3, quai Finkwiller


Quai Finkwiller n° 3 – VIII 149 (Blondel), P 1284 puis section 9 parcelle 10 (cadastre)

1872, Maître d’ouvrage Georges Schmitt


Aspect en mai 2017. Le n° 3 est la maison blanche au milieu de l’image

L’hospice des Vérolés vend en 1697 au musicien Jean Guillaume Gross une maison composée d’un bâtiment avant, d’un bâtiment arrière et de deux petites cours. Son gendre tailleur Gall Wantz y construit en 1710 un pressoir à huile qu’une controverse portée devant les Quinze l’oblige à supprimer en 1712. Il vend l’année suivante la maison au tailleur Georges Philippe Huth qui est autorisé en 1714 à modifier le mur en galandure au-dessus de son encorbellement. D’après l’estimation de 1749, le bâtiment avant comprend un atelier d’orfèvre au rez-de-chaussée, trois étages, et des combles où se trouvent trois pièces et un grenier dallé. Le bâtiment arrière qui renferme trois poêles semble plus vaste que celui décrit dix ans auparavant. Il y a en outre dans la cour un bûcher, une petite cave voûtée et un puits à pompe. La maison appartient ensuite à l’orfèvre Jean Adam Küchel puis à son fils aubergiste Jean Frédéric Küchel. Le pelletier Jean Michel Theurkauff en fait une de ses nombreuses maisons de rapport (1778-1795).


Elévations pour le plan-relief de 1830, îlot 256

L’Atlas des alignements (années 1820) décrit un bâtiment à rez-de-chaussée et à trois étages en bois à encorbellement. Sur les élévations préparatoires au plan-relief de 1830 (1), la façade sur rue (q-r) en retrait (p-q) par rapport à la maison sur la gauche comprend un rez-de-chaussée à deux fenêtres et une porte d’entrée, trois étages à trois fenêtres et une toiture à deux niveaux de lucarnes. La cour D’ représente la façade arrière (1-4) du bâtiment sur rue, le bâtiment arrière (2-3) et ceux à droite (3-4) et à gauche (1-2) de la cour. Le bâtiment arrière a une sortie (2-3) dans la cour C‘ à l’arrière de la propriété.
La maison porte d’abord le n° 15 (1784-1857) puis le n° 3.


Cours D’ et C’
Plan du terrain cédé par la Ville en 1872 (dossier de la Police du Bâtiment)

Georges Schmitt acquiert la maison et la reconstruit en 1872 suivant un nouvel alignement après avoir acquis de la Ville un terrain devant sa propriété. Le revenu porté au cadastre passe de 81 à 142 francs. La mercerie bonnetterie Nussbicker-Schmitt occupe le local commercial de 1907 à 1969. André Lapp modifie en 1982 la toiture en aménageant des combles à deux niveaux.


Aménagement des combles en 1981 : élévations sur quai, sur cour et montage photographique (dossier de la Police du Bâtiment)

juin 2017

Sommaire
CadastrePolice du BâtimentRelevé d’actes

Récapitulatif des propriétaires

La liste ci-dessous donne tous les propriétaires de 1697 à 1952. La propriété change par vente (v), par héritage ou cession de parts (h) ou encore par adjudication (adj). L’étoile (*) signale une date donnée par les registres du cadastre.

hôpital des Vérolés
1697 v Jean Guillaume Gross, musicien, et (v. 1670) Odile Herpich – luthériens
1703 h Gall Wantz, tailleur, et (1695) Anne Elisabeth Gross, remariée (1733) à Mathias Baur, consigne – luthériens
1713 v Georges Philippe Huth, tailleur, et (1711) Marie Salomé Schranckenmüller, (1713) Marie Madeleine Wild puis (1738) Catherine Elisabeth Geissler – luthériens
1738 v Jean Daniel Ehrmann, perruquier puis courtier de change, et (1716) Marie Madeleine Fritschmann – luthériens
1748 v Jean Adam Küchel, orfèvre, et (1706) Anne Marguerite Silbach – luthériens
1758 h Jean Henri Küchel, musicien, célibataire († 1768)
1768 h Jean Frédéric Küchel, aubergiste, et (1747) Marie Catherine Kugler, veuve de l’aubergiste Daniel Frédéric Reichard – luthériens
1778 adj Jean Michel Theurkauff, pelletier, et (1749) Marguerite Salomé Redslob – luthériens
puis les héritières Marguerite Dorothée Theurkauff, femme du tailleur Jean Frédéric Hæckler, et Marie Madeleine Theurkauff femme de Jean Georges Heinemann
1795 v Jonas Lorentz, aubergiste puis imprimeur, et (1754) Catherine Madeleine Pauschinger – luthériens
1802 h Jean Frédéric Schuler, marchand puis imprimeur, et (1777) Catherine Madeleine Lorentz – luthériens
1802 v Lemel Bumsel (ensuite Léon Boumsel), marchand, et (1795) Madigen Isaac puis (1800) Judith Bloch
1808 v Jean Jacques Rieffel et Philippe Bahl, boulangers
1809 v Jean Henri Mæchling, boulanger, et (1791) Marguerite Salomé Lauffenburger puis (1793) Catherine Salomé Lipp – luthériens
1836 v Frédéric Jacques Werner, taillandier, et (1812) Marie Salomé Mechling
1841 v Chrétien Schmutz, menuisier, et (1836) Marie Catherine Gassmann veuve du journalier Jacques Frédéric Preiss
1873* Georges Schmidt, meunier, et Caroline Vix
1905* François Nussbicker

Valeur de la maison selon les billets d’estimation : 600 livres en 1738, 750 livres en 1749, 450 livres en 1767, 650 livres en 1790

(1765, Liste Blondel) VIII 149, Jean Adam Kugler
(1843, Tableau indicatif du cadastre) P 1284, Werner, Jacques Frédéric, taillandier – maison, sol, cour – 1,15 are / 1,05 Schmutz Chrétien

Locations

1711, Jean Daniel Scholl, garde de l’accise, et Jonas Pfister, chapelier
1809, Nicolas Kissel, serrurier

Préposés au bâtiment (Bauherren)

1714, Préposés au bâtiment (VII 1386)
Le tailleur Philippe Huth est autorisé à modifier le mur en galandure au-dessus de l’encorbellement de sa maison proche la mouche au Finckwiller

(f° 52-v) Montags den 4. Junÿ 1714. Philipp Huth
Philipp Huth, der Schneider, will die Riegelwand vf dem überhang an Seiner beÿ der Mucken im Finckweÿler liegenden behaußung ändern laßen. Erk. Willfahrt.

Description de la maison

  • 1738 (billet d’estimation traduit) La maison comprend au rez-de-chaussée un poêle, une cuisine, un vestibule, une petite cour, un puits et un bûcher, à l’étage un poêle, une chambre, une petite cuisine et un passage, le toit est couvert de tuiles plates, le bâtiment arrière comprend un petit poêle, des chambres et un petit vestibule où se trouve le fourneau, le tout estimé avec ses appartenances et dépendances à la somme de 1 200 florins
  • 1749 (billet d’estimation traduit) La maison comprend un atelier d’orfèvre à côté de l’entrée, au premier étage un poêle, petite alcôve et cuisine, le deuxième étage est pareil au premier, au troisième étage un poêle et une chambre à soldats, le vieux comble couvert de tuiles plates comprend trois pièces séparées par des cloisons et un grenier dallé, le bâtiment arrière couvert de tuiles plates comprend trois poêles, trois chambres et trois vestibules où se trouve la cuisine, il y a dans la cour un bûcher, une petite cave voûtée et un puits à pompe, le tout estimé avec ses appartenances et dépendances à la somme de 1 500 florins

Atlas des alignements (cote 1197 W 37)

3° arrondissement ou Canton Sud – Quai Finckwiller

nouveau N° / ancien N° : 27 / 15
Machling
Rez de chaussée en maçonnerie et 3 étages en bois mauvais et avance
(Légende)

Cadastre

Cadastre napoléonien, registre 28 f° 319 case 4

Schmutz, Chrétien

P 1284, maison, bât. et cour, sol, Quai finckwiller 15
Contenance : 1,05
Revenu total : 81,55 (81 et 0,55)
Ouvertures, portes cochères, charretières :
portes et fenêtres ordinaires : 23 / 18
fenêtres du 3° et au-dessus : 5 / 4

Cadastre napoléonien, registre 26 f° 635 case 1

Schmutz, Chrétien
(1873) Schmidt, Georg, Müller (u. s. Frau Caroline geb. Vix)

P 1284, maison, sol, Quai du finckwiller 3
Contenance : 1,05
Revenu total : 81,55 (81 et 0,55)
Folio de provenance : (319)
Folio de destination : 635
Année d’entrée :
Année de sortie : 1875
Ouvertures, portes cochères, charretières :
portes et fenêtres ordinaires : 23
fenêtres du 3° et au-dessus : 5

P 1583, sol
Contenance : 0,19 – total 1,14
Revenu : 0,05 – total 1,05
Folio de provenance : Vom Wege
Année de sortie : 1878

P 1284, maison
Revenu total : 142,60 (142 et 0,60)
Folio de provenance : 635
Folio de destination : Gb
Année d’entrée : 1875
Année de sortie :
Ouvertures, portes cochères, charretières :
portes et fenêtres ordinaires : 27 / 22
fenêtres du 3° et au-dessus : 7 / 6
1875, Augmentations – Schmitt Georg Wilhelm f° 635-I, P 1284, maison, revenu 61, Vergrösserung, achevée en 1870, imposable en 1873, imposée en 1875

Cadastre allemand, registre 30 p. 113 case 10

Parcelle, section 9, n° 10 – autrefois P 1284
Canton : Finkweilerstaden Hs N° 3
Désignation : Hf, 2 Whs
Contenance : 1,16
Revenu : 1200 – 1600
Remarques :

(Propriétaire), compte 1093
Schmitt Georg Wwe
1905 Nussbicker Frantz Ehefrau
(3131)

1789, Etat des habitants (cote 5 R 26)

Canton VIII, Rue 281 Marché aux Choux ou Quai de Finckweiler (p. 441=

Registres de population

(1795) 11° section, Quay des Bateliers N° 16 (registre 600 MW 11) – légende

15
pr. Theurkauff, Pelletier dem. Gr. rue de Stedel
loc. Zinckeisen, veuve – Tailleurs
loc. Claus, Adam, porte faix – Manant
loc. Müller, Daniel, cordier – Moresse
loc. Hoh, cocher, Jacques – Moresse
loc. Burger, Nicolas, bucheron – Manant
loc. Schmid – Invalide
loc. Amÿ, Anne Marie – Manante

Annuaire de 1905

Verzeichnis sämtlicher Häuser von Strassburg und ihrer Bewohner, in alphabetischer Reihenfolge der Strassennamen (Répertoire de toutes les maisons de Strasbourg et de leurs habitants, par ordre alphabétique des rues)
Abréviations : 0, 1,2, etc. : rez de chaussée, 1, 2° étage – E, Eigentümer (propriétaire) – H. Hinterhaus (bâtiment arrière)

Finkweilerstaden (Seite 36)

(Haus Nr.) 3
Nussbicker, Kurzwarengeschäft. 0
Nussbicker, Buchhalter. 1
Bob, Eisb.-Arbeiter. 2
Immerle, Stellenvermittl. 3
Woehrlen, Schreiner. H 1
Bernauer, Seiler. H 2
Seiler, Wascherin. H 3

Dossier de la Police du Bâtiment (cote 801 W 140)

Quai Finkwiller n° 3 (1872-1985)

Georges Schmitt acquiert de la Ville un terrain de 9,03 mètres carrés devant sa propriété puis reconstruit en 1872 dans l’alignement une façade à rez-de-chaussée et trois étages en maçonnerie. Le mercier et bonnetier Nussbicker-Schmitt occupe le local commercial de 1907 à 1969. Un commerce de meubles d’occasion prend ensuite sa place.
André Lapp modifie en 1982 la toiture en aménageant des combles à deux niveaux.

Sommaire
  • 1872 – L’agent voyer fait son rapport après que le sieur Schmitt a demandé l’autorisation de reconstruire la façade dans l’alignement en occupant la voie publique pendant les travaux. Le terrain de 9,03 mètres carrés à acquérir est délimité au plan par les lettres ACDE. La nouvelle façade aura un rez-de-chaussée et trois étages en maçonnerie.
  • 1890 – Note. La fosse d’aisance n’a que trois mètres cubes
  • 1890 – Le maire notifie la veuve Schmitt, domiciliée sur place, de faire ravaler la façade. La propriétaire obtient un an de délai.
  • 1906 – L’entrepreneur Widmann (1, rue Saint-Louis) demande l’autorisation de poser des gravats sur la voie publique. Le maire transmet la demande à la préfecture – Autorisation – Le terrain a été libéré, avril
  • 1907 – Le marchand de mercerie et de lainages Nussbicker-Schmitt demande l’autorisation de poser un store – Autorisation – Le volet roulant est posé, juin
  • Commission contre les logements insalubres. 1901. Propriétaire, Mme Schmitt, deuxième étage. La commission demande d’installer un deuxième cabinet d’aisance. Le propriétaire demande d’en être exempté en arguant que cinq des six familles (14 personnes dont trois enfants) qui habitent la maison sont des parents. La Police du Bâtiment note que la maison est très bien tenue. La maisonnée ne comprend plus que 10 personnes, juin 1903
    1904, propriétaire, Nussbicker, habitant sur place – Nouvelle demande concernant les cabinets d’aisance
    1905, Liste en trois points de travaux à faire
    1915. La Commission des logements militaires demande d’apposer une inscription Eau non potable au-dessus du puits dans la cour
  • 1947 – Le marchand Nussbicker-Schmitt (mercerie et bonneterie) déclare avoir retiré le store
  • 1956 – Le même demande l’autorisation de poser une enseigne perpendiculaire – Autorisation
    1958 – Le même demande l’autorisation de poser une plaque émaillée (Teinturerie blanchisserie H. Vuillemin) – Autorisation
    1962 – Le même demande l’autorisation de poser une enseigne lumineuse (Sofil, laines, bas, chaussettes) en supprimant l’ancienne – Autorisation
  • 1961 – Le maire demande au propriétaire de faire ravaler la façade. M. Nussbicker-Schmitt répond qu’il fait faire des travaux urgents à la toiture et que les loyers modiques ne lui permettent pas de ravaler la façade. Le propriétaire dépose en avril 1963 une demande de subvention. L’architecte Sauer (rue de Rosenwiller à Cronenbourg) établit un rapport technique sur le 3, quai Finkwiller appartenant à Juliette Nussbicker (bâtiment antérieur à 1890, fondation, élévation et refends en moellons et briques. travaux de réfection à exécuter et devis indicatif). Devis des entreprises Bravin (18, rue Saint-Nicolas), Grima et Striegel (11, rue Finkwiller)
    1963 – Le propriétaire est autorisé à poser un échafaudage sur la voie publique. Les travaux sont terminés, octobre
  • 1969 – Juliette Nussbicker informe la Police du Bâtiment qu’elle a retiré les enseignes
  • 1978 – La Police du Bâtiment constate que le magasin de meubles et bibelots Au Grenier du Finkwiller a posé une enseigne plate sans autorisation – Demande – L’architecte des Bâtiments de France émet un avis favorable – Autorisation
    1980 – Nouveau constat identique. Dossier classé, l’inscription se trouvant à l’intérieur du magasin
  • 1983 – André Lapp demande l’autorisation de faire ravaler la façade – Devis de l’entreprise Lapp à Souffelweyersheim – André Lapp est autorisé à poser un échafaudage sur la voie publique pour ravaler la façade et les boiseries extérieures – L’architecte des Bâtiments de France émet un avis favorable – Le maire accorde une subvention. Facture des travaux, juillet 1983 – Les travaux sont terminés, septembre 1983, la façade el le chéneau sont peints en rose pâle, la pierre a sa teinte naturelle beige, la menuiserie est en blanc, sauf celle des lucarnes en brun – Le maire verse la subvention, octobre 1983
  • 1982 – L’entreprise Lapp est autorisée à poser un échafaudage sur la voie publique pour réparer la toiture. L’objet a été retiré, janvier 1984
    1981 – André Lapp (20, rue des Pinsons à Souffelweyersheim) dépose une demande de modifier la toiture. Le comble à deux niveaux (total 14,50 mètres) peut être autorisé puisque la hauteur maximale (20 mètres) n’est pas atteinte. Section 9, parcelle 10 de 116 mètres carrés. L’architecte, Robert Pabst à Ostwald, fournit des dessins (élévations, coupes, plan des 4° et 5° étages). La Police du Bâtiment se rend sur place et demande un montage photographique qui représente les bâtiments voisins – Dessins des combles – L’architecte des Bâtiments de France émet un avis favorable – Le préfet accorde le permis de construire, février 1982, avec dérogation aux dispositions relatives au seuil de densité – Le panneau de chantier n’est pas en place (mars 1982), les travaux ont commencé, octobre 1982, les travaux extérieurs sont terminés, décembre 1982. Les travaux intérieurs sont terminés, conformes aux plans, octobre 1985.

Relevé d’actes

Les administrateurs de l’hôpital des Vérolés vendent 350 livres au musicien Jean Guillaume Gross une maison composée d’un bâtiment avant, d’un bâtiment arrière et de deux petites cours. En marge, quittance acordée au courtier Jean Daniel Ehrmann en 1738

1697 (9.2.), Chambre des Contrats, vol. 569 f° 66-v
/:tit:/ H. Johann Jacob Richshoffer, deß beständig. Regiments der H. XV. Beÿsitzer, alß Pfleg. und H. Johann Daniel Scherer Not. Schaffner deß blaterhaußes
in gegensein Johann Wilhelm Grosen, deß Musicanten und Grempen, und Ottiliæ geb. Herpichin
Ein Vorder: und hind. hauß sambt zweÿen höfflein und dero hoffstätten, auch allen andern deren Gebaüen, rechten und zugehördt. allhier im Finckweiler, einseit neb. hans henrich Bucken dem Schreiner, and. seit neben weil. hans Caspar Dürren deß Küffers sel. Wittib hind. auff /:tit:/ H. Francisci Reißeißens alt. Ammeisters und dreÿ Zehners Gartt. stoßend geleg. – umb 350 pfund
[in margine :] in gegensein H. Johann Daniel Ehrmann des wechßel Courtier als Kaüffers hier Verpfändeter behaußung, den 23. oct. 1738

Originaire de Brisach, le musicien Jean Guillaume Gross devient bourgeois avec sa femme Odile Herpich le 29 mars 1685. Leurs cinq enfants suivent la règle habituelle dans ce cas, ils ne deviennent pas bourgeois.
1682, 3° Livre de bourgeoisie p. 1021
Hanns Wilhelm Groß von Breÿsach der musicant von Breÿsach erkaufft das burgerrecht für sich und seiner haußfr. Ottiliam herpichin von Buchßweiler p. 20. golt fl. so Er beÿ dem Pfthrn erlegt, bringt mit sich 5. Kinder so beÿ Ordnung gelaßen. Jur. 29. Martÿ 1683

Odile Herpich meurt d’apoplexie à l’âge de 52 ans le 25 mars 1698 en délaissant sept enfants. La maison est estimée d’après son prix d’achat. Le veuf déclare qu’il n’y a pas eu de contrat de mariage. L’actif de la succession s’élève à 125 livres, le passif à 22 livres

1698 (10.5.), Me Lang (Jean Henri l’aîné, 27 Not 21) n° 9
Inventarium und beschreibung aller der Jenigen Haab Vnd Nahrung, so Weÿland die Ehren : vnd tugendsahme fr. Ottilia Großin gebohrne Herpigin Joh: Wilhelm Großen Musicanten Vnd burgers alhier zu Straßburg geweßene Eheliche haußfrau nunmehr seel. nach ihrem den 25.ten Martÿ dießes fortlauffenden 1698.sten Jahrs genommenen tödlichen ableiben Zeitlichen verlaßen, Welche Verlaßenschafft auf freundliches ansuchen erfordern und begehren 1. der tugendsamen frawen Susannæ Mariæ Schäffin gebohrner Großin, deß Ehrengeachten Meister hannß Jacob Schäffen, Küblers vnd burgers alhier Ehelicher haußfrawen, beÿständlich deßelben Ihres hauß würths, 2. Mehr Johann Reinhard Großen Musicanten undt burgers alhier, so vor sich selbsten dem geschäfft beÿgewohnte, 3. Weiter Johann Philipp Großen Ebenmäßigen Musicanten vnd Alhiesigen burgers so in person zugegen 4. Ferner frawen Annæ Elisabethæ Wantzin gebohrner Großin, Meister Galli Wantzen, Schneiders vnd burgers alhie Ehelicher haußfrawen mit assistentz deßelben Ihres Ehemanns, So dann deß Ehrenhafften Mr Johann Friderich Benders Schneiders Vnd burgers alhie, als geschwornen vogts 5. Johann Heinrichs, 6. Davids vnd 7. Mariæ Magdalenæ, der dreÿ Ledige Großischen Geschwüsterden, alßo aller Sieben der Verstorbenen fr. Seel. mit vor vnd nachgemeltem ihrem hinterpiebenem Wittiber Ehelich erzeügter Söhne Vnd döchter Vnd zu Sieben Gleich portionen vnd antheilern ab intestato nachgelaßener rechtsmäßiger Erben – Actum Sambstags den 10.ten Maÿ Ao. 1698.
Bericht Wegen der Eheberedung, Vnd wie dieße Verlaßenschafft Zu inventiren. Es hat der Wittiber Gleich anfangs dießer Inventation angezeigt, daß zwischen Ihme vnd der verstorbenen frawen seel. Zur Zeit dero Verheürathung Keine Eheberedung auffgerichtet Auch das Jenige, was die fr. sel. ane nahrung in die Ehe gebracht vnd ererbt, allerdings alienirt worden, weßwegen dieße Verlaßenschafft hiesiger Erbordnung auch allerdings vor theilbar Zu beschreiben

In einer alhierzu Straßburg ane der Langen Straß gelegener Vnd In dieße Verlaßenschafft nicht gehöriger behausung befunden worden wie volgt
In der stuben, In dem hauß im Finckweiler
Eÿgenthumb an einer behausung. Item ein Vorder: v. i. hinder häußlein sampt zweÿen höfflein mit allen deren Gebäwen, begriffen, weiten, rechten, Zugehördten vnd Gerechtigkeiten gelegen alhie Zu Straßburg im Finckweiler einseit neben hanß Caspar Dürren deß Küffers seel. Wittib, hinden vff H. Ammeister Reichßeißen Gartten stoßend, davon gibt mann Jährlichen dem stifft deß Blatherhaußes alhier 10 lb.d Zinnß in j hauptgutt wider abzulößen mit 250. lb d sonst gegen männiglichen freÿ Ledig vnd eigen vnd über angeregte beschwärde wie solche erkaufft per 100. Darüber Vorhanden ein Teutscher pergament Kbr. mit der Statt Straßb. anh. C. Contr. Insiegel Verwahrten datirt den 9. febr. 1697. mit N° 1 notirt
Sa. haußraths 25, Sa. Eigenthums an einer behausung 100, Summa summarum 125 lb – Schulden 22 lb – Conclusio finalis Inventarÿ 102. lb

Sépulture, Saint-Pierre-le-Vieux (luth. reg. B, 1687-1710, f° 69-v)
1698. Heut dato den 28. Marti est Fr. Otilia hanß Willem Großen burgers wie auch Musicanten v. krempen alhie Ehel. hauß frau gebohrne Horbichin Mane zwischen 6 vnd 7 Vhren ætatis 52 jahrin einem schnelles schlagfluß gestorben v. den foldgenden 27. dito nacher St. Gallen Ehrlich begraben worden [unterzeichnet] Hanß Wilhelm groß alß witwer, x dieser Zeichen hatt Reinhardt groß der eltere sohn an statt seines Nahmens Vorgesetzt (i 71)

Les préposés de la Taille font figurer la succession dans leur registre parce que les impôts acquittés étaient calculés d’après une fortune sous-évaluée de 100 florins (50 livres)
1698, Livres de la Taille (VII 1173) f° 18-v
(Mörin) H. Johann Wilhelm Großen, des Musicanten hfr. Ottilia Herpigin seel. verlassenschafft, inventirt herr Johann Heinrich Lang Notarius macht die beschluß Sa. Invent. fol. 17.b 102 lb. 5 ß 6 d, so thun 200. fl. davon Kein stallgeldt auß stehet nehmlich von allein verstallten 100. fl.
Verstallte Zu wenig 100. fl. von welchen gesetzt wird ane Nachtrag für 4 jahr 1 lb 4 ß
Vnd der extraord. anlagen weg. 12 ß
Gebott vnd Unkosten 5 ß 10 s – Sa. 2. lb 5 ß 10 d
dt. 1 lb. 11 ß 10, d 26. aug. 1698, übrige 10 ß erlaß.

