4, rue des Grandes Arcades


Rue des Grandes Arcades n° 4 – IV 363 (Blondel), N 884 puis section 60 parcelle 1 (cadastre)

Maison zum Reichenwein, aussi appelée zum Rubenloch (au Trou des navets, voir le manuel de Daniel Martin) puis (1635) auberge zum Weinstock (au Cep de vigne)
Reconstruite entre 1813 et 1817, maître d’ouvrage Jacques Schlagdenhauffen, charpentier


Façade est (Grandes Arcades) , façades nord et est, façades nord et ouest (mars-avril 2014)

L’auberge zum Reichenwein, inscrite au Livre des communaux (1587) au nom de la veuve du fondeur Gaspard Spenner, a un encorbellement à la fois vers la place et vers les Grandes Arcades. Le tonnelier Nicolas Weldt fait remplacer en 1617 des marches en pierre devant sa porte. Le boucher Jean Hammer qui vient d’acheter l’auberge au Cep de vigne, communément dite au Trou des navets, est autorisé en 1636 à remplacer une solive pourrie qui soutient le bas de l’encorbellement pour assurer la stabilité des étages. Devenu aubergiste, il fait agrandir en 1638 le poêle du rez-de-chaussée en construisant un mur à l’aplomb de son encorbellement face aux Grandes Arcades. L’auberge est ensuite exploitée par Jean Fronhœffer puis son fils (1658-1709). Jean Jacques Stempel est autorisé en 1715 à construire à l’aplomb du balcon en bois vers la Tour aux deniers. Il supprime en 1718 l’encorbellement dans la ruelle des Incendiaires et y avance son mur à l’entrée de la ruelle pour le rendre rectiligne. La maison a un rez-de-chaussée et trois étages sur le plan-relief de 1727. L’aubergiste Jean Ehrlenholtz charge en 1763 le maître maçon Jean Frédéric Jæcklin d’aménager une cheminée à la française au deuxième étage vers les Grandes Arcades. Il est autorisé en 1782 à réparer son mur fissuré face aux Grandes Arcades bien que la façade doive reculer d’après les nouveaux alignements. Il fait réparer la corniche du rez-de-chaussée, sauf vers la façade place d’Armes où il est prévu d’avancer la façade occupée par des boutiques. Le charpentier Jacques Schlagdenhauffen achète en 1813 la maison à deux étages et un troisième à galeries. Les experts estiment dans leur rapport que le bâtiment doit être reconstruit, ce que fait l’acquéreur avant de mourir en 1817, comme le mentionne la vente de 1829.


La place des Cordeliers entre les Grandes Arcades à gauche et la rue du Pilot à droite. La maison est la première à gauche (Plan-relief de 1725, Musée historique, cliché Thierry Hatt)

Elévations préparatoires au plan-relief de 1830, îlot 1610 (Musée des Plans-relief) 1

L’Atlas des alignements (années 1820) signale un bâtiment neuf à quatre étages. Sur les élévations préparatoires au plan-relief de 1830, la façade (d-e) vers les Grandes Arcades comprend cinq arcades au rez-de-chaussée, cinq étages à cinq fenêtres chacun et une toiture à un niveau de lucarnes. La façade (e-f) vers la place a deux arcades au rez-de-chaussée, et deux fenêtres par étage, la façade dans la ruelle quatre fenêtres au rez-de-chaussée et à chacun des niveaux.
La maison porte d’abord le n° 24 du Vieux-Marché-aux-Grains (1784-1857) puis le n° 4 de la rue des Grandes-Arcades.


Parcelle 363 sur le plan Blondel (1765), en jaune les parties à démolir, en rose les parties à construire (AMS, cote 1 PL 675)
Ponts et Chaussées, 1856. La maison n° 24 de Jules Moriceau a 4 étages en pierre, solide, 4 EPS (ADBR, cote 2 SP 52)

La maison appartient au chapelier René Moriceau puis à son fils Jules (1829-1864). Le marchand de rubans Jacques Levy l’achète par adjudication judiciaire. Il fait aménager en 1884 des devantures à volets roulants. Jean Collichan ouvre en 1899 un débit de bière (Wiener Central-Café). Guillaume Stückle exploite à partir de 1903 un café au rez-de-chaussée puis au premier étage (débit de bière et bar américain au rez-de-chaussée, café impérial viennois et billard au premier étage – Bier-Quelle und American Bar, Wiener Café Impérial). Frédéric Sawatzki tient le High Life Bar en 1907. Joseph Fritsch charge en 1909 au nom de la société Kleberplatz Automat (Restaurant en libre service de la place Kleber) l’architecte Gustave Oberthur de transformer le rez-de-chaussée. Hirsch et Laspe tiennent le débit de bière Café Boulevard en 1910, Marthe Gebauer le débit Mascotte, American-Bar au premier étage en 1913), Mathilde Seltzer le café en libre service Princess-Bar (1919) puis Pigalle Bar (1921, 1929).
Edouard Preiser fait aménager en 1925 par les architectes Robert Vœlckel et Charles Wolff un logement au cinquième étage. Il charge en 1928 l’architecte Othon Zacher de transformer les magasins au rez-de-chaussée, les devantures vers la rue Frédéric Piton et le logement au sixième étage. Le commerçant Eugène Preiser charge en 1933 l’architecte Maurice Bizet de transformer le sous-sol et le rez-de-chaussée ; la Commission des Beaux-arts rejette le projet qualifié d’hypermoderne. De nouveaux plans établis par l’architecte Edouard Neunreiter (café bar Le Chili) sont agréés par le Service municipal d’architecture. Le maire accorde en février 1934 l’autorisation de poser une marquise et de transformer le rez-de-chaussée et le sous-sol pour aménager un café bar et une charcuterie. Les enseignes sont Le Zinc au rez-de-chaussée et le Splendid Bar à l’étage. Charles Hunck de Boxtel transforme en 1938 l’enseigne en Café Rohan (Kaffee Rheingau pendant la guerre). La Brasserie du Pêcheur et l’hôtelier Bonn font réaménager le café le Rohan en 1966 sous la direction du décorateur Pierre Drexler.


Plan du rez-de-chaussée (1902, Gustave Oberthur), arcades (AMS dossier 802 W 6)
Frise, corniche du quatrième étage (avril 2024)

Enseigne Café Boulevard, 1910 (dessin aquarellé, dossier de la Police du Bâtiment)
Carte postale, 1935, publiée sur Archi-wiki

avril 2024

Sommaire
Cadastre – Police du Bâtiment 1868-1934 , 1933-1980Relevé d’actes

Récapitulatif des propriétaires

La liste ci-dessous donne tous les propriétaires de 1589 à 1952. La propriété change par vente (v), par héritage ou cession de parts (h) ou encore par adjudication (adj). L’étoile (*) signale une date approximative de mutation.

Gaspard Spenner, fondeur de pichets, et (1563) Appolonie Keffer – luthériens
1607 h Georges Spener, débitant de vin, et (1604) Ursule Stich – luthériens
1612 v Raoul Schott, tonnelier, et (1613) Elisabeth Griesbach – luthériens
1614 v Nicolas Weldt, tonnelier, et (1611) Marie Silberrad – luthériens
1635 v Jean Hammerer, boucher puis aubergiste, et (1624) Marie Kress puis (1640) Barbe Kallhart, remariée (1645) avec Philippe Jacques Zittelin, sellier – luthériens
1658 v Jean Fronhœffer, aubergiste, et (1651) Ursule Wunderer – luthériens
1686 h Jean Fronhœffer, fondeur, aubergiste, et (1681) Anne Marie Rupp, remariée (1695) avec Tobie Stædel, marchand – luthériens
1709 v Jean Jacques Stempel, aubergiste, et (1688) Marie Susanne Kellermann – réformé et luthérienne
1733 h Jean Jacques Stempel, aubergiste, et (1711) Marie Barbe Fischer – luthériens
1746 h Jean Ehrlenholtz, aubergiste, et (1746) Susanne Jacqueline Stempel – luthériens
1793 h Jean Ehrlenholtz, marchand, et (1769) Anne Ursule Dietsch – luthériens
1813 v Jacques Schlagdenhauffen, charpentier architecte, et (1800) Marguerite Elisabeth Haas puis (1805) Marguerite Barbe Mühlschlegel, puis (1825) la veuve
1827 h Frédéric (Jacques) Schlagdenhauffen, charpentier architecte, et (1827) Madeleine Elisabeth Frédérique Imlin
1829 v René Moriceau, chapelier, et (1811) Madeleine Marie Antoinette Kleybler
1864 h (François René) Jules Moriceau, chapelier, et (1841) Marie Ursule Henriette Adèle Debray
1868 adj Jacques Levy, négociant, et (1844) Hanna (Henriette) Straus
1900 h (indivision) Ernest Paul Levy, négociant, et (1876) Ida Weil
Adolphe Rueff, docteur en médecine, et (1891) Jeanne Caroline Levy
1933* v Eugène Antoine Preiser, négociant, et copropriétaires
1937* v Brasserie du Pêcheur, société anonyme

Valeur de la maison selon les billets d’estimation : 2200 livres en 1733, 2800 livres en 1743

(1765, Liste Blondel) IV 363, Jean Erlenholtz
(Etat du développement des façades des maisons, AMS cote V 61) Ehrlenholtz, 17 toises, 0 pied et 0 pouce
(1843, Tableau indicatif du cadastre) N 884, Moriceau, René, charpentier – maison, sol – 1 are

Locations

1592, Ulric Schenck, farinier
1598, 1599, Thiébaut Hirsch, mesureur de vin
1613, Abraham Hendlé, revendeur
1645, 1648, Thomas Schwebel, aubergiste
1651, Jean Fronhœffer, aubergiste
1697, 1706, Jean Jacques Stempel, aubergiste
1788, Jean Daniel Busch, aubergiste
1794, Chrétien Laemmermann, aubergiste, et Marguerite Barbe Gerold
1799, Antoine Meixel, de Bühl en Bade
1808, Jean Steinhelber, aubergiste, et Catherine Salomé Strintz
1814, 1825, René Moriceau, chapelier
1834, (magasin) Moïse Bloch et Simon Katz
1867, (magasin) frères Levy
1867, 1879 (magasin) Victor Weiser, horloger
1884, Victor Geyer et Compagnie (mercerie et jouets)

Livres des communaux

1587, Livre des communaux (VII 1450) f° 142-v
La veuve du fondeur de pichets règle deux livres 9 sols 6 deniers pour sa maison dite zum Reichenwein sur la place près du puits, à savoir en haut du bâtiment une avance (25 pieds de long, saillie de 3 pieds ½) devant laquelle se trouve un auvent (même longueur, saillie de deux pieds),
item, de l’angle vers la maison des subhastations, en haut du bâtiment aussi une avance (39 pieds de long, saillie de 4 pieds ½) devant laquelle se trouve un auvent (même longueur, saillie de 3 pieds ½), trois gradins en pierre (39 pieds de long, saillie de 7 pieds ½) sur lesquels se trouve une porte de cave (5 pieds de large, saillie de 7 pieds ½), item un soupirail horizontal (1 pied ½ de long, 1 pied de large), un étal de revendeur (12 pieds 9 pouces de long, saillie de 7 pieds ½), un étal d’exposition (19 pieds de long en biseau, 20 pouces de large) au-dessus duquel se trouve une boutique (7 pieds ½ de long, 3 pieds 2 pouces de large)

Am Eck ane dem Barfüsser Platz beÿ dem brunnen an, Vnd dem Ganthauß der Zunfft Stuben Zur Lutzernen Zugemessen
Caspar Spenners des Kandtengiessers Wittwe, hatt vor Irem hauß Zum Reichenwein genandt gegen dem Blatz vnd Beÿ Brunnen Oben ein vstoß 25. schu lang vnd 3 ½ schu herauß, daruor ein Wettertach auch so lang vnd 2 schu herauß, Item mehr vornen Von dem Eckh ahn gegen dem Ganthauß Zu, auch oben ein Vsstoß 39 schu lang vnd 4 ½ schu herauß, Daruor ein Wettertach 39 schu lang vnd 3 ½ schu herauß, Dreÿ besetzte Tritt 39 schu lang, vnd 7 ½ schu herauß, Darauff ein Kellerthüer 7 ½ herauß vnd 5 schu breit, Mehr ein ligendt Kellerfenster 1 ½ schu lang, vnd i schu breit, Item ein Grempen Banckh 12 schu 9 Zoll lang vnd 7 ½ schu herauß, Mehr ein Vssatz banckh 18 schu lang In die schrage, vnd 20 Zoll breÿt, Mehr darauff ein Laden 7 ½ schu lang, vndt 2 schu 2 Zoll breit, Bessert & ij lb ix ß vj d

1652, Livre des loyers communaux, VII 1461 (1652-1672) f° 391
Jean Fronhœfer, auparavant Jean Régnard Gress doit au nom de ses pupilles 1 livre pour un terrain communal enclos au Cep de vigne

Johann Frönhöffer Zuuor
Herr Johann Reinhard Greß, Fünf Zehner, Soll gemeiner Statt, alß vogt, Vom eingezeünten Allmend zum Weinstock, Jahrs vf Petri et Pauli, 1 lb d
New fol. 331
(Quittungen 1658-1671)

1673, Livre des loyers communaux, VII 1465 (1673-1741) f° 331
Même loyer dans le registre suivant auquel s’ajoute à partir de 1694 un autre pour la clôture d’une venelle communale dans la ruelle du Trou aux navets (dans laquelle donne l’écurie). Le loyer est ensuite dû par Jean Jacques Stempel

Johann Frönhöffer(s W.) Soll vom eingezaünten Allmend zum Weinstockh, vff Petri Pauli, 1 lb
St. Zinßb. p. 391
Jetzt Joh: Jacob Stempel 742
(Quittungen 1676-1694)
Ferner von Verschließung eines allmendgäßleins in dem rubenloch gäßlein, jahrs auff Martini und A° 1695. i° l. Pr. 1694. fol: 89, 2 ß 6 d
(Quittungen 1695-1742)
Neuzb fol 232-b

1741, Livre des loyers communaux, VII 1470 (1741-1802) f° 232-b
Mêmes loyers reportés dans le registre suivant. S’y ajoutent deux nouveaux loyers pour des étaux devant la maison. Le contribuable suivant est Jean Erlenholtz, aubergiste au Trou des navets.

alzb. 231
Johann Jacob Stempel soll vom eingezogenen Allmend Zum Weinstock auf Petri et Pauli, id est 29. Junii,1 lb
Ferner von Verschließung eines Allmend Gäßleins in dem Rubenloch gäßlein, Jahres auf Martini, id est 11. Nov., 2 ß 6 d
alzb. 702
Ferner von einem platz Zu einem platz Zu einem Stand an seinem Haus Jahres auff Adolphi (id est 29. Dec:) Jahrs auf Adolphi, 1 lb 10 ß
Ferner von einem äußeren platz Zu einem standt neben obigen Jars auf ann. Mariæ 1 lb
(Quittungen 1741-an 10)
Johannes Erlenholtz Würth im Rubenloch / Johannes Erlenholtz jun.

Préposés au bâtiment (Bauherren)

1617, Préposés au bâtiment (VII 1332)
Le chef des travaux rapporte que son gendre Nicolas Weldt, au Trou des navets, a devant sa porte de larges marches en pierre difficiles à descendre sous lesquelles se trouve une porte de cave. Il est autorisé (à les remplacer) sans empiéter davantage sur le communal

(f° 168) Sambstag den 18.ten octob. Der Statt lohner gerechtt – Niclaus Weldt
Sagt Niclaus Weldt sein docht.man Im Ruobenloch hab braite stafflen vor seiner haußthier, so mit steinen besetzt seindt seÿen gar böß herab Zugeh, seie ein kellerlein darunder so sein Eigenthumb wolte nit weiter herauß dan albereit Ist, Ist Ime willfahrt.

1636, Préposés au bâtiment (VII 1346)
Le boucher Jean Hammer qui vient d’acheter l’auberge au Cep de vigne communément dite au Trou des navets est autorisé à remplacer une solive pourrie qui soutient le bas de l’encorbellement pour assurer la stabilité des étages.

(f° 13-v) Montags den 4. Aprilis. Augenschein Ingenommen – Umb ein Newen dür Zug Zum Rubenloch Weinstock
Vff Instendig anhalt. Hanß Hammerß deß Metzigers In Seiner Erkaufften herberg Zum Weinstock an Barfüßerplatz gemeiniglich Zum Rubenloch genant, In der Undern Stuben, da der Mittler durch Zug, welcher sich hienauß vberß Allmendt vnder den Vberhang 3 ½ schuh erstreckt, theils verfault, theils gantz entzweÿ geschnitten, vnd Er auß noth, damit* daß gedritt* vnd gantze vbergebeuw desto beßere habung ein gantzen *en Balcken ein Zihen muß, Bitt vmb erlaubnuß.
Erkant, dergestalt bewilligt, daß er beÿ den 3 ½ schuh vberß Allmend bleibe vnd also den Newen durchzug weitter nicht Alß der Alt sowie auch der vberhang sich ietz befund. erstrecke, will Er thun. Fiat.

1638, Préposés au bâtiment (VII 1347)
Jean Hammer, aubergiste au Cep de vigne, est autorisé à agrandir le poêle du rez-de-chaussée en construisant un mur à l’aplomb de son encorbellement du côté qui mène au poêle des Pelletiers, à condition de régler un droit annuel d’une livre. L’empiétement a 37 pieds de long et 4 pieds ½ de large.

(f° 17-v) Freÿtag den 20. April. folgende Augenschein eingenommen word. – Hannß Hammer würth Zum weinstock wegen underfahrung seines überhangs
1. Beÿ Hannß Hammern, würth Zum Rubenloch, welcher eingebracht, were gewillt, die vndere stub in seiner behausung Zu erweitern, wolt Zu dem end vff der seiten gegen dem Kürschner Zu, vnden mit einer Mauren oder gebel, so weit alß der überhang herauß gehet, vff fahren & hatt nach des Werckmeisters, wie auch sein des würths bestellter baw leuth abgemeßen, vnd blayen* sich befunden, das in der länge 37. schuh vnd in der breite 4 vnd ½ schueh herauß gefahren wörde. Erkandt, vff dem pfenningth. nechster tag davon geredt werden.

(f° 19) Zinstag den 24. April. 5. Von denen am verschinen Freÿtag eingenommener, vnd hieob. fol. 177. befindlichen Augenscheinen geredt. – Hannß Hammer würth Zum weinstock
1. wegen Hannß Hammers würths Zum Rubenloch vnd deßen begehren Erkanndt, solle beÿm Zinnßmeister bericht eingezogen werden, ob nicht Er der würth von seinem überhang Zinß gebe, und dahero der platz, den Er vnderfahren wolte, Allmendt, alß dann ferner davon geredt werden.
[in margine :] Ist d. platz eigen, nach des Zinsmeisters bericht.

(f° 29) Freÿtag den 29. Junÿ – Hannß Hammer würth Zum weinstock wegen underfahrung seines überhangs
5. Hannß Hammers, würths Zum weinstock geschefft so hieob fol. 17 et 19. eingebracht, endtlich außgemacht, vnnd Erkandt, das Ihme gegen reichung 1 lb d Jährliches Zinnß, den überhang an seiner behausung vff maß unnd weiß wie dort fol. 17. verzeichnet, Zu vnderfahren erlaubt vnnd Zugelaßen sein solle. Ist der Augenscheins costen vff 30 ß gesetzt. dt.

1671, Préposés au bâtiment (VII 1362)
Jean Fronhoffer loue la maison qui avait appartenu à Philippe Flekchammer derrière le poêle des subhastations à condition de quitter les lieux en cas de vente

(f° 61-v) Dinstags den 11. Eiusdem [Julÿ] – Fronhoffer, Hauß Zinnß
Johann Fronhoffer dem Würth Zum Reebstock würd d. hauß hinder dem Ganthauß bei der Kürschner Zunfftstuben, so Zuvor hanß Phillip Fleckhammer vmb gewissen Zinnß beseßen vff 3. Jahrlang verliehen, vmb 15. lb. d. Jährlich. Zinnßes vff Joh. Bapt: 1675. 1° Zuerlegen mit condition, wann solches verkaufft werden solte, Er schuldig sein solle einer solcher Lehnungs Zeit Zuweichen.

1715, Préposés au bâtiment (VII 1386)
Jean Jacques Stempel, aubergiste au Cep de vigne, est autorisé à construire à l’aplomb du balcon en bois vers la Tour aux deniers.

(f° 237) Donnerstags den 28. 9.bris 1715 – Johann Jacob Stempel pt° bawens
Johann Jacob Stempel, der Würth Zum Weinstock berichtet Mghh. daß Er gesinnet seÿe, Seine behausung auf der seithen gegen dem Pfenningthurn wo oben ein höltzerner Gang ist, untermauren Zulaßen, bittet derweg. umb einen Augenschein. Erk. mit gebettenem Aug.schein willfahrt.

1718, Préposés au bâtiment (VII 1388)
Les préposés autorisent Jean Jacques Stempel à supprimer l’encorbellement (32 pieds de long, 2 pieds 9 pouces de large) dans la ruelle des Incendiaires dite Trou des navets et à avancer à l’angle son mur d’un pied 9 pouces pour le rendre rectiligne. La ruelle a 10 pieds à son entrée et treize plus loin.

(f° 54-v) Dienstags den 10. Maÿ 1718. – Herr Joh: Jacob Stempel pt° bawens
Augenschein eingenommen an Herrn Johann Jacob Stempels, des Würths Zum Weinstock in dem Fewergäßlein vulgo Rubenloch gäßlein genannt gelegenen Hinter Hauß, an welchem Er einen Überhang 32 schuhe lang und 2. schuhe 9 zoll breit hatt, welchen Er hinweg brechen und unden auff der erden die er diesem hauß stehende Maur Zehen schuhe in der länge und oben am eck 1. schuhe 9 Zoll in der breite auff das allmend herauß rucken laßen, vmb solche in ein grade lini Zu bringen gesinnet ist, und deßwegen umb erlaubnus angesucht hatt. Erk. Gebettener maßen willfahrt, weilen das gäßlein vornen in dem eingang 10. und an diesem Hauß 13. schuhe breit ist.

1727, Préposés au bâtiment (VII 1392)
Les préposés délivrent un extrait de leur décision de 1718.

(f° 133-v) 28.1. H. Johann Jacob Stempel wegen Extractus Protocolli
H. Johann Jacob Stempel der Rubenloch Würth ersucht MGHh umb einen Extractum Protocolli, wie er A° 1718. als er sein Hauß in dem feür: od. Rubenloch gäßel Bawen laßen beÿ MGHh sich angemeldet, und mit dero Erlaubnus Gebawen. Erkannt Kan jhme solcher Expediret werden. Vid. Prot: de A° 1718 fol: 54.

1782, Préposés au bâtiment (VII 1420)
L’aubergiste Jean Erlenholtz est autorisé à réparer son mur fissuré près de la boulangerie (rue des Grandes Arcades). Comme le pétitionnaire n’a pas l’intention de reconstruire sa maison, les préposés autorisent les travaux bien que la façade doive reculer d’après les nouveaux alignements.

(f° 147-v) Dienstags den 1. Octobris 1782. – Joh: Erlenholtz, Gastgeber
Idem [Hr Lingenhölin, der Maurer] nôe Johannes Erlenholtz des Gastgebers Zum Reebstöckel am Rubenloch bittet zu erlauben an der vorstehenden Maur neben dem Beckenhaus das Eck unterfangen Zu laßen. Erkannt, Augenschein.

(f° 149) Dienstags den 1. Octobris 1782. Hierauf haben Meine Gnädige Herren geruhet folgende Augenschein ein zu nehmen. – Joh: Erlenholtz, Gastgeber
An Johannes Erlenholtz, des Gastgebers behausung Zum Reebstöckel am Rubenloch gelegen, welcher die auf Seiten des Beckenhaus vorstehende schadhafte Maur möchte unterfangen laßen, wobeÿ sich befunden, daß besagte Maur von oben herab einen starcken Riß hat, und nicht nur diese vorstehende Maur, sondern die behausung selbsten auf dieser vorder Seite dem Alignement nach Zurück gesetzt werden solle, weilen aber der Implorant nicht willens Zu bauen, in Ansehung der Maur aber Unglück Zu beförchten, als wurde Erkannt, Seÿe dem Implorant Zu erlauben besagte Maur soweit dieselbe schadhaft sich befindet abzubrechen, ohne die geringste Ausbeßer: oder Verwerfung sodann bis auff weitere Ordre daran machen Zu maßen.

1783, Préposés au bâtiment (VII 1420)
Le maître maçon Lingenhœlin demande l’autorisation de réparer le mur vers la boulangerie à l’Ecrevisse. Les préposés le renvoient à leur décision prédécente.

(f° 381) Dienstags den 18. Novembris 1783. – Joh: Ehrlenholtz, Gastgeber
Herr Lingenhölin, der Maurer, nôe Herrn Johannes Erlenholtz, des Gastgebers, bittet zu erlauben deßen Behausung zum Reebstöckel am Rubenloch gelegen, am Eck gegen dem Krebsbecken ausbeßern Zu laßen. Erkannt, Seie der Implorant mit seinem Begehren ab: und an die Erkanntnus de 1. Octobris 1782. verwiesen.

1784, Préposés au bâtiment (VII 1421)
Le maître maçon Lingenhœlin est autorisé au nom de l’aubergiste Erlenholtz à réparer et à recrépir le mur vers la boulangerie à l’Ecrevisse.

(f° 107-v) Dienstags den 25. Maji 1784. – Hr Joh. Erlenholtz, Gastgeber
Herr Lingenhölin, der Maurer, nôe Hrn. Johann Erlenholtz, des Gastgebers, bittet zu erlauben deßen Behausung zum Reebstöckel am Rubenloch gelegen, am Eck gegen dem Krebsbecken haus, die Maur abschroten und als dann wieder ausbeßern und mit Mörtek bestechen Zu laßen. Erkannt, Unter dem Herrn Bau Inspector Boudhors Obsicht Zu machen willfahrt.

1786, Préposés au bâtiment (VII 1422)
Le maître maçon Lingenhœlin est autorisé au nom de l’aubergiste Erlenholtz à réparer le crépi dans la ruelle.

(f° 132-v) Dienstags den 8. Augusti 1784. – Johann Erlenholtz, Gastgeber
Item [Herr Lingenhölin, der Maurer], nôe Johann Erlenholtz, des Gastgebers, bittet zu erlauben deßen Gast Behausung zum Rubenloch in dem Gäßel untenher den Bestich repariren Zu laßen. Erkannt, Willfahrt.

1789, Préposés au bâtiment (VII 1423)
Le maître maçon Lingenhœlin est autorisé au nom de l’aubergiste Ehrlenholtz à réparer et à crépir la corniche du rez-de-chaussée, sauf vers la façade place d’Armes où la façade occupée par des boutiques devra être ravancée.

(f° 293-v) Dienstags den 23. Junii 1789. – H. Rathh. Johann Ehrlenholtz pt° Kreuzstöck
H. Lingenhölin der Maurer nahmens H. Rathh. Johann Ehrlenholtz bittet gehorsamst um erlaubnus in deßen auf dem parade platz gelegenen behaußung in der gegen dem pfalgäßlein befindlichen Façade zwei Kreuzstöck einsetzen Zu dörffen. Erkannt, willfahrt
pt° bestich am Rubenloch – Idem nomine Ejusdem bittet gehorsamst um erlaubnus an deßen daselbst gelegenen Zum Rubenloch genannten gast behaußung unten an dem boden das gesims ausbeßern und mit Mörtel bestechen Zu dörffen, da nun bemerckt worden, daß das haus quæstionis von vornen gegen dem parade platz vorrücken muß, dieses theil aber größeste theils mit gädlein verdeckt. Erkannt, auf beÿden seiten gegen der gewerbslaub und Rubenlochgäßlein willfahrt, jedannoch daß das der vorter theil gegen dem place d’armes nicht berührt werde.

Préposés aux feux (Feuerherren, 4 R 91)

Le maître maçon (Jean Frédéric) Jæcklin expose les travaux à faire chez Jean Ehrlenholtz, aubergiste au Trou des navets : aménager une cheminée à la française au deuxième étage vers les Grandes Arcades.

(p. 12) Freÿtags den 8.ten Julii 1763. – Johannes Ehrlenholtz der burger und Gastgeber Zum Rubenloch will in seiner sogenannten Gast behaußung im Zweÿten stock gegen der Gewerbs laub über rechter hans ein frantzösisch Camin setzen, mit einem gewölb wohl versehen, das rohr am steinern Gäbel in ein altes dermalen befindliches Camin Rohr hinein führen von allem holtz entfernt. Erkandt, Willfahrt. Mstr. Jäcklin.

Protocole des Quinze

1695, Protocole des Quinze (2 R 99)
Les Quinze autorisent Jean Jacques Stempel à exploiter l’auberge au Cep de vigne qu’il vient de louer, à condition de supprimer la cave accessoire.

(f° 220) Sambstags den 3. Xbris – Hannß Jacob Stempel d. Würth Zum Weinstock, per Künast, berichtet, daß er ohnlängst die Würtheÿ allda angenommen habe, bitt undth. mit aldasigem schanck gn. zu willfahren. Erk. weilen Implorant ein würth ist, Und wied. jnn ein würthshauß Ziehet, auch Versprochen den Nebens Keller abzuschaffen, als soll ihme jnn seinem begehren willfahrt seÿn.

1701, Protocole des Quinze (2 R 105)
Jean Jacques Stempel demande l’autorisation d’avoir une cave accessoire

(f° 379) Sambstags den 5. Novembr. 1701 – K. noîe Johann Jacob Stempffels des würths zum Weinstockh, der bittet vnderth. umb Gnädige erlaubnus einen Nebens Keller zu halten, weilen das Gasthaus eng vndt der vorige Würth allezeit auch einen Gehabt habe. Erkandt, an die Oberen Ungelts Hh. Gewießen

(f° 412) Freÿtags den 9.ten Decembris 1701 – Daniel Schweighaüßern Johann Jacob Stempel und Georg Fischer umb Ein nebens Keller

1705, Protocole des Quinze (2 R 109)
304 Hans Jacob Stempel pt° Nebens Keller
1711, Protocole des Quinze (2 R 115)
176 Joh: Jacob Stempel pt° Nebenskeller

1710, Protocole des Quinze (2 R 114)
(f° 291-v) Sambstags den 13.ten Decembris 1710. – Kun. noîe Johann Jacob Stempfel, burgers vndt gastgebers zum Weinstock producirt vnderth. Supplication handelt innhalts. Erk. ahne die Obere Ungelts herren gewiesen

1717, Protocole des Quinze (2 R 121)
(f° 551) Sambstag d. 20. Novembris 1717 – Goll nôe Johann Jacob Stentzels Gastgebers Zum Weinstock, Weil nun der Wein, umb einen billichen preiß einzukauffen seind, alß seÿe er Willens 100. Ohmen Underländer anzulauffen, bitt Unterthänig solche in seines Sohns hauß einzulegen gnädig zu erlauben undt setzes. Erkandt, Obere Ungelt Herren.

1717, Protocole des Quinze (2 R 121)
2289 Johann Jacob Stempel pt° Nebenskeller

1724, Protocole des Quinze (2 R 129)
Jean Jacques Stempel qui tient depuis treize ans l’auberge au Saumon est autorisé à exploiter l’auberge au Cep de vigne

Johann Jacob Stempffel Würths Zum Salmen, Weinschanck Zum Weinstockh
Joh: Carl Stempffel, Weinschanck Zum Salmen
(p. 357) Sambstag d. 16. Sept. 1724. – Moss. nôe Johann Jacob Stempffel des burgers und Würths der bitt umb den Weinschanckh Zum Salmen allhier. Erk. Ober Ungelt Herren

(p. 365) Sambstag d. 23. Sept. 1724. – Johann Jacob Stempffel pt° Weinschancks
Obere Ungelt Herren laßen durch Hrn Secret. Kleinclauß referiren, daß Johann Jacob Stempffel der burger und hiesige Würth Zum Salmen umb den Weinschanckh Zum Weinstock angesuchet und beÿ gebetten und placidirter Deputation beÿgesetzt habe, daß er die Würtheÿ schon dreÿzehen Jahr in ged. Würths hauß Zum Salmen hier getrieben habe, undt daß sein Vatter der bißherige Würth Zum Weinstock gebrechlichkeit und alters halben die Würtheÿ auffheben wolle, Weilen nun dieses ein altes Würths hauß, und der Implorant ein alter würth, alß Vermeine man daß demselben in seinem begehren Zu willfahren sein werde. Erkandt, Willfahrt.

Description de la maison

  • 1733 (billet d’estimation traduit) La maison comprend plusieurs poêles, la salle de débit, cuisines, vestibule, cave sous solives, estimée avec ses appartenances et dépendances à la somme de 4400 florins
  • 1743 (billet d’estimation traduit) La maison comprend à droite au rez-de-chaussée la salle de débit et le vestibule, à gauche la cuisine et une cave sous solives, au premier étage deux poêles, un bureau à cloisons en lattes et un vestibule, au deuxième étage un poêle, quatre chambres et vestibule, sous les combles cinq vieilles pièces au-dessus desquelles se trouvent deux greniers non dallés et un pignon en bois, item une vieille écurie dans la ruelle (…) le tout estimé avec appartenances et dépendances à la somme de 5600 florins
  • 1813 (rapport d’experts)

Atlas des alignements (cote 1197 W 37)

2° arrondissement ou Canton nord – Rue des Grandes Arcades

nouveau N° / ancien N° : 61 / 24
Moriceau
Rez de chaussée et 4 étages neufs en maçonnerie
(Légende)

Cadastre

Cadastre napoléonien, registre 21 case 2

Moriceau, René à Strasbourg

N 884, maison, sol, vieux marché aux grains 24
Contenance : 1 ;00
Revenu total : 540,52 (540 et 0,52)
Ouvertures, portes cochères, charretières :
portes et fenêtres ordinaires : 33 / 26
fenêtres du 3° et au-dessus : 31 / 25

Cadastre napoléonien, registre 23 f° 1020 case 1

Moriceau, René
1866 Moriceau François René Jules, chapelier à Strasbourg
1869 Levu, Jacques, marchand de rubans
1901 Levy Ernst Paul, Kaufmann und Rueff Adolph Ehefrau Jean Karoline geb. Levy in Paris
(ancien f° 868)

N 884, maison, sol, Rue des Grandes arcades 4
Contenance : 1
Revenu total : 540,52 (540 et 0,52)
Folio de provenance : (255)
Folio de destination : Gb
Ouvertures, portes cochères, charretières :
portes et fenêtres ordinaires : 33 / 26
fenêtres du 3° et au-dessus : 31 / 25

Cadastre allemand, registre 32 folio 383 case 1

Parcelle, section 60 n° 1 – autrefois N 884
Canton : An den Gewerbslauben Hs N° 4
Désignation : Hf, Whs
Contenance : 1,09
Revenu : 8000 – 13.500
Remarques

(Propriétaire jusqu’à l’exercice 1937), compte 2799
Levy Ernst Paul u. Rueff Adolf Ehefrau
1933 Preiser Eugène Antoine négociant pour 2/18 et copropriétaires
rayé 1937

(Propriétaire à partir de l’exercice 1937), compte 77
Bierbrauerei zum Fischer A. G. Schiltigheim
1927 Brasserie du Pêcheur J. Ehrhard
1931 Brasserie du Pêcheur société anonyme
(91) corrigé en (115)

1789, Etat des habitants (cote 5 R 26)

Canton IV, Rue 124 près le poële des Pelletiers p. 157

24
Prop. Ehrlenholtz, Jean, Place d’Armes
Loc. Busch, Jean Daniel, aubergiste – Fribourg
Loc. Roethel, Jean, ancien aubergiste – Fribourg

Annuaire de 1905

Verzeichnis sämtlicher Häuser von Strassburg und ihrer Bewohner, in alphabetischer Reihenfolge der Strassennamen (Répertoire de toutes les maisons de Strasbourg et de leurs habitants, par ordre alphabétique des rues)
Abréviations : 0, 1,2, etc. : rez de chaussée, 1, 2° étage – E, Eigentümer (propriétaire) – H. Hinterhaus (bâtiment arrière)

An den Gewerbslauben (Seite 47)

(Haus Nr.) 4
Hirsch, Zigarrenhandlg. 0
Stücklen’s Bierquelle. 0
Stücklen’s Wiener Café. 1
Hurst. Zahntechniker. 23
Carrière. Verkäuferin. 4.

