25, rue du Jeu-des-Enfants


Rue du Jeu-des-Enfants n° 25 – III 41 (Blondel), P 567 puis section 57 parcelle 62 (cadastre)

Maître d’ouvrage, Ulric Schultheiss, 1587 – Troisième étage, Michel Bertsch, 1857


Le premier et le deuxième étage sont d’époque, le rez-de-chaussée a été refait, le troisième étage ajouté au XIX° siècle (septembre 2017)
Oriel de face et de dessous (mai 2019)

La maison est inscrite au nom de l’aubergiste à l’Ecurie Ulric Schultheis dans le Livre des loyers communaux de 1587, date qui figure selon Adolphe Seyboth sur l’oriel qui comprend des pilastres d’angle et une voûte à ogives curvilignes sur la partie inférieure. Les fenêtres à meneaux et congés aux étages sont représentatives du style Renaissance. Les héritiers Schultheis cèdent en 1661 la maison au capitaine manant Albert Frédéric Brehmer. Le tonnelier Etienne Geyler achète en 1708 la maison qui revient à son fils pasteur Etienne Geyler puis au fils de celui-ci, le tonnelier Jean Etienne Geyler. Les experts estiment les bâtiments 1 300 livres tout au long du siècle.


Elévations préparatoires au plan-relief de 1830, îlot 46 – Cour R (© Musée des Plans-relief) 1

L’Atlas des alignements (années 1820) signale une façade à rez-de-chaussée et deux étages en maçonnerie garnis d’une lanterne (oriel). Sur les élévations préparatoires au plan-relief de 1830, la façade sur rue est la troisième à droite du repère (m) : fenêtre à gauche, porte de cave sous l’oriel, porte d’entrée à droite. Chacun des deux étages a une double fenêtre à meneaux de part et d’autre de l’oriel à triple fenêtre. La toiture a deux niveaux de lucarnes. La cour R montre l’arrière (1-2) puis (2-3-4) du bâtiment sur rue, le bâtiment (4-5) à l’ouest de la cour, celui (5-6) au fond de la cour puis le mur (6-1) qui fait partie de la propriété à l’est.
La maison porte d’abord le n° 51 (1784-1857) puis le n° 25.


Plan : cour et bâtiment arrière où se trouve le four
(dossier I de la Police du Bâtiment)

Le cadastre mentionne un agrandissement en 1857 : le revenu passe de 153 à 286 francs, aux 29 fenêtres ordinaires s’ajoutent 6 au troisième étage. Il s’agit sans doute de l’ajout du troisième étage en façade, le couronnement de l’oriel a été remplacé par un balcon. Un nouvel agrandissement a lieu en 1862, le revenu passe à 363 francs, les fenêtres ordinaires à 64 et celles au troisième et au-dessus à 20 ; les modifications doivent porter sur les bâtiments arrière. La maison abrite régulièrement une boulangerie depuis que Jacques Bentz s’en rend propriétaire en 1824. Michel Bertsch fait réparer son four en 1884. Thiébaut North le remplace par un nouveau en 1911 et y installe une machine électrique en 1913. Il remplace en 1942 son four endommagé par faits de guerre.
La façade et la toiture sont inscrites à l’inventaire des Monuments historiques par arrêté ministériel du 5 décembre 1984. Le propriétaire Jean-Claude Wodling fait transformer l’intérieur et aménager les combles en 1992 sous la direction de l’architecte Louis Morel de Schiltigheim. Le rez-de-chaussée est occupé depuis 1992 par le débit de boissons Le Bouchon brionnais.



Façade et cour : ancien état – projet
(architecte Louis Morel, dossier II de la Police du Bâtiment)

juin 2019

Sommaire
Cadastre – Police du Bâtiment dossier I, dossier IIRelevé d’actes

Récapitulatif des propriétaires

La liste ci-dessous donne tous les propriétaires de 1613 à 1952. La propriété change par vente (v), par héritage ou cession de parts (h) ou encore par adjudication (adj). L’étoile (*) signale une date donnée par les registres du cadastre.

Ulric Schultheis, aubergiste à l’Ecurie, et (1590) Jacqueline Kern, veuve de Théophile Beckel – luthériens
v Laurent Schultheis, aubergiste à l’Ecurie, et (1589) Brigitte Stempffer – luthériens
1661 v Albert Frédéric Brehmer, capitaine († 1674), et (b) Eve Félicité Katzendorffer – luthériens
1675 v Philippe Kœrner, aubergiste et (1653) Ursule Lœffler, (1660) Anne Lentz, puis (1669) Susanne Geidel veuve du boulanger Jean Oberlé – luthériens
1690 v Samuel Silberrad, pasteur, et (1685) Einbeth Kolb – luthériens
1698 v Jean Adam Kleinlé, marchand épicier puis employé à l’accise, péager, et (v. 1695) Marie Barbe Brehm, remariée (1710) à Chrétien Schimmer – luthériens
1708 v Etienne Geyler, tonnelier, et (1680) Barbe Hügel, veuve du tonnelier Etienne Geyler – luthériens
1721 h Etienne Geyler, pasteur, et (1721) Anne Madeleine Moscherosch, (1751) Marie Barbe Schneider veuve du boulanger Michel Diemer, Marie Madeleine Trawitz, veuve de Jean Georges Maul puis de Jean Christophe Jost – luthériens
1777 h Jean Etienne Geyler, tonnelier, et (1748) Marie Madeleine Muss puis (1756) Marie Marguerite Rœderer – luthériens
1812 h Jean Georges Müller, fripier puis cabaretier, et (1806) Marguerite Barbe Geyler, (1823) Anne Marie Mæhn
1824 v Jacques Bentz, boulanger, et (1814) Marie Elisabeth Sohn puis (1836) Marguerite Salomé Gross
1848 v Michel Bertsch, boulanger, et (1849) Catherine Weber puis (1863) Marguerite Haber
1892* h Georges Eugène Klein, graveur à Paris, et (1874) Caroline Bertsch
1906 Thiébaut North, boulanger, et Catherine Gangloff
1952- h Frédéric Jacques Vonseel, serrurier, et son épouse à Basse-Yutz

Valeur de la maison selon les billets d’estimation : 1 400 livres en 1709, 1 300 livres en 1721 et en 1749

(1765, Liste Blondel) III 41, Stephan Geiler tonnelier
(Etat du développement des façades des maisons, AMS cote V 61) Steffan Geÿler, 3 toises, 3 pieds et 4 pouces
(1843, Tableau indicatif du cadastre) P 567, Bentz, Jacques, boulanger – maison, sol – 1,68 are

Locations

1700 (cave), Jean Georges Krauss, marchand épicier
1803, Marie Salomé Rœderer veuve du coutelier Jean Jacques Weber
1824 (cave), Jean Georges Popp, marchand de vins
1834, Michel Wagner, cocher, et Madeleine Bourt

Livres des communaux

Livre des loyers communaux, VII 1450, f° 296-v

Uff dem Vordern Weinmarckt Die Eine seitten nach dem Alten Sanct Peter Zu, Oben zu nechst an der Mangen hiernauff gemeßen
Hans Ulrich Schultheiß der Würth Zum Stall hatt gegen d. Herberg Zum Stall über, ein New gebawene Behausung, daran ein steinerin Ercker x schu breit, iiij schu heraus, Ein lehenende Kellerthüer ane dem selben Hauß, viij schu iij Zoll breit, iiij schu herauß, Bessert &, x ß iiij d.

(traduction) L’aubergiste à l’Ecurie Ulric Schultheiss a une maison construite depuis peu face à l’auberge à l’Ecurie. Elle a un oriel de 10 pieds de large en saillie de 4 pieds, une porte de cave inclinée de 8 pieds 3 pouces de large en saillie de 4 pieds. Doit pour cette jouissance 10 sols 4 deniers

Description de la maison

  • 1709 (billet d’estimation traduit) La maison comprend un bâtiment arrière, un passage latéral, le tout estimé avec ses aisances et appartenances à la somme de 2 800 florins
  • 1721 (billet d’estimation traduit) La maison comprend plusieurs poêles, chambres, cuisines, vestibules, cave voûtée, bâtiment latéral où se trouvent plusieurs chambres et une cave solivée, un bâtiment arrière où se trouvent un vestibule et une buanderie, le petite cour dallée comprend un abreuvoir et un évier, le tout estimé avec ses appartenances et dépendances à la somme de 2 600 florins

Atlas des alignements (cote 1197 W 37)

1° arrondissement ou Canton ouest – Rue du Jeu des Enfants

nouveau N° / ancien N° : 30 / 51
Müller
Rez de chaussée et 2 étages médiocres en maçonnerie et lanterne
(Légende)

Cadastre

Cadastre napoléonien, registre 28 f° 226 case 4

Bentz Jacques boulanger
Bertsch Michel, boulanger, Substitution 1850

P 567, maison, sol, cour, Rue du Jeu des enfants 51
Contenance : 1,68
Revenu total : 153,87 (153 et 0,87)
Ouvertures, portes cochères, charretières :
portes et fenêtres ordinaires : 29 / 23
fenêtres du 3° et au-dessus :

Cadastre napoléonien, registre 22 f° 797 case 1

Bertsch Michel propriétaire
Subst. 92/93 Klein Georg, Handlungsreisender, Frau geb. Bertsch, in Paris
(1271) North Theobald Bäckermeister und Ehefrau Katharina geb. Gangloff in Gtg.
(ancien f° 545)

P 567, maison, sol, cour, Rue du Jeu des enfants 25
Contenance : 1,68
Revenu total : 153,87 (153 et 0,87)
Folio de provenance : (226)
Folio de destination : 545, Add.on de Construction
Année d’entrée :
Année de sortie : 1860
Ouvertures, portes cochères, charretières :
portes et fenêtres ordinaires : 29
fenêtres du 3° et au-dessus :

P 567, maison
Revenu total : 286,87 (286 et 0,87)
Folio de provenance : Add.on de Con
Folio de destination : 545
Année d’entrée : 1860
Année de sortie : 1865
Ouvertures, portes cochères, charretières :
portes et fenêtres ordinaires : 29 / 23
fenêtres du 3° et au-dessus : 6 / 6
1860, Augmentations – Bertsch Michel f° 545, P 567 Maison, revenu 286, addition de construction, achevée en 1857, imposable en 1860, imposée en 1860
Diminutions – Bertsch Michel f° 545, P 567 Maison, revenu 153, addition de construction en 1857, (voir ci-contre), supp. en 1860

P 567, maison
Revenu total : 343,87 (343 et 0,87)
Folio de provenance : 545, Add.
Folio de destination : Gb
Année d’entrée : 1865
Année de sortie :
Ouvertures, portes cochères, charretières :
portes et fenêtres ordinaires : 64 / 51
fenêtres du 3° et au-dessus : 20 / 16
1865, Augmentations – Bertsch Michel f° 545, P 567, maison, revenu 363, addition de construction, achevée en 1862, imposable en 1865, imposée en 1865
Diminutions – Bertsch Michel f° 545, P 567, maison, revenu 286, addition de construction en 1862, supp. en 1865, voir les augmentations

Cadastre allemand, registre 30 p. 307 case 2

Parcelle, section 57, n° 62 – autrefois P 567
Canton : Kinderspielgasse Hs N° 25
Désignation : Hf, Whs
Contenance : 1,93
Revenu : 2800 – 3700
Remarques :

(Propriétaire), compte 3062
North Theobald u. Ehefrau geb. Gangloff
1947 North Thiébaut sa veuve née Gangloff à Basse-Yutz
1952 Vonseel Frédéric Jacques serrurier et son épouse à Basse-Yutz
(4159)

1789, Etat des habitants (cote 5 R 26)

Canton III, Rue 56 au Jeu des Enfants

51
Pr. Gailer Jean Stephan – tonneliers
lo. Siegel Chrétien – Echasses
lo. Kreuter George – lanterne
lo. Kaisser André – Charpentiers

Annuaire de 1905

Verzeichnis sämtlicher Häuser von Strassburg und ihrer Bewohner, in alphabetischer Reihenfolge der Strassennamen (Répertoire de toutes les maisons de Strasbourg et de leurs habitants, par ordre alphabétique des rues)
Abréviations : 0, 1,2, etc. : rez de chaussée, 1, 2° étage – E, Eigentümer (propriétaire) – H. Hinterhaus (bâtiment arrière)

Kinderspielgasse (Seite 78)

(Haus Nr.) 25
Fritsch & Rett, Elektrotechn. Install.-Gesch. 0
North, Bäckerm. 01
Fritsch, Elektrotechniker. 1
Bernhard, Schneiderin. 2.
Rolle, Schreibgehülfe. 3.
Wohlhüter, Wwe. 3.
Argogast, Tagner. H 1
Heintzmann, Schreiner. H 2
Boos, Maurer, H 3

Dossier de la Police du Bâtiment (cote 934 W 208)

Jeu-des-Enfants n° 25 (I, 1867-1993)

L’entrepreneur Greiner (20, rue du Jeu-des-Enfants) répare en 1884 le four du boulanger Bertsch. Le marchand de lait A. de Vizcaya (zur Butterblume, au Bouton d’or) pose en 1895 la première enseigne sur la maison. Le propriétaire du 22, rue du Vieux-Marché-aux-Vins se plaint à plusieurs reprises entre 1900 et 1905 des fumées provenant de la cheminée du boulanger. Thiébaut North remplace son ancien four par un nouveau en 1911 puis installe une machine électrique en 1913. Il remplace en 1942 son four endommagé par faits de guerre.
On trouve en outre dans les locaux commerciaux en 1898 l’horloger Schmitt, en 1910 le marchand de papier en gros Emile Jaudel, en 1921 le charcutier Friedmann, en 1933 le cordonnier Alfred Heinrich-Oberhauser, en 1954 l’horloger bijoutier Kuntzel, de 1979-1990 le boulanger Jean-Paul Mourer

Sommaire
  • 1867 – L’entrepreneur Nuss demande au nom du propriétaire Baersch l’autorisation de réparer le crépi et de badigeonner la façade au 25, rue du Jeu-des-Enfants. L’agent voyer fait remarquer que la façade alignée comprend une tourelle en maçonnerie au milieu des deux étages
  • 1884 – L. Greiner (20, rue du Jeu-des-Enfants) demande au nom du propriétaire Bertsch l’autorisation de réparer le four de boulanger – Autorisation – Travaux terminés, avril 1884
  • 1895 – Le marchand de lait A. de Vizcaya (zur Butterblume, au Bouton d’or) demande l’autorisation de poser une enseigne perpendiculaire aux 17, rue du Faubourg National (maison Georg) et 25, rue du Jeu-des-Enfants (maison Schnerb) . L’agent voyer note que la maison n’en a encore aucune – Autorisation – L’enseigne est posée, août 1895
  • 1895 – Le maire notifie le propriétaire la veuve Berst de se conformer au règlement du 30 novembre 1891 en supprimant les volets qui s’ouvrent à moins de 2,20 mètres de la voie publique, en l’occurrence celui d’un soupirail. – Travaux terminés, février 1896.
  • 1898 – La Police du Bâtiment constate que l’horloger Schmitt (domicilié 8, rue des Bouchers) a posé sans autorisation une enseigne perpendiculaire – Demande – Autorisation (sur deux formulaires différents) – Le maire expédie un avis de paiement. L’horloger retire son enseigne, la ville renonce à recouvrer les droits pour cause de pauvreté.
  • 1900 (mai) – Le maire notifie la veuve Bertsch (domiciliée sur place) de faire ravaler la façade – Travaux terminés, octobre 1900
  • 1900 – L’antiquaire Baruch Netter (22, rue du Vieux-Marché-aux-Vins) se plaint des fumées qui proviennent de la boulangerie Thiébaut North sise 25, rue du Jeu-des-Enfants. La Police du Bâtiment se rend sur place et conclut que le propriétaire devra hausser la cheminée de trois mètres – Travaux terminés, décembre
    1902 – Le même fait remarquer que la cheminée est construite de telle manière qu’il est difficile voire impossible de la ramoner, à preuve un récent feu de cheminée – Rapport de l’agent de police Frischmeyer, janvier 1902 – Autre plainte par G. Stæhling et L. Valentin (Strassburger Bank) – La Police du Bâtiment constate que le boulanger Thiébaut North fait ramoner la cheminée toutes les quatre semaines. Elle propose un intervalle de trois semaines. Le combustible est exclusivement du bois de sapin. Dossier classé, février 1902.
    1903 – L’antiquaire Baruch Netter fait part de sa crainte d’incendie à cause des cheminées des 25, rue du Jeu-des-Enfants et 20, rue du Vieux-Marché-aux-Vins (Steinthal – courriers Steinthal). La Police du Bâtiment conseille au boulanger North de brûler un combustible qui produit moins de suie – Suite à une nouvelle plainte, la Police du Bâtiment demande au boulanger de construire une nouvelle cheminée de 25 mètres de haut
    1904 – La cheminée n’a pas été réalisée. Le propriétaire Georges Klein habite Paris (17, rue du Louvre), le gérant Charles Koch 7, rue du Bouclier. – Georges Klein commet l’avocat Mühleisen pour défendre ses droits – Comme les poursuites contre un propriétaire qui habite Paris sont incertaines, la Police du Bâtiment demande s’il s’agit d’un voisin incommodé par la fumée ou d’un danger d’incendie.
    1905 – Nouvelle plainte de l’antiquaire. La Police du Bâtiment constate que les cheminées des deux voisins sont réglementaires. Un incendie se déclare au 20, rue du Vieux-Marché-aux-Vins – La Police du Bâtiment demande à nouveau à Georges Klein d’édifier une cheminée – La cheminée a été rehaussée, octobre 1905
  • 1904 – Mme North se plaint que la fosse d’aisance n’est pas étanche et qu’elle fuit dans sa cave – La Police du Bâtiment envoie un courrier au gérant qui fait vider la fosse sans la réparer – Travaux terminés, avril 1904
  • 1907 – Le préfet de Basse-Alsace écrit au boulanger Thiébaut Nort au sujet du nouveau règlement des boulangeries, en date du 20 août 1906, fixant la hauteur des locaux à 2,65 mètres. – Dossier. La Police du Bâtiment constate que les locaux ont la hauteur réglementaire
  • 1907 – Rapport suite à un feu de cheminée
  • 1906 – Le maire notifie Georges Klein et son gérant Koch de faire ravaler la façade – Travaux terminés, octobre 1900
    1907 – Autre courrier envoyé à Thiébaut North, propriétaire depuis août 1906
  • 1910 – Le marchand de papier en gros Emile Jaudel demande l’autorisation de poser une vitrine – Autorisation
  • Commission contre les logements insalubres. Propriétaire, Georges Klein (17, rue du Louvre à Paris), gérant Koch, rue du Bouclier – 1901, Remarque sur les cabinets d’aisance – Travaux terminés
    1903, rien à signaler. 1904, un boulanger informe que les deux garçons boulangers dorment dans un même lit, ce qu’interdit le règlement. 1905, les cabinets d’aisance devront être raccordés aux canalisations – 1906, Le maître boulanger North achète la maison
    1916, Commission des logements militaires. Remarques en neuf points
  • 1911 – Alexandre Scheyen (1, Grande rue de la Course) demande l’autorisation de poser du sable et des décombres sur la voie publique pour réparer le four du boulanger North. Le commissaire de police transmet au maire. – Autorisation – Travaux terminés, juillet
    Le boulanger Thiébaut Nort demande l’autorisation de remplacer son ancien four par un nouveau – Autorisation – Plan – Travaux terminés, août 1911
  • 1913 – L’entrepreneur H. Mohler (Heiritz n° 9) demande l’autorisation d’installer une machine électrique chez le boulanger North – L’inspecteur du travail donne son accord – Autorisation – Plan – Travaux terminés, mars 1914
  • 1914 – E. Jaudel informe la Police du Bâtiment qu’il a posé une enseigne émaillée Papier, Imprimés (Papier, Drucksachen). La maire informe le pétitionnaire qu’aucune autorisation n’est nécessaire – L’objet est cependant une enseigne perpendiculaire fixée à 20 centimètres de la propriété voisine – Le pétitionnaire objecte que son prédécesseur a posé l’enseigne – L’autorisation est accordée suivant le paragraphe 15 de l’article 4 (c) du règlement de voirie.
  • 1920 – Le Syndicat de la propriété bâtie demande au nom du boulanger North l’autorisation de poser un échafaudage sur la voie publique – Accord
  • 1921 – Dossier suite à un feu de cheminée – La cheminée est réglementaire sauf au deuxième étage où elle rejoint une autre cheminée. Croquis – Certificat du ramoneur A. Knayer
  • 1921 – Le charcutier Friedmann qui vient d’ouvrir un magasin provisoire au 25, rue du Jeu-des-Enfants demande une assistance après que les agents de police lui ont demandé de fermer son magasin parce que le sol est en plancher et les murs tapissés – Croquis de la façade (Boulangerie Th. North à gauche, Charcuterie-Triperie E. Friedmann à droite) – Mesures à prendre pour rendre le local conforme.
    1922 – Elise Friedmann demande l’autorisation de poser deux enseignes (plaques apposées de part et d’autre de l’oriel) – Autorisation
  • 1922 – Le commandant des pompiers fait état de plusieurs fausses alertes à cause des fumées qui s’échappent du 25, rue du Jeu-des-Enfants – La Police du Bâtiment demande au propriétaire North de surélever la cheminée qui devra dépasser d’au moins 50 centimètres les bâtiments voisins. – Pas de travaux, l’affaire est provisoirement classée en janvier 1924
    1925 – Le locataire Fiedmann (premier étage) est incommodé par la fumée – La Police du Bâtiment demande au propriétaire de mettre la cheminée en conformité au règlement – Travaux terminés, février 1925
  • 1932 – Le tailleur Alfred Doxie (premier étage) demande l’autorisation de poser une enseigne plate sur verre à la porte d’entrée
  • 1933 – Le cordonnier Alfred Heinrich-Oberhauser demande l’autorisation de poser une enseigne perpendiculaire – Autorisation
  • 1934 – La Banque de Strasbourg se plaint d’être incommodée par les fumées provenant du n° 25. Le boulanger fait ramoner la cheminée.
  • 1937 – Le locataire Worth se plaint que les cabinets d’aisance sont mal tenus. Le Police du Bâtiment constate que la plainte n’est pas fondée
  • 1944 – Rapport d’incendie – Rapport sur les causes de l’incendie du 8 avril 1944 qui semble dû à des matériaux inflammables trop proches de la cheminée – Les matériaux inflammables sont supprimés, les travaux n’ont pas encore eu lieu
    1942 – Thiébaut North demande l’autorisation de faire des transformations et de remplacer le four endommagé par faits de guerre – L’inspection du travail donne les conditions à respecter – Les travaux sont autorisés, le fabricant de fours Lutz et Schildberg certifie qu’il détient les matériaux nécessaires – Autorisation, architecte E. Deuchler – Plan
    1943-1944 – Calcul statique pour déterminer la résistance des solives métalliques et du pilier en briques qui soutient les solives (Th. et Ed. Wagner) – Les transformations sont en cours, février 1943
  • 1953 – Rosenfelder informe la Police du Bâtiment que le store n’est plus en place depuis qu’il a fait poser une nouvelle devanture deux mois plus tôt
  • 1954 – Le locataire A. Schurk se plaint que l’eau s’infiltre dans son logement. La Police du Bâtiment constate que la toiture est défectueuse. Gérante de l’immeuble, Mme Doxie, domiciliée sur place, propriétaire M. Vonseel, demeurant à Basse-Yutz – La maire prie le propriétaire de faire les travaux nécessaires – Travaux terminés, février 1955
  • 1954 – L’horloger bijoutier C. Kuntzel, locataire, demande l’autorisation d’aménager une devanture – Plan de situation, photographie – Dessin contresigné par le propriétaire Vonseel – Autorisation, entrepreneur E. Burg et fils (13, rue de Kaysersberg au Neudorf) – Travaux terminés, mai 1955
    1960 — Le même demande l’autorisation de poser une enseigne perpendiculaire publicitaire (Lip) – Arrêté d’autorisation – L’enseigne est posée
  • 1971 – Le maire notifie Frédéric Vonseel, demeurant rue Louise-Michel à Basse-Yutz, de faire ravaler la façade. – Devis de l’entreprise de peinture H. Schmid-France à Lingolsheim – Calcul prévisionnel de subvention – Devis de l’entreprise de zinguerie Eugène Adal (rue des Moulins) – Le ravalement est terminé, janvier 1974 – Facture Schmid (peinture) et Auguste Strub (zinguerie)
  • 1980 – Les établissements Lucien Walter (Mundolsheim) demandent l’autorisation de poser un store en corbeille pour le compte du boulanger Jean-Paul Mourer (propriétaire de l’immeuble, Willy Reeg à Reitwiller) – Photographie (local à gauche de la porte), dessins – Arrêté d’autorisation – Le store est posé, décembre 1980
  • 1981 – Rectification de recette pour le droit de l’enseigne Kuntzel, déposée depuis décembre 1979
  • 1989 – Copie de la résiliation du bail Mourer, convenue le 30 juin 1989 (bail passé le premier août 1979, local commercial et logement) – Le store est déposé, janvier 1990
  • 1990 – Le notaire Martin Diener (place de Bordeaux à Strasbourg) demande des renseignements d’urbanisme (section 57 parcelle 62). propriétaire, Willy Reeg – Plan cadastral de situation. La façade et la toiture sont inscrites à l’inventaire des Monuments historiques par arrêté ministériel du 5 décembre 1984.
  • 1993 – Certificat de conformité d’une installation intérieure au gaz
    1993 – Rapport de la commission de sécurité, restaurant Le Bouchon brionnais (établissement de catégorie 5)

Dossier de la Police du Bâtiment (cote 934 W 209)

Jeu-des-Enfants n° 25 (II, 1992-1993)

Le propriétaire Jean-Claude Wodling fait transformer l’intérieur et aménager les combles en 1992 sous la direction de l’architecte Louis Morel de Schiltigheim.
Claude Coletta est autorisée à transférer la licence IV du débit de boissons Hôtel de la Couronne (26, rue du Faubourg de Saverne) dans son établissement Le Bouchon brionnais (25, rue du Jeu-des-Enfants).

