31, rue du Vingt-deux-novembre


Rue du Vingt-deux-novembre n° 31 – IV 431 (Blondel), N 771 puis section 61 parcelle 59 (cadastre)

Anciennement 9, Grande rue de la Grange


Le n° 31 à gauche, enseigne Renzo – Les numéros 29 à 37, rue du Vingt-deux-novembre (août 2021) – Fenêtres à meneaux Renaissance au premier étage (août 2025)

Adolphe Seyboth (Das alte Straßburg, p. 64) mentionne le millésime 1548 au-dessus de la porte. La maison est inscrite dans le Livre des communaux (1587) au nom du corroyeur Corneille Neiss (Nisius), réfugié huguenot originaire de Limbourg, qui deviendra aubergiste. Sa petite-fille la vend en 1622 au tailleur Nicolas Diel. Elle appartient de 1661 à 1679 à Jean Sigismond Laritius, enseignant au gymnase, puis à son gendre imprimeur Jean Maurice Hack. Elle est estimée à une valeur minimale de 775 livres à la mort du tailleur Jean Georges Hammer en 1741, de 800 livres à celle de sa veuve en 1748 puis de 900 livres à la mort du cordonnier Jean Frédéric Kessig en 1777, à une époque où les bâtiments perdent légèrement de valeur, ce qui laisse supposer un bon entretien.


Plan-relief de 1727. La maison se trouve sous la cinquième lucarne à partir de la gauche (Musée historique, cliché Thierry Hatt)

Elévations préparatoires au plan-relief de 1830, îlot 140 (Musée des Plans-relief) 1

L’Atlas des alignements (années 1820) mentionne un bâtiment à rez-de-chaussée et deux étages en maçonnerie. Sur les élévations préparatoires au plan-relief de 1830, la façade est la troisième à droite du repère (b) : porte et arcade au rez-de-chaussée, deux fenêtres au premier étage, trois au deuxième, toiture à deux niveaux de lucarnes. La cour D montre l’arrière (4-3) de la façade sur rue, le bâtiment arrière (1-2), la remise (4-1) à gauche de la cour et le mur (2-3) du voisin.
La maison porte d’abord le n° 21 (1784-1857) puis le n° 9 de la Grande rue de la Grange. Elle prend ensuite le n° 31 de la rue Neuve (rue du Vingt-deux-novembre)


Cour D
Elévation et coupe, nouvelle devanture (1893, dossier 720 W 130)

Propriétaire de plusieurs bâtiments en ville, Jean Jacques Redslob achète en 1822 la maison qui sera vendue en 1863 à Caroline Emilie Œrtel, autre propriétaire de plusieurs maisons. Le pasteur Charles Auguste Buob fait transformer en 1893 le rez-de-chaussée en y établissant une devanture et en déplaçant des cloisons. Le maître pâtissier Rodolphe Giessler fait construire un four dans le bâtiment arrière en 1893. La devanture est refaite en 1938 par le propriétaire Simon Landero puis en 1955 par le locataire Goldmann. La société Renzo, locataire, fait couvrir la cour en 1968. Georges Winter fait transformer en 1969 le logement dans les combles en agrandissant les lucarnes.


Anciennes et nouvelles fenêtres dans la toiture (1969, dossier 720 W 130)

août 2025

Sommaire
CadastrePolice du BâtimentRelevé d’actes

Récapitulatif des propriétaires

La liste ci-dessous donne tous les propriétaires de 1580 à 1952. La propriété change par vente (v), par héritage ou cession de parts (h) ou encore par adjudication (adj). L’étoile (*) signale une date approximative de mutation.

Corneille Neiss (Nisius), corroyeur puis brasseur, et (v. 1564) Catherine Plumian puis (1565) Marie von Metz, veuve du menuisier Philippe Begrot – luthériens
1600* h Lambert Pfau, passementier puis brasseur, et (1589) Susanne Niess, remariée (1613) avec Hartmann Lescher, enseignant – luthériens
1620* h Laurent Stadler, marchand, et (1618) Susanne Pfau – luthériens
1622 v Nicolas Diel, tailleur et aubergiste, et (1607) Marie Scherer, d’abord (1585) femme du tailleur Jacques Sonnicus, puis (1617) Marie Hirtz, remariée avec Balthasar Bischoff – luthériens
1637 v Balthasar Bischoff, marchand de bois, consul, et (1614) Catherine Frantz puis (1637) Marie Hirt, veuve du marchand de vins Nicolas Diel – luthériens
1661 v Jean Sigismond Laritius, enseignant, et (1638) Anne Marguerite Saltzmann – luthériens
1679 h Jean Maurice Hack, imprimeur, et (1675) Agathe Laritzius – luthériens
1690 v Jean Frédéric Berion, tourneur, et (1677) Marie Salomé Spach puis (1682) Susanne Jung – luthériens
1691 v Jean Michel Kalb, pelletier, et (1682) Susanne Marguerite Spach puis (1712) Anne Marguerite Wolff, remariée (1718) avec le pelletier Jean Conrad Schober – luthériens
1713 v Jean Georges Hammer, tailleur, et (1692) Marie Elisabeth Linck puis (1702) Anne Marie Knauss – luthériens
1749 v Jean Frédéric Kessig, cordonnier, et (1739) Chrétienne Weber – luthériens
(héritiers) Jean Frédéric Kessig, cordonnier, et (1777) Marie Dorothée Rothhan – luthériens
Jean Michel Halter, cordonnier, et (1783) Marie Salomé Kœssig – luthériens
1822 adj Jean Jacques Redslob, propriétaire, et (1821) Elisabeth Louise Gruber
1863 v Caroline Emilie Œrtel, célibataire († 1891)
1892 v Charles Auguste Buob, pasteur, et (1856) Emilie Dürrbach puis (1858) Marie Louise Frantz
1894 h Michel North, marchand, banquier, et (1894) Emma Buob
1898 v Jérôme Schœnahl, boulanger, et (1891) Françoise Vonscheid
1910 v André dit Anselme Wolff, marchand, et (1878) Jeanne Dornberger
1923* v Simon Landero, bijoutier, et (1930) Joséphine Oster

Valeur de la maison selon les billets d’estimation : 775 livres en 1741, 800 livres en 1748, 900 livres en 1777

(1765, Liste Blondel) IV 431, Jean Fréderic Kessig
(Etat du développement des façades des maisons, AMS cote V 61) Käßig Wittib, 2 toises, 4 pieds et 6 pouces
(1843, Tableau indicatif du cadastre) N 771, Redslob, Jean Jacques – maison, sol – 0,75 are

Locations

1715, Jean Henri Sommer, cordonnier

Livres des communaux

1587, Livre des communaux (VII 1450) f° 166-v
Le corroyeur Corneille Neiss règle 5 sols 2 deniers pour sa maison, à savoir deux marches en pierre (3 pieds 9 pouces de long, saillie de 2 pieds 4 pouces), une porte de cave inclinée (5 pieds de long, saillie de 3 pieds), en haut une colonne en pierre (11 pieds de long, saillie de trois pieds). Le propriétaire est devenu brasseur.

(Anderseits Stadelgaß wider Hienauff dem Barfuesser Blatz Zu.)
Cornelius Neÿß der Lederberaitter hatt vor seinem Hauß ij steinen stafflen iij schu ix Zoll lang, vnd ij schu iiij Zoll herauß, Ein ligende Kellerthüer v schu lang, vnd iij schu Herauß, Item oben ein steinerin Schafft xj schu lang vnd j schu herauß, Bessert, v ß ij d
[in margine :] Dieser ist ietzt auch ein Biersieder Worden

Description de la maison

  • 1741 (billet d’estimation traduit) La maison comprend au rez-de-chaussée un petit poêle, un étroit vestibule où se trouve le fourneau, une cave voûtée, la cour, le bûcher et le four à pain, au premier étage un poêle, une alcôve, une petite cuisine, un vestibule, le passage et une dépense, au-dessus sous les combles deux chambres dont l’une sert à loger les soldats, un vieux comble à deux pignons en bois, des greniers non dallés, le tout estimé avec appartenances et dépendances à la somme de 1500 florins
  • 1748 (billet d’estimation traduit) La maison comprend un poêle et une cuisine à côté de l’entrée, au premier étage poêle, cuisine, vestibule, à l’arrière un petit poêle, au deuxième étage trois chambres, le comble à double couverture de tuiles plates renferme trois chambres dont l’une sert à loger les soldats, dans la cour se trouvent le puits et une cave voûtée, le tout estimé avec appartenances et dépendances à la somme de 1600 florins
  • 1777 (billet d’estimation traduit) La maison comprend un atelier de cordonnier, trois poêles, trois cuisines et plusieurs chambres, le comble est couvert de tuiles plates, il y a en outre une cave voûtée, une cour et un puits, le tout estimé avec appartenances et dépendances à la somme de 1800 florins
  • 1822 (description

Atlas des alignements (cote 1197 W 37)

2° arrondissement ou Canton Nord – Grande rue de la Grange

nouveau N° / ancien N° : 22 / 21
Koessig
Rez de chaussée et 2 étages médiocres en maçonnerie
(Légende)

Cadastre

Cadastre napoléonien, registre 21 f° 218 case 3

Redslob Jean Jacques à Strasbourg, Place des Moulins 11

O 771, maison, sol, grande Rue de la grange 21
Contenance : 0,75
Revenu total : 113,39 (113 et 0,39)
Ouvertures, portes cochères, charretières :
portes et fenêtres ordinaires : 20 / 16
fenêtres du 3° et au-dessus : 3 / 2

Cadastre napoléonien, registre 23 f° 956 case 2

Redslob Jean Jacques place des Moulins N° 6
1861 Oertel Caroline Emilie
1893/94 Buob Karl August, retirirter Pfarrer
1895/96 Buob Emma
1899/1900 Schoenahl Hieronymus Bäckermeister
(ancien folio 704)

O 771, Maison, sol, Rue de la grange 9
Contenance : 0,75
Revenu total : 113,39 (113 et 0,39)
Folio de provenance : (218)
Folio de destination : Gb
Année d’entrée :
Année de sortie :
Ouvertures, portes cochères, charretières :
portes et fenêtres ordinaires : 20 / 16
fenêtres du 3° et au-dessus : 3 / 2

Cadastre allemand, registre 32 page 426 case 4

Parcelle, section 61, n° 59 – autrefois N 771
Canton : Große Stadelgasse Hs N° 9 – Neue Straße N° 31 / rue du 22 Novembre
Désignation : Hf, Whs u N.G.
Contenance : 0,98
Revenu : 800 – 1500
Remarques :

(Propriétaire), compte 3386
Schönahl Jerome d. Erben u. Wittwe
1911 Schönahl Hieronymus die Erben u Wittwe
1923 Laudero Simon bijoutier à Strasbourg / et son épouse / sa veuve
(2551)

1789, Etat des habitants (cote 5 R 26)

Canton IV, Rue 100 Grand’rue de Stadel p. 165

21
Pr. Koessig, Christine, femme de cord. – Cordonniers
loc. Koessig, Frédéric, Cord. – Cordonniers
loc. Schmitz, J. Georges, Md. – Miroir
loc. Gewis, Thiébault, cocher – Moresse
loc. Bolgin, Jacques – Miroir

Annuaire de 1905

Verzeichnis sämtlicher Häuser von Strassburg und ihrer Bewohner, in alphabetischer Reihenfolge der Strassennamen (Répertoire de toutes les maisons de Strasbourg et de leurs habitants, par ordre alphabétique des rues)
Abréviations : 0, 1,2, etc. : rez de chaussée, 1, 2° étage – E, Eigentümer (propriétaire) – H. Hinterhaus (bâtiment arrière)

Grosse Stadelgasse (Seite 168)

(Haus Nr.) 9
Weyershaus, Honigkuchenbäckerei. 01
Schmitt, Hoteldiener. 2
Faist, Buchdrucker. 3

Dossier de la Police du Bâtiment (cote 720 W 130)

31, rue du Vingt-deux-novembre (1886-1983)

Le propriétaire Buob fait transformer en 1893 le rez-de-chaussée en y établissant une devanture et en déplaçant des cloisons. Le maître pâtissier Rodolphe Giessler fait construire un four dans le bâtiment arrière en 1893. Le propriétaire Landero fait refaire la devanture en 1938 puis le locataire Goldmann en 1955. La société Renzo, locataire, fait couvrir la cour arrière en 1968. Le propriétaire Georges Winter fait transformer le logement dans les combles en 1969 en agrandissant les lucarnes sous la direction du cabinet d’architecture Fernand Best.

Commerces – bureau de placement Kellner (1895)
matelassière Julie Sonndrucker (1900)
Isaac Kriegel (1914)
Fabry puis (1934) Yvonne Regal (Belles modes)
modiste Ritzenthaler (Emma, 1938)
magasin de fourrures Maison Serge (Goldmann, 1955)
magasin Netta Couture (Smolarski, 1956)
chemiserie Renzo S.A. (1963, encore en 1983)

Sommaire
  • 1886 – Le maire notifie la rentière Marie Œrtel (demeurant 3, rue de Cronenbourg, actuel Faubourg de Saverne) de faire ravaler la façade du 9, Grande rue de la Grange – Travaux terminés, octobre 1886
  • 1893 – La Police du Bâtiment constate que le maître menuisier Stockreisser (demeurant 12, boulevard Saint-Nicolas, actuel boulevard de la Victoire) occupe sans autorisation la voie publique (étais et clôture) – La voie publique a été occupée du 19 au 22 juillet – Les droits ont été payés, août 1893.
  • 1893 (avril) – G. Buob demande l’autorisation 1) d’établir une devanture au magasin, 2) de déplacer plusieurs cloisons selon le dessin joint – Autorisation de transformer le bâtiment – Travaux terminés, le rez-de-chaussée est occupé, octobre 1893
  • 1893 (octobre) – Le directeur de l’usine à gaz demande que le locataire Giessler soit autorisé à faire une prise pour environ cinq becs – Autorisation – Travaux terminés octobre.
  • 1893 (octobre) – Le maître pâtissier Rodolphe Giessler demande une inspection de son four – Autorisation de construire un four dans le bâtiment arrière, 23 octobre (régularisation) – Dessin – Le mur doit avoir au moins 25 centimètres d’épaisseur au lieu de 10 (6 novembre). – Travaux terminés, décembre 1893
  • 1895 – La dame Kellner (bureau de placement) demande l’autorisation de transférer son enseigne perpendiculaire du 17, rue Saint-Nicolas au 9, Grande rue de la Grange – Autorisation de poser une enseigne perpendiculaire (régularisation) – La saillie a été réduite sur demande du maire, août 1895
  • 1900 – La matelassière Julie Sonndrucker demande l’autorisation de transférer son enseigne perpendiculaire du 98, Grand rue au 9, Grande rue de la Grange – Autorisation – La saillie a été réduite sur demande du maire, juin 1900
  • 1900 (août) – La Commission contre les logements insalubres a demandé à François Schiebel, propriétaire du 7, Grande rue de la Grange, de ravaler les murs de sa cour. Le propriétaire déclare que les murs sont salis par la suie provenant de la cheminée de son voisin Schœnahl – La Police du Bâtiment se rend sur place et demande au propriétaire E. Carlen (10, route de Colmar) de surélever la cheminée de quatre mètres. – Le courrier à E. Carlen reste sans effet – Rappel, mai 1901 – Travaux terminés, juillet 1901
  • 1903 – Le maire notifie la veuve Jérôme Schœnahl (demeurant 5, Grande rue de la Grange) de faire ravaler la façade du n° 9 – Travaux terminés, octobre 1886 – La veuve demande un report, son mari mort l’année précédente ayant laissé des dettes importantes – Travaux terminés, avril 1904.
  • 1914 (avril) – Isaac Kriegel demande l’autorisation de poser un store (4,90 mètres de long) au 31, Rue Neuve – Autorisation – Le volet roulant est posé, juin 1914
    1914 (mai) – Le même demande l’autorisation de poser une enseigne plate
  • 1922 – Le maire demande au propriétaire Landero de régler les droits de voirie après ravalement
  • 1924 – Le maître ferblantier Th. Ellwanger demande au nom de Simon Landero l’autorisation de poser une lanterne électrique avec l’accord du propriétaire – Autorisation de poser une enseigne lumineuse – Dessin (Horlogerie Bijouterie Landero, Atelier spécial pour réparations, Montres et bijoux – Dorure, Argenture, Gravure)
  • 1927 (novembre) – Henri Mænnlein, chef de publicité aux magasins Magmod, déclare que la pluie pénètre dans le logement qu’il occupe dans la maison Landero – La Police du Bâtiment constate les faits et écrit au propriétaire – Travaux terminés, février 1928.
  • Commission contre les logements insalubres – 1906, propriétaire, maître boulanger Schœnahl. Une des pièces ne devra plus servir de chambre à coucher. – La chambre des apprentis est bien tenue. Les cabinets d’aisance sont raccordés aux canalisations
    1913, propriétaire, Société d’escompte d’Allemagne du sud (Süddeutsche Disconto Gesellschaft) maison sise 31, rue Neuve. Les travaux de gros œuvre sont ajournés comme la maison est vouée à la démolition, sauf la toiture qui doit être réparée – Travaux terminés, juillet 1914 [le numéro de maison est inexact, il s’agit en fait d’un numéro pair]
    1913, Plainte du locataire Wolff (carte postale)
    1915, Commission des logements militaires. Remarques en trois points – Travaux terminés, novembre 1915
  • 1934 – Le sieur Fabry a cédé son affaire à Yvonne Régal.
    Note. Le propriétaire de la maison est Yvonne Régal. L’enseigne lumineuse et le store existent encore.
    1934 (juin) – Yvonne Regal (Belles modes) demande l’autorisation de poser deux enseignes – Le store et l’enseigne lumineuse sont portés à son nom
  • 1933 – La Police du Bâtiment demande à Simon Landero de faire ravaler la façade – Le propriétaire déclare que sa femme l’a dépouillé de ses biens avec l’aide de complices pendant sa maladie. – En note, la Police du Bâtiment déclare accorder un délai pour le ravalement, la façade étant seulement défraîchie par la poussière – Le maire accorde un délai jusqu’en octobre 1934 à Simon Landero demeurant chez Harburger (100, Grand rue) – Le maire accorde un nouveau délai en juin 1934 mais s’oppose à ce que la société de publicité Ammel et Compagnie pose des affiches
  • 1938 – Le propriétaire Landero est autorisé à refaire la devanture – Dessin (ancienne devanture Belles Modes, nouvelle devanture Emma, locataire modiste Ritzenthaler) – L’entrepreneur déclare avoir remplacé la devanture en bois qui était endommagée, supprimé le store et les corniches en bois en saillie – Travaux terminés, février 1938
  • 1954 (juillet) – L’entreprise de crépissage A. Carcereri (28, route de l’Hôpital au Neudorf) est autorisée à occuper la voie publique pour ravaler la façade
  • 1955 – Le locataire J. Goldmann (demeurant 2, quai de Paris) dépose une demande de permis de construire (propriétaire Mme Landero Fischer) sous la direction du cabinet technique G. Foesser (13, rue Saint-Joseph, Kœnigshoffen) – 31. rue du Vingt-deux-novembre, section 61 parcelle 59 – La devanture fait une saillie de 42 centimètres sur l’alignement (Division VI) – Le maire déclare que la devanture ne devra pas dépasser de plus de trente centimètres de l’alignement légal lors de la transformation du magasin de fourrures Maison Serge – Arrêté portant permis de construire, mars 1955, autorisant de transformer la devanture au rez-de-chaussée
    L’ancienne devanture est déposée, mai 1955. La nouvelle a été posée par l’entreprise Moser (7, rue de Soultzmatt au Neudorf), mai 1955
    1955 (avril) – Le sieur Landero est autorisé à poser un échafaudage sur la voie publique
  • 1956 – Smolarski (magasin Netta Couture) demande l’autorisation de poser une enseigne éclairée au néon – Dessin – Autorisation – L’enseigne est posée, avril 1956
  • 1963 – La société Renzo S.A. déclare reprendre le droit d’enseigne de Smolarski – Le ficher est rectifié
  • 1966 – J. Winter (4, rue de l’Observatoire) demande si son locataire Renzo a le droit de raccorder son chauffage au gaz à la cheminée commune – La Police du Bâtiment répond que la ventilation doit être individuelle – Le ramoneur René Arnold (rue Charlemagne à Schiltigheim) certifie que le chauffage au gaz est supprimé et que la cheminée est réglementaire.
  • 1967 – La Police du Bâtiment constate que la chemiserie Renzo fait couvrir la cour arrière. – La société Renzo déclare qu’elle va déposer une demande (papier à lettres Le Chemisier de l’homme élégant, Chapelier, Chemisier).
    1968 (février) – Le propriétaire Winter qui doute que les travaux soient conformes aux règlements demande à la Police du Bâtiment de visiter les lieux.
    1968 (mars) – La société Renzo dépose une demande de permis de construire pour couvrir la cour.
    Copie du bail passé le 18 octobre 1967 entre le propriétaire Georges Winter (4, rue de l’Observatoire) et la société anonyme Renzo – Le bureau d’architecture Gutig (avenue des Vosges) décrit les travaux qui consistent à couvrir la cour (2,00 sur 2,40 mètres) d’une dalle en matériau préfabriqué à 2,60 mètres de hauteur sans obstruer de fenêtre – Plan d’arpentage – Dessin
    1968 (mai) – Arrêté portant permis de construire – Travaux terminés, juin 1968
  • 1969 – Le propriétaire Georges Winter (né en 1903 à Weiterswiller) dépose une demande de permis de construire pour transformer les combles. Les travaux consistent à rénover et transformer un logement de deux pièces et cuisine au troisième étage en agrandissant les lucarnes – Description des travaux estimés à 10.690 francs
    1969 (juillet) – Le directeur départemental de l’équipement donne son accord
    1969 (août) – Arrêté portant permis de construire, autorisation de transformer les combles
  • 1969 (octobre) – Le maître pâtissier en retraite Georges Winter dépose une demande d’avenant au permis de construire pour transformer les combles sous la direction du cabinet d’architecture Fernand Best (17, rue Jules Rathgeber au Neudorf). Les travaux consistent à remplacer deux lucarnes par une grande baie vers la cour – Plan d’arpentage – Description des travaux estimés à 3700 francs, septembre 1969
    1969 (décembre) – Le directeur départemental de l’équipement donne son accord
    1970 (janvier) – Arrêté portant avenant au permis de construire, autorisation de transformer les combles – Travaux terminés, avril 1970
  • 1974 – Le maire demande à Georges Winter de faire ravaler la façade. Le propriétaire répond qu’il a fait ravaler la façade en 1964 par l’entreprise Quattrone mais que depuis lors aucun de ses voisins n’a fait refaire sa façade. – Le maire accorde un an de délai – Rappel, novembre 1976 – Le maire met en demeure le propriétaire de faire ravaler la façade, novembre 1977
    1977 – Le propriétaire charge la maison Kehren de Schiltigheim de ravaler la façade
    1977 (novembre) – Le propriétaire est autorisé à poser un échafaudage sur la voie publique – Travaux terminés, décembre 1977
  • 1983 – La chemiserie Renzo demande l’autorisation de remplacer la toile du store
    La société Hominter, Fischer et Compagnie (2, rue de l’Epine) demande l’autorisation de remplacer la toile du store de la chemiserie Renzo. – Travaux terminés, juin 1983

Relevé d’actes

La maison est inscrite au nom du corroyeur Corneille Neiss dans le Livre des communaux (1587).

