13, rue de l’Ecrevisse
Rue de l’Ecrevisse n° 18 – III 292 (Blondel), N 464 puis section 68 parcelle 52 (cadastre)
Reconstruite par le maître maçon Nicolas Bertram en 1611 (millésime)
Le maître maçon Jean Joseph Reiner ajoute un troisième étage en 1860
Démolie en 1971 lors de la « rénovation urbaine de l’Ilot Broglie »
Le n° 13 est la maison du milieu à devanture murée (1970, avant démolition)
Façade avant (devanture de 1887, porte de 1611) et après transformation en 1954 (dossier de la Police du Bâtiment)
Le chapitre Saint-Pierre-le-Vieux vend en 1585 la maison au tailleur de pierres Jean Conrad Sutter. Le maître maçon Nicolas Bertram et sa femme Marguerite Ringler passent en 1600 un accord avec leur voisin pour rendre le mur mitoyen. Ils font reconstruire la maison comme en témoignent le millésime 1611 et les initiales NR MB que mentionne Adolphe Seyboth (p. 113, édition en allemand). Leur gendre Gaspard Wolff conserve la maison au nord (ensuite n° 18) quand il vend en 1624 la maison du sud au musicien Georges Schaff. Elle devient à deux reprises un immeuble de rapport au XVII° siècle (1670-1677 puis 1690-1707). Le précepteur Jean Adolphe Rumetsch la vend en 1710 puis la rachète en 1713 de son propriétaire sans doute insolvable. Elle revient à son gendre menuisier Jean Henri Rauchmaul. D’après le billet d’estimation de 1722, le bâtiment avant comprend plusieurs logements et le petit bâtiment arrière un autre. La maison est bien entretenue comme le montrent les estimations minimales (300 livres en 1728, 500 livres en 1763). Elle devient à nouveau une maison de rapport suite à l’adjudication judiciaire de 1782.
Elévations préparatoires au plan-relief de 1830, îlot 58 (Musée des Plans-relief) 1
L’Atlas des alignements (années 1820) mentionne un bâtiment à rez-de-chaussée, premier étage en maçonnerie et deuxième étage en bois. Sur les élévations préparatoires au plan-relief de 1830, la façade sur rue est la troisième à droite de (t) : deux fenêtres et une porte au rez-de-chaussée, deux fenêtres à chacun des deux étage, toiture à deux niveaux de lucarnes dont l’une porte sans doute un treuil. La cour (I) montre l’arrière (2-3) du bâtiment sur rue, la remise (3-4) au nord, le bâtiment (4-1) au fond de la cour et celui (1-2) au sud.
La maison porte d’abord le n° 20 (1784-1857) puis le n° 13.
Cour I – Détail de la porte (dessin de 1954)
Le maître maçon Jean Joseph Reiner, propriétaire de l’immeuble, ajoute en 1860 un troisième étage en retrait de 90 centimètres de la façade et fait des constructions qui en portent le revenu de 61 à 131 francs. Le serrurier Joseph Burgart fait convertir en 1887 deux fenêtres en devanture. Une épicerie est ouverte au rez-de-chaussée en juillet 1924. La Société Coopérative de Consommation de Strasbourg et des Environs (Coopé) fait transformer en 1954 le magasin dont elle est locataire, notamment les ouvertures du rez-de-chaussée. Le préfet prononce le 19 décembre 1969 une interdiction définitive d’habiter le bâtiment déclaré insalubre. La Ville de Strasbourg fait démolir en mars 1971 le bâtiment à rez-de-chaussée et trois étages (6 logements, 275 mètres carrés) situé dans l’îlot Broglie à rénover.
Anciennes ouvertures et nouvelle devanture (1887, dossier de la Police du Bâtiment)
novembre 2024
Sommaire
Cadastre – Police du Bâtiment – Relevé d’actes
Récapitulatif des propriétaires
La liste ci-dessous donne tous les propriétaires de 1585 à 1952. La propriété change par vente (v), par héritage ou cession de parts (h) ou encore par adjudication (adj). L’étoile (*) signale une date approximative de mutation.
Chapitre Saint-Pierre-le-Vieux | ||
1585 | v | Jean Conrad Sutter, tailleur de pierres, et (1583) Marthe Hertz, d’abord (1574) femme du tailleur de pierres Mathias Sebold – luthériens |
1597 | h | Martin Bürck, tailleur, et (v. 1585) Gallette Lamprecht, (1588) Catharine Spiess, d’abord (1575) femme du tisserand Georges Weber, puis (1597) Marthe Hertz, d’abord (1574) femme de Mathias Sebold puis (1583) de Jean Conrad Sutter – luthériens |
1597 | v | Nicolas Bertram, maçon, et (1595) Marguerite Ringler, d’abord (1583) femme de l’orfèvre Loup Arnaut Sauler – luthériens |
1620* | h | Jean Gaspard Wolff, tailleur, (1616) Marie Bertram – luthériens |
1624 | v | Georges Schaff, harpiste, et (1619) Barbe Meyer, d’abord (1598) femme du cordonnier Jean Lentz puis (1611) du journalier Jean Knoller – luthériens |
1650* | h | Sébastien Schaff, musicien, et (1634) Véronique Ulmer – luthériens |
1670 | v | Jean Georges Heckler, chef de chantier à l’Œuvre Notre Dame, et (1655) Marthe Georgy, puis (1675) Catherine Lobstein – luthériens |
1677 | v | Jean Jacques Wipff, tisserand, et (1651) Rosine Feigler, (1662) Susanne Gœppel, d’abord (1646) femme du chapelier Daniel Grossheinrich, puis (1676) Anne Marie Bauer, d’abord (1652) femme du jardinier Paul Müller – luthériens |
1690 | v | Jean Thiébaut Reis, receveur du chapitre Saint-Pierre-le-Jeune, et Anne Catherine Rueff puis (1683) Marie Elisabeth Oberlin, veuve Heinrich – catholiques |
1707 | v | Jean Adolphe Rumetsch, chirurgien puis précepteur, et (v. 1695) Anne Barbe Baquin – luthériens |
1710 | v | Jean (Philippe) Pierre Schwab, sachetier, et (1710) Marie Ursule Rauch – luthériens |
1711 | v | Jean Hermann Lœchner, cordonnier, et (1709) Anne Salomé Ruff – catholique et luthérienne convertie |
1711 | v | Jean Rasp, cordonnier, huissier, et (v. 1683) Barbe Groll puis (1713) Marthe Burgund, d’abord (1695) femme du tonnelier Jean Rœderer – luthériens |
1713 | v | Jean Adolphe Rumetsch, supra |
1728 | h | Jean Henri Rauchmaul, menuisier, et (1724) Anne Barbe Rumetsch – luthériens |
1740 | h | Jean Frédéric Engel, menuisier, et (1740) Anne Barbe Rumetsch veuve de Jean Henri Rauchmaul – luthériens |
1767 | h | Jean Frédéric Rauchmaul, menuisier, et (1767) Marie Rosine Eckhoff – luthériens |
1782 | v | Henri Charles Engel, menuisier, et (1755) Catherine Salomé Rauchmaul – luthériens |
1782 | adj | Jean Michel Theurkauff, pelletier, et (1749) Marguerite Salomé Redslob – luthériens |
1782 | v | Jacques Bourcart Schweigheusser, boutonnier, et (1765) Susanne Madeleine Redslob, remariée (1785) avec le potier Jean Henri Fanck – luthériens |
1785 | v | Jean Michel Theurkauff, supra |
1790 | h | Susanne Madeleine Redslob, supra |
1819 | h | Georges Frédéric Redslob, négociant, et (1804) Susanne Catherine Wild |
1859 | h | Louis Edmond Redslob, négociant, et (1835) Caroline Sophie Redslob |
1860 | v | Jean Joseph Reiner, maître maçon, et (1845) Brigitte Bieth, (1855) Catherine Elisabeth Jouvelet, veuve du fabricant de corsets Joseph Wilhelm, (1856) Marie Louise Blettel |
1862 | v | Jacques Lobstein, cordonnier puis aubergiste, et (1842) Eve Matzinger, (1848) Christine Sophie Guthapfel puis (1856) Elisabeth Mugler |
1865 | v | Michel Kieffer, tisserand, et (1835) Catherine Lorentz puis (1866) Marie Apolline Hiessler, veuve du journalier Michel Sum |
1872 | v | Joseph Burgart, serrurier, et (1868) Louise Stéphanie Calame |
1921* | v | Joseph Burtscher, serrurier, et (1913) Marie Fenger |
1926* | v | (copropriétaires) Georges Frey, ferblantier, et (1912) Marie Marguerite Riff Albert Riff |
1937* | Jacques Frey et son épouse |
Valeur de la maison selon les billets d’estimation : 350 livres en 1722, 300 livres en 1728, 500 livres en 1763, 637 livres en 1790
(1765, Liste Blondel) III 292, Fréderic Engel
(Etat du développement des façades des maisons, AMS cote V 61) Rauchmaul, 3 toises, 3 pieds et 10 pouces
(1843, Tableau indicatif du cadastre) N 464, Redslob, Georges Frédéric – maison, sol – 0,86 are
Locations
1690, Jean Georges Osterried, remueur de grains
1713, Martin Louis Gœtz, chanvrier, et Anne Marie Milo
1716, Isaïe Pfæhler, boucher
1818, Jean Jacques Thomas, boulanger, et Catherine Madeleine Dassau
1862, Georges Chrétien Feindel
Livres des communaux
1587, Livre des communaux (VII 1450) f° 258
Le tailleur de pierres Jean Conrad Sautter paie 2 sols 8 deniers pour sa maison, à savoir un chenal en bois et des pierres non taillées qu’il pose tant devant que face à sa maison.
Krebsgaßen Einseitten
Hans Conrad Sautter der Steinmetz hatt ane seinem Hauß ein hültzenen Naach, auch täglich vor vnd geg. dem hauß Über auff dem Allmendt ligen etliche grabe Stuckh Vngehawen Steinwerckh ligen, Bessert für den Naach viij d. für die Stein ij ß. Thutt Zusammen ij ß viij d.
Préposés au bâtiment (Bauherren)
1726, Préposés au bâtiment (VII 1392)
Le chef des travaux fait grief à Jean Adolphe Rumetsch que la fosse de ses latrines s’est déversée dans la maison voisine où habite le remueur de grains municipal en endommageant le mur. Le prévenu déclare que les vidangeurs ont repoussé leur travail mais s’engage à remettre le mur en état et à faire vidanger plus souvent sa fosse.
(f° 23-v) Donnerstags den 7. Ejusd. [Martÿ] – Hrn Johann Adolph Rumetschen betfr.
Gedachter Herr Statt Lohner berichtet auch Mghhn, daß Gemeine Statt in der Krebsgaß auf dem Roßmarckt ein Hauß, Hoff, worinn Johann Jacob Niedermeÿer der Kornwerffer auf der Statt Speicher Lehnungs weiße wohnet, Weilen Herr Johann Adolph Rumetsch der Informator in Seiner darneben befindlichen wohnung, Sein S. V. Secret nicht außführen laßen, jndaß es außgeloffen, vnd nicht allein einen übeln geruch, sondern auch an dieseitiger maur einigen schaden verursacht, Alß hätte Er solches hinterbringen vnd vmb abwendung fernern übels, bitten wollen.
Bekl. Herr Rumetsch Zugegen, wendt vor, daß die waßenmeister Ihne mit der außführung so lang auffgehalten biß das unglück geschehen, vnd der unflat in Niedermeÿer holtzhauß eingedrungen, verspricht nicht allein die schadhaffte maur repariren Zu laßen, sondern auch mit außführung des s.v. Secrets nicht so lang Zu warten.
Erk. wird das gethane anerbieten acceptirt solte auch Niedermeÿers Leuth die Gemeinschafftl. Maur mit holtz werffen beschädigen so möchte Er als dann wieder denselben Seiner Klag gebürend vorbringen.
Description de la maison
- 1722 (billet d’estimation traduit) 1722 La maison comprend plusieurs poêles, chambres, cuisines, vestibules, cave voûtée, un petit bâtiment arrière où se trouvent un petit poêle, petite chambre, chambre à soldats, deux petits bâtiments accessoires, le tout estimé avec appartenances et dépendances à la somme de 700 florins
- 1728 (billet d’estimation traduit) 1728 La maison et le bâtiment arrière comprennent plusieurs poêles, chambres, cuisines, chambre à soldats, estimés avec appartenances et dépendances à la somme de 600 florins
- 1765 (billet d’estimation traduit) 1765 La maison comprend plusieurs poêles, chambres et cuisines, le comble est couvert de tuiles plates, la cave est voûtée, le tout estimé avec appartenances et dépendances à la somme de 1000 florins
Atlas des alignements (cote 1197 W 37)
2° arrondissement ou Canton nord – Rue de l’Ecrevisse
nouveau N° / ancien N° : 16 / 20
Fanck
Rez de chaussée et 1° étage en maçonnerie le 2° étage en bois médiocre
(Légende)
Cadastre
Cadastre napoléonien, registre 21 f° 131 case 3
Redslob Georges Frédéric à Strasbourg
N 464, maison, sol, rue de l’ecrevisse 20
Contenance : 0,86
Revenu total : 64,45 (64 et 0,45)
portes et fenêtres ordinaires : 23 / 18
fenêtres du 3° et au-dessus :
Cadastre napoléonien, 22 f° 644 case 1
Redslob Georges Frédéric vieux marché aux poissons 31
1860 Redslob Louis Edmond
1862 Reiner Joseph architecte rue de l’ail 16
1863 Lobstein Jacques
1967 Kieffer Michel tisserand
1874 Burgard Joseph Schlosser und Ehefrau Luise geb. Calame
(ancien folio 392)
N 464, maison, sol, rue de l’ecrevisse 13
Contenance : 0,86
Revenu total : 64,45 (64 et 0,45)
Folio de provenance : (131)
Folio de destination : Démolie – (sol) Gb
Année d’entrée :
Année de sortie : 1861
Ouvertures, portes cochères, charretières :
portes et fenêtres ordinaires : 23 / 18
fenêtres du 3° et au-dessus :
1861, Diminutions – Redslob Louis Edmond f° 392, N 464, maison, revenu 64, démolie en 1860, supp. en 1861
1864, Augmentations – Lobstein Jacques f° 392, N 464, maison, revenu 131, construction nouvelle, achevée en 1861, imposable en 1864, imposée en 1864</p>
N 464, maison
Revenu total : 131,45 (131 et 0,45)
Folio de provenance : N.C.
Folio de destination : Gb
Année d’entrée : 1864
Année de sortie :
Ouvertures, portes cochères, charretières :
portes et fenêtres ordinaires : 31 / 25
fenêtres du 3° et au-dessus : 8 / 6
Cadastre allemand, registre 32 page 544 case 5
Parcelle, section 68, n° 52 – autrefois N 464
Canton : Krebsgasse Hs N° 13
Désignation : Hf, Whs u. NG
Contenance : 1,05
Revenu : 1000 – 1400
Remarques :
(Propriétaire jusqu’à l’exercice 1937), compte 1958
Burgard Joseph u. Ehefr.
1913 Burgard Joseph die Erben u. Wittwe geb. Calamé
1921 Burtscher Joseph et son épouse née Fenger
1926 Riff Marguerite épouse de Georges Frey et Riff Albert
rayé 1937
(Propriétaire à partir de l’exercice 1937), compte 5836
Frey Jacques et son épouse
(1469)
1789, Enquête préparatoire à l’Etat des habitants (cote VII 1295)
Canton 3, Rue 78 de L’Ecrevice
20
Loc. Urbain, Marguerithe Etienne Blanchisseuse – marechaux
Loc. Walter, Louis maçon – maçon
Loc. Rohmann, Paul maçon – manant
Loc. Reiflerin, Elisabeth, Couturiere – lanterne
Loc. Trier, Joseph dans la pratique chez Mr Gall Epicier – moresse
1789, Etat des habitants (cote 5 R 26)
Canton III, Rue 78 de L’Ecrevice, p. 107
20
lo: Urbain, Marguerithe Etienne Blanchisseuse – Marechaux
lo: Walter, Louis Maçon – Maçon
lo: Rohmann, Paul Maçon – Manant
lo: Reifler, Elisabeth, Couturiere – Lanterne
lo: Trier, Joseph – Moresse
Annuaire de 1905
Verzeichnis sämtlicher Häuser von Strassburg und ihrer Bewohner, in alphabetischer Reihenfolge der Strassennamen (Répertoire de toutes les maisons de Strasbourg et de leurs habitants, par ordre alphabétique des rues)
Abréviations : 0, 1,2, etc. : rez de chaussée, 1, 2° étage – E, Eigentümer (propriétaire) – H. Hinterhaus (bâtiment arrière)
Krebsgasse (Seite 84)
(Haus Nr.) 13
Burgard K., Schlossermr. 03
Hollaender, Kassenbote. 1
Burgard J., Rentner. E 3
Kreissner Schreiner, H 1
Dossier de la Police du Bâtiment (cote 233 MW 643)
Rue de l’Ecrevisse n° 13 (1860-1971)
Le propriétaire Reiner est autorisé en 1860 à ajouter un troisième étage en retrait de 90 centimètres de la façade. L’entrepreneur de construction Matter convertit en 1887 deux fenêtres en devanture. Le propriétaire Burtscher charge en 1922 l’entrepreneur de construction Ernest Diebold de construire une remise à voiture et une remise à brouettes. Les travaux ne sont pas réalisés. Le sieur Frey est autorisé en 1924 à ouvrir un débit de boissons après travaux. Il n’y a pas de travaux, une épicerie a été ouverte en juillet 1924. La Société Coopérative de Consommation de Strasbourg et des Environs (Coopé) fait transformer en 1954 le magasin dont elle est locataire, notamment les ouvertures du rez-de-chaussée, sous la direction de l’architecte A. Bernhardt.
Le préfet prononce le 19 décembre 1969 une interdiction définitive d’habiter le bâtiment déclaré insalubre. Le maire dépose en avril 1970 une demande d’autorisation de démolir le bâtiment à rez-de-chaussée et trois étages (6 logements, 275 mètres carrés) situé dans l’îlot Broglie à rénover. La maison est démolie en mars 1971.
Sommaire
- 1860 – Le propriétaire Reiner demande l’autorisation d’ajouter un troisième étage. L’agent voyer note que la maison sans avance suit l’alignement mais que la rue n’a que quatre mètres de large. Le nouvel étage devra être en retrait de 90 centimètres de la façade
- 1887 – L’entrepreneur de construction Matter (15, rue Kageneck) demande au nom du propriétaire l’autorisation de convertir deux fenêtres en devanture – Autorisation – Travaux terminés, août 1887. – Dessin – Droits réglés pour un nouveau montant de fenêtre
- 1887 – Le maire notifie Joseph Burghard, demeurant sur place, de faire ravaler la façade – Travaux terminés, novembre 1887
1895 – Le maire notifie le serrurier Joseph Burghard de faire ravaler la façade – Travaux terminés, décembre 1895
1904 – Le maire notifie Joseph Burghard de faire ravaler la façade – Travaux terminés, décembre 1904
1912 – Le maire notifie la dame Burghard de faire ravaler la façade – Le maire accorde un délai – Le rez-de-chaussée est repeint, les étages ont encore bon aspect, juillet 1913 - Commission contre les logements insalubres. 1906, les logements sont en bon état
1907, Joseph Burghard s’engage à faire raccorder les cabinets d’aisance aux canalisations -Travaux terminés, octobre 1909
1915, Commission des logements militaires. Rien à signaler - 1922 – L’entrepreneur de construction Ernest Diebold et le propriétaire Burtscher demandent l’autorisation de construire une remise à voiture et une remise à brouettes. – Autorisation de transformer la maison – Les travaux ne sont pas réalisés. – Calcul statique – Dessin (élévation, coupe, plan), les remises remplacent le magasin et la devanture
- 1924 – Dossier ouvert suite à un courrier du commissaire de police. Le sieur Frey demande l’autorisation d’ouvrir un débit de boissons. La Police du Bâtiment répond que les locaux satisferont aux prescriptions après travaux. – Pas de travaux, une épicerie a été ouverte, juillet 1924.
- 1926 – Adolphe Siegel (10, rue de Bischheim) demande l’autorisation de suspendre une antenne de T.S.F. entre les maisons n° 13 (propriété Riff) et 18 (propriété Lohr). – Autorisation
- 1954 – L’entreprise de construction Emile Heiss -19-a, rue du Ban-de-la-Roche) est autorisée à poser un échafaudage devant la maison pour transformer le rez-de-chaussée
1954 (février) La Société Coopérative de Consommation de Strasbourg et des Environs (Coopé, 3, rue de la Coopérative au Port-du-Rhin) demande l’autorisation de transformer le magasin dont elle est locataire sous la direction de l’architecte A. Bernhardt (10, rue du Climont au Neudorf). Propriétaire, Georges Frey, demeurant 10, rue des Couples – Dessins (les ouvertures du rez-de-chaussée sont transformées)
1954 (mars) – Le maire transmet la demande avec avis favorable à la délégation départementale du Ministère de la Reconstruction et de l’Urbanisme
1954 (avril) – Arrêté portant permis de construire – Travaux terminés, juin 1954. - 1970 – Le service d’hygiène informe la Police du Bâtiment que le préfet a prononcé le 19 décembre 1969 une interdiction définitive d’habiter le 13, rue de l’Ecrevisse, déclaré insalubre.
