5, rue d’Austerlitz
Rue d’Austerlitz n° 5 – IX 96 (Blondel), O 747 puis section 17 parcelle 109 (cadastre)
Porte Renaissance inscrite à l’inventaire des monuments historiques, 25 juin 1929
Façade en juillet 2010, en avril 2024 – La maison et ses voisines (avril 2025)
La veuve du boulanger Jérémie Ypper est propriétaire de deux maisons contiguës d’après le Livre des communaux (1587) ; elle habite celle à côté de l’auberge au Bœuf (sur la gauche) et loue la voisine (sur la droite). Toutes deux ont un auvent et des marches dallées sur le communal. Le boulanger Jacques Werner renonce en 1608 à reconstruire son auvent détruit par une chute de neige parce que les préposés le soumettent à un nouveau cens communal. Le teinturier Chrétien Mercklin achète la maison en 1628 et y installe la même année une calandre. Son voisin Adam Güntzer (actuel n° 7) lui accorde le droit, confirmé en 1658, de poser trois corbeaux dans son pignon pour y appuyer ses constructions. On peut supposer que c’est Chrétien Mercklin qui reconstruit les deux maisons d’un seul tenant. Il vend en 1662 le bâtiment arrière à son voisin Jean Jacques Haubenstricker, aubergiste au Bœuf (actuel n° 3). Le marchand épicier Geoffroi Samuel Werner est autorisé en 1709 à poser un auvent, trois étaux et trois marches devant la maison moyennant un cens communal. Le chaudronnier Théophile Gentsché qui acquiert la maison en 1741 supprime l’auvent et les étaux l’année suivante, son gendre par alliance Frédéric Pabst les marches en 1768.
Plan-relief de 1727 (Musée historique, cliché Claude Menninger, © Inventaire général,
La maison est celle à trois étages (cinquième bâtiment à partir de la gauche)
Elévations préparatoires au plan-relief de 1830, îlot 210 (Musée des Plans-relief) 1
N.B. Le repère (f’’) correspond à une partie de l’auberge au Bœuf et non au début de l’alignement
L’Atlas des alignements (années 1820) mentionne une maison à rez-de-chaussée et trois étages en maçonnerie. Sur les élévations préparatoires au plan-relief de 1830, la façade est la deuxième à droite du repère (f’’) : porte, deux fenêtres et autre porte, trois étages à quatre fenêtres chacun, toiture à un niveau de lucarnes. On remarque que le nombre de fenêtres n’est pas exact, ce qui arrive parfois. Le cour (H’) montre l’arrière (1-2) du bâtiment sur rue, le mur (2-3) qui sépare la cour de celle du voisin au nord, le bâtiment arrière (2-3) qui se prolonge en aile (4-1), à rez-de-chaussée en partie ouvert et un étage.
La maison porte d’abord le n° 3 (1784-1857) puis le n° 5.
Cour (H’) – Etages dont le troisième à pans de bois en arc (avril 2024)
Porte Renaissance (juillet 2010, avril 2025) – Façade vue du nord (avril 2024)
Le marchand de fromages Jean Daniel Hetzel y exploite son commerce qu’il loue en 1854 à Edouard Braun. Le bijoutier Albert Abel fait transformer en 1896 le rez-de-chaussée et poser une devanture ; l’aile latérale est rehaussée d’une construction en bois. La porte Renaissance (arc en accolade, moulures entrecroisées) est inscrite à l’inventaire des monuments historiques le 25 juin 1929. Le rez-de-chaussée où se trouvait la bonneterie du Corbeau (1950-1978) est ensuite partagé en deux magasins.
Plan du rez-de-chaussée, façade sur cour (1896) – Elévation existante et projetée (1994), dossiers de la Police du Bâtiment
Réfection des magasins du rez-de-chaussée (ancienne enseigne Bonneterie du Corbeau, projet, nouvelles devantures, 1977), dossier de la Police du Bâtiment
avril 2025
Sommaire
Cadastre – Police du Bâtiment dossier I,dossier II – Relevé d’actes
Récapitulatif des propriétaires
La liste ci-dessous donne tous les propriétaires de 1582 à 1952. La propriété change par vente (v), par héritage ou cession de parts (h) ou encore par adjudication (adj). L’étoile (*) signale une date approximative de mutation. Le signe (°) suit le prénom usuel.
Jérémie Ypper, boulanger, et (1561) Marie Ulrich d’abord (1554) femme du boucher Augustin Meyer puis (1557) du boulanger Jean Stahl – luthériens | ||
1600* | h | Martin Ypper, boulanger, et (v. 1590) Marie Braunstein, remariée (1601) avec le boulanger Jacques Werner – luthériens (héritier) Jean Jacques Ipper, boulanger, et (1618) Catherine Frantz puis (1622) Anne Marie Uhl, remariée (1625) avec le boulanger Jacques Geh – luthériens |
1628 | v | Georges Stiegler, farinier, et (1622) Marguerite Ipper, remariée (1637) avec le tailleur Jacques Grisel – luthériens |
1628 | v | Jean Chrétien Mercklin, teinturier, et (1625) Madeleine Müller puis Marthe Nagel et (1651) Cléophée Steudel – luthériens |
1664 | v | Louis Lentz, boulanger, et (1661) Marguerite Kopp, d’abord (1655) femme du vitrier Jean Bernard Brand – luthériens |
1686 | h | Melchior Binder, tonnelier, et (1686) Marguerite Kopp, veuve du vitrier Jean Bernard Brand et du boulanger Louis Lentz – luthériens |
1708 | v | Geoffroi Samuel Werner, marchand épicier, secrétaire à l’approvisionnement en bois, et (1708) Marie Jacqueline Bæhr, d’abord (1691) femme du tailleur Adam Frédéric Bœrner – luthériens |
1732 | v | Paul Hellwig, marchand épicier, et (1724) Anne Catherine Knoll, remariée (1734) au marchand Philippe Jacques Strass – luthériens |
1741 | v | Théophile Gentsché, chaudronnier, et (1736) Marie Salomé Bameyer, d’abord (1727) femme du chaudronnier Jean Michel Schwartz, puis (1751) Anne Marie Anthoni – luthériens |
1750 | h | Jacques Frédéric° Bapst, chaudronnier, et (1748) Catherine Marguerite Schwartz – luthériens |
1769 | h | Jean Jacques Bapst, chaudronnier, et (1795) Marie Catherine Bapst |
1810 | v | Jean Daniel Huck, farinier, et (1800) Catherine Madeleine Rimbach |
1810 | v | Jean Daniel Hetzel, huilier, marchand de fromage, et (1807) Marguerite Barbe Berst |
1858 | h | Caroline Hamann, femme (1835) du fabricant de toiles Jean Frédéric Bernhard |
1897 | v | Alfred° Henri Rodolphe Abel, horloger, et (1877) Pauline Müller puis (1889) Caroline Emilie Meinzer, d’abord (1874) femme du restaurateur Prosper Etienne Cromer |
1899 | v | Chrétien Laublé, fournisseur militaire de comestibles, et (1872) Sophie Kress |
1902 | v | Joseph° Léopold Levy, commerçant, et (1894) Alice Weyl |
1939* | h | Edmond Levy puis (1954) Loney, industriel, et (1931) Marie Louise Pauline Theodor |
Valeur de la maison selon les billets d’estimation : 675 livres en 1684, 1200 livres en 1706 et en 1721, 1250 livres en 1750, 900 livres en 1769
(1765, Liste Blondel) IX 96, Jean Fréderic Bapst
(Etat du développement des façades des maisons, AMS cote V 61) Pabst, 5 toises, 2 pieds et 3 pouces
(1843, Tableau indicatif du cadastre) O 747, Hetzel, Daniel, rue d’Austerlitz 3, maison, sol – 1,3 are
Locations
1621, Georges Brunn, boulanger
1715, Jean Michel Zeyssolff, marchand
1723, Paul Hellwig, marchand (futur propriétaire)
1780, Pierre Henri Tatas (Datas), marchand de fruits et légumes
1854, Edouard Braun
Livres des communaux
1587, Livre des communaux (VII 1450) f° 380-v
La veuve du boulanger Jérémie Eipper règle 8 sols 9 deniers pour la maison louée au cordonnier Ulric Berckstein, à savoir un auvent (18 pieds de long, saillie de 4 pieds), plus haut une avance (même longueur, saillie de 9 pouces), deux gradins dallés devant la porte (4 pieds de long, saillie de 3 pieds) et deux étaux d’exposition (13 pieds de long, saillie de trois pieds)
Anderseit der großen Vihe Gaßen.
Hieremias Eippers deß Weißbecken selligen Wittib hatt ein Hauß, darinn wohnt Ulrich Berckhstein d. Schuhmach. undt hatt oben ein Wettertach xviij schu lang, iiij schu herauß, Oben darüber ein Staucher In gleicher lenge ix Zoll herauß, Mehr vor d. Thür ij besetzte Tritt iiij schu lang, iij schu herauß, Zwen Vssatz Baënckh xiij schu lang, iij schu herauß, Bessert für das Niessen, viij ß ix d.
Idem f° 381
La même veuve du boulanger Jérémie Eipper règle 8 sols 10 deniers pour la maison voisine qu’elle habite elle-même, à savoir un auvent (17 pieds de long, saillie de 5 pieds ½), deux gradins dallés devant la porte (3 pieds ½ de long, saillie de 3 pieds ½) et une boutique de boulanger en bois (8 pieds ½ de long, saillie de 3 pieds)
Anderseit der großen Vihe Gaßen.
Erstgemelte Hieremias Eippers deß Becken Wittwe hatt neben disem aber ein Hauß, darinnen Sieselbs vnd Ihr sohn wohnt, vndt hatt oben ein Wettertach xvij schu lang, v+ schu herauß, Vor der Haußthüer Zwen besetzte Tritt v+ schu lang, iii+ schu herauß, Mehr einen hültzenen Beckhen Laden ix= schu lang, iij schu herauß, bessert für das Niessen, viij ß x d.
1673, Livre des loyers communaux, VII 1466 (1673-1741) f° 648
Geoffroi Samuel Werner doit pour un auvent (22 pieds de long, saillie de 3 pieds ½), trois étaux dont le premier a une longueur de 4 pieds 10 pouces, le deuxième de 4 pieds 3 pouces et le troisième de trois pieds, les trois ayant une largeur de 2 pieds, trois marches en pierre, la première d’une longueur de cinq pieds, les deux autres de 4 pieds, les trois ayant une largeur de 1 pied 2 pouces, le tout à sa maison proche de l’auberge au Bœuf, à savoir 15 sols pour l’auvent, deux sols 8 deniers pour chaque étal et 8 deniers pour chaque marche, en tout 1 livre 5 sols à régler à la Saint-Georges.
Les contribuables suivants sont Anne Catherine Hellwig née Knoll, Philippe Jacques Strass et Théophile Gentsché. Seul le cens de trois sols pour les marches subsiste à partir de 1742.
Herr Gottfrid Samuel Werner(s. witt.) Soll von einem 22. schuhe lang und 3 ½ schuh breiten Wetterdach, ferner dreÿen bäncken, deren der I.er Vier schuh 10. Zoll lang, der 2. 4. Schuh, 3. Zoll lang, Und der 3.te 2. schuhe lang und jed. 2. schuh breit ist. So dann dreÿen steinern staffel deren die 1. 5. schuh lang, und die andere zwo jede 4. schuh lang, alle dreÿ aber jede 1 schuh 2. Zoll breit, an Seiner ohnfern dem Würthshauß Zum ochßen liegenden behaußung, Und Zwar vom Wetterdach 15 ß d, jedem banck 2 ß. 8 d. und jeder Staffel 8 d also sammenthafft Jahrs auff Georgÿ, 1 lb 5 ß
[in margine :] jetzt von den 3. stafflen allein, 3 ß 1742. I.mo
Jetzt frau Anna Catharina Hellwigin gebohrene Knollin
jetzt Philipp Jacob Straß
jetzt Gottlieb Gentsche
(Quittungen 1709-1741)
Neuzb. fol 744
1741, Livre des loyers communaux VII 1472 (1741-1802) f° 744
Le loyer pour les marches s’éteint en 1768 quand les marches sont supprimées
alzb. 648
Gottlieb Gentsche solle von dreÿen Steinern Stafflen deren die Erste 5. sch. lang und die andere zwo jede 4. sch. lang, alle dreÿ aber jede ein sch. 2. Zoll breit an seiner ohnfern dem würthshauß Zum ochßen liegenden behaußung Jahrs auff Georgÿ, abgegangen biß auf 3 ß p. 1743. i.mo, 3 ß
(Quittungen 1741-1768)
Sigendt in A° 1768 hinweggemacht worden
Préposés au bâtiment (Bauherren)
1608, Préposés au bâtiment (VII 1323)
Jacques Werner, boulanger à côté du Bœuf, demande l’autorisation de reconstruire son auvent détruit par une chute de neige. Les préposés l’y autorisent moyennant un cens communal. Le pétitionnaire demande réflexion
(f° 16-v) Montag den ersten Februarÿ
Jacob werner d. beck neben dem ochsen sagt d. schnee ab sein wetterdach vber dem brot lad. herab getrucken bitt solches Zugestatten. Ist vff ein Augenschein gestellt.
(f° 33-v) Mittwoch den 24.t Februarÿ – Jacob werner becken Neben dem ochsen Ist gleicher gestalt anzeigt, sein gefallen wetterdach wider Zumach., wie vorhin, doch werde man Ihm ein Zinß druff schlag. der bittet dafür d. hauß gebe Zuuor vil boden Zinß. Aber er bleibt dabeÿ wenn ein Zinß geben müß will sich druff bedencken.
1628, Préposés au bâtiment (VII 1343)
Le teinturier Chrétien Merckell est autorisé à façonner du bois entre les deux portes des Bouchers pour construire sa calandre à côté du Bœuf.
(f° 104) Sambstagß den 9. August a° 1628 – Zimmerplatz
Hanß Christmann Merckell d. Ferber Zum Roth. hanen In Oberstraß vmb Ein Zimmer Platz Zwischen d. Metzgerthoren Ein baw Zur mang neb. dem ochsen vff Zuricht., Zu Zimmern p. Conradt Nicol d. Zimmermann. Erkanth Willfahrt mit gewohnlich. g.ditionen.
1665, Préposés au bâtiment (VII 1359)
Louis Lentz demande l’autorisation de construire un auvent (19 pieds de long en saillie de 4 pieds à la maison qu’il vient d’acheter à côté du Bœuf et de placer sous l’auvent un étal (12 pieds de long, saillie de 3 pieds ½). Les préposés autorisent l’auvent moyennant un cens de 15 sols mais refusent l’étal permanent en proposant un étal pliable.
(f° 32) Montags den 3. Aprilis. – Lentz. Wetterdach
Augenschein eingenommen vff begehren Ludwig Lentzen deß Krempen welcher sucht, d. Ihme an deßen erkaufften hauß in der Viehegassen oben neben dem Wirttshauß Zum Oxen Ein wetterdach 19. schue lang vnd 4. schue herauß Zubawen, so dann vnder d.selbe einen banckh 12 schu lang vnd 3 ¼ schue breit, seine Krempen wahre darauff feÿl Zuhaben, Vorzustellen erlaubt werden möchte. Erkant bedacht.
(f° 32-v) Dinstag den 4. Aprilis 1665. – Lentz. Wetterdach
Auf Ansuchen Ludwig Lentzen deß Krempen ist nach eingenommenem vnd referirten augenschein Erkand Wurd demselben so Viel daß Wetterdach betrifft, gegen erlag 15. ß d. Jährlich Zinnßes willfahrt, die vorstellung deß Bancks aber abgeschlagen, sondern mag sich eines aufschlagladens bedienen. Ille begert solch. fals kein Wetterdach.
1709, Préposés au bâtiment (VII 1383)
Les préposés autorisent Geoffroi Samuel Werner à poser un auvent, trois étaux et trois marches (voir le Livre des loyers communaux)
(f° 185-v) Dienstags den 23. Aprilis 1709. – Herr Gottfridt Samuel Werner pt° eines Wetterdachs
Herr Gottfridt Samuel Werner, der Specereÿhändler, Hatt Vor seiner in der Viehgaßen ohnfern des Würths hauß zum Ochßen gelegener behausung Ein Wetterdach 22. schuhe lang und 3 ½ schuhe breit, ferner dreÿ bänck, deren der 1. 4. schuhe 10. Zoll lang, der andere 4. schuhe 3. Zoll lang und der dritte 2. schuhe lang undt jeder 2. schuhe breit ist, so dann dreÿ steinere staffelen, deren die erste 5. schuhe lang, undt die andere Zwo jede 4. schuhe lang, alle dreÿ aber jede 1. schuhe 2. Zoll breit ist, auff den Von Mghh. erlangten consens machen laßen. Erk. Soll Von dem Wettertach 15. ß d. Von jedem banck 2 ß 8 d und Von jeder staffel 8. d. also Zusammen jährlichen auff Georgÿ und Anno 1710. Zum ersten mahl 1. ln 5 ß d Zinnß bezahlen.
1777, Préposés au bâtiment (VII 1417)
Le maître maçon Scherb demande au nom du chaudronnier Frédéric Pabst l’autorisation de faire une nouvelle croisée
(f° 203-v) Dienstags den 13. Maji 1777. – Friderich Pabst Kupferschmidt
Mr Friderich Pabst, der Kupferschmidt läßt durch Mr Scherb, den Maurer ansuchen Zu erlauben an seiner behausung in der Dauphine Gaß gelegen einen neuen Kreutzstock einzusetzen und zween andere höher Zu machen. Erkannt, Willfahrt.
Description de la maison
- 1684 (billet d’estimation traduit) La maison qui comprend une petite cour et un puits est estimée avec ses presses à tabac, appartenances et dépendances à la somme de 1350 florins
- 1721 (billet d’estimation traduit) La maison comprend plusieurs poêles, chambres, cuisines, vestibules, fumoir voûté, boutique d’épicerie, deux caves sous solives, puits dans la cour, petite remise couverte de tuiles plates, fourneau, chaudron à lessive, le tout estimé avec appartenances et dépendances à la somme de 2400 florins
- 1750 (billet d’estimation traduit) La maison comprend au rez-de-chaussée un poêle, un atelier de chaudronnier et une petite cuisine, au premier étage poêle, alcôve, cuisine et vestibule, au deuxième étage poêle, alcôve, vestibule où se trouvent les fourneaux, au troisième étage quatre chambres, le comble a une double couverture en tuiles plates, les deux caves sont voûtées, le tout estimé à la somme de 2500 florins
Atlas des alignements (cote 1197 W 37)
4° arrondissement ou Canton est – Rue Dauphine (en partie)
nouveau N° / ancien N° : 5 / 3
Heltzel
Rez de chaussée et 3 étages médiocres en maçonnerie
(Légende)
Cadastre
Cadastre napoléonien, registre 25 f° 234 case 3
Hetzel, Daniel, rue d’Austerlitz N° 3
O 747, maison, sol, R. d’Austerlitz 3
Contenance : 1,30
Revenu total : 162,67 (162 et 0,67)
Ouvertures, portes cochères, charretières :
portes et fenêtres ordinaires : 30 / 24
fenêtres du 3° et au-dessus : 6 / 5
Cadastre napoléonien, registre 27 f° 883 case 1
Hetzel Daniel, rayé 1859
pr. 1859 Bernhard Jean Frédéric quai des chevaux 3
98/99 Abel Heinrich Rudolph Alfred, Uhrenmacher
1900 Lauble Christian, Viktualienhändler
O 747, Maison, sol, R. d’Austerlitz 5
Contenance : 1,30
Revenu total : 162,67 (162 et 0,67)
Folio de provenance : (234)
Folio de destination : Gb
Ouvertures, portes cochères, charretières :
portes et fenêtres ordinaires : 30 / 24
fenêtres du 3° et au-dessus : 6 / 5
Cadastre allemand, registre 29 page 205 case 9
Parcelle, section 17, n° 109 – autrefois O 747
Canton : Metzgerstraße Hs N° 4
Désignation : Hf, Whs
Contenance : 1,08
Revenu : 1500 – 4000 – 3400
Remarques : 1906, Umbau – 1905 Minder.
(Propriétaire jusqu’à l’exercice 1945), compte 758
Levy Joseph und Ehefr. geb. Weyl in G
1906 Levy Joseph Wittwe
1939 Levy Edmond industriel
(2638)
(Propriétaire à partir de l’exercice 1945), compte 34
Strassburg die Gemeinde
1909 Gemeinde Strassburg / Ville de Strasbourg
(33)
1789, Etat des habitants (cote 5 R 26)
Canton IX, Rue 313 Rue Dauphine p. 475
3
Pr. Pabst, Jean Frédéric, Chaudronnier – Marechaux
Pabst, fils
loc. Dattas, Pierre Felix, graissier – Moresse
Annuaire de 1905
Verzeichnis sämtlicher Häuser von Strassburg und ihrer Bewohner, in alphabetischer Reihenfolge der Strassennamen (Répertoire de toutes les maisons de Strasbourg et de leurs habitants, par ordre alphabétique des rues)
Abréviations : 0, 1,2, etc. : rez de chaussée, 1, 2° étage – E, Eigentümer (propriétaire) – H. Hinterhaus (bâtiment arrière)
Metzgerstraße (Seite 115)
(Haus Nr.) 5
Rupp & Guth, Oelgesch. 0
Oelhaus Stella. 0
Sichel, Kaffeegeschäft. 0
Endress, Wwe. 1
Baer, Pensionär. 2
Becker, Dentist. 2
Heyberg, Ispektor. 3
Schirmer, Kaufmann. 3
Dossier de la Police du Bâtiment (cote 644 W 28)
5, rue d’Austerlitz (volume I, 1874-1982)
Le bijoutier Albert Abel charge en 1896 l’entrepreneur Albert Lurati de transformer le rez-de-chaussée et de poser une devanture. L’aile latérale est rehaussée d’une construction en bois. Le maire demande la même année au propriétaire de reconstruire le haut du mur fortement incliné qui s’appuie contre le pignon du voisin.
1898, Lœwer et Firnau, magasin d’effets militaires
1900, Hübner, marchand de cigares
1900-1913, Joseph Sichel de Francfort, commerce de café en gros
1902, Rupp et Guth, marchands d’huile
1907, Georges Goepper, chapelier
1908, Jules Hess, marchand de cigares
1918 Bertha Guthier demande l’autorisation d’ouvrir un café
1921, Eugénie Ritter-Lorentz née Schwartz, débit de tabac
1925, Henriette Dulac café
1929, Raymond Bader, bijoutier
1937-1938, I. Zinnberg, fabrique de chapeaux
1943, 1954, Henri Schmitt, brocanteur
1950, bonneterie du Corbeau exploitée par Ichotz Gajstman qui cède en 1978 son fonds de commerce à Didier Franck.
Le rez-de-chaussée est partagé en deux magasins en 1978
1978-1981, magasin Bout-Chou puis boutique Les Verriers Associés (local de droite)
1978, antiquités le Bibelot puis boutique Emmanuel Sagga, salon de thé Mirabel, 1980 (local de gauche)
Papier à lettres de Joseph Sichel de Francfort (commerce de café en gros)
Sommaire
- 1874 – Le directeur de l’usine à gaz demande que le plombier Lepain soit autorisé au nom du locataire Rau à faire une prise pour environ 2 becs dans la maison qui appartient au sieur Bernhard
- 1886 – Le maire notifie la veuve Caroline Bernhard (demeurant sur place) de faire ravaler la façade – Le propriétaire déclare que la maison ravalée en 1884 est en bon état – Mention marginale. Caroline Bernhard vit du revenu (2000 marks) de ses deux maisons, sises 5, rue du Jeu-de-Paume et 5, rue d’Austerlitz – Le maire réitère sa demande – Travaux terminés, septembre 1886
- 1887 – L’entrepreneur Paul Dürr demande l’autorisation de faire un raccord aux canalisations – Autorisation – Travaux terminés, janvier 1889 – Dessin
- 1889 – Le maire notifie la veuve Caroline Bernhard née Herrmann (demeurant sur place) de faire ravaler la façade – Le propriétaire déclare que la maison a été ravalée deux ans plus tôt – La façade a été lavée, octobre 1889
- 1894 – Dossier ouvert suite à un courrier du commissaire de police. Propriétaire, H. Bernhard, demeurant 52, rue du Vieux-Marché-aux-Poissons – Le cabinet d’aisance sous l’escalier est pourvu d’une fosse voûtée qui n’a pas de tuyau d’aération (croquis). Le coin qui sert d’urinoir dégage de mauvaises odeurs. – Courrier au propriétaire – Dossier classé, juin 1894
- 1896 (avril) – Dossier ouvert suite à un courrier d’Albert Lurati qui demande l’autorisation d’occuper la voie publique pour transformer le rez-de-chaussée de la propriété Abel – Albert Lurati a acquitté les droits de voirie, mai 1896
1896 (juin) – Dossier ouvert suite à un courrier d’Alfred Abel relatif au crépi – Les droits de voirie sont acquittés, juillet 1896.