Originaire de Limbourg, Corneille Nisius acquiert le droit de bourgeoisie par sa femme Catherine, fille du docteur Simon Plumian
1564, 2° Livre de bourgeoisie (4 R 104) p. 224
Cornelius Nisius der Lederbereitter von Limpurg hatt das burgkrecht Empfang. von Catharinen plunian Doctor Symon plumians hünd. Loßen Docht. seiner Ehfraw vnd Dient Zu den Gerbwern Act. Donnerstag den 20.t Apprilis A° & 64

Corneille Nisius se remarie en 1565 avec Marie, veuve de Philippe Begrott
Mariage, Saint-Pierre-le-Jeune (luth. p. 64)
1565. Dominica IIII Adventus. Cornelius Nisius d. lederbereiter vnnd maria philipp Begrott nachgelassen Wittfraw. Sind Ingesegnet worden vff den 31 oder letsten tag Decemb: Anô 65 (i 36)

Le menuisier Bonaventure de Metz et le corroyeur Corneille Neiss font partie des huguenots résidant à Strasbourg en 1572
1572 (série II, 84 B) Huguenots
Verzeichnuß aller Welschen burger vnd was sy für leuth bey sich haben. Act. Donnerstag den 9. octtob. 1572.
Bonaventur v. Metz schreyner hatt sein weyb vnd seinen tochterman Casp. Ruff obgemelt Sonst teusche haußleut Ambrosm. l* steinmetz
Cornelius Nÿß Lettermacher weyb vnd Kind. teuschen Knecht, j magt auch von Metz

Le corroyeur Corneille Nissi souhaite erxercer le métier de brasseur
1575, Protocole des Quinze (2 R 5)
(f° 12-v) Montag den VII Februarÿ. – Cornelius Nyß Biersieder
Cornelius Nißi der lederbereiter, Sagt Er wolt gern ein Biersieder werden. das seye sein begehren. Erkandt, Ime sein begeren Zulassen vermög d. ord. die Ime am vngeld soll fürgehalten werden, sagen Ime Beide M. h. Rechburger vnd h. Meyer

1577, Protocole des Quinze (2 R 7)
Cornelius Neuß. [Keller in Viehgass] 67. 113. 120.

Corneille Niss et sa femme Marie, veuve du menuisier Philippe Bergott, vendent à Paul Ficker une rente assise sur la maison

1583 (27.t Novembris), Cour épiscopale, vol. 228-I (Registranda Theobaldi Küstner) f° 76-v
Pro Dno Paulo Ficker Cive Argent
Erschienen Cornelius Nÿß der Leder bereitter burger Zu Straßburg und Maria weÿland Philips Bergott des Schreyners burgers daselbst selig witwe sein haußfrauw
haben in beÿsein des Ersamen Pauli fickers burgers Zu Straßburg offentlich bekhandt, demnach sie beide Ehegemechd vff Michaelis des Jüngst abgeloffenen 74. Jars unverscheidenlich für sich gedachtem Paulo ficker ord. 2 pfund vnd 10 schilling pfenning gelts (…) verkaufft vnd Zukhouffen geben dieselbig 2 lib 10 ß d gelts alle Jar vff Michaelis Zugeben vnd Zu antwurtten
von vff vnd abe hauß hoffstatt vnd höfflin mit allen Iren gebeuwen In der Statt Straßburg In groß Stadelgaß geleg. neben Martin Nessel dem Khüeffer ein und anderseit neben seinem hauß der Ellenden herrberg Zu Straßburg Zustendig hinden vff herr hÿlarium Meÿger den Notarium stoßend dauon gohnt acht schilling und Zwen Cappen boden Zünß wÿland Junckher Steffen Sturmen selig. Erben deßgleichen Zehen guld geldt ablösig mit 200 guld. Straßburg. wehrung Bastian Mügen des Eltern vff Jacobi Apli. It. dritthalben Guld. gelts widerkheuffig mit 50 guld. ermelter wehrung vff Laurentÿ dem grossen gemeinen almusen Zu Straßburg, So dann fünf guld. gelts widerlosig mit 100 guld. erzelter werung wÿland Clauß Rossers* des Steinmetzen selig. Erben vff Valentini Ep. Jährlich wie man sagt

Acte conclu par Corneille Nisius et sa femme Marie, fille du menuisier Bonaventure de Metz
1589 (10. Septembris), Chancellerie, vol. 263-II (Imbreviaturæ Contractuum) f° 100
Kauffbrieff Cornelÿ Nisÿ des Lederbereitt. vber die Behaußung Zur Glocken
Erschienen Samuel Erler burg. alhie vnd Magdalena Schatzin sein eheliche haußfraw vnd haben (verkaufft)
Cornelio Nisio auch burg. und Lederbereittern alhie vnd Maria Bonauenturen von Metz des schreiners selig. dochter seiner ehelichen haußfrauwen die da beide Zugeg. Inen vnd allen Iren erben vestiglich kaufft haben (…)

Lambert Pfau et Abraham Dachtler, en qualité de gendres de Corneille Niess demandent à être exemptés du droit de détraction dans la succession de Jean Boschott de « Leuxun » près de Besançon. Les Conseillers et les Vingt-et-Un rejettent leur demande comme le bourg dépend de l’évêque de Besançon et non de la ville.
1602, Conseillers et XXI (1 R 81)
(f° 315) IV Octobris – Lamprecht Pfaw, Abraham Dachtler ob Hans Bischott von Leuxu abzug schuldig
Lamprecht Pfaw Abraham Dachter alß Cornely Niesen dochtermänner v. Erb. die herren Iren Miterben von Leüxun bej Bÿsantz gelegen, sein antheil abkaufft u desto mehr dorumb geben d. sie mit verhoff d sie ein gebe schwer abzurichten. Es will Imme aber der abzug abgeheischen werden do umb sie beim Kleinen Rhatschbr. nachsuchen lassen, v. befunden d. Bissantzer frei seind laut vrkundt die sie vbergeben derweg Ir * d. deß Stettlin auch dohien gehorig v sonst manglig freyläß Erben Die solcher Forderung nachzulassen. Erk. Hrn sollen bedenck. was zu thun sein woll. H. Kolleffel H Linck

(f° 330) Lamprecht Pfawen et cons. sollen abzug erstatten
H. Kolleffel H Linck et ego refer wegen begeren von Lamprecht Pfawen vnd Abraham Dattler alß dionysy Niesen Erben den (-) huius beschehen, dobei sie uns dem urkunden buch ein schein von Bysantz A° 65. fürgelegt, wie auch ein Frantzösische vrkundt von Luxeu, Es halten aber die hhn. dafur d. der begerte abzug Inenn nit Zu willfahren sondern gemeiner Statt solte erlegt werden dan Bysantz mitt Lauxeu eben so wenig Zuthun als Straßburg mit Moltzheim u. gehort solch Stattlin dem Bischoff von Bysantz die vrkundt auß Luxeu geb zwar so vil Zuerkennen d. alle burg. frey seyen u. mit Irer nahrung man der ort* verziehen mög. d. aber hieiger* burg. kommet bey Innen geerbt So scherin es billich bey mhrn erkantnus, d. man Keine vergleichung in Erbfall Kunfftig mehr einwillig. soll. Erkant, hrn bedenck. gefolgt.

La maison revient à Susanne Neiss qui épouse en1589 Lambert Pfau. Elle convient en 1612 que les enfants vendront la maison Grande rue de la Grange.

Leur fille Susanne Pfau devient propriétaire de la maison. Elle épouse en 1618 le marchand Laurent Stadler, fils du marchand Georges Stadler de Francfort

Mariage, Saint-Pierre-le-Jeune (luth. p. 284 n° 1)
1618. Dominica I post Epiph. 11. Janu. Lorentz stadler d. handelsmann, H. Jerg stadler des handelsman Zu franckfurt Sohn, J. Susanna, Lamprecht pfawen des biersieders hind.lassene Tochter. Eingesegnet Zinst. d. 20. Januarÿ (im 146)

Laurent Stedler acquiert le droit de bourgeoisie par sa femme trois mois après son mariage en s’inscrivant à la tribu du Miroir
1618, 2° Livre de bourgeoisie (4 R 104) p. 1022
Lorentz Stedler Von franckfurth d. handelßman Empfahet d. burgrecht von Susanna Weÿlandt Cornelÿ pfauwen deß buersüeders selig. dochter vnd Wüll Zum Spiegel dienen Actum den 4 Maÿ Ao 1618.

Laurent Stadler et Susanne Pfau vendent la maison au tailleur Nicolas Diel.

1622 (ut spâ. [xvj. Augusti]), Chancellerie, vol. 446 (Registranda Meyger) f° 295
(Inchoat. in Prot. fol. 226.) Erschienen Lorentz Stadler burger Zu Straßburg vnd Susanna Pfauwin sein eheliche haußfr. für sich selbst (verkaufft)
Niclauß Diel dem schneÿd. burger Zu Straßburg
hauß, hoffstatt, höfflin vnd hind. hauß, mit Allen Ihr. geb. & geleg. Inn d. St. St. Inn d. groß. Stadellgassen, einseit n. Jost Schachinger, And. seit n. Martin Voltz Zimmermann, hind vff N. N. den Metzig. stoßend, dauon gnd. viij ß iiij d vnd 2. Kappen Bod. Zinß hiher in hptgtt Cp* für 24. lb 13 ß 4 d den Edlen Sturmen vff Martini, Mehr v gl gld loß. mit j C gl Werung vff Mathiæ Apostoli Bartholome Nasser, Item x gl gld loß mit ij C ghl Werung vff Jacobi Sebastian Gambßen, So dann iij gl gld wid. Kheuffig mit L gl. Wg. vff Laurentÿ dem Allmoß. Zu St. Marx weÿther seind sie Verhafftet vmb iij. C. Lxxxj lb xj ß viij d weÿland Lamprecht pfauwen selj. witwen und Khind., Sunst freÿ ledig vnd eÿg. Vnd Ist disser Khauff vber obgehörtte beschwerd. so d. Kheüffer vff sich nimpt Zugangen vnd beschehen für vnd vmb iij C lb d Strg.
[in margine :] Erschienen H Dauid Öhsinger als vogt Weÿlandt Lamprecht Pfawen seligen Witwen vndt beuelchhaber derselbigen Erben hat In gegensein Niclaus Dielen des Keüffers (…) bezahlt hatt. Quitt. Actum 15.t Octobris 1622.

Originaire de Staudernheim sur la Nahe le tailleur Nicolas Diel épouse en 1607 Marie, veuve de Jacques Sondicus (Marie Scherer avait épousé en 1585 le tailleur Jacques Sonnicus)
Mariage, Saint-Thomas (luth. f° 246-v n° 674)
1607. sontag den 7. Junÿ. Niclauß Dühl von Staudern vff d. Nah schneÿder vndt Maria Jacob Sondicus, des schneÿders alhie Nachgelaßene Wittib, Eingesegnet 15. Junÿ (i 253)

Originaire de Staudernheim sur la Nahe (en Palatinat), le tailleur Nicolas Diel devient bourgeois par sa femme Marie, veuve du tailleur Jacques Sindicus
1607, 2° Livre de bourgeoisie (4 R 104) p. 886
Niclaus Diel der schneider von Staudernen auff der Nah, Empfahet daß Burgrecht von Maria Weÿlandt Jacob Sÿndicj des schneiders selig. wittiben Wüll Zu den Schneidern dienen vnd 100 gulden Verstallen Actum den 25 Julÿ Aô 1607.

Le tailleur Nicolas Diel épouse en 1617 Marie, fille du jardinier Tobie Hirtz (Hürtz)
Mariage, Saint-Thomas (luth. f° 191 n° 1222)
1617. Dominica 2 Trinitatis. Niclaus Diel der Schneider Vnd Jungfrau Maria, Tobias Hürtzen d. Gartners hinderlaßene Tochter (i 409)

L’aubergiste tailleur Nicolas Diel obtient des préposés au bâtiment du sapin pour ses tonneaux
1625, préposés au bâtiment (VII 1340)
(f° 137) Montagß den 300 Maÿ a° 16 – Tannbaum gefolgt
Niclaus Diel d. Schneiderisch. Weinhändler vmb 20 schuh Von Einem Alt. dunbaum Zu faßschalen Ihne Willfahrt vnd ein Zettull ahn Bruckmetser ertheilt

Autres mentions de Nicolas Diel dans les registres du Magistrat
1628, Protocole des Quinze (2 R 56), Niclaus Diel. 238. 263. [Weinfaß als Schulden angenommen]
1636, Protocole des Quinze (2 R 61), Niclauß Diel. 179. [umb Brandenwein außlaß]

Pierre Wack de Staudernheim, en qualité de mari de Marie Fuchs, seule héritière de Nicolas Diel, cède ses droits à la veuve Marie Hürt. En marge, quittance remise en 1640 à Balthasar Bischoff qui a épousé Marie Hürt.

1637 (1. Augusti), Chambre des Contrats, vol. 478 f° 645
Erschienen Fraw Maria Hürtin, weÿ: Niclauß Dielen deß gewesenen Weinhändlers vnd burgers Zu Str. see: nachgelaßene Wittib, mit beÿstand Georg Scheblers deß Metzgers burgers alhie Ihres geordneten Vogts, An einem
So dann Peter Wack von Staudernheim in der Herrschafft Körn, vnder herrn herrn Casimir Rheingraven Alß Eheuogt Mariæ Fuchsin obgedachts Dielen eintzig hinderlassener ab intestato vndt beÿ E. E. Kleinen Rhat alhie eingesetzter Erbin, mit beÿstandt herrn Andreß Kellers Amptmanns Zue Wildenburg, wie auch herrn Jacob Mollings und herrn hannß Kelterers, beeder Alß vß eines Ers. Kleinen Rhats mitel hierzu insonderheit deputirt undt verordnet Am andern theil,
Zeigten An, demnach vff absterben mehr gerüerten Niclaus dielen, vermög deß durch herrn hanß Georg Kürschner den Notarium den 27. Martÿ nechsthin vffgerichteten Inventarÿ fol. 82. Ihr der Erbin 4613. lb An Unverändert vndt Theilbaren gut (…)
Hingegen Ihro der wittiben alle Ihres hauß würths hinderlaßene Haab undt Nahrung, wie dieße in obangezogenem Inventario begriffen, Activé et passivé eÿgenthümblich Zustehen
[in margine :] Erschienen Peter Wack hierinn gemeldt vnd Johann Cron Gerichtsschöff daselbst alß seinen Wacken mit seiner nunmehr verstorbenen haußf. Maria Fuchsin see: erzeügter Zweÿer Kindern geordneter Vogt haben in gegenwertigkeit H Balthasar Bischoffen dreÿers an alhieig. Müntz, alß ietzig. Eheuogts Fr. Mariæ Hürtin bekannt (…) quitt. Actum in beisein h. hanß Wilhelmen handelßmanns alhie den 28. Jan: 1640.

Marie Hirtz se remarie en 1637 avec Balthasar Bischoff, l’un des directeurs de la Monnaie

Marie, veuve de Balthasar Bischoff, vend la maison à l’enseignant Jean Sigismond Laritius

1661 (12. 7.br), Chambre des Contrats, vol. 526 f° 595
(Prot. fol. 49. fac. 2.) Erschienen der Edel- Vest- Hochgelehrt H. Daniel Imlin ICtus et Reipubl. Consiliarius et Advocatus senjor alß Curator Fr. Mariæ, weÿl. H Balthasar Bischoffs dießer Statt Geweßenen Ammaÿsters nunmehr seel. hinderlaßener Fr. Wittibin
in gegensein H. M. Johannes Sigismundi Larizÿ Præceptoris Classici
Eine behaußung mit allen deren Gebäwen, begriffen, weith. Zugehördten und Gerechtigkeiten, alhie in der Großen Stadelgaßen, einseit neben weÿl. Michael Arnoldts deß Kürschners nunmehro seel. nachgelaßenen Wittibin und Erben, anderseit neben H Johann Philippo Braunen Stallschreibern hinden uf hannß Michael Schotten stoßend gelegen, Von welcher behaußung gehend iahrs 8 ß 4 d und 2. Cappen bodenzinß termino Martini den Edlen Sturmen – umb 250 lb

Enseignant de grec au gymnase, originaire de Schwarzenfeld en Haut-Palatinat, Jean Sigismond Laritius épouse en 1638 Anne Marguerite, fille du bailli Jean Frédéric Saltzmann, de Crailsheim
Mariage, Saint-Thomas (luth. f° 222-v)
1638. Eâdem [Domin: Quasmodogeniti. I. April.] M. Johannes Sigismundus Laritius, Præceptor Classicus vndt deß Collegÿ Zu St: Wilhelm Inspector weÿl. h. Johann Laritzÿ, Schuldieners Zu Schwartzenfeld Inn der Obern Pfaltz hinderlaßener Sohn, Jungfr: Anna Margaretha, weÿl. h. Johann Friderich Saltzmann Amptmanns Zu Creyelsheim nachgelaßene tochter. Eingesegnet dinstag d. 10. April. S Thoman (i 229)

Proclamation, cathédrale (luth. p. 408)
1638. Dominica Quasmodogeniti. I. April. H. M. Johannes Sigismundus Laritius, Præceptor ord. Græcus im alhiesigen Gymnasio. h. Johannis Laritÿ, geweßenen Schuldieners Zu Schwartzenfeldt in der Obern pfaltzen sohn, Vndt J. Anna Margaretha, h. Johann Friderich Saltzmann Amptmanns Zu Crailsheim in Francken n. tochter. Eingesegnet Zu S Thom. Dinst. 10. Apr. (i 209)

Jean Sigismond Laritius et sa femme Anne Marguerite Saltzmann achètent le droit de bourgeoisie en juin 1638 en s’inscrivant à la tribu du Miroir
1638, 3° Livre de bourgeoisie (4 R 105) p. 877
H: M: Johann Sigismundo Lauritio, in Gymnasio Græcæ Linguæ Von Schwartzenfeld auß der Oberpfaltz, ist auß sonderbahrer Erkanntnus E. E. Grosen Raths d. burger recht für sich und seine Hausfraw Anna Margareth Saltzmennin vmb 10. gold. fl. gegeben worden Ist noch ledigen standt gewesenn Hatt auch Keine Kinder würdt Zu den Spieglern dienen, Jur. d 5 Junÿ Anno 1638.

Jean Sigismond Laritius demande un subside pour élever son fils aîné infirme.
1659, Conseillers et XXI (1 R 142)
(f° 140-v) Sambstag d. 6. August: – Mr Johannes Sigismundus Laritius vberreicht per Wild. Vnd.ge Supplication Gibt Mh. Zuerkennen daß sein Eltester Sohn sehr blödt vnd schwach. leibß, Bit. Mh. Wollen Ihme von d. Steinbockisch legat etwaß Zukomm. laß. Falle ihm schwer Saben Kind beÿ seinem geringen einkunfft Zuerzieh. Erk. Soll Ihme Wochentlich 6 ß auß dem neuwen Allmuß. mitgetheilt werd.

1659, Protocole des Quinze (2 R 77) Sigismundus Laritzius. 241 [Mauritianischer stipendiat Zinß].

Agathe, femme de l’imprimeur Jean Maurice Hack et Agnès, femme du fabricant de chausses Jean Adam Wahl, hypothèquent leur part de maison au profit de l’étudiant en droit Jean Jacques Geyer pour régler le prix de la maison à leur frère Sigismond Laritius, pasteur à Goslar.

1676 (5. Aug.), Chambre des Contrats, vol. 545 f° 727-v
Agatha, Johann Moritz Hackhen deß buchtruckhers und Agnes, hannß Adam Wahlen deß hoßenstrickers Eheweib, iede mit assistentz ihres Ehevogts
in gegensein herren Johann Caspar Dietzels deß Statt richters und schaffners deß Collegÿ Wilhelmitani alß Curatoris H Johann Jacob Geÿers U.I. Cand. – daß Die Agatha 50. lb und egemelte Agnes 25. lb bahr gelühenen Gelts, daß Sie damit H. M. Sigmund Larizium Pfarrer Zu Goslar ihren Eheleiblichen brudern umb seinen Antheil uff hernach beschriebener behausung außweißen können, schuldig seÿen
unterpfand, dreÿ Vierdte theil den schuldbekennenden Schwestern für ohnvertheilt gebührend ahne hauß hoffstatt und allen übrigen deren Gebäwen und Zugehördten alhier in der großen Stadel Gaßen einseit neben weÿl. Johann Baumanns deß Kürschners nunmehr sel. nachgelaßener wittibin anderseit neben Herrn Johann Philipp Braunen fünffzehen hinden uff (-) stoßend gelegen, Von welcher behausung gehend iährlichen 8 ß 4 d. und 2. Cappen bodenzinß term. Martini den Edlen Sturmen

Le secrétaire Jean Frédéric Laritius, Agnès Laritius veuve de Jean Adam Wahl et Raoul Laritius, tous trois en leur nom et en celui du pasteur Sigismond Laritius, cèdent leurs parts de maison à leur beau-frère et sœur respectifs Jean Maurice Hack et Agathe Laritius

1679 (24. Julÿ), Chambre des Contrats, vol. 548 f° 579-v
Johann Friderich Larizius der Guldenschreiber, Agnes Lariziusin, weÿl. Hannß Adam Wahlen deß hosenstrickhers nunmehr seel. nachgelaßene Wittib mit beÿstand Johann Monckh deß Corporals undt. Herrn Major Pulten compagnie ihres hochzeiters und Rudolph Larizius, und dießer mit beÿstand p Herrn Johann Gumprechts und H. Johann Henrich Metzgers beÿder alß E.E Großen Rhats mittel hierzu deputirter, und sie dreÿ geschwisterd in nahmen herrn M. Sigmund Larizÿ Pfarrers Zu Goslar, ihres eheleiblichen bruders, welcher bereits weg. seines rati so Er ahne hiernachgemeltem Kauffschilling Zu empfangen gehabt, außgewießen worden seÿe
in gegensein Johann Moritz Hackhen deß Buchtruckhers und Agathæ Lariziusin, ihrer resp. Schwager und eheleiblichen Schwester
Ihr der Vier Lariziusischen Vier Fünffte theil Ihnen für ohnvertheilt gebührend ahne einer behaußung und allen deren gebäwen, begriffen, weithen, Zugehördten, rechten und Gerechtigkeit. alhier in der Großen Stadelgaßen, einseit neben Tobiæ Werthemann dem Kürschner, anderseit neben herren Johann Philipp Braunen Fünff zehnern, hinden uff hannß Michael Schotten Von Lampertheim stoßend gelegen, daran der übrige ein fünffter theil obgedachter Agathä der Mitkäufferin Vorhien eÿgenthümblich gehöre, und gehend iahres Von der gantzen behaußung 8. ß 4 d und 2. Cappen bodenzinß den Edlen Sturmen – umb 600. fl.

Les acquéreurs hypothèquent le même jour la maison au profit de Jean Jacques Herberling, receveur de la Chartreuse pour en régler le prix d’achat

1679 (24. Julÿ), Chambre des Contrats, vol. 548 f° 581
Johann Moritz Hackh der Buchtruckher und Agatha Lariziusin, sein Eheweib, und Zwar dieselbe insonderheit mit beÿstand der Ehrenvest- fürsichtig und weÿsen herrn Johann Gumbrechts undt herrn Johann Henrich Metzgers beÿden als aus E.E. Großen Rhats mittel ahne statt nechster Verwanther hierzu deputirten
in gegensein herrn Johann Jacob Herberlingß alß Schaffners der Carthaus – schuldig seÿen 500. fl., daß Sie damit Johann Friderich Larizius den Guldenschreiber, herrn M. Sigmund Larizius und Agnes Lariziusin die Wahlische Wittib umb die Jenige 350. fl. so denenselben zu deren ratis uff nach beschriebener behaußung am kauffschilling gebührt hatt, befriedigen können
unterpfand, eine behaußung mit allen deren gebäwen, begriffen, Rechten und Zugehördten alhier in der Großen Stadelgaß einseit neben Tobiæ Werthemann dem Kürschner, anderseit neben herren Johann Philipp Braunen Fünff zehnern, hinden uff hannß Michael Schotten Von Lampertheim stoßend gelegen, davon gehend iährlichen 8. ß 4 d und 2. Cappen bodenzinß den Edlen Sturmen

Originaire de Wittenberg en Saxe, Jean Maurice Hack épouse en 1675 Agathe Laritzius : contrat de mariage, célébration
1675 (14. 8.br), Chambre des Contrats, vol. 544 f° 602-v
(Eheberedung) Johann Moritz Hackh der buchtruckher Von Wittenberg aus Sachßen gebürtig, alß Hochzeiter mit beÿstand Johann Jacob Rauchen des buchhändlers an einem,
So dann Jungfrau Agatha Laritziusin, weÿl. Herren M. Johann Sigismundi Laritzÿ geweßenen Præceptoris Classici im Obern Gÿmnasio nunmehr seel. nachgelaßene eheliche dochter, alß hochzeiterin, mit beÿstand Johann Friderich Laritzÿ deß Guldenschreibers ihres eheleiblichen bruders und Vogts am andern theil

Mariage, cathédrale (luth. f° 14-v n° 66)
1675. Zum 2. mahl Johann Moritz Hack Von Wittenberg, der Buchstaben Setzer, Weiland Johann Hackenn gewesenen Buch Truckers v. Burgers alda nachgelaß: ehel. Soh,, Jfr. Agatha Weiland hr. M. Johann Sigmund Laritsi gewesenen Præceptoris Classici bei dem Obern Gymnasio alhie nachgelaß. ehel. T. Donnerstags den 4.t 9.bris Münster (i 17)

Jean Maurice Hack fait dresser un état de sa fortune
1676 (24. 8.br), Not. Theus (Philippe Henri, 59 not 10) n° 333
Designation Was Johann Moritz Hack gebürttig Von Wittenberg in Saxen, des Buchtruckers alhier bereits würcklich in Vermögen V. annoch Von hauß aus Künfftig Zuegewartten hatt (…) Actum Straßb. d. 24.t Octobris Anno 1676
Sa. haußraths 52 lb, Silbers 2, baarschafft 13, Activ Schulden 200, Summa summarum 267 lb

Jean Maurice Hack devient bourgeois par sa femme Agathe, fille de l’enseignant Jean Sigismond Larizius
1676, 4° Livre de bourgeoisie p. 434
Johann Moritz Haag der buchtrucker, weÿl. Johann hagen des buchtruckers von wittenberg seel. sohn, empfangt das burgerrecht von Agatha, weÿl. H. M. Johann Sigmund Larizÿ gewesenen præceptoris Classici seel. dochter, seoner haußfr. p. 8. gold fl. welche Er beÿ der Cancelleÿ erlegt hatt, ist zuvor verheürathet gewesen, bringt Kein Kind. mit sich vnd will Zur Steltz. dienen. Jur. 30. 8.br. 1676.