- 1970 (avril) – Le maire dépose une demande d’autorisation de démolir le n° 13, propriété de la Ville de Strasbourg. Bâtiment à rez-de-chaussée et trois étages (6 logements, 275 mètres carrés) pour raison d’insalubrité, situé dans l’îlot Broglie à rénover – Photographie – Liste des six locataires relogés – Plan cadastral de situation
Le maire transmet au directeur du département de l’Equipement la demande de démolir les 6, 7, 14, 16, 18, 20, 21, 22, 23 rue de Schiltigheim, 3, 5, 7, 9, 11, 13, 15, 22, 23 rue de l’Ecrevisse
1971 (mars) – La maison est démolie
Relevé d’actes
La maison est inscrite au nom du tailleur de pierres Conrad Sauter dans le Livre des communaux (1587)
Le chapitre Saint-Pierre-le-Vieux vend en 1585 la maison au tailleur de pierres Jean Conrad Sutter.
1585 (16. Octobris), Cour épiscopale, vol. 235-I (Registranda Mechler) f° 147
Hanß Conradt Suter Steinmetz burg. Zu St. et Margarethe hertzin coniugibus
Erschienen h. Johann Caßman Schaffner d. Stifft Zum Alt. S. Peter Zu St. hatt Schaffners weÿß In Nammen bemelter Stifft verkhaufft
hanß Conradt Suter Steinmetzen burg. Zu St. d. Zugeg. Ime Khoufft
Ein behausung hoffstatt vnd hofflin mit allen In d. Statt St. vff dem Roßmarck In d. Krebßgaß. geleg. Neben Michel Düringers dem Zimmermann && Neben dem Closter Zu St. Marx Zu St. stost hinden vff Remigÿ Mentzers Schneiders Stieff Khinder Ist eig. d. Khouff bescheh. vmb 100 pfund pfenning St.
Originaire d’Entzheim, Jean Conrad Sutter épouse en 1583 Marthe Hertz, veuve de Mathias Sebold.
Mariage, cathédrale (luth. p. 79)
1583. Dnicâ VI. post Trinitatis. 7. Julÿ. Hanß Conrad Sautter von Ensißheim d. Steinmetz vnd Margareth Matthiß Sebold des jungern nachg. wittib. Eingesegnet Zinstag den 16.ten Julÿ (i 42)
Jean Conrad Sutter devient bourgeois par sa femme trois mois après son mariage
1583, 2° Livre de bourgeoisie (4 R 104) p. 520
Hanß Conratt sutter Von ensißheim der steinmetz Hatt daß Burgrecht empfangen Vonn martha Hertzinn Mattis seboltts selig. Wittwenn seiner Haußfrauwen Vnnd will Zuo denen Maurernn dienenn Actum denn 17.t octtober 1583.
Mathias Sebold épouse en 1567 Anne, veuve de Séverin Weissenburger d’Achern
Proclamation, cathédrale (luth. p. 161)
1567. Suntag den 19 Jeners. Mattheß Sebolt Steinmetz Anna Seuerini Weissenburgers von Ach. hind. Witwe. werd. Zu Jung S. Peter Zu Kirche (i 83)
Mariage, Saint-Pierre-le-Jeune (luth. f° 80-v) 1567. Dominica III Epiphaniæ. Mathis Sebolt der maurer, Anna Seuerin Weissenburger von Ach verlasene wittfraw. Eingesegnet vff den 3. tag februarii (i 44)
Mathias Sebold se remarie en 1574 avec Marguerite, fille de Balthasar Hertz de Wangen
Mariage, Saint-Thomas (luth. f° 101 n° 269)
1574. Dominica 1. post Trinitatis. Matthes Sebold der Steinmetz, Margret Hertzin Baltazar hertzen von wangen dochter. 21. Junÿ i 103)
Les Conseillers et les Vingt-et-Un autorisent Mathias Sebold à danser lors de son mariage avec Marguerite Hertz qui est servante chez le docteur Nervius
1574, Conseillers et XXI (1 R 44)
(f° 420) Mitwoch den XVI. Junÿ – Mathes Seboldt, hochzeytt.
Mathes Seboldt der Jung laßet p. Büttelbron fürtrag. das er sich mit Margareth. hertzin herrn d: Neruÿ dienerin ehelich verheurathet vnd dieweil sie sich ehrlich beÿ ihm gehalten, Seÿ er auch willens ihr ein ehrliche hochzeit Zu halten, bittett daruff ihm, wie auch andern bescheh. ein ehrlich. dantz Zuerlaub. Wöll sich sonsten Inn andern g* der ordnung gemäs verhalten. Erkant Ist ihm erlaubt, h. Heinrich Seipel, lorentz Schöll.
Les Quinze autorisent sous condition Jean Conrad Sutter à employer 50 florins, placés à la Tour aux deniers, advenus à sa femme après la mort d’un de ses enfants qu’elle a eu en premières noces avec Mathias Sebold
1592, Protocole des Quinze (2 R 21)
(f° 163) Sambstag den IIII Nouembris. – Hans Conrad Suther. Matis Sebolds selig. Kinder
Hannß Conrad Suther vnnd beneben Ime Andres Volck seiner Stieff Kinder vogt p. Christoff Seÿtz. Es haben seines vorfahren Mathiß Sebolds selig. Kinder 150 gld. Pfenningthurn angelegt, dieweil dann das ein Kind gestorben vnd die Muter solches ererbt, solch haubtgutt Ir In d. theilung Zugefallen, Er beÿ Jetzigen theüren Zeitt getrung. 50. gld. von gemeltem haubtgutt Zuerheben vnnd Inn die Haußhalttung Zuverwenden, Ime aber vffm Pfenningthurn ohne meiner Hn vorwissen nicht wöllen geuolgt werden, So bitt er Inn bedenkung Jetziger schweren lauff Zuwillig. vnd Zubeuehlen, das Ime die 50. gld. geuolgt werden. Erkandt wann er seiner Frawen (deren es Zugehörig) nechsten verwandten einen (.für B xv.ner.) mittbringt, das er willen drein gibt, sollen Ime die 50 gld. geuolgt werden, wo nitt, soll ers lig. laßen. B. q. Mr
Tailleur de pierres au chantier des maçons, Jean Conrad Sutter est malade
1584, Préposés au bâtiment (VII 1300)
Hans Conrad Suter der steinmetz vff dem Murhoff kranck. 98.
Marguerite Hertz, veuve de Jean Conrad Sutter, se remarie en 1597 avec le tailleur Martin Bürck : contrat de mariage, célébration. Le marié a trois enfants issus de Catherine Spiess, la mariée deux fils de Jean Conrad Sutter
1597 (19.4.), Not. Strintz (Daniel, 58 not 52, Prothocollum, n° 38) f° 36-v
Eheberedung Zwüschen Meÿster Martin Bürckhen dem schneider vnd frauwen
Margaretha Hertzin weilandt Meÿster Hanß Conrad Sutors, Steinmetz selig Wittwen den 19. [Aprilis] 97 vffgericht
(…) Zwüschen dem ehrsammen Meÿster Martin Bürckhenn schneidern burgern Zu Straßburg, als dem breüttigam Ane einem
So dann der Erbaren vnd tugendsamen frauwen Margarethen hertzin weilandt deß erhenhafften Meister hanß Conrad Sutors, Steinmetzen seligen hinderlaßener Wittwen andern theils
begeben und zugetragenn vnd dabeÿ vnd Inn personlicher gegenwerttigkheÿtt auch mitt Rath wissenn, willenn vnd Consenß der Ehrenhafften, fürnemmen wolgelehrten auch erbaren vnd bescheidenen, vff sein deß Hochzeiters herrenn Nicolai Beati offenen Notarÿ, So dann Meÿster hanß Emmichenn, hannß Conrad Knüepsenn beider schneider vnd Gabriel Mütschlers Kheüfflers sein deß hochzeitters günstiger herren, Kinnder Vogtts vnd gutter freündt, So dann vff Ihro der frauwenn hoch Zeitterin seitten herren Johann Ulstetters offenen Notarÿ vnd Procuratoris Ane der Statt gericht alhie Zu Straßburg, Michel Mersude, Steinmetzen Ihr vnnd Ihrer Kinnder geordneter vnd geschworner Curatore vnd vögt, So dann Carle Kacheloffenn wurtz Kremers, Herrn Lorentz Ittners gasthaltters vff der hinderschreiber stuben vnd herrn Martini Leüwbrandts Notarÿ als zu beiden theiler Erpettener herren vnd saalleüthe (…)
Zum Anderen Ihre Zeittliche Haab Nahrung vnd gütter Anlanngendt, vnnd als der hochzeitter Inn diße ehe dreÿ Kinnder Vonn seiner lettstenn abgestorbenenn Hauß frawen Catharina spiessin ehelichen erzeügtt, vnd Hinngegenn die hochzeitterinn Zween Knaben Auch Auß lettster Ehe Vonn Ihrem liebenn haußwürth Meister hannß Conrad Sutor seeligenn ehelich erzielett Zupiringtt (…)
Beschehen vnnd verhandeltt Zinßtags denn 19. Aprilis Im Jar des herren als man von Christi vnsers lieben herren heÿlandt vnd seeligmachers Geburth Zallte 1597.
Mariage, cathédrale (luth. p.16)
1597. Dominica Cantate. Martinus Birck der schneider Margretha hans Conradt Sutor des steinmetzes nach gelaßne Wittwe (i 11)
1598 Conseillers et XXI (1 R 77) Martin Bürckel würdt von Graven zu Hanaw frevels erlassen. 152.
Originaire d’Urach (en Wurtemberg) Martin Bürck devient bourgeois par sa femme Gallette fille du tailleur Michael Lamprecht
1585, 2° Livre de bourgeoisie (4 R 104) p. 553
Martin Burck der Schneider vonn Urach Hatt deß Burgrecht empfangenn vonn galletta weÿlandtt Michael Lamprechtten deß schneiders Seligenn dochter Seiner Haußfrauwenn vnd will Zuo denn Schneidernn dienenn acttum denn 7. Octtober 1585.
Martin Bürck se remarie en 1588 avec Catharine, veuve du tisserand Georges Weber
Proclamation, cathédrale (luth. p. 139) 1588. Dominica I. post Epiphanias 7. Januarÿ. Martin Bürck der Schneider vnd Catharina Georg Weber des Webers nachg. wittib. eingesegnet Zum alten S. Peter (i 73)
Mariage, Saint-Pierre-le-Vieux (luth. f° 5-v n° 2) 1588. Martin Bürck der schneider Katharina Jörg Webers nachgelasne Witwe. 15. Januarÿ (i 8)
Originaire de Zell, Georges Weber épouse en 1575 Catherine, fille du baigneur Grégoire Spiess
Mariage, cathédrale (luth. p. 260) 1575. Jorg Weber von Zell bei Aursperg, Catharina Gregorius Spieß Bad. in Pflantzhoff hinderlasne dochter, wonet dem riebeyssen vber – eingesegnet word. Montag den 12 decemb. hora 10.a (im 134)
Martin Bürck contracte une dette envers Eustache dit Josse Müller de Paris
1601 (vt spâ [vj tag Octobris]), Chancellerie, vol. 335 (Registranda Meyger) f° 316
(Inchoat. in Proth. fol: 314) Erschienen Martin Bürck, schneid. burger Zu Straßburg
Hatt bekhandt, Vnd Inn gegenwertigkheit Eustachius genant Jost Müller Von Pariß, Jetziger Zeit sich haltend beÿ dem Edlen vnd vesten Balthazar Böcklin Alhier offentlich verÿehen – schuldig sige 30 pfund
Martin Bürck et sa femme Marguerite vendent la maison à Nicolas Bertram et à sa femme Marguerite moyennant 370 florins
1597 (uts [xvij. Maÿ]), Chancellerie, vol. 308 (Registranda Kügler) f° 183
Erschienen Martin Bürck burger vnd Schneid. alhie vnd Margreth sein eheliche haußfrauw
haben in gegensein Niclaus Bertrams burgers vnd Margredten seiner ehelichen haußfrauwen (verkaufft)
huß hoffstatt höfflin mit allen ihren gebeüwen gelegen Inn d. Statt Straßburg vff dem Roßmarck Inn d. Krebsgaßen neben Michel Dürnnger dem Zimmerman ein vnd anderseit einer behaußung dem Closter Zu Sanct Marx zu Straßburg Stoßt hinden vff Johann Caßman den Schaffner Zum Altten Sanct Peter, Dauon gondt 5 guldin zu 15 batzen vff Michaels lößig mit 50 Pfund pfenning bemeltem Johann Caßman Schaffner Zum Altten Sanct Peter sunst freÿ ledig und eÿgen. Vnnd were dißer v.kauff zugangen vnd beschehen für vnd vmb 320 gulden Zu 15. batzen
Le maçon Nicolas Bertram, originaire de Bouquenom en Westrich (Sarre-Union), épouse en 1595 Marguerite, veuve de l’orfèvre Loup Arnaut Sauler
Mariage, Saint-Pierre-le-Jeune (luth. p. 76 n° 39)
1595. Exaudi. Niclaus Bertram von Sarbockenheim im Westerich ein maurer, vnd Margretha, Wolff Arnold Saulers des goldtschmidts hinterlasne wittwe. Eingesegnet Zinstag nach pfingst den 10. Junÿ, Am Roseneck (i 42)
Nicolas Bertram devient bourgeois par sa femme Marguerite Ringler, veuve d’Arnaut Sauler, deux mois après son mariage
1595, 2° Livre de bourgeoisie (4 R 104) p. 727
Niclaus Bertram v. Sarbockhenen der Maurer Hat deß burgerrecht v. Margaretha Ringlerin W. Arnoldt Saulern deß goldtschmidts selig. hinderlaß. wittib. s. haußf. vndt will Zun Maurern dienen Actum den 7. Augusti 95.
Originaire de « Wasserscheidingen » ou « Wasperwiringen » près d’Œttingen, l’orfèvre Loup Arnaut Sauler épouse en 1583 Marguerite Ringler, originaire de Nuremberg
Mariage, cathédrale (luth. p. 71)
1583. Dominica Epiphaniæ. 6. Januarÿ. Wolf Arnold Sauler von Waßerderschendingen bei Ötingen der Goldschmid, vnd Margaretha Ringlerin von Nürnberg. Eingesegnet Montags den 14.ten Januarÿ (i 38)
Loup Arnaut Sauler achète le droit de bourgeoisie en mai 1582.
1582, 3° Livre de bourgeoisie (4 R 105) p. 386
Wolff Arnoltt Saulerr von wasperwÿringen d. Golttschmitt hatt das burgrecht Kaufft vnnd will Zuor steltzen dienen Acttum denn 6. Maÿ 82.
Léonard Eremus, pasteur de Zehnacker, passe un accord avec son voisin Nicolas Bertram. Le mur entre leurs maisons déclaré mitoyen sera entretenu à frais communs.
1600 (xiiij Martÿ), Chancellerie, vol. 328 (Registranda Kügler) f° 92
(Inchoat. fo: 106.) Erschienen der Würdig Wolgelert herr Leonhardus Eremus Göttlichen worts verkhündiger Zu Zehenacker ane eim
So dann Niclaus Bertram Murer am andern theil
haben beÿde partheÿen gegen einander bekhant und offentlich verÿehen demnach sie Zweÿ heüßer nebent einander Inn der statt Straßburg vff dem Roßmarck Inn krebßgaß gelegen vnd solche Zweÿ heüßer ein Steÿnin gebell vonn einander scheÿden, weÿl dann Niclaus Bertram vermeÿnt solchen Steinin gebell Ime allein Zugehörig sein (dagegen herr Leonhardus Eremus für gemeyn gehalt) dann daraus Zwüschen Innen kein widerwillen vneinigkheit hader vnd Zanck entstund Sonder gutt nachbarschafft erhalten würden, Hetten sie sich solls nachburlich vnd freundtlich deßhalben mit einander vergeben vnd verglichen Inn diße wÿß Namblich das solcher gebell für baß mit beÿden heüßern gemeÿn vnd so offt es die notturfft erfordert Inn gemeÿnen costen durch sie v. Ire nachkommen erhalten werden Alles ungeuorlich Stetigkheyt Verzügte
Marguerite Ringler femme de Nicolas Bertram est en litige avec son frère Loup Ringler de Nuremberg au sujet de la succession de leur père Michel Ringler.
1602, Conseillers et XXI (1 R 81)
(f° 234-v) Sambstag den XXXI Julÿ – Margaretha Ringlerin Ca. Wolffen Ringler Iren Bruder
Nürnbergisch sch.ben abgelesen darin sie antworten auf fürschrifft für Margaretha Ringlerin Niclaus Bertram haußfraw wid. Woffen Irem bruder dem Platner Iren vatterlichen Erbfalls wegen, d. nemblichen Iren buchern nach gesehen vnd befunden d. nach absterben Michel Ringlers Ires vatters, soviel befunden d. mehr schulden vorhanden den* gutts gewessen derwegen sie bitt m. hn. wollen Ir solchen fürhalten lassen. Erkand Man solle Ir verhalten.
La maison revient à Marie Bertram qui épouse en 1616 le tailleur Jean Gaspard Wolff.
Jean Gaspard Wolff et Marie Bertram vendent en 1624 la maison au harpiste Jean Georges Schaff et à sa femme Barbe Meyer. Les vendeurs conservent la maison voisine (au nord)
1624 (ut spâ [vj. Novemb.]), Chancellerie, vol. 452 (Registranda Meyger) f° 417
(Inchoat. in Prot. fol. 257.) Erschienen hannß Caspar Wolff d. schneÿd. burg. Zu Straßburg vnd Maria Bertramin sein eheliche haußfr. (verkaufft)
hannß Geörg Schaff dem harpffennister burg. Zu Straßburg vnd Barbara Meÿerin seiner haußfr.
hauß, hoffstatt vnd höfflin, mit Allen Ihr. geb. & gelg. Inn d. St. St. Inn d. Krebßgaß eins. n. hannß Hag dem Kornmeyster, Andseit n den verkheüffern selbst. hind. vff N. N. den Kieffer stoßend, Dauon gnd. v lb d gld. loß. mit j. C lb d vff weÿhenachten fallend, dem hauß Zu Sant Marx, Sunst eÿg. Vnd Ist disser Khauff vber obgehörtte beschwd. so d. Kheüfer vff sich nimpt Zugangen vnd beschehen für vnd vmb ij C Lxxv lb d
Fils du charpentier Georges Schaff, le harpiste Georges Schaff épouse en 1619 Barbe, veuve du journalier Jean Knoller
Mariage, Saint-Pierre-le-Jeune (luth. p. 306)
1619. Dom : 21. Trinir: 17. Octob : Hans Jörg Schaff der Harpffenist Georg Schaffen des Zimmermanns hinderlaßener Sohn, Barbara Hans Knoller des Tagners hinderlaßne Wittwe. Eingesegnet Montag 25. Octob. (i 158)
Le journalier Jean Knoller épouse en 1598 Véronique, veuve de Mathias Frisch
Mariage, cathédrale (luth. p. 38)
1598. Dominica 8 Trinitatis. Hans Knoller der taglohner Veronica Matthias frisch unc* des hutt deß Gugsman n.g. witwe (i 22)
Charretier, il se remarie en 1611 avec Barbe, veuve du cordonnier Jean Lentz
Mariage, cathédrale (luth. p. 258)
1611. Dominica Sexagesima den 2. Januarÿ. Hans Knoller der Kerchelzieher vnd Barbara Hans Lintzen deß schumachers n.g. witwe (i 133)
Fils de Jean Lentz, Jean Lentz épouse en 1598 Barbe, fille du journalier Conrad Meyer
Mariage, Saint-Pierre-le-Vieux (luth. f° 56-v n° 12) 1598. Hans Lentz der Schumacher, Hans Lentz. seligen verlasner Sohn. J. Barbara Conrad Meÿern des taglöners verlasne tochter, eingesegnet den 20. Februarÿ (i 59)
La maison revient ensuite à son frère musicien Sébastien Schaff
Fils du charpentier Georges Schaff, Sébastien Schaff épouse en 1634 Véronique, fille du boulanger Georges Ulmer d’Erlangen près de Donauwörth
Mariage, Saint-Pierre-le-Jeune (luth. p. 154)
1634. Edadem [Dom. LXX. 2. Febr.] Sebastian Schaff der Spielman und burger alhie, Jörg Schaffen gewesenen burgers vnd Zimmermans nachgelasener Son, vnnd F. Veronica Jörg Ulmer deß Becken Zu Erlangen bey Donawwert nachgelaßene tochter. Cop. 10. Feb. Zu J. St. Peter (i 79)
Les préposés au bâtiment nomment l’emballeur Sébastien Schaff préposé aux fortifications ; il refuse d’abord le titre à cause de la mauvaise réputation du précédent titulaire. Il reçoit un salaire d’une livre par semaine.
1638, Préposés au bâtiment (VII 1347)
(f° 10) Mittwoch den 7. Martÿ – Zeugknecht, Wahlmeister, hannß Bernhard, Sebastian Schaff
7. würd erinnert, das man eines knechts vff dem Zeughoff für dißmal vonnöthen, presentirt sich eine persohn nemlich Bastian Schaff, des Spanenknechts bruder welcher man für tüchtig ane diesen orth halte, d. wolte aber den namen nicht haben, das er das * wahlmeisters knecht sein* solte, quæritur, ob Er Ihme nicht alß Ein adiunctus Zu Zu ordnen. Beÿ d. umbfrag erwehnt, das weg. sein wahlmeisteren leiderlich keit, vnd besonders gespürter untrew in der statt holtz en es gezeug, bißher vielfaltige clagen vorkommen, hette man mit Ihme ferner nicht Zuprangen, sondern gar abzuschaffen genugsame ursach.