Sommaire
  • 1992 – Photographies. Dessins de l’existant. Maître d’ouvrage J.-C. Wodling, rue de la Bruche à Bischheim. Architecte, Louis Morel, rue de Seltz à Schiltigheim. Sous-sol, entresol, rez-de-chaussée, 1° étage, 2° étage, 3° étage, combles. Façade rue du Jeu-des-Enfants
    L’architecte des Bâtiments de France émet un avis favorable aux travaux
    Dessin du projet, contresigné par la commission de sécurité (sous-sol, rez-de-chaussée)
    1992 (juillet) – Le maire accorde le permis de construire, le bénéficiaire devra régler la compensation pour une place de stationnement non réalisée
    1992 – Le préfet demande un rapport au maire après que Mme Claude Coletta demeurant à Marcigny (Saône-et-Loire) a demandé l’autorisation de transférer la licence IV du débit de boissons Hôtel de la Couronne (26, rue du Faubourg de Saverne) dans son établissement Le Bouchon brionnais (25, rue du Jeu-des-Enfants). – Le préfet accorde à Claude Coletta l’autorisation d’exploiter l’établissement dans deux salles au rez-de-chaussée (août 1993) puis à Yannick Thevenoux, fondé de pouvoir de Claude Coletta (avril 1994)
    1992 – Jean-Claude Wodling demande l’autorisation d’aménager les combles. Jeu de dessins, état projeté (élévations sur rue, sur cour)
  • 1993 (septembre) – La Police du Bâtiment constate que Le Bouchon brionnais a posé sans autorisation une enseigne perpendiculaire – Demande – L’architecte des Bâtiments de France émet un avis favorable

Relevé d’actes

La maison est inscrite au nom de l’aubergiste à l’Ecurie Ulric Schultheis dans le Livre des loyers communaux de 1587 (voir plus haut). L’oriel à pilastres d’angle daté de 1587 (voir Seyboth, éd. en allemand p. 290) occupe la travée centrale  ; la partie inférieure comprend une voûte à ogives curvilignes. Les étages de style Renaissance ont des fenêtres à meneaux et congés.
D’après les tenants et aboutissants, la maison appartient à l’aubergiste à l’Ecurie Laurent Schultheis dans les années 1630 puis (1640) à Barbe Schultheis.
L’aubergiste à l’Ecurie Ulric Schultheis se (re)marie en 1590 avec Jacqueline Kern, veuve de Théophile Beckel d’Obernai. Laurent Schultheis épouse en 1589 Brigitte Stempffer, fille de l’aubergiste de Küttolsheim

Mariage, Saint-Pierre-le-Vieux (luth. f° 14-v, n° 7)
1590. Hans Ulrich Schultheis Wurt Zum Stall, f. Jacoba Kernin Theophili Beckels hinderlaßene Wittwe Von Ober Ehenheim.10. Februarÿ (i 17)

Mariage, Saint-Pierre-le-Vieux (luth. f° 12-v, n° 30)
1589. Lorentz Schultheis, J. Brigitta Jacob stempffers des Wurt Zuo Kittelsheim verlasene tochter. 9. Stp. (i15)

Mariage, Saint-Pierre-le-Vieux (luth. f° 141)
1616. 11. Junÿ. Laurentius Schultheis Würt Zum Stall, J. Margreth, Philipps Frosch. zu Reichweier Tochter (i 145)

Filles de Laurent Schultheis, Brigitte épouse en 1632 le libraire Evrard Zetzner et Julienne le marchand Frédéric Riehl. Leur frère étudaint en droit Jean Jacques épouse en 1731 Madeleine Wolfarth.

Proclamation, Saint-Pierre-le-Vieux (luth. f° 14-v)
1632 Dominica 3. post Trinitatis Hr Eberhardt Zetzner d. buchhändler Kleiner Raths vwander, J. Brigitta hr Lorentz Schultheißen Gastgeber Zum Stahl nachgelaßene tochter, 21. Junÿ im Münster (i 16)

Proclamation, Saint-Pierre-le-Vieux (luth. f° 26-v)
1634. Dominica Adventus. Hr. Friderich Riehl d. Handelßmann Vnd burg. allhier J. Juliana Hr. Lorentz Schultheißen weiland Gastgebers Zum Stall allhier nachgelaßene tochter, 8. Xbris, St. Thomas (i 28)
P

Proclamation, Saint-Pierre-le-Vieux (luth. f° 9-v)
1631. Dominca Trinitatis. H. Johann Jacob Schultheiß L L Candidatus weiland Hr Lorentz Schultheiß gewesenen Gastgebers Zum Stall nachgelaßener Sohn J. Magdalena Hr: Caspar Wolffarts burgers allhier eheliche dochter, 14. Junÿ St. Thoma (i 11)

Les héritiers de Barbe Schultheis (Jean Evrard Zetzner, Sara Riel et Jean Georges Barth de Colmar) vendent la maison 425 livres au capitaine Albert Frédéric Brehmer. Les Conseillers et les Vingt-et-Un donnent leur autorisation à la vente puisque l’acquéreur est manant.

1661 (28. Xbr), Chambre des Contrats, vol. 526 f° 787
(Prot. fol. 65) Erschienen der Edel- Fürsichtig- hochweÿs- hochgelehrte H. Dominicus Dietrich dißer Statt alter Ammeÿster und Treÿ Zehener alß Curator Johann Eberhard Zetzners, wie auch der Ehrenvest- From- und wohl weÿs H Johann Philippß Mülb dißer Statt Fünffzehener alß Vogt Jungf. Saræ Rhielin, Und der Ehrenvest- Fürsichtig- weÿs H Paul Friderich Marbach E.E. groß. Rhats alter Beÿsitzer alß H Hannß Georg Barth. handelßmann und Burgers Zu Colmar, am 12. 9.br Jüngsthien in der Cancelleÿ Contractstuben mündlich constituirter Befelchhaber
in gegensein deß Vest- und Mannhafften H Albrecht Friderich Bremers, Maior, mit beÿstand deß Ehrenvest- Fürsichtig- Weÿsen H Johann Michael Zeißolffs dißer Statt Ein und Zwantzigers – vff Herrn Rhät und XXI. am 23. eiusdem ertheilt obrigkeitliche Bewilligung
Zweÿ häußer ein vorders und ein hinders mit deren hoffstätten, höfflin, Stallung, und allen übrig. Gebäwen, Begriffen, Zugehördten und Gerechtigkeiten alhie am alten Weinmarckh, geg. der herberg Zum Stall hienüber und Zum Alten Stall genannt, einseit neben hannß Adolph Grohbergern dem leinenwebern, anderseit neben H Johann Schäfern accis schreibern Zum theil weÿl. H Balthasar Bischoffs geweßenen Ampt Manns Zu Barr nunmehr seel. hinderlaßener Erben, theilß vff weÿl. hannß Wilhelm Sauren deß Küeffers seel. Erben stoßend gelegen – umb 425 Pfund

Les Conseillers et les Vingt-et-Un autorisent Albert Frédéric Brehmer à acquérir la maison Schultheis (Schultz).
1661, Conseillers et XXI (1 R 144)
(p. 207) Sambstag den 23. Nov. 1661 – Maior Albrecht Friderich Bremer umb g.sens
Ersch. Major Maior Albrecht Friderich Bremer, gibt Zu erkennen Wildten, wie wie daß Er vorhabens die Schultzische behaußung, gegen der Wirths hauß Zum Stall über gelegen, käuflich an sich zu nemmen, weilen Er dann ohnverburgert, alß b. Er Zu solchem Contr. Obrigk. consens zu ertheilen. Erkannt Willfahrt
herrn XXI.er Zeÿßolff et H. Schmidt

Le capitaine Albert Frédéric Brehmer meurt à l’âde de 70 ans en 1674.
Sépulture, Saint-Pierre-le-Vieux (luth. 53, n° 227)
1674. Donnerstag d. 12. Ejudsem [Novembris] ward begraben Herr Allbrecht Friderich Bremer der Capitain ætat: 70. Annorum (i 8)

Ses héritiers, le capitaine Jean Christophe Brehmer et Elisabeth Barbe Brehmer épouse du mousquetaire Jean Henri Klein, hypothèquent la maison au profit des mineurs Gambs pour régler les créanciers de leur père et les sommes dues à leur belle-mère Eve Félicité Katzendorffer

1674 (4. Xbr:), Chambre des Contrats, vol. 543 f° 696
hannß Christoph Bremer Corporal under Herrn Capitain Frandi Compagnie und Elisabetha Barbara Bremerin hannß Henrich Kleinen deß Mußquetirers eheweib mit beÿstand erstgedachts ihres Ehevogts
in gegensein deß Ehrenvest, fürsichtig und weÿsen herren Jacob Wenckhers E.E. Großen Rhats alten Beÿsitzers alß Curatoris herrn Johann Sebastian Gambsen L.L. Stud. hannß Michael Gambsen und Jungfr. Mariæ Otiliæ Gambsin – besagtem H. Johann Sebastian Gambsen 300. fl. gedachtem hannß Michael Gambsen 200 fl. und erwehnter Mariæ Otiliæ Gambsin 100. fl. und also dießer dreÿen Gambsischen Geschwisterden in summa 600. fl. à 15. baatzen bahr gelühenen Gelts daß Sie damit ihre Stieffmutter Fr. Mariam Evam Felicitatem Kaltzendorfferin ihres theils befriedigen und andere Vatterliche passiv-Schulden wie auch auff Inventir und sonsten benöthigte Uncosten richtig machen können, schuldig seÿen
unterpfand, zwen tritte theil denen debitoribus für ohnvertheilt gebührend ahne Zweÿen häußern einem Vordern und hindern, deren hoffstätten und übrig. gebäwen, begriffen, und zugehördten alhier uff dem alten Weinmarckh gegen der Herberg zum stall hinüber und Zum alten Stall genannt, einseit neben hannß Adolph Groberger dem Leinenweber anderseit neben herren Johann Heinrich Bischoffen altem Großen Rhats Verwanthem hinden Zum theil uff denselben und theils uff weÿl. hannß Wilhelm Sauren deß Küeffers seel. Erben stoßend gelegen (…) Item diejenige 900. Thllr. so hannß Ludwig Zeißolffs deß handelsmanns eheliche haußfrau Anna Geneve Storckhin Vermög der am 21. Julÿ Jüngsthien in der Cancelleÿ contractstuben uff gerichteter Expromission von und ahne 5474. fl.

Les héritiers d’Albert Frédéric Brehmer, Jean Christophe, Elisabeth Barbe ci-dessus cités et les enfants d’Anne Brehmer et de Jean Büry de Westhoffen, vendent la maison 750 livres aà marchand de vins Philippe Kœrner et à sa femme Susanne

1675 (1. Junÿ), Chambre des Contrats, vol. 544 f° 310-v
Hannß Christoph Brehmer Corporal under H. Capitain Frandi Compagnie Elisabetha Barbara Bremmerin, hannß Henrich Kleinen Gefreÿten under H. Obristen Compagnie Eheweib mit assistentz erstermelts Ihres Ehevogts, So dann Wolff Welsch Von Westhoffen, alß Vogt Weÿl. Jean Büry Von Westhoffen mit Weÿl. Anna Bremehrin beeder nunmehr seel. ehelich erzeugter und nachgelaßener Kinder, alle Weÿl. H. Albrecht Friderich Brehmers geweßenen Capitain Lietenants nun auch seel. nachgelaßener Kinder Und Enckhel
in gegensein H. Philipp Körners des Weinhändtlers und Susannæ beÿder Eheleuth
Zweÿ häußer Ein Vorders und Ein hinders, mit deren hoffstätten höfflin Stallung und allen übrigen Ihren Gebäwen, Begriffen Weithen, Zugehördten Rechten und Gerechtigkeiten alhier am alten Weinmarckh gegen der herberg Zum Stall hiernüber einseit neben H Johann Henrich Bischoffen E.E. großen Rhats Beÿsitzern anderseit neben hannß Adolph Grohbergern dem Leinenwebern hinden Zum theil Uff Weÿl. hannß Wilhelm Sauren deß Küeffers seel. Erben stoßend gelegen – umb 750. lb

La veuve et les enfants de Philippe Kœrner, auparavant à la Couronne à Kehl, vendent la maison 650 livres au pasteur de Lampertheim Samuel Silberrad

1690 (29. Xbr), Chambre des Contrats, vol. 562 f° 741-v
Erschienen Susanna gebohrne Grundelinin, weÿl. Philipß Körners gewesenen würths Zur Cronen in Kaÿl, nachgelaßene Wittib, mit beÿstand H. Johannis Engelhards deß tuchscherers Ihres Vogts, So dann H. Abraham Kreuchel der jüngere alß vogt vorged. Körners nachgelaßener 2. Kind. So dann H. Johann Henrich Lang, Notar. Publ. für sein eÿgene Person
in gegensein H. M. Samuel Silberads Pfarrherrs Zu Lampertheim
Eine behaußung hoff, und hind.hauß, sambt deren hoffstätt. auch allen deren Gebaüen, rechten und zugehördt. allhier am Alten Weinmarckt geg. d. herberg Zum Stall, einseit neb. H. Joh: Henrich Bischoff. Exsenat. and. seit neben Anna Maria Benderin wittib hinden auff Johann Kleiber den Schreiner Zum theil auff weil. H. Sebastian Nägelins XV. sel. wittib theilß auch auff H. Phil. Conrad Rauch. Notar. stoßend geleg. – geschehen umb 650 pfund

Fils du pasteur de Saint-Pierre-le-Vieux, Samuel Silberrad épouse en 1685 Einbeth Kolb, fille de feu le pasteur de Saint-Pierre-le-Jeune
Mariage, Saint-Pierre-le-Jeune (luth. f° 317-v)
1685. Dom. X. post Trint. 2. 7.bris Hr. M. Samuel Silberadt pfarrer Zu Lampertheim hrn Samuel Silberadt pfarrern der Kirch Zuem alt. S. Peter alhier ehl. Sohn, V. Jgf. Einbetha, wÿl. hrn M. Eliæ Kolben geweßenen Pfarrers beÿ dießer Kirchen Zum Jung. S. Peter, Nachgel. ehl. tochter. Cop. Donnerst. 13. 7.bris (i 332)

Les nouveaux mariés font dresser l’inventaire de leurs apports. Ceux du mari s’élèvent à 311 livres, ceux de la femme à 1 242 livres.
1685 (15. 7.bris), Not. Lang (Jean Henri l’aîné, 27 Not 6) n° 10
Inventarium und Beschreibung aller der Jenig. Haab, Nahrung vnd Güttere, so der Wohl Ehrwürdig und Wohlgelehrte H. M. Samuel Silberad, der Zeit wohlverdienter Pfarrer Zu Lampertheim, Zu der Viel Ehren und Tugendreichen Frawen Einbetha gebohrner Kolbin, seiner hertzgeliebten haußfrawen, vnd dahiengegen Sie Fraw Einbetha Kolbin Zu ihme H. M. Samuel Silberad Ihrem vielgeliebten Ehegattin für unverändert in den Ehestand Zugebracht (…) Actum in beÿsein H. Joh: Saltzmanns Jur: Ddi als d. Fr. Pfarrerin noch Zur Zeit ohnentledigten Vogts, Sambstags den 15. 7.bris Anno 1685.

Vnd Zuvorderist deß Herrn Pfarrers unverändert Gutt. In einer alhier Zue Straßburg auff dem alten weinmarckh gelegener hiehero nicht Gehöriger behausung befund. word. wie volgt
In einer alhier Zu Straßburg beÿ der Kleinen Metzig gelegener vnd in dießer nahrung nicht gehöriger behaußung befunden worden wie Volgt
Series rubricarum hujus Inventarÿ. Deß H. Pfarrers unveränderte Nahr. Sa. haußraths 51, Sa. Bibliothecæ 37, Sa. Früchten 19, Sa. Wein 8, Sa. Hew 7, Sa. Silber geschirr und Geschmeids 15, Sa. Guldener Ring 7, Sa. baarschafft 164, Summa summarum 311 lb
Der Fraw Pfarerin unverändert Gutt, Sa. haußraths 154, Sa. Wein v. Lehrer Vaß 21, Sa. Silber geschirr und Geschmeids 42, Sa. Guldener Ring 21, Sa. baarschafft 215, Sa. Pfenningzinß hauptgüter 687, Sa. d. Gülth von liegenden güthern 100, Summa summarum 1242 lb
Wÿdumb Welchen Fr: Agata Ursula Kolbin gebohrne Schönerläckin weÿl. des Wohl Ehrwürdig v. wohlgelehrte herr M. Eliæ Kolben geweßen Pfarherrn Zum jung. St. Peter nunmehr seel. hinterlaßene Wittib, 1000 lb, Waran deß orths der Fraw Pfarrerin vor ein fünfften theil gehörig nemblichen 200 lb

Notice de Bopp dans son répertoire des pasteurs
(Bopp n° 4916) Samuel Silberrad, ° Str. 3 avril 1658 du pasteur Samuel Silberrad et de Susanne Marie Poenius, x Saint-Pierre-le-Jeune 13 septembre 1685 Elisabeth Kolb
imm. à Strasbourg 26 octobre 1671, Mag. 30 janvier 1677, à Giessen 22 septembre 1680
Pasteur à Entzheim (1682-1685) à Lampertheim (1685-1697), diacre à Saint-Guillaume de Str. (1698-1705), pasteur au Temple-Neuf (1705-1718) , † 1 octobre 1718. Eloge funèbre 124

Samuel Silberrad devient tributaire chez les Charpentiers le 15 juillet 1687 et prend le 26 août suivant la place de son père
1687, Protocole de la tribu des Charpentiers (XI 30)
(f° 91-v) Dienstags den 15. Julÿ A° 1687 – Neuzünfftig.
Herr Samuel Silberadt Pfarrer Zue Lamperth. empfangt daß Zunfftrecht und erlegte die gebühr mit 1 lb 13 ß 6 d.
(f° 93-v) Samstags den 26. Augusti A° 1687 – Neuzünfftig.
Herr M. Samuel Silberadt Pfarrer Zu Lamperth. empfangt seines Herrn Vatters seel. Zunfftrecht und erlegte deßwegen 1 lb 13 ß 6 d.

Les Conseillers et les Vingt-et-Un statuent sur la candidature de Samuel Silberrad au poste de diacre à Saint-Guillaume en 1697 et au poste de pasteur au Temple-Neuf en 1705
1697, Conseillers et XXI (1 R 180)
Herr M. Samuel Silberrad würd helfer Zu St Wilhelm. 181. 185.

1705, Conseillers et XXI (1 R 188)
Zu ersetzung deß Pastorats in der Newen Kirchen soll eine denomination gemacht werden. 63. Denomination würdt confirmirt. 67. Deputation 78. das Pastorat würdt durch H. Mag. Samuel Silberradt ersetzt. 84.