Jean Maurice Hack et sa femme Agathe hypothèquent la maison au profit de Jean Georges Rehm, greffier en chef de Saint-Marc

1680 (20.7.), Chambre des Contrats, vol. 549 f° 495
Erschienen Johann Moritz Hackh der Buchtruckher undt Agatha beÿdte Eheleuth, und Zwar Sie Agatha insonderheit mit beÿstandt der Ehrenvesten Fürsichtig undt Weÿßen H. Johann Joel Leopardts, undt herren Abraham Gollen, beÿdter auß E.E. Großen Rathsmittel ahne statt nechste Verwanther hierzu Deputirter haben bekannt,
daß Sie Weÿl. H. Johann Georg Rhömen geweßenen Oberschreibers zu St: Marx nunmehr seel. nachgelaßenen Kindern uffrecht und redlich schuldig seÿen 50 lb
unterpfand, hauß, undt hoffstatt mit allen deren gebawen und Zugehördten alhier in der großen Stadelgaß, einseit neben Tobiæ Werdemann dem Kürschner, anderseit neben herrn Johann Philipp Braunen XV. hinden uff Michael Schotten Von Lampertheim stoßend gelegen, welche behausung noch umb 500 fl. Herrn Johann Jacob Herberling Schaffnern der Carthauß Verhafftet, so dann umb 250 fl. Rudolph Larizio Verhafftet, sonsten aber gegen männiglichen ohnasprüchig und eÿgen

Jean Maurice Hack et sa femme Agathe hypothèquent la maison au profit de Jean Georges Heckhler, assesseur au Grand Sénat

1681 (17.2.), Chambre des Contrats, vol. 550 f° 62-v
Johann Moritz Hackh der buchtruckher und Agatha sein eheweib und zwar dieselbe insonderheit mit beÿstand Johann Friderich Larizÿ deß Guldenschreibers ihres eheleiblichen bruders und Johann Munckhen deß Corporals under H Major Pulten Compagnie ihres Schwagers
in gegensein deß Ehrenvest- Fürsichtig und weÿsen herren Hannß Georg Heckhlers E.E. großen Rhats beÿsitzers – schuldig seÿen 50 lb
unterpfand, Eine behaußung mit allen deren Gebäwen, begriffen, weithen, zugehördten rechten und Gerechtigkeiten alhier in der Großen Stadelgaß, einseit neben Tobia Werthemann dem Kürschner anderseit neben Herren Johann Philipp Braunen dreÿ Zehners, hinden uff hannß Michael Schotten von lamperthein stoßend gelegen, davon gehend iärichen 4 ß und. 2. Kappen bodenzinß den Edlen Sturmen
[in margine :] (…) in gegensein hans Friderich Berion ietzig possessoris deß und.pfandts (quittung) Act. d. 18.ten april. 1690

Jean Maurice Hack et sa femme Agathe hypothèquent la maison au profit du libraire Frédéric Guillaume Schmuck

1681 (12. Xbr), Chambre des Contrats, vol. 550 f° 538
Johann Moritz Hag der Buchtruckher und Agatha beÿde Eheleuth mit beÿstand herren Johann Jacob Saltzmanns deß handelßmanns und Johann Friderich Laritzÿ Guldenschreibers
in gegensein herrn Friderich Wilhelm Schmuckhen deß buchhändlers
Eine Buchtruckhereÿ sambt den Schrifften und waß darzu gehörig, wie solches alles undt iedes durch H. Benedict Großen Notarium den 7.ten dießes jüngsthien Ordentlich specificirt – um 200 fl.

1693, Protocole des Quinze (2 R 97) Johann Philipp Kugler und Johann Moritz Hack die beede Ministri Academiæ umb Holtz und wellen. 244

Le fils du sergent Jean Maurice Hag, élève en classe de seconde qui est resté paralysé après avoir été mordu par un chien dans ses jeunes années, demande à être reçu à l’orphelinat
1698, Conseillers et XXI (1 R 181)
(p. 324) Montags den 24. Novembris 1698. – Johann Moritz Hagen Sohn vmb auffnahm ins Weÿßenhauß. 324.
Saltzm. Ersch. weÿl. Johann Moritz hagen geweßenen burgers vnd Petellen Sohn Discipulus 2.dâ Curiæ, welcher in seinen jungen jahren von einem hund gebissen, vnd von schrecken lahm worden, alßo daß Er sich biß dato nicht mehr recht erhohlen können auch dahero Zu keinem handwerck tauglich seine arbeitseelige vnd blöde Mutter aber nicht mehr ihn erhalten Kan, alß bitte derselbe vnderth. in das allhiesige Weÿßenhauß auffgenohmen Zu werden.
Erk. Würde Implorant a, dr Hh. Pfleger deß Weÿßenhaußes um recommandatione gewießen. H. XXI

Jean Maurice Haack, sergent de l’université, et Agathe Larizius vendent la maison au tourneur Jean Frédéric Berion et à sa femme Susanne Jung

1690 (23.1.), Chambre des Contrats, vol. 562 f° 47
Johann Moritz Haack, Pedell beÿ allhiesiger Universität und Agatha Lariziußin, deßen eheliche haußfrau, mit beÿstand Johann Friderich Larizÿ Ihres bruders und Georg Friderich Spangenbergers deß buchbinders [unterzeichnet] Johann Moritz Hack Pedell beÿ allhiesiger Vniversität
in gegensein hans Friderich Berion deß hohltrehers und Susannæ Jungin
Eine behaußung mit allen deren Gebäuen Recht. und zugehördt. allhier in der Großen Stadelgaßen, einseit neben H. Tobiæ Werdemann dem Kürschner anderseit neben H. Joh: Phil. Braunen XIII.ern hind. auff hans Michael Schott vom Lamperth. stoßend gelegen, darvon gehend jährlich 8 ß 4 d und 2. Kappen bodenzinß den. Edlen Sturmen, so seÿe dieselbe auch noch umb 250 lb Capital (So dann umb 50 lb Capital verhafftet) – geschehen umb 87 pfund

Fils du tourneur Frédéric Berion, Jean Frédéric Berion épouse en 1677 Marie Salomé, fille de l’imprimeur Jean Philippe Spach : proclamation, célébration
Proclamation, Saint-Pierre-le-Jeune (luth. f° 270 n° 11)
1677. Eâdem Dominica [Jubilate 6. Maÿ] Hanß Fridrich Berion der Hohltreher Weÿl. Hanß Friderich Berion, deß Hohltrehers Vndt Burgers allhie, nachgelas. ehl. Sohn vndt Jfr. Maria Salome Hanß Philipps Spachen deß Buochtruckers V. Burg.s allhie auch Büttels beÿ Ehrs. Zunfft Zur Steltzen ehl. Tochter, eingesegnet Eod. die [17] in S. Templo (i 283)

Mariage, cathédrale (luth. f° 42-v n° 31)
1677. Dom: Jubilate. Zum 2 mahl Johann Friedrich Perion der Hohldreher, Weiland Johann Friederich Perion, gewesenen Hohldrehers und Burgers allhie nachgelaß. ehl. S. Jfr. Maria Salome Johann Philipp Spachen Buchtruckers u. Büttels bei E.E. Zunfft Zur Steltzen ehl. T. Donnerstags die 17.t Maji Münster (im 45)

Jean Frédéric Berion se remarie en 1682 avec Susanne, fille du batelier Daniel Jung (d’autres actes à leur sujet seront présentés sur la notice de leur maison rue du Maroquin)
Mariage, Saint-Pierre-le-Jeune (luth. f° 301)
1682. Domin: XIII post Trinit. 23. Augusti Johann Fridrich Berion der hohlträher v. burger alhie v. Jfr. Susanna weÿl. Daniel Jungen deß schiffmans v. burgers alhie Nachgel. ehl. dochter. Copul. Donnerst. 3. 7.bris (i 315)

Jean Frédéric Berion et Susanne Jung vendent la maison au pelletier Jean Michel Kalb et à sa femme Susanne Marguerite Spach.

1691 (13.3.), Chambre des Contrats, vol. 563 f° 227
Hanß Friderich Berion der Hohlträher und Susanna Jungin
in gegensein Hannß Michael Kalben deß Kürßners und Susannæ Margarethæ gebohrner Spachin
Eine behaußung, höfflein und Hind.hauß mit allen dren Gebäwen, zugehördten und Gerechtigkeiten allhier in der Großen Stadelgaß, einseit neben H. Johann Philipp Braunen XIII. anderseit neben Tobias Werdenmann dem Kirschner hinten uff Hannß Michael Schotten Von Lambertheim stoßend gelegen, darvon gehend jährlich Acht Schilling Vier pfenning und Zwen Capp. boden Zinß den Edlen Sturmen, so seÿe dieße behausung auch noch umb 250 Pfund Capital dem Stifft zur Carthauß verhafftet – geschehen um 250 pfund

Fils du pelletier Martin Kalb, Jean Michel Kalb épouse en 1682 Susanne Marguerite Spach, fille du chirurgien barbier Antoine Spach de Bouxwiller : contrat de mariage, célébration
1682 (23.3.), Not. Kitsch (Jean, 1 AH 5972)
Eheberedung – zwischen dem Ehrenhafften Hanß Michael Kalben, ledigen Kürßners, des Ehren vesten vorgeachten Herrn Martin Kalben, auch Kürßners undt E. E. Stattgerichts alhier alten beÿsitzers eheleiblich erzeugtn Sohn, als Bräutigamb an einem
vndt dann der Ehren: undt Tugendsahmen Jungfrawen Susannæ Margarethæ Spachin deß Ehren: undt vorgeachten Herrn Anthony Spachen, barbierers Zue Buchsweÿler eheleiblich erzeügten dochter der Jungfraw Hochzeiterin andern theils
inn beÿsein und durch underhandtlung der Ehrenvesten vorgeachten herrn Johann Werners Schuhmachers, des hochzeithers vogt. auff sein des hochzeithers, auff der Jungfraw hochzeitherin seith aber herrn Hanß Georg Berneggers auch Schuhmachers deroselben verwanthen (…)
Beschehen inn Straßburg Montags den 23. Martÿ S. N. Anno 1682 [unterzeichnet] Johans Michaell Kalb Hoch Zeiter, Susanna Margaretha Spachin als hochzeidern
Not. Kitsch (Jean, 1 AH 5891, Protocole, f° 102-v) Eheberedung Hannß Michael Kalben ledigen Kürßners undt Jungfr. Susannæ Margarethæ Spachin

Mariage, Saint-Pierre-le-Jeune (luth. f° 298-v)
1682. Festo Paschali 29. Martÿ Styli Novi. Joh: Michael Kalb d. Kürschner alhier hrn. Martin Kalben deß burgers v. Kürschners alhier ehl. sohn, v. Jfr. Susanna Margaretha hrn. Antonÿ Spachen deß barbierers v. Wundtartzt Zu Bußweiler ehl. tochter. Cop. Donnerst. 9. April. (i 313),

Jean Michel Kalb et Susanne Marguerite Spach hypothèquent la maison au profit du fondeur d’étain Georges Sigismond Braunsmæntel

1691 (14.5.), Chambre des Contrats, vol. 563 f° 416-v
hans Michael Kalb, der Kirßner und Susannæ Margarethæ gebohrne Spachin und zwar dieselbe mit beÿstand hans Peter Nifers deß Schneiders und Johann Martin Spachen deß Goldarbeiters und Büttels E.E. Zunfft Zur steltzen
in gegensein H. Georg Sigmund Brunsmäntel, deß zinngießers – schuldig seÿen 200 pfund [unterzeichnet] Georg Sigmundt Praunßmändl
unterpfand, Eine behaußung mit allen deren Gebaüen, rechten und zugehördten, allhier in d. Großen Stadelgaßen einseit neben H. Tobia Werdemann, dem Kirßner and.seit neb. H. Johann Phil. Braunen XIII.er hind. auff hans Michael Schotten von Lamperth. stoßend gelegen, darvon gehend jährlich 8 ß 4 d und 2. Cappen bodenzinß d. Edlen Sturmen

L’inventaire dressé après la mort de Susanne Marguerite Spach n’est pas conservé
1712, Not. Hoffmann (Christophe Michel, rép. 65 not 11) n° 39
Inventarium über weÿland frauen Susannä Margarethæ gebohrne Spachin, Joh: Michael Kalben des Kürschners Ehefr. seel. Verlassenschafft

Jean Michel Kalb hypothèque la maison au profit du tailleur Jean Georges Friedrich

1712 (28.5.), Chambre des Contrats, vol. 585 f° 389
Joh: Michel Kalb Kürßner
in gegensein Joh: Georg Friedrich schneiders – schuldig seÿen 150 pfund
unterpfand, sein hauß c. appert: allhier in der großen stadelgass, einseit neben Theurkauff anderseit neben (-), hinten auff Wittmännin

Jean Michel Kalb hypothèque la maison au profit de l’ancien sénateur Michel Frœreisen

1713 (21.2.), Chambre des Contrats, vol. 586 f° 111
Joh: Michel Kalb Kürßner
H. Michael Fröreißen Exs: – schuldig seÿen 100 pfund
unterpfand, ihr hauß c. appert: in der großen Stadelgass, einseit neben Joh: Georg Theurkauff anderseit neben Daniel Barnabe hinten auff Dorothea Wittmännin

Jean Michel Kalb se remarie en 1712 avec Anne Marguerite, fille du farinier Jean Wolff
Mariage, Saint-Pierre-le-Jeune (luth. f° 183)
1712. Dominica Reminiscere et Dom. Oculi proclamati sunt Johann Michael Kalb der Kürßner und Burger allhier Und Jfr. Anna Margaretha Johann Wolff deß Meel Manns und Burgers allhier Ehel. Tochter. Copulati sunt Mittw. d. 2.t Martÿ [unterzeichnet] Johann Michaell kalb Alls hoch Zeitter, + ist der beÿ Zeig. der hochzeiterin (i 189)

Marguerite Wolff devient bourgeoise par son mari Jean Michel Kalb
1713, 4° Livre de bourgeoisie p. 795
Maria Margaretha Wolffin Von hier, Johann Wolff des Mehlmanns tochter, empfangt das burgerrecht Von Ihrem Mann Joh: Michael Kalb p. 2. Gold fl. 16. ß, Wird beÿ den Kürßneren dienen. Promisit. d. 7. Dito [Januarÿ] 1713

L’inventaire de leurs apports n’est pas non plus conservé
1713, Not. Hoffmann (Christophe Michel, rép. 65 not 11) n° 58
Inventarium über Mstr. Joh: Michael Kalben des Kürschners und frauen Mariæ Margarethæ gebohrner Wolffin beeder Eheleuthe in der Ehestand gebrachte Nahrungen

Jean Michel Kalb et Marie Marguerite Wolff font dresser l’inventaire de leur biens et de leurs dettes
1713, Not. Hoffmann (Christophe Michel, rép. 65 not 11) n° 59
Inventarium über Mstr. Johann Michael Kalben des Kürschners, und frauen Mariæ Margarethæ gebohrner Wolffin beeder Eheleuthe habende Nahrung und Passiva

Jean Michel Kalb meurt en 1715 en délaissant cinq enfants de son premier mariage et deux du deuxième. L’inventaire est dressé rue des Aveugles dans la maison du maître maçon Jean Martin Pfundstein. Les biens propres de la veuve s’élèvent à 98 livres. L’actif de la communauté s’élève à 34 livres, le passif à 351 livres
1716 (23.1.), Not. Hoffmann (Christophe Michel, 19 Not 4) n° 188
Inventarium über Weÿland Meister Johann Michael Kalben geweßenen Kürschners und burgers alhier nunmehro seel. Verlaßenschafft – nach seinem am 13. 9.bris des nechstabgelegten 1715.ten Jahrs genommenen tödlichen hientritt hie Zeitlichen verlaßen – ersucht durch Frau Mariam Margaretham gebohrne Wolffin die hinterbliebene Wittib mit hülff und beÿstand H. Joh: Schaden des Weisgerbers und burgers alhier deroßelben geordbeten Curatoris wie auch Friderich Matthiam den Sohn
Des Verstorbenen seel. hinterlaßene Kinder und beneficial Erben sind Volgende, 1. Frau Anna Catharina gebohrne Kalbin, Meister Benjamin Schneider des Nadlers und Inwohners Zu Waÿßenburg ehel. haußfrau, 2. Maria Salomea Kalbin, so sich Von hie wegbegeben, 3. Johann Michael Kalb, der in der frembde sich befindende ledige Kürschner, 4. Friderich Matthias Kalb der Ledige Kürschner, so præsens, 5. Jgfr. Anna Margaretha Kalbin, Dieße fünff seind aus Weÿland frauen Susannæ Margarethæ gebohrner Spachin deßen erstern ehef. erzielte Kinder, deren die 3. letztere bevögtigt mit Meister Willhelm Friderich Gretnern dem Schneider und burgers alhier,
So dann 6. u. 7. Johann Jacob Kalb und der Posthumus, für welche zum Vogt geordnet H. Johann Conrad Würth der buchtrucker und burger alhier so zu gegen war, und seind dieße 2. letztere mit frauen Maria Margaretha Wolffin der nunmahligen Wittib ehem. erzeugt

In einer alhier ane der Blinden gaß gelegenen lehnbehaußung und dero inhabende Gemächern Volgender maßen befunden
Hausrath und vahrender Haab, Schrein und hülzenweckh, Auff der bühn, In der Wohnstub, In der Stub Cammer, Im haußöhren, Im Keller
Sa. hausraths 37 lb, (W. 31, T. 5) – Wahren und Werckzeug Zum Kürschner handwerck gehörig, 28 (W. 1, T 27) lb – Silber W. 10, Schulden in der Wittib ohnveränderten Vermögen zugeltend 17 lb, Schulden in die Theÿlbaren Verlaßenschafft zugeltend 2 lb
Summa summarum sogenannter wenig Theÿlbaren Verlaßenschafft, 34 lb
Schulden aus vorstehende sogenannter Theÿlbaren Verlaßenschafft, Item hannß Martin Pfundstein dem Maurer Vor i. quartal Verseßenen hauß Zinnß, Summa 351 lb
Ergäntzung der Wittib unveränderten Vermögens, Vermög Inventarÿ underschriebene Not. über der beeden Zertrennten Eheleuthe ad Concursum gereichte falliments Nahrung und wie 23. Julÿ Anno 1713 auffgerichtet, 47 lb – Summa der Wittib unveränderten Vermögens 98 lb

Anne Marguerite Wolff se remarie en 1718 avec le pelletier Jean Conrad Schober, originaire de Pforzheim : contrat de mariage, célébration
1718 (1.3.), Not. Hoffmann (Christophe Michel, 19 Not 6) n° 205
Eheberedung Zwischen H. Johann Conrad Schober dem ledigen Kürschner von Pfortzh. gebürtig alß hochzeittern ane einem
So dann der Ehren und Tugendsahmen Frawen Annæ Margarethæ gebohrner Wolffin, weÿl. Johann Michael Kalben gewesene Kürschners und burgers alhier seel. nachgelaßene Wittib, alß hochzeitterin andern Theÿls
So beschehen Straßburg den 1. Martÿ Anno 1718. [unterzeichnet] Johann Conrad Schober alß hoch Zeiter, + fraw hoch Zeitterin handzeichen

Mariage, Saint-Pierre-le-Vieux (luth. f° 72-v)
1718. d. 23. Martÿ sind Ehelich eingesegnet word. Johann Conrad Schober der ledige Kirschner h. Johann Conrad Schobers des Burgers vnd Kirschner Zu Pfortzheim Ehelicher Sohn vnd Fr. Anna Margaretha Wolffin, weiland Johann Michael Kalben gewesenen Burgers vndt Kirschners allhier nachgelaßene witwe [unterzeichnet] Johann Conrad Schober als hochzeiter, + dießes ist der hochzeiterin Zeichen (i 75)

Jean Conrad Schober devient bourgeois par sa femme quatre semaines après son mariage.
1718, 4° Livre de bourgeoisie p. 832
Joh: Conrad Schober Von Pfortzheim, der Küeffer, Joh: Conrad schober auch Küeffers Sohn, emp. das burgerrecht Von seiner Fr: Anna Margaretha Wolffin, p. 2. gold fl. 16. ß. wird beÿ den Küeffern dienen. J. d. 16. Dito [Aprilis] 1718.

Jean Michel Kalb et ses enfants vendent la maison moyennant 900 livres au tailleur Jean Georges Hammer et à sa femme Anne Marie Knauss

1713 (28.7.), Chambre des Contrats, vol. 586 f° 432-v
(900) Joh: Michel Kalb Kürßner, Item Willhelm Friedrich Grätner schneider alß vogt seiner KK, Item Anna Cath: geb. Kalbin beÿständlich Benjamin Schmidt nadlers ihres mariti, Item Maria Salome Kalbin
in gegensein Joh: Georg hammers schneiders und Anna Maria geb. Knaußin
hauß höfflein und hinterhauß mit allen deren gebäuen, begriffen, weithen, zugehörden, rechten und Gerechtigkeiten allhier in der Großen Stadel gass, einseit neben Joh: Georg Theurkauff anderseit neben Daniel Warnaba hinten auf Dorotheam Wttmännin, darvon gehen jährlichen 8 ß 4 u. zween Kappen bodenzinß denen Edlen Sturmen – (um 350 pfund verhafftet geschehen um 550 pfund)

Originaire de Grossaspach en Wurtemberg, Jean Georges Hammer épouse en 1692 Marie Elisabeth, fille du remueur de grains Jean Georges Linck : contrat de mariage (dont l’année est inexacte sur la copie qui figure dans le registre des transcriptions du notaire), célébration
1695 (22.3.), Not. Oesinger (Jean Adam, 39 Not 43) f° 16
Eheberedung. Meister Hannß Georg Hammer deß Schneiders und Burgers alhier Zu Straßburg vnd Jungfrauen Mariæ Elisabethæ Linckin
(…) zwischen dem Ehrsamen und bescheidenen Hanß Georg Hammer dem ledigen Schneider, weÿland Johann Hammers gewesenen Reebmanns Zu Großen Aspach, hochfürst. Württembergischer herrschafft hinderlaßenem Ehelichem Sohn, alß dem hochzeiter ane einem
So dann der tugendsammen Jungfrauen Mariæ Elisabethæ, des Ehrengeachten Meister hannß Georg Lincken, deß Kornwerffers und burgers alhier Zu Straßburg ehelichen tochter, alß der hochzeiterin am andern theil
Zum Sechsten haben der Hochzeiterin liebe Eltern versprochen in Ihrer behausung Ihnen beeden Eheleuthen das Losament biß Künfftig Ostern ohne Zinß Zuvergonnen, jedoch daß gedachte beede Eheleuth selbsten sich verköstigen sollen (…)
Actum in der Königlichen freÿen Statt Straßburg Dienstags den 22.ten Martÿ Anno 1695

Mariage, Saint-Thomas (luth. f° 34 n° 175)
Heüt den 15 octob. 1692. ist von mir (…) nach geschehener ordentlicher proclamation Copulirt word. Johann Georg Hammer der ledige schneider von Groß Aschbach auß deù würtenberger landt, weÿl. Johann Hammers des gewesenen Rebmans daselbst nachgelaßener ehelicher Sohn undt Jfr. Maria Elisabetha Johann Georg Lincken des burgers undt kornwerffers allhier eheliche Tochter [unterzeichnet] hanß Jeorg hammer alß hochzeiter, Maria Elisabetha Linckin als hochzeiterinn (im 37)

Jean Georges Hammer devient bourgeois par sa femme un mois après son mariage
1692, 4° Livre de bourgeoisie p. 625
Hanns Georg Hammer, Von großen Aschbach auß dem Würtemberger Landt, der schneider, weÿl. Joh: hammers des geweßenen Rebmans daselbst, hinterl. sohn empfangt das burgerrecht Von Maria Elisabetha Linckin seiner jetzmahl. haußfr. p. 2. gold fl. 16 ß so er bereits beÿ der Cantzleÿ erlegt, ist Zu vor ledigen standts gewes. vnd wird Zu E. E. Zunfft der schneider dienen jur. d. 17. 9.bris 1692.

