7, rue du Maréchal-Juin


Rue du Maréchal Juin n° 7 – X 205, 206, 207 (Blondel), O 934 puis section 34 parcelle 37 (cadastre)

Maître d’ouvrage, Simon Bouchotte, employé pour le roi (1775) – maître d’œuvre, Jacques Frédéric Hertelmeyer


Vue en mars 2017
Elévation et plan en 1880 : le portail est transféré de la gauche au milieu du bâtiment (dossier de la Police du Bâtiment)

La maison est inscrite en 1587 au Livre des communaux au nom du jardinier Jacques Keck. Elle a deux auvents l’un au-dessus de l’autre, de 12 pieds de long en saillie de deux pieds chacun. Son gendre Nicolas Berenstecher la vend en 1626 au maréchal ferrant Jacques Gesensohn qui achète aussi la maison voisine de gauche. Les deux enfants du jardinier Jean Kling qui s’en rend propriétaire en 1647 se la partagent : la maison avant revient à son fils Jean Kling, la maison arrière, plus petite, à son gendre Jean Georges Keller. Ce sont les deux bâtiments représentés sur le plan-relief de 1725. Le propriétaire de la maison avant se plaint en 1729 que le marchand de bois Jean Œsinger dépose son bois devant ses fenêtres le long du canal. Jean Philippe Dorsner, propriétaire de la maison à l’arrière construite par le maître maçon Arnaut Lagardelle, achète la maison arrière en 1762 avant de céder sa propriété au receveur de l’imposition des fourrages d’Alsace Simon Bouchotte qui achète la maison avant en 1772. Simon Bouchotte acquiert un terrain communal devant son terrain rue du Soleil d’après les alignements de l’urbaniste Blondel et charge le maître maçon Jacques Frédéric Hertelmeyer de construire un nouveau bâtiment, approuvé la même année par les préposés aux feux. Le bâtiment suit la destinée de la maison place du Foin jusqu’à ce que Michel Wallinger vende en 1858 cette dernière au département pour servir d’école normale pour les institutrices protestantes en conservant la maison rue du Soleil.



Plan-relief de 1727 (Musée historique). Les deux maisons se trouvent au bout du quai à gauche, précédées d’une clôture. A l’arrière, une dépendance du couvent
Plan Blondel, en rose les terrains à acquérir par les propriétaires (ADBR, 1 L Plan 5)
Plan pour le plan-relief de 1830, îlot 236 (© Musée des Plans-relief) 1

Elévations préparatoires au plan-relief de 1830

L’Atlas des alignements (années 1820) signale un bâtiment à rez-de-chaussée en maçonnerie et deux étages en pans de bois. Sur les élévations préparatoires au plan-relief de 1830, la façade sur rue se trouve entre les repères (v-x). Le mur (u-v) correspond à la largeur du terrain acquis en 1775 selon les alignements de Blondel. La porte cochère à l’extrémité gauche du bâtiment est suivie de deux séries de trois ouvertures, la dernière étant une porte. Le premier étage comprend six fenêtres, le deuxième étage sept. La toiture a deux rangées de lucarnes, la première comprenant autant d’ouvertures que l’étage au-dessous. La cour Q montre l’’arrière (1-2) du bâtiment sur rue, le bâtiment latéral de droite (16-15-14), la clôture (11-12) qui sépare la cour de celle de la maison place du Foin, l’arrière (10-11) d’un bâtiment qui s’ouvre sur l’impasse de la Lune et deux édicules (10-9-8) et (6-5-4).
La maison porte d’abord le n° 29 (1784-1857) puis le n° 7.


Cour Q

Elévations, façade avant et façade arrière en 1980 (dossier de la Police du Bâtiment)

Le mécanicien Jean Guillaume Reiss fait construire en 1862 un atelier muni d’une machine à vapeur, démoli en 1881. La description de 1863 décrit les différents bâtiments : celui de droite a un rez-de-chaussée et des greniers, celui de gauche un rez-de-chaussée, un étage et des greniers, l’atelier à haute cheminée se trouve du même côté. Une partie du terrain est cédée (exercice 1881) à l’école normale. Le peintre Auguste Schuler fait déplacer en 1880 au milieu du bâtiment l’entrée donnant dans la cour et agrandit sa maison. Il fait aménager en logements le premier étage du bâtiment latéral de droite en 1890 après avoir obtenu l’autorisation d’ouvrir des fenêtres vers l’arsenal. Son fils Auguste Schuler qui exploite un atelier de peinture sur verre fait régulariser en 1916 la transformation d’ateliers en logements au rez-de-chaussée du bâtiment arrière. Le bâtiment latéral de droite est en partie détruit par un incendie début 1978 puis démoli en novembre de la même année.
La Ville cède pour trente-cinq ans l’immeuble au Centre d’amélioration du logement du Bas-Rhin qui réhabilite onze logements en 1980. Le maire donne en 1984 son accord pour réaliser et financer une fresque sur le pignon.


Bâtiment latéral droit, élévation en 1917 (l’atelier du rez-de-chaussée est converti en logements)
Photographie avant démolition, 1978 (dossier de la Police du Bâtiment)

Plan de situation et terrain clôturé, 1904 (dossier de la Police du Bâtiment)
Façade arrière, novembre 2007 et août 2021
Portail en bois avant travaux (2012, photographie Roland Burckel)

octobre 2020

Sommaire
CadastrePolice du BâtimentRelevé d’actes

Récapitulatif des propriétaires

La liste ci-dessous donne tous les propriétaires de 1607 à 1952. Voir la maison place du Foin entre 1772 et 1860. La propriété change par vente (v), par héritage ou cession de parts (h) ou encore par adjudication (adj). L’étoile (*) signale une date approximative de mutation.

Jacques Keck, jardinier, et (1565) Apollonie Fuchs – luthériens
1606* v Jean Keck, jardinier, et (1604) Anne Dietrich, d’abord femme du cultivateur Jean Foer d’Ottenheim puis (1593) du jardinier Melchior Keller – luthériens et ses cohéritiers
1612* h Nicolas Berenstecher, jardinier, et (1606) Susanne Keck – luthériens
1626 v Jacques Gesensohn, maréchal ferrant, et (1611) Anne Negel – luthériens
1647 v Jean Kling, jardinier, et (1639) Barbe Offner d’abord (1636) femme du jardinier Nicolas Frey puis (1674) Claire Mermann – luthériens
1680* h Jean Kling, jardinier, et (1674) Anne Anna puis (1692) Anne Marie Scheer – luthériens
1718 h Jean Kling, jardinier, et (1704) Salomé Schœllhammer – luthériens
1747 h Michel Kientz, jardinier, et (1743) Marie Salomé Kling puis (1758) Marie Marguerite Gori – luthériens
1750 v Jean Klein, jardinier, et (1743) Marie Madeleine Kientz – luthériens
1772 v Simon Bouchotte, receveur de l’imposition des fourrages d’Alsace, et (1762) Jeanne Françoise Hervé mariée en premières noces (1746) avec le marchand Henri Suriray – catholiques
1802 v Jacques Coulaux, entrepreneur de la manufacture d’armes de Klingenthal, et (1791) Anne Sütterlin – catholiques
1837 h Anne Marie Chastaing femme (1822) de Jean Jacques Félix Adam
Marie Anne Coulaux femme (1788) de Philibert Arban
1838 v Michel Dominique Wallinger, aubergiste, et (1826) Joséphine Ulmer
1862 v Jean Guillaume Reiss, mécanicien, et (1844) Caroline Thomann puis (1861) Sophie Louise Emma Derose (à la veuve seule, 1874)
1880* v Auguste Schuler, peintre, et (1868) Joséphine Hoffmann
1900* h Auguste Schuler, peintre, et (v 1893) Marie Madeleine Busser
1931* v Louis Burger, cordonnier, et (1895) Marie Madeleine Duchossois

Partie arrière (v. 1680-1762)

1680* h Jean Georges Keller, jardinier, et (1673) Salomé Kling – luthériens
1701 h Georges Keller, jardinier, et (1703) Marie Marguerite Muhr, remariée (1726) avec le remueur de grains Jean Riehl – luthériens
1717 h Jacques Keller, jardinier, et (1703) Ursule Pfenning, remariee (1722) avec le jardinier Michel Kieffer – luthériens
h Jacques Keller, jardinier, et (1735) Marie Reibel, remariée (1742) avec le jardinier Jean Müll – luthériens
1762 v Jean Philippe Dorsner, avocat au Conseil souverain d’Alsace, et (1747) Marie Claire Félicité Reis – catholiques

Valeur de la maison selon les billets d’estimation. Bâtiment avant : 150 livres en 1728, 200 livres en 1747
Bâtiment arrière : 85 livres en 1697, 75 livres en 1717

(1765, Liste Blondel) X 205 (-), X 206 Daniel Kostmann, X 207 Jean Klein
(Etat du développement des façades des maisons, AMS cote V 61) (les trois parcelles) Bouchott, 12 toises, 4 pieds et 0 pouce
(1843, Tableau indicatif du cadastre) O 934, Coullaux aîné & Cie – maison, sol – 11,55 ares / Wallinger Michel

Locations

1878, Michel Lantz, marcaire

Livres des communaux

1587, Livre des communaux (VII 1450)
La maison est inscrite au Livre des communaux (près des ponts couverts d’amont, au gril, en partant de l’entrée de canal Saint-Jean) au nom du jardinier Jacques Keck. Elle a deux auvents l’un au-dessus de l’autre, de 12 pieds de long en saillie de deux pieds chacun. Le propriétaire règle 5 sols 4 deniers pour cette jouissance du communal, en outre 2 sols pour du fumier posé sur le communal

Beÿ der Obern gedeckten Prucken am Rechen angemessen Sanct Johanns Giessen hinein.
Jacob Keck der Garttner, hatt ane seinem Hauß zweÿ Wettertach Über einander, Jedes xxij schu lang, ij schu herauß, über einem Thor ein Wettertach xxj schu lang, j schu herauß, bessert für das Niessen, v ß iiij d
Und hatt vff dem Allmend etlich mist ligen, vnd bessert für den Mist ij ß d.

Préposés au bâtiment (Bauherren)

1728, Préposés au bâtiment (VII 1393)
La veuve de Jean Kling se plaint que le marchand de bois Jean Œsinger a fait construire devant ses fenêtres une remise qui intercepte la clarté. Les préposés constatent que le marchand de bois pose du bois contre le mur de la maison et en face en empêchant d’y entrer. Le quai est tellement chargé qu’il risque de s’effondrer bien que les préposés aient enjoint Jean Œsinger de supprimer le bois par leur décision du 20 juin 1727 qui lui sera rappelée en lui donnant un mois pour obtempérer.

(f° 73-v) Dienstags den 27. Julÿ 1728. – Hanß Kling. Wittib Ca. Herrn Johann Öesinger
Hanß Klingen des Gartners hinterlaßene Wittib Klagt wieder Herrn Johann Öesingern, den holtzhändler, daß Er Ihro eine hütt vor die Fenster Ihrer in Krautenau ohnwelt der Sonnen liegenden Wohnung bawen laßen, wadurch Ihro der tag Zimlicher maßen verbawen worden. Erk. ut ante [wird ein augenschein beliebt

(f° 74-v) Sambstags den 31. Ejuds. [Julÿ] – Hanß Kling. Wittib Ca. Herrn Johann Öesinger
Vor Hanß Klingen Wittiben Hauß Gegen dem frantzösischen Hospital hinüber, Welche sich beklagt, daß H. Johannes Öesinger der Holtzhändler, holtz ane jhr Maur und Gegen dem Hauß hinüber liege, daß jhro die Einfahrt in jhren Hoff gantz dardurch Gehindert und Versperret werde. Es hat sich auch beÿ dem augenschein gewießen, daß er den Stadten noch in d. gantzen gegend mit holtz Belegt, daß Zubeförchten, es möchte die Maur in den graben trucken, Ohnerachtet jhme solche Laut Prot. Vom 20. Junÿ 1727. fol: 185. hinweg zuthun außtrucklichen befohlen, deme auch expressé angesagt worden, daß holtz so er auf pfählen, die er in das Waßer geschlagen Liegen hat, hinweg Zuschaffen. Worinnen er eben sowenig als in Vorigen parition geleistet. Erkant, solle Bek. die Klägerin ohne anstandt Klägers stellen, und jener Monats frist dem bescheid Vom 20. Junÿ 1727. Wollkommene partion Leisten.

1775, Préposés au bâtiment (VII 1416)
Le maître maçon Jacques Frédéric Hertelmeyer demande au nom du trésorier du Roi Bouchotte l’alignement à suivre pour sa maison près des Grands Capucins. L’inspecteur rapporte que le propriétaire a enclos un terrain communal rue du Soleil (6 toises 5 pieds 3 pouces) pour construire sa maison arrière et qu’il doit donc 123 livres 15 sols à la Ville d’après le tarif du X° canton. Bouchotte est autorisé à acheter le terrain moyennant 37 livres en un seul versement. N.B. On constate en comparant le plan Blondel (1765) au plan cadastral (1836) que le bâtiment suit l’alignement proposé par Blondel.

(f° 153) Dienstags den 14. Februarii 1775. Mr Boucheot Trésorier du Roy – Mr Boucheot, Trésorier du Roy läßet um Anzeige des Allignements seiner beÿ dem Grosen Capucineren gelegenen behausung bitten. Erkannt, Wird Herrn Striedbeck aufgertagen solches zu examiniren und seinen Rapport dißfalls abzustatten.
(f° 156) Dienstags den 21. Februarii 1775. M. Boucheotte – Mr Hattelmeÿer, der Maurer nôe. M. Boucheotte des Trésorier du Roy bittet abermalen um Anzeige des Allignements seiner beÿ den grosen Capucinern gelegenen behausung. Erkannt, Seÿe daselbe durch Hrn. Striedbeck Mr Blondel Entwurf nach auszustecken.
(f° 162). Dienstags den 7. Martii 1775. Mr Bouchotte – Idem [Hr. Striedbeck] rapportirte daß er dasjenige Almend so Mr Bouchotte Zu seinem im Sonnen Gäßel gelegenene Hinterhaus eingezogen ausgemeßen und befunden, daß solches 6. Klaffter 5. Schuh 3. Zoll antrift, so als im Zehenden Canton liegend à 18 lb antreffe = 123. Livres 15. sols. Erkannt, Verzeichnus.
(f° 171) Dienstags den 21. Martii 1775. M. Bouchotte – M. Bouchotte, Trésorier du Roy bittet ihme das zu seinem im Sonnen Gäßel gelegenen Hinterhaus eingezogen Allmend Sechs Quadrat Klafter Fünff Schuh dreÿ Zoll antreffend eigenthümlich zu überlaßen, offerirt davor Ein vor allemal 37 pfund 10 Schilling zu bezalen. Erkannt, Seÿe dem Herrn Imploranten gegen baarer bezalung der 37. lb 10. ß in seinem begehren zu willfaren.

Préposés aux feux (Feuerherren, 4 R 91)

Le trésorier de l’extraordinaire des guerres Bouchotte fait installer en 1775 par le maître maçon Jacques Frédéric Hertelmeyer une buanderie au rez-de-chaussée à droite de l’entrée et une cuisine au premier étage vers la cour, les tuyaux étant à distance des pièces en bois

(p. 375) Freÿtags den 15. Septembris 1775 – Herr Bouchotte Tresorier de l’extraordinaire des guerres will in seiner neben denen großen Capucinern gelegenen behausung im hindern gebäu gegen dem frantzösischen Hospithal rechter hand des Eingangs au rez de chaussée eine Bauch Kuchen mit Bauch ofen sampt Caminschoß, auf den grund boden setzen, das rohr mitten durchs gebäu, Von allem holtz entfernt.
Im nemlichen gebäu rechter hand im ersten stock eine Stube gegen der basse Cour, darneben eine Kuchen mit herd und Camin schoß machen, das rohr mitten durchs gebäu, von allem holtz entfernt. Erkanntt willfahrt. – Mr Härtelmeÿer.

Description de la maison

  • 1728 (billet d’estimation traduit) La maison comprend un petit poêle une petite chambre et une petite cave sous solives, le tout estimé à la somme de 300 florins
  • 1863 (description des différents bâtiments, reprise dans les actes ultérieurs)

Atlas des alignements (cote 1197 W 37)

4° arrondissement ou Canton est – Rue du Soleil

nouveau N° / ancien N° : 17 / 19
porte de derrière du N° 15 place au foin
Rez de chaussée en maçonnerie et 2 étages bons en bois

(Légende)

Cadastre

Cadastre napoléonien, registre 25 f° 321 case 3

Wallinger, Michel

O 934, maison, sol, R. du Soleil 29
Contenance : 11,55
Revenu total : 276,01 (270 et 6,01)
Ouvertures, portes cochères, charretières : 1 / 1
portes et fenêtres ordinaires : 49, 47 / 39
fenêtres du 3° et au-dessus :

fenêtres du 3° et au-dessus :

Cadastre napoléonien, registre 27 f° 1136 case 1

Wallinger, Michel
1863 Reysz, Jean Guillaume, mécanicien
1876 idem Wittwe Sophie Louise Emma Derose
1881 Schuler August, Maler
1900 Schuler August, Maler, Sohn

O 934, maison, sol, Impasse du Soleil 7
Contenance : 11,55
Revenu total : 276,01 (270 et 6,01)
Folio de provenance : (321)
Folio de destination : theilweise Verwendung zu ertragb. Zwecken des Lehrerinnen-Seminars von 1136, (sol) 1260 und 1136
Année d’entrée :
Année de sortie : 1881
Ouvertures, portes cochères, charretières : 1 / 1
portes et fenêtres ordinaires : 47 / 39
fenêtres du 3° et au-dessus :

O 934, machine à vapeur (6 ch.)
Revenu total : 348,01 (270 – 72 et 6,01)
Folio de provenance : C.N.
Folio de destination : Abbruch
Année d’entrée : 1865
Année de sortie : 1881
Ouvertures, portes cochères, charretières :
portes et fenêtres ordinaires : 21 / 17
fenêtres du 3° et au-dessus :
1865, Reysz Jean Guillaume f° 1136, O 934, Mach. à vapeur (6 che.), revenu 72, C.on N.elle, achevée en 1862, imposable en 1865, imposée en 1865

O 934.p, maison, sol
Contenance : 6,54
Revenu total : 215,40 (212 et 3,40)
Folio de provenance : 1136
Folio de destination : Vergrößerung, (sol) Gb
Année d’entrée :1881
Année de sortie : 1888
Ouvertures, portes cochères, charretières : 1 / 1
portes et fenêtres ordinaires : 17 / 39
fenêtres du 3° et au-dessus :
1881, Landes-Verwaltung f° 1260, O 934.p, sol, Verwendung zu ertragb. Zwecken des Lehrerinnen-Seminars
Reyss Johann Wilhelm f° 1136, O 934, machine à vapeur, revenu 72, Abbruch, supp. en 1880

O 934, atelier, maison
Revenu total : 330,40 (atelier 21 – maison 306 et 3,40)
Folio de provenance : (atelier) Neubau, (maison) Vergrößerung
Folio de destination :
Année d’entrée :1883/4
Année de sortie :
Ouvertures, portes cochères, charretières : 1 / 1
portes et fenêtres ordinaires : 50 / 40, (atelier) 8 / 6
fenêtres du 3° et au-dessus : 15 / 12, (atelier) 6
Schuler August f° 1136, O 934 atelier, revenu 21, Neubau, achevée en 1880, imposable en 1883, imposée en 1883
id. O 934, maison, revenu 306, Vergrößerung, achevée en 1880, imposable en 1883, imposée en 1883
Diminutions – Schuler August f° 1136, O 934, maison, revenu 212, Vergrößerung

O 934, atelier
Revenu total : 330,40 (atelier 21 et 26 – maison 306 et 3,40)
Folio de provenance : Neubau
Folio de destination :
Année d’entrée :1889/90
Année de sortie :
Ouvertures, portes cochères, charretières :
portes et fenêtres ordinaires : 8
fenêtres du 3° et au-dessus :
Augmentations – 1886. Schuler August f° 1136, O 934, atelier, Reinertrag 26, Neubau, vollendet 1886

Cadastre allemand, registre 30 p. 424 case 5

Parcelle, section 34, n° 37 – autrefois O 934.p
Canton : Sonnengasse Hs Nr 7. – Impasse du Soleil
Désignation : Hf, 2 Whs u. N. G. / Hf, 2 Whs u. Wst
Contenance : 6,48
Revenu : 2850 / 4500
Remarques :

(Propriétaire), compte 1132
Schuler August
1931 Burger Louis sa veuve Marie Madeleine née Duchaussois
(1038)

1789, Enquête préparatoire à l’Etat des habitants (cote VII 1295)

Canton X, (348) Rue dte. Sonnengass
29
Loc. Siegel, Antoine, Schiffknecht – Manant
Loc. Kuntzelmännin, Elisabeth, Wittib – Manant

1789, Etat des habitants (cote 5 R 26)

Canton X, Rue 348 Du Soleil (p. 566)
29
loc. Siegel, Antoine, garçon Bat. – Manant
loc. Kuntzelmnn, Elisabeth, veuve – Manant

Annuaire de 1905

Verzeichnis sämtlicher Häuser von Strassburg und ihrer Bewohner, in alphabetischer Reihenfolge der Strassennamen (Répertoire de toutes les maisons de Strasbourg et de leurs habitants, par ordre alphabétique des rues)
Abréviations : 0, 1,2, etc. : rez de chaussée, 1, 2° étage – E, Eigentümer (propriétaire) – H. Hinterhaus (bâtiment arrière)

Sonnengasse (Seite 161)

(Haus Nr.) 7
Roth, Plattenleger. 0
Schuler, Malermstr. E 0
Strassb. Kunstanstalt für Metallglasmosaik und Glasdekoration. 0
Schuler, Rentnerin. 1
Trunzer, Schreiner. 1
Baermann, Glaser. 2
Groh, Tagner. 2
Krempp, Säger. 2
Wolf, Feurwehrmann. 2
Brod, Wwe. 3
Ringwald, Schuster. 3
Schumann, Aufseher. 3
Zwickel, Tagner. 3

Dossier de la Police du Bâtiment (cote 852 W 68)

7, rue du Maréchal Juin (1880-1984)

Le peintre Auguste Schuler, successeur de Mæhn, fait déplacer en 1880 au milieu du bâtiment l’entrée donnant dans la cour, transformer l’ancienne entrée en fenêtre et poser des doubles fenêtres aux étages. Le maître menuisier Oswald qui loue un atelier dans la maison Schuler obtient en 1887 l’autorisation d’occuper un terrain sur le chantier municipal voisin. Auguste Schuler fait aménager en logements le premier étage du bâtiment latéral de droite en 1890 après avoir obtenu l’autorisation d’ouvrir des fenêtres vers l’arsenal. Auguste Schuler qui exploite un atelier de peinture sur verre installe en 1899 un moteur électrique de deux chevaux. Il est autorisé en 1904 à placer une clôture sur le communal pour y déposer des caisses et des marchandises. Il fait régulariser en 1916 la transformation d’ateliers en logements au rez-de-chaussée du bâtiment arrière. J. Aronsohn est autorisé en 1925 à établiir un dépôt de chiffons. Les ateliers Charles Prange (1955, 1964) aménagent en 1958 une installation à sabler le verre.
Le bâtiment latéral de droite est en partie détruit par un incendie (toiture et étage) en 1978. Le maire accorde en juillet 1978 l’autorisation de démolir. Le bâtiment est démoli en novembre.
La Ville vend l’immeuble au Centre d’amélioration P.A.C.T. du logement du Bas-Rhin avec une clause de restitution passés 35 ans pour qu’il réhabilite onze logements. Comme la façade arrière est en partie modifiée, une demande de permis de construire est déposée au cours des travaux. Les dessins sont dus à l’architecte P. Ziegler. Le préfet accorde le permis de construire en octobre 1980, les travaux extérieurs sont terminés en novembre. Tous les logements sont occupés en septembre 1981. Le maire donne en 1984 son accord pour réaliser et financer une fresque sur le pignon.

