12-14, rue Sainte-Elisabeth (venelle)


Venelle Sainte-Elisabeth (auff der Elsbether gaßen im Schlupff), XVII°-XVIII° siècles

Rue Sainte-Elisabeth, partie des n° 12 et 14 – VIII 105-106 (Blondel), partie de P 1332 (VIII 106) (cadastre)


Arrière de la rue Sainte-Elisabeth d’après le plan-relief de 1725 (Musée historique, cliché Thierry Hatt) – Le même endroit représenté en 1765 sur le plan Blondel (ADBR, 1 L Plan 5)
En haut à droite, l’église Saint-Louis. Au milieu de l’image à l’horizontale, la rue Sainte-Elisabeth. La maison arrière de la venelle est celle en retrait au milieu de l’image, à droite de la maison en bas à gauche.

La venelle de la rue Sainte-Elisabeth (auff der Elsbether gaßen ihm Schlupff) dans laquelle se trouvaient deux maisons prenait son ouverture sur le côté sud de la rue, non loin de la rue Saint-Louis en se dirigeant vers l’ouest.
La maison arrière est le reste d’une plus grande propriété dont le marchand et fabricant de papier Frédéric Riehl cède la majeure partie à sa voisine née Kanofftzky de Langendorff dont la maison deviendra ultérieurement la logement du Lieutenant du Roi. Frédéric Riehl ou ses successeurs les frères associés Samuel et Daniel Jordis de Francfort-sur-le-Main y établissent un atelier à fabriquer et lisser le papier qu’il vendent en 1662 au tisserand Jacques Ritter. Le notaire Christophe Evrard Bæhr acquiert la maison où se trouvait autrefois la fabrique. Ses héritiers la vendent à un pasteur. D’après le rapport d’experts de 1736, la maison a un étage et deux greniers. L’abbaye de Neubourg l’achète en 1742 en même temps que la maison qui donne sur la rue Sainte-Elisabeth afin que la Ville puisse acquérir à peu de frais le terrain nécessaire pour construire les remises et les écuries du lieutenant du Roi. L’abbaye obtient en compensation le 24 décembre l’exemption du droit de manance contre versement de cent écus. L’abbaye de Neubourg et la Ville de Strasbourg conviennent le même jour d’un échange ; l’abbaye cède un jardin qui jouxte la demeure affectée au lieutenant du Roi et reçoit en contre-échange la ruelle entre les deux propriétés et la moitié du mur à y édifier à frais communs.
Bernard Chouard, manant et directeur général de la régie en Alsace, achète en 1784 les bâtiments de l’abbaye de Neubourg quand elle acquiert un hôtel rue des Juifs. Bernard Chouard passe un accord avec ses voisins Jean Philippe Goll et Anne Dorothée Weber ; il est autorisé à poser un pignon contre leur maison et à clore entièrement l’ancienne ruelle communale en se chargeant en compensation d’assurer l’écoulement des eaux provenant des toits et des éviers. La venelle disparaît entièrement à cette date.
L’autre maison se trouve plus en avant. Bien que les descriptions des tenants et aboutissants soient assez différentes, elle devait se trouver du côté ouest de la venelle puisqu’elle est réunie en 1742 au logement du Lieutenant du Roi. Elle appartient à des bouchers au XVII° siècle. Jean Loup Spindler l’acquiert en 1693 et l’habite avant de transporter son domicile rue de l’Ail. Elle reste une maison de rapport quand elle appartient à l’épicier Jean Christophe Goldbach (1730-1742). L’estimation de 1736 semble indiquer que la maison a un simple rez-de-chaussée. La Ville (bureau des Logements militaires) l’acquiert pour agrandir le logement du Lieutenant du Roi.


Elévations pour le plan-relief de 1830, îlot 252
La maison reconstruite par Bernard Chouard est celle entre les repères y-z. La venelle s’ouvrait à l’extrémité (z)
Vue en août 2017

septembre 2017

Sommaire
Relevé d’actes

Récapitulatif des propriétaires

La liste ci-dessous donne tous les propriétaires de 1624 à 1784. La propriété change par vente (v), par héritage ou cession de parts (h) ou encore par adjudication (adj). L’étoile (*) signale une date donnée par les registres du cadastre.
Maison de derrière

Frédéric Riehl, marchand et fabricant de papier
v. 1655 v Samuel et Daniel Jordis, associés, de Francfort-sur-le-Main
1662 v Jacques Ritter, tisserand, et (1644) Susanne Sarr – luthériens
1695 v Christophe Evrard Bæhr, notaire, et (1689) Eve Schumacher, (1693) Marie Elisabeth Winter et (1711) Marguerite Huck – luthériens
1722 v Jean Georges Gimmig, pasteur, et (1704) Marie Dorothée Strohl – luthériens
1726 v Philippe Strohl, pasteur, et (1682) Marie Salomé Schatz – luthériens
1742 v Abbaye de Neubourg
1784 v Bernard Chouard, directeur général de la régie en Alsace, (1766) Anne Hélène Lohmeyer – catholiques

Maison de devant

Abraham Schwartz de Westhoffen
1633 v Jean Geckler, boucher, et (1614) Salomé Zeidelmeyer – luthériens
1657 h Jacques Geckler, boucher, et (1639) Barbe Greiss – luthériens
1659 v Laurent Scher, jardinier, et (1658) Aurélie Kuntz – luthériens
1670* adj Ulric Winter, créancier puis sa fille Chrétienne Winter
Jean Bameyer, boucher, et (1672) Chrétienne Winter puis (1675) Catherine Hansmetzger – luthériens
1673 v Thomas Kamm, boucher, et (1656) Marie Salomé Herberling – luthériens
1684 v Jean Daniel Steinbach, boucher, et (1682) Madeleine Kamm – luthériens
1693 v Jean Loup Spindler, boucher puis négociant, et (1695) Anne Marie Schœnmann veuve de Jean Frédéric Kreuchel – luthériens
1730 v Jean Christophe Goldbach, épicier, et (1687) Eve Bruder – luthériens
1742 v Bureau des Logements militaires

Valeur de la maison selon les billets d’estimation : en 1736, maison arrière 600 livres, maison avant 350 livres

(1765, Liste Blondel)
VIII 106, à Mrs de l’abbaye de Neubourg
VIII 104, Logement du Lieutenant du Roy, à la Ville

Locations

Maison de derrière
1721, Jean Jacques Trescher, tonnelier et marchand de vins, et Anne Seebach
1725, Anne Catherine Weber, veuve du maçon Nicolas Lutz
Maison de devant
1710, Jean Klein, boucher

Description de la maison

  • Maison de derrière, 1736 (billet d’estimation traduit) La maison comprend plusieurs poêles, chambres, petite cuisine, petit vestibule, au premier étage trois chambres dont l’une pour les soldats, deux pignons en bois et deux greniers non dallés, au rez-de-chaussée un poêle, une chambre une cuisine, un vestibule, à côté une vieille remise où se trouve la buanderie, la cave est voûtée, le tout estimé avec ses appartenances et dépendances à la somme de 1 200 florins
  • Maison de devant, 1736 (billet d’estimation traduit) La maison très ancienne comprend un comble en mauvais état couvert de tuiles creuses, plusieurs poêles, chambres, cuisines, vestibule, deux chambres sous le toit, une cave voûtée, une écurie pour les logements militaires, un bûcher, le tout estimé avec la petite cour et autres appartenances et dépendances à la somme de 650 florins

Relevé d’actes

Maison de deriière

Le marchand et fabricant de papier Frédéric Riehl rembourse à Jean Barthélémy Fuchs une rente annuelle de 4 florins assise sur sa maison, écurie, jardin et étangs sis rue Sainte-Elisabeth

1641 (1. Xbr), Chambre des Contrats, vol. 487 f° 759-v
Erschienen Herr Johann Bartholme Fuchß der St. Straßburg wohlverordneter Amptmann
hatt in gegensein Friderich Rielen deß handelßmanns alhie bekannt
demnach Er H Riel Ihme H Fuchßen bißhero 4. fl. Straßb. wehr. von, vff und abe einer Behaußung mit ihren hoffstätten, Stallung, Gart. und weÿhern darinnen, sampt allen andern ihren begriffen & alhie beÿ St: Elisabethæ Gaßen, neben der edlen Fr. Kanoffskÿn Garten ein: und anderseit hannß Wolff Heßlern dem iüngern, vornen vff Ihne H Rielen stoßend gelegen, iährlichen vff Adolphi Zu Zinnß Zue raich. pflichtig geweßen, welch. iährlich Zinnß Er H Amptmann von weÿl. H Am Maÿster Niclauß Fuchß. seinem Vattern nunmehr längst seel. ererbt (…) mit 80 guld. Straßburg. Wehr. abgelößt und widergekaufft

Frédéric Riehl cède à sa voisine Elisabeth Chrétienne de Sankt-Imprecht née Kanofftzky de Langendorff une maison, écurie, jardin et étangs sise entre la propriété de l’acquéreuse, le Grünauel et une maison du vendeur à l’avant. L’acquéreuse s’engage à enlever la grille qui fait séparation avec la maison du vendeur et à construire un mur ou une palissade de 10 pieds de haut et à y faire pousser une treille sans avoir le droit d’ôter l’air et le jour par des constructions.

1641 (8. 9.br), Chambre des Contrats, vol. 487 f° 708
(Prot. fol. 130. & seq.) Erschienen H. Friderich Riehl der handelßmann burger Zu Straßburg
hatt in gegensein der Wohl Edel und Viel Tugendsamen Frawen Elisabethæ Christinæ von St: Imprecht gebohrner Kanofftzkÿ von Langendorff wittibin, burgerin Zu Straßburg, in crafft unter deroselben und Ihres Adelich. Vogts deß auch Wohl Edel- Gestreng H Hannß Balthasar Stumpen eigenen hand Vnderschrifft. und fürgetruckht. Adelich. Pittschafften am 27. 8.br / 6. 9.br nechsthin vßgefertigten (…) Mandati hierzu insonderheit Befelchter deß ingleichen Wohl Edel- Gestrengen H. Clauß Ludwig Zornen von Plobßheim und deß Ehrenvest- Fürsichtig- und Wohlweÿsen H. Henrich Tumhoßen Ober Maÿsters der Statt Freÿburg im Breißgaw
eine Behaußung mit ihren hoffstätten, Stallung Garten und Weÿhern darinnen, sampt allen andern ihren begriffen, weith. rechten und gerechtigkeiten alhie beÿ St: Elisabeth Gaß, neben der Fr. Käufferin Garten ein: und anderseit hannß Wolff Heßlern dem iüngern vornen vff den H Verkäuffer hind. vff daß grün Äwel stoßend gelegen, für freÿ ledig und eigen, dann obwohlen diß hauß und Garten noch verhafftet ist umb 100. fl. H. Hannß Bartholme F Fuchßen Straßburg. Amptmann wie auch Weÿl. H Ambrosÿ Traußen seel nachgelaßenen dochter und Erbin auch umb 100. R., so hatt iedoch d. Verkäuffer solche und andere beschwärdten, so sich etwan noch mehr darauff hafftend befind. möchten, ohne der Fr. Käufferin zuthun und entgelt, innerhalb Viertel Jahrs frist abzubürden, daß hauß und Gart. gäntzlich freÿ zu mach. – umb 1800 guld.
Dabeÿ insonderheit bedingt word., daß dießelbe vornen geg. dem H. Verkäuffer, den Gatter, so dißes ietzt verkauffte hauß, und deß verkäuffers noch habende Behaußung scheidet, hinweg Zuthun und ahne deßen Statt in ihren Costen eine Garten Maur oder dielenwand ohngefehr 10. schuh hoch vffzuführen und Zu erhalten schuldig, und daran eine rebhäld zwar vff zu pflantzen, sonsten aber Ihme dem Verkäuffer oder seinen Nach Kommen lufft und tag Zu verbawen nicht befugt sein solle, Jedoch sofern Er od. seine Nachkommende Ihro d. Fr. Käufferin oder der Nachkommend. einige ungelegenheit nicht Zufüeg. würde

La fabrique de papier est vendue par les frères associés Samuel et Daniel Jordis de Francfort-sur-le-Main au tisserand Jacques Ritter

1662 (4. Martÿ), Chambre des Contrats, vol. 527 f° 149-v
(Prot. fol. 9. fac. 2.) Erschienen H Samuels und Daniels, der Jordis, Gebrüd. und Gewerbsgemeiner Zu Franckhfort am Maÿn, vermög eines sub dato Franckfort den 3.ten febr. Jüngsthien (…) überlieffert. Gewaltscheins, hierzu gevollmächtigter Befelchhaber H Johann Godrio der Handelßmann alhier
in gegensein Jacob Ritters deß leinenwebers
hauß, hoff, hoffstatt, Papÿer und Glätthauß, mit allen deren Gebäwen, Begriffen, Zugehördten und Gerechtigkeiten alhie in St. Elisabeth. Gaßen, einseit neben dem Kanofftzÿsch. Garten, anderseit neben Lorentz Scheeren dem Gartenmann, vornen vff H Hannß Wolff Heßlern, hind. Zum theil vff die Kanofftzÿsche Behaußung Theils vff die Samlung zum Creutz stoßend gelegen, davon gehend iahrs termino Adolphi 4 R. straßb. wehr. lößig mit 100. R. besagter wehr. dem Gürtlerhoff, Vnd 4 R. erstgedachter wehr. gemelt. termin wid. käuffig mit 100. R. mehrgerührter wehr: H Ambrosio Reichßhoffern alten groß. Rhats Verwanthen (übernohmen) – umb 57 Pfund

Originaire de Freinsheim, le tisserand Jacques Ritter acquiert en mars 1644 le droit de bourgeoisie par sa femme Susanne, fille du tisserand Jean Sarr
1644, 4° Livre de bourgeoisie p. 219
Jacob Ritter der Weber von Frensheim empfahet d. Burgerrecht Von seiner haußfrawen, Susannæ, Weÿland Hannß Sarren deß Webers vnd burgers alhie dochter vmb 8. Gold fl. ist ledigen standts gewesen, vnd Würdt zu den Tuchern dienen. Jur. den 21.ten Martÿ 1644.

Susanne Sarr meurt en 1662 en délaissant cinq enfants. La maison rue Sainte-Elisabeth est estimée d’après le pirx d’achat. La masse propre au veuf s’élève à 7 livres, celle des héritiers à 51 livres. L’actif de la communauté s’élève à 85 livres, le passif à 59 livres

1662 (3.6.), Me Schübler (Christophe, 55 Not 4) n° 15 (368)
Inventarium undt Beschreibung Aller Haab Nahrung undt gütter, so Weÿl. die Ehren und tugendsamme Susanna Sarrin, des Ehrs. und bescheidenen Meister Jacob Ritters L. W. vnd burg. allhie Zue Straßburg haußfr., Welche den 22.ten tag Martÿ instehenden Jahrs tödlichen verplichen hinderlaßen, So auff erfordern vndt begehren des Ehrs. vnd bescheidenen Meister Michael Braunen L. W. V. burg. allhier, als geschwornen v. geordneten Vogts, Joh: Jacobi, Joh: Georg, Barbaræ, Danielis und Marthannæ, alle 5. d. in Gott ruhend. fr. Seel: mit Vor und nachgemeltem ihrem hind.laßenen Wittiber ehelich erzeügtter und ab intestato nachgelaßene Erben – Actum den 3.ten Junÿ 1662.

