23, place Kleber


Place Kleber n° 23 – IV 446 (Blondel), N 734 puis section 61 parcelle 15 (cadastre)

Enseigne aux Armes de France (1708) – Démolie en 1885 en même temps que le n° 24


La maison est à droite de la statue, enseigne Brodkorb, coiffeur (1860, Cabinet des Estampes, publiée dans Strasbourg Naguère, p. 173)

La maison qui comprend un auvent appartient en 1587 au capitaine de la garnison de Strasbourg Jacques Kaiser. Elle appartient pendant presque quarante ans (1608-1644) au cordonnier Jacques Walch puis à son créancier Ulric Notter. Le limonadier Nicolas de Marly y établit un auvent de 1700 à 1717 et exploite en 1708 l’enseigne aux Armes de France. Le tailleur de limes Jean Daniel Ehinger est propriétaire de la maison de 1745 à 1779, le tonnelier Jean Georges Holderer de 1779 à 1820.


Elévations préparatoires au plan-relief de 1830, îlot 139 (Musée des Plans-relief) 1

L’Atlas des alignements (années 1820) mentionne une maison à rez-de-chaussée et deux étages en maçonnerie ainsi qu’un troisième en bois. Sur les élévations préparatoires au plan-relief de 1830, la façade sur la place est la quatrième à gauche du repère (g) : deux portes séparées par une fenêtre au rez-de-chaussée, trois étages à deux fenêtres, toiture à trois niveaux de lucarnes. La façade rue du Coin Brûlé est la cinquième à droite de (k) : deux portes au rez-de-chaussée, premier étage à trois fenêtres, deuxième à deux fenêtres, toiture à deux niveaux de lucarnes. Il n’y a pas de cour entre les deux bâtiments.
La maison porte d’abord le n° 27 de la place d’Armes (1784-1857) puis le n° 23 de la place Kleber.


Elévations rue du Coin Brûlé

La maison reste en l’état au XIX° siècle ; elle appartient au négociant Isaac Katz (1837-1854) qui n’y habite pas puis au cordonnier Jules Pozzo. L’agent immobilier Henri Hertzog Grombach l’achète en 1864 puis la maison voisine en 1885. Il fait démolir les anciens bâtiments pour en construire un nouveau, voir le n° 24.

décembre 2025

Sommaire
CadastrePolice du BâtimentRelevé d’actes

Récapitulatif des propriétaires

La liste ci-dessous donne tous les propriétaires de 1578 à 1952. La propriété change par vente (v), par héritage ou cession de parts (h) ou encore par adjudication (adj). L’étoile (*) signale une date approximative de mutation.

Jacques Kaiser, capitaine
1593* v Philippe Mutschel, secrétaire, et (1575) Ursule Reiss, d’abord (1563) femme du receveur Paul Schott – luthériens
1600* v Ulric Dietrich, et (1581) Ursule Meyer, d’abord femme de Jacques Gerbot puis (1562) de Robert von der Rosen – luthériens
1608 v Sébastien Walch, cordonnier, et (1600) Anne Braun, veuve du cordonnier Georges Reb – luthériens
1644 v Ulric Notter, cordonnier, et (1614) Catherine Engelhard puis (1631) Dorothée Saurwein, d’abord (1614) femme du tonnelier Georges Rüpffel – luthériens
1655 h Georges Ripffel, tonnelier, et (1651) Anne Marguerite Klingler – luthériens
1663 h Sébastien Ebinger, tonnelier, et (1663) Anne Marguerite Klingler veuve de Georges Ripffel
1677 v Pierre Dieterlin, artiste peintre, et (1672) Eve Deck – luthériens
1699 v Toussaint Jouanne, limonadier, et (1691) Chrétienne Hellbeck – catholique et luthérienne convertie
1699 h Nicolas de Marly, limonadier, et (1699) Chrétienne Hellbeck veuve de Toussaint Jouanne – catholiques
1734 v Georges Nicolas Beyrath, chirurgien et barbier, et (1714) Anne Catherine Gass, puis (1726) Marie Félicité Brand veuve de l’artiste peintre Jean Frédéric Walter, enfin (1746) Catherine Dorothée Bruder – luthériens
1745 v Jean Daniel Ehinger, tailleur de limes, et (1736) Marie Ursule Isenheim, d’abord (1733) femme du coutelier Jean Gaspard Krebser – luthériens
1779 v Jean Georges Holderer, tonnelier, et (1766) Marie Barbe Schultz puis (1789) Anne Marie Dürrbach – luthériens
1820 v Henri Geoffroi Schaaff, cordonnier, et (1811) Marguerite Salomé Freysz puis (1834) Catherine Caroline Wechsler
1837 v Isaac Katz, négociant, et (1839) Thérèse Mayer
1854 v Jules (Auguste Jules Adrien) Pozzo, cordonnier, et (1835) Marie Anne Hertlé
1864 v Henri Herzog Grombach, courtier, et (1863) Rosalie Brunner

Valeur de la maison selon les billets d’estimation : 750 livres en 1775, 600 livres en 1788

(1765, Liste Blondel) IV 446, Jean Daniel Ehninger
(Etat du développement des façades des maisons, AMS cote V 61) Ehsinger, 5 toises, 0 pied et 2 pouces
(1843, Tableau indicatif du cadastre) N 734, Schaff, Henri Geoffroi – maison, sol – 0,6 are / Katz Isaac

Locations

1722, Nicolas Pernot, fabricant de pâtés
1860 (voir la photographie et le Registre de population) Frédéric Brodkorb, coiffeur, et Catherine Coché

Livres des communaux

1587, Livre des communaux (VII 1450) f° 171
Le capitaine Kaiser règle 6 sols pour sa maison, à savoir un auvent (16 pieds ½ de long, saillie de trois pieds 4 pouces), une porte de cave inclinée (6 pieds ½ de large, saillie de 3 pieds ½), un soupirail incliné (2 pieds ½ de large, 2 pieds 4 pouces)

Barfüesser Platz
Hauptmann Kaiser hatt vor seinem Hauß Oben ein Wettertach xvi+ schu lang, vnd iij schu iiij Zoll herauß, Ein ligende Kellerthüer vi+ schu breÿt, vnd iii+ schu herauß, Ein ligend Kellerfenster ii+ schu breit, vnd ij schu viij Zoll herauß, Bessert für das Nießen, vij ß d

1673, Livre des loyers communaux, VII 1466 (1673-1741) f° 591
Nicolas de Marly paie 12 sols 6 deniers pour un auvent (15 pieds de long, 3 pieds 6 pouces de large) de 1700 à 1717, date à laquelle l’auvent est supprimé.

Nicolas de Marly der Limonadier, Soll von einem 15. Schuh lang vnd 3. Schuh 6. Zoll breiten Wetterdach, an Seiner vf dem barfüßerplatz gelegenen behaußung Jahrs vf Martini und A° 1701. I.mo, l. Prot: de 1700. fol: 62-b, 12 ß 6 d
(Quittungen 1701-1717)
ist Hinweggetan

Préposés au bâtiment (Bauherren)

1586, Préposés au bâtiment (VII 1302)
Le capitaine Jacques Kaiser est autorisé à ouvrir un soupirail vers le communal à l’arrière de sa maison

(p. 90) Zinstag den 7.ten Junÿ. – Volgende Augenschein sind Auch fürgenommen Eod. die – Jacob Keyser hauptman
Jacob Keyser der hauptmanhat begert An seinem hauß Am Barfuser platz beym C.rescher Ime Zughonen hind* seiner hauß vnd der Keuler thorn Keuler fenster die halben schu herauß vnd Zwen schu breit vff der Allmend Zumach. Ist nach fürgenommenen Aufschein Im solchs bewilligt doch d. selbig entlang Zuvergittern damit niemand schad. geschehe, vnd d. solchs Allmend sein vnd bleiben solle.

1700, Préposés au bâtiment (VII 1379)
Le limonadier Nicolas de Marly est autorisé à établir un auvent, voir plus haut l’inscription au Livre des loyers communaux

(f° 62-v) Dienstags den 26. Ejude. [8.bris] Nicolas de Marly der Limonadier pt° eines Wetterdachs
Nicolas de Marly, der Limonadier, bittet umb erlaubnus ein Wetterdach an sein auff dem Baarfüßer Platz gelegen hauß Fünff Zehen schuhe lang vnd dreÿ schuhe und sechs Zoll breit machen Zulaßen.
Erk. gegen erlag 15. ß d. jährliches Zinnßes Willfahrt, welchen Er auff Martini und Zwar Anno 1701. Zum ersten mahl abzurichten schuldig sein solle, moderirt à 12. ß 6. d.

1781, Préposés au bâtiment (VII 1419)
Le maître maçon Scherb demande au nom du tonnelier Jean Georges Holderer l’autorisation d’agrandir le soupirail vers le haut et de réparer le crépi. L’affaire est transmise à l’inspecteur des bâtiments, l’autorisation est accordée en septembre.

(f° 215-v) Dienstags den 24. Aprilis 1781 – Johann Georg Holderer, Kiefer
Meister Scherb, der Maurer, nôe. Johann Georg Holderer, des Kiefers, bittet Zu erlauben an deßen Behausung ane dem Place d’armes gelegen die Keller thür höher machen, und den bestich ausbeßern Zu laßen. Erkannt, bedacht, Seÿe das begehren durch H. Bau Inspector Boudhors zu examiniren.

(f° 287-v) Dienstags den 18. Septembris 1781. – Mr Joh. Georg Holderer Kiefer
Hr. Nagel, der Maurer, nôe. Mr Joh. Georg Holderer, des Kiefers, bittet Zu erlauben an deßen Behausung auf dem Place d’Armes gelegen, den Kellerthür Sturtz um etwas Zu erhöhen und das Haus anstreichen Zu laßen. Erkannt, Willfahrt.

Atlas des alignements (cote 1197 W 37)

2° arrondissement ou Canton nord – Place d’Armes

nouveau N° / ancien N° : 51 / 27
Holderer
Rez de chaussée et 3 étages en maçonnerie le 3° étage en bois médiocre état [sic]
(Légende)

Cadastre

Cadastre napoléonien, registre 21 f° 208 case 2

Katz Isaac à Strasbourg
(1856) Pozo, Auguste Jules Adrien, Cordonnier place d’armes 27

N 734, maison, sol, place d’armes 27
Contenance : 0,60
Revenu total : 99,31 (99 et 0,31)
Ouvertures, portes cochères, charretières :
portes et fenêtres ordinaires : 11 / 9
fenêtres du 3° et au-dessus : 4 / 3

Cadastre napoléonien, registre 23 f° 1058 case 2

Pozo, Auguste Jules Adrien, Cordonnier
1866 Grombach, Henri Hertzog, agent d’affaires à Strasbourg / und Ehefrau Rosalia geb. Brunner in Gütergemeinschaft
(ancien f° 806)

N 734, Maison, sol, Place Kleber 23
Contenance : 0,60
Revenu total : 99,31 (99 et 0,31)
Folio de provenance : (208)
Folio de destination : Abbruch
Année d’entrée :
Année de sortie : 87/88
Ouvertures, portes cochères, charretières :
portes et fenêtres ordinaires : 11 / 8 / 6
fenêtres du 3° et au-dessus : 4 / 3
1887, Abgang – Grombach Heinrich, f° 1058-II, N 734, Wohnhaus, Reinertrag 99, Abbruch, 1885/86
dt° f° 1089-I, N 735, Wohnhaus, Reinertrag 216, Abbruch, 1885/86

N 735, sol, Place Kleber 24
Contenance : 0,89
Revenu total : 0,46
Folio de provenance : 1059
Folio de destination : Gb
Année d’entrée :
Année de sortie : 89/90

N 701, sol, Brand ein End
Contenance : 0,53
Revenu total : 0,27
Folio de provenance : 1059
Folio de destination : Gb
Année d’entrée :
Année de sortie : 89/90

N 734, sol, Place Kleber 24
Contenance : 0,01
Revenu total : 0,01
Folio de provenance : 1059
Folio de destination : Gb
Année d’entrée :
Année de sortie : 89/90
1887, Zugang – Grombach Heinrich f° 1059, N 734, Hofraum 0,01, Reinertrag 0,01, Aus Wegen

N 734, Wohnhaus, Kleberplatz 23/24
Contenance : 2,41
Revenu total : 543,05 (542 – 0,31 et 0,46 et 0,27 et 0,01)
Folio de provenance : Neubau
Folio de destination : Gb
Année d’entrée : 89/90
Année de sortie :
Ouvertures, portes cochères, charretières :
portes et fenêtres ordinaires : 39 / 31
fenêtres du 3° et au-dessus : 17 / 14
1889, Zugang – Grombach Heinr. f° 1058, N 734, Wohnhaus, Reinertrag 542, Neubau, vollendet 86/87

N 1336, Hf
Contenance : 0,38
Revenu total :
Folio de provenance : Weg
Folio de destination :
Année d’entrée : 1901
Année de sortie :

Cadastre allemand
Voir le n° 24

1789, Etat des habitants (cote 5 R 26)

Canton IV, Rue 98 Place d’Armes (p. 159)

27
Prop. Holderer, Jean George, demeurant No. 18
Loc. Hilbert, Ferdinand Armurier
Loc. Moser, Richard, Mucisien de la Cathédrale – Privilégié – Marchand


Relevé d’actes

La maison est inscrite au nom du capitaine Kaiser dans le Livre des communaux (1587).