Sommaire
  • 1880 – A. Schuler, demeurant 5, rue Sainte-Catherine, demande au commissaire de police l’autorisation de faire des travaux à sa maison sise 7, ruelle du Soleil : déplacer au milieu du bâtiment l’entrée donnant dans la cour, transformer l’ancienne entrée en fenêtre, poser des doubles fenêtres aux étages. Le commissaire de police transmet au maire. L’agent-voyer note que la maison suit l’alignement – Dessin (enseigne A. Schuler peintre, anciennement Maehn, A. Schuler Maler, Nachf. Maehn), élévation, plan du rez-de-chaussée qui comprend un magasin à droite de l’entrée et un logement à gauche
  • 1887 – Le maître menuisier Oswald auquel les autorités passent souvent des commandes demande au commissaire de police l’autorisation d’occuper un terrain sur le chantier municipal quand la place est insuffisante dans son atelier sis au 7, ruelle du Soleil (maison Schuler)
  • 1890 (mars) – L’architecte municipal objecte au peintre Schuler qui veut aménager des logements au premier étage du bâtiment latéral qu’ils ne satisfont pas aux règles d’hygiène
    1890 (avril) – L’architecte et entrepreneur S. Simmonds (39, rue de Zurich) répond que l’arsenal impérial a accepté que son voisin Schuler ouvre des jours dans la cour. Les service municipaux constatent que les pièces ont désormais un éclairage suffisant. – Autorisation – Travaux terminés, juillet 1890 – Dessin (plan de situation, plan et coupe du premier étage)
  • 1894 – La Police du Bâtiment constate que le tailleur Charles Frédéric Zorn a posé une enseigne sans autorisation – Demande accompagnée d’un croquis (plan) – Autorisation. Le propriétaire devra déplacer l’enseigne pour qu’elle se trouve à plus de 50 centimètres de la rigole
  • 1897 – Le directeur de l’usine à gaz demande au nom du propriétaire Schuler l’autorisation de faire une prise pour environ dix becs – Autorisation – Travaux terminés, septembre 1897
  • 1895 – Le maire notifie le propriétaire de se conformer au règlement du 30 novembre 1891 en supprimant sept volets qui s’ouvrent à moins de 2,20 mètres de la voie publique. – Rappel, 1898 – Travaux terminés, juin 1899
  • 1899 – Auguste Schuler demande à la Police du Bâtiment l’autorisation d’installer un moteur électrique de deux chevaux. Le maire transmet la demande à la direction de travail qui constate que le moteur déjà en place ne satisfait pas aux prescriptions – Autorisation qui mentionne les prescriptions à observer, décembre 1899 – Dessin de la machine à broyer et à mélanger la couleur
  • 1902 – Rapport suite à un feu de cheminée. Une poutre est trop proche de la cheminée. Auguste Schuler qui va convertir le logement et atelier estime qu’une remise en état. Il revêt la poutre de tôle après un courrier de la Police du Bâtiment (papier à lettres, August Schuler, Strassburg Sonnengasse 7, Filiale in Colmar Kleberstr. 2, Malerei & Glasmalerei für Kirchen & Profanbauten, Glasfirmenschilder – Peinture et peinture sur verre pour églises et bâtiments priofanes, enseignes sur verre)
  • 1904 – Le commissaire de police donne son accorde à Auguste Schuler pour poser des caisses et des objets en verre sur la voie publique devant sa maison (11,00 sur 9,50 mètres) derrière une clôture de 2,50 mètres de haut – Autorisation – La clôture est terminée, septembre 1904 – Plan de situation, dessin de la clôture
  • 1908 – Le service d’architecture écrit à la Police du Bâtiment (division V.a) que le plan des canalisations prévoit de nouveaux cabinets d’aisance au rez-de-chaussée, premier, deuxième et troisième étage – Auguste Schuler (demeurant 48.a allée de la Robertsau) est autorisé à aménager trois cabinets d’aisance dans sa propriété 7, rue du Soleil – Travaux terminés – Dessin
    1908 – Auguste Schuler demande une copie de l’autorisation d’installer des machines, accordée en 1899 (papier à lettres, Bau- und Dekorationsmalerei Aug. Schulern G.m.b.H., 5-7 Sonnengasse, Strassburg i. E, gegründet 1868, 42 Rufacherstrasse Colmar)
  • 1916 – La locataire Bœsenbacher (rez-de-chaussée du bâtiment arrière) se plaint de fumées. La Police du Bâtiment écrit au propriétaire Auguste Schuler (2, rue de la Tuilerie du Rhin au Neudorf) de faire réparer la cheminée et de régulariser la transformation des ateliers en logements dans le bâtiment arrière. La Commission des logements militaires envoie un état des logements dans le bâtiment arrière. Le propriétaire charge l’architecte E. Haus (7, rue Kageneck, anciennement Brion et Haug) de l’affaire – Auguste Schuler et l’architecte Haug sont autorisés à transformer le rez-de-chaussée du bâtiment arrière – Dessin (bâtiment latéral vers l’est), plan de situation, élévation, plan
  • 1925 – Récépissé d’une déclaration concernant un établissement de troisième classe, délivré à J. Aronsohn, demeurant sur place, pour aménager un dépôt de chiffons
  • Commission contre les logements insalubres. 1902. propriétaire, Schuler, maître peintre, demeurant sur place. Remarques en quatre points (cheminée, buanderie, cabinet d’aisance), Travaux terminés, juin 1902
    Visas en 1906, 1907, 1908, 1909 (deux remarques), 1911 (rien à signaler)
    Commission des logements militaires, rapport de la visite en août 1915 (propriétaire, Schuler, demeurant sur place) en neuf points
    Rapport de la visite dans le bâtiment arrière (voir aussi plus haut), 1916
    1920. La dame Zink qui a un enfant en nourrice s’est établie en Allemagne
    1923. Le locataire Charles Gress se plaint que le plâtre du plafond se détache. Propriétaire, Schuler, 2, rue de Metzeral, corrigé en Burger – Travaux terminés
  • 1942 – La veuve Burger, propriétaire (demeurant 8, rue du Vieux-Marché-aux-Vins), demande à la Police du Bâtiment d’intervenir auprès d’un de ses locataires qui élève des lapins dans les greniers – Il ‘y a plus de lapins, février 1943
  • 1955 – La locataire Chevillon se plaint du décorateur Prange qui a ses ateliers dans la maison. La Police du Bâtiment se déclare incompétente dans les affaires locatives.
    1955 – Les ateliers Prange (enseignes, décoration, peinture, gravure sur verre et plaques funéraires) demande l’autorisation de poser une enseigne – Maquette – Autorisation – L’enseigne est posée, avril 1955
  • 1958 – Le peintre décorateur Charles Prange (demeurant 30, rue de Bruxelles) demande au préfet une autorisation pour une installation à sabler le verre. Plan – Récépissé de déclaration, l’installation comprend une cabine pour graver ou décaper le verre et un atelier de vernissage
  • 1964 – Les établissements Prange occupent sans autorisation la voie publique pour déposer du sable
  • 1970 – Le locataire Weissheimer se plaint d’infiltrations d’eau. L’Immobilière des Halles qui gère la propriété, fait faire les travaux dans le bâtiment destiné à la démolition
  • 1978 – Rapport après un incendie qui s’est déclaré dans la bâtiment latéral est, à rez-de-chaussée et un étage, sis 7 rue du Maréchal-Juin. La toiture et l’étage sont détruits, le rez-de-chaussée endommagé par les eaux.
    1979 – L’entreprise Heckmann (53, rue de Schirmeck) est autorisée à poser une palissade de chantier (28 mètres sur 3)
  • 1980 (juin) – Dossier sur la réhabilitation du bâtiment situé dans le champ de visibilité de l’Hôpital Militaire, classé monument historique. Arsène Haudy dépose au nom du Centre d’amélioration du logement P.A.C.T. (Préserver, améliorer, conserver, transformer) du Bas-Rhin une demande de permis de construire (section 34 parcelle 37). Le projet est dû au Service d’architecture de la Communauté Urbaine de Strasbourg. Plan cadastral de situation – Dessins de l’architecte P. Ziegler (façade sur rue, façade sur cour, coupe, plan des niveaux). Photocopie de photographies, façades avant et arrière.
    1980 (25 juin) – Lors de sa conférence, la Police du Bâtiment estime que l’accès au places de stationnement pose problème
    Le maire transmet la demande avec avis favorable à l’architecte des Bâtiments de France qui émet un avis favorable
    1980 (octobre) – Le préfet accorde le permis de construire
    1980 (novembre) – Les travaux extérieurs sont terminés
    1981 (mars) – L’aménagement intérieur continue
    1981 (septembre) – Tous les logements sont occupés
    1981 (novembre) – Extrait de presse intitulé Une opération de réhabilitation exemplaire
    1982 (janvier) – Déclaration d’achèvement
    1982 (mars) – Certificat de conformité
  • 1984 – Le maire donne son accord pour réaliser et financer une fresque sur le pignon
  • 1978 – Dossier, démolition du bâtiment arrière sis 7, rue du Maréchal-Juin, sinistré par un incendie. Le maire Pierre Pflimlin demande l’autorisation au nom de la Ville de Strasbourg. Plan cadastral de situation (bâtiment latéral est), photographie
    Procès verbal de visite. Le bâtiment comprend un rez-de-chaussée en maçonnerie enduite et un étage en pans de bois enduit. L’incendie qui s’est déclaré en avril 1978 a endommagé le bâtiment qui était déjà en mauvais état.
    1978 (juillet) – Arrêté municipal portant autorisation de démolir
    1978 (novembre) – Le bâtiment est démoli

Relevé d’actes

Propriétaire porté au Livre des communaux de 1687, Jacques Keck le jeune épouse en 1565 Apollonoe Fuchs

Mariage, Saint-Guillaume (luth. f° 60-v) 1565. Ehe ausgeruffen Doîca Quasimodo die 29 Aprilis. Jacob Keck der Jung ein garttnner (…), Appolonia Thoman Fuchsen des Gartners Tochter (…) i 237

La maison revient en partie à son fils Jean Keck qui épouse en 1604 Anne (Dietrich), successivement veuve du cultivateur Jean Foer d’Ottenheim près de Lahr puis du jardinier Melchior Keller

Mariage, Saint-Guillaume (luth. f° 3 n° 10)
1604. Dominica III. Epiphan. 21. Januarÿ. Hanß Keck der Gartner, Jacob Kecken des Gartners Sohn alhie, Anna Melchior Kellers des Gartners seligen hinderlaßene wittib, Eingesegnet Montag den 3. febr: (i 5)

Mariage, Saint-Guillaume (luth. f° 43, n° 42)
1593. Dominica 5. Trinitatis Melchior Keller gartnern Anna Hans Fier eines bauersmanns zu Ottenheim selig. nachgelaßene wittwe. Confirmatio v facta 23 Julÿ (i 45)

Le jardinier Nicolas Berenstecher et sa femme Susanne Keck hypothèquent leur part de maison au profit du gourmet Michel Goss. Les voisins sont les même qu’au Livre des communaux (Thiébaut Ertz et Nicolas Enderlé)

1608 (xv tag Junÿ), Chancellerie, vol. 378 (Registranda Meyger) f° 288-v
(Inchoat. in Proth. fol: 248.) Erschienen Clauß Berenstecher d. gartner Inn Crutenouw burger Zu Straßburg Vnnd Susanna Keckin sein Eheliche Haußfrauw
haben bekhandt vndt In gegenwertigkheit Coßenn Michell des Weinstichers burgers Zu Straßburg – schuldig sigent 50 pfund pfenning
Zum vnderpfand eingesetzt vnd verlegt, ettlich Antheil Innen für vngetheil gebürent, vonn vnd Ane Hoff, Hauß, Hoffstatt Scheür vnd Ställ, Inn der Voorstatt Straßburg Inn Crutenouw geleg. beÿ den Obersten gedecktenn Bruckenn einseit nebent Clauß Enderlin, Anderseit Dieboldt Ertzen hinden vffs Bollwerck vnd vornen vffs Allmendt stoßend, dauon gend & guldin gelts Ablößig mit ij C gl St. Werung Jacob Träger dem gartner, Vnd dann Achthalben guldin geltt widerkhöuffig mit j C L gl bemelter Werung Wolff Hucken selig Wittwe Sunst eÿg
Item ein Zweÿttell grundt Vor dem Fischer Thor Im Spiegells garttenn Nidwendig den Esselsteg gelegen (…)

Jean Keck hypothèque son quart de maison au profit du jardinier André Mœtschel

1608 (xiiij tag Decembris), Chancellerie, vol. 378 (Registranda Meyger) f° 529
(Inchoat. in Proth. fol: 402.) Erschienen hannß Keck der gartner Inn Crutenouw burger Zu Straßburg
hatt bekhandt vndt Inn gegenwertigkheit Andres Mötschells des gartners vnder wagnern burgers Zu Straßburg – schuldig sige 50 pfund pfenning Straßburger gelühens gelts
Zum vnderpfand eingesetzt vnd verlegt Ein Acker velds geleg. vor dem Fischer thor, beÿ dem Essell steg Inn dem schweÿckhoff einseit neben Andreß Cuntz des ohlmanns wittwe (…)
Item ein Vierdte theil Ane hoff, hauß, hoffestatt, scheür vnd Ställ mit Allen Ihrenn gebäuwen & geleg. Inn d. vorstatt Straßburg Inn d. Crutenouw beÿ d. Obern gedeckt. bruck. einseit neben Clauß Enderlin and.sit neb. Diebold Ertz bed. gartner, hind. vff d. statt Rinckmaur stoßend, daran die vbrig 3 vierdtetheil des Bekhenners geschwüsterd. für Ungetheilt zustendig dauon gend xv. gl. glts Ablösig mit iij C gl werung Jacob Traiger dem gartner, Sunst eÿg
Vnd Zu noch mehrer vorgewüsserung, So Ist Auch p.sönlich erschienen hannß Rühell d. gartner Inn Crutenouw hatt sich für sich & mit sampt Ime dem Bekhenner zu einem Rechten bürg. mit: und und selbst schuldner vnver: gesetzt vnd gemacht
[in margine :] disse Verschreibung Ist cassiert vnd vßgethan weg. eines neüwen Contracts prout in Reg 1609. fol. 347. Act. 27. Junÿ Anno 1609.

La maison revient ensuite et totalité à Nicolas Berenstecher, originaire de Romanswiller, et à sa femme Susanne, fille de Jacques Keck. La mariage a lieu en novembre 1606, Nicolas Berenstecher devient bourgeois eb janvier 1607.

Mariage, Saint-Guillaume (luth. f° 41-v, n° 43)
1606. Eodem die [Dominiica XX Trinitatis, 2. Novemb:] Claus Berenstecher der garttner von Rummersweiler, Weilland Thiboldt Berenstechers seligen burgers daselbsten nachgelaßener Sohn, J. Susanna, Jacob Kecken seligen des Gartners nachgelaßene tochter. Eingesegnet Zinstag, 11. Novemb: (i 44)

1607, 2° Livre de bourgeoisie (4 R 104) f° 877
Claus Bärenstecher, der Garttner vnder Wagneren, Empfahet das Burgerrecht von Susanna weÿland Jacob Keckhen des Garttners Hunderlaßener dochter, wüll Zu den Garttnern dienen, vnd 100 fl verstallen Actum den 20 Januarÿ A° 1607.

Nicolas Berenstecher et Susanne Keck assistée de son frère Jean vendent la maison au maréchal ferrant Jacques Gesensohn en s’y réservant l’habitation leur vie durant

1626 (18. Septemb.), Chambre des Contrats, vol. 459 f° 600
(P. fol. 204.) Erschienen Clauß Berenstecher gartner in Krautenaw burger alhie, vnd Susanna Keckin sein ehefr. mit beÿstand hannß Kecken auch gartners in Crautenaw ihres bruders
haben in gegensein M. Jacob Geßensohns deß hueffschmidts auch burgers alhie (…) mit beÿstand H. Paul Rosenbrechers deß Notÿ vnd Kleinen Raths v.wanten ihme festiglich Kauffe,
hauß vnd hoffstatt, Scheür, Ställ vnd garten, sampt der gerechtigkeit Zum gemeinen Bronnen, vnd allen and. Zugehörd. alhie in Crautenaw, beÿ der Eüßersten gedeckhten Brucken, neben Clauß Enderlin 1. vnd 2 seit neben hannß Caspar Schatzen garten, hinden die Scheür vf der Statt wahl stoßend gelegen, dauon gehen Jahrß vff Weÿhenachten 5. gld. St. wer. dem Mehren Spital in hauptg. mit 100. fl. besagter w. Item 5. lb. vff Joîs Bptstæ H. Frantz heüßen dem Würth Zum Engel in Capital mit 100. lb abzulösen, So ist solche behaußung auch v.haff umb xxv. lb d Michel Abts deß gartenmanns s: sohn deßen vogt obgedachter V.keüffer solche vff erfordern Zuerlegen sonst eÿgen, Vnd ist d. Kauff über dis beschwerd. so d. kaüffer vff sich genommen Zugang. per j. C. Lxxij lb
dabeÿ ist expresse angedingt vnd ihnen den verkäuffer auch reservirt word. d. sie ihr lebenlang in solcher behausung vnd allen deren Zugehörd. ohne zinß zuwohnen, zunutz. vnd zunüeß. macht haben, auch solches in guten ehren erhalten sollen
[in margine :] Erschienen Clauß Berenstecher hatt in gegensein der Kheüffer (…) deßgleichen so haben sie sich ferner Verglich. vnd haben Auch die Verkäuffere Verwillig. die Zeit Ihres lebens Khein Anspruch nit mehr Zu haben Ane dem gart. In dem selben hauß dargeg. behalt. Ime der Kheüffer befohr ein Platz Inn dem Keller etwas darinn Zustellen

Originaire de Bregenz sur la lac de Constance, Jacques Gesensohn acquiert le droit de bourgeoisie en 1611. Il épouse l’année suivante Anne Negel, fille du blanchisseur Adolphe Negel : contrat de mariage, célébration
1611, 3° Livre de bourgeoisie (4 R 105) p. 761
Jacob Goßensohn, der huffschmidt von Britzo Am Bodensee khaufft d. Burgerrecht mit Beÿstandt Lorentz Bamels deß huoffschmidts vnd wüll Zu Schmiden dienen Actum den 23 May Aô 1611.

