4, rue du Vieux-Seigle
Rue du Vieux-Seigle n° 4 – IV 321 (Blondel), N 923 puis section 60, parcelle n° 97 (cadastre)
Millésime 1729 au-dessus du portail, maître d’ouvrage Jean Guillaume Weinnemmer, receveur – Démolie en 1939


Devanture et portail vers 1910 (AMS, cote 1 Fi 156) – Même endroit en 1968, la maison se trouvait à l’emplacement des trois dernières arcades
L’orfèvre Pierre Dreyer vend en 1583 au notaire Daniel Bürtsch la maison qui se trouve à côté de la Monnaie. Adolphe Kirchhoffer (propriétaire de la maison à l’arrière, actuel 3, rue de la Lanterne) se réserve en 1585 le droit de conserver six ouvertures dans son pignon donnant vers son voisin. La maison qui ne figure pas dans le Livre des communaux dressé en 1587 appartient alors au notaire Frédéric Riehl. Le juriste Jean Scheid qui occupera des fonctions en-dehors de la ville achète en 1593 la maison qui revient à sa fille, femme du docteur en droit Jean Charles Wogeser, puis à sa petite-fille, femme du marchand Frédéric Schütterlin. Propriétaire de la maison de 1676 à 1691, Jean Philippe Ott est réputé en 1680 ne pas mener une vie chrétienne ni honnête. Le tonnelier Mathias Bæhr vend en 1695 la maison à Jean Gaspard Bæhr, greffier du bailliage de Kochersberg. Les Conseillers et les Vingt-et-Un font visiter la maison avant de permettre la vente à un manant : le bâtiment arrière a une cave voûtée pour quarante foudres de vin, les murs coupe-feu sont en bon état mais pour le reste la maison est assez délabrée. La propriété passe à son gendre Jean Guillaume Weinnemmer, assesseur au Grand Sénat et receveur de l’abbaye de Marmoutier, qui fait les travaux dont témoignent le millésime 1729 au-dessus du portail (voir Adolphe Seyboth, édition en allemand p. 74). Sa petite-fille la vend en 1779 au secrétaire des Quinze Jean Louis Treitlinger qui charge l’année suivante le maître maçon Jean Michel Gruber d’aménager une chambre à cheminée à la française au premier et au deuxième étage. Jean Raoul Dinckel, greffier à la Chambre des Contrats puis notaire, est propriétaire de la maison de 1785 à sa mort en 1801.

Elévations préparatoires au plan-relief de 1830, îlot 151 (Musée des Plans-relief) 1
L’Atlas des alignements (années 1820) signale un bâtiment à rez-de-chaussée et deux étages en maçonnerie. Sur les élévations préparatoires au plan-relief de 1830, la façade sur rue est la deuxième à droite du repère (e) : fenêtre, porte, autre fenêtre et autre porte au rez-de-chaussée, deux étages à quatre fenêtres, toiture à deux niveaux de lucarnes. La cour N représente l’arrière (1-2) du bâtiment sur rue, le bâtiment latéral à gauche (est) de la cour, le bâtiment arrière (3-4), tous deux à rez-de-chaussée et deux étages. Les murs aveugles du côté droit (ouest) de la cour dépendent de la propriété voisine.
La maison porte d’abord le n° 2 (1784-1857) puis le n° 4.



Cour N
Plans en 1915 et en 1929 (dossier de la Police du Bâtiment)
Le caissier Michel Aron habite la maison qu’il acquiert en 1824 (voir le registre domiciliaire coté 600 MW 195). Il y fait des travaux selon le millésime 1824 qu’Adolphe Seyboth a relevé dans la cour. Les propriétaires suivants en font une maison de rapport. La fabricant de poêles en faïence Michel Steinmetz achète la maison en 1880 et y installe son atelier, repris par son fils Emile Victor. La maison comprend en 1890 un bâtiment avant à deux étages, mansardes et grenier, un bâtiment arrière à rez-de-chaussée, trois étages et greniers et un bâtiment latéral. Michel Steinmetz fait faire en 1888 une devanture à volet roulant. Emile Steinmetz fait installer en 1915 un moteur dans son atelier. Le marchand de cycles Ernest Hollænder fait aménager en 1929 son atelier derrière le magasin en couvrant d’une toiture vitrée une partie de la cour. La maison est démolie en 1939.
novembre 2025
Sommaire
Cadastre – Police du Bâtiment – Relevé d’actes
Récapitulatif des propriétaires
La liste ci-dessous donne tous les propriétaires de 1579 à 1952. La propriété change par vente (v), par héritage ou cession de parts (h) ou encore par adjudication (adj). L’étoile (*) signale une date approximative de mutation.
| Pierre Dreyer, orfèvre, et (1577) Odile Zinckgraff – luthériens | ||
| 1583 | v | Daniel Birtsch, notaire, et (1567) Salomé von Odratzheim d’abord (1562) femme de Jean Gaspard Eberhard – luthériens |
| 1584* | v | Adolphe Kirchhoffer, marchand épicier, et (1581) Marguerite Grabisdada – luthériens |
| 1585 | v | Frédéric Riehl, notaire, et (1581) Anne Lüttel – luthériens |
| 1593 | v | Jean Scheid, juriste, et (1590) Odile Kniebs – luthériens |
| 1625* | h | Jean Charles Wogeser, docteur en droit, et (v. 1618) Marie Jacqueline Scheid – luthériens |
| 1657 | h | Frédéric Schütterlé, marchand et consul en 1675, et (1649) Ursule Wogeser – luthériens |
| 1676 | v | Jean Philippe Ott, tonnelier, et (1648) Odile Seydel puis (1669) Dorothée Lœffler – luthériens |
| 1691 | v | Nicolas Pfeil, fondeur, et (v 1665) Marguerite Haberbusch – catholiques |
| 1692 | v | Mathias Bæhr, tonnelier, et (1661) Elisabeth Füssel puis (1698) Elisabeth Grossheinrich – luthériens |
| 1695 | v | Jean Gaspard Bæhr, greffier du bailliage de Kochersberg, et (1579) Jeanne Dourdan puis (1686) Marie Madeleine Knœpffer – catholiques |
| 1728* | h | Jean Guillaume Weinnemer, économe, et (1707) Anne Claire Bæhr – catholiques |
| 1763 | h | François Bernard Baud, conseiller de l’électeur palatin, et Susanne Catherine Chavant puis (1735) Marie Claire Weinnemmer – catholiques |
| 1777 | h | Joachim François Pierre Dabeind, avocat au Conseil souverain d’Alsace, et (1764) Claire Ursule Baud – catholiques |
| 1779 | v | François Louis Treitlinger, secrétaire, et (1779) Marie Madeleine Birr, d’abord (1769) femme de Jean Thierry Hummel, marchand – luthériens |
| 1785 | v | Jean Raoul Dinckel, substitut à la Chambre des Contrats, et (1788) Catherine Elisabeth Steith – luthériens |
| 1801 | h | Louis Milius, négociant, et (1807) Dorothée Dinckel |
| 1820 | v | Jean Michel Geither, maréchal de camp, et (1819) Elisabeth Geither, remariée (1842) avec François Joseph Hippolyte comte d’Heillimer |
| 1824 | v | Michel Aron, caissier, et (1818) Sara Samuel |
| 1864 | v | Philippe Kærcher, tisserand, et (1843) Caroline Frédérique Rapp |
| 1880 | v | Michel Steinmetz, fabricant de poêles, et (1864) Joséphine Hindenlang |
| 1913 | h | Emile Victor Steinmetz, fabricant de poêles, et (1907) Marie Eugénie Breiner |
| 1929 | v | (Emile) Ernest Hollænder, négociant, et (1912, 1931, 1951) Marie Louise Jeanne Cron |
| 1939* | v | Immobilière des Francs-Bourgeois société anonyme |
Valeur de la maison selon les billets d’estimation : 1500 livres en 1738, 1400 livres en 1777
(1765, Liste Blondel) IV 321, Mde Weinemer
(Etat du développement des façades des maisons, AMS cote V 61) Mde Beau, 5 toises, 1 pied et 0 pouce
(1843, Tableau indicatif du cadastre) N 923, Aron, Michel, négociant – maison, sol – 1,4 are
Locations
1607, Jean Conrad Botzheim
Livres des communaux
La maison ne figure pas dans le Livre des loyers communaux dressé en 1587. Elle devrait se trouver entre le dernier article du filio 151 v° (Thomas Odino, rue des Fribourgeois) et le premier du folio 152 r° (Paul Graseck, maison à l’angle de la rue du Vieux-Seigle et de la rue de la Lanterne)
Préposés aux feux (Feuerherren, 4 R 91)
Le maître maçon Gruber expose les travaux à faire chez le licencié Treitlinger derrière le poêle des notables (poêle de la Lanterne) : aménager une chambre à cheminée à la française au premier étage et une autre chambre à cheminée à la française au deuxième étage
(p. 531) Dienstags den 7.ten Novembris 1780. – H. Lt. Treitlinger will in seiner Hinter der Herren Stube gelegenen Behaußung im ersten stock ein Zimmer mit einem Frantzösischen Camin auf einem Gewölb wohl versehen machen das Rohr am steinernen gäbel hinauf von allem holtz entfernt, Im Zweiten stock ein Zimmer mit einem Frantzösischen Camin auf einem gewölb wohl versehen das Rohr an der facade maur hinauf von allem holtz entfernt. Erkannt Willfahrt – Mstr. Gruber
Description de la maison
- 1738 (billet d’estimation traduit) 1738 La maison comprend au rez-de-chaussée une entrée, une chambre à cheminée, un puits, une cave voûtée, un bâtiment arrière où se trouvent un poêle, cuisine et vestibule, au premier étage aussi un poêle, cuisine et vestibule de même qu’au deuxième étage, au-dessus un grenier dont le comble est très bas, le tout estimé avec appartenances et dépendances à la somme de 3000 florins
- 1890 (acte de vente) La propriété consiste en un bâtiment avant comprenant un local commercial, deux étages, des mansardes et un grenier, un bâtiment arrière à rez-de-chaussée où se trouvent deux magasins et un atelier, trois étages et greniers et un bâtiment latéral
- Adolphe Seyboth, Das alte Strassburg vom 13. Jahrhundert bis zum Jahre 1870 p. 74, Datum 1729 über dem Thor, im Hof Datum 1824.
Atlas des alignements (cote 1197 W 37)
2° arrondissement ou Canton nord – Rue derrière la Lanterne
nouveau N° / ancien N° : 3 / 2
Milius
Rez de chaussée et 2 étages bons en maçonnerie
(Légende)
Cadastre
Cadastre napoléonien, registre 21 f° 268 case 2
Aron, Michel, négociant rue du vieux seigle / Gd rue N° 157 / N° 7 et rue di Vieux Seigle 2, rue de la Nuée bleue 7
N 923, maison, sol, R. du vieux seigle 2
Contenance : 1,40
Revenu total : 216,73 (216 et 0,73)
Ouvertures, portes cochères, charretières : 1 / 1
portes et fenêtres ordinaires : 27 / 22
fenêtres du 3° et au-dessus : 4 / 3
Cadastre napoléonien, registre 23 f° 1025 case 2
Aron, Michel, négociant rue de la Gare 8
1865 Kaercher, Philippe fabricant de toiles
1881 Steinmetz Michael, Ofenfabrikant / die Erben und Wittwe Josephine geb. Hinterlang (2424)
(ancien f° 773)
N 923, Maison, sol, Rue du vieux Seigle 4
Contenance : 1,40
Revenu total : 216,73 (216 et 0,73)
Folio de provenance : (268)
Folio de destination : Gb
Année d’entrée :
Année de sortie :
Ouvertures, portes cochères, charretières : 1 / 1
portes et fenêtres ordinaires : 27 / 22
fenêtres du 3° et au-dessus : 4 / 3
Cadastre allemand, registre 32 page 402 case 1
Parcelle, section 60, n° 97 – autrefois N 923 (2145)
Canton : Alte Korngasse Hs N° 4
Désignation : Hf, Whs
Contenance :
Revenu : 1500 – 2300
Remarques : 1939 démolition
(Propriétaire jusqu’à l’exercice 1939), compte 3520
Steinmetz Michael d. Erben u. Wittwe
1913 Steinmetz Emil Viktor
1931 Hollaender Ernest Emile négociant
clos 1939
(Propriétaire à partir de l’exercice 1939), compte 3153
Rang Jakob Alfr. u. Ehefr
1932 Immobilière des Francs-Bourgeois société anonyme
(248)
1789, Etat des habitants (cote 5 R 26)
Canton IV, Rue 109 de la Lanterne p. 197
2
pr. Dinkel J Rudolphe, Lé ez Loix, Greff. à la Ch. des Contrats – Bateliers
loc. Chappui, Rentier – Vignerons
Annuaire de 1905
Verzeichnis sämtlicher Häuser von Strassburg und ihrer Bewohner, in alphabetischer Reihenfolge der Strassennamen (Répertoire de toutes les maisons de Strasbourg et de leurs habitants, par ordre alphabétique des rues)
Abréviations : 0, 1,2, etc. : rez de chaussée, 1, 2° étage – E, Eigentümer (propriétaire) – H. Hinterhaus (bâtiment arrière)
Alte Korngasse (Seite 83)
(Haus Nr.) 4
Steinmetz, Wittwe, Ofenfabrik. E 01
Steinmetz, Geschäftsführer. 1
Gebinger, Postbote. 2
Steinbach, Schneiderm. 3
Dossier de la Police du Bâtiment (cote 720 W 65)
4, rue du Vieux Seigle (1875-1938)
Le propriétaire Steinmetz charge en 1886 le maître maçon Emile Widmann d’agrandir deux fenêtres au rez-de-chaussée de la façade sur cour. Un incendie endommage en 1887 l’étage mansardé du bâtiment arrière. Steinmetz fait faire en 1888 par le même Widmann une devanture à volet roulant. Le fabricant de poêles Emile Steinmetz fait installer en 1915 un moteur dans son atelier. Le marchand de cycles Ernest Hollænder fait aménager en 1929 son atelier derrière le magasin sous la direction de l’architecte Charles Funcke en couvrant d’une toiture vitrée une partie de la cour. Il retire son enseigne en 1938.
Sommaire
- 1875 – Le directeur de l’usine à gaz demande que le plombier Thomas soit autorisé à faire au nom du propriétaire Müller une prise pour environ deux becs au 4, rue du Vieux-Seigle
1883 – Le directeur de l’usine à gaz demande au nom du propriétaire Steinmetz l’autorisation de faire une prise pour environ trois becs – Autorisation - 1886 – Le maître maçon Emile Widmann (1, rue Saint-Louis) demande au nom du propriétaire Steinmetz l’autorisation d’agrandir deux fenêtres au rez-de-chaussée. Le pilier des étages supérieurs sera soutenu par une poutre en I – Autorisation de démolir un trumeau au rez-de-chaussée de la façade sur cour – Dessin – Travaux terminés, août 1886
- 1887 – Un incendie endommage l’étage mansardé du bâtiment arrière qui appartient au fabricant de poêles Steinmetz. Le rez-de-chaussée et les deux étages sont endommagés par l’eau. – L’entrepreneur Wieger (demeurant au Faubourg de Pierre) a remis le bâtiment en état
- 1888 – Le maître maçon Emile Widmann demande au nom du propriétaire Steinmetz l’autorisation d’établir une devanture – Autorisation de transformer le rez-de-chaussée pour y établir une devanture. En marge, calcul de la charge admissible. Le caisson du volet roulant fait une saillie de vingt centimètres – Dessin – Travaux terminés, août 1888
- 1901 – La Police du Bâtiment constate que le sieur Steinmetz a posé sans autorisation une enseigne plate. Le propriétaire déclare qu’il a repeint une ancienne enseigne. – Dossier classé, septembre 1901
- 1905 – L’entreprise Charles et Jules Bayer (installations sanitaires et canalisations, 27, rue de Zurich et 26, rue de la Krutenau) demande au commissaire de police l’autorisation d’entreposer des gravats devant le 4, rue du Vieux-Seigle. Le commissaire transmet au maire qui accorde l’autorisation – Dossier classé, août 1905
- 1904 – Le maire notifie Joséphine Steinmetz de faire ravaler la façade – La veuve Steinmetz demande de reporter le ravalement une fois que la maison sera raccordée aux canalisations – Le maire accorde un an de délai puis un nouveau délai parce que les canalisations ne sont toujours pas posées – Le ravalement a été fait, juin 1905.
- 1908 – Rapport du service des incendies après un feu de chambre au deuxième étage, causé par une explosion. Les réparations sont terminées, février 1908
- 1905, Commission contre les logements insalubres. Les logements sont bien tenus. Les cabinets d’aisance dans la petite cour sont très propres – La veuve Steinmetz déclare reporter le raccord aux canalisations – 1908. Elle souhaite reporter les travaux au printemps suivant pour éviter de porter préjudice au commerce tenu par son fils. Travaux terminés, juin 1909
1915, la Commission des logements militaires demande de nettoyer les cabinets d’aisance. Travaux terminés, juillet 1919 - 1915 – Le fabricant de poêles Emile Steinmetz demande l’autorisation d’installer un moteur. L’expert Frédéric Guillaume Kirchner (bureau au 52, rue du Vieux-Marché-aux-Poissons) décrit l’installation mécanique qui consiste en une perceuse et une polisseuse à l’émeri – L’inspection du travail transmet les conditions à respecter – Autorisation – Dessin signé par Frédéric Guillaume Kirchner (l’atelier se trouve dans le bâtiment arrière)
- 1923 – Les peintres en bâtiment Fleck et Bauswein (41, quai des Bateliers) sont autorisés à poser un échafaudage sur la voie publique
- 1929 – La Police du Bâtiment constate qu’Ernest Hollænder (demeurant 28, rue des Juifs) fait faire des travaux sans autorisation – Ernest Hollænder demande l’autorisation de poser un escalier et des machines par l’entreprise Schell (rue Louis Apffel) sous la direction de l’architecte Charles Funcke (9, rue des Pucelles) – La Division VI note que le bâtiment dépasse en partie de trois mètres de l’alignement légal mais que les transformations auront lieu à l’arrière – L’inspection du travail n’a pas d’objection à faire – Autorisation de transformer le bâtiment et de poser des machines, les travaux consistent à aménager un atelier de réparation derrière le magasin en couvrant d’une toiture vitrée une partie de la cour – Dessins
- 1931 – Emile Hollænder demande l’autorisation de poser une enseigne plate au-dessus de son magasin – Autorisation (l’enseigne est déjà posée)
- 1930 – Robert Stiesch (liquidateur de contentieux) demande l’autorisation de poser une plaque. Le préfet transmet au maire. La plaque ne dépasse pas du mur.
1932 – Il transfère son bureau au 3, rue du Marché (deuxième étage) - 1938 – Ernest Hollænder (marchand de cycles) informe la Police du Bâtiment qu’il a retiré son enseigne
Relevé d’actes
La maison apppartient en 1580 à l’orfèvre Pierre Treyer
Pierre Dreyer épouse en 1577 Odile, fille du directeur de la Monnaie Laurent Zinckgraff de Simmern
Mariage, Saint-Thomas (luth. f° 179 n° 442)
1577. Do. XX. Peter Dreier der Goldschmidt Otilia Zinckgrauin Lorentz Zinckgraffen des Muntzmeisters von Simmern dochter. 5. Nouemb. (i 183)
L’orfèvre Pierre Treyer et sa femme Odile Zinckgraff, fille de Laurent Zinckgraff de Simmern, hypothèquent la maison au profit de leur voisin l’orfèvre Paul Graseck
1580 (vts [29. Julÿ]), Cour épiscopale, vol. 206 (Registranda Kügler) f° 230
Erschienen Peter Treÿger der goldschmid burg. Zu Straßburg vnd Otilia Zinckgräfin Lorentz Zinckgraf von Simmern eheliche dochter Haben sich vuer. v.schrib.
gegen dem fürnemmen Herrn Paulo graseck goldschmid burger Z St. so gegenwärtig Ine Zu Zinsen 10 gold gld losig mit 200 guld. SW
dafür vnderpfand Zweÿ heüser ein vorders vnd hinders mit Iren hofestetten vnd Zweÿen hefflin auch all and. Iren gebeu genant Zur alten Müntz bey der Zunfftstub Zur lutzernen hinumb* eins. neb der Statt Müntzhoff and.seit dem h. paul graseck selb. stoßend hind. vff h Adolff Kirchhoffer, dauon gond. Sechzehen guldin gelts lösig mit 400 guldin Straßburg. werung Jacob scherer von westhoff. v hans huber* d Olman Zu Straßburg Inn vogt wÿß Alle Jar &
Pierre Treyer et sa femme Odile Zinckgraff, fille de Laurent Zinckgraff de Simmern vendent la maison comprenant deux bâtiments au notaire Daniel Bürtsch
1583 (20. Julÿ), Cour épiscopale, vol. 228-I (Registranda Theobaldi Küstner) f° 44-v
Pro Daniel Bürtsch
Erschienen der Ersam Peter Treger Goldschmidt burg. Zu Straßburg vnd Othilia Zünckgräuin Lorentz Zünckgräuen alten Müntzmeisters Zu Simmern dochter sein eheliche haußfrauw haben unverscheidenlich für sich (…) verkhaufft
dem fürnemen Daniel Bürtschen, Notarien und burgern Zu Straßburg der Zugegen Ime vestiglich khauffte
Zweÿ heuser ein vorders und ein hinders sampt Iren Hoffestetten vnd einem höfflin dar Zwüschen auch allen andern Iren & In d statt Straßburg hind. der Lucernen geleg. Zum alten Müntzhoff genant neben her Paulo Graseck dem goldschmidt ein, vnd anderseit neben dem Müntzhoff hinden vff h Adolph Kürchhoffer den duchman stoßend, dauon gohnt 16 guld. gelts ablösig mit 400 guld. Str. wehrung daran empfahet hanß huber der ohlman ahn Steinstraß vögtlicher weißen das halb theil vnd N. N. Zu westhouen das vbrige halb theil Jarlich vff Jacobi apli. deßgleich. Zehen guld. gelts widerkhouffig mit 200 guld. ermelter wehrung herrn Paulo Graseck vorgedacht vff Margarethen, So dan sÿben pfund und Zehen schilling ablösig mit 150 pfund pfenning erzelter wehrung weÿland hanß Rauchen des Müntzmeisters Zu Straßburg selig witwen vnd erben vff liechtmeß Järlich wie man sagt vnd alles recht & vnd Ist disser houff Zugang. vnd beschehen für vnd vmb 175 pfund pfenning Straßburg wehrung
Beschehen durch den Verkeüffer vnd Kheüffer In beÿsein Hn hanß Jacob Zeÿssolffs vnd Adolff Kürchoffers den 20.t Julÿ Anno & 83. Beschehen aber durch Othiliam die verkäufferin den 18.ten Junÿ stilo veteri Anno & 84.