Erkanndt beÿ nechster erscheinung der übrig beeden vorsitzende Bawherren von dießem geschafft wider reden, inmittelst obgemelt person Ihme Wahlmeistern adiungiren vnd Zu ordnen. Sambst. den 17. Mart. Ihm bescheid angezeigt vnd umb 1 lb zu wochen lohn gedingt worden.
Baptême d’un enfant de Sébastien Schaff, préposé aux fortifications, et de Véronique Ulmer
Baptême, Saint-Pierre-le-Jeune (luth. f° 7 n° 43)
1648. Eodem [Dominica Trinitatis XI] P. Sebastian Schaff der Wahlmeister vnnd Veronica Vlmerin. J. Hanns Heinrich. C. Hannß Friderich Heupel der Schaffner im guttleuth hauß, Hannß Georg Schneider der Stattschlosser, Anna Balthasar Böler der k* (i 5)
Véronique Ulmer, femme de l’employé aux fortifications au chantier des charpentiers Sébastian Schaff, meurt en 1658 en délaissant deux enfants mineurs, Susanne et Jean Frédéric. L’inventaire est dressé rue de Schiltigheim dans une maison qui appartient à l’Orphelinat. L’actif de la succession s’élève à 32 livres, le passif à 1 livre.
1658 (17. 9.bris), Not. Winter (Jean Christophe, 62 not 8) n° 15
Inventarium vnd beschreibung der Jenigen Nahrung so weÿl. Veronica Ulmerin, Sebastian Schaffen, burgers und Wahlknechts vff dem Zimmerhoff daselbst .geweßene hfr. bey ihrem den 17. 7.bris 1658.sten Jahrs beschehenen seel. ableiben verlaßen, welche vff erfordern vnd begehren des Ehrsamen Veit Karchers, Stattschreiners, Als geschw. vogts Susannæ vnd hanß Friderichen, der fr. seel. mit obgedachten Sebastian Schafen, dem hind.bliebenen Wittiben ehelich erzeugter Kind. vnd ab intestato nachgelaßener Erben (…) Act. vnd besch. Mittwochs d. 17. 9.bris 1658.
Es ist Kein Eheberedung vorhand. auch Kein Codicill od. einie and.re letsten will
In einer in d. St. Str. ahne Schiltzgaßen gelegener und dem Stift des Waißenhaußes gehörigen behaußung befund. word. alß volgt
In d. Stuben, In d. Stub Camm. Im Cämerlein des haußöhrins, In der Kuch
Abzug haußrath 31 lb, gl. Ring 10 ß, Sâ Sârum 32 lb – Schulden 1 lb Nach deren Abzug 31 lb
Le menuisier Frédéric Schaff, fils de l’employé aux fortifications Sébastien Schaff, épouse en 1666 Susanne, fille de l’arquebusier Etienne Bentz
1666 (28. Junÿ), Chambre des Contrats, vol. 532 f° 361-v
(Eheberedung) Erschienen Friderich Schaff der Schreiner Burg. Zu Straßburg alß hochzeiter, mit assistentz Sebastian Schaffen deß Wahl Knechts Burgers alhie seines eheleiblich. Vatters, an einem,
So dan Jungfr. Susanna, Stephan Bentzen deß Büchßenschmidts Burgers zu Straßburg eheliche dochter alß hochzeiterin mit beÿstand hannß Philipß Fritschen deß Schneiders und Meelwägers beÿm Spittalthor alß, seiner Anzeig nach, mündlich Befelchhabers obernants Stephan Bentz. /:alß welch. lagerhafft seÿe:/ am andern theil
Susanne, fille de l’employé aux fortifications Sébastien Schaff, épouse en 1667 le canonier David Sauter
Mariage, Saint-Pierre-le-Jeune (luth. f° 172 n° 22)
1667. Eâdem Dominicâ [Sonnt. IX Trinitatis 4 Augusti] David Sauter der Feÿr Wercker vndt Constablen beÿ hiesiger Statt Vndt Jfr. Susanne, Sebastian Schaf, deß Waalknechts Vndt Burgers alhier ehl. Tochter. Copulavi Eod. die [Mont. 12. Augusti] (i 185)
Le menuisier Jean Frédéric Schaff vend le quart de la maison à Marguerite Ochs
1670 (10. martÿ), Chambre des Contrats, vol. 537 f° 155-v
Erschienen hannß Friderich Schaff der Schreiner
in gegensein Magdalena Ochßin
den vierten theil ihme für ohnvertheilt gebührend ahne Einer Behaußung und alle deren Gebäwen, Begriffen, Zugehördten und Gerechtigkeiten am Roßmarckh in der Krebßgaß. einseit neben Michael Finckh dem Statt Kornwerffer anderseit neben Weÿl. H Hannß Caspar Wolffen seel. Erben, hind. vff weÿl. H Hannß Königs seel. Erben stoßend geleg. welche gantze Behaußung umb 100. lib. der groß. gemeinen allmosen Zu St. Marx verhafftet (welche quart sie auch übernohmen) – umb 6 lib.
Susanne, femme de David Sauter et Madeleine Ochs vendent la maison à Jean Georges Heckler, chef de chantier à l’Œuvre Notre Dame
1670 (6. Junÿ), Chambre des Contrats, vol. 537 f° 334
(Prot. fol. 13. fac. 2.) Erschienen Susanna, David Sautors Statt Fewrwerckers Eheweib mit assistentz erstermelts ihres Ehevogt, so dann Magdalena Ochßin
in gegensein hannß Georg Häckhlers der Fabric deß Münsters Werckmaÿsters
hauß, hoffstatt höfflin und hinderhäußlin, mit allen deren Gebäwen, Begriffen Zugehördten und Gerechtigkeiten alhie am Roßmarckh in der Krebsgaß. einseit neben H Hannß Caspar Wolffen großen Rhats Verwanthers seel. Erben anderseit neben Michael Finckh Statt Kornwerffern hinden uff weÿl. H Hannß Königs geweßenen groß. Rhats Verwanthens seel. Erben stoßend gelegen, welche Behaußung umb 100. lb dem groß. gemeinen allmosen Zu St Marx verhafftet (übernohmen) – umb 50 Pfund pfenning
Jean Georges Heckler vend la maison au tisserand Jean Jacques Wipff l’aîné et à sa femme Anne Marie
1677 (22. Aug.), Chambre des Contrats, vol. 546 f° 610
(prot. fol. 69) Erschienen Herr Johann Georg Heckhler der Fabric deß Münsters Werckhmaÿster
hatt in gegensein Hannß Jacob Wipffen deß ältern Leinenwebers und Annæ Mariæ beÿde Eheleuth
hauß, hoffstatt, höfflin undt hinder häußlin, mit allen deren gebäwen, begriffen, Zugehördten undt gerechtigkeiten alhier am Roßmarckh in der Krebsgaß, einseit neben Weÿl. H. Johann Caspar Wolffen E.E. Großen Rhats gewesenen beÿsitzers nunmehr seel. hinderlaßener Erben anderseit neben Michael Linckhen Kornwerffern, hinden uff Weÿl. H. hannß Königs obged. Rhats beÿsitzers nunmehr seel. hinderlaßen Erben stoßend gelegen – umb 225. lb
[in margine :] Erschinenen Maria Salome gebohrne Zimmerin Philipp Gerhards deß fischers Haußfrau mit beÿstand deßelben und Peter Werner der remp alß vogt Jgfr. Annæ Catharinæ Zimmerin alß welchen beeden die restirende 100 Pfund zuständig ane einem, So dann hierin gemelter hannß Jacob Wipff alß debitor andern Theils, Zeig. an, demnach Er nicht allein die hiervor restirende 100. lb biß dato schuldig verblieben, sondern auch vermög bescheids vom 29. 8.br: 1682. beÿ E:E: Großen Rhat allhier in noch fernerer 100. lb alß Zusammen 200. lb Zu bezahlen comdemnirt worden, alß hätten sie sich und Zwar der vogt auff d. am 18. Mart: 1690. ergangenen decretum alienendi nachfolgend gestalten mit einander gütlich Verglich. d. nemblich weilen die versetzte behaußung anietzo nicht so hoch hat Verkaufft werd. können alß die darauff gewießene beschwerden außwerffen solchemnach Er Wipff denen selben 150. lb bahren Geltts erleg. q. hiengeg. aber die Zimmerische dochter kein fernerer ansprach wed. an Ihn noch d. hauß mach. sollen, Act. den 21. Mart: 1690. (q. inmaßen würcklich geschehen)
Fils du tisserand Mathieu Wipff, Jean Jacques Wipff épouse en 1651 Rosine, fille du taillandier Jean Jacques Feigler
Proclamation, Saint-Guillaume (luth. f° 21 n° 19)
1651. Dominica 15 & 16 Trinit. Johann Jacob Wipf der Leinenweber Mathæi Wipfen des Leinenwebers vnd Burgers alhie Ehelicher Sohn vnd Jungfr. Rosina, Hans Jacob Fuglers des Waffenschmidts vnd Burgers alhie Eheliche Tochter. Copul. ad Jun. Petr. d 15. 7.Nbris (i 24)
Mariage, Saint-Pierre-le-Jeune (luth. f° 48-v n° 23)
1651. Dominica XV. Trinitatis. Hanß Jacob Wipff der Leinen Weber, Mathæi Wipffen des Leinen Webers vndt Burgers alhie ehelicher Sohn vnnd Jungfr. Rosina, Hans Jacob Feiglers des Waffen: Schmidts vnndt Burgers alhie eheliche Tochter. Sind Copulirt Worden Mont. den 15.ten 7.bris Zum J S Peter (i 60)
Le tisserand Jean Jacques Wipff épouse en 1662 Susanne, veuve du chapelier Daniel Grossheinrich
Mariage, Saint-Pierre-le-Jeune (luth. f° 125-v n° 37)
1662. Dominica XV. Trinitat. 7. 7.bris. Hanß Jacob Wipff der Leinen Weber Vnd Burger allhie Vndt Susanna, Weÿl. Daniel Großheinrich, deß Huotmachers vndt Burgers allhie, nachgel. Wittib. Copulavi Zinst. 16. Septembr. (i 138, proclamation Saint-Guillaume p. 54 n° 22)
Le chapelier Daniel Grossheinrich épouse en 1646 Susanne, fille de l’aubergiste Balthasar Gœppel
Proclamation, cathédrale (luth. p. 502)
1646. domin: 23. Trinitatis. Daniel Großheinrich der Hutmacher vnd Burger allhie, Vnd J: Susanna, Baltzer Göbbel gewesenen Wirths Zum Guldenen Reiff eheliche tochter. Zum J. St. Peter Zinst. 10. Nov. (i 256)
Mariage, Saint-Pierre-le-Jeune (luth. f° 31) 1646. Eadem [XXIII Trinitatis] Daniel Großheinrich der huttmacher v. burger allhie vndt Jfr. Susanna, Balthasar Göppel deß gasthalters Zum guldenen Reiff allhier nacheg. tochter. Copulirt Zinst. (i 40)
Jean Jacques Wipff l’aîné se marie en 1676 avec Marie, veuve du jardinier Paul Müller
Mariage, Saint-Guillaume (luth. p. 117)
1676. Dominic: Quasimodogeniti & Misericordias den 2. et 9. Aprilis. Hannß Jacob Wipff der ältere Burg. vndt leinenweber, Maria Paulus Müller des Gartenmanns wittib (i 77)
Fils du jardinier du même nom, Paul Müller épouse en 1652 Anne Marie, fille du jardinier Michel Bauer
Mariage, Saint-Guillaume (luth. f° 23 n° 19)
1652. Dominicis VIII. et IX. Trinit. 8/15 Aug. Paulus Müller Jünger Garten Mann, Pauli Müllers auch Garten Manns vndt Burgers alhie ehelicher Sohn, vnndt Jgfr. Anna Maria Michell Bauren Garten Manns vnd der Zeitt Zeigers auf dem Schieß Rein eheliche Tochter, aderant ambo perentes, Kirchgang gehalt. dinstags h. X. Zue S. Wilhelm wer d. 17. Augusti (i 26)
La femme du tisserand Jean Jacques Wipff se plaint auprès du conseil des maçons que Mathias Wantz demande trop pour le travail qu’il a fait chez elle. La commission confirme la facture de Mathias Wantz.
1675, Protocole de la tribu des Maçons (XI 230)
(f° 144) Donnerstags den 8. Julÿ Anno 1675
Hanß Jacob Wipffen, des Leinenwebers Hausfraw clagt wieder Matthiß Wantzen, daß er Ihro vor 7 lb 10 ß d arbeit gemacht haben bittet deßwegen, weil es Zuviel umb einen augenschein
Beklagter berichtet, habe solches redlich verdient.
Seindt hierauff herr Heckler vndt Herr Bleßig den augenschein einzunehmen abgeordnet
(f° 145-v) Donnerstags den 2. Septembris Anno 1675
In Sachen Hanß Jacob Wipffen, des Leinenwebers Hausfrawen, Klägerin, contra Matthiß Wantzen, beklagten, referiren herr Heckler vndt herr Bleßig auff angenommenen augenschein, daß Matthiß Wantz denjenigen Lohn, so er inn dem Zedul gefordert, gar wohl verdient. Deßwegen erkandt, soll Clägerin beklagten mit bekehrung Costens vndt schadens völlig bezahlen.
Jean Jacques Wipff et sa femme Anne Marie hypothèquent la maison au profit de Christophe Güntzer, secrétaire des Quinze et administrateur de la fondation Otto
1679 (7.6.), Chambre des Contrats, vol. 548 f° 472
Hannß Jacob Wipf der Leinenweber und Anna Maria beÿde Eheleuth, und Zwar Sie Anna Maria insonderheit mit beÿstand Henrich Schwartzen deß Rechenmeÿsters, und Balthasar Hügelins deß Schwartzbeckhens beÿder alß deroselben hierzu erbettener nechster Verwanther
in gegensein deß Edel- hochgelehrten Herrn Christoph Güntzers U. I. Ddi und dreÿ Zehen Secretarÿ alß Administratoris deß Ottonischen Stipendi – schuldig seÿen 50 lb
unterpfand, hauß, hoffstatt, höfflein mit allen deren gebäwen, begriffen, Zugehördten, rechten und Gerechtigkeit. alhier an dem Rosmarckh, einseit neben Johann Caspar Wolffen dem Lautenmacher anderseit neben weÿl. Michael Linckhen deß Kornwerffers nunmehr seel. nachgelaßener Wittibin, hinden uff weÿl. herrn Hannß Königs alt. Großen Raths Verwanthens nunmehr seel. hinderlaßen Erben stoßend gelegen
Jean Jacques Wipff, cordonnier à Illkirch, vend la maison au receveur Jean Thiébaut Reis
1690 (21.3.), Chambre des Contrats, vol. 562 f° 152-v
Hannß Jacob Wipff der Schuhmacher meÿster zu Illkirch
in gegensein H. Johann Theobald Reÿßen Schaffners Zum Jungen St. Peter
Eine behausung, höfflein, hoffstatt und hind. haüßlein, mit allen deren Gebäwen, begriffen, allhier am Roßmarckt in der Krebßgaß, einseit neben Hannß Caspar Wolffen Erben anderseit neben Michael Fincken deß Kornwerffers Erben, hinden auff Weÿl. H. hannß Königs seel. Erben stoßend gelegen. Welche behaußung annoch umb 75 Pfund dem Stifft Jungen St. Peter verhafftet – geschehen umb 150 Pfund
Jean Thiébaut Reis loue la maison au remueur de grains Jean Georges Osterried
1690 (ut. sup. [7.7.br]), Chambre des Contrats, vol. 562 f° 473-v
Hn Johann Theobald Reiß, Schaffner Zum Jungen St. Peter
in gegensein hans Georg Osterried, deß Kornwerffers, daß Er H. Reiß proprio noê Ihme Osterried
verlühen, eine behaußung mit allen Gebäuen und Zugehördt. allhier am Roßmarckt in d. Krebsgaß einseit neben hans Caspar Wolff. Erben, anderseit neben Michael Fincken deß Kornwerffers Erb. hind. auff hans Königs sel Erben stoßend gelegen, auff zweÿ Jahr lang, von nächst künfftig. Michaelis anzurechnen, umb 20 pfund jährlich. Zinß
Jean Thiébaut Reis vend la maison au précepteur Jean Adolphe Rumetsch moyennant 525 livres
1707 (10.9.), Chambre des Contrats, vol. 580 f° 572-v
(525) S.T. Herr Johann Theobald Reiß alter ammeister &
in gegensein Joh. Adolph Rumetsch Præceptoris domestici
eine behaußung Höfflein, hoffstatt und hinterhäußlein mit allen deren gebäuen allhier in der Krebsgass, einseit neben einem Hauß gemeiner statt gehörig anderseit neben Joh. Woillaumé Mackler hinten auf Joh. Jacob Ratzen stoßendt – um 525 pfund
Jean Adolphe Rumetsch et sa femme Anne Barbe Baquin hypothèquent le même jour la maison au profit du tourneur Henri Berion
1707 (10.9.), Chambre des Contrats, vol. 580 f° 573-v
immediate supra stehender Rumetsch und Anna Barb: Baquinin beÿständlich Joh. Friedrich Schmid Stattwagners u. David Rasp wagners
in gegensein Heinrich Berions hohldrehers, 225 lb, zu erkauffung unten versetzten behaußung
unterpfand, perge ut immediate supra ibi eine Behaußung usq. ad eÿgen
Barbe Paquin, femme du chirurgien Jean Adolphe Rumetsch, est fille de l’interprète David Paquin d’après l’acte de partage
1698 (19.2.), Not. Rohr (Daniel, 46 Not 4) f° 152
Designatio und respectivé Abtheilung Uber Weÿland des Ehren und wohlvorgeachten Herren David Paquins geweßenen dollmetschen und burgers allher zu Straßburg nunmehr seeligen verlassenschafft
3. Barbara Rumetschin gebohrne Paquinin des Ehrenachtbaren herrn Johann Adolph Rumetschen bruch Schneiders und auch Schirms Verwanthen allhier
Originaire de Spire, le chirurgien Jean Adolphe Rumetsch et sa femme Anne Marie Backin font baptiser François David en 1702
Baptême, Saint-Pierre-le-Vieux (luth. f° 153-v)
Anno 1702. Heut dato den 7. Aprilis Ist ein Junges Söhnlein Nahmens Franciscus David getauffet worden desselben Eltern seind Johann Adolph Rumetsch Von Speÿer schirmer v. bruch schneider alhier vndt Fr. Anna Maria Backinin, der tauff zeügen aber Wahren Monsieur Barron Haÿn Noch lediges standts, H. Johann Jacob Backin der ledige haußknecht welcher aber nicht Zugegen wahr, v. deßwegen Hr. Baron solches Werck verrichtete, Jonas Faudel der burger v. huffschmidt alhier, Maria Ursula Borckbinin (…) [unterzeichnet] Johann Adolph Rumetsch alß vatter, H. Baron von Haÿm freÿh. von halberstatt (i 162)
Originaire de Spire, le précepteur Jean Adolphe Rumetz et sa femme Anne Barbe Baquin achètent le droit de bourgeoisie en apportant une fille. Ils feront partie de la tribu de la Mauresse.
1712, 3° Livre de bourgeoisie f° 1284
Joh: Adolff Rumetz d. Informator V. Speÿer, V. sein Fr: anna Barbara Baquinin V. hier erkauffen d. burgerrecht p. 6. Gold fl. 16. ß mit ihrem Kind bleibt es beÿ ordnung. Wird Zur Mörin dien. Jur: d. 5. Martÿ 1712.
Jean Adolphe Rumetsch et Anne Barbe Baquin vendent la maison au sachetier Jean Pierre Schwab et à sa femme Marie Ursule Rauch
1710 (5.9.), Chambre des Contrats, vol. 583 f° 555-v
(750) hr Joh: Adolph Rumetsch præceptor privatus und Anna Barb: geb. Backinin
in gegensein Joh: Peter Schwab secklers und Mariæ Ursulæ geb. Rauchin
eine behaußung höfflein hoffstatt u. hinterhäußlein mit allen deren gebäuden, begriffen, weithen, zugehörden, rechten und Gerechtigkeiten in der Krebsgass, einseit neben einem hauß G. St. gehörig anderseit neben Joh: Wuillaumé hinten auf Joh: Jacob Ratzen stoßend – um 225 und 150 pfund beladen, geschehen um 375 pfund
Originaire de Pforzheim, Jean Philippe Pierre Schwab épouse en 1710 Marie Ursule, fille du chirurgien Jean Rauch
Mariage, Temple-Neuf (luth. f° 218-v n° 33)
1710. Eod. [Mittwoch den 3.t 7.mbr.] Seind nach 2.mähl. Proclamation ehl. copulirt worden Joh: Phil. Peter Schwob der ledige Seckler weÿl. Joh: Christoff Schwoben gew. Secklers Zu Pfortzheim hinterl. ehel. Sohn, vnd J. Maria Ursula weÿland H Joh. Rauchen ges. Chirurgi allhir nachgel. ehl. Tochter [unterzeichnet] hanß Peter schwab, Maria Ursula Rauchin als hoch Zetdin (i 218)
Jean Philippe Pierre Schwab devient bourgeois par sa femme quinze jours après son mariage
1710, 4° Livre de bourgeoisie f° 779
Joh: Philipp Peter Schwab der Seckler Von Pfortzheim, weÿl. Christoph Schwab gew. Secklers sohn, empfangt das burgerrecht von seiner Fr. Maria Ursula Sauchin p. 2. gold. fl. 16 ß. Wird beÿ E. E. Zunfft Zum Spiegel dienen. Jur. d. 15. 7.bris 1710.