Annuaire d’adresses, 1900, p. 53.
Johann Collichan, Wirth, Kaffee- u. Stehbierhalle, Alter Fischmarkt 6 und Gewerbslauben 4, Ecke Kleberplatz

Dossier de la Police du Bâtiment (cote 802 W 6)

Rue des Grandes Arcades n° 4, (volume 1, 1868-1934)

Le propriétaire Levy fait aménager en 1884 des devantures à volets roulants. Le sieur Collischan ouvre en 1899 un débit de bière (Colischan’s Wiener Central-Café) dans les locaux précédemment occupés par le débitant de tabac Henri Hirsch : il charge l’entrepreneur A. Bürkmann d’aménager des lieux d’aisance au rez-de-chaussée et d’ouvrir des fenêtres et une porte dans la ruelle des Incendiaires puis demande en 1901 l’autorisation de mettre en communication le bar et les lieux d’aisances qui dépendent du magasin de cigares Hirsch ruelle des Incendiaires.
Guillaume Stückle est autorisé en 1903 à exploiter un café au rez-de-chaussée puis au premier étage (débit de bière et bar américain au rez-de-chaussée, café impérial viennois et billard au premier étage – Bier-Quelle und American Bar im Parterre, Wiener Café Impérial im 1.ten Stock).
Le marchand de cigares Hirsch fait poser une vitrine en 1907. Frédéric Sawatzki tient le High Life Bar la même année.
Joseph Fritsch charge en 1909 au nom de la société Kleberplatz Automat (Restaurant en libre service de la place Kleber) l’architecte Gustave Oberthur de transformer le rez-de-chaussée. Les solives centrales du rez-de-chaussée ainsi que les piliers en fer et en briques sont remplacées par de nouvelles.
Hirsch et Laspe tiennent le débit de bière Café Boulevard en 1910. Marthe Gebauer reprend en 1913 le débit de boissons (Mascotte, American-Bar au premier étage). Wanda Remus exploite le débit de boissons en 1918, Mathilde Seltzer le café en libre service Princess-Bar (1919) puis Pigalle Bar (1921, 1929)
L’atelier du photographe Guillaume Lipsky exploité par Rose Klein (atelier de photographie Mercure) se trouve au rez-de-chaussée en 1915. Il occupe ensuite les locaux où se trouvaient en 1913 l’Agence du logement (Wohnungs-Zentrale) puis en 1918 coiffeur pour dames Charles Klœpfer (Photos Mercure 1925, 1927).
Edouard Preiser fait aménager en 1925 par les architectes R. Vœlckel et Ch. Wolff un logement au cinquième étage. Il charge en 1928 l’architecte O. Zacher de transformer les magasins au rez-de-chaussée, d’aménager des devantures vers la rue Frédéric Piton et une nouvelle entrée, de modifier le logement au sixième étage bien que le règlement n’admette que cinq étages habitables. La réception finale a lieu en janvier 1930. Les mêmes font poser en 1929 huit socles pour devantures.
La Maison du Café demande en 1934 l’autorisation de poser une enseigne lumineuse sur la marquise de l’établissement Le Zinc.

Sommaire
  • 1868 – Le directeur de l’usine à gaz demande au nom du propriétaire Levy que le plombier Rhein soit autorisé à faire une prise pour environ deux becs dans la rue des Incendiaires
  • 1884 – Marc Sœhne demande l’autorisation de poser une enseigne au 3, place Kleber – Nouvelle demande sur papier timbré – Le maire délivre l’autorisation que le commissaire de police ratifie (la maison bordant la rue des Grandes Arcades, route nationale)
  • 1884 – Dossier ouvert suite à un courrier du commissaire de police. Le sieur Levy demande l’autorisation d’aménager des devantures à volets roulants dont les caissons dépassent de 42 centimètres sur la voie publique alors que la saillie maximale est de 30 centimètres. – Dessin de l’architecte E. Salomon
    La devanture et les volets roulants sont posés mais dépassent de 45 centimètres de la façade, mars 1885 – Décompte des droits
    NB manque l’autorisation
  • 1890 – Le maire notifie la veuve Levy de faire ravaler la façade du 4, rue des Grandes-Arcades – Travaux terminés, octobre 1890.
  • 1898 – Le sieur Riedel (demeurant 5, rue de la Toussaint) demande l’autorisation de poser une vitrine pour y présenter des extraits du Journal Bürger Zeitung – Autorisation pour la vitrine déjà posée, soumise à un droit annuel de 1,20 mark.
  • 1899 – L’entrepreneur de construction A. Bürkmann (62, route du Polygone au Neudorf) demande au nom du sieur Collichan l’autorisation d’aménager des lieux d’aisance au rez-de-chaussée et d’ouvrir des fenêtres et une porte dans la ruelle des Incendiaires – Autorisation – Travaux terminés, septembre 1899 – Dessin – Droits réglés pour une porte, une fenêtre et un soupirail
    1899 (juin) – Dossier ouvert suite à la demande du sieur Collichan d’aménager un débit de bière – La Police du Bâtiment relate que la hauteur du local correspond aux prescriptions ministérielles du 24 mars 1890 et que les lieux d’aisances sont en travaux
    1899 (octobre) – La Police du Bâtiment constate qu’une lampe électrique a été posée sans autorisation. Courrier au sieur Küntzler (11, place de la Cathédrale) – La lampe du débit de bière a été supprimée, novembre 1899.
  • 1899 (octobre) – La Police du Bâtiment constate que le dentiste Hurst a posé sans autorisation une vitrine – Demande – Autorisation. La vitrine est retirée chaque soir
    1899 (octobre) – La Police du Bâtiment constate que le Journal Bürger Zeitung a posé sans autorisation une lampe électrique – Les frères Riedel, imprimeurs, demandent l’autorisation au nom du Journal de Strasbourg (Strassburger Bürger-Zeitung) – Autorisation
  • 1899 (novembre) – La Police du Bâtiment constate que le débitant de bière Collischan a posé sans autorisation un petit store – L’enquête montre que l’objet a été posé par son prédécesseur, le débitant de tabac Hirsch. Le dossier est classé.
  • 1899 (décembre) – Henri Hirsch demande l’autorisation de poser une enseigne à double face contre le mur (croquis). La Police du Bâtiment demande qu’elle soit rehaussée à la hauteur réglementaire de trois mètres – Autorisation
  • 1899 (octobre) – La Police du Bâtiment constate que la Compagnie d’électricité (Elektricitäts Gesellschaft) a posé sans autorisation une enseigne plate. La société répond qu’elle n’est pas en cause. L’enseigne a été posée par la filiale d’Hélios, société anonyme d’électricité domiciliée à Cologne, dont le gérant est Feller – Demande – Autorisation de poser une enseigne au balcon du deuxième étage
  • 1900 (octobre) – La Police du Bâtiment constate que le débitant de bière Collischan a posé sans autorisation une lampe électrique – Demande sur papier à lettre du Café central viennois Collischan (Colischan’s Wiener Central-Café, 6, rue du Vieux-Marché-aux-Poissons) – Autorisation
  • 1901 (novembre) – Dossier ouvert suite à un courrier du commissaire de police. Le débitant de bière Collischan demande l’autorisation de mettre en communication le bar et les lieux d’aisances qui dépendent du magasin de cigares Hirsch ruelle des Incendiaires pour éviter aux clients de traverser la rue. – Rapport de l’architecte municipal Nebelung
  • 1903 – L’entrepreneur E. Matter (Boulevard de Schirmeck à l’angle de la rue de La Broque) demande au nom de la société Hélios l’autorisation d’occuper la voie publique. Le commissaire de police transmet au maire
  • 1903 – Eugène Braun (9, rue du Dôme) demande l’autorisation de poser une enseigne lumineuse au quatrième étage du débit de bière – Autorisation. Les droits sont à mettre au compte de la société coopérative L. Ungemach, rue Marbach (Elsässische Konsum- und Import gesellschaft L. Ungemach) – L’objet est posé, novembre 1903
  • 1903 (mars) – Dossier ouvert suite à un courrier de la Division II-a. W. Stückle demande l’autorisation d’exploiter un café – Le local correspond aux prescriptions ministérielles du 24 mars 1890 mais la hauteur est de 3,20 mètres au lieu de 3,50 mètres. Les lieux d’aisance devront être réaménagés et raccordés aux canalisations municipales.
    1903 (décembre) – Idem, le pétitionnaire servira du café, du thé et du chocolat. Les lieux d’aisance correspondent à la description fournie au mois d’avril précédent. – Même réponse au commissaire de police
  • 1903 (octobre) – L’entrepreneur de construction Charles Ahrendt demande l’autorisation de supprimer une cloison au premier étage du bâtiment qui appartient au sieur Levy – Autorisation – La cloison est supprimée, les plâtriers et les peintres travaillent, décembre 1903. Travaux terminés, janvier 1904. – Dessin du rez-de-chaussée et du premier étage, coupe
  • 1904 (février) – Le maître ferblantier H. Lœb (6, rue Saltzmann) demande l’autorisation d’occuper la voie publique – Le commissaire de police transmet au maire – Autorisation
    1904 (avril) – Les frères Levy (peintres, 140, Grand rue) demandent l’autorisation de poser un échafaudage sur la voie publique le long des trois façades – Le commissaire de police transmet au maire – Autorisation
  • 1904 (mai) – Dossier ouvert suite à un courrier du commissaire de police. W. Stückle demande l’autorisation d’exploiter un café au premier étage. Le commissaire de police demande si les travaux ont été faits. La porte vers la rue des Incendiaires n’est pas encore murée, les lieux d’aisance ne sont pas encore peints.
    1904 (juin) – W. C. Stücklen demande sur papier à lettres (débit de bière et bar américain au rez-de-chaussée, café impérial viennois et billard au premier étage – Bier-Quelle und American Bar im Parterre, Ausschank von 7 Sorten bier, Hamburger Büffet – Wiener Café Impérial im 1.ten Stock, Billard, Tag und Nacht geöffnet) demande l’autorisation de poser une lampe électrique et déclare que le grand store a été supprimé – La lampe à 2,80 mètres du sol doit être rehaussée à au moins trois mètres – Autorisation – L’objet est réglementaire
    1904 (décembre) – Les peintres sur verre Ott demandent au nom du Café viennois et du débit de bière l’autorisation de poser une lanterne. Croquis et dessin (la lampe se trouve à l’angle de la place et des Grandes Arcades) – Autorisation – La lampe est posée, janvier 1905.
  • 1905 (décembre) – Dossier ouvert suite à un courrier de la Division II-a. Guillaume Stückle demande l’autorisation d’exploiter un débit de boissons au premier étage – Le local correspond aux prescriptions ministérielles du 24 mars 1890 mais la hauteur est de 3,20 mètres au lieu de 3,50 mètres. Les lieux d’aisance se trouvent au rez-de-chaussée
  • 1905 (septembre) – Guillaume Stückle demande l’autorisation de poser une double enseigne (libellé, Aufgang zum Wiener Café – Montée du café viennois). Croquis – Autorisation
  • 1906 – Auguste Schuler (Strassburger Kunstanstalt – établissement Strasbourg d’art, peinture sur verre, enseignes sur verre, mosaïques, rue du soleil) demande au nom du marchand de cigares Hirsch l’autorisation de peindre une enseigne plate (4,20 sur 0,50 mètres) sur le volet roulant – Autorisation
  • 1906 (octobre) – Dossier ouvert suite à une plainte de J. Hurst. Les cabinets d’aisance du débit au rez-de-chaussée et ceux du premier étage servent aussi aux locataires.
  • 1907 – Le marchand de cigares Henri Hirsch demande l’autorisation de poser une vitrine (115 sur 50 centimètres, profondeur 10 centimètres) – Autorisation, ratifiée par le directeur de l’octroi.
  • 1907 (novembre) – Frédéric Sawatzki qui tient le High Life Bar au premier étage demande l’autorisation de poser deux lampes, l’une au premier étage vers la place et l’autre au-dessus de la porte d’entrée rue des Grandes Arcades. Croquis – Autorisation – Les objets sont posés, décembre
  • 1908 (juin) – Auguste Schuler (Strassburger Kunstanstalt – établissement Strasbourg d’art) et Henri Hirsch demandent l’autorisation de poser un échafaudage sur la voie publique – Le commissaire de police transmet au maire – Autorisation – L’échafaudage est retiré, juillet
  • 1908 (novembre) – La société Fabrique de conserves et d’importation (Conserven-Fabrik und Import-Gesellschaft, à Schiltigheim) demande au nom d’Eugène Braun l’autorisation de poser une enseigne lumineuse publicitaire (Biscuits Loriot, Bonbons Lakritzia) – Autorisation accordée pour les enseignes déjà posées
  • 1909 – L’architecte G. Oberthur (22, rue des Serruriers) demande l’autorisation de transformer le débit en libre-service au rez-de-chaussée. Note de la Police du Bâtiment, les locaux ont 3,55 mètres de haut, ceux de l’étage 3,15 mètres, les toilettes pour dames sont à l’étage. La stabilité du bâtiment n’est pas compromise comme le montre une visite des lieux, ce qui confirme les observations de 1906. Le pilier devra avoir un diamètre de 24 centimètres.
    La Police du Bâtiment fait ses remarques sur les travaux prévus au rez-de-chaussée de la maison qui appartient à Joseph Fritsch. L’architecte doit justifier la solidité du pilier, l’urinoir devra être séparé du vestibule par une cloison – Autorisation de transformer le rez-de-chaussée, 4 mars 1909 – La mise à jour des anciens piliers et des solives montre que les plans ont été dressés d’après des hypothèses inexactes. – Calcul statique – Dessins (arcades, plan du rez-de-chaussée)
    1909 (24 mars) – Demande d’avenant. On a constaté en commençant les travaux que certaines poutres en bois de la cave doivent être remplacées et que les piliers en bois de la cave doivent être remplacés par de nouveaux en béton. Les solives centrales du rez-de-chaussée seront remplacées par de nouvelles, de même que les piliers en fer et en briques. Nouveau calcul statique – Avenant au permis de construire, 30 mars 1909 – Dessin de la cave – Les transformations sont terminées, mai – Réception finale, juin
    1909 (avril) – Joseph Fritsch demande au nom de la société Kleberplatz Automat l’autorisation de poser un revêtement en imitation de pierre à la place du soubassement qui a été reculé de 12 centimètres. – Accord, Travaux terminés, juin
  • 1909 – Dossier. Joseph Fritsch demande l’autorisation de continuer à exploiter le débit de boissons. Le rapport sera fait quand les travaux seront terminés. Les toilettes pour hommes se trouvent au rez-de-chaussée, celles pour dames à l’étage. Il y a des toilettes à chacun des autres étages. Les locaux du restaurant en libre service satisfont aux prescriptions ministérielles du 24 mars 1890 si les transformations correspondent aux plans approuvés. Ceux du premier étage (café et billard) ont une hauteur de 3,20 au lieu des 3,50 mètres réglementaires
  • 1909 (juin) – Courrier du commissaire de police. La société à responsabilité limitée Restaurant en libre service de la place Kleber (Kleberplatz Automat G.m.b.H.) demande à être exemptée d’aménager des toilettes pour dames en arguant que celles des locaux à l’étage font partie du même établissement – Le maire répond que l’exemption peut être accordée, les locaux du rez-de-chaussée étant exigus. Un escalier à vis reliera le restaurant en libre service et l’étage.
  • 1911 – Le peintre en bâtiment Auguste Schuler (Bau- und Dekorationsmalerei) demande l’autorisation de poser un échafaudage sur la voie publique – Le commissaire de police transmet au maire – Autorisation – L’échafaudage est retiré, fin janvier
  • 1910 – Le peintre en bâtiment Auguste Schuler demande l’autorisation de repeindre la façade en gris d’argent et de poser deux enseignes sur verre – Croquis – Dessin aquarellé (Café Boulevard, Kleberplatz) – Le marchand de cigares H. Hirsch (2, place Broglie) et l’entrepreneur Auguste Schuler sont autorisés à poser deux enseignes lumineuses et à repeindre la façade, janvier 1911 – Huit enseignes sur verres sont posées sur les piliers outre les deux enseignes lumineuses.
    Auguste Schuler répond qu’il n’a pas posé les enseignes sur verre – L’entreprise Ott Frères (Ott Frères, Elsass-Lothringische Werkstätte für Kunst und Kunstgewerbe – Ott Frères, Ateliers alsaciens-lorrains d’art et de métiers d’art) demande sur papier à lettre illustré demande l’autorisation de poser huit enseignes sur verre pour le compte de Hirsch et Laspe qui tiennent le débit de bière. – Autorisation délivrée à H. Hirsch et aux frères Ott, mai 1911.
  • 1912 – Henri Hirsch demande au nom de la maison Hirsch-Laspe l’autorisation de poser deux inscriptions Café Boulevard. – Le sieur Kreutle déclare qu’il s’agit de refaire d’anciennes enseignes. Le Police du Bâtiment observe, que cette déclaration est inexacte, il s’agit de deux nouvelles enseignes doubles qui remplacent une enseigne plate et une lampe – Le cafetier A. Kreutler dépose une demande, décembre 1912 de même que Léopold Schillio (enseignes sur verre, 6, rue du Dragon) – Autorisation de poser deux enseignes doubles, accordée à A. Kreutlé, janvier 1913.
  • 1912 (décembre) – La Police du Bâtiment constate que la société Elsäsische Schirmfabrik (8-d boulevard de Cronenbourg, ensuite boulevard du Président Wilson) a posé deux lampes sans autorisation. – Demande – Autorisation, février 1913
    1912 (octobre) – La société Elsäsische Schirmfabrik demande l’autorisation de poser quatre enseignes perpendiculaires et deux enseignes plates – La société retire sa demande de poser cinq lampes à sa filiale rue des Grandes-Arcades – Autorisation de poser 2 enseignes sur verre et quatre enseignes perpendiculaires, novembre 1912.
  • 1913 (novembre) Dossier suite à une demande du commissaire de police. Marthe Gebauer demande l’autorisation de reprendre le débit de boissons. La Police du Bâtiment constate que les locaux comprennent une salle de débit, une cuisine, des cabinets d’aisance au premier étage et au rez-de-chaussée. Ils répondent aux prescriptions ministérielles du 24 mars 1890, sauf la hauteur (3,15 mètres au lieu de 3,50).
    Une cloison été supprimée à l’étage.
  • 1913 (juin) – M. Gebauer (tenancière de bar, demeurant 19, allée de la Robertsau) demande l’autorisation de poser une enseigne plate. Dessin (Mascotte, American-Bar, I° Etage) – Autorisation. L’enseigne est posée au-dessus du premier étage vers la place Kleber – Une plaque en saillie de 25 centimètres au-dessus de la porte contrevient au règlement. Elle est retirée.
  • 1913 – Le maire notifie Henri Hirsch de supprimer le clignotement de l’enseigne lumineuse qui se trouve au-dessus du quatrième étage, conformément au règlement du 28 mai précédent. – Travaux terminés, novembre 1913
  • 1913 (octobre) – L’Agence du logement (Wohnungs-Zentrale, anciennement 6, rue du Fossé-des-Tanneurs) demande l’autorisation de poser deux enseignes en bois au-dessus du premier et du deuxième étage ainsi qu’une enseigne en émail à la porte. – La Police du Bâtiment n’a pas d’objection à faire contre l’enseigne en émail mais demande une description des deux autres – Courrier du commissaire de police – Autorisation, janvier 1914. L’enseigne plate a 5 mètres sur 78 centimètres. Croquis de l’enseigne plate et de la plaque émaillée
    1915 – L’Agence du logement a loué ses locaux. La nouvelle enseigne est Verkauf an Militärbehörden, Kantinen und Marketender (vente aux autorités militaires et aux cantines)
  • 1914 – L’Electricité de Strasbourg (Elektricitätswerk Strassburg) demande l’autorisation d’attribuer l’enseigne lumineuse qu’a dénoncée la maison Ungemach à un client (magasins Knopf) qui en donnerait 1000 marks mais qui n’habite pas la maison. – Le maire refuse.
  • 1915 (mars) – C. Ferner demande au nom de Watzeck l’autorisation de poser une enseigne perpendiculaire Photographie – Autorisation – L’enseigne est retirée, le magasin ayant changé d’adresse, juin 1915.
    1915 (mai) – Rose Klein demande l’autorisation de poser une enseigne à son atelier de photographie (Photographie-Atelier Merkur) – Autorisation de poser une enseigne perpendiculaire. L’atelier se trouve au rez-de-chaussée (août 1915)
    1915 (mai) – Charles Metzger signale que l’usage des cabinets d’aisance dans l’atelier du photographe Lipsky exploité par Rose Klein est contraire aux règles d’hygiène. – Courrier de Rose Klein – Le service des canalisation visite les lieux – Courrier au photographe Guillaume Lipsky, demeurant à Lautenbach en Bade.
  • 1916 – Commission des logements militaires, rien à signaler
  • 1916 – J. Kratz (Agence du logement) qui a dû partir à l’armée et se trouve à l’hôpital dénonce son enseigne. – Le maire reporte le paiement des droits échus à a fin de la guerre.
  • 1918 – Le coiffeur pour dames Charles Klœpfer demande l’autorisation de remplacer l’enseigne de l’Agence du logement par la sienne – Le fichier est mis à jour.
  • 1918 – Dossier ouvert suite à un courrier du commissaire de police. Wanda Remus demande l’autorisation d’exploiter le débit de boissons. Rapport sur les locaux comme en novembre 1913 (la hauteur mentionnée est ici de 3,20 mètres) – Remarque sur les cabinets d’aisance
  • 1919 – La dame Seltzer demande l’autorisation de poser une enseigne perpendiculaire lumineuse. – Autorisation
    1919 (février) – Dossier ouvert suite à un courrier du commissaire de police. Mathilde Seltzer demande l’autorisation d’exploiter un café en libre service. Rapport sur les locaux comme en 1918. Un autre urinoir devra être aménagé.
    René Levy, copropriétaire avec Mathilde Seltzer du Princess-Bar, déclaré que les locaux ne se prêtent pas à l’aménagement d’un urinoir. – La Police du Bâtiment renonce à demander un autre urinoir, eu égard que le bar est un petit établissement.
  • 1920 – La société alsacienne d’alimentation Ungemach dénonce son enseigne
  • 1919 – La Police du Bâtiment constate que le photographe Guillaume Lipsky a repris l’enseigne du coiffeur Klopfer
    1919 – La Police du Bâtiment constate que le photographe Guillaume Lipsky a posé une vitrine – Demande (l’ancienne raison American-Photographie-Salon est remplacée par Photo Mercure) – Autorisation de poser une vitrine sur la façade
    1920 – Guillaume Lipsky demande l’autorisation de poser une enseigne perpendiculaire – Autorisation
  • 1920 – Le maire notifie Paul Levy (maison P. Levy et H. Herzog, 28, rue des Grandes Arcades) de faire ravaler la façade – René Levy demande de reporter les travaux d’un an au nom des héritiers de Paul Levy qui envisagent de vendre l’immeuble. – Travaux terminés, septembre 1921.
  • 1921 (septembre) – Le Palais des Nouveautés (passage de la Pomme-de-Pin) demande l’autorisation de poser une enseigne temporaire – Le maire répond que l’enseigne ne correspond pas au règlement relatif à l’aspect local. – L’enseigne est tout de même posée – Elle est retirée, octobre 1921
  • 1921 (novembre) – La Police du Bâtiment constate qu’une enseigne verticale (Pigalle Bar) a été posée sans autorisation aux premier, deuxième et troisième étages vers la rue des Incendiaires – Le maire écrit à Mathilde Seltzer qui souhaite conserver l’enseigne, d’autant que son établissement se trouve à l’étage et que son mari est mort. – Le maire accorde un délai. – L’inscription est supprimée, octobre 1922.
  • 1925 – Les architectes R. Vœlckel et Ch. Wolff (1, quai au Sable) demandent au nom du propriétaire Preiser l’autorisation de réaménager le logement du cinquième étage. – Autorisation – Plan de l’étage
  • 1923 (novembre) – La société La lampe Philips, agissant par son agent général Pierre Kahn (11.a rue Strauss-Durckheim), informe la Police du Bâtiment qu’elle va poser une enseigne lumineuse sur le toit – La commission des Beaux-Arts qui estime que l’enseigne est incompatible avec l’aspect local refuse d’accorder l’autorisation.
    1924 (octobre) – Nouvelle demande – La commission des Beaux-Arts oppose un nouveau refus en s’appuyant sur l’arrêté préfectoral du premier octobre 1924 qui interdit les inscriptions sur les façades du périmètre sauvegardé.
  • 1925 – Le photographe Guillaume Lipsky (Photos Mercure) demande l’autorisation de remplacer l’enseigne métallique par une enseigne lumineuse (Photos, 60 sur 30 centimètres) – Autorisation – L’enseigne est posée
    1926 – La Police du Bâtiment constate que le photographe Lipsky a fait placer une enseigne lumineuse (Photos) au-dessus de la porte – Demande – Autorisation
    1926 – Guillaume Lipsky déclare avoir fait poser une inscription Kodak films. Croquis – Autorisation
  • 1925 – La Police du Bâtiment constate que la Banque de Strasbourg (anciennement Ch. Stæhling, L. Valentin et Compagnie) a fait poser sans autorisation une enseigne perpendiculaire – Demande – Autorisation
  • 1927 – Le photographe Guillaume Lipsky demande l’autorisation de poser une enseigne lumineuse (Lumière & Jougla) au-dessus de la porte d’entrée rue des Grandes Arcades – Autorisation
  • 1929 – La Police du Bâtiment constate que la veuve Jules Seltzer (Pigalle Bar) a fait poser une lampe électrique non réglementaire (saillie de 70 centimètres au lieu de 25) rue Frédéric Piton – Demande de laisser la lampe en l’état pendant les travaux que fait faire le propriétaire – Autorisation
  • 1929 – Mme Seltzer, gérante du Pigalle-bar, demande l’autorisation de poser une enseigne lumineuse (bar) au-dessus de la porte rue Frédéric Piton et une autre (Pigalle-bar) au premier étage vers la place – Croquis – Autorisation
  • 1929 – L’architecte O. Zacher (14, rue du Vingt-deux-novembre) demande au nom du propriétaire Preiser l’autorisation de poser huit socles pour devantures – L’ingénieur des Ponts-et-Chaussées donne son accord – Autorisation – Extrait du plan cadastral, dessin (les socles se trouvent rue des Grandes Arcades et place Kleber)
  • 1928 – L’architecte O. Zacher demande au nom du propriétaire Ed. Preiser (54, rue du Vieux-Marché-aux-Vins et 10, quai de Paris) de faire des travaux (au sous-sol un nouvel escalier et une chaufferie, au rez-de-chaussée un nouvel escalier, de nouvelles devantures, un cabinet d’aisance, modifier la distribution des pièces aux étages, installer un chauffage central) – Autorisation de transformer les magasins au rez-de-chaussée, d’aménager des devantures vers la rue Frédéric Piton et une nouvelle entrée, de modifier le logement au sixième étage bien que le règlement n’admette que cinq étages habitables – Calcul statique – Dessin (sous-sol, coupe, plan des étages)
    1929 (janvier) – Les travaux intérieurs continuent – L’architecte demande de déroger au règlement qui exige de plâtrer les plafonds de l’escalier. La Police du Bâtiment prend l’avis du service des incendies. – Réception du gros œuvre
    1930 (janvier) – Réception finale. Il reste à peindre les façade.
  • 1930 – La Police du Bâtiment constate qu’Edouard Preiser (articles de fantaisie) a posé sans autorisation un volet roulant – Demande de poser un volet roulant (11,50 mètres sur 1,70) et sept vitrines – Autorisation
  • 1934 (février) – La Police du Bâtiment constate que l’entreprise Steinbach frères a commencé des travaux non autorisés au sous-sol et aux façade rue des Grandes Arcades et rue Frédéric Piton.
  • 1934 (septembre) – La Maison du Café (31, rue Pouchet à Paris XVII°) charge les entrepreneurs Dentzler Gramling & Cie de poser une enseigne lumineuse sur la marquise de l’établissement Le Zinc – La Police du Bâtiment observe que l’enseigne n’est pas réglementaire. La commission municipale des Beaux-Arts interdit toute nouvelle enseigne jusqu’à ce que le tribunal ait statué au sujet des la démolition des façades non réglementaires. – Courrier de Tout électrique (Dentzler Gramling & Cie, 31, place Kléber) relatif à l’enseigne commandée à la maison Claude Paz et Silva à Paris.

Dossier de la Police du Bâtiment (cote 802 W 7)

Le commerçant Eugène Preiser demande en 1933 l’autorisation de transformer le sous-sol et le rez-de-chaussée sous la direction de l’architecte Maurice Bizet (façade habillée de marmorite et de mosaïque blanche, marquise en métal et vitrée de verre armé). La Commission des Beaux-arts rejette à l’unanimité le projet qualifié d’hypermoderne. Edouard Preiser charge l’architecte Edouard Neunreiter de produire de nouveaux plans, agréés par le Service municipal d’architecture. Le maire accorde en février 1934 l’autorisation de poser une marquise et de transformer le rez-de-chaussée et le sous-sol pour aménager un café bar et une charcuterie. Le maire ordonne en juillet 1934 de suspendre les travaux, le revêtement en pâte de verre contrevenant à l’autorisation. Le tribunal classe l’affaire sans suite.
Eugène Preiser fait poser en 1935 des lettres en relief sur la marquise du Splendid Bar. Il fait en 1936 un courrier sur papier à lettres Le Zinc (café, brasserie, Splendid Bar). Il fait faillite en 1938.
Charles Hunck de Boxtel, tenancier du Café d’Alsace, anciennement Le Zinc, charge en 1938 l’entrepreneur Sigel Frères de faire des transformations. L’enseigne devient Café Rohan la même année, Kaffee Rheingau pendant la guerre. La maison est légèrement endommagée par le bombardement du 11 août 1944. La Brasserie du Pêcheur, propriétaire, fait poser en 1955 des enseignes lumineuses sur la marquise. Après la mort de Charles Hunck de Boxtel (1964), le débit de boissons est repris par Marie Anne Bonn née Royer (1966), Charles Facchini (société d’exploitation Lucaro, 1976), Jean-Paul Knauer (société Knabo, 1979).
La Brasserie du Pêcheur fait poser en 1967 de nouvelles enseignes au bar Le Rohan. La Brasserie du Pêcheur et l’hôtelier Bonn font réaménager le café le Rohan en 1966 sous la direction du décorateur Pierre Drexler. L’enseigne Pêcheur devient Fischer en 1977.