Jean Guillaume Gross vend la maison 400 livres à son gendre Gall Wantz

1703 (27.8.), Chambre des Contrats, vol. 576 f° 366
(400) Joh: Wilhelm Groß musicant u. Gremp
in gegensein Gallus Wantzen schneiders seines Tochtermanns
ein vorder u. hinter hauß sambt zweÿen höfflein u. dero hoffstätten auch allen anderen deren gebaüen, rechten u. zugehörden allhier im Finckweiler einseit neben Hanß Heinrich Bucken schreinern anderseit neben weÿl. Hanß Caspar Dürren kiefers wittib hinten auf Hn. a.ster Reißeisen stoßend gelegen – 250 Capital und 150 pfund
[in margine :] Susanna Maria geb. Großin Joh: Jacob Schäfen küblers haußfr. mit beÿstand u. bewilligung deßelben, Item Joh: Heinrich Groß ochßenwürth zu Schiltigheim alle hierinnen erwehnten verkäufers resp: KK. u. Tochtermann die haben berichtet obiges hauß dem Vatter beÿ der inventation überlaßen auch ihr antheil ahn obigem Kaufß. empfangen zu haben, den 28. Augusti 1703

Gall Wantz hypothèque la maison pour pouvoir y construire un pressoir à huile au profit de Samson Jacques de Rathsamhausen d’Ehnwihr

1710 (3.5.), Chambre des Contrats, vol. 572 (Protocoles) f° 22
Gallus Wantz der Schneider
in gegensein hn Johann Berst /:tit:/ Jr Sambson Jacob Von Rathsamhaußen zu Ehen Weÿer alß mündlich befehlt – schuldig seÿe 25 pfund zu auffrichtung einer öhltrott in sein Wantzen allhier im finckweiler ohnfern dem Hauß zum Elephanten gelegenen Hauß baar gelehnten gelds
unterpfand, obbemelter öhltrott cum appertinentiis
[in margine, quittung] Philipp Huethen deß Schneiders und Maria Magdalena geb. Wildtin als nun mahlig. proprietariorum, den 3. maÿ 1710

Gall Wantz hypothèque la maison, le pressoir et le moulin à huile au profit de l’huilier Jean Michel Dautel et d’Ursule Linck

1710 (22.7.), Chambre des Contrats, vol. 583 f° 466
Gallus Wantz schneider
in gegensein hanß Michel Dautel ohlmanns und Ursulæ geb. Linckin
entlehnt, in seinem hauß allhier im finckw: neben Buck schreinern stueb, Cammer, Kuchen, eine öhltrot und öhlmühl, Kessel – auf 3 jahr lang anfangend auf Joh. Bapt. 1710 um einen jährlichen Zinß nemlich 50 R

Gall Wantz et Anne Elisabeth Gross hypothèquent leur maison au profit des enfants mineurs Lang

1710 (27.10.), Chambre des Contrats, vol. 583 f° 647-v
Gallus Wantz schneider und Anna Elisabetha geb. Großin beÿständlich Joh: Philipp Groß musicanten und Joh: Jacob Schäff Küblers
in gegensein Abraham Haffners würts zuem Storcken alß vogts Langischer KK. – schuldig 50 pfund
unterpfand, ihre behaußung c. appert: allhier im finckweiler, einseit neben hanß Heinrich Buck anderseit neben den Dürrischen EE. hinten auf H. ammeister Reißeißen

Gall Wantz loue deux logements au garde de l’accise Jean Daniel Scholl et au chapelier Jonas Pfister

1711, ut supra (24. nov.), Chambre des Contrats, vol. 584 f° 676
Gallus Wantz schneider
in gegensein Joh: Daniel Scholl garde im umgeldt und Jonæ Pfisters huetmahers
entlehnt, benandlich Er Joh: Daniel in seinem hauß allhier im finckweiler neben bucken dem schreiner Kuchen und Kuchen Cammer, eine stueb und stueb Cammer,
ihm Pfister aber eine stueb und stueb Cammer, Item eine Cammer auf der bühn, Item ein kleines Cämmerlen auf dem gang, Item ein küchel im hoff beden auf eine vierteljährige aufkudigung – er Joh: Daniel 12 pfund. er Pfister aber 12 pfund 10 ß

Les huiliers intentent une action contre l’huilier devenu apprêteur de tabac Jean Michel Dautel qui fabrique de l’huile dans la maison du tailleur Gall Wantz. Ils demandent que le pressoir à huile soit démonté. La commission s’enquiert auprès de Gall Wantz du prix du pressoir et propose aux huiliers de le racheter mais aucun accord sur le prix ne semble possible. Les Quinze donnent un mois au propriétaire pour supprimer le pressoir.
1712, Protocole des Quinze (2 R 116)
E. E. Meisterschafft der Ohlleuth Ca. Gall Wantz der Schneider
(f° 271) Sambstags den 19. Novembris 1712. Saltzm. noîe der Meisterschafft der Ohlleuth Ersch. Ulrich Greiner gtra. Gall Wantzen den Schneider prod. vnderth. Memoriale ghandelt innhalts. G. bittet copia producti vnd T. O. Saltzm. s. Erk. Copeÿ Zugelaßen vnd die sach vor die Obere Vngelts gewießen, vnd denselben Sie Zuerörtern überlaßen.

(f° 314-v) Montags den 19. Decembr. 1712. E. E. Meisterschafft der Ohlleuth Ca. Gall Wantzen vnd Joh: Michael Dautel
Iid. [Obere Vngelts Hh.] laßen per H. Friden proponiren, est habe E. E. Meisterschafft der Ohlleuth Ca. Gall Wantzen den Schneider Gegenwärtiges unterth. Memoriale, so H. Fridt abgelesen, übergeben, vnd darin wie auch wid. Johann Michael Dautel den geweßenen Ohlmann vndt ietzigen tabacmacher geklagt, daß obwohlen den 16. aprilis jüngst laut beygehenden bescheids Sub N° 1 Erkandt worden, daß ged. Dautel beÿ 5. lb d. straff kein Öhl mehr verkauffen, auch seinen Lehrjungen beÿ E. E. Zunfft derb* außthun laßen, vndt Gall Wantz der Schneider deß haußmr, die in seinem hauß auffgerichtete öhltrott beÿ gleicher straff weg zuthun schuldig seÿn solle, derselbe aber deßen ohngeachtet, nicht den geringsten parition geleistet habe, mit vorgeben, daß Er umb Öhl Zu machen beÿ Mghherren einkommen wolte, aber die gelegene Zeit nicht wüßte, Weilen aber Ihne ders* sein gutes Schneider Handwerckh habe, Öhl Zu machen nicht gebühre, alß wolte die Meistersch. unterth. gebetten haben, daß die in seinem hauß auffgerichtete Öhltrott in seinem hauß Ohnverzüglich vnd beÿ Sonnenschein beÿ nahmhaffte straff, abgeschafft werden möchte.
Auff beschehene remission habe man den Augenschein in Gall Wantzen hauß eingenommen, undt die Trott gefunden, wie Sie anfangs geweßen, Worauff man die Kläger, in deren nahmen Hans Georg Decker undt Samuel Hermann erschienen, noch weiter gehört, die sich auff den bescheidt vom 16. Aprilis jüngst bezogen hetten, man habe auch Gall Wantzen befragt, was diese Trott ihn Koste ? d. gesagt, daß Sie Ihne auff 100. fl. Zustehen kommen, Welche Hans Michael Dautel deme ein Ohltrott Zu machen erlaubt worden, angegeben vnd Er sich nicht darauf verstanden hette, der sach aber ein endt zu machen, habe man der Meisterschafft vorgeschlagen, daß Sie diße Trott annehmen solten, die Sie auch besichtigt und nachgehends wider referirt, daß Sie Ihnen nicht anstünde Vndt sie auf das höchst 30. fl. davon geben könten. Wie man um die Meisterschafft dazu nicht obligiren Könne, und der letzt ergangene bescheidt Clar dahin gehe, daß dieße Trott beÿ 5. lb straff abgeschafft werden solte, So habe man nochmahlen davor gehalten, daß er dabeÿ gelaßen vndt Er Wantz dießelbe innerhalb Monats frist abschaffen, widrigen falls erstbemelte straff bezahlen solle. Erk. bedacht gefolgt.

Le musicien David Gross et Marie Madeleine Gross femme de Jean Daniel Scholl vendent leur part de la maison à Gall Wantz et Anne Elisabeth Gross

1712, ut supra (2. Xbr.), Chambre des Contrats, vol. 585 f° 705
David Groß musicant und Maria Madg: geb. Großin beÿständlich Joh: Daniel Scholl garde im umgeldt ihres mariti
in gegensein Gallus Wantz schneiders u. Annæ Elisabethæ geb. Großin
ihre antheil für unvertheilt ahne einer vorder und hinterhauß samt zweÿen höfflein und dero hoffstätten auch allen anderen deren gebäuen, rechten und zugehörden im finckweiler, einseit neben hanß Heinrich Bucken schreinern anderseit neben weÿl. hanß Caspar Dürren Kiefers wittib, hinten auf H. a.ster Reißeißen – um 250, 150 und 50 pfund verhafftet, geschehen um 9 pfund

Gall Wantz et Anne Elisabeth Gross hypothèquent leur maison au profit de l’assesseur au Grand Sénat Jean Philippe Hecker

1712 (3. Xbr.), Chambre des Contrats, vol. 585 f° 706
Gallus Wantz schneiders und Anna Elisabetha geb. Großin beÿständlich Joh: Willhelm Groß musicanten und David Groß auch Musicanten
in gegensein H. Joh: Philipp Heckers U.J. Ddi und E. E. Großen Raths beÿsitzers – schuldig seÿen 20 pfund
unterpfand, ihre behaußung c. appert. allhier im finckweiler, einseit neben hanß Heinrich Bucken schreinern, anderseit neben den Dürrischen Erben hinten auf H. Franciscum Reißeißen Ddo.

Gall Wantz et Anne Elisabeth Gross vendent la maison 812 livres au tailleur Georges Philippe Huth et à sa femme Marie Madeleine Wild

1713, ut ante (11. Sept.), Chambre des Contrats, vol. 586 f° 518-v
(762) Gallus Wantz schneider und Anna Elisabetha geb. Großin
in gegensein Georg Philipp Huth schneiders und Mariæ Magd: geb. Wildtin
ein vorder und hinterhauß sambt zweÿen höfflein und dero hoffstätten auch allen zugehörden allhier in Finckweiler, einseit neben denen Buckischen EE. anderseit neben denen dürrischen EE. hinten auf d. Reißeißischen hauß – um 250, 150 und 50 pfund verhafftet, geschehen um 312 pfund

Georges Philippe Huth d’Ernolsheim près Saverne entre en apprentissage chez le tailleur Jean Jacques Ratz en 1705
1705, Protocole de la tribu des Tailleurs XI 343 (1701-1710)
(f° 188) 11° Augusti 1705 – Johann Jacob Ratz läßt in die Lehr schreiben Geörg Philipp Huthen, weÿland Geörg Friderich huthen von Herlößheim ehelichen Sohn, auff 3. Jahr gratis, gehet an Johannis Baptistæ 1705. und endet sich auff gedachte Zeit 1708. war niemand vff ds Jungen seithen beÿstand – dt. 10. ß d

Georges Philippe Huth s’adresse aux Quinze après que le Conseil des tailleurs a refusé de l’inscrire au chef d’œuvre parce qu’il n’a pas fait son tour de compagnon. La commission se range aux arguments de la tribu qui demande la stricte observance du règlement, les Quinze refusent le 7 mars 1711 d’accorder une dispense. Georges Philippe Huth présente le 8 mai suivant une nouvelle demande en arguant que le tailleur Jean Michel Molitor vient d’obtenir une dispense. Il déclare qu’il a été pendant deux ans au service du tailleur Jean Rüger qu’il a pratiquement remplacé parce qu’il était malade. Il est ensuite entré au service de Jean Martin Brehm et de Jean Georges Hammer en se spécialisant dans les vêtements pour femmes. Le voyage de compagnon à la campagne ne lui aurait donc pas été très utile. Les représentants de la tribu ne voient pas d’inconvénient à accorder une dispense si le pétitionnaire taille pour les femmes. Les Quinze accordent la dispense moyennant cinq livres, sans préjudice au règlement en cas de demandes comparables.
1711, Protocole des Quinze (2 R 115)
(f° 41) Sambstags den 21.ten Februarÿ 1711. Georg Philipp Huth Ca. E .E. Zunfft der Schneider
H. noîe Georg Philipp Huthen deß ledigen Schneiders von Hinderßheim gtra E .E. Zunfft der Schneider H. Zunfftmeister Principalis hat wegen verfertigtung des Meisterstücks sich begührend angemeldet, weilen aber wegen nicht verwanderter jahr anhero gewießen worden, alß bittet ihme in seinem begehren dispensando Zu willfahren.
Kun. bittet Zu mehrerem bericht Deputation. H. s. Erk. ahne die Ober Handwercks herren gewießen.

(f° 64) Sambstags den 7.ten Martÿ 1711. Joh: Philipp Huth Ca. E .E. Zunfft der Schneider
Iidem [Ober Handwercks herren] laßen durch herren Friden referiren, daß Johann Philipp Huth der ledige schneider geklagt, daß E .E. Zunfft der Schneider ihme Zu verfertigung deß Meisterstücks nicht admittiren wollen, deme Er beÿ der deputation beÿgefügt, daß Er allhier burger worden, vnd das Meisterstück so bald die reÿe ahne ihme kommen werde, machen wolle, neben dem were Er bereits 22. jahr alt, vnd schon versprochen.
Warauff herr Rathherr Schweitzer vnd H. Schaff geantwortet, daß der Kläger Zwar beÿ Gericht sich angemeldet, Sie ihne aber deßwegen abgewießen hetten, weilen der articul klar dahin gienge, daß Einer Zuvor 3 jahr gewandert habe solle, so Gegner nicht gethan vor gebens Sie Zu bedencken, was es endlich geben würde, wann die leüth gleich nach den lehrjahren sich verheürathen vnd nichts verhünden, neben dem müßen Sie täglich beÿ Gericht hören, von denen welchen mann es abschlißt, daß Sie vor den herren XV. gehen vnd wann Sie 3 batzen verwenden es gleich erhälten können, anbeÿ versichert daß jüngst 9 vorgestanden vnd das Meisterstück machen wollen, auch die schneider mehr als 260 weren, davon die meiste so arm, daß Sie kaum das brodt hetten mit vnderthäniger bitt Sie beÿ ihren articulen zu mainteniren, beÿ welcher der sach beschaffenheit man darvor gehalten, daß gegner mit seinem begehren gäntzlich abgewießen werden könte. Erk. beliebt.

(f° 92) Sambstags den 28.ten Martÿ 1711. Georg Philipp Huth pt° Dispensirung des Wanderns
G. nôe Georg Philipp Huthen des ledigen Schneiders prod. unterth. Memoriale vnd bitten, wie inhalts pt° Dispensirung des Wanderns. Erk. an die Ober Handwercks herren gewießen.

(f° 118-v) Sambstags den 8.ten Maÿ 1711. Georg Philipp Huth pt° Dispensations Zu Wandern undt admissionis Zum Meisterstück
Iidem [Ober Handwercks herren] per Hn Friden, es haben Georg Philipp Huth vndt Joh: Michael Molitor die Schneider jüngsthin angesucht, daß Sie dispensando von dem Wandern, befreÿt werden möchte, welche mit Ihrem begehren abgewießen worden seÿen, nach dem aber nachgehends Er Molitor solche dispensation erhalten, so seÿe Huth auch wider mit gegenwärtigen unterth. Memorial eingekommen. H. Fridt ließ es ab, darinnen derselbe remonstrirt, welcher gestalten Er nach außgestandener Lehrzeit sich Zu Johann Rüger burgern vndt Schneidern alhie in arbeit begeben vnd Zweÿ gantzer Jahr demeselben, weilen Er dieße Zeit über beständig kranck gelegen, die Gantze Werckstatt so wohl mit zu schneiden als arbeiten versehen, daß ohne ruhm zu melden, iederman mit Ihme Zufrieden gewesen, worauff Er sich Zu hans Martin Brehmen vnd Johann Georg Hammer auch Schneidern verfügt vndt beÿ denenselben ¾ verblieben, in welcher Zeit weilen Er sehr blödt vnd Kräncklich seÿe, Er sich auff die Straßburg. Weiber arbeit vnd Kleidung befließen habe, welche arbeit, Er auff dem landt nicht würde bekommen, mithin auff der Wanderschafft wenig profit haben würde, mit angehengter unterth. bitt, beÿ so bewandten umbständen Ihme in seinem petito gn. Zu willfahren, vndt Ihne Zum Meisterstück Zu admittiren. Alß man denselben ferner angehört, habe Er die contenta seines übergenten Memorialis widerhohlt vnd gesagt, daß Er nichts als weiber Kleider mache, vnd wan Er schon gewandert hette, Er doch nichts dabeÿ profitirt haben würde, Neben dem Er auch würcklichen sich in einem Ehe verspruch eingelaßen hette.
Noîe E. E. Zunfft der Schneider habe H. Rathh. Schweitzer darauff geantworttet, es seÿe Zwar das begehren wider articul, allein weilen der Implorant nichts als weiber kleider mache, vndt ihme das wandern nichts genutzt hette, Sie ihme die dispensaôn gern gönnen mögen.
Auff seithen der Herren Deputirten habe mann davor gehalten, daß weilen Implorant nur Weiber kleider mache, Er wie Molitor Gehalten iedoch derselben pro dispensatione 5. lb erlegen, künfftihin aber andere so dergleichen begehren würd. ab vnd an die articul gewießen werden könten.
Erk. Bedacht Gefolgt.

Le conseil de tribu refuse d’inscrire Georges Philippe Huth au chef d’œuvre le 17 février 1711. Suite à la décision des Quinze, il est inscrit le 14 juillet. Il présente le 25 août son chef d’œuvre qui satisfait les examinateurs
1711, Protocole de la tribu des Tailleurs XI 344 (1710-1723)
(f° 19-v) Dienstags den 17. febr: 1711. Georg Philipp Huth Bittet Ihne Zur Zeit und Meisterstück einzuschreiben, Erkandt, weilen Er nicht nach Ordnung gewandert, alß ist er allein Zur Zeit einzuschreiben, wegen Meisterstücks aber ahne G. Herren die XV. Verwießen (15 ß)
(f° 23-v) Dienstags den 14.to Julÿ. Georg Philipp Huth Laßt sich Zum Meisterstück einschreiben (3 lb 10 ß)
(f° 25) den 25.ten Augusti 1711. Erscheint unter seinem Informatori Herrn Adam Schmidt, Georg Philipp Huth der Ledige Schneider, bittet Ihme Zu seinem bevorstehenden Meisterstück beliebige Riß auffzugeben, so Ihme willfahrt mit N° 11 Ein Rauchmantel, N° 10 Ein Mannen Kutt, N° 8 Ein Meßgewandt, N° 2 Ein Manns Kleÿd, N° 16 Ein Creutz rock
Weilen Er obige Riß gebührend Verfertigt, als ist derselbe auch hiemit Zu einem Mit meister angenommen worden.