Jean Pierre Schwab et Marie Ursule Rauch vendent la maison au cordonnier Jean Hermann Lœchner et à sa femme Anne Salomé Ruff moyennant 700 livres
1711 (ut supra [23.3.]), Chambre des Contrats, vol. 584 f° 154-v
(700) Joh: Peter Schwab seckler und Maria Ursula geb. Rauchin
in gegensein Joh: Herrmann Löchners schuem: und Annæ Salome geb. Ruefin
eine behaußung höfflein hoffstatt u. hinterhäußlein mit allen deren begriffen, weithen, zugehörden, rechten und Gerechtigkeiten in der Krebsgass, einseit neben einem hauß gemeiner Statt gehörig anderseit neben Joh: Wuillaume hinten auf Joh: Jacob Ratz – um 225, 150 und 275 pfund beladen, geschehen um 50 pfund
Originaire de Lauterbourg, Hermann Lechner épouse en 1709 Anne Salomé Ruff de Strasbourg qui figure sur la liste des convertis tenue par les Jésuites
Mariage, Saint-Etienne (cath. f° 107-v)
Hodie die 26 februarÿ Anni 1709 (…) nuptias celebravere Hermannus Lechner sutor ex urbe Lauterbourg diœcesis Spirensis oriundus et Anna Salome Rueffin Argentinensis (signé) + signum sponsi, + signum sponsæ (i 110)
Jésuites (AST 305) Salomea Rufin, 1708, nouembr. 7.
Fils du cordonnier Jean Jacques Lœchner de Lauterbourg, Hermann Lœchner devient bourgeois par sa femme trois mois après son mariage
1709, 4° Livre de bourgeoisie p. 775
Hermann Löchner, der schumacher, von Lauterburg, weÿl. Johann Jacob Löchner gew. schumachers daselbst sohn, empfangt das burgerrecht von seiner Fr: Anna Salome Ruffin p. 2. Gold fl. 16. ß. Wird beÿ E.E. Zunfft der schumacher dienen. Jur. d. 13. dito [Maÿ] 1709.
Jean Hermann Lœchner et Anne Salomé Ruff hypothèquent la maison au profit du sellier Jean Georges Brœsamlé
1711 (ut supra [18.7.]), Chambre des Contrats, vol. 584 f° 407
herrmann Lechner schuem: und Salome geb. Ruefin beÿständlich Joh. Thomas Kau und H. Joh. Martin Riegers hierzu auß mittel E.E. Kl. Raths in ermanglung verwanther deputiret
in gegensein Joh. Georg Brößamle sattlers, schuldig seÿen 100 pfund
unterpfand, ihr hauß c: appert: in der Krebsgaß, einseit neben einem hauß G: S: anderseit neben Wuillaumé hinten auf Rentz
Jean Hermann Lœchner et Anne Salomé Ruff revendent quatre mois plus tard la maison à Jean Rasp, huissier à la tribu des Cordonniers
1711 (1.8.), Chambre des Contrats, vol. 584 f° 431
(650) Joh. Herrmann Löchner schuemacher und Anna Salome geb. Ruefin
in gegensein Johann Rasp büttels beÿ E.E. Zunft der schuemacher
eine behaußung höfflein hoffstatt und hinter häußelin mit allen begriffen, weithen, zugehörden, rechten und gerechtigkeiten in der Krebsgass, einseit neben einem hauß gemeiner stadt gehörig anderseit neben Joh. Wuillaumé hinten auf Joh. Jacob Ratz – um 223, 150 und 100 pfund beladen,geschehen um 175 pfund
La fiancée de Jean Rasp figure sur le liste des nouveaux bourgeois de 1683
1683, Nouveaux bourgeois en 1683, VI 500
Johann Raspen Verlobte um 8. gold fl 13. Eiusd.
Le cordonnier Jean Rasp et sa femme Barbe Groll font baptiser leur fils Jean Pierre en septembre 1684
Baptême, Saint-Pierre-le-Vieux (luth. f° 211 n° 95)
1684. September, d. 6. – Joh: Rasp d. schuhmacher, Barbara g. Grollin. Inf. hans Peter. Susc. hans Michael Stumpff f. Salpeter sieder, h hans Adam Zeltner der Wirth, Barbar Friedrich Kleinen* fr. (i 211)
Barbe Groll meurt le 7 mars 1713 à l’âge de 49 ans
Sépulture, Saint-Pierre-le-Vieux (luth. reg. 1710-1735 f° 9-v)
1713. Dienstags zu nacht zwischen 10. v. 11. Uhr als den 7. marti ist gestorben frau Barbara geborne Grollin, herrn Johann Raspen des burgers, Schuhmachers v. der Schuhmacher Zunfft Haupt Kanden bißer geweßene ehel. haußfrau, vndt Freÿtags darauff als den 10. ejusd. nach gehaltener Leichpredigt Zu St. Thom. auff dem gottesacker Zu St. Helenæ christlich begraben worden, ihres alters 49. jahr vndt 10. monath weniger 14 tag [unterzeichnet] Johannes Rasp als wittwer (i 12)
Jean Rasp se remarie avec Marthe Burgund, veuve du tonnelier Jean Rœderer : contrat de mariage tel qu’il est copié à l’inventaire, célébration
1713, Not. Pantrion (Jacques Christophe, répert. 65 Not 45)
Eheberedung – Joh: Raspen Schuemach. Vnd frawen Marthæ geb. Burgundin
Copia der Eheberedung – zwischen dem Ehren vnd Vorgeachten Herrn Johann Raspen, Schuemacher, und E. E. Zunfft der Schuemacher Wohlverordneten Haubt Kanten, als Bräutigamb ane einem, So dann der Ehren und tugendsamen Frauen Marthæ gebohrner Burgundin, Weÿland Herrn Johann Röderers geweßenen Kieffers vnd Burgers alhier seel. nachgelaßener Wittwen als der frau hochzeiterin Andern theils
mit gutem Consens, Wißen, Willen undt Gehell der Ehrenhafften und bescheidenen Herrn Johann Moßeders, Schuhmachers, des herrn Hochzeiters Kinder Erster Ehe Vogts, vff sein des Bräutigambs, So dann vff ihr der hochzeiterin Seiten herrn Georg Rudolph Eißen des Leinenwebers ihres Schwagers vnd Herrn Johann Carol Röderers Biersieders Zum Wildenmann, als dero dochter erster Ehe Geschwornen Curatoris (…) Straßburg Sambstags den 12. Augusti Anno 1713. Jacob Christoph Pantrion, Notarius
Mariage, Saint-Pierre-le-Vieux (luth. f° 138-v)
1713. d. 13. Septembris seind Ehelich eingesegnet worden hr Johannes Rasp der Burger vndt Schumacher allhie vndt Frauw Martha Weiland Johannes Röderers gewesenen Kieffers vndt Burgers allhier nachgelaßene Wittib [unterzeichnet] Johannes Rasp als hochzeiter, x der hochzeiterin Zeichen (i 41)
Fils du tanneur André Rœderer, Jean Rœderer épouse en 1695 Marthe, fille de Frédéric Burgun de Dossenheim
Mariage, Saint-Pierre-le-Vieux (luth. f° 49)
1695. Eodem [den 4. Maÿ] Johannes Rederer lediger Kiefer v. biersied. Andreæ Rederers Rohtgerbers v. burgers alhie hinterlaßener ehelicher Sohn Jungfr. Martha Friderich Burgen des burgers Zu Dosenheim eheliche tochter [unterzeichnet] Johans Röderer als hoch Zeiter, HB diese buchstaben hat Jungfer hochzeiterin hieher gesetzt (i 50)
Les nouveaux mariés font dresser l’inventaire de leurs apports au poêle des Cordonniers. Ceux du mari s’élèvent à 1 761 livres, ceux de la femme à 1 007 livres.
1713 (5.8.br), Not. Pantrion (Jacques Christophe, 40 Not 30)
Inventarium über Johann Raspen Schumachers: vnd selbiger Ehrsamen Zunfft Wohlverordneten Büttels vnd Frawen Marthæ, gebohrner Burgundin, beeder Eheleuthe vnd burgere Zu Straßburg, einand. in den Ehestand Zugebrachte Nahrung auffgericht, in Anno 1713 – Crafft Ihrer mit Einander Auffgerichteten Eheberedung, alß ein ohnverändert Guth in den Ehestand zugebracht, Welche Zu Verhütung Künfftigen Streits (…) Actum Straßb. in fernerer Gegenwarth Herrn Johann Carol Röderers Biersieders Zum Wilden mann, der Ehefrauen dochter Vogts vndt erbettenen Assistenten, Donnerstags d. 5.ten Octobris 1713.
In einer alhier Zu Straßburg in der Ketten Gaßen Geleg. die Schuemacher Stub Genandt Ist befund. word. wie volgt
Series hujus Inventarÿ. Des Ehemanns Unverändert Guth, Sa. haußraths 404, Sa. Weins Vnd Vaßen 914, Sa. des Silbers 58, Sa. der Guldenen Ring 13, Sa. der baarschafft 162, Sa. Capitalien 725, Sa. Schulden 191, Summa summarum 2470 lb – Schulden 709 lb, Nach solchem abzug 1761 lb
Der Ehefrawen Unverändertes Vermögen, Sa. haußraths 166, Sa. der frucht 40, Sa. des Weins vnd vaßen 118, Sa. Silbers 26, Sa. Guldenen Ring 25, Sa. der Baarschafft 359, Sa. Schulden 334, Summa summarum 1070 lb – Schulden 63 lb, Nach deren Abzug 1007 lb
Nach Schließung dießes Inventarÿ hat die Ehefraw mit Consens Ihres Ehevogt beÿständlich Herrn Johann Carol Röderers alß Jungfr. Mariæ Magdalenæ Rödereri, Ihrer dochter erster Ehe vogt Ihrer dochter (…)
Jean Rasp meurt en 1722 en délaissant cinq enfants de sa première femme Barbe Groll. La masse propre à la veuve est de 644 livres, celle des héritiers de 1 389 livres. L’actif de la communauté s’élève à 1 131 livres et le passif à 1 918 livres.
1722 (20.7.), Not. Pantrion (Jacques Christophe, 40 Not 48)
Inventarium und beschreibung aller Haab und Nahrung, so weÿl. der Ehrengeacht: u. vorachtbahre H. Johannes Rasp, geweßener Schumacher und E. E. Zu,nfft der Schumacher hauptkandten nunmehr seel. nach seinem dritten Julÿ Jüngsthin, aus dießem mühesamen Leben genommenem tödlich Ableiben Zeitl. verlaßen, welche auf freundliches ansuchen erfordern und begehren des Abgeleibt. seel. hinterlaßener Söhne und Tochter, wie auch dero Ehe: und vögte, wie solche am folgenden Folio benambßer Inventirt durch Sie die anweßenden Erben selbsten wie auch die Ehren: und Tugendbegabte Fraw Martham gebohrne Burgunden die hinterlaßene Wittib mit beÿstand des Ehrenhafft: und vorachtbahren Herrn Johann Barbeault, Schumachers und burgers alhier dero geschwornen Curatoris (…) So beschehen in Straßburg Montags den 20. Julÿ 1722.
Der Abgeleibte seel. hat ab intestato Zu Erben verlaßen wie folgt. 1. den Ehrenhafften Meister Isaac Raspen, glasern und burger, alhier so dießer Inventur persönlich Zugegen gewesen, 2. H Johann Raspen, handelßmann Zu Offenbach beÿ franckfurth, in deßen Nahmen weilen er abweßend auch ohnverburgert der Wohl Edel vornehmer handelßmann u. E. E. Kleinen Raths beÿsitzer, alß auß wohlermelts Kleinen Raths Mittel hierzu insonderheit& verordneter Herr Deputatus dießem Geschäfft beÿgewohnt, 3. die Ehren: und Tugendsame Frau Mariam Elisabetham Dörfferin gebohren Raspin, des Ehrenhafften Meister Johann Georg Dörffers, Kiefers undt burgers alhier Ehefrau, beÿständlich erstgedacht ihres Ehevogts, 4. H. Cornelius Raspen, noch Ledigen hauß Knecht Vnd dann 5. Johann Jacob Raspen, noch ledigen Schuhknecht der Zeit auff der Wanderschafft begriffen, dießen beed. noch ledigen Söhne geschworner Vogt der Ehrenhafft und vorachtbahre H Johannes Mosseder Schumacher und burger alhier, Alle als des verstorbenen seel. mit weÿl. frauen Barbara gebohrner Grollen in erster Ehe ehelich erzeugte Söhn v tochter, und ab intestato Zu 5. Gleich. Antheilen verlaßene Erben mit assistentz des Wohl Ehrenvesten und Rechstgelehrten herrn Johann Lobsteins notarÿ publici et pract: allhier
Auff der Schumacher Zunnft Stuben allhier und denen dem bütteln verordneten gemach. hat sich befunden wie folgt
Hültzen und Schreinerwerck, Auff dem gang, In der Cammer über d. Gaststub, vor dießem Gemach, In der hintern Stub, In der Magd Cammer, In der ober hintern Cammer, vor dießem Gemach, In der Gaststub, In der Kuchen, Im Leder Cämmerl., Im hoff
(f° 18) Ergäntzung der Wittib unveränderten Guths. Auß dem, über eingangs gemelter beed. Eheleute in den Ehestand Zugebrachte Nahrungen, durch mich unterschrieben Notarium in Anno: 1713. auffgerichteten Inventario
(f° 23) Series rubricarum hujus Inventarÿ. Eheberedungs Copeÿ
Der Wittib unveränderte Nahrung, Sa. haußraths 47, Sa. der leeren vaß 16, Sa. Silbers 4, Sa. Guldenen Ring 14, Sa. baarschafft 7, Sa. Schuld 20, Sa. Ergäntzung 534, Summa summarum 644 lb
Dießemnach Würd auch der Erben ohnverändertes Vermögen beschrieben, Sa. haußraths 209, Sa. vaß 30, Sa. Silbers 52, Sa. guldenen Ring 7, Sa. baarschafft 18, Sa. Ergäntzung 1324, Summa summarum 1643 lb – Schulden 253, Nach deren Abzug 1389 lb
Endlichen volgt auch die Consignation des Gemeinen theilbahren Guths, Sa. haußraths 98, Sa. Frucht 19, Sa. wein vnd vaß 412, Sa. Silbers 14, Sa.Guld. Ring 3, Sa. baarschafft 70, Sa. Pfenningzinß hauptgüter 325, Sa. Schuld. 188 Summa summarum 1131 lb – Schulden 1918, Übertreffen also die Theilbare Passiva die sambtliche theilbare Activ Massam vmb 787 lb 6 ß
Conclusio finalis Inventarÿ 1199 lb
Copia der Eheberedung (…) Straßburg Sambstags den 12. Augusti Anno 1713. Jacob Christoph Pantrion, Notarius
L’inventaire après la mort de Marthe Burgund est dressé en 1730
1730, Not. Pantrion (Jacques Christophe, répert. 65 Not 45)
Inv: über weÿl. fr. Marthä geb. Burgundin auch weÿl. Joh: Raspen. geweß. Schuhm. und büttels E.E. zunfft der Schum. hinterbl. Witt. Verl.
Jean Rasp vend la maison à Jean Adolphe Rumetsch et à sa femme Anne Barbe Paquin moyennant 600 livres
1713 (15.4.), Chambre des Contrats, vol. 572 (Protocoles) f° 7-v
(600) Joh: Rasp schuemacher und büttel beÿ E.E. Zunfft der Schuemacher
in gegensein Joh: Adolph Rumetsch præcept. privati und Annæ Barb: geb. Packinin
eine behaußung hoffstatt und höfflein mit allen dero gebaüen, begriffen, rechten und Gerechtigkeiten allhier auf dem Rossmarckt in der Krebsgass einseit neben einer behaußung gemeiner Statt gehörig anderseit neben Joh: Willgene deß courtiers EE. hinten auf Ratz den schneider stoßendt – um 225, 150 pfund beladen, geschehen um 225 pfund
Jean Adolphe Rumetsch loue une partie de la maison au chanvrier Martin Louis Gœtz et à sa femme Anne Marie Milo
1713 (8.5.), Chambre des Contrats, vol. 586 f° 284
Johann Adolph Rumetsch Praeceptor privatus
in gegensein Martin Ludwig götzen des hänffers und Annæ Mariæ Milo [unterzeichnet] anne marie Mulot
verlühen, in sein Rumetsch allhier in der Krebsgaß ahm roßmarckt liegend. in erst Neülich erkaufften behaußung Nachfolgende gemach und gelegenheiten Nemblich im Vorderen Stock die Underste Stueb Stueb Cammer und Küchen darbeÿ Ferner d. große holzhauß Item einen Unterschlagenen Platz im keller, So dann den großen fruchtkasten in ged. vordern Stock, doch mit dem beding daß Er Rumetsch auff dem bedarff seine wasch könne und dörffe darauff hängen, alles auff 6 jahr lang anfangend auff Joh: bapt 1713 um einen jährlichen Zinß nemlich 10 pfund
Jean Adolphe Rumetsch loue une partie de la maison au boucher Isaïe Pfæhler
1716 (8.6.), Chambre des Contrats, vol. 589 f° 327
Joh: Adolph Rumetsch praeceptor privatus
in gegensein Esaiæ Pfälers metzgers
in seinem hauß alhier auf dem Rossmarckt in der Krebsgass zuem Krebs genannt im vorderen hauß d. mittleren thun zuem Jäger genannt eine Kuchen Stueb stueb Cammer haußehren Cammer einen beschlüßigen gang, Item im hoff d. kleinere holtzhauß und einen beschlüßigen platz im Keller, auf zweÿ jahr lang anfangend auf Joh: Bapt 1716 um einen jährlichen Zinß nemlich 12 lb
Anne Barbe Pacquay meurt en 1722 en délaissant une fille. L’inventaire est dressé dans sa maison rue de l’Ecrevisse que les experts estiment à 350 livres. L’actif de la succession s’élève à 823 livres, le passif à 5 livres.
1722 (1.6.), Not. Oelinger (J. Jacques, 35 Not 6) f° 211 (194)
Inventarium und beschreibung aller der Jenigen Haab und Nahrung, so Weÿl. die Ehren: und tugendsahme Fraw Anna Barbara Rumetschin gebohrne Paquaynin deß Ehren: und Achtbahren Hn Johann Adolph Rumetschen, Præceptoris domestici undt burgers allhier geweßene Haußfrau nunmehr seel. nach Ihrem d. 25. Januarÿ dießes Instehenden 1722. Jahrs genommenen tödlichen hientritt Zeitlichen verlaßen, welche Verlassenschafft auf freundliches ansuchen erfordern und begehren Johann Heinrich Lößen geweßenen Würthen Zuer Linten und burgers allhier zu Straßburg als geordnet und geschworenen Vogt Jfr. Annæ Barbaræ Rumetschin der Verstorbenen seel. mit Vor ermeltem Ihren hinterbliebenen Wittiber Ehelich erzügt undt einzig hinterlassener tochter und ab intestato Rechtsmäßiger Erbin – Actum Straßburg d. 1.ten Junÿ Anno 1722.
In einer allhier Zu Straßburg ane der Krebsgaß auff dem Roßmarckt gelegener und in dieße Verlaßenschafft Eigenthümlich gehöriger behaußung befundten worden wie Volgt
Auff der Bühn, In der wohnstub
Eÿgenthumb ane Haußeren. Item i. Hauß Höfflein undt Hoffstatt sampt allen deren gebawen, begriffen, weithen, rechten, Zugehörten undt Gerechtigkeiten allhier Zu Straßburg in d. Krebsgaß auff dem Roßmarck, j. seith neben einer d. Statt gehöriger Behaußung, 2. s. neben H. Pfr. von Rumerschh. hindten auff Johannes Ratzen den schneidter stoßend, so freÿ Leedig und eigen undt ist solche Behaußung Von d. Statt Straßburg geschworene Werckmeistere Vermög einer beÿ dem Concept gelüfferten schrifftlichen Abschatzung dedato d. 27. Maÿ 1722 æstimirt word. 350. Darüber meldet Ein teutscher pergamentener K.br. in allhießiger C. C. Stub verertigt datirt d. 15. [-] 1713. mit deroselben größern Insiegel verwahrt undt dabeÿ gelaßen.