Originaire de Gengenbach (en Bade), Jacques Keyser propose en 1579 ses services à la Ville. Il déclare servir dans les troupes depuis sa jeunesse et avoir été adjudant. Il est nommé capitaine de la garnison le 18 août 1582 puis le 10 décembre 1586 pour quatre nouvelles années.
1579 Conseillers et XXI (1 R 52)
Jacob Kaÿser von Gengenbach. 514. 526.
(f° 514-v) 26. Octobris – Jacob Kaÿser von Gengenbach
Jacob Kaÿser von Gengenbach vbergibt p. Büttelbron ein suppliôn erbeütt darinn seine dienst an vermelden wie er von Jugend auff Krieg gebrauch vnd aus* dem in mehr beg. dann souil Zu erlangen das er künfftig disen Land vnd genachbaren herrschafft dienen mög, Souil auch erlangt, das er hohe befelch gehabt fenderich vnd leütenambtschafft gehabt, letzlich vnder dem von pottweil vber 15 fendlin wachtmeister gewesen, dieweil er nhun vernem das ein haubtmanschafft beÿ mein hrn ledig hab er seine dinst offeriren wöllen, vnd vor mein herren sein fernern bericht begern, So hab heute hans von Nürenbg seine yeffe Kundschafft & Referire der herr Amr. Es geb Ihm haubtmann hans ein solch Zeugnus *e einer haubtmanns bedörffig das ers dißs orts Zu disen mal nit Wüste Zuuerbessern, hab sich Jeder Zeitt redlich vnd bescheid gehalten.
Erkant, Ist mein hrn xiii befelch vnd gewalt geb. sich seines $s ferner Zuerkundig. H. N. Fuchs vnd Stedlin geb ihm verraw* d. es Zu bedacht Zog. H. Kettenheimer H. Seb. Müg, so vnns bedencken.

(f° 526) 28. Octobris – Jacob Kaÿser vonn Gengenbach
Der Herr Amr Zeigt an Es hab Am Mont. vergang ein stetlich Kriegsman Jacob Keÿser von Gengenbach vmb dinst beÿ mein hrn angesucht, Seÿ das geschäfft für mein hrn xiii gewissen worden, Er hab aber sicher so streng vmb antwort angesucht beÿ ihm den herrn Amr. Im haus, d. er ihm eb. rund* gesagt, er hette ihn für verstendig angesehen, dann es hn von mein hrn auch anders Zuthun. Es können ihn vber der haubtleütt Keiner ausserhalb haubtman hansen der ihm gar ein gutt Zeügnus gibt vnd sagt, da mein hrn bedacht ein an Burrussen statt anzunemen, So were ihm diser Lieber dann b. Burrussen und noch ettwan zwen seiner gesellen.
Erkant, Man soll herren befehlen mit Ihm Zuhandlen, vff ein Jhar vff mein hrn Zu werten, da sie mit ihm Zum höchst biß vff 100 g. zu handlen, vff mein herren Zu werten, wo sie sein Zu bedarff, weil er sich dan nit bestellen lassen soll man ihm abdanck. vnd ihn aus d. herberg lösen & H. Kettenheimer H Held.

1582 Conseillers et XXI (1 R 55)
Statt Hauptmannschafft, Paul Stecher begert Statt Hauptmann zu werden. 317. J Georg von Horneck. 368. Jacob Kaÿser von Gengenbach. 411.
(f° 411) Sambstags 18. Augusti – Jacob Kaÿser von Gengenbach, Statt Hauptmannschafft
Hauptmann Jacob Kaÿser von Gengenbach bestellung, wie die Ingrossirt von Ime vnd.schriben, vnnd versigelt geleßen. Erkant pleibt beÿ derselben, soll sie vor mh. 13. schwören.

1585 Conseillers et XXI (1 R 61)
Simon Scheid der Rathherr contra Hauptman Jacob Kayser. 316. 320. 324.

1586 Conseillers et XXI (1 R 63)
Hauptmann Jacob Keÿser schwert. 615.
(f° 615) Sambstag den X. Decembris – Hauptmann Jacob Keÿser der von mein h. wider Vier Jar lang In bestallung angenohmen word. hat sein Ordnung geschworen

Le capitaine Jacques Kaiser achète en 1587 la maison voisine au sud (futur n° 22) qu’il revend en 1594 à Antoine Schmitt en conservant l’ancienne qui appartient en 1594 à Philippe Mutschler d’après les tenants et aboutissants.

Originaire de Herrenberg, le secrétaire Philippe Mutschel épouse en 1575 Ursule Reiss, veuve de Paul Schott, receveur du couvent des Pénitentes.
Mariage, Saint-Guillaume (luth. f° 81-v) 1575. An sontag Quasi modo X. Philips Mütschelin von Herrenberg ein schreiber, Ursula Reisen, Herr Pauli Schotten des Schaffners Zun Rewern nach gelassene wittwe. Dise sind mir angezeigt worden von Hans Heinrich Breissen, neben dem weissen Hauß, Sonst ist Paul matten meyer der wurtzkrem der beym allen Sponsa der Braut vogt – Confirmatio facta die lunæ post Georgÿ 26 Aprilis in p.cibus matutinis (i 270)

Le receveur Paul Schott épouse en 1563 Ursule, fille de Loup Reiser.
Mariage, cathédrale (luth. p. 105)
Ostertag vß 1563. Jar. Paulus Schott, Schaffner, Vrsula, Wolff Raisers seligen dochter. Eingesegnet zinstag den 27. April 5i 55°

Le secrétaire Philippe Mutschel devient bourgeois par sa (future) femme en janvier 1575.
1575, 2° Livre de bourgeoisie (4 R 104) p. 400
Philips Mutschelin von herrenberg der schreiber hatt das buergkrecht Empfangen von vrßlen weiland pauli schotten sellig. wittwen vnd diene Zu dem Zymmerleüth Act. den 27.t. Januari 75

Le peintre Philippe Mutschel et sa femme Ursule Reisser hypothèquent la maison au profit de Sophie, veuve du facteur d’instruments Jean Gettinger. En marge, quittance remise en 1630 à Georges Schilling au nom de sa femme Geneviève Mœtschel.

1604 (vt spâ [xiij Januarÿ]), Chancellerie, vol. 350 (Registranda Kügler) f° 22-v
(Inchoat. fo: 20.) Erschienen Philips Mötschle der Moler vnd Fr. Ursula Raÿßerinn sein eheliche gemahell
haben In gegensein Frauwen Sopheÿ Wylandt hanns Gettingers luthenmachers selig. witwe Mit beÿstand herrn Gerg Springers alls geschworner Vogt Irer Kinder derselben Frauwen Sopheÿen Vffrecht vnnd redlichen schulden schuldig sein 50 Pfund pfenning
dafür Vnderpfand sein soll huß vnd hoffestatt mit all Iren gebeuwen gelegen Inn der SS vff dem Barfüßer blatz einseÿt neben Jacob Wogen dem Schnyder and.sÿt Hanns Fust Brotbeck. stoßend hind. vff ein Behausung dem Werck Vnser Fr. Münster Zustendig daran gend 1 lb vj ß d bodenzinß Junckher Christophel von Hagenbachs seligen erben, Mehr fünff guldin gelts loßig mit 100 guldin SW wÿland H Caspar Wÿdden geweßenen Schaffners der herren deputaten des Chors seligen erben, Mehr xx gold gld lösig m iij C SW wÿland Salomon Riedinger des Metzigers Zu Offenburg seligen erben, So dann 5 guldin gelts widerkheüffig mit 100 guld SW Johann theürer V Johann Budlern Sunst ledig eÿgen
[in margine :] Erschienen Hanß Georg Ringler der Lautenmacher, alß Ehevogt Marthan Miliusin der Glaubingerin hieringemelt Erbin, hatt in gegensein Georg Schilling deß Schloßers, alß geweßenen Ehevogts Jenoue Mötschlerin deß Debitoris Tochter seel. (…) q.tirt den 6. Julÿ 1630.

La maison revient ensuite à Ulric Dietrich qui épouse en 1581 Ursule Meyer, veuve du corroyeur Robert von der Rosen avec lequel elle s’était mariée en 1562.

La succession d’Ulric Dietrich, mort en mars 1608 à Hangenbieten, revient à son frère Emmanuel Dietrich de Colmar. Les Conseillers et les Vingt-et-Un édictent des mesures à prendre pour que tous les biens du défunt soient inventoriés.
1608, Conseillers et XXI (1 R 87)
(f° 53-v) Mittwoch den XVI Martÿ – Emanuel Dietherich weg. seines bruders Ulrichs verlaßenschafft
Emanuel Dietherich erscheint dißem eintzig. Erb wie er nit andere wisse, seines bruders Ulrich Dietherich vbergibt supplôn bericht sein bruder Zu Hangenbiethenheim ein christlichen sanfften todtes Zu der Himlichen freud. genadiglich hien genohmen. vnd ob er wol verhoff noch im leben Zufind. sey er doch Zu spet kommen v. anders nichts dem clag v trawen befund. Also er wol vrsach gehabt nach hauß wid. Zubegeben. Wan er aber in Kein Zweiuel setze, d. seine wid. sach Jedoch wid. die gepner gelusten lassen mochten etwas newes Zu attentiren, So hab er sich bey mhern einstellen wollen Bittet vnderthenig Niemanden werde sege seiner abwesendt vnd unerhört ge an *utz vil wenig. willfahr Zuertheilen. So lang vnd viel, leß er so herein genugsam gesessen, solches für seine prdentliche obrigkeit bring. vnd von demselbig d. verhoffentlich patrocinium in dissem vnd anderem geheben.

(f° 91-v) XXVII Aprilis – Emanuel Dietherich wie er seines bruders Ulrich Verlaßenschafft inventiren soll.
Jr Mueg H. Friderich Rihel d. hartlieb d leuter Pfleg. melden wie Emanuel dietherich ein Anzug vnd.lageren bey dem kleinen Rhätten gethan si itz abgelesen, dorinnen meldet wie er seines bruders Emanuel Dietherichs s: als eintzig. Erb verlassenschafft inventiren wolle, vnd aber Zu Hangenbiethenheim wie offenburg etwas verlassen do er gleich mal d. Zu Hangenbiethenheim Zu mehrer Versicherung mit bewilligung d. obrigkeit mit nach hauß gefuhrt und selbs verzeichnet Alß erbiettig aufrichtig v redlich einzugeben. So sey noch mehr wein hauß vnd ein schuld zu offenburg die er auch angeben wolt. vnd derselbigen ins Inventarium bring. wan man domit Zufriden dorumb er sich will bescheids geholen. der Zubesorgen so er gleich solte Keuffler und schrber mit her auß nehmen er *den die an beiden orten obrigkeit solches nit Zulassen, Bitt sich Zubescheiden.
refer die Aduocaten d. ein Kleiner Rhatt Zu bedacht gezogen vnd durch gegenwertige hrn bedencken lassen. Befund. d. er Dietherich Zuuil d. sachen gethan, in dem er d. beste, wie Frucht Zuerachten, von Hangenbiethenheim do sich Vlrich sein bruder lesther gehalten mit sich nacher Colmar gefuhrt ehe er sich in* der Erbschafft immitteren & für ein erben einsetzen lassen seÿ Ime auch pp. malem ansag: in sein begrern d. es nemblich d. abgefuhrte vdteas* Zu Offenburg ist, allein hie angeben und ins Inventarium solte bring. lassen, den es andere hernach mit Gemeiner Statt gericht vnd nachtheil auch thun würd. sonder man solt Ime anfertig. alles d. was er nach hauß von Hangenbieth. gefuhrt, alhier Zulüfferen u hie durch Keuffler anschlagen und Inventieren lassen, vnd d. man sich Zuerinnern d. mhrn. auch die wid. gemeinsch verlaßenschafft durch hieige Kauffler v. schber alles auf schben lassen. domit man sehen khonne ob er alles verstallt od. nit den sonst nê d abzugs sey kein interesse dabeÿ wan ein Colmarischer j f gibt ist er schon ledig u n**
Erkant Man solle bedancken was Zu thun sein will. H. Kolleffel H. Haas.

Ulrich Dietherichs Verlaßenschafft wie sie Zu inventiren. 97. Ulrich Dietherichs verlaßenschafft weg. Statt verl. 121. Emanuel Dietherich alß Erb soll 300 lb geben. 165. güttliche handlung. 182. Colmar wegen Ulrich Diettherichs guttliche handlung zuschb.191. 215. 218.
Ulrich Dietherichs wegen intercedirt Grav Zu Hanaw. 2. Statt contra [Graven zu Hanaw deswegen]. 24. Todt. 53.

