20, rue de la Mésange
Rue de la Mésange n° 20 – III 203 (Blondel), N 609 puis section 62 parcelle 18 (cadastre)
Nouveau bâtiment en 1766, maître d’ouvrage Jean Streitt, fabricant de parapluies, maître maçon Antoine Klotz – surélevé en 1856, Jean Charles Holtzapffel, avocat
Bâtiment arrière, 9, place des Etudiants, rehaussé d’un étage en 1929
Rue de la Mésange, vers l’est – Façade à chaînages, cordon entre les étages – Etages – Fenêtre à linteau surmonté d’une moulure
La maison entre celle dite à la Mésange et une ruelle qui mène au fossé est inscrite dans le Livre des communaux (1587) au nom de Jean Schmidt et Raoul Lobstein, de Lampertheim. Elle a plusieurs encorbellements de 18 pieds de long. Les ayants-droit de Raoul Lobstein vendent en plusieurs fois (1715-1732) la maison au tailleur Jean Vincent Kolb, originaire de Spire. Les experts estiment à sa mort en 1737 le bâtiment délabré à 550 livres. Les préposés autorisent en 1742 son gendre Jean Pierre Marx à avancer son mur pour qu’il soit dans l’alignement du voisin. Le propriétaire doit refaire en 1753 le pavé de la ruelle qui a été endommagé par un de ses locataires. Originaire de Fribourg en Suisse, le fabricant de parapluies Jean Streitt est autorisé en 1766 à reconstruire sa maison en l’avançant sur le communal, à la fois dans la ruelle et vers le petit Marché aux chevaux (rue de la Mésange) où l’alignement est tiré de la maison d’Isaac Tochtermann jusqu’au terrain au-delà du pont des Etudiants. Le maître maçon Antoine Klotz est autorisé en novembre de la même année à faire un balcon au rez-de-chaussée vers le fossé. Il expose en 1768 les travaux aux préposés aux feux. Jean Streitt loue en 1768 au négociant Jacques Jaussaut un logement dans la maison qu’il vient de bâtir. Les propriétaires suivants sont le cordonnier Jean Daniel Walther (1791), le tailleur André Geissenhoffer (1809) puis le notaire Paul Louis Meyer (1814) qui s’accorde en 1819 avec son voisin François Laurent Chappuy sur les constructions dans la ruelle entre leurs maisons.
Plan-relief de 1727. Au premier plan, façades rue de la Mésange. La maison est la plus basse à droite de la ruelle, au milieu de l’image
Au premier plan, façades le long du fossé des Tanneurs. La maison forme l’angle gauche de la ruelle au milieu de l’image (Musée historique, cliché Thierry Hatt)
Elévations préparatoires au plan-relief de 1830, îlot 61, élévations, cour A (fossé), cour R (impasse) et S (Musée des Plans-relief) 1
L’Atlas des alignements (années 1820) cite un bâtiment à rez-de-chaussée en pierre de taille et trois étages en maçonnerie. Sur les élévations préparatoires au plan-relief de 1830, l’entrée de la ruelle se trouve à droite de (b’), suivie de la maison dont le rez-de-chaussée a trois arcades, chacun des trois étages trois fenêtres, une toiture à un étage mansardé et un niveau de lucarnes. La façade vers le fossé des Tanneurs est la première à gauche des escaliers sur la droite, ses ouvertures correspondent à celle de la façade sur rue. La cour S montre l’arrière (3-4) du bâtiment rue de la Mésange, (1-2) de celui vers le fossé, la façade (2-3) du bâtiment intermédiaire et le mur (4-1) qui sépare la cour de l’impasse, figurée à la cour R. La maison y est représentée en (2-3), bâtiment vers la rue à droite et celui vers le fossé à gauche.
Le plan des Ponts-et-Chaussées (1841, route nationale n° 63) porte que la maison a trois étages en pierre en médiocre état (3 E. P. M.)
La maison porte d’abord le n° 8 (1784-1857) puis le n° 20.
Plan des Ponts-et-Chaussées (1841, ADBR cote 5 K 123)
D’abord installé à Paris, le facteur d’instruments Jean Daniel Holtzapffel achète la maison en 1827. Sa veuve et ses enfants cédent en 1854 à l’Etat un terrain qui longe la route nationale. Son fils avocat Jean Charles Holtzapffel surélève la façade en 1856 (augmentation de construction qui porte le revenu de 342 à 457 francs et le nombre de fenêtres au troisième étage et au-delà de 15 à 30). Il cède en 1858 à sa voisine Louise Weiler la mitoyenneté du pignon. Le notaire Charles Victor Holtzapffel y a son étude (1862-1885). Sophie Holtzapffel fait faire en 1886 à faire une nouvelle ouverture vers la ruelle surbâtie. La Ville passe en 1892 un accord pour trente ans avec les riverains de l’impasse de la Mésange concernant les frais occasionnés par les portes qui ferment l’impasse, tant vers la rue de la Mésange que vers la place des Etudiants. Charles Nuss achète des héritiers Holtzapffel la maison (exercice 1925). Il fait surélever en 1929 d’un étage la façade place des Etudiants, modifier l’impasse et autorise Marcel Levy (Parapluies Yvel) à transformer le rez-de-chaussée dont les nouvelles ouvertures devront se trouver dans l’axe des baies des étages. La banque Ernest Asch et Compagnie fait aménager en 1937 un guichet pour vendre des billets de loterie dans la ruelle de la Mésange dont l’entrée se trouve désormais place des Etudiants. Les Parapluies Yvel font transformer le magasin en 1963 et cessent leur activité en 1983.
Façade (1929), ancienne porte qui ferme l’impasse vers la rue de la Mésange (1937), plan du magasin vers la place (1929), plan de situation (dossier de la Police du Bâtiment)
Façade place des Etudiants – Sur la gauche, façade le long de l’impasse (juin 2023)
juillet 2023
Sommaire
Cadastre – Police du Bâtiment – Relevé d’actes
Récapitulatif des propriétaires
La liste ci-dessous donne tous les propriétaires de 1594 à 1952. La propriété change par vente (v), par héritage ou cession de parts (h) ou encore par adjudication (adj). L’étoile (*) signale une date approximative de mutation.
Jean Schmidt et Raoul Lobstein, de Lampertheim | ||
1600* | v | Raoul Lobstein puis ses deux fils Sébastien et Loup, ses deux gendres Nicolas Schwebel et Jean Klein les héritiers dont Michel Schwebel, et (1686) Aurélie Klein, de Lampertheim – luthériens Nicolas Klein, et (1694) Anne Roth puis (1700) Eve Mager, de Lampertheim – luthériens |
1715 | v | Jean Vincent Kolb, tailleur, et (1708) Elisabeth Lentz – luthériens |
1741 | h | Jean Pierre Marx, tailleur, et (1734) Marie Elisabeth Kolb – luthériens |
1761 | v | Jean Streitt, fabricant de parapluies, et (1733) Catherine Barbe Schwartz – catholiques |
1791 | v | Jean Daniel Walther, cordonnier, et (1768) Marie Ursule Luther – luthériens |
1809 | v | André Geissenhoffer, tailleur, et (1801) Anne Marie Legoy – catholiques |
1814 | v | Paul Louis (Jean Joseph) Meyer, notaire, et (1788) Anne Hélène Chouard – catholiques |
1827 | v | Jean Daniel Holtzapffel, facteur d’instruments, et (v. 1804) Marie Louise Benard |
1855 | v | Jean Charles Holtzapffel, avocat, et (1833) Sophie Holtzapffel |
1873 | h | Eugénie Sophie Holtzapffel, rentière |
1923* | h | Jean Daniel Holtzapffel, ingénieur à Lyon |
1925* | v | Charles Nuss, négociant, et Jeanne Weiser |
1936* | Ferdinand Ernst, son épouse et cohéritiers |
Valeur de la maison selon les billets d’estimation : 550 livres en 1737, 2750 livres en 1781
(1765, Liste Blondel) III 203, Jean Streit éventailliste
(Etat du développement des façades des maisons, AMS cote V 61) Antoni Streit, 3 toises, 2 pieds et 0 pouce
(1843, Tableau indicatif du cadastre) N 609, Holtzapfel, Jean Daniel – maison, sol – 1,15 are
Locations
1743, Jean Sinderus, taileur de pierres précieuses
1749, Jean Georges Detterer, chapelier
1751, Guillaume Steiff, tailleur
1752, Jean Streitt, fabricant de parapluies (futur propriétaire)
1768, Jacques Jaussaut, négociant
1773, François Xavier Grenier, perruquier
1777, 1780, Jean Geoffroi Schuhmann, orfèvre
1780, Joseph Antoine Streitt, marchand de parapluies
1812, Jean Daniel Saltzmann, négociant, et Marie Eve Foltzer
1812, (boutique) Jean Heim, tailleur
1816, Jean Baptiste Benoist, capitaine retraité
Livres des communaux
1587, Livre des communaux (VII 1450) f° 246-v
Jean Schmidt et Raoul Lobstein, tous deux de Lampertheim doivent 13 sols 2 deniers pour leur maison, sise à côté de celle dite à la Mésange, qu’ils louent au menuisier Barthelémy Stehlin, à savoir un encorbellement (18 pieds 9 pouces de long, saillie de 4 pieds), une avance à cet encorbellement (18 pieds de long, saillie de 9 pouces), plus haut un autre encorbellement de même longueur, encore un autre encorbellement (saillie supplémentaire de 2 pieds ½), une porte de cave inclinée avec deux murets verticaux (7 pieds ½ de large, saillie de 5 pieds), devant la porte une marche en pierre (5 pieds de long, 14 pouces de large.
Am Cleinen Roßmarckh beÿ Dem Prediger Prücklin Gegen der großen Kirchgaß über, die Einseitte nach der Schneider Stuben hienab
Hans Schmid vnd Rulmann Lupffstein beede Zu Lampartheim haben neben dem hauß Zur Meÿsen ein behausung darinnen sitzt, Barthel Stehelin der Schreiner so einen Vsstoß hatt xviij schu ix Zoll lang, Vnd iiij schu herausser, Mehr ahne disem Vsstoß ein Staucher auch xviij schu ix Zoll lang, ix Zoll herauß, Darüber noch ein Vsstoß auch Inn d. selben lenge, Vnd für disen Vsstoß noch ii+ schu weiter herauß, Mehr ein Lehenende Kellerthüer mit Zweÿ vftrechten Meürlin vii+ schu breÿt vnd v schu herauß, Mehr Vor der haußthüeren ein steinerin tritt v schu lang, xiiij Zoll breÿt, Bessert für das Niessen, xiiij ß ij d
Préposés au bâtiment (Bauherren)
1732, Préposés au bâtiment (VII 1395)
Les préposés autorisent le tailleur Jean Vincent Kolb à agrandir les croisées qui donnent sur le fossé
(f° 46-v) Dienstags den 20. May 1732 – Joh: Vincent Kolb weg. bawens
Johann Vincent Kolb der Schneider, bittet vmb erlaubnus die fenster an Seiner beÿ der Meißen liegenden wohnung auf den Graben hienaus vergrößern Zu laßen. Erk. Willfahrt.
1742, Préposés au bâtiment (VII 1400)
Jean Pierre Marx demande l’autorisation de refaire le mur de l’encorbellement le plus haut et de réduire l’encorbellement de huit pouces. Les préposés n’accordent pas le nouveau mur mais le pétitionnaire pourra avancer son mur pour qu’il soit dans l’alignement du voisin.
(f° 30-v) Eodem die 28. Maÿ, folgende Augenschein eingenommen worden – Johann Peter Marx
An Johann Peter Marxen des schneiders Hauß beÿ der Meÿß an deßen Obern Überhang er eine Neüe Wand einziehen, und den Überhang umb acht Zoll abschneiden will, darumb er umb erlaubnus gebetten.
Erkannt wegen der Neüen Wand abgewießen, so er aber under dem Nachbar Zugleich Herauß Zufahren, und gerad auf Zubauen sich resoluiren wird, solle jhme solches auf sein ferneres ansuchen erlaubt werden.
1753, Préposés au bâtiment (VII 1405)
Les préposés demandent au tuteur des enfants Marx de paver la moitié de le ruelle comme leur voisin Isaac Tochtermann. Le tuteur convient que la ruelle était pavée mais que le chapelier Jean Georges Detterer a détruit le pavé en y posant des pierres pour faire de l’huile. Le tuteur doit réparer le pavé et pourra se retourner contre son locataire.
(f° 104-v) Dienstags den 10.ten Aprilis 1753. – Johann Daniel Senckeißen als Vogt Peter Marxen Kinder
Johann Daniel Senckeißen der schneider als Vogt Peter Marxen Kindern wurde Citirt und jhme angefragt, daß er die helffte des neben seines Vogts Kinderen Hauß befindliche Gäßlein möchte pflästeren Laßen, woran Isaac Tochtermann der Mehlman, wie Supra fol: 102. Zustehe, die andere Helffte neben seinem Hauß auch pflästeren laßen.
Ille gestehet deß dießes gäßlein ehemals Völlig gepflastert gewesen als aber Johann Georg Thäter der Lehnungsweiß in dem Hauß wohnende Hutmacher das Ohlweßen darinn treiben wollen, Hätte er große stein dahin gebracht und da jhme dießes wieder nieder gelegt worden, die Stein wieder hinweggethan, und das pflaster darmit ruinirt.
Erkannt solle der Vogt, und deßen Mit Vogt das gäßel pflästeren laßen, Ihren regress wieder Thäter Vorbehalten.
1766, Préposés au bâtiment (VII 1412)
Le fabricant de parapluies Jean Streitt demande l’alignement à suivre pour reconstruire sa maison et l’autorisation de construire un étage sur la ruelle en mettant une porte au rez-de-chaussée pour pouvoir se rendre au fossé. Les préposés l’autorisent à surbâtir devant sa maison (21 pieds 9 pouces) un terrain de 5 pieds vers la ruelle et 7 pieds vers son voisin Baum tel qu’il est figuré sur le plan et dans la ruelle un terrain de 59 pieds de long sur trois pieds à l’avant et un pied vers le fossé. Il doit payer pour les deux terrains une somme de 68 florins 87 sols 6 deniers. L’alignement est tiré de la maison d’Isaac Tochtermann jusqu’au terrain au-delà du pont des Etudiants que la ville a décidé d’acheter. Les préposés autorisent le 29 novembre Jean Steit et son maître maçon Klotz à faire un balcon au rez-de-chaussée vers le fossé des Tanneurs (24 pieds de long, 3 pieds 3 pouces de large)
(f° 38-v) Dienstags den 19. Aug. 1766. – Johannes Streit
Augenschein eingenommen am roßmarckt beÿ d. Meiß hat Johannes Streitt der Parapluie macher gebetten jhme die flucht anzuweißen nach welcher er sein hauß bawen könne, und jhme zu erlauben das gäßlein darneben so in den Gerbergraben leitet vom ersten Stockwerck an zu überbawen, mit dem oblato auff dem boden eine thür machen Zu laßen umb vermittelst derselben die Communication mit dem graben Zu behalten.
Erkannt, wird jhme vom eck des gäßleins umb 5 schuh. und neben H. Baum seines nachbarn hauß umb 7. sch. wie beÿliegender plan außweißet fornen auff d. Allmend vorzubawen erlaubt, das hauß ist breit 21 sch. 7 zoll und beträgt demnach der quadrat Innhalt von dießem platz 3 Claff. 18 schuhe 7 Zoll, ferner sie jhme vergönnet in dem Gäßlein fornen umb 3 schuh und hinten umb 1. schuh in der länge von 59 schuh herauß zu fahren, welches Platz im quadrat 3 Clff. 10 schuh in sich faßet, für welche beede plätz Zusammen ad 6 Claffter 28. schuh 7. Zoll sich belauffend, er ein für alle mahl à 10 fl. vom quadrat Claffter 68 fl. 7 ß. 6 d. bezalen solle.
Pro nota, die flucht ziehet sich von Isaac Tochetermann des Meelmanns eck auff das eck von H. Lt. Beguin platz jenseitz dem Studentenbrückel, welchen die Statt jüngst zu Kauffen entschloßen hat.
(f° 50) Dienstags den 25. 9.bris 1766 – Johannes Streit
Johannes Streit d. Parapluyemacher läßt durch Mr Klotz seinen Maurer umb erlaubnus betten einen Steinernen Altan 24 sch. lang vnd 3 sch. 3 z. breit au Rez de chaussée an sein hauß hinten auff den Gerbergraben Zu machen. Erkannt, Willfahrt.
1770, Préposés au bâtiment (VII 1414)
Le fabricant de parapluies Steit obtient que la ville répare à ses frais les dommages causés par le rehaussement du pavé.
(f° 43-v) Dienstag den 25 Septembris 1770 – Streit
(-) Streit der Reegen deckel macher suchet in unterthänigkeit an die durch auffhebung des Pflasters auffgehobene thür Schwöll und Stafflen auff gemeiner Statt Kösten im Vorigen Stand zu stellen
Erkannt, wird die bewerckstelligung dießes begehrens H. Bau Inspector Werner, so auff gemeiner Statt Kösten zu bestreiten, auffgetragen.
(f° 54) Dienstag den 20.sten Novembris 1770 – N. Streit
N: Streit der Reegendeckel macher bittet unterthänig ihme durch das in letzem zeiten auffgehobene pflaster an seinem hauß verursachten schaden zu repariren, Ist Erkannt solle unter obsicht des H. Bau Inspectoris auff Kösten der gemeiner Statt der Implorantischem hauß zugefügte schaden verbeßert werden.
Préposés aux feux (Feuerherren, 4 R 91)
1768. Les préposés autorisent le maître maçon (Antoine) Klotz à faire des travaux dans la maison du fabricant de parapluies Jean Streit, les tuyaux étant à bonne distance de la menuiserie, à savoir mettre un chaudron à lessive au sous-sol, un poêle et une cuisine au rez-de-chaussée du bâtiment arrière, un atelier d’orfèvre dans le bâtiment avant à droite de la porte d’entrée, au premier étage une cheminée à la française dans la chambre vers la rue, au même étage un cabinet vers la ruelle une cheminée à la française et une voûte, au même étage dans le bâtiment arrière une cuisine équipée d’un fourneau et d’une hotte, au deuxième étage de même, au troisième étage du bâtiment avant un poêle vers la rue, à l’arrière une cuisine équipée d’un fourneau et d’une hotte
(p.150) Dienstags d. 16. Februarÿ 1768. – Johann Streit des parasol macher, will in seiner behaußung neben der Maiß, in dem Keller gegen dem Gerber graben einen Bauchkessel mit heerd und Camin schoß setzen, das rohr am steinern gäbel hinauf von allem holtz entfernt.
In der rez de chaussée im hindern gebäu eine Stube gegen dem Gerbergraben, hinden daran eine Kuchen mit heerd und Camin schoß machen, das rohr am steinern gäbel hinauf von allem holtz entfernt.
Im Vordern gebäu rechter hand des Eingangs au rez de chaussée ein goldschmidts Werckstatt gegen der straß, hinden daran eine Eße mit Camin schoß versehen, das rohr am steinern gäbel hinauf von allem holtz entfernt.
Im ersten stock eine Cammer gegen der Straß, worinnen ein frantzösisches Camin mit einem gewölb wohl Versehen, das rohr am steinern gäbel hinauf von allem holtz entfernt.
Im nemlichen stock ein Cabinet gegen dem allmend gäßlin, worin ein frantzösischs Camin mit einem gewölb wohl versehen, das rohr am steinern gäbel hinauf von allem holtz entfernt.
Im hindern gebäu im nemlichen stock eine Kuchen mit heerd und Camin schoß, das rohr am steinern gäbel hinauf von allem holtz entfernt.
Im Zweÿten stock ist alles dem ersten gleich.
Im dritten stock eine Stube gegen der straß im vordern gebäu, hinden daran eine Kuchen mit heerd und Camin schoß, das rohr am steinern gäbel hinauf von allem holtz entfernt.
Erkanndt, durchaus Willfahrt. Mr Klotz
Description de la maison
- 1737 (billet d’estimation traduit) le vieux comble délabré est couvert de tuiles creuses, il y a plusieurs poêles, chambres, cuisines, vestibules, une cave sous solives, le tout en mauvais état, estimé avec toutes appartenances et dépendances à la somme de 1 100 florins
Atlas des alignements (cote 1197 W 37)
2° arrondissement ou Canton nord – Rue de la Mésange (f° 20)
nouveau N° / ancien N° : 15 / 8
Meyer
Rez de chaussée en pierre de taille et 3 étages bons en maçonnerie
(Légende)
Cadastre
Cadastre napoléonien, registre 21 f° 172 case 4
Holtzapfel, Jean Daniel à Strasbourg
Holtzapfel, Jean Charles avocat à Strasbourg (Sub. p. 1857)
N 609, maison, sol, R. de la mésange 8 / R. de la Marseillaise
Contenance : 1,15
Revenu total : 342,60 (342 et 0,60)
Ouvertures, portes cochères, charretières :
portes et fenêtres ordinaires : 39 / 31
fenêtres du 3° et au-dessus : 15 / 12
Cadastre napoléonien, registre 22 f° 438 puis 690 case 2
Holtzapfel, Jean Charles avocat
1886/87 Holtzapfel, Eugenie Sophie, Rentnerin
N 609, maison, sol, Rue de la mésange 20
Contenance : 1,15
Revenu total : 342,60 (342 et 0,60)
Folio de provenance : (172)
Folio de destination : 438
Année d’entrée :
Année de sortie : 1859
Ouvertures, portes cochères, charretières :
portes et fenêtres ordinaires : 39
fenêtres du 3° et au-dessus : 15
N 609, maison
Revenu total : 457,60 (457 et 0,60)
Folio de provenance : 438
Folio de destination :
Année d’entrée : 1859
Année de sortie :
Ouvertures, portes cochères, charretières :
portes et fenêtres ordinaires : 31
fenêtres du 3° et au-dessus : 30
1859, Augmentations – Holtzapffel Jn Charles f° 438, N 609, maison, revenu 115, addition de construction, achevée en 1856, imposable en 1859, imposée en 1859
Cadastre allemand, registre 32 p. 442 case 3
Parcelle, section 62, n° 18 – autrefois N 609
Canton : Meisengasse Hs N° 20
Désignation : Hf, Whs, NG
Contenance :
Revenu : 4000 – 6000
Remarques
(Propriétaire jusqu’à l’exercice 1923, compte 562
Holtzapfel, Eugenie Sophie
gelöscht 1923
(Propriétaire à partir de l’exercice 1923), compte 4493
Holtzapfel, Jean Daniel ingénieur à Lyon
1925 Nuss Charles, négociant et son épouse Jeanne née Weiser en communauté de biens
1936 Ernst Ferdinand son épouse et cohéritiers
(1352)
1789, Enquête préparatoire à l’Etat des habitants (cote VII 1295)
Canton 3, Rue 71, Partie de la Rue de la Mésange
8. Loc. Me Schumann Geofroid orfevre – Echasses
8. Pr. Md Streit Catherine Barbe, veuve – Echasses
8. Loc. Mr Heim Joseph dessinateur – Privilegié
8. Loc. M Olivier Nicolas, dessinateur – Privilegié
8. Loc. M Apprederis – Privilegié
1789, Etat des habitants (cote 5 R 26)
Canton III, Rue 71 de la Mesange p. 115
8
Lo. Schumann Geofroid Orfevre – Echasses
Pr. Streit Catherine Barbe, Veuve – Echasses
Lo. Heim Joseph dessinateur – Privilegié
Lo. Olivier Nicolas, dessinateur – Privilegié
Lo. Apprederis Felix Romain Ignace, Interessé p. le Roy – Privilegié
loc. Koch Jerome, Mecanicien
Annuaire de 1905
Verzeichnis sämtlicher Häuser von Strassburg und ihrer Bewohner, in alphabetischer Reihenfolge der Strassennamen (Répertoire de toutes les maisons de Strasbourg et de leurs habitants, par ordre alphabétique des rues)
Abréviations : 0, 1,2, etc. : rez de chaussée, 1, 2° étage – E, Eigentümer (propriétaire) – H. Hinterhaus (bâtiment arrière)
Meisengasse (Seite 112)
(Haus Nr.) 20
Weil, Hutgeschäft. 0
Holtzapfel, Rentnerin. E 1
Haass, Rentner. 2
Charpigny, Wwe. Rentn. 3
Dossier de la Police du Bâtiment (cote 888 W 367)
20 rue de la Mésange (1872-1995) entrée 9, place des Etudiants
Sophie Holtzapffel est autorisée en 1886 à faire une nouvelle ouverture vers la ruelle surbâtie qui appartient à la commune.
Le photographe Hruschka n’est pas autorisé en 1889 à placer une vitrine à l’entrée du passage fermé par une porte. Même refus opposé en 1890 au calligraphe Guillaume Lustnauer. Le libraire Singer fait poser en 1914 une vitrine sur la porte qui ferme la ruelle vers la place des Etudiants.
Marcel Levy (Parapluies Yvel) demande en décembre 1928 au nom du propriétaire Ch. Nuss l’autorisation de faire des transformations et de surbâtir l’entrée de la ruelle entre les n° 20 et 22 en s’engageant à en assurer l’accès par la place des Etudiants. Le maire délivre en mars 1929 l’autorisation de transformer le rez-de-chaussée, de surélever d’un étage la façade place des Etudiants et de transformer l’impasse. Les nouvelles ouvertures rue de la Mésange devront se trouver dans l’axe des baies des étages, les piliers du côté gauche au-dessous de l’avant-corps des étages. Les travaux sont terminés en juillet 1929.
La banque Ernest Asch et Compagnie (46, rue du Vieux-Marché-aux-Vins) fait aménager en 1937 une cabine à guichet pour vendre des billets de loterie dans la ruelle de la Mésange sur un terrain qui appartient à la Ville de Strasbourg. La ruelle a son entrée par la place des Etudiants.
Les Parapluies Yvel font transformer le magasin en 1963. Le magasin Yvel cesse son activité en 1983.
1984, enseignes Babybotte et Beverly. 1995 Enseigne L’Île aux chaussures
Sommaire
- 1873 – Le directeur de l’usine à gaz demande que le plombier Rhein soit autorisé au nom du propriétaire Holtzapffel à faire une prise pour environ 20 becs
- 1885 – Le maire notifie la veuve Holtzapffel (demeurant Kaiserstrasse, ensuite avenue de la Liberté) de faire ravaler la façade – Travaux terminés, novembre 1885
- 1886 – La demoiselle S. Holtzapffel demande l’autorisation de modifier une croisée et d’en ouvrir une nouvelle vers la ruelle entre sa propriété (n° 20) et celle Ruffernacht (n° 22) – Autorisation de faire une nouvelle ouverture vers la ruelle surbâtie qui appartient à la commune d’après le plan des alignements du 11 mars 1854. – Dessin
- 1889 – Le photographe Hruschka (demeurant place Broglie n° 4, premier étage) demande l’autorisation de placer une vitrine à l’entrée du passage fermé par une porte ou au moins de la placer dans l’arcade de l’ancien marché rue de la Haute-Montée. La Ville (Illinger) répond que le passage doit rester ouvert puisqu’il donne accès aux maisons n° 20 et 22. Elle demande au directeur de l’octroi les conditions d’après lesquelles l’autorisation peut être accordée à l’ancien marché. Le maire répond que la vitrine ne peut être autorisée que si la porte est conservée. L’autorisation à l’ancien marché peut être accordée jusqu’à ce que le bâtiment soit démoli (dessin du projet de vitrine au petit marché)
- 1889 – Le maire notifie la veuve Holtzapffel de faire ravaler la façade – Travaux terminés, octobre 1889
- 1890 – Guillaume Lustnauer (institut de calligraphie Lustnauer, 5, rue Graumann) demande l’autorisation de fixer une vitrine à la porte de bois. Le maire répond que l’autorisation ne peut être accordée parce que la Ville est en pourparlers sur l’usage de la ruelle.
1894 – La porte en face de la Ville de Paris a été repeinte - 1896 – Dossier suite à un courrier du commissaire de police. La demoiselle Holtzapffel demande l’autorisation de repeindre la façade – Travaux terminés, avril 1896.
- 1895 – Le maire demande à S. Holtzapffel de modifier la porte donnant place des Etudiants. Il accorde un délai – Travaux terminés, mai 1896.
- 1899 – Le maire constate que le chapelier Théodore a posé un store sans autorisation – Demande – Autorisation
- 1900 – Le propriétaire Holtzapffel demande l’autorisation de réparer le crépi vers la place des Etudiants – Autorisation accordée alors que les travaux se terminent
- 1904 – Le maire demande à Sophie Holtzapffel de faire ravaler la façade – Le peintre Daniel Arbogast (12, quai Saint-Nicolas) demande de reporter le ravalement jusqu’à ce que les travaux d’excavation soient terminés rue de la Mésange – Daniel Arbogast demande au commissaire de police l’autorisation de poser un échafaudage sur la voie publique, septembre 1904 – Le maire accorde l’autorisation – Travaux terminés, novembre 1904.
- 1907 – Le maire demande à Sophie Holtzapffel de faire ravaler la façade – Le peintre Daniel Arbogast fait remarquer qu’il a peint la façade à l’huile en 1904. – Le maire dispense de nouveaux travaux, la façade étant propre.
1909 – Le maire demande à Sophie Holtzapffel de faire ravaler la façade – Daniel Arbogast demande au commissaire de police l’autorisation de poser un échafaudage sur la voie publique, septembre 1904 – Le maire accorde l’autorisation – Travaux terminés novembre 1909. - 1914 – Le libraire Singer demande l’autorisation de poser une vitrine sur la porte qui ferme la ruelle vers la place des Etudiants. L’autorisation peut être accordée si le propriétaire de la maison voisine donne son accord.
- 1920 – Le maire demande à Sophie Holtzapffel de faire ravaler la façade. Il accorde un an de délai – L’ingénieur Jean Holtzapffel (demeurant à Lyon, 6, rue Alfred de Musset) demande un délai supplémentaire au nom de Sophie Holtzapffel, âgée de 84 ans et malade
1921 – Les peintres en bâtiment Sigel Frères (26, rue des Juifs) demandent l’autorisation de poser un échafaudage sur la voie publique. Le commissaire de police transmet la demande au maire – Accord - 1924 – L’Imprimerie Strasbourgeoise (15, rue des Juifs) demande l’autorisation de poser une vitrine sur la façade rue de la Mésange – Autorisation
- 1929 – La société Montailleur demande l’autorisation de poser une enseigne au premier étage rue de la Mésange – Autorisation de poser une enseigne plate – Dessin
1929 – Transformations au 20, rue de la Mésange pour M. Nuss (4, rue des Grandes Arcades) - 1904 – Le maire demande à Sophie Holtzapffel le raccordement des cabinets d’aisance aux canalisations – Travaux terminés, 1905
1915 – Commission des logements militaires. Rien à signaler - 1928 (décembre) – Marcel Levy demande au nom de M. Nuss l’autorisation de faire des transformations et de surbâtir l’entrée de la ruelle entre les n° 20 et 22 en s’engageant à en assurer l’accès par la place des Etudiants – La division V note que l’immeuble suit l’alignement de la route nationale numéro 63 et celui de la place des Etudiants, l’impasse appartient à la Ville mais n’est pas portée au plan d’alignement
1929 (janvier) – La société Parapluies Yvel disjoint les deux demandes pour obtenir plus vite l’autorisation de faire transformer le magasin par la société Guri et Meyer – Le propriétaire Ch. Nuss (chapellerie française et anglaise, 20, rue de la Mésange, 118, Grand rue et rue du Verger à Illkirch) donne son autorisation. – La Commission des Beaux-Arts n’a pas d’objection à faire quant à la façade projetée rue de la Mésange à condition que les ouvertures se trouvent dans l’axe des baies des étages. L’autorisation d’aménager une troisième devanture dans l’impasse sera traitée à part. La façade place des Etudiants sera surélevée d’un étage.
1929 (février) – Les entrepreneurs P. Guri et E. Meyer (rue des Balayeurs, chantiers 3, rue du Général-Zimmer et 10, chemin du Heyritz) transmettent les calcul statiques pour les piliers des deux magasins, en se fondant sur les prescriptions du ministère prussien du 24 décembre 1919. – Ils devront fournir de nouveaux calculs, les précédents étant faux
1929 (mars) – Marcel Levy (4, rue des Grandes Arcades) transmet les plans de la façade. Le socle est en granit foncé, l’encadrement en fer forgé, le sol de l’entrée en dalles de marbre, le plafond revêtu de marbre, le vitrage en verre décoratif (imposte) et en verre argenté (devantures)
1929 – Autorisation de transformer le rez-de-chaussée du 20, rue de la Mésange, de surélever d’un étage la façade place des Etudiants et de transformer l’impasse. Les nouvelles ouvertures rue de la Mésange devront se trouver dans l’axe des baies des étages, les piliers du côté gauche au-dessous de l’avant-corps des étages
Calculs pour la fabrique de parapluies Yvel. Les travaux consistent à aménager deux magasins au rez-de-chaussée en remplaçant des murs par des piliers en fer et en posant des sous-poutres métalliques
1929 (avril) – Marcel Levy demande l’autorisation de poser une enseigne lumineuse perpendiculaire à double face (Yvel). Michel et Catherine Hansen, propriétaires du n° 22, demeurant à Drusenheim autorisent Marcel Levy à poser une enseigne lumineuse jusqu’à leur propriété. C. Nuss, propriétaire du n° 20, accorde la même autorisation. – La maire accorde l’autorisation le 30 mai 1929.
Le gros œuvre est terminé, avril 1929. – L’entrepreneur doit transformer les cloisons du corridor et de la cage d’escalier pour qu’elles correspondent au permis de construire – Les cloisons ont été renforcées, mai 1929 – Travaux terminés, juillet 1929. – Les battants de la porte devront s’ouvrir vers l’extérieur - 1929 (mai) – La chemiserie parisienne (Ledermann et Buisson, 3, rue des Grandes Arcades) est autorisée à poser deux inscriptions (Chemiserie Parisienne, entrée 9, place des Etudiants)
- 1928 – La Police du Bâtiment demande à la Division I de faire appliquer le contrat du 7 mars 1892 relatif à l’entretien de la clôture (le bas de la porte métallique est rouillé). La Division I propose de répartir les frais à parts égales (le quart) entre les trois propriétaires et la Ville. Le maire écrit que le contrat du 7 mars 1892 a été conclu pour trente ans, tacitement reconductibles d’un an. Michel Hansen déclare que la Ville a dénoncé le contrat le 11 août 1926. – Charles Nuss propose que ceux qui garent leurs chariots dans l’impasse (l’hôtel de la Ville de Paris, la librairie de la Mésange) contribuent à son entretien.
1928 (septembre) – Le maire demande aux différentes parties, c’est-à-dire Ch.Nuss, 20 rue de la Mésange, Hansen-Becker de Drusenheim (pour le n° 22) et la veuve Fernand Wisner (2, quai Koch pour le n° 24) d’honorer le contrat passé le 7 mars 1892.
Le propriétaire Nuss propose de louer la ruelle pour trente ans en la fermant par une troisième devanture. La Division VI n’a pas d’objection à faire.
1930 (janvier) – Le dossier est classé sans suite. - 1930 – Joseph Podrasky demande l’autorisation de poser une enseigne plate (Englisch Tailor) au 9, place des Etudiants
- 1929 – A. Scheyen Fils (3, rue de la Course) demande au nom du pâtissier Kern (7, rue d’Andlau) l’autorisation d’établir un petit four au premier étage du 3, place des Etudiants – Dessin (impasse sur la droite) – L’inspecteur du travail n’a pas d’objection à faire – Autorisation – Travaux terminés, novembre 1929 (mention 3, place des Etudiants et 20, rue de la Mésange), la pâtisserie est en faillite
- 1929 – Le pâtissier Charles Kern (9, place des Etudiants) demande l’autorisation de poser une enseigne plate (Pâtisserie, Confiserie, Café, Thé) – Autorisation
- 1931 – Le peintre en bâtiment Albert Kornwachs (16, rue du Faubourg de Pierre) demande l’autorisation de poser des enseignes – Même demande par les parapluies Yvel (enseigne en forme de parapluie) – Autorisation accordée pour une enseigne déjà posée
1934 – Les parapluies Yvel demandent l’autorisation de poser une enseigne temporaire – Autorisation - 1934 – Le maire notifie le propriétaire Ch. Nuss de faire ravaler la façade
- 1935 – Maurice Levy demande l’autorisation de poser une enseigne temporaire, des tables et un parasol devant la porte et des tables dans l’impasse – Remarques adressées à la Division VI quant à l’occupation de la ruelle qui ne peut être autorisée sans s’exposer à des dissensions. – Le maire autorise l’enseigne temporaire mais interdit pour des raisons de principe l’occupation de la voie publique (trottoir et impasse).
- 1937 – La Police du Bâtiment constate suite à une plainte que l’accès à la portière de ramonage est difficile. Le maire demande au propriétaire Fernand Ernst (demeurant 4, rue Massenet) de remédier à la situation. – Le maître ramoneur Philippe Vogt (6, rue du Fort) délivre un certificat pour la nouvelle cheminée de Fernand Ernst au 20, rue de la Mésange
- 1937 – La banque Ernest Asch et Compagnie (46, rue du Vieux-Marché-aux-Vins) demande l’autorisation d’aménager une cabine à guichet pour vendre des billets de loterie dans la ruelle de la Mésange sur un terrain qui appartient à la Ville de Strasbourg (section 62, parcelle 19) – Le maire accorde un droit d’occupation pour trois ans – Autorisation – Le guichet est en place. La ruelle a son entrée par la place des Etudiants.
1938 (février) – Les héritiers Nuss, représentés par Fernand Ernst, ainsi que les autres riverains déclarent que les transformations dues au guichet de loterie les dégagent de toute responsabilité en cas d’accident. – La Police du Bâtiment conclut après visite des lieux qu’il n’y a pas lieu de prendre de mesures puisque la ruelle n’est pas accessible au public et que l’autorisation d’aménager le guichet a été accordée sous réserve des droits de tiers. - 1934 – Ch. Weymann (atelier de chausseurs Bottiers réunis) demande l’autorisation de poser une petite vitrine au 9, place des Etudiants – Autorisation
- 1937 – Ledermann et Buisson (chemiserie parisienne) déclarent qu’ils vont enlever les enseignes. Les droits sont dus pour l’année 1938, les enseignes étant toujours en place fin janvier. Elles sont enlevées en février.
- 1938 – Le locataire Weymann (bureau et atelier au premier étage) se plaint que le plâtre se détache du plafond. La Police du Bâtiment constate que la plainte est fondée – Travaux terminés, avril 1938
- 1941 – Le propriétaire Ernst (4, Fritsche Closener Strasse) déclare avoir chargé le serrurier Treiber de retirer les inscriptions – L’enseigne perpendiculaire et l’enseigne lumineuse sont retirées.
- 1941 – Le peintre en bâtiment Fritz Stammler (29, rue Rustbaum à Cronenbourg) demande l’autorisation de peindre la maison. Autorisation de poser un échafaudage sur la voie publique – Travaux terminés, août 1941
- 1941 – L’architecte Frédéric Gabel (20, Friedrich-Lienhard) demande au nom du chapelier Heinemann et Elvert l’autorisation de poser une enseigne – Dessin aquarellé
- 1945 – S. Levy demande l’autorisation de remettre l’enseigne Yvel
1949 – Le magasin Yvel (spécialiste du parapluie) informe la Police du Bâtiment qu’il n’y plus d’inscription sur lambrequin
1961 – Le magasin Yvel (parapluies, gants, écharpes) informe la Police du Bâtiment qu’il supprime son store - 1963 – René Oster (propriétaire, demeurant 11, quai des Bateliers) est autorisé à poser un échafaudage sur la voie publique
- 1963 – Madame Edgar Levy, raison sociale Parapluies Yvel demande l’autorisation de transformer le magasin (propriétaire, René Oster) – Plan de situation – L’entreprise Giraud (Chambray-lès-Tours) expose les travaux à faire – L’ingénieur des Ponts-et-Chaussées accorde l’autorisation – Autorisation (permis de construire – Travaux terminés, mars 1964
- 1964 – Le magasin Yvel est autorisé à poser un échafaudage sur la voie publique
Il demande l’autorisation de poser une enseigne en lettres détachées – Autorisation – L’enseigne est posée, avril 1964
1964 – René Oster (propriétaire, demeurant 11, quai des Bateliers) est autorisé à poser un échafaudage sur la voie publique - 1969 – Le maire demande au propriétaire René Oster de faire ravaler la façade – Robert Werler (Bureau d’étude du bâtiment, route de Mittelhausbergen) informe la Police du Bâtiment que René Oster est mort et que la façade a été ravalée en 1963. – Les différents rappels restent sans suite
1972 – Le maire écrit à Maurice Oster – Devis de l’entreprise H. Schmid, France (Lingolsheim)
1972 – L’entreprise général de peinture S.E.E.P.U. (5, route de Hangenbieten à la Montagne-Verte) est autorisée à occuper la voie publique rue de la Mésange et place des Etudiants (septembre et octobre 1972) - 1975 – La Police du Bâtiment constate que le magasin de musique S. Wolf (24, rue de la Mésange) a posé sans autorisation deux enseignes temporaires aux 20 et 24, rue de la Mésange – Le directeur général Henri Lazare demande l’autorisation – Autorisation
- 1980 – L’entreprise JOFA (5, rue de Hangenbieten) est autorisée à poser un échafaudage sur la voie publique pour ravaler la façade – Travaux terminés, juillet 1980
- 1983 – Le maire autorise la maison Yvel à vendre par liquidation du 2 janvier au 29 février
1983 (décembre) – Edgar Levy (1, rue René Hirschler) déclare que le magasin Yvel cesse son activité et retire l’enseigne lumineuse – L’enseigne est démontée, février 1984 - 1984 – Jean-Claude Chatemot (21, rue Georges Clemenceau à Montbéliard) demande l’autorisation de poser des enseignes (Babybotte et Beverly)
1994 – Le maire autorise le Centre de Bon Chaussage (magasin Babybotte) à vendre par liquidation pour cessation d’activité - 1995 – La société anonyme Lincoln (33-a rue du Vieux-Marché-aux-Vins) demande que la société Litewka (23, rue Saglio) soit autorisée à poser l’enseigne lumineuse L’Île aux chaussures au 20, rue de la Mésange – Croquis – Dessin – L’architecte des Bâtiments de France émet un avis favorable – Autorisation
Autres dossiers
942 W 330, dossier de sécurité (1994-1995)
1308 W 20, modification de la devanture (2001)
1539 W 691, modification de la devanture (2002)
1540 W 154, modification de la devanture (2002)
Relevé d’actes
D’après le Livre des communaux, la maison appartient en 1587 à Jean Schmidt et à Raoul Lobstein (Rulmann Lupffstein), tous deux de Lampertheim
Raoul Lobstein achète en mai 1606 le droit de bourgeoisie en s’inscrivant à la tribu des Gourmets
1606, 3° Livre de bourgeoisie (4 R 105) p. 712
Rulmann Lupstein von Lampartheim Kaufft d. B: mit beÿstandt Mathis Teübers deß schneiders Will Zun Weinstichern dienen, Actum vt supra [5. Maÿ Anno & 606]
Raoul Lobstein de Lampertheim et bourgeois de Strasbourg, assisté de son fils Sébastien Lobstein, fait donation de sa part de la maison voisine de celle à la Mésange à ses gendres Nicolas Schwebel et Jean Klein pour les récompenser ainsi que ses filles de leurs loyaux services (Raoul Lobstein est devenu depuis 1587 propriétaire de la part de Jean Schmidt)
1611 (ut spâ [4 tag Decembris]), Chancellerie, vol. 396 (Registranda Meyger) f° 475-v
(P. fol. 388.) Erschienen Rülmann Lupffstein vonn Lamp.th burger Zu Straßburg, mit beÿstand Bastian Lupffstein Zu Lamp.theim seines Sohns
hatt in gegensein Clauß Schwebell vnd hannß Kleinen beder vonn Lamp.th. seiner dochtermännern bekhand, Demnach seine bede döchter Ime Ihrem alten vattern so wol beÿ gesunden tag. Als Inn disser seiner leibs blödigkheit Alle Khindliche lieb vnd treuw mit fleissiger vff wertung erzeÿg. vnnd beweÿsen, Auch verhoffentlich noch ferner vnd vnuertroffenlich continuiren werden, das hierauff ermelter Rulmann Lupffstein d. Vater denselben seine Zwoen dochtern vmb Jetzerhälter gutthatt. wollen, für nemmlich Aber Auch weil er seinen Zwen Söhnen, Zwen Acker höff vmb ein wolfeÿl gelt vor der Zeit vbergeb. vnd zugestellt (…)
der Zweÿthentheil von vnd Ane hauß vnd hoffestatt, mit Allen Ihren geb. & geleg. Inn d. St. St. vff dem Kleinen Roßmarck beÿ d. Meÿsen, Also vnd dergestalt das nun hinfürther ernante seine beder döchter solche Behausung recht eÿgenthbß weÿß haben, besitz. nutz. vnd nÿß. damit thun vnd laß., nach Ihrem willen vnd wolgefallen, Hingegen Aber zum Zweÿthen theil die xvj gl gelts, so mit iiij C gl. Abzulösen sind, Jährlich dem großen gemeinen Allmusen Zu S Marx Jährlich vnd fürtherhin Zu Verzinßen, Ohne nachgemelts Rulmans Lupffsteins od. Anderer seiner Khind. Zuthun, cost. und schad. Dabeÿ den beden döchtern noch ferner Angedingt word. daß obgedacht Ihr Brud. Bastian die Zeit seines lebens inn obgeschriebener Behausung ein Kasten haben soll, Ouch sein pferdt Inn Stall Zu stellen befugt sein, Weÿther hatt gedachter Rullman Lupffstein Angezeigt Nachdem er vor der Zeit wÿland hannß Lupffstein seinem Sohn selig Zu Lamptheim Ein platz (…)
Loup Lobstein vend à son frère Sébastien Lobstein un quart (part revenant à chaque enfant) du tiers (part étant revenue à leur mère) de la maison au petit Marché au chevaux à côté de la maison à la Mésange
1613 (ut spâ [xxix. tag Januarÿ]), Chancellerie, vol. 404 (Registranda Meyger) f° 67
(P. fol. 72.) Erschienen Wolff Lupffstein von Lamperth. (verkaufft)
Bastian Lupffstein zu Lamperth. seinem brud.
Ein Vierdetheil Ime dem Verkäuffer für Ungetheilt Am drittentheil vom hauß hoffestatt vnd Stallung mit Allen Ihren geb. d gelh. In d. St : St ; vff dem Cleinen Roßmarck einsit ein Eckhauß Am gässell, And.sit neb. einer Behaußung Zur Meÿsen genant, hind. vff den graben geg. dem collegio stoßend, dauon gend viij ß v 2 Kappen Bod. zinß Ane eim pfund Im Münster, Mehr xvj gl gelts mit iiij C gl wrg. Abloßig vff Marien Verkhundng fallend, dam hauß Zu S Marx Sunst eÿg. davon ein Vierdetheil Am drittheil Ime den Kheuffer zuuor zuständig vnd die vbrig. thl Ihr. geschwistrig gehörig, Vnd ist disser Khff & vmb xxx lb s Straßburg.
Michel Schwebel, fils d’André, épouse en 1686 Aurélie, fille de l’huilier Jean Klein
Mariage, Lampertheim (luth. f° 3)
1686 d. 23.t Apr. Seind nach Zweÿmahlicher außruffung eingesegnet worden Michel Schwebel der ledige Andres Schwebels burgers allhier ehl. Sohn, Vnd Jungfr Aurelia Hanß Kleinen gewesenen burgers vnd Ohlmans allhier hinterl. ehel. Tochter (i 3)
Jean Klein de Lampertheim vend sa part (un huitième) de la maison à Michel Schwebel et à son frère Nicolas Schwebel
1689 (19.2.), Chambre des Contrats, vol. 560 f° 99
Hannß Klein Von Lampertheim
in gegensein Michael Schwebels auch von Lampertheim für sich und im Nahmen Clauß Schwebels seines bruders – und Zwar auff die am 19. 8.br: 1686 beÿ H. Rhät und XXI. Obrigkeitlich erhaltener permission
einen Achten Theÿl einer behaußung & mit allen deren Gebäwen allhier beÿ der Meÿßen ohnweit dem Roßmarckt einseit neben weÿl. wendling Ehemanns deß Schneiders Erben, anderseit ist ein Eck ahn einem Allmend gäßlein, hinden auff den Gerber od. Rindshäuter Graben stoßend gelegen, Welche behaußung annoch umb 400 Gulden d. St. Marx verhafftet, so gebe man auch 12. ß 4. d in d. Gürttlerhoff – umb 20 pfund
Les Conseillers et les Vingt-et-Un autorisent la vente (les parties n’étant pas bourgeoises)
1686 Conseillers et XXI (1 R 169)
(p. 194) Montag den 21. Octobris 1686 – Hanß Klein will ein Antheil Eines haußes verkauffen
Erscheint hanß Klein per H. Marb. der ist burger Zu Lampertheim vndt willens ein antheil ahn Einem hauß beÿ der Meÿsen gelegen ahn gegenwärtig. Michel Schwebel und seinem bruder Clausen die den überigen Rest ahn besagtem hauß haben Zu Verkauffen, bitt hierzu obrigk. Vergönstigung.
Erkandt wird die verschreib. wilfahrt, deren beÿ Zu wohnen haben H XXI Brandt, Rathh. Hellenberger
André Roth de Lampertheim vend un huitième de la maison aux mêmes Michel et Nicolas Schwebel
1691 (5. 9.br), Chambre des Contrats, vol. 563 f° 841-v
Andres Roth, von Lampertheim
in gegensein Michael Schwebels von Lampertheim für sich und im nahmen Clauß Schwebels seines leiblich. bruders – uff die beÿ Hhn. Räth und XXI. heut dato ertheÿlte permission
einen achten theÿl für ohnvertheilt an einer Behaußung, mit allen deren Gebaüen, begriffen, weithen, rechten, Zugehördten und Gerechtigkeiten, allhier beÿ der Meÿßen, ohnweit dem Roßmarckt, einseit neben weÿl. wendling Ehemanns deß Schneiders Erben, anderseit ist ein Eck an einem Allmendgäßlein, hinten auff den Gerber od. Rindshäuter graben stoßend, gelegen, welche gantze behausung dem Stifft St. Marx umb 400 fl. verhafftet, so gebe man auch davon 12 ß 4 s jährlich in den Gürttler hoff, Kappengeld – zvmahl. dem Käuffern zuvorhin 3/8. gehörig – geschehen umb 25 pfund
Les Conseillers et les Vingt-et-Un autorisent la vente
1691 Conseillers et XXI (1 R 174)
(p. 184) Sambstags den 10. 9.bris 1691 – Hanß Clauß Schwäbel von Lampard. pt° 1/8. an einem häußlein
S. ersch. Hanß Clauß Schwäbel von Lampard. ist willens Von seinem Mittburger Andres Rothen 1/8. theil an einem beÿ der Meißen gelegenen häußlein, darann er auch schon 2/3 habe, umb 50. fl. an sich Zu Kauffen, bittet deßen gdige erlaubnus.
Erk. Zweÿ herren deputirt umb der Verschreibung beÿzuwohnen. Hr. XXI. Goll und Hr. Reinthaler
Catherine Schott, femme de l’ancien prévôt de Berstett Valentin Mœbs, Jean Hild de Lampertheim, Michel Schwebel, Nicolas Schwebel, Jean Lobstein, tous de Lampertheim, et Jean Georges Jung, boucher à Vendenheim, louent la maison au cordonnier Jean Lentz
1692 (2.5.), Chambre des Contrats, vol. 564 f° 320
Veltin Mebus, der alte Schultheiß von Bärstett, alß Ehevogt Catharinæ gebohrner Schottin hans hild, von Lampertheim, und Michael Schwebel auch von Lampertheim, beede für sich selbst., und Sie alle auch im nahmen Claus Schwebels deß Ohlmanns, von Lamperth. und hans Georg Jung, Metzgers von Vendenheim, auch hans Luxsteins Erb. von Lamperth. vor welche de rato & grato cavirt.
Johannis Lentzen, deß Schuhmachers
entlehnt, In Ihrem gemeinen neben dem hauß Zur Meißen am roßmarck gelegenen behaußung alle deren Gemach und bequemlichkeit, welche Er Lentz bereits 24. jahr in lehnung gehabt und genoßen, auff noch fernerer Neun jahr von Annunc. Mariæ dieß jahrs anzurechnen, umb einen jährlich. Zinß nemblich 7 pfund 10 schilling
L’huilier Nicolas Schwebel et Michel Schwebel de Lampertheim vendent respectivement trois huitièmes et le tiers d’un quart, le tiers d’un quart au tailleur Jean Vincent Kolb. En marge, vente de la part appartenant à Jean Fritsch et Barbe Lobstein de Lampertheim.
1715 (17.5.), Chambre des Contrats, vol. 588 f° 411-v
(400) Claus Schwebel der ohlmann zu Lambertheim und Michel Schwebel auch von Lambertheim
in gegensein Johann Vincentz Kolb schneiders
er Claus erstlichen dreÿ 8.te theil und ein drittel ahn einem ¼.ten theil, Er Michel aber ein dritel ahn einem 4.ten theil eines haußes hoffstatt Stall mit allen begriffen, weithen, zugehörden, rechten und Gerechtigkeiten allhier auf dem kleinen Rossmarckt, einseit neben der meiß anderseit ist ein allmend gässlein hinten auff den graben stoßend – um 200 pfund verhafftet, so gebe mann auch 2 Cappen dem Gürtler hoff, geschehen um 400 pfund
[in margine :] Andres Fritsch von Lambertheim für sich und nahmens übriger interessenten ahn unten stehenden 8.ten theil hieran bevollmächtiget, Item Barbara geb. Lobsteinin seine haußfr. (verkauffen) hierinnen stehendem Kaüffer ihren achten theil für unvertheilt ahn hierinnen stehendem hauß hoffstatt Stall mit allen begriffen, weithen, zugehörden und Gerechtigkeiten, über solche onera so der käuffer pro rata übernimbt und so geschehen um 42 lb, den 6. Augusti 1715
Jean Vincent Kolb hypothèque les parts qu’il vient d’acheter au profit du marchand Jean Kornmann
1715 (11.7.), Chambre des Contrats, vol. 588 f° 533-v
Johann Vincentz Kolb schneider
in gegensein H Geörg Philipp Jacobi deß ledigen handelsmann nahmens H. Joh: Kornman handelsmanns – schuldig seÿe 175 pfund
unterpfand, sein antheil ahn einem hauß c. appert:ahm kleinen Roßmarckt, einseit neben der Meiß anderseit ist ein gässel hinten auf den graben
Fils du tailleur Jean Jacques Kolb de Spire, Jean Vincent Kolb s’inscrit à la tribu en octobre 1706.
1706, Protocole de la tribu des Tailleurs XI 343 (1701-1710)
(f° 235-v) 18° Octobris 1706 – Johann Vincentz Kolb von Speÿer weÿlandt Hanß Jacob Kolben deß geweßenen Schneiders allda ehelicher Sohn will sich Zur Zeit einschreiben laßen, Erkandt, willfahrt (dt 15 ß)
Jean Vincent Kolb est autorisé en février 1707 à s’incrire pour faire son chef d’œuvre bien qu’il n’ait pas terminé ses années d’épreuve ni présenté ses certificats
(f° 246-v) 3° Februarÿ 1707 – Johann Vincentz Kolb Von Speÿer, bittet ihne Zum Meisterstück einzuschreiben, vnd weil er seine Zeit allhier noch nicht verarbeitet, noch Lehrbrieff oder Gebuhrts brieff Vorzuweißen, alß verspricht er Zuvorderist von unßeren gnädigen herren der XV. ein Dispens bescheid einzubringen und darauff der lehr- und geburts brieff vorzulegen, derohalben Erkannt biß dahin angestellt und de facto quo willfahrt (dt. 3. lb. 10. ß)
Jean Vincent Kolb présente son chef d’œuvre que les examinateurs jugent acceptable. Il devient maître.
(f° 300) d. 26. Martÿ 1708 – Joh: Vincentz Kolb, erscheint unter H Joh: Wilhelm Alberthal seinem Informatori: meister und bittet Ihme seinem vorhabenden Meisterstück, die gewohnliche
No 3, i Trompeter rock, No 5. i Soutane, No. 2 i. Manns Kleÿd vor 2. Kleÿd, No. dito, No. 8. i meßgewand, No. 6. i. Pantaleon
hat den riß passirlich verfertiget, deßwegen zum Mitmeister angenommen worden
Jean Vincent Kolb épouse en mai 1708 Elisabeth Lentz, fille du cordonnier Jean Lentz : contrat de mariage, célébration
1708 (2.5.), Not. Pantrion (Jacques Christophe, 40 Not 70)
Eheberedung – zwischen dem Ehrenhafften Meister Johann Vincentio Kolben, noch ledig. Schneidern weÿl. H. Johann Jacob Kolben, gewesenen Schneiders vnd Burgers Zu Speÿer nachgelaßenem Sohn, alß hochzeitern mit beÿstand Herrn Johann Bartholomei Kolben handelßmanns vnd burgers alhier Seines bruders eines
Andern theils aber der Ehren: vnd Tugendreichen Jungfrauwen Elisabethæ Lentzin des Ehrsamen Johann Lentz. Schumachers vndt Burgers alhier dochter alß der hochzeiterin mit beÿstand H Heinrich Seÿlers, Rathsbotten ihres Vogts
Straßburg den 2. Maÿ 1708. [unterzeichnet] Johann Vincenz Kolb als hochzeiter, + d. hochzeiter. handtzeichen
Mariage, Saint-Pierre-le-Jeune (luth. f° 152)
1708. Dominica Jubilate et Cantate proclamati sunt Johann Vincentius Kolb, der ledige Schneider von Speÿr weÿl. H Johann Jacob Kolb, gewesenen Schneiders und Burgers Zu Sêÿr nachgel. ehl. Sohn und Jf. Elisabetha Johann Lentz deß Schuemachers und Burgers allhie Ehl. Tochter. Copulati sunt Mittw. d. 9.ten Maji [unterzeichnet] Johann Vincentz Kolb als Hochzeiter, * Ist das beÿ Zeich. der Hochzeiterin (i 158)
Jean Vincent Kolb devient bourgeois par sa femme le 13 juin 1708.
1708, 4° Livre de bourgeoisie p. 769
Joh: Vincentius Kolb d. schneider V. Speÿer, empfangt d. burgerrecht V. s. Fr. Elisabeth Lentzin p. 2. gold fl. 6 ß Wird beÿ den Schneidern dienen, Jur. d. 13. Dito [Junÿ] 1708.
Jean Vincent Kolb devient tributaire le 27 juin 1708
1706, Protocole de la tribu des Tailleurs XI 343 (1701-1710)
(f° 305) 27° Junÿ 1708 – Newzünfftiger
Johann Vincentz Kolb von Speÿer, producirt Cancelleÿ: Pfenningthurn vnd Stall Schein sub dato 13. Junÿ 1708. und bittet umb das Zunfftrecht Erkandt umb die Gebühr (dt. 3 lb 15 ß)
Michel Schwebel de Lampertheim et Aurélie Klein vendent un huitième de la maison au tailleur Jean Vincent Kolb
1718 (9.9.), Chambre des Contrats, vol. 591 f° 457
(67) Michel Schwäbel von Lambertheim und Aurelia geb. Kleinin
in gegensein Johann Vincentz Kolb schneiders
ihren 8.ten theil für unvertheilt ahn einem hauß stall hoffstatt mit allen gebäuden, weithen, zugehörden, rechten und Gerechtigkeiten auf de Kl: roßmarckt , einseit neben neben einem hauß zuer Meÿßen genant anderseit ist ein eck ahn einem gässlein hinten auff den Rindshäutergraben, gehen vom gantzen hauß 15 ß kappenzinß – um 400 fl. pro rata übernimmbt und 42 lb
La tribu fait grief à Jean Vincent Kolb de n’avoir pas déclaré un compagnon. Elle ne lui inflige pas d’amende parce qu’il a renvoyé son employé au bout de quinze jours.
Protocole de la tribu des Tailleurs XI 345 (1724-1735)
(f° 383) 1732. Dinstags den 22.ten Apr. – H Vincentz Kolb der Schneider wird vorgestellt daß er einen gesellen in seiner werckstatt habe der beÿ dem H. Zunfftmeister nach ordnung nicht Eingeschrieben word. bittet abstraffung ref. Exp.
Citatus Zugegen, gibt Zur verantwortung daß er selbigen gesellen nur 14. taglang in seiner Werckstatt gehabt, und nach verfließung derselben fortgeschickt habe, bittet absolution vor der Klag. Erk. absolvirt.
Nicolas Klein, fils de Jean, épouse en 1694 Anne, veuve d’André Roth. Ce doit être le même qui se remarie en 1700 avec Eve, fille de Jean Mager de Mundolsheim
Mariage, Lampertheim (luth. p. 21)
1694. Dienstag den 2.t Apr. Seind nach Zweÿmahlicher proclamation copulirt Worden Claus Klein der ledige, Hanß Kleinen gewesenen burgers allhier hinterl. ehel. Sohn vnd Fr. Anna Andres Roth Schultzen Sohns hinterl. Wittib [unterzeichnet] m, als hochzeiter, m, als hochzeiterin (i 14)
Mariage, Lampertheim (luth. p. 43)
1700. Dienstag d. 13. Jul: Seind nach Zweÿmahliger proclamation copulirt v. eingesegnet Word. Claus Klein alh. Burger v. ackerm. mit Jfr. Eva, Hans Magers, burgers v. ackermanns zu Mundolsheim ehl. Tochter Wie solches beneben mir bezeugen [unterzeichnet] m, als hochzeiter, m, als hochzeiterin (i 25)
Eve Mager, veuve de Nicolas Klein de Lampertheim, sa fille Eve Klein femme de Thiébaut Roth, Michel Erhard de Vendenheim et les enfants de son frère Michel Erhard ainsi que d’autres habitants de Lampertheim vendent leur part de maison à Jean Vincent Kolb
1732 (2.5.), Chambre des Contrats, vol. 606 f° 204
Eva geb. Magerin weÿl. Clauß Klein gewesten Ackersmanns zu Lampertheim hinterlassene wittib beÿständlich ihres tochtermanns Diebold Roth auch Ackersmanns zu gedachten Lampertheim, Ferner erstged. Rothen Ehefrau Eva geb. Kleinin mit beÿstand ihres ehevogts, Item Michael Erhard Metzger zu Vendenheim für sich selbst und als vogt weÿl. Andreas Erhard auch Metzger zu Vendenheim seines bruders dreÿer minderjährigen Kinder Andreas, Michael und Johannes der Erhard, Item Fr. Catharina geb. Bäurlin hannß Michael Schlagdenhauffen Metzgers zu Vendenheim hausfrau, so dann Andreas Fritsch ackersmanns und burgers zu Lampertheim für sich selbst und als mandatarius Anna geb. Mühlin Andreas Roth ackersmanns zu Lampertheim ehefraun, Brigitta geb. Mühlin Andreas Lobstein auch ackersmanns daselbst eheweibs und Catharina geb. Mühlin Andreas Roth am Plan genannt auch ackersmanns daselbst hausfrau
in gegensein Johann Vincenz Kolb des schneiders
von Kleinischen wittib und Eva Rothin einen 8.t theil und einen 3.t theil eines 8.t theils, ferner obged. Erhard deßen Curandis und Schlagdenhauffischer ehefrauen einen 8.t theil und von Andreas Fritsch und deßen principalen 8.t theil alles für ohnvertheilt ahne einer Behausung Stallung und hoffstatt mit allen derselben gebäuden, begriffen, weithen, zugehörden, Rechten und gerechtigkeiten im kleinen Roßmarckt, einseit neben dem hauß zur Maÿß genannt Michael Braun dem Paßmentirer und Calcanten in der Prediger Kirch gehörig, anderseit neben einem in den Rindshäutergraben gehenden allmend gäßlein hinten auff ged. graben – davon gibt man in den gürttler hoff zween Cappen und 8 ß 4 ane bodenzinß – um 83 pfund capital beladen, geschehen um 145 pfund
Jean Vincent Kolb hypothèque la maison au profit du prédicateur Jean André Gnilius
1732 (8.5.), Chambre des Contrats, vol. 606 f° 220
Johann Vincentz Kolb Schneider
in gegensein S.T. H. Johann Andreas Gnilius S.S. Theol. Prof. Publ. auch Freÿ prediger allhier – schuldig seÿen 150 pfund
unterpfand, Eine Behausung Stallung und hoffstatt mit allen derselben gebäuden, begriffen, weithen, zugehörden, Rechten und gerechtigkeiten am Kleinen Roßmarckt, einseit neben dem hauß zur Maÿß genannt Michael Baur dem Paßmentirer und Calcanten in der Prediger Kirch gehörig anderseit neben einem in dem Rindshäutergraben leitenden all: gäßlein hinten auff ged. graben – davon gibt man; in den gürttler hoff zween Cappen und 8 ß 4 ane bodenzinß
Jean Vincent Kolb meurt en 1737 en délaissant deux enfants. Les experts estiment la maison à 550 livres. La masse propre à la veuve est de 390 livres. L’actif des héritiers et de la communauté s’élève à 177 livres, le passif à 488 livres.
1737 (1.6.), Not. Lobstein (Jean, 31 Not 46) n° 1073
Inventarium und beschreibung aller derjenigen Haab, Nahrung und Güethere, so weÿland der Ehren und Vorgeachte Meister Johann Vincentz Kolb, der geweßene Schneider und burger allhier nunmehr seel. als derselbe diestags den 29.ten Januarÿ dieses Lauffenden 1737.sten Jahrs dießes Zeitliche in das Ewige verwechßelt, nach solch seinem aus dießer welt genommenen tödlichen hintritt zeitlichen verlaßen, auf Ansuchen, anfordern und begehren des Wohl Ehrwürdig und wohlgelehrten Herrn M. Johann Daniel Kolben treueifferigen Sontagabend Predigers zum Jungen St Peter und Wohlbestellen Vice Pædagogi in dem Collegio Wilhelmitano und der Ehren und tugendsahmen Frauen Mariæ Elisabethæ Marxin geb. Kolbin mit beÿstand des Ehrengeachten Meister Johann Peter Marxen des Schneiders und burgers allhier Ihres Ehevogts, beede des Verstorbenen seel. mit hernachgemelter seiner hinterbliebenen Wittib erziehlten (Kinder), durch Frau Mariam Elisabetham Kolbin geb. Lentzin die hinterbliebene Wittib mit beÿhilff Herrn Johann Martin Gangolffs des Schneiders und burgers allhier Ihres geschwornen, Curatoris
Eheberedung, der Ehrenhaffte Meister Johann Vincentius Kolb, der ledige Schneider weÿland Meister Johann Jacob Kolben geweßenen Schneiders und burgers zu Speÿr Sohn mit beÿstand Herrn Johann Bartholmei Kolben Handelßmanns und burgers alhier Seines bruders alß Hochzeiter ane einem, So dann die Ehren und tugendsame Jungfraw Elisabetha Lentzin des Ehrsam und bescheidenen Johann Lentzen Schumachers und burgers alhier dochter mit beÿstand Herrn Heinrich Seÿlers rathsbotten ihres Vogts, den – Maÿ 1708, Not. Jacob Christoph Pantrion
In einer allhier Zu Straßburg ane dem Roßmarckt neben der Meiß gelegenen und in dieße Verlaßenschafft gehörigen behaußung, befunden worden wie Volgt
Eigenthumb ane einer behaußung. (E. T.) Eine behaußung, hoffstatt und Stall mit allen deren begriffen, weithen, Zugehörden, Rechten und gerechtig Keiten, geleg. allhier auf dem Kleinen Roßmarck eins. neben Mr Johann Michael Baumen, dem Paßmentirer und burgern allh. die Meiß genand, anders. ist ein Allmendgäßlein, hinden auf den Rindshäuter graben stoßend, davon gibt mann jährl. in den Gürthlerhoff 2. Cappen in natura und 8. ß 4. d in geld Zu Zinß, ferner reicht mann davon jährl. auff Annunc: Mariæ 6. lb d. zinß S: T: Hn Johann Andreæ Knilio, S. Stæ Theologiæ Doctorj et Prof. publ. auch Capitulj Thomanj Canonico und burgern allh. alblößig in Capital mit 150 lb, So dann 8. lb 8. ß d. gibt mann davon ferner jährl. auff Annunc: Mariæ dem Stifft St. Marx redimibel in Haubtguth mit 200 lb, Sonsten freÿ ledig und eig. und über dieße beschwährde (…) laut Abschatzungs Zeduls vom 25. Maÿ 1737 angeschlag. pro 161. lb 6 ß. Über Vorherige behaußung melden 3. perg. Kauffbrieff mit der Statt Straßb. anh. Ins. verwahret dat. den 17. Maÿ 1715, 9.ten 7.bris 1718 et 2.ten Maÿ 1732.
– Abschatzung d. 25 Meÿ Ano 1737. Auff begeren Weilland dessen Ehren hafften Vnd bescheidner Meister Johan fitzentz Kolb geweßen schneider selliger hinder laßen frau Wittib Und Ehrben ist Ein behaußung all heir in der Statt Strasburg auf dem Rosmarck beig. der Meissen gelegen Ein seith Neben Christoff baum basmendtirer ander seit Neben Isack docher Mann und heinden auff den Reintzheiter graben Stosent Welche behaußung bestet Vnder ein alden schlechen dach stull Meit holl Zigel gedeck Meit Stuben Vnd Kammern Kichen Hauß Ehren, gebelckter Keller, Stallung Salles schlech Und ald ist Wie solches durch der Statt Strasburg geschworen Werck leithe in der besichung befunden Und dem Jetzin Preis Nach an geschlagen Wird Vor Und Vmb Ein taussent Ein hundert gulden [unterzeichnet] betzeichnus durch der Statt Strasburg geschworen Werckleithe, Michael Ehrlacher Werck Meister deß Meinsters, Johann Jacob Biermeÿer Werck Meister deß Zimmerhoffs
Abzug gegenwärtig Verlaßenschafft Inventarium gehörig. der Wittib ohnverändert Vermögen, Sa. hausraths 20, Sa. Goldenen Rings 16 ß, Sa. Ergäntzung 325 lb, Summa summarum 390 lb
Der Erben ohnverändert und theilbahres guth, Sa. hausraths 13, Sa. Silbers 2, Sa. Eigenthumbs ane einer behaußung 161, Summa summarum 177 lb – Schulden 488 lb, Übertreffen alßo der Erben ohnverändert und theilabre Passiva deroselben Völlige Vohandene Activ: Massam umb 311 lb – Conclusio finalis Inventarÿ 390 lb, Warvon aber wegzurechnen der Erben ohnverändert und theilbahres Passiv onus 311 lb – Stall summ 79 lb
Copia der Eheberedung – So geschehen und verhandelt in Straßburg den andern Monats Maÿ Anno 1708, Jacob Christoph Pantrion, notarius
Marie Elisabeth Lentz meurt en 1741. L’estimation de la maison est reprise de l’inventaire ci-dessus. L’actif de la succession s’élève à 182 livres, le passif à 149 livres.
1741 (23.10.), Not. Lobstein (Jean, 31 Not 55) n° 1241
Inventarium und Beschreibung aller der jenigen Haab, Nahrung und güethere, so weÿland die Ehren und Tugendsahme frau Maria Elisabetha Kolbin gebohrene Lentzin, auch weÿland des Ehren: und Vorgeachten Meister Johann Vincentz Kolben, des geweßenen Schneiders und Burgers allhier Zu Straßburg nunmehr seeligen nachgelaßene Wittib, nun auch seelige, als dieselbe Sontags den 17.ten 7.bris dießes Lauffenden 1741.sten Jahrs dieße Zeitliche in das Ewige verwechßelt, nach solch Ihrem aus dießer Welth genommenen tödlichen Ableiben Zeitlichen verlaßen, welche Verlaßenschafft auf freundliches ansuchen, erfordern und begehren Herrn Johann Daniel Stoebers Notarÿ publicj und berühmbten Practicj, auch burgers allhier als (…) consituirten Mandatarÿ Herrn M. Johann Daniel Kolben, wohlbestellten Sontags Abend Predigers zum Jungen St Peter und Frauen Mariæ Elisabethæ Marxin, gebohrner Kolbin, beÿständlich Meister Johann Peter Marxen, des Schneiders und burgers allhier, Ihres Ehevogts, beeder der Verstorbenen Frauen seeligen mit vorgemeltem ihrem in Gott ruhenden Haußwürth auch seeligen ehelich erziehlten Herrn Sohn und Frau Tochter und ab intestato Zu Zweÿen gleichlingen portionen und antheilern Verlaßener rechtmäsiger Erben (…) So beschehen in Straßburg auff Montag den 23.ten Octobris Anno 1741.
In einer allhier Zu Straßburg ane dem Roßmarckt beÿ d. Maÿß gelegenen und in dieße Verlaßenschafft gehörigen behaußung, befunden worden wie Volgt
Eigenthumb ane einer behaußung. Eine behaußung, hoffstatt und Stall, mit allen deren Gebäuen begriffen, weithen, rechten, Zugehörden und Gerechtig Keiten, gelegen allhier Zu Straßburg auf dem Kleinen Roßmarck beÿ d. Meÿß, einseith neben Mr Johann Michael Baumen, dem Paßmentirer und Burgern allhier, anderseith ist ein Allmend Gäßl. hinden auf den Rindshäuter Graben stoßend, davon gibt mann Jährlichen in den Gürthlerhoff Zween Cappen in natura und 8. ß 4. d in Geld Zu Zinß, ferner reicht mann davon Jährl. auf Annunciationis Mariæ 6 pfund pfenning Zinnß weÿl. S: T: Hn Johann Andreä Gnilius S. Stæ Theologiæ Doct. et Prof. publici auch Capitulj Thomanj Canonici und burgers allhier nunmehr seel. hinterl. fr. Wittib und Erben, alblößig in Capital mit 150 lb, So dann 8. lb. 8. ß. d. gibt mann davon ferner Jährl. auff Annunciationis Mariæ dem Stifft St. Marx, redimibel in Hbtguth mit 200 lb. Straßburger Wehrung, sonsten freÿ ledig und eigen und über dieße beschwährde durch (die Werckmeister) in weÿl. Meister Joh: Vincentz Kolben, des gewesenen Schneid.s und Burgers allhier Zu Straßburg nunmehr seel. Verlaßenschafft Inventario in A° 1737 durch mich unterschriebenen Not. auffgerichtet, laut Abschatzungs Zeduls Vom 25. Maÿ 1737 æstimirt pro 161. lb. 6. ß. Über Vorherige behaußung melden 3. perg. Kb. m. d. St. Straßb. anh. Ins. Verw. dat. d. 17.ten Maÿ 1715, 9.ten 7.bris 1718 et 2.ten Maÿ 1732.
Abzug gegenwärtig Verlassenschafft Inventarium gehörig, Sa. hausraths 19, Sa. Silbers 2, Sa. Eigenthumbs ane einer behaußung 161, Summa summarum 182 lb – Schulden 149 lb, Nach solchem abzug, Conclusio finalis Inventarÿ 32 lb
Le prédicateur Jean Daniel Kolb céde sa part de maison à sa sœur Marie Elisabeth Kolb, femme du tailleur Jean Pierre Marx.
1741 (24. 9.bris), Not. Lobstein (Jean, 31 Not 55) Joint au n° 1241 du 23.10.1741
(f° 4) Vergleich: und Überlaßung der behaußung – Erschienen S. T. Herr M. Johann Daniel Kolb wohlbestellter Sontags Abend Prediger zum Jungen St Peter
in gegensein seiner Schwester Frauen Mariæ Elisabethæ Marxin geb. Kolbin mit beÿstand Meister Johann Peter Marxen, des Schneiders und burgers allhier Ihres Haußwürths
die zwischen Ihnen beeden Geschwüsterden biß dato annoch ohnvertheilt geweßene Behaußung, Hoffstatt und Stall mit allen deren gebäuen begriffen, Weithen, Rechten, Zugehörden und Gerechtig Keiten, gelegen allhier auf dem Kleinen Roßmarck beÿ der Meÿß einseith neben Meister Johann Michael Baumen dem Paßmentirer und burgern allhier, anderseit ist ein Allmendgäßlein, hinden auf den Rindshäuter graben stoßend, davon gibt mann jährl. in den Gürthlerhoff zween Cappen in natura und 8. ß. 4. d. in Geld Zu Zinß, und ist dieße Cession und übergaab über solche beschwährde (…) geschehen Vor und umb 850 pfund – So geschehen in Straßburg den 24.ten Novembris Anno 1741.
Jean Pierre Marx et Marie Elisabeth Kolb hypothèquent la maison au profit du licencié en droit Philippe Jacques Bechtold
1741 (27.11.), Chambre des Contrats, vol. 615 f° 577-v
Johann Peter Marx der schneider und Maria Elisabetha geb. Kolbin mit beÿstand ihres nachgeschwistrig kinds Johannes Schmidt des baders und ihres vetters Christian Gottlieb Schultz des schuhmachers maßen dero bruder H. M. Johann Daniel Kolb geschäfften halber hierbeÿ nicht erscheinen können
in gegensein H. Philipp Jacob Bechtold J.U.L. – schuldig seÿen 200 pfund
unterpfand, eine behausung und hoffstatt auf dem kleinen Roßmarckt einseit neben Johann Michael Baum dem Paßmentirer, anderseit ist ein eck ane einem Allmend gäßlein, hinten auff den Rindshäutergraben – davon gibt man dem hohen Chor zween cappen in natura und 8 ß 4 d – der Mitschuldnerin theils als ein mütterlichen erb theils als ein von obgemeldten H. M. Kolb ihrem bruder und miterben in unvertheiltem erb cedirtes guth
Jean Pierre Marx s’inscrit pour faire son chef d’œuvre en novembre 1733
1733, Protocole de la tribu des Tailleurs XI 345 (1724-1735)
(p. 746-v) Dienstags den 17.ten Novembris 1733 – lediger Schneider Von Brumatt gebürtig, laßet sich gleichfalls Zur Zeit im Meisterstück Einschreiben
Jean Pierre Marx présente en juin 1734 son chef d’œuvre auquel les examinateurs ne trouvent rien à redire. Il est reçu maître.
(p 462) Montags d. 7. Junÿ 1734. erschienen unter H. Wolffgang Hubmeÿer seinem informatore Johann Peter Marx lediger schneider gesell Von Brumbt gehörig, welcher sich an eine hießige Meisters tochter Verheurathet, bittend ihm Zue seinem vorhabenden Meisterstückh beliebige Rieß auffzuegeben, ist deßwegen dem imploranten mit folgenden stucken Erkannt und willfahrt worden
N° 1 Ein Manns kleÿdt, N° 16. ein Rauchmantel, N° 20. Ein Nonnen kutt
facta relatione der geschwornen Hh. Meisterstückschauern, daß Sie die Hievorstehende Rieß gantz wohl rühmlich und ohne fehler verfertigt gefunden haben, ist derselbe in daß allhiesige Meisterrecht Zue einem Mitmeister auff und angenommen worden.
Fils du cultivateur Nicolas Marx de Brumath, Jean Pierre Marx épouse Marie Elisabeth Kolb en 1734
1733 (31. Xbr), Not. Lobstein (Jean, 31 Not 78) n° 305
Eheberedung – entzwischen dem Ehren und Vorgeachten Herrn Johann Peter Marx, ledigen Schneider des Ehrenhafften Niclaus Marxen des Ackersmanns Zu Brumath hochgräfflich hanauischer hannß ehelichem Sohn, als dem bräutigam an eim
so dann der Ehren vnd tugendsahmen Jungfrauen Maria Elisabetha Kolbin, des Ehren und wohl vorgeachten Herrn Johann Vincenz Kolben, des Schneiders und burgers alllhier Zu Straßburg ehelich erzielter tochter, als der Jungfrauen hochzeiterin ane dem andern theil
So beschehen in Straßburg auf Donnerstag den 31.ten Decembris Anno 1733. Hans Peter Marx als hoch Zeiter, E K der Jungfr. hochzeiterin handzug
Mariage, Saint-Pierre-le-Jeune (luth. f° 122-v n° VII)
1734. Dominica I et II Trinitat. proclamati sunt Johann Peter Marx, der ledige Schneider, von Brumath, Niclauß Marx, des bedienten beÿ der Hoch Gräfflichen Hanauischen Herrschafft in Brumath ehel. Sohn u. Jgfr. Maria Elisabetha Johann Vincntz Kolb des Schneiders v. burgers alhier ehel. tochter, Copulati sunt Mittw. den 7. Julÿ [unterzeichnet] Hanß Beter Marx als hochzeiter, Mk Ist der Jgfr. Hochzeiterin eigenhändiges Zeichen (i 127)
Jean Pierre Marx devient bourgeois par sa femme le premier septembre 1734.
1734, 4° Livre de bourgeoisie p. 1013
Johann Peter Marx d. schneider Von brumatt geb. erhalt d. b. Von sein: ehefr Elisabetha Johann Vincentz Kolben b. undt schneiders alhier tochter umb d. alt. b. will beÿ E E Zunfft d. schneider dienen Jur. d. 1.ten Sept. 1734.
Jean Pierre Marx devient tributaire le 23 novembre 1734
1733, Protocole de la tribu des Tailleurs XI 345 (1724-1735)
(p. 476) Dienstags den 23.ten Novembris 1734 – Johann Peter Marx der schneider Von Brumatt Hochgräffl. Hanauischer Jurisdiction gebürtig Erhalt auff producirten burgerschein d. dato 16.ten Augusti jüngst das Zunfft und stuben recht.
La tribu inflige une amende à Jean Pierre Marx pour n’avoir pas déclaré un compagnon qu’il emploie
Protocole de la tribu des Tailleurs XI 346 (1735-1753)
(p. 117) Mittwoch den 10. Decembris 1737 – H. Andreas Nauert Exsenatoris und Zunfftmeister klagt wider Johann Peter Marx burger und Schneider allhier, daß selbiger seinen gesellen Gottfried Dietz seit dem 3.ten Septemb. j. alß daß letzte gericht gehalten worden nicht habe Einschreiben laßen, bittet abstraffung Nach dem Articul.
Beklagter Zugegen ist geständig den gesell etwann 3. wochenlang ohn einige scheiben in seiner werckstatt gehabt zu haben. H. Friderich Bueßmann der Laden meister beÿ der Laden auffgelebt, und jedes mahl declarirt habe, daß er beÿ dem beklagten in arbeit stehe, ist erkant wird beklagter in 15. ß d straff condemnirt.
Jean Pierre Marx et Marie Elisabeth Kolb hypothèquent la maison au profit de l’enseignant Jean Louis Gœllemann
1742 (21.6.), Chambre des Contrats, vol. 616 f° 295-v
Johann Peter Marx der schneider und Maria Elisabetha geb. Kolbin mit beÿstand Johannes Schmidt des baders und Christian Gottlieb Schultz des schuhmachers beede ihrer vettern
in gegensein H. Johannes Ludwig Göllemann Informatoris – schuldig seÿen 50 pfund
unterpfand, eine behausung und hoffstatt cum appertinentis auf dem kleinen Roßmarckt einseit neben Johann Christoph Baum dem Paßmentirer, anderseit ist ein eck an einem allmend gäßlein, hinten auff den Rindshäutergraben – davon gibt man denen H. Præbendariis des hohen Chors zween cappen in natura und 8 ß – der Mit: schuldnerin als ein mütterlichen erb: theils als ein von ihrem miterben cedirtes guth
Jean Pierre Marx loue une partie de la maison au taileur de pierres précieuses Jean Sinderus
1743 (18.3.), Chambre des Contrats, vol. 617 f° 108
Johann Peter Marx der schneider
in gegensein H. Johann Sinderus des Edelstein schneiders
entlehnt, In einer dem verlehner eigenthümlich gehörigen ane dem Kleinen Roßmarckt einseit ist ein eck an einem Allmend gäßlein, anderseit neben Johann Christoph Baum dem Paßmentirer gelegenen behausung auf dem zweÿten stock vornen herauß eine stub, stubkammer kuchen auff der ersten vordern bühn zwo kammern so dann einen unterschlagenen keller – auff 6 nacheinander folgenden jahren anfangend auff innstehendem Annunciationis Mariæ, um einen jährlichen Zinß nemlich 30 gulden
La tribu propose plusieurs tailleurs pour être tuteur des enfants de Jean Pierre Marx
Protocole de la tribu des Tailleurs XI 346 (1735-1753)
(f° 349-v) Freÿtags den 13.t Novembris 1744
Zu bevögtigung Peter Marxen des Schneiders und burgers allhier Zweÿ minderjähriger Kinder nahmentlich Maria Elisabetha und Maria Salome ist von E.E . Zunfft der Schneider in Ausschuß gebracht worden
Mstr Johann Gottfried Stahl
Mstr Johann Daniel Senckeißen
Mstr Johann Andres Holler
L’inventaire dressé après la mort de Jean Pierre Marx n’est pas conservé. Le tuteur des deux filles du défunt fait vendre des effets mobiliers dans la maison mortuaire au Marché aux Chevaux près de la Mésange.
1745 (28.6.), Not. Langheinrich (J. Daniel, 6 E 41, 706) n° 3
Verkauff und Erlöß register inhaltend alles dasjenige was aber weÿl. des Ehren und vorachtbahren Hn Joh: Peter Marxen des geweßenen Schneiders und d. Ehren und tugendsahmen frauen Mariä Elisabethä geb. Kolbin beeder geweßener Eheleuthe nun seeligen verlaßenen und ane zuende stehendem dato verkaufften Mobilien erlößt worden, die deßhalben eingezogene baare Looßung hat d. Ehren und Vorgeachte H Joh: Daniel Senckeißen d. Schneider v. Burger allhier als d. Verstorbenen Eheleuth ehelich erzielhter v. hinderlaßene 2. Kinder Nahmentlich Mariä Elisabethä und Mariä Salome der Marxen geschworner Vogt Zu handen genommen
So beschehen in der beÿ dem Roßmarck beÿ d Meiß Liegenden beeden Verstorbenen Eheleuthen eigenthümlich gehörig geweßenen Sterb behaußung auf Montag d. 28.ten Junÿ A° 1745.
Compte que rend le tuteur Jean Daniel Senckeissen à ses pupilles
1747, Not. Langheinrich (J. Daniel, 6 E 41, 706) n° 13
Rechnung Mein Joh: Daniel Senckeißen Schneiders und burgers allh. Zu Straßburg als geordnet und geschworenen vogts Mariä Elisabethä und Mariä Salome der Marxin, weÿl. H: Joh: Peter Marxen des geweßenen Schneiders und burgers allh. mit auch weÿl. fraun Mariä Elisabethä geb. Kolbin beeder seel. erziehlter 2.r Kinder inhaltend und außweisend alles dasjenige Was Ich von Anfang des 1745.sten Jahrs als da ich Zu dießer Vogteÿ gekommen biß d. 1. 7.bris 1747. erwehnter Meiner Curanden halben eingenommen und hingegen wieder außgegeben auch sonsten Vögtlicher Weiß Verrichtet und verhandelt habe. Erste Rechnung dießer Vogteÿ
Jean Daniel Seckeissen loue au nom de ses pupilles une partie de la maison à Jean Georges Detterer
1749 (13.6.), Chambre des Contrats, vol. 623 n° 361-v)
Johann Daniel Senckeißen der schneider als vogt weÿl. Peter Marx des schneiders zweÿ kinder Salome und Elisabetha der Marxin
in gegensein Johann Georg Dätterer
entlehnt, in einer am kleinen Roßmarckt gelegenen behausung unten auff dem boden ein lädlein auff dem ersten stock hinden eine stub, kammer und kuchen, die oberste buhn und einen kleinen keller – auff 9 nacheinander folgenden jahren anfangend auff innstehenden Johannis Baptistæ, um einen jährlichen Zinß nemlich 60 gulden
Autre bail au tailleur Guillaume Steiff
1751 (26.10.), Chambre des Contrats, vol. 625 f° 532
Johann Daniel Senckeißen der schneider als vogt weÿl. Peter Marx des schneiders zweÿer kinder Salome und Elisabetha der Marxin
in gegensein Wilhelm Steiff des schneiders
entlehnt, in einer am kleinen Roßmarckt einseit ein eck ane dem in den graben leitenden Stiege, anderseit neben Christoph Baum dem paßmentirer gelegenen behausung, und deren ersten stock vornen aus eine stub, stub kammer, kuchen und haußöhren zwo stiegen hoch hinden aus eine kammer dreÿ stiegen hoch hindenaus eine kammer so dann einen kleinen keller – auff 9 nacheinander folgenden jahren auff letzt verwichenen Annunciationis Mariæ anfangend, um einen jährlichen Zinß nemlich 44 gulden
Compte qui mentionne les loyers des quatre logements loués au chapelier Jean Georges Detter, au tailleur de pierres précieuses Jean Sinterus puis à la femme Martin, au tailleur Guillaume Steiff et au fabricant de parapluies Jean Streitt
1751, Not. Langheinrich (J. Daniel, 6 E 41, 707) f° 98
Schlußrechnung Mein Joh: Daniel Senckeißen Schneiders und burgers allhier Zu Straßburg als geweßenen Curatoris Mariä Elisabethä und dermahlen noch ohnentledigten Vogts Mariä Salome der Marxen weÿl. H. Joh: Peter Marx des geweßenen Schneiders und burgers allhier seel. mit auch weÿl. fr. Maria Elisabetha geb. Kolbin ebenmäßig sel. ehelich erziehlter 2.r Kindern Inhaltend alles dasjenige Was Ich vom 15.ten febr. 1751 als beschluß meiner zweÿtern Rechnung biß den 4.ten Xbris hujus Anni noch ferner eingenommen und außgegeben auch sonsten Vögtlicher Weiß Verrichtet und verhandelt habe.
Einnahm gelds beede Curanden ins gemein angehend.
Erstl. empfinge Von Joh: Georg Däther dem huthmacher und burger allhier Von d. mittlern hintern wohnung und lädlein in d. Curanden eigenthümlichen ane dem Kleinen Roßmarckt gelegenen Behaußung den hauß Zinnß Von Joh. Bapt: 1750. biß Annunciationis Mariæ 1751 vor 3 Viertel Jahr verfallen
empfinge ferner theils Von weÿl. Johann Sinterus des gewesenen Steinschneiders seel. Wittib und theils von fr. Martinin der Soldnerin Wittib wegen d. obern vordern wohnung der haußzinnß von Weÿhenachten 1750 biß Michaelis 1751
behändigte mir auch H Wilhelm Steiff der Schneider v burg. allhier ane haußzinnß von seiner inhabenden Mittlern vordern wohnung vor ¾. Jahe von Weÿhenachten 1750
hat auch Johannes Streiter parasolmacher und Schirmer allhier Von d. untern hintern wohnung solcher behausung den haußzins vor gemelte ¾.tel Jahr abgericht
Nouveau compte qui mentionne les mêmes loyers
1751, Not. Langheinrich (J. Daniel, 6 E 41, 707) n° 70
Rechnung Mein Joh: Daniel Senckeißen Schneiders und burgers allhier Zu Straßburg als geordnet und geschworenen Vogts Mariä Elisabethä und Mariä Salome der Marxin, weÿl. Hn: Joh: Peter Marxen des geweßenen Schneiders und burgers allhier seel. mit auch weÿl. fraun Mariä Elisabethä geb. Kolbin ebenmäßig seel. ehel. erziehlter 2.r Kinder inhaltend alles dasjenige Was Ich vom 1. 7.bris 1747. als dem beschluß meiner erstern abgelegten Rechnung biß den 15.ten febr. A° 1751. erwehnter Meiner Curanden halben eingenommen und hingegen wieder außgegeben auch sonsten Vögtlicher Weiß Verrichtet und verhandelt habe. Zweÿte Rechnung dießer Vogteÿ
Corpus Meiner Curanden Jährlich ins gemein fallende habender Haußzinnß
Erstl. Joh: Georg Däther der huthmacher und burger allhier gibt Jährlich (…) von der in der Curanden eigenthümlich zuständigen allhier zu Straßburg ane dem Kleinen Roßmarckt beÿ der Meiß gelegenen Behaußung inhabenden Mittlern hintern wohnung und lädlein Zu Zinß 30 lb
It. 16 lb d. Jährlichen haußzinnß reicht dermahlen weÿl. H. Joh. Sinterus gewesenen Edelstein schneiders und burgers allhier seel. nachgelaßene Wittib Von der in solcher behaußung inhabenden obern vordern wohnung
It. 20. lb Jährlichen Haußzinns Zahlt H Wilhelm Steiff der Schneider und burger allhier von der in gemelter behausung inhabenden Mittlern vordern wohnung
It. 16 lb Haußzinns entrichtete H. Johannes Streiter Parasol Macher und Schirmer allhier Von der untern hintern wohnung solcher behausung
Marie Elisabeth Marx femme du boulanger Jacques Weber et Marie Salomé Marx louent la maison au manant fabricant de parapluies Jean Streitt
1752 (27.7.), Chambre des Contrats, vol. 626 f° 381
Jacob Weber der weißbeck als ehevogt Maria Elisabetha geb. Marxin und Johann Daniel Stuckeisen der schneider als vogt Maria Salome Marxin
in gegensein Johannes Streit des parasol: machers und schirmers
verlühen, in einer ihnen beeden Marxischen schwestern eigenthümlich gehörig ohnfern dem Roßmarckt, einseit ist ein eck ane der in dem graben leitenden steeg, anderseit neben Johann Christoph Baum dem paßmentirer gelegenen behausung, eine auff dem boden hinten auff dem graben aus einer stub, stub kammer, kuchen, neben kammer im haußöhren und einen unterschlagenen keller, samt platz unter der steeg zum holtz – auff 9 nacheinander folgenden jahren von letzt abgewichenen Johannis Baptistæ um einen jährlichen Zinß nemlich 36 gulden
Le tuteur de Marie Salomé Marx hypothèque la moitié de la maison au profit de Jean Daniel Senckeissen
1752 (6.10.), Chambre des Contrats, vol. 626 f° 501
Johann Daniel Senckeisen der schneider als vogt Maria Salome Marxin
in gegensein Johann Christoph Baum des Paßmentirers, 75 pfund
unterpfand, die unvertheilte helffte ane einer behausung h. und hoffstatt ohnfern dem Roßmarckt, einseit neben der dem creditori gehörigen behausung zur Meÿs genanndt, anderseit ist ein eck ane der in den Rindshäutergraben leitenden steeg, hinten auff gedachten graben
Autre compte qui mentionne les mêmes loyers
1755 (4.12.), Not. Langheinrich (J. Daniel, 6 E 41, 710) f° 189
Rechnung Mein Joh: Daniel Senckeißen, Schneiders und Burgers allhier Zu Straßburg, als geordnet und geschworenen vogts Mariä Salome Marxin weÿl. Joh: Peter Marx des geweßenen Schneiders und burgers allhier mit auch weÿl. fraun Maria Elisabetha geb. Kolbin beeder seeligen erziehlten Jüngern tochter, Inhaltend alles dasjenige was ich vom 4. Xbris 1751 als ich den beschluß der damalen abgelegten Schluß rechnung biß den 4. Decembris 1755 erwehnter meiner Curandin halben Eingenommen und hingegen wieder außgegeben auch sonsten Vögtlicher weiße Verrichtet und Verhandelt habe. Dritte Rechnung dießer Vogteÿ
Einnahm Gelds dießer Rechnung
Von Joh: Georg Däther dem huthmacher vor ¼ Jahr auf Joh. Bapt: 1751 von seiner inhabenden mittlern hintern wohnung und Lädlein in der Curandin und Ihrer Schwester gemeinschaftlich. Behaußung
It. frau Martinin die Soldnerin Wittib Zahlt Vor ¼.tel Jahr ane haußzinnß von der obern vordern wohnung
It. H Joh: Wilhelm Steiff der Schneider ane haußzinnß von der vordern Mittlern wohnung
It. Joh: Streiter der Parasol Macher und Schirmer allhier ane haußzins Von seiner inhabenden untern hintern wohnung
Marie Elisabeth Marx, veuve du boulanger Jacques Weber, hypothèque la maison au profit du fabricant de parapluies Jean Streitt
1758 (28.9.), Chambre des Contrats, vol. 632 f° 292
Fr. Maria Elisabetha geb. Marxin weÿl. Jacob Weber des weißbecks beÿständlich Johann Christostom Holtzapffel des glaßsers
in gegensein Johannes Streit des parapluyemacher – schuldig seÿen 50 pfund
unterpfand, eine behausung mit allen begriffen und rechten ane dem Roßmarckt, einseit neben H. Christoph Baum dem paßmentirer, anderseit neben Isaac Tochtermann dem meelmann, hinten auff den Rindshäutergraben
Marie Elisabeth Marx femme du tailleur Antoine Joseph Annus hypothèque la maison au profit du tailleur Jean Jacques Fromm
1759 (13.2.), Chambre des Contrats, vol. 633 f° 42
Fr. Maria Elisabetha geb. Marxin Antoni Joseph Annus des schneiders ehefrau
in gegensein Hanß Jacob Fromb des schneiders – 75 pfund [unterzeichnet] +
unterpfand, die unvertheilte hälfte ane einer behausung ane dem Roßmarckt, einseit neben N. Baum dem paßmentierer, anderseit neben N. Tochtermann dem meelmann, hinten auff den Rindshäutergraben
Marie Elisabeth Marx femme du tailleur Antoine Joseph Annus vend la moitié de la maison au fabricant de parapluies Jean Streitt
1761 (12.2.), Chambre des Contrats, vol. 635 f° 46-v
Fr. Maria Elisabetha geb. Marxin Antoni Joseph Annus des schneiders ehefrau
in gegensein Johannes Streitt des parresolmachers
die unvertheilte hälffte einer behausung und hoffstatt mit allen deren begriffen, rechten und gerechtigkeiten ane dem kleinen Roßmarckt einseit neben H. Johann Christoph Baum dem paßmentirer, anderseit neben deinem Allmend gäßlein, hinten auff den Rindshäutergraben – davon gibt man zweÿ cappen und 6 ß ane dem Großen gürtlerhoff – als ein elterlich ererbtes guth – um 200, 200 lb capitalien beladen, geschehen vor die helffte der capitalien, und 225 pfund
Compte que rend Jean Daniel Senckeissen à sa pupille Marie Salomé Marx
1761, Not. Langheinrich (J. Daniel, 6 E 41, 718) n° 410
Rechnung Mein Joh: Daniel Senckeißen, Schneiders und Burgers allhier Zu Straßburg als geordnet und geschworenen vogts Mariä Salome Marxin Weÿl. Joh: Peter Marx des geweßenen Schneid.s v. burgers allhier mit auch Weÿl. fraun Maria Elisabetha geb. Kolbin beeder seel. ehelich erziehlten jüngern tochter, Inhaltend alles dasjenige was ich vom 4. Xbris 1755 als ich den beschluß meiner abgelegten Schluß rechnung biß den 1. Xbris 1761 erwehnter meiner Curandin halben eingenommen und hingegen Wieder außgegeben auch sonsten Vögtlicher weiße Verrichtet und Verhandelt habe. Vierte Rechnung dießer Vogteÿ
Marie Salomé Marx vend la moitié de la maison à Jean Streitt
1762 (22.11.), Chambre des Contrats, vol. 636 f° 386
H. Johann Daniel Senckeißen der schneider als vogt weÿl. Peter Marx des schneiders jüngste tochter Maria Salome Marx
in gegensein Johannes Streitt des parasollmachers
die unvertheilte helffte ane einer behausung und hoffstatt mit allen begriffen, rechten und gerechtigkeiten am kleinen Roßmarckt, einseit neben Johann Christoph Baum dem Paßmentirer anderseit neben einem Allmend gäßel – davon gibt man zweÿ cappen und 6 ß ane bodenzinß dem Großen gürtlerhof – der curandæ als ein elterlich erbguth – um 200, 200, 150 und 75 lb verpfändet, geschehen um 280 pfund
Originaire de Fribourg en Suisse, Jean Streitt épouse en 1733 Catherine Barbe Schwartz, originaire de Fortelbach
Mariage, Saint-Laurent (cath. f° 154) Hodie 16 Mensis Novembris Anni 1733 (…) proclamationibus in Ecclesiâ nostra et totidem in Ecclesia Parochiali ad Stum Petrum Juniorem intra Argentinam publice factis (…) sacro matrimonii vinculo in facie Ecclesiæ conjuncti fuerunt Joannes Streitt Ill.mi Domini Dni. Comitus de Hohenlau pedissequus friburgo in Helvetia oriundus diœcesis Bas* Et Catharina Barbara Schwartzin ex loco fortelbach dictæ diœcesis oriunda (signé) iohannes streitt, + sponsæ signum (i 156)
Jean Streitt et Catherine Barbe Schwartz hypothèquent la maison au profit du boutonnier Jean Daniel Marbach pour en régler les frais de construction
1767 (9.2.), Chambre des Contrats, vol. 641 /1 f° 70-v
Johann Streit der parrasolmacher und Catharina Barbara geb. Schwartz mit beÿstand ihres sohns Antoni Streit des windvogtenmachers und ihres tochtermanns Jacob Müller des einspännigers
in gegensein H. Johann Daniel Marbach des knopffmachers, zur erbauung hernach beschriebenen behausung – schuldig seÿen 500 pfund
unterpfand eine behausung cum appertinentis ane dem kleinen Roßmarckt, einseit neben Johann Christoph Baum dem Paßmentirer, anderseit neben einem Allmendgäßel, hinten auff den Rindshäutergraben
Les mêmes hypothèquent leur maison au profit de l’étudiant en théologie Jean Henri Gnilius pour en régler les frais de construction
1767 (3.7.), Chambre des Contrats, vol. 641 /2 f° 383
Johann Streitt der Parresol macher und Catharina Barbara geb. Schwartzin mit beÿstand Johann Antoni Schwartz des windvogtenmachers und Johann Müller des einspännigers beede ihren nächsten
in gegensein H. Johann Heinrich Gnilius des cand. Theol. innahmen seiner mutter Fr. Ursula Elisabeth Gniliusin geb. Schmidtin, zur erbauung hernach beschriebenen behausung schuldig seÿen 300 pfund
unterpfand, eine behausung cum appertinentis am kleinen Roßmarckt, einseit neben einem Allmendgäßel, anderseit neben H. Baum dem Paßmentirer, hinten auff den Rindhäutergraben
Jean Streitt et Catherine Barbe Schwartz hypothèquent la maison au profit de l’aubergiste Jean Jacques Schutz
1767 (29.12.), Chambre des Contrats, vol. 641 /2 f° 680-v
Johann Streitt der Parresolmacher und Catharina Barbara geb. Schwartzin mit beÿstand ihres sohns Antoni Streitt des windvogtenmacher und Jacob Müller des einspännigers beede ihren nächsten
in gegensein H. Johann Jacob Schutz des gastgebers schuldig seÿen 1000 pfund
unterpfand, eine behausung cum appertinentis am kleinen Roßmarckt, einseit neben einem Almendgäßel, anderseit neben N. Redslob, hinten auff den Rindshäutergraben
Jean Streitt loue au négociant Jacques Jaussaut un logement dans la maison qu’il vient de bâtir
1768 (14.9.), Not. Laquiante (6 E 41, 1028)
Bail de 3 années qui commencent a la St Michel prochaine – Sr Jean Streitt faiseur de Parapluye
au Sr Jacques Jaussaut négociant
un appartement dans la maison qu’il vient de Batir et qu’il possede en cette ville au petit marché aux Chevaux led. appartement composé savoir d’un Poel et de deux chambres sur le devant du premier étage d’un poel de deux chambres et d’une cuisine sur le derrière du premier étage, de deux chambres aux mansarde du troisième étage sur le derrière, D’une chambre sur le devant du troisième étage d’une cave et enfin d’une place pour mettre une corde de bois – moyennant un loyer annuel de 288 livres
[in fine :] résilié, cessera d’avoir son effet à partir de la St Jean prochaine, 29. mars 1770
Joseph Bastien épouse Anne Marie Streitt
1770 (31.1.), Not. Humbourg (6 E 41, 137)
Mariage – Sr Joseph Bastien commis à la distribution des Bois et lumières aux trouppes de la citadelle de cette ville y demeurant fils majeur d’ans de feu Jean Bastien vigneron à Steige dans le Val de Villé et de défunte Anne Barbe Spies
Demoiselle Anne Marie Streitt fille majeure du Sr Jean Streitt faiseur de parapluyes et de Catherine Barbe née Schwartz
(promettent de se prendre devant l’église catholique)
Jean Streitt loue une partie de la maison au perruquier François Xavier Grenier
1773 (22.1.), Not. Laquiante (6 E 41, 1046) n° 45
Bail de 3 années consécutives qui commenceront a la Notre Dame de mars prochaine – Sr Jean Streitt contrôleur des briques
au Sr François Xavier Grenier maître Perruquier
un appartement et boutique dans la maison qu’il possede en cette ville sur le marché aux chevaux a côté de la Mesange Lequel appartement consiste dans les pièces cy après détailées Scavoir
1. au rez de chaussée une boutique a la gauche de l’entrée, Plus une petite chambre servant d’arrière boutique, Plus une cave séparée de latte sur le devant Pour le bois et le vin,
2. et au premier étage sur la maison de derrière un Poel une chambre ayant vue sur la riviere, Plus une autre chambre et cuisine donnant sur la cour,
3. deux chambres a la mansarde donnant sur la riviere,
4. l’usage commun du puits de la buanderie et des greniers pour la lessive – moyennant un loyer annuel de 164 livres
(enregistré à la Chambre des Contrats le 5 novembre 1775 (vol. 649 f° 2-v)
Joseph Streitt loue une boutique et une partie de la maison à l’orfèvre Jean Geoffroi Schuhmann
1777 (9.7.), Not. Laquiante (6 E 41, 1064) n° 11
Lehnung für 3 nacheinander folgenden jahren so ihren anfang auf nächstkünfftigen Michaeli nehmen – H. Joseph Streitt parapluie macher
in gegensein H. Johann Gottfried Schuhemann des Goldarbeiters
Ein laden mit Einem Neß so hinten daran gelegen, im dritten stock eine stube stub kammer, Kuchen und Küchen und keller im Mansarde zweÿ kammeren, dieses alles gehet auf die fordere Gas heraus, im Ersten Stock Eine Stub, Stub Kammer, ferner eine Kammer und eine Küchen alles auf dem nemlichen Stock, im Manssard zweÿ Kammeren diese Stuck befinden sich alle im hinteren haus, wie auch ein Keller und dann Gerechtigkeit in der bauchküchen und bühnen so viel er entlehner wird benöthiget seÿn, vorerwehnte Verlehnte Stück befinden sich alle in des verlehners auf dem Ros Marckt neben der Mais eigenthümlich besitzenden behausung – um einen jährlichen Zinß nemlich 140 gulden
[in fine :] 28. junÿ 1780, auf 3 fernerer Jahr so auf nachstfolgende Michaelis anfangen
Jean Streitt et Catherine Barbe Schwartz hypothèquent la maison au profit du maître maçon Antoine Klotz pour en régler les frais de construction
1778 (2.4.), Chambre des Contrats, vol. 652 n° 117-v
H. Johann Streit der parapluie macher und Catharina Barbara geb. Schwartzin unter assistentz Jacob Müller des einspännigers ihres tochtermanns und Johann Antoni Streit des parapluie machers ihres leiblichen sohns
in gegensein H. Antoni Klotz des maurer meisters, vor vertigung maurer arbeit und bau materialien so ane hiernach beschriebenen behausung verwendet, 1550 gulden
unterpfand, ermelte behausung samt zugehörden nächst dem Roßmarckt beÿ der Meiß, einseit neben dem Allmend, anderseit der Meiß, hinten auff den Rindshäutergraben
Nouveau bail à l’orfèvre Geoffroi Schuhmann
1780 (13. 9.bris), Not. Laquiante (6 E 41, 1079) n° 14
Lehnung auf 6 nacheinander folgenden jahren so auf verfloßenen Michaeli ihren anfang genommen – Fr. Catharina Barbara Streitt Barbe Schwartzin weÿl. Johannes Streitt parapluye machers wittib verbeÿständlichen H. Johann Antoni Streitt parapluye machers ihres sohns
in gegensein H. Gottfried Schuhmann silberarbeiters
1. Ein laden mit einer hinter daran gelegener Eß,
2. im hintern hauß auf dem Ersten Stock eine stub, stubkammer und kuchen,
3. Eine Mansarde im hinterhauß zwo Kammern,
4. Vornen herauß im dritten stock eine Stub stubkammer und Kuchen,
5. Im vierten stock im mansarde zwo kammern,
6. die beÿde hintere Keller,
7. so dann letztlichen den allgemeinen gebraucht der bauchkuchen und bühnen für die wasche zumachen, dieße samtliche in lehnung gegebene Stück befinden sich alle in der Frau verlehnerun auf dem roßmarck allhier neben der Meis Eigenthümlich besitzenden behausung und zugehorten – um ein jährlichen Zinß 300 lb
Catherine Barbe Schwartz veuve de Jean Streitt loue une partie de la maison à son fils Jean Antoine Streitt, fabricant de parapluies
1780 (13. 9.bris), Not. Laquiante (6 E 41, 1079) n° 13
Lehnung auf 4 nacheinander folgenden jahren so auf künfftigen oster fest ihren anfang nehmen – Fr. Catharina Barbara Streitt Barbe Schwartzin weÿl. Johannes Streitt parapluye machers wittib verbeÿständlichen H. Gottfried Schumann silberarbeiters
H. Johann Antoni Streitt parapluye machern ihrem sohn
in der Fraun verlehnerin zu Straßburg neben der Meiß gelegen zuständigen behausung einen laden nebst einem daran stoßenden kämmerlein – um 1 gulden 5 sch wochentlichen zinß
Jean Antoine Streitt et Christine Korn font dresser un état de leur fortune pour accéder à la bourgeoisie
1781 (20.1.), Not. Greis (Jean Frédéric 6 E 41, 898) n° 42
Designation Alles was Hr Johann Anthoni Streitt der Parasolmacher und Frau Christina geb. Kornin beede Eheleuhe und Schirmer allhier Welche beÿ E.m allhiesigem hochlöblichen Magistrat um das burgerrecht in Unterthänigkeit einzukommen Willens sind
hausrath 305 lb, Waaren 114 lb, Silber 52 lb, Golds 25 lb, baarschafft 50 lb, summa summarum 546 lb
Jean Streitt meurt le 4 novembre 1781 en délaissant huit enfants dont trois fils dont le domicile est inconnu. Les experts estiment la maison à 2 750 livres. La masse propre à la veuve est de 314 livres, celle propre aux héritiers de 3 livres. L’actif de la communauté s’élève à 2 847 livres, le passif à 4 218 livres
1781 (12.1.), Not. Lederlin (6 E 41, 902) n° 123
Inventarium über Weiland Herrn Johannes Streitt des geweßenen Parapluymachers und Burgers dahier in Straßburg nunmehr seeligen Verlaßenschafft errichtet Anno 1781 – nach seinem den 4.ten Novembris des letztabgewichenen 1780.sten Jahrs aus dießer Welt genommenen tödlichen Hinscheiden Zeitlichen verlaßen, Welche Verlaßenschafft ane Zu end gemeltem dato auf freundliches Ansuchen, Erfordern und Begehren des Verstorbenen seeligen mit nach gemeldter seiner hinterlaßener Wittib ehelich erzeugter anweßender Kinder und der abweßenden und in fremder Landen sich befindender Kinder (…) inventirt und ersucht durch Fr. Catharinam Barbaram gebohrner Schwartzin, die hinterbliebene Wittib beÿständlichen Sr Guillaume Raynot de Guidermin des Intéressé dans les affaires du Roy (geäugt und gezeigt) So geschehen allhier in Straßburg auf Freÿtag den 12.ten Jenner im Jahr 1781.
Der abgelebte hat ab intestato Zu seinen Erben verlaßen, als 1. Herrn Johann Anton Streitt, den Parapluyemacher und Burgern dahiern anweßend, 2. Frau Catharinam Barbaram gebohrne Streittin, Herrn Johann Jacob Müllers des Einspännigers und Burgers dahier Ehegattin, so unter assistentz ihres Ehegatten dießer Inventur abgewartet, 3. Amandum Streitt, den Parapluyemachen deßen aufenthalt aber schon in die 22. Jahr lang unbekandt ist, dahero in deßen nahmen persönlichen beÿ dießer Inventur erschien und dessen Interesse beobachtet hat Herr Lt. Johann Joseph Bitschnau, Procurator Vic. und burger allhier (…) geordnet und geschworner Curator, 4. Frau Annam Mariam gebohrnen Streittin Weiland Herrn Joseph Bastian, geweßenen Employé im allhiesiger Holtz magassin und Burgers dahier hinterlaßene Wittib, so unter beÿständlichen H. Joh: Georg Moßeders des Chirurgi und burgers dahier, der Inventur beÿgewohnt hat, 5. Jungfer Mariam Susannam Streittin majorennis und unter beÿstand gedachtem Herrn Moßeder beÿ dießer Inventur anweßend, 6. Frantz Peter Streitt, den drehern, deßen aufenthalt ebenfalls unbekannt ist, 7. Jungfer Mariam Magdalenam Streittin von hier abweßend, So dann 8. Johannes Streitt, den schneider, welcher ebenfalls schon eine geraume Zeit von hier abweßend ist, In welcher dreÿer abweßender Kinder namen Zugegen geweßen ist hievorgedachter Herr Lt. Bitschnau, welcher ihr Interesse beobachtet hat, Alle Acht deß Verstorbenen seelig mit Eingangs gedachter seiner hinderlaßenen Wittib ehelich erzeugte Kinder und ab intestato Zu gleichen Portionen und Antheilern Erben.
In einer allhier Zu Straßburg ane dem Roßmarckt gelegenen in dieße Verlaßenschafft eigenthümlich Zuständigen behaußung folgender maßen sich befunden worden als
Eigenthum ane einer behausung. Nemlichen eine Behausung Höflein und Hofstadt mit allen deren Gebäuden, Begriffen, Weithen, Zugehörden, Rechten und Gerechtigkeiten gelegen allhier Zu Straßburg ane dem Kleinen Roßmarckt, einseit Herrn Redslob, dem Seidenhändlern, anderseit neben einem Allmend Gäßlein, hinten auf den Rindshäuter Graben stosend, davon gibt man jährlich dem Gürtlerhof Zweÿ Cappen und 6 ß in Geld auf Johannis Baptistæ sonsten ist dieselbe außer denen darauf haftenden und hernach passivé eingetragenen Capitalien freÿ leedig und eigen, und wird dieße Behaußung vermög der mir Notario Von denen Stadtwerckleuthen Zum Concept eingeschickten schrifftlichen Abschatzung dedato 21. Hornung 1781 hier in Auswurf gebracht pro 2750. Über die helfte dießer behaußung besagt i. teutscher pergamentener Kfbrf in allhiesiger C. C. stub gef. u. mit deren aufgedrucktem Insiegel verwahrt datirt 22.ten 9.bris 1762. Über die andere Helfte besagt 1. teutsch. perg. Kfbrf. in der C.C. stub gef. datirt d. 12. feb. 1761. Weiter ist über de ganze Behßg vorhanden 1. teutsch. pergam. Kffbr. in allh. C.C. stub gef. mit deren aufg. Insiegel verwahrt de dato 2. Maÿ 1732.
Ergäntzung der Wittib prætendirlich in die Ehe gebrachten Guts.
Series rubricarum hujus Invÿ. Bericht In gegenwärtig Inventarium gehörig
Der Wittib vermögen, Sa. Silbers 1, Sa. Ergäntzung 312, Summa summarum 314 lb
Der erben Guth, Kleidung, 3
Das theilbare Vermögen betreffend, Sa. Hausraths 50, Sa. Waar und Werkzeug zum Parapluymachen gehörig 13, ß Silbers 17 ß, Sa. behausung 2750, Sa. Activ Schulden 30, Summa summarum 2847 lb – Schulden 4218, compensando 1371 lb
Copia Codicilli – persönlich kommen und erschienen seÿn Frau Catharina Barbara gebohrne Schwartzin Weiland Herrn Johannes Steit geweßenen Parapluymachers undt Burgers dahier in Straßburg seelig hinterlaßene Wittib (…) gesund gehend stehenden Leibes auch guter richtigen Sinnen und Verstandes (…) den 27. Jänner Anno 1785, Johannes Lederlin, Notarius
Cejourd’hui 24 novembre 1788 (…) est comparue en Personne Dme Catherine Barbe Schwartz Veuve de Deffunt le S Jean Streit vivant Fabriquant de Parapluyes en cette ville, saine d’esprit, jugement Memoire et Entendement même de corps (…) lègue et perlegue preciput à Dme Marie Susanne Streit femme du S Jean carache en Service à Paris sa fille, Laquiante
Marie Susanne Streitt épouse en 1786 Jean Carache, originaire de Xanten
1786 (24.2.), Not. Lacombe (6 E 41, 201) n° 56
Contrat de mariage,communauté partageable par moitié – Sr Jean Garache habitant de cette ville fils du Sr Jean Garache, rentier à Xanten Eveché de Cologne majeur
Dlle Marie Susanne Streitt fille majeure de feu Jean Streitt, bourgeois de à Strasbourg et Catherine Barbe Schwartz ses père et mère (signé) carache
Catherine Barbe Schwartz hypothèque la maison au profit de sa fille Marie Susanne Carrache
1790 (21.12.), Chambre des Contrats, vol. 664 n° 276
Fr. Catharina Barbara geb. Schwartzin weÿl. H. Streit gewesten parapluie machers wittib beÿständlich H. Friedrich David Röeßer des baders
ihrer leiblichen tochter Fr. Maria Susanna Carraschien geb. Streitin – schuldig seÿen 150 gulden [unterzeichnet] Carrachin
unterpfand, anfangs gedachte mit N° 18 bezeichnet ane der Meißengaß gelegene behausung samt zugehörden
Catherine Barbe Schwartz meurt en 1791 en délaissant cinq enfants ou leurs représentants, dont un fils qui n’a pas donné de nouvelles depuis 32 ans. La maison est portée à son prix de vente. L’actif de la succession s’élève à 9 882 florins, le passif à 7 812 florins.
1791 (26.3.), Not. Lederlin (6 E 41, 910) n° 459
Inventarium über Weiland Frauen Catharina Barbara gebohrner Schwartzin auch Weiland H. Joh. Streit gewesenen Parapluymachers und Burgers dahier in Straßburg geweßener Ehegattin nunmehr seeligen Verlaßenschafft, errichtet anno 1791 – nach ihrem den 7. Merz dieses Jahrs aus dieser Welt genommenen tödlichen hintritt Zeitlichen verlaßen (…) Actum Straßburg d. 26.ten Martÿ 1791.
Nominatio hareredum. Die verstorbene seelig hat ab intestato zu ihren wahren Erben verlaßen 1. Weil. H. Johann Antoni Streit des gewesenen burgers und Parapluymachers hinterlassene Tochter dießortige Enckelin beiständ. H. Schuhmann des goldarbeiters dahier, 2. Weil. Fraun Catharinam Barbaram gebohrner Streitin auch Weil. Johann Jacob Müllers gewesener Ehefraun hinterlaßene Kinder und diesortige Enckel in deren Nahmen Daniel Bay der Citoyen alhier als geschworener Curator dieser Inventur beigewont, 3. Armandum Streit, den Parapluymacher deßen aufenthalt in die 32. Jahr lang unbekannt ist dahero H. M. Lt Bitschnau als geordnet und geschworener Curator diesem Geschäfft beigewont, 4. Frau Annam Mariam geb. Streitin H. Joseph Bastian hinterl. Wittib so beiständl. diesem Acte beÿgewohnt, 5. Fr. Mariam Susannam geb. Streitin H. Carrasch verlaßene Ehefrau beist. H. Exsenatoris Kamm
In einer alhier Zu Straßburg ane dem Roßmarckt in dieße Verlaßenschafft gehörigen behausung sich vorgefunden als
Eigenthum ane einer behausung. Nemlichen eine Behausung Höflein und Hofstatt und bronnen mit allen deren Gebäuden Begriffen Weiten Zugehörden Rechten und Gerechtigkeiten gelegen alhier Zu Straßburg ane dem kleinen Roßmarckt Einseit Herr Redslob dem Seidenhändlern, Anderseit neben einem Allmend Gäßlein, hinten auf den Rindshäuter Graben, stosend, davon gibt man jährlich dem Gürtlerhof Zween Capen und 6 ß in Geld auf Johannis Baptistæ sonsten ist dieselbe außer denen darauf haftenden und hernach passivé eingetragenen Capitalien freÿ leedig und eigen, und wird diese Behausung wie solche bei allhiesigem District Gericht nach vorhererhaltenem Decreto alienandi Zum Verkauf ausgesetzt und dem Letzt und Meistbietenden Michael Walter dem Schuhmacher alhier adjugirt worden ist, hier in auswurff gebracht pro 9480 fl. Über die Hälfte dieser behausung besagt i. teutscher pergamentener Kauffbrieff in allhiesiger C. C. stub gefertigt und mit deren aufgedrucktem Insiegel verwahrt datirt 22.ten 9.bris 1762. Über die andere Hälfte besagt 1. teutscher pergamentener Kfbrf. in der C.C. stub gef. datirt d. 12. feb. 1761. Weiter ist über de ganze Behausung vorhanden 1. teutsch. pergam. Kfbr. in allh. C.C. Stube gef. mit deren aufgetrucktem Insiegel verwahrt de dato 2. Maÿ 1732
Berechnung, activ massa 9882 fl, passiva 7812 fl, verbleiben 2069 fl.
Codicille – Cejourd’huy 30 octobre 1780 (…) fut present Jean Streitt Bourgeois marchand de parapluyes decette ville y demeurant, sain d’esprit Jugement Et Entendement mais malade de corps gissant au lit dans un Cabinet de la Maison qui luy appartient en cette ville près la mesange (…) Fait lu passé Et Interpreté en allemand par Led. Notaire (…) Lacombe notaire Roïal pour M° Laquiante Notaire Royal absent
1791 (12. Xbr.), Not. Stoeber (6 E 41, 1259) n° 886
Endliche Abrechnung so wegen weiland Fraun Catharinä Barbarä gebohrner Schwarzin auch weiland H Johannes Streit gewesenen Parapluie machers und burgers allhier Wittib Verlaßenschafft gepflogen worden
Marie Anne Streit veuve du commis Joseph Bastian meurt en 1796 en délaissant pour héritiers ses frères et sœurs. L’inventaire est dressé rue Thomann dans la maison dite cour de Marbach.
1796 (15 floréal 4), Strasbourg 5 (7), M° Grimmer n° 299
Designatio alles desjenigen Vermögens so weiland Maria Anna geb. Streit weiland des bürgers Joseph Bastian, gewesenen Commis bei der holz und Lichtverwaltung allhier zu Straßburg nachgelaßene Wittib, nach ihrem den 3. dieses Monats floreal beschenenen Absterben hinterlassen hat
Und sind die Erben der Verstorbenen Geschwisterde und Geschwisterde Kinder namentlich, 1. Amandus Streit der parapluymacher so abwesend, 2. Johannes Streit Schneider ebenfalls abwesend, 3. Magdalena Streit in Paris wohnhaft abwesend an br. Jos. Potier verheiratet, 4. Franciscus Streit auch abwesend, In welcher vier Namen deren Curator b. Johann Joseph Bitschnau, homme de loy, zugegen war, 5. Maria Susanna Streit des bürgers Nicolas Nappert chef de bureau bei der Niederrhein’schen departements Verwaltung Ehegattin, 6. weil. Catharina Streit mit auch weiland N. Müllers gewesenen vormaligen Soldners erzeugte und nach tod verlaßenen vier abwesende Kinder nanmentl. 1) Catherine, 2) Madeleine, 3) Theresia, 4) Margaretha, 5) Maria Anna in deren Namen der bürger Johann Daniel Baÿ huissier deren Curator, 7. weiland Anton Streit gew. parapluymacher nachgelaßener abwesender Sohn Anton Streit für welchen deßen geschwornen Vogt bürger Schumann Silberarbeiter
in der Sterbbehausung im sogenannten Marbachhof ane der thomasgaß dahier verzeichnet
Summa der gesamten looßung 347 livres, davon wurden bezahlt 65 livres, Nach deren Abzug 281 livres
Enregistrement acp 40 du 15 floréal 4
Les enfants et héritiers de Jean Streitt et de Catherine Barbe Schwartz vendent la maison au cordonnier Jean Daniel Walther et à sa femme Marie Ursule Luther
1791 (27.8.), Chambre des Contrats, vol. 665 n° 280 enreg. 31.8. F° 34
H. Gottfried Schumann der silberarbeiter als vogt weÿl. Antoni Streit des parapluie machers zweÿen kindern Antoni und Christina, H. Johann Daniel Baÿ der practicus als curator und vogt weil. Catharina Mülllerin geb. Streitin nachgelassener 5 kinder Catharina, Magdalena, Theresia, Margaretha und Maria Anna, H. Johann Jacob Bitschnau der rechtsgelehrte als curator Amandi Streit des abwesenden, ebenderselbe als curator Frantz Peter Streit ebenmäsig abwesend, wieder derselbe als curator Magdalena Streitin und in eben derselben qualität als curator Johannes Streit, item Fr. Maria Anna verwittibte Bastian geb. Streitin ; Fr. Susanna verwittibte Carache geb. Streitin, dieselbe letztere beiständlich obbesagten H. Lt. Bitschnau
H. Johann Daniel Walther des schuhmachers und Maria Ursula geb. Lutherin beiständlich Johann David Güthel des schuhmachers und Johann Friedrich Heckler des schneiders
eine behausung bestehend in vorder und hinderhaus, hoff, hoffstatt und bronnen, ane der Meißengaß gelegen mit N° 8 bezeichnet, einseit ist ein eck ane dem allmend gäßlein, anderseit neben H. Redslob dem seidenhändler, hinten auff den Rindshäutergraben-davon gibt man zweÿ cappen und 6 ß dem ehemaligen grosen Gürtlerhof ane bodenzinß – als ein von ihren eltern respective groseltern weil. Johannes Streit gewesten parapluie machers und Catharina Barbara geb. Schwartzin ererbtes guth – 7050 gulden capital verpfändet, geschehen um und 2430 gulden
Fils du cordonnier Jean Henri Walther, Jean Daniel Walther épouse en 1768 Marie Ursule Luther, fille du cordeur de bois Martin Luther : contrat de mariage, célébration
1768 (20.12.), Not. Greis (Phil. Jacques, 6 E 41, 586) n° 46
Eheberedung – persönlich erschienen der Ehrengeachte Meister Johann Daniel Walther, leediger Schuhmacher, weiland Johann Heinrich Walthers, geweßenen ebenmäßigen Schuhmachers und burgers alhier seel. nachgelaßener ehelicher Sohn, beÿständlich J Johann Andreas Vix, Schuhmachers und burgers dahier seines annoch ohnentledigten Vogts, als Hochzeiter ane einemn
So dann die Ehren und Tugendgezierte Jungfrau Maria Ursula Lutherin, weiland Johann Martin Luthers, geweßenen Holtzlegers und burgers dahier seel. nachgelaßene ehelich erzeugte Tochter unter assistentz Jn Johann Jacob Theurkauff, burgers und Föghändlers allhier ihres Oncle und annoch ohnentledigten Vogts, als hochzeiteron ane dem andern Theil
Actum alhier Zu Straßburg in mein des notarii gewohnlicher Schreibstube, auf Dienstag den 20. Decembris Anno 1768 [unterzeichnet] Johann Daniel Walther als hochzeiter, Maria Ursula Lutherin als Braut
Mariage, Saint-Thomas (luth. f° 194) n° 891)
Im Jahr 1769 Mittwoch den 25. Januarÿ sind nach zweÿmahliger ordentlicher Proclamation und Ausrufung Zu St. Thomæ und Zum alten St. Peter Zu St. Thomæ ehelich copuliret und eingesegnet worden Johann Daniel Walther der ledige Schuhmacher und burger allhier weiland Heinrich Walther geweßenen Schuhmachers und burgers allhier hinderlaßener ehelicher Sohn und Jungfrau Ursula Lutherin weiland Martin Luther, gewesenen Holtzlegers und burgers allhier Hinterlaßene eheliche Tochter [unterzeichnet] Johann Daniel Walther als hochzeiter, Ursula Lutherin als hochzeiterin (i 196)
Les nouveaux mariés font dresser l’inventaire de leurs apports dans la maison Luther au Vieux-Marché-aux-Vins. Les apports du mari s’élèvent à 52 livres, ceux de la femme à 155 livres.
1770 (11.1.), Not. Greis (Phil. Jacques, 6 E 41, 582) n° 177
Inventarium über des Ehrengeachten Mr Johann Daniel Walter des Schuhmachers, und der Tugendsamen Fr. Mariæ Ursulæ geb. Lutherin, beeder Eheleuthe und burgere alhier zu Straßburg in die Ehe gebrachte unveränderte Nahrungen, afgerichtet Anno 1770 – in gefolg ihrer vor mir unterschriebenem Notario den 20. Decembris 1768. mit einander auffgerichteter Eheberedung §° 3° vor freÿ, eigen und unverändert vorbehalten haben (…) So geschehen alhier in der Königlichen Stadt Straßburg und eine daselbst ane dem Altenweinmarckt gelegenen den Lutherischen Kindern eigenthümlich zugehörigen behaußung, auf Donnerstag den 11. Jenner im Jahr 1770
Series rubricarum hujus Inventarii. Des Ehemanns in die Ehe gebrachte Haabseeligkeitenn, Sa. Werckzeugs Zum Schuhmacher Handwerck gehörig 6, Sa. Silbers 16, Summa summarum 22 lb – So dann participirt der Maritus nach außweiß des 5. §° der Eheberedung ane den Haussteuren die helfte, macht 40 lb, des Ehemanns Vermögen 62 lb
Hierauf folget auch die Beschreibung der Ehefrauen in die Ehe gebrachten unveränderten Guths, Sa. Haußraths 45, Sa. Silber und Geschmeids 22, Sa. goldenen Rings 7, Sa. Baarschafft 40, Summa summarum 115 lb – Darzu gelegt die ihro aen hernach beschriebenen Haussteuren gehörige Helffte 40 lb, Der Ehefrauen Guth 155 lb
Fille d’Antoine Streit et de Marie Christine Korn, Marie Christine Streit meurt en délaissant pour héritier son frère Jean Antoine Streit qui n’a pas donné de nouvelles depuis vingt ans. L’inventaire est dressé dans l’ancienne maison Streit à côté de la Mésange.
1795 (3 prairial 3), Strasbourg 7 (7), Not. Stoeber n° 1131
Inventarium über Weiland der bürgerin Maria Christine Streit, weiland des burgers Joh: Anton Streit gewes. parapluie machers mit der bürgerin Maria Christine geb. Korn seiner hinterbliebenen Wittib erzeugte im Monat frimaire jüngst allhier ledig verstorbenen tochter Verlassenschafft, auf Ansuchen des b. Joh: Gottfried Schumann Silberarbeiters als Curator Joh: Anton Streit des parapluie und Windfecher machers so seit etwa 20 Jahr von hier abwesend und dessen aufenthalt gänzlich so wie auch deßen Leben unbewußt, der verstorbenen bruders
in einer an der Meisengaß N° 8 gelegen bürgers Joh: Daniel Walter dem Schumacher eigenthümlich zuständig diesorts zum theil lehnungsweiße bewonenden behaußung
kleidung 233 lb, schulden aus diese verlassenschafft zu bezahlend 190 lb, Nach deren Abzug 43 lb
Enregistrement, acp 36 F° 35 du 3 ther. 3
Marie Ursule Luther meurt en délaissant deux enfants
1807 (27.8.), Strasbourg 3 (31,1), M° Übersaal n° 1025, 3879
Inventaire de la succession de Marie Ursule Luther, épouse de Jean Daniel Walther ci devant cordonnier – à la requête 1. du veuf, 2. Jean Philippe marchand pelletier, 3. Philippine Madeleine épouse de Jean Müsel marchand parfumeur
Contrat de mariage dressé par M° Greis le 20 décembre 1768
dans la maison mortuaire rue de la Mésange n° 8
propres des héritiers, mobilier 97 fr, dettes actives 270 fr, remploi 12.914 fr, total 13.282 fr
Propriété d’un jardin, Sçavoir un petit jardin avec maisonnette située à la Robertsau Canton dit Oberau, d’un côté le cabaret a l’Ange, de l’autre Georges Weber, devant la rue, derrière led. cabaret – grévé d’une rente envers la ville de 50 c, loué au Sr Klughertz jardinier pour 800 fr, cédé à la défunte par ses cohéritier de la succession Theurkauff à la Chambre des Contrats le 14 décembre 1761, total général 14.082 francs
communauté, mobilier 378 fr
Propriété d’une maison, Une maison avec appartenances et dépendances située à Strasbourg rue de la Mésange n° 8, d’un côté une ruelle communale, de m’autre une maison dépendante de la succession de Jean Michel Redslob, marchand de soie, derrière le fossé des tanneurs – dont on doit à la fondation de Notre Dame de cette ville rente de 1,20 et deux chapons – propriété constatée par contrat passé à la Chambre des Contrats les 24 septembre 1714, 2 mai 1732, 12 février 1761 et 27 août 1791. Cette maison rapporte Le logement qu’occupe le veuf au rez de chaussée et le premier étage sur le devant 124 fr, Dlle Wappner du premier étage sur le derrière 50 fr, Sr Hurter tapissier du second étage 120 fr, Sr Lichtenberger coutelier du troisième étage 100 fr, Sr Bernard perrquier du 4 étage 96 fr, total 496 fr, en principal 9800 fr
total 10 178 fr, passif 21.504 fr, déficit 11.326 fr
Enregistrement, acp 103 F° 104-v du 28.8.
Vente de meubles après la mort de Jean Daniel Walther
1808 (20.6.), Strasbourg 3 (32), M° Übersaal n° 1079, 4397
Vente de meubles devant une maison rue de la Mésange n° 8, délaissés par Jean Daniel Walther cordonnier décédé le 3 du présent mois – à la requête des deux enfants Jean Philippe Walther marchand pelletier et Philippine Madeleine Walther épouse de Jean Müsel marchand parfumeur, procréés avec Marie Ursule Luther
produit : 369, 346, 264 et 106 fr
Les deux enfants Walther vendent la maison au tailleur André Geissenhoffer et à sa femme Anne Marie Legoy
1809 (28.12.), Strasbourg 11 (7), M° Thurmann n° 542
Jean Philippe Walther marchand pelletier et Anne Marie née Pick, Philippine Madeleine Walther épouse de Jean Müssel marchand parfumeur en qualité seuls enfants uniques héritiers de Jean Daniel Walther et Marie Ursule Luther
à André Geissenhoffer maître tailleur d’habits et Anne Legoy
la maison avenue aux Sr Walther et D° Müssel de la succession de leurs père et mère avec cour aisances droits circonstances et dépendances sise en cette ville rue de la Mesange n° 8, d’un côté le coin d’une ruelle qui aboutit au fossé des tanneurs, de l’autre la maison des veuve et héritiers Redslob, derrière ledit fossé – acquis par les père et mère Walther à la Chambre des Contrats le 27 août 1791, propriété constatée par contrats des 2 mai 1732 et 12 février 1761 – chargée d’une rente foncière payable au gouvernement provenant de la fondation de Notre Dame 1,20 fr – pour 17.777 francs ou 18.000 livres
Enregistrement, acp 113 f° 190-v du 6.1.
Inventaire des apports du négociant Jean Daniel Saltzmann et de Marie Eve Foltzer, dressé en partie dans la maison
1812 (6.6.), Strasbourg 12 (45), M° Wengler n° 6748
Inventaire des apports de Jean Daniel Saltzmann fils, négociant, et Marie Eve Foltzer, suivant contrat de mariage reçu par le notaire soussigné le 14 mai dernier, célébré le 29 mai
dans la maison du Sr Kammerer sise à Strasbourg en face de la douane et la femme dans celle du Sr Geisserhoffer rue de la Mésange n° 8
le mari, meubles, fond de commerce 14 246 fr, total 18 035 fr
la femme, meubles, créances, numéraire 74 fr, total 47 199 fr
Enregistrement, acp 119 f° 188 du 12.6.
André Geissenhoffer loue une boutique au tailleur Jean Heim
1812 (25.8.), Strasbourg 4 (41), M° Stoeber n° 2009
Bail d’une année à commencer à la St Michel 29 septembre prochain – André Geissenhoffer tailleur d’habits
à Jean Heim tailleur natif de Küttolsheim sous la caution de Jean Heim son père cultivateur à Küttolsheim
la boutique et l’arrière boutique qui se trouve au rez de chaussée dans sa maison rue de la Mésange n° 8, d’un côté le coin d’une ruelle qui aboutit au fossé desTanneurs, de l’autre la maison de la veuve et héritiers Redslob – moyennant un loyer annuel de 600 francs
Enregistrement, acp 120 F° 97 du 28.8.
(acte N° 2008 même jour – vente de meubles de métier et 8) l’enseigne au Romain qui est devant la maison des vendeurs rue de la Mésange n° 8 pour 300 fr)
André Geissenhoffer et Anne Legoy vendent la maison au notaire Paul Louis Jean Joseph Meyer et à Anne Hélène Chouard
1814 (5.10.), Strasbourg 12 (57), M° Wengler n° 8458
André Geissenhoffer, tailleur, et Anne Legoy domiciliés en cette ville rue de la Mésange n° 8
à Paul Louis Jean Joseph Meyer, notaire, et Anne Hélène née Chouard
une maison située en cette ville de Strasbourg rue de la Mésange n° 8, consistant en deux bâtiments sur le devant et sur le derrière, petite cour au milieu, pompe avec toutes ses aisances, droits, conditions, appartenances et dépendances – chargée de 1 fr 20 et de deux chapons dont elle fut grevée au profit du Gouvernement selon quittance qui sera produite incessamment, (sont) compris 1. un trumeau en deux glaces dans la chambre au premier étage dans la maison ou bâtiment sur le devant estimé 150 fr, 2. de cinq différents fourneaux de fonte avec leurs tuyaux et pierre existant dans diverses chambres de la maison vendue, estimés 150 francs, d’un côté une ruelle qui aboutit au fossé des Tanneurs, d’autre le nommé Schultz sellier, devant ladite rue, derrière ledit fossé – acquis de Jean Philippe Walther marchand pelletier et d’Anne Marie née Pick suivant contrat reçu M° Thurmann le 28 décembre 1809, lesdits Walther l’ont recueilli à titre d’hérédité des successions de leurs auteurs, ces derniers l’avaient acquis à la Chambre des Contrats le 27 août 1791, autres titres Chambre des Contrats les 12 février 1761 et 2 mai 1732 – moyennant 25.500 francs
Enregistrement, acp 125 f° 166 du 5.10.
Inventaire dressé après la mort du locataire Jean Baptiste Benoist, capitaine retraité
1816 (30.1.), Strasbourg 11 (21), M° Thurmann n° 3303
Inventaire de la succession de Jean Baptiste Benoist capitaine retraité Chevalier de la Légion d’Honneur décédé en cette ville le 8 janvier dernier – à la requête de 1. Gertrude Benoist veuve de Louis Methains négociant, 2. Louis Monnet employé dans les fourrages demeurant à Strasbourg, mandataire de Marguerite Antoinette Benoist majeure domiciliée à Paris, 3. Marie Antoinette Laforgue épouse d’Etienne Paysac directeur de l’hôpital militaire demeurant à Colmar, 4. Jean Daniel Weyler, homme de loi, en qualité de substitué dans les pouvoirs conférés à Philippe Jacques Franck négociant par François Dominique Benoist négociant à Lyon, 5. M° Théophile Stoeber, notaire en cette résidence, commis à la représentation 1) de Marie Joséphine Benoist épouse du Sr Ambatick médecin à St Petersbourg, 2) de D° Agnes Benoist épouse du Sr Edlingen demeurant à Dresde en Saxe, 3) Philippine Monuret épouse du Sr Beschwel établi dans le royaume de Saxe
Les D° veuve Methains, Dlle Marguerite Antoinette Benoist, D° Ambatick et Edlingen sœurs du défunt, François Dominique Benoist neveu par représentation de Jean Louis Benoist son père, D° Beschwel nièce du défunt par représentation de Marguerite Benoist épouse de Jean Pierre Monuret propriétaire à Strasbourg et De Paysac petite nièce fille de Charles Martin Laforgue dentiste et Marie Antoinette Monuret celle-ci fille des conjoints Monuret (Procuration, à Lyon hors les portes St Clair, Marguerite Antoinette Benoist propriétaire demeurant à Paris rue basse du rempart n° 18 1° arrondissement)
dans la maison rue de la Mésange n° 8, dans une chambre au second prenant jour sur la rue
mobilier 621 fr, numéraire 86 fr, déclarations actives 6502 fr, passif 897 fr
Paul Louis Jean Joseph Meyer s’accorde avec son voisin François Laurent Chappuy sur les constructions dans la ruelle qui sépare leurs maisons
1819 (22.6., Strasbourg 10 (66), M° Zimmer n° 5225, 8573
Traité – entre Paul Louis Jean Joseph Meyer, ancien notaire
et François Laurent Chappuy, professeur de musique, lesquels pour teminer amiablement toute discussion et contestation entre eux relativement à la surbatisse que le Sr Chappuy entend faire sur la ruelle qui sépare les maisons des contactants sises rue de la Mésange n° 7 et 8, surbatisse permise par décret de la ci devant Chambre des trois de l’ancien magistrat de Strasbourg en date du 12 août 1766 d’un second de cette même chambre du 28 juillet 1767 et arrêté de M le maire de la ville de Strasbourg du 11 août 1813 confirmé par l’autorité supérieure, sont convenus de ce qui suit
1. La surbâtise en question devant joindre la pignon de la maison du Sr Meyer devers ladite rûelle ce mur demeurera mitoyen dès maintenant et pour toujours sur la hauteur de 17 mètres 63 centimètres à partir des fondemens de la cave estimés à deux pieds de profondeur en terre et sur la largeur de 5 mètres 43 centimètres comme aussi toute son épaiseur telle qu’elle se trouve dans lesdites dimensions,
2. Cette partie dudit mur faisant en quarré 95 mètres 73 centimètres a été par les parties évaluée à 1148 francs 66, valeur du sol comprise,
3. en outre et en considération de ce que dessus le Sr Chappuy possédant à lui seul un puits auquel est adapté une pompe dans la ruelle en question s’engage à céder audit Sr Meyer et à tous les autres propriétaires de la maison la moitié dudit puits, sous la condition expresse que le propriétaire de la maison du Sr Meyer ne pourra jamais faire participer à la propriété qu’il acqueroit sur ce puits aucun de ses voisins ni tous autres ni en permettre ou concéder l’usage à qui que ce soit – moyennant 574 francs
Enregistrement de Strasbourg, acp 143 f° 110-v du 23.6.
Paul Louis Jean Joseph Meyer et Anne Hélène Chouard vendent la maison au facteur d’instruments Jean Daniel Holtzapffel
1827 (6.4.), Strasbourg 7 (75), M° Stoeber n° 9766
Paul Louis Jean Joseph Meyer, ancien notaire présentement juge de paix du canton de Molsheim, et Anne Hélène née Chouard
à Jean Daniel Holtzapffel, facteur d’instruments
une maison à trois étages et mansardes située en ladite ville rue de la Mésange n° 8, consistant en deux corps de logis l’un sur le devant, l’autre sur le derrière, petite cour au milieu avec une pompe, appartenances et dépendances, d’un côté une ruelle qui aboutit au Fossé des Tanneurs, de l’autre M L’Ange, devant la rue, derrière ledit fossé – acquis d’André Geisenhoffer, maître tailleur, et d’Anne Legoy par acte reçu M° Wengler le 5 octobre 1814 transcrit au bureau des hypothèques volume 77 n° 42. Ledit Geisenhoffer l’avait acquise de Jean Philippe Walther, marchand pelletier, et Anne Marie née Pick, par acre reçu M° Thurmann le 28 décembre 1809. Ledit Walther et consorts l’avaient recueilli dans la succession de leurs auteurs qui l’ont, acquis à la Chambre des contrats le 27 août 1791, acquis Chambre des Contrats 12 février 1761 cette propriété assurée par les précédents possesseurs le 2 mai 1732 – moyennant 23.000 francs
Enregistrement, acp 183 F° 74 du 10.4.
Originaire de Strasbourg, Jean Daniel Holtzapffel épouse vers 1804 Marie Louise Benard native de Paris (le mariage a sans doute lieu à Paris)
Registre de population 600 MW 36. Rue de la Mésange 8, f° 349 (i 169)
Holtzapfel, Jn Daniel, 1771, facteur d’instruments, Strasbourg, (auparavant) Pl. d’armes 14, (entré) 8.bre 1827
id. née Bénard, Mie Louise, 1786, Ep. Paris, (à Str. depuis) 1824,
id. Jn Auguste, 1805, Paris
id. Jn Charles, 1810, Paris (marié), voyez d’autre part
(p. 350) Holtzapfel, Jean Charles, 1809, Etud. en droit, M. Paris voyez pag. préc.)
id. née Holtzapfel, Sophie, 1810, Epouse, Strasbourg, (auparavant) rue du Maroquin 25
id. Charles Victor, 1834 23 juillet, Enf. Strasbourg
1837 (31.5.), Strasbourg, M° Ritleng
Consentement par Jean Daniel Holtzapffel, facteur d’instruments de musique, et Marie Louise Bénard, au mariage de Jean Auguste Holtzapffel, facteur d’instruments à Paris avec Rose Adèle Devening à Paris mineure
Enregistrement, acp 250 F° 43-v du 31.5.
Jean Daniel Holtzapffel meurt le 18 juin 1843
Décès, Strasbourg (n° 1216) Déclaration faite le 19 juin 1843 du décès de Jean Daniel Holtzapffel âgé de 73 ans, né à Strasbourg, ancien facteur d’instruments de musique, Epoux de Marie Louise Benard, domicilié à Strasbourg, mort en cette mairie le 18 du mois courant à sept heures du soir dans la maison située N° 8 rue de la Mésange fils de feu Jean Jacques Holtzapffel, tourneur et de feu Marie Madeleine Schlatter. Premier déclarant Jean Charles Holtzapffel, agé de 33 ans, Employé aux hospices fils du défunt, deuxième déclarant Théophile Holtzapffel agé de 66 ans, Tourneur, frère du défunt, [in margine :] hydrothorax (i 81)
Inventaire dressé après son décès. Lors du partage, les immeubles restent indivis.
1843 (24.6.), Strasbourg 14 (116), M° Ritleng n° 13.904
Inventaire et Partage de la succession délaissée par Jean Daniel Holtzapffel
22 Juin 1843. à la requête et en présence 1° de Dame Marie Louise Benard veuve de Mr Jean Daniel Holtzapffel ancien facteur d’instruments de musique domiciliée à Strasbourg, agissant en qualité de Commune en biens avec ledit défunt, 2° du Sr Jean Auguste Holtzapffel, facteur d’instruments de musique domicilié à Paris, 3° du Sr Jean Charles Holtzapffel, licencié en droit, employé aux hospices civils de Strasbourg, domicilié en cette ville, lesdits Sieurs Jean Auguste Holtzapffel & Jean Charles Holtzapffel agissant en qualité de seuls et uniques héritiers de feu mondit S. Jean Daniel Holtzapffel leur père décédé à Strasbourg le 18 juin courant, chacun pour moitié (…) déclarent de plus que le défunt & la veuve requérante étaient mariés sous le régime e la communauté légale à défaut de contrat de mariage
(…) il a été trouvé cinq inscriptions de rente (…) au nom de Jean Victor Holtzapffel troisième fils du défunt né de son mariage avec la veuve requérante le 27 février 1817 & décédé à Strasbourg le 16 avril 1826.
en la demeure du défunt rue de la Mésange n° 8
Immeubles de la Communauté 1° Une Maison à trois étages & mansardes située à Strasbourg rue de la Mésange N° 8 consistant en deux Corps de logis l’un sur le devant, l’autre sur le derrière, petite cour au milieu avec une pompe, appartenances & dépendances d’un côté une ruelle communale aboutissant à l’ancien fossé des tanneurs, de l’autre propriété de Mr Lange par devant la rue par derrière ledit fossé. Titres de propriété. Feu M. Holtzapffel avait acquis ledit Immeuble de Mr Paul Louis Jean Joseph Meyer, ancien notaire à Strasbourg & de D° Anne Hélène née Chouard son épouse, suivant Contrat passé devant M° Stoeber le Jeune & son collègue Notaires en ladite ville le 6 avril 1827, enregistré transcrit au bureau des hypothèques de Strasbourg le 10 du même mois volume 200 N° 78. (…)
2° Un Bien de Campagne (autrefois l’auberge au pied de Bœuf) se composant de deux corps de Bâtiments, (…) situé à Schiltigheim rue dite Münchsherrengass N° 203
Copie du testament du défunt déposé en l’étude du soussigné notaire Ritleng en vertu d’ordonnance de M. le Président du tribunal civil de Strasbourg en date du 24 juin courant, enregistré à Strasbourg le 26 juin 1843. Je légue à ma sœur Salomé Federhenn née Holtzapffel (…) à mon frère Philippe Louis Holtzapffel (…) à l’école primaire de l’église réformée de Strasbourg (…) à mon petit-fils Charles Victor Holtzapffel né le 23 juillet 1834 (…) aux quatre enfants de Gottlieb Holtzapffel décédé le 18 juin 1839 (…)
Les parties sont convenues de laisser dans l’indivision les immeubles ci-dessus inventoriés
acp 311 (3 Q 30 026) f° 62 – La succession se compose 1° treize inscriptions de rente sur l’Etat montant ensemble à 8100 francs
2° vingt actions sur la Banque de France
Description des titres de propriété. 3° une créance de 6000, 2° plus un mobilier et argent comptant 2152, garde robe du défunt 180
Immeubles de la communauté (supra). Description du testament du défunt
Déclaration par la veuve et héritiers Holtzapffel qu’ils approuvent purement et simplement toutes les dispositions du testament et notamment le legs fait par le défunt au profit e Charles Victor Holtzapffel son petit fils
Partage entre les cohéritiers du montant des rentes s’élevant à la somme annuelle de 6060 francs (…)
Acte de notoriété relatif à son fils Jean Victor Holtzapffel, cité dans l’inventaire ci-dessus
1843 (10.7.), Strasbourg 14 (116), M° Ritleng n° 13.962
Notoriété – que le S. Jean Victor Holtzapffel fils du Sr Jean Daniel Holtzapffel facteur d’instruments & marchand de musique & de D° Marie Louise Benard conjoints domiciliés à Strasbourg est décédé en cette ville le 16 avril 1826 ainsi que cela résulte d’un extrait dûment légalisé de son acte de décès dressé à la mairie de la Ville de Strasbourg ledit jour (…)
qu’après son décès il n’a pas été fait d’inventaire de sa succession & qu’il a délaissé pour ses seuls et uniques héritiers savoir ses père et mère pour la moitié ou chacun pour un quart & mes sieurs Jean Auguste Holtzapffel, facteur d’instruments de musique domicilié à Paris & Jean Charles Holtzapffel licencié en droit, employé aux hospices civils de Strasbourg, domicilié à Strasbourg ses deux frères germains pour l’autre moitié ou chacun aussi pour un quart
(Acte de décès joint) âge de 9 ans 19 jours né à Paris (Seine)
acp 312 (3 Q 30 027) f° 11-v
La veuve et les enfants de Jean Daniel Holtzapffel cédent en 1854 à l’Etat un terrain devant la maison
1854 (31.7.), Maire
Vente par 1) Marie Louise Benard veuve de Jean Daniel Holtzapffel, 2) Charles Holtzapffel avocat à Strasbourg, 3) Jean Auguste Holtzapffel facteur d’instruments de musique à Paris
à l’Etat
de 14,88 mètres de terrain route impériale N° 68 moyennant 14,82 francs
acp 432 (3 Q 30 147) f° 26 du 4.8.
Marie Louise Benard meurt le premier décembre 1855 (sans doute chez son fils à Paris puisqu’on ne trouve son acte de décès ni à Strasbourg ni à Schiltigheim). Lors de la liquidation, la maison revient à son fils avocat Jean Charles Holtzapffel
1855 (15.12.), Strasbourg 10 (130), M° Zimmer (Louis Frédéric) n° 11.314
N° 11.314. 15 décembre 1855. Liquidation et partage de la succession délaissée par Marie Louise Benard veuve de Jean Daniel Holtzapffel, en son vivant facteur d’instruments
ont comparu 1) Mr Jean Charles Holtzapffel, avocat demeurant et domicilié à Strasbourg, 2° Et Mr Jean Théodore Koerttgé, clerc de notaire demeurant et domicilié en la même ville, agissant comme mandataire de Mr Jean Auguste Holtzapffel, professeur de musique demeurant et domicilié à Paris (…) voulant procéder au partage des biens et valeurs dépendant de la succession de Mad° veuve Holtzapffel, ci près nommée, ont préalablement exposé ce qui suit
Mad° Marie Louise Benard domiciliée à Strasbourg ; veuve de M. Jean Daniel Holtzapffel, en son vivant facteur d’instruments en la même ville, est décédée le premier décembre 1855 en laissant pour seuls et uniques héritiers chacun pour moitié MM Holtzapffel, ses deux enfants sus nommés issus de son mariage avec ledit M Holtzapffel son mari défunt, ainsi que cette qualité est constatée par un acte de notoriété dressé par ledit M° Zimmer, qui en a la minute, & son collègue le 14 décembre 1855. Après le décès de Mad° Holtzapffel il n’a pas été fait d’inventaire de sa succession, les présentes devant en tenir lieu en tant que besoin
Succession de Mad° Holtzapffel 6) de la moitié indivise d’une maison à trois étages & mansardes, située à Strasbourg rue de la mésange N° 8, consistant en deux corps de logis, l’un sur le devant, l’autre sur le derrière, petite cour au milieu avec une pompe, appartenances & dépendances, d’un côté une ruelle aboutissant sur l’ancien fossé des tanneurs, de l’autre propriété de M Lange, par devant ladite rue par derrière au fossé. Cet immeuble est évalué sans distraction des chambres à raison d’un revenu annuel de 2400 francs à un capital de 48.000 francs
7) et la moitié d’un bien de Campagne, autrefois l’auberge au pied de Bœuf, se composant de deux corps de bâtiments, (…) situé à Schiltigheim rue dite Münchherrengass portant autrefois le N° 203 aujourd’hui le N° 246 (…)
Abandonnements à Jean Charles Holtzapffel 1) La maison sus désignée & ses dépendances le tout sis à Strasbourg rue de la mésange N° 8 pour son prix d’estimation de 48.000, 2) Ladite campagne sise à Schiltigheim pour 10.000 francs
acp 445 (3 Q 30 160) f° 100 du 17.Xbr (succession déclarée le 17 décembre 1855) Masse active, 1) mobilier estimé à 1258, 2) argent comptant 705, 3) rentes 4 % 79.787, 4) rentes 4 % 100, 5) rentes 3 % 3057, 6) actions de la banque de France 34.650, 7) argent à la caisse d’épargne 1033, 8) maison rue de la Mésange N° 8, moitié 34.000, 9) campagne à Schiltigheim, moitié 5000, Total 152.472 francs
à quoi les héritiers ajoutent la moitié des mêmes immeubles 29.000, total 181.472
Masse passive 11.000, reste 170.482
N° 11.312. 13 décembre 1855. Notoriété (…) qu’ils ont parfaitement connu Dame Marie Louise Benard domiciliée à Strasbourg veuve de M. Jean Daniel Holtzapffel, en son vivant facteur d’instruments en la même ville, que ladite dame est décédée ab intestat le premier décembre 1855, qu’après son décès il n’a pas été dressé d’inventaire et qu’elle a laissé pour seuls habiles à se dire et porter héritiers ses deux fils ci après nommés, seuls enfants issus de son mariage avec son défunt époux susnommé savoir
1° Mr Jean Auguste Holtzapffel, professeur de musique demeurant et domicilié à Paris, 2° Mr Jean Charles Holtzapffel, avocat demeurant et domicilié à Strasbourg
acp 445 (3 Q 30 160) f° 96-v du 15.Xbr
Jean Charles Holtzapffel épouse en 1833 Sophie Holtzapffel
1833 (2.10.), Strasbourg 7 (87), M° Stoeber n° 14.872
Contrat de mariage – M Jean Charles Holtzapffel, étudiant de droit fils de Jean Daniel Holtzapffel, facteur d’instruments de musique breveté, et Marie Louise Bénard
Sophie Holtzapffel fille de Théophile Holtzapffel, tourneur, et de Jacobée Westermann
Enregistrement, acp 220 F° 130 du 10.10. – communauté réduite aux acquets
Registre de population 600 MW 191. Rue de la Mésange 8, f° 203 (i 48)
Holtzapfel née Bennard, Marie Louise, 1794, Paris (Seine), propriétaire, P. veuve, (à Str. depuis) 9.bre 24, (entrée) 15 8.bre 1827
Holtzapfel, Jn Charles, 1808, Paris (Seine), avocat, P. M.
id. née Holtzapfel, Sophie, 1809, Strasbourg, P. Ep
id. Charles Victor, 23 juillet 1834, Strasbourg, P. fils – Cert. Enrôl. vol. le 22 janvier 1855
id. Sophie 1837, Strasbourg, P. fille
id. Jn Charles, 1843, Strasbourg, P. fils
id. Sophie Marie 1845, Strasbourg, P. fille
Jean Charles Holtzapffel cède à sa voisine Louise Weiler la mitoyenneté du pignon
1858 (14.1.), Hypothèque de Strasbourg, Transcription reg. 715 (2864) n° 1
Par devant M° Charles Noetinger et son collègue notaire à la résidence de Strasbourg soussignés, a comparu Monsieur Jean Charles Holtzapffel, avocat demeurant et domicilié à Strasbourg, propriétaire de la maison sise et cette ville rue de la mésange N° 20, anicennement numéro 8, aux termes de l’acte de partage de la succession de ses père et mère dressé par M° Zimmer notaire à Strasbourg, lequel a par les présentes vendu, cédé et abandonné en toute propriété (…)
à Dame Louise Weiler, rentière, demeurant et domiciliée à Strasbourg rue de la mésange n° 22, acquéreuse ci présente et acceptant
La mitoyenneté à partir d’une hauteur de 17 mètres 63 centimètres des fondations de la cave évaluée à 63 centimètres, du pignon de sa maison déjà sus indiquée rue de la mésange n° 20 à côté de la propriété de la dame acquéreuse. Tel que ce pignon est figuré au plan ci contre sans en rien réserver ni excepter mais sans aucuen garantie à raison des réparations qui seraient à y faire – moyennant le prix de 69 francs 60 centimes
Enregistrement f° 58 r° du 22 décembre
Acte de notoriété constatant la mort de Sophie Marie Holtzapffel, fille de Jean Charles Holtzapffel et de Sophie Holtzapffel
1866 (15.9.), Strasbourg 13 (94), M° Flach (Jean Georges) n° 5932
Notoriété – qu’ils ont parfaitement connu madlle Sophie Marie Holtzapffel et savoir qu’elle est décédée à Schiltigheim le 14 août 1866, qu’après son décès il n’a point été fait d’inventaire, qu’elle a laissé pour seuls héritiers savoir
M. Jean Charles Holtzapffel avocat et mad. Sophie Holtzapffel son épouse demeurant ensemble à Strasbourg ses père et mère chacun pour un quart ensemble pour moitié ou 6/12
M. Charles Victor Holtzapffel, notaire à Strasbourg y demeurant son frère, pour 2/12
Madlle Eugénie Sophie Holtzapffel, en jouissance de ses droits demeurant à Strasbourg pour 2/12
M. Jean Charles Holtzapffel, commis libraire demeurant à Strasbourg son frère pour 2/12, total 12/12.
acp 551 (3 Q 30 266) f° 158 du 17.9.
Acte de notoriété constatant la mort du commis libraire Jean Charles Holtzapffel, fils de Jean Charles Holtzapffel et de Sophie Holtzapffel
1870 (29.3.), Strasbourg 7 (133), M° Edouard Stromeyer
Acte de notoriété constatant la qualité des héritiers de Jean Charles Holtzapffel demt. à Strasbourg
(…) avoir parfaitement connu M. Jean Charles Holtzapffel en son vivant commis libraire demeurant à Strasbourg et savoir
Qu’il est décédé à Strasbourg le 8 mars 1870
Qu’après son décès il n ‘a point été fait d’inventaire et
qu’il a laissé pour seuls et uniques héritiers savoir M. Jean Charles Holtzapffel, avocat et Mad. Sophie née Holtzapffel son épouse demeurant ensemble à Strasbourg, ses père et mère, chacun pour un quart soit ensemble pour moitié
M. Charles Victor Holtzapffel, notaire à Strasbourg y demeurant, Madlle Eugénie Sophie Holtzapffel, rentière demeurant à Strasbourg ses frère et sœur germains chacun pour un quart soit ensemble pour l’autre moitié (…)
Le présent acte dressé uniquement en vue du retrait d’une somme déposée à la caisse des retraites pour la vieillese est exempt des droits du timbre et d’enregistrement (art. 11 de la loi du 18 juin 1850).
Lors de la liquidation de succession de Jean Charles Holtzapffel, mort le 18 octobre 1872 en délaissant un fils notaire, Charles Victor Holtzapffel, et une fille rentière, Eugénie Sophie, la maison rue de la Mésange revient à cette dernière
1873 (12.4.), M° Holtzapffel
Liquidation und Theilung Gütergemeinschaft die zwischen Johann Karl Holtzapffel, lebend Advokat und Sophie Holtzapffel seiner Ehefrauen in Straßburg und von dem Nachlass des Hn Holtzapffel den 18. october 1872 gestorben errichtet
1) durch die Wittwe handelnd als Theilnehmerin der halben Gemeinschaft nach Ehevertrag vor Notar Stoeber den 2. October 1833,
2) Karl Victor Holtzapffel, Notar in Straßburg, 3) Eugenie Sophie Holtzapffel, Rentnerin in Straßburg
acp 615 (3 Q 30 330) f° 66 n° 1736 du 16.4. – Gütergemeinschaft. Mobilien 2000, Geld 2500, Pacht Zinse 566, Sparkassen Büchlein 1870, Ausstände 5041,
Ein Haus in Straßburg Brudergasse 40.000, Zusammen 51.798
abzuziehen Rücknahme der Wittwe 14.563, bleibt 37.414
Rücknahme des verstorbenen 80.136, weniger Ersatzleistung 10.000, bleibt 70.136
Nachlass. Rücknahme 37.414, Kleidung 500
Ein Haus Meisengasse N° 20, 62.000
Ein Landgut in Schiltigheim 15.000 (zusammen) 114.914
Passiv Masse 6000, bleibt 108.916
Nutznießung der Wittwe ½, 54.457
Abtretung der Wittwe (…) zur Nutznießung das Haus Brudergasse
H. Holtzapffel Sohn bekommt 1) ½ des Hauses Brudergasse
Eugenie Sophie Holtzapffel bekommt 2) ½ des Hauses Brudergasse
4) das Haus Meisengasse
5) das Gut zu Schiltigheim
1874 (11.3.), Flach (minutes en déficit)
Notorietätsact, bestätigend, daß Johann Carl Holtzapffel, Eigenthümer zu Straßburg, den 18. October 1872 verstorben ist
acp 625 (3 Q 30 340) f° 36 n° 1152 du 11.3.
Sophie Holtzapffel meurt le 16 juillet 1878 à Lostorf dans le canton de Soleure
1878 (21.9.), Strasbourg 10 (186), M° Frédéric Antoine François Pierron n° 2102
(bilingue) Offenkunde – (…) avoir parfaitement connu Madame Sophie née Holtzapffel rentière demeurant à Strasbourg veuve de Monsieur Jean Charles Holtzapffel, qu’elle est décédée à Lostorf (Suisse) le 16 juillet 1878 et qu’elle a laissé pour seuls et uniques héritiers issus de son mariage avec ledit Monsieur Jean-Charles Holtzapffel savoir
Monsieur Charles Victor Holtzapffel notaire demeurant et domicilié à Strasbourg Et Mademoiselle Eugénie Sophie Holtzapffel rentière demeurant et domiciliée en ladite ville
(Extrait de l’acte de décès)
acp 680 (3 Q 30 395) f° 92 du 23.9.
Liquidation de sa succession. La maison rue du Maroquin, provenant des parents de la défunte, revient à sa fille.
1879 (10.3.), M° Pierron
Theilung des Nachlasses von Sophie Holtzapffel Wittwe von Johann Karl Holtzapffel Advokat zu Straßburg gestorben zu Lostorff (Schweiz) den 16. Juli 1878. Auf Anstehen von 1° Carl Viktor Holtzapffel Notar zu Straßburg 2° Eugenie Sophie Holtzapffel, Rentnerin Zu Straßburg handelnd als einige Erben ein Jedes zur Hälfte am Nachlasse ihrer vorgenannten Mutter
acp 687 (3 Q 30 402) f° 99-v n° 985 du 11.3. (Sterbf. Erklärung Bd 125 Bl. 25 d. 11. III
Activmasse I. Amerikanische Staatschuld 120 und 60
II frantzösische Nord-Eisenbahn, 2718
III Anleihe der Stadt Paris 1684
IV frantzösische Statsrente 115.132
V frantzösische Ost-Eisenbahn, 21.637
VI frantzösische Staatsschuld 2553
VII Anleihe der Stadt Strassburg 4000
VIII Bank von Frankreich 37.980
IX Communal und Boden Credit 8000, 3600, 6800, 2640
X Forderungen an Magdalena Holtzapffel Ww Pfitzenmeyer 531, Zins 20
XI Forderungen an Eduard Saenger 1000 Zins 63
XII Forderungen an Andreas Happel 480 und 10
XIII Forderungen an Valentin Rothgenannt Ohlbur 1600 und 14
XIV Forderungen an Jakob Wurtz 4000 und 81
XV Baares Geld 2776
XVI Ein Wohnhaus zu Straßburg Korduangasse N° 24, 12.800 – Total 268.657
Anweisungen, Eugenie Sophie Holtzapffel XI. Wohnhaus Korduangasse
Accord passé pour trente ans entre la Ville, propriétaire de l’impasse de la Mésange, et les propriétaires riverains, Ernest Becker, Ferdinand Wisner et Sophie Holtzapffel, concernant les frais occasionnés par les portes qui ferment l’impasse tant vers la rue de la Mésange que vers la place des Etudiants, et la suppression de l’urinoir.
1892 (7.3.), Maire
5270. Bürgermeisteramt, en 7. März 1892 – Vertrag zwischen der Stadt Strassburg
und 1. den Rentner Ernst Becker hier, 2. dem Zahnarzt Ferdinand Wisner hier, 3. der Rentnerin Sophie Holtzapfel hier
die 3 Letztere als jetzige Eigenthümer des an das sogenannte Meisensackgäßchen angrenzenden Hauses übernehmen von den Kosten I. für das neue Abschlußthor an der Meisengasse,
II. für die Beseitigung des Pissoirs ane dem entgegengesetzten Ende des Gäßchens am Studentenplatz,
ferner III. für die Herstellung der zum Abschluß des frgl. Gäßchens am Studentenplatz erforderlichen Mauer, einem Gesamtbetrag von 500 Mark. Der erforderliche Mehrbetrag der Kosten für die frgl. Arbeiten wird durch die Stadtkasse gedeckt. Zur Anerkennung der Eigenthumsrechte der Stadt an dem frgl. Gäßchen zahlt jeder der 3 genannten eine jährliche Gebühr von 0,50 M. Der Vertrag ist auf dreißig Jahre abgeschlossen.
acp 854 (3 Q 30 569) f° 64 du 12.3.
Sophie Eugénie Holtzapffel meurt à l’âge de 83 ans le 29 juillet 1921
Décès, Strasbourg (n° 1692)
Strasbourg le 29 juillet 1921, a comparu aujourd’hui Madame Marcelle Holtzapffel née Koernen, demeurant à Lyon (Rhône), Rue Alfred de Musset (…) a déclaré que Mademoiselle Sophie Eugénie Holtzapffel, sans profession, âgée de 83 ans 8 mois, de religion protestante demeurant à Strasbourg, 20, rue de la Mésange, née à Strasbourg, fille de Jean Charles Holtzapffel et de Sophie née Holtzapffel, demeurant à Strasbourg, est décédée à Strasbourg 20, rue de la Mésange le 29 juillet de l’année 1921 à trois heures 30 minutes (i 36)