22, rue Ernest Munch


Rue Ernest Munch n° 22 – X 340 (Blondel), O 571 puis section parcelle (cadastre)

Maître d’ouvrage, Jean Wissinger, vitrier, 1606
Maître d’ouvrage, Charles Auguste Eberlen, restaurateur – Entrepreneur, Louis Greiner, 1877


La maison en septembre 2003

La maison est inscrite au Livre des communaux (1587) au nom du batelier Jacques Meyer qui pose des planches, des amarres et des rames sur le communal. Le vitrier Jean Wissinger l’achète en 1605, la reconstruit et engage le nouveau bâtiment en 1607. Les actes mentionnent par la suite qu’elle se trouve près du Pont-aux-Chats face à la brasserie au Géant. Propriétaire de 1608 à 1622, le tonnelier Jean Strehel est un temps banni de la Ville. Le pêcheur Jacques Baldner est autorisé en 1637 à poser au-dessus du rez-de-chaussée un auvent qu’il supprime en 1651. Le revendeur Daniel Becker fait faillite en 1701, la maison qu’il avait achetée en 1695 est acquise en 1701 par le revendeur réformé Etienne Jaggi. A la mort en 1743 du revendeur catholique Louis Decret, propriétaire depuis 1714, les experts estiment à la somme de 600 livres le bâtiment à rez-de-chaussée, deux étages, grenier non dallé et pignons en bois. Le tapissier Georges Obermeyer charge en 1769 le maître maçon Jacques Ferdinand Hærtelmeyer d’aménager le poêle et l’atelier d’orfèvrerie au rez-de-chaussée.


Plan-relief de 1727 (Musée historique). La maison est celle qui fait l’angle dans le prolongement de la passerelle dite Pont-aux-Chats

Elévations préparatoires au plan-relief de 1830, îlot 221 (Musée des Plans-relief) 1

L’Atlas des alignements (années 1820) mentionne un bâtiment à rez-de-chaussée en maçonnerie et trois étages en bois. Sur les élévations préparatoires au plan-relief de 1830, la maison se trouve de part et d’autre du repère (e) : sur la gauche la façade vers la place, porte et fenêtre au rez-de-chaussée, deux fenêtres à chacun des deux étages, toiture à une lucarne, sur la droite le pignon vers la rue, fenêtre et porte au rez-de-chaussée, deux étages à deux fenêtres chacun. La cour B montre l’arrière (2-3) de la façade sur rue.
La maison porte d’abord le n° 27 (1784-1857) puis le n° 22 de la rue de la Krutenau. Le début de la rue de la Krutenau est rebaptisé rue Ernest Munch en 1960 puis rue Munch en 1989.


Plan, cour B

Le boulanger des vivres Charles Christophe, originaire de Ramberviller, achète la maison en 1794. Ses deux fils la vendent en 1828 à l’imprimeur de papiers peints Christophe Huth. Le cuisinier et restaurateur Charles Auguste Eberlen l’achète en 1874, il charge l’entrepreneur Greiner de démolir la maison et d’en construire une nouvelle en 1877 après avoir acquis une bande de terrain devant l’ancien pignon (vers l’est). Le revenu passe de 72 à 247 francs. Charles Auguste Eberlen n’occupe pas la maison lui-même mais la loue. La femme du locataire Théodore Lucht, marchand épicier, en devient propriétaire en 1883 lors d’une vente judiciaire. Le rez-de-chaussée est occupé par le confiseur Joseph Sohm (1923), l’antiquaire Emile Heumann (1929-1938), le marchand de cycles Victor Schweitzer (1950) puis René Schweitzer. André Metzger fait aménager les combles et poser une fenêtre de toit en 1993.


Plan du rez-de-chaussée lors de l’aménagement du four (1922)
Élévations (1993, architecte Saïd Kayali), dossier de la Police du Bâtiment

novembre 2023

Sommaire
CadastrePolice du BâtimentRelevé d’actes

Récapitulatif des propriétaires

La liste ci-dessous donne tous les propriétaires de 1591 à 1952. La propriété change par vente (v), par héritage ou cession de parts (h) ou encore par adjudication (adj). L’étoile (*) signale une date approximative de mutation.

Jacques Meyer, batelier, et (v. 1575) Agnès Elis dite Humpel puis (1586) Marguerite Reinschmid, d’abord (1582) femme du tailleur de pierres Valentin Hering et (1583) du pêcheur Jacques Schiff – luthériens
1594 v Jean Wissinger, vitrier, et (1583) Marguerite Hurlé puis (1598) Sabine Messerschmidt – luthériens
1598 v Valentin Zirckenbach, taillandier, et (1598) Marguerite Arnold – luthériens
1600 v Jean Arnold le jeune, taillandier, et (1604) Anne Schopp – luthériens
1605 v Jean Wissinger, supra
1608 v Jean Strehel, tonnelier, et Chrétienne Vogel († v. 1622) – luthériens
1622 v Joachim Kœllé, pasteur, et (1604) Ursule Brunner – luthériens
1637 v Jacques Baldner, pêcheur, et (1626) Salomé Winckler puis (1632) Marie Saur d’abord (1617) femme du tisserand Nicolas Fischer – luthériens
1677 v Jean Henri Christ, diacre, et (1648) Dorothée Edel, d’abord (1632) femme du pasteur Frédéric Heupel, puis (1682) Anne Catherine Schneider, d’abord (1675) femme du passementier Jean Jacques Bæhr – luthériens
1695 v Daniel Becker, revendeur, et (1689) Salomé Schweigheuser puis (1693) Anne Madeleine Lautenschlager – luthériens
1701 v Etienne Jaggi (Jacqui), revendeur, et (1684) Chrétienne Rickenbach – réformés
1714 v Claude Toussaux dit la Garenne, archer de la Maréchaussée d’Alsace, et (v. 1700) Elisabeth Roth – catholiques
1714 v Louis Decret, revendeur, et (1704) Anne Barbe Hanselmann, veuve de Mathieu Lambert, (1726) Anne Catherine Kuntz puis (1733) Anne Marie Burbach – catholiques
1749 v Georges Obermeyer, fabricant de sacs, et (1745) Anne Marie Burbach veuve de Louis Decret, puis (1763) Anne Grivel – catholiques
1794 v Charles Christophe, boulanger des vivres, et (1777) Marie Barbe Vonié – catholiques
1828 v Christophe Huth, imprimeur de papiers peints, et (1815) Madeleine Bronner
1855* h Félix François Hutt, tapissier, célibataire († 1861)
Dorothée Hutt ¼, Caroline Hutt puis Michel Bernhardt et Françoise Bernhardt ¼, Chrétien Charles Brunner puis Thérèse et Caroline Bronner ¼, Frédérique Brunner veuve de Xavier Hantz puis Thérèse et Caroline Bronner ¼
1874 v Charles Auguste Eberlen, restaurateur, et (1870) Emilie Madeleine Sturm puis (1882) Marguerite Cadet, veuve de l’aubergiste Chrétien Eber
1883 adj Théodore Lucht, marchand épicier, et (1878) Marie Caroline Mertz
1894 v Guillaume Spitzbarth, rentier, et (v. 1855) Nancy Filleux
1902* h Auguste Kræmer, secrétaire aux chemins de fer, et (1879) Amélie Spitzbarth
1913* v Victor Heitz, comptable, et (1885) Barbe Wilhelmine Rey
1931 h Marthe Jeanne Heitz, et (1904) Léon Brunstein, commerçant veuf de Joséphine Caroline Werner puis (1927) Jean Nicolas Wilmouth, veuf de Anne Marie Stern
1938* Xavier Schaffner et son épouse

Valeur de la maison selon les billets d’estimation : 600 livres en 1743, 325 livres en 1760, 872 livres en 1793

(1765, Liste Blondel) X 340, George Obermeyer
(Etat du développement des façades des maisons, AMS cote V 61) Obermeÿer, 7 toises, 0 pied et 6 pouces
(1843, Tableau indicatif du cadastre) O 571, Hott, Christophe François, Krutenau 27 – maison, sol – 0,53 are

Locations

1637, Jean Erhard, farinier
1693, Jean Andres, passementier
1693, Georges Herrenschneider, cordonnier
1883, Théodore Lucht, marchand épicier

Livres des communaux

1587, Livre des communaux (VII 1450) f° 498
Le batelier Jacques Meyer règle 1 sol pour sa maison proche du Pont-aux-Chats, à savoir un chenal en bois incliné dont le bas fait une saillie de 18 pieds, en outre 1 sol 6 deniers pour un tas de planches, des amarres et des rames devant la maison.

Vnden beim Katzensteg Am Wasser Angemessen.
Derselb Jacob Meÿer Schiffmann hatt auch an einem Hauß ein lehnend. hültzenen Naach, stehet vnden xviij schu weit vom hauß herauß vff dem Allmendt, bessert & j ß d
Derselb Jacob Meÿer hatt auch daselbs vor seinem Hauß ein heüfflin bortten, schiffrüemen vnd Ruder vff dem Allmendt ligen, bessert für das Niessen, j ß vj d

Préposés au bâtiment (Bauherren)

1637, Préposés au bâtiment (VII 1347
Jacques Baldner est autorisé à poser un auvent (15 pieds de long, 6 pieds de large) au-dessus du rez-de-chaussée pour abriter un étal de farine

(f° 24) Donnerstags den 15.t. Julÿ 1637 – Wettertach in Krautenau gen. dem Rieß. über
Jacob Baldtneren gegen dem Rißen über in der Krautenaw ist ein Wetterdach an seinem Eckhauß über d. under Stock werck gegen dem Engel über ein Mehl banck darunder Zu haben Zumach. gegönnet 15 schu lang vnd 6 schu breit in die Alment darvon auf Johanni 1638 zum ersten mahl in recognitionem Zu Zinßen 10. ß d. Actum vt supra [d. 15. Junÿ]

1651, Préposés au bâtiment (VII 1352)
Jacques Baldner supprime son auvent. Les préposés raient la redevance correspondante

(f° 7-v) Sambstags den 18. Jan: – Baldner p° Wetterdach
Jacob Baldner erscheint, berichtet d. er bißhero von einem Wetterdach am Hauß in Crautenaw Jährlich 10 ß d Zinß geben, Weilen er nun solchen dachs nicht weiter benötiget, alß bescheint er bezahlung des Zinßes, vnd Kündet fernerer Zinßreichung auff. Erk. würdt vffkündung acceptirt.

Préposés aux feux (Feuerherren, 4 R 91)

Le tapissier Georges Obermeyer charge le maître maçon Jacques Ferdinand Hærtelmeyer d’aménager une hotte dans le poêle du rez-de-chaussée et un creuset dans l’atelier d’orfèvrerie.

(p. 191) Dienstags den 20.ten Junii 1769. – Georg Obermeÿer der Tapezierer, will in seiner in der Krautenau gegen dem Bierhauß zum Riesen genannt, gelegenen behausung, rechter hand des Eingangs eine Stube, hinden daran eine Goldschmids Eße, mit einem Camin schoß setzen, das rohr in ein altes darüber befindliches hinein führen, vom allem holtz entfernt. Erkanndt, Willfahrt. Mr Hattelmeÿer

Description de la maison

  • 1743 (billet d’estimation traduit) La maison comprend au rez-de-chaussée à main gauche une boutique, à main droite un poêle, cuisine et vestibule, une cave voûtée, au deuxième étage poêle, chambre, cuisine et vestibule, trois chambres sous les vieux combles dont les deux pignons sont en bois, un grenier non dallé, le tout estimé avec appartenances et dépendances à la somme de 1200 florins
  • 1760 (billet d’estimation traduit) La maison comprend trois poêles, trois cuisines et plusieurs chambres, le comble est couvert de tuiles plates, la cave est solivée, le tout estimé avec ses appartenances et dépendances à la somme de 750 florins

Atlas des alignements (cote 1197 W 37)

4° arrondissement ou Canton est – Rue de la Krutenau

nouveau N° / ancien N° : 24 / 27
Christophe
Rez de chaussée en maçonnerie et 3 étages mauvais en bois
(Légende)

Cadastre

Cadastre napoléonien, registre 25 f° 289 case 2

Hutt, Christophe François, Krutenau N° 27

O 571, maison, sol, Krutenau 27
Contenance : 0,53
Revenu total : 72,28 (72 et 0,28)
Ouvertures, portes cochères, charretières :
portes et fenêtres ordinaires : 19 / 15
fenêtres du 3° et au-dessus : 7 / 6

Cadastre napoléonien, registre 27 f° 1065 case 2

Hutt Christophe François (rayé p. 1859)
1859 Hutt Félix
1873 Eberlen Carl August, Schenkwirt
1882/83 Eberlen Camille, minderjährig
1889/90 Lucht Theodor, Spezereihändler die Frau Karoline Mertz
95/96 Spitzbarth Wilhelm, Rentner
1902 Kraemer August, Eisenbahnsekretär Ehefrau Amalie geb. Spitzbarth

O 571, Maison, sol, Rue de la Krutenau 22
Contenance : 0,53
Revenu total : 72,28 (72 et 0,28)
Folio de provenance : (289)
Folio de destination : Abbruch (sol, Gb)
Année d’entrée :
Année de sortie : 1878
Ouvertures, portes cochères, charretières :
portes et fenêtres ordinaires : 19 / 15
fenêtres du 3° et au-dessus : 7 / 6

O 571, maison
Revenu total : 247,28 (247 et 0,28)
Folio de provenance : Neub.
Folio de destination : Gb
Année d’entrée : 1880/81
Année de sortie :
Ouvertures, portes cochères, charretières :
portes et fenêtres ordinaires : 21 / 17
fenêtres du 3° et au-dessus : 14 / 11
1878, diminutions – Eberlin Karl f° 1165, O 571 maison, revenu 72, Abbruch, supp. 1878
1880, augmentations – Eberle Karl Aug. Wilh. f° 1065, O 571, maison, revenu 247, Neubau, achevée en 1877, imposable en 1880/81, imposée en 1880/81

Cadastre allemand, registre 30 folio 300 case 4

Parcelle, section 23, n° 74 – autrefois O 571
Canton : Krutenaustraße N° 22
Désignation : Hf, Whs u. N.G.
Contenance : 0,78
Revenu : 1500
Remarques

(Propriétaire), compte 689
Krämer August Ehefrau
1913 Heitz Viktor, Buchhalter und Ehefrau Marie geb. Rey
1931 Wilmouth Jean rentier son épouse Jeanne Marie née Heitz
1938 Schaffner Xavier & son épouse
(3545)

1789, Enquête préparatoire à l’Etat des habitants (cote VII 1295)

Canton X, (353) Rue Crutenau

27
Pr. Obermeyer, Jorche tapisier Marié – Miroir
Loc. Lalouette, Alexandre, tapisier Marié – Miroir

1789, Etat des habitants (cote 5 R 26)

Canton X, Rue 353, Quartier de la Krautenau

27
pr. Obermeyer, George tapissier – Miroir
loc. Lalouette, Alexandre, tapissier – Miroir

Annuaire de 1905

Verzeichnis sämtlicher Häuser von Strassburg und ihrer Bewohner, in alphabetischer Reihenfolge der Strassennamen (Répertoire de toutes les maisons de Strasbourg et de leurs habitants, par ordre alphabétique des rues)
Abréviations : 0, 1,2, etc. : rez de chaussée, 1, 2° étage – E, Eigentümer (propriétaire) – H. Hinterhaus (bâtiment arrière)

Krautenaustrasse (Seite 90)

(Haus Nr.) 22
Maasberg, Spezereihdl. 0
Maasberg, Buchhalter. 1
Wolf, Metzger. 2
Kraemer, Eisb.-Sekr. E 3
Brand, Tapez. u. Dekorat. 4
Spitzbarth, Rentner. 4

Dossier de la Police du Bâtiment (cote 937 W 215)

22 rue de la Krutenau (22 rue Ernest Munch, 1866-1995)

L’agent voyer note en 1866 lors d’une demande de ravalement que l’une des façades suit l’alignement et que l’autre en est en retrait. Le propriétaire Eberlen charge en 1877 l’entrepreneur Greiner de démolir la maison et de la reconstruire. La Ville lui cède une surface de 22,54 mètres carrés vers l’est pour aligner la nouvelle construction. André Metzger fait aménager les combles et poser une fenêtre de toit en 1993. Il fait aménager en 1994 un snack sans consommation sur place.

Théodore Lucht, marchand (1884), Maasberg, marchand, et dépôt de la coopérative alsacienne de laiterie (1895), Société d’alimentation d’Alsace et de Lorraine (1919), Joseph Sohm, confiseur (1923), Emile Heumann, antiquaire (1929-1938), Victor Schweitzer, marchand de cycles (1950, auparavant 4, rue de la Krutenau) puis René Schweitzer (1985)

Sommaire
  • 1866 – L’entrepreneur Fidèle Sigg demande au nom des demoiselles Gut l’autorisation de ravaler le rez-de-chaussée du 22, rue de la Krutenau. L’agent voyer note que l’une des façades suit l’alignement et que l’autre en est en retrait.
  • 1876 – Rapport de l’agent voyer suite à la demande de l’entrepreneur Greiner au nom du propriétaire Eberlen qui a l’intention de démolir la maison et de la reconstruire. La Ville cède à Eberlen une surface de 22,54 mètres carrés vers l’est pour aligner la nouvelle construction, moyennant 541 marks (longueur du terrain, 8,52 mètres, largeur 2,36 d’un côté et 3,24 de l’autre) – Croquis
  • 1877 – Le directeur de l’usine à gaz demande que le plombier Diehl soit autorisé au nom du locataire Mengus à faire une prise pour environ cinq becs
  • 1884 – Théodore Lucht demande l’autorisation de poser une petite enseigne perpendiculaire (55 sur 40 centimètres) – Autorisation – L’enseigne est aussitôt retirée, juillet 1884.
    1890 – Le marchand Th. Lucht déclare avoir retiré son enseigne.
  • 1895 (juillet) – La coopérative alsacienne de laiterie (Elsässische Molkerei Genossenschaft) demande l’autorisation de poser une enseigne à son point de vente dans la maison du marchand Maasberg 22, rue de la Krutenau. – Demande adressée au commissaire de police sur papier timbré – Autorisation
    1895 (octobre) – Le maire notifie la coopérative de modifier l’enseigne pour qu’elle soit réglementaire – La saillie a été réduite à 25 centimètres.
  • 1912 – L’entrepreneur en crépissage Jean Heimburger (2, rue des Balayeurs) demande l’autorisation d’occuper la voie publique devant la maison Heitz. Le commissaire de police transmet au maire – Autorisation – Droits réglés pour poser un échafaudage et crépir le bâtiment.
  • Commission contre les logements insalubres – 1905. Les cabinets d’aisance ne sont pas raccordés aux canalisations, le toit vitré est mal nettoyé
    1908. Les cabinets ne sont toujours pas raccordés. Guillaume Spitzbart a 82 ans.
    1912. Le propriétaire est autorisé à attendre la mort de son père. – Nouveau propriétaire, Heitz demeurant 9-b, rue de Zurich – Le maire accorde un délai jusqu’en avril 1914.
    Commission des logements militaires. Propriétaire, Heitz 2, rue des Planches. Travaux à faire en 5 points. Le propriétaire fait remarquer qu’il n’a pas été convié à la visite des lieux – Travaux terminés, juin 1916. Un locataire a déplacé ses lapins rue Baldner, 1917.
  • 1919 – La Société d’alimentation d’Alsace et de Lorraine (rue de Hausbergen et rue du Marais-Vert) demande l’autorisation de poser deux enseignes – Il s’agit seulement d’une inscription – Travaux terminés, décembre 1919
  • 1923 – Dossier ouvert suite à un courrier du commissaire de police. J. Sohm demande l’autorisation de continuer à exploiter un café. La Police du Bâtiment n’a pas d’objection à faire
    1922 – Le confiseur Joseph Sohm demande l’autorisation de poser un petit four pour exercer son métier. – Dessin signé par Joseph Sohm et la coopérative des boulangers et pâtissiers
    1923 (avril) – Certificat de réception finale
  • 1929 – L’antiquaire Emile Heumann se plaint d’une cheminée – La cheminée a été mise en état
    1932 – Le même demande l’autorisation de poser une enseigne – Autorisation
    1938 – Emile Heumann déclare avoir retiré son enseigne
  • 1937 – Le peintre en bâtiment Michel Weibel (Weitbruch n° 363) demande l’autorisation de poser un échafaudage sur la voie publique – Le commissaire de police puis le maire donnent leur accord
  • 1950 – La Police du Bâtiment constate que le marchand de cycles Victor Schweitzer a posé sans autorisation une enseigne perpendiculaire – Demande (ancienne adresse 4, rue de la Krutenau) – Autorisation
    1951 – Victor Schweitzer est autorisé à occuper la voie publique pour repeindre la devanture
    1958 – Idem – Les établissements B. Pfister (usine Hafa à la Robertsau 26-28 rue Schott) demandent l’autorisation de faire peindre l’inscription Moto-service Hafa – Autorisation
    1964 – V. Schweitzer fait repeindre la devanture sans autorisation
    (sans date) L’adjoint au maire certifie que les bâtiments sis 20-22 rue de la Krutenau ont été construits au XIX° siècle avant 1866.
  • 1985 – René Schweitzer (cycles) demande l’autorisation de poser une enseigne lumineuse (libellé, René Schweitzer) au 22, rue de la Krutenau – Dessin, photographie – L’architecte des Bâtiments de France Chantal Lavillaureix émet un avis défavorable, les caissons lumineux n’étant plus autorisés dans le secteur sauvegardé (rue Ernest Munch)
  • 1993 – Le sieur Metzger (Chez Kayali) demeurant 12, rue Silberrath, demande l’autorisation d’aménager les combles et de poser une fenêtre de toit – Dessins (plan du rez-de-chaussée, des trois étages et des deux niveaux de combles, façades place du Pont-aux-Chats et ruelle des Chanviers, élévations) – L’architecte des Bâtiments de France Catherine Joanny émet un avis favorable – Le maire autorise les travaux, août 1993. – Travaux terminés, mars 1994
  • 1994 – André Metzger a l’intention d’aménager un snack sans consommation sur place – Plan du rez-de-chaussée et du sous-sol, coupe

Dossier de la Police du Bâtiment (cote 925 W 120)

22 rue Ernest Munch (1994-1996)

(suite du dossier précédent) 1994 – Le projet ne prévoit pas les quatre places de stationnement que stipule le règlement du plan de sauvegarde – L’architecte Kayali retire sa demande

Dossier de la Police du Bâtiment (cote 925 W 119)

22 rue Ernest Munch (1996)

1996 – Mme Ayfer Hanci (chez Kayali, demeurant 70, avenue de la Forêt Noire) demande l’autorisation de remplacer une fenêtre au rez-de-chaussée (snack) – L’architecte Kayali (70, avenue de la Forêt Noire) décrit les travaux, le haut de la nouvelle fenêtre coulissera – Dessin avant et après travaux
1996 (novembre) – Le maire s’oppose aux travaux


Relevé d’actes

La maison est inscrite au nom du batelier Jacques Meyer dans le Livre des communaux (1587)

Le garçon batelier Jacques Meyer a en 1576 un fils de sa femme Agnès, fille du chasseur Humprecht
Baptême, Saint-Guillaume (luth. f° 41 n° 58)
1576. Am 7. Sonntag nach Trinitatis dies augusti. Jacob meyer ein Schiffknecht, Agnes, Humprechts der wildschützen tochter, Jacob, Jacob Baldner, der allt Fischer Rhatherr, Ludwig (-) der Weinknecht Zum tantz, Jacob Schwartzen des Koch vff den Reinhoff nachgelaßene wittwe, ein weinzepfferin beym tantz (i 43)

Le batelier Jacques Meyer qui habite dans la maison Himpel au Pont-aux-Chats se marie en 1586 avec Marguerite Reinschmid, successivement veuve du tailleur de pierres Valentin Hering et veuve du pêcheur Jacques Schiff qui s’est noyé
Mariage, Saint-Guillaume (luth. f° 101-v, XLIII)
1586. Am H. Christtag. Jacob Meyer ein Schiffmann, wonhafft am Catzensteg in des alten Himpels Hauß, Margaretha Reinschmidin wÿland Jacob Schiffen des fischers hinderlassene wittwe, die zuuor veltin Heiring den Steinmetzen gehaut, deren letzten man Jacob Schiff ist ertruncken. Confirmatio facta die 5. Januarÿ anno 87. (i 312)

Fils du pêcheur André Schiff, Jacques Schiff épouse en 1583 Marguerite Schmid, veuve du maçon Valentin Hering
Mariage, Saint-Guillaume (luth. f° 93)
1583. XXXIX. Am XVI Sontag nach Trinitatis den 15. Septembris. Jacob Schiff ein fischer Andres Schiffen des Fischers Sohn, Margaretha Schmidin weiland veltin Herings des maurers nachgelaßene wittwe. Confirmatio facta die * Matthäi 24 Septembris. Die (…), i 167