1612, Protocolle (64 not 5) f° 196
Eheberedungs Copeÿ Jacob Gesensohn huffschmidts und Jungfr. Annæ Negele beeder verlopter Ehepersonen
zwischen den Achtbaren vndt bescheidenen Jacob Geesensohn dem huffschmidt, burger Zu Straßburg, alß dem Hochzeiter ane einem,
vnndt dann d. tugendsame Jungfrauw Annen, deß Ersamen Adolph Negele Pleÿchers vff d. Gannßauw Ehelichen Tochter, Alß der hochzeiterin Andern theÿlls
So beschehen den 21. Monats tag Januarÿ Alß mann nach vnsers lieben Herrn vnnd Seligmachers Jesu Christi Geburth Zahlte 1612 – Paulus Rosenberger Notarius publicus Attestatur in fidem manu

Mariage, Saint-Nicolas (luth. f° 94 n° 1)
1612. Den16. Februarÿ seind ehelich eingesegnet worden Jacob Gesen Sohn, von Bregnitz am Bodensee der Huffschmidt vnnd Burger alhie, vnndt Jungfrau Anna Negelin Adolff Negels des Bleichers auff der Ganßaw dochter (i 103)

Le tuteur des trois fils de Jacques Gesensohn vend la maison au jardinier Jean Kling, assisté de on père Balthasar Kling moyennant 150 livres

1647 (22. febr:), Chambre des Contrats, vol. 498 f° 142-v
(Prot. fol. 144.) Erschienen H Hannß Nägelin der Müller vff der Edlen Zornen Mühl alß Vogt Christophs und Isaacs d. Geßensohn, So dann Johannes Geßensohn der hosenstrickher, für sich selbst. alle treÿ weÿl. Jacob Geßensohns deß Spittal Schmidts seel: Söhn und Erben mit beÿstand H Mathæi Hellbeckh genannt Behem und H Adam Bürckhardts beed. E.E. groß. Mittel hierzu insonderheit Deputirter
hatt in gegensein hannß Klingers Gartners in Krautenaw, mit beÿstand Balthasar Klingers Gartners daselbst seines Vatters
hauß, hoffstatt, höfflin, Scheur, Gärtlin mit allen deren Gebäwen, alhie in Krautenaw, beÿ der eüßerst. gedeckht. Bruckhen neben der Statt Wahl ein und anderseit neben hannß Dachern Zum theil, theilß neb. weÿl. H Hannß Caspar Schatzen sel. Wittib und Erb. hin. spitzt es sich vß vff den wahl, vornen vff den Käuffern stoßend gelegen, so verhafftet umb 25. lib H Christoph Brendeln dem Roßbadern, demselben vff Erfordern Zu erlegen – umb 125. lb

Fils du jardinier Balthasar Kling, Jean Kling épouse en 1639 Barbe Offner, originaire de Geispolsheim, qui s’est mariée en premières noces avec le jardinier Nicolas Frey en 1636 : contrat de mariage, célébration
1639 (5. Martÿ), Chambre des Contrats, vol. 482 f° 212-v
(Prot. fol. 165 – Eheberedung) Erschienen Hanß Klinger gartner in der Crautenaw burger Zu Str. alß Hochzeiter, mit beÿstandt seines eheleiblichen Vattern Balthasar Klingers auch gartners daselbsten und Georg Metzgers deß Weißbecken seines Vettern an einem,
So dann Barbara Offnerin, weÿ: Clauß Freÿen gewesenen gartners in Crautenaw hinderlaßene wittib alß hochzeiterin, mit beÿstand Benedict Hürten gartners alda ihres geordneten Vogts, und Jacob Schellhammers auch gartners am Andern theil
Ferner hat Sie hochzeiterin ihme dem hochzeiter, da Er Sie vberlebt Zum Wÿdems v.schrieben den halbentheil an Einer behaußung alhie in Crautenaw beÿ der Oberst gedeckten Brucken gelegen, nach Wÿdembs recht ad dies vitæ zu nutzen und zugebrauchen

Mariage, Saint-Guillaume (luth. f° 131-v)
1639. Dominica Jubilate. Hanns Klinger der Garttner, Balthasar Klingen deß Garttners vndt burgers Alhie, Nachgelaßener ehelich. Sohn, vndt Barbara weÿland Claus Freÿen deß Garttners vndt burgers Alhie nachgelaßene eheliche witib. Cop. Dienstag (i 311)

Mariage, Saint-Guillaume (luth. f° 94)
1636. Dominica XXIII et XXIV Claus Freÿ d. Gartner vndt burg. Alhie vndt Jungfr. Barbara Weÿl. Geörg Offners deß burgers Zue Geÿßpitzen nachgel. eheliche tochter Cop. Eodem die [28. 9.bris] Zue St: Wilhelm (i 291)

Jean Kling l’aîné est autorisé à épouser hors de la ville Claire Mermann avec laquelle il a « dormi avant l’heure »
1674 Conseillers et XXI (1 R 157)
(f° 423) Sambstag d. 12.ten Septembris aô 1674 – Hannß Kling
Hannß Kling der älter Gartner in Krautenaw bericht per Reüßnern, daß Er Wegen Frühzeitigen beÿschlaffs gesinnet Wehre, sich mit seiner Geschwächten Clara Mermennin, Außerhalb vndt Ohne Vorgehende proclamation copuliren zu laßen. deßwegen Vmb Obrigkeitlicher Consens. Erk. Willfahrt. H. Von Fridelsheim, H. Metzger

Jean Kling hypothèque la maison au profit d’Anne Marie Oberlin assistée de son beau père Philippe Kœrner, auberge à la Cannette

1671 (14. Apr:), Chambre des Contrats, vol. 538 f° 326-v
Erschienen Hannß Klinger Gartner in Krautenau
in gegensein H. Abraham Gollen E.E. Großen Rhats Beÿsitzers alß Vogts Annæ Mariæ Oberlin mit beÿstand H Philipß Körners deß Würths Zur Kandten, ihr Annæ Mariæ Stieffvatters – schuldig seÿe 50. lb, darunder 25. lb ihme Zu dem Ende bahr gelühenen Gelts daß Er damit H Hannß Wörneren alten großen Rhats verwanthen umb 25. lb Vermög der am 2.ten 8.br A° 1654. beschehener Delegation bezahlen
Unterpfand, sein soll, die daselbst beschribene Behaußung Item hauß hoffstatt höfflin, Scheür und Gärtlin mit allen deren Gebäwen & alhie in Krautenau beÿ der eüßersten gedeckhten Bruckhen, am Statt wahl ein und anderseit neben hannß Caspar Schatzen Erben, hinden auch Vff den wahl stoßend gelegen, Ein Ackher Feldts in der Klebßaw (…)

Marie Marguerite Obrecht née Marbach vend à Jean Adam Sigel plusieurs rentes dont 10 sols que Jean Kling doit payer chaque année de sa maison en vertu d’un titre daté du 15 caldendes de juin 1513.

1674 (3 Jan.), Chambre des Contrats, vol. 543 f° 3
die Ehrenvest hochgelehrte Herr Ulricus Obrecht beÿ hiesiger Löbl. Universität Profess. Historiarum Und herr Johann Adam Goll U.J.D. et Advocatus beede im nahmen Fr. Mariæ Magdalenæ Obrechtin Wittibin gebohrner Marbachin Ihrer resp. eheleiblichen: und Schwiger Mutter mit beÿstand deß Ehrenvest und Weÿsen H. Michael Greßmanns E.E. Großen Rhats alten Beÿsitzers der Obrechtischen Ledigen Kinder Vogts
in gegensein H. Johann Jacob Schawmanns E.E. Stattgerichts Procuratoris alß Vogts Johann Adam Sigels
Erstlichen 10. ß Jährlichen term. Adolphi fallenden und mit 10. lb Widerlößigen Zinnßes so anietzo hannß Kling Gartner in Krautenau Von uff und ab seiner in erwehnter Krautenau Ligenden Behaußung, Vermög eines Latinischen pergamentinen 4.ten Nonas Septembris A° 1503 mit deß bischofflichen hoffs anhangendem Insigel außgefertigten Zinnßbrieffs, wie auch besag eines Latenisch. pergamentinen 15. Kalend. Junÿ A° 1513. mit deß Archidiaconats hoffs anhangendem Insigel außgefertigter Kauffbrieffs Zu geben pflichtig,
Item 2. fl. str. wehr. jährlichen Zinß widerkäuffig mit 50. fl. ged. wehr. so anietzo hannß Martin Rieth der Schiffmann, vermög eines teutschen pergamentinen Sub dato 9. Martÿ Anno 1546. mit deß bischofflichen hoffs anhangendem Insigel durch Weÿl. H. Wolffgang Ruchen alß erwehnten Hoffs geweßenen Contractuum Not. außgefertigtem Zinnßbrieffs Von Vff und ab seiner alhier in Krautenau neben dem Bierhauß Zum Rißen gelegenen Behaußung Zu Verpensioniren obligirt
So dann 23. lb 12. ß 6. ß Nachtrags Capital so Johann Jacob Redwitz Senior, Von Vff und abe seiner alhier im Pflantzhoff gelegenen behaußung Jährlichen term° Annunc. Mariæ mit 1. ln 3 ß 7 d Zu Verinteressiren Verbunden zumahlen bedeütete 3. Capitalia gegen männiglichen freÿ ledig und eigen seÿen – umb 54. lb

Marguerite Kling femme de l’huilier David Beuter vend un quart de jardin à Jean Kling. En marge quittance accodée en 1687 à Jean Kling et à Michel Kientz, respectivement fils et gendre de l’acquéreur.
1678 (23.2.), Chambre des Contrats, vol. 547 f° 145
Herr David Beuter der Ohlmann und E.E. Kleinen Rhats beÿsitzer alß Ehevogt Margarethæ Klingerin
in gegensein Hannß Klingers Gartners in Krautenaw
Einen Viertentheil Ihro Margarethæ für getheilt gebührendt, ahne Einem Garten, im Zoll garten genannt, einseit neben dem Käuffern selbsten, anderseit neben dem Allmend, oben und unden uff den Käuffer stoßend gelegen, Von welchem Vierten theil gibt mann 2. ß 10. d Jährlichen Zu Zinß der Statt Pfenningthurn – umb 50. lb
[in margine :] Erschienen H Stephan Amberger alß deß hierinn gemeldt. Beuters tochtermann, auch deßen Gemeldt nachgelaßene wittib, so nunmehr auch verstorben, gewesene Vogt hat in gegensein hans Klingen und Georg Kellers deß Käuffers respect. Sohns und tochtermanns wie auch Andres Küntzen deß Garttner büttels alß deß. nachgel. 2. Kind. letzter eh. Vogts (quittung) Act. d. 13.t Febr. 1687.

La maison est ensuite partagée, la partie arrière revient sa fille Salomé et la partie avant à son fils Jean Kling qui épouse en 1674 Anne, fille du garçon batelier Jean Jacques Anna : contrat de mariage, célébration. Le pasteur note que Jean Jacques Anna est un homme obstiné et peu avenant.

1674 (17. Martÿ), Chambre des Contrats, vol. 543 f° 152
(Eheberedung) Hannß Kling der Jünger, Gartner in Krautenau alß hochzeiter, mit beÿstand hannß Klingen deß ältern Gartners alda seines eheleiblichen Vatters an einem
So dann Jungfr. Anna, mit assistentz Hannß Jacob Anna deß Schiff Knechts ihres eheleiblichen Vatters und Daniel Von Zabern deß ältern Waßer Zollers ihres Vogts am andern theil

Mariage, Saint-Guillaume (luth. f° 191, n° 17)
1674. Domicis VII et VIII Trinit. 2/9. Aug. Johannes Kling der Jüngere Garttner, Hans Klingen des ältern Gartners vndt B. alhie ehelicher Sohn, V Jgfr Anna, Hans Jacob Anna Schiffknechts vnd B. alhie eheliche T. Eines Störrig. vndt unfreündlich. Vatters. Cop. idem (W. 30. dito) i 69

Anne Anna meurt à l’âge de 38 ans le 16 avril 1692
Sépulture, Saint-Guillaume (luth. reg 1687-1707, f° 48 n° 10)
1692. Mittwochs d. 16. Aprilis ist Anna Anna, Hanß Klingen deß Gartenmanns vnd B. alhie eheliche Haußfr. Ihres alters 38. Jahr 11 Wochen. 3 tag auff der Neüen Begräbnus beerdiget word. [unterzeichnet] hanß Kling als wittwer (i 48)

Jean Kling se remarie avec Anne Marie Scheer, fille du chanvuer Georges Scheer qui a perdu le droit de bourgeois et de sa femme Marie Engel. Elle devient bourgeoise quelques jours avant son mariage.
Mariage, Saint-Guillaume (luth. f° 44, n° 38)
1692. Mittwochs d. 12. Nov. hatt Johannes Kling, d. Gartenmann v. B. alhie mit J. Anna Maria Wld. Georg Scherren deß Hänffers Vnd Schirms Verwandten Vnd Mariæ Engelin ehelicher Tochter sich copuliren lassen [unterzeichnet] hanß Klinger als hoch zeiter, + der Hochzeiterin Handzeichen (i 44)

1692, 4° Livre de bourgeoisie p. 624
Anna Maria Scherin, Von hier, Weÿl. hannß Georg Scherern des gewesten Gartenmanns allhier, so sein burgerrecht hiebevor Verzogen gehabt, hinterbl. tochter empfangt das burgerrecht Von Hannß Klingen, dem gartenmann allhier, ihrem jetzmahls Verlobten, gratis, ist noch ledigen standts und wird Zu E. E. Zunfft der Gartner in Krautenau dienen. Prom: d. 5. 9.br. 1692.

Jean Kling hypothèque la maison au profit du notaire Jean Christophe Schœll, receveur de Saint-Etienne

1707 (18.4.), Chambre des Contrats, vol. 580 f° 285-v
Hanß Kling Gartenmann
in gegensein H. Joh: Christoph Schöllen Not: publ: u. Schaffners beÿ St Stephan – schuldig seÿen 75 pfund
unterpfand, seine behaußung c. appert. allhier in der Krautenau einseit neben der Capuciner maur anderseit neben mathis Schmidt hinten auff Joh: Georg Keller stoßend
Item 1/3.ter theil vom halben acker im Spithalgarten einseit neben hannß voltzen wittib anderseit neben der Kostmänischen wittib, oben auf den weeg unten aufs wasser

Jean Kling meurt inopinément le 19 janvier 1722 à l’âge de 74 ans. Les témoins dont ses deux fils Jean et Frédéric.
Sépulture, Saint-Guillaume (luth. reg. 1687-1757, f° 49-v,n° 1)
1622. Montags d. 19.t Jan. hora med. 8. matut. starb fast ohnvermutet Hanß Kling der Gartner u. Burger allhier seines alters 74 jahr undt 3. Monat. Wurde folgent. Mittwochs als den 21. Ej. auff den Gottes: acker St. Urbani geführet und daselbst beÿ gehaltener leich Predigt mit christl. Ceremonien Zu Grab gebracht. Gott gebe ihm eine sanffte u. seel. ruhe. T. ist Hanß Klingen ältesten Sohns Zeichen H, Ist Friderich Kling. deß jüngern Sohns Zeichen + (i 52)

L’inventaire de sa succession est dressé un mois plus tard. Contrairement à l’habitude, il ne précise pas que les quatre héritiers sont issus de deux mariages. L’inventaire est ansa doute dressé dans la maison que le défunt a vendue à son fils. La masse propre à la veuve est de 15 livres, celle des héritiers de 22 livres. L’actif de la communauté s’élève à 7 livres et le passif à 45 livres.
1722 (14.2.), Not. Lang (Jean Henri, 28 Not 9) n° 216
Inventarium und Beschreibung aller derjeingen Haab und Nahrung, so Weÿl. der Ehrsame Hannß Kling der ältere geweßener Garttner in Krautenau und burger alhier zu Straßburg nunmehr seel. nach seinem den 19. Januarÿ dießes fortlauffenden 1722. Jahrs genommenen tödlichen ableiben Zeitlichen verlaßen, Welche Verlaßenschafft auf freundliches ansuchen erfordern und begehren deß Verstorbenen seel. hinderlaßenen Erben wie auch deri geschwornen Vögte welche alle hernach ordentlich beschrieben, Vorgenommen ersucht und inventirt durch die tugendsame Fraw Annam Mariam Klingin gebohrne Scheerin die hinterbliebene Wittib beÿständlich H. Johann Philipp Lauthen deß Spithal Müllers vnd burgers alhier Ihres geschwornen Vogts (…) Actum Sambstags den 14. febr : 1722.
Der abgeleibte seel. hat ab intestato Zu Erben Verlaßen wie volgt. 1. den Ehrsamen Hannß Klingen den Jüngern Garttnern in Krautenaw vnd burgern alhier welcher dem Geschäfft in person beÿgewohnt, 2. Annam Margaretham Holtzingerin H Conrad Holtzingers deß Meelmanns mit weÿl. frawen Anna Margaretha gebohrner Klingin Ehelich erzeugtem döchterlein deßen geschworner Vogt, H. Conrad Hüttner Müller auff der Zornen Mühl welcher in Person gewohnt, 3. Hannß Jacoben, Johann Martin v. Annam Mariam die Klingen, weÿl. Hannß Jacob Klingen geweßenen Gartenmanns in Krauttenaw hinderlaßene Eheliche Kinder welche sich Zwar in alhießigem Weÿsenhaus befinden, In dero Nahmen zugegen der Wohl Ehren Vest vnd Großachtbahre H. Johann Heüpel Wohlverordneter Schaffner allda. 4. Friderich Klingen, Ledigen Garttner welcher beÿ 21. Jaren alt, vnd dem Geschäfft auch in Person beÿgewohnt, also alle deß Verstorbenen hinderlaßene Söhn und Enckel

In einer allhier zu Straßburg in der Vorstatt Krautenau gelegener und in dieße Verlaßenschafft nicht gehöriger behaußung befund. worden wie volgt
Series rubricarum hujus Inventarÿ. Copia der Eheberedung, pge. in Protocollo B folio (-)
der Wittib unverändert Vermögen, Schuld 15 lb
Dießemnach würdt auch der Erben unveränderte Nahrung so bestehet, Eÿgenthumb ane Einem ligenden gutt 37 lb – Schulden, Nach deren Abzug 22 lb
Endlichen würd auch das gemein Verändert vnd theilbar gut beschrieben, So allein in haußrath und vahrender haab bestehet 7 lb – Schulden 45 lb, Übertreffen alßo solche passiva das Theilbahr Gutt umb 38 lb
Conclusio 15 lb

Jean Kling vend la maison à son fils Jean Kling moyennant 225 livres. La vente compren la moitié arrière de la cave voûtée sous le bâtiment arrière.

1718 (15.2.), Chambre des Contrats, vol. 591 f° 87
(112) Hanß Kling Gartenmann
in gegensein Hanß Kling jun: Gartenmann daß er Vatter ihm dem Sohn
hauß hoff hoffstatt gärtlein und die hinterste helfte deß gewölbten kellers unterm hintern hauß so denen kellerischen E.E. gehörig, mit allen begriffen, weithen, zugehörden, rechten und Gerechtigkeiten in der Krautenau gegen dem frantzösischen spithal, einseit neben Mathias Schmidten wittib anderseit neben dem Capuciner closter vornen gegen dem Sptihal hinten auff Jacob keller wittib – um 150 lb capital verhafftet, geschehen um 75 lb

L’acquéreur est fils de Jean Kling et de sa première femme Anne Anna (voir l’acte de mariage). Il épouse en 1704 Salomé Schœllhammer, fille du jardinier Jean Schœllhammer et de sa femme Aurélie Riehl : contrat de mariage, célébration
1704 (15. 8.bris), Not. Baer (Christophe Evrard, 2 Not 13)
Eheberedung – Erkannt Willfahrt dem Ehrs. und bescheid. Johann Klingen dem ledigen Gartenmann, deß bescheid. hannß Klingen burgers undt Gartenmanns ehel: Sohn, alß dem hochzeiter ahn Einem,
So dann der viel Ehren vnd tugend: Jgfr: Salomea Schöllhammerin deß Ehren vnd bescheid: hannß Schöllhammers deß Gartners ehel: tochter alß der Jgfr. hochzeiterin andern theils sich begegen und Zugetragen,
darbeÿ auch Inn beÿseÿn mit wißen willen vnd guten Consens und unterhandlung deß Ehren vnd bescheid: hannß Klingen deß Gartenmanns vndt deß hochzeiters ehel. vatter vnd deß bescheid. Johann Jacob Adam, Schiffbeÿers alß deß hochzeiters annoch ohnentledigten Vogts auff sein des hochzeiters, vnd dann auff der Jgfr. hochzeiterin Seithen deß Ehren vnd bescheid. hannß Schöllhammers deß Gatners vndt er Jgfr. hochzeiterin ehel. Vatters vnd deß bescheid. hannß Michel Schultzen deß Gartners vnd der Jgfr. hochzeit. ehel. Schwagers
So beschehen Inn der Königlichen Freÿen statt Straßburg Mittwoch d: 15. 8.bris Anno 1704. [unterzeichnet]+ dies Zeichen hatt drer hochzeiter anbeÿ gesetzt, hanß Kling als vatter, x dises Zeichen hatt sie hochzeiterin anbeÿ gesetzt

Mariage, Saint-Guillaume (luth. f°110, n° 22)
1704. Mitwoch den 29. Octobris Wurden nach Zweÿmahliger ordentlichen proclamation Zur Ehe eingesegnet, Hanns Kling der ledige gartenmann Hanns Klingen deß gartenmanns und burgers und Weÿland Anna Annin seiner ehefrauen Ehel. Sohn, und Jgfr. Salome, hanns Schöllhammers deß gartners und burgers, und seiner Ehefrauen Aureliæ Rielin Eheliche tochter [unterzeichnet] H. Zeichen des Hochzeiters, x der Hochzeiterin Zeichen (i 114)

Jean Kling meurt en 1728 en délaissant quatre enfants. Les experts estiment la maison 150 livres. La masse propre à la veuve est de 251 livres. L’actif des héritiers et de la communauté s’élève à 49 livres, le passif à 265 livres. Par un acte anexé, David Ohl cède les droits qui lui sont échus apès la mort de sa fille issue de Marie Elisabeth Kling

1728 (22.3.), Not. Lang (Jean Henri 28 Not 15) n° 379
Inventarium über Weÿl. Hanß Klingen geweß. G. in Crautt. u. burgers alhier nun seel. Verlaßenschafft auffgerichtet Anno 1728. – nach seinem den 2. febr. dießes lauffend. 1728.sten jahrs genommenen tödtl. ableiben Zeitlichen verlaßen, welche Verlaßensch. auf gebührendes ansuch. erfordern u. begehren deß Ehrengeachten H Michel Schultheißen G. in erstged. Crautt. u. b. alh. als geordnet und geschworenen Vogts Mariæ Elisabethæ, Hannß Georgen, Mariæ Salomeæ und Cath. Margarethæ der Klingen deß abgeleibten seel. mit hernachgemeldt hinterbl. wittib ehel. erzeugt: und ab intestato nachgelaßener rechtsmäßig. Erben Vorgenommen, ersucht u. inventirt durch die Ehren: u. tugendsame Fr. Salome geb. Schöllhammerin die hinderbl. Wittib welche mit beÿstd. deß Ehrengeachten Conrad Holtzingers Meelmanns u. b. alh. ihrem geschwornen Vogt, Zugegen (…) So geschehen in Straßb. Montag d. 22.t Martÿ A° 1728.
Copia der Eheberedung, pge. in meo Prot: B fol. 295 Et Seq.