Pierre Graseck déclare renoncer au droit de préemption que lui a accordé Pierre Treyer après la vente consentie à Daniel Birtsch
1583 (xxiiij Julÿ), Cour épiscopale, vol. 223 (Registranda Kügler) f° 197-v
Erschienen der Fürnem wÿß herr Paulus graßeck beÿsitzer der herren des cleÿnen Raths In Straßburg ane eim
Hatt in gegensein des Ehrengeachten herrn Daniel Birtschen offnen Notarÿ burger Zu Straßburg bekhant vnd offentlich verÿehen
Nach dem der Ersam Peter Treÿger goldtschmid burger Zu Straßburg vor der Zeÿt Ime herrn Paulo Graßeck einen voor Khouff vff huß hoffestatt hefflin v hind.huß Inn der Statt Straßburg hinder der Zunfftstuben Zur Lutzernen neben herrn Paulo graseck & geleg. bewilligt vnd Zugesagt alles v.mög* v Innhalt eines Pergament brieffs vnder des hoffs Insigell darvber vffgericht dessen datum den xxix Julÿ Anno & 80 darüber vffgericht Dieweÿl dann Peter Treÿger solche behußung Ime herr Daniel Bertschen für ledig eÿgen vmb 640 pfund pfenning verkhoufft. v herr Paulo grasecken für solche Summ nit an* Inn crafft seines voorkhauffs nit ane Zunemmen begert, derenhalben er herr Paulus Graseck für sich vnd seine erben vff seiner gehapten voorkhouff vff begeren herr Daniel Britschen gegen demselben vnd seinen erben freÿ verzugk vnd nymmermehr kein ansprach dißer voorkauffs halben ane obgeschribne Behußung Zuhaben bewilligt
Fils de l’orfèvre Pierre Birtsch, Daniel Birtsch épouse en 1567 Salomé von Odratzheim, veuve de Jean Gaspard Eberhard
Mariage, cathédrale (luth. p. 164)
1567. Suntag den 10. Maÿ. Daniel Birtsch, Peter Birtschen des Elttern goldschmidts Salome von Otertzheim, Hans Caspar Eberhardts seligen hinderlaßene witwe. Eingesegnet Zinstag den 10. Junÿ hora 10 (im 85)
Jean Gaspard Eberhard épouse en 1562 Salomé, fille de Jean von Odratzheim l’aîné
Mariage, Saint-Pierre-le-Vieux (luth. f° 94-v n° 13)
1562. Hanns Caspar Eberhardt vnd Junckfraw Salome von Odratzheim, H. Johan von Odratzheim des Eltern seligen Tochter den 26. May. Ist In h. Daniel Stallschreibers hauß gehalt. (i SPV i 107
Le magistrat de Strasbourg remet à Daniel Birtsch un certificat qui atteste qu’il exerce les fonctions de notaire
1579, Chancellerie, vol. 204 (Gemein Contract Buch 1579-1580)
Daniel Burtschen Notarii instrumentum testimonii legalitatis. 359.
Wir David Joham vonn Mundoltzh. d. Mstr. vnd der Rhat zu Straßburg thun khund, d. voor unns heut dato erschienen Ist vnser burg. Daniel Bürtsch der Nts. vnnd neb. fürlegung seÿnes habenden Instruments Creationis in * vnns gebetten Ime glaubwürdig. schein vnd Urkund mitzutheilen, daß er bißher Inn vnser Statt solchen seynes Notariats Amptts sich gebraucht, syne Instrumenta vnd das er dergestalt verfertigt für Authentic vnnd glaubwürdig gehallten, app.birt vnd Angenommen worden, solcher getzeugnus seÿer erfordernd. notturfft nach haben Zugebrauch.
Dieweil dan Khundschafft der Warheÿt nÿmand Zuuersagen, vnnd die Warheÿtt Ist das so Daniel Bürtsch solch seÿn Notariat nuhn ettliche Jahr In Vnnsere Statt Inn verfertigung vnd vff vffrichtung Allerhand Instrumenten, exercirt, seÿnen Instrumenth voller vnd ohnzweifenlicher glauben Zugesteltt vnd gegeben vnd Er biß. für ein glaubhaffter Notarius geachtet vnd gehalten Worden, Wie uns desselbig genugsam bewüßt So haben wir Jme dess Zu getzeügnus diße vrkundt vnnd* anhangend Statt Insigell mitgetheilt. Geschehen donstag den 28. Aprilis Als man & 1580.
Mentions de Daniel Birtsch dans les registres du Magistrat. Il se porte candidat aux fonctions de receveur à l’hôpital des pauvres passants en 1575
1575 Conseillers et XXI (1 R 46) Daniel Birtsch schöffel zur Mörin. 765.
1576 Conseillers et XXI (1 R 47) Schafneÿ in der Herberg. 571. Hans Jacob Zeÿsolff. 551. 591. Ambrosius Spiegel. 554. Daniel Bürtsch. 584.
1578 Conseillers et XXI (1 R 51) Balthasar Örtel contra Daniel Bürtsch. 313. 333. 386. 522. 535.
1579 Chancellerie, vol. 204 (Gemein Contract Buch 1579-1580) Vertrag Lamprecht de Beür contra Daniel Bürtschen et Balthasar Örtteln, Ursula de Beür ehefraw Balthasar Örttels. 230.
1580 Conseillers et XXI (1 R 53) Lambrecht de Bür, weißgerber zu Benßheim, contra Daniel Burtschen, Balthasar Örtteln. 81. 122. 233.
1589 Chancellerie, vol. 258 (Gemein Contract Buch) Cessio und Ubergab eines Zinßes 10 lb dz Caspar Depüers gegen herrn Daniel Burtschen. 192.
Voisin à l’arrière, Adolphe Kirchhoffer devient propriétaire de la maison par un acte non déterminé
Le marchand épicier Adolphe Kirchhoffer épouse en 1581 Marguerite, fille du marchand Marc Grabisdada
Mariage, cathédrale (luth. p. 54) 1581. Novembris. Dnica XXVII post Trin. Adolf Kirchofer d. Wurtzkrämer vnd Margaretha Marxen Grabisdada des Kaufmanß tochter Eingesegnet Montags 11.t Decembris (i 30)
Adolphe Kirchhoffer vend la maison composée de deux bâtiments au notaire Frédéric Riel en convenant que les six ouvertures dans le pignon resteront en l’état où elles se trouvent. L’exemplaire du registre des expéditions diffère légèrement de celui des minutes.
1585 (17. Julÿ), Chancellerie, KS 236-I (Imbreviaturæ Contractuum) f° 78
Kauffbrieff Friderich Rielen des Notarien vber ein behausung
Erschienen h. Adolff Kirchhoffer burg. alhie vnd hatt offentlich bekhandt vnd verjehen (…) verkaufft vnd Zukauffen geb.
h. Friderich Riehlen dem Notarien der dann zugeg. Ihme vnd Anne Lautlerin seiner haußfrauwen
Zwo behausungen ein vordere vnd hindere sampt einem hofflin darzwisch. mitt deren hoffstetten recht weitt. Zugehörd. vnd gerechtigkeit des tachtrauffs wie der Jetzundt beÿ Angebung diß Kaufs Ist gelegen alhie In der Statt Straßburg beÿ der Zunfftstub. Zur Lucernen neb. H. Paulus Graseck, ein und anderseit neb. dem Müntzhoff, hinden vff Adolff Kirchhoffer den verkäuffer stoßend vnd demnach In dem gemeinen gebel Sechs liechter so vf den verkäuffer stoßen, were beredt das dieselbe liechter In dem standt sie Jezund seind sollen gelaßen werd. von keinem theil nimmermehr verbawen werden sollen, von welcher behausung gohn Jahrs viij guld. vff Jacobi fallendt Hansen Crauffthal glaser losig mitt ij C guld. wehr. It. viij gulden gelts vff Jacob (-) Zu Westhoffen losig mit ij C guld. It. x guld. gelts vff Jacobi fallendt Peter Treger dem Goldschmid lösig mit 200 guld. wehrung sonst were die behaußung ledig vnd eigen, vnd alles recht, vbergeben, vnd bekhandt das der Kauff zugang. vnd beschehen vber die beschwerd. vmb 500 guld. Straßburg. wehrung
Act. in beÿsein h Josias Riehlen des Keüffers vatter vnd h Sebastian Schimpff des verkäuffers Stieffvatters Sambstag den 17. Julÿ
1585, Chancellerie, vol. 233 (Gemein Contract Buch), Kauffbrieff Fridrich Rihlen des Notarius über sein Behausung, Adolff Kirchhoffer. 184.
(…) Zwo behausungen ein vordere vnd hindere sampt einem hofflin darzwisch. mitt deren hoffstetten begriffen weith. Zugehörden recht. vnd gerechtigkeiten, sonderlich der gerechtigkeit des tachtrauffs wie der Jetzundt beÿ angebung dißes Kauffs Ist, gelegen alhie In vnserer Statt, beÿ der Zunfftstub. Zur Lucernen, neben Paulus Grasecken dem Rhatherren ein und anderseit neben dem Müntzhoff, hinden vff Adolff Kirchhoffer den verkäuffer stossend, von welcher behausung gohn Zuuor acht guld. gelts vnnserer Straßburgisch. wehrung vff Jacobi Hansen Crauffthal dem glaser losig mitt 200 guld. gemelter wehrung, Item acht gulden gelts vff Jacobi Scheer Jacob. Zu Westhoffen losig mit 200 guld. ermelter wehrung, vnd dann Zehen guld. gelts vff Jacobi fallendt Peter Treger dem Goldschmidt mitt 200 gulden mehrberührter wehrung widerkaüffig, sonsten allerdings ledig vnd eigen, vnd darauff alles recht gerechtigkeit, beesitz vnd eigenschafft so der verkeüffer bißhero an obbemelt. behausungen gehapt od. fürther war disser Kauff (…) zugangen vnd beschehen für vnd vmb 500 gulden vnserer Straßburgisch. wehrung (…)
vnd were beÿ dissem Kauff sonderlich beredt auch von beid. theilen eingangen angenommen vnd versproch. worden, demnach In dem gemeinen gebel Sechs liechter so vff den verkäuffer stoßen, das dieselben liechter In dem standt sie Jezund seindt, gelaßen, vnd von keinem theil nimmermehr verbawen werden sollen.
Le notaire Frédéric Riehl épouse en 1581 Anne, fille du jardinier Jean Lüttel
Mariage, Saint-Thomas (luth. f° 290 n° 631)
1581. Dominica XXVII. Friderich Riehel der Notarius und J. Anna Hans Lüttels des gartners nachgelaßene dochter i 295)
Le notaire Frédéric Riel qui a acquis deux ans auparavant la maison de Jean Adolphe Kirchhoffer s’accorde avec Daniel Birtsch au sujet de 100 livres dues à Pierre Treyer dit Bommer
1587 (6. Octobris), Chancellerie, vol. 248 (Registranda Kügler) f° 363-v
Erschienen Friderich Rul offner Notarius burger Zu Straßburg
Hatt in gegensein des fürnemmen herrn Daniel Birtschen offnen Notarÿ frey guttwillig bekhant vnd offentlich verÿehen,
Nach dem er vor Zweÿen Jaren vngeuorlich dem Ehrenhafften hans Adolff Kirchoffer Zweÿ heüßer ein vorders v ein hinders mit Zwen hofestätten v Zweÿen höfflin mit all and. Iren gebeuwen gelegen Inn der SS hinder der Zunfftstuben Zur luzernen einseÿt neben herrn paulus grasecken andersyt neben der SS Müntzhoff stossen hinden vff herr Jacob Ringler abkhoufft + ([ajouté] vermog besondern brieff Inn vnserer Cantzleÿ daüber vfgericht. ([biffé] dieweÿl dan er Friedrich Rül durch den bemelten herrn Hanns Adolff Kirchhoffern, den vnd verkheüffen) neben andern beschwerden so vff + (+ solchen hauß gestand.) gewÿssen ane fünff pfund d pfenning gelts vff Sant Jacobs tag fallen mit 100 pfund pfenning Straßburg abzulößen Peter Treÿger genant Bommer* dieweyl gedachten Daniel Birtsch vonn sein Friderich Rülen wegen + (+ Inn seinem beÿsein) bemeltem Peter Treyger obstimpte 100 pfund pfenning erleg. vnd damit ane sich gelößt bemelte Fünff pfund pfenning gelts ane sich * so das Ime herrn Daniel Birtschen solche fünff pfund pfenning gelt vnd denen hauptgut fürbaß Eÿgenth. wÿß Zustendig sein soll & d.halben v.sproch. solchen Zinß fürbaß gedachten h. Daniel Bürtschen Alle Jar vff bemelten Termÿn Sant Jacobs tag (…)
Frédéric Riehl vend la maison au licencié en droit Jean Scheid et à sa femme Odile Kniebs
1593 (3. Octobr.), Chancellerie, vol. 282 (Imbreviaturæ Contractuum) f° 189
Kauff Hn Johann Scheid. der Recht. Lt. vber ein behausung hind. d. Lucernen geleg.
Erschienen Friderich Rihel d. Nots. vnd
In gegensein hn Johann Scheid. der Rechten Licentiat (verkaufft) Ihme vnd Fr. Ottilien Kniebsin seiner ehelich. haußfr.
Zwo behausung. ein vord. und hinderen sampt einem höfflin darzwisch. mit deren hoffstett begriffen & Zugehörd. vnd gerechtigkeitt. sond.lich &. gerechtigkeit deß Tachtrauffs wie d. Jetzund vnd beÿ angebung dises Kauffs Ist geleg. alhie In diser Statt Straßburg beÿ der Zunfftstub Zur Lucernen Neb. Paulo Graseck dem Rhath. ein vnd anderseit neb. dem Müntzhoff stoßend hind. vff hn Johann Ringlern der Artzneÿ doctorn, Dauon gehnd 8 fl. gelts Str w. vff Jacobi hansen Krauffthal dem glaser, lösig mit 200 guld. gleich. wehrung Mehr acht gld. gelts gemelt. wehrung vff Jacoby Michel Lampen dem Rhat. Auch mit 200 gld. St. w. abzulösen vnd dann 5 pfund pfenning gelts auch vff Jacob gefall. h Daniel Birtsch d. wittib vnd Erb. mit 100. lb d abzulösen, Vnd Ist der Kauff über dise beschwerd. Zugang. vmb 310 Pfund pfenning Straßburg
Fils de Philippe Scheid, Jean Scheid épouse en 1590 Odile, fille de l’assesseur des Treize Nicolas Hugues Kniebs
Mariage, Saint-Pierre-le-Jeune (luth. p .433 n° 64)
1590. Dominica XV. Herr Johann Scheid, herr philips Scheiden sohn vnd Jungfraw Utilia, herr Niclaus Hugo Knipsen gewesenen dreÿ Zehners hinterlassene tochter. Eingesegnet Montag den 13. Octobris (i 225)
Le licencié Jean Scheid devient bourgeois par sa femme deux mois après son mariage en s’inscrivant à la tribu des Maréchaux.
1590, 2° Livre de bourgeoisie (4 R 104) p. 655
h. Johann Scheid, Licentiatus hatt daß Burkrecht empfang. von othilia w Herr hugo Knüebsen selig. deß dreÿtzehner docht. vnnd will Zur Schmid. dienen Act. 19. Decemb. A 90.
Jean Scheid se porte candidat au poste de procureur au Grand Sénat
1590 Conseillers et XXI (1 R 67)
Procurator vorm großen Rhat. D Stephan Berchtold. 674. Ulrich Bittlinger. 675. Johann Scheid. 675. Sebastian Mader. 678. Mauritius Disdorpius. 678. Jacob Trausch. 690 v°
Jean Scheid qui n’a pas obtenu le poste s’apprête à accepter celui de bailli à Bischwiller sauf si le magistrat le nomme pour remplacer Gerbelius. Les Conseillers et les Vingt-et-Un déclarent que Gerbelius ne renonce pas à son poste. Ils accordent à Jean Scheid le droit de conserver le droit de bourgeoisie pendant un an.
1591, Conseillers et XXI (1 R 68)
(f° 591) IIII. Decembris – Johann Scheidt vmb vorbehalt Burgerrechtens.
Johann Scheÿdt vbergibt selbs ein supplôn, darin er mein h. errinnert welcher gestalt er v.schinenen Jars vmb dienst angesucht, da Ihme aber anderer vorgezogen worden, Nun hab er die gelegenheit der Frawen von Schönburg Amptman Zu Bischwÿler Zuward. er kohme aber In erfarung das d. Gerbalius sein dienst Resignirt, dero dan mhn vor allen andern Ubrig Keitten Zu dienen begert, so nitt er Ine an deßelben statt Kohmen Zu laß. od. aber da er dasselb. auch nicht erlangen mag, Ihme bewilligt das er mit vorbehalt seines burgerrecht. die angezogene Amptmanschafft annehmen mög.
Erkandt Man solll Ihme anzeigen das d. Gerbalius sein dients nicht vffgesagt, also desselb. stand nicht erledigt, souil aber das Letztere begeren anlangt soll Ihne ein Jar lang willfahrt sein. H. Rott, H. Heimburg
Jean Scheid est candidat au poste de bailli de Barr
1597 Conseillers et XXI (1 R 76) Barr. Amptman ordnen. 137. Johann Heinrich Stammler. 177. Lorentz Mack. 195. Caspar Stoffler. 241. Johann Scheid. 247. Daniel Hammerer. 287.
Les cinq enfants de Jean Scheid et de feue Odile Kniebs achètent le droit de bourgeoisie en s’inscrivant à la tribu des Maréchaux.
1604, 3° Livre de bourgeoisie (4 R 105) p. 687
Deß Ehrnuesten vnd Hochgelehrten Herrn Johann Scheiden der Rechten Licentiaten mitt weÿland frawen Othiliæ Kniebsin seligen erzeügte Khinder, mitt Namen Philipps Niclaus, Maria Jacobe, Hanns Wilhelm, Hanns Caspar vnd Maria Susanna Haben durch Herren Peter Mülben Ihren geschwornen vogt, mit beÿstandt Herren Jacob Kniebsen xiij Ihrer mutter seligen bruder, vnd herren Marx Sÿblein, der Artzeneÿ doctoris Ihres Schwagers, das burgerrecht erkaufft, vnnd wöllen Zu den Schmiden dienen ; Actum den 25. Octob: 604.
Le licencié en droit Jean Scheid loue la maison à Jean Conrad Botzheim
1604 (iij tag Septembris), Chancellerie, vol. 351 (Registranda Meyger) f° 321-v
(Inchoat. in Proth. fol: 265.) Erschienen der Ehr vnd hochgelehrte herr Johann Scheÿdt der Rechten Licenciat Alhie Zu Straßburg, Hatt für sich & vßgelüh. vnd verlühen
Herrn hannß Cunradt Botzheim burgern Zu Straßburg, So Zugeg. Ime entlehnete,
desselben herrn Johann Scheÿd. Behausung, hinder der Zunft stuben Zur Lucernen, nebent dem Müntz hoff, ein vnd Anderseit nebent hannß Jacob Zeÿssolffs, hind. vff h Johann Ringler stoßend Vnd Ist disse Lÿhenung Zugang. vnd bescheh. für vnd vmb ein Järlich Zinß 25. pfund pfenning Straßburger
Le Chapitre de la cathédrale intercède en faveur de Jean Scheid pour qu’il bénéficie de l’exemption coutumière de droits. Les Vingt-et-Un demandent à Jean Scheid de devenir bourgeois.
1605, Conseillers et XXI (1 R 84)
(f° 110) XXIV Aprilis – Tumbcapitel allhier weg. feyr wohnung etlicher personnen.
d. Statuarius vnd Michel Daniel Pollendt deß Rhts Capituli alhieig. hoh. Stifft schbn. abgelesen darin sie ab dem bescheidt so L. Jo: Scheid von vnseren hn. XV. gegeben sich beschweren, Ziehen sich auf d. herkommen, d. alzeit gewisse personen vnd diener Capitul. seyen freygesessen, derwegen sie nit vnderlassen Komen m hrn dessen Zuerinnern vnd den vorstandt desselben Zuuernehmen den so es auch auf Ire personen solt wollen verstand. werd. müßen sie an Ir gndgste u. g. fursten Gemein vnd Hh gelang. mit vermeldung vns* L Jo: Scheid die verwaldtung Bruder hoffs gefell nün auf sich genohmen vnd fuhren mhen Zu gemein*net, wo hien die Evangelisch fursten bey der Gegen*ischen tr** gesuchen domit nemblich die Papistische auf disser Statt gelassen word. So sie mit* bey den Evangelischen dessen nit solten gewessen was sie bey* den ggb. erhalten geben sie mhrn Zuuor komme, was es für ein ansehen haben wurden Begeren also mhrn ver*erung.
Erk. Hh auß allem stuben sollen bedenck. was Ime wd. Zu antworten seÿ. H. Wormbser, H. Baumgartner, H. Stösser H. Wid.* an
(f° 112-v) XXVII Aprilis – L. Jo: Scheid beschwert sich burg. Zu werden
Herr L. Jo: Scheid erscheint Bittelb. v. nachdem Ime von Hn XV. auferlegt in 8 tag burg. Zu werden bey straff x lb.d. solch geschefft aber durch schbn. hier ein komme, will er verhoffen er werde sich d. straff halb nit Zu befahren haben. Erk. d. er Zubedacht gezog, hab er sich nit Zubefahren soll aber befurdert werd.
La maison passe ensuite à Jean Charles Wogeser et à sa femme Marie Jacqueline Scheid (à identifier avec l’un des cinq enfants d’Odile Kniebs cité plus haut)
Le juriste Jean Charles Wogeser achète le droit de bourgeoisie en novembre 1620.
1620, 3° Livre de bourgeoisie (4 R 105) p. 805
Hr Johann Carol Woggeßer d. Rechten d. khaufft d. Burg.recht vmb d. Altt. Burg.geltt Alß 8 Goldguld. und wull Zu den weinstich. Zünfftig sein Actum den 2. Nouembris Aô. a 1620.
Baptême de son fils Jean Philippe en janvier 1620, issu de sa femme Marie Jacqueline
Baptême, cathédrale (luth. f° 167-v)
1620. Dominica I. Epiphan: d. 9. Jenner. Paren: H. Johann Carl wogesser I.V. Doctor, Vnd Maria Jacobe. Inf. Hans philips. Comp. H. Georg Müeg XV Juncker Jacob Hüffel vnd J Elisabeth H. Doctor Marxen tochter (i 170)
Le tuteur des trois enfants de feu Jean Charles Wogeser, docteur en droit, et de Marie Jacqueline Scheid dépose un capital à la Tour aux deniers
1623, Trois de la Tour aux deniers et préposés au bâtiment (VII 1338)
(f° 51) Sambstag den 8.t Februar. 1623. Vogteÿ geldt angelegt – Herr Johann Martin Herlin als vogt Ottiliæ, hans Philipsen vndt Ursulæ, Weÿland herrn Johann Carl Woggeßers der Rechten Doctoris mit Fr. Maria Jacobe Scheÿdin ehelich erzeügter Kinder hat per Nicolaum Philippum Scheÿden angelegt 250. h.
Haben ihnen darumb Zukauffen geben 7 h 10 ß vff Conuersion. Pauli fallendt In 10 jahren nit vff zu künd., fol. 123.