Item Eine Behaußung in d. Vorstatt Crautenaw am Gaulstatten
Series rubricarum hujus Inventarÿ, Sa. Hausraths 110, Sa. Silbers 3, Sa. Goldener Ring 9, Sa. Pfenningzinß hauptgüter 275, Sa. Eÿgenth. ane häußern 425, Summa summarum 823 lb – Schulden 9 lb, Nach deren Abzug 814 lb – Stall summa 775 lb
Abschatzung d. 21.ten Maÿ anô: 1722: Auff begehren, deß Ehrenhafften, vnd bescheÿten H: Joh: Adolff fronschetz prezeptorus: ist Eine behaußung. Alhier in der Statt Straßburg, Auff dem Roßmarckh, in der Grebs gaßenn gelegen, Ein seith Neben Einem Statt hauß, Ander seith Neben J H Katzis Romhardt hinden Auff Johannes Ratz schneider, stoßendt, welche behaußung, hoffstatt, Stuben, Kammeren, Kuchen, hauß Ehren, Ein gewölbder Keller, Ein Klein hinder begeÿell, Mit Stübel, vnd Kammeerlin Soldaten Kammer, Zweÿ Neben gebeÿlin vnd höffell, Sampt Aller Ihrer, gerechtigkeit, wie solches durch der Statt Strassburg, Geschwohren werckh Leithen, in der besichtigung befunden vnd em Jetzigen preiß Nach, an geschlagen Wirt, Vor, undt, umb Süben Hundert: Gulten
Der Ander Begriff (…) Bezeichnuß durch der Statt Straßburg geschwohren, Werckh Leüthe [unterzeichnet] Michael Ehrlacher Werck Meister deß Meinsters, Johann Jacob Biermeÿer Werck Meister deß Zimmerhoffs
Jean Adolphe Rumetsch hypothèque la maison au profit de Jean Christophe Spielmann
1724 (21.4), Chambre des Contrats, vol. 598 f° 215
Johann Adolph Rumetsch Informator privatus
in gegensein H. Johann Christoph Spielmann – schuldig seÿen 75 pfund
unterpfand, Eine behausung höfflein und hoffstatt mit allen derselben gebäuden, begriffen, weithen, zugehörden, Rechten und gerechtigkeiten auff dem Roßmarckt in der Krebs: gaß einseit neben einer gemeiner Statt gehörigen behausung anderseit neben Fr: Müllerin geb. Carolin hinten auff Ratz dem Schneider
Jean Adolphe Rumetsch meurt en 1728. Les experts estiment la maison à 600 livres. L’actif de la succession s’élève à 628 livres, le passif à 78 livres.
1728 (21.4.), Not. Oelinger (J. Jacques, 35 Not 15) f° 534 (496)
Inventarium und Beschreibung aller derjenigen haab undt Nahrung, so weÿl. d. Ehrenachtbahre H. Joh: Adolph Rumetsch, geweßene Informator u. burger allhier Zu Straßburg nunmehr seel. nach seinem d. 29. Martÿ dieses Instehenden 1728. Jahrs aus dießer welt genommenen tödlichen hintritt genommenen tödlichen hintritt Zeitl. verlaßen, welche Verlaßenschafft auf freündliches ansuchen erfordern u. begehren, der Ehren u. tugendsahmen fraun Anna Barbara Rauchmalin geborhner Rumetschin, M. Joh: Heinrich Rauchmaulen des Schreiners u. burgers allhier Ehefrauen u. des abgeleibten seel. eintzig. hinterlaßene tochter u. ab intestato rechtmäßige Erben fleißig Inventirt u. ersucht durch die Rauchmaulische Eheleute (…) Actum Mittwochs den 21. Apr. 1728.
In Einer allhier Zu Straßburg ane der Krebßgaß aufm Roßmarck gelegener u. Eÿgenthümlicher hiehero gehöriger behaudung sich befunden, wie volgt
Ane Höltzen u. Schreinerwerck. Auf der Bühn, In der Wohnstub, in der stub Cammer, Im Hauß öhren, In der Soldaten Cammer
Eÿgenthumb ane Häußern. Erstl. i. behaußung höffl. u. hoffstatt sambt allen deren begriffen Weiten, Zugehörden Rechten u. gerechtig Keiten gelegen allhier Zu Straßburg in der Krebßg. auf den Roß Marck 1. seit neben i. der allhießigen Statt gehörigen behaußung 2. ders. neben Jacob Reumann dem seiffensied. hinten auff Joh. Ratzen den Schneider stoßendt, davon gibt mann 3. lb. 15 ß d. Zinnß Jahrs auff (-) den stifft St. Marx allhier lößigen Cap. mit 75. lb. Sonsten gegen Jedermänniglichen freÿ ledig u. eÿgen u. ist dieselbe durch der St. St. geschwohrene Werckmeistere vermög eines Zu meines Notÿ Concept gelüfferten schrifftliche, Abschatzung de dato 18. Ap. 1728. æstimirt und angeschlagen word. pro 300 lb. abgezogen obige beschwerde so Wird annnoch in Außwurff Zubringen seÿn 225 lb. Darüber besagt ein teutscher pergamentener in allhießiger Cantzleÿ Contract stub gefertigter Kauffbrieff de dato 15. Apr. 1713. mit dero anhangend. Innsiegel verwahrt, dabeÿ befindet sich noch ein alter teutscher pergamentener Kbrieff unter alldaßigen Innsiegel gefertigt sub dato 1. Aug. 1711. u. dißmahlen dabeÿ gelaßen
Item eine Behaußung in der Vorstatt Crautenau, in der tränckgaß (…)
Sa. haußraths 47, Sa. leerer vaß 12 ß, Sa. silbers 2, Sa. Goldenen Rings 1, Sa. Pfenningzinß hauptgüter 274, Sa. Eÿgenthumb ane häußern 300, Sa. Schuld 2, Summa summarum 628 lb – Schulden 78, Nach deren Abzug 549 lb
Abschatzung d. 18. april aô 1728. Auff begehren Weÿland des Ehrenhafften und bescheidenen H Johann Adolph Rumetsch gewesenen Præceptori seel. hinter laßene Erben, ist eine behausung allhier in der Statt Straßburg auf dem Roßmarck in der Krebßgaßen geleg. einseits Neben einem Statt hauß allhiesigem Pfenningthurn Zugehörig, anderseits Neben Jacob Riegman Seiffensieder hinden auf Johannes Ratz Schneider stoßendt welche behaußung hindergebäu, Stuben Cammer, Küch. soldaten Kämmer. und gewölbtes Kellerl. Sambt aller gerechtigkeit wie solches durch der Statt Straßburg geschworne Werck leüthe sich in der besichtigung befunden und Jetzigem preiß Nach angeschlagen wird Vor und Umb Sechß Hundert gulden
der 2.te begrief ist auch allhier in der Statt Straßburg in der Krautenau (…)
Bezeichniß durch der Statt Straßburg geschworene Werckleuthe [unterzeichnet] Michael Ehrlacher Werck Meister deß Meinsters, Johann Jacob Biermeÿer Werck Meister deß Zimmerhoffs, Johann Peter Pflug Werckmeister deß Mauer hofs
La maison revient à sa fille Anne Barbe Rumetsch qui épouse en 1724 le menuisier Jean Henri Rauchmaul, originaire de Melborn près d’Eisenach : contrat de mariage en 1721, célébration en 1724
1721 (22.6.), Not. Oelinger (J. Jacques, 35 Not 73) f° 155
Eheberedung zwischen dem Ehrsam: vnd bescheidenen Johann Heinrich Rauchmaul Leedigem Schreinergesell Von Meelbron Eisenachischer Herrschafft, H. Johann Conrad Rauchmauls Burgers vnd Innwohners allda Eheliche Sohn, beÿständlich H. Johannes Kärcher Schreiners, So dann M. Johann Georg Brehmer auch Schreiners beeder burgere allhier Zu Straßburg, auf sein des hochzeiters ane Einem
So dann der Ehren: vnd tugendsamen Jgfr. Annæ Barbaræ Rumetschin H Johann Adolph Rumetschen Præceptoris et Informatoris auch burgers allhier Ehelicher Zeugter tochter, Beÿständlich gemelt Ihres vatters H Johann Leonhard Pföhler Specierers vnd H Johann David Pasquin würth der Jgfr. hochzeiterin Vettern auf seiten deroselben andern Theils
Act. Straßburg Sonntags den 22.ten Junÿ 1721 [unterzeichnet] Johann Heinrich Rauch maul Als Hochzeiter, Anna Barbara als hochzeiterin, Johann Adolph Rumetsch als Vatter
Mariage, Saint-Pierre-le-Vieux (luth. f° 104-v n° 12)
Anno 1724. Zugleicher Zeit [Domin: Jubil. et Cant. seindt proclamirt darauff als den 17. Maÿ copulirt worden] seindt außgeruffen vndt Ehelich eingesegnet worden Johann Heinrich Rauchmaul der Ledige Schreiner gebürtig auß Sachßen Eißenach, Johann Conrad Rauchmauls, burgers vnd Steinsetzers Zu Mellborn Sächsißer Eißenachischer Herrschafft Ehel. Sohn und Jungfr. Anna Barbara Rumetschin, Johann Adolph Rumetsch, Præceptoris vndt burgers alhier Ehel. Tochter [unterzeichnet] Johan Heinrich Rauch maul als Hochzeiter, Anna Barbara rumetschinn als hoch zeitrin (i 107)
Jean Henri Rauchmaul et Anne Barbe font dresser l’inventaire de leurs apports dans leur maison rue de l’Ecrevisse
1728 (19.4.), Not. Oelinger (J. Jacques, 35 Not 15) n° 525 (488)
Inventarium und Beschreibung aller derjenigen haab undt Nahrung, so der Ehrsahme u. bescheidene Meister Joh: Heinrich Rauchmaul Schreiner u. die Ehren u. tugendsahme Anna Barbara gebohrene Rumetschin beede Eheleuthe u. burgere allhier Zu Straßburg einander in den Ehestand theils Zugebracht, theils aber Von der Ehefrauen Wehrender Ehe von ihrem Vatter ererbt worden, u. sich deren jedes vermög ihrer miteinand. auffgerichteten Eheberedung vor unverändert vorbehalten hat, Welche Nahrung auf ihr beeder Eheleute selbstiges erfordern und begehren fleißig Inventirt (…) Actum Straßburg den 19. et 24.ten April. 1728.
In Einer allhier Zu Straßburg ane der Krebßgaß aufm Roßmarck gelegener und Eigenthümlicher hiehero gehöriger behaußung sich befunden, wie volgt
Ane Höltzen u. Schreinerwerck. Auf der Bühn, In der Wohnstub
Eÿgenthumb ane Häußern. (F.) Erstl. i. behaußung höffl. u. hoffstatt sambt allen deren begriffen Weiten, Zugehörden Rechten u. gerechtig Keiten gelegen allhier Zu Straßburg in der Krebßgaß auf den Roßmarck 1. seit neben einer der allhießig. gehörig. behaußung 2. derseit neben Jacob Rittmann dem seiffen sieder hinten Vf Johann ratzen den schneid. stoßend, davon gibt mann 3. lb. 15 ß d Zinnß Jahrs auff (-) den stifft St. Marx allhier lößigen Cap. mit 75. lb. Sonsten gegen Jedermänniglich. freÿ ledig u. eÿgen. Darüber besagt ein teutscher pergamentener in allhießiger Cantzleÿ Contract stub gefertigter Kbrieff de dato 15. Ap. 1713. m. dero anhangenden Innsiegel verwahrt, dabeÿ befindet sich noch ein alter teutscher pergamentener Kbrieff, unter alldaßigen Innsiegel gefertigt sub dato 1. Aug. 1711. u. dißmahlen dabeÿ gelaßen
Item eine Behaußung in der Vorstatt Crautenau, in der tränckgaß (…)
Jean Henri Rauchmaul meurt le 25 août 1738 à l’âge de 43 ans
Sépulture, Temple-Neuf (luth. reg. 1705-1740 f° 180-v n° 885)
1738. Mont. den 25. August morgens zwischen 9. und 10 uhr ist Mstr Johann Heinrich Rauchmaul Burger und Schreiner allhier sanfft und selig verschieden und Mittw. den 27. Ejusd. ad D. Helen. Christlichem gebrauch nach ehrlich gebraben worden Seines alters 43 jahr 5 monat und. 27 tag (i 184)
Anne Barbe Rumetsch se remarie avec le menuisier Jean Frédéric Engel, originaire de Kœnigsberg en Prusse : contrat de mariage par lequel elle lègue à son futur mari l’usufruit de sa maison rue de l’Ecrevisse, célébration
1739 (1.4.), Not. Brackenhoffer (Jean, 4 Not 29) n° 538
Eheberedung – zwischen dem ehrsamen vnd bescheidenen Johann Friderich Engel dem ledigen Schreiner Mstr. Johann Engelß deß Schreiners vnd burgers Zu Königßberg in Preußen eheleiblichem Sohn als hochzeithern ane einem,
so dann der Ehr: und tugendsahmen fr. Anna Barbara gebohrner Rumetschin, weÿl. Meister Heinrich Rauchmaulß geweßenen Schreiners vndt burgers alhier hinterbliebenen Wittib alß hochzeitherin andern theilß
Endlichen zum Sechsten (…) Sie die Ehefrau oder Hochzeiterin aber will auf ihr Vorabsterben, Zu bezeugung ihrer Gegenliebe ihrem Hochzeither Zu einem gleichförmigen lebtägigen doch aber auch wieder rückfälligen Wÿdumb Zugesagt und verschrieben haben, Ihre behaußung und Hoffstatt, mit all dero begriffen weithen Rechten Zugehörden und Gerechtigkeiten allhier Zu Straßburg an dem Roßmarckt in der Krebs Gaß, Ein Seith neben Johann Jacob Reÿmanns seel. Wittib, ander Seith neben der Stadt Kornwerffers behaußung hinten auff Joachim Ratzen den Schneider stoßend, so freü leedig ohnverhafft und eigen
Beschehen allhier Zu Straßburg (…) d. 1. Aprilis 1739. [unterzeichnet] Johann Friedrich Engell als hochzeiter, x fraw Annæ Barbaræ (…) handtz.
Mariage, Temple-Neuf (luth. f° 188-v n° 714)
1740. Edoem [27.ten April.] seind nach ordentl. außruffung Ehl. copul. u. eingesegnet worden Johann Friederich Engel der led. schreiner u. b. allhier, Johann Engels schreiners u. b. Zu Königsberg Ehl. Sohn u. Fr. Anna Barbara geb. Rumetschin weÿl. Heinrich Rauchmauls gewesenen schreiners u. b. allhier hinterlassene wittib [unterzeichnet] Johann Friederich Engel als hochzeiter, x (i 193)
Jean Frédéric Engel devient bourgeois par sa femme trois semaines après son mariage
1740, Livre de bourgeoisie 1740-1754 (VII 284) f° 10
Johann Friderich Engel der Schreiner Von Königsberg in Preußen gebürtig, erhalt das burgerrecht von seiner Ehefrauen Anna Barbara weÿl. Johann Heinrich Rauchmaul gewesenen burgers und Schreiners allhier Wittib, um den alten burger schilling, Will beÿ E. E. Zunfft der Zimmerleuth dienen, juravit d. 16.ten Maÿ 1740.
Anne Barbe Rumetsch meurt en 1765 en délaissant trois enfants de son premier mari. Les experts estiment la maison rue de l’Ecrevisse à 500 livres. La masse propre au veuf est de 342 livres, celle propre aux héritiers de 680 livres. L’actif de la communauté s’élève à 890 livres, le passif à 1 118 livres.
1765 (19.11.), Not. Haering (6 E 41, 1366) n° 296
Inventarium über Weÿland der Ehren und tugendsamen Frau Annä Barbarä Engelin geb. Rumetschin, des Ehrengeachten Herrn Johann Friderich Engel Schreiner Meisters und hießigen burgers im Leben geweßener Ehefrau seel. Verlaßenschafft aufgerichtet Anno 1765. (…) nach Ihrem den 25.ten 7.bris jüngst aus dießer Welt genommenen tödt. Von hinnen Scheiden hie zeitlichen verlaßen (…) So beschehen in fernerem Gegenseÿn des Wohl Ehrenvesten H. Friderich Philippi Schreiner Ms u. E: E: Kleinen Raths alh. derzeit wolverdienten beÿsitzers als aus hoch Edelged. Gericht Stelle um des Zu Landau wohnenden Sohne willen, Zufolg Extractus deren Memorialis Vom gestrigen tag hierzu abgeordnet, auf Donnerstag den 19.den 9.bris 1765.
Die abgeleibte seelig zu erben sind fähig, Ihre mit weiland Mr Johann Heinrich Rauchmaul geweßenen Schreiner und Br. alhie der A° 1739 seelig verstorben, ehelich erzeugte nach Tod Verlaßene dreÿ Kinder, benandlich 1. Frau Catharina Salome Engelin geb. Rauchmaulin, H. Heinrich Carl Engel Schreiner Mr und bs alh. Ehegattin, welche beÿständ. deßelben dieser Inventur beÿgewohnt hat, 2.do H. Johann Heinrich Rauchmaul bürstenbinder in Landau geseßener burger, der beÿ diesem Geschäfft anweßend ist So dann 3. Johann Friedrich Rauchmaul, leediger Schreiner, Vollbürtiger Jahren dießem geschäfft beÿwohnend, alle dreÿ Zu gleichen Antheilen.
In einer alhier Zu Straßburg an der bischoffgaß am Roßmarckt gelegenen behaußung in gegenwärtiger Verlt. Zur ½.te gehörig befunden worden wie folgt
(f° 7) Eigenthum an Häußeren. (E.) Nemlich eine Behaußung, Höfflein und Hoffstatt, samt allen deren begriffen, Weiten, Zugehörden und Gerechtigkeiten alhier Zu Straßburg an der Krebsgaß auf dem Roßmarckt 1. S. neben einer gemeiner Stadt gehörig. behaußung 2. S. neben Jacob Reumanns des geweßenen Seiffensieders Wb. seel. Erben hinten auf Joseph Peter geweßenen Schirmers und Maurer gesellen alhier seel. Wb. und Erben, stoßend gelegen, so gegen männiglich freÿ leedig eigen und durch (die Werckmeistere) Zufolg deren Zu mein Notÿ Concept schrifftlich geliefferter Abschatzung Vom 8. X.bre 1765. angeschlagen worden Vor und um 1000 fl. oder 500 lb. Darüber bes. I. deutscher in allhies. C.C. Stb gefertigter perg. Kffbr. sub dato 10.den Aprilis 1713. mit deren anhangnd. grössern Insiegel Verw. Ferner i. dergl. Kffbr. dat: den 1. aug. 1711.
(f° 7-v) (T.) Nemlich die helffte Vor unvertheilt Von und ane einer zwischen dießortiger theilbaren Nahrung in obged.m H. Heinrich Carl Engel gemeinschafftlichen Behaußung Höfflein und Hoffstatt, mit allen deren begriffen, Rechten, Zugehörden und Gerechtigkeiten allhier ane dem Roßmarckt in der Kleinen Schiltzgaß (…)
(f° 8) (T.) am Roßmarckt zu hinterst der bischoff Gaß (…)
(f° 9) Bericht und Vergleich In gegenwärtig Invent.m gehörig. Nach dem gegenwärtige Verlaßenschafft inventirt war, und inhalt der Eheberedung 3.ter Punctens Zu Ersuch. und Ergäntzung beederseit freÿ und eigen Vorbehaltenen Guts geschritten werden sollte, so haben so wol der Wittiber als auch die Erben sich erkläret, daß versaumet worden, zur zeit der anno 1740. ohngefehr dießorts angetrettenen Ehe beederseitige eingebrachte Nahrungen zu inventiren (…), ferner daß denen Erben der völlige Inhalt des über ihres seel. Vaters Anno 1739 durch H. Not. Oelinger aufgerichteten Verl. Invÿ (…) gutgethan und ergäntzt werden solle
(f° 10) Werckzeug und Holtz Zur Schreiner Profession gehörig
Ergäntzung derer Erben eigen vorbehalteten Guths. Außweißlich der dießem Inv° einverleibten berichts und Vergleichs ist das über der Erben seel. Vaters Verl. durch Herrn Not.m Johann Jacob Oelinger den 22.ten Xbr 1738. aufgerichtete Invm. Zum grund der Ersuchung (…)
(f° 14-v) Ordnung gegenwärtigen Inv.ÿ. Copia der Zwischen beed. nun durch den Zeitlichen Tod zertrennten Eheleuten Zur Zeit ihrer Verheürathung gepflogenen Eheberedung
Des Ws. unverändert und eig. vorbehaltenen Guths, Silbers 5 lb, Schuld. 242 lb, Erg. 95 lb, Summa summarum 342 lb
Dießemnach wird auch derer dreÿ Kinder und Erben anerstorben unverändert und eig. Vorbehalten Guth beschrieben Sa. Kleÿdung 22 lb, Sa. Silbers 1 lb, Sa. goldenen Rings 1 lb, Sa. Eigenthums ane einer behaußung 500 lb, Erg. Rest 398 lb, Summa summarum 923 lb – Schulden 250 lb, Nach deren Abzug 680 lb
Endlich folgt auch das gemein verändert und theilbare Guth, Sa. Hausraths 90 lb, Sa. hausraths so zur ½ in die T. Nahrung gehörig 17 lb, Sa. Werckzeugs holtzes und gemachter Waar zum Schreiner handw: gehörig 75 lb, Sa. Silbers 5 lb, Sa. gold. ring 1 lb, Sa. Häußern 700 lb, Summa summarum 890 lb – Schulden 1118 lb, In Vergleichung passiv onus 228 lb – Stall summ 795 lb
Copia der Eheberedung (…)
– Bericht anstatt Inventarÿ Weil. H. Johann Friedrich Engels im Leben gew. Schreiners Verl.t, der am 21. Aprilis 1766 seel. verstorben, Nach Anleitung des über seiner geweßten ehefrau weÿl. Frau Anna Barbara Engelin geb. Rumetschin seel Verl. dh. den unterschriebenen Notm. den 19. 9.br 1765 aufgerichteten Inv.ii gefertiget
Stall summa 795 lb, wovon denen Erben schon pro legitima materna zu vestallen zugeschrieben worden 201 pfund
beiben übrig so defunctus zu verstallen schuldig war 593, Wovon das dem verstorbenen seel. zugehörig geweßte Eigenthum auf seine Mutter und alleinige Erbin frau Annam Reginam geb. Bartschin weÿl. Mr Johann Engels gew. Schreiners und bs zu Königsberg in Preußen seel. Wb. anerstorben mit 190 – den 5. jan. 1767
– Summatischer Calculus, Johann Friedrich Rauchmaul leediger Schreiner Gesell Vollbürtiger Jahre In gegensein herrn Heinrich Carl Engel Schreiner Meister im Nahmen seines seel. bruders weÿl. H Johann Friedrich Engel geweßenen Schreiner Mr. sein ged. Rauchmaul stieffvaters Mutter und Erbin fr: Annä Reginä geb. Bartschin weÿl. Mr. Johann Engels Schreiners und s. zu Königsberg in Preußen hinterlassenen Wittib, den 2. Jenner 1767
Eheberedung (…) den 1. Aprilis 1739. Johannes Brackenhoffer Not.
