1, rue Sainte-Catherine
Rue Sainte-Catherine n° 1 – X 321 (Blondel), O 597 puis section 31 parcelle 88 (cadastre) n° 3
Probablement reconstruite vers 1740
Vues en mai 2018 – Fenêtres de l’étage
Située à côté du pont Sainte-Catherine, la maison dont une face longe le canal appartient en 1587 à la veuve du menuisier Léonard Friedrich. Elle a un auvent de 18 pieds de long, une treille et des latrines vers le canal. Quand le batelier Matthieu Conrad vend la maison au constructeur de bateaux Thiébaut Schwing en 1646, le voisin à l’arrière lui cède ses prétentions sur un petit grenier. Le peignier Jean Nicolas Hetzel en est propriétaire pendant une trentaine d’années (1683-1716). Le plan-relief (1727) représente un pignon vers la rue et un mur gouttereau vers le canal. Elle a un rez-de-chaussée, deux étages et des greniers lors de l’acquisition en 1734 par le manant réformé Ulric Roos qui doit y avoir fait d’importants travaux puisque sa valeur minimale passe de 500 florins en 1727 à 900 florins en 1750. La façade a l’aspect d’un bâtiment du XVIII° siècle : bandeaux entre les étages, chaînages représentés sur les dessins de 1912 et de 1927, appuis galbés. L’immeuble qu’achète le batelier Jean Busch en 1753 reste aux mains de ses descendants jusqu’en 1912.
Plan-relief de 1727 (Musée historique). Le pont Sainte-Catherine est au milieu de l’image, la maison à pignon sur la droite – Vue de l’ouest, la façade le long du canal se trouve entre la tour et le pont
Elévations préparatoires au plan-relief de 1830, îlot (Musée des Plans-relief) 1
L’Atlas des alignements (années 1820) mentionne une maison à rez-de-chaussée et deux étages en maçonnerie. Sur les élévations préparatoires au plan-relief de 1830, la façade sur rue se trouve à droite du repère (d) : deux fenêtres et une porte au rez-de-chaussée, deux étages à trois fenêtres chacun, toiture à un niveau de lucarnes. La façade (c-d) vers le canal Saint-Jean (canal des Fleurs) a deux fenêtres à chaque niveau.
La maison porte le n° 1 tant selon l’ancienne numérotation (1784-1857) que selon la nouvelle.
Extrait du plan Blondel (1765, X° canton, ADBR cote 1 L plan 5),
La veuve de Thiébaut Ulrich acquiert en 1878 une parcelle détachée de la voie publique quand le canal est supprimé. La veuve du cheminot Albert Heitz achète la maison en 1912 et fait transformer le rez-de-chaussée après avoir accepté que le trottoir soit rehaussé de soixante-dix centimètres à ses frais ; le mur de soutènement garni d’une rambarde est supprimé et le trottoir mis au niveau des maisons voisines. Son fils Albert Heitz fait convertir en porte la fenêtre à droite de l’angle en 1927 et convertir en magasin le logement du rez-de-chaussée.
Plan et élévation du rez-de-chaussée (1912) – Nouvelle porte (1927) dossier de la Police du Bâtiment
Porte de gauche (octobre 2025)
octobre 2025
Sommaire
Cadastre – Police du Bâtiment – Relevé d’actes
Récapitulatif des propriétaires
La liste ci-dessous donne tous les propriétaires de 1580 à 1952. La propriété change par vente (v), par héritage ou cession de parts (h) ou encore par adjudication (adj). L’étoile (*) signale une date approximative de mutation.
Léonard Friderich, menuisier, et Catherine, remariée (1566) avec le tailleur de pierres Antoine Kuhn – luthériens | ||
1596 | v | Jean Ruber, charron, et Elisabeth Matzer puis (1608) Chrétienne, veuve de Martin Schmidt – luthériens |
1625 | v | Jean Dürr, tailleur de pierres, et (1609) Sophie von Gambsen – luthériens |
1632* | h | Georges Hirt, jardinier, et (1628) Brigitte Bronner puis (1632) Barbe Dürr – luthériens |
1636 | v | Matthieu Conrad, batelier, et (1633) Marguerite Gerhard – luthériens |
1646 | v | Thiébaut Schwing, constructeur de bateaux, et (1639) Esther Rauel veuve du coutelier Jean Joachim Korn – luthériens |
1683* | h | Jean Nicolas Hetzel, peignier, et (1676) Anne Marie Schwing puis (1693) Anne Marie Schott – luthériens |
1716 | adj | Jean Frédéric Schatz, boulanger, remueur de grains, et (1706) Susanne Friess, d’abord (1695) femme du farinier Jean Martin Fuchs, puis (1729) Catherine Keller, veuve du journalier manant Joseph Klein – luthériens |
1724 | v | Jean Daniel Baur, cordonnier, et (1718) Anne Marie Ziegel, (1721) Marthe Spindler puis (1728) Marie Catherine Schæffer, remariée (1728) avec le boulanger Jean Jacques Lœschmeyer – luthériens à la veuve seule, 1729 |
1734 | v | Jean Ulric Roos, charretier, et (1709) Anne Buchsbaum puis (1725) Anne Barbe Ruffenach remariée (1755) avec le chaussetier Georges Guillaume Abert – réformés |
1746 | h | Jean Jacques Roos, employé, conducteur de diligence, et (1737) Marie Barbe Güntheldœrffer – réfomé et luthérienne |
1753 | v | Jean Busch, batelier, et (1751) Anne Marie Eichborn – luthériens |
1796 | h | Thiébaut Busch, batelier, et (1794) Marie Elisabeth Eichborn puis (1808) Marie Barbe Meyer, veuve du notaire Jean Lederlin |
1823 | h | Jean Thibaud Ulrich, batelier, et (1820) Madeleine Busch (cohéritier) Thiébaut Ulrich, rentier célibataire († 1911) |
1912 | v | Albert Heitz, conducteur de locomotive, et (1892) Salomé Hemmler |
1929* | h | Albert° Daniel Valentin Heitz, électricien, et (1918) Emilie Marie Meyer |
1937* | v | Emile Ernest Fritsch |
1949* | v | Paul Grimmeisen la veuve née Lapp |
Valeur de la maison selon les billets d’estimation : 150 livres en 1683, 250 livres en 1727, 450 livres en 1750
(1765, Liste Blondel) X 321, Jean Busch
(Etat du développement des façades des maisons, AMS cote V 61) Busch, 4 toises, 5 pieds et 9 pouces
(1843, Tableau indicatif du cadastre) O 597, Ulrich, Thiébaut, Krutenau 1 – maison, sol – 1 are
Locations
Aucun bail écrit
Livres des communaux
1587, Livre des communaux (VII 1450) f° 493-v
La veuve du menuisier Léonard Friedrich règle 11 sols 4 deniers pour sa maison, à savoir un auvent (18 pieds de long, saillie de 2 pieds), un cep de vigne entouré de planches (5 pieds ½ de long, saillie de 3 pieds), une treille qui s’appuie sur trois étais (18 pieds de long, saillie de 9 pieds), à l’arrière des latrines maçonnées sur des corbeaux en pierre (3 pieds de large, saillie de 2 pieds ½ sur le canal)
Anderseitten beÿ Sanct Catharinen Prucken, Vnden vom Gießen herauff gemeßen in Krauttenaw.
Leonhardt Friderichs selligen des Schreiners Wittwe, hatt oben an Ihrem Hauß ein Wettertach xviij schu lang, ij schu herauß, Vnndt dann Vnden am Hauß ein Rebstockh mitt Brettern Ingefasst v+ schu breÿt, iij schu herauß, Oben darüber ein Rebhälden vf dreÿen Stützen, xviij schu lang vf Truchtern heraus geladen, ix schu breit, Vndt hatt auch hinden an dem hauß ein Vf steinen Kepffern außgemaurtes Profeÿ, iij schu breÿt, ii+ schu von d. Mauren Inn dem Giessen herauß, Bessert für das Niessen, xj ß iiij d
Préposés au bâtiment (Bauherren)
1736, Préposés au bâtiment (VII 1397)
Les enfants du manant Ulric Roos sont autorisés à réparer la risberme sur 36 pieds de longueur sur les mêmes largeur et hauteur que les voisins.
(f° 78) Eodem die 9. Octobris 1736. (…) augenschein eingenommen – Ulrich Rosen Kinder
An Ulrich Rosen des Schirmers Kinder Hauß an der Catharinen bruck, auf Ansuchen Johann Jacob Hetzels des Gartenmanns, deren Vogts, welcher umb erlaubnus Gebetten, die schadhaffte 36. schuhe Lange Landvest an dem Johannes Gießen repariren, und in der Höhe und Breite wie die Andere darneben seÿen, machen Zulaßen.
Erkannt, wird Erlaubt die Landvest Von dem Eck des Nachbarn Landvest, gegen dem Eck der Rosischen Alten Landvest 32. schuhe Lang herauff Zuführen, Von dar aber schrägs gegen der Stadtenmaur Zufahren.
Description de la maison
- 1727 (billet d’estimation traduit) La maison comprend plusieurs petits poêles, chambres, cuisines, trois vestibules dans l’un desquels se trouve un puits à pompe, une cave sous solives, le tout estimé avec appartenances et dépendances à la somme de 550 florins
- 1734 (estimation de la commission nommée par les Quinze) La maison d’angle comprend une petite cave pour environ 24 mesures de vin, au rez-de-chaussée un vestibule, poêle et cuisine, au premier étage un poêle, cuisine et deux petites chambres, au deuxième étage quatre chambres, au-dessus un grenier pour environ 24 quartauts de grain au-dessus duquel se trouve encore un petit grenier.
- 1750 (billet d’estimation traduit) La maison comprend au rez-de-chaussée un poêle, cuisine, bûcher, au premier étage un poêle, alcôve, cuisine et vestibule, le comble à double couverture de tuiles plates renferme trois chambres et un grenier dallé, la cave sous solives est en mauvais état, le tout estimé avec le puits à pompe, autres appartenances et dépendances à la somme de 900 florins.
Atlas des alignements (cote 1197 W 37)
4° arrondissement ou Canton est – Rue de Ste Catherine
nouveau N° / ancien N° : 1 / 1
Busch
Rez de chaussée et 2 étages bons en maçonnerie
(Légende)
Cadastre
Cadastre napoléonien, registre 25 f° 283 case 1
Ulrich Thiébaut, Krutenau N° 1
O 597, maison, sol, Krutenau 1
Contenance : 1,00
Revenu total : 72,52 (72 et 0,52)
Ouvertures, portes cochères, charretières :
portes et fenêtres ordinaires : 16 / 13
fenêtres du 3° et au-dessus : 5 / 4
Cadastre napoléonien, registre 27 f° 1107 case 2
Ulrich Thiébaut
O 597, Maison, sol, Rue Ste Catherine 1
Contenance : 1
Revenu total : 72,52 (72 et 0,52)
Folio de provenance : (283)
Folio de destination : Gb
Année d’entrée :
Année de sortie :
Ouvertures, portes cochères, charretières :
portes et fenêtres ordinaires : 16
fenêtres du 3° et au-dessus : 5
O 1194, sol, Züricherstraße
Contenance : 0,19
Revenu total : 72,62 (72 et 0,52 et 0,10)
Folio de provenance : Vom Wege
Folio de destination :
Année d’entrée :1878
Année de sortie :
Cadastre allemand, registre 30 page 399 case 5
Parcelle, section 31, n° 88 – autrefois O 597, 1194
Canton : St. Katharinengasse Hs. Nr. 1
Désignation : Hf, Whs
Contenance : 0,96
Revenu : 900 – 1200- 1300
Remarques : 1914 Umbau
(Propriétaire jusqu’à l’exercice 1949), compte 1252
Ulrich Theobald
1913 Heitz Albert Lokomotivführer Wittwe geb. Hemmler
1929 Heitz Albert électricien et son épouse
1937 Fritsch Emile Ernest, sans prof.
(1500)
(Propriétaire à partir de l’exercice 1949), compte 6450
Grimmeisen Paul la veuve née Lapp à Kœnigshoffen
(1698)
1789, Enquête préparatoire à l’Etat des habitants (cote VII 1295)
Canton X, (353) Rue beÿ der Catharinen bruck, Crautenau, Breuschgäßlein
1
(Pr.) Busch Johannes burger u. Schiffmann – Ancker
Bernardo Simon emploÿes ches Mr Roundvin – privilegirt
1789, Etat des habitants (cote 5 R 26)
Canton X, Rue 353, Quartier de la Krautenau p. 543
1
Pr. Busch, Jean, garçon batelier – Bateliers
Loc. Bernardo, Simon, Empl. chez Mr Rondvin – Privilegié
Annuaire de 1905
Verzeichnis sämtlicher Häuser von Strassburg und ihrer Bewohner, in alphabetischer Reihenfolge der Strassennamen (Répertoire de toutes les maisons de Strasbourg et de leurs habitants, par ordre alphabétique des rues)
Abréviations : 0, 1,2, etc. : rez de chaussée, 1, 2° étage – E, Eigentümer (propriétaire) – H. Hinterhaus (bâtiment arrière)
St. Katharinengasse (Seite 75)
(Haus Nr.) 1
Ulrich, Rentner. E 102
Dossier de la Police du Bâtiment (cote 739 W 209)
Sainte-Catherine n° 1 (1887-1988)
L’entrepreneur Antoine Finck et l’architecte Sigismond Simmonds transforment en 1912 le rez-de-chaussée de la maison après que la veuve Salomé Heitz, propriétaire, a accepté que le trottoir soit rehaussé de soixante-dix centimètres à ses frais ; le mur de soutènement garni d’une rambarde sera supprimé et le trottoir mis au niveau des maisons voisines. L’entreprise Guri et Meyer convertit en 1927 une fenêtre en porte (à droite de l’angle vers la rue Sainte-Catherine). Le logement humide parce qu’il se trouve sous le niveau du trottoir est converti en magasin (Bazar de la Krutenau, exploité par Joseph Haguenauer, puis à partir de 1932 atelier de l’électricien Albert Heitz). La société civile immobilière le Capricorne fait refaire la charpente, la toiture et la zinguerie en 1988.
1967, magasin Brocantes (Alvina André)
1978, L’Image et le livre
1990, Centre d’accueil et de soins pour toxicomanes
1991, antiquités (Philippe Maudonnet)
Sommaire
- 1888 – Le maire constate que l’entrepreneur Dürr fait sans autorisation des travaux au 1, rue Sainte-Catherine appartenant au sieur Ulrich
L’entrepreneur P. Dürr (17, rue des Bouchers) demande l’autorisation de réparer le crépi – Autorisation – Travaux terminés, août 1888 - 1895 – Le maire notifie le propriétaire de se conformer au règlement du 30 novembre 1891 en supprimant quatre volets qui s’ouvrent à moins de 2,20 mètres de la voie publique. – Travaux terminés, décembre 1896
- 1912 – L’entrepreneur Antoine Finck (10, rue d’Or) transforme le rez-de-chaussée de la maison sise 1, rue Sainte-Catherine appartenant à la veuve Heitz
Antoine Finck demande l’autorisation de poser un échafaudage sur la voie publique au commissaire de police qui transmet au maire – Autorisation accordée à l’entrepreneur et au retraité Ulrich – Travaux terminés, mai 1912 - 1912 – Le service municipal d’architecture informe la Police du Bâtiment que le projet de canalisation prévoit d’aménager un nouveau cabinet d’aisance
L’entrepreneur Antoine Finck demande l’autorisation de transformer le rez-de-chaussée selon les plans joints (propriété de la veuve Heitz) – Le service municipal d’architecture déclare que l’autorisation ne peut être accordée que si le propriétaire accepte que le trottoir soit rehaussé de 70 centimètres à ses frais. Le mur de soutènement garni d’une rambarde sera supprimé et le trottoir mis au niveau des maisons voisines.
L’architecte et entrepreneur S. Simmonds (42, boulevard de Pierre, ensuite boulevard Clémenceau) transmet les plans et le consentement du propriétaire (Salomé Heitz) à rehausser le trottoir – Autorisation de transformer le rez-de-chaussée accordée à la veuve Heitz, l’architecte Simmonds et l’entrepreneur Finck – Dessins – Droits payés pour cinq nouvelles fenêtres et des travaux intérieurs – Réception du gros œuvre, mars 1912 – Travaux terminés, septembre 1912
1912 avril – Le maire notifie Thiébaut Ulrich (nom corrigé en veuve Salomé Heitz) de faire ravaler la façade du 1, rue Sainte-Catherine - 1914 (mai) – Le service du logement informe la Police du Bâtiment que le locataire du rez-de-chaussée se plaint que son logement est humide – La Police du Bâtiment estime qu’une couche isolante est nécessaire puisque le logement se trouve 30 centimètre au-dessous du niveau du trottoir – Dossier classé, juin 1914
- 1927 – L’entreprise Guri et Meyer demande l’autorisation de convertir une fenêtre en porte – La transformation du logement en magasin ou en atelier contrevient à la loi du 2 avril 1926 – Autorisation de faire les travaux à condition que les locaux continuent à servir à l’habitation, février 1927 – Plan (la porte se trouve rue Sainte-Catherine près de l’angle), dessin – La Police du Bâtiment estime que les locaux humides parce qu’ils se trouvent sous le niveau du trottoir et qu’il n’y a pas de cave ne devraient plus servir de logement, mars 1927 – Albert Heitz (demeurant 7, rue Saint-Louis) demande l’autorisation d’ouvrir un magasin, avril 1927. L’architecte de la Police du Bâtiment n’y voit pas d’objection
- 1927 (décembre) – La Police du Bâtiment constate que le commerçant Joseph Haguenauer a posé une lampe électrique sans autorisation – Demande – Autorisation
Le serrurier Welsch demande au nom de Joseph Haguenauer l’autorisation de poser deux vitrines (Bazar de la Krutenau) – Autorisation - 1929 – Le tailleur pour hommes K. Monka demande l’autorisation de poser une enseigne non saillante – Accord
1929 – E. Heitz demande l’autorisation de poser une enseigne non saillante (Entreprise de maçonnerie, Maison J. B. Meyer, E. Heitz, succ. crépissage et réparations de maçonnerie en tous genres) – Accord - 1906 – Dossier sur le logement humide au rez-de-chaussée – Le nouveau locataire ne se plaint pas, le dossier est classé, décembre 1906
1914 – Le locataire Schmidt se plaint que son logement au rez-de-chaussée est humide
1915 – Commission des logements militaires, rien à signaler
1927 – La veuve Albert Heitz demande à la Police du Bâtiment de visiter le rez-de-chaussée pour constater que le logement est humide - 1933 – Albert Heitz demande l’autorisation de poser une antenne de T.S.F. entre les 1 et 4, rue Sainte-Catherine
- 1932 – Albert Heitz (installations électriques) reprend le local Haguenauer pour y établir son atelier
- 1931 – L’entrepreneur Louis Betsch (9, rue Schimper) demande l’autorisation de poser un échafaudage sur la voie publique au commissaire de police qui transmet au maire – Autorisation pour peindre la façade
- 1960 – Ernest Fœssel (27, route du Rhin à Illkirch-Graffenstaden) est autorisé à poser un échafaudage sur la voie publique pour crépir la façade
- 1967 – La Police du Bâtiment constate que le magasin Brocantes, curiosités a posé sans autorisation une enseigne plate – Alvina André demande l’autorisation – Dessin, photographie (l’enseigne se trouve au-dessus de la porte de gauche) – Autorisation du propriétaire Ernest Fœssel (19, chemin du Gliesberg à la Montagne-Verte) – Arrêté portant autorisation de poser des enseignes
- 1969 – Le sieur Fœssel (rue Heydt à Mittelhausen) est autorisé à poser un échafaudage sur la voie publique pour peindre la façade
- 1978 – La Police du Bâtiment constate que le magasin Antiqu’idées a posé sans autorisation une enseigne plate – La société L’Image et le livre (17, rue des Couples) demande l’autorisation de poser une enseigne plate – Photographie (l’enseigne se trouve au-dessus de la porte de gauche) – Autorisation
1985 (octobre) – Georges André demande au nom de la société Arts Anciens (L’Image et le livre, 17, rue des Couples) l’autorisation de poser une enseigne lumineuse (ensuite deux enseignes dont une lumineuse) – Photographie, dessin – L’architecte des Bâtiments de France Chantal Lavillaureix émet un avis défavorable, le caisson étant trop grand
1985 (novembre) – Nouvelle demande – Photographie, dessin au tampon des établissements Fluorest (68, rue Heidenberg à Cronenbourg) – L’architecte des Bâtiments de France Chantal Lavillaureix émet un avis favorable – Arrêté portant autorisation de poser des enseignes – Autorisation accordée par le propriétaire Joseph Ferstler, demeurant à Montbronn - 1987 – Le notaire Paul Trienbach (quai Kleber à Strasbourg) demande des renseignements d’urbanisme sur l’immeuble cadastré section 31 n° 88 appartenant à Joseph Aloyse Ferstler et à sa femme Cécile Bernadette Schneider – Réponse
- 1990 – Marie-Annick Meyer, directrice du Centre d’accueil et de soins (pour toxicomanes), demande que la commission de sécurité visite les lieux. – Rapport
- 1991 – La société Publicité Florian Schmitt (37, rue de Mundolsheim à Schiltigheim) demande au nom des antiquités Philippe Maudonnet l’autorisation de poser deux enseignes plates (dessin, photographie, les enseignes se trouvent au-dessus du rez-de-chaussée, l’une rue de Zurich l’autre rue Sainte-Catherine) – L’architecte des Bâtiments de France Jacques Ernest émet un avis favorable. – Arrêté portant autorisation de poser des enseignes
- 1988 – La société civile immobilière le Capricorne (1, avenue du Général de Gaulle à Strasbourg) demande l’autorisation de refaire la charpente, la toiture et la zinguerie ainsi que de peindre les façades – Description des travaux – L’architecte des Bâtiments de France Chantal Lavillaureix émet un avis favorable assorti de conditions
Relevé d’actes
La maison est inscrite au nom de la veuve du menuisier Léonard Friderich dans le Livre des communaux (1587)
Catherine, veuve du menuisier Léonard Friderich demeurant au Faubourg de Pierre se remarie en 1566 avec le tailleur de pierres Antoine Kon (Kuhn Chun), de Vianden (Wigenden) au Luxembourg. La mariée est la nièce de la femme du garde-chasse Humbert ou Robert Elles qui habite près du pont Sainte-Catherine
Mariage, Saint-Guillaume (luth. f° 91-v, XXXIX)
1566. Ehe ausgerufft doîca Secunda Aduentus doî. Anthonii Kon von Wigenden Ihm Letzelburger land ein Steinmetz, Catharina, Lienhart Friedrich eines Schreiners in der Steinstraßen verlassene wittfraw. Dise seind mir angezeigt worden von Humprecht Elles (oder Ruprecht) dem wildschitzen die Braut ist seiner frawen schwester tochter welche wonet bey S. Catharina bruck vnden am wasser. Celebrarunt nuptias die lunæ post Luciæ 16. Ian. (i 268)
Antoine Chun de Vianden (Vyanneen) devient bourgeois par sa femme deux jours après son mariage
1566, 2° Livre de bourgeoisie (4 R 104) p. 282
Anthoni Chun von Vyanneen der Steinmetz Hatt das burgkrecht Empfang. von Catharinen, weÿland Lienhart frÿdrich des schreiners sellig. nachgelaßner wittwen und dient Zu den Maurrern, Eod. die [14.t Januarÿ A° & Lxvij]
Catherine, veuve de Léonard Friderich, Léonard et Samuel fils dudit Léonard Friderich et le tamisier Georges Weiss, beau-frère desdits frères, hypothèquent la maison au profit de Véronique Sturm veuve Joham
1585 (vts [xj. Decembr.]), Cour épiscopale, vol. 234-II (Registranda Kügler) f° 225-v
Erschienen Catharin Wÿland Lienhart Fridrichs des Schreyners selig Witwe Mit beÿstand Michel Agricola Schulmeyster Zu S. Wilhelm In S. So dann lienhart vnd Samuel gebruder bemelt lienhard Fridrichen Sün, v dann Jörg wyß weÿl. bemelter gebrüder Schwig. Sibmacher burger Zu Straßburg
Hatt in gegensein des fürnemmen herrn Andres Welders Schaffners der Edel Ehrenreÿch Frawen Veronica witwe Johamin geborner Stürmin bekhant (…) schuldig sein 25 pfund Straßburger werung
dafür V.pfand huß v hoffestatt mit all and. Iren gebeu & gelegen In der Crutenauw gegen S. Catharin brucken einsyt ein eck ane S Johanngießen and.syt Erhart Schultheÿß selig. erb. stosst vff dieselben Ist freÿ ledig eÿg.
(f° 226) Erschienen Samuel Fridrich burger Zu Straßburg v Judith sein Zugelopte hußfr. (…)
Léonard Friderich, menuisier à Haguenau, son frère Samuel Friderich, revendeur à Brumath, Lucrèce Friderich femme du tamisier Georges Weisseil, sœur desdits Friderich, vendent la maison au charron Jean Ruber et à sa femme Elisabeth Matzer
1596 (vts [3. tag decemb.]), Chancellerie, vol. 303 (Registranda Meyger) f° 261
(P. fol. 269.) Erschienen Lienhardt Friderich der Schreiner Burger Zu Hagenauw, Item Samuel Friderich der Gremp Zu Brumpt deßelbig Lienhardt Friderich Bruder, Item Jerg Weißweÿl der Sibbmacher, Burger Zu St. vnd Lucretia Friderichin sein eheliche haußfr. derselbig. gebrüder Schwester, Haben vnver. für sich eins vffrecht & v.khaufft
Hannß Ruber dem Wagner, Burger Zu St. vnd Elizabeth Matzerin seiner ehelich. haußfrauwen, So bede Zugeg. Inen & vestiglich Khouffen,
Hauß vnd hoffestatt, mit Iren gebeuwen & geleg. Inn der voorstatt St. Inn Crutenouw, beÿ Sant Catharinen Bruck. Ane Sant Johanns giessen dem Waßer ein, Andersit Vnd Hindenher vff Hannß Rülen den gartner stoßend, Dauon gohnd j lb 5 schilling Pfenning gelts Ablösig mit xxv lb d vff wÿhenacht. fallend, Andres Waldner den Schaffner Inn Schaffners weiß Frauwen Veronica Stürmin, Jäh. vnd alles Rht & Also & der Khouff vber hieuorbestimpte beschwerd. Zugang. vnd bescheh. für vnd vmb 132 Pfund vnd 10 schilling s St.
Originaire de Cannstadt (Camstatt), le charron Jean Ruber achète le droit de bourgeoisie en septembre 1596
1596, 3° Livre de bourgeoisie (4 R 105) p. 603
Hans Ruberr vonn Camstatt der Wagner khaufft daß burgkrecht mit beÿstandt Licentiat Jacob Braußenn, vndt will Zun Zimmerleüthen dienen. Actum den 23.t Sept. 96.
Jean Ruber demande l’intercession du Magistrat après avoir vendu des biens à Endingen pour lesquels l’hôpital de Fribourg demande un cens en nature
1599, Conseillers et XXI (1 R 78)
(f° 107) Mittwoch den IV. Aprilis – Hans Ruber vmb fürschrifft.
Hans Ruber vbergibt suppôn dorin er vermeldt alß er hergezohen v. burg. word. auch seine guetter Zu Endingen verkauffen wollen hab Im der Schaffner des Spitals Zu Freyburg weg. i. acker j saum wein begert, douon er doch nichts anders alß j sester Rocken dem von Krentzenaw Jarlich geluffert, vnnd alß er sich vor für wersung brieffbuch. documenten etwas Zugeben verwegert, hab er Im für 600 fl. gutter vnnd anders verbietten laßen dl. den solches wid. mhen frey heut er auch erbietig gegen fürlegung briefflich vrkunden, alles abzurichten was er schuldig, oder sonst in Recht weg Zuerkandt word. Bitt er mgh. wollen Ime ein fürschrifft in Rhatt Zu Ending. ertheilen d. Im d. seinig entschlagen vnnd gefolgt werde, will er Ime Schaffner Zu recht sein Erkant Ist fürschrifft bewilligt.
1607 Conseillers et XXI (1 R 86) Reinhardt Dietmar [Wardein zu Zabern] contra Hans Ruber. 89. 98.
Jean Ruber et sa femme Elisabeth hypothèquent la maison au profit de Maximilien Erhard, receveur de Véronique Sturm veuve Joham
1599 (vts [9. Marty]), Chancellerie, vol. 323 (Registranda Kugler) f° 76-v
(Inchoat fo: 91.) Erschienen Hannß Ruober Wagner burger alhie vnd Elisabeth sein eheliche haußfrauw
Haben Inn gegensein herren Maximilian Erharts Schaffners der Edlen Ehrentreÿchen Frauwen Veronica Johamin Witwe gebohrner Sturmin – schuldig seÿen 12 pfund (…) so er von Samuel Frid.en zu Brumpt Zubezalen vber sich genommen
Zum vnderpfand ernant vnd ÿngesetzt hauß vnd hoffstatt mit allen and. Iren gebeuwen gelegen Inn d. vorstatt Straßburg Inn der Crautenaw beÿ Sant Cattharinen brucken einseit neben dem gießen die anderseit neben Hanns Rüelen gartnern stoßt hinden vff denselben Hanns Rielen Vnd ist auch verhafftet vnd vnderpfand für 60 guldin zu 15 batzen obbemelt Samuel Samuel Frid.ichs Zweÿen geschwüsterden Zyls Weÿß Zubezalen, sunst ledig eÿgen
Jean Ruber hypothèque la maison au profit du jardinier Jean Heintz de la Krutenau
1601 (xxix tag Martÿ), Chancellerie, vol. 335 (Registranda Meyger) f° 116-v
(Inchoat. in Proth. fol: 155.) Erschienen Hannß Ruober der Wagner Burger Zu St.
Hatt bekhandt vndt Inn gegenwertigkheit des Erbaren Hannß Heintz garttners Inn Crutenouw Zu St. – schuldig seige 10 Pfund St. bar gelühens geltts
Zum vnderpfand ÿngesetzt, Haus vnd hoffestatt mit allen Iren gebouwen & geleg. alhie Inn der Voorstatt St. Inn Crutenouw allernechst beÿ Sant Catharinen bruck Ist einsit Ein eckhauß Am Wasser, Sant Johanns giessen, Vnd Andersit nebent Hannß Rühlen dem garttner hinden auch vff denselbig Hanß Rühlen stoßend,
Jean Ruber hypothèque la maison au profit du Jean Melchior Silberrad
1602 (4. tag Februarÿ), Chancellerie, vol. 342 (Registranda Meyger) f° 55
(Inchoat. in Proth. fol: 72.) Erschienen Hannß Ruober der Wagner burger Zu Straßburg
Hatt bekhandt vnnd Inn gegenwertigkheit h hannß Melchior Silberrath burgers Zu Straßburg – schuldig seÿen 10 pfund pfenning Straßburger gelühens gelts
Zum vnderpfand ÿngesetzt vnd verlegt, hauß vnnd hoffestatt mit All gebeuen & geleg. Inn d. Voorstatt Straßburg Inn Cruttenouw beÿ Sant Catharinen Bruck Ane Sant Johanns gÿssen, einseit neben d wasser, Andersit vnnd hindenher vff hannß Rühln den gartner Sunst ledig vnd eÿg.
Jean Ruber se remarie en 1608 avec Chrétienne, veuve de Martin Schmidt de la Robertsau : contrat de mariage, célébration
1608 (vt spâ [xvj. tag Aprilis]), Chancellerie, vol. 378 (Registranda Meyger) f° 194
(Inchoat. in Proth. fol: 173. [Eheberedung]) Erschienen Hanß Ruober der Wagner burger Zu Straßburg Ane eim
So dann Christin, Weÿland Martin Schmidt Inn Ruprechtsouw s. Witwe mit beÿstandt Vogts Andreßen daselbs Ihres geschwornen Vogts Am Andern theil
Haben bede Parthen gegen einander bekhandt vnd Offentlich verÿehen, d. Vor Viertzhen tagen Ungeuorlich Alß sie beder Hannß Ruoben vnd Christin einander Elisabether Vermehlet, Zwüschen Inen vßtrucklichen Abgeredt, beschloßen vnnd Angenommen worden
Mariage, Saint-Guillaume (luth. f° 71 n° 18)
1608. Eodem die [Dominica Jubilate 17 Aprilis] Hanß Ruber der Wagner alhie, Christina, Martin Schmidt, weiland burgers In der Ruprechtsaw nachgelaßene Wittne. Eingesegnet Zinstag 26. Aprilis (i 73)
Jean Ruber hypothèque la maison au profit d’André Dieffenbecher
1610 (ut spâ [26 tag Junÿ]), Chancellerie, vol. 390 (Registranda Meyger) f° 278-v
(Inchoat. in Proth. fol: 223.) Erschienen Hannß Ruober der wagner burger Zu Straßburg
hatt bekhandt vndt In gegenwertigkheit herrn Andres Dieffenbechers burgers Zu Straßburg – schuldig sige xxv lb d Straßburger gelühens gelts
Zum vnderpfand eingesetzt, Hauß vnnd hoffestatt mit Allen Ihren & gelegen Inn der vorstatt Alhier Inn Crutenouw beÿ Sant Catharinen bruck Ane Sant Johanns giessen, einseit neben dem wasser Andersit vnd hiendenher vff hannß Rühlen den gartner stoßend, So ledig vnnd eÿgen
im Erschienen H Creditor hatt in gegensein hannß Dörren deß Maurers alß Jetzig. besitzers deß vnd.pfandts (…) q.tirt, den 27. Junÿ 628.
Chrétienne, veuve de Jean Ruber (ici Huber) hypothèque la maison au profit du tailleur Thomas Umbhoffer, originaire de « Murnhausen » en juridiction de Fugger près d’Augsbourg
1615 (xxiiij. octobris), Chancellerie, vol. 418 (Registranda Meyger) f° 457-v
(Inchoat. in Proth. fol. 389.) Erschienen Christin, wÿlandt hanß huobers des wagners burgers Zu Straßburg seligen witwe mit beÿstandt hannß Rühlen des gartners Inn Crutenouw Ihres geschwornenn Vogts
hatt bekhand v. Inn gegenwärtigkheit Thomann Vmbhoffer des schneiders Vonn Mornhußen Im Fuckerischen gebieth beÿ Augspurg gelegen – schuldig sige 39 pfundt
Zum rechten wüssenthafften Vnderpfand eingesetzt vnd verlegt hauß vnd hoffestatt mit Allen Ihren gebeüwen gelegen Inn der Voorstatt St. Inn Crutenouw beÿ S. Catharinen Bruck einseit nebent Sanct Johanns gießen anderseit nebent obgedachtem hannß Rühlen hindenn vff bemeltem hannß Rühlen stoßend, dauon gend j lb v ß gelts ablößig mit xxv lb d hauptgutt herrn Andres Dieffenbecher Alhier
Jean Edelmann, de Walheim en juridiction de Besigheim en Wurtemberg, vend la maison au maçon Jean Dürr
1625 (ut spâ. [18. Junÿ]), Chambre des Contrats, vol. 455 f° 239-v
(P. fol. 251.) Erschienen hannß Edellmann Von Walheim Bößingheimer Ampt Im Wirtemberg. Landt (verkaufft)
hannß Dürr dem Maurer burgers Zu Straßburg So Auch zugeg.
hauß vnd hoffstatt mit Allen Ihren gebeuwen geleg. Inn d. St. St. Inn Crutenauw beÿ Sant Catharin bruck. einseit ein Eck Ane Sant Johanns gießen And.seit neben hanß Rielen gartner, hind. vff Ietzgenannt. hannß Rielen stoßend. Dauon gnd j lb v ß gndt löß. mit xxv. ln Andreß dieffenbech. Mehr j lb vj ß d gld loß. mit xxvj lb v ß hannß Friderich Silberath Sunst ledig vnd eÿg. Vnd ist disser khff vber obgehürt. beschwd. so der Kheuffer vff sich genommen, Zugangen vnd besch. für vnd vmb j C Lxxiij. lb
[in margine :] Erschienen H. hanß Geörg Kürschner Nots. Alß befelchhaber hanß Edelmanns des Verkäuffers bekannte in gegensein hannß Dürren deß Kauffers seeligen wittib mit beÿstand ihres Vogts hans Conrad Keigels – Actum 30.ten Augusti 1634.
Fils du tailleur de pierres du même nom, Jean Dürr épouse en 1609 Sophie, fille du batelier Martin von Gambsen
Mariage, Saint-Guillaume (luth. f° 87-v n° 19) 1609. II. Eadem (…) Dominica. Hanß dürr der Steinmetz, Hanß dürren seligen des Steinmetzen nachgelaßener Sohn, J Sophia, Martin von Gambsen seligen des Schiffmanns nachgelaßene tochter. Eingesegnet Montag 3. Maÿ (i 92)
Jean Dürr hypothèque la maison au profit de Jean Reichhoffer l’aîné. En marge, quittances remises en 1717 à Jean Philippe Schatz puis en 1734 à Jean Ulrich Roos
1626 (ut spâ. [24. Feb:]), Chambre des Contrats, vol. 459 f° 167
(Inchoat. in Prot. fol. 89.) Erschienen hannß Dürr d. Maurer alhie
bekannten in gegensein Daniel Reichshoffers daß er deßelben Vater H. Johann Reichßhofern dem Eltern vfrecht schuldig seÿe 50 pfundt
vnderpfandt Ein behaußung in der Krautenaw an S. Catharinen Brucken neben hanß Rühlen dem gartner, vnd anderseit neben S. Johann Güßern, hind. vf bemelten Rüelen, dauon gehen Jährlich 1 lb 5 ß Zinß Andreß Tieffenbacher mit xxv. lb d So dann 1 lb 5 ß gelts Melchior Silberrad in capital mit ccv lb abzulößen, Vnd ist die behaußung auch Zuuor haft vmb 25. lb d hannß Edelmann von Beßickheim sonst eÿgen
[in margine :] (…) in gegensein Ulrich Rooß, Karchelziehers und Schirmers, alß Kaüffers hier verpfändeter in der Vorstatt Krauttenau an St. Catharinæ bruck gelegener behaußung, beÿ deren am 5. Julÿ jüngst beschehener erkauffung er solches capital zu zahlen übernimmen hat (…) Actum den 15. Octobris 1734.
[in margine :] Erschienen H. Johann Richshoffer Rittmaÿster deme hierinnen verschriebenes Capital seiner außsag nach gehöre, hatt in gegensein Joh: Philipp Schatz Kornwerffer und Susannæ geb. Frießin deßen haußfrauwen alß nunmahliger dabitores (…) Actum den 3. Maÿ 1717
Jean Dürr hypothèque la maison au profit de l’apprêteur de chapeaux Jean Balthasar Spiess
1626 (21. Junÿ), Chambre des Contrats, vol. 459 f° 442-v
Erschienen Hannß Dürr Maurer burg. Zu St.
hatt in gegensein hanß Balthasar Spießen deß huetstaffierers auch Burgers alhie – schuldig word. 50. Pfund
Vnd.pfand hauß vnd hoffstat mit aller Zugehörd. alhie in Crautenaw beÿ S. Catharinen Brucken, neben hanß Rühlen gartner, i. vnd 2. seit ist ein Eck an S. Johannis Güeßen, hind. vff vorbemelten Rüehlen, Vnd ist das hauß Zuuor hafft vmb 25. lb d Andreß Tieffenbecher, Mehr vmb 26. lb 5 ß d hannß Friderich Silberrad vnd dann xxv. lb d rest Am Kauffschilling hannß Edelmann von wolheim im würtenberger Land
Le maçon Jean Dürr hypothèque la maison au profit des deux enfants de Martin Heinrich
1627 (2. Augusti), Chambre des Contrats, vol. 461 f° 409-v
Erschienen hanß dirr der Maurer burg. Alhie
hatt in gegensein Andreß Heinrichen Alß vogts Martin Heinrichs s. Zweÿen khindern – schuldig seÿe 50 pfund
zu vnderpfand verlegt, hauß vnd hoffstatt mit Allen Ihren gebäwen & geleg. In der Vor St: St: In d. Krautenaw beÿ sanct Catharinen brucken, einseit hannß Rühlen, And.seit ein Eck Am Sanct Johannes gießen hind. vff gemelt. Rülen stoßend, davon gend 50 pfund hn Johann Reichshoffer dem Eltern, Mehr L lb d hanß Balthasar Spieß Sunst eÿg.
[in margine :] Erschienen herr Gabriel Waldeck Goldarbeiter alß Ehevogt Susanna Heinrichin hatt in gegensein Mathiß Conrad Schiffmanns, alß ietzigen Inhabers dießes Vnderpfand (…) q.tirt Act. den 17. Julÿ 1638.
Jean Dürr hypothèque la maison au profit des enfants issus de premier mariage du marchand Jean Dex
1631 (ut spâ. [29. Julÿ]), Chambre des Contrats, vol. 470 f° 400-v
Erschienen Hanß Dürr d. Maurer burger Zu St.
hatt in gegensein Samuel Jaqmin deß goldtarbeit. alhie, Alß vogts H Isaac Dexen deß handelßmanns auch burgern Zu St. in erster Ehe erzielten Kind. – schuldig seÿ L. lb
dafür Vnderpfand sein soll hauß vnd hoffstat alhie in Krautenaw An S. Catharinen Brucken in S. Johannes güeßen neben hanß Rüelen dem gartner & neben dem Waßer hind. vf besagten Rüelen stoßend, so Zuuor v.hafftet vmb 100. fl. H Johann Reichßhofer dem eltern, It. vmb 100. Andres Heinrich Schiffmann so dann vmb 50. fl. hanß Melchior Sÿberradten sohn
(vide cassaturam in Regist. 1629. fol: 465.)
La maison revient au jardinier Georges Hirt qui épouse en 1628 Brigitte Bronner puis en 1632 Barbe, fille du maçon Jean Dürr
Mariage, Saint-Guillaume (luth. p. 28 n° 10)
1632. Doîca Invocavit & Reminiscere, 19 & 26. hornung. Görge Hirt gartenmann vnd Burg. (viduus hatte vor hin der Brennerin Brigittel) J. Barbara hans dörren maurers v. Burg. alhie Tochter. Confirmaô facta. W. (i 257)
Georges Hirt et sa femme Barbe vendent la maison au batelier Matthieu Conrad
1636 (29. X.bris), Chambre des Contrats, vol. 475 f° 1024-v
(Protocollat. fol. 89.) Erschienen Georg Hürt, gartner in Crautenaw und Barbara sein eheliche haußfr.
haben in gegensein Mathei Conraden deß Schiffmanns auch burgers alhie (verkaufft)
Hauß undt hoffstat, mit allen andern deren gebäwen & alhie in Crautenaw, unden an S. Catharinæ Brucken, ist einseit ein Eck an S. Johannis güessen anderseit neben Margreth Hanß Rühlen deß gartners Wittib, hind. vf erstgedachte witib stoßend, dauon gehen Jährlich vff Johannis Baptistæ 1 lb 6 ß 6 s geltd Hanß Friderich Silberradten in hauptgut mit 26. lb 5 ß abzulößen, So ist diß hauß auch noch Verhafftet umb 50. lb hanß Balthasar Spiessen, Item umb 50. lb Johann Reichshofer dem handelßmann so dann umb 50. lb Martin Heinrichen deß Waßer Zollers Kindern, sonst eÿgen (…) uff sich genommen geschehen für und umb 347 fl.
Fils du peintre Georges Christophe Conrad de Worms, le garçon batelier Matthieu Conrad épouse en 1633 Marguerite, fille du constructeur de bateaux Jean Gerhard
Mariage, Saint-Guillaume (luth. p. 40, n° 20)
1633. Dom. ijdem [Exaudi et Pentecostes 2. Junÿ et 9.]. Mathaus Conradi, ein Schiffknecht, Weÿlandt Geörg Christoph Conradts geweßenen Mahlers V. Burgers Zu Wormbs ehelicher Sohn, Vnndt J. Margarethe, Wld. Hans Gerhardts Selig deß Schiff Zimmermanns Vnd burgers alhie hinderlaßene tochter. Cop. Zinst. 11. Junÿ (i 264)
Originaire de Strasbourg, le garçon batelier Matthieu Conrad devient bourgeois par sa femme quinze jours après son mariage
1633, 4° Livre de bourgeoisie p. 132
Matheuß Conradt Von Straßburg d. Schüff. knecht Empfangt d. Burg.recht Von seiner haußfrawen Margaretha weÿl. hannß Gerhardt Schiff Zimmermann Vnd Burger Alhier nachgelaßene dochter Wull Zum Encker Zünfftig sein den 24. Junÿ 1633.
Mentions de Matthieu (Mathias) Conrad dans les registres du Magistrat
1639, XV (2 R 63) Mathis Conrad .4. [umb Starff moderation vff Erkanntnus in Protocollo de a° 1638]
1642, XV (2 R 65) Mathis Conrad. 180. [umb Fruchtaußlaßung]
1648, XV (2 R 67) Mathis Conrad Cont: Rheinawer Schiffleüth. 165.
1649, XV (2 R 68) Mathis Conrad. 150. [Decretum wegen Wellenlasts, Meister in Ruprechtsaw]
1651, Conseillers et XXI (1 R 134) Mattheiß Conrad Ca. Hannß Wendlin Keller. 187. [pt° sack Saltz hieher geführt]
1652, Conseillers et XXI (1 R 135) Mattheiß Conradt. 43. [umb intercessionalibus an Schordorff wegen Erbsportion]
Matthias Conrad hypothèque la maison au profit des enfants de Georges Dasenius, ancien procureur au tribunal municipal. L’acte est dressé en présence de sa femme Marguerite Gerhard.
1645 (1. Martÿ), Chambre des Contrats, vol. 494 f° 138-v
Erschienen Mathiß Conrad der Schiffmann burger Zu Str. hatt
in gegensein H Georg Rhemen Schaffners Zu St Marx alß geordneten Vogts Weÿl. H Georg Dasenÿ, geweßenen procuratoris am Stattgericht seel. nachgelaßener Kind. – schuldig seÿen 5. lb
Dafür Vnd.pfand sein soll haß Vnd hoffstatt mit allen andern ihren gebäwen alhie in d. Vorstatt Crautenaw Vnd. ahne S. Catharinæ Brucken, ist eins. ein Eck an S. Johannis Gieß., and. s. neben Dauid Küentzen, Garttnern, hind. auch vff ihne Kuentz. stoßend, dauon gehen Jahrs Vff Johannis Baptistæ 1 lb 6 ß 3 d gelts Hannß Friderich Sÿlberradten in hauptgut mit 26. lb 5 ß abzulöß. So ist diß hauß auch noch v.hafftet vmb 50. lb H Johann Reichßhoffer dreÿern deß Pfenningthurns Vn handelsmanns
Dabeÿ geweßen Margareth. Gerhardin deß Debitoris haußfr.
Matthias Conrad et Marguerite Gerhard vendent la maison au constructeur de bateaux Thiébaut Schwing. Le jardinier David Kientz, propriétaire de la maison à l’arrière, cède à Thiébaut Schwing ses prétentions sur un petit grenier.
1646 (2. april.), Chambre des Contrats, vol. 497 f° 150
(Prot. fol. 46) Erschienen Mathis Conrad der Schiffmann und Burg. Zu Straßburg, und Margaretha Gerhardin, beÿde Eheleuthe
haben in gegensein Diebolt Schwingen deß Schiff Zimmermanns und Burgers alhie und Ester Frawlerin, beÿd. Eheleuth
hauß und hoffstatt, mit allen deren Gebäwen, alhie in der Krautenaw, ahne St. Catharinæ Bruckh, ist einseit ein Eckh ahne St. Johann Gieß, und a. und anderseit neben David Küentzen, hind. auch vff Ihne Küentzen stoßend geleg., davon gehen iährlich vff Joh. Bapt: 1. lb 6 ß 3 d lößig mit 26. lib. 5. ß weÿl. hannß Friderich Silberadts sel. Erben weÿl. hannß Friderich Silberadts seel. Erben (…), So ist diß hauß auch noch verhafftet umb 50. lib H Johann Reichßhoffern dem handelsmann alhie und für Zinß und marzahl 10. lb – umb 200. lib Nach abzug aber vorgemeldte Beschwærd so in capital und zinnß thun die kauffende Eheleuth übernohmen
[in margine :] Erschienen David Küentz Gartner in Krautenaw an einem, So dann Diebold Schwing der Schiff zimmermann am andern theil, haben bekannt dEmnach Matheus Conrad der Schiffmann alß Er ihme Schwing die hierinn beschriebene Behaußung vor dem Verkauff gezeigt, under andern Gebäwen auch ein Bühnlin allerbest dießes haußes stehend alß Zue dißem hauß gehörig gewiß gehabt und daselbe alßo durch diß. Verkauff mit verkaufft, Vnd aber besagter Küentz daß solches Zu seiner daran gelegenen Behaußung gehörig seÿe vorgegeb. Alß hetten beede Parten Zu verhütung Zanckhß und Streits und hiengegen pflantzung nachbarlich Vertrawlichkeit, sich mit einand. gütlich. dahien Verglich. daß Er Küentz für sich alle seine Erben und Innhabere seiner behausung ahne daß gemeldte Bühnlin nimmermehr kein Ansprach haben, sondern solches Zu sein Schwing Behaußung ohndisputirlich gehörig sein und bleiben, hiengegen aber Er Schwing ihne Küntz 2. lb 10. ß bahr erstatten – Actum d. 18. Jan :1649
[in margine, f° 151] (…) in gegensein hannß Niclaus Hetzels deß Streelmachers als ietzmahlig. Possessoris hierin benambster behausung – Act. d. 24. Junÿ A° 1693
Thiébaut Schwing hypothèque la maison au profit de son beau-frère Caspar Schweighaeusser pour en payer le prix d’achat
1646 (4. april.), Chambre des Contrats, vol. 497 f° 153-v
Erschienen Diebolt Schwing der Schiff Zimmermann und Burger Zu Straßburg mit beÿstand Caspar Schweickhäußers deß Metzgers und Burgers alhie seines Schwähers
hatt in gegensein H Hannß Meÿers deß Metzgers Und Burgers Zu Straßburg – schuldig seÿen 50 Pfund pfenning straßb. bahr Zu bezahlung nachgeschriebener Behaußung gelühenen Gelts
dafür in specie Vnderpfand sein soll hauß und hoffstatt mit allen deren Gebäwen alhie in der Krautenaw, ahne St Catharinæ Bruckh, ist einseit ein Eckh ahne St. Johanns Gießen und anderseit neben David Küentzen, hinden auch vff Ihne Kientzen stoßend gelegen, davon gehen iährlich vff Joh. Bapt: j. lib. 6 ß 3 d. lößig mit 26. lib. 5 ß weÿl. hannß Friderich Silberradts seel. Erben, So ist diß hauß auh noch verhafftet umb 50. lib. H. Johann Reichßhoffern dem handelßmann allhie und dann umb 25. lib. Matheo Conrad dem Schiffmann kauffschillingß Rest
Thiébaut Schwing hypothèque la maison au profit du boucher Jean Bamayer. Son beau-frère Caspar Schweighaeusser se porte garant.
1673 (24. Martÿ), Chambre des Contrats, vol. 541 f° 167
Diebold Schwing der Schiff zimmermann
in gegensein Johann Bammeÿers deß Metzgers alß Ehevogts Christinæ Winterin – schuldig seÿe 50. lb
Unterpfand, hauß und hoffstatt mit allen deren Gebäwen, begriffen und Zugehördten alhier in der Vorstatt Krautenau ahn St. Catharinæ Bruckhen, ist einseit ein Eckh ahne St. Johannis Gießen, anderseit neben David Küentzen Gartnern hinden uff gedachten Küentzen stoßend gelegen, welchen behaußung Zuvor noch umb 26. lb 5. ß weÿl. hannß Friderich Silberadt seel. Erben, Item umb 50. lb weÿl. herren Johann Reichßhoffers alten Ammaÿstern nunmehr seel. nachgelaßenen Erben, so dann umb 50. lb herrn Nicolao Jundten Jun.Med. Doct. Verhafftet
deßen Zu noch mehren Versicherung so ist auch hierbeÿ persönlich erschienen Daniel Schweighäußer der Metzger deß Schuldners Schwager der hatt sich für obig Schuld und biß dieslebe Völlig wird bezahlt sein Verbürgt
[in margine :] (…) in gegensein Hannß Niclaus Hetzels deß Strehlmachers als jetzigen besitzers deß hierinn benambsten underpfands (…) Act. d. 3. Jul. 1693.
Les experts estiment la maison à 300 florins (150 livres) lors de l’inventaire dressé en 1683 après la mort de Thiébaut Schwing.
La maison revient à sa fille Anne Marie qui épouse en 1676 le peignier Jean Nicolas Hetzel
Mariage, Saint-Guillaume (luth. p. 119)
1676. Dominic. Trinitatis et 1. Trin: 21 & 28. Hannß Niclaus Hetzel der ledige Strehlmach. Niclaus Hetzel des Hornbrechers ehel. Dohn, Jungfr. Anna Maria Diebold Schwing. des Schiff Zimmermanns ehel. tochter (i 79)
Jean Nicolas Hetzel est à plusieurs reprises nommé chef de la maîtrise des peigniers (1682, 1693, 1699, 1707)
1678, Protocole de la maîtrise des peigniers (XI 296)
1680, f° 24 Hans Niclaus Hetzel beclagt
1682, f° 36 Obermeisters Wahl, Hans Niclaus Hetzel
1683, f° 38 Hans Niclaus Hetzel der Obermeister contra Gesellen
Frantz Verius contra Hans Niclaus Hetzel
f° 41 Niclaus Hetzel contra Hans Gambler
f° 44 Hans Niclaus Hetzel Obermeisters Rechnung
1685, f° 48 Hans Niclaus Hetzel contra Hans Carl Müller
1687, f° 56 Hans Niclaus Hetzel contra Johann Friderich Ottel
1693, f° 79 Wahl, Hans Niclaus Hetzel Obermeister
1695, f° 86 Niclaus Hetzel contra Tobiam Schiffer
f° 87 Hans Niclaus Hetzel contra Johann Friderich Rheinthaler
1698, f° 99 Frantz Niclaus Hetzel et consorten contra Frantz Verius wegen Horn einkauffung
1699, f° 105 Wahl, Hans Niclaus Hetzel Obermeister
1701, f° 114 Johannes Schmid Schneider contra Johann Niclaus Hetzel
f° 118 Hans Niclaus Hetzel contra Johann Friderich Rheinthaler
f° 135 Niclaus Hetzel contra Gottfried Oppel
1707, f° 151 Wahl Hans Niclaus Hetzel
Jean Nicolas Hetzel se remarie en 1693 avec Anne Marie, fille du charretier (transporteur) Zacharie Schott
Mariage, Saint-Guillaume (luth. f° 45-v)
1693. Mittwochs d. 15. Aprilis seind nach 2 maliger Proclamation copulirt orden Johann Niclaus Hetzel der Kammacher v. B. alhier, vnd J. Anna Maria Wls. Zachariæ Schotten deß Fuhrmanns auf dem Luxhoff Vnd B. alhier vndt Fr. Susanna geborner Braunsteinin nachgelaßene eheliche Tochter [unterzeichnet] Johann Niclauß hetzel Als hochzeiter, o diß ringzeichen machte die Jungfer braut, Niclauß hetzel als deß hochzeiters vatter (i 46)
Anne Marie Schott fait dresser l’inventaire de ses apports dans la maison de son mari au pont Sainte-Catherine
1702 (2. 8.bris), Not. Winckler (Elie, 61 Not 23) n° 26
Inventarium und Beschreibung aller Haab und Nahrung keinerleÿ außgenommen, so die Ehren und tugendreiche fraw Anna Maria gebohrne Schottin, dem Ehrenhafften Meister Hans Niclaus Hetzeln, Kammachern und burgern zu Straßburg den 15. Monatstag Aprilis Anno 1693 angetrettenen Ehestand für unverändert Zugebracht, auch hier Zwischen von dem Jenigen wydemb so weÿl. Fr. Aurelia, auch weÿl. Adolph Braunstein gewesenen gartenmanns seel. wittib von demselben biß an Ihr in diesem 1702. Jahr beschehenen ableiben genoßen, Erbs weise bekommen (…) Actum Straßburg Montags den Andern Monatstag Octobris Anno 1702.
In einer in der Statt Straßburg ane St. Catharinenburck gelegen v. vom dem Ehemann bewohnenden behaußung befunden worden wie folgt
Jean Nicolas Hetzel hypothèque la maison au profit des enfants de Jean Christian
1706 (23.Xbr), Chambre des Contrats, vol. 579 f° 928-v
Johann Niclaus Hetzel Kammacher
in gegensein andres Röderers gerbers u. lederbereithers alß vogts weÿl. Joh: Christians 4. KK – schuldig seÿen 50 pfund
unterpfand, eine behaußung allhier in der Krautenau ahn St. Cath: bruck einseit neben Joh: Jacob Schwing anderseit ist der gießen hinten auf ihn Schwing stoßendt
Jean Nicolas Hetzel hypothèque la maison au profit de l’enseignant Jean Güntzlein
1707 (31.3.), Chambre des Contrats, vol. 580 f° 249
Joh: Niclaus Hezel Kammacher
in gegensein H. M. Joh: Güntzlein præceptoris inferioris Gymn: – schuldig seÿen 100 pfund
unterpfand, eine behaußung allhier in der Krautenau ahn St. Cath: bruck, einseit neben Joh: Jacob Schwing anderseit ist der gießen hinten auf Schwingen stoßend
Anne Marie Schott meurt en 1724 à l’âge de 66 ans. Jean Nicolas Hetzel, mari de la défunte, et Nicolas Hetzel son fils signent l’acte
Sépulture, Saint-Guillaume (luth. reg. 1708-1729, f° 180, n° 36)
Freÿtags d. 16. Maj 1724 ward begraben ad st Urban ein Mitwochs d. 24.ten eiusd. hor. 4 gestorbenes Weib Anna Maria, Johann Niclaus Hetzels deß Kammachers v. burgers ehefrau geborne Schottin morbus langwierige blödigkeit v. Zuletzt sehr Schmetzliches reißen im leibs, so sie plötzlichen gestoßen. ætas 66 jar 4 monat Welches bezeugen, hans Niclauß hetzel. alß Ehman, Niclaus hetzel als son (i 183)
Le peignier Jean Nicolas Hetzel meurt en 1729 à l’âge de 79 ans
Sépulture, Saint-Guillaume (luth. reg. 1722-1763, f° 28-v, n° 27)
1729. d. 1. Octobris Sambstag morgen um 9 uhr starb Meister Niclaus Hetzel burger u. Kammacher allhier, seines alters 79 jahr 5 monat weniger 4 tag u. wurde denselben am Sonntag darauff auff den Gottes Acker S. Urban ehel. begraben [unterzeichnet] Johannes niclauß hetzel als son, Johann philipp hetzel als sohn (i 34)
La maison est vendue par adjudication judiciaire le 13 mai 1716 à Jean Philippe Schatz (voir plus loin l’inventaire dressé en 1728)
Fils du marchand de futaine Jean Chrétien Schatz, le boulanger Jean Philippe Schatz épouse en 1706 Susanne, veuve du farinier Jean Martin Fuchs
Mariage, Temple-Neuf (luth. f° 163 n° 750)
1706. Mittw. den 3. Februarÿ, Seind nach Zweÿm. Proclamation ehl. copulirt word. Joh: Friderich Schatz der ledige Weißbeck, Johann Christian Schatzen geweßenen barchert Grämers Hinterl. ehl. Sohn, und Fr. Susanna weÿl. Joh: Martin fuchsen gewesenen Meelm. Hinterl. Wittib [unterzeichnet] Johann Phillipp Schatz als hoch Zeiter, Susanna frißen Als hochzeiterin, Johannes Kügler Alß vogtt, hanß friderich frieß als bruter (i 162)
Le boulanger Jean Martin Fuchs épouse en 1695 Susanne, fille du cordier Jean Frédéric Friess
Mariage, Saint-Guillaume (luth. f° 55 n° 9)
1695. Mittwochs d. 18. Maji seind nach gewonlich. proclamation Hans Martin Fuchs der Schwartzbeck v. burger alhier, Vndt Jgr. Susanna, Johann Friedrich Frießen deß Seylers v. B. alhier ehel. Tochter u. Fr. Susanna gebohren Schulerin tochter copulirt v. eingesegnet worden. [unterzeichnet] hanß Martin fuchs Alß hochzeiter, Susanna frießea Alß hochzeiter
Originaire de Wasselonne, Jean Martin Fuchs a épousé en 1683 Marie Salomé, fille du tailleur Augustin Brucker
Mariage, Temple-Neuf (luth. f° 14)
1683. Dom: 7. post Trinit. Zum 2 mahl. Hanß Martin Fuchs der Weißbeck, Weÿl. Michael Fuchßen geweßenen burgers in Waßlenheim Straßburg. herrschafft ehel. S. Jfr. Maria Salome weÿl. Augustin Bruckers des schneiders und burgers allhier ehel. T. Mont. den 9.ten Aug. Zun Predigern (i 115)
Les nouveaux mariés font dresser l’inventaire de leurs apports dans la maison appartenant à l’épouse rue du Dévidoir. Ceux du mari s’élèvent à 66 livres, ceux de la femme à 491 livres.
1706 (12.5.), Not. Schatz (Jean Frédéric, 51 Not 8)
Inventarium und Beschreibung aller der Jenigen Haab Nahrung und Güether, liegend und vahrender, so der Ehrsam und bescheidene Joh: Philipps Schatzen vnd die Viel Ehr : und Tugendsahme Fr. Susanna Gebohrne Frießin beede Eheleüthe und burgere Zu Straßburg einander vor ohnverändert in den Ehestand gebracht. Welche crafft der Zwischen Ihnen beeden Eheleuten vffgerichteten Eheberedung ihro reservirt vnd vorbehalten Gutt sein solle (…) Actum Straßb. in fernerem beÿsein H Joh: Kuglers des Kupfferschmidts des Manns ohnentledigten vogts, vnd H. Joh: Friderich Frieße des Seÿlers der Fr. vogtens Mittwog den 12.ten Maÿ 1706.
In einer in der Statt Straßburg am Krauttmarck gelegenen Schlaffhauß befunden worden Wie folgt
Holtz vnd Schreinwerck. In der Cammer A, In der Cammer B, In der Cammer C, In der Cammer Soldaten, In der Wohnstub, In der Stub Camer, Im mittl. Haußöhrn, In der Kuchen
Eÿgenthumb ahne einer Behaußung (F.) i. alt hauß unten am haspelgäßel (…)
Series rubricarum hujus Inventarÿ. Des Ehemanns Zugebracht Ohnverändert Vermögen, Sa. haußraths 25, Sa. Silber geschirr und Geschm. 2, Sa. Baarschafft 16, Sa. Schuld 8, Summa summarum 52 lb – Hierzu gelegt die Ihme an denen unten eingetragenen haussteuren gebührigen Zween dritte theil so thun 14. lb, des Ehemanns sambtlich in den Ehestand gebrachtes Eigenthüm. Vermögen 66 lb
Der Ehefr. Ohnverändert Guth, Sa. haußraths 265, Sa. Silber geschirr und Geschmeids 7 ß, Sa. Goldener Ring 17, Sa. der baarschafft 6, Sa. Eigenthumbs ane eoner behaußung 224, Sa. der Schulden 10, Summa summarum 530 lb – Schulden 46, Nach deren Abgang 483. Wann nun hiezugelegt wird der Ihro gebührige ein dritte theil anen denen haussteuren 7 lb, So wird der Ehefrau sambtlich in die Ehe gebracht Ohnverändert Guth in allem seÿe und außmachen benantlich 491 lb
Jean Philippe Schatz et Susanne Friess hypothèquent la maison au profit des enfants de Laurent Hauss
1720 (16.5.), Chambre des Contrats, vol. 594 f° 235
Joh. Philipp Schatz kornwerfer und Susanna geb. Frießin beÿständlich Joh. Friedrich Frieß seÿlers und Joh. Daniel Frieß drehers
in gegensein Michel Baur Kiefers als vogts Lorentz haußen KK – schuldig seÿen 24 lb
unterpfand, ihr hauß cum appert. jenseith Cath: Bruck einseit neben Christoph dambach anderseit ist ein eck, hinten auf ihn Dambach (und capitalien)
Jean Philippe Schatz et Susanne Friess hypothèquent la maison au profit d’Anne Messerlin veuve du blanchisseur Jean Frieder
1722 (12.6.), Chambre des Contrats, vol. 596 f° 363
Joh. Philipp Schatz Kornwerffer und Susanna geb. Frießin beÿständlich Joh. Daniel Frieß hohldrehers und Joh. Samuel Frieß Schuhmachers ihrer brüder
in gegensein Joh. Georg Holtzapffel Silberdrehers als mandatarÿ seiner Schwieger mutter Annæ geb. Meßerlinin weÿl. Joh. Frieder gewesten Waschers wittib so ohnbevögtigt – schuldig seÿen 50 pfund
hypothecirt, Eine Behausung und hoffstatt cum appertinentis jenseth St Catharinä Brücken, einseit neben Christoph Dambach anderseit ist ein eck ahn ged. Bruck hinten auff besagten Dambach
Susanne Friess meurt en 1728 en délaissant trois enfants de son premier mariage et deux du deuxième. L’inventaire est dressé dans la maison du marchand de vins Jean Jacques Demuth près de l’Orphelinat.
1728 (30.6.), Not. Hoffmann (Christophe Michel, 19 Not 27) n° 899
Inventarium über Weÿland Frauen Susannæ Schatzin gebohrner Frießin, des Ehrsamen Johann Philipp Schatzen, Kornwerffers und burgers alhier Zu Straßburg geweßenen ehelichen Haußfrauen nunmehro seel. Verlaßenschafft auffgerichtet in Anno 1728.
Inventarium und Beschreibung aller der Jenigen Haab und Nahrung, nichts davon außgenommen, so weÿlandt Frau Susanna Schatzin gebohrne Frießin, Johann Philipp Schatzen des Kornwerffers und burgers alhier Zu Straßburg geweßene eheliche Haußfrau nunmehro seel. nach ihrem am 17. Aprilis Jüngsthien genommenen tödlichen hientritt hie Zeitlichen Verlaßen (…) So beschehen Straßburg den 30.ten Junÿ Anno 1728.
Die Verstorbene Seelig hat ab intestato Zu Erben hinterlassen. 1. Mstr Johann Friderich Fuchs den hohldreher und burger Zu Markirch, und weilen derßelbe Frembd und ohnverburgert, alß ist beÿ E: E: kleinen Rath in deßen Nahmen Unterthänig erbetten undt Gnädig Deputirt worden S: T: H, Johann Martin Kuntz wohlgedachts E. E. kleinen Raths jetzmahligen beÿsitzers welcher dem Geschäfft in Persohn abgewartet. 2. Mstr Johann Fuchs den Schloßer und burger allhier so gegenwärtig Vor sich selbsten, 3. Susannam Margaretham gebohrne Fuchßin Mstr Johann Geörg Ringert des Fuhrmanns und burgers allhier eheliche haußfrau, mit beÿstand deßelben, so beÿde gegenwärtig, dieße dreÿ mit weÿl. Meister Johann Martin Fuchß geweßenen Haußfeurer und burger allhier Ihren ersten Mann seel ehelich erziehlt
So dann 4. Jgfr Annam Mariam, 5. Mariam Barbaram dero geschworner Vogt ist Mstr Johann Caspar Frieß der Seÿler undt burger allhier So dem Geschäfft in Persohn abgewartet, Dieße beede Letstere gebohrne Schatzin, So die verstorbene Seelig mit vorerwehntem ihrem hinterbliebenen Wittiber als Zweÿten Ehemann ehel. erziehlt. Alle Fünff aber Zu gleichen portionen und antheÿlern hinterlaßener Kinder und Erben.
In einer allhier Zu Straßburg beÿ dem Weÿßenhaus ohnweit denen Salpeter hütten gelegenen Lehnungsweis bewohnenden behaußung und dero inhabenden Gemächern befunden wie folgt.
haußrath 39 (E 29, T 9), Silber (E 1)
Ergäntzung der Erben abgangen ohnveränderten Vermögens. Nach ausweis Inventarÿ so weÿland H Johann Friedrich Schatz geweßener Notarius über eingangs gedachter beeder Eheleute für ohnverändert in den Ehestand zusammen gebrachte Nahrung underm 12. Maÿ Anno 1706. auffgerichtet durch H, Johann Adam Ösinger Notarium juratum publicum am 16. Februarÿ Anno 1714. expedirt und außfegertiget worden, Summa 435, Abzug 231, Nach solchem abzug 204, Summa summarum der Erben Vermögens 235 lb
Schulden, Item Hn Johann Jacob Demuth dem weinhändler allhier vor das Jüngst verstrichene Johannis quartal versessenen haußzinß, Summa 488 lb, Übertreffen die theÿlbahre passiva die wenige Sogenannte theÿlbahre activ Massam umb 478 lb
Conclusio finalis Inventarÿ 13 lb
Copia codicilli – persönlich kommen und erschienen Susanna gebohrene Frießin, weÿland herrn Martin Fuchßen geweßenen Meelmanns und auch burgers Zu gedachtem Straßburg nunmehro seeligen hinterlaßene wittib, auffrecht gehend und stehenden leibes (…) Donnerstags den 21. Januarÿ 1706.
Le remueur de grains Jean Philippe Schatz se remarie en 1729 avec Catherine, veuve du journalier manant Joseph Klein.
Mariage, Illkirch (luth.)
1729. d. 17. Julÿ sind auf Erlaubnus Ihro Gn.Regierend. H. Ammeister Zum 1. u. 2. mal ordentl. ausgeruffen und d. 19. ejusdem ehl. copulirt und eingesegnet word. Johann Philipp Schatz burg. und Kornwerff. in Straßburg jetzig. Zeit Wittiber, Catharina weÿl. Joseph Kleinen, deß geweßenen Schirmers und tagners in Strasb. hind.laßne wittib. Sind beide Evangel Luther. religion laut unterbracht. Scheins [unterzeichnet] Johann Phillipp Schatz als hoch Zeiter, + Sig. Catharinæ Kleinin der Hochzeiterin (i 86)
Le remueur de grains Jean Philippe Schatz meurt en 1739 en délaissant deux filles de son premier mariage et sa veuve manante Catherine Keller. L’inventaire est dressé dans la maison du cordonnier Jean Michel Lœffler au Vieux-Marché-aux-Vins. La masse propre à la veuve est de 14 livres. L’actif des héritiers s’élève à 12 livres, le passif à 12 livres.
1739 (31.12.), Not. Dinckel (J. Raoul, 6 E 41, 358-2) n° 65
Inventarium über Weÿland des Ehrengeachten Johann Philipp Schatzen des geweßenen Kornwerffers und burgers allhier zu Straßburg nunmehr seel. Verlaßenschafft auffgerichtet Anno 1739. (…) als derselbe Montags den 28. dießes Monats Decembris dießes Zeitliche in das Ewige verwechßelt, nach solch seinem aus dießer welt genommenen tödlichen hintritt genommenen tödl. hintritt zeitlichen verlaßen, welche Verlaßenschafft auf freundliches ansuchen erfordern und begehren der Theilung, Frauen Annæ Mariæ Geÿlerin gebohrener Schatzin, des Ehren und vorgeachten Meister Valentin Geÿlers des Schuhmachers und burgers alhier ehelicher haußfrauen mit assistentz deßelben wie auch der tugendsamen Jungfrauen Maria Barbara Schatzin Majorennis und ohnbevögtigt mit beÿstand des Ehren vnd vorgeachten Meister Andrea Danner Schuhmachers und burgers allhier, Ihres erbettenen beÿstands beder des verstorbenen mit auch weÿland der tugendsamen Frauen Susanna Schatzin gebohrenen Frießin, seiner geweßenen erstern Ehefrauen ebenmäßig seel. ehelich erzielter zwoer töchter und ab intestato verlaßener Rechtmäsiger Erben und ersucht und inventirt durch auch die tugendsame Frau Catharinam Schatzin gebohrene Kellerin die hinterbliebene Wittib, Schirms Verwanthin mit assistentz des Ehrenvest wohlvorgeachten und weißen herrn Johann Lucas* Schaaffen Schneiders und E: E: Kleinen Raths jetzig wohlverdienten beÿsitzers (…) weilen dieselbe allhier ohnverburgert, hierzu in specie abgeordnet (…) So beschehen in Straßburg auf Donnerstag den 31.ten Decembris Anno 1739.
In einer allhier Zu Straßburg ane dem alten Weinmarckt gelegenen und in dieße Verlaßenschafft nicht gehörigen behaußung, befunden worden, wie folgt
Schulden aus dem Erben Zubezahlend. Erstl. Mr Joh: Michael Löffler dem Schuhmacher solle man (…) It. demselben solle mann ferner vor ein viertel jahr hauß Zinß auf weÿhenachten 1739. verfallen, 2. 10.
Series rubricarum hujus Inventarÿ. Der Wittib ohnverändert Vermögen, Sa. haußraths 14
Der Erben ohnverändert und theilbare Nahrung, Sa. haußraths 12, Schulden 12, Übertreffen alßo die Passive deroselben Völlige vorhandene Activ: Massam um 2 ß.
Conclusio finalis Inventarÿ 14 lb – Stall Summ 5 lb
Jean Philippe Schatz meurt à l’âge de 58 ans. Son beau-fils Jean Georges Klein et son gendre Valentin Geyler sont témoins.
Sépulture, Temple-Neuf (luth. reg. 1719-1755 f° 102-v) 1739. Mont. den 28.ten Dec. morgens umb halb Uühr starb Johann Philipp Schatz Kornwerffer u. b. all hier, S. alters 58 Jahr 5 monath weniger 2 tag wurde Zinst. darauff ehr. Zu erde bestattet auff d. gottes acker St. Helen [unterzeichnet] Johann Georg Klein, als Stieff Sohn, Vallendin Geÿler Als dochterman (im 106)
Le remueur de grains Jean Philippe Schatz et Susanne Friess vendent la maison au cordonnier Jean Daniel Baur et à sa femme Marthe Spindler
1724 (23.6.), Chambre des Contrats, vol. 598 f° 297
Johann Philipp Schatz der kornwerffer und Susanna geb. Frießin
in gegensein Johann Daniel Baur des Schuemachers und Marthæ geb. Spindlerin
Eine Behausung und hoffstatt mit allen derselben gebäuden, begriffen, zugehörden und gerechtigkeiten ahn der Vorstatt Krauttenau beÿ St Catharinä bruck, einseit ist ein eck am gießen anderseit und hinten auff Christoph Dambach den Metzger – um 250 pfund ausmachende capitalien verhafftet, geschehen um 150 pfund
Daniel Baur adresse aux Quinze une requête pour obtenir de la tribu des Cordonniers une promesse d’admission. Il expose ensuite qu’il a l’intention de se marier et que le bras qu’il s’est cassé à l’âge de neuf ans le fait encore souffrir. Les représentants des Cordonniers demandent de s’en tenir au règlement. La commission adopte cet avis, ratifié par l’assemblée.
1718, Protocole des Quinze (2 R 122)
(p. 38) Sambstag d. 5. Februarÿ 1718 – Zentgraff nôe Daniel Baur des ledigen Schumachers C. E. E. Zunfft der Schumacher bitt Underthd umb burger Zu werden Ihme mir einem Zunfftschein Zu Willfahren. Erkandt, obere handwerck herren.
(p. 58) Sambstag d. 12. feb. 1718. – Joh: Daniel Baur C. E. E. Zunfft der Schumacher pt° Zunfft Scheins
Iidem [Obere handwerck Herren] laßen ferner per Eundem [Herrn Secret. Kleinclaus] Referiren, daß Joh: Daniel Baur der ledige Schumacher C. E. E. Zunfft der Schumacher Underth. angesucht Ihme Zu erhaltung des burgerrechtens mit einem Zunfft Schein gnädig Zu Willfahren. Alß man Ime ferner hierüber gehört habe er beÿgefügt daß er sich heurathen, und mit seiner hand allein arbeithen wolle, Er habe in dem 9. Jahr seines Alters einen arm gebrochen, dahero er Zuweilen noch große Schmertzen empfide, Nôe E E. Zunfft seÿe erschienen H. Not. Pantrion undt H. Joh: Michael Hug, welche gebetten, es beÿ Ordnung Zu laßen, und die in sachen Hennings Jüngsthin beÿgebrachte Ursachen in consideration Zu Ziehen, damit die Zunfft nicht all zu sehr überfahret werde, es seÿen ohne dem bereits über 50 Zünfftige welche jeder 22. stallgelter schuldig seÿn, mit bitt gegnern abzuweisen.
Die Hh. Dapp. hielten davor daß es beÿ ordnung Zu laßen und der implorant an dieselbe zu verweisen seÿe. die genehmhaltung Zu Mghh. stellend. Erkandt bedacht beliebt.
Fils du batelier manant Marc Baur, Jean Daniel Baur épouse en 1718 Anne Marie, fille de l’apprêteur de tabac Paul Ziegel : contrat de mariage, célébration
1718 (8.3.), Not. Oelinger (J. Jacques, 35 Not 73) n° 43
Eheberedung zwischen dem Ehrengeachten vnd bescheidenen Daniel Bauren, Leedigem Schumacher, weÿl. des Ehrengeacht. Marci Bauren, Schiffmann und Burgers allhier Zu Straßb. Ehelich hinterlassenem Sohn beÿständlich des Ehren vorgeachten Niclaus Hornen Schneiders und burgers Zu ged. Straßb. als dem hochzeiter ane Einem
So dann der Viel Ehr: vnd tugendsamen Jgfn Annæ Mariæ Ziegelin, des Ehren und wohl vorgeacht. H. Paul Ziegel tabackbereiters undt burgers Zu vielged. Straßb. Ehelich erzeugter tochter, beÿständlich deßelben als der hochzeiterin andern theils
Actum Straßb. Dienstags d. 8. Martÿ 1718. [unterzeichnet] Daniel Baur als Hochzeiter, anna maria Ziegelin als hoch Zeiterin
Mariage, Saint-Guillaume (luth. f° 203 n° 2)
1718. Mittwochs den 9.t Martÿ seind nach geschehener 2.maliger außrufung Dominica Quiquagesima et Invocavit in der Kirch Zu S Wilhelm ehelich eingesegnet worden Daniel Baur, der ledige Schuhmacher v. Burger, weiland Marci Bauren deß Schiffmans v. Schirmers v. Evæ Ursulæ Thonierin so noch lebet ehelicher Sohn v. Jfr. Anna Maria Paul Ziegels deß Tabacbereiters v. burgers v. Annæ Mariæ Ottin eheliche dochter [unterzeichnet] Daniel Baur als hochzeiter, Anna Maria Ziegelin als hoch Zeiterin (i 210)
Daniel Baur devient bourgeois par sa femme quinze jours après son mariage
1718, 4° Livre de bourgeoisie p. 832
Daniel Baur Von hier, schumacher, weÿl. Marx Bauren gew: Schiffmanns hind. sohn, emp. das burger recht Von seiner Fr. Anna Maria Zieglin p. 2. gold fl. Wird Zur Mörin dienen. Jurav. 21. Dito [Martÿ] 1718.
Daniel Baur, veuf sans enfant, demande l’autorisation de faire son chef d’œuvre. Le secrétaire de la tribu déclare ne pas voir d’objection à considérer le pétitionnaire comme célibataire. Comme il n’a pas les forces nécessaires pour faire des bottes à cause de son bras cassé, Daniel Baur demande aussi de remplacer les bottes à confectionner pour le chef d’œuvre par deux paires de chaussures comme cela s’est déjà fait. Le secrétaire estime qu’une telle autorisation constituerait un précédent fâcheux. Les Quinze autorisent le remplacement par des chaussures à la mode et des chaussures de campagne.
1721, Protocole des Quinze (2 R 125)
(p. 230) Sambstag d. 31. Maÿ 1721.Moss. nôe Daniel Baur Schumachers undt burgers Cit. E. E. Zunfft der Schumacher H Zunfftmeister prod unterthänig Memor. mit beÿlag N. 1. 2. et 3. umb gn. dispensation pt° Meisterstück. Gug Cit haltet sich an Articul, bitt deputationem. Erk. Obere Handwerck herren
(p. 254) Sambstag d. 14. Junÿ 1721 – Johann Daniel Baur Ca. E. E. Zunfft der Schumacher
Obere Handwerck herren laßen per eundem referiern Es habe Johann Daniel Baur der burger und Schumacher allhier C. E. E. Zunfft der Schumacher ein Memoriale mit N. 1. 2. et 3. producirt jnnhalt welches er bericht daß wegen seines in der Jugend gebrochenen arms, undt anderer an sich gehabter beschwerlichkeiten annoch von solcher blödigkeit daß er die gar schwahre arbeit welche die Schumacher beÿ Verfertigung der Stieffel Vorrichten müßen nicht selbsten Verrichten Könne, deßwegen er sich auch vor dreÿ Jahren verheürathet und burger worden ohne das Meisterstück Verfertiget Zu haben. Nunmehro aber da er nicht mehr in Verheurathetem stand lebe, indeme sein Eheweib gestorben, auch Keine Kinder hinterlassenen und indeßen er erfahren daß auch anderen Meister nahmentlich Johann Käßen und Daniel Bürckel auch Schumachern die genade wiederfahren ist, daß sie beÿ Verfertigung Ihres Meisterstücks Keine Stieffel sondern dreÿ paar Schuhe machen dörffen, Alß habe er umb die admission Zu dem Meisterstück beÿ E. E. Zunfft gericht der Schumacher angehalten seÿe aber laut Extractus E. E. Zunfft der Schumacher gerichts Memorialis vom 20. Maÿ jüngst mit seinem begehren an MGhh. Verwießen worden, Mit bitt Mghh. mochten gnädig dispensiren damit er in seinem wittwenstand Zu dem Meisterstück admittirt werde, und ane statt der Stieffel dreÿ paar Schuh machen dörffe, die beÿlag N° 1 ist ein Attestatum vom Dr. Scheid Statt Physico vom 1. Febr. 1718, die beÿlag N° 2 aber ein Certificat von H. Johann Jörens Chirurgo vom 18. Januarÿ 1718. durch welche die angezogene Blödigkeit beschienen, vndt dan die die beÿlag N° 3. obangeregter Zunff tbescheid.
geschehene Remission habe der Implorant seine petita wiederhohlt, Nomine gedachter Zunfft habe H. Not. Pantion geantwortet, daß weilen der Implorant nunmehro weder Weib noch Kinder habe, selbiger seiner meinung nach wieder Vor ledig Zu halte,n, es auch derentwegen Keine große difficultæt geben werde, daß aber derselbe Verlange nur einige und nicht alle zu Verfertigung des Meisterstücks erforderliche sachen Zu machen, würde solches, wann es gestattet werden solte, sehr præjudicirlich fallen, und böse Consequenzen nach sich Ziehen, Worauff der Implorant replicirt er Könne die harte undt Waßer: Stieffel, wie auch den Feÿer Eÿmer ohnmöglich machen, weilen er in dem lincken Ellenbogen Kein beinlein mehr, folglich die Kräfften darzu nicht habe, endtlich wolte er sich untersehen ein par weiche Sieffel nach der jetzigen mode zu machen.
Auff seithen der Hh. Depp. habe man davor gehalten daß beÿ dem Imploranten dergestalt dispensirt werden Könte daß er ein paar mode Schuh ein paar Landt: Schuh, den Feÿer Eÿmer (:weilen andere an diesem stuck dem Stuckmeister Zu helffen pflegen:) undt dann ein paar Weiche Stieffel sampt den Kappen machen solle. die genehmhaltung Zu Mghh stellend. Erk. bedacht gefogt.
Jean Daniel Baur se remarie en 1721 avec Marthe, fille du pêcheur Charles Spindler : contrat de mariage, célébration
1721 (27.6.), Not. Brackenhoffer (Jean, 4 Not 26) n° 9
Eheberedung – zwischen dem Ehrsamen vndt bescheidenen Mstr Johann Daniel Bawren Schumachern v. burgern alhier als wittibern v. hochzeitern ane einem
So dann der tugendsamen Jfr. Marthannæ Spindlerin weÿl. deß Ehrsamen Joh: Carl Spindlers geweßenen fischers vndt burgers alhier hinterlaßenen dochter
Actum Straßburg den 27. Junÿ Anno 1721. [unterzeichnet] Johann Daniel Baur Als hochzeiter, Marthan Spendlerin hoch zeiterin
Mariage, Saint-Guillaume (luth. f° 223-v n° 15)
1721. Mittwochs d. 9. Julÿ seind nach geschehener 2.maligen außruffung Domin. 3 & 4 Trinit. in der Kirch Zu S. Wilhelm ehelich eingesegnet worden Joh: Daniel Baur der Schuhmacher v. b. weiland Anna Maria Ziegelin ehemann v. Jfr Martha, Weiland Carl Spindlers deß Fischers v burgers v Martha nachgelaß. dochter [unterzeichnet] Johann Daniel baur als hochzeiter [unterzeichnet] Johann Daniel baue als hochzeiter, Marda Spinlderin hoch Zeiterin
[in margine :] extrahirt d. 8. Maÿ 1752. extrahirt de novo d. 16. Jn. 1757, wider extrahirt d 25. febr. 1791, wieder extrahirt d. 5. Mart: 1792 (i 231)
Marthanne Spindler meurt en 1726 en délaissant un fils. Les experts estiment la maison à 250 livres, elle est cependant hypothéquée pour une somme supérieure. La masse propre au veuf est déficitaire de 35 livres, celle propre aux héritiers s’élève à 54 livres. L’actif de la communauté s’élève à 21 livres, le passif à 43 livres.
1727 (13.6.), Not. Brackenhoffer (Jean, 4 Not 2) n° 112 (1483)
Inventarium und Beschreibung aller derjenigen Haab undt Nahrung Schulden und gegen Schulden, überall nichts davon außgenommen, so Weÿland die Ehren und tugendsahme Frau Marthanna Spinnthlerin, Mstr. Johann Daniel Bauren des Schuhmachers v. burgers alhier geweßene ehel. haußfrau nunmehro seel. nach Ihrem am 24. Maÿ diß lauffenden Jahrs aus dießer Zeit und Welt genommenen tödt. hintritt hier Zeit. verlaßen, Welche Verl. Nahr. dato zu end sehend auf freundliches ansuchen erfordern und begehren des Ehrsam vnd bescheidenen Johann Martin Riembach des Huthmachers vnd burgers alhier alß geordnet und geschwohrenen Vogts, Johann Daniel, der Verstorbenen seel. mit nachgemeltem Ihrem hinterbl. Wbr. ehel. erzeugten Söhnleins fleißig inventirt (…) Actum Straßburg den 13. Junÿ Anno 1727.
Copia der Eheberedung
Haußrath und Vahrende Haab So Sich in einer alhier Zu Straßburg ane der Catharinä bruck in der Krauthenau gelegenen in gegenwärtiger Verlaßenschafft gehörigen behaußung sich folgender maßen befunden
Ane Höltzen und Schreinerwerck. In der Soldaten Cammer, In der Knechts Cammer, In der Stub, In der Kuchen
Eÿgenthumb ane einer Behaußung. Eine behaußung und hoffstatt mit all übrigen deren Gebäuen begriff. weith. Recht. Zugehörden und Gerechtigkeit geleg. alhier ane d. Vorstatt Krautenau beÿ St. Catharinæ bruck, einseith ist ein Eck am Gieß. 2.s. und hinten auff Christoph Dambach, den Metzg. stoßend + darauff stehet in Capital H. Not° Tromer umb 100. lb. d. Ferner Storck dem handelsmann umb 100 lb. d. So dann Holtzapffel den Silberträher umb 50 lb, Ferner dem Stifft Waÿßenhauß 50 lb. Sonsten aber freÿ ledig und eÿgen und über dieße beschwerdte dermahl. durch die allhießig. geschworene Werckmeistere Krafft Ihres außgestellten Certificats æst. de dato 17. Maÿ 1727 æstimirt und angeschlagen vor und umb 275. lb
+ daß also der auffschlag solcher behaußung niedriger vnd geringer dann die darauff hafftenden Capitalia sich belauffen dannenhero solche behauß. halben alhier nicht in außw. gesetzt werd. kan, sondern hernacher 25. lb d passive eingebracht wurde
davon gehen Jährl. 5. lb. d. à v pro Cento gerechnet. Gelts H. Schaffner Trohmer alhier ablösig mit 100. lb. Ferner 5. lb. d. u. 5. pro Cento gerechnet. Geldts Jahrs H. N. Storcken dem handelsmann alhier ablößigen hauptgut mit 100 lb. It. 2 lb 10 ß auch ad 5 pro C° gerechnet. Zinnß reicht man davon dem H. Holtzapfel Silberarbeiter redimibel Capit. mit 50 b. So dann 2. lb 10. ß d a 5 p. Cento gerechnet: Geldts gibt man Jährl. dem Stifft Weÿßenhauß alhier, ablößig in hptg mit 50 lb. Sonsten aber. Darüber besagt ein teutscher perg. Kauffbr mit der St. Strb. anhangend. C. Innsigel corroborit und verwahrt, datirt d. 23. Junÿ 1724. mit N° 1 notirt.
Series rubricarum hujus Inventarÿ. des Wbers Vermögen betr. 1. haußraths 6, 2. Werckzeug Zum Schuhmacher handw. gehörig 1, Summa summarum 7 – Passiv 43, In Compensatione 35 lb
Drs Kinds und Erben Nahr. 1. haußraths 11, 2. Activ Schuld 42, Summa summarum 54
Dan theilbare guth concernirend, 1. haußrath 14, 2. Silbers 1, 3.Eigenth. ane 1. beh o, 4. Activ Schuld 6, Summa summarum 21 lb – Passiva 43, In Compensatione 21
1727. Auff begehren des Ehrenhafften und bescheidenen Meister Daniel baur schumacher ist eine behausung allhie in der Stadt Straßburg ein Eck beÿ der Catharinen bruck gelegen, einseits Neben einem Eck gegen dem blumen gießen, anderseits wie auch hinden auf Christoph dambach Meister stoßend, welche behausung Stübel, Kammer, Küchel, dreÿ hauß Ehren, worin in einem ein gumpff brunnen und gebälckter Keller sambt aller gerechtigkeit wie solches durch der Statt Straßburg geschworne Werckleuthe sich in der besichtigung befunden und Jetzigem preiß nacxh angeschlagen wird vor und Umb Fünff hundert und Fünfftzig gulden. Bezeichniß durch der Statt Straßburg geschworene Werckleuthe [unterzeichnet] Michael Ehrlacher Werck Meister deß Meinsters, Johann Jacob Biermeÿer Werck Meister deß Zimmerhoffs, Johann Peter Pflug Werckmeister deß Mauer hofs
Jean Daniel Baur se remarie en 1728 avec Marie Catherine, fille du baquetier Chrétien Schæffer
Mariage, Saint-Guillaume (luth. f° 12, n° 4)
1728. Mittwoch d 1. febr 1728. seind nach 2. maliger ausrufung Domiâ. Sexages. et Quinqu. in der Kirch Zu S Wilhelm copulirt worden Johann Daniel Baur der Schuhmacher, Witwer v. b. weiland Marthæ Spindelin ehemann v. Jfr. Maria Catharina Christmann Schaefers deß Küblers v. b. v. Mariæ Ursulæ Ehrhardtin p. m. ehliche dochter [unterzeichnet] Johann Daniel Baur als hochzeiter, maria Catharina schäfferin als hochzeiterin (i 13)
Jean Daniel Baur meurt en mars 1728 en délaissant un fils de son deuxième mariage et un enfant posthume. L’estimation de la maison (275 livres) est reprise de l’inventaire de sa première femme. La vente par adjudication judiciaire en 1716 figure parmi les titres de propriété. La masse propre à la veuve est de 137 livres. L’actif des héritiers et de la communauté s’élève à 90 livres, le passif à 185 livres.
1728 (26.4.), Not. Brackenhoffer (Jean, 4 Not 2) n° 128 (1499)
Inventarium vndt beschreibung aller vndt Jeder liegend vndt vahrender, verändert vndt unveränderter haab, Nahrung v. güttere, schulden vndt gegenschuld. überahl nichts davon ausgenommen, so weÿl. der ehrsame vndt bescheidene Mr Johann Daniel Baur der Schumacher vndt burger alhier nunmehr seel. nach seinem den 23. Martÿ Jüngst aus dießer Zeit vndt welt genommenen tödlichen hintritt Zeit. verlaßen (…) nach deme die tugendtsahme frau Maria Cathar: gebohrne Schäfferin die hinterbliebene wittib mit beÿstand Mr David Schlögels deß Küblers und burg: alhier ihres geschwornen vogts wie auch Evam Ursulam Rostin deß Verstorbenen Mutter (…) solches angeben vndt gewiesen haben – Actum Straßburg den 26.ten Aprilis Anno 1728.
Der Verstorbene seel. hat ab intestato verlaß. 1. Johann Daniel, deß Verstorb. mit weÿl. fr. Martha geb. Spindlerin in Zweÿter ehe ehelich erzeugtes hinterl. Söhnlein in deß nahmen Zugeg. war m. Joh: Martin Rimbach der hutmacher vndt b. alhier, deßelb. geschw. vogt mit assistentz v. beÿstand des wohl Edel vest v. rechtsgelehrten H. Joh: Lobsteins Not. publ. v. burg. alhier, 2. deß verstorb. mit der hinterbl. Wb. ehel. erz: v. nach tod verl. posthumum in deßen nahmen Zugeg. war Joh: Christoph Schmid der Schneider v. burg. alhier deßelb. geschw. vogt, beede deß verstorb. seel. leib. Kinder v. ab intestato zu 2 gleich. antheilen verlaßenen erben
Bericht wegen dießer verlaßenschafft. Es hat die hinterbl. wb. gleich anfängl. berichtet wie daß in wehrend ihrer Ehe, weil sie gar Kurtz gedauert hat, nicht hat gewonnen werden können sondern allerhand gehabt. außleg. halb. ihro Nahe viel mehr abgenommen habe (…)
In einer alhier Zu Straßb. ane der Cathar: bruckh gelegenen in diese Erbschafft gehörig. behauß. hat sich befund. alß volgt.
(f° 9) Eigenthum ane einer Behauß. 2/3. theil vor ohnvertheilt von vnd ane einer behauß. hoff v. hoffstatt mit allen dero begriff weith. rechten Zugehörd v. gerechtigkeit geleg. alhier Zu Straßburg ane der Vorstatt Crutenauw an der S. Cath: bruck 1. s. ist i. Eck am gieß. 2.s. vnd hinten auf Christoph dannbach den Metzger stoßend Und gibt mann von solcher behauß. Jähr. 25 lb d ad 5 pro C° gerechneten Geldts H. Schaffner Trohmer alhier ablößigen Cap: mit 100. lb. Ferner 5. lb d. auch ad 5 pro Ct° gerechneten Zinßes gibt vor dem jahres auf Michael weÿl. h. Georg albrecht Storcken seel. Erb modo Hr Georg Daniel Mennig uxor: nôe dem handelsmann alh: ablößig m. 100 lb. It. 2 lb 10 ß auch ad 5 pro C° gerechnet. Zinnßes reicht man jahrl. auf den 12. Junÿ lößig in Capit. mit 50 b. So dann 2. lb 10. ß d eben fals ad 5 p. C° gerechnet: Zinßes gibt man auf den 11. Julÿ ablößig in hauptgut mit 50 lb. Sonsten aber für ledig und eigen u. beÿ deß Verstorb: ersteren ehefr. seel. Verlaß: Inv. den 10. Junÿ 1727 durch die allhieß. Werckmeist. æstimirt vnd angeschlagen worden, dabeÿ man es auf dermahlen wiederum hat bewenden laßen vor und umb 275. lb. Weilen aber die darauf hafftende cap: vorher * maßen auff 300 lb. d. mithin 25. lb d hoher sich belauffen, als Kan deßweg. erstberührter behauß. halben, hiehero nichts in außwurff gebracht werden sondern werde vielmehr die deß Verstorb. seel. Erben ane solcher über den anschlag außfallend. beschwerd. Zu bewendt 2/3 hernacher passive eingetrag. des Kindß erster ehe von seiner mutter h* zustend habende 1/3 ab v. hernach fol. (-) ane dem * vor mütterl. guth Zu erfordern haben abzug gebracht.
Über vorhergemelte behauß. befind. Perg. Kffbr mit der Statt Straßb. anhang. Cantz. contr. Innsieg. corrob. v. verwahrt datirt d. 3. Junÿ 1724. mit newem N° 1 notirt. dabeÿ ferners ein vber b*te behausung Perg. ganthkff. br: datirt den 13. Maÿ 1716. vndt mit E. E. Kleinen Raths anhang. Innsieg. verwahrt mit N° 2 notirt
(f° 14) Series rubricarum hujus Inventarÿ. Der Wittib unveränderte Nahrung, Sa. haußraths 8, Silbers 2, Goldener Ring 1, baarschafft 5, Ergäntzung 3, Activa 116, Summa summarum 137 lb
Der Erben vnd zugleich das Theilbahre Guth, Sa. haußraths 54, Werckzeugs Zum Schuhmacher hdw. 10, Silbers 8 ß, baarschafft 5, Activa 19, Summa summarum 90 lb – Passiva 185 lb, Übertreffen also die Theilbahre Passiva der Erb. unverändert vnd auch die theilbahre Activ Nahr. umb 94 lb
Stall Summa 201 – Conclusio finalis Inventarÿ 106 lb
Wÿdumb Verfangenschaft So der hinterblieb. wb. als Ohnveränd. gehörig b. Zu Zuschreiben ist Nach Außweiß. deß über der Wittib Mutter seel. Verlaßenschafft in Anno 1714. auffgerichteten Invent. fol. 91.a hat Joh: Martin Albrecht der Melmann vndt burger alhier von weÿl. frawen Ursula gebohrener Dieterlinin seiner Haußfr. alß mehrged. wittib großmutter seel. ad dies vitæ wÿdums weiße annoch zugenißen
Les Conseillers et les Vingt-et-Un refusent d’admettre à l’orphelinat l’enfant en deuxièmes noces de Jean Daniel Baur en arguant qu’il a du bien et que sa grand-mère en état de l’entretenir est encore en vie.
1729, Conseillers et XXI (1 R 212)
(p. 191) Montag d. 9.ten Maÿ. – Joh. Daniel Bauren Kinds Vogt halten an umb deßen Auffnahm in d. Waÿßenhauß, und wird abgewießen.
Lt Gug, Nôe Weÿland Johann Daniel Bauren gewesten burgers und schumachers Kinds Zweiter Ehe Vogt Johann Martin Rimbachs, des Hutmachers, producirt unterthäniges Memoriale und Bitten sambt beÿlagen Sub Num.is 1. 2. 3. 4. und 5. umb deßen gnädige Auffnahm in d. Wäÿßenhauß, handelt innhalts.
Ist Erkanndt, Wird Implorant mit seinem begehren abgewießen, in ansehung dieses Kind annoch 81 lb. 3. ß 7. d in bonis hat, und dessen großmutter, welche es Zu unterhalten schuldig deren armuth auch nicht beschinen, annoch im leben ist. Deputati H. Rhh. Lemp und H. Rhh. Eckert.
Marie Catherine Schæffer se remarie en 1728 avec le boulanger Jean Jacques Lœschmeyer.
Marie Catherine Schæffer achète la maison des enfants de son défunt mari.
1729 (8.1.), Chambre des Contrats, vol. 603 f° 7-v
weÿl. Johann Daniel Baur gewesenen schuemachers seel. in zweÿter ehe mit weÿl. Martha geb. Spindlerin einigen Kinds Johann Daniel Baur geordneter vogt Johann Martin Rimbach huetmacher, so dann ged. Baur in letzter ehe mit deßen hinterbliebenen wittib erzielt und hinterlassenen einigen Kindts Catharina Salome Baurin geschwornen vogt Christoph Schmidt der Schneider
in gegensein bemeldter Baurischen wittib Mariæ Catharinæ geb. Schäfferin beÿständlich ihres curatoris david Schlegel des küblers ahm 11. Octobris 1728 obrigkeitlich confirmirten versteigerung, der curanden respective Stieff und eheleiblichen Mutter
Eine Behausung und hoffstatt mit allen derselben gebäuden, begriffen, weithen, zugehörden, Rechten und gerechtigkeiten ahne der Vorstatt Krauttenau beÿ St Catharina bruck einseit ist ein eck ahn St Johannes gießen anderseit und hinten auff Christoph Dambach den Metzger – dem Baurischen Kind zweÿter ehe zu zwo tertzen dem Kind letzter ehe aber zu einer terte eigenthümlich zuständig – um 300 fl. ausmachende capitalien und 115 pfund
Marie Catherine Schæffer hypothèque la maison pour en payer le prix d’achat
1729 (8.1.), Chambre des Contrats, vol. 603 f° 8-v
Maria Catharina geb. Schäfferin weÿl. Johann Daniel Baur gewesten schuemachers hinterlassenen wittib mit beÿstand ihres vogts David Schlegel des küblers
in gegensein Christmann Schäffer des küblers ihres vatters – schuldig seÿe 50 pfund
unterpfand, die aus jetzigem vorschuß zum theil erkaufft und bezahle Behausung und hoffstatt mit allen derselben gebäuden, begriffen, weithen, zugehörden, Rechten und gerechtigkeiten ahne der Vorstadt Krauttenau beÿ St Catharinae bruck einseit ist ein eck ahn St Johannes gießen anderseit und hinten auff Christoph Dambach den Metzger
1734 (5.7.), Chambre des Contrats, vol. 608 f° 257
Fr. Maria Catharina geb. Schäfferin Johann Jacob Löschmeÿer des Weißbecken ehefrau beÿ deßelben
in gegensein Ulrich Rooß des Kärchelziehers und Schirmers und deßen eheweibs Annæ geb. Buxbaumin – zufolg erkanntnus H. Räth und XXI am 26. junÿ jüngst [unterzeichnet] +, anna rosen
Eine Behausung und hoffstatt mit allen derselben gebäuden, begriffen, weithen, zugehörden und gerechtigkeiten in der Vorstatt Krauttenau beÿ St Catharinæ bruck einseit ist ein eck an St Johannes gießen anderseit und hinden neben und auff Christoph Dambach den Metzger – um 100, 100, 50, 50 und 50 pfund capitalien verhafftet – als ein am 8. Januarÿ 1729 erkaufftes guth – um die 350 pfund angesetzte capitalien und 37 pfund
(F° 258, um 387 pf zu erkauffen)
Les Conseillers et les Vingt-et-Un autorisent la vente à un manant après s’être rendu sur les lieux. La maison d’angle comprend une petite cave pour environ 24 mesures de vin, au rez-de-chaussée un vestibule, poêle et cuisine, au premier étage un poêle, cuisine et deux petites chambres, au deuxième étage quatre chambres, au-dessus un grenier pour environ 24 quartauts de grain au-dessus duquel se trouve encore un petit grenier.
1734, Conseillers et XXI (1 R 217)
(p. 262) Montag d. 21.ten Junÿ – Ulrich Rooß bitt umb erlaubnuß Von Maria Catharina Schäfferin ein häüßlein Kauffen Zu dörffen
Lt Christiani, Nomine Ulrich Rooß des Schirmers und Kärchelziehers allhier der bitt unterthänig umb gnädige erlaubnuß ein an der Catharinen bruck gelegenes häüßlein Von Maria Catharina Schäfferin, Jacob Leschmeÿers des Weißbecken haußfrauen umb 775 fl. sambt übernahm aller unkosten kauffen Zu dörffen.
Römer nomine obgemeldter Mariæ Catharinæ Schäfferin mit beÿstand Vorgemelten ihres Ehemanns bitt gehorsambst ihro gedachts häüßlein umb den besagten preiß an dem Imploranten verkauffen Zu dörffen.
Ist Erkandt, werden Zu einnehmung des augenscheins dieses häüßleins H. XXI Guenaudon und H. Rhh Knoll abgeordnet, auff deren darüber erstattate Relation ferners ergehen soll, Was recht ist.
Deputati ijdem Zu anzeigung des Bescheids
(p. 266) Sambstag d. 26. Junÿ 1734. – Ulrich Rooß erhalt erlaubnuß Von Maria Catharina Schäfferin ein häüßlein Zu Kauffen
H. XXI Guenaudon referirte, Welcher gestalten Er beneben H. Rhh. Knollen die ienige behausung, Welche Ulrich Rooß der Kärchelzieher und Schirmer allhier Von Maria Catharina Schäfferin Jacob Leschmeÿers des Weißbecken und hiesigen burgers haußfrauen umb 775. fl. sambt übernahm aller unkosten kauffen will, in augenschein genommen, und befunden daß Selbe an der sogenandten Catharinen bruck gelegen, und ein Eck-hauß seÿe, im eingang befinde sich ein haußehren Stub und Küchen, Worunter ein kleiner Keller Vor ohngefehr Vier und Zwantzig ohmen Wein in dem ersten Stock Wären wider ein Stub Küchen und Zweÿ Cammer in dem Zweiten Stock vier Cammern, darüber ein Kasten auff welchen mann ohngefehr Viertzig firtel früchten schütten kann, und oben darauff ein kleines bühnlein, übrigens hätte sich der Käüffer denen ordnungen in allem Submittirt.
Originaire de Frauenfend en Thurgovie, Jean Ulric Roos épouse en 1709 Anne, fille du jardinier Daniel Buchsbaum de Strasbourg
Mariage (réformés, f° 125-v) 1709 den 4.t Septembris seind eingesegnet worden Ulrich Roos weÿl. Ulrich Roosen von Frauenfeld außm Thurgau nachgel. ehel. Sohn, Anna Buchsbäumin weÿl. Daniel Buchsbaums gewesenen Burgers vnd Gartners in Straßburg nachgel. ehel. Tochter (i 136)
Originaire de Frauenfend en Thurgovie, Jean Ulric Roos épouse en 1725 Anne Barbe Ruffenach, fille de Jean Ruffenach de « Kränicken » : contrat de mariage dont la minute n’est pas conservée, célébration
1725, Not. Hoffmann (Christophe Michel, rép. 65 not 12) n° 508
Eheberedung – Johann Ulrich Rooß, taglöhner
und Jungfrauen annä Barbarä Ruffenacherin
Mariage (réformés, f° 138-v)
1725. Octobr. d. 21.t seind eingesegnet worden Hans Ulrich Rooß von Frauenfeldt im Turgaw gebürtig, Schirms Verwandter in Straßburg Wittwer Jfr: Anna Barbara Rofenacht v. Kränickhen bg. hans Rifenachs von Hochstetten bg. Tochter (i 151)
Anne Barbe Ruffenach fait dresser l’inventaire de ses apports, soit 102 livres.
1728 (11.2.), Not. Hoffmann (Christophe Michel, 19 Not 27) n° 865
Inventarium über der Ehren: und tugendsahmen Frauen Annæ Barbaræ gebohrner Ruffenacherin Zu Meister Johann Ulrich Rooßen, dem taglöhner und Schirmer alhier, ihrem Lieben Ehemann Vor Unverändert in die Ehe zugebrachte Nahrung, auffgerichtet Anno 1728. (…) und Krafft deren mit einander auffgerichteten Eheberedung Ihro: und Ihren Erben alß ein unverändert und Vorbehalten guth, mithien die Ergäntzung derselben expressé conditioniert und bedungen – So beschehen Straßburg den 11. Februarÿ 1728.
Haußrath 73, Silber 5, baarschafft 25, Summa summarum 102 lb – Haussteuren, die helffte 6 lb/p>
Les trois enfants et héritiers de Jean Ulric Roos sollicitent auprès des Quinze une réduction du droit de détraction en arguant qu’ils n’ont pas l’intentio de quitter Strasbourg où ils sont nés. Les Quinze accordent une réduction de moitié.
1744, Protocole des Quinze (2 R 154)
(p. 670) Sambstag d. 12. Xbris 1744. – pt° Abzug
Moss. nôe Joh: Ulrich Roßen gewesenen Tagners unverburgerten Erben prod. underth. Memoriale mit beÿlag sub Lit. A. pt° abzugs. Erk. Ober Stall herrn.
1745, Protocole des Quinze (2 R 155)
(f° 3) Donnerstag d. 7. Januarÿ 1745. – Weÿl. Johann Ulrich Rooßen Erben pt° Abzugs
Obere Stallherren laßen per me referiren, daß nachdem Johann Ulrich Rooß geweßener Tagner und Schirmer allhier dieses Zeitliche gesegnet, und 3. Kinder Zu Erben hinderlaßen, nemlichen Margaretham, so an Jacob Sirli den Kärchel Zieher und Schirmer allhier verheurathet war aber seithero auch gestorben, Johann Michael Rooß den Verheuratheten Schneider, auch Schirmer und Jacob Rooßen Schuhknecht 18 Jahr alt allhier in Arbeit stehed, so fort jnventirt undt das Inventarium, weilen die Erben alle Frembd beÿ E E Kleinen Rath Vorgelegt, und allda die Immissio gesuchet, auch erhalten, aber Zugleich den Abzug Von dann erblich angefallenen 465 pfund mit 46. lb 5 ß 9 d angesetzt worden, so hätten dieße 3. Erben in einem den 12. Xbris jüngst producirten Vnderth. Memoriale sambt beÿlag sub Lit. A. gehorsambst Vorgestelt, daß Sie, Imploranten, alles das Ihrigen Vielfältig nöthig hätten, seyen in allhiesigem Schirn, und führten sich fromm auß so daß Keine Klag Wieder dieselbe entstehe, seÿen in allhiesiger Statt wohnhaft, und hätte, gar nicht in dem Sinn etwas Von sothaner Erbschafft auß dieser Statt weg bringen Zu laßen, Mit demüthiger Bitt den Angesetzten Abzug auff ein leidentliches und geringes ex gratia Zu moderiren. Auff geschehene Weisung seÿen Vorgestanden gemelte Jacob Zierli, vnd Johann Michael Rooß, Welcher ersterer gemelt den 18. Xbris seine Ehefrau gestorben und habe 5. Kleine ohngezogene Kinder hinterlassenen, welche alle das Ihrigen höchstens bedürffig, Sie Rooßische Kinder seÿen alle dreÿ hier gebohren, und erzogen mit nochmahliger Bitt dieselbe mit gnädigen Augen anzusehen.
Auff seithen dr Hh. Deputirten habe man erachtet daß die Umbstände für die Imploranten sehr favorabel, und werde die Moderation etwa auf die Helffte Zu Mgh. gestellet. Erkandt, wird es gratia dieser Abzug auff die Helffte moderirt.
Anne Barbe Ruffenach se remarie en 1755 avec Georges Guillaume Abert, chaussetier originaire de Steinseltz
1755 (8.2.), Not. Dautel (Fr. Henri, 6 E 41, 285) n° 322
Eheberedung – zwischen dem Ehrenachtbaren Georg Willhelm Abert, dem ledigen Strumpffstrickern, Andreæ Aberts des Strumpffstrickers und weÿl. Frauen Evæ Margarethæ gebohrener Bläßin beeder Eheleute und burgere in Steinseltz Cleeburger Ambts Hochfürstl. Zweÿbrückischer Herrschafft ehelich erzeugtem Sohn, als dem hochzeitern ane Einem
So dann der Ehren: und tugendsamen frauen Annæ Barbaræ gebohrener Ruffenacherin, weÿl. Johann Ulrich Rooßen, geweßenen Schirmers allhier zu Straßburg sel. hinderlaßener Wittib als der Hochzeiterin am andern theil
So beschehen allhier Zu Straßburg auff Sambstag den 8. Februarÿ anno 1765 [unterzeichnet] gorig wülhelm Aberth Als hoch Zeÿther, + Annæ Barbaræ Roßen der hochzeiterin handzeichen
Mariage (réformés, f° 155)
1755. Febr. d. 23. Georg Wilhelm Abert, d. ledige Strumpfstricker von Steinseltz, Andreas Abert von dar Ehel. Sohn, Anna Barbara, weÿl. Joh: Ulrich Rooßen gew. Schirmers in Stsg. hinterl. Wittwe (i 167)
Compte que rend l’emballeur Jean Jacques Trog de la tutelle des biens qui appartiennent à Jean Jacques Roos. Un inventaire signé du greffier du Petit Sénat a été dressé après la mort de Jean Ulric Roos le 8 août 1744. Le défunt a délaissé deux enfants de son premier mariage et un du deuxième
1746, Comptes, (6 E 41, 447) [Dautel]
Rechnung Mein Johann Jacob Trogen, des geschwornen Packers v. Schirmer allhier Zu Str. als geordnet und geschworenen Vogten Johann Jacob Rooßen des ledigen Schuhknechts, weÿl. Johann Ulrich Rooßen des geweßenen tagners und Schirmers allh. seel. mit fr. Anna Barbara geb. Ruffenckerin, seiner hinterbliebenen wittib ehelich erzeugtem Sohn, Inhaltend alles dasjenige was ich seinethalben vom 8. aug. A° 1744. als der Zeit des Vätterlichen tod falls biß Mich: 1746 eingenommen und wieder außgegeben, auch sonsteb verordnet habe. Erste Rechn. dießer Vogteÿ
Bericht in gegenwärtige Rechn. gehörig. Zu wißen, demnach auff dem titul dießer meiner rechnung benanden Joh: Ulrich Rooß, der gewes. tagner, Schirms Verwanthe alhier, des Curandi leibl. Vatter den 8.ten Aug. in A° 1744. nach dem rathschluß gottes dießes Zeitliche mit dem ewigen Verwechßelt und derselbe nebst 2. Kinder Erster Ehe, auch einen Sohn letzter Ehe Zu seinen Erben ab intestato nach tod Verlaßen, so wurde ich außwendig bemelteter demeselben Zu einem Vogt, wie mein Curatorium vom 17. aug. 1744. anzeigt geordnet (…) Wie nun nötig geweßen daß die Vätterliche Verl. behörig inventirt und erörtert werde, so habe mit und beneben denen Kindern Erster Ehe auch ein solches besorgen und ins werck stellen helffen, allermaßen den 21. aug. darauff durch die erforderliche Personen ordnungsmäßig inventirt und durch T. Herrn Johann Peter von Carben, J. U. Ltum und E. E. Kleinen Raths derseit wolverordneten actuarium mitkommend den Inventarium sub Lit. A. außgefertigt (…)
La maison revient au fils en deuxièmes noces Jean Jacques Roos qui épouse en 1737 Marie Barbe, fille du boucher luthérien Christophe Güntheldœrffer.
Mariage, Robertsau (cath. p. 175)
Dienst. den 20.t Aug. 1737. seind auff Obrigkeit. Erlaubnus, nach vorher gegangener Ordentl. Außruffung, Ehelich eingesegnet worden Joh: Jacob Rooß, der ledige Gediente am Kauffhauß und burger zu Straßburg, weÿl. Ulrich Rosen, gewesenen Schirmers daselbst hinterl. Ehl. Sohn, Vnd Maria Barbara Weÿl. Christoff Günthelsdörffers, gewesenen Metzgers und Burgers daselbst nachgel. Ehl. Tochter [unterzeichnet] Johann Jacob Rooß als hothzeiter, die Hochzeiterin des schreibers unerfahren machte dieses Zeichen A (i 136)
Employé des commissionnaires de la halle, Jean Jacques Roos hypothèque la maison au profit du conducteur de diligence Conrad Heyd
1748 (17.12.), Chambre des Contrats, vol. 622 f° 870-v
Johann Jacob Rooß der bediente beÿ denen bestätten im kaufhauß
in gegensein Conrad Heÿd des landkutschers – schuldig seÿe 150 pfund
unterpfand, eine behausung und hoffstatt ane der Vorstatt Krautenau beÿ der St Catharinä bruck, einseit ist ein eck an St Johannis gießen, anderseit neben Christoph Dambach des metzgers erben, hinten auff dieselbe
Le conducteur de diligence Jean Jacques Roos meurt en 1750 en délaissant trois enfants. Les experts estiment à 450 livres la maison que le défunt a acquis suivant cession dressée en 1746 par le greffier du Petit Sénat. La masse propre à la veuve s’élève à 3 livres, celle des héritiers à 88 livres. L’actif de la communauté est de 417 livres, le passif de 229 livres.
1750 (28.9.), Not. Dautel (Fr. Henri, 6 E 41, 253) n° 452
Inventarium und Beschreibung aller derjenigen Haab und Nahrung, Keinerleÿ davon außgenommen, so weÿl. der Ehrenachtbare Johann Jacob Rooß, der geweßene bediente beÿ der Rinckischen Landkutschen, und burger allhier Zu Straßburg nunmehr seel. nach seinem den 30.ten Julÿ dieses lauffenden 1750.t Jahrs aus dießer welt genommenen tödlichen hintritt genommenen tödlichen ableiben zeitlichen verlaßen, welche verlaßenschafft auf freundliches Ansuchen Erfordern und Begehren des wohl Ehrengeachten Johann Michael Bartels, des frippier und b. allhier, des geordnet und geschworenen Vogts Johann Jacob, in die 13. Jahr, Mariæ Saræ, in die 8. Jahr und Johannis d, dieser Rooßen, in die 6. Jahr alt also miorennes, dießer dreÿen des Verstorbenen seel. mit hernach gemeldeter seiner hinderbliebenen Wittib ehelich erzeugter Kinder und ab intestato nach tod verlaßener Erben, fleißig inventirt, und ersucht durch die tugendsame fr. Annam Barbaram geb. Güntherdörfferin, die hinterbliebene Wittib mit assistentz des wohl Ehrenachtbaren Johann Andreas Högenmanns des Schneiders und Burgers allhier – So beschehen allhier Zu Straßb. auff Montag den 28.ten 7.br. A° 1750.
In einer allhier Zu Straßburg in der Vorstatt Crautenau, beÿ der St. Catharinæ bruck gelegenen behaußung in dieße Verlaßenschafft eigenthümlich gehörig folgender maßen befunden worden
Eigenthumb ane einer behaußung (E.) Nehml. eine behauß. v. hoffstatt, m. allen d.selben gebäuden, begriffen, weithen, Zugehörden, Rechten v. Gerechtigkeiten, gelegen allh. Zu Straßb. in d. Vorstadt Krautenau an der St. Catharinæ bruck, 1.s ist 1. Eck an St. Joh. Gießen, 2.s v. hind. neben v. auf weÿl. Christoph Dambachs des geweß. metzgers v. b. allh. seel. hinderl. Erben stoßend, so außer denen darauff haftenden v. hernach passiv eingetragenen Capitalien ledig v. eigen, v. ist dieße beh. dh. d. Stadt Straßb. geschwohr. Hh. Werckmeistere in Crafft d. mir Notario zum Concept eingeschickten schrifftl. abschatz. de dato 2.ten Septemb. A° 1750. æstimirt v. angeschlagen pro 450. lb. Hierüber bes. j. teutsch. perg. Kffbr. in allh. C. C. stuben gef. v. m. den anh. Ins. Verw. dat. d. 5. Julÿ A° 1734. notirt m. N° 1 weißend, wie solche beh. von des verstorbenen seel. Eltern erkaufft seÿe, dahero solche auch daher rührig, v. zwischen dem abgeleibten v. deßen 2.er Geschwüsterden gemein geweßen, wie aber ihme deßen Geschwistrigen 2. angebührige tertzen eigenth. cedirt woden seÿen, Zeiget an die vor nun weÿl. S.T. J. Joh: Peter von Carben J. U. L. v. E. E. Kl. Raths geweß. actuario unterm 29. 9.br A° 1746. passirte Cession, so aber derzeit nicht schrifftl. außgefertigt worden.
Series rubricarum hujus Inventarÿ. Der Wittib Vermögen, Sa. Silbers 18 ß, Sa. gold. Ring 2, Summa summarum 3 lb
Der Erben guth, Sa. haußraths 3, Sa. Silbers 7 ß, Sa. Eienth. ane ainer behaußung 450, Summa summarum 453 lb – Schulden 542 lb, In Compensatione 88 lb
die theilbare Nahrung, Sa. haußraths 111, Sa. Silbers 11, Sa. goldenen rings 16 ß, Sa. beßer. 293, Summa summarum 417 lb – Schulden 229, Nach Abzug deren 187 lb
Stall Summa 102 lb
Abschatzung Vom 2. 7.bris 1750. Auff begehren Weÿland Johann Jacob Roß deß geweßenen unter bestätters seel. hinterlaßener Wittib, ist eine behaußung allhier in der Statt Straßburg an der Catharinenbruck, einseit ein Eck an dem blumen gießen machend, anderseit neben Andres Meÿer dem Schiffmann und hinten auff Meister hauen dem Kieffer stoßend gelegen, Solche behaußung hat neben dem Eingang eine Stube Kuchen und holtzschopff, in dem Erstenstock ist eine Stube, ein Stub Kammer, Kuchen und hauß öhren, darüber ist der Tachstuhl so mit breit Ziegeln doppelt gedeckt, Worunter dreÿ Kammern und ein besetzte bühn unten dem hauß ist schlechter geträhmter Keller, und Gump bronnenn Von uns den unterschriebenen Werckmeistern nach vorhero beschehener besichtigung, mit aller Ihrer Gerechtigkeit dem Jetzigen Werth nach æstimirt und angeschlagen Worden Vor und umb Neun Hundert Gulden [unterzeichnet] Jacob Biermeÿer Lohner, Ehrlacher Werck Meister deß Meinsters, Werner Werckmeister
La veuve et les enfants de Jean Jacques Roos vendent la maison au batelier Jean Busch
1753 (20.2.), Chambre des Contrats, vol. 627 f° 86
Michael Barthel der altgewänder als vogt weÿl. Johann Jacob Rooß des bedienten beÿ der Rinckischen landkutsch, ferner Anna Barbara geb. Güntherdörfferin seine hinterlassene wittib und die erzeugte 3 kinder Johann Jacob, Maria Sara und Johann der Rooß
in gegensein Johann Busch des schiffmanns, versteigerung
eine behausung und hoffstatt mit allen deroselben begriffen, weithen, zugehörden und rechten an der vorstadt Krautenau ane St Catharinä bruck, einseit ist ein eck ane St Johannis Gießen, anderseit neben weÿl. H. Christoph Dambach des metzgers erben, hinten auff dieselbe – als ein vätterliches erbguth – um 365 pfund
Jean Busch hypothèque le même jour la maison au profit du fabricant de colliers Jean Paul Kapp
1753 (20.2), Chambre des Contrats, vol. 627 f° 87-v
Johann Busch der schiffmann
in gegensein Johann Paul Kapp des krallmachers als gewalthaber Annæ Mariæ geb. Keßelmeÿerin des von hier abgetrettenen Daniel Hügel des gartenmanns verlassene ehefrau, zu bezalung des kauffschillings hiernach beschriebener behausung – schuldig seÿen 65 pfund
unterpfand, eine anheute erkauffte behausung in der vorstadt Krautenau ane St Catharinä bruck, einseit ist ein eck an St Johannis gießen, anderseit neben den Dambachischen erben, hinten auff dieselbe
Fils du batelier du même nom, Jean Busch épouse en 1751 Anne Marie, fille du boucher Georges Etienne Eichborn : contrat de mariage, célébration
1751 (28.12.), Not. Dinckel (J. Raoul, 6 E 41, 425) n° 199
Eheberedung – zwischen dem Ehren und vorachtbahren H. Johann Busch, dem Jüngern Ledigem Schiffmann und Burgern allhier Zu Straßburg, des Ehren: und Wohlvorachtbahren herrn Johann Busch, des ältern, Schiffmanns und burgers allhier mit Weÿland der Ehren: und tugendsahmen Frauen Anna Maria gebohrener Andreßin nunmehr seeligen ehelich erzeugten Sohn, als dem Bräutigamb, ane einem,
So dann der Ehren: und tugendsahmen Jungfrauen Anna Maria Eichbornin, weÿland des Ehren: und wohlvorachtbahren herrn Georg Stephan Eichborn, gewesenen Metzgers und burgers allhier nunmehr seeligen hinterlaßener, mit der Ehren: und tugendsamhmen Frauen Martha gebohrener Kochin ehelich erzielter tochter als der Jungfrauen hochzeiterin ane dem andern Theil – So beschehen in Straßburg auf Dienstag den 28. Decembris Anno 1751. [unterzeichnet] Johannes Busch als Hochzeiter, Anna Maria Eichborin als hoch zietin
Mariage, Saint-Thomas (luth. f° 79-v n° 463)
1752. Mittwoch den 23. Febr. seind nach zweÿmaliger ordent. proclamation und Außrufung zu St.Thomæ und St. Wilhelm zu St. Thomæ copulirt u. eingesegnet worden Johannes Busch Lediger Schiffmann, Wittwe Johann Busch gewesenen Schiffmanns u. burgers allhier allhier hinderlaßener ehel. Sohn vnd Jungfr. Anna Maria Eichbornin, weÿl. Georg Stephan Eichborn gewesenen Metzgers und burgers allhier hinterlassene ehel. tochter [unterzeichnet] Johannes Busch als hochzeiter, Anna Maria Eichborn als hoch Zeitin (i 81)
Jean Busch et Anne Marie Eichborn hypothèquent la maison au profit de Frédéric Jacques Reuchlin, professeur en théologie et directeur du chapitre Saint-Thomas
1770 (1.10.), Chambre des Contrats, vol. 644 f° 475-v
Johann Busch der schiffmann und Anna Maria geb. Eichbornin mit beÿstand ihres bruders Johann Jacob und Philipp Friedrich der Eichborn beede metzger
in gegensein S.T. H. Friedrich Jacob Reuchlin D. et Prof. Theologiæ und Capit. Thomani præpositi – 250 pfund
unterpfand, eine behausung cum appertinentis ane der Krautenau beÿ der Catharinä bruck einseit neben dem Blumengießen, anderseit neben N. Lorentz, hinten auff denselben
Jean Busch et Anne Marie Eichborn hypothèquent la maison au profit de Susanne Madeleine Emmerich née Ehrenmann
1773 (11.3.), Chambre des Contrats, vol. 647 f° 92
Johannes Busch der schiffmann und Maria geb. Eichbornin unter assistentz Georg Eichborn Georg Eichborn des metzgers und Andreas Jung des fischkäufflers
in gegensein H. Johann Gottfried Emmerich des handelsmanns nahmens seiner Fr. Mutter Fr. Susannæ Magdalenæ Emmerichin geb. Ehrenmännin – 700 gulden
unterpfand, eine währender ehe erkauffte behausung cum appertinentis in der Krautenau ane der Catharinä bruck, einseit ist ein eck ane St. Johannis gießen, anderseit neben Lorentz Wickert des lehnkutschers, hinten auff denselben
Jean Busch et Anne Marie Eichborn hypothèquent la maison au profit des deux enfants du cordonnier Jean Paul Kopp.
1777 (29.12.), Chambre des Contrats, vol. 651 f° 479
Johann Busch der schiffmann und Anna Maria geb. Eichbornin unter assistentz H. Georg Eichborn des metzgers und Johann Georg Wagner des schuhmachers
in gegensein H. Johann Jacob Kapp des corallen meisters als geordnet und geschwornen vogts weÿl. Johann Paul Kopp des schuhmachers hinterbliebenen 2 kinder nahmens Johann Paul und Salome – schuldig seÿen 500 gulden
unterpfand, eine behausung samt zugehörden ane der Catharina bruck in der vorstatt Krautenau, einseit neben dem Blumengießen, anderseit neben Lorentz Wickert dem lehnkutscher hinten auff derselben
Anne Marie Eichborn meurt en 1793 en délaissant trois enfants. La maison est portée à la somme de 8 000 livres tournois dans l’inventaire
1796 (4 germinal 4), Strasbourg 3 (18), Not. Übersaal n° 480
Inventarium über der weiland bürgerin Anna Maria Busch geb. Eichborn des burgers Johann Busch Schiffmanns gewesener Ehegattin Verlassenschafft, angefangen den 12. ventose 4, nach ihrem den 18. August 1793 erfolgten Abserben hinterlassen hat, auf Ansuchen des Wittwers
die Verstorbene hat mit dem Wittwer ehelich erzeugt und zu ihren rechtsmäßigen Erben hinterlassen 1. die burgerin Anna Maria Mahler geb. Busch des b. Johann Georg Mahler Schiffmanns Ehefrau, 2. Jungfrau Mariam Cleophe Busch so majorennis beiständlich erstgedachen bürgers Hosch, 3. den burger Johann Theobald Busch schifmann
in einer an der Catharinen: brucke gelegenen in diese Verlassenschafft gehörigen behausung N° 1
des Wittwers unverändert Vermögen, hausrath und silbers 102 livres, Ergäntzung zufolg Inventarii durch Not. Joh: Rudolph Dinckel den 9. August 1752 aufgerichtet 765 livres, summa summarum 868 livres – der Kinder zu entrichten 150 liv, Nach deren Abzug 718 liv.
der Kinder und Erben unverändertes Gut, hausrath 76 liv, silbers 9 liv, Gold. Ringe 23 liv, activ schulden 150 liv, ergäntzung 2707 liv, Summa summarum 2966 liv,
Theilbare Massa, hausrath 840 liv, Schiff und geschirr zur Schiffart gehoerig 912 liv, silbers und goldenen Ring 23 liv.
Eigenthum an einer behaußung so theibar, Nämlich eine behaußung samt Gumpbronnen der hoffstatt und übrigen zugehörden und Rechten mit N° 1 bezeichnet in der Vorstatt Krautenau an der Catharinen: brücke einseit ist ein Eck am Johannis giesen anderseit neben dem br. dietz Färber hinten auf eben denselben stosend, hier ohnnachtheilig æstimirt wird vor 8000 liv. diese behaußung ist währender Ehe erkauft worden und besagen darüber Kaufbrieff C.C. Stub vom 5. Julÿ 1734 und 20. Februar 1753
summa behaußung 8000 liv, activ schulden 66 liv, Summa summarum 9842 liv. Passiv schulden 8624 liv, Nach deren Abzug 1217 liv.
Verkauf und Erloes Register – Rectification und Abänderung der berechnung
Copia der Eheberedung vor Not. Joh: Rudolph Dinckel den 28. dec. 1751 aufgerichtet (…)
Enregistrement, acp 39 F° 192-v du 5 germ. 4.
La maison revient au fils cadet Thiébaut Busch
Thiébaut Busch épouse en 1794 Marie Elisabeth Eichborn, fille du boucher Philippe Frédéric Eichborn
1794 (15 frim. 3), Strasbourg 7 (28), M° Stoeber n° 525
Eheberedung – erschienen Br. Diebold Busch, lediger Schiffmann, br. Johann Busch des Schiffmanns alhier mit weiland Frau Anna Maria gebohren Eichbornin ehelich erzeugter Sohn als Hochzeiter
und Jgfr. Maria Elisabeth Eichborn, weiland bs. Philipp Friderich Eichborn gewesenen Metzgers allhier mit Fraun Maria Elisabetha geborner Neulinger erzeugte Tochter als Braut
Straßburg den 15. frimaire dritten Jahrs der Republick [unterzeichnet] H. diebold busch als hochzeiter, Maria Elisabetha Eichbornin Braud
Enregistrement, acp 29 F° 170 du 16 frim. 3 – declare que son revenu industriel n’excède pas 200 livres
Marie Elisabeth Eichborn meurt en 1807 en délaissant deux enfants. Le veuf a acquis la maison par cession entre héritiers en 1796
1807 (30.10.), Strasbourg 3 (31,1), M° Übersaal n° 1041, 4002
Inventaire de la succession de Marie Elisabeth Eichborn épouse de Jean Tibaud Busch bâtelier décédée le 7 octobre 1807 – dressé à la requête 1. du veuf tuteur naturel de Jean Tibaud 12 âgé de ans, Marie Madeleine âgée de 5 ans, 2. Jean Eichborn boucher subrogé tuteur des enfants mineurs – Contrat de mariage reçu Stoeber père le 15 frimaire 3
dans la maison située faubourg de la Krautenau près du pont Ste Catherine n° 1 appartenante au veuf
propres du veuf, mobilier 170 fr, argenterie 48 fr
Propriété d’une maison, Scavoir une maison avec appartenances et dépendances située à Strasbourg au fauxbourg de la Krautenau près du pont de Ste Catherine n° 1, d’un côté l’écluse de St Jean, de l’autre la maison du Sr Blind teinturier, derrière cette même maison cédé au veuf par son père et ses sœurs dans la succession maternelle par acte dressé par le soussigné notaire le 4 germinal 4, pour 8000 fr. Propriété constatée par cates passés à la Contrat Chambre des Contrats les 5 juillet 1734 et 20 février 1753
Remploi propres du veuf 914 fr, payé pendant le mariage 6747 fr, redevable 5832 fr – propres du veuf 2086 fr
propres des héritiers, meubles apportés 311 fr, garde robe 196 fr, argenterie 140 fr, dettes actives 300 fr, remploi 727 fr, total 1675 fr
communauté, meubles 307 fr, ustensiles servans à la navigation 2869 fr, argenterie 15 fr, vin 600 fr, bois de chauffage 1102 fr, dettes actives 5832 fr, total 10 726 fr, passif 9051 fr, reste 1675 fr
Enregistrement, acp 104 F° 6-v du 31.10.
Jean Thiébaut Busch se remarie en 1808 avec Marie Barbe Meyer, veuve du notaire Jean Lederlin
1808 (3.2.), Strasbourg 3 (40), M° Übersaal n° 549, 4166
Contrat de mariage – Sr Jean Tibaud Busch batelier veuf de Marie Elisabeth Eichborn
De Marie Elisabeth Meyer veuve de M° Jean Lederlin Notaire assistée de son beau frère Simon Haes bâtelier
Enregistrement de Strasbourg, acp 104 F° 154 du 5.2.
Marie Elisabeth Meyer fait dresser l’inventaire de ses apports (3 428 francs) dans la maison de son mari
1808 (29.3.), Strasbourg 3 (32), M° Übersaal n° 1067, 4255
Inventaire des apports de Marie Elisabeth Meyer épouse de Jean Tibaud Busch batelier, mariés le 24 février courant – Contrat de mariage dressé le 3 du même mois
dans une maison appartenante au Sr Busch située fauxbourg de la Krautenau près du pont de Ste Catherine n° 1
les biens du mary sont décrits à l’inventaire de sa première femme Marie Madeleine Eichborn dressé par le notaire souss. le 30 octobre dernier
meubles, numéraire 2370 fr, total 3428 fr
Enregistrement, acp 105 F° 42-v du 30.3.
Marie Elisabeth Meyer meurt en 1814 en délaissant pour héritière sa sœur. L’inventaire est dressé dans la maison qui appartient à son mari Thiébaut Busch
1814 (3.4.), Strasbourg 3 (36), M° Übersaal n° 1327, 6584
Inventaire de la succession de Marie Elisabeth Meyer femme de Thiebaut Busch, batelier, décédée le 24 mars 1814 – à la requête du veuf et de Marie Salomé Meyer épouse de Jean Daniel Ober, boulanger, sœur germaine de la défunte, héritière universelle ab intestat
Contrat de mariage dressé par le notaire soussigné le 3 février 1808
dans une maison au fauxbourg de la Krautenau près du pont de Ste Catherine n° 1 appartenant au Sr Busch veuf
(continuation du 8 mars 1815) 480 total des meubles 666 fr, garde robe 402 fr, meubles hérités de sa sœur Marguerite Sophie Meyer veuve de Jean Daniel Oberdoerffer 13 fr, vins et tonneaux hérités de sa mère Marie Salomé Zabern épouse de Simon Haes 1328 fr, total des meubles 2409 fr, capital 7041 fr, remploi 5907 fr
communauté meubles 77 fr
Enregistrement de Strasbourg, acp 124 F° 92-v du 4.4.
Jean Thiébaut Busch meurt en 1823 en délaissant pour unique héritière sa fille Madeleine, femme du pilote Jean Thibaud Ulrich
1823 (2.7.), Strasbourg 4 (56), M° Hatt n° 1132
Inventaire de la succession de Jean Thiébaut Busch, batelier à Strasbourg où il est décédé le 12 février dernier, fait à la requête de Madeleine Busch épouse de Jean Thibaud Ulrich, pilote sa fille, seule et unique héritière de son père
une maison avec appartenances et dépendances sise à Strasbourg au Fauxbourg de la Krautenau près le pont Ste Catherine n° 1, d’un côté à côté de la rivière, de l’autre la succession du Sr Dietz teinturier, derrière le Sr Blind ci devant succession Dietz, estimée à 6000 fr
Total de la masse active 8052 fr
acp 163 acp (3 Q 29 878) f° 160 v du 8.7. La masse mobilière esyt évaluée à 2050 fr (meubles 476 fr, garde robe 102 fr, bateaux ustensiles de batelier 1177 fr, tonneaux cuves 43 fr, argent et or 254 fr)
une maison (…) estimée à 6000 francs – Masse passive 4387 fr
La maison est citée à l’inventaire dressé en 1873 après la mort de Jean Thiébaut Ulrich au titre des propres de la veuve
Marie Madeleine Busch lègue à son fils Thiébaut l’usufruit viager de sa maison rue Sainte-Catherine avec les meubles qui s’y trouvent
1887 (2.3.), M° Pierron
Hinterlegung des eigenhändigen Testaments – P.U. vom 28. Januar 1882. Testament der zu Strassburg wohnhaft gewesenen daselbst am 20. Februar gestorbenen Magdalena Busch Wittwe von Johann Theobald Ulrich, wonach sie ihrem Sohne Theobald Ulrich die lebenslängliche Nutznießung des Hauses Catharinengasse N° 1 dahier & die darin befindlichen Mobilien zum vollem Eigenthum, alles zum voraus & außer Theil vermacht unter der Last an seine Miterben jährlich 600 fr. zu zahlen
acp 785 (3 Q 30 500) f° 70-v n° 4099 du 4.3. (Sterbf. Erk. am 17/8 82, B. 154 N° 223)
Madeleine Busch meurt en 1887 en délaissant son fils Thiébaut et les petits-enfants issus de ses deux autres fils. L’inventaire est dressé dans sa maison rue Sainte-Catherine
1887 (2.9.), Strasbourg 10 (220), Frédéric Pierron n° 8744
Inventar des Nachlass der zu Straßburg unterm 20.ten Februar 1887 verstorbenen Frau Magdalena Busch, Wittwe von H. Johann Theobald Ulrich.
Im Jahr 1887, Freÿtag den 2. September des Nachmittags Zwei Uhr, zu Straßburg auf dem Amtsstube Judengasse N° 11. Auf Anstehen und Betrieben von 1. Herrn Theobald Ulrich, Rentner und Eigenthümer zu Straßburg wohnhaft, 2. Frau Mathilde Ulrich, gewerbloser Ehegattin des Herrn Frantz Wernert, Notariatsgehülfe, beisammen zu Straßburg wohnhaft, und letztere selbst der ehelichen Ermächtigung und Gütergemeinschaft wegen, 3. Fräulein Bertha Ulrich, gewerblos, noch minderjährig, jedoch emanzipirt zufolge Beschlusses des kaiserlichen Amtsgerichts hier vom 5. November 1881, in Verbeistandung von hier unterschwornen Kurators des zu Straßburg wohnhaften Glasmalers Hrn Isidor Ott, 4. Frau Hortense Louis, Rentnerin zu Straßburg wohnhaft Wittwe des nachgenannten Hrn Karl August Ulrich, handelnd und Bevollmächtigte ihres Sohnes Hrn Alfred Karl Eugen Ulrich, Kaufmannn zu Courbevoie bei Paris wohnhaft (…), 5. Fräulein Celine Ulrich, gebwerblos und 6. Herrn Emil Ulrich, Chemiker, beide großjährig, zu Straßburg wohnhaft,
Herr Theobald Ulrich Sohn der erstgenannten Erblasserin, Frau Wernert & Fräulein Bertha Ulrich, diese beide in Vertretung ihres Vaters des zu Straßburg verlebten Kaufmannes Hrn Theodor Ulrich, eines Sohnes der Erblasserin und H. Alfred Karl Eugen Ulrich, Fräulein Celine Ulrich und H. Emil Ulrich, diese drei in Vertretung ihres Vaters des zu Straßburg verstorbenen Kaufmanns Hrn Karl August Ulrich, ebenfalls eines Sohnes der erstgenannten Erblasserin, einzige Erbberechtigte und zwar
H. Theobald Ulrich zu einem Drittel,
Frau Wernert und Fräulein Bertha Ulrich zusammen zu einem Drittel,
H. Alfred Karl Eugen Ulrich, Frl. Celine Ulrich und H. Emil Ulrich, diese zusammen ebenfalls zu einem Drittel, am Nachlasse ihrer Mutter (…)
in ihrer in der Katharinengasse N° 1 hier gelegenen Behausung, woselbst sie am 21. Februar verstorben ist, vorgefunden haben
Cote 1. Testament. Auf Grund ihres eigenhändigen Testaments de dato Straßburg den 28. Januar 1882 (…) Ich vermache zum voraus meinem genannten Sohn [Theobald Ulrich] die lebenslängliche Nutznießung meines Hauses Katharinengasse N° 1
Beschreibung des Immöbels. Ein zu Straßburg in der Katharinengasse N° 1 und an der Ecke der Züricherstraße gelegenes Wohnhaus nebst Zubehörden, begrenzt einseits, anderseits und hinten von den Erben Dietsch, vorn die Katharinengasse und die Züricherstraße, abgeschätzt zu einem jährlichen *ertrage von 800 Mark. Dieses Wohnhaus ist aus de, obenangezogenen testaments dem Miterben H. Theobald Ulrich in lebenslänglicher Nutznießung vermacht, unter der Last, an seiner Miterben jährlich 460 Mark zu zahlen
acp 792 (3 Q 30 507) f° 86 du 5.9.
Liquidation de la même succession
1887 (2.9.), Strasbourg 10 (220). Frédéric Pierron n° 8745
Liquidation über den Nachlass der zu Straßburg unterm 20.ten Februar 1888 verlebten Frau Magdalena Busch, Wittwe von H. Johann Theobald Ulrich.
sind erschienen 1. Herr Theobald Ulrich, Rentner und Eigenthümer zu Straßburg wohnhaft, 2. Frau Mathilde Ulrich, gewerblose Ehegattin des Herrn Frantz Wernert, Notariatsgehülfe, beisammen zu Straßburg wohnhaft, und letztere selbst der ehelichen Ermächtigung und Gütergemeinschaft wegen, 3. Fräulein Bertha Ulrich, gewerblos, noch minderjährig, jedoch emanzipirt zufolge Beschlusses des kaiserlichen Amtsgerichts hier vom 5. November 1881, in Verbeistandung von hier unterschwornen Kurators des zu Straßburg wohnhaften Glasmalers Hrn Isidor Ott, 4. Frau Hortense Louis, Rentnerin zu Straßburg wohnhaft Wittwe des nachgenannten Hrn Karl August Ulrich, handelnd und Bevollmächtigte ihres Sohnes Hrn Alfred Karl Eugen Ulrich, Kaufmannn zu Courbevoie bei Paris wohnhaft (…), 5. Fräulein Celine Ulrich, gebwerblos und 6. Herr Emil Ulrich, Kaufmann, zu Straßburg wohnhaft, ein Chemiker, beide großjährig, Fr. Celine Ulrich in Straßburg wohnhaft
handelnd, Herr Theobald Ulrich, Sohn der erstgenannten Erblasserin, Frau Wernert & Fräulein Bertha Ulrich, diese beide in Vertretung ihres Vaters des zu Straßburg verlebten Kaufmannes Hrn Theodor Ulrich, eines Sohnes der Erblasserin und H. Alfred Karl Eugen Ulrich, Fräulein Celine Ulrich und H. Emil Ulrich, diese drei in Vertretung ihres Vaters des zu Straßburg verstorbenen Kaufmanns Hrn Karl August Ulrich, ebenfalls eines Sohnes der erstgenannten Erblasserin, einzige Erbberechtigte und zwar
H. Theobald Ulrich zu einem Drittel,
Frau Wernert und Fräulein Bertha Ulrich zusammen zu einem Drittel,
H. Alfred Karl Eugen Ulrich, Frl. Celine Ulrich und H. Emil Ulrich, diese zusammen ebenfalls zu einem Drittel, am Nachlasse ihrer Mutter (…)
I. Verehelichung der Erblasserin Frau Wittwe Ulrich. Absterben ihres Ehegattes Inventarisierung
II. Absterben der Frau Wittwe Ulrich, letztwillige Verfügung
III. Inventarisierung
Unvertheiltheit. In Unvertheiltheit bleibt bis auf Weiteres zwischen den Erben, Ein zu Straßburg in der Katharinengasse N° 1 und an der Ecke der Züricherstraße gelegenes Wohnhaus (…)
acp 792 (3 Q 30 507) f° 87-v n° 2053 du 5.9. Activmasse – Mobiliengegenstände p. m.
Aktivforderung schuldig durch 1. Eheleute Ludwig Emil Paul Dürr 9000, Zins 202, 2. Eheleute Heinrich Oberdoerfer und Klementine Louy 12.000, Zins 126, 3. Eheleute Jakob Stieffer und Karoline Gehlin 8000, Zins 9, Weitere Zins davon, durch den Miterben Theobald Ulrich bezogen 90, 4. Eheleute Nikolaus Geÿ und Maria Hamm Ackerseue in Oberhausbergen 300, 5. Miterben Theobald Ulrich 2200, Zins 12, und 4833 – Gesamtbetrag der Aktivmasse 36.773
Passiva 1107, bleit 35.666
Belieferung und Anweisung (…)
acp 792 (3 Q 30 507) f° 90 n° 2056 du 5.9. Bruttoaufstellung
Le rentier Thiébaut Ulrich meurt célibataire en septembre 1911 en délaissant des héritiers collatéraux. Il est propriétaire d’une part de la maison rue Sainte-Catherine.
1911 (23.10.), Adolphe Riff n° 9394
Inventar über den Nachlass von Theobald Ulrich, Rentner, ledig, gestorben am 10. September 1911, auf Anstehen der in nacheingetragener Theilung genannten Erben
acp 1112 (3 Q 30 827. II) f° 77 n° 4671 du 13.11. Einleitung. Eigenhändiges Testament vom 4. Oktober 1891 mit Kodizill vom 15. Mai 1904, weiteres Testament vom 1. Juli 1902 enthaltend Vermächtnis an die Haushälterin
Nachlass 1. Fahrnisse 2578, 2) Baargeld 641, 3) Rechnungsguthaben 15.388, 4) Wertpapiere 134.796, 5) Hypotheken 12.830, 6) Darlehens Forderung 10.187, 7) 1/3 Anteil an Anwesen Katharinengasse N° 1, p.m.
Passiv 1) Zuwendung auf Testament an Haushälterin 6500, 2) Begräbnis 1248, 3) Miete des Hauses 271, 4) Steuern 543, 5) Erbschaftskosten 2000 6) Erbschaftssteuern (22.250) Zusammen 4062
acp 1112 (3 Q 30 827. II) f° 77 n° 4671 n° 4672 du 13.11.
N° 9395, 23.10.
Theilung des Nachlasses des vorigen Verstorbenen
Auf Anstehen 1) Carl Gustav Weiss, Kaufmann hier, für Carl Ulrich, Kaufmann in Courbevoie, 1/5, 2) Emil Ulrich, Astronom in Barcelona, 1/5, 3) Celina Ulrich, Ehefrau von Carl Heypke zu Köln am Rhein, 4) Mathilde Ulrich, hier, Wittwe Florent Wernert, Bankprokurist, 1/5, 5) Berta Ulrich, Ehefrau von Paul Winckler, Fabrikirektor in Bischweiler, ad 3) auch für ihre minderjährige Kinder I. Ehe Adrienne Celina Becker geb. 14. September 1892 und Gustav Alfred Becker geb. 5. August 1895
Vorbericht. Laut eigenhändigen Testament vom 4.10.1891 vermachte der Verstorbene an Emil Ulrich, Sohn seines Bruders Carl August Ulrich ad 2) genannt den Rest seines Vermögen vermacht er zu gleichen Teilen den 5 Kindern seiner 2 Brüder Carl August Ulrich und Theodor Ulrich den ad 1-5 obgenannt
Durch Kodizill vom 15 Mai 1904 bestimmt er Verstorbene daß was seiner Nichte Frau Heypke in Eigenthum als Erbin zukommt, ihr nur in lebenslängliche Nießbrauch gehören soll, während das Nackt-Eigenthum davon ihren Kindern verbleibt in den Nießbaruch damit beim Ableben ihrer Mutter zu vereinigen
Laut Testament vom 1. Juli 1902. vermacht de Verstorbene seiner Haushälterin Luise Kostenbader die Summe von 2000. und für den Fall sein Tod nach dem Jahr 1903 erfolgt für jedes weitere Jahr mehr 500 M.
Nachlass. Die Mobilien wurden soweit sie unter das Vemächtnis des Mobilien fallen, hiemit dem Vermächtnisnehmer Emil Ulrich ausgeliefert, welcher der Erbmasse deswegen Entlastung erteilt
I. Baargeld 641, II Guthaben 15.388, III. Wertpapiere 134.796, V. [sic] Hypotheken 123.850, VI. Forderung 10.187
VII. Hausanteil an Gemarkung Straßburg Flur 31 n° 88, 0,96 Ar Hof, Wohnhaus (1200) St Catharinengasse N° 1, 9000 (zusammen) 293.844
Vebindlichkeiten I. Passiven Ziffer 2-5 laut Inventar 4062, II. Legat an Haushälterin 6500, III. Zinsvergütung betr. Forderung an Stadt Strassburg 1300 (zusammen) 11.862 – Rest 281.981
Zuteilungen (…)
Fils de Thiébaut Ulrich et de Madeleine Busch, le rentier Thiébaut Ulrich meurt à l’âge de 89 ans dans la maison rue Sainte-Catherine
Décès, Strasbourg (n° 2265)
Strassburg am 11. September 1911. Vor dem Standesbeamten erschienen heute der Student Paul Wernert, wohnhaft in Strassburg, Vogesenstraße 9, und zeigte an, daß der ledige Rentner Theobald Ulrich, 89 Jahre 1 Monat alt, evangelischer Religion, wohnhaft in Strassburg geboren zu Strassburg, Sohn der verstorbenen Eheleute Johann Theobald Ulrich, Schiffer und Maria Magdalena geborenen Busch, beide zuletzt in Strassburg wohnhaft, zu Straßburg Katharinenstraße 1 am 10. September des Jahres 1911 nachmittags um fünf Uhr verstorben sei (i 120)
Les héritiers Ulrich exposent aux enchères la maison qui figure au partage ci-dessus. L’enchérisseur est le cohéritier Charles Ulrich, demeurant à Courbevoie.
1911 (13.11.), Adolphe Riff
Bedingnisheft n° 9452 vom 13. November 1911 n° 9452 – Versteigerung vom 13. November 1911 N° 9453 – 1) Carl Ulrich, Kaufmann in Courbevoie (Seine), zu 16/90, 2) Emil Ulrich, Astronom in Barcelona (Spanien) zu 16/90, 3) Celina Ulrich, Wittwe des Kaufmanns Alfred August Becker, Ehefrau des Majors Carl Heypke zu Köln am Rhein zu 10/90, 4) Mathilde Ulrich, Rentnerin hier Wittwe Florent Wernert, Bankprokurist zu 21/90, 5) Berta Ulrich, Ehefrau von Paul Winckler, Fabrikdirektor in Bischweiler zu 21/90,, 6) Adrienne Celina Becker geb. 14. September 1892 zu 3/90, 7) Gaston Alfred Becker geb. 5. August 1895, zu 3/90, Kinder der ad 3. obengenannte Frau Heypke
Stadt Strassburg Flur 31 n° 88 – 0,96 Ar Hof Wohnhaus St Catharinengasse N° 1, Nutzungswert 1200
Titel, Teilung des amtierenden Notars vom 23 Oktober 1911. Genuß Ende November 1911
Meistbietender blieb Carl Weiss, Kaufmann hier mit dem Gebot von 15.600, p. Weiss erklärte sofort, daß er nicht für sich sondern für Carl Ulrich ad 1. obgenannt angesteigert habe
acp 1112 (3 Q 30 827. II) f° 97 n° 4766-4768 du 22.11.
Les héritiers Ulrich vendent la maison à Salomé Hemmler, veuve du conducteur de locomotive Albert Heitz
1911 (21.12.), Adolphe Riff n° 9592
Verkauf ohne Auflassung vom 21. Dezember 1911 (genehmigt den 13. Juni 1912) – 1) Carl Ulrich, Kaufmann in Courbevoie, 2) Berta Ulrich, Ehefrau von Paul Winckler, Direktor der Jute Spinnerei in Bischweiler, 3) dieselbe für Emil Ulrich, Astronom in Barcelona, als in dessen Rechten stehend laut Kauf amtierenden Notar vom 13. November 1911, 4) Mathilde Ulrich, hier, Wittwe Florent Wernert, Bankprokurist, 5) Hortensia geb. Louis, Rentnerin Wittwe Karl August Ulrich, hier, 6) Celina Ulrich, Wittwe des Kaufmanns Alfred August Becker, Ehefrau von Carl Heypke zu Köln am Rhein, 7) dieselbe als Nießbraucherin des Erbeils ihrer minderjährigen Kinder I. Ehe Adrienne Celina Becker geb. 14. September 1892 am Nachlasse des Theobald Ulrich
an Salome Hemmler, Rentnerin hier, Wittwe des Lokomotivführers Albert Heitz
Stadt Strassburg Flur 31 n° 88 – 0,96 Ar Hof Wohnhaus St Catharinengasse N° 1,
Titel, herrührend vom Nachlasse der hier am 20. Februar 1887 verstorbenen, Magdalena Busch Wittwe des Eigenthümers Johann Theobald Ulrich, zugeteilt laut Theilung des amtierenden Notars vom 23. Oktober 1911, 1. dem Carl Ulrich zu 16/90, 2. dem Emil Ulrich zu 16/90, 3. der Frau Heypke 10/90, 4. der Wittwe Wernert zu 21/90, 5) der Frau Winckler zu 21/90 6) den zweien minderjährigen Becker zusammen 6/90. Laut Kauf amt. Not. vom 13. November 1911 verkaufte Emil Ulrich seine 16/90. Anteil an obigem Anwesen an Frau Winckler
Genuß 1. Januar 1912. Preis 17.750 Mark, hierauf sind bar bezalt 1500
acp 1118 (3 Q 30 833. II) f° 100-v n° 875 du 16.7.1912
N° 10.378, Auflassung, 27. Juni 1912 zu dem Kauf n° 875 hievorn
acp 1121 (3 Q 30 836. II) f° 2 n° 878 du 17.7.
Fils de l’aubergiste Valentin Heitz, Albert Heitz épouse en 1892 Margaretha Salome Hemmler, fille du maraîcher Daniel Hemmler
1892 (22.4.), Strasbourg 4 (190), Charles Lauterbach n° 15.226
22. April 1892. Ehevertrag – Sind erschienen Herr Albert Heitz, Locomotivführer an das Eisenbahn, wohnhaft in Strassburg, großjähriger Sohn von H. Valentin Heitz, Wirth, und Fr. Elisabeth Winckler, Eheleute mit einander zu Strassburg wohnhaft, Bräutigam
und Fräulein Margaretha Salome Hemmler, ohne Gewerbe, wohnhaft in Strassburg, großjährige Tochter von H. Daniel Hemmler, Ackergärtner in derselben Stadt wohnend und von dessen daselbst verstorbenen Ehefrau Barbara Geyer
acp 857 (3 Q 30 572) f° 4-v n° 512 du 27.4. Annahme der auf Errungenschaft beschränkte Gütergemeinschaft, mit Ausschluß der Kleider
Einbringen der Braut, 1) Mobilien geschätzt zu 1200 M. 2. ihren Antheil am mütterlichen Nachlasse und denjenigen ihrer verstorbenen Schwester Emilie Hemmler, bestätigt laut Inventar des amt. Notarss vom 19. Juni 1885
Albert Heitz meurt en 1908 en délaissant trois enfants
1908 (22.12.), Charles Lauterbach n° 34.904
Inventar nach Ableben von Albert Heitz, Lokomotivführer hier gestorben am 23. November 1908. Auf Ansuchen 1) der Wittwe Salome Hemmler, hiern Erbin zu ¼
2) die minderjährige Kinder unter elterlicher Gewalt ihrer Mutter a) Elisabeth Margaretha° Heitz geb. 25. Juli 1893 zu ¼, b) Albert° Daniel Valentin Heitz geb. 20. Dezember 1892 Erbe zu ¼, c) Emil° Eugen Heitz, geb. 5. Dezember 1898, zu ¼
Einleitung. Verheirathung 1892 laut Ehevertrag vor amtierendem Notar 22. April 1892 in Errungenschaftgemeinschaft. Die Wittwe hat Ersatz zu leisten für während der Ehe bez. Herauszahlung vom 3. Dezember 1892 laut Theilung amt. Notar vom 26. Juni 1899, abz. ihres Anteil an dem Kosten der Theilung 267, Rest 3580
Für Neubau des Hauses schuldet die Wittwe Ersatz an die Gütergemeinschaft 18.500 (Summe) 22.080
Massen Aufstellung. A) Gütergemeinschaft. Aktiv 1) Mobilien 521, 2) Forderungen 1. Mietzins aus dem Haus Bahnhofring 10, 235, 2. Pachtzinsen 90 (zusammen) 326
Ersatzleistung der Wittwe 22.080, Kassengelder 1734
Passiv 1) an Laurent Schneider Rentner in Koenigshofen 28.175, die ½ 14.087, 2) sonstige Schulden an Barbara Hemmerler 10.000, andere 566 (zusammen) 24.654
B) Nachlass. Aktiv, Kleider 38, Hälfte der Gütergemeinschaft p.m.
Passiv, Begräbniskosten 523, Ersatzforderung der Wittwe 1200
acp 1086 (3 Q 30 801. I) f° 20-v n° 1197 du 29.12.
La maison est inscrite au cadastre à partir de 1929 au nom de l’électricien Albert Heitz
Electricien servant à l’armée, le luthérien Albert Daniel Valentin Heitz épouse en 1918 la couturière catholique Emilie Marie Meyer
Mariage, Strasbourg (n° 138)
Strassburg am 2. März 1918. Vor dem Standesbeamten erschienen heute zum Zwecke der Eheschließung 1. der Schütze im Landwehr Infanterie Regiment 39, Elektromonteur Albert Daniel Valentin Heitz, evangelischer Religion geboren am 20. Dezember des Jahres 1895 zu Strassburg, wohnhaft in Strassburg, zur Zeit im Felde, Sohn des verstorbenen Lokomotivführers Albert Heitz, zuletzt wohnhaft in Strassburg und seiner Ehefrau Margareta Salomea geborenen Hemmler, wohnhaft zu Straßburg
2. die Näherin Emilie Marie Meyer, katholischer Religion, geboren am 17. Mai des Jahres 1897 zu Strassburg, wohnhaft in Strassburg, Sankt-Ludwigsgasse 22, Tochter des Maurermeisters Johann Baptist Meyer und seiner Ehefrau Magdalena, gebohrenen Clauss, in Strassburg (i 201)