Jean Ansorg dépose au nom de Marie Jacqueline Scheid, veuve de Jean Charles Wogeser, un capital à la Tour aux deniers
Vogteÿ geldt angelegt – Herr Johann Ansorg, als vogt Mariæ Jacobe Scheÿdin herrn Johann Carlen Woggeßers seeligen wittib hatt ins Vogteÿgeldt angelegt per paulum Ansorgen 75 h
Haben ihr darumn Zu Zukauffen geben 3 h 15 ß vff Conuersion. Pauli fallendt In ½ jahren nit vff zu künd., fol. 124.
Le même Jean Ansorg dépose un capital au nom de Jean Gaspard et Marie Susanne, enfants de Jacques Scheid et de feu Odile Kniebs
Vogteÿ geldt angelegt – Herr Johann Ansorg, als vogt hanß Caspars vndt Mariæ Susannæ herren dr. Johann Scheÿden mit Fr. Ottilia Knebsin seylig. ehelich erzeügter Kinder hat erlegt per paulum Ansorgen 50 h
Haben ihr darumb Zu Zukauffen geben 2 h 10 ß vff Conuers. Pauli fallendt vber ½ jahr ab kündig. Ing. 124.
Marie Jacqueline, veuve du docteur en droit Jean Charles Wogeser, fait donation de ses biens à son gendre Frédéric Schœtterlé, mari de sa fille Ursule, après la mort de ses deux autres enfants Odile et Jean Philippe dont elle est héritière.
1657 (11. Sept:), Chambre des Contrats, vol. 522 f° 393-v
Erschienen Fr. Maria Jacobea, weÿl. H Johann Carl Wogeßers V.I.D. nunmehr seel. hinderlaßene Fr Wittib, mit beÿstand der Ehrenvest- fürsichtig- und weÿsen H Ambrosÿ Reichßhoffers und H Johann Peter Schmidts, beeder alß auß E.E. hochweÿsen groß. Rhats mittel hierzu insonderheit Deputirter
in gegensein H Friderich Schötterle deß Handelßmanns ihres dochtermanns
bekannt und freÿ gutwillig offentlich veriähen, Wiewohlen der Allgütigste Gott, von selig gedachter H Dr Wogeßen, Ihro Fr. Mariæ Jacobeæ, treÿ liebe eheliche Kinder, nahmens Ottiliam, Johann Philipß. und Ursulam, gnädig bescheret, demnach Er iedoch nach seinem allein weÿsen Rhat und vätterlichem wohlgefallen, erstermelte Otiliam und Johann Philipß. in ihrer Jugend widerumb ab: und Zur ewigen Seeligkeit eingefordert hette, dannenhero ihre Verlassenschafft vff Sie die Fr. Mutter erblich erwachß. were, Vnd dann obgedachte H Schötterle, beÿdes Ihro der Fr. Schwig. Muter alle söhnliche trew, so dann ihrer einig. noch lebend. dochter, seiner Ehevogt. haußfrauen, obernannter Fr. Ursulæ, alle eheliche lieb bißhero erzeigt, Zumahlen hienführo außer allen Zweiffel, ferner erweiß. wirt,
So habe Sie die Fr. Muter nicht allein hiebevor dießem beÿd. Eheleuth. berührte Erbschafft nießlich. überlüffert, sondern Sie wolte auch hiemit solche Erbschafften, vermittelst einer Schanckhung under lebendig. ihme H Schötterle, Jedoch mit dißem claren Anhang und treÿen außgetruckhten revocations fällen eigenthümlich. übergeben daß Erstlich (…)
[in margine :] diße solemniter vffgerichtete und per Stipulationem bestättigte Donations Verschreibung, haben die Fr. Donatrix vnd H. Donatarius Procuratoren beÿ E. E. hochweÿsen groß. Rhats d. 12. Sept. a° 1657. den Actus iudicialibus insinuirt, der herren Deputirten Relation, und obrigkeitlcih Confirmatio gebetten Inmaßen dann dieselbe eâdem die von wohlgedachtem Rath obrigkeitlich confirmirt vnd ad Acta registrirt word. ist.
Ancien consul et assesseur des Treize, Frédéric Schütterlé vend la maison composée de deux bâtiments au tonnelier Jean Philippe Ott
1676 (15. Xbris), Chambre des Contrats, vol. 545 f° 1015
der Edel- Vest-, fürsichtig hochweÿse herr Friderich Schütterle dießer statt alter Ammaÿster und dreÿ Zehner
in gegensein hannß Philipp Otten deß Kieffers
Zweÿ häußer ein Vorders und ein hinders, hoff, hoffstatt mit allen deren Gebäwen, begriffen, weithen, Zugehördten, Rechten und Gerechtigkeiten alhier in der Lucernen Gaß, einseit neben dem Müntzhoff anderseit neben Johann Römer dem Goltarbeiter hinden Zum theil uff erwehnten Müntzhoff, und theils uff herren Johann Christoph Kasten den handelßmann stoßend gelegen – umb 600. lb
[in margine :] (…) in gegensein herrn Caspar Bähren, Ambt schreiber deß Kocherspergs alß ietzmahlg. Besitzers hierinn gemeldt. Haußes (quittung) Act. d. 27. May 1695.
Fils du tonnelier du même nom, Jean Philippe Ott épouse en 1648 Odile, fille du garde-bois Georges Seydel
Mariage, Saint-Guillaume (luth. f° 13 n° 12) 1648. Dominica Exaudi & Pentecoste. Johann Philippus Ott der Kieffer, Johann Philips Otten gewesenen Kieffers vnd Burgers alhie, hindl. Ehelicher Sohn, Vnd Jungf. Ottilia, Herr Georg Seÿdels des Hagmeisters Eheliche Tochter Cop. Zinst. Zu S. Wilhelm d. 23. Maÿ h[ora] X (i 16)
Le tonnelier Jean Philippe Ott épouse en 1669 Dorothée, fille du meunier Laurent Lœffler
Mariage, Saint-Nicolas (luth. f° 281-v, n° 9)
1669. Dominica Reminiscere d. 7. Martÿ. Johann Philipp Ott der Kieffer U. Jungfr: Dorothea weÿl. H Laurentÿ Löfflers geweßenen Müllers auff d. Edeln Zornen Mühl alhie hind.laßene Tochter. Copulirt ad D. Nic. 15. Martÿ (i 300)
Femme de Jean Philippe Ott qui ne vit ni chrétiennement ni honnêtement, Dorothée Lœffler fait dresser l’inventaire de ses biens, d’une valeur de 145 livres. L’inventaire est dressé dans la maison de son mari
1680 (8.7.), Meyle (Frédéric, 64 not 5) n° 29
Inventarium und Beschreibung aller vnd ieder Haab vnd Nahrung, So der Ehren: vnd tugendsamen frauen Dorotheæ Löfflerin, meister Hannß Philipps Otten Küeffers vnd burgers alhier haußfrauen eigenthümlich zuständig, welchen weilen erstbesagter Hanß Philipps Ott mit auch ersterwehnter seiner haußfrauen nach erhaltenem bericht wider Geÿst: vnd weltliche Recht nicht Christlich vnd Ehrlich lebet, sond.n anstatt gebürend. alimentation, noth vnd mangel leid. laßet, auf ansuch. erfordern und begehren des Ehren vesten vnd Rechtsgelehrten herrn Johann Vogten Notarÿ Cæsarei publici als mehrerwehnter frawen geschwornen Curatoris ersucht, jnventirt, durch die fraw selbsten mit assistentz fraw Maria nägelinin ihrer lieb. mutter, vnd zwar nach ihrem über ihro Zugebracht. nahrung vor weÿl. herrn Jeremia Ursino geweßenen Notario Cæsareo publico den 27.t Aprilis Anno 1669. auffgerichteten Inventario geeigt vnd gezeigt (…) So geschehen Straßburg d. 8. Julÿ Anno 1680.
In einer in d. Statt Straßburg gelegenen eingangs erwehntem Hanß Philipps Ott eigenthümlich gehörig. behaußung ist befunden worden wie folgt
Ergäntzung der frauen unveränderten gutts. Vermög Eingangs allegirten über der fr. in den Ehestandt zugebrachten Nahrung
Sa. haußraths 61, Sa. Silbergeschmeids 11, Sa. goldinen Ring 6, Sa. Ergäntzung 65, Summa summarum 145 lb
Jean Philippe Ott vend la maison au fondeur Nicolas Pfeil. La maison sert de garantie aux enfants issus du premier lit du vendeur
1691 (9.4.), Chambre des Contrats, vol. 563 f° 339-v
Johann Philipß Ott der Kieffer
Niclaus Pfeil, deß Schrotgießers
Zweÿ haüßer, ein Vorders und ein hinderes, hoff, hoffstatt, mit allen deren Gebäuen, begriffen, weith. zugehördten, rechten und Gerechtigkeiten allhier in der Lucernen gaß, einseit neben dem Müntzhoff and.seit neb. Johann Römer dem goldarbeiter hinden Zum theil auff erwehnt. Müntzhoff und theÿlß uff hans Georg Meÿer den Kieffer stoßend geleg., welche behaußung umb 300 lb d Capital dem Waisenhauß allhier verhafftet, im übrigen außerhalb und. ged. deß Verkaüfers Kind. i. Ehe Mütterlich guths so per hypothecam grâ.len darauf versichert freÿ ledig und eÿgen seÿe – geschehen umb 350 pfund – den 9. Apr. absoluirt den 1. 7.br 1691
Nicolas Pfeil revend un an plus tard la maison au tonnelier Mathias Bæhr et à sa femme Elisabeth Füssler
1692 (5.2.), Chambre des Contrats, vol. 564 f° 92
Niclaus Pfeil der Schrotgießer [unterzeichnet] Niclauß Pfeÿl
in gegensein Matthiß Bähren, deß Kieffers und Elisabethä gebohrner Füßlerin [unterzeichnet] Matthis Berr Kiefer
Zweÿ Haüßer Ein Vorderes und ein hinderes, Hoff, Hoffstatt, mit allen deren Gebaüen begriffen weithen Zugehördten Rechten und Gerechtigkeiten allhier in der Lucernen Gaß, einseit neben dem Müntzhoff, anderseit neben H Johann Römern dem Goldarbeiter, hinden Zum theil auff erwehnt. Müntzhoff, und theilß auff hans Georg Meÿer dem Kieffer stoßend gelegen, welche Behaußung umb 300 pfund dem Waisenhauß allhier verhafftet – geschehen umb 525 pfund
Fils du notaire et greffier de Marlenheim Jean Christophe Bæhr, le tonnelier Mathias Bæhr épouse en 1661 Elisabeth, fille du lieutenant Henri Füssel
Proclamation, Saint-Thomas (luth. f° 43)
1661. Dn. Quasimodogeniti 21. Aprilis. Matthias Bär der Küeffer, H. Johann Christoph Bären Notarii Publici Amptschreiber Zu Marlenheim v. burger allhie Ehelicher Sohn, vnd J. Elisabetha, H Heinrich Füssels Leütenants u. burger alhie Eheliche Tochter. Copulirt Zinst. 30. Aprilis Zum J. S. Peter (i 47)
Mariage, Saint-Pierre-le-Jeune (luth. f° 117 n° 19)
1661. Dom. Quasimodogeniti 21. April. Matthis Beer der Küeffer, Hn. Johann Christoph Beeren Notarii Imp. Publ. Vndt Amptschreibers Zu Marlenheim ehel. Sohn, Vndt Jfr. Elisabetha, Hn. Heinrich Füeßels Burgers Vndt Leütenants allhie ehel. Tochter. Copulavi Zinst. 30. April. (i 129)
Mathias Bæhr hypothèque la maison au profit de Marie Madeleine Bischoff pour laquelle agit son tuteur Jean Paul Schübler
1694 (10.8.), Chambre des Contrats, vol. 566 f° 508-v
Matthiß Bähr der Kieffer
in gegensein Hn Johann Paul Schüblers JUDdi und E.E. großen Raths beÿsitzers alß Vogts Jfr. Mariæ Magdalenæ Bischoffin, schuldig 25 pfund
unterpfand, Zweÿ haüßer, Ein vorders und ein hinders, hoff, hoffstatt mit allen deren Gebäuen, begriffen, weithen, zugehördt. Recht und Gerechtigkeiten allhier in der Lucernen Gaß, einseit neben dem Müntzhoff, anderseit neben Johann Römer dem Goldarbeiter, hinden Zum theil auff erwehnten Müntzhoff, und theilß auff hans Georg Meÿer den Kieffer stoßend gelegen
Elisabeth Füssler meurt le 17 décembre 1696
Sépulture, Saint-Pierre-le-Jeune (luth. f° 117-v)
1696. d. 17. 10.bris Starb Elisabetha Mathias Bähr des Kieffers v. burgers alhier, ehl haußfr. ætat. 54. iahr v. 10 Monat, Ihr vatter war weyl. Hr. Heinrich Füeßel Hießiger Leutenampt, die Mutter fr. Maria hohin p.m. Ao. 1662. d. 30 April: hatt sie sich vheurathet ahn obgemelt. Mathiß bähr, mit solchem in d. Ehe gelebt biß an ihr Endt, Würd. Mittw. d. 19. 10.br begraben Nach S Helenen v. ihr alda parentiret von mir Joh: Heüpelio [unterzeichnet] Matthis Baer allseman, Claudi Willhelm Alß docher Mann (i 125)
Bourgeois de Strasbourg, le tonnelier Mathias Bæhr épouse en 1698 à Bischheim Elisabeth, fille de l’aubergiste Strasbourgois Thiébaut Grossheinrich
Mariage, Bischheim (luth. p. 50)
Mittw. d. 16. Julÿ 1698 Seind nach ordentliche Proclamation Gottes Ordnung nach Copulirt und Eingesegnet worden Mattiß Bär der burger u. Kieffer von Straßburg, v. Jungfr. Maria Elisabetha, weil diebolt Großheinrichs gewesenen Pflugwirths und burgers Zu Straßburg hinderlaßene Ehl. Tochter wie solches nach neben mir dem Pfar. d. die Copulation verrichtet folgende bezeugen [unterzeichnet] nattjis Berr Hohzeütter, Anna Maria Erlersa betta Groß heinrichen (i 29)
Elisabeth Grossheinrich fait dresser l’inventaire de ses apports qui s’élèvent à 129 livres.
1698 (18.9.), Not. Rohr (Daniel, 46 Not 4) f° 176
Inventarium und Beschreibung aller derjenigen haab und Nahrung, so die Ehren vnd tugendsahme Fraw Maria Elisabetha gebohrne Großheinrichin, Zu dem Ehrengeachten Meister Mathis Bärren Kieffer vnd burgern allhier Zu Straßburg, derzeit wohnhaft zu Bischheim beÿ Höhnheim, Ihrem Haußwürth in den Ehestand Zugebracht und vermög auffgerichteter Eheberedung sich vor unverändert vorbehalten hat, welche auf freundliches ansuchen vnd begehren Ihr der Ehefrawen selbsten auff Ihr beschehenes vorweißen vnd angeben, theils vnd Zwahr so viel desjenige betrifft so sich allhier Zu Straßburg befunden in beÿsein Meister Johann Schlunden Schneiders vnd burgers allhier, als in specie erbettenen Gezeügens weilen der Mann nicht persönlich beÿwohnen können theils aber vnd Zwahr was die stück so Sie die Fr. bereits nacher bischheim gethan belanget, in præsentia des Ehemanns selbsten fleißig inventirt vnd ersucht (…) Actum Donnerstags den 18. 7.bris Anno 1698
Series rubricarum hujus Inventarÿ. Sa. haußraths 106, Sa. der frucht 3, Sa. Silbers 3, Sa. Guldenen Rings 4, Sa. der baarschafft 6, Summa summarum 124 lb
Hierzugelegt die Ihro ane hernach beschriebenen haussteuren verglichener maßen gebührend helffte so thut 5. Demnach der Ehefrawen in dieße Ehe gebrachtes gäntzlichen Vermögen in allem dem billichen werth nach angeschlagen benantlichen 129 lb
Mathias Bæhr et Elisabeth Füssler vendent la maison à Jean Gaspard Bæhr, greffier du bailliage de Kochersberg
1695 (14.4.), Chambre des Contrats, vol. 567 f° 242
(prot. fol. 75.) Erschienen Matthiß Bähr, der Kieffer, und Elisabetha gebohrne Füßlerin, deßen Eheliche haußfrau
haben in gegensein Herrn Caspar Bähren, Ambtschreibern deß Ambts Kocherspergs, mit beÿstand H Matthiæ Hermes, Schulmeisters im Münster, angezeigt und bekandt, daß Sie beede Eheleute Ihme Hn Ambtschreiber Bähren auffrichtig vnd ohnwid.rufflich verkaufft vnd Zu kauffen gegeben maß auch dießer, vnd Zwar auff die von HHn. Räth und XXI. am 11.ten huj. Obrigkeitlich ertheilte Erkandnuß (…)
Zweÿ haüßer, Ein vorderes und hinderes, Hoff, Hoffstatt, mit allen deren Gebäuen, begriffen, weithen, Zugehördt. Recht. und Gerechtigkeiten allhier in der Lucernen gaß, einseit neben d. Müntzhoff anderseit neb. Johann Römeren deß goldarbeiters sel. Erb., hind. Zum theil auff erwehnt. Müntzhauß und theilß auff hans Georg Meÿer, den Küffer stoßend, geleg. Welche behaußung umb 300 pfund pfenning dem Waisenhauß allhier, So dann vmb 200 lb. d. Capital dem Corpori d. Pensionen vnd vmb 25 lb Capital Hn Joh: Paul S-len verhafftet, im übrig. geg. männiglich freÿ ledig vnd eÿg. Ist demnach dißer verkauff vnd Kauff über die angegebenen beschwerden, so der H. Käuffer vbernommen, vnd deßweg. der Verkäuffer schadloß Zu halt. Zugesagt hat, geschehen vmb 325 pfund
Les Conseillers et les Vingt-et-Un font visiter la maison avant de permettre la vente à un manant. La commission constate que le bâtiment arrière a une cave voûtée pour quarante foudres de vin, que les murs coupe-feu sont en bon état mais que pour le reste la maison est assez délabrée.
1695, Conseillers et XXI (1 R 178)
(p. 67) den 9.ten April. 1695 – Mathias Bähr pct° hauß v.kauffs.
S. nê H. Mathias Bähr ; Küffer und Burger alhier, willens seine hinter der Herren stub gelegene behaußung an herrn Caspar Bähren, Ambtschreibers deß Ambts Kochersberg umb 1700 fl. Zu Verkauffen, bittet deßen gdne. erlaubnuß.
Erk. ein Deputation auß herrn XV. Brackenhoffer und herrn Pfeil beliebt.
(p. 68) Montags den 11. April. – Relation deß haußes so Mathias Bähr v.kauffen will
H. XV. Brackenhoffer und H. Pfeil referiren die beschaffenheit, so Mathias Beer der Kieffer, an Herrn Caspar Bähren Zu verkauffen willens ist, dießelbe seÿe gegen herrn Rathh. Kammen hauß über geleg. und habe das hinter hauß einen gewölbten Keller, umb 40. fud. Wein logiren Zu können, stehe in seinen guthen feur Mauren, sonsten seÿe sie Zimmlich bawloß und solten darauff 700. fl. bezalt werden, die übrige 1000 fl. stünden auff S Margaretha und waÿsenhauß, der Käuffer habe sich Zwar nicht selber p.sentirt allein habe Mathis Hermeß in seinem nahmen declarirt, daß er sich gern allen puncten submittiren wolte, außer der einlogirung, die er in geldt Zu verwandlen bitte.
Erk. Wie Vor [sollen die Herren Deputirten Zu dem end der Verschreibung beÿwohnen, darmit sie cum clausulis Consuetis gescheh. möge] vnd das petitum die einlogirung betreffend, man die Herren Depp. daselbsten gewießen, daß sie so lang er bauen wird, geld Von dem Käuffer annehmen möcht.
Gaspard Bœhr (ici sous la forme Beyer) épouse en 1679 Jeanne Dourdan
Mariage, Saverne (cath. p. 336)
1679. den 30. Jenner ist eingesegnet worden H. Casparus Beÿer Amptschreiber im Kochersperg mit der Jungfrawen Johanna dourdanin Rmi Dni Præpo[siti] nri. sorore (i 170)
Baptêmes d’Anne Marie en 1680, François Joseph en 1681, Jean Gaspard François en 1683 et Anne Claire en 1685
Baptême, Saverne (cath. p. 404)
1680. 3. April. Maria Anna
Parentes D. Caspar Bähren Amptschreiber, Joanna Dourdan
Patrini d Johannes Fries Camer* Secretarÿ, prænobilis virgo Ameleia ab Elsenheim (i 204)
Baptême, Saverne (cath. p. 408)
1681. 19. April. Franciscus Josephus
Parentes D. Casparus Bähr Amptschreiber, Joanna Francisca Dourdan
Patrini dn Johannes Georgius Metzger Stattschreiber, Præ Nobilis virgo Maria Francisca Elsenheim (i 206)
Baptême, Saverne (cath. p. 416)
1683. 31. Januarÿ Joannes Casparus Franciscus
Parentes H. Casparus Bähr Amptschreiber, Joanna Dourdan
Patrini dn Johannes Georgius Metzger, Elisabetha friesin* (i 211)
Baptême, Saverne (cath. p. 425)
1685. 8. Januarÿ Anna Clara Barbara
Parentes D. Casparus Bähr Amptschreiber, Joanna Dourdan
Patrini dn Johannes Georgius Metzger Stattschreiber prænobilis domina Anna Clara Barbara Kämpffin uxor dni v Elshenheim (i 215)
Jean Gaspard Bæhr se remarie en 1686 avec Marie Madeleine Knœopffler, fille du receveur Nicolas Knœpffler
Mariage, Saverne (cath. f° 2)
1686. Die 18. Novembris habitus de more tribus proclamationibus in facie Ecclesiä Copulatus Est Spectabilis Dnus Casparus Bähr viduus Satrapiæ Kocherspergensis protoscriba, Cum perhonesta virgine Maria Magdalena Knöpfflerin H. Nicolai Knöpfflers Senatoris huiatis undt ober lohnherrens et devotæ. matronæ mariæ Magdalenæ Gäuglerin prædicti D. Nicolai Legitimæ uxoris filiâ (i 2)
Gaspard Bæhr refuse de régler son droit de manance en allégaunt qu’il a dû louer sa maison à la Monnaie voisine au lieu de pouvoir en disposer à sa guise, notamment pour y entreposer ses biens en temps de guerre. Les Quinze traitent l’affaire le 6 mai 1705 en présence du procureur Goll qui représente Gaspard Bæhr. Reineri, assesseur des Quinze, qui a dû quitter la maison en hâte demande une indemnité. Le syndic fait remarquer que Gaspard Bæhr jouit de la maison en tant que propriétaire, qu’il s’est engagé à verser le droit de manance lors de l’achat et qu’il tire un bon loyer de la location à la Monnaie. Les Quinze rejettent la demande de Gaspard Bæhr.