Fils de Georges Frédéric Huth, maître d’école d’Ernolsheim en terre de Hanau, Georges Philippe Huth épouse le 7 octobre 1711 Marie Salomé Schranckenmüller, fille de fabricant de pâtés.
Mariage, Saint-Thomas (luth. f° 132 n° 160)
Anno 1711. den 7. Octobr. seind nach geschehener ordentlicher Außruffung in der Kirch St Thomas eingesegnet worden Georg Philipp huth der ledige Schneider von Ernoltzheim hochgräfflicher hanawischer herrschafft, H. Georg Friderich huth, deß Schulmeisters daselbst ehel. Sohn, und Jungfr. Maria Salome weÿl. H. Sebastian Schranckenmüllers des gewes. Pasteten becks und burger alhie Ehelauch E. E. Kleinen Raths alhie beÿsitzers hinderlaßene Ehel. tochter [unterzeichnet] Georg Philipps hudh als hoch Zeider, o der hochzeiterin handzeichen (i 134)

Il devient bourgeois par sa femme le 14 novembre 1711
1711, 4° Livre de bourgeoisie p. 786
Georg Philipp Huth der Schneider Von Ernolßheim, Georg Friderich Huth schuhlmeisters daselbst sohn, empfangt das burgerrecht von seiner Fr : Maria Salome Schranckenmüllerin p. 2. gold fl. 16. ß. Wird beÿ E. E. Zunft der Schneider dienen. Juravit d. 14. 9.bris 1711.

Georges Philippe Huth devient tributaire le 5 janvier 1712
1712, Protocole de la tribu des Tailleurs XI 344 (1710-1723)
(f° 28-v) Dienstags den 5.to Januarÿ 1712
Georg Philipp Huth burger und Schneider erhalt das Zunfftrecht (3. lb 15 ß)

Marie Salomé Schranckenmüller meurt en août 1712 en laissant pour héritière sa mère Anne Marie Vierling. Georges Philippe Huth déclare qu’il n’y a pas de contrat de mariage et que la défunte a déclaré à sa mère sur son lit de mort qu’elle accordait à son mari la jouissance viagère de ses biens. La mère se rétracte en prétendant que la jouissance en question se limite aux 400 florins apportés en mariage. L’inventaire est dressé dans une maison rue des Serruriers. La masse propre aux héritiers s’élève à 259 livres, l’actif de la communauté à 73 livres, le passif à 60 livres.
1712 (12.10.), Me Mader (6 E 41, 667) n° 101
Inventarium und beschreibung aller der Jenigen Haab und Nahrung, so Weÿl. die Ehren und Tugendbegabte Fraw Maria Salome Huthin gebohrne Schrancken Müllerin deß Ehren: und Vorgeachten H. Georg Philipp Huthen deß Schneiders und burgers allhier geweßene Haußfrau nunmehr seel., nach ihrem den 7. Augusti dießes fortlauffenden 1712.ten Jahrs beschehenen tödlichem ableiben Zeitlichen verlaßen, welche Verlaßenschafft dann auf freundliches ansuchen erfordern und begehren der Ehren: undt Tugendsamen Frawen Annä Mariä Schranckenmüllerin gebohrner Vierlingin, der Frawen seel. geliebten Mutter deroselben einzigen Erbin, beÿständlich deß Wohl Ehrenvesten Rechtsgelehrten, Großachtbahren herrn Johann Heinrich Lagen Notarÿ Publici und berühmbten Practici auch burgers allhier, Inventirt und ersucht. – Actum und angefangen in der Königlichen freÿen Statt Straßburg in fernerem gegensein des Wohl Ehrenvesten und Wohlvorgeachten herrn Johann Friderich Schäffer des Handelsmanns Ihres obgedachter geschwornen Vogts, auff Donnerstag den 12. Octobris Anno 1712.
Bericht über gegenwärtig Verlaßenschafft. Demnach mann Zur inventation eingangs erwehnter Verstorbenen Frawen seel. Verlaßenschafft schreiten wollen, hat der Notarius sich befragt, ob in die Ehe Inventirt worden seÿe ? Warauff dann die antwort erfolgt, daß solches nicht geschehen, derentwegen dem nach hiesigen statuten der Erbin die noch in natura Vorhandene stück als unverändert Zugeschrieben, das übrige der alles alß Theilbar unter einer Massa dießem Inventario einverleibt worden.
Es hat auch H. Notarius Lang Sen: eingangs gedacht nomine dienes herrn Principalen gleich anfangs sich dajien Vernehmen laßen, wie daß er glaubwürdig berichtet wäre, daß die Verstorbene Fraw seel. Ihrer Mutter auf dem todtbett Zugesprochen Ihrem Ehemann die samptliche Verlaßenschafft ad dies vitæ Zugenießen Zulaßen, welches Sie Ihro damahlen mit gegebener hand zugesagt, aber anjetzo nicht mehr geständig seÿn wolte, welches er doch nicht glauben Könte, maßen es ja Ihr freÿer wohlbedächtlicher und mündlich außgesprochener lezter Willen geweßen, so ja in allen rechten gebilliget würde, gelobet, also der Hoffnung Sie wird Ihrem Tochtermann den Ihme dergestalten Vermachten Wÿdemb salva legitima ohngekränckt Zu kommen laßen. Warauff sich die Fraw Erbin beneben Ihrem Herrn vogt vernehmen laßen, daß Sie Ihme ja noch nichts abgesprochen wüßten, aber Von den genuß der sambtlichen Verlaßenschafft nichts sondern nur von denen in die Ehe gebrachten 400. fl. und wolte sich derentwegen nach gefertigten Inventario schon Vergleichen (…)

In einer in der Statt Straßburg ane der Schloßergaßen gelegenen in dieße Verlaßenschafft nicht gehörigen behaußung ist befunden worden wie volgt.
Abzug über vorstehende Verlaßenschafft. Der Erbin unverändert Guts, Sa. hausraths 34 Sa. Silbers 1 Sa. Pfenningzinß hauptgüter 200, Sa. der Schulden in das Erbe Zugeltend 23., Summa summarum 259. lb
Das Verändert undt Theilbar Guths, Sa. Haußraths 18, Sa. Silbers 4 ß, Sa. der Schulden 55, Summa summarum 73 lb – Schulden 60 lb, Nach deren Abzug 12 lb
Conclusio finalis Inventarÿ 252. lb

Georges Philippe Huth se remarie le 10 mai 1713 avec Marie Madeleine Wild, fille de chapelier
Mariage, Saint-Pierre-le-Vieux (luth. f° 36-v)
1713. Eodem [d. 10. Maÿ] seind Ehelich eingesegnet word. Georg Philipp Huth der Schneider vndt Burger allhier vndt Jungfr. Maria Magdalena Johann Bernhard Wild des Burgers vndt Hutmachers allhier Eheliche Tochter [unterzeichnet] Geörg Philipus hudh als hochzeider, Maria magdalena wols aams hoch Zeiderin (i 39)

Les nouveaux mariés font dresser l’inventaire de leurs apports dans une maison rue des Cordonniers à côté du poêle des Cordonniers. Ceux du mari s’élèvent à 191 livres, ceux de la femme à 187 livres.
1713 (21.6.), Me Mader (6 E 41, 668) n° 132
Inventarium und beschreibung aller der Jenigen Haab Nahrung Vndt Gütter, so der Ehrengeachte Herr Georg Philipp Huth der Schneider und die Ehren und Tugendsame Fraw Maria Magdalena Huthin gebohrne Wildin beede Eheleuthe vnd burgere allhier Zu Straßburg einander in den Ehestand zugebracht vnd Vermög der mit einander auffgerichteter Eheberedung sich Vor unverändert Vorbehalten haben – Actum Vnd Angefangen in der Königlichen Freÿen Statt Straßburg in fernerem gegensein des Ehrenvesten herrn Johann Bernhard Wilden, Huthmachers Vnd burgers allhier, der Frawen leiblichen Vatters, auff Freÿtag den 21. Julÿ 1712.

Inn Einer in der statt Straßburg in der Schuhmacher gaß neben der Schuhmacher Zunfft gelegenen in dieße Nahrung nicht gehörigen behaußung ist befunden worden wie volgt
Series rubricarum hujus Inventarÿ. Deß Manns in den Ehestand Gebrachtes Verheurathet mit, Sa. haußraths 84, Sa. Werckzeugs Zum Schneider handwerck gehörig 3, Sa. Wein v. Lährer Vaß 13, Sa. Silbergeschmeids 1, Sa. Schulden 63, Summa summarum 165 lb – dazu gelegt die Ihme hernach geschriebene Haussteuren Vor seine gebührige zweÿ dritte theil Nemblichen 25 lb, Summa 191 lb
Der Frawen in die Ehe gebrachte Nahrung, Sa. Haußraths 124, Sa. Silbergeschmeidts 5, Sa. Goldener Ring 12, Sa. der baarschafft 33, Summa summarum 174 lb – dazu gelegt die deroselben ane dernach beschriebenen Haussteuren gehörige dritte theil ist 12 lb, Würde demnach der Frawen in den Ehestand gebrachte Nahrung in allem dem billigen werth nach Nemblichen 187 lb

Georges Philippe Huth et Marie Madeleine Wild hypothèquent la maison au profit de Catherine Marguerite Agricola

1722 (9.1.), Chambre des Contrats, vol. 596 f° 10
Georg Philipp Huth Schneider und Maria Magdalena geb. wildin mit beÿstand Abraham Marmet des glaßers und Jonas Pfisters des hutmachers
in gegensein H. Andreas Altenburgers Silberarbeiters als Vogts Catharinæ Margarethæ Agricola – schuldig seÿen 100 pfund
unterpfand, Eine behausung bestehend in Vorder und hinderhauß samb zweÿen höfflein und dero hoffstatten zugehörden, Rechten und gerechtigkeiten im Finckweiler neben Johann Philipp Buck dem Schreiner anderseit neben Michael göll dem Kieffer hinten auff die Reißeißische Fr: Wittib und Erben

Georges Philippe Huth et Marie Madeleine Wild hypothèquent la maison et une propriété à Wintzenheim au profit de la mineure Susanna Barbe Kratz

1729 (1.9.), Chambre des Contrats, vol. 603 f° 414
Georg Philipp Huth Schneider und Maria Magdalena geb. wildin mit beÿstand ihres vatters Johann Bernhard Wild des huetmachers und ihres schwagers Johann Daniel Würmel versilbert Knopff und Pferdzeugmachers
in gegensein H. Johann Sebastian Kratz Chirurgi als Vogts Jgf. Susannæ Barbaræ Kratzin weÿl. H. Johann Georg Willhelm Kratz des handelsmanns hinterlaßener tochter – schuldig seÿen 125 pfund
unterpfand, Eine Behausung bestehend in Vorder: und hinderhauß zweÿen höfflein und hoffstatt mit allen derselben gebäuden, begriffen, weithen, zugehörden, Rechten und gerechtigkeiten im Finckweiler, einseit neben Johann Philipp Buck dem Schreiner anderseit neben Michael Göll dem Kieffer modo Eulerischer wittib geb. Emmerichin und hinten auff die Reißeißische Erben
Ferner Eine Behausung hoff trott im dorff Wintzenheim (…)

Georges Philippe Huth hypothèque la maison et une propriété à Wintzenheim au profit de la mineure Marie Salomé Dannenberger

1732 (21.8.), Chambre des Contrats, vol. 606 f° 363-v
Georg Philipp Huth Schneider
in gegensein Johann Valentin Krapff Seÿlers als vogts weÿl. hannß Ulrich Dannenberger wagners einer tochter Mariæ Salome Dannenbergerin – schuldig seÿen 50 pfund
unterpfand, Eine Behausung bestehend in vorder und hinderhauß zweÿen höfflein und hoffstatt mit allen derselben gebäuden, begriffen, weithen, zugehörden, Rechten und gerechtigkeiten alhier im Finckweiler einseit neben Philipp Buck dem Schreiner anderseit neben der Eülerischen wittib hinten auff Johannes Ehrmann den Courtier
ferner ein zu Wintzenheim liegend: in 5 acker Reeben (…) einer behausung (…) bestehendes landguth

Georges Philippe Huth et Marie Madeleine Wild hypothèquent la maison et une propriété à Wintzenheim au profit de la fondation Schenckbecher

1734 (18.5.), Chambre des Contrats, vol. 608 f° 183-v
Georg Philipp Huth der Schneider und Maria Magdalena geb. Wildtin dieße letstere mit beÿstand Johann Jacob Dräher des Schneiders ihres schwagers und ihres geschwistrigkindts Johann Friedrich Pfister des huetmachers
in gegensein S.T. Hrn. Daniel Kornmann Jcti gemeiner Statt Raths und Advocati und Francisci Oeßinger J.V.Lti und C.Cont. Actuarÿ als Pfleger Mr und H. Johannes Silberad als Schaffners der Schenckbecherischen stifftung – schuldig seÿen 125 pfund
unterpfand, Eine Behausung bestehend in Vorder: und hinderhauß zweÿen, höffen und dero hoffstätten mit all übrigen derselben gebäuden, begriffen, weithen, zugehörden und gerechtigkeiten im Finckweiler einseit neben Johann Philipp Buck Schreiner anderseit neben Fr. Maria Barbara geb. Emerichin weÿl. Christian Friedrich Euler des Specirers wittib, hinten auf Johannes Ehrmann den Courtier – als ein am 11. Septembris 1713 erkaufftes guth
ferner ein hauß im dorff Wintzenheim und feld (…)

Georges Philippe Huth et Marie Madeleine Wild font dresser un état de leur actif et de leur passif. Les parties estiment la maison 1 100 livres. Les biens propres au mari s’élèvent à 171 livres, ceux de la femme à 253 livres. L’actif de la communauté est de 1 341 livres, le passif de 1 000 livres

1736 (9.4.), Me Oelinger (J. Jacques, 35 Not 30) n° 984 (936)
Inventarium und Beschreibung aller derjenigen Haab vnd Nahrung, so der Ehrsam vnd bescheidene Meister Georg Philipp Huth Schneider vnd die Ehren und tugendsahme frau Maria Magdalena gebohrne Wildin beede Eheleuthe vnd burgere allhier Zue Straßburg dermahlen würcklichen active besitzen vndt hiengegen passive wieder zu bezahlen haben, welche Nahrungen auf Ihr der beede Eheleuthe selbstiges ansuchen, erfordern und begehren, besonders da Sie die Ehefrau pt° Separationis Bonorum beÿ E. E. Kl. Rath unth. eingekommen, fleißig inventirt und ersucht – Actum Straßburg Montags den 9.° Aprilis A° 1736.
Copia der Eheberedung

In einer allhier Zue Straßburg ane dem finckweiler gelegener und eÿgenthümblich hiehero gehörigen behausung sich befunden wie volgt.
Ane Höltzen und Schreinwerck. In der Wohnstub, In der Stub Cammer, In der Kuchen, Oben auf dem gang, In der Obern Cammer
Eÿgenthumb ahne einer behaußung. (T.) Nemblich eine behausung vnd hoffstatt samt allen deren gebäwen begriffen weithen Zugehörden vnd gerechtigkeiten allhier Zu Straßburg ane dem finckweiler eins. neben Mr Johann Philipp Bucken dem Schreiner, anders. neben fr. Mariam Magdalenam Eulerin der Grempin hinten auff H. Ehrmann den Courtier stoßend gelegen, so vber die Hernach Unter den passivis sich befindliche Capitalia freÿ leedig vnd Eigen, Und Ist diselbe mit beeder Eheleuthe Consens ohnpræjudicirlich hier angeschlagen worden pro 1100. lb d. Darüber besagt ein in alh. CC stub gefertigter Pergamentener Kauffbrieff, mit dero anhangenden Innsigel Verwarth, datirt d. 11. 7.bris 1713.
Ergäntzung des Ehemanns abgegangenen Unveränderten Guth. Nach besag Inventarÿ vber beeder Eheleuthe einander In den Ehestand zugehörigen Nahrungen in anno 1713. durch Hn. Notm. Philipp Jacob Mader auffgerichtet
Series rubricarum Des Ehemanns Nahrung. Sa. haußraths 35, Sa. Werckzeugs zum Schneider handwerck gehörig 3, Sa. Ergäntzung (158, abzug 1, restirt) 157, Summa summarum 196 lb – Schuld 25 lb, Nach deren Abzug 171 lb
Der Ehefraun Nahrung, Sa. haußraths 56, Sa. Silbers 8 ß, Schulden 25, Ergäntzung (172, Abgang 1, restirt) 170, Summa summarum 253 lb
die Theilbahre Verlaßenschafft, Sa. haußraths 93, Sa. Leeren Vaß 15, Sa. Silbers 3, Sa. Goldener ring 3, Sa. baarschafft 120, Sa. Eÿgenthumbs ane einer behaußung 1100, Sa. activorum. 6, Summa summarum 1341 lb – Schulden 1000 lb, Nach deren Abgang 341 lb

Marie Marguerite Wild meurt en 1738 en délaissant deux enfants. Les experts estiment la maison 600 livres. La masse propre au veuf s’élève à 150 livres, celle des héritiers à 225 livres. L’actif de la communauté s’élève à 646 livres, le passif à 1 021 livres

1738 (18.2.), Me Oelinger (J. Jacques, 35 Not 36) n° 1101 (1055)
Inventarium und beschreibung aller derjenigen haab und Nahrung, so weÿl. die Ehren und tugendsahme frau Maria Magdalena Huthin gebohrne Wildin, deß Ehrsamen und bescheidenen Meisters Georg Philipp Huthen, Schneiders und burgers alhier Zu Straßburg gewesene Ehefrau nunmehro seel. nach ihrem den 1. Februarii Jüngst aus dießer welt genommenen tödlichen hintritt zeitlichen verlaßen, Welche Verlaßenschafft auf Zuvorher beschehen freundliches ansuchen erfordern und begehren fraun Maria Magdalena Greinerin gebohrner Huthin, H. Andreas Greiner deß Meelmanns und burgers allhier Ehefrau, beÿständlich deßelben und H. Philipp Jacob Huethen deß Leedigen Schneiders beede der abgeleibten seeligen mit Vorermeltem ihrem hinterbliebenen Wittibers Ehelich erzeugte und nach todt Verlaßene zweÿ Kinder, Sohn und tochter, auch ab intestato zu zweÿ gleichen Portionen und antheilern rechtsmäßige Erben – Actum in der königl. Statt Straßburg Dienstags den 18. febru. 1738.

In einer allhier Zu Straßburg ane dem finckweÿler gelegenen und in dieße eÿgenthümblich gehörigen behausung sich befunden wie folgt.
Eÿgenthum ane Einer Behaußung. (T.) Neml. I. behausung, höfflein, hoffstatt samt einem Gumpbronnen, allen deren begriffen, weiten, rechten und gerechtigkeiten, allhier Zu Straßburg in dem finckweÿler 1. s. neben Meister Joh. Philipp Bucken dem Schreiner, 2. s. neben fr. Maria Magdalena Eÿlerin der Grempin, hinten auf Johannes Ehrenmann den Courtier stoßend gelegen, so über die hernach inventirte Passiva gegen jedermänniglichen freÿ leedig und Eigen, und Ist solche behaußung durch (die Werckmeistere) vermög einer zu mein deß Notarii Concept sub dato 14. febr. 1738. gelüferten schrifftl. Abschatzung æstimirt worden pro 600. lb. Darüber besagt ein in allhiesiger C. Stub gefertigter Perg. Kaufbr. mit dero anhangendem insigel Verwehrt datirt d. 11.ten 7.bris 1713. und dißmal wieder dabeÿ gelaßen.
Series rubricarum hujus Inventarÿ. Des Wittibers Nahrung, Sa. haußraths 13, Sa. Werckzeugs Zum schneider handwerck gehörig 1, Sa. Ergäntzungs Rest 160, Summa summarum 175 lb – Schuld 25 lb, Nach solchem abgang 150 lb
Der Erben Mütterliche Nahrung, Sa. haußraths 20, Sa. Schuld 25, Sa. Ergäntzung (182, Abgang, Rest) 180, Summa summarum 225 lb
Die Theilbahre Verlaßenschafft, Sa. haußraths 38, Sa. leerer Vaß 4, Sa.Silbers 2, Sa. Goldenen Ring 1, Sa. Eigenthumbs ane eier behaußung 600, Summa summarum 646 lb – Schulden 1021 lb, Theilbahr passiv onus 375 lb
Abschatzung dem: 14. feb: 1738. Auff begehren deß wohll achtbahren vnd bescheitenen Meister Jörg Pflip hutt der schneiters, ist eine behausung, alhier in der Statt Straßburg ihn finckweÿler gelegen, so ein seits an Meister Philipp Buck dem schreiner ander seits Neben Anna Maria Eillerin hinden auff H Ehremann dem Mackler Stoßend welche behausung, unden auff dem botten ein stuben Kuchen hauß Ehren höffell bronen holtz Cammer, oben dar über ein stuben Cammer Küchell gang daß tach mit einfachen breide Ziglen belegt hinder hauslein worin stubell Cammern und haus Ehrlin dar inen der herdt sambt aller gerechtig Keit wie solches turch der Statt Straßburg geschwornen wërck Meister sich in der besichtigung befunden und Jetzigen Preÿß nach angeschlagen wirdt Vor vnd Umb Ein Tausent und Zweÿ hundert Gulten. Bezeichnuß der Statt Straßburg geschwornen wërckleuthe [unterzeichnet] Michael Ehrlacher Werck Meister deß Meinsters, Johann Jacob Biermeÿer Werck Meister deß Zimmerhoffs, Johann Peter Pflug Werckmeister deß Mauer hofs

Les héritiers cèdent leurs parts de maison à leur père

1738 (28.2.), Me Oelinger (J. Jacques, 35 Not 36), Joint au n° 1101 du 18 février 1738
Abhandel und Vergleichung der In die theilbahre Verlaßenschafft gehörigen behaußung.
Erschienen (…) fraw Maria Magdalena Greinerin gebohrne Huthin, Andreas Greiner deß Meelmanns vnd burgers allhier Zue Straßburg Ehefrau beÿständlich deßelben, vnd Philipp Jacob Hueth der Leedige Schneider mit zuziehung Mstr Michael Ruegen deß Jungern holtzlegers allhier, beede annoch Minderjährige weil. frau Mariæ Magdalenæ Huthin gebohrner Wildin mit, Mstr Georg Philipp Huthen dem Schneidern dahier Ihrem hinterbliebenen Wittiber Ehelich erzeugte vnd nach tod Verlaßene Kinder (…) mit gnädiger approbation E. E. großen raths, als beÿ welchem Sie vmb das Decretum alienandu unterth. einzukommen Versprochen
gemelt Ihrem Vatter Georg Philipp Huthen (verkaufft)
Ein tertz vor ohnvertheilt Von vnd ane einer Zwischen Ihnen den Kindern vnd Vatter annoch gemeinschafftlichen theilbahren behausung, höflein vnd hoffstatt cum appertinentÿs allhier Im finckweiler einseit neben Mr Joh. Philipp Bucken dem schreiner vnd anderseith neben fr. Mariæ Magdalenæ Eulerin der Grempin, Hinten auf Herrn Johannes Ehrmann den Courtier stoßend gelegen – die gantze behaußung zu 2500 gulden gerechnet – unterschriebenen Straßburg den 28. Februarÿ 1738.