Sommaire
  • 1933 (avril) – Le commerçant Eugène Preiser demande l’autorisation de transformer le sous-sol et le rez-de-chaussée sous la direction de l’architecte Maurice Bizet (189, rue Ordener à Paris XVIII°). Description des travaux.
    Façade habillée de marmorite et mosaïque blanche, vert clair, rose et bleu foncé, posée sur carcasse métallique. Les portes et vitrines en fer et métal blanc. La marquise est métallique, translucide et vitrée de verre armé. Les stores y sont logés ainsi que des rampes électriques pour éclairer la façade. Les enseignes en zinc et tôle laquées rouge et bleu foncé.
    La Police du Bâtiment estime que les inscriptions doivent être plus neutres et recommande de soumettre le projet à la Commission des Beaux-arts
    1933 (mai) – La Commission des Beaux-arts rejette à l’unanimité le projet qualifié d’hypermoderne. Il ne devra pas y avoir d’enseigne entre les arcades mais seulement entre les arcades et les fenêtres du premier étage. Seul le marbre naturel sera accepté, à l’exclusion de la marmorite et des mosaïques.
    1933 (juin) – Eugène Preiser présente un nouveau projet, à nouveau rejeté parce qu’il est pareil au premier sans tenir compte de l‘avis émis par la Commission des Beaux-arts. Par ailleurs les cabinets d’aisance se trouveraient sous la rue et les piliers rue Frédéric Piton seraient remplacés par des piliers en fer, ce qui ne saurait être admis.
    1913 (septembre) – Edouard Preiser (papier à lettres Exportation, Fabrication, Importation, usine 13, rue du Fil, magasins de vente 10, quai de Paris, 54, rue du Vieux-Marché-aux-Vins, coin place Kléber Grandes Arcades) charge l’architecte Edouard Neunreiter (37, boulevard de Nancy) de produire de nouveaux plans, agréés par le Service municipal d’architecture.
    1933 (octobre) – La Commission des Beaux-arts demande des échantillons du revêtement et des lettres pour les enseignes
    1933 (novembre) – Le préfet autorise les travaux le long de la route nationale
    1934 (février) – Autorisation de transformer le rez-de-chaussée et le sous-sol pour aménager un café bar et une charcuterie et de poser une marquise. Conditions à respecter, notamment pour la marquise – Calcul statique
    Suivi des travaux. Le gros œuvre est terminé au sous-sol, les nouvelles fenêtres rue Frédéric Piton sont en cours, mars 1934. Le gros œuvre est terminé, sauf la devanture rue Frédéric Piton, mai 1934. Alors que l’autorisation prévoit de revêtir la façade en pâte de verre couleur grès, une mosaïque rouge et verte est en cours de pose. Les devantures rue Frédéric Piton ont été supprimées. Les travaux doivent être suspendus, juillet 1934
    1934 (juillet) – Le maire prend un arrêté qui ordonne de suspendre les travaux
  • 1934, [Livre foncier], feuille 2980. Propriétaires. Louis Edouard Preiser, tourneur sur bois et son épouse Jeanne Emilie née Hanns pour 2/18, Edouard François Joseph Preiser, sculptier à Strasbourg-Neudorf et son épouse pour 2/18, Prosper Jules Preiser, négociant à Strasbourg et son épouse pour 2/18, Jean Alfred Félix Biré, instituteur à Strasbourg pour 2/18, Jean Alfred Félix Biré, instituteur et son épouse Anne Marie Thérèse née Preiser à Strasbourg pour 2/18, ensemble en communauté d’héritiers du droit local pour 6/18.
    1934 (juillet) – Rapport de contravention relatif au revêtement, dressé par Eugène Weiss, agent voyer de la Police du Bâtiment – Le maire transmet le rapport au tribunal de simple police – Le propriétaire répond que le matériau est bien la pâte de verre autorisée et demande de lever l’interdiction de poursuivre les travaux – Le maire confirme que les travaux en cours constituent contravention. – Le jugement par défaut condamne le propriétaire à 5 francs d’amende et à enlever le revêtement litigieux. – L’affaire est mise en délibéré en août 1934 attendu que la signification à l’inculpé résidant à Paris n’est pas notifiée au tribunal
    1934 (octobre) – Le tribunal cantonal de Strasbourg reçoit l’opposition formée par Edouard Preiser, commerçant demeurant 49 rue Saint-Erhard au Neudorf qui déclare ne pas s’être occupé des travaux, contre le jugement par défaut rendu contre lui le 25 juillet précédent et annule ledit jugement.
    Extrait des délibérations de la Commission municipale des Beaux-Arts, séances du 26 mai 1933, du 12 juillet 1933, du 20 octobre 1933 et du 17 juillet 1934. – Dessins
    1934 (novembre) – Le maire prie l’officier du ministère public près le tribunal de simple police de poursuivre au moins Eugène Preiser pour les infractions commises lors de la deuxième partie des travaux, exécutés depuis le 31 juillet 1934. Le commissaire de police, ministère public, répond que l’affaire a été classée sans suite le 30 octobre précédent.
  • 1935 (septembre) – Eugène Preiser demande l’autorisation de poser des lettres en relief sur la marquise du Splendid Bar. – Autorisation – Dessin
  • 1936 – Le maire demande à Edouard Preiser de régler les droits pour la marquise – La caisse municipale devra recouvrer les sommes par voie de contrainte, septembre 1936. – Le propriétaire demande sur papier à lettres 1936 Le Zinc (café, brasserie, Splendid Bar) un règlement par acomptes mensuels. – Le maire propose un échéancier à titre exceptionnel. – Les paiements sont terminés, avril 1937.
  • 1937 – La Brasserie du Pêcheur déclare que c’est à Eugène Preiser de régler la redevance pour la marquise et l’enseigne perpendiculaire. Eugène Preiser (Le Zinc, café brasserie) déclare qu’il réglera la somme par acomptes.
    1938 – Avis de paiement envoyé à Eugène Preiser (le Zinc) pour l’année 1938 – L’huissier Richert (6, rue de la Nuée Bleue) répond que le plan de collocation ne prévoit pas le paiement.
  • 1938 – L’entrepreneur Sigel Frères (10, rue de l’Arc-en-Ciel) demande au nom de Ch. Hunck de Boxtel, propriétaire du Café d’Alsace, anciennement Le Zinc, l’autorisation de poser un panneau unique pour différents corps de métiers pendant les transformations.
    1938 – Le peintre en bâtiment Max Vollmer (48, rue Saint-Erhard au Neudorf) demande au commissaire de police l’autorisation de poser un échafaudage rue Frédéric Piton pour repeindre la façade (propriétaire, Brasserie du Pêcheur).
  • 1938 (juillet) – Propriétaire du Café Rohan, Ch. Hunck de Boxtel (demeurant 21, avenue de la Liberté) demande l’autorisation de poser une enseigne au néon (texte, Café Rohan) – La Police du Bâtiment donne son accord pour une enseigne sans saillie
    1938 (mai) – Propriétaire du Café Kléber, Ch. Hunck de Boxtel (demeurant 21, avenue de la Liberté et 11, boulevard des Italiens à Paris) demande l’autorisation de poser deux enseignes en calicot (texte, Changement de propriétaire. Réouverture du café prochainement. Le Splendid Bar est supprimé) – Autorisation pour deux mois – Les enseignes sont retirées, les travaux de transformation terminés, septembre 1939
  • 1938 (septembre) – La Brasserie du Pêcheur à Schiltigheim demande l’autorisation de poser une enseigne plate au Café Rohan (inscription Bière du Pêcheur) – Autorisation – L’enseigne est posée
  • 1938 (septembre) – L’huissier J. A Richert (7, rue de la Nuée Bleue) informe le receveur municipal que la créance sur le restaurant Le Zinc lui est parvenue trop tard pour l’inscrire à la distribution – Les droits pour la marquise sont dus par l’ancien propriétaire Preiser avant le premier mai et par le nouveau propriétaire Hunck de Boxtel ensuite. L’huissier répond que les délais d’opposition sont expirés et que les créances d’Eugène Preiser dépassent de loin le montant de la vente de son fonds.
  • 1939 – Le serrurier Samuel Levy demande au nom de Pierre Samuel (maison Paris-Saumur) l’autorisation de poser une enseigne perpendiculaire sur la marquise de l’estaminet Le Zinc. – Autorisation, mai 1939
  • 1940 – L’entrepreneur C. Kuhn (8-10, rue Neuve à Schiltigheim, alors –10 rue Oberlin) demande au nom de Charles Hunck l’autorisation de poser une enseigne Kaffee Rheingau (lettres rouges sur fond en mosaïque blanc et vert) – Photographie – Dessin – La Police du Bâtiment n’a pas d’objection à faire
  • 1941 – L’entreprise de construction Steinbach Frères (4, rue Walker) est autorisée à occuper la voie publique pour réparer la toiture
    1941 (juillet) – Ch. Hunck de Boxtel déclare qu’il a repeint en bleu son café sur ordre de la Police du Bâtiment
    1941 (octobre) – Ch. Hunck de Boxtel demande à être exempté de payer les redevances pendant d’évacuation. La Police du Bâtiment répond que les taxes sont dues pour une année entière, que par conséquent une exemption du premier septembre au 31 décembre est impossible
    1942 (février) – Ch. Hunck de Boxtel estime que le lavage des fenêtres ordonné par le chef de l’administration civile revient à un prix trop élevé, d’autant qu’il venait de les faire peindre en bleu quinze jours plus tôt. Réponse de la Police du Bâtiment. L’entreprise Goeller réduit le montant de 75 à 60 marks.
  • 1945 – La maison est légèrement endommagée le 11 août 1944 par le bombardement. Certificat de sinistré accordé à Berthe Riff (quatrième étage)
  • 1946 – Ch. Hunck de Boxtel (Café Rohan) souhaite supprimer la marquise pour ne plus régler les droits de voirie, sauf si la ville les prenait en charge en considérant que la marquise est d’utilité publique – La Division VI ne voit pas d’inconvénient à supprimer la marquise mais demande comment se présentera le raccord entre le crépi et la mosaïque du rez-de-chaussée. – La marquise n’est pas supprimée
  • 1954 – La Grande Maison de Bonneterie (David Marx et Fils, 33-a rue du Vieux-Marché-aux-Vins et 40, rue des Hallebardes) demande l’autorisation de poser une vitrine d’exposition – L’architecte des Bâtiments de France émet un avis favorable pour transformer une porte en devanture. – Dessin – Autorisation
  • 1955 – Le sieur Hunck de Boxtel est autorisé à occuper la voie publique pour crépir la façade – Les peintres en bâtiment Ensminger et Fritsch demandent l’autorisation de repeindre la façade
    1955 (décembre) – La Brasserie du Pêcheur (Schiltigheim) demande l’autorisation de poser des enseignes lumineuses sur la marquise – L’architecte des Bâtiments de France émet un avis favorable – Les deux enseignes sont posées, septembre 1956. – Le préfet accorde l’autorisation de poser une enseigne sur la marquise du café Le Zinc après avis de la Commission Départementale des Sites, janvier 1956.
  • 1956 (novembre) – La Fédération des Locataires du Bas-Rhin demande à la Police du Bâtiment de visiter le logement qu’occupe Berthe Riff (quatrième étage) qui se plaint d’accumulations de fumées – Rapport de la Police du Bâtiment
  • 1958 – Ch. Hunck de Boxtel demande à être exempté de droit de voirie pour pouvoir réparer la toiture et la marquise endommagées par l’ouragan du 11 août. – Le maire accorde un sursis de paiement
  • 1964 – Joseph-Charles Gontram, notaire à Sainte-Marie-aux-Mines, retourne l’avis de paiement des droit de voirie adressé à la veuve Hunck de Boxtel. Le défunt était locataire principal, le propriétaire est la Brasserie du Pêcheur à Schiltigheim. – La Brasserie demande d’établir dorénavant l’avis à son nom.
  • 1966 – Le préfet demande une enquête après que Marie Anne Bonn née Royer (demeurant 1, rue du Maire Kuss) a demandé l’autorisation d’exploiter le débit Au Café Rohan. – La Police du Bâtiment constate que des travaux sont en cours
    Le préfet accorde l’autorisation, le bail ayant été passé le 17 août 1966 entre la demanderesse et la Brasserie du Pêcheur
  • 1966 – Le décorateur Pierre Drexler (11, rue Graumann) soumet un projet d’enseignes lumineuses au nom de la Brasserie du Pêcheur (bar le Rohan) – Les enseignes sont posées, janvier 1967
    1966 – Le café Le Rohan est autorisé à poser un échafaudage sur la voie publique (rue des Grandes Arcades, place Kleber et rue Frédéric Piton) – Même autorisation accordée à Pierre Drexler pour le propriétaire
    1966 (novembre) – Pierre Drexler transmet le plan de la façade. La société Publi-Est transmet le dessin de l’enseigne, janvier 1967 – L’architecte des Bâtiments de France émet un avis favorable – Arrêté du maire, mars 1967
    1967 (janvier) – Pierre Drexler demande d’adresser le décompte des droits de voirie au propriétaire Bonn (1, rue du Maire Kuss)
  • 1966 (mai) – La Brasserie du Pêcheur et l’hôtelier Bonn déposent une demande de permis de construire pour aménager un bar (café le Rohan) au rez-de-chaussée et au premier étage en modifiant la façade, sous la direction du décorateur Pierre Drexler – Plan de situation – Dessin
    1966 (juin) – L’architecte des Bâtiments de France Fernand Guri demande des documents supplémentaires puisque le bâtiment est inscrit à l’inventaire des sites
    1966 (juillet) – L’architecte des Bâtiments de France émet un avis favorable à condition de satisfaire à la décision de la Commission permanente des sites (les piliers seront revêtus de pierre gris vert et non d’ardoise noire)
    1966 (août) – Le directeur départemental de la construction émet un avis favorable
    1966 (septembre) – L’ingénieur des Ponts-et-Chaussées donne son accord
    1966 (octobre)– Le maire délivre le permis de construire
    Suivi des travaux. Les piliers sont modifiés (octobre 1966), les devantures sont posées, l’aménagement intérieur est en cours (décembre 1966). Les transformations au sous-sol (cabinet d’aisance, cuisine, chauffage central) et à la marquise ne figurent pas au permis de construire, janvier 1967
    1967 (avril) – Avenant au permis de construire. Plan de situation. Plan du sous-sol
    1967 (août) – Le maire délivre l’avenant
    Suivi des travaux (suite). La Police du Bâtiment demande de poser une main courante à l’escalier menant au sous-sol (août 1967)
  • 1967 (septembre) – La Police du Bâtiment constate que La Loterie nationale (comptoir Kling, 22 rue du Fossé des Tanneurs) a posé sans autorisation une enseigne lumineuse – Demande – Dossier classé provisoirement
  • 1970 – La brasserie du Pêcheur dépose une demande pour renouveler l’autorisation pour quatre soupiraux – Le maire transmet avec avis favorable l’affaire à l’ingénieur des Ponts-et-Chaussées qui accorde l’autorisation
  • 1970 (avril) – Le locataire Bonn demande l’autorisation d’aménager une terrasse vitrée rue des Grandes-Arcades et un guichet place Kleber sous la direction de Maurice Marchand (architecte d’intérieur, 6, rue de l’Abreuvoir) – La Division VIII émet un avis favorable à la terrasse couverte, la commission un avis défavorable – L’architecte des Bâtiments de France émet un avis favorable de principe
    1970 (juillet) – Le directeur département de l’équipement refuse de délivrer le permis de construire pour la terrasse couverte
    1970 (août) – Le maire délivre à la S.à.r.l. Le Rohan le permis de construire pour le guichet
    1971 (août) – Le permis est périmé sans que les travaux aient été commencés
  • 1975 – La Brasserie du Pêcheur dépose une demande pour renouveler l’autorisation pour quatre soupiraux – Le maire transmet avec avis favorable l’affaire à l’ingénieur des Ponts-et-Chaussées qui accorde l’autorisation
  • 1976 – Le préfet demande une enquête avant d’autoriser Charles Facchini (demeurant 9, rue de Bœrsch à Strasbourg) à exploiter le débit de boissons de quatrième catégorie Le Rohan – Les locaux comprennent une salle de restaurant au rez-de-chaussée (65 m²) une galerie annexe au premier étage (50 m²), des cabinets d’aisance au sous-sol – La préfet autorise la Société d’exploitation Lucaro, représentée par son gérant Charles Facchini, né en 1948, à exploiter le débit de boissons Le Rohan.
  • 1976 – Le Comptoir Kling informe la Police du Bâtiment qu’il a retiré l’enseigne
  • 1972 – Le maire demande à la Brasserie du Pêcheur de faire ravaler la façade. La Brasserie reporte en 1975 les travaux pour raisons financières
    1976 – L’entrepreneur de peinture Gérard Bœhli demande l’autorisation d’occuper la voie publique – Autorisation
  • 1977 – Le directeur adjoint Lang écrit à l’adjoint Baillard que le propriétaire souhaite installer en saillie sur l’alignement légal un guichet pour vendre des sandwichs. Le service du permis de construire applique depuis un an le principe de ne plus tolérer d’empiétement. – Demande par l’architecte Jacqueline Arbogast (9, quai des Pêcheurs)
  • 1977 – La Brasserie du Pêcheur demande l’autorisation de poser une enseigne (remplacer Pêcheur par Fischer) – Même demande par la société Publi-Est – Liste des enseignes à transformer (quinze débits)
  • 1979 – Le préfet demande une enquête avant d’autoriser Jean-Paul Knauer (demeurant 26, rue Kuhn, né en 1931) à exploiter le débit de boissons de quatrième catégorie Le Rohan en qualité de gérant de la s.à.r.l. en formation Knabo – La Division II émet un avis favorable sous condition – Le préfet accorde l’autorisation. – La Police du Bâtiment constate que les prescriptions n’ont pas été observées – L’architecte Jacqueline Arbogast déclare que la Brasserie du Pêcheur fera les travaux sous quinzaine (février 1980) – Seuls les travaux à la chaufferie ont été exécutés (juin 1980)
  • 1980 (mars) – L’architecte des Bâtiments de France Jacques Ernest refuse au café Le Rohan l’autorisation de remplacer les anciennes enseignes par de nouvelles qui porteraient atteinte au site.

Autres dossiers
802 W 8 – 4, rue des Grandes Arcades, volume 3 (transformation du restaurant), 1981-1982
802 W 9 – volume 4 (la Brioche Dorée), 1982-1992
939 W 356 – volume 5 (restaurant, commerces), 1991-1994
1308 W 1553 – 1999-2000
1573 W 137 – réfection de la toiture, 2003
1672 W 327 – ravalement après sinistre, 2005-2006


Relevé d’actes

La maison est inscrite au Livre des communaux (1587) au nom de la veuve du fondeur Gaspard Spenner. Fils du fondeur Pancrace Spenner, Gaspard Spenner épouse en 1563 Appolonie, fille du tailleur de pierres Pierre Keffer.

Mariage, Saint-Pierre-le-Vieux (luth. f° 97v)
1563. Caspar Spenner von Straßburg, Pancratius Speners des Kantengiesers seliger Son, vnd J. Apolonia Kefferin, Peter Keffers des Steinmetzers selig. Tochter den 20. Aprilis, zum hirsch (i 110)

Gaspard Spenner est nommé secrétaire à l’Accise en 1577. Son fils Melchior est assassiné à Fribourg en 1599.
1575, Protocole des Quinze (2 R 5) Caspar Späner. Visierer, Ungelter 110.
1576, Protocole des Quinze (2 R 6) Caspar Späner Ungelter. 101. 114.
1577, Conseillers et XXI (1 R 47) Caspar Spehner Ungellter. 310. 377.
1577, Protocole des Quinze (2 R 7) Caspar Späner. (Schreyber am Ungelt angenommen) 88. 97. 128. 137.
1578, Conseillers et XXI (1 R 51) Caspar Spenner, Schmachschrift. 429.
1599, Conseillers et XXI (1 R 78) Caspar Speners wittib Apolonia vmb fürschrifft wegen Ires sohns Melchior entleibung (auf der Beckenstub zu Freyburg). 421.

Appolonie Keffer veuve de Gaspard Spener loue une partie de la maison au farinier Ulric Schenck

1592 (vts [x Januarÿ]), Chancellerie, vol. 281 (Registranda Kügler) f° 13-v
(Inchoat fo: 9) Erschienen Ulrich Schenck Melman alhie
Hatt Inn gegensein Apploniæ Käfferin wÿland Caspar Speners Hind.laß. wittib mit beÿstandt vnd bewilligung Hn Andræ Pfützers offnen Notarÿ, Ires geschwornen vogts bekant vnd offentlich verÿehen
d. er Ime vnnd seinen erben dreÿ Jar lang die nechst nach einand. volg.end vnd vff dem Heÿlig. Wÿhenacht tag verschünen angefangen, vonn bemelter Applonÿ
derselben Stub, Kammer, Kuchen, Kellerlein vnd den Halbentheil von der Kornschütten, sampt dem gad. Alles Inn einer behußung Am Barfüeßer blatz, neben der behußung Zum Krebs genant & geleg. welch. vberig. theil gedachter behußung, bemelter Applong Inhatt vnd bewont, Entlehnet für vnd vmb ein Järlich. Zinß Namblich xiiij lib d Straßburg

Appolonie Keffer constitue une rente de deux livres 10 sols sur sa maison au profit des enfants du receveur Jean Hessler et d’Agnès Hatt. La maison est hypothéquée au profit des six enfants d’Appolonie Keffer. En marge, quittance remise en 1636 à Nicolas Weldt, propriétaire de la maison.

1597 (2. Febr.), Chancellerie, vol. 310-II (Imbreviaturæ Contractuum) f° 15-v
Zinßbrieue Herrn Johan Heßlers Kinder deren Vogt Philip Hatt vber 2 liv 10 ß d Zins
(Extendirt in Lib. Contractuum de hoc Anno fol. 132.) Erschienen Appolonia Kefferin weiland Caspar Speners selig. wittib mit beÿstandt herrn Andres Pfitzer Ihres geordnet und geschworenen Vogts vnd
Bekhant Inn gegensein Herrn Johann Heßlers deß Schaffners Im Spittal bebkahnt, das sie Apolonia sein Heßlers mit weiland Fr. Agnes Hattin s. erzielt. Kindern deren vogt Philipp Hatt Ferber Zum Roraffen, benantlich Hansen, Hans Jörg vnd Agnes freÿ verkaufft vnd zu gelt geben Jedes Jars
Zweÿ pfund Zehen schilling pfenning Zins Jars vff Liechtmeß vnd A. 98. Zum erstenmal Von vnd ab der Verkheüfferin behausung, Hoffestatt & ein Eckh an Bahrfußerplatz, neben hanns Kolben deß Schumachers s. erben hind Inn ein Almend geßlin, dauon gehend vier schilling pfenning bodenzinß vff Martini Im Bruderhoff, zuuor Sechs gulden gelts w vff Weÿhenacht. H Paul Öhlingers s: erben mit 150. fl. w. ablösig, weiter Ist diße behausung auch verhafftet Iren sechs Kindern samptlich vmb 642 fl. 9 ß St. w. hauptguts It. 10 fl. w. Euchario Herbsten Zu Bußw. vff Johannis mit 200 fl. St. w. ablösig Sonst ledig vnd eig. vnd der kauff beschehen vmb 50. lb.
[in margine :] Erschienen der Ehrenuest Hochgelehrte Herr Johann Ulrich Fridt Stattschreiber alhie alß Welchen daß hierin vermelte Capital Zustendig, hatt in gegensein Lorentz Rosers, burgers und Kieffers alhier als geordnet und geschworenen Vogts Niclauß Weldten geweßenen Würths Zum Weinstockh alhie nachgelaßener Kinder alß welchen dißes hierin vermeldte vnderpfand Zustendig gewesen (…) Act. den 14. Novembris Anno & 1636.

Appolonie Keffer hypothèque la maison au profit du fondeur Jonas Isenheim

1598 (xvj Februarÿ), Chancellerie, vol. 314 (Registranda Kügler) f° 62
Erschienen Applong Kefferin wÿland Caspar Spener des kannengiesser selig wittwe hatt sich mit beÿstand Andres pfützers offnen Notarÿ Ires geschwornen Vogts auch hans Adolph Spener goldschmidt Ires Suns verschrib.
gegen h. Jonæ Ißenheymen Kannengießern Jahres 4 lb d loßig mit Lxx lb d
dafür Vnderpfand sein soll huß v hoffestatt mit allen and. Ir gebeu & einsyt Ein eck gegen der Barfüßer blatz and. seyt neb. hanß Kollen den Schuhmacher selig erb. stoßt hind. vff ein Allmend gaß, dauon gnd iiij ß d en thumbherrn hoherstifft S. Mehr vj g. loßig mit j C L g Lorentz Schauwman Stattgerichtschreyber, It. xxv g gls loßig m. vi C gelts SW bmlt. Applong d verkäufer. v. Caspar Spener selig Kindern auch h herrn Jerg Kirchoffer deßelb vogt, Item x gld gelts loßig mit ij C SW Eüchario heussen Schaffner Zu Bußweyler, It. ij lb x ß d glts loßig m L lb d Johann heßler Schaffner Im Spittal, It. ij lb d glts mit xL lb d abzuloßen Rychert Muller Buchfürer V. sind auch noch verhafftet für ij C g SW den herrn des Clynen Raths v wegen entschlagen Erbschafft Caspar Speners Ires Suns, Sunst für ledig eÿg

Appolonie Keffer hypothèque la maison au profit du revendeur Jean Kauffmann. En marge, quittance remise en 1607 à Georges Spener, fils de la débitrice.

1598 (xxvij Februarÿ), Chancellerie, vol. 314 (Registranda Kügler) f° 72-v
(Inchoat. fo: 98.) Erschienen Appolong Käferin, Wÿland Caspar Speners des Kannengießers seligen wittwe Hatt mit beÿstandt vnd bewilligung Herrn Andrea Pfützers Notarÿ ihres geschwornen vogts
In gegensein Hannß Khoufmans Krempens vnd burgers alhie – schuldig seÿ 30 pfund pfenning
dafür Vnd.pfand sein soll huß vnd hoffestatt mit allen and. Iren gebeüwen, einseit ein eck geg. Barfüeßer blatz, and.seit neben Hanns Kalben des Schuhmachers seligen erben stoßend hinden vff ein Allmend gaß, Dauon gondt vier schilling bodenzinß dem Thumbherren hoher stifft Straßburg, Mehr vj guldin gelts, lößig mit j C L gld Lorentz Schauwman Stattgericht schreÿber, Item xxx gld gelts losig mit vj d gls St. Werung bemelter Applong d. Schuldbekennerin vnd Caspars Speners selig. Kind., Ouch h Jerg Kirchhoffern d.selben vogt, Item x gld gelds lößig mit ij C gld St. werung Euchario Herpßen Schafnern Zu Bußwÿler, Item ij x ß d gelts, lößig mit 50 pfund pfenning Johann Heßlern Schaffners Im Spittel, Item ij lb d gelts, mit xl lb d abzulößen, Gÿthard Müllers, Buchfürern, Vnd sindt auch noch v.haft für ij X fl St Werung den herren des cleÿnen raths von wey* endtschlagenen erbschaft Caspar Speners Ires Suns, sunstt ledig eÿgen Wie man sagt
[in margine :] Erschienen hannß Khouffman Hatt Inn gegensein Jörg Spenners obbenanter Apolonien Käferin Sohn (…) Quittiert, Actum den 16. April: 1607.

Appolonie Keffer loue une boutique et une cave au mesureur de vin Thiébaut Hirsch

1598 (xxviij Octobris), Chancellerie, vol. 314 (Registranda Kügler) f° 277-v
(Inchoat. fo: 352.) Erschienen Diebolt Hirsch. der Wynmesser
hatt Inn gegensein Appolonien wÿland Caspar Spenern des Kannengiessers seligen witwe Mit beÿstand Andres pfutzers offnen Notarÿ Ires geschwornen vogts frey guttwillig bekhant vnd offentlich verÿehen
das er Ime vnnd seinen erben Ein Jar lang vff Sannt Martins tag Khunfftig abstehen vonn bemelter Appolonien derselben Keller vnder Irer behußug So ein eck ane dem Barfüßer blatz neben der Behußung Zum Krebß & gelegen vnd dann dem Eck gaden oberhalben dem Keller mit nachvolgenden beding Enthlene für ein Jährlichen Zinß Namlich Zwölff pfundt pfenning Straßburger

Nouveau bail entre les mêmes : cave, deuxième boutique, un poêle et deux chambres

1599 (vts [6. tag Augusti]), Chancellerie, vol. 323 (Registranda Kugler) f° 213
(Inchoat fo: 274.) Erschienen Diebolt Hirsch Wÿnschenck burger alhie
Hat in gegensein Frawen Appolonien Käferin, Wÿland Caspar Speners seligen Wittwe mit beÿstand herrn Andreæ Pfützers offnen Notarÿ Ires geschwornen vogts, bekhant vnd offentlich verÿehen
das er Ime vnd seinen erben Zweÿ Jar lang die nechsten nach einander volgendt, vff Sanct Martins tag nechstkünfftig anfahen sollen, von gedachter Frauwen Appolonien derselben Keller vnder Irer Behaußung, So ein eck ane dem Barfüßer blatz neben der Behaußung Zum Krebs gelegen vnd dann die vorder Eckstuben mit sampt Zwoen Kammern Inn dem dritten Gaden endtlehnet für vnd vmb ein jährlichen Zins Namblich 12 pfund pf. Straßburger

Appolonie Keffer et ses deux fils Adolphe et Georges Spener hypothèquent la maison au profit du fils du tailleur de pierres André Volck.

1601 (xxi Maÿ), Chancellerie, vol. 333 (Registranda Kügler) (scheda ad [225])
Erschienen Fr. Appolonia Wÿland Caspar Speners kannengiessers selig witwe hatt Mit beÿstand u bewilligung Andres Pfützers offenen Notarÿ Ires geschwornen Vogts, Ouch hanns Adolff vnd Georg Irer Söhn
In gegensein herrn Michel Mebharts beysitzer der hrn des groß. Rhats alls geschw. vogts hanns Jacob Wyland Andres Volck Steinmetzen selig. Zu Zinß ij lb d gelts lösig mit xl lb
dafür vnd.pfd. sein soll huß v hoffestatt mit all Iren gebeu geleg. Inn der S S vff d Barfüsser blatz Sind vff einer seyt ein eck anderseyt neben einer Behußung Zum Krebs genant stoßend hinden vff ein Almend geßlin, Welche verhafftet auch ungeworlich vff 700 guldin bemlt. Appolonien Kinder, So dann Sechs guld. ged. losung m 150 guld. H Lorentz Schouwman Statt ge.chts schreÿber So dann 10 guldin gls loßig mit ij X g SW Eucharius N Kuchin schaffner Zu Bußweÿler Item ij lb x d loßig m L lb d Johann Heßler Schaffner Im Spittel So dann vngevorlich vff 50 pfund pfenning Reychard Muller Buchhandlers sunst ledig eÿg.

Appolonie Keffer et ses deux fils Adolphe Spener, orfèvre, et Balthasar, soldat vendent à leur fils et frère respectif Georges Spener, débitant de vin, la maison dite zum Reichenwein

1607 (xiij Aprilis), Chancellerie, vol. 373 (Registranda Kügler) f° 106
Erschienen Fr. Appolonia Käferin Wÿland Caspar Speners kannengiessers selig witwe hatt für sich Mit beÿstand h. Andres Pfützers offenen Notarÿ Ires geschwornen vogts, Auch hanns Adolff Speners goldschmidts V Balthazar Speners Soldaten Irer beÿd. Sohn Verkaufft
Georg Spenern wynschenck Irem led. Sohn
huß v hoffestatt genannt Zum Rycheweÿn geleg. Inn der S S hie Innwendig dem Pfenningthurn einsyt ein eck gegen dem Barfusser blatz andersyt der Behußung zum Krebs, genant Antoni Röst pfister Zum Jung S. peter Zuständig stoßend hinden vff d. Benngaß davon ged. vnversch. der Khauff vber sich beschwerd für 67 pfund pfenning
V Ist hier. bered das die Kheüfferin neb. Iren Sohn all für sich die verf.ung In obgeschrieb. behausung sonderlich der die Kammer neben die Stuben Zugebrauchen (…)
Hiebeÿ geweß Hans Stich des Kheuffers hieher v h. Jerg Leÿmner offen Notarius
xiij Aprilis
(der khauff für ledig eÿg. vmb 777 lb 15 ß 6 d beschwerd 706. 15 ß 6d)
Scheda. Verzeichnuß der Beschwerden so auff der Spänerischen Behausung diser Zeitt stehen, vnd Georg Spänn. Wann er sie Khauffen will vber sich nehmen muß

Georges Spener épouse en 1604 Ursule, fille de l’armurier Jean Stich
Mariage, Saint-Pierre-le-Jeune (luth. f° 175 n° 49)
1604. Doica 10. post Trin. 12. Aug. Jerg Spener d. weinschenck Caspar speners des Kantengiessers hind.lassener Sohn, Ursula Hans stich. des blatners Tochter. eingesegnet Mont. d. 20. Augusti Zu Eckboltzheim (i 92 – pas de reg. à Eckb.)

Georges Spener hypothèque la maison dite Zum Reichenwein au profit du tonnelier Ulric Bosch

1609 (21. Januarÿ), Chancellerie, vol. 380 (Imbreviaturæ Contractuum) f° 1
Schuldbekantnus Ulrich Boschen deß Kuffers pro 200. lb
Erschienen Georg Späner der Weinschanck vnd
hatt in gegenwertigkeit Ulrich Boschen deß Khüffers – schuldig seÿe 200 Pfund pfenning
Zum vnderpfand ernänt und Ingesetzt Hauß vnd Hoffstatt mit allen andern Iren gebeuwen, begriffen, weÿth vnd Zugehördten, gelegen In der Statt Straßburg genant Zum Reichenwein, so ein Eckhauß ane dem Barenfüsser Blatz, vnd anderseit Anthoni Rösch dem Pfister Zum Jungen St. Peter, dauon gehnd 6. gulden gelts ablößig mit Lxx viij lb. x ß d herr Laurentz Schauman Stattgericht schreiber, Item 4 ß d bodenzinß In Bruderhoff alhie, Item Zehen gulden St: Wehrung ablösig mit 105 pfund Einem schaffner Zu Bußweÿler, Mehr vij fl vff Simon Judæ vnd 2 fl. vff Georgÿ Herr D Theophile Gollen, widerkheüffig mit 73 lb 10 ß d, Mehr j Lib. 5 ß mit 50 gulden abzulösen Reichardt Müllern, ferner 2 lb 10 ß dem Mehrern Spittal alhie ablösig mit 50 pfund pfenning, Item 2 lb d mit 40 lib abzulösen Hanns Flachen dem Steinmetzen vögtlich. weiß, Item so Ist auch dise Behausung noch verhafftet In Müntz vmb 25. lib. vnd den Wexel für 15 lib. d, Wie auch Letstlichen vmb 100 pfund pfenning Herr Christoph Scheurern sonst. ledig vnd eÿgen Wie man sagt

Georges Spener et Ursule Stech hypothèquent la maison dite Zum Reichenwein au profit de leur mère et belle-mère respective Appolonie Keffer pour éteindre des dettes garanties sur la maison

1611 (ut spâ [Andern tag August]), Chancellerie, vol. 395 (Registranda Kügler) f° 272-v
Erschienen Georg Spener wÿnschenck vnd Fr. Ursula Stechin sein eheliche gemahell
haben in gegensein Frauwen Appolonien Käferin Irer lieb Mutter V Schwyger Auch herrn Andres pfützer Schaffners Ires geschw. vogts (…) das sie vmb des willen dann sein die Zinß V beschwerden dißer nachgeschb. behusung hafft V Vnderpfand frey quitt ledig v loß würde
huß V hoffestatt mit all Ir gebeu geleg. Inn d. SS hie Innwendig dem Pfenningthurn genannt Zum Rÿchenwÿn vff einseyt ein Eck gegen dem Barfüßer blatz and.syt einer behaußung Zum Krebß genant Anthoni Roßen pfistern Zum Jung. S Peter zustendig stosst hind. vff die Brenngaß, Davon gnd Sechs guld. glts vff d. heÿlig. wÿhenacht tag abloßig mit j C L guld. SW h. Lorentz Schawman, Item iiij ß d bodenzinß d. Thumbherrn hoher stifft S Inn haupttgutt * gerechnet für 8 pfund pfenning lösig m ij C gl verhafftet für Lxxxx lb xj ß iij d hauptgutt v versess. Zinß Johannis Baptistæ nechstuerschÿnen mit gebürend. Zinß Zubezalen Euchario herpfen Schaffnern Zu Buchßweyler Item Sieben guld glt vff Simonis V Jude v Jeorgÿ herrn Theophili Gollen der Rechten doctor selig witwe wederkheuffug mit Lcciij lb L ß d, Ittem j lb xv ß vff d heÿlig. weÿhenachten abloßig m xxxv lb d Reÿchart Müllern (…)

Appolonie Keffer et son fils Georges Spener vendent la maison au tonnelier Raoul Schott, fils du tanneur Jean Schott, assisté de son beau-père Gaspard Griesbach

1612 (xxvj Octobris), Chancellerie, vol. 400 (Registranda Kügler) f° 287-v
Erschienen die Edle Fr. Appolonia Keferin wÿland Caspar Speners Kannengießer seligen witwe hatt mit beÿstand v bewilligung herrn Andres Pfützer offnen Notarÿ Ires geschwornen vogt vnd Georg Speners Ires Sohns (verkaufft)
Rudolff Schotten Khüffern wyld hans Schott weÿßgerbers seligen Sohn vnd & mit beÿstand v bewilligung herrn Jacob von Friedelßh. gartners seines geschwornen vogts auch herrn Caspar Grießbachs dißer Zÿt beÿsitzer der herren des großen Rath des Kheüffers Schweher v Vatter, Mehr M hannß Brumbart Rohtherber, So dann Philipp Engelhart harpffenschlagers
huß V hoffestatt mit all andern Iren gebeud genant Zum Rÿchenwÿn Inn d.S S. einsyt ein eck gegen dem Barfüßer blatz anderÿt einer Behausung Zue Krebs. genant Antonig Roßer pfistern Zum Jung. S Peter Zustendig stoßend hinden vff der Brenngaß, davon gnd vier schilling gelts Boden Zinß vff Martini den thumbherrn hoher stifft S Evangelischen stondt hieher für viij lb, Mehr 6 guldin glt SW vff d. heÿlig. wÿhnacht. fall. ablosig mit j C l lb bemelt. Wg. Lorentz Schawmann Stattgericht schreÿber, Dauon (…) Mehr volljährig für Lxxxx lb d hauptsumm Vff Weÿhenachten necht khunfftig Zubezalen, Euchario herpffen Schaffnern Zu Bußwyl […]
[in margine :] der Khauff für ledig eÿgen 2500. zu xv batzen – vide 611. d) 26.

