeworffen pro 375 lb. Über diese behausung besagt ein teutscher perg. Kfbr. in allh. C.C. Stb. gefertiget und mit deroselben aufgedrucktem größern Insiegel verwahret, datirt den 23.ten Aprilis 1767, Ferner eine vor H. Humbourg ehemaligen Notario Regio dahier zwischen dem Verstorbenen, der hinterbliebenen Wittib und Johann Lorentz Riß dem Sohn und Käufer bemelter behausung, desfalls errichteter Vergleich sub dato 23. Aprilis 1768. So dann ein anderwärtiger zwischen dißorts hinterbliebener Wittib und des Verstorbenen Kindern und Erben vor H. Lacombe Notario Regio dahier den 7. Decembris 1776 getroffener Vergleich. Aus erstangeführten Documenten erhellet daß Johann Lorentz Riß der Sohn bemelte behaußung um Verhütung des Zugrechts, in deme seine Eltern unverburgert waren, als ein burger dieser Stadt zwar erkauffet, solcher Kauff aber nur im Nahmen gedachter seiner Eltern geschehen seÿe, maßen letztern, nach dem Vergleich de 1768 nicht nur der abgeführten Kauffschilling von 100 lb sondern auch den Pfundzoll und die Verschreibungs Gebühr aus ihren eigenen Mitteln entrichtet haben, wie Er der Sohn und Käufer bekandt, sich so dann auch durch berührten Vergleich de 1776 unterworffen, der hinterbliebenen Wb. nicht nur den Genuß derselben lebens lang zu laßen, sondern biß auch die behaußung nach ihrem Absterben offentlich und ane den meistbietenden solle verkauft und einem jeeden seiner Geschwüsterden und Miterben ane dem Erlös participirender dritter theil behändiget werden, der Ursachen dann vorerwehnte behausung samt Zugehörden gegenwärtiger Verlassenschafft active und das auf derselben hafftende Capital der 275 lb. d. passive, jedoch jeder männiglich ohne Nachtheil und mit vorbehalt eines jeden Rechten, hier einverleibt worden.
(f° 5) Waar und Werckzeug Zum Seßelmachen gehörig
Series rubricarum hujus Inventarii, Sa. hausraths 32 lb, Sa. Waar und Werckzeu Zum Seßelmachen gehörig g 41 lb, Sa. Silbers 17 lb, Sa. Eigenthums ane einer behausung 375 lb, Sa. Schulden 4 lb, Summa summarum 472 lb – Schulden 372 lb, Nach deren Abzug 99 lb
Copia der Eheberedung (…) le 31. avril 1735, Jean Christophe Fingado, Notaire juré
La veuve et ses enfants exposent infructueusement la maison aux enchères
1777 (21.3.), Not. Zimmer (6 E 41, 1451) n° 335
Anno 1777, Freÿtag den 21. Martii Nachmittags, auf Ansuchen 1. Fraun felicitas Rißin geborner Heÿdin weiland Johann Georg Riß, des gewesenen Seßelmachers und Schirmers dahier zu Straßburg hinterbliebener Wittib, beiständlich Johann Gottfried Meÿer, des Gastgebers und Burgers alhier, 2.do Andreas Riß, des Seßelmachers und Burgers hieselbst, 3° Fr. Maria Elisabetha Seßlerin geborner Rißin, Anton Seßler, des Tagners und Schirmers dahier Ehefrauen, beiständlich dieses ihres Ehemanns, sodann 4. Johann Lorenz Riß, des Seßelmachers und Burgers alhie, alle dreÿ letztere obgemelten Johann Georg Riß, ehelich erzeugte Kinder und von demselben Zu gleichen Antheilen ab intestato hinterlaßene einige Erben, wurde nach vorhergegangener Publication (…)
zur freiwilligen Versteigerung der in besagten Johann Georg Riß Verlassenschafft eigenthümlich gehörigen Behaußung und Hoffstatt samt allen deroselben begriffen, Weithen, Zugehörden, Rechten und Gerechtigkeiten, gelegen alhier Zu Straßburg ane der tucherstub: Gaß, einseit neben Hn (-) Haderer dem Rothgerber, anderseit neben Mr (-) Bein dem Kiefer, beden burgere alhier und hinten auf den Gerber: Graben stoßend (um 275 capital verpfändet)
ausgesetzt pro 1000 gulden. Worauf kein Gebott erfolget
Le fabricant de chaises Antoine Riss cède sa part de maison à son frère Jean Laurent Riss
1783 (27.2.), Not. Lacombe (6 E 41, 189) n° 74 – transcrit Chambre des Contrats, vol. 657 f° 216 du 20 mai 1783
auff ansuchen Johann Lorentz Riß, nachstehende erbscession
Andreas Riß der seßelmacher
hatt in gegensein Johann Lorentz Riß des seßelmachers deßen bruder
sein antheil ahne der behausung so sie mit Anna Maria Riß des Antoni Säßler des schirmers ehefrau dero schwester von ihren eltern seel. ererbt in der Tucherstubgaß, einseit neben H. Bein, anderseit neben H. Hatterer vornen gemelte ducherstubgaß, hinten auff den Gerbergraben – um 48 gulden
Lors d’une nouvelle adjudication, Jean Georges Kraußkopff enchérit la maison
1783 (22.4.), Not. Übersaal (6 E 41, 663) n° 19
auf Ansuchen H. Andreas Riß des Sesselmachers, Fraun Maria Elisabetha geb. Rißin Antoni Seßler des tagners und Schirmers Ehegattin, So dann H. Johann Lorenz Riß Sesselmacher
zur freiwilligen Versteigerung einer behaußung und hoffstatt mit allen derselben Gebäuden, begriffen, Weithen, zugehörden, Rechten und Gerechtigkeiten an der Tucherstubgaß, einseit neben H. Joh: Jakob Hadterer dem Rothgerger anderseit neben H. N. bein dem Kiefermeister und hinten auf den Rindshäuter oder Gerber Graben – als ein von weÿl. Johannes Riß dem gewesenen Sesselmacher und Schirmer dahier und auch weÿl. Fr. Felicitas geb. Heÿdin ihren Eltern seel. ererbtes guth eigenthümlich zuständig
in der Gastbehausung zum Reebstöckel an der langen Straß gelegen offentlich geschritten, ausgeruffen vor 700 gulden
810 fl, Joh. Georg Kraußkopff