Le tuteur d’un apprenti de Jean Michel Hammer se plaint des mauvais traitements infligés à son pupille. L’apprenti est autorisé à changer de maître, Jean Michel Hammer devra attendre deux ans de plus que le délai réglementaire pour prendre un nouvel apprenti. Le conseil des tailleurs autorise deux mois plus tard Jean Michel Hammer à se faire aider pour honorer ses commandes, moyennant un droit de deux livres dix sols. Il demande en 1905 à prendre un nouvel apprenti : le conseil le renvoie aux Quinze
1701, Protocole de la tribu des Tailleurs XI 343 (1701-1710)
(f° 6-v) d. 17 Februarÿ 1701
Hannß Georg Hammer wird von Herrn Johann Krawen als vogten erstgedachten Hammers Lehrjungen Kläger, proponirt daß ohngefehr fünff viertel Jahr er demselben zu beklagten vff 4 Jahr in die Lehr gethan und seithero sowohl von Ihme dem meister alß deßelben gesellen hart gehalten geschimpfft und übel geschlagen worden, zu dann alß Kläger dem Jungen 1. piecel gegeben, darüber er hart gekarbatschet worden, vnd seithero immer ärger auch 3 mahl blutig geschlagen habe.
Herr Johann Mackt gibt Zeugnuß, daß er der Jung 3. mahl blutig geschlagen worden, der Jung gestehet auch darbeÿ daß er wohlgeschehen aber wan den gesellen geschlagen worden seÿe. Reus Antwortet (…)
Erkandt, weil der meister ahne dem bahrgelt allschon 15. fl. alß das halbe empfangen und sich durch solche übele tractamenten deß Jungen selbsten verlustiget gemacht, also solle der meister 5. fl. dem Jungen widerumb herauß geben, dargegen der Jung von ihme quit sein, sich anderwerts Zu engagiren, darbeÿ Ihme erlaubt seÿe, nur allein annoch beÿ einem andern meister Zweÿ Jahr Zu lehrnen damit seine dreÿ Jahr völlig über standen sein sollen. Endlichen weilen der meister sich deß Jungen selbsten verlustiget gemacht, alß solle Er verbunden sein, nach handwercks articul annoch 2. Jahr über die Jenige Jahr, so dießer jenig annoch lehrnen sollen, Zu warten, ehe er wider einen andern lehr Jung annehmen dörfe.

(f° 12-v) Mittw. 13° Aprilis 1701 – Hanß Georg Hammer erscheint und wolle sich beÿ E. E. Gericht umb raths befragen, weßen er sich Zugetrösten, wann er widerumb einen Lehrjung annehme, Sintemahlen herr Ratherr Mockhel Ihme seinen Pfetters ane getragen, nach deme nun die sach überschlagen und befunden worden, daß wann er nach E. E. Gericht bescheid vom 17.ten Februarÿ Jüngst zweÿ Jahr still stehen, er großen nachstand leiden würde, sonderlich da Er viel arbeit unter handen, derohalben Erkandt, daß Ihme solches gegen 2. lb 10 ß d. Erlaubt sein solle.

(f° 201) 22° Novembris 1705 – Hanß Georg Hammer hat erster vor einem halben Jahr einen Lehrjungen außthun laßen, anjetzo aber wider einen andern an Zu nehmen willens, bittet umb Erlaubnus. Erkandt, abgeschlagen und vor unßere Gnädige herren die XV. verwießen.

Marie Elisabeth Linck meurt en 1702 en délaissant deux filles. Le veuf et sa servante Marie Knaus de Pforzheim prêtent le serment habituel de ne rien dissimuler de la succession. L’inventaire est dressé dans une maison de location rue du Coin brûlé. La masse propre au veuf est de 39 livres, celle propre aux héritiers de 97 livres. L’actif de la communauté s’élève à 235 livres, le passif à 112 livres
1702 (26.6.), Not. Lang (Jean Régnard, 29 Not 57) n° 526
Inventarium und Beschreibung aller der Jenigen Haab, Nahrung und Güttere, so weÿland die Ehren und Tugendsahme, Fraw Maria Elisabetha Hammerin gebohrene Linckin, des Ehrenhafft: und Achtbahren Herrn Johann Georg Hammers, des Schneiders und burgers alhier, gewesene eheliche haußfraw nunmehr seelige nach ihrem Freÿtags den 7.ten Aprilis dieses Jahrs aus dießer welt genommenem tödlichen hintritt Zeitlichen verlaßen, welche verlaßenschafft auf freundliches ansuchen erfordern und begehren des Ehrenhafft: und Achtbaren herrn Adam Friedrich Berners, des Schneiders und Burgers alhie Zu Straßburg geschwornen vogts Mariæ Elisabethæ und Annæ Mariæ, der Hammerin, des Verstorbenen frawen seeligen mit obernandtem herrn Johann Georg Hammern ihrem hinterbliebenen Wittibern ehelich erzeugter beeder Kinder und ab intestato verlaßene Erben, inventirt, durch ihne den hinterbliebenen Wittiber wie auch die Tugendsame Frau Mariam Knaußin vonn Pfortzheim gebürtig beeder Eheleute bißhero gewesene Dienstmagd (…) Actum Straßburg den 26.ten Junÿ Anno 1702.

Copia der Eheberedung (…) Straßburg Dienstags den 22.ten Martÿ Anno 1695, Johann Adam Ösinger Nots.
Copia Codicilli reciproci – 1702. (…) auff Freÿtag den 31. tag des Monats Martÿ, in einer ane dem Brenden end Ligenden und von beden Disponirenden Persohnen bewohnenden behaußung, deren Obern Cammer in die Brendenendgaß sehend (…) erschienen ist der Ehrenhaffte und Achtbare Herr Johann Georg Hammer, der Schneider und beneben ihme (…)
In einer in der Statt Straßburg ane dem Brendenend liegenden und von beeden Eheleuthen lehnungs weiß bewohnenden behaußung befunden worden
Ane Höltzen und Schreinwerck, In der Cammer A, In der Cammer B, In der Cammer D, Vor dißen gemachen, In der Wohnstub, In der Gesellen Kammer, In der Kuchen, unden im hauß, In hanß Jacob meÿers hauß, Im Keller
Ergäntzung des Wittibers unveränderten guths. Vermög eines, über des Wittibers Vätter: und Mütterliches guths durch herrn Schultheiß und Weÿßrichter Zu Großen Aspach den 14. Junÿ Anno 1700 gefertigtes (…) Attestati
Ergäntzung der Erben unveränderten Guths, Vermög des über eingangs gedachter beeder Eheleute Zugebrachte Nahrungen auß weÿl. herrn Johann Peter Reeben Notarÿ seel. darüber den 12. 9.bris A° 1693. vergriffenen Concept durch herrn Notarium Johann Adam Ösinger den 26. Martÿ Anno 1695. außgefertigt. Inventarÿ
Abzug in gegenwärtig Inventarium gehörig. Des Wittibers unverändert Guth, Sa. Silbers 8 ß, Sa. Ergäntzung (40, abgang 1, leibt) 39, Summa summarum 39 lb
Der Erben unveränderte Nahrung, Sa. haußraths 53, Sa. Silbers 10 ß, Sa. goldener Ring 3, Sa. Schuld 1, (Ergäntzung 44, abgang 6, bleibt) 38 lb, Summa summarum 97 lb
Das Gemein verändert und theilbar Guth, Sa. haußraths 62, Sa. Frucht auf dem Kasten 32, Sa. Wein 30, Sa. Silbers 3, Sa. Goldenen Rings 1, Sa. baarschafft 104, Summa summarum 235 lb – Schulden 112 lb, Theilbahre Errungenschafft 122 lb
Conclusio finalis Inventarÿ 259 lb

Jean Georges Hammer se remarie en 1702 avec Anne Marie, fille du meunier Jean Georges Knauss, de Pforzheim.
Mariage, Saint-Thomas (luth. f° 88-v n° 485)
den 27 Sept. 1702. sind nach ordentlicher außruffung eingesegnet word. Johann Geörg Hammer, der schneider undt burger, und Jfr. Anna Maria, Johann Georg Knaußen, burgers undt Müllers Zu Pfortzheim eheliche Tochter [unterzeichnet] Johan Georg hammer alß hohzeiter, + der hochzeiterin Zeichen (im 92)

Les nouveaux mariés font dresser l’inventaire de leurs apports dans la maison. Ceux du mari s’élèvent à 543 livres, ceux de la femme à 578 livres.
1702 (11. 9.br), Not. Lang (Jean Régnard, 29 Not 58) n° 537
Inventarium und Beschreibung aller derjenigen Haab, Nahrung und Güttere, so der Ehrenhafft und achtbahre herr Johann Georg Hammer, der Schneider und die Ehren und tugendsame fraw Maria Elisabetha Hammerin gebohrne Knaußin, beede Eheleuthe und burgere allhier zu Straßburg einander in die Ehe zugebracht, welche der Ursachen allweilen in ihr beeder Eheleuthe mit einander auffgerichteter Eheberedung austrucklichen enthalten, daß einem jeden der beeden Ehepersonen seine in die Ehe bringende Nahrung unverändert sein (…) Actum Straßburg in fernerem beÿsein der Ehrenhafft u. achtbahren hrn. Adam Börners des Schneiders u: burgers allhier, alß des Manns einer Töchterlin Erster Ehe geschwornen Vogts und hrn Johann Caspar Geÿgers des Jüngern hoosenstrickers und burgers alhier der Frauen hierzu erbettenen beÿstands den 11. Novembris 1702.

In einer in der Statt Strbg. ane dem Brandenend liegenden und von beeden Eheleuthen bewohnenden behaußung befunden worden, wie folgt
Ane Höltzen und Schreinwerck, Auff der bühnen, In der Cammer A, In der Cammer B, In der Cammer C, Im haußöhren, In der Cammer D, Im Keller
Wÿdemb So der Mann von weÿl. Frawen Mariä Elisabetha hammerin gebohrner Linckin seiner erstern haußfr. seel. mit gewißer Condition Zugenieß.
Series rubricarum hujus Inventarÿ. Des Manns in die Ehe gebrachtes Guth, Sa. haußraths 272, Sa. Werckzeug Zum Schneider handwerck gehörig 2, Sa. der frucht und Meel 50, Sa. Wein und lährer Vaß 48, Sa. Silbers 15, Sa. Guldenen Ring 2, Sa. baarschafft 27, Sa. Schuld 149, Summa summarum 568 lb – Schulden 240, Nach deren Abgang 327 lb
Wann aber hierzu addiret wird die Jenige Nahrung welche derselbe wegen seiner beeder Töchter erster Ehe Mütterlichen Guths mit gewißen Conditionen Zugenießen 216 lb, So trifft des Manns in die Ehe gebrachte so wohl eigenthümlich als wÿdembs Nahrung in allem an 543 lb
Hierauff wird auch der Frauen in die Ehe gebrachte Nahrung beschrieben, Sa. haußraths 30, Sa. der Goldenen Ring 5, Summa summarum 35 lb
Und wann hierzu gerechnet wird des Manns in die Ehe gebrachte gantze substantz sambt Eigenthumb und wittumb 543 lb, So trifft beeder Eheleuhe einander Zugebrachtes und wÿdembs dem vero pretio nach sammenthafft an 578 lb

Jean Georges Hammer s’adresse aux Quinze pour obtenir l’autorisation d’engager un nouvel apprenti pauvre qui lui a été recommandé par le pasteur de Wasselonne. Les représentants des tailleurs déclarent qu’aucune dispense n’a encore été accordée d’après le nouveau règlement. La commission propose de rechercher un maître pour l’apprenti et de présenter une nouvelle requête s’il ne s’en trouve aucun.
1705, Protocole des Quinze (2 R 109)
(f° 370) Sambstags den 5. Decembris 1705 – Johann Georg Hammer Ca. E.E. Mstrschafft der Schneider
K* noîe Meister Johann Georg Hammer deß burgers und Schneiders allhier gtra. E. E. Zunfft der Schneider weilen principalen einen armen Lehrjungen namens Jacob fixen von dem Herren Pfarrer Zu Waßlenheim ihme recommendirt, das handwerck lehren soll, vnd des Allmosen ihne lernen laßen würdt auch principalis selbsten in allmoßen wegen geringen lehrgelts ahne ihme thut, deß bittet dispensando gn. Zuerlauben denselben annehmen Zu dörfen, angesehen die stillstandtjahr noch nicht völlig verfloßen.
Erk. ahne die Obere handwercks herren gewießen. Kun. Ersch. noîe E. E. Zunfft H. Joh: Martin Kuntz der Zunfftmeister, vnd weilen es beÿ ged. Zunfft nicht stehet, alß s. man Zu Ewer Gnaden Erk. ahne die Obere Handwercksherren gewießen.

(f° 374-v) Freÿtags den 11. Decembris 1705. Johann Georg Hammer Ca. E.E. Zunfft d. Schneider
idem [Obere Handwercksherren] laßen durch herren Secretarium Friden proponiren, es were Johann Georg Hammer der burger und Schneider allhier mit einem recess eingekommen vnd hette angesucht, daß ihme dispensando erlaubt werden möchte, Einen Lehrjungen namens Jacob Fixen von Waßlenheim, welcher der Herr Pfarrer daselbsten ihme recommendirt, vnd des Allmosen das handwerck lernen laßen will in die lehr Zunehmen maßen beÿ ihme die stillstandtjahr noch nicht völlig verfloßen,
als nun Implorant auff beschehene remission wegen dieses begehren ferner gehört worden, hette derselbe auff die im gehaltenen recess angeregten rationes sich bezogen mit angehencktem bitten in sothanes gesuch dispensando Zu willfahren,
worauff Johann Martin Cuntz der Zunfftmeister geantwortet, daß der Zunfft articul hierüber gantz new were auch hierin noch nicht dispensirt worden vnd auff den fall solches gescheh. solten große confusion darauß erwachßen würde, bevorab der articul dahien gehe, daß Einer Zweÿ Jahr solte stillstehen, da doch der Implorant ererst ein halb jahr still gestanden vndt also anderthalben jahr fehleten, neben dem auch andere Meister hier weren die dem jung gern annehmen würden, über dieses Niclaus Lambrecht der Stubenvatter von Catholischer Religion auch ein jungen wider Ordnung annehmen gesinnt gewesen, so bald Er aber von dem Articul gehörte gleich davon abgestanden were
beÿ welcher der sachen beschaffenheit die herren Deputirte für etwas bedenklich gefunden dem Imploranten in seinem behegren Zu willfahren vnd hetten demnach darvor gehalten es würde Zuvorderist Zuerkundigen sein, ob wackere Meister, welche die gewohliche Zeit über völlig still gestanden verhanden vnd dem ged. Jungen im lehr nehmen könten vnd wolten, wann sich nun keine dergleich. befinden wolten, würde ferner von deß Imploranten begehren geredt werden kann. Erk. bedacht beliebt.

Jean Georges Hammer loue une partie de sa maison au cordonnier Jean Henri Sommer

1715 (1.7.), Chambre des Contrats, vol. 588 f° 507-v
Joh: Geörg Hammer schneider
in gegensein Joh: Heinrich Sommer schuemachers
in seinem hauß allhier in der großen Stadelgass eine stueb eine Cammer eine bühn auf dem hinteren hauß und Platz im Keller so unterschlagen, auf 3 jahr lang anfangend auf Joh. Baptistæ 1715 – um einen jährlichen Zinß nemlich 12 lb

Jean Georges Hammer meurt en 1741 en délaissant deux filles ou leurs représentants issues de son premier mariage et trois filles du second. Les experts estiment la maison à 775 livres. La masse propre à la veuve est de 156 livres, celle des héritiers de 344 livres. L’actif de la communauté s’élève à 436 livres et le passif à 866 livres.

1741 (27.7.), Not. Lobstein (Jean, 31 Not 55) n° 1232
Inventarium und Beschreibung aller der jenigen Haab, Nahrung und Güthere, so weÿland der Ehren und wohl vorgeachte Herr Johann Georg Hammer, der geweßene Schneider und burger allhier Zu Straßburg nunmehr seeliger, als derselbe Freÿtags den 2.ten Junÿ dießes Lauffenden 1741.sten Jahrs dießes Zeitliche in das Ewige verwechßelt, nach solch seinem aus dießer welth genommenen tödlichen hintritt Zeitlichen verlaßen (…) durch die Ehren und tugendsahme frau Annam Mariam Hammerin gebohrene Knaußin, die hinterbliebene Wittib, mit assistentz S: T: herrn Johann Heinrich Jahreiß, wohlbestellten Oberschreibers auff dem Frauenhauß und burgers allhier (geäugt und gezeigt), So beschehen in Straßburg auf Donnerstag den 27.ten Julÿ Anno 1741.
Der Abgeleibte seeliger hat Zu seinen Erben ab intestato Verlaßen wie Volgt. 1.mo Frau Mariam Elisabetham Kammin geb. Hammerin weÿland Mr Johann Jacob Kammen des gewesenen Schneiders und Burgers allhier nunmehr seeligen nachgelaßen wittib, welche mit beÿstand herrn Johann Holsten, des Perruckenmachers und Burgers allhier, dem geschäfft abwartete, in dem Ersten fünfften Stammtheil
2.do Weÿl. Frauen Annæ Mariæ Baldnerin, gebohrene Hammerin, nun seel. mit Mr Johann Andrea Baldner, dem Schuhmacher und burgern allhier ehelich erziehlte und hinterlaßene Vier Kinder, Nahmentlichen Johann Heinrich, Johann Andream, Philipp Jacob und Mariam Salome die Baldner, denen Zu einem Vogt gerodntet worden Meister Johann Niclaus Laubenheimer der Schneider und Burger allhier, alldieweilen er aber uxorio nomine selbsten interessirt, dahero ist Ihnen Zu einem Theil vogt erbetten worden Meister Johann Jacob Meÿer, der Schuhmacher und burger allhier, welcher Laut Scheins aus Ihro gn. der jetzt wohl regierenden herrn Ammaÿsters hauß Protocoll vom 26.ten Julÿ 1741 die erlaubnus erhalten hat dem geschäfft (…) beÿzuwohnen, so auch beneben der Kinder eheleiblichem Vatter geschehen, in den Zweÿten fünfften Stammtheil
Dieße beede des Verstorbenen seeligen in Erster Ehe mit auch weÿl. frauen Anna Elisabetha Hammerin geb. Linckin Längst seel. hinterlaßene Kinder und Enckel
3.tio Frau Mariam Magdalenam Kiehlburgerin gebohrene Hammerin weÿland Meister Johann Peter Kiehlburgers des Schneiders und burgers allhier nunmehr seeligen nachgelaßene Wittib, welche mit beÿhilf Mr Wilhelm Friderich Gräthners, des Zinn Knöpffmachers und burgers allhier sich beÿ der Inventation eingestelt, in den dritten fünfften Stammtheil, 4.to Frau Mariam Dorotheam Schmidin geb. Hammerin Mr Georg Heinrich Schmidts, des Schneiders und burgers alhier eheliche haußfrau, welche mit und beneben Ihrem haußwürth sich beÿ dem Geschäfft eingestelt im den Vierten fünfften Stammtheil, So dann 5.to Frau Mariam Salome Laubenheimerin gebohrene Hammerin, Meister Nicolai Laubenheimers des Schneiders und burgers allhier eheliche haußfrau solche mit assistentz deßelben sich beÿ der Inventation eingefunden, in den fünfften und Letsten Stammtheil
Dieße dreÿ Letstere des Verstorbenen seeligen mit eingengs gedachter seiner hinterbliebenen Wittib ehelich erziehlte vnd nach tod hinterlaßene töchter,
Alßo alle fünff des verstorbenen seel. in zwen Ehen ehelich erziehlte töchtere und Enckel auch ab intestato Zu gleichlingen portionen und antheilern verlaßene Erben
Copia der Heuraths verschreibung – Copia Codicilli reciproci

Eigenthumb ane einer Behaußung (T.) Eine behaußung, höfflein und Hinterhauß mit allen deren Gebauen begriffen weithen rechten Zugehörden und Gerechtigkeit allhier in d. Großen Stadelgaß 1.s neben Meister Joh: Georg theurkauff, dem Kürschner 2.s neben Mr Johann Blinden dem Kieffer, hinden auf 1. Königl. Huissier stoßend gelegen, davon gibt man Jähl. 8 ß 4 d v 2. Cappen bodenzinß denen Edlen sturmen. It. 14. lb. d. à 4 p. Cto gerechnet Zinnßes reicht man in 2 posten dem Stifft Carthaus jährl. auf Annunciationis Mariæ v. wÿhenachten redimibel in Capital mit 350. lb. Sonsten freÿ leedig eigen v über dieße beschwährde durch (die Werckmeistere) laut Abschatzungs Zeduls Vom 29.t Junÿ 1721 æstimirt vor 370. lb. Darüber sagt i. teutsch. perg. Kb. in allh. C C Stub gefert. v. m dero anh. Insieg. Verw. dat. d. 28.ten Julÿ A° 1713.
Ergäntzung der Erben abgegangenen ohnveränderten Guths, Nach besag Vorgedachten Inventarÿ über beeder geweßener Eheleute einander ohnverändert in den Ehestand zugebrachte Nahrung u. in Anno 1702. durch nun auch weÿland Hn Notm Johann Reinhardt Langen nun seel. auffgerichtet
Abzug in gegenwärtig Verlaßenschafft Inventarium gehörig, der Wittib ohnverändert Vermögen, Sa. goldenen rings 12 ß, Sa. Activ: Schuld 20, Erg. Rest 136, Summa summarum 156 lb
Der Erben ohnverändert Guth, Sa. haußraths 11, Erg. Rest 353, Summa summarum 364 lb – Schuld 20, Detrahendo verbleibt 344 lb
Theilbahre Nahrung, Sa. haußraths 47, Sa. Lährer vaß 3, Sa. Silbers 4, Sa. Eigenthums ane einer behaußung 370, Sa. Activ Schuld 9, Summa summarum 436 lb – Schulden 866 lb, In Compensatione 429 lb
Conclusio finalis Inventarÿ 156 lb, Stall Summ 71 lb
Abschatzung dem 29. Julÿ: 1741. Auff begehren, weillandt deß wohl Achtbahren und bescheitenen Meister Johann Jörg hammerer deß gewëßenen schumacherß seel. hindter Laßenen Frau wittib und Erben ist eine behaußung allhier in der Statt Straßburg in der großen Stattell gaßen geleg. ein seitß Neben Johanneß blindt dem Küffer, anderseitß Neben Johann fritterich teürkauff dem Kurschner, hindten auf einen husier Stoßendt, welche behausung unden ein Klein Stubell, schmaleß hauß Ehren darinen der herdt, gewölbter Keller, bronen, der hoff und holtzhaus bauch offen, oben ihm Ersten Stock eine Stuben Cammer Kuchell hauß Ehren, der gang und Nebenß Stubell, worüber 2. Cammeren under dem tach ein dar von die soldaten Cammer ein alter tachstull mit Zweÿ höltzren gëblenn unbesetzten bienen sambt aller gerëchtig Keidt wie solches turch der Statt Straßburg geschworne wërck Meistere sich in der besichtigung befundten und Jetzigen Preÿß nach angeschlagen wirdt Vor und Umb Ein Tausent und Fünff hundert Gulten. bezeichnuß der Statt Straßburg geschwornen wërck Meistere, [unterzeichnet] Johann Peter Pflug Statt Lohner, Michael Ehrlacher Werck Meister deß Meinsters, Johann Jacob Biermeÿer Werck Meister deß Zimmerhoffs

Anne Marie Knauss meurt en 1748 en délaissant trois filles. Les experts estiment la maison à 800 livres. L’actif de la succession s’élève à 808 livres, le passif à 684 livres.