Ulric Dietrich vend en février 1608 la maison au cordonnier Sébastien Walch et à sa femme Anne Braun. En marge, quittances consenties par Conrad Isenmann au nom de son beau-père Emanuel Dietrich de Colmar en 1608

1608 (vt spâ [xix tag febr.]), Chancellerie, vol. 378 (Registranda Meyger) f° 93-v
(Inchoatum in Proth. fol: 92. – postea plm. fol : 465) Erschienen der Ehrenvest vnd wolgelehrt herr Ulrich Dietherich burger Zu Straßburg, mit beÿstand & der Fürnemmen herrn hannß Friderich Jung. dreÿern Ane d. Müntz vnd herrn hannß Cunradt Eÿsenman burgern Zu Straßburg hatt (verkaufft)
Bastian Walch dem schuomacher burgern Zu Straßburg vnd Annen Breünin seiner ehelich. haußfr. So auch zu geg. Ime & khauffe
Hauß vnd hoffestatt mit Allen Ihren gebeuen & geleg. Inn d. Statt Straßburg Vff den Barfüsser platz einsit neben hannß Faustenn dem Becken, Vnnd and.sit neben Jacob Wagen dem schneÿd. hind. vff ein Behausung dem weckh Vnser Fr. Munster zustendig stoßend, Für freÿ ledig vnd eÿg. Vnd Alles Recht & Also das & Vnd Ist dißer Khauff Zugang. vnd bescheh. für vnd vmb 450 pfund
[in margine :] Erschienen h. hannß Cunradt ÿsenman Als dochterman H Emanuel Dietherich Zu Colmar & hatt Inn gegesein Bastian Walch des Kheüffers (…) Quitt. Act. 29. Martÿ Anno 1608.
[in margine :] Erschienen h. hannß Peter Dietherich von Kolmar /:in namm. seines vatters Emanuel:/ und Johann Meÿß Inn nammen seines schwagers Hanß Cunradt Eÿsenman mit beÿstand H hanß Friderich Jung, haben Inn gegens. Bastian Walch des Khöuffers (…) Quitt. Act. 17. Julÿ

Originaire de Wurtzbourg, Sébastien Walch épouse en 1600 Anne, veuve du cordonnier Georges Reb. Georges Reb doit avoir épousé Anne Braun à la Cathédrale pendant la lacune des registres (1591-1596)
Mariage, cathédrale (luth. p. 74)
1600. Doîa 10 post Trinitatis. Sebastianus Walch der schumacher von wirtzburg, Anna Jerg Reb deß schumachers n.g. witwe (i 40)

Sébastien Walck devient bourgeois par sa femme Anne Braun en octobre 1600.
1600, 2° Livre de bourgeoisie (4 R 104) p. 788
Sebastian Walckh von Würtzburg der schumacher empfahet das Burgrecht von Anna Breünin seiner haußfrawen gibt sein nahrung für nichts ahn, vnd will Zun Schuhmacheren dienen Act: 22 Octobris 1600.

Sébastien Walch et Anne Braun hypothèquent la maison au profit de Marie Zwirler, veuve de l’armurier Antoine Stich.

1628 (ut spâ. [13. Septemb.]), Chambre des Contrats, vol. 462 f° 487
Erschienen Bastian Walch d. schuomach. burg. Zu Straßburg vnd Anna Breünin sein ehelichen haußfr.
hab. In gegensein h. Johann Böhler Burgers Zu Straßburg Als vogt Mariæ Zwierlerin, weÿland Anthoni Stichen des plattners s. witwen – schuldig seÿen L. lb
vnderpfand hauß, hoffstatt mit All Ihren geb. & glg. In d. St. St. vff den parfüsser platz einseit n. Jacob wagen erb. and.seit neb. hanß Faust. des Beck. erb. hind. vff diesselbe Wag. erben

Jean Walch s’engage à entretenir sa mère Anne Braun, veuve de Sébastien Walch, qui lui cède en contrepartie sa part de maison place des Cordeliers

1639 (16. Septembris), Chambre des Contrats, vol. 483 f° 714
(Leibgeding) Erschienen Hannß Walch der Schuhmacher burg. Zue Straßburg an einem,
So dann Anna Breünin, weÿ: Sebastian Walchen deß Schuhmachers alhie hinderlaßene wittib und sein hanß Walchen eheleibliche Muet. mit beÿstandt Conrad Welschen auch Schuhmachers ihres geordneten Vogts am andern theil
Zeigten an, daß Sie sich einer Jährigen Leibs pfrundt mit einander Verglichen wie Volgt,
Nemblichen hat Er hanß Walch besagte sein Mueter Ein Jahr lang Vom 15. dieß an, in seine Behaußung dieselb mit speiß und tranck, kalt und waren getrewlich, Zu uersehen und zu uersorgen auff: und angenommen
hingegen und für solche Vnderhaltung hat Sie die Mueter gemelten ihrem Sohn Zugeben Versprochen 25. lb Str. derentwegen Er sich auf dem dritentheil ihro für Vngetheilt gebürend an Einer Behaußung alhie Vffm Baruüeßer platz, neben Georg Wÿdman Schwartzbecken & and.seit neben hanß Martin Weltzen dem Schneid. hind. vff ein hauß dem Werck Vnser Frawen Münster gehörig stoßend gelegen, daran ihme hanßen Ein dritertheil Vndt der vberig. dritetheil Salomeen seiner Schwester Zuständig, Welche Behaußung Zuuor v.hafft vmb 50. lb. H Johann Wenckern XV.er, Item vmb 130. lb hanß Jacoben weÿl. Anthoni Stichen geweßenen Biersieders Zum Falcken hinderlaßenen Sohn sonst der obernannten Brennerin dritertheil ledig eÿden (…)

Mentions de Sébastien Walch dans les registres du Magistrat.
1609 Conseillers et XXI (1 R 88)
Sebastian Walch contra Friderich Kruog. 179.
1610 Conseillers et XXI (1 R 89)
Sebastian Walch contra Friderich Kruog. 39. 127. 144. 170. 257. 305.

Anne Braun meurt en délaissant une fille Salomé Walch veuve de Christophe Kitsch et son fils Jean Walch. Les experts estiment le tiers de la maison à 120 livres. L’actif de la succession s’élève à 134 livres, le passif à 34 livres.

1639 (13.11.), Not. Oesinger (David, 37 Not 6) n° 16
Inventarium vndt Beschreibung aller vndt Jeeder Haab Nahrung und Güthere, Ligender vndt Vahrender, So weÿl. die tugendsame Anna Breunin, auch weÿl. des Erbaren und bescheidenen Mr Sebastian Walchen burgers und Schumachers alhie Zu Straßb. seel. nachgelaßene Witwe nach Ihrem tödtlichen end seel. abschiedt, aus dießer welt verlaßen und auff begehren vnd ersuchen des Ehrengeachten hannß Jacob Feÿglers burgers undt waffenschmidts alhie, alß geschwornen vogts Fr. Salome Walchin, auch weÿl. Christoph Kitschen geweßener Witwen, Vnd Johann Walchen auch Schuemachers vnd burgers alda, alß obgemelter Anne Breünin nachgelaßener tochter vnd Sohns auch rechtmäßiger ab intestato Erben, Inn beÿsein des Ehrenvesten wolvorgeachten Herrn Johann Christoph Maders der Statt Straßburg wolbestelten Cantzelleÿ verwanthen, alß oberwehnter Fr. Salome erbettenen beÿstandts fleißig ersucht – So beschehen d. 13. 9.bris Mitwochs A° 1639.
In einer Behaußung In der Statt Straßburg vff dem Bahrfüßer platz gelegen, So Zum theil In dieße Verlaßenschafft gehörig, vnd hernach beschrieben würt Ist befunden wordten wie Volgt.
In der Cammer A, In der undern Stuben, In ein Cammerlin Im hauß
Eigenthumb ane einer Behaußung. Item j 3.theil ane hauß vnd hoffstatt mit allen Ihren gebewen begriffen weithen rechten Zugehördten und gerechtigkeiten geleg. alhie Inn der Statt Straßb. vff d. Barfüßer Platz, j. seit neben Geörg Wÿdman dem Schwartzbecken 2. seit neben hanß Martin weltzen d. Schneider, hind. vff j. behaußung dem werck vnser Fr. Münster stoßend, so freÿ ledig vnd eig. vnd Ist dießer hiehero gehörige dritte theil angeschlagen word. pro 120. lb
Abzug Inn dises Inventarium. Sa. haußraths 13, Sa. Silbergeschmeids 1, Sa. Eigenthum ane einer behaußung 120, Summa summarum 134 lb – Schulden 34 lb, Summa finalis 99 lb

Le cordonnier Jean Walch hypothèque la moitié de la maison au profit de Jean Léonard, fils d’Isaac Frœreisen. Ulric Notter rembourse partie du prix d’achat en 1649.

1640 (29. Septemb:), Chambre des Contrats, vol. 485 f° 501
Erschienen Hanß Walch der Schuhmacher vnd burger Zu Straßburg bekannte
in gegensein hanß Lienhardten, Weÿl. H D. Isac Fröreÿßen hinderlaßenen Söhnlins vogts hanß Fröreißens des Schuhmachers – schuldig seÿe LXXV. lib. Str:
dafür in specie Vnderpfand sein soll der halb theil ihme für Unvertheilt gehührend ahne einer Behaußung hoffstatt Vnd aller deren gebäuwen gelegen alhie vff Barfüßer platz neben Georg Wÿdtmann Schwartzbeckhen && hanß Martin Weltzen des Schneiders seel. Erben, hinden Vff ein Hauß dem Werckh vnser Frauwen Münster gehörig stoßend daran der Übrig halbe theil seiner Schwester Salomeen Zuständig, Welche gantze Behaußung zuuor noch verhafftet Vmb 50. Lib. H Johann Wenckhern XIII.ern, Item vmb 130. Lib. Hannß Jacoben weÿl. Anthoni Stichen des Biersieders Sohn Und dann ihme Debitori auch selbsten Vmb 25. Lib.
[in margine :] Vide in Regist: de Anno a° 1642. den 31. Martÿ
Erschienen H Johann Georg Dorschen SS. Theol. Doct. & Profess. auch Predigers im Münster alß ietzig. Vogts hannß Leonhards Fröreisens (…) hierzu gevollmächtigter H Joh: Jacob Kachler Academiæ Minister, hatt in gegensein H Ulrich Notters alt. groß Raths Verwanthens alß ietzig Innhabers der hierinn beschriebenen Behaußung (quittung) Act. 31. Junÿ a° 1649.

Jean Walch hypothèque la maison au profit d’Ulric Notter, ancien assesseur au Grand Sénat.

1641 (ut supra [13. Maÿ]), Chambre des Contrats, vol. 487 f° 356-v
Erschienen Hannß Walch der Schuhmacher und burger Zu Straßburg
in gegensein Herrn Ulrich Notter Alten Großen raths v.wanthen – schuldig seÿe 50. Pfund
in specie Vnderpfand sein soll der halbe theil ihme für unvertheilt gebührend ahne einer Behaußung hoffstatt und aller deren gebäwen gelegen alhie vff dem Barfüßer platz neben Georg Wÿdmann dem Schwartzbeckhen ein und anderseit hannß Martin Waltzen des schneiders seel. Erben hinden vff ein hauß dem Werckh Unser Fr. Münster gehörig stoßend, daran der Überige halbe theil seiner Schwester Salomee, zuständig, welche gantze behaußung zuuor noch verhafftet vmb 50. lib H Johann Wenckhern XIII.ern, Item vmb 130. lib. hannß Jacob Stechen, Item Vmb 75. lib. hannß Lienhard Fröreÿßen, Vnd dann ihme Debitori auch selbsten Vmb 25. lib

Jean Walch s’engage à rembourser Ursule, veuve du cordonnier Jean Frœreisen, dès que la maison hypothéquée en 1640 aura été vendue.