Georges Philippe Huth se remarie en troisièmes noces avec Catherine Elisabeth Geissler, fille de tanneur : contrat de mariage, célébration
1738 (24.7.), Me Lichtenberger (Jean Philippe, 30 Not 53) n° 208
Eheberedung zwischen Hrn Geörg Philipp Huth, Schneidern, Wittiber und burger allhier als bräutigam mit beÿstand hrn Johann Jacob Treher Schneider und burgers allhier seines Schwagers ane einem, So dann
Jgfr. Catharinæ Elisabethæ Geißlerin, weÿl. H Joh: Georg Geißler gewesenen weißgerber und burgers allhier nachgelaßenen ehelichen Tochter, alß der Jgfr. hochzeiterin mit beÿstand Joh: Georg und Johann Jacob Geißlers beeder weißgerber und burgere allhier Ihren beeder brüder am anderen theil – Actum Straßburg auff Donnerstag den 24. Julÿ A° 1738. [unterzeichnet] Görg Philipp hudt alß hoch Zeider, Catharina Elisabetha Geißlerin als hochzeiterin

Mariage, Saint-Pierre-le-Vieux (luth. f° 170)
1738. Mittwoch den 6. Aug. sind nach gewohnlich vorgegangener zweÿmahliger proclamation ehelich copulirt und eingesegnet worden H. Georg Philipp Huth wittwer, burger und Schneider allhier undJfr. Catharina Elisabetha weÿl. Joh: Georg Geißlers gewesenen burgers und weißgerbers allhier hinterl. ehel. Tochter [unterzeichnet] Geörg Philipp hudh als hochzeider, Maria Elisabethe Geißlerin als hochzeiderin (i 172)

Les nouveaux mariés font dresser l’inventaire de leurs apports dans une maison de location près de l’auberge à la Mouche – peut-être celle que le mari a vendue l’année précédente.
1739 (23.5.), Me Koch (Matthias, 6 E 41, 470) n° 137
Inventarium über des Ehren und vorgeachten Hn Georg Philipp Huthen, des Schneiders Wie auch der Ehren v. Tugendsahmen Frauen Catharinä Elisabethä Huthin, gebohrner Gaÿßlerin, beeder Eheleuth und burgere allhier Zu Straßburg einander Vor ohnverändert in den Ehestand zugebrachte Nahrungen, auffgerichtet Anno 1739. – und sich Vermög ihrer mit einander auffgerichteten Eheberedung Vor ohnverändert vorbehalten haben
So geschehen in der Königlich. Statt Straßburg in fernerem Gegenseÿn des Ehren v. wolgeachten H. Peter Bleßig des Knöpffmachers und Seidenhändlers auch burgers allhier Zu Straßburg der Ehefr. erbettenen beÿstandts, auff Sambstag d. 23. Maji Anno 1739.
In einer allhier Zu Straßburg ane dem Finckweÿler ohnfern dem Würthshauß Zur Muck gelegenen Von beedten Eheleuthen Lehnungsweiße bewohnenden behaußung befunden wie folgt.

Georges Philippe Huth et Catherine Elisabeth Geissler font dresser un inventaire de leur actif et de leur passif dans une maison de location près le petit pont de l’Esprit au Marais Vert
1740 (10. 7.bris), Me Koch (Matthias, 6 E 41, 471) n° 166-a
Inventarium über Georg Philipp Huthen, deß Schneiders und Fraun Catharinä Elisabethä gebohrner Geÿßlerin, beeder Eheleuth v. burgere allhier Zu Straßburg dermahlige activ v. passiv: Nahrung auffgerichtet Anno 1740. – welche beeerseits Nahrungen, Wie sie von der Ehefrauen beÿrsändl. Hn Israel Mohr des Schreiners v. burgers allhier dero erbettenen assistenten in abweßenheit ihres Ehemanns vorgewießen v. angegeben – So geschehen in der Königl. Statt Straßburg auff Samstag d. 10. Sept. A° 1740.
In einer allhier Zu Straßburg ohnfern dem geist brückel gelegenen hiehero nicht gehörigen behaußung ist befunden worden als folgt.
Ergäntzung der Ehefrauen Wehrender Ehe abgegangenen unveränderten guths. Vermög Inventarii Concepts über beeder Eheleuth einander in den Ehestand zugebrachte Nahrungen besagend, durch mich den Eingangs gedachten Notm. A° 1739. gefertiget

Les contrôleurs déclarent au conseil de tribu que Georges Philippe Huth et sa femme dont il s’est séparé exercent le métier de tailleur chacun de son côté : ils ont donc deux ateliers, ce qui est contraire au règlement. Les contrevenants demandent que l’affaire soit laissée en suspens jusqu’à ce que la Chambre des affaires matrimoniales ait rendu sa décision. Le conseil exige que les prévenus s’en tiennent à un seul atelier sous peine d’amende.
1741, Protocole de la tribu des Tailleurs XI 346 (1735-1753)
(f° 234) Dienstags den 14.t Martÿ 1741
Georg Philipp Huthen den Schneider und burgern allhier, und Catharina gebohrner Geÿßelin deßen freÿwillig Verlaßenen Ehegattin ist auff eingeloffene Klag ex officio vorgebotten und wieder dießelbe Klagbahr eingeführet worden, daß Sie beÿder nunmehro Zweÿ unterschiedliche werckstätte halten, kunden befördern und sich d. gesellen bedienen, da doch die huthische Ehefrau hierinn im geringsten nicht beÿ ihres Verlaßenen Ehemann leben priuilegirt seÿe.
Zuvolg deßen citirte Parthen zugegen in antwort ertheÿlet, daß biß dato solches geschehen, deroweg. auch geständig seÿn, insonderheit Sie die Ehefrau weilen sie nochr nicht Separitt und vor E. löbl. Ehegericht in pendente lite schwebe, biß Zu außgang der sachen solches fernerhin Zu treiben Ihro Zuerlauben gebetten.
Erkant seÿe der huthischen Ehefrau ein besondere werckstatt Zuhalten, kunden zu befördern und mit gesellen zu arbeiten gäntzlich beÿ der in denen wieder die stümpler habenden articulen, andictirten obrigkeitl. straaff Zu verbieten.

La tribu des Tailleurs propose quatre tailleurs luthériens pour être tuteur de la fille issue du troisième mariage de feu Georges Philippe Huth
1753, Protocole de la tribu des Tailleurs XI 346 (1735-1753)
(p. 693) Montags den 15. Jan. 1753 – Zu bevögtigung Weÿl. Georg Philipp Huth gewesenen Schneiders und burgers allhier in dritter Ehe mit Frauen Catharina Elisabetha gebohrner Geißlerin erzeugt und nach tod hinterlaßenen Einen Kinds, Nahmens Catharinä Elisabethä sind von E. E. Zunfft Gericht der Schneider in Außschuß gebracht worden
Johann Daniel Knecht
Johann Philipp Goll
Johann Georg Haffner
alle dreÿ Evangelischer religion.

Les Quinze autorisent la veuve de Georges Philippe Huth de continuer à tenir l’atelier de couture qui lui permet de gagner sa vie depuis dix ans
1761, Protocole des Quinze (2 R 173)
(f° 331) Sambstags d. 26. Septembris. Georg Philipp Huth Wittib pt° Stick mägdlein
Faust nôe Fr. Catharinä Elisabethä weÿl. Georg Philipp Huth des gewesenen burgers und Schneiders Wittib, diese hat schon 10. Jahr lang einige burgers töchter in der Lehr Zum sticken, als mit welchem Sie sich in mangel andern Vermögens und Profession Zu ernähren suchen muß, weilen nun der H. Beichtvatter in mitgehendem schein ihrem gut Zeugnuß giebt, als bittet unterth. der Implorantin Gnädig Zu erlauben, daß sie Zweÿ biß dreÿ burgers töchter in die Lehr nahmen, im sticken fortfahren, und beÿ E. Löbl. Policeÿ Gericht eingeschrieben werden können und setzt facta prælectione ist Erkandt, biß auff anderwärtige Verordnung willfahrt.

Georges Philippe Huth et ses deux enfants vendent la maison 1 150 livres au courtier Jean Daniel Ehrmann

1738 (8.7.), Chambre des Contrats, vol. 612 f° 387
Georg Philipp Huth der Schneider weÿl. Maria Magdalena geb. Wildin erzeugte beede Kinder Maria Magdalena geb. Huthin Andreas Greiner des Meelmanns wie auch Philipp Jacob Hueth ledigen Schneider beede mit beÿstand ihres annoch ohnentledigten Vogts Johann Michael Ruegen des jüngern hohldrähers
in gegensein H. Johann Daniel Ehrmann hiesigen Courtier
Eine Behausung, höfflein und hoffstatt sambt hindergebäu und gumpbronnen wie auch allen übrigen deren gebäuden, begriffen, weithen, zugehörden und gerechtigkeiten jenseit St Thomas Bruck im Finckweiler, einseit neben Johann Philipp Buck dem schreiner, anderseit neben Johann Willhelm Salomon dem Paßmentirer, hinten auff
Johannes Ehrmann den Courtier – um 512 pfund ausmachende capitalien, auff den fueß von 1250 pfund – als ein währendem sein Huth ehestand am 11. Septembris 1711 erkaufft, mithin theilbares guth ihme zu zwo tertzen

Jean Daniel Ehrmann cède la maison par échange au marchand Joseph Marie Gallino moyennant 6 000 livres tournois le 22 février 1748. L’acquéreur revend la maison un mois plus tard 1 200 livres à l’orfèvre Jean Adam Küchel et à sa femme Anne Marguerite Silbach

1748 (23.3.), Chambre des Contrats, vol. 622 f° 299-v
H. Joseph Marie Gallino der handelsmann
in gegensein H. Johann Adam Küchel des goldarbeiters und Annæ Margarethæ geb. Silbachin
eine behausung, höfflein und hoffstatt samt hindergebäu und gumpbronnen auch allen übrigen derosleben weithen zugehörden und rechten jenseit St Thomä bruck im Finckweiler, einseit neben Johann Philipp Buck dem schreiner, anderseit neben Johann Wilhelm Salomon dem Paßmentirer, hinten auff Philipp Böriß den schloßer – als ein am 9. jan. jüngst eingetauschtes guth – umb 1250 pfund

Fils d’orfèvre, Jean Adam Küchel épouse en 1706 Anne Marguerite Silbach, fille de brasseur
Mariage, Saint-Pierre-le-Jeune (luth. f° 142-v) 1706. Dominica III. et IV. post Epiphan. proclamati sunt H. Johann Adam Küchel der ledige goldarbeiter allhier weÿl. H. Johann Adam Küchel gewesenen Goldarbeiters und Burgers alhier nachgelaßener Ehl. Sohn und Jfr. Anna Margaretha, weÿl. H. Heinrich Sillbach gewesenen Bierbrauers und burgers allhier nachgelaßene Ehel. Tochter Copulati sunt Mittw. d. 2.ten Febr. [unterzeichnet] Johann Adam Kiechel als hochzeiter, Anna Margretha Silbächin Als hochzeiterin (i 149)

Les acquéreurs hypothèquent le même jour la maison pour en régler le prix d’achat au profit du pasteur Jean Philippe Lobstein

1748 (23.3.), Chambre des Contrats, vol. 622 f° 300-v
H. Johann Adam Küchel der goldarbeiter und Anna Margaretha geb. Silbachin mit beÿstand ihrer söhn Johann Adam und Johann Heinrich beede goldarbeiter
in gegensein H. M. Johann Philipp Lobstein des Pfarrers zu St Nicolaus und Capituli Thomani canonici, zu bezalung des kauffschillings hiernach beschriebener behausung – schuldig seÿen 500 pfund
unterpfand, eine behausung, höfflein und hoffstatt samt zugehörden im Finckweiler, einseit neben Johann Philipp Buck dem schreiner, anderseit neben Johann Wilhelm Salomon dem Paßmentirer, hinten auff Philipp Böriß den schloßer

Autre hypothèque deux mois plus tard au profit d’Anne Marguerite Haffner

1748 (20.5.), Chambre des Contrats, vol. 622 f° 424
H. Johann Adam Küchel der goldarbeiter und Anna Margaretha geb. Silbachin mit beÿstand ihrer söhn Johann Adam und Johann Heinrich der Küchel beede goldarbeiter
in gegensein Jfr. Annæ Margarethæ Haffnerin mit beÿstand ihres bruders Isaac Haffner des rathsbotten – schuldig seÿen 150 pfund
unterpfand, eine behausung, höfflein und hoffstatt im Finckweiler, einseit neben Johann Philipp Buck dem schreiner, anderseit neben Johann Wilhelm Salomon dem Paßmentirer, hinten auff Philipp Böriß den schloßer – als ein am 23. Martÿ jüngst erkaufftes guth

L’orfèvre Jean Adam Küchel demande à prendre son fils du même nom en apprentissage le 18 février 1723. Le conseil de tribu refuse parce que le maître a déjà un apprenti.
1723, Protocole de la tribu de l’Echasse (XI 103)
(p. 234) Donnerstag den 18. Februarÿ Anno 1723
Johann Adam Küchel der Goldarbeiter erscheint und præsentirt Johann Adam Küchel seinen leibl. Sohn, ihn die kunst von dato innerhalb 4. Jahren Zu lehren, bittet Gerichtl. einschreibung.
Erkannt weÿlen Daniel Wildt sein voriger Jung noch nicht in dem letzten Jahr seiner lehrzeit begriffen, und alßo sein begehren wieder ordnung und articul, so seÿe Ihme sein gebehren noch Zur Zeit abgeschlagen.

L’inscription a lieu le 16 septembre suivant (auprès de Jean Henri Schaumann)
(p. 255) Donnerstag den 16. Septembris Anno 1723
Johann Adam Küchel der Goldarbeiter erscheint und præsentirt Johann Adam Küchel seinen leiblichen Sohn, ihme die Profession von dato in Vier Jahren Zu lehren und erlegt die gebühr.

L’orfèvre Jean Adam Küchel demande l’autorisation de terminer l’apprentissage de son fils Jean Adam qui ne s’entend pas avec son maître Jean Henri Schaumann. Le conseil donne son assentiment puisque toutes les parties sont d’accord
(p. 364) Dienstag den 1. aprilis Anno 1727
Herr Johann Adam Küchel der Goldarbeiter erscheint und stellt vor Johann Adam Küchel, welcher beÿ Herrn Johann Heinrich Schaumann dem goldarbeiter auff vier Jahr die Profession zu erlernen eingeschrieben worden, weillen aber der lehrherr und der Jung sich mit einander nicht wohl vertragen Können, alß bittet Er, ob Er seines Sohns restirende lehrzeit vollends außlehren möchte, wohere herr Schaumann gerne willfahren laßen.
Erkannt, wird demselben willfahrt, masen herr Schaumann consentirt.

Jean Adam Küchel termine le 14 octobre 1728 son apprentissage de quatre ans
(p. 419) Donnerstag den 14. Octobris 1728
Johann Adam Küchel der goldarbeiter erscheint ferner und præsentirt seinen leiblichen Sohn Johann Adam genannt, und berichtet, daß Er seine Vier Jährige lehrzeit theils beÿ herrn Johann Friderich Schaumann dem goldarbeiter, theils aber beÿ ihme Küchel selbsten, so nechst verstrichenen Michaelis tag Verfloßen, bereits passirt, bittet gerichtliche loos sprechung.
Erkannt, wird in seinem begehren Willfahrt, gegen Erlag der gebühr.

L’orfèvre Jean Adam Küchel qui tient auberge y est autorisé en cotisant à la tribu
1728, Protocole de la tribu des Fribourgeois (XI 165)
(f° 77) Mittwoch den 17.ten Novembris A° 1728
Neu Zünfftiger – Joh: Adam Küchels, deß Goldschmidts wegen wurde dato pt° der auberge, auf geschehene Relation, wie daß Ihme solche Zu halten von Gn. Herren denen XV.en erlaubt, Erkandt, daß die Sach zwar in statu quô Zu laßen, demselben aber beÿ 3. lb d Str. dißorts Vermög der ordnung sich alß Zudiener Zünfftig Zumachen mit 2 lb 4 ß und Jährlich 6 ß Stubendelt zu entrichten, anbeÿ auch Keine verbottene Würtschafft Zu treiben, Zu injungiren seÿe.
Ille submittirt sich und verspricht demnach Zu kommen Zum alten die Zunfftgebühr alßbaldt Zu überschicken.

Jean Adam Küchel qui n’a plus de pensionnaires résilie sa cotisation aux Fribourgeois
1744, Protocole de la tribu des Fribourgeois (XI 166)
(f° 202-v) 3.te Gericht de 1744. Dienstags den 9. Junji A° 1744
Resignans – Johann Adam Küchel, der hießige Silberarbeiter und bißherige Zudiener bittet, weilen Er hienführo Keine Kostgänger mehr Zu halten gesonnen, Ihne dießorts außthun Zu laßen, resigniret Zu dem Ende das derwegen Erhaltene Zunfftrecht.
Erkandt, weilen er E. E. Zunfft dermahlen nichts Schuldig, Alß wirdt Ihme in seinem begehren hiemit willfahrt, mithin solche Resignation verzeichnet.

Jean Adam Küchel et Marie Marguerite Silbach hypothèquent la maison au profit de l’orfèvre Jean Nathanaël Hertzog

1749 (17.4.), Chambre des Contrats, vol. 623 f° 236
H. Johann Adam Küchel der goldarbeiter und Maria Margaretha geb. Silbachin mit beÿstand ihrer söhn Johann Adam und Johann Heinrich der Küchel beede goldarbeiter
in gegensein H. Johann Nathanael Hertzog des goldarbeiters – schuldig seÿen 100 pfund
unterpfand, eine behausung, höfflein und hoffstatt im Finckweiler, einseit neben Johann Philipp Buck dem schreiner, anderseit neben Johann Wilhelm Salomon dem Paßmentirer, hinten auff Philipp Böriß den schloßer

Jean Adam Küchel meurt en 1749 en délaissant cinq enfants, trois fils célibataires et deux filles mariées à des Français hors de la ville. La veuve déclare renoncer à la communauté. Les experts estiment la maison 750 livres. L’actif de la succession s’élève à 873 livres, le passif à 2 510 livres.

1749 (2.10.), Me Griesbach (6 E 41, 1313) n° 7
Inventarium über Weÿland des Ehren: und Vorachtbaren Hn Johann Adam Küchel, geweßenen Goldarbeiters undt burgers allhier Zu Straßburg nunmehr seel. Verlt. auffgerichtet Anno 1749. – nach seinem am 5. Augusti dieses 1749.sten Jahrs aus dießer Zeit und Welt genommenen tödlichen hientritt hie Zeitl. Verlaßen, Welche Nahrungs Verlaßenschafft heut dato auf freundliches ansuchen erfordern und begehren Frauen Annæ Margarethæ gebohrner Silbachin des Verstorbenen seel. gewesener Frau Eheliebstin nunmehro aber hinterl. Frau Wittib ordnungsmäsig inventirt – So beschehen in beÿseÿn S. T. Hn Johann Friderich Ströhlin E. E. Kleinen Raths wohl ansehnlichen beÿsitzers, als hierzu vermög producirten Mandati vom 27.ten Sept. hujus anni insonderheit abgeordneten H. Deputati auf Donnerstag den 2.ten Octobris 1749.
Der Verstorbene seelig hat ab intestato zu seinen rechtsmäßigen Erben verlaßen wie folgt. 1° Hr Johann Adam Küchel leediger Goldarbeiter, so mehrjährig und seine Stell hiebeÿ selbsten Vertreten, 2° Frau Mariam Dorotheam so an Leonhard Condong den tuchmacher aber ohnwißend wo sie sich auffhalten, Verheurathet. 3.tio Frau Evam Margaretham so an Hn Demouschong den handelsmann in flandern verehelicht, in dero beÿder Nahmen eingangs gedachter H. Rathh. Johann Friderich Ströhlin der Apothecker und burger alhier Zugegen, 4. H. Johann Heinrich Küchel ledig. Musicant so Majorennis und in Persohn diesem geschäfft beÿgewohnt. 5.to Hn Johann Friderich Küchel den Gastgeber und burger allhier so in Persohn erschienen. Alle Fünff des verstorbenen seel. mit vorbenamster seiner hinterlaßenen Frau wittib ehel. erziehlte Söhn und töchter und ab intestato zu gleichen portionen und antheilern Verlaßene Erben.
Copia der Eheberedung
Erklärung der Frau Wittib wegen ihres Verstorbenen Ehegatten weÿl. H Johann Adam Küchels seel. Verlaßenschafft. Als man Zu ersuchung derer Kinder und Erben Vätterl. guths gehen und schreiten wollen, so hat Frau Anna Margaretha gebohrne Silbachin die hinterbliebene Wittib beÿständlich H. Johann Herrenschneider des Knöpffmachers und burgers allhier ihres H. Schwagers die Erklärung gethan, daß Sie mit consens ihres H. beÿstands auf die theilbare Maß tam active quam passive wißend und wohlbedächt. renuncirt, verzug gethan und solche dero Kindern und Erben gäntzlichen cedirt und abgetretten, mithin sich allein dero in die Ehe gebrachtes Vermögen nebst deme waß Sie crafft der Eheberedung zu erfordern hat, reservirt und vorbehalten haben will.