1704, Protocole des Quinze (2 R 108)
(f° 304-v) Sambstags den 29.ten Novembris 1704. – G. nôie Caspar Bären deß Ambt schreibers im Kochersperg, weilen derselbe die Schirmgebühren wegen seiner ahne der Müntz gelegen behaußung Zubezahlen getrieben würdt, daß der doch * behausung wider seinen willen nicht brauchen kan, sondern die selbe der Müntz Zu vberlaßen genötigt worden alß bittet Zu mehrerm Bericht deputation, vnd absolutionem. Erk. ahne die Obere Schirmgerichts herren gewiesen
1705, Protocole des Quinze (2 R 109)
(f° 75) Freÿtags den 6.ten Martÿ 1705. – H Caspar Bär pt° Schirmgelts
Obere Schirmherren Laßen per herrn Friden Proponiren, es habe herr Caspar Bär Ambtschreiber des Ambts Kochersperg, jüngsthin in einem gehaltenen Receß, umb befreÿung des Schirmgelts von seinem hauß in der Herren Stub gaß, so Er der Müntz Zu überlaßen genöthiget worden, gebetten, vndt alß man auff beschehener Remission von der sach geredet habe man gewünscht, daß man selbsten mit dem H. Bären hette reden Können, es seÿe aber in deßen nahmen H. D. Goll d. Procurator erschienen, der sich auff das Jenige Schreiben so ged. S* H. Bär an Ihne Herrn Friden, abgehen laßen bezogen, in sich haltendt deß Ihme, beÿ dießen gefährlichen Kriegs Zeiten, da man nicht wiße wie lang man auff dem landt bleiben könne, sehr beschwehrlich falle, daß er sich seines haußes privirt sehen*, vndt das seinige im Zinß hermumb schleppen müße, verhoffendt daß man deßwegen einige Consideration vor ihn haben werde.
Worauff man vor nöthig erachtet herrn Schmidten darüber Zu vernehmen, welcher berichtet, daß der Implorant sein hauß anno 1695. umb 850. lb. d. erkaufft habe, nach welches Er auch biß 1700. inclusive entrichtet, seithero aber daßelbe Zu bezahlen erschwehrt habe, weilen Er das hauß nicht bewohnen könne, vnd obwohlen man demselben remonstrirt, daß Er den Zinß davon Ziehe, so habe Er doch dagegen eingewendet, daß Er solches hauß nicht vor andere Leüth, sondern darumb gekaufft habe, vmb seine effectten darinnen verwahrlich auffzuheben. Wobeÿ erinnert worden, daß die sach wegen überlaßung dießes haußes Zu der König. Müntz beÿ herrn Dreÿzehen tractirt worden, deßwegen Er H. Fridt auff empfangene Commission, ob nicht wegen des Schirmgelts, einihe meldung dabeÿ geschehen, durch H. Secret. Schwenden in der Herren XIII. Protocollo nachschagen laßen, darinnen sich aber nichts gefunden, außer daß ged. H. Bär auff dem, Ihme gethanen Zuspruch, sein Hauß der Müntz Zu übergeben, sich habe disponiren laßen, stünde demnach Zu MGhh. ob Sie demeselben einige Gnadt erweißen wolle.
H. XV. Reineri pt° ersetzung der unkosten so er beÿ seinem außzug aus dem Bährischen hauß angewendt.
Hac occasione habe Herr XV. Reinerÿ berichtet, daß Er in der eil aus obbemeltem hauß habe heraus Ziehen, und eine gelegenheit in der Kalbsgaß beÿ der Madame von Dortal beziehen, größere Zinß geben, vndt Zimbliche unkosten vor der Zug außlegen müsse, welche sich vermög übergebener specification auff 26. fl. 2 ß belauff. vndt weilen Ihme, Zu einiger schadloßhaltung hoffnung gemacht worden, alß werde Zu Mghherren stehen, was Sie auch dißfalls erkennen wollen
Herr Syndicus sagt, was H. Bären prætension belange, könne Er nicht sehen, wie derselbe von bezahlung des Schirmgelts befreÿt werden könne, dann (1) seÿe er Eigenthumsherr des haußes quæstionis, vnd genieße daßelbe. (2) wolle die Ordnung, daß alle die Jenige, welche burgerliche Häußer an sich erhandelt, anstatt des Stallgelts das Schirmgelt bezahlen sollen, vndt wann schon (3) gesagt werden wolte, daß Er sein hauß der Müntz habe überlaßen müßen, so seÿe dagegen Zu Consideriren daß Er einen Guten Zinß davon genieße, vnd da Herr XV. Reineri daßelbige bewohnt davon habe entrichten müßen. Über das seÿe H. Bär ein Frembder, und bekant daß wan beÿ Herren Rhät vndt XXI. Einem Frembden, ein hauß alhie Zu kauffen erlaubt werde, es anderst nicht, als mit der Condition geschehe, daß Er d. Stallgelt davon entrichten solle, deßenwegen Er davor halte, daß obbemelter herr Bär, zu bezalung des Schirm gelts angehalten werden könte, in deme es sonsten Zu einer Consequenz gezogen werden, und andere, auch dergleichen befreÿung prætendiren würden.
Herrn XV Reineri prætension Betreffendt (…)
Erkandt, Gefolgt.
Gaspard Bæhr meurt en 1728 à l’âge allégué de soixante-quatorze ans
Sépulture, Saverne (cath. f° 154-v)
Anno 1728 die 7. Augusti obÿt SS Sacr.tis pœni.æ et extr. unctionis rité munitus clariss. Dnus Casparus Behr ætatis suæ annô 74 sa.piæ montis concordiæ Protoscriba def. Dnæ Magdalenæ Knoepfler viduus qui postridie cum comitatu Collegÿ nostri apud RR. PP. Recollectas hujus urbis sepultus fuit præsentiis subscr. testibus tut. Colleg. n.ræ Choralibus (signé) Johannes Vonhatten, Adelphus Seruatius (i 159)
La maison revient à sa fille Anne Claire qui épouse en 1707 Jean Guillaume Weinnemer, économe à Bergheim, fils d’Albert Weinnemmer, bailli du bailliage de Schirmeck-Mutzig et de Catherine Mentz (Jean Guillaume Weinnemmer a été baptisé à Mutzig le 9 juin 1667) : contrat de mariage tel qu’il est copié à l’inventaire, célébration à Saverne
Eheberedungs Copeÿ (…) Zwischen herrn Johann Wilhelm Weinemmern freÿherr. Rollischen Schaffnern der Herrschafft oberbergheim, mit beÿstand des Hoch Edel gestreng vnd Hochgelehrten Herrn Hermann Halvern Hoher Stifft Straßburg Vice Cantzlers und Eines hochwürdigen Thumb Capituls ersthochgedachter hohen Stifft Syndici, an einem, So dann der Ehren Tugendreicheen Jungfrauen Annæ Claræ Bährin, Herrn Caspar Bähren, Ambtschreibers der Ambteÿ Kochersperg, mit weÿland Johanna Francisca Dourdane deßen gewesenen Ehewürthin seel: Ehelich erworbenen dochter, mit beÿstand herrn Johann Herrenbergers, hoher Stifft Straßburg Fiscalen, am andern (…) So beschehen inn Straßburg den 4.ten Januarÿ Anno 1707.
Mariage, Saverne (cath. p. 93)
Die 31.a Januarÿ 1707 prævÿs sponsalibus et trinâ proclamatione a me subscripro Dacano et parocho Tabernensi in nostra Ecclesia parochiali copulati sunt et Eruditus Dominus Joanes wilhelmus Weinemer œconomus Domini in Oberbergheim Nobilis honoratique Domini Alberti Weinemer olim œconomi satrapiæ in Schirmeck et defunctæ Catharinæ Mensinne legitimus filius et Nobilis virtuosa pudicaque virgo Anna Clara Behrinne supra memoratum Dni. Caspari Behr [Notarii publici et Archigrammatei in satrapia montis concordiæ] et defunctæ Johannæ Franciscæ Dourdanne legitima filia (i 47)
Jean Guillaume Weinnemmer de Mutzig (ici sous la forme Weinheimer) et sa femme Anne Claire Bæhr de Saverne achètent le droit de bourgeoisie en novembre 1716
1716, 3° Livre de bourgeoisie p. 1302
H. Joh: Willhelm Weinheimer Von Mutzig weÿl: H: Albrecht Willhelmen gew: Schultheißen daselbst sohn, Vnd sein Fr: Anna Clara Bährin, Von Zabern, erkauffen das burgerrecht p. 3. gold fl. 16. ß bringt 2. Kinder mit so beÿ ordnung geblieben. Wird beÿ den Schumachern dienen, Jur. d. 19. Dito [9.bris] 1716
Jean Guillaume Weinnemmer devient échevin à la tribu des Cordonniers
1716, Conseillers et XXI (1 R 199) Johann Willhelm Weinnehmer würdt Schöff E. E. Zunfft der Schuhmacher. 70.
Jean Guillaume Weinnemmer, ancien sénateur et ancien triumvir à la Tour aux deniers, et Anne Claire Bæhr hypothèquent la maison au profit du pharmacien Philippe Jacques Brackenhoffer
1729 (20.4.), Chambre des Contrats, vol. 603 f° 197-v
H. Johann Willhelm Weinemmer Exsen. und Alter dreÿer hiesigen Stadt Pfenning Thurn und Fr. Anna Clara geb. Bährin mit beÿstand H. Huck und H. Glock beede EE. kleinen Raths beÿsitzer
in gegensein H. Philipp Jacob Brackenhoffer Exsenatoris und Apotheckers – schuldig seÿen 500 pfund
unterpfand, eine aus jetzigen Vorschuß zum theil bezahlte Behausung bestehend in Vorder: und hinderhauß hoff hoffstatt mit allen derselben gebäuden, begriffen, weithen, zugehörden, Rechten und gerechtigkeiten in der Lucernen oder Herren Stueb: gaß, einseit neben dem königlichen Müntzhoff anderseit neben den Bleicherischen Erben hinten theils auff Astheimer den weinhändler ux: nôe: theils auff ged. Mützhoff – ihro Weinnemerischer ehefrauen eigenthümlich zuständig
Jean Guillaume Weinnemmer meurt en 1738 en délaissant deux enfants, Hermann, prébendé du chapitre de la Toussaint, et Marie Claire, femme de François Antoine Baud. Les experts estiment la maison à 1 500 livres. La masse propre à la veuve est de 2 229 livres, celle des héritiers présente un passif de 125 livres. L’actif de la communauté s’élève à 189 livres, le passif à 917 livres.
1738 (18.7.), Not. Pantrion (Jacques Christophe, 40 Not 69)
Inventarium und Beschreibung aller Haab und Nahrung, so weÿl. der wohl Edel Fürsichtig und weiße Herr Johann Wilhelm Weinemmer E. E. gr. Raths alter wohlmeritirter Assessor, nunmehro seel. nach seinem den 17.ten Junÿ nechsthin aus dießem mühesamen leben genommenen tödt. ableiben Zeitl. verlaßen, welche auf freund. erfordern und begehren der Edlen viel Ehr: und tugendreichen Frauen Annæ Claræ Barbaræ Weinemmerin geb. Bährin der hinterl. wittib mit assistenz H; Joh: Schusters des Schneiders und Sigristen beÿ St. Allheÿligen auch burgers allhier, dero ane Vogt stall erbettenen assistenten ersucht, durch Sie die wittib (…) So beschehen Straßb. auff Freÿtag d. 18.ten Julÿ 1738.
Der abgeleibte Herr Rathherr seel: hat ab intestato Zu Erben verlaßen wie folgt. 1.mo Den wohl Ehrwürdig und hochgelehrten H. Herrmann Weinemmer wohlmeritirten Præbendarium beÿ dem Stifft allerheiligen allhier so in Persohn Zugegen war, Vnd dann 2.do Die Edle viel Ehren und tugendreiche Frau Mariam Claram Baudin geb. Weinemerin Hn Frantz Anthoni Baud wohlverdienten Kriegs Raths und Kriegs Zahlmeisters Ihro Churfürst. dhlt. von der Pfaltz Zu Mannheim wohnhaft, Frau Eheliebstin: so abweßend, in dero nahmen aber Zugegen ware, der Ehrenvest und vorachtbare Herr Joh: Georg Hammerer E. E. Kl. Raths beÿsitzer, und aus deßen mittel Zu dießem geschäfft verordneter H. Deputatus, Beede des verstorbenen H. Rathh. seel. mit eingangs benandter seiner hinterl. Fr. wittib ehel. erzeugter Herr Soh, und Frau tochter auch Zu gleichen portionen und antheilen instituirte Erben.
Eheberedungs Copeÿ (…) So beschehen inn Straßburg den 4.ten Januarÿ Anno 1707.
Copia Testamenti Clausi
(f° 4) In einer allhier Zu Straßburg beÿ allerheiligen Stifft gehöriger behaußung ist befunden worden, wie folgt
Eigenthumb ane einer behaußung (W.) It: hauß hoffestatt und höfflin mit allen deßen rechten Zugehörden und gerechtigkeiten gelegen allhier Zu Straßb. in dem sogenandten Lucernen gäßl. 1.s neben denen Künastischen Erben, 2.s. neben der Frantz. Müntz allhier, hinten auf H: Astheimer den weinhänd. stoßend ([biffé] davon gehen Jährl. H. 20. lb. s. à 4 p. Ct° gerechneten geld Zinß H. Joh: Philipp Brackenhoffern apotheckern und E. E. gr. Raths beÿsitzer auf d. 20.t Aprilis ablösig in Capital mit 500 lb sonsten freÿ ledig v. eigen, durch der Statt Straß. geschworne Werckmeister ([biffé] über abzug vorstehender beschwerd) laut dero überschickten scheins vom 10. Julÿ nechsthin 1500 lb. Daru&ber besagt i. teutsch perg. Kauffbrieff in allh. C. C. stub gefertigt. v. m. dero anh. Ins. verw. datiert d. 14. April. 1695, inhaltend, welchergestalten H. Caspar Bähr gew. Ambtschreiber des Ambts Kochersperg der Fr. W. geliebter H. Vatter obbeschriebene behauß. v. Mathis Behren dem Kieffer ane sich erhandelt.
(f° 10) Ergäntzung der Fr. Wittib ohnveränderten Guths. Deßwegen ist forderist Zu Wißen, daß Zwar in der hievornen fol: (-) inserirten Eheberedung stipulirt worden, gleich nach vollzogener hochzeit eine ordentliche Designation auffrichten Zulaßen vnd darinnen Zu specificiren waß iedes von eingangs gemelten beeden Eheleuten am damals gehabten Nahrung in den Ehestand Zu bringen würd (…) so aber nicht beschehen – was dieselbe von weÿl. Herrn Caspar Bähren ihrem Vattern seel. ererbt laut gehaltener Abrechnung vom 4. Febr: 1707 in Außweißung Mütterlichen v großmütterlich. Guths (…)
(f° 15) Series rubricarum hujus Inventarÿ, nach dem werth anschlag. Der Frau Wittib unverändert guth, Sa. haußraths 27, Sa. d. guldenen Ring 33, Sa. der Gülten Von liegenden güthern 94, Sa. Eigenthums ane reebgütern 175, Sa. Eigenthum ane einer behaußung 1500, Sa. der Schuld 150, Sa. der Ergäntzung 249, Summa summarum 2229 lb
Der Erben ohnverändert Nahrung, Sa. der Kleÿder 24, davon ist abzuzieh. 150, Conferendo (passiv onus) 125 lb
Die Theilbahre Verlaßenschafft betreffend, Sa. haußraths 142, Sa. Wein vnd faß 56, Sa. Silbers 64, Sa. Gülten von liegenden güthern 159 lb, Summa summarum 189 lb – Schulden 917 lb (Passiv onus) 465 lb
Reduction Gegenwärtigen Inventarÿ vom werth auff den Stall anschlag – Schluß Summ geg.werig Inventarÿ del Stalltax nach 1417. lb
Abschatzung dem: 10. Julÿ: 1738. Auff begehren weillandt deß wohll Acht bahren und bescheitenen herrn Johann Wilhelm weinhemmers E: E: Groß, Rahts gewesëner alter beÿsitzer seel. hinderlaßenen frau wittib und Erben ist eine behaußung allhier in der Statt Straßburg hinder der herren Stuben ihm Luzerner gäßlein gelegen ein seits Neben denen Kiennastischen Erben, anderseits an die frantzschoschiße Müntz hienden auff H. osthammer dem weinhändler, stoßend welche behaußung unden auff dem botten die einfahrt neben dar an ein Cammin Cammer der hoff bronnen und gewölbter Keller hinderhauß worinnen die stëgen stuben Kuchen und hauß Ehren, oben dar über wid.rum stuben Cammern Kuchen hauß Ehren gang ihn 2.en Stock wid.rum Stuben Cammern Kuchen hauß Ehren oben dar uber die bienen mit einem sehr niter tach stull Sambt aller gerechtigkeit wie solches turch der Statt Straßburg geschwornen werck Meinster, sich in der besichtigung befundten und Jëtzigen Preÿß auch an geschlagen wirdt Vor und Umb Dreÿ Tausent Guldin bezeichnuß der Statt Straßburg geschwornen wërck Meistere, [unterzeichnet] Johann Peter Pflug Statt Lohner, Michael Ehrlacher Werck Meister deß Meinsters, Johann Jacob Biermeÿer Werck Meister deß Zimmerhoffs
Jean Guillaume Weinnemmer meurt à l’âge allégué de 72 ans dans la paroisse Saint-Marc. Son corps est inhumé dans le cimetière voisin de l’église Saint-Pierre-le-Jeune
Sépulture, Saint-Pierre-le-Jeune (cath. p. 226)
Anno Domini 1738 die 17° Junÿ Mortuus est Clarissimus Dominus Joannes Guillelmus weinemmer Exsenator argentinensis annorum circiter 72. Maritus relictæ viduæ Dnæ Annæ claræ Barbaræ Behrin in Ditrictu Parochiæ Sancti Marci sacramentis Pœnitentiæ et Extremæ unctionis munitus, et die sequenti Ecclesiæ nostræ Contiguo fuit sepultus (i 115)
Anne Claire Bæhr fait une donation à ses enfants
1740 (9.5.), Not. Brackenhoffer (Jean, 4 Not 29) n° 576
Disposition inter liberos – persönlich kommen vndt erschienen ist die Edle, Viel Ehren vnd tugendbegabte fr. Anna Clara Barbara Weinnemerin gebohrne Bährin, weÿl. deß Wohl Edlen, fürsichtig und Weißen Herrn Johann Wilhelm Weinnemers E E großen Rathß löbl. Statt beÿsitzers hinterlaßene fr. wittib, durch die gnade deß grundgütig. Gottes aufrecht gesunder gehend vnd stehenden leibes auch darbeÿ guter richtiger Sinnen vernunfft vndt verstandts (…)
Beschehen alhier Zu Straßburg in dem sogenandten allerheÿligen gäßlein ane der Steinstraß gelegen in einer daselbsten von ihren H. Sohn alß Præbendario im Genuß habend. vndt nebst ihro der fr. disponentin bewohnenden behauß. dero vntern oder wohnstüblein, mit dreien fenstern in den gartten außsehend (…) Montagß d. 9. Maÿ 1740. morgens zwisch. 10. vnd 11. uhren [unterzeichnet] Anna Clara Weinemmerin wittib
Anne Marie Claire Behr meurt à l’âge de 82 ans, veuve de l’économe de l’abbaye de Marmoutier. Son corps est inhumé dans le cimetière voisin de l’église Saint-Pierre-le-Vieux.
Sépulture, Saint-Pierre-le-Vieux (cath. p. 347)
Anno Domini 1763 die 24 junii mortua est anna maria clara Behr vidua defuncti dni weinemer olim abbatiæ maurimonasterii in hac urbe oeconomi ætatis Suæ 83 annorum quæ postridie a me subscripto sepulta fuit in cœmeterio Ecclesiæ contiguo (im 179)
La maison revient à sa fille Marie Claire Weinnemmer qui épouse en 1735 François Bernard Baud, conseiller de l’électeur palatin et trésorier de guerre à Mannheim, veuf de Susanne Catherine Chavant dont il a un fils : contrat de mariage, célébration
1735 (10.5.), Not. Humbourg (6 E 41, 53)
Eheberedung – daß zwischen dem Churpfältzichen Commissariats Rathen und Kriegs Zahlmeistern Herr Frantz Baud Wonhafft zu Mannheimb ahn Einem
Und der Ehr: und tugendsamen Jungfrawen Mariæ Claræ Weinnemmerin Herrn Johann Willhelm Weinnemmers E. E. großen Raths der Statt Straßburg alten beÿsitzers und Frawen Annæ Claræ gebohrener behrin Ehelich erzeugter tochter ahm andern theil, mit beÿderseiths Eltern Consens eine Christliche Heurath Verabredet worden und Zu Stande gekommen
Es declarirt demnach hiermit der Herr Bräutigam auff seine Ehr und gutes gewissen, mithin dergestalten Verbindlich und Zuverlässig, wie er es auff erfordern mit einem leiblichen Eÿdt Zu Gottes erhärten könte, daß er nach reiffen vnd wohlbedächtliche überlegung befunden, welcher gestalten die materna seines Söhnleins nebst dem seiner Seeligen Fraw Mutter gebührendem antheil Von der Errungenschaft sich zusammen Höchstens auff 4000 Reichsthaler /ehender weniger, als mehr/ belauffen (…)
So geschehen Straßburg den 10. Maÿ Jahrs 1735
Mariage, Saint-Laurent (cath. f° 168-v)
Hodie 11 Mensis Maÿ Anni 1735 unâ proclamatione cum legitima dispensatione duarum in Parochia ad Stum Laurentium Ecclesiæ Cathedralis Argentinensis publicé factâ futuro Matrimonÿ inter Clarissimum dominum Franciscum Bernardum Baud viduum defunctæ Susannæ Catharinæ chavant, Consiliarium Thesaurarium Bellicum Serenissimi Electoris Palatini commorantem Mannhemÿ, Dioecesis Wormatiensis ex unâ, Et Pudicam Virginem Dellam Mariam Claram Weinemmerin filiam Dni joannis Wilhelmi Weinemmer Senatoris Civitatis Argentinensis, et Annæ Mariæ Hermannin legitimorum conjugum commorantium in Parochia ad Stum Laurentium intra Argentinam ex altera partibus (signé) f Baud, Maria Clara weinemmerin (im 170)
Le tuteur des enfants de François Bernard Baud demande que ses trois enfants soient exemptés du droit de détraction dans la succession de leur grand-mère
1759, XV (2 R 171, rapiarium 170)
Pierre Joseph Richard puncto abzugs, so von Weÿl. Hn Frantz Bernhard Baud des geweßenen Chur Fürstlich Pfältzischen Kriegs raths hinterlaßen dreÿen Kindern
(p. 49) Dienstags d. 4. Decembris.
Lect. memoriale und Stall bericht in sachen Hn Pierre Joseph Richard des handelsmanns und burgers allhier.