– Abschatzung Vom 5:t Xbris 1765. Auff begehren Herrn Johann Friederig Engel ist eine behaußung allhier in der Statt Straßburg in der Bischoffs gaß gelegen (…)
Der Zweÿte begriff ist auch allhier in der Statt Straßburg in Krebß gaß Gelegen einseits neben den Reÿmännischen Erben anderseits neben N. Greigel und hinten auf Joseph Peter Stoßent, Solche behaußung bestehet in etlichen Stuben, Kammern, und Küchen darüber ist der dachtuhl mit breidt Zieglen belegt, hatt auch einen Gewölbten Keller und hoff. Von uns den unterschriebenenen der Statt Straßburg bau Inspector und Werckmeister, dem Jetzigen werth nach æstimirt und angeschlagen worden Vor und um Ein Taußent Gulden
Der dritte begriff ist auch (…) [unterzeichnet] Werner, Huber
Jean Frédéric Rauchmaul rachète les parts de maison dont il devient seul propriétaire
1767 (2.1.), Not. Haering (6 E 41, 1366) Joint au n° 296 du 19.11.1765
Vor dem unterschriebenen offenbaren geschwornen Not° und Inventir Schreiber Löbl. Stadt Straßburg sind an unten stehendem tag persönlich erschienen Fr. Catharina Salome Engelin geb. Rauchmaulin beÿständ. ihres Ehemanns Hn Heinrich Carl Engel Schreiner Meisters u. bs. alhier, ferner H. Joh. Heinrich Rauchmaul bürstenbinder in Landau geseßener burger dermalen hier anweßend
die haben in Gegenseÿn ihres vollbändigen Bruders und Mit Erben an weil. Fr. Annä Barbarä Engelin geb. Rumetschin nun auch weil. Hn Joh: Friedrich Engel geweßenen Schreiner Meisters und hießigen bs: seel. geweßter Ehefrau ihrer seel: Mutter Verlaßenschafft Nahmens Joh: Friedrich Rauchmaul leedigen Schreiners, der ohnbevögtigt ist und seiner eigenen Rechten genießet, angezeigt und bekandt, daß Sie demselben in ohnvertheiltem und von Stief vätterlichem befreÿten Wÿdem Erb aufrecht, vest und ohnwiederrufflich überlaßen und abgetretten haben (…)
benantlich. Eine Behaußung, Höfflein und Hoffstatt, samt allen deren begriffen, Weiten, Zugehörden und Gerechtigkeiten alhier Zu Straßburg an der Krebsgaß auf dem Roßmarckt Einseit neben einer gemeiner Stadt gehörigen behaußung anderseit neben Jacob Reumanns des geweßenen Seiffen Sieders Wb. seel. Erben Zuständigen behausung, hinten auf Joseph Peter geweßenen Schirmers und Maurer gesellen alhier seel. Wittib und Erben, stoßend gelegen, so gegen männiglich freÿ leedig eigen, und ist solche Behaußung Ihme Cedenten Zu Zween dritten theile, dem Cessionario aber Zum übrigen dritten, theil und vor ererbt mütterlich Guth zuständig – die völlige behaußung Zu 825 Pfund Pfenning gerechnet
Straßburg den 2.ten Januarÿ 1767.
Jean Frédéric Rauchmaul passe un contrat de mariage avec Dorothée Madeleine Heintz, fille du boulanger Jean Michel Heintz. Le mariage ne sera pas célébré.
1766 (5.3.), Not. Schaeff (Jean Frédéric, 6 E 41, 873) n° 15
Eheberedung – persönlich kommen und erschienen der Ehrsam und bescheidene Johann Friderich Rauchmaul, der leedige Schreiner und burger alhier, Weil. Meister Johann Heinrich Rauchmaul des geweßenen Schreiners und burgers alhier, mit auch Weil: Fraun Anna Barbara geborhener Rumetschin ehelich erzeugt, nach tod verlaßener Sohn, beÿständlichen H, Johann Friderich Engel, des ebenmäßigen Schreiners und burgers alhier, als hochzeiter ane einem
So dann die Viel: Ehren und tugendsame Jungfrau Dorothea Magdalena Heintzin, Weil. Hn Johann Michael Heintz des gewesenen Schwartzbecken und burgers alhier mit auch Weil. Fraun Maria Martha gebohrener Wittmännin, ehelich erzeugte nach tod verlaßene Tochter, beÿständlichen H. Georg Friderich Heintz des Schwartzbecken und burgers alhier ihres leiblichen bruders, als die Jungfrau hochzeiterin ane dem andern theil
auf Mittwoch den 5.ten Martii 1766. [unterzeichnet] Johann Friederich Rauchmaul als hochzeiter, Dorothea Magdalena Heintzin alls Hochzeiterin
Jean Frédéric Rauchmaul épouse en 1767 Marie Rosine Eckhoff, fille du menuisier David Eckhoff de Romanswiller : contrat de mariage, célébration
1767 (15.10.), Not. Schaeff (Jean Frédéric, 6 E 41, 873) n° 32
Eheberedung – persönlich kommen und erschienen der Ehrsame Meister Johann Friderich Rauchmaul, der leedige Schreiner und burger alhier, Weil. Mr Johann Heinrich Rauchmaul, des geweßenen Schreiners und burgers alhier, mit auch Weil: Fraun Anna Barbara geborhener Rumetschin ehel. erzeugt: nach tod verlaßener Sohn, als hochzeiter ane einem
So dann die Viel: Ehren und tugendsame Jungfrau Maria Rosina Eckhoffin, des Ehrenachtbaren David Eckhoff des ebenmäßigen Schreiners und burgers [zu] Rhomansweiler, mit der Ehren und tugendsahmen Fraun Maria Rosina gebohrener Claußin ehel. erzeugte Tochter, beÿständlichen erstgemelter ihres leibl. Vaters, als die Jungfr. hochzeiterin ane dem andern theil
auf Donnerstag den 15.ten Octobris Anno 1767. [unterzeichnet] Johann Friederich Rauchmaul als hochzeiter, Maria Rosina Eckhoffin alls hochzeitrin
Mariage, Temple-Neuf (luth. f° 80-v n° 113)
Im Jahr Christi 1767. Mittwochs den 25. Novembris wurden nach Dom: XXII und XXIII post Trinit: gewesenen ordnungsmäsigen Proclamationen ehelich copulirt und Christlich eingesegnet Johann Friderich Rauchmaul lediger Schreiner von hier, weil. Johann Heinrich Rauchmauls gewes. Schreiner Mstr. u. burgers allh. mit weil. Fr. Barbara geb. Rumetschin ehelich erzeugter nachgel. Sohn, und Jgfr. Maria Rosina Eckoffin, David Eckoffs Schreiners und burgers von Romansweiler gebürtig, mit Maria Rosina gebohr. Klausin ehelich erzeugte Tochter [unterzeichnet] Johan Friderich Rauchmaul als hochzeiter, Maria Rosina Eckoffin als hochzeitrin (i 87)
Jean Frédéric Rauchmaul devient tributaire chez les Charpentiers le 13 janvier 1768
1768, Protocole de la tribu des Charpentiers (XI 33)
(f° 69-v) Mittwochs den 13. Januarÿ 1768
Mr Johann Friderich Rauchmaul, der Schreiner alhier producirt Cantzleÿ und Stallschein de datis 23.den vnd 28.den Decembris 1767. mit bitten ihme beÿ dieser Ehrsamen Zunft in Kraft derselben Zu recipiren, sub oblato præstanda Zu præstiren.
Erkannt, Willfahrt. Jurauit (dt 1 lb 12 ß 6 d)
Jean Frédéric Rauchmaul hypothèque la maison au profit du marchand de vins Jean Michel Grauel
1773 (21.6.), Not. Laquiante (6 E 41, 1047) n° 31
Obligation du 21 Juin 1773 – fut Présent en personne M. Jean Frédéric Rauchmaul bourgeois Maître Menuisier de cette d° ville y demeurant, Lequel a reconnu Confessé et declaré devoir en bonne et légitime dette
au Sr Jean Michel Grauel, exsenateur présentement Conseiller au petit Senat bourgeois marchand de vins de Strasbourg y demeurant, la comme de 1000 florins ou 2000 livres tournois
hypothèque, la maison qu’il a acquis de ses Cohéritiers par Contrat passé devant M° Haering Notaire public et juré de cette ville le deuxième Janvier 1767 et qui est Scize en cette ville Rue de l’Ecrevice Sur le marché Au Chevau, Laquelle il declare franche et quitte de toute dette hypothèque, est aussy comparu Le Sr Henri Charles Engel Conseiller au petit Senat de cette ville aussy maître menuisier y demeurant Lequel a reconnu et declaré avoit touché et reçu dud. débiteur lad° Somme de 2000 livres
La tribu des Charpentiers exempte de cotisation Jean Frédéric Rauchmaul qui est pauvre et ne peut plus travailler
1788, Protocole de la tribu des Charpentiers (XI 34)
(f° 102) Dienstag den 20. Maji 1788 – Mr Joh: Friderich Rauchmaul der Schreiner und burger alhier stehet vor und bittet, weilen er sehr arm vnd nicht wohl mehr im Stand ist Zu arbeiten, noch sein brod zu verdienen ihne künfftighin von denen Zunftgelderen zu befreÿen.
Erkandt Seÿe dem Comparenten in seinem begehren Zu willfahren, mithin derselbe von denen Zunft Anlagen künftighin zu befreÿen.
Jean Frédéric Rauchmaul vend la maison au menuisier Henri Charles Engel
1782 (27.3.), Chambre des Contrats, vol. 656 f° 134-v
Johann Friedrich Rauchmaul der schreinermeister
in gegensein H. Rathh. Heinrich Carl Engel des schreinermeisters
eine behausung, höfflein und hoffstatt mit allen deren übrigen begriffen, weithen, zugehörden, rechten und gerechtigkeiten ane der Krebsgaß auff dem Roßmarckt einseit neben Mr Kreuchel dem zinnknopffmacher, anderseit neben Jacob Reumann des seiffensieders wb. und erben, hinten auff Joseph Peter des schirmers und maurergesellen wittib und erben – als ein als ein aus mütterlicher verlassenschafft zum theil und denen miterben laut cessions acte vom 2. Januarÿ 1767 cedirtes guth – 800 gulden (100 und 800 gulden beladen)
Originaire de Königsberg en Prusse, Henri Charles Engel épouse en 1755 Catherine Salomé Rauchmaul
Mariage, Temple-Neuf (luth. f° 334-v n° 236)
1755. Montag d. 20. Aug. nach ordentlicher proclamation ehl copulirt und eingesegnet worden, Heinrich Carl Engel der ledige Schreiner H Joh: Engels Statt schreiners Zu Königsberg in preussen ehl. Sohn und Jfr. Catharina Salome weÿl. Joh: Heinrich Rauchmauls Schreiners und b. alhier ehl. tochter [unterzeichnet] Heinrich Carl Engel als hochzeiter, Catharin Salome Rauchmaulin als hochzeiterin (i 340)
Henri Charles Engel et Catherine Salomé Rauchmaul hypothèquent la maison au profit de François Jacques Rondouin, entrepreneur des Ponts-et-Chaussées
1782 (11.4.), Chambre des Contrats, vol. 656 f° 157-v
H. Rathh. Heinrich Carl Engel der schreinermeister und Catharina Salome geb. Rauchmaulin unter assistentz H. Friedrich Rauchmaul des schreiners ihres leiblichen bruders und Georg Siegfried Heintz des tapecirers
in gegensein H. Rathh. Frantz Jacob Rondouin des entrepreneur des Ponts et Chaussées – schuldig seÿen 3000 livres
unterpfand, 1. eine behausung samt zugehörden auff dem Roßmarckt ane der kleinen Schildsgaß, einseit neben Mr Colla dem seÿler, anderseit neben H. Rathh. Lelarge, hinten auff Johann Michael Stoll den kornwerffer
2. eine behausung ane der Bischoffsgaß, einseit neben Mr Besson gewesten guther fuhrmann, anderseit neben Georg Fähndrich dem kornwerffer, vornen auf die Krebsgaß
3. eine behausung samt zugehörden auff gedachtem Roßmarckt ane der Krebsgaß, einseit neben Mr Kreuchel dem zinnknopffmacher, anderseit neben Jacob Reumann des seiffensieders wittib und erben, hinten auff Joseph Peter den schirmer und maurer geselle
Autre hypothèque au profit du tapissier Sigefroi Heintz
1782 (18.7.), Chambre des Contrats, vol. 656 f° 290-v
H. Rathh. Heinrich Carl Engel der schreiner meister und Catharina Salome geb. Rauchmaulin unter assistentz Johann Friedrich Rauchmaul des schreiner meisters ihres bruders und Siegfried Heintz des taperzierers
in gegensein Jfer Ursulæ Ehingerin – schuldig seÿen 300 gulden
unterpfand, eine ane der Bischoffsgaß, ferner eine ane der Krebsgaß, und dann eine ane der Schildsgaß gelegenen behausungen
La maison de Henri Charles Engel est vendue par adjudication judiciaire au pelletier Jean Michel Theurkauff
1782 (13.9.), Chambre des Contrats, vol. 656 f° 369-v
Ganthkauffbrieff, 2.9.1782 – ist die H. Rathh. Heinrich Carl Engel des schreiner meisters zuständig auff dem Roßmarckt ane der Krebsgaß gelegene behausung die er dem 24. julÿ jüngsthin ane der ganth als ein Johann Friedrich Rauchmaul des schreiners zuständigen guth ersteigert par folle enchère aber auf wieder versteigert
in gegensein H. Johann Michael Theurkauff des kürschners, als letzt und meistbietenden, um 1130 gulden
Jean Michel Theurkauff revend un mois plus tard la maison à Madeleine Redslob, veuve de Jacques Bourcard Schweighæuser
1782 (10.10.), Chambre des Contrats, vol. 656 f° 407
H. Johann Michael Theurkauff der kürschner
in gegensein Fr Magdalenæ geb. Redslobin weÿl. Jacob Burckhardt Schweighäußer des seidenknopff machers wittib beÿständlich Joseph Schum des schneidermeisters
eine behausung, höfflein und hoffstatt mit allen deren begriffen, weithen, zugehörden, rechten und gerechtigkeiten ane der Krebsgaß auff dem Roßmarckt, einseit neben H. Kräuchel dem knopffmacher, anderseit neben der verwittibten Fr. Herrmänninn hinten auff Peter Joseph den Informatorem – als ein Johann Friedrich Rauchmaul dem schreiner gehörig gewesen und unterm 24. julÿ jüngsthin H. Rathh. Heinrich Carl Engel dem schreinermeister adjudicirt und auff diesem letzteren par folle enchère (…) den 26. Augusti jüngsthin neuerdings versteigert und als meistbietenden – 1270 gulden
Fils du boutonnier Jean Daniel Schweighæuser, Jacques Bourcard Schweighæuser épouse en 1765 Susanne Madeleine Redslob, fille du passementier Jean Louis Redslob
Mariage, Saint-Pierre-le-Jeune (luth. f° 37-v)
1765. den 6. Januarÿ als am h. dreÿ Königs tags sind (…) beÿ ins copulirt worden Herr Jacob Burckard Schweigheuser lediger Knöpffmacher und burger allhier des weÿland H. Jean Daniel Schweigheusers gewesenen Knöpffmachers und burgers allhier hinterlaßener Ehelicher Sohn und Jgfr. Susanna Magdalena Retzlobin des weÿland H : Joh. Ludwig Retzlobs gewesenen Paßmentirers und seiden händlers auch burgers allhier hinterlaßene Eheliche tochter [unterzeichnet] Jacob burckhard schweigheußer als Breitiham, Susanna Magdlena Retzlobin als hochzeitrin (i 40)
Jacques Bourcard Schweighæuser devient tributaire au Miroir le 14 mai 1765
1765, Protocole de la tribu du Miroir (XI 278)
(f° 207-v) Dienstags den 14. Maji 1765
E. Leibzünftiger – Jacob Burckhard Schweighäuser, weiland Jacob Schweighäuser, des gewesenen Knopffmachers und dißorts leibzünfftigen ehelicher Sohn, ist auf vorgelegten Stallschein vom 13. Martii jüngsthin gegen Erlag Ein Pfund d. leibzünftig als Knopffmachermsiter angenommen worden. prom: obed. – dt. 1 lb, 6 ß Findl.
Le notaire Saltzmann dresse en 1771 l’inventaire non conservé de Jacques Bourcard Schweighæuser
1771, Not. Saltzmann (Jean Daniel, 6 E 41, Répertoire 449.3) n° 214
Inventarium über H. Jacob Burckhard Schweighäußer Knopff Machers Verlassenschafft
Madeleine Redslob veuve de Jacques Bourcard Schweighæuser vend la moitié de la maison au pelletier Jean Michel Theurkauff
1785 (23.4.), Chambre des Contrats, vol. 659 f° 206
Fr. Magdalena geb. Redslobin weÿl. Jacob Burckhard Schweighäußer des seidenknopffmachers wittib beÿständlich Bernhard Heinrich Hartling des allmoßen caissier
in gegensein H. Johann Michael Theurkauff des kürschners
die helffte vor unvertheilt von und ane einer behausung, höfflein und hoffstatt mit allen deren übrigen begriffen, weithen, zugehörden, rechten und gerechtigkeiten ane dem Krebsgaß auf dem Roßmarckt einseit neben H. Kreuchel dem knopffmacher, anderseit neben der verwittibten Fr. Herrmännin, hinten auff Peter Joseph den informatorem – als ein in gemeinschafft mit Maria Barbara Redslobin den 10. 8.br. 1782 erkaufftes immobile – um 200 gulden
Les experts estiment la maison rue de l’Ecrevisse à la somme de 637 livres lors de l’inventaire dressé en 1790 après la mort de Jean Michel Theurkauff
Les héritiers cèdent leurs parts d’immeubles à la veuve Marguerite Salomé Redslob
1790 (12.5.), Not. Übersaal (6 E 41, 660) n° 276, joint à l’inventaire du 16.2.1790
Vor mir unterschriebenen Loebl. Stadt Straßburg geschwornen öffentlichen Notario als zu weiland Herrn Johann Michael Theurkauff, des gewesenen Kürschners und Föchhändlers, auch Es En Kleinen Raths und Es. Löbl. Polizei Gerichts alten Beisitzers seel. Verlaßenschaft Inventur und Erörterung adhibirten Inventirschreiber sind an heutigem zu End gemeltem Tag persönlich erschienen 1° Frau Margaretha Dorothea Häcklerin geborene Theurkauffin Hn. Johann Friedrich Häckler des Schneidermeisters und Burgers alhier Ehegattin, von demselben hierzu genugsam authorisirt und verbeiständet, 2° Jungfrau Maria Magdalena Theurkauffin, weiland Johann Georg Theurkauff, des gewesenen paßmentirers und hiesigen burgers seel. hinterlassene eheliche Tochter, so majorennis und ihre Rechte genieset, beiständlich H. Joh. Gottfried Siegfried, des Stadtpflästerers und burgers dahier und 3° Frau Ursula Walterin geborene Lutherin, unter Authorisation und Verbeiständung ihres Ehevogts Hn Johann Daniel Walter, des Schuhmachermeisters und hiesigen Burgers, alle drei des H. Theurkauff seel. jede vor eine Tertz hinterlaßene Testaments Erbinnen
haben in Gegenwart Herrn Johann Michael Redslob, des Paßmentierers, Seidenhändlers und burgers alhier, als beeÿdigten Curatoris personæ et bonorum Margaretha Salome Theurkauffin geborener Redslobin, gedachten H. Theurkauffs seel. hinterbliebener Frau Wittib (…) eigenthümlich cedirt, abgetreten und überlassen (…)
zween dritte Theile vor unvertheilt von und ane dreien in die Theurkauff’sche theilbare Massam gehörig gewesenen Häusern samt allen darzu gehörigen Gebäuden, Begriffen, Weiten, Rechten und Gerechtigkeiten, woran die übrige Tertz der Frau Wittib bereits eigenthümlich zuständig, als
Zwo tertzen an einer Behausung mit N° 9 bemercket, Höflein und hoffstatt gelegen alhier bei dem Roßmarck an der Krebs- und Bischoffs: Gaß, einen durchgang in beÿde Gaßen habend (…)
Zwo tertzen an einer Behausung mit N° 20 bezeichnet, höflein und hoffstatt gelegen alhier bei dem Roßmarck an der Krebsgaß, einseit neben Frau Herrmännin Wittib, anderseit neben N. Lebrun, Coeffeur des dames, hinten auf N. Martin dem Meelwäger stosent, so frei, ledig und eigen
So dann zwo Tertzen ane einer eine behausung und hoffstatt N° 34 ane der Waßersuppgaß (…)
der zwo Tertzen der behausung n° 20 um 1130 gulden die gantze behausung auf 1670 gulden
der zwo Tertzen der behausung N° 34 ane der Waßersuppgaß, 810 gulden
So geschehen alhier zu Straßburg auf Mittwoch den 12. Maji im Jahr 1790
Au partage des immeubles de Marguerite Salomé Redslob, la maison rue de l’Ecrevisse revient à Susanne Marguerite Redslob femme du potier Jean Henri Fanck, auparavant veuve de Jacques Bourcart Schweigheusser
1791 (8.6.), Not. Übersaal (6 E 41, 660) n° 309
Berechnung und Erörterung, Margaretha Salome Theurkauffin
Vor mir unterschriebenen der Stadt Straßburg geschwornen öffentlichen Notario als zu weiland Frau Margarethæ Salome Theurkauffin geborener Redslobin, auch weiland Herrn Johann Michael Theurkauff, des gewesenen Kürschners, Föchhändlers und burgers alhier Frau Wittib seelig Verlaßenschaft Erörterung berufenen Inventirschreiber sind an erschienen 1° Frau Susanna Margaretha geborene Redslobin Herrn Philipp Georg Stromeÿer des jüngern Handelsmanns alhier Frau Eheliebste beiständlich deßelben, 2° Herr Johann Gottfried Redslob, der Paßmentirer und Seidenhändler, 3° Herr Johann Michael Redslob der ebenmäßige Paßmentirer und Seidenhändler, 4° Frau Maria Magdalena Bruderin geborene Redslobin Herrn Johann Christian Bruder, des Pergamenters Ehegattin, beiständlich ihres Eehemanns, wie auch derselben beeidigter Curator Herr Johann Friedrich Bruder, der ebenmäßige Pergamenter dahier (…), 5° Herr Georg Daniel Redslob, der Säcklermeister sowol vor sich als auch als Mandatarius Herrn Johann Ludwig Redslob, des Professoris Geographiæ bei dem Königl. Corps des Cadets in Berlin und 6° Frau Maria Barbara Thiele geborene Redslobin, Herrn Johann Gottfried Thiele, des Kürschners und Föchhändlers alhie Ehegattin unter der Autorisation und dem Beistand desselben, samtliche der Frau Theurkauffin seelig hinterlassene Geschwistrige und respective Neveu und Erben sowol ab intestato als per testamentum haben
in Gegenwart Frau Susannæ Magdalenæ Fanckin geborener Redslobin, Herrn Johann Heinrich Fanck, des Hafnermeisters alhier Ehegattin, uner der Autorisation und mit Beistand ihres Ehemanns, als Schwester und Mir Erbin der verstorbenen, Frau Theurkauffin selig angezeigt und bekannt (…) cedirt, abgetretten und überlassen
sechs siebende Theile vor unvertheilt vor und an einer Behausung mit N° 20. bezeichnet, Höflein und Hoffstatt samt Zugehörden und Rechten gelegen alhier bei dem Roßmarckt an der Krebsgaß, einseit neben Frau Herrmännin Wittib, anderseit neben N. Lebrun Coëffeur des Dames, hinten auf N. Martin dem Meelwäger stosend, so frei, ledig und eigen, woran Frau Fanck ein 7.der theil bereits eigenthümlich zuständig – zugangen und geschehen vor und um 1430 Gulden, die völlige Behausung zu 1670 gulden gerechnet
So beschehen alhier Zu Straßburg (…) den 8. Junii 1791.