Originaire de Bingen, le tailleur de pierres Valentin Hering épouse en 1582 Marguerite, fille de Mathias Reinschmidt, de Wolfach dans la vallée de la Kinzig. Le pasteur de Saint-Guillaume note que la mariée originaire d’Offenbourg sert chez le consul Leichtensteiger et qu’elle a bonne réputation bien que son ancien maître à Offenbourg l’ait déshonorée.
Mariage, cathédrale (luth. f° 58-v)
1582. Dominica V post Epiphanias 4 Februarÿ. Valentin Hering von Bingen der Steinmetz vnd Margaretha Matthis Reinschmids zu Wolfach im Küntzigerthal hinderlaßene tochter, Eingesegnet Zinstag den 13.t Martÿ (i 32)
Proclamation, Saint-Guillaume (luth. f° 85-v) 1582. Am Sontag Septuagesima. Veltin Hering von Byngen ein Steinmetz, Margaretha weiland Mattheiß Reinschmidt von wolfachen Hinderlaßene tochter. Die Braut ist von offenburg vnd dienet beim herrn Liechtensteiger den Ammeist vnd ist ir ein Schmach widerfaren von irem meister, bey den sie gedienet zu offenburg, der hat sie gefellt, Sie aber sonst vom * ein gutte Zeignus ires wolhaltens halben, beÿ dem sie sich vier Jar ehrlich vnd wolverhaltens halben, dessen er der Herr sollent Zeugnis geben. In summo Templo (i 92)

Les enfants de Jacques Meyer, issus de ses deux mariages avec Agnès Elis fille d’Hubert Elis dit Humpel et avec Marguerite Reinschmidt, vendent la maison au vitrier Jean Wissinger et à sa femme Marguerite Hurlé

1594 (31. Octob.), Chancellerie, vol. 290 (Imbreviaturæ Contractuum) f° 152
Kauffbrieff Hanns Wÿsings des glasers
Erschienen Dionisius Meÿer der schiffmann vnd Agnes Weinmännin seine ehelich hußfraw für sich selbs, Item Diebold Weinman d. schiff Zimmermann als vogt Simon Meÿers weÿland Jacob Meÿers des schiffmanns selig mit weÿland Agnes Elisin Huprecht Elisen gnt. Humppel selig dochter, ehelich erzielten Sons vnd dann Daniel von Zabern der schiffmann Als vogt Hanns Geörg Meÿers auch gedachts Jacob Meÿers mit wÿland Margred. Reinschmidin selig. Inn letster ehe ehelich erzielten Suns vnd haben unverscheidenlich (verkaufft)
Hannß Wÿsing. dem Glaser vnd Margreden Hurlerin seiner ehelich. haußfrauwen
dreÿ Heüsser ahn einander geleg. alhie Inn der Crauttenaw beÿ dem Katzensteig and.seit ein Eckh geg. dem hauß Zum dantz genant, stoßend Zum theil vff wolff Letzÿ des schiff zimmermanns vnd zum theil vff Adolph Ditsch. schiffmanns seligen erben, dauon gohn jährlich v ß d gellts bod. Zinß dem Edlen vest. Wilhelm von Wickh.ßh vff S Johanns des Teüff. tag diße 5 ß gelts beÿ gleich Erschetzig od. abloßig wie sie woll. also haben die Keuffer solche abzulöß. vber sich genommen, Item vier guld. gelts mit 100 fl. werung ablosig vff Jacobi apli. dem Closter Zu S Marx, Item ij lb gellts Dionisio vnd Simon Meÿern gebrüdn. obgemelter vff den ersten Januarÿ gefallendt mit 40. lb lösig (…) Item Zwen guld. gellts mit 50 guld. werung Lösig Sÿfridts Brud. wÿland Matern Babsten In Steinstraß selig witwe v erben empfahen Jetz h hans Melchior Sÿlberrad vff Andreæ Apli. Item 5 guld. gellts Straßb. werung mit 100 guld. werung lösig obgedachten Hanns Geörg Meÿers, welch. Zinß deß. Mutt. jährlich Zu nüess. hatt (…) das der Kauff vber obgesetzter bewend. darund. die 5 ß geltts vmb 3 lb d angeschlagen Zugang. vnd beschehen seÿe für vnd vmb 90 pfund Zwen schilling v 6 d
[in margine :] Nota der Kauff Ist für ledig eig. vmb 500 fl. werung beschehen

Le vitrier Jean Wissinger épouse en 1583 Marguerite, fille du ceinturier Jacques Hurlé
Mariage, cathédrale (luth. f° 73)
1583. Dominica Inuocauit. 17 Februarÿ. Hanß Wisinger der Glaser, vnd Margaretha Jacob Hurle des Gurtlers tochter, Eingesegnet Montags den 25.ten Februarÿ (i 39)

Jean Wissinger épouse en 1598 Sabine, fille de Jean Messerschmidt, pasteur à Duttlenheim
Mariage, cathédrale (luth. f° 29)
1598. David 3 post Epiphanias. Hans Wißinger der glaser, Sabina Johannes Meßerschmidts des Pfarrhers Zu Dittlen tochter (i 17)

Contrat de mariage entre les mêmes suite à leurs fiançailles le 4 janvier 1598 à Duttlenheim
1599 (14.ten Xbris), Chancellerie, vol. 323 (Registranda Kugler) f° 307
(Inchoat fo: 395.) Erschienen Hanns Wissinger glaßer burger alhie, ane Eim
So dann Sabÿna sein eheliche haußfraw des wurdigen wolgelerten herrn Johannis Meßerschmidts Pfarrers zu Düttlenheim dochter mit beÿstandt deßelben, am Andern theil
Haben gegen einander bekandt vnd offentlich verÿehen, Als Erstgenante beÿde Ehegemechdt Hannß Wÿßinger vnd Sabÿna vff den 4. tag Januarÿ Anno 98 Zu Duttelnheim ehelichen verlopt vnd versprochen worden

Jean Wissinger et sa femme Sabine, fille de Jean Messerschmidt, pasteur à Duttlenheim, vendent la maison au taillandier Valentin Zirckenbach et à sa femme Marguerite. L’immeuble est grevé des mêmes charges que le précédent, notamment la rente foncière due à Guillaume de Wickersheim. En marge, quittance remise en 1600 à Jean Arnold

1598 (xvij tag Junÿ), Chancellerie, vol. 315 (Registranda Meyger) f° 159
(P. fol: 157.) Erschienen Hannß Wÿsinger der Glaser Burger Zu Straßburg, vnd F. Sabina sein eheliche haußfraw, des Wolgelerten Hn Johann Messerschmÿdts Pfarrers Zu Düttelnheim dochter, Haben (verkaufft)
Veltin Zirckenbach dem Waffenschmitt burgern Zu St. vnd Margreden seiner ehel. hußfrawen
Hauß vnd Hoffestatt, mit Iren gebeüwen & gelegen Inn der Voorstatt Straßburg, Inn Crutenauw, beÿ dem Khatzen steg, Einsit nebent Inen dem Verkheüffern, Vnd Andersit nebent Hannß dentzell dem Kupfferschmÿtt Von Lahr, hinden auch vff die Verkhüffere stoßend, dauon gond Fünff schilling Pfenning Bodenzinß vff Johannis Baptistæ fallend, dem Vesten Wilhelm von Wÿckherßheim, So dann sindt sie noch hafft vnd vnderpfandt für ein Schuld, 30 Pfund pfenning, Hanß Jörg Meÿern Wÿland Jacob Meÿers des Schaffners seligen Sun, dessen Vogt Daniel von Zabern der Schiffman Wan sie begert werden, mit sampt dem Zinß Zuerlegen. Wie man Vnd alles Recht, Vnd Ist disser Khouff über hieuor bestimpte beschwerden Zugang. vnd beschehen. für vnd vmb 120 Pfund pfenning Straßburger & Vnd Alles Recht & Vnnd Ist disser Khauff Vber hievorbestimpte beschwerden Zugang. vnd bescheh. Für vnd vmb 120 Pfund pfenning Straßburger
Vnd Ist In dissem Verkhauff sonderh. Abgeredt, Im fahl die Verköüffere obgedacht, Vff Ihren Vorbehalttenen Platz bawen wöllen, d. sie mögen vnd macht haben sollent Ihrem gebell Zwen Werckschuh breit, vff der Khöuffere gerechtigkeit herausser Zufahren, doch d. sie In denselbig. gebell Kheine tagfenster mach. Ouch deb Tachtrauff, mit einem Nooch vff sich selbß Zu richten schuldig sein, Damit d. waser seinen Lauff haben mag
(vide supra fol. 88.)
Hiebeÿ v mit sind gewesen, die Erbarn Paulus Fischer d. Schloßer, Hanß Arnoldt Waffenschmÿtt, Ouch Michell Arnoldt d. Statt Werckmeister vff dem Zimmer Hoff.
[in margine :] Erschienen Hannß Arnoldt der jünger Als disser Zeit Inhaber der behausung Mit beÿstand Paulus fischers des schlossers seines geschwornen Vogts, hatt hannß Wÿsinger dem glaser erlegt (…) Act. den x tag Julÿ Anno 1600.

Originaire de Franconie (Deillmer ou Wimler suivant les actes), Valentin Zirckenbach épouse en 1598 Marguerite, fille du taillandier Jean Arnold
Mariage, Saint-Nicolas (luth. f° 42 n° 10)
1598. den 13. Martÿ sind Ehelich eingesegnet worden Veltin Zirckenbach von Deillme(r) im Franckenland, d. Waffenschmid vnd Margaretha Arnoldin, Hans Arnolds des waffenschmids vnd Burgs. alhie dochter (i 49)

Valentin Zirckenbach devient bourgeois par sa femme quelques mois après son mariage.
1598, 2° Livre de bourgeoisie (4 R 104) p. 761
Velthin Zirckenbacher, v. Wilmers der Waffenschmidt, empfangt das Burg. von Margaretha, Hanß Arnoldts des waffenschmidts ehelichen dochter, vnd will Zun Schmidten diehnen, Act .vts. [4. 9.bris 98]

Valentin Zirckenbach assisté de son beau-père Jean Arnold vend la maison au taillandier Jean Arnold le jeune, assisté de son tuteur le serrurier Paul Fischer

1600 (vt sp. [vj tag Junÿ]), Chancellerie, vol. 327 (Registranda Meyger) f° 168-v
(P. fol: 189.) Erschienen Veltin Zirckenbach Waffenschmÿdt, burger Zu Straßburg mit beÿstandt & Hannß Arnoldt des waffenschmÿdts burgers Alhier seines schwähers, Hatt (verkaufft)
Hannß Arnoldt dem Jüng. Waffenschmÿdt, so Zugeg. Mit beÿstand Paulus Fischers des schlossers seines geschwornen Vogts, Khaufft
hauß vnd hoffestatt, mit Allen Iren gebeüwen & geleg. Inn d. St. St. Inn d. Crutennouw, beÿ dem Katzen steg, einseit nebent hannß Dentzell dem Kupfferschmÿdt Zu Lahr, vnnd Andersit nebent hannß Wÿsinger dem glaser, hind. vff hannß Dentzell stoßend, dauon gond fünff schilling pfenning boden Zinß, vff Johis Baptæ fallend, dem Vesten Wÿhelm vonn Wÿckerßheim, So dann sind sie noch hafft für xxx lb d Hannß Jörg Meÿern, wÿland Jacob Meÿgers des schiffmans selig Suns dessen vogt Daniel von Zabern d. schiffmann, Als bald diselbig schuld gefordert zuerlegen, Item v guldi gelts ablösig mi j C guldin zu xv batz., vff Sant Johanns tag, hannß Wÿsing. dem Glaser vnnd dann sindt sie noch hafft für Lxxv lb d schuldt bitz Jetz Johis Baptæ nechstkhünfftig Zuerleg. hanns Wÿsinger obgedacht, Vnnd Alles Recht Vnd Ist disser Khouff & für 45 pfund Straßburg

Fils du forgeron Jean Arnold, Jean Arnold le jeune épouse en 1604 Anne, fille du pêcheur Melchior Schopp
Mariage, Saint-Guillaume (luth. f° 93-v, n° 38)
1601. Dominica 23. Trinitatis Hans Arnoldt ein Schmidt hans Arnoldts des Schmidts alhie Son, vnd J. Anna Melchior schoppen des fischers selig. tochter alhie. Confirmatio ê facta die lunæ 23. Nobe. (i 100)

Jean Arnold le jeune et Anne Schopp vendent la maison au vitrier Jean Wissinger et à sa femme Sabine Messerschmidt (anciens propriétaires, voir plus haut). En marge, quittance remise en 1608 à Jean Strehel

1605 (Ersten tag Aprilis), Chancellerie, vol. 360 (Registranda Meyger) f° 141
(P. fol. 136.) Erschienen hannß Arnoldt der Jüng. Waffenschmÿd vnd Anna Schoppin sein eheliche haußfraw haben (verkaufft)
hannß wÿßing. dem glaßer burger Zu Straßburg vnd Sabinen Meßerschmittin seiner ehelich. haußfr.
hauß, hoffestatt vnd höfflin, mit Allen Iren gebeüwen & gelegen Inn der Vorstatt Straßburg Inn Crutenauw, beÿ dem Katzensteg, gegen dem dantz vber, einseit ein Eckhauß, Andersit Lorentz Heintzen dem plattenmacher, stost hinden vff Samuel Steg den glaßern Dauon gond v ß d bodenzinß vff Johannis Baptistæ fallend, dem Vesten Wilhelm von Wÿckerßheim, Item 2 pfund 10 schilling pfenning gelts ablösig mit L lb d vff Johannis Baptistæ herren Ambrosio Schmÿdt dem güttleuth schaffner, Vnnd Alles Recht & Also d. & Vnnd Ist disser Khauff vber hieuor bestimpte beschwernuß Zugang. vnd bescheh. für vnd vmb 120 pfund pfenning Straßburger
Hiebeÿ Ist gewesen, hannß Arnoldt d. elter waffenschmÿdt bemelts verkäuffers Vatter, Paulus Fischer d. schlosser vnd Elias Buwman der schneÿd. burgere zu Straßburg
[in margine :] Erschienen hannß Arnoldt, obgedacht, hatt in gegensein hannß Strohell des küffers vnd Jetzigen besagtes bekhandt (…) Quitt. Act. 28. Novembris Anno 608.

Jean Wissinger et Sabine Messerschmidt hypothèquent la maison au profit du charpentier Jean Seyler

1605 (vt spâ [xvj. tag Julÿ]), Chancellerie, vol. 360 (Registranda Meyger) f° 277-v
(Inchoat. in Proth. fol: 256.) Erschienen Hannß Wÿsinger d. glaser burg. Zu Straßburg vnd Sabina Messerschmÿdin sein eheliche haußfr.
haben bekhandt vndt In gegenwertigkheit hannß Seÿler des Zimmermanns burgers Zu Straßburg offentlich verÿehen, das sie demselb. schuldig sigent 60 guldin p. xv batz. d. guld. gerechnet. gelühens gelts
Zum vnderpfand eingesetzt vnd verlegt, hauß, hoffestatt vnd höfflin mit Allen Iren gebeu & geleg. In d. Statt Straßburg Inn Crutenouw einseit neben Lorentz Heintz dem plattermach. And.sit ein Eckhauß geg. dem dantz, hind. vff Samuel Steg den glaser stoßend, Dauon gond v ß d bod. Zinß vff Joh. Bapt: fallend, J Wilhelm von Wickerßh. Item ij lb x ß d gelts Ablösig mit L lb h. Ambrosio Schmÿdt dem guttluthschaffner vnd dann sind sie noch hafft für ein schuldt j C xx lb d Zu Zÿlen Zuerlegn. hannß Arnoldt dem waffenschmÿdt Sunst eÿg.
Item hauß, hoffestatt vnd höfflin, mit Allen Ihren gebeüen & geleg. In d. St. Straßburg Am gestad. beÿ dem Rappen, einseit neben Ambrosius Schneller dem schuomacher, And.sit neb. Michell Sattler dem küffer, hind. vff Jacob N. den Metzig. stoßend, Dauon j lb iij ß iiij d bod. zinß d. Stifft Zum Jung. S Pet. It. x lb d gelts Ablösig mit ij C lb d h Michael Ziegell, Item iiij guldin gelts Ablösig mit Lxxx guldin werung Sebastian Rödderer dem gerber, Item j lb x ß d gelts wid.kheüffig mit xxx lb d Balthasar Held. Vnd dan sind sie noch hafft für ein schuldt xxxvij lb d Jacob N dem Schuomach. alhie

Jean Wissinger et Sabine Messerschmidt hypothèquent la maison au profit du serrurier Paul Fischer et du charpentier Jean Seyler

1605 (xxvj tag Julÿ), Chancellerie, vol. 360 (Registranda Meyger) f° 291
(Inchoat. in Proth. fol: 259.) Erschienen hannß Wissinger der glaser burger Zu Straßburg Vnnd Sabina Messerschmÿdin sein eheliche haußfraw
haben bekhandt vndt In gegenwertigkheit Paulus Fischers des schloßers Vnnd Hannß Seÿlers des Zimmermanns burgern Zu Straßburg offentlich verÿehen, demnach Jetzgenante bede Paulus Fischer Vnnd Hannß Seÿler für obgemelte Bekhennere heüt dato Inn den Wixell alhie vmb 75 pfund pfenning Straßburg. Zu bürg mit und selbß Schuldner Vnuer: obligirt Vnnd einschreib. haben laßen
Zum vnderpfand eingesetzt vnd verlegt, hauß, hoffestatt vnd höfflin, mit Allen Ihren gebeu & geleg. In d. Statt Straßburg, Inn Crutenouw einseit neben Lorentz Heintz dem plattermach. And.sit ein Eckhauß geg. dem dantz, hind. vff Samuel Steg den glaser stoßend, Dauon gond v ß d bod. Zinß J. Wilhelm von Wickerßh. Item ij lb x ß d gelts Ablösig mit L lb h. Ambrosio Schmÿdt dem guttluthschaffner, vnd dann sind sie noch hafft für j C xx lb d Zu Zielen Zu erleg. hannß Arnoldt dem waffenschmÿdt,
Item hauß, hoffestatt vnd höfflin, mit All. Ihren gebeü. & geleg. In d. St. St. Am gestaden, beÿ dem Rappen, einseit neben Ambrosius Schneller dem schuomach. And.sit neb. Michell Sattler dem küffer, hind. vff Jacob Kruog den Metzig. stoßend, Dauon gond j lb iij ß iiij d bod. zinß d. Stifft Zum Jung. S Peter, Item x lb d gelts Ablösig mit ij C lb d h. Michaël Ziegell, Item iiij gl. gelts, Ablösig mit Lxxx gl. Sebastian Röderer, Item j lb x ß d gelts Lösig mit xxx lb d Balthasar Held. Vnd dann sind sie noch hafft für xxxvij lb d Jacob N dem Schuomach. alhie So dann sind bede heüser noch wÿther verhafftet für ein schuld xxx lb d hannß Seÿler obgedacht

Jean Wissinger garantit le don matutinal qu’il a fait à sa femme en hypothéquant la maison qu’il a reconstruite

1607 (vt spâ [and. Octob.]), Chancellerie, vol. 373 (Registranda Kügler) f° 273
(Inchoat. fo: 289.) Erschienen hanns Wÿssinger der glaßer
hatt in gegensein Fr. Sabynen Messerschmydin sein lieb. Ehegemahlen Mit beÿstand des Ehrenhafften Lorentz Buwels* v hans Glitzen irer Verwandt bekhant v offentlich verÿehen
Alls er Zu der Zeÿt do er sich mit bemelter Sabynen ehelich verheurathet derselben 100 guld. SW Zum Morgengabe verheyßen vnd Ingesetz.* Auch sie nachmals* desselb vernÿß* vff 5 guld. gelts 100 guld. SW welche frauw Sibilla herr Erhart Rammacher Pfarrherr zu Schwindratzheim seligen witwe von erkhaufften Behusung an dem Gestaden nÿdewendig dem Rappen & gelegen Alls Ire vff S Michels tag Zugeben pflichtig weÿl der vff heütt dato solche 5 guldin gelts v 100 guldin gelts verkaufft,
Damit* dann sie obstimpte 100 guld Morgengabe Inn andre weg wider versichert werd. darzalt* gedachter hanns Wÿssinger gedher. sein hußfrauw Zum wissenhafften vnderpfand ernant v ÿngesetzt die Zweÿtheil Ime gebürende ane einer Neüw gebuwenen Behusung Inn der Voorstatt beÿ dem Katzensteg vff einer seyt ein eck neben Samuel Stegen des glaßers selig. witwe stost hinden vff hans Wÿssinger daran der drittheÿl gedachter Sabynen zustendig

Jean Wissinger et Sabine Messerschmidt vendent la maison au tonnelier Jean Strehel (Strehler) et à sa femme Chrétienne Vogel. Les latrines seront vidangées par la propriété voisine des vendeurs qui seront aussi tenus de tolérer l’écoulement des eaux provenant de la maison vendue. Ici comme par la suite, l’immeuble se trouve près du Pont-aux-Chats face à la brasserie au Géant.

1608 (vt spâ [xxxj. tag Augusti]), Chancellerie, vol. 378 (Registranda Meyger) f° 396-v
(Inchoat. in Proth. fol: 315.) Erschienen Hannß Wüßinger der Glaßer burg. Zu Straßburg vnnd Sabina Meßerschmidtin sein Eheliche Haußfrauw, Haben (verkaufft)
Hannß Strehler dem Küeffer burgern Zu St: vnd Christinen Vögelin seiner ehelichen Haußwürthin So bede Zugegen
Hauß vnd Hoffestatt vnd Aller & gelegen Inn der Vorstatt Straßburg Inn Crutenauw beÿ dem Katzensteg, einsit ein Eck gegen dem Rÿßen hin vber, Andersit ein Eck gegen dem Engell hinden Samuel Stegen des Glaßers selig. Witwen vnd Erben, vnnd vff die verkäuffern selbst stoßend, Dauon gend 5 pfund d gelts vff Johannis Bapt. fallend, Ablößig mit 100 pfund Pfenning Hannß Arnoldts des waffenschmidts Alhie, Mehr 5 pfund pfenning gelts vff Michaelis fellig Herrn Wolffgang Schütterlin Alt Ammeister loßig mit j C lb, So dann fünff guldin gelts Auch vff Michaelis obgenanter Sabinen Meßerschmidtin sein des verkhoüffers haußfrauwen wÿdem Zinß widerkhoüffig mit 100 guldin St: Werung Sunst ledig vnd eÿgen & Vnd Alles Recht & Also das & Vnd Ist dißer Khauff Zugangen vnd beschehen für vnd vmb 150 pfund pfenning Straßburg.
Vnnd Ist hierin sonderlich beredt vnd Angedingt wordenn, d. das Profeÿ, durch Ihr der Verkäuffer behaußung solle geleÿthet, vßgeführet vnnd den Costen Inn gemein Von Khoüfern vnd Verkhoüfferin gegeben werden, deßgleichen wo Inn Künfftigen Ane dem selbig. Profeÿ etwan würde Abgehen, solle es vonn beder parth. In gemein widerumb verbeßert werd. Item die bede Näch betreffend, solle ein Jeglicher seinen Nach Inn seinen Costen erhalten, doch soll d. waßer, was vonn beden Waßersteinen vnd Nöchen herflüßt, durch Ihr der Verkhöuffern behaußung den durch lauff vnd vßgang haben, Ungeuorlich

Jean Strehel hypothèque la maison au profit de Jean Georges Marbach pour garantir le paiement du jardin qu’il lui achète.