1749 (3.1.), Not. Lobstein (Jean, 31 Not 67) n° 1494
Inventarium und Beschreibung aller derjenigen Haab, Nahrung und Güethere, so weÿland die Ehren und Tugendsahme frau Anna Maria Hammerin gebohrene Knaußin auch weÿland des Ehren und Vorgeachten Herrn Johann Georg Hammers des Schneiders und burgers allhier geweßene eheliche Haußfrau, nun auch seelige, als dieselbe Sambstas den 23.ten Novembris des verwichenen 1748.sten Jahrs dießes Zeitliche in das Ewige verwechßelt, nach solch Ihrem aus dießer welth genommenen Tödlichen hintritt Zeitlichen verlaßen (…) So beschehen in Straßburg auf Freÿtag den 3.ten Januarÿ Anno 1749.
Die Abgeleibte frau seelig hat Zu Ihren Erben ab intestato Verlaßen wie Volgt. 1.mo Frau Mariam Dorotheam Schmidin gebohrene Hammerin, Meister Georg Heinrich Schmidts, des Schneiders und burgers alhier eheliche haußfrau, welche mit und beneben Ihrem haußwürth sich beÿ dem Geschäfft eingestelt im den Ersten dritten Stammtheil, 2.do Frau Mariam Magdalenam Kühlburgerin gebohrene Hammerin weÿland Meister Johann Peter Kühlburgers, des gewesten Schneiders und burgers allhier nunmehr seeligen nachgelaßene Wittib, welche mit beÿstand Mr Johann Georg Feuerstein des haffners und burgers allhier sich beÿ der Inventation eingefunden, in den zweÿten dritten Stammtheil, So dann 3.tio Frau Mariam Salome Laubenheimerin gebohrene Hammerin, Meister Nicolai Laubenheimers des Schneiders und burgers allhier eheliche haußfrau, welche mit: und beneben Ihrem Ehemann beÿ dem Geschäfft beÿwohnte, in den dritten und Letsten Stammtheil.
Alßo alle dreÿ der abgeleibten Frauen seeligen mit eingangs gedachtem Ihrem haußwürth seeligen ehelich erziehlte Frau Töchtere und ab intestato Zu dreÿen gleichlingen Portionen und antheilern verlaßene Erben

In einer allhier Zu Straßburg ane der großen Stadelgaß gelegenen und in dieße Verlaßenschafft gehörigen behaußung, befunden worden wie folgt
Eigenthumb ane einer Behaußung. Eine behaußung, höfflein und hinterhauß mit allen deren Gebäuen begriffen weithen, rechten, Zugehörden und Gerechtigkeiten, gelegen allhier Zu Straßburg in der Großen Stadelgaß 1.s neben Mr Johann Friedrich teurkauff, dem Kürschner 2.s neben Mr Johann Blind, dem Kieffer, hinden auf Hn Sauthier den Königl. Huissier stoßend, davon gibt man Jähl. 8. ß 4. d. in geld und 2. Kappen bodenzinß denen Edlen Sturmen und über dieß beschwährde durch (die Werckmeistere) laut Abschatzungs Zeduls Vom 5.ten Decembris 1748. angeschlagen pro 770. lb. Darüber sagt i. teutsch. pergament. Kffbr. in der Statt Straßb. anhangend. C C Insiegel Verwahret. datirt den 28.ten Julÿ A° 1713.
Wÿdemb welchen die Verstorbene Frau seel. Von auch weÿland Hrn Johann Georg hammer dem geweßenen Schneider und Burger, allhier Ihrem haußwürth ebenmäßig seel. ad dies vitæ genoßen hat
Abzug in gegenwärtig Verlaßenschafft Inventarium gehörig, Sa. haußraths 37, Sa. Silbers 1, Sa. Eigenthums ane einer behaußung 770, Summa summarum 808 lb – Schulden 684 lb, Nach solchem abzug 124 lb
Gantze Verlaßenschafft Et Conclusio finalis Inventarÿ dem Stalltax nach 140 lb
Abschatzung Vom 5. Xbris 1748. Auff begehren Weÿland Frawen Annæ Mariæ Hammererin der Schneiderin seel. hinterlaßenen Erben, ist eine behaußung allhie in der Statt Straßburg in der großen Stadelgaß, einseits neben N. theuerkauff, deùKürschner, anderseits neben Johann blinden dem Küffer und hinten auff herrn Sautier den Königlichen Huissier Stosend gelegen, solche behaußung hat vornen neben dem Eingang eine Stube und Küchen, auff dem Ersten stock eine Stube Küchen und haußöhren und hinten daran ein Stüblein, auff dem Zweÿten Stock dreÿ Kammeren, hat auch einen tachstuhl mit breitziegeln doppelt gedeckt worunter dreÿ Kammeren Wavon eine vor die Ein logirung, In dem Höfflein befindet sich ein bronnen und gewolbter Keller. Von uns den unterschriebenen Werckmeistern nach Vorher beschehener besichtigung mit aller Ihrer gerechtigkeit dem Jetzigen Werth nach æstimirt und angeschlagen Worden, Vor und umb Ein Taußend und Sechs Hundert Gulden [unterzeichnet] Johann Jacob Biermeÿer stadt Lohner, Michael Ehrlacher Werck Meister deß Meinsters, Werner Werckmeister des Maurhoffs

Les héritiers Hammer vendent la maison au cordonnier Jean Frédéric Kessig et à sa femme Chrétienne Weber moyennant 1 090 livres

1749 (10.6.), Chambre des Contrats, vol. 623 f° 356
Fr. Maria Elisabetha geb. Hammerin weÿl. Johann Jacob Kamm des schneiders wittib mit beÿstand ihres schwagers Andreas Baldner des schuhmachers, mehr Nicolaus Laubenheimer der schneider als vogt erstgedachten Baldners mit weÿl. Fr. Anna Maria geb. Hammerin erzeugten zweÿ kinder Johann Heinrich und Georg Andreas der Baldner, so dann Baldner der vatter als erb zweÿer nach seiner ehefrau verstorbenen kinder Philipp Jacob und Maria Salome, mehr Fr. Maria Dorothea geb. Hammerin Johann Heinrich Schmidt des schneiders ehefrau, ferner Fr. Maria Magdalena geb. Hammerin weÿl. Johann Peter Kühlburger des schneiders wittib mit beÿstand Johann Jacob Moßeder des weinhändlers, so dann Fr. Maria Salome geb. Hammerin vorgemelten Laubenheimer ehefrau
in gegensein Johann Friedrich Keßig des schuhmachers und Christinæ geb. Weberin, versteigerung
eine behausung bestehend in vorder und hinderhauß und höfflein samt allen deroselben übrigen begriffen, weithen, zugehörden und rechten ane der großen Stadelgaß, einseit neben Johann Friedrich Theurkauff dem kürßner, anderseit neben Johann Blind dem kieffer, hinten auff die Voglerischen Fr. wittib – davon bibt man 8 ß 4 d in geld und dann zween cappen ane bodenzinß denen edlen Sturmen – als ein ererbtes guth – (um 350 und 200 pfund verhafftet) geschehen um 540 pfund

Les acquéreurs hypothèquent le même jour la maison au profit d’Anne Barbe Müller

1749 (10.6.), Chambre des Contrats, vol. 623 f° 359-v
Johann Friedrich Keßig der schuhmacher und Christina geb. Weberin mit beÿstand ihres bruders Johannes Weber des tabac: pfeiffermachers und ihres vettern Johannes Meÿer des nagelschmidts
in gegensein Annæ Barbaræ Müllerin der dienstmagd mit beÿstand H. Rathh. Jacob Dürninger des handelsmanns, zu bezalung des kaufschillings hiernach beschriebener behausung – schuldig seÿen 100 pfund
unterpfand, eine anheute erkauffte behausung, hinderhauß und höfflein in der großen Stadelgaß einseit neben Friedrich Theurkauff dem küßner, anderseit neben Johannes Blind dem kieffer hinten auff die Voglerische Fr wittib – davon gibt man 8 ß 4 d und zween cappen ane bodenzinß denen edlen Sturmen

Jean Frédéric Kessig s’adresse aux Quinze pour avoir le droit de faire son chef d’œuvre sans avoir été inscrit aux années d’épreuve. Il déclare exercer son mérier depuis dix-sept ans, avoir fait son tour de compagnon pendant cinq ans et servi le roi pendant quatre ans. Il a trouvé un parti avantageux et pensait que le service au roi valait pour années d’épreuve. La maîtrise des cordonniers demande l’application du règlement. Le pétitionnaire s’adresse au préteur royal qui propose de l’inscrire et de libérer en même temps des années d’épreuve. Les Quinze se rangent à cet avis. La sentence publique ne fait pas allusion au rôle du préteur royal.
1739, Protocole des Quinze (2 R 148)
(f° 488-v) Sambstag den 26. Sept. 1739 – Chr. nôe Joh: Friderich Keßig ledigen burgers undt Schumacher Cit. E. E. Zfft der Schumacher Zunnft Mr prod. vnderth. Mem. mit beylag N° 1. Fuchs bitt Deput. et facta relatione den Gegern ab: und an die ordnung Zu Verweisen, ref. exp. Christm. bitt auch Deput. Erk. Deput. willfahrt

(f° 515) Sambstag den 31. 8.bris 1739 – Joh: Friderich Keßig Ca. E. E. Zunfft der Schumacher
Iidem [Obere Handwercks Hh] laßen ferner per eundem [Secretarium] referiren, daß Johann Friderich Keßig der ledige burger und schumacher allhier contra E. E. Zunfft der Schumacher den 27. Sept. jüngst einen Vnderth. Memoriale, mit beÿlag Sub N° 1 producirt darinnen gehorsamst Vortragend, was maßen er bereiths 17 Jahr auff den Handwerckh arbeithe, undt in solcher Zeit 5. Jahr in der Frembde gewesen, und 4 Jahr unter dem Löbl. Schweitzer Regiment Burguy dem König gedienet, auch den 2. Sept. 1737. seinen Abschied Sub N° 1 beÿliegend, erhalten, da er nun eine Verträgliche heürath Zu thun finde, und dahero ehistens Zu dem Meisterstück Zu gelangen wünsche, so habe derselbe vor einigen tagen sich deßfalls beÿ ged. Zunfft geziemend angemelt, seÿe aber mit seinem begehren abgewiesen worden, aus ursachen weilen er die Muthjahr nicht verarbeitet habe, Da nun die langezeit so er auff dem handwerck arbeite, nebst denen trew geleustete Kriegs: diensten einige attention und Favor Verdiente, alß seÿe, Sein, Imploranten demüthige bitt Mgh. geruhen wolten Ihme ex gratia dispensando Von denen Muthjahren, Zu dem Meisterstück g. Zu admittiren.
Gedachte E. Zunfft habe hierauff umb Deputation gebetten, et facta relatione den Geger mit seinem begerhen ab: und an die Ordnung Zu Verweisen, refusis expensis.
Beÿ bewilligt: und beseßener Deputation haben der Implorant beÿgesetzt, daß er des Herrn Prætoris Regÿ Excellenz eine Requeste übergeben, welches Ihme versprochen habe behülfflich Zu sein. Nomine E. E. Zunfft seÿen erschienen H. Rathherrn Krieger und H. Meÿer welche geantwortet, Gegner habe sich noch nicht einmahl Zu denen dreÿ Muthjahren einschreiben laßen, und wolle es auch nicht thun, und Weilen deßen begehren wider Ordnung, alß bathen Sie die Ordnung Zu manutenieren und denselben mit seinem begehren abzuweißen, ref Expensis.
Auff Welches der Implorant replicirt, es habe allezeit gehört und Vermeint, daß die Jahr welche einer im Kriegs: diensten Zubringe, für die Muthjahr passirten. Weilen nun der Implorant sich beÿ der Deputation auff Ihro Excell. Herrn P. Regium beruffen alß hätten die Herren Deputirte Ihme herrn Secretario auffgetragen hochged. Ihro Excellenz gedancken hierüber Zu Vernehmen, welches dießen morgen auch geschehen, maßen Er Herr Secretarius hochged. Hn Prætori obige Bewandtnußen hinterbracht, und erleutert was der Implorant für Motiven beÿbringe, da dann Ihro Excellenz sich dahien erklähret, daß der Implorant anzuhalten sich noch einschreiben Zu laßen, aber gleich wieder, gegen erlag gebühren auszuthun, quo facto derselbe alß ein supernumerarius Zu dem meisterstückh Zu admittiren, Stehe also Zu Mgh. was sie erkennen und ob Sie inn dem Dispensations: fall nicht etwas pro dispensatione ansetzen wollen. Erk. Herrn P. Regÿ Meinung gefolgt mit dem anhang daß der Implorant pro dispensatione dreÿ Pfund d. halb der Statt und halb der Zunfft Zu Verrechnen Zahlt, und denen Imploranten die unkosten refundiren.

(f° 535) Sambstag d. 28. Novemb. 1739
Bescheid. – Sambstag den 31. 8.bris 1739. In Sachen Johann Friderich Keßig ledigen burgers und Schumachers, Imploranten, ane einem, entgegen und wieder E. E. Zunfft der Schumacher, Imploraten, am anden theil, Auff producirtes Underthäniges Memoriale, mit beÿlag Sub N° 1, und engehencktem bitten, den Imploranten, von denen Muthjahren zu dispensiren und Zu dem Meisterstück Zu admittiren. Der Imploraten darüber gethane Verantwortung juncto petito, den Geger mit seinem begehren ab: und an die Ordnung Zu Verweisen, Refusis Expensis.
Gebettene, bewilligte und besessene Deputation, und all übrigen angehörte Vor: und Anbringen, Ist der Herren Deputirten abgelegten Relation nach Erkandt, daß der annoch Zu denen Muthjahren, gegen erlag der gebühren einzuschreiben, aber gleich wieder auszuthun, und alß ein supernumerarius Zu Verfertigung des Meisterstücks Zu admittiren seÿe, Alß wir ein solches hiemit aus bewegenden urachen dispensando erkennen, jedoch mit dem anhang daß er, neben denen unkosten annoch pro dispensatione dreÿ Pfund d., halb der Statt und halb der Zunfft Zu erlegen schuldig sein solle.

Fils du précepteur Léonard Kœssig de Strasbourg, Jean Frédéric Kœssig épouse en 1739 Chrétienne Weber, fille du charretier manant Georges Weber : contrat de mariage, célébration
1739 (2.11.), Not. Lichtenberger (Jean Frédéric, 6 E 41, 348) n° 84
Eheberedung – Persönlich erschienen Johann Friderich Kößig, der ledige Schuhmacher, Leonhard Kößig, des Informatoris und burgers allhier, Zu Straßburg mit weÿl. Fr. Salome gebohrner Stidelin, nunmehr seel. ehelich erzeugter Sohn, mit beÿstand erstgedachten seines Vatters, und Meister Johann Jacob Stooß, Windenmachers und burgers allhier seines Vettern, als hochzeither ane einem
So dann Jungfrau Christina Weberin, weÿl. Georg Webers geweßenen Groß Karchziehers und Schirmers allhier mit Barbara gebohrner Heitzin ehelich erziehlte und nachgelaßene Tochter, mit assistentz Meister Martin Pfisters, Leinenwebers ihres geschwornen Vogts und Mr Johann Meÿers, Nagelschmids, ihres Vettern, beede burgere allh. als hochzeiterin, am andern Theil
So beschehen in der Königlichen freÿen Statt Straßburg Montags den 2. Novembris Anno 1739 [unterzeichnet] Johann Friederich Kößig Als hoch Zeitter, CW der Hochzeitherin Hand Zeichen

Mariage, Saint-Pierre-le-Vieux (luth. f° 176-v n° 2)
1740. Mitwoch den 20. Jan: sind nach ordentlich vorhergegangener Zweÿmahliger Außruffung ehelich copulirt und eingesegnet worden. Friedrich Kössig der ledige Schuhmacher und burger allhie Joh: Leonhard Kössigs burgers und Informatoris alhie ehl. Sohn und Jfr. Christina weÿl. Joh: Georg webers gewesenen Schirmers alhie nachgel ehe. tochter [unterzeichnet] Johann Friederich Käßig als hoch Zöder, + der hochzeiterin handzeichen (i 179)

Natif de Heilbronn, Jean Frédéric Kessig devient bourgeois le 19 mars 1740
1740, Livre de bourgeoisie 1740-1754 (VII 284) f° 1
Johann Friderich Keßig der Schuhmacher von heilbronn gebürtig Erhalt das burgerrecht um den alten burger schilling will beÿ E. E. Zunfft der Schuhmacher dienen juravit d. 19.ten Martÿ 1740.

Jean Frédéric Kœssig meurt en 1777 en délaissant quatre enfants. Les experts estiment la maison à 900 livres. La masse propre à la veuve est de 316 livres, celle propre aux héritiers est déficitaire de 40 livres. L’actif de la communauté s’élève à 914 livres, le passif à 1 197 livres

1777 (10.9.), Not. Schatz (6 E 41, 1296) n° 60
Inventarium über Weÿland Meister Johann Friderich Kößig, geweßenen Schuhmachers und Burgers allhier Zu Straßburg, nunmehr seel. Verl. auffgerichtet Anno 1777. (…) nach seinem d. 24. feb. 1777 aus dießer Welt genommenen tödlichen Hirntritt hier Zeitlichen verlaßen. Welche Verlaßenschafft auf freundliches ansuchen erfordern und begehren derer ane hernach folgendem folio benambßten Erben, wie auch Fraun Christinæ gebohrener Weberin, der hinterlaßenen Wb. beÿständlich Meister Niclaus Laubenheimer, Schneiders und burgers allhier (…) Actum Straßburg auff Mittwoch d. 10.d Septembris 1777.
Des verstorbenen seel. nachgelassene Erben sind, 1° Meister Johann Friderich Kößig, lediger Schuhmacher und burger allhier, 2° Johann Georg Kößig lediger Säcker, so majorennis dermahlen in Nyon am Genffer See in Arbeit stehend, welcher zugleich nach des vatters Hienscheiden seinen Oncle Meister Johann Leonhard Kößig, Schuhmacher und Burgern allhier in einem Sendschreiben ersucht, der Inventur beÿ zu wohnen, und sein Interesse Zu beobachten, 3° Jungfer Christina Magdalena Kößigin, so ebenfalls Majorennis, So dann 4° Jungfer Maria Salomé Kößigin, so 24. jahr alt. Dieße beede unter assistentz vogemeltem Meister Johann Leonhard Kößig, ihrem oncle. Alle vier des verstorbenen seel. mit seiner nachgelaßenen Wb. erzeugte Kinder, zu 4. gleichlingen Portionen und Haubt-Theilen.

In einer allhier zu Straßburg ane der großen Stadelgaß gelegenen in dieße Verlaßenschafft eigenthümbl. gehörigen behaußung befunden worden wie folgt
(f° 2-v) Eigenthum ane einer behaußung. (T.) Eine Behausung bestehend in Vorder: und Hinderhß, Höfflein, Bronnen u: Hoffstatt, samt allen dero übrigen begriffen, Weithen, Zugehörden u. Rechten, gelegen allhier Zu Straßburg in der großen Stadel gaß, 1.s. neben Meister Dorner dem Bratwurstmacher, 2.s. neben Meister Weber dem Strumpffweber, hinten auff Herrn Röderer stoßend. Davon gibt man jährl. 8. ß 4. d. in Geld und zween Cappen ane Bodenzinß, sonsten aber u. außer denen hernach eingetragenen Passiv: Capitalien ist dießelbe freÿ ledig u. eigen und durch der Stadt geschworne Hh. Werckmeister, vermög einer vom 9. Sept. 1777. datirten und Zu dem Concept überschickten schrifft. Abschatzung ohne einige beschwerden angeschlagen wd. vor und umb 900 lb. Hievon ist gemelter Geld: und Cappen: Zinß, welcher heutigen tags überhaupt mit 15. ß. 4. d. derer Interessenten Declaration nach, abzurichten, wieder in abgang Zu bringen, so in ohnvegreifflich doppeltem haubt guth à 5 p% anlangt 30. 13. 4. verbleibt alßo an obigem Anschlag annoch in Auswurff zu bringen 869. 6. 8. Wie der verstorbene seel. und seine hinterl. Wb. jetzt beschriebene behaußung währenden Ehestands Steigerungs weis ane sich gebracht, seißet ein in allh. C. Contract Stub auffgerichteter perg. Kfb. mit dero anhangenden größern Insiegel verwahret, datirt vom 10.d. junÿ 1749.
(f° 3-v) Ergäntzung der Wb. währener Ehe abgegangenen ohnveränderten Guts. Wie in dem ob eingetragenen und von dene Interessenten unterschriebenenen Bericht Zu segen, so hat die diesorts Wb. von ihrem Oncle Weÿl. Matthias Pfister, dem Ackersmann Zu Eckboltzheim 500 fl. und von ihrer Tante Margaretha Cleemännin allhier 30 fl. (…)
(f° 9-v) Bericht dießen Verl. betreffend. Die hinterlaßene Wb. und die anwesende Erben declariren bey ihrer gegebenen handtreu, daß der verstorbene seel. und Sie die Wb. zu der Zeit als Sie in die Ehe getretten nichts anz Zeitlichem Vermög. beseßen, Zu dem Enden auch Kein Inventarium Illatorum errichtet werden Können (…)
(f° 10-v) Series rubricarum hujus Inventarÿ. Copia der Eheberedung
Der Wb. ohnverändert. Silbers 10 ß, Sa. goldenen Ringes 16 ß, Sa. Schulden 50, Ergäntzung Pergé Fol. 3b, Summa summarum 316 lb
Dießemnach wied auch derer Kinder und Erben erben ohnverändert Gut beschrieben, Kleidung, summa 9 – Schuld 50, In Compensatione, passiv onus 40 lb
Endlichen wird auch das gemein verändert und theilbare guth beschrieben, Sa. hausraths 25, Sa. Werckzeugs und Leders 2, Sa. Silbers 1, Sa. Eigenthumbs ane einer Behaußung 869, Schulden 15, Summa summarum 914 lb – Schulden 1197, Theilbares Passiv onus 283 lb – Endliches Passiv onus Loco der Stall summ 7 lb
Abschatzung vom 9.t Septembre 1777. Auf begeren Weÿland friderich Kößig dem geweßenen schuhmachers Meister ist eine behausung alhie in der statt straßburg in der großstadel gaß gelegen Ein seÿts neben herr dorner dem bradwurstmacher anderer seÿts neben herr weber dem strumpffweber und hinten auf herr Röderer stoßend gelegen, solche behausung bestehet in Einer schuhmachers werckstätt ferner in dreÿ stuben dreÿ Küchen und Etlichen Kammern darüber ist der dachtsuhl mit breidzigel belegt hat auch Ein gewölbter Keller hoff und brunen. Von uns unterschriebenen der statt straßburg geschwornen Werckmeister und Vorhero geschehener besichtigung mit aller jhrer gerechtigkeit dem Jetzigen wahren werth nach Estimirt und angeschlagen worden Vor und um Ein Tausend Acht Hundert gulden. Hueber, Kaltner Wmstr
Copia der Eheberedung (…) So beschehen Montags den 2. Novembris Anno 1739, Johann Friedrich Lichtenberger Notarius publ. jur.