den 29. Aprilis, zwote Versteigerung, 900 fl, Maria Elisabetha Seßlerin geb. Rißin
den 6. Maÿ, 940 fl. Joh. Georg Kraußkopff
Le fabricant de chaises Antoine Riss cède sa part à son frère Jean Laurent Riss
1783 (20.5.), Chambre des Contrats, vol. 657 f° 216, Not. royal Lacombe, 27 février 1783
auff ansuchen Johann Lorentz Riß, nachstehende erbscession
Andreas Riß der seßelmacher
hatt in gegensein Johann Lorentz Riß des seßelmachers
sein antheil ane der behausung so sie mit Anna Maria Riß der Antoni Säßler des schirmers Ehefrau dero schwester von ihren eltern seel. ererbt in der Tucherstubgaß, einseit neben H. Bein, anderseit neben H. Hatterer, vornen auf gemelten Tucherstubgaß, hinten auff den Gerbergraben – um 48 gulden
Elisabeth Riss femme du journalier Antoine Sessler vend sa part de maison à son frère Jean Laurent Riss qui en devient ainsi seul propriétaire
1783 (20.5.), Chambre des Contrats, vol. 657 f° 217
Fr. Maria Elisabetha Seßlerin geb. Rißin Antoni Seßler des tagners und schirmers ehefrau
hatt in gegensein Johann Lorentz Riß des seßelmachers
den ihro aus elterlicher Erbschafft erblich angefallenen dritten theil vor unvertheilt von und ane einer behausung und hoffstatt mit allen deren übrigen weithen, zugehörden, rechten und gerechtigkeiten ane der Tucherstubgaß, einseit neben Johann Jacob Hatterer dem rothgerber, anderseit neben Mr Bein dem kieffer, hinten auff den Gerbergraben – die übrige zweÿ tertz deren der einte ihme als ererbt zugefallen der andere aber von seinem bruder Andreas Riß durch acte vom 27. Februarÿ jüngsthin vor H. Not. Lacombe (…) cedirt – um 122 gulden
Le fabricant de chaises Jean Laurent Riss achète le droit de bourgeoisie le 16 novembre 1765
1765, Livre de bourgeoisie 1762-1769 (VI 285) p. 77
Johann Lorentz Riß, der ledige Seselmacher von hier gebürtig, erhalt das burger. ex speciali gratia umb den alten burger schilling will dienen beÿ E E Zunfft der Zimmerleuth. Jur. den 16. Novembris 1765.
Il devient tributaire chez les Charpentiers le 25 février 1766
1766, Protocole de la tribu des Charpentiers (XI 33)
(f° 51) Dienstags den 25. Februarÿ 1766 – Neuzünfftiger
Erschienen Joh: Lorentz Riß der leedige Seßelmacher producirt Cantzleÿ und Stallschein de dato 16. Novembris 1765. und bittet ihne vermög deßelben beÿ dieser Ehrsamen Zunft als einen Zünftigen Zu recipiren, sub oblato præsanda zu præstiren und die Gebühr zu erlegen. Erkannt Willfahrt, Juravit.
Jean Laurent Riss épouse en 1770 Caroline Françoise Pierret, originaire de Gonnesweiler près de Neunkirchen dans le diocèse de Trèves (en Sarre) : contrat de mariage, célébration
1770 (11.8.), Not. Schaeff (Jean Frédéric, 6 E 41, 873) n° 57
Eheberedung – persönlich erschienen der Ehrsame Johann Lorentz Riß, der Stroh seßelmacher und Burger alhier, des Ehrengeachten Georg Riß, des ebenmäßigen Stroh seßelmachers und burgers alhier, mit der tugendsamen Fraun Felicitas gebohrner Heÿdin ehelich erzeugter Sohn, beÿständlich erstgemelten seines Vaters als hochzeiter ane einem
so dann die tugendsame Jungfrau Carolina Francisca Pierret, Mr Joseph Pierret des Peruckenmachers und b. zu Kirn hochgräfl. Salmischer herrschaff, mit der Tugendsamen Feaun Philippina Margaretha gebohrne Bohnin, ehelich erzeugte tochter, so majorennis und ihre Rechten selbsten genieset, mit beÿstand H Joh: Georg Kammerer des Wagners und burgers alhie als die Jgfr. Hochzeiterin ane dem andern Theil
Sambstag den 11. Augusti im Jahr Christi 1770 [unterzeichnet] jean lorant Rÿs com fiancé, Jean georg Rÿs Le pere, carolina francica piret hochzeiterin
Mariage, Saint-Louis (cath. p. 292)
Hodie 14 Mensis Augusti Anni 1770 (…) sacro matrimonii vinculo in facie Ecclesiæ Conjuncti fuerunt Joannes Laurentius Riss, Ciuis et Sellarum factor hujus urbis argentinensis filius Joannis Riss etiam civis et sellarum factoris et Mariæ Felicitatis Heydin Conjugum Commorans in dicta parochia ad Stum Petrum Seniorem ex una, et Carolina Francisca Pieret Neoconversa, oriundz ex Gennesweiler filiali ecclesiæ parochialis in Neunkirchen archi Diœcesis Trevirensis, Filia Josephi pieret et Philippinæ Margartitæ Bonin Conjugum Commornas in hac parochia ad Stum Ludovicum ex altera partibus (signé) jean lorant Rÿs, Carolina francisca Piret (i 149)
Caroline Françoise Pierret devient bourgeoise par son mari : inscription au registre de bourgeoisie, registre de traitement des demandes
1770, Livre de bourgeoisie 1769-1777 (VI 286) f° 24-v
Carolina Francisca Pierret von Neu Kirchen, erhalt das burgerrecht von ihrem Ehemann Joh: Lorentz Riß dem Sesselmacher und burger allhier um den alten Burger schilling, will dienen beÿ E. E. Zunfft der Zimmerleüth, prom. eod. [22. 9.br. 1770]
(VI 286 bis, p. 163) Zimmerleüth N° 22 den 10.ten 7.bris 1770. – Carolina Francisca Pierret Joseph Pierret deß burgers zu gonnesweÿller in Zweÿbruckischen eheliche tochter, Verehelicht mit Johann Lorentz Riß dem Burger und seßelmacher alhier, Erweißet durch scheine ihre eheliche geburt, Cath. religion, und die richtigkeit deß mariti stall gebühr 500 fl. baar hat Implorantin Vorgewießen den aÿd deß eigenthumb abgelegt und 100 fl. nach ordnung deponirt.