Inn einer in d. Statt Straßb. in der Elisabethen gaß gelegenen und in dieße Nahrung gehörigen behaußung ist befunden Worden Wie Volgt
Auff d. Obern Bühnen, In d. Cammer A, In der Cammer B, In der Cammer C, In der Wohnstub, In der Stub Cammer, In der Kuchen, Im Keller
Eÿgenthumb ane einer behaußung (T.) Item hauß, hoff, hoffstatt, Papÿr Vnd glätthauß mit allen deren gebawen, begriffen, Zugehörden und gerechtigkeiten in d. Statt Straßburg in St. Elisabethen gaßen, Einseith neben dem Kanofftzkÿschen hoff, anderseit neben Lorentz Scheeren den Gartmann, Vornen Vff H. Joh: Wolffgang Heßlern E. E. Kleinen Raths beÿsitzern, hinden Zum theil Vff die Kanofftzkÿsch. behaußung, theils auff der Samblung Zum Creütz stoßendt, davon gehent Jahres Vff Adolphi 4 fl. Straßb. Wehrung lößig mit 200. fl. besagter Wehrung dem Gürtler hoff, Vnd 4. fl. gedachter Wehrung Vff gemelten termin Wider Kauffig mit 100 fl. gerührter Wehrung, H. Ambrosio Reichshoffern dem handelßmann Und Alten Großen Raths bewanthen, So dan ist dieße behaußung noch verhafftet, H Samuel Vnd Daniel der Jordis gebrüdern Vndt Gewerbs gemeinern Zu ffrt., Vor 57 lb. 10 ß d. Kauff schillings Summa sonsten allerdings freÿ ledig Vnd Eÿgen, Vnd dieweÿlen an solchem Kauffschilling allererst das Erste Ziehl Geld auff Joh: Baptistæ nechst Künfftig mit 25. lb d. beschehen soll, derohalben noch Zur Zeit Keine beßerung allhie auß Zu werffen. Darüber sagt i. Perg. Kauffbr. mit d St. Straßb. Contr. Ins. Verwahret, deßen datum den 4. Martÿ 1662. mit N° 1 sig:
(W.) Item ein halb Acker Reben in Westhoffen bann gelegen (…)
Ergäntzung den Kindern vndt Erben. Dieweilen der wittiber berichtet d. wehrender Ehe wax der abgeleibten Seeligen ererbten Mütterlich. mobilien (…) wie in dem vber weÿl. Catharinæ Heckhin auch weÿl. hanß Sorren geweßenen Leinenwebers Seeligen Verlaßenschafft durch Christoph Schüblerin Notarium verfertigten Inventario (…)
Abzug In dießen Inventarium. des Wittibers unverändert guet, 7 lb
Der Kinder vndt Erben unverändertes guet, Sa. Guldenen Rings 1, Sa. Schuldt 15 ß, Sa. unverändert guets 48, Summa summarum 51 lb
Theilbar Guet, Sa. haußraths 57, Sa. werckzeug Zum Leinenweber handwerck gehörig 24, Sa. Leerer vaß 8 ß, Sa. Silbers 5 ß, Sa. Schulden 2, Summa summarum 85 lb – Schulden 59, Pleibt 25 lb
Conclusio finalis Inventarÿ 84 lb

Jacques Ritter meurt à 73 ans en novembre 1684
Sépulture, Saint-Thomas (luth. p. 800)
1684. Jacob Ritter burger v. Leinenweber von 73 Jahr starb freitag d. 17. Nov. ante 9. antemerid. vnd ward begrab. den 19.t auff der Metzgerawen (i 350)

Le tisserand Jean Daniel Ritter hypothèque la maison au profit du cocher Jean Etter et de sa femme Anne Marie Mager. La belle-mère du débiteur a la jouissance viagère de la maison

1693 (22. 8.br), Chambre des Contrats, vol. 565 f° 700-v
Hans Daniel Ritter, der leinenweber
in gegensein Johannis Etters, deß Gutschers und Annæ Mariæ gebohrner Magerin – schuldig seÿe 75 pfund
unterpfand, die helffte Einer behaußung, hoff, hoffstatt und Gärttlein, mit allen deren begriffen, weithen, Rechten, Zugehördt. und Gerechtigkeit. allhier in St. Elisabethæ Gaß, einseit neben derjenig. Behaußung so anietzo Mons. de La Bastie, Königl. Lieutenant du Roy allhier bewohnt, and. seit neben H. Johann Michael Gambßen EE Kl. Raths alt. beÿsiter, Zum theil, Und Zum theil d. Samlung Zum Creutz, theilß auff hans Wolff Spindler dem Metzg., hind. auff ged. H. Gambßen stoßend gelegen, von welcher gantz. behaußung gehend jährlich 2 lb d ged. Wehr. weil. H. D. Gerhard von Stökken sel. Erben, beede ablößig mit 100 lb cap., sonsten seÿe dieselbe außerhalb deß widems den deß debitoris Stieffmutter zu genießen geg. männigl. freÿ ledig und eÿgen

Jean Jacques Ritter et Daniel Ritter vendent la maison qui était autrefois une papeterie au notaire Christophe Evrard Bæhr

1695 (2.4.), Chambre des Contrats, vol. 567 f° 219
hans Jacob Ritter und Daniel Ritter beede Leinenweber und Gebrüder
in gegensein H. Christoph Eberhard Bähren, Notar. Publ.
hauß, hoff, hoffstatt, Gärttlein /:darauff zuvorhin ein papier: und glätthauß gestand:/ mit allen deren Gebäuen, begriffen, Zugehördt. und Gerechtigkeit. allhier in St. Elisabethen gaß, einseit neben dem Kanoffskÿsch. Gartten, bewohnt anietzo Monsieur de la Bastie, Lieutenant de Roy, and. seit neben hans wolff Spindler dem Metzger vornen auff H. Johann Michael Gambßen Kauffhauß bedient. hind. zum theil auff ged. Kanoffskÿsche behaußung, theilß auff die Samblung zum Creütz stoßend gelegen, darvon gehend jährlich termino Adolphi vier gulden Straßburg. wehr. lößig mit 100 gulden, dem Gürttlerhoff und Vier guld. erstged. Wehr. auff gem. termin wid. kaüffig mit 100 gulden Weÿl. Hn Gerhard von Stöckken gewesten J.U.D. et Prof. seel. Erben – umb 215 pfund

Christophe Evrard Bæhr hypothèque la maison au profit du procureur Philippe Louis Künast

1697 (18.3.), Chambre des Contrats, vol. 569 f° 153
H. Christoph Eberhard Bähr Not. Publicus
in gegensein H. Philipp Ludwig Künasts E.E. großen Raths advocatj et Procuratoris ordinarÿ, schuldig seÿe 75 pfund
unterpfand, Hauß, Hoff, Hoffstatt, gärttlein und allen deren Gebaüen, begriffen Und zugehördten, allhier in St. Elisabethæ Gaß, einseit neben dem Kanoffzkÿßen gartten bewohnt anjetzo Mons. de la Bastie Lieutenant de Roy anderseit neben hans wolf Spindler dem Metzger Vornen auff Hn Johann Michael Gambsen, Kauffhaus bedienten hind. Zum theil auff die Kanoffskÿßen behaußung theils auff die Samblung zum Creütz stoßend geleg. davon gehend Jährlich term. adolphi 4 R Strß. wehr. lösig mit 100 R dem gürttler hoff, Und 4 R erstged. Wehr. auff gemelten Termin wid. Kaüffig mit 100 R weÿl. Hn Gerhard Von Stökken gewesenen J. U. D et Prof. seel. Erben

Christophe Evrard Bæhr hypothèque la maison au profit du receveur de l’orphelinat Jean Heupel

1703 (19.5.), Chambre des Contrats, vol. 576 f° 232
Hr. Christoph Eberhard Bähr Not. publ.
in gegensein Hn. Joh: Heupels weÿßen Schaffners, 150 pfund
unterpfand, deß debitoris hauß, hoff, hoffstatt u. Gärthlein Cum appertinentiis allhier in St. Elisabetha faßen, einseit neben Mr de La Batie Lieutenant de Roy garten anderseit neben Hanß Wolff Spindler metzgern vornen auf Hn. Joh: Michel Gambß hauß H. im Kaufhauß hinten auf besagten garten stoßend gelegen, darvon gehen jährlichen auf Adolphi vier fl. Str. wehrung dem Gürtlerhoff allhier, Item 4 fl. besagter wehrung denen Stöcklischen E. E.
[in margine :] H. Schaffner Johann Heupel als mandatarius seines Stieffsohns H. Joh: Melchior Sachß des ledigen handelsmanns so majorennis und ohnbevögtigt, deme ahne hier verschriebenen capital von 180 lb beÿ mütterlicher Erbschaffts abtheilung die helffte erblich ahnerwachßen (…), den 11. maÿ 1724

Christophe Evrard Bæhr hypothèque la maison au profit de Marguerite Osterrieth veuve Dimpfelmeyer

1715 (11.3.), Chambre des Contrats, vol. 588 f° 201-v
hr. Christoph Eberhardt Bär Not: publ:
in gegensein Marg: Dimpfelmeÿerin wittib geb. osterriethin beÿständlich Joh: Jacob osterrieth schuemachers ihres Curatoris – schuldig seÿe 100 pfund
unterpfand, sein hauß c. appert: allhier auf St Elisabetha gass, einseit neben H. Gambs uxorio nôe. anderseit neben hanß wolff Spindler hinten auff den La Badischen garten

Inventaire après décès d’un locataire, le tonnelier et marchand de vins Jean Jacques Trescher qui délaisse pour seule héritière sa veuve Anne Seebach

1721 (20.3.), Me Oesinger (Jean Adam, 39 Not 28) n° 749
Inventarium und beschreibung aller derjeingen Haab, Nahrung und Güttere, so Weÿland der Ehrsamme und achtbare Herr Johann Jacob Trescher, Kieffer und Weinhändler, auch geweßener burger allhier Zu Straßburg auch geweßener burger allhie Zu Straßburg nach seinem den 22.ten Januarÿ dieses instehenden 1720 Jahrs aus dießer zugänglichen und kummer vollen Welt genommenen tödlichen Hientritt, Hie Zeitlichen Verlaßen, Welche Verlaßenschafft auf freundliches ansuchen erfordern und begehren der Ehren und tugendsamen Frawen Annæ gebohrner Seebachin der dießes orths hinterbliebenen Wittib, weilen obgedachter Ihr Ehewürth seeligen Ihro in seinem mit Ihro auffgerichtetem Testamento nuncupativo nicht nur allein seine samptliche Verlaßenschafft Zum Lebtägigen Wÿdumb genuß Verordnet, sondern auch diejenige persohnen, Welche Sie durch oder ohne Testament Zu Ihren Erben Verlaßen Würd, auch Zu seinen Erben seiner Völligen Verlaßenschafft eingesetzt hatt, beÿständlich deß Ehrsammen und bescheidenen Meister Friderich Carl Weilers Kieffers und burgers allhier, Ihres ane Vogts Statt erbettenen beÿstandts Inventirt und ersucht – Actum in der Königlichen Statt Straßburg Donnerstags den 20. Martÿ Anno 1721.
Und weilen der Verstorbene seel. und die hinderbliebene Wittib Zur Zeith Iher Verheürathung Keine Eheberedung mit einander auffgerichtet haben, noch Viel weniger das jenige was eines oder das andere ahne nahrung in den Ehestand gebracht beschrieben worden (…)

In einer allhier in der Königlichen Statt Straßburg ane der Elisabethen Gaßen gelegenen Weÿl. H. Christoph Eberhardt Bähren, geweßenen Notar. seel. hinterlaßenen Kinderen zuständigen Und Von der Wittib zum theil lehnungsweiße bewohnenden behaußung befunden worden wie Volgt.
Series rubricarum hujus Inventarÿ, Sa. haußraths 36, Sa. Werckzeugs Zum kieffer handwerck gehörig 5, Sa. Goldenen rings 1, Summa summarum 43 lb – Schulden 11 lb, Compensando 32 lb

Les enfants de Christophe Evrard Bæhr vendent la maison 700 livres à Jean Georges Gimmig et à sa femme Marie Dorothée Strohl

1722 (16.1.), Chambre des Contrats, vol. 596 n° 19
(700) weÿland Hn: Christoph Eberhard Bähren gewesten Notarÿ Publici nachgelaßene Wittib Margaretha geb. Huckin, Ferner deßen hinterlassenen beede mehrjährige Söhn Johann Christoph Bär der Paßmentirer und Johann Philipp Bähr der Knopffmacher, Mehr Johann Ulrich Winther Metzger als vogt Elisabetha, Eberhard und Johann Daniel der Bähren ged. Notarÿ Bähren seel. Kinder zweÿter ehe
in gegensein H. Johann Georg Gimmich und Mariæ Dorotheæ geb. Strohlin
hauß hoff hoffstatt und Gärttlein mit allen deßen gebäuden, begriffen, weithen, zugehörden, Rechten und gerechtigkeiten in St Elisabethä gaß, einseit neben dem Kanoffzkÿschen gartten so anjetzo M. de Montmerial Lieutenant du Roy allhießiger Statt bewohnt, anderseit neben H. hannß Wolffgang Spindler dem handelsmann, vornen auf weÿl. H. Johann Michael Gambßen gewesten Kauffhauß herren wittib hinten auff dir Kanoffzkÿschen behausung – davon gibt man jährlich termino Adolphi 4 R Straßburger währung ablößig mit 100 fl. dem gürttlerhoff allhier, Ferner 4 gulden erstged. währung auff besagten termin wiederkäuffig mit 100 gulden ablößig – um die 355 pfund ausmachende capitalien und 345 pfund

Le pasteur Jean Georges Gimmig, alors en poste à Barr, épouse en 1704 Marie Dorothée Strohl, fille du pasteur Philippe Strohl : contrat de mariage tel qu’il est copié à l’inventaire, célébration
Eheberedung – Zwischen dem wohl Ehrwürdig und Wohlgelehrten Herrn Johann Georg Gimmigen trew eÿffrigen Pfarrer und Diacono der Evangelischen Gemeinde Barr, Straßburger Jurisdiction weÿland Herrn Johann Gimmig geweßenen burgers und Müllers Zu Straßburg nunmehro seeligen hinterlaßener Sohn, an Einem, So dann der Viel Ehren und tugendreichen Jungfrauen Maria Dorothea deß wohl Ehrwürdigen und hochwohlgebornen Herrn M. Philippß Strohlen treweÿfferigen Diaconi Zu St. Zu St Thomæ und auch burgers Zu gedachtem Straßburg mit der Viel Ehren und tugendbegabten Frawen Maria Salome Schatzin seiner fraw Eheliebsten ehelich erziehler tochter alß Jungfraw Hochzeiterin, Andern theiß – Geschehen und Zugegangen seind dieße ding in der Königlichen Freÿen Statt Straßburg den 26. Augusti 1704. [unterzeichnet] Joh: Georg Gimmig p. t. Diac. Zu Barr als Hochzeiter, Maria Dorothea Strohlin als hochzeiterin

Mariage, Saint-Thomas (luth. f° 99, n° 547)
den 11. 7.bris 1704. seind nach gewohnlicher proclamation eingesegnet word. H. Joh: Georg Gimmig, Diaconus Zu Barr, Johannis Gimmigs gewesenen müllers v. burgers allhier nachgelaßeneer ehl. Sohn, v. Jgfr. Maria Dorothea, H. M. Joh: Philipp Strohlen, beÿ dieser Christlichen Gemeind Zu St. Thomæ wohlmeritirten Diaconi ehl. Tochter [unterzeichnet] Johann Georg Gimmig als Hochzeiter, Maria Dorothea Strohlin als Hochzeiterin (i 101)

Jean Georges Gimmig et Marie Dorothée Strohl hypothèquent la maison au profit de leur beau-père et père respectif Jean Philippe Strohl

1722 (24.3.), Chambre des Contrats, vol. 596 n° 199
H. Johann Georg Gimmich und Fr. Maria Dorothea geb. Strohlin beÿständlich H. Johann Daniel huthen Diaconi der Evangelischen gemeind zu St Thomas ihres Schwagers und H. Johann wilhelm Schatzen de zinngießers ihres vettern
in gegensein H. M. Philipp Strohlen Evangelischen Pfarrers zu St Thomas allhier und Capuli Thomani Canonici ihres respectivé vatter und Schwäher – schuldig seÿen 200 pfund
unterpfand, Eine Behausung höfflein und gärttlein mit allen deren begriffen, gebäuden, weithen, zugehörden und Gerechtigkeiten in St Elisabethæ gaß, einseit neben der Gambsischen Fr. wittib zum theil, theils neben Spindler dem handelsmann, anderseit neben Hn. Montmeral Lieutenant du Roy hinten auff ebendenselben gartten

Jean Georges Gimmig et Marie Dorothée Strohl font dresser l’état de leur fortune pour régler leur séparation de corps et de biens. La masse propre au mari s’élève à 357 livres, celle de la femme à 748 livres. L’actif de la communauté s’élève à 1 912 livres, le passif à 1 141 livres

1724 (5. 7.br), Me Kolb (Abraham, 22 Not 8) n° 181
Inventarium undt Beschreibung aller Haab Nahrung undt Güttere so H. Johann Georg Gimmig geweßene Pfarrherr zu Scharrachberg undt fr. Mariæ Dorotheæ Gimmigin gebohrner Strohlin beeden nunmehr quo ad Torum et mensam separirten Eheleuthe und burgere alhier zu Straßburg tam active quam passive zuständig, Welche auf Ansuchen vorermelter fr. Mariæ Dorotheæ gebohrner Strohlin mit assistentz deß Wohl weise Edell vest undt Rechtsgelehrten herrn Johann Caspar Müllbergers wohlverordneten Schaffners der hochadel. Schenckbecherischen Stifftung und E. E. Großen [Raths] allhier jetzmahlig wohlmeritirten beÿsitzers ihres Herrn Curatoris ad lites inventirt-Actum Straßburg auff Dienstag den 5. Septembris anno 1724.