1896 (juillet) – Dossier ouvert suite à un courrier d’Alfred Abel qui demande l’autorisation de poser un rideau de fer – Les droits de voirie sont acquittés, juillet 1896. - 1896 – Le maire notifie le propriétaire Bernhard de se conformer au règlement du 30 novembre 1891 en supprimant les cinq volets qui s’ouvrent à moins de 2,20 mètres de la voie publique et une trappe au rez-de-chaussée. – Travaux terminés, décembre 1896
- 1896 (septembre) – Dossier ouvert suite à un courrier de S. Giesser (demeurant 6, rue Klein) qui demande l’autorisation de poser une enseigne – Les droits de voirie sont acquittés, septembre 1896.
- 1896 (juin) – L’entrepreneur Albert Lurati demande au nom du propriétaire, le bijoutier Albert Abel, de régulariser la transformation du bâtiment – Autorisation – Dessins. Plan du rez-de-chaussée, du premier et du deuxième étage. Dessin de la devanture – La descente de cave n’a pas de garde-corps – Le garde-corps est posé, octobre 1896
1896 (octobre) – L’horloger Alfred Abel demande l’autorisation de revêtir de pierre le cabinet d’aisance qui donne vers l’extérieur au deuxième étage. L’architecte municipal estime que le propriétaire peut conserver le cabinet d’aisance s’il est revêtu. – Rappels – Travaux terminés, août 1897 - 1896 (avril) – Dossier ouvert suite à un courrier d’Alfred Abel qui demande l’autorisation de modifier la façade sur rue – Autorisation de modifier le rez-de-chaussée, de poser une devanture, une poutre de la cave et une cloison – Les travaux sont en partie terminés, il y a en outre un nouveau cabinet d’aisance et une nouvelle entrée de cave, l’aile latérale a été rehaussée d’une construction en bois – Droits de voirie pour cinq piliers muraux, quatre devantures, deux portes de boutique et deux rideaux
1896 (juin) – Le maire demande au propriétaire de reconstruire le haut du mur fortement incliné qui s’appuie contre le pignon du voisin – Alfred Abel répond que le maître maçon Lurati exclut tout risque d’écroulement en joignant deux dessins de la façade sur cour – L’architecte municipal demande de fixer les poutres à la façade. Croquis du mur incliné – Dossier classé, décembre 1897 - 1898 (novembre) – Dossier ouvert suite à un courrier de C. Viernau qui demande l’autorisation de poser une enseigne – Le dossier est transmis au commissaire de police – Les droits de voirie sont acquittés, décembre 1898.
1898 (octobre) – La Police du Bâtiment constate que les sieurs Lœwer et Firnau (magasin d’effets militaires) ont posé sans autorisation une enseigne. - 1900 – Le sieur Hübner demande l’autorisation de poser une enseigne plate portant l’inscription Cigares – Autorisation
Idem, enseigne perpendiculaire – L’enseigne qui se trouve d’abord à 2,85 du sol est rehaussée à la hauteur réglementaire de trois mètres. - 1900 – Le maire notifie Christophe Laublé (demeurant 56, rue de la Krutenau) de faire ravaler la façade – Travaux terminés, octobre 1900
- 1900 (juin) – Joseph Sichel de Francfort (commerce de café en gros) demande l’autorisation de poser une enseigne plate et une enseigne perpendiculaire à sa filiale – Autorisation – L’enseigne perpendiculaire sera déplacée pour être réglementaire. Le délai de validité est dépassé, août 1901 – L’enseigne perpendiculaire est posée, août 1901 – Nouvelle autorisation, septembre 1901
- 1900 (août ) – La Police du Bâtiment constate que le dentiste S. Giesser a posé une vitrine sans autorisation – Demande – Autorisation
- 1903 – Rose Fischer (coiffeuse au troisième étage) demande l’autorisation de poser une vitrine à la place de celle du dentiste – Autorisation – La vitrine est posée, décembre 1903
1904 – La même demande l’autorisation de poser une enseigne perpendiculaire – Autorisation – L’enseigne est posée, janvier 1905
1904 – La même demande l’autorisation de poser un volet roulant – Autorisation – Le store est posé - 1902 – La Police du Bâtiment constate que les marchands d’huile Rupp et Guth ont posé sans autorisation une enseigne perpendiculaire à la limite gauche du bâtiment – Autorisation – L’enseigne non réglementaire est retirée (décembre) sans être remontée. Le délai de validité est dépassé. – Dossier classé, avril 1904.
- 1904 – Le peintre et décorateur Auguste Schuler (5 et 7, rue du Soleil) demande l’autorisation de poser un échafaudage devant la maison – Le commissaire de police donne son accord – Autorisation
- 1904 – Le maire notifie Joseph Levy (demeurant au n° 3-a) de faire ravaler la façade – Travaux terminés, novembre 1904
- 1905 – Le commissaire de police informe le maire qu’il manque deux tiges de fer au puits de lumière – Le puits de lumière a été recouvert
- 1905 – La Police du Bâtiment constate que le marchand de café en gros Joseph Sichel a posé sans autorisation une enseigne perpendiculaire – Joseph Sichel déclare qu’il retirera chaque soir l’enseigne fixée à moins de trois mètres de hauteur. – Le maire demande que l’enseigne soit à trois mètres du sol.
1913 – Les sieurs Sichel ferment leur filiale - 1907 – Le chapelier Georges Goepper demande l’autorisation de faire peindre une inscription et de poser une enseigne en forme de chapeau – Autorisation – L’enseigne est posée
1908 – Le même demande l’autorisation de transférer à son nom l’enseigne de Rose Schirmer – Autorisation de poser une enseigne perpendiculaire – L’enseigne est posée
1909 – Le même demande l’autorisation de poser une petite enseigne – Accord de poser la petite enseigne à retirer chaque soir
1912 – La dame Schœn a repris l’affaire, les droits sont transférés à son nom - 1908 – Le marchand de cigares Jules Hess (1, place d’Austerlitz) demande l’autorisation de poser une enseigne perpendiculaire à son nouveau magasin – Autorisation – L’enseigne est posée
- 1908 – Rapport d’intervention des pompiers. Un incendie s’est déclaré dans l’étage sous combles de la maison Weil – Le maire écrit au sieur Weil (26, rue de Hohenlohe, ensuite rue de la Marseillaise) de faire réparer la charpente – Travaux terminés, octobre 1908
L’entreprise de construction Greiner et Peter (17, rue de Molsheim) est autorisée à faire des travaux à la charpente – Travaux terminés, décembre 1908. - 1912 – Le peintre et décorateur R. Thau (6, rue du Jeu-de-Paume) demande l’autorisation de ravaler la façade (réparation du crépi, peinture) – Travaux terminés, juillet 1912
Le même demande l’autorisation de poser un échafaudage sur la voie publique – Le commissaire de police transmet au maire – Autorisation – Travaux terminés, juin 1912 - 1913 – Romain Pivirotto demande l’autorisation de faire des inscriptions sur la devanture – Autorisation – Travaux terminés, avril 1913
- 1918 – Dossier ouvert suite à un courrier du commissaire de police. Bertha Guthier demande l’autorisation d’ouvrir un café – La Police du Bâtiment constate que le local a 2,35 mètres de haut et énumère les conditions dans lesquelles l’autorisation pourra être accordée
Le café est fermé depuis six mois, mars 1919 - 1921 (mars) – Eugénie Ritter-Lorentz née Schwartz déclare avoir ouvert un débit de tabac le premier décembre 1920
1921 – La débitante de tabac se plaint que la maison est mal tenue (cour encombrée, séchoir au grenier) – La Police du Bâtiment constate que la cour est propre. La plaignante quitte les lieux en retirant sa plainte
1921 (février) – Eugénie Ritter demande l’autorisation de suspendre une enseigne Débit de tabac – Autorisation – Elle retire l’enseigne, octobre 1922 - 1925 – Dossier ouvert suite à un courrier du commissaire de police. Henriette Dulac (demeurant 11 bis rue du Maire Kuss) demande l’autorisation d’ouvrir un café – La Police du Bâtiment n’a pas d’objection à faire
- Commission contre les logements insalubres. 1900, propriétaire Chrétien Laublé, fournisseur de comestibles demeurant 56, rue de la Krutenau. Remarques sur les logements Klein (premier étage) et Giesser (deuxième étage) – La commission demande au propriétaire de faire faire des travaux – 1901, la pièce mal séparée du cabinet d’aisance ne doit plus servir à l’habitation
1905 (propriétaire, Weil) Remarques en trois points
Courrier de la manufacture alsacienne de chaussures Lévy & Weill, 3, rue d’Austerlitz concernant leurs locataires qui ont des chiens
1915, Commission des logements militaires. Remarques en deux points. Travaux terminés, novembre 1915
Le locataire Gautier élève des lapins et des canards sur la terrasse – La fabrique haut-rhinoise de chaussures déclare qu’il n’y a plus d’animaux sur la terrasse
1921, plainte de la femme Lorentz. La Police du Bâtiment estime que la plainte n’est pas fondée - 1929 – Le bijoutier Raymond Bader demande l’autorisation de poser une enseigne plate – Autorisation
- 1937 – I. Zinnberg (fabrique de chapeaux) demande l’autorisation de poser un drapeau pour sa vente promotionnelle – L’autorisation est accordée à condition de ne pas porter atteinte à l’aspect local ni entraver la circulation.
1938 – I. Zinneberg déclare cesser son activité et retirer son enseigne - 1943 – La Police du Bâtiment constate que le brocanteur Henri Schmitt, demeurant 18, rue de Zurich, a posé une inscription sans autorisation. – Demande, le bâtiment étant géré par le Mandataire général des biens appartenant aux ennemis du peuple et de l’empire (General Bevollmächtigter für volks- und reichsfeindliches Vermögen) – Accord
- 1945 – Georges Beck (enseignes) demande au nom de Henri Schmitt l’autorisation de poser une enseigne à lettres en relief (Achat, Brocanteur, Vente) – Dessin – Autorisation verbale – L’enseigne est posée, novembre 1945.
- 1950 – La Police du Bâtiment constate que la Bonneterie du Corbeau a posé sans autorisation une enseigne plate – Demande par Gajstman – Autorisation
- 1952 – Henri Schmitt est autorisé à occuper la voie publique pour repeindre la devanture
1954 – Henri Schmitt qui n’occupe plus le local retourne le décompte des droits de voirie. - 1954 – Le directeur départemental de la santé répond à la Société Immobilière d’Austerlitz qu’il n’est pas autorisé d’aménager des logements dans les combles dont la hauteur est de 2,05 mètres, la hauteur minimale étant de 2,50 mètres.
- 1961 – Le maire notifie le propriétaire Gajstman de faire ravaler la façade
Etat des revenus et des charges pour l’année 1959, propriétaire Ichotz Gajstman (trois locataires, Muller quatre pièces, Lorentz idem, Brunner trois pièces), établi par le Fonds National d’Amélioration de l’Habitat – Devis de l’entreprise générale de peinture Joseph Schmutz et compagnie (rue de la Ziegelau au Neudorf)
Le propriétaire Gajstman est autorisé à poser un échafaudage sur la voie publique – Travaux terminés, juillet 1961 - 1961 – I. Gajstman (Bonnetterie du Corbeau) demande l’autorisation de poser une double enseigne lumineuse (Bas Carat) – Arrêté – L’autorisation est périmée sans que l’enseigne soit posée
- 1964 – Mme Gajstman est autorisée à poser un échafaudage sur la voie publique pour réparer la toiture
- 1977 – Le notaire Pierre Geny (rue de la Nuée Bleue) demande des renseignements d’urbanisme (section 17, parcelle 109, rue d’Austerlitz n° 5) conformément à la circulaire du 31 décembre 1973 (ministère de l’aménagement du territoire, de l’équipement, du logement et du tourisme) – L’immeuble donne sur une route nationale, il se trouve dans le secteur sauvegardé, la porte est inscrite à l’inventaire des monuments historiques (26 juin 1929)
- 1977 (novembre) – Le maquettiste Didier Franck demande l’autorisation de transformer les devantures au nom de la s.à.r.l. Bout’chou en formation – Plan cadastral de situation – Description et estimation des travaux (devanture, magasin, escalier en colimaçon menant à la réserve à l’étage) – Photographie (enseigne Bonneterie du Corbeau) – Extrait du bail commercial accordé à Didier Franck le 25 octobre 1977
1977 (décembre) – La Police du Bâtiment demande de modifier l’aspect de la devanture prévue
Rapport de la commission de sécurité
1978 (janvier) – L’inspecteur du travail émet un avis favorable – L’architecte des Bâtiments de France émet un avis favorable assorti de conditions – L’ingénieur des Ponts et Chaussées donne son accord – Le maire transmet le dossier avec avis favorable au directeur départemental de l’équipement. Le projet a été modifié selon les observations du Service d’architecture
1978 (février) – Le préfet accorde le permis de construire
1978 (juin) – Les travaux sont terminés conformément aux dessins
1978 (août) – Rapport de la commission de sécurité, magasin Le Bibelot exploité par Wurtz, idem magasin Bout’chou exploité par Didier Frank
Déclaration d’ouverture par Graziella Frank – Récépissé
1978 (septembre) – Viviane Bastien déclare cesser son activité exercée pendant six mois - 1978 – I. Gajstman déclare avoir cédé son fonds de commerce à Didier Franck.
- 1978 – Didier Frank (demeurant 8, avenue Aristide Briand au Neudorf) demande l’autorisation de poser deux stores en corbeille au magasin Bout-Chou. L’architecte des Bâtiments de France émet un avis favorable – Le maire accorde l’autorisation – Les stores sont posés
1978 (avril) – La Police du Bâtiment constate que les antiquités le Bibelot ont posé sans autorisation une enseigne sur la devanture et une autre sur le store – Daniel Wurtz (le Bibelot) déclare qu’il est seulement locataire et que la correspondance doit être adressée au propriétaire Didier Franck – Daniel Wurtz demande l’autorisation de poser deux inscriptions – Photographies (le Bibelot à gauche, Bout’chou à droite) – L’architecte des Bâtiments de France émet un avis favorable
A. Hagenstein (stores, 144, rue de la Wantzenau à la Robertsau) demande l’autorisation de poser un store en corbeille
Autorisation de poser une enseigne en lettres détachées – L’enseigne est posée, août 1978 - 1978 (décembre) – La Police du Bâtiment constate qu’Emmanuel Sagga a posé sans autorisation une enseigne sur store et une autre sur la porte d’entrée – Courrier à Bernard Feldain dont la société Evénement (rue du Panorama à Mulhouse) gère le magasin Emmanuel Sagga – Photographie du magasin Emmanuel Sagga
1979 (juin) – L’architecte des Bâtiments de France Jacques Ernest émet un avis favorable à l’inscription sur le lambrequin et sur la poignée de porte
1979 (juillet) – Autorisation
1979 (novembre) – Rectification du fichier, deux magasins (Bout’Chou et L’Evénement) au lieu d’un seul - 1980 (octobre) – Le sieur Schmitt demande l’autorisation de remplacer la toile du store, inscription Pâtisserie Mirabel, salon de thé – Photographie
L’architecte des Bâtiments de France Jacques Ernest émet un avis favorable
1980 (novembre) – Le maire délivre l’autorisation – Travaux terminés, décembre 1980
1980 (novembre) – Albert Schmitt, demeurant 6, rue Principale à Lampertheim, demande l’autorisation d’exploiter le salon de thé Mirabell. Le préfet demande un rapport à la Police du Bâtiment
1981 (janvier) – Le préfet autorise Albert Schmitt à exploiter le salon de thé Mirabell
1981 (décembre) – Les prescriptions sont appliquées - 1981 (février) – Le maire autorise le magasin Bout’Chou à faire une vente de liquidation
1982 – Le maire rappelle que les droits d’enseigne sont dus pour toute année commencée - 1981 (août) – Christine Latournerie qui exploite depuis mai 1981 la boutique en franchise Les Verriers Associés demande l’autorisation de modifier la devanture
Le maire autorise les Verriers Associés à poser une enseigne provisoire sur calicot – L’enseigne est enlevée, décembre 1981
Dossier de la Police du Bâtiment (cote 892 W 365)
5, rue d’Austerlitz (volume II, 1979-1997)
L’immeuble appartient à la société civile immobilière Bezanson (7, rue Paul Bezanson à Metz). Le propriétaire autorise en 1987 Albert Schmitt, gérant de la société Patistra, à couvrir une partie de la cour. Jean-Luc Hemmer transmet en 1994 un dessin (élévation, coupe avant et après travaux).
Les encadrements en pierre ont été peints en gris contrairement aux prescriptions de l’architecte des Bâtiments de France en 1982 lors du ravalement
Local de droite – 1984, Klotz, Sweat & company
1991, salon de coiffure les Coiffeurs Visages
1989, salon de coiffure Hair-shop
Local de gauche – Débit de boissons de première catégorie Mirabell
1987, enseigne restaurant Kon-tiki (sàrl Patistra)
1989, restaurant Au grain de riz
Sommaire
- 1979 (décembre) – Le maire notifie Robert Borantin (demeurant 14 allée Spach) de faire ravaler la façade.
1980 (janvier) – Robert Borantin (demeurant 12, rue André Jung ), gérant de la société civile immobilière Bezanson (7, rue Paul Bezanson à Metz) sollicite une subvention
1980 (février) – Le maire informe le pétitionnaire que les travaux sont subventionnables
1980 (mai) – L’architecte des Bâtiments de France Jacques Ernest émet un avis favorable
Le maire autorise Robert Borantin à poser un échafaudage sur la voie publique
Facture de l’entreprise de crépissage et maçonnerie Luciani et fils (5, rue Wolffey à Illkirch-Graffenstaden) – Facture de l’entreprise générale de peinture Stanislas Polh (1, rue de Saverne à Schiltigheim
1982 (janvier) – La Police du Bâtiment note que les encadrements en pierre ont été peints en gris contrairement aux prescriptions de l’architecte des Bâtiments de France – La subvention est versée - 1984 – Klotz (demeurant 13, rue des Juifs) demande l’autorisation de poser une enseigne plate (texte Sweat & company) – Photographie (local de droite) – Le maire déclare le dossier irrecevable parce que la façade du magasin a été peinte sans autorisation d’une couleur inadaptée
- 1987 (octobre) – Michel Hostetter décrit le restaurant Kon-tiki à l’intention de la commission de sécurité. Plan du sous-sol, du rez-de-chaussée et de l’étage
1987 – La commission de sécurité rend son procès verbal
Michel Hostetter (restaurant Kon-tiki) demande l’autorisation de poser un store. Photographie (local de gauche)
1988 (janvier) – L’architecte des Bâtiments de France Jacques Ernest émet un avis favorable – Le maire délivre l’autorisation - 1987 – Le préfet autorise Albert Schmitt à exploiter le débit de boissons de première catégorie Mirabell
- 1982 – La société anonyme Gaz de Strasbourg délivre un certificat de conformité à la Sàrl Patistra (enseigne Kon-tiki)
1987 (novembre) – Le propriétaire autorise Albert Schmitt, gérant de la société Patistra, à couvrir une partie de la cour
1987 (novembre) – Déclaration de travaux. La vitrerie et miroiterie Bilger (Obernai) installe un sas d’entrée
1987 (décembre) – L’architecte des Bâtiments de France Jacques Ernest émet un avis favorable – Le maire délivre l’autorisation
1988 (mai) – Les travaux sont terminés conformément à la déclaration - 1987 (septembre) – Le préfet instruit la demande de Michel Hostetter d’exploiter le débit de boissons Kon-tiki, anciennement Mirabell et d’en prolonger l’ouverture jusqu’à trois heures du matin
1987 (octobre) – Rapport de la commission de sécurité - 1988 (mai) – Le maire répond à Albert Schmitt que la couverture de la cour est couverte par une prescription de trois ans
1988 (août) – L’architecte des Bâtiments de France Chantal Lavillaureix demande que le futur acquéreur restitue la cour dans son état initial. - 1989 (janvier) – Le restaurant Au grain de riz demande l’autorisation de poser une enseigne lumineuse – L’architecte des Bâtiments de France répond que les caissons lumineux ne sont pas autorisés dans le secteur sauvegardé
1989 (mai) – Le restaurant Au grain de riz demande l’autorisation de poser une enseigne plate. – L’architecte des Bâtiments de France émet un avis favorable – Le maire délivre l’autorisation - 1981 (juin) – La société Rowastores (Vendenheim) demande au nom du salon de coiffure Hair-shop l’autorisation de poser un store (4,40 sur 2,00 mètres) – Photographie (local de droite) – L’architecte des Bâtiments de France Jacques Ernest émet un avis favorable – Le maire délivre l’autorisation – L’autorisation est périmée sans que le store soit posé.
- 1991- La société Rowastores (Vendenheim) demande au nom du restaurant Grain de riz l’autorisation de poser un store – Photographie (local de gauche) – L’architecte des Bâtiments de France Catherine Joanny émet un avis favorable
- 1991 (novembre) – La Police du Bâtiment constate que le salon de coiffure les Coiffeurs Visages a posé sans autorisation une enseigne peinte – Photographie (local de droite) – L’architecte des Bâtiments de France Catherine Joanny émet un avis favorable le 12 mai puis défavorable le 22 mai
1992 (décembre) – La Police du Bâtiment se rend sur place avec Catherine Joanny. La façade sera repeinte
1993 (août) – Le haut de la devanture a été repeint - 1994 (novembre) – Jean-Luc Hemmer expose les travaux qu’il a l’intention de faire. Le maire répond que l’architecte des Bâtiments de France a donné son accord de principe
Extrait du plan cadastral – Photographie – Elévation, coupe avant et après travaux - 1995 – M. Li (restaurant au Grain de riz) et les établissements Kappler (Fegersheim) demandent l’autorisation de poser une enseigne – Photographie (local de gauche)
1996 (février) – L’architecte des Bâtiments de France Charles Fileppi émet un avis favorable – Le maire délivre l’autorisation
1996 (mars) – Les mêmes demandent l’autorisation de poser un capot protecteur – Photographie – L’architecte des Bâtiments de France Charles Fileppi émet un avis défavorable pour la plaque transparente
Autres dossiers
5, rue d’Austerlitz (ravalement, 1997-2003, pas de travaux) cote 1572 W 743
5, rue d’Austerlitz (logements, châssis de toit, 2006-2007, refus) cote 1677 W 33
5 rue d’Austerlitz (réhabilitation, 2010-2011, refus) cote 1687 W 1269
5 rue d’Austerlitz (ravalement de la devanture, 2010-2012) cote 1688 W 704
Relevé d’actes
La veuve de Jérémie Ypper est propriétaire de deux maisons contiguës d’après le Livre des communaux (1587). Elle habite celle à côté de l’auberge au Bœuf et loue la voisine au cordonnier Ulric Beckstein.
Marie, fille de Balthasar Ulrich, épouse en 1554 le boucher Augustin Meyer
Mariage, Saint-Nicolas (luth. f° 35, n° 35)
1554. Auff den 24 Septembris seindt eingesegnet worden Augustinus meier der becken metziger vnnd Maria Balthasar Ulrichs dochter (i 40)
Elle se remarie en 1557 avec Jean Stahl
Mariage, Saint-Nicolas (luth. f° 47, n° 1)
1557. Den 5. Januarÿ seind eingesegnet worden Hans Stall vnd Maria Augustinus Meÿers des metzgers nachgelaßene wittfraw (i 55)
Elle épouse en troisièmes noces en 1561 Jérémie Ypper, originaire d’Ingenheim
Mariage, Saint-Nicolas (luth. f° 66-v, n° 14)
1561. den 20 maÿ sind eingesegnet worden Hieremias Ipar von Ingenheim vnd Maria Urich. Hans Stels selig. nachgelaßene Wittwe (i 77)
Le boulanger Jérémie Ypper devient bourgeois par sa femme Marie, veuve du boulanger Jean Stahl
1561, 2° Livre de bourgeoisie (4 R 104) p. 181
Jeremias ÿpper der beck hatt das burgkrecht empfang. von Maria weÿlandt hans Stahel des becken selligen wittwen seiner ehfrawen und diendt Zu den becken vff den xxvij.ten Maÿ A° & Lxj
La maison revient à son fils Martin Ypper qui épouse sans doute à Sainte-Aurélie vers 1590 Marie Braunstein. Il leur naît un fils Jean Jacques en octobre 1591.
Baptême, Saint-Nicolas (luth. f° 209-v n° 50)
1591. den 7. Octob. ist getaufft worden Johan Jacobus Martin Iperlin deß Weißbecken Sohn vnd sein Gefattern gewesen der 1. Hans von Hips der 2. Heinrich haß der Junger Zum Ochsn die Göttel Catharin Hans Vogels deß Biersüd Hausf. (i 230)
Marie Braunstein veuve de Martin Ypper se remarie en 1601 avec Jacques Werner, boulanger originaire de Schiltigheim
Mariage, Saint-Nicolas (luth. f° 52 n° X)
1601. den 26. Maÿ sind Ehelich eingesegnet worden Jacob Werner von Schilckheim d. Weißbeck vnd Maria Braunsteinin weiland Martin Iber deß weißbecken seligen alhie nachgelaßene Widtwe (i 59)
Jacques Werner de Schiltigheim devient bourgeois par sa femme quinze jours après son mariage.