1642 (31. Martÿ), Chambre des Contrats, vol. 488 f° 290-v
Erschienen Fraw Ursula, weÿ: hannß Fröreisens deß Schuhmachers und burgers alhie see: nachgelaßene Wittib, mit beÿstand hannß Jacob Walters deß Schuhmachers ihres ietzigen Eheuogts an einem
So dann hannß Walch der Schuhmacher auch burger alhie am Andern theil Zeigten an,
demnach Er Walch ernanndts Fröreisens Wittib Vnd Erben für Versessenen hauß Zinß biß auff Jüngst verschienenen Mariæ Verkündigung gerechnet per rest 27. fl. So dann von den 75. lb so Mehrgedachter hannß Fröreisen see: alß geweßener Vogt hannß Lienhard Fröreisens ihme Walchen den 29. 7.bris Anno 1640. Vermög der auch in der Cancelleÿ Contract stuben vffgerichteten Verschreibung in paren gelt vorgelühen (…) dahin Verglichen, daß diese schuldt so baldt hernach specificirtes hauß Verkaufft würdt, vom Ahngelt abgestattet und bezahlt werden soll
zum rechten Vnderpfand eingesetzt vnd v.legt den halbentheil ihme für Vnvertheilt gebürend ahne einer behaußung, hoffstatt und allen anderen ihren gebäwen & gelegen alhie vffm Barfüeßerplatz einseit neben Georg Wÿdmann den Schwartzbecken, 2. seit neben hannß Martin Weltzen deß Schneiders see. Erben, hind. vff ein hauß dem Werckh Vnser fr. Münster alhie gehörig stoßend daran der vberig. halbe theil seiner Schwester Salomeen zuständig, Welche gantze behaußung zuvor Verhafftet vmb 50. lib. H Johann Wenckern XIII.rn Item vmb 130. lb d hannß Jacoben, weÿl. Anthoni Stichen deß Biersieders see. sohn, Mehr ist dißer halbe theil insonderheit verhafftet vmb 75. lb hannß Lienhard Fröreisen obgedacht, So dann vmb 50. lb H Ulrich Nottern auch Vorgenannt

Le Grand Sénat attribue le 7 mai 1644 la moitié de maison exposée aux enchères judiciaires à Ursule Dollenkopff, veuve de Jean Frœreisen, qui cède ses droits à l’autre créancier Ulric Notter

1644 (21. Maÿ), Chambre des Contrats, vol. 493 f° 319-v
Erschienen Ursula Dollenkopffin, Weÿ: hannß Fröreisen deß Schuhmachers Vnd Burgers alhie see: nachgelaßene Wittib, mit beÿstand hannß Jacob Wolters, deß Schuemachers ihres ietzig. Eheuogts, Vnd herrn Mathiß Hellbecken gent. Böhmen, Groß. Rhats Verwanthen, ihres geweßenen Vogts, Wie auch H Hannß Werner ehrenbesagts Rhats beÿsitzer, alß ermeldts hannß Fröreisens Vier Kind. hanß Jacoben, Isaacs, Michaels Vnd hannß Georgen der Fröreisisch. Vogt an einem,
So dann herr Ulrich Notter Alter Großen Rhats v.wanther, am andern theil, Zeigten an,
demnach obgedachter hanß Fröreisen am 29. Septembris, Anno 1640. hanß Walch. dem Schuhmacher Vermög der in d. Cancelleÿ Contract stuben vffgerichteten V.schreibung 75 lb.s. Zwar vff hanß lienhardt Fröreisens weÿ. H. F. Isaac Fröreisens see: Sohns: Nahrung gelühen, so aber der ietztmahlige Vogt der Wohl Ehrwürdig hochgelehrte herr Johann Georg Dorsch S.S. Theologiæ Doctor und in allhiesig. hohen Schulen Professor so auch zugeg. in der lüfferung nicht an Zu nehmen begert, Sondern sich darumb ahn die Fröreißische Wittib Undt Erben gehalten, darauff hien ermeldte hanß Fröreisens Wittib und Erben auff daß Underpfandt, benantlich. den halben theil ermeldten hanß Walchen für Ungetheilt gebührend ahne einer Behausung, hoffstatt, und Zugehördten alhie vffm Parfüßer Platz neb. Georg Wÿdman dem Schwartzbecken gelegen, Gerichtlich geclagt Vndt Verganthung deßelben gesucht, auch Walch sich, so wohl am 7. Maÿ Jüngst hien beÿ E. E. Statt gericht, sondern auch den 13. dito beÿ E.E. Groß. Rhat solches Und. pfandt abzutretten judicialiter erclärt, alß weren Sie am 15. Maÿ nechsthien ordentl. immittirt Vnd eingesetzt worden. Dieweilen dann vorgedachter H. Ulrich Notter auch Uff solchen halben theil haußes Umb 50 lib d. Capital und 2. Jahr Zinß v.sichert und an Underpfandts gerechtigkeit Jüng. dannenhero Er Sie Fröreisische außzuheben Verbund. Alß hetten Sie sich mit einand. dahien Verglich. daß Sie Fröreißische Wittib Und Erben ihme herrn Nottern ihre gesampte Forderung, benantlich obgedachte 75. lib hauptgut (…) Zinnß 11 lb 5 ß wie auch Angewanthen Vncosten, und alle erlangte Rechte Und Gerechtigkeit cediren Und Übergeben sollen vnd wollen (…)

Salomé Walch, veuve du cordonnier Jean Kessel, cède l’autre moitié de la maison au même Ulric Notter

1644 (20. Xbr.), Chambre des Contrats, vol. 493 f° 703
(Prot. fol. 348) Erschienen Salome Walchin, Weÿ: Hannß Kessels deß Schuhmachers seel. alhie Wittib, an ietzo Nicolai Luxen deß Schneiders Und burgers alhie eheliche haußfr. mit beÿstandt ietzt gemeldten ihres Eheuogts
hatt in gegensein Herren Ulrich Notters Alten Grossen Rhats Verwanthen
den halbentheil, Ihro Verkäufferin für Vngetheilt gebürend ahne hauß und hoffstatt, sambt allen anderen deren gebäwen & alhie vffm Parfüeßer platz, neben Georg Wÿdmann dem Becken && neben H. Johann Wenckern Ammeister hinden vff ein Hauß dem Werck vnserer frawen Münster gehörig stoßendt, welcher vbrige halbe theil hauses ihme H Käuffer Zu vor Zuständig, Welche gantze Behaußung noch verhafftet Vmb 30. lb. hannß Jacob Stichen dem küeffer Knecht, deßen Vogt H Laurentius Treutel Notarius hiehero Zum halben theil gerechnet 15. lb. d. So dann ist der ietzt übergebene halbe theil haußes auch insonderheit Verhafft vmb 100. lb d. alles hauptgut, Vnd derent wegen allerhand angewandthe Uncosten sonderlich auch die Jenig. so im Ganth Proceß außgelegt worden, Vnd in allem an hauptgut, Zinß Marzahl Vnd Vncosten thun 261. fl. Vorermeldtem hannß Jacob Stich. (übernohmen)

Le cordonnier Ulric Notter épouse en 1614 Catherine, fille du conseiller Laurent Engelhard.
Proclamation, cathédrale (luth. p. 19)
1614. Dominica Misericord. den 8 Maÿ. Urich Noder der Schuhmacher, vnd Jungfrau Cätharina, H Lorentz Engelhardt alten Raths v.wandten tochter. Eingesegnet zu S. Claus montag den 23. Maÿ (i 14)

Mariage, Saint-Nicolas (luth. f° 103-v n° 12)
den 23. Maÿ seind Ehelichen eingesegnet worden Vlrich Notther der Schuhmacher vnndt Burger alhie Vnnd Jungfrau Catharina Engelhartin, Herrn Lorentz Engelharts des großen Ratts alhie Verwandten dochter (i 113)

Ulric Notter se remarie en 1631 avec Dorothée Saurwein, veuve du tonnelier Georges Rüpffel : contrat de mariage, célébration
1631 (6.9.), Not. Strintz (Daniel, 58 Not 56) f° 54
Zwüschen dem Ehrengerecht fürnehmen Ulrich Nottern, schumachern v. burgern Zu Straßburg v. der Ehrenn vnd tugendreich. frauwen Dorotheen Saurweinin beden Versprochenen Ehepersonen
Zwüschen dem Ehrengerechten fürnehmen herrn Ulrich Nottern, Schumachern vnd burgern Zu Straßburg Alß dem Breütigam Ane einem
So dann der Ehren: vnd tugendsammen frauwen Dorotheen Saurweinin, des Ehrengeacht. fürnemmen vnd weißen herrn Georg Rüpffelß Küeffers burgers vnndt Eines Ersam Cleinen Raths Alhier Zu Straßburg Beÿsitzers nuhnmehr seeligen hind.lassener Wittiben Alß der Hochzeiterin Am Andern theÿl
sich begeben vnd Zugetragen, Auch darbeÿ Inn Personlicher gegenwerttigkeit vnd Vnd.handlung Auch guttem willen vnd consenß der Ehrenuesten fürsichtig weißen Ehrwürdigen wolgelerten, Ehrengeachten, fürnehmen v Ersamen Caspari Merckelß vnd Jacobi schneiders, beeder Einer Ersammen Zunfft der Schuhmacher Jetzigen vnd alten Grossen Raths verwanthen, Magistri Johannis weinmüllers, Pfarrherrens Zu Bläßheim vnd Adam Meÿers schuhmachers sein deß h. Breütigamß günstiger herren schwagers vnd kind geschwornen vogtsn vff seiner deß hochzeiters, So dan auff der frawen Hochzeiterin seiten h Heinrich Engelß küeffers David Gressenn Estrich lohners vnd Philippi Saurwein schaffners Ihres d. hochzeiterin vnnd Ihrer Kinder geschworner vögt vnd bruders, Aller burgere zu Straßburg
Beschehen vnd verhandelt In deß Heÿligen Reichß freÿen Statt Straßburg dinstags den 6. Septembris Inn dem Jar deß herrn Alß man Zaltte 1631.
(Minute signée, n° 694)

Mariage, cathédrale (luth. p. 304)
1631. Doîca 19. Trinit. 16 8.bris. H. Ulrich Notter der schuhmacher vnd Dorothea H: Jörg Rüpffel des Küffers n. witwe, eingesegnet Zinstag 1. 9.bris (i 157)

Le tonnelier Georges Rüpffel épouse en 1614 Dorothée Saurwein, fille de l’horloger Balthasar Saurwein de Durlach : contrat de mariage, célébration
1614 (18.10.), Not. Strintz (Daniel, 58 not 52, Prothocollum, n° 39) f° 191-v
Eheberedung Zwüschen dem Ersamen vnd bescheÿdenen Meyster Georg Rüpffelln dem Küeffer und Jungfrauwen Dorotheen Saurweinin beeden Versprochenen Ehepersonen.
Zwüschen dem Ersamen vnd bescheÿdenen, Meÿster Georg Rüpffelln Küeffer Barbar burgern Zu Straßburg, Ane einem, So dann der Ehren und tugendsamen Jungfrauwen Dorotheen Saurweinin, deß Ehrengedachtem vnd fürnehmen herrn Balthasari Saurweins Zu Turlach wonhafft eheleiblichen dochter Am Anderntheÿl
sich begeben vnd Zugetragen, Auch darbeÿ Inn Personlicher gegenwerttigkeit wissen willen vnd wesenß der Ehrenuesten fürsichtig wÿßen wolachtbaren Ehrenhafften, fürnehmen, Ersamen vnd bescheÿdenen herrn Frantz Rudolph Ingolden, beÿsitzers der herren dreÿzehen deß geheÿmen Regiments, Alhier Zu Straßburg, Johann Joachim Frantzen schaffner Zu Sant Marx, Georg Krautten, Andreæ Rüpffelß, hannß Kratten schneider vnd hannß grauen Küffers sein deß hochzeiters Kinder vogts, bruders, vnd schwäger, vff seiner des Breüttigambs, So dann vff der Jungfrauwen hochzeiterin seÿtten herrn Friderich schollen, Cleinen Rathsbewandten Ihres geschwornen Vogts, Philippi Saurwein, Jost Ebells, Schaffners Ihreß bruders vnd schwagers auch andres Kauffmans Notarÿ Aller burger Inn ermeltem Straßburg
Beschehen vnd verhandelt In deß heÿligen Reichß freÿen Statt Straßburg Zinstags den 18. Octobris Inn dem Jar deß herrn Alß man Zaltte 1614.
Minute signée, Not. Strintz (Daniel, 58 Not 56) n° 539

Mariage, Saint-Pierre-le-Jeune (luth. p. 263)
1614. Dom. 19. post Trin. 30. Octob. Jerg Rüpfel d. Kieffer, Dorothea Balthasari saurwein des klein vhrmachers hind.lassene Tocht. Eingesegnet Mont. d. 7. Novembr. (i 136)

Dorothée Saurwein meurt en 1655 en délaissant son fils en premières noces Georges Rüpffel. L’inventaire est dressé dans la maison du veuf ruelle des Dominicains. La maison place des Cordeliers est décrite en mentionnant les titres de propriété. La masse propre au veuf est de 2 226 livres, celle des héritiers de 949 livres. L’actif de la communauté s’élève à 3 309 livres, le passif à 1 346 livres. Lors du partage annexé, la maison place des Cordeliers est attribuée à Georges Rüpffel

1655 (28.5.), Not. Schübler (Christophe, 55 Not 26) n° 1487
Inventarium vnd Beschreibung aller haab, Nahrung vnd Güettere, so die viel Ehren: und Tugendreiche Fr. Dorothea Saurweinin, des Ehrenvesten, Fürsichtig vnd Weißen H. Ulrich Notters, E.E. großen Raths alten Beÿsitzers, hfr. welche den 11. Martÿ 1655 tödlich. verblich. verlaßen, so auff erfordern vnd begehren des Ersamen vnd bescheÿdenen Mr Georg Rüpffels, der abgeleibten Fraun seel. in anderer Ehe mit weÿl. H. Georg Rüpffeln, geweßenen Kieffern vnd burgern alhier, ehelich erzeugten Sohns auch ab intestato einig. nachgelaßenen Erbens, mit beÿstandt des Ehrenvestn, Fromm, Fürsichtig vnd Weißen H Johann Rheinhardt Kreßen XV. des geheimen Regiments, so dann H. Nicolai Reben Notarÿ Jurati, durch obehrenged. Hn Wittibern, vnd der Frauen seelig. Sohn und deßen hfr. Anna Margarethen Klinglerin so viel einen Jeden bewußt gewesen, geäugt vnd gezeigt (…) Actum in fernerer gegenwerttigkeit des Erenuesten fürsichtig vndt hochweißen herrn Dominici Dietherichs XXI. des bestendigen Regiments vonn dem herren witiber erpettenen beistandts, Mehr d. viel Ehren und Tugendreich. Fr. Catharinæ Notterin mit hülff d. Ehrenhafften H. Andreß Gebhardt Rheinthalers, Schuhmachers, ihres Ehevogts, ferner des Ehrenhafft. und bescheÿdenen Weißen Hanß Barthel Notters, Schuhmachers weiter der Ehrsam. und bescheidenen Meistern Ulrich Notters, auch Schuhmachers alle 3. des H. Wittibers in andern Ehe erzeugte dochter und Sohn, Montags den 28. Maÿ A° 1655.