Inn Einer allhier in der Statt Straßburg undt Eine daselbst auff St. Elisabethæ gaß gelegen undt hernach beschriebenen theilbaren behaußung hat Sich befunden alß volgt.
Hültzenwrckh. Auff der Bühn, Inn der Soldaten Cammer, In der Cammer A, In der Cammer B, In der Cammer C, Inn der Kuchen, Im mittlern haußöhren – In H. Pfr Strohlen hauß
Eigenthumb ane einer Behausung so Theilbar. Eine Behaußung, hoff, hoffstatt undt Gärtlein sambt übriger Zugehört recht undt Gerechtig keit allhier Zu Straßb. in St. Elisabethæ Gaß, I. s. dem Kanoffzisch. Garten, so anjetzo Mons. De Montmerail L. de roy, 2. s. hans Wolffgang Spindler dem handelßmann, vornen auff Joh: Michael gambßen des geweßenn Kauff M. Wittib, hindten auff die Kanoffzische beh: stoßendt, so vermög Kauffbrieff vom 16. Januarÿ 1722. von ihnen Eheleuth. sambt der wehrung erkaufft worden umb 1410. fl. davon gehen ab. Erstl. gibt mann Jahrs termino Adolphi 2 lb 2 ß Zinß ablößig in Straßb. wehrung mit 105. fl dem gürttler hoff alhier für 2 ß 2 ß Zinß auff besagten termin. H. Sontag allhier uxo nôe allhier ablößig mit 105. fl. It. 12 lb Zinß in Zweÿ posten H. pfarrer Strohl alhier ablößig mit 350. lb. Nach solchem abzug verbleibet annoch Von dem Kauffschilling alhero in außwurff zu bringen.
Ergäntzung deß H. Pfarrers in den Ehestandt Zugebrachte alß auch in wehrender Ehe ererbten, anjetzo aber sich manglend befinden ohnveränderten gueths. Vermög deß über Eingangs Gedachter undt nun mehro beede separirte Eheleuthe durch weÿl. H. Notm Johann Friderich Schatz seel. in aô 1704. auffgerichtet
Norma hujus inventarii. deß H. Pfarrers annoch vorhandene unveränderte Natural Posten Sa. haußraths 21, Sa. leerer faß 12, Sa. Silber 11, Sa. baarsch. 52, Sa. Bibliotheca 25, Sa. Ergäntzung 235, Summa summarum 357 lb
diesemnach Wirdt auch der fr. pfarrerin ohnveränderte Nahrung beschrieben, Sa. haußraths 82, Sa. Silber und geschmeids 35, Sa. goldene Ring 37, Sa. Ergäntzung 593, Summa summarum 748 lb
letzt Volget auch die beschreibung der gemeinen undt theilbaren Nahr. Sa. haußraths 278, Immen 6, Wein undt leere faß 866, silber 5, Goldene Ring 5, Eigenth ane 1. behaußung 250, Eig. an lieg. güthern 21, pfenningzinß hauptgüter 480, Summa summarum 1912 lb – Passiv Schulden 1141, Nach deren Abzug 771 lb, Conclusio finalis 1878 lb
Eheberedung (…) den 26. Augusti 1704

Jean Georges Gimmig loue à Anne Catherine Weber, veuve du maçon Nicolas Lutz une partie de la maison et une partie de la cour pour y poser la chaux

1725 (8.6.), Chambre des Contrats, vol. 599 f° 335-v
H. M. Johann Georg Gimmich
in gegensein Fr. Annæ Catharinæ geb. Weberin weÿl. Nicolauß Lutz gewesten Maurers und Steinhauers wittib mit beÿstand Johannes Hertz ledigen Maurers und Steinhauers
In seiner ahn St Elisabethä gaß einseit neben Spindler dem handelsmann anderseit neben der Gambßischen wittib hinten auff H. de Montmirail Lieutenant du roy stoßend in einem Schlupffgäßlein gelegenen behausung, Eine Stiege hoch Stueb Stuebkammer Kuchen ein klein kämmerlein samt einer haußkammer, Ferner zwo stiegen hoch eine Kammer, Mehr einen unterschlagenen platz im hoff zum kalck, einem kleinen platz im untern haußöhren umb frantzösischen Camin dahin zu stellen, so dann einen platz im keller – auff 1 Jahr lang anfangend auff nächst kommend Joh. Baptistæ, um einen jährlichen Zinß nemlich 30 gulden

Jean Georges Gimmig et Marie Dorothée Strohl vendent la maison à leur beau-père et père respectif Jean Philippe Strohl moyennant les 700 livres dont elle est grevée

1726 (31.1.), Chambre des Contrats, vol. 600 f° 56
H. Johann Georg Gimmich und deßen separirte Ehefrau Fr. Maria Dorothea geb. Strohlin mit assistentz ihres Curatoris H. Johann Caspar Mühlberger Exsenatoris und Schaffners der Schenckbecherischen Stifftung
ihres respective Schwähers und Vatters H. M. Philipp Strohl Evangelischen Pfarrers zu St Thomä und des alldasigen Capituli Canonici
Eine Behausung hoff hoffstatt und gärttlein mit allen derselben gebäuden, begriffen, weithen, zugehörden, Rechten und gerechtigkeiten ahn St Elisabetha gaß, einseit neben dem Kanoffzkÿschen gartten so der jeweilige H. Lieutenant du Roy allhier inne hat anderseit neben hannß Wolffgang Spindler dem handelsmann vornen weÿl. Johann Michael Gambß gewesten Kaufhauß verwalthers hinterlassenen wittib hinten auff die Kanoffzkÿsche von ged. Lieutenant du Roy bewohnte behausung – davon gibt man jährlichen termino Adolphi 4 fl. Straßburger währung ablößig mit 100 fl. dem gürttlerhoff allhier – um 700 pfund ausmachende Capitalien, weither nichts ahne baarem geldt zu geben

Fils de boucher, Philippe Strohl qui est alors pasteur à Breuschwickersheim épouse en 1682 Marie Salomé Schatz, fille de notaire
Mariage, Saint-Guillaume (luth. p. 155. n° 8)
1682. Dominica Jubilate et Cantate den 19. undt 26. Aprilis Hr. M. Philippus Strohl Pfarrer Zu Breüschwickersheim hr. Philipp Strohlen des Metzgers und burgers alhier ehelicher sohn, Jungfr. Maria Salome Ht. Johann Jacob Schatzen gewesenen Notarÿ und Burgers allhier nachgel. eheliche Tochter (i 98, Procl Saint-Pierre-le-Vieux i 313)

Marie Salomé Schatz, femme du pasteur de Saint-Thomas Philippe Strohl meurt en 1717 en délaissant deux enfants. La masse propre au veuf s’élève à 380 livres, celle des héritiers à 1 055 livres. L’actif de la communauté s’élève à 2 685 livres, le passif à 956 livres
1718 (28.2.), Me Oelinger (J. Frédéric, 36 Not 3) n° 86
Inventarium und beschreibung aller der Jenigen Haab Nahrung Vndt Güttere, so Weÿlandt die Ehren und Tugendtreiche Fraw Maria Salome Strohlin gebohrne Schatzin, deß Wohl Ehrwürdig, Wohlgelehrten undt großachtbahren Herrn M. Philipp Strohlen, treweifferigen Pfarrherrens zu St Thomä vndt des Collegiats Stiffts allda Canonici geweßene Fraw Eheliebste nunmehr Seelig nach Ihrem den 20.ten 9.bris deß Zurückgelegten 1717.ten Jahrs aus dießer welt genommenen tödlichen ableiben, Zeitlichen verlaßen – So beschehen in der Königlichen Statt Straßburg Montag den 28. Februarÿ Anno 1718
Die Seelig Verstorbene Fr. Pfarrerin hat ab intestato Zu Erben Verlaßen wie Volgt 1. die Viel Ehren und tugendreiche Fr. Mariam Salome Huthin gebohrne Strohlin Herrn Johann Daniel Huthen treueÿfferigen Diaconi Zu St. Thoman vnd burgers allhier Zu Straßburg Fraw Eheliebste Und 2. die Viel Ehren und Tugendreiche Fr. Mariam Dorotheam Gümmigin gebohrne Strohlin S. T. Herrn Johann Georg Gümmig treueÿffreigen Pfarrers der Evangelischen Gemeindt Zu Scharrachbergheim v. Irmstätt Fr. Eheliebste, beede zu gleichen Portionen vndt Stammtheilern

In einer allhier zu Straßburg ane St. Thomans Plan gelegenen Und dem Wohl Ehrwürdigen Capitul St. Thomæ Eÿgenthümlich Zuständigen behaußung sich Volgender maßen befunden
Ane Höltzen und Schreinerwerck. Auff der obern Bühn im hindern Stock, In der studier Stub, In der Stub Cammer, In der bücher Cammer, In der Wohl Stub, Auff der obern Bühn in dem vordern Stock, In der Cammer A, In der Cammer B, Vor dieser Cammer, In der Cammer C, In der Cammer D, In der Obern vordern Stub, In der Wohnstuben, Im Hauß öhren, In des H. Præceptoris Stübel, In der Küchen, In Sommer oder garten hauß
Ergäntzung des Herrn Wittibers abgegangenen ohnveränderten Vermögens, Vermög Inventarÿ über deßelben in den Ehestand gebrachte Nahrung so durch weÿl. Herrn Johann Jacob Schatzen geweßenen Notm. publ. et pract. nunmehr Seel. in Anno 1682. auffgerichtet worden
Series rubricarum hujus Inventarÿ. Des Herrn Wittibers Nahrung betr. Sa. haußraths 33, Sa. Leerer Vaß 1, Sa. Silber geschirrs 3, Sa. Ergäntzung 341, Summa summarum 380 lb
Der Erben ohnverändert Nahrung belangend, Sa. haußrath 35, Sa. Silber geschirr und Geschmeids 5, Sa. Guldenen Ring 9, Sa. baarschafft 3, Sa. Pfenningzinß hauptgüter 388, Sa. Ergäntzung 614, Summa summarum 1055 lb
die Theilbahre Nahrung betreffend, Sa. haußrath 95, Sa. Bibliotheca 25, Sa. Früchten 88, Sa. Wein Und Leeren Vaßen 149, Sa. Silber geschirr und Geschmeids 62, Sa. baarschafft 750, Sa. Pfenningzinß hauptgüter 1305, Sa. Eÿgenthumb ane einem liegend. Guth 7, Sa. Activ Schulden 201, Summa summarum 2685 lb – Schulden 956 lb, Nach deren Abzug 1729 lb
Conclusio finalis Inventarÿ 3165 lb

Jean Philippe Strohl meurt en 1736 en délaissant deux filles, chacune mariée à un pasteur. L’inventaire est dressé dans une maison canoniale place Saint-Thomas. Les experts estiment la maison 600 livres. L’actif de la succession s’élève à 4 216 livres, le passif à 260 livres.

1736 (12.6.), Me Lichtenberger (Jean Frédéric, 6 E 41, 300) n° 57
Inventarium über Weÿland des Hochwohl Ehrwürdig Großachtbahr und Hochwohl gelehrten Herrn M. Philipp Strohlen, geweßenen treufleißigen Pfarrers der Evangelischen Gemeinde und Hochverdienten Canonici des Collegiat Stiffts zu St Thomæ auch vornehmen burgers allhier Zu Straßburg nunmehr seel. Verlaßenschafft, auffgerichtet Anno 1736 – nach seinem Montags den 21. Maji jüngsthin aus dießem mühesamen leben genommenen tödlichen hintritt Zeitlichen verlaßen – So beschehen Straßburg Dienstags d. 12. Junÿ Anno 1736.
Der in Gott ruhende Herr Pfarrer hat ab intestato Zu Erben Verlaßen wie folgt. 1. die Viel Ehren und tugendreiche Frau Mariam Salome Huthin gebohrne Strohlin Weÿlandt S. T. Herrn Johann Daniel Huthen geweßenen treufleißigen Diaconi Zu St. Thomæ, auch burgers allhier hinterbliebene Frau Wittib Welche beÿständlich der Wohl Ehren Vesten und Großachtbahren Herrn Philipp Jacob Nacken und Herrn Johann Fettich beeder Vornehmer handelsleüthe und burgere allhier dero beÿ der Herren tochter Männer Als ane Vogtsstatt erbettener Herren beÿständern dieser Inventur in Persohn abgewartet.
2. die Viel Ehren und tugendreiche Frau Mariam Dorotheam Gimmigin gebohrne Strohlin Weÿl. S. T. Herrn Johann Georg Gimmig geweßenen Pfarrers Zu Scharrachbergheim und burgers allhier Zu Straßburg hinterlaßene Frau Wittib welche mit beÿstand des Wohl Ehren Vest Rechtsgelehrten und Großachtbahren Herrn Johann Philipp Gimmig wohlverordneten Amtschreibers Zu Clee: und Catharinen burg dero H. Sohns dießem Geschäfft persönlich beÿgewohnt, Beede des verstorbenen Herrn Pfarrers seel. mit Weÿl. der Viel Ehren und tugendreichen Frauen Maria Salome Strohlin gebohrner Schatzin seiner längst Zu Vor Verstorbenenn Frauen Eheliebstin seel. ehelich erzeugte Frauen töchtere und ab intestato Zugleichen portionen und Antheilern Verlaßenen Erben

In einer alhier Zu Straßburg ane dem St. Thomans Plan neben der Probsteÿ gelegener Pfarr und Canonicat behaußung ist befunden worden wie folgt
Ane Höltzen und Schreinwerck. In der Schwartzgetüch Cammer, In der Mehl Cammer, Auff der Bühn neben der Mehl Cammer, In der Großen Cammer, In dem Kleinen Cämmerlein auff dem obern vordern stock, In dem Hauß Ehren, In der Studier Stub, Inn dem Hauß Ehren, In der Küchen, In dem Garten häußlein, Im Gewächs Keller, In der Wohnstub
Eigenthumb ane einer Behausung. Eine Behaußung, hoff, hoffstatt und Gärtlein, mit allen derselben Gebäuden, begriffen, Weithen, zugehörden, Recht und Gerechtigkeiten allhier Zu Straßburg ane St. Elisabethæ Gaß, einseit neben dem Kanoffzischen Garten, so der jeweilige H. Lieutenant Du Roy allhier innhat, anderseit neben weÿl. Johann Wolffgang Spindlers, gewesenen Handelsmann u. burgers alhier hinterbliebenen Erben, hinten auff die Kanofffzische Vor gedachtem H. Lieutenant Du Roy bewohnende behausung stoßend gelegen, so außer dem hernach fol. (-) passivé eingebrachte darauff hafftenden Capital ledig und eigen. Nota. die 100. fl. Capital, so der Gürtlerhoff auff dießer behausung stehen hatte, seind weilen selibiger nach beschehener ordentlicher Auffkündigung des Capitals nicht in courantem Geld, wie es jeweilen Verzinnßet worden, annehmen wollen sondern in Reichs Wehrung von dem Verstorbenen Herrn Pfarrer seel. beÿ E. E. Kleinen Rath allhier den (-) samt dem biß dahin verfallenen Zinß significirter maßen hinterlegt worden. Welche Behaußung durch die (Werckmeistere) vermög dero Zu dem Concept Geliefferten schrifftlichen Abschatzung de dato 2. Aug. 1736. angeschlagen worden pro 600. lb. Wie solche behaußung der H. Pfarrer seel. Von weÿl. Hn Pf. Johann Georg Gimmich seinem gewesenen tochtermann ane sich erkaufft, weißet i. teutsch perg. Kbrieff in allhießoger Cantzleÿ Contract Stub gefertiget und mit deroselben anhangend. Ins. Verwahret, datirt d. 31. Jan. 1726.
Abschatzung dem 2: Augst. 1736. Auff begehren weilandt deß Ehrwürdigen Herrn Pfarrer Strollen, Gewesenen Pfarr herrn Zu St: Thomma sel. hinderlaßenen Erben ist eine behaußung allhier in der Statt Straßburg auff der Elsbether gaßen ihm schlupff gelegen ein und anderseits an eine behaußung so dem Prelaten Von Neuenburg zu gehörich, hinden auff eine behausung so gemeiner Statt zu gehörich Stoßendt, wëlche behaußung, Stuben Cammern Küchell Klein hauß Ehren, oben dar über 3. Cammeren eine dar von die soltaten Cammer Zweÿ höltzer gëbell, und Zweÿ unbesetzte bienen, unden auff dem botten ein Stuben Cammer, Küchen, hauß Ehren, neben dar an ein alter schopff worinen die buchküchell gewölbter Keller, hoff und gärtlin sambt aller gerëchhtig Keidt wie solches durch der Statt Straßburg geschwornen werckleuth solch in der besichtigung befunden und Jetzigen Preÿß nach angeschlagen wierdt Vor und Umb Ein Tausent und Zweÿ hundert Gulten. Bezeichnuß der Statt Straßburg geschwornen werckleuth [unterzeichnet] Michael Ehrlacher Werck Meister deß Meinsters, Johann Jacob Biermeÿer Werck Meister deß Zimmerhoffs, Johann Peter Pflug Werckmeister deß Mauer hofs
Series rubricarum hujus Inventarÿ. Sa. haußraths 160, Sa. Bibliothec 25, Sa. Wein und Laährer Faß 192, Sa. Silbers 110, Sa. Goldener Ring 9, Sa. baarschafft 543, Sa. Pfenningzinß hauptgüter 1571, Sa. Eigenthums ane einer behausung 600, Sa. Schulden 998, Summa summarum 4216 lb – Schulden 260 lb, Nach deren Abzug 3956 lb
Nota. Hierbeÿ dienet Zum bericht, daß unter vorheriger Verlaßenschafft auch Mütterlich Guth begriffen, So eingangs Wohl Ehren ernandter Herr Pfarrer seel. Von Weÿland S. T. Frauen Maria Salome gebohrner Schatzin seiner d. 20. Novembris Anno 1717. Verstorbener Frauen Eheliebstin seel. biß an sein end Wÿdumbs wieße genoßen

Les héritiers Strohl remboursent au Grand Chœur un capital dû d’après un titre de 1540

1738 (29.7.), Chambre des Contrats, vol. 612 f° 427
H. Carl Suttermeister der Schaffner beÿ hiesigen hohem Chor
in gegensein H. Johannes Fettich des handelsmanns als gewalthabers seiner Fr. schwieger Fr. Margarethæ Salome Huethin geb. Strohlin der wittib und Consorten
demnach ged. Hohen Chor auff eine weÿl. H. M. Philipp Strohl gewesten Pfarrer zu St. Thomæ und Canonico allda zuständigen ahne St Elisabetha Gaß einseit neben des jeweiligen H. Lieutenant du Roy gartten, anderseit neben Wolffgang Spindtler des hinterlaßenen erben gelegenen behausung lauth eines Pergamenen Pridie Nonas Septembris 1540 errichteten zinßkauffbrieffs ahne restirendem hauptguth 100 gulden Rheinischen währung (…) völlig baar bezahlt

Les héritiers Strohl vendent la maison à l’abbaye de Neubourg. La vente a lieu le même jour que celle d’une autre maison par les héritiers de Jean Jacques Geiger.