In einer allhier Zu Straßburg in dem Finckweiler gelegenen hiehero gehörigen hernach beschriebenen behaußung folgender maßen befunden
(f° 8-v) Eigenthumb ane einer behaußung, so denen Erben unverändert und Theilbar. Nemblich eine behaußung und hoffstatt sambt hinterhauß, wie auch übrigen Gebäuden, Zugehördten, Rechten und Gerechtigkeiten allhier Zu Straßburg in dem Finckweiler 1.s neben N. Bucken dem schreiner anderseith N. Salomon dem Paßmentirer und hinten auf vorgemelten bucken stoßend gelegen, so außer hernach bemeldten auf dieser behaußung hafftenden Capitalien freÿ leedig und eigen und ist diese behaußung sambt Zugehörden durch der Statt Straßburg geschwohrne Hh. Werckmeistern allhier Vermög dererselben schrifftlich übergebenen und unterschriebenen Zu mein Notarÿ Concept geliefferten Abschatzung Vom 19. 7.bris Jüngst æstimirt und angeschlagen worden pro 750. lb. Hierüber besagt ein alt pergamentener Kauffbrieff mit der Statt Str. anhangendem Cantzleÿ Contract Insiegel Verwahrt Vom 8.t Julÿ 1748. ausweisend wie solche an H. Ehrmann den Courtier Verkaufft worden mit N° 1 notirt. Ferner ein Pergamentener Kauffbrieff mit Löbl. Statt Straßburg anhangendem Cantzleÿ Contract Insiegel Verwahrt Vom 23. Martÿ 1748. anzeigend wie solche der Verstorbene seelig ane sich erkaufft mit N° 2 bezeichnet
Sa. haußraths, Sa. Werckzeugs und Jubelen auch gemachter Arbeit Zur Goldarbeiterer profession gehörig 40, Sa. silbergeschirrs 11, Sa. goldenen Rings 6 lb, Sa. Eigenthumb ane euner behaußung 750, Summa summarum 873 lb – Schulden 2510 lb Übertreffen alsi die passiva ds theilbar und der Erben unverändert Vermögen umb 1637 lb
Der Wittib wehrender Ehe abgegangenen ohnveränderten Guths Ergäntzung 1542 lb
Copia der Eheberedung – zwischen dem Ehren und Kunsterfahrenen Herrn Johann Adaam Küchel berühtem Goldarbeiter, weÿland S. T. Herrn H. Adam Küchels auch gewesenen Goldarbeiters und burgers allhie, mit S. T. Frauen Margaretha gebohrner Faberin ehelich erzeugtem und nachgelaßenem Sohn als dem bräutigamb ane einem So dann der Viel Ehren und tugendbegabten Jungfrau Annä Margarethä Silbachin, S. T. Herrn Johann Heinrich Silbach gewesenen bierbrauer und burgers alhier zu Straßburg mit auch weÿl. frauen Martha gebohrner Schlehenackerin ehelich erzeugter und hinterlaßenen tochter als der Jungfrau Hochzeiterin am andern theil – Sonntags den 19. Decembris Anno 1706. unterschriebenen Johann Adam Ösinger Nots.
Abschatzung Vom 19.ten 7.bris 1749. Auff begehren Weÿland herrn Johann Adam Küchels deß geweßenen Goldarbeiters seel. hinterlaßener Fraw Wittib ist eine behaußung allhier in der Statt Straßburg in dem Finckweiler, einseit neben N. Bucken dem Schneider anderseit neben N. Salomon dem Paßmentirer und hinten auff Vorgemelten Bucken stoßend gelegen, Solche behausung hat neben dem eingang eine Goldarbeiters Werckstatt, auff dem Ersten stock eine Stube, Stub Kämmerlein und Küchen, der Zweÿte stock ist dem ersten gleich, auff dem dritten stock ist eine stube und ein Soldaten Kammer, darüber ist ein alter tachstuhl mit breit Ziegeln einfach gedeckt, Worunter dreÿ unterschlagene Kammern, auch eine besetzte bühne, Ferner befindet sich ein hinter gebäw welches mit breit Zieglen einfach gedeckt, darunter dreÿ stuben, dreÿ Kammeren und dreÿ hauß öhren darinnen die Küchen, Im höffel ist ein holtzschopff gewölbtes Kellerlein und Gumpbronnen, Von Uns den unterschriebenenen der Statt Straßburg geschworenen Werckmeistern, nach Vorhero beschehener besichtigung mit aller Ihrer gerechtigkeit dem Jetzigen werth nach æstimirt und angeschlagen Worden Vor und umb Ein Tausend und Fünff Hundert Gulden [unterzeichnet] Jacob Biermeÿer stadt Lohner, Ehrlacher Werckmeister deß Meinsters, Werner Werckmeister

Anne Marguerite Silbach meurt en 1757 en délaissant deux filles et deux fils. Elle lègue la maison 90 livres à son fils aîné, le musicien célibataire Jean Henri Küchel. L’actif de la succession s’élève à 1 037 livres, le passif à 925 livres.

1757 (27.4.), Me Griesbach (6 E 41, 1314) n° 66
Inventarium über Weÿland der tugendsamen Frauen Annæ Margarethæ geb. Silbachin auch längst weiland herrn Johann Adam Küchel geweßenen Goldarbeiters und burgers dahier seel. hinterbliebene wittib nunmehro auch seel. Verlassenschafft auffgerichtet Anno 1757. – nach ihrem den 30.ten Martÿ dießes lauffenden 1757. Jahrs aus dießer Zeit und Welt genommenen tödlichen Hintritt Zeitl. verlaßen – So beschehen in der Königlichen Stadt Straßburg in beÿsein hrn Rathh. Gilbart E. E. Kl. Rath dermalen wohlansehnlichen Mandati vom 27. Aprilis hujus anni insonderheit abgeordneten Hn Daputati auf Mittwoch den 27. Aprilis anno 1757.
Die Verstorbene seelig hat ab intestato zu ihren rechtsmäßigen Erben verlaßen wie folgt. 1° Frau Mariam Dorotheam so an Leonhard Condong den tuchmacher Verheurathet, so mit beÿstand S. T. Herrn Johann Georg Mendoche J. U. Lti. und burger dahier zugegen. 2.do Frau Evam Margaretham so an Herrn Demouschong den handelsmann in flandern verehelicht, dermalen aber anweßend, In welchen beÿder Nahmen annoch eingags gedachter Hr Rathh. Gilbart Zugegen ware. 3. Herrn Johann Heinrich Küchel, ledigen Musicum, so Majorennis und in Persohn dießem Geschäfft beÿgewohnt. 4. Herrn Johann Friderich Küchel, den Gastgeber und burgern allhier so in Persohn erschienen. Alle Vier der verstorbenen seel. mit eingangs gedachtem weil. Joh: Adam Küchel ihren gew. Ehemann seel. ehelich erzeugte Söhn und töchter und ab intestato zu gleichen portionen Verlaßene Erben.
Copia der vor mir Notario und Gezeugenden 21. Januarÿ Anno 1754. von der Verstorbenen seel. errichteten Codicilli

In einer allhier Zu Straßburg ane dem Finckweiler gelegenen und in dieße Verlaßenschafft gehörigen behaußung folgender maßen befunden worden, als
Eigenthumb ane einer behaußung. Neml. j. beh. u. hoffstatt s. hinterhß, wie auch übrigen Geb. Zugehördten, Rechten und Gerechtigkeiten allhier Zu Str. in dem Finckweiler 1.s neben N. Bucken, dem Schreiner, anderseit neben N. Salomon, dem Paßmentirer, und hinten auf vorgemelten Bucken stoßend, gelegen, so außer hernach bemeldten auf dießer behaußung hafftenden Capitalien, freÿ, ledig und eigen, und wie solche behaußung sambt Zugehörden hier um den jenigen Preiß, wie solche die defuncta in hievor eingetragenen Ihrem Vor mit Notario und Gezeugen errichteten Codicillo und deßen 2.do §° Ihrem ältern Sohn Hn Johann Heinrich Küchel dem ledigen Musico alhier prælegirt ausgeworffen nemlichen pro 1800. fl. oder 900. lb. Hierüber besagt ein pergamentener Kauffbrieff mit der Stadt Straßburg anhangendem Cantzleÿ Contract Insiegel Verwahrt Vom 8.t Julÿ 1748. ausweisend wie solche an H. Ehrmann den Courtier verkaufft worden, mit N° 1 notirt. Ferner ein pergamentener Kauffbrieff mit Löbl. Statt Straßburg anhangendem Cantzleÿ Contract Insiegel Verwahrt Vom 23. Martÿ 1748. anzeigend wie solche weil. H. Johann Adam Küchel diesorts gew. Ehemann an sich erkaufft mit N° 2 notirt
Series rubricarum hujus Inventarÿ. Sa. Haußraths 97, Sa. Wein 6, Sa. Silbers geschirr und Geschmeids 14, Sa. Goldener Ring 19, Sa. Eigenthums ane einer behausung 900. Summa summarum 1037. lb – Schulden 925 lb, Nach deren Abzug 112. lb – Legaten 62 lb – Conclusio finalis Inventarÿ 112 lb – Stall Summ 60. lb

L’orfèvre Jean Adam Küchel demande de consigner la fin de l’apprentissage de son fils Jean Henri chez feu l’orfèvre Jean Christophe Richshoffer. La veuve met comme condition que le père rembourse les sommes que l’apprenti doit au compagnon Jean Frédéric Roggenbach. Les parties arrivent à un accord. La fin de l’apprentissage est consignée le 9 juin 1740
1739, Protocole de la tribu de l’Echasse (XI 103)
(p. 940) Dienstag den 26.ten Maÿ Anno 1739
Johann Adam Küchel der Goldarbeiter erscheint und bittet um loossprechung und Außthuung seines Sohns Johann Heinrich Küchel, welcher beÿ weÿ: H. Johann Christoph Reichshoffer gelernet
H. Gottfried Imlin der Goldarbeiter nomine der Frau Richshofferin wittib, protestirt wieder die loos sprächung biß so lang Johann Friderich Roggenbach der Gesell, Krafft E. E. Großen Raths bescheid Vom 3. Decembris Anno 1738. contentirt seÿn möge 106. fl. 8 ß 3 ½ besagend.
Darauff haben sich die Parten auff Zuspruch Eines Ehrsamen Gerichts mit einander dahin gütlichen Verglichen, daß Johann Adam Küchel Vor seinen Sohn ane statt der in ermeltem Großen Rathsbescheidt geforderte 106. fl. 8 ß3 ½ d und übrige Uncosten von dato in sechs Monathe, Johann Friderich Roggenbach 40 gulden hießig Courrent bezahlen wolle, womit sich gedachter Roggenbach contentiren zulaßen erkläret, Alß dann wurde Erkannt, daß die gebettene Looßsprächung mit ertheilung des Lehrbrieffs biß zu Völliger bezahlung der Verglichenen 40. fl. erfolgen solle.

(p. 991) Donnerstag den 9. Junÿ Anno 1740 – Außgethaner Lehrjung
Johann Adam Küchel der Goldarbeiter erscheint und bittet, daß E. E. Gericht seinen leiblichen Sohn Johann Heinrich Küchel als Welcher beÿ Weÿland Hn Johann Christoph Richshoffer geweßenen Goldarbeiters und burgern allhier den 19. Novembris Anno 1731. auff Sechs Jahr lang in die Lehre eingeschrieben Worden, auch solche lehrzeit in Anno 1737 wieder Verfloßen, der erstandenen lehrzeit möchte loossprächen.
H. Gottfried Imlin als der verwittibten Frau Richshofferin gewesene Vogt consentirt in die loos sprächung in deme alles seine richtigkeit habe.
Erkand, beÿ sogestalt der Sachen Wird H. Küchel gegen Erlegter Gebühr in seinem begehren Willfahrt.

Le musicien Jean Henri Küchel meurt célibataire en 1768 chez son frère aubergiste au quartier Saint-Nicolas-aux-Ondes en lui léguant ses biens. Les experts estiment la maison 450 livres. L’actif de la succession s’élève à 482 livres, le passif à 935 livres. La succession comprend ce qui reste des biens féodaux Küchel de Küchelsperg.

1768 (29.9.), Me Fické (J. Charles, 6 E 41, 761) n° 381
Inventarium über Weiland des Wohl Ehren und vorachtbaren Herrn Johann Heinrich Küchel, des geweßenen ledigen Musici und burgers alhier Zu Straßburg nun seeligen Verlassenschaft auffgerichtet im Jahr 1768. – nach seinem Freÿtags den 16.ten Septembris dieses 1768.ten Jahrs aus dießem zergänglichen Weltleben genommenen tödlichen Hintritt verlaßen hat. Welche Vermögens Nachlaßenschafft heutigem zu End gesetzten Dato, auf Veranstalten und begehren Herrn Johann Friderich Küchel des Gastgebers Zum goldenen Thurn und burgers alhier, des Herrn Erblaßers leiblichen bruders und per Testamentum instituirten einzigen Erben, der Ordnung gemäs ersucht und inventirt worden. Wobeÿ dann alforderist eben dieser der Testaments Erben wie auch deßen Ehegattin Frau Maria Catharina gebohrne Kuglerin (…) geäugt und gezeigt – So bodenzinß Strasburg auf Donnerstag den 29.sten Septembris Anno 1768.

In einer alhier Zu Strasburg au quartier St. Nicolas gelegener behausung in welcher der Herr Defunctus sein letzteres Domicilium gehabt hat sich befunden, wie folgt.
Eigenthumb an einer Behaußung. Nemlich eine Behaußung, Höflein und Hofstatt samt Hintergebäud und Gumpbronnen, wie auch aller übrigen deroselben begriffen, Weithen, Zugehörden, Rechten und Gerechtigkeiten gelegen alhier Zu Strasburg jenseith St. Thomæ bruck, im Finckweiler, einseit neben H. Johann Philipp Buck dem Schreiner, anderseits neben Herrn Johann Wilhelm Salomon dem Paßmentirer hinden auf Herrn Abraham Jund, den Seidenhändler stoßend. Solche behausung ist auser denen darauf haftenden und hienach passive eingetragenen Capitalien gegen männiglichen freÿ, ledig, eigen und dermalen durch (die Werckmeister) vermög deren gemachter und sub dato 7.ten Octobris jüngst schriftlich ausgestellten, hienächst in verwahrung behaltener Abschatzung, gewürdiget und angeschlagen worden pro 900. fl. oder 450. Diese behausung hat des Herrn Erblaßers Vater, längst Weil. Hr. Joh: Adam Küchel, der gewesene Goldarbeiter und burger alhier, nach Erweis einer, unterm 23.ten Martii 1748. in alhiesiger C. C. Stube vorgegangenen, und daselbst unter ihrem anhangenden Insigel ausgefertigten Verschreibung käuflichen an sich gebracht. Eben aus dieser der Eltern, und Zwar der letztlebenden gewesener Mutter, Weiland Fraun Anna Margaretha gebohrner Silbachin seel. Verlaßenschafft, ist solche Anno 1757. dem Herrn Defuncto von deßen Geschwisterden und Miterben im ohnvertheilter Erbe Cessions weis überlaßen und deren Antheilern mit barer Zalung berichtiget worden, wie solcher Cession halben vorhanden ist, ein, von Herrn Notario Joh: Jacob Griesbach, dem zu solchem Erbgeschäft adhibirten Inventir schreiber sub dato 24. Aprilis 1758. ausgefertigt und unterschrieben Attestat. Ansonsten ist anoch darüber besagend, vorgewiesen worden ein älterer un alhiesiger C. C. Stub erricht und ausgefertigter Kaufbrief de Dato 8.ten Julii 1736.
Series rubricarum hujus Inventarii. Sa. Haußraths 24, Sa. Silbers und dergleichen Geschmeids 7, Sa. Eigenthums ane einer behausung 450. Summa summarum 482. lb – Schulden 935 lb, Passiv onus 452. lb
Lehens Gefälle betreffend. Derentwegen ist nur berichts weise anzumerckken, daß zwar die hiesige Kücheliche famille von ihren Vorfahren älterer Zeiten, die sich Küchel von Küchelsperg geschrieben, mancherleÿ Lehens Gefälle, in dem Elsaß, vermöge der von Kaiserlicher hoher authoritæt annoch beÿ Handen habender Verbriefungen gehabt erlangt und benutzet haben, die aber zum gröstem theil nach und nach verlohren gegangen, son daß davon heutiges tags nur annoch giebig verblieben die Abgabe einiger Bodenzinße von verschidenen Häusern Zu Oberehenheim die in Circa 34. fl. antreffen können und in der Vertheilung zu des Hn Defuncti Antheil sehr wenig angetroffen ausgemacht hat.
Copia Testamenti nuncupativi – Im Jahr 1768. (…) auf Sambstag den 18. Junÿ Nachmittags zwischen 3. und 4. Uhr der Ehrengeachte Herr Johann Heinrich Küchel der ledige Musicus, so majorennisis und burger alhier mich Ends unterschriebenen geschwornen offenbaren Notarium (…) zu sich in eine au quartier St. Nicolas gelegene zum goldenen Thurn genannte Gastbehausung berufen und kommen laßen, alwo wir denselben in einer Stuben auf dem erstern Stockwerck, mit den Fenstern auf die Gaß aussehend, zwar krancken Leibs, dahero auf einem Seßel sitzend, jedannoch vermittelst der Gnade Gottes, beÿ guter reichtigen Sinnen, Vernunft und Verstands (…) Johann Jacob Grießbach

L’aubergiste Jean Frédéric Küchel épouse en 1747 Marie Catherine Kugler, veuve de l’aubergiste Daniel Frédéric Reichard : contrat de mariage, célébration
1747 (21. 8.br), Me Marbach (Ph. Jacques, 33 Not 41)
Eheberedung – persönlich kommen und Erschienen Hr Johann Friderich Küchel, der Ledige würth undt Gastgeber, beÿständlichen des Ehrengeachten H. Joh: Adam Küchel, Goldarbeiters eines Vatters, wie auch des wohl Ehren Vesten undt Großachtbahren H. Tobiæ Gundelwein Gastgebers auff E. E. Zunfft der Gerber und Schöffen beÿ E. E. Zunfft der Freÿburger, und dann H. Johannes Herrenschneiders des Seiden : Knöpffmachers und burgers allhier seines vetters alß Hochzeiterer ahne Einem,
So dann die Viel Ehr undt Tugendbegabte Frau Maria Catharina Reichardtin gebohrne Kuglerin, weÿl. H. Daniel Fried. Reichardt gew. Würths und gastgebers Zum goldenen Falcken und burgers Zu Straßburg hinterlaßene wittib, mit zuziehung deß auch Ehrengeachten H. Johann David Kuglers sen. dermaligen würths und Gastgebers Zum goldenen Einhorn Ihres vatters, wie auch des Ehrenachtbahren Hn Joh: Georg Seltzam deß fasten: speishändlers alß deroselben 3.er KK. Voriger ehe geordnet und geschworner Vogten beeder auch burgere allhier alß hochzeiterin am andern theil – So geschehen allhier in der Königlichen freÿen Statt Straßb. Dienstags den 21. deß Monats Nov: A° Dni 1747. [unterzeichnet] Johann Friderich Kiechel als hochzeiter, Maria Catharina reichardtin wittib als hochzeitrin

Mariage, Temple-Neuf (luth. f° 286-v, n° 1024)
Eod. [Mittw. d. 6. Dec. 1747] seind nach ordentl. Proclamation Ehel. copul. u. eingesegnet worden H. Johann Friederich Küchel der led. gastgeber b. allhier H. Johann Adam Küchels Goldarbeiters u. b. allhier Ehl. Sohn, u. Fr. Catharina geb. Kuglerin w. H. Daniel Friderich Reichert geweß. gastgebers u. b. alhier nachgelaß. wittib [unterzeichnet] Johann friederich Küchel als hochzeiter, maria catharina Kiechlerin alß hoch Zeltterin (i 292)