Implorant præsens habe den jnnhalt seines memorialis wiederhohlt, inn dem beÿsatz daß de in dem Stallbericht enthaltene und auff 199. lb 4 ß 8 d sich belauffende artickel, puncto abzugs, so von Weÿl. Hn Frantz Bernhard Baud des geweßenen Chur Fürstlich Pfältzischen Kriegs raths hinterlaßen dreÿen Kindern in ansehung des groß mütterlichen Erbs gefordert Wird, die heutige Von des Imploranten Vatter seel herrührende Verlaßenschafft nicht abgeht und mit derselbe Keine connexion habe, was aber das Von erst besagter Verlaßenschafft geforderte und auff 684. lb sich belauffende stall gelt anbelanget, wolle Er der Implorant der Hn Deputirte unterthänig gebetten haben, in betrachtung Zu Ziehen, daß vermög Inventarii, die passiva um ein ansehnliches die activa übertreffen, mithin sonnen Clar seÿe, daß des Imploranten Vatter seel. ein merckliches über sein Vermögen verstallet, indeme Von deßen Verlaßenschafft das Jährliche stall gelt auff den fuß von 75 lb nebst 12 lb wegen dem Von Weÿl. Frauen Baud ererbten gut Verrechnet worden. Er Implorant Könne beÿ seinem guten gewißen Versichern, daß die nahrung seither zwölf Jahren sehr starck abgenommen, mithin Verdienen die Erben, Einige consideration bitt derowegen umb ein gnädiges einsehen.
(à finir)
Les Quinze exemptent les enfants du droit de détraction. Ils rappellent que l’accord réciproque d’exemption avec l’électeur palatin a été passé après la mort de François Bernard Baud. Comme les biens proviennent de leur grand-mère et que les enfants resteront à Strasbourg, ils peuvent être considéres comme des sujets du roi et non comme des étrangers.
1760, Protocole des Quinze (2 R 172)
(p. 15) Sambstags den 19. Januarÿ – Kleinclaus pt° Baudischen abzugs
Christmann nôe Hn. Rathh Joh: Kleinclaus als vogt weÿl. H. Frantz Bernhard Baud gewesenen Churpfältzischen Kriegs Rath und Kriegs Zahlmeisters hinterlaßener 3. minorennen Kindern prod. unterth. memor. und bitten samt beÿl. sub N° 1. 2. pt° Abzuhgs. Erk. Obere stall Herren.
(p. 36) Sambstags d. 9. Februarÿ – Kleinclaus pt° Baudischen abzugs
Obere Stallherren lassen per H. Secret. Dauder referi[ren es] habe beÿ MGHh H. Lt. Johann Kleinclaus [als vogt] weÿland H. Frantz Bernhard Baud ge[wesenen] Churpfältzischen Kriegs Rath und Krieg[s Zahl]meisters hinterlaßener dreÿer min[orennen] Kindern d. 19. Januarÿ jüngst ein unterthäniges Memoriale juncto petito samt beÿl. sub Nis 1. & 2. producirt, und dahin concludirt, E. G. geruheten, die dißortige Curanden Von dem an selbigen abseithen Löbl. Statt Stall angeforderten Abzug derer 190. lb. gnädigst zu entladen.
Auff geschehener Weisung habe sich Implorant præsens auff den Innhalt des producirten Memoriis und derer beÿgefügten beÿlagen bezogen.
Die H. Deputirte hätten Zwar eingesehen, daß die mit Chur Pfaltz pt° des Reciproci Freÿzugs getroffene Convention lang nach H. Bauden absterben gemacht worden, weilen seine Kinder aber nebst seiner Fr. Wittib welche von hier gebürtig und eines burgers so in Statt diensten gestanden Kind ist, gleich nach dessen tödlichen hintritt wieder hieher gekommen, und hier zu bleiben entschlossen, die Großmutter anbeÿ Von welcher die Erbschafft quæestonis herkommt, erst verschiedene Jahr hernach gestorben, mithin diese Kinder nicht als Extranei sondern als Regnicolæ, welche sich des Juris Reversionis zu bedienen berec[h]tiget sind, anzusehen, als hätten die Hn Deputirte Keinen Anstand genommen dafür zu halten, daß der H. Implorant nomine quo agit von dem geforderten Abzug der 190. lb quæstionis Zu befreÿen seÿe, die Confirmation MGHh. anheim stellend. Erk. Bedacht gefolgt.
Native de Bergheim, Marie Claire Weinnemmer, veuve de François Bernard Baud, devient bourgeoise à titre gratuit. Ses deux enfants suivent la coutume (ne deviennent pas bourgeois).
1765, Livre de bourgeoisie 1762-1769 (VI 285) p. 67
Maria Clara Baud, geb. Weinheimerin, von oberberckh. gebürtig, weÿl. H. Frantz Bernard Baud gew. Kriegs Rath und Zahl meister von Ihro Churfürst. durchleucht Zu Pfaltz hinterl. Fr. Wittib, erhalt d. burger recht ex speciali w* gratis, will dienen beÿ EE. E. Zunfft der Schuemacher prom. den 3.ten Junÿ 1765. dero 2. Kind. aber H. Lt. Frantz Wilhelm und Jfr. Maria Cecilia Wilhelmine sind beÿ ordnung gelaßen.
Marie Claire Weinnemmer meurt en 1777 en délaissant trois enfants. Les experts estiment la maison à 1 400 livres. L’actif de la succession s’élève à 5 476 livres, le passif à 426 livres.
1777 (16.6.), Not. Zimmer (6 E 41, 1423) n° 418
Inventaire de la succession de feu D° Marie Claire Baud née Veinemer, à son decès Veuve de feu le Sr François Bernard Baud, vivant Tresorier et Conseiller Militaire de S. A. Electorale Palatine, et bourgeoise de cette Ville de Strasbourg, dressé l’an 1777. (…) après son decès arrivé en lad° Ville le 8° avril 1777. – Fait et passé audit Strasbourg le 16 juin 1777.
Feu Mad° Baud a delaissé pour ses seuls et uniques héritiers ab intestat, savoir 1.mo D° Claire Ursule Dabeind née Baud, Epouse du St Joachim François Pierre Dabeind, Avocat au Conseil souverain d’Alsace, et Receveur de la Maison de Force de cette Ville de Strasbourg, ci presente et assistée de dud. Sr Son Epoux
2°do Mr Guillaume François Baud, Interprête di Roi au bureau des affaires étrangères, ci présent
et 3.tio Dlle Marie Cecile Guillaume Baud, fille majeure, ci presente sous l’assistance du Sr Sigefroid Chrétien Klauhold, Praticien demeurant en cette dite Ville. Tous les trois Enfants de lad° défunte D° Baud procréés avec feu led. Sr son Mari et ses héritiers uniques ab intestat par égales Portions
Trouvés dans une Maison sise en cette Ville de Strasbourg derrière le poële de la Lanterne, appartenant à la succession
Propriété d’une Maison. Sçavoir une Maison avec ses appartenances et dépendances Scituée rüe du poële de la Lanterne, d’un côté la Veuve Wittemberger, de l’autre (-) Haffner, Sergent de la Chambre des Tutelles et par derrière le S. Kellermann, Controlleur de la Maison des Sels en cette ville, franche et quitte de toutes Charges, estimée par les Experts jurés de cette Ville suivant leur Billet d’Estimation du 9 May 1777 produit et demeuré annexé au présent Inventaire, à la somme de 5600 livres. La propriété de cette Maison est constatée par Contrats passés à la Chambre des Contrats de cette Ville le 5 février 1692 et 14 avril 1695 et icelle seroit echüe a la defunte D° Baud apres le Deceds de la D° sa Mere, cy Pour Mémoire
Etat sommaire du présent Inventaire. Total des Meubles, 423, Total des Vins et Tonneaux 189, Total de l’argenterie 148, Total de l’or et Bijoux 176, Total de l’argent comptant 680, Total de la Propriété d’une Maison 5600, Total des Rentes en grains 1440, Total des Vignes Scituées au Ban d’Ittlenheim 325, Total du Capital portant Rente 2000, Total général 10.952 livres – Dettes passives 853, Montant de la succession 10.199 livres
Somme finale et du Stall 10.099 livres
(Annexé) Sr Guillaume François Baud commis aux affaires etrangères demeurant à Versailles rue Neuve Notre Dame (…) Fait et passé à Versailles l’an 1779 le 29 septembre
Les préposés de la Taille font figurer la succession dans leur registre parce que les impôts acquittés étaient calculés d’après une fortune sous-évaluée de 1 700 florins (850 livres) sur un total de 4 500 florins
1777, Livres de la Taille (VII 1180) f° 218-v
Schuhmacher N° 4146 – Weÿl. Fr. Mariæ Claræ geb. Weinemerin auch Weÿl. H. François Baud Thresorier und Militar Rath Zu Manheim hinter. Witwe und burgern alhier Verlaßenschafft jnvent. H. Not. Zimmer
Concl. final. jnvent. Ist fol .35-b 10.099 lb 6 d davon gehet aber ab 1050 lb verbleibt 944* lb die machen 4500 fl. verstallte 2800 fl. Zu wenig 1700 fl
davon nachtrag 6. Jahr in duplo a 5 lb 2 ß – 30 lb 12 ß
und 4 Jahr in simplo – 10 lb 4 ß
Ext. Stallgeld 1777 – 4. 4.
Geb. – 2 ß
Abhandlung 4. 3. 6 (zusammen) 49 lb 5 ß 6 d
Auß Erheblichen ursachen Ist der nachtrag auff die helffte moderirt worden, restirt 28 lb 17 ß 6 d
dt. 28. junÿ 1777.
Les héritiers exposent la maison infructueusement aux enchères
1777 (30.6.), Not. Zimmer (6 E 41, 1451) n° 340
Anno 1777 Montags den 30. Junÿ nachmittags, auf Ansuchen Frauen Clarae Ursulae gebohrener Baud, H. Joachim Frantz Peter Dabeind, Advocati beÿ dem hohen Königlichen Rath in Colmar und Schaffners des allhiesigen Arbeit Haußes Ehegattin, beÿständlichen dieses ihres Eheherrn, 2.do H. Wilhelm Frantz Baud, Interprete du Roi aux affaires etrangeres, dermalen allhier zu Straßburg, und 3.tio Jungfrauen Mariæ Ceciliæ Wilhelminæ Baud, beiständlichen H. Sigfrid Christian Klauhold, des practici dahier und nach vorhergegangener publication (…)
wurde die in weiland Fr. Mariä Clarä gebohrener Weinemmer, längst weiland H. Frantz bernhard Baud, im Leben gewesenen Chur Fürstl. Pfältzischen Zahlmeisters und Kriegs Raths hinterlaßener Frau Wittib Verlaßenschafft gehörige behausung, Höfflein, Hoffstatt und brunnen, samt allen übrigen deroselben begriffen, Weithen, Zugehörden, Rechten und Gerechtigkeiten gelegen allhier Zu Straßburg hinter der sogenannten Herren Stub, einseit neben Fr. Wirtembergerin Wittib, anderseit neben H. Haffner, dem Vogteÿbotten und hinten auf H. Kellermann, den Controlleur in dem allhiesigen Saltzhaus, stoßend, so freÿ leedih, eigen, mit Zuziehung mein des unterschriebenen Notarii, zu einer freÿwilligen Verkauff: und Versteigerung, jedoch unter nachstehenden ausdrucklichen Bedingungen, als (…)
ausgesetzt pro 5750 fl. » d. Worauf (…) kein Gebott erfolget, daher dann die quæstionirte behausung Zur Disposition der H. Fr. und Jungfr. Requirenten verblieben
La maison revient à Claire Ursule Baud, femme de l’avocat Joachim François Pierre Dabeind
Claire Baud vend la maison à François Louis Treitlinger, secrétaire des Quinze
1779 (27.11.), Chambre des Contrats, vol. 653 f° 456
De Clara geb. Baud H. Lt Joachim Frantz Peter Dabeind des schaffners in allhiesigen arbeits haus ehegattin, H. Johann Friedrich Zimmer notarius publicus juratus ac practicus vor und innahmen H. Lt. Wilhelm Frantz Baud commis au bureau des affaires étrangères zu Paris sich auffhaltend
in gegensein H. Lt. Frantz Ludwig Treitlinger des collegii in deren H. fünffzehn secretariorum adjuncti
ihnen verkäuffern als ererbt eigenthümlich zu gleichen theilen und rechten zuständige behausung, höfflein, bronnen und hoffstatt mit allen denen gebäuden, begriffen, weithen, zugehörden, rechten und gerechtigkeiten ane der Lucernen gaß, einseit neben alten müntz modo H. Haffner d. vogteÿ bott, anderseit neben weÿl. N. Wirtenberger dem schreiner wittib, hinten auff die a la place de la Victoire geschildete behausung – 4800 gulden
Fils du secrétaire Jean Louis Treitlinger, François Louis Treitlinger épouse en 1779 Marie Madeleine Birr, veuve du marchand Jean Thierry Hummel : contrat de mariage, célébration
1779 (8.11.), Not. Lobstein (J. Frédéric, 6 E 41, 834) n° 473
Eheberedung – zwischen dem Hoch Edelgebohrnen und Hochgelehrten Herrn Frantz Ludwig Treitlinger, J. U. Lt° und Wohlbestellten Secret: adjuncto beÿ Gnädigen Herren denen Herren Fünfzehen, auch Secretario der Aemter Marlen und Waßlenheim, weÿland S.is T.is Herrn Johann Ludwig Treitlingers, gewesenen vortreflichen J. Cti und Herzoglich Würtembergischen Regierungs Raths und vornehmen burgers alhier Zu Straßburg, mit S. T. Fraun Maria Salome gebohrener Kunzin, seiner hinterbliebenen Fraun Wittib, ehelich erzielten nachgelaßenen Herrn Sohn, so majorennis und ohnbevögtigt als Herrn Hochzeiter an einem
Und der Wohl Edlen und viel Tugendreichen Fraun Mariä Magdalenä gebohrener Bürrin, weiland S. T. Herrn Johann Dietrich Hummels, gewesenen wohlangesehenen Handelsmanns und Burgers alhier zu Straßburg nachgelaßener Fraun Wittib als Fraun Hochzeiterin an dem andern Theil
So beschehen alhier Zu Straßburg auf Montag den 8. Novembris Anno 1779. [unterzeichnet] Frantz Ludwig Treitlinger als hochzeiter, Maria Magdalena Hummelin gebohrene Birrin als Hochzeiterin
Mariage, Temple-Neuf (luth. f° 4-v n° 45)
Im Jahr 1779 Mittwochs den 8. Decembris, vor mittag umb Eilff uhr, wurden nach vorheriger Proclamation, welche mit Erlaubnuß des Regierenden Herrn Ammeisters, Dominica Secunda Adventus, zum Ersten und andern mahl zugleich geschehen ist, in offetlicher Kirche, ehelich copuliert und christlich eingesegnet, H. Frantz Ludwig Treitlinger, J. U. Ltus beÿ dem hochansehnlich. Dicasterio der Herren Fünffzehen, Secretariorum Adjunctus, und beÿder Land Pflegereÿen Waßlen: und Marlenheim, bestellter Secretarius, auch lediger burger allhier, weÿl. H. Johann Ludwig Treitlingers, gewesenen Juris Consulti und Hertzog. Würtembergischen Regierungs: Raths auch burgers allhier, mit Frau Maria Salome gb. Kuntzin ehelich erzeugter Sohn, und Frau Maria Magdalena gebohrne Birrin, weÿl. H. Johann Dietrich Hummel gewesenen Handelsmanns und burgers allhier nachgelaßene Wittib [unterzeichnet] Frantz Ludwig Treitlinger als Hochzeiter, Maria Magdalena Hummelin als Hochzeiterin (i 6)
Fille du marchand Jean Martin Birr, Marie Madeleine Birr épouse en 1769 Jean Thierry Hummel, fils du boucher et aubergiste Georges Michel Hummel de Langencandel (Kandel en Palatinat) : contrat de mariage, célébration
1769 (13.2.), Not. Langheinrich (J. Daniel, 6 E 41, 740) n° 353
Eheberedung – zwischen dem Ehrenvest und vorachtbahren Herrn Johann Dietrich Hummel, dem ledigen Handelsmann von Langen Candel gebürtig, weÿland Herrn Georg Michael Hummels, des geweßenen Metzgers, Gastgebers und Burgers allda seel. nachgelaßenen Herrn Sohn, als dem Herrn Braäutigamb ane einem,
So dann der Viel Ehren und Hoch tugendgezierten Jungfer Maria Magdalena Birrin, Herrn Johann Martin Birren vornehmen Handelsmanns und Burgers allhier ehelich erzeugten Jungfer Tochter, als der Junger Hochzeiterin ane dem andern Theil
So beschehen in Straßburg auf Montag den 13. Februarii Anni 1769 [unterzeichnet] Johann Dietrich Hummel als hochzeiter, Maria Magdalena Birrin als Hochzeiterin
Mariage, Temple-Neuf (luth. f° 130 n° 181)
Im Jahr Christ 1769 Dienstags den 28. Hornung, sind nach geschehener ordentlicher proclamation Dom: Remiiscere et dom: Oculi in offentlicher Kirchen copulirt und ehelich eingesegnet worden herr Johann Dietrich Hummel der handelsmann und burger allhier von Langen Kandel gebürtig, weÿl. Herrn Georg Michael Hummels Gastgebers und burgers daselbsten und auch weÿl. Frau Mariä Elisabethä geborner Kochin hinterlaßener ehelicher Sohn und Jungfrau Maria Magdalena Birrin, herrn Johann Martin Birren des Handelßmanns und burgers allhier und Frauen Mariä Ursula geborner Durringerin eheliche Tochter [unterzeichnet] Johann Dierich Hummel als hochzeiter, Maria Magdalena Birrin als hoch Zeiterin (i 138)
Jean Thierry Hummel devient bourgeois par sa femme quinze jours après son mariage en s’inscrivant à la tribu du Miroir
1769, Livre de bourgeoisie 1762-1769 (VI 285) p. 163-v
Johann Dietrich Hummel, handelsmann von Lang. Kandel gebürtig erhalt das burgerrecht von seiner Ehefrauen, Maria Magdalena H. Johann Martin Birr des handelsmanns und burgers allhier ehel. tochter umb den alten burger schilling, will dienen beÿ E. E. Zunfft Zum Spiegel. Jur. den 11. Mertz 1769.
La tribu du Miroir remet à Jean Thierry Hummel une promesse d’admission le 14 février 1769. Après être devenu bourgeois, il est reçu tributaire le 15 juin et déclare faire commerce de drap.
1769, Protocole de la tribu du Miroir (XI 279)
(f° 21-v) Dienstags, den 14. Februarii 1769 – Vertröstung
Hr Johann Dietrich Hummel, des weil. H. Georg Michael Hummel, gewesenen Gastgebers zu Langen Kandel, hinterl. ehe. Sohn, stehet vor und meldet, daß er die Handlung in allhiesiger Statt bei seinem oncle H. Joh: Christoph Hummel erlernet habe, mit Bitte, ihm den gewohnlichen Schein Zu erteilen, um burger werden Zu können.
Nach eingesehenem Lehrjungen Protocoll und daraufhin gehaltener Umfrag Erkannt, willfahrt.
(f° 24-v) Donnerstags, den 15. Junii 1769 – E. Leibzünftiger
Hr Johann Dietrich Hummel ist nunmehr auf vorgewiesenen Kanzlei und Stallschein vom 10. & 11. Martii jüngsthin gegen Erlag drei Pfund Zehen Schilling leibzünfftig als Handelsmann angenommen worden. dt. & prom. declarirt die Tuchhandlung zu führen. (dt 3 lb 10 ß, 6 ß Findl.)
Les nouveaux mariés font dresser l’inventaire de leurs apports dans une maison aux Grandes Arcades. Ceux du mari s’élèvent à 6 843 livres, ceux de la femme à 3 069 livres.
1769 (16.8.), Not. Langheinrich (J. Daniel, 6 E 41, 728) n° 735
Inventarium über des Ehrenvest und Vorachtbahren Herrn Johann Dietrich Hummels Vornehmen Handelsmanns und der Viel Ehren und hochtugendgezierten frauen Maria Magdalena Hummelin geb. Birrin beeder Eheleuthe und burgere allhier Zu Straßburg einander in den Ehestand zugebrachte Nahrungen, errichtet Anno 1769. (…) sich vermög der vor mir unterschriebenem geschwornem Notario unterm 13.ten febr: dießes Jahrs errichteten heuraths Verschreibung – So geschehen in Straßburg auf Mittwoch den 16. Augusti Anno 1769.
In einer allhier Zu Straßburg ane dem alten Kornmarckt unter der Großen Gewerbslaub gelegener und in dießer Zugebrachte Nahrung nicht gehörigen Behausung befunden Worden Wie folgt
Series rubricarum hujus Inventarÿ. Des Herrn in die Ehe gebrachtes Vermögens, Sa. Haußraths 84, Sa. Silbers und dergleichen Geschmeids 21, Sa. goldenen Rings und dergleichen Geschmeids 164, Sa. Baarschafft 6520, Summa summarum 6790 lb – Dazugelegt die Ihme gebührige Helffte ane denen Haussteuren 53 lb, Des Herrn in die Ehe gebrachtes Guth in vero pretio 6843 lb
Dießemnach wird nun auch der Frauen sambtlich in die Ehe gebracht Vermögen, Sa. haußraths 314, Sa. Silbers und dergleichen Geschmeids 54, Sa. goldenen Rings und dergleichen Geschmeids 396, Sa. Baarschafft 2250, Summa summarum 3015 lb – Dazu kombt ferner die Ihro der Ehefrauen gebührige helffte ane denen Haussteuren 53, Der Frauen in die Ehe gebracht Guth in vero pretio 3069 lb
Jean Thierry Hummel meurt en 1777 en délaissant deux filles. L’inventaire est dressé dans une maison rue des Grandes Arcades. La masse propre à la veuve est de 17 602 livres, celle des héritiers de 6 550 livres. L’actif de la communauté s’élève à 15 528 livres et le passif à 34 499 livres.
1777 (22.7.), Not. Lobstein (J. Frédéric, 6 E 41, 822) n° 791
Inventarium über Weiland des Wohl Ehrenvest und Großachtbahren Herrn Johann Dietrich Hummels geweßenen Wohlangesehenen Handelsmanns und burgers allhier Zu Straßburg nun seeligen Verlassenschafft, errichtet in Anno 1777. (…) nach seinem Sonntags den 11.ten Maÿ dießes lauffenden 1777.sten Jahrs aus dießer Welth genommenen tödlichen hientritt Zeitlichen verlaßen, welche Verlaßenschafft inventirt worden auf freundliches Ansuchen Erfordern und Begehren Frauen Mariä Magdalenä Hummelin geb. Birrin der hinterbliebenen Fr. Wittib, beiständlich H, Jacob Friderich Birr, des handelsmanns und burgers allhier, wie auch Hn Johann Daniel Birr, des Knöpffmachers, Seidenhändlers und burgers allhier Zu Straßburg, als geordnet: und geschwohrenen Vogts Mariä Magdalenä und Carolinæ der Hummelin, des Verstorbenen herrn seel. mit vorgemelter seiner hinterbliebenen Fr. Wittib ehel. erzielter beeder töchterlin und ab intestato Verlaßener Erben (…) So beschehen allhier zu Straßburg, angefangen Dienstags den 22.ten Julÿ 1777.