1742 (3.10.), Chambre des Contrats, vol. 616 f° 495
Fr. Maria Salome geb. Strohlin weÿl. H. M. Johann Daniel Huth Diaconi zu St Thomä wittib mit beÿstand ihres Tochtermans H. Johann Fettich des handelsmanns und deroselben schwester Fr. Maria Dorothea geb. Strohlin weÿl. H. Johann Georg Gimmich Pfarrers zu Scharrachbergheim wittib beÿständlich ihres sohns Christian Gimmig burgers und meßerschmidts
in gegensein des hochwürdigen Infulirten Abten, prior und Convents der Abteÿ Neuenburg Cistercienster ordens ane dem heÿligen Forst beÿ Hagenau Mandatarÿ H. Antoine Rousset Priesters und groß Kellers ermelter Abteÿ /:zufolg erkanntnus H. Räth und XXI:/
eine behausung, hoff, gärtlein und hoffstatt mit allen deroselben begriffen, weithen, zugehörden und gerechtigkeiten ane St Elisabetha gaß im Schlupff, einseit neben einem zur Einlogierung des jeweiligen H Lieutenant de Roy gewidmeten Stadt hauß und deßen garten, anderseit neben demselben hauß, hinten auff eine kauffender Abteÿ gehörigen behausung – als ein vätterlichen erbguth, geschehen um 800 pfund

L’abbaye de Neubourg et la Ville de Strasbourg conviennent le même jour d’un échange. L’abbaye cède un jardin qui jouxte la demeure affectée au lieutenant du Roi et reçoit en contre-échange la ruelle entre les deux propriétés et la moitié du mur à y édifier à condition qu’elle contribue aux frais de construction

1742 (3.10.), Chambre des Contrats, vol. 616 f° 497-v
in nahmen des hochwürdigen Infulirten Abten, Prior und Convents der Abteÿ Neuenburg Cistercienser ordens ane dem heÿligen Forst beÿ Hagenau Mandatarÿ H. Antoine Rousset Priesters und groß Kellers ermelter Abteÿ ane einem,
und in nahmen Löbl. Stadt Straßburg deroselben hochverordnete Oberbauherren der hochwohlgeborne H. Frantz Joseph von Hürtigheim der Stättmeisters und XV und S.T. H. XV Friedrich Kornmann, so dann H. Lt. Johannes Hertenstein dreÿer und H. Lt. Joseph Heinrich Pettmeßer Obersecretarius des Pfenningthurns am andern theil, tausch
nahmens des Gotteshaußes gemeiner stadt Straßburg, ein heutigen tages erkaufft: und an einem zu Einlogirung des jeweiligen H. Lieutenant de Roy gewidmeten Stadt hauß ane St Elisabethä gaß gelegenes gärtlein samt deßen zugehörden und gerechtigkeiten
dahingegen gemeiner Stadt Straßburg wohlbesagtem Gotteshauß das dabeÿ gelegene Allmendgäßlein oder schlupff von besagter gaß an biß an gedachten Stadthaußes garten, benebst der helffe der ane sothanen Stadthauß neu auffgebauten maur woran aber das gotteshauß die helffte der baucosten zu refundiren schildig ist
daß kein theil dem andern etwas herauszugeben hat

Les préposés aux affaires foncières donnent leur accord à l’échange ci-dessus

1742, Préposés aux affaires foncières (VII 1400)
(f° 58-v) Montags den 1. Octobris 1742. Abt und Convent des Closters Neuenburg, Mr de Trelans
Nachdeme Herr Abt und Convent Eines Löbl. Gotteshaußes Zu Neuenburg beÿ Hagenaw, auf Ratification Gnädiger Herren Räth und XXI. beÿ dero Hoff an, noch Zweÿ alte Häußer gekaufft jhren Hoff dardurch Zu Vergrößern, beÿ deren einem ein Gärtlein sich befindet, so an Mons. de Trelans des Hießigen Lieutenant de Roy bewohnendes Statt hauß stoset, und Zwischen deßen garten und neüerbauten Stallung gelegen, als seÿen nicht nur der Kauff Obiger beÿden Häußer Dato in Hießiger Contractstub Verschrieben sondern auch Zugleich ein Tausch Zwischen der Statt durch die Obere Bauherren und dreÿ des Pfenningthurns Eines und gedachter Abteÿ andern theils getroffen und Verschrieben worden, Krafft deßen die Abteÿ der Statt obgeregtes Gärtel und die Statt Hingegen der Abteÿ die beÿ abgekaufften Häußern gelegenen Von der Elisabethen Gaß hineingehenden Schlupff oder Allmend gäßel für eigen abgetretten, so daß Kein theil dem andern etwaß nachgegeben, doch solle die Abteÿ an der Von der Statt, in dem schlupff kürtzlich neüauffgeführtte Maur, die Helffte der Baukösten der Statt refundiren, als dann aber auch die helffte an der Maur haben, und das gärtlein Zu des Lieutenant de Roy Statthauß gezogen werden. vid. supra fol. 27.

Les Conseillers et les Vingt-et-Un ratifient l’achat que l’abbaye de Neubourg a fait pour que la Ville puisse acquérir à peu de frais le terrain nécessaire pour construire les remises et les écuries du lieutenant du Roi. L’abbaye obtient en compensation le 24 décembre l’exemption du droit de manance contre versement de cent écus.

1742, Conseillers et XXI (1 R 225)
der H. Abt und Closter Zu Neuenburg erhalt die Ratification eines Kauffs und respectivé Cession Zweÿer häüßer und eines gärtleins. 568. Erstged. Zweÿ häüßer werden von dem Real Schirmgeld vermittelst 100. th. befreÿt. 581.
(p. 568) Montag d. 17. 10.bris 1742. Römer Nomine des Hochwürdigen Infulirten Abten, Priorn und Convents der Abteÿ Neuenburg Cistercienser Ordens an dem heiligen Forst beÿ Hagenau Mandatarÿ des Ehrwürdigen Patris Antonÿ Rousset Priesters und groß Kellers allda producirt gehorsambsten Memoriale und bitten, durch Welches Selbige Vorstellen, Wie daß Sie gemeiner Statt Zu lieb, umb M. de Trelans hiesiger Statt Lieutenant de Roy Remisen und Stallungen bauen Zu können, Zweÿ häüßer und ein gärtlein ane St. Elisabethen gaß gelegen acquirirt und Von diesem gärtlein und häüßern den nothwendigen platz Zu Erbauuung gedachter Remisen und Stallungen gemeiner Statt gegen einem allmend gäßlein und anderen cedirt, Es seÿ auch diese acquisition und respectivé Cession den 3. 8.bris iüngst, und also in ferÿs, da Meine Herren nicht gesessen, auff hohen befehl in der Cantzleÿ Contract Stub Verschrieben die Ratification aber und reversales außgestellet Worden
Wann nun aber dieselbe, diese acquisition Zu machen, niemahlen gedacht, Viel weniger solche in der that gemacht haben würde, Wofern solche nicht Gemeiner Statt Zu lieb und M. de Trelans Stallugen und Remisen erbauen zu können, geschehen Wäre, sonsten die Statt selbsten dise acquisition mit grosem Kosten hätte thun müßen. Alß ergebet dero gehorsambstes Bitten, Meine Herren geruhen Wolten, die geschehene und allbereit Verschriebene acquisition und resp. Cession gnädig Zu ratificiren und der Reversalen haben, ob rationes allegatas, die Conditiones so viel leidentlicher zu machen, oder etwas ein Vor allemahl anzunehmen.
Erkandt, Wird die Vorgegangene acquisition und resp. Cession gedachter Zweÿen häüßer und gärtlein Obrigkeitlich ratificirt und bestättiget, mithin H. XIII. Lang und H. XV. Kornmann abgeordnet, umb die deßhalben auffsetzende Reversales also einrichten zu laßen, daß dadurch Hiesiger Statt Jurisdiction und Gerechtigkeiten kein abbruch geschehen, sondern selbiger allerdings auffrecht erhalen werden mögen.
Deputati ijdem zu Anzeigung de Bescheids.

(p. 581) Montag d. 24.ten Xbris 1742. Herr XIII.r Lang referirte, demnach Zufolg Mghh. Erkandtnuß vol 17. Hujus die von E. Hochwürdigen Abteÿ Neuenburg Cistercienser Ordens an dem Heil. Forst beÿ Hagenau, Gemeiner Statt Zu lieb, umb M. de Trelans hiesiger Statt Lieutenant de Roy Remisen und Stallungen bauen Zu können, geschehene und bereits in der Cantzleÿ Contract Stub verschriebene acquisition und resp. Cession Zweÿer Häußer und eines Gärtleins ane St. Elisabethen Gaß gelegen, Obrigkeitlich ratificirt und bestätiget, mithin Er H. XIII.er und H. XV. Kornman abgeordnet worden, umb die deßhalben auffsetzende Reversales also einrichten Zu laßen, daß dadurch hiesiger Statt Jurisdiction und Gerechtigkeiten kein abbruch geschehen, sondern selbige allerdings auffrecht erhalen werden mögen. So hätten Sie Deputati dieser Ew. Gnad. Erkandtnuß noch Zur Zeit Kein genügen leisten Können, maßen von seiten des Gotteshaußes Neuenburg geziemend remonstrirt worden, daß es dieser besagten beeden acquisitionen gar nicht nöthig gehabt, sondern solche lediglich auß deferentz gegen Ewer Gnd. gethan, die Abteÿ auch gesinnet wäre, diese Zweÿ häußer abbrechten zu laßen umb damit das Vorhin erkauffte hauß so dem Real schirmgeld schon unterworffen, Zu vergrößern, welches Sie ein ansehnliches Kosten würde, dahero Verhoffen derselben Herr Prælat Prior und Convent, es werden Ew. Gnd. hierinn ein geneigtes einsehen haben, und auß oballegirten motivis die Abteÿ leidentlich tractiren, und gegen Erlag eines gewißen ein vor allemahl Zu bezahlenden quanti selbige obiger acquisitionen halber Von bezahlung des Real Schirmgelds hochgeneigt befreÿen. Dieses Real schirmgeld, weilen obbesagte Zweÿ Häußer und Gärtlein vor 1750. lb. d. erkaufft worden, belieffe sich jährlichen ad 10. fl. 5 ß davon aber das Gärtlein so Gemeiner statt cedirt worden abzuziehen wäre, welche 10 fl. 5 ß die abteÿ Neuenburg dannoch mit Ein hundert Thaler in baarem Geld ein Vor allemahl auß Zu Kaufen und abzulaßen Ew. Gnad. anofferiret.
Wann nun Ew. Gnad. in erwegung Ziehen, daß besagte Abteÿ Neuenburg diese Zweÿ Häußer Und Gärtlein, wie oben gedacht, mehr Zu gunsten Gemeiner Statt und auff Zusprechen der Hochverordneten Oberen Bauherren, alß Zu ihrem eigenen nutzen acquiriret, und Gemeine Statt, ja das quæstionirte Gärtlein allerdings gratis bekommen, welches doch Vor ein Liebhaber beÿ 400.fl. werth ist, also wird Zu Ew. Gnd. hocherleüchteter dijudicatus anheim gestellt, ob dieselbe geruhen wolten, auß oballegirten umbständen, dem remonstrirenden und supplicirenden Gottes Hauß Neuenburg in seinem petito auff obigen fuß der Ein hundert thaler Vor den außkauff und die befreÿung des Real schirmgeldts mehrged. Zweÿer häußer zu willfahren, einfolglichen denen Deputirten die hände Zu eröffnen den Contract in Ew. Gnad. Contractstub auff besagte Weiß vorzunehmen, wodurch Ew. Gnd. Jurisdiction und Gerechtigkeiten im gerigsten nicht lædirt wird. puncto der Einlogirung besagter Zweÿer häußer hat es seiner richtigkeit, und werde die Deputirte sich dißfalls die nöthige Reversales geben laßen.
H. XV. Kornmann bekandte sich Zu der Von H. XIII. Lang abgestattete relation und hatte derselben nichts beÿzusetzen.
Hierauff wurde nach gehaltener Umbfrag Erkannt, wird das Von der Abteÿ Neuenburg gethane Oblatum, Vor den Außkauff und die befreÿung des Real Schirmgeldts obgedachter Zweÿer häußer ein vor allemahl Ein Hundert Thaler zu bezahlen Obrigkeitlich angenommen und ratificirt, mithin denen Herren Deputirten committirt die Contract Verschreibung auff besagte weiß in allhiesiger Cantzleÿ: Contractstub Vorzunehmen, und dahin besorgt zu seÿn, daß die benöthigte Reversales Zu erhaltung Mghh. Gerechtigkeit, Von mehrged. Abteÿ Neuenburg außgestellt werden.
Deputati iidem zu anzeigung des bescheids.

En 1780, l’abbaye de Neubourg a l’intention d’acquérir l’hôtel de Veldence rue des Mineurs et de vendre sa demeure rue Sainte-Elisabeth à Bernard Chouard. L’avocat général Fischer fait un rappel historique. L’abbaye de Neubourg a demandé au début du siècle le droit d’acheter une maison à Strasbourg pour pouvoir y habiter en cas de guerre. Comme la paix est revenue, l’achat a seulement eu lieu en 1734. L’abbaye a acquis deux autres maisons en 1742 par complaisance envers la Ville et a obtenu une exemption du droit de manance. La propriété de Veldence que l’abbaye envisage d’acquérir a une valeur de 60 000 livres, celle rue Sainte-Elisabeth de 12 000 livres. L’achat de l’hôtel de Veldence devra satisfaire à l’édit royal de mainmortes de 1749 et donc être autorisée par les chapitres. D’après les lettres reversales de 1734, l’abbaye devra obtenir l’autorisation de vendre sa demeure rue Sainte-Elisabeth à Bernard Chouard qui est manant. La commission n’entend pas s’opposer à l’achat mais fixe les droits de mutation, à la fois pour la maison à acquérir et celle à vendre. Cette décision devra être appliquée non seulement à la vente projetée mais de façon générale à toutes celles consenties à des manants.