1608 (xxiiij tag Novembris), Chancellerie, vol. 378 (Registranda Meyger) f° 504
(P. fol. 267.) Erschienen h. hannß Geörg Marbach pfund Zoller burger Zu Straßburg, hatt (verkaufft)
hannß Strehell dem Küeffer burgern Zu Straßburg
Ein Gartten sampt dem Garttenheüsell worinen platz dahinden vor dem gartt. daruff ettliche wilgen boüm stend, geleg. Vor dem Juden thor, Zwüsch. den Zweÿen Wassern beÿ der habermülen, einseit neben Geörg hasen dem Küeffern Andseit neben der Allmend hind. vnd vornen vffs Allmend dauon gend Acht batz Bod. Zinß vff Martini fallend der Statt Straßburg Sunst eÿg. & Vnd Ist dißer Khauff vmb 80 pfund pfenning
Vnnd Zu noch mehrer Vorgewißung, So hatt ermeld. hannß Strehell zu weÿtherm vnderpfand eingesetzt vnd verlegt, hauß vnd hoffestatt, mit Allen Ihren geb. & geleg. Inn d. voorstatt Straßburg In Crutenouw beÿ dem Katzensteg, einseit ein eckhauß geg. dem Rÿß über, and.sit neben hanß Wÿsing. dem glaser hind. vff Samuel Steg. des glasers selig. witwe stoßend, dauon gnd. v lb d gelts Ablösig mit j C lb d hannß Arnoldt dem waffenschmid, Mehr v lb d gelts Loßig mit j C lb d h Wolffgang Schütterlin So dan v gl gelts widkheuffig mit j C gl hanß wÿsingers des glasers haußfrauw, vnd dan sind noch verhafftet für L lb d Zuerleg. Peter Kamehl schaffner im Brud.hoff

Le tonnelier Jean Strehel fait baptiser en 1610 une fille issue de sa femme Chrétienne
Baptême, Saint-Guillaume (luth. f° 53-v, n° 59)
1610. Dominica IIII Trinit. 1. Julÿ. P. Hans Streel der Kiefer, M. Christina, I. Hans Jacob. Comp. Samson Strintz d altgewänder, Lorentz Jettner Wurth vf der hinderschreÿber Stuben, J. Catharina, Juncker hanß Friderich Wurmßers tochter (i 58)

Jean Strehel n’est pas autorisé à servir des repas ni du vin pendant la foire
[article précédent, frembder leüt speiß nach wein Schenck1609, Protocole des Quinze (2 R 37)
(p. 111) Mittwoch den 28. Junÿ. – Hannß Strehl. [article précédent, frembder leüt speiß nach wein Schenck]
Hannß Strehl wohnend jn der Crautenaw, d sagt er habe erst itzo disse Meß ahngefangen vnd darfür gehalten es heb nichts Zubedeüten sintemahl es auch andere meher berger treiben, Vndt daß umb so vill desto meher, weil auf sein befragen von Georg Dünckel vndt David dem schreiner im Ungeldt der bericht widerfahren daß es nichts Zu bedeüten heb, da er nach vollender Meß beÿ seinem eÿdt ahnzeig waß er dergestalt mit frembder leüten verdenckt, hebes erst sidhero die Meß eingelitten ahngefangen und über ein halb maß nicht auf die gaß geben, die er auch seinem haußh. v.ehrt. Erkandt, ihme wie den vorig. beÿ XXV. d handwerck niderzulegen

La femme de Jean Strehel qui ne gagne pas son pain demande que son mari qui dépense son argent dans les auberges soit autorisé à revenir après avoir promis de mieux se comporter. Les Conseillers et les Vingt-et-Un refusent.
1618, Conseillers et XXI (1 R 100)
(f° 16) Sambstag den XXIX Jan. – Hans Strel vmb begnadigung.
Christina Hanß Strelen des Kueffers fraw erscheint mit 3 Kunden und andern beystand clagt Ir ohnvermoglichkeitt d. sie sich nit ernähren Kan, Ir man Zeuht im land * vnd macht in den wurthausern schulden die sie hernach Zalen muß. & er dan allein vmb vbler tractatis willen Irer person verwisen worden aber sich besser Zuhalten versprochen Bett sie Ine wid. einkommen Zulassen thun die beide* buben ein fußfall. Erk. Man soll aufsuch. vnd wid. bring. H. Schilling, H Schallesius.

(f° 34) Montag den IX. Febr. – Hans Strel vmb begnadigung.
Christina Hanß Strelen hausf. sucht abermalen vmb begnadigung Ires Mans an. Erk. Man soll Ir begeren abschlag. H.Lamb H Binckelman

Jean Strehel passe un contrat avec ses trois enfants issus de feue Chrétienne Vogel. Leur frère aîné est mort après sa mère.
1622 (9. Octobris), Chancellerie, vol. 444 (Imbreviaturæ Contractuum) f° 115
Vertrag Hans Strehlen des Kueffers mit seinen Kindern
(Extendirt wie in dem Contractbuch de hoc Anno folio 186. Zubefind.) Erschienen weÿl. Christinæ Voglerin M. hannß Strelen deß Küeffers und burgers alhie v.storbener haußfr. see: Kinder mit Namen Hannß Georgen, Michel vnd Barbara Vogt Abraham Schad, keüffer vnd burg. Alhie an einem, So dann vorbesagter M hannß Strel der Wittiber vnd erstg.nter Kinder eheleiblich. Vatter am and. theil (…)
ihnen den Kind. (deren Zwar vier gewesen aber nach der Muter todt daß eltiste Kindt so Johannes geheißen auch v.storben, so der Vater nun geerbt) ins gesamt für ihr Müeterlich guth 111 pfund (…) vnd aner die behaußung Jüngst von ihme dem vatter per 450. lb vber die beschwerden v.kaufft

Jean Strehel vend la maison au pasteur d’Altenheim (en Bade) Joachim Kœllé et à sa femme Ursule Brunner (ici Brimmer)

1622 (ut spâ. [xvj. Augusti]), Chancellerie, vol. 446 (Registranda Meyger) f° 295-v
(Inchoat. in Prot. fol. 227.) Erschienen Hannß Strohell
h M. Joachim Kölle pfarrer Zu Altenh. burg. Zu Straßburg vnd Ursulæ Brimmerin sein eheliche haußfr.
hauß vnd hoffstatt, mit Allen Ihren gebeuen & gelg. Inn d. St. St. Inn Crutenauw beÿ dem Katzensteeg einseit ein Eck geg. dem Rÿssen vber, And.seit n. Jacob (-) Lietenampt hind. vff Urban Kriechk* den schiffmann stoßend, dauon gnd 4 lb s ß gld löß. mit Lxxv lb Peter Kamehl, Mehr seind verhafftet vmb L lb d h. Wolff Schütterles s. erb. Sunst led. Vnd Alles Rcht & Also d. & Vnd Ist disser Khauff vber obgehörtte beschwerd. so die Kheüffere vff sich nemmen Zugang. vnd bescheh. für vnd vmb vj C L lb s Straßburg
[in margine :] Erschienen Abraham Schad Alß vogt deß verkäuffers Kindern hatt in gegensein deß Käuffers (…) Act. d. 8. Junÿ A° 1627

Pasteur à Künheim, Joachim Kœllé épouse en 1604 Ursule Brunner, fille du fournier Ambroise Brunner
Mariage, Saint-Guillaume (luth. f° 10, n° 31)
1604 Dominica VI Trinit. 15 Julÿ. Mgr. Joachim Kölle, pfarrer Zu Cohrnaw. J. Ursula, Ambrosÿ Bruners des haußbecken alhie Tochter. Eingesegnet Zinnstag den 24. Julÿ hora 10. (i 13)
Proclamation, Saint-Pierre-le-Jeune (luth. p. 174, n° 39) 1604. Doîca 6 post Trin : 15 Iulÿ. M. Joachim Kölle pfarrer Zu Cunen J. Ursula Ambrosi Brunners des haus becken Tochter. Eingesegnet Zu S. Wilhelm (i 92)

Notice biographique de Bopp dans son ouvrage sur les pasteurs. Joachim Kœllé est fils du tailleur strasbourgeois Antoine Kœllé
Joachim Koelle – Bopp n° 2850. Geb. Straßburg 11. Dec. 1576, von Anton Koelle, Schneider, und Martha
x Straßburg 24 Juli 1604 Ursula Brunner, Bäckerstochter
bis 1609 (?) Pf. in Sulz (Baden), 1604-1610 Pf. in Künheim, 1610-1645 Pf. in Altenheim (Baden), † Straßburg 5 juni 1635

Les enfants issus des deux mariages de Joachim Kœllé vendent la maison au pêcheur Jacques Baldner. Les vendeurs donnent quelques mois plus tard quittance à sa femme Marie Saur.

1637 (5. Aprilis), Chambre des Contrats, vol. 477 f° 348
(Protocollat. fol. 34.) Erschienen Georg Ferber d. Schneid. alß Vogt Joachim, Ambrosÿ, Ursulæ und Barbaræ, So dann hanß Picker der Keüffler alß vogt Philippen und Jacobs, alle sechß weÿ: H. M. Joachim Köllen gewesenen Pfarrers Zu Altenheim, Vnd burgers see: alhie in erster und ander Ehe Erzeugter und noch lebender Kindern, haben mit beistand H Johann Friderich Leopardten und H Johann Georg Marbachen alß vß E. E. groß. Rhats mitel hierzu insonderheit deputirt (verkaufft)
Jacob Baldtner dem Fisch.
hauß vnd hoffstat mit allen And.en alhie in Crautenaw beÿ dem Katzensteeg gegen dem Bierhauß Zum Rÿsen vber, neben hanß Bösen deß Schiffmanns see: witib und erb. & ist ein Eck, hinden vf ermelts Bösen witib und Erb. dauon gehen Jarß vff d. 29. Januarÿ 5 lb Zinß Clar Anna Scheidin weÿl. H Carol Spielmann Alt. Ammeisters see: witib in haupth. mit 100 lb Abzulösen, So ist diß hauß auch noch v.hafftet umb 37. lb hanß Caspar Erhard. Schuhl Schaffner alhie – geschehen per 362. lb
[in margine :] Erschienen Georg Ferber und hannß Picker alß vögt wie vorstehet, hab. in gegensein deß Käuffers haußfr. Mariæ Saurin bekannt, daß sie die vögt d. Ziehlgelt vff heüt dato verfallen, d. 50. lb d zu genüg. empfang. sadür q.tirt. Act. den 24. Junÿ 1637.
[in margine :] Hanß Caspar Erhardts 7 lb 10. ß d seind auch bezalt, wie in Meÿgers Regis. de Anno 1616. fol. 496. zubefind.
[in margine :] Erschienen Peter Neickes, Barborier von Ichenheim alß Ehevogt Ursulæ Köllin, mit beÿstand Georg Ferbers ihres noch ohnerledigten Vogts vnd Hanß Pickers Kaufflers vnd Niclaus Wolffen leinenweber hatt in gegensein Jacob Baldtners deß Kauffers bekannt (…) ut supra [den 25. Octobris Anno 1637]

Fils du pêcheur Charles Baldner, Jacques Baldner épouse en 1626 Salomé, fille du farinier Georges Winckler
Proclamation, Saint-Guillaume (luth. p. 154 n° 34)
1626. Dnica 13 & 14, 3 & 10. 7.bris. Jacob Baldner, fischer, Carle Baldner fischers sohn, J. Salome görge Wincklers, des meelmanns p.m. Tochter, Münster, Adrant sponsi pater & sponsæ fratre Hans Winckler Weißbeck in vnserer pfar* Copulaô favta im münster Zinstag 19. 7.bris Auff Esther tag (i 349)

Mariage, cathédrale (luth. p. 218) 1626. Jacob Baldner der fischer, Carle Baldner des fischers sohn, vnd J Salome Geörg Winckler des melmans n. tochter, eingesegnet Zinstag 12. 7.bris (i 114)

Le pêcheur Jacques Baldner épouse en 1632 Marie, veuve du tisserand Nicolas Fischer
Mariage, Saint-Guillaume (luth. p. 26 n° 5)
1632. dnîca 3. post Epiphanias. W. Jacob Baldner ein fischer burger alhie, Maria, Niclaus Fischers gewesenen Webers v Burgers allhie Wittwe, aderat niclaus Wolff *rber viduæ Tutor & Affinis – Confirmaô facta Mont. den (i 256)

Originaire de Franconie, Nicolas Fischer épouse en 1617 Marie, fille du tailleur Jacques Sauer
Mariage, Saint-Guillaume (luth. f° 57-v n° 10)
1617. Dominica Reminiscere 16. Martÿ. Niclaus Fischer Ein Leinenweber von Burg Canstadt aus Franckenlandt, J. Maria Jacob Sawer des webers tochter alhier, Eingesegnet, Mittwoch 23. Martÿ hora 10. (i 60)

Jacques Baldner loue la maison au farinier Jean Erhard. Les parties résilient le bail en décembre 1645.

1637 (5. Aprilis), Chambre des Contrats, vol. 477 f° 350-v
Erschienen Hanß Erhardt d. Meelman burger Zu St
in gegensein Jacob Baldners deß Fischers auch burgers alhie bekannt
daß Er von demselben, vffrecht Acht Jahr lang von nechst künfftig Joh: Bapt. nach einander volgendt entlehnet und bestand. Ein behausung alhie in Crautenaw beim Katzensteeg, gegen den Rÿsen vber neben hanß Bösen deß Schiffmanns witib und Erb. gelegen für und umb einen Jährlichen zinß Nemlichen 55 fl. & 15 bz.
[in margine :] Erschienen der Verlÿher Hatt in gegensein deß Entlehners bekannt, daß dißer Lehnung allerdingß ein genüg gelaistet habe, deroweg. Er derselben hierumb gäntzlich p.irte und diße Verschreibung zu cassiren befohl. Versp. Act. d. 4. Xbr. a° 1645.

Les enfants et héritiers de Jacques Baldner vendent la maison au diacre Jean Henri Christ moyennant 265 livres

1677 (15.3.), Chambre des Contrats, vol. 546 f° 232-v
Herr Johann Spieß Schaffner deß Stiffts Zue St. Stephan, alß Vogt weÿl. herrn Jacob Baldners E.E. Großen Rhats geweßenen beÿsitzers nunmehr seel. nachgelaßener Kinder, ferners Carl Baldner der fischer für sich selbsten, und dann Catharina Baldnerin, Hannß Jacobs Von Zabern deß schiffmanns nunmehr seel. nachgelaßene Wittib, mit beÿstand Andres Bilgers deß Kieffers ihres vogts
in gegensein deß Ehrwürdig: wohlgelehrten Herrn M. Johann Henrich Christen Diaconi der Pfarr Kirchen Zu St. Wilhelm und Canonici wohlgedachten stiffts St. Stephans
Zween fünffte theil, und wider Zwen dritte theil, an einem fünfften theil gemelter Carl Baldner, Einen fünfften theil, und gemelte Catharina Von Zabern, einen fünfften theil, und wider Einen tritten theil an einem fünfften theil, Ihme Herrn Diacono Christen, Verkaufft und zu kauffen gegeben haben ahne hauß und hoffstatt und allen deren gebawen begriffen weithen Zugehördten rechten und gerechtigkeiten alhier in der Vorstatt Krautenau beÿ dem so genannten Katzensteg, gegen dem bierhauß Zum Rießen hinüber, einseit neben Hannß Bösen dem Schiffmann anderseit ist ein Eckh hinden uff Ludwig Lentzen den Grempen stoßend gelegen – umb 530. fl.

Fils du pileur d’épices Henri Christ, Jean Henri Christ qui est alors pasteur à la Robertsau épouse en 1648 Dorothée, veuve du pasteur de Saint-Guillaume Frédéric Heupel.
Mariage, cathédrale (luth. f° 515-v)
1648. Domin: Rogationum. Herr M Johannes Henricus Christ, Pfarrer in der Ruprechts Aw, H Heinrich Christen deß gewesenen Wurtzkremers vnd Burgers allhier ehelicher Sohn, und Fraw Dorothea, H. Friderich Heupels gewesenen Pfarrers zu St: Wilhelm vndt Canonici deß Stiffts Zu St Stephan nachgelaßene Wittib. In der Ruprechts Aw (i 264)

Proclamation, Saint-Pierre-le-Vieux (luth. f° 82-v)
1648. Dncâ: Rogat. Herr M Johannes Heinrich Christ pfarrer in der Ruprechts Aw, H Heinrich Christen deß Wurtzkrämers allhier nachgelaßener Sohn, und Fr. Dorothea, H. M. Friderich Heupelÿ pfarrers zu St: Wilhelm vnd Canonici Zu St Stephan hinderlaßene Wittib. Zinst. 16. Maÿ Ruprechts Aw (i 84)

Originaire de Sulzbach en Haut-Palatinat, Frédéric Heupel qui est alors pasteur à Ostwald épouse en 1625 Jacqueline, fille du tailleur Christophe Ritt.
Mariage, cathédrale (luth. p. 198)
1625. Dominica v Trin. 17. Jul. H Friderich Heüpel von Sultzbach in der oberpfaltz pfarrer Zu S oswald vnd J. Jacobe Christoff Ritt des schneiders n. tochter. Eingesegnet montag 25. Julÿ (i 104)

Il se remarie alors qu’il est diacre à Saint-Guillaume avec Dorothée, fille de l’enseignant Magnus Edel.
Mariage, Saint-Pierre-le-Vieux (luth. f° 16)
1632. Dominica XXIV post Trinitatis. H. Fridericus Heüpelius Diaconus Zu S Wilhelm, J Dorothea Hr M. Magni Edeli Præceptoris Classici dochter. 19. 9.bris (i 17)

Notice dans le catalogue des pasteurs par Bopp, n° 794
Johann Heinrich Christ, ° Straßburg 21 Juli 1614, Sohn v. Heinrich Christ, Würzkrämer und Anna Maria Kammer, x a) 16. Mai 1648 Dorothea Edel, Präceptorstochter (1110), Wittwe von Pf. Friderich Heupel (2194), † 24. März 1682, x b) 1 Okt. 1682 Anna Katharina Schneider, Wittwe von Joh. Jakob Bär, Passementierer, † 6. Sept. 1718.
stud. in Straßburg 1633, Bacc. 22. Okt.. 1933, Mag. 20. Okt. 1636
1643-1646, Pfarrer in Handschuhheim u. Hürtigheim, 1646-1648, Pfarrer in Niederhausbergen und Mundolsheim, 1648-1668 Pfarrer in Ruprechtsau, 1667-1683 Diakon in Straßburg St Wilhelm III, † 15 Aug. 1683
Julius Reichelt, Progr. fun. 89 (Argent. 1683)

Jean Henri Christ, diacre à Saint-Guillaume et chanoine de Saint-Etienne, se remarie en 1682 avec Anne Catherine, veuve du passementier Jean Jacques Bæhr
Mariage, Saint-Guillaume (luth. p. 159 n°27)
1682. Dominica 17 et 18 Trinit. den 20. undt 27. 7.br. Hr M. Johannes Heinrich Christ Diaconus Zu St Wilhelm vndt Canonicus Senior Zu St Stephan auch Burger alhie, Fr. Anna Catharina Hannß Jacob Bären gewesenen Burgers vndt Paßmentmachers alhier nachge. Wittib (i 100)
Proclamation, Saint-Pierre-le-Vieux (luth. f° 193-v, n° 40) 1682. Eodem [d. 1. Octobris] Zu St Wilhelm copulirt worden H M. Joh. Heinrich Christ Diaconus bey der Kirch Zu St Wilhelm und Canonicus Senior Zu St Stephan Fr. Anna Catharina weÿland Joh: Jacob Bähren Paßmentirers vnd burgers alhier hint. W. (i 195)
J Henri Christ xb 1682 a cat vve j jac Bähr SPV i 195 milieu gauche

Jean Jacques Bæhr épouse en 1675 Anne Catherine, fille de Jean Georges Schneider
Mariage, Saint-Pierre-le-Vieux (luth. f° 164)
1675 Eodem [d. 1. Julÿ] H Hans Jacob Bär der Paßmentirer vnd Jungf. Anna Catharina H Johan Georg Schneiders burgers alhie hind. ehel. tochter (i 165)

Jean Henri Christ dans les registres du Magistrat. Il est nommé diacre à Saint-Guillaume en 1668.
1656 Conseillers et XXI (1 R 139) Mr Johan Henrich Christ. 201. [umb intercessionalibus]
1659, VII 1356 Bauherren
M. Johann Heinrich Christ. 103. 116. [pt° Stück grunds]
1659, Protocole des Quinze (2 R 77) M. Johann Heinrich Christ. 147 [Pfarrer in der Ruprechtsaw, abloßung].
1668, Conseillers et XXI (1 R 151) Mag. Joh: Heinrich Christ wirdt helffer beÿ St. Wilhelm. 97.

Anne Catherine Schneider veuve de Jean Henri Christ loue une partie de la maison au passementier Jean Andres.

1693 (30.3.), Chambre des Contrats, vol. 565 f° 245
Fr. Anna Catharina, gebohrne Schneiderin, weil. H. M. Johann Henrich Christen, gewesenen Diaconi Zu St. Wilhelm hind. laßene Wittib, so ohnbevögtiget
in gegensein Johannes Andreßen, deß Paßmentmachers
verlühen, In Ihrer in d. Krautenau geg. dem Bierhauß Zum Rießen gelegen en Behaußung, Eine stub nemblich die Obere, sambt dreÿ Cammeren, wie Ihme solche gewiesen word., auch d. halb. theil des Kellers und die halbe Bühn, alles auff Vier Jahr lang von Johannis Bapt. diß jahrs an Zu rechnen, umb 10 pfund jährlich. Zinß

Anne Catherine Schneider veuve de Jean Henri Christ loue une partie de la maison au cordonnier Georges Herrenschneider

1693 (16.3.), Chambre des Contrats, vol. 565 f° 212-v
Fr. Anna Catharina gebohrne Schneiderin weil. H. M. Johann Henrich Christen, gewesenen Diaconi Zu St. Wilhelm sel. nachgelaßene wittib so ohnbevögtigt
in gegensein Hans Georg Herrenschneider deß Schuhmachers
verlühen, In Einer in der Vorstatt Krautenau geg. dem Bierhauß zum Rieß. über gelegenen behausung ihro verleiherin Zuständig, Eine Stub Und. sambt d. Küch. und Lad. wie auch d. halben Keller, So dann oben auff zwo Cammeren, und ein klein Cämmerlein, Mehr d. Frucht Cast. darüber, auch die halbe Bühn, alles auff ein Jahr lang Von Annunc. Mar. dieß jahrs anzurechnen, umb Zehen pfund

Anne Catherine Schneider veuve de Jean Henri Christ vend la maison au revendeur Daniel Becker et à sa femme Anne Madeleine Lautenschlager. En marge, quittance accordée au revendeur Etienne Jaggi en 1709.

1695 (4.7.), Chambre des Contrats, vol. 567 f° 413-v
(prot. fol. 39) Erschienen Anna Catharina gebohrne Schneiderin, weil. Hn M. Johann Heinrich Christen gewesenen Diaconj der Pfarrkirchen zu St. Wilhelm und Canonici deß Stiffts St. Stephan sel. nachgelaßene wittib, so ohnbevögtigt, mit beÿstand H. M. Israël Dieterlins Præceptoris Inferioris Gymnasÿ
hat in gegensein Daniel Beckers, deß Krempen und Annæ Magdalenæ gebohrner Lautenschlagerin, mit beÿstand H. Johann Friderich Redwitzen, Notarÿ Publ.
hauß vnd hoffstatt, mit allen deren Gebäuen, begriffen, weithen, Zugehördt. Rechten und Gerechtigkeiten, allhier in der Vorstatt Krautenau beÿ dem so genandt. Katzensteg geg. dem Bierhauß zum Riesen hinüber, einseit neben Conrad Krieger, dem Schuhmacher, and.seit ist ein Eck, hind. auff hans Paul Eberlin, deß Schuhmachers sel. Erb. stoßend gelegen, so gegen männiglich freÿ ledig vnd eÿgen seÿe – umb 400 pfund
[in margine :] (…) in gegensein Stephan Jagge, des krempen und burgers allhier alß ietzigen proprietarÿ hierinn beschriebenen Haußes (Quittung), den 26. junÿ 1709 (unterzeichnet) Stefflen Jagge

Fils du revendeur Jean Michel Becker, Daniel Becker épouse en 1689 Salomé Schweigheuser.
Mariage, Saint-Guillaume (luth. f° 16 n° 20)
1689. Auff vorbemelen Mittwoch [25. Maji] seind Zugleich copuliret worden Daniel Becker d. ledige Kremp wld. Hanß Michel Beckers des gewesenen Kempen v. B. alhie vnd Fr. Mariæ Evæ Lautermännin ehelicher Sohn, vndt Jgfr Salome, Wld. Daniel Schweickheusers B. v. Metzgers alhie, vndt Fr. Margarethæ geborner Wölffin eheliche Tochter (unterzeichnet) Daniel Becker Als Hochzeiter, salame schweÿkeÿserin Als hochzeiterin (i 16)

Salomé Schweigheuser meurt à l’âge de 25 ans en mai 1693. Son beau-père Cyriaque Rommel est témoin de l’acte de sépulture.
Sépulture, Saint-Guillaume (luth. f° 56)
1693. Mittwoch d. 27. Maji ist Fr. Salome Geborne Schweickheußerin Daniel Beckers deß Krempen vnd B. alhie vielgetreue Haußfrau Ihres Alters 25. Jahr vnd 17. wochen auff der Begräbnus Zu St. Helenæ begraben Word. unterzeichnet Daniel Becker als wittwer, Ciriacuß Rommel alß stieffvatter (i 56)

Daniel Becker se remarie en 1693 avec Anne Madeleine, fille du chef de chantier de l’Œuvre Notre Dame Joseph Lautenschlager : contrat de mariage, célébration
1693 (30.8.), Not. Lang (Jean Henri l’aîné, 27 Not 51) n° 131
Verglichene Heuraths-Puncten zwischen Herrn Daniel Beckern, Kremppen u. burgern Zu Straßburg, als Hochzeitern, an einem, So dann
der Ehr: und Tugendreichen Jungfr. Annæ Magdalenæ, des Wohl Ehren Vest fürsichtig vnd Wohlweisen Herrn Joseph Lautenschlagers, E. E. Großen Raths Alten Beÿsitzers, vnd des Frawen werckhs wohlverordneten Werckmeisters Ehelicher dochter, als hochzeiterin am andern theil
Actum in præsentia /:S:T/:/ Herrn Johann Zieglers, E. E. Groß Raths Alten beÿsitzers vnd H Daniel Schwäüghäußers Würths Zum Pflug, deß hochzeiters Schwagern vnd Söhnleins Erster Ehe Geschwornen Vogts, auff sein deß Bräutigambs, so dann auff Ihro der Jfr. Hochzeiterin seithen H Joseph Lauthenschlagers, derselben geliebten H. Vattern, vorgedacht vnd Hn Johann Conrad Huethen, Vornehmen handelsmann, beeder E. E. Großen Raths alten beÿsitzers, aller burgere alhier Zu Straßburg, Sonntag den 30.ten Augusti St. N. A° & 1693.
(unterzeichnet) Daniel Becker als Hoch Zeider bekenn wie ob Steth, Anna Magdalena lauttenschlagerin alls hochzeuterin