L’inventaire (non conservé) de Samuel Silberrad est dressé en 1719
1719, Not. Mader (répert. 6 E 41, 664-1) n° 318
Inventarium über weÿl. Hn. M. Samuelis Silberrads gewes. Pfarrers in der Prediger Kirch seel. Verlassenschafft

Einbeth Kolb veuve de Samuel Silberrad meurt en 1740 en délaissant six enfants ou leurs représentants. L’actif s’élève à 1874 livres, le passif à 84 livres
1740 (10.10.), Not. Lobstein (Jean, 31 Not 54) n° 1205
Inventarium und beschreibung aller derjenigen Haab, Nahrung und Güthere, so Weÿland die hoch Ehren und hoch tugendgezierte frau Einbetha Silberradin geb. Kolbin weÿland des Hoch Ehrwürdig, Großachtbahr und hochgelehrten herrn M. Samuel Silberrads geweßenen treueifferigen Pfarrers und seelsorgers in der Neuen: oder Prediger Kirchen nunmehr seel. nachgelaßener frau wittib nun auch seel. nachgelaßene Frau Wittib nun auch seel. als dieselbe Montags den 3.ten Octobris dießes Zuend Lauffenden 1740.sten jahrs dießes Zeitliche in das Ewige Verwechßelt nach solch Ihrem aus dießer welt genommenen tödlichen Hintritt Zeitlichen verlaßen (…) So beschehen in Straßburg auff Montag den 10.ten Octobris Anno 1740.
Die in Gott ruhende frau Pfarrerin seelige hat zu Ihren Erben Sis ubique Titi ab intestato verlaßen wie volgt. 1.mo Weÿland herrn Eliæ Silberrads der heÿligen Schrifft geweßenen weitberühmbten Doctoris und Professoris Publici ordinarÿ, Capituli Thomani Canonici Convent; Eccels: Præsidis und Pastori Primarÿ auch Vornehmen burgers allhier nunmehr seeligen ehelich erziehlte und nach todt hinterlaßene acht herren Söhne und Jungfer töchtere nahmentlichen 1.mo Herrn Johann Paul Silberrad, ledigen barbierer gesellen, so auf der Reÿß begriffen, 2.do herrn Silberrad Samuel Silberrad, den Ledigen Knöpffmacher, so gleichfalls auf der Reÿß begriffen, 3.tio Jungfer Susannam Salome Silberradin, 4.to Jungfer Einbetham Silberradin, 5.to Jungfrauen Mariam Elisabetham Silberrad, 6.to Jungfer Kinigundam Silberradin, 7.tio Johannem Silberrad in quinta Classe discipulum und dann 8.vo Mariam Magdalenam Silberrad, dießer Acht geschwornener vogt hr. Johann Jacob Moscherosch der Specirer und burger allhier welcher sich nomine seiner Vogts Persohnen beÿ dem geschäfft eingefunden,
2.do Weÿland herrn Johann Samuel Silberrads, gewesenen hocherfahrenen Medicinæ Doctoris und berühmbten Practici, auch wohlmeritirten dreÿers der Statt Straßburg Stall und vornehmen burgers allhier nunmehr seel. nachgelaßene Söhn und töchtere, benantlichen 1.mo Jungfer Margaretham Salome Silberradin, 2.da Jungfer Einbetham Silberrad, 3.tio Jungfer Mariam Barbaram Silberradin, 4.to herrn H. Samuel Silberrad, Studiosum in Classe selecta, 5.to Johannem Silberrad, welcher die goldarbeiter Kunst ergreifft, 6.to Philipp Jacobum Silberrad, und dann 7.mo Johann Balthasar Silberrad, deren Sechßen geschworner herr Curator herr Johann Thomas Römer Jurium Practicus und E: E: großer Raths wohlbestellter Advocatus et Procurator ordinarius auch burger allhier, welcher sich beÿ dem geschäfft nomine seiner Curanden eingestelt
3.tio Frau Einbetham Karcherin domaine Silberradin, weÿland herrn Johann David Karchers des geweßenen hochverdientenen ältesten Diaconj und treufleißigen Seelsorgers der Evangelischen Gemeind in der Neuen oder Prediger Kirchen auch Vornehmer burgers allhier hinterlaßener frau Wittib, so mit beÿstand herrn Johann Silberrads, wohlmeritirten Schaffners der Schenckbecher und anderer Stifftung auch wohlverdienten dreÿers der Statt Straßburg Pfenningthurn und Vornehmen burgers allhiern dem geschäfft abwartete,
4.to Herr Johann Leopoldum Silberrad, wohlmeritirt substitutum in dem Mehern Hospital allhier, so Majorennis und ohnbevögtigt, Welcher in selbst eigener Persohn dem geschäfft abwartete
5.to Frau Annam Susannaù Dörfferin gebohrne Silberradin weÿland Meister Johann Dörffers des geweßenen Kieffers und burgers allhier nunmehr seeligen nachgelaßene Wittib, deren geschwornene Vogt ad lites Herr Abraham Kolb, Nots. publs. und berühmbter Practicus, alldieweilen Er aber selbsten Ehevögtlicher weiße interessirt, dahero hat Sie Zu Ihrem herrn Assistenten erbetten herrn Johann Rudolph Dinckel, Not. publ. und Practicum welcher sich auch mit und beneben seiner Frauen Principalin beÿ dem Geschäfft eingestellt,
So dann 6.to Frau Margaretham Barbaram Kolbin gebohrne Silberradin, Vor ehrengedachten Herrn Abraham Kolben Notarÿ jurati und Practicj Frau Ehegattin welcher mit und beneben Ihrem herrn Eheliebsten sich beÿ dem geschäfft eingefunden, Alßo alle Sechs der Verstorbenenn Frauen Pfarrerin seel. mit eingangs gedachten Ihrem geliebten Eheherrn seel. ehelich erziehlte Hr. Sohn, Frau Töchter und Enckel und ab intestato Zu Sechs gleichlingen portionen und antheiler Verlaßene Erben

In einer allhier Zu Straßburg ane der Großen Kirchgaß geegenen und in dieße Verlaßenschafft nicht gehörigen behaußung befunden worden Wie volgt
Abzug in gegenwärtig Verlaßenschafft Inventarium gehörig. Sa. haußraths 52, Sa. Silber geschirr und Geschmeids 129, Sa. goldener Ring 14, Sa. baarschafft 52, Sa. pfenningzinß hauptgüter 1540, Sa. Gülth von liegenden güthern 84, Sa. Schulden 2, Summa summarum 1874 lb – Schulden 84, Nach deren Abzug 1789 lb – Stall Summ 1789 lb
Copia Dispositionis inter Liberos. 1740 (…) auff Freÿtag den 20. Monattag Maÿ, abends zwischen Sieben und Acht Uhren, in der königlichen freÿen Statt Straßburg und einer ane der großen Kirchgaß gelegenen, Von mir unterschriebenen Notario bewohnenden behausung – Johannes Lobstein Notarius juratus

Alors diacre à Saint-Guillaume, Samuel Silberrad vend la maison à Jean Adam Kleinlé, employé à l’accise, et à sa femme Marie Barbe Brehm

1698 (14.3.), Chambre des Contrats, vol. 570 f° 159
H. M. Samuel Silberad, diaconus zu St Wilhelm allhier
in gegensein H. Johann Adam Kleinle, deß Umbgelds beambten, Und Fr. Mariæ Barbaræ geb. Brehmin, mit beÿstand Hn Johann Friderich Simon, deß Zinngießers und Johann Adam Meÿers deß Schuemachers, Ihrer Vettern
Eine behaußung, hoff, und hinderhauß, sambt dero hoffstätten, auch allen deren Gebaüen, Rechten und Zugehördt. allhier am alten weinmarckt geg. der Herberg zum Stall, einseit neben Fr. Annæ Wilhelminæ Victoriä von Zuckmantel anderseit neben hans Joachim Bender, dem Schneider, hinden auff Johann Kleiber den Schreiner zum theil, und zum theÿl auff weil. H. Sebastian Nägelin, gewesenen XV. Secretarÿ sel. Wittib theilß auch auff H. Philipp Conrad Rauchen Notar. Publ. stoßend gelegen, umb 800 pfund

Jean Adam Kleinlé et Marie Barbe Brehm, fille du pasteur Nicolas Jacques Brehm, font dresser l’inventaire de leurs apports dans une maison dont la mère de l’épouse a la jouissance viagère. Les apports du mari s’élèvent à 92 livres, ceux de la femme à 1650 livres.
1686 (12.2.), Not. Stoeffel (Jean Christophe, 57 Not 5) N° 5, N° 6
Inventarium über der Ehren und Tugendsamen frawen Mariæ Barbaræ Kleinlin gebohrner Brehmin Zu dem Ehrenvest vnd vorgeachten H. Johann Adam Kleinle Specereÿ händlern und burgern Zu Straßburg ihrem haußwürth inn den Ehestandt zugebrachte Nahrung auffgerichtet in Anno 1686. – durch Sie fraw Mariam Barbaram selbsten mit assistentz H. Johann Niclaus Karthen Knöpffmachers vndt burgers alhie ihres noch ohnentledigten vogts deßgleichen frawen Annæ Barbaræ Brehmin ihrer Geliebten Mutter beÿständlich Herrn M. Johann Stiglers Pfarrers Zu St: Niclaus ihres Geordneten Vogts, inn gegensein erstgedachtes H. Johann Adam Kleinle ihres Lieben haußwürths Geeügt vnd gezeigt – Actum vnd angefangen auff Dienstag den 12. Februarÿ Anno 1686.

Inn einer allhie inn der Statt Straßburg ane St: Thomanns plan Gelegener Eingangs gemelter Fr. Zum Zweÿten Theil eigenthümlich zugehöriger Behaußung dero Fr. Mutter aber ad dies vitæ Widembs weiß Zugenießen hat ist befunden worden ie Volgt.
(f° 14) Eÿgenthumb ane einer behaußung. Item hauß hoffstatt, höfflin vnd hind. häußlein inn der Blindengaßen (…)
Sa. haußraths 301, Sa. Bibliothec 128, Sa. der Früchten 36, Sa. Weins vnd vaß 61, Sa. Silber geschirr und Geschmeids 145, Sa. Guldinen Ring 38, Sa. der baarschafft 147, Sa. Pfenningzinß hauptgüter 489 lb, Sa. Eigenthumbs ane einer behaußung 250, Sa. Schulden 62, Summa summarum 1662 lb – Schulden 11 – Conclusio finalis Inventarÿ 1650 lb
Wÿdemb So Fraw Anna Barbara Brehmin der frawen geliebte Mutter ad dies vitæ Zugenießen. Wie inn dem über weÿland herrn M. Nicolai Jacobi Brehmen Emeritirten Pfarrers beÿ St. Niclaus auch Canonici des Stiffts St: Thomæ burgers Zu Straßburg Eingans gemelter Frauen Herrn vatters seelig Verlaßenschafft in Anno 1683. auffgerichtetem Inventario zubefiden, hat fr Anna Barbara Brehmin der frawen geliebte Mutter allhier gelegener behaußung ad dies vitæ wÿdembs weiß Zugenießen

Inventarium über des Ehrenvest und Vorgeachten Herrn Johann Adam Kleinle Specereÿ händlers vnd burgers Zu Straßburg zu der Ehren: und Tugendsamen frawen Mariæ Barbaræ Kleinin gebohrner Brehmin, seiner haußfrawen inn den Ehestandt zugebrachte Nahrung auffgerichtet in Anno 1686. – alß Crafft ihrer mit einander auffgerichteter Eheberedung ein unverändert guth inn dem Ehestand Zugebracht (…) Actum Mittwochs den 13.ten Februarÿ Anno 1686.
Sa. haußraths 78, Sa. Silbers 2, Sa. Guldinen Ring 71, Summa summarum 92 lb

Le premier enfant du marchand d’épices Jean Adam Kleinlé et de Marie Barbe Brehm naît en 1686
Baptême, Saint-Nicolas (luth. f° 138 n° 21)
1686. die Sambst. 27. Martÿ / 6. Aprilis. P. Johann Adam Kleÿnle, der Würtz Kremer alhie, M. Maria Barbara Bremmin, K. Maria Barbara (+ 1686 d. Sambs. 22. Maÿ / 1. Junÿ) Pf. Hr. Johannes Hammerer der Kremp alhier, Gött. Fr. Anna Barbara Simonin H. M. Nicolai Jacobi Bremmen Pfarrers Zu St Nicolaus vnd Canonici Thomani nachgelaßene Wittib, der Kindbetterin Fr. Mutter, Fr. Maria Cleophe Schenckin (i 147)
(Jean Adam ° 1687, Jacques Nicolas ° 1689)

Les Quinze sont chargés de nommer un nouveau chef de la balance à la halle. Les préposés à la halle ont sélectionné quatre candidats parmi les six qui se sont inscrits au registre. Jean Adam Kleinlé, recommandé par l’intendant, se présente au dernier moment. Les Quinze nomment Jean Michel Gambs en promettant un emploi à Jean Adam Kleinlé
1694, Protocole des Quinze (2 R 98)
Außschuß Wegen des Waagmeister dienst jm Kauffhauß – Johann Michael Gambß Wird Waagmeister jm Kauffhauß – Johann Adam Kleinle wird eines diensts vertröstet
(f° 218-v) Mittw. den 26. 9.bris – Außschuß Wegen des Waagmeister dienst jm Kauffhauß
Obere Kauffhauß Herren laßen per me den Außschüß Wegen des Wagen meister diensts jm Kauffhauß dahier refeiren, daß Sie Von sieben Subjeci, die sich darumb angemeldet /:ego ließSie ab:/ Folgende vier, als Welche mann darzu am tauglichten gefunden, darein gebracht hätten, als Johann Michael Gambs, Johann Jacob Liechteißen, Johann Eberhard Zetzer, Johann Michael Seitz, Stellen die Wahl Zu MGhh.
Lect. Memoriale so Johann Adam Kleinle an Herren Prætorem Regium abgeben laßen Wie auch eine Requeste die er, Kleinle, dem Herrn Intendanten præsentirt, Und dann ein schreiben Von Hn Intendanten, darinnen Er dem herrn Prætori Regio das Kleinle person recommendirt, deßen ohngeachtet ist
Johann Michael Gambß darzu erwehlt dabeÿ aber auch erkandt worden, daß dem Herrn Intendanten die Vertröstung gegeben solle, daß, sobalden eine gelegenheit Vor Kleinle sich præsentiren würde mann seiner gedencken Wolte, welches Herr Syndicus Güntzer überkommen

Les Quinze nomment le marchand épicier Jean Adam Kleinlé garde à l’accise le 15 janvier 1695. Il demande en juillet une augmentation de salaire qui lui est accordée eu égard à ce qu’il ne remplit pas seulement les fonctions de garde mais aussi de commis aux écritures, du moment que la somme en sus ne fasse pas partie du salaire mais soit considérée comme une gratification.
1695, Protocole des Quinze (2 R 99)
Johann Adam Kleinle garde jm umbgeld
(f° 3) Sambstags den 15. Januarÿ – Johann Adam Kleinle wird garde jm umbgeld
Obere Umbgeldts Herren laßen per Herrn Schragen proponiren, daß bekandter maaßen La Vigne der geweßene garde jnn dem Umbgeldhauß, vor ein Ammeister Knecht pro ordinario angenommen worden seÿe, Zu welchem Ampt Herr Intendant Zwar Johann Adam Kleinle, der Specirer, recommendirt, allein habe es inn ansehung der alternativ Nicht seÿn Können, Inn Zwischen, Weilen es die meinung gehabt, daß er beÿ anderer gelegenheit considerirt werden solle, so habe man ihme die vacirende garde stelle conferiren wollen, die er Wohl annehmen, des pantelins tragens aber verschohnt seÿn wolte, deßwegen mann darfür gehalten, daß er Zur schreibereÿ /:dero er ohne dem als Kauffmann wohl erfahren:/ jn dem Umbgeld hauß gebraucht werden Könte, allein Zu Mghh. stünde, Ob sie ihn darzu confirmiren wollen. Erk. Confirmirt.

(f° 110) Sambst. den 2. Julÿ – Johann Adam Kleinle pt° addit. Salarÿ
Johann Adam Kleinle, d. Umbgeldts bedienter, pro D Gollen prod. Undthg. Und hoch flehentliches Anbringen, Erk. wie vor [vor Obern Umbgeld Hh. gewießen]

(f° 113-v) Freÿt. den 8. Julÿ – Johann Adam Kleinle pt° addit. Salarÿ
Iidem [Obere Umbgeld Hh.] per Herren Schragen, daß Johann Adam Kleinle, der Umbgeldts bedienter, jnn einem überreichten Memorial umb bestelt, Angesucht, jnn Ansehung die Zeiten so hartt und schwehr weren, daß er damit sich, seine Frau, Und dreÿ Kleine Kinder Nicht mehr Zu ernehren wüßte, dabeneben sich auff Hn Rathh. Dollhopffen den Inpectorem des Umbgelts haußes, bezogen, als der attestiren Könte, mit was Fleiß er seinen dienst /:dabeÿ er Zimlich Viel arbeit und schreibens gebe:/ abwarthe, Welcher als mann ihn gehört, Neben denen Herren dreÿ ihne dießes Zeugnuß mit getheilt, daß er Nicht nur als ein garde den dienst Versehe, sondern auch in schreiben sich wohl brauchen laße, Und, weilen mann sich erinnert, daß Pierre Le Beau der das geld von dem Aubergiste ein Ziehet, die Woch 5 ß mehr haben Und vor dießem 11. gardes gewesenn jetzo aber nun 10. seÿen, Und also dem Pfenningth. nur mehrers Nicht Zugemuthet werden würde, wann supplicant die Woch 5 ß mehr bekäme als stündte Zu Mghh. Ob Sie ihm die 5 ß Wochent. gn. addiren wollen? Erk. Beliebet, jedoch darmit es beÿ andern garde Nicht ein præjuditz Nach sich Ziehe, es Nicht als pars Salarÿ sondern als ein gratiale seÿn solle.

Jean Adam Kleinlé devient péager à la porte de Cronenbourg (les pages correspondantes du registre manquent)
1702 Conseillers et XXI (1 R 185, Table)
Joh: Adam Kleinle würdt Zoller am Cronenburg. Thor. 160.

Jean Adam Kleinlé, employé à l’accise, loue la cave au marchand épicier Jean Georges Krauss

1700 (5.8.), Chambre des Contrats, vol. 573 f° 436
Johann Adam Kleinle, bedienter Im Umgeld
in gegensein H. Johann Georg Kraußen, deß Specereÿhändlers
verlühen maßen auch dieße bereits auff Annunciationis Mariæ dießjahrs entlehnt zu hab. benantlich war, In seiner auff dem alt. weinmarckt geg. dem würths hauß zum Stall über gelegenen wohnhauß, nachfolgende Gelegenheit, Nemblich Erstlich einen großen gewelbt. Keller sambt d. vier groß. mit deß Verleihers Zeich. gemerckt. Liegerling, Ferner Eine Eßig Cammer, und sonsten auch eine Cammer, alles auff neun jahr lang von Annunciationis Mariæ dieß jahrs anzufang., umb einen jährlich. Zinß nemblch 11 pfund
Darbeÿ ferner verglich. daß der H. Entlehner auch den bauch offen zu gebrauchen freÿ stehen solle, doch soll Er denselben auff seinen Costen Recht mach. laß.

Marie Barbe Brehm hypothèque avec le consentement de son mari Jean Adam Kleinlé la maison au profit du marchand de soie Jean Christophe Goldbach

1702 (13.6.), Chambre des Contrats, vol. 575 f° 250-v
Maria Barbara geb. Brehmin mit beÿstand u. consens Johann Adam Kleinle Zollers ahm Cronenburg ihres mariti
in gegensein Joh: Christoph Goldbachs seÿdenhändlers – schuldig seÿen 70 pfund
unterpfand, obger Eheleuthe hauß cum appertinentiis allhier am alten Weinmarckt gegen der Herberg Zuem Stall einseit neben p. frn. Anna Wilhelmina Victoria v. Zuckmantel anderseit neben Hanß Joachim Bender dem schneider, hinten auf Joh: Kleiber den schreinern zum theil u. Zum theil auf die Nägelische EE. auch auf Philipp Conrad Rauchen Not: stoßend gelegen

Jean Adam Kleinlé, péager à la porte de Cronenbourg, et Marie Barbe Brehm hypothèquent la maison au profit des échevins des Jardinier aux Charrons

1707 (16.7.), Chambre des Contrats, vol. 580 f° 477
Joh: Adam Kleinle Zoller ahm Cronenburg und Maria Barbara geb. Bremin beÿständlich H. Frantz Heinrich Städels u. H. Joh: Georg Grießbachs beeder auß mittel E.E. Kl. Raths in ermanglung verwanther deputiret
in gegensein H. Martin Kauffers Zunfftmeÿsters beÿ E.E. Zunfft der G.U. nahmens deß gesambtten Collegii der herren Schöffen daßelbst – schuldig seÿen 100 pfund
unterpfand, ihre behaußung allhier ahm alten Weinmarckt gegen der herberg zuem Stall, einseit neben der frn v. Zuckmantel anderseit neben Bender dem schneider hinten auff Kleiber den Schneider et Cons. stoßend

Jean Adam Kleinlé meurt le 22 janvier 1710 à l’âge de 59 ans
Sépulture, Saint-Nicolas (luth. reg B 1688-1729 n° 3)
Anno 1710. den 22. Januar nachmittag nach 4 Uhren ist allhier in Straßburg Seel. verschieden und den 25. morgends nach gehaltener leichenpredigt Zu Alt t. Peter um 9. Uhren auff dem Gottes Acker St. Galli begraben worden weÿland Herr Johann Adam Kleinle burger und geweßener Zoller ane dem Kronenburger thor allhier, Seines alters 59. Jahr 4. Monath und 3. tag welches bezeugen Johann Adam Kleinle alß Sohn, Niclaus Jacob Kleinle Als Sohn (i 57)

Marie Barbe Brehm se remarie neuf mois plus tard avec l’éudiant en théologie Chrétien Schimmer, originaire d’Eckendorf (Alteckendorf) en seigneurie de Hanau : contrat de mariage, célébration
1710 (24.9.), Not. Lang (Jean Henri l’aîné, 27 Not 52) n° 293
Verglichene Heüraths Puncten Zwischen Hn Christian Schimmern, S: S: Theol: studioso von Eckendorff hochgräfflich Hanawischer Herrschafft Gebürttig, des Wohl Ehrwürdig und Wohlgelehrten Herrn Johannis Bartholomæi Schimmers, wohlverdienten Pfarrherrn Zu Obermodern Gedachter Herrschafft Ehelichem Sohn, als hochzeitern An einem,
So dann der Ehrn; und Tugendreichen Frauwen Mariæ Barbaræ gebohrner Brehmin Weÿl. H Johann Adam Kleinle, Geweßenen Zollers vnd burgers Zu Straßburg seel. nachgelaßener Wittib als der Frauwen hochzeiterin Am Andern theil
Mittwochs den 24.ten Septembris Anno 1710. [unterzeichnet] Christian Schimmer S S Th. Stud als Hochzeiter, maria barbara brämin

Mariage, Saint-Nicolas (luth. f° 124-v, n° 18)
Donnerstag den 20. Nov: 1710. seind auß erlaubnuß deß Regierenden H. Ammeisters alhier in Straßburg im hauß nachdem Sie Sontags zuvor in der Kirch zu St. Nicol. Zum ersten vnd andern mahl Zugleich proclamirt vnd außgeruffen wurden,Ehelich copulirt und eingeseget worden H. Christian Schimmer, H. Johann Bartholomäi Schimmer, Evangel. Pfarrers Zu Obermodern, Hanawischer Herrschafft Ehel. Sohn, und Fr. Maria Barbara geb. Bremin weÿl. H. Johann Adam Kleinle geweßenen Zollers ann Cronenburgerthor Vnd burgers alhier hinterlaßene wittib [unterzeichnet] Christian Schiller als hochzeiter, maribarbara Keleneuelen als hochzeiterin (i 129)

Convention entre Marie Barbe Brehm et ses cinq enfants issus de Jean Adam Kleinlé
1713 (28. 7.bris), Not. Lang (Jean Henri, 28 Not 3) n° 97
Fraw Maria Barbara Kleinlein gebohrne Brähmin, Weÿl. H. Johann Adam Kleinle deß geweßenen Zollers am Cronenburger Thor nachgelaßene Wittib, so nunmahlen an H. Christian Schimmer Præceptorem Domesticum Verheürathet, soll Ihren fünff Kindern mit erst ermeltem Herrn Kleinle erzeügt vor ermanglend Paten gelt als Evæ Barbaræ, Niclaus Jacob, Catharinæ Salome, Johann Daniel vnd Johann Friedrich deren geschworner Vogt Johannes Schäffer Schneider vnd burger allhier Vermög auffgerichteten Inventarÿ de aô 1710. über obgedachts Herrn Kleinle seel. Verlaßenschafft besagend (…) Actum den 28. 7.br 1713.