Bericht wegen dißer Verlaßenschafft in specie wegen dem theilb. gutt. Nachdeme dieße Verl. Völlig inv: u. d. W. Erg. ersucht war habe ich Nots. die W. gefragt, ob Sie gesinnet wäre ane dem theilb. gutt zu particip: od. nicht, so hat sich dieselbe beneb. ihren Vogt gleichbald erclärt, d. sie ô glaub. Könne, d. etwas gewonnen guth heraußfallen werden seÿe,dahero Keines weeges intentionirt daran anzustehen, sondern solches denen Erb. tam active quam passive Zu cediren (…)
In einer alh. Zu Straßb. gegen dem frantzös. Spital ligend. u. in dieße Verl. gehörig. behauß. befund. worden wie volgt.
Holtz und Schreinwerck. Auff d. obern bühn, In der Cammer A, In der Cammer B, In d. Stub,
Eÿgenthb. an Ir. Behauß. u. Gärtlein. Hauß,, Hoff, Hoffstatt u. gärtl: m. allen deß. begr. weith. recht. Zugehörd. v. gerechtigkeit geleg alh. Zu Straßb. in d. Crautt. geg. dem frantzös. Spittal 1.s. neben Mathis Schmid dem Kremppen 2. s. neben dem Capuc: Closter fornen geg. dem Spital hind. auf Jacob Kellers W. u. Erb. stoß. welche behauß. annoch S. T. Hn Frid. Theobald Sahler Ddo als Vogt beed. Schöllisch. gebrüder, umb 150. lb d. verhafftet so jährl. auff Annunc: Mar: mit 7 lb 10 ß d. Verzinßt werd. so ist ledig u. eig. u. Vermög ad Conc: gel. Von alh. Werckmeistern eigh. subscrib. d. 24. Martÿ hujus anni datirter absch. æstimirt pro 150. lb. d.. V. d. daran ligende Klein gärtl. durch Eing. ged. H. Schätzer 5 lb. Also Zus: umb 155. lb Nach abz. aber obig. passiv. oneris der 150. lb. d. wid. noch außzuwerffen sein 5.. wie wann u. welchergestalt d. Verstorb. seel. dießen hauß Von seinem auch seel. Vatter erkaufft weißt i. in alh. C. C. stb. gef. perg. Kbr. m. dero anh. ins. Verw. datirt d. 15.ten febr. A° 1718. mit N° 1. Sig.
Ergäntz. der Wittib abgegangenen unv. gutts. Nach besag deß durch nun weÿl. H. Christoph Eberhard Bären Notm. seel. d. 26.ten Martÿ A° 1711. auffgerichteten theilreg. besag. was sie hinterbl. W. Von nun auch weÿl. hannß Schöllhammern gewes. G. in offtged. Crautt. u. b. alh. ihrem Vatter seel. vor 1/5. theil geerbt
Norma hujus inv. Der W. unv: Vermögen, Sa. haußraths 3, Sa. Silbers 10 ß, Sa. gold: ring 1, Sa. Eÿgthb an i. ligend. gutt 12, Sa. Activi 25, Sa. Erg. rests 208. Summa summarum 251 lb
Solchemnach Wird auch sowohl d. Erben unv. als auch weilen die W. ane dem theilb. Gutt Zu particpiiren crafft obig. berichts ô gesonnen die theilb. Verlaß. und. i. massa beschrieben, Sa. haußraths 24, Sa. Schiff und geschirrs 1, Sa. blumen auf dem feld 1, Sa. hauß u. gärtl. 5, Sa. Eÿgthb. an i. ligend gutt 15, Sa. lehengrunds ô, Sa. Activi 2, Summa summarum 49 lb – Schulden 265 lb, Passiv onus 216 lb – Stall Summ 14 lb
Abschatzung d. 24. Marty aô 1728. Auf begehren Weÿland des Ehren hafften und bescheidenen Johannes Kling gewesenen gartenmans seel: hinter laßene Erben, ist eine behausung allhier in der Statt Straßburg in der Krautenau gegen dem frantzösisch. hospital über geleg. ein seits Neben H Ößinger, anderseits Neben Mathias Schmid, hinden auf des Capuciner Kloster stosend, welche behausung, Stübel, Cämmerl. hauß Ehren und gebälcktes Kellerlein samt aller gerechtigkeit wie solches durch der Statt Straßburg geschworene Werckleuthe sich in der besichtigung befunden und Jetzigem preiß Nach angeschlagen wirdt Vor undt Umb Dreÿ hundert gulden. Bezeichnuß durch der Statt Straßburg geschworene Werckleuthe [unterzeichnet] Michael Ehrlacher Werck Meister deß Meinsters, Johann Jacob Biermeÿer Werck Meister deß Zimmerhoffs, Johann Peter Pflug Werckmeister deß Mauer hofs
Zu wißen seÿe hiemit daß ane heut Zu end gemeltem dato persönlich erschienen weÿland hannß Kling des geweßenen G. a. Crautenau auch burgers allhie seel. hinterbliebene W. Nahmens Salome gebohrne Schöllhammerin beÿständlich ihres Sohns Hannß Georg Kling des leedigen garthenmanns, Ferner H. Johann Michael Schultz, G. a. Crautenau alß noch ohnentledigter Vogt Jgfr. Mariæ Salome Klingin ane einem, Sodann David Ohl ebenfalls Garthner ane besagter Crautenau, alß universal Erb seines mit weÿl. Fr. Maria Elisabetha gebohrner Klingin seiner Ehefr. seel. ehelich erziehlten und nach ihro auch Verstorbenenn töchterlein Mariæ Elisabethæ ane dem andern theil, anzeigende, welchergestalten Sie Klingische W. dero Sohn und tochter H. Vogt sich mit Ihme Ohl wegen obigen Hanß Kling ihres respê Ehemanns, Vatters und Schwähers seel. Verlaßenschafft verglichen hätten wie folgt. Nemblichen es cedirt und überläßet Er David Ohl Vor sich und seine Erben seiner Verstorbenen frauen seel. Vierten theil ane ihres vatters seel. Verlaßenschafft welcher ihme durch absterben seines Kings sowohl liegend als fahrenden guths überall nichts davon außgenommen (…) um 60 gulden – So beschehen Straßburg Mittwochß den 18.ten Aprilis Anno 1742.

Les biens ruraux que Jean Kling tenait à bail sont attribués au jardinier Jacques Wolff
1728, XV (notes du greffier 2 R 133)
(p. 62) Iid: [Obergarten herren] Jacob Wolff gartner berichtet, daß Hans Kling gestorben, welche die 3.te trägereÿ Verwaltet haben bittet ihme sothane trägereÿ, darin er ohne dem 3 Viertzel bawe, Zukommen Zulaßen. Erk. beliebt.

La veuve Salomé Schœllhammer meurt en 1747 en délaissant pour unique héritière sa fille Marie Salomé femme du jardinier Michel Kientz. Les experts estiment la maison 200 livres. L’actif de la succession s’élève à 252 livres, le passif à 155 livres.

1747 (9.6.), Not. Stoeber l’aîné (6 E 41, 1141) n° 492
Inventarium über Weÿland der Ehren: und tugendsahmen Frauen Salome Klingin gebohrner Schöllhammerin auch weÿl. Hannß Kling geweßenen GAKr. und burgers allhier zu Straßburg seel. hinterbliebener Wb. nun auch seel. Verlaßsenschafft auffgerichtet in Anno 1747 – nach ihrem dienstags den 28. Martÿ instehenden 1747.sten Jahrs aus dießer welth genommenen tödtlichen hientritt Zeitlichen Verlaßen, welche Verlaßenschafft auf gebührendes ansuchen erfordern und begehren auf Ansuchen frauen Mariä Salome Kientzin gebohrner Klingin, Michel Kientz des garthenmanns und burgers allhier Ehefrauen deroselben eheleiblichen tochter und ab intestato verlaßene universal Erbin beÿständlichen ihres Ehemanns inventirt (…) So beschehen Straßburg Freÿtags den 9.ten Junÿ 1747.

In einer allhier Zu Straßburg dero Vorstatt Krautenau gegen dem Frantzösischen Hospithal über gelegenen hiehero gehörigen behaußung befunden worden, wie folgt
Eigenthumb ane einer Behaußung. Nembl. eine behaußung Hoff, Hoffstatt und gärthlein mit allen deren gebäuden, begriffen, weithen, rechten zugehörden und gerechtigkeiten, allhier zu Straßburg dero Vorstatt Krautenau gegen dem Frantzösischen Hospithal über, 1.s neben Michel Fichter dem Holtzkarcher, 2.s neben dem Capuciner Closter hinten auf Jacob Kellers wittib und Erben stoßend gelegen, so freÿ leedig, eigen und soviel die gebäude betrifft durch (die Werckmeistere) außweißlich des Zu mein Notarÿ Concept gelüfferten schrifftlicher Abschatzung Zeduls vom 20. hujus 1747 angeschlagen pro 200 lb, das gärthlein aber durch Eingangs gemelten H. Schätzer pro 5 lb, thut sammenthafft 205. lb. Darüber besagt i. teutscher pergamentener Kauffbrieff in allh. C. C. Stub gefertiget mit dero anhangendem Insiegel Verwahrt, datirt den 15. Februarÿ Anno 1718. mit N° 1 notirt und dermahlen wieder dabeÿ gelaßen.
Abzug in gegenwärtig. Inventarium gehörig. Sa. hausraths 7, Sa. Eigenthumbs ane einer Behaußung 205, Beßerung ane lehengüthern ô, Summa summarum 252 lb – Schulden 155 lb, Nach deren Abzug, Stall summ 97 lb

La maison échoit à Marie Salomé Kling qui épouse en 1743 le jardinier Michel Kientz : contrat de mariage, célébration

1743 (23.1.), Not. Stoeber l’aîné (6 E 41, 1223) n° 110
Eheberedung Zwischen dem Ehrsahm und bescheidenen Michael Kientz dem leedigen garthenmann, Weÿd. Andres Kientz gewesenen Garthenmanns und Burgers allhier Zu Straßb. seel. in letzter Ehe mit Frauen Maria Magdalena Kientzin gebohrner Schöhnin seiner hinterblieben W. ehelich erziehltem Sohn alß dem Hochzeiter beÿständlichen Hannß Michel Kieffers G. a. Crautenau seines geschwornen Vogts ane einem
So dann der Tugendsahmen Jgfr. Mariä Salome Klingin weÿld. Hannß Kling geweßenen Garthenmanns und Burgers allhier mit fr. Maria Salome geb. Schöllhammerin seiner hinterbliebenen W. ehelich erziehlten tochter alß der Jgfr. hochzeiterin, mit assistentz H. Hannß Michel Schultz des ältern G. a. Crautenau ihres noch ohnentledigten Vogts ane dem andern theil gepflogen
So beschehen Straßburg Mittwochß den 23. Januarÿ Anno 1743. [unterzeichnet] Michael Kintz als hochzeiter, o der Hochzeiterin handzeichen

Mariage, Saint-Guillaume (luth. f° 119-v, n° 12)
Aô 1743. den 29. Maÿ. Seind nach Zweÿmahliger außruffung nemlich Dominica Rogate et Exaudi in der Kirch Zu S. Wilhelm ehl. copulirt und eingesegnet worden Michael Küntz der ledige Garten Mann und burger allhier weÿl. Andreß Küntzen auch geweßenen Garten Manns und burgers allhier und Magdalenæ Schönÿn ehl. Sohn und Jugfr. Maria Salome, weÿl. Johann Klingen geweßenen Garten Manns und burgers allhier und Maria Salome Schöllhammerin nachgelaßene ehl. Tochter [unterzeichnet] Michael Kintz als holl hoch Zeiyer, M.S. der Hochzeiterin Zeichen (i 123)

Les nouveaux mariés font dresser l’inventaire de leurs apports dans la maison qui appartient à la mère de l’épouse. Les apports du mari s’élèvent à 83 livres, ceux de la femme à 80 livres.
1743 (1.7.), Not. Stoeber l’aîné (6 E 41, 1134) n° 243
Inventarium über des Ehrsam und bescheidenen Michael Kientz, garthenmanns und der tugendsahmen Frauen Mariä Salome Kientzin gebohrner Klingin beeder Eheleuthe und burgere allhier Zu Straßburg einander in den Ehestand zugebrachte Nahrungen auffgerichtet Anno 1743. – welche der Ursachen alldieweilen iin ihrer Vor mir Notario den 23.t Januarÿ instehenden 1743.gste Jahrs auffgerichteten Eheberedung §° 3.tio expresse enthalten daß einem jeedem sein in die Ehe bringendes Vermögen Vor Ohnverändert Verbleiben solle (…) So geschehen in fernerem Beÿseyn H. hannß Michel Kiaffers G. a. Krautenau des Ehemanns noch ohnentledigten Curatoris und H Hannß Michel Schultz des ältern auch garthners allda der Ehefr. annoch ohnentledigten Vogts, Strassburg Montags den 1. Julÿ Anno 1743.
In einer allhier Zu Straßburg dero Vorstatt Crautenau beÿ der Sonn gegen dem Frantzösischen Hospithal über gelegenen der Ehefrauen Mutter eigenthümlich zuständigen Behaußung befunden worden wie folgt.
Abzug in gegenwärtig Inventarium gehörig. Des Ehemanns ohnverändert gutg, Sa. haußraths 68, Sa. Silbers 4, Sa. der baarschafft 10, Eigenthum ane liegenden gütheren ô, Summa summarum 83 lb
Dießemnach wird auch der Ehefrauen in die Ehe gebrachtes Guth beschrieben, Sa. haußraths 69, Sa. Silbers 3, Sa. Goldener Ring 7, Summa summarum 80 lb
Haussteuren 13 lb, daran gebühret jeedem Ehegatt crafft der Eheberedung §° VI.to die helffte mit 6 lb

Marie Salomé Kling meurt en 1757 en délaissant trois enfants dont l’un meurt peu après elle. L’inventaire est dressé dans leur maison. La masse propre au veuf présente un déficit de 441 livres, celle des héritiers s’élève à 413 livres. L’actif de la communauté s’élève à 550 livres, le passif à 551 livres
1757 (10. Xbris), Not. Stoeber l’aîné (6 E 41, 1171) n° 1045
Inventarium über Weÿl. der Ehren und tugendsahmen Frauen Mariä Salome Kientzin geb. Klingin, deß Ehrsam und Bescheidenen Michael Kientz, des jüngern Garthenmanns und burgers allhier Zu Straßburg geweßter Ehefr. nun mehr seel. Verlaßenschafft auffgerichtet in Anno 1757. – nach ihrem Donnerstags den 26.gsten Maÿ dießes Zu end eilenden 1757.gsten Jahrs aus dießer welt genommenen tödlichen hintritt Zeitlichen verlaßen, Welche Verlaßenschafft auf geziemendes ansuchen erfordern und begehren sein Michael Kientz, des hinterbliebenen Wittibers, wie auch des Ehrsam und bescheidenen Johann Klein, Garthenmanns und burgers allhier, als geordnet undt geschworenen Vogts Johann Georg welcher den 22. Februarÿ 1752. und Johann Michael, der den 11. Maÿ 1754. ane dieße Welth gebohren worden, die die abgeleibte seel. nebst Mariæ Magdalenæ so ihro in die Ewigkeit nachgefolget, mit dero Wittiber ehelich erzeüget und ab intestato Zu Erben Verlaßen, derowegen solcher Verstorbenen töchterleins tertz Ihme dem Wr. Zufällig ist, Inventirt (…) So beschehen Straßburg Donnerstag den 10.ten Xbris Anno 1757.
Copia der Eheberedung

In einer allhier Zu Straßburg dero Vorstatt Krautenau ane der Tränckgaß gelegenen und in dieße Verlaßenschafft gehörigen behaußung befunden worden wie folgt
(f° 5) Eigenthumb ane einer Behaußung. (W.) Nembl. Eine Behaußung, hoff, hoffstatt, Scheur und Stallung und Kleines Garthen plätzlein (…)
(f° 10) Ergäntzung des Wittibers abgegangenen ohnveränderten guths. Nach Anleitung des über beeder gewester Eheleuth einander in den Ehestand Zugebrachte Nahrungen durch mich Notarium den 1. Julÿ 1743. auffgerichteten Inventarÿ
Abzug in gegenwärtigen Inventarÿ. Des Ws. ohnveränderten Vermögens. Sa. hausraths 13, Sa. Silbers 1, Sa. baarschafft 3, Sa. Eigenthums ane j. Behaußung 500, Sa. Eigenthumbs ane liegenden güthern 17, Sa. beßerung ane lehengüthern ô, Ergäntzung wird passivé übertroffen umb (439), Summa summarum 535 lb – Schulden 977, Passiv onus 441 lb
Dießemnach wird auch derer Kinder und Erben ohnverändert Gut beschrieben, Sa. haußraths 44, Sa. Silbers 17 ß, Sa. goldener Ring 1, Sa. Eigenthum ane liegende güthern 42, Sa. beßerung ane lehengüthern ô, Sa. der activ schuld 37, Erg. 306, Summa summarum 413 lb
Endlich folgt auch das gemein Verändert und theilbare Guth, Sa. haußraths 23, Sa. Schiff und geschirrs Zum Feld und Garthenbau gehörig 2, Sa. Früchten aug der Kast, Saat, Zwibl. und Knobloch 12, Sa. Taback 7, Sa. beßerung im hoff 10 ß, Sa. blumen auf dem feld und Gartenwaaran 6, Sa. Eigenthums ane liegende güthern 57, Sa. beßerung ane lehengüthern ô, Sa. der activ Schuld 439, Summa summarum 550 lb – Schulden 551 lb, passiv onus 1 lb
Copia der Eheberedung (…) den 23. Januarÿ A° 1743. Johann Daniel Stöber

Michel Kientz se remarie en 1758 avec Marie Marguerite Gori, fille de jardinier : contrat de mariage, célébration
1757 (9. 9.br), Not. Stoeber l’aîné (6 E 41, 1224) n° 587
Eheberedung Zwischen dem Ehrsam und bescheidenen Michael Kientz Garthenmann Wr. und burgern allhier, alß Hochzeiter, ane einem,
So dann der Ehren und Tugendsamen Jgfr. Maria Margaretha Gorÿn weÿl. Johann Jacob Gori deß ältern gew. Garthenmann und burgers allhier mit auch weÿl. Fr. Maria Barbara geb. Fuchßin, nun beeder seel. ehelich erzeugten tochter, alß der hochzeiterin, unter assistentz H Johann Georg Wehrlen, Musici und b. allhier ihres geschwornen Vogts, wie auch ihres Bruders und Schwagers Joh: Jacob Gori und Johann Geörg Martin beeder Garthenmänner und b. dahier ane dem anderen theil gepflogen
So beschehen Straßburg Mittwochß den 9. 9.bris A° 1757 [unterzeichnet] Michael Kintz Als hochzeiter, Margaretha Goryn als hochzeiterin