Marie Catherine Kugler épouse Daniel Frédéric Reichard en 1731 : contrat de mariage, célébration
1731 (11.1.), Me Marbach (Ph. Jacques, 33 Not 41)
(Eheberedung) zwischen dem Ehrengeachten Hn Daniel Friderich Reichert, dem Ledigen Würth, weÿland Johann Georg Reicherts, auch gewesenen Würth und burgers Zu Straßburg, seligen nachgelaßenen ehelichem Sohn alß hochzeitter, ahne einem,
undt dann der Viel Ehr und tugendbegabten Jugfr. Mariæ Cathar: Kuglerin deß auch Ehren und Großachtbahren Herrn Johann David Kuglers würths und Gastgebers auff der Grünenwarth auch burgers Zu Straßburg ehelicher tochter alß der Jungfr. Hochzeitterin, am and. Theil
Beschehen in der Königl. freÿen Statt Straßburg (…) donnerst. den 11.ten deß Monats Januarÿ Anno 1731. [unterzeichnet] Daniel Friedrich Reichart als hochzeitter, Maria Catharina kuglerin als hochzeitterin

Mariage, Saint-Pierre-le-Vieux (luth. f° 137)
1731. domin. Septuages. et sexag. seind außgeruffen vnd Mittwochs darauff als den 31. Januarÿ Ehelich eingesegnet worden Daniel Friderich Reichard der Ledige Gastgeber vndt Burger allhier, Johann Georg Reichards geweßenen Burgers vndt gastgebers allhier Nachgel.Ehel. Sohn, vnd Jungfrau Catharina Kuglerin H. Johann Davidt Kuglers burgers vndt Gastgebers auff der Grüenwarth Ehel. Tochter, [unterzeichnet] Daniel Friderich Reichart hochzeittter, Maria cathar Kuglerin als hoch Zeiterin (i 139)

Jean Frédéric Küchel et Marie Catherine Kugler font dresser un inventaire non terminé de leurs apports dans une auberge rue Sainte-Barbe qui provient de la première communauté de l’épouse
1748 (24.2.), Me Marbach (Ph. Jacques, 33 Not 22) n° 313
Inventarium über des Ehrenachtbaren Herrn Joh: Friedrich Küchel, des Gastgebers zum Falcken und der Ehren und tugendsamen Fraun Mariæ Catharinæ gebohrner Kuglerin beeder Eheleuthe und burgere alhier Zu Straßburg einander in die Ehe gebrachte Nahrungen, auffgerichtet in Anno 1748. – einander in ihren den 6. Dec. 1747 angetrettenen Ehestand zugebracht und sich vermög deren vor mir Notario sub dato 21. Nov. 1747 errichteten Ehepacten §°. 4° vor ohnverändert reservirt und vorbehalten haben
Actum Straßburg in fernerer Gegenwarth Herrn Johann Adam Küchel, Goldarbeiters und b. alh. deßen Ehemanns Vatters und sodann H. Johann David Kuglers Gastgebers zum Einhorn und b. alhier der Ehefrau Vatters, den 24. Februarÿ 1748.
In einer alhier Zu Straßburg in der Barbarägaß gelegenen zum guldenen Falcken genannten und der Ehefrauen zu einer tertz gehörigen Gastbehausung hat sich befunden als
Ane Höltzen und Schreinwerck. In der Cammer A, In der Cammer B, In der Cammer C, In der Cammer D, In der Cammer E, In der obern hintern Stub, vorn draußen, In der obern Stub Cammer, In der vordern mittlen Stuben, In der hintern mittlern Stub
Eigenthum ahne einer Würths: behaußung [non terminé]

Jean Frédéric Küchel et Marie Catherine Kugler hypothèquent la maison au profit du batelier Martin Ochs

1769 (26.1.), Chambre des Contrats, vol. 643 f° 76
Johann Friedrich Küchel der gastgeber und Maria Catharina geb. Kuglerin deßen ehefrau mit beÿstand Johann Sigmund Baÿ des schreiners und Franz Adam Stoll des büttels E.E. Zunfft der kieffer als ihren nächsten
in gegensein Martin Ochs des steuermanns – schuldig seÿen 150 pfund
unterpfand, eine behausung cum appertinentis im Finckweiler, einseit neben N. Buck dem schreiner, anderseit neben N. Salomon dem Paßmentirer, hinten auff vorgemelten Buck

Jean Frédéric Küchel et Marie Catherine Kugler hypothèquent la maison au profit de Balthasar Stœhr

1769 (30.3.), Chambre des Contrats, vol. 643 f° 191
H. Johann Friedrich Küchel der gastgeber und Maria Catharina geb. Kuglerin mit beÿstand Sigmund Beÿ des schreiners und Franz Adam Stoll des büttels E.E. Zunfft der kieffer
in gegensein H. Balthasar Stöhr – schuldig sein 150 pfund
unterpfand eine behausung cum appertinentis im Finckweiler einseit neben Buck dem schreiner, anderseit neben N. Salomon dem Paßmentirer

La maison de Jean Frédéric Küchel est vendue par enchère judiciaire au pelletier Jean Michel Theurkauff moyennant 755 livres

1778 (10.4.), Chambre des Contrats, vol. 652 f° 128-v
Ganth kauff brieff – ist die Johann Friedrich Küchel dem ehemaligen gastgeber gehörigen im Finckweiler gelegene behausung einseit neben Mr Buck dem schreiner, anderseit neben N. Salomon dem paßmentirer, hinten auff den Jundischen erben garten
H. Johann Michael Theurkauff des kürschners als meistgebottenen 1310 gulden

Jean Michel Theurkauff qui a fait son apprentissage chez son père Jean Frédéric est reçu maître et tributaire le 25 janvier 1745
1745, Protocole de la tribu des Pelletiers (XI 331)
(f° 224-v) Montags den 25.ten Januarÿ A° 1745 – Neuzünfftiger
Meister Johann Friderich Theurkauff, der Kürßner stehet mit seinem Sohn, auch Johann Friedrich Theurkauff, dem ledigen Kürßnern, ebenfalls vor und weilen er eines Meisters Sohn, das Handwerck beÿ ihme Vattern erlernet, deßgleichen auch nach ordnung verwandert, und sonst sich erforderlich verhalten, umb das große Meisterrecht gegen Erlag der Gebühr angedeÿhen Zu laßen, Erkand auch willfahrt.
und zahlte er, wie vorher 3. fl. 8 ß 8 d
Darauffhin wurden dießen beeden Neuzünfftigen die Ordnungen Vorgeleßen, warüber sie dem Herrn Zunfftmeister mit Handtreu angelobt und geschwohren.

Jean Michel Theurkauff épouse en 1749 Marguerite Salomé Redslob ( Retzloff), fille de passementier : contrat de mariage, célébration
1749 (20.8.), Me Dautel (Fr. Henri, 6 E 41, 285) n° 244
Eheberedung – zwischen dem Ehrenachtbaren und Vorgeachten Meister Johann Michael Theurkauff dem ledigen Kürßnern, weÿland Herrn Johann Georg Theurkauffs des geweßenen Kürßners und burgers allhier, Mit der Ehren und tugendsamen Frauen Ursula Elisabetha gebohrner Weberin, seiner hinderblieben Wittib ehelich erzeugtem Sohn, als dem bräutigamb ane einem,
So dann der Viel Ehren und tugendbegabten Jungfrauen Margaretha Salome Redslobin, Herrn Johann Ludwig Redslob des Paßmentirers und Weÿland Fraun Susannæ Margarethæ gebohrner von Hipßheim, beeder Eheleuthe und burgere allhier Zu Straßburg ehelich erzeugter Tochter, als der Jungfrauen braut am andern theil – So geschehen und verhandelt allhier in der Königlichen Stadt Straßburg, auff Mittwoch den 20. tag des Monats Augusti anno 1749. [unterzeichnet] Johann Michaell Theur Kauff Als Hoch Zeiter, margaretha salome Rethloffin als hochzeiteri,

Mariage, Saint-Pierre-le-Jeune (luth. f° 195, n° 22)
1749. Mittw. d. 17. 7.br. sind nach 2.mahlen ordentl. Proclamation ehel. copulirt worden Joh: Michael Theur Kauff, lediger Kürschner u. b. h. l. weÿl. Joh: Georg Theur Kauff, gew. Kürschners u. b. h. l. ehel. sohn und Jgfr. Maria Salome Hn Joh: Ludwig Redtsloff d. passment. u. b. h. l. ehel. tochter [unterzeichnet] Johann Michael Theur Kauff hochzeider, margareda Salomea Retzloffin als hochzeidrin (i 199 – procl. Saint-Thomas f° 72 n° 406)

Les nouveaux mariés font dresser l’inventaire de leurs apports dans une maison de la famille Theurkauff rue Thomann. Ceux du mari s’élèvent à 567 livres, ceux de la femme à 247 livres
1750 (3.2.), Me Dautel (Fr. Henri, 6 E 41, 252) n° 421
Inventarium und beschreibung aller derjenigen Haab und Nahrung, Keinerleÿ davon außgenommen, so der Ehrenachtbare Meister Johann Michael Theurkauff, der Kürßner, undt die tugendbegabte Frau Margaretha Salome gebohrne Redslobin, beede Eheleuthe und burgere allhier Zu Straßburg einander in den Ehestandt zugebracht, und sich in Crafft der auffgerichteten Eheberedung vor ohnverändert vorbehalten haben – So geschehen allhier in der Königlichen Stadt Straßburg auff Dienstag den 3.ten Tag des Monats Februarii Anno 1750. In Gegenwart herrn Johannes Theur Kauff des Kürßners und burgers allhier, des Ehemanns geschwornen und dato annoch ohnentledigten Vogts, und Herrn Johann Ludwig Redtslobs des Seiden Knöpffmachers und Paßmentirers auch burgers allhier der Ehefrauen leiblichen Vatters.

In einer allhier Zu Straßburg ane dem Thomæloch gelegenen sogenannten Theurkauffischen behaußung folgender maßen sich befunden.
Series rubricarum hujus Inventarÿ. Des Ehemanns unverändert Vermögen berührend. Sa. haußraths 8, Sa. waaren und werckzeugs Zum Kirschner handwerck gehörig 512., Sa. Silber Geschirr und Geschmeids 12, Sa. baarschafft 142, Sa. Schulden 11, Summa summarum 687 lb – Schulden 150, Nach deren Abzug deren 537 lb, Denen beÿzulegen die dem Ehemann ane denen haussteuren gebührige Helffte 30 lb, des Ehemanns Vermögen 567 lb
Der Ehefrauen Guth betreffens, Sa. Haußraths 61, Sa. Silber geschirr und Geschmeids 15, Sa. Goldener Ring 18, Sa. baarschafft 162, Summa summarum 256 lb – denen beÿzurechnen die der Ehefraun ane denen haussteuren gebührige helfte 30, der Ehefrauen Guth 287 lb

Jean Michel Theurkauff meurt sans enfant en 1790 après avoir institué trois nièces pour ses héritières. Les experts estiment la maison 1 300 florins (650 livres). La masse propre à la veuve est de 1 041 florins, celle des héritiers de 1 501 florins. L’actif de la communauté qui comprend plusieurs maisons s’élève à 47 838 florins, le passif à 1 355 florins.

1790 (16.2.), Me Übersaal (6 E 41, 660) n° 276 (et 294, 309)
Inventarium über Weiland des Wohl Ehrenvest und Grosachtbaren Herrn Johann Michael Theurkauff, gewesenen Kürschners und Föchhändlers, auch Es En Kleinen Raths und Es Löbl. Polizei Gerichts alter wolverdienten Beisitzers und burgers alhier Zu Straßburg nunmehr seelig Vermögens: Nachlaßenschaft, aufgerichtet den 16. Februarii im Jahr 1790. – nachdeme Er Göttlichen Rathschluß nach den 10. dieses Monats das zeitliche mit dem Ewigen verwechselt, hinterlaß hat. Solches alles wurde auf Ansuchen des H. Erblaßers per Testamentum eingesetzter Erben, welche hernach benamset worden, wie auch H. Joh. Michael Redslob, des Paßmentierers, Seidenhändlers und burgers alhier, der Frau Wittib Margarethæ Salome gebohrnet Redslobin leiblichen Hn Bruders, welcher derselben wegen ihren schwachen Sinnen (…) zum Curatore personæ et bonorum ernennet worden – So geschehen und angefangen alhier Zu Straßburg in der an der grosen Stadelgaß gelegenen Sterb behaußung N° 19. in Gegenwart H. Notario hierzu erbetenen H. Assistenten, auf dienstag den 16. Februaii im jahr 1790.
Der verstorbene Herr Theurkauff hat in seinem verschlossen aufgerichteten Testament zu seinen erben eingesetzt und hinterlaßen 1° Frau Margaretham Dorotheam Häcklerin gebohrne Theurkauffin, Hn. Johann Friedrich Häckler, des Schneidermeisters und burgers alhier Ehegattin, beiständlich deßelben, in die erste Terz, 2° Jfr. Mariam Magdalenam Theurkauffin, so majorennis unter Assistenz H. Joh. Gottfried Siegfried, des Stadtpflästerers und burgers alhier, in den zweÿten dritten theil. Diese beÿde weil. Hn. Joh. Georg Theurkauff, des gewesenen Paßmentiers und hiesigen burgers, des Hn Erblassers bruders seel. ehelich erzeugt und hinterlaßene töcher, und
3. Frau Ursulam Walterin gebohrner Lutherin des H. Defuncti Niece unter Authorisation und beistand ihres Ehevogts Hn Joh. Daniel Walter, des Schuhmacher meister und burgers hieselbst, in den übrigen drritten Stammtheil. Welche Erbinnen nebst beede, Ehevögten und dem beistand unter beihilfe Hn Notarii Joh: Friderich Geis dieser Inventur persönlich beigewohet haben.

(f° 7) Eheberedung (…) auff Mittwoch den 20. tag des Monats Augusti anno 1749. Frantz Heinrich Dautel, Notarius juratus, Collationnirt Übersaal
Testament 18. aug. 1787
(f° 10) Eigenthum an Häusern. (T.) Erst. Eine behausung, höflein, Gemeinschafft eines bronnens und hofstatt ane der großen Stadelgaß (…)
(T.) It. eine behausung, höflein, bronnen und hoffstatt N° 11 ane der Schlauchgaß, (…)
(T.) It. eine behausung, höflein und hofstatt N° 9 cum appertinentis et dependentiis ane der Krebs- und Bischoffs-Gaß bei dem Roßmarck (…)
(T.) It. eine behausung, höflein und hofstatt mit N° 20 bei dem Roßmarckt ane der Krebsgaß (…)
(T.) It. eine behausung und hofstatt N° 34 ane der Waßersuppgaß (…)
(T.) It. eine behausung, höflein, gemeinschaft eines bronnens u. hofstatt N° 27 im grünen bruch (…)
(T.) It. eine behausung und hofstatt N° 98 samt Zugehörden und Rechten, gelegen alh. hinter dem Kronenburger-Zollhaus im grünen bruch am Wall (…)
(T.) It. eine behausung, höflein, bronnen u. hofstatt N° 15, samt Zugehörden u. Rechten, gelegen alh. im Finckweiler, eins. neben N. Buck, des Schreiners Wb, anders. neben N. Salomon, des Paßmentirers Wb, hinten auf Frau Jundin Wb. Garten stosendn so ledig, eigen u. geschätzt vor 1300 fl. Darüber lautet I. perg. Gantkaufbr. vom 6. April 1778.
(T.) It. ein fünffter Theil vor unvertheilt von und ane der hieoben unter der erben unveränderten Vermögen beschriebener behausung samt Zugehörden N° 23 im Thomanloch gelegen, gewürdiget vor 600 fl. (…)
(T.) So dann ein Gärtlein und Gartenhäuslein gelegen in der Ruprechtsau in der Oberau (…)
(f° 13) Ergäntzung der Frau Wittib währender Ehe abgegangenen unveränderten Guts. Nach Masgab Inventarii über beeder gewesener Ehepersohnen Zusammengebrachtes Vermögen durch weiland Herrn Notarium Franz Heinrich Dautel den 2. februarii 1750. auffgerichtet
(f° 16) Widums Verfangenschaft die Frau Wittib angehend. Nach Ausweis dersoselben vätterlichen Theil: Registers vom Jahr 1761. durch weiland Herrn Notarium Johann Rudolph Dinckel seel. ausgefertiget, hat weiland Herr Johann Ludwig Redslob der geweßene Paßmentirer Seidenhändler und burger alhier der Fr. Wittib Herrn Vater seelig seiner Wittib Fraun Mariæ Elisabethæ Redslobin gebohrner Widenmännin in dem Zweiten Paragrapho seines verschlossen auffgerichteten codicills vom 6. Februarÿ 1759. solange sie im wittwenstand verharren wird awen dritte Theil an einem Lädlein alhier auf dem Prediger: Kirchhof gelegen Zum Widem verordnet
(f° 23) Series rubricarum hujus Inventarii. Der Frau Wittib unverändertes Vermögen. Sa. hausraths 17 fl, Sa. Silbers 22 fl, Sa. goldener Ringe 22 fl, Sa. schulden 75 fl, Sa. Ergäntzung 905 fl, Summa summarum 1041 fl.
Diesemnach wird auch der Erben unverändertes Gutt verzeichnet, Sa. kleidung 109 fl, Sa. Silbers 10 fl, Sa. eigenthümlichen Antheils einer behausung 1800 fl, Ergäntzung o, Summa summarum 1919 fl – Schulden 417 fl, Nach deren Abzug 1501 fl
Endlich folgt auch die Beschreibung der gemein verändert und theilbaren Nahrung, Sa. hausraths 554 fl, Sa. weins 316 fl, Sa. Silbers 316 fl, Sa. goldener Ringe 357 fl, Sa. der Baarschafft 285 fl, Sa. Eigenthums ane Häusern 15.725 fl, Sa. Capitalien 22.360 fl, Sa. Schulden 7923 fl, Summa summarum 47 838 fl – Schulden 1355 fl, Detrahendo 46 482 fl
Summa Legaten 5226 fl. Detrahendo blieben an der Erbinnen eigenthümlicher Erbschaft 27 243 fl.
Zweiffelhaffte Pfenningzinß hauptgüter so in die theilbare Massam gehörig 850 fl. Zweiffelhaffte Schulden so in die theilbare Massam gehörig 1225 fl.

Les héritiers se partagent les immeubles. Les maisons quai du Finckwiller et rue Thomann reviennent à Marguerite Dorothée Theurkauff, femme du tailleur Jean Frédéric Hæckler, et à Marie Madeleine Theurkauff

1790 (28.5.), Me Übersaal (6 E 41, 660) n° 276, joint à l’inventaire du 16 fév.1790
zu weiland Herrn Johann Michael Theurkauff, des gewesenen Kürschners und Föchhändlers auch Es En Kleinen Raths und Es Löbl. Polizei Gerichts alten beisitzer seel. verlassenschaft Inventur und Erörterung adhibirten Inventir schreiber seind an heutigen Zu Ende gemeltem Tag persönlich erschienen 1° Herr Johann Michael Redslob, der Paßmentierer, Seidenhändler und burger alhier, als beeÿdigter Curator personæ et bonorum Margarethæ Salome Theurkauffin gebohrner Redslobin, gedachten Hn Theurkauffs seel. hinterbliebener Frau Wittib (…), 2.do Frau. Ursula Walterin gebohrne Lutherinn unter Authorisation und beÿstand ihres Ehevogts Hn Johann Daniel Walter, des Schuhmachers und burgers hieselbst, des H. Theurkauffs seel. vor eine terz hinterlaßene Testament: Erbin
welche in Gegenwart Fraun Margarethæ Dorotheæ Häcklerin gebohrner Theurkauffin, Hn Johann Friedrich Häckler, des Schneidermeisters und burgers alhier Ehegattin und Jungfraun Mariæ Magdalenæ Theurkauffin, weil. H. Joh: Georg Theurkauff des gewesenen Paßmentirers und hiesigen burgers seel. hinterlaßener ehelicher tochter (…) eigenthümlich cedirt (…) unter Autorisation und Verbeÿstädung ihres Ehemanns und Jungfrau Theurkauffin beiständlich H. Joh. Gottfried Siegfried des Stadtpflästerers und burgers hieselbst
Erstlich 14/45 Theile vor unvertheilt von und ane einer Behausung N° 23 im Thomanloch (…) 600 fl.,
Und 5/9 Theile vor unvertheilt von und ane einer Behausung, höflein, bronnen und hofstatt N° 15, samt Zugehörden und Rechten gelegen alhier im Finckweiler, einseit neben N. Buck, des Schreiners Wittib, anderseit neben N. Salomon des Paßmentirers Wittib, hinten auff Fraun Jundin Wittib Garten stoßend, so frei, ledig und eigen
zugangen und beschehen und zwar die 14/45 der behausung in dem Thomanloch vor und um 780 Gulden, das ist die völlige Behausung gerechnet zu 3010 fl
die Übergabe und annahme der 5/6.ter Theile an der behausung im Finckweiler aber ist zugegangen und geschehen Vor und um 955 Gulden – in summa 1720 fl
$$ ein 5t anteil welcher ehemals weil. Jfr. Maria Magdalena Theurkauffin des H. defuncto schwester zuständig war hat derselbe von Fr. Margaretha Salome geb. Häffnerin H. Christoph Tobiä Meyer des schreiners meisters sigriste der evangelischen gemeinde zum jungen St Peter ehegattin vermög. kaufbrieff C.C.Stub 12. aug. 1786 erkaufet worinn bedungen daß der H. käuffer die verkäufferin und ihren ehemann so lange dieser letztere die schreiner-Profession treiben wird in der XXin dieser behausung inhanbenden wohnung um den Mietzinß der 40 fl. ungestört lasse
So beschehen alhier Zu Straßburg auf Freitag den 28. Maji im Jahr 1790

Marguerite Dorothée Theurkauff, femme du tailleur Jean Frédéric Hæckler, et Marie Madeleine Theurkauff femme de Jean Georges Heinemann vendent la maison à l’imprimeur Jonas Lorentz