enreg 21.6. f° 5
La maison est portée dans l’inventaire dressé en 1806 après la mort de Jean Henri Fanck
Susanne Madeleine Redslob loue la maison au boulanger Jean Jacques Thomas
1818 (31.8.), Strasbourg 4 (48), M° Stoeber aîné n° 4414
Bail à vie à compter de la Saint Michel prochaine – Susanne Madeleine Redslob veuve de Jean Franck, potier de terre
à Jean Jacques Thomas, ci devant boulanger, et Catherine Madeleine Dassau
dans la maison sise en cette ville rue de l’Ecrevisse n° 20 le rhez de chaussée consistant dans un poel, deux chambres, cuisine, bucher, au second étage, une chambre et un cabinet au grenier, une cave – à charge de soigner la bailleresse sa vie durante, charge évaluée à 96 francs par an, faisant en capital 960 francs
Enregistrement, acp 140 F° 57 du 9.9.
Susanne Madeleine Redslob meurt en 1819 après avoir institué le négociant Georges Frédéric Redslob pour son légataire universel
1819 (13.10.), Strasbourg 12 (78), M° Wengler n° 11.587
Inventaire de la succession de Susanne Madeleine Redslob, veuve en secondes noces de Jean Henri Fanck, potier de terre, décédée le 30 septembre dernier – dressé à la requête de Georges Frédéric Redslob, négociant, légataire universel demeurant Vieux Marché aux Poissons n° 120, par Testament public reçu par le soussigné notaire le 16 janvier dernier
dans la maison mortuaire rue de l’Ecrevisse n° 20
mobilier 624 fr, créances 14.401 fr, ensemble 15.205 fr
art. 90. immeuble une maison & dépendances sise en cette ville rue de l’Ecrevisse n° 20 d’un côté la veuve Hermann, de l’autre Sr Lebrun perruquier, devant ladite rue derrière le Sr Martin – recueillie le 7° par indivis dans la succession de Marguerite Salomé Theurkauf née Redslob, acquis les six 7° de ses cohéritiers suivant acte dressé par M° Übersaal le 8 juin 1791, la Dame Theurkauf l’avait acquis de Jean Michel Theurkauf peletier à la Chambre des Contrats le 10 octobre 1782 – adjugé aud. Sr Theurkauf par adjudication sur folle enchère le 2 septembre 1782 insinué au protocolle des contrats le 13 septembre suivant f° 369 b, estimée 1000 fr
passif 11 892 fr dont legs 875, 1048 et 3826 fr
Enregistrement, acp 144 F° 189-v du 10.10.
Lors du partage des biens de Georges Frédéric Redslob en 1859, la maison rue de l’Ecrevisse revient à son fils Louis Edmond Redslob
Louis Edmond Redslob vend la maison à l’architecte Jean Joseph Reiner et à sa femme Louise Blattel
1860 (11.6.), Strasbourg 14 (155), M° Ritleng père n° 10.539
11 Juin 1860. Vente p. 6000 f. – a comparu M Louis Edmond Redslob, marchand de cuirs domicilié & demeurant à Strasbourg, lequel a déclaré vendre
au S. Joseph Reiner architecte et D° Louise Blattel son épouse de lui autorisée domiciliés & demeurant à Strasbourg acquéreurs solidaires
une maison avec cour, appartenances et dépendances sise à Strasbourg rue de l’écrevisse N° 13 Nouveau et N° 20 ancien entre M. Massé & le SrAymès. Tel que cet immeuble se comporte (…)
Etablissement de la Propriété. Le Sr Redslob est propriétaire de l’immeuble vendu pour lui être échu dans la succession de Mr Georges Frédéric Redslob son père décédé propriétaire à Strasbourg suivant Partage sans soulte entre majeurs dressé par le soussigné notaire Ritleng le 24 février 1859 enregistré. Feu M. Redslob père a recueilli le même immeuble dans la succession de Dame Suzanne Madeleine Redslob, sa tante, décédée veuve du Sr Jean Henri Fanck vivant potier de terre à Strasbourg aux termes du testament de la dite veuve Fanck par lequel M. Redslob a été institué légataire universel de sa tante reçu par M° Wengler ci devant notaire à Strasbourg le 16 janvier 1819 enregistré. – Prix 6000 francs
Police d’assurance – Mutuelle du Bas-Rhin, N° 5377-B du 26 février 1860 pour Mr Louis Edmond Redslob Marchand de cuirs à Strasbourg, en qualité de propriétaire
Strasbourg Vieux marché aux poissons 31
1° Maison d’habitation, évaluation 23.000
Rue de l’Ecrevisse 13
2° Maison d’habitation de devant, 3300
3° Maison d’habitation de derrière, 1300
4° Cage d’escalier, 400
acp 489 (3 Q 30 204) f° 24 du 12.6.
Jean Joseph Reiner loue la maison à Georges Chrétien Feindel
1862 (25.3.), Enregistrement de Strasbourg, ssp 135 (3 Q 31 634) f° 72 du 3.6.
25 mars 1862. Bail – Mr Jean Joseph Reiner, propriétaire, donne à bail pour trois, six ou neuf années sa maison sise à Strasbourg rue de l’écrevisse N° 13
au Sr Georges Chrétien Feindel, en cette ville
le bail est fait pour un loyer annuel de 125 francs
Jean Joseph Reiner et Anne Louise Blettel vendent à l’aubergiste Jacques Lobstein et à sa femme Elisabeth Mugler la maison qu’ils déclarent avoir reconstruite
1862 (14.7.), Strasbourg 4 (120), M° Lauth n° 10.302
Vente du 14 juillet 1862. – ont comparu M. Jean Joseph Reiner, architecte, et Dame Anne Louise Blettel, son épouse, de lui autorisée, demeurant et domiciliés à Strasbourg, lesquels déclarent (vendre)
à M. Jacques Lobstein, aubergiste et propriétaire et à dame Elisabeth Mugler, son épouse, demeurant et domicilié à Strasbourg, auparavant dans la banlieue de Schiltigheim, acquéreurs solidaires ci présents et acceptant, la femme de son mari autorisée
Une maison avec cour, droits, aisances, appartenances et dépendances sise à Strasbourg, rue de l’écrevisse N° 13 autrefois Numéro 20, tenant d’un côté à M. Massé, de l’autre à M. Aymès. Cet immeuble inscrit au cadastre section N Numéro 464 avec une superficie de 86 centiares. Ainsi que cet immeuble se poursuit et se comporte (…)
Déclarent les vendeurs que la dite maison leur appartient en toute propriété pour l’avoir fait construire sur l’emplacement d’une vieille maison qu’ils ont acquis de M. Louis Edmond Redslob, marchand de cuirs demeurant et domiciliés à Strasbourg, aux termes d’un contrat passé devant M° Ritleng, père, notaire à Strasbourg le 11 juin 1860 enregistré et transcrit au bureau des hypothèques de Strasbourg le 19 dudit mois de juin Volume 817 N° 64 et inscrit d’office Volume 762. Numéro 29 pour sûreté du prix de vente qui a été payé le 16 novembre suivant, ainsi qu’il a été justifié. M. Redslob avait été propriétaire du dit immeuble pour l’avoir recueilli dans la succession de Mr Georges Frédéric Redslob, son père, décédé propriétaire à Strasbourg suivant partage sans soulte entre majeurs dressé par M° Ritleng le 24 février 1859 enregistré. Feu M. Redslob père a recueilli le même immeuble dans la succession de Dame Suzanne Madeleine Redslob, sa tante, décédée veuve de M. Jean Henri Fanck en son vivant potier de terre à Strasbourg aux termes du testament de la dite veuve Fanck reçu par M° Wengler alors notaire à Strasbourg le 16 janvier 1819 enregistré par lequel M. Redslob a été institué légataire universel de Mad. veuve Fanck. – pour le prix de 18.000 francs (…) Finalement déclarent les vendeurs qu’ils sont mariés sous le régime de la communauté de biens réduite aux acquêts aux termes de leur contrat de mariage passé devant M° Grimmer notaire à Strasbourg le premier octobre 1856, que la venderesse est mariée en premières noces mais que le vendeur est marié en troisièmes noces, qu’il avait eu pour première épouse Dame Brigite Bieth et pour seconde épouse Dame Catherine Elise Jouvelet, que cette dernière est décédée peu de temps après son mariage sans délaisser d’enfants mais que la première épouse a délaissé des enfants mineurs quo ont hypothèque légale sur les biens des vendeurs
acp 512 (3 Q 30 227) f° 66 du 16.7.
Originaire de Brumath, le cordonnier Jacques Lobstein épouse en 1842 Eve Matzinger, native de Mittelhausen
Mariage, Strasbourg (n° 189) Du 28° jour du mois d’avril 1842 à dix heures du matin. Acte de mariage de Jacques Lobstein, Majeur d’ans, né en légitime mariage le 18 avril 1813 à Brumath (Bas-Rhin), Cordonnier, fils de Michel Lobstein, Cultivateur domicilié à Brunath ci présent et consentant et de feu Catherine Wendling, décédée à Brumath le 22 juin 1836
et de Eve Matzinger, Majeure d’ans, née en légitime mariage le 12 avril 1815 à Mittelhausen (Bas-Rhin) domiciliée à Strasbourg, fille de feu Jean Matzinger, tailleur décédé à Mittelhausen le 19 septembre 1830 et d’Eve Meyer domiciliée à Mittelhausen, ci présente et consentante (signé) Lobstein Jacques, Eva Matzinger (i 46)
Eve Matzinger meurt en 1847 en délaissant deux fils
1848 (20.1.), Strasbourg 14 (126), M° Ritleng n° 18.184
Inventaire de la communauté qui a existé entre Eve Matzinger et Jacques Lobstein
L’an 1848 le Jeudi 20 janvier, à neuf heures du matin, en la maison sise Strasbourg, faubourg de Pierre N° 44 où est décédée le 7 décembre dernier Eve Matzinger Epouse du Sr Jacques Lobstein, ancien cabaretier
A la Requête & en Présence du dit Sr Jacques Lobstein, ci-dessus qualifié, domicilié & demeurant à Strasbourg agissant tant en son nom personnel à raison de la communauté de biens ayant existé entre lui & sa femme défunte avec laquelle il a contracté mariage sans avoir fait de contrat qui réglât les conditions civiles de leur union, qu’en sa qualité de tuteur légal de ses enfants encore mineurs procréés de son mariage avec la défunte son épouse, nommés Charles Lobstein âgé de 6 ans, & Jacques Lobstein âgé de 3 ans. Lesdits mineur habiles à se dire et porter seuls et uniques héritiers chacun pour moitié, de la défunte Dame Lobstein leur mère. En présence du Sr Georges Matzinger, tisserand domicilié à Lampertheim agissant en qualité de subrogé tuteur des deux mineurs
acp 368 (3 Q 30 083) f° 88 (succession déclarée le 29 mars 1848 N° 218) Mobilier de la communauté, estimé 995, garde robe de la défunte 75, Argent comptant 85, créances 1791 – Passif de la communauté 105
La communauté doit récompense 1) à la succession pour une pièce de terre vendue 1000, 2° au veuf pour immeubles aliénés 700
Les indemnités dues par le veuf à la communauté s’élèvent à 1061
Les immeubles propres auSr Lobstein sont 1° une maison et dépendances à Brumath rue in den Ziegellöchern et 43 ares de terre dit ban en quatre parcelles
Jacques Lobstein se remarie en 1848 avec Christine Sophie Guthapfel, originaire d’Ingwiller
1848 (25. 7.br), Strasbourg 14 (127), M° Ritleng n° 545
25. 7.b 1848. Contrat de mariage – Sont comparus Le Sr Jacques Lobstein, ancien cabaretier domicilié à Strasbourg Veuf avec deux Enfants d’Eve Mariznger sa femme en premières noces d’une part
& Demoiselle Christine Sophie Guthapfel, fille majeure de feu le Sr Georges Guthapfel en son vivant tisserand & de Catherine Faber sa veuve domiciliés tous deux à Ingwiller, agissant sous l’assistance & la consentement de la veuve Guthapfel sa mère d’autre part
acp 375 (3 Q 30 090) f° 47 – régime de communauté de biens réduite aux acquêts
Les apports du futur sont constatés par acte reçu Ritleng le 20 janvier 1848
Las apports de la future consistent 1) dans le 5° de la succession de son père 2) dans une somme de 600 francs
Donation par la veuve Guthapfel à la future épouse sa fille ce acceptant d’un trousseau évalué à 210 francs
Donation par le futur époux à la future épouse de l’usufruit d’une part d’enfant et par la future épouse au futur époux de l’usufruit de la somme de 600 francs en cas de survie
Christine Sophie Guthapfel meurt en 1856 en délaissant deux filles
1856 (12.1.), Strasbourg 14 (145), M° Ritleng f° 7858
Inventaire de la communauté de biens qui a existé entre Jacques Lobstein et Christine Sophie Guthapfel
L’an 1856 samedi 12 janvier à neuf heures du matin en de demeure ci après indiquée à Strasbourg où est décédée le premier septembre dernier D° Christine Sophie Guthapfel femme en secondes noces du Sr Jacques Lobstein, aubergiste en ladite ville, à la requête et en présence du dit Sr Jacques Lobstein domicilié et demeurant à Strasbourg agissant tant en son nom personnel à cause de la communauté de biens qui a existé entre entre lui et ladite Christine Sophie Guthapfel sa femme aux termes de leur contrat de mariage passé devant le soussigné notaire Ritleng le 25 septembre 1853 enregistré qu’en qualité de tuteur légal de Salomé Lobstein âgée de 6 ans et Sophie Lobstein âgée de deux ans ses deux enfants procréés avec ladite défunte de laquelle ils sont ses seuls et uniques héritiers sous bénéfice d’inventaire, et en présence du Sr Joseph Valentin Kern, tailleur d’habits domicilié et demeurant à Strasbourg agissant en qualité du tuteur des deux enfants mineurs
acp 446 (3 Q 30 161) f° 79-v du 14.1. (succession déclarée le 28 janvier 1856) Communauté, mobilier estimé à 808, argent comptant 1415
Succession, garde robe 136, mobilier 116
acp 447 (3 Q 30 162) f° 7-v du 24.1. (vacation du 23 janvier) Communauté, 21 ares 84 terres ban de Reichstett, 14 ares 84 terres dit ban
créances 1824 – Indemnités dues par la 2° communauté à la première 1754
Reprises de la défunt 818, du veuf 1340
Jacques Lobstein se remarie en 1856 avec Elisabeth Mugler, originaire d’Ingwiller
1856 (14.4.), M° Ritleng
Contrat de mariage – 1) Jacques Lobstein, aubergiste à Strasbourg, veuf en premières noces avec deux enfants de feue Eve Matzinger et en secondes noces avec deux enfants de Christine Sophie Guthapfel
et 2) Elisabeth Mugler fille majeure à Ingwiller fille de Jean Chrétien Mugler, teinturier et de Salomé Helminger sa veuve
acp 449 (3 Q 30 164) f° 73 du 17.4. stipulation de communauté de biens réduite aux acquêts réserve d’apports et d’héritages
Les apports du futur époux sont constatés par inventaire reçu Ritleng notaire le 20 janvier 1848 & 12 janvier 1853
et une maison route de Brumath ban de Schiltigheim
Les apports de la future consistent 1) en une somme de 800 francs 2) un mobilier estimé à 336 francs, 3) dix ares de terre ban d’Ingwiller canton Offwilerweg
Donation réciproque par les futurs au survivant d’eux de tout ce dont la loi lui permet de disposer
Salomé Lobstein, fille de Christine Sophie Guthapfel, meurt en délaissant pour héritiers son père, sa sœur et ses demi-frères
1863 (17.12.), Strasbourg 14 (162), M° Ritleng père
Inventaire de la succession de Salomé Lobstein mineure
L’an 1863 Jeudi 17 décembre à neuf heures du matin. à la requête et en présence du sieur Jacques Lobstein, aubergiste domicilié et demeurant à Strasbourg agissant tant en son nom personnel qu’en qualité d’héritier réservataire pour le quart de Salomé Lobstein, sa fille mineure issue de son mariage avec feue Dame Christine Sophie Guthapfel sa femme en secondes noces, ladite mineure décédée à Strasbourg le premier septembre dernier, qu’en qualité de tuteur légal 1° de Sophie Lobstein sa fille mineure issue de son second mariage, 2° de Charles Lobstein et Jacques Lobstein ses deux enfants mineurs issus de son premier mariage avec feue Dame Eve Matzinger sa femme en premières noces, lesdits trois mineurs habiles à se dire et porter seuls et uniques héritiers pour les trois quarts restants de ladite défunte Salomé Lobstein, savoir la mineure Sophie Lobstein pour 4/8 comme sœur germaine de la défunte et les mineurs Charles et Jacques Lobstein pour 2/8 comme frères consanguins de la même. Et en présence du sieur Joseph Valentin Kern, tailleur d’habits domicilié et demeurant à Strasbourg agissant en qualité du tuteur de la mineure Sophie Lobstein
acp 528 (3 Q 30 243) f° 31-v du 19.12. La fortune de la mineure s’élève à la somme de 1056 francs – garde robe 11
Jacques Lobstein et Elisabeth Mügler cèdent par échange la maison au tisserand Michel Kieffer
1865 (21.9.), Antoine Ritleng père (minute en déficit), Hypothèque de Strasbourg, Transcription reg. 1030 (3195) n° 138 du 4 octobre
Echange – Ont comparu 1) le Sieur Jacques Lobstein, aubergiste & propriétaire et Dame Elisabeth Mügler son épouse de lui autorisée domiciliés et demeurant à Strasbourg d’une part
2) et le sieur Michel Kieffer, tisserand domicilié et demeurant en la même ville d’autre part, lesquels ont déclaré avoir fait entre eux l’échange suivant.