bittet der Maritus ihme den fehler im heürathens so Er unwißend begangen, gnädigst Zu Condonnieren, quo facto die ehefr. a marito umb den alte burger schilling in hiesiges burgerrecht Zu recipiren.
der fehler dem Marito Condonnirt. die ehefr. umb den A. B. recipirt.
Jean Laurent Riss hypothèque la maison au profit du pommadier François Armbruster pour en régler le prix de construction
1785 (17.1.), Chambre des Contrats, vol. 659 f° 19
Johann Lorentz Riß der seßelmacher
hatt in gegensein Frantz Armbruster des schirms verwandten und pomaden händlers, 200 gu zum bau hiernach beschriebener behausung
unterpfand, anfangs gedachte behausung samt zugehörden ane der Tucherstubgaß einseit neben Johann Jacob Hatterer dem rothgerber, anderseit neben Mr Bein dem kieffer, hinten auff den Gerbergraben
Jean (Laurent) Riss meurt en 1794 en délaissant pour héritiers ses neveux et nièces
1794 (14 messidor 2), Strasbourg 2 (6), Not. Knobloch, s.n.
Inventaire et Description de tous les Biens generalement quelconques delaissés par feu le Citoyen Jean Riss faiseur de Chaises décédé en cette Commune de Strasbourg le 10 du mois de floreal L’an Second de la République française une et indivisible – à la requête des héritiers et tuteur Cy après nommés
Le Defunt Jean Riss a delaissés pour ses héritiers sçavoir 1° Christine Riss Epouse de Jean Louis Behr perruquier demeurant à Schiltigheim, présente sous l’autorité dudit son mari, Felicité Riss, fille majeure demeurante en cette commune, assistée de par le susd. Jean Louis Behr son Beau-frère, Matthieu Riss agé de 17 ans garçon mineur absent, représenté par François Koëssler perruquier demeurant en Cette Commune son tuteur (…), les trois enfants de feu André Riss, faiseur de chaises frere du défunt,
2° Elisabeth Sessler, fille mineure procréé de feu Mariane Riss, sœur du deffunt Epouse d’Antoine Sessler garde de Malade demeurant en Cette Commune, présente sous l’autorité de François Koessler son tuteur nommé comme dit est ci-dessus et du dt son pere, tous quatre neveu et nièces du deffunt et Chacun héritier pour un quart de la succession dont Ensuit la Description
Maison appartenante a la succession, une maison avec toutes ses aisances et dépendances scituée à Strasbourg Rue des Drapiers N° 16 d’un Côté Jean Michel Braunwald teinturier de l’autre Côté Jean Jacques Hatterer tanneur sur le derrière le fossé des tanneurs sur le devant la ruë des drapiers, Estimée à 4000 livres. Laquelle dite Maison est Charge d’un Capital de 3200 lib porté cy après
Meubles appartenants a la succession 194 livres, total de la masse active 4194 livres – Dettes passives 3221, Deduction faite 973 livres
acp 24 f° 121 du 17 messidor 2
Les héritiers vendent la maison au chaussetier Jean Henri Fischbach et à sa femme Marie Chrétienne Engelhard
1794 (18 fruct. 2), Chambre des Contrats, vol. 672 n° 1808
cit. François Koessler cabaretier en qualité de curateur de cit. Elisabeth Sessler veuve de Jacob Eckardsweiler caporal au 62° régiment d’infanterie de la République et comme tuteur de Jean Baptiste Riss mineur, cit. Louis Behr peruquier à Schltigheim en qualité de mari et légitime administrateur des biens de Chrsitine Riss son épouse, cit. Félicité Riss femme de cit. Nicolas Janneson conducteur en chef d’artillerie, tous neveux et nièces de feu cit. Jean Riss faiseur de chaises en vertu de plusieurs enchères confirmées par jugement d’hier
au cit. Jean Henri Fischbach fabricant de bas et Marie Christine Engelhard assitée de cit. Jean Jacques Wunderer et Ulric Maturée
une maison avec toutes ses appartenances, droits et dépendances existante dans la succession de feu Riss rue des Drapiers anciennement actuellement rue des Volontaires n° 16, d’un côté le cit. Hadterer tanneur, d’autre le cit. Braunwald teinturier, derrière le fossé des Tanneurs ci devant maintenant fossé des Jacobins – moyennant 7400 livres
[joint] jugement du Tribunal du District de Strasbourg du 17 fructidor
enreg. 22 fru. F°
Les Quinze dispensent Jean Henri Fischbach du tour de compagnon
1772, Protocole des Quinze (2 R 183)
(p. 74) Sambstags den 22.ten Februarii – Idem [Osterieth] nôe Johann Heinrich Fischbach des ledigen Hosenstrickers und Meisters sohns Von hier C. E. E. Meisterschafft der Hoßenstricker Obermr. bitt den Implorant gnädig von den Wanderjahren zu befreÿen, bezieht sich deßfalls auf mitgehende Erkanntnus vom 15. hujus, Claus nôe des Obermrs. setzts. Osterrieth bitt ablesung und wie darinnen.
Erkandt, daß der Implorant gegen ersetzung der uncosten von denen Wandersjahren dergestalten Zu dispensiren, daß er besagte Zeit alhier Verarbeite.
Fils de chaussetier, Jean Henri Fischbach épouse en 1781 Marie Chrétienne Engelhard, veuve du tisserand Jean Adam Jœrger, d’Ingwiller : contrat de mariage, célébration
1781 (25.6.), Not. Stoeber (6 E 41, 1260) n° 104
Eheberedung – persönlich erschienen der Ehrsam und bescheidene Mr Johann Heinrich Fischbach, der ledige Strumpfstricker so majorennis weil. Mr. Joh: Conrad Fischbach des gew. Strumpfstrickers u. Bs. alhier mit Fr Barbara geb. Wundererin seiner hinterbl. Wb. erzeugter Sohn als hochzeiter beiständl. Philipp Fischbach, des Wächters und Bs. alhier seines Vetters wie auch Mr Ulrich Maturé des Schneiders u. B. alhier seines Schwagers ane einem
So dann Dr. Maria Christina geb. Engelhardin weil. Joh: Adam Görger des Webers u. B. Zu Ingweiler hinterl. Wittib als Braut beÿständlich Mr Joh: Michael Jakob des Hufschmidts und Bs. alhier ihres Anverwandten am andern Theil
Straßburg Montags den 25. Juny Anno 1781 [unterzeichnet] Johann Heinrich Fischbach als Hannß, x der hochzeiterin handzeichen
Mariage, Saint-Pierre-le-Vieux (luth. f° 150-v, n° 23)
1781 seind den Elfften und Zwölfften Sonntag nach Trinitatis proclamirt und den dritten Septembris copulirt worden Johann Heinrich Fischbach lediger strumpfstricker weil. Mstr. Johann Conrad Fischbachs, gewesenen Strumpffstrickes und burgers allhier und fr. Barbarä gebohrner Wunderin ehelicher Sohn und Fr Maria Christina gebohrne Engelhardtin weil. Johann Adam Görgers gewesenen Webers und burgers Zu Ingweiler hinterlaßene Wittwe [unterzeichnet] Johann Heinrich Fischbach als Hochzeiter, + dieses Zeichnet die hochzeiterin (i 155)
Veuf, Jean Adam Jœrger épouse en 1772 Marie Chrétienne Engelhard, fille de journalier
Mariage, Ingwiller (luth. p. 124)
Anno 1772 Dienstags den 6.ten 8.bris wurde nach dreimahliger proclamation ehelich copulirt und eingesegnet Mstr Johann Adam Joerger der burger und verwittibte Weber dahier und Maria Christina wyland Johann Philipp Jacob Engelhards des gewesenen burgers und tagners dahier ehel.hinderl. tochter [unterzeichnet] hannß Adam Jörger als hoch zeÿter, der hochzeiterin handzeichen (i 67)
Les nouveaux mariés font dresser l’inventaire de leurs apports dans la maison Dillemann au Vieux-Marché-aux-Vins. Ceux du mari s’élèvent à 56 livres, ceux de la femme à 222 livres.
1782 (17.1.), Not. Stoeber (6 E 41, 1244) n° 261
Inventarium über Meister Johann Heinrich Fischbach des Strumpffstrickers und Fraun Mariä Christinä Fischbachin geb. Engelhardin beeder Eheleuthen u. brn. allhier einander in den Ehestand zugebrachte Nahrungen auffgerichtet Anno 1782. – in ihrem den 2.t Herbstmonat des abgewichenen 1781.gsten Jahrs angetrettenen Ehestand Zugebracht haben (…) weilen die Requirenten in ihrer vor mir Notario den 25.ten Juny vorigen Jahrs errichteten Eheberedung §° 1. ein ohnverändert und vorbehalten Gut stipulirt haben (…) So geschehen in der allh. Zu Straßb. am alten Weinmarckt gelegen H. Dillemann dem garde zuständigen und dißorts Zum theil lehnungs weise bewohnenden behausung in gegensein H Johann Jacob Arnold des Schwartzbeck. u. brs allhier der Ehefrauen erbettenen beÿstandts Straßb. Donnerstags d. 17.ten Januarÿ 1782.
Series rubricarum hujus inventarii. des M. Vermögen, Sa. Sergenwercks 7, Sa. Silbers 6, Sa. Activ: schulden 25, Summa summarum 39 lb – Wird nun dazu gerechnet die hälfte an den haussteuren mit 27 lb, des Ehemanns zugebrachtes Vermögen 56 lb
Solchemnach wird auch der Ehefraun zugebrachtes Guth berzeichnet, Sa hausraths 59, Sa. Silbers 6, Sa. Gold, Sa. Baarschafft 46, Sa. Activorum 83, Summa summarum 195 lb – Hierzu kommt zue Zu erfordern habende hälfte an gleich hierauf beschriebenen haussteuren mit 27 lb, der Ehefraun zugebrachtes Guth 222 lb.
Jean Henri Fischbach meurt en 1795 en délaissant deux enfants. La masse propre à la veuve est de 897 livres tournois, celle propre aux héritiers de 503 livres. L’actif de la communauté s’élève à 7 958 livres, le passif à 7 863 livres.
1795 (5 floréal 3), Strasbourg 7 (7), Not. Stoeber n° 1121
Inventarium über Weiland burgers Johann Heinrich Fischbach gewesenen Strumpfstrickers allhier, so 6 Wochen nach Michaelis vorigen Jahrs mit tod abgegangen Verlaßenschafft
der abgeleibte hat zu seinen rechtsmäßigen Erben verlaßen 1. Johann Heinrich Fischbach so den 3. November 1782 und 2. Mariam Catharinam so den 25. Julÿ 1784 zur welt gekommen, beede mit der Wittib Fr. Maria Christine geb. Engelhardin erzeugte Kinder, als vormund ernannt b. Ulrich Mathuré Schneider
vor mir den 25. junÿ 1781 errichtete Eheberedung
in der an der tucherstubgaß N° 16 gelegen und in diese Verlaßenschafft gehörigen behausung
Ergäntzung Not. Stöber den 17. Januarÿ 1782 aufgerichteten Inv.y
Eigenthum an einer behaußung. Nemlichen eine behaußung und hoffstatt mit allen deren Gebäuden, begriffen und zugehörden alhier an der tucherstubgaß N° 16 einseit neben b. Hatterer Rothgerber 2.s neben b. braunwald Färber hinten auf den Gerbergraben ziehend, vermög der in allhies. C. C. Stub den 18. fructidor vorigen Jahrs passirten Kauffverschreibung acquirirt worden vor 7400 livres
Berechnung, der Wittib ohnverändert, hausrath 260 li, haussteur (132) 66 li, silber 35 li, Ergäntzung 610 li, Summa summarum 972 livres – Schulden 75 li, bleibt 897 livres
der Erben vermögen, hausrath 218 li, Silber 46 li, activ schulden 75 li, Ergäntzung 164 li, summa summarum 503 livres
das theilbare Gut, hausrath 482 li, Werckzeug 76 li, behaußung 7400 li, Summa summarum 7958 livres – Schulden 7863 li, Nach deren Abzug 95 li – den 9 pluviose
Enregistrement, acp 39 F° 62 du 19 pluv. 4
La maison revient à son fils cordonnier Henri Fischbach qui épouse en 1813 Marguerite Becker, fille de cordonnier
1813 (27.12.), Strasbourg 4 (44), Not. Stoeber aîné n° 2739
Contrat de mariage – Henri Fischbach, cordonnier, fils majeur de 31 ans de feu Henri Fischbach, tricoteur de bas, et de Christine Engelhard demeurant rue des Drapiers n° 16
Marguerite Becker, fille majeure de Guillaume Becker, cordonnier, et de Salomé Mathiss demeurant rue Ste Barbe avec son père
Enregistrement, acp 124 F° 48-v du 5.1. – communauté d’acquets partageable par moitié
1813 (26.12.), Strasbourg, Not. Stoeber aîné
Consentement pat Christine Engelhard veuve de Henri Fischbach tricoteur de bas au mariage de son fils Henri Fischbach, cordonnier, avec Marguerite Becker
Enregistrement, acp 124 F° 37 du 27.12.
Les nouveaux mariés font dresser l’inventaire de leurs apports
1822 (9.10.), Strasbourg 4 (53), Me Hatt n° 584
Inventaire des apports de Marguerite née Becker veuve de Henri Fischbach, cordonnier, suivant contrat de mariage reçu Stoeber notaire à Strasbourg le 27 décembre 1813
mobilier 930 francs
Enregistrement, acp 159 F° 133-v du 14.10.
Henri Fischbach meurt en 1827 en délaissant quatre enfants.
1827 (18.12.), Strasbourg 4 (66), Me Hatt n° 3776
Inventaire de la succession de Henri Fischbach, cordonnier décédé le 9 novembre dernier – à la requête de Marguerite Becker la veuve, commune en biens suivant contrat de mariage reçu Stoeber notaire à Strasbourg le 27 décembre 1813, mère et tutrice légale de Henri, Gustave, Emile et Caroline ses quatre enfants issus de défunt – en présence de Charles Louis Koenig relieur, subrogé tuteur
dans la maison mortuaire rue Ste Barbe n° 6
mobilier 25 fr, dettes actives 56 fr, total 84 fr, garde robe 33 fr, total de la masse active 114 fr, passif 1626 fr
Titres et papiers, inventaire des apports dressé par M° Hatt le 9 octobre 1822
Enregistrement, acp 187 F° 59-v du 26.12.
La veuve Marie Marguerite Becker se remarie avec le tisserand Maurice Théophile Hagenschmidt
1831 (26.1.), Strasbourg 4 (73), Me Hatt n° 5847
Contrat de mariage – Maurice Théophile Hagenschmidt, tisserand à Strasbourg, fils majeur de Maurice Théophile Hagenschmidt, passementier audit lieu, et de Marguerite Salomé Zschiederich sa femme d’une part
et Marie Marguerite née Becker veuve avec enfants de Jean Henri Fischbach, cordonnier en ladite ville, d’autre part
acp 202 (3 Q 29 917) f° 159-v du 5.3. – portant réserve d’apports et communauté d’acquets partageable par moitié au décès de l’un d’eux, la future aura l’usufruit viager de toute la succession, plus don de survie par la future au futur de tout ce que la loi lui permet de disposer.
Le futur se constitue en propre une somme de 200 francs en numéraire, les apports de la future sont constatés par inventaire notarié
Jean Henri Fischbach et Marguerite Becker vendent la maison au farinier Jean Henri Windesheim et à Marie Christine Fischbach (beau-frère et soeur du vendeur)
1821 (29.6.), Strasbourg 2 (49), Me Weigel n° 1187
Jean Henri Fischbach, cordonnier, et Marguerite Becker domiciliés rue Ste Barbe n° 6
à Jean Henri Windesheim, farinier, et Marie Christine Fischbach
la moitié par indivis d’une maison avec tous les fourneaux qui s’y trouvent, appartenances, droits et dépendances sis en cette ville rue des Drapiers n° 16 d’un côté le Sr Vogt maître charpentier, d’autre le Sr Braunwald teinturier, derrière le fossé des Tanneurs – avenu au covendeur des succession de ses père et mère, la femme coacquéreuse est propriétaire de l’autre moitié suivant inventaire des apports dressé par M° Stoeber aîné le 20 septembre 1819 – moyennant 2000 francs
Enregistrement, acp 153 F° 38 du 2.7.
Originaire de Wasselonne, Jean Windesheim épouse en 1809 Anne Marie Müller, fille du fripier Jean Müller
Mariage, Strasbourg (n° 448) L’an 1809 le 21 jour du mois de décembre (…) sont comparus Jean Wintesheim, âgé de 29 ans, journalier, domicilié en cette commune depuis 15 mois, né à Wasselonne, Département du Bas Rhin le 4 novembre 1780, fils de feu Jean Jacques Windesheim tanneur audit lieu, y décédé le 28 Pluviôse an III et de Marie Salomé Wolf ci présente et consentante, et Anne Marie Müller, âgée de 28 ans, née en cette ville le 16 décembre 1781, y domiciliée, fille de feu Jean Müller, frippier décédé en cette ville le 25 Nivôse an V et Marguerite Salomé Wimmeling ci présente et consentante, (signé) Johannis Windesheim, Anna Maria Müllerin (i 29)
Le journalier Jean Windisheim se remarie avec Marie Christine Fischbach
1819 (12.1.), Strasbourg 4 (49), Not. Stoeber aîné n° 4595,
Contrat de mariage – Jean Windisheim, journalier veuf de Marie Anne Müller, demeurant grand rue n° 123
Marie Christine Fischbach, fille majeure de Henri Fischbach, culottier, et de feu Christine Engelhard
communauté d’acquets partageable par moitié
Enregistrement, acp 141 F° 137-v du 20.1.
Les nouveaux mariés font dresser l’inventaire de leurs apports
1819 (20.9.), Strasbourg 4 (49), Not. Stoeber aîné n° 4792
Inventaire des apports de Jean Windisheim, farinier, et de Marie Christine Fischbach, suivant contrat de mariage reçu Stoeber aîné notaire à Strasbourg le 12 janvier dernier
au domicile des conjoints rue des Drapiers n° 16
le mari 994 fr, la femme 1622 fr et
la moitié d’une maison sise à Strasbourg rue des Drapiers n° 16 entre le Sr Vogt charpentier et Braunwald teinturier, aboutissant au fossé des Tanneurs, échue dans la succession de ses père et mère, non estimée
passif 250 fr
Enregistrement, acp 144 F° 146 du 28.9.
Jean Windisheim meurt en 1832
1832 (19.7.), Strasbourg, Me F. Grimmer
Inventaire de la succession de Jean Windisheim, farinier décédé le 24 juin – à la requête de 1. Marie Christine Fischbach sa veuve, 2. Marie Madeleine Muller veuve de Georges Windisheim, épicier mère et tutrice légale de Georges Edouard et Caroline ses deux enfants
garde robe 245 fr, meubles 740 fr, dettes actives 24 fr, argent 500 fr, totalité 1264 fr
Enregistrement, acp 211 F° 125 du 26.7.
Registre de population 600 MW 197 (1846 sqq) rue de Drapiers N° 16 ou f. des Tanneurs 50, f° 99 (i 57)
Wintersheim née Fischbach, Christine, 1784, Strasbourg, propr. veuve
Testaments de Marie Christine Fischbach
1862, M° Grimmer
Testament, M° Grimmer 4 mai 1852 – Marie Christine Fischbach veuve Jean Windesheim farinier, par lequel elle lègue à Guillaume Emile Fischbach son neveu une somme de 600 francs
acp 506 (3 Q 30 221) f° 92-v du 3.2.
M° Grimmer 26 avril 1857, par lequel elle ordonne que la part de sa succession revenant à ss petits neveux reste hypothéquée sur sa maison rue des drapiers
acp 506 (3 Q 30 221) f° f° 93 du 3.2.
Marie Christine Fischbach meurt en 1862 en délaissant pour héritiers ses neveux et petits-neveux
1862 (5.2.), M° Grimmer
Inventaire de la succession délaissée par Marie Christine Fischbach veuve de Jean Windesheim vivant farinier à Strasbourg, décédée le 29 janvier 1862, dressé à la risque de 1. Henri Fischbach, relieur à Strasbourg, 2. Charles Gustave Fischbach, compositeur d’imprimerie à Strasbourg, 3. Guillaume Emile Fischbach, menuisier à Strasbourg, 4. Michel Kuhn, relieur à Strasbourg, comme père et tuteur de Gustave et Caroline Kuhn, ses enfants issus de son mariage avec Caroline Fischbach sa femme
acp 507 (3 Q 30 222) f° 18-v du 7.2. (succession déclarée le 2 janvier 1862) Il dépend de la dite succession un mobilier estime 337
une maison rue des Drapiers N° 34 à Strasbourg
Liquidation dressée après que la maison a été vendue
1862 (2.8.), M° Grimmer
Liquidation et partage de la succession délaissée par Marie Christine Fischbach veuve de Jean Windesheim, rentière à Strasbourg, décédée le 29 janvier 1862.; Entre 1. Henri Fischbach, relieur, 2. Charles Gustave Fischbach, caissier, 3. Guillaume Emile Fischbach, menuisier, 4. Michel Kuhn, relieur, comme tuteur de Gustave et Caroline Kuhn, enfants issus de son mariage avec Caroline Fischbach
Masse active, 8321, Masse passive 950, Reste 7371
Abandonnements (…)
acp 513 (3 Q 30 228) f° 14-v du 4.8.