1780, Conseillers et XXI (1 R 263)
die Abteÿ Neuenburg H. Abbé Dreux und H. Chouard werden p° Genehmigung Kaufs ad Deputat. gewießen. 140. die abgestattete relation wird confirmirt. 142. vor ged. H. Abbé wird p° ermäßigung der Abgaben ad deputat. gewießen. 169. die desfals errichtete bedacht wird per majora confirmirt. 169. et seqq.
(p. 140) Mittwoch den 29. Martÿ 1780.
[page fragmentaire] der Abteÿ Zu Neuenburg [-] auch H. Chouard [-] hiesiger Provintz [-] den samt [- geneh]migung [-]
(p. 142) Sambstag den 1. Aprilis 1780. so dann thate H. Gâl advocat Fischer folgende relation.
Den von seithen der Abteÿ Neuenburg vorhabende Kauf des ehemaligen Veldentzischen Hoffs und den Verkauf ihrer bisherigen behaußung an herrn Chouard Directeur de la regie Générale betreffend, wollen die Hochansehnl. herren Deputirten nach denen E. G. Erkanntnus vom 28..ten Märtz jüngst gemäß, vorgestrigen tags angestellten berathschlagungen [143] ihren geziemenden bericht dahin erhalten, daß sie vordersamst sowohl aus denen Protocollen dieser hohen stelle und der Cantzleÿ Contractstub als aus andern Archivalischen acten Hochdenenselben Kürtzlich anführen, wie die Abteÿ in hießiger Statt ansäßig worden, und wie sie ihren wohnsitz vergrößert, als dann melden, worinn die heutige acquisition bestehe und ihre unvorgreifliche gedancken mittheilen, insoweit auch, unter welchen bedingnussen E. G. darein willigen können, denen endlich einige maßreguln für künfftige fälle folgen sollen.
Nachdene schon Zu anfang des jetzigen jahrhunderts die Abteÿ Neuenburg, um beÿ denen beständigen kriegs unruhen für die ihrigen sicherheit zu finden, von E. G. Vorfahren die erlaubnus in hießiger Statt ein haus Zu besitzen, erhalten gehabt, dero sie sich aber wegen erfolgtem frieden nicht bedient, so hat in jahr 1734. deßen Herr Prälat neuerdingen sich darum beworben, auch würcklich eine behaußung ane St. Elisabethen gaß Gelegen um 8300 fl. erkaut, so nach eingenommenem augenschein E. G. [144] Herren Deputirten und auf deren berichts erstattung, hauptsächlich in rucksicht auf die allerhöchste verwendung, welche, wie Herr Prætor Regius in seinem voto anregte, Ihro Majestät die damalige Königin der Abteÿ angedeÿen laßen, vermög decrets vom 10. Maÿ solchen jahrs derselben den nemlichen tag in der Cantzleÿ Contract Stub zugeschrieben und hinwiederumb von ihro die Ordnungen Reversalien eben auch allda ausgestellt worden.
Gegen ende des jahrs 1742. erkaufte wohlgedachte Abteÿ von einigen Particularen Zweÿ neben vorigem gelegene häußlein samt einem garthen, welchen letztern dieselbe an L. Statt gegen überlaßung eines Allmend gäßleins abgetretten. Erstere hat die Abteÿ zu erweiterung obiger behausung verwendet, und seind diese neue kauffe auf relation der Herrn Deputirten bestättiget worden.
In ansehung des real schirmgelds, welches in vorigen Zeiten, je nachdem die auf der ersten behaußung gestandene capitalien abgeführt worden, und in dem verhältnis mit denen übrigen umständen bald zu [145] bald abgenommen, wurde damahlen eine besondere verfügung gef[ertiget].
Der Herr Prälat von Neuenburg halte vorgestellt, da der für sich nicht nöthig gehabte häußer zu kauffen, sondern blos aus deferentz für Löbl. Magistrat und um ihne instand Zu stellen, dem Herrn Königs Lieutenant die verlängten remises und stallungen zu verschaffen, sich diesem handel unterzogen habe, und daß die einrichtung der erkaufften gebäude der Abteÿ nur kosten verursachen werde, dahero er hoff Löbl. Magistrat werde eine einsicht haben, er erbiete sich das real schirmgeld, so auf 10 fl. 5 ß stunde auszukaufen, und ein vor alle maal 100 thaler dafür Zu bezahlen. Dieser Vorschlag wurde angenommen, nichts desto weniger denen herren Deputirten recommendirt, in denen reversalien fürsehung Zu thun, damit Gemeiner Statt in ihren Gerechtigkeiten kein abbruch geschehe. Anheute Ghh. findet die Abteÿ Neuenburg ihrer convenientz zu seÿn den ehemalige Veldents’schen Hoff ane der Bergherren Gaß in der [146] Vorstatt Steinstraß Zu acquiriern und hat bereits einen interims kauf darüber um 600,000 Livres errichtet. Sie will sich vorläuffig E. G. erlaubnus zu solcher erwerbung versichern, um sodann von Hoff aus die in dem Königl. Edict de mainmortes von 1749. vorgeschriebenen Lettres patentes zu bewürcken.
Zu gleicher Zeit und um in diesem betracht ihren reversalien vom 10. Martÿ 1734. nicht Zu wieder Zuhandeln, geht wohlgedachte Abteÿ E. G. um hoch deren Genehmhaltung an, ihro an St Elisabeth Gaß gelegene behaußung an obernannten Herrn Chouard, so unverburgert aber gleichfalls schon allhier häußlich angeseßen ist, veraüßern zu dörffen, und dieser seiner Seits sucht um die bestättigung des darüber verfaßten interim Kauffs bittlich nach.
Hierbeÿ nun haben E. G. die hochansehnlichen Herren Deputirten folgendes Zu beobachten nicht umgehen wollen.
Es scheint keine nothdringende ursache sondern die bloße beederseitige convenientz diesen doppelt Kauff veranlaßt Zu haben, auch gibt der Kauff project selbst manches an die hand, so denen beweggründen [148] die acquirirende Abteÿ in dem beÿ Hoff zu übergebenden memoire vortr[ag] entgegen gehalten werden könte, als der beträchtliche unterschied beederseitiger Kaufpreÿß von 60,000 Livres und 12,000 Livres die überflüßigen Gebäude in Veldentz’schen Hoff, deren die Abteÿ entbehren Kan, und welche sie auf eine lange jahr acht um jährliche 1800 Liv. vermiethet, welches deutliche beweiße des höheren werths gemeldten Hoffs seind, wofür dem sinn des Edicts gemäß die abteÿ billig ein äquivalent ane gründen Zurückgeben sollte.
Jedoch da diese betrachtungen eigentlich das geschäfft des Königl. Hoffs seind, so glauben die Herren Deputirten, daß E. G. sie demselben lediglich zu überlaßen haben, und genug seÿn werde, in der Erkanntnus einige meldung davon zu thun.
Hingegen erfordert der 14.ten art. des Edicts von 1749. ausdrucklich, daß die Stifter sich vor schließung der Käuffe mit der benöthigten autorisation fürsehen sollen, derowegen E. G. einwilligung anderst nicht, als auf vorläuffig beÿzubringende [148] lettres patentes und deren enregistrement zu ertheilen seÿn wird.
Dis vorausgesetzt, so erachten die hochansehnliche Herren Deputirten nun ferner, daß es nicht der fall seÿe sich der vorhabenden acquisition zu wiedersetzen, jedoch was gemeiner Statt intereße betrifft, obwohlen in dem interims kauff Pfundzoll und abgaben vorbehalten worden, daß dieser unbestimmte ausdruck der sache kann genügen thun, sondern daß sothane abgaaben zu specificiren und ihr betrag auszuwerffen seÿe, als nemlich das Real schirmgeld nach dem in der Schirms gericht ordnung festgesetzte fuß Zu 3 ß vom 100 fl. gerechnet von 30,000 fl. mit jährlichen 90. fl
die vingtieme in dem üblichen verhältnus mit denen nutzungen, den bedungenen miethzinnß zu 1800 Liv. und das selbst bewohende gebäude, zu 600 Liv. gerechnet mit jährlichen 111.
die Einquartierung wie bisher für einen Lieutenant Colonel so die höchste anlaag ist, mit jährlichen 48.
des lanternen gelts halben soll es beÿ der in dem Reglement in ansehung der an Privilegirte Personen [149] gelangenden häußer getroffenen einrichtung sein verbleiben haben.
Alles mit dem anhang, da wohlgedachte Abteÿ in denen auszustelleden Reversalien sich ebenfalls zu denen Künffigen neuen beschwerden oder erhöhung der alten verbindlich mache.
Wann auch den Verkauff der Abteÿ ane St. Elisabethen gaß gelegener behaußung anlangt, so ist denen hochansehnlichen Herren Deputirten nicht entgangen, daß Herrn Chouards interims kauff nicht das mindeste anbieten von entrichtung offentlicher abgaben enthält, derowegen ihrenthalben besonders sie nöthige verfügung E. G. zu ertheilender Erkanntnus wurd einzurichen seÿn, zumahlen aber dem vernehmen nach das haus durch neue gebäude um ein merckliches soll verbeßert werden, so glauben die Herren Deputirten, daß die richtige bestimmung des vingtième sowohl als der Einquartierungs gebühr bis nach vollendung des baus auszusetzen und indeßen diese anlaagen samt dem realschirmgeld auf den jetzigen fuß Zu erheben [150] seÿe.
Sollten E. G. diesem gutachten der herren Deputirten beÿstimmen, so wäre die Erkanntnus unmaaßgeblich also einzurichten.
Daß wür[-] vordersamst implorirenden Abteÿ Neuenburg zu erkauffung des soegannnten Veldentz’scher Hoffs und in so weit nöthig in rücksicht auf den aus dem interims Kauff sich ergebenden mehrern werth deßelben in verhältnus zu dem abtrettenden Neuenburger Hoff, die nach dem Königl. Edict von 1749. erforderliche Lettes patentes samt deren enregistrement beÿbringen, so seÿe ihro mit obrigkeitlicher einwilligung in gemeldten ankauff jedoch unter folgenden bedingnußen Zu willfahren, daß der Kauff in allhießiger Cantzleÿ Contract Stub ordnung mäßig verschrieben und von kauffender Abteÿ der gewohnlich pfund Zoll entrichtet, sofort allda reversalien ertheilt werden, vermittelst welcher sich dieselbe denen hießigen ordnungen in beziehung auf gegenwärtigen Kauff unterwerffen anbeÿ verbindlich mache [151] jährlichen ane real schirmgeld 90. fr. ane vingtieme 110 fr. ane Einquartierungs geld 48 fl. zu bezahlen, übriges des lanternengelds halben den dißfalls bestehenden reglement sich füge, auch alle in Zukunfft etwa neu aufzulegende oder zu erhöhende beschwerden übernehmen, wogegen ihro nicht minder die verringerung deßelben Zustatten kommen solle, und dieses unter verziehung aller und jeder Geistlicher und weltlicher rechten privilegien indulten, wie sie nahmen haben und würcklich seind oder erlangt werden mögen.
So dann in ansehung das an Herrn Chouard käuflich zu überlaßenden Neuenburger hoffs, daß wenn obiger verfügung wegen beÿbringung der lettres patentes ein genügen wird geschehen seÿen, mit implorirenden Herrn Chouard mit gebettener erlaubnus Zu kauffen ebenfalls dahin Zu willfahren, daß der Kauff in der Cantzleÿ Contractstub verschrieben, der pfund Zoll von dem Käuffer erlegt werde, und der sich vermittelst besonderer Reversalien den [152] hießigen ordnungen in beziehung auf gegenwärtigen kauff unterwerffen, Zu entrichtung des real schirmgelds, vingtieme und einlogirung auf den zu regulirenden für des lanternengelds nach dem reglement auch allr hinführo neu aufzulendender oder erhöhender beschwerden, unter verzicht derer Rechten anheischig mache.
Schließlichen hatt sich denen herren Deputirten vorsorge um misdeutungen und schwierigkeiten in Zukunft vorzukommen, auf einige weitere vorkehrungen erstreckt, welche sie zu E. G. genehmigung hiermit dahin vortragen.
Daß fürohin allen und jeden contracten ohne ausnahm über die ane unverburgerte persohnen zu übertragende unbewegliche güther die Obrigkeitliche abgaben articuls weis einzurücken, und die summen derselben festzusetzen seÿen.
Daß von seiten löbl. Schirmgerichts beÿ berechnung des Real Schirmgeldts nur diejenigen Kapitalien in abzug gebracht werden, welche in der Cantzleÿ Contract stub verschrieben seind, zu dem ende [153] demeselben ein extract gegenwärtiger verordnung zu zu stellen, um als ei, anhang Zur neuen Schirmgerichts Ordnung zu dienen.
So dann und welches den beweggrund und die absicht nächst vorherigen [contrac]ts in sich faßt.
Daß zu gleichem Ziel und Ende dem Contractuum actuario aufzutragen, von denen jeweilen abzulösenden capitalien, die auf unverburgerter Persohnen güthern haften, sogleich eine anzeige ane löbl. gedachtes Schirmgerichts einzusenden, damit das real schirmgeld in eben dem verhältnus verbessert werde. Und seÿe ebenfalls demselben von vorstehenden articuln eine expedition zu zufertigen um sich in vorkommende fällen darnach zu richten.
Finita lectione und nach deme die hochansehnliche herren Deputirte dem abgelesenen nichts beÿzusetzen gehabt, Wurde vermittels gehaltener Umbfrag [154] beÿ welcher jedoch H. XV. Wencker erwehnet, daß ratione formæ sowohl das Stift als H. Chouard jedes pro procuratorem besonders um erlaubnus hätte anrufen sollen, was daß die regulirung des beÿzutragenden lanternen gelts durch die hochansehnliche Herren deputirte zu bestimmen wäre, der abgelesene bedacht durchaus confirmirt.

L’abbaye de Neubourg acquiert une maison rue des Juifs et cède à Bernard Chouard, directeur général de la régie en Alsace, sa demeure rue Sainte-Elisabeth. L’acte est enregistré à la Chambre des Contrats le 3 juin 1785 (vol. 659 f° 261)

1784 (5.6.), Me Lacombe (6 E 41, 194) n° 16
Mre Jean Ignace Xavier Dreux, docteur en théologie de la faculté de Paris abbé de l’abbaye de Neubourg ordre de Citeaux près de Haguenau, Conseiller chevalier d’honeur d’église au Conseil Souvearin d’Alsace, tant en son nom et comme abbé qu’en celui de son chapitre, et en vertu de lettres patentes du roy donné à Versailles dépose en l’étude au contrat d’acquisition de l’hôtel de Saxe de ce jour
à M. Bernard Chouard directeur général de la régie en Alsace
l’ancien hôtel de Neubourg, jardin, cours, appartenances, droits et dépendances en cette ville rue Ste Elisabeth – moyennant 21 000 livres

Originaire de Vitteaux en Bourgogne, Bernard Chouard épouse en 1766 à Molsheim Anne Hélène Lohmeyer : contrat de mariage, célébration
1766 (28.4.), Me Humbourg (6 E 41, 122)
Contrat de mariage – Sr Bernard Chouard contrôleur ambulant des droits réunis demeurant à Molseim fils majeur de feu Sr Antoine marchand a Vitteaux en Bourgogne et de Dlle Françoise Thenadey
Sr Georges François Lohmeyer originaire de Baden huissier sergent royal audit Conseil souverain d’Alsace residant a Molsheim et Damle Marie Madeleine Müller stipulant pour delle Anne Helene Lohmeyer leur fille mineure
(promettent de se prendre devant l’église catholique) – (cession de maison à Molseim)

Mariage, Molsheim (cath. f° 49-v, n° 8)
Hodie 29 die Mensis Aprilis anno 1766 (…) sacro Matrimonii vinculo in facie ecclesiæ conjuncti fuerunt Bernardus Chouard solutus majorennis oriundus ex viteau in Burgundiâ, et Anna Helena Lohlmeÿer soluta fila Francisci Georgii Lohmeÿer et Mariæ Magdalenæ Müller conjugum hujatis (signé) Chouard, helene Lohmeÿer (u 52)

Bernard Chouard expose le 24 mai qu’après avoir acquis de l’abbaye de Neubourg la maison rue Sainte-Elisabeth, il est donc aussi devenu propriétaire de la ruelle que l’abbaye a reçue par échange en 1742. Il a l’intention de démolir les anciens bâtiments pour reconstruire de nouveaux mais le voisin s’y oppose parce que ses eaux s’écoulent dans l’ancienne ruelle. Il serait disposé à laisser de deux pieds libres en largeur contre dédommagement de 300 livres. Même s’il n’est pas établi que l’abbaye a réglé les droits dus pour la mitoyenneté du mur, toute prétention devrait être éteinte puisque de 42 ou 43 ans se sont écoulés depuis la convention.
L’assesseur au collège des XXI Kleinmann expose le 5 juillet que le Petit Sénat a confirmé le voisin dans ses droits d’écoulement, de sorte que Bernard Chouard a demandé dédommagement de 400 livres. Comme la ville serait en droit de réclamer la somme due pour la mitoyenneté du mur, les parties ont convenu de se tenir quittes de leurs prétentions réciproques. Le collège ratifie l’accord.