Le tonnelier Raoul Schott épouse en 1613 Elisabeth, fille de Gaspard Griesbach
Proclamation, Saint-Pierre-le-Vieux (luth. f° 132, n° 3)
1613. 9. Feb. Zu S. Thoma. Rudolph Schott der Kieffer, J. Elisabeth Caspar griesbachs gerbers Tocht. (i 134)
Mariage, Saint-Thomas (luth. f° 246-v n° 1033)
Sonntag den 31. Januarÿ. Rudolph Schott der Kieffer vndt J. Elisabett h. Caspar Griesbachs Alt Raths v.wandten eheliche tochter, Eingesegnet Zinstag den 9. Februarÿ (i 357)

Raoul Schott loue une partie de la maison au revendeur Abraham Hendlé

1613 (ut spâ [vierd. Januarÿ]), Chancellerie, vol. 407 (Registranda Kügler) f° 4-v
(Inchoat. fol: 3.) Erschienen Abraham Händle Gremp
hatt in gegensein Rudolff Schotten bekhenn das er Ime vnd seinen erben Zweÿ Jar lang die nechsten nach einander volgend
vnd vff dem Ersten Januarÿ verschÿnen angefangen vonn dem selben Inn seiner Behaußung Inn der S S gegen dem Barfüßer blatz ein eck ane Brenngaß & gelegen Entlene Ein Kammer gegen Jetzbemelter Brenngaßen Mehr ein Stub vornen neben der behaußung Zum Krebs, wyter vnden Im huß ein blatz zu einem grossen Kasten Zustellen, So dann ein Blatz vor der Huß thuren ane bitz ane der Eck gegen dem Barfüßer blatz vnd darzu ein cloac, kellerlin neben dem Krebs Für in Jerlichen zinß Nemlich 55 guldin

Raoul Schott hypothèque la maison dite zum Reichenwein au profit du fils de Christophe Schneider, pensionnaire à l’hôpital

1613 (ut spâ [xxvj. Novembris]), Chancellerie, vol. 407 (Registranda Kügler) f° 329
(Inchoat. fol: 329.) Erschienen Rudolff Schott der Wÿnschenck
hatt in gegensein Ludwig Schlehenacker alls geschwornen vogts hanßen, wÿland Stofflen Schnÿdern geweßenen Pfrüners Im Spittal seligen Sohnns – schuldig sein 50 pfund pfenning Straßburger
dafür Vnderpfand sein soll huß V hoffestatt mit all andern Iren gebeu genant Zum Rychewÿn geleg. Inn d. S S einseyts ein Eck gegen dem Barfüßer blatz andersyt Antoni Ruscht pfister Zum Jung. S Peter stoßend hinden Vff der Brenngaß, Dauon gendt 4 schilling Bodenzinß den Thumbherren hoher stiffts Evangelischen Standts, Mehr 6 guldin gelts Straßburger abloßig mit 150 gulden bemelter Werung Lorentz Schawman Stattgericht schreÿbern, Item 1 lb 1 ß d gds losig mit xxj lb d herrn Theophili gollen der Rechten doctor seligen Kinder, Item ij lb xi ß v d gld Widerkheuffig mit lij lb x ß d gelts vorgemelt herren doctor Gollen seligen Kinder, Wyther ij lb x ß d glds abloßig mit L lb d dem groß. Spittel, Item ij lb d gelts abloßig mit x l lb d wÿland Andres Volcken des Steinmetzen seligen Sohn
[in margine :] Erschienen Heinrich Engel der küeffer für sich selbsten, vnd Georg Dietrichs der Küeffer alß sein Engels dochter Susannæ Vogt haben in gegensein Lorentz Rosers des Küeffers Niclaus Welten hie obgedacht seel. Kindts Vogts (…) Actum d. 23. Decembris 1634

Raoul Schott hypothèque la maison dite zum Reichenwein au profit du tonnelier Jean Rosser.

1614 (6. August), Chancellerie, vol. 413 (Registranda Kügler) f° 190-v
(Inchoat. fo. 189.) Erschienen Rudolff Schott Wynschenck
hatt in gegensein des Ehrenhafften hannß Roßers der Stat Straßburg Kheffers – schuldig sein 550 guldin zu 15 batzen
Dafür Vnderpfand sein soll huß v hoffestatt mit allen andern Iren gebeüwen genannt Zum Rÿchenwyn & vide et perge 614. fol: 110 alls die beschwerden wie sie daselbst vermeldet, So dann wÿther 8 pfund Einen schilling loßig mit 151 pfund
[in margine :] Erschienen herr hannß Roser der Schuldgläubiger hatt in gegensein des Ersammen Niclaus Weldten dem Jetzmals die ver vnderpfande Behaußung zuständig (…) vff den xviij d tag Januarÿ A 615.

Raoul Schott hypothèque la maison dite zum Reichenwein au profit de sa sœur Catherine

1614 (xxx. Octobris), Chancellerie, vol. 413 (Registranda Kügler) f° 246
(Inchoat. fo. 260.) Erschienen Rudolff Schott burger alhier
hatt in gegensein herrn Jacob von Fridolßheim beÿsitzer der herren des großen Raths alter geschworner Vogt Jungfr. Catharinen Schöttin seiner schwester – schuldig seÿe 161 pfund pfenning Straßburger
dafür Vnderpfand sein solle huß v hoffestatt mit allen andern Ir gebeud uide supra in protho. fo: 100 dauon Meld.

Raoul Schott vend la maison dite zum Reichenwein au tonnelier Nicolas Weldt, assisté de son beau-père Melchior Silberrad, chef de travaux.

1614 (9. Novembris), Chancellerie, vol. 413 (Registranda Kügler) f° 250
Erschienen Rudolff Schott Khuffer hatt mit beÿstand herrn Jacob von Fridolßh. beÿsitzer der herrn des grossen Raths seines hieuor geweßenen aber Jetzmals Quittert geschwornen vogts verkaufft
dem Ehrenhafften Niclaus Welte Khuffer Mit beÿstand herrn hanns Melchior Silberradts des Eltern loners seinem liben schweher
huß v. hoffestatt mit all. Iren gebew. genant Zum Richen wÿn gelegen Inn d. S S vff einer seyt ein Eck gegen d. Barfüsser blatz, andersÿt einer Behaußung Zum Krebs genant Antheng Roßen pfister Zum Jung. S Peter zuständig stoßend hind. vff der Brenngaß, Dauon gend 4 schilling pfenning gelts bodenzinß vff Martin den thumbherren hohen stifft S Evangelischen stands hieher Zum hauptgutt für viij lb. Mehr vj guld glt vff d heÿlig. Wyhnacht tag loßig mit j C l h S W, Item j lb j ß vff St Georgen tag loßig mit xxj lb d S des hochgelert, Theophili Gollen der rcht doctor selig kinder, Item (…)
der Khauff vber diße beschwerd für iij C xvj lb xvii ß
[in margine :] ledig eÿgen für 1250. lb, Beschwerd. 933. lb, Pfundzoll 999 lb

Fils du farinier Balthasar Weldt, Nicolas Weldt épouse en 1611 Marie, fille du chef des travaux Melchior Silberrad : contrat de mariage, célébration
1611 (30.12.), Not. Strintz (Daniel, 58 Not 55) n° 410
(Eheberedung) Zuwißen daß ein ehelich heürath sich begebenn vnd Zugetrag. Zwüschen dem Ehrenhafften Niclauß Weldtenn, weÿland herrn Balthasar Welttenn geweßenen Meelmans vnd burgers Zu Straßburg seeligem sohne ane einem
Sodann der Ehren: v tugendreich. jungfr. Marien Silberädin deß ehrenvestenn v fürnehmen hern Johann Melchior Silberad Altten grosenn Rathsbewant. vnd * d Statt Straßburg Lohners geliebtenn dochter Am Anderntheil
Montags d. 30. Decembris 1611 (unterzeichnet) Ich Nicolaus Welt als hoch Zeitter bekenne wie vor stehet. Ich Hans wachenheim des hoch Zitters vogt, Ich hans melch. Silber Radt dem ölter bekenn wie ob Stätt

Mariage, Saint-Pierre-le-Jeune (luth. p. 244 n° 15)
Dominica 30. 16 Febru. Niclaus Welt, Balthasari Welten des mehlmans hind.lassener sohn, Maria Hans Melchior Silberrahts des Lonherrn Tochter, Eingesegnet Zinst. d. 25. Februarÿ (i 127)

1614 Conseillers et XXI (1 R 95) Niclaus Welt vmb fürschrifft. 50.

Le tonnelier et débitant de vin Nicolas Weldt emprunte 200 livres à la tribu des Charpentiers. Son beau-père Melchior Silberrad se porte garant.

1615 (xxiij. Januarÿ), Chancellerie, vol. 416 (Registranda Kügler) f° 19-v
(Inchoat. fo. 18.) Erschienen der Ersame Niclaus Weld d. Kieffer vnd wÿnschenck
hatt in gegensein des Erenuesten fürsichtig. Wÿßen Ehrenthafften herrn Friedrich Rÿhell beÿsitzer der herren Räth vnd ein vnd Zwantzig. dißer Zeit oberherr Einer Ersammen gesellschafft der Zimmerleuth Zunfft auch hanns obele der herren des grossen Raths beÿsitzer So dann Jacob Proch Zunfftmeÿster *em Ehrengemelten oberherren Scheffen vnd einer gantzen Gesellschafft bemelter Zimmerleuth Zunfftstuben vffrechten vnd redlichen schulden schuldig sein 200 pfund pfund
dessen Zu noch mehrer sicherheit ist erschynen herr hanns Melchior Silberrad der Statt loner des Schuldbekhenners dochtermann hatt sich für sich für sich und sein erben mit sampt dem hauptschuldner vnverscheidentlich dadur Zu Rechten Bürgen mit V selbst schuldner

Nicolas Weldt hypothèque la maison zum Reichenwein au profit de la tribu des Charpentiers

1615 (ut spâ [10. August.]), Chancellerie, vol. 416 (Registranda Kügler) f° 168-v
(Inchoat. fo. 195.) Erschienen M Niclaus Weldt der Wynschenck
hatt in gegensein vorgenannter herren hanns Obele beÿsitzer der herren des grossen Raths vnd Jacob Brechen Zunfftmeÿster auch Steffen Voltzen* Zimmermanns Inn nammen Einer Ersammen Gesellschafft der Zimmerleüth Zunfft – schuldig sein 25 pfund
dafür Vnderpfand sein soll die Eck behaußung mit deren hoffestatt auch allen and: Ir gebeuw genannt Zum Rÿchen wyn geleg. In der S S vff d. Barfüsser blatz einseit neben der Behußung Zum Krebs Antoni Roßen pfister Zum Jung S. Peter Zustendig andersÿt ein eck geg. d. Barfüßer blatz stosst hind. vff die Brenngaß, dauon gend iiij d bod. Zinß d. Schulherrn hoher Stifft Str, Mehr 6 gelt gl S W loßig mit 150 guld. derselb. wrg. h. Lorentz schawman Stattgericht Schreyber, It + Zwen gult g. S h. doctor Theophili gollen d. Recht doctor selig erb: loßig mit 40 guld S W. Item 5 g gls mit 100 guld. s w denselb. d*, Item v lb x ß loßig mit L lb d vf m Spittel, Item ij gl x gls m L lb d abzuloßen Ludwig Schlehenacker vogtlich wÿße, It. vj lb x ß gd Wiederkheuffig m L lb d hannß Roßern Statt Khüffer It viij lb 1 ß loßig m j C Lxj lb h Jacob von Fridelßh. vogtlich wÿß, So dann wyther verhafftet für Lxxxvij lb xv ß Rudolff Schott Sunst eyg.

L’aubergiste au Cep de vigne Jean Jost est cité devant les Quinze pour régler des taxes échues

1634, Protocole des Quinze (2 R 60)
Johann Jost würth Zum Weinstock. (wegen verfallnen Ungelts) 137. 201. 206. 243.

Compte que rend le tonnelier Laurent Roser de la tutelle des biens qui appartiennent aux trois enfants de feu Nicolas Weldt, aubergiste au Cep de vigne, et de Marie Silberrad
1639, Not. Strintz (Daniel, 58 Not 29)
Rechnung Mein Lorentz Roßers Küeffers vnndt Burgers alhie Zue Straßburg als geordneten vnndt geschwornenn Vogts, hannß Niclaußen, Hannß Balthasars vnndt hannß Melchiors, Alle dreÿen Geschwüsterden, Weÿland herrn Nicolaj Weldten geweßenen Gastgebers In der Herberg Zum Weinstockh, mit auch Weÿlandt Frauwen Mariæ Silberrädin seiner haußfrauwen ehelicher erzeugter Vbndt hinderlaßener Söhn, Innhaltendt vndt außweisendt, Alles daß Jenige, waß ich von dem 3.ten Junÿ Anno 1634., Als Ich Zue dieser Vogteÿ geschwohren, bitz den 30.ten Septembris Anno 1639. Innahmen meiner Vogts Persohnen Ingenommen, Dahingegen widerumb Außgeben vndt sonst in andere Weeg verrichtet vndt verhandelt habe

Le tuteur des enfants mineurs de Nicolas Weldt et leur frère Nicolas Weldt, aubergiste à Mulhouse, vendent l’auberge au Cep de vigne au boucher Jean Hammerer

1635 (15. 9.bris), Chambre des Contrats, vol. 472 (expéditions) f° 84
Wir ut spâ [Hanß Christoff von Traxdorff der M. &] erschienen ist vnser Burger Lorentz Roser der Küeffer, alß von vns geordneter Vogt weÿ: Niclaus Welten gewesenen Würths see: Zum Rebstock nachgelaßener Kindern und hanß Niclaus Welt Gastgeb Zum Treübel in Mühlhausen für sich selbsten und alß befehlhaber seiner geschwisterdten, haben vff vnser Zuuor den 14. diß ertheilt Decretum alienendi mit beÿstand Eberhard Zetzners und Philipps Jacob Reißeisens, beeder Alß Auß vnserem mitel hierzu insonderheit deputirt und verordnet, wie auch hanß Peter Gündels deß Notarÿ alß der Vogts Kinden nechsten v.wanthen (verkaufft)
vnserm Burger Hanß Hammerer dem Metzger
daß Würths hauß Zum Weinstock genannt, mit annen deßen gebäwen & gelegen in vnserer St. St. vnderhalb der Kürschner Zunfftstuben, ist einseit ein Eck gegen dem Barfüesser blatz, anderseit neben Jacob Plapperfussen dem Weißbecken Zum Krebß, hinden vff die Renngassen, alda es auch ein außgang hat, stoßend, dauon gehen Jahrß vff Martini Vier schilling d Bodenzinß den Capitularen hoher Stifft Straßburg, So ist diß hauß auch noch verhafftet vmb 50. Pfund d so Järlich vff Simonis et Judæ mit 2 lb 10 ß Lazaro Wohlfarten, Mehr umb 150 gld vnserer St. w. weÿ: D. Theophili Gollen see: Kindern mit 6 fl. Str. wehrung, Item vb XXI. lb erstbesagten Kindern, vff Georgÿ mit 1 lb 1 ß verzinßt und vff begeren erlegt werden müßen sonst freÿ, ledig, eÿgen, Vnd were diser Kauff, darinnen auch zweÿ Sechzig öhmige fässer die im Keller ligen begriffen vber die beschwerde so der Käuffer auf sich genommen, Zugangen vnd beschehen für vnd vmb 25 pfund

Fils du jardinier Thierry Hammerer, Jean Hammerer épouse en 1624 Marie, fille du brasseur David Kress
Mariage, Saint-Pierre-le-Jeune (luth. p. 41 n° 100)
1624. Dom: 26. Trinit. 21. Nouemb. Hans Hammerer der Metzger dietrich Hammerer des Garttners hinderlaßener Sohn, J: Maria Dauidt Kreßen des Biersieders hinderlaßene tochter. Eingesegnet Montag 29. Decemb. (i 22)

L’aubergiste Jean Hammerer se remarie en 1640 avec Barbe, fille du batteur d’or Barthelémy Kallhart : contrat de mariage tel qu’il est copié à l’inventaire, célébration
Eheberedungs Copeÿ – zwischen dem Ehrenhafften vnd Achtbahren Herrn Hannß Hammerern Gastgeb Zum weinstockh v. burgern alhie Zue Straßb. an Einem, vnd dann der Ehren v: tugendreichen Jungfrauwen Barbarä Kalhardin weÿlandt herrn Bartholomæi Kalhardts geweßenen goldtschlagers vnd burgers Zue Straßburg seelig. Eheligen erzeügten dochtern anderntheils (…) Donnerstags den 16. Aprilis Anno 1640. Caspar Medler Nots.

Mariage, Saint-Pierre-le-Jeune (luth. f° 9-v)
1640. Dominic. Misericordias 19. Aprilis. Hannß Hammer der Würth Zum Weinstock vnd Jungfr. Barbara Bartholomæi Kallhart deß burgers vnnd goldschlagers n. Wittib tochter. Eingesegnet d. 27. Aprilis (i 13)

L’inventaire après la mort de Jean Hammerer est dressé en janvier 1644. Il laisse deux enfants de son premier mariage et deux du deuxième. La succession comprend plusieurs maisons. La masse propre à la veuve est de 617 livres, celle des héritiers est deficitaire de 29 livres. L’actif de la communauté s’élève à 723 livres et le passif à 539 livres.

1644 (31.1.), Not. Ursinus (Jérémie, 60 Not 13) n° 3*
Inventarium vndt beschreibung Aller vndt Jeder Ligender vndt vahrender, Verändert vndt unveränderter haab nahrung vndt Güethere, so weÿl. der Ehrenhafft vndt Achtbahre herr Hannß Hammerer, geweßener würth undt Gasthaltter der Herberg Zum Weinstockh, burger alhier Zu Straßburg nunmehr seel. nach seinem aus dießem tödtlichem Hinscheÿden hinder Ihme verlaßen, welche vff freundliches ansuchen erfordern und begehren deß Erenuest Fürgeacht vndt weÿßen herrn Johann Reinhardt Kressen E. Ers. Großen Raths alhie beÿsitzers Alß Annæ Margarethæ vndt Elisabethæ des ietz abgeleibten seel. mit auch weÿl. der Ehren: vndt viel tugendtsammen fraun Mariæ Kressin seiner ersten hfren sel. ehelich erzielter hinderlaßener beede döchterlin geschwornen vogts, wie auch deß Ehrenhafften Frantz Graffen weÿßbecken burgers alhie als Johann Jacobs vndt Mariæ Dorotheæ ebenmäßig deß ietz abgeleibten seel. mit der Ehren vnd tugendreichen fraw Barbaræ Kalhardtin seiner ietz hind.laßener Wittwen vnd. erzielter Kind. geschwornen Curatoris vndt also aller 4. deß ietz abgeleibten H. seel: ab intestato hind.laßne nechster Erben, durch erstehrenermeltte sein hinderlaßene wittib mit Rath hülff vnd beÿstandt deß Edlen Ehrenvest vnd hochgelehrten herrn Johann Philipp Schranckenmüllers der Rechten Doctoris vnd Advocaten burgers alhier zu Straßburg Ihres geordneten erbietten vndt H Curatoris vnd vogts geeügt vndt gezeigt – So beschehen vndt angefangen auff Mittwoch den 31.t Januarÿ Anno 1644.

Protestatio vnd Erclärungen dießer verlaßenschafft
Publicatio vnd Resolutio auff des vorgeschriebenen Codicill
Eheberedungs Copeÿ (…) Donnerstags den 16. Aprilis Anno 1640. Caspar Medler Nots.
Copia Codicilli – 1643. (…) vff Montags den 27. Monatstag persönlich erschienen der Ehrenhafft vnd Achtbare Herr Hannß Hammerer Gastgeb Zum Weinstockh vnd burger alhie Zue Straßburg Zwahr weg. hingestandener schwerer vnd gefährlicher leibs kranckheit vff eine bett ligendt, aber von d. gnaden Gottes noch guten verstandts vnd sinnen (…) Caspar Medler Imperiali Auctoritate Nots. ac civis Argebt. mppria.
Inn einer alhie in der Statt Straßburg auff dem Barfüeßer platz gelegener Eck behaußung In d. Gastherberg Zum Weinstock genandt, so hernach beschrieben vndt in dieße Erbschafft gehörig Ist befund. word. wie volgt
Auff dem obern Kasten, Auff dem Andern Kasten, Inn d. Cammer A, Inn d. Cammer B, Inn d. Cammer C, Inn d. Cammer D, Auff dem Gang, Inn d. Cammer E, Inn d. Cammer F, Inn d. Cammer G, Inn d. Cammer H, Vor diesen Cammern, Im obern Kleinen stübl. In dieseser stubkammer, Inn d. Cammer im Obern haußören, Inn d. vnd.n Stub. so die Gaststub, Im vndern haußöhren, Im Keller, Und. Im Stall
Eÿgenthumb vndt Besserung ane Häußern. (E.) Item daß Würths Hauß Zum Weinstockh genandt, mit allen seinen gebeuwen begriffenn weithen, Zugehörden, Rechten vndt gerechtigkeiten gelegen in d. Statt Straßburg vnd.halb d: Kürschner Zunfftstuben 1s. ein Eckh gegen dem Barfüß. platz, 2.s. neben Jacob Plappenfuß dem weÿßbecken Zum Krebs, hinden vff die Renngaß stoßend, Dauon gehen Jahrs vff Martini 4 ß d bodenzinß den H. Capitularn hoher Stifft Straßb. Mehr 2. lb 12 ß d 6 d Jährlichen vff Simonis et Judæ wid. lößig in hauptgut mit 52 lb 10 ß d H. Lazari Wohlfarths geweßenen Schaffners Zur Rothen Kirchen seel. hinderlaßener Wittib vnd Erben, Weithers 5 fl Str. w. weÿl. Laurentÿ Schauwmanns deß Goldschmidts burgers alhie seel. Erben vogt Laurentio Treutheln dem Not° Jahrs vff weÿhenachten ablößig in hauptgut mit 150 fl. ermeltter wehrung, Item j lb j ß d geltts H Theophilo Gollen Jahrs auff Georgÿ seindt in hauptgut abzulößen mit 21. lb d. Undt dann ist sie noch v.hafft vmb 5540 lb d weÿl. Nicolai Waltten seel. Erben daran man alle Jahr 50. lb d sampt dem Zinß Zuerleg. schuldig, sonsten freÿ leedig vndt eÿgen vnd vber solche beschwerden angeschlagen für vndt vmb 489 lb 15 ß d. Darüber sagt j. t. P. Kauffbr. mit d. St. Straßb. anhangendem Contract Insigel datirt den 15. 9.bris A° 1635. notirt mit N° 1.
(E.) Item j hauß vnd hoffstatt hind. d. Kürschnerstuben (…)
(W.) Item der halbe theil ane einem vordern undt hinderhauß vff dem Barfüeßerplatz (…)
Volgt nun die Beschreibung der Verlaßenschafft ane Ihro selbsten
Der Fraw Wittwen unveränderte Nahrung, Sa. haußraths 65, Sa. Silbers vnd Geschmeids 37, Sa. leerer Vaß 2, Sa. Guldener Ring 20, Sa. Baarschafft 7, Sa. Eÿgenthumbs vnd Beßerung ane einer Behaußung 125, Sa. Ergäntzung 360, Summa summarum 617 lb
Hernach würdt der Erben unverändert Gutt beschrieben, Sa. Haußraths 272, Sa. Leerer Vaß 11, Sa. Silber geschirr und Geschmeids 87, Sa. Guldener Ring 13, Sa. heußer 416, Sa. Schulden 7, Summa summarum 809 – Schulden 839, übertreffen also 29 lb
Volgt nun auch die Beschreibung der Theilbahren verlaßenschafft, Sa. haußraths 69, Sa. Früchten auff den Casten 21, Sa. Weins 91, Sa. Silber geschirr und Geschmeids 8, Sa. Guldenen Ring 3, Sa. Baarschafft 409, Sa. Schulden 119, Summa summarum 723 lb – Schulden 539, Nach deren Abzug 183 lb
Conclusio finalis Inventarÿ 1610 lb
Wÿdem So der abgeleibte seel. biß in sein absterben genossen. Item Es hatt der abgeleibte seel. weÿl. frn Mariæ Kressin v.mög auffgerechneten Testaments seiner ersten haußfrn seel. verheurathet mit (…)

Les héritiers louent l’auberge au Cep de vigne à la veuve

1644 (14.2.), Not. Ursinus (Jérémie, 60 Not 13) Joint du n° 3 du 31 janv. 1644
Lüfferung und Außweÿßung Frawen Barbaræ Kallhardtin weÿland herrn Hannß Hammerers geweßenen Gastgebers der Herberg Zum Rebstock – So beschehen auff Mittwoch Ipsa Valentins den 14.ten Februarÿ A° 1644
Lehnung der Gastherberg Zum Weinstockh vndt anderen Behaußung hind. der Kürschner Zunfftstuben
Ferners Zuwissen, daß auch auff eingangs gemeltes datum Zwischen Herrn Hannß Hammerers geweßenen Würths vndt Gasthaltters der Herberg Zum Weinstockh, burgers Zu Straßburg seel. in erster vndt anderer Ehe ehelich erzielter Kinder geschwohrnen herren Vögten, benantlichen herrn Johann Reinhardt Kressen, der Zeitt E. Ers. Großen Raths alhie beÿsitzern vndt Frantz Graffen weÿßbecken burgers alhie, ane einem
So dann Ehrengedachts H. Hannß Hammerers seel. hind.laßene Wittwen fraw Barbaræ Kalhardtin mit beÿstand Herrn Johann Philipp Schranckenmüllern, d. Rechten Doctoris vnd Advocaten vndt burgers alhier zu Straßburg, Ihres geschwornen herrn Tutoris vnd vogts, am andern theil ein freundliche Lehnung obangedeüter Gastherberg Zum Weinstockh wie auch der and. hind. der Kürschner Zunfftstuben gelegen vnd in mehrgedachts H hannß Hammerers seel. V.laßenschafft gehöriger Behaußung vff ein Jahr lang abgeredt, vndt Verglichen worden wie Barbarerdtlucgen hernach volgt
Nemblichen So verleÿhen ehrengedacht hern vögt Johann Reinhardt Kress vndt Frantz Graff, im namen vndt von wegen obernanndter Ihrer Vogt p.sohnen berührter frawen Barbaræ Kalhardtin
obbemelt die Gestherberg zum Weinstock allhie in d. Statt Straßburg auff dem Barfüßerplatz, wie auch die Andere hinder d. Kürschner Zunfftstuben gelegen vndt in obgedachts H. Hannß Hammerers seel. V.laßenschafft gehörige Behaußung sampt allen dero Zugehörd. rechten vndt gerechtigkeiten vff ein Jahr lang (…) welche Lehnung vff Mariæ v.kündung dießes xvj C vier vndt viertzigsten Jahrs angehen vnd vff solche Zeitt deß künftigen xvj C fünff vnd. viertzigsten Jahrs sich wid. end. solle – um 112 Gulden -Mittwochß Ipsa Valentini den 14. Febr A° 1644

Les tuteurs des enfants Hammerer louent l’auberge au Cep de vigne à Thomas Schwebel, jusqu’alors aubergiste au Lion rouge

1645 (19. febr.), Chambre des Contrats, vol. 494 f° 117
Erschienen d. Ehrenvest- fürsichtig- vndt Weÿse H Johann Rheinhardt Kreß Ein und Zwantziger dißer statt und Frantz Graff der Weißbeckh, beede alß Vögt Weÿl. H hannß Hammerers Würthß Zum Weinstockh seel. in erster und anderer Ehe erziehlter Kind.
haben in gegensein Thoman Schwebelß bißhero geweßenen Würthß Zum rothen Löwen, mit beÿstand H Johann Kolben E.E. Kleinen Rhats Beÿsitzers
verlüh. haben gemeldt. Schwebel, Erstlich die Gastherberg Zum Weinstockh, am Parfüßer Platz geleg. und dann die Behaußung hin. der Kürschner Stuben geleg. beeder in sein Hammerers Verlassenschafft gehörig, mit allen deren Gebäwen, vff treÿ Jahr lang von nechts künfftig Mariæ Verkündigung angerechnet, umb einen iährlich. Zinnß nemlich 65. lib
[in margine :] (…) diße Verschreibung Zu cassiren befahlen Verspr. Act. den 14. 8.br a° 1648

La veuve Barbe Kallhard se remarie en 1645 avec le sellier Philippe Jacques Zittelin : contrat de mariage, célébration
1645 (6.8.), Not. Boeller (Jean Jacques, 3 Not 14), Protocollum (n° 1425) f° 64
Eheberedung zwischen Herrn Philipp Jacob Zittelin dem Sattler vnd Fr. Barbara Kallhardin vffgericht
zwüschen dem Ehrsamen und bescheidenen Philipp Jacob Zittelin, Sattler, vnd burgern Zu Straßburg Ane Einem
So dann der Ehren: vnd tugendsamen Frawen Barbaræ Kallhardin, weÿl. deß Ehrenhafften vnd vorgeachten herrn Hannß Hammerers geweßenen Würths Zum Weinstockg vnd burgers Zu ermeltem Straßburg seel. hinderlaßener Wittib Am Andern theÿl
Geschehen undt verhandelt In deß Heiligen Reichs Freÿen Statt Straßburg Mittwochs den 6. Augustt Inn dem Jahr deß Herrn Alß mann Zalte 1745. (unterzeichnet) Jacob Geroldt deß Hochzeiters Schwager, Johann Philippus Spach deß hochzeiters Schwager, Mathias Kalhart alß der Hochzeiterin Bruder

Mariage, Saint-Pierre-le-Jeune (luth. f° 26)
1645. Dominica X. Trinitatis 5. Augusti. Philippus Jacobus Zittelé der sattler Joachim Zittele des Keufflers v. burgers nachgel. Sohn vnd Barbara Johann Hammerers des Würths Zum Weinstock nachg. wittib. Copulirt zu St. Claus 11. Augusti (i 34 – pas dans les reg. de Saint-Nicolas)

Barbe Kallhard fait dresser l’inventaire de ses apports (1306 livres) dans la maison qui appartient au barbier Paul Kirchmann rue du Bouclier.
1645 (28.8.), Not. Ursinus (Jérémie, 60 Not 15) n° 22
Inventarium Über der Ehren : und tugendtsahmen Frawen Barbaræ Kallhardtin, weÿl. deß Erengeachten undt Achtbahren Herrn Hannß Hammerers, geweßenen würths undt Gasthaltters Zum weinstöck, burgers Zu Straßburg seel. hinderlaßener Wittwen, Zue dem Ehrenhafften Philipp Jacob Zittellin, Sattlern vndt Burgern alhie ihrem Jetzigen lieben Haußwürth in die Ehe Zubringende Nahrung, auffgerichtet 1645. (…) mit beÿstand deß Ehrenhafften Frantz Grossen weißbeckh burgers alhie, Ihrer in vorig. Ehe erzielter Kind. geschwohrnen vogts (…) So beschehen auff Donnerstag den 18.ten August A° 1645.
Inn einer alhie in der Statt Straßburg in der Schiltzgaßen gelegener behaußung, so H Paul Kirchmann Barbierern burgern alhier eigenthümlich zuständig die Fraw aber bißhero Lehnungsweiße bewohnt
Auff dem obern Boden, Inn der Cammer A, Inn der Cammer B, vor dießen Kammern, Im Obern haußöhren, Inn der Kuchen, Inn der Stuben, Inn der Stubkammer, Unden im Haußöhren, Im Keller
Eÿgenthumb vndt Besserung ane einer Behaußung. Item der halbe theil ane einem vordern undt hinderhauß vff dem Barfüeßerplatz (…)
Sa. haußraths 675, Sa. Silbers vnd Geschmeids 54, Sa. Guldenen Ring 49, Sa. Baarschafft 234, Sa. Eÿgenthumbs vnd Beßerung ane einer Behaußung 125, Sa. Schulden 226, Summa summarum 1306 lb

Nouveau bail à Thomas Schwebel

1648 (14. 8.bris), Chambre des Contrats, vol. 501 f° 567-v
Erschienen der Ehrenvest- Fürsichtig und Weÿse H Johann Rheinhart Kreß Ein und Zwantzig dißer Statt und Frantz Graff der Weißbeckh beede alß Vögte weÿl. Hannß hammerers deß würthß Zum Weinstockh nunmehr seel. in erster und anderer Ehe erziehlter Kind. haben
in gegensein Thoman Schwebelß deß Würthß
verlühen, Erstlich die Gastheberg Zum Weinstockh am Barfüßer Platz gelegen, Vnd dan die Behaußung hinder der Kürschner Stuben gelegen beede in sein hammerers Verlassenschafft gehörig, mit allen Gebäwen, vff treÿ Jahr lang von nechst verschienenen Mariæ Verkündigung angerechnet, umb einen iährlich Zinnß, nemblich 57. lib 10 ß
[in margine :] (…) cassirt, Act. 31. Maÿ a° 1651

Les enfants Hammerer louent l’auberge au Cep de vigne à l’aubergiste Jean Fronhœffer

1651 (12. martÿ), Chambre des Contrats, vol. 510 f° 219-v
Erschienen H Johann Rheinhard Kreß Ein und Zwantziger alß Vogt weÿl. hannß Hammerers geweßenen würths zum Weinstockh nunmehr seel. hinderlaßener Kind. erster Ehe und Frantz Graff d. weißbeckh alß Vogt sein Hammerer Kind. Zweÿter Ehe
haben in gegensein Hannß Fronhöffers deß Würths mit beÿstand H Hannß Wörners deß Würthß Zum Engel
verlühen haben Erstlich die Gastherberg Zum Weinstockh am Parfüßer Platz gelegen, und dann die Behaußung hind. der kürßner stuben gelegen, und beede in gemeldts Hammerers Verlassenschafft gehörig, vff treÿ jahr lang von bevorstehend. Mariæ Verkündigung angerechnet, um einen jährlichen Zinß benantlich 55. lib.
[in margine :] (…) wiederumb uff treÿ jahr lang von nechstverwichenen Mariæ Verkündigung angerechnet – Act. 10. april. a° 1654.
[in margine :] (…) ferners uff treÿ jahr lang, Von nechst künfftif Mariæ Verkündung angerechnet – Actum den 9. Martÿ A° 1657

Barbe Kallhard meurt en 1673 en délaissant deux enfants de son premier mariage avec Jean Hammerer et une fille du deuxième mariage. La masse propre au veuf est de 52 livres, celle propre aux héritiers de 753 livres. L’actif de la communauté s’élève à 945 livres, le passif à 878 livres
1673 (17.6.), Not. Boeller (Jean Jacques, 3 Not 5) n° 278
Inventarium und Beschreÿbung aller d. Jenig. Haab, Nahrung v. güethere, liegender undt Vahrend. verändert v. vnverändert. keinerleÿ außgenommen, So die Ehren: undt tugentsame Fraw Barbara Kallhardin, deß Ehrenvesten v. wohl vorgeachten herrn Philipp Jacob Zittelins, deß Sattlers v. burgers alhier geweßene eheliche Haußfr. beÿ ihrem deb 17. Aprilis deß Lauffend. jahrs beschehenem seeligen Ableÿben, Zeitlichen verlaßen (…) Actum Dienstags den 17. Junÿ Anno 1673.
Die verstorbene Fraw sellig hat p. Testamentum Zu Erben verlaßen wie volgt. 1. Fraw Mariam Dorotheam Hammerin, anjetzo ahne H. Hannß David Schurer dem gerb. v. Lederbereÿtern burgern alhier verheürathet, So mit v. neben Ihro dem geschäfft beÿgewohnt, 2. Mr Hannß Jacob Hammmern, Satlern, burgern alhier, mit beÿstand deß wohl edelen vesten Fromb Fürsichtig v weiß. herrn Joh: Philipp Zeÿßolff, Welchen Sohn v dochter, Sie die verstorbene Frawn seelig inn Erster Ehe mit weÿland H. Hannß Hammer gewesenen würth Zum Weinstock burgern alhier ehelich gezeügt, nach tod im Leben übrig gelasen
3. Jungfr. Elisabetha Zittelinin mit vorhergedacht hinderpliebenem H wittibern ehelich erziehlte dochter, inn deren nahmen Herr Abraham hannß metzger d. metzger burger alhier, alß geordnetervogt, beÿ dißer Inventation Sich præsentirt, Alle 3. ihr d Abgeleÿbten Frawen seel. per Testamentum hinderlaßene Erben.