Mariage, Saint-Pierre-le-Jeune (luth. f° 47-v)
1693. Domin. XIX. et XX. post Trinit: proclamati sunt Daniel Becker d. gremp v. burger alhier v. Jfr. Anna Magdalena Hrn Joseph Lautenschlagers deß Stein Metzen Undt Werckmeisters auf dem frauen hauß v. beÿ E. E. grossen rath alhie alten beÿsitzers ehl. tochter, Copulati sunt Mittw. d. 7. 8.bris (unterzeichnet) Daniel Becker Als Hochzeiter, hanna Magdalena lauttenschlagerin als hochzeiterin (i 50, proclamation Saint-Guillaume f° 48 n° 23)

Les Conseillers et les Vingt-et-Un autorisent Daniel Becker à se remarier avant la fin de son deuil avec Anne Madeleine Lautenschlager
1693 Conseillers et XXI (1 R 176)
(f° 157) Sambstags den 12. Decembris – Daniel Becker pt° dispensationis temporis luctus
S. ersch. H. Daniel Beckers burg. und Kremer, p.ducirt seiner frauen seel. Salome Schweighäußerin documentum mortis vom 27. Maÿ jüngst, dieser ist willens mit Anna Magdalenae Lauthenschlagerin sich Zu verheurath. vnd Weilen er einen offenen laden hatt, und seiner haußhaltung nicht abwarth. Kan, alß b. er morg. über 14. tag sich proclamiren laßen Zu dörffen, gdig Zuerlaub: Erk. gegen erlag 1 lb d willfahrt – H. XXI Brackenhoffer, H Rauch

La tribu des Tonneliers interdit de servir de l’eau-de-vie aux revendeurs, dont Daniel Becker et Nicolas Lambert
1699, Protocole de la tribu des Tonneliers (XI 392)
(f° 162) Montag den 21. Xbris Anno 1699
Wurden hernach Folgenden Kremppen Vorgelaßen und Ihnen bedütten, daß Sie sich nach lauth des Vorged. Hh. XV. nochmahlen Confirmirten articuls den Brandenwein schanck betreffend, des künfftig Brandenwein schenckens entäusern sollen, dann welcher sich an dem Neuen Jahrstag noch ferner gelusten laßen würden, ins Künfftig brandenwein Zu schencken, dem solte die in gemeltem Articul der 5. lb d. straff ohnnachläßig abgefordert werden
Nicolas Lambert
Daniel Becker

Compte de tutelle rendu en 1711 à Jean Michel Becker, fils issu du mariage avec Salomé Schweigheuser
1711, Not. Rohr (Daniel, 46 Not 29) n° 976
Schluß: und Stuck Rechnung Weÿland Daniel Schweighäußers des ältern geweßenen Gastgebers und burgers allhier zu Straßburg, als geschwohrnen und geordnet geweßenen Vogts Johann Michael Beckers, Daniel Beckers, des gewesenen Krempen mit Frauen Salome gebohrner Schweighäußerin Seel. beeder Eheleuthen und Burgern allhier Ehelich erzeugten Hinterlaßenen Sohns, Inhaltend waß von obbemeltem Verstorbenen Vogt Seel. erstgedachten Curandi halben ferner Eingenommen und dargegen wiederum Außgegeben worden, vom 20.ten Xbris ao. 1709. als dem beschluß der nächst Vorhergehenden Zweÿten Rechnung, bis den 15.ten Maÿ ao. 1711. Dritte und Schluß Rechnung dießer Vogteÿ

Les députés de la faillite de Daniel Becker qui a quitté la Ville vendent la maison au revendeur (réformé) Etienne Jaggi

1701 (7.2.), Chambre des Contrats, vol. 574 f° 70-v
(prot. fol. 8) Erschienen H. Jacob Christoph Mader, JUD, E. E. Großen Raths alter vnd EE Kleinen Raths, alß Constoffler ietzmahliger beÿsitzer, beneben H Johann Jacob Cottler, ged. Ers. Kleinen Raths beÿsitzern, beede alß auß ged. Kl. Raths Mittel Zu deß außgetrettenen Daniel Beckers falliment in specie Verkauffung der behausung hernach gemeldt, deputirte
haben in gegensein Stephan Jacqui, deß Krempen (haben verkaufft)
Eine Eckbehaußung und hoffstatt, mit allen deren Gebäuen, begriffen, weithen, Recht. Zugehördt. vnd Gerechtigkeit, allhier in der Vorstatt Krautenau geg. dem Bierhauß Zum Rießen über, Einseit ist ein Eck und Zum theil neben hans Georg Stadler dem Schuemacher, anderseit neb. Andres Frantz auch Schuhmacher, hind. auff vorbesagte beede Schuhmacher stoßend geleg., welche behaußung umb 300 lb Kauffschillings rest Fr Annæ Catharinæ gebohrener Schneiderin weÿl. Johann Heinrich Christen gewesen Diaconi Zu St Wilhelm fr. Wittib und umb 50 lb. Johann Michael Becker deß außgetrettenen debitoris Söhnlein i. Ehe für rest Mütterlich. Guths, Mehr umb 208 lb 8 ß 2 d guths Ergäntzung, auch 50 lb d Morgengab, It. 12 lb 10 ß für versprochener hochzeit Kleÿdung vnd 113 widem deß debitoris verlaßener Ehefrau Maria Magdalena Lautenschlagerin, alles Zufolg deß am 18. Xbris 1698 beÿ obged. EE Kl. Rath ergangenen Collocations bescheids verhafftet, Ist dennoch sonst so viel Ihnen Ehrenged Hh. deputirt wißend gegen männiglich freÿ ledig vnd eÿg. vnd gescheh. für vnd vmb 500 pfund

Etienne Jaggi et Chrétienne Rickenbach hypothèquent la maison au profit du diacre Jean Frédéric Œlinger

1709 (17.6.), Chambre des Contrats, vol. 582 f° 357
Stephan Jaggi gremp und Christine geb. Ruckenbacherin beÿständlich Benedict Roth tuchm: u. Adam Ruckenbacher gutschers
in gegensein H. M Joh: frid: Ölingers Diaconi sen: beÿ St Wilhelm – schuldig seÿen 100 pfund
unterpfand, ihre behaußung c. appert: allhier in der Krautenau einseit neben Joh: G: Stadler schuem: anderseit neben andres frantz hinten auff (-)

Etienne Jaggi hypothèque la maison au profit d’Anne Barbe Siess veuve Rafflauf

1713 (26.6.), Chambre des Contrats, vol. 586 f° 375
Stephan Jaggi gremp (unterzeichnet) Steffen Jagge
in gegensein Annæ Barb: Rafflaufin wittib geb. Sießin beÿständlich Georg Graf schuemachers ihres Curatoris – schuldig seÿen pfund (unterzeichnet) +
unterpfand, seine behaußung c. appert: allh in der Krautenau, einseit neben andres frantz anderseit neben hanß Georg Stadter hinten auf Woniglich

Etienne Jaggi et Chrétienne Rickenbach vendent la maison à Elisabeth Roth, femme de Claude Toussaux

1714 (6.3.), Chambre des Contrats, vol. 587 f° 147
(750) Stephan Jacqui gremp und Christina geb. Rickenbacherin
in gegensein Elisabethæ Toussotin geb. Rothin beÿständlich hanß Georg Rodolff würts
eine Eckbehausung und hoffstatt mit allen deren Gebäuen, begriffen, weithen, zugehörden, rechten und Gerechtigkeiten in der Krautenau gegen dem Bierhauß zuem Rießen einseit ein eck theils neben hanß Georg Stader anderseit neben andres Frantz hinten auf Joh: Friedrich Woniglich – um 300 und 100 pfund verhafftet, geschehen um 250 pfund

Claude Toussot et Elisabeth Roth vendent la maison au revendeur Louis Decret et à sa femme Anne Barbe Hanselmann (ici Handelsmann) moyennant 1 125 livres.

1714 (22.9.), Chambre des Contrats, vol. 587 f° 681-v
(1125) Hr Claude Toussot und Elisabetha geb. Rothin
in gegensein Louis Decret, Gemp und Anna Barb: geb. Handelsmännin (unterzeichnet) Louis decret, anna barra dichreren
eine Eckbehausung und hoffstatt mit allen deren Gebäuen, begriffen, weithen, zugehörden, rechten und Gerechtigkeiten in der Krautenau gegen dem Bierhauß zuem Rießen einseit ein eck theils neben hanß Georg Stader anderseit neben andres Frantz hinten auf Joh: Friedrich Woniglich – um 400 und 300 pfund verhafftet, geschehen um 425 pfund

Fille du tonnelier strasbourgeois Albert Anselmann, Anne Barbe Hanselmann épouse Mathieu Lambert originaire de « Stambert » en province de Liège. Mathieu Lambert devient bourgeois par sa femme en septembre 1687.
1687, 4° Livre de bourgeoisie p. 533
Mathieu Lambert von Stambert im lücker landt der wollenweber, empfangt das burgerrecht von seiner haußfr. Anna Barbara Hanselmännin p. 2. golt fl. und 16. ß so beÿ der Cancelleÿ erlegt ist ledigen standts gewesen. Tucher, jur. 27. dito [7.br]

Baptême, Saint-Pierre-le-Vieux (cath. p. 156)
Die 19. Septembris 1691. Baptizatus est Matthæus Matthæi Lambert Diœcesis Leodiensis panni textoris et Annæ Barbaræ Andelmannin Argentinensis coniugum filius. Quem susceperunt Georgius Fridericus Lutzing Ciuis Argentinensis pistor et Domicella Gertrudis de Bengarsche ex Buelduc in Hollandia hic commorans (signé) matieu lambert (i 88)

La tribu des Tonneliers refuse le droit de vendre de l’eau-de-vie à Anne Barbe, veuve de Mathieu Lambert, qui argue que son père a été huissier de la tribu
1702, Protocole de la tribu des Tonneliers (XI 392)
(f° 274) Montags den 20. Novembris Anno 1702 – Fraw Anna Barbara Lambertin weÿland Matthiß Lamberts nachgelaßene Wittib, erscheint auff Vorgebott, dero wurde dann der Brandenweinschanckh beÿ 5. lb d nach laut articuls verbotten, undt zwar weilen Sie das recht solchen schanck Zu treiben nicht hatt, dieselbe Zuegegen respondirt und bittet Weilen ihr Vatter seel. eine geraume Zeith E: E: Zunfft der Kieffer alß Zunfft bittel gedienet, Ihro solchen schanck Zuerlauben. Erkandt und nachbeschehener Verlesung deß artticuls ist ihro solcher schanckh wieder auffs newe beÿ 5. lb d verbotten wordten.

Albert Hanselmann a été l’aubergiste de la tribu.
Christina, Albrecht Hanselmanns Kieffers undt Hauptkandten beÿ E. E. Zunfft der Kieffer ehel. Tochter, 1679, Not. Gross (Benoît, 14 not 1)

Originaire de Jouarre dans le diocèse de Meaux, Louis Decret âgé de 35 ans épouse en 1704 Anne Barbe Anselmann, veuve de Mathieu Lambert, âgée de 40 ans
Mariage, Saint-Pierre-le-Vieux (cath. p. 159)
Die 28. Decembris 1704. (…) in facie Ecclæ. sacro matrimonii vinculo conjuncti sunt Ludovicus decret solutus oriundus ex parochia de Jouarre Dioecesis Meldensis, ac ætatis suæ 35. annorum et Anna Barbara Handelsmännin argentiniensis ac vidua defuncti Mathiæ Lambert, ac ætatis suæ 40 annorum (signé) Louis Decret, anna barra hantelsman (i 101)

Fils de Jean Decret de Jouarre près de Meaux, le revendeur Louis Decret devient bourgeois par sa femme un mois apès son mariage en s’inscrivant à la tribu de la Mauresse.
1705, 4° Livre de bourgeoisie p. 755
Louis Decret V. Jouarre beÿ Meaux, der Kremp, weÿl. Jean Decret gew: becken daselbst hint. sohn, empfangt das burgerrecht V. seiner Fr. Anna Barbara Handelmännin V. hier gratis, wird beÿ E. E. Zunfft der Mörin dienen. Jur. d. 29. Ejusd. [Januarÿ] 1705.

Louis Decret cotise aussi à la tribu des Tonneliers à partir de 1714.
1714, Protocole de la tribu des Tonneliers (XI 393)
(f° 240-v) Dienstags den 23. 8.bris Anno 1714 – Jean Louis de Cret Zunfftrecht weißt schein von E. E. Zunfftstub Mörin sub dato (-) 8.bris jüngsthien, verlangt das Zunfftrecht als Zudiener mit geld.
Erk. Willfahrt, dedit Zunfftgebühr 2. lb 10 ß 6 d et pro Zunfft schrbr. et büttel 2 ß 6 d

Louis Decret se remarie en 1726 avec Anne Catherine Kuntz, fille du commissaire priseur Jean Martin Kuntz : contrat de mariage, célébration
1726 (29.4.), Not. Lobstein (Jean, 31 Not 76) n° 147
Eheberedung Zwischen Herrn Louis Decret, dem Fastenspeishändler und Burger, allhier zu Straßburg als dem Bräutigamb ane einem
So dann der Ehren: und Tugendsahmen Jungfrauen Annæ Catharinæ Kuntzin, Herrn Johann Martin Kuntzen E. E. Kleinen Raths alten beÿsitzers vnd der Statt Straßburg geschwornen Käufflers, auch burgers allhier Zu Straßburg ehelich erziehlt. Tochter, als der Jgfr. hochzeiterin ane dem andern theil, getroffen
So beschehen in Straßburg (…) Montag den 29.ten Aprilis Anno 1726. unterzeichnet Louis Decret Lemarié Prétendu, anna Catharina Cuntzin als hoch Zeiterin

Mariage, Saint-Etienne (cath. f° 216)
Hodie 8 Die maÿ 1726 (…) sacro matrimonii vinculo in facie Ecclesiæ Conjuncti fuerunt Ludovicus Decret mercator et civis argentinensis uiduus Annæ Barbaræ Hanselmannin et Anna Catharina Cuntzin filia Joannis Martini Cuntz Civus argentinensis in hac parochia commorantes (signé) Louis Decret, anna Catharina Cuntzin (i 220)

L’inventaire dressé après la mort d’Anne Catherine Kuntz n’est pas conservé.
Louis Decret se remarie en 1733 avec Anne Marie Burbach, originaire de Saint-Jean-lès-Saverne : contrat de mariage, célébration

1733 (16.6.), Not. Oelinger (J. Jacques, 35 Not 75) n° 705
Eheberedung – zwischen Louis Decret, fastenspeishändlern wittiber und burgern allhie Zu Straßb. als hochzeiter, an einem
So dann andern theils Jgf. Annæ Mariæ Burbacherin weÿl. hanß Jacob Burbachß, geweßenen Webers zu St Johann beÿ Elsaß Zabern hinterlassener Ehel. tochter alß hochzeiterin
Und seind dieße ding Zugangen und beschehen (…) Straßb. Dienstags d. 16.ten Junÿ 1733. (unterzeichnet) Louis Decret, der hochzeiterin handzeichen

Mariage, Saint-Etienne (cath. f° 64-v)
Hodie 14 die Mensis Julii Anni Dni 1733 (…) sacro matrimonii vinculo in facie Ecclesiæ conjuncti fuerunt Ludovicus Decret Mercator et viduus defunctæ Annæ Mariæ Kuentz et pudica Anna Maria Burbacherin ex Loco vulgo St Johannes bey Zabern oriunda filia legitima Joannis Jacobo Burbach Textoris ambo in hac parochia commorantes (signé) Louis Decret, + signum sponsæ (i 70)

Le revendeur Louis Decret hypothèque au profit du marchand Georges Frédéric Bember la maison qui lui appartient en propre pour deux tiers et à ses futurs héritiers pour un tiers d’après le testament de sa première femme

1740 (11.1.), Chambre des Contrats, vol. 614 f° 23
Louis Decret der gremp
in gegensein E.E. Zunfft zum Spiegel allhier Rathh. H. Johann Michael Liechtel und deren Zunfftmeisters H. Georg Friedrich Bemberg des handelsmanns – schuldig seÿen 250 pfund
unterpfand, eine behausung und hoffstatt mit allen übrigen deren gebäuden, begriffen, weithen, zugehörden und gerechtigkeiten in der votstatt Krauttenau gegen der Bierbehaußungt zu Rießen über einseit ein eck theils neben dem Allmend theils Hannß Georg Stadler modo Bronnerischen wittib, anderseit neben Adam Frantz dem schuhmacher hinten auff Johann Friedrich Woniglich – als ein in seiner ersten ehe mit weÿl. Anna Barbara geb. Handelsmännin am 22. sept. 1714 umb 1125 pfund erkaufft mithin theilbares guth, ihme zu zwo tertzen und seinen künfftigen erben die zugleich seinen erstgenannten Ehefrau zufolg deren vor H. Not. Johannes Lobstein am 13. Augusti 1720 errichteten Testamenti Nuncupativi §° 11 erben sind zu einer tertz

Louis Decret meurt en 1743 en délaissant une fille de son premier mariage et deux enfants du deuxième. Les experts estiment la maison à la Krutenau à 800 livres. La masse propre à la veuve est de 99 livres. L’actif des héritiers et de la communauté s’élève à 794 livres, le passif à 528 livres.

1743 (7.5.), Not. Claus (Jean Adam, 7 Not 2) n° 25
Inventarium undt Beschreibung aller derjenigen Haab Nahrung undt Güthern Liegend und fahrender keinerleÿ davon außgenommen, so weÿland der Ehren: und vorgeachte Hr. Louis Decret geweßener fastenspeishändler und burger allhier Zu Straßburg nunmehro seeliger nach seinem den 15. febr. jetzlauffenden 1743. Jahrs aus dießem mühesamen Leben genommenen tödl. ableiben Zeitl. verlaßen, welche verlaßenschafft auf freundliches ansuchen erfordern und begehren der Ehrenvest und wohlvorgeachten Herrn H. Johann Jacob Eckerts senioris des Schiffmanns und herrn Matthiæ Schusters des Musici und Gastgeber Zu guldenen Ochsen beeder hießiger burgere, als geordnet und geschworener Vogten des verstorbenen seelig in zweÿter und dritter Ehe erziehlter ane nachstehendem folio ordentlich benambster Kindern und ab intestato nachgelaßene Erben inventirt und ersucht durch die viel Ehren und tugendreiche fraw Annam Mariam Decret gebohrene Burbacherin des seelig verstorbenen hinterbliebene wittib unter assistentz undt beÿstandt des Ehrenvest undt großachtbaren herrn H Johann Georg Bauren des Schuhmacher und burgers auch E. E. Großen raths alten und EE Kleinen raths würckl. wohlmeritirten beÿsitzers allhier als dero geschwornen Curatoris (…) So beschehen Straßburg d. 7. Maÿ 1743.
Denominatio hæredum. Der verstorbene Seelig hat ab intestato Zu Erben verlaßen wie folget 1. Mariam Catharinam Ludovicam Decret, sein mit weÿland Fr. Anna Catharina Decret gebohrner Kuntzin in 2.ter Ehe erziehltes töchterlein in weßen Nahmen vorgedachter Hr Johann Jacob Eckert Sen. deßen Geschworner Vogt dießem geschäfft beÿwohnete
Ferner und 2. Mariam Dorotheam, 3. Franciscum Michelel die Decret, beede mit Eingangs berührter hinterbliebener Fr. wittib in dritter Ehe erzeugte Kinder deren vorhergedachter Vogt H Matthias Schuster ebenfalls dießem Geschäfft persöhnlich beÿwohnte
Eheberedungs Copia
Bericht gegenwärtige Verlaßenschafft betreffend. Obwohlen eingangs gemelte nunmehro Zertrennte beede Eheleuth, vermög vorger einverleibter Heurats verschreibung und dero 3.t articuls, sich ein unverändert Guth reservirt und darinn expresse stipulirt, daß Zu Verhütung aller künfftiger mißverständnus, beederseits Zubringende Nahrungen bald nach vollbrachter Hochzeit ordentlich inventirt, æstimirt und beschrieben werden sollen, so ist doch solches der hinterbliebenen wittib gegebenen bericht nach unterlaßen worden weßhalben man weÿl. Fr Annæ Catharinæ Decret geb. Kuntzin des verstorbenen seel. geweßter 2.ter Ehefrauen d. 30. Martÿ 1733. durch H. Notar. Johann Lobstein auffgerichtetes Verlaßenschaffts Inventarium Zue handt nemmen müßen, So nur dritthalb monath vor deß verstorbenen, seel. dritter verheurathung errichtet worden (…)

In einer allhier Zu Straßburg ane der Vorstatt Krautenaw gelegenen und in dieße Verlaßenschafft gehörigen behaußung ist befunden worden.
Grempen wahren (gereicht Schweinen fleisch, Speck, münster Käß, schweitzer Käß, schmehr, brandwein)
Eigenthumb ane Häußern So der Erben unverändert und theilbar. Erstl. eine Eck behaußung undt hoffstatt mit allen deren gebäuen, begriffen, weithen, rechten und gerechtigkeiten gelegen allhier Zu Straßburg ane der vorstatt Krautenaw geg. dem bierhauß Zum Rießen hinüber, einseit ist ein Eck 2. s. neben weÿl. meister Niclauß Bronners des geweßenen Paßmentirers nunmehr seel. hinterlassenen Erben Hindten auff hanß Adam Frantzen den Schuhmacher stoßend, so außer hernach unter den passivis befindl. EE Zunfft Zum Spiegel schuldigen 250. lb Capital geg. männiglichen freÿ Ledig und eigen, und ist dieße behaußung durch (die Werckmeistere) Laut Abschatzungs Zeduls vom 4. Maÿ dießes lauffenden jahr angeschlagen worden 600 lb. Hierüber melden Zwen teutsch Pergamenter Kauff brieff in allhießiger Cantzleÿ Contract Stuben gefertiget, und mit dero anhangenden Insigel corroborirt, de datis d. 6. Martÿ und 22. Septemb. 1714 beede mit N° 1 Signirt.
It. Zween drittetheil ane einer behaußung und hoffstatt mit allen deren gebäuen, begriffen, weithen, rechten, Zugehördten und gerechtigkeiten gelegen allhier in der Statt Straßburg au quartier de St. Nicolas ès Eaux (…)
Ergäntzung der wittib abgegangenen unveränderten Guths. Zuvolg privat designation und in Crafft hiefornen berichtsweiß eingetragner Convention ist der wittib als abgegangen und mangelhafft Zu ergäntzen wie folgt
Series rubricarum hujus Inventarÿ. Anfänglich aber er Wittib unveränderten Vermögens, Sa. haußraths 7, Sa. Silbers 4, Sa. Goldener ringen 2, Sa. Schulden 50, Sa. Ergäntzung 34, Summa summarum 99
Hierauff Folget nun auch die Beschreibung der Erben unverändert und theilbar Vermögen, Sa. Haußraths 50, Sa. Lährer Vaß und bütten 1, Sa. Grempen wahren 7, Sa. Silbers 1, Sa. baarschafft 20, Sa. Eigenthums ane Häusern 713, Summa summarum 794 lb – Schulden 528, Detrahendo verbleibt 265 lb
Stall Summ 547 lb
Abschatzung dem: 4. Maÿ 1743. Auff Begehren weillandt deß wohll achtbahren und bescheitenen H Luÿ Decre deß geweßenen fasten speÿß handler seel: hinderlaßenen frau wittib und Erben ist eine behausung allhier in der Statt Straßburg in der Chrautenau gelegen einseitß Eck gegen der Chrautenau anderseitß an frittrich Bruner dem baßmëntmacher, hinden auff Johann adam Frantz den schumacher Stoßend welche behausung unden ein gangß Lincker handt dem Lahten rechter handt ein Stuben Kuchell hauß Ehren getrembter Keller oben dar über Zweÿ Stockhoch eine Stuben Cammer Kuchen hauß Ehren under dem tach treÿ Cammern ein alter tach Stull mit zweÿ holtzren gëblen, ein unbesetzte bienen sambt aller gerechtig Keidt, wie solches turch der Statt Straßburg geschwornen Werckmeister sich in der besichtigung befunden und Jetzigen Preÿß nach angeschlagen wierdt Vor und vmb Ein Tausent und Zweÿ hundert Gulden
Der 2.te Begrieff (…) bezeichnuß der Statt Straßburg geschwornen wërck Meistere, [unterzeichnet] Pflug Statt Lohner, Michael Ehrlacher Werck Meister deß Meinsters, Johann Jacob Biermeÿer Werck Meister deß Zimmerhoffs

Accord entre la veuve et les enfants de Louis Decret
1749 (29.1.), Not. Dinckel (J. Raoul, 6 E 41, 370)
Berechnung über Weÿl. Herrn Louis Decret seel. Verlassenschafft – Inhalts Vertrags zwischen Frauen Anna Maria Decret gebohrener Burbachin, Weÿland herrn Louis Decret, geweßenen Fastenspeißhändlers und Burgers allhier Zu Straßburg nunmehr seel. hinterlaßene wittib als Stieff Mutter ane einem
So dann Herrn Johann Jacob Eckert, dem ältern Schiffmann, als geschwohrenen Vogten gedachten Weÿland herrn Louis Decret seel. in zweÿter Ehe mit auch Weÿland Frauen Annæ Catharinæ Decret gebohrener Kuntzin seeligen ehelich erzeugter und nach Tod verlaßener tochter, Nahmens Jfrn. Mariä Catharinæ Ludovicæ Decret, ane dem andern Theil
und Ferner zwischen obgedachter Decretischen Wittib als eheleinl. Mutter ane einem,
So dann Herrn Mathia Schuster dem Musico und Gastgebern zum goldenen ochßen, auch burgern allhier als geordnet und geschworenen Vogten Ihrer Zweÿen mit Ihrem Verstorbenen Ehemann seel. erziehlten Kinder Nahmentl. Mariä Dorotheä und Francisci Michaelis der Decret ane dem andern theÿl, beÿ Em Löbl. Vogteÿ gericht den 27.ten Junÿ 1744 auffgerichtet und den 5.ten Septembris 1746. beÿ Em En großen Rath confirmirt (…)

Compte que rend le batelier Jean Jacques Eckert de la gestion des biens qui appartiennent à la fille issue du premier mariage
1753, Not. Dinckel (J. Raoul, 6 E 41, 377) n° 527
Rechnung Mein Johann Jacob Eckert des ältern Schiffmanns und E. E. großen Raths alten beÿsitzers, als geordnet und geschwohrenen Vogts Jungfrauen Mariä Catharinä Ludovicæ Decret, Weÿland herrn Louis Decret, geweßenen Fastenspeißhändlers und Burgers allhier, mit auch weÿland Frauen Anna Catharina gebohrener Kuntzin, seiner zweÿten Ehefrauen; beede nunmehr seeligen ehelich erziehlter tochter, inhaltend alles dasjenige, Was Ich vom 29.ten Januarÿ Anno 1749, als da mit deren Vätter: und Mütterlich Erbguth ausgelieffert worden, biß den 26.ten Maji Anni 1753, besagter meiner curandin halben Eingenommen und hingegen wieder außgegegen habe. Erste und Letste Rechnung dießer Vogteÿ.