1785 (24.5.), Préposés aux affaires foncières (VII 1421)
Mr Bernard Chouard Directeur de la Regie, Abtei Neuenburg Behausung an der Elisabethæ Gaß
(f° 285-v) Dienstags den 24. Maji 1785. M. Chouard Directeur de la Regie
M. Chouard Directeur de la Regie præsentirt Memoire vorstellend, daß da Löbliche Abtei Neuenburg Ihme die Behausung an der Elisabethæ Gaß verkauft, Ihme angezeigt worden daß die Mauren, so diese behausung Von des Lieutenant du Roi besitzenden behausung scheiden, gemeinschaftlich seÿen und das aldasige Gäßel Ihme eigenthümlich Zugehöre, so sich auf einen in alhieisger Kantzlei Contract Stub den 3. 8.bris 1742. Zwischen Löblicher Stadt und der Abtei Neuenburg verschriebenen Tausch gründet, auch bei dem von Meinen Gnädigen Herren den 9. Octobris 1782. eingenommenen augenschein anerkannt worden.
Da Er aber die behausung abgebrochen und wieder mit Einziehung des Gäßels aufbauen wolte, so macht der Nachbar Schwierigkeiten, weilen er behauptet das Recht Zu haben, das Wasser aus seiner behausung durch dieses Gäßel Zu leiten, wie er dann auch würcklich drei Nääch in daselbe gehen hat. Weilen nun der Albtei solches Gäßel als ein Wahres Eigenthum in dem Tausch überlaßen worden, als wäre dieselbe dadurch lædirt worden. Um nun allen Verdrüßlichkeiten Vor zu beugen, so offerirt derselbe Zwei Schuh breit mit seinem Gebäu von des Nachbarn Haus Zu bleiben, Wann Löbliche Stadt Ihme zur entschädigung stat anfangs geforderter 500. liv. drei hundert livres zu bezahlen willens.
In betref der gemeinschaftlichen Mauren begehret M. Chouard, daß die darauf gesetzte Gebäu so gleich eingerichtet werden mögten, damit die Helfte solcher Mauren zu seiner freien Disposition frei seÿe. Belangend die fordernde Bezahlung der Helfte dieser Mauren so Könne solche nach Verfließung 42. bis 43. Jahren Von Löbl. Stadt nicht mehr gefordert werden, derowegen Er Völlige Entladung davon fordert. Erkannt, Bedacht [unterzeichnet] Haffner von wasslenh.

(f° 311-v) Dienstags den 5. Julii 1785. Mr Bernard Chouard Directeur de la Regie
S. T. Herr XXI. Kleinmann referirte, daß Er nach dem von Meinen Gnädigen Herren erhaltenen Auftrag mit Mr Bernard Chouard Directeur de la Regie in betref der Von Ihme an Löbl. Stadt gemachten Forderungen und dagegen von Seiten Löbl. Stadt an Ihn Zu machen habenden Gegen forderungen die Sach genau untersucht und sofort mit Mr Chouard in Unterhandlung einer gütlichen Beilegung getretten seÿe, Worüber Er folgenden Bericht abzustatten die Ehren haben wollte.
Mr Chouard als Käufer des der Abtei Neuenburg Zuständigen in der Elisabethæ Gaß gelegenen Hauses samt Zugehörde auch Recht und Gerechtigkeiten wolte das neben dieser behausung gelegene Allmend Gäßlein, so Löbl. Stadt A° 1742. gedachter Abtei tauschweis eigenthümlich überlaßen, Zu seinem Gebäu einziehen, Wogegen sich aber sein Nachbar opponirte, Vorgebend sein Haus habe den Ablauf des Wassers durch solches Gäßel, und da durch E. E. Kleinen Raths bescheid der Nachbar in dieser seiner angesprochenen Gerechtigkeit manutenirt worden, so siehet sich Mr Chouard genöthiget, Wann Er sich mit seinem Nachbar nicht auf eine andere weis vereinbaren kan, Zu aufnahm des aus seinem Hauß kommenden Wassers Zwei Schuh in der Breite berührten Gäßels frei Zu laßen, davor Er an löbl. Stadt Zur Entschädigung 400. Liures fordert.
Hingegen hätte M. Chouard nach Ausweis obangezogenen mit der Abtei Neuenburg A° 1742. getroffenen Tauschs wegen Abtrettung der Helfte der Maur an des Lietenant du Roy Stallung die helfte solcher Maur Zu bezahlen, wann die bezahlung nicht erwiesen werden solte, welche wenigstens auf 800. bis 900. Livres zu stehen Käme. Da aber auch diese von seiten löblicher Stadt machende Forderung wegen länge der Zeit Widerspruch findet, und Meine Gnädige Herren die Sach in der Güte beigelegt zu sehen wünschten, Als seÿe Er mit Mr Chouard dahin überein gekommen, daß beederseit Forder: und Gegen forderungen aufgeben und gegen einander compensirt seÿn sollen, mit dem Anhang jedoch, daß Meiner Gnädigen Herren Erkantnus vom 9. Octobris 1782, vermög deren die Abtei Neuenburg berechtighet seÿn solle, die Helfte besagter gemeinschaftlichen Maur, wann ihro gefällig seÿn wird zu überbauen, Zu diesem End auf erstere beschehende Ansuchung die gemachte Öfnung wieder Zu Zumauren, das Tach über der Stallung so ein zu richten, daß die Helfte der Maur Zu der Abtei Disposition frei bleibe und dann die Helfte der auf besagte Maur gesetzten Giebel Maur ebenfalls zu überlaßen, auch wegen Mr Chouard in völligen Kräften bleiben solle, die vor solche Helfte Maur Zu leistende bezahlung aber, wann dieselbe noch nicht gethan worden, abgethan und gestrichen seÿn solle.
Nach abgehörter dieser Relation und respective getroffenen Vergleichs Wurde Erkannt, Verzeichnus und Genehminung des Vergleichs.

Bernard Chouard passe un accord avec ses voisins Jean Philippe Goll et Anne Dorothée Weber. Il est autorisé à poser un pignon contre leur maison et à clore entièrement l’ancienne ruelle communale, il se charge en compensation d’assurer l’écoulement des eaux provenant des toits et des éviers.

1785 (17.6.), Chambre des Contrats, vol. 659 f° 278
H. Bernard Chouard directeur général de la régie en Alsace ane einem
und Johann Philipp Goll der altgewänder und Anna Dorothea geb. Weberin an andern, in ansehung ihre beede häußer gelegen in der St Elisabetha gaß nachstehenden vergleich :
sie Gollische eheleuthe ihme Chouard das recht zusagen ane ihr haus die gäbel maur so er H. Chouard auffzuführen vorhabens so hoch er will auffzuführen mithin die außgangs gerechtigkeit so die Gollische behausung in das ehemalige zwischen beeden häußern vorfindige allmend gäßlein gehabt zu zu mauren sofort ihnen auff ewigen zeiten besagten außgang gerechtigkeit zu berechnen, ohne daß die Gollische eheleuthen ane die gäbel maur die er H. Chouard ane ihre behausung anschließet einigen theil ansprechen können, mithin sothaner gäbel mauer ihme Chouard allein eigenthümlich bleibet,
dahingegen verpflichtet sich H. Chouard zu aufnahm des waßers so von Gollischen behausung theils von dem dach theils von dem waßerstein näächen in besagten allmend gäßlein biß dato gefallen eine bequeme dichten auch erforderliche steineren naach auf seine kösten entweder durch seinen maurer meister noch aber Gollischen maurer meister verfertigen auch legen zu laßen, ingleich die kösten so zur leitung der waßerstein nääch in vorbemelten naach anzuwender auff sich zu leiden – um 120 gulden

Maison de devant

Abraham Schwartz de Westhoffen, assisté de son père Jean Schwartz, vend la maison 150 livres au boucher Jean Geckler

1633 (15. Februarÿ), Chambre des Contrats, vol. 471 f° 86
(Protocollat. fol. 26.) Erschienen Abraham Schwartz Von Westhoven mit beÿstand seines Vaters Hannß Schwartzen, hat für sich v.kaufft
Hanß Geggeler, dem Metzger vnd burg. Alhie,
hauß, hoffstatt, hoff, mit allen & gelegen Alhie inn St. Elisabethen gaßen, neben H Wollff Kärlin & neben Friderich Rüelen, hinden vf die Samblung Zum Creütz Zum theil und zum theil neben Georg Meÿern Kürschnern stoßend, so eÿgen, vnd were diser Kauff geschehen p. 150. Lib.

Originaire de Mägerkingen en Wurtemberg, Jean Geckler épouse en mai 1614 Salomé Zeidelmeyer, fille du tailleur Balthasar Zeidelmeyer et devient bourgeois une semaine plus tard
Mariage, Saint-Nicolas (luth. f° 104, n° 14)
1614. Mit diesen [den 30. Maÿ] seind auch ehelich eingesegnet worden Hannß Göckler, Von Megerking im Hertzogthumb Württenberg der Metzger, Weiland Martin Gäcklers deß Bawrsmans Vnd Burgers selig daselbs nachgelaßener Sohn, Vnd Jungfraw Salome Zeidelmeirin, Weilandt Balthasar Zeidelmeiers deß Schneiders vnd Burg. selig alhie nachgelaßene dochter (i 113)

1614, 2° Livre de bourgeoisie (4 R 104) p. 976
Hanß Geckhler d. Metzger Von Megerking. In dem württenberglandt empfahet d. Burg. recht Von Salome weÿland Balthasar Zettlings deß Schneiders seellig dochter Vnd Wüll Zur Blumen dienen, Actum den 6. Junÿ A° 1614.

Salomé Geckler, femme du fabricant de pâtés Conrad Kœbelé, et Rosine Geckler, femme du cordier Georges Bleifus, vendent chacune un tiers de la maison à leur frère boucher Jacques Geckler

1657 (23. Junÿ), Chambre des Contrats, vol. 522 f° 297
(Protoc. fol. 45) Erschienen Salome, Conrad Köbele deß Pastetenbeckh. Eheweib mit beÿstand erstermelts ihres Ehevogts, Vnd Rosina Georg Bleÿfuß deß Saÿlers Eheweib, mit beÿstand ersternannts ihres Ehevogts und Christoph Storren deß Metzgers ihr Rosina noch ohnentledigten Vogts
in gegensein Jacob Gäckhlers deß Metzgers, ihr Salomeen und Rosinæ Bruders mit beÿstand H Johann Jacob Kammen E.E. Kleinen Rhats Advocati & Procuratoris
Zwen tritte theil ihnen für ohnvertheilt gebührend ahne hauß, hoff, hoffstatt, stallung und allen deren Gebäw. in St. Elisabeth. Gaßen, einseit neben H Johann Wolffgang Heßlern, Ein und Zwantzig, anderseit neben der Samblung Zum Creutz hind. vff deß Papÿrhauß stoßend geleg. daran der übrige tritte theil dem Käuffern vorhien Zu stehet, Welche gantze Behaußung umb 25. lib Sebastian Röderern dem Rothgerber verhafftet (übernohmen) – umb 58 lb

Le boucher Jacques Geckler, fils de Jean, épouse Barbe Greiss, fille de passementier
Mariage, Saint-Nicolas (luth. f° 206, n° 20)
1639. Dom. 5. Trin. 14. Julÿ 1° vice, Dom 6. Trin. 2. Ejusdem 2° vice, Jacob Gäckler der Metzger Hans Gäckler des Metzgers und Burgers alhie hinderlaßer Sohn, Und Jf. Barbara Tobiæ Greÿßen gewesenen Paßmentmachers Und Burger alhier hinderlaßene Tochter. Zinst. 22. Julÿ Zu S. Claus (i 221)

Jacques Geckler et sa femme Barbe hypothèquent la maison au profit du boucher Ulric Metzger. D’après la mention marginale de 1665, le créditeur prend en charge les frais pour réparer la maison en mauvais état à condition que le propriétaire les lui rembourse.

1659 (4. 9.br), Chambre des Contrats, vol. 524 f° 780
Erschienen Jacob Gäckhler der Metzger, und Barbara sein Eheweib, und Sie Barbara insonderheit mit beÿstand H Caspar Rüeßers und H. Lux Rosenzweÿgs, beed. alß aus E. E Kleinen Rhats mittel ahne statt nechster Verwanther hierzu insonderheit Deputirter
in gegensein H Ulrich Winters deß Metzgers – schuldig seÿen 100 Pfund pfenning beraÿts in a° 1657 bahr gelühenen Gelts
Unterpfand sein soll hauß, hoff, hoffstatt, Stallung mit allen deren Gebäwen in St. Elisabeth Gaß, einseit neben weÿl. H Johann Wolffgang Heßlers Ein und Zwantzigers seel. Erben, anderseit neben der Samblung Zum Creutz, hind. vff deß Papÿrhauß stoßend gelegen, so zuvor umb 25. lib. Sebastian Röderern dem Rothgerbern verhafftet
[in margine :] Erschienen hierinngemelter H Ulrich Winter der Creditor hatt in gegensein hieringedachter beÿd. Eheleuth mit assistentz H Caspar Rüeßers und H. Christmann Röderers beed. alß aus E. E. großen Rhats mittel ahne statt nechster Verwanther hierzu insonderheit Deputirter sich Verbindlich dahien erclärt, weil. die hierinn beschriebene Behaußung sehr in Abgang kommen und bawloß. word. seÿe, Wolle Er H Winter alle Zu dero reparation Außbeßerung und widerbaw benöthigte Costen fürschießen Jedoch daß solche bewcosten sampt dem zinnß dem schuldgläubig. so bald möglich restituiret – Act. 11. Xbr. a° 1665

Jacques Geckler vend la maison 160 livres au jardinier Laurent Scher le jeune et à sa femme Aurélie

1659 (19. 9.br), Chambre des Contrats, vol. 524 f° 830
(Protocoll. fol. 85.) Erschienen Jacob Gäckhler der Metzger
in gegensein Lorentz Scheren deß iüngern, Gartenmanns und Aurelia beÿd. Eheleuth, mit beÿstand Lorentz Scheren deß ältern, Gartenmanns, ihres resp. Vatters und Schwähers und hannß Fuchß. Gartners in Steinstraß. ihres resp. Stieff Vatters und Stieff Schwähers
hauß, hoff, hoffstatt, Stallung mit allen deren Gebäwen & in St. Elisabeth Gaß. einseit neben weÿl. H Johann Wolffgang Heßers Ein und Zwantzigers seel. Erben, anderseit neben der Samblung zum Creutz, hind. vff daß Papÿr hauß stoßend geleg., so umb 25. lib. Sebastian Röderern dem Rothgerbern und umb 100. lib. H. Ulrich Wintern dem Metzgern verhafftet /:über die vorgemelte 25. lib deren die Kauffende Eheleuth gewiß. word. seind, welche dießelbe auch übernohmen:/ zugangen umb 135. Pfund
[in margine :] vide Cessionem in solutum ahne H Jacob Bauern p. 35. lib sub dato 23. Junÿ a° 1660

Laurent Scher épouse en 1658 Aurélie Kuntz, fille de jardinier : contrat de mariage, célébration
1658 (8. Julÿ), Chambre des Contrats, vol. 523 f° 296
(Prot. fol. 96 – Eheberedung) Erschienen Lorentz Scher der iüng. Gartenmann und Burg. Zu Straßburg, alß hochzeiter, mit beÿstand Lorentz Scheeren deß ältern, auch Gartenmanns seines eheleiblich. Vatters, und Jacob Streich. deß leinenwebers und Burg. alhier, an einem,
So dann Jungfr. Aurelia weÿl. hannß Kuontz geweßenen Gartners ahne Steinstraß nunmehr seel. nachgelaßene eheliche dochter alß hochzeiterin mit beÿstand hannß Fuchß. Gartners ahne Steinstraß ihres Stieff Vatters, Catharina ihrer eheleiblich. Muter, und Augustin Trennß. Gartners alda, ihres Vogts, am andern theil

Mariage, Saint-Thomas (luth. f° 34-v)
1658. Dncâ VI. Trinit. d. 18. Julÿ. Lorentz Scherer d. Garttenmann Vnd burger allhie vnd J. Aurelia, Weiland Johann Cuntzen des Garttners vnd burgers allhier hinderlaßener Eheliche Tochter. Copulirt Dienst. d. 27. Julÿ Zu St. Thoman (i 38)

Le boucher Jean Bameyer est ensuite propriétaire de la maison, sans doute acquise par vente judiciaire. Natif de Stuttgart, il épouse en 1672 Chrétienne Winter, fille du boucher Ulric Winter (créancier ci-dessus en 1659 et 1665), et devient bourgeois quelques jours plus tard. Il se remarie en 1675 avec Catherine Hansmetzger

Mariage, Saint-Nicolas (luth. f° 288 n° 7)
1672. Domin: j. post Pasch.d. 14. Apr. i. vice Johann Bahmeier der Ledige Metzger weÿl. Marci Bahmeier deß gewesenen fuhrmanns Zu Sthuttgart. hinderlaßener Ehelicher Sohn, und Jungfr. Christina weÿl. Hern Ulrici Winckler gewesenen beÿsitzer E. Ehrs. Groß. Raths Metzger und burger allhier, hind.laßene Eheliche Tochter. Cop. ad S. Nic: 25. Apr. post preces Hebdomadarias (i 307)

1672, 4° Livre de bourgeoisie p. 394
Johann Bannmeÿer, der Metzger Von Stuttgardt, empfangt daß burger Recht von seiner haußfrauen Christina H. Ulrich Winters, Metzgers und burgers alhier hinderlaßenen dochter umb 8. gold fl. so der beÿ der Cantzleÿ erlegt. Ist zuuor ledigen standts Geweßenn und will beÿ E. E. Zunfft der Bluemen dienen. Jur. den 29. Aprilis A° 1672.

Mariage, Saint-Nicolas (luth. f° 293, n° 3)
1675. Dom Paschal. Johann Bahmeÿer burg. u. Metzger alhie, Jgr. Catharina, hrn Clade Hanß Metzgern burg. v. metzger alhie eheliche Tochter, Copul. Zu St. Nicol. 15. April (i 313)

Jean Bameyer meurt en 1719 en délaissant trois enfants de sa veuve Catherine Hansmetzger. L’inventaire est dressé dans sa maison rue d’Or. La masse propre à la veuve est de 1 231 livres, celle des héritiers de 2 906 livres. L’actif de la communauté s’élève à 2 131 livres, le passif à 1 898 livres.

1719 (10.5.), Me Lang (Jean Henri l’aîné, 27 Not 45) n° 8
Inventarium über Weÿlandt deß Ehren Vest und Wohlgeachten Herrn Johann Banmeÿers geweßenen Metzgers und burgers allhier Zu Straßburg nunmehr seel. Verlaßenschafft auffgerichtet Anno 1719. (N.B. dabeÿ Zugleich der fr. Wittib Verlaßenschafft Abtheilung) – nach seinem den 29.ten Martÿ Jüngst aus dießer welt genommenen tödlichen ableiben, zeitlichen verlaßen, Welche Verlaßenschafft auf freundliches ansuchen erfordern und begehren H. Clade Banmeÿers Metzgers und burgers allhier, Mehr H. Joh: Jacob Banmeÿers auch Metzgers und alhießigen burgers, Welche bede Vor sich selbsten Zugegen, So dann Fr. Maria Catharina Kammin gebohrne Banmeÿerin, H. Johann Philipp Kammen deß Jüngern Metzgers und ebenmäßigen Burgers alhier Ehelicher haußfr. mit assistentz erstgedachts Ihres Haußwürth dem geschäfft abgewarthet, also aller dreÿ des Jetzt abgeleibten seel. mit hernach gemelter seiner hinterbliebenen Fr. Wittib Ehelich erzeugt und hinderlaßener Söhne und dochter, Jedes Vor einem dritten Theil berührend, Vorgenommen, ersucht und Inventirt, durch die Viel Ehren: und Tugendreiche Fraw Catharinam Bameÿerin gebohrne Hannßmetzgerin die hinterbliebene Wittib mit beÿstandt deß Edel, Ehrenvest, fürsichtig und wohlweißen herrn Abraham Habrechts, Uhrenmachers und E. E. Großen Raths alten beÿsitzers auch burgers allhier Ihres geschwornen Curatoris – Actum Straßburg Mittwochs den 10.ten Maÿ Anno 1719.
Copia Heüraths Verschreibung, perge in protocoll C fol: 1160.b et seqq.

In einer allhier Zu Straßburg im Metzgergießen gelegener, und in dießer Verlaßenschafft gehöriger behaußung befunden worden wie Volgt
Höltzen und Schreinwerck. In der Cammer A, In der Cammer B, In der Cammer C, Vor dießer Cammer, In der Langen Cammer, Im Hindern Stüblein, In der Wohnstub, Im Contor, In der Eckstub Cammer, In der Andern Stub Cammer, In der Kuchen, Im Obern Haußöhren, In der Schmeltz Kuchen, Im Stall, Im Keller, Im hindern Stüblein,
(E.) Eigenthumb ane einer behaußung und Metzgerbäncken. Erstl. Hauß, Hoffstatt, Stallung und bronnen, sambt allen deßen Gebäwen (…) in dem Metzgergießen nahe beÿ dem Spittahl Thor (…) Item Ein Metzigbanckh gelegen unter ged. großen Metzig (…)
Ergäntzung der Wittib ermanglenden unveränderten Guths. Inhalt deß über beÿder geweßener Eheleuth in dieße Ehe gebrachte Nahrungen, durch Hn Johann Friderich Medlern Notarium den 3.ten Maÿ Anno 1675 auffgerichteten Inventarÿ ist der Wittib als manglend Zu ergäntzen, wie Volgt
Series rubricarum hujus Inventarÿ. Der Fr. Wittib unverändert Vermögen, Sa. haußraths 31, Sa. Leren Vaß 2, Sa. Silber geschirr und Geschmeids 13, Sa. Goldenen Ring 3, Sa. Baarschafft 39, Sa. Activ Schuldt 150, Sa. der Ergäntzung (999, Abzug 8, Remanet) 990, Summa summarum 1231 lb
Der Erben Unveränderte Nahrung, Sa. haußraths 94, Sa. Leeren Vaß 18, Sa. Silber geschirr und Geschmeids 78, Sa. der baarschafft 33, Sa. Eigenthumbs ane einer behausung und Metzgerbanck 2055, Sa. Ergäntzung (1861, Abzug 953, remanet) 907, Summa summarum 3186 lb – Schulden 280 lb, Nach deren Abzug 2906 lb
das Theibahr Guth, Sa. haußraths 204, Sa. Weins und Leerer Vaß 70, Sa. der Früchten 9, Sa. Silbergeschmeids 13, Sa. goldenen Ring 15, Sa. baarschafft 45, Sa. Eigenthumbs ane Metzger bäncken 1110, Sa. Schulden 662, Summa summarum 2131 lb – Schulden 1898 lb, Rest theilbaren Guths 222 lb
Conclusio finalis Inventarÿ 4371 lb

Chrétienne Winter, épouse de Jean Bameyer, vend la maison 325 livres au boucher Thomas Kamm et à sa femme Marie Salomé. Un premier contrat passé le 24 mars au seul profit de Thomas Kamm est annulé par le suivant le 7 avril. En marge, quittance remise à Daniel Steinbach en 1693

1673 (24. Martÿ), Chambre des Contrats, vol. 541 f° 163-v
Christina, Johann Bammeÿers deß Metzgers Eheweib mit beÿstand erstegemelts ihres Ehevogts
in gegensein hannß Thoman Kammen deß Metzgers
hauß, hoff, hoffstatt, Stallung mit allen deren Gebäwen, begriffen, weithen, Zugehördten, Rechten und Gerechtigkeiten, alhier in St. Elisabeth gaß, einseit neben Johann Wolffgang Haßlern dem Nacht Fourir, anderseit neben der Samblung Zur Creutz, hinden uff deß Papÿr hauß stoßend gelegen – umb 325
[in margine :] Cassirt wegen der am 7. April anderwertig uffgerichteter Verschreibung, vide infra pag. 197.

1673 (7. Apr.), Chambre des Contrats, vol. 541 f° 197
Christina, Johann Bannmeÿers deß Metzgers Eheweib mit beÿstand erstgedachts ihres Ehevogts
in gegensein Hannß Thoman Kammen deß Metzgers und Mariæ Salomeen beÿder Eheleuth mit assistentz der Ehrenvest- fürsichtig und weÿsen herrn hannß Jacob Knoderers und Herrn hannß Jacob Schotten beÿder alß aus E.E. hochweÿsen Großen Rhats mittel ahne statt nechster Verwanther hierzu insonderheit deputirter
hauß hoff hoffstatt Stallung mit allen deren Gebäwen, begriffen weithen, Zugehördten rechten und Gerechtigkeiten alhier in St. Elisabethen Gaß einseit neben Johann Wolffgang Heßler dem Nacht Fourier anderseit neben der Samblung Zum Creutz hinden uff daß Papÿrhauß stoßend gelegen – umb 325. lb
dafür nicht allein die Verkauffte behaußung hier zwischen uffs kräfftigst Verhafftet bleiben sondern auch so lang obiges pretium völlig abgeführt sein wird ihr beeder Eheleuth haab und Nahrung in specie aber die helfte deß Metzger banckhs under der großen Metzig Zur Linckhen seiten durch daß großen thor, Zwischen beÿden kleinen thüren gegen dem Spittal gäßlin einseit neben Claudi Hannß Metzgers anderseit neben Wilhelm Göppels Metzgerbänckh stehend undt mit N° 7 gezeichnet unterpfand sein soll
[in margine :] (…) in gegensein hannß Daniel Steinbachs deß Metzgers und Magdalenæ seiner Ehelich hausfrauen, alß ietzmahlig. besitzer deß hierinn verkaufften haußes – Act. d. 17. April. 1693.

Fils de l’aubergiste au Cerf, Thomas Kamm épouse en 1656 Marie Salomé Herberling
Mariage, Saint-Nicolas (luth. f° 253)
1656. Domin. XVII. et XIX Trinit. 28. 7.bris et 5. 8.bris, Johannes Thomas Kamm der metzger vnd burger alhier weiland H. Hans Kammen gastgebers Zum Hirtzen vnd burgers alhier hinterlaß. ehelicher sohn und Jungfr. Maria Salome, Hans Jacob Herberlings des Statt gerichtsbotten vnd burgers alhier eheliche Tochter. St. Claus Mont. 6. 8.bris (i 321)

Les héritiers Kamm vendent la maison et un étal de boucher à Jean Daniel Steinbach et à sa femme Madeleine

1684 (5.3.), Chambre des Contrats, vol. 554 f° 96-v
H. Johann Philipp Kamm der älter Metzger alß vogt Johann Peter Kammen, Weiters Maria Salome, hannß Georg Örtels deß Metzgers Eheweib, sodann herrn Johann Jacob Herberling Schaffner der Carthauß alhie für seine eÿgene Person
in gegensein hannß Daniel Steinbachs deß Metzgers und Magdalenæ beÿder Eheleuth
hauß, hoffstatt, hoff und stallung mit allen deren Gebäwen, begriffen, weithen, Zugehördten, Rechten und Gerechtigkeiten, allhier in St. Elisabethæ Gaß, einseit neben weÿl. Johann Wolffgang Heßlers geweßenen Nacht fouriers nunmehr seel. nachgelaßener Wittibin und Erben, hinden uff daß papÿrhauß stoßend gelegen, welche behaußung annoch umb 400 lb (verhafftet)
Item ein Metzgerbanckh alhier under der Großen Metzig Zur Linckhen seiten deß Eingangß durch d. große thor gegen dem Spanbeth hinüber, Zwischen beÿden Kleinen thüren gegen dem Spittal gäßlein, ahn der Zahl der Zwölffte einseit neben hannß Jacob Kochen anderseit neben Georg Mehlen beeden Metzgern stehend, davon gehen iährlichen 10. ß bodenzinß der Statt Straßburg, sonsten habe Niemand ahne erwehnten Metzger banck einige Ansprach – umb 275 lb

Fils d’un aubergiste de Schiltigheim, Jean Daniel Steinbach épouse en 1682 Madeleine Kamm, fille du boucher Jean Philippe Kamm : contrat de mariage tel qu’il est copié à l’inventaire, célébration
Eheberedung – zwischen dem Ehrenhafft vndt Achtbahrn Hanß Daniel Steinbachen dem noch Ledigen Metzger von Schiltigheim, weÿland deß Ehrenhafften und wohlachtbahrn H. hanß Jacob Steinbachs, gewesenen Metzgers undt Gastgebers Zum Adler burgers Zu Schiltigheim seel. hinderlaßenem eheleiblichem Sohn, ane Einem, So dann der Ehren: vnd tugendreichen Jungfrauen Magdalenæ Kammin, deß Ehren Vorgeachten undt wohl achtbahren Herrn Hannß Philipp Kammen deß ältern Metzgers und burgers alhier ehelicher dochter am andern theil – So beschehen vndt verhandelt in der Königlichen Freÿen Statt Straßburg auff Sontag den 22. Tag deß Monaths Februarÿ st: n: Im Jahr als nach Christi Unsers Einigen Erlößers, Heÿlands und Seeligmachers Geburth Zahlte 1682, [unterzeichnet] Ich Hanß Daniel Steinbach Hoch Zeiters beken wie ob Stett – Johann Christoph Stöffel Nots.

Mariage, Saint-Nicolas (luth. f° 18, n° 8)
1682. Domin. Misericordias, Johann Daniel Steinbach der ledige Metzger weÿland Hans Jacob Steinbachs des burgers und Wirths Zum Schwartzen Adler in Schiltigheim nachgelaßener Ehel. Sohn, Vndt Jungfr. Magdalena, Hn Johann Philipp Kammen deß eltern Burgers und Metzgers alhier eheliche Tochter, Copul. Su St Niclaus Donnerst. 13 / 23. Aprilis (i 19)

Jean Daniel Steinbach devient bourgeois quelques jours après son mariage
1682, 4° Livre de bourgeoisie p. 487
hans Daniel Steinbach der Metzger von Schiltigheim empfangt das burger recht Von seiner haußfr. Magdalena Kammin pro 8. gold fl. welche Er beÿ der Cantzleÿ erlegt hatt, ist ledigen standts gewesen vndt wirdt Zu E. E. Zunfft der Metzg. dienen. Jur. d. 13.t Maÿ 1682.

Madeleine Kamm meurt en 1722 en délaissant cinq enfants. L’inventaire est dressé dans une maison de location rue des Bouchers. La masse propre aux héritiers est de 524 livres. L’actif de la communauté et du veuf s’élève à 53 livres, le passif à 291 livres.
1722 (10. 7.br), Me Kolb (Abraham, 22 Not 21) n° 500
Inventarium undt beschreibung aller Haab undt Nahrung, so weÿl. die Ehr und tugendtsame Fr. Magdalena Steinbachin gebohrne Kammin, H. Joh: Daniel Steinbachs deß Metzgers und burgers allhier Zu Straßburg geweste Ehefraw nach ihrem den 10.ten Junÿ dieses lauffenden 1722.ten Jahrs genommenen tödlichen ableiben Zeitlichen verlaßen, Welche auf ansuchen und begehren dero an Nechst folgendem folio benambster und ab intestato nachgelaßener Erben – Actum Straßburg auff Donnerstag den 10.ten Septembris Anno 1722.
Die eingangs gedachte Verstorbenen Fraw seel. hab ab intestato Zu Erben verlaßen alß volgt. 1. H. Johann Philipp Steinbach den Metzger und burgern allhier, 2. die Viel Ehr und Tugendsame fr. Margaretham Magdalenam Müllerin gebohrne Steinbachin, welche ane dem wohl Ehrwürdig und wohlgelehrten herrn Joh: Jacob Müllern p: t: Pfarrherrn der Evangelisch. gemeindt Zu Lichtenaw hochgräffl. Hanaw Liechtenb. herrsch. verheurathet, und dem bericht nach annoch allhier verburgert, 3. Jfr. Mariam Barbaram Schellin, weÿl. Fr. Susannæ Schellin gebohrner Steinbachin mit H. Samuel Schell dem Sattler undt burgern allhier Ehelich Erzielte und hinterlaßene Einige tochter der Eingangs gemelten verstorbenen fr. seel. Enckel in dero nahmen dero Vatter vorgedacht em geschäfft beÿgewohnt, 4. H. Johann Daniel Steinbach den handelßmann auch burgern allhier so præsens war, So dann 5. Johann Friderich Steinbach den leedigen Metzger allhier seines alters 22 Jahr, so ohnbevögtigt und selbsten Zugegen war. Alle fünff ihr der verstorbenen frawen seel. mit Eingangs ermeltem ihrem hinderbliebenn Wittibern Ehelich erziehlte Kindter undt Enckel undt ab intestato nachgelaßene Erben

Inn Einer allhier in der Statt Straßburg in dem Metzger Gießen gelegene undt nicht hiehero gehöriger behaußung hat sich befunden alß volgt
Hültzenw. Inn der Stub, Im Nebens Cämmerlein
Ergäntzung der Erben Ermanglenden ohnveränderten Mütterlich guth, Vermög des über der verstorbenen seel. in d. Ehestand gebrachte Nahrung v. durch Weÿl. H. Joh: Christoph Stöffel, gewes. Notm. publ. und burg. allhier inn Straßburg nunmehr längst seel. in Anno 1682. auffgerichteten v. verfertigten Inv.
Norma huius Inv: – Copia Eheberedung, Copia Codicilli reciproci
d. samtlich. Kind. v. resp. Erben ihr Ererbt ohnv. Müt. g. Sa. haußraths 11, Sa. Silbers 2,Sa. guld. ring 1, Sa. Activor. 52, Sa. Erg. 186, Summa summarum 524 lb
Auff solches vnd Endl. so wird nunmehr des Wit: ohnv: v. Zugleich d. gem: verändert v. T. g. beschreib. Sa. haußraths 44, Sa. Silbers v. geschm. 4, Sa. gold. Ring 4, Summa summarum 53 – Passiva 291 lb, Übertreffen also solchemnach (die) Passiva (die) Activa vmb benantlich 238 lb
Eheberedung (…) auff Sontag den 22. Tag deß Monaths Februarÿ 1682 – Johann Christoph Stöffel Nots.

Daniel Steinbach et Madeleine Kamm vendent la maison au boucher Jean Loup Spindler

1693 (1.5.), Chambre des Contrats, vol. 565 f° 359-v
(prto. fol. 67) Erschienen hans Daniel Steinbach, der Metzger und Magdalena gebohrne Kammin
in gegensein hans Wolff Spindlers auch Metzgers
hauß, hoffstatt, hoff und Stalung mit allen deren Gebäuen, Recht. und Zugehördten allhier an St. Elisabethæ Gaß, einseit neben Hn Johann Michael Gambßen E. E. Kleinen Raths alt. beÿsitzern, and. seit neben einer alten Samblung, so anietzo zu dem Pfaltzgrävischen hoff den Mons. de la Bastie Lieutenant du Roy allhier bewohnt, gezog. word. hind. auff hans Jacob Reuthers gewesenen Leinenwebers sel. Wittib und Erben stoßend gelegen, welche behaußung umb 150 lb Capital Hanß Peter Kammen, dem ledig. Waffenschmid deß. Vogt H. Johann Jacob Herberling Schaffner d. Carthaus ist verhafftet – geschehen umb 250 pfund

François Specht, receveur du prince de Murbach, contracte une obligation envers le comte Charles de Reckheim. Jean Loup Spindler s’en porte garant en engageant la maison rue Sainte-Elisabeth qu’il habite

1700 (28. 7.br), Chambre des Contrats, vol. 573 f° 503-v
A la demande du Sieur Ferdinand Galléz Secret. de son Excell. Mons. le Comte Charles de Reckheim, furent enregistrés les actes suivants dont l’un passé pardeuant le Sr Christmann D’autel, l’autre pardeuant le Sr Contz tous deux Notaires Royaux
Cejourd’huy 27. septembre 1700, fût présent le Sieur Jean Wolfe Spindler bourgeois demeurant audit lieu de Strasbourg, declare par les présentes se porter caution de la somme de 24 000 Liures pour le Sieur François Spechet, Receueur de S. A. Monseign. le Prince de Mourbach etc. et habitant de cette ville, envers son Excel. Monseign. le Comte Charles de Reckheim
oblige specialement la Maison Scize dans la rüe appellée Elsbethegasse en cette ville de Strasbourg et appartenante en propre au Susnommé sieur respondant où il demeure a présent – Christmann D’Autel, Notaire Royal
En conséquence de la caution cÿdessus d’autre part led. Sr Spindler s’est obligé solidairement auec le d. Sr Specht, le 28. septembre 1700, Contz No.re Royal
[in margine :] Herr Frantz Joseph Weÿdmann domb Probsteÿ Schaffer allhier alß vermög eines Von Ihro Hochgräffl. Excellentz Hern Charles Comte d’Apremont et de Reckheim (Quittung), den 22. aug. 1709

Jean Loup Spindler loue la maison au boucher Jean Klein

1710 (28.2.), Chambre des Contrats, vol. 583 f° 146
Joh: Wolffgang Spindler
in gegensein Joh: Klein metzgers
entlehnt, sein hauß allhier ahn St Elisabetha gass gelegen, nichts außgenommen, auf zweÿ jahr lang anfangend auf Annunciationis Mariæ, um einen jährlichen Zinß nemlich 31 lb

Jean Loup Spindler vend la maison 612 livres au passementier Jean Christophe Goldbach et à sa femme Eve Bruder

1730 (26.9.), Chambre des Contrats, vol. 604 f° 425
H. Johann Wolffgang Spindtler handelsmann
in gegensein Johann Christoph Goldbach Paßmentirers und Evæ geb. Bruderin
Eine Behausung hoff Stallung und hoffstatt mit allen derselben übrigen gebäuden, begriffen, weithen, zugehörden, Rechten und gerechtigkeiten ahn St: Elisabethä gaß, einseit neben Fr. Maria Barbara geb. Heßlerin weÿl. Johann Michael Gambs gewesten kauffhaußverwalthers wittib, anderseit neben François L’anglés dem Sattler und die zur wohnung des jeweiligen Lieutenant du Roy bestimbte behausung wie auch Johann Georg Goll dem Schneider, hinten auff weÿl. Johann Georg Gimmig Informatoris privati hinterlassenen wittib und Erben (sambt liegerlingen im keller, öffeleins in der soldaten kammer, schweintrog), um 612 pfund

Fils d’épicier, l’épicier Jean Christophe Goldbach épouse en 1687 Eve Bruder : contrat de mariage (dressé par Jean Tromer d’après l’inventaire des apports) tel qu’il est copié à l’inventaire, célébration
Copia der Eheberedung – der Ehrenvest v. wohlvorgeachte H. Joh: Christoph Goldbach der leedige Specirer v. burg. allhier weÿl. Hn Christoph Goldbachs ebenmäßig geweßten specirers v. burgers allda hinterlaßener ehelicher Sohn und die tugendreiche Jungfer Eva deß Ehrengeachten Hn Philipp Jacob Bruders burgers v. Paßmentirers daselbst eheliche tochter – Beschehen v. verhandelt in d. König. freÿen Statt Straßburg auff Montag d. 15.t Monaths tag Jul. Neuen Calenders als man gezahlt nach Christi Geburt 1697. Jahre

Mariage, Saint-Nicolas (luth. f° 48, n° 11)
Mittwochs den 7. Augusti A. n. 1697 seind nach zweÿmahliger außruffung copulirt und eingesegnet worden : Johann Christoph Goldbach, der ledige Specierer und burger alhier, weyl. H Christoph Goldbachs, geweßenen specereyhändlers und burgerß alhier nachgelaßener ehelicher Sohn und Jungfer Eva Bruderin, Philipp Jacob Bruderß deß Paßmentiererß und burgers allhier eheliche tochter

Eve Bruder meurt en 1730 en délaissant quatre enfants. L’inventaire est dressé dans la maison place des Cordeliers. Les experts estiment la maison rue Sainte-Elisabeth 375 livres. La masse propre au veuf s’élève à 1 686 livres, celle des héritiers à 254 livres. L’actif de la communauté s’élève à 2 696 livres, le passif à 2 625 livres. Les experts estiment la maison 375 livres. La masse propre au veuf s’élève à 1 686 livres, celle des héritiers à 254 livres. L’actif de la communauté s’élève à 2 696 livres, le passif à 2 625 livres

1736 (10. 7.br), Me Koch (Matthias, 6 E 41, 467) f° 76
Inventarium über Weÿl. der Viel Ehren und tugendbegabten Fr. Evä Goldbachin gebohrne Bruderin, deß Ehren v. wohl Vorgeachten H. Joh: Christoph Goldbachs, des Seidenhändlers und burgers allhier Zu Straßburg geweßener ehel: Haußfrauen nunmehr seel. Verlassenschafft auffgerichtet Anno 1736. – nach ihrem Sonntags den 12.ten Aug. dieses lauffenden 1736.ten Jahrs beschehenen tödlichen ableiben hie zeitlichen verlaßen, Welche Verlaßenschafft auf freundliches ansuchen erfordern und begehren der ane hernachfolgendem folio in sepcie benandter Erben inventirt und Ersucht, theils durch den hinterbliebeneen Wittiber beÿständlich S. T. Herrn Johann Hummels E. E. großen Raths wohlverdienten beÿsitzers vnd vornehmen burgers allhier – So beschehen in der Königl. Statt Straßburg auff Montag den 10.ten Septembris A° 1736.
Die Verstorbene seelig hat ab intestato Zu Erben Verlaßen als folgt. 1. die Ehren und Tugendsame Fr. Evam Eberweinin geb. Goldbachin, des Ehren v. vorgeachten H. Joh: Mich. Eberweins des Metzgers und burgers allhier Zu Straßb. ehel. hßfrau, welche auch beÿständlich erstged. ihres Ehemanns beÿ dem geschäfft erschienen. 2. 2. die Ehren und tugendsame Fr. Mariam Salome Marbachin geb. Goldbachin des Ehren vnd wohl vorgeachten H. Johann Dan. Marbachs, des Knöpffmachers, Seidenhändlers v. burgers allhiern ehel. hßfraun welche auch nebst ihrem Ehemann beÿ dem geschäfft Zugegen war. 3. die Viel Ehr: v. tugendbegabte Fr. Mariam Magdalenam Greumin geb. Goldbachin weÿl. S. T. H. Johann Andreä Greumen geweß. vornehme Apotheckers v. burgers allh. seel. hinterlaßene Fr. Wittib welche mit beÿstand deß Ehrenvesten H. Joh: Daniel Bruders Kaufhauß Schreibers v. burgers allhier ihres erbett. H. Assistenten dem geschäfft in Person abgewartet. 4. den Ehrengeachten H. Joh: Phil. Goldbach Leed. Knöpffmacher v. Seidenhändler allhiern welcher ebenmäßig in Person beÿ dem Geschäfft zugegen gewesen. Alle vier der Verstorbenen Frauen seel. mit Eingangs gedachtem ihrem geweßenen Ehel. und jetzmahls hinterlaßenem Wittiber ehel. erzeügt v. nachgelaßenen Kinder und Erben, Zu gleichen Antheilen.

In einer allhier Zu Straßburg ane dem Baarfüßerplatz gelegenen hiehero eigenthümlich gehör. behaußung ist befunden worden als folgt.
(f° 10) Eigenthum ane Häußern (T.) Erstl. eine behaußung. hof, Stallung und hoffstatt mit allen derselben gebäuden, begriffen, Weithen, Zugehörden, rechten v. Gerechtigkeiten alh. Zu Straßburg an St. Elisabethæ gaß, einseit neben Weÿl. H. Rathh. (-) Bonnay seel. hinterlaßener Wittib, 2.s neben François l’Anglés dem Sattler v. der Zur wohnung des jeweiligen H. Lieut. du Roy bestimmten behaußung, wie auch Joh: Georg Goll dem Schneider, hinten auff Weÿl. H. Joh: Georg Gimmig gewes. Informatoris privati seel. hinterlaßene Wittib v. Erben stoßend, gelegen, so freÿ ledig v. eigen, und vermög der den 22.ten 7.bris 1736. datirten zu mein des Notarÿ Concept geliefferten Abschatzung durch (die Werckmeistere) hiehero angeschlagen worden um 750. fl. oder 375. Darüber bes. i. teutsch. perg. in allh. C. C. st. gef. Kffbr. m. dero anh. Ins. verw. dat. den 26. 7.bris 1730. m. N° 1 notirt, Fernee i. das. gef. a. perg. Kbr. m. ermelt. Ins. verw.. d. d. 1. Maÿ 1693. m. a. Lit. A. bezeichnet.
(T.) It. I. beh. hoff, hoffst. v. hinterhauß in der Lang. Straas (…)
(T.) It. I. beh. hoff, hoffst. v. hinterhauß ane dem Baarfüßer Platz (…)
(f° 19) Ergäntzung des H. Wittibers Wehrender Ehe abgegangenen unveränderten Guths. Zufolg Inventarii über beede nunmehr durch den zeitlichen Tod getrennter Eheleuth einander in den Ehestand zugebrachte Nahrungen gefertiget v. durch Weÿl. H. Johann Tromer geweßenen Notm. publ. et pract. seel in A° 1697 auffgerichtet
(f° 28) Copia der Eheberedung (…) Beschehen v. verhandelt in d. König. freÿen Statt Straßburg auff Montag d. 15.t Monaths tag Jul. Neuen Calenders als man gezahlt nach Christi Geburt 1697. Jahre
Series rubricarum hujus Inventarÿ. Des Herrn Wittibers eigenthümliches Vermögen, Sa. haußraths 13, Sa. goldenen rings 1, Sa. Pfenningzinß hauptgüter 148, Sa. d. Ergäntzung (1566, Sa. Abzugs 2, Rest) 1563, Summa summarum 1726 lb – Schulden 40, Compensando verbleibt 1686. lb
Dießemnach wird auch d. Erben unveränderte Nahrung beschrieben. Sa. haußraths 46, Sa. Silbergeschirrs 1, Sa. goldenen rings 3, Sa. Actib Schulden 40, Sa. Erg. (165, Sa. Abzugs 1, rest) 163, Summa summarum 254 lb
Endlichen wird auch das gemein Verändert und theilbar guth beschrieben, Sa. haußraths 102, Sa. weins v. lährer faß 10, Sa. wahren zum Paßmentirer handwerck gehörig 298, Sa. Silbergeschirrs 8, Sa. goldener Ring 7, Sa. Pfenningzinß hauptguths 3, Sa. Eigenthums ane häußern 2265, Summa summarum 2696 lb – schulden 2625 lb, In Compensatione 70 lb
Schluß und Verstallungs Summa 2011 lb
Zweiffelhaffte Pfenningzinß hauptgüter so deß H. Wittibers unverändert 86, Ungweiß v. ungiebige Gülth von liegenden güthern so deß Hn Wittibers unverändert 4
Abschatzung dem 22. sept. 1736. Auff begehren deß wohl achtbahren und bescheiteten herrn Johann Christoph Goltbach deß seiten hantlërß ist eine behausung alhie in der Statt Straßburg auff der Ehlsbetten gaßen gelegen einseit neben Philipß Ohll dem schneiter, anderseit und hinden auff die behaußung so gemeiner Statt Zu gehörich Stoßent, welche behausung sehr alt mit einem schlechten tachstull, daß tach mit hollziglen belegt, warinnen Stuben, Cammern Kuchen, hauß Ehren Zweÿ Cammern vnder dem dach und auff dem botten getrëmbten Kellern eine Loschirungß Stall, holtz Cammer und & höffell sambt aller gerechtig Keidt wie solches turch der Statt Straßburg geschworne wërck Meisteren sich in der besichtigung befundten und Jetzigen Preÿß noch angeschlagen wirdt Vor und Vmb Sieben hundert und Vünfftzig Gulten
der 2.te begrieff (…) Bezeichnuß durch der Statt Straßburg geschwornen wërck Meistern [unterzeichnet] Michael Ehrlacher Werck Meister deß Meinsters, Johann Jacob Biermeÿer Werck Meister deß Zimmerhoffs, Johann Peter Pflug Werckmeister deß Mauer hofs

Les héritiers Goldbach vendent la maison 750 livres au bureau des Logements militaires

1742 (14.4.), Chambre des Contrats, vol. 616 f° 163-v
Johann Christoph Goldbach der seidenhändler und deßen mit weÿl. Eva geb. Bruderin seiner ehefrau erzielte vier Kinder, Fr. Eva geb. Goldbachin Johann Michael Eberwein des metzgers geschiedene Ehefrau beÿständlich ihres vogts Johann Peter Bleßig des knopffmachers und Fr. Maria Salome geb. Goldbachin Johann Daniel Marbachs des knopffmachers Ehefrau, Fr. Maria Magdalena geb. Goldbachin weÿl. H. Andreas Greuhmen des Apotheckers ohnbevögtigte wittib mit beÿstand ged. Marbach ihres schwagers so dann Johann Philipp Goldbach ebenmäßigen knopffmachers
denen hochverordneten H. Deputirten in der Einquartierungs stub Salv. ubique Ti. H. Johann Jacob von Müllenheim Stättmeister und XIII., H Johann Heinrich Faber Ammeister, H. Friedrich Lang XIII, H. Johann Christoph Richßhoffer XV und H. Georg Friedrich Lemp XXI
eine behausung, hoff, stallung und hoffstatt mit allen deroselben gebäuden, begriffen, weithen, zugehörden und gerechtigkeiten ane der St Elisabethen gaß im schlupff, einseit neben einer gemeiner Stadt gehörigen und zur logirung des jeweiligen H. Lieutenant du Roy gewidmeten behausung, anderseit neben weÿl. H. Pfarrer Kümmichs garten, hinten auff besagten stadt: haußes garten – ihme Goldbach dem vatter als ein während seinem ehestand am 26. 7.br 1730 erkaufft mithin theilbares guth zu zwo tertzen, seinen mitverkauffenden kindern aber zum übrigen tertz als ein Mütterliches erb – um 750 pfund


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