Vente de meubles après la mort de Marie Barbe Brehm
1724 (10.4.), Not. Lang (Jean Henri 28 Not 11) n° 271
Verkauff und Looß Register Über Weÿland Fr. Mariæ Barbaræ Schimmerin gebohrner Brehmin, Christian Schimmers deß Præceptoris und burgers alhier Geweßener Ehefrauen nunmehr seel. Hinterlaßenen wenige Mobilia, Auffgericht Anno 1724
NB. Fr. Flechnerin Wittib war Käufflerin, und der haußrath war Vor benjamin Formier des Rothgerbers hauß auff dem gerbergraben die 1.er dochter hat das geld in præsta.
Montag den 10.ten Aprilis

Jean Adam Kleinlé et Marie Barbe Brehm vendent le maison 1 550 livres au tonnelier Etienne Geyler

1708 (1.3.), Chambre des Contrats, vol. 581 f° 182
(1550) Joh: Adam Kleinle Zoller ahm Cronenburg und Maria Barb: geb. Brehmin
in gegensein Stephan Geÿlers Kiefers
eine behaußung hoff u. hinterhauß sambt dero hoffstätten auch allen deren gebäuen, rechten und zugehörden allhier ahm alten weinmarckt gegen der herrberg zuem Stall, einseit neben fraun Anna Wilhelm: Victoria v. Zuckmantel anderseit neben Joh: Joachim Bender schneider hinten auff Joh: Kleiber schreinern theils auf d. Mögelinische hauß theils auf Not: Rauchen stoßend (mit mobilien) – um 75 und 100 pf (verhafftet, geschehen um) 1375 pfund

Etienne Geyler épouse en 1680 à Heiligenstein Barbe (Hügel), veuve du tonnelier Etienne Geyler
Mariage, Heiligenstein (luth.)
1680. die 10. Augusti nach doppelter Außruffung Copulirt Stephan Geÿler leediger Küffer vnd Fr. Barbara, weÿl. Stephan Geÿlers küffers nachgel. Wittib (i 143)

Etienne Geyler, premier mari de Barbe Hügel, a été abattu par des soldats sur le Rhin près de Strasbourg
Sépulture, Heiligenstein (luth.)
1678. Beÿ stürmung Vnnd Vbergehen der Schantz Zu Keÿl, wurde Erschossen vnd folgends an dem vffer deß Rheins begraben von etlichen Straßburger Soldaten dienstlich mit ihm auff einem floß den Rhein hinab saluirt vnnd auch zum theil geschossen worden Stephan Geÿler, küffer Von Heiligenstein ein frommer Ehrlicher Mann. Gott gebe ihme einen fröhlichen auferstehung (i 137)

Fils du tonnelier Etienne Geyler de Heiligenstein, Etienne Geyler acquiert le droit de bourgeoisie avec sa femme Barbe Hügel aussi native de Heiligenstein en apportant deux enfants. Ils s’inscrivent à la tribu des Tonneliers
1694, 3° Livre de bourgeoisie p. 1131
Stephan Geÿler der Küeffer Von Heÿligenstein weÿl. Stephan Geÿlers auch geweßenen Kieffers daselbst hint. sohn, erkaufft das burgerrecht Vor sich unndt Barbaram Hügelin von Heyligenstein seine haußfrauw p. 2. Gold fl. 16. ß so bereits auf dem Pfenningthurn erlegt worden wegen Ihrer beden Kinder aber bleibe es beÿ ordnung, Vnd wird Zu E. E. Zunfft der Küeffer seinen. Jur. d. 16. Dito [Junÿ] 1694.

Etienne Geyler meurt en janvier 1709 en délaissant deux enfants. Les experts estiment la maison 1 300 livres. La masse propre à la veuve est de 721 livres, celle des héritiers de 125 livres. L’actif de la communauté s’élève à 4 127 livres et le passif à 766 livres

1709 (25.2.), Not. Oesinger (Jean Adam, 39 Not 13) n° 299
Inventarium und Beschreibung aller der Jenigen Haab Nahrung vnnd Güthere, liegender vnnd Vahrender, Veränderter vndt vnveränderter, Keinerleÿ davon außgenommen, so Weÿlandt der Wohl Ehrenhaffte und Vorachtbare herr Stephan Geÿler, geweßener Kieffer undt Weinhändler burgern allhier zu Straßb: nach seinem den 5. Jan: dießes lauffenden 1709.ten Jahrs aus dießer welt genommenen tödlichen hintritt genommenen seeligen hientritt, Zeitlichen verlaßen, welche auf freundliches ansuchen erfordern Vnndt begehren der Ehren Vnnd tugendsamen Fr. Annä Barbarä Barbeneßin gebohrnen Geÿerin, deß Ehrenhafften und bescheidenen herrn Johann Friderich Barbenes Kupfferschmidts und burgers allhier Ehefr. mit beÿstandt Erstged. Ihres Ehewürths, so dann auch deß Ehrenvesten und wohlgelehrten herrn M. Stephan Geÿlers Sacro Stæ Theol. Studiosi beÿständlich deß Ehrenvesten und Wohlvorachtbaren herrn Johann Friderich Jägers, handelßmanns und burgers allhier seines erbettenen vnnd geschwornen theil Vogts, alß deß verstorbenen seel. mit hernach gemelter hinterbliebener Wittib ehelich erzeugter Zweÿ KKer und ab intestato hinterlaßener rechtsmäßigenen nächsten Erben, Inventirt vnnd ersucht durch die Viel Ehren vnd Tugendbegabte Fr. Barbaram gebohrne Hüegelin die dißorts wittib, mit beÿstandt deß Wohl Ehrenhafften vnd vorachtbaren herrn Ambrosi Kornen Kieffers v: b: allhier ihres gewesen Curatoris (…)
Actum in der Königlichen Statt Straßburg In fernerem beÿsein deß Ehrsammen Johannes Geÿlers Schuhmachers u: b: Zu Heÿligenstein deß Verstorbenen seel. Stieff Sohns, Montags den 25. Febr. Anno 1709.

In einer allhier in der Statt Straßb. ohnfern dem alten Weinmarckt gelegenen unnd in dieße Verlaßenschafft gehörigen behaußung befunden worden wie volgt
Ane Höltzen und Schreinwerckh. In d. obern Stub Cammer, In d. Kammer A, In d. Kammer B, In der mittlern Stub, In d Stubkammer, In d. officier Stub, Im Haußöhren, Im undern Stübel, In d Stubkammer – Zu Heÿligenstein
Eigenthumb ahne Häußern und einem garthen (T.) Ein Vorder und ein hinder hauß sampt dero hoffstätten auch allen anderen deren gebewen, begriffen, Weithen, rechten, Zugehörten und gerechtigkeiten gelegen allhier in d. Statt Straßb. ahne dem alten Weinmarckh gegen der Gastherberg Zum alten Stall einseith neben Frawen Anna Maria Willhelm Victoria Von Zuckmantel, 2.s. neben Johann Joachim Benter schneidern hind. auf H. Klaiber dem schreiner Zum theil, theis auff die Nägelinische, auch auff Philipps Schätzels des Huthmachers behaußungen stoßendt. Davon gehen Jährlichen 4. lb d Zinnß Jahrs auff den 16.t Junÿ E: E: Zunfft d. Garter undtterwagnern allhier so ablösig in capital mit 100. lb d. Sonsten freÿ leedig vnd eihen und über obige beschwerten durch der Statt Straßburg geschworene Herren Werckmeistere Vermög Ihrer Zu dem Concept gelüfferten Abschatzung dedato 14.ten febr: 1709. annoch æstimirt pro 1300. lb. Darüber meldet ein teutscher Pergamentener Kauffbrieff in allhießiger Canzeleÿ contract stub gefertiget und mit dero anhangend. Kleineren Secret Insiegel verwahrt datirt d. 1. Martÿ Anno 1708. so mit N° 1 notirt.
(W.) Item Hauß, Hoff, Hoffstatt, Trott, Trotthauß, Stallung und Keller sampt einem hinden daran gelegenen Garten (…) in dem dorff Heÿligenstein (…)
Ergäntzung der Wittib unveränderten abgegangenen Guths. Vermög Inventarÿ durch Weÿlandt Herrn Johann Sternen geweßenen Notarium Cæsareum Publicum und Amptschreiber der Herrschafft Barr über Weÿland deß Ehrsammen Vnd bescheidenen Stephan Geÿlers geweßenen Kieffers v: b: Zu Heÿligenstein alß der hinterbliebenen Wittib Ersteren haußwürths seeligen Verlaßenschafft vnderem 23. Julÿ Anno 1680. auffgerichtet
Ergäntzung der Kinder und Erben abgegangenen unveränderten Vätterlichen Guths. Vermög General Theilbuchs so in Anno 1677 durch H. Johann Storren notarium publicum auffgerichtet worden außweißend Waß dem Verstorbenen seel. vnd seinen fünff geschwüstrigen beÿ abtheÿlung Weÿl. Stephan Geÿlers Küffers Vnd burgers Zu Heÿligenstein Verlaßenschafft Erblich Zugefallen
Series rubricarum hujus Inventarÿ. Der wittib unverändertes Vermögen, Sa. haußraths 7, Sa. lähren Vaßen 5, Sa. Eigenthumbs ahne einer behaußung 200, Sa. liegende gütheren 43, Sa. Schulden 5, Sa. der Ergäntzung (528, gehet ab 43, restiret) 485, Summa summarum 746 lb – Schulden 25 lb, Detrahendo verbleibt 721 lb
Der Erben unverändert Vätterl. Verlaßenschafft, Sa. haußraths 17, Sa. liegenden güther 42, Sa. der Ergäntzung (49, gehet ab 3, restiret) 45, Summa summarum 130 lb – Schulden 5, Compensando 125 lb
Das Gemein Verändert unndt theilbar guth, Sa. haußraths 94, Sa. Werckzeugs holtz und reÿff zum Kieffer handwerckh 13, Sa. Wein vnd lähren Vaß auch brandenwein vnd Eißig 813, Sa. der baarschafft 83 Sa. Pfenningzinß hauptgüter 1496, Sa. Eigenthumbs ahne einer behaußung 1300, Sa. der liegenden Gütheren 109, Sa. der Schulden in das Erbe zugeltent 216, Summa summarum 4127 lb – Schulden 766 lb, Nach deren Abzug 3350 lb
Beschluß und Verstallungs summa Inventarÿ 4207 lb
Abschatzung d. 14. febr. aô 1709. Weÿland H Steffan Geiler gewesenen Kieffers seel. hinter laßene Fraw Wittib und Erben ist eine behausung allhier in der statt Straßburg auf dem Alten wein Marckt gelegen, einseits neben der Gnäd. Fraw Zugmantlerin, anderseits neben H hanns Joachim Bendter, hinden auff H. Kleiber schreiner stoßendt Welche behausung, hoff, hinderhauß, und Nebens gang sambt aller gerechtigkeit wie solches durch der Statt Straßburg geschworene Werckleuthe sich in der besichtigung befunden und jetzigem preiß nach angeschlagen wird Vor und umb Zweÿ tausendt undt acht Hundert Gulden. Bezeichnus durch der statt Straßburg geschworene Werckhleuthe. Jacob Staudacher Werck Meister des Maur hoffs. Johann Jacob osterrieth Werck Meister deß Zimmer Hoffs

Les préposés de la Taille font figurer la succession dans leur registre parce que les impôts acquittés étaient calculés d’après une fortune sous-évaluée de 1 900 florins (950 livres) sur un total de 4 400 florins. Les préposés réduisent le montant de l’amende puis dispensent les deux héritiers qui n’étaient pas bourgeois au moment du décès de régler le droit de détraction.
1709, Livres de la Taille (VII 1174) f° 98
(Kieffer, F., N. 226) Weÿl. Stephan Geÿlers geweßenen Kieffers und Weinhändlers auch burgers alhier Verlaßenschafft inventirt H. Not. Ösinger.
Concl. fin. Inv. ist fol. 91 – 4207. lb. 5 ß 10 d, die machen 8400. fl. Verstallte nur 650 fl, alßo Zu wenig 1900 fl.
Es hat Zwahr der verstorbene 14 Tag vor seinem absterben sich 1500. fl. zu schreiben auch die gebühr Zugleich darvor erlegen laßen, man hat aber dißorts solchen Zugang wegen Kürtze der Zeit nicht attendirt, sondern nach den völligen ohnverstallte quanto den nachtrag wie folget angesetztet
Benantl. von 1900. fl. theilbahren Guts auf Sechs jahr in duplo macht à 5. lb 14 ß d – 34 lb 4 ß
Und auf vier jahr in simplo th. à 2. lb 17 ß d – 11 lb 8 ß
Extat das Stallgeltt pro 1709. mit – 10 lb 7 ß
So thun die Gebott – 2 ß 5 d
Und dann die Abhandlung – 4 lb 7 ß 6 d , Summa 63 lb 4 ß 2 d
Auf suppliciren Haben die Herren Dreÿ an nachgelaßen Zwahr jahr in duplo und ein jahr in simplo th. 14 lb. 5 ß, restiret 49 lb 4 ß 2 d
dt. 14° X.br 1709 in Crafft Erkantnus der Obern Stallherren auf fernerer von denselben erhaltener moderation mit 32 lb. 17 ß 10 d
Abzug. Weilen die beede Kinder und Erben Zu Zeit des Vatters tod falls so den 5.ten Jan. currentis anni geschehen dißorts annoch frembd und ohnverburgert waren, angesehen Sie beede ererst d. 16. ejusdem das burger Recht erkaufft, als wird von deren anerstorbenen Vätterl. Erbe der 3675. lb 8 ß 4 d der Abzug abgefordert mit 367. lb. 10 ß 10 ß
Vermög Erkanntus der Obern Stall herren ist solcher abzug nachgelaßen word. den 29° Julÿ 1709.

Les Quinze renvoient les héritiers aux préposés de la Taille à chacune de leurs deux requêtes
1709, Protocole des Quinze (2 R 113)
pt° Abzugs, Stephan Geilers Kieffers
(f° 166-v) Sambstags den 27.t Julÿ 1709.
G. noîe weÿl. Stephan Geilers des geweßenen burgers vnd Kieffers alhie Hinterlaßene Erben, Joh: Friderich Barbenes des Kupfferschmidts Uxorio nomine vndt H. M. Geilers, prod. unterth. Memoriale undt bitten mit beÿlag sub Lit. A. bittet wie inhalts pt° geforderten Abzugs.
Erk. an die Oberen Stallherren gewießen

(f° 235-v) Sambstags den 16. Novembr. 1709.
K. noîe Stephan Geilers geweßenen burgers vndt Weinhändlers alhie hinterlaßener Wtb. vndt Kinder, erscheint Ambrosius Korn burger vnd Kieffer alhie als vogt, prod. unterth. memoriale und bitten wie inhalts. Erk. an die Obern Stall hh. gewießen

La fille Anne Barbe Geyler, femme du chaudronnier Jean Frédéric Barbenès, cède ses droits sur la maison à sa mère et à son frère

1709 (15. Martÿ), Not. Oesinger (Jean Adam, 39 Not 13) Joint au n° 299 du 25 fév. 1709
(Inventarium und Beschreibung aller der Jenigen Haab Nahrung vnnd Güthere, so Weÿlandt herr Stephan Geÿler, geweßener Kieffer undt Weinhändler burgern allhier zu Straßb: Zeitlichen verlaßen)
(f° 21) Vergleichung der behaußung auch noch der restirenden Pfenningzinß hauptgüter hauptgüethern so theilbahr
Die allhier auff dem alten Weinmarckh gegen dem Würthshauß Zum Stall gelegene sterb behaußung welche in dem Inventario umbständlichen beschrieben mit aller Ihren Zugehörten vnd gerechtigkeiten auch denen Vor solcher behaußung stehenden brunnen, schaalen vnnd bronn bütt ist in die Vertheÿlung über abzug der 200. lb capital welche E. E. Zunfft der Garthner Vnder Wagneren darauff stehen hatt anzuschlagen Verglichen worden per 1350 lb (…) Sigil. Straßb 15. Martÿ aô 1709.
Dahingegen bleibt vorgedachte Behaußung sampt dem lauthischen Capital auch die davon Verfallene Marzal der dißorths Wittib Vnnd herrn M. Stephanen Geÿlern dem Sohn wegen Ihrer Zu erforderen habenden zween drittetheil Zu Zweÿen gleichen theilen Eigen, maßen dann solche Ihnen beeden Von Frawen Anna Barbara Barbeneßin gebohrner Geÿlerin Ihrer respective tochter vnd schwester solcher gestalten Cedirt und überlaßen worden seind, Actum ut supra

Anne Barbe Hügel meurt en 1721 en délaissant un fils issu de son premier mariage (Jean Geyler, cordonnier à Heiligenstein) et ses deux enfants du deuxième mariage. Les experts estiment la maison 1 300 livres. L’actif de la succession s’élève à 1 994 livres.

1721 (30. 8.bris), Not. Oesinger (Jean Adam, 39 Not 29) n° 769
Inventarium und Beschreibung aller derjenigen Haab Nahrung und Güthere, Liegender und fahrender, Keinerleÿ davon außgenommen, so Weÿl. die Ehren und Tugendbegabte Fraw Anna Barbara Geÿlerin gebohrne Huegelin, Weÿland deß Ehrenhafften und Vorachtbaren Herrn Stephan Geÿlers, geweßenen Kieffers und Weinhändlers, burgers allhier seeligen hinterlaßene Wittib, nunmehr auch seelig, nach jhrem den 12.t Octobris dießes Zuend lauffenden 1721.ten Jahrs, aus dießer mühesammen und zergänglichen welt genommenen seeligen hientritt, Zeitlichen verlaßen (…) durch dieselbige selbten so dann auch Annam Mariam gebohrne Hügelin die dißorths dienst Magd und baaß (…) geaigt und gezeigt – Actum in der Königlichen Stat Straßburg in auch Gegenwarth deß Ehrenhafften und achtbahren herrn Ambrosÿ Kornen, Kiefers Vnd burgers allhier der Verstorbenen Fr. seel. geweßenen geschwornen Curatoris Donnerstags den 30. Octobris Anno 1721.
Die Verstorbene seel. Hat ab intestato Zu Erben Verlaßen Wie volgt. 1. den Ehrsammen und bescheidenen Johann Geÿlern Schuhmachern v. burgers Zu Heiligenstein neben Welchem Weilen derselbe frembd und ohnverburgert auß E: E: Kleinen Rathsmittel der Wohl Ehrenvest Weiße und Großachtbahre Herr Johann Nicolaus Hinell Sattler und E: E: Großen Raths v. E: E: Kleinen Raths jetzmaliger beÿsitzer alß Deputatus dem Geschäfft beÿgewohnt, Welhen Sohn die Verstorbene seel. in erster Ehe mit Weÿl. Stephan Geÿlern Kieffern und burgers Zu Heiligenstein ehel. erzeuget.
2.do die Eren und tugendbegabte Fraw Annam Barbaram Barbeneßin gebohrne Geÿlerin, eß Ehrenhafften und bescheidenen herrn Johann Friderich Barbeneßen deß Kupfferschmidts und burgers allhier ehel. haußfraw welche Zusampt erst gedachtem Ihrem Ehewürth gegenwärtig war. 3.tio den Ehrwürdigen und Wohlgelehrten Herrn Mag: Stephan Geÿlern treufleißigen Pfarrern der Evangelischen lutherischen Gemeindt Zu Scharrachbergheim so beÿ dem geschäfft Persönlich erschienen, dieße Zweÿ letztere Kinder erzeugte die sel. verstorbene in Zweÿter Ehe mit auch weÿl. herrn Stephan Geÿlern geweßenen Kieffern Weinhändlern und burgern allhier Zu Straßburg, Alle dreÿ zu gleichen Portionen und Stammtheilen.

In einer allhier in der Königlichen Stadt Straßburg auf dem alten Weinmarck gegen dem Würths hauß Zum Stall gelegen Zum theil in dieße Verlaßenschafft gehörigen und hernach beschriebenen behaußung befunden worden wie volgt
Eigenthumb ane einer behaußung. Der halbe theil für ungetheilt ane hauß, hoff, hoffestatt v. bronnen auch einem hinder hauß gelegen allhier in der Stadt Straßb. ane dem alten Weinmarck gegen der gastherberg Zum Stall 1. s. neben Fr. Annä Mariä Willhelmin Victotie von Zuckmandel 2. s. neben Joh: Daniel Barbeneßin dem XV. botten, hinden auff Mstr. Joh: Gleiber den Schreiner Zum theil theils aber auff H. N. Nägelin auch th: auff Philipp Schätzel dem huthmacher stoßend, so gegen jeeder männiglich freÿ Leedig und Eigen und durch der Stadt Straßb. geschwornen Werckmeistere Krafft Ihrer Zu dem Concept gelüfferten schrifftlichen Abschatzung Sub dato d. 15.t 9.bris 1721. æstimirt pro 1300. daran Hiehero die Helffte gehörig vnd außzuwerffen mit 650. lb. Über die gtze. behaußung, Warvon die übrige Helffte eingangs erwehntem Herrn Pfarrer Geÿlern dem Sohn gehörig, meldet ein teutsch. Perg: Kauffbr. in allh. C: C: Stub gefert. v. m deroselben anhang. Klein Cantzleÿ Secret. Inns. Verwahrt datirt de 1.ten Martÿ 1708. Notirt m. a. N° 1.
It : eine behaußung hoff hoffstatt trott trotthauß v. Keller s. i. hinten daran gelegenen garten (…) ind em dorff heiligenstein
Series rubricarum hujus Inventarÿ. Sa. haußraths 111, Sa. Lährer Vaß 76, Sa. Pfenningzinß hauptgüter 877, Sa. Eigenthums ane häußern 850, Sa. Eigenthumbs ane Reebgüthern 80, Summa summarum 1994 lb
Dazu ist zu legen Fr. Annæ Barbaræ Barbeneßin gebohrner Geÿlerin der tochter Letster Ehe beÿ Ihrer Verheürathung in baarem Geldt empfangen Mütterlich Ehesteur so ane 150 lb für eine terzt macht 50. lb, Summa der vorher beschrebenen Verlaßenschafft 2049 – Verstallungs Summa Inventarÿ 1932 lb – Beschluß summa Inventarÿ 1932. lb
Abschatzung d. 15. 9.bris: aô 1721. Auff begehren der Ehr Vnd tugendt samen: Fraw: Anna Barbara geillerin ist Eine behaußung Alhier in der Statt Straßburg Auff dem Alten Wein Marckh gegen dem Stall über gelegen, Ein Seÿth Neben Madam Zuckhmandellerinn, Ander seÿth Neben Joseph wentzinnger, schuh Macher hinden, Auff: Johannes Kleÿber, schreiner stoßendt, Welche behaußung, hoffstatt, Stuben, Kammeren, Küchen, hauß Ehren, Gewölbter Keller, Neben gebeÿ, Mit Kammeren und gebälckder Keller, hinder gebeÿ, Mit Stüblen hauß Ehren, bauch Küchen, höffell, Mit Steineren platten belegt, darinn Ein trenckh, Vnd Waßerstein, Sampt Aller Ihrer gerechtigkeÿt wie solchen durch der Statt Straßburg Geschwornen, Werckh Leüthen in der besichtigung befunden Vnd dem Jetzigen preiß Nach, angeschlagen wirt, Vor, vndt, umb, Zweÿ tausendt Sechs Hundert Gulden Bezeichnuß durch der Statt Straßburg Geschworenen Werckh Leüthe [unterzeichnet] Michael Ehrlacher Werck Meister deß Meinsters, Johann Jacob Biermeÿer Werck Meister deß Zimmerhoffs

Jean Geyler et sa demi-sœur Anne Barbe Geyler cèdent leur part de maison au pasteur Etienne Geyler qui en devient ainsi seul propriétaire.