Les héritiers Fischbach vendent par adjudication la maison au serrurier Frédéric Meinzer et à sa femme Salomé Rosenstiel
1862 (4.7.), M° Grimmer
Adjudication définitive – à la requête de 1° Henri Fischbach, relieur, et Catherine Steckel sa femme, 2° Guillaume Emile Fischbach, menuisier, 3° Charles Gustave Fischbach, caissier, et Rosine Caroline Fischbach son épouse, 4° Michel Kuhn, relieur comme tuteur de Gustave et Caroline Kuhn, procrés de son mariage avec feu Caroline Fischbach, tous à Strasbourg
au profit de Georges Frédéric Meinzer, serrurier, et Salomé Rosenstiehl sa femme
une maison rue des Drapiers N° 4 moyennant 7900 francs
acp 512 (3 Q 30 227) f° 29-v du 7.7.
Frédéric Meinzer et Salomé Rosenstiel vendent la maison aux tailleurs Frédéric Neunhoffer et Joseph Meyer
1868 (22.12., Strasbourg 3 (111), Not. Weiss (Emile)
Vente du 22. X.bre 1868 – Ont comparu M. Georges Frédéric Meinzer, serrurier, & Dame Salomé Rosenstiehl, son épouse qu’il autorise à l’effet des présentes demeurant et domiciliés ensemble à Strasbourg (vendent)
à M.M. Frédéric Neunhoffer & Joseph Meyer, les deux marchands tailleurs demeurant et domiciliés à Strasbourg acquéreurs solidaires
Objet de la vente. Ville de Strasbourg. Une maison sise à Strasbourg rue des Drapiers N° 4 donnant sur la rue du fossé des Tanneurs,entre Eugène Jost et la Sr Stumpf. Sont compris dans la vente tous les poêles avec leurs tuyaux et pierres (…). Origine de la propriété. M. Meinzer déclare être devenu propriétaire de la maison vendue pour l’avoir acquise de M. Henri Fischbach, relieur, et D° Catherine Steckel son épouse, M. Guillaume Emile Fischbach, menuisier célibataire, M. Charles Gustave Fischbach, caissier de M. Silbermann, et D° Rosine Caroline Haeberlé son épouse, M. Michel Kuhn, relieur tuteur légal de ses enfants mineurs Caroline et Gustave Kuhn, nés de son mariage avec D° Caroline Fischbach, son épouse défunte aux termes d’un procès verbal d’adjudication dressé par M° Grimmer lors notaire à Strasbourg à ce commis le 3 juillet 1862 en suite d’un cahier des charges dressé par le même notaire le 24 mai de ladite année.
Ladite maison dépendait de la succession de Marie Christine Fischbach veuve de Jean Windesheim, farinier, décédée à Strasbourg le 29 janvier 1862 en délaissant pour ses héritiers les susnommés chacun pour un quart et les enfants Kuhn pour le dernier quart, ainsi qu’il résulte de l’inventaire de la succession de ladite défunte dressé par ledit M Grimmer le 5 février 1862. Cette maison était la propriété de la défunte de la manière suivante, la moitié indivise lui est échue dans la succession de ses père et mère et a été apportée par elle en mariage suivant inventaire d’apports dressé par M. Stoeber, lors notaire à Strasbourg le 20 septembre 1819, l’autre moitié indivise a été acquise durant son mariage de Jean Henri Fischbach cordonnier & Marguerite Becker, conjoints à Strasbourg le 29 juin 1821 par acte authentique. Mme Windesheim usant du bénéfice de l’article 1408 du Code Napoléon a retenu la totalité de l’immeuble et a indemnisé la communauté pour les dépenses faites pour cette acquisition. Feu le Sr Jean Henri Fischbach père de la défunte avait acquis ladite maison suivant acte passé devant M° Dinckel notaire à Strasbourg le 18 fructidor an II de l’ère républicaine
Situation hypothécaire (…) Prix, 10.000 francs (…) Cession d’indemnité d’assurance (…) Etat civil des vendeurs. Les vendeurs déclarent qu’ils sont mariés sous le régime de la communauté de biens légale à défaut de contrat de mariage préalable à leur union.
(transcrit au bureau des hypothèques de Strasbourg le 6 janvier 1869 vol. 1186 N° 59 et inscrit d’office N. 1006 N° 9)
acp 579 (3 Q 30 294) f° 72 du 29.12.
Charles Frédéric Neunhoeffer épouse en 1847 Louise Dorothée Lœwenstein, fille du cordonnier Jean Lœwenstein
Mariage, Strasbourg (n° 364)
Du deuxième jour du mois d’octobre 1847 à dix heures du matin. Acte de mariage de Charles Frédéric Neunhoeffer, majeur d’ans, né en légitime mariage le premier septembre 1819 à Strasbourg, tailleur, fils de Chrétien Frédéric Neunhoeffer, tailleur, et de Madeleine Jacob, conjoints domiciliés en cette ville ci présents et consentants, et Louise Dorothée Loewenstein majeure d’ans, née en légitime mariage le 24 novembre 1820 à Niederbronn (Bas Rhin) domiciliée à Strasbourg, fille de feu Jean Loewenstein, cordonnier décédé à Strasbourg le 21 janvier 1839 et d « Eve Catherine Eber, domiciliée à Strasbourg ci présente et consentante (signé) Charles Frederic Neunhöffer, Louisa Dorodea Löwenstein (i 20)
Natif de Bischwihr près de Colmar, Joseph Meyer épouse en 1858 Sophie Lœwenstein, fille du cordonnier Jean Lœwenstein, sœur de la précédente
Mariage, Strasbourg (n° 628)
Du 18° jour du mois de décembre l’an 1858 à dix heures du matin. Acte de mariage de Joseph Meyer, majeur d’ans, né en légitime mariage le 31 mai 1829 à Bischwihr (Haut-Rhin) domicilié à Strasbourg, tailleur, fils de feu Jean Meyer, tailleur décédé à Bischwihr le 12 mars 1855 et de feu Salomé Biechler, décédée à Bischwihr le 23 mars 1855, et Sophie Loewenstein, majeure d’ans, née en légitime mariage le 29 juin 1826 à Niederbronn (Bas Rhin) domiciliée à Strasbourg,couturière, fille de feu Jean Loewenstein, cordonnier décédé à Strasbourg le 21 janvier 1839 et d’Eve Catherine Eber, domiciliée à Strasbourg ci présente et consentante (i 46)
Frédéric Neunhoeffer et Louise Loewenstein d’une part, Joseph Meyer et Sophie Loewenstein d’autre part vendent la maison au restaurateur Eugène Jost et à sa femme Caroline Lustig, déjà propriétaires de la maison voisine (à l’angle de la Grande rue de la Grange)
1873 (20.3.), Strasbourg 14 (180), Not. Emile Ritleng jeune n° 19.753
Ont comparu 1. Monsieur Frédéric Neunhoeffer tailleur d’habits et Dame Louise Loewenstein, sa femme de lui autorisée, 2. Monsieur Joseph Meyer, tailleur d’habits et Dame Sophie Loewenstein, sa femme de lui autorisée, domiciliés et demeurant tous quatre à Strasbourg (ont vendu)
à Monsieur Eugène Jost, restaurateur, et Dame Caroline Lustig, son épouse de lui autorisée demeurant ensemble à Strasbourg
Une Maison sise à Strasbourg, Rue des Drapiers N° 4 donnant sur le rue du fossé des Tanneurs entre l’acquéreur lui-même et le Sieur Stumpf. Sont compris dans la vente huit poêles avec leurs tuyaux et pierres se trouvant dans ladite maison
Origine de la propriété. Les vendeurs sont propriétaires de la dite maison pour l’avoir acquise indivisément de Monsieur Frédéric Georges Meinzer serrurier et de Dame Salomé Rosenstiehl son épouse de Strasbourg aux termes d’un contrat de vente passé devant M° Emile Weiss et son collègue nature à Strasbourg le 22 décembre 1868. Le sieur Meinzer était devenu propriétaire de cette maison pour l’avoir acquise de Monsieur Henri Fischbach relieur et Dame Catherine Steckel son épouse, Monsieur Guillaume Emile Fischbach, menuisier célibataire, Monsieur Charles Gustave Fischbach, caissier de Monsieur Silbermann et Dame Rosine Caroline Haeberlé son épouse, Monsieur. Michel Kuhn, relieur tuteur légal de ses enfants mineurs Caroline et Gustave Kuhn, nés de son mariage avec Dame Caroline Fischbach, son épouse défunte aux termes d’un procès verbal d’adjudication dressé par M° Grimmer, lors notaire à Strasbourg à ce commis, le 3 juillet 1862 en suite d’un cahier des charges dressé par le même notaire le 24 mai de ladite année.
La dite maison dépendait de la succession de Marie Christine Fischbach veuve de Jean Windesheim, farinier, décédée à Strasbourg le 29 janvier 1862 en délaissant pour ses héritiers les sus nommés chacun pour un quart et les enfants Kuhn pour le dernier quart, ainsi qu’il résulte de l’intitulé de l’inventaire de la succession de la dite défunte dressé par le dit M Grimmer le 5 février 1862. Cette maison était la propriété de la défunte de la manière suivante. La moitié indivise lui est échue dans les successions de ses père et mère et a été apportée en mariage suivant inventaire d’apports dressé par M° Stoeber, lors notaire à Strasbourg le 20 septembre 1819, l’autre moitié indivise a été acquise durant son mariage de Jean Henri Fischbach cordonnier et Marguerite Becker conjoints à Strasbourg le 29 juin 1821 par acte authentique. Madame Windesheim usant du bénéfice de l’article 1408 du Code Napoléon a retenu la totalité de l’immeuble et a indemnisé la communauté pour les dépenses faites pour cette acquisition. Feu le Sieur Jean Henri Fischbach père de la défunte avait acquis ladite maison suivant acte passé devant M° Dinckel notaire à Strasbourg le 18 fructidor an II de l’ère républicaine
Situation hypothécaire (…) Prix, 10.000 francs (…) Assurance contre l’incendie (…)
(Police d’assurance) Compagnie du Soleil, Police N° 23,321, M Meyer, Joseph & Neunhœffer, Charles, 22 décembre 1867. Prime 11,40 francs – la somme de 35.000 francs, 1° 15.000 Francs Sur une maison d’habitation occupée par des locataires sans profession augmentant les risques, sise à Strasbourg rue des Drapiers N° 4 élevée sur cave, de Rez de chaussée, quatre étages & double grenier, construite en pierres, briques & bois, couverte en tuiles, y compris la valeur des objets réputés immeubles par destination. 2° 20.000 francs pr la garantie du recours des voisins. L’assurance est contractée pour une période de dix années
acp 615 (3 Q 30 330) f° 10-v du 27.3.
Le journalier Eugène Jost épouse en 1862 Caroline Lustig, fille du modeleur de cire Bernard Lustig
1862 (19.3.), Strasbourg 14 (159), Not. Ritleng père n° 13.101
Contrat de mariage – Ont comparu Eugène Jost journalier domicilié & demeurant à Strasbourg fils majeurde feu Charles Jost en son vivant marchand de ferraille en cette ville et D° Dorothée Mehl sa veuve demeurant à Strasbourg
& Demoiselle Caroline Lustig fille mineure de Bernard Lustig, modeleur de figures de cire & de D° Elisabeth Bühler son épouse domiciliés & demeurant tous trois à Strasbourg, agissant sous l’assistance et l’autorisation de ses père et mère
acp 508 (3 Q 30 223) f° 81-v du 20.3. – stipulation de communauté de biens réduite aux acquêts partageable par moitié
Les apports du futur consistent en une somme de 1000 francs
Donation par les conjoints Lustig à la future épouse leur fille, ce acceptant, &) d’une somme de 1000 francs, 2) d’un mobilier estimé à 410
Donation réciproque de l’usufruit de toute la succession