Les enfants de Louis Decret vendent leur part de la maison au fabricant de sacs Georges Obermeyer et sa femme Anne Marie Burbach (veuve de Louis Decret)

1749 (27.2.), Chambre des Contrats, vol. 623 f° 140
H. Johann Jacob Eckert der schiffmann und E.E. Großen Raths beÿsitzer als vogt Louis Decret fastenspeishändlers in zweÿter Ehe mit auch weÿl. Fr. Annæ Catharinæ geb. Kuntzin erzeugten töchterlein Mariæ Catharinæ Ludovicä Decret und Matheus Schuster musicus gastgeber als vogt gedachten Decret mit hernach ermelter seiner hinterbliebenen wittib erzeugte zweÿ kinder Mariæ Dorotheæ und Frantz Michael der Decre
in gegensein Georg Obermeÿer des taschners und Annæ Mariæ geb. Burbachin gedachten Decret wittib, versteigerung
3 vierte theil vor unvertheilt ane einer eckbehausung und hoffstatt mit allen deroselben übrigen begriffen, weithen, zugehörden und rechten in der Vorstatt Krautenau gegen dem bierhauß zum Rießen über, einseit ist ein eck, anderseit neben weÿl. Nicolaus Bronner des paßmentirers erben, hinten auff Johann Adam Frantz den schuhmacher – als ein vätterliches erbguth, der übrige vierdte theil aber ihro Obermeÿersichen ehefrau eigenthümlich gehörig, welche gantze behausung (um 250 pfund verhafftet, geschehen um 311 pfund)
94 Z 3 (Pièces produites à la Chambre des Contrats), Decretum alienendi

Originaire de Vienne en Autriche, Georges Obermeyer épouse en 1745 Anne Marie Burbach, veuve de Louis Decret : contrat de mariage, célébration (N. B. une notice sur Georges Obermeyer est en projet)
1745 (18.2.), Not. Lichtenberger (Jean Frédéric, 6 E 41, 349) n° 170
Eheberedung – persönlich erschienen H. Georg Obermeÿer, der ledige taschner, H. Johann Georg Obermeÿers, des Schuhmachers und burgers zu Wien, mit weÿl. Frauen Elisabetha, gebohrener (-) ehelich erzeugter Sohn, mit beÿstand Hn Johann Jacob Eckerts, des Schiffmanns und Burgers allhier Zu Straßburg als hochzeither ane einem
So dann Frau Anna Maria Decré, gebohren Burbachin, weÿl. Hn Louis Decré, des gewesenen Fastenspeishändlers und burgers allhier Zu Straßburg sel. hinterlaßene Wittib, mit assistentz H. Johann Georg Bauren, des Schuhmachers und E: E: Großen Raths allhier alten wohlverdienten beÿsitzers, Ihres geschwornen H Vogts, als hochzeiterin am andern theil
So beschehen in der König. Stadt Straßburg auf Donnerstag den 18.ten Februarÿ Anno 1745. unterzeichnet Georgius obernmaÿr Alls hochzeider, o der hochzeiterin handzeichen

Mariage, Saint-Etienne (cath. f° 13-v)
Hodie 23. mensis februarÿ anni 1745 (…) sacro matrimonii vinculo in facie Ecclesiæ conjuncti fuerunt Georgius obermeyer ex viennâ in austriâ oriundus, ab anno et ultra in hac parochia commorantsn solutus, et Anna Maria Burbachin vidua ludovici Decret, ambo commorantes in hac parochiâ (signé) Georgius obermmaÿr, o signum sponsæ (i 15)

Georges Obermeyer devient bourgeois par sa femme trois semaines après son mariage
1745, Livre de bourgeoisie 1740-1754 (VII 284) p. 203
Georg obermeÿer der taschner von Wien gebürtig Erhalt das burgerrecht von seiner Ehefr. Anna Maria Louis drcret des geweß. Krempen wittib umb den alten burger schilling und will dienen beÿ E. E. Zunfft Zur mörin, Jurat eodem [13. Martÿ 1745.]

Anne Marie Burbach meurt en 1757 en délaissant une fille de son premier mariage et une autre du deuxième. La masse propre au veuf est de 127 livres, celle propre aux héritiers est déficitaire de 160 livres. L’actif de la communauté s’élève à 634 livres, le passif à 634 livres. Le billet d’estimation situe par erreur la maison rue Sainte-Madeleine bien que les tenants et aboutissants soient exacts.

1760 (2.6.), Not. Lichtenberger (Jean Frédéric, 6 E 41, 334) n° 795
Inventarium über Weiland Frauen Annæ Mariæ Obermeÿerin gebohrner Burbachin, Herrn Georg Obermeÿer des Daschners u. b. alh. Zu Straßburg im Leben gewesener Ehefraun nunmehr seel. Verlaßenschafft auffgerichtet Anno 1760. – nach ihrem alhier den 15. 8.bris A° 1757. beschehener todl. hinscheiden hie Zeitlichen verlaßen, Welche Verl. auf freund. ansuchen u. begehren der vers. seel. in 2.en Ehen ehel. erzeugt und hinterlaßener töchtere beeder Hh. Vögte (…) So beschehen in der Königl. Stadt Straßburg auf Montag den 2. Junÿ Anno 1760.
Die verstorbene seel. hat ab intestato Zu Erben verlaßen wie volgt. 1° Jungfrau Mariam Dorotheam Decré mit weil. H. Louis Decré dem gewesen, Fastenspeishändlers u. b. alhier ihrem erstern gewesenen Ehemann ehel. erzeugte und hinderlaßene tochter so dermalen 21. Jahr alt, deren geordnet: und geschworner Vogt ist H Mathias Schuster der Musicus und Gastgeber zum goldenen Ochsen auch b. alhier, welcher dieser Inventur von Anfang bis Zu End beÿgewohnet und seiner Curanden Interesse besorgt und
2° Mariam Ludovicam obermeÿerin mit Eingangs gemeldtem ihrem hinterbliebenen Wittiber ehel. erzielte und hinderlaßene Tochter so bald 12 Jahr alt ist. Vermög vorgewiesenen Löbl. Vogteÿ gerichts Zeduls dedato 11. Junÿ Anno 1760 ist dieser minorenner tochter und Erbin Zu einem Vogt ernennet und auch beeidiget worden H Andreas Duttel der Zinngieser und burger alhier

In einer alhier zu Straßburg ane der Vorstatt Crautenau gegen dem bierhaus Zum Riesen über gelegener, in dieße succession eigenthümlich gehöriger behaußung ist befunden worden wie folgt
Eigenthum ane einer Behausung (T.) Neml. Eine behaußung u. Hoffstadt mit allen deren Gebäuen, begriffen, Weithen, Rechten u. Gerechtigkeiten, gelegen alh. Zu Straßburg ane der Vorstadt Krautenaw, gegen dem bierhaus Zum Riesen hinüber, einseit ist ein Eck, anderseit neben weil. Niclaus Bronner gewesenen Paßmentirers Erben hinten auff Joh. Adam Frantz den Schumacher stosend, so außer dem darauf hafftenden hernach unter hernach eingetragenem Passiv Capital freÿ ledig u. eigen, Und durch (die Werckmeistere) vermög deroselben zu dem Concepto dieses Inventarÿ geliefferten schrifftl. Abschatzung d. d. 22 Marty 1760 angeschlagen worden pro 375 lb. Diese behausung hat der diesortige Wittiber und seine nun verstorbene Ehefrau von weil. Louis Ducré gewesenen Fastenspeishändlers u. b. alh. der Defunctæ gewesenen erstern Ehemanns seel. nachgelaßenen 3.en Kindere beeden Vögten nach Zu vorhero erhaltenem Decreto alienandi käufl. an sich gebracht, wie der über solchen Kauf vorhandene teutsche pergamentene in allhies. C. C. Stuben gefertigte, und dero anhangedem Insigel verwahrte Kaufbrief d. d. 27. febr. Anno 1749. beweiset. Darüber noch ferner vorhanden ein in dergl. Kfbr. datirt d. 22. 7.bris A° 1714.
Ergäntzung der Erben währender Ehe abgeganenen unveränderten guths. Nach besag des über weil. H Louis Decré gewesenen Fastenspeishändlers u. b. alh. als der Defunctæ gewesenen ersten Ehemanns seel. Verl. von H. Not° Adam Claus in anno 1743. errichteten Inventarÿ
Series rubricarum hujus Inventarÿ Copia der zwischen beeden gewesener und nun durch den Zeitl. Tod Zertrenter Ehepersonen von mir Notario in Anno 1745. mit einander auffgerichteter Eheberedung
Bericht in gegenwärtig Inventarium gehörig. Obwolen Eingangs gemelte nunmehr Zertrennte beede Eheleute, vermög vorher einverleibter heuraths: Verschreibung u. deren dritten Articuls sich ein unverändert Guth reservirt So haben doch dieselbe des Wittibers gegebenem bericht nach nicht wie es doch die Ordnung erfordert, in die Ehe inventirt (…)
Des Wittibers eigenthüml. unveränderten Vermögens, Sa. Silbers 2, Sa. Schuld 75, Ergäntzung 50, Summa summarum 127 lb
Diesemnach wird auch der Erben eigenthümlich unveränderte Nahrung beschrieben, Sa. Kleidung u. weisen Gezeugs 6, Sa. Silbers 2, Sa. goldenen Rings 12 ß,Erg. 6, Summa summarum 16 lb – Schulden 177 lb, In Vergleichung, der Erben Passiv onus 160 lb
Endlichen wird auch die gemein verändert u. theilbare Verl. beschrieben, Sa. haußraths 56, Sa. Silbers 1, Sa. goldenen Rings 1, Sa. Eigenthums ane einer behaußung 375, Sa. Schulden 199 lb, Summa summarum 634 – Schulden 634 lb, Passiv onus 11 ß
Beschlus: und Stall summa Inventarÿ 68 lb
Abschatzung Vom 22.ten Martius 1760. Auff Begehren Georg Ober Maÿer des Tabezierers jst Eine behausung all hier jn der Statt Straßburg in der Uttengaß gelegen, Einseÿts Ein Eck auff daß Allmend Machent, Anderseÿts Neben dem N: Brunner Baßmentdierer stoßent, solche behaußung bestehet in dreÿ Stuben, dreÿ Küchen und Etliche Hauß Kamren dar Über jst der dachstuhl mit breitzieglen belegt Hatt auch ein Getrembten Käller. Von Uns den Unter Schriebenen der Statt Straßburg Geschwornen Werck Meistern Nach Vorhero Geschehener Besichtigung mit Aller Ihrrer Gerechtigkeit dem Jetzigen Wahren Werth Nach æstimirt und angeschlagen Worden Vor und Umb Sieben Hundert Fünffzig Gulden, Erlacher Werck Meister des Münsters, Werner, Huber

Georges Obermeyer se remarie en 1763 avec Anne Grivel, native de la Petite Pierre : contrat de mariage, célébration
1763 (18.4.), Not. Anrich (6 E 41, 1516) n° 1
Eheberedung – persönlich kommen und erschienen seÿen der Vorgeachte Herr Georg Opermeÿer der burger daschner und Wittiber dahier als Hochzeiter ane einem
sodann die Viel Ehren und tugendbegabte Jungfrau Anna Grivel weil. Hrn Nicolas Grivel des burgers und Melckers zu Litzelstein mit auch weil. Agata gebohrner Chittorn deßen Ehegattin ehelich erzeugte mehrjährige tochter, als hochzeiterin am andern theil
Zu Straßburg auf Montag den 18. aprilis 1763 (unterzeichnet) George obermaÿer, anne grivelle

Mariage, Lingolsheim (cath. p. 22)
Hodie Die 14 mensis Junÿ anni 1763 (…) conjuncti fuerunt Dominus Georgius Christophorus Josephus obermeÿer civis et aulæ opifex intra argentinam viduus defunctæ annæ mariæ Burbachin Paochianus ad Stum Stephanum argentinæ ex unâ et domicella anna grivelle oriunda ex Lützelstein hujus diœcesis filia soluta defuctorum conjugum legitima nicolai grivelle et agathæ gegout Parochiana ad Stum petrum juniorem intra argentinam ex altera partibus (signé) George obermeÿer, angrivelle (i 12, proclamation Saint-Pierre-le-Jeune p. 235)

Anne Grivelle devient bourgeoise deux mois après son mariage
1763, Livre de bourgeoisie 1762-1769 (VI 285) p. 18-v
Anne Grivelle von Lützelstein gebürtig, verheurathet ane Georg Obermeÿer, taschner und burger allhier erhalt das burgerrecht wohlverhaltens wegen gratis, will dienen beÿ E. E. Zunfft Zum Spiegel, prom. eod. [27. August 1763]

L’inventaire des apports en mariage d’Anne Grivelle est dressé en 1792.
1792 (16.5.), Strasbourg, Not. Saltzmann, (Jean Daniel, rép. 6 E 41 449-5) n° 692
Inventarium illatorum Fraun Anna Obermaÿer geb. Grivelle der Taschnerin
(acp 10 f° 136) Inventaire des apports de Anne Grivelle femme de Georges Joseph Christophe obermeyer tapissier à Straßburg dont le contrat de mariage est passé devant M° Anrich Nre en cette ville en 1762. lesdits apports montant à 900 livres

Anne Grivel meurt en 1792 en délaissant une petite-fille issue de sa fille Anne Marie Rosine et une autre fille célibataire. Les experts estiment la maison à la somme de 3 500 livres tournois (875 livres strasbourgeoises). La masse propre à la femme est de 1 252 livres tournois. L’actif du mari et de la communauté s’élève à 4 275 livres tournois, le passif à 4 794 livres.

1793 (2.2.), Strasbourg 2 (2), Not. Mayer n° 377
Inventarium über Weÿl. Fraun Annæ geb. Grivel des burgers Georg Christoph Joseph Obermayer des Tapezirers dahier zu Straßburg gewesener Ehefraun Verlaßenschaft, auffgerichtet im Jahr 1793. – nach ihrem den 18.ten August 1792 erfolgten absterben hinterlaßen hat (…) So geschehen allhier Zu Straßburg in einer an der Vorstatt Krautenau gegen dem bierhauß zum Rißen hinüber gelegenen mit N° 27 bezeichneten und hiernach inventirten behausung den 2. Februarii 1793 im 2.ten Jahr der Frantzösischen Republick.
Denominatio hæredum. Die Verstorbene hat ab intestato zu ihren wahren und ohngezweifelten Erben hinterlaßen 1.mo Weÿl. Annæ Mariæ Rosinæ Obermeyer, des burgers Michael Alexander Lalouette tapezirers dahier gewesener Ehefraun hinterlaßenen Söhnlein Georg Alexander Lalouette, so 5 Jahr alt, bevögtiget mit dem burger Joh: Michael Hochstätter Homme de Loi dahier, so gegenwärtiger Inventur beÿgewohnet, 2.do Jungfer Mariam Theresiam Obermayer, so 20 jahr alt, bevögtiget mit dem burger Joh: Joseph Bitschnau avoué dahier diesen geschäfft ebenfalls beÿwohnend.

Ergäntzung der Erben während der Ehe abgegangenen unveränderten Guths, Nemlich nach Maßgab eines von seiten der Defunctæ errichteten und durch den hinterbliebeneen Wittiber bekräftigten Acts vor dem burger Notario Salzmann unterm 16. maÿ 1792 passirt (…)
Eigenthum an Einer behaußung. Nemlich eine Eck behaußung und Hoffstatt mit allen deren Begriffen, Weithen, Zugehörden, Rechten und Gerechtigkeiten allhier zu Straßburg an der Vorstadt Krautenau gegen dem Bierhauß zum Rißen hinüber, einseit ist ein Eck, und anderseit neben N. Bronner dem Paßmentirer gelegen, mit N° 27 bezeichnet, so außer den daraug stehenden hermach eingetragenen Capitalien und grundsteuer freÿ ledig und eigen. Und ist solche behausung durch die burger Frantz Burger den Maurer und Christian Bärnhard den Zimmermann nach vorheriger Besichtigung zufolg darüber schriftlich eingelieferter Abschatzung de dato 27. Xbris 1792. dem wahren Werth nach gewürdiget und abgeschätzt worden um 3500 Livres, Über diese behaußung besagt ein deutscher Pergamentener Kauffbrieff, in der allhiesigen Canzleÿ Contract Stub unterm 27. Februarii 1749.
Series rubricarum hujus Inventarii. Der Benefical Erben unverändert Vermögen, Kleidung 84, Schuld 200, Ergäntzung 968, Summa summarum 1252 livres
Diesemnach wird auch des Wittibers unverändert und das theilbare Gut unter einer Massa beschrieben, weilen letzteres von den passiv Schulden übertroffen wird, Sa. Hausraths 743, Sa. Eigenthum en Einer behausung 3500, Sa. der activ Schuld 31, Summa summarum 4275 livres – Schulden 4794, Mehr Schulden als Vermögen 519 livres
enregistré 22 frimaire 3

Les héritiers de Jean Georges Obermeyer vendent la maison au boulanger des vivres Charles Christophe

1794 (19 fructidor 2), Chambre des Contrats, vol. 672 n° 1813
cit. Charles Réné Gosset, capitaine du génie, comme tuteur de Charles Gosset mineur, Cit. Marguerite Jeanne Gosset fille majeure assitée de cit. Gosset ces deux en qualité d’enfants nés du légitime mariage de feu Antoine Gosset, employé du génie, et de feu Louise Obermeyer, cit. Michel Alexandre Lalouette employé dans les subsistances militaires en qualité d’héritiers de son fils unique Georges Alexandre procréé avec Rose Obermeyer son épouse, cit. Marie Thérèse Obermeyer épouse actuelle du cit. Lalouette tous en qualité d’enfants et petits enfants de feu Georges Christophe Obermeyer tapissier, en conformité d’un jugement rendu au tribunal du district de Strasbourg le 17 de ce mois
au cit. Charles Christophe boulanger dans les vivres
une maison existante dans la succession Obermeyer quartier de Krutenau anciennement actuellement quartier de Malignon N° 27 d’un côté un coin de l’autre le cit. Bronner passementier, derrière la veuve Germersdorf
de laquelle maison il revient aux enfants Gosset 1/3, au C. Lalouette 1/3 à la cit. Lalouette l’autre tiers – moyennant 6400 livres
Enregistré 21 fruct.

Charles Christophe épouse en 1777 Marie Barbe Vonié, tous deux de Ramberviller
Mariage, Ramberviller (cath. reg. 58-009)
L’an 1777 le 7 juillet (…) entre le Sr Charles Christophe boulanger et mlle Marie Barbe Voinier de cette paroisse de fait et de celle de Bruyeres de droit à cause du Sr Joseph vaudechamp marchand de ce dit lieu, le marié est fils de deffunt chambre Christophe ci devant Boulanger à Ramberviller et de Marie Anne genet son épouse bourgeoise audit lieu, la mariée est fille de Joseph voinié boutonnier et de Marie Scholastique marie son épouse tous deux deffunts (…) en presence du Sr. Hubert adam inspecteur des forets de l’evêché de metz, de François genet boulanger tous deux de cette paroisse oncles du marié du sr Joseph vaudechamp marchand à bruyeres tuteur de la mariée, de claude gouttefeit boucher (signé) Charles christophe, Marie Barbe voignier (i 25)

Registre de population 600 MW 12 (1795) 12 section Kruthenau N° 27 (i 27)
Charles Christophe, 40 ans, Bourgeois, Ramberville (à Str. depuis) 1793
M Barbe Voinier, 42 ans, Epouse id.

1803 (18 mess. 11), Strasbourg, Not. Lex
Consentement par Charles Christophe, Boulanger au mariage de son fils Charles Christophe Boulanger avec Marie Anne Fuessler
Enregistrement, acp 88 F° 91 du 18 mess. 11

Mariage, Strasbourg (n° 53)
L’an XIV de la République le 29° jour du mois de Brumaire (…) sont comparus Charles Claude Christophe, agé de 23 ans, soldat de la troisième compagnie du premier bataillon du train d’artillerie, demeurant en cette ville depuis son enfance, né à Ramberviller, Département des Vosges le premier juillet 1782, mineur, fils de Charles Claude Christophe, boulanger munitionnaire et de Marie Barbe Vonier, conjoints domiciliés à Strasbourg, consentant, ainsi qu’il résulte die leur acte de consentement passé en cette ville le 18 messidor an XI devant Felix Gaspard Lex, notaire, et Anne Marie Fiesel, agée de 21 ans, domiciliée en cette ville depuis son enfance, née à Schiltigheim, Département du Bas-Rhin le 18 avril 1784, majeure fille née hors mariage de Laurent Fiesel, manœuvre domicilié à la Citadelle de cette ville, ci présent et consentant, et de feue Catherine Müller, décédée à Schiltigheim le 14 brumaire ab IV (…) et aussitôt lesdits époux ont déclaré qu’il est né d’eux un enfant inscrit sur le registre de l’état civil de cette ville en date du 7 frimaire an XI et sous les noms de Marie Anne Christophe, laquelle ils reconnaissent pour leur fille (i 29)

Registre de population 600 MW 96 (1815 sqq) Rue de la Krutenau 27, f° 82 (i 102)
Christophe, Charles Claude, 1781, Cordonnier, Rambervillé, (à Str. depuis) 28 ans, (auparavant) Place du dôme 29, E. 1807, dél. quai des pêcheurs 64
id. née Fissler, Marie, 1784 Ep. Schiltigheim
id. Marie, 1801, Strasbourg
id. Louise Barbe, 1807, id.
(…)
Christophe, Hubert, 1786, Propriétaire, Rambervillé, E. 1789
(…)
Christophe, Charles Joseph, 29. Janv. 1822, décédé le 14 Xbre 1822

Les deux fils et seuls héritiers de Charles Christophe vendent la maison à l’imprimeur de papiers peints Christophe Huth et à sa femme Madeleine Bronner

1828 (9.3.), Strasbourg 14 (86), Me Ritleng n° 363
1. Charles Christophe, cordonnier, et Marie Füssler, 2. Hubert Christophe, cordonnier
à Christophe Huth, imprimeur de papier peints, et Madeleine Bronner
une maison appartenances & dépendances située à Strasbourg rue de la Krutenau n° 27, d’un côté faisant le coin, de l’autre côté Michel Pierlot et Frédéric Raes, devant la rue de la Krutenau, derrière une petite place – recueillie dans la succession de leur père Charles Christophe, boulanger, dont ils sont seuls et uniques héritiers, ledit Christophe l’avait acquis des héritiers de Georges Christophe Obermeyer, tapissier, par acte passé à la Chambre des Contrats le 19 fructidor 2 – moyennant 5000 francs
Enregistrement, acp 188 F° 107 du 10.3.

Natif de Kehl mais demeurant depuis son enfance à Strasbourg, Christophe Huth épouse en 1815 Madeleine Bronner
Mariage, Strasbourg (n° 127)
Acte de mariage célébré à l’hôtel de ville de Strasbourg à dix heures du matin le 15 mars 1815. François Charles Christophe Houtt, mineur d’ans, né en légitime mariage le 8 novembre 1790 à Kehl, Grand Duché de Bade, domicilié de droit à Strasbourg, Garçon imprimeur de papier peint, fils de feu Jean Houtt, perruquier décédé à Strasbourg le 2 mai 1806 et de Dorothée Dentzlinger, domiciliée en cette ville, ci présente et consentante
Catherine Madeleine Bronner, majeure d’ans, née en légitime mariage le 4 avril 1790 à Strasbourg domiciliée à Strasbourg, fille de Laurent Bronnner, bucheron en cette ville et de Marie Catherine Hibswerlé ci présente et consentants (signé) Frantz carel christoph Hutt, M. Bronner (i 14)

Registre de population 600 MW 86 (1808 sqq) Rue Neuve des bateliers n° 6 f° 139 (i 158)
Huth, Charles Christophe, 21, Journalier, Kehl, (auparavant) Quai bateliers 6, E. 5 avril 1815
id. née Brunner, Madeleine, 23, Ep., Strasbourg, (auparavant) R. des couples 3, E. 5 avril 1815

Registre de population 600 MW 57 (1815 sqq) Rue des Hallebardes n° 18 f° 178 (i 171)
Huth, Fr. Charles Christophe, 1790, impr. en papier peint, Kehl, (à Str.) depuis l’enfance, (auparavant) r. neuve des bat. 6. 18, E. 8.bre 1821, dél. Krautenau 27
id. née Bronner, Madeleine, 1792, Ep., Strasbourg

Registre de population 600 MW 96 (1815 sqq) Rue de la Krutenau 27, f° 82 (i 102)
(f° 84) Hutt, Charles Christophe, 1790, impr. en papier peint, Kehl, (à Str.) depuis l’enfance, (auparavant) r. des halleb. 18, E. juillet 1828
id. née Bronner, Madeleine, 1792, Ep., Strasbourg
id. Ls François Charles, 1822, Strasbourg, décédé 6 août 39
id. Lse Caroline Mad. 1826, Strasbourg

Félix François Hutt, seul héritier de ses parents comme le stipulent les actes ultérieurs, devient propriétaire de la maison. Il meurt de myélite à l’âge de trente ans après avoir légué à ses tantes paternelles l’usufruit de sa succession.

1862 (2.1.), M° Grimmer (minutes en déficit)
Inventaire de la succession délaissée par Félix François Hutt, propriétaire à Strasbourg, décédé le 19 Xbre 1861. Dressé à la requête de 1) Caroline Hutt, épiciere à Strasbourg, 2) Dorothée Hutt, épiciere audit lieu, 3) Chrétien Charles Brunner, journalier à Brumath, 4) Frédérique Brunner veuve de Xavier Hantz vivant journalier à Strasbourg. Les deux premières agissant en outre comme usufruitières de la succession du défunt suivant testament reçu Grimmer Nre le 24 février 1858.
acp 506 (3 Q 30 221) f° 1-v du 30.1. (succession déclarée le 22 mai 1862) Il dépend de la succession un mobilier estimé 702 francs
acp 506 (3 Q 30 221) f° 93 du 3.2. (vacation du 29 janvier) Il dépend de ladite succession une maison à Strasbourg rue de le Krutenau N° 22, Loyers 40 francs

24 février 1858. Testament de Félix François Hutt, journalier à Strasbourg, par lequel il lègue à Caroline et Dorothée Hutt ses tantes paternelles l’usufruit de sa succession. Décès du 19. Xbre 1861
acp 505 (3 Q 30 221) f° 55 du 24.12.

Décès, Strasbourg (n° 2747)
Acte de décès (…) ont déclaré que François Félix Hutt, âgé de 30 ans, né à Strasbourg, profession de tapissier, non marié, domicilié à Strasbourg, fils de feu François Charles Christophe Hutt, imprimeur en papier peint et de feu Catherine Madeleine Bronner est décédé le 19 décembre 1861 à cinq heures du soir en la maison rue de la Krutenau 22 [in margine :] Myélite chronique (i 77)

Frédérique Brunner veuve de Xavier Hantz cède ses droits (un quart) à deux cohéritières, Thérèse et Caroline Brunner qui détiennent déjà un quart de la succession.

1862 (9.5.), M° Grimmer (minutes en déficit)
Cession par Frédérique Brunner veuve de Xavier Hantz vivant journalier à Strasbourg
à Thérèse Brunner, institutrice et Caroline Brunner, institutrice ces deux à Brumath
de tous les droits mobiliers et immobiliers en nue propriété seulement lui revenant dans la succession de Félix François Hutt, propriétaire à Strasbourg où il est décédé le 19 décembre dernier, duquel elle est héritière pour un quart. Ladite succession grevée d’usufruit au profit de Caroline Dorothée Hutt Epiciere à Strasbourg suivant testament reçu Grimmer Nre le 24 février 1858. moyennant 100 francs, à charge de payer la part du passif estimé à 1420 francs, total 1520 francs
acp 510 (3 Q 30 225) f° 47 du 10.5. (succession déclarée le 22 mai 1862)

Caroline Hutt lègue à sa sœur Dorothée l’usufruit de sa succession et nomme pour héritiers le tailleur Michel Bernhard et sa femme Frédérique Bernhard
1873, M° Hoffherr
10. Januar 1872 – Testament von Caroline Hutt, volljährig in Straßburg durch welches Sie ihrer Schwester Dorothea Hutt in Straßburg die Nutznießung ihres ganzen Vermögens vermacht, 2) an Marie Wilhelmine und Catharina Henriette Weber, minderjährige Kinder von Joseph Weber Schuster in Straßburg einem jedem 100 Franken 3) und ernennt als Haupt Erben Michael Bernhard, Schneider und Friederike Bernhard seine Ehefrau, in Kehl, als universal Erben – gestorben den 8. Januar 1873.
acp 612 (3 Q 30 327) f° 59 n° 442 du 24.1.1873

Un quart de la maison appartient à Dorothée Hutt, un quart aux conjoints Bernhard comme légataires de Caroline Hutt et deux quarts à Thérèse et Caroline Bronner comme héritières de leur père Chrétien Charles Brunner et cessionnaires de leur tante Frédérique Brunner veuve de Xavier Hantz. Les copropriétaires exposent aux enchères la maison ainsi que la boutique d’épicerie. L’acquéreur est Charles Auguste Eberlen, brasseur à la Chaîne d’or.

1874 (15.5.), Strasbourg 24 (7), Not. Joseph Allonas
N° 813 & 873, 16 April & 15 Mai 1874, Bedingnisheft und Steigerung – sind erschienen 1° Fräulein Dorothea Hütt, gewerblos, großjährig wohnhaft zu Straßburg handelnd als Eigenthümerin zu einem Viertel und Nutznießung zu zwei ander Viertel des nachstehenden Hauses, 2° Fräulein Theresia Brunner, 3° Fräulein Caroline Brunner, beide großjährig, Lehrerinnen zu Hatten wo sie wohnhaft sind, handelnd als Eigenthümerinnen jede zu einem Viertel des nachstehenden Hauses, 4° Herr Michel Bernhardt Schneidermeister und dessen hierzu ermächtigte Ehefrau Friederika Bernhardt beisammen wohnhaft zu Kehl (Baden), handelnd als Eigenthümer zum letzten Viertel des nemlichen Hauses, diesele erklären daß sie beabsichtigen ihr zu Straßburg in der Krutenauerstraße N° 22 gelegenes Wohnhaus in öffentlicher Versteigerung zu veräußern (…)
Beschreibung der Liegenschaft. Ein Wohnhause bestehend aus Erdgeschoß, drei Stockwerken und Speicher, gelegen zu Straßburg, die Ecke bildend des Platzes beim Katzensteg genannt und der Krutenauerstraße wo es das Nummer 22 trägt, begrenzt durch den Schlossermeister Alexander Hampe und den Rentner Ludwig Burckhardt hinten H. Walter, dazu gehören als durch Bestimmung die auf dem unterem heutigen tage auf einem Stempelblatt zu ein Francken errichtete und der gegenwärtigen Urkunde beigebogenen Verzeichnisse.
Eigenthums Nachweise. Das gedachte Haus gehört den Comparenten auf folgende Art. I. Herr Karl Christoph, Bäcker zu Straßburg erkaufte dasselbe von H. Georg Christoph Obermeyer, lebend Tapezierer zu Straßburg, zufolge Urkunde vor der Contraktstube derselben Stadt vom 19. Fructidor Jahr zwei. II. Herr Carl Christophe ließ als einzigen Erben seine zwei Söhne Karl Christophe Schuhmacher und Hubert Christophe auch Schuhmacher zu Straßburg, welchen so dieses Haus zufiel. III. Sie verkauften es an Christoph Hutt, Tapetendrucker und Magdalena Bronner Eheleute Zu Straßburg zufolge Urkunde vor Notar Ritleng zu Straßburg vom 9. März 1828, überschrieben im Hypothekenamte zu Straßburg am 11. desselben Monats Band 209 Nummer 80 und vom Amtswegen eingeschrieben Band 189 Nummer 647 und 648. Diese Erwerbung hatte statt um die Summe von 5000 Franken von welchen heute noch 1000 Franken dem Stift Weyher zu Straßburg schuldig sind. IV. Durch den Tod gedachter Eheleute Hutt Bronner wurde H. Felix Franz Hutt, lebend Gutsbesitzers zu Straßburg ihr einziger Erbe, alleiniger Eigenthümer des besagten Hauses. V. Herr Felix Frantz Hütt ließ als Erben nämlich a) die Comparentin Dorothea Hutt, seine Tantz zu einem Viertel, b) Fräulein Caroline Hutt, seine Tante zu einem Viertel, c) Herr Christian Karl Brunner, Tagner zu Brumath wohnhaft, zu einem Viertel, d) und Frau Friederika Brunner Wittwe von Xaver Hansz lebend Tagner zu Straßburg, zu einem Viertel, sowie es aus dem Eingang des durch Notar Grimmer zu Straßburg am 2. Januar 1861 errichteten Erbverzeichnises erhellet. Aber durch sein, dem genannten Notar Grimmer am 24. Februar 1858 diktirtes, zu Straßburg am 24. Dezember 1860 folio 55 recto case 8 (…) registrirtes Testament, hat gedachter Herr Hutt seinen genannten Tanten den lebenslänglichen Nutzgenuß vermacht seines ganzen Vermögens, so daß der Antheil des Hause welcher dem Herrn Brunner und der Wittwe Hansz zukam dem gedachten Nutzgenuß unterworfen ist. VI. Zufolge Urkunde von demselbe Notar Grimmer vom 9. Mai 1862 hat die Frau Hansz das Viertel welches ihr an dem Vermögen des H. Hutt zugefallen ist, den Comparentinnen Fräulein Brunner, als einige Erbinnen ihres Vaters Herrn Christian Carl Brunner abgetreten, so daß dieselben Eigenthümerinnen wurden von der Hälfte des zu versteigenden Hauses. VII. Fräulein Caroline Hutt starb zu Straßburg am 8. Januar 1874 ohne Erben zu hinterlassen, welche ein Vorrecht auf ihr Vermögen haben, Zufolge ist dem Notar Hoffherr zu Straßburg am 10. Januar 1872 diktirtes und am 24. Januar nachfolgend gehörig registrirtes Testament hat sie die Fräulein Dorothea Hütt als Universal Vermächtnißnehmerin in Nutznießung und Eheleuthe Bernhard hier genannt als Universal Vermächtnißnehmer des nackten Eigenthums eingesetzt.
Demzufolge gehört das obenbezeichtene Haus nämlich zu vollem Eigenthum zu einem Viertel der Fräulein Dorothea Hütt, zu einem Viertel der Fräulein Brunner, zu nacktem Eigenthum zu einem Viertel der Fräulein Brunner, zu einem Viertel der Eheleute Bernhardt und zim lebenslänglichen Nutzgenuß was die zwei Viertel zu nacktel Eigenthum betrifft.
Angabe der bürgerlichen Standersverhaltnisse der Versteigerer. Die Fräulein Hütt und Brunner sind großjährig, die Eheleute Bernhard sind unter der Errungenschaft gemeinschaft verheirathet, Herr Bernhard war Wittwer erster Ehe von Wilhelmine Walter ohne Kinder – Lasten und Bedingungen (…) – Anschlagspreis, 20.000 Franken
15. Mai 1874. (…) Mehrere Lichten erloschen ohne daß der Anschlagpreis angenommen wurde. Endlich erklärte Carl August Eberlen bierschenker in der goldenen Kette zu Straßburg dasselbig anzunehmen. Zwei Lichter wurden aufs neue angezündet und erloschen ohne daß Jemand ein Mehrgebot gethan hatte, demgemäß wurde die fragliche Liegenschaft durch den unterzeichneten Norar dem Herrn Carl August Eberlen um die Summe von 20.000 Francken ausser den Lasten zugeschlagen.
Schließlich erklärten die erschienenen daß zum versteigerten Haus ein Höflein gehört, daß es aber dem Ansteigerer zusteht das Recht daran sowie auch alle etwa bestehende dienstbarkeiten geltend zu machen auf seine eigene Gefahr und Kosten
Verzeichnuß der Mobilien welche sich in dem zu Straßburg Krautenauerstraße N° 22 gelehgenen den Fräulein Hütt und Brunner und den Eheleuten Bernhard angehörigen Hause befunden und zu diesem Hause als Immobilien durch bestimmung gehören. 1° im Spezereiladen, 22 Stück Confitur gläser (…) 2° Im Keller, 3° in der Waschküche, 4°, 5° im Zimmer im Erdgeschoß, 6° im Zimmer im ersten Stockwerk, 7° im Zimmer im 2° Stockwerk, 8° im I. Stockwerk, Zimmer links, 9° im Zimmer im 2. Stockwerk links, 10° im Zimmer im dritten Stockwerk
acp 628 (3 Q 30 343) f° 8-v du 20.5.

Fils du boulanger du même nom, le cuisinier Charles Auguste Eberlen épouse en 1870 Emilie Madeleine Sturm
1870 (31.12.), Strasbourg 13 (98), Not. Flach (Jean Georges) n° 7702
Contrat de mariage – Ont comparu M. Charles Auguste Eberlen, cuisinier demeurant à Strasbourg, fils majeur de M. Charles Auguste Eberlen, boulanger, et de D° Dorothée Callenberger, vivant conjoints à Strasbourg, futur époux, stipulant pour lui et en son nom personnel à cause du mariage dont il va être question, d’une part
Et Madlle Emilie Madeleine Sturm, couturière demeurant à Strasbourg, fille majeure de M. Frédéric Sturm vivant serrurier et de D° Madeleine Barth sa veuve demeurant à Strasbourg, future épouse stipulant pour elle et en son nom personnel à cause dudit mariage, d’autre part
acp 597 (3 Q 30 312) f° 8 du 4.1.1871 – Ehe Contract zwischen Karl August Eberlen, Koch in Straßburg und Emilia Magdalena Sturm, Näherinin Straßburg. Eheleute nehmen die gemeinschaffl nach dem CN an
das überlebende hat den Genuß der Gemeinschafft Ein jedes hält sich seine Kleidungsstücke zuvor
Der Bräutigam bringt in die Ehe 1) eine summ von 3000 Franken
2) ein Haus Burggaß N° 20 durch das Bombardement abgebrannt
Die Braut bringt in die Ehe ein Mobilien zu 200 Franken abgeschätzt
Das Überlebende behält den genuß des ganzen Vermögens von dem verstorbenen

Charles Auguste Eberlen et Emilie Madeleine Sturm hypothèquent la maison à trois étages qu’ils viennent de faire reconstruire au profit de Mélanie Eléonore Stropeno

1878 (22.6.), Strasbourg 24 (24), Not. Joseph Allonas n° 4165
Schuldbekenntnis – Sind erschienen Herr Carl August Eberlen, ehemaliger Bierwirth, Eigenthümer & dessen von ihme hierzu ermächtigte Ehefrau Magdalena Sturm, beisammen zu Straßburg wohnhaft, dieselbe bekennen andurch solidarisch schuldig zu sein
der hier gegenwärtigen und dieß annehmenden Fräulein Melanie Eleonore Stropeno, Rentnerin Zu Straßburg wohnhaft die Hauptssumme von 1600 Mark für Darlehen gleicher Summ (…) – Rückzahlung (…)
Unterpfand. Beschreibung. Stadt Strassburg einem Wohnhause bestehend aus Erdgeschoß, drei Stockwerke & Mansarden, Keller, Hof, Rechte & Zugehörungen die Ecke bildend des Platzes Katzensteg genannt und der Krutenauerstraße wo das Haus mit N° 22 bezeichnet ist, gelegen zwischen Alexander Hampé & Ludwig Burckhardt vornen die Krutenauerstraße hinten H. Walther.
Eigenthumsnachweis. Herr Eberlen hat das Terrain worauf sich damals ein altes Haus befunden hat, für Rechnung des zwischen ihm & seiner Ehefrau bestandenen Gütergemeinschaft erworben von 1° Fräulein Dorothea Hütt, großjährig zu Straßburg wohnhaft, 2° Fräulein Theresia Brunner, 3° Fräulein Caroline Brunner, beide Letztere Lehrerinnen damals zu Hatten wohnhaft & 4° Herrn Michael Bernhardt Schmiedmeister und dessen Ehefrau Friederika Bernhardt beisammen zu Kehl wohnhaft, auf Grund eines Steigerungsprotokolles aufgenommen durch den unterzeichneten Notar am 15. Mai 1874, wovon eine Ausfertigung auf dem hiesigen Hypothekenamte den 30. desselben Monats Mai Band 1491 N° 72 überschrieben und von Amtswegen Band 1184 N° 106 eingeschrieben wurde. Diese Erwerbung geschah vermittelst einer Summe von 20.000 Franken, wovon aber H. Eberlen heute nur noch den Betrag schuldet wovon hiernach unter Rubrik Hypothekar-Verhältnisse die Rede sein wird. Seitdem haben Eheleute Eberlen an Stelle des fraglichen alten Hauses ein neues Wohnhaus aus eigenen Mitteln erbauen lassen.
Früheres Eigenthumsnachweis. Herr Karl Christoph, Bäcker zu Straßburg erkaufte dieselbe durch H. Eberlen erworbene Liegenschaft von H. Georg Christoph Obermeyer, lebend Tapezierer dahier, zufolge Urkunde vor der damals hier fungierenden sogenannter Chambre des Contrats vom 19. Fruktidor Jahr zwei der ersten frantzösischen Republik. H. Carl Christophe starb und hinterließ als einzigen Erben seine zwei Söhne Carl Christophe & Hubert Christophe, beide Schuster zu Straßburg wohnhaft. Beide Letztere haben die fragliche Liegenschaft zufolge einer durch Notar Ritleng dahier am 9. März 1828 aufgenommenen Urkunde wovon eine Ausfertigung auf dem hiesigen Hypothekenamte am 11. desselben Monats Band 209 N° 80 überschrieben, an die zu Straßburg wohnende Eheleute Christophe Hutt, Tapetendrucker und Magdalena Bronner verkauft. Durch den Tod gedachter Eheleute Hutt Bronner wurde H. Felix Franz Hütt, lebend Gutsbesitzer zu Straßburg wohnhaft ihr einziger Erbe, alleiniger Eigenthümer der fraglichen Liegenschaft. Letzterer hinterließ als einzige Erben a) seine Tante obengenannte Dorothea Hutt zu einem Viertel, b) seine Tante Fräulein Caroline Hutt, Krämerin zu Straßburg wohnhaft, zu einem Viertel, c) H. Christian Karl Brunner, Tagner zu Brumath wohnhaft, zu einem Viertel, d) & Frau Friederika Brunner Wittwe von Xaver Hansz lebend Tagner zu Straßburg, zu einem Viertel, sowie diese Erbeigenschaften in dem durch H. Grimmer Notar zu Straßburg am 2. Januar 1861 errichteten Inventar nach dem Ableben des genannten H Felix Frantz Hutt bestätigt sind. Aber durch sein dem genannten Notar Grimmer am 24. Februar 1858 diktirtes, zu Straßburg am 24. Dezember 1860 folio 55 recto case 8 registrirtes Testament, hat gedachter Felix Frantz Hutt seinen genannten Tanten die lebenslängliche Nutznießung an seinem ganzen Vermögen vermacht. Zufolge Urkunde vor demselben Notar Grimmer vom 9. Mai 1862 hat die Frau Hansz das Viertel welches ihr an dem Vermögen des Herrn Hutt zugefallen ist den genannten Fräulein Theresia & Carolina Brunner als einige Erbinnen ihres Vaters H. Christian Carl Brunner abgetreten, so daß dieselben Eigenthümerin wurde von der Hälfte derselben Liegenschaft.
Fräulein Caroline Hutt ist auch zu Straßburg gestorben ohne Hinterlassung von Vorbehaltserben, zufolge ihrem dem Notar Hoffherr hierselbst vom 10. Januar 1872 diktirten Testaments hat sie Fräulein Dorothea Hütt als Universal Vermächtnißnehmerin in Nutznießung und Eheleuthe Bernhard hier genannt als Universal Vermächtnißnehmer zu nackten Eigenthum eingesetzt
Übertragung des Brandentschädigungsanspruchs (…) – Standesverhältnisse. Eheleute Eberlin erklären, daß sie beide in erster Ehe unter der Herrschaft der Errungenschaft Gütergemeinschaft laut ihrem vor Notar Flach im Laufe des Jahres 1870 abgeschlossenen Ehevertrag verheirathet sind & daß H Eberlin mit keiner Vormundschaft belastet ist – Hypothekverhältnisse (…)
Police. Le Nord, compagnie anonyme d’assurances contre l’incendie N° 12.149, Valeur assurée fr. 60.000, prime annuelle 22,40, durée dix ans
à Monsieur Eberlen Auguste, profession de propriétaire demeurant à Strasbourg agissant pour son compte comme propriétaire
1° 40.000 francs sur une maison nouvellement construite & couverte en dur occupée par des locataires située à Strasbourg rue de la Krutenau 22
2° 20.000 francs pour garantir l’assuré du recours que ses voisins pourraient exercer. L’assuré déclare que La Mutuelle du Bas-Rhin lui couvre encore jusqu’au 31 décembre 1879 suivant police 17.814 une somme de 30.000 francs
Police. La Mutuelle du Bas-Rhin, N° 17.314 du 30 mai 1874, somme assurée 30.000 francs
20.000 francs sur une Maison d’habitation renfermant chambres garnies & un commerce d’épicerie
Recours des voisins 10.000 francs

Charles Auguste Eberlen et Emilie Madeleine Sturm hypothèquent la maison au profit de Catherine Simon femme de Jean Heitz.

1877 (23.8.), Strasbourg 24 (21), Not. Joseph Allonas n° 3630
23 August 1877. Schuldbekenntnis – Sind erschienen Herr Carl August Eberlen, Bierwirth, und dessen von ihm hierzu ermächtigte Ehefrau Magdalena Sturm, beisammen zu Straßburg wohnhaft, dieselbe bekennen andurch rechtmäßig schuldig zu sein
an Frau Catharina Simon gewerblos zu Straßburg wohnhaft, Ehefrau des zu Illkirch wohnenden Gutsbesitzers Herrn Johann Heitz, für welche hier gegenwärtig ist und annimmt Herr Philipp Boeswillwald, Notariats Gehülfe zu Straßburg wohnhaft, die Hauptsumme von 1600 Mark
Unterpfand. Ein zu Straßburg den Eck bildend des Platzes beim Katzensteg genannt, und der Krutenauerstraße, wo es die N° 22 trägt, gelegenes und neu erbautes dreistöckiges Wohnhaus, zwischen Herrn Alexander Hampé, und Herrn Ludwig Burckhard, vornen die Krutenauerstraße hinten Herr Walter, so übrigens wie das Eigenthum daliegt mit An und Zubehörungen
Eigenthumsnachweis. Herr Eberlen erwarb die verpfändete Liegenschaft für Rechnung der zwischen Ihme und seiner Ehefrau bestehende Gütergemeinschaft von 1° Fräulein Dorothea Hütt, großjährig zu Straßburg wohnhaft, 2° Fräulein Theresia Brunner, 3° Fräulein Caroline Brunner, beide großjährig, Lehrerinnen damals zu Hatten wohnhaft und 4° Herrn Michael Bernhardt Schmiedmeister und dessen Ehefrau Friederika Bernhardt beisammen zu Kehl wohnhaft, auf Grund eines Steigerungsprotokolles von dem unterzeichneten Notar vom 15. Mai 1874, wovon eine Ausfertigung auf dem hiesigen Hypotheken Amte zu Straßburg am 30. desselben Monats Band 1491 N° 71 überschrieben wurde. Eheleute Eberlen ließen im Laufe des gegenwärtigen Jahrs das oben beschriebene Wohnhaus aus eigenen Mitteln neu erbauen. – Einsetzung (…) – Bürgerliche Standes Verhältnisse der Entlehner. Eheleute Eberlin erklären, daß sie beide in erster Ehe unter der Herrschaft der Errungenschaft Gütergemeinschaft auf Grund ihres Ehevertrags vor Notar Flach dahier im Laufe des Jahres 1870 und daß H Eberlin mit keiner Vormundschaft belastet ist

Charles Auguste Eberlen et Emilie Madeleine Sturm hypothèquent la maison au profit de Jean Frédéric Grünninger

1878 (22.6.), Strasbourg 24 (24), Not. Joseph Allonas n° 4166
Schuldbekenntnis – Sind erschienen Herr Carl August Eberlen, ehemaliger Bierwirth, Eigenthümer und dessen von ihme hierzu ermächtigte Ehefrau Magdalena Sturm, beisammen zu Straßburg wohnhaft, dieselbe bekennen andurch solidarisch schuldig zu sein
dem hier gegenwärtigen und dieß annehmenden H. Johann Friedrich Grünninger, Eigenthümer Zu Straßburg wohnhaft 1° die Hauptsumme von 6400 Mark für bereits schon am 15. Juni 1877 erhaltenes Darlehn
2° diejenige von 1600 Mark bereits schon am 26. März des letztverfloßenen Jahres erhaltenes Darlehen
3° & diejenige 2400 Mark für Darlehen gleicher Summ (…) Angesichts des unterzeichneten Notars geliefert (…) Total 10.400 Mark – Rückzahlung (…)
Unterpfand. Beschreibung. Stadt Strassburg einem Wohnhause die Ecke bildend des Platzes Katzensteg genannt und der Krutenauerstraße wo es mit N° 22 bezeichnet ist & bestehend aus Keller, Erdgeschoß, drei Stockwerke & Mansarden, Hof, Rechte & Zugehörungen zwischen H. Alexander Hampé & H. Ludwig Burckhardt vornen die Krutenauerstraße hinten H. Walther, sowie übrigens das Eigenthum darliegt.
Eigenthumsnachweis. Herr Eberlen hat das Terrain worauf sich damals ein altes Haus befunden hat, für Rechnung des zwischen ihm & seiner Ehefrau bestehenden Gütergemeinschaft erworben von 1° Fräulein Dorothea Hütt, großjährig zu Straßburg wohnhaft, 2° Fräulein Theresia Brunner, 3° Fräulein Caroline Brunner, beide Letztere Lehrerinnen damals zu Hatten wohnhaft & 4° Michael Bernhardt Schmiedmeister und dessen Ehefrau Friederika Bernhardt beisammen zu Kehl wohnhaft, auf Grund eines durch den unterzeichneten Notar am 15. Mai 1874 aufgenommenen Steigerungsprotokolles wovon eine Ausfertigung auf dem hiesigen Hypothekenamte den 30. desselben Monats Mai Band 1184 N° 106 eingeschrieben wurde. Diese Erwerbung geschah vermittelst einer Summe von 20.000 Franken, wovon aber H. Eberlen heute nur noch den Betrag schuldet wovon hiernach die Rede sein wird. Seitdem haben Eheleute Eberlen an Stelle des fraglichen alten Hauses ein neues Wohnhaus aus eigenen Mitteln erbauen lassen.
Früheres Eigenthumsnachweis. Herr Karl Christoph, Bäcker zu Straßburg wohnhaft erkaufte dieselbe durch H. Eberlen erworbene Liegenschaft von H. Georg Christoph Obermeyer, lebend Tapezierer dahier, Zufolge Urkunde vor der damals hier fungierenden sogenannter Chambre des Contrats vom 19. Fruktidor Jahr zwei der ersten frantzösischen Republik. H. Carl Christophe starb und hinterließ als einzigen Erben seine zwei Söhne Carl Christophe & Hubert Christophe beide Schuster zu Straßburg wohnhaft. Beide Letztere haben die fragliche Liegenschaft zufolge einer durch Notar Ritleng dahier am 9. März 1828 aufgenommenen Urkunde wovon eine Ausfertigung auf dem hiesigen Hypothekenamte am 11. desselben Monats Band 209 N° 80 überschrieben wurde, an die zu Straßburg wohnende Eheleute Christophe Hütt, Tapetendrucker und Magdalena Bronner verkauft. Durch den Tod gedachter Eheleute Hütt Bronner wurde H. Felix Franz Hütt, lebend Gutsbesitzers zu Straßburg wohnhaft ihr einziger Erbe alleiniger Eigenthümer der betreffenden Liegenschaft. Letzterer ist selbst gestorben und hinterließ als einzige Erben a) seine Tante obengenannte Dorothea Hutt zu einem Viertel, b) seine Tante Fräulein Caroline Hutt, Krämerin zu Straßburg wohnhaft, zu einem Viertel, c) H. Christian Karl Brunner, Tagner zu Brumath wohnhaft, zu einem Viertel, d) Frau Friederika Brunner Wittwe von Xaver Hansz lebend Tagner zu Straßburg, zu einem Viertel, sowie diese Erbeigenschaften in dem durch H. Grimmer am 2. Januar 1861 errichteten Inventar nach dem Ableben des genannten H Felix Frantz Hutt bestätigt sind, gedachter H Grimmer damals Notar zu Straßburg. Aber durch sein dem genannten Notar Grimmer am 24. Februar 1858 diktirtes, zu Straßburg am 24. Dezember 1860 folio 55 R° case 8 registrirtes Testament, hat gedachter Felix Frantz Hütt seinen genannten Tanten die lebenslängliche Nutznießung an seinem ganzen Vermögen vermacht. Zufolge Urkunde von demselbe Notar Grimmer vom 9. Mai 1862 hat die Frau Hansz das Viertel welches ihr an dem Vermögen des H Hütt zugefallen ist den genannten Fräulein Theresia & Caroline Brunner als einige Erbinnen ihres Vaters Christian Carl Brunnen abgetreten, so daß dieselben Eigenthümerinnen wurden von der Hälfte derselben Liegenschaft.
Fräulein Caroline Hutt ist auch zu Straßburg gestorben ohne Hinterlassung von Vorbehaltserben, zufolge ihrem dem Notar Hoffherr hierselbst vom 10. Januar 1872 diktirten Testaments hat sie Fräulein Dorothea Hütt als Universal Vermächtnißnehmerin in Nutznießung & Eheleuthe Bernhard hier genannt als Universal Vermächtnißnehmer zu nackten Eigenthum einesetzt
Übertragung des Brandentschädigungsanspruchs (…) – Standesverhältnisse. Eheleute Eberlin erklären, daß sie beide in erster Ehe unter der Herrschaft der Errungenschaft Gütergemeinschaft laut ihrem vor Notar Flach im Laufe des Jahres 1870 abgeschlossenen Ehevertrag verheirathet sind & daß H Eberlin mit keiner Vormundschaft belastet ist – Hypothekverhältnisse (…)

Madeleine Emilie Sturm meurt au restaurant qu’exploite son mari à la gare de Mommenheim en délaissant un fils.

1881 (8.3.), Strasbourg 24 (33), Not. Joseph Allonas n° 6010
Inventar nach Ableben von Magdalena Emilie Sturm gestorben in ihrer Wohnung in der Bannweile Mommenheim den 1. Oktober 1880 als Ehefrau des dortselbst wohnenden Würths Herr Karl August Eberlen
Im Jahr 1881 den 8. März um ein Uhr Nachmittags in der Bannweile Mommenheim im Sterbehaus, auf Anstehen von Herrn Karl August Eberlen, Restaurateur des Bannweile Mommenheim in der Wirtschaft zur Station wohnhaft, handelnd I. eigenen Namens, a) wegen der Errungenschafts Gütergemeinschaft welche gemäß ihrem vor dem hiesigen früheren Notar Flach den 31. Dezember 1870 abgeschlossenen Ehevertrags zwischen ihm und seiner zu gedachtem Mommenheim den 1. Oktober letzthin verlebten Ehefrau Emilie Magdalena Sturm bestanden hat, b) wegen den Ersatzansprüche und Forderungen welche er gegen die gedachte Gütergemeinschaft geltend zu machen hat, c) als conventionneller Nutznießer des Antheils der Verstorbenen an die Werthschaften der Gütergemeinschaft kraft der im selben Ehevertrag enthaltenen Vereinbarung zwischen Gesellschaftern dieser Zusatz hiemit gebilligt, d) als Schenknehmer in Nutznießung der Hälfte des Nachlasses seiner genannt verstorbenen Ehefrau kraft der in erwähntem Ehevertrage enthaltenen Schenkung
II. Namens und als gesetzlicher Vormund seines mit genannt verlebten Emilie Magdalena Sturm erzeugten Sohns Camille Eberlen geboren den 9. November 1877, genannter Minderjährigen einziger Erbe seiner genannten verlebten Mutter
und in Gegenwart des Herrn Eduard Preisern Drechser zu Straßburg wohnhaft, handelnd im Namen und als Nebenvormung des genannten minderjährigen Camille Eberlen

Titel & Schriftstücke. Cote eins, Ausfertigung des Ehevertrags (…)
Fortsetzung vom 14. März. Immöbel der Gütergemeinschaft. Stadt Strassburg. Ein Besitzthum bestehend in einem Wohnhause mit Erdgeschoß, drei Stockwerken, Mansarden, Keller, Hof, Rechten und Zubehörungen die Ecke bildend des Platzes beim Katzensteg genannt und der Krutenauerstraße N° 22 zwischen Alexander Hampé & Ludwig Burckhard vorn die Krutenauerstraße, hinten H. Walter.
Eigenthumsnachweis. Herr Eberlen erklärt daß er habe das Terrain, auf theils von welchem sich ein altes Gebäude befunden hat für Rechnung der zwischen ihm und seiner verlebten Frau bestandenen Gütergemeinschaft folgender Weise erworben. Zwei und zwanzig Quadratmeter 54 Quadrat decimeter wurde von der Stadt Strassburg, vertreten durch ihren Bürgermeisterei-Verwalter Herr Otto Back infolge eines auf Grund in Ausübung der Rechte des Gemeinderaths vom ersten Februar 1877 gefaßten und durch den Herrn Bezirks-Präsidenten am 12. deselben Monats im Bezirksrathe genehmigten Beschlusses den 27. des nämlichen Monats abgeschloßenen Administrations Aktes. Welche Erwerbung geschah vermittelst dem heute bezahlten und im vertrage quittirten Preis von 540 Franken 56 Centimes.
und den Ueberrest, worauf theils sich das alte Haus befunden hat, und sammt* diesen Gebäude von 1° Dorothea Hütt, großjährig zu Straßburg wohnhaft, 2° Theresia Brunner, 3° Karoline Brunner, beide Lehrerinnen damals zu Hatten wohnhaft, 4° Michael Bernhardt, Schmied und dessen Ehefrau Friederike Bernhardt beisammen zu Kehl (Baden) wohnhaft, auf Grund eines Versteigerungs-Protokolls aufgenommen am 15. Mai 1874, welches Protokoll übrigens hievor schon erwähnt worden ist. Eine Ausfertigung dieses Protokolls wurde auf dem hiesigen Hypothekenamte den 30. desselben Monats Mai Band 1491 N° 71 überschrieben wurde. Diese Erwerbung geschah vermittelst einer Summe von 20.000 Franken, von welchem nur noch obig erwähnter den Fräulein Brunner zukommende Saldobetrag von 3000 Mark geschuldet. Seitdem haben Eheleute Eberlen an Stelle des fraglichen haftenden alten Hauses ein neues aus eigenen Mitteln erbauen lassen.
Früheres Eigenthumsnachweis. Herr Karl Christoph, Bäcker zu Straßburg erkaufte diese Liegenschaft welche später durch H Eberlen von Consorten Brunner erworben worden ist von H. Georg Christoph Obermeyer, lebend Tapezierer dahier, zufolge Urkunde vor der damals hier fungierenden sogenannter Chambre des Contrats vom 19. Fruktidor Jahr zwei der ersten frantzösischen Republik. H. Carl Christophe starb und hinterließ als einzigen Erben seine zwei Söhne Carl Christophe & Hubert Christophe, beide Schuster zu Straßburg wohnhaft. Beide Letztere haben die fragliche Liegenschaft zufolge einer durch Notar Ritleng dahier am 9. März 1828 aufgenommenen Urkunde von welcher eine Abschrift auf dem hiesigen Hypothekenamte dem 11. desselben Monats Band 209 N° 80 überschrieben wurde, an die zu Straßburg wohnende Eheleute Christophe Hütt, Tapetendrucker und Magdalena Bronner verkauft. Durch den Tod gedachter Eheleute Hütt Bronner wurde H. Felix Franz Hütt, lebend Gutsbesitzer zu Straßburg ihr einziger Erbe alleiniger Eigenthümer fraglicher von Fr. Brunner und Consorten erkauften Liegenschaft. Letzterer hinterließ als einzige Erben a) seine Tante obengenannte Dorothea Hütt zu einem Viertel, b) seine Tante Fräulein Caroline Hutt, Krämerin zu Straßburg wohnhaft, zu einem Viertel, c) H. Christian Karl Brunner, Tagner zu Brumath wohnhaft, zu einem Viertel und d) Frau Friederike Brunner Wittwe von Xaver Hansz lebend Tagner zu Straßburg, zu einem Viertel, sowie diese Erbeigenschaften in dem durch H. Grimmer Notar zu Straßburg vom 2. Januar 1861 nach dem Ableben des genannten H Felix Frantz Hutt errichteten Inventar bestätigt worden sind. Aber durch sein genanntem Notar Grimmer am 24. Februar 1858 diktirtes, zu Straßburg am 24. Dezember 1860 folio 55 recto case 8 registrirtes Testament, hat gedachter Felix Frantz Hutt seiner genannten Tante die lebenslängliche Nutznießung an seinem ganzen Vermögen vermacht. Zufolge Urkunde vor demselben Notar Grimmer vom 9. Mai 1862 hat die Frau Hansz das Viertel welches ihr an dem Vermögen des H. Hutt zugefallen ist den genannten Fräulein Theresia & Carolina Brunner als einige Erbinnen ihres Vaters Christian Carl Brunner abgetreten, so daß dieselben Eigenthümerinnen wurden von der Hälfte derselben Liegenschaft. Fräulein Carolina Hutt ist auch zu Straßburg gestorben ohne Hinterlassung von Vorbehaltserben, zufolge ihrem dem Notar Hoffherr einer des Amtsvorgänger des unterzeichneten Notars am 10. Januar 1872 diktirten Testaments hat sie Frl. Dorothea Hütt als Universal Vermächtnißnehmerin in Nutznießung und Eheleuthe Bernhard hier genannt als Universal Vermächtnißnehmer zu nackten Eigenthum eingesetzt.
acp 711 (3 Q 30 426) f° 95-v n° 4220 du 15.3. – Gemeinschafft. Mobilien 508, Ausstände 160, Garderobe des Nachlasses 42 – Passiva 18.200 M
Zur Gemeinschafft gehört ein Haus zu Straßburg Krutenau 22
Ersatzforderungen des Nachlasses 160, des Wittwers 1) auf Grund Ehevertrags 2400, 2) für den Besitzthum in der Burggasse Kriegsentschädigung 5796, für den Boden laut Administrations actes vom 25/6 7. 2472 (zusammen) 8768 – (ins Gesamt) 11.168

Charles Auguste Eberlen expose infructueusement la maison aux enchères

1882 (22.4.), Strasbourg 24 (37), Not. Joseph Allonas n° 6660
22 April 1882. Bedingnisheft – erschienen a. Herr Carl August Eberlen, früher Restaurateur in der Bannweile Mommenheim, Wirtschaft ‘zur Station’, nun Eigenthümer in Schiltigheim wohnhaft, handelnd eigenen Namen 1. Wegen der zwischen ihm und seiner zu besagtem Mommenheim verlebten Ehefrau Emilia Magdalena Sturm auf Grund Ehevertrags des früheren Notars Flach zu Straßburg vom 31. Dezember 1870 bestandende, auf die Errungenschaft beschränkten Gütergemeinschaft, 2. Als Schenknehmer der lebenslänglichen freien Nutznießung an der Hälfte des Nachlaßvermögen seiner gedacht verstorbenen Ehefrau und überdies noch als conventionneller Nutznießer des Antheils dieser letzteren an den zur Gütergemeinschaftsmasse gehörigen Wertschaften, alles dies auf Grund einer in allegirtem Ehevertrage enthaltenen Schenkungen, Wie auch Namens und als gesetzlicher Hauptvormund über seinen noch minderjährigen in der Ehe mit seiner Ehefrau verlebten ehelich erzeugten, bei ihm gesetzlich domizilirten vier Jahr und fünf Monate alten Sohn Camillus Eberlen, der gedachte Minderjährige einziger Erbe am Nachlasse seiner verlebten Mutter, wie diese Erbqualität kraft eines durch den amtierenden Notar unterm 8. März vorigen Jahrs errichteten, gehörig registrirten Inventar Zu Genüge constatirt ist
b. Herr Eduard Preiser, Drechsler zu Straßburg wohnhaft handelnd Namens und als gerichtlich bestellter Nebenvormund über den vorgenannten noch minderjährigen Camillus Eberlen
und erklärten, ausweislich des den oben asserirten, durch den amtirenden Notar errichteten Inventars, sei die Errungenschafts Gütergemeinschaft Eberlen-Sturm mit einem Passiven von circa 18.200 Mark beladen, zur Tilgung dieser Summe resp. für Befriedigung der ohnedies auch Zahlung drängenden Gläubiger sei nur Mangels ausreichender Zahlungsmittel die Veräußerung des von fraglicher Gemeinschaft abhängigen unter näher bezeichnet werdenden Anwesens nebst Dependenzien geboten. (…)

Beschreibung des zu versteigergernden Immöbels. Eine zu Straßburg am Ecke des sogenannten Katzensteges und der Krutenauerstraße gelegenes, die Hausnummer 22 tragendes Besitzthum bestehend in einem neuerbauten Wohnhaus nebst Erdgeschoß, drei Stockwerken, Mansarden, Keller, Hof, Brunnen, Rechten und Zubehörden, zwischen Alexander Hampe und Ludwig Burckhardt, vorn die Krutenauerstraße und hinten Herr Walter. *werth 37.600, Grundsteuer 80 Mark ein Pfenning.
Eigenthumsnachweis. Das Terrain, auf welchem ein altes Gebäude stand, hängt, wie dies übrigend allegirtes Inventar bekündet, von der Errungenschaft Gütergemeinschaft Eberlen-Sturm ab, und wurde während derer Dauer, wie folget erworben. Zwei und zwanzig Quadratmeter 54 Quadrat decimeter wurde von der Stadt Strassburg, vertreten durch den damaligen Bürgermeisterei-Verwalter Herrn Otto Back in Folge eines in Ausübung der Rechte des Gemeinderaths unterm ersten Februar 1877 gefaßten und durch den Herrn Bezirks-Präsidenten am 12. deselben Monats im Bezirksrathe genehmigten Beschlusses auf Grund Administrations Aktes vom 27. desselben Monats erworben. Der Erwerb geschah vermittelst des bei Verbriefung fraglichen Vertrags baar gezahlten Preises von 540 Franken 56 Centimes.
Der restirende Theil des Terrains, worauf ein Theil des alten Gebäudes stand, wurde von 1° Dorothea Hütt, großjährig zu Straßburg wohnhaft, 2° Theresia Brunner, 3° Karoline Brunner, beide Lehrerinnen damals zu Hatten wohnhaft, 4° Michael Bernhardt, Schmied und dessen Ehefrau Friederike Bernhardt beisammen zu Kehl, Baden, wohnhaft, auf Grund eines durch den handelnden Notar unterm 15. Mai 1874 aufgenommenen, beim kaiserl. Hypotheken-Amte zu Straßburg unterem 30. Mai desselben Jahres im Band 1491 N° 72 überschriebenen Versteigerungs-Protokolls vermittelst eines Preises von 20.000 Franken gleich 16.000 Mark, worauf, wie man unten sehen wird, den Fr Brunner noch ein Saldobetrag von 3000 Mark geschuldet wird, erworben. An Stelle des alten Gebäuders wurde jedoch das heutige Anwesen aus Gemeingutsmitteln erbaut. Ehemals gehörte die durch die Eheleute Eberlen-Sturm von den Consorten Brunner erworbene Liegenschaft dem zu Straßburg wohnhaften Bäckermeister Karl Christoph, der sie selbst von Georg Christoph Obermeyer, im Leben Tapezierer zu Straßburg, kraft Urkunde der damals hier fungierenden sogenannten Chambre des Contrats vom 19. Fructidor zwei der ersten frantzösischen Republik erwarb. Beim Absterben des Carl Christophe fiel diese Liegenschaft seinen zwei Söhnen und einzigen Erben Karl Christophe und Hubert Christophe, beide Schuster zu Straßburg in Eigenthum zu. Kraft einer durch den zu Straßburg amtierenden Notar Ritleng unterm 9. März 1828 errichteten, beim Hypothekenamte zu Straßburg am 11. desselben Monats Band 209 N° 80 überschriebenen Kauffvertrags-Urkunde, haben die Gebrüder Christoph diese Liegenschaft an die zu Straßburg wohnende Eheleute Christophe Hütt, Tapetendrucker und Magdalena Bronner verkauft. Nach deren Ebsterben wurde deren einziger Sohn und Erbe Felix Franz Hütt Eigenthümer hiervon. Derselbe verstarb ebenfalls zu Straßburg und hinterließ als einzige Erben a) seine Tante Dorothea Hutt zu einem Viertel, b) seine Tante Karoline Hutt, Krämerin zu Straßburg wohnhaft, zu einem Viertel, c) H. Christian Karl Brunner, Tagner zu Brumath wohnhaft, zu einem Viertel und d) Friederike Brunner, Wittwe von Xaver Hansz lebend Tagner zu Straßburg, zu einem Viertel, wie diese Erbeigenschaften in dem durch den früheren Notar Grimmer zu Straßburg, Amtsvorgänger des handelnden Notars unterm 2. Januar 1861 nach dem Ableben des genannten H Felix Frantz Hutt errichteten Inventar bekundet sind. Kraft eines durch genannten Notar Grimmer unterm 24. Februar 1852 aufgenommenen und zu Straßburg am 24. Dezember 1860 folio 55 recto case 8 registrirten Testaments, vermachte obiger Felix Frantz Hutt seiner obgenannten Tante Dorothea Hütt die lebenslängliche Nutznießung an seinem Gesamtnachlaß. Die obgenannte Frau Hansz trat des ihr auch oben vermachte Viertel den obgenannten Frl. Therese und Karolina Brunner, einigen Erbinnen je zur Hälfte von ihrem obgenannten Vater Christian Karl Brunner laut Kauffvertrags des mehrgenannten Notars Grimmer vom 9. Mai 1862 in vollem Eigenthum, also daß dieselbe zur Hälfte Eigenthümer dieser Liegenschaft wurden.
Frl. Karoline Hütt verstarb auch zu Straßburg ohne Hinterlassung von As- und Descendenten und setzte sie kraft ihres durch den früheren Notar Hoffherr zu Straßburg unterm 10. Januar 1872 aufgenommenen gehörig registrirten Testaments ihre obige Schwester Frl. Dorothea Hütt wie auch die Eheleuthe Bernhard als Universal Vermächtnißnehmer und zwar Erstere in Nutznießung und letztere in nacktem Eigenthum.
Forderungen, die auf obigem Anwesen haften. 1. Privilegierforderungen (…), 2. Hypothekarforderungen (…), Chirographforderungen (…) – Lasten, Clauseln und Bedingungen (…)
Versteigerer Herr Eberlen erklärt, daß er Wittwer seiner verstorbenen Ehefrau Emilie Magdalena Sturm, mit der er Kraft des obe*irten Ehevertrags unterm System der auf die Errungenschaft beschränkte Gütergemeinschaft verehelicht war, ist. II daß aus dieser Ehe ein Kind, der obegannte Camillus Eberlen hervorgezogen ist (…)
Vom 9. Mai 1882 N° 6636, Gerichtliche Versteigerung -Versteigerungsversuch
acp 723 (3 Q 30 438) f° 99-v du 13.5.
Vereinbarung (…) Im Jahr 1882 den 31. Dezember
acp 720 (3 Q 30 435) f° 57 den 5.1.

Lors de la liquidation, la maison est attribuée à Charles Auguste Eberlen (voir l’origine de la propriété dans les actes suivants)
1882 (22.5.), Strasbourg 24 (38), Not. Joseph Allonas n° 6715
Theilung und Liquidation über I. der Gütergemeinschaft, welche zwischen dem zu Straßburg wohnenden Eigenthümer H. Karl August Eberlen und dessen zu Mommenheim verlebten Ehegattin Frau Magdalena Emilie Sturm bestand und II. den Nachlass der Erblasserin Frau Eberlen
erschienen a) Herr Karl August Eberlen, früher Restaurateur in der Wirtschaft ‘zur Station’ Bannweile Mommenheim, nun Eigenthümer in Straßburg, Kinderspielgasse N° 12 wohnhaft, handelnd eigenen Namen 1. Wegen der zwischen ihm und seiner zu besagtem Mommenheim verlebten Ehegattin Emilie Magdalena Sturm auf Grund Ehevertrags des früheren Notars Flach zu Straßburg vom 31. Dezember 1870 bestandende, auf die Errungenschaft beschränkten Gütergemeinschaft, 2. Als Schenknehmer der lebenslänglichen freien Nutznießung an der Hälfte des Nachlaßvermögen seiner gedacht verstorbenen Ehefrau und überdies noch als conventionneller Nutznießer des Antheils dieser letzteren an den zur Gütergemeinschaftsmasse gehörigen Wertschaften, alles dies auf Grund einer in allegirtem Ehevertrage enthaltenen Schenkungen, Wie auch Namens und als gesetzlicher Hauptvormund über seinen noch minderjährigen in der Ehe mit seiner gedacht verlebten Ehefrau erzeugten, bei ihm gesetzlich domizilirten Sohn Camillus Eberlen, geboren am 9. November 1877, der gedachte Minderjährige einziger Erbe am Nachlasse seiner verlebten Mutter, wie diese Erbqualität kraft in einem durch den amtierenden Notar unterm 8. März vorigen Jahrs aufgenommenen Inventar näher constatirt ist.
b. Herr Eduard Preiser, Drechsler zu Straßburg wohnhaft handelnd Namens und als gerichtlich bestellter Nebenvormund über den vorgenannten noch minderjährigen Camillus Eberlen
Lasten und bedingungen bezüglich der dem Wittwer H Eberlen überlassene Vermögensstücke (…) II. die auf dem Besitzthum haftenden Passiv dienstbarkeiten
(…) Eigenthumsnachweis bezüglich des obigen Besitzthums (…)
acp 727 (3 Q 30 442) f° 7-v du 1.6. – Gemeinschafft. Mobilien 508
ein hier in der Krutenau gelegenes Wohnhaus 33.600, Forderung 160 (zusammen) 34.268 M
ab, Forderung verschiedenen Gläubiger 18.200, Ersatzforderungen des Nachlasss 160, des Wittwers 11.168, für bezahlte Schulden 459, (zusammen) 29.988, verbleiben 4279, Hälfte 2139
Nachlass Errungenschaftsantheil 2139, Ersatzforderungen 160, Schatzungspreis der Kleider 42 (zusammen) 2341
ab die durch den Wittwer bezahlte 247, verbleiben 2097
Belieferungen – Bruttomasse

Charles Auguste Eberlen hypothèque la maison au profit du commerçant Jacques Gentzbourger

1882 (24.7.), Strasbourg 24 (38), Not. Joseph Allonas n° 6801
22 & 24. Juli 1882. Obligation – Ist erschienen Herr Karl August Eberlen, früher Restaurateur in der Wirtschaft ‘zur Station’ Bannweile Mommenheim, nun Eigenthümer zu Straßburg wohnhaft Gerbergraben N° 30, derselbe erkannt andurch rechtmäsig schuldig zu sein
dem hier gegenwärtig & es annehmenden H. Jacob Gentzbourger, Kaufmann zu Straßburg, Eisernen Mannsplatz N° 6 wohnhaft, die Hauptsumme von 600 Mark
Unterpfandsbestellung. Stadt Strassburg. Ein Besitzthum bestehend in einem Wohnhause mit Erdgeschoß, drei Stockwerken, Mansarden, Keller, Hof, & Rechten & Gerechtigkeit gelegen zu Straßburg in der Krutenauerstraße N° 22 zwischen Alexander Hampé & Ludwig Burckhard vornen die Krutenauerstraße & hinten H. Walter.
Eigenthumsnachweis. Der Schuldner erklärt daß ebenbeschriebene Liegenschaft anhängt von der Gütergemeinschaft welche zwischen ihm und seiner zu Straßburg am ersten October 1880 verlebten Ehefrau Emilia Magdalena Sturm auf Grund Ehevertrags des früheren Notars Flach zu Straßburg vom 31. Dezember 1870 bestanden hat & wurde ihn fragliche Liegenschaft zugetheilt in der Liquidation & Theilung der besagten Gütergemeinschaft & Nachlass der Frau Eberlen, aufgenommen durch den amtierenden Notar am 22. Mai dieses Jahres & welche laut Familienbeschlusses des Kaiserlichen Amtsgericht Brumath vom 16. Juni 1882 genehmigt, & durch Beschluß des kaiserlichen Landgerichts dahier vom 29. desselben Monats bestätigt wurde. Laut fraglichen Liquidation & Theilung hat Herr Eberlen die Summa von 19.348 Mark zu bezahlen angenommen, welche Summe er an die Gläubiger der Gütergemeinschaft zu bezahlen angewiesen wurde, worunter Herr Gentzbourer für die Summa von 1600 Mark figurirt. (…) Standesverhältnisse. Schulder erklärt daß er Wittwer ist in erster Ehe von Frau Emilia Magdalena Sturm & keine weitere Ehe eingegangen hat, daß er Vormund ist seines Sohnes Camillus Ebelen & sonst mit keiner Vormundschaft oder Curatell belastet ist. Hypothekarverhältnisse (…)

Charles Auguste Eberlen se remarie avec Marguerite Cadet de Schiltigheim, veuve chargée de six enfants de l’aubergiste Chrétien Eber
1882 (14.9.), Strasbourg 24 (39), Not. Joseph Allonas n° 6875
Ehevertrag – erschienen I. Herr Karl August Eberlen, Rentner, in Straßburg wohnhaft Wittwer mit einem Kinde von der zu Mommenheim unterem ersten Oktober 1880 verstorbenenn Frau Emile Magdalena Sturm, handelnd eigenen Namens als künftiger Ehegatte einseits und
II. Frau Margaretha Cadet, Wirthin zu Schiltigheim wohnhaft, Wittwe mit sechs Kindern von dem zu besagtem Schiltigheim unterm 24. Dezember 1880 verlebten Wirth Herrn Christian Eber, handelnd eigenen Namens als künftige Ehegattin anderseits
acp 730 (3 Q 30 445) f° 15 n° 2056 du 15.9. unter annahme der auf der Errungenschaft beschränkte Gütergemeinschaft
das Einbringen des Bräutigams ist festgestellt in der Theilung vor dem amtierenden Notar vom 28. Mai d. J. Außerdem bringt er ein Mobilien für 401, baar 400, Summa 800
das Vermögen der Braut ist festgestellt in der Theilung vor Notar Laedlein zu Schiltigheim vom 16. & 25. Juni 1881. Außerdem bringt sie ein an baarem Gelde 800 M

Charles Auguste Eberlen loue la maison au marchand épicier Théodore Lucht (futur propriétaire)

1883 (14.9.), Strasbourg 24 (43), Not. Joseph Allonas n° 7485
14. September 1883. Miethvertrag – Ist erschienen Herr Carl August Eberlen, Wirth wohnhaft in Schiltigheim, derselbe vermiethet andurch auf die Dauer von neun auf einander folgende Jahre, welche am ersten Oktober 1883 angefangen haben und an demselben Tage des Jahres 1892 zu endigen, ohne besondere Aufkündigung
dem hier gegenwärtigen & es annehmenden Herrn Theodor Lucht, Spezereihändler zu Straßburg wohnhaft
Bezeichnung. Ein Besitzthum bestehend in einem Wohnhause mit Erdgeschoß, drei Stockwerken, Mansarden, Keller, Hof, Rechten & Gerechtigkeiten, gelegen zu Straßburg in der Krutenaustraße N° 22, zwischen Alexander Hampé & Ludwig Bernhard, vorn die Krutenaustraße & hinten Herrn Walthen. Inbegriffen sind alle die im Hause befindlichen Herd & Öfen mit Steinen & Rohr. Bedingungen (…) Miethpreis, dieser Miethvertrag ist noch um einen jährlichen Mietzins von 1440 Mark abeschlossen worden
acp 740 (3 Q 30 455) f° 100-v du 19.9.

Séparation de biens entre Charles Auguste Eberlen et Marguerite Cadet
1884 (30.4.), Strasbourg 24 (45), Not. Joseph Allonas n° 7925
Gütertrennungs-Verhandlung in Sachen Margaretha Cadet gegen ihrem Ehemann Karl August Eberlen
Vermögenstatus. Im Jahr 1884 Mittwoch den 30. April um zehn Uhr Morgens zu Straßburg in der Schreibstube des Notars (…) beauftragt mit der Errichtung eines Inventar oder Vermögenstatus zwischen Margaretha Cadet, in Schiltigheim wohnend, vertreten durch den hiesigen Rechtsanwalten Ch. Kauffmenn
und deren Ehemann Karl August Eberlen, früher Koch in Schiltigheim jetzt in Belfort in Franckreich wohnend, vertreten durch den hiesigen Rechtsanwalt William Scharlach, laut Urteil der zweiten Civilkammer des hiesigen kaiserlichen Landgerichts vom 27. März letzthien (…)
Sind erschienen 1° genannte Margaretha Cadet, Gatte des auch genannten Karl August Eberlen sie gewerblos zu Schiltigheim wohnhaft
2° Herrn William Scharlach, Rechtsanwalt zu Straßburg wohnhaft (…)
Heirath der Eheleuthen Eberlen Cadet
acp 749 (3 Q 30 464) f° 21-v du 7.5. – Laut Ehevertrag vor Notar Allonas vom 14. September 1882 bestand die Errungenschaft beschränkte Gütergemeinschaft. einleitendes Urtheil des hiesigen Landgericht vom 27. März 1884
Gütergemeinschaftsmasse. Ersatzforderungen des Ehemanns 400, weitere Passiven 3000
Ersatzforderungen der Frau und Activ-Vermögen sind nicht vorhanden

Charles Auguste Eberlen qui demeure à Belfort expose infructueusement la maison aux enchères

1887 (5.8.) M° Allonas
Bedingnisheft enthaltend die Bedingungen, unter welchen das dem Koche Carl August Eberlin in Belfort gehörige Krautenau N° 22 dahier gelegene Haus versteigert werden soll
Rücknahme des vorbezeichneten Hauses aus der Versteigerung mangels Angebots
acp 791 (3 Q 30 506) f° 18 n° 1417 et 1418 du 8.8.

La maison de Charles Auguste Eberlen, chef de cuisine à Nancy, est vendue par enchère judiciaire à Marie Caroline Mertz, femme du marchand épicier Théodore Lucht

1887 (11.11.), M° Allonas
Zwangsversteigerung auf Anstehen von Petronille Schilling, Rentnerin, Wittwe von Joseph Groetz hier, Gläubigerin auf Grund Schuldbekenntnisses vor Notar Allonas hier errichtet am 22 September 1883
gegen Karl August Eberlen, Küchenchef in der Brauerei Alsace-Lorraine in Nancy und auf Grund Zwangsvollstreckungs beschlusses des Kaiserl. Amtsgericht hier am 6. August 1887
von einem zu Straßburg Krautenaustraße N° 22 gelegenen Besitzthum bestehend in einem Wohnhause mit Erdgeschoß, drei Stockwerken, Mansarden, Speicher, Keller, Hof, Rechten und Zubehör im Kataster eingetragen unter N. 570, 571 der Section O mit 0,54 Aren Fläche, das Terrain auf welchem sich früher ein altes Haus befand wurde für Rechnung der zwischen genannten August Eberle und seiner ersten Ehefrau Magdalena Sturm bestandenen Gütergemeinschaft erworben laut Versteigerungs Protokoll vor Notar Allonas vom 15. Mai 1874. Genannte Magdalena Sturm starb zu Mommenheim am 1. Oktober 1880. Zufolge Theilung der bestehenden Gütergemeinschaft von dem amt. Notar am 12. Mai 1882 wurde unter anderen Wertschaften auch obiges Besitzthum dem genannten Ehemann Eberle zugetheilt,
Eigenthum sofort, Genuß und Lasten vom 25. Dezember 1887 ab. Der Steigpreis ist zahlbar mit M 5000 sofort (…)
der Zuschlag erfolgte an Isaak Selten Kaufmann hier um dem Preis von 23.000 Mark. Genannter Isaac Selten erklärt für Maria Caroline Mertz Ehefrau des Spezereihändlers Theodor Lucht in Straßburg gesteigert zu haben
acp 794 (3 Q 30 509) f° 92-v n° 2897 du 17.11.

Natif de Borntin en Prusse, Théodore Lucht épouse le 24 janvier 1878 Marie Caroline Mertz à Auenheim en Bade alors qu’il est inspecteur des travaux aux fortifications de Kehl. La femme demande la séparation pour éviter que ses biens soient dilapidés par son mari devenu marchand épicier.
1886 (22.4.), Strasbourg 10 (214), Not. Frédéric Pierron
Liquidation nach Gütertrennung zwischen Eheleuten Theodor Lucht, Spezereihändler und Marie Caroline Mertz hier, ausgesprochen durch Urtheil hiesigen Landgerichts vom 3. März 1886.
Im Jahre 1886 Donnerstag den 22. April Nachmittags zwei Uhr zu Straßburg auf der Amtststube Judengasse N° 11 (…) ist erschienen Frau Marie Caroline Mertz, gewerblose Ehefrau des hier miterschienenen, sie hierzu ermechtigtenden Spezereihändlers Theodor Lucht, beisammen zu Straßburg wohnhaft, dieselbe erklärte,
Auf Grund Urtheils des kaiserlichen Landgerichts zu Straßburg, erste Civilkammer vom 3. März 1886, weither mittelst Urkunde des Gerichtsvollziehers Heidger hier vom 6. desselben Monats zug* und eine Ausfertigung hiervon unterm 27. des nämlichen Monats der klägerischen Ehefrau Luchs zum Zwecke der Zwangsvollstreckung ertheilt wurde, sie die Gütertrennung zwischen ihr und ihrem Ehegatten in Anbetracht dessen zerrütteten Vermögensverhältnisse ausgesprochen und seien sie behufs Auseinandersetzung ihrer Vermögensverhältnisse vor dem amtierenden Notar verwiesen worden (…)
Verehelichung der Frau Luchs und deren Eheeinbringen. Frau Luchs verehelichte sich mit ihrem Ehegatten Hrn Luchs der früher Bauaufseher bei der Fortifikation in Kehl war und jetzt Spezereihändler dahier ist am 24. Januar 1878 zu Auenheim in Baden. Ihr Eheeinbringen bestand außer ihrer Aus im Betrage von 2000 Mark und einer Summ baaren Geltes im Betrage vo 1000 Mark, weiter, weil in Ermanglung eines Ehevertrags auf Grund Artikels 1400 und folgende des badischen Landrechtes in der Gütergemeinschaft ge*ssen war hier nicht in Betracht kommt, * in folgenden Liegenschaften (…) in der Gemarkung Auenheim
acp 777 (3 Q 30 492) f° 5-v n° 375 du 28.4. – Verheirathung ohne Ehevertrag
Die Frau Lucht macht Ersatzforderung im Betrage von 630 M gelten für veräußerte Immobilien
Gütergemeinschaft. Mobilien und Waaren 2506, Passiv 4195
Die Ehefrau macht Ersatzforderung geltend 630 woher ihr Mobilien im Gesamtwerthe von 640 M zugewiesen worden

Hermann Albert Théodore Lucht meurt à l’âge de 80 ans
Décès, Strasbourg (n° 1888)
Strasbourg le 23 août 1922. Le directeur de l’hôpital civil a communiqué que Monsieur Hermann Albert Théodore Lucht, gendarme en retraite, époux divorcé de Marie Caroline Lucht née Merz, âgé de 80 ans 8 mois de religion protestante, demeurant à Strasbourg, 1 Place de l’Hôpital, né à Borntin (Prusse) fils de feu Ernest Lucht, tuilier, et de feue Charlotte Christine Louise née Kannenberg, demeurant en dernier lieu à Borntin, est décédé à Strasbourg à l’hôpital civil le 22 août de l’année 1922 à 13 heures 30 minutes (i 133)

Marie Caroline Mertz, femme du revendeur Théodore Lucht, vend la maison au rentier Guillaume Spitzbarth et à sa femme Nancy Filleux

1894 (8.3.) M° Loew
Verkauf durch Maria Carolina Mertz, Ehefrau von Theodor Lucht, Krämer hier
an Eheleute Wilhelm Spitzbarth, Rentner, und Nancy Filleux, hier
eines Wohnhauses Krutenaustraße N° 22 mit Erdgeschoß, drei Stockwerken, Zubehör, O 570, 571 mit 0,54 Aren Fläche
Erworben laut Zwangsversteigerung Allonas vom 11. November 1887. Besitz, Genuß und Lasten sofort. Preis M. 32.000. Hievon sind 16.000 Mark baar bezahlt
acp 884 (3 Q 30 599) f° 89-v n° 5548 du 12.3.

Natif de Strasbourg, Guillaume Charles Spitzbart revient dans sa ville natale après avoir séjourné en Suisse aux Brenets (près du Locle) et épousé Nancy Filleux, native de Concise dans le canton de Vaud
1859, Registre de population 600 MW 360 (1850 sqq) i 131
Spitzbarth Guillaume Charles, Strasbourg 26, hm, ferblantier, protest. français, (à Str depuis) derechef 15 7.b 59, (auparavant) Prenes
id. née Filleux, Nancy, Concise 35, fm, femme, ppt. produit & rendu
id. Amélie, Prenets (Suisse), 56 f, fille
Filleux née Desseine, Aimable Julie Adélaïde, Ornens, fb, sa belle mère
r. de la mésange 1
Charles Guillaume Spitzbart

Nancy Filleux meurt dans sa maison à la Krutenau le 23 mai 1901
Décès, Strasbourg (n° 1383)
Strassburg am 24. Mai 1901. Vor dem Standesbeamten erschienen heute der Privatier Karl Wilhelm Spitzbart, wohnhaft in Strassburg Krutenau 22, und zeigte an, daß seine Ehefrau Rosa Nancÿ geborene Filleux, 67 Jahre alt, evangelischer Religion, wohnhaft in Straßburg geboren zu Paris-Frankreich, Tochter des verstorbenen Zeichners Johann Heinrich Filleux, zuletzt in Poutry-Schweiz wohnhaft gewesen und dessen verstorbenen, Ehefrau Aimable Julie Adelheid Dessaine zuletzt in Straßburg wohnhaft gewesen, zu Strassburg am 23. Mai des Jahres 1901 Nachmittags um drei Uhr verstorben sei (i 108)

Guillaume Charles Spitzbart meurt dans la maison des diaconesses le 10 octobre 1911
Décès, Strasbourg (n° 2534)
Strassburg am 10. Oktober 1911. Die Oberin des Diakonissenhauses hierselbst hat mitgetheilt, daß der Rentner Karl Wilhelm Spitzbart, Wittwer von Nancÿ Spitzbart geborenen Filleux, 85 Jahr, 3 ½ Monaten evangelischer Religion, wohnhaft in Straßburg Krutenaustraße 22, geboren zu Straßburg, Sohn der verstorbenen Eheleute Johann Gottfried Spitzbart, Schlossermeister und Marie Elisabeth geborenen Boos, beide zuletzt in Straßburg wohnhaft, zu Straßburg in obengenannter Anstalt am 10. Oktober des Jahres 1911 vormittags um zehn Uhr verstorben sei (i 7)

La maison est inscrite au cadastre sous le nom d’Auguste Kræmer et Amélie Spitzbarth de 1902 à 1913. Natif de Bouxwiller, Auguste Kræmer épouse Amélie Spitzbarth en 1879.

Mariage, Strasbourg (n° 685) Strassburg am 30. December 1879. Vor dem Standesbeamten erschienen heute zum Zwecke der Eheschließung 1. der Eisenbahnbureauassistent Julius Friderich August Kraemer, evangelischer Religion, geboren den 11. Januar 1853 zu Buchsweiler (Unter Elsass) wohnhaft zu Strassburg, Sohn des Handlungsreisenden Christian Heinrich August Kraemer und der Salomea gebornen Riehm, Eheleute wohnhaft zu Strassburg,
2. die Julie Amalie Mina Spitzbart, ohne Beruf, evangelischer Religion, geboren den 10. Februar des Jahres 1857 zu Les Brenets (Schweiz), wohnhaft zu Straßburg, Tochter des Linierers Carl Wilhelm Spitzbart und der Rose Nancy gebornen Filleux, Eheleuthe wohnhaft zu Straßburg

Fichier domiciliaire (603 MW 469)
Kraemer, Rechnungs-Revisor, Eisenbahnbeamter Bureau Assistent
Kraemer August 11.1.53 Buchsweiler, (Religion) k. † 14.10.25
Fremd, Heimat
26.7.79 Bahnhofstr. 9, Kromer
Knoblochstraße 15, lt Eheschlßg
28.3.81 Züricherstr. 55, Spitzbartt
84 Fritzgasse 1, ltheb. be*
26.6.96 Krutenau 22, Spitzbarth
1.7.12, Kl. Metzgerstr. 5. Kraemer
4.6.25 rue Aubry et Rau 44, Kraemer
Frau, Julie Amalie Maria Spitzbarth, 10.2.57, Le Brenets (Schweiz) † 25.4.25
Kind, Friederike Nancy Amata 13.1.81 Strassburg, † 31/1.82
August Ernst 21/4.84 Strassburg
Karl Robert 26.8.87, dto

Annuaire d’adresses
1903 (p. 208) Krämer, August, Eisenb.-Sekretär, Krutenaustr. 22
1905 (p. 212) idem, 1907 (p. 221) idem, 1909 (p. 239) idem, 1911 (p. 245) idem
1912 (p. 246) Krämer, August, Rechn.-Revisor, Krutenaustr. 22
1914 (p. 256) Krämer, August, Rechn.-Revisor, Kl. Metzgerstr. 5

Le propriétaire suivant est le comptable Victor Heitz. Fils du tailleur Jean Michel Heitz de Strasbourg, il épouse en 1885 Barbe Wilhelmine Rey, fille du menuisier Jean André Rey. Tous deux reconnaissent Marthe Jeanne lors de leur mariage

Mariage, Strasbourg (n° 563)
Straßburg am 12. September 1885. Vor dem Standesbeamten erschienen heute zum Zwecke der Eheschließung I. der Handlungsgehülfe Carl Viktor Heitz, evangelischer Religion, geboren den 9. October des Jahrs 1854 zu Straßburg, wohnhaft zu Straßburg, ehelicher Sohn des verstorbenen Schneiders Johann Michael Heitz, zuletzt wohnhaft zu Straßburg und der Dorothea Wendling, wohnhaft zu Straßburg
2. die Barbara Wilhelmine Rey, ohne Beruf, katholischer Religion, geboren den 20. Februar des Jahres 1848 zu Straßburg, wohnhaft zu Straßburg Tochter des Schreiners Johann Andreas Rey und dessen Ehefrau Sophie Walder, beide wohnhaft Zu Straßburg
Die Eheleute erklären, daß sie sich als Vater und Mutter bekennen von Martha Johanna Rey, geboren zu Strassburg den 27. März 1879 (i 31)

Marthe Jeanne Heitz épouse en 1904 le commerçant Léon Brunstein, natif de Ribeauvillé et veuf de Joséphine Caroline Werner

Mariage, Strasbourg (n° 670)
Straßburg am 4. Juli 1904. Vor dem Standesbeamten erschienen heute zum Zwecke der Eheschließung I. der Kaufmann Leo Brunstein, Wittwer von Josephine Karoline Werner, katholischer Religion, geboren den 24. Juli des Jahrs 1861 zu Rappoltsweiler (Ober-Elsass) wohnhaft zu Straßburg Züricherstraße 9, Sohn des verstorbenen Schlossers Joseph Brunstein zuletzt wohnhaft in Colmar (Ober-Elsass) und seiner verstorbenen Ehefrau Katharina gebornen Ohnet zuletzt in Rappoltsweiler
2. die Martha Johanna Heitz, ohne Beruf, katholischer Religion, geboren am 27. März des Jahres 1879 zu Straßburg, wohnhaft zu Straßburg, Dielengasse 2, Tochter des Buchhalters Karl Viktor Heitz und seiner Ehefrau Barbara Wilhelmine gebornen Rey, beide wohnhaft Zu Straßburg (i 175)

Marthe Jeanne Heitz se remarie en 1927 avec Jean Nicolas Wilmouth, veuf de Anne Marie Stern

Mariage, Strasbourg n° 1588.
Le 17 novembre 1927 à dix-sept heures (…) ont comparu publiquement en la maison commune Jean Nicolas Wilmouth, rentier, veuf de Anne Marie Stern depuis le 8 avril 1923, né à Folkling (Moselle) le 20 octobre 1861, 66 ans, domicilié à Dillingen (Sarre) 53 Triererstrasse, fils de Guillaume Wilmouth et de Catherine Gouckelmous, époux décédés d’une part, et Marthe Jeanne Heitz, sans profession, veuve de Léon Brunstein depuis le 2 janvier 1924, née à Strasbourg le 27 mars 1879, 48 ans, domiciliée à Strasbourg, deux rue des Planches, fille de Charles Victor Heitz et de Barbe Wilhelmine Rey, époux décédés, d’autre part, aucune opposition n’existant. Les futurs époux déclarent qu’un contrat de mariage a été reçu le 17 novembre 1927 par maître Schwartz, notaire à Strasbourg


Les Maisons de Strasbourg sont présentées à l’aide de Word Press.