1601, 2° Livre de bourgeoisie (4 R 104) p. 797
Jacob Werner von Schilickheim der Beckh empfahet d. Burger: vonn Maria Martin Yperts deß becken seligen witwe will Zun Becken dienen, Act. 11. Junÿ 1601
Jacques Werner loue la maison pour un an au boulanger Georges Brunn le jeune
1621 (ut spâ. [vij. Aprilis]), Chancellerie, vol. 443 (Registranda Meyger) f° 211-v
(Inchoat. in Prot. fol. 135.) Erschienen Geörg Brunn d. Jung Weißbeck burg. Zu Straßburg mit beÿstand Geörg Brunnen des eltern weißbeckh seines Vatters
hatt in gegensein Jacob Werner des Weißbeckens burgers Zu Straßburg bekhand
das er Ime Vonn Jetzgemeltem Jacob Werner ein gantz Jahr lang so vff Geörgÿ nechstkhmd. vnd Anegehen soll vnd nit für baß desselb. Jacob Werners Becken behaußung Inn d. Vÿhe gaß & gelegen Entlehnet hatt Für vnd vmb einen jährlich Zinß xxxx lb Straßburger
Le boulanger Jean Jacques Ipper, fils de feu Martin Ipper, épouse en 1618 Catherine, fille du fripier Denis Frantz
Mariage, Saint-Nicolas (luth. f° 116 n° 15)
1618. den 28. Julÿ seind ehelich eingesegnet word. hannß Jacob Ipper, des weißbeckh, weÿland Marttin Ippers des weißbeckhen v burgers seligen alhie nachgelaßener Sohn, v Junf. Catharina weÿland Dionisÿ Frantzen geweßenen Grempen vnd burgers seeligen alhie nachgel. tochter (i 126)
Le farinier Jean Jacques Ipper se remarie en 1622 avec Anne Marie, fille de Zacharie Uhl
Mariage, Saint-Nicolas (luth. f° 129-v n° 19)
1622. den 24. Junÿ sind ehelich eingesegnet worden Hanns Jacob Iper, der Mehlman vnd Burger alhie, vnd Jungfrau Anna Maria, weiland Zachariæ Vlen, geweßenen Schwartzbeckher vnnd Burgers selig alhie, nachgelaßene dochter (i 140)
Anne Marie, veuve de Jean Jacques Ipper, se remarie en 1625 avec le boulanger Jacques Geh
Mariage, Saint-Nicolas (luth. f° 141 n° 15)
1625. Domin. festi Paschat. 1. Vice Hans Jacob Gäe der Weißbeck, Matthes Gäen deß Lautenmachers vnd burgers alhie hinderlaßener Sohn, Vndy Anna Maria, Hanß Jacob Ippers deß Melmans alhie nachgelaßene Wittwe. Mont. post Quasimodogeniti (i 154à
Le tuteur des enfants issus des deux mariages de Jean Jacques Ipper, sa veuve remariée avec Jean Jacques Geh et les deux enfants Werner vendent leur part de maison au farinier Georges Stiegler et à sa femme Marguerite Ipper (sœur de Jean Jacques Ipper), propriétaire du surplus, soit deux septièmes.
1628 (11. Junÿ), Chambre des Contrats, vol. 462 f° 317
(P. fol. 93) Erschienen Gerhard Frentz d. Gremp burger alhier, alß Vogt Jeremiæ Weiland hannß Jacob Ipers des Mehlmanns seelig. in erster ehe erziehten sohns, Elias Reiff der Klingenballirer alß Vogt Susannæ ermelts Ipens hinderlaßenen Töchterlins, Vnd Anna Maria Ipenin sein eheliche haußfraw, hannß Kelterer der Kieffer alß Vogt hannß Adolffs Vnd Marthæ Wörners, So dann Anna Maria Uhlin, Weiland mehr gedachts Ipers Wittiben an ietzo hannß Jacob Gehen des Mehlmanns haußfraw (verkaufft)
Georg Stiglern dem Mehlman, vnd Margarethæ Iperin seiner ehelichen haußfrawen
Fünff Sibende theil ahne hauß, hoffstatt, Zweÿen höfflin vnd hinderhauß, gelegen in d. St. Straßburg in der Viehegaßen beim Metziger thor einseit neben der Herberg Zum Ochsen, anderseit neben Carlen Güntzern, hinden vf das Ochsengäßlin stoßend, Von der gantzen behaußung gehen 8 ß d bodenzinß den Edlen Von Endingen, Mehr 4 fl geldts vf Michaelis lösig mit 100. fl. Wehrung dem Closter St. Steffan, Item 5. fl. gelts Ißrael Hämmerlin dem Goldarbeiter lößig mit 100. fl. Wehrung, It. 4. fl gelts Wolffgang Kärle mit 100. fl. So dann 8. fl. geldts lößig mit 200. fl. Wehrung vff Urbani St. Aurelien Werck. daran die überige Zwei Sibende theil dem Keüffer selbst Zuuor gebühren, Vnd ist diser Kauff vber obgehörte beschwd. so der Käuffer vff sich genommen, Zugangen vmb 550 pfund
Les acquéreurs revendent un mois plus tard la maison au teinturier Jean Chrétien Mercklin et à sa femme Madeleine Müller
1628 (ut spâ. [23. Julÿ]), Chambre des Contrats, vol. 462 f° 409
(P. fol. 130) Erschienen Georg Stigler d. Mehlman burger Zu Straßburg vnd Margred Iperin seiner haußfr. hatt für auch & verkaufft &
hannß Christman Mercklin dem schwartzferbern burgern zu Straßburg vnd Magdalen Müllerin seiner haußwürthin
hauß, hoffstatt Zweÿ höfflin vnd hind. hauß, mit allen Ihren geb. & gel. in s. St. t. Inn d. vÿhegaß. beÿ dem Metzig. thor einseit n d. herrberg Zum Ochsen vnd and.seit n Carle Guntz. hünd. vff des Ochsengäßl. stoßend dauon gnd. 8 ß d Bod. Zinß den Edlen Von Ending. Mehr 4. gld geldt loß. mit 100. gl dem Closter zu Sant Steffen vff Michaelis, Item 5. gl geld loß mit j C. H Israel hummel dem goldarbeit., It. 4 gl. geld losig mit j C. gl wolffgang Kärle, So dann 8 gl geld loß. mit ij. C. gl Alles Wung. vff Urbani Sant Aurelien Werck Sunstereÿ Vnd ist disser Khauff vber obgehörten beschwerd. so d. Kheuffer vff sich genommen, Zugangen vnd besch. für vnd vmb viij. C. lb.
[in margine :] Erschinen Dauid Stigler der Weißbeck alhie, alß geordneter Vogt der beeden Verkäuffern nunmehr see: hinderlaßener Kind.n hat hatt in gegenwertigkeit hanß Christman Merckels deß Kauffers bekannt (…) q.tiert, Actum den 13. 7.bris 1639.
Chrétien Merckin déclare qu’un an et demi auparavant son voisin Adam Güntzer (actuel n° 7) qui a vendu depuis lors sa maison au cordier Michel Fries lui a accordé le droit de poser trois corbeaux dans son pignon pour y appuyer ses constructions.
1658 (27. Maÿ), Chambre des Contrats, vol. 523 f° 221
Erschienen hannß Michael Frieß der iüng. Saÿler, mit beÿstand Adam Güntzers des Küeffers, und David Beüthers deß Ohlmanns an einem,
So dann Christmann Merckhlin der Ferber, am andern theil,
Zeigten an, dEmnach vorermelter Güntzer, vor ohngefährd Anderthalben Jahren, ihme Merckhlin, erlaubt hette, in sein Güntzers gantz eigenen Gäbel, treÿ steinerer Käpffer, der gestalt ein zuleg., daß Er darauff bawen, Zumahl. für sich und alle seine Nachkommen alß Innhabere deß Ferbhaußes, solche treÿ Käpffer, in dem Güntzerisch. Gäbel, alß eine immerwährende Gerechtigkeit haben, Jedoch daß Ihme sonst ahne dem Güntzerisch. Gäbel, außerhalb dißer treÿ käpffer, kein einige Ansprach gebühren, Auch wann gleichwohl wid. verhoffen, der mehrbedeutete treÿ käpffer od. die darauff ruhende Gebäw, über kurtz od. lang, dem Güntzerisch. Gäbel schaden thun wurd. alß dann Jeder, Zu selbig. Zeit Innhaber des Ferbhaußes, in seinem Cost. vff deß dann Zumahlig. der Güntzerisch. Behaußung begehren, die gerührte Gebäw ab: und die erwehnte Käpffer auß Zu heben, die löcher wid. Zumauren Zu laß. schuldig, und nimmermehr, ohne deß Possessoris der Güntzerisch. Behaußung vorhergehenden Consens wider Zueröffnen befugt sein solle, und aber so constituirte resp. Gerechtig: und dienstbarkeit noch nicht verschriben, zumahl. inmittelst die mehrerwehnte güntzerische Behaußung ahne eingangß genannt. hannß Michael. Frieß. verkaufft word. seÿe, Alß Wolt. Sie Frieß und Merckhlin, vorbeschriebener maß., vffgerichtete Gerechtig: und dienstbarkeit hiemit offentlich gegen einand widerholt, auch diß orts noch mahl. solemniter confirmirt. und bestättigt haben
Chrétien Mercklin vend le bâtiment arrière qui donne dans l’impasse du Corbeau à son voisin Jean Jacques Haubenstricker, aubergiste au Bœuf. L’acquéreur construira à ses frais entre la maison avant et la maison arrière un pignon dont les ouvertures seront garnies de barreaux. Il devra recevoir les eaux des chenaux du vendeur et diriger les eaux de son écurie de manière à ne pas porter préjudice au puits du vendeur. Le vendeur pourra appuyer le toit de son atelier de chapellerie contre le nouveau pignon.
1662 (15. X.bris), Chambre des Contrats, vol. 527 f° 634-v
(Prot. fol. 53. fac. 2.) Erschienen Christmann Merckhlin der Ferber
in gegensein hannß Jacob Haubenstrickhers deß Würths Zum Ochßen
sein hinderhauß, so deßelben Ferbhauß bißhero geweßenen ist, alhie in der groß. Viehgaßen, einseit neben der herberg Zum Ochß. anderseit neben hannß Michael Frießen dem Saÿler, vornen vff deß Verkäuffers Vorderhauß, hind. vff der herberg Zum Ochß. Stallung stoßend gelegen, für gantz freÿ ledig und eigen, dann ob wohlen den Edlen von Fournier von der gantz. Behaußung bißhero iährlich. 8. ß d. ewigs Gelts gegen word. seÿe – umb 330 Guld.
beÿ welchen Verkauff und Kauff außtruckhlich an: und eingingt word. ist, daß Erstlich der Käuffer Eine Scheidmaur Zwischen deß Verkäuffers Vorderhauß, und dem ietzt verkauften hinderhauß in seinem Costen auff führen auch Er und seine Nachkommen dieselbe erhalten, welcher Gäbel Zwar dem Käuffern und allen seinen Nachkommen gehören, Jedoch aber in denselben, nimmer, mehr als in den underst. theil, fünff, In den mittlern theil sechß, und in dem obern theil sechß liechter eingebroch., auch solch. fenster keines größer alß treÿ schuh hoch und treÿ schuh braÿt gefertigt, Zumahlen alle liechter von oben herab stechend gemacht und mit vffrechten eisernen stang so eng verseh. werd. sollen daß mann nicht mit dem Kopff durch kommen könne, es soll auch nichts dadurch geschüttet noch geworffen werden.
Fürs ander, soll der Käuffer Zwen Nöch vff seine Gerechtigkeit und so lang sein Baw sein wirt Zu leg., Zumahl. Er und seine Nachkomm. dieselbe Zu erhalten verbund., der Verkäuffer aber und alle seine Nachkommen, daß waßer auß solchen Nöch in seine Behaußung zu empfang. und mitten durch dieselbe außlauffen Zu laß. schuldig sein.
Trittens soll der Käuffer und alle seine Nachkommen, daß waßer in seinen Stall also richten und abführen, daß es deß Verkäuffers hauß und bronnen keinen schad. Zufüege.
Zum Vierten mag der Verkäuffer daß Jenige dach so Er über die hutmachereÿ bawen wirt an deß Käuffers obgedachten künfftig. newen Gäbel Zue nothdurfft an: od. einleg. welches auch deß vorderhaußes ewige Gerechtigkeit, und solch. Gäbels ewige dienstbarkeith bleibt.
Chrétien Mercklin vend la maison au revendeur Louis Lentz
1664 (28. 8.bris), Chambre des Contrats, vol. 529 f° 533
(Prot. fol. 52.) Erschienen Christmann Merckhlin der Ferber
in gegensein Ludwig Lentzen deß Krempen
hauß hoffstatt hoff Bronnen mit allen deren Gebäwen, Begriffen, Rechten und Zugehördten alhie in der groß. Viehegaß. einseit neben der herberg Zum Ochßen anderseit neben hannß Michael Frießen dem Saÿler, hind. auch vff der herberg Zum ochßen stoßend gelegen, darvon gehend iährlich 8 ß bodenzinß H Frantz Carl Furnier von Newdeckh, Item 4 fl. wehr. termino Michaelis lösig mit 100. fl. besagter Wehr. dem Closter St. Stephan, Item 8. fl. wehr. termino Michaelis lößig mit 100. fl. besagter wehr. dem Closter Zu St. Stephan, Item 8 fl. wehr. termino Urbani wid.käuffig mit 200. fl. wehr. der Fabric St. Aurelien, Item 4. fl. wehr. termino Urbani lößig mit 100. fl. Wahr. H Hannß Henrich Metzgern EE groß. rhats Beÿsitzern, Item 5. fl. wehr. termino j. martÿ widerkäuffig mit 100. fl. Wehr. H. Johann Schilling Med. Doct. und fürstl. Marggräffl. Brandenburg. Onolßpachisch. leib Medico (übernohmen) – umb 430 Pfund
Marguerite, fille du barbier Daniel Kopp, épouse en 1655 le vitrier Jean Bernard Brand
Mariage, cathédrale (luth. f° 23-v n° XXI)
1655. mehr Zum 2. mal eod. [Dom. Reminisc. d. ii. Martÿ] Johann Bernhardt Brandt d. Glaser Weilandt h. Johann Jacob Branden des Burgers vnd handelsmanns auch E. E. Großen Raths Beÿsitzers allhier ehelich. Sohn, Vnd J. Margaretha, Weiland Daniel Koppen des Balbierers vnd Burgers alhier, hinterlassene eheliche tochter – Zinst 20. Mart. Maur St. Münst. Weinstich. St (i 25)
Marguerite Kopp se remarie en 1661 avec Louis Lentz, originaire de Lixfeld en juridiction de Darmstadt : contrat de mariage, célébration
1661 (6.2.), Not. Oesinger (David le jeune, 38 Not 16) n° 82
Eheberedung – zwisch. dem Ehrengeachten Ludwig Lentzen Von Lixvelden gebürtig, vndt Burgern alhie In Straßburg Alß Bräuttigamb ahn Einem,
So dann der Ehren vndt Tugendsammen Fr. Margarethæ Koppin, weÿl. Hanß Bernhardt Branden geweßenen Glaßers vndt burgers alhie nachgelaßeneer Wittiben alß hochzeiterin Andern theils, wittib
Zum andern, Hatt die Fr. Hochzeiterin Weilen Sie ein Wittib, der hochzeiter aber noch ledigen standts ihrem Bräuttigamb auß wohlmeinend. affection Zu einer Morgengab Zugesagt vnd versproch 50 Reichsthaler (…)
So beschehen In Straßburg Mitwoch den 6. Februarÿ A° 1661. [unterzeichnet] Als Ich ludtwig lentz hoch Zeuter beken wie ob stehet, Ich Johann Carl. Kopp burger vnd barbierer Allß der hoch Zeiderin vogt vnd bruder bekenn Wie ob steht, Ich hanß Bardtel Notter Als der Hochzeiterin Kindter vogt bekenne wie ob stett
Mariage, Saint-Guillaume (luth. p. 47 n° 8)
1661. Dncis ysdem [IV p. Epiph. et Septuages. 3/10. Feb] Ludwig Lentz Becken handwercks, Jetz im Kronen gebürtig Von Lixfeld im Ober* Sachß wld. Johann Lentzen, gewesenen Trompeters* nachgel. Ehelich. Sohn, vnd Margreta Hans Bernhard Branden, gewesenen glaßers v. B. alhie nachgel. wittib. Conf. Zinst. h. x. (i 40)
Louis Lentz devient bourgeois par sa femme quelques jours après son mariage
1660, 4° Livre de bourgeoisie p. 326
Ludwig Lentz der Grempp von Lixfeldt Im darmstatterlandt, empfangt d. burgerrecht von seiner Hauß fr. Margretha weÿl. Hans Lienhard Brandten wittib umb 8. Golt fl.. welche er beÿ der Cantzleÿ erlegt, Ist zuuor ledigen stands gewesen, Vnd würd vff EE Zunfft der Möhrin dienen Jurav: 23. Febr. 1661.
Le revendeur Louis Lentz rembourse un capital constitué par un acte de 1550 à Madeleine Hünerer, femme de Jean Henri Metzger.
1666 (28. Maÿ), Chambre des Contrats, vol. 532 f° 323
Erschienen H Johann Heinrich Metzg. E.E. groß. Rhats alter Beÿsitzer alß Ehevogt Fr. Magdalenæ Metzgerin gebohrne Hüenerin
in gegensein Ludwig Lentz deß Grempen
bekannte daß besagter Lentz gedachter Fr. Magdalenæ die Ihro vermög eines teutsch. pergamentinen sub dato 6. 8.br. a° 1550. durch weÿl. H Wolffgang Ruch alß deß Bischoffl. hoffs damahlig. Contractuum Notarium nunmehr seel. mit deßelben hoffs anhangenden Insigel außgefertigten Zinnßbrieffs, von vff und ab seiner darinn beschriebener und in der groß. Viehegaß. gelegenen Behaußung, iährlich. termino Urbani gefallende 4. fl. straßb. wehr. Zinnßes, mit 100. fl. gemelter wehr. abgelößt, wiedergekaufft
Le revendeur Louis Lentz rembourse un capital constitué par un acte de 1547 au profit du chapitre Saint-Etienne
1674 (16. 8.br), Chambre des Contrats, vol. 543 f° 607-v
der Ehrwürdig- Wohlgelehrte Herr M. Johann Henrich Christ Diaconus der Pfarrkirchen Zu St Wilhelm alß Canonicus E.E. Capituli Zu St. Stephan, mit assistentz Herren Johann Spießen alß Stifft Schaffners
in gegensein Ludwig Lentzen deß Grempen
bekannt, daß Er Lentzen besagtem Stifft 100. fl. straßburger wehrung in bahrem gelt erlegt, und damit die Jenige 4. fl. besagter wehrung, so gemelter Lentz, Von uff und ab seiner alhier in der Großen Viehe Gaßen neben der Herberg Zum Ochßen gelegener behaußung, Vermög eines teutschen pergamentinen 5. Idus Septembris a° 1547 mit deß bischofflich. Hoffs anhangendem Insigel, durch weÿl. herrn Hÿlarium Meÿern alß deßelben hoffs damahliger geweßenen Contractuum Notarium nunmehr seel. uffgerichteten Zinnß brieffs und dabeÿ befindlichen Transfix, erwehntem Stifft iährlichen termino Michael. Zu Zinnß Zu reichen schuldig geweßenen ist, abgelöst
Louis Lentz meurt en 1684 en délaissant cinq enfants. Les experts estiment la maison à 675 livres. La masse propre à la veuve est de 166 livres, celle des héritiers de 292 livres. L’actif de la communauté s’élève à 2182 livres et le passif à 334 livres. Les enfants louent la maison grande rue du Bétail à leur mère.
1684 (27. 9.br), Not. Winckler (Elie, 61 Not 5) n° [26]
Inventarium über Weÿland deß Ehren achtbarn Herrn Ludwig Lentzen, gewesenen Gremppen und tabacc bereithers, wie auch burgers zu Straßburg seel. Verlasenschafft aufgerichtet Anno 1684.
Inventariul und Beschreibung, aller Haab und Nahrung, ligend: und vahrenden, verändert vnd unveränderter, Keinerleÿ außgenommen, Weÿl. der Ehrenachtbar herr Ludwig Lentz gewesener Grempp und tabacc bereither, auch Burger alhie Zu Straßburg, nach seinem Montags den Andern octobtis dießes Zu end eilenden 684. Jahrs aus dießem mühesamen traur vnd Kümmervollen Leben genommenem tödlichem hintritt hinderlaßen, welches alles auf gebührends ansuchen und begehren der Ehren: und tugendsamen frawen Margarethæ Lentzin, deß Ersam und bescheidenen hans Jacob Ilingers, tabacc bereithers und burgers Zu Straßburg ehewürthin, beÿständlich gerührts Ihres Ehevogts, wie auch des Ehrenvest und Rechtsgelehrten heren Johann Friderich Redwitzen Notarÿ Publici und burgers alhie, Ferner deß Ehrenthafften und Achtbaren H Johann Carl Rothen Schneiders und burgers alhie Zu gerührten Straßburg, als geordnet und geschwohrenen Vogts Johann Ludwigs, deß auf der wanderschafft sich befündenden Barbiergesellen, Annæ Magdalenæ, Mariæ Salome und Ursulæ, aller fünff geschwüsterdt und deß abgeleibten seel. mit hrernach ernanter seiner hinderbliebenen wüttib ehelich erzeugte Kinder, und nach tod vermaßener ab intestato nächster Erben, ersucht durch die Ehren und Tugendsame Fraw Magdalenam gebohrene Koppin, die Wüttib, mit assistentz deß Wohl Ehrenvest und Kunsterfahrenn herrn Johann Carl Koppen, Barbierers, geschwornen wundtarzt und burgers alhie Zu erwehntem Straßburg, Ihres eheleiblichen Bruders und geschwornen vogts (…) Actum Straßburg, in noch fernerem beisein deß Ersa: und bescheidenen Meister Hans Bernhard Branden Weißgerbers und burgers alhie, der wüttib in Erster Ehe erzeugten Eheleiblich, Sohns, wie auch H. Lorentz Ebels, Ziegers auf dem Rötiüg, deroselben gegen Schwehers Montags den 27. Monats tag Novembris Newen Calenders, Anno 1684.
Copia der Zwischen eingangs ernanten beeden Ehegemächs aufgerichteten Eheberedung (…) So beschehen vnd verhandelt in deß heÿl. Reichs Freÿen Statt Straßburg Mittwochs den 6. Februarÿ Anno 1661. – David Ösinger Junior, Nots. Cæsar. publ. ac civis Argent:
In hernach eingetragenen in der Statt Straßburg in der Viehegaß gelegenen behaußung befunden worden wie volgt
Ane Holtz: und Schreinerwerck. In der Cammer A, In der Cammer B, In der Cammer C, In der obern Stuben, In der Stub Cammer, In der obern Kuchen, In der undern Kuchen, Im Keller
Eÿgenthumb ane häußern. (W.) Item hauß höfflin & hoffstatt in der St. St. Krautenau gegen dem bierhauß Zum Rißen (…)
(T.) Item 2. häußer i. vord. v. i. hind. gegen d. Probsteÿ Zum Jung. St: Peter (…)
(T.) Item hauß, hoffstatt vnd höfflin v. bronnen mit allen deren gebäwen begrif. recht. u. Zugehörd. geleg. in d. St. St. in der groß. viehegaß. 1. s. neben der herberg Zum ochsen, 2. s. neben hans Michael Frieß des Seÿlers Creditoren, hind. auf der herrberg Zum ochß. stoßend davon gohnd Jährlich auf weÿhenachten 8 ß d bodenzinß Jr Frantz Carl von Neudeck und dann fl. ß Straßb. wehrung termino Urbani der Fabric Zu St. Aurelien alhier in hauptgutt lößig mit 200 fl. ermelter wehrung welche behaußung sampt der tabaccpreß Crafft gerichteter Abschatzung für freÿ ledig eigen æstimirt und angeschlag. für und umb 1350 gulden macht über abzug obbeschriebener beschwerd. dem bodenzinß doppelt Capital gerechnet, außzuwerff. 554. lb.
Darüber vorhanden i. perg. Kauffbr. mit d. St. St. anh. Contract Insigel verwahrt datirt den 28. Octobris A° 1664. Ferner i. perg. Kauffbr. mit d. St. St. anhang. Contract Insigel verwahrt datirt den 23. Julÿ Anno 1628. Ferner i. abgelößter perg. Zinßbr. mit des bischoffl. hoffs abgeschnit. Insigel datirt den 21. Maÿ Anno 1551. alles mit N° 3. bemerckt.
Der Wittib, Sa. hausraths 19, Sa. Wein und Lähre vaß 6 ß, Sa. guldinen Ring 2, Sa. Silbergeschmeids 9, Sa. Eÿgenthumb ane einer behaußung 85, Sa. Pfenningzinß hauptgüter 62, Sa. Schulden 19, Summa summarum 237 lb – Schulden 71, Nach deren Abzug 166 lb
Der Erben, Sa. haußraths 9, Sa. schulden 37, Ergäntzung, Summa summarum 311 lb – Schulden 19, Nach deren Abzug 292
Theilbar, Sa. haußraths 63, Sa. früchten 6, Sa. Tabaccs 90, Sa. Schiff und geschirr zum Tabackbereit. gehörig 3, Sa. Wein und Lähre vaß 11, Sa. guldinen Ring 6, Sa. Silbergeschmeids 49, Sa. Liechter, Unschlitt und anders dergleich. wie auch schiff und geschirr Zum tabacc bereitth. gehörig 33, Sa. Eÿgenthumb ane heußer 721, Sa. pfenningzinß hauptgüter 250, Sa. baarschafft 823, Sa. Schulden 123, Summa summarum 2182 lb – Schulden 334 lb
Conclusio finalis Inventarÿ 2307. lb
Ergäntzung, Vermög des über beed. Ehegemächte einand. für unverändert in die ehe gebrachte N° durch H. Not. David Ösingern den Jung. d. 26. Martÿ 1661. auffgerichtet. Inventarÿ
Abschatzung dinstags d. 21. 9.bris 1684. Weillandt deß Ehrenhafften vnd bescheidenen herrn Ludwig Lentzs burger vnd Gremppen See: hinderlaßene fraw Wittib Vnd Erben behaußung alhie in der Stadt Straßburg in der vihgaß. gelegen Einseitzs Neben herrn Johann Jacob haubenstrickher vnd Gastgeber Zum Ochßen auch E E Großen Raths alter beÿsitzers, Anderseitzs Neben H hanß Michaell Frieß dem seiller hinden auff gedachten Ochßen Stoßendt Welche behaußung Sampt dero begriff vnd gerechtig Keit Kleinen hoff vnd bronnen Wie auch tuback breßen durch Vnß hie Zu geordnete Werckh leite in allem wohl besichtiget vnd in acht genommmen dem Jetzigen preiß vnd wehrt Nach angeschlagen Vor vnd umb Ein Taußend dreÿ hundert vnd vünffzig Gulden
Die Zweite behaußung in der Crautenaw gelegen (…)
Die drite behaußung beÿ dem Jungen St petter ane der so genandte pfundt Zoller Gaßen (…)
Bezeigens der Statt Straßburg geschworne Werckh Leite, Joseph Lauttenschlager alter Werckhmeister, Andres Schmidt Werckmeister deß Maurhoffs, Johann Feÿlotter Werck Meister deß Zimmer hoffs
Theÿlbuch – Die sterb behaußung in d. viehegaß halben aber ist verglichen daß die wittib solche behausung ein Jahr lang, von weÿhenachten nechstkünfftig an gerechnet bewohnen die wider Zinß auf sich zu leiden vnd dem einen ieden Erben und Fr. Margaretha Ihre dochter für solch Jahr vier pfund Zehen Schilling pfenning hauß Zinß Zulüffern schuldig sein solle. Wofern sich aber in solchem hauß in bestandem Jahr etwas Zubawen eraugnen solte, solche bawcosten ins gemein erforrdert* werd. soll
Marguerite, veuve du revendeur Louis Lentz, se remarie en 1686 avec le tonnelier Melchior Binder
Mariage, Saint-Nicolas (luth. f° 36-v n° 18)
1686. Domin. X. et XI Trinit. Melchior Binder der Burger vnd Kieffer alhie vnd Margaretha, weÿland Ludwig Lentzen des Burgers vnd Krempen alhie nachgelaßenee wittib. Copul. Zu St. Wilhelm, d.Mittw. 25. Augusti / 4. 7.bris (i 37)
Les créanciers de la masse du tanneur Jean Bruckmann vendent un cinquième de la maison au revendeur Melchior Binder et à sa femme Marguerite Kopp
1696 (25.1.), Chambre des Contrats, vol. 568 f° 52
(prot. fol. 10) Erschienen ut supra [H. Johann Paul Schübler J.U. Ltus Und E.E. großen Raths alter, beneben H. Johann Friderich Bullian E:E: kleinen Raths beneb. Ihm H. Schübler ietzmahliger beÿsitzer, und auß deßen Mittel Er Zu Johann Bruckmanns deß Weißgerbers Falliment in specie Verkauffung hernach beschriebener behausung in specie deputirte, mit Beÿstand Hn Johann Friderich Oesingers, JU Ddi und ged. Kleinen Raths Referens]
haben in gegensein Melchior Binders deß Krempen und Margarethæ geb. Koppin
Einen Fünfften theil für ohnvertheilt an Hauß, höfflein, und deren hoffstatt auch allen andern deren gebaüen, recht. und Zugehördten, allhier in der Großen Viehgaßen, einseit neben der herberg Zum Ochßen, and. seit neb. Anthoni demuth, dem Küffern hind. auff ged. herberg stoßend geleg., welche gantze Behaußung umb 100 lb Capital der fabric zu St Aureliä, der ietz verkauffte Fünffte theil aber umb 100 lb Capital und 4 lb Zinß Ihme Kaüffern selbst verhafftet – dann ob wol H. Joachim Kühn LL. Oriental. Profess. ux. noe. beÿ dem falliment eine Zimliche Forderung darauff formirt, hat Er sich doch hierbeÿ schrifftlich bescheinen laß. mit hernach gemelte Zett. abweiß. laß., Ist demnach solche Verkauff und Kauff bereits am 4. 8.bris ao. 1694. beÿ beschehenen auß weißung geschehen – umb gleiche summ an obgem. H. Professor. Kuhnen weg. jüngern prætension zu bezahlen
Anne Madeleine Lentz, femme abandonnée du blanchisseur Georges Birckel, vend un cinquième des deux tiers de la maison à son beau-père Melchior Binder
1698 (11.1.), Chambre des Contrats, vol. 570 f° 32
Anna Magdalena geb. Lentzin hans Georg Birckels, deß außgetrettenen Bleichers verlaßene haußfr. mit beÿstand Johann Bernhard Brandten, deß weißgerbers Ihres halbbruders und vogts
in gegensein H. Melchior Binders, deß Krempen ihres Stieffvatters, bereits umb Johannis vorig. jahrs verkaufft
Einen Fünfften theil an Zweÿ dritten theilen Einer behausung, hoffstatt höfflein und bronnen, sambt allen derne Gebaüen, recht. und Zugehördt. allhier in der großen Viehgaß, einseit neben der herberg zum Ocßen anderseit neben Anthoni demuth dem Küffer, hind. auff ged. herberg zum Ochßen stoßend gelegen, von welcher gantzen behaußung gehend jährlich auff weihnacht. 8 ß d bodenzinß, Jr. Frantz Carlen von Neudeck, und dann 8 gulden Straßb. wehr. term. Urbani der fabric zu St. Aurelien lösig mit 200 fl. – umb 108 pfund
Melchior Binder meurt en 1705 en délaissant pour héritiers testamentaires les enfants de sa femme. Les experts estiment la maison grande rue du Bétail à 600 livres. La masse propre à la veuve est de 2 388 livres. L’actif de la communauté et des héritiers s’élève à 603 livres et le passif à 1 304 livres.
1706 (5.1.), Not. Winckler (Elie, 61 Not 28) [le haut de la page de garde est abîmé]
Inventarium und beschreibung aller Haab, Nahrung und Güttere, liegender und vahrender, unverändert: und unveränderte, keinerleÿ außgenommen, So weÿland der Ehrenachtbare Herr Melchior Binder, geweßene Grempp, Tabaccbereiter und burger zu Straßburg, nach seinem dienstags am 29. Monats tag Decembris deß mit Gott Zurückgelegten 1705. Jahrs aus dießem mühesamen traur: vnd kummervollen Leben genommenem tödlichem hientritt hinderlaßen, Welche also auf gebürendes erfordern deßen per Testamentum instituirte Erben am nächst folgendem blatt benambßet und beschrieben, ersucht durch die Ehren und tugendsame Frau Margaretham Koppin die Wittib, beÿständlich deß Ehrenhafften herrn Johann Bernhard Branden Weißgerber und burgern Zu Straßburg, deroselben Eheleiblichen Sohns und geschwornen vogts, wie auch Fr. Annam Magdalenam Lentzin dero Eheleiblicher tochter (…) Zu Straßburg den 5. Monatstag Januarÿ Anno & 1706.
(…) Ausgefertigt Act. den 18. 7.bris A° 1706. J H Lang Sen. Nots.
Der Abgeleibte seel. hat per Testamentum Zu Erben eingesetzt wie folgt.
1. Weÿland herrn Johann Jacob Bindern, geweßenen Küffern und burgern allhier seinen brudern seel, weilen aber derselbe verstorben und der abgelebte seel. seiner Erbeinsetzung keine Substitution angehängt als ist dieße Einsetzung darduch erloschen vnd solche ietzmahlen nicht Zu achten
2. Frau Annam Mariam Binderin, weÿland herrn Johann Georg Dolen deß geweßenen Würths Zim Weißenhauß und burgers alhier seel. wittib, welche beÿständlich herrn Johann Heinrich Grünschmid Cancelleÿ bedienten Ihres geschwohrnen vogts, Persönlich Zugegen geweßen
3. weÿland Philipp Bindern [-] und burgers Zu [-] stättischer Jurisdiction seel. hinderlaßene Kinder
4. Samuel Binder, Küffern vnd burger Zu Wormbs, In ersternannter der unverburgerten Erben Namen aus E. E. Kleinen Raths Mittel Deputirt der Ehrenvest, Fürsichtig und Weiße Herr Johann Jacob Rauch, Buchhändler und Wohl Ehrengeachts E. E. Kleinen Raths ietzigen beÿsitzer dem geschäfft beÿgewohnt
5. Fraw Magdalenam Binderin, Johann Jacob Hüttel Meelmanns und burgers alhier Ehegattin welche beÿständlich deß gedachts Ihres Ehewüths die Inventation abgewartet, beÿ gegenwärtiger Inventation hat auch Zu anfang beÿgewohnt der Edel Ehrenvest und wohlgelehrt herr Johannes Kast Wohl Ehrenermelts E. E. Kleinen Raths Wohlverordneten Actuarius
Copia der Eheberedung – Copia Testamenti nuncupativi
In einer [-] Vÿhegaß gelegenen [und in diede Verlaßenschafft] gehörigen behausung [aht sich befunden wie folgt]
Holtz und Schreinerwerck. Auff der Obern bühn, In der Cammer A, In der Cammer B, In der Cammer C, In der Cammer D, In der Cammer E, Vor dießer Cammer, n dem Soldaten Cammer, In der Wohnstuben
(f° 14) Eigenthumb ane einer behaußung. (W.) Item ein dritte: und ane dem Zweÿten ein Fünfftertheÿl, daß macht Süben 15. theÿl für unvertheilt von und ane hauß, hoffestatt und höfflin wie auch einem Brunnen mit allen deren gebäwen begriffen, Weithen, Recht. Zugehörden und Gerechtigkeiten gelegen in der Statt Straßburg in der großen Vÿhegaßen, einseith neben der herberg Zum Ochsen, anderseith neben Anthoni demuth dem Küffer, hinden auf gedachte herberg Zum Ochßen stoßend, von der gantzen behausung gehnd Jährlichen auf [weÿhenachten] 8 Schilling boden Zinß Juncker Frantz Carl von Neudeck, und dann 8 gulden Straßber wehrung termino Urbani der Fabric Zu St. Aurelien alhier in haubtgutt lößig mit 200 gulden ermelter wehrung, welche behaußung durch der Statt Straßburg geschworne Werckmeister inhalt der beÿm Concept gegenwärtigen Inventarii befindlicher Abschatzung Sub dato den 15. Januarÿ Anno & 1706. für freÿ ledig vnd eigen angeschlagen umb 2400 gulden, thut über abzug vnd Zwar den bodenzinß für doppelt capital geachtet beschwerd per rest 2158 gulden daran Von die hiehero gehörige 7/15. theÿl, 503. lb
Über die gantze behausung, sagt ein Pergament Kauffbrieff mit der Statt Straßburg anhangendem Contract Insiegel verwahrt datirt den 28. Octobris Anno & 1664. mit altem N° 2 bezeichnet. Dabeÿ ein fernerer Pergamentin Kauffbrieff mit gerührtem Insigel bekräfftigt datirt den 23. Julÿ Anno 1628. mit alten N.is 1. 4. et 3. bemerckt und nach beschehener vorlegung darbeÿ gelaßen.
(T.) Item Zwen fünffte ane einem Zweÿten daß macht vier fünffzehende theÿl für unvertheilt von und ane hauß, hoff, hoffestatt und Brunnen mit allen deren gebäwen begriffen, Zugehörden und Gerechtigkeiten, gelegen in der Statt Straßburg in der großen Vÿhegaßen, einseith neben der herberg Zum Ochsen, anderseith neben Anthoni demuth dem Küffer, hinden auf gedachte herberg Zum Ochßen stoßend, von der gantzen behausung, gehnd Jährlich. auf Weÿhenachten acht Schilling Pfenning boden Zinß Juncker Frantz Carl von Neudeck, und dann acht gulden Straßburger wehrung termino Urbani der Fabric Zu St. Aurelien alhie, in haubtgutt lößig mit 200 gulden ermelter wehrung, welche behaußung durch der Statt Straßburg geschworne Werckmeister inhalt obgerührter Abschatzung für freÿ ledig vnd eigen angeschlagen umb 2400 gulden, thut über abzug obig. vnd Zwar den bodenzinß für doppelt Capital geachtet beschwerd per rest 2158 gulden daran Von geachte vier 15. theÿl 287. lb 14 ß 8 ½
Über die gantze behausung, besagen die beÿ der Wittib unverändert behaußung vermelte documenta. Über zween fünfftzehende theÿl ist vorhanden ein Pergamentin Kauffbrieff mit der Statt Straßburg anhangendem Contract Insiegel verwahrt datirt den 28. Januarÿ Anno & 1696. mit Lit. B. signirt. Über Zween fernere Fünffzehende theÿl aber auch ein Pergamentin Kauffbrieff mit mit der Statt Straßburg anhangendem Contract Insiegel bekräfftigt datirt d. 11. Januarÿ Anno & 1698. mit Lit. C. notirt.
Ergäntzung der Wittib unveränderten Guts. Vermög deß über deß verstorbenen seel. und der wittib für unverändert in die Ehe gebracht Vermögen, den 30. Septembris Anno & 1686 durch mich notarium auffgerichteten Inventarÿ
(f° 25) Series rubricarum hujus Inventarÿ. der Wittib unverändert Gutt, Sa. Haußraths 152, Sa. Leerer Vaß 4, Sa. Schiff und geschirr Zum Grempenwerck gehörig 12, Sa. Silber geschirr und Geschmeids 43, Sa. guldener Ring 3, Sa. Pfenningzinß hauptgüter 412, Sa. Eigenthums an einer Behaußung 503, Sa. Schuld. 47, Sa. Ergäntzung (1878, abzuziehen 603, Nach Abzug deßen) 1275, Summa summarum 2454 lb – Schulden 66, Nach deren Abzug 2388 lb
Theilbahr Gutt, Sa. haußrath 109, Sa. Meels 6, Sa. Weins vnd Vaß 10, Sa. Grempenwahren 107, Sa. Werckzeugs Zum Küffer handwerck gehörig 9, Sa. Silber geschirr und Geschmeids 23, Sa. baarschafft 49, Sa. Eÿgenthumbs ane einer behaußung 287, Summa summarum 603 lb – Schulden 1304, Übertreffen also die Passiv Schulden der Erben unverändert vnd theilbar Gut dem werth anschlag nach, umb 700 lb
Conclusio finalis Inventarÿ 1580. lb
Wÿdumb Welchen die Wittib von Weÿl. Mr hannß Bernhard Branden dem Glaßer v. burgern Ihrem Ersten haußwürth seel. ad dies vitæ Genüeßt, davon aber das Eigenthum Ihrem in solcher Ehe Erzeugten Sohn Johann Bernhard Branden, Weißgerber und burgern alhier verfangen. Vermög deß über Obberührts Hannß Bernhard Branden seel. Verlaßenschafft auffgerichteten Inventarÿ vnd eines den 31. Januarÿ A° 1661. darüber auffgerichteten Kinder Vertrags
Copia Testamenti. 1694. (…) Dienstags de, 24. Augusti styli novi vormittags Zwischen 9 und 10 uhren Vor Mir Herrn Philipp Heinrich Theus Notario publico (…) erschienen ist der Ehrenhaffte und Vorgeachte Melchior Binder Fastenspeishändler und burger alhie – Instrumentum, Straßburg Montags den 4. Januarÿ im Jahr Christi 1706. Johann Ludwig Scherer Nots. jurat: publicus
Abschatzung den 26. Januarÿ aô 1706. Weÿlandt des Ehrenhafften und bescheidenen Michael Küntzen see. hinterbliebene Wittib undt Erben ist eine behausung allhie in der Statt Straßburg auff dem roßmarckt im Claren gäßlein
Les héritiers vendent la maison à Marie Jacqueline Bœrner née Bæhr moyennant 1 750 livres
1708 (27.3.), Chambre des Contrats, vol. 581 f° 248
(1750) Joh: Jacob Ilinger der ledige taglöhner majorennis und unbevögtigt beÿständlich Joh: Jacob seines vatters, Item Magd: geb. Lenzin beÿständlich H. Joh: Daniel Kapp Chirurgi ihres vogts, Item Christoph Späth ehevögtl. weiß u. alß vogt weÿl. hanß Bruckmann weißgerbers Tochter, Item Joh: Jacob Brandt weißgerber für sich und alß vogt weÿl. hanß Bernhard Brandten
in gegensein Mariæ Jacobe Börnerin wittib geb. Bährin beÿständlich H. Joh: Breu adelischer Schaffners ihres vogts
Hauß Höflein und dero hofstätt mit allen denen Gebäuen, rechten und zugehörden in der großen vieh gass, einseit neben der herberg zuem ochßen anderseit neben anthoni Demuth Kiefer hinten auf gedachte herrberg stoßend – um 100 und 100 pfund beladen, geschehen um 1550 pfund
Marie Jacqueline, fille de Daniel Bær, épouse en 1691 le tailleur Adam Frédéric Bœrner, originaire de Salfeld en Thuringe
Mariage, Saint-Pierre-le-Jeune (luth. f° 28)
1691. Festo Pentecost: et S Trinit: proclamati sunt Adam Fridrich Börner der schneid. gebürthig Von Salfeldt auß Türing. Joh: Georg Börners deß Steinmetzen v. burgers in Salfeldt ehl. Sohn v. Jfr. Maria Jacobe hrn Daniel Bären deß Macklers v burgers alhier ehl. tochter. Copulati sunt Mittw. d. 13. Junÿ [unterzeichnet] Adam Friedrich Börner als hoch Zeiter, x Signum Jft Maria Jacobe Bärin (i 30)
Adam Frédéric Bœrner devient bourgeois par sa femme un mois après son mariage
1691, 4° Livre de bourgeoisie p. 598
Adam Friderich Börner der schneider Von Salnfeld auß Turingen, hannß Georg Börner Steinmetzen daselbst Ehl. sohn, empfangt das burgerrecht von seiner jetzmahligen haußfr. Maria Jacobe Bärin p. 2. gold. fl. 16 ß so Er bereits beÿ der Cantzleÿ erlegt, War Zu Vor ledig. standts vnd wird beÿ E. E. Zunfft der schneider dienen. Jur: d. 21. Julÿ 1691.
Le commissaire priseur municipal Adam Frédéric Bœrner meurt en 1706 en délaissant quatre enfants. L’inventaire est dressé dans son logement de fonction dans la maison des subhastations du Vieux-Marché-aux-Grains. La masse propre à la veuve est de 221 livres, celle des héritiers de 5 sols. L’actif de la communauté s’élève à 1420 livres et le passif à 449 livres.
1706 (19. 8.br), Not. Schatz (Jean Frédéric, 51 Not 8)
Inventarium und beschreibung aller der Jenigen Haab, Nahrung und Güether, Liegender und vahrender, so weÿland der Ehren Vest und vorgeachten Herr Adam Friederich Börner, der geweßene Schneider und geschworne Gant Käuffler, burger allhier zu Straßburg, nunmehro seelige nach seinem den 17.ten August dieses lauffenden 1706.ten Jahrs aus dießer welt genommenen tödlichen hientritt Zeitlichen hinterlaßen, welche auf ansuchen erfordern und begehren deß Ehrengeachten herrn hannß Geörg Hammers deß Schneiders und burgers allhier alß geordnet und geschwohrnen Vogts Johann Carol, so 14 jahr alt, Johann Geörg so Süben jahr, Maria Margarethä, so fünff jahr und Johann Ludwig so vierthalben Jahr alt, deß seelich verstorbenen mit der hinterlaßenen wittib ehelich erziehlter vier Kinder und ab intestato nachgelaßener Erben, vff Zu vorhero beschehener verles: und Erklärung deß Articuls (…) abgelegte handtrewlich die viel Ehren vnd tugendsamen fraw Mariam Jacobam gebohrene Bärin, die hinterlaßene wittib mit beÿstand deß hoch Ehren Vest, Großachtbahr und wohlgelehrten herrn Johannos Breÿen Notarii publici jurati und hochadelichen Schaffners und burgers hieselbsten deroselben herrn Curatoris – Geschehen Statt Straßburg den 19. Octobr. 1706.
In dem in der Statt Straßburg gelegenen Gemeiner Statt Ganthauß vff dem Kornmarckt befunden worden
Holtz und Schreinwerck, In der obern stuben, in der Cammer A, In d. Cammer B, Im obern haußöhren, In der Kuch, Inn der Gant Cammer, In der wohnstuben, In dießer Stub Cammer
Eigenthumb ane einem gädlein so theilbahr. Ein Gädlein am end des Kornmarckts (…)
Ergäntzung der fraw Wittib ohnveränderten ermanglenden Guts, Nach Innhaltt einer von herrn Johann Hittelin dem geschwornen Käufflern v.zeichnung
Summarischer Calculus, der Wittib ohnverändert, haußrath 11, gold. ring 12, Activa 20, Ergäntzung 2 2, Summa summarum 46 lb – Passiva 24, rest 221
d. Erben ohnverändert, haußrath 20 lb – Passivi 20, rest 5 ß
Theilbare Errungenschaft, haußrath 94, werckzeug 1, früchten 140, wein v. vaß 14, Silber 11, Gädel 60, Capitalien 1025, Activa 103, Summa summarum 1420 lb – Passiva 449, Rest 970 lb
Summa finalis hujus Inventarÿ 662 lb
Marie Jacqueline, veuve du commissaire priseur Adam Frédéric Pœrner, se remarie en 1708 avec le marchand épicier Geoffroi Samuel Werner, originaire de Leipzig
Mariage, Saint-Nicolas (luth. f° 114 n° 14)
Mittwochs den 22 Augusti 1708. seind nach zweymaliger außruffung in der Pfarrkirchen Zu S. Niclauß in Straßb. copulirt und eingesegnet worden H Gottfried Samuel Werner, der ledige Specierer und burger alhier gebürtig von Leipzig, wÿland H Gottfried Wernerß, gewesenen materialisten und burger daselbsten nachgelaßener ehelicher Sohn, und Fraw Maria Jacobe, weÿland Adam Friedrich Pörnerß, geweßenen Ganthkaufflerß und burgerß alhier nachgelaßene wittwe, welche auch neben mir und nachgesetzten Zeugen unterschrieben haben [unterzeichnet] Gottfriedt Samuel Werner alß hochzeither, 3 ist das Zeichen der fr. Hochzeiterin (i 118)
Le marchand Geoffroi Samuel Werner devient bourgeois par sa femme en s’inscrivant à la tribu du Miroir
1708, 4° Livre de bourgeoisie p. 771
Gottfried Samuel Werner, Handelsmann Von Leipzig. Weÿl. Gotfried Werner gew. Kauffmanns daselbst hinterl. Sohn, empfangt das burgerrecht von seiner Fr. Maria Jacobe Börnerin p.2. gold fl. 16 ß Wird Zum Spiegel diennen Jur. d. 12. 9.bris 1708.
La veuve d’Adam Frédéric Bœrner quitte la tribu des Tailleurs
1708, Protocole de la tribu des Tailleurs XI 343 (1701-1710)
(f° 433) 11° Decembris 1708 – Adam Friderich Börners wittib, ist anderserts verheurathet, deßentwegen dießer Zunfft resignirt hat, vndt Ihro ein Schein mit getheÿlt worden (ddt. 5 ß)
Les nouveaux mariés font dresser l’inventaire de leurs apports dans la maison que l’épouse a achetée et qui appartiendra pour moitié au mari d’après le contrat de mariage non conservé. Les apports du mari s’élèvent à 216 livres, ceux de la femme à 2 556 livres.