Jean Frédéric Kœssig demande à être admis à faire son chef d’œuvre l’année en cours en promettant de ne pas s’établir à son compte tant que son père sera en vie ou qu’il dirigera son atelier. Frédéric Kœssig père déclare que sa mauvaise vue l’empêche de couper le cuir. Les représentants de la tribu confirment leurs dires. La commission estime qu’il y a lieu de satisfaire à la demande du pétitionnaire aux conditions auxquelles il s’est engagé. Leur proposition est confirmée par les Quinze
1767, Protocole des Quinze (2 R 178)
(f° 171) Sambstags d. 4.t Aprilis 1767. – Kößig Ca Schumacher
Iidem [Obere Handwercks Hhn] laßen per Eundem [Secretarium Stædel] referiren es habe Joh: Friderich Kößig der ledige schuhmacher und hießiger Mrs Sohn Ca. E. E. Zunft der Schuhmacher H. Zftmr. d. 21. Martii j. ein unterth. Memoriale samt beÿl. Sub Litt. A. et B übergeben und gebetten, Zu erkennen und aus Zusprechen, daß Er unter dem anerbieten, solang als deßen Vater im Leben seÿn wird, oder wenigstens so lang biß die ordnung an ihme seÿn wird, keine Boutique vor sich anzulegen, oder gesind Zu fördern annoch in dießem jahr Zum Meisterstück zulaßen seÿe.
Auf geschehene Weißung seÿe nebst dem Imploranten deßen Vater Joh: Fried. Kößig, der Schuhmacher Vorgestanden, welcher letztere vorgetragen, daß er bereits an einem aug stock blind seÿe, und an dem andern auch einen mangel habe, so daß er sich nicht mehr im stand befinde, das leder Zu schneider Zu Können, Weilen nun die Schuhknecht einem andern als seinem meister Keinen gehorsam leisten, er aber nicht mehr das Vermögen habe, allem Vorzustehen, als wolle er gehorsamst gebetten haben, ihme und seinem Sohn die begehrte gnade wiederfahren Zu laßen.
Nôe Imploratischer Zunft seÿen erschienen H. Lorentz Müller, als Zunftmr. und H. Rath. Schwing, welche declarirt, daß das vorgeben des Imploranten und seines vaters durchaus der Wahrheit gemäß seÿe, Sie hätten auch gegen deßen begehren, in sofern er sein oblatum Zuerfüllen gedencket, nicht das geringste einzuwenden, wolten alßo die decision Mghh. überlaßen haben.
Nachdem die Hh. Depp. das begehren des Imploranten und deßen Vatees, besamt der demselben annectirten Bedingungen, Wie nicht weniger die Imploratischer seits bezeugte einwilligung in erwegung gezogen, so hätten sie befunden, daß die Gerechtigkeit und Billigkeiit vor den Imploranten das Wort reden, weßwegen sie dafür gehalten, daß der Implorant gegen ersetzung der unocsten und unter der bedingung, daß er solang deßen Vater im leben oder doch wenigstens so lang, biß die ordnung an jhme seÿen wird, Keine Boutique vor sich anlege, oder Gesind fördere, annoch in dießem jahr Zum Meisterstück Zu admittiren seÿe. Erkandt, bedacht confirmirt.

Le cordonnier Jean Frédéric Kœssig épouse en 1777 Marie Dorothée Rothhan : contrat de mariage, célébration
1777 (1.9.), Not. Schatz (6 E 41, 1302) n° 47
Eheberedung – persönlich erschienen seÿe, Meister Johann Friderich Kößig, der ledige Schuhmacher, Weÿland Meister Johann Friderich Kößig, geweßenen Schuhmachers und burgers allhier, mit Fraun Christine gebohrener Weberin, seiner nachgelaßenen Wittib, ehelich erzeugter Sohn, als Bräutigamb an einem
So dann Jungfer Maria Dorothea Rothhanin, Weÿland H. Johann Carl Rothhan, geweßenen Schwartz: und Schönfärber auch burgers allhier, mit auch Weÿl. Fraun Anna Margaretha gebohrener Veriusin, ehelich erzielte Tochter, so Majorennis, als Hochzeiterin ane dem andern Theil
auf Montag den Ersten Septembris Anno 1777 [unterzeichnet] Johann Friderich Kößig, maria dorothea rothhnin

Mariage, Saint-Pierre-le-Vieux (luth. f° 66-v n° 27)
Im Jahr 1777 seind Dominica 16 und 17 post Trinitatis proclamirt und dienstags den 23. Septembris copulirt worden Johann Friederich Kössig lediger schuhmacher meister weil. Mstr. Johann Friedrich Kössigs gewesenen Schuhmachers und burgers allhie und fr. Christinä gebohrner Weberin ehelicher Sohn und Jgfr. Maria Dorothea weil. Hr Johann Carl Rothhan, gewesenen Färbers und burgers allhier und auch weil. fr. Mariä Margarethä gebohrene Veriusin hinterlaßene eheliche Tochter [unterzeichnet] Johann Friedrich Kößig als hochzeiter, d dieses Zeichnet die braut (i 70)

Marie Dorothée Rothhan fait dresser l’inventaire de ses apports qui s’élèvent à 616 livres
1778 (22.6.), Not. Schatz (6 E 41, 1297) n° 72
Inventarium über Fraun Mariæ Dorotheæ Kößigin, gebohrener Rothhanin, zu Mr. Johann Friedrich Kößig, Schuhmacher und Burgern allhier, ihrem Ehemann, vor ohnverändert in die Ehe gebrachte Nahrung, auffgerichtet Anno 1778. – welche der Ursachen beschrieben wird, aldieweilen dießes Zugebrachte Vermögen in dem vor mir Notario d. 1. Sept. 1777. passirten Ehe Contract, und deßen dritten Paragrapho in allen fällen als ohnverändert reservirt worden
Actum Straßburg auf Montag d. 22.ten Junÿ 1778.
(f° 5) Series rubricarum hujus Inventarÿ. Sa. Hausraths 105, Sa. Silbers 22, Sa. Goldener Ring 14, Sa. baarschafft 300, Sa. activ schuld 150, Haussteuren 46 Woran der Ehefrau vermög Eheberedung §° 4° die helffte eigenthümlich Zu Zuschreiben antreffend 23, Summa summarum 616 lb

Jean Frédéric Koessig et Marie Dorothée Rothhan font dresser l’état de leur fortune et de leurs dettes dans une maison Grande rue de la Grange
1779 (19.6.), Not. Lederlin (6 E 41, 901) n° 76
Inventarium über Meister Johann Friedrich Kößig, des Schuhmachers und Frauen Mariä Dorotheä gebohrener Rothhanin, beeder Eheleute und burgere dahier in Straßburg der zeit besitzende Activ Nahrungen und Zu bezalen habende Passiv schulden errichtet Anno 1779. – auf freundliches Ansuchen Erfordern und Begehren ihr der Ehefrauen beiständlichen Meister Jacob Friedrich Geilers des Schuhmachers und burgers dahier, um willen dieselbe zu Erlangung ihres Weiblichen Rechtens beÿ E. E. Kleinen Rath unter heutigen tag in Unterthänigkeit eingekommen (…) So geschehen allhier in Straßburg Sambstag den 19. Junÿ 1779.
In einer allhier Zu Straßburg ane der Grosen Stadelgaß allhier gelegen nicht hiehero gehörigen Behausung folgendermaßen sich befunden
[sans additions]
Copia der Eheberedung (…) auf Montag den Ersten Septembris Anno 1777, Johann Friedrich Schatz, Notarius

Originaire d’Offenbach près de Francfort, le cordonnier Jean Michel Halter épouse en 1783 Marie Salomé Kœssig : contrat de mariage, célébration
1783 (7.1.), Not. Stoeber (6 E 41, 1260) n° 149
Eheberedung – persönlich erschienen Johann Michael Halter, lediger Schumacher,, weiland Johann Georg Halter gewesenen blüschmachers Zu offenbach beÿ Franckfurt mit weil. Fraun Catharina gebornner Riedelbachin ehelich erzeugter Sohn als hochzeiter beiständlich Johann Meÿer, Dietrich Schreiners und burgers allhier en einem
und Jungfrau Maria Salome Kößichin, weiland Mr Friderich Kößig gew. Schumachers und brs. allhier mit Fraun Christina geborener Weberin seiner Wittib ehelich erzielte tochter als braut unter assistentz ihres bruders Mr Friderich Kößig des Schumachers und burgers allhier am andern theil
Straßburg auf Dienstag den 7. Januarÿ A. 1783 [unterzeichnet] Johann Michael halter, Maria Salome Kößigin, Johann Meÿer diedtrich, Johann Friedrich Kößig

Mariage, Saint-Pierre-le-Vieux (luth. f° 50 n° 27)
1784. sind nach zweÿmaliger Proclamation Montag, den 22. Novembris in unserer Kirch copulirt word. Johann Michael Halter, led. Schuhmachermeister, weil. Georg Halter, gew. Sammetwebers in Offenbach mit Fr. Catharina geb. Rödelbachin, ehl. erzeugter Sohn, Und Jgfr Maria Salome Kössigin weil. Friederich Kößig gew. Schuhmachermeisters und burgers alhie, mit Fr. Christin geb. Weberin ehelich erzeugte tochter [unterzeichnet] Johann Michael halder als hozeiter, maraslome Kössigin als braut (i 52)

Jean Michel Halter devient bourgeois par sa femme une semaine après son mariage
1784, Livre de bourgeoisie 1783-1787 (VII 1559) f° 60-v
Johann Michael Halter der schuhmacher Von offenbach auß dem fürstlich Isenburgisch. gebürtig, weÿl. Joh: geörg halter geweßenen burgers alda nachgelaßenen sohn verheurathet mit Salome Kößingin weÿl. Joh. fried. Kößing gewesten burgers vnd schuhmachers allhier zurückgelaßener tochter erhaltet das burgerrecht vmb d. alten burger schilling will dienen Zur E. E. Zunfft der schuhmacher, juravit d. 29.t 9.bris 1784.

Registre de population (600 MW 49, 1808 sqq) f° 445 (i 380)
Propr. Koessig, Grande rue de la Grange, Strasbourg
Koessig, Frédéric, 62, Cordonnier, veuf, Strasbourg
id. Madeleine, 52, sa sœur, fille, Strasbourg
Halter, Michel, 40, cordonnier, homme marié, Strasbourg – mort le 8 avril 1814
Koessig Salomé, 44, son Epouse, femme, Strasbourg
Halter, Jacques, 14, Enft. de Michel, Strasbourg
id. Salomé 10, id., Strasbourg – dél. Renard precht. 65

Jean Frédéric Kœssig meurt d’apoplexie à l’âge de 65 ans
Décès, Strasbourg (n° 644) Déclaration de décès faite (…) le 22 avril 1817. Jean Frédéric Kessig âgé de 65 ans, né à Strasbourg, Cordonnier, veuf de Dorothée Rothhan, mort en cette mairie le 22 du mois courant à trois heures du matin à l’hospice civil, fils de feu Frédéric Kessig, cordonnier, et de feu Christine Weber [in margine :] apoplexie (i 92)

La maison qui appartenait aux héritiers de Jean Kessig (en fait Jean Frédéric Kessig), à savoir Salomé Kessig femme de Michel Halter et Madeleine Kessig, célibataire, est vendue par adjudication judiciaire. L’acquéreur est Jean Jacques Redslob pour 4 000 francs

1822 (2.8.), Hypothèque de Strasbourg, Transcription reg. 148, n° 134
Tribunal Civil de Première Instance – adjudication par voie d’expropriation forcée d’une maison sise à Strasbourg grand rue de la Grange n° 21, réellement saisie sur les héritiers Jean Kessig, cordonnier
Cahier des charges, M° Gebhard avoué près le Tribunal Civil de Première Instance déclare que la commission administrative des hospices civils réunis audit Strasbourg poursuit et diligence du Sr Weber son receveur est créancier des héritiers de feu Jean Kessig, cordonnier, qui sont Salomé Kessig veuve de Michel Halter, cordonnier, Madeleine Kessig majeure, d’une somme de 292 francs – jugement du Tribunal de Première Instance rendu le 10 mai 1821
Adjudication du 3 janvier – Adjudication définitive du 7 mars, pour 4000 francs – à M° Rauter avoué, Déclaration de command même jour, pour Jean Jacques Redslob, propriétaire
Désignation de l’immeuble, maison sise à Strasbourg rue de la Grange n° 21, d’un côté la veuve Dachner n° 20, de l’autre Ignace Kleinpeter n° 11, devant ladite rue, derrière le Sr Gantzer cordonnier. Cette maison est batie en bois de charpente et maçonnerie, et consiste en un rez de chaussée et deux étages surmonté de greniers couvert de tuiles, le rez de chaussée au dessous duquel il y a une cave voutée qui prend son entrée dans la rue de la Grange est éclairé par deux soupiraux dont l’un sur la rue et l’autre dans la cour prend jour par une grande arcade qui donne dans la rue. Le premier étage est éclairé par deux croisées et le second par trois donnant également dans la rue. Au fond de la cave il y a un autre bâtiment construit comme le premier et consistant également en rez de chaussée et deux étages le tout prenant jous dans ladite cour, savoir le rez de chaussée par deux et chaque étage par trois croisées. La maison prend son entrée dans la susdite rue et contient une étendue superficielle d’environ 3 ares. Ladite maison appartenant aux parties saisies est occupé par elles et six autres locataires, mise à prix 200 francs – fait le 11 octobre 1821

Fils du marchand de soie Jean Geoffroi Redslob, le propriétaire Jean Jacques Redslob épouse en 1821 sa nièce Elisabeth Louise Gruber
1821 (6.2.), Strasbourg 8 (31), M° Roessel n° 7657
Contrat de mariage – Jean Jacques Redslob, propriétaire demeurant à Strasbourg, fils majeur de feu Jean Géofroi Redslob, marchand de soie à Strasbourg, et de feu Marie Marthe Kamm d’une part
et Elisabeth Louise Gruber, fille mineure de Georges Michel Gruber, architecte à Strasbourg, et de feu Catherine Elisabeth Redslob, d’autre part, étant parens au degré d’oncle et nièce autorisé par Sa Majesté par ordonnance du 17 juin 1820
Enregistrement, acp 151 (3 Q 29 866) f° 42 du 7.2. – portant réserve d’apports et communauté d’acquets partageable par moitié au décès de l’un d’eux, usufruit au survivant de la succession du prémourant, réductible en cas d’existence d’enfant

Inventaire des apports. Le mari est propriétaire de plusieurs maisons.
1822 (1.4.), Strasbourg 8 (34), Me Roessel n° 8391
Inventaire des apports de Jean Jacques Redslob, propriétaire, et d’Elisabeth Louise Gruber, suivant Contrat de mariage dressé le 6 février 1821
Ceux du mari se composent en meubles 6700 fr, créances 18.953 fr, immeubles 20.300 fr
4. de la moitié d’une maison avec appartenances et dépendances située à Strasbourg rue des Hallebardes n° 14, d’un côté le Sr Marchal confiseur, de l’autre le Sr Tauflieb marchand epicier, derrière le Café au Saumon, appartenant au Sr Faudel, pour 15.000 fr – recueilli dans la succession de Jean Géofroi Redslob père marchand passementier, suivant testament reçu M° Bossenius le 22 mars 1817, légué à ses deux fils pour 36.000 fr, somme réduite à 30.000 fr, suivant testament olographe. Cet immeuble appartient au Sr Redslob comme héritier de sa mère Anne Elisabeth Boeswillwald veuve de Jean Géofroi Redslob marchand passementier, suivant inventaire reçu M° Übersaal le 28 fructidor 3
5. du tiers de 1. une campagne avec un jardin de la contenance d’environ 80 ares, appartenances et dépendances, d’un côté le grand chemin, de l’autre un sentier, devant le chemin commun, derrière des terres labourables
2. environ 10 ares de terres labourables canton appelé Becholsgarten, d’un côté une haie, de l’autre le Sr Redslob, devantle jardin ci-dessus, derrière différents particuliers – acquis par Jean Géofroi Redslob d’Emmanuel Dalmar, brasseur, suivant acte reçu par M° Grimmer le 28 pluviose 3. Le Sr Dalmar l’avait acquis de Léonore Petin, aide garde magasin de vivres à Hüningen, suivant acte reçu M° Grimmer le 18 nivôse 3, ledit Petin de Jean Daniel Hammerer, négociant, suivant avrte passé à la Chambre des Contrats de cette ville le 12 décembre 1705, estimé à 50,000 francs
la femme, 3. d’un tiers de la campagne avec jardin & dépendances détaillée dans la désignation des apports du Sr Redslob, recueilli dans la succession de M. Redslob son aieul, 5000 francs
4. d’une maison avec cour, aisances et dépendances située à Strasbourg place des Moulins dit Plaenel n° 17, d’un côté le M Kratz docteur en médecine, de l’autre la veuve de M Faller notaire, derrière la Bruche. Un 9° de l’immeuble lui est échu dans la succession de la D° Redslob son aieule, 2/9 vendus par son mari et Jean Henri Redslob. Les 2/3 légués par Jean Géofroi Redslob qui avait acquis la totalité de l’immeuble des héritiers Jacques Lauth, meunier, suivant acte reçu M° Stoeber 3 messidor 4. Ledit Lauth l’avait acquis à la Chambre des Contrats le 1 octobre 1795 par Daniel Schmutz pêcheur, acquis de Nicolas Ackher docteur en médecine par acte passé à la Chambre des Contrats le 1 septembre 1759, pour 6000 francs
5. d’une maison sise à Strasbourg rue de la Soupe à l’Eau n° 34, d’un côté les héritiers Müntzenthaler, de l’autre Georges Mutz charpentier, derrière la caserne – estimée à 500 francs. Le défunt en avait hérité 1/14 de sa tante paternelle Marguerite Salomé Redslob veuve de Jean Michel Theurkauff, pellletier, et acquis 13/14 de ses cohéritiers par acte reçu M° Übersaal le 8 juin 1791
6. le 7° de la maison consistant en bâtiment de devant, de milieu et de derrière avec cour, fontaine, aisances et dépendances située à Strasbourg rue du Coq Rouge n° 5, savoir la maison de devant entre les héritiers Meyer et l’auberge du Coq rouge et la maison de derrière donnant sur la rue de l’Aimant entre la veuve Stromwald et les héritiers Schaetzel, échu dans la succession de son père Georges Michel Gruber architecte, suivant inventaire reçu par le soussigné notaire le 5 août 1818. Ledit Gruber l’avait recueilli dans la succession de son père Jean Michel Gruber, architecte, suivant inventaire dressé par M° Zimmer le 21 thermidor 8. Jean Michel Gruber l’avait acquis de Susanne Marguerite Meye veuve de Jean Charles Verius, tonnelier, à laChambre des Contrats le 17 février 1776 pour 2600 fr
7. du 7° d’une maison située à Strasbourg grand rue n° 55, d’un côté le Sr Schoeck, de l’autre le Sr Filter, derrière la propriété de la succession Gruber, pour 1500 fr – échu dans la succession de son père, acquis la totalité conjointement avec Jean Jacques Schlagdenhaufen, charpentier, par adjudication au Tribunal civil de première instance le 20 mai 1813 et déclaration de command du lendemain, transcrit au bureau des hypothèques vol. 72/31, suivant acte dressé par M° Stoeber le 26 février 1818 trans. vol. 104/44 la veuve et héritiers Schlagdenhaufen ont vendu audit Gruber la moitié dudit immeuble
8. d’un 7° d’une maison avec appartenances et dépendances rue du Coq n° 11 d’un côté M. Aufschlager, de l’autre Michel Hollender, pour 120 fr – à Mde Redslob de la succession de son père, acquis la totalité à la barre du Tribunal Civil par expropriation forcée sur Madeleine Bronnner veuve de Jean Georges Schmitt, marchand de volaille, suivant jugement du 26 décembre 1817 transcrit au bureau des hypothèques volume 101 n° 19
ensemble 49.772 francs
Enregistrement, acp 156 (3 Q 29 871) f° 200 du 2.4. Ceux du mari se composent en meubles 6700 fr, créances 18.953 fr, maison rue des Hallebardes N° 14 à 15.000, le tiers d’une campagne 5000 (…) total des immeubles 20.300 fr
Las apports de la femme consisent en meubles 3400, créances 30.652, total 24.052, tiers d’une campagne 5000, maison place des moulins 6000, maison rue de la soupe à l’eau 500, part de maison rue du coq rouhe 2600, part de maison grand’rue 1500, part de maison rue du caq 120, total 49.772 – Passif 3000 francs

Elisabeth Louise Gruber meurt en 1739 en délaissant six enfants.

1840 (2.3.), Strasbourg 8 (anc. cote 69), Charles Zeyssolff n° 257
Inventaire de la succession d’Elisabeth Louise Gruber femme de Jean Jacques Redslob décédée à la Robertsau le 3 décembre 1839 – à la requête du veuf, père et tuteur légal de ses 6 enfants a) Louise Elisabeth âgée de 17 ans, b) Sophie Elise âgée de 15 ans, c) Wilhelmine Emilie âgée de 11 ans, d) Emma Mathilde âgée de 9 ans, e) Frédéric Adolphe Emile âgé de 7 ans, f) Jean Jacques Gustave âgé de 2 ans – en présence de Jean Henri Gruber, licencié en droit, subrogé tuteur des enfants mineurs
Titres et papiers, contrat de mariage passé devant M° Roessel le 1 avril 1821
Communauté, immeuble. une maison sise à Strasbourg Grande rue de la Grange n° 21, d’un côté la veuve Dorsner n° 20, de l’autre Ignace Kleinpeter n° 22, devant ladite rue, derrière le Sr Gantzer cordonnier. Cette maison consiste en un bâtiment de devant à rez de chaussée et deux étages avec cave voutée, cour, bâtiment au fond à rez de chaussée et 2 étages – acquise par adjudication à la Barre du tribunal civil de première instance pour 8200 fr, adjudication définitive du 7 mars 1822 par expropriation à la requête de la Commission Administrative des Hospices Civils contre Salomé Kessig veuve de Michel Halter cordonnier et Madeleine Kessig, majeure, transcrit au bureau des hypothèques volume 145 n° 34, acquis par M. Kaessig par acte passé à la Chambre des Contrats le 10 juin 1749
III. Immeubles. 1. la moitié d’une maison avec appartenances, dépendances située à Strasbourg rue des Hallebades n° 14, d’un côté le Sr Marchal confiseur, de l’autre le Sr Tauflieb, derrière le Café au Saumon – recueilli dans la succession de Jean Geoffroi son père, marchand passementier
2. le tiers des immeubles ci après désignés à la Robertsau. 1. une campagne avec jardin de la contenance d’environ 80 ares, appartenances, dépendances, d’un côté le grand chemin, de l’autre un sentier, devant un chemin commun, derrière des terres labourables – acquis par Jean Geoffroi Redslob d’Emanuel Dalmar, brasseur, par acte reçu M° Grimmer le 28 pluviose 3, Dalmar l’a acquis sur Léonore Petin, aide garde magasin des vivres à Huningen, par acte M° Grimmer du 18 nivôse 3, le Sr Petin par Jean Daniel Hammerer, négociant, à la Chambre des Contrats le 12 décembre 1705
Immeubles, le tiers de la campagne avec jardin, dépendances et 7 pièces de terre canton Bechtolsgarten et Klebsgarten détaillés ci dessus propres à M. Redslob recueilli dans la succession de M Redslob son ayeul
55. une maison avec cour, aisances et dépendances sise à Strasbourg Place des Moulins dite Plaenel n° 17, d’un côté M Kratz, de l’autre la veuve Faller, derrière me Bruche. Recueilli un 9° dans la succession de M. Redslob son ayeul, deux 9° lui ont été vendus par son mari et le Sr Jean Henri Redslob, deux tiers légués par Jean Geoffoi qui avait aquis la totalité de cet immeuble en communauté avec son épouse de Jacques Lauth, meunier, par acte M° Stoeber le 3 messisor 4, à M. Lauth par acte passé à la Chambre des Contrats le 1 octobre 1795 par Daniel Schmutz, pêcheur, acquis à la Chambre des Contrats le 1 septembre 1759
III. plus une maison située à Strasbourg rue de la Soupe à l’Eau n° 24, d’un côté les héritiers Mäntzenthaler, de l’autre Georges Metz charpentier, derrière la caserne, à feue Mad. Redslob par legs de son ayeul Jean Geoffroi Redslob par préciput et hors part, par acte reçu M° Bossenius le 22 mars 1817, le défunt a hérité un 14° de sa tante paternelle Marguerite Salomé Redslob décédée veuve de Jean Michel Theuerkauff, pelletier, et treize 14° de ses cohéritiers, M° Ubersaal le 8 juin 1791 – aux époux Theurkauff suivant acte à la Chambre des Contrats le 27 février 1772
IV. un 7° d’une maison, dépendances sise en cette ville rue du Coq n° 5 entre héritiers Meyer et l’auberge au Coq Rouge, échue de la succession de son père Georges Michel Gruber, architecte, Inventaire Me Roessel 5.8.1818
V. le 7° d’une maison sise à Strasbourg Grand Rue n° 55, d’un côté le Sr Schock, de l’autre le Sr Fetter, derrière la propriété de la succession Graber – échu de la succession de son père, suivant inventaire ci-dessus relaté, ce dernier acquis la totalité conjointement avec Jean Jacques Schlagdenhauffen, charpentier, à la barre du tribunal civil de première instance le 20 mai 1813 et déclaration de command le surlendemain, transcrit au bureau des hypothèques volume 72 n° 31, M° Stoeber jeune 26 février 1818, 104 44° la veuve et héritiers Schlagdenhauffen ont vendu à feu Sr Gruber la moitié dont ils étaient propriétaires
VI. le 7° d’une maison avec appartenances, dépendances, située à Strasbourg rue du Coq n° 11, d’un côté M. Aufschlager, de l’autre Michel Hollender, recusillie dans la succession de son père suivant inventaire déjà allégué
Partage M° Roessel 19 novembre 1823, de l’exposé qui précéde on voit qu’il a été commis une erreur quand il a été attribué à feu Mde Redslob la totalité de la maison Place des Moulins n° 17 par l’inventaire de ses apports tandis qu’il résulte des titres relatés que réellement elle n’avait droit qu’aux 7/9
Enregistrement, acp 276 acp (3 Q 29 991) f° 38 du 4.3. Prisée du mobilier de la communauté 3904

Jean Jacques Redslob meurt en 1842. L’inventaire consiste en le récolement du précédent.