Mariage, Saint-Guillaume (luth. f° 213-v, n° 3)
Aô 1758. d. 8.t Februarii. Seind in der Kirche Zu S. Wilhelm nach Zweymahliger Außruffung, so Dominica Sexagesima et Quinquagesima geschehener Ehe eingesegnet worden Michael Kientz, Gartenmann, Wittwer und burger allhier, und Jungfrau Margaretha Salome, weÿl. Johann Jacob Gori, sen. geweßten Gartenmanns und burgers allhie u. Mariæ Barbaræ Fuchsin nachgelaßene ehl. tochter, [unterzeichnet] Michael Kintz als hoch Zeirt, Margretha Salome Gorÿn als hochzeiterin (i 219)

Salomé Kling femme du jardinier Michel Kientz vend la maison au jardinier Jean Klein moyennant 450 livres

1750 (17.2.), Chambre des Contrats, vol. 624 f° 95-v
Salome geb. Klingin Michael Kientz des gartenmanns eheweib
in gegensein Hanß Klein des G.A.K.
eine behausung, hoff, gärtlein und hoffstatt samt der hintersten helffte des gewölbten kellers unten dem hinten hauß, so denen Kellerischen erben gehörig, mit allen deroselben übrigen begriffen, weithen, zugehörden und rechten in der vorstatt Krautenau gegen dem königlichen hospital über, einseit neben Michael Fichter dem holtzkarcher, anderseit neben dem Capuciner closter, hinten auff Jacob Kellers wittib und erben – als ein elterliches erbguth – um 450 pfund

Fils du jardinier Jean Georges Klein et de Barbe Schœllhammer, Jean Klein épouse en 1743 Marie Madeleine Kientz, fille du jardinier André Kientz et de Marie Madeleine Schœn : contrat de mariage, célébration
1743 (23.1.), Not. Stoeber l’aîné (6 E 41, 1223) n° 109
Eheberedung Zwischen dem Ehrsahm und bescheidenen Johann Klein dem leedigen Gerthner, weÿland Hannß Georg Klein des gewesenen G. a. Crautenau und burgers allhier Zu Straßb. seel. in Zweÿter Ehe mit auch Weÿld. Barbara gebohrner Schöllhammerin seel. ehelich erzieltem Sohn alß dem Hochzeiter beÿständlichen H Hannß Michel Schultz des ältern G. a. Crautenau seines Vormahligen Vogts ane einem
So dann der Tugendsahmen Jgfr. Mariä Magdalenä Küntzin Weÿld. Andres Küntz des gewesenen Garthenmanns und Burgers allhier Zu Straßb. seel. in letzter Ehe mit Frauen Maria Magdalena Küntzin gebohrner Schöhnin seiner hinterbliebenen W. ehelich erziehlten tochter alß der Jgfr. hochzeiterin beÿständlichen Hannß Michel Kieffers G. a. Crautenau ihres geschwornen Vogts, ane dem andern theil gepflogen
So beschehen Straßburg Mittwochß den 23. Januarÿ Anno 1743. [unterzeichnet] hanß Klein alls hochzeiter, Maria Magdalena Kintzin alls hochzeiterin

Mariage, Saint-Guillaume (luth. f° 117-v n° 4)
Aô 1743. den 20. Februarÿ. Seind nach Zweÿmahliger außruffung nemlich Dominica Septuagesima et Sexagesima in der Kirch Zu S. Wilhelm ehl. copulirt und eingesegnet worden Johannes Klein lediger Gartner und burger allhier Weÿl. Johann Georg Kleinen geweßenen Gartners und burgers allhier, und Barbara Schöllhammeron nachgelaßener ehl. Sohn, und Jungfr. Maria Magdalena, weÿl. Andreß Küntzen gewesenen Gartenmanns und burgers allhier und Mariæ Magdalenæ Schönin ehl. Tochter [unterzeichnet] hanß Krebs hochzeiter, Maria Magdalena Kintzin als hochzeiterin (i 121)

Les nouveaux mariés font dresser l’inventaire de leurs apports rue de l’Abreuvoir dans la maison qui appartiet à la mère de l’épouse. Les apports du mari s’élèvent à 135 livres, ceux de la femme à 135 livres.
1743 (1.3.), Not. Stoeber l’aîné (6 E 41, 1134) n° 242
Inventarium über des Ehrsam und Bescheidenen Johann Kleinen garthners A. Kr. und der tugendsahmen Frauen Mariä Magdalenä Kleinin gebohrner Küntzin, beeder Eheleuthe und burgere allhier zu Straßburg einander in den Ehestand zugebrachte Nahrungen auffgerichtet in Anno 1743. – welche der Ursachen alldieweilen in ihrer Vor mir Notario den 23.ten Januarÿ instehenden 1743.getn Jahrs auffgerichteten Eheberedung §° 3.tio expresse enthalten, daß einem jeedem sein in die Ehe bringendes Vermögen Vor ohnverändert Verbleiben solle (…) So beschehen in fernerm beÿseÿn Hannß Michel Kieffers G a Crautenau der Ehefrauen noch ohnentledigten Vogts und Frauen Mariä Magdalenä Küntzin gebohrner Schöhnen deroselben eheleiblicher Mutter, Straßburg Freÿtags den 1.ten Martÿ Anno 1743.

In einer allhier Zu Straßburg dero Vorstatt Crautenau ane der Tränckgaß gelegenen der Ehefr. eheleiblicher Mutter eigenthümlich zuständigen behausung befunden worden wie folgt.
Abzug in gegenwärtig Inventarium gehörig. des Ehemanns eÿgenthumblich Guth, Sa. Haußraths 25, Sa. Silbers 2, Sa. der baarschafft 38, Sa. Pfenningzinß und deßen hptguth 50, Eigenthumb ane liegende gütheren (-), Sa. activ: Schuld 18, Summa summarum 135 lb
Dießemnach wird auch der Eigenthümlich gehörigen in die Ehe gebrachtes Guth beschrieben, Sa. Haußraths 72, Sa. Hausgeschirrs 1, Sa. Silbers 4, Sa. Goldener ring 6, Sa. der baarschafft 3, Sa. Activ Schuld 60, Summa summarum 154 lb – Schulden 18, Nach deren Abzug 135 lb

Marie Madeleine Kientz meurt en 1751 en délaissant deux enfants. La maison est portée à l’inventaire d’après son prix d’achat. La masse propre au veuf est de 106 livres. celle des héritiers de 314 livres. L’actif de la communauté s’élève à 484 livres, le passif à 681 livres.

1751 (30.4.), Not. Stoeber l’aîné (6 E 41, 1153) n° 719
Inventarium über Weÿland der Ehren und tugendsamen Frauen Mariä Magdalenä Kleinin gebohrner Kientzin des Ehrsam und bescheidenen Johann Klein, garthenmanns und burgers allhier Zu Straßburg geweßener Ehefrauen nun mehr seel. Verlaßenschafft, auffgerichtet in Anno 1751. – nach ihrem Donnerstags den 11.ten Martii dieses instehenden 1751.sten Jahrs aus dießer Welt genommenen tödl. hintritt, Zeitl. Verlaßen, Welche Verlaßenschafft auf gebührendes ansuchen erfordern und begehren erstgemelten Johann Klein des hinterbliebenen Ws. Wie auch des Ehrsam und bescheidenen Michael Kientz des Garthenmanns und burgers allhier, der abgeleibten seel. eheleibl. bruders, als geordnet und geschworenen Vogts Mariä Magdalenä die 7 Jahr alt und Johannes Welcher bald 4 Jahr am leben der verstorbenen seel. mit ihrem dem W. ehel. erzielter Kinder und ab intestato verlaßener Erben, inventirt (…) So beschehen Straßburg Freÿtags den 30.ten Aprilis Anno 1741.
Copia der Eheberedung

In einer allhier Zu Straßburg dero Vorstatt Krautenau gegen dem Frantzösischen Hospithal über gelegenen und in diese Verlaßenschafft gehörigen behaußung befunden worden, wie folgt
Eigenthumb ane einer Behaußung. (T.) Nembl. eine Behaußung, hoff, hoffstatt und gärthlein sampt der hindersten helffte des gewölbten Kellers unter dem hinderhauß, so denen Kellerischen Erben gehörig, mit allen deroselben übrigen begriffen, weiten, rechten Zugehörden, rechten und gerechtigkeiten, allhier zu Straßburg dero Vorstatt Krautenau gegen dem Königl. Hospithal über, 1.s neben Jacob Minck dem Kräutler, 2.s neben dem Zum Capuciner Closter gehörigen holtzhauß und Garthen, hinten auf Vorige Kellerische Erben stosend gelegen, so über hernach gedachtes passiv Capitalien gegen männiglicher freÿ leedig, eigen und außweißlich hernach anführenden Kauffbrieffs erkauffet worden pro 450.. Darüber meldet ein teutscher perg. Kffbr. in allhiesiger C. C. Stb errichtet und mit dero anhangendem Ins. Verwahrt de dato 17. Febr. A° 1750.
(f° 10) Ergäntzung des Ws. abgegangenen ohnverändert guts. Nach Anleitung des über beeder gewester Eheleuth einander in den Ehestand Zugebrachte Nahrungen durch mich Notarium den 1.ten Martÿ 1743. auffgerichteten Inventarÿ
Abzug in gegenwärtigen Inventarÿ. Des Ws. ohnveränderten Vermögens. Sa. hausraths 4, Sa. Silbers 1, Sa. Eigenthumbs ane liegenden güthern 26, Ergäntzung 111, Summa summarum 143 lb – Schulden 37, Nach deren Abzug 106 lb
Dießemnach wird auch derer KK: und Erben ohnverändert Gut beschrieben, Sa. haußraths 34, Sa. Silbers 1, Sa. goldener Ring 1, Sa. Eigenthum ane 1. Feldstück 10, Sa. beßerung ane lehengüthern, 10 ß, Sa. der activ schuld 37, Ergäntzung 228, Summa summarum 314 lb
Endlichen folgt auch das gemein Verändert und theilbare Gut, Sa. haußraths 13, Sa. Schiff und geschirrs Zum Feldbau gehörig 3, Sa. der Zugschwein 2, Sa. Blumen auf dem feld und garten waaren 5, Sa. beßerung im hoff und auf dem feld 2, Sa. Eigenthums ane i.r Behaußung 450, Sa. Eigenthumbs ane i. Feldstück 8, Sa. beßerung ane lehengüthern ô, Summa summarum 484 lb – Schulden 681 lb
Stall summ 224 lb

Déjà propriétaire de la maison à l’arrière qui s’ouvre place du Foin, le commissaire de l’extraordinaire des guerres Simon Bouchotte acquiert en 1772 par adjudication judiciaire la maison de Jean Klein

1772 (9.7.), Chambre des Contrats, vol. 646 f° 345-v
Ganthkauff – ist die Hannß Klein dem gartner ane Krautenau zugehörige behausung ane dem Krautenau gegen dem königlichen hospital über, einseit neben dem Capuciner closter anderseit neben Jacob Müncken des kräutlers wittib, hinten auf Simon Bouchotte receveur général des dons gratuits de la Province d’Alsace
ermelten H. Bouchotte als letzt und meistbietenden um 520 gulden

Simon Bouchotte demande en 1775 l’alignement à suivre pour construire un nouveau bâtiment (voir les préposés au bâtiment et les préposés aux feux). La maison partage la destinée de la celle place du Foin jusqu’en 1860. Michel Wallinger vend alors les bâtiments place du Foin à l’Ecole Normale des institutrices protestantes en conservant la maison rue du Soleil.
Michel Dominique Wallinger qui vient de vendre la grande maison place du Foin garantit le crédit que lui ouvre la Banque de France en hypothéquant une maison place du Foin et la maison rue du Soleil.
Michel Dominique Wallinger meurt en 1861 en délaissant cinq enfants. L’inventaire porte que la propriété comprend une maison d’habitation à deux étages donnant sur la rue, deux grands bâtiments à un étage au fond de la cour à gauche avec une buanderie y attenant, un grand bâtiment à un étage sur la droite, approprié en remise, écurie et ateliers.
Lors de l’adjudication des immeubles Wallinger en 1862, le mécanicien Jean Guillaume Reiss acquiert la maison rue du Soleil exposée à la somme de 30 000 francs moyennant 41 400 francs

Fils d’un cultivateur de Scharrachbergheim, le mécanicien Jean Guillaume Reiss épouse en 1844 Caroline Thomann, fille du meunier d’Odratzheim
Mariage, Scharrachbergheim (n° 7) Le 20° jour du mois de septembre 1844. Acte de mariage de Reysz, Jean-Guillaume, profession de mécanicien, domicilié à Scharrachbergheim âgé de 21 ans, né à Scharrachbergheim le 22 février 1823 (…) fils légitime mineur quant au mariage de Reysz, Jean-Michel âgé de 47 ans, profession de cultivateur, domicilié à Scharrachbergheim, ci présent et consentant, et de Matthis, Marguerite Salomé, sans profession, âgée de 43 ans, domiciliée en cette commune, ci présente et consentante, Et Thomann, Caroline, sans profession, domiciliée à Odratzheim, Bas-Rhin, âgée de 23 ans, née à Odratzheim le 13 octobre 1820 (…) de Thomann, Michel, profession de meûnier domicilié à Odratzheim, ci présent et consentant, et de feue Schott, Marie Anne, décédée à Odratzheim le premier octobre 1837. (i 3)

Jean Guillaume Reyss veuf de Caroline Thomann épouse en 1861 Sophie Louise Emma Derose
1861 (21.6.), Strasbourg 10 (144), Not. Zimmer (Louis Frédéric) n° 14.050
Contrat de mariage – Ont comparu I) Mr Jean Guillaume Reyss, méanicien demeurant et domicilié à Strasbourg, veuf en premières noces avec cinq enfants de dame Caroline Thomann, né à Scharrachbergheim du légitime mariage de feu Mr Jean Michel Reyss et de feue dame Marguerite Salomé Mathis, stipulant comme futur époux
II) Mlle Sophie Louise Emma Derose, en jouissance de ses droits, demeurant et domiciliée à Strasbourg, née à Strasbourg du légitime mariage de feu M. Jacques Bernard Derose et de feu dame Sophie Concorde Heyler, stipulant comme future épouse
acp 499 (3 Q 30 214) f° 93-v du 24.6. – Stipulation de communauté de biens réduite aux acquêts partageable par moitié, réserve d’apports et d’héritages. En cas de précédès de la future épouse, le futur conservera lea propriété pleine et entière de tous les biens meubles et immeubles de la communauté
Les apports du futur époux sont décrits dans un inventaire reçu North, notaire à Wasselonne le 30 août 1859 et dans les immeubles ci après, savoir 3 ha pré ban de Cosswiller, un ha 94 ares 57 de vignes ban de Scharrachbergheim, 8 ares 10 terre ban de Kirchheim, 45 ares ban de Marlenheim, 26 ares terre ban d’Odratzheim, et en outils de mécanique estimés 6000
Les apports de la future consistent en argent comptant 2000, mobilier 1532
Donation réciproque par le futur à la future de l’usufruit de la moitié des biens composant sa succession et
par la future épouse 1° en cas de non existence d’enfant la propriété de toute sa successionn toutefois le futur époux se réserve de disposer de l’usufruit viager de ces mêmes biens au profit da sa sœur si elle lui survit, 2) en cas d’existence d’enfant l’usufruit de la moitié de la succession

Jean Guillaume Reyss et Sophie Louise Emma Derose hypothèquent la maison au profit de trois créanciers. L’acte décrit les différents bâtiments

1863 (23. 9.bre), Strasbourg 13 (89), Not. Flach (Jean Georges) n° 5078
Obligation – Ont comparu Mr. Jean-Guillaume Reyss, mécanicien, et dame Sophie-Louise-Emma-Derose, son épouse qu’il autorise, demeurant et domiciliés ensemble à Strasbourg, devoir
1° à Mad. Caroline Sophie Alb, rentière veuve de M. Jean-Guillaume Mewes, vivant rentier à Strasbourg où elle demeure, ci présente et comparant, la somme de 10.000 francs
2° à Mad. Anne-Barbe Class, veuve de M. Charles Baerst, vivant farinier à Strasbourg où elle demeure, ci présente et acceptant, la somme de 11.000 francs
3° à Charles-Emile Metz, Mathilde-Emélie Metz, Julie-Amélie Metz et Emma-Marie Metz, tous quatre demeurant à Strasbourg, enfants mineurs de M. Charles-Théodore Metz et Dme Caroline-Emilie Friess, vivants conjointss à Strasbourg (…) 21.000 francs, ensemble la somme principale de 42.000 francs
Affectation hypothécaire. I. Une propriété sise à Strasbourg rue du Soleil n° 7 composée comme suit, a) Bâtiment donnant sur l’impasse du Soleil, élevé sur cave avec rez de chaussée, deux étages, mansardes et grenier, construit en pierre, briques et bois, servant d’habitation.
b) Bâtiment à droite dans la cour près du précédent et de même construction élevé sur rez-de-chaussée et greniers renfermant ateliers de construction de machines.
c) Bâtiment à gauche au fond de la cour vis à vis du précédent élevé sur rez de chaussée un étage et double greniier, construit en pierre et briques, renfermant atelier de construction et habitation.
d) Bâtiment du même côté avec une haute cheminée à vapeur renfermant une machine à vapeur à demeure fixe de la force de six chevaux, avec chaudière et accessoires, de la force de douze chevaux.
e) Vaste cour et dépendances. Cette propriété tient d’un côté à l’arsenal de construction, de l’autre à M. Keller, par devant au quai et par derrière au jardin de l’Ecole normale des institutrices protestantes. Sont compris dans cette affectation hypothécaire les machines placées dans les ateliers et considérées comme immeubles par destination, telles que la limeuse Whitworth, la machine à percer les engrenages Whitworth, la machine à morthiser, la scie à ruban, tour parallèle à filets, tours et taraudeuse pour écrous avec les transmissions
II. Les immeubles ruraux suivants (…)
Origine de la propriété. Les époux Reysz déclarent être propriétaires des immeubles qu’ils viennent d’hypothéquer, savoir I. De la maison désignée sous l’article premier pour s’en être rendus adjudicataires dans la licitation poursuivie entre la veuve et les héritiers de M. Dominique Wallinger, vivant propriétaire à Strasbourg aux termes d’un procès verbal d’adjudication dressé par M° Momy notaire à Strasbourg, nommé par justice le 26 mars 1862, transcrit au bureau des hypothèques de Strasbourg le 28 avril suivant volume 897 n° 28 et inscrit d’office le même jour volume 813 N° 122. Cette acquisition a eu lieu moyennant le prix de 41.400 francs (…)
Etat-civil des débiteurs. Les époux Reysz déclarent qu’ils sont mariés sous le régime de la communauté de biens réduite aux acquêts aux termes de leur contrat de mariage passé devant M° Zimmer notaire à Strasbourg le 21 juin 1841 [sic], 2° et que Mr Reyss avait été marié en premières noces avec Caroline Thomann dont il a eu cinq enfants aujourd’hui encore mineurs, desquels il est le tuteur légal (…)

Jean Guillaume Reyss et Sophie Louise Emma Derose garantissent un crédit sur leur maison décrite comme à l’acte précédent

1866 (20.11.), Strasbourg 13 (94), Not. Flach (Jean Georges) n° 5984
Ouverture de crédit – Ont comparu 1. Mr Charles Staehling, négociant demeurant à Strasbourg, agissant au nom de sa maison de commerce établie à Strasbourg sous la raison Charles Staehling & compagnie d’une part
2° Mr. Jean Guillaume Reysz, mécanicien, et dame Sophie-Louise-Emma-Derose, son épouse qu’il autorise à l’effet des présentes, 3° Et Mr. Jean Guillaume Reysz, fils, mécanicien, tous demeurant à Strasbourg
Article premier. Mr Staehling ouvre par les présentes à Mr Reysz qui l’accepte un crédit de 15.000 francs
Affectation hypothécaire. I. Une propriété sise à Strasbourg, rue du Soleil n° 7, composée comme suit, a) Bâtiment donnant sur l’impasse du Soleil, élevé sur cave avec rez de chaussée, deux étages, mansardes et grenier, construit en pierre, briques et bois, servant d’habitation.
b) Bâtiment à droite dans la cour, près du précédent, & de même construction, élevé sur rez-de-chaussée et greniers, renfermant ateliers de construction de machines.
c) Bâtiment à gauche au fond de la cour vis à vis du précédent élevé sur rez de chaussée, un étage & double greniier, construit en pierre et briques, renfermant atelier de construction & habitation.
d) Bâtiment du même côté avec une haute cheminée à vapeur, renfermant une machine à vapeur à demeure fixe de la force de six chevaux, avec chaudière et accessoires, de la force de douze chevaux.
e) Vaste cour et dépendances. Cette propriété tient d’un côté à l’arsenal de construction, de l’autre à M. Keller, par devant au quai et par derrière au jardin de l’Ecole normale des institutrices protestantes. Sont compris dans cette affectation hypothécaire les machines placées dans les ateliers et considérées comme immeubles par destination, telles que la limeuse Whitworth, la machine à morthiser, la scie à ruban, tour parallèle à filets, tour et taraudeuse pour écrous avec les transmissions
II. Les immeubles ruraux suivants (…)
Origine de la propriété. Les époux Reysz déclarent être propriétaires des immeubles qu’ils viennent d’hypothéquer, savoir I. De la maison désignée sous l’article premier pour s’en être rendus adjudicataires dans la licitation poursuivie entre la veuve et les héritiers de M. Dominique Wallinger, vivant propriétaire à Strasbourg, aux termes d’un procès-verbal d’adjudication dressé par M° Momy notaire à Strasbourg, nommé par justice le 26 mars 1862, transcrit au bureau des hypothèques de Strasbourg le 28 avril suivant volume 897 n° 28 et inscrit d’office le même jour volume 813 N° 122. Cette acquisition a eu lieu moyennant le prix de 41.400 francs (…)
Etat-civil des débiteurs. Les époux Reysz déclarent qu’ils sont mariés sous le régime de la communauté de biens réduite aux acquêts aux termes de leur contrat de mariage passé devant M° Zimmer notaire à Strasbourg le 21 juin 1841 [sic], 2° et que Mr Reysz avait été marié en premières noces avec Caroline Thomann dont il a eu cinq enfants aujourd’hui encore mineurs, desquels il est le tuteur légal (…)

Compte de tutelle que rend Jean Guillaume Reyss à son fils Jean Guillaume
1866 (3.12.), M° Flach
Arrêté du compte de tutelle rendu par Jean Guillaume Reysz père mécanicien à Strasbourg
à Guillaume Reysz fils mécanicien audit lieu par acte s.s.p. daté du 20. novembre 1866 enregistré cejourd’hui par lequel il résulte en reliquat actif au profit du dit Sr Reysz fils, d’une somme de 2260 francs
acp 559 (3 Q 30 274) f° 50 du 4.12.

Jean Guillaume Reyss meurt en 1870 en délaissant cinq enfants de sa première femme. L’aîné Jean Guillaume est prisonnier de guerre

1870 (18.11.), Strasbourg 13 (98), Not. Flach (Jean Georges) n° 7693
Inventarium der Gemeinschaft welche die zwischen Johann Wilhelm Reÿss, Mechanikus und Sophie Louise Emma Derose seiner Wittwe existiret hat
L’an 1870 le 18 novembre à deux heures de relevée. A la requête de 1° Mme Sophie Louise Emma Dérose, veuve de M. Jean Guillaume Reyss, vivant mécanicien à Strasbourg où elle demeure, agissant à cause de la communauté de biens réduite aux acquêts qui a existé entre elle et feu son mari aux termes de leur contrat de mariage passé devant M° Zimmer notaire à Strasbourg le 21 juin 1841 [sic]. 20 Madlle Caroline Reyss, majeure d’ans, sans état, demeurant à Strasbourg, 3° M. Jean Michel Reyss, majeur d’ans, mécanicien demeurant à Strasbourg, agissant en son nom et comme tuteur datif de 1° Charles Reyss âgé de 19 ans, 2° Marie Reyss âgée de 15 ans, enfants mineurs de feu Jean Guillaume Reyss issus de son mariage avec feue Caroline Thomann sa femme en premières noces (…) 4° L. Jean Théodore Koerttgé, notaire demeurant ) Strasbourg, comme représentant de M. Guillaume Reyss, fils majeur, mécanicien domicilié à Strasbourg actuellement militaire français, prisonnier de guerre, commis à cet effet par ordonnance de M. le Président du tribunal civil de Strasbourg en date du 15 novembre 1870. Lesdits Mr Guillaume Reyss, Madlle Caroline Reyss, Mr Jean Michel Reyss, Mr Charles Reyss et Madlle Marie Reyss, seuls habiles à se dire et porter héritiers de leur père chacun de pour un cinquième. En présence de Mr Michel Weber, meunier demeurant à Kirchheim, agissant comme subrogé tuteur des mineurs Reysz
dans une maison sise à Strasbourg rue du Soleil numéro 7 où Mr Reyss est décédé le 4 novembre dernier
Estimation du mobilier. Chambre d’habitation, Chambre des fils, Chambre des demoiselles, Corridor, Bureau, Cave, Bucher
Immeubles de la communauté. Il ne dépend de la communauté en fait d’immeubles qu’une propriété sise à Strasbourg rue du Soleil n° 7. Cette propriété appartient aux époux Reyss pour l’avoir acquise des héritiers de M. Michel Dominique Wallinger vivant propriétaire à Strasbourg aux termes d’un procès verbal d’adjudication dressé par M° Momy et son collègue notaires à Strasbourg le 26 mars 1862.
Total de l’inventaire de l’atelier 43.975 francs. Extances 3782. Assurances 20.000
Contrat de mariage reçu par M° Zimmer le 21 juin 1861 – Passif de la communauté I. Reprises de la veuve 2532, II. Reprises du défunt 22.610. Passif ordinaire 49.805, total 76.007 francs
acp 595 (3 Q 30 310) f° 80-v n° 104 du 26.11. (Sterbefall declarirt den 1. Mai 1871) Gemeinschaft. Mobilien 775, Geld 1000
Erbschaft, Kleidungs stücke 290

Caroline Reyss vend à sa belle-mère Sophie Derose sa part de maison avenue de son père et de son frère Jean Guillaume Reyss

1871 (27. Xbre), Strasbourg 13 (99), Not. Flach (Jean Georges) n° 7991
Vente – A comparu Mlle Caroline Reyss, majeure d’ans, sans état demeurant à Strasbourg (a vendu)
à Mad. Sophie Louise Emma Derose sa mère, veuve de M. Jean Guillaume Reyss, en son vivant mécanicien à Strasbourg où elle demeure
Le 8° indivis d’une propriété sise à Strasbourg rue du Soleil N° 7, composée comme suit, a) Bâtiment donnant sur l’impasse du Soleil, élevé sur cave avec rez de chaussée, deux étages, mansardes et grenier, construit en pierre, briques & bois, & servant d’habitation.
b) Bâtiment à droite dans la cour, près du précédent et de même construction, élevé sur rez-de-chaussée et greniers, renfermant ateliers de construction de machines.
c) Bâtiment à gauche au fond de la cour vis à vis du précédent élevé sur rez de chaussée, un étage, double greniier, construit en pierre & briques, renfermant atelier de construction et habitation.
d) Bâtiment du même côté avec une haute cheminée à vapeur, renfermant une machine à vapeur à demeure fixe de la force de six chevaux, avec chaudière et accessoires, de la force de douze chevaux.
e) Vaste cour et dépendances. Cette propriété tenant d’un côté à l’arsenal de constructions militaires, de l’autre à M. Keller, par devant au quai & par derrière au jardin de l’Ecole normale protestante. Est compris dans la présente vente le huitième indivis des machines placées dans les ateliers & considérées comme immeubles par destination. (…)
La propriété dont le huitième forme l’objet de la présente vente dépend de la communauté de biens qui a existé entre Mad. veuve Reysz née Derose, acquéreuse, & feu son mari Jean Guillaume Reyss susnommé aux termes de leur contrat de mariage passé devant M° Zimmer notaire à Strasbourg le 21 juin 1841. Elle a été acquise par les époux Reyss des héritiers de M. Michel Dominique Wallinger vivant propriétaire à Strasbourg aux termes d’un procès-verbal d’adjudication dressé par M° Momy notaire à Strasbourg le 26 mars 1862 moyennant le prix de 41.400 francs. M Reyss étant décédé à Strasbourg le 4 novembre 1870 a laissé pour héritiers ses quatre enfants Caroline Reyss, venderesse, Jean Michel Reyss, Charles Reyss & Marie Reyss, par suite du prédécès de M. Guillaume Reyss l’ainé des fils, chacun de ses enfants étant héritier de M Reyss pour un quart, est par suite propriétaire pour un 8° de la propriété ci-dessus décrite – moyennant le prix de 6250 francs
acp 602 (3 Q 30 317) f° 31-v du 2.1.

Sophie Derose devient seule propriétaire de la maison suite à une vente par licitation

1874 (15.10.), M° Flach (minutes en déficit)
Licitations Versteigerung – 1) Sophie Louise Emma Derose Wittwe von Johann Wilhelm Reysz, lebend Mechaniker zu Straßburg, 2) Johann Michael Reysz, Mechaniker zu Straßburg, handelnd wowohl in seinem Namen als Vormund von Maria Reysz, 3) Karl Reysz, Mechaniker zu Straßburg
Zu Gunsten der Wittwe Reysz
von einem Hause und Zugehörden zu Straßburg, Sonnengäschen N° 7 nebst allen Maschinen und Transmissionen und Geschirr welche sich in dem Eigenthum befinden – umb 30.100 Franken – die Käuferin ist Eigenthümerin 1) der Hälfte als Theinehmerin der halben Gütergemeinschaft welche das Anwesen nach Akt vor Notar Momy vom 26. märz 1862 und von einem achtel als Käuferin des Antheils ihrer Tochter Caroline Reysz nach Akt vor Notar Flach vom 27. December 1871
acp 633 (3 Q 30 348) f° 28-v n° 4083 du 22.10.

Sophie Derose loue une partie de la maison au marcaire Michel Lantz : une écurie, un entrepôt et un logement au premier étage du bâtiment avant

Enregistrement de Strasbourg, ssp 178 (3 Q 31 677) n° 1237 f° 73 du 6.2.
30 September 1878. Miethe – 1° Frau Sophie Derose in Straßburg wohnhaft Wittwe von H. Johann Wilhelm Reyss bei Lebzeiten Mechaniker in diser Stadt einerseits
2° Herr Michel Lantz Melker in derselben Stadt wohnhaft
ist folgender Meitvertrag übereingekommen und beschlossen worden. Frau Wittwe Reyss vermiethet an H Lantz dies annehmend folgende Lokalitäten in die ihr in hiesiger Stast, Sonnengäschen N° 7 gehörigen Liegenschaft nämlich
1° Die Stallung rechts im Eingang des Hofes hinter dem vordern Hause, mit der Heubühn darüber
2° Ein Magazin auf dem Bodengeschoß im vordern Hause
3° Eine Wohnung im ersten Stock des vordern Hauses bestehend in drei Zimmern und einer Küchen
4° den gemeinschaftlichen Genuß mit den andern Bewohnern des Eigenthums des theils vom Hofe und des Bronnens, welche sich vor der Stallung befinden
Gegenwärtiger Miethvertrag ist gegenseitig angenommen worden für einen jährlichen Miethzins von 700 Franken oder 560 Mark und unter folgenden Bedingungen Zur Vollziehung derselben sich der Miether verpflichtet. 1° Die Dauer der Miethe ist auf drei, sechs oder neun nacheinander folgende Jahre festgesetzt. Sie beginnt vom 29. (-) 1878 (…) 2° Der Miethzins ist vierteljährlich je mit 140 Mark zahlbar (…)

La maison est inscrite à partir de l’exercice 1881 au nom du peintre Auguste Schuler. Fils d’un tailleur de Strasbourg, il épouse en 1868 à Sainte-Marie-aux-Mines Joséphine Hoffmann en légitime un enfant

Mariage, Sainte-Marie-aux-Mines (n° 95)
Acte de mariage. L’an 1868 le 31 décembre – Auguste Schuler, peintre en bâtiment, âgé de 28 ans et 4 mois, né à Strasbourg, département au Bas-Rhin, le 22 août 1840, y domicilié depuis sa naissance, majeur, fils célibataire des conjoints Joseph Schuler, tailleur d’habits âgé de 60 ans, domicilié audit Strasbourg, et de feue Claire Siffert, sans état, décédée en son domicile à Strasbourg le 3 avril 1844 à l’âge de 44 ans, ledit son père à ce présent et y consentant d’une part, Et la delle Joséphine Hoffmann, couturière, âgée de 27 ans, née en cette ville le 30 mai 1841 y domiciliée depuis sa naissance, majeure fille naturelle et célibataire de Joséphine Hoffmann, sans profession, âgée de 61 ans, domiciliée en cette ville, ladite sa mère de même à ce présente et y consentant, d’autre part
Et d’après la déclaration des futurs conjoints qu’il est né d’eux un enfant du sexe masculin inscrit aux registres des naissances de cette commune à la date du 26 mai 1865 sous les noms de Jules Hoffmann, lequel ils reconnaissent pour leur enfant et qu’ils entendent légitimer par leur mariage (…) s’ils ont fait un contrat de mariage, ils ont répondu négativement (signé) A Schuler, J Hoffmann (i 310)

Auguste Schuler meurt dans sa maison rue du Soleil le 9 février 1897
Décès, Strasbourg (n° 352)
Strassburg am 11. Februar 1897. Erschien der Maler August Schuler, wohnhaft zu Straßburg Sonnengasse 7, zeigte an daß der Maler August Schuler, 50 Jahr alt, katholischer Religion, wohnhaft Zu Straßburg, geboren zu Straßburg, Ehemann von Josephine geborene Hoffmann, Sohn der verstorbenen Eheleute Joseph Schuler, Gastwirt und Clara geborene Siffert, beide zuetzt hier wohnhaft gewesen, zu Strassburg in des Anzeigers Wohnung am 9. Februar des Jahres 1897 Nachmittag um elf Uhr gestorben sei (i 177)

La maison revient à son fils peintre Auguste Schuler qui épouse Marie Madeleine Busser. Leur fils Auguste Jean Albert naît dans la maison le 26 octobre 1895.

Naissance, Strasbourg (n° 3245)
Strassburg am 28. Oktober 1895. Der Maler Karl Joseph August Schuler, wohnhaft zu Straßburg Sonnengasse 7, evangelischer Religion, zeigte an, daß von der Maria Magdalena gebohrner Busser seiner Ehefrau, evangelischer Religion, bei ihm zu Straßburg in seiner Wohnung am 26. Oktober des Jahres 1895 um neun Uhr ein Kind männlicher Geschlechts geboren worden sei, welches die Vornamen August Johann Albert erhalten habe (i 305)

La maison est inscrite à partir de l’exercice 1931 au nom de Marie Duchossois veuve de Louis Burger. Natif d’Oberbronn, le cordonnier Louis Burger épouse en 1895 Marie Madeleine Duchossois, aussi native d’Oberbronn.

Mariage, Strasbourg (n° 303)
Straßburg am 27 April 1895, erschienen heute zum Zweck der Eheschließung der Schuhmacher Ludwig Burger, katholischer Religion, geboren den 22. Juli des Jahres 1873 zu Oberbronn (Unter-Elsaß), wohnhaft zu Straßburg, Sohn des Schuhmachers Joseph Burger und dessen Ehefrau Magdalena gebornen Weber, beide wohnhaft zu Oberbronn
die gewerbslose Maria Magdalena Duchossois, katholischer Religion, geboren den 3. September des Jahres 1873 zu Oberbronn, wohnhaft zu Straßburg, Tochter des Glasers Ludwig Duchossois und dessen Ehefrau Theresia gebornen Fleischer, beide wohnhaft zu Oberbronn [in margine :] † 8.5.25 N 1202 (i 165)


Partie arrière (X 206

La maison qu’achètent Jean Kling et Barbe Offner en 1647 est partagée à la mort du veuf entre son fils Jean Kling et sa fille Salomé Kling, épouse de Jean Georges Keller. Tous les actes ultérieurs de l’une et l’autre moitié renvoient à cette vente.

Fils de jardinier, Jean Georges Keller épouse en 1673 Salomé Kling$& : contrat de mariage ci-dessous, célébration
Mariage, Saint-Guillaume (luth. p. 96) n° 16)
1673. Dnicis II & III Trinit. Georg Keller Jünger Gartenmann, weÿl. Hans Kellers auch gewes. gartenmanns v. b. alh. nachgel. ehl. Sohn, v. Jgfr. Salome, Hans Klingen des Gartners v. B. alh. ehl. T. Cop. W d. 19. Junÿ (i 67)

Jean Georges Keller meurt en 1687 en délaissant deux fils. L’inventaire décrit les deux moitiés (avant et arrière) de la maison partagée. La masse propre à la veuve est de 106 livres. masse propre aux héritiers de 15 livres. L’actif de la communauté s’élève à 28 livres, le passif à 13 livres

1691 (14. 9.br), Not. Auenheim (Loup Régnard von), joint à Not. Baer (Christophe Evrard, 2 Not 11) n° 495
(516) [Grosse] Inventarium über Weÿland des Ehrsamen und Bescheidenen Geörg Kellers geweßenen Gartners in Crautenau und Burgers allhier in Straßburg seeligen Verlaßenschafft, auffgerichtet Anno 1691.
Inventarium und Beschreibung aller und Jeder Liegender und Vahrender, Verändert und unveränderter Haab Nahrung und güther, so Weÿland der Ehrsame und bescheidene Georg Keller, geweßener Burger und Garttner allhier Zu Straßburg in Crautenaw, nach seinem den 4. Decembris des längst hiengebegten 1687, Jahrs seelig genommenen abschied aus dießer welt hinder Ihme Verlaßen, welche auf freundliches ansuchen erfordern und begehren des Ehrsamen und bescheidenen Jacob Kellers burgers allhier und Gartners in gedachter Crautenau alß geordnet und geschworenen Vogts Geörg: und Jacob Keller, beede des Verstorbenen seeligen mit hernach benannter Wittib ehelich erziehlter Kinder und ab intestato rechtsmäßiger Erben, fleißig ersucht durch die Ehren und Tugendsame Fraw Salome gebohrne Klingin, die hinderbliebene Wittib mit Beÿstandt des Ehrsamen und bescheidenen Hanß Klingen auch Burgers allhier und Gartners in Crautenaw Ihres geschwornen Vogts (…) Actum Straßburg den 14. Novembris Neuen Calenders anno 1691.
Wolffgang Reinhard Von Auenheim, Not: Publicus und geschworner Inventirschreiber
(Lect. auf der Statt Stall den 2. 7.bris A° 1693)

Copia der Zwischen beden Eheleuthen auffgerichteter Heüraths: Verschreibung – zwischen dem Ehrsammen und bescheidenen Georg Kellern, Weÿland Hannß Kellers gewesenen burgers und Gartners allhier ehelich erziehlten Sohn an einem, So dann der Ehren und Tugendsamen Jungfrawen Salome des Ehrsamen Hanß Klingen, auch burgers und Gartners allhier eheleiblichen dochter ane andern theil, sich begeben und zugetragen auch Zugleich in beÿsein und gutem wißen und gehelle, deß auch Ehrsamen Michel Klugshertzen des älten sein des Hochzeiters geschwornen Curatoris und Jacob Kellers seines Brudern, So dann auff seithen der Jungfrauw Hochzeiterin Vorgedachter Hanß Kling der Vatter und Diebolt Schuster dero noch ohnentledigter Vogt alle Gartner und Burgere allhier – So beschehen in des Heÿligen Reichs freÿen Statt Straßburg in mein in der Crautenaw gegen dem Engel über gelegenen eigenthümlichen wohn behaußung in der Untern Stuben den 11. Februarÿ anno 1673. Christoph Wilhelm Stromer Notarius Cæs. publ. Civis Argentinensis
In einer in der Statt Straßburg Vorstatt Crautenaw am Blumen gießen Liegenden und Zur helffte hiehero gehörigen Behausung befunden worden
Sa. Haußraths 6 lib, Eigenthum ane Liegenden Güttern 105, Beßerung ane lehengüthern 1
(f° 15) Eigenthumb ahne Häusern so Wittben unverändert. Item die helffte ane einer Behaußung, Hoff, Hoffstatt mit allen deren gebäuen, begriffen, weithen, rechten und Gerechtigkeiten, gelegen in der Statt Straßburg Vorstatt Crauttenaw am Blumen gießen, sampt einem gemeinschaftlichen bronnen, einseit neben dem Capuciner Garten, ander seit neben Mattiß Schmidten dem Schirmbs verwanthen allhier, stoßt vornen auf die gaß, und hinden auff nachgeschriebene Behaußung, ist freÿ leedig und eigen und die helftte hierhero angeschlagen pro xli lb. Die übrige Helffte ane Vorgeschriebener Behaußung ist Hans Klingen dem Bruder Zuständig. Warüber beÿ gegenwärthiger Inventation keine brieffliche Documenta befunden worden.
Item noch eine helffte ane einem hauß höfflein Hoffstatt und Gärtlein mit allen deren gebäuen begriffen rechten und Gerechtigkeiten, sampt der gemeinschafft des bronnens, so ebenmäßig in der Statt Straßburg Vorstatt Crautenaw ane der Vorgeschriebenen Behaußung gelegen und gleichfalls vf einer seithen neben dem Capuciner garthen, und auff der andern seithen neben Mathiß Schmidten vorgedacht Zum theil und Zum theil neben herrn Friderich Römern dem goldarbeitern allhier, hinden spital sich auß auff gedachten Capuciner garthen, und vornen uff obbeschriebene Behaußung stoßend, davon gehen Jahrs auff Fastnacht 2 b. 10. ß. d Zinß herrn Johann Jacob Herberling dem Schaffner Zur Carthauß allhier, und Zwar von der gantzen Behaußung lößig in hauptguet mit 50 pfund pfenning, trifft hiehero Zum halbe theill 25 lb d und ist die hiehero gehörige helffte, über solche darauff stehende beschwerdt angeschlagen pro xvj lb d. Darüber besagt ein teutscher pergamentiner Kauffbrieff mit der Statt Straßburg Cantzleÿ Contractstub anhangendem Insiegel datirt den 20.ten Februarÿ anno 1647. signirt mit N° 1 so Hans Kling dero Bruder alß welchem die übrige helffte ane der Behaußung gehörig ist, in handen hat, Sa. Lvij lib, Summa summarum J C Lxix lib – Schulden auß dem Erbe zubezahlend Lxiij lib, Nach deren Abzug J C vi Lib
(f° 20) Hierauff wird nun auch beschrieben der Erben unverändert Gutt, Eigenthumblichen Stuck grundts xv, Sa. der Erben unveränderten Gutts xv lib
(f° 21) Volgt Endlichen auch das gemein verändert vnd theilbare Gut, Haußrath iiij, Schiff und geschirr jj, Frucht und Stroh iiij, Tabac vij, Pferdt x, Summa summarum xxviij lib – Schulden xiij lib, Nach deren Abzug xiiij lib
Conclusio finalis Inventarÿ j C xxxv lib

La veuve Salomé Kling meurt en 1699. Les experts estiment la maison dont la description n’est pas reprise des anciens titres à la somme de 85 livres. Elle revient au fils aîné Jean Georges Keller

1699 (28. 9.br), Not. Baer (Christophe Evrard, 2 Not 1) n° 183 (numéro XIX° s.)
Inventarium undt Beschreibung aller haab Nahrung und güter liegender vnd Vahrender Keinerleÿ außgenommen, so weÿl. die Ehren vnd tugendts: fraw Salome Klingin, weÿl. Georg Kellers geweß. Gartners und burgers alhier hinderlaßene Wittib, nach ihrem vff Sonntag den 1. Martÿ Anno 1699 jüngsthien aus dießem Müheseeligen Leben genommenen tödtl. hientritt hinder Ihro Verlaßen, welches alles auf freundl. ansuchen deß Ehrengeachten und achtbaren hrn Jacob Kellers, Gartners und Burgers alhier alß geschwornen Vogts Georg Kellers v. Jacob Kellers beeder ledigen standts, der jetzt abgeleibten fr. seel. mit obgedachtem ihrem Ehemann ehelich erzeigter hinderlaßene Söhn und ab intestato nachgelaßenen Erben inventirt – So beschehen in der Königl. Statt Straßburg auff Sambst. den 28. 9.bris Anno 1699.

Eigenthumb Einer Behausung. Item ein hauß, hoff, hoffstatt und Gärtlein, mit allen deren gebäuen, begriffen, weithen, Rechten v. Gerechtigkeiten, gelegen alhier in der Statt Straßburg Vorstatt Krauttenaw am Blumen Gießen v. nahebeÿ dem Capuciner Closter samt einem gemeinschafftlichen bronnen, einseit neben Herrn N. Gutto and. seit Neben Mattiß Schmitten dem Gartner Hinden auff Hn N: Römern deß Goldschm: seel: hinderl. Erben hinden stoßendt, welche Behaußung Von den Hh: Werckmeister angeschlagen vor 85 lb. d. von welcher behaußung dem Stifft S. Nicolai in undis Zureichen 1* Gulden ablößig in hauptguth mit 25 lb nach solchem abzug verbleibt daß hauß nochj ahne seinem anschlag 60 lb
Abschatzung Montags d. 14. lb Januari 1700. Auff begehren deß Ehrbaren vnd beschaidenen Georg Keller Weillandt deß hanß Klingen der hinderlaßene fraw Wittib Vogt ist die behaußung allhie in der Statt Straßburg in der Crauttenaw beÿ dem Cappuziner Closter Ein seitzes Neben herrn NN. Gutto, anderseitzs Neben Matheus schmidt dem Gartner hinden auff herrn NN Ramen See: hinderlaßene Erben Garten Stoßend, Welche behaußung Sampt einem höfflein geneinen bronnen vnd Einem Gertlein, auch überigen begriff Zu Gehöhr Vnd gerechtig Keit Wie soches in der besichtigung bestunden vnd dem Jetzigen preiß Nach angeschlagen Vor Ein hundert vnd Sibentzig Gulden. Bezeichnüß der Statt Straßburg geschworne Werckhleithen, [unterzeichnet] Joseph Lauttenschlager, Werck Maister deß Münsters, Jacob Staudacher werckh Meister des Maurhofs, Johann Jacob Osterrieth Werck Meister deß Zimmer Hoffs.
Dienstags d: 4: Jan: Anno 1701. Ist die Vertheilung der Erben in præsentia herrn hanß Wolff Costmans deß Schätzers vndt herr Jacob Kellers der Erben annoch ohnentledigten Vogt der Erben selbst (…) Beede Gebrüdere haben sich wegen deß haußes hoffs Scheuren Stall Gärtl. samt allenn begriff, vnd darauff stehender Schuldt, Wie daß dieß Pferdt, Schiff und geschirr (…) vereinbart daß Georg Keller der ältere Bruder ahne dießem alles wavon Jacob Keller der Jüngere Bruder die helffte Zu prætendiren gehabt, sich dann Verglichen, Er Georg Keller seinem brud. Jacoben von sein gebürendes theil In baarem Gelt 250 lb geben

Une grosse du même inventaire est signée du notaire Jean Pierre Kolb, Chrétien Evrad Bær n’étant pas encore rédacteur d’inventaires

1699 (28. 9.br), Not. Kolb (Jean Pierre), joint à Not. Baer (Christophe Evrard, 2 Not 11) n° 495
(515) [Grosse] Inventarium Vber Weiland der Tugendsamen Fr. Salome Kellerin gebohrner Klingin Verlaßenschafft, auffgerichtet Inn Anno 1699
Inventarium undt Beschreibung aller Haab: Nahrung, undt Güther liegender: vnndt Vahrender Keinerleÿ außgenommen, so Weÿland die tugendtsame fraw Salome gebohrne Klingin, weÿlandt Georg Kellers geweßenen Gartners und burgers alhier Zue Straßburg hinderlaßene Wittib, nach ihrem auff Sonntag den Ersten Martÿ Anno 1699 jüngsthien aus dießem Müheseeligen leben genommenen tödtlichen hientritt hinder Ihro Verlaßen, Welches alles auf freundliches ansuchen deß Ehrengeachten undt achtbaren herrn Jacob Kellers auch Gartners und Burgers alhier alß geschwornenn Vogts Georg Kellers vndt Jacob Kellers beeder ledigen standts, der jetzt abgeleibten fraw seel. mit obgedachtem ihrem Ehemann ehelich erzeigter hinderlaßene Söhn undt ab intestato nachgelaßenen Erben inventirt – So beschehen in der Königlichen freÿen Statt Straßburg auff Sambstags den 28. Novembris Anno 1699. Johann Peter Kolb, Nots:
(Lect. auf der Statt Stall den 5. Junÿ 1700 – Prod: beÿm Vogteÿ gericht den 11. Xbris 1700)

(f° 12) Eigenthumb ahne Einer Behausung. Item Ein Hauß, Höfflein, Hoffstatt und Gärtlein, mit allen der Gebäuen, begriffen, weithen, rechten und Gerechtigkeiten samt einem gemeinschafftlichen bronnen, so alhier in der Statt Straßburg Vorstatt Krauttenaw ane undt beÿ dem Blumen Gießen gelegen, einseit neben dem Capuciner Garten undt auff der anderen seithen neben Mattiß Schmitten Zum theil undt Zum theil neben herrn Friderich Römern seel: hinderlaßenen Erben hinden spitzt sich auff gedachten Capuciner Garten und fornen vff hanß Klingen der Erben Mutter seel: bruders behaußung stoßendt, welche Behaußung Von den Herren Werckmeistern Craft Scheins Vom 14. Januarÿ Anno 1700. nach brauch undt ordnung Vor 85. lb. angeschlagen worden, davon gehet Jahrs auff Faßnacht 1. lb 5 ß d Zinß dem Stifft S. Nicolai in undis alhier lößig in hauptguth mit 25 Pfund Pfenning undt thut alßo die Behaußung über solche darauff stehendte beschwerdtnuß annoch ane dem Anschlag Lx lb. Worüber Beÿ gegenwärtiger Inventation kein brieffliches Document befunden worden.
Conclusio finalis, i C vii lb ii ß iii d

Georges Keller épouse en 1703 Marie Marguerite Muhr, fille de jardinier : contrat de mariage tel qu’il est copié à l’inventaire, célébration
Copia der Eheberedung – zwischen dem Erbaren u. bescheidenen Geörg Kellern, dem ledigen Gartner, weÿland des Eren u. Wohlvorgeacht, Georg Kellers geweßenen Gartners in Crauthenau, mit Salome Kellerin gebohrner Klingin, So dann der Ehren u. tugendsamen Jungfrauen Maria Margaretha Murin weÿland Martin Muren geweßenen burgers u. Gartners alhie hinterlaßener ehelicher tochter, als der Jungfrauen Hochzeiterin am andern theil, scih begeben u. Zugetragen, darbeÿ dann in beÿseÿn u. Persönlichen Gegenwartigkeit des Wohl Ehren u. Vorgeachten Herrn Jacob Kellers Gartners in Crautenau als des hochzeiterers geschwornen Vogts, Vnd dann vf der Jungfer Hochzeiterin Seiten Herrn Hannß Michel Baaßen, dißmahligen Büttels beÿ vorgedachter Gartner Zunfft, deren beeÿdigten Vogts

Mariage, Saint-Guillaume (luth. f° 93, n° 1)
1703. Mittwoch den 1. Februarÿ seind nach ordentlicher 2.mahliger proclamaôn hier copulirt Worden Hanns Geörg Keller, der ledige gartner und burger, Weÿland Geörg Kellers deß gartenmanns und burgers, und seiner Ehefrauen Salome Klingin nachgelaßener Ehelicher Sohn, Und Jungfrau Maria Margaretha, Weiland Martin Muhren deß gartenmanns und burgers Und seiner Ehefrauen Catharinæ nachgelaßene Eheliche Tochter, [unterzeichnet] x Zeichen des Hochzeiters, X Zeichen der hochzeiterin (i 97)

Jean Georges Keller meurt en 1717 en délaissant pour seul héritier son frère Jacques. Le défunt n’a pas fait dresser d’inventaire des apports. La masse propre au veuf présente un déficit de 441 livres, celle de l’héritier s’élève à 413 livres. L’actif de la communauté s’élève à 550 livres, le passif à 551 livres. La maison est portée à une valeur de 75 livres

1717 (31.3.), Not. Baer (Christophe Evrard, 2 Not 11) n° 495 (numéro XIX° s.)
Inventarium über Weÿl. deß Ehren und bescheidenen Hanß Georg Keller geweßenen Gartners Inn der Crauttenau und burgers allhier Zu Straßburg nunmehr seel. Verlassenschafft, auffgerichtet v. vertiget Anno 1717 – nach seinem auff Sambstags, alß en 27. Februarÿ dießes lauffenden 1717. Jahres aus dießem mühe seel: vnd Jannervollen lebens genommenen dödtl. hientritts hinter Ihme verlaßen, welches auf freundtliches Ersuchen vnd begehren deß Ehrenhafften, auch wohl bescheidenen Jacob Kellers Georgen Sohns, burgers und Gartners Inn Crauttenaw allhier in gemeldem Straßburg alß deß abgeleibten Eheleibl. annoch einigen bruders vnd dießorths Eintzigen Erben,mithien denen auch fleißig ersucht vnd Inventirt, durch die Ehr: v: tugendsame fraw Mariam Margaretham Kellerin gebohrne Muehrin alß deß abgeleibten seel. geweßene Ehefrau, die dießorts nunmero hinderbliebene Wittib vnd beÿständlich deß Ehren v. bescheid. Hannß Michel Kieffers auch Gartners in Crauttenaw v. burgers alhier von offberührtem Straßburg Ihres eheleibl. Schwagers vnd geschwornen Vogten (…) so beschehen Straßburg den 31: Martÿ: 1717.

Bericht gegenwärtigen Inventarii. Weilen beede geweßene Eheleüth, dero Zugebrachte Nahrungen nicht haben inventiren laßen, so hat mal also auch Keine Guths Ergäntzung ersuchen können (…)
Copia der Eheberedung (…)
Copia Codicilli – Christoph Eberhardt Bär
In Einer allhier Inn der Statt Straßburg nahe dem blumen Gießen oder Rechen, gegen dem frantzösischen Königl. Hospittal über, inn der Vor Statt Crauttenaw geegenen und Inn dieße Verlaßenschafft Eigenthümlich gehörigen vnnd bewohnender behaußung sich befunden wie folget
Haußrath ahne Hotz vnnd Schrein Werck, auff der bühn,, Inn dem obern Haußöhren, In der Wohnstub
Eigenthumb ahne Einer behausung so dem Erben ohnverändert Zuständig. (E.) Item ein sehr alt, und recht bawfällige behaußung, Stall, vnd Scheurlein, gemeinschafftl. höffel vnd bronnen, samt allen deren Gebäuwen, begriffen, Weiten, Zugehörden vnd Gerechtigkeiten gelegen alhie in der vorstatt Crauttenau nahe dem Blumen Gießen gegen dem frantzös. hospital 1.s. 2: seit dem Closter der Capuciner theils theils Joh: Heinr. Schollen dem Metziger, hinden auch auf ged: Capuciner Closter, ferner in den höffl. vnd daran gelegenen Gärtl. stoßend, so freÿ, ledig, vnnd Eigen vnndt vermög einer Von denen der Statt Straßburg geschwohrnen Werckmeistere vnd außgefertigter schrifftl. Abschatzung sub dato den 3. Martÿ 1717 hiehero angeschlagen per 75.
Darüber sagt ein teutscher Pergamentener Kauffbrieff mit der Statt Straßburg Cantzelleÿ Contract stuben anhangendem Innsiegel datirt den 20: februarÿ Anno 1647: sig: mit altem N° 1: sign. so hannß Kling der älter, Gartenmann vnnd Burger alhier alß deß verstorb: seiner auch schon längsten in Gottenhand. Mutter: bruder in handen, alß der eine Kleine abgetheilte behaußung, daran stehen hatt über welche beede bewohnungen solcher Kauffbrieff mit einander sagendt, vnd so weit hiehero Zum bericht beÿgefügt.
Norma. der wittib ohnverändert und eigenthümlich Guth, Sa. haußraths 8, Sa. silbers 4 ß, Sa. Guldener Ring 4, Sa. Schulden 22, Summa summarum 32 lb
Auf solches folgt nun auch deß Erben für ererbt ohnverändert eigenthümlich Guth, Sa. Haußraths 9, Sa. Eigenthumb ahne einer behaußung 75, Sa. Eigenthumb ahne Liehender Gütern 84, Summa summarum 168 lb – Schulden 263, Schulden last 64 lb
Endlichen und letzlichen so wird nun auch das gemein verändert und theilbahr guth beschrieben, Sa. haußraths 6 lb, Sa. Früchten auf dem Kasten 1, Sa. Blumen auf dem feldte 8, Sa. Strohe 16 ß, schulden Schiff und geschirr Zur Gartner handtierung gehörig 4, Pfardt 25, Tüngung 3, Baarschafft 13, Eigenthumb ane liegenden Güttern 46, Schulden 210, Summa summarum 320 lb – Summa Passivorum 132 lb, Rest 187 lb
Conclusio finalis Inventarÿ 155 lb

Les préposés de la Taille font figurer la succession dans leur registre parce que les impôts acquittés étaient calculés d’après une fortune sous-évaluée de 200 florins (100 livres) sur un total de 300 florins
1717, Livres de la Taille (VII 1175) f° 231
(GUW, F. N° 1834) Weÿl. Hannß Geörg Kellers geweßenen Gartners und burgers alhier Verlaßenschafft inventirt H. Not. Bär.
Concl. fin. Inv. ist fol. 75.b, 155. lb, 9 d, die machen 300. fl, verstallte 100. fl. Zu wenig 200 fl.
Warvon der Nachtrag alß von theilbarem Guht gerechnet wird auff 6 Jahr in duplo à 12 ß macht 3 lb 12 ß
Und auf vier Jahr in simplo à 6 ß thut 1 lb 4 ß
Extant die Stallgelter pro 1715. 1716. et 1717, 4 lb 10 ß
Gebott 1 ß 4 d, Abhandlung 7 ß 6 d, Summa 9 lb 14 ß 10 s
In ansehung eingebrachte motiven haben die Herren Dreÿ nachgelaßen 1. lb 16 ß, restirt 7. lb. 18 ß 10. d
dt. 17° aprilis 1717.

Marie Marguerite Muhr passe un contrat de mariage avec le maréchal ferrant Jean Paul Müller qui meurt avant que le mariage ne soit célébré
1726 (12.6.), Not. Lichtenberger (Jean Philippe, 30 Not 52) n° 7
Eheberedung zwischen Herrn Johann Paul Müller, Hueffschmidt und burgern allhier, als dem bräutigamb beÿständlich herrn Johann Daniel Müller, Gastgebers Zum Rothen Väßel Seines bruders und H. Jacob Riehlen Gartner Unterwagners deßelben Schwagers, beeder burgere allhier ane einem,
sodann Frauen Maria Margaretha Gebohrener Muerin weÿl. Johann Georg Keller, geweßenen Gartner Unterwagner auch burgers allhier seem/ nachgelaßener wittib als der Fr. Hochzeiterin, Mit assistentz H Melchior Dietz, Garthenmann, Ihres Vettern und H hanns Michael Kieffer des Ältern Gartners in Crautenau, Ihres Geschwornen Vogts am Andern theil
Actum Straßburg auff Freÿtag den 21.ten Junÿ Anno 1726 [unterzeichnet] hans Paulus müller Als hocht Zeÿter, M der Frau hochzeiterin hand Zeichen
(der Sponsus ist vor der copulation verstorben, daher nicht zu expediren)

Marie Marguerite Muhr se remarie avec le remueur de grains Jean Riehl, veuf de Marguerite Walter : contrat de mariage, célébration
1726 (9. 9.br), Not. Brieff (Jean Philippe, 6 Not 16) n° 145
Eheberedung – zwischen S. T. H. Johann Riehlen burgern Kornwerffern und wittwern alhier alß hochzeithern ae Einem
So dann S. T. Frawen Maria Margretha gebohrner Muhrin, weÿland hannß Georg Kellers burgers und Gartners alhier hinterlassener wittib alß hochzeiterin andern theils, dabeÿ dann mit unterhandlung und genehmhaltung herrn Jacob Kostmanns burgers und handelsmanns allhier alß des H Hochzeiters Schwagers – So geschehen Straßburg den 9. Nov. 1726. [unterzeichnet] Johann Riehl alß hochzeitter, M der fr. hochzeitherin handzeichen

Mariage, Saint-Guillaume (luth. f° 6-v, n° 23)
Mitwochs d. 27. 9.br. 1726 seind nach 2. maliger ausrufung Domin. 22. et 23. Trin. in der Kirch Zu S. Wilhelm ehelich eingesegnet worden, Johann Rhiel der Kornwerffer v. burger weiland Margar. Walterin eheman v. Maria Margaretha Weiland Georg Kellers deß gartners v. burgers ehefrau geborne Muhrin [unterzeichnet] Johann Riehl alß hochzeitter, M Ist d. handzeichen Mariæ Margar. Kellerin, Jacob Keller als schwager (i 8)

Marguerite Muhr qui avait la jouissance viagère de la maison meurt en 1734 en délaissant des héritiers collatéraux. L’actif de la succession s’élève à 64 livres, le passif à 37 livres.