1708 (11.9.), Not. Rohr (Daniel, 46 Not 20) n° 758
Inventarium und Beschreibung aller der Jenigen Haab v. Nahrung, so der Ehren Veste v. Wohlvorgeachte Herr Gottfrid Samuel Wörner Handelßmann vnd die Viel Ehren und tugendsahme Fraw Maria Jacobea gebohrene Baerin beede Eheleuthe und burgere allhier zu Straßburg einander in den Ehestandt Zugebracht vnd vermög auffgerichteter vnd sich vor unverändert vorbehalten haben (…) So beschehen allhier in der Königlichen freÿen Statt Straßburg in fernerem gegensein deß Wohl Ehren vesten Rechtsgelehrten fürsichtig und weißen Herrn Johann Breÿen, berümbten Notari Publ. vnd Verschiedenen hochadelicher Familien wohlverordneten Schaffner auch dießes mahl E. E. Kleinen Raths wohlansehnlichen beÿsitzers und burgers allhier der Ehefrauen annoch ohnentledigten vogts, So dann deß Ehren und Vorgeachten herrn Johann Georg Hammerer Schneider undt burgers allhier der Ehefrauwen Kinder Erster Ehe geordneten Curatoris Dienstags den 11. 7.bris 1708.
In einer allhier Zu Straßburg ane der Viehe Gaßen gelegenen der Ehefrawen eÿgenthümblich Zuständigen behaußung sich volgendermaßen befunden
Ane Höltzen und Schreinerwerck. In der Obern Cammer, In der Nebens Cammer, In der Haußöhren Cammern In der Stuben Cammer, In der Wohnstub
Eÿgenthumb ane Einer Behaußung vnd Gädlein
(F.) Ein Gädlein am endt des Kornmarckts (…)
It. Hauß, Höfflein vndt dero hoffstätt mit allen deren gebeuwen rechten, Zugehörden vndt gerechtigkeiten allhie in der großen Viehegaß, einseith neben der herberg Zum Ochßen, anderseith neben Anthoni demuth Kieffern, hinden auff gedachte herberg stoßend, davon gehen Jahrs 8 ß d bodenzinß den Edlen von Endingen, sonsten gegen männiglichen freÿ leedig vnd eigen vndt ist solche behaußung den 27. Martÿ A° 1708. erkaufft worden pro 1550. lb. Ferner seind Zweÿ Capitalie so auff dem haus gestanden bezalt worde,, so hier Zu addiren sammenthafft 200 lb. So dann ist ane Baw Kösten vndt wider Zinnß biß Zum antritt gegenwärtiger Ehe auß der Ehefrauen mitteln verwendet word. 285. lb. stehet also die behaußung in Capital biß dato gerechnet auff 2035 lb. Darüber besagt ein teutscher pergamentener Kauffbrieff mit der St. St. anhangendem Kleinern Cancelleÿ Secret Insiegel verwahrt, datirt den 27. Martÿ A° 1708. mit Lit. D. bezeichnet.
Nota Weilen in der Zwischen beeden Ehepersohnen auffgerichteten Eheberedung versehen daß Künfftiger Zeit der Ehemann die helffte ane solcher behaußung Zuziehen berechtiget sein solle, als hat mann dahero den Wahren Werth wie hoch solche die Ehefraw biß dato Zustehen gekommen, vnd auß Ihren mitteln baar bezahlt worden, ersuchen wollen, damit mann wißen Könne, was er Ehemann als dann davon Zubezahlen haben Würdt ferner etwas in dem hauß verbawen, ist solches auß gemeiner Nahrung Zunehmen vnd Künfftig als eine theilbare Melioration Zuachten
Series rubricarum hujus Inventarÿ. deß Herrn Nahrung betr. Sa. haußraths 147, Sa. Silbers 5, Sa. Goldener Ring 11, Summa summarum 163 lb – Hierzu ist ferner Zusetzen die dem Ehehern beschriebenen haussteuren gebührende 2. tertzen so thun 52 lb, des Eheherrn Vermögen 216 lb
Der Fr. Nahrung betr. Sa. haußraths 492, Sa. Weins v. Leerer Vaß 13, Sa. Silber geschirr und Geschmeidts 56, Sa. Goldener Ring 100, Sa. baarschafft 28, Sa. Pfenningzinß hauptgüter 1025 Sa. Eÿgenthumb ane einer behaußung und gädlein 2115, Sa. Schulden 568,Summa summarum 4400 lb – Nach deren Abzug 2529, Hierzu Kombt ferner die angebühr hernach beschriebener Haussteuren 26, der Fr. völlig vor unverändert in diese Ehe gebrachte Vermögen 2556 lb
Geoffroi Samuel Werner et Marie Jacqueline Bæhr hypothèquent la maison au profit de Philippe Albert Wesener, assesseur des Treize
1708 (14.9.), Chambre des Contrats, vol. 581 f° 543-v
Gottfried Samuel Wörner specerirer u. Maria Jacobea geb. Bährin beÿständlich Daniel Bähr Küblers u. Leonhard Wolffenter Gremp resp: alß bruders u. Schwagers
in gegensein S.T. H. Philipp Albrecht Weßeners deß beständigen regiments der Herren XIII.ern beÿsitzer – schuldig seÿen 750 pfund
unterpfand, ihre behaußung c. appert. allhier ahn der Großen viehgass, einseit neben der herberg zum ochßen anderseit neben anthoni Demuth Kiefer hinten auf gedachte herberg stoßend gelegen, darvon gehen jährlich 8 ß bodenzinß
Geoffroi Samuel Werner cotise à la tribu des Tonneliers pour pouvoir vendre du vinaigre
1709, Protocole de la tribu des Tonneliers (XI 393)
(f° 69-v) Dienstags den 29. Januarÿ Anno 1709
Herr Gottfried Samuel Werner der Specierer erhielte wegen des Eßig schancks das Zunfftrecht gegen gewohnlicher gebühr als Zudienen mit gelt, Zalt 2. lb 10 ß 6 d und pro Zunfftschreiber und bittel 2 ß. 6 d.
Geoffroi Samuel Werner et Marie Jacqueline Bæhr hypothèquent la maison au profit du pharmacien André Greuhm
1714 (22.3.), Chambre des Contrats, vol. 572 (Protocoles) f° 16
Gottfried Samuel Wörner Specerierer Und Maria Jacobea geb. Bährin beÿständlich Leonhard Wolffenters Würths zum ochßen beÿm rhein Und Jacob Eberhard deß Schneiders beed. Ihrer Schwäger
in gegensein hrn Andres Greühmen des Apotheckers Und alten dreÿers der statt stalls – schuldig seÿen 500 pfund
unterpfand, eine behaußung cum appertinentÿs ahne der Großen Viehgaß einseit neben der Herrberg zum Ochßen anderseit neben anthoni demuth kiefern hinten auf ged. Herrberg stoßend gelegen, davon gehen Jährlichen 8 ß bod.zinnß
Geoffroi Samuel Werner loue la boutique et d’autres localités au marchand Jean Michel Zeyssolff
1715 (15.3.), Chambre des Contrats, vol. 588 f° 212-v
Gottfriedt Samuel Werner handelsmann
in gegensein Joh: Michel Zeÿsolff handelsmanns
in seinem hauß allhier in der viehgass einseit neben dem ochßen anderseit neben Antoni Demuth gelegen, den laden sambt laden stueb, schiff und geschirr, Item den größten Keller sambt denen liegerling, Item im ersten stock eine stueb stueb Cammer Küchen, Item im dritten stock zweÿ Cammeren, die bühnen und bauch kessel sambt den hoff ins gemein – auf 9 jahr lang anfangend auf Annunciationis Mariæ 1715, um einen jährlichen Zinß nemlich 80 lb
Geoffroi Samuel Werner et Marie Jacqueline Bæhr hypothèquent la maison au profit du boulanger Philippe Müller
1715 (1.7.), Chambre des Contrats, vol. 588 f° 506-v
Gottfriedt Samuel Wörner handelsmann und Jacobe geb. Bärin mit beÿstand Jacob Eberhardt schreiners und Joh: Carl Börner Kupferschmidts
in gegensein Philipp Müller weißbecks
unterpfand, ihr hauß c. appert: in der viehgass, einseit neben dem Ochßen anderseit neben Demuth hinten auf den Ochßen
Jean Benoit Bœhm démissionne de son poste de secrétaire à l’approvisionnement en bois. Les Quinze chosissent Geoffroi Samuel Werner parmi les candidats pour le remplacer. Jean Greuhm se porte caution pour les 250 livres prévus par le règlement. Geoffroi Samuel Werner prête serment.
1715, Protocole des Quinze (2 R 119)
Haagschreiber dienst, Johann Benedict Böhmen resignirt, Gottfridt Samuel Werner erwöhlt
(f° 221-v) Sambstag den 6.ten July – Johann Benedict Böhmen pt° resignation seines diensts
G. nôe Johann Benedict Böhmen, haagschreiber und burgers allhier producirt unterth. Memoriale, handlet innhalts.
Erkantdt, an die oberhawherren gewießen und ihnen die händt geöffnet
(f° 255) Benedict Böhm pt° Haagschreibereÿ
(f° 271-v) Sambstag den 14.ten Septembris – Haagschreibereÿ ersetzung
Oberbau herren und Oberholtz herren laßen durch H. Secret. Frieden referiren, daß nach dem benedict böhm der geweßene haaagschreiber seinen dienst resignirt, selbiger nunmehro wider Zu ersetzen seÿe und seÿe die reÿhe an einem Lutheraner, deren sich 15 geschrieben gegeben, so abgeleßen worden, Von welcher 5 in außschuß gebracht worden, alß Samuel Werner, so schreibens und rechnens alß bißheriger buchhalter Wohl erfahren, und seiner außsag nach, so Viel alß er Zu dießem dienst nöthig habe, der frantzösischen sprach kundig seÿe, Johann Rieß L. L. Cand. deßen Vatter Vor dießem beÿ E. Löbl. Amstr. audientz procurator geweßen, Johann Welper jun. und scribent allhier, Johann Philipp Hopp auch scribent und Philipp Heinrich Sachs der bißherige schreiber auffm Zimmer hoff, die Wahl Zu MGHhen stellend.
(f° 276) Montag den 23.ten Septembris – Gottfridt Samuel Werner schwört auff die ordnung und cavirt
Oberbaw herren laßen durch H. Secret. Frieden proponiren, daßseith dem Gottfridt Samuel Werner Zu einem haag schreiber erwehlt worden, man ihme die ordnung Zugestelt, welche er auch in duplo abgeschrieben und MGHerren Vorgestellet worden, weilen aber auch darinnen enthalten, daß er eine caution Von 250. lb. d. leisten solle, und ermeldet, daß herr XXI.er Johann Greim sich darzu Verstanden, er auch beÿm protocoll inserirt werden solle. Erkandt, beliebt, auff welches hin Er Werner in dießer stub ad iuramentum gelaßen worden.
Geoffroi Samuel Werner demande une augmentation de son traitement à cause de sa charge de travail. La commission s’informe du traitement de ses prédécesseurs. Elle propose d’accorder du bois et des fagots supplémentaires comme à son prédécesseur mais pas les grains et une compensation de loyer. Le préteur royal s’oppose à tout changement en arguant que son contrat d’engagement excluait toute modification. L’assemblée adopte l’avis du préteur royal.
1717, Protocole des Quinze (2 R 121)
(p. 149) Sambstag d. 20. Martÿ 1717 – Gottfried Samuel Werner pt° additionis
Oberhaw undt Oberkorn Herren laßen durch Herrn Secretarium Kleinclaus referiren, daß Gottfried Samuel Werner der haagschreiber in einem übergebenen Memoriali umb addition Zweÿ Frl. Früchten 200. wellen, undt 2. Fuder holtzes, auch ane statt freÿer wohnung etwas hauß Zinßes angesucht habe, Alß man Ihme ferner gehört habe, Er beÿgefügt daß er die meiste Zeit beÿ diesem dienst Zu bringen müßte, und wann Ihme nicht willfahrt würde er sich beÿ seinem Salario nicht wohl außbringen Könte. Worüber man die Ordnung der vorigen haagschreiber Zur hand gebracht, und aus des Christoph Schwartzen so Viel ersehen daß derselbe per salario 75. lb ane gelt 4 Fud. holtz und 400 wellen, aber Keine Früchte gehabt habe, Ane statt der Früchten aber seÿen Ihme in A° 1701. 12. pfundt alß ein hauß Zinß Zuerkandt word. Auß benedict Böhmen seinem Bestallungs Brieff habe man ersehen daß derselbe auch 75 lb. 4 Fuder holtz undt 400 wellen beneben 4. Frtl Früchten halb Waitzen undt halb Roggen, aber Keinen hauß Zinß gehabt, welche letztere bestallung dem Imploranten auch Zugesagt worden, beÿ dem außschlagen aber habe sich so Viel ergeben, daß in A° 1713. bemeltem böhm pro additione annoch Zweÿ Fuder holtz undt 200 Wellen, auff seine persohn willfahrt word. welche addition auff seithen der Hrn Deputirten man dem Imploranten auch Jene gönnen wolten wegen des übrigen aber nemlich Frucht undt haußzinßes, werde er mit seinem begehren abzuweißen sein, Also man aber hievon herrn Prætor Regio nachricht ertheilt habe, derselbe seine gedancken hierüber dahien eröffnet, daß Weil der Implorant in seinem bestallungs brieff außtruckhlich sich obligirt, daß er mit dem ihme Zugesagten Salario sich gäntzlich sattigen laßen, auch weder über kurtz noch lang umb deßen erhöhung Keine Regiments stub molestiren wolle, der Implorant mit seinem begehren gäntzlichen abzuweißen seÿe, Zu Mgh. stellend was sie herinnen gnädig erkennen wollen. Erkandt, Herrn Prætori Regio gefolgt.
Geoffroi Samuel Werner demande à plusieurs reprises du bois
1717, Préposés au bâtiment (VII 1387) Herr Gottfrid Samuel Werner umb gnaden holtz. 219. 221
1719, 1719, Préposés au bâtiment (VII 1388) Herr Gottfried Samuel Werner puncto gnaden holtzes. 130. 260.
1721, Préposés au bâtiment (VII 1389) Herr Gottfried Samuel Werner puncto gnaden holtzes. 125-v.
Geoffroi Samuel Werner meurt en 1721 en délaissant pour héritiers les enfants de sa femme. Les experts estiment la maison à 1 200 livres. La masse propre à la veuve est de 1 115 livres, celle des héritiers de 183 livres. L’actif de la communauté s’élève à 30 livres et le passif à 1 452 livres.
1721 (17.6.), Not. Rohr (Daniel, 46 Not 51) n° 1656
Inventarium und Beschreibung aller derjenigen Haab, Nahrung und Güttere, liegender und fahrender Keinerleÿ darvon außgenommen, so weÿl. der Ehren Vest und Wohlvorgeachte Herr Gottfridt Samuel Werner geweßene Haag schreiber und burger allhier Zu Straßburg nunmehr seel. nach Seinem den 26.ten Januarÿ instehenden 1721.t Jahrs aus dießer welt genommenem tödlichem Ableiben, Zeitlichen verlaßen, Welche Verlaßenschafft auff freundliches ansuchen, erfordern und begehren des Ehrengeachten H. hannß Geörg Hammers Schneider und burgers allhier als geordnet und geschworenen Vogts Hannß Geörg, Johann Ludwig, und Jungfr. Maria Margarethä die Burnere, Weÿl. Herrn Adam Friderich Burner gew. Schneiders und Ganth Käuffler burgers allhier seel. mit der hinterbliebenen Frau Wittib ehelich erzeugter und alßo des abgeleibten seel. dreÿer jüngeren Stieff Kinder und per Testamentum instituirte Erben, fleißig inventirt und ersucht durch die Ehren und tugendsahme frau Mariam Jacobeam gebohrene Bährin die hinderbliebene Wittib, beÿständlich herrn Johann Rudolph Schranckenmüller, Weißbecken undt burgers allhier deroselben geschwornen Curatoris (…) So beschehen allhier in der Königl. freÿen St. Strb. in fernerem gegensein H. Jacob Eberhard Schneider und burgers allhier der Frau Wittib H. Schwagers auff Dienstag den 17.ten Junÿ A° 1721.
Copia der Eheberedung – Copia in A° 1721. auffgerichteten Testamenti nuncupativi
In einer allhier Zu Straßburg ane der Viehegaß gelegenen der Frau Wittib eigenthümlich gehörigen behaußung sich Volgendermaßen befunden
Ane Höltzen: und Schreinerwerck. In der Soldaten Cammer, Im Haußöhren, In der Wohnstub, In der Stub Cammer
Eÿgenthumb ane einer Behaußung und Gädtlein (W.) Erstl. ein Gädlein am ende des Kornmarckts (…)
It. i. hauß, höfflein, und dero hoffstatt mit allen anderen Gebäuwen, begriffen, Weithen, rechten, Zugehördten und gerechtig Keiten allhier in der großen Viehefaß 1. s. neben der Herberg Zum Ochß. 2. s. neben weÿl. H. Anthoni demuth des Küeffers seel. wittib und Erben, hind. auff gedachte herberg Zum Ochßen stoßend so gegen männiglich freÿ ledig und eigen Vnd ist solche behaußung durch die allhiesig geschworne Werckmeistere vermög deren beÿ mein Notarÿ Concept befindlichen schriftlichen Abschatzung de dato 14. Martÿ A° 1721. æstimirt worden pro 1200.
Darüber besagt 1. teutscher pergam. Kauffbr. m. d. statt Strb. anh. Kl. Cancelleÿ Secret Inns. verw. datirt den 27. Martÿ Anno 1708. m. a. Lit. D. bezeichnet
Ergäntzung der Wittib ermanglenden unveränderten Vermögens. Vermög Inventarÿ über beeder geweßenen Ehepersohnen einander in dieser Ehe zugebrachte Nahrung durch mich Notm. in A° 1708. gefertigt
Series rubricarum hujus Inventarÿ. der Wittib Guth, Sa. Haußrath 54, Sa. Silber 14, Sa. Goldene Ring 37, Sa. behaußung 1280, Sa. Ergäntzungs Rest 1082, Summa summarum 2469. – Schulden 1353, Compensando 1115 lb
Der Erben Guth, Sa. haußrath 14, Sa. Silber 5 ß, Sa. Goldene Ring 4, Sa. Ergäntzung 64, Sa. Schuld in die Nahrung 100, Summa summarum 183 lb
Theilbahr Guth, Sa. haußraths 30 – Schulden 1452, Theilbahr passiv onus 1422 lb
Conclusio finalis Inventarÿ 1130 lb
Abschatzung d. 14.t Martzÿ anô 1721. Weÿlandt, deß Ehrenhafften, vnd bescheÿten, H. Gottfrith Samuell Wernert: Hagschreÿber, Seel: hinder Laßene fraw Witib, vnd Erben, ist Eine behaußung allhier, in der Statt Straßburg, in der Vüh gassen, gelegen Ein Seith, Neben H. Abraham: Wipper, Wirth Zu dem Oxen, Ander seÿth Neben H: Anthonÿ demudt Erben, hinden Auff Vor gedahten Oxen würth stoßendt Welche behaußung, hoffstatt, Stuben, Kammern, Kuchen, hauß Ehren, Ein Gewölbte Rauch Kammer Ein spetzereÿ Ladten: Zweÿ Gebälckhte Keller, höffel, vnd brunnen Im Höfflein, Ein Schöpffell, Mit breÿdt Ziegell gedeckt darin Ein härt bauch offen, Sampt Aller Iren gerechtig Keith, Wie solches, durch der Statt Straßburg Geschwohrnen werckh leüthen, in der besichtigung befunden, vnd dem Jetzigen preiß Nach angeschlagen wirdt, Vor: undt umb Zweÿ tausendt, Vürr Hundert Gulten. Bezeichnüß durch der Statt Straßburg geschwohrene Werckleuthe [unterzeichnet] Michael Ehrlacher Werck Meister deß Meinsters, Johann Jacob Biermeÿer Werck Meister deß Zimmerhoffs
Marie Jacqueline Bæhr, veuve de Geoffroi Samuel Werner, loue la boutique et d’autres localités au marchand Paul Hellwig
1723 (4.6.), Chambre des Contrats, vol. 597 f° 302
Fr: Maria Jacoba geb. Bährin weÿl. Gottfriedt Samuel Werner haagschreibers wittib beÿständlich Rudolph Schranckenmüllers des weißbecken ihres Vogts und Johann Georg hammer der Schneider als vogt ged. wernerischen wittib Kinder erster ehe
in gegensein H. Paul hellwig des handelsmanns
In ihrer allh ahne der Viehgaß einseit neben der gastherberg zum Ochßen anderseit neben denen demuthischen Erben gelegenen behausung unden auff dem boden einen Laden Stub haußöhren v: die gemeinschafft des hoffs, ferner auff dem ersten Stock Eine Stueb Stuebkammer Kuchen und haußöhren, Mehr auff dem dritten Stock zwo kammern weither auff dem vierten stock den gemeinschaftlichen gebrauch der Bühn, So dann einen besondern Keller und das zur Specereÿ handlung gehörigen schiff und geschirr – auff 9 nacheinander folgenden jahren anfangend auff Annunciationis Mariæ 1724 – um einen jährlichen Zinß nemlich die 3 erstere jahr 155 gulden, die folgende 6 jahr aber umb 150 gulden
Marie Jacqueline Bæhr hypothèque la maison au profit du tailleur Jacques Eberhard
1725 (15.3.), Chambre des Contrats, vol. 599 f° 157
Fr. Maria Jacobea geb. Bährin weÿl. Johann Samuel Wörner haagschreibers Specierers wittib mit beÿstand ihres Vogts Johann Rudolph Schreckenmüller des weißbecken
in gegensein Jacob Eberhardt des Schneiders – schuldig seÿen 90 gulden
hypothecirt, Eine Behausung höfflein und hoffstatt mit allen derselben gebäuden, begriffen, weithen, zugehörden, Rechten und gerechtigkeiten ahne der Viehgaß, einseit neben demuth dem weinhändler anderseit und hinten die gastherberg zum rothen ochßen – davon gehen auff Martini 8 ß ane bodenzinß, ferner hiesiger Stadt Pfenning Thurn 1 lb 5 ß ane allmend zinß
Marie Jacqueline Bæhr hypothèque la maison au profit de Marie Cléophée Klein, veuve du boucher Frédéric Egner
1727 (13.1.), Chambre des Contrats, vol. 601 f° 23-v
Fr. Maria Jacobea geb. Bährin weÿl. H. Gottfried Samuel Wörner haagschreibers wittib mit beÿstand ihres vogts Johann Rudolph Schranckenmüllers weißbecken
in gegensein Fr. Mariæ Cleophe geb. Kleinin weÿl. Friedrich Egner Metzgers wittib mit beÿstand ihres Curatoris H. Johann Michael Klein Metzgers – schuldig seÿen 150 pfund
unterpfand, Eine Behausung höfflein und hoffstatt mit allen derselben zugehörden und gerechtigkeiten in der großen Viehgaß, einseit neben der gastherberg zum Ochßen anderseit neben Antoni demuth dem weinhändler hinten auff gedachtes gasthauß zum Ochßen
Marie Jacqueline Bæhr hypothèque la maison au profit de sa fille Marie Marguerite Bœrner, femme du tailleur Jean Luc Schaaff
1730 (20.4.), Chambre des Contrats, vol. 604 f° 187
Fr: Maria Jacobé geb. Bährin weÿl. H. Gottfried Samuel Wörner gewesten haagschreibers hinterlassene wittib beÿständlich ihres Curatoris Johann Rudolph Schranckenmüllers des weißbecken
ihrer tochter erster ehe Fr: Mariæ Margarethæ geb. Börnerin Johann Lucas Schaff des Jüngern Schneiders ehefrau – schuldig seÿen 250 lb
unterpfand, Eine Behausung höfflein, Bronnen und hoffstatt mit allen derselben gebäuden, begriffen, weithen, zugehörden und gerechtigkeiten ahne der Viehgaß, einseit neben der gastherberg zum Rothen ochßen anderseit neben hannß Jacob Demuth dem weißbecken hinten auff besagten Abraham Wibmar gehörigen gastherberg – davon gehen in das Kohlische Lehen 8 ß ane bodenzinß
Paul Hellwig présente au notaire Rith une vente provisoire, passée devant le notaire Lichtenberger, par laquelle Marie Jacqueline Bæhr, veuve de Geoffroi Samuel Werner lui vend la maison et le fonds d’épicerie sans mentionner que l’immeuble est grevé d’hypothèques et de cens communal. Il a l’intention de se retourner contre la venderesse.