1842 (13.6.), Strasbourg 8 (64), Charles Zeyssolff n° 1204
Inventaire de la succession de feu Mr Jean Jacques Redslob, vivant Licencié en droit à la Robertsau, /Mairie de Strasbourg/ y décédé le 31 mai 1842.
L’an 1842, Lundi le 13 juin, à huit heures du matin à la Robertsau en la maison mortuaire, à la requête et en présence de Mr Jean Henri Redslob, propriétaire et Licencié en droit, demeurant et domicilié à la Robertsau, agissant en qualité de tuteur datif de 1° Louise Elisabeth Redslob, âgée de 19 ans, 2° Sophie Elise Redslob, âgée de 17 ans, 3° Wilhelmine Emilie Redslob, âgée de 13 ans, 4° Emma Mathilde Redslob, âgée de 12 ans, 5° Frédéric Adolphe Emile Redslob, âgé de 5 ans et demi, 6° Jean Jacques Gustave Redslob, âgé de 5 ans, tous enfans mineurs de feu Mr Jean Jacques Redslob, vivant Licencié en droit à la Robertsau, issus de son mariage légitime avec D° Louise Elisabeth Gambs son épouse prédécédée. Mr Redslob requérant nommé à ces fonctions (…). Lesdits enfants mineurs habiles à se dire et porter héritiers du défunt Sr Redslob leur père chacun pour un 6°, En présence de Mr Bénoît Jacob, marchand de fer, demeurant et domicilié à Strasbourg, agissant en qualité de subrogé tuteur des dits mineurs
(…) décédé à la Robertsau en sa demeure lieu dit Neuziehl N° 254 le 31 mai dernier

Meubles. Mde Redslob étant décédé le 3 décembre 1839, il a été dressé Inventaire de sa succession par le soussigné notaire Zeyssolff portant la première vacation la date du 9 mars 1840, enregistré. Cet Inventaire étant de date toute récente et peu d’objets mobiliers ayant été depuis détériorés ou perdus, les requérants sont invité le soussigné notaire de faire sur cet Inventaire le récolement du mobilier (…)
Immeubles de la communauté. Une maison sise à Strasbourg grand’rue de la grange N° 21, d’un côté la veuve Dorsner N° 20, de l’autre Ignace Kleinpeter N° 22, pardevant ladite rue et par derrière le Sr Gantzer, cordonnier. Cette maison consiste en un bâtiment de devant à rez de chaussée et deux étages avec cave voûtée, cour et bâtiment en fond à rez de chaussée et deux étages. Le titres de propriété de cet immeuble inventoriés sous la Cote première, pièces 1 à 23 sonts tous retrouvés*.
A la Robertsau. Observation (…)
Immeubles propres à Mr Redslob, A la Robertsau. Deux tiers d’une campagne, canton dit Baechtoldsgarten (…)
Mardi 8 novembre – Immeubles propres à Mr Redslob, A Strasbourg
1° Une maison place des moulins dit Ploenel N° 17 (…)
2°Une maison rue de la soupe à l’eau N° 34 (…)
3° Une maison grand’rue N° 55 (…)
Récolement des autres titres & pièces. L’expédition du Contrat de mariage des époux Redslob reçu par M° Roessel notaire à Strasbourg le premier avril 1821 (…)
acp 299 (3 Q 30 014) f° 62-v – Meubles encore existants 5521
acp 304 (3 Q 30 019) f° 32 (vacation des 7 & 8 novembre) Immeubles de la communauté, immeubles propres (vide supra), créances 2220 francs
Description des titres et papiers

Liquidation
1863 (2.3.), M° Ritleng père
Liquidation et partage tant de la communauté de biens qui a existé entre entre les époux Jean Jacques Redslob et Elisabeth Louise Gruber que de la succession de ces derniers et de la succession de Sophie Elise et Emma Mathilde Redslob entre 1. Louise Elisabeth Redslob épouse de Guillaume Albert Knoderer Tanneur domicilié et demeurant à Strasbourg, 2. Frédéric Emile Adolphe Redslob propriétaire, 3. Jacques Gustave Redslob, propriétaire, ces deux à la Robertsau, 4. Louise Wilhelmine Knoderer, fille mineure issue de Félix Gustave Knoderer tanneur et de feu Emilie Wilhelmine Redslob, tous cohéritiers pour un quart
acp 519 (3 Q 30 234) f° 75 du 3.3. – Produit de la licitation des immeubles, 53.059, intérêts, créances 3000 et intérêts 120, total 60.902
Masse brute, prix d’adjudication 57.375, intérêts 707, créances 3120, total de la masse 61.222
Abandonnements (…)

Lors de la vente des différents immeubles, la maison Grande rue de la Grange est acquise par Caroline Emilie Œrtel

1863 (31.1.), Strasbourg 14 (160, 161), Ritleng père n° 13.750
31 janvier 1863. Cahier des charges – ont comparu 1. Dame Louise Elisabeth Redslob épouse assistée et autorisée du sieur Guillaume Albert Knoderer Tanneur domicilié et demeurant ensemble à Strasbourg, 2. Monsieur Frédéric Emile Adolphe Redslob propriétaire, 3. Monsieur Jacques Gustave Redslob, propriétaire, les deux derniers domiciliés et demeurant à la Robertsau Banlieue de Strasbourg, 4. Monsieur Louis Edmond Redslob ancien marchand de cuirs propriétaire domicilié et demeurant à Strasbourg, agissant en qualité de subrogé tuteur de Demoiselle Louise Wilhelmine Knoderer, fille mineure issue du mariage de Monsieur Félix Gustave Knoderer tanneur demeurant à Strasbourg avec feu Dame Emilie Wilhelmine Redslob, ladite mineure se trouvant sous la tutelle légale de son dit pere, ici intervenant comme ayant l’usufruit viager de la moitié de la succession de son épouse aux termes de son contrat de mariage passé devant M° Rencker ci-devant notaire à Strasbourg le 15 avril 1847, enregistré et 5. Monsieur Charles Théodore Knoderer, entrepreneur de bains domicilié et demeurant à Strasbourg agissant en qualité de subrogé tuteur ad hoc de la dite mineure Louise Wilhelmine Knoderer (…), lesquels ont dit et exposé ce qui suit. Ladite Dame Louise Elisabeth Redslob épouse Knoderer, Messieurs Frédéric Emile Adolphe Redslob et Jacques Gustave Redslob copropriétaires par indivis chacun pour un quart avec la mineure Knoderer propriétaire par indivis de l’autre quart de divers immeubles ci après désignés dépendant de la succession de feu Monsieur Jean Jacques Redslob licencié en droit et de Dame Elisabeth Louise Gruber son épouse tous deux décédés à la Robertsau leurs père et mère aïeux respectifs et des successions de Demoiselles Sophie Elise Redslob et Emma Mathilde Redslob leurs sœurs et tantes respectives décédées en état de célibat après les dits époux Jean Jacques Redslob leurs père et mère, Voulant sortir de l’indivision ont par exploit de l’huissier Fritsch de Strasbourg en date du 27 décembre dernier fait assigner Monsieur Louis Edmond Redslob subrogé tuteur de la mineure Knoderer, aux fins de comparaître devant le tribunal civil de Strasbourg et voir ordonner la vente par licitation des Immeubles dont d’agit ainsi que la liquidation et le partage des dites successions. (le tribunal) a ordonné que par M° Ritleng père notaire à Strasbourg il sera procédé sans expertise préalable sur les mises à prix ci-après indiquées à la vente par licitation des Immeubles dont d’agit (…)

Désignation des Immeubles à vendre et mises à prix fixées par le jugement qui a ordonné la vente.
Article premier. Une Maison sise à Strasbourg Grand’rue de la Grange n° 21 ancien et N° 9 nouveau, section N numéro 771 et 771, consistant en bâtiment de devant à rez de chaussée et deux étages avec cave voûtée et bâtiment de fonds à rez-de-chaussée et deux étages. Mise à prix par le jugement ci-dessus relaté 9600 francs
Etablissement de la propriété. Cet immeuble dépendait de la Communauté de biens qui a existé entre entre les Epoux Jean Jacques Redslob et Elisabeth Louise Gruber pour avoir été acquis pendant leur mariage par feu Monsieur Redslob à la barre du tribunal civil de Strasbourg en vertu du jugement d’adjudication définitive en date du 7 mars 1822 et déclaration de command du même jour par suite de l’expropriation forcée poursuivie à la requête de la Commission Administrative des hospices civils réunis contre Salomé Kessig veuve de Michel Halter cordonnier à Strasbourg et Madeleine Kessig fille majeure, les deux demeurant en ladite ville en qualité d’héritières de Jean Kessig en son vivant cordonnier à Strasbourg, ledit jugement transcrit au bureau des hypothèques de Strasbourg volume 145 n° 134. Feu ledit sieur Kessig était propriétaire dudit Immeuble en vertu d’un contrat d’acquisition passé à la ci-devant Chambre des Contrats de la ville de Strasbourg, en date du 10 juin 1749.
Article deux. Une maison sise à Strasbourg place des Moulins n° 9
Article trois. Une maison avec appartenances et dépendances sise à Strasbourg Grande rue n° 55
Article quatre. Un bien de campagne sis à la Robertsau au lieu dit Spreuergarten ou Bechtoldsgarten
Charges, clauses et conditions (…). Fixation de l’adjudication, samedi 21 février prochain à deux heures du matin à l’étude du soussigné notaire Ritleng.
acp 518 (3 Q 30 233) f° 70-v du 2.2.
21 février 1863, N° 13.816. Adjudication – (…) Et il a été observé quant au bien de campagne sis à la Robertsau (…)
Article premier du cahier des charges. Une Maison sise à Strasbourg grand’rue de la Grange n° 21 ancien et N° 9 nouveau, section N numéro 771 et 771, consistant en bâtiment de devant à rez de chaussée et deux étages avec cave voûtée et bâtiment de fonds à rez-de-chaussée et deux étages, exposée aux enchères sur la mise à prix de 9600 francs (…) Une bougie ayant été allumée il a été fait différentes mises dont la dernière et la plus forte de 13.000 francs par Monsieur Jean Henri Oertel ancien négociant demeurant à Strasbourg, déclarant avoir enchéri pour et au nom de Demoiselle Caroline Emilie Oertel sa sœur de laquelle il e porte fort, elle rentèire
2) place des Moulins n° 9
Jacques Gustave Redslob
3) Grande rue n° 55
Louise Elisabeth Redslob épouse Guillaume Albert Knoderer
4) une campagne à la Robertsau au canton Bechtoldsgarten
Frédéric Emile Adolphe Redslob
acp 5189 (3 Q 30 234) f° 74 du 3.3.

Caroline Emilie Œrtel meurt en 1891 en délaissant des héritiers collatéraux. Sa succession comprend six maisons à Strasbourg.

1891 (13.7.), Strasbourg 10 (236) Charles Gachot n° 1331
13. Juli 1891. Inventar der Verlaßenschafft von Fräulein Caroline Emilie Oertel, lebend Rentnerin mit dem Wohnsitz zu Straßburg wo dieselbe den 23. Juni 1891 gestorben ist.
Auf Antrag von I) Herrn Karl August Buob, ehemaliger protestantischer Pfarrer in Reitweiler, zur Zeit in Straßburg wohnhaft, handelnd in seinem persönlichen Namen als Geschwisterkind der Erblasserin
II) Herr Oscar Gerval, direktor des Bürgerspitals von Straßburg, wo derselbe wohnhaft ist, handelnd im Namen und als Bevollmächtigter des Herrn August Emil Paul Boden, Marine Ingenieur in Ruhestand, in Paris wohnhaft rue de Chabrol 49 auf Grund einer Vollmacht (…), Herr Boden Nach Geschwisterkind der Erblasserin
III) Herr Karl Schott, Banquier, wohnhaft in Straßburg, handelnd im Namen und als Bevollmächtigter von Frau Fanny Emilie Reissinger Ehegattin des Herrn Georg Friderich Oscar Barbier, Mechaniker wohnhaft in Paris rue du Buisson Saint Louis 16, auf Grund einer Vollmacht (…), Frau Barbier Nach Geschwisterkind der Erblasserin
III [sic]) Herr Karl Zimmermann, ehemaligen Notar wohnhaft in Barr, handelnd im Namen und als Bevollmächtigter seiner bei ihm wohnhaften Ehegattin Frau Friederike Emilie Boden auf Grund einer Vollmacht (…), Frau Zimmermann Nach Geschwisterkind der Erblasserin
Genannten Herrn Buob erbberechtigt für eine Hälfte oder 3/6 in der Verlaßenschafft der zu Straßburg den 23. Juni letzthin ohne Pflichterben zu hinterlassen verlebten Rentnerin Caroline Emilie Oertel als einziger nächster Erbe in der mütterlichen Linie, und Herr Boden, die Frauen Barbier und Zimmermann, Erbberechtigte in derselben Verlaßenschafft Jede für ein fünftel oder zusammen für drei 6. als einsige nächste Erben in der vätterlichen Linie (…)
Und dies auf Erklärungen und Vorweisungen durch die hier gegenwärtige Fräulein Maria Anna Allgeier, bis dem Absterben der Erblaßerin in diensten derselben

Beschreibung des eigenhändigen Testaments der Erblaßerin (…)
Liegenschaften. Littera F. ein dreistöckiges Wohnhaus Ecke der Cronenburgerstraße (…)
Littera G. ein Haus mit Hof, Hintergebäuden, Rechten und Zugehörden zu Straßburg gelegen, Schiffleutstaden N° 40 (…)
Littera H. in Wohnhaus in der Brandgasse N°20 (…)
Littera I. ein zweistöckiges Wohnhaus gelegen zu Straßburg, große Stadelgasse N° 9 (früher grand’rue de la grange N° 21) section N, Numero 771 und 771 bestehend aus Vorder und Hintergebäude. Dieses Haus ist durch die Erblasserin erworben worden von 1) Frau Luise Elisabeth Redslob Ehegattin des Herrn Wilhelm Albert Knoderer Gerber in Straßburg wohnhaft 2) Herrn Heinrich Adolph Emil Redslob 3) Herr Jacob Gustav Redslob, beide Eigenthümer zu Ruprechtsau wohnhaft, 4) Herr Ludwig Edmond Redslob ehemaliger Lederhändler in Straßburg als Nebenvormund und Herr Felix Gustav Knoderer, Gerber in Straßburg wohnhaft als gesetzlicher Vormund der damals minderjährigen Luise Wilhelmine Knoderer auf Grund eines Steigprotokolls durch den damaligen Notar Ritleng Vater in Straßburg den 21. Februar 1863 errichtet, im Hypothekenamte von Straßburg den 10. darauf folgenden März, Band 934 N° 26. überschrieben und von Amtswegen eingeschrieben Band 837 N° 5, 6 und 17. Der Steigpreis den sich auf 13.000 Franken belief (…)
Littera J. ein zweistöckigtes Wohnhaus Sanct Wilhelmergasse N° 15 (…)
Littera K. ein Wohnhaus mit Erdgeschoß und drei Stockwerken gelegen zu Straßburg Ankergasse N° 9 früher N° 5 (…)
acp 845 (3 Q 30 560) f° 60 n° 1675 du 15.7. (Sterb. Tab Band 76 Blatt 126 N° 37 – Erk. vom 19/12 91 Band 187 N° 482) Durch eigenhändiges Testament beim amtierenden Notar hinterlegt am 28. Juni 1891 vermachte die verstorbene ihr Vermögen an ihre Verwandte ausgenommen verschiedene Legate
Mobilien der Maria Anna Allheier vermacht sind geschätzt zu 878
Baarschafft 1938, Eingehobene Mietzinse 1152, Weitere baarschafft 4610
Wertpapiere (1 ad 7) Summa 12.231
acp 846 (3 Q 30 561) f° 17 du 3.7. (Fortsetzung vom 1. August) Schuldforderungen 1) 14.000, 2) 640, 3) 800, 4) 800 und Zinße
Immobilien (1-6, vide supra), Bann von Suffelnheim, 6 ha 80 und 6 ha 64 Wiese
Bann von Niederhausbergen 11 a 88, 13 & 25 Feld
Bann von Lixhausen (Feld, Reben, Wiese 13-28)
Grundrenten zu Niederhausbergen und Mundolsheim

Fille de l’orfèvre Jean Henri Œrtel et de Susanne Madeleine Buob, Caroline Emile Œrtel meurt à l’âge de quatre-vings-deux ans.
Décès, Strasbourg (n° 1502)
Strassburg am 23. Juni 1891. Vor dem Standesbeamten erschienen heute der Pfarrer außer dienst Karl August Buob, wohnhaft zu Strassburg Kinderspielgasse 15, und zeigte an, daß seine Cousine die ledige gewerblose Karoline Emilie Oertel, 82 Jahr alt, evangelischer Religion, wohnhaft zu Strassburg, geboren zu Straßburg, Tochter der hier verstorbenen Eheleute Johann Heinrich Oertel, Goldschmied und Susanna Magdalena geborene Buob zu Straßburg Kronenburgerstraße 1 am 23. Juni des Jahrs 1891 vormittags um acht Uhr verstorben sei (i 224)

Les héritiers font dresser le cahier des charges pour vendre les immeubles. Les vendeurs retirent de l’enchère la maison Grande rue de la Grange qui n’a pas été portée à sa juste valeur

1891 (7.10.), Strasbourg 10 (237) Charles Gachot n° 1448
d. 7 October 1891. Hausversteigerung – sind erschienen I) Herr Karl August Buob, ehemaliger protestantischer Pfarrer in Reitweiler, zur Zeit in Straßburg, handelnd in seinem persönlichen Namen, II) Herr Oscar Gerval, direktor des Bürgerspitals von Straßburg, wo derselbe wohnhaft ist, handelnd im Namen und als Bevollmächtigter des Herrn August Emil Paul Boden, Marine Ingenieur in Ruhestand, in Paris wohnhaft, auf Grund einer Vollmacht (…), III) Herr Joseph Kussnick, Liquidator in Straßburg wohnhaft, handelnd im Namen und als substituirter Bevollmächtigter der Frau Fanny Emilie Reissinger Ehegattin des Herrn Georg Friderich Oscar Barbier, Mechaniker wohnhaft in Paris, auf Grund einer Vollmacht (…), IV) Herr Karl Zimmermann, ehemaliger Notar wohnhaft in Barr, handelnd als sich stark tragend für seine bei ihm in Barr wohnhafte Ehefrau Friederike Emilie Boden (…)
dieselbe erklären daß sie ungetheilter Weise die hernach beschriebenen Häuser und Grundrenten (rentes emphytéotiques) besitzen und gesonnen sind, dieselben öffentlich versteigern zu lassen
(Ecke Kronenburgstrasse und S Johannstaden, Adolph Pfaefflin)
Beschreibung. A) Liegenschaften der zu versteigernden Häusern.
1) ein dreistöckiges Wohnhaus gelegen zu Straßburg
die Ecke der Kronenburgerstraß wo dasselbe mit Nummer 1 bezeichnet ist und des Sanct Johannstadens bildend (…)
2). ein Haus mit Hof, Hintergebäuden, Rechten und Zugehörden zu Straßburg gelegen, Schiffleutstaden N° 40 (…)
3) ein zweistöckiges Wohnhaus gelegen zu Straßburg, große Stadelgasse N° 9, zwischen zwei Unbekannten vorn die Stadelgasse, hinten Unbekannten, im Kataster eingetragen unter section N, Numero 771 und 771 für eine Bondefläche von 75 quadratmeter
4) ein zweistöckigtes Wohnhaus Sanct Wilhelmergasse N° 15 (…)
5) ein Wohnhaus mit Erdgeschoß und drei Stockwerken gelegen zu Straßburg Ankergasse N° 9 (…)
B) Grundrenten (rentes emphytéotiques)
Eigenthumsnachweis. Diese Häuser und Renten gehören den Herrn Karl August Buob und Boden und den Frauen Barbier und Zimmermann, um dieselben ererbt Zu haben in der Verlaßenschafft der Fräulein Caroline Emilie Oertel, lebend Rentnerin in Straßburg wo dieselbe den 23. Juni 1891 gestorben ist, deren einzige Erben derselben sind, nämlich Herr Karl August Buob für eine Hälfte oder 3/6 und Herr Boden, die Frauen Barbier und Zimmermann für die drei andere sechstel 3/6, sowie diese Eigenschaften bestätigt sind durch das Inventar des Nachlasses der Fräulein Oertel durch den unterzeichneten Notar den 13. Juli 1891 errichtet.
Früheres Eigenthumsrecht. I) Haus Kronenburgerstraße 1
II) Haus Schiffleutstaden 40 (…)
III) Haus große Stadelgasse N° 9. Dieses Haus ist durch die verstorbene Fräulein Oertel erworben worden von 1) Frau Luise Elisabeth Redslob Ehegattin des Herrn Wilhelm Albert Knoderer Gerber in Straßburg, 2) Herrn Heinrich Adolph Emil Redslob, 3) Herr Jacob Gustav Redslob, Eigenthümer zu Ruprechtsau wohnhaft, 4) Herr Ludwig Edmond Redslob ehemaliger Lederhändler in Straßburg als Nebenvormund und Herr Felix Gustav Knoderer, Gerber in Straßburg wohnhaft als gesetzlicher Vormund der damals minderjährigen Luise Wilhelmine Knoderer auf Grund eines Steigprotokolls durch den damaligen Notar Ritleng Vater in Straßburg den 21. Februar 1863 errichtet, im Hypothekenamte von Straßburg den 10. darauf folgenden März, Band 934 N° 26. überschrieben und von Amtswegen eingeschrieben Band 837 N° 5, 6 und 17. Der Steigpreis den sich auf 13.000 Franken belief (…). Das frühere Eigenthumsrecht ist bestätigt durch einen Steigprotokoll in dem hiesigen Civil Gericht den 7. März 1822 errichtet und einem Kauffvertrag durch die damalige Contractstube derselben Stadt den 10. Juni 1749 errichtet.
IV) Haus Wilhelmergasse 15 (…)
V) Haus Ankergasse 9 (…)
Miethverträge. Haus Cronenburgerstraße (…)
Haus Schiffleutstaden 40 (…)
Civil und Hypothekenstand. Die Verkäufer erklären, daß die Ehegatten Zimmermann und Barbier unter dem Rechtsverhältnis der Gütergemeinschaft verheirathet seien welche auf die Errungenschaft beschränkt ist, auf Grund ihrer respective Eheverträge errichtet, denjenigen der Ehegatten Zimmermann durch den damaligen Notar Zeyssolff den 9. Mai 1856 und denjenigen der Ehegatten Barbier durch Notar Dangelzer in Andlau den 14. Julÿ 1874 (…)
Versteigerung, das Haus Cronenburgerstraße 1
an Adolph Pfaefflin
das Haus Schiffleutstaden N° 40
Haus große Stadelgasse N° 9, so wie dasselbe oben beschrieben ist, wurde auf den Ansatzpreis von 8000 Mark ausgeboten. Nachdeme mehrere Kerzen angezündet worden, so wurde den Preis dieses Hauses auf 10.000 Mark gebracht, da denselben aber den Versteigern nicht angemessen erschien, so wurde den Zuschlag nicht ertheilt, und diese Liegenschaft von der Versteigerung zurückgezogen
Haus Wilhelmergasse 15
Haus Ankergasse 9
acp 849 (3 Q 30 564) f° 6-v du 14.10.