1734 (11. X.bris), Not. Schmidt (André, 6 E 41, 697) n° 87
Inventarium und beschreibung all der Jennigen Haab und Nahrung, So Weÿl. Margaretha Muhrin deß Ehrb. Johann Riehlen Kornwerffers geweste geschiedene Ehefr. nach ihrem den 7.t Decembr. Jüngst aus dießer welt genommenen tödlichen hinscheiden hier Zeichnung – So gescheh. auff Sambstag den 11.t Xbris Anno 1734.
Die Verstorbene seel. hatt ab intestato Zu Ihren rechtsmäßigen Collateral Erben hinterlaßen, So sich beÿ dießer Inventur præsentiert Alß 1. den Ehrb. Michel Kieffer G. ahne Krauth. und burger alhier, 2. Catharinam Dielin geb. Kiefferin hannß Dielen burgers alda Ehel. haußfr. 3. Salome Schöllhamerin geb. Kiefferin dauidt Schöllhamers auch burgers daselbsten Ehefr., dieße dreÿ weÿl. Catharin Muhrin der abgelebten Schwester hinterlaßener Kindter,
So dann 4. Hannß Michel Muhr burger und Schuhmacher alhier, 2. Maria Salome Muhrin Christoph Lorentzen G. ahne Krauth. und burg. dahier Ehel. haußfr. 6. und letzlich Maria Elisab: Muhrin hanß Georg Kriegen fischer und burg. alhier Ehewürthin, des Verst. Hannß Michel Muhren und der abgeleibten brudters 3. Kindter
Welche alle sampt Zugeg., und in pari gradu Succedieren

In Einer in der Vorstatt Krauth. nahe dem blumen gieß. gegen dem frantzösisch. Spithal hinüber geleg. behaußung, So der Verstorb. see. in Wÿdumbs weiß genoß. Erfunden alß Volget
Series rubricarum hujus Inventarÿ, Sa. Haußraths 38, Sa. gold. Ring 3, Sa. Silbergeschmeidt 1, Sa. Schiff und geschirr 1, Sa. Eigenth. ahne lig: G. 20, Summa summarum 64 lb – Passiv 37, Compensando 27 lb
Wÿdtumb, So die Eingangs Vermelte Margaretha Muhrin seel. Von Weÿl. dem Ehrb. Hannß Georg Keller gew: G. ahne Krauth. und burgern alhier Ihrem gewesten Ersten Ehemann seel. ad dies vitæ Zugenieß. gehabt, daß Eigenth. aber Jacob Keller Georg. Sohn auch G. ahne bes. Krauth. Erstgem. hanß G. Kellers bruedter, modo aber deß. ab intestato hinderlaßenen Kindtern und Erben Vorbehalten Undt anjetzo zufallen thuet. Vermög über Weÿlandt Hanß Georg Kellers gew. G. ahne Krauth. und burg. alh. durch H Christoph Eberhardt bärn Not. publ. alhier in anno 1717 außgefertigten und den 17.t april dicti anni 1717 auff unßer herrn Stall abgehantelten Verlassenschaffts Inventarÿ Sub N° 1834 Ergibt sich (…)

La maison revient en toute propriété à Jacques Keller qui épouse en 1703 Ursule Pfenning, fille du jardinier Jean Pfenning et d’Ursule Hetzel

Mariage, Saint-Guillaume (luth. f° 98, n° 1)
1703. Mittwoch d. 24. Januarÿ seind nach ordentlicher 2.mahliger proclamation, Ehelich eingesegnet Worden, Jacob Keller der ledige gartner Weiland Georg Kellers deß gartenmanns Und burgers und seiner Ehefrauen Salome Klingin nachgel. Ehel. Sohn, Und Jgfr Ursula Weiland Hannß Pfennings deß garttners Und burgers und seiner Ehefrauen Ursula Hätzelin nachgelaßene Ehl. Tochter [unterzeichnet] Jacob Keller alß hochzeiter, o der Hochzeiterin zeichen (i 102)

Leur fils Jacques Keller épouse en 1735 Marie Reibel, fille du jardinier André Reibel et de sa femme Marie Wunderer : contrat de mariage, célébration
1735 (7.3.), Not. Schmidt (André, 6 E 41, 702) n° 67
Eheberedung – persön. Kommen Unndt Erschienen, der Ehrb. vnndt besch. Jacob Keller der leedige Garthner Weÿl. Jacob Kellers geweßenen G. ahne Krauthenaw undt burg. alhier mit Ursula gebohrner Pfenning. seiner Ehefr. Ehelich Erziehlte und Hindterlaßener Sohn, Mit Erst gem. seiner mutter, Unndt dem auch Ehrb. Michel Kieff. auch B. ahne Kraut. seinem Stieffvatter Verbeÿstandet, hochzeiter ahne Einem,
So dann die tugendb. Jungfr. Maria Reÿbelin, Andtres reÿbels Ebenfalß G. ahne Krauth. vnndt burg. Von hier, und Mariæ geb. Wundterin deßen haußfr. Ehelich Erzogene Tochter, mit beÿstandt Erstgem. Ihrer Eltern, hochzeiterin andtern theilß
So bescheh. (…) Straßb. den 7.ten Martÿ a° 1735. [unterzeichnet] Jacob Keller, m der hochzeiterin handzeichen

Mariage, Saint-Guillaume (luth. f° 50-v, n° 8)
Aô 1735. den 11. Maÿ. Seind nach Zweÿmahliger außruffung nemlich Dominica Jubilate et Cantate in der Kirchen Zu S. Wilhelm ehl. copulirt und eingesegnet worden Jacob Keller der Ledige Gartner und burger allhier Weÿl. Jacob Kellers auch Gartners und burgers allhier und Ursula Pfennigin ehl. Sohn und Jungfr. Anna Maria, Andreß Reibels Gartners und burgers allhier und Maria Wundererin ehl. Tochter. [unterzeichnet] Jacob Keller als hochzeider. annamaria, der hochzeiterin Zeichen (i 53)

Les nouveaux mariés font dresser l’inventaire de leurs apports dans une maison au canton Schiffmatt près du péage fluvial de la Robertsau
1735 (9.7.), Not. Schmidt (André, 6 E 41, 698) n° 111
Inventarium unndt Beschreibung All der Jennigen Haab, Nahrung und Güther, So der Ehrb. und bescheidtene Jacob Keller der Jung G. ahne Krauth. unndt burger alh. Zu Straßburg, undt die tugends. Maria gebohrne Reÿbelin deßen Ehefr. Einander in Ihren Jüngsthin mit einander angetretten Ehestandt Zu gebracht, Welche Nahrung der ursach halben, damit mann sich Künfftighin wegen Ihrer in der Vor mir dem Not° Endts gem. auffgerichten Eheberedtung Stipulirten Ergäntzung halben Zu reguliren wüße, Ersucht (…) So gescheh. in fernern beÿsein auffs eithen deß hochzeithers deß Ehrb. hannß Michel Kieffers deßen Stieff Vatters G. ahne Krauth. und Ursulæ Pfenning seiner Mutter, und dann auff der Hochz. seithen Andres Reÿbel G. daselbst und Mariæ gebohrner Wunderin deren Elteren, auff Sambstag den 9. Julÿ Anno 1735.
In Einem hindter der Schiffmatt ahne dem Waßer Zoll gelegen Andres Reÿbel der Ehefr. Vatters Eigenth. gehörigen behaußung Erfundten worden

Devenue veuve, Anne Marie Reibel se remarie avec le jardinier Jean Müll : contrat de mariage, célébration
1742 (11.1.), Not. Stoeber l’aîné (6 E 41, 1223) n° 69
Eheberedung Zwischen dem Ehrsam und bescheidenen Hannß Müll, dem jüngern GVW. und burgern allhier, weÿl. Andres Müll gewesenen garthners daselbsten mit auch weÿl. Aurelia gebohrner Wildin nun beese seel. ehelich erzeugtem Sohn, alß dem hochzeiter beÿstandl. hannß Müll deß ältern seines Vetters und Andres Müll seines Bruders, beeder garthner daselbst ane einem
Sodann der Ehren und tugendsamen Frauen Annæ Mariæ Kellerin gebohrner Reÿbelin Weÿl. Johann Jacob Kellersdeß jüngern geweßenen G. a. Crautenau und burgers allhier seel. hinderbliebenn Wb. alß der hochzeiterin, mit beÿstand Hannß Schott Lorentzen Sohn, gvw. Ihres geschwornen Curatoris, hannß Michael Kieffers G. a. Crautenau Ihres Schwähers und Johann Daniel Kostmanns Garthenmanns Ihrer Kinder j. Ehe geschwornen Vogts ane dem andern theil gepflogen
Actum und nach beschehener ableßung unterschrieben und unterzeichnet Straßburg Donnerstags den 11. Januarÿ A° 1742. [unterzeichnet] hannß Müllen deß hochzeiters handzeichen +, Annæ Mariæ Kellerin handzeichen x

Mariage, Saint-Guillaume (luth. f° 115-v, n° 8)
Aô 1742. den 7. Martÿ. Seind nach Zweÿmahliger außruffung nemlich Dominica Oculi et Lætare in der Kirch Zu S. Wilhelm ehl. copulirt und eingesegnet worden Johannes Müll der jünger Lediger Gartner und burger allhier, Weÿl. Andreß Müllen auch gewesenen Gartners und burgers allhier und Aureliæ Wildin nachgelaßener ehl. Sohn, und Fr. Anna Maria, weÿl. Jacob Kellers geweßenen Gartners und burgers allhier nachgelaßene Wittib, [unterzeichnet] IM des hochzeiters Zeichen, AMK der Hochzeiterin Zeichen (i 113)

Inventaire des apports non conservé
Not. Stoeber l’aîné (répert. 6 E 41, 1127-1) n° 355
Inventarium illatorum Hanß Mülll des jüngern G.U.W. und Fr. Anna Maria geb. Reibelin

Ursule Pfenning veuve de Jacques Keller se remarie avec le jardinier Michel Kieffer, fils de Michel, lui aussi jardinier, et de Catherine Muhr
Mariage, Saint-Guillaume (luth. f° 231, n° 9)
Mittwochs d. 17. Aprilis 1722. seind nach geschehener 2.maligen ausrufung Domin. Quasim. et Misericord. in der Kirch Zu S. Wilhelm ehelich eingesegnet word. Michael Kiefer der ledige gartner burger Michael Kiefer des gartners v. b. v. Catharina Muhrin ehelicher Sohn v. Ursula, weiland Jacob Kellers gartners v. burgers nachgelaßene eheliche wittib geborne Pfeinningin [unterzeichnet] hans michel Kiefer hoch ßeiter, u Handzeichen Ursulæ Kellerin (i 238)

Ursule Pfenning meurt en 1756 en délaissant pour héritiers son petit-fils Jacques Keller issu de Jacques et d’Anne Marie Reibel et sa fille Ursule, femme du jardinier Daniel Kostmann. L’inventaire est dressé dans sa maison rue de l’Abreuvoir. Sa succession comprend la moitié divisée de la maison près du canal aux Fleurs face à l’hôpital français. La masse propre au veuf est de 114 livres. celle des héritiers de 271 livres. L’actif de la communauté s’élève à 731 livres, le passif à 899 livres

1756 (28.1.), Not. Stoeber l’aîné (6 E 41, 1167) n° 980
Inventarium über Weiland der Ehren und tugendsahmen Frauen Ursulä gebohrner Pfenningerin, des Ehrsam und bescheidenen Hannß Michel Kieffers GAKr. gew. burgers allhier zu Straßburg gew. Ehefrauen nunmehr seel. Verlaßenschafft auffgerichtet in Anno 1756.
Inventarium und Beschreibung aller derjenigen Haab, Nahrung und Güther, liegende und fahender, verändert und ohnveränderter, keinerleÿ davon außgenommen, so weil. die Ehren und tugendsame Frau Ursula gebohrne Pfenningerin, letzmals des Ehrsam und bescheidenen Hannß Michel Kieffers, GAKr. und brs. allhier zu Straßburg gewesene Eheliche haußfraun nunmehr seel. nach Ihrem Freÿtags den 23.ten hujus auß dießer Welt genommenen tödtl. hintritt, Zeitl. verlaßen (…) So beschehen Straßburg Mittwochß den 28. Januarÿ et Seqq. Anno 1756.
Die abgeleibte seelig hat sowohl ab intestato als per Testamentum Zu Erben Verlaßen wie folgt. Erstlichen weil. Jacob Keller, des jüngen gew. GaKr. und b. allhier des, den 30.t Novembris 140. verstorbenen Sohns, seel. mit Fr. Anna Maria geb. Reÿbelin seiner hinterbliebeneen Wb. dermahlen auch weil. Hannß Müll, des Jüngern gew. gvw. und bs. dahier Wb. ehelich erzeugten und noch lebenden Sohn, als dießortigen Enckel, mit nahmen Jacob Keller deßen geordnet und geschworner Vogt ist Johann Daniel Kostmann der Garthenmann und burger allhier, in deme Er aber ehevögt. weiße hierbeÿ interessirt als ist Ihme dem Enckel Zu einem Theil vogt obrigkeitl. constituirt worden Michael Kientz, der Gartenmann und br. allhier, welcher neben Ihme dem Enckel dißem geschäfft beÿwohnte, In den erstern dritten Stammtheil, gleichwohl wann Er den Enckel leedigen Standts verstürbe, so seind Zwo tertzen solcher Stammtheils deßen Miterbinnen zufällig, so daß Er solchen falls nur in Legitimam, das ist in die übrige tertz, deßelben, instituirt seÿn solle,
Zweitens Frau Mariam Ursulam Kostmännin gebohrne Kellerin, nechst gemelten Johann Daniel Kostmann des Garthenmanns und burgers dahier Ehefrau beÿständl. deßelben, In den Zweÿten dritten Haupttheil, Welche tochter und herrn Sohn die abgeleibte seel. in erster Ehe mit Weil. Jacob Keller Georgen Sohn gew. GAKr. und burgern allhier, ihrem den 11. 8.ten Aprilis 1721. verstorbenen erstern Ehemann, beneben Annä Margarethä dem Ihme in die Ewigkeit nachgefolgten töchterlin, ehelich erzeuget hat
So dann Drittens Frau Mariam Salome Kellerin gebohrne Kiefferin, Joh: Jacob Kellers GaKr. und burgers alhier eheliche Hausfrau die unter deßen assistentz hierbeÿ anweßend ist, In den letzten dritten Haupttheil, Und hat die verstorbene seel. dieße Tochter in letzter Ehe mit eingangs gemeltem hannß Michel Kieffer dem hinterbliebenen Wr. ehelich erziehlet.

In einer allhier Zu Straßburg dero Vorstadt Krautenau ane der Feeggaß gelegenen und in dieße Verlaßenschafft zugehörig behaußung befunden worden wie folgt.
(f° 12-a) Ergäntzung des Ws. ermanglenden ohnveränderten Guths. Ausweißlich des über beeder geweßler Eheleuthe einander in den Ehestand Zugebrachte Nahrungen durch weiland H. Not. Joh: Heinrich Lang seelig den 20.ten Maii A° 1722. auffgerichteten Inventarÿ
(f° 13) Eigenthum ane einer Behaußung (T. ½ hieran des Wrs Widem) Neml. eine Behaußung, Scheur, Nebens hauß, Stallung, Gärthlein zu Straßburg dero Vorstatt Krautenau ane der Kleinen Vieh dermahlen Feggaß (…)
(f° 19.) Antheil ane einer Behaußung, so Zwischen der Verstorbenen seel. dermalen beeden Töchter erster Ehe und in leben geweßenen beeden Enckel gemeinschafftmich. Neml. die helffte von und ane 1.r zum theil abgetheilten Behaußung gemeinschaftlichen Hoff, bronnen, Stallung, Schppff und Keller allhier Zu Straßburg dero Vorstatt Krautenau, nahe dem Bluhmengeißen gegen dem frantzös. Hospithal über 1.s neben des Capuciner Kloster Maur, 2.s neben Jacob Münck dem Kräutler, hinten auf H. Rathh. Dorschner stoßend gelegen so Zu dießortiger helffte gegen männiglich leedig eigen und durch (die Werckmeistere), und zwar sowiel die behaußung und die übrige Gebäude wie auch Hoff und Hoffstatt betrifft, außweißlich des zu mein Notarÿ Conc. übergebenen Abschatzung Zeduls vom 14. Martÿ A° 1756. zu dißortigem antheil angeschlagen pro 200. lb. Das zu dießortiger helffte gehörige hintere Gärthlein aber durch eingangs gemelten H. Inventir schätzer vor 10. lb, Macht beedes 210.
Welche resp. abgetheilte Haußhelffte und das Gärthlein der verstorbenen Ihr ersterer Ehemann see. von seinem in A° 1717. verstorbenen Bruder weil. Hannß Georg Keller gew. GaKr. und burgern allhier seel. ererbet hat, die, die aber deßen Wb. weil. Frau Margaretha geb. Muhrin, letztmals Joh: Riehl des gew. Kornwerffers und bs. dahier geschiedene Ehefrau widems weiße genoßene, auf dero absterben aber so den 7. Xbris 1734. geschehen ist vorherige haußhelffte der dießorts verstorbenen seel. in krafft des von dero erstern Ehemann beneben Ihro den 4. Augusti 1706. vor längst weil. H. Joh: Christoph Schell gew. Not° allhier seel. und Gezeugen gestiffetten Codicill reciproci Salva legitima derer Kinder in widembs genuß zugekommen.
Die übrige helffte der behaußung und dero Zugehörden und das vordere Gärthlein ist Joh: Klein dem Gartenmann und burger, allhier zus. Über die völlige behaußung bes. i teutsch. perg. Kfbr. m: der Stadt Straßburg C. Cstb. anhang. Ins. verw. dedato 20.ten Februarÿ A° 1647. mit a. N° 1. notirt, so aber nicht vorhanden.
Summa vorher erzählten antheils ane einer behaußung so zwischen der verstorbenen seel. der noch lebenden tochter erster Ehe und im leben geweßenen beeden Enckel gemeinschaftlich macht 210. lb. Hieran hat die abgeleibte seel. wegen Annæ Margarethæ dem verstorbenen töchterlein erster Ehe die tertz ererbt anlangende 70. lb
Abzug gegenwärtigen Inventarÿ. Des Wb. ohnverändert Vermögen, Sa. haußraths 15 ß, Sa. Silbers 18 ß, Sa. Eigenthums ane ligenden Gütern 31, Sa. beßerung ane lehengüthern (-), Sa. der activ schuld 25, Erg. 82, Summa summarum 139 lb – Schulden 25, Nach solchem abzug 114 lb
Dießemnach wird auch derer Erben ohnverändert guth beschrieben, Sa. haußraths 6, Sa. Silbers 7 ß, Sa. goldenen Ring 4, Sa. baarschafft 2, Sa. antheils ane einer behaußung 70, Sa. Eigenthums ane liegenden güthern 30, Sa. Eigenthums ane liegenden güthern so zwischen der Verstorbenen seel. der noch lebend. (…) 26, Sa. Eigenthums ane liegenden güthern so zwischen (…) 13, Sa. beßerung j. Lehenguths (-),Sa. beßerung ane lehengüthern so zwischen 3 ß, Sa. der Activ schuld 25, Erg. 231, Summa summarum 410 lb – Schulden aus dem Erbe 139, Nach deren Abzug 271 lb
Endlich folgt auch das gemein verändert und theilbar guth, Sa. haußraths 64, Sa. Schiff und geschirrs zum feld und Ackerbau gehörig 20, Sa. Pferd s. deren geschäfft auch Schwein 33, Sa. der Früchten auf d. Kast wie auch Saamen 13, Sa. tabacks 20, Sa. Zwiblen und Konoblochs 10 ß, Sa. strohs 2, Sa. besserung im hoff und auf dem feld 14, Sa. früchten auf dem feld wie auch Garthenwaar 16, Sa. Silbers 1, Sa. Eigenthum ane j. behaußung 457, Sa. Eigenthum ane liegenden güthern 86, Sa. beßerung ane lehengüthern (-), Summa summarum 731 lb – Schulden 899 lb, In Vergleichung 167 lb
Stall Summ 489 lb
Wÿdem Welche die Verstorbene seel. von Weÿl. Jacob Keller gew. GaKr. und burgers allhier ihrem den 11. Aprilis 1721. Verstorbenen ehemann seelig genoßen hat
Copia der Eheberedung – zwischen dem Ehrsam und bescheidenen Hannß Michael Kieffer dem leedigen Garhner, des Ehrengeachten Hannß Michael Kieffer des ältern Garthners in Krautenau eheleiblichem Sohn, als hochzeiter ane einem, So dann der Ehren und tugendsamen Frauen Ursulæ geb. Pfenningin, weil. Jacob Keller Georgen Sohns geweßenen Garthners in Krautenau hinterlaßener Wb. als der hochzeiterin am andern theil (…) So beschehen und verhandelt in der Königlichen Stadt Straßb. Donnerstag den 19. Februarÿ in dem jahr als man Zahlt nach Christi geburth 1722. Johann Heinrich Lang Nots. Juratus
Copia Dispositionis. Kund und Zuwißen seÿe hiemit männiglichen, demnach die Ehren und tugendsame Frau Ursula gebohrne Pfenningin, weiland Jacob Keller Georgen Sohn geweßten Garthners in Krautenau Hinterbliebenee Wittib (…) Beschehen und erhandett, auf Donnerstags den 9. Aprilis 1722
Copia Testamenti nuncupativi – Zuwiße seÿe hiemit daß ane drunten gesetzten gemelttem Dato Frau Ursula gebohrne Pfenningin, dermalen Johann Michael Kieffers Garthners ane Krautenau und burgers allhie zu Straßburg eheliche Haußfrau (…) zu sich in Ihr und Ihres Ehemanns behaußung ane der Feeggaß in der Krautenau gelegen (…) in der wohnstub mit denen Fenstern ind en Hoff und auf die gaß außsehend sehr krancken dannhero zu bette legenden leibs (…) Montags den 19.ten Januarÿ A° 1756. Johann Daniel Stöber

Les héritiers vendent la maison pour 300 livres à Jean Philippe Dorsner, assesseur des Quinze et propriétaire de la maison à l’arrière qui donne sur la place du Foin

1762 (16.9.), Chambre des Contrats, vol. 636 f° 295-v
Fr. Anna Maria geb. Reÿbelin weÿl. Hanß Müll des g.u.w. wittib, Johann Jacob Keller der g.u.w., Fr. Maria Ursula geb. Kellerin Johann Daniel Kostmann des gartenmanns Ehefrau, Fr. Maria Salome geb. Kiefferin weÿl. Johann Jacob Keller des jüngern g.a.k. wittib beede weiber beÿständlich gedachten Kostmann
in gegensein ST. H. XV. Johann Philipp Dorßner
die abgetheilte helffte einer behausung, hoff, hoffstatt gerten gemeinschafft des bronnens, keller und schopff mit allen deren begriffen, zugehörden, rechten und gerechtigkeiten ane der vorstatt Krautenau nahe beÿ dem Blumengießen einseit neben dem großen Capuciner Closter, anderseit neben Jacob Minck dem kräutler, hinten auff den kaüffer – als ein elterlich ererbtes guth – 300 pfund


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