1731 (26.6.), Not. Rith (6 E 41, 950)
Zuwissen seÿe hiermit, daß auff heut dato Zu end gemeldet herr Paulus Hellwig der burger und handelsmann dahier mit Zu Ziehung H. Simon Knollen Senatoris und auch handelsmanns hierselbsten seines respective Herren schwehr Vatters mich endes bemelten Notarium in allhießige löbl. Cantzleÿ Contract stuben beruffen laßen und mir daselbst eine unterem 20.ten Martÿ Jüngst Coram Notario Lichtenberg jnterims weiß passirte Kauff verschreibung producirt, Crafft deren fraw Maria Jacobea Wörnerin gebohrene bährin weÿl. herren Gottfriedt Samuel Wörners des gewesten hagschreibers und burgers allhier seel. nachgelaßene Wittib beÿständlich herren Johann Rudolph schranckenmüllers des weißbeckers dero geordnetem Curatoris und Johann Carl Wörners des außruffers ihres sohns beÿder burgeren hieselbst
ihme dero in allhießiger Viehgaß eigenthümlich. ligen habende behausung sambt aller recht und gerechtigkeit, wie auch allen dem waß nagelvest und eingemauret ist, jn specie bauch Kößel, soldaten bett und bettlath, so dann daß in einer sonderbahren Specification Sub lit. A: beschriebene Zuer Specereÿ gehörige schiff und geschirr, so H. Käuffer bis anhero in lehnung gehabt, für freÿ ledig eigen, gleich wie auß hiebeÿ ligender mit Lit. B. Notirter Copia mehreren Innhalts Zu ersehen umb 4200 guldten Current käufflich. cedirt und überlaßen, auch zu deßen ohngeld bereits 200 gulden erlegt, mit dießem außtrucklichen ahnhang und Zusatz daß inner Monats frist a dato vorallegirter jnterims Verschreibung alles der gebühr und so beschehener Vergleichung nach in ermelter Cantzleÿ Contract stuben verschrieben werden, und im fall es einen oder den anderen theil in zwischen sothanen accords gerewen würde, der rewende theil dem anderen zum rewkauff 500 gulden zu erlegen schuldig seÿn solle.
Wann un mehro aber seithero sich ein oder andere auff sothaner behaußung stehende onera und bodenzinß /:deren gar Keine meldung beschehen:/ hervor gethan, besagter herr Käuffer auch heit zu tag mit übrigen jnteressenten und Verkäufferen zufolg bedingnus umb die Verschreibung nach ordnung Homologiren zu laßen, in mehr ahngezogener Contract stuben erschienen, wie nicht weniger quæstionirter beschwerdnußen halber auch einige jndemnität begehret, und doch Keines weegs Zu der sachen guetlicher beÿlegung gelangen Können, alß hätte er /:Zu mahlen hier auß nichts anderes alß seine heimliche und ihme alleinig Zum nachstand gereichende müßhandlung abzunehmen:/ gegen alle dergleichen jnconvenienten und ohnerlaubter weiß ihme wider* solchen Contract auffbürdende beschwerden solemnissime zu protestiren, und ohnbeÿ von gegneren, alß welche durch dergleich. Verleimbdungen allem ohnsehen nach den geschloßenen Contract gar zu vernichten suechen, nicht nur daß besagten ohngeld der 200 fl. sondern auch den stipulirten rewkauff der 500 fl. nebst allen übel verusachendem jnteresse Costen und schadene samt hinterstellig gemachte jnteresse protestando zu erforderen und zu begehren beÿ sich resoluirt mit bitt ahne mich Notarium dieße seine resolution und protestation ad acta zu nehmen und gegenerin vogten H. Johann Rudolph schranckenmülleren gebühren zu jnsinuiren, allermaßen dann auch ratione officÿ durch mich beschehen, sintemahlen mit seiner ehefrawen in mund redend, dem selbigen Copias hiervon überlaßen damit er sich nicht mit der unwißenheit zu entschuldigen, herr requirent auch in fernerem ohnstands fall sich deßen wo nöthig zu bedienen haben möchte alles getrewlich ohne einige geferde – Straßb. d. 26.ten Junÿ 1731
Marie Jacqueline Bæhr vend la maison à Anne Catherine Knoll, veuve du marchand épicier Paul Hellwig moyennant 2 000 livres
1732 (30.12.), Chambre des Contrats, vol. 606 f° 518
Fr. Maria Jacobea geb. Bährin weÿl. Gottfried Samuel Wörner haagschreibers Wittib mit beÿstand ihres Curatoris Johann Rudolph Schranckenmüller des weißbecken
in gegensein Fr. Annæ Catharinæ geb. Knollin weÿl. Paul Hellwig gewesenen Specirers hinterlassener wittib mit assistentz ihres schwagers und Curatoris H. Jacob Christoph Zollickoffer und ihres Vatters H. Rathh. Simon Knoll beede handelsleuthe, in fernerem gegensein ged. Hellwigischer wittib mit ihrem verstorbenen Ehemann erzeugten einigen Kindts Margaretha Salome Hellwigin geschwornen Vogts Johann Jacob Demuth des weinhändlers
Eine Behausung höfflein und hoffstatt mit allen derselben gebäuden, begriffen, weithen, zugehörden, Rechten und gerechtigkeiten in der großen Viehgaß, einseit neben der gastherberg zum Rothen Ochßen Abraham Wibmar gehörig anderseit neben obged. Johann Jacob Demuth hinten auff ged. Gasthauß zum Ochßen – davon gehen auff Martini denen Edlen von Endingen modo Okanischen erben 8 schilling ane bodenzinß so der Nideckische Zinß genannt wird wie auch hiesiger Stadt Pfenning Thurn auff Georgÿ von einem wetterdächlein 1 pf. 5 sch. ane allmend zinß – mit der dienstbarkeit eines aus dem gasthauß zum Ochßen durch jetzt verkaufftes hauß geleitete waßer Nachs und durchlauffs des waßers zu beladen schuldig sein solle – um 2000 pfund
Fils de l’orfèvre du même nom, le marchand Paul Hellwig épouse en 1724 Anne Catherine Knoll, fille du marchand Simon Knoll : contrat de mariage tel qu’il est copié à l’inventaire, célébration
Copia der Eheberedung – entzwischen dem Ehrenvest und Wohlvorgeachten Herrn Paul Hellwig, ledigem handelßmann, weÿland des Ehrenvesten und Kunsterfahrenen herrn Paul Hellwigs gewesenen Goldarbeiters und burgers allhier längst seel. mit der Viel Ehren und tugendbegabten Frauen Maria Salome gebohrner Freÿin, deßelben hinderlaßener Frau Wittib ehelich erzeugtem ältistem Sohn, als dem herrn bräutigamb, ane einem, So dann der viel Ehren und tugendgezierten Jungfrauen Annæ Catharinæ Knollin, des Wohl Ehrenvest und Großachtbahren Herrn Simon Knollen, vornehmen handelsmanns und burgers allhier, mit der Viel Ehren: und tugendreichen Frauen Anna Margaretha gebohrner Hetzelin, deßelben Frauen Eheliebstin ehelich erziehlter Jüngern tochter als der Jungfrauen Hochzeiterin ane dem andern theil – Beschehen in der königl. Statt Straßburg, auf Donnerstag den 11. Maji im Jahr als man nach Christi unsers einigen Erlößers undt Heÿlandts seeligmachender Geburth Zahlte 1724., Johann Daniel Lang, adhæc pactæ dotalia in specie requisitus Notarius
Mariage, Saint-Guillaume (luth. f° 218-v, n° 12)
1724. Mittwoch den 12. Junÿ seind nach 2 maliger ausruffung Dominica Pentecostes Trinit. in der Kirch Zu S. Wilhelm ehelich eingesegnet worden H. Paulus Helwig der ledige Specierer v. burger, weiland H Paull Helwigs, Goldarbeiters v. burgers v. Maria Salome Freÿin nachgelaßener ehelicher Sohn, V. Jfr. Anna Catharina, Herren Simon Knollen vornehmen Handelsmanns v. burgers v. E . E. Kleinen Raths amten beÿsitzers v. Fr. Annæ Marg. Hetzelin eheliche dochter [unterzeichnet] Paullus hellwig als hochzeiter, Anna Catharina Knollin als hochzerin (i 256)
Les Quinze autorisent Paul Hellwig, tributaire au Miroir, à exercer le métier de marchand épicier.
1723, Protocole des Quinze (2 R 128)
(p. 417) Sambstag d. 11. Xbris – Paul Helwig Ca. E. E. Zunfft Zum Spiegel pt° Specereÿ handels
Moss nôe Paul Helwig des burgers undt Handelßmanns Contra E. E. Zunfft Zum Spiegel H. Zunfftmeister, Ppal. bitt umb gnädige permission den Specereÿ handel Zu treiben. Fuchß Weil gegener alle præstande præstirt, als consentirt Citatus in sein petitum.
Erkandt wird dem Imploranten in seinem begehren willfahrt.
Paul Hellwig meurt en novembre 1732 en délaissant une fille. La description de la maison relate le procès avec la venderesse condamnée aux dépens pour avoir dissimulé les charges dont la maison était grevée. La masse propre à la veuve est de 500 livres. L’actif des héritiers et de la communauté (non comptée la maison) s’élève à 1 020 livres, le passif 4 685 livres.
1732 (1.12.), Not. Lang l’aîné (Jean Daniel, 25 Not 41) n° 379
Inventarium über Weÿl. des Ehrenvesten und Wohlvorgeachten Herrn Paul Hellwigs, geweßenen Handelsmanns und burgers allhier nunmehr seeliger Verlaßenschafft auffgerichtet Anno 1732. – nachdeme derselbe den 1.ten nechst verwichenen Monats Nov: Von dem lieben Gott aus dießer Welt abgefordert worden, Zeitlichen hinder sich verlaßen, welche Verlaßenschafft auf freundliches ansuchen erfordern und begehren der Viel Ehren und tugendgezierten Frauen Annæ Catharinæ Hellwigin gebohrner Knollin sein herrn Hellwigs seel. geweßter frauen Eheliebstin und nunmaliger hinderbliebener Wittib, mit beÿstand des Ehrenvesten und Großachtbahren herrn Jacob Christoph Zollickoffers auch handelßmanns und burgers allhier, deroselben herrn Schwagers und geschwornen Curatoris, wie auch des Ehrenvesten und Wohlvorgeacht herrn Johann Jacob Demuths, Weinhändlers und burgers allhier als geschwornen Vogts Margarethæ Salome Hellwigin des Verstorbenen seel. mit obvermelter deßen hinderbliebenen frau Wittib ehelich erzeugten töchterleins und ab intestato Verlaßener einiger Erbin (…) So beschehen Zu Straßburg in fernerm gegenseÿn des wohl Ehrenvest Großachtbahren und weißen herrn Simon Knollen, Vornehmen handelßmanns und E. E. großen Raths alten wohlmeritirten Assessoris und Vornehmen burgers allhier der fr. Wittib eheleiblichen herrn Vatters auff Montag den 1.ten Decembris Anno 1732.
In eine allhier Zu Straßburg ane der großen Viehgaß gelegenen und hernach beschriebenen behaußung befunden worden wie volgt.
(f° 9-v) Ane Höltzen und Schreinwerck, In der obern bühn, In den obern haußöhren, In der Wohnstub Cammer, In der Wohnstub, In dem Contoir Stübl. In der Kuchen, In dem Keller
Ergäntzung der Frau Wittib ohnveränderten Guths. Vermög Inventarÿ über Ihro der Frau Wittib in die Ehe gebrachten Nahrung durch mich unterschriebenen Notarium in Anno 1724. auffgerichtet
(f° 19) Eigenthumb an einer behausung sambt Schiff und geschirr, so theilbahr, betreffend
Es hat der selige Hr. Hellwig annoch beÿ deßen Lebzeiten die Jenige behausung, welche er seith deßen Verheuratung biß an sein absterben lehenungs weiße bewohnt hatte, und gelegen ist allhier zu Straßb : ane der großen Viehgaß, einseith neben der Gastherrberg Zum Ochsen, anders. neben eingangs gedachtem H. Demuth, dem Weinhändlern und des Kindts Vogten, hinden auf die Stallung besagter Gastherrberg stoßend, mit allen dero weith, begriffen, Zugehörd. rechten und Gerechtigkeithen, samt dem darin sich befindlichen zur Specerey handlung gehörigen Schiff und geschirr, frauen Jacobeæ weyl. H. Gottfrid Samuel Wörners, gewesene, haagschreibers und burgers allhier seel. hinderlaßener wittib, deren das Eigenthumb davon gehörig ware, vor und umb den preiß der 4200 fl. aberkauff auch darauff gleichbald. 200 fl. baar bezahlet. Welcher kauff und respectivé Verkauff, biß zu deßen Vollständiger Contract Verschreibung, ad interim durch H. Notarium Johann Philipp Liechtenberg aufgesetzt, beÿ dem haus Von gantz keinen beschwerden gedacht, sondern daßelbe Vor freÿ, ledig und eigen beschrieben, anbeÿ 500 fl. reukauff beederseits stipuliret worden. Es hat sich aber nachgehendts ergeben, daß man von solchem hauß der Statt Straßburg Pfenningthurn 2. fl. 5. ß. ane allmend Zinnß und denen Edlen Von Endingen 8. ß. ane so genanndtem Neudeckischen Zinnß Jährl. zu reichen schuldig dahero er Hr. Hellwig ane die
frau Verkaufferin begehrt, daß Sie das hauß Von diesen beeden oneribus und wann noch ein ander onus daroben hafften solte, gäntzlichen befreÿ. mithin daßelbe vor freÿ, ledig v. eigen in allhießiger Contractstuben Ihme Zuschreiben laßen oder aber den stipulirten Reukauff mit 500. fl. bezahlen solle, als aber dieselbe weder zu dem einen noch dem anderen sich bequemen wollen, vorschützend, daß besagte onera Ihme H. Hellwig nicht ohnbekand geweßen seÿen, hat derselbe die Sach beÿ E. E. Großen Rath allhier anhängig gemacht, woselbsten den 3. Decembris 1732. und also ohngefehr ein Monat nach sein H. Hellwigs tödtlichen ableiben der bescheid dahien ergang. und den 13. ejusdem publiciret word., daß die beklagte Verkaufferin den quæstionirten Kauff und Verkauff in allhiesiger Cancelleÿ Contractstuben, wie zwischen denen Parthen stipuliret worden, verschreiben zu laßen, dabeÿ aber das hauß quæstionis Von denen nicht angezeigten zweÿen boden Zinnßen und oneribus freÿ Zumachen oder deßwegen etwas ane dem Kauffschilling in Vergleich abgehen zu laßen, in entstehung deßen aber den stipulirten Reukauff mit 500 fl. dem Kläger Zubezahlen, so dann Ihme das erlegte Wergeld der 200. fl. Zu restituiren, alles in termino ordinis sub ipsa executione schuldig und gehalten seyn solle, mit widerersetzung der aufgeloffenen Gerichts Cösten, in welche Sie die beklagte auch condemniret worden. Worauff man dann ane seithen hellwigischer Frau Wittib unnd dero H. Vatters, auch H. Schwagers und geschworenen Curatoris, beeder eingangs wohl Ehrengedacht, mit der Frauen Verkaufferin und dero Kindern sich dahin endlichen Verglich. daß selbige wegen gedachter beeder onerum ane dem Kauffschilling 200 fl. nachgelaßen, mithin das hauß samt mit verkaufftem Schiff und Geschirr Ihro der hellwigischen Fr. Wittib umb den Preiß der 4000 fl. mit übernahm offterwehnter beeder beschwerde, wie auch bezahlung des pfundzolls und Schreibgebühr in allhiesig. Cancelleÿ Contractstuben eigenthumblich Zugeschrieben und besagte 4000. fl. Kauffschilling der fr. Verkäufferin gleichbalder baar bezahlet wie wohl nicht auß Ihro fr. Hellwigin eigenen mittlen sondern auß anderwerts entlehnten Geldtern baar bezahlet word., maßen Hr. Ritter der handelsmann allhier nomine seiner Curandin, der frauen Steinbachin 3000. fl. und Hr. Rathr. Knoll 1000. fl. darzu geschoßen, dißer letztere auch den pfundzoll und schreibgebühr in der Contract stuben mit 120. fl. bezahlt haben solle, wie solches alles er hr. Rathherr Knoll hierbeÿ selbsten anzeigte, mit dem ferneren Zusatz, daß, was die Gerichts Cösten in welche die Verkäufferin condemniret worden, betreffen thue, so seÿen solche nicht von seinem Tochtermann, dem Verstorbenen H. Hellwig: noch auß deßen Massa sondern Von Ihme H. Rathh. Knollen selbsten auß deßen eigenen mittlen mit 18. fl. avanciret und von Ihme nicht in rechnung gebracht, dahero auch, sobald fr. Wornerin selbige verguthet, von Ihme wiederumb zu handen genommen word., Anlangend endl. die 200. fl. Angeld welche Hr. Hellwig seel. gleich beÿ der Interims Verschreibung baar bezahlet, so seÿ solche in dem hauß seithero verseßen, mithin gegen denen jenigen 200. fl. welche Sie fr. Wörnerin biß Weÿhnachten. 1732 inclus. gerechnet, vor hauß Zinnß Zuerfordern hatte, compensiret worden. Weilen nun auf den eigentl. und letzt verglichenen Kauffschilling dißes haußes und damit erkaufften Schiff und geschirrs auß des Verstorbenen seel. Massa nichts bezahlt, sondern deßen völligen Ertrag samt den pfundzoll und schreibgebühr anderwerts entlehnet word. und biß zur wiederabstallung Verinteressiret werden muß. Alß hat man dißorts deßhalben nichts in außwurff bringen Können gleichwohlen aber den volligen belauff berichtsweiße anzumercken, Vor nöthig erachtet, und solle solcher Kauff in allhießig. Canc. Contr: Stuben verschrieben werd. seyn den (-)
(f° 28) Series rubricarum hujus Inventarÿ – Copia der Eheberedung
Der Frau Wittib ohnverändert eigenthümlich Vermögen. Sa. haußraths 36, Sa. Silber geschirr und Geschmeids 11, Sa. goldener Kett ring und dergleichen Geschmeids 40, Sa. baarschafft 12, Sa. Schulden 100, Sa. Ergäntzung (329, Abzug 29, Nach deren Abgang) 300, Summa summarum 500 lb
Dießemnach und weilen die Fr. Wittib mit einrathen und genehmhaltung ihres H. Curatoris auff die Theilbare Verlaßenschafft gäntzlichen renuncirt und nun das jenige, was Ihro die Eheberedung Vor ohnverändert und eigen zuschreibet, Zusuchen, sich erkläret, werden alle übrige rubricien und Posten, sie seÿen gleich in des Verstorbenen seel. ohnveränderte Nahrung gehörig geweßt, oder aber in wehrender Ehe erkaufft, gemacht und verändert worden, beliebter Kürtze halben unter einer Massa beschrieben, Sa. haußraths 95, Sa. Gewerbs Wahren 343, Sa. Silbers 9, Sa. goldenen Rings 13, Sa. baarschafft 19, Sa. Eigenthum ane einer behaußung Nihil, Sa. Activ Schulden 538, Summa summarum 1020 lb – Schulden 4685 lb, Theilbahres passiv onus 3665 lb
Endlicher Schuldenlast 3164 lb
Copia der Eheberedung (…) Beschehen den 11. Maji 1724., Johann Daniel Lang, adhæc pactæ dotalia in specie requisitus Notarius
Anne Catherine Knoll veuve de Paul Hellwig hypothèque la maison au profit d’Anne Catherine Bauch, femme du marchand épicier Jean Daniel Steinbach
1732 (30.12.), Chambre des Contrats, vol. 606 f° 519-v
Fr. Anna Catharina geb. Knollin weÿl. Paul Hellwig gewesten Specirers hinterlassene wittib beiständlich ihres schwagers und Curatoris H. Jacob Christoph Zollickoffer
in gegensein Fr. Annæ Catharinæ geb. Bauchin Johann Daniel Steinbach des Specirers Ehefrau, mit assistentz ihres Curatoris H. Johannes Ritter handelsmanns – schuldig seÿe 1500 pfund
unterpfand, Eine heutigen tags erkaufft: verschrieben: und aus jetzigem vorschuß gäntzlich bezahlte behausung höfflein und hoffstatt mit allen derselben gebäuden, begriffen, weithen, zugehörden, Rechten und gerechtigkeiten in der großen Viehgaß, einseit neben Johann Jacob Demuth dem weinhändler, anderseit neben die zum Rothen Ochßen genannt Abraham Wibmar gehörige gastbehausung samt darinn befindlichem zur Specereÿ handlung gehörigen schiff und geschirr – auff Martini denen Edlen von Endingen modo Okanischen erben 8 schilling ane bodenzinß, so der Nideckische zinß genannt wird, wie auch hiesigen Stadt Pfenning Thurn auch hiesigen Stadt Pfenning Thurn auff Georgÿ von einem wetterdächlein 1 pfund 5 sch. ane allmend zinß
verbürgt, Fr. Rathh Knollin, hypothecirt Eine Behausung bestehend in Vorder: hinderhauß 4 Nebens: häußern hoff und hoffstatt mit allen derselben gebäuden und rechten jennseith der Neuen: bruck am Schiffleuthstaden einseit neben Johann Theobald helck dem Bierbrauer zur Mühl anderseit neben Johann Jacob Rhein dem Schloßer hinten auff mit dem hoff auff ged. nebens häußer und mit dem hinderhauß auff des Closter der Reuerinnen gartten stoßend, die Nebenshäußer aber im Kupfferschmidts: gäßel gelegen, wegen eines Überhangs hiesigen gibt man hiesiger Stadt Pfenning Thurn 17 ß ane allmend zinß
Anne Catherine Knoll veuve de Paul Hellwig hypothèque la maison au profit de son père Simon Knoll
1732 (30.12.), Chambre des Contrats, vol. 606 f° 521
Fr. Anna Catharina geb. Knollin weÿl. Paul Hellwig gewesten Specirers hinterlassenen wittib beiständlich ihres schwagers und Curatoris H. Jacob Christoph Zollickoffer
in gegensein ihres vatters H. Simon Knoll Exsenatoris und handelsmanns – schuldig seÿen 500 pfund
unterpfand, Eine Behausung und hoffstatt nebst höfflein und übrigen deren gebäuden, begriffen und Rechten in der großen Viehgaß, einseit neben Johann Jacob Demuth dem weinhändler anderseit neben die zum Rothen Ochßen genannten Abraham Wibmar gehörigen gastbehausung hinten auff ebendieselbe – davon gehen denen Edlen von Endingen 8 ß ane bodenzinß und hiesiger Stadt Pfenning Thurn wegen (eines wetterdächleins 1 pfund 5 sch. ane allmend zinß)
Les contrôleurs des épices font grief à la veuve de Paul Hellwig de vendre de la cannelle frelatée. Le pileur d’épices relate la fabrication. Les Quinze notifient la veuve de livrer au pileur de la cannelle de bon aloi pour améliorer l’ancienne.
1733, Protocole des Quinze (2 R 140, notes)
(p. 53) den 5. Martÿ (Wurtzschauer Ca weÿl. Paul Hellwig Wittib)
Lect. proces Verbal Vom 2. hus in s. die samt. geschwohren Herren Wurtzschauer Cra. Weÿl. paul Hellwig hinderl. Wittib pto Verfälschten gestoßene Zimmets, so auch anderswo alß in hießiger Wurtzmühl gestoßen Worden sein solle. nach dem die Parthen allerseits jhre pitschafften alß ohn Versehrt recogniscirt, Wurde die denunciatin hierüber gehört, Welche auß gesagt, ihr man seÿe schon 8 Wochen todt, nur seÿe dießer Zimet noch beÿ deßen lebzeiten gestoßen Worden, und Wie sie glaube, auf hießiger Wurtzmühl, und Wann er das Zimmet Verfälscht seÿe, so sie doch nicht Wisse, so habe sie es nicht gethan. Die herren Wurtzschauer rep. daß die denunciatin seith ihres mans todt nichts in die Wurtzmühl zustoßen gegeben habe. H. Preßler setzt beÿ, daß er nicht findte, daß eigentlich der Zimmet Verfälscht Worden, sondern glaube, daß der Zimmet Vierohin geweßen, und damit er Wider ein ansehen bekomme, und moll Werde, habe er mantlen im mörßel darunter gestoßen und miscirt, und umb ihme Wider ein geruch Zu geben habe er es mit Zimmeröhl wider angefeucht, so daß er beÿ dißem casu kein betrug findte. H. Rathh. Reiner berufft sich auff H. Preßlers bericht, H. Lidvogel sagt, er seÿe auch der meinung, Wie herr Preßler, allein es seÿe Wider ordnung, daß man unter daß gewürtz etwaß Vermische, Wie dann mantlen darunter nemmlich unter dem quæstionirten Zimmet sich befindten im übrigen aber so seÿe nichts darunter daß dem menschlichen leib schädlich sein könne, undt Wann etwann 1 ½ pfundt guter langer Zimmet darunter gestoßen Wurden so könte selbiger vor passirlich Erkandt, undt an männiglich Verkaufft Werden.
Erkandt, Wird die denunciatin hiemit injungirt und anbefohlen biß nächst Künfftigen sambstag 1 ½ pfund guten langen Zimmet in die Wurtzmühl Zuliffern, damit selbger unter dießem gestoßen und Verbeßert Werden, quo facto ihro selbiger Wider Zu Zu stellen seÿe.
Anne Catherine Knoll se remarie en 1734 avec Philippe Jacques Strass
Anne Catherine Knoll vend la maison au chaudronnier Théophile Gentsché moyennant 2250 livres.