Copia Heuratths: Verschreibung
In einer alhier Zu Straßburg ane der grosen gewerbslaub gelegener u. in dießer Verlaßenschaft nicht gehörigen Behaußung befund. worden als folgt
Ergäntzung der hinterbliebenen Fr. Wittib wehrend dießer Ehe abgegangenen ohnveränderten Guths. Inhalt Inventarii über beeder nun zertrennter Eheleuthe einander für ohnverändert in den Ehestand zugebrachte Nahrungen dh. H. Not. Joh: Daniel Langheinrich in Anno 1769. errichtet
Series rubricarum hujus Inventarÿ. Der Frau Wittib ohnverändert Guth. Sa. haußraths 178, Sa. Silber u. dgl. Geschmeids 19, Sa. Guldener Ring und dergl. geschmeids 59, Sa. Pfenningzinß hauptguths 875, Sa. Activ Schuld 200, Sa. Ergäntzungs Rests 16.270, Summa summarum 17.602 lb
Der Erben ohnverändert Guth, Sa. haußraths 74, Sa. Silbers 1, Sa. Goldener Ring 25, Ergäntzungs Rests 6649, Summa summarum 6750 lb – Schulden 200, Nach solchem abzug 6550 lb
Das Theilbahre Guth, Sa. hsrths 125, Sa. Gewerbs waaren 6535, Sa. Weins und leerer Faß 481, Sa. Silbers u. dgl. geschmeids 93, Sa. goldenen Rings u. dgl. Geschmeids 81, Sa. baarschafft 280, Sa. Activ Schuld 7929, Summa summarum 15.528 lb – Schulden 34.499 lb, Compensando 16.970 lb
Conclusio finalis Inventarÿ 7182 lb – Stall Summa 3944 lb
Zweiffelhaffte und verlohrene Schulden in der Fr. Wittib ohnveränderte Nahrung 697, in der Verlaßenschafft 10.046
Copia der Eheberedung (…)
François Louis Treitlinger est reçu à la tribu des Tanneurs à titre gratuit.
1779, Protocole de la tribu des Tanneurs (XI 359)
(f° 183-v) Donnerstags den 16.ten Decembris 1779 – Aufnahm an Neuzünftigen
S.T. H. Frantz Ludwig Treutlinger, J.V. Ltus und adjunctus beÿ dem Protocollo gnädiger herren der Fünffzehn, weiland hrn Lt. Johann Ludwig Treutlinger, herzoglich Würtenbergischen geweßenen Raths und burgers alhier, nachgelaßener Sohn, producirt Schein von löbl. Stadt Stall d: d: 1.ten Decembris jüngst und begehrte in Gemäßheit desselben, das Zunft Recht eines Zudieners
Erkannt, Willfahrt und Zwar ob favorem Studiorum gratis.
François Louis Treitlinger et sa femme font dresser l’inventaire de leurs apports dans une maison aux Grandes Arcades. La maison qu’a achetée le mari figure dans l’inventaire. Ses apports s’élèvent à 1 390 livres, ceux de la femme à 19 299 livres.
1779 (21.12.), Not. Lobstein (J. Frédéric, 6 E 41, 826) n° 868
Inventarium über des hoch Edelgebohrnen und hochgelehrten Hn Frantz Ludwig Treutlingers, J.V. Lti und wohlbestelten Secret: Adjuncti beÿ G. Hn denen Hn Fünffzehen auch Secretarÿ der Ämter Waßlen: und Marlenheim und der wohl Edlen und Vil tugendgezierten Frauen Mariä Magdalenä Treutlingerin, geb. Birrin, beeder Ehepersohnen und wohlangesehenen burgere allhier Zu Straßburg, einander für ohnverändert in den Ehestand zugebrachte Nahrungen, aufgerichtet in Anno 1779. (…) welche der ursachen, alldieweilen in Jhr beeder wohlgedachter Ehepersohnen vor mir Notario den 8.ten 9.bris jüngsthien mit einander errichteten heuraths: verschreibung pt° 2.do expresse enthalten, daß eines jeeden in die Ehe bringende Nahrung reservirt und ohnverändert sein und bleiben solle (…)
So beschehen allhier Zu Straßburg in fernerem beisein Hn Jacob Friderich Birr handelsmanns und wohlangesehenen burgers allhier Zu Straßburg der Ehefrauen H. Bruders und respectivé beistandts und H. Johann Daniel Grün des Knöpffmachers, Seidenhändlers und burgers alhier der Ehefrauen beeder Kinder Erster Ehe geordneten Hn Vogts angefangen auf dienstag den 21. Decembris anno 1779 und Vollends complirt den 9. Septembris 1780
In einer allhier zu Straßburg ane der großen Gewerbslaub gelegenen und in dieße Zugebrachte Nahrung nicht gehörigen behausung befunden worden als volgt
Eigenthumb ane einer behausung (H.) Nambl. eine behaußung, höfflein, bronnen und hoffstatt, mit allen deren gebäuden, begriffen, Weithen, Zugehörden, Rechten und gerechtigkeiten gelegen alhier Zu Straßburg ane der lucernengaß, 1.s. neben der alten Müntz, modo N. Haffner, der Vogteÿ: bott, 2. s. neben weil. N. Wirtenberger, geweßenen Schreiners Wittib, hinten auf die geschildete Gast behaußung à la place de Victoire stoßend, so außer denen darauf hafftenden hernach inventirtenn beeden Passiv: Capitalien sonsten gegen männiglichen freÿ, ledig, eigen und dißorths ohnpræjudicirlich angeschlagen wie selbige erkaufft worden, pro 2400. Dießerwegen ist vorhanden ein in allhießiger C C Stub gefertigter teutscher pergamentener Kauffbrieff, mit den fürgedrucktem Insiegel verwahret, sub dato 27.ten 9.bris 1779.
(f° 19) Wittumb so die Ehefrau von weil. Hn Johann Dietrich Hummel geweßenen wohlangesehenen handelsmann und burgern alhier Zu Straßburg, Ihrem ersten Eheh. seel. theils biß Zu Ihrem beeder mit demselben erziehlten töchter Jgf. Mariæ Magdalenä und Jfr. Catharinä der Hummelin erreichter majorennität, Verheurathung oder Etablissement gegen der gebühriger Education und Alimentation und theils Zeit lebens Zu genießen berechtiget ist
Series rubricarum hujus Inventarii. Des Eheh. in die Ehe gebracht Guth. Sa. Haußraths 105, Sa. Bibliothec 75, Sa. Silber und dergleichen Geschmeids 11, Sa. goldener Ring und dergleichen Geschmeids 387, Sa. baarschafft 225, Sa. pfenningzinß hauptgüter 200, Sa. Eigenthums ane einer behaußung 2400, Summa summarum 3404 lb – Schulden 2100, Nach solchem abzug 1304 lb, Wird darzu gelegt die Helffte ane den verehrten Haussteuren 85 lb, des Herrn in die Ehe zugebracht Guth in vero pretio 1390. lb
Der Ehefraun in die Ehe gebracht Vermögen, Sa. haußraths 802, Sa. Gewerbs Waren 300, Sa. Weins und leerer Vaß 648, Sa. Silber geschirr und Geschmeids 371, Sa. goldener Ring 615, Sa. baarschafft 2150, Sa. Pfenningzinß hauptgüter 3975, Sa. Schulden 17.851, Summa summarum 26.714 – Schulden 7500, Nach deren Abzug 19.214, Dazu gelegt die Helffte ane denen Haussteuren 85 lb, Der Ehefrauen in die Ehe gebracht Guth in vero pretio 19.299 lb
François Louis Treitlinger est élu assesseur des Quinze en 1784
1784, Conseillers et XXI (1 R 267) H. Lt Frantz Ludwig Treutlinger wird zu einem beÿsitzer der Hh. XV. ernannt. 62. wird als solcher Zum Oberherrn Es. En. Zunft der gerber erwehlt. 63.
François Louis Treitlinger vend la maison à Jean Raoul Dinckel, substitut à la Chambre des Contrats
1785 (23.3.), Chambre des Contrats, vol. 659 f° 149-v
SS. TT. H. XV. Frantz Ludwig Treitlinger
in gegensein H. Lt. Johann Rudolph Dinckel des löbl. Cantzleÿ contractstub substituti ordinarii
eine behausung, hoff, bronnen und hoffstatt mit allen deren übrigen gebäuden, begriffen, weithen, zugehörden, rechten und gerechtigkeiten hinter der Herren stub ane der sogenannten Laternengaß, einseit neben der verwittibten Fr. Haffnerin, anderseit neben der Wittenbergischen wittib, hinten auff H. Kempff ci devant sergent des ouvriers – um 3000 gulden, und meubles um 1000 gulden
La maison revient à sa mort en 1801 à sa fille et unique héritière Dorothée Dinckel qui épouse en 1807 le négociant Louis Milius
Les nouveaux mariés font dresser l’inventaire de leurs apports. Ceux du mari s’élèvent à 7047 livres outre la maison rue de l’Hôpital, ceux de la femme à 24 255 livres outre la maison rue du Vieux-Seigle.
1808 (21.11.), Strasbourg 4 (37), Not. Stoeber n° 667
Inventaire des apports de Louis Mylius négociant et Dorothée Dinckel, d’après le contrat de mariage dressé le 1 octobre 1807, mariés le 5 octobre suivant
dans la maison ci après désignée rue dite vieille firnkorngass n° 2
le mari, meubles 584 fr, tonneaux 180 fr, argenterie 307 fr, bijoux 173 fr, numéraire 2722 fr, capital 3080 fr, total 7047 fr
immeuble, une maison avec cour puit appartenances et dépendances sise à Strasbourg rue de l’hôpital n° 12, d’un côté le Sr Lindauer tonnelier, d’autre le Sr Mathis aubergiste derrière café Sandmann. Il existe un contrat de vente passé à la Chambre des Contrats le 27 septembre 1783
la femme, meubles 3230 fr, argenterie 38 fr, or 1049 fr, numéraire 3737 fr, capital 16.200 fr, total 24.255 fr
immeuble, Une maison avec cour puits appartenances et dépendances sise à Strasbourg rue dite vieille firnkorngass n° 2, d’un côté en partie le Sr Kampmann homme de lettres en partie le Sr Rübsamen négociant, d’autre le Sr Berat faiseur de parapluies, derrière le Sr Kempff aubergiste – quant aux deux tiers relatifs a ladite maison il existe un contrat de vente à la Chambre des Contrats le 23 mars 1785 et trois autres plus anciens
terres à Willgottheim et Saessolsheim
présents de noces 411 fr
Enregistrement de Strasbourg, acp 109 F° 24 du 1.12.
Louis Milius meurt en 1823 en délaissant trois enfants.
1824 (10.2.), Strasbourg 7 (68), M° Stoeber n° 7336
Inventaire de la succession de Louis Milius, négociant décédé le 9 octobre dernier – à la requête de Dorothée Dinckel la veuve, commune en biens aux termes du contrat de mariage reçu Me Stoeber le 1 octobre 1807, mère et tutrice légale de 1. Louise Dorothée 15 ans, 2. Louis Adolphe Ferdinand 12 ans, 3. Eugène Alexandre 9 ans, en présence de Daniel Ehrenfried Stoeber avocat tuteur subrogé
au second étage de la maison sise à Strasbourg Vieux Marché aux Vins n° (-)
garde robe 62 fr, mobilier du défunt 254 fr – communauté, meubles 186 fr
Louis Milius et Dorothée Dinckel exposent la maison aux enchères. L’acquéreur est le général de brigade Jean Michel Geither
1820 (8.11.), Strasbourg 8 (30), Me Roessel
Cahier des charges n° 7411 du 11 octobre – François Louis Klauhold, avoué mandataire de Louis Milius, négociant, et Dorothée Dinckel, Marie Salomé Kuhn veuve de Jean Frédéric Lorentz, sellier, dans le dessein de se délivrer de leurs créanciers
à Georges Blessig, horloger, la maison près du Corbeau n° 61 pour 9100 fr
à Jean Michel Geither officier Chevalier de la Légion d’Honneur général de brigade en retraite demeurant à Lauterbourg, la maison rue du Vieux Seigle n° 2 pour 11.000 fr
Désignation des objets à vendre 1. une maison située à Strasbourg rue du Vieux Seigle n° 2 d’un côté le Sr Rübsamen, de l’autre Joseph Levy, derrière Jacob Abraham. Cette maison appartient à la D° Milius qui l’a recueilli dans la succession de son père Jean Rodolphe Dincker qui en avait fait acquisition de François Louis Treitlinger à la Chambre des Contrats le 23 mars 1785. Treitlinger l’avait acquise de François Guillaume Baud et Claire Ursule Baud épouse de Joachim François Pierre Dabeind par acte passé à la Chambre des Contrats le 27 novembre 1779, Deux actes datés du 5 février 1692 et 14 avril 1695 établissent la propriété des anciens possesseurs
2. une maison avec appartenances et dépendances située à Strasbourg près l’hôtel du Corbeau n° 61 entre un cul de sac et Abraham Kober cabaretier, la Dame veuve Lorentz en est propriétaire comme l’ayant hérité de ses père et mère
3. une maison avec jardin et dépendances à Scharachbergheim, au Sr Milius
la maison rue du Vieux Seigle mise à prix, 6000 fr, celle près l’hôtel du Corbeau à 5000 fr
acp 149 F° 183 du 10.11.
Originaire d’Ubstadt en Bade, Jean Michel Geither épouse en 1819 sa nièce Elisabeth Geither en légitimant une fille née quatre mois plus tôt : contrat de mariage, célébration
1819 (29.5.), Strasbourg 10 (34), Not. Zimmer n° 608, 8549
Contrat de mariage – Jean Michel Geither, officier de la Légion d’Honneur maréchal de camp en retraite à Strasbourg rue de l’Eglise n° 7 né à Ubstatt au Grand Duché de Bade le 10 décembre 1769 fils de feu Jean Marie Geither et de Claire née Schedler
et Elisabeth Geither, fille mineure demeurant à Strasbourg, née à Geinsheim canton de Neustat dans le cercle royal bavarois sur le Rhin le 24 frimaire an 9 (15 décembre 1800) de Martin Geither et d’Eve Elisabeth née Maybach
parens respectifs aux degrés d’oncle et nièce, mariage autorisé par ordonnance royale du 31 mars dernier
acp 143 (3 Q 29 858) f° 57 du 29.5 – Don matutinal par le futur à la future d’une somme de 10.000 francs réversible dans le cas où elle* prédécederoit, réserve d’apports et communauté d’acquets
en cas de prédécès de la future toute la communauté appartiendra au futur, usufruit viager de la succession du prémourant réductible en cas d’existence d’enfants. Tant que le survivant conservera la viduité, s’il convole en secondes noces, il sera réduit à une pension annuelle et viagère de 500 francs, en cas d’existence d’enfants et dans le cas où il n’en existerait pas à l’usufruit de la succession du prédécédé
Mariage, Strasbourg (n° 171)
Acte de mariage célébré à l’hôtel de ville de Strasbourg à midi le deux juin 1819. Jean Michel Geither, majeur d’ans, né en légitime mariage le 10 décembre 1869 à Ubstatt, Grand Duché de Bade, domicilié à Strasbourg, Maréchal de camp retraité, chevalier de l’ordre roïal et militaire de Saint-Louis, officier de l’ordre roïal de la légion d’Honneur, fils de feu Jean Geither, propriétaire décédé à Maykammer (Bavière rhénane) le 4 juillet 1808 et de feu Marie Claire Schedler, décédée à Haguenau (Bas rhin) le 24 septembre 1789
Eve Elisabeth geither, mineure d’ans, née en légitime mariage le 24 Frimaire en neuf à Geinsheim (Bavière rhénane) domiciliée audit lieu, demeurante à Strasbourg, fille de Martin Geither, capitaine de gendarmerie retiré du service bavarois et d’Eve Elisabeth Maybach conjoints domiciliés à Geinsheim (…) Lesdits époux produisent une ordonnance du roi du 31 mars dernier enregistrée au tribunal civil de première instance de l’arrondissement de Strasbourg le 18 mai subséquent qui leur accorde dispense du degré de parenté subsistant entre eux (…)
Et de suite lesdits époux ont déclaré reconnaître Marie Anne Eve Elisabeth Geither, née d’eux à Strasbourg le 6 janvier dernier et inscrite dans nos registres le jour suivant (i 19)
Jean Michel Geither meurt en 1834 en délaissant deux enfants
1834 (6.12.), Strasbourg 9 (anc. cote 67), Philippe Frédéric Hickel n° 4916
Inventaire de la succession de Jean Michel Geither, officier de l’ordre royal de la Légion d’Honneur, maréchal de camp en retraite, décédé à Geinsheim canton de Neustatt (bavière Rhénane) le 28 septembre 1834
à la requête d’Eve Elisabeth Geither, veuve tant pour elle-même en vertu du contrat de mariage reçu Zimmer le 29 mai 1819 qu’en qualité de mère et tutrice légale de Marie Anne Eve Elisabeth et Jean Adam Adolphe héritiers de leur père – en présence de François Laurent Joseph Nebel, négociant subrogé tuteur
dans le logement que la famille du défunt occupe dans une maison sise à Strasbourg rue du Dôme n° 48 – Testament rçu M° Reinhard à Spire – comptant 3000 fr
acp 229 (3 Q 29 944) f° 24 du 16.12. Garde robe du défunt 964
La communauté se compose 1° des meubles meublants et effets prisés à 5859 fr,
Eve Elisabeth Geither fait dresser une liquidation de la communauté et de la succession de son mari
1842 (16.3.), Strasbourg 2 (86), M° Tinchant n° 2413
Liquidation sans attribution ni lotissement de la communauté entre Jean Michel Geither et Eve Elisabeth Geither et de la succession du défunt
Furent présents Madame Eve Elisabeth Geither, domiciliée à Strasbourg, veuve de Monsieur Jean Michel Geither, maréchal de camp en retraite et officier de la Légion d’Honneur, en son vivant domicilié en la même ville où il est décédé le 28 septembre 1834, agissant à cause de la communauté de biens dissoute entre elle et feu son mari et des autres avantages matrimoniaux qu’il lui a assurés et qui seront définis ci après et en sa qualité de mère et tutrice naturelle de M° Jean Adam Adolphe Geither, encore mineur l’un de ses deux enfants procréées en légitime mariage avec M. Geither défunt
La dame comprrante a requis M° Tinchant l’un des soussignés notaires de procéder marchand à l’apurement et au règlement et à la liquidation de la succession de Monsieur Geither défunt et de la communauté de biens dissosute entre lui et la dame veuve survivante (…)
M. le général Geither défunt a laissé pour ses seuls et uniques héritiers en ligne directe descendante deux enfants procréée avec la dame comparante Madame Marie Anne Eve Elisabeth Geither née le 6 janvier 1819 épouse de M° Louis Frédéric Zimmer, notaire résidant et domicilié à Strasbourg et le mineur susnommé Jean Adam Adolphe Geither né le 9 janvier 1824, lequel mineur a pour subrogé tuteur Monsieur François Laurent Joseph Nebel banquier demeurant à Strasbourg (…)
Monsieur et Madame Geuther ont réglé leurs intérêts quant à leur association conjugale par acte reçu de M° Georges Frédéric Zimmer qui en avait gardé minute (…) en date du 29 mai 1819 (…)
Monsieur Geither défunt a de plus disposé à cause de mort par un testament mystique écrit en langue allemande en date de Geinsheim (Bavière rhénane) le 22 septembre 1834 déposé en l’étude de M° Reichard Notaire à Spire suivant acte de suscription du même jour, ouvert par le président du tribunal de l’arrondissement de Franckenthal suivant procès verbal dressé au greffe du tribunal civil le 30 octobre même année (…) enregistrées en translat à Strasbourg le 25 novembre 1834 folio 10
acp 296 (3 Q 30 011) f° 21 du 18.3. Cette liquidation établissant la masse active de la communauté à 250.941 francs, la masse passive à 6568, reliquat actif 244.342, dont moitié à la veuve et moitié aux enfants 122.171
La succession de M. Geither devant recevoir 122.171 et devant des récompenses pour 2169, elle se trouve être d’un actif de 120.009 qui sera couvert en valeurs immobilières 11.567 et créances pour 10.919 et en reliquat dû par la veuve 97.951
La veuve a à répéter pour sa moitié de la communauté 122.717, plus le passif de la masse 6598, ensemble 128.769
sur quoi il lui est fait compte du reliquat mobilier de la masse active dont elle est débitrice 203.803, de la moitié de la valeur des immeubles dans laquelle elle entend entrer en partage pour 11.567 et dans la moitié des créances 10.191 en sorte qu’elle reste débitrice desdits 97.521
Suit la situation de la succession de M. Geither dont la balance est ainsi établie, Masse passive fixée à 155.379, celle passive à 10.613, reliquat actif 144.765
Ce travail établi par ladite veuve seule sans le concours des autres intéressés
Eve Elisabeth Geither se remarie avec le chef d’escadron François Joseph Hippolyte comte d’Heillimer : contrat de mariage, célébration
1842 (16.3.), Strasbourg 2 (86), M° Tinchant n° 2414
Contrat de mariage du 16 Mars 1842 – Furent presens Monsieur le Comte François Joseph Hypolite d’Heillimer, Chef d’escadron au cinquième régiment de chasseurs, Chevalier de la Légion d’Honneur et de St Louis en garnison à auch domicilié à Strasbourg, fils de feu Mr Charles Comte d’Heillimer en son vivant Colonel au service d’angleterre et de feu Dame Anne Marie gruber conjoints tous deux décédés, stipulant en son nom personnel, futur époux d’une part
Et Madame Eve Elisabeth née Geither, veuve avec deux enfants de feu Mons. Jean Michel Geither en son vivant officier de la légion d’honneur, Marechal de Camp en retraite, demeurant et domicilié à Strasbourg, fille de Mr Martin Geither, ancien Capitaine de la gendarmerie provinciale du Cercle du Rhin et de Madame Eve Elisabeth Maibach Conjoints domiciliés et demeurant à Geinsbach Bavière Rhénane, stipulant en son nom personnel future épouse, d’autre part
acp 296 (3 Q 30 011) f° 21-v communauté d’acquêts est établie entre les futur époux. Tous les biens qui leur aviendront pendant la durée de leur mariage sont exclus de la communauté et restent propres
Les apports du futur époux consistent 1° en une maison avec dépendances située en la Commune et ban d’Haraucourt avec neuf hectares 66 ares 90 ce. prés, 2° et en valeurs mobilières s’élevant à 13.872 francs
Les apports de la future épouse consistent en valeurs mobilières s’élevant à la somme de 187.902 francs non compris la part indivise aux valeurs mobilières et immobilières dépendant de la communauté qui a existé entre entre elle et son premier mari défunt, 2° les dons et avantages résultant à son profit et de son contrat de mariage avec le défunt et du testament de celui-ci le toute actuellement en liquidation par devant M° Tinchant
Mariage, Strasbourg (n° 114)
Du 16° jour du mois de Mars 1842. Acte de mariage de François Joseph Hippolite comte D’heillimer, majeur d’ans, né en légitime mariage le premier mars 1790 à Haguenau en garnison à Auch (Gers) Chef d’escadron au cinquième régiment de Chasseurs à Cheval, Chevalier de la Légion d’Honneur et de St Louis, fils de feu Charles comte d’Heillimer, Colonel du Régiment de hussards Hompech et de feu Anne Marie Gruber,
et de Eve Elisabeth Geither, Majeure d’ans, née en légitime mariage le 24 frimare an neuf à Geinsheim (Bavière rhénane) domiciliée à Strasbourg veuve de Jean Michel Geither maréchal de camp retraité officier de la Légion d’Honneur, Chevalier se St Louis décédé à Geinsheim le 28 septembre 183*, fille de Martin Geither, Capitaine de Gendarmerie retraité et de Eve Marguerite Maybach conjoints domiciliés à Geinsheim (…) Ledit époux a produit une permission de mariage qui lui a été délivrée à Paris le 22 février dernier sous le N° 391 par le Ministre Secrétaire d’Etat à la guerre et ladite épouse un acte de consentement passé devant M° Hitschler, Notaire royal à la résidence de haslach (Bavière rhénane) le 12 février dernier (i 7)
Les héritiers de Jean Michel Geiter font dresser un acte établissant que le défunt a renoncé à une hypothèque
1848 (4.6.), Strasbourg 2 (94), Not. Roessel n° 1859
Renonciation – Furent présens Mme Eve Elisabeth Geither, veuve de M. Jean Michel Geither, en son vivant maréchal de camp en retraite, officier de la Légion d’Honneur, son mari en premières noces et actuellement épouse de M. François Joseph Hypolite d’Heillimer, chevalier de la Légion d’Honneur, chef d’escadron en retraite qui à ce présent l’autorise pour tout ce qui suit, demeurant à Strasbourg, agissant tant à cause de la communauté de biens réduite aux acquêts qui a existé entre entre elle et feu Mr Geither qu’à cause des droits d’usufruit et des avantages matrimoniaux assurés à la comparante par ledit sieur Geither ainsi que le tout résulte d’un contrat de mariage passé par M° Georges Frédéric Zimmer, alors notaire à Strasbourg le 29 mai 1819
Madame Marie Anne Eve Elisabeth Geither épouse de M° Louis Frédéric Zimmer, notaire qui à ce présent l’autorise pour tout ce qui suit, les deux demeurant à Strasbourg
M. Jean Théodore Koertthé, clerc de Notaire demeurant en la même ville, agissant au nom et comme mandataire de M. Jean Adam Adolphe Geither, sergent fourrier au 7° bataillon de chasseurs d’Orléans en garnison à Metz, domicilié à Strasbourg (…) Mme Zimmer et M. Jean Adam Adolphe Greither habiles à se dire et porter seuls et uniques héritiers chacun pour moitié de feu M. Jean Michel Geither, leur père, ainsi que ces qualités héréditaires sont constatées par un intitulé d’inventaire dressé après le décès de ce dernier par M° Hickel et son collègue Notaires à Strasbourg le 6 décembre 1834, enregistré
Lesquels comparans ès noms qu’ils agissent déclarent et reconnaissent par ces présentes que feu M. Geither père a renoncé encore de son vivant (…) à tous droit d’hypothèque (…) sur deux maisons avec toutes appartenances et dépendances sises à Strasbourg l’une quai des bateliers N° 56 et l’autre rue des couples N° 3 (…)
acp 407 (3 Q 30 122) f° 57-v du 25.2.
Nouvelle liquidation suivie de partage entre la veuve et les enfants de Jean Michel Geither
1852 (25.1.), Roessel jeune
Liquidation et partage de la communauté de biens qui a existé entre Jean Michel Geither, Maréchal de camp en retraite à Strasbourg décédé à Geinsheim (Bavière) le 28 septembre 1834 et Elisabeth née Geither son épouse, épouse actuelle de François Joseph Hypolite d’Heillimer, chef d’escadron en retraite à Strasbourg
et de la succession du Sr Geither, dressé à la requête de 1) Eve Elisabeth Geitner veuve du Sr Geither, agissant en son nom personnel et comme commune en biens suivant son contrat de mariage reçu Zimmer notaire le 29 mars 1819 et comme donataire en usufruit de la moitié de la succession de feu son mari 2) du mandataire de Marie Anne Eve Elisabeth Geither épouse de Louis Frédéric Zimmer, notaire à Strasbourg, 3) Jean Adam Adolphe Geither, sans profession à Strasbourg
acp 407 (3 Q 30 122) f° 10-v du 9.2. – Communauté, masse active 231.078 composée en entier de créances situées à l’étranger, masse passive 1984, reste 209.089, la moitié 118.544
Succession, masse active 115.858, masse passive 13.485, reste 102.373
Division de l’actif de la succession. Il s’élève à 102.373, dont à déduire un tiers grevé d’usufruit au profit de la veuve 34.124 reste 68.248, dont moitié à chaque enfant 34.124 et en nue propriété 17.162, faisant 51.186
Partage des immeubles de la communauté et de la succession, banlieue de Geinsheim canton de Neustadt (Bavière rhénane)
Immeubles de la succession, banlieue de Geinsheim
Droits des parties et abandonnements (…)
1852 (19.2.), Roessel jeune
Arrêté de Compte de tutelle rendu par François Joseph Hypolite d’Heillimer, chef d’escadron en retraite et Eve Elisabeth Geitner son épouse, veuve en premières noces de Jean Michel Geither, vivant maréchal de camp à Strasbourg, rendu par acte reçu Roesel notaire les 29, 30 et 31 janvier 1852
à Marie Anne Eve Elisabeth Geither épouse de Louis Frédéric Zimmer, notaire à Strasbourg et à Jean Adam Geither, autrefois sergent fourrier, aujourd’hui rentier à Strasbourg
acp 407 (3 Q 30 122) f° 57-v du 25.2.
Eve Elisabeth Geither meurt en 1865 en délaissant deux enfants de son premier mariage et un fils du deuxième
1865 (23.10.), M° Zimmer
Inventaire de la communauté de biens qui a existé entre François Joseph d’Heillimer, chef d’Escadron en retraite et Eve Elisabeth Geither, sa femme et de la succession de la D° D’Heillimer décédée à Strasbourg le 28 avril 1865.
à la requête de I. le veuf comme commun en biens en vertu de son contrat de mariage reçu Tinchant notaire à Strasbourg le 16 mars 1842 et comme mandataire de Jean Adam Adolphe Geiter, rentier à Montévidéo et de Paul Hippolite d’Heillimer élève de l’école militaire de St Cyr, II, Marie Anne Eve Elisabeth Geither épouse de Louis Frédéric Zimmer, notaire à Strasbourg
acp 547 (3 Q 30 262) f° 15 du 25.10. (succession déclarée le 27. 8.bre 1865) Communauté. 1° Créances 17.383, 2° rente sur l’Etat 3 % montant à 3245, 3° six obligations du crédit foncier de France, 14 obligations dites lettres de gage du même crédit, 15 obligations de la Ville de Strasbourg, 30 obligations du chemin de fer de l’Est 78.835, arrérages de pension 286, intérêts d’une créance propre à la défunte 42, somme due pour Adolphe Geither 379, mobilier 61, revenu ‘un immeuble propre au mari 246, reprises de la défunte 187, indemnité due par la défunte à la communauté 63.226, reprises du mari 121.585
Succession, créances 11.000, mobilier 9352, reprises 104.353 bénéfice de la communauté 56.069
Liquidation et partage de la même succession
1866 (10.1.), Hippolyte Momy
Liquidation et partage de la communauté de biens qui a existé entre François Joseph d’Heillimer, chef d’Escadron en retraite à Strasbourg et Eve Elisabeth Geither, sa femme et de la succession de cette dernière veuve en premières noces de Jean Michel Geither, décédée à Strasbourg le 28 avril 1865.
Entre 1) le veuf comme commun en biens en vertu de son contrat de mariage reçu Tinchant le 16 mars 1842 et comme usufruitier de la moitié de la succession de sa femme 2) Jean Adam Adolphe Geiter, sans profession à Montévidéo, 3) Paul Hippoliye d’Heillimer élève de l’école de St Cyr, 4) Marie Anne Eve Elisabeth Geither épouse de Louis Frédéric Zimmer, notaire à Strasbourg
acp 549 (3 Q 30 264) f° 76 du 10.1. – Communauté. Mobilier 1472, Créances et intérêts 17.383, rentes 72.904, six obligations communales au porteur du crédit foncier de France 2355, 14 obligations hypothécaires dites lettres de gage 7000, 15 obligations de la Ville de Strasbourg 7529, 10 obligations du chemin de fer de l’Est 4962, 20 obligations dit chemin 6025, fonds en compte courant de la maison de banque Preis et compagnie 58.926, fonds en compte courant chez Wildenstein & Cie 17.917, argent et arrérages de pension 786, 216 piastres de rentes espagnoles 16.534, 9000 piastres dite dette 19.683, intérêts d’une créance propre à la défunte 42, somme due pour Adolphe Geither 379, revenu d’un immeuble propre au mari 246, total 233.727
Masse passive, reprises de la défunte 104.323, reprises du veuf 17.272, autres 2090, total 123.684 – Reste 110.141, moitié 55.020
Masse brute 233.727, à déduire les reprises 121.595, reste 112.132, moitié 56.066
Succession, créances 11.000, mobilier 9352, reprises 104.353, moitié de la communauté 56.069, Total 179.696
Masse passive, somme due à M° Zimmer et grevée d’usufruit au profit de la défunte 11.186, autre 2883, total 14.069, Reste 165.626
Abandonnements (…)
Jean Michel Geither et Elisabeth Geither vendent la maison au caissier Michel Aron
1824 (7.5.), Strasbourg 15 (35), Me Lacombe n° 6753
François Louis Klauhold, avoué, mandataire par acte sous seing privé de Jean Michel Geither, maréchal de camp et officier de la Légion d’Honneur, Elisabeth Geither son épouse
à Michel Aron, caissier chez Mre des frères Ratisbonne
une maison avec appartenances & dépendances située à Strasbourg rue du Vieux Seigle n° 2, d’un côté le Sr Rübsamen, de l’autre Joseph Levy, par devant la rue, par derrière Jacob Abraham. Sont compris deux glaces qui se trouvent dans la pièce de devant au premier étage, une autre dans celle sur le derrière, une autre petite glace étant au second étage sur le devant – acquise de Louis Milius, négociant, et Dorothée Dinckel et de Salomé Kuhn veuve Lorentz adjudication reçue M° Roessel le 25 octobre et 8 novembre 1820 transcrit au bureau des hypothèques de cette ville volume 134 n° 104/ La D° Milius a recueilli ledit immeuble dans la succession de son pere Jean Rodolphe Dinckel qui l’a acquis de François Louis Treitlinger à la Chambre des Contrats le 23 mars 1785. Ledit Treitlinger l’avait lui-même acquis de François Guillaume Baud et dde Claire Ursule Baud épouse de Joachim François Pierre Dabein à la Chambre des Contrats le 27 novembre 1779. Aautres titres à ladite Chambre les 5 février 1692 et 14 avril 1695 – moyennant 12.000 francs
acp 168 F° 17-v du 8.5.
Originaire de Soultz-sous-Forêts, Michel Aron épouse en 1818 Sara Samuel
1818 (17.11.), Strasbourg 15 (24), Not. Lacombe n° 5120
Contrat de mariage – Michel Aron, caissier de Mes. les frères Ratisbonne à Strasbourg, fils mineur de Léopold Aron, négociant à Soultz sous forest, et de Charlotte Heymann
et Sara Samuel fille majeure de Meyer Samuel, propriétaire, et de Rachel Levy
en la demeure du Sr Samuel vieux marché aux Vins
acp 141 (3 Q 29 856) f° 10 du 27.11. communauté d’acquets, usufruit au survivant de la succession du prédécédé, reductible en cas d’existence d’enfants. Au décès de l’un d’eux s’il avoit lieu pendant les trois premières années le survivant déliverera aux héritiers du prédécédé la totalité des biens délaissés, si le décès d’un d’eux n’arrivait que pendant la 4° année ou postérieurement, le survivant conservera la propriété entière de la succession du prédécédé. Dans tous les cas le survivant prélèvera ses habillements, linges et bijoux. Les père et mère du futur lui font donation d’une somme de 6000 francs et d’un mobilier de 1500. Les père et mère de la future constituent en dot une somme de 11.500 francs
Sara Samuel meurt en 1863 en délaissant trois filles
1864 (25.1.), Victor Noetinger
Notoriété constatant que Sara Samuel épouse de Michel Aron, propriétaire à Strasbourg, est décédée le 4 décembre 1863, laissant pour héritiers ses trois enfants 1) Valérie Hélène Aron épouse de Léopold Samuel, négociant à Strasbourg, 2) Cécile Aron, épouse d’Isidore Samuel, agent de change, tous à Strasbourg, 3) Hélène Aron, épouse de Benjamin Paraf, Négociant à Mulhouse
acp 529 (3 Q 30 244) f° 50-v du 27.1.
Inventaire dressé quelques mois plus tard
1864 (24.3.), Victor Noetinger
Inventaire de la communauté de biens qui a existé entre Michel Aron, propriétaire demeurant à Strasbourg et Sara Samuel sa femme et de la succession de cette dernière décédée le 4 décembre 1863
à la requête 1) du veuf agissant comme commun en biens en vertu de son contrat de mariage reçu Lacombe notaire le 17 novembre 1818, 2) Hélène Aron, épouse de Benjamin Paraf, Négociant à Mulhouse, 3) Valérie Aron épouse de Léopold Samuel, négociant à Strasbourg, 4) Cécile Aron, épouse d’Isidore Samuel, agent de change à Strasbourg
acp 531 (3 Q 30 246) f° 52 du 2.4. (succession déclarée le le 24 avril 1864) Communauté, mobilier estimé 3380, argent comptant 310, rente 3 % 8910, trois actions de la compagnie Hartmann Reichard à Guebwiller 3000, 50 obligations du chemin de fer de Paris à Lyon 14.875, 21 obligations chemins de fer du Nord 7616, deux obligations de la Sauvegarde des familles , créances 9647
Une maison à Strasbourg rue du Vieux Seigle N° 4
Un hectare de terre ben d’Illkirch canton Krummenweg,
deux stalles à la synagogue de Strasbourg
Passif 3100, Reprises de la défunte 11.500, reprises du veuf 16.800
Succession, garde robe 650, rapport des enfants en verrtu de leur contrat de mariage, Hélène 9000, Valérie 9000, Cécile 9000
Michel Aron et ses filles vendent la maison au fabricant de toiles Philippe Kærcher et à sa femme Caroline Frédérique Rapp
1864 (30.1.), Victor Noetinger – Hypothèque de Strasbourg, Transcription reg. 968 (3112) n° 48
Le 25 janvier 1895. Pardevant M° Victor Noetinger et son collègue notaires à Strasbourg soussignés ont comparu M. Michel Aron, propriétaire demeurant à Strasbourg agissant tant en son n fabricant de toiles Philippe Kærcher et à sa femme Caroline Frédérique Rapp
1864 (30.1.)om qu’en celui et comme mandataire de Mme Hélène Aron, épouse de M. Benjamin Paraf, Négociant avec lequel elle demeure à Mulhouse aux termes d’une procuration (…), Mad. Valérie Hélène Aron épouse dument assistée de M. Léopold Samuel, négociant avec lequel elle demeure à Strasbourg, Mad. Cécile Aron, épouse dument assistée de M. Isidore Samuel, agent de change avec lequel elle demeure à Strasbourg, Lesquels ont par les présentes Vendu (…)
à M. Philippe Kaercher, fabricant de toiles et à Dame Caroline Frédérique Rapp, son épouse de lui autorisée, acquéreurs solidaires, demeurant à Strasbourg ici présents et acceptant l’immeuble dont la désignation suit.
Désignation. Une maison avec appartenances et dépendances sise à Strasbourg rue du Vieux seigle N° 4 (ancien numéro 2) tenant d’un côté à M. Schopp, serrurier, de l’autre aux héritiers Leopold Weill, donnant par devant sur la rue et par derrière sur Nathan Blum. Tel que cet immeuble se trouve à présent et comporte (…) notamment cinq poêles en fayence avec tuyaux et quatre glaces. Origine de la propriété. Cet immeuble dépend de la communauté de biens qui a existé entre M. Aron et Dame Sara Samuel son épouse laquelle est décédée à Strasbourg le 4 décembre dernier en laissant pour seuls héritiers ses trois enfants ci-dessus nommés, Madame Samuel née Valérie Aron, Mad. Samuel née Cécile Aron et Mad. Paraf née Hélène Aron, ainsi que le constate un acte de notoriété dressé à défaut d’inventaire aujourd’hui même par M° Noetinger et son collègue (…). M. Aron a acquis l’immeuble durant la dite communauté de M. Jean Michel Geither, marechal de camp et officier de la Légion d’honneur et de Dame Elisabeth Geither son épouse demeurant ensemble à Strasbourg pour le prix de 12.000 francs payés comptant suivant contrat passé devant M° Lacombe alors notaire à Strasbourg et son collègue le 7 mai 1824 transcrit au bureau des hypothèques en la même ville le 12 du dit mois Volume 165 N° 16. Les époux Geither possédaient le même immeuble pour l’avoir acquis de M. Louis Milius négociant, dame Dorothée Dinckel sa femme et de dame Salomé Kuhn veuve Lorentz de Strasbourg suivant procès verbal d’adjudication dressé par M° Roessel père alots notaire en cette ville les 11 et 25 octobre 1820 transcrit au bureau des hypothèques le 14 novembre Volume 134 N° 104. Jouissance et conditions (…). Prix. La vente a été conclu pour le prix de 20.000 francs (…)
Garantie supplémentaire. (…) les époux Kaercher affectent solidairement par hypothèque spéciale les immeubles suivants. 1° Une maison d’habitation avec dépendances sise à Strasbourg quai des bateliers ancienne rue dite Haeckergaessel N° 31 et formant d’après la nouvelle dénomination des rues le numéro 4 de l’impasse Haecker, tenant d’un côté à M. Schweighardt, de l’autre à celle de la veuve Thomas, donnant par derrière en partie sur la maison ci après désignée et en partie sur Mlle Baumann
2° une maison avec écurie, remise et dépendances sise en la même ville d’après l’ancienne dénomination des rues quai des bateliers rue des pêcheurs N° 36 et d’après la nouvelle dénomination quai des Bateliers impasse des pêcheurs N° 3 tenant d’un côté à la veuve Holderman formant de l’autre le coin de l’impasse des pêcheurs donnant par derrière en partie sur Mlle Baumann et en partie sur la maison désignée
3° Et une maison d’habitation sise en la même ville au faubourg ancien numéro N° 49 de la rue dite des bones gens (ou Gutenleuthen gaessel) et nouveau numéro 6 de l’impasse des bonnes gens tenant d’un côté à M. Nessmann, de l’autre à M. Geyther par devant la dite rue impasse et par derrière les sieurs Adam et Hess. Les époux Kaercher sont propriétaires des dites trois maisons, savoir
$ 3734
acp 529 (3 Q 30 244) f° 50 du 27.1.
Philippe Jacques Kærcher épouse en 1843 Caroline Frédérique Rapp, fille de boucher
1843 (31.7.), Strasbourg 15 (74), Me Lacombe n° 4010
Contrat de mariage – Ont comparu Mr Philippe Jacques Kaercher, Tisserand demeurant et domicilié à Strasbourg, fils majeur et légitime de M. Philippe Jacques Kaercher, Tisserand, et de Dame Catherine Abt, son épouse décédée, agissant et stupulant pour lui personnellement comme futur époux d’une part
Et D° Caroline Frédérique Rapp, majeure d’ans, sans profession, demeurant et domiciliée à Strasbourg, fille majeure et légitime de Ernest Rapp, boucher, et Catherine Wittmann son épouse demeurant et domiciliée à Strasbourg, agissant et stupulant pour elle personnellement comme future épouse
Et encore les conjoints Kaercher et les conjoints Rapp, pères et mères, à cause des donations qu’ils se proposent de faire aux futurs époux
Article cinquième. Le Sr Kaercher futur époux déclare apporter en mariage et se constituer en dot ses ustensiles et divers meubles et valeurs s’élevant ensemble à 1000 francs
Article sixième. En considération du futur mariage, le Sr Philippe Jacques Kaercher, Tisserand, et Barbe Zeitter son épouse en secondes noces font donation d’une maison sise rue de la Massue N° 61 (…)
acp 312 (3 Q 30 027) f° 83 – communauté d’acquets.
Donation par les père et mère de la future épouse à leur fille ce acceptant d’une somme de 3200 francs
Donation réciproque par les futurs époux au survivant d’eux de l’usufruit viager de la succession réductible à moitié en cas d’enfants
Acte de notoriété selon lequel Philippe Jacques Kærcher est mort en novembre 1874 en délaissant quatre enfants
1880 (28.6.), Strasbourg 10 (191), Frédéric Pierron n° 3415
Pierron
Notorietät, 28. Juni 1880. (…) welche hiemit als der Wahrheit gemäß bestätigt haben, daß sie den Herrn Philipp Jakob Kaercher, im Leben geweßenen Weber und Ehegatten von Frau Karoline Friederike Rapp gekannt haben,
daß genannte Eheleute Kaercher unter dem Rechtsverhältnis der Gütergemeinschaft verheurathet waren, welche auf die Errungenschaft beschränkt war, laut ihren Ehevertrag durch den damaligen Notar Lacombe in Straßburg den 31. Juli 1843 errichtet
daß Herr Kaercher in Straßburg ohne Testament den 11. November 1874 gestorben ist
daß nach dessen Ableben kein Inventar ist errchtet worden
und daß derselbe als einzige Erben hinterlassenen hat seine vier Kinder aus seiner Ehe mit seiner genannten Wittwe entsprossen, nämlich a) Frau Friederike Karoline Kaercher, Wittwe des Herrn Michael Müller, Lithograph, b) Fräulein Friederike Kaercher, Inhaberin einer Kaffeewirtschaft, c) Herrn Philipp Emil Kaercher, Handelsgehülfe, alle in Straßburg wohnhaft d) und Frau Emma Kaercher Ehegattin des Herrn Friedrich Zinck, Handelsgehülfe in Paris wohnhaft
acp 703 (3 Q 30 418) f° 29 du 29.6.
La veuve et les héritiers de Philippe Jacques Kærcher vendent la maison au fabricant de poêles Michel Steinmetz et à sa femme Joséphine Hindenlang
1880 (28.6.), Strasbourg 10 (191), Frédéric Pierron n° 3416
Kauf, 28 Juni 1880. – sind erschienen 1) Frau Karoline Friederike Rapp, Wittwe des Herrn Philipp Jakob Kaercher, im Leben geweßenen Webern handelnd sowohl in ihrem persönlichen Namen als auch im Namen und als bevollmächtigte der Frau Emma Kaercher Ehegattin des Herrn Friedrich Zinck, Handelsgehülfe in Paris wohnhaft, laut Vollmacht (…), 3) Frau Friederike Karoline Kaercher Wittwe des Herrn Michael Müller, Lithograph, 3) Fräulein Friederike Kaercher, Inhaberin einer Kaffeewirtschaft, 4) und Herrn Philipp Emil Kaercher, Handelsgehülfe ledigen Standts, Alle obengenannten mit Ausnahme der Ehegattin Zinck in Straßburg wohnhaft, Welche (…) verkauft haben
an Herrn Michael Steinmetz, Ofenfabrikant, und Frau Josephine Hindenlang dessen von ihm hierzu gehörig ermähtigte Ehegattin mit einander in Straßburg wohnhaft, solidarische Käufer hierzugegen und solches annehmend
Beschreibung. ein Haus mit Hof, Rechten und Zugehörden in Straßburg gelegen alte Korngasse (rue du vieux seigle) N° 4, einseits Eigenthum des Herrn August Schoop, anderseits das jenige des herrn Heinrich Schop hinten auf Herrn Maehn stoßend. Dieses Haus ist erkauft im Stande in welchem sich dasselbe wirklich befindet (…) mitbegriffen den dreien sich befindlichen und den Verkäufferen gehörigen Oefen.