Nouvelle adjudication qui renvoie à la précédente quant à l’origine de la propriété. Le pasteur retraité Charles Auguste Buob, cohéritier, acquiert la maison Grande rue de la Grange

1892 (8.2.), Strasbourg 10 (238) Charles Gachot n° 1655
d. 8 Februar 1892. Freiwillige Theilungs Versteigerung – sind erschienen I) Herr Gustav Buob, Apotheker zu Straßburg, handelnd im Namen und als Bevollmächtigter des Herrn Karl August Buob, ehemaliger protestantischer Pfarrer in Reitweiler, zur Zeit in Straßburg, Kinderspielgasse 15 wohnhaft, auf Grund einer Vollmacht (…), II) Herr Oscar Gerval, direktor des Bürgerspitals von Straßburg, wo derselbe wohnhaft ist, handelnd im Namen und als Bevollmächtigter des Herrn August Emil Paul Boden, Marine Ingenieur in Ruhestand, in Paris wohnhaft, auf Grund einer Vollmacht (…), III) Herr Joseph Kussnick, Liquidator in Straßburg wohnhaft, handelnd im Namen und als substituirter Bevollmächtigter der Frau Fanny Emilie Reissinger Ehegattin des Herrn Georg Friderich Oscar Barbier, Mechaniker wohnhaft in Paris, auf Grund einer Vollmacht (…), IV) Frau Friederike Emilie Boden, hierzu gehörig ermächtigte und verbeiständete Ehegattin des Herrn Karl Zimmermann, ehemaligen Notar hierzugegen mit einanderin Barr wohnhaft, handelnd in ihrem persönlichen Namen
dieselbe erklären daß Herr Karl August Buob, Herr Boden und die Frauen Barbier und Zimmermann ungetheilter Weise die vier hernach beschriebenen Häuser besitzen und gesonnen sind, dieselben öffentlich versteigern zu lassen

Beschreibung der zu versteigernden Häusern.
Erstes Loos, ein Haus mit Hof, Hintergebäuden, Rechten und Zugehörden zu Straßburg gelegen, Schiffleutstaden N° 40 (…)
Zweites Loos, ein zweistöckiges Wohnhaus gelegen zu Straßburg, große Stadelgasse N° 9, zwischen zwei Unbekannten vorn die Stadelgasse, hinten Unbekannten, im Kataster eingetragen unter section N, Numero 771 und 771 für eine Bondefläche von 75 quadratmeter
Drittes Loos, ein zweistöckigtes Wohnhaus Sanct Wilhelmergasse N° 15 (…)
Viertes loos, ein Wohnhaus mit Erdgeschoß und drei Stockwerken gelegen zu Straßburg Ankergasse N° 9 (…)
Eigenthumsnachweis. Diese vier Häuser gehören den Herrn Karl August Buob und Boden und den Frauen Barbier und Zimmermann, um dieselben ererbt Zu haben in der Verlaßenschafft der Fräulein Caroline Emilie Oertel, lebend Rentnerin in Straßburg wo dieselbe den 23. Juni 1891 gestorben ist, deren einzige Erben derselben sind, nämlich Herr Karl August Buob für eine Hälfte oder 3/6 und Herr Boden, die Frauen Barbier und Zimmermann für die drei andere sechstel 3/6, sowie diese Eigenschaften bestätigt sind durch das Inventar des Nachlasses der Fräulein Oertel durch den unterzeichneten Notar den 13. Juli 1891 errichtet. Für das frühere Eigenthumsrecht berufen sich die Comparenten auf einen Steig Protokoll durch den unterzeichneten Notar den 7. Oktober 1891 errichtet.
Miterverträge. Haus Schiffleutstaden 40 (…)
Civil und Hypothekenstand. Die Verkäufer und deren Bevollmächtigten erklären, daß die Ehegatten Zimmermann und Barbier unter dem Rechtsverhältnis der Gütergemeinschaft verheirathet seien welche auf die Errungenschaft beschränkt ist, auf Grund ihrer respective Eheverträge errichtet, denjenigen der Ehegatten Zimmermann durch den damaligen Notar Zeyssolff den 9. Mai 1856 und denjenigen der Ehegatten Barbier durch Notar Dangelzer in Andlau den 14. Julÿ 1874 (…)
Versteigerung, das Haus Schiffleutstaden N° 40
durch Herrn Karl Müll, Wirth in Straßburg wohnhaft, Katharinengasse 4
das Haus große Stadelgasse N° 9, so wie dasselbe oben beschrieben ist, wurde auf den Ansatzpreis von 10.000 Mark ausgeboten. Nachdeme mehrere Kerzen angezündet worden sind, verschiedene Gebote gemacht worden, wovon das letzte durch Herr Buob als Bevollmächtigten des obengenanten Herrn Karl August Buob, durch welchem Preis dieses Hauses auf 13.200 Mark gebracht wurde
das Haus Ankergasse N° 9
an Karl August Buob
das Haus St Wilhelmergasse N° 15
an Alexander Stenger
acp 853 (3 Q 30 568) f° 95-v du 18.2.

1892 (17.2.), Strasbourg 10 (238) Charles Gachot n° 1674
Liquidation und Theilung – Karoline Emilie Oertel

Fils de l’orfèvre Charles Ferdinand Buob, le pasteur Charles Auguste Buob épouse en 1856 Emilie Dürrbach, fille du pasteur Geoffroi Dürrbach
1856 (21.8.), Théodore Burtz
Contrat de mariage – Charles Auguste Buob, pasteur à Reitwiller, fils de Charles Ferdinand Buob, orfèvre à Strasbourg et Susanne Madeleine Specht, sa veuve, d’une part
Emilie Durrbach, majeure à Strasbourg, fille de Geoffroi Durrbach, pasteur et de Frédérique Madeleine Thielé sa femme à Strasbourg d’autre part
acp 452 (3 Q 30 167) f° 99 du 23.8. – Stipulation de communauté de biens réduite aux acquêts, réserve d’apports et d’héritages
Les apports du futur consistent 1) en plusieurs inscriptions de rentes montant à 243, 2) argent comptant 2200, 3) mobilier 500
Les apports de la future épouse consistent 1) une inscription de rente 50, 2) créances 4000
Donation par les conjoints Durrbach à la future épouse leur fille ce acceptant d’une somme de 3000 francs, imputable sur la succession du prémourant
Donation réciproque par les futurs au survivant d’eux de l’usufruit de toute la succession, réductible en cas d’enfants

Emilie Dürrbach meurt à Paris en 1856 en délaissant des héritiers collatéraux.
1858 (17.9.), Strasbourg 3 (101), Théodore Burtz n° 4701
17. 7.bre 1858, Notoriété – (…) lesquels déclarent bien connaître et avoir connu 1) M. Charles Auguste Buob, pasteur à Reitwiller, et Mad° Emilie Dürrbach son épouse décédée à Paris rue de Reuilly N° 95 le 3 septembre 1856 et dont le décès a été déclaré le lendemain à la Mairie du huitième arrondissement de Paris
2. Mad° Auguste Frédérique Dürrbach épouse de M. Georges Charles Küss, avoué près le tribunal civil de Colmar,
3. Mad.lle Marie Rosalie Dürrbach majeure demeurant à Strasbourg
4. Mad.lle Louise Auguste Dürrbach gouvernante domiciliée à Strasbourg et résidant à Newton en Angleterre,
5. Mad° Julie Caroline Dürrbach épouse de M. Frédéric Eugène Ducommun horloger demeurant à Strasbourg, ces quatre derniers frères et sœurs de ladie Dame Buob défeunte de laquelle avant leur renonciation à sa succession, ils étaient habiles à se dire et porter héritiers pour partie (…) que dans l’acte de renonciation faite au greffe du tribunal civil de Strasbourg le 29 novembre 1856 il n’a aussi été donné à Mle Marie Rosalie Dürrbach que le prénom de Rosalie (…)
N° 4700, 17. 7.bre 1858, Dépôt de pièces (acte de décès à Paris, renonciation à la succession)
acp 472 (3 Q 30 187) f° 41 du 18.9.

Charles Auguste Buob se remarie avec Marie Louise Frantz
1858 (12.1.), Strasbourg 10 (135), Louis Frédéric Zimmer n° 12.359
Contrat de mariage, 12 janvier 1858 – ont comparu I) Mr Charles Auguste Buob, pasteur à Reitwiller, demeurant et domicilié audit lieu, veuf sans enfant de dame Emilie Dürrbach, né à Strasbourg le 3 février 1818 du légitime mariage de feu Mr Charles Ferdinand Buob et de feue dame Susanne Madeleine Specht
II) Mlle Marie Louise Frantz, sans état, en jouissance de ses droits, demeurant et domiciliée à Strasbourg, née à Lyon le 13 mars 1836 du légitime mariage de M. François Charles Frantz, maître d’hôtel à Munich et de dame Marie Germain son épouse, Mlle Frantz stipulant en l’absence de ses père et mère sous l’assistance et du consentement de Mr Philippe Jacques Frantz, propriétaire et de dame Sophie Louise Herrenschneider son épouse, les deux demeurant et domiciliés à Strasbourg, ci présents, oncle et tante de la dlle future épouse
(…) les apports du Sr futur époux consistent 1) dans une maison sise à Strasbourg rue du Jeu-des-Enfants N° 15 autrefois N° 46, évaluée ici sans préjudice à la somme de 14.000 francs
2) dans une autre maison sise en la même ville rue du Jeu-des-Enfants n° 7 autrefois N° 42, estimée également sans préjudice à la somme de 7000 francs
acp 466 (3 Q 30 181) f° 14 du 13.1. Stipulation de communauté de biens réduite aux acquêts, partageable par moitié, réserve d’apports et d’héritages. Le survivant aura l’usufruit de tous les biens meubles et immeubles composant la part du prédécédé dans ladite société d’acquets.
Les apports du futur consistent 1) en une maison rue du Jeu-des-Enfants N° 15, 2) en une maison rue du Jeu-des-Enfants N° 7, 3) 155 francs de rentes 3 %, 4) 320 francs de rentes 4 ½, 5) créances 18.700, 6) argent 1000, 7) mobilier 5000
Les apports de la future consisent en une somme de 2000 francs et divers objets mobiliers
Donation réciproque par les futurs au survivant d’eaux de l’usufruit de toute la succession réductible à moitié en cas d’existence d’enfants
Le futur époux se réserrve le droit de disposer par voie testamentaire ou autrement jusqu’à concurrence du huitième de sa fortune, part qui serait affranchie de l’usufruit constitué

Marie Louise Frantz renonce aux avantages qui lui reviennent par le contrat de mariage
1892 (27.9.), M° Charles Lauterbach
Verzicht durch Marie Luise Frantz, ohne Gewerbe, Wittwe von Carl August Buob, Pfarrer außer Dienst hier, ihrer auf die Errungenschaft beschränkte Gemeinschaft zwischen ihnen bestanden auf Grund ihres Ehevertrags vor dem Notar Zimmer hier vom 12. Januarÿ 1858
Genannter Buob starb hier am 15. August 1892
acp 862 (3 Q 30 577, II) f° 54 n° 2267 du 29.9.

Charles Auguste Buob délaisse trois enfants
Charles Gachot, 27 avril 1893 n° 2278.
acp 873 (3 Q 30 588, II) f° 7-v n° 409 du 28.4.1893 – Eigenthumszeugniss (…)
Nutznießung den Erben und einzigen Kindern des Erblassers, nämlich a) Gustav Buob, Apotheker, b) Emma Buob, ohne Gewerbe, c) Julius Buob, Student der Theologie, alle drei großjährig in Strassburg

Partage entre les trois héritiers
1906 (1.2.), Gustave Frédéric Huber n° 1925
Theilung des Nachlasses des Dr. theol. Carl August Buob
zwischen 1. Gustav Buob, Kunstschlosser in Straßburg, Ehemann von Sophie Luise Rottmann
2. Emma Buob, Ehefrau von H. Michael North, Kaufmann in Straßburg
3. Julius Buob, evangelischer Pfarrer in Tränheim, Ehemann von Magdalena Luise Jenny Blindt
acp 1051 (3 Q 30 766. III) f° 51 n° 2602 du 17.2. – Vorbemerkungen. Zum Nachlass des am 15. August 1892 verstorbenen Dr. theol. Carl August Buob, Pfarrer a. D. hier (E.E. vom 21.X 1892, Bd. 194 N° 394) gehört unter andern folgender Grundstück
Gemeinde Straßburg, P 562 1 a 23 Hf, Whs. Kinderspielgasse N° 15, Nutzungswert M 700.
Der Verstorbene war in 2. Ehe verheiratet gewesen mir Maria Luise Frantz laut Ehevertrag Zimmer hier vom 12. Januar 1852. Nach diesem Ehevertrag steht der Wittwe den lebenslänglichen Nießbrauch an der Hälfte des Nachlasses ihres Ehemanns zu. Erben des Ehemanns sind oben drei Genossen Buob zu 1/3.
Gustav Buob tritt sein Anteile an p. Grundstück ab an Julius Buob und Ehefrau North, je zur Hälfte, Wert des ganzen Grundstücks 25.000, der jährliche Nutzungswert beträgt 1600. Alter der Wittwe 69 Jahr, 5 x 800, 4000 – Rest 21.000 M
Ferner kommt zu jedem Erben 1/3 als 7000 M (…)

Notice biographique dans l’ouvrage de Marie Joseph Bopp, Die evangelischen Geistlichen und Theologen in Elsass und Lothringen von der Reformation bis zur Gegenwart
(Bopp, n° 711) Karl August Buob, D. Theol – ° Straßburg 3.2.1808, S. v. Karl Ferdinand Buob, Goldschmied u. Susanna Magdalena Specht. x I. 23.8.1856 Emilie Dürrbach aus Straßburg, † Paris 13.9.1856, x II. 13.1.1858 Maria Luise Frantz ° Lyon 13.3.1836 † 7.4.1909
stud. in Straßburg, Sem. 14.11.1838, Fak. 31.10.1836, Cand. 16.7.1839, Bacc. theol. 7.3.1840. These, De la personne de Jésus-Christ d’après les biographes les plus récents, Strasbourg (Silbermann, 1840, 38 S. 4°), stud. 1840 in Genf, 1842 in Lyon, lic. ès lettres und bacc. ès sciences, stud. 1842 in Montauban, 1842 lic. en théol. 1843 D. theol. Ord. 22.3.1846 (Preis Schmutz von 3000 Fr. 1842 und Preis Spener 1847)
1839 Hilfsbibliothekar in Straßburg, 1842 Lehrer im Gymnasium in Mülhausen, 1843 Redakteur in Paris (Le Lien), 1847 Relisionslehrer am Lycée in Straßburg, 1847 Prof. der deutschen Sprache am Seminar, 1848-1851 Pfarrvik. in Schlettstadt und Benfeld, 1851-1882 Pfarrer in Reitweiler, demiss. † Straßburg 15.8.1892.
Verfasser des Manuel d’un code ecclésiastique à l’usage des deux églises protestantes de France, Paris et Strasbourg 1855, 8°, S 160.

Les immeubles sont partagés suivant acte dressé le 30 avril 1894 par François Xavier Amann, notaire à Oberschæffolsheim. La maison Grande rue de la Grange revient à Emma Buob, femme du banquier Michel North (voir l’acte suivant)

Originaire de Reitwiller, le marchand Michel North épouse en 1894 Emma Buob
Mariage, Strasbourg (n° 346) Straßburg am 5. Mai 1894. Vor dem Standesbeamten erschienen heute zum Zwecke der Eheschließung 1. der Kaufmann Michael North, evangelischer Religion geboren den 6. November des Jahres 1862 zu Reitweiler (Unter-Elsass), wohnhaft zu Strassburg, Sohn der verstorbenen Ackerers Johann North, wohnhaft zuletzt zu Reitweiler und dessen Ehefrau Maria Catharina geb. Urban wohnhaft zu Reitweiler
2. die gewerblose Emma Buob, evangelischer Religion, geboren den 19. Mai des Jahres 1865 zu Reitweiler, wohnhaft zu Strassburg, Tochter des verstorbenen Pfarrers Carl August Buob, wohnhaft zuletzt zu Straßburg und dessen Ehefrau Maria Luise geb. Frantz wohnhaft zu Straßburg (i 27)

Michel North et Emma Buob vendent en 1898 au boulanger Jérôme Schœnahl et à sa femme Françoise Vonscheid.

1898 (11.5.), Ritleng jeune n° 30.401
Verkauf – Michael North, Bankier, und Emma Buob, Eheleute in Straßburg
an Hieronymus Schoenahl, Bäckermeister und Francisca Vonscheid Eheleute in Straßburg
Stadt Strassburg, N 771, 0 a 75, Wohnhaus bestehend in Erdgeschoß auf Keller, drei Stockwerken und Speicher, grosse Stadelgasse N° 9
der Frau zugeteilt laut Urkunde Amann in Oberschäffolsheim vom 30 April 1894
Genuß vom 25. Juni, Steuren 1. Juli 1898 ab. Preis M 23.000, bar bezahlt 7000
acp 939 (3 Q 30 654) f° 35 n° 737 du 13.5.

Fils du cultivateur Michel Schœnahl de Rosheim, le boulanger Jérôme Schœnahl épouse en 1891 Françoise Vonscheid, fille du garde-chaussée Matthieu Vonscheid.
Mariage, Rosheim (n° 19)
Rosheim am 29. Oktober 1891. Vor dem Standesbeamten erschienen heute zum Zwecke der Eheschließung 1. Bäcker Hyeronimus Schoenahl, katholischer Religion geboren den 9. November des Jahres 1861 zu Rosheim, wohnhaft zu Strassburg, Sohn des Ackerers Michael Schoenahl zu Rosheim und dessen verstorbenen Ehefrau Magdalena geborener Siffert, zuletzt wohnhaft zu Rosheim
2. die ledige Franziska Vonscheid, katholischer Religion, geboren den 20. Dezember des Jahres 1856 zu Rosheim, wohnhaft zu Rosheim vorher zu Paris, Tochter der verstorbenen Eheleute Mathäus Vonscheid, Straßenwart und Theresia geborener Maetz, zuletzt wohnhaft zu Rosheim
Gleichzeitig erklären die Eheschließenden, daß sie das am 29. Januar 1879, zu Rosheim geboren, und uter N° 8 des Geburtsregister der Stadt Rosheim mit dem Vornamen Franz-Joseph eingetragene Kind als miteinander erzeugt, anerkennen (i 20)

Françoise Vonscheid, veuve de Jérôme Schœnahl, et ses enfants vendent la maison au marchand André dit Anselme Wolff et à sa femme Jeanne Dornberger

1910 (31.11.), Gustave Frédéric Huber n° 8427
Verkauf – nach der Vormundschaftsgerichtl. Genehmigung vom 6. November 1910 dem Notar zugegangen am 10. November 1910
durch 1. Jérôme Schoenahl Wittwe Franziska geb. Vonscheid Inhaberin einer Bäckerei hier, eigenen Namens und als Inhaberein der elterlichen Gewalt über ihrem minderjährigen Sohn Alfred Paul Schoenahl geb. 20. Oktober 1892
2. Frantz Joseph Schoenahl, Bäcker hier, verh. seit 4. Juni 1906 mit Marie geb. Henninger in Gütergemeinschaft, jetzt in Schiltigheim
an Andreas genannt Anselm Wolff, Kaufmann hier, verheir. mit Johanna Dornberger in Gütergemeinschaft
von Flur 61 N° 59 0,98 A Hf. Wohnhaus grosse Stadelgasse N° 9, hier, Nutzungswert 1500 M
Zur Fahrnisgemeinschaft gehörig die zwischen Eheleute Schoenahl Vonscheid bestanden hat laut Kauf Ritleng jun. vom 11. Mai 1893. Der Ehemann Schoenahl gestorben hier am 17. Mai 1902 ererbt zu einem Viertel von seiner Wittwe und zu einem Viertel von seinen 3 Abkömmlingen, die genannten Frantz Joseph und Alfred Paul Schoenahl sowie dem am 7. Oktober 1906 gestorbenen Eduard Carl Schoenahl, welcher wieder zu 1/6 von seiner Mutter und zu je einem Viertel von seinen beiden Brüdern beerbtt wurde – Preis 49.000 M. Genußantritt 1. Juli 1911
acp 1103 (3 Q 30 818. II) f° 50-v n° 2127 du 30.11. (E.E. v. 10/6 02, 272/107)

Originaire de Rödingen en Rhénanie, André dit Anselme Wolff épouse en 1878 Jeanne Dornberger, fille de l’aubergiste Salomon Dornberger
1878 (22.7.), Strasbourg 14 (186), Emile Ritleng jeune n° 21.607
Ehevertrag, 22. Juli 1878. – sind erschienen Herr Andreas genannt Anselm Wolff, Kaufmann wohnhaft in Strassburg, großjähriger Sohn des zu Roedingen (Rhein Provinz) wohnhaften Eheleute Jonas Wolff, Pferdehändler und Jetta Haas, handelnd für sich und in eigenen Namen, Einerseits
Und Fräulein Johanna Dornberger, großjährig in Strassburg wohnhaft, handelnd unter dem Beistand und mit der Zustimmung ihrer hier anwesenden Eltern Salomon Dornberger, Gastwirt und Rosine genannt Rosalie Loeb, Eheleute in Strassburg wohnhaft, Andernseits
acp 682 (3 Q 30 397) f° 6 du 23.7. Art. I. Annahme der auf der Errungenschaft beschränkte Gütergemeinschaft
Art. V Die Braut bringt in die Ehe I. verschiedene im Bann Ungstein (Baiern) gelegene Grundstücke, II. baares Geld 6000 M. III verschiedene Möbelgegenstände im Werthe von 2192 Mark

La maison reste inscrite au nom des héritiers Schœnahl jusqu’en 1920. Le nouveau propriétaire est Simon Landero.

Le bijoutier Simon Landero épouse à l’âge de cinquante-cinq ans Joséphine Oster en son domicile
Mariage, Strasbourg (n° 1966)
Le 19 décembre 1930 à dix-sept heures (…) nous sommes transporté au No. 31 Rue du 22 Novembre sur le vu d’un certificat de Monsieur Schrapf, docteur en médecine, pour procéder au mariage de Simon Landero, bijoutier, né à Strasbourg le 29 août 1875, cinquante-cinq ans, domicilié à Strasbourg, 31 Rue du 22 Novembre, fils de Isaac Landero et de Judith Feist, époux décédés, d’une part, et Joséphine Oster, sans profession, née à Haguenau (Bas-Rhin) le 18 juillet 1890, quarante ans, domiciliés à Strasbourg, 31 Rue du 22 Novembre, fille de François Oster, décédé, et de Caroline Leonhard, sa veuve domiciliée à Haguenau. Nous avons alors fait ouvrir les portes de la maison en vue de célébrer publiquement ledit mariage. Les futurs époux déclarent qu’un contrat de mariage a été reçu le 19 décembre 1930 par maître Hartmann, notaire à Strasbourg


Les Maisons de Strasbourg sont présentées à l’aide de Word Press.