1795 (18 ventose 3), Strasbourg 9 (2, nouv. cote 3), Me Dinckel n° 172
b. Margaretha Dorothea geb. Theurkauff des b. Johann Friedrich Häcklers Schneiders Ehefrau und die b. Maria Magdalena Theurkauff des b. Johann Georg Heinemann des hiesigen Gelehrten Ehegattin
b. Jonas Lorentz buchdruckers
eine behaußung samt all deren begriffen, Weithen, Zugehörden, Rechten und Gerechtigkeiten im Finckweiler N° 15, einseit neben buckischen erben und anderseit neben den Salomonischen erben, hinten auff die Kuglerischen erben gelegen, ihnen Verkäufer als ein von weil. Johann Michael Theurkauff gew. Kürschner ererbtes gut eigenthümlich zuständig – um 12 500 livres
Enregistrement de Strasbourg, acp 31 F° 175-v du 26 vent 3

L’aubergiste Jonas Lorentz épouse en 1754 Catherine Madeleine Pauschinger, fille d’imprimeur : contrat de mariage, célébration
1754 (20.11.), Me Langheinrich (J. Daniel, 6 E 41, 739) n° 87
(Eheberedung) zwischen dem Ehren und Wohlvorgeachten Hern Jonas Lorentz dem jüngern leedigen Gastgebern auf Er En Zunfft der Gerber und burgern allher Zu Straßburg, des Ehrenvest und ohl vorachtbahren Herrn Jonas Lorentz Senioris Gastgebers Zur goldenen Muck und burgers allhier mit der Viel Ehren und tugendgezierten Frauen Anna Maria gebohrner Ißin ehelich erziehltem Herrn Sohn als dem Herrn bräutigam ane einem
So dann der Viel Ehren und Tugendreichen Jungfrauen Catharinä Magdalenä Pauschingerin, Weÿland des Wohl Ehrenvest Großachtbahr und Kunsterfahren Herrn Melchior Pauschingers, des geweßenen Buchdruckers und burgers allhier seeligen mit der Viel Ehren und tugendgezierten Frauen Anna Catharina gebohrner Witterin ehelich erzeugten Jungfer tochter, als de Jungfer Hochzeiterin ane dem andern Theil
So beschehen in der königlichen Statt Straßburg auf Mittwoch den 20.ten Novembris Anno 1754. [unterzeichnet] Jonas Lorentz junior als hochzeiter, Catharina Magdalena Pauschingerin als hochzeiterin

Mariage, Saint-Thomas (luth. f° 88 n° 532)
Anno 1754 mittwoch den 4. Decembr. seind nach zweÿmaliger ordentl. proclamation und Außruffung zu St Thomæ und zum A. St. Peter Zu St Thomæ copulirt und eingesegnet worden H. Lorentz Jonas, lediger Gastgeber, Hrn Jonas Lorentz gastgebers und burgers alhier ehel. Sohn, und Jungfr. Catharina Magdalena Pauschingerin weÿl. Hrn Melchior Pauschinger gewesenen buchdruckers und burgers allhie hinterlaßene ehel. tochter [unterzeichnet] Jonas Lorentz junior als hochzeiter, Catharina Magdalena Pauschingerin als hochzeiterin (i 90 – procl. Saint-Pierre-le-Vieux p. 119)

L’aubergiste Jonas Lorentz quitte la tribu des Fribourgeois pour s’inscrire à celle de l’Echasse (dont font partie les imprimeurs)
1762, Protocole de la tribu de l’Echasse (XI 104)
(f° 231) Mittwoch den 22.ten Septembris 1762 – Evangelischer Leibzünfftiger
Herr Jonas Lorentz Vormahls geweßener Gastgeber beÿ Einer Ehrsamen Zunfft der Gerber producirt Stallschein Vom 22. Septembris 1762. Crafft deßen Er beÿ Einer Ehrsamen Zunfft der Freÿburger als Zünfftiger außgathan, bittet ihme beÿ E. E. Zunfft der Steltz als einen Leibzünfftig auff und anzunehmen.
Erkandt willfahrt, df. 1. lb 11. ß 8 d., jur. eod.

L’imprimeur Jonas Lorentz meurt en 1802 en laissant pour seule héritière sa fille Catherine Madeleine, femme de l’imprimeur Jean Frédéric Schuler

1802 (8 thermidor 10), Strasbourg 15 (3), Me Lung n° 328, 837
Inventarium über weÿl. bgr Jonas Lorenz buchdruckers Verlassenschafft, Welchen nach seinem den 25. Pluvios jüngst aus dießer welt genommenen tödlichen hintritt (auffgerichtet worden) auff ansuchen bgrin Catharina Magdalena geb. Lorenz brgs Johann Friedrich Schuler auch buchdruckers Ehegattin, als des Defuncti mit weÿl. Frn Catharina Magdalena geb. Pauschinger erzeugter einziger Tochter und hinterlassener Universal Erbin
daß nach ihr der Erbin Frau Mutter schon vor vielen Jahren beschehenen Absterben ihre Verlassenschafft nicht inventirt worden sondern deren Vater der hinterbliebene Wittiber alles ohne unterscheid in handen und Genuß behalten – in der den 20. Novembris 1754 errichtet beÿ weÿl. Not. Langheinrich hinterlegten Eheberedung

Schiff und geschirr zur buchdruckereÿ gehörig, wie auch Verlag bücher und Laden waar, Nämlichen es zeigte die Tochter und deren Ehemann an, daß die vorhandene druckereÿ samt den Waaren von ihrer Großmutter weÿl. Frn Anna Catharina Pauschinger geb. Witter herkomme, als welche die dißortige Mutter zur einzigen Erbin hinterlaßen hatte, daß zwar über deren Verlassenschafft A° 1765 eine designation durch Not. Langheinrich errichtet worden
Ergäntzung A° 1755, durch Not. Langheinrich
Eigenthum ane häußern und einem Garten. Erstlichen eine behausung bestehend in Vorder: und hintergebäu höflein brunnen und hoffstatt samt übrigen zugehörden, rechten und Gerechtigkeiten ane der kleinen Gewerbslaube N° 5, einseit neben bgr. Joh. Martin Roth dem Weisbecken, anderseit neben bgr. Heinrich Rieß Schnallen Fabricant, hinten auff bgr. Nestler dem Apothecker, von dem Verstorbenen selbst und seinem tochtermann bewohnt, geschätzet für 600 zu Capital 12 000 fr – darüber besagt ein in der C.C.Stub errichteten Kaufbrieff vom 23. junÿ 1768 wobeÿ noch dreÿ dergleichen Kauffverschreibungen vom 16. martÿ 1751 und 19. Novembris 1736
Item eine behausung samt zugehörden ane dem Finckweiler N° 15 gelegen so aber seit dem Sterbfall durch die Erbin an bgr. bumsel alhier vermög des vor mir Notario den 15. floreal jüngst Kauf Contract verkauft worden vor 3000 fr
so dann eine behausung und Garten samt übrigen Gebäuen zugehörden, Rechten und Gerechtigkeiten in der Ruprechtsau ohnfern der Kronen, einseit neben Martin Baumert, anderseit ein Eck auf die Allmend gegen brg. türckheim hin über ausmachend und hinten theils auf solche Allmend und theils auf Lorenz heitz, außer daß von einem zu dem hintern Garten gezogenen und einem vor der behausung befindlichen Allmendplatz der hiesigen Kommune jährlich auf den 21. brumair 20 fr 15 c an allmend zinß reichen ist (ledig und eigen), Von einer kleinen Wohung daselbst und gemeltem Garten gibt Jacob Wild der Gartenmann jährlich an Zins 72 fr Und der genuß der übrigen theils der behausung samt dem Obst von den bäumen 170 fr, beedes 242 fr, beträgt demnach der gesetzmäßige Werth solchen Guths 4840 fr – dieser Garten wurde mit einem angefangenen Gebäud im Jenner 1788 von bgr Georg Schidt dem Maurer erkauft als dann aber durch den Defunctum vollends ausgebauet und der Garten so wie er sich jetzig befindet angelegt, worüber aber kein kaufbrieff sondern nur die für den Verkauf abbezalte Obligation und die bezalte baukosten zedul sich vorgefunden haben
Series rubricarum hujus Inventarÿ. das Mütterliche unveränderte Vermögen, schiff und geschirr zur buchdruckereÿ 14 000 fr, ergäntzung 5124 fr, summa summarum 19 124 fr
weilen kein vätterlichen unveränderte Guth vorhanden, so wird alles übrige unter einem titul als theilbar beschrieben, hausrath 2078 fr, gold 369 fr, häusern 19 840 fr, guth &&, pfenningzinß hauptgüter 2500 fr summa summarum 24 747 fr, wegzurechnen die der Fraun tochter ane ergäntzung 5124 fr, Nach deren Abzug 19 662 fr
Enregistrement de Strasbourg, acp 85 F° 24 du 10 therm. 10

Fils d’un marchand de soie, l’imprimeur Jean Frédéric Schuler épouse en 1777 Catherine Madeleine Lorentz : contrat de mariage, célébration
1777 (30.6.), Me Langheinrich (J. Daniel, 6 E 41, 740) n° 486
Eheberedung – zwischen dem Ehrenvest und Kunsterfahrenen Herrn Johann Friderich Schuhler, dem leedigen Buchdrucker, Weÿl. Hn. Joh: Friderich Schuhlers geweßenen Seidenhändlers und burgers allhier Zu Straßburg seel. nachgelaßenen Hn Sohn als dem Herrn Bräutigam ane einem,
So dann der Viel Ehr und hoch tugendgezierten Jungfer Catharinä Magdalenä Lorentzin, Herrn Jonas Lorentz, berühmten Buchtruckers und burgers allhier ehelich erzeugten Jgfr. tochter, als der Jungfer Hochzeiterin ane dem andern theil – So beschehen in Straßburg auf Montag den 30. Junÿ Anno 1777. [unterzeichnet] Johann Friderich Schulen als Bräutigam, Catharina Magdalena Lorenzin, als Braut

Mariage, Saint-Thomas (luth. f° 33-v, n° 66)
Im Jahr 1777 Montag den 14. Julii auf den Abend um sechs Uhr sind (…) in den Stand der heiligen Ehe eingesegnet worden Herr Johann Friderich Schuler der burger und ledige buchdrucker allhier, weiland herrn Johann Friderich Schuler, gewesenen burgers und Seidenhändlers allhier hinderlaßenen ehelicher Sohn, und Jungfrau Catharina Magdalena Lorentzin, Herrn Jonas Lorentz des buchdruckers und burgers allhier eheliche tochter [unterzeichnet] Johann Friderich Schuler als Hochzeiter, Catharina Magdalena Lorentz als Hochzeiterin (i 37)

Ancien marchand tributaire au Miroir, Jean Frédéric Schuler s’inscrit à la tribu de l’Echasse le 8 octobre 1777 pour devenir imprimeur
1777, Protocole de la tribu de l’Echasse (XI 112)
(p. 297) Mittwochs den 8.ten Octobris 1777. – Evangelischer Neuer Leibzünfftiger Joh: Friderich Schuhler ehemaliger Handelsmann und nunmahliger buchdrucker stehet vor und meldet, daß Er heutiges tags bereits beÿ E. E. Zunft Zum Spiegel seine Dimission erhalten, Ihme dißorths als einen leibzünfftigen auf und anzunehmen.
Erkand willfahrt doch daß Er innerhalb 8 tage sein Stallschein ad protocollum liefern solle. dt. 6. fl. vor das Zunfftrecht, 2. fl. Zu unterhaltung der Feurspritz 13. ß 4 d Vor den Pfenningthurn und 4. ß Vor das findlings hauß, jur. eod. prod. den Stallschein Vom 18. Octobris 1777.

Les nouveaux mariés font dresser l’inventaire de leurs apports dans une maison de location aux Petites Arcades. Ceux du mari s’élèvent à 1 295 livres, ceux de la femme à 2 778 livres

1777 (23.7.), Me Langheinrich (J. Daniel, 6 E 41, 736) n° 1013
Inventarium über der Wohl Ehrenvest und Kunsterfahrnen Herrn Joh: Friedrich Schuhlers, buchtruckers und der Viel Ehr: und hoch tugendgezierten fraun Catharinæ Magdalenä Schuhlerin geb. Lorentzin beeder Eheleuthe und burgere allhier Zu Straßburg einander vor ohnverändert in den Ehestand zugebrachte Nahrungen, auffgerichtet Anno 1777. – und sich vermög der vor mir unterschriebenen Notario unterm 30.ten Junii jüngst errichteten heuraths Verschreibung Vor unverändert vorbehalten haben – So beschehen in Straßburg in fernerer gegenseÿn Herrn Jonæ Lorentz Buchtruckers und burgers allhier der Ehefrauen geliebten herrn Vatters Auff Mittwoch den 23.ten Julÿ Anno 1777.

In einer allhier Zu Straßburg ane der Kleinen Gewerbslaub liegenden hiehero nicht gehörigen behaußung befunden worden Wie folgt.
Antheil ane einer Behaußung (H.) Nemblich ein Siebend. theil vor ohnvertheilt Von und ane einer aus Elterl. Succession herrührenden Behaußung mit allen deren rechten und Gerechtigkeiten gelegen allh. Zu Straßburg ane der Fladergaß, welcher Siebende theil dißorths ohnpræjudicirlich angeschlagen wird vor 3000. livres oder 750. lb
Series rubricarum hujus Inventarii. Des Eheh. in die Ehe gebrachtes Vermögen betreffend, Sa. haußraths 2, Sa. Silbers 11, Sa. golden Geschmeids 61, Sa. baarschafft 364, Sa. anteils ane I. Behaußung 750, Summa summarum 1189. lb – Dazu gerechnet deßen helffte ane denen haussteuren mit 105 lb, des Eheh. Vermögen 1295. lb
Diesemnach wid auch der Ehefr. vor unverändert in den Ehestand gebrachtes Gut beschrieben, Sa. haußraths 437, Sa. Silbers 44, Sa. golden Geschmeids 200, Sa. baarschafft 2000, Summa summarum 2672 lb – Und wann hiezu gerechnet wird, die übrige Helffte hernachgemelter Haussteuren anlangende 105 lb, So bestehet der Ehefr. gesamtes ind en Ehestand gebrachtes Gut in 2778 lb

Catherine Madeleine Lorentz femme de Jean Frédéric Schuler vend la maison au marchand Lemel Bumsel (qui prendra en 1808 le nom de Léon Boumsel)

1802 (15 floréal 10), Strasbourg 15 (5), Me Lung n° 454
bgrin Catharina Magdalena Schuler geb. Lorenz bgr Joh: Friedrich Schuler des buchdruckers Ehegattin als universal Erbin ihres Vaters weÿl. bgr Jonas Lorenz gewesenen buchdruckers
in gegensein bgr Lemel Bumsel handelsmann
eine Behausung bestehend in Vorder: und hintergebäu höflein hoffstatt brunnen samt übrigen zugehörden, Rechten und Gerechtigkeiten in dem Finckweiler N° 15, einseit neben weÿl. Joh: Philipp buck gew. Scheiners Erben, anderseit neben bgr Fleischhauer Meelhändler und hinten auff bgr Schneiter Md: Doctorem – der Verkäuferin Vater aus weÿl. bgr Joh: Michael Theurkauf gewesenen Kürschners Erbschafft käuflich an sich gebracht hat – um 3000 francken
Enregistrement de Strasbourg, acp 84 F° 87 du 17 florreal 10

Originaire de Hagenthal en Sundgau, Lemel Bumsel épouse à 17 ans Madigen Isaac native d’Obernai, âgée de 18 ans
Mariage, Strasbourg (n° 568)
Cejourd’hui 26° Messidor l’an III de la République française une et indivisible (…) Lemel Bumsel, âgé de 17 ans 6 mois, Négociant domicilié en cette commune depuis quatre ans, natif de Hagenthal District d’Altkirch, département du Haut Rhin, fils mineur de Wolf Bumsel, Négociant en cette commune, et de feüe Guten Bloch autorisé par ledit Wolf Bumsel son père ci présent, de l’autrepart Madigen Isaac, âgée d’environ 18 ans, domiciliée en cette commune depuis quatre ans, natif d’Oberehnheim district de Sélestatt, Département du Bas-Rhin, fille mineure de feu Isac Eléazar, Négociant à Amsterdam, et de Sara Moses (signé) leml bumsell, Madche Isac (i 141)

Les nouveaux mariés font dresser l’inventaire de leurs apports. Ceux du mari s’élèvent à 76 livres, ceux de la femme à 234 livres
1795 (18 frimaire 4), Strasbourg 1 (10), Me Lacombe n° 26
Inventaire des apports de Madich Isaac femme de Lemel Bumsel – comparus Lemel Bumbsel Cit. Negt. de cette commune et Madich Isaac, qu’ils se seroient mariés vers la fin de l’année troisième sans qui y ait eu d’autres conventions matrimoniales que celles qui sont d’usage chez la nation juive
que ladite Madich Isaac luy a apporté en mariage comme luy ayant été remis par Abraham Jonas en cette commune son Paratre 234 livres
que les dons appelés gobs que led. Bumsel a apportés 76 livres (signé, lemml bumsell, Madche Isel)
Enregistrement de Strasbourg, acp 38 F° 68-v du 19 fri 4

Madigen Isaac meurt en 1799 en délaissant deux enfants. L’inventaire est dressé dans une maison place d’Armes
1799 (1 brumaire 8), Strasbourg 9 (anc. cote 12), Me Bossenius n° 88
Inventarium über bürgerin Madichon Isaac im Leben gewesener Ehefrau bürgers Lämmel Bumsel Colporteur Verlassenschafft, hat in der 1. decade floréals letzt das zeitliche mit dem Ewigen verwechselt und zu erben verlaßen ihre mit dem Wittiber erzeugte zweÿ Kinder Isaac so dritthalb Jahr, Emanuel so 6 Monath alt, bürgers Marum Willard hiesiger Colporteur zum streitvogt ernennet
in fernerem gegenwart bürgers Wolff Bumsel hiesigen handelsmanns derer Erben Großvatter
in einer an dem parade Platz gelegen mit N° 4 bezeichneten und dießorts zum theil Lehnungsweiße bewohnenden behausung
vor Lacombe am 18 frimaire 4 Declaration
der Erben Vermögen, silbers geschirr 1007 fr und 198 fr, summa 1203 fr
alles und als in des Ehemanns Massam, hausrath 421 fr, schulden 1633 fr, In Gegeneinanderhaltung 1211 fr
Enregistrement de Strasbourg, acp 70 F° 51 du 3 bru 8

Lemel Bumsel se remarie en 1800 avec Judith Bloch de Hattstatt : contrat de mariage, célébration
1800 (17 prairial 8), Strasbourg 1 (19), Me Lacombe n° 1065
Contrat de mariage – Loemel Bumsel de Strasbourg et
Judith Raphael Bloch de hattstatt
Enregistrement de Strasbourg, acp 74 f° 59 du 23 pr 8

Mariage, Strasbourg (n° 243)
Cejourd’hui 30° Floréal l’an VIII de la République française une et indivisible (…) Lemel Bumsel, âgé de 23 ans, Colporteur, domicilié en cette ville depuis huit ans, natif de Hagenthal département du Haut Rhin, fils de Wolf Bumsel, marchand en détail, et de feu Gutel Bloch, veuf de Mattichen Isaac, d’autre part Jüdelé Bloch, agée de 21 ans accomplis, née et domiciliée à Hattstadt Département susdit, fille de Follen Bloch, colporteur au dit lieu, et de feue Rosette Weil (…) l’acte de décès de Mattichen Isaac épouse en premières noces du futur portant d’elle est morte en cette ville le 24 ventôse dernier (signé) leml bumsell Jeuen bloch (i 127)

1808, Déclaration des noms par les Juifs, Strasbourg (f° 140)
n° 829. Léon Boumsell – (…) s’est présenté Lemmel Boumsell, négociant domicilié en cette ville au vieux Marché aux grains N° 12, lequel nous a déclaré conserver le nom de Boumsell pour nom de famille et prendre celui de Léon pour prénom et a signé avec nous le présent acte le 21 octobre 1808
n° 830. Judith Bloch – (…) s’est présentéé Judith Bloch Epouse de Léon Boumsell, négociant, qui se nommait antérieuremment Lemmel Boumsell, domiciliée en cette ville au vieux Marché aux grains N° 12, lequel nous a déclaré conserver le nom de Bloch pour nom de famille et celui de Judith pour prénom et a déclaré ne savoir signer, le 21 octobre 1808
n° 831. Jeannette Boumsell – (…) s’est présenté Léon Boumsell, négociant, qui se nommait antérieuremment Lemmel Boumsell, domicilié en cette ville au vieux Marché aux grains N° 12, lequel nous a déclaré conserver à Güttel sa fille mineure née en cette ville le 9 germinal an IX le nom de Boumsell pour nom de famille et lui donner celui de Jeannette pour prénom et a signé avec nous le présent acte le 21 octobre 1808
n° 832. Rose Boumsell – (…) s’est présenté Léon Boumsell, négociant, qui se nommait antérieuremment Lemmel Boumsell, domicilié en cette ville au vieux Marché aux grains N° 12, lequel nous a déclaré conserver à Rose sa fille mineure née en cette ville le 9 vendémiaire an XI le nom de Boumsell pour nom de famille et lui donner celui de Rose pour prénom et a signé avec nous le présent acte le 21 octobre 1808
n° 833. Julie Boumsell – (…) s’est présenté Léon Boumsell, négociant, qui se nommait antérieuremment Lemmel Boumsell, domicilié en cette ville au vieux Marché aux grains N° 12, lequel nous a déclaré conserver à Julie sa fille mineure née en cette ville le 10 frimaire an XIII le nom de Boumsell pour nom de famille et celui de Julie pour prénom et a signé avec nous le présent acte le 21 octobre 1808
n° 834. Raphaël Boumsell – (…) s’est présenté Léon Boumsell, négociant, qui se nommait antérieuremment Lemmel Boumsell, domicilié en cette ville au vieux Marché aux grains N° 12, lequel nous a déclaré conserver à Raphaël son fils mineur né en cette ville le 20 décembre 1807 le nom de Boumsell pour nom de famille et celui de Raphaël pour prénom et a signé avec nous le présent acte le 21 octobre 1808
n° 835. Isaac Boumsell – (…) s’est présenté Léon Boumsell, négociant, qui se nommait antérieuremment Lemmel Boumsell, domicilié en cette ville au vieux Marché aux grains N° 12, lequel nous a déclaré conserver à Isaac son fils mineur né en cette ville le 4 nivôse an V de lui et de feu Mattigé Jonas son épouse en premières noces le nom de Boumsell pour nom de famille et celui d’Isaac pour prénom et a signé avec nous le présent acte le 21 octobre 1808
n° 836. Emanuel Boumsell – (…) s’est présenté Léon Boumsell, négociant, qui se nommait antérieuremment Lemmel Boumsell, domicilié en cette ville au vieux Marché aux grains N° 12, lequel nous a déclaré conserver à Emanuel son fils mineur né en cette ville le 29 pluviôse an VII de lui et de feu Mattigé Jonas son épouse en premières noces le nom de Boumsell pour nom de famille et celui d’Emanuel pour prénom et a signé avec nous le présent acte le 21 octobre 1808

Le marchand Lemel Bumsel vend la maison aux boulangers Jean Jacques Rieffel et Philippe Bahl

1808 (19.5.), Strasbourg 12 (19), Me Wengler n° 3219
Lemel Bumsel négociant
à Jean Jacques Rieffel et Philippe Bahl les deux boulangers demeurant grande rue n° 33 acquéreurs pour moitié
une maison consistant en bâtiments de devant et de derrière avec petite cour puits tréfionds ses appartenances droit et dépendances sise à Strasbourg quai Finckwieler n° 15, d’un côté le Sr Jacques Staedel tonnelier, de l’autre le Sr Fleischhauer farinier, devant audit quai,, derrière le Sr Scheiter docteur en médecine – acquis de Catherine Madeleine Lorentz épouse de Jean Frédéric Schuler, imprimeur a Strasbourg, par contrat passé devant Me Lung le 15 floréal 10 – moyennant 3456 francs
Enregistrement de Strasbourg, acp 106 f° 37-v du 20.5.