So inn einer inn d. vorstatt Straßburg ahne Steinstraßen gelegenen v: inn dieße verlaßenschafft gehörig. Behaußung befund. word. wie volgt
Ane Haußrath, Vff d. obern bühnen, Vff dem and. bod. In d. Cammer A, In d. obern Stuben, Im Nebens Cämmerl., In der Undn Stuben, In der Kuchen, Im haußöhren, Im Gartten, In des Sohns hauß
Eÿgenthumb v. beßerung ane einer Behauß. Nemblich. Hauß inn d. vorstatt Straßb ane d. Steinstraß. (…)
Ergäntzung der Erben unverändert guths, Vermög Inventarÿ über der Verstorbenen fraw seel. in dieße Ehe Zugebrachte Nahrung durch herrn Notarium Ursinum den 28. Augusti Anno 1645. vffgerichtet
Vermög Inventarÿ über deß H. Wittibers in die Ehe Zugebrachte Nahrung durch H. Notarium Ursinum d. 8.t Decembris 1645. vffgericht were demselb. Zuergäntz. wie volgt.
Abzug in dießes Inventarium. deß H. Wittibers unverändert guett. Sa. Haußrathß 11, Sa. Werckzeugs Zum Sattler handw. gehörig 3, Eÿgenthum einer behaußung 308, Erg. deß wittibers unverändert guett thuett (144 lb, Abgang 7, Pleibt also) 137, Summa summarum 460 lb – Schulden 408 lb, p. rest 52 lb
d. Erben guett, Sa. haußraths 67, Sa. Silb. geschirr und Geschmeids 6, Sa. guldener Ringen 12, Ergäntzung (765, Abgang 98, Pleibt übrig) 666, Summa summarum 753 lb
Theÿlbar guett, Sa. hausraths 100, Wahren 26, Früchten 25, Weinß v Lähren vaß 29, Silbergeschmeids 6, baarschafft 191, theilbare beßer. einer beh. 408, Schulden 146, Summa summarum 945 lb – Schulden 878 lb, pleÿben 66 lb
Conclusio finalis Inventarÿ 871 lb
N° 279. Zuwißen seÿe hiemit Menniglichen

Les enfants Hammerer vendent l’auberge au Cep de vigne à Jean Fronhœffer

1658 (8. Febr.), Chambre des Contrats, vol. 523 f° 50-v
(Protocoll. fol. 7.) Erschienen der Ehrenvest fürsichtig fromm und wohlweiß H Johann Reinhard Kreß deß beständigen Regiments der Herrn fünff Zehen, alß Vogt Jungfr. Elisabethæ, ferners Frantz Graff der weißbeckh alß Vogt hannß Jacobs und Dorothea weÿl. hannß hammerers geweßenen gastgebers Zum Weinstockh nunmehr seel. in erster und anderer Ehe erziehlter Kinder, mit beÿstand der Ehrenvest fürsichtig und weÿßen H Johann Peter Sch(midt) und H Johann Michael Zeÿßolffs beeder alß auß E.E. Großen Rhats mittel hierzu insonderheit Deputirter
in gegensein Johann Frönhoffers deß Gastgebers mit beÿstand Martin Woltzen deß küeffers und weinstichers alhie
die Herberg Zum Weinstockh, mit allen deren Gebäwen, begriffen, rechten und Zugehörden, alhie am Baarfüßer Platz, einseit ist ein Eckh an einem allmend Gäßlein, anderseit neben dem Beckhenhauß zum Krebß gelegen, davon Gehnd iahrs 4 ß termino Martini den hochwürdigen Evangelischen Herrn domcapitularen hoher Stifft Straßburg vermög von H Johann Peter Camehlen, alß deroselben Schaffnern heut dato ertheilten und hiebeÿ vorgelegten Scheins, zue bodenzinß, Item 1 lb Allmend Gelts gemeiner Statt
Item hauß, hoffstatt, Stallung, Keller mit allen deren Gebäwen, begriffen, Rechten und Zugehördten in vorgemeltem Gäßlin, hinder der vorbeschriebenen herberg einseit neben hannß Gaßnern dem Kürschner anderseit neben Simon Mühlich dem Schuhmachern, hinden uff H Johann Conrad dannhawern S.S. Theol. D. et Professorem auch Pfarrherrn im Münster stoßend gelegen (übernohmen) – umb 1576 pfund
[in margine :] Erschienen diebolt Großheinrich der Gastgeb Zum Pflug alß Ehevogt Elisabethæ Hammererin, Ferners Frantz Graff der Weißbeckh alß vogt hannß Jacobs und Dorotheæ der Hammererische Geschwisterd, mit beÿstand Philippß Jacob Zittele deß Sattlers ihres Stieff Vatters (quittung) Actum 20. Jan. a° 1659.
[in margine, f° 51-v] Erschienen Frantz Graff alß noch ohnentledigter Vogt Mariæ Dorotheæ Hammererin, anietzo hannß diebold Rosern deß Gerbers Eheweib (…), Act. 12. Sept : a° 1664

Jean Fronhœffer et sa femme Ursule hypothèquent quelques mois plus tard l’auberge au profit du tuilier Chrétien Klipfel, de la Robertsau

1658 (26. Maÿ), Chambre des Contrats, vol. 523 f° 216
Erschienen Johann Frönhöffer der Würth Zum Weinstockh und Ursula sein Eheweib Und Sie Ursula insonderheit mit beÿstand Hannß Adam Allheilig. deß Pastetenbeckh. ihres Bruders, und hannß Fölckh deß Mangmaÿsters ihrer Schwestermanns alß deroselben hierzu erbettener nechser Verwanther
in gegensein Christmann Klipffels deß Zieglers in Ruprechtsaw – schuldig seÿen 100 Pfund
Unterpfand sein sollen die herberg Zum Weinstockh mit allen deren gebäwen alhie am Barfüßer Platz einseit ist ein Eckh an einem Allmendgäßlin anderseit neben dem Beckhenhauß Zum Krebß geleg davon gehend iahrs 4 ß termino Martini deß hochwürdig. Evangelisch. H dom Capitularen hoher Stifft Straßburg zu bodenzinß und j. lib. Allmendgelts gemeiner Statt,
So dann hauß, hoffstatt, Stallung mit allen deren Gebäwen in vorgemeltem Gäßlin, hind. der vorbeschriebenen herberg, einseit neben hannß Gaßnern dem kürßnern, anderseit neben Simon Mülich dem Schuhmachern, hinden vff h. Johann Conrad dannhawern S.S. Thol. Doct. Profess. und Pfarrherrn im Münster stoßend geleg., welche beÿde häußer noch umb 576. lib. weÿl. hannß Hammerers deß würths seel. Kinder für kauffschillingß Rests verhafftet

Fils d’Adam Fronhœffer de Schwabach en juridiction d’Ansbach, Jean Fronhœffer épouse en 1651 Ursule, fille du boulanger Jean Wunderer à Offenbourg
Mariage, Saint-Pierre-le-Jeune (luth. f° 47)
1651. Dominica Quasimodo geniti. Johannes Fronhoffer, der Würth Zum Rebstock alhie Adam Fronhöffers geweßenen burgers vnd Baurs Mans Zu Schwabach Anspachischer Herrschafft hinderlaßener ehelicher Sohn vnd Jungfr Ursula Johann Wunderers geweßenen burgers und Weißbecken Zu Offenburg hinderbliebener eheliche tochter & Tochter.Copulirt Zum JS Peter Mont. d. 14.t Aprilis (i 58)

Jean Fronhœffer et sa fiancée achètent le droit de bourgeoisie quelques jours avant leur mariage
1651, 3° Livre de bourgeoisie p. 937
Hannß Fronhoffer Von Schwabach Margräffischer Anspacher Herrschafft, Erkhaufft daß burgerrecht für sich vnd sein Vermalte Ursulam Hannß Winders von Offenburg dochter vmb 20 Goldt fl. Würdt Zu den Freÿburgern dienen. Jur. den 10. April 1651.

Jean Fronhœffer hypothèque la maison au profit des enfants en secondes noces de Jean Hammerer

1660 (6. febr.), Chambre des Contrats, vol. 525 f° 147
Erschienen Johann Frohnhöff Gastgeb Zum weinstockh
in gegensein H Frantz Graffen deß weißbeckh alß Vogt hannß Jacobs und Dorotheæ weÿl. hannß Hammerers gewesenen Gastgeben Zum Weinstockh nunmehr seel. in letzter Ehe erzielter Kind. – schuldig seÿe 50 Pfund
Unterpfand sein sollen die herberg Zum Weinstockh mit allen deren Gebäwen alhie am Barfüßer Platz ist einseit ein Eckh am Allmendgäßlin anderseit neben der Beckhen behaußung Zum Krebß geleg. davon gehend iahrs 4 ß in Bruderhoff, Item j lib Allmendzinnß gemeiner Statt
Item hauß, hoffstatt, Stallung, Keller mit allen deren Gebäwen & in vorgementem Gäßlin, hinder der vorbeschriebenen herberg, einseit neben hannß Gaßnern dem Kürßnern, anderseit neben Simon Mulich dem Schuhmachern, hind. vff H Johann Conrad Dannhawern SS Theol. Doct. Profess. seniorem E.E. Kirchen Convents Præsident stoßend gelegen

Ursule Wunder meurt en juillet 1679.
Sépulture, Saint-Pierre-le-Jeune (luth. p. 255 n° 82)
1679. Julius. Fr. Ursula Wunderin, hrn Johann Fronhoffers deß gastgebers Uxor ætat. 58. iahr. Sambst. 12. ad lepr. (i 134)

Jean Fronhœffer l’aîné loue l’auberge au Cep de vigne à son fils fondeur Jean Fronhœffer

1682 (24.3), Chambre des Contrats, vol. 552 f° 69
Johann Fronhöffer der Älter Würth Zum Rebstock
in gegensein Johann Fronhöffer des Jüngern Kanntengießers, seines eheleiblichen Sohns mit beÿstandt Samuel Ruopen dreÿerknechts auff dem Pfenningthurn seines Schwähervatters
entlehnt, die herberg Zum Rebstock ahne dem baarfüßerplatz und das ohnfern darbeÿ gelegene allte fronhöfferische hauß, uff 9 Jahr lang Von bevorstehend. Mariæ Verkündigung angerechnet, umb einen Jährlichen Zinnß benantlichen 90 fl. à 60. Xr. gerechnet, beÿ Welcher dann außtruckhlich Verglichen worden ist
Erstlichen, so solle der Sohn ihne den Vatter ahne statt des obbestimten Zinnßes dießer Jahr acht durch, Wann Er der Vatter seliige erlebet, gebührend alimentiren (…)
Hiergegen und in Consideration deßen, so will Sechstens Er der bruder seiner eheleiblichen Schwester Ursulæ Horbin gebohrner Fronhöfferin 15. Rchthr. Verehren

Jean Fronhœffer l’aîné meurt à l’âge de 66 ans en décembre 1686.
Sépulture, Saint-Pierre-le-Jeune (luth. p. 318) n° 78)
1686. Johann Fronhöffer d. Würth Zum Weinstock alhier, ætat. 66 iahr. Sonnt. 1. 10.bris ad lepr. (i 167)

L’auberge revient à son fils Jean Fronhœffer qui épouse en 1681 Anne Marie, fille de Samuel Rupp, employé à la Tour aux deniers

Mariage, Saint-Pierre-le-Vieux (luth. f° 190 n° 24)
1681. Junius 24. Johann Fronhöffer lediger Kantengießer H. Johann Fronhöffers burgers vnd gastgebers alhie ehel. Sohn, H. Anna Maria H. Samuel Ruppen dreyer Knecht deß Pfenningthurns ehel. Vogt (i 191)

Jean (ici Jean Jacques) Fronhœffer, aubergiste au Cep de vigne, meurt à l’âge de 27 ans en janvier 1682.
Sépulture, Saint-Pierre-le-Jeune (luth. p. 279, n° 2)
1682. Hr Joh. Jacob Fronhöffer d. Würth Zum Weinßock, ætat. 27 iahr, Muttw. 4. Jan. ad lepr. (i 147)

Anne Marie Rupp se remarie en 1695 avec Tobie Stædel. La maison figure à l’inventaire de ses apports dressé en 1696.

Le curateur des enfants d’Ursule Fronhœffer et du boutonnier Jean Frédéric Dietsch vend la moitié indivise de l’auberge au tuteur du fils de Jean Fronhœffer, en présence de son beau-père Tobie Stædel

1697 (10.7.), Chambre des Contrats, vol. 569 f° 337
H. Johann Niclaus Wittmar der Paßmentirer und Seÿdenhändler alß Curator weÿl. Ursula geb. Frönhofferin mit Johann Friderich dietschen dem außgetrettenen Knöpffmacher erzeugt und nachgelaßener dreÿ Kinder, mit beÿstand H. Johannis Marbachs E.E. Kleinen Raths Procuratoris & Advocati, ged. Ursula gewesenen und noch Zur Zeit ohnentschlagenen Vogts
Hn Friderich Raübers deß Hoßenstrickers und E. Löbl. Policeÿ gerichts alten beÿsitzers alß Vogts Johannis Fronhöffers weil. Johannis Fronhöffers gewesenen Würths Zum Rebstock sel. nachgelaßenen sohns, mit beÿstand H. Tobiæ Städelß deß handelsmanns seines Stieffvatters
die helffte für ohnvertheilt an der Gastherberg zum weinstock genandt, mit allen deren Gebaüen, begriffen, weithen, rechten, zugehördten, und Gerechtigkeiten gelegen allhier Underhalb dem Kornmarckt gegen dem alßo genandten Überhang über, einseit neben dem Beckenhauß zum Krebs, H. David Stieglern gehörig and. seit mit Zweÿen Ecken geg. dem Baarfüßerplatz hind. auff ein Allmend gäßlein d. Rubenloch gäßlein genand stoßend darein solches auch ein außgang hat, von welcher gantzen behaußung gehen jährlich Termino Martini 4 ß den Evangelischen herrn Capitularen hoher Stifft Straßburg, Item1 lb d Allmendgeld gemeiner Statt Pfenningthurn jährlich auff Petri & Pauli
So dann die helffte eines alten holtzhaußes mit einem Keller, zugehörd. und gerechtigkeit, so vor diesem ein wohn behaußung gewesen, in vorbemeldten Rubenlochgäßlein hind. d. gastherberg, einseit neben Johann Tscherning dem jüngern buchhändler, anderseit neben H. Johann Caspar Eisenschmidt Med. Doct. et Pract. Ehevöglich. weiß hinten auf ged. Eisenschmid stoßend gelegen

Tobie Stædel loue au nom de sa femme Anne Marie Rupp l’auberge à Jean Jacques Stempel. Le curateur du mineur Jean Fronhœffer ratifie le bail.

1697 (25.7.), Chambre des Contrats, vol. 569 f° 375-v
H. Tobias Städel der Jüngere handelsmann alß Ehevogt Fr. Annæ Mariæ geb. Ruopin
in gegensein hans Jacob Stempel deß Würths
entlehnt, d. würthshauß zum weinstock mit allen dazu gehörig. holtzhauß und allen deren Gebaüen und Zugehört. allhier Und. am Kornmarckt neben dem Beckenhauß zum Krebs anderseit ist Ein eck am Barfüßer Platz, d. hind. hauß aber in dem alßo genandt. Rubenloch gäßlein geleg. auff Sechs jahr lang, von weihnacht. dießes lauffend. jahrs an Zurechnen – umb 110 pfund
[in margine :] H. Friderich Raüber der Hoßenstrickern Und E. Löbl. Policeÿ Gerichts alter Beÿsitzer, alß Curator Johann Fronhoffers hierin ged. Frauen Annæ Mariæ Ruopin in Ihrer ersten Ehe erziehlt Und nachgelaßenen Sohns, hatt in gegensein hierinn ged. Stempels des Entlehners angezeigt und bekandt, demnach hierinn beschriebenes Würths hauß zum Weinstock ged. Johann Fronhöffern nunmehro eÿgenthümlich und allein gehörig (…) die hierinn verschriebene Lehnung ratificirt, den 21. junÿ 1700

Le curateur de Jean Fronhœffer loue une nouvelle fois l’auberge à Jean Jacques Stempel

1706 (22.3.), Chambre des Contrats, vol. 579 f° 246-v
Hr. Friedrich Reüber Exs: alß vogt Joh. Fronhöffers deß ledigen Handelsmanns
in gegensein Joh. Jacob Stempels würths zuem Weinstock
verliehen, d. Gasthauß zuem weinstock genant allhier einseit neben Joh. Münch Krebsbecker anderseit ist ein eck ahm baarfüßer platz hinten auf (-) gass stoßend gelegen mit allen begriffen, weithen, zugehörden, rechten u. Gerechtigkeiten auf ein jahr lang anfangend auf Weÿhn: 1705 um 110 lb

Jean Fronhœffer vend la maison à Jean Jacques Stempel, son locataire

1709 (30.3.), Chambre des Contrats, vol. 582 f° 190-v
(3750) hr Paul Flach oberschreiber im Spithal nahmens Joh: Fronhöffers handelsmanns
in gegensein Joh: Jacob Stempels gastgebers zuem weinstock
die gastherberg zuem weinstock genant sambt dem nebens gebau so vor dießem eine wohnung geweßen aber anjetzo ein altes holtzhauß ist mit allen deren gebäuen, begriffen, weithen, rechten, zugehörden und Gerechtigkeiten unterhalb dem kornmarckt einseit neben dem beckenhauß zum krebs anderseit mit zweien ecken gegen dem baarfüßer platz hinten auf ein Allmend gäßlein d. rubenloch gäßlein genant stoßend, darin solches auch einen außgang hat, warvon gehen jährlichen 4 ß denen Capiitularen hoher Stifft Straßburg, Item 1 lb allmend geld unßerm Pfthrn. – um 3750 pfund

Les experts estiment la maison à 2 200 livres lors de l’inventaire dressé en 1733 après la mort de Susanne Marie Kellermann. Lors de la liquidation, l’auberge au Cep de vigne est attribuée au fils aîné Jean Jacques Stempel.

L’aubergiste au Cep de vigne (zum Weinstock) Jean Jacques Stempel épouse en 1711 Marie Barbe Fischer, fille de Sébastien Fischer, aubergiste au Cep de vigne (zum Rebstock) : contrat de mariage, célébration
1711 (30.5.), Not. Rohr (Daniel, 46 Not 59) n° 615
Eheberedung Zwischen Herrn Johann Jacob Stempel leedigem gasthalter herrn Johann Jacob Stempel des ältern Würths Zum Weinstock vnd burgers allhier Zu Straßburg ehelichem Sohn, als dem herrn Brauthigamb, beÿständlich gedachts seines H. Vatters vndt Herrn Johann Carl Kellermanns vornehmen handelßmanns vnd auch burgers allhier deßen vettern, ane Einem
So dann Jungfrawen Maria Barbara Fischerin, Herr, Sebastian Fischers gastgäbs Zum Rebstock vnd E. E. Kleinen Raths alten wohlverdienten beÿsitzers burgers allhier ehelichen dochter als der Jgft. hochzeiterin, mit assistentz ermelten Ihres H. Vatters vndt Herrn Johann Georg Picken biersieders Zum schwartzen bären gleichfalls burgers allhier dero Schwagers andern theils
Actull Straßburg Sambstags d. 30. Maÿ A° 1711. (unterzeichnet) Johann Jacob Stempel akß hochzeiter bekenne wie vorstehet, maria Barbar lischerin alß hochzeiterin bekenne wie obstehet

Mariage, Saint-Pierre-le-Vieux (luth. f° 26-v)
1711. d. 17. Junÿ sind Ehelich eingesegnet Word. H. Johann Jacob Stempel der ledige Gastgeber Hn Johann Jacob Stempels des Burgers vnd Gastgebers allhier ehelicher Sohn, vnd Jungfr. Maria Barbara Hn Sebastian Fischers Burgers vnd Gastgebers allhier Eheliche Tochter (unterzeichnet) Johann Jacob Stempel alß hochzeiter, Maria Barbara Fischerin alß hochzeiterin (i 29)

Les nouveaux mariés font dresser l’inventaire de leurs apports dans l’auberge au Saumon (qui appartient aux parents du marié). Ceux du mari s’élèvent à 670 livres, ceux de la femme à 604 livres.

1711 (18. 9.br), Not. Rohr (Daniel, 46 Not 29) n° 994
Inventarium und beschreibung aller derjenigen Haab und Nahrung, so der Ehren Wolvorgeachte H. Johann Jacob Stempel Gasthalten Zum Salmen und die Ehren und Tugendsahme fraw Maria Barbara gebohrne Fischerin beede Eheleuthe Vnd burgere allhier Zue Straßburg einander in den Ehestand Zugebracht, Vnd Vermög auffgerichteter Eheberedung sich Vor unverändert Vorbehalten haben, welche auf freundliches ansuchen erfordern und begehren beeder ehepersohnen selbsten fleißig inventirt untersucht (…) So beschehen allhier in der Königlichen freÿen St. St. in fernerem gegenseÿn gedachter beeder Eheleute geliebter Eltern, Mittwochs d. 18. 9.br A° 1711.
Inn Einer Allhier Zue Straßburg ane dem Kornmarck gelegenen und Zum Salmen genannten Gastherberg sich volgender maßen befunden
Ane Höltzen und Schreinerwerck. In der Cammer A, In der Cammer A, Im vndern Haußöhren, inn der hindern Obern Stub, Im Kinder Stübel, Im obern Haußöhren, Im Mittleren Stock, In der Stub N° 1, In der St. N° 4, In der St. N° 5, In der Gast St. In der Kuchen, Im Keller, Im Hindern Cämmerl. im hoff
Series rubricarum hujus Inventarÿ. Des Eheherrn Nahrung betr. Sa. haußraths 282, Sa. Weins vnd Leerer Vaß 281, Sa. hews 22, Sa. Silbers 14, Sa. Goldenen Rings 20, Sa. baarschafft 50, Summa summarum 670 lb
Der Ehefrauen Vermögen betr. Sa. haußraths 279, Sa. Frucht 13, Sa. Silbers 37, Sa. Goldener Ring 40, Sa. Baarschafft 234 lb, Summa summarum 604 lb

Jean Jacques Stempel et Marie Barbe Fischer font donation de leur auberge à leur fils Jean Jacques lors de son contrat de mariage avec Catherine Marguerite Magnus en 1740. La donation deviendra effective après la mort des donateurs.

1740 (23.7.), Not. Koch (6 E 41, 498) n° 75
Eheberedung – zwischen dem Ehren: und vorgeachten Herrn Johann Jacob Stempel, dem leedigen Würth Zum Pflueg und burgern allhier, des Ehren und Wohlvorgeachten Herrn Johann Jacob Stempel, des Würths Zum Weinstock, und burgers allhier mit der Viel Ehren: und tugendsamen Frauen Maria Barbara gebohrene Fischerin, ehelich erzeugtem Sohn, als dem Hern Bräutigam ane einem,
So dann der Ehren: und tugendsamen Jungfrauen Catharinä Margarethä Magnusin des Ehren vorgeachten Herrn Johann Georg Magnusn des Metzgers und Burgers allhier mit der Ehren und Tugendbegabten Frauen Catharina gebohrenen Dietzin ehelich erzeugten Tochter als der Jungfrau Hochzeiterin am andern theil
So geschehen in der Königlichen Statt Straßburg auff Sambstags den 23. des Monaths Julii A° 1740 (unterzeichnet) Johann Jacob Stempel als Hochzeitter, Catharina Margaretha Magnusin als hochzeiterin
Endlichen und zum Achten wollen des Herrn Hochzeitern vielgeliebte Eltern ihrem Sohn als dem Herrn Hochzeither, ihre an dem Baarfüßer Platz gelegene, Zum Weinstock genandte Behausung, mit allen deren rechten und Gerechtigkeiten, vornen und hinten neben dem Beckenhauß Zum Krebs so über 7 fl. 2 ß 6 d so man Jährlich der Statt Pfenningthurn Zugeben schuldig, leedig und eigen, nach ihrem beederseitigem Absterben um den Preiß, wie sie des herrn hochzeiters Herr Vatter von seinen Eltern empfangen, nemlichen vor die Summ von 1150 gulden eigenthümlich überlaßen
(unterzeichnet) Joh: Jacob Stempel als Hochzeiter, Catharina Margaretha Magnusin als hochzeiterin

Mariage, Saint-Pierre-le-Jeune (luth. f° 160-v, XIV)
1740. Dom. X et XI Trinitatis proclamati sunt H Johann Jacob Stempel der ledige Gastgeber u. burgers allhier ehel. Sohn u. Jgfr. Catharina Margaretha, Johann Georg Magnus Metzgers und burgers allhier ehel. tochter Copulati Mittw. d. 31. Augusti (unterzeichnet) Johann Jacob Stempel alß hochzeiter, Catharina Margaretha Magnusin als Hochzeiterin (i 165)

1743, Protocole de la tribu des Fribourgeois (XI 166)
Dienstags den 17.ten Dec: A° 1743.
fr. Maria Barbara weÿl. Hn Joh: Jacob Stempels Sen. geweßenen Würths Zum Weinstockh (pt° Conto, f° 190, 191-v, 193)

Jean Jacques Stempel l’aîné meurt en 1743 en délaissant cinq enfants. Les experts estiment la maison à 2 800 livres. La masse propre à la veuve est de 1 054 livres, celle des héritiers de 234 livres. L’actif de la communauté s’élève à 3 305 livres et le passif à 2 137 livres.

1743 (17. Xbris), Not. Koch (Matthias, 6 E 41, 474) n° 240
Inventarium über Weÿl. des Ehren Vest und Wohlvorgeachten Herrn Johann Jacob Stempel, Sen.ris geweßenen Gastgebers und Burgers allhier zu Straßburg, nunmehr seeligen Verlaßenschafft
Inventarium und beschreibung aller derjenigen Haab v. Nahrung, Liegend v. fahrender, keinerleÿ davon außgenommen, so Weÿl. der Ehren Vest und Wohlvorgeachte Herr Johann Jacob Stempel, Sen.r geweßener Gastgeber Zum Weinstock v. Burger allhier zu Straßburg, nun seelig, nach seinem den 17.den Maji dieses Lauffenden 1743.sten Jahrs beschehenen tödlichen Ableiben, hie Zeitlichen verlaßen, Welche Verlaßenschafft dann auf freundliches ansuchen erfordern v. begehren der ane hernach folgendem fol° benandter Erben inventirt v. ersucht, theils durch die Viel Ehren v. Tugendbegabte Frau Mariam Barbaram gebohrener Fischerin, die hinterbliebene Wittib, beÿständlich deß Ehrenvest v. wohlvorgeachten herrn Johannes Huck, des gastgebers Zum blauen Hechten v. burgers allhier, ihres ane Vogtsstatt erbettenen assistenten (geäugt und gezeigt)
Der Verstorbene H. seel. Hat ab Intestato zu Erben verlaßen, als folgt. 1. Hn Johann Jacob Stempel, den Gastgeber Zum Pflug v. Burger allhier, so majorennis, welcher dem geschäfft in Persohn abgewartet, 2. Hn Johann Carl Stempel, den Gastgeber auff dem Schießrein v. Burger allhier, so auch majorennes v. beÿ dem Geschäfft in Persohn erschienen, 3. H. Johann Christian Stempel, den leedigen bierbrauer so ohngefehr 22 Jahr alt und dermahlen sich in der Fremde auffhält, 4. Weÿl. Hn Johann Georg Stempel, gewesenen leedihen gastgeber, so nach seinem H. Vatter gestorben, v. von der hinterbliebenen Fr. Wittib geerbt Worden und 5. Jungfrau Susanna Jacobea Stempelin, so ohngefehr 16 Jahr alt, Und ist anestatt deren beeden nochlebenden jünsgten Kinder obgedachter H. Joh: Jacob Stempel, als dero Vogt erschienen, v. weilen er hiebeÿ selbst interessirt, als ist ferner zugegen gewesen H Johann Georg Pick der Bierbrauer Zum Schwartzen Bähren v. Burger allhier, als deroselben erbettener Theil Vogt, (…) Alle 5. des Verstorbenen H. seel. mit eingangs gedachter seiner nunmehr hinterlaßenen r. Wittib ehel. erzeugte Kinder v. Erben zugleichen antheilen.

In Einer allhier zu Straßburg ane dem Baarfüßer Platz gelegenen hieher gehörigen Gast behausung Zum Weinstock, ist befunden worden als volgt
Ane Höltzen: und Schreinwerck. In der gaststub, Auff der obern Bühn, In der Cammer Lit. D
(f° 14) Copia der Eheberedung (…) auff Sambstag d. 30. Maji A° 1711, Daniel Rohr
Ergäntzung der Wittib Wahrender Ehe abgegangenen Unveränderten Guths. Vermög Inventarii über das jenige besagend, was beide nun getrennte Eheleute einander vor unverändert in den Ehestand zugehörd durch weÿl. Hn Daniel Rohr geweßenen Notm publ. et pract. seel. a° 1711. gefertiget
(f° 23) Eigenthum ane Behaußungen und garten (E.) Die Gastherberg Zum Weinstock oder ins gemein d. Rubenloch genandt, mit allen deren gebäuen, begriffen, Weithen, Rechten Zugehörden v. Gerechtigkeiten gelegen allhier zu Straßburg unterhalb dem Kornmarckt, 1. s. neben weÿl. Joh. München, des gewesenen Weißb. Zum Krebs seel. Erben, 2. s. mit 2. Ecken gegen dem baarfüßer Platz hinden auff ein Allmend gäßl. d. Rubenloch gäßl. genandt, stoßend, darein solches auch einen Außgang hat, v. ein darzu gehöriger Stall liegt, davon gehen 3. lb 12 ß 6 d. allmend geld Jährl. in verschiedenen Terminen, dem allhießigen Pfenningthurn. sonsten freÿ ledig v. eigen v. durch (die Werckmeistere) Vermög Zu dem Concept geliefferter schrifftlicher Abschatzung d. d. 12. Xbr: 1743. angeschlagen Worden samt obigem Stall pro 5600. fl. oder 2800. lb. davon abgezogen die darauff hafftende Allmend Zinß so Zu doppeltem Capital gerechnet antreffen 145. lb. So verbleibt an dem anschlag annoch außzuwerffen übrig 2655 lb. Darüber meldet 1. perg. Kbr. in allhies. C.C.st. unter dero anh. Ins. gefert. datirt d. 30. Mart: A° 1709. außweißend, wie solche Behaußung von des Verstorbenenn seel. Eltern erkaufft worden mit altem Lit. C signirt. Ferner 3. dergl. Kbr. deren der eine dat: d. 8. febr: 1658. mit N° 2. Lit.B. et D. not: der andere dat: d. 10 Jul: A° 1697. mit Lit. B. et E sign: der 3.te aber dat. d. 15. 9.br A° 1635. mit alt. N° 1 Lit A. et F. bemerckt. Welche Documents aber dermahlen nicht vorgewießen worden und hat d. verstorbene seel. solche Behaußung von seinen seel. Eltern als ein Legat erhalten
(E.) It. 1. Garten beneben 2. häußern 1.r Scheur hinder dem Zollhauß am Cronenburger Thor (…)
(f° 26) Series rubricarum hujus Inventarii. Copia der Eheberedung. Copia Codicilli, Der Wittib Eigenthümliches Vermögen Sa. haußraths 16, Sa. Silbergeschmeids 3, Sa. Goldener Ring 16, Sa. Baarschafft 6, Sa. Schulden 75, Sa. Ergäntzung (940, abgehet 1, annoch übrig) 937, Summa summarum 1054 lb
Diesemnach wird auch der Erben Eigenthümliches Vermögen beschrieben, Sa. haußraths 44, Sa. Lähren Faß 23, Sa. Silbergeschmeids 2, Sa. goldenen Rings 1, Sa. Eigenthums ane Häußeren v: einem Garten 2746, Sa. Ergäntzung (518, abzuziehen 3027, compensando 2509, Summa summarum 2818 lb – Schulden 2584 lb, verbleibe, 234 lb
Endlich wird auch das gemein verändert v. theilbar guth beschrieben, Sa. haußraths 179, Sa. Wein v. der Lähren faß 180, Sa. Goldenen Ring 5, Sa. Baarschafft 263, Sa. Schulden 2526, Sa. Pfenningzinß hauptgüter 95, Summa summarum 3305 lb – Schulden 2137 lb, Nach deren Abzug 1157 lb
Nota. Zufolg obig Copeÿl. eingetragenen Codicilli §° 2.do hat die hinterbliebene Wittib des Verstorbenen seel. völlige Verlaßenschafft dergesalten Lebenslang Zu genießen (…) – Beschluß: v. Verstallungs Summa 2456 lb
Abschatzung dem 12. Decem: 1743. Auf begehren Weillandt deß wohll achtbahren und bescheitenen H Johann Jackob Stempfell dem geweßenen Wirth und gastgebere ihm ruben Loch Seel. hinder Laßenen frau wittib und Erben, ist eine behausung allhier in der Statt Straßburg an dem Barfüßer blatz gelegen einseitß anß rubenloch gäslein, anderseitß ein Eck gegen der Straß hinden auff dem Krebß becken Stoßent, welche behausung unden ein gangß rechter handt die gaststube und daß hauß Ehren, Linckerhandt die Kuchen ein getrëmbter Keller, oben dar über ihm Ersten Stock Zweÿ Stuben ein Contor mit diellen Zu geschlagen und haus Ehren, ihm 2.t: Stock ein stuben vier Camren und haus Ehren, under dem tach 5. alte Camren warüber ein alter tachstull mit 2. unbesetzten bienen und holtzrer gebell ferner ein alter Stall so Zum holtz gebraucht wierdt ihm ruben Loch geselin gelegen einseitß hinden auff H ritter hindergebäu, anderseitß auff Jackon raß* dem schumacher Stoßent, so unden einen alten baufelligen Stall oben ein alte bienen mit einem halben tach sambt aller gerëchtig Keit wie solches turch dero Statt Straßburg geschwornen werck Meister sich in der besichtigung befunden und Jetzigen Peÿß nach angeschlagen wird Vor und Umb Fünff Tausent und sechß hundert Gulten. Bezeichnuß der Statt Straßburg geschwornen Wërck Meister [unterzeichnet] Pflug Statt Lohner, Michael Ehrlacher Werck Meister deß Meinsters, Johann Jacob Biermeÿer Werck Meister deß Zimmerhof

Marie Barbe Fischer meurt trois ans plus tard. Le prix d’estimation de la maison est repris de l’inventaire précédent. L’actif de la succession s’élève à 3 661 livres, le passif à 122 livres

1746 (12.9.), Not. Koch (Matthias, 6 E 41, 477) n° 341
Inventarium über Weÿl. der viel Ehren v. Tugends. fr. Mariä Barbarä Stempelin geb. Fischerin, auch weÿl. des Ehren und vorgeachten H. Johann Jacob Stempels, gewes. Gastgeb. v. b. allh. Zu Straßb. seel. nachgel. Wittib nunmehr auch seel. Verlaßenschafft, auffgerichtet Anno 1746. – nach irem Dienst. d. 2.t des Mon. Aug. dieses lauf. 1746.ten Jahrs beschehenen tödt. Ableiben, hie Zeitl. Verlaßen, (…) So geschehen in d. Königl. St. Straßb. auff Montag d. 12.ten des Monaths Septembris anno 1746.
Die Verstorbene frau seel. Hat ab Intestato zu Erben verlaßen als folgt. 1. den Ehren v vorgeachten H Johann Jacob Stempel Würth b. gastgeb Zum Pflug, auch b. allh. welcher beÿ dem gesch. persönl. erschienen, 2. den auch Ehren v vorgeachten H Johann Carl Stempel dermahligen Würth v. Gastgeb. auff dem Schüßrein, Er auch in Pers. beÿgewohnt, 3. den Ehrengeachten H Joh: Christian Stempel, led. bierbrauer so dermahlen sich in d. fremde auffhält, 4. die Viel Ehren v. tugends. Jgfr. Susannam Jacobe Stempelin, so in Pers. Zugegen war, Welche beede letztere geschworner Vogt obged. H. Johann Jacob Stempel, weilen aber derselbige hiebeÿ selbsten interessiret, so als ist ferner hiebeÿ erschienen d. Ehren v vorgeachte H. Joh: Georg Beck, d. bierbr: v. b. allh. dero geschworner Theilvogt. Alle 4. d. Verst. fr. seel. mit auch weÿl. dem Ehren v. wohl vorgeachten Hn Joh: Jacob Stempel dem gewes0 Gastgeber v. b. allh. seel. ehel. erz. KK. v. Erben Zu gleichen Erbentheilen

In einer allhier Zu Straßb. ane dem Baarfüßerplatz gelegenen, Zum Weinstock genandten behausung so in diese Verl. geh. ist befund. word. als folgt
Ane Höltzen und Schreinwerck. Auff der obern Bühn, In der Cammer Lit. A, In der Cammer Lit. B, In der Cammer Lit. C, In der Cammer Lit. D, In der Cammer Lit. E, In der Cammer Lit. F, In der obern vordern Stub, Im obern vordern kleinen Cämmerl., In der Cammer Lit. G, In d. Wohnstub, In der Stub Cammer, In d. obern Gaststub, In der Haußehren Cammer, In der unten Gaststub, In der Kuchen, Im Keller
(f° 12) Eigenthum ane Häußern und einem Garten. Erstl die Gastherberg Zum Weinstock od. ins gemeine d. Rubenloch gen. mit allen deren Gebäuen begriffen, Weiten, Rechten Zugehörd. v. Gerechtigkeiten gelegen allh. zu Straßb. unterh. dem alten Kornmarckt, 1.s. neben Weÿl. Joh. München, des gewes. Weißbecks Zum Krebs seel. Erben, 2.s. m. 2. Ecken gegen dem baarfüßerplatz hinden auff ein Allmend gäßlein das Rubenloch gäßlein genandt, stoßend, darin solches auch einen Außgang hat, v. ein darzu gehöriger Stall liegt, davon gehen 3. lb 12 ß 6 d. allmend geld Jähr. in verschiedenen Terminen dem allhies. Pfenningthurn. sonsten freÿ leedig v. eigen v. beÿ Weÿl. H. Joh: Jacob Stempels, der Erben Vatter seel. Verl. Inventur dh. (die Werckmeistere) vermög beÿ selbigem Conc. befindlicher schrifftlicher Abschatzung d.d. d. 12.ten Decembris 1743. s. obigem Stall angeschlagen, auch dabeÿ, weilen bißhero keine Reparationen darinnen vorgenommen worden, gelaßen um 5600 fl. od. 2800 lb. Davon abgezogen die darauff hafftende allmend Zinß so Zu dop. Cap. gerechnet antreffen 145. So verbleibt ane dem Anschlag annoch außzuwerffen übrig. 2655. lb. Darüber meldet 1. perg. Kbr. in allh. C.Cst unter dero anh. Inns. gef. dat. d. 30. Martii A° 1709. mit alt. Lit. C sign. Ferner 3. dgl. Kbr. deren d. eine datirt d. 8. Februarÿ 1658 m. N° 2 Lit. B. et D. notirt, der andere datirt d. 10. Julii A° 1697. mit Lit. B. et D signirt, der dritte aber datirt d. 15. Novembris A° 1635. m. a. N° 1 Lit A. et F. bemercket. Welche Documenta aber dermahlen ô vorgewießen worden.
It. 1. Garten beneben 2. Häußern hinter dem Zolhauß am Crohnenburger Thor (…)
(f° 15-v) Series rubricarum hujus Inventarii. Copia Dispositionis inter Liberos so die Verstorbene seel. d. 2. Augusti Anno 1746. Vor eingangs ged. Notario v. gezeugen auffgerichtet. Sa. haußraths 289, Sa. Weins und der Lähren faß 314, Sa. Silber geschirr und Geschmeids 63, ß goldener Ring 23, Sa.& baarschafft 75, Sa. Eigenthums ane Häusßen und Garten 2746, Sa. Schulden 149, Summa summarum 3661 b – Schulden 122, Nach deren Abzug 2939 lb
Dazu gerechnet nachbeschribene Ehesteuren 1150, solchemnach belaufft sich die völlige Verlaßenschafft auff 3389 lb, Prælegata 183, Nach deren Abgang 3206 lb, Beschluß und Verstallungs summa 2939 lb

Comme il est propriétaire de l’auberge à la Charrue au Faubourg de Pierre, Jean Jacques Stempel, donataire de la maison, renonce à acheter la maison et cède ses droits à sa sœur Catherine Jacqueline.

1746 (22.9.), Not. Koch (Matthias, 6 E 41, 477) Joint au n° 341 du 12 sept. 1746
(Inventarium über Weÿl. fr. Mariä Barbarä Stempelin geb. Fischerin, auch weÿl. H. Johann Jacob Stempels, gewes. Gastgeb. v. b. allh. Zu Straßb. seel. nachgel. Wittib nunmehr auch seel. Verlaßenschafft)
Zuwißen seÿe hiemit, daß auff heut zu End gemeltes Datum, vor mir dem unterschriebenen Not° persönlich erschienen seÿe, der Ehren v vorgeachte Herr Johann Jacob Stempel, Würth v gastgeber zum Pflug v. burger allhier zu Straßburg, anzeigend, demnach ihme in seinem, mit Frauen Catharina Margaretha geb. Magnusin, d. 23. Jul: A° 1740. vor mir dem unterschriebenen Not° auffgerichteten Ehe Contract, von nun Weÿl. Hn Joh: Jacob Stempel, dem gewesenen Würth v. gasgteber Zum Weinstock v. burger allhier, v. Fraun Maria Barbara geb. Fischerin seinen gel. Eltern seel. die Gast behaußung zum Weinstock; gelegen allhier Zu Straßburg unterhalb dem alten Kornmarckt, eins. neben Weÿl. Joh. München, des gewes. Weiß. Zum Krebs seel. Erben, 2.s. mit zweÿ Ecken gegen dem baarfüßerplatz, hinten auff ein Allmend gäßl. das Rubenloch gäßl. genandt, stoßend, darein solches auch einen Außgang hat, v. ein darzu gehöriger Stall ligt, so außer dreÿ pfund 12 schilling 6 pfenning Allmend geld, so man Jähr. in verschied. Terminen dem allhiesigen Pfenningthurn zu bezahlen schuldig, freÿ leedig v. eigen, um die Summ von 11.150 gulden, dergestalten verschrieben worden, daß er solche summ d. 11.150. fl. nach beed. Eltern Tod in gemeine Erbschafft einschießen, vnd dann wider als ein Mit Erb Theil haben, ihme jedoch freÿstehen solle, solche behaußung als dann um besagten Preiß anzunehmen ader nicht, auch nicht verbunden seÿn, etwas vor reparations Cösten, so biß dahin darinn angewendet seÿn werden, Zu bezahlen, er aber seithero die gastherberg Zum Pflug ane d. Steinstr. allhier gelegen an sich erkaufft, mithin nicht willens seÿe, solche beede häußer beÿsammen Zu behalten, vielmehr gesinnet seiner Schwester Jungfer Susannä Jacobe Stempelin damit behülfflich zu seÿn, als hat d.selbe hiemit v. in Crafft dieses wißent. v. wohlbedächtlich vor sich und seine Erben ertstegedachter seiner Jungfer Schwester Eigenthüml. cedirt v überlaßen, vorhergemelte behaußung Zum Weinstock samt allen ihren Rechten vnd gerechtigkeiten (…) So geschehen in d. König Statt Straßburg d. 22. Sept: A° 1746.

Compte rendu au garçon d’auberge Frédéric Charles Stempel
1739 (10.1.), Not. Koch (Matthias, 6 E 41, 508) n° 53
Berechnung deßjenigen was Herr Johann Jacob Stempel, der Würth und Gastgeber zum Weinstock und burger allhier zu Straßburg, vom 31.sten Januarii 1738 biß d. 10. Jan. 1739 vor Friderich Carl Stempel, den leedigen Keller oder Hauß Knecht, seinem Vogts Sohn, eingenommen und außgegeben hat.

Comptes rendus au brasseur Jean Chrétien Stempel, fils de Jean Jacques et de Marie Barbe Fischer
1746, Not. Koch (Matthias, 6 E 41, 477) n° 348
Rechnung Über diejenige Mobilien, welche Hr Johann Christian Stempel, der leedige bierbrauer Weÿl. Hn Johann Jacob Stempels geweßenen Gastgebers mit auch weÿl. Frauen Maria Barbara geb. Fischerin beede seel. erzeugter sohn beÿ erstegedachter seiner Mutter seel. Verl. Abtheilung erbl. erhalten v. nachgehends verkaufft worden

1748, Not. Koch (Matthias, 6 E 41, 509) n° 115
Rechnung Mein Johann Jacob Stempel des Gastgebers zum Pflug v. b. allhier zu Straßburg als geordnet und geschworenen Vogts Johann Christian Stempel des leedigen bierbrauers meines bruders weÿl. Johann Jacob Stempel des ältern geweßenen Gastgebers zum Weinstock v. b. allh. mit auch weÿl. frauen Maria Barbara geb. Fischerin beede nun seel. ehel. erzeugten Sohns, Inhaltend alls dasjenige was Ich vor denselben eingenommen und außgegeben auch sonst Vögtl. weiß Verrichtet habe vom 12. sept. 1746 biß d. letzten 8.bris A° 1748 – Erste Rechnung dieser Vogteÿ

1752, Not. Koch (Matthias, 6 E 41, 510)
Rechnung Mein Johann Jacob Stempel des Gastgebers zum Pflug v. b. allhier zu Straßburg als geordnet: und geschworenen Vogts Johann Christian Stempel des Gastgebers meines bruders Weÿland Johann Jacob Stempel des ältern geweßenen Gastgebers zum Weinstock v. b. allh. mit auch weÿl. frauen Maria Barbara geb. Fischerin beede nun seel. ehel. erzeugten Sohns, Inhaltend alles dasjenige was Ich vor denselben eingenommen und außgegeben auch sonst Vögtlicher weiß Verrichtet habe vom letzten oct. 1748 biß d. letzten X.bris 1752 – Zweÿte und letzte Rechnung dieser Vogteÿ

Susanne Jacqueline Stempel épouse en 1746 l’aubergiste Jean Ehrlenholtz : contrat de mariage, célébration

1746 (22.9.), Not. Koch (6 E 41, 499) n° 142
Eheberedung – zwischen dem Ehren vnd vorgeachten herrn Johann Ehrlenholtz, dem leedigen Würth und gastgeber allhier zu Straßburg, des Ehren vnd Wohlvorgeachten herrn Johann Caspar Ehrlenholtz, Sattlers v. burgers allhier mit der Viel Ehren vnd Tugendbegabten Frauen Aurelia, gebohrener Saumin, ehelich erzeugtem Sohn, als dem herrn Bräutigam ane Einem
So dann der Ehren: v. Tugendsahmen Jungfrauen Susannä Jacobe Stempelin, weÿl. des Ehren: v. Wohlvorgeacht, herrn Johann Jacob Stempels gewesenen Würths v. gastgebers Zum Weinstock v. burgers allhier mit auch Weÿl. der Ehren: vnd tugendsamen Frauen Maria Barbara, gebohrener Fischerin, beede nun weiland ehelich erzielter Tochter , als der Jfr. Braut am andern Theil
So geschehen in der Königl. Statt Straßburg auff Donnerstag d. 22. Sept : A° 1746. (unterzeichnet) Johannes Ehrlenholtz als hochzeiter, Susanna Jacobea Stempelin als hochzeiterin

Mariage, Saint-Thomas (luth. f° 61-v n° 331)
Anno 1745. Mitwoch den 9. Novemb. seind nach zweÿmahliger ordentlicher proclamation und ausruffung zu St Thomæ und zu St Nicolai Zu St Thomæ copulirt vnd eingesegnet worden, herr Johannes Ehrlenholtz Lediger Gastgeber Hrn Johann Caspar Ehrlenholtz Sattlers und burgers allhie ehel. Sohn und Jungfr. Susanna Jacobea Stempelin, weÿl. Hn Johann Jacob Stempels gewesenen Gastgebers und burgers allhie hinterlaßene eheliche Tochter (unterzeichnet) Johannes Ehrlenholtz als hochzeiter, Susanna Jacobea Stempelin als hochzeiterin (i 63)

Jean Ehrlenholtz qui a vingt-et-un ans demande le droit d’exploiter le Cep de vigne. Le conseil de tribu ajourne sa décision comme le pétitionnaire n’a pas l’âge minimal réglementaire de vingt-cinq ans.
1746, Protocole de la tribu des Fribourgeois (XI 166)
(f° 309-v) Mittwoch den 28. Sept. 1746 – Johannes Ehrlenholtz der ledige Würth gebürthig von hier stehet dato vor, undt remonstriert wie daß Er in dem Würths hauß Zum Weinstock allhier würtschafft Zu treiben gesonnen, bitt dahero Ihme einen Zunfftschein Zu Ertheilen, daß E. E. Zunfft Ihme nach erhaltenem Weinschanck von Gnäd. Hh denen XV.en alß einen würth Leibzünfftig Annehmen wollen, declariret anbeneben daß Er würcklichen 21. Jahr alt, Zumahlen auch schon über 5. Jahr auß der Lehrzeit stehen undt Krafft habender Abschied ehelichen serviret habe. Hierauff ist
Erkandt worden, daß Herr Zunfftmeister allvorderisten mit Herren XV. Secretarius Stædel ob der Implorant, alß welcher noch nicht 25: sondern seiner eÿgenen geständtnus Zufolg nur 21 Jahr alt alß majorennis Zu tractiren, mithin Ihme das Zunfft: Recht conferirt werden Kann, derhalben sprechen wolle, mit dem beysatz, daß Fallß Edel ermeldter Herr XV. Secretarius der Meinung, daß solches geschehen könne, so solle alß dann dem Imploranten, mit dem begehrten Zunfftschein willfahret, wiedrigen Falls aber derselbe Zufolg der Neuen Ordnung vom 17.ten hujus Mensis et Anni §° 6.to ahne Gnäd. Herren die XV. allvorderisten Verwießen seÿn, vmb allda pro dispensat. unterthänig Einzukommen.

Les Quinze accordent dispense à Jean Ehrlenholtz, eu égard qu’il est marié et agira par conséquent en bon père de famille. Le bénéficiaire devra payer un droit revenant pour moitié à la Ville et pour moitié à la tribu. Les Quinze délivrent une expédition de leur sentence.
1746, Protocole des Quinze (2 R 156)
Johannes Ehrlenholtz Ca E. E. Zunfft der Freÿburger
(p. 673, suite de la p. 672 manquante) Sambstags d. 12. Novembris – (…) wann aber der Implorant (…) (p. 374) deputirte hatten darfür gehalten, we[-] der Implorant in conformität dero producir[-] ten attestation in allen præsatnda præstirt[-] so daß Ihme nichts i, wehe stehet, als a[-] das vermög der* ordnung erforderliche[-] alter noch nicht habe, aber dießes wurck(lich)[-] verheurathet und alßo zu præsumiren [-] daß er als paterfamilias auch der würth[-] wohl vorstehe, werden daß er Implorant[-] gegen erlag 10. lb pro dispensatione hab[-] Gemeiner Statt und halb E.E. Zunfft der[-] Freÿburger [-] u dem Zunfft[-] dispensando[-] den könne. Erkannt bedacht gefolgt

(p. 686) Montags d. 14. Novembris – Bescheid
In Sachen Johannes Ehrlenholtz, des ledigen Würths und burgers allhier, imploranten, an einem, entgegen und wieder E. E. Zunfft der Freÿburger Hn Zunfftmeister, Imploraten, am andern theil, auff producirtes unterth. Memoriale mit beÿl. Sub Nis 1 biß 7 inclusive juncto petito, wir geruhen möchten, den, Imploranten wegen des in der ordnung angsetzten alters gnädig Zu dispensiren, mithin gratiosé Zu verordnen daß er Zu dem Zunfftrecht der Freÿburger gelaßen werde, des Hn Imploranten gethane déclaration, vermög welcher er des Imploranten petitum Zu Unserer Erkanntnuß gesetzet, gebettene, bewilligte und beseßene deputation, auch all übriges derer Parten angehörtes Vor: und anbringen, ist derer Hh. depp.ten abgelegten relation nach Erkanndt, daß der Implorant gegen erlag 10. lb d pro dispensatione halb gemeiner Statt und halb E. E. Zunfft der Freÿburger heimfällig Zu dem Zunfft, und würthß schaffts: Recht dispensando gelaßen weren solle.
Zu MGHhn stellend, ob sie erkennen wollen deß dieße bescheid in forma prælectâ denen Parten communicirt werden sollen. Erkanndt, quod Sic

(p. 689) Faust nôe Johannes Ehrlenholtz Ca E. E. Zunfft der Freÿburger Hn Zunfftmeister, bitt ut modo. Erk. ut modo [bitt communic. sententiæ. Erkannt Willfahrt]

Jean Ehrlenholtz devient tributaire chez les Fribourgeois.
1746, Protocole de la tribu des Fribourgeois (XI 166)
(f° 316) Donnerstags den 1. Dec : A° 1746 – Neuz..
Johannes Ehrlenholtz der hiesige Burger, so von Gnäd. Herren denen XV.en deß Weinschanckh Zum Weinstockh allhier und Zwar wegen nicht gehabter majorennität oder 25. Jährigem Alter dispensando erhalten, citiret, Solle wegen angeregter erhaltenen Dispensation den behörigen Beweiß dociren und Statt Stall Schein produciren, vndt demnach sich dießorths Leibzünfftig machen.
Ille præsens produciret Extractus Gnäd: Herren der XV. Memoriale de dato 12. Nov. 1746. Krafft deßen er wegen nicht gehabter majorenitæt in 10 lb d pro Dispensat. halb Gemeiner Statt undt halb der Zunfft Zu Erlegen, condemniret worden, Zumahlen die der Statt herren gebührige Helffte mit 5 lb d vermög der solchem Extractus beÿgefügten Quittung den 28. Nov. 1746. allschon bezahlet undt verspricht den Stall Schein ad Protocollum fürdersambst Zu lieffern. Hierauff ist
Erkandt worden, daß dem Citato mit dem begehrten Zunfft: Recht in Conformitæt Extractus Hoch: Edel ermeldter Gnäd. Herren der XV. Memorialis gegen erlag der 6 lb 14 ß d Zu Willfahren. Dedit nebst 5 lb d pro Dispensatione so Er En Zunfft gehörig, et jur: auff d. Ordnung.

(f° 320) den 1.ten Decembris 1746. – Hierauff volgen die Copiæ der unterm heutigen dato alß den 1. Dec. 1746. hie vornen allegirter Productum so ich Zur Künftiger Nachricht hieher zu inseriren vor Nöthig erachtet habe
Als. Johannes Ehrlenholtz betr. Auß Gnädiger Herren Fünff Zehen der Statt Straßburg Memoriali de A° 1746. – Sambstags den 12. Nov. In Sachen (…)

Les nouveaux mariés font dresser l’inventaire de leurs apports dans l’auberge au Cep de vigne. Ceux du mari s’élèvent à 701 livres, ceux de la femme à 1 902 livres.

1746 (21. 9.br), Not. Koch (Matthias, 6 E 41, 477) n° 352
Inventarium über des Ehren v. vorgeachten H. Johannes Ehrlenholtz des Würths v. Gastgebers zum Weinstock v. d. viel Ehren v. tugendbegabten fr. Susannä Jacobe Ehrlenholtzin geb. Stempelin, beed. Ehel. b. b. allh. Zu Straßb. einander vor unverändert in den Ehestand Zugebr. Nahr. auffgerichtet Anno 1746. – b. sich vermög ihrer mit einand. auffger. Eheberedung vor unverändert vorbehalten haben. (…) So geschehen in d. Königl. St. Straßburg In fernerem Gegenseÿn, der Viel Ehren v. Tugendbegabten Fr. Aurelia Ehrlenholtzin geb. Saumin, des Ehren: und vorgeachten H. Johann Caspar Ehrlenholtz, des Vatters v. b. allh. Ehegattin, des Ehem: leibl. Mutter v. des Ehren v. vorgeachten H. Joh: Jacob Stempels, des Würths und Gastgebers Zum Pflug v. b. allh. d. Ehefr. noch ohnentledigten Vogts, auff Montag d. 21. 9.bris A° 1746.

In einer allhier Zu Straßburg dem alten Kornmarckt gegen dem Baarfüßerplatz gelegenen d. Ehefr. gehörig. behausung ist befund. worden als folgt
(F.) Eigenthum ane einer Behaußung. Neml die Gastherberg Zum Weinstock genannt s. einem auff der andern seith befindl. gebäu, so vor diesem eine Wohnung geweßen anjetzo aber ein holtzhauß ist, m. allen deren Gebäuen begriffen, Weiten, Rechten Zugehörden v. Gerechtigkeiten gelegen allh. zu Straßb. unterhalb dem alten Kornmarckt, 1.s. neben dem beckenhauß Zum Krebs, 2.s. m. 2. Ecken gegen dem baarfüßerplatz, hinden auff 1. Allmend Gäßl. d. Rubenloch Gäßl. genandt, stoßend, darin solches auch einen Außgang hat, davon gehen Jähr. auff verschied. Termin 3. lb 12 ß 6 d. sonsten freÿ leedig v. eigen v. hiehero angeschlagen doch ohne præjudiz wie solche der Ehefr. s. (-) A° 1746 v. H. Joh: Jacob Stempel dem Gastgeb. v. b. all. ihrem bruder eigenthümlich cedirt word. so sie auch die gemeine Erbschafft einzuschießen schuldig pro 11.150 od. 5575 lb. Dar. bes. 1. perg. Kbr. in allh. C.Cst gef. m. dero anh. Insiegel verwahrt d.d.d 30. Martii A° 1709. mit alt. Lit. C notirt. Darbeÿ noch 3. a. das. gef. teut. Perg. Kfr befindl.
Eigenthum ane einem Garten hinter dem Zolhauß am Crohnenburger Thor (…)
Series rubricarum hujus Inventarÿ. Des Ehemanns in die Ehe gebrachtes Vermögen, Sa. Haußraths 79, Sa. Silbers 24, Sa. baarschafft 514, Summa summarum 618 lb – Dazu gerechnet deßen gehörigen Antheil ane denen haussteuren thut 82 lb, Solchemnach belaufft sich des Ehemanns völliges Vermögen dem billig. Werth nach auff 701. lb
Dießemnach wird auch der Ehefrauen in den Ehestand gebrachte Nahrung bschrieben, Sa. haußraths 305, Sa. Wein und lährer Faß 186, Sa. Silber geschirrs v. geschmeids 99, Sa. goldener Ring 81, Sa. baarschafft 36, Sa. Eigenthums ane einer behaußung 5575, Sa. Eigenthums ane einem Garten 22, Summa summarum 6277 – Schulden 4457, Compensando 1819. Darzugelegt dero gehörig Antheil ane denen hernach beschrieb. haussteuren 82, Dießemnach beträgt sich der Ehefrauen völliges in die Ehe gebrachtes Vermög. dem bill. Werth nach 1902. lb

1754, Protocole de la tribu des Fribourgeois (XI 167)
(f° 203-v) Johannes Ehrlenholtz der würth Zum Weinstockh pt° Nachtzeduls

L’ancien aubergiste Jean Ehrlenholtz cotise à la tribu des Tonneliers pour pouvoir vendre du vin
1772, Protocole de la tribu des Tonneliers (XI 396)
(f° 306) Dienstags den 7.ten Julÿ 1772 – N. Geldzünfftiger
Hr Johannes Erlenholtz der Vormahlige Würth allhier, stehet Vor und bittet ihne des Weinhandels halben als einen neuen Geldt Zünfftigen anzunehmen. Erkannt Willfahrt

Jean Ehrlenholtz l’aîné meurt le 21 frimaire II à l’âge de 68 ans.
Décès, Strasbourg (n° 1892)
Cejourdhuy 21 frimaire l’an second de la Republique française (…) Copie du procès verbal de ce jour, dressé par Philippe Jacques Dürr, Commissaire de police du second arrondissement de cette Commune, qui constate que Jean Frédéric Ehrlenholtz âgé de 64 ans, & Jean Ehrlenholtz âgé de 33 ans, les deux selliers, & domiciliés en cette Municipalité, le premier frere & le second neveu du defunt, sont comparus par devant ledit commissaire & lui ont déclaré que Jean Ehrlenholtz, Rentier agé de 68 ans est Mort ce Matin à deux heures en sa demeure rue de l‘loutre No. 10 (i 147)

L’auberge revient à son fils unique (voir les actes ultérieurs) Jean Ehrlenholtz qui épouse en 1769 Anne Ursule Dietsch, fille du drapier Jean Georges Dietsch. Les parents louent l’auberge à leur fils lors du contrat de mariage.
La maison figure à l’inventaire dressé en 1804 après la mort d’Anne Ursule Dietsch et à l’inventaire dressé en 1807 après la mort de Jean Ehrlenholtz.

Jean Ehrlenholtz le jeune devient échevin chez les Fribourgeois en 1785.
1785 Conseillers et XXI (1 R 268)
H. Johann Ehrlenholtz jun. wird Schöff auf E. E. Zunft der Freÿburger. 267.

Jean Ehrlenholtz loue l’auberge à l’aubergiste célibataire Jean Daniel Busch

1788 (8.11.), Chambre des Contrats, vol. 662 f° 460-v
H. Rathh. Johann Ehrlenholtz der gastgeber zum Weinstock
in gegensein Johann Daniel Busch des ledigen eber großjährigen gastgeber
die zum Weinstock geschildet und unter dem nahmen Rubenloch bekannte gantze wirths behausung nebst dem gegen über im gäßel neben H. Kolb dem caffesieder befindlichen hinter hauß – auff 6 nacheinander folgenden jahren auff Annunciationis Mariæ 1789 anfangend
(Bedingnußen) 1. der H. verlehner sich den genuß der /: im obersten kleinen bühne nebst:/ der helfte des hinter haußes vorfindigen stalls vorbehaltet den er auff seinen kösten wird unterschlagen laßen [8 puncten] – um einen jährlichen Zinß nemlich 700 gulden

Jean Ehrlenholtz cède des effets mobiliers à Jean Daniel Busch
1789 (23.3.), Not. Ensfelder (J. Daniel 6 E 41, 640) n° 309
Montag den 23.ten Martii 1789 sind auf Veranstalten und begehren Herrn Exsen: Johannes Ehrlenholz dermaligen Dreÿers auf löbl. Stadt Pfenningthurn bißherigen Gastgebers zum Weinstock welcher aber die Gasthaltung H. Johann Daniel Busch übergeben, hernach beschriebene haußräthliche Mobilien (…) offentlich versteigert und verkaufft

Jean Ehrlenholtz loue l’auberge à Chrétien Laemmermann et à Marguerite Barbe Gerold

1794 (21 vend. 3),Chambre des Contrats, vol. 672 n° 53
cit. Jean Ehrlenholtz membre du Directoire du District de Strasbourg
au cit. Chrétien Laemmermann aubergiste et Marguerite Barbe Gerold assitée de cit. Jean Michel Kammerer marchand de vin son oncle et Jean Gerold caffetier son frère
bail pour 6 années qui ont commencé au premier de ce mois, une maison ou pend l’enseigne au Sep de vigne située place d’Armes n° (-), ensemble la maison de derrière sise audit lieu rue des Incendiaires actuellement rue des Lauriers n° (-), à côté du C. Kolb brasseur, sans rien en excepter que le grenier et la moitié de l’écurie séparée dans la maison de derrière – moyennant un loyer annuel de 1866 livres

Jean Ehrlenholtz loue l’auberge à Antoine Meixel, de Bühl en Bade

1799 (5 vend. 9), Enregistrement de Strasbourg, ssp 12 F° 109-v du 4 germ. 11
Bail de 6 ans – Jean Ehrlenholz
à Antoine Meixel de Bühl /:outre Rhin:/
une maison place d’armes n° 34 pour 1382 francs

Les héritiers Ehrlenholtz louent l’auberge à Jean Steinhelber et à Catherine Salomé Strintz

1808 (21.5.), Strasbourg 10 (49), M° Zimmer n° 2474, 3605
Bail de 6 années commençant le 24 juin 1809 – 1. Jean Daniel Stromeyer, propriétaire, tant en qualité de poursuivant les droits et légitime administrateur des biens de Susanne Catherine Ehrlenholtz son épouse que comme tuteur ordinaire de Catherine Marguerite Ehrlenholtz, Charlotte Sophie Ehrlenholtz et Frédérique Charlotte Hoeltzler, les trois filles mineures délaissées par Catherine Marguerite Ehrlenholtz leur mère, les deux premières issues de son mariage avec Jean Ehrlenholtz et la dernière de Jean Chrétien Hoeltzler sellier – 2. Jacques Martin Lutz vitrier subrogé tuteur, lesdites Ehrlenholtz seules et uniques héritières de Jean Ehrlenholtz leur père et ayeul respectif
à Jean Steinhelber aubergiste et Catherine Salomé Strintz
Une Auberge avec appartenances et dépendances ayant pour enseigne le Cep de vigne vulgairement dite Rubenloch sise à Strasbourg vieux marché aux grains N° 24, d’un côté le boulanger à l’Ecrevisse, de l’autre faisant coin de la place d’armes et de la ruelle dite Rubenlochgässel dans laquelle elle a une issue
plus une maison contenant écurie et grenier servant à ladite auberge sise derrière ladite auberge ruelle dite Brennergässel a côté du Sr Kolb brasseur – provenant de de la succession de Jean Ehrlenholtz
(charges, clauses et conditions) 8. dans le présent bail ne sont point compris les boutiques attenant a l’extérieur de l’Auberge louée – moyennant un loyer annuel de 1600 francs
Enregistrement, acp 106 f° 40 du 21.5.

Les héritiers Ehrlenholtz vendent la maison à l’architecte Jacques Schlagdenhauffen. Le rapport d’experts relève que le bâtiment en mauvais état devra être reconstruit. La deuxième adjudication expose les immeubles à un prix inférieur à celui de l’estimation.

1813 (5.4.), Strasbourg 10 (55), M° Zimmer n° 5950
Adjudication définitive – n° 3584, 5748 Cahier des charges du 19 décembre – 1. Susanne Catherine Ehrlenholtz épouse de Jean Daniel Stromeyer propriétaire, 2. ledit Jean Daniel Stromeyer tuteur ordinaire de Charlotte Sophie Ehrlenholtz et Frédérique Charlotte Hoeltzer, les deux filles mineures de Catherine Marguerite Ehrlenholtz issue la première de son mariage avec Jean Ehrlenholtz et l’autre du second lit avec Jean Chrétien Hoeltzer, les deux selliers, 3. Jean Nicolas Dietsch teinturier, subrogé tuteur aux mineures, 4. Catherine Marguerite Ehrlenholtz fille mineure délaissée par lesdits conjoints Ehrlenholtz et émancipée par le mariage qu’elle a contacté avec Jean Louis Steiner, négociant, assitée de Jean Georges Dietsch négociant curateur à l’émancipation, seuls et uniques héritiers Jean Ehrlenholtz propriétaire, la D° Stromeyer pour moitié, les (autres) par représentation de leur mère pour l’autre moitié, suivant inventaire dressé par ledit notaire le 24 février 1807 * jugement du Tribunal civil du 15 octobre dernier, rapport d’experts du 21 novembre (Procuration, Jean Louis Steiner négociant demeurant présentement en cette ville de Mülhausen arrondissement d’Altkirch)
à Jacques Schlagdenhauffen architecte, pour 15.000 francs
Désignation des immeubles à vendre, Premièrement une maison qui a servi jusqu’ici d’Auberge à l’enseigne du Cep de Vigne ayant rez de chaussée, cave, pompe et trois étages sise à Strasbourg au Coin de la place d’armes n° 24, d’un côté ladite place, de l’autre la maison du Sr Hummel boulanger, derrière rue des incendiaires vulgairement appelé Rubenlochgaessel, estimée par les experts à 18.000 francs
Et un bâtiment servant d’écuries et de grénier à foin ayant rez de chaussée, cave voutée et deux étages dépendant de ladite auberge en cette ville dans le cul de sac de la rue des incendiaires vulgairement appelé Rubenlochgaessel, d’un côté la maison du Sr Kolb brasseur, de l’autre les maisons des Sr Wingert et Schultz estimée 2000 francs
Enonciation des Titres de propriété. Dans la 10° vacation de l’inventaire susdésigné dans laquelle ne sont inventoriés à l’appui de la propriété desdits immeubles que 1. contrat de vente du 15 novembre 1635 par lequel Laurent Roser tonnelier comme tuteur des enfants de Nicolas Welt aubergiste a vendu ladite auberge à Jean Hammerer brasseur, 2. contrat de vente du 8 février 1658 par lequel Jean Fronhöffer aubergiste a acquis ladite auberge des enfants dudit Jean Hammerer, 3. contrat de vente du 10 juillet 1697 par lequel Jean Nicolas Wittmar passementier curateur des enfants de Ursule Fronhöffer femme de Dietsch a vendu la moitié indivise de ladite maison à Jean Fronhöffer qui était déjà propriétaire de l’autre moitié, 4. contrat de vente du 30 mars 1709 qui justifie que Jean Jacques Stempel, aubergiste, a acquis la propriété de ladite auberge dudit Jean Fronhöffer. Nota ladite auberge doit avoir été acquise postérieurement par le père du défunt Sr Ehrlenholtz, etre échue à ce dernier comme seul enfants unique héritier dudit son père Mais il ne s’est trouvé aucun contrat ni Inventaire de la succession (Procuration, Jean Louis Steiner négociant demeurant présentement en cette ville de Mülhausen arrondissement d’Altkirch)
Adjudication préparatoire du 1 février n° 5783 exposés en bloc à 20.000 francs
Adjudication définitive du 22 février n° 5861 sans mise – deuxième adjudication définitive du 5 avril n° 5934
Rapport d’experts n° 225 – Rapport d’expertise Frédéric Arnold, Jacques Stolz et Daniel Kolb les trois architectes – la maison scise en cette ville au coin de la place d’armes marqué du n° 24 ayant façade du côté des grandes arcades et le petit sur la rue des incendiaires contient un rez de chaussée et deux étages, le troisième forme des deux côtés une galérie couverte et se termine par un comble double, au dessous du rez de chaussée se trouve une cave solivée, le rez de chaussée contient corridor, cuisine, une pompe et un sallon, Le premier étage est distribué en deux chambres une chambre de domestiques et des latrines, Le second étage contient cinq chambres pour loger des étrangers, Le troisième étage a cinq chambres pour le même usage et une chambre pour le militaire, une galérie donne des deux côtés sur ces appartements, le comble contient trois greniers. Cet immeuble a pour enseigne le cep de vigne et a jusqu’à ce moment servi d’auberge, le mauvais état dans lequel il se trouve menace sa ruine et exigera reconstruction, estimée à la somme de 18.000 francs
Un bâtiment servant d’écurie et de grenier à foin scis dans un petit cul de sac dans la ruelle des incendiaires il est construit à rez de chaussée en maçonnerie et deux étages en galendure terminé par un mi-toit, Au dessous d’une parte du rez de chaussée se trouve une petite cave voutée, le rez de chaussée forme une écurie, les deux étages supérieurs et le grenier sont destinés aux fourages, nous estimons la valeur de cet immeuble qui se trouve aussi en mauvais état à 2000 fr
Enregistrement, acp 122 f° 37-v du 8.4.

Originaire de Hœnheim, le charpentier Jacques Schlagdenhauffen épouse en 1800 Marguerite Elisabeth Haas, fille du charpentier Jean Valentin Haas
1800 (19 prairial 8), Strasbourg, M° F. Grimmer (minutes en déficit)
Contrat de mariage – Jacques Schlagdenhauffen
Marguerite Elisabeth Haas
Enregistrement, acp 74 F° 55 du 22 pr. 8

Mariage, Strasbourg (n° 273)
Cejourd’hui 30° Prairial l’an VIII de la République française une et indivisible (…) sont comparus pour contracter mariage d’une part Jacques Schlagdenhauffen, âgé de 33 ans, Charpentier, domicilié en cette ville depuis huit ans, natif de Hoenheim, Département du Bas Rhin, fils de feu Jean Georges Schlagdenhauffen, Cultivateur audit lieu, et de feüe Ursule Zimmer, d’autre part Marguerite Elisabeth Haas, âgée de 27 ans, née et domiciliée en cette ville, fille de Jean Valentin Haas, charpentier, & de Marie Salomé Grimmer (…) 1° l’acte de naissance du futur portant qu’il est né le 10 juillet 1766 (…) 2° l’acte de naissance de la future portant qu’elle est née le 23 octobre 1772 (signé) Jacob Schlachtenhauffen, Margaretha Elisabetha Haaß (i 145)

Marguerite Elisabeth Haas meurt en 1804 en délaissant trois enfants
1804 (1 nivose 13), Strasbourg 13 (20), M° Bremsinger n° 2166
Inventaire de la succession de Marguerite Elisabeth Haas épouse de Jacques Schlagdenhaufen, Maître Charpentier, décédée le 17 vendemiaire dernier – à la requête des trois enfants, Jacques Lix conducteur à l’arsenal tuteur subrogé
Dénomination des héritiers, 1. Frédéric Jacques, âge de 2 ans et demi, 2. Théodore, âge de 18 mois, 3. Louis Albert, âge de 2 mois – Contrat de mariage reçu Grimmer notaire à Strasbourg le 19 prairial 8, entre Jacques Schlagdenhauffen, Garçon Charpentier en cette ville fils majeur de feu Georges Schlagdenhauffen laboureur à Bischheim et de feu Ursule née Zimmer, Marguerite Elisabeth Haas fille de Jean Valentin Haas maître charpentier et de Marie Salomé née Grimmer

dans la maison mortuaire au finckwiler n° (-)
Bien grevé d’usufruit appartenant en propre aux héritiers, Un cinquième par indivis des deux tiers de maison cour jardin appartenances aisances et dépendances situé en cette ville au finckweiler N° 42, d’un côté le Sr Loeser d’autre NN, derrière une ruelle communale. Un tiers appartient en propriété à la grand mère des héritiers Marie Salomé Grimmer veuve de Jean Valentin Haas, les deux autres tiers à ses cinq enfants. Titres de propriété de la totalité de la maison, Chambre des Contrats le 1 février 1765, il est fait mention de ladite maison dans l’inventaire de la succession de Jean Valentin Haas dressé par M° Grimmer le 12 brumaire 11
Série des rubriques, propres aux héritiers, meubles 946 fr, argenterie 16 fr, remplacement 600 fr, dettes actives 300 fr, total 1862 fr
propres au veuf, meubles 40 fr, ustensiles de métier (sans estimation), remplacement 2064 fr, total 2164 fr, passif 300 fr, propres du veuf 1804 fr
communauté, meubles 415 fr, bois de charpente 600 fr, dettes actives 5113 fr, total 6128 fr, passif 5495 fr, reste 633 fr
Enregistrement, acp 95 F° 72 du 3 nivose 13

Jacques Schlagdenhauffen se remarie avec Marguerite Barbe Mühlschlegel
1805 (24 therm. 13), Strasbourg 13 (22), M° Bremsinger n° 2693
Contrat de mariage – Jacques Schlagdenhaufen architecte veuf
Marguerite Barbe Mühlschlegel, fille de feu Sr Jean Jacques Mühlschlegel, négociant et de Marguerite Barbe née Müller assitée de Georges Henri Rüsamen négociant
Enregistrement, acp 97 F° 85 du 29 therm. 13

Inventaire des apports
1805 (10 nivôse 14), Strasbourg 13 (23), M° Bremsinger n° 2898
Inventaire des apports Jacques Schlagdenhauffen architecte et D° Marguerite Barbe Mühlschlegel, assitée du Sr Jean Frédéric Müller négociant son oncle, contrat de mariage passé devant moi le 24 thermidor dernier
en la maison sise au Finckweiller n° (-)
le mari, meubles 1292 fr, ustensiles 1800 fr, argenterie 59 fr, numéraire 400 fr, dettes actives 8562 fr, total 12 114 fr, présents de noces 183 fr, total 12.297 fr
passif ses enfants du premier lit avec Marguerite Elisabeth Haas, inventaire de la succession dressé par le soussigné notaire. clos le 1 nivôse 13, 5886 fr, reste 6410 fr, dettes actives douteuses 380 fr
la femme, meubles 584 fr, argenterie 68 fr, numéraire 1200 fr, total 1852 fr, présents de noces 183 fr, total 2035 fr
Enregistrement, acp 98 F° 82 du 9.1.

Jacques Schlagdenhauffen loue une partie de la maison au chapelier René Moriceau

1814 (22.10.), Strasbourg 2 (39), M° Knobloch n° 6769
Bail pour 9 annees à commencer à la St Jean prochaine – Jacques Schlagdenhauffen maître charpentier
à Réné Moriceau chapelier
dans la maison appartenant en propre au premier et située au bas de la place d’Armes n° 24 faisant le coin d’un côté NN boulanger d’autre la rue dite Brennegass ce qui suit savoir, la première boutique et l’arrière boutique au rez de chaussée qui fait le coin sur la place d’Armes, plus le troisième étage complet deux chambres au cinquième étage et deux caves séparées au dessous de ladite maison – moyennant un loyer annuel de 1642 francs

Jacques Schlagdenhauffen meurt en 1817 en délaissant un fils de son premier mariage et une fille du deuxième.

1818 (24.2.), Strasbourg 8 (21), M° Roessel n° 5210
Inventaire de la succession de Jacques Schlagdenhaufen, architecte décédé le 31 octobre dernier – à la requête de 1. Marguerite Barbe Mühlschlegel la veuve, mère et tutrice légale de Sophie Elise, 2. Jean Jacques Lix tuteur de Frédéric Jacques Schlagdenhaufen, enfant mineur issu du premier mariage du défunt avec Marguerite Elisabeth Haas – en présence Jean Daniel Lichtenberger, coutelier, subrogé tuteur de l’enfant du premier lit, Jean Frédéric Boden, orfèvre subrogé tuteur de l’enfant du second lit – Contrat de mariage reçu M° Bremsinger le 24 thermidor 13

immeubles de la communauté. Suivant contrat reçu M° Zimmer le 5 avril 1813, le défunt a acquis pour 15.000 francs des héritiers Jean Ehrlenholtz propriétaire une maison avec cave, pompe; aisances, dépendances située à Strasbourg au coin de la place d’Armes n° 24, d’un côté ladite place, de l’autre la maison du Sr Hummel boulanger, derrière la rue des Incendiaires – les héritiers Ehrlenholtz en étaient propriétaires suivant inventaire dressé par M° Zimmer le 24 février 1807, ledit Ehrlenholtz avait recueilli la maison dans la succession de son père dont il était seul et unique héritier, elle appartenait antérieurement à Jean Jacques Stempel, aubergiste, qui l’avait acquis de Jean Fronhoeffer le 30 mars 1709, ledit Fronhoeffer en était propriétaire par deux actes du 8 février 1658 et 10 juillet 1697, elle avait appartenu à Jean Hammerer boucher de qui Jean Fronhoeffer en tenait une partie par contrat du 15 novembre 1635 – occupée par le Sr Moriceau chapelier par bail reçu M° Knobloch le 22 octobre 1814 pour 1642 francs, le Sr Remond marchand parfumeur 200 fr, le Sr Meyer pensionnaire 120 fr, le Sr Loyson plumassier 72 fr, ensemble 2034 fr, en capital 40.680 fr
Suivant adjudication devant M Kern juge au Tribunal de Première Instance le 22 juin 1815 et déclaration de command le 24 juin le défunt a acquis à la barre du Tribunal Civil des héritiers Michel Leininger laitier une maison située à Strasbourg rue St Jean n° 8, d’un côté la veuve Scheerer de l’autre veuve Bietrich, derrière le fossé de la ville – le Sr Leininger l’avait acquise par contrat passé devant le notaire soussigné le 14 décembre 1813, acquis par procès verbal au ci-devant district de Strasbourg le 16 ventôse 2 pour 7000 fr, louée au Sr Decker surveillant à la manufacture des tabacs pour 240 fr estimée 4800 fr
Procès verbal à la barre du Tribunal Civil d’une maison située rue de l’Eveque n° 4, d’un côté Jean Pierre Diller de l’autre Jean Frédéric Knorr par derrière la propriété du Sr Humann, saisie réellement sur Antoine Sultzer, tisserand, suivant adjudication définitive à Laemmermann le 22 mai 1817 et déclaration de command même jour pour 3500 fr – louée au nommé Scherflin pour 150 fr, en capital 3000 fr. Ledit Sultzer l’avait acquis du Sr Schlagdenhaufen même par acte reçu M° Knobloch le 25 avril 1811, ledit Schlagdenhaufen l’avait acquis de Dlle Anne Marguerite Koch par acte reçu M° Bossenius le 3 juillet 1807
Par adjudication dressée le 25 mars 1815 et déclaration de command le surlendemain, le défunt a acquis à la barre du Tribunal Civil dans l’expropriation forcée dirigée contre Jean Nicolas Gingelwein laboureur et Marie Klein au Neuhoff une maison située audit lieu d’un côté et d’autre chemins communaux derrière propriété de Cyprien Heyer – occupée par un nommé Piltz pour 40 fr, en capital 800 fr
Par procès verbal d’adjudication au Tribunal civil de première instance le 20 mai 1813 et déclaration de command le surlendemain transcrit au bureau des hypothèques vol. 72 n° 31,le défunt a acquis avec Georges Michel Gruber architecte à Strasbourg chacun pour moitié de la maison sise en cette ville grand rue n° 55, d’un côté le Sr Schoch graissier, de l’autre le Sr Filter tailleur aboutissant sur le Sr Gruber, provenant de Martin Baerdel boulanger et Marie Salomé Ackerlin suivant acte dressé par M° Stoeber le 27 octobre 1814, la majeure partie louée à Nicolas Boeckel boulanger et Marguerite Dorothée Boeschett pour 520 fr en capital 12.480 francs, faisant la moitié 6240 fr
dans une maison quartier Finckwiller n° 43 – mobilier apporté suivant inventaire des apports dressé par M° Bremsinger le 31 décembre 1805 existant 702 fr, moitié des présents de noces 88 fr, remploi de la veuve 1283, argenterie 21 fr, garde robe 165 fr, remploi 6857 fr, total 7834 fr, du au fils du premier lit 1339 fr, reste 6495 fr
communauté meubles 304 fr, outils 557 fr, créances 13.605 fr, total 14.466 fr ; ensemble 55.520 fr, actif 69.986 fr, passif 36.772 fr, balance 33.213 fr
vacation du 27.3. (acp 138 F° 84 du 28.3.)

Jacques Schladenhauffen meurt le premier novembre (et non le 31 octobre comme le mentionne l’inventaire). Le lieu d’origine est inexact comme le montre l’acte de mariage.
Décès, Strasbourg (n° 1821) Déclaration de décès faite le 2 novembre 1811. Jacques Schladenhauffen âgé de 51 ans, né à Strasbourg, époux en secondes noces de Marguerite Barbe Mühlschlegel, mort en cette mairie le premier du mois courant à huit heures du matin dans la maison N° 43 rue finckwiller, fils de feu Jean George Schladenhauffen, Cultivateur et de feu Ursule Zimmer. Premier déclarant, Jean Daniel Lichtenberger agé de 51 ans, coutelier, beau-frère du décédé [in margine :] Maladie organique (i 105)

Marguerite Mühlschlegel passe un nouveau bail avec le chapelier René Moriceau

1825 (8.2.), Strasbourg 2 (57), M° Weigel n° 3576
Bail de 9 années à commencer le 25.3. prochain – Marguerite Mühlschlegel veuve de Jacques Schlagdenhauffen, charpentier, tant en son nom et pour Frédéric Jacques Schlagdenhauffen charpentier domicilié à Strasbourg demeurant Paris seul et unique héritier
à René Moriceau, marchand chapelier
les localités qui se trouvent dans la maison située à Strasbourg place d’Armes n° 26 faisant le coin de la place d’Armes et de la rue dite Brennergasse savoir
1. le magasin au rez de chaussée éclairé sur la place d’Armes et le cabinet ou l’arrière boutique y attenant,
2. tout le troisième et le quatroime étage sans exception,
3. trois pièces au cinquième étage,
4. les caves affectées aux logements des troisième et quatrième étage,
5. tout le petit grenier formant le 7° ou le comble,
6. la jouissance concuremment avec les autres locataires du grand grenier – moyennant un loyer annuel de 1200 francs
Enregistrement, acp 171 F° 181-v du 11.2.

Lors de la liquidation, la maison au coin de la place d’Armes revient à la veuve, héritière de sa fille.

1827 (15.6.), Strasbourg 8 (44), M° G. Grimmer n° 1695
Liquidation et partage – à la requête de Marguerite Barbe Mühlschlegel, veuve de Jacques Schlagdenhauffen, architecte décédé le 31 octobre 1817 et héritière pour un quart de Sophie Elise Schlagdenhauffen décédée le 28 janvier 1821 – Frédéric Jacques Schlagdenhauffen fils procréé avec Elisabeth Haar première femme du défunt, frère consanguin de Sophie Elise
Première observation. Succession Schlagdenhauffen, Le sieur Jacques Schlagdenhauffen est décédé en laissant deux enfants le Sr Schlagdenhauffen du premier mariage avec Marguerite Elisabeth Haus et Sophie Elise du second mariage avec la veuve, suivant inventaire dressé par M° Roessel le 27 mars 1818, et contrat de mariage reçu M° Bremsinger le 4 thermidor 13
vente de la maison grand rue n° 55 par acte reçu M° Stoeber le 26 février 1818, vente de la maison au Neuhoff M° Roessel le 15 mars 1821
7. immeubles, une maison avec dépendances située à Strasbourg au coin de la place d’Armes n° 24, d’un côté la place, de l’autre la maison du Sr Hummel boulanger, derrière rue des Incendiaires – acquis par acte reçu M° Zimmer le 5 avril 1813, estimée à 32.000 francs
8. une maison située en cette ville rue St Jean n° 8, d’un côté la veuve Scheerer, de l’autre la veuve Dietrich, derrière le fossé de la ville – acquis par jugement d’adjudication au tribunal civil, M. Kern juge, le 22 juin 1815 et déclaration de command du 24 juin estimée 4000 francs
une maison sise à Strasbourg rue de l’Evêque n° 4, d’un côté Jean Jacques Diller, de l’autre Jean Frédéric Knoerr, derrière la propriété du Sr Humann – acquis à la barre du tribunal civil le 22 mai 1817 et déclaration de command du même jour, estimée 3000 francs
total de l’actif 51 074, total du passif 19 649 fr
à la veuve. 2. une maison place d’Armes n° 24 estimée 32.000 fr
Sr Schlagdenhauffen : 7. une maison à Strasbourg rue St Jean n° 8 estimée 4000
8. une maison rue de l’Evêque estimée 3000 fr
Enregistrement, acp 184 F° 64-v du 15.6.v

Marguerite Mühlschlegel passe un nouveau bail avec René Moriceau. Elle lui loue toute la maison

1827 (17.10.), Strasbourg 2 (63), M° Weigel n° 5009
Bail de 9 années commençant le 11 novembre dernier – Marguerite Mühlschlegel veuve de Jacques Schlagdenhauffen, charpentier
à René Moriceau, marchand chapelier
le reste de la maison qui n’a pas déjà été loué audit Sr Moriceau par acte reçu Weigel notaire en cette ville le 8 février1825 de sorte que ledit Sr Moriceau détient en ce moment à titre de bail la totalité de ladite maison, cette maison est située à Strasbourg place d’Armes n° 24 et fait un des coins de la rue dite Brennergasse – moyennant un loyer annuel de 1300 francs
Enregistrement, acp 186 F° 26-v du 19.10.

Marguerite Barbe Muhlschlegel vend la maison à son beau-fils Frédéric (Jacques) Schlagdenhauffen

1828, Enregistrement de Strasbourg, ssp 56 du 22 janvuer 1828
acte s.s.p du 22 novembre 1827 – Dame Marguerite Barbe Muhlschlegel veuve de feu le Sieur Jaques Schlagdenhaufen architecte à Strasbourg où elle demeure d’une part
et Sieur Frédéric Jaques Schlagdenhaufen architecte demeurant en ladite ville d’autre part
Il a été fait conclu et arrêté la vente conditionnelle qui suit, savoir la veuve Schlagdenhaufen née Muhlschlegel vend et transporte sous les garanties de droit au Sieur Frédéric Jaques Schlagdenhaufen ce comptant, une maison avec droit appartenances et dépendances sise à Strasbourg au coin de la place d’armes au N° 25 d’un côté ladite place de l’autre la maison du sieur Hummel boulanger demeurant par devant sur la rue des grandes arcades et par derrière sur celle des incendiaires, ainsi qu’elle se trouve et se comporte (…). La propriété de la maison a été transmise a la venderesse par l’effet de la liquidation dressée par M° Grimmer notaire en cette ville le 15 Juin 1827 de la succession de feu son dit mari et de la communauté de biens qui avait existé entre elle et ce dernier et durant laquelle communauté ladite maison a été acquise des héritiers de Jean Ehrlenholtz vivant propriétaire à Strasbourg suivant acte passé devant M° Zimmer notaire en cette ville le 5 avril 1813. Cette vente est faite pour le prix de 32.000 francs que l’acquéreur aura à verser dans la masse de la succession de la venderesse sans intérêts (…) il est de convention expresse que la présente vente ne sortira son effet et n’aura son exécution qu’au jour du décès de la venderesse et pour le cas seulement où cette dernière viendrait à décéder avant l’acquéreur
[in margine :] la venderesse est décédée au mois de janvier courant

Marguerite Barbe Mühlschlegel meurt en 1828
1828 (11.7.), Strasbourg 8 (nouv. cote 45), M° G. Grimmer n° 2301
Inventaire de la succession de Marguerite Barbe Mühlschlegel, veuve de Jacques Schlagdenhauffen en son vivant architecte à Strasbourg où elle est décédée le 2 janvier dernier – à la requête de Frédéric Jacques Schlagdenhauffen, architecte en ladite ville
Testament olographe du 16 janvier dernier enreg. le 24 janvier folio 107
acp 190 (3 Q 29 905) f° 74-v du 15.7. La masse active mobilière se monte à 32.545 francs (garde robe 110 fr, meubles de ménage 433 fr, deniers comptants rien, créance 32.000 fr) le passif à 6850 fr

Frédéric Jacques Schlagdenhauffen vend au marchand chapelier René Moriceau la maison que son père a fait reconstruire à la place de celle qu’il a achetée en 1813.

1829 (21.1.), Strasbourg 8 (46 nouv. cote), M° G. Grimmer n° 2575
Frédéric Jacques Schlagdenhauffen, architecte, et Madeleine Elisabeth Frédérique Imlin
à René Moriceau, marchand chapelier
Désignation de l’immeuble vendu, une maison avec cave, pompe & tous autres droits, appartenances & dépendances sise à Strasbourg au coin de la Place d’Armes rue des Grandes Arcades n° 24, du côté de ladite place la maison du Sr Hummel boulanger, de l’autre la rue des Incendiaires, l’acquéreur occupant à titre de locataire la maison vendue. Etablissement de la propriété, acquise de Marguerite Barbe Mühlschlegel veuve de Jean Jacques Schlagdenhauffen, architecte à Strasbourg le 22 novembre 1827 par acte sous seing privé enregistré le 22 janvier 1828 f° 105, déposé en l’étude de M° Grimmer soussigné le 25 janvier suivant. Le même immeuble appartenait à la veuve Schlagdenhauffen suivant Liquidation par le soussigné notaire Grimmer le 15 juin 1827, en partie de la communauté et de la succession de Sophie Elise Schlagdenhauffen sa fille décédée sans postérité. Ledit Schlagdenhauffen avait fait la construction de la maison présentement vendue sur le terrain où se trouvait une vieille maison par lui acquise des héritiers Jean Ehrlenholtz, propriétaires, suivant acte reçu M° Zimmer le 5 avril 1813 pour 15.000 francs, les héritiers de Jean Ehrlenholtz en étaient propriétaires suivant inventaire dressé par M° Zimmer le 24 février 1807. Le sieur Ehrlenholtz avait recueilli le même immeuble dans la succession de son père dont il était seul et unique héritier. Cet immeuble avait appartenu antérieurement à Jean Jacques Stempel, aubergiste, qui l’avait acquis de Jean Fronhoeffer le 30 mars 1709, ledit Fronhoeffer en était propriétaire par deux actes des 8 février 1658 et 10 juillet 1697 – moyennant 32.000 francs
Enregistrement, acp 193 F° 28-v du 23.1.

Originaire de Coulans dans la Sarthe, René Moriceau épouse en 1811 Madeleine Marie Antoinette Kleybler, fille du tailleur militaire Joseph Kleybler : contrat de mariage, célébration
1811 (7.9.), Strasbourg 2 (34), M° Knobloch n° 5285
Contrat de mariage – René Moriceau, marchand chapelier à Strasbourg, fils de François Moriceau et d’Anne Marianneau demeurant au Mans (Sarthe)
Madeleine Marie Antoinette Kleybler, fille majeure de Joseph Kleybler, maître tailleur au 7° régiment de chasseurs à cheval, et Marie Agnese Dupont demeurant à Strasbourg
Enregistrement, acp 118 F° 2-v du 10.9.

Mariage, Strasbourg (n° 348)
Acte de mariage, célébré à l’hôtel de ville de Strasbourg à neuf heures du matin le 15 octobre 1811. René Moriceau, mineur dans, né le 8 mars 1789 à Coulans, département de la Sarthe, domicilié de droit au Mans, Département susdit, chapelier, fils de François Moriceau, limonadier au mans, et d’Anne Marionneau
Madeleine Marie Antoinette Kleybler, majeure dans, née le 6 août 1790 à Saint Lo Département de la manche, domiciliée de droit à Strasbourg, fille de Joseph Kleybler, chef tailleur du 77° régiment de chasseurs à cheval en garnison en cette ville, et d’Agnès Dupont, ci présente et consentante (i 25)

Moïse Bloch et Simon Katz exploitent un magasin dans la maison de René Moriceau

1834 (30.5.), Enregistrement de Strasbourg, ssp 64 F° 88-v, ssp du 27.5.
Traité de société – Moyse Bloch, commerçant à Strasbourg et Simon Katz aussi commerçant demeurant à Cernay (Haut Rhin) actuellement audit Strasbourg
1. les Sr Bloch et Katz s’associent pour le commerce de marchandises de confectionnage à Strasbourg
2. pour trois années consécutives à dater du 27 mai courant, la société sera gérée sous la raison Bloch et Katz
4. la mise de fonds du Sr Bloch consiste dans la moitié des marchandises existant présentement dans le magasin qu’il a occupé jusqu’ici maison Moriceau Grandes Arcades n° 24

René Moriceau renonce aux avantages assurés par son contrat de mariage
1859 (29.7.), Strasbourg 10 (139), M° Zimmer (Louis Frédéric) n° 13.176
Renonciation à usufruit et don matutinal – Mr. René Moriceau, rentier, membre du conseil municipal de Strasbourg, demeurant et domicilié en cette ville, déclare par les présentes renoncer purement et simplement au droit d’usufruit viager qui lui compète en vertu de son contrat de mariage passé devant M° Knobloch alors notaire à Strasbourg le 7 septembre 1811 sur la succession de feue dame Madeleine Marie Antoinette Kleybler, son épouse défunte décédée à Strasbourg le 11 février 1859
aux présentes est intervenu Mr François Réné Jules Moriceau fils, marchand chapelier demeurant et domicilié à Strasbourg, lequel, de son côté, déclare renoncer purement et simplement au don matutinal de 1000 francs constitué au profit de sa défunte mère susnommée et réversible du le tête de l’intervenant aux termes de l’article sept du contrat de mariage susallégué
acp 480 (3 Q 30 195) f° 25-v du 29.7.

René Moriceau reçoit en partage la maison lors de la liquidation de la communauté qui a existé entre lui et sa femme

1863 (7.9.), M° Zimmer
Liquidation et partage de la communauté de biens qui a existé entre Réné Moriceau, père ancien chapelier à Strasbourg et Madeleine Marie Antoinette Kleybler sa femme et de la succession de ladite D° Moriceau décédée le 11 février 1859
dressé à la requête de 1) du père agissant comme commun en biens en vertu de son contrat de mariage reçu Knobloch le 7 septembre 1811, 2) François Réné Jules Moriceau fils, chapelier à Strasbourg
acp 524 (3 Q 30 239) f° 97-v du 8.9. (succession déclarée le 29 juillet 1589) Communauté. Masse active. Une Maison à Strasbourg place Kleber N° 4 estimée à 60.000, Rapport du fils 15.000, Maison 4000, (total) 79.000
à déduire 1) reprises du veuf 3000, 2) reprises de la défunte 6000, total 9000, reste 70.000, faisant la moitié 35.000
Succession, moitié de la communauté 35.000, Reprises 6000, (total) 41.000
Abandonnements. M. Moriceau père a droit 1) bénéfice de la communauté 35.000, 2) Reprises 3000, total 38.000
Il reçoit la maison, 60.000

René Moriceau hypothèque la maison au profit de la fabrique de l’église protestante du Temple Neuf

1863 (7.9.), Strasbourg 10 (150), M° Zimmer (Louis Frédéric) n° 15.238
Obligation du 7 septembre 1863 – Monsieur René Moriceau, ancien chapelier, propriétaire, demeurant et domicilié à Strasbourg, lequel reconnaît par les présentes devoir bien et légitimement
1° à la Fabrique de l’Eglise protestante du Temple Neuf à Strasbourg, établie & domiciliée en cette ville, pour laquelle est ci-présent, stipule et accepte Mr Jean Charles Reichard son receveur, ancien négociant, demeurant et domicilié en cette ville, la somme principale de 20.000 francs, pour prêt de pareille somme (…)
Gage hypothécaire. Une maison avec appartenances && dépendances sise à Strasbourg au coin de la place Kleber & de la rue des Arcades N° 4 autrefois N° 24, d’un côté la maison de M. Hummel & par derrière la rue des incendiaires. Cet immeuble appartient à M. Moriceau débiteur pour lui avoir été attribué en toute propriété par l’acte de liquidation et partage 1° de la communauté de biens qui a existé entre lui et Dame Madeleine Marie Antoinette Kleybler, sa défunte épouse aux termes de leur contrat de mariage passé devant M° Knobloch alors notaire à Strasbourg le 7 septembre 1811. 2° & de la succession de ladite Dame Moriceau, décédée en cette ville le 11 février 1859, laissant pour seul héritier M. François Réné Jules Moriceau, son fils, chapelier à Strasbourg. Ledit acte de liquidation et partage dressé le 7 septembre 1863 par M° Flach et Zimmer, notaires soussignés & dont la minute est restée à M° Zimmer l’un d’eux, pour être enregistrée avec les présentes. Il contient quittance de la soulte de 22.000 francs y stipulée en faveur de M. Moriceau fils sur le prix d’abandonnement de la maison affectée ci-dessus. Cette maison avait été acquise par les époux Moriceau Kleybler pendant leur mariage de M. Frédéric Jacques Schlagdenhauffen, architecte, & de Mad° Madeleine Elisabeth Frédérique Imlin, conjoints à Strasbourg, aux termes d’un contrat de vente passé devant M° Louis Léopold Guillaume Grimmer, alors notaire en cette ville le 21 janvier 1829 transcrit au bureau des hypothèques de la même ville le 26 du même mois volume 219 n° 58 avec inscription d’office au volume 185 n° 14. Cette inscription d’office a été radiée définitivement en conséquence d’un acte passé devant le même M° Grimmer le 27 novembre 1835. M. Moriceau père certifie que le prix de cette acquisition a été intégralement payé, ce dont il s’oblige de justifier à la créancière à leur première demande – Déclaration (…) – Réserve d’un second emprunt avec concurrence

René Moriceau hypothèque la maison au profit de l’église protestante de Saint-Guillaume et de la caisse générale des veuves de pasteurs de l’église de la Confession d’Augsbourg

1863 (13.10.), Strasbourg 10 (150), M° Zimmer (Louis Frédéric) n° 15.278
Obligation du 13 octobre 1863 – Monsieur René Moriceau, ancien chapelier, propriétaire, demeurant et domicilié à Strasbourg, lequel reconnaît par les présentes devoir bien et légitimement
1° au Conseil presbytéral de l’Eglise protestante de Saint-Guillaume à Strasbourg, séant en cette ville, la somme principale de 10.000 francs
2° à la caisse générale des veuve de Pasteurs de l’Eglise de la Confession d’Augsbourg en France, établie à Strasbourg, aussi la somme principale de 10.000 francs, ensemble la somme principale de 20.000 francs
Garantie hypothécaire. Une maison sise à Strasbourg au coin de la place Kleber & de la rue des Arcades N° 4 autrefois N° 24, d’un côté la maison de Mr Hummel & par derrière la rue des incendiaires. Cet immeuble appartient à M. Moriceau pour lui avoir été attribué en toute propriété par l’acte de liquidation et partage 1° de la communauté de biens qui a existé entre lui et Dame Madeleine Marie Antoinette Kleybler, sa défunte épouse aux termes de leur contrat de mariage passé devant M° Knobloch alors notaire à Strasbourg le 7 septembre 1811. 2° & de la succession de ladite Dame Moriceau, décédée en cette ville le 11 février 1859, laissant pour seul héritier M. François Réné Jules Moriceau, son fils, chapelier à Strasbourg. Ledit acte de liquidation et partage dressé le 7 septembre 1863 par les notaires soussignés & dont la minute est restée à M° Zimmer l’un d’eux. Il contient quittance de la soulte de 22.000 francs y stipulée en faveur de M. Moriceau fils sur le prix d’abandonnement de la maison affectée ci-dessus. Cette maison avait été acquise par les époux Moriceau Kleybler pendant leur mariage de M. Frédéric Jacques Schlagdenhauffen, architecte, & de Mad° Madeleine Elisabeth Frédérique Imlin, conjoints à Strasbourg, aux termes d’un contrat de vente passé devant M° Grimmer, notaire en cette ville le 21 janvier 1829 transcrit au bureau des hypothèques de la même ville le 26 du même mois volume 219 n° 58 avec inscription d’office au volume 185 n° 14. Cette inscription d’office a été radiée définitivement en conséquence d’un acte passé devant ledit M° Grimmer le 27 novembre 1835. M. Moriceau père certifie que le prix de cette acquisition a été intégralement payé, ce dont il s’oblige de justifier aux créanciers à leur première demande – Déclaration (…)

René Moriceau meurt en 1864 en délaissant pour unique héritier son fils François René Jules Moriceau

1866 (10.2.), Strasbourg 3 (108), M° Weiss (Emile) n° 1402
Notoriété du 10 février 1866 (…) avoir parfaitement connu M. René Moriceau, en son vivant ancien chapelier à Strasbourg
Et savoir qu’il est décédé en cette ville ab intestat le 23 mars 1864, Qu’il n’a pas éré fait d’inventaire après son décès, Et qu’il a laissé pour son seul et unique héritier François Réné Jules Moriceau, son fils, chapelier demeurant à Strasbourg
acp 550 (3 Q 30 265) f° 90 du 12.2.

François René Jules Moriceau épouse en 1841 Marie Ursule Henriette Adèle Debray
1841 (31.8.), M° Noetinger
Certificat dépôt contrat de mariage reçu Heberlé notaire à Schlestadt le premier courant entre François René Jules Moriceau et Marie Ursule Henriette Adèle Debray, mineure à Strasbourg
acp 290 (3 Q 30 005) f° 56-v du 1.9.

Mariage, Sélestat (n° 42)
Mairie de Schlestadt, le deuxième jour du mois d’Août 1841 à neuf heures du matin. Acte de mariage de François Réné Jules Moriceau, marchand Chapelier domicilié à Strasbourg, département du Bas-Rhin, âgé de 27 ans né à Strasbourg le 21 janvier 1814, fils légitime majeur de Réné Moriceau, né à Coulans, département de la Sarthe, le 8 mars 1789, marchand Chapelier domicilié à Strasbourg, ci présent et consentant, et de Marie Madeleine Antoinette Kleybler, sans Etat, née à Saint-Lo, département de la Manche le 6 août 1790, domiciliée audit Strasbourg, consentant par acte authentique ci-joint
Et de Marie Henriette Ursule Adèle Debray, sans etat, domiciliée à Schlestadt, âgée de 20 ans, née à Delle, département du Haut-Rhin, fille légitime mineure de Jean François Debray, receveur principal des Douanes, né à Falvy, département de la Somme le 19 novembre 1779 et de Catherine Ursule Paschali, sans Etat, née à Delle, âgée de 60 ans, Conjoints domiciliés à Schlestadt ci présent, et consentants (signé) Jules Moriceau, Adèle Debraÿ (i 23)

1841 (30.7.), M° Striffler
Consentement par Marie Madeleine Antoinette Kleybler, femme de René Moriceau marchand chapelier à Strasbourg, au mariage de François René Jules Moriceau son fils avec Adèle Debray de Schlestadt
acp 289 (3 Q 30 004) f° 82 du 30.7.

Marie Ursule Henriette Adèle Debray meurt en 1866 en délaissant cinq enfants
1866 (24.1.), Strasbourg 3 (107), M° Weiss (Emile)
Inventaire de la communauté qui avait existé entre François René Jules Moriceau, chapelier, et D° Marie Ursule Henriette Adèle Debray, son épouse défunte à Strasbourg et de la succession de cette der,ière décédée en cette ville le 3 juin 1863.
L’an 1865 le 24 janvier à neuf heures du matin en la Maison située à Strasbourg rue des Grandes Arcades N° 4 nouveau, N° 24 ancien. A la requête de M. François René Jules Moriceau, chapelier, demeurant et domicilié à Strasbourg, agissant ès présentes I. en qualité de père et tuteur légal de ses cinq enfants mineurs issus de son union avec D° Marie Ursule Henriette Adèle Debray son épouse défunte, et nommés René Jules Edouard Moriceau, officier de marine âgé de 20 ans, Pierre Jules Léon Moriceau, voyageur âgé de 18 ans, Marie Antoinette Juliette Moriceau, âgée de 15 ans, Renée Marie Antoinette Moriceau âgée de 7 ans, Marie Antoinette Adèle Moriceau âgée de 3 ans, tous domiciliés de droit à Strasbourg, II. à cause de la communauté de biens qui avait existé entre le Sr requérant et son épouse défunte et des reprises et avantages qu’il peut avoir à exercer en vertu de leur contrat de mariage passé devant M° Heberlé notaire à Schlestadt le premier août 1841. Et en présence de M. Amable Joseph Victor Cassanéa de Modonville capitaine d’artillerie en retraite demeurant à Strasbourg quai des pêcheurs n° 22, agissant ès présentes en qualité de subrogé tuteur desdits cinq enfants mineurs Moriceau, lesdits cinq enfants mineurs seuls et uniques héritiers de ladite mère défunte.

Mobilier. Salle à manger, Chambre de la bonne, Chambre à coucher de M. Moriceau, Au deuxième étage Chambre de la cuisinière, Au grenier, Chambre à linge sâle, Chambre de décharge, Cuisine, Cave
Marchandises. M. Moriceau déclare que le fonds de commerce a diminué depuis le décès de son épouse mais sa réalisation a été reportée en partie au fonds de broderie ci après inventorié. Fonds de broderie d’ornements d’église
acp 550 (3 Q 30 265) f° 29 du 25.1. (succession déclarée le 27 9.bre 1863) Communauté. Mobilier estimé 8772, Fonds de commerce 6000, Fonds de broderie 10.000, Extances 6500, total 31.272
Reprises de la défunte 20.000, du trousseau 4000, total 24.000, reste 7272
Reprises du veuf 15.000, il doit récompense 6000, reste 9000 – Déficit 1728
Garde robe 1077

François Réné Jules Moriceau hypothèque la maison au profit de la banque Ed. Klose et Compagnie

1866 (12.2.), Strasbourg 3 (108), M° Weiss (Emile) n° 1405
Ouverture de crédit – Ont comparu I. M. Edmond Klose, banquier demeurant et domicilié à Strasbourg, agissant en qualité de gérant de la maison de Banque Ed. Klose et Cie établie à Strasbourg d’une part
II. M. François Réné Jules Moriceau, chapelier demeurant et domicilié à Strasbourg
Article premier. M. Klose en la qualité qu’il agit ouvre par les présentes à M. Moriceu qui l’accepte un crédit de 10.000 francs
Affectation hypothécaire. Ville de Strasbourg. Une maison sise au coin de la place Kleber et de la rue des Arcades N° 4 autrefois N° 24, d’un côté la maison de Mr Hummel et par derrière la rue des incendiaires. (…)
Origine de propriété. M. Moriceau déclare être devenu propriétaire de l’immeuble affecté pour l’avoir recueilli dans la succession de son père M. René Moriceau, en son vivant ancien chapelier à Strasbourg dont il est le seul et unique héritier ainsi que cette qualité résulte d’un acte de notoriété dressé par M° Weiss soussigné le 10 du présent mois. M. Moriceau père en était propriétaire pour lui avoir été attribué en toute propriété par l’acte de liquidation et partage 1. de la communauté de biens qui a existé entre lui et D° Madeleine Marie Antoinette Kleybler, sa défunte femme aux termes de leur contrat de mariage passé devant M° Knobloch alors notaire à Strasbourg le 7 septembre 1811. 2. de la succession de ladite D° Moriceau décédée en cette ville le 11 février 1859 laissant pour seul héritier M. Moriceau comparant. Ledit acte de liquidation et partage dressé le 7 septembre 1863 par MM Zimmer et Flach, notaires à Strasbourg dont la minute est restée à M° Zimmer. Il contient quittance de la soulte de 22.000 francs y stipulée en faveur de M. Moriceau comparant sur le prix d’abandonnement de la maison susdésignée. Cette maison avait été acquise par les époux Moriceau Kleybler pendant leur mariage de M. Frédéric Jacques Schlagdenhauffen, architecte et de D° Madeleine Elisabeth Frédérique Imlin, conjoints à Strasbourg, aux termes d’un contrat de vente passé devant M° Grimmer notaire à Strasbourg le 21 janvier 1829 transcrit au bureau des hypothèques de ladite ville le 26 du même mois vol. 219 n° 58 avec inscription d’office au vol. 185 n° 14, laquelle a été radiée définitivement en conséquence d’un acte passé devant ledit M° Grimmer le 27 novembre 1835. Situation hypothécaire (…). Etat civil de M. Moriceau. M. Moriceau déclare qu’il est encore actuellement veuf, qu’il n’est tuteur que de ses enfants mineurs

François Réné Jules Moriceau hypothèque la maison au profit du coutelier Frédéric Eugène Lichtenberger, du capitaine Charles Armand Létang et du professeur Charles Edouard Ferdinand Monoyer

1866 (12.2.), Strasbourg 3 (108), M° Weiss (Emile) n° 1403
Obligation – A comparu M. François Réné Jules Moriceau, chapelier demeurant et domicilié à Strasbourg, agissant ès présentes tant en son nom personnel qu’au nom et comme père et tuteur légal de ses cinq enfants mineurs issus de son union avec D° Marie Ursule Henriette Adèle Debray son épouse défunte, nommés René Jules Edouard Moriceau, officier de marine âgé de 20 ans, Pierre Jules Léon Moriceau, voyageur âgé de 18 ans, Marie Antoinette Juliette Moriceau, âgée de 15 ans, Renée Marie Antoinette Moriceau âgée de 7 ans, Marie Antoinette Adèle Moriceau âgée de 3 ans, tous domiciliés de droit à Strasbourg (…) Lequel comparant aux noms et qualités qu’il agit déclare et reconnaît par ces présentes devoir bien et légitimement, conjointement et solidairement entre lui et ses enfants mineurs
1) à M. Frédéric Eugène Lichtenberger, coutelier
2) à M. Charles Armand Létang, capitaine major en retraite, Chevalier de la légion d’honneur
3) et à M. Charles Edouard Ferdinand Monoyer, agrégé à la faculé de médecine de Strasbourg, tous trois présents et acceptant, demeurant et domiciliés à Strasbourg , la somme principale de 25.000 francs dont 5000 à M. Lichtenberger, 8000 à M. Létang et 12.000 à M. Monoyer. Pour prêt de pareille somme (…)
Hypothèque. Ville de Strasbourg. Une maison sise au coin de la place Kleber et de la rue des Arcades N° 4 autrefois N° 24, d’un côté la maison de Mr Hummel et par derrière la rue des incendiaires. (…)
Etablissement de propriété. M. Moriceau déclare être devenu propriétaire de l’immeuble affecté pour l’avoir recueilli dans la succession de son père M. René Moriceau, en son vivant ancien chapelier à Strasbourg dont il est le seul et unique héritier ainsi que cette qualité résulte d’un acte de notoriété dressé par M° Weiss soussigné cejourd’hui qui sera enregistré avant ou en même temps que les présentes. M. Moriceau père en était propriétaire pour lui avoir été attribué en toute propriété par l’acte de liquidation et partage 1. de la communauté de biens qui a existé entre lui et D° Madeleine Marie Antoinette Kleybler, sa défunte femme aux termes de leur contrat de mariage passé devant M° Knobloch alors notaire à Strasbourg le 7 septembre 1811. 2. de la succession de ladite D° Moriceau décédée en cette ville le 11 février 1859 laissant pour seul héritier M. Moriceau comparant. Ledit acte de liquidation et partage dressé le 7 septembre 1863 par MM Zimmer et Flach, notaires à Strasbourg dont la minute est restée à M° Zimmer. Il contient quittance de la soulte de 22.000 francs y stipulée en faveur de M. Moriceau comparant sur le prix d’abandonnement de la maison susdésignée. Cette maison avait été acquise par les époux Moriceau Kleybler pendant leur mariage de M. Frédéric Jacques Schlagdenhauffen, architecte et de D° Madeleine Elisabeth Frédérique Imlin, conjoints à Strasbourg, aux termes d’un contrat de vente passé devant M° Grimmer notaire à Strasbourg le 21 janvier 1829 transcrit au bureau des hypothèques de ladite ville le 26 du même mois vol. 219 n° 58 avec inscription d’office au vol. 185 n° 14, laquelle a été radiée définitivement en conséquence d’un acte passé devant ledit M° Grimmer le 27 novembre 1835. Situation hypothécaire (…). Etat civil de M. Moriceau. M. Moriceau déclare qu’il est encore actuellement veuf, qu’il n’est tuteur que de ses enfants mineurs

Jules Moriceau loue un magasin aux frères Levy

1867, Enregistrement de Strasbourg, ssp 146 (3 Q 31 645) f° 88-v du 22.5.
20 mars 1867. Bail ainsi conçu – Entre nous soussignés J. Moriceau d’une part
et Levy freres d’autre part qui acceptent comme locataires, ont été arrêtées et consenties les conventions suivantes
Mr Moriceau donne à loyer pour une durée de cinq à neuf ans le magasin du coin de la maison sise rue des grandes arcades n° 4 faisant le coin de la place Kleber et le premier étage de ladite maison pour un loyer annuel de 3000 francs dont 2000 pour le magasin et 1000 francs pour le premier étage (…) Le présent bail aura son effet et commencera à partir de Pâques 25 mars 1867. (…) Mrs Levy frères ne pourront céder leur bail ni sous louer les locaux qu’ils acceptent ni y exercer d’autre industrie que celle dont ils ont fait déclaration à M. J. Moriceau ou établir d’atelier au premier étage (…)

Jules Moriceau loue un magasin à l’horloger Weiser

1867, Enregistrement de Strasbourg, ssp 145 (3 Q 31 644) f° 92 du 11.1.
21 décembre 1866. Bail entre les soussignés J. Moriceau, d’une part, comme propriétaire
et J. Weiser, horloger de l’autre part, ont été arrêtées et consenties les conventions suivantes
Mr J. Moriceau cède et Mr. J. Weiser, accepte un loyer pour une durée de douze ans consécutifs commençant le 25 mars 1868 pour finir à pareil jour 1880 le magasin du susdit Sr. J. Moriceau situé grandes arcades N° 4 Moyennant un loyer annuel de 1500 francs payables selon l’usage par trimestre. (…) Mr Weiser ne pourra exercer dans le local qu’il loue que son industrie d’horloger bijoutier, il ne pourra ni le louer ni céder (…)

Consentement à mariage
1868 (9.12.), M° Noetinger
Consentement par François René Jules Moriceau négociant à Strasbourg à René Jules Edouard Morieau son fils demeurant à Taiti au mariage qu’il se propose de contracter avec Melle Moetia Selmon fille d’un père anglais et d’une mère keneque remariée à Mr Bruder négociant
acp 578 (3 Q 31869 293) f° 40 du 11.12.
le 9 décembre 1868. Consentement par François René Jules Moriceau, négociant à Strasbourg, au mariage de son fils René Jules Edouard Moriceau, enseigne de vaisseau à Taïti embarqué sur le Chevert avec Moesia Salmon à Taïti
acp 578 (3 Q 31869 293) f° 40-v du 11.12.

François René Jules Moriceau meurt en juillet 1870
1870 (12.7.), M° Noetinger
Inventaire des biens de la succession de François René Jules Moriceau, décédé négociant à Strasbourg le 6 juillet 1870, dressé à la requête d 1. Pierre Jules Edouard Moriceau, enseigne de vaisseau, 2. Pierre Jules Léon Moriceau, employé, 3. Marie Antoinette Juliette Moriceau, majeure, 4. Renée Marie Antoinette Moriceau, mineure, 5. Marie Antoinette Adèle Moriceau, mineure, héritiers chacun pour un 5° de leur père
acp 595 (3 Q 30 310) f° 11-v du 22.7. (décès f° 110, succession déclarée, 3756) Succession, mobilier 6771
acp 600 (3 Q 30 315) f° 112-v n° 2226 du 25.10. (vacation du 14 octobre) Beschreibung des Passif Masse 64.436, Begräbnis Unkosten 281

1872, Enregistrement de Strasbourg, ssp 157 (3 Q 31 656) f° 71 du 26.9.
30. Juni 1872. Beneficiar Inventar des Nachlasses von René Julius Moriceau, errichtet durch Cassania von Mondoville, aus welchem hervorgehet, daß die Activmasse sich auf eine Summe von 5732 beläuft und die noch zu zahlende Passivmasse auf 59.695.

Edmond Klose fait saisir la maison de François René Jules Moriceau. L’adjudication au tribunal civil est prononcée au profit du négociant Jacques Levy

1868 (27 janvier), Hypothèque de Strasbourg, Transcription reg. 1137 (3282) n° 8
La Chambre des Criées du tribunal civil de première instance de l’arrondissement de Strasbourg département du Bas-Rhin séant en la ville du Palais de Justice en son audience publique du 17 janvier 1868 a rendu le jugement d’adjudication dont la teneur suit.
Cahier des charges de la vente par expropriation forcée poursuivie à la requête de Monsieur Edmond Klose, banquier domicilié à Strasbourg en qualité de gérant de la maison de Banque Ed. Klose & Compagnie établie à Strasbourg contre le Sieur François René Jules Moriceau, ci devant chapelier à Strasbourg, Mr Jules Doss, licencié en droit, avoué près le tribunal civil de première instance de l’arrondissement de Strasbourg département du Bas-Rhin, constitué et chargé d’occuper pour M. Edmond Klose banquier domicilié à Strasbourg (…) déclare que la maison de banque est créancière du Sieur François René Jules Moriceau ci devant chapelier, domicilié à Strasbourg, en vertu d’un acte d’ouverture de crédit passé devant M° Emile Weiss et son collègue notaires à Strasbourg le 12 février 1866, inscrite au bureau des hypothèques de Strasbourg le 14 du même mois volume 915 numéro 57 (…) Faute de paiement le requérant a par procès verbal de l’huissier Koerttgé en date du 6 août 1867 fait saisir sur le Sieur François René Jules Moriceau l’immeuble dont la désignation suit.

Une maison à quatre étages et mansardes, située à Strasbourg au coin de la place Kleber et de la rue des arcades où elle porte le numéro 4 autrefois 24 tenant de ce côté à la propriété de Mr Hummel et donnant par derrière sur la rue des incendiaires. Cette maison avec ses dépendances située ainsi qu’il est établi ci dessus, canton Nord de la Ville de Strasbourg, arrondissement de Strasbourg Département du Bas Rhin est habitée partie par ledit Sieur Moriceau et les siens et en partie par des locataires, le rez-de-chaussée à droite en entrant formant le coin de la place Kleber est loué comme magasin de draperie.
Le procès verbal de saisie immobilière a été dénoncé audit Sieur Moriceau par exploit dudit huissier Koerttgé en date du 7 août 1867. Le procès verbal de saisie et l’exploitation de dénonciation susénoncés ont été transcrits au bureau de la conservation des hypothèques de Strasbourg le 10 août 1869.
Origine de la propriété. Dans l’acte de l’ouverture de crédit susrelaté, le Sieur Moriceau a déclaré être devenu propriétaire de l’immeuble dont s’agit pour l’avoir recueilli dans la succession de son père le Sieur René Moriceau en son vivant ancien chapelier à Strasbourg dont il est le seul et unique héritier ainsi que cette qualité résulte d’un acte de notoriété dressé par M° Emile Weiss notaire à Strasbourg le 10 février 1866. Le Sieur Moriceau père en était propriétaire pour lui avoir été attribué en toute propriété par l’acte de liquidation et partage 1° de la communauté de biens qui a existé entre lui et Dame Madeleine Marie Antoinette Kleybler sa défunte femme aux termes de leur contrat de mariage passé devant M° Knobloch alors notaire à Strasbourg le 7 septembre 1811, 2° de la succession de la Dame Moriceau décédée à Strasbourg le 11 février 1859 laissant pour seul héritier le Sieur François René Jules Moriceau, ledit acte de liquidation et partage dressé le 7 septembre 1863 par MM Zimmer et Flach, notaires à Strasbourg dont la minute est restée à M° Zimmer. Il contient quittance de la soulte de 22.000 francs y stipulée en faveur de M. Moriceau partie saisie sur le prix d’abandonnement de la maison susdésignée. Cette maison avait été acquise par les époux Moriceau Kleybler pendant leur mariage du sieur Frédéric Jacques Schlagdenhauffen, architecte et de Dame Madeleine Elisabeth Frédérique Imlin, conjoints à Strasbourg, aux termes d’un contrat de vente passé devant M° Grimmer notaire à Strasbourg le 21 janvier 1829 transcrit au bureau des hypothèques de ladite ville le 26 du même mois volume 219 numéro 58 et inscription d’office au volume 185 numéro 14, laquelle a été radiée définitivement en conséquence d’un acte passé devant ledit M° Grimmer le 27 novembre 1835. Pour continuer les poursuites commencées, ledit M° Doss avoué au nom de son client enchérit la propriété dudit immeuble sans en rien excepter, pour être prise par l’acquéreur dans l’état où il se trouvera au moment de l’adjudication et en outre aux charges, clauses et conditions suivantes (…)
Mise à prix. Le poursuivant enchérit la maison susdécrite pour servir de première mise à la somme de 50.000 francs. Fait à Strasbourg le 24 août 1867.
(f° 24) L’an 1867 le 4 octobre (…) l’adjudication dudit immeuble a été fixée au 29 novembre prochain
(f° 24) L’an 1867 le 13 novembre (…) il lui a été donné communication de l’acte dont la teneur suit qu’il porte à la connaissance des amateurs de l’immeuble à exproprier. Pardevant M° Victor Noetinger et son collègue notaires à Strasbourg soussignés a comparu M. Jules Moriceau négociant domicilié à Strasbourg lequel a cédé et déclaré avec la garantie tant de la légitimité de la créance que de la solvabilité actuelle et future des débiteurs sans discussion préalable à M. Raphael Lippmann, propriétaire Chevalier de la Légion d’Honneur demeurant à Strasbourg ci présent les sommes suivantes à prendre par préférence au cédant par les personnes ci après nommées dans la maison que M. Moriceau possède à Strasbourg rue des grandes arcades numéro 4 savoir (…)
(f° 25 v°) Remise de l’adjudication. L’an 1867 le 29 novembre (…)
Adjudication. L’an 1868 le 17 janvier (…) M° Doss (…) poursuivant l’expropriation forcée de l’immeuble saisi à sa requête sur le Sieur François René Jules Moriceau ci devant chapelier aujourd’hui fabricant d’ornemens d’Eglise, domicilié à Strasbourg, a conclu qu’il plût au tribunal procéder à l’adjudication dudit immeuble (…) enchéri pendant plusieurs bougies et enfin par u M° Lepescheur avoué pour 106.200 francs
(f° 26 v°) Déclaration d’adjudication. L’an 1868 le 17 janvier est comparu M° Lepescheur avoué et a déclaré qu’à l’audience des criées d’aujourd’hui il s’est, pour en au nom de M. Jacques Levy, négociant domicilié à Strasbourg, rendu adjudicataire de la maison sise à Strasbourg au coin de la Place Kleber et de la rue des arcades où elle porte le numéro 4 autrefois numéro 24 et ce pour un principal de 106.200 francs

Fils du colporteut Baruch Levy, Jacques Levy épouse en 1844 Hanna Straus, native de Gundershoffen
Mariage, Strasbourg (n° 125)
Du 21° jour du mois de Mars 1844 à dix heures du matin. . Acte de mariage de Jacob Levy, majeur dans, né en légitime mariage le 31 décembre1816 à Strasbourg, domicilié à Strasbourg, Commis négociant, fils de Baruch Levy, Colporteur domicilié en cette ville ci présent et consentant, et de feue Gertrude Aron, décédée en cette ville le 18 février 1840, et de Hanna Straus, mineure d’ans, née en légitime mariage le 19 juin 1824 à Gundershoffen (Bas Rhin), domiciliée à Strasbourg, fille de Jacques Straus, commerçant, domicilié à Strasbourg, ci présent et consentant, et de feue Reine Klotz, décédée à Gundershoffen le 3 février 1831 (i 16)

Jacques Levy loue un magasin à l’horloger Victor Weiser

1879, Enregistrement de Strasbourg, ssp 180 (3 Q 31 679) f° 52 n° 6056 du 15.7.
15. April 1879. Miethvertrag wie folgt, zwischen H. Jacob Levy, jetziger Eigenthümer des früher H Moriceau gehörigen bei der Gewerbslauben zu Straßburg gelegenen Hauses und
H Victor Weiser, Uhrenmacher, jetzigem Mieter des der Gewerbslauben gegenüber gelegenen Ladens in gedachtem Hause, folgende Übereinkunft getroffen worden
H. Levy erklärt hiermit H. Weiser, welcher dies annimmt den Laden Zur Miethe übergeben, welchen er jetzt schon in dem der Gewerbslauben gegenüber gelegenen Hause N° 4 inne hat, sowie derselbe sich gegenwärtig befindet und sowie der Miether denselben zur Zeit genießt, laut einer Privaturkunde d.d. 21. Dezember 1866. registrirt zu Straßburg den 11. Januar 1867. folio 92 (…) eine Miethe welche am 25. März 1880 abläuft
Gedachte Vermiethung geschiht auff einer Dauer von 6 ganzen auf einander folgenden Jahren welche am 25. März 1886 beginnet und am gleichem Tage des Jahres 1886 zu Ende zu gehen. (…) um einen jährlichen Mietzins von 2500 Franken (…)
Wolte H Levy für gut finden den zur Zeiten den H. Gebrüdern Marx angenommenen Laden an seine Kinder abzutreten, so werd. er befugt des an H Weiser vernmietheten Local zu nehmen (…)

Testament de Jacques Levy par lequel il fait divers legs à son frère, ses neveux et ses enfants
1882 (6.11.), M° Pierron
Hinterlegung des eigenhändigen Testaments des zu Straßburg am 29. October 1882 verlebten ehemaligen Kaufmanns Jacob Levy Ehemann von Hanna genannt Henriette Strauss, wonach derselbe vermacht 1. seinem Bruder Alexis Levy in Nantes das Portrait seines Vaters auf M. 190., 2. seiner Nichte Caroline Heymann Ehefrau von Meyer zu Paris M. 400, 3. Caroline Levy zu New York M. 800, 4. seiner Nichte, Schwester der Vorigen, in New York M. 800, 5. seiner Nichte Julie Weill Ehefrau Heinrich Nerson in Paris M. 950, 6. seiner Schwester Babette Wittwe von Jonas Bollack in Weissenburg eine jährliche lebenslängliche Rente von M 200. und M. 80 (…), 7. der Marie Carrière M. 480, 8. der ecole de travail israélite zu Straßburg M. 120, 9. dem Wohlthätigkeit Bureau M. 120, 10 seinem Sohn Leo (…) 11. seiner Tochter Caroline, 12. seinem Neffe Leo Heymann
acp 729 (3 Q 30 444) f° 84-v n° 2802 du 8.11. (Tab Bd 68 Bl. 108 Nr 140, Sterbefall erklärung vom 18.4.83 Bd. 141 Nr 31)

Henriette Straus, veuve de Jacques Levy, et ses enfants louent une partie de la maison à la société Victor Geyer et Compagnie (mercerie et jouets)

1884 (31.3.), Strasbourg 4 (162), M° Charles Lauterbach n° 8880
Vermiethung – Erschienen 1. Frau Henriette Strauss ohne Gewerbe in Straßburg wohnhaft Wittwe des Herrn Jacob Levy, 2. Herr Paul Ernst Levy, Kaufmann in Straßburg wohnhaft und 3) Fräulein Caroline Jeanne Levy volljährig ohne Gewerbe auch in Straßburg wohnhaft, diese Comparenten handelnd sowohl eigenen Namens wie auch Namens und als sich stark tragend für Herrn Leo Bernhard Levy, Rentner in Straßburg wohnhaft, sich momentan in Algier aufhaltet, dieselben vermiethen hierdurch auf die Dauer von drei sechs oder neun Jahren welche mit dem 24. Juni 1884 beginnen und mit demselben Tage des Jahre 1887, 1890 oder 1893 endigen
an die Firma Victor Geyer & Cie Galanterie und Spielwaarengeschäft zu Straßburg, für welche deren Inhaber Herr Moritz Geiger, Kaufmann in Straßburg wohnhaft hier zugegen stipulirt & annimmt
die folgende Räumlichkeiten eines Wohnhaus zu Straßburg an der Gewerbslauben N° 4, welche bisher an die Herrn Marx Taback und Cigarrenfabtikanten gemiethet gewesen, und welchen Herr Geiger sich abgehandet* hat nemlich denn Theil rechts des Erdgeschoßes enthaltend Kaufladen und Ladenstube, ferner den darüber befindlichen Theil des ersten Stockes begreifend Wohnung von zwei Zimmern, Kuche & kleinen Keller, So wie sich alles vorfindet und von Herrn Geiger besichtiget worden ist. Bedingungen (…) 4. Die miethende Firma hat alle größere Reparaturen und Veränderungen namentlich diejenige an der Devanture des Kaufladens zu dulden, ohne hierwegen eine Entschädigung oder Zinsminderung beansprüchen zu können, welches auch die Dauer dieser Arbeiten sein mag. 5. Ausdrucklich vereinbart wurde jedoch zwischen den Parteien, daß die miethende Firma den Vermiethern während der Dauer der Miethe diejenige Summe welche zur Instandstellung des Kaufladens erforderlich sein wird mit fünf Prozent * bei Fälligkeit der Miethziehen zu verzinsen haben wird. Der Registrirung wegen werden die Kosten dieser Arbeiten zur Kapitalsumme von tausend Mark geschätzt, (…) 9. Die Räumlichkeiten im ersten Stock dürfen nicht als Ateliers verwendet und nur als Wohnung benuntzt werden. Miethzins, 4360 Mark wovon 4000 Mark für den Kaufladen und 360 Mark für die Wohnräume
Bürgschaft. Soeben erschien Herr Ephraim Guthmann Kaufmann zu Straßburg wohnhaft (…) erklärte sich als dem Solidarbürge, solidarischerweise mit der Firma Viktor Geiger & Cie zur Bezahlung der Miethzinsen
acp 748 (3 Q 30 463) f° 44-v du 5.4.

Henriette Straus meurt en 1890 en délaissant trois enfants
1890 (29.7.), M° Loew
Offenkunde betreffend das Ableben der Henriette Straus, Wittwe des Kaufmanns Jacques Levy, erfolgt dahier am 21. Januar d. Jahrs. Erben sind ihre beiden Söhne & Tochter 1. Ernst Paul Levy, Kaufmann hier, 2. Leon Bernhard Ley, daselbst, 3. Frl. Johanna Caroline Levy, großjährig, daselbst wohnend
acp 829 (3 Q 30 544) f° 77-v n° 1512 du 30.7.

Lors de la liquidation, la maison reste indivise. L’acte mentionne le contrat de mariage d’Ernest Paul Levy, passé le 30 mai 1876 à Deuil devant le notaire Dollé.

1890 (30.9.), M° Loew
Theilung des Nachlass des dahier am 29. Dezember 1882 verlebten ehemaligen Kaufmanns Jacques Levy & desjenigen an seiner dahier am 31. Jan. 1890 verlebten Ehefrau Henriette Strauss
Erben sind die 3 Kinder, Ernst Paul Levy, Kaufmann, Leo Bernhard Levy, ohne Stand, Johanna Caroline Levy, alle drei großjährig hier. Inventar nicht errichtet. Testament des Ehemanns hinterlegt bey Notar Pierron den 6. Nov. 1882.
Es wird eine einzige Theilungsmasse gebildet. Bis 1. Juli 1890 führte Ernst Paul Levy die Verwaltung beider Nachlässen, er hat noch in Händen 2518, auch haben die 3 Miterben nachbezeichnete Beiträge in die Masse einzuwerfen, welche hier vn den Einnahmen entnommen
acp 834 (3 Q 30 549) f° 9 du 8.10. (St. Erkl. 18. Aprilis 1883 Band 141 N& 31 v. 29. Juli 1890 Bd 172 N° 227) Theilungsmasse 1) Rechnungsrest des Ernst Paul Levy 2518
2) Einwurf der Erben a) Ernst Paul Levy 200, b) Leo Bernard 2177, c) Johanna Karoline 1841
3) Rückbringen ane des Ernst Paul Levy laut Ehevertrag Dollé in Deuil vom 30. V. 1876, 16.000
4) Chirographarforderungen a) Ernst Paul Levy 14.000, b) Leo Bernard Levy 21.205, c) Gustav David in Paris 16.000
5) Hypothekforderungen (a-f), 12.000, 8079, 12.067, 4000, 11.777, 2660
6) Deutsche Inhabertitel (a-r)
7) Ausländische Inhabertitel (a-z) – Summa 370.513, jedem Erben 1/3 123.504
Zutheilungen (…)
Ungetheilt bleibt I) Haus dahier mit Erdgeschoss und 4 Etagen, Ecke Kleberplatz und Gewerbslauben N° 4, erworben laut Versteigerungsurtheil des hiesigen Civiltribunals vom 17.I.1868
II) Synagogenplätze hier Mannsplatz N° 54 und Frauenplatz N° 57

Jeanne Caroline Levy épouse en 1891 le docteur en médecine Adolphe Rueff, originaire de la Chaux-de-Fonds
1891 (6.11.), M° Loew
Ehevertrag zwischen Adolph Rueff, Doktor der Medizin in Paris
und Johanna Karoline Levy, Rentnerin hier, großjährige Tochter des verlebten hiesigen Ehegatten Jakob Levy und Henriette Strauss
acp 849 (3 Q 30 564) f° 82-v n° 3324 du 9.11. Annahme der Errungenschaft Gütergemeinschaft mit Außschluß der Kleider
Einbringen des Bräutigamn. Werthpapieren Forderungen, Liegenschaften u&é Mobilien in Frankreuch 128.428
Einbringen der Braut. 1. Mobilien 16.000
2. Ein Drittel eines Anwesens dahier Ecke des Kleberplatzes mit der Gewerbslauven wo es den N° 4 trägt, geschätzt zu 36.254
3. Ein Drittel von 2. Synagogenplätzen hier
4. Forderungen a) 8000, b) 11.520, c) 888, diese 3 Forderungen wurden der Braut zugeheilt laut Theilung vor dem amt. Notar vom 30. September 1890, d) 2666
5. Inhabertitel 956
Gegenseitge Schenkung zu Gunsten des Üeberlebenden der lebenslänglichen Nutznießung des Nachlasses der Zuerststerbenden, herabzusetzen auf die Hälfte bei Vorhandesein von Kindern

Mariage, Strasbourg (n° 828)
Strassburg am 10. November 1891. Vor dem Standesbeamten erschienen heute zum Zwecke der Eheschließung 1. der praktische Arzt Doctor medicinae Adolph Rueff, israelitischer Religion, geboren den 11. Mai des Jahres 1854 zu Chaux de fonds (Schweiz) wohnhaft zu Paris (Frankreich) ehelicher Sohn des verstorbenen Kaufmanns Jacob Rueff wohnhaft zuletzt zu Chaux-de-fonds und der Judith Wolff, Rentnerin wohnhaft zu Paris
2. die Rentnerin Caroline Johanna Levy, israelitischer Religion, geboren den 24. Februarÿ des Jahres 1861 zu Straßburg, wohnhaft zu Straßburg, Tochter der verstorbenen Eheleute Jacob Levy, Rentner und Hanna Straus, zuletzt wohnhaft zu Strassburg (i 20)

1896 (22.7.), M° Lauterbach
n° 19.322. Offenkunde enthaltend Bestätigung, daß vollkommene Personeneinheit bestehet zwischen Caroline Johanna Levy Ehefrau von Dr Adolph Rueff praktischer Arzt, beisammen in Paris wohnend und der in verschiedenen Urkunden und A* als Caroline Reine Levy aufgeführten Persönlichkeit
acp 914 (3 Q 30 629, II) f° 52 n° 1433 du 23.7.

Le rentier célibataire Léon Bernard Levy, demeurant à Nice, cède le tiers de la maison à son frère Ernest Paul Levy

1900 (13.9.), M° Hammann
N° 4272. Licitation – Leo Bernhard Levy, Rentner, ledig, früher dahier nun in Nizza
an Ernst Paul Levy, Kaufmann dahier, Gatte von Ida Weill
das ungeteilte Drittel an nachbeschriebenem Anwesen, wovon dem Käufer ihm ein Drittel gehört und das letzte Drittel er noch zu erwerben gedenkt
Stadt Straßburg. Wohnhaus mit Erdgeschoß, 4 Stockwerken & Mansarden, Ecke Kleberplatz und Gewerbslaubenstraße mit N° 4, katastrirt Flur N n° 884, 1 Ar Nutzungswert M. 1400.
gehörte zue Gütergemeinschaft, welche bestanden hat zwischen den hiesigen Eheleuten Jakob Levy gewesenen Kaufmann gestorben am 29. Oktober 1882 und Henriette Strauss, getorben am 31. Januar 1890. In der Theilung des Nachlasses vor Notar Loew vom 30. September 1890 blieb das Anwesen unter den Kindern und Erben 1) Leo Bernhard Levy, 2) Ernst Paul Levy, 3) Johanna Karoline Levy je zu ? ungeteilt. Genuß und Steuren von Todestag des Verkäufers an, um 60.00 Mark zahlbar am Todestage, keinenfalls aber vor 1. Oktober 1923. Bei Genußantritt vor 1. Oktober 1923 ist Kaufpreis verzinslich zu 4 ½ %
acp 972 (3 Q 30 687. III) f° 92-v n° 1003 du 22.9.

Ernest Paul Lévy épouse en 1876 Ida Weil, demeurant avec son père à Montmorency
Mariage, Montmorency, Seine-et-Oise (n° 16)
L’an 1876 le 31 mai à onze heures du matin (…) ont comparu 1° Le Sieur Ernest Paul Lévy, négociant âgé de 31 ans, né le 29 janvier 1845 à Strasbourg, y demeurant rue des Arcades numéro 4 avec ses père et mère, majeur, fils légitime de Lévy, Jacob et de Straus Hanna, son épouse, rentiers, présents & consentant, 2° et la demoiselle Ida Weil, sans profession âgée de 20 ans née le 22 avril 1856 à Laval (Mayenne), demeurant avec son père à Montmorency, mineure, fille légitime de Weil, Salomon, propriétaire présent et consentant, et de Rottembourg, Adèle, son épouse décédée à Rennes (Ille & Vilaine) le 8 février 1832 (…) nous ont à l’instant représente le certificat délivré à la date du 30 mai courant par M° Dollé, notaire à Deuil (Seine et Oise) constatant que le contrat de mariage des futurs époux a été passé devant lui ledit jour (i 174)


Les Maisons de Strasbourg sont présentées à l’aide de Word Press.