Eigenthums-Nachweis. Dieses Haus ist während der Gütergemeinschaft welche zwischen der Comparentin Frau Wittwe Kaercher und ihrem verstorbenen Ehegatten bestanden hat, erkauft worden, von 1) Herrn Michael Aron, Eigenthümer in Straßburg wohnhaft, 2) Frau Helene Aron Ehegattin des Herrn Benjamin Paraf Kaufmann in Mühlhausen wohnhaft 3) Frau Valerie Helene Aron Ehegattin des Herrn Leopold Samuel Kaufmann und 4) Frau Cecile Aron Ehefrau des Herrn Isidor Samuel, Wechselagent, Letzere vier in Straßburg wohnhaft, laut Kaufvertrag durch den damaligen Notar Victor Noetinger in Straßburg den 25. Januar 1865 errichtet im Hypothekenamte von Straßburg den 30. des nämlichen Monats Band 968 N° 48 transcribirt und von amtswegen eingeschrieben den nemlichen tag Band 859 N 167. Dieser Kauf geschah für eine Summ vom 20.000 Franken (…). Genannter Herr Michael Aron hat dieses Haus erkauft während der Gütergemeinschaft welche zwischen ihme und Frau Sarah Samuel seiner verstorbenen Ehefrau bestanden hat, von Herrn Johann Michael Geither, damals brigade General in frantzösischen diensten und Frau Elisabeth geborner Geither dessen Ehegattin, laut Kaufvertrag welchen Quittung über den darin enthaltenen Kaufpreis von 12.000 Franken enthält (…) Nach dem Ableben der Frau Aron gebohren Samuel fiel die eine Hälfte dieses Hauses ihrem überlebenden Ehegatten zu wegen der Gütergemeinschaft welche zwischen denselben bestanden hat, und für die andere Hälfte ihren drei Kindern, die obengenannten Frauen Paraf, Isidor Samuel und Leopold Samuel, sowie diese Eigenschaften bestätigt sind durch einem Notorietäts act durch genannten Notar Noetinger den 25. Januar 1864 errichtet.
Für das frühere Eigenthumsrecht berufen sich die Parteien auf einen Steigprotokoll durch den damaligen Notar Rössel in Straßburg den 8. November 1820 errichtet im Hypothekenamte von Straßburg den 14. des nehmlichen Monats Band 134 N° 104 transcribirt. Heute gehört dieses Haus unvertheilt für eine Hälfte oder 4/8 der Wittwe Kärcher und zwar wegen der Gütergemeinschaft welche zwischen ihr und ihrem verstorbenen Ehegatten bestanden hat, laut ihrem Ehevertrag durch genannten Notar Lacombe den 31. Juli 1843 errichtet und für die andere Hälfte ihren vier oben ernannten Kindern die Frauen Zinck, Müller und Herr Philipp Emil Kaercher und Fräulein Kaercher oder jedes ein achtel, so wie diese Eigenschaften bestätigt sind durch einen Notorietäts act durch den unterzeichneten Notar unter dem heutigen Datum errichtet (…) Die den vier Kindern Kaercher gehörige Hälfte dieses Hauses ist noch mit lebenslänglichem Genuß Zur Hälfte Zu Gunsten ihrer Mutter behaftet laut Artikel acht genennten Ehevertrags. – Bedingungen (…) Civil und Hypothekenstand. Die Verkäufer erklären daß Frau Wittwe Kärcher geborene Rapp noch Wittwe in erster Ehe ist mit ihrem vier obegenannten volljährigen Kindern, daß die Ehegattin Zinck in erster Ehe unter den Rechtsverhältnis der Gütergemeinschaft ohne Eve verheurathet sind, daß Herr Philipp Emil Kaercher noch ledigen Standts ist und nie verheurathet war, daß keinen der Verkäufern weder Vormund (…)
Procuration. Mad° Emma Kaercher épouse assistée et autorisée de M. Frédéric Zinck, commis négociant avec lequel elle demeure à Paris, rue de Launay n° 41
acp 704 (3 Q 30 419) f° 9-v du 29.6.
Fils du fabricant de poêle Martin Michel Steinmetz, Michel Steinmetz épouse en 1869 Joséphine Hindenlang, fille du journalier François Antoine Hindenlang
Mariage, Strasbourg (n° 766)
Du 28° jour du mois de décembre l’an 1869 à dix heures du matin. Acte de mariage de Michel Steinmetz, majeur d’ans, né en légitime mariage le 7 octobre 1842 à Strasbourg, domicilié à Strasbourg, poëlier et militaire de la réserve, fils de Martin Michel Steinmetz, poëlier domicilié à Strasbourg ci présent et consentant et de feu Elisabeth Brecheisen, décédée à Strasbourg le 12 novembre 1853
et de Marie Salomé Joséphine Hindenlang, majeure d’ans, née en légitime mariage le 25 février 1838 à Strasbourg domiciliée à Strasbourg, ouvrière en tabacs, fille de feu François Antoine Hindenlang, journalier décédé à Strasbourg le 19 août 1865 et d’Eve Louise Greyl, sans profession, domiciliée à Strasbourg ci présente et consentante (…) il n’a pas été fait de contrat de mariage. Et aussitôt l’épouse a déclaré se reconnaître mère de Marie Eugénie Steinmetz née à Strasbourg le 28 janvier 1869 et inscrite le même jour dans les registres de l’état civil de cette ville (i 50)
Michel Steinmetz et Joséphine Hindenlang hypothèquent la maison au profit du jardinier Geoffroi Schmitt
1886 (26.1.), Strasbourg 9 (171) Jean Mossler n° 7054
Obligation, 26. Januar 1886 – erschienen Michael Steinmetz, Ofenfabrikant, und seine von ihme hierzu autorisirte Ehefrau Josephine Hindenlang, beisammen zu Strassburg wohnhaft Alte Korngasse N° 4, welche Comparenten erklärten zu schulden
dem hier anwesenden dies annehmenden Herrn Gottfried Schmitt, Gärtner zu Straßburg Brandgasse N° 19 wohnhaft für baares Darlehen eine Hauptsumm von 1200 Mark
underpfand, Stadt Strassburg. Ein Wohnhaus mit Hof, Rechten & Gerechtigkeiten zu Straßburg gelegen Alte Korngasse (rue du vieux seigle) N° 4, einseits Eigenthum des Herrn August Schoop, anderseits das jenige des herrn Heinrich Schoop hinten M. Maehn im Cataster eingetragen sub section N N° 923, 923 Fläche ein Ar 40 Quadratmeter Rue du vieux seigle N° 4
Eigenthumsherkunft. Schuldner Eheleute Steinmetz erklären sie hatten dieses Besitzthum erkauft von der Wittwe & den Erben des Herrn Philipp Jacob Kaercher lebend Weber in Straßburg wohnhaft gewesen, in Gemäßheit eines Kaufaktes errichtet durch Notar Pierron dahier am 28. Juni 1880 überschrieben im hiesigen Hypothekenamte am 16. Juli nachher Band 1880 N° 60 & amtlich eingeschrieben Band 1418 N° 210. Dieser Verkauf geschah um einen Preis von 29.200 Mark (…)
Erklärungen. Eheleute Steinmetz erklären sie seien verehelicht in erster Ehe unter der Herrschafft des gesetzlichen Gütergemeinschaftrechts da sie sich im Laufe des Jahres 1869 ohne Errichtung eines Ehevertrags verheiretheten.
Michel Steinmetz et Joséphine Hindenlang hypothèquent la maison au profit du boucher Auguste Urban et du rentier Adolphe Magnus
1890 (28.2.), Strasbourg 24 (71) Joseph Allonas n° 11.511
Obligation – Sind erschienen Herr Michael Steinmetz, Ofenfabrikant, & dessen von ihm hierzu ermächtigte Ehefrau Josephine Hindenlang, beisammen zu Strassburg wohnend, dieselben erkennen andurch rechtmäsig & solidarisch schuldig zu sein
den hier gegenwärtigen und es annehmenden I. Herrn August Urban, Metzger zu Strassburg wohnhaft die Hauptsumm von 11.200 Mark
II. Herrn Adolph Magnus Rentner zu Straßburg wohnhaft die Hauptsumme von 3200 Mark, zusammen 14.400 (…) Geldanwendung (…) zur Rückzahlung einer gleichen Summe geschuldet an Herrn Friedrich Karl Frierdich Schloßer zu Straßburg wohnhaft (…)
Underpfandbestellung (…) Beschreibung. Ein zu Strassburg alte Korngasse N° 4 bezeichnetes besitzthum bestehend aus Einem Vorderhaus mit Erdgeschoß worin sich ein Kaufmannsladen befindet, zwei Stockwerken, Mansarden & Speicher, einem Hintergebäude mit Erdgeschoß worin zwei Magazinen & eine Werkstätte, drei Stockwerken & Speicher, Seitengebäude, Hof, Rechte und Zubehörungen das ganze im Kataster unter section N N° 923, 923 für einen Flächeninhalt von ein Ar 40 Quadratmeter eingetragen, einer Seits Heinrich Schoop, ander Seits August Schoop hinten Eigenthum Marconnet Maehn, vornen die alte Korngasse
Eigenthumsnachweis. Eheleute Steinmetz erklären sie haben die oben bezeichnete Liegenschaft für Rechnung der zwischen ihnen bestehenden Gütergemeinschaft von I. Frau Caroline Friederike Rapp Wittwe des H. Philipp Jacob Kaercher, II. der Erben des genannten Herrn Kaercher als a) Emma Kaercher Ehefrau des Friedrich Zinck, Handelsgehülfe zu Paris wohnhaft, b) Friederike Caroline Kaercher Wittwe des Lithographen Michael Müller, c) Fr. Friederike Kaercher, Inhaberin einer Kaffeewirtschaft, & d) Philipp Emil Kaercher, Handelsgehülfe ledigen Standts, alle wobei nicht anders gesagt ist zu Straßburg wohnend erkauft zufolge Kaufvertrages vor genanntem Notar Pierron vom 28. Juni 1880 oben erwänht & 2. einer Genehmigungs urkunde vor demselben Notar Pierron vom 23. November 1880 überschrieben in gedachtem Hypothekenamte dem 4. Dezember nachher Band 1906 N° 31. Dieser Verkauf geschah um einen Preis von 29.200 Mark (…). Frühere Eigenthumsnachweis. Bezüglich des früheren Eigenthumsnachweises wird obigem Kaufakte Folgendes entnommen. Das oben bezeichnete Besitzthum wurde während der zwischen Eheleuten Kaercher bestandenen Gütergemeinschaft erkauft von 1) Michael Aron, Eigenthümer in Straßburg wohnhaft, 2) Frau Helene Aron Ehefrau des Benjamin Paraf Kaufmann in Mühlhausen wohnend, 3) Frau Valerie Helene Aron Ehegattin des Herrn Leopold Samuel Kaufmann und 4) Frau Cecile Aron Ehefrau des Isidore Samuel, Wechselagent, Letzere vier in Straßburg wohnhaft, laut Kaufvertrag des Notars Noetinger vom 25. Januar 1865, im Hypothekenamte dahier den 30. desselben Monats Band 968 N° 48 überschrieben & von amtswegen Band 859 N 167 eingeschrieben worden. Diese Erwerbung geschah vermittelst den Preis von 20.000 Franken (…). Genannter Michael Aron hatte dasselbe Besitzthum für Rechnung der zwischen ihm und seiner Frau Sarah Samuel bestandenen Gütergemeinschaft von Herrn Johann Michael Geither, brigade General & dessen Ehefrau Elisabetha geborner Geither erkauft laut Kaufvertrags, welcher Quittung über des Kaufpreis mit 12.000 Franken enthält, errichtet durch den damaligen hiesigen Notar Lacombe den 7. Mai 1824, überschrieben im Hypothekenamte en 12. desselben Monats Band 168 Nr 16.
Nach dem Tode der Frau Aron gebohren Samuel fiel die eine Hälfte dem Wittwer und die andere Hälfte dessen obengenannten Kindern, als einzige Erben ihrer Mutter zu, sowie dies erhellet aus einer durch genannten Notar Victor Noetinger den 25. Januar 1864 errichteten Notorietätsakt. (…) Standverhältnisse. Legalhypothek. Schuldner erklären, daß sie beide in erster Ehe unter der Herrschafft der gesetzlichen Gütergemeinschaft in Ermanglung eines Ehevertrags verheirethet sind
Michel Steinmetz et Joséphine Hindenlang hypothèquent la maison au profit du boucher retraité Antoine Utard
1891 (20.10.), Strasbourg 24 (79) Joseph Allonas n° 12.522
Obligation – Sind erschienen H. Michael Steinmetz, Ofenfabrikant, & dessen von ihm hierzu ermächtigte Ehefrau Josephine Hindenlang, beisammen zu Strassburg wohnhaft, dieselben erkennen andurch rechtmäsig & solidarisch [schuldig] zu sein
dem hier gegenwärtigen und es annehmenden Herrn Anton Utard ehemaliger Metzgermeister nun Eigenthümer und Rentner zu Strassburg wohnhaft. Darlehen, die Hauptsimm von 4000 Mark
Underpfandbestellung (…) Beschreibung. Ein zu Strassburg alte Korngasse gelegenes mit N° 4 bezeichnetes besitzthum bestehend aus Einem Vorderhaus mit Erdgeschoß worin sich ein Kaufmannsladen befindet, zwei Stockwerken, Mansarden & Speicher, einem Hintergeäude mit Erdgeschoß worin zwei Magazinen & eine Werkstätte, drei Stockwerken & Speicher, Seitengebäude, Hof, Rechte und Zubehörungen, das ganze im Katasterbuch unter Section N N° 923 & 923 für einen Flächeninhalt von ein Ar 40 Quadratmeter eingetragen, einer Seits Heinrich Schoop, ander Seits August Schoop hinten Eigenthum Marconnet Maehn, vornen die alte Korngasse
Eigenthumsnachweis. Eheleute Steinmetz erklären sie haben die oben bezeichnete Liegenschaft für Rechnung der zwischen ihnen bestehenden Gütergemeinschaft von I. Frau Caroline Friederike Rapp Wittwe des H. Philipp Jacob Kaercher, II. der Erben des genannten H. Kaercher als a) Emma Kaercher Ehefrau des H. Friedrich Zinck, Handelsgehülfe zu Paris wohnend b) Friederike Caroline Kaercher Wittwe des Lithographen Michael Müller, c) Frl. Friederike Kaercher, Inhaberin einer Kaffeewirtschaft, & d) Philipp Emil Kaercher, Handelsgehülfe ledigen Standts, alle wobei nicht anders gesagt ist zu Straßburg wohnend erkauft zufolge Kaufvertrages vor dem früheren hiesigen Notar Pierron vom 28. Juni 1880, überschrieben im hiesigen Hypothekenamte dem 16. Juli nachher Band 1885 N° 60 von amtswegen Bans 1419 N° 210 ingeschrieben & 2) einer Genehmigungs urkunde vor demselben Notar Pierron vom 23. November 1880 überschrieben in gedachtem Hypothekenamte dem 4. Dezember nachher Band 1906 N° 31. Diese Erwerbung geschah vermittelst dem Preis von 29.200 Mark (…). Frühere Eigenthumsnachweis. Bezüglich des früheren Eigenthumsnachweises wird obigem Kaufakte Folgendes entnommen. Das oben bezeichnete Besitzthum wurde während der zwischen Eheleuten Kaercher bestandenen Gütergemeinschaft erkauft von 1) Michael Aron, Eigenthümer in Straßburg wohnhaft, 2) Frau Helene Aron Ehefrau des Benjamin Paraf Kaufmann in Mühlhausen wohnend, 3) Frau Valerie Helene Aron Ehegattin des Herrn Leopold Samuel Kaufmann und 4) Frau Cecile Aron Ehefrau des Isidore Samuel, Wechselagent, Letzere vier in Straßburg wohnhaft, laut Kaufvertrag des früheren hiesigen Notars Noetinger vom 25. Januar 1865, in dem Hypothekenamte dahier den 30. desselben Monats Band 968 N° 48 überschrieben & von amtswegen Band 859 N 167 eingeschrieben wurde. Diese Erwerbung geschah vermittelst den Preis von 20.000 Franken, wovon 2000 Franken im Vertrage selbst quittirt sind & der Überrest seither berichiget wurde. Genannter Michael Aron hatte dasselbe Besitzthum für Rechnung der zwischen ihm und seiner Gattin Sarah Samuel bestandenen Gütergemeinschaft von Johann Michael Geither & dessen Ehefrau Elisabetha geborner Geither erkauft, laut Kaufvertrags, welcher Quittung über des Kaufpreis mit 12.000 Franken enthält, errichtet durch den damaligen hiesigen Notar Lacombe den 7. Mai 1824, überschrieben im Hypothekenamte en 12. desselben Monats Band 168 Nr 16.
Nach dem Tode der Frau Aron gebohren Samuel fiel die eine Hälfte dem Wittwer und die andere Hälfte dessen obengenannten Kindern, als einzige Erben ihrer Mutter zu, sowie dies erhellet aus einer durch genannten Noetinger den 25. Januar 1864 errichteten Notorietätsakt. (…) Erklärungen. Es erklären die Eheleute Steinmetz, daß sie beide in erster Ehe unter der Herrschafft der gesetzlichen Gütergemeinschaft in Ermanglung eines Ehevertrags verheirethet sind
Michel Steinmetz fait donation de l’usufruit de ses biens à sa femme
1881 (3.4.), Charles Victor Holtzapffel N° 7215
3. April 1881 – Schenkung durch Michael Steinmetz, Ofenfabrikant hier, gestorben am 11. März 1900, seiner Frau Josephine Hintenlang für den Überlebenfall der lebenslänglichen Nutznießung seines ganzen Nachlasses, bei Kindern der Hälfte
acp 973 (3 Q 30 688. I) f° 51 du 21.8.1900 (Tab. 84 Bd. 147 N° 62. E.E. v. 8 X 00 N° 335)
La veuve et les enfants de Michel Steinmetz hypothèquent la maison au profit du boucher Auguste Urban, autrefois domicilié à Menton et ensuite à Genève
1905 (8.8.), Joseph Allonas n° 23.195
Schuldbrief – Josephine Hinterlang Wittwe des Ofenfabrikanten Michael Steinmetz hier Korngasse N° 4
2. Joseph Alt, Prokurist, und Marie Eugenie Steinmetz allda, 3. Friederike Karoline Steinmetz, Ehefrau von Carl Ehrhardt, Bureaubeamter hier, verheiratet in Gütertrennung 4. Karl Michael Steinmetz, Prokurist in Straßburg, 5. Albert August Steinmetz, Architekt in Karlsruhe, 6. Julius Ernst Steinmetz, stud. mus. in Berlin-Hallensee, 7. Emil Viktor Steinmetz, Ofenfabrikant hier
zu Gunsten von August Urban, Metzger, früher in Menton jetzt in Genf über ein bares Darlehen von 2000 M.
Pfand, Wohnhaus in der Stadt Strassburg alt Kornmarktgasse N° 4, Flur N 923, 1,40 Ar Whs, Nutzungswert 1500.
acp 1044 (3 Q 30 759. I) f° 82-v n° 1077 du 11.8.
Les six enfants se partagent la succession de Michel Steinmetz mort en 1900 et de sa veuve Joséphine Hindenlang. La maison revient au fabricant de poêles Emile Victor Steinmetz.
1912 (25.7.), Frédéric Heng n° 5284
Theilung der Nachlässe der Eheleute Michael Steinmetz, Ofenfabrikant, gest. hier am 11. März 1900 und Maria Salome Josephine Hindenlang gest. hier am 11. Juli 1912
beerbt von 1. Marie Eugenie Steinmetz Ehefrau des Buchhalters Joseph Alt, hier, 2. Friederike Karoline Steinmetz, Ehefrau Karl Ehrhardt hier, 3. Karl Michael Steinmetz, Direktor der Auskunftei Schimmelpfeng hier, 4. Albert August Steinmetz, Architekt zu Altenberg, 5. Julius Ernst Steinmetz, Gesanglehrer in Berlin, 6. Emil Viktor Steinmetz, Ofenfabrikant hier, verheiratet mit Marie Breiner
acp 1120 (3 Q 30 835. III) f° 31 n° 1185 du 14.8. Teilungsmasse. Aktiv. I. Grundstück, Stadt Strassburg Flur 60 n° 97, 1,84 Ar Hf, Whs, Alte Korngasse N° 4, Wert 3600
II. Forderung dem obengenannten Emil Viktor Steinmetz 13.200 (zusammen) 49.200
Passiv. 1. Hypothekarforderung durch August Urban früher in Karlsruhe jetzt in Beaulieu 11.200, 2. durch Adolph Magnus Rentner hier 6400, 2. Summa von 400 für Reparaturen & Gebäudesteuern (zusammen) 18.000, rest 31.200, zu einem jeden 1/6 mit 5200
Schenkung. Ehefrau Karl Michael Alt, Albert August Steinmetz und Emil Viktor Steinmetz überlassen in unentgeltliche Weise von dem ihnen bzw. dem Albert August Steinmetz zukommenden Betrag je eine Summe von 200 M, zusammen 800 . ihrer Schwester Ehefrau Ehrhardt
Zuteilung. Das vorbeschriebene Anwesen wird dem Emil Viktor Steinmetz zum Alleineigentum zugeteilt, 36.000 (…)
Emile Victor Steinmetz épouse en 1907 Marie Eugénie Breiner
Mariage, Strasbourg (n° 1356)
Strassburg am 29. November 1907. Vor dem Standesbeamten erschienen heute zum Zwecke der Eheschließung 1. der Ofenfabrikant Emil Viktor Steinmetz, katholischer Religion geboren am 16. August des Jahres 1875 zu Strassburg, wohnhaft in Strassburg Alte Korngasse 4, Sohn des verstorbenen Ofenfabrikanten Michael Steinmetz, zuletzt wohnhaft in Strassburg und seiner Ehefrau Marie Salome Josephine Hindenlang wohnhaft in Straßburg
2. die Maria Eugenie Breiner, ohne Beruf, katholischer Religion, geboren am 25 Februar des Jahres 1877 zu Strassburg, wohnhaft in Strassburg Kageneckerstraße 45, Tochter des Pensionärs Felix Breiner und seiner Ehefrau Maria geborner Fender beide wohnhaft in Strassburg (i 120)
Emile Victor Steinmetz hypothèque la maison au profit de Marie Gehlen, veuve de Louis Medernach
1912 (25.7.), Frédéric Heng n° 5285
Schuldbrief – Emil Viktor Steinmetz
zu Gunsten von Wittwe Ludwig Medernach Maria geb. Gehlen über ein bares Darlehen von 5000 M.
Pfand, Wohnhaus alte Korngasse N° 4 Flur 60 n° 97, 1,84 Ar Hf, Whs, Alte Korngasse N° 4, Wert 3600
acp 1120 (3 Q 30 835. III) f° 31-v n° 1186 du 14.8.