Les époux Lobstein cèdent et abandonnent en toute propriété à titre d’échange avec la garantie solidaire de droit audit sieur Michel Kieffer ce acceptant
Une maison avec cour, droits, aisances, appartenances et dépendances sise à Strasbourg, rue de l’écrevisse N° 13 autrefois N° 20, tenant d’un côté au sieur Massé, de l’autre côté au sieur Aymès. Cet immeuble inscrit au cadastre sous N 464 avec une superficie de 86 centiares. Etablissement de la propriété. Les époux Lobstein ont acquis ledit immeuble du sieur Jean Joseph Reiner et de Dame Marie Louise Blettel sa femme demeurant à Strasbourg suivant contrat passé devant M° Lauth et l’un de ses collègues notaires à Strasbourg le 14 juillet 1862 enregistré et transcrit au bureau des hypothèques à Strasbourg le 22 du même mois vol. 907 N° 81 et inscrit d’office le dit jour vol. 819 N° 130. Cette acquisition a eu lieu moyennant la somme de 18.000 francs (…). Il résulte dudit contrat que les conjoints Reiner ont fait construire ladite maison qu’ils avaient acquise de M. Louis Edmond Redslob, marchand de cuirs demeurant et domiciliés à Strasbourg, en vertu de contrat passé devant le soussigné notaire Ritleng le 11 juin 1860 enregistré et transcrit au bureau des hypothèques de Strasbourg le 19 dudit mois de juin vol. 817 N° 64 et inscrit d’office le même jour vol. 762 N° 29. M. Redslob avait été propriétaire du dit immeuble pour l’avoir recueilli dans la succession de Mr Georges Frédéric Redslob, son père, décédé propriétaire à Strasbourg suivant partage sans soulte entre majeurs dressé par M° Ritleng le 24 février 1859 enregistré. Feu M. Redslob père a recueilli le dit immeuble dans la succession de Dame Suzanne Madeleine Redslob, sa tante décédée veuve de M. Jean Henri Fanck en son vivant potier de terre à Strasbourg aux termes du testament de la dite veuve Fanck reçu par M° Wengler alors notaire à Strasbourg le 16 janvier 1819 enregistré par lequel M. Redslob a été institué légataire universel de la veuve Fanck
En contre échange le sieur Michel Kieffer cède (…)
Le tiers indivis de deux maisons rue du Faubourg de Pierre n° 43 et 44 (…)
L’immeuble cédé en échange par les époux Lobstein au sieur Kieffer est estimé à un revenu annuel de 1050 francs représentant en capital la somme de 21.000 francs (…). Le tiers indivis de l’immeuble cédé en contre échange par le sieur Kieffer aux époux Lobstein est estimé à un revenu annuel de 550 francs représentant en capital 11.000 francs
acp 546 (3 Q 30 261) f° 26 du 23.9.
Originaire d’Olwisheim, Jean Michel Kieffer épouse à Vendenheim où il habite Catherine Lorentz, native de Dingsheim
Mariage, Vendenheim
Le 19° jour du mois de May l’an 1835 à neuf heures du matin. Acte de mariage de Jean Michel Kieffer âgé de 25 ans, né à Olvisheim, dép. Bas Rhin le 4 octobre 1809 fils légitime majeur de Antoine Kieffer, tisserand en ce lieu âgé de 53 ans, présent et consentant et de feue Catherine Riehl, décédée en ce lieu le 12 Mai 1819
et de Catherine Lorenz, âgée de 24 ans, née à Dingsheim, dép. Bas Rhin le premier décembre 1814 fille légitime de André Lorenz, laboureur à Dingsheim âgé de 56 ans ci présent et consentant et de Catherine Griess son épouse âgée de 45 ans, consentante (signé) Michel Kieffer, Catharina Lorentz (i 4)
Jean Michel Kieffer se remarie en 1866 avec Marie Apolline Hiessler, veuve du journalier Michel Sum
Mariage, Strasbourg (n° 289)
Du 21° jour du mois de juin 1866 à dix heures du matin. Acte de mariage de Jean Michel Kieffer, majeur d’ans, né en légitime mariage le 4 octobre 1819 à Olwisheim (Bas-Rhin) domicilié à Strasbourg, tisserand, veuf de Catherine Lorentz décédée à Strasbourg le 20 mars 1852 fils de feu Antoine Kieffer tisserand décédé à Vendenheim (Bas-Rhin) le 29 février 1852 et de Catherine Riehl décédée à Vendenheim le 19 mai 1819
et de Marie Apolline Hiessler majeure d’ans, née en légitime mariage le 21 ventôse en 13 (12 mars 1805) à Saessolsheim (Bas-Rhin), domiciliée à Strasbourg, journalière, veuve de Michel Sum, journalier décédé à Strasbourg le 13 juin 1865 fille de feu Jean Hiessler, journalier décédé à Friedolsheim (Bas-Rhin) le 30 octobre 1833 et de feu Thérèse Baumrock décédée à Saessolsheim le 2 février 1811 (…) il n’a pas été passé de contrat de mariage (…) l’épouse a déclaré ne savoir signer (i 89)
Madeleine (Marie Appoline) Hissler consent au mariage de sa fille naturelle Françoise
1869 (19.8.), M° Hoffherr
Consentement par Madeleine Hissler épouse de Michel Kieffer à Strasbourg au mariage de sa fille naturelle Françoise Hissler avec Pierre Reiss ouvrier tanneur à Strasbourg
acp 584 (3 Q 30 299) f° 56-v du 21.8.
Le tisserand Michel Kieffer et Marie Appoline Hissler hypothèquent la maison au profit de l’huissier François Amédée Nicolas
1869 (23.6.), Strasbourg 14 (175), M° Emile Ritleng jeune n° 18.258
23 juin 1869. Obligation de 2000. – Ont comparu le Sieur Michel Kieffer, tisserand & propriétaire, & Dame Marie Appoline Hissler, sa femme de lui autorisée, domiciliés & demeurant ensemble à Strasbourg rue de l’écrevisse N° 13, lequels ont reconnu devoir solidairement entr’eux
à Monsieur François Amédée Nicolas, huissier domicilié & demeurant à Strasbourg, ci présent et acceptant la somme principale de 2000 francs
hypothèque. Une maison avec cour, droits, aisances, appartenances & dépendances sise à Strasbourg, rue de l’Ecrevisse N° 13 autrefois N° 20, tenant d’un côté au Sieur Massé, de l’autre au Sieur Aymès. Cet immeuble inscrit au cadastre sous Numéro 464 avec une superficie de 86 centiares.
Titre de propriété. Le Sr Kieffer est propriétaire dudit immeuble pour l’avoir reçu en échange des conjoints Jacques Lobstein de Strasbourg en vertu de contrat reçu par M° Ritleng père alors notaire à Strasbourg le 21 septembre 1865, enregistré & transcrit au bureau des hypothèques de Strasbourg le 5 octobre 1865 volume 1030 N° 138 & inscrit d’office volume 905 N° 103 & 104. Les anciens titres de propriété sont relatés au dit contrat d’échange. (…) Etat civil des Débiteurs. Les Epoux Kieffer déclarent qu’ils sont mariés sous le régime de la communauté légale à défaut de contrat de mariage
Michel Kieffer et Marie Appoline Hissler hypothèquent la maison au profit du lieutenant colonel Donat Marcel Déléviéleuse et du commis négociant Gustave Klein
1871 (28.5.), Strasbourg 14 (177), M° Emile Ritleng jeune n° 19.030
8 Mai 1871. Obligation – Ont comparu le Sieur Michel Kieffer, tisserand et propriétaire, & Dame Marie Appoline Hissler, sa femme de lui autorisée, domiciliés & demeurant ensemble à Strasbourg rue de l’écrevisse N° 13, lequels ont reconnu devoir solidairement entr’eux
1° à Mr Donat Marcel Déléviéleuse, lieutenant colonel au 101° régiment de ligne en garnison à Nevers, où il demeure, pour lequel est ici présent, stipule, accepte et se porte fort M. Eugène Klein, rentier domicilié & demeurant à Strasbourg, 600 francs
2° à M. Gustave Klein, commis négociant domicilié & demeurant à Strasbourg la somme de 400 francs, ensemble la somme principale de 1000 francs pour prêt de pareille somme (…)
hypothèque. Une maison avec cour, droits, aisances, appartenances & dépendances sise à Strasbourg, rue de l’Ecrevisse N° 13 autrefois N° 20, tenant d’un côté au Sr Massé, de l’autre au Sr Aymès. Cet immeuble inscrit au cadastre sous N 464 avec une superficie de 86 centiares.
Titre de propriété. Le Sr Kieffer est propriétaire dudit immeuble pour l’avoir reçu en échange des conjoints Jacques Lobstein de Strasbourg en vertu de contrat reçu par M° Ritleng père alors notaire à Strasbourg le 21 septembre 1865, enregistré & transcrit au bureau des hypothèques de Strasbourg le 5 octobre 1865 volume 1030 N° 138 & inscrit d’office volume 905 N° 103 & 104. Les anciens titres de propriété sont relatés au dit contrat d’échange. (…) Etat civil des Débiteurs. Les Epoux Kieffer déclarent qu’ils sont mariés sous le régime de la communauté légale à défaut de contrat de mariage
Charles Kieffer céde à Louis Heintz ses droits dans la succession de son père
1872 (11.9.), Strasbourg 14 (179), M° Emile Ritleng jeune n° 19.543
11 septembre 1872 – Vente de droits successifs – a comparu Monsieur Charles Kieffer, tisserand, domicilié & demeurant à Strasbourg, agissant en qualité d’héritier pour un quart du sieur Michel Kieffer, son père décédé propriétaire à Strasbourg, ainsi qu’il le déclare, lequel Sr Comprarant a déclaré, vendre, transporter (…)
à M. Louis Heintz, débitant de vins demeurant à Strasbourg ci présent et acceptant
tous les droits successifs mobiliers et immobiliers tant en fonds & capitaux qu’en fruits & revenus échus & à échoir qui peuvent appartenir au dit Sr Kieffer comparant dans l’hérédité du Sr Michel Kieffer son père susnommé (…) avec l’observation que la veuve du dit sieur Kieffer défunt est légataire de ce dernier d’une part d’enfant, ainsi déclaré. (…) à charge par l’acquéreur de supporter la part du vendeur du passif de la succession, à cet égard le vendeur déclare que le passif de la succession se son père se monte à une somme de 3750 francs – moyennant la somme de 1000 francs
acp 608 (3 Q 30 322) f° 89-v du 21.9.
Registre de population 600 MW 214 (1648 sqq) Reu du Glaive N° 2 (Dürringer Propriétaire) i 8
Kieffer, Michel, 1809, Vendenheim tisserand, marié, (à Str. depuis) 15 8.bre 1840, (carte) 7569-40, (auparavant) même rue AP N° 5, (entré) 26 avril 50
id. née Lorentz, Catherine, 1811, Dingsheim, Ep. – décédée 20 mars 1853
id. Hélène, 1837, id. ses enfants
id. George, 1838, id.
id. Michel,1840, id.
id. Marie Joséphine, 16 mai 1846, Strasbourg
id. Jean Philippe, 14 août 1848, id.
id. Joseph Charles, 29 mai 1850, id.
Répertoire alphabétique 600 MW 415 (i 73)
Michel Kieffer, tisserand
Madeleine Kieffer
Joseph Charles Kieffer
Michel Kieffer
(chacun) rue du Glaive 2 / 3, Krutenau 8, Impasse Günther 9, rue du fort 24, rue Ecrevisse 13
Jean Michel Kieffer meurt le 25 juin 1872 dans sa maison
Décès, Strasbourg (n° 1440) Acte de décès. Le 25 juin 1872 (…) ont comparu Jean Michel Kieffer âgé de 34 ans, tourneur en métaux, fils du défunt, domicilié à Strasbourg, et Georges Kieffer âgé de 31 ans, tisserand, fils du défunt, domicilié à Strasbourg, lesquels nous ont déclaré que Jean Michel Kieffer âgé de 62 ans, né à Olvisheim (Bas Rhin) tisserand, veuf en 1° noces de Catherine Lorentz épouse en 2° noces de Marie Apolline Hissler, domicilié à Strasbourg, fils de feu Antoine Kieffer, tisserand et de feu Catherine Riehl, est décédé le 25 juin 1872 à huit heures du matin en la maison rue de l’Ecrevisse 13 (i 105)
Les enfants et héritiers de Michel Kieffer vendent la maison au serrurier Joseph Burgard et à sa femme Louise Calame
1872 (28.11.), Strasbourg 14 (179), M° Emile Ritleng jeune n° 19.614
28. 9.bre 1872. Vente p. 22.000 francs – Ont comparu 1. Mons. Michel Kieffer, tisserand, célibataire demeurant à Strasbourg rue Finckwiller N° 33, 2. Mons. Georges Kieffer, tourneur rn métaux & Dame Léonie Lutz, son épouse, demeurant à Strasbourg marais Kageneck N° 51, le Sr Georges Kieffer agissant ici tant pour autoriser son épouse susnommée qu’en qualité de mandataire du Sr Philippe Kieffer, tourneur en pipes domicilié autrefois à Strasbourg, aujourd’hui soldat au service de France (…) & 3. Monsieur Louis Heintz, aubergiste & Dame Barbe Heckmann, son Epouse de lui autorisée, domiciliés & demeurant à Strasbourg place Broglie N° 13, Mr Heintz comme étant aux droits du Sieur Charles Kieffer soldat au service de France aux termes d’un contrat de vente de droits successifs passé devant le soussigné notaire Ritleng le 11 septembre 1872, Lesquels en qualité qu’il agissent ont déclaré Vendre (…)
à Monsieur Joseph Burgard, serrurier & à Dame Louise Calame, son épouse de lui autorisée, domiciliés & demeurant à Strasbourg rue de l’écrevisse N° 18 acquéreurs solidaires ici présents & acceptant
Une Maison avec cour droits aisances appartenances & dépendances sise à Strasbourg rue de l’Ecrevissse Numéro 13 autrefois Numéro 20 tenat d’un côté au Sieur Massé, de l’autre côté au Sr Aymès. Cet immeuble inscrit au cadastre sous numéro 424 avec une superficie de 86 centiares.
Etablissement de la propriété. Les sieuus Michel Kieffer, Georges Kieffer & Philippe Kieffer déclarent avoir recueilli la maison vendue avec leur frère le Sr Charles Kieffer susnommé dans la succession de leur père Michel Kieffer en son vivant tisserand demeurant à Strasbourg où il est décédé, duquel ils affirment être seuls et uniques héritiers chacun de pour un quart. Le sieur Charles Kieffer est aujourd’hui représenté par M. Heitz susnommé dont les droits résultent du contrat de vente du 11 septembre dernier relaté plus haut.
Feu le sieur Michel Kieffer était propriétaire de l’immeuble faisant l’objet de la présente vente pour l’avoir reçu en échange du Sr Jacques Lobstein aubergiste & propriétaire & Dame Elisabeth Mügler son épouse de Strasbourg aux termes d’un contrat passé devant M° Ritleng père alors notaire à Strasbourg & l’un de ses collègues le 21 septembre 1865, enregistré & transcrit au bureau des hypothèques de Strasbourg le 5 octobre 1865 volume 1030 N° 138 & y inscrit d’office volume 905 N° 103 & 104. Les Epoux Lobstein ont acquis ledit Immeuble du sieur Jean Joseph Reiner & de Dame Marie Louise Blettel sa femme demeurant à Strasbourg suivant contrat passé devant M° Lauth & l’un de ses collègues notaires à Strasbourg le 14 juillet 1862 enregistré transcrit au bureau des hypothèques à Strasbourg le 22 du même mois volume 907 Nunmehr 91 & y inscrit d’office le dit jour volume 819 Numéro 130. Cette acquisition a eu lieu moyennant la somme de 18.000 francs (…)
Il résulte du dit contrat que les conjoints Reiner ont fait construire la dite maison sur l’emplacement d’une vieille maison qu’ils avaient acquise de Monsieur Louis Edmond Redslob marchand de cuirs à Strasbourg en vertu d’un contrat passé devant M° Ritleng père alors notaire à Strasbourg le 11 juin 1860 enregistré et transcrit au bureau des hypothèques de Strasbourg le 19 dudit mois de Juin Volume 817 N° 64 et y inscrit d’office le même jour volume 762. Numéro 29. M. Redslob avait été Propriétaire du même Immeuble pour l’avoir recueilli dans la succession de Monsieur Georges Frédéric Redslob son père décédé propriétaire à Strasbourg, suivant partage sans soulte entre majeurs dressé par ledit M° Ritleng le 24 Février 1859 enregistré. Feu Monsieur Redslob père avait recueilli ledit immeuble dans la succession de Dame Suzanne Madeleine Redslob sa tante décédée veuve de Monsieur Jean Henri Fanck en son vivant potier de terre à Strasbourg aux termes du testament de la dite veuve Fanck reçu par M° Wengler ci devant notaire à Strasbourg le 16 janvier 1819 enregistré par lequel Monsieur Redslob a été institué légataire universel de la veuve Fanck. – Charges, clauses et conditions (…) jouissance à partir du 25 décembre prochain – Prix 22.000 francs – (délégation) le tout en présence de D° Marie Madeleine Hissler veuve du Sr Michel Kieffer, demeurant à Strasbourg en la maison vendue ci-dessus (…)
Police d’assurance. La Providence, N° 10.867. Date de la police 1° novembre 1872. M. Burgard Joseph serrurier, Capitaux assurée 45.000, prime annuelle 16,20
1° 30.000 francs sur une maison d’habitation & Caves, rez de chaussée, étages, mansardes et grenier avec un petit bâtiment derrière renfermant deux logements
2° 15.000 francs pour le garantir jusqu’à concurrence de pareille somme des effets de son recours des voisins articles 1382, 1383 & 1384
acp 610 (3 Q 30 325) f° 50 du 2.12.
Joseph Burgart épouse en 1868 Louise Stéphanie Calame
Mariage, Strasbourg (n° 186)
Du 14° jour du mois d’avril l’an 1868 à dix heures du matin. Acte de mariage de Joseph Burgart, majeur d’ans, né en légitime mariage le 14 mars 1838 à Strasbourg, domicilié au Neudorf, banlieue de Strasbourg, fils de Nicolas Burgart, cultivateur domicilié au Neudorf, ci présent et consentant, et de feu Elisabeth Caspar, décédée à Strasbourg le 15 juin 1844
Et de Louise Stéphanie Calame, majeure d’ans, née en légitime mariage le 23 mai 1839 à Strasbourg, domiciliée au Neudorf, sans profession, fille de feu François Antoine Calame, instituteur décédé au Neudorf le premier février 1850 et de Marie Catherine Louise Schmid, sans profession, domiciliée au Neudorf, ci présente et consentante (i 30)
Joseph Burgart et Louise Calame hypothèquent la maison au profit de Gustave Brodbeck, de Paris
1901 (11.9.), M° Hammann
Darlehensvertrag – Joseph Burgard, Schlosser und Luise Calamé Eheleute hier
zu Gunsten von Gustav Brodbeck, Unter Chef bei der Zollagentur der frantzösischen Schleifenbahn Gesellschaft in Paris, über eine Summ von M. 5000
Pfand, Anwesen Krebsgase N° 13
acp 988 (3 Q 30 703. III) f° 10-v du 13.9.
La maison est inscrite au cadastre à partir de 1921 au nom de Joseph Burtscher
Originaire de Vendenheim, Joseph Burtscher épouse en 1913 Marie Fenger, native de Düttlenheim
Mariage, Strasbourg (n° 979) Strassburg am 6. September 1913. Vor dem Standesbeamten erschienen heute zum Zwecke der Eheschließung 1. der Schlossermeister Joseph Burtscher, katholischer Religion, geboren am 6. Mai des Jahres 1888 zu Vendenheim /:Unter Elsaß:/ wohnhaft zu Strassburg Krebsgasse 13, Sohn des Ackerers Florenz Burtscher und seiner Ehefrau Maria Katharina gebornen Ritling wohnhaft zu Vendenheim
2. die Maria Fenger, ohne beruf, katholischer Religion, geboren am 29. November des Jahres 1884 zu Düttlenheim /:Unter Elsaß:/ wohnhaft zu Düttlenheim, Tochter des Ackerers Amand Fenger und seiner Ehefrau Maria Anna gebornen Schweitz, wohnhaft in Düttlenheim (im 86)
La maison est inscrite au cadastre à partir de 1926 au nom de Georges Frey
Le ferblantier Georges Frey épouse en 1912 Marie Marguerite Riff, fille de l’aubergiste Georges Riff
Mariage, Strasbourg (n° 705) Strassburg am 13. Juli 1912. Vor dem Standesbeamten erschienen heute zum Zwecke der Eheschließung 1. der Klempner Jakob Georg Frey, evangelischer Religion, geboren am 20. Januar des Jahres 1888 zu Bischweiler /:Unter Elsaß:/ wohnhaft zu Strassburg Kellermannstaden 8, Sohn des Tagners Jakob Frey und seiner Ehefrau Elisabetha gebornen Pfaadt, wohnhaft in Strassburg
2. die Maria Margaretha Riff, ohne Beruf, evangelischer Religion, geboren am 21. August des Jahres 1890 zu Strassburg wohnhaft zu Strassburg, Krebsgasse 11, Tochter des Gastwirts Georg Riff und seiner Ehefrau Maria gebornen Uhl, wohnhaft in Strassburg (i 222)