1741 (16.12.), Chambre des Contrats, vol. 615 f° 617
Fr. Anna Catharina geb. Knollin H. Philipp Jacob Straß des handelsmanns eheliebstin
in gegensein Gottlieb Gentschell des Kupfferschmidts und Mariæ Salome geb. Bahmeÿerin
eine behausung, höfflein und hoffstatt mit allen derselben begriffen, weithen, zugehör, rechten und gerechtigkeiten in der großen Viehgaß, einseit neben der Gastbehausung zum rothen ochßen, anderseit neben H. Schaffner Silberrad, hinten auff besagtes Gasthauß – davon gehen 8 schilling ane bodenzinß auff Martini denen Edlen von Endingen modo Okanischen erben so der Nideckische zinß genannt wird und hiesiger Stadt Pfenning Thurn auff Georgÿ von einem Wetterdächlein 1 pfund 5 sch Ane allmend zinß – als ein am 30. Decembris 1732 erkaufftes guth – um 1500 und 500 pfund verhafftet, geschehen um 250 pfund
Théophile Gentsché et Marie Salomé Bameyer hypothèquent leurs deux maisons au profit du marchand Georges Geoffroi Gambs
1749 (23.6.), Chambre des Contrats, vol. 623 f° 393
Gottlob Gentschl der kupfferschmidt und Maria Salome geb. Bameÿerin mit beÿstand Jacob Friedrich Bapst ihres tochtermanns und Johannes Schwartz ihres vettern
in gegensein H. Georg Gottfried Gambs des handelsmanns in fernern gegenwart Johann Georg Fügner – schuldig seÿen 1250 pfund
unterpfand, eine neu erbaute behausung, hoff, stallung, bronnen und hoffstatt cum appertinentis am schiffleuth: staden, einseit neben Johannes Jung dem fischkäuffer, anderseit neben H. Johannes Dietrich banquier uxorio nôe, hinten auff den Baadischen hoff
ferner eine behausung, höfflein und hoffstatt ane der viehgaß, einseit neben der gastbehaußung zum Ochßen, anderseit neben Friedrich Teutsch dem weinhändler, hinten auff erstgedachte gastbehausung
Théophile Gentsché et Marie Salomé Bameyer hypothèquent les mêmes immeubles au profit du maître d’école Jean Frédéric Borst
1750 (8.1.), Chambre des Contrats, vol. 624 f° 6
Gottlieb Gentschl der kupfferschmidt und Maria Salome geb. Bameÿerin mit beÿstand Jacob Friedrich Pabst und Johann Schwartz beede kupfferschmidte als ihrer nächsten
in gegensein H. Johann Friedrich Borst des schulmeisters in der Ruprechtsau – schuldig seÿen 275 pfund
unterpfand, eine neu erbaute behausung cum appertinentis am schiffleuthstaden einseit neben Johannes Jung dem fischkäuffer, anderseit neben H. Johann Dietrich dem banquier uxorio nôe, hinten auff denselben und auf den baadischen hoff
feners hypotecirt sie eine behausung cum appertinentis ane der Viehgaß, einseit neben der gastbehausung zum Ochßen, anderseit neben Friedrich Teutsch dem weinhändler, hinten auff gedachte herberg
Les experts estiment la maison à 1250 livres à l’inventaire dressé en 1750 après la mort de Marie Salomé Bamayer. La maison revient à son unique héritière Catherine Marguerite Schwartz, fille de son premier mariage avec Michel Schwartz, qui épouse en 1748 le chaudronnier Jacques Frédéric Bapst, originaire de Hall en Souabe (Schwäbisch Hall) : contrat de mariage, célébration
1748 (17.4.), Not. Lobstein (Jean, 31 Not 80) n° 538
Eheberedung – zwischen dem Ehren und vorgeachten Johann Friderich Bapst, dem Ledigen Kupfferschmidt, des Ehren Vest Großachtbahr und Kunsterfahrnen herrn Johann Peter Bapst, des goldarbeiters in Schwäbisch Hall und burgers daselbsten Ehelichem Sohn, als dem Bräutigamb ane einem,
So dann der Viel Ehren vndt tugendreichen Jungfrauen Catharina Margaretha Schwartzin, weÿland des Ehren und wohl Vorgeachten herrn Johann Michael Schwartzen, des geweßenen Kupfferschmidts und burgers allhier nunmehr seeligen nachgelaßener Tochter, als der Jungfrauen hochzeiterin ane dem andern theil
So geschehen in Straßburg auff Mittwoch den 17.ten Aprilis Anno 1748. [unterzeichnet] Jacob Friederich Bapst als hochzeiter, Catharina Margaretha Schwartzin als hochzeiterin
Mariage, Saint-Nicolas (luth. f° 91 n° 5)
1748. Mittw. den 1. Maji sind nach Zweÿhmahl vorhergeschehener Proclamation in der Evg. Kirche Zu St Nicolai in den Stand der H Ehe eingesegnet worden, Jacob Fridrich Papst der ledige Kupfferschmid und burger allhie, Herrn Joh: Peter Papst , des Goldarbeiters vnd Burgers im Schwäbisch hall ehelicher Sohn, und Jungfr. Catharina Margaretha Schwartzin, weÿl. Johann Michael Schwartz, gew. Kupfferschmid und burgers allhie hinterlassene ehel. Tochter [unterzeichnet] Jacob Friderich Bapst als hochzeiter, Catharina Margaretha Schwartzin als hochzeiterin (i 93)
Jacques Frédéric Bapst devient bourgeois par sa femme le lendemain de son mariage
1748, Livre de bourgeoisie 1740-1754 (VII 284) p. 344
Jacob Friederich Pabst der kupfferschmidt von Hall in Schwaben gebürthig erhalt das burgerrecht von seiner ehefrau Catharina margaretha weÿl. Michael Schwartz geweß. burgers und kupfferschmidts hinterl. Ehelicher tochter um den alten burger schilling und will beÿ E. E. Zunfft der Schmidt dienen, jur. d. 2.t Maÿ 1748.
La maîtrise des chaudronniers refuse de recevoir maître Jacques Frédéric Bapst, fiancé à la fille d’un chaudronnier, puisqu’il n’a pas terminé ses années d’épreuve. Le pétitionnaire argue qu’il est coutumier d’accorder une telle dispense à un compagnon qui va épouser une veuve ou une fille du métier. La maîtrise n’a pas d’objection à formuler et s’en remet à la décision des Quinze qui accordent la dispense.
1748, Protocole des Quinze (2 R 158)
(p. 114) Sambstags d. 2. Martÿ – Jacob Friedrich Bapst Ca. die Kupfferschmidt
Oberer Handwercks Hhn laßen per Hn secret. referiren, es habe Jacob Friedrich Bapst, der Kupffer Knab, d. 27. Januarÿ jüngst beÿ Mghh. Ca. E. E. Meisterschafft der Kupfferschmidt ein unterth. Memoriale mit beÿl. Sub N° 1 übergeben und darinn exponirt, wie daß er mit weÿl. Michael Schwartzen, geweß. Kupfferschmidts hinterl. tochter sich verlobet und dahero sich umb das meisterrecht angemeldet habe, auch von der übrigen Muthzeith dispensirt Zu werden, gebetten, worinn Ihnen aber lauth beÿl. 1 nicht willfahrt worden, Nun seÿe beÿ aller handwercken bräuchlich, daß, wer eines Meisters wittib oder tochter heürathe, in favor solcher ehe dispensirt werden pflege, beÿ denen dißeithigen handwercks artickeln seÿe nichts davon gemeldet, Gelange demnach an Mghh. des Imploranten gehorsambstes bitten, Sie geruheten, Ihme die nöthige dispensation Von der übrigen muthzeit, weilen er eines Meisters Dochter heurathe, gnädig angedeÿen Zu laßen.
Nôe E. E. Meisterschafft der Kupfferschmidt habe man des Imploranten petitum Zu Mghh. Erkanndtnuß gesetzt. Auff geschehene Weißung habe der Implorant sein in Memoriali enthaltenes petitum wiederhohlt, auff seithen des handwercks seÿe Zugegen geweßen Joh: Friderich Dürrbach und Christian Saus, welche Ihrer würcklich gethanen declaration annoch beÿgefügt, daß Sie der willfahrung des Imploranten petiti umb so weniger Zuwider seÿen, als sie in dem Vertrauen stünden, Mghh würden dieße gnade beÿ Vorfallenden gelegenheiten auch hießigen burgers söhnen wiederfahren, beÿ so bewanndten umbständten und da dießer Casus nicht so wohl wieder der Imploranten artickel, als vielmehr darinn nicht begriffen, hätten die Hhn Deputirte dafür gehalte,, daß dem Imploranten, doch nur im fall er die Vorgegebene heirath mit eines geweßenen Meisters tochter würcklich consumiren wird, gegen ersetzung der Unkösten und erlag 6. lb d pro dispensatione, 2/3 gemeiner Statt und die übrige tertz imploratischer Meisterschafft heimfällig, mit gebettener dispensation von der übrigen muthzeit zu willfahren seÿe, die confirmation dießes bedachts überlaße man Mghh. Erkanndt, bedacht gefolgt.
Les nouveaux mariés font dresser l’inventaire de leurs apports dans la maison qui appartient au père de l’épouse. Ceux du mari s’élèvent à 130 livres, ceux de la femme à 657 livres.
1749 (26.2.), Not. Lobstein (Jean, 31 Not 67) n° 1499
Inventarium und beschreibung aller derjenigen Haab, Nahrung und Güethere, so der Ehren: und vorgeachte Mr Johann Friderich Bapst, der Kupfferschmid und die Ehren: und tugendreiche Frau Catharina Margaretha Bapstin, geb. Schwartzin, beede Eheleuthe und burgere allhier Zu Straßburg einander vor ohnverändert in den Ehestand Zugebracht, welche der ursachen, alldieweilen in Ihr beeder Eheleute mit einander auffgerichteter Heuraths verschreibung expressé enthalten, daß eines jeden in die Ehe bringende Nahrung reservirt und ohnverändert seÿn und bleiben solle (…) So beschehen in Straßburg, auf Mittwoch den 26.ten Februarÿ A° 1749.
In einer allhier Zu Straßburg ane der Viehgaß gelegenen und in dieße Zugebrachte Nahrung nicht gehörigen behaußung befunden worden wie volgt
Abzug In gegenwärtig Zugebracht Nahrungs Inventarium gehörig. Des Manns in die Ehe gebracht guth, Sa. baarschafft 100 – Dießer Summ ist nun ferner beÿzusetzen der halbe theil ane denen verehrten haussteuren 30, Des Manns völlig in die Ehe gebracht gut in vero pretio 130 lb
Der Frauen in die Ehe gebracht Vermögen, Sa. haußraths 144, Sa. Silbers 46, Sa. goldener Ring 42, Sa. baarschafft 392, Summa summarum 626 lb – Hierzu ist nun ferner beÿzusetzen dier halbe theil ane denen verehrten Haussteuren 30 lb, Der Frauen gantz in die Ehe gebracht Vermögen in vero pretio 657 lb
Jacques Frédéric Bapst et Catherine Marguerite Schwartz hypothèquent la maison au profit du marchand Jean Jacques Altenburger
1753 (20.3.), Chambre des Contrats, vol. 627 f° 134
Jacob Friedrich Bapst der kupfferschmitt und Catharina Margaretha geb. Schwartzin mit beÿstand ihres stifeffvatters Gottlieb Gentschl des kupfferschmidts und ihres mutter bruders Johann Daniel Bameÿer des caffésieders
in gegensein H. Johann Jacob Altenburger des handelsmanns als gewalhabers Fr. Esther geb. Deucherin weÿl. H. Johann Nicolaus Wirtz des banquier wittib – schuldig seÿen 400 pfund
unterpfand, eine behausung, höfflein und hoffstatt ane der Viehgaß einseit neben der gastherberg zum Ochßen, anderseit neben H. Friedrich Teutsch dem weinhändler, hinten auff gedachte gastherberg – davon gehen jährlich den Edlen von Endingen modo denen Edlen von Okane 8 ß ane bodenzinß und hiesiger Stadt Pfenning Thurn wegen einer staffel 3 ß ane allmend zinß – um 275 und 250 lb verhafftet – vorgedachen Gentschl ane wÿdum, davon das eigenhum ihro Fr. Bapst gehörig als ein mütterliches erbguth
Catherine Marguerite Schwartz meurt en 1769 en délaissant un fils. Les experts estiment la maison à 900 livres. La masse propre au veuf est de 66 livres, celle propre aux héritiers de 967 livres. L’actif de la communauté s’élève à 391 livres, le passif à 1 313 livres
1769 (19.6.), Not. Lobstein (J. Frédéric, 6 E 41, 811) n° 516
Inventarium über Weiland der Viel Ehren: und Viel tugendgezierten Frauen Catharinä Margarethä Papstin gebohrener Schwartzin, Hn Jacob Friedrich Papst, des Kupfferschmids und burgers alhier Zu Straßburg geweßener ehelicher hausfrauen nun seeligen Verlaßenschafft, errichtet in Anno 1769. – nach ihrem Montags den 13.ten Martÿ dießes lauffenden 1769.sten Jahrs aus dießer Welth genommenen tödlichen hientritt Zeitlichen verlaßen, welche Verlaßenschafft auf freundliches Ansuchen Erfordern und Begehren Vorgedachten des hinterbliebenen Wittibers wie auch H: Johann Friderich Ißenheim, des Zinngiessers und burgers dahier, als geordnet und geschworenen Vogts Joh: Jacob Papst, der Verstorbenen Fr. seeligen, mit Vorgemeltem ihrem hinterbliebenen Wittiber ehelich erziehlten Söhnleins und ab intestato Verlaßener Universal Erben – So beschehen alhier Zu Straßburg auf Montag den 19.ten Junÿ 1769.
Copia beeder nun Zetrennter Eheleute den 7.ten Aprilis anno 1749. vor weiland H Notario Johann Lobstein seel. mit einander errichteter Heuraths Verschreibung
Copia der Verstorbenen seel: vor weiland herrn Notario Johann Lobstein seel. und Fünff gezeugen d. 12.t Septembris anno 1751. errichteten Codicilli
In einer alhier Zu Straßburg ane der Vieh Gaß gelegenen und in dieße Verlaßenschafft gehörigen behaußung befunden worden wie folgt.
(f° 13) Eigenthumb anne einer behaußung. (E.) Nemblich eine behaußung, höfflein und hoffstatt, auch bronnen mit allen deren Gebäuden, begriffen, Weithen, Zugehörden, Rechten und Gerechtigkeiten gelegen allhier Zu Straßburg in der Viehgaß, 1.s. neben der Gastherberg Zum rothen ochßen Hn bleßig dem gastgeber gehörig, 2.s. neben H. Friderich teutschen dem weinhändler, hindten auf gedachtes Gasthauß Zum ochßen stoßend, davon gibt man jährlichen auf Martini denen Edlen von Endingen, modo Okanischen Erben 8 ß d ane bodenzinß, so der Niedeckische Zinß genand wird, sonst über hernach eingeschriebene Passiv Capitalia freÿ leedig eigen und durch Hn Samuel Werner Bau Inspectorem und Hn Sebastian Huber, Werck Mr des Zimmerhoffs, Vermög Abschatzung Zeduls Vom 2.ten hujus Mensis et anni gewürdiget pro 900 lb. Abgezogen die daroben hafftende 8 ß d boden Zinnß, so Zu doppeltem Capital gerechnet, antreffen 20. lb. restirt noch auszuwerffen 880. Dieße behaußung hat die Verstorbene seel. Vonn Weil. Frn. Maria Salome Gentschein, gebohrner bahmeÿerin Hn Gottlieb Gentsche, des Kupfferschmids und b. dahier geweßener haußfrau, als ihrer geliebten Mutter nunmehr seelig in a° 1750. geerbt. Hierüber melden 2 teutsche pergamentene Kauffbrieff, mit der Statt Straßburg anhangenden C C. Insieglen Versehen, de datis 30.ten decemb. anno 1732 et 16.ten Decembris Anno 1741.
Ergäntzung des hinterbliebenen Wittibers wehrender Ehe abgegenganen ohnveränderten Guths. Inhalts Inventarÿ über beeder nun Zertrennter Eheleute einander für ohnverändert in den Ehestand zugehörde Nahrungen, durch weil. Hn Notarium Johann Lobstein seel. in aô 1749 errichtet
Wÿdembs Verfangenschaft. So hr. Gottlieb Gentsche, der Kuppferschmid und burger dahier, Von weil. Frn Maria Salome Gentschein geb. Bahmeÿerin seiner Ehefrauen seel. ad dies vitæ Zu genießen hat, finito usufructu aber den dißorthigen Erben eigenthümlichen anheim fält
(f° 19-v) Series rubricarum hujus Inventarÿ. Des Wittibers ohnverändert Vermögen, Sa. haußraths 2, Sa. Silbers 14, Sa. Ergäntzungs rests 124, Summa summarum 141 lb – Schulden 75 lb, Nach solchem abzug 66 lb
Des Erben ohnverändert Vermögen, Sa. haußraths 94, Sa. Silbers 14, Sa. goldener Ring 16, Sa. Eigenthums ane einer behaußung 880, Sa. Schulden 75, Sa. des Ergäntzungs rests 413, Summa summarum 1492 lb – Schulden 525 lb, Detrahendo 967 lb
Das theilbahr Guth, Sa. haußraths 45, Sa. Werckzeugs und gemachte waar zur Kupfferschmid profession gehörig 160, Sa. Weins und lährer Faß 17, Sa. Silbers und dergl. Geschmeids 6, Sa. goldenen Rings 6 ß, Sa. baarschafft 30, Sa. Schulden 131, Summa summarum 391 lb – Schulden 1313, In Vergleichung, Theilbares Passiv onus 922 lb
Stall Summ 111 lb – Zweiffelhaffte Schuld in die Theilbahre Nahrung Zugeltend 7
Jacques Frédéric Pabst loue une partie de la maison au marchand de fruits et légumes Pierre Henri Tatas (Datas)
1780 (16.10.), Chambre des Contrats, vol. 654 f° 403-v
H. Jacob Friedrich Pabst der kupfferschmitt
in gegensein Peter Heinrich Tatas des fastenspeishändlers
lehnungs weiß, in der ihme verlehner eigenthümlich zuständigen ane der Dauphine gaß gelegenen behausung, eine vollständige wohnung bestehend aus einem laden auff dem boden, hinten daran ein stüblein im hoff etwas platz um einen kasten dahin zu stellen, ferner im zweÿten stock eine stub stubkammer und und kuchen im dritten stock annoch eine kammer weiters im vierten stock eine anderwärtige beschlüßige kammer, so dann platz auff der bühn um brennholtz dahin zu legen, item im keller platz vor ein 6 öhmigen fäßlein, mit dem anhang jedoch daß der entlehner in sothanem keller keine keß auffstelle – auff 6 nacheinander folgenden jahren von verwichenen Michaelis tag – um 8 louis d’or
Son fils Jean Jacques Bapst épouse en 1795 Marie Catherine Bapst, originaire de Hall en Souabe : contrat de mariage, célébration
1795 (22 ventôse 3), Strasbourg, Not. Ensfelder n° 199
Eheberedung – persönlich kommen und erschienen seÿe der Burger Johann Jacob Papst, hiesiger leediger aber großjähriger und seine Rechten genießender Kupferschmidt als bräutigam ane einem theil,
sodann die leedige burgerin Maria Catharina Pabst, Johann Bernhard Papst, Knopfmacher Zu Hall in Schwaben ehelich erz. tochter ebenfalls großjährigen Alters und ihre Rechten genießend, unter Berathung und Assistenz Burgers Georg Heinrich Fischbach leedigen hiesigen Handelßmanns als Bräutigam andern theil
So geschehen (…) Straßburg den 22. Ventose im dritten Jahr der in Einheit und Unzertrennlichkeit bestehenden Francken Republick
Enregistrement, acp 31 F° 158-v du 22 vent. 3
Mariage, Strasbourg (n° 342)
Cejourd’hui 23 ventose l’an 3 de la République française une et indivisible (…) sont comparus pour contracter mariage d’une part jean jacques Bapst, âgé de 31 ans, chaudronnier, né et domicilié en cette commune, fils de feu jacques frederic Bapst, chaudronnier, et de feue catherine marguerite Schwartz,
de l’autre part marie catherine Bapst, âgée de 34 ans, fille de charge chez le futur domiciliée en cette commune depuis sept ans, native de hall en souabe fille de jean bernard Bapst, boutonnier audit lieu, et de marguerite barbe Schlosterin (…) 1° l’acte de naissance du futur portant qu’il est né le 2 juin 1763 (…) 2° l’acte de naissance de la future portant qu’elle est née le 20 août 1760 (signé) Jean Jacques Pabst Maria Catharina Pabst (i 25)
Jean Jacques Bapst et sa femme Marie Catherine Bapst de Hall en Souabe vendent la maison au farinier Jean Daniel Huck
1810 (29.1.), Strasbourg 3 (56), Not. Übersaal n° 2547, 5234
Frédéric David Koch propriétaire demeurant en cette ville fondé de pouvoir de Jean Jacques Pabst domicilié à Hallé en Souabe et Marie Catherine née Pabst
à Jean Daniel Huck farinier domicilié rue du Bétail n° 3
La maison appartenant auxdits conjoints Pabst avec petite cour, puits, tous bâtiments, droits, appartenances et dépendances située en cette ville rue du Bétail n° 3, d’un côté l’auberge à l’enseigne du bœuf rouge appartenant à la veuve Dorothée Metzger, de l’autre la maison n° 4 qui appartenait ci devant à Jean Martin Hosch faiseur de crics aujourd’hui au Sr Huck acquéreur, derrière l’auberge au bœuf rouge – moyennant 10.860 francs représentant 11.000 livres tournois
Enregistrement, acp 114 F° 17 du 29.1.
Jean Daniel Huck revend quelques mois plus tard la maison au revendeur Jean Daniel Hetzel et à sa femme Marguerite Barbe Berst
1810 (21.12.), Strasbourg 3 (58-1), Not. Übersaal n° 2754, 5662
Jean Daniel Huck farinier et Catherine Madeleine Rimbach
à Jean Daniel Hetzel marchand graissier et Marguerite Barbe Berst
La maison appartenant aux dits conjoints Huck avec petite cour, puits, tous bâtiments, droits, appartenances et dépendances située en cette ville rue du bétail n° 3, d’un côté l’auberge à l’enseigne du bœuf rouge appartenant aux héritiers Metzger, de l’autre maison la n° 4 qui appartient aux conjoints Huck vendeurs, derrière ladite auberge au bœuf rouge, y compris un chaudron à lessive de cuivre rouge – acquis de Jean Jacques Pabst chaudronnier domicilié à Hallé en Souabe et de Marie Catherine née Pabst suivant acte reçu par le notaire soussigné le 29 janvier 1810
(Charges, clauses et conditions) les conjoints Hetzel acquéreurs ne seront jamais en droit de louer la maison ni la moindre partie d’icelle à un boulanger ou a un farinier, 2. les conjoints Hetzel acquéreurs sont obligés de recevoir de tout tems les eaux de la maison des conjoints Huck située rue du bétail n° 4 par leur rigole qui s’écouleront par la maison des acquéreurs sous le n° 3, 3. que les latrines ou commodités des conjoints Hetzel donnent dans la cour des conjoints Huck, lesquels derniers garderont pour eux le fumier et les ordures 12 000 fr
Enregistrement, acp 116 F° 40-v du 22.12.
Fils du blatier Jean Jacques Hetzel, Jean Daniel Hetzel épouse en 1807 Marguerite Barbe Berst, fille du revendeur Jean Berst
1807 (28.9.), Strasbourg 3 (40), Not. Übersaal n° 539, 3940
Contrat de mariage – Sr Jean Daniel Hetzel huilier fils majeur de feu Jean Jacques Hetzel, blatier, procréé avec feue Marguerite Madeleine Reichenbach
Dlle Marguerite Barbe Boerst fille majeure du Sr Jean Boerst, marchand graissier, procréée avec feue Marie Madeleine Siefert
Enregistrement de Strasbourg, acp 103 F° 157 du 29.9.
Jean Daniel Hetzel, ancien marchand de fromage, loue le magasin et diverses autres localités à Edouard Braun
1854 (20.7.), Strasbourg 7 (108), Edouard Stromeyer n° 154
Du 20 juillet 1854. Bail pr. 6 ans – A comparu Mr Jean Daniel Hetzel, ancien marchand de fromage demeurant et domicilié à Strasbourg, Lequel a, par ces présentes, loué à titre de bail à loyer pour six années consécutives qui commenceront le 29 septembre prochain pour finir le même jour de l’année 1860
a M. Edouard Braun, propriétaire, demeurant et domicilié à Illkirch, preneur ci présent et acceptant
Les localités ci après désignés dans une maison sise en cette ville rue d’Austerlitz n° 3, ainsi que les objets mobiliers ci après désignés, savoir
1° Un magasin, une chambre derrière le magasin et un contoir le tout au rez de chaussée de ladite maison, dans le magasin se trouvent trois balances, l’une avec bassins, cuivre, l’autre avec bassines d’étain et une grande avec plateaux, bois, différents poids dont un de vingt kilogrammes, un de dix kilogrammes, un de cinq, un de deuxn deux de un kilogramme, deux de 500 grammes chacun, deux comptoirs en sapin avec dessus en chêne, un tonnelet a vinaigre un litre et un demi litre en étain et deux auvents garnis de toile devant la boutique
2° une petite cave pour légumes et une cave pour y déposer les fromages, dans cette dernière cave se trouvent 33 rayons & planches de sapin
3. Un logement composé de deux chambres au troisième étage donnant sur la rue d’Austerlitz et un petite chambre au même étage sous l’escalier plus une chambre sur le grenier ainsi que d’un bucher dans la cour
De plus M Braun aura la jouissance commune de la cour, de la buanderie, de la pompe, il aura le droit de disposer dans la cour les caisses de fromage ou autres, d’y emballer et d’ déballer ses marchandises
Telles que ces localités et meubles s’étendent, se poursuivent et se comportent en ce moment (…) pour et moyennant un loyer annuel de 600 francs
acp 432 (3 Q 30 147) f° 9-v du 28.7.