1721 (3. 9.bris), Not. Oesinger (Jean Adam, 39 Not 29), Joint au n° 769 du 30 oct. 1721
(Inventarium und Beschreibung aller derjenigen Haab Nahrung und Güthere, so Weÿl. Fraw Anna Barbara Geÿlerin gebohrne Huegelin, Weÿland Herrn Stephan Geÿlers, geweßenen Kieffers und Weinhändlers, burgers allhier seeligen hinterlaßene Wittib)
Übergaab und übernahm der Helffte der allhier an dem alten weinmarck gelegenen in dieße Verlaßenschafft Eigenthümlich gehörig behaußung.
Solche Helffte der Behaußung haben Meister Johann Geÿler und Fr Anna Barbara Barbenesin gebohrne Geÿlerin mit Consens H. Johann Friderich Barbeneß Ihres Ehevogts Herren Mag: Stephan Geÿlern jetzmahligen wohlverordneten Pfarrern der Evangelischen lutherischen Gemeindt Zu Scharrachbergheim Ihrem brudern, alß welchem schon Vorher die übrige helffte Eigenthümlich gehörig mit allen appertinentÿs weithen und Gerechtigkeiten für freÿ Leedig und eigen cedirt und überlaßen (…) mit dem Anhang daß Er dargegen In die gemeine mütterliche Verlaßenschaffts Massam einzuscheßen schuldig hiengegen aber daran wieder pro rato zu participiren beechtigt seÿn solle nemblichen 775 lb (…) Geschehen Straßburg den 3. Novembris Anno 1721.

L’étudiant en théologie Etienne Geyler, fils du marchand de vins Etienne Geyler, devient bourgeois en janvier 1709 en s’inscrivant à la tribu des Tonneliers
1708, 3° Livre de bourgeoisie p. 1272
H. Stephan Geÿler Theol: Studiosus V. Heÿligenstein w: Stephan Geÿlers gew: Weinhändlers hint. sohn erkaufft d. burgerrecht pro 2. gold fl. 16 ß wird beÿ E. E. Zunft der Kueffer dienen, Jur. d. 16. Dito [Januarÿ] 1709.

Alors pasteur à Scharrachbergheim, Etienne Geyler épouse en 1721 Anne Madeleine Moscherosch, fille de diacre : contrat de mariage dont la minute n’est pas conservée mais qui est copié à l’inventaire après décès, célébration
1721, Not. Pantrion (Jacques Christophe, répert. 65 Not 45)
Eheberedung – H M. Stephani Geÿlers Pfarr: Zue Scharachbergh: und Jgfr Annæ Margarethæ Moscheroschin
Copia der Eheberedung – zwischen dem ehrwürdigen und wohlgelehrten Herr, M. Stephani Geÿlern, treufleißigen Evangelischen Pfarrern Zu Scharrachbergheim und Irmstätt weÿland des Ehrenhafften und Vorgeachten herrn Stephan Geÿlers, geweßenen Weinhändlers und burgers alhier seel. hinterlaßenem ehelichem Sohn, alß dem herrn Bräutigamb ane einem, So dann der Viel Ehren: und tugendreichen Jungfrauen Anna Magdalenä Moscheroschin, des Wohl Ehrwürdig, Große Achtbahr und Wohl geehrten Herrn M. Johann Jacob Moscheroschen treufleißigen hochmeritirten Diaconi Senioris beÿ der Christlichen Evangelischen Gemeinde Zum Alten St Peter alhier Zu Straßburg ehelich erzeugter tochtern als des Jungfrau H.on Andern theils – Beschehen und verhandelt in Straßburg Donnerstags den 3. Monathstag Junÿ Im Jahr des herrn 1731. Jacob Christoph Pantrion Notarius

Mariage, Saint-Pierre-le-Vieux (luth. f° 90-v)
1721. Domin. IV. er V. Trinit: seindt außgeruffen vndt Mittwochs den 16. Julÿ Ehelich eingesegnet worden Herr M. Stephanus Geiler Pfarrer zu Scharrachbergheim undt Irmstett, H. Stephani Geiler geweßenen burgers, Kieffer und Weinhändtlers allhier nachgel. Ehl. Sohn, undt Jungfrau Anna Magdalena mein M. Johann Jacob Moscherosch diaconi senioris Zum Alten St. Peter Ehel. Tochter [unterzeichnet] M. Stephanus Geÿler als Hochzeiter, Anna Magdalena Moscheroschin als hochzeiterin (i 93)

Notice de Bopp dans son répertoire des pasteurs
(Bopp n° 1671) Stephan Geyler, Mag. ° Heiligenstein 2.1688 S. v. Stephan Weinhändler und küfer, x I 16.7.1721 Anna Magdalena Moscherosch Pfarrersdochter (3605) * 13.7.1707 + 24.10.1749 ; x II 27.1.1751 Maria Magdalena Wwe des Weißbäckers Michel Diemer ; x III 17.10.1753 Maria Magdalena Rosenzweig [sic] Wwe. v. Johann Christian Jost, Schaffner * 4.6.1699 + 15.4.1776
imm. in Straßburg am 25.3.1704, Cph. am 31.4.1704, Mag. am 9.3.1707, in Jena 1710, kauft das Bürgerrecht am 16.1.1709 – 17[-] bis 1721 Diak. in Bischheim, 1721-1738 Pf. in Scharrachbergheim, 1738-1745 Diak. in Straßburg Alten St Peter III, 1745-1773 ebenda II, Emeritus 1773 – + 7.7.1777

Les nouveaux mariés font dresser l’inventaire de leurs apports dans la maison de fonction appartenant à Saint-Pierre-le-Vieux. Les apports du mari qui comprennent la maison non évaluée s’élèvent à 759 livres, ceux de la femme à 558 livres.

1721 (21. Julÿ), Not. Pantrion (Jacques Christophe, 40 Not 45) n° 69
Inventarium über des Ehrwürdig und wohlgelehrten Hern M. Stephani Geÿlers wohl meritirten Evangelischen Pfarrers zu Scharrachbergheim und Irmstätt, und der viel Ehren: vnd tugendreichen Frauen Annæ Magdalenæ gebohrner Moscheroschin beed. Eheleuthe und burgere zue Straßburg einand. in den Ehestand Zugebrachte Nahrung auffgerichtet in Anno 1721. – aus Ursachen weilen dieselbe in ihrem mit einander auffgerichteten Ehe pactis solche Zubringende Nahrung sich als unverändert reservirt, auch die Ergäntzung deßen so stante matrimonio davon abgesehen wird stipuliret (…) Actum vnd inventiret Straßburg den 21. Julÿ 1721. expedirt vndt ausgefertiget aber d. 18. aug. 1741. Joh: Brackenhoffer Nots.

In dem Diaconat Hauß Zum alten St Peter hat sich befunden wie volgt
Eigenthumb ane einer behaußung, so des H. Pfarrers unverändert. (H.) der halbe theil vor vngetheilt von vnd ae einer behaußung, hoffstatt vnd höfflein, mit allen deren Gebawen, begriffen, Weiten, Rechten, Zugehörd. vnd Gerechtigkeiten, Geleg. alhie Zue Straßburg auff dem alten Weinmarckh einseit neben der hochadel. frawen von Zuckmantel anders. neben (-) Barbenes dem XV. botten hinden auff Johann Kleibern dem Schreiner stoßend so freÿ ledig vnd eigen. Und Zu Vermeidung Künfftig. præjuditz ohnangeschlag gelaßen word. der übrige halbe theil ist Frauen Barbaræ Geÿlerin gebohrner Hügelin Zuständig, die auch die Documenta über solches hauß In handen
Series rubricarum hujus Inventarÿ. Des Eheherrn in die Ehe zugebrachten Vermögens, Sa. Hßraths 28, Sa. der Biliothec o, Sa. der Wein und leeren Vaßen 74, Sa. Silbers 11, Sa. der baarschafft 170, Sa. Eigenthumbs ane einer Behaußung o, Sa. Pfenningzinß hauptgüter 475, Summa summarum 759 lb
Dießemnach wird dann auch der Ehefrauen ohnverändert in die Ehe zugebrachtes Vermögen beschrieben, Sa. haußraths 116, Sa. Silbers 47, Sa. Goldener Ring 55, Sa. der baarschafft 339, Summa summarum 558 lb

Etienne Geyler devient tributaire chez les Tonneliers
1722, Protocole de la tribu des Tonneliers (XI 393)
(f° 509-v) Dienstags den 10. Martÿ Anno 1722 – Neuer Leibzünfftiger (dt. 1 lb 6 s)
H. M. Stephanus Geÿler Pfarrer zu Scharrachbergheim stehet vor und bittet Ihme als einen leibzünfftigen und eines Zünfftigen Sohn gedeÿen Zu laßen, prod anneben Schein Vom 29.ten 8.bris 1721. Von der Statt Stall Erkandt willfarth. Zahlt Zfftgebühr 10 ß 6 d und pro die Zu denen Feur Eÿmer geordnete 10. ß auch Vor Zfftschrbr. und büttel 2 ß 6 d.

Etienne Geyler est nommé diacre surnuméraire à Saint-Pierre-le-Vieux
1738, Conseillers et XXI (1 R 221)
H. M. Stephanus Geÿler Wird Zu einem Tertio et Supernumerario Diaconi beÿ der gemeind Zum Alten St Peter cum Expectativa Juris bestellet. 253.

Etienne Geyler hypothèque la maison au profit d’Einbeth Karcher, veuve du conseiller princier Jean Daniel Unselt

1748 (16.8.), Chambre des Contrats, vol. 622 f° 595
H. M. Stephan Geÿler der Diaconus beÿm alten St Peter
in gegensein Fr. Einbethä geb. Karcherin weÿl. H. Johann Daniel Unselt des königl. Preußischen Churfürstl. Brandenburgischen Kriegs und Justiz Raths wittib mit beÿstand H. Not. Johann Daniel Langheinrich – schuldig seÿe 500 pfund
unterpfand, eine behausung bestehend in vorder und hinderhauß, hoff und hoffstatt auff dem alten Weinmarckt ane dem Kinderspielgaß, einseit neben einem dem Stifft alten St Peter gehörigen canonicats hauß, anderseit neben Johann Friedrich von Molßheim dem glaßer, hinten auff N. Plittner des maurer meisters

Anne Madeleine Moscherosch meurt en 1749 en délaissant sept enfants. L’inventaire est dressé dans la maison de fonction appartenant à Saint-Pierre-le-Vieux. Les experts estiment la maison 1 300 livres. L’actif de la succession s’élève à 3 404 livres, le passif à 1 850 livres.

1749 (24. 9.bris), Not. Stoeber l’aîné (6 E 41, 1150) n° 646
Inventarium über Weÿl. der Wohl Edlen, viel Ehren: und tugend begabten Fr. Annä Magdalenä Geÿlerin gebohrne Moscheroschin des wohl Ehrwürdigen u. wohlgelehrten H. M. Stephan Geÿlers p.t. treueiffrigen diaconi senioris der Evangelischen lutherischen gemeinde zum alten St Peter u. Vornehmen burgers allhier Zu Straßburg im leben geweßten hertzgeliebten Fr. Ehegattin nunmehr seel. Verlaßenschafft auffgerichtet in Anno 1749. – als dieselbe Freÿtags den 24.ten 8.bris dießes Zu End gehenden 1749.sten jahrs das Zeitliche mit dem ewigen seel. verwechßelt, nach sich Verlaßen (…) So beschehen Straßburg Montags den 24.ten 9.ris et Seq. A° 1749.
Die abgeleibte Fr. Pfarrerin seelige hat ab intestato Zu Erben Verlaßen wie folgt. 1.mo H. Johann Jacob Geÿlern Juris et Mathematum Cultorem, der majorennis, dannenhero ohnbevögtigt, 2.do Fr. Susannam Mariam Schwanfelderin gebohrne Geÿlerin, H. Johann Daniel Schwanfelder des Schwerdfegers u. burgers dahier Ehefr. die in abweßenheit deßelben ihren geehrten H. Oncle H. Johann Jacob Moscherosch den Handelßmann v. vornehmen burger allhier ihro dißfalls Zu assistiren, erbetten hat, 3.tio H. Johann Stephan Geÿler, den Kieffer Mstr u. burgern allhier, Welcher in Ehe lebet mit Fr. Maria Magdalena gebohrner Mausin, 4.to Jgfr. Annam Magdalenam Geÿlerin, die 21. Jar au sich hat, 5.to Johann Samuel Geÿler den ledigen Sattler welcher bereits 19 Jahr Zurückgelegt, 6.to Johann Christoph Geÿler, Classis Selectæ discipulum, der Würcklichen 15. jahr alt, So dann 7.mo Margaretham Barbaran Geÿlerin, Welche 13 jahr auf sich hat. Dieße 3. jüngere seind bevögtiget mit ihrem bruder vorgemeltem H. Johann Stephan Geÿler in deme Er aber hierbeÿ selbsten interessiret, als ist denenselben Zu einem Theilvogt obrigkeitlich constituiret worden vorwohlgedachter Hr Johann Jacob Moscherosch, welcher Zugleich auch die nach hießigen Stattrechten in großjährigem alter sich befindlichen Jgfr. tochter vorerwehnte Jgf Annam Magdalenam Geÿerin beÿ dießem geschäfft assistirt. Alle sieben der ablgeleibten Fr. Pfarrerin seel. mit eingangs erwehntem dero hinterbliebenen H. Wittiber erzielte Hh. Söhne Fr. u. Jgfr. töchter u. über die gerdnete Præ et legata zu gleichen Portionen u. Haupttheilern ab intestato hinterlassene Erben.

In einer allhier Zu Straßburg ane der langen Straß gelegenen dißorts bewohnenden Pfarr: oder Diaconat behaußung Zum alten St. Peter gehörig, befunden worden wie folgt.
Eigenthumb ane einer behaußung. Nembl. i.r behßg. in Vorder u. hintergebäu bestehend, hoffstätt, u. höfflein, m. allen deren Gebäuden, Weithen, Zugehörden, Rechten u. gerechtigkeiten allhier Zu Straßburg ane der Kinderspiel gaß gegen dem würths hauß zum goldenen pferdt über Vormals Zum Stall genandt, 1. s neben i. Canonicat hauß Zum alten St. Peter 2.s. neben H. Kutsche dem Zahnartzt Zum theil theils neben H. Däumel Controlleur des Umbgelds, Hinten auf weÿl. Mr Gottfried Blüthners geweßenen Sthrs. u. Maurers allhier seel. Verlaßenschafft stoßend gelegen, u. durch (die Werckmeistere) ausweißlich des zu mein Notarÿ Concept geliefferten Abschatzung Zeduls vom 21.t hujus vor freÿ ledig und eigen taxirt pro 1300. lb. Solche behßg. hat der hr Wittwer von seinen gel. Eltern seel. ererbet. Wie aber deßen Hr Vater seel. weÿl. hr. Stephan Geÿler geweßter Kieffer u. b. allhier dieselbe erkauffet, meldet I. in allh. C C stub errichteter teutsch. perg. Kffbr. m. dero anhg. Insiegel verwahret de dato 1. Marÿ 1708. m. a. N° A bemercket u. dermalen wieder dabeÿ gelaßen
Abzug in gegenwärtig Inventarium gehörig. Sa. haußraths 181, Sa. Bibliothecæ 75, Sa. Wein und faß 33, Sa. Silber geschirr und Geschmeids 59, Sa. goldener Ring und geschmeids 28, Sa. baarschafft 13, Sa. Pfenningzinß hauptgüter 1524, Sa. Eigenthumbs ane einer behaußung 1300, Sa. Eigenthum ane Reeben und andern liegendne güthern 100, Sa. Gülth von liegenden güthern 6, Sa. Activorum 81, Summa summarum 3404 lb – Schulden 1850, Nach deren Abzug 1553 lb – Stall Summ 1605. lb
Copia der Eheberedung (…) Beschehen und verhandelt in Straßburg Donnerstags den 3. Monathstag Junÿ Im Jahr des herrn 1731. Jacob Christoph Pantrion Notarius
Copia Testament – Im jahr 1749 (…) auff Donnerstag den 16. Monaths tag Octobris die Wohl Edle, Viel Ehren: und tugendbegabte Anna Magdalena Geÿlerin gebohrne Moscheroschin, des Wohl Ehrwürdigen und Wohlgelehrten herrn M. Stephan Geÿlern (…) Johann Daniel Stöber Notarius

Etienne Geyler se remarie en 1751 avec Marie Barbe Schneider veuve du boulanger Michel Diemer : contrat de mariage, célébration

1751 (23.1.), Not. Stoeber l’aîné (6 E 41, 1224) n° 384
Eheberedung – zwischen dem wohl Ehrwürdigen und hochgelehrten Herrn M. Stephano Geÿler. p. t. treueÿfferigen Diacono Seniori der Evangelisch. lutherischen Gemeinde zum alten St Peter, Wittiber und Vornehmen burger allhier zu Straßburg, als dem Herrn Bräutigamb ane einem
So dann der viel Ehren und tugendsamen Frauen Mariä Barbarä Diemerin geb. Schneiderin, weÿland des Ehrenachtbaren Herrn Michael Diemers geweßenen Weißbecken und burgers dahier seel. hinterbliebener Wittib als der Fr: Hochzeiterin ane dem andern theil
So beschehen allhier Zu Straßburg Sambstags den 23.ten Januarÿ Anno 1753. [unterzeichnet] M. Stephanus Geÿler, Maria Barbara diemerin

Mariage, Saint-Pierre-le-Vieux (luth. p. 70)
Mittwochs d. 27. Januar. 1751. seind nach vorhergeschehener Zweÿmahligen Außrufung Ehelich copulirt und eingesegnet worden Herr M Stephanus Geyler, wohlmeritirt und treueiferiger Diaconus Senior bey dieser Gemeinde Zum Alten St Peter und Frau Maria Barbara weÿl. H Michael Diemers gewes. weißbecken und burgers allhier, nachgelaßene wittib [unterzeichnet] M. Stephanus Geÿler als Hochzeiter, Maria barbara diemerin als hochzeitiren (i 39)

Les nouveaux mariés font dresser l’inventaire de leurs apports. Ceux du mari s’élèvent à 354 livres, ceux de la femme à 1 576 livres.

1751 (22.2.), Not. Stoeber l’aîné (6 E 41, 1153) n° 709
Inventarium über des Wohl Ehrwürdigen und Wohlgelehrten Herrn M. Stephani Geÿlers p.t. treueifferigen Diaconi Senioris der Evangelischen Gemeinde zum alten St Peter und der viel Ehr: und Tugendsamen Fr. Mariä Barbarä Geÿlerin geb. Schneiderin beeder Ehegatten und burgeren allhier Zu Straßburg einander in den Ehestand zugebrachte Nahrungen, auffgerichtet in Anno 1751. – in Ihren angetrettenen Ehestand einander Zugebracht, Welche der ursachen, alldieweilen in ihrer den 23. Januarÿ jüngst auffgerichteten Eheberedung §° 3.tio außdrucklichen enthalten, daß einem jeeden sein in die Ehe bringenes Vermögen Ihme und seinen Erben Vor ohnverändert Verbleiben solle (…) So beschehen in fernerer persönlichen gegenwarth H. Johann Paul Busch des Schneiders und burgers dahier der Fr. Pfarrerin Schwagers und hierzu erbettenen Assistenten, Straßburg Montags den 22.sten Febr. et seqq. A° 1751.

In einer allhier Zu Straßburg ane der Langen Straß gelegenen dißorts bewohnenden Diaconat behaußung, befunden worden wie folgt.
Wÿdem Welchen der H Pfarrer aus Voriger Ehe lebtägig Zu genießen hat. Deßelben in Voriger Ehe mit weÿl. S. T. Frauen Anna Magdalena Geÿlerin gebohrner Moscheroschin sel. erzeugte 7. Kinder participiren annoch vor mütterl. Gut (…)
Abzug in gegenwärtig Inventarium gehörig. Des Eheherrn eigenthümlich gehörig Guth, Sa. haußraths 336, Sa. der Bibliothec 112, Sa. Weins und Faß 63, Sa. Silber geschirrs und geschmeids 58, Sa. der Baarschafft 80, Sa. der activ schulden 78, Summa summarum 729 lb – Schulden 374 lb, Nach deren Abzug 354 lb
Dießemnach wird auch der Fr. Pfarrerin in die Ehe gebrachtes Gut beschrieben, Sa. haußraths 168, Sa. Silber Geschmeids 18, Sa. goldener Ring und dergl. Geschmeids 67, Sa. Pfenningzinß und deren hauptgüther 1055, Sa. der activ schulden 135, Summa summarum 1690 lb – Schulden 114, Nach deren Abzug 1576 lb

Accord entre héritiers passé après la mort de Marie Barbe Schneider un an plus tard
1752 (31.7.), Not. Stoeber l’aîné (6 E 41, 1155) n° 761
Vergleich und Abtheilung Weÿland der Viel Ehren: und tugendsamen Frn Mariä Barbarä Geÿlerin gebohrner Schneiderin, des Wohl Ehrwürdigen und wohlgelehrten Hn M. Stephani Geÿlers p.t. treueifferigen Diaconi Senioris der Evangelischen Gemeinde Zum alten S. Peter und vornehmen burgers allhier zu Straßburg, geweßter Zweÿten hertzgeliebten Fr. Ehegattin seeligen Verlaßenschafft, auffgerichtet in Anno 1752. – Sonntags den 9.ten dieses Monats und obstehenden 1752. Jahres aus dießer Zeitlichkeit seelig abzufordern, daß daraufhin dero hinterbliebene H. Wr wie auch ihre ab intestato verlaßene und hernachgemelte Erben, beÿ denen Wohlverordneten Hh. dreÿ Löbl. Statt Stalls gehorsambste Ansuchung gethan haben, Sie der Inventur ihr Fr. Pfarrerin seel. Verlaßenschafft großgünstig zu dispeniren und nachdeme das über weÿl. H. Michael Diemers, des gew. Weißbecken und Bs. allhier der Fr. Pfarrerin seel. erstern Ehemanns seel. Verlaßenschafft von H. Notario Frantz Heinrich Dautel den 16. 7.bris 1749. verfertigte Inventarium denenselben den 24. hujus reproducirt worden, wurde ihme nicht allein in deren begehren willfahret, sondern auch ersterwhntes Inventarium (…) ane statt eines neurern angenommen und abgehandelt (…) – So beschehen in einer allhier Zu Straßburg ane der langen straß gelegenen dißorts bewohnenden Pfarr: oder Diaconat behaußung Zum alten St. Peter gehörig, Montags den 31. Julii Anno 1752.
Die abgeleibte Fr. Pfarrerin seel. hat ab intestato Zu Erben verlaßen wie folgt. Erstlichen Fr. Annam Margaretham Dannenbergerin geb. Schneiderin, H Johann Jacob Dannenbergers des Wagners und burgers allhier Ehefrau als Vollbändige Schwester, die unter deßen assitenz sich beÿ diesem geschäfft eingefunden hat. Zweÿtens weÿl. Fr. Annä Mariä Wiedermeÿerin geb. Schneiderin der Verstorbenen vollbändigen Schwester seel. mit gleichfalls weÿl. M. Philipp Heinrich Wiedenmeÿer, den leedigen Weißbecken, welcher nechstens 28. Jahr alt wird, dannenhero majorennis und ohnbevögtigt, und diesem geschäfft persönlich beÿwohnete. Drittens, weÿl. Frn Mariä Salome Buschin geb. Schneiderin der Verstorbenen halb Schwester seel. mit dero hernach beschriebener behausungen Wr Hn Johann Paul Busch dem Schneider meister und burger dahier ehelicherziehlte 2. döchter benantlichen 1.mo Jgfr m&am Salome dei 17. Jahr auf sich hat, und 2.do Jgfr Mariam Magdalenam Buschin, die 17. Jahr auf sich hat Und 2. Jgfr. Mariam Magdalenam Buschin, welche 15. und ein halb Jahr alt, solche beede Jgf. Buschin seind mit H. Augustin Güntzer dem Sattler und burger, allhier bevögtig, der nebst seiner Jgfr. Vogts töchter eheleibl. H Vatter diesem geschäfft abwartete, So dann Viertens H Philipp Heinrich Schneider, der Sattler und burger allhier als halbbruder, Welcher sich auch hiebeÿ persönlich eingestellet hat. Also alle der abgeleibten Fr. Pfarrerin seel. respectivé noch lebenden Geschwüsterde und Verstorbene geschwüsterd

Etienne Geyler se remarie en troisième noces avec Marie Madeleine Trawitz, veuve du secrétaire Jean Christophe Jost (qu’elle a épousé en 1746) et du boucher Jean Georges Maul (qu’elle a épousé en 1726) : contrat de mariage, célébration
1753 (4. 8.br), Not. Stoeber l’aîné (6 E 41, 1224) n° 464
Eheberedung – zwischen dem wohl Ehrwürdigen und hochgelehrten Herrn M. Stephano Geÿler. p. t. treueifferigen Diacono Seniori der Evangelisch. Lutherischen Gemeinde zum alten St Peter, Wittiber und Vornehmen Burger allhier zu Straßburg, als dem Herrn Bräutigam, ane einem
So dann der Wohl Edlen und tugendreichen Frauen Mariä Magdalenä gebohrner Trawitzin, letztmals weÿland S. T. Herrn Johann Christoph Jost gewesten wohlbestellten Oberschreibers beÿ dem löbl. Stifft Zu St. Marx wie auch Kirchenschafners der allhiesigen Kirch St. Aureliæ und vornehmen burgers allhier seel. hinterlaßenen Frauen Wittib als der Frauen Hochzeiterin ane dem andern theil
So beschehen allhier Zu Straßburg Donnerstags den 4.ten Octobris A° 1753. [unterzeichnet] M. Stephanus Geÿler, maria magdalena Jostin gebr. trawitzin als hochzeiterin

Mariage, Saint-Pierre-le-Vieux (luth. f° 106, n° 17)
Sonntags d. 7. octobr. 1753. sind nach vorher geschehenen zweÿmahligen Außruffung, auf Erlaubunus Ihro Gnaden des regierenden H Ammeisters in dem Hauß Ehelich copulirt und Eingesegnet worden S. T. Herr M. Stephanus Geÿler treufleißiger Diaconus Senior beÿ der Evangelischen Gemeinde zum alten St Peter und burger allhier, und Frau Maria Magdalena gebohrne Trawitzin weÿl. Herrn Johann Christoph Jost geweßenen Oberschreibers beÿ dem löbl. St. St. Marx und Schaffners beÿ der Fabric St. Aurelien wie auch burgers allhier hinterl. Wittib [unterzeichnet] M. Stephanus Geÿler als Hochzeiter, Maria Magdalena Jistin als hoch Zeiterin (i 58)

Les nouveaux mariés font dresser l’inventaire dans la maison de fonction appartenant à Saint-Pierre-le-Vieux. Les apports du mari s’élèvent à 615 livres, ceux de la femme à 1 253 livres.
1753 (10.Xbr), Not. Stoeber l’aîné (6 E 41, 1159) n° 830
Inventarium über des Wohl Ehrwürdigen und Hochgelehrten M. Stephanj Geÿlers, treueÿfferigen Diaconi senioris der Evangelischen Gemeinde Zum alten St Peter und der Wohl Edlen und Tugendreichen Fr. Mariä Magdalenä Geÿlerin gebohrner Trawitzin beede Ehegatten und Burgere allhier Zu Straßburg einander in die Ehe zugebrachte Nahrungen auffgerichtet Anno 1753. – in Ihren Sonntags den 7. 8.bris dießes Zuend eilenden 1753.sten jahrs angetrettenen Ehestand einander Zugebracht, Welche der ursachen alldieweilen in ihrer den 4.ten dito auffgerichteten Eheberedung §° 3.tio expressé stipulirt und bedungen, daß einem jeden sein in die ehe bringenes Vermögen Ihme und seinen Erben vor ohnverändert Verbleiben solle (…) So beschehen in fernerer persönlichen beÿweßen H. Johann Daniel Vogt deß Kieffer Meisters und burgers allhier der Fr. Pfarrerin Schwagers undt beÿstandts wie auch H. Johann Stephan Geÿlers, ebenfalls Kieffer Meisters und burgers dahier deß Eheherrn ältisten Sohns j. Ehe alß seiner jüngern Geschwisterden geschwornen Vogts, Straßburg Montags den 10. Xbris et seqq. A° 1753.

In einer allhier Zu Straßburg ane der Langen Straß gelegenen dißorts bewohnend. Pfarr: oder Diaconat behaußung Zum alten St. Peter gehörig, befunden worden wie folgt.
Vordersambst aber ist Zuwißen daß nach dem sein des Eheherrn zu nunmehr weÿl. Fr. Maria Barbara gebohrner Schneiderin seiner zweÿten Fr. Eheliebstin in den Ehestand gebrachte Nahrung den 22.ten Februarÿ A° 1751. durch mich Notarium und eingangs gedachten H. Johann Georg Lederlin den inventir Käufler ordnung mäsig inventirt und æstimirt auch ein formlich Inventarium darüber ist verfertiget worden, man anjetzo Zu erspahrung der weitläufigkeit und Kösten den in solchem Inv° à fol: 5.a biß und mit fol: 30.b beschriebenen haußrath wider neuerdingen beschrieben noch taxiren laßen wollen, gleichwohl aber beliebt eine revision darin Vorzunehmen um außfindig zu machen ob sich selbiger annoch in natura Vorhanden befinden oder nicht
Series rubricarum. Des Eheherrn eingebrachtes Vermögen, Sa. haußraths 408, Sa. Bibliothecæ 112, Sa. Wein u. Faß 122, Sa. Silber Geschirr und Geschmeids 68, Sa. der baarschafft 5, Sa. activorum 121, Summa summarum 838 lb – Schulden 223 lb, Nach deren Abzug 615 lb
Dießemnach wird auch der Fr. Pfarrerin in die Ehe gebrachtes Gut consignirt und beschrieben, Sa. haußraths 113, Sa. Silber Geschirr und Geschmeids 40, Sa. gold. Ring u. dergl. Geschmeids 57, Sa. Pfenningzinß und deren hauptgüter 1325, Sa. Activorum 17, Summa summarum 1253 lb
(f° 12) Wÿdem Welchen der H Pfarrer aus erster Ehe lebtägig Zu genießen hat. Deßelben in erster Ehe mit weÿl. S. T. Frauen Anna Magdalena Geÿlerin gebohrner Moscheroschin sel. erzeugte 7. Kinder participiren annoch vor mütterl. Gut (…)

Marie Barbe Trawitz meurt en 1776 après avoir institué son mari légataire universel. La maison rue du Jeu-des-Enfants figure au chapitre des biens dont le veuf a la jouissance dans la succession de sa première femme. La masse propre au veuf s’élève à 304 livres, celle des héritiers à 865 livres. L’actif de la communauté s’élève à 3 006 livres, le passif à 580 livres

1776 (7.5.), Not. Stoeber (6 E 41, 1236) n° 19
Inventarium über Weiland der Wohl Edlen und tugendreichen Fraun Mariä Magdalenä Geÿlerin geb. Trawizin, des Wohl Ehrwürdigen und hochgelehren Herrn M. Stephan Geÿler, treueiferigen Diaconi Senioris der Evangelischen Gemeinde zum alten St Peter gewesener Frau Ehegattin Verlaßenschafft, aufgerichtet Anno 1776 – nach ihrem Montags den 15.ten Aprilis dieses innstehenden 1776.gsten Jahrs aus dieser Welt genommenen tödlichen hintritt, Welche Verl. auf ehren freundliches Ansuchen Erfordern und Begehren erstbesagten hinterbliebenen H. Wrs wie auch der abgeleibten zufolg hernach copeÿlich eingetragenen testaments Verlaßenen Universal Erben benandl. des Ehren und Vorgeachten H. Georg Daniel Trabitz handelßmanns und burgers allhier inventirt und ersucht (…). So beschehen Straßburg Dienstags den 7.ten Maÿ 1776.

In einer alhier zu Straßburg ane der langen Straß gelegenen Zum Stifft alten St Peter gehörigen Diaconat behaußung, hat sich befunden, wie folgt
(f° 15) Ergäntzung des Herrn Wittibers abgegangenen unveränderten Guths. Nach anleitung des (…) durch weil. H. Notm. Johann Daniel Stöber den 6.ten Xbris et seq. A° 1753. errichteten Inventarii
Wÿdem, welchen der Her Wittiber aus erster Ehe lebtägig zu genießen berechtiget. In krafft des von weiland S. T. Frauen Anna Magdalena Geÿerin gebohrner Moscheroschin des H. Wers ersten Ehefrauen den 16. 8.bris 1749. vor auch weil. H. Not. Johann Daniel Stöber und Gezeugen geordneten Codicilli (…) (f° 19) Eigenthum ane einer behaußung. Nemlichen eine behausung in vorder und hindergebäu bestehend hoffstatt und höflein mit allen deren Gebäuden, weithen, zugehörden, Rechten und gerechtigkeiten ane der Kinderspielgaß gegen dem Würthshauß zum goldenen Pferd über vormals zum Stall genannt 1.s. einem Canonicat hauß zum alten St Peter 2.s. H. Kutsche dem zahnarzt zum theil und zum theil neben H Däumel Contrôleur des Umgelds hinten auff weÿl. Mr Gottfried Büttner Steinhauers und Maurers verlassenschafft, auf des Wÿdems stiffterin absterben Inventarii folio 109-a angeschlagen worden wobeÿ man es In Ansehung nicht die minderste reparation darinn vorgenommen worden bewenden läßet per 1300 lb, Hierüber meldet i. in allh. C. C. Stb errichtet deutsch perg. Kfbr. m. dero anhng. Ins. verw. de dato 1. Martÿ 1708. – Reeben Scharrachbergheimer banns (…)
(f° 21-v) Norma hujus inventariÿ. Des Herrn Wittibers unverändertes Vermögen, Sa. haußraths 85, Sa. Bibliothecæ 75, Sa. Leerer Faß 3, Sa. Silbers und dergl. Geschmeids 25, Sa. Goldener Ketten 3, Ergäntzungs rest 307, Summa summarum 498 lb – Schuld 194 lb, Nach deren Abzug 304 lb
Dießemnach wird des Herrn Erben ohnverändert Gut beschrieben, Sa. haußraths 51, Sa. Silbers und dergl. Geschmeids 11, Sa. Goldener Ring 9, Pfenningzinß hauptgüter 775, Erg. rest 17, Summa summarum 865 lb – Zweiffelhaffte und verlohrer Pfenningzinß hauptgüter hauptguths 250
Endlichen wird auch das gemeine, verändert und theilbare Guth verzeichnet, Sa. haußraths 63, Sa. Wein und Faß 84, Sa.Silbers 3, Sa. baarschafft 562, Sa. Pfenningzinß hauptgüter u. deren Hauptgüther 605, Sa. activorum 1686, Summa summarum 3006 lb – Schulden 580 lb, Nach deren abzug 2425 lb
Woran vordersamst dem hinterbliebenen H. Wr. in krafft hies. Municipal statuti zur Liebthat gebührig 10 lb, vermög Eheberedung 1610 lb, unverändert vermögen 304 lb, Wÿdem 1305 und 1070 lb, So ist und thut des Herrn Wittibers ganze Substanz am Eigenthumb und Wydem 4299 lb, darunter Eigenthum 1924 und Wÿdem 2375 – Stall summ 2772 lb
Copia der Eheberedung (…) den 4. Octobris 1753 Johann Daniel Stöber, Notarius
Copia Testamenti clausi (…) So geschehen allhier Zu Straßburg auf Sambstag den 12. Martÿ Anno 1774. Actus depositionis Testamenti in scriptis clausi, den 12. Martÿ, Heinrich Dautel Notarius jur.

Vente de mobilier
1776 (28.5.), Not. Dautel (Fr. Henri, 6 E 41, 280) n° 1394
Verkauff: und Erlös Registerlein über Weiland Fraun Mariä Magdalenä Geilerin gebohrner Trawitzin Herrn M. Stephan Geilers, treueiffrigen Diaconi senioris der Evangelisch Lutherischen Gemeinde zum alten St. Peter und burgers dahier geweste Frau Eheliebstin nun seel. Verlaßenschafft errichtet 1776.

Le diacre Etienne Geyler meurt en 1777 en délaissant sept enfants issus de sa première femme. L’estimation de la maison est repsise de l’inventaire Moscherosch. L’actif de la succession s’élève à 2 861 livres, le passif à 208 livres.

1777 (23.7.), Not. Stoeber (6 E 41, 1237) n° 73
Inventarium über Weÿl: des Wohl Ehrwürdigen und wohlgelehrten H. M. Stephan Geÿler gewesenen treueÿffrigen Diaconi sen: der Evangelischen Gemeinde zum Alten St: Peter und burgers allhier Verl. aufgerichtet anno 1777 – nach s. Montags d. 7 Julÿ dieses 1777.gst. Jahrs aus dieser welt genommenen seel: hintritt verlaßen, Welche Verlaßenschafft auf geziemendes Ansuchen Erfordern und begehren des Abgelebten in 1.st Ehe mit weil. Frn: Anna Magdalena geb. Moscheroschin sr. d. 24. 8br aô 1749 verstorbenen Ehefrn. erzeugter Kinder (…) durch die anwes. Erbs Interess. selbsten wie auch Jgfr Susan: Mar: Widenmeÿerin welche beÿ dem verstorbenen als Enckelin in diensten gestanden (…). So geschehen allhier Zu Straßburg, Mittwochs d. 23. Julÿ aô 1777. in der an der o. Straß gelegenen Diaconat behausung
Der abgestorbene herr diaconus Geÿler hat ab intestato zu Erben verlaßen wie folgt. 1) H. Johann Jac: Geÿler Capitaine Ingenieur in diensten vor Ihro Hochmögende die H. General Staaten der vereinigten niederlanden welcher in Mastricht etablirt und (…) H: Joh: Frid. Röderer J. U. L. u. E. E. kl. Raths alten beisitzer zu s. General bevollmächtigter constituirt, welcher auch in solcher Qualitæt diesem Geschäfft beiwohnte, 2) H. Joh: Stephan Geÿler Kiefer Mr: u. b. allhier so in Ehe begr: mit frn. Mar: Margar: geb. Rödererin, 3) Frau Sus: Mariam geb. Geÿlerin dermalen H. Philipp heinr: Wiedenmeÿer des Meelhändlers u. brs. allhier Ehefrau unter deßen Authoris: 4) Frau Annam Magdalenam geb. Geÿlerin so in 2.t Ehe lebet mit H. Mr. Joh: Mich: Krampp 1.st præcept: des allh: Löbl. Gymnasii u. Abd. Prediger zu St Nicolai auch brn allhier von ihme hierzu authorisiret, 5) Weil. H. Joh: Samuel Geÿler gew: Sattler Mrs u. brs: mit auch weil. frn: Johanna Henriette geb. Borschin erzeugte 3. Kinder als dißortige Enckelen Nahmens 1. H. Joh. Samuel Geÿler, Theologiæ Studiosum und Alumnum in allh. Collegio Wilhelmitano æt: 19 Jahr alt, 2. Joh: Mich: Geÿler, so in der Lehr als Paßmentirer begriffen so 17 Jahr auf sich hat, und 3. Jgfr Johanna Henrietta, so nechstens das 16.t Jahr erreichen wird, deren geordnet u. geschw: vogt ist H. M. Joh: Christoph Geÿler, In Ansehung aber derselbe hiebeÿ selbsten interessiret, so ist solcher Enckeln zum geschw. Theilvogt Obrigk. verordnet word. H. Joh: Frid: Schaz not: publ: jur: u. practicus allhier welcher in solcher Qualitæt hiebeÿ zugegen, 6) H. Johann Christoph Geÿler Artium liberalium magistr: u. b. allhier verheurathet an frau Christinam rosinam geb. Grisein, so dann 7) Jungfer Margaretham Barbaram Geÿlerin, so majorennis unter beistand H. Joh: Carl Ficqué notarii publici Jurati et practici allhier, Alle 7 des abgeleibten mit Eingangs besagter 1.sten Ehefrauen erzeugte Kinder u. ab intestato zu gleichen Portionen n. Haubt: und Stamm: Theilen verlaßene Erben
Extractus aus dem von weil. Frauen Annæ Magdalenä geb. Moscheroschin der Erben eheleibl. Mutter u. Großmutter vor weil. Herrn Not. Stöber den 16. 8.br. 1749 gestiffteten Codicill
Copia des von dem H. Not. Langheinrich den 4. Jenner 1765 gestiffteten lezten willens

Eigentum an 1.r behausung. Nehml: eine behausung in vorder u. Hinter gebäud bestehend, hoffstatt u. Höflein mit allen deren Gebäuden, Begriffen, weiten, Zugehörden, Rechten und Gerechtigkeiten allhier Zu Straßburg an der Kinderspielgaß gegen dem wirthshß: zum gold: Pferd über vormals zum Stall genannt, ein seit neben einem Canonicat hauß zum A. St Peter anderseit neben weil. H. Fischer des Glasers wittib hinten auf H. Däumel Contrôleur des Umgelds zum Theil u. zum theil auf H. Vogt Secretarium in H. Stett Mstr: v. Dieterich Comtoir stoßend gelegen, so über den vingtieme ledig eigen und auf weil. frn. Annä Magd. Geÿlerin gebohrne Moscheroschin der 1.sten Ehefr. Absterben vermög des: über der Verlaßenschafft errichteten Invent: f° 109-a angeschlagen worden, wobeÿ man es in Ansehung nicht die mindeste haupt reparat: darin vorgenommen wurde, gleichwol auf die von den wohlverordneten H. dreÿ Löbl. Statt Stalls erhaltene Permission bewenden läßet pro 1300 lb, Hierüber meldet I. in allh: C.C. Stb. err. teutsch. pgt. Kfbr. m. dero anhangd. Ins. verw. s.d. 1. Martÿ 1708.m. a. N° 1 bemerckt.
reeben zu Scharrachbergheim
(f° 14) Norma hujus inventarii, Sa. hausraths 246 lb, Sa. Bibliothec 45 lb, Sa. wein u. faß 129 lb, Sa. Silber u. Geschmeid 62 lb, Sa. gold. Kett 22 lb, Sa. baarschafft 205 lb, Sa. Pfenningzinß u. deren Hauptgüter 700 lb, Sa. Eigenthum ane Reeben und anderen Güthern 100 lb, Sa. Eigenthum an j. behausung 1300 lb, Sa. Activorum 50 lb, Summa summarum 2861 lb – Schulden 208 lb, restirt 2652 lb
Theil Register – die behausung in C.C. Stb. den 22.t 9.br 1777 vorgegangenen Kaufverschreibung H. Stephan Geyler und seiner jetzigen Ehefrau Mariä Margarethä geb. Rödererin erkauft

Les héritiers du diacre Etienne Geyler cèdent leurs parts de maison à leur frère tonnelier Jean Etienne Geyler

1777 (22.11.), Chambre des Contrats, vol. 651 f° 427-v
H. Johann Georg Hebeißen der materialist vor und innahmen H. Johann Jacob Geÿler capitaine ingenieur in diensten beÿ ihrem hochwürdigen denen H. general Staaden der vereinigten Niederlanden dermahlen in Mastricht, Fr. Maria Susanna geb. Geÿlerin H. Philipp Heinrich Wiedermeÿer des meelhändlers Ehefrau, Fr. Anna Magdalena geb. Geÿlerin weÿl. H. M. Johann Michael Kramp ersten lehrers des allhiesigen löbl. gymnasium seel. wittib unter assistentz anfangs gedachten H. Hebeißen, H. Johann Friedrich Schatz notarius publicus ac practicus als gerichtlich bestellter theilvogt weÿl. H. Johann Samuel Geÿler gewesten sattler mit auch weÿl. Fr. Johanna Henrietta geb. Borschin hinterbliebenen dreÿ kinder nahmentlich H. Johann Samuel, Johann Michael und Johanna Henrietta derer Geÿler, mehr H. Johann Christoph Geÿler artium liberarum magister, Jfer Margaretha Barbara Geÿlerin so großjährig dero nahmen H. Johann Carl Ficke notarius publicus ac practicus, samtlich als kinder und enckel und ab intestato hinterbliebenen erben H. Stephan Geÿler gewesten diaconi senioris der evangelischen gemeinde zum Alt St Peter und respective großvatter
in gegensein H. Johann Stephan Geÿler des kieffermeisters ihres bruders und oncle und Mariæ Margarethæ geb. Rödererin
sechs siebende theil vor unvertheilt von und ane einer behausung bestehend in vorder und hinter haus, höfflein, bronnen und hoffstatt mit allen übrigen gebäuden, begriffen, weithen, zugehörden, rechten und gerechtigkeiten ane der Kinderspielgaß gegen dem wirthshaus zum goldenen Pferdt über vormahls zum Stoll genannt, anderseit neben einer dem Löbl. Stifft Alt St Peter gehörigen canonicat behausung, anderseit neben H. Fischer dem glaßers wittib, hinten auff H. Vogt – woran der übrige 7.t theil dem kauffendem Mr Geÿler als ererbt – meistgebottenen 3510 gulden worunter des käuffers selbigen ratum begriffen

Jean Etienne Geyler entre en apprentissage chez le tonnelier Jean Jacques Stamm en septembre 1740
1740, Protocole de la tribu des Tonneliers (XI 394)
(f° 416) Dienstags d. 4. 8.bris 1740. – Mstr Joh: Jacob Stamm der Kieffer nimbt vermög scheins von den obern handtwercksherren vom 30.t 7.bris 1740. zum Lehrjung. an Joh: Stephan Geÿler H. M. Stephan Geÿlers Diaconi der Evangel. Gemeindt Zum alten St Peter allhier Ehl. Sohn, umb solchen das Kieffer handtweck 3 nach einander folgende jahr Zu lehren und gehet die Lehrzeit an auff Michaelis 1740. und endiget sich auff solche Zeit 1743. vor Lehrgelt ist accordirt 100 fl. und der Meisterin 24. fl. pro discretione, auch solle d. jung alle unkosten leiden, deßen bürgen seÿnd H. Mstr Fischer und Joh: Friderich Keck, dt. 15 ß et pro protoc. 2 ß 6 d.

L’apprentissage de trois ans se termine en 1743
(f° 449) Dienstags d. 15. 8.bris 1743. – Mstr Joh: Jacob Stamm d. Kieffer stellet vor Joh: Stephan Geÿler seinen geweßenen Lehrjungen mit bitt weilen deßen Lehrzeit schon auff Michaelis verfloßen, auch beede wohl mit einander Zufrieden solchen außzuthun. Erk. wie gebetten dt. 1. lb 10 ß pro sigillo 2 ß pro protoc. 5 ß et pro Lehrbrieff 30 ß d

Jean Etienne Geyler présente son chef d’œuvre en 1748. Les examinateurs relèvent des défauts mais reçoivent le candidat maître
(f° 509) Sambstags d. 15. Junÿ 1748 ist Stephan Geÿlers des Ledigen Kieffers meisterstück Zum Letztenmahl besichtiget und von den Hh. Schauern referirt worden, daß in den 1. schau das faß Zu flach gest*fft und voller bückel ware, auch Zwo einfügen gehabt, in der 2.te schau die böden unsauber abgesäubert geweßen und in der 3.ten schau der fordere boden Zu dinn eingeschnitten ware, also daß sich verschiedene wölff erzeigt, darneben die reiff elendiglich gebandtet und das faß sehr usauber abgebunden ware. wegen welcher fehlern undt weilen Er sein auff den platz gebrachtes abgehobeltes holtz wider verbott zu dem meisterstück employirt ihme 8. lb d straff angesetzt und anbeÿ beÿ noch 6. lb d straff das faß weiter nicht als auffs höchste an Er vier orth herumb zu führen verbotten, im übrigen aber ist Er vor ein meister Erkandt worden, welchen H. XV. Schmidt als obmann auch also Confirmirt hat. auff gebettener moderation wurdte ihm endlich erlaubt das faß ane 8 orth zu führen, beÿ dem übrigen aber wurde es gelaßen wie angesetzt.

Jean Etienne Geyler devient tributaire en novembre 1748
(f° 511-v) Dienstags d. 12. 9.bris – Mstr Stephan Geÿler der Kieffer erhaltet auff producirten Stallschein vom 2.ten 8.bris 1748. das Zunfftrecht undt Zahlt als eines hießigen burgers sohn 2 lb 5 ß pro feür Eÿmer 10 ß pro protoc. 5 ß d

Jean Etienne Geyler épouse en 1748 Marie Madeleine Muss, fille de tonnelier : contrat de mariage, célébration
1748 (6. 7.br), Not. Stoeber l’aîné (6 E 41, 1224) n° 323
Eheberedung – zwischen dem Ehrengeachten Herrn Johann Stephan Geÿler, dem leedigen Kieffer meister, des Wohl Ehrwürdig und wohlgelehrten Herrn M: Stephan Geÿlers treueifferigen Diaconj senioris beÿ der Evangelischen Lutherischen Gemeinde Zum alten S: Peter mit der Viel Ehren und tugendbegabten Frauen Anna Magdalena gebohrner Moscheroschin ehel. erzeugtem Sohn, als dem bräutigamb ane einem,
So dann der Ehren: und tugendsamen Jungfrauen Mariä Magdalenä Mussin weÿland des Ehrengeachten herrn Johann Friderich Muß, geweßenen Kieffer meisters und burgers allhier seel. mit der Ehren: und tugendsamen Frauen Annä Margarethä gebohrner Vogtin seiner hinterbliebenen Wb. ehel. erziehlten tochter, als der Jgfr. brauth ane dem andern theil
So beschehen in der Löblichen freÿen Stadt Straßburg auf Freÿtag d. 6.ten Septembris Anno 1748.

Mariage, Saint-Pierre-le-Vieux (luth. p. 44)
Mittwoch d. 18. Sept. 1748. sind nach vorhergeschehener zweÿmahligen Proclamation Ehelich copuliret u. eingesegnet worden H Johann Stephan Geÿler Kieffer u. burger allhier, S.T . Herrn Stephan Geÿler Diac. Sen. beÿ dieser gemeinde alten St Peter Ehel. Sohn, u. Jungfr. Maria Magdalena weÿl. Joh: Friderich Mauß gewes. Kieffers u. burgers allhier nachgel. Ehel. Tochter [unterzeichnet] Johann Stephan Geyler als hochzeiter, Maria Magdale Mußin als hochzeirin i 26)

Les nouveaux mariés font dresser l’inventaire de leurs apports dans une maison rue des Sept-Hommes qui appartient à la mère de l’épouse. Les apports du mari s’élèvent à 162 livres, ceux de la femme à 298 livres.
1748 (2. 8.bris), Not. Stoeber l’aîné (6 E 41, 1146) n° 578
Inventarium über des Ehren: und vorgeachten Hn Johann Stephan Geÿlers, deß Kieffermeisters und der Ehren: und tugendsahmen Frauen Mariä Magdalenä Geÿlerin gebohrner Mußin, beeder Eheleuthe und burgere allhier zu Straßburg einander vor ohnverändert in den Ehestand gebrachte Nahrungen auffgerichtet Anno 1748. – und sich deren jeedes vermög ihrer mit einander auffgerichteten Eheberedung §° 4.to vor ohnverändert reservirt und vorbehalten hat – So beschehen in fernerem beÿweßen Frauen Annä Margarethæ Mußin geb. Vogin der Ehefrauen eheleibl. Mutter wie auch Hn Johann Friderich Koch, des Metzgers und burgers allhier deroselben noch ohnentledigten Vogts Straßburg Mittwochs den 2.ten 8.br A° 1748.

In einer allhier zu Straßburg ane der Sieben Manns gaß gelegenen und der Ehefrauen Mutter eigenthümlich zuständigen behaußung befunden worden wie folgt.
Abzug gegenwärtigen Inventarii. Des Ehemanns Vermögen, Sa. Haußraths 20, Sa. Silbergeschmeids 12, Sa. Werckzeugs zum Kieffer Handwerck gehörig 4, Sa. baarschafft 75, Summa summarum 117 lb – Und wann darzu gelegt wird die ihme gebührige einte Helffte derer Haussteuren antreffende 50 lb, So belaufft sich deßen völlig in den Ehestand gebrachtes Vermögen auff 162 lb
Dießemnach wird auch der Ehefrauen in die Ehe gebracht guth beschrieben, Sa. haußraths 90, Sa. Silber geschmeids 24, Sa. Goldener Ring 25, Sa. baarschafft 108, Summa summarum 248 lb – Darzu gerechnet deroselben angehörige andere helffte ane denen haussteuren mit 50 lb, So bestehet iht der Ehefrauen völlig in die Ehe gebrachtes Gut in 298 lb

Marie Madeleine Muss meurt en 1755 en délaissant deux filles. L’inventaire est dressé dans la maison rue du Jeu-des-Enfants qui appartient au veuf et à ses frères et sœurs. La masse propre au veuf s’élève à 408 livres, celle des héritiers à 389 livres. L’actif de la communauté s’élève à 829 livres, le passif à 1 221 livres

1756 (16.1.), Not. Stoeber l’aîné (6 E 41, 1166) n° 964
Inventarium über Weiland der Ehren und tugendsamen Frauen Mariä Magdalenä Geÿlerin gebohrner Mußin des Ehren und Vorachtbaren H. Johann Stephan Geÿler, Kieffermeisters und burgers allhier Zu Straßburg geweßter Ehefrauen nunmehr seeligen verlaßenschafft, auffgerichtet in Anno 1756. – nach ihrem Donnerstags den 27.ten Novembris des Zurückgelegten 1755.sten Jahrs aus dießer welt genommenen tödl. hindtritt, Zeitl. Verlaßen, Welche Verlaßenschafft auf freundliches ansuchen erfordern und begehren sein H. Johann Stephan Geÿlers, des hinterbliebenen Wrs wie auch des Ehren und vorachtbaren H Lorentz Steinbach, Holtzhändlers und bs. allhier als geordnet und geschworenen Vogts Dorotheä Elisabethæ, so 5 ½ jahr alt, Susannä Salome, die 3 ½ jahr zurück gelegt, beeder der entseelten seelig mit Ihme dero Wr ehelich erzeugter töchterlein und ab intestato verlaßener Erbinen, inventirt und ersucht (…) So beschehen in fernerem beÿweßen Frauen Annä Margarethä Mußin geb. Vogtin, weil. H. Johann Friderich Muß, deß gew. Kieffer meisters und brs dahier seelig hinterbliebener Frauen Wb. der abgelebten Frauen seelig eheleibl. Frauen Mutter, Freÿtags den 16.ten Junÿ Anno 1756.
Copia der Eheberedung

In einer allhier Zu Straßburg ane der Kinderspiel gaß gelegenen dem Wr und deßen geschwisterden zuständigen behaußung, die derer H. Vatter widems weiß genießet befunden worden, wie folgt
Ane Höltzen und Schreinwerck, auf der Bühn inn des Knechts Kammer, Auf der Bühn, In der Magd Kammer, Im Kl. stüblein, In der Wohnstub
Ergäntzung des Ws. abgegangen ohnveränderten guths. Nach anleitung der über beeder geweßter Eheleuthe einander in den Ehestand zugebrachte Nahrungen durch mich Notarium in A° 1748. Verfertigten Inventarÿ
(f° 15) Wÿdems Verfangenschaft Welche S. T. H. M. Stephanus Geÿler p t. treueÿferiger Diaconus senior Zum alten St Peter und burger allhier lebtägig Zu genießen berechtiget ist. Und zwar in Krafft des Von Weÿl. Fr. Anna Magdalena Geÿlerin geb. Moscheroschin seiner den 24. 8.bris A° 1749. Verstorbenen hertzgeliebten ersteren Fr. Ehegattinin seel. Vor mir Notario und gezeugen den 16. dito gestifteten Codicilli §° 2.do
Abzug gegenwärtigen Inventarÿ. Des Wittibers ohnverändert Vermögen, Sa. haußraths 8, Sa. Werckzeugs Zum Kieffer Handwerck gehörig 1, Sa. Brandenweins 80, Sa. Silber geschmeids 4, Sa. Pfenningzinß und deren hauptgüther 30, Sa. Gülth von liegenden güthern fallend 10 ß, Sa. activ-schuld 11 ß, Ergäntzung 482, Summa summarum 608 lb – Schulden 200, Nach deren Abzug 408 lb
Dießemnach wird auch beeder Töchterlein und Erben ohnverändert Guth beschrieben, Sa. haußraths 109, Sa. Silbern gschmeids 11, Sa. Goldener Ring 12, Sa. baarschafft 2, Sa. activ schuld 50, Erg. 204, Summa summarum 389 lb
Endlich folgt auch das gemein verändert und theilbar Guth, Sa. haußraths 39n Sa. Werckzeugs wie auch holtzen reif v. band Zum Kieffer Hws. gehörig 23, Sa. Wein, brandenwein Eßig und Faß 545, Sa. Silber Geschmeids 6, Sa. baarschafft 131, Sa. Pfenningzinß und deren hauptguths 37, Sa. activorum 44, Summa summarum 829 lb – Schulden 1221, Theilbar passiv onus 392 lb
Stall Summ 406 lb

Jean Etienne Geyler se remarie en décembre 1756 avec Marie Marguerite Rœderer, fille de teinturier : contrat de mariage, célébration
1756 (s.d.), Not. Stoeber l’aîné (6 E 41, 1224) n° 551
Eheberedung – zwischen dem Ehren und Vorachtbaren Herrn Johann Stephan Geÿler, Wittiber, Kiefer Meister und burgern allhier Zu Straßburg alß dem Bräutigam ane einem,
So dann der Ehren und tugendsamen Jgfr. Mariä Margarethä Rödererin, Weÿl. Hn Johann Dietrich Röderer, des geweßenen Schwartz und Schönfärbers auch bs allhier seel. mit Fr. Anna Maria geb. Heÿdelin seiner hinterbliebenen Wb. dermahlen H. Heinrich Eberhard Liewald des Schwartz und Schönfärbers auch b. allhier Fr. Eheliebstin, ehelich erziehlten Jgft. tochter als der Jgfr. hochzeiterin ane dem andern theil sich begeben
So beschehen (-)

Mariage, Saint-Pierre-le-Vieux (luth. p. 149, n° 32)
Mittwoch d. 1. Decembris 1756. sind nach vorhergeschehener zweÿmahligen Außruffung Ehelich copuliret u. eingesegnet worden H Johann Stephan Geÿler Kieffer der wittwer Kieffer und burger allhier,und Jgfr. Maria Margaretha weÿl. H. Johann Dietrrich Röderer gewes. Schönfärbers und burgers allhier nachgel. Ehel. Tochter wie solches bezeugen Johann Stephan Geÿler als Hochzeiter, Maria Margaretha Rödererin als hochzeiterin (i 80)

L’inventaire est dressé dans la maison rue du Jeu-des-Enfants qui appartient au veuf et à ses frères et sœurs. Les apports du mari s’élèvent à 1 459 livres, ceux de la femme à 269 livres.
1757 (26.5.), Not. Stoeber l’aîné (répert. 6 E 41, 1127-1), coll. part. n° 1032
Inventarium Über des Ehren: und vorachtbahren Johann Stephan Geÿlers Kiefer meisters und der Ehren und tugendsahmen Fraun Mariä Margarethä Geÿlerin gebohrner Roedererin beeder Eheleuthe und burgere allhier zu Straßburg einander in den Ehestand zugebrachte Nahrungen auffgerichtet Anno 1757. – in ihren den ersten Decembris des abgewichenen 1756. Jahrs angetrettenen Ehestand zugebracht, welche der Ursachen alldieweilen in ihrer mit einander errichteten Eheberedung vom 12. Novembris solchen Jahrs paragrapho quarto ausdrucklich enthalten, daß einem jeden und seinen Erben das in die Ehe bringende Vermögen vor ohnverändert verbleiben solle (…) So beschehen in fernerem beÿsein Fraun Annä Mariä Liewaldin gebohrner Heÿdelin dermalen Herrn Heinrich Eberhard Liewald des Schwartz: und Schönfärbers auch burgers dahier Eheliebsten der Ehefraun eheleiblicher Fraun Mutter wie auch Herrn Johann Jacob Röderer des Schwartz: und Schönfärbers auch burgers allhier deroselben ältern bruders, Straßburg donnerstags den 26. May Anno 1757.

Des Ehemanns in den Ehestand gebrachten Vermögens.
In einer allhier Zu Straßburg ane der Kinderspielgaß gelegenen dem Ehemann und deßen Geschwüsterden zuständigen behaußung, die deren Herr Vater widemsweiße genieset, befunden worden wie folgt.
Haußrath 160, (f° 28-v) Werckzeug, Holtz, Reÿff und band Zum Kieffer handwerck gehörig 11, (f° 36-v) Wein, Brandtwein Eßig und Faß 1622, (f° 49-v) Silbern Geschmeid 34, (f° 55-v) Baarschafft 32, (f° 57) Pfenningzinß und deßen hauptguts 33, (f° 58-v) Gülth von liegenden Güthern gefallend o, (f° 60-v) Schulden 55, (f° 62) Summa summarum 2010 lb – Und wann dazu gerechnet wird deßen helffte ane denen drunten fol. 85. et sequentibus beschriebenen Haussteuren antreffend 25 lb, So machte deßelben ohnverfangenen Activ Mass mit Ausnahm seiner Kleidung und weißen Gezeugs wie auch des Gültguthleins 2036 lb, Davon seind aber abzuziehen 577 lb, Nach deren Abzug verbleibt 1459 lb
(f° 69-v) Dießemnach wird auch der Ehefraun überIhre Kleidung und weißen Gezeug in die Ehe gebrachtes Guth consignirt und beschrieben, In der drobenangezigener Behaußung, Hausrath 87, (f° 74) Silbern Geschmeid 24, (f° 77-v) Goldene Ring 20, (f° 79) Baarschafft 110, (f° 81) Summa summarum 243 lb – dazu gerechnet die übrige Helffe der ingegagenen Haussteuren 25 lb, So begreifft Ihr der Ehefraun in die Ehe gebrachtes Gut 269 lb
(f° 82) Haussteuren 51 lb, Woran Jedem Ehegemächd in beeder Eheberedung paragrapho 6. die helfte gebührig anlangend 25 lb
(f° 86) Wittums: Verfangenschaft Welche S. T. Herr M. Stephanus Geÿler treueÿferiger Diacono senior der Evangelischen Gemeinde Zum alten St Peter allhier des Ehemanns geliebter Herr Vater zeit Lebens Zu genießen hat. Worin solcher Wittum bestehet und derselbe von weÿland Fraun Anna Magdalena Geÿlerin gebohrneer Moscheroschin der dißortigen Fraun Mutter selig zu geniesen hat
(f° 88) Des Ehemanns beeder Töchterlein voriger Ehe Pfetter, Göttel und Geschencht Geld

Jean Etienne Geyler meurt en 1803 en délaissant une fille de son premier mariage et deux enfants du deuxième.

1803 (8 floreal 11), Strasbourg 7 (17), Not. Stoeber n° 4381,1844
Inventarium über weÿl. Johann Stephan Geyler des inwohners und Kiefers Verlassenschafft, ist den 10. ventos lezthin mit todt abgegangen und hat zu Erben hinterlassen 1. Fr. Dorothea Elisabetha Geyler burgers Philipp Jacob Zabern Schneiders Ehefrau, so der verstorbene in erster Ehe mit weÿl. Fr. Maria Margaretha geb. Maus erzeugt, 2. burger Johann Jacob Geyler, der ledige Kiefer so großjährig, und 3. Margaretha Barbara die leedige so großjährig, beiständlich ihres bruders, Letztere beede Kinder hat der Erblaßer mit weÿl. Fraun Maria Margaretha geb. Röderer seiner den 28. vendemiaire lezthin verstorbenen zweÿten Ehefrau erzeugt
Weil nun auf Absterben der zwoten Ehefrau Maria Margaretha geb. Röderer kein Inventarium ist errichtet worden (…), Eheberedung den 12. Novembris 1756 vor weÿl. Notario Stöber

in der allhier zu Straßburg in der Kinderspielgaße N° 51 gelegenen behausung
(f° 7-v) Eigenthum an einer behausung. Eine behausung an der Kinderspielgaß gegen dem Wirthshauß zum goldenen Pferd über, in Vorder: hinter: Gebäude und höflein bestehend, Numero 51 einseit neben bürger hodel huissier anderseit neben der Wittib Mathuré hinten auf weÿl. bürger däumler gewesten Contrôleur des Ohmgeldts Erben zum theil und zum theil Madame Aulberer, vermög Kauffverschreibung in hiesiger Cancelleÿ Contract Stub vom 22. Novembris 1777 acquirirt, darüber auch vorhanden ein Kaufbrieff vom 1. Martÿ 1708
Grundstücker – Ergäntzung vor Not. Stöber den 26 maÿ 1757
(n° 4404) Verkauf Register vom 13 floreal 11 – (n° 4546) Summarische berechnung, mobiliar Versteigerung 2899 fr, baarschafft 1200 fr, behausung 7000 fr, Gültgüther 1200 fr, baar* 60, 817 fr, summa 13.176 fr
Enregistrement de Strasbourg, acp 87 F° 164-v du 17 floreal 11

Inventaire après décès d’une locataire, sœur de la défunte femme de Jean Etienne Geyler, Marie Salomé Rœderer veuve du coutelier Jean Jacques Weber

1803 (19 ventose 11), Strasbourg 7 (17), Not. Stoeber n° 1825, 4208
Inventarium über weÿl. fr. Maria Salome geb. Roederer auch weÿl. Johann Jacob Weber gewesten Messerschmidts Wittib verlassenschafft ist gestorben den 7 ventos lezthin und hat zu erben verlaßen 1. weÿl. bs. Philipp Roederer des ältern gewesten färbers fünff Kinder als a) Anna Maria Roederer bs. Johann Philipp helck bierbrauers Ehegattin, b) b: Johann Philipp Roederer der jüngere färber, c) b: Johann Friedrich Roederer färber, d) Maria Magdalena Roederer bs. Nicolaus Dietsch des färbers Ehegattin, e) Maria Salome Roederer weÿl. bs Johann Daniel Roggenbach des jüngern Schiffmanns wittib der verstorbenen vollbändigen bruders Kinder in den esten stammtheil
2. weÿl. Johann Jacob Roederer färbers kinder, a) burger Johann Philipp Roederer färber zu Brumat, b) weÿl. fraun Maria Dorothea Roederer mit auch weÿl. burger Philipp Jacob Keller Glaser erzeugten Sohn so minderjährig mit burger Johannes feßenmeier Wirth bevögtigt, c) Anna Maria Roederer burgers Johann Philipp Seÿder mezgers Ehefrau, solche sind der verstorbenen vollbändigen bruder Kinder und Enckel
3. weÿl. fraun Maria Margaretha Roederer mit auch weÿl. burger Stephan Geiler gewesten Kieffer erzeuge Kinder a) burger Johann Jacob Geiler lediger Kieffer so großjährig, b) Margaretha Barbara Geiler die leedige so großjährige
in der an der Kinderspielgaß gegen dem goldenen Pferd über gelegenen behausung
Mobilien Verkauf 935 fr, activ mass 984 fr, abzuziehen 101 fr, restiren 882 fr
Enregistrement de Strasbourg, acp 87 F° 69 du 28 ventose 11

Le tonnelier Jean Jacques Geyler cède son tiers de maison à sa sœur Marguerite Barbe Geyler

1805 (18 floréal 13), Strasbourg 7 (38), Not. Stoeber n° 2600, 6539
Jean Jacques Geyler tonnelier majeur
à Marguerite Barbe Geyler sa sœur majeure assistée de Jean Michel Geyler passementier
Le tiers dans Une Maison située en cette ville rue du Jeu des Enfants n° 51 vis à vis l’auberge au cheval d’or, consistant en deux Corps de logis et une petite cour, d’un côté les héritiers de M. Hoder huissier d’autre la veuve Maturé aboutissant en partie sur les héritiers Daeumler contrôleur et en partie Tauffenberger revendeur – échu au vendeur dans la succession de Jean Etienne Geiler tonnelier son père dont un tiers appartient à la cessionnaire et le dernier tiers à Dorothée Elisabeth Heiler femme de Philippe Jacques Zabern tailleur – moyennant 1800 francs
Enregistrement de Strasbourg, acp 96 F° 131 du 27 flo. 13

Marguerite Barbe Geyler épouse le fripier Jean Georges Müller
1806 (21.6.), Strasbourg 10 (32) , Not. Zimmer n° 360, 2814
Contrat de mariage – Sr Jean Georges Müller, frippier né à Strasbourg le 31. décembre 1771 fils de Jean David Müller, frippier, et de feue Catherine Salomé Barthel
Dlle Marguerite Barbe Geyler née à Strasbourg le 26 mars 1762, fille de feu Jean Etienne Geyler, tonnelier, et de Marie Marguerite Roederer
Enregistrement de Strasbourg, acp 100 f° 19 du 23.6.