Ils revendent la maison l’année suivante à Jean Henri Mæchling

1809 (11.10.), Strasbourg 12 (27), Me Wengler n° 4305
Jean Jacques Rieffel boulanger demeurant grande rue n° 33, Philippe Bahl aussi boulanger demeurant même maison du Sr Rieffel
à Jean Henri Maechling boulanger demeurant grande rue n° 39
une maison consistant en bâtiment de devant et de derrière avec petite cour, puits, tresfond et toutes ses autres appartenances, droits et dépendances sise à Strasbourg quai Finckwiller n° 15, d’un côté le Sr Jacques Staedel tonnelier, d’autre Sr Fleichhauer farinier, par devant la rue, par derrière le Sr Schneiter docteur en médecine – acquis de Lemel Bumsel négociant par acte reçu par le notaire soussigné le 18 mai 1808 – moyennant 3555 francs faisant 3600 livres
Enregistrement de Strasbourg, acp 113 f° 88-v du 12.10.

Veuf de Marguerite Salomé Lauffenburger qu’il avait épousée en 1791, le boulanger Jean Henri Mæchling se remarie en 1793 avec Catherine Salomé Lipp, fille de boulanger
1793 (1 nivose 2), Strasbourg 4 (1), Me Albert n° 114
Eheberedung – persönlich erschienen der bürger Johann Heinrich Mächling, becker und Wittiber alhier als hochzeiter ane einem,
und Jungfrau Catharina Salome Lipp des burgers Johann Daniel Lipp auch Beckers allhier mit der bürgerin Margaretha gebohrner Fix seiner Ehefrauen erzeugte eheliche tochter, so großjährig, unter beÿständung erstgemelten ihres auch gegenwärtigen Vaters als Hochzeiterin am andern theil – So geschehen und abgelesen Zu Straßburg in Mein des Notarii Schreibstube in der Fladergaß N° 18 am Primidi den Ersten Nivos Nachmittag Im Zweÿten Jahr de Ein und unzertrennlichen fränckischen Republick [unterzeichnet] Michel Maechling, Catharina Salomea Lipp

Mariage, Strasbourg (n° 639)
Cejourd’hui 6 nivôse de l’an second de la république françoise, (mariage) d’une part Jean Henri Maechling Boulanger agé de 29 ans né et domicilié en cette ville fils légitime de Jean Thiebaut Machling Boulanger et de feu Marie Elisabeth Theurkauf, veuf de Marie Salomé Lauffenburg de l’autre part Catherine Salomé Lipp agée de 39 ans née et domiciliée en cette ville, fille légitime de Jean Daniel Lipp Boulanger et de Catherine Marguerite Vix (signé) Johann Heirnich Mächling, catharaina Salmea Lippin (i 11)

1791 (9. 7.br), Me Albert (Jean Georges 6 E 41, 849) n° 107
Eheberedung – persönlich erschienen H. Johann Heinrich Mächling, der leedige beckermeister dahier, Herrn Johann Theobald Mächling des ebenmäßigen beckermeisters und hiesigen burgers, mit weiland Frauen Maria Elisabetha gebohrner Theurkaufin ehelich erzeugter Sohn, so großjährigen alters, unter beistand erstgedachten seines leibl. Vaters als Hochzeiter ane einem,
und Jungfrau Margaretha Salome Lauffenburgerin, H. Joseph Lauffenburgers, des Adlerwirths zu Schiltigheim mit Frauen Anna Maria gebohrner Freÿßin ehelich erzeugte tochter, so wegen ihrer noch nicht erlangter Volljährigkeit von erstbemeltem ihrem Vater hierzu verbeistandet und autorisirt als hochzeiterin – So beschehen Allhier Zu Straßburg auf Freÿtag den 9. Tag des Monaths September Im Jahr der Gnaden 1791 und im dritten Jahr der frantzösischen Freÿheit [unterzeichnet] Johann Heinrich Mächling Hochzeüter, Margaretha Salome Lauffenbergerin hochzeiterin

Marguerite Salomé Lauffenburger meurt en 1793 en délaissant deux enfants dont l’un meurt peu de temps après sa mère. Le veuf déclare qu’il ne possède rien. Il a employé l’héritage de sa mère à exercer son métier mais les circonstances de la Révolution ne lui ont pas été favorables
1794 (1 pluviose 2), Strasbourg 4 (20), Not. Roessel n° 263
Inventarium über Weÿland der Bürgerin Margaretha Salome Mächling geborne Laufenburger, des bürgers Johann Heinrich Mächling d. Beckers alhier zu Straßburg, im Leben gewester Ehefraun, nunmehrige Verlaßenschafft, auffgerichtet im zweiten Jahr der Ein und ohnzertheilbaren Francken Republick 1794 vieux style. – nach ihrem d. 7. Aprilis 1793 (alten style) aus dießer welt genommenen tödl. Hientritt verlaßen hat (…) So geschehen, angefangen, abgelesen und unterschrieben Straßburg den Ersten Pluvios im Zweiten Jahr der francken Ein und ohnzertheilbaren Francken Republick, in einer alhier ane der Utten Gaß gelegener mit N° 13 bezeichneter Sterb behaußung
Die nun verstorbene B. Mächling hat ab intestato Zu Erben Verlaßen ihre Zweÿ mit eingangs gedachtem hinterbl. Wittiber ehelich erzeugte Kinder mit Nahmen Margaretha Salome Mächling, so ohngef. 2. Jahr alt und Joh: Heinrich Mächling, so aber in einem alter von 2. Monath seithero und zwar nach der mutter verstorben ist. Dieses noch lebender töchterlens geschworner Vogt ist der hiesige burg. Michel Frühninsholtz, bohrenmacher

Bestehet also die Ergäntzung der verstorbenen abgegangenen Vermögens, so denen Erben Zu verguten in 1295 lb
Summa summarum des von der Verstorbenen Vermögen 2977, namlich ane Haußrath 1471, ane Silber und Gold 10, ane Ergäntzung 1295, ane einer Activ-Schuld 200
Des Wittibers eigenes Vermögen wie auch das sonsten währender Ehe erwerbende so genannte Theilbare gut betreffend. Hierüber hat sich der Burger Johann Heinrich Mächling, als dißortiger Wittiber, in gegenwart des burgers Michel Frühinsholtz als des noch lebenden Töchterlins und Erbin vormunds, dahin vernehmen laßen und declarirt, wie daß Er vor sich keine haußräthliche Effecten noch einig liegendes Gut oder Activ-Schulden in diese nun Zetrennte Ehe gebracht, maßen auch das Schiff und geschirr Zur Becken Profession, so wie die becken behausung, worinnen Er wohnt, annoch seinem Vater gehörig seÿe, von welchem Er zwar, nach dem Inhalt des 5.ten Punctens der Eheberedung, beÿ dem Antritt dieser Ehe, sein Mütterlich Gut erhalten, so Er aber Zur Treibung seiner Profession verwendet, worinnen er, beÿ der bisherigen Revolutions: und Kriegs Zeit bekannter maßen einen überaus grosen Nachstand erlitten, solchergestalten daß auch in solcher Laage, und Zugleich wegen den beständigen kräncklichen Umbständen seiner Verstorbenen Ehefrauen, durch sie damit verbunden gewesene grose Unkosten, während dieser Kaum Zweÿ Jahr lang gedaurten Ehe, nicht das geringste ane erworbenen oder genannten Theilbaren guth vorhanden seÿn Könne.
Abschrifft der Eheberedung (…) Straßburg auf Freitag den 9. tag des monats Septembr. im Jahr d. gnaden 1791. Joh: Georg Albert
acp 20 f° du 9 pluv. 2

Jean Henri Mæchling loue la maison au serrurier Nicolas Kissel

1809 (30.10.), Strasbourg 7 (48), Me Stoeber n° 813, 9295
Bail de 6 années – Jean Henri Maechling Propriétaire
à Nicolas Kissel serrurier sous le cautionnement de Matias Bollong serrurier
une Maison consistant en deux Corps de logis Cour et puits avec toutes ses appartenances située au quartier Finckweiler n° 15, d’un côté le Sr Staedel tonnelier, d’autre la veuve freissenhauer, aboutissant sur le Sr Schneider Medecin – moyennant un loyer annuel de 816 francs
Enregistrement de Strasbourg, acp 113 F° 107-v du +0.10.

Jean Henri Mæchling meurt en 1835 en délaissant une fille, Marguerite Salomé Mechling

1835 (28.2.), Strasbourg 12 (135), Me Noetinger, n° 7078
Inventaire de la succession de Jean Henri Mechling, ancien boulanger, décédé le 2 février 1835 et de Salomé Catherine Lipp décédée le 23 du même mois – à la requête de Marguerite Salomé Mechling, majeure, seule et unique héritière de ses père et mère, légataire par testament public reçu Me Noetinger le 2 décembre 1834 enreg. le 25 courant – Contrat de mariage Me Albert le 1 ventose 2, dans la maison mortuaire rue Finckwiller n° (-)
immeuble, une maison consistant en un bâtiment de devant et de derrière, petite cour, puits, appartenances et dépendances sise rue Finckwiller n° 15, d’un côté le Sr Schertling, d’autre le Sr Mitzel, devant le quai, derrière le Sr Schneiter docteur en médecine – occupée en partie par la succession en par des locataires évaluée à 200 fr de revenu faisant en capital 4000 fr – acquise durant le mariage de Jean Jacques Riefel et Philippe Bahl les deux boulangers, par acte reçu Me Wengler le 11 octobre 1809
communauté actif 28 213 fr, passif 4546 15 fr
Enregistrement de Strasbourg, acp 230 f° 106 du 2.3.

Marguerite Salomé Mechling vend la maison à Marie Salomé Mechling, sa cousine germaine, épouse du taillandier Frédéric Werner

1836 (7.6.), Strasbourg 12 (140), Me Noetinger n° 8301
Donation entre vifs – Marguerite Salomé Mechling, majeure sans profession
à Marie Salomé Mechling, sa cousine germaine, épouse de Frédéric Werner, taillandier
3. une maison consistant en bâtiment de devant et de derrière, petite cour, puits, appartenances et dépendances sise à Strasbourg rue Finckwiller n° 15, d’un côté le Sr Schertling, d’autre le Sr Mitzel, par devant le quai, par derrière le Sr Schneiter – estimée à un revenu annuel de 200 fr ou un capital de 4000 fr – recueilli la moitié de son père Jean Marie Mechling, ancien boulanger dont elle est seule et unique héritière, suivant inventaire dressé par Me Noetinger le 28 deux .1835, l’autre moitié léguée par sa belle mère Catherine Salomé Lipp veuve du Sr Mechling suivant testament public reçu Me Noetinger le 2 décembre 1834 enreg. le 25 février 1835. Le Sr Mechling et la De Lipp ont acquis le même immeuble de Jean Jacques Riefel et Philippe Bahl, tous deux boulangers, par vente reçue Me Wengler le 11 novembre 1809, plus la nourrir convenablement et de la manière à laquelle la bonne bourgeoisie y est habituée à Strasbourg, la loger habiller, nipper, chauffer, servir, éclairer et chauffer dans sa chambre
Enregistrement de Strasbourg, acp 241 f° 64 du 16.6.

Le taillandier Frédéric Jacques Werner épouse Marie Salomé Mechling en 1812
1812 (9.9.), Strasbourg 4 (41), Me Stoeber n° 2031
Contrat de mariage – Frédéric Jacques Werner, taillandier, fils majeur de 27 ans de Léonard Frédéric Werner, taillandier, et de Marie Dorothée Schoelhammer demeurant quai des bateliers n° 47
Marie Salomé Mechling, fille majeure 24 ans de Michel Mechling, brasseur, et d’Anne Marie Stambach demeurant rue du Bétail n° 8
Enregistrement de Strasbourg, acp 120 F° 113-v du 11.9.

Marie Salomé Mechling meurt en 1837 en délaissant deux fils

1837 (29.7), Strasbourg 12 (144), Me Noetinger n° 9449
Inventaire de la succession de Marie Salomé Mechling femme de Jacques Frédéric Werner, taillandier, décédée le 26 février 1837, à la requête du mari à cause de la communauté de biens, donataire en usufruit suivant contrat de mariage reçu Me Stoeber aîné le 9 septembre 1812, 2. Jacques Frédéric Werner fils taillandier, en son nom et curateur de Frédéric Auguste Werner son frère mineur émancipé, 3. Frédéric Auguste Werner, taillandier mineur
dans la maison mortuaire quai des Bateliers n° 49
Par acte de donation reçu Me Noetinger le 7 juin 1836 transcrit au bureau des hypothèques volume 309 n° 48 il a été fait donation à la défunte de 3. une petite maison consistant en bâtiment de devant et de derrière, petite cour, puits, appartenances & dépendances située à Strasbourg rue Finckwiller n° 15 , d’un côté le Sr Schertling, d’autre le Sr Mitzel, par devant le quai, par derrière Mde Münch, estimée 4000 fr 4000 fr
Enregistrement de Strasbourg, acp 251 f° 92-v du 2.8.

Les héritiers de Marie Salomé Mechling vendent la maison au menuisier Chrétien Schmutz et à sa femme Cathérine Gassmann

1841 (24.6.), Strasbourg 12 (154), Me Noetinger n° 13 558
Vente – Furent présens 1. le sieur Frédéric Werner taillandier, 2. le sieur Jacques Frédéric Werner fils aussi taillandier, 3. le sieur Frédéric Auguste Werner taillandier, tous demeurant à Strasbourg, (vendent)
au sieur Chrétien Schmutz menuisier & à dame Cathérine Gassmann son épouse demeurant à Strasbourg
Une maison consistant en bâtimens de devant et de derrière, petite cour, puits, appartenances et dépendances, sise à Strasbourg, rue Finckwiller n° 15, tenant d’un côté au Sr Hahn, de l’autre au Sr Mitschler, pardevant au quai, par derrière au Sr Taubert
Ladite maison dépendait de la succession de feu dame Marie Salomé Mechling vivante épouse du Sr Frédéric Werner comparant et par suite du décès de cette dame elle est échué aux dits Jacques Frédéric Werner fils et Frédéric Auguste Werner ses deux enfants et seuls héritier par moitié ainsi qu’il résulte de l’inventaire dressé par Me Noetinger l’un des notaires soussignés le 19 juillet 1837. M. Werner père avait l’usufruit de la moitié de ladite maison suivant son contrat de mariage passé devant Me Stoeber ainé notaire à Strasbourg le 9 septembre 1812 lequel usufruit se trouve éteint au profit des acquéreurs par suite du concours du Sr Werner à la présente vente. Ladite dame Werner née Mechling en était devenue propriétaire au moyen de la donation qui lui en avait été faite par Dlle Marguerite Salomé Mechling demeurant à Strasbourg sa cousine germaine suivant acte passé devant Me Noetinger le 7 juin 1836. La dlle Mechlming avoit recueilli une moitié du dit immeuble dans la succession de son père M. Jean Henri Mechling boulanger à Strasbourg dont elle était seule et unique héritière et l’autre moitié dans la succession de Catherine Salomé Lipp sa belle-mère vivante veuve dudit Sr Mechling aux termes du testament public de cette dernière reçu par ledit M Noetinger le 2 décembre 1834. Les Sr et dame Meching avaient acquis cette maison de Jean Jacques Rieffel et de Philippe Bahl les deux boulangers à Strasbourg suivant contrat passé devant Me Wengler notaire à Strasbourg le 11 octobre 1809 – moyennant le prix de 5000 francs
acp 288 (3 Q 30 003) f° 97-v

Originaire de Müttersholtz, l’ouvrier menuisier Chrétien Schmutz se marie en 1836 avec Marie Catherine Gassmann, originaire de Niederlustast en Palatinat, veuve du journalier Jacques Frédéric Preiss qu’elle avait épousé en 1824
Mariage, Strasbourg (n° 190) Du 16° mai 1836, acte de mariage de Chrétien Schmutz, majeur d’ans, né en légitime mariage le 13 septembre 1808 à Müttersholtz, domicilié à Müttersholtz, ouvrier menuisier, fils de feu Jean Gaspard Schmutz, menuisier décédé à Müttersholtz le 18 février 1819 et de feue Marie Barbe Sigwalt décédée à Müttersholtz le 2 octobre 1831, et de Marie Catherine Gassmann, majeure, trouvée exposée le 10 juillet 1789 à Niderlustatt (Bavière Rhénane) domiciliée à Strasbourg, veuve de Jacques Frédéric Preiss, journalier, décédé en cette ville le 11 avril 1835 (signé) Christian Schmutz, l’épouse a dit ne savoir signer (i 6)

Mariage, Strasbourg (n° 42)
Acte de mariage célébré le 15 décembre 1824. Jacques Frédéric Preiss, Majeur d’ans né en légitime mariage de 25 janvier 1781 à Heidenheim (Würtemberg) domicilié à Strasbourg, garçon menuisier, fils de feu Jean Preiss Chirurgien décédé à Heidenheim le 20 janvier 1819 et de feu Frédérique Louise Preuninger décédée au même lieu le 22 mai 1797, et Marie Catherine Gassmann, Majeure domiciliée à Strasbourg, Enfant trouvé exposé à Niedelustatt (Bavère Rhénane) le 10 juillet 1789 (signé) Jacob Friederich Preiß, L’épouse a dit ne savoir signer

Chrétien Schmutz et Catherine Gassmann hypothèquent la maison au profit de Frédéric Griesbach

1856 (17.3.), Strasbourg 13 (nouv. 80), Me Flach (Jean Georges)
Obligation – Ont comparu Le Sieur Chrétien Schmutz, menuisier & sous son autorisation De Catherine Gassmann, conjoints demeurant ensemble à Strasbourg (déclarent devoir)
à Mr Frédéric Griesbach, ouvrier d’état demeurant à Strasbourg, la somme principale de 700 francs
hypothèquent spécialement Une maison consistant en bâtiments de devant & de derrière, petite cour, puits, appartenances & dépendances, sise à Strasbourg, rue Finckwiller n° 15, tenant d’un côté au Sr Hahn, de l’autre au Sr Mitschler, pardevant au quai, par derrière au Sr Taubert
Les débiteurs assurent que l’immeuble ci-dessus hypothéqué (…) leur appartient en toute propriété par l’acquisition qu’ils ont faite 1. du Sr Frédéric Werner taillandier, 2. du Sr Jacques Frédéric Werner fils aussi taillandier, & du Sr Frédéric Auguste Werner taillandier, tous demeurant à Strasbourg, en vertu d’un contrat de vente passé devant Me Charles Noetinger & son Collègue notaires à Strasbourg le 24 juin 1841. Les débiteurs déclarent que les bâtiments composant la maison hypothéqués sont assurés contre les dangers du feu par le compagnie d’assurance contre l’incendie dite le Phénix suivant police datée de Strasbourg du 21 mai 1849n laquelle police sera jointe & annexée aux présentes
(extrait de la police d’assurance) savoir 7500 francs, sur une maison à lui qu’il habite avec des locataires, sise à Strasbourg quai du Finckwiller N° (-) à rez de chaussée sur cave sous sollives, trois étages et comble à deux greniers, le rez de chaussée et les pignons mitoyens en pierres & briques, les étages en briques et bois, les escaliers en bois, poêle de fontes dans toutes les localités
2° Le mobilier dans les localités qu’il occupe consistent en lits, literien meubles en bois, horloge, glace, tableaux ci 1000, linge, habillements, toile 1200, ustensiles de ménage, de cuisine et de lessive, un établi et outils de menuisierie 200, Total assuré de 10 000 francs


Les Maisons de Strasbourg sont présentées à l’aide de Word Press.