Jean Daniel Hetzel meurt en délaissant pour héritière testamentaire Caroline Hamann, femme du fabricant de toiles Jean Frédéric Bernhard. Sa femme l’a institué pour légataire universel
1858 (25.3.), Strasbourg 3 (101), M° Burtz n° 4603
Inventaire de la succession de feu le Sr Jean Daniel Hetzel
Cejourd’hui 25 mars 1858 à neuf heures du matin, à la requête et en présence de D° Caroline Hamann épouse du Sr Jean Frédéric Bernhard fabricant de toiles, à ce présent et qui l’autorise, demeurant ensemble à Strasbourg. Cette dame agissant ici comme légataire universelle de feu M. Jean Daniel Hetzel ancien marchand de fromage demeurant de son vivant à Strasbourg en vertu de son testament reçu par M° Burtz notaire soussigné le 4 janvier 1853 et ainsi que le constate déjà un acte de notoriété dressé par le même notaire le 19 octobre dernier suivant lequel le défunt n’a laissé ni ascendant ni descendants, par conséquent aucun héritier à réserve, de sorte que ledit testament a pu recevoir sa pleine exécution au profit tant de la requérante, nièce par alliance seulement du défunt, que des autres légataires nommés plus bas
le tout dressé dans son logement à Strasbourg rue d’Austerlitz N° 5, sur la représentation et les déclarations qui seront faites par les époux Bernhard eux mêmes er aussi par la Dlle Rosine Minich domestique du défunt
Contrat de mariage de la requérante, dressé devant M° Kratz notaire à Strasbourgle 17 août 1835
Titres et papiers. 1° Une pièce qui est une expédition d’un contrat de vente passé devant M° Ubersaal notaire à Strasbourg le 21 décembre 1810 et aux termes duquel le défunt a acquis du S. Jean Daniel Huck farinier et de D° Catherine Madeleine Rimbach conjoints demeurant à Strasbourg la maison dont il a déjà été question plus haut et qui est située à Strasbourg rue d’Austerlitz N° 5 et dénommée autrefois rue du bétail N° 3, laquelle vente a été faite pour le prix de 12.000 francs. Les requérants déclarent que l’acquisition de cette maison a été faite durant la communauté qui a existé entre le défunt et D° Marguerite Barbe Baerst sa femme prédécédée en vertu de leur contrat de mariage passé devant M° Ubersaal le 28 novembre 1807, que la D° Hetzel est décédée à Strasbourg le 20 décembre 1852 et qu’elle a institué son mari pour son seul et unique héritier à défaut d’héritiers à réserve dans son testament fait olographe le 17 octobre 1840 enregistré à Strasbourg le 23 décembre 1852 et déposé pour minute à M° Burtz en vertu d’une ordonnance de M. le Président du tribunal civil du 20 du même mois, institution d’héritiers qui a été confirmée par un acte de notoriété dressé par M° Burtz le 30 du même mois
acp 468 (3 Q 30 183) f° 10-v du 27.3. (succession déclarée le 9 avril 1858) Il dépend de ladite succession 1) mobilier légué à la domestique Rosine Münch 557, 2) autre mobilier 397
Consentement par la D° Bernhard à l’exécution du testament. Délivrance de legs fait à Dlle Münch par le testament susrelaté
acp 468 (3 Q 30 183) f° 30-v du 6.4. (vacation du 3 avril) Il dépend de ladite succession Maison rue d’Austerlitz, créances 2322, argent comptant 1000, Total 3322 – Passif 250 francs
Le tisserand Jean Frédéric Bernhard épouse en 1835 Caroline Hammann
1835 (17.8.), Strasbourg 3 (85), M° Kratz n° 362
Contrat de mariage – Jean Frédéric Bernhard, tisserand né le 8 avril 1811, fils de Jean Daniel Bernhard, tisserand, et Marie Sare Greiner
Caroline Hamann née le 31 octobre 1811 fille de Charles Hamann, tonnelier, et Marguerite Salomé Baerst
acp 233 (3 Q 29 ) f° 68-v du 19.8. – communauté réduite aux acquets partageable par moitié
Apports de la future, sa part à la succession de sa mère constatée par inventaire devant Stoeber du 12 septembre 1834, numéraire et meubles d’une valeur de 2442
Donation au futur par Jean Daniel Bernhard tisserand et Marie Sara Greiner ses père et mère de numéraire et objets mobiliers pour 1498 francs
Donation de survie par les futurs époux au survivant de l’usufruit de la succession du prémourant
Notoriété d’après quoi le fabricant de toile Jean Frédéric Bernhard est mort 12 juin 1879 en délaissant deux enfants
1882 (25.11.), Charles Victor Holtzapffel
Offenkunde woraus erhellet daß Johann Friderich Bernhard, ehemaliger Packtuchweber und Eigenthümer zu Straßburg am 12. Junÿ 1879 starb und als Erben seine beiden Kinder hinterließ
1. Julie Caroline Bernhard, Ehefrau von Jacob Wurtz, Holzhändler zu Straßburg
2. Johann Friedrich Bernhard, Kaufmann zu Straßburg
acp 732 (3 Q 30 447) f° 11 n° 3078 du 29.11. (Sterbfallerkl. vom 11. Dezember 1879 Bl. 131 n° 424)
Le libraire Jean Frédéric Bernhard et Julie Caroline Bernhard, veuve de Jacques Wurtz, vendent la maison à l’horloger (Henri Rodolphe) Alfred Abel, veuf d’Anne Engel (sic)
1897 (22.2.), Antoine Keller N° 11.390
Verkauf – 1. Johann Friderich Bernhard, Buchhändler in Straßburg, 2. Julie Caroline Bernhard, Rentnerin auf dem Grünberg Bann Strassburg, Wittwe des Rentners Jakob Wurtz
an Heinrich Rudolph Alfred Abel, Uhrenmacher und Juvelier zu Straßburg, Wittwer von Anna Engel
Stadt Strassburg, O 747, 747, 1 a 30, Wohnhaus an der Metzgerstraße N° 5 bestehend aus Kelleranlagen, Erdgeschoß, drei Stockwerken & Mansarden, nebst Hof, Brunnen Zubehör
Erbgut der Verkäufer von ihrer Mutter Caroline Hammann Wittwe Johann Friedrich Bernhard, gestorben zu Straßburg am 31 August 1873 als einzige Kinder zur Hälfte
Genuß und Steuren vom 25. Dezember 1896 ab. Preis M. 40.000
acp 922 (3 Q 30 637) f° 82 n° 2430 du 22.2.
Les acquéreurs hypothèquent le même jour la maison au profit du Crédit foncier central de Prusse
1897 (22.2.), Antoine Keller N° 11.391
Obligation durch Eheleute Heinrich Rudolph Alfred Abel, Juwelier und Emilie Caroline Meintzer in Straßburg
an die Preussische Central-Bodencredit actien Gesellschaft zu Berlin über ein baares Darlehen von 35.000 Mark
Pfand, Wohnhaus zu Strassburg Metzgerstrasse N° 5, erworben Dr Keller am 22 Februar 1897 N° 11.391
acp 921 (3 Q 30 636, II) f° 68-v n° 4216 du 23.2.
Autre hypothèque passée le même jour au profit du notaire Antoine Keller
1897 (22.2.), Jean Mossler
Obligation durch Eheleute Heinrich Rudolph Alfred Abel, Juwelier und Emilie Caroline Meintzer in Straßburg
an Notar Anton Keller zu Straßburg über ein baares Darlehen von 15.000 Mark
Pfand, Wohnhaus zu Strassburg Metzgerstrasse N° 5, und Pergamentergasse N° 8
acp 921 (3 Q 30 636, II) f° 68-v n° 4218 du 23.2.
Natif de Strasbourg, Alfred Henri Rodolphe Abel épouse à Molsheim où il habite Pauline Müller
Mariage, Molsheim (n° 7)
Molsheim am 31. Juli 1877. Vor dem Standesbeamten erschienen heute zum Zwecke der Eheschließung 1. der Uhrenmacher Abel Alfred Heinrich Rudolph, ledig, protestantischer Religion geboren den 14. Maerz des Jahres 1848 zu Strassburg, wohnhaft zu Molsheim Rathhausplatz N° 7, Sohn des verstorbenen Uhrenmachers Abel Constantin und desen Wittwe Blaettel Marie Octavie, wohnhaft zu Molsheim Rathhausplatz N° 7
2. die Müller Pauline, katholischer Religion, geboren den 6. October des Jahres 1850 zu Molsheim, wohnhaft zu Molsheim Tochter der verstorbenen Eheleute Müller Ignace und Schell Louise wohnhaft zu Molsheim Rathhausplatz (i 8)
Alfred Henri Rodolphe Abel se remarie en 1889 avec Caroline Emilie Meinzer, veuve du restaurateur Prosper Etienne Cromer
Mariage, Strasbourg (n° 284)
Strassburg am 7. Mai 1889. Vor dem Standesbeamten erschienen heute zum Zwecke der Eheschließung 1. der Uhrmacher Alfred Heinrich Rudolph Abel, evangelischer Religion geboren den 14. Maerz des Jahres 1848 zu Strassburg, zu Molsheim (Unter-Elsass) wohnhaft, Wittwer von Pauline Müller, gestorben zu Molsheim den 28. Februar 1888, Sohn der verstorbenen Eheleute Constantin Abel, Uhrmacher, und Marie Octavie Blaettel, der Vater wohnhaft zuletzt zu Fulda (Preussen) und die Mutter zu Molsheim
2. die gewerblose Caroline Emilie Meinzer, evangelischer Religion, geboren den 3. Maerz 1849 zu Schiltigheim (Unter-Elsass), wohnhaft zu Strassburg, Wittwe des Restaurateurs Prosper Stephan Cromer gestorben zu Straßburg den 3. October 1876, eheliche Tochter des verstorbenen Schlossers Friedrich Meinzer, wohnhaft zuletzt zu Strassburg und der Salome Rosenstiehl, ohne Beruf, wohnhaft zu Strassburg (i 19)
Henri Rodolphe Alfred Abel et Emilie Caroline Menzer hypothèquent la maison au profit du commerçant Samuel Levy Wildenstein
1898 (7.3.), Jean Mossler
Schuldbrief durch Heinrich Rudolph Alfred Abel, Juwelier und Emilie Caroline Menzer Eheleute in Straßburg
zugunsten Samuel Levy Wildenstein früher Kaufmann jetzt Rentner hier über ein Darlehen von 19.000 Mark
Pfand, ein Haus zu Strassburg Metzgerstraße N° 5
ein Haus zu Strassburg Pergamentergasse N° 8
acp 936 (3 Q 30 651) f° 57 n° 2754 du 8.3.
L’agent immobilier Louis Philippe Landau ouvre un crédit à Henri Rodolphe Alfred Abel et Emilie Caroline Menzer qui hypothèquent la maison
1899 (23.5.), M° Loew n° 31.706
Crediteröffnung durch Ludwig Philipp Landau, Agent dahier
dem Heinrich Rudolph Alfred Abel, Juwelier und Emilie Karoline Meinzer Eheleute dahier
in Höhe von 2000 Mark
Pfand, Ein Wohnhaus in der Metzgergasse N° 5
und ein in der Pergamentergasse N° 8
acp 955 (3 Q 30 670) f° 27 n° 911 du 27.5.
Henri Rodolphe Alfred Abel et Emilie Caroline Menzer vendent la maison au fournisseur de comestibles Chrétien Laublé
1899 (25.8.), Antoine Keller n° 14.405
Verkauf durch Heinrich Rudolph Alfred Abel, Uhrmacher und Emilie Caroline Meintzer, Eheleute in Straßburg
an Christian Lauble, Viktualienhändler hier
Stadt Strassburg Wohnhaus Metzgerstraße N° 5, bestehend aus Keller, Erdgeschoß, drei Stockwerken, Mansarden, Hof, Brunnen, An( Zubehör O 747, 747 mit 130 Qm, ewrorben Kauf Keller vom 22 Februar 1897
Genuß, Steuern vom 1. Oktober 1899 – Preis 63.400 M.
zahlbar 9400 innerhalb Monatsfrist, 35.000 an den Preussische Central-Bodencredit, 19.000 an Samuel Levy Wildenstein
acp 958 (3 Q 30 673. II) f° 62 n° 2693 du 2.9.
Chrétien Laublé hypothèque la maison au profit de Jules Ferch, notaire à Delme
1899 (7.11.), Antoine Keller N° 14.625
Schuldbrief durch Christian Lauble, Viktualienhändler hier
zu Gunsten von Julius Ferch, Notar in Delme
über ein Darlehen von 10.000 Mark
Pfand, Wohnhaus Metzgerstraße N° 5 hier
acp 961 (3 Q 30 676. II) f° 36-v n° 3885 du 8.11.
Joseph Levy et Alice Weil acquièrent la maison par échange contre une autre sise rue Wimpfeling
1902 (6.1.), Antoine Keller N° 17.266
Tausch mit Auflassung – wonach abtreten Joseph Levy, Eigenthümer und Alice Weyl Eheleute in Strassburg
Bann Straßburg Flur D 3893, 3,82 Ar Hof, Haus, Nutz 5200 M, Wimpfelingstraße N° 13, Kauf Allonas vom 11. Januar 1899, Werth 100.000 M, Ertrag 5000 M
an Christian Lauble, Militärlieferant Wittwer Sophie Kreis in Strassburg
gegen Bann Strassburg Ein Wohnhaus an der Metzgerstraße N° 5, O 787, 1,30 Ar Wohnhaus, Hof Nutz 1500 M, Werth 65.000 M. Ertrag 3250 M
die von der betheiligten übernommenen Hypotheken sind (…)
acp 991 (3 Q 30 706. II) f° 61-v n° 3215 du 13.1.
Natif de Habsheim en Haute Alsace et domicilié à Odessa, Joseph Léopold Levy épouse en 1894 Alice Weyl de Bouxwiller
Mariage, Bouxwiller (n° 9)
Buchsweiler am 4. Juni 1894. Vor dem Standesbeamten erschienen heute zum Zwecke der Eheschließung 1. der Kaufmann Joseph Leopold Levy, israelitischer Religion geboren den 21. Februar des Jahres 1863 zu Habsheim, wohnhaft zu Odessa, Sohn des Pferdhändlers Isaac Levy, wohnhaft zu Mülhausen und dessen verstorbenen Ehefrau Rosalie geborenen Bigard zuletzt wohnhaft zu Mülhausen
2. die Alice Weyl israelitischer Religion, geboren den 13. August 1868 zu Buchsweiler, wohnhaft zu Strassburg, Tochter des Lederhändlers Naer Weyl und dessen Ef Julie geborenen Ruef, beide wohnhaft zuletzt zu Buchsweiler (i 14)
Joseph Levy meurt en 1904 en délaissant trois enfants
1904 (16.5.), Gustave Edouard Loew n° 28.804
Inventar über den Nachlass des dahier am 29. Februarÿ 1904 verlebten Joseph Levy, Schuhfabrikant in Strassburg, Ehemann von Alice Weyl
auf Ansuchen der Wittwe und der minderjährigen Kinder des Erblassers Vera, Renée und Edmund Levy, alle bei der Mutter hier wohnhaft
Vorbemerkungen. Ehevertrag vor Notar Hertlé in Buchsweiler vom 4. Junÿ 1894. Testament des Erblassers de dato Strassburg den 11. August 1903 reg. dahier Bd. 207 N° 550 am 28. Maerz 1904.
Der Verstorbene war laut Police N° 49.710 vom 14. Dezember 1981 bei der St Petersburger Versicherungs gesellschafft Rossija in Höhe von 15.000 Rubel à 2.12 M, 31.800 M versichert, fällig mit dem Ableben des Versicherten, zuerst war die Versicherung zu Gunsten des Vaters des Erblassers, dann seiner Gattin und dann seines Bruders. Es wurden jedoch alle Versicherungen von Erblasser unterm 20. Juli 1903 widerrufen, sodaß beim Ableben kein bestimmter Benefiziar genannt war.
An Prämien wurden bezahlt R. 6595, hievon entfalllen für sie Zeit vor der Ehe 1650, nach der Ehe 4952, Summa 6592 = M 10.472
Außerdem war der Erblasser laut Police N° 390.287 vom 7 Dezember 1896 bei der Gothaer Lebensversicherungsbank in Höh von 50.000 M versichert, zuerst zu Gunsten seiner Ehefrau später hat er etwa anderwertige Verfügung zu Gunsten seiner Schwester getroffen zuletzt am 29. Juli 1903. zu Gunsten seiner gesetzlichen Erben An Prämien wurden bezahlt 15.287
Gesamtgut. 1) Mobilien 3097, 2) baar Geld 250, 3) Guthaben des Erblassers an die elsässische Schuhmanufaktur Firma Levy und Weil hier laut Buchnachweis vom 1. Maerz 1904, M 85.450
Gemeinenantheil des Erblassers vom 1. Juni bis 31. Dezember 1903. nach massgab des pro 30. Juni 1904 errichteten Inventars
Wertpapiere einzeln beschrieben und berechnet wie in der abgegebenen Erbschaftssteurerklärung über den Nachlass des Erblassers angeeben auf 234.658
Ein Anwesen Metzgerstraße N° 5 gelegen Stadt Strassburg Flur O N° 747 1 A 30 Bodefläche, Wert 65.000 M Ertrag 3250. Fällige miete vo 1. Januarÿ 1904 bis zum Todestag 541 Aug obiher Anwesen ruht eine Hypothek in Berlin für M 4206, Zinsen 212, Zusammen 34.419
Kontocorrent Guthaben bei der Bank von Mülhausen 49.687
Krankheitskosten 2247 – Rückständige Steuren 315
Fällige Mietzeinsen am Todestag zu 2700 M jährlich 450
Ersatzforderung der Wittwe laut Ehevertrag 34.425, des Erblassers 198.800
Nachlass, Kleider 83, Begräbniskosen 762
acp 1027 (3 Q 30 742. II) f° 57-v n° 683 du 18.5. (Stbf Tab. Bd. 86 Bl. 99 No 17 – EE v 29 VIII 285/251)
Lors du partage, la veuve obtient la jouissance de la maison rue des Bouchers (rue d’Austerlitz)
1904 (17.11.), Gustave Edouard Loew n° 39.498
Theilung mit Auflassung der Nachlaßenschaft des dahier am 29. Februarÿ 1904 verlebten Joseph Levy, Schuhfabrikant in Strassburg, Ehemann von Alice Weyl
auf Ansuchen seiner vorgenannten Wittwe hier wohnhaft als Erbin zu einem Viertel
Moritz Roos, Kaufmann in Mülhausen handelnd als Pfleger der minderjährigen Kinder der Eheleute Levy-Weil laut Bestellung des hiesigen Amtsgerichts vom 4. November 1904. als a) Vera, b) Renée, c) Edmund Levy, alle in Strassburg bei der Mutter hier wohnhaft, alle zu drei Viertel oder je ein Viertel
acp 1035 (3 Q 30 750. III) f° 20-v n° 2322 du 24.11.
Vorbemerkungen. Ehevertrag vor Notar Hertlé in Buchsweiler vom 4. Junÿ 1894. Einbringen des Bräutigams 198.800, Einbringen der Braut 34.424
Eigenhändiges Testament de dato Strassburg den 11. August 1903 reg. dahier Bd. 207 N° 550
bezogene Lebensversicherungssumma der Rossija St Petersburg in Höhe von 15.000 Rubel, M. 31.800, während der Ehe sind von Prämien bezahlt M 10.472
bezogene Lebensversicherungssumma der Gotha 50.000 M – Summa 81.800
Mit obiger Summa wurden Wertpapier angeschafft welche in der Urkunde Rentenvertrag des amt. Notars vom 17. IX 1907 N° 39.499 einzeln bezeichnet sind, Nennwertt derselben 39.000 – 31.000 = 70.000, Anschaffungswert 39.860 + 31.662 = M 71.492, Unkosten 17, Summa 71.509, der Überrest mit 10.291
bleibt in Händen der Wittwe und kommt zur Verteilung 481.800
diese Wertpapierer sind bei der hiesigen Filiale der Banque de Mulhouse in Mülhausen hinterlegt als Sicherheit des laut Testaments vom 11. August 1903 geschuldeten Rente
Der Gesellschaftsanteil des Erblassers bei der elsässischen Schuhmanufaktur Firma Levy und Weyl offene Handelsgesellschaft hier beträgt pro 1. März 1904 85.450 M
Hierzu Gemeinanteil vom laufenden Geschäftsjahr 1 Juli 1903. bis 1. Juli 1904 zuzüglich der Zinsen des Kapitalcontos 6275, Summa M 91.726, rückzahlbar sechs Monate nach Kündigung mit 5 % Zinsen vom 1. Juli 1904. Normaltag ist der Todestag
Massenaufstellung. Gesamtgut Levy-Weyl, 1) a) Aktien auf den Inhaber der Banque de Mulhouse M 92.992, b) Aktien derselben Bank 36.708, 2) Pfandbriefe 2010, Zins 31, 3) Pfandbriefe 3051 Zins 49, 4) Obligationen der Strassburger Straßenbahnen 3808 Zins 46, 5) russische Anleihe 14.592 Zins 106, 6) ungarische Lokal Eisenbahnen 1989, Zins 13, 7) Obligationen der Stadt Strassburg 2000 und 11, 8) Staatsanleige Bosnien-Herzegowina 2978 und 22, 9) Obligationen der Stadt Wien 2975 und 19, 10) Obligationein Frankfurter Hof 1970 und 40, 11) Pfandbriefe des Prreussischen Pfandbrief Bank in Berlin 2010 und 31, 12) Pfandbriefe der Rheinisch Westfälischen Bodenkreditbakt 2400 und 36, 2040 und 33, 13) Goldrente 5236 und 86, 14) Rente von Elsass-Lothringen 9300 und 125, 15) Obligationen der israelitischen Gemeinde von Unter Elsass 950 und 1, 16) Obligationen der Strassburger Strassenbahn 5712 und 59, 17) ungalische Anleihe 9914 und 102, 18) Obligationen des israelitischen Hospitals 400 und 2, 19) Aktien der Bank von Elsass-Lothringen 31.590
Geschäfftsanteil bei der Firma Levy und Weyl 91.726
Stadt Strassburg, Ein Anwesen gelegen Meisterstraße N° 5 45.000, laufende Miete 541
Baargeld 250, Hauserinrichtung 3089
Ersatzleistungen des Nachlasses a) für die Rossija 10.472, b) für die Gotha 15.283, zusammen 421.015
Passiva 281.351, bleiben 139.664
Nachlass, 1) Kleider 83, Lebensversicherungssumma 81.800, Ersatzforderung der Gütergemeinschaft laut Ehevertrag 198.800, die Hälfte der Gemeinschafft 69.832, Sulla 350.515
Passiva 101.085, Überfluß 249.429
Einzelne Rechnungen und Belieferung. I. Für die Wittwe Levy (…) sie erhält zugenießen das Anwesen Metzgerstraße
La maison est inscrite au cadastre à partir de 1939 au nom d’Edmond Levy. Né en 1902, il épouse en 1931 Marie Louise Pauline Theodor et fait modifier en 1954 son nom en Loney.
Naissance, Strasbourg (n° 3957) Strassburg am 3. November 1902. Vor dem Standesbeamten erschienen heute der Kaufmann Joseph Leopold Levy, wohnhaft zu Strassburg, Poststrasse 11, israelitischer Religion, und zeigte an, daß von Alice gebornen Weyl seiner Ehefrau israelitischer Religion, wohnhaft bei ihm zu Straßburg in seiner Wohnung am 2. November des Jahres 1902 Nachmittags um Zwei Uhr ein Knabe geboren worden sei, und das Kind den Vornamen Edmund erhalten habe.
[in margine:] Marié à Strasbourg le 15 septembre 1931 avec Marie Louise Pauline Theodor
[in margine :] Rectifié par ordonnance rendue le 8 mars 1954 par le tribunal civil de Strasbourg en ce sens que le nom patronymique Loney est substitué à celui de Levy, sauf en ce qui concerne le père d’Edmond
[in margine :] Décédé le 13 mai 1984 à Marseille (Bouches du Rhône)