Dorothée Elisabeth Geyler femme du tailleur Philippe Jacques Zabern cède son tiers de maison à Jean Georges Müller et à sa femme Marguerite Barbe Geyler

1812 (3.9.), Strasbourg 9 (anc. cote 36), Not. Bossenius n° 3530
Sr Philippe Jacques Zabern tailleur et Dorothée Elisabeth Geyler
au Sr Jean Georges Müller cid.t tailleur d’habits actuellement cabaretier et De Marguerite Barbe Geyler
le tiers indivis dans une maison sise à Strasbourg rue du Jeu des Enfants N° 51 vis à vis l’auberge au cheval d’or consistant en deux corps de logis une petite cour et puits avec toutes d’autres appartenances et dépendances, d’un côté la succession du Sr Hodel huissier, d’autre la veuve Mathuré, aboutissant en partie sur la propriété des Dlles Deimel sœurs et en partie sur celle du Sr Tauffenberger revendeur, comme ladite femme Zabern née Geyler sœur consanguine de ladite de Müller née Geyler est devenue propriétaire dud. tiers comme héritière pour autant dans la succession du Sr Jean Etienne Geyler tonnelier son pere, la Fe Marguerite Barbe Geyler est déjà propriétaire des deux autres tiers – moyennant 2000 francs
Enregistrement de Strasbourg, acp 120 f° 106 du 5.9.

Jean Georges Müller se remarie en 1823 avec Anne Marie Mæhn
1823 (5.3.), Strasbourg 4 (54), Me Hatt n° 872
Contrat de mariage, communauté d’acquets partageable par moitié – Jean Georges Müller, cabaretier
Anne Marie Maehn, fille majeure de feu Frédéric Maehn, boulanger, et de Marie Anne Bohnert
Enregistrement de Strasbourg, acp 161 F° 189 du 8.3.

Mariage, Strasbourg (n° 120)
Acte de mariage célébré le 12 avril 1823. Jean Georges Müller, Majeur d’ans, né en légitime mariage le 31 décembre 1771 à Strasbourg, domicilié à Strasbourg, Cabaretiers veuf de Marguerite Barbe Geyler morte en cette ville le 16 janvier 1821, fils de feu David Müller, fripier, et de feu Catherine Salomé Barthel, et Anne Marie Maehn, majeure d’ans, née en légitime mariage le 6 juin 1785 à Strasbourg domiciliée à Strasbourg, fille de feu Chrétien Frédéric Maehn, Boulanger, mort en cette ville le quatrième jour Complémentaire an X de la République et d’Anne Marie Bohnert, ci présente et consentante (signé) Jean George Müller, Anna Maria Mähn (i 26)

Les nouveaux mariés font dresser l’inventaire de leurs apports dans la maison qui appartient au mari
1823 (29.11.), Strasbourg 4 (56), Me Hatt n° 1327
Inventaire des apports d’Anne Marie Maehn femme de Jean Georges Müller, cabaretier – Contrat de mariage reçu par le notaire soussigné le 5 mars dernier
dans la demeure des conjoints Müller rue du Jeu des Enfants n° 51
ensemble 2022 fr
Enregistrement de Strasbourg, acp 165 F° 151 du 2.12.

Jean Georges Müller loue une cave au marchand de vins Jean Georges Popp

1824 (13.7.), Strasbourg 2 (56), Me Weigel n° 3235
Bail pour 6 années – Jean Georges Müller, cabaretier
à Jean Georges Popp, marchand de vin
la cave qui se trouve sous le bâtiment de devant de la maison appartenant au bailleur sise à Strasbourg rue du Jeu des Enfants marquée du n° 51 – moyennant 50 francs par an
Enregistrement de Strasbourg, acp 169 F° 38 du 15.7.

Jean Georges Müller vend la maison 11 000 francs au boulanger Jacques Bentz

1824 (14.8.), Strasbourg 14 (79), Me Lex n° 2575
Jean Georges Müller, cabaretier
à Jacques Bentz, boulanger 11 000 fr
Désignation de l’immeuble. Une maison à deux étages, deux caves dont l’une voutée, grenier, remise, écurie, cour & puits propre à un établissement tel qu’une boulangerie sise en cette ville rue du Jeu des Enfants n° 51 d’un côté le Sr Brehm tailleur d’habits, d’autre M Valentin juge de paix, derrière le Sr Nicolas revendeur
Etablissement de la propriété. Les vendeurs ont acquis ladite maison par acte reçu Me Bossenius le 3 septembre 1812 conjointement avec Marguerite Barbe Geyler femme de Philippe Jacques Zabern tailleur, de Dorothée Elisabeth Geyler. 2. son épouse en vertu du testament olographe en date du 26 août 1820 enregistré le 22 janvier 1821 f° 140 déposé au rang des minutes de Me Stoeber le 23 janvier 1821 a institué le requérant pour son héritier universel. La De Müler était propriétaire d’un tiers pour mui être échu dans la succession de Jean Chrétien Geyler son père, tonnelier, l’autre tiers légué par son frère Jacques Geyler, tonnelier, suivant testament du 18 floréal 13 déposé au rang des minutes de Me Stoeber le 4 novembre 1817 – le vendeur se réserve la jouissance d’un logement au premier étage dans le bâtiment de derrière jusqu’au 25 mars pour 100 francs par an
Cahier des charges le 12 juillet n° 2453 – Adjudication préparatoire le 28 juillet n° 2526 – Adjudication définitive le 10 août n° 2561 à Jean Gottlob Kretschmann, facteur d’instruments pour 10.300 francs – Surenchère
Enregistrement de Strasbourg, acp 169 F° 122 du 19.8.

Natif de Pfulgriesheim, Jacques Bentz épouse en 1814 Marie Elisabeth Sohn, fille de tonnelier
1814 (30.7.), Strasbourg 5 (40), Not. F. Grimmer n° 8805
Contrat de mariage, communauté d’acquets partageable par moitié – Jacques Bentz, boulanger majeur natif de Pfulgriesheim demeurant en cette ville faubourg de Saverne, fils de Michel Bentz cultivateur et de Catherine née Schott
Marie Elisabeth Sohn, majeure demeurant rue des Cheveux n° 16, fille de Jean Philippe Sohn, tonnelier, et de Marie Madeleine née Gautschi
donation au futur époux par son père de terres à Pfulgriesheim esimés à un revenu de 40 fr/an avec réserve d’usufruit
Enregistrement de Strasbourg, acp 125 F° 36-v du 5.8.

Inventaire des apports
1819 (9.11.), Strasbourg 8 (28), Not. Roessel n° 6808
Inventaire des apports de Jacques Bentz, boulanger, et de Marie Elisabeth Sohn
mariés suivant contrat de mariage reçu Grimmer le 30 juillet 1814
apports de la femme 1741 fr, du mari 2651 fr
Enregistrement de Strasbourg, acp 145 F° 42 du 10.11.

Marie Elisabeth Sohn meurt en 1833 en délaissant trois enfants

1833 (10.7.), Strasbourg, Me F. Grimmer (minutes en déficit)
Inventaire de la succession de Marie Elisabeth Sohn femme de Jacques Bentz, boulanger, décédée le 28 janvier dernier – à la requête 1. du veuf, 2. des trois enfants Emile, Charles, Gustave agissant par leur père – en présence de Jean Charles Sohn ministre protestant à Eckbolsheim, subrogé tuteur desdits mineurs
meubles 3270 fr
immeuble, une maison à Strasbourg rue du Jeu des enfants n° 51
garde robe 76 fr – Contrat de mariage reçu F. le Grimmer 30 juillet 1814, apports 1741 fr, ceux de l’épouse 2659 fr
Enregistrement de Strasbourg, acp 218 F° 191 du 17.7.

Inventaire après décès d’un locataire, le cocher Michel Wagner

1834 (3.11.), Strasbourg 14 (96), Me Ritleng n° 4421
Inventaire de la succession de Michel Wagner, cocher à Strasbourg décédé à Framont (Vosges) le 19. 8.br dernier – à la requête de Madeleine Bourt la veuve, 2. Louis Nesberschnée, épicier, tuteur de Michel Charles & Joséphine Wagner, enfants mineurs ; 2. Jacques Bentz, boulanger subrogé tuteur, issus du mariage avec Marie Elisabeth Helfer sa première femme – mariés sans contrat de mariage
en la demeure rue du Jeu des Enfants n° 51
meubles de la communauté 386 fr, garde robe 37 fr, immeuble, argent, créances, néant
reprises enfants du premier lit 508 fr, passif 508 fr
Enregistrement de Strasbourg, acp 228 F° 72 du 7.11.

Jacques Bentz se remarie en 1836 avec Marguerite Salomé Gross, native de Brumath
1836 (13.7.), Strasbourg, Me F. Grimmer (minutes en déficit)
Contrat de mariage, communauté réduite aux acquets – Jacques Bentz, boulanger, veuf avec trois enfants de Marie Elisabeth Sohn
Marguerite Salomé Gross, majeure
Enregistrement de Strasbourg, acp 242 F° 45 du 14.7.

Mariage, Strasbourg (n° 292)
Du 28° juillet 1836. Acte de mariage de Jacques Bentz, Majeur d’ans, né en légitime mariage le 30 octobre 1786 à Pfulgriesheim (Bas-Rhin) domicilié à Strasbourg, Boulanger, veuf de Marie Elisabeth Sohn décédée en cette ville le 28 janvier 1833, fils de feu Michel Bentz, Cultivateur décédé à Pfulgriesheim le 24 octobre 1831 et de feu Catherine Schott décédée à Pfulgriesheim le 8 décembre 1824, et de Salomé Gross, majeure d’ans, née en légitime mariage le 17 octobre 1810 à Brumath (Bas-Rhin), domiciliée à Strasbourg, fille de feu Jean Georges Gross, Cordier décédé à Brumath le 16 octobre 1832 et de feu Anne Marie Utz décédée à Brumath le 7 septembre 1834 (signé) Jacob Bentz, Salome Groß (i 15)

Jacques Bentz et Salomé Gross hypothèquent la maison au profit du meunier Jean David Lauth

1844 (22.7.), Strasbourg 10 (103), Me Zimmer n° 5297
Obligation – Est comparu le Sr Jacques Bentz, boulanger, et sous son autorisation De Salomé Gross sa femme demeurant et domiciliés à Strasbourg (devoir)
à M. Jean David Lauth père meunier à la Chartreuse, demeurant et domicilié à Strasbourg ici présent et acceptation la somme principale de 1500 francs
hypothèquent spécialement, Une maison-boulangerie avec dépendances située à Strasbourg rue du Jeu des Enfants n° 51, d’un côté le SrBoehm de l’autre le Sr Klein, par devant ladte rue et donnant derrière sur le sieur Derosier et consors (…) M Lauth, Créancière déclaré connaître parfaitement la situation des époux Bentz ainsi que l’origine de l’immeuble hypothéqué

Jacques Bentz et Salomé Gross hypothèquent la maison au profit du meunier Georges Groskost

1845 (18. 9.br), Strasbourg 7 (102), Not. Reiss n° 159
Obligation – Ont comparu Mr Jacques Bentz, boulanger, et Dame Salomé Grosz son épouse qu’il autorise demeurant et domiciliés ensemble à Strasbourg (devoir)
à Monsieur Georges Groskost ancien meunier aujourd’hui propriétaire demeurant et domicilié en la même ville, la somme principale de 2000 francs
Gage hypothécaire. Une maison d’habitation à deux étages, deux caves dont l’une voûtée, grenier, remise, écurie, cour, puits, droits, aisances, appartenances et dépendances sise en cette ville de Strasbourg rue du jeu des enfants n° 51, d’un côté Georges Boehm tailleur d’habits de l’autre M Klein aubergiste par devant ladte rue par derrière le sieur Terrassier revendeur
Etablissement de la propriété. Le codébiteur est devenu propriétaire du bien par lui hypothéqué de la manière suivante, savoir il a surenchéri ce bien qui avait appartenu au sieur Jean Georges Müller cabaretier demeurant et domicilié à Strasbourg aux termes d’un procès verbal de surenchère dressé par Me Lex alors notaire en cette ville et son collègue le 14 août 1824 transcrit au bureau des hypothèques de Strasbourg le 11 septembre 1824 volume 171 numéro 20 (pour le prix de 15.000 francs). Le sieur Müller était devenu propriétaire du même immeuble 1° en vertu de contrat d’acquisition passé devant Me Bossenius alors notaire à Strasbourg le 3 septembre 1812 par lequel il en a acquis un tiers conjointement avec Marguerite Barbe Geyler son épouse défunte du sieur Philippe Jacques Zabern tailleur et Dorothée Elisabeth Geyler conjoints demeurant à Strasbourg, 2° en vertu du testament olographe de son épouse défunte d’autre part dénommée en date du 26 août 1820, enregistré à Strasbourg le 22 janvier 1821 f° 140, déposé e l’étude de M° Stoeber l’aîné alors notaire à Strasbourg le 23 janvier 1821. Par ce testament la dame Müller a institué le sieur requérant son mari pour héritier universel. Ladite dame Müller était déjà propriétaire d’un tiers dudit immeuble pour lui être échu de la succession du sieur Etienne Geyler son père vivant tonnelier en cette ville, quant à l’autre tiers il lui a été légué par son frère le sieur Jacques Geyler vivant tonnelier audit Strasbourg suivant testament aux minutes de Me Stoeber sudit aux termes d’acte de dépôt par lui dressé le 4 novembre 1817 et suivant cette ville reçu par le même notaire le 18 floréal an XIII

Marguerite Salomé Gross meurt en 1851 en délaissant deux enfants
1851 (25.8.), Me Grimmer
Inventaire de la succession de Marguerite Salomé Grosz décédée épouse de Jacques Bentz, Md de farine à Strasbourg le 26 février 1851 et de la communauté de biens qui a existé entre la défunte et son mari – dressé à la requête du veuf agissant 1° comme commun en biens 2° comme usufruitier de la moitié des biens de son épouse défunte en vertu de son contrat de mariage reçu Grimmer le 13 juillet 1836, 3° et comme père et tuteur de Julie Emilie et Caroline Salomé Bentz ses enfants issus dudit mariage
Communauté, mobilier estimé 1683, argent comptant 200, créances 679, garde robe 98
Reprises du veuf 3359, Reprises de la défunts 1400
acp 402 (3 Q 30 117) f° 88 du 25.8. (succession déclarée le 15 août 1851)

Jacques Bentz et Salomé Gross vendent par adjudication la maison 21 600 francs au maître boulanger Michel Bertsch

1848, Me Grimmer
6 octobre – Cahier des charges à la requête de Jacques Bentz, maître boulanger à Strasbourg et Salomé Gross son épouse en secondes noces, le Sr Bentz agissant à cause de la communauté de biens qui a existé entre lui et Marie Elisabeth Sohn son épouse en premières noces de laquelle communauté dépend l’immeuble susdésigné et comme père et tuteur de Charles Bentz et Gustave Bentz mineurs issus du premières noces, 2) Emile Bentz compagnon boulanger à Strasbourg
une maison sise à Strasbourg rue du Jeu-des-Enfants n° 51
acp 375 (3 Q 30 090) f° 83-v du 10.10.
acp 376 (3 Q 30 091) f° 68 – Adjudication définitive, 9 novembre
à Michel Bertsch maître boulanger à Strasbourg moyennant 21.600 francs

Originaire d’Ittenheim, Michel Bertsch épouse en 1849 Catherine Weber, aussi originaire d’Ittenheim. La maison figure parmi ses apports

1849 (1. 9.br), Strasbourg 13 (63), Not. Flach n° 326
Mariage – furent presens M. Michel Bertsch, boulanger demeurant à Strasbourg, fils des feu le Sr Michel Bertsch cultivateur et de De Marie Catherine Lobstein épouse actuelle de M. Jean Rohfritsch, cultivateur à Ittenheim où ils demeurent, futur époux assisté des conjoints Rohfritsch ses mère & beau père, d’une part
Et Mlle Catherine Weber, fille majeure du Sr Michel Weber, cultivateur à Ittenheim, et de De Eve Diemer sa veuve survivante avec laquelle elle demeure à Ittenheim, Future épouse assistée de la dite sa mère

Article trois. Le futur époux déclare apporter en mariage. IV. Enfin une Maison avec boulangerie, droits aisances & dépendances située à Strasbourg rue du jeu des enfants N° 51, tenant d’un côté à la propriété du Sr Boehm tailleur d’habits, de l’autre à celle du Sr Metzinger, Marchand de visn & donnant par Derriere Grimmer & Staebler, Acquise par le futur époux des conjoints et héritiers Bentz de Strasbourg suivant procès verbal d’adjudication sur licitation dressé par Me Grimmer Notaire à Strasbourg le 9 novembre 1848.
acp 388 (3 Q 30 103) f° 58-v – Les apports du futur époux consistent en valeurs mobilieres d’une somme de 16.350 francs, 2° En une maison située à Strasbourg rue du jeu des enfants n° 51 sur laquelle il doit encore une somme de 23.600 francs
La mète du futur lui fait donation d’une rente annuelle de 100 francs payable au 25 décembre jusqu’au jour du partage de ses biens entre ses enfants, capital au denier dix 1000
La femme apporte le lot en immeuble qui lui est échu dans la liquidation reçue Roudolphi le 23 décembre 1844 et une somme fe 1029 francs que sa mère doit lui payer en vertu du dit acte
La mère de la future lui fait donation en avancement d’hoirie 1° d’une somme de 1000 francs, 2° de denrées pour 1450 francs, 3° d’un trousseau d’une valeur de 1500 francs
2° de 20 ares de terre ban d’Ittenheim canton auf der Landstrass beim Strassbaeumel estimés à un revenu annuel de 30 francs
Le futur fait don à la future d’un don matutinal d’une somme de 1000 francs
Les futurs époux se font donation réciproque, le prémourant au profit du survivant, de l’usufruit de tous les biens meubles et immeubles qui composent sa succession.

Catherine Weber meurt en 1851 en délaissant une fille

1851 (1.12.), Me Flach
Inventaire de la communauté de biens qui a existé entre Michel Bertsch, boulanger à Strasbourg, et Catherine Weber son épouse à Strasbourg et de la succession de cette dernière décédée à Offenheim le 18 novembre dernier, demeurant à Strasbourg à la requête du veuf agissant comme commun en biens en vertu de son contrat de mariage reçu Flach le premier novembre 1849 et comme donataire en usufruit de la moitié des biens délaissés par son épouse défunte et encore comme père et tuteur de Caroline Bertsch son enfant mineur issu dudit mariage

acp 405 (3 Q 30 120) f° 33-v du 4.12. (succession déclarée le 30 mai 1852)
Communauté, mobilier estimé 2429, argent comptant 100, créances et fermages échus 230
Description du contrat de mariage
acp 405 (3 Q 30 120) 65-v du 18.12. (vacation du 17.12.) Description des titres et papiers
Passif de la communauté 38.795, remplois dus par la communauté 21.329, remplois dus à la communauté par le veuf 7640
Succession, valeurs mobilières 4979, don matutinal 1000, garde robe 538
Immeubles, 1) 1 ha 9 a 75 terres à Ittenheim en 7 parcelles, 2) 63 ares 85 terre et verger à Handschuhheim en 3 parcelles, 3) 7 ares de prén 19 ares 23 verger à Osthoffen, 5) 10 ares de pré à Achenheim, 6) 1 ha de forêt à Ballbronn
Passif 172

Michel Bertsch se remarie en 1863 avec Marguerite Haber originaire de Griesbach

1863 (26.11.), Me Grimmer
Contrat de mariage – Michel Bertsch, propriétaire veuf avec un enfant de Catherine Weber
Marguerite Haber, célibataire à Strasbourg
Stipulation de régime de communauté de biens réduite aux acquêts, partageable par moitié, réserve d’apports et d’héritages
Les apports du futur consistent 1° mobilier estimé 2429, une maison rue du jeu des enfant n° 25
Les apports de la future consistent 1° mobilier 376, argent comptant 8000, 2° 13 ares 33 ban de Neuwiller, 11 ares 45 terre ban de Griesbach
Donation par le futur à la future de l’usufruit de tout de dont la loi lui permet de disposer et par la future épouse au futur de toute propriété de sa succession réduite à l’usufruit de moitié en cas d’existence d’enfants
acp 527 (3 Q 30 242) f° 65-v du 28.11.

Mariage, Strasbourg (n° 589)
Du premier décembre 1863, Acte de mariage de Michel Bertsch majeur d’ans, né en légitime mariage le 20 janvier 1826 à Ittenheim (Bas-Rhin), domicilié à Strasbourg, Propriétaire, veuf de Catherine Weber décédée le Ittenheim le 17 novembre 1851 fils de feui Michel Bertsch, cultivateur, décédé à Ittenheim le 14 mai 1827 et de feue Marie Catherine Lobstein décédée épouse en secondes noces de Jean Rohfritsch à Ittenheim le 26 juin 1856, et de Marguerite Haber, majeure d’ans, née en légitime mariage le 7 août 1828 à Griesbach canton de Bouxwiller (Bas-Rhin) domiciliée à Strasbourg, sans profession, fille de feu Jacques Hubert, journalier décédé à Griesbach le 5 avril 1858 et de feu Marguerite Mehl décédée à Griesbach le 2 mars 1860 (…) qu’il a été passé le 26 novembre dernier un contrat de mariage devant Me Georges Louis Frédéric Grimmer notaire à Strasbourg (signé) M. Bertsch, M. Haber (i 33)

La maison reviendra ensuite par héritage à Caroline Bertsch qui épouse en 1874 Georges Eugène Klein, graveur à Paris

1874 (19.8.), Me Flach
Ehevertrag – Georg Eugen Klein, Gravirer zu Paris
Caroline Bertsch, volljährig zu Straßburg
Annahme der Gütergemeinschaft nach dem C. C., Rücknahme des mitgebrachten und ererbten
Der Bräutigam bringt in die Ehe 1) 1500 fr. Italienische Renten, 2) 7 Obligationen des frantzösischen Grund Credits
die Braut bringt in die Ehe 20.000 fr. Schuldschein, 2) 20 Ar Reben, Bann von Handschuhheim im Romlacker, 3) 10 Ar Wiese Bann Achenheim im Niederbann*, 4) ½ von 22 Ar 43 Reben bann von Osthoffen, 5) 8 Ar 21 Reben nehmlicher Bann, 6) 1/6 von 1 ha Wald bann von Ballbronn
Gegenseitige Schenkung dem überlebenden von der Nutzniesung des ganzen Nachlasses
acp 631 (3 Q 30 346) f° 4-v du 21.8.

Mariage, Strasbourg (n° 570)
Den 2. September 1875, Heiraths-Urkunde von Georg Friedrich Eugen Klein, geboren zu Neuilly (Frankreich) den 17. October 1852, Graveur wohnhaft in Paris (Frankreich) ehelicher Sohn von weiland Jacob Klein, Rentner zu Alt-Eckendorf (Unter-Elsaß) gestorben den 2. Mai 1862 und von weiland Catharina Grosz zu Paris gesorben den 14. Mai (-) Jahres, und von Caroline Bertsch geboren zu Strassburg den 13. September 1850 ohne Gewerb, wohnhaft zu Straßburg, volljährige eheliche Tochter von Michael Bertsch, Eigenthümer zu Straßburg wohnhaft hier gegenwärtig und einwilligend und von weiland Catharina Weber zu Ittenheim (Unter-Elsass) gestorben den 17. November 1851. (…) dass den 19. August dieses Jahrs vor Herrn Flach Notar zu Straßburg wohnhaft ein Ehevertrag geschlossen worden ist [unterzeichnet] Klein, Bertsch (i 5)


Les Maisons de Strasbourg sont présentées à l’aide de Word Press.