Inn einer inn d. Statt St: Inn dem Predigergäßlein gelegenen vndt dem H. wittiber für unverändert gehörig. beh. ist befunden worden wie volgt.
In der Cammer A, In der Cammer B, In der Cammer C, Vor dießer Cammern, In der Cammer D, Im Nebens Kämmerlein, In d. Obersten stuben, Vor dießer Stuben, In der mittlern Stuben, In der Cammer D, Im mittlern haußöhren
In des Erben bewohnenden Behaußung
Eÿgenthumb ane Häußern. (W.) It. hauß in Thomanloch (…)
(W.) It. hauß in dem Kleinen Prediger gäßlein (…)
(T.) It. hauß vnd hoffstatt mit allen deren gebäuen begriffen, Rechten Zugehörden, vnd gerechtigkeit. geleg. in d. Statt Straßb. auff dem Parfüßerplatz, Einseith neben Georg Wÿdtman dem becken, anderseith neben Hn Joh: Wenckern alten Ammeistern, hind. auff eine behaußung d. Fabric des Münsters gehörig stoßend, ist allerdings ledig und eig. vnd hiehero angeschlag. p. 200 lb. Darüber sagt ein alter perg. Kauffbrieff mit d. Statt Straßb. Contract Insigel verwahret, deßen datum den 19. Febr. 1608. darbeÿ ferner j. perg. Ganth Kauffbrieff, deßen daten d. 2. 9.bris 1644. Weiter j. pap. Quittung mit Hn Laurentÿ Treudels Notarÿ hand. s.scribirt und vffgetruckten Pittschafft verwahret, deren datum d. 29. Xbris 1641. über 100. fl. abgelöst Capital besagend. So dann j. perg. Kauffbrieff mit d. Statt Straßb. Contract Insigel, deßen datum d. 20. Xbris 1644 mit Nr 27. signirt. Und dann ein perg. brieff mit d. Statt straßb. Contract Insigel, deßen datum den 19. Febr. 1611. auch mit N. 27. signirt
(T.) 3. It. j behaußung in d. Statt Straßb. im Thomanloch (…)
(T.) 2. It. j hauß am alten weinmarckh in der blindengaßen (…)
(T.) 1. It. j behaußung im Seiffengäßlein (…)
Ergäntzung des H. Wittibers unverändert Gutts. Vermög Inventarÿ über weÿl. Catharinæ Engelhardtin, des Hn Wittibers hfrawen seel. verlaßenschafft durch H. Daniel Strintzen den Jüngern Notarium in A° 1630. auffgerichtet
Ergäntzung des Sohns vnd Erbsns unveränd.ten gutts. Laut Inventarÿ über d. abgeleibten frawen seel. in den Ehestand Zugebrachte Nahrung in Anno 1632. durch H. Notarium Petrum Gündeln auffgerichtet hatt man dem Sohn und Erben Zu ergäntzen wie volgt
Abzug Inn dißen Inventarium. des herrn wittibers unverändert guet, Sa. haußraths 140, Sa. Leerer vaß 5, Sa. Silber geschirr und Geschmeids 66, Sa. pfenningzinß hauptgüeter 88, Sa. Eÿgenthumbs ane heußern 750, Sa. Ergäntzung (1497, gehet ab 1038, pleibt) 459, Summa summarum 2310 lb. – schulden 84, Nach deren Abzug 2226 lb
Des Sohnß vndt Erben unverändertes guet, Sa. haußraths 137, Sa. Silergeschirrs 37, Sa. goldener ring 24, Sa. hauptgüeter 67, Sa. Ergäntzung (999, gehet ab 317, Pleibt noch) 681, Summa summarum 949 lb
Theilbar Guet, Sa. haußraths 49, Sa. d. Früchten 146, Sa. weins vndt Leeren vaß 203, Sa. gemachter arbeit 5, Sa. Silber geschirr und Geschmeids 82, Sa. guldener ring 5, Sa. baarschafft 153, Sa. pfenningzinß hauptgueter 1613, Sa. Gülth von liegenden güthern 131, Sa. d. heußer 475, Sa. schulden 444, Summa summarum 3309 lb – Schulden 1346, Rest 1952 lb
Conclusio finalis Inventarÿ 5138 lb
Theilung (…) Actum vnd angefangen d. 22. 8.br. 1655
dem Sohn v. E. ane Theilb. häußern laut buchst. C. mit dem Looß Zugefallen wie volgt
Item hauß vnd hoffstatt mit allen deren gebäuen begriffen, Recht. Zugehörden vnd gerechtigkeitt. geleg. Inn der Statt Straßb.vf dem Baarfüßerplatz, j. seith neben Georg Widman dem Beck. anderseit neben H. Joh: Wenckhern alten Ammeistern hinden vf i. beh. der Fabricc des Münsters gehörig stoßend, Ist allerdings ledig v. eÿgen vnd anzuschlag. v.glich p. 196. lb.

Le tonnelier Georges Ripffel épouse en 1651 Anne Marguerite, fille du barbier et chirurgien Mathias Klingler
Mariage, Saint-Nicolas (luth. n° 9)
1651. Quasimodo geniti Geörg Ripffel der Kieffer vnd burger allhier herrn Georg Ripffell burgers vnd kieffers allhie hinderlaßener Ehelicher Sohn, vnd J.fr. Anna Margaretha, Herrn Matthias Klingler des Barbierers vnd Wund Artzets eheliche tochter. [copul.] Dienst. Claus (i 259, proclamation Saint-Pierre-le-Jeune f° 47)

Les nouveaux mariés font dresser l’inventaire de leurs apports dans l’auberge à la Cave profonde. Ceux du mari s’élèvent à 592 livres, ceux de la femme à 204 livres.
1651 (4. Junÿ), Not. Ursinus (Jérémie, 60 Not 19) n° 12
Inventarium vber Des Ehrnhafften Mr Georg Rupffels, Küeffers und Burgers alhie Zu Straßburg Zu Ehren: undt viel tugendsammen Frawen Annæ Mariæ Klinglerin seiner lieben hfraw in die Ehe Zugebrachte Nahrung auffgericht 1651.
(…) welche Inn oehrenernandter Frawen Annæ Mariæ Klinglerin vnd deß Ehrengeachten vnd Kunstreichen Herrn Mathÿs Klinglers Barbierers v. Wundtartztes burgers alhier Ihr frawen beleibten Vatters, mit beÿstandt deß Ehrenvesten Fürsichtig vnd wohlweÿßen Herrn Johann Reinhardt Keeßen, Ein und Zwantzigers seines geweßenen herrn vogts (…) So beschehen auff Mittwoch den 4.t Junÿ Anno 1651.
Inventarium vber der Ehrn: vndt tugendtsammmen Frawen Annæ Mariæ Klingerlin, Zu dem Ehrenhafften Mr Georg Rupffen Küeffern vndt burger, alhier Zu Straßburg Ihrem Lieben haußwürth in die Ehe Zugebrachten Nahrung, auffgericht 1651. (…) So beschehen auff Mittwoch den 4.t Junÿ Anno 1651.

Inn einer alhie in der Statt Straßburg beÿ dem dieffen Keller gelegener behaußung so weÿl. Sebastian Sutters, geweßenen Müllers Zu Eckboltzheim seel. hind.laßener wittib vndt Erben eigenthümlich gehörig, beede Eheleuth aber lehnungsweiß bewohnen, Ist befunden word. wie volgt
In der Obern vordern Stubkammer, Im Obern Haußöhren, Inn der Kuchen, Inn der Obern vordern Stuben, Inn der vndern Stuben
Werckzeug, wie auch Holtz, Reÿff, Bandt daugen gemacht v. ohnaußgemachte arbeith Zum Küeffer handtwerck gehörig
Deß Manns In die Ehe Zugebrachte Nahrung, Sa. Haußraths 79, Sa. Werckzeugs 56, Sa. Weins 39, Sa. Flors 60, Sa. Silber geschirr und Geschmeids 14, Sa. Guldenen Ring 2, Sa. Baarschafft 23, Sa. Pfenningzinß hauptgüter 300, Sa. Schulden 18, Summa summarum 592 lib.
Volgt nun auch die Beschreibung der Frn In die Zugebrachter Nahrung, In der Cammer A, Inn der Oberrn Stubkammer
Der Frawen In die Ehe Zugebrachte Nahrung, Sa. Haußraths 125, Sa. Silbers vndt Geschmeidts 15, Sa. Guldenen Ring 9, Sa. Baarschafft 54, Summa summarum 204 lb

Anne Marguerite, veuve de Georges Ripffel, se remarie en 1663 avec Sébastien Ebinger, fils du tonnelier Martin Ebinger
Mariage, Saint-Pierre-le-Jeune (luth. f° 133, n° 30)
1663 Eâdem Dominicâ [IIX. Trinit. 9. Aug.] Sebastian Ebinger, der Küeffer, Martin Ebinger deß Küeffers Vndt Burgers allhie ehel. Sohn, Vndt Anna Margaretha Weÿl. Geörg Ripffel deß Küeffers Vndt weinhändlers nachgel. wittib. Copulavi Dienst. 10. Augusti. ( 145)

Anne Marguerite, femme de Sébastien Ebinger, vend la maison au portraitiste Pierre Dieterlin et à sa femme Eve Deck.

1677 (ult. April.), Chambre des Contrats, vol. 546 f° 376
Anna Margaretha, Sebastian Ebingers deß Kieffers Eheweib mit beÿstand erstgedachts ihres Ehevogts und herr hannß Niclaus Späth der Kieffer nunmehr seel. nachgelaßenee Kinder
in gegensein Peter Dieterlins deß Contrafaiters und Evä Deckin beÿder Eheleuth
hauß, hoffstatt mit allen deren Gebäwen, begriffen, weithen, zugehördten, rechten und Gerechtigkeiten alhier am Barfüßer Platz, einseit neben herrn Dominico Dietrich dießer Statt Alten Ammaÿster und dreÿ Zehnern, anderseit neben Friderich Mag dem haußfeurer hinden uff eine behaußung der Fabric deß Münsters zuständig stoßend gelegen – umb 400. lb

Pierre Dieterlin s’adresse aux Quinze pour obtenir le droit de faire son chef d’œuvre en présentant uniquement des peintures à l’huile à l’exclusion d’aquarelles en arguant qu’il n’a jamais pratiqué l’aquarelle pendant ses neuf années de compagnonnage. Les Quinze suivent l’avis de la tribu de l’Echasse en renvoyant le pétitionnaire au règlement.
1671, Protocole des Quinze (2 R 88)
(f° 45) Sambst. den 1. Aprilis – Peter Dieterlin Ca. E.E. Zunfftgericht Zur Steltzen
Peter Dieterlin p. Dr. Bitschen Ca. E.E. Zunfft der Steltzen, producirt und.thg. Supplication daß er möchte beede Stuck In öhlfarben außfertigen. Erk. den gegentheil auch darzu Zugebieten

(f° 48) Sambst. den 8. Aprilis – Peter Dieterlin Ca. Steltzer Zunfft Gericht erhohlt productum vom j. huius, Reüßner nom: cit: pittet Zeit der ord. obtin.

(f° 53-v) Sambst. den 19. Aprilis – E. E. Steltzer Zunfft Ca. Peter Dieterlin
E. E. Steltzer Zunfft per Reüßneren Ca. Peter Dieterlin, restituirt handlung vom 1. huius, vnd producirt Gegenbericht, Dr Bitschen cit. pittet besichtigung vnd Zeit d. ordt. obt.

(f° 55-v) Sambst. den 29. Aprilis – Peter Dieterlin Ca. Steltzen Zunfft
Peter Dieterlin p. Dr. Bitschen Ca. Zunfftgericht Zur Steltzen restituirt Gegenbericht vom 19. dieses vnd producirt Schlußschrifft, Reüßner nom: cit. pittet communic. vnd Zeit der ordt.

(f° 58) Sambstags den 6. Maÿ – E. E. Steltzer Zunfft Ca. Peter Dieterlin
E. E. Steltzer Zunfft per Reüßneren Ca. Peter Dieterlin, restituirt Schlußschrifft vom 29.ten Aprilis, wid.spricht nichtigem einstrewen per g.lia, vndt beschleusst, Dr. Bitsch nom. cit. weilen das dispensiren Zu MGhh. stehet, so will er præmissis generalibus solitis, auch zubescheid. gesetzt haben Erkant, würf die Sach vor beschloßen angenommen, behandlens herr Brackenhhoffer vnd herr Würtz.

(f° 64) den 29 May – Peter Dieterlin contra Steltzer Zunfftgericht
Herr Brackenhhoffer und Herr Würtz laßen per Herrn Negelin referiren, Nachdem Sie die Sach Peter Dieterlins des Mahlers contra E. E. Steltzer Zunfft gericht, vor die handt genommen, hetten Sie befunden daß selbe darinnen bestünde, Implorant habe gesucht sein meisterst. vnd zwahr beederleÿ In Öhlfarben, weil er in den Waßerfarben nicht geüebt zu verfertigen, so wehre Ihm aber solches, weil es wider gegebene Articul, von E. E. Steltzer Zunfft, alß welche ein Stucklin öhl und das andere Waßerfarben erfordert, abgeschlagen worden, wendet darwider ein, die Mahlereÿbestünde nicht wohl in Wasserfarben, alß in der Arbeit selbsten, wolle sich auch deßen, was dem Roßa vnd Hopfferen verbotten, enthalten, habe mit wißen seinen Vater in den Lehrjahren niemahlen dergleichen große arbeiten in waßerfarb sehen machen, zugeschweÿhen, daß er Ihn solte informirt haben, hette Er auch in seiner 9. jährigen wanderschafft, In dergleichen arbeit sich zu üeben, wenig gelegenheit gehabt, weil er nie sonderlich darnach getrachtet, weniger gedancken habe profession davon Zumachen, erholt deßwegen sein voriges begehren, und setzts.
die Steltzer Zunfft replicirt, 1) seÿ das begehren den Articulen und den Herkomen gantz zuwider. 2) Obwohl bey einem [f° 65] vndt dem anderen darwider dispensirt worden, gereichte doch solches keinem Zu nutzen, sonderen vielmehr Zu disreputation. 3) werden die dispensationes nicht so simpliciter, sonderen mit schwehren conditionen erhalten, wie den Roßa vnd Hopfferen außtrucklich verbotten, weder selbsten noch durch gesellen in waßerfarben Zu arbeiten. 4) Seÿn ein mercklicher Underschied Under jetzt gemelten beed., alß welche in waßerfarben sich Zu üeben, niemahls gelegenheit gehabt, vnd gegenwertigem Imploranten, der von jugend auff dergleichen beÿ seinem Vatter gesehen, Und sich perfectioniren können. 5) Mißfelt es Imploranten Vatter sehr, daß sich derselbe von der verfertigung eines Meister stucks in Waßer farben begehrt zue eximiren. 6) Werden die Articul durch so vielfaltiges dispensiren, fast nicht mehr geachtet. 7) zu deme, so ist man in examinirung deßelben nicht so rigoros. Bittet solchem nach dem Imploranten sein begehren abzuschlagen, und hiengegen Ihm zum Meister stuck von Waserfarben anhalten. Und obwohl letztlichen vatter vnd Sohn auch gehört werden, ist doch so viel heraußkommen, daß gedachter sohn sich von der waßer: [f° 65-v] farb vnd dergleichen einem Stuck nicht entzihen kan, gestalten auch des vatters will nicht and.st sonderen des Sohns besond. imagination darauß Zuspieren ist, dahero der herren Meinung dahin gehet, Er solte Inhalts volgender Urthel, beede Stuck zu verfertigen, obligirt vnd gehalten sein, refusis expensis.
Unsere g. Herren die XV. haben in Sachen Peter Dieterlins des Mahlers und hiesigen Burgers Sohn Ca. Zunfft gericht zur Steltzen, das begehren dispensationis abgeschlagen, hingegen Erkandt, daß Implorant das Meister Stuck den Articulen gemeß verfertigen solle, refusis expensis. Erkandt, pleibt beÿ dem bedacht vndt der Urthel.

Fils de l’artiste peintre Wendelin Dieterlin, Pierre Dieterlin épouse en 1672 Eve, fille du passementier Georges Deck : proclamation, célébration
Proclamation, Saint-Pierre-le-Jeune (luth. f° 231 n° 31)
1672. Dom. VI. Trinitatis 14. Iulÿ. Hr Peter Dieterlin der Kunst Mahler hrn. Wendling Dieterlin deß Kunst Mahlers vnd Burgers allhier ehelichen Sohn, Vndt Jfr. Eva, Weÿl. hrn Geörg Decken deß Paßment: händlern vndt Burgers allhie nachgelaß. ehl. Tochter. Eingesegnet Zu St. Wilhelm 25 Junÿ ipso die Jacobi (i 243)

Mariage, Saint-Guillaume (luth. f° 93 n° 24)
1672. Dnicis VI. v VII. p. Trinit. 14/24 Julÿ Herr Peter Dietterlin der Kunst Mahler alhie, herrn Wendling Dietterlins auch Kunst Mahlers vnd B. alhie Ehelich. Sohn, vnd Jgfr. Eva, Wittwe H. Geörg Decken geweß. Paßmentmachers vnd Handelsmannß auch Burgers alhie nachgel. Eheliche Tochter. Cop. Donners. d. 25.t (i 65)

Leur fille Marie Eve Dieterlin épouse en 1692 l’orfèvre Jean Jacques Braun
Mariage, Temple-Neuf (luth. f° 32-v n° 28, 206) 1692. Dominica XXIII. Seÿen Zum I. mahl außgeruffen word. Hr. Johann Jacob Braun d. Ledige Goldarbeiter Hn Johann Braunen Silberarbeiters und Stattwardins alhier ehl. S. Jgfr. Maria Eva, Weÿl. Hr. Johann Peter Dieterlen, Kunstmahlers und burgers allhier nachgelaßene Eheliche T. Seÿnd würcklich copulirt word. dn 19. 9.br. [unterzeichnet] Johann Jacob braun alß hochzeiter, Maria Eva diederlerin alß hochzeiterin (i 33)

Eve Dieterlin, femme de Jean Jacques Braun, vend la maison au limonadier Toussaint Jouanne et à sa femme Chrétienne Hellbeck moyennant 725 livres strasbourgeoises

1699 (3.4.), Chambre des Contrats, vol. 571 f° 189-v
Marie Eve née Dieterlin femme du Sr Jean Jacques Braun, Orfèvre et bourgeois de cette ville
au Sr Toussaint Jouanne Limonadier et bourgeois ladite ville et Christine née Hellbeckin (signé) toussent Jouanne
Une Maison, avec sa place, droits, bastiments, dependances et appartenances Scize en cette ville à la place d’armes, tenant d’un costé à Pierre Bron, Tapissier, d’autre a Frideric Maag, boulanger, aboutissant par derriere à (-) tonnelier – pour 2900 livres tournois faisans 725 livres de Strasbourg

Originaire de Signy-l’Abbaye dans l’évêché de Reims, Toussaint Jouanne épouse Chrétienne Hellbeck de Strasbourg (luthérienne qui ne figure ni dans le répertoire des convertis tenu par les Jésuites ni dans celui du Convent ecclésiastique)
Mariage, Saint-Pierre-le-Vieux (cath. p. 102)
Die 29. January an: 1691 Honestus Juvenis tussanus joüané de signy labbeys dans leveche de Reims et pudica virgo Christina Helbekin Argentinensis (…) matrimonio juncti sunt (signé) toussent Joüane, a signum sponsæ (i 73)

Le cafetier Toussaint Joan devient bourgeois par sa femme Chrétienne Bock (pour Hellbeck)
1697, 4° Livre de bourgeoisie p. 695
Toussaint Joan, der Cavetier, de Signy l’Abbaye en Champagne, Weÿl. Jean Joan, gewest. schreiners daselbst hint. Ehl. sohn, empfangt das burgerrecht, von Christina Bockin seiner haußfrawen p. 2. gold fl. und 16 ß so bereits beÿ der Cantzleÿ erlegt worden, Vnd wird beÿ E E Zunfft Zum spiegel dienen. Jur. d. 16. 9.bris 1697.

Chrétienne Mittmann, veuve du pelletier Jean Gaspard Hellbeck, délivre la dot à sa fille, femme du confiseur et limonadier Toussaint Jouanne
1697 (29.9.), Not. Schatz (Jean Frédéric, 51 Not 1)
Lüfferung und außweißung der Jenigen außsteurung und Ehegaab, so fraw Christina gebohrne Mittmännin, weÿland Meister hannß Caspar Höllbecks, gewes. Kürßners und burgers allhier Zu Straßb. hinterlaßene wittib, Ihrer Jüngern tochter frawen Christinä Hellbeckin, herrn Johann Jouan, deß Zuckerbereiters undt Schirms angehörigen allhier ehelicher haußfrawen Zur heurath gaab und außsteurung gegeben, Crafft E E Gros. Raths bescheids von dieselben Zu gleichhaltung Ihrer anderen tochter heut dati also gelüfert (…) Straßburg den 29. Septemb. 1697
33 lb. – Livraison de la dotte que madame Christine née mittmann veufve de feu Jean Jasper Helbeque, en son vivant pelletier et bourgeois de la Ville de Strasbourg a faite à Madam.lle Christine sa fille presentement femme de Monsieur Toussaint Jouan Limonadier et habitant de de la Ville de Strasbourg

Le marchand confiseur Toussaint Jouanne fait son testament sur son lit de mort.
1699 (22.4.), Not. Bidier Dutil (6 E 41, 12)
Testament – Aujourd’hui 22° auril 1699 au mandement de Toussaint Joannes Marchand confiseur a Strasbourg Le No.re Royal en lad° ville sou.né sest transporté en la maison ou Il demeure scize sur La place darme a sept heures du Matin ou estant il a trouué Led. Joannes Malade a Lextremité sur son lit saint esprit Memoire et entendement (…) Lequel Nayant plus l’usage de la parolle qui Luy a Manqué depuis hier au soir a ce quil a esté dit (…) a fait signe que ne pouuant parler Lon Luy donne une plume pour escrire sa volonté et luy ayant esté doné une plume Il a escrit Les deux Lignes qui sont en tete du présent acte contenant ces Mots, Si Je Meure Je donne tout a ma femme et a signé – Jouanne

Chrétienne Hellbeck se remarie en 1699 avec Nicolas de Marly, fils de François de Marly d’Arnaville près de Metz : contrat de mariage, célébration

1699 (8.7.), Not. Bidier Dutil (6 E 41, 12)
Mariage 8° juillet 1699 – furent presens Nicolas de Marly officier d’office chez Monseig. Le prince de Mourback fils de feu François de Marly en son viuant employé dans les fermes de Loraine demt. au village d’arnauille prez metz et de Françoise Eurard sa femme ses pere et mere Majeur daage pour luy et en son nom d’une part
Et Christine Elbeckine veufue de feu toussaint Joanne en son vivant Marchand confiseur en cette ville de Strasbourg et fille de feu Jean Gaspard Elbeck viuant marchand pelletier bourgeois de Strasbourg et Christine (-) sa femme ses pere et mere pour elle et en son nom d’autre part
(signé) Demarly, + marque de lad° future épouse qui a dit ne scauoir signer
Transcrit à la Chambre des Contrats, vol. 573, f° 591-v le 23 novembre 1700

Mariage, Saint-Pierre-le-Vieux (cath.)
Die 28 Julii anno 1699 honestus Nicolaus de marly ex Bernauille diœcesis mettensis oriundus, nunc In nostra parochia commorans et Christina Hellneckin vidua nostra parochiana rite et canonice matrimonio Juncti sunt (i 81)

Le cafetier Nicolas de Marly devient bourgeois par sa femme Chrétienne Hellbeck deux mois après son mariage.
1699, 4° Livre de bourgeoisie p. 712
Nicolas de Marly Caffetier Von Metz, weÿl. François de Marly gew: fermiers in Lothringen hind. sohn, empfangt das Burgerrecht Von Christina Helbeckin, sein haußfrawen p. 2. gold. fl. und 16. ß so beÿ der Cantzleÿ erlegt worden, und wird beÿ E. E. Zunfft der weinsticher diennen. Jur. d. 16. Dito [7.bris] 1699.

Nicolas Marly demande l’autorisation de vendre du vin au détail pour mieux gagner sa vie. Les Quinze lui opposent un refus comme ils l’ont fait sur des demandes semblables.
1706, Protocole des Quinze (2 R 110)
(f° 211-v) Sambstags den 21. Aug. 1706. – Nicolas Marly pt° erlaubnus Burgund. wein bouteilles weiß zu verkauff.
S. nôe Nicolas Marly burgers und Caffetiers alhie, prod. unterth. Memoriale vnd bitten wie inhalts pt° erlaubnus Burgund. wein bouteilles weiß zu verkauffen. Erk. an die Oberen Vngeltsherren gewießen.

(f° 230) Freÿtags den 3. Sept. 1706. – Nicolas Marly pt° erlaubnus Burgund. wein en detail zu verkauffen
Obere Vngeltsherren Laßen per H. Friden proponiren, es habe Nicolas Marly burger und Caffetier alhie, gegenwärtiges unterth. Memoriale so H. Fridt abgelesen, übergeben vnd darinnen gebetten daß weilen seine profession, sehr übersetzt, Ihme erlaubt werden möchte, Burgunder wein bouteilles weiß zu verkauffen. Sobalden man ged. Memoriale sich ablesen laßen, habe man dießes begehren gleich vor bedencklich angesehen, Zumahlen man sich errinnert, daß es wider Mgherren Erkanntnus lauffe, vndt andere damit abgewießen worden, sonder alßo dahin, ob Mgherren denselben auch abweißen wollen. Erkandt ; derselben abegewießen word.

Nicolas de Marly et Chrétienne Hellbeck hypothèquent la maison au profit de Charles Boisgautier au nom de la fondation de la Toussaint

1706 (15.7.), Chambre des Contrats, vol. 579 f° 516
Nicolas de Marly müntzer u. Christina geb. Hellbeckin beÿständlich H. Johann frid: Redwitzs Not: publ. u. Jean Martin schneiders
in gegensein H. Carol Boisgautier Canonici beÿm alten St Peter u. Præbendarÿ beÿm stifft allerheÿligen allhier noe. besagten Stiffts – schuldig seÿen 650 pfund
unterpfand, eine behausung cum appert: auf dem Baarfüßer platz einseit neben Pierre Bron tapissier anderseit neben Lorentz Tröster haußfeurern hinten auf eundem

Nicolas Marly demande l’autorisation de prendre des pensionnaires. Les Quinze ayant constaté que l’hébergement de pensionnaires menait à des abus, ils demandent à Nicolas Marly de s’inscrire à la tribu des Fribourgeois et de cesser le métier de cafetier. Nicolas Marly est autorisé à suspendre l’enseigne aux Armes de France
1708, Protocole des Quinze (2 R 112)
(f° 266) Sambstags den 1. Decembris 1708. – Saltzm. noîe Nicolas Marlÿ deß burgers allhier der bittet unterthänig ihme in seinem hauß auff dem baarfüßer platz weinschanck vnd Auberge Zuhalten gn. Zuerlauben. Erk. ahne die vorige herren gewießen [Ober Ungelts herren]

1709, Protocole des Quinze (2 R 113)
(f° 46) Freÿtags den 8. Martÿ 1709. – Nicolas Marli pt° Kostgänger und Weinschancks
Ober Ungelts herren Laßen per Hn Friden proponiren, es habe Nicolas Marly burger alhier, angesucht, daß Ihme Kostgänger Zuhalten erlaubt werden möchte, man habe aber gleich gefunden, daß unter dem nahmen der Pensionnaires vierlerleÿ betrug vnderzugehen pflege, deßwegen Er, auff die Ihme gethane remonstration sich resolvirt habe, einen würt abzugeben, deme man beditten, daß Er sich Zuvorderist beÿ E E Zunfft der Freÿburger anmelden müßte, so Er auch gethan, vndt einen schein eingelüffert, daß dießelbe Ihne Zu einem Zünfftig annehmen wolle, man habe auch d. hauß visitiren laßen, welches Zwar klein seÿe aber doch genugsame gelegenheit habe, deßweg. man davor gehalten, daß weilen d. Implorant burger, Zünfftig, vndt allein im hauß wohnen wolle, ihme mit dem weinschanck willfahrt werden könte, doch daß Er d. Caffé wesen abschaffen vnd einen schein von der Einquartierungs Stub bringen solle. Erk. bedacht gefolgt.

(f° 97) Sambstags den 20.t Aprilis 1709. – Nicolas Marli pt° Schilds gerechtigkeit
Saltzm. noîe Nicolas Marlÿ deß burgers allhier, der bittet vnderth. vmb gn. permission einen schild aux armes de la France in seiner eigenthümlichen behaußung auff dem baarfüßer platz gelegen auffhencken Zu dörffen, vnd s. Erk. Würdt Zwar Imploranten in seinem begehren willfahrt, es soll aber derselbe die ordinari quartal gebühr davon Zubezahlen schuldig sein vnd dadurch dem hauß kein recht zu wachsen.

L’aubergiste Nicolas de Marly et sa femme Anne Chrétienne Hellbeck font dresser un état de leur fortune grevée de dettes (la minute n’en est pas conservée)

1713, Not. Hoffmann (Christophe Michel, rép. 65 not 11) n° 68
Inventarium über Herrn Nicolas de Marlÿ des würths und frauen Annæ Christinæ gebohrner Höllbeckin beeder Eheleuth habende Nahrung und Passiva

Nicolas de Marly cède à Etienne Delpy un des six offices de monnayeur du roi créés en 1702.
1715 (17.1.), Not. Humbourg (6 E 41, 37)
17 janvier 1715. fut present le Sr Nicolas de Marly Monnoyeur pour le Roy en Cette ville, lequel a Reconnu et Confessé avoir vendu, Cedé, quitté et transporté (…)
au Sieur Estienne Delpy Employé pour le Roy en Cette d° ville
l’un des six offices de Monnoyeur en la Monnoye de Strasbourg Créé par Edit du mois de Mars 1702 dont le dit Sr de Marly a esté pourvû par lettres patentes données a Versailles au mois de décembre de la même année, Les quelles lettres patentes ensemble la quittance de finance et de Marc d’or du même office ont eté à l’jnstant par ledit Sieur de Marly remises Au dit Sieur acquéreur pour sur jcelles obtenir de Nouvelles provisions en son Nom Lorsqu’il le jugera a propos. Cette vente faite pour et Moyennant la somme de 2400 livres Monnoye d’alsace

Le cafetier Nicolas de Marly loue une partie de la maison au fabricant de pâtés Nicolas Pernot

1722 (5.6.), Chambre des Contrats, vol. 596 f° 347-v
Erschienen Nicolas de Marly, Caffetier und burger allhier
in gegensein Nicolas Pernot des Pastetenbecks und Schirmers all angezeigt und bekandt daß er (…) entlehnt zu haben bekanntlich were (signé) Nicolas pernot
In seiner allhier ahm Baarfüßer platz, einseith neben Tröster dem haußfeurer, anderseith neben david Brunck dem Tapezirer gelegenen behausung, die helffte eines ladens, so rechter hand neben vorged. Trösters behaußung ist, Eine Kuchen und Stub unten in dem hauß, die helffte des Vordern Kellers, Ferner auff dem zweÿten Stock Eine Stub, vornen auf den platz sehend, Eine Kammer und Kuchen und auff dem Fünfften Stock Eine Fruchtschütt Und ist dieße lehnung getroffen worden auff Fünff nacheinander folgende jahr, anfangend auff Johannis Baptistæ nächstkünfftig (…) umb einen jährlichen Zinß von 37 pfund

Inventaire non conservé dressé en 1730 après la mort d’Anne Chrétienne Hellbeck

1730, Not. Hoffmann (Christophe Michel, rép. 65 not 11) n° 1087
Inventarium über weÿl. Frauen Annæ Christinæ gebohrner Höllbeckin Hn Nicolai de Marlÿ des Caffetier und burgers alhier zu Straßburg geweßener ehel. Haußfrauen nunmehro seel. Verlassenschafft

Les préposés de la Taille font figurer la succession dans leur registre parce que les impôts acquittés étaient calculés d’après une fortune sous-évaluée de 100 florins (50 livres) sur un total de 200 florins
1730, Livres de la Taille (VII 1177) f° 49
Freÿburger F. B. 5301 – Weÿl. Fr. Annæ Christinæ gebohrner Höllbeckin, H. Nicolas de Marly Caffetier und Burgers alhier gewesener Ehel. haußfrauen Verlaßenschafft inventirt H. Not. Hoffmann
Concl. Fin. Inv. ist Fol. 22 – 128 lb 15 ß 4 d, die machen 200 fl. verstallte 100 fl also Zu wenig 100 fl.
Weilen der Wittiber biß 1728. mit 400 fl. Verstallet alß wird der Nachtrag allein gerechnet auf Zweÿ Jahr in duplo à 6 ß – 12 ß
Und aug Zweÿ Jahr in simplo à 3 ß – 6 ß
Ext. kein Stallgeltt
Gebott – 2 ß
Abhandlung 5 ß 6 d – Summa 1 lb 5 ß 6 s
Stallgeltt pro 1732, 1 lb 10 ß, gebott ferner 1 ß (Summa) 2 lb 16 ß 6 s
dt. 18° Februarÿ 1732.

Nicolas de Marly vend la maison au chirurgien Georges Nicolas Beyrath et à sa femme Marie Félicité Brand moyennant 1 100 livres

1734 (3.5.), Chambre des Contrats, vol. 608 f° 157
Nicolas de Marly ehemaliger Caffetier
in gegensein H. Georg Nicolaus Beÿrath des Chirurgi und Mariæ Felicitas geb. Brandtin
Eine Behausung und hoffstatt mit allen derselben gebäuden, begriffen, weithen, zugehörden und gerechtigkeiten auff dem Baarfüßerplatz einseit neben Maria Salome geb. Trösterin weÿl. Johann Jacob Stall Jun: weißgerbers hinterlassenen wittib anderseit neben H. Michael Schröder dem Zahnartzt hinten auff ged. Stahlin – ihme zufolg der vor Not. regio Bidier Dutil am 8. julÿ 1699 mit seiner verstorbenen Ehefrau Christina geb. Höllbeckin errichteten Ehepacten als letstlebendem eigenthümlich zuständig seÿe – um 650 pfund verhafftet, geschehen um 450 pfund

Georges Nicolas Beyrath vend la maison au tailleur de limes Jean Daniel Ehinger et à sa femme Marie Ursule Isenheim

1745 (15.6.), Chambre des Contrats, vol. 619 f° 403
H. Georg Nicolaus Beÿrath der Chirurgus
in gegensein Johann Daniel Ehinger des Feÿlhauers und Mariæ Ursulæ geb. Isenheimin
2 dritte theil vor unvertheilt ane einer behausung und hoffstatt mit allen übrigen deroselben gebäuden, weithen, zugehörden und rechten am Baarfüßerplatz, einseit neben weÿl. Michael Schröder des zahnartzts wittib und erben, anderseit neben weÿl. Johann Jacob Stall junioris Weißgerbers wittib, hinten auff dieselbe – welche gantze behausung (um 200, 500 und 250 pfund verpfändet) als ein am 3. maÿ 1734 erkaufftes guth – geschehen um 366 pfund

Les acquéreurs hypothèquent quelques mois plus tard la maison au profit des fabriques de Saint-Thomas et de Saint-Pierre-le-Jeune auxquelles Marie Félicité Brand a légué sa fortune grevée d’usufruit au profit du veuf.

1745 (1.10.), Chambre des Contrats, vol. 619 f° 685
Johann Daniel Ehinger der Feÿhlhauer und Maria Ursula geb. Isenheimin mit beÿstand ihres bruders Johann Heinrich Isenheim des zinngießers und Johann Jacob Klein des schuhmachers ihres schwagers
in gegensein H. Johann Kürßner des handelsmanns als kirchen pflegers zu St Thomä und Johann Jacob Marbach Med: Doctoris und Practici und E.E. Großen Raths alten beÿsitzers so als Kirchen pflegers zum jungen St Peter demnach weÿl. Fr. Maria Felicitas geb. Brandin H. Georg Nicolaus Beÿrath des Chirurgi ehegattin in ihrem am 8. feb. jüngst vor H. Not. Christoph Michael Hoffmann errichteten Testamento nuncupativo §° 5 die hauß armen beÿ ermeldten beeden gemeinden und zweÿ gleiche Stammtheile zu ihren erben eingesetzt, ihrem hinterbliebenen wittiber aber den lebtägigen genuß ihrer samtlichen verlaßenschaffts haab und nahrung verschafft und nachgehends die samtlich hoch und wohlverordnete H. Ober und Kirchenpfleger erwehnter beede gemeinden H. Not. Hoffmann am 20. sept. jüngst errichteten vergleich ihme dem wittiber und usufructuario die gantze mass tam active quam passive dergestalten überlassen, daß denen erben auf der zu einer tertz und welchen verlassenschafft gehörig alhier
auf dem baarfüßerplatz einseit neben Stephan Schreiber dem weinhändler anderseit neben der Stallischen wittib gelegen hinten auff dieselbe und von Ehingischen Eheleuthe erkaufften behausung – 300 pfund

Autre hypothèque passée le même jour au profit de Jean Henri Isenheim, beau-père des acquéreurs

1745 (1.10.), Chambre des Contrats, vol. 619 f° 687
Johann Daniel Ehinger der Feÿhlhauer und Maria Ursula geb. Isenheimin mit beÿstand ihrer schwäger H. Johann Christoph Spack des goldarbeiters und Johann Jacob Klein des schuhmachers
in gegensein ihres respective bruders und schwagers H. Johann Heinrich Isenheim Junioris des zinngießers als Mandatarius H. Johann Heinrich Isenheim sen. des zinngießers ihres respe. schwagers und vatters, zu bezalung des kauffschillings hiernach beschriebener behausung -schuldig seÿen 250 pfund
unterpfand, eine behausung und hoffstatt cum appertinentis am baarfüßerplatz einseit neben Stephan Schreiber dem weinhändler, anderseit neben der Stallischen wittib, hinten auff dieselbe – als ein theils am 15. Junÿ jüngst theils anheute erkaufftes guth

Fils du tonnelier Jean Georges Ehinger Jean Daniel Ehinger épouse en 1736 Marie Ursule Isenheim, veuve du coutelier Jean Gaspard Krebser : contrat de mariage, célébration
1736 (3.8.), Not. Lobstein (Jean, 31 Not 78) n° 359
Eheberedung – entzwischen dem Ehren: und vorgeachten Meister Johann Daniel Ehinger, dem Ledigen feÿelhauer und burgern alhier Zu Straßburg, als dem Bräutigam, ane einem
So dann der Ehren und tugendsamen Frauen Mariæ Ursulæ Krebßerin gebohrner Isenheimin, weÿland des Ehren: und Vorgeachten Meister Johann Caspar Krebßers, des gewesenen Lang Meßerschmids und burgers allhier Zu Straßburg, nunmehr seeligen nachgelaßener Wittib als der Frauen Hochzeiterin ane dem andern theil
So beschehen in Straßburg (…) auff Freÿtag den 3.ten Augusti Anno 1736. [unterzeichnet] Johann Daniel Ehinger, Maria Ursula Krebserin als Hochzeiterin

Mariage, Temple-Neuf (luth. f° 151 n° 35, 570)
1736. Mittw. d. 15.ten Aug. sind nach 2.mahl. ordent. proclamation ehelich copulirt u. eingesegnet worden Johann Daniel Ehinger der Ledige Feyelhauer u. burg. alhier weÿl. Joh: Georg Ehinger, deß burgers und Kieffers ehelicher nachgel. Sohn, und Fr. Maria Ursula weÿl. Johann Caspar Krebßer, geweßenen burg. und Langmeßerschmidts nachgel. Wittib [unterzeichnet] Johann Daniel Ehinger, Maria Ursula Krebserin (i 155)

Originaire de Thoune dans le canton de Berne, Jean Gaspard Krebser est condamné à une amende pour avoir tenu des propos injurieux à l’encontre de son ancien maître à Fribourg
1726, XI 154 (Protocole des maîtres couteliers)
(f° 46) Donnerstags den 25. Aprilis 1726 – Hannß Caspar Krebßer, der Gesell von Thung auß dem canton Bern, stehet vor und meldet, der ober meister habe Ihme Verbotten, als E vor ohngefähr 14 tagen anhero von freÿburg gekommen, vnd beÿ Mr Leopold Heinrich Henßel gearbeitet, Zuschencken nun habe Er verwichenen Sambstag Von Ihme dem obermeister Zu wißen begehrt, warumb, darauff habe Er geantwortet, weilen Er Ihne nemlichen seinen geweßenen Meister Henßel vor einen S. h. dieb gehalten sintemahlen Er vor Ihne geld eingezogen vnd Ihme solches nicht gelieffert, habe dahero solches schrifftlichen begehret, so Er aber nicht hat thun wollen.
Ille, habe seinetwegen geld eingezogen vndt nicht wider erstellet, halte dahero denselben vor einen S. h. dieb, mann könne derohalben Ihne Krebßer aus ursachen Er beÿ Ihme gerabeithet hat nicht passiren laßen.
Erkand, weilen der Meister von freÿburg ursach ist an dißen Streithändlen, dahero solle Er der Gesell seinen regress an den Meistern zu Freÿburg suchen, die Uncösten soll derselbe auf sich Leiden, hingegen soll Ihme ein Schein von der Meisterschafft mitgegeben werden, daß der freÿburger Meister von Ihme Kießel vor untüchtig gehalten wird.
Vorgedachter Krebßer stehet ferner Vor, und sagt Er Mr Kießel habe Ihne Vorgerstern in seinem hauß vor ein s h. Schelm vnd Spitzbuben gescholten, möchte wißen warumb, ob Er Ihme etwas unrechtes probiren kan.
Ille sagt, Cläger seÿe am Montag Zu 2. oder dreimahlen Zu Ihme gekommen vnd ungestimm geredet, vnd seinem Jungen hefftig gescholtten am Dienstag Morgens ist Er wider Kommen beneben 2. Gesellen, vnd par force Von Ihme schifftlich begehrt, daß Er dem freÿburger Meister vor einen d. h. dieb halte, weilen Er Ihme nun nichts hergeben wollen vnd Er alle Zeit der gesell darauff getrungen, so habe Er Ihne Cläger Verschimpffert.
Erkand, weilen sowohl Cläger als Beklagter gefehlet, dahero sollen Sie einander umb Verziehung bitten, vnd die Uncösten Jeder Zu helffte Leiden, treffen an 1. lb 5 ß d.

Jean Gaspard Krebser qui a travaillé pendant six ans chez Jean Nicolas Mannberger puis chez sa veuve demande à être admis maître. Le conseil le renvoie aux Quinze parce qu’il ne s’est pas inscrit selon le règlement. Il est porté au nombre des maîtres en novembre 1733 après avoir obtenu dispense des Quinze.

(f° 93-v) Montags den 7.ten Septembris Anno 1733. – Johann Caspar Krebßer, der Ledige Lang Meßerschmids gesell von Thun aus der Schwaitz canton bern gebürtig, stehet vor und meldet, Er habe alhier schon in die 6. Jahr theils beÿ weÿland herrn Johann Niclaus Mannberger, dem Lang Meßerschmid und burger, allhier, nunmehr seeligen und theils beÿ seiner nachgelaßenen Frau Wittib gearbeitet, bittet alßo, mann wolle Ihne gegen erlegung der gebühr Zum Meister Recht admittiren.
Erkand, weilen der erste Articul Vom 13.ten Octobris 1655. Vermag, daß ein frembder Meßerschmidts Gesell, wann Er allhier Meister werden will, sich Zuvor muß einschreiben laßen und davor 5. ß d erlegen, als dann 2 Jahr beÿ einem oder zweÿen Meistern allhier die Jahr verarbeiten, Er aber solches noch nicht vollzogen, dahero Kan mann Ihme in seinem begehren nicht willfahren, dt. 1. lb 4 ß d ist dahero an Unsern G. herren die XV. verwießen worden.

(f° 96) Montags den 16.ten Novembris Anno 1733. – Meister Recht
Johann Caspar Krebser der Lang Meßerschmid producirt einen bescheid Von Unsern G. herren den XV. vom 24.ten Octobris 1733. Vermög deßen Er Zum Meister Recht gegen erlegung 6. lb f halb der Statt und halb dem Pfenningthurn admittirt worden, nebst denen uncösten und der ordinari gebühr bittet also denselben dißorths anzunehmen.
Erkand, gegen erlegung der Gebühr willfahrt, hat Zuentrichten, Erstlichen vor das handwerck 1 lb 4 ß, Item vor das Meister Recht 18 ln, Item ane Straff ex dispensatione Unseren G. Herren der XV. 6 lb, Item ane außgelegten Uncösten 12 ß 6 s, Item vor die Jahr einzuschreiben 5 ß, Also in allem 26 lb 1 ß 6 d.

(f° 97) Sambstags den 13. Februarÿ 1737
Meister Gottfried Mannberger wider Meister Johann Caspar Krebßer, Georg Wolff quæstionirter gesell von Nürnberg

1733, Protocole des Quinze (2 R 140, notes)
Jean Gaspard Krebser présente une requête aux Quinze en arguant qu’il a travaillé à Strasbourg plus de six ans au cours de deux séjours. La commission estime le 19 septembre qu’il y a lieu de rejeter sa demande qui va à l’encontre du règlement. L’affaire est laissée en suspens jusqu’à ce que le pétitionnaire ait produit un certificat de bourgeoisie. L’affaire est à nouveau débattue le 24 octobre, Jean Gaspard Krebser prouve par certificat qu’il est bien fourbisseur et non coutelier.
(p. 168) Sambst. den 12. 7.bris. F. noe. Johann Caspar Krebser lang Meßerschmidts gesell Von thunn in der schweitz gebürtig Ca. E. E. Meisterschafft d. langmeßerschmidt H. obt. prod. uth. imploration und respective appell. schrift sambt beÿl 1. pt° Mtr recept. M. cit. præs. b. cop. T. o. p last cop. zu b. aber dep. M. pr Erk. cop. und Oberhwkshh.

(p. 171) Montag den 14. 7.bris – Iid: Lect. appell kl. mit beÿl 1. in s. Johann Caspar Krebßers Ca. E. E. Msch. d. Langmeßerschmitt. Ille gehört, beziehet sich auf seine schrifft, hoffend d. ihMe gleich gnad, wie an deren gedeÿen Werde. nôe d. Msch Gottfridt Mamberger obstr. Abraham Peters, Joh: Jacob Vogt, , Georg Heinrich Delscher und Frantz Leopold Ritter legen Vor Verantwortung.
Ille rep. er seÿ Zwar Verreÿßt geweßt aber seÿe dar zwischen wider hier in arbeit gekommen und mache es Zusammen beÿ 6 jahr. appellanten bezieh. sich auf den 1.ten art. de aô 1655. H. Dep. appellant mit seinem begehre, ab: und an die ordnung Zu Verweißen, ref. exp. Erk. in plenum.

(p. 328) Sambstag den 19. 7.bris 1733 – Iid. [Ober hwk. herren] ref. Johann Caspar Krebser der langmesserschmidt gewesen Von tunn in der schweitz gebürtig habe Ca. E. E. Hwkh der Langmeßerschmitt eine so rubricirt unth. imploratio, und respectivé app. schrifft samt beÿl No. 1 prod. ged. Hwkh bittet cop. et t. o. Appellant aber ließe cop. Zu, bittet Zugleich umb dep. mit welcher auch willfahrt word.
R. bezoge sich appellant auff sein prod. daß ihne gleich gnad wie anderen, gedeÿen Werden nôe daß hwks haben godtfridt Mamberger, Abrahamb Peters, Johann Jacob Vogt, Georg Friedrich delscher, und Frantz Leopold Eiler ihre Verantwortung schrifft.Vorgelegt, undt anbeÿ sich auf den 1. jhrer art. de aô 1655. bezog. wird.
Ille rep. es seÿe wahr, daß er zwischen de Zeit, alß er hier geabeitet, Verreÿßt gewesen deßen ungeachtet aber, so werde sie Zeit, die er hie in abreith zugebracht haben beÿ 6 jahr außmachen.
H. Dep. daß der appellant undt respective implorant mit seinem begehren ab: und ahn die ordnung Zu verweißen seÿe. ref. exp.

(p. 174) Sambst. den 19. 7.bris – Iid. ref. in s. Johann Caspar Krebßers Ca. Langmeßerschmitt: und schwerdtfeger. Erk. in suspenso gelaßen biß appellant einen burgersschein wird producirt haben.

(p. 184) Sambst. den 3. 8.br. – F. Joh: Caspar Krebser in acyis Ca. E. E. Hwkh d. langmeßerschmitt obstr. in actis, Weilen pplis lauy hiemit komm. Extractus beÿ E. E. Großen rath deß bgr. rechts v.tröstet Worden, alß erhalt er nochmahlen pt° Mstrrechts sein pet. Vom 12. 7.bris jüngst.
M. b. zu mündl. Verantw. umb Dep. F. weil bereits schon ein dep. gehalten Word. und d. heutige ein parition auff Mghh. vorbescheidt ist alß b. Wie Vor. M. b. ut modo. Erk Obhwks Hh.

(p. 188) Montag den 5. 8.bris – Iid: Sec. prod. und. rec. Vom 3. hus. in s. Johann Caspar Krebßers Ca. E. E. hwkg d. lang Meßerschmitten. Ille gehört, hat pet: widerhohlt. nôe d. Msch zugegen Gottfridt Mamberger, Georg Heinrich Delscher, Joh: Jacob Vogt, Frantz Leopold Ritter, undt Ernst Ludwig Bopp sagen sie hetten erfahren, daß er ein Kurtz: und kein langmeßerschmitt seÿe, appellant resp. es seÿ ein chicane, legt Vor Lehrbrieff: und geburtßschein woraus erhellet, d. er ein langmeßerschmitt vid. waß den 19. 7.bris jüngst beÿ MGhh. deßweg. vorgekommen, mem. pa. 334. H. Dep. Mdg. Zu überlaß. Erk. in plenum.

(p. 190) Sambst. den 24. 8.bris – Iid. ref. in s. Johann Caspar Krebßers Ca. E. E. hwkg d. lang Meßerschmitt. Erk. bedacht beliebt.

(p. 191) Sambst. den 31. 8.bris – Chr. nôe. Joh: Caspar Krebßers in actis Ca. E. E. hwkh d. lang Meßerschmitt. b. comm. deß ergangenen bescheids. Erk. Willfahrt

(p. 342) Sambstag den 24. Octobris 1733. – Iid: ref: Johann Caspar Krebser der langmeßerschmitt ein Extractum auß E. E. großen raths prot. prod. erholte darauff petitum Vom 12.ten 7.bris jüngst, ged. Hwk bittet Zu mündl. Verantw. umb Dep. mit Welcher Willfahrt worden.
R. habe der implorant pet. Widerhohlt nôe der imploranten seÿen Vorgestanden Gottfriedt Mamberger, Georg Heinrich Delscher, Johann Jacob Vogt, Frantz Leopold Ritter, undt Ernst Ludwig Bopp, welche geantwortet sie hette, erst erfahren, daß gegener ein Kurtz: undt kