17, rue du Bain-aux-Plantes


Rue du Bain-aux-Plantes n° 17 – VII 154 (Blondel) P 860 puis section 1 parcelle 84 (cadastre)

Reconstruit en 1678, Philippe Jacques Dietrich et Jacques Meyer, de Wolfisheim
Bâtiment arrière, maître d’ouvrage Emile Steinmetz, menuisier, 1864
Bâtiment avant détruit en 1944, reconstruit par l’architecte Jean Fritz, 1954


Façade (bâtiment à arcades, novembre 2023)
Ancienne façade reconstituée (1947, dossier du M.R.U.)

Le receveur Jean Feltz vend en 1594 la maison sise face au Bain-aux-Plantes (actuel n° 24) au tisserand André Siess. Elle est vendue par adjudication judiciaire par les créanciers de Georges Lanckert en 1648. Le notaire Jean Jacques Redwitz en est propriétaire pendant une vingtaine d’années. Son fils vend la maison délabrée au maréchal ferrant Jacques Meyer et au charpentier Philippe Jacques Dietrich, tous deux de Wolfisheim, qui doivent reconstruire le bâtiment d’après le millésime 1678 au-dessus de la porte (Über der Hausthüre Datum 1678, Seyboth, p. 85). Philippe Jacques Dietrich vend en 1681 la moitié de gauche au boulanger Michel Diemar. Le tailleur Georges Philippe Huth réunit les deux moitiés en 1719. Selon le rapport d’expertise dressé en 1749 après la mort du tailleur Jean Jacques Ratz, la maison comprend un rez-de-chaussée et deux étages. En 1782, la maison comprend cinq poêles selon l’inventaire dressé après la mort de la femme de Jean Jacques Bein.


Plan-relief de 1725 (Musée historique, cliché Thierry Hatt) entre la rue du Coq et la rue de l’Aimant. La maison est la plus haute au milieu. Vue de l’avant (façades), vue de l’arrière

Elévations préparatoires au plan-relief de 1830, îlot 124 entre la rue du Coq à gauche et la rue de l’Aimant à droite (Musée des Plans-relief) 1

L’Atlas des alignements (années 1820) mentionne un bâtiment à rez-de-chaussée, premier étage en maçonnerie et deux autres étages en pans de bois. Sur les élévations préparatoires au plan-relief de 1830, la façade sur rue est la deuxième à gauche du repère (b) : fenêtre, porte puis deux fenêtres au rez-de-chaussée, cinq fenêtres à chacun des deux étages, toiture à deux niveaux de lucarnes. La cour D montre l’arrière (1-4) du bâtiment sur rue, le bâtiment latéral (1-2) à l’ouest et le bâtiment arrière (2-3). Le mur (3-4) sépare la propriété de celle du voisin à l’est.
La maison porte d’abord le n° 7 (1784-1857) puis le n° 17.


Cour D
Croquis représentant la pièce mal éclairée (hachures rouges, 1899, dossier de la Police du Bâtiment)

Reconstitution. Plan, coupe, croquis du bâtiment avant et du bâtiment arrière (1947, dossier du M.R.U.)

La maison appartient de 1829 à 1860 au pasteur Auguste Guillaume Schmidt. Le menuisier Charles Emile Steinmetz l’achète en 1860 et fait construire en 1864 un nouveau bâtiment au fond de la cour comme le mentionnent une obligation et le cadastre. Le revenu passe de 85 à 136 francs.
Le bâtiment avant (sous-sol, rez-de-chaussée, trois étages et grenier, murs en briques, ossature en bois) est entièrement détruit pendant le bombardement du 25 septembre 1944. La Police du Bâtiment demande en avril 1952 à l’architecte J. A. Fritz de modifier la façade prévue. Le propriétaire cède à la Ville une surface de cinq mètres carrés qui dépassent de l’alignement légal. Le préfet accorde en août 1952 dérogation quant à la hauteur du bâtiment. Le Ministère de la Reconstruction et de l’Urbanisme délivre à Alfred Hummel le 31 mai 1953 le permis de construire. Le gros œuvre est terminé en novembre 1954.


Projet annulé et façade réalisée (1952, 1953, dossier de la Police du Bâtiment) – Plan cadastral (parcelle 84, dossier du M.R.U.)

novembre 2023

Sommaire
CadastrePolice du BâtimentDossier du M.R.U.Relevé d’actes

Récapitulatif des propriétaires

La liste ci-dessous donne tous les propriétaires de 1591 à 1952. La propriété change par vente (v), par héritage ou cession de parts (h) ou encore par adjudication (adj). L’étoile (*) signale une date approximative de mutation.

Jean Feltz, receveur, et (1568) Rachel Lindle puis (1571) Walburge Rotenburger – luthériens
1594 v André Siess, tisserand, et (1564) Walburge Jeuch, veuve du tisserand Jérémie Conrad – luthériens
1602 v Léonard Rausser, tisserand, et (1601) Marie Heinrich – luthériens
1607 v Balthasar Langert, tisserand, et (1606) Marie Knoller – luthériens
1610 v Georges Lanckert, tisserand, et (1606) Salomé Welck – luthériens
1648 adj Nicolas von Türckheim
1650 v Jean Jacques Redwitz, notaire, et (1636) Anne Marguerite Gulden – luthériens
1660* h Jean Frédéric Redwitz Jean Frédéric Redwitz, notaire, et (1664) Eve Roll – luthériens
1677 v (moitié a) Jacques Meyer, maréchal ferrant à Wolfisheim, et (1652) Catherine Fritsch – luthériens
(moitié b) Philippe Jacques Dietrich, charpentier à Wolfisheim, et (1667) Marthe-Anne, veuve de Jean Jacques Müller – luthériens
1681 v (moitié b) Michel Diemar, boulanger, et (1645) Ursule Erlé – luthériens
1691 v (moitié b) Georges Bœhm, menuisier, et (1672) Barbe Schott puis (1684) Barbe Schaffner, d’abord (1676) femme du revendeur Rémi Hoffmann – luthériens
1715 v (deux moitiés réunies, 1719) Georges Philippe Huth, tailleur, et (1711) Marie Salomé Schranckenmüller, (1713) Marie Madeleine Wild puis (1738) Catherine Elisabeth Geissler – luthériens
1721 v Jean Jacques Ratz, tailleur, et (1696) Dorothée Elisabeth Huth puis (1720) Marie Dorothée Reuber – luthériens
1746 v Jean Jacques Bein, tonnelier, et (1741) Marie Salomé Theurkauff – luthériens
1782 h Jean Jacques Bein, tonnelier, et (1772) Marie Elisabeth Philippi – luthériens
1829 v (Auguste) Guillaume Schmidt, pasteur, et (1818) Sophie Theurkauff
Sophie Wilhelmine Schmidt, femme de Georges Adam Huber, maître maçon à Lahr
1860 v (Charles) Emile Steinmetz, menuisier, et (1852) Caroline Amélie Kümmerlen
1901* h Frédéric Guillaume Schmitt, cordonnier, et (1869) Julie Amélie Steinmetz
1910* h Emile Hummel, commis négociant, et (1897) Louise Amélie Schmitt
1943* h (indivision) Jeanne Louise Hummel, employée, célibataire (1898-1973)
Charles Emile Hummel, monteur de moulins, et (1932) Sophie Ensminger

Valeur de la maison selon les billets d’estimation : moitié de maison 225 livres en 1712, 700 livres en 1742, 450 livres en 1782.

(1765, Liste Blondel) VII 154, Jean Jacques Bein
(Etat du développement des façades des maisons, AMS cote V 61) Bein, 5 toises, 1 pied et 10 pouces
(1843, Tableau indicatif du cadastre) P 860, Schmitt, Auguste Guillaume, instituteur au Temple Neuf – maison, sol, cour – 1,95 are

Locations

1792, Jean Georges Starck, tonnelier
1859, Michel Gruber, menuisier à Lampertheim

Description de la maison

  • 1742 (billet d’estimation traduit) La maison comprend au rez-de-chaussée un poêle, chambre, cuisine, dépense, bûcher, cave sous solives, un puits et une vieille écurie servant à loger les officiers, au premier et au deuxième étage deux poêles, deux chambres et vestibule où se trouve le fourneau, sous les combles quatre chambres, couverture simple en tuiles, passage en bois, le tout estimé avec appartenances et dépendances à la somme de 1400 florins
  • 1782 (billet d’estimation traduit) La maison comprend cinq poêles, cinq cuisines et plusieurs chambres, en outre une écurie, les combles sont couverts de tuiles plates, la cave est solivée, estimée avec le puits, la cour, autres appartenances et dépendances à la somme de 900 florins

Atlas des alignements (cote 1197 W 37)

3° arrondissement ou Canton Sud – Rue du bain aux Plantes

nouveau N° / ancien N° : 20 / 7
veuve Bein
Rez de chaussée et 1° étage en maçonnerie et 2 étages mauvais en bois
(Légende)

Cadastre

Cadastre napoléonien, registre 28 f° 259 case 3

Schmitt Auguste Guillaume

P 860, sol, Maison et cour, rue du bain aux plantes 7
Contenance : 1,95
Revenu total : 86,01 (85 et 1,01)
Ouvertures, portes cochères, charretières :
portes et fenêtres ordinaires : 18 / 14
fenêtres du 3° et au-dessus : 8 / 6

Cadastre napoléonien, registre 26 f° 578 case 1

Schmitt Auguste Guillaume, Porteur, faubourg national 55
1865 Steinmetz Charles Emile, Menuisier
1901 Schmitt Friderich Wilhelm, Schuhewahrwerkzeughändler Ehefrau Julie Amalie geb. Steinmetz und Steinmetz Emilie Luise

P 860, Maison, sol, Rue du bain aux plantes 17
Contenance : 1,95
Revenu total : 86,01 (85 et 1,01)
Folio de provenance : (259)
Folio de destination : 578, aug. de Con, (sol) Gb
Année d’entrée :
Année de sortie : 1867
Ouvertures, portes cochères, charretières :
portes et fenêtres ordinaires : 18 / 14
fenêtres du 3° et au-dessus : 8 / 6

P 860, Maison
Revenu total : 137,01 (136 et 1,01)
Folio de provenance : 578, aug. de Con
Folio de destination : Gb
Année d’entrée : 1867
Année de sortie :
Ouvertures, portes cochères, charretières :
portes et fenêtres ordinaires : 44 / 35
fenêtres du 3° et au-dessus : 18 / 14
1867, Augmentations – Steinmetz Ch. Emile f° 578, P 860, Maison, revenu 136, Aug.on de C.on, achevée en 1864, imposable en 1867, imposée en 1867
Diminutions – Steinmetz Ch. Emile f° 578, P 860, Maison, revenu 85, Aug.on de C.on, supp. en 186
7

Cadastre allemand, registre 29 page 9 case 2

Parcelle, section 1, n° 84
Canton : Pflanzbadgasse Hs N° 17
Désignation : Hf, Whs
Contenance : 1,53
Revenu : 1500 – 1700
Remarques : à p. 12/7

(Propriétaire), compte 1091
Schmitt Fried. Wilh Ehefrau und Steinmetz Emilie Luise als Miterbin
1910 Hummel Emil, Handlungsgehülfe u. Ehefr. geb. Schmitt
1943 Hummel Karl Emil u. Ehefr. u. Miterben
(2119)

Cadastre allemand, registre 29 page 12 case 7

Parcelle, section 1, n° 119 – autrefois P 860
Canton : Pflanzbadgasse – cr. 2722
Désignation : Ortsweg / voie publique
Remarques : de p. 9 / 2

(Propriétaire), compte 1386
Strassburg d. Gemeind. f. ihre öffentl. Wege u. Gewässer
1909 Stadt Strassburg für ihre öffentl. Wege u. Gewässer
1952 Ville de Strasbourg pour ses chemins, places publ. et cours d’eau
(32)

1789, Etat des habitants (cote 5 R 26)

Canton VII, Rue 225 Rue du Bain de Plante p. 360

7
Pr. Bein, J. Jacques – Tonneliers
loc. Zeitler, George, journalier – Manant
loc. Gallert, J. Valter, garde – Moresse
loc. Fux, Jacques, ouvr. en Tabac – Manant
loc. Fux, Ester, fille – Manante

Annuaire de 1905

Verzeichnis sämtlicher Häuser von Strassburg und ihrer Bewohner, in alphabetischer Reihenfolge der Strassennamen (Répertoire de toutes les maisons de Strasbourg et de leurs habitants, par ordre alphabétique des rues)
Abréviations : 0, 1,2, etc. : rez de chaussée, 1, 2° étage – E, Eigentümer (propriétaire) – H. Hinterhaus (bâtiment arrière)

Pflanzbad (Seite 133)

(Haus Nr.) 17
Adloff, Tagner. 0
Müller, Tagner. 0
Hummel, Handlungsgeh. 1
Klein, Tagner. 1
Bauer, Tagner, 2
Vetter, Dienstmann. 2
Breininger, Tagner. 3
Clauss, Wäscherin. 3
Lecomte, Tagner, H 0
Steidel, Maler. H 1
Brüchert, Dienstmann, H 2
Wolf, Tagner, H 3

Dossier de la Police du Bâtiment (cote 644 W 116)

17, rue du Bain-aux-plantes (1884-1991)

Guillaume Schmitt déclare en 1901 qu’il est impossible de supprimer la cloison entre la chambre avant et la chambre arrière au deuxième étage comme le demande la Commission contre les logements insalubres puisqu’elle est un mur porteur ; il fait agrandir les ouvertures dans la cloison.
Le bâtiment avant est entièrement détruit pendant le bombardement du 25 septembre 1944 (voir le dossier suivant). L’architecte J. A. Fritz demande en 1947 au service d’urbanisme les prescriptions à respecter pour reconstruire la maison. Cinq mètres carrés dépassent de l’alignement légal. La Police du Bâtiment demande en avril 1952 à l’architecte de modifier la façade ; les baies du rez-de-chaussée doivent être plus grandes et avoir des arcs en plein cintre, les fenêtres être réparties harmonieusement dans la façade. Le préfet accorde en août 1952 dérogation quant à la hauteur du bâtiment. Le Ministère de la Reconstruction et de l’Urbanisme délivre à Alfred Hummel le 31 mai 1953 le permis de construire selon le projet présenté en février 1953 par l’architecte Fritz. L’entreprise Seybold de Cronenbourg creuse les fondations au printemps 1954. Le gros œuvre est terminé, novembre 1954. Le bâtiment est habité en mai 1956 mais les cabinets d’aisance ne sont pas conformes aux prescriptions. Le Ministère de la Reconstruction et de l’Urbanisme délivre le certificat de conformité en juillet 1957.

J. M. Schneider, tapissier, 1893
Alfred Hummel, souvenirs et cadeaux, 1957
Société de publicité DINAL, 1974
La Hulotte (devanture de gauche) et les Ailes d’Isis (devanture de droite), 1988

Sommaire
  • 1884 (juin) – Le maire notifie le maître cordonnier Frédéric Schmitt (demeurant 43, Grand rue) de faire ravaler la façade – Travaux terminés, novembre 1884
  • 1884 (septembre) – Le maire demande au maître cordonnier Schmitt de munir la fosse d’aisances d’un tuyau d’aération au lieu de la raccorder à une cheminée. Le propriétaire répond que la cheminée qui dessert un entrepôt, anciennement buanderie, est désaffectée – Le tuyau d’aération est réglementaire, décembre 1884.
  • 1888 – Suite à une notification non jointe, Guillaume Schmitt répond qu’il a fait repeindre la façade quatre ans auparavant et engagé des dépenses importantes. Le maire accorde un an de délai.
    1889 – Guillaume Schmitt déclare qu’il a fait réparer deux cheminées qui se sont écroulées et que son fils qui lui était d’une grande aide s’est engagé dans l’armée. Le maire accorde un délai supplémentaire d’un an. – Travaux terminés, juillet 1890.
  • 1893 – Le tapissier J. M. Schneider demande l’autorisation de poser une enseigne perpendiculaire – Autorisation – Le pétitionnaire doit modifier l’enseigne pour que sa saillie ne dépasse pas 25 centimètres. Il demande de conserver l’enseigne de son nouvel établissement jusqu’à Pâques suivantes, époque à laquelle il compte déménager au Fossé des Tanneurs.
    1894 (janvier) – La saillie de 80 centimètres est ramenée à 60 centimètres. Le tapissier qui reste dans la maison modifie l’enseigne selon le règlement.
  • 1895 – L’incendie qui s’est déclaré le 18 février dans l’entrepôt de meubles du tapissier Schneider a détruit toutes les marchandises, le plancher, le plafond, les fenêtres et les portes. La cheminée défectueuse est à l’origine du sinistre – Le propriétaire fait refaire la cheminée. Dossier classé, mars 1895.
  • 1895 – Le maire notifie le propriétaire de se conformer au règlement du 30 novembre 1891 en supprimant trois volets qui s’ouvrent à moins de 2,20 mètres de la voie publique et une trappe. – Les volets sont réglementaires, avril 1895, la trappe aussi, août 1895.
  • 1900 – Le maire notifie Frédéric Schmitt (demeurant 43, Grand rue) de faire ravaler la façade – Travaux terminés, octobre 1900.
    1904 – Idem, Travaux terminés, novembre 1904.
  • 1909 – Emile Heeb demande l’autorisation de poser une enseigne perpendiculaire. La Police du Bâtiment fait remarquer que le trottoir est trop étroit. Le pétitionnaire renonce à son projet.
  • 1899 – Le marchand de cuir Guillaume Schmitt déclare que les allégations de la Commission contre les logements insalubres sont sans fondement et qu’il loue les logements à un prix très modique. – La commission répond que les pièces en question ne doivent plus servir de chambre à coucher.
    1901 – Guillaume Schmitt déclare qu’il est impossible de supprimer la cloison entre la chambre avant et la chambre arrière au deuxième étage puisqu’elle est un mur porteur. La commission interdit que les pièces sombres servent de chambre à coucher.
    1902 – Rapport au conseil municipal destiné à prendre des mesures contre les propriétaires de logements insalubres
  • 1899 – Commission contre les logements insalubres. Rapport. propriétaire, Schmitt, marchand de cuir, demeurant 33, Grand rue. Locataire, Veith, cordonnier au premier étage (ménage avec quatre enfants), Bauer, ouvrier, au deuxième étage (ménage avec trois enfants). Les logements sont bien éclairés, sauf les chambres à coucher. Croquis – La commission demande de supprimer les cloisons qui séparent les pièces
    1902 – Guillaume Schmitt adresse un nouveau courrier au maire après avoir pris conseil auprès de l’entrepreneur Widmann père – La Commission répond en août qu’il lui est impossible de changer sa décision. Elle déclare en septembre n’avoir plus de griefs à formuler puisque les ouvertures qui éclairent la chambre arrière ont été agrandies.
    1903 – La Police du Bâtiment demande au propriétaire de fournir les plans
    1904 – Guillaume Schmitt demande de surseoir aux réparations étant donné qu’il a fait raccorder la maison aux canalisations
    1912 – Nouveau rapport, travaux à faire en cinq points. Le propriétaire Emile Hummel demande un délai, d’autant que les entrepreneurs présentent désormais leur facture à la fin des travaux et non plus en fin d’année.
    1915 – Commission des logements militaires, rien à signaler (propriétaire, Emile Hummel, demeurant sur place)
  • 1934 – Emile Hummel demande un délai pour ravaler la façade parce qu’il a fait faire de grosses réparations – Le maire accorde un an de délai – Travaux terminés, juillet 1935.
  • 1947 – L’architecte J. A. Fritz demande au service d’urbanisme les prescriptions à respecter pour reconstruire la maison Hummel en joignant une copie du plan cadastral – La division VI répond que cinq mètres carrés dépassent de l’alignement légal. La largeur de la rue étant inférieure à sept mètres, la façade ne pourra dépasser dix mètres de haut.
  • 1952 (avril) – La division VI demande de modifier la façade. « Les segments d’arc des baies du rez-de-chaussée devront être remplacées par des arcs en plein cintre. En outre, la hauteur de ces baies devra être augmentée au maximum. Les larges fenêtres des étages devront être remplacées par des fenêtres jumelées séparées par un simple meneau. La disposition de ces fenêtres dans la façade devra être plus recherchée afin d’obtenir un aspect plus harmonieux. »
    1952 (avril) – Remarques sur le projet. Les murs coupe-feu devront avoir au moins 40 centimètres. Comme la hauteur du bâtiment dépasse de trois mètres la largeur de la rue, l’architecte devra solliciter une dérogation. – Le maire adresse un courrier au service départemental de la Reconstruction et de l’Urbanisme
    1952 (août) – Le préfet accorde dérogation quant à la hauteur, considérant que la hauteur était identique avant la destruction, que la partie arrière non détruite ne pourrait être desservie en réduisant la hauteur du bâtiment avant et que la municipalité envisage de créer un espace vert de l’autre côté de la rue (5,50 mètres de large).
    1953 (31 mai) – Le Ministère de la Reconstruction et de l’Urbanisme délivre le permis de construire à Alfred Hummel, demeurant 180, chemin de la Ganzau au Neuhof selon le projet présenté en février 1953 par l’architecte Jean Fritz [Annuaire d’adresses, 1948, p. 454 – Jean Fritz, architecte, 12, rue Massenet].
    1954. Suivi des travaux. Les travaux n’ont pas commencé, mai 1954. L’entreprise Seybold de Cronenbourg creuse les fondations, coule les murs en béton du sous-sol. Le rez-de-chaussée est en briques cellulaires, les dalles sont massives. Le pignon moyen est en briques (40 centimètres d’épaisseur), octobre 1954.
  • 1953 – L’entreprise de construction Emile Oberlé (152, rue de Wolfisheim à Holtzheim) est autorisée à occuper la voie publique pour reconstruire la maison. – Suspendus de janvier à mars 1954, les travaux sont terminés en juin 1954.
  • 1954 (octobre) – François Knobloch (2 et 4 rue du Coq) déclare qu’une fenêtre qui s’ouvre vers le 17, rue du Bain-aux-Plantes ne recevra plus de lumière.
    Compte rendu de la Police du Bâtiment, croquis. La petite fenêtre grillagée se trouve au troisième étage dans une cuisine qui prend jour dans la cour. La Police du Bâtiment qui estime que le propriétaire ne peut revendiquer aucun droit classe le dossier.
  • Suivi des travaux (suite). Le gros œuvre est terminé, novembre 1954. Les travaux intérieurs continuent, janvier 1955. Les plâtriers travaillent, mai 1955. L’entreprise Seybold crépit la façade, décembre 1955
    Les travaux intérieurs continuent, le crépissage est en cours. L’inspecteur fait observer que les pièces ont une hauteur insuffisante (2,38 mètres dans la nouvelle construction, 2,17 mètres dans le bâtiment arrière). Les cabinets d’aisance ne sont pas conformes aux prescriptions, décembre 1955
    1955 – Le maître ramoneur Emile Schleiffer fournit un certificat de conformité.
  • 1955 – Le sieur Hummel, (demeurant au moulin de la Ganzau) est autorisé à poser un échafaudage sur la voie publique pour crépir la façade
    1955 (décembre) – La Police du Bâtiment demande à l’architecte de fournir des plans rectifiés
    1956 (avril) Le bâtiment en bordure de la rue est habité. Les locaux au rez-de-chaussée ne sont pas encore exploités.
    1956 (novembre) Madame Hummel, propriétaire du magasin de souvenirs, déclare que les cloisons ne sont pas encore posées dans les cabinets d’aisance. La Police du Bâtiment classe en décembre 1956 le dossier après en avoir averti le service d’hygiène.
    1957 (juillet) – Le Ministère de la Reconstruction et de l’Urbanisme délivre le certificat de conformité.
  • 1957 – Alfred Hummel demande l’autorisation de poser une enseigne (texte : Souvenirs, cadeaux) – L’architecte des Bâtiments de France émet un avis favorable sous réserve que les lettres soient en caractères antiques. – Autorisation – L’enseigne n’est pas posée, septembre 1957.
  • 1974 – La Police du Bâtiment constate que la société de publicité DINAL a posé sans autorisation deux enseignes sur les devantures. Photographies, Dinal, cadeaux d’affaires – Demande – Autorisation
  • 1976 – Pierre Pfohl (2, rue de la Fontaine à Souffelweyersheim) demande l’autorisation de ravaler la façade et les menuiseries – L’architecte des Bâtiments de France émet un avis favorable
    1976 (août) – Pierre Pfohl est autorisé à poser un échafaudage sur la voie publique – Travaux terminés, novembre 1976.
  • 1988 – Les établissements Walter S.A. (Brumath) demandent au nom de La Hulotte l’autorisation de poser un store en banne.
    Même demande par La Hulotte (devanture de gauche) et les Ailes d’Isis (devanture de droite) – Photographie, échantillon de toile – L’architecte des Bâtiments de France émet un avis défavorable, les stores dénaturant la façade. – Le maire transmet l’avis défavorable au pétitionnaire
    Pièces correspondantes au nom des Ailes d’Isis.
  • 1989 – Les établissements Walter S.A. (Brumath) demandent au nom des Ailes d’Isis l’autorisation de poser un store en banne. Photographie – L’architecte des Bâtiments de France émet un avis favorable – Autorisation – Le store est posé, juillet 1989
    Pièces correspondantes au nom de la Hulotte – Dessin
  • 1991 (avril) – La Police du Bâtiment demande aux Ailes d’Isis de supprimer la guirlande tolérée pendant les fêtes de fin d’année. – L’objet est retiré, mai 1991
    Pièces correspondantes au nom de la Hulotte

Autre dossier
Déclaration de travaux, menuiseries des fenêtres (2003) cote 1572 W 745

Dossier de la Police du Bâtiment (cote 233 MW 150)

17, rue du Bain-aux-Plantes (1944)

Jeanne Hummel déclare au nom de son père Emile Hummel que le bâtiment avant a été entièrement détruit par des bombes explosives le 25 septembre 1944. Des étais garantissent l’accès au bâtiment arrière habitable.

Stadt Straßburg, Amt für Sofortmassnahmen bei Bomben- und Brandschaden
Ortsgruppe : Gutenberg
Anwesen : Pflanzbad Nr 17
Register
Fliegerschaden vom 25. 9. 1944

Anmeldung von Fliegerschaden an Gebäuden
Der Unterzeichnete meldet hiermit den nachstehenden Fliegerschaden an und bittet um dessen Feststellung
Anwesen : Pflanzbad Nr 17
Eigentümer : Hummel Emil
1. Gebäudebeschrieb : Vorderhaus
2. Beschädigte Gebäudeteile : total
3. Durch welche Kriegeinwirkungen ist der Schaden verursacht worden ? durch Sprengbomben
4. Art der Schäden : Stützen damit Zutritt zum bewohnbaren Hinterhaus bleibt
5. Anzahl der vorhandenen Wohnungen usw.
Wohnungen 3
Geschäfte
Werkstätten
Garageräume
Stallungen
Grund, weshalb unbrauchbar bezw. unbenutzbar : Einsturzgefahr
Ich versichere, die obigen Angaben nach bestem Wissen und Gewissen gemacht zu haben. Es ist mir bekannt, dass falsche Angaben bestraft werden.
Strassburg, den 28.9. 1944
Unterschrift : Johanna Hummel, Tochter des Eigenthümers

Dossier du Ministère de la Reconstruction et de l’Urbanisme (cote 424 D 8)

Dossier NV 193 Z, indivision Hummel, 27, rue du Bain-aux-Plantes

Le bombardement du 25 septembre 1944 a entièrement détruit le bâtiment avant et endommagé l’aile gauche (50 à 75 % de destruction) ainsi que le bâtiment du fond. Le bâtiment sur rue avait un sous-sol, rez-de-chaussée, trois étages et grenier. Les fondations étaient en pierre et briques, les murs en briques, l’encadrement de baies était en pierre, l’ossature en bois, la couverture en tuiles plates. Les cloisons intérieures étaient en pans de bois remplies de briques. Le bâtiment a été construit au XVII° siècle
Le bâtiment sur cour comprend un terre-plein, rez-de-chaussée, trois étages et grenier perdu. Les murs extérieurs en pans de bois sont remplis de briques. Les cloisons intérieures sont en pans de bois remplies de briques.
Les propriétaires sont les deux enfants de Louise Amélie Schmitt, décédée à Périgueux le 2 décembre 1939 et de l’employé de commerce Charles Emile Hummel, décédé à Strasbourg le premier mars 1946, Jeanne Louise Hummel, employée de bureau et Alfred Emile Hummel, constructeur de moulins. 952 (31 mai) – Le Ministère de la Reconstruction et de l’Urbanisme accorde le permis de construire le 31 mai 1952 et le certificat de conformité le 4 juillet 1957.

Procès verbal d’expertise. Origine du sinistre, bombardement du 25 septembre 1944 (bombes sur le bâtiment avant). Quantum de destruction, bâtiment sur rue, 100 % (entièrement détruit), bâtiment sur cour, 50 à 75 % pour l’aile gauche, la partie du fond en un peu meilleur état.
Le bâtiment sur rue comprenait cave, rez-de-chaussée, trois étages et grenier. Fondations en pierre et brique (50 centimètres d’épaisseur), murs en brique (40 centimètres d’épaisseur) crépis, Encadrement de baies en pierre, Ossature en bois. Escalier en chêne, Couverture en tuiles plates. Cloisons intérieures en pans de bois remplies de briques, enduites de plâtre. Entrée et couloirs dallés en ciment. Cuisine et salle de bain au premier étage, Cabinet d’aisance au premier étage (deux autres cabinets d’aisance dans la cour)
Rez-de-chaussée, deux logements, 1° étage 1 logement (vestibule, cuisine, salle de bain avec cabinet d’aisance, quatre chambres), 2° étage 2 logements (chacun une cuisine et deux chambres), 3° étage 2 logements (chambres louées séparément)
Le bâtiment sur cour comprend un terre-plein, rez-de-chaussée, trois étages et grenier perdu. Rez-de-chaussée, un logement de trois pièces et cuisine, même distribution aux étages. Murs extérieurs en pans de bois remplis de briques, enduit de plâtre. Cloisons intérieures en pans de bois remplies de briques, enduites de plâtre. Cuisines carrelées. Parquets en sapin dans les entrées, paliers et chambres. Ossature en bois, escalier en chêne, couverture en zinc.
Dessins, façade, niveaux, coupe, plan cadastral – Bâtiment latéral, architecte J. A. Fritz
Tableau des pourcentages de destruction
Etat descriptif. Bâtiment avant, ancienneté, 1700, 1870, 1937 – Bâtiment sur cour, 1898

Dossier de destruction. (…) Assurance, Le Phénix, 150.000 frcs
La maison construite au 17° siècle était une maison historique bien entretenue. La façade et la toiture ont été entièrement restaurées en 1937.

Demande de participation financière de l’Etat
Déclaration de sinistre produite au nom de Mademoiselle Jeanne Louise Hummel en date du 10 septembre 1945 dont il a été accusé réception sous le n° NV 193 Z
Renseignements concernant le propriétaire ou exploitant, Jeanne née 17.8.98 et frère Albert né le 9.2.05, de nationalité française, Mlle Hummel célibataire, Mr Hummel marié
conjoints Ensminger Sophie, mariés le 23 juillet 1932 à Waldhambach (Bas-Rhin) en communauté de biens
profession Mlle Hummel employée, Mr Hummel monteur
domicile, Mlle Hummel 32, rue de l’Université, Mr Hummel 180, chemin de la Ganzau Neuhof
Bien sinistré, habitation, rue du Bain-aux-Plantes N° 17 à Strasbourg, bombardement aérien du 25.9.1944. bâtiment 1 détruit, bâtiment 2 endommagé (partie réparable)
Origine de propriété, succession de Mme Hummel-Schmitt
Strasbourg le 1 février 1947

Certificat collectif d’hérédité. Sont héritiers légaux de Louise Amalie née Schmitt épouse de Charles Emile Hummel, ayant été domiciliée à Strasbourg, décédée à Périgueux (France) le 2 décembre 1939 ses deux enfants 1. Jeanne Louise Hummel, employée de bureau, célibataire, demeurant à Strasbourg, née à Strasbourg le 17 août 1898, 2) Alfred Emile Hummel, constructeur de moulins, demeurant à Strasbourg, né Strasbourg le 9 février 1905, chacun pour la moitié de la succession. Le mari survivant Charles Emile Hummel, employé de commerce, demeurant à Strasbourg Bain aux plantes N° 17, a, en vertu de l’article 767 du code civil français, droit à l’usufruit d’un quart de la succession. Pour les biens situés à l’étranger les héritiers sont tenus de demander l’envoi en possession spécial. Strasbourg le 18 avril 1943, Tribunal cantonal – Pour traduction conforme, Strasbourg le 11 octobre 1945

Certificat collectif d’hérédité. Sont héritiers de Charles Emile Hummel, en son vivant employé de commerce, domicilié à Strasbourg y décédé le premier mars 1946 ses deux enfants 1) Jeanne Louise Hummel, fonctionnaire de l’institut d’assurances sociales à Strasbourg, 2) Alfred Emile Hummel, monteur à Strasbourg-Neuhof, chacun pour la moitié de la succession. Pour les biens successoraux situés ou existants à l’étranger les héritiers sont tenus de requérir l’envoi en possession. Strasbourg le 21 juin 1946. Tribunal cantonal

Certificat. Cadastre section 1 n° 84, Rue du Bain-aux-Plantes Nr 17, 1 ares 53, sol, maison, Strasbourg, feuillet 3355-1
Sont inscrits comme propriétaires depuis le 6 juin 1945
Hummel Charles Emile, employé de commerce à Strasbourg et son épouse Louise Amélie née Schmitt, les héritiers, en communauté de biens dissoute. Les participants de la communauté de biens dissoute Hummel-Schmitt sont I. Hummel Charles Emile, sus-nommé, pour deux quarts
II Les héritiers ci après nommés de l’épouse de Charles Emile Hummel Louise Amélie née Schmitt 1. Hummel Jeanne Louise, employée de bureau à Strasbourg pour un quart, 2 Hummel Alfred Emile, constructeur de moulins à Strasbourg pour un quart
Strasbourg le 15 octobre 1945.

1956 (3 septembre) – Le Crédit foncier de France consent un prêt de 1.805.000 francs aux consorts Hummel par acte passé devant M° Hiff, correspondant à l’abattement pour vétusté sur le montant de l’indemnité accordée à titre provisoire suivant décision NV-9981- C 4 en date du 9 août 1954.

1952 (31 mai) – Le Ministère de la Reconstruction et de l’Urbanisme accorde le permis de construire
1957 (4 juillet) – Le service départemental de la Reconstruction et de l’Urbanisme délivre le certificat de conformité


Relevé d’actes

Le maître d’école de Sainte-Aurélie Jean Feltz est nommé en juillet 1579 receveur de l’hospice des Vérolés (Blatterhaus). Il est nommé maître des rentes en 1585 puis receveur de l’aumône Saint-Marc
Zinßmeister erkanth Johann Feltz der schaffner deß Blatterhuß. 38. (1585, VII 1301 Préposés au bâtiment)
1588, Conseillers et XXI (1 R 65), Johann Feltz Schaffner zu S Marx vmb erbfall in Schlettstatt. 145.
1590, VII 1306 Préposés au bâtiment, Allmusen Schaffner. 36. Johann Feltz. 80.
1597, Conseillers et XXI (1 R 76), S Marx Schaffney einem befehlen. 154. Johann Föltz würd Zu S Marx ober und under Schaffner. 154. Johann Feltz schwert. 221.

Fils de Jean Feltz de Herrlisheim, Jean Feltz épouse en 1568 Rachel, fille du boulanger Dominique Lindle. En fin d’acte mention Greffier adjoint de Saint-Marc
Mariage, Saint-Pierre-le-Vieux (luth. f° 138-v n° 51)
1568. Johannes Feltz von Straßburg hanß feltzen von Herlißheim des becken* Son, J Rachel Dominici Lindle des Beckenn tochter, den 22. vnderschreiber Zu S Marx (i 141)

Maître d’école à Sainte-Aurélien Jean Feltz épouse en 1571 Walburge, fille du tondeur de draps Michel Rotenburger
Mariage, Saint-Thomas (luth. f° 52 n° 162)
1571. eodem die [Dominica XVI] Johann Feltz Schulmeister Zu S Aurelien, Walpurga Rotenburgerin Michel Rotenburgers des duchscherers dochter 30 Septemb. (i 55)

Jean Feltz, receveur de la grande Aunôme (Saint-Marc) et Walburge Rotenburger vendent la maison au tisserand André Siess et à sa femme Walburge

1594 (vts [10. Maÿ]), Chancellerie, vol. 291 (Registranda Kügler) f° 172-v
Erschienen herr hanns Felß Schaffner des grossen gemeyn Almußens v Fr. Walpurg Rothenburgerin sein eheliche hußfr. haben vnu. verkaufft
Andres Siessen dem lynenweber v Walpurg seiner ehelich. hußfr.
huß hoffstatt v hofflin & von * in pro: 94. fo: 37 v sind auch noch verhafftet für Lxxv lb d davon xxv lb d vff Johannis Baptistæ b dan vbrig L lb d vff den heylig. wyhnacht. tag nechstkünfftig erleg. werden solle (…) der khouff vber solche beschwerd. für Lxxxxij lb x ß

Originaire de Kirchheim an der Eck (aujourd’hui Kirchheim an der Weinstrasse), le tisserand André Siess épouse en 1564 Walburge Jeuch, veuve du tisserand Jérémie Conrad.
Mariage, Saint-Pierre-le-Vieux (luth. f° 108 n° 51)
1565. Andreas Sueß von Kruchs an d. Eck weber, Waldpurg Jeuchin Hieremias Conrat, des webers selig. verlaß. witwe (i 120)

André Siess devient bourgeois par sa femme le 10 septembre 1565.
1565, 2° Livre de bourgeoisie (4 R 104) p. 254
Andreas Sieß von Kircheim an der Eck der Leinenweber hatt das burgkrecht Empfang. von wallburg. weÿland Jeremie Conraths des Leinenwebers wittwe seiner ehefrauw und dient Zu den duchern den 10.t Septembris A° & 65

Tisserand natif de Strasbourg, Jérémie Conrad acquiert le 8 avril 1559 le droit de bourgeoisie par sa femme Susanne, fille de Luc Gartner
1559, 2° Livre de bourgeoisie (4 R 104) p. 152
Jeremias Conradt von Straßburgk der weber hat d. burgkrecht Empfang. von Susanna weÿlandt Lux gartnerß v.loßene dochter seiner haußfrauwen und will dien Zun Thuchern Act. Sambstag den 8.t Aprilis Anno a 59

Jérémie Conrad fait baptiser en janvier 1563 une fille issue de sa femme Walburge, fille de Thiébaut Jeuch
Baptême, Saint-Pierre-le-Vieux (luth. f° 26)
1563. den 3. Januarÿ. Jeremias Cunrat weber von Straßburgk, An der Newen Zeill neben Diebolt Voltzen dem gartner, Waltpurg, Diebolt Jeich tochter (Infans) Susanna (i 43)

André Siess et Walburge Jeuch hypothèquent la maison au profit de Jean Felts, receveur de Saint-Marc, pour solde du prix d’achat

1600 (vts. [7. Julÿ]), Chancellerie, vol. 328 (Registranda Kügler) f° 205-v
(Inchoat. fo: 241.) Erschienen Andres Sieß Lÿnenweber burger alhie vnnd Walpurg Jeüchin sein eheliche haußfrauw
haben in gegensein herrn Johann Velßen Schaffners Zu Sanct Marx – schuldig sigen 40 guldin Straßburger Werung per rest von v.khaufter Behaußung herrührend
dafür Vnderpfand sein soll Hauß hoffstatt vnd höfflin mit allen and. Iren gebewen geleg. In d. St. Straßburg gegen dem Pflantzbad hinvber einseit neben Jacob Keller den Khueffer and.seit Jacob Negelin dem Bleÿch. stoßend hinden vff Hans Wilden den Rothgerber dauon gend 14 guldin gelts ablößig mit 280 guldin St. werung Claus Mornen des Wÿnstichers erben

André Siess vend la maison au tisserand Léonard Rauscher et à sa femme Marie Heiner en s’y réservant un droit d’habitation. En marge, quittance accordée au propriétaire suivant, Georges Langer

1602 (12. Augusti), Chancellerie, vol. 341-I (Imbreviaturæ Contractuum) f° 80
Kauffversch. Leonhard Rauschart deß Leinenwebers
Erschienen Andres Süsse der Leinenweber und hatt (verkaufft)
Leonhard Rauschart dem Leinenweber, vnnd Maria Heÿnerin desselben Haußfrawen, welche Zugegen vnd mit beÿstandt Martin Engels des Leÿnen webers
Hauß Hoffstadt, Hoefflin sambt einen bronnen vnd allen andern derselben gebeuwen, begriffen, weÿth. Zugehörd, recht vnnd gerechtigkeiten alhie In dieser Stadt Straßburg vff den Pflantzhoff einseit neben Jacob Negelin dem Bleÿcher, Anderseit Jacob Kelterer dem Küffer gelegen, Hinnd. vff Hanns Wilden den Rothgerber stoßend, dauon gehn Järlich vff Mariae Verkündung 14 gld. Straßburg wehrung Loosigk mit 280 gld. gerüerter werung hauptgut, weÿland Hn Claus Mochnen des Ratherrn seeligen erben sonsten Ledig vnnd eÿgen, beschehen für vnd vmb 320 gulden Straßburger wehrung
Actum In beisein Hanns Süssen des Leÿnenwebers als des Verkeuffers beistandts Donnerstags den 12. Augusti Aô 1602.
Nota es hatt der Verkeuffer ihne mit bewilligung der Keuffer bei diesem verkauff außdrucklich vorbehalth Zweÿ Kemmerlin Einer hiend. vff den bod. das and. vff der Bühnen dergestalt d. er dieselben sein Lebtagh Zubewonen haben, vnd dagegen Järlich den Kouffer 5 fl. Str. w. Zinß darauß Zu reich. schuldigh sein
NB es hatt Georg Langers Jetziger Inhaber der Behausung Andres Sießen abermals erlegt 50. guldin St. Wehrung so vff Michaelis 1608. und 1609. verfallen

Originaire de Leutershausen près d’Ansbach, Léonard Rausser épouse en 1601 Marie, fille du cordonnier Thiébaut Heinrich
Mariage, cathédrale (luth. f° 85)
1601. Auf Ostern den 12 Aprilis. Lienhardt Rausser der leinenweber von ludershausen beÿ Onspach Maria dieboldt Heinrich deß schumachers n. g. dochter (i 45)

Léonard Rausser acquiert quinze jours plus tard le droit de bourgeoisie par sa femme Marie, fille du cordonnier Thiébaut Heinrich en s’inscrivant à la tribu des drapiers
1601, 2° Livre de bourgeoisie (4 R 104) p. 795
Lienhard Raußert der Leinenweber empfahet das Burg: von seiner haußf. Marien weÿland diebold Heinrich deß schumachers selig. dochter, will Zun tuchern dienen, gibt sein Nahrung für 80 fl. ahn Act: 28. Aprilis 1601.

Léonard Rausser et Anne Marie Heinrich hypothèquent la maison au profit d’Antoine Lœchler et Barbe Müller, leurs beau-père et belle-mère.

1602 (19 9.bris), Chancellerie, vol. 341-I (Imbreviaturæ Contractuum) f° 124-v
Schuldbekandtnus Anthoni Löchlers vnnd Barbarae Müllerin beeder Ehegemechd
Erschienen Leonhard Roßert (corrige Rauschert) der leinenweber vnd Maria Anna Heinrichin beede ehegemechd
Haben in gegenwertigkeyt Anthoni Löchlers vnnd Barbarae Müllerin Ihrer respectivé Schwehr & Schwiger vatter vnd Muter – schuldig worden 100 gulden
von vff vnd ab einem hauß hoffstatt hoefflin, sambt einem Bronnen, vnnd allen andern derselbengebeuwen, weiten, begriffen Rechten Zugehörd. vnd gerechtigkeiten Alhie In dieser Statt vff dem Pflantzhoff einseit neben Jacob Negelin dem Bleÿcher, Anderseit Jacob Kelterer dem Küffer gelegen, hind. vff Hanns Wildten den Rothgerber stoßend, dauon gehn Jährlich vff Mariæ verkündung 14. fl. Str: Weh. loisigk mit 280 fl. derselben w. weiland Herrn Claus Marnen des Ratherrn seligen erben, Mehr ist dise behausung hafft vnd verbund. Andres Süssen dem leinenweber vmb 320 fl. Kauffgeld darahn (…) vnd die behausung vmb so viel ledig

Léonard Rausser et Marie Heiner (Heinrich) vendent la maison au tisserand Balthasar Langert et à Marie Knoll. Une mention marginale renvoie à un accord passé en 1654 (voir plus bas)

1607 (10. Augusti), Chancellerie, vol. 368-II (Imbreviaturæ Contractuum) f° 129
Kauff Balthasar Langerts einer Behausung vffm Glantzhoff
Erschienen Lienhardt Rauschert der Leinenweber vnd burg. alhie vnd Maria Heinerin sein eheliche haußfrauw
Haben in gegensein Balthasar Langerts auch Leinenwebers vnd Mariæ Knollin bekhant vnd (verkaufft)
Hauß, hoffestatt, vnd hofflin, mit allen and.n Iren gebeüwen, gelegen In der Statt Straßburg beÿ dem Pflantzhoff, einseit neben Jacob Kellterer dem Khüffer, and.seit Adolff Negelin dem Bleicher vff d. Ganßauw, stet hinden vff hieronimum Schellen den Leinenweber, dauon gehnt Fünffhalben guldin gelts St: wehrung ablößig mit 90 gulden bemelter wehrung, Gall Mänen, Mehr fünffthalben gulden, Jährlich vff Mariæ Verkhündung, wid.kheüffig mit 90 gulden, weÿland Johann Fölßen des gewesenen Schaffners Zu St: Marx seligen wittib, Item fünff guldin St: wehrung Järlich vff Maria Verkhündung, lößig mit 100 gulden, weÿland hn Clauß Mönen des Rhatherrn selig erben vnd sind auch noch verhafftet für 125 gulden Straßburger wehr. Andres Süessen dem Leinenweber daren 50 gulden vff Michaelis nechstkünfftig, Mehr vff Michaelis (…) Lauth einer besondern verschreibung auch in d. Statt Straßburg Cantzleÿ vffgericht, deren datum d. 12. Augusti 1602. Sunst ledig eigen Vnd ist diser Khauff vber obgemelte beschwerd. deren der Kheuffer gewÿssen vnd vber sich genommen Zugang. vnd beschehen für vnd vmb 205 guldin Straßburg wehrung
[in margine :] vide Nachtrags Vergleichung in der Cancelleÿ Contract Registrand. de A° 1654. fol. 269. fac. 1. Zubefinden

Sans doute originaire de Schlockenau (Schlackern, Schalckena) en Franconie, Balthasar Langert épouse Marie, fille du pêcheur Jean Knoller de Möhringen
Mariage, Saint-Thomas (luth. f° 321 n° 631)
1606. Sontag den 13. Julÿ. Balthasar Langert von Schlackern Auß dem Franck.landt d. Leinenweb. vndt Maria, hanß Knäller des Vischers Zu Graff Möring. Nachgelaß. toch. 22. Julÿ (i 237)

Le tisserand Balthasar Langert achète le droit de bourgeoisie trois mois après son mariage en s’inscrivant à la tribu des Drapiers
1606, 3° Livre de bourgeoisie (4 R 105) p. 718
Balthasar Langert der Leinenweber Vonn Schalckenaw Inn Francken, Kaufft d: B: mitt vndt Hans Burgers deß schneiders, will Zun tuchern dienen, Vnnd 100. fl. v.stallen, act. 15. Octob: 1606.

Balthasar Langert er Marie Knoller vendent la maison à Georges Langert et à sa femme Salomé Walck

1610 (24 Aprilis), Chancellerie, vol. 388 (Imbreviaturæ Contractuum) f° 24
Khauffverschreÿbung Georg Langerten vber sein Behausung beÿ dem Pflantzhoff
(Extendiert für den Khauff. den 4.t Aug. A° 1610) Erschienen Balthasar Langer der Leinenweber vnd Maria Knollerin beede ehegemecht, Haben für sich und Ihro erben verkhaufft
Georg Langerten vnd Salome Wälckin seiner ehelichen haußfrauwen
hauß hoffestatt vnd hofflin mit allen andern gebeuwen, gelegen alhie bey dem pflantzhoff, neben Jacob Kellterern dem Küefer, anderseit Adolff Negelin dem Bleicher vff der Ganßauw stosst hinden vff hieronimum Schillern den Leinenweber, dauon geht Fünffthalben gulden gelt St: Wehrung, ablößig mit 90 gulden ermelter Wehrung Gall Menen, Mehr fünffhalben gulden Jährlich vff Mariæ Verkhündung mit 90 gulden St: w. abzulösen weiland Johann Fölßen des alten Schaffners Zu St. Marx selig Wittiben, Item fünff gulden St: Wehrung vff Mariæ Verkhündung lösig mit 100 gulden Weiland H. Claus Menen selig erben, Vnd seind auch noch verhafftet Andres Sießen dem Leinenweber für 95 gulden St: Wehrung daran vff St. Johannis tag nechstkünfftig 50 gulden, Mehr vff Michaelis auch nechstkhünfftig 25 gulden (…) Letstlichen Ist sie auch verhafftet H Georg Lauwingern vmb 155 gulden St. Wherung Nachulogend gestalt Zu bezahlen (…) Sunst allerdings ledig vnd eigen, Vnd damit vberheben alles Recht & Vnd bekhant das der Khauff vber obstehende beschwerd. Zugangen vnd beschehen für vnd vmb 30 gulden

Originaire de Schalkau en Franconie (la localité se trouve aux confins de la Thuringe), Georges Lanckert épouse en 1606 Salomé, fille de feu Jean Waltin de Lahr. Le pasteur note que le mariage a été célébré « ailleurs » (anderswo).
Mariage, Saint-Pierre-le-Jeune (luth. p. 187)
1606. Doîca Reminiscere 16. Martÿ. Jerg Lanckert von schalckouw* im francken land ein leinenweber, Salome, Hans Weltins von lohr hind. lassene Tochter, Sind zu Kirch gang and. swo (i 98)

Originaire de « Schollgau » en Franconie, Georges Lanckert achète le droit de bourgeoisie en mars 1606.
1606, 3° Livre de bourgeoisie (4 R 105) p. 710
Georg Lanckhert der Leinenweber vonn Schollgauen Inn francken Kaufft das B. mitt beystandt veitt Kessler deß schumachers, Will Zun tuchern dienen, vermag 100 fl. Actum 13. Martÿ 606.

Georges Lanckert et Salomé Welck hypothèquent la maison au profit de la Chartreuse pour laquelle agit son administrateur l’ancien consul Charles Spielmann

1626 (12. Septemb.), Chambre des Contrats, vol. 459 f° 585-v
(Carthaus fol. 31.) Erschienen Georg Langhardt der Leinenweber burger Zu Straßb. vnd Salome Wölckhin, sein ehefr.
haben in gegensein deß Ehrenvesten fürsichtigen vnd Wohlweisen herrn Carol Spiehlmanns Alt Ammeisters Alß verordneten Pflegers der Carthausen alhie, vnd Johann Carol Kohllöfels Alß Schaffners erstbesagter Carthausen – schuldig seÿen 100 Pfund
Unterpfand hauß, hoffstat vnd höflin mit allen Ihen Zughörd. alhie beim Pflantzhoff neben Jacob Kelterer dem Küeffer ein vnd 2. seit neben hannß Bußhardt dem Biersieder Zum Schwanen hinden vff hieronimi Schillers deß Leinenwebers wittib stoßend gelegen, so gantz ledig eÿgen

Le tuteur de Nicolas von Türckheim le jeune cède au notaire Jean Jacques Redwitz les droits qu’il a acquis sur la maison par la vente judiciaire du 29 avril 1648.

1650 (15. febr:), Chambre des Contrats, vol. 507 f° 179
Erschienen H Laurentius Treutel der Notarius Vnd alten Kleinen Rhats Verwanthen alß Vogt Niclauß von Thürckheims deß Jüngern mit beÿstand h. Niclauß von Thürckheims deß ältern sein deß Vogts Sohns Vatters
hatt in gegensein H Johann Jacob Redwitzen deß Notarÿ alhier bekannt, daß Er H. Terütel Vögtlicher weise vff abschlag deß jenigen so besagter sein vogts sohn für Cost: und lehr gelt
all daß jenig Ganthrecht und anhangende Gerechtigkeit welches dem Vogts Sohn nach innhalt deß beÿ E.E. Statt Gericht allhier Sambstags den 29. Aprilis A° 1648. Vffgerichteten Ganth Kauffbrieffs Vnd der am 13. Julÿ bemelt. 1648. Jahrs darauff befindlicher Erclärung über die abtrettung der darinn begriffenen Behaußung umb 149. fl. 2. ß gebührt und derselbe vff einer alhie beÿ dem Pflantzhoff neben Jacob Keltnern dem Küeffern ein Vnd anderseit neben Jacob Nägelin dem Plaichern Vff der Ganßaw gelegener Behaußung Zuerfordern hatt

Originaire de Bayreuth (Bareit au livre de bourgeoisie, Botzreit au mariage), Jean Jacques Redwitz épouse en 1636 Anne Marguerite, fille du notaire Jean Frédéric Gulden. Il est prénommé Jean à son mariage mais ensuite Jean Jacques au baptême des enfants.
Mariage, cathédrale (luth. p. 387)
1636. Doîca I Adventus 23. 9.bris. H. Johan Redwitzger
Notarius, H. Johan Redwitzger Stattvogts Zu Botzreit n. sohn, v. J. Anna Margreth. H. Johann Friderich gulden des Notarÿ n. tochter, eingesegnet montag 5. 10.bris (i 198)
Baptême, cathédrale (luth. f° 96-v) 1638. Sonnt. 8. Julÿ. Parent. Hans Jacob Redtwitz der Notarius Vnndt Anna Margret. Inf. Hans Jacob (i 101)

Jean Jacques Redwitz acquiert le droit de bourgeoisie par sa femme en s’inscrivant à la tribu des Boulangers.
1636, 4° Livre de bourgeoisie p. 161
Hannß Jacob Redtwitzer Von Bareit Empfangt d. Burgerrecht von Anna Margaretha Guldin, weÿl. Johann Friderich Gulden seel: Hinderlaßene dochter vnd will Zu den Becken dienen Jur: d. 31. Xbris 1636.

Jean Jacques Redwitz rembourse un capital garanti sur la maison d’après une obligation du 24 mars 1568.

1654 (20. maÿ), Chambre des Contrats, vol. 516 f° 268
Erschienen H Johann Jacob Redwitz Notarius
hatt in gegensein Abraham Junten deß Weißbeckh, für sich und seine Geschwisterde,
bekannt, dEmnach Er H Redwitz, von, vff und abe seiner alhie vff dem Plantzhoff, neben Jacob Kellern dem Küeffern gelegenen Behaußung auß einem am 24. martÿ a° 1568. beÿ dem Bischoffl. hoff vffgerichtetem Zinnßbieff, ihnene den Juntisch. Geschwisterd. Zu ihrem Antheil umb 42. lib. Nachtragß Capital sampt denen davon Annunciationis Mariæ a° 1641 biß vff solch termin dißes 1654. utriusque inclusive verfallenen Zinnß verbund. seÿe (…)
[in margine, f° 159] Erschienen Abraham Jundt für sich selbst. vnd Frantz Graff der Weißbeckh alß Ehevogt Catharinæ Juntin beede im nahmen gemelt vnd von weg. Hannß Jacob Junten deß Weißbeckh. ihres respect. Bruders und Schwagers haben in gegenwart Augusti Friderich Redwitz. im nahmen Johann Jacob Redwitzen seines Vatters (…) Act. den 8. febru: A° & 1659.

Anne Marguerite Gulden meurt en 1661 en délaissant sept enfants. L’inventaire est dressé dans la maison Kageneck rue des Veaux. L’actif de la succession s’élève à 1 959 livres, le passif à 924 livres. La description de la maison au Bain-aux-Plantes porte que la vente judiciaire du 29 avril 1648 était dirigée contre les héritiers de Georges Lanckert

1661 (30. 10.bris), Not. Oesinger (David, 37 Not 16) n° 29
Inventarium undt Beschreibung Aller undt Jeder Haab, Nahrung vndt Güethere, Liegend vnd Vahrender, So weÿl. die Ehren Vndt Tugendreiche Fr. Anna Margaretha Guldein deß Ehrenvesten Vndt Rechtsgelehrten H. Johann Jacob Redwitz. Geschwornen Offenbahren Kaÿß. Notarÿ Vndt burgers Alhie Zu Straßb. Eheliche haußfr., In dem Herren Seelig, Nach dem dieselbe Dienstags den 24.ten 7.bris Jüngsthien Gottes Vätterlichen Willen nach dieße Welt gesegnet, hinder Ihro Verlaßen, Welche auf beschehenes, fleißiges ansuchen erfordern vndt begehren deß Edel Ehrn Vesten v. hochgelehrten H. Johann Andreas Mergileti, J. Lt. alß geschwornen Vogts H. Johann Jacobs, Johann Friderichs, Augusti Friderichs, Pauli Daniels, Johann Conrads, Reginæ Sophiæ Vnd Martini Andres der Verstorbenen Fr. Seel. mit Ehrengemeltem Ihren hinderlaßenen H. Wittiber Ehelich erzeugter b. nach Todt hinterbliebenen Söhn v. döchterlins vnd Rechtsmäßige ab intestato Erben, In beÿsein des Ehrenvest v. wohlgelehrten H. M. David Zachariæ, Wohlbest. Præceptoris 6.tæ Classis alhieig. Gymnasÿ als nechsen v.wanth., fleißig Ersucht (…), So beschehen Montag den 30.ten 10.bris A° 1661.

In Einer in der S. St. In dem Adelichen Kageneckischem In der Kalbsgaß gelegenen Hoff ist befunden worden wie Volgt
Auff d. obern Kasten, Inn der Cammern A, Inn d. obern vordern Stuben, In der Stub Cammern, Vor dießer Cammern, Vor der Cammern A, Auff d. Gang, Auff dem obern Kasten Im hind. Stockh, In der Cammern B, Vor dießer Cammern, In d. Obern Schreibstub, In der Schreibstub Cammern, , I der undern In die Kalbsgaß außsehend. Wohnstub, Im Saal, Vff dem Gang neben dem Saal, Inn d. ohnstub Cammern, In d. Kuchen, Vor d. Wohn stub, Im Speiß Cammerlin, In der Magd Cammern, In beeden Kellern
(f° 14) Eigenthumb ane Haüßern. It. i. beh. in der blind. gaß (…)
It. i. hauß hoffst. höfl. v. bronn mit übrig. Zugeh. In wohlermelt. St. St. geg. d. Pflantzbad über geleg. 1.s. neben Michel Külterer dem Küffer, 2.s. neben Michel Haderer dem Rothgerber hinden vff H D. (-) Bickh Seel. Fr. Wittib davon geh. Jährl. weÿl. H. Joh. Ulrich Marbachs geweß. Pfarrers Zum Amten St. Peter alh. Seel. nachgelaß. wittw. 1 lb 3 ß 7 ½ d. Vff Mariæ verkhündigung stehet in nachtrags Cap. abzulöß. mit 23. lb 12 ß 6 d. sonst Allerdings freÿ ledig v. Eig. v. Ist dieße beh. v. Jetz besagte beschwerd. hieh. angeschlag. word. vmb 75 lb. Darüb. Ist vohand. i. Perg. gandkauffbr. mit der Stattgerichts anh. Ins. v.wahr. deß. datum d. 29.ten April. A° 1648. Außweißend waß gestalt. weÿl. H Georg Lawgingers Seel. Erben alß Cessionarÿ Lienhardt Rauschers v. Maria heimerin beeder Eheleüth Ergandet, mit überschrib. Cession, So d. 13.ten Julÿ 1648. beÿ E. E. Groß. Rath von Georg Lanckhardts Seel. Erben bescheh. Sign. mit N° 16.
Welcher maß. solch erlangt Gandrecht d. 15.ten feb. A° 1650. an den H. Wittwer Eigenthümb. erwachß. besagt die Eodem Die in d. allhieig. Cancelleÿ Contract stub auffgerichteter V.schreib. derentweg. ein außgefertigter Extractus von hand. so auch mit N° 16. Darbeÿ noch vnderschiedliche Papÿrene Document. gebund.
It. 2/3 theil an i. Gädlin geleg. alhie in d. St. St. vor d. Zollthor (…)
It. 2. hoffstätten [zu (-)]
Abzug in dießes Inventarium Sa. haußraths 414, Sa. Frucht 23, Sa. Wein und Läären vaß 124, Sa. Bibliothec 40, Sa. baarschafft 43, Sa. Silber geschmeids 148, Sa. Guld. Ring 33, Sa. Pfenningzinß hauptgüter 536, Sa. Fruchtgülten (598, zur zeit ein geringers oder wohl gar nichts eingebracht werden kan) 199, Sa. Eigenthum ane häußern 129, Sa. Liegende güthern 38, Sa. Schulden 288, Summa summarum 1959 lb – Schulden 924, per Rest übrig 1021 lb – Summa Finalis 1033 lb

Fils du précédent, le notaire Jean Frédéric Redwitz vend la maison au meunier et charpentier Philippe Jacques Dietrich et au maréchal ferrant Jacques Meyer, tous deux de Wolfisheim

1677 (2. Junÿ), Chambre des Contrats, vol. 546 f° 448-v
Herr Johann Friderich Redwitz Notarius
in gegensein Philipp Jacob Dietrichs deß Müllers und Zimmermanns und Jacob Meÿers deß Hueffschmidts beÿde Zu Wolfftzheim – und Zwar uff unserer gnädig. Herren Rhät und XXI. am 26. Maÿ nechsthien Obrigkeitlich ertheilte bewilligung
hauß, hoffstatt, höfflein, Bronnen, mit allen übrigen deren Gebäwen, begriffen, weithen, Zugehördten Rechten und Gerechtigkeiten alhier gegen dem Pflantzbad, einseit neben Michael Kälterer dem Kieffer anderseit neben Hannß Haderer dem Rothgerber, hinden uff fraw Saram Biccin wittib stoßend gelegen, welche behaußung annoch umb 23. lb 12. ß 6 d. Nachtrags Capital Johann Adam Sigler Verhafftet – umb 177. lb

Les Conseillers et les Vingt-et-Un autorisent Jean Frédéric Redwitz à vendre la maison délabrée à Philippe Jacques Dietrich et à Jacques Meyer
1677 Conseillers et XXI (1 R 160)
Johann Friderich Redwitz umb ein decretum alienandi. 145. 148
(p. 145) Sambstag d. 19. Maÿ – [Johann Friderich] Redwitz pro [decreto] alienandi
Joh. Friderich Redwitz prod. p. Reus. unterthäniges bitten, an Philipp Jacob Dietrich vnd [-] Metzgeren ein hauß beÿm pflantzbad gelegen erkauffen, vmb obrigkeitlichen consens. H. XV. Städel vnd H. Spielmann

(p. 148) den 26. Maÿ – Johann Friderich Redwitzen hauß verkauff
Johann Friderich Redwitzen deß Notarÿ vnd burgers alhie hauß verkauff betreffendt, referiren H. XV. Städel vnd H. Spielmann, daß es vmb bawfällig schlechtes Heußlin Zuthun, vnd die Kaüffer Philipp Jacob Dietrich vnd Jacob Meÿer [fin de page]

Le maréchal ferrant Jacques Meyer épouse en 1652 Catherine, fille de Laurent Fritsch
Mariage, Wolfisheim (luth. f° 115)

1652. Dienstag den 25. Octobris im frügebett nach ordentl. Außruffung Eingesegnet Jacob Meÿr der Schmidt Jacob Meÿr (-) v burgers alhie Ehelicher Sohn vnd Jungfrau Catharina weÿland Lorentz Fritschen,* gewesenen burg. alhie hinderlaßene Eheliche tochter (i 112)

Le charpentier Philippe Jacques Dietrich épouse en 1667 Marthe-Anne, veuve de Jean Jacques Müller
Mariage, Wolfisheim (luth. f° 122 n° 7)

1667. Dienstags den 14. Maÿ. Eingesegnet der Achtbar Philippus Jacob Dieterich der Zimmer Mann in Rede *ärth alhie mit Marthana weÿland des Manhafften Hans Jacob Müller Selig hinderlaßenen Wittib (i 119)

Le boulanger Jean Jacques Müller, en dernier lieu fourrier dans les troupes, meurt le 27 juillet 1665 à l’âge de 56 ans.
Sépulture, Wolfisheim (luth. f° 165 n° 8)

1665. Donnerstag den 27. Julÿ früh vmb 10 Uhren starb der wÿland Achtbar v Mannhafft Hanß Jacob Müller burger Beck v würth alhier, seines alters im 56. Jahr ist Sambstag d 29. eiusdem ehrlich Zur erden bestattet word. v. die weil er im Kriegswesen die furier stell bedienet, ist der Leichtext gewesen ex 2. Tim[otheum] 4. Ich werde schon geopferth. (i 140)

Premier baptême d’un enfant de Jean Jacques Müller dans les registres de Wolfisheim en 1651.
Baptême, Wolfisheim (luth. f° 11)

1651. Dienstags den 11. Novembris im frügebett. Hans Jacob Müllern dem würth v Anna Marthana Eheleuthen, Ein Sohn, Jacob getaufft, waren Gevettern Michael debuß burger vnd Gerichtsverwandten, Lorentz Scheer d. Maÿer, Jungfr. Catharina Lorentz debußen des vorsprechs tochter (i 13)

Premier baptême d’un enfant de Philippe Jacques Dietrich dans les registres de Wolfisheim en 1668
Baptême, Wolfisheim (luth. f° 35-v)

1668. Dom XV. den 30 August Philips Jacoben Dieterichen Ein Söhnlein Namens Philips Jacob getaufft, waren Gevettern Jacob Hintz burger v Gerichts Schöpff allhier, Lorentz M(-) auch burger alhier, Anna (-) (i 38)

Philippe Jacques Dietrich hypothèque sa moitié de maison au profit du boulanger Michel Diemar. L’acte porte en marge que Michel Diemar est devenu propriétaire de la moitié de maison par enchère judiciaire datée du 16 décembre 1683.

1681 (8.3.), Chambre des Contrats, vol. 550 f° 107
Erschienen Philipp Jacob Dieterich Von Wolffßheim
hatt in gegensein Michael diemars des Weißbeckhens – schuldig seÿe 100 lb
dafür Vnderpfand sein solle, die Helffte ahne einer behausung und allen deren gebawen undt Zugehördten, alhier gegen dem Pflantzbadt, einseit neben einer behausung dem Stifft Zu der Rewerin gehörig, anderseit neben hannß Haderer dem Rothgerber, hinden uff weÿl. frawen Saræ Biccin seel. Erben stoßend gelegen, und seÿe die gantze behausung annoch umb 23 l, 12 ß 6 d. Nachtrags Capital Johann Adam Siegler, so dann umb 77. lb d Lorentz Moseder dem Gastgeb Zum Güldinen Apfel Verhafftet, sonsten aber erwehnte behaußung sonderlich aber jetzt hypothecirte hauß helffte gegen männiglichen ohnansprüchig
[in margine :] (…) in gegensein Jacob Meÿers Von Wolffßheim Vndt Michael Diemers (quittung), Actum 27. Martÿ aô. 1684. NB. hieringed. haußhelffte hatt obged. Diemar ahne sich ergandeth wie der sub dato den 16. Xbris 1683: außgefertigte Ganthbrief mit mehrerm ausweißt.

Michel Diemar vend la moitié de la maison au menuisier Georges Bœhm

1691 (12.6.), Chambre des Contrats, vol. 563 f° 490
(prot. fol. 82) Erschienen Michael Diemer, der weißbeck
hatt in gegensein Georg Böhm, deß Schreiners mit beÿstand Georg Neudeck auch Schreiners (verkaufft habe)
die helffte an hauß, hoffstatt, höfflein, Bronnen mit allen übrigen deren Gebäuen begriffen, weithen, Zugehördten, rechten und Gerechtigkeiten allhier geg. dem Pflantzbad, einseit neben Michael Kälterer dem Kieffer, anderseit neben Sebastian Haderer dem Rothgerber hind. auff (-) stoßend gelegen, inmaß. solche mit Jacob Meÿer dem Schmid von Wolffsheim abgetheilt, nemblich zur linck. hand deß Eingangs, wie Er d. Verkaüffer solche biß hero genoß., so gantz freÿ ledig vnd eÿg. vnd ist dießer Verkauff und Kauff Zugegang. und geschehen umb 225 pfund

Georges Bœhm hypothèque la même jour la maison au profit du forgeron municipal Samuel Nagel. En marge, quittance accordée en 1721 au tailleur Jean Jacques Ratz, devenu propriétaire

1691 (12.6.), Chambre des Contrats, vol. 563 f° 491
Erschienen Georg Böhm, der Schreiner mit beÿstand Georg Neudeck auch Schreiners
hatt in gegensein H. Samuel Nagel deß Statt Kieffers – schuldig seÿe 175 pfund, Ihme Zu erkauffung hernach beschriebener hauß helffte
unterpfand, die helffte an hauß & perge auß immediate vorstehender Verschreibung
[in margine :] Erschienen Johann Nagel der Kieffer, So dann Margaretha Nagelin deßen leibliche Schwester mit beÿstand Johann Jacob Beinen Küffers ihres Ehevogts, haben in gegensein Johann Jacob Ratzen deß Schneiders alß nunmahligen proprietarÿ hierinn bem. ahne d. Pflantzbad gaß liegenden Haußes, angezeigt und bekandt, demnach die hierinn verschriebene 175 lb d Cap. obbemelt 2. Nagelischen geschwistrig. von hierinn ged. Hn Nagel dem Creditore vermittelst weÿl. Jfr. Susannæ Nagelin ihrer Schwester welche ledig verstorben erblich zugekommen (Quittung) den 9. jan. 1721

Fils du menuisier Georges Bœhm de Neustadt en Silésie (sans doute Prudnik), Georges Bœhm épouse en 1672 Barbe, fille du musicien Jean Raoul Schott : contrat de mariage tel qu’il est copié à l’inventaire, célébration
(Copia der Eheberedung) Zwischen dem Ersam: und Bescheidenen Martin Georg Böhmen, dem noch ledigen Schreiner gesellen, von der Polnischen Newstatt in Schlesien, Weÿland Meister Georg Böhmen, auch gewesenen Schreiners und weÿland der Tugendsammen Frawen Annæ Güttnerin, beeder Eheleuth und burgern daselbst seeligen hinderlaßenem Eheleiblichem Sohn, und burgern alhie, als dem hochzeiter ane Einem, So dann die Ehren und Tugendsamen Jungfrawen Barbaræ, deß Achtbnar und bescheidenen hans Rudolph Schotten deß harpffenisten und der tugendsamen Frawen Jacobeæ Hoffmännin, beeder Eheleüth und Burgere alhie Zu Straßburg leiblichen dochter, als der Hochzeiterin am andern theÿl (…) Geschehen und verhandelt in deß heÿligen Reichs Freÿen Statt Straßburg Donnerstags den 10. Octobris Anno 1672 unterzeichnet Ich George Böhm Alß Hochzeiter Bekenne Wie ob Stehet, Ich Johann Rudolph schott als der hochzeitterin vatter bekene wie hier oben verzeichnet

Mariage, Saint-Pierre-le-Jeune (luth. f° 234 n° 52)
1672. Eâdem Dominica [Sonnt. XX Trinitatis 20. 8.bris] Geörg Böhm, der Schreiner, Weÿl. Geörg Böhmen des Schreiners Vndt burgers Zu Polnischen Neustatt in der Schlösien nachgel. ehl. Sohn, Vndt Jfr. Barbara, Hanß Rudolph Schotten deß Ha[r]pffenisten vndt Burgers allhier ehl. Tochter. Copulavi Eodem [Mont. 28. 8.bris]

Georges Bœhm devient bourgeois par sa femme deux jours après son mariage
1672, 4° Livre de bourgeoisie p. 399
Georg Böhm der Schreiner, auß der Neüstatt empfangt daß burger Recht Von seiner haußfr. Barbara, Hannß Rudolff Schotten deß Harpfenschlägers und burgers alhie dochter, umb 8. gold. fl. so er beÿ der Cantzleÿ erlegt hat. Ist zuuor ledigen standts gewesen, und würdt auch beÿ E. E. Zunfft der Zimmerleüt Zünfftig. Jurav. eodem [30. 8.bris 1672]

Barbe Schott meurt en 1683 en délaissant quatre enfants. L’inventaire est dressé dans la maison de la veuve Jean Georges Beyer rue Sainte-Barbe. La masse propre au veuf est de 23 livres, celle propre aux héritiers de 146 livres. L’actif de la communauté s’élève à 84 livres.
1684 (13.3.), Not. Winckler (Elie, 61 Not 5) n° 4
Inventarium über Weÿland der Viel Ehren und tugendsahmen Frawen Barbaræ Schottin, Meister Georg Böhmen, Schreiners und burgers alhie Zu Straßburg gewesene ehewürthin seel. Verlaßenschafft, auffgerichtet in Anno 1684.
Inventarium und beschreibung aller hab, Nahrung und gütter, keinerleÿ außgenommen, so weÿland die Ehren und Tugendsame fraw Barbara Schottin deß Ehrsammen und bescheidenen Meister Georg Böhmen, schreiners und burgers allhier Zu Straßburg gewesene haußwürthin seel. nach Ihrem Sontags den 28. Novembris des zurückgelegten 1683 Jahrs aus dießem mühesamen treuer und kummervollen Leben genommenen tödlichen hintritt hinderlaßen. Welches alles auf freundliches ansuchen erfordern und begehren, deß Ehrengeachten vnd Achtbaren Meister Jacob Blumen stühl Schreiners und burgers alhier Zu gedachtem Straßburg, als geordnet: und geschwornen Vogts Hans Georgs, Jacobea, Annæ Barbaræ und Hans Caspars, des abgeleibten Frauen sel. mit hievor und nachgemeltem Ihren hinterbliebenen wittwer, ehelich erzeugter vier Kinder und anch tod verlaßener ab intestato nächster Erben ersucht (…) Actum Straßburg Montags d. 23. Monats tag Martÿ Anno & 1694.

In einer in St. Barbaræ gaßen gelegen, frawen Dorotheæ Paulin, weÿl. Hn hannß Georg Beÿer gewesenen Rothgerbers und Burgers alhier Zu Straßburg seel. wüttib eigenthümlich gehörigen behaußung befunden worden wie volgt
Ane Höltzen und Schreinwerck. Auff der bühnen, In der Cammer A, In der Soldaten Cammer, Vor der Cammer A, In der kuchen, Im Keller
Ergäntzung deß Wüttwers unveränderten guths, Vermög einer durch Herrn Notarium Johann Georg Jägern den 19. 7.bris 1672. gefertigten verzeichnus
Des Wittwers unverändert Vermögen, haußrath 1, Ergäntzung 51 Summa summarum 53 lb – Schulden 30, (Nach deren Abzug) 23 lb
Der Erben unverändert Vermög., haußrath 42, Silbergeschmeid 66, Guldin Ring 3, Schulden 30, Ergäntzung (66, Abgang 2, Rest) 63, Summarum 146 lb
Theÿlbahr gut, haußrath 47, Lehren faß 13 ß, Werckzeug 31, Silbergeschmeids 3, guldin. ring 12 ß, Summarum 84 lb
Conclusio finalis Inventarÿ 133 lb
Ergäntzung der Erben unveränderten guth, Aus dem über der der frawen seel. für unverändert in die Ehe gebracht. Nahrung durch herrn Notarium Nicolaum Reeben seel. auffgerichteten Inventario ist mangelnd und Zu Ergäntzen befunden worden
(Copia der Eheberedung) (…) Geschehen und verhandelt in deß heÿligen Reichs Freÿen Statt Straßburg Donnerstags den 10. Octobris Anno 1672

Georges Bœhm se marie en 1684 avec Barbe Schaffner, veuve du revendeur Rémi Hoffmann : contrat de mariage, célébration
Copia Heuraths verschreibung – Zwischen dem Ehrenhafften Meister Georg Böhmen Schreiner undt Burgern Zu Straßburg, alß dem braütigamb ane Einem, So dann der Ehren: undt tugendsamen Frawen Barbaræ Schaffnerin, weiland deß Ehrsam und bescheidenen Meister Remigÿ Hoffmanns geweßenen Küeffers oder gremppen undt Burgers Zu gedachtem Straßburg seeligen hinterbliebener Wittib, alß der Hochzeiterin am andern Theil – So geschehen in der Königlichen Freÿen statt Straßburg Freÿtags den 28. Monaths tag Aprilis Newen Calenders Anno 1684. Elias Wincklern Nots. Cæs. Juratus et Regius confirmatus in fidem

Mariage, Saint-Pierre-le-Jeune (luth. f° 310)
1684. Domin. Cantat. 30. April: Georg Böhm d. schneider v. burger alhier vndt Anna Barbara weÿl. Remigÿ Hoffmans geweßenen grempen vndt burgers alhier Nachgel. wittwe. Copul. d. 8. Maÿ (i 324)

Rémi Hoffmann épouse en 1676 Barbe, fille du trompette Georges Schaffner
Mariage, cathédrale (luth. f° 28-v n° 62)
1676. [Fest. Trinit:] Zum 2 mahl Remigius Hoffman der (-) Weiland Remigÿ Hoffmans geweßenen Burgers Biersieders alhie nachgelaß. ehel. Sohn, Jfr. Barbara Weiland Georg Schaffners gewesenen Thurnbläßers auf dem Münster nachgel. ehel. T., Donnerstags den 3.t Maÿ, Münster (i 30)

Anne Barbe Schaffner fait dresser l’inventaire de ses apports qui s’élèvent à 120 livres
1684 (18.5.), Not. Winckler (Elie, 61 Not 5) n° 9
Inventarium über daß Jenige Vermögen, So Fraw Anna Barbara Schaffnerin, Meister Geörg Böhmen Schreinern und burgern Zu Straßburg, Ihrem lieben haußwürth, für unverändert in den Ehestand zugebracht, auffgerichtet in Anno 1684.
Inventarium und beschreibung aller Haab und Nahrung, So die Ehren und Tugendsam fraw Anna Barbara Schaffnerin, dem Ersam und bescheidenen Meister Geörg Böhmen Schreinern und burgern alhie Zu Straßburg Ihrem lieben haußwürth, in ihrem dem 8. tag laufenden Monats Maÿ angetrettenen Ehestand, inhalt auffgerichteter Eheberedung für unverändert Zugebracht (…) Actum Straßburg, Donnerstag den 18. Maÿ Anno 1684.
In der Statt Straßburg und einer daselbst in St. Barbaræ gaßen gelegen und bey der frawen lieben hußwürth bewohnenden behußung befunden worden
Sa. haußraths 66, Sa. Silbergeschmeids 8, Sa. Guldin Ring 12, Sa. Baarschafft 28, Sa. Schulden 5, Summa summarum 120 lb – Haussteuren 14 lb

Anne Barbe Schaffner meurt en 1712 en délaissant un frère et une sœur. Les experts estiment la moitié gauche de la maison à 225 livres. La masse propre aux héritiers est de 109 livres. L’actif de la communauté s’élève à 144 livres, le passif à 245 livres.

1712 (11.4.), Not. Mader (6 E 41, 667) n° 104
Inventarium und Beschreibung aller der Jenigen Haab Nahrung undt Gütter, so Weÿland Fraw Anna Barbara Böhmin gebohrne Schaffnerin, deß Ehrsamen und bescheidenen Meister Georg Böhmen Schreiners und burgers allhuer geweßene Haußfraw nunmehr seel. nach Ihrem den 14. Februarÿ dießes mit Gott angefangenen 1712.ten Jahrs beschehenem Tödlichem ableiben Zeitlichen verlaßen (…) So geschehen in der Königlichen freÿen Statt Straßburg in fernerm gegenseÿn Martin Georg Neüdeck Schreiners undt Burger allhier, alß geschwornen Vogts Johann Georg, Johannæ und Johann Caspars obgemelten Wittibers mit auch Weÿl. Barbarä gebohrner Schottin seiner erstern Haußfrawen seel. Ehelich erzeugten Kinder, auff Montag den 11. Aprilis 1712.
Die in Gott rugende Fraw sel: Hat ab intestato Zu Erben Verlaßen alß volgt. 1. Abraham Schaffner den Stundglaßmacher weilen aber derselbe nicht alhier Verburgert alß ist auß E: E: Kleinen Raths Mittel Hierbeÿ erschienen der Edel Wohl Ehren vest und Weiße Herr Johann Thomas Kaw E. E. Kleinen Raths wohlmeritirtr beÿsitzer und in specie hierzu Deputirter Herr, welcher dießem Geschäfft beneben obgedachtem Haffner in Persohn abgewarthet, So dann 2. Jungfrauwen Martha Schaffnerin, welche mit Assistentz Herrn Philipp Conrad Rauchen Notarÿ Publici et Pratici als hierzu beruffenen herrn Assistenten dießer Inventation beÿgewohnet, Dieße Zweÿ der Verstorbenen Frawen seel. Leibliche Geschwistede und ab intestato Erben Zu Zweÿen gleichen portionen und antheilen

In Einer in der Statt Straßburg ane der Pflantzbader gaßen gelegenen in dieße Verlaßenschafft gehörigen behaußung ist befunden worden wie volgt
Ane Höltzen und Schreinwerck, Auff der Oben Bühn, In der Soldaten Cammer, In der Cammer A, In der Cammer B, In der Werckstatt, In der Kuchen
Eigenthumb ane Einer Behaußung. Item die helffte ane einer behaußung Hoffstatt, höfflein undt Bronnen, mit allen deren übrigen gebawen, begriffen, weithen, rechten Zugehördten undt gerechtigkeiten allhier gegen dem pflantzbadt einseith neben Mstr Johannes Lorentzen dem Kieffer, anderseith neben Johann Buschardt dem Leder bereiter, hinten auff Abraham Fickeißen Wittib stoßend gelegen inmaßen solche mit Jacob Meÿer dem Schmidt von Wolffsheim abgetheilt, nemblichen Zur lincken handt des Eingangs, wie er der Verkäuffer solche bißhero genoßen, welche helfte behaußung nach einer durch der Statt Straßburg geschwohrne Werck Meistere Zu mein Notarÿ Concept gelüfferten Abschatzung angeschlagen worden pro 225. lb d Davon ist mann Weÿland Herrn Samuel Nagel deß geweßenen Statt Kieffers seel: hinterlaßenen ältisten tochter noch in Kauffschillings rest schuldig 175. lb. Nach solchem Abzug wird ane obenstehendem anschlag annoch übrig Verbleiben benantlichen 50. lb
Darüber besagt ein teutscher pergamentener Kauffbrieff in allhießiger Cancelleÿ Contract stuben gefertiget und mit dero anhangendem Innsiegel verwahrt, datirt den 12. Junÿ 1691. mit N° 1 notirt. Dabeÿ ferner noch ein alter teutscher pergam: Kauffbr. auch in allh: C: C: stub gefertiget und mit dero anh: I anhangendem Innsiegel verwahrt sub dato 2. Junÿ 1677. auch mit altem N° 1 signirt
Ergäntzung der Erben Unveränderten Guths, Vermög Inventarÿ über das Jenige Vermögen so die verstorbene Fraw seel. zu obgedachtem Ihrem Ehemann in den Ehestand Zugebracht, durch Weÿland herrn Elia Wincklern geweßenen Notarium Publicum in Anno 1684. gefertiget hat mann den Erben Zu Ergäntzen wie volgt
Series rubricarum hujus Inventarÿ. Der Erben unverändert Guth, Sa. Haußraths 22, Sa. Goldener Ring, 5, Sa. Ergäntzung 81, Summa summarum 109 lb
Daß Veränderte und Theilbare Guth, Sa. haußrath 72, Sa. Werckzeug Zum Schreiner handwerck gehörig 21, Sa. Eigenthum ane einer behaußung 50, Summa summarum 144 lb – Schulden 245 lb, Übertreffen also die Theilbare passiva das theilbare guth umb 100 lb
Copia Heuraths verschreibung (…) So geschehen in der Königlichen Freÿen statt Straßburg Freÿtags den 28. Monaths tag Aprilis Newen Calenders Anno 1684. Elias Wincklern Nots. Cæs. Juratus et Regius confirmatus in fidem

Georges Bœhm hypothèque la maison au profit d’Elisabeth Marx veuve Fickeisen

1713 (26.1.), Chambre des Contrats, vol. 586 n° 32
Georg Böhm schreiner
in gegensein Elisabethæ Fickeißin wittib geb. Marxin beÿständlich H. Andres Altenburgers silberarbeiters ihres vogts – schuldig seÿen 25 pfund
unterpfand, seines hauses c. appert. in der Pflantzbadt gass, einseit neben Joh: Jacob Bein anderseit neben Joh: Boujard hinten auf der Creditrice – Worbeÿ erschinen Jacobe Böhmin, Item Joh: Georg Böhm so dann Georg Neÿdeck schreiner alß vogt Joh: Caspar Böhmen übriger KK die habend sich verbürget

Jean Georges Bœhm meurt en 1715 en délaissant quatre enfants de son premier mariage. L’estimation de la maison est reprise de l’inventaire précédent. L’actif de la succession s’élève à 82 livres, le passif à 171 livres.

1715 (30.8.), Not. Mader (6 E 41, 671) n° 208
Inventarium über Weÿl. Meister Johann Georg Böhmen deß geweßenen Schreiners und burgers allhier seel. Verlassenschafft, auffgerichtet in Anno 1715.
Inventarium und Beschreibung aller derjenigen Haab, Nahrung Und Güettere Ligend und fahrender, so Weÿl. Meister Johann Georg Böhm der Schreiner und Burger allhier nach seinem d: 19.t Aprilis dießes fortlauffenden 1715.ten Jahrs beschehenem tödtlichem ableiben Zeitlichen verlaßen, welche Verlaßenschafft auf freundliches ansuchen erfordern und begehren der ane nachfolgendem folio in specie benambßter Erben (…) So beschehen in der König. freÿen Statt Straßb. auff Freÿtag d. 30.ten Aug. 1715.
Der in Gott ruhende Mstr: Böhm seel: hat ab intestato Zu Erben Verlaßen alß Volgt. 1. Johann Georg den Leedigen Schreiner weilen aber derselbe wegen Leibsblödigeit Vermög unßerer Gnäd. H. Räth XXI in allhießiges Waißenhauß Erkandt worden, alß ist beneben demselben hiebeÿ erschienen der Edel Wohl Ehrenvest und Großachtbahre Herr Johann Heüpel des gedachten Waißenhaußes wohlmeritirter Schaffner, 2. Jacobeam Welche mit assistentz H Johann Michael Lampen des Krempen und burgers allhier dero beÿstand dießem Geschäfft abgewarthet, 3. Johann Caspar den Leedigen Schreiner, in deßen Nahmen hierbeÿ Zugegen geweßen der Edel Wohl: Ehren Veste Weiß und Großachtbahrre H Daniel Rohr, Nots. publ. & practicus auch E: E: Kl: Raths wohlmeritirter beÿsitzer alß auß gedachtem E: E: Raths Mittel hierzu deputirter Herr vnd 4. Frau Annam Barbaram Fucqueauin, weÿl. Pierre Foucqueau des geweßenen Hoßenstrickers und Schirmers allhier hinterlaßene Wittib demnach dieße Letztere Ihr burgerrecht Verheürathet und Vor dießelbe bÿ E. E. Kleinen Rhat umb Keinen deputatum angeruffen worden, so hat sich hierauff Edel gedachter Notarius Rohr Vernehmen laßen daß weilen dießes Geschäfft, Von Geringer consequenz und umb solches nicht auffzuhalten sich dießer persohn gleich der Ersteren alß warzu er deputirt annehmen wolte doch daß Ihme solches Künfftighin nichts præjudiciren solle. Dieße Vier deß Verstorbenen seel. mit Weÿl. Barbara Schottin seiner erstern Haußfrawen seel. in erster Ehe Erzeugter Söhn und Töchter Zugleichen portionen undt antheÿlen, welche Erbschafft anderer Gestallt nicht alß cum beneficio legis et Inventarÿ angetretten.

In Einer in der Statt Straßb. ane dem sogenandten Pflantzbad in dieße Verlaßenschafft Zum theil gehörigen behaußung ist befunden Worden wie Volgt
Ane Haußrath. In der Cammer A, In der Cammer B, In der Cammer C
Eigenthumb ane Einer Behaußung. Item die Helffte Ane einer behaußung Hoffstatt, Höfflein, und Bronnen mit allen deren übrigen gebawen, begriffen, weithen, rechten Zugehördten undt gerechtigkeiten allhier gegen dem Pflantzbaadt einseith neben Meister Johann Jacob Beinen Jun. dem Kieffer, anderseith neben Johann Buschardten dem Led.bereitern hind. auff Abraham Fückeiß. W. stoßend, gelegen inmaßen solche mit Jacob Meÿer dem Schmidt et cons. Von Wolffish. abgtheilt, nembl. Zur lincken handt des Eingangs wie Er der Verkäuffer solche bißhero genoß. welche Helfte behaußung durch die St: S: geschwohrne Werckmeistere in Anno 1712. Crafft einer beÿ mein Notarÿ Concept befindlicher Abschatzung angeschlagen worden pro 225. lb d. Welche Behaußung Weÿl. H: Samuel Nagel deß geweßenen Stattkieffers seel: hinterlaßenen ältisten Tochter noch in Kauffschillings Rest umb 175. lb d Ferner Weÿl. Abraham Fickeiß. deß geweße Wollenwebers und Burgers allhier hinterlaßene Wittib umb 19. lb d Verhafftet sonsten gegen männiglichen freÿ leedig undt eÿgen davon seind abzuziehen obige Beschwerd. so thun 200. lb. Nach deren Abzug wird ane obigem anschlag annoch per rest übrig Verbleiben Nemblichen 25. lb
Darüber besagt ein teutsch: perg: Kffr. in allh. C: C: st: gef: v. m. dero anh: Inns: vw: dat: d: 12: Junÿ 1691. m: N° 1 notirt Undt darbeÿ gelaß. Dabeÿ ferner noch ein alter teutscher pergam: Kffbrieff auch in allh: C: C: st gef: v: m: dero anh: Inns: vw: sub dato 2. Junÿ 1677. auch mit alt. N° 1 signirt vndt darbeÿ gelaß. Weiter i: perg: Ganth Kffbr: m: des Gerichts anh: Inns: vw: dat: d: 16: Xbris 1683.
Series rubricarum. Sa. Haußraths 43, Sa. Werckzeugs 14, Sa. Eigenthums ane Eiber Behaußung 25, Summa summarum 82 lb – Schulden 171 lb, Übertreffen also die Theilbare Passiva die gantze Verlaßenschafft umb 98 lb

Le fils aîné Jean Georges Bœhm est admis à l’orphelinat
1715 Conseillers et XXI (1 R 198)
(Table, f° manquant) Hanß Georg Böhm der älterloße schreiner vmb auffnahm in das Waÿßenhauß. 69.
(Protocole, f° 26-v) Sambstag den 6. Julÿ 1715 – H. Ersch. hans Georg Behm der ledige schreiner Elterloße gebrechlicher Sohn weÿl. Georg bohmen b v Schreiner (…)

Les héritiers de Jean Georges Bœhm vendent la maison au tailleur Georges Philippe Huth et à sa femme Marie Madeleine Wild moyennant 400 livres

1715 (21.11.), Chambre des Contrats, vol. 588 f° 808-v
(400) S.T. hr. Antoni Quinssard XV.er alß mitpfleger deß Waÿßehauß beneben H. Joh: Heupel alß schafnern wegen Joh: Georg Böhm welcher in sothanem Waÿßehauß ist, Item Jacobe Böhmin so majorennis und unbevögtigt beÿständlich Daniel Hülffinger gerbers, Item hr Daniel Rohr Not: publ: alß Deputatus von E.E Kl. Rath wegen Anna Barb. und Joh: Caspar der Böhmen
in gegensein Georg Philipp Huth schneiders und Mariæ Magd geb. Wildin
die helfte ahn einer behaußung hoff hoffstatt und bronnen mit allen deren übrigen begriffen, weithen, zugehörden, rechten und Gerechtigkeiten und zwar den theil zuer lincken hand deß eingangs und liegt d. hauß gegen dem pflantzbadt, einseit neben Joh: Jacob Baÿn den Kiefer anderseit neben Johann Buschardt dem Gerber hinten auf Abraham fickeißen wittib – um 175 und 25 pf verhafftet, geschehen um 200 pfund
[in margine :] quittung Joh: Caspar Böhm jun: und Sophia Elisabetha geb. Dickerin 13. Octobris 1718

Georges Philippe Huth acquiert la deuxième moitié de la maison des héritiers de Jacques Meyer moyennant 267 livres.

1719 (27.4.), Chambre des Contrats, vol. 593 f° 210
(267) Jacob Meÿer, Item Lorentz Schöttel, Item Hanß Gug, Sebastian Debus, Item Susanna geb. Schöttelin beÿständlich Michel Mürsch ihres Mariti, Item Barb: geb. Schöttelin beÿständlich Joh. Joachim Weißer ihres mariti, Item Jacob Meÿer alß vogt obigen Schöttels KK
in gegensein Georg Philipp Hueth schneiders und Mariæ Magd: geb. Wildtin
ihre helfte ahn hauß hoffstatt höfflein brunnen mit allen übrigen deren gebäuden, begriffen, weithen, zugehörden, rechten und Gerechtigkeiten gegen den Pflantzbadt, einseit neben Joh. Jacob Bein dem Kiefer anderseit neben Joh. Sebastian Bouchardt rothgerber hinten auff fr. Mollingerin – um 267 pfund

Georges Philippe Huth et Marie Madeleine Wild vendent la maison entière au tailleur Jean Jacques Ratz et à sa femme Marie Dorothée Reuber

1720 (26.9.), Chambre des Contrats, vol. 594 f° 467-v
(1012) Georg Philipp Huth Schneider und Maria Magdalena geb. Wildtin
in gegensein Johann Jacob Ratzen des Schneiders und Mariæ Dorotheæ geb. Raÿberin
eine behausung hoffstatt höfflein und Brunnen mit allen übrigen gebäuden, begriffen, weithen, zugehörden, rechten und gerechtigkeiten in der pflantzbadt gaß gegen dem Pflatzbad über, einseit neben Johann Jacob Bein dem kieffer anderseit neben Johann Buschard dem gerber hinten auff Abraham Fickenstein wittib – um 50, 81, 25, 96 und 75 pfund verhafftet, geschehen um 685 pfund

Fils du tailleur Jean Joachim Ratz, Jean Jacques Ratz épouse en 1696 Dorothée Elisabeth, fille du charretier Jean Georges Huth, de la Petite Pierre
Mariage, Saint-Pierre-le-Vieux (luth. f° 56 n° 304)
Heut den 27 Junÿ 1696 ist nach geschehener ordentlich. außruffung Copulirt worden Johann Jacob Raz, der ledige schneider, Johann Joachim Razen, des burgers undt schneiders allhier ehelicher Sohn, undt Jfr. Dorothea Elisabeth, weÿland Johann Georg Huthen, gewesenen burgers und fuhrmanns Zu Litzelstein nachgelaßene eheliche Tochter (unterzeichnet) + des hochzeiters hand Zeich. dorodea Elisabede hudin (i 58)

Les nouveaux mariés font dresser l’inventaire de leurs apports. Ceux du mari s’élèvent à 26 livres, ceux de la femme à 222 livres.
1699 (24. 8.br), Not. Schatz (Jean Frédéric, 51 Not 2)
Inventarium und beschreibung aller der Jenigen Haab und nahrung, so der Ehrsame und bescheidene Meister Hannß Jacob Ratz, Schneider und burger allhier zu Straßburg undt die viel Ehren und tugendsahme fraw Dorothea Elisabetha Huthin, beede Eheleuth einander vor ohnverändert in den Ehestand gebracht (…) Actum in persönlicher Gegenwärtigkeit deß wohl Ehren geachten und wohlgeachten Herrn Johann Joachim Ratzen auch Schneidern des Manns ehelichen vattes, vff sein deß manns: deß gleichen vff der frawen seithen herrn Ernst Friderich Büchlers, cantzleÿbottens, alß der frawen beÿstandts, in Straßburg den 24° Octobris 1699.
Calculus vber dießes Inventarii, deß Manns nahrung, haußrath 34, werckzeug 1, Silber 1, Summa summarum 37 lb
d. frawen Nahrung, haußrath 136, Silbers 6, Guldine ring 11, baarschafft 63, Schulden 4, Summa summarum 222 lb

Dorothée Elisabeth Huth meurt à l’âge de 54 ans après une longue maladie.
Sépulture, Temple-Neuf (luth. reg. 1716-1731 f° 29-v n° 68)
1719. Freÿtag d. 20. 8.bris frühe Morgens Zwischen 12. v. 1. Uhr ist Fr. Dorothea Elisabeth Ratzin gebohrene Huthin, H Joh:Jacob Ratzen b. u. schneiders alhier ehl. haußfraw, nach außgestandener Langwierigen Leiben blödigkeit gestorben v. Sonnt. darauff beÿ gehaltener Leich Pred. auf dem Gottesacker S. Helenen begraben worden, Ihres alters 54. Jahr 5. Monath v 16 tag. (unterzeichnet) Johann Jacob ratz als Wittwer, Johann Jachim Ratz als schwager (i 32)

Les préposés de la Taille font figurer la succession dans leur registre parce que l’’héritière non bourgeoise Anne Catherine Huth, femme du tisserand Jean Adam Ott de la Petite Pierre doit régler le droit de détraction, les légataires qui habitent Ernolsheim en étant dispensés.
1720, Livres de la Taille (VII 1175) f° 345-v
Schneider F. B. 2314 – Weÿl. Fr. Elisabethæ gebohrner Huhtin, Hannß Jacob Ratzen Schneiders und burgers alhier geweßener Ehel. haußfrauen Verlaßenschafft inventirt H. Not. Kolb
Concl. Fin. Inv. ist Fol. 60. – 1308 lb 4 ß 1 d, die machen 2600 fl. derselbe Verstalte hiengegen 4000 fl.
Ext. kein Stallg.
Gebott 1 ß 4 d
Abhandlung 1 lb 17 ß 6 d, Summa 1 lb 18 ß 10 d
Abzug. Frau Anna Catharina gebohrne Huhtin, Hanns Adam Otten des Webers Zu Lützelstein Ehefrau soll von Finito usufructu anfallendem Legat der 150. lb d als alhier ohnverburgert den Abzug erlegen mit 15. lb. Die übrigen Legatarÿ sind als Hanawische Underthanen von Ernoltzheim in Crafft der Ordnung des abzugs befreÿet
dt. omnia d. 5. Jan. 1720.

Jean Jacques Ratz se marie avec Marie Dorothée, fille du fabricant de chausses Frédéric Reuber : contrat de mariage, célébration
1719 (18. Xbris), Not. Mader (6 E 41, 693)
(Eheberedung) zwischen dem Ehrengeachten Herrn Johann Jacob Ratzen dem Schneider und burgern allhier alß dem Bräutigam ane Einem
So dann der Ehren und tugendsahmen Jungfrawen Mariä Dorotheä, Weÿl. deß Wohl Ehrenvesten Weiß und Großachtbahren Herrn Friderich Reÿbers geweßenen Hoßenstrickers und E.E. großen Raths alten beÿsitzers seel. mit der Viel Ehren und Tugendreichen Frawen Susannæ gebohrner Holtzingerin in dritter Ehe erziehltes Jgfr. Tochter alß der Jgfr. Hochzeiterin am andern theil – So geschehen in Straßburg auff Montag den 18. Xbris A° 1719 [unterzeichnet] Johann Jacob (raz), Mari Dorothea Räuberin

Mariage, Temple-Neuf (luth. n° 324-v n° 1333)
1720. Mittwoch den 21 febr. sind nach Zweÿmahliger Proclamation copulirt und ehelich eingesegnet worden Johann Jacob Ratz, der Schneider, burger und wittwer allhier und Jfr. Maria Dorothea, weil. herrn Friederich Räubers, gewesenen Hoßenstrickers und burgers, auch beÿsitzers beÿ E. E. Großen rath allhier nachgelaßene ehel. dochter (unterzeichnet) Johann Jacob, Maria dorothea Räuberin (i 324)

Les Conseillers et les Vingt-et-Un autorisent Jean Jacques Ratz à se remarier avant la fin de son deuil.
1720 Conseillers et XXI (1 R 203)
Johann Jacob Ratz erhalt Erlaubnuß sich copuliren Zu lassen. 35.
(p. 35) Montag d. 5.ten Februarÿ – Lt. Mosseder Nomine Johann Jacob Ratzen burgers und Schneiders allhier, producirt unterthäniges Memoriale und Bitten mit beÿlag sub Lit. A umb gnädige Dispensation in der Zeit der Traur, handelt innhalts, ist Erkandt, wird dem Imploranten, gegen erlag Zehen pfund pfenning in das Allmoßen sich mit Jungfer Maria Dorothea Weÿl. H. Friedrich Räübers Exsenatoris hinderlaßenen Ehelichen Tochter copuliren Zu lassen Obrigkeitlchen erlaubt. Deputati H. xv.r Ellwert und H. Ratherr Braun.

Les nouveaux mariés font dresser l’inventaire de leurs apports. Ceux de la femme, inventoriés rue de l’Arc-en-Ciel, s’élèvent à 494 livres.
1720 (27.2.), Not. Mader (6 E 41, 675) n° 349
Inventarium über der Ehr vndt Tugendsahmen Frawen Mariä Dorotheä Ratzin gebohrner Raüberin Zu dem Ehrengeachten Herrn Johann Jacob Ratzen dem Schneider und burger allhier Zu Straßburg Ihrem Ehemann in den Ehestand Zugebrachter Nahrung auffgerichtet in Anno 1720. – vermög der mit einander auffgerichteter Eheberedung sich vor unverändert vorbehalten hat (…) So geschehen in d. St. Strb. in fernerer Gegenwarth deß Wohl Ehren Vesten v. großachtbahren hern Johann Georg Flecken Handelßmanns v. burgers alhier der Ehefrauen Schwagers und hierzu erbettenen Herrn beÿstandt. Dienstag d. 27.ten Febr. A° 1720.
In einer in der Statt Straßburg in der Regenbogen Gaß gelegenen hieher nicht gehörigen Behaußung befund. word. als volgt
Series Rubricarum, Sa. Hausraths 234, Sa. Silbergeschirrs 59, Sa. Goldener Ring 44, Sa. der baarschafft 156, Summa summarum 494 lb
Haussteuren 77 lb, Hieran gebührt nun dem Ehemann nach anleytung der Eheberedung die helffte so thut 38 lb. Vndt der Ehefrauen der übrige halbe Theil trifft auch 38 lb

Les nouveaux mariés font dresser l’inventaire de leurs apports. Ceux du mari, inventoriés rue du Chaudron, s’élèvent à 2 705 livres.
1720 (1.8.), Not. Mader (6 E 41, 675) n° 348
Inventarium über deß Ehren: Undt Vorachtbahren Herrn Johann Jacob Ratzen Schneiders undt burgers allhier zu Straßburg zu der Ehr: und tugendsahmen Frawen Maria Dorothea Ratzin gebohrner Raüberin seiner Haußfrauen in den Ehestandt zugebrachter Nahrung, auffgerichtet in Anno 1720 – vermög der mit einander auffgerichteter Eheberedung sich Vor unverändert vorbehalten hat (…) So geschehen in Straßburg in fernerem gegensein der Ehr: v0 Tugendsamen Frawen Susanna Raüberin gebohrner Holtzingerin der Ehefrawen leiblichen Mutter auff Donnerstag den 1. Aug. 1720.

In Einer ane dem Kesselgäßlein gelegenen dem Eheherrn Eÿgenthümblich zuständigen behaußung ist befunden worden, wie volgt.
Ane Höltzen und Schreinwerck. Auff der obern Bühn, In der Cammer A, In der Magdt Cammer, In der Cammer B, In der Cammer C, In der Cammer D, In der Wohnstub, In der Stub Cammer, Im obern Hauß Ehren, Im Keller
Eigenthumb ane Einer Behaußung in dem Keßel gäßel (…)
Series rubricarum hujus Inventarÿ, Sa. Hausraths 436, Sa. Früchten auff dem Casten 52, Sa. Weins v. Lährer Faß 84, Sa. Silbergeschirrs 174, Sa. der baarschafft 1032, Sa. der Pfenningzinß hauptgüter 612, Sa. der Schulden 75, Summa summarum 2667 lb
Darzugerechnet die ane hernach beschriebenen Haussteuren ihme gehörige helffte th. 38 lb, Gantze summa 2705 lb

Jean Jacques Ratz et Marie Dorothée Reuber font un testament nuncupatif. La femme règle la succession à échoir à son fils naturel Jean Philippe Reinolp suite à son attestation faite à Leutesheim (en Bade) le 29 septembre 1738.
1739 (20.8.), Not. Dautel (Fr. Henri, 6 E 41, 289) n° 79
Testamentum nuncupativum – persönlich kommen und erschienen seÿen, der Wohl Ehrenachtbare Herr Johann Jacob Ratz, der Schneider und beneben Ihme die Ehren und tugendsame Frau Maria Dorothea gebohrner Reuberin, beede Ehepersonen und burgere allhier Zu Straßburg, von verleihung göttliches Gnaden gesund, gehend und stehender Leiber, auch guter richtiger Sinnen und verstands (…)
Ane dem vierden eröffnene die Frau Testirerin was maßen zwar ihr geliebter Ehegatt eingangs gemeld sich mit ihrem außer Ehe erzeugtem Sohn nahmens Johann Philipp Reinolp in crafft des von ihme dato Leutesheim den 28. Septembris anno 1738 außgestellten beÿ ihren handen habenden unterschriebenen attestati seines künfftigen etwa zu empfangen habenden Mütterlichen Erbs halben auff 100 thaler verglichen (…)
Alldieweilen auch Sie die Frau Testirerin auß sonderbaren umbständen beÿ sich überleget, so doch wieder verhoffen geschähe, daß angeregter vergleichungs Scheins ihres außer Ehe erzeugten Sohns im vohergehenden vierden Puncten angeregt, in Keine consideration gezogen, und mit der zeit von ihme Sohn etwa disputirt werden möchte, als will die frau Testirerin solchen falls dieße versehung gethan haben, daß, da derselbe wieder vermuthen des mütterlichen Erbs fähig erkläret würde, Sie ihne Johann Philipp Reinolp allein in die Mütterliche Legitimam seiner Erbs portion /:gleich wie auch, im fall er versterben und eheliche Kinder hinderlaßen, deßen Kinder dahie angesehen seÿn sollen:/ in den Rest dießer seiner portion (…)
auff Donnerstag den 20.ten augusti Anno 1739. abends zwischen 6. und 7. uhren (unterzeichnet) Jujohrfratz, maria dorithea ratzin gebohrne Räuberin

Jean Jacques Ratz meurt en 1742 en délaissant deux enfants issus de la veuve. Les experts estiment la maison à 700 livres. La masse propre à la veuve est de 2 399 livres, celle propre aux héritiers de 3 110 livres. L’actif de la communauté s’élève à 799 livres, le passif à 5 107 livres

1742 (12.5.), Not. Dautel (Fr. Henri, 6 E 41, 239) n° 164
Inventarium und Beschreibung aller derjenigen Haab, Nahrung und Güthere, liegender und fahrender, Keinerleÿ davon außgenommen, so weÿl. der wohl Ehrenachtbare herr Johann Jacob Ratz, der ältere geweßene Schneider und burger allhier Zu Straßburg nunmehr seel. nach seinem den 15.ten Martÿ dieses laufenden 1742.ten Jahrs auß dießer welt genommenen tödlichen ableiben Zeitlichen verlaßen, welche verlaßenschafft auf freundliches Ansuchen, Erfordern und Begehren des abgeleibten seel. mit hernach benander seiner hinderbliebenen wittib ehelich erzeugter nach tod verlaßener Sohns und Tochter, gleich nach dem Eingang dießes Inventarii mit und neben deren Ehegatten benambst, fleißig inventirt und ersucht durch die Ehren und tugendsame frau Mariam Dorotheam gebohrene Reuberin, mit assistentz des Wohl Ehren und wohlvorgeachten herrn Johann Friderich Flecken des Langmeßerschmids und burgers allhier (…) So geschehen allhier in der königlichen freÿen Stadt Straßburg auff Sambstags den 12.ten Maÿ Anno 1742.
Der verstorbene seel. hat ab intestato sowol als per Testamentum instituirte Zu Erben verlaßen wie folgt, den Wohl Ehrengeachten Mr Johann Jacob Ratzen den Jüngern, Schneidern und Burgern allhier so beÿ dießer Inventur præsens war, So dann die ehren und tugendsame frau Mariam Dorotheam Schollin geb. Ratzin, des Ehrenachtbaren Mr Joh: Philipp Schollen des Sattlers und burgers allhier Ehegattinn welche mit und neben ihrem Ehegattin dießer Inventur in person abgewartet, beede des abgeleibten seel. mit eingangs ermelter seiner hinderbliebener Wittib ehelich erzeugter Sohn und tochter und sowol ab intestato als per Testamentum nach tod verlaßener Zu gleichlingen portionen Erben.
Copia der Eheberedung, Copia Testamenti nuncupativi

In einer allhier Zu Straßburg ane dem Keßelgäßl. gelegenen in diese Verl. eigenthümlich gehörigen behaußung folgendermaßen sich befunden
Eigenthumb ane Häußern. (E.) Eine Beh. hoffstatt, höfflein und Hinderhauß Zum Kößel genannt ane dem Kößelgäßl. (…)
(T.) It. eine beh. hoffstatt, höfflein v. bronnen mit allen übrigen Gebäuden, begriffen, weilten, Rechten, Zugehörden und gerechtigkeiten gelegen allhier ane der Pflantzbader Gaß gegen dem Pflantzbad über, i.s. neben Mr Joh: Georg Bircken, dem Küblern, 2.s neben Daniel Buschard dem Rothgerbern, hinden auff Christoph Schopÿ stoßend, so gegen männiglichen freÿ ledig eigen und nach besagt vorherallegirter derer geschwornen herren Werckmeistere überschickte Abschatzung taxirt worden umb 700 lb. Hierüber meldet j. teut. perg. Kffbr. in allhies. C. C. stuben gef. und m. deren ahn. Ins. v.wahrt datirt den 26.ten 7.br. a° 1720. Ferner ein dergl. Kffbr. allda gef. und mit deren Ins. corroborirt, de dato 27.ten Aprilis A° 1719. dabeÿ noch 4. andere perg. Kffbr. sich befunden.
Ergäntzung der Wittib ermanglenden unveränderten Guths. Vermög des über der wittib in den Ehestand zugebrachte nahrung durch nun weÿl. Herrn Philipp Jacob Madern gewes. Not. publ. jur: et academicum allh. seel. in A° 1720. gefertigten Inventarii hat man der wittib vor abgegenan unverändert Gut zu ergäntzen wie folgt (…)
Inhalt Theil Registers das, was die W. beÿ abtheil. weÿl. Fr. Susannæ gebohren holtzing. auch längst weÿl. H Fried. Reubers gewes. Hoßenstrickers E. E. Gr. Raths beÿsitzer allh. seel. hinterbliebener W. ihrer leibl. mutter sel. Verl. Zu einem 3.th. erb. erhalten
Series rubricarum hujus Inv. Der Wittib unverändert Vermögen betreffend, Sa. Silbers 3 ß, Sa. gold. Rings 8 ß, Sa. Schulden 550, Sa. Guths Erg. 1849, Summa summarum 2399 lb
Der Erben unveränderte Nahrung, Sa. Kleÿd. und weißgezeug 3, Sa. Leeren faßes 1, Sa. Pfenningzinß hptg. 62, Sa. Eigenth. ane j. beh. 1100, Sa. Schulden 17, Sa. Guths Erg. 2474., Summa summarum 3660 lb – Schulden 550 lb, Nach deren Abzug 3110 lb
Das Theilbare guth, Sa. haußraths 38, Sa. Leerer faß 6, Sa. Silbers 2, Sa. Gold. Ring 1, Sa. baarschafft 25, Sa. Eigenth. ane j. beh. 700, Sa. Schulden 24, Summa summarum 799 lb – Schulden 5107 lb, Theilb. passiv Rest 4308 lb
Stall Sa. 1201 lb – Zweiffelhaffte Pfgzß Hptg. 26 lb
Copia der Eheberedung – zwischen dem Ehrengeachten Herrn Joh: Jacob Ratzen dem Schneider v. burgern allh. alß dem Bräutigamb ane einem, So dann d. Ehren v. tugend. Jgfr. Mariæ Dorotheæ, weÿl. des Wohl Ehrenvesten weiß v. großachtbaren Hn Friderich Reÿbers gewes. hoßenstrickers v. E. E. Großen Raths alten beÿsitzers seel. mit der Ehren v. tugendreichen Fr. Susanna gebohrener Holtzingerin in dritter Ehe erziehlter Jungfr. tochter alß d. hochzeiterin, ane dem 2. theil (…) So geschehen in d. Königl. St. Str. d. 18.ten Januarÿ A° 1720., Philipp Jacob Mader, Nots. publ. et Acad. jur., Collationirt Johann Daniel Stöber, Notarius
[joint à l’inventaire de Christophe Frédéric Ratz, 1739 n° 108] Abschatzung dem: 10. Maÿ: 1742. Auff begehren Weillandt dëß wohll achtbahren und bescheitenen H. Johann Jackob ratzen deß geweßenen schneiterß seel. hinder Laßenen frau wittib und Erben ist eine behausung allhier in der Statt Straßburg in dem Keßell geslein gelegen, So ein seitß ein Eck in daß hauer gëslein (…)
Der 2.te: gebrieff ist auch allhier in der Statt Straßburg in der Pflantz batter gaßen gelegen einseitß Neben Meister hannß Jörg Pirckell dem Küblern, anderseitß Neben Daniel Puschart dem rohtgerber, hinden auff Christoph schopÿ Stoßent, welche behausung undten ein gangß ein Stuben Cammer Küchell Nebenß Cammer, holtz Cammer getrëmbter Keller der hoff und bronen, ein alter Stall so Zur Loschirung Vor den officier oben dar über ihm Ersten und Zweÿten Stock, 2: Stuben 2: Cammern, daß hauß Ehren dar innen der herdt oben dar über unden dem tach 4. Cammren ein Ein faches Zigell tach sambt einen alten holtzren gang mit aller gerechtig Keidt wie solches turch der Statt Straßburg geschwornen wërck Meistere sich in dero besichtigung befunden und Jetzigen Preÿß nach angeschlagen wierdt Vor und Umb Ein Tausent und Vier hundert Gulten. Bezeichnuß der Statt Straßburg geschwornen wërck Meistere, [unterzeichnet] Johann Peter Pflug Statt Lohner, Michael Ehrlacher Werck Meister deß Meinsters, Johann Jacob Biermeÿer Werck Meister deß Zimmerhoffs

La veuve et les enfants de Jean Jacques Ratz vendent la maison au tonnelier Jean Jacques Bein et à sa femme Marie Salomé Theurkauff.

1746 (12.9.), Chambre des Contrats, vol. 620 n° 691
Fr. Maria Dorothea geb. Reuberin weÿl. Johann Jacob Ratz des schneiders wittib mit beÿstand ihres tochtermanns Johann Philipp Scholl des Sattlers und dero kinder Johann Jacob Ratz des schneiders und Fr. Maria Dorothea geb. Ratz
in gegensein Johann Jacob Bein des kieffers und Mariæ Salome geb. Theurkauffin
eine behausung, höfflein, bronnen und hausfrau mit allen deroselben begriffen, weithen, zugehörden und rechten in der Pflantzbadergaß gegen dem Pflantzbad über einseit neben Daniel Buschard dem rothgerber, anderseit neben Wilhelm Salomon dem Paßmentirer, hinten auff N. Schöpfke den todenträger – so sein Johann Jacob Ratze Ehefrau Maria Margaretha Schultzin zu einem lebtägigen wÿdem verschrieben auf deren natural genuß aber dieselbe hier verzug gethan – um 1062 pfund

Jean Jacques Bein et Marie Salomé Theurkauff font dresser un état de leurs biens obérés de dettes en 1781 dans la maison au Bain-aux-Plantes. A l’inventaire dressé après la mort de Marie Salomé Theurkauff l’année suivante, les experts estiment la maison à la somme de 450 livres.

Jean Jacques Bein et Marie Salomé Theurkauff font donation de la maison à leur fils Jean Jacques Bein lors de son mariage avec Marie Elisabeth Philippi, fille du menuisier Frédéric Philippi. Le donataire devra verser 1 050 livres dans la succession de ses parents.

1772 (24.7.), Not. Dinckel (J. Raoul, 6 E 41, 427) n° 507
Eheberedung – zwischen dem Ehren: und Wohlvorachtbahren herrn Johann Jacob Bein, dem jüngeren, Ledigen Kieffer, des Ehrenvest und Wohlvorachtbahren Herrn Johann Jacob Bein, des ältern Kieffers und Weinhändlers auch Burgers allhier Zu Straßburg, mit der Viel Ehren: und tugendbegabten Frauen Maria Salome gebohrner Deurkauffin ehelich erzeugtem Sohn, als dem Bräutigamb ane einem
So dann der Viel Ehren: und tugendgezierten Jungfrauen Maria Elisabetha Philippiin, Weÿland des Ehrenvest, Wohlvorachtbahr und Weißen herrn Friderich Philippi, des gewesenen Schreiners und E. E Großen Raths allhier Zu Straßburg wohlverdienten Beÿsitzers nunmehr seeligen hinterlaßener, mit der Viel Ehren und Tugendbegabten Frauen Maria Elisabetha gebohrner Diemerin seiner hinterbliebenen Frau Wittib ehelich erziehlter Tochter als der Jungfrauen Frau Wittib ehelich erziehler Tochter als der Jungfrauen hochzeiterin ane dem andern theil
Zehendens, übergeben des Herrn Bräutigambs Vielgeliebte Eltern Eingangs gedacht Ihme dem herrn Bräutigamb, Ihre eigenthümliche Behaußung, samt hindergebau, hoff, hoffstatt, Stallung und Brunnen, auch allen übrigen deroselben gebäuen begriffen weithen, Rechten, Zugehörden und gerechtigkeiten, gelegen allhier Zu Straßburg ane der Pflantzbadergaß, einseit neben Johann Daniel Buschard, des Rothgerbers wittib anderseit neben Johann Daniel Keller dem Schneider hinden auf Frau Schätzelin wittib stoßend Gegen Männiglichen Vor freÿ Ledig und eigen, umb 2100 Gulden hießig Straßburger Current, mit dem außtrucklichen anhang, daß Er selbige ehender nicht als nach beeder Eltern erfolgtem tödlichen hintritt anzunehmen befugt und alsdann die gemelte Summ in gemeine Elterliche Erbschafft einzuschießen verbunden (…)
So geschehen (…) auf Freÿtag den 24. Julÿ 1772. unterzeichnet Johann Jacob Bein der Jünger als hochzeitern Maria Elisabetha Philippiin als hochzeiterin

Mariage, Saint-Pierre-le-Vieux (luth. f° 153 n° 9)
Im Jahr 1773. seind Dominica quadragesima und Reminiscere proclamirt und folgenden 10. Martii copulirt worden Johann Jacob Bein lediger Kiefer Herrn Johann Jacob Bein Kiefers und burgers allher und Fr. Mariä Salome gebohrener Theurkauffin ehelicher Sohn und Jgfr. Maria Elisabetha weil. Hr Johann Friderich Philippi gewesenen Schreiners und E. E. großen Raths beÿsitzers und Fr. Mariä Elisabethä gebohrener Diemerin ehelich erzeugte tochter (unterzeichnet) Johann Jacob Bein Als hochzeiter, Maria Elisabetha Philippiin Als hochzeiterin (i 156)

Les nouveaux mariés font dresser l’inventaire de leurs apports dans la maison rue du Bain-aux-Plantes, propriété des parents Bein. Les apports du mari s’élèvent à 171 livres, ceux de la femme à 547 livres.
1773 (30.3.), Not. Dinckel (J. Raoul, 6 E 41, 417) n° 1276
Inventarium über des Ehren: und Wohlvorachtbahren herrn Johann Jacob Bein des jüngern Kieffers und der Viel Ehren und Tugendbegabten frauen Maria Elisabetha Beinin gebohrener Philippiin, beeder Eheleuthe und Burgere alhier Zu Straßburg einander für ohnverändert in den Ehestand zugebrachte Nahrungen aufgerichtet Anno 1773. – der Ursachen alldieweilen in Ihr beeder Eheleuthe mit einander auffgerichteten Eheberedung expressé enthalten, daß eines Jeden in die Ehe bringende Nahrung reservirt und ohnverändert seÿn und bleiben solle und damit mann auf den nach Gotteswillen sich begebenden Fall wißen Könne, warinnen selbig bestanden (…) So beschehen in Straßburg, in fernerm Beÿstand des Ehrenvest und Wohlvorachtbahren herrn Johann Jacob Bein, des ältern Kiefers und Weinhändlers und der Vie Ehren: und tugendbegabten Frauen Mariä Salome Beinin gebohrner Deurkauffin beeder Eheleuthe und burgere allhier, des Ehe Manns vielgeliebter Eltern wie auch der viel Ehen und tugendbegabten Frauen Mariæ Elisabethæ Philippiin gebohrene Diemerin, Weÿland des Ehrenvest, Wohlvorachtbahr und Weißen hern Friderich Philippi, des geweßenen Schreiners und E: E: großen Raths wohlverdienten beÿsitzers nunmehr seeligen hinterlaßener Frau Wittib, der Ehefrauen vielgeliebter Frau Mutter, auf Dienstag den 30. Martÿ Anno 1773.

In einer allhier Zu Straßburg ane der Pflantzbadergaß gelegenen des Ehemanns geliebten Eltern eigenthümlich zuständigen behaußung befunden worden als folgt
Series rubricarum hujus Inventarÿ. Des Ehemanns in die Ehe gebracht Vermögen. Sa. haußraths 1, Sa. Silbergeschmeids 18, Sa. baarschafft 107, Summa summarum 128 lb – Hierzu ist Zurechnen der Ihme genührende halbe theil ane denen Verehrten haussteuren 43, Trifft demnach des Ehemanns völlig in die Ehe gebracht Guth 171 lb
Dießem nach wird nun auch der Ehefrauen in die Ehe gebrachte Nahrung beschrieben, Sa. haußraths 151, Sa. Silbergeschmeids 24, Sa. der Goldener Ring 20, Sa. der baarschafft 308, Summa summarum 504 lb – Dazu komt der Ihro Zuständige halbe theil ane denen verehrten Haussteuren 43. lb, Belaufft sich also der Ehefrauen Völlig in die Ehe gebracht Vermögen in allem dem billichen anschlag nach auf 547 lb

Jean Jacques Bein achète les parts de la maison rue du Bain-aux-Plantes de son frère et de ses deux sœurs

1782 (28.1.), Not. Heus (Phil. Fréd. 6 E 41, 1485) Joint au n° 73 du 18 janv. 1782
Cession von der in sothane Verlaßenschafft gehörigen behaußung in der Pflantzbader Gaß allhier gelegen
Vor mir unterschriebenem Zu weiland Fr. Mariæ Salome Beinin gebohrner Theurkauffin, H. Johann Jacob Bein Senioris, Kiefers und burgers allhier Zu Straßburg geweßter Ehefraun Verlaßenschaffts Inventation und Separation adhibirtem Notario erschienen heut dato persönlichen H. M. Johannes Bein, Membrum Seminarii Ecclesiastici allhier, ferner Jungfrau Catharina Salome Beinin, die großjährige und Jungfrau Annam Mariam Beinin, so auch großjährig, beede letztere unter assistentz H. Johann Friderich Oettel, des Goldarbeiters und burgers allhier, ihres Vettern, obgedachter Fr. Beinin seel. hinterlaßene dreÿ Erben, die bekannten
in gegensein H. Johann Jacob Bein, Junioris, des Kiefermeisters und Weinhändlers auch burgers allhier, ihres Bruders und mit Erben demselben aus ohnvertheiltem Mütterlichen Erbe /:angesehen der dißorts hinterbliebene Wittiber und Vatter auf deßen ohnverändert und theilbare Nahrung tam active quam passive völlig bereits renuncirt:/ eigenthümlichen Cedirt und überlaßen zu haben, welcher gedachter H. Johann Jacob Bein Junior für sich seinen Erben und Nachkommen, also übernommen zu haben geständig ware
benantlichen Eine Behaußung, Hofstatt, Höflein und Bronnen, mit allen übrigen dero Gebäuen, begriffen, Zugehörden, Recht. und Gerechtigkeiten, allhier Zu Straßburg ane der Pflantzbaader Gaß, gegen dem Pflantzbaad über gelegen, einseit neben H. Baldner dem Eisenhändler, anderseit neben Mr Juré, dem Schreiner, hinten auf Mstr Schätzel, dem Schuhmacher stosend, so auser dem 1000 gulden so man Löbl. Stifftung Corporis pensionum allhier in Capital darauf schuldig (…) über vorbesagtes darauf hafftendes passiv Capital der 1000 fl. von sothaner behaußung zugangen und beschehen für und um die summ von 800 gulden heisug Current geld (…)
Anbey wurde verglichen, daß gedachter Cessionnarius Schuldig und gehalten seyn solle H Johann Jacob Bein sen. seinen leiblichen Vatter und Jgfr. Catharina Salome und Jgfr. Anna Maria Beinin, die beede mit Cedentinnen, in dero in sothaner behaußung würcklich inhabenden Wohnung bestehend in der auf dem ersten stock des vordern Gebäudes Lincker hand sich befindlichen Stuben, nebst der daran gelegenen Kuchen, ferner der in der hinter hauß des ersten Stocks befind. Cammer, wie auch der auf dem Zweiten Stock unter der trückeneÿ gelegenen Cammer, Item der in dem dritten Stock rechter hand auf die Gaß hinaus sich befindlichen Cammer, So dann dem kleinen Kellerlein umb einen viertel Jährigen Zinnß von vier Gulden so von dato seinen anfang nehmen (solle)
So geschehen Zu Straßburg auf Montag den 28. Januarÿ Anno 1782

Assistée de son frère Jean Jacques Bein, Anne Marie Bein hypothèque un quart de la maison rue du Bain-aux-Plantes

1784 (23.1.), Chambre des Contrats, vol. 658 f° 22-v
Jfer Anna Maria Beinin großjährigen alters unter assistentz Johann Jacob Bein des kieffers ihres bruders
in gegensein H. Johann Ludwig Oëttel des goldarbeiters – schuldig seÿe 600 gulden
unterpfand, den ihro als ererbt zuständigen vierten theil vor unvertheilt von und ane zwo nebeneinander stehenden in der Tucherstueb gelegenen behausungen,
weiters den vierten theil vor unvertheilt von und ane einer im Pflantzbad stehende behausung samt zugehörden

Jean Jacques Bein meurt accidentellement d’un coup de fusil tiré par un chasseur en délaissant six enfants. La maison est estimée à 1 800 florins. La masse propre à la veuve est de 1 052 florins. L’actif des héritiers et de la communauté s’élève à 1 966 florins, le passif à 2 623 florins.

1792 (10.7.), Strasbourg 10 (2), Not. Heus n° 166
Inventarium über Weiland H. Johann Jacob Bein Junioris geweßten Kiefers, Weinhändlers und burgers alhier zu Straßburg nunmehr sel. Verlaßenschaft, auffgerichtet in Anno 1792. – nach seinem unglücklicher weis von einem Chasseur ihme getroffenen Pistolen Schuß, aus dießer Welt genommenen plötzlichen tödlichen hientritt, hie Zeitlichen Verlaßen. Welche Verlaßenschafft auf Ansuchen Frauen Mariæ Elisabethæ gebohrner Philippin der hinterbliebenen Wittib unter assistentz Herrn Johann Friderich Greis, Notarii publici und burgers allhier, wie auch derer gleich nach dem Eingang dieses Inventarii inspecie benamßter Kinder und Erben geschwornen Vogts, ersucht und inventirt (…) So geschehen Zu Straßburg in einer ane der Pflantzbader gaß gegen dem Pflantzbad gelegenen mit N° 7 bezeichneten und in dieser Verlaßenschafft gehörigen behausung, auf Dienstag den 10.ten Julÿ Anno 1792.
Der Verstorbene sel. hat mit Eingangs gemelter Hinterbliebener Wittib, nach benante Kinder Ehelich erzogen und ab intestato Zu seinen Erben verlaßen als. 1° H Johann Jacob Bein, Philosophiæ Stud. so 18 Jahr alt, 2.do Jungfer Mariam Elisabetham Beinin, so 14 Jahr alt, 3.tio Johannes Bein, so 12 Jahr alt, 4° Mariam Magdalenam Beinen, so 8 Jahr alt, 5° Johann Christian Bein, so 5 Jahr alt und 6° Mariam Dorotheam Beinin, so 2. Jahr alt, deren geordnet und geschworner Vogt ist H. Johann Andreas König des Kiefer und Burgers allhier, welcher seiner Curanden Nutzen bei dieser Inventur bestend beobachtet
Copie der Eheberedung

Der Wittib ohnverändert, haußrath 94, Silber Geschmeid 20, Goldene Ring 18, Ergäntzung besagt des über eingangs gemelter beeder geweßter Ehepersonen einander für unverändert in die Ehe zugebrachte Nahrungen, durch nun weil. H. Notarium Johann Rudolph Dinckel unterm 30. Martii 1773. auffgerichteten Inventarii (822, abzuziehen 2, verbleibt) 819, Schuld 100, Summa summarum 1052 fl.
Diesemnach wird auch der Erben unverändert und theilbare Nahrung und zwar wegen denen vorhandenen passiv Schulden unter einer Massa beschrieben, haußrath 70, Schiff und geschirr zum Kiefer Handwerck gehörig 28, Silbergeschmeid 17
Eigenthum ane einer Behausung, so der Erben ohnverändert und theilbar. Nemlichen Eine Behausung, Hoffstatt, Höflein und Bronnen mit allen übrigen dero Gebäuen, begriffen, rechten und gerechtigkeiten, alhier Zu Straßburg in der Pflanzbader Gaß, gegen dem Pflantzbad über gelegen mit N° 7 bezeichnet einseit neben H. Baldner, dem Eisenhändlern anderseit neben H. Juré, dem Schreiner und Hinten auff Mr Schätzel den Schuhmacher stoßend, so auser denen darauf haftenden: und hienach bemelten passiv Capitalien, ledig und eigen, und wird solche ohnpræjudicirlich für die namliche Summ wie selbige dem dißorts Verstorbenen, aus Mütterlicher Verlaßenschaft Erbs Cessionsweis eigenthümlich überlaßen worden, hieher gewürdiget vor 1800 fl. Darüber besagt eine vor mir Eingangs gedachtem Notario errichtete Erbs Cession Sub dato 28.ten Januarÿ anno 1782.
Schulden in der Erben ohnverändert und theilbare Nahrung Zugelten, 49, Summa summarum 1966 fl. – Schulden 2623 fl, Compensando 657 fl.

Sépulture, Saint-Pierre-le-Vieux (luth. f° 9 n° 17)
1792. Sonntag den 10. Juni nach Mittag um drei Uhr ward unter einer militärischeb begleitung Zu St. Helenenbeerdiget weiland H Johann Jakob Bein, Kiefer Mstr und aktiv burger allhier welcher Freitag vorher, Nachts um eilf Uhr durch einen unglücklichen Schuß getödet worden. Lebte in der Ehe mit Fr. Maria Elisabeth gebohren Philippi, dieß bezeugen der Vater und der Sohn des Verstorbenen (unterzeichnet) Johann Jacob Bein Sohn, Johann Jacob Bein als vatter – 43 J. 9. M 3. W. (i 271)

Marie Elisabeth Philippi loue une partie de la maison au tonnelier Jean Georges Starck

1792 (14.9.), Strasbourg 4 (3), Not. Schaaff n° 66, Enregistrem. N° 115
Lehnung – persönlich erschienen Frau Maria Elisabetha Bein geborne Philippi, weil. H. Johann Jacob Bein, gewesenen Kieffers und activ burgers dahier nachgelaßene Wittib beiständlich H. Georg Daniel Hirtz auch activ burgers und Kunstdrehers dahier ihres Schwagers ane einem
So dann H Johann Georg Starck, Kieffer und activ burger hieselbst am andern Theil, beederseitz anzeigende
nachstehende sechs jährige Lehnung mit einander getroffen und auch also acceptirt Zu haben alß
Nemlichen so verlehnt Sie frau Beinin Wittib wie gedacht Ihme H Starck auch vorgemelt in Ihrer dahier Zu Straßburg an dem Pflantzbad N° 7 einseit neben H Böhm, Gold Arbeiter und Zum theil H Mullern anderseit neben H Schure dem Schreiner und hinten auf H Schott, Schumacher et Consort. stoßend gelegenen Behaußung die untere Wohnung nebst Zugehörd in folgendem bestehend, alß in der unten auf dem boden befindlichen Stuben, samt alcove und kleinen Kuchen hinten daran, der Werckstatt und Kammer derneben, dem Stall hinten im hoff samt denen Bühnen darüber, einer Kammer im Zweiten Stock in dem Seiten Gebäud im Hoff und in dem gantzen Keller den Sie Frau Verlehnerin unterschlagen Zulassen sich verpflichtet und Zu ihrem Gebrauch sich Vorbehaltet, Welche Lehnung auf nächstkommende Weihenachten ihren Anfang nehmen und nach Verfließung sechs nach einander folgenden Jahren alß Anno 1798 auf nemlicher Zeit sich wieder endigen solle – ane jährlichen Hauß Zinß die Summ Von 56 Gulden
Zu Straßburg auf freitags den 14. Septembris 1792 Vormittags in vierten Jahr der freiheit

Les créanciers de Marie Elisabeth Philippi veuve de Jean Jacques Bein font vendre par adjudication judiciaire la maison à l’instituteur Auguste Guillaume Schmidt et à (sa sœur) Sophie Wilhelmine Schmidt

1829 (27.5.), Hypothèque de Strasbourg, Transcription reg. 223, n° 88
le Tribunal Civil de Première Instance a rendu le jugement d’Adjudication définitive suivant. M° Laemmermann avoué du Sr Auguste Guillaume Schmidt, instituteur, Dlle Sophie Wilhelmine Schmidt majeure, en qualité d’héritiers de Marie Marguerite Walther épouse séparée de corps et de biens de Charles Auguste Schmidt serrurier, que les susdits commettants sont créanciers de feu Chrétien Bein, menuisier, et Barbe Ludwig en qualité d’héritiers de leur père et encore en qualité d’héritiers de Marie Elisabeth Philippi veuve de Jean Jacques Bein, tonnelier, leur grand mère sous la tutelle légale de Barbe Ludwig, de Dlle Marie Elisabeth Bein, majeure, Marie Dorothée Bein épouse de François Antoine Hartz, voiturier, Marie Madeleine Bein veuve de Jean Jonathan Bastian, tisserand, Jean Bein, sellier demeurant autrefois à Bergame en Italie domicilié Strasbourg, d’une somme de 200 francs pour intérets d’une année échue le 29 septembre dernier d’un capital de 4000 francs suivant obligation reçue M° Stoeber le 9 août 1811
Désignation de l’immeuble, une maison ayant cave, un rez de chaussée et deux étages sise en ville de Strasbourg rue du Bain aux Plantes n° 7, d’un côté la maison de Nicolas Bosé portant n° 6, devant la rue du Bain aux Plantes derrière Sr Schott cordonnier – cette maison a une petite cour au fond de laquelle est construite une petite écurie surmontée d’un grenier. La maison ainsi que l’écurie sont construits en bois de charpente couvert de tuiles le tout de la contenance d’environ 1 are 25 ca. Cette maison est habitée par les parties saisies à l’exception du nommé Jean Bein absent pour le moment, il y a encore pour locataires dans cette maison 1. Georges Baehr garçon meunier, 2. Madeleine Acker, journalière, 3. Frédérique Glau couturière, 4. Jacques Fuchs fileur de laine, 5. Jacques Barthelemi, cordonnier – mise à prix 300 francs, élection de domicile au domicile de Philippe Jacques Laemmermann rue du Fil n° 6 – le 16 décembre 1828
Adjudication préparatoire le 27 février – Adjudication définitive le 1 mai – pour 300 francs
à Auguste Guillaume Schmidt, instituteur, Dlle Sophie Wilhelmine Schmidt majeure

Auguste Guillaume Schmidt épouse en 1818 Sophie Theurkauff
1818 (23.10.), Strasbourg 8 (24), Not. Roessel n° 5891
Contrat de mariage – Auguste Guillaume Schmidt, instituteur primaire à l’Ecole paroissiale du Temple Neuf, fils de feu Jean Auguste Charles Schmidt, serrurier, et de feu Marguerite Walther
Sophie Theurkauff, fille majeure de feu Jean Frédéric Theurkauff, pelletier, et d’Anne Marie Elisabeth Schott
Enregistrement. acp 140 F° 140 du 24.10. – communauté d’acquets partageable par moitié

Le pasteur Guillaume Auguste Schmidt passe un accord avec son voisin Jean Frédéric Schuré qui a percé des jours vers sa propriété

1840 (11.4.), Enregistrement de Strasbourg, ssp 77 F° 47-v
Transaction, 6 avril 1840 – Guillaume Auguste Schmidt pasteur à Ste Aurélie, propriétaire de la maison sise rue du Bain aux Plantes n° 7
Jean Frédéric Schuré, docteur en médecine, propriétaire de la maison même rue n° 8, il a été convenu de l’arrangement suivant
M. Schuré ayant percé deux petits jours dans le pan de bois donnant vers la cour de la propriété de M le Pasteur Schmidt l’un il y a trois ans l’autre dans les derniers jours et une fenêtre se trouvant également percée dans le pignon de la maison Schmitt qui tire son jour au dessus du toit de la maison du Sr Schuré, pour éviter toute contestation ultérieure les propriétaires des deux maisons voisines sont convenus de ne jamais regarder ces jours comme un droit acquis ni à acquérir par prescription et s’engagent en conséquence réciproquement de les fermer aussitot qu’ils pourraient gêner le voisin et sans recours à aucune formalité judiciaire.

Guillaume Auguste Schmidt loue la maison au menuisier Michel Gruber de Lampertheim

1860, Enregistrement de Strasbourg, ssp 131 (3 Q 31 630) f° 89 du 20.6.1860
le premier août 1859. Bail ainsi conçu. Le soussigné Sr Guillaume Auguste Schmidt, pasteur protestant à Strasbourg, pour trois ans commençant le 25. 7.br 1859 et finissant le 15 7.bre 1862.
au Sr Michel Gruber, menuisier à Lampertheim aussi soussigné
une maison avec dépendances, située à Strasbourg, bain aux plantes N° 17, toutes les réparations locatives restent à la charge du preneur. Ce bail est fait pour un loyer annuel de 650 francs (…) Ce bail se résiliera quand M. Schmitt aura vendu la maison et dénoncé au Sr Gruber 6 mois avant l’évacuation de la maison

Sophie Theurkauff meurt en 1862 en délaissant quatre enfants
1862 (12.4.), Strasbourg 10 (147), Not. Zimmer (Louis Frédéric) n° 14.570
12 avril 1862. Déclaration tenant lieu d’inventaire de la succession de Mad. Sophie Theurkauff, en son vivant épouse de Mr Auguste Guillaume Schmidt, pasteur près la paroisse évangélique de Sainte-Aurélie de Strasbourg où elle est décédée le 26 janvier 1862.
Ont comparu 1) Mr Auguste Guillaume Schmidt, pasteur près la paroisse évangélique de Sainte-Aurélie de Strasbourg, demeurant et domicilié en cette ville, agissant en son nom personnel a) à cause de la communauté de biens réduite aux acquêts partageable par moitié qui a existé entre entre lui et Madame Sophie Theurkauff, son épouse défunte, aux termes de leur contrat de mariage passé devant M° Roessel père alors notaire à Strasbourg le 23 octobre 1818, b) et comme usufruitiuer de la moitié de la succession de son épouse défunte en vertu du même contrat,
2) M. Auguste Guillaume Schmidt fils, négociant demeurant et domicilié à Strasbourg, agissant en son propre nom et comme mandataire de M. Emile Albert Schmidt, son frère, mécanicien opticien demeurant et domicilié à Strasbourg, se trouvant présentement à Alger (…), 3) Mad° Emilie Schmidt, épouse dûment autorisée de M. Eugène Théodore Eckel, directeur de la sécurité communale, ci présent, les deux demeurant et domiciliés à Strasbourg, 4) Et Madlle Sophie Schmidt, en jouissance de ses droits, demeurant et domiciliée à Strasbourg. Lesdits Srs Schmidt fils, D° Eckel & Dlle Schmidt habiles à se dire et porter seuls héritiers chacun pour un quart de ladite D° Schmidt née Theurkauff, leur mère décédée à Strasbourg le 26 janvier 1862.
acp 509 (3 Q 30 224) f° 78 du 16.4. (succession déclarée le 16 mai 1862) Communauté, mobilier 1374, Argenterie 150, Batterie de cuisine 150, bibliothèque 300
Sommes dues par les enfants pour argent prêté 9832, créances 10.500, intérêts 156, ving actions Bonnard 800, autres intérêts 23
Succession, garde robe 200, reprises 5371, reprises du mari 3000

Auguste Guillaume Schmidt et Sophie Theurkauff vendent la maison au menuisier Charles Emile Steinmetz et à sa femme Caroline Amélie Kummerlen. La part que Sophie Wilhelmine Schmidt possédait est revenue à son frère après sa mort sans postérité. L’acte mentionne deux accords, l’un avec le propriétaire de la maison contiguë donnant dans la rue du Coq d’après lequel le vendeur a le droit d’adosser un hangar contre le pignon, l’autre avec le voisin de gauche (voir aussi plus haut, actuel n° 19)

1860 (2.5.), Strasbourg 10 (141), Not. Zimmer (Louis Frédéric) n° 13.525
Vente 2 Mai 1860. ont comparu Mr Auguste Guillaume Schmidt, pasteur près la paroisse évangélique de Sainte-Aurélie de Strasbourg, et Dame Sophie Theurkauff son épouse qu’il autorise à l’effet des présentes, les deux demeurant et domiciliés à Strasbourg, lesquels (ont vendu)
à Mr Charles Emile Steinmetz, menuisier, et dame Caroline Amélie Kummerlen, son épouse qu’il autorise à l’effet des présentes, les deux demeurant et domiciliés à Strasbourg acquéreurs solidaires, présents et acceptant
Désignation, une maison avec cour, droits, appartenances et dépendances sise à Strasbourg rue du bain aux plantes N° 17 autrefois N° 7, tenant d’un côté à Mlle Ferber, de l’autre à Mr Bloch autrefois Mr Schuré, par devant à la rue du bain aux plantes et par derrière à Mr Michel. Cet immeuble est vendu tel et en l’état où il se trouve actuellement (…) y compris tous les poêles murés et non murés.
Etablissement de propriété. Cet immeuble a été acquis à la barre du tribunal civil de Strasbourg par Mr Schmidt comparant et sa sœur dame Sophie Wilhelmine Schmidt, décédée depuis épouse de Mr Georges Adam Huber maître maçon à Lahr (grand duché de Bade) aux termes d’un procès verbal d’adjudication définitive en date du premier mai 1829, transcrit au bureau des hypothèques de Strasbourg le 27 du même mois, volume 223 N° 77, et inscrit d’offie le même jour volume 198 N° 392, (…) des héritiers du Sr Chrétien Bein, vivant menuisier à Strasbourg et de dame Marie Elisabeth Philippi, veuve de Mr Jean Jacques Bein vivant tonnelier 2) Marie Elisabeth Bein, 3) dame Marie Dorothée Bein épouse du Sr François Antoine Hartz voiturier, 4) Marie Madeleine Bein veuve de Jean Jonathan Bastian, vivant tisserand et 5) Jean Bein, sellier. Cette acquisition a eu lieu moyennant le prix de 300 francs que Mr et Mlle Schmidt ont compensé jusqu’à due concurrence avec un capital de 4000 francs, du par les susnommés aux termes d’une obligation passée devant M° Stoeber père, alors notaire à Strasbourg le 9 août 1811 transcrite au profit de dame Marie Marguerite Walter épouse de Mr Charles Auguste Schmidt, mère de Mr Schmidt comparant et sa sœur susnommée.
Par suite du décès sans postérité de la dame Huber née Schmidt, la part, soit la moitié appartenant à cette dernière, dans l’immeuble présentement vendu est échue à Mr Schmidt comparant, son seul héritier, ainsi qu’il le déclare, en s’obligeant d’en justifier à ses frais à la première réquisition des acquéreurs. Il déclare de plus que Mr Huber son beau-frère a renoncé purement et simplement au droit d’usufruit que les lois badoises lui confèrent sur les biens dépendant de la succession de sa défunte épouse, en s’obligeant également d’en justifier à ses frais à la première réquisition des acquéreurs.
Charges, clauses et conditions (…) A cet égard, les vendeurs font observer que le Sr Michel, propriétaire de la maison rue du coq n° 5 et 6 a fait construire à ses frais un pignon séparatif entre sa propriété et celle présentement vendue, et a consenti à ce que Mr Schmidt adosse contre ledit pignon son hangard ouvert avec grenier au-dessus, mais sans y entailler les pièces de charpente de son hangard, de plus Mr Schmidt s’est engagé verbalement envers Mr Michel à laisser subsister les ouvertures que Mr Michel a établies dans ledit pignon, ces ouvertures se trouvent au nombre de trois au premier étage à une hauteur d’un mètre 90 centimètres au-dessus du plancher, et au second étage le même nombre d’ouvertures sur une hauteur d’un mètre 20 centimètres au-dessus du plancher, les ouvertures servant à éclairer et à aérer les greniers que Mr Michel y a établis. Les dites fenêtres perdront leur droit le jour où M Schmidt ou ses successeurs voudroient établir une construction plus élevée que celle de M Michel et que par cela même ils auroient le droit de fermer les fenêtres, à la condition cependant que Mr Schmidt ou ses successeurs achèteraient la mitoyenneté du pignon entier ou en établiraient un à leurs frais.
En outre Mr Schmidt déclare qu’il existe une convention ci après littéralement transcrite avec sa mention d’enregistrement passée entre M, Jean Frédéric Schuré, docteur en médecine, alors propriétaire de la maison appartenant aujourd’hui à M. Bloch et M Schmidt comparant et dont la teneur suit.
Entre les soussignés M. Guillaume Auguste Schmidt pasteur à Ste Aurélie, propriétaire de la maison sise rue du Bain aux Plantes n° 7 à Strasbourg d’une part et M. Jean Frédéric Schuré, docteur en médecine, propriétaire de la maison sise même rue n° 8 d’autre part, il a été convenu et arrêté l’arrangement suivant. M. Schuré ayant percé deux petits jours dans le pan de bois donnant vers la cour de la propriété de M le Pasteur Schmidt l’un il y a trois ans et l’autre dans les derniers jours et une fenêtre se trouvant également percée dans le pignon de la maison Schmitt qui tire son jour au-dessus du toit de la maison du Sr Schuré, pour éviter toute contestation ultérieure, les propriétaires des deux maisons voisines sont convenus de ne jamais regarder ces jours comme un droit acquis ni à acquérir par prescription et s’engagent en conséquence réciproquement de les fermer aussitot qu’ils pourraient gêner le voisin et sans recours à aucune formalité judiciaire. (…) Fait double à Strasbourg le 6 juillet 1840, enregistré à transport le 11 avril 1840 folio 47
Etat hypothécaire. Les vendeurs certifient que ledit immeuble leur appartient encore en toute propriété et qu’il n’est grevé d’aucune dette, rente, privilège ni hypothèque. Prix, 9000 francs
acp 487 (3 Q 30 202) f° 95 du 3.5.

Charles Emile Steinmetz épouse Caroline Amélie Kümmerlen en 1852
1852 (13.5.), M° Becker (minutes en déficit)
Mariage entre Charles Emile Steinmetz, fils de Jacques Steinmetz, vivant ouvrier tanneur et feu Madeleine Kern son épouse
et Caroline Amélie Kümmerlen, fille majeure de Jean Théophile Kümmerlen, vivant relieur à Strasbourg et Catherine Marguerite Guttermann son épouse à Strasbourg, décédés
acp 409 (3 Q 30 124) f° 76-v du 14.5. – Stipulation de régime de communauté de biens réduite aux acquêts, réserve d’apports et d’héritages
Les apports du futur consistent 1) numéraire 250, 2) meubles 172
ceux de la future consistent 1) en un mobilier estimé à 505, 3) créance 4999 due par Jacques Théophile Kümmerlen son père suivant acte reçu Becker Nre le 27 mai 1850.
Donation réciproque par les futur époux au survivant d’eux de l’usufruit viager de la succession du prémourant réductible en cas d’enfant

Réclamations des voisins quand Daniel Michel demande l’autorisation d’établir une chaudière et une machine à vapeur rue du Coq n° 2 et 4
1862 (5.5.), 5 M 163
Arrêté du Préfet, 5 mai 1862. Nous Préfet, Vu la demande du Sr Michel Daniel du 7 mai 1861 tendant à obtenir l’autorisation de faire usage d’une chaudière et d’une machine à vapeur dans son établissement de meunerie sis à Strasbourg rue du Coq n° 2 et 4. Vu le procès verbal d’enquête commodo et incommodo ouverte le 15 juillet 1861 et close le 25 du même mois duquel il résulte que 6 propriétaires voisins font diverses réclamations par crainte de l’explosion de la chaudière, des dangers d’incendie et de la chûte de la cheminée et aussi parce que la chaudière n’est séparée de la maison n° 17 de la rue du Bain aux Plantes que par un pignon de 8 m 36 cm d’épaisseur,
Considérant que la chaudière à raison de sa capacité et du maximum de tension que la vapeur doit y acquérir appartient à la deuxième des catégories établies par l’ordonnance du 22 mai 1843, que la capacité de la salle est suffisante, que la cheminée n’est pas dans le prolongement du fourneau et qu’elle présente des garanties suffisantes de solidité, que les étages supérieurs ne sont pas occupés par des ateliers, que la distance de la chaudière à la voie publique est de 16 m 60 cm, que dans le sens du prolongement de l’axe de la chaudière à la propriété n° 17 dans la rue du Bain aux Plantes n’est que de 1 m 16 cm mais que le bâtiment contigu ne consiste qu’en un hangar servant de bucher et que le terrain qui suit se trouve occupé par une cour par un deuxième hangar et par une deuxième cour. Considérant que dans l’autre sens la distribution de la chaudière à l’une des trois maisons d’habitation dont se compose le n° 3 de la rue de l’Aimant n’est que de 1 m 74 cm et que la partie supérieure du corps de la chaudière ne satisfait pas à la condition d’être à 1 m au moins en contre-bas du sol puisqu’elle dépasse le niveau du sol d’au moins 0 m 20 cm. Considérant toutefois que l’établissement de murs de défense est peu important pour les parties latérales surtout dans la cas particulier et qu’il convient en conséquence de faire dépendre des exigences du propriétaire voisin l’exécution du mur de défense dont il est question à l’art. 39 de l’ordonnance du 22 mai 1843
Arrêtons (…) 1. autorisé à faire usage dans son établissement de meunerie sis à Strasbourg rue du Coq n° 2 et 4 d’une chaudière à vapeur de forme cylindrique à un bouillant d’une capacité de 1,79 m 3, 2. d’une machine à vapeur dont la puissance est de 4 chevaux pour servir de moteur à 2 paires de meules et autres accessoires de meunerie,
lesquelles chaudières ont été éprouvées et timbrées pour une pression de 5,5 atmosphères.
Ce local est suffisamment éclairé.
Si le propriétaire du n° 3 de la rue de l’Aimant le réclame il sera construit sur le côté gauche du fourneau un mur de défense en bonne et solide maçonnerie de 1 m d’épaisseur libre de 0 50 de largeur au moins sera également séparé du mur mitoyen et devra s’élever d’un mètre au dessus du corps de la chaudière. Aucun arbre de transmission ne sera posé sur les murs mitoyens. Le diamètre et la hauteur du tuyau d’évacuation de la vapeur seront suffisamment grands. La combustible sera la houille.
(Pétition des voisins E Steinmetz, C Ferber, Bloch, Blind du 22 juillet 1861 – Autre des mêmes) La cheminée dont ils avaient du signaler les proportions défectueuses s’est écroulée en se déversant vers les propriétés Steinmetz rue du Bain aux Plantes n° 17 et Bloch rue de l’Aimant n° 1. Dans la première elle a défoncé la toiture d’une remise dans la seconde elle a détruit en partie la toiture d’un bâtiment adossé au pignon séparant les maisons Steinmetz et Bloch enfoncé la façade en galendure de ce dernier et défoncé les croisées de toute cette façade à partir du sol jusqu’au deuxième étage et en général endommagé sensiblement toute cette partie de la maison
[extrait du plan cadastral – plan de la chaudière]

Charles Emile Steinmetz et Caroline Amélie Kümmerlen hypothèquent au profit de Caroline Œffinger, femme du pâtissier Joseph Fischer, la maison dont le bâtiment au fond de la cour vient d’être construit.

1864 (1.7.), Strasbourg 10 (152), Not. Zimmer (Louis Frédéric) n° 15.631
Obligation, 1 Juillet 1864 – ont comparu Mr Charles Emile Steinmetz, menuisier, et dame Caroline Amélie Kümmerlen son épouse qu’il autorise à l’effet des présentes, les deux demeurant et domiciliés à Strasbourg, lesquels reconnaissent, par les présentes, devoir bien et légitimement
à Mme Caroline Oeffinger, épouse à ce dûment autorisée de Mr Joseph Fischer, ancien pâtissier demeurant et domiciliés à Strasbourg, les deux ci présent, Mme Fischer mariée sous le régime de la séparation de biens, sans obligation d’emploi ou de remploi pour les tiers suivant contrat de mariage passé devant M° Zimmer notaire soussigné le 13 avril dernier, la somme principale de 6000 francs pour prêt de pareille somme
les débiteurs affectent en hypothèque spéciale une maison avec cour, bâtiment au fond de la cour nouvellement construit, droits, appartenances et dépendances sise à Strasbourg rue du bain aux plantes n° 17 autrefois N° 7 tenant d’un côté à Mlle Ferber, de l’autre à Mr Bloch autrefois Mr Schuré, pardevant à la rue du bain aux plantes & par derrière à M. Michel. Cet immeuble a été acquis par les époux Steinmetz de Mr Auguste Guillaume Schmidt pasteur près la paroisse évangélique de Ste aurélie de Strasbourg et dame Sophie Theurkauff conjoints, demeurant en cette ville aux termes d’un contrat de vente passé devant M° Zimmer notaire soussigné le 2 mai 1860 transcrit au bureau des hypothèques de cette ville le 8 du même mois volume 811 N° 95 et inscrit d’office même jour volume 737 N° 263. Sur le prix d’acquisition il reste encore dû la somme de 6000 francs qui figurera ci-après dans l’état hypothécaire. Et les conjoints Schmidt en sont eux-mêmes devenus propriétaires aux termes d’un procès verbal d’adjudication définitive dressé à la barre du tribunal civil de Strasbourg le premier mai 1829. Les débiteurs certifient sous les peines de droit que ledit immeuble leur appartient encore en toute propriété (…)

Charles Emile Steinmetz meurt en 1860 en délaissant deux filles

1865 (2.10.), Strasbourg 10 (154), Not. Zimmer (Louis Frédéric) n° 16.277
Inventaire de la succession de Mr Emile Charles Steinmetz, menuisier à Strasbourg où il est décédé le 8 août 1860.
L’an 1865, le lundi 2 octobre à neuf heures du matin. A la requête de Dame Caroline Amélie Kümmerlen, demeurant et domiciliée à Strasbourg, veuve de Mr Emile Charles Steinmetz, en son vivant menuisier en la même ville, agissant A. en son nom personnel 1° à cause de la communauté de biens réduite aux acquêts et partageable par moitié qui a existé entre entre elle et son mari défunt aux termes de leur contrat de mariage passé devant M° Becker, notaire à Strasbourg le 13 mai 1852, 2° à cause des reprises en derniers qu’elle peut avoir à exercer sur ladite communauté pour biens propres aliénés durant son mariage et en cas d’insuffisance même sur la succession de son mari, 3° et comme usufruitière de la moitié de la succession de son mari défunt en vertu du même contrat de mariage, 4° et comme usufruitière légale des biens de ses enfants mineurs ci après nommés jusqu’à leur âge de dix-huit ans ou leur émancipation,
B. au nom et comme tutrice légale de ses deux enfants mineurs issus de son mariage avec son mari défunt nommés Julie Amélie Steinmetz née le 11 janvier 1858 et Emilie Louise Steinmetz née le 10 novembre 1859, lesdites mineures habiles à se dire et porter héritières du Sr Emile Charles Steinmetz leur père chacune pour moitié. En présence de Mr Georges Frédéric Müssel, relieur, demeurant et domicilié à Strasbourg, agissant au nom et comme subrogé tuteur desdits mineurs Steinmetz
(…) décédé dans sa propriété rue du bain aux plantes n° 17.

Communauté. b) Immeuble. Une Maison avec cour, droits, appartenances et dépendances sise à Strasbourg rue du bain aux plantes n° 17 autrefois N° 7 tenant d’un côté à Mme Ferber, de l’autre à Mr Bloch autrefois Mr Schuré, pardevant à la rue du bain aux plantes & par derrière à M. Michel. Cet immeuble évalué sans distraction des charges à un revenu annuel de 800 francs représentant au denier vingt un capital de 16.000 francs
Ledit immeuble a été acquis par les époux Steinmetz de Mr Auguste Guillaume Schmidt pasteur près la paroisse évangélique de Ste aurélie de Strasbourg et de d° Sophie Theurkauff, conjoints demeurant à Strasbourg aux termes d’un contrat de vente passé devant M° Zimmer Notaire soussigné le 2 mai 1860 transcrit au bureau des hypothèques de cette ville le 8 du même mois volume 811 N° 95 et inscrit d’office même jour volume 737 N° 263. Le prix de cette acquisition était de 9000 francs sur lequel il est encore dû la somme de 6000 francs dont il est parlé ci-après.
acp 546 (3 Q 30 261) f° 50 du 3.10. (succession déclarée le 26 8.bre 1865) Communauté 1) mobilier 255, 2) une maison à Strasbourg rue du bain aux plantes n° 17, 16.000, 3) loyers 87, total 16.342 – masse passive 18.777
Succession, garde robe 31
La veuve déclare renoncer à son usufruit suivant son contrat de mariage

Julie Amélie Steinmetz femme de Frédéric Guillaume Schmitt et Emilie Louise Steinmetz hypothèquent la maison au profit du batelier Jean Jacques Stauffert

1875 (20.10.), Strasbourg 10 (178), Not. Kœrttgé (Jean Théodore) n° 5235
Obligation vom 20. October1875. – Sind erschienen I. Frau Julie Amalie Steinmetz Ehefrau von Friderich Wilhelm Schmitt, Schuhmacher, beisammen in Straßburg wohnhaft, II. Friderich Wilhelm Schmitt, handelnd a) eigenen Namens, b) der ehelichen Ermächtigung seiner gedachten Ehefrau wegen, c) als durch den Familienrath ernannter Hauptvormund Emilie Louise Steinmetz, in Straßburg domicilirt, geboren daselbst den 10. November 1859, minderjährig und gewerblose Kind des alda unterem 8. August 1865 verstorbenen Schreiners H. Emil Karl Steinmetz und dessen am 8. März 1873 daselbst verstorbenen Wittwe Karoline Amalie Kümmerlin, die Eheleuthe Schmitt unter dem Regime des Gütergemeinschaft verheirathet laut ihres Ehevertrags errichtet durch den unterzeichneten Notar den 27. Januar 1869 (…) Welche Comparenten durch Gegenwärtiges anerkennen, daß sie und die obengenannte minorenne Emilie Louise Steinmetz rechtmäßig Schulden
an H Johann Jacob Stauffert, Schiffmann in Straßburg wohnhaft, Gläubigern hier zugegen und solches annehmend, die Hauptsumme von 2400 Mark oder 3000 Franken für baar gelühens Geld
Hypothekarischer Versatz. Ein Haus mit Hof und Hintergebäuden allen Rechten und Zubehörden gelegen in Straßburg Pflantzbadgasse N° 17 früher N° 7 zwischen H Bloch und Friderich Ferbern vornen die besagte Gasen hinten H. Michel
Eigenthums-Recht. Das vorbeschriebene Haus nebst Zugehörden gehört der Frau Schmitt und der gedachten Emilie Louise Steinmetz als einzige Kinder und Erben der zu Straßburg wohnhaft gewesenen und verlebten Eheleuthe H Emil Karl Steinmetz, Schreiner, und Karolina Amalia Kümmerlin, wie auf dem Inventar ersichtlich ist, errichtet nach dem Ableben der gedachter Karoline Amalia Kümmerlin, durch den unterzeichneten Notar den 18. April 1873. Die Eheleute Steinmetz haben selbst das ebenbezeichnete Haus erworben von H. August Wilhelm Schmidt, Pfarrer an der protestantischen Pfarreien St Aurelien in Straßburg und dessen Ehefrau Sophie Theuerkauff beisammen in Straßburg wohnhaft, zufolge Kaufcontracts errichtet durch Notar Zimmer in Straßburg den 12. Mai 1860 im Hypothekenamte von Straßburg überschrieben den 8. des nemlichen Monats Band 811 N° 95 und amtlich eingeschrieben denselben Tag Band 757 N° 263. Auf den Erwerbspreis werden noch 6000 Franken oder 4800 Mark geschuldet.
Civil und Hypothekenstand. Die Eheleuthe Schmitt erklären 1) das die unter dem Regime der Gütergemeinschaft laut obenerwähntem Ehevertrages verheirathet sind (…) Feuerschaden Versicherung (…)

La maison est inscrite au cadastre au nom de Frédéric Guillaume Schmitt à partir de 1901. Le cordonnier Frédéric Guillaume Schmitt épouse en 1869 Julie Amélie Steinmetz

1869 (27.1.), Strasbourg 10 (162), Not. Kœrttgé (Jean Théodore) n° 941
Contrat de mariage, 27 janvier 1869. – ont comparu I) Mr Frédéric Guillaume Schmitt, ouvrier cordonnier demeurant et domicilié à Strasbourg, né en cette dernière ville le 19 janvier 1838 du mariage de feu M. Michel Schmitt et de feue dame Anne Catherine Schoettel, stipulant comme futur époux
II) Melle Julie Amélie Steinmetz, majeure étant née le 11 janvier 1848 du mariage des époux Steinmetz ci après nommés, elle sans profession demeurant et domiciliée à Strasbourg, stipulant comme future épouse
III) dame Caroline Amélie Kümmerlen, demeurant et domiciliée à Strasbourg, veuve e Mr Emile Charles Steinmetz vivant menuisier, stipulant ès présentes à cause de la constitution de dot qu’elle va faire en faveur de la dlle future sa fille

acp 580 (3 Q 30 295) f° 33-v du 28.1. Stipulation de communauté de biens réduite aux acquêts, partageable par moitié, réserve d’apports et d’héritages
Les apports du futur consistent en une valeur de 371 francs
Les apports de la future sont constatés par l’inventaire de la succession de son père, dress par M° Koerttgé Nre le 2 octobre 1865
Donation par le D° Steinmetz à la future épouse sa fille, ce acceptant d’un mobilier estimé à 754 francs
Donation réciproque par les futurs au survivant d’eux de l’usufruit de la succession réductible à moitié en cas d’enfants
Le survivant aura l’usufruit des biens de la communauté

La maison est inscrite au cadastre au nom d’Emile Hummel à partir de 1910. Emile Hummel épouse en 1897 Louise Amélie Schmitt.

Mariage, Strasbourg (n° 359)
Straßburg am 1. Mai 1897. Vor dem Standesbeamten erschienen heute zum Zwecke der Eheschließung 1. der Handlungsgehülfe Karl Emil Hummel, evangelischer Religion geboren den 26. November des Jahres 1870 zu Straßburg, wohnhaft zu Straßburg, Sohn des Materialienverwalters Karl Hummel und dessen Ehefrau Luise geborne Diebold beide wohnhaft zu Straßburg
2. die gewerblose Luise Amalie Schmitt, evangelischer Religion geboren den 27. Mai des Jahres 1873 zu Straßburg, wohnhaft zu Straßburg, Tochter des Schusterwerkzeughändlers Friedrich Wilhelm Schmitt und dessen Ehefrau Julia Amalie geborne Steinmetz, beide wohnhaft zu Straßburg (i 16)

Leurs deux enfants sont propriétaires à partir de 1943. L’employée Jeanne Louise Hummel meurt célibataire en 1973, le monteur de moulins Charles Emile Hummel qui épouse en 1932 Sophie Ensminger meurt en 1983.

Naissance, Strasbourg (n° 2809)
Strassburg am 18. August 1898. Vor dem Standesbeamten erschienen heute der Handlungsgehülfe Karl Emil Hummel wohnhaft zu Strassburg Pflanzbad 17, evangelischer Religion, und zeigte an, daß von der Luise Amalia geborenen Schmitt seiner Ehefrau, evangelischer Religion bei ihm zu Straßburg in seiner Wohnung am 17. August des Jahres 1898 vormittags um vier Uhr ein Kind weiblichen Geschlechts geboren worden sei, die Vornamen Johanna Luise erhalten habe.
[in margine :] Décédée le 24 juillet 1973 à Strasbourg (i 298)

Naissance, Strasbourg (n° 576)
Strassburg am 10. Februar 1905. Vor dem Standesbeamten erschienen heute der Handlungsgehülfe Karl Emil Hummel wohnhaft zu Strassßburg Pflanzbad 17, evangelischer Religion, und zeigte an, daß von der Luise Amalia geborenen Schmitt seiner Ehefrau, evangelischer Religion bei ihm zu Straßburg in seiner Wohnung am 9. Februar des Jahres 1905 nachmittags um zehn Uhr ein Knabe geboren worden sei und daß das Kind die Vornamen Alfred Emil erhalten habe.
[in margine :] Marié à Waldhambach (B. Rhin) le 23 juillet 1932 avec Sophie Ensminger
Décédé à Strasbourg le 11 décembre 1983. (i 41)


Les Maisons de Strasbourg sont présentées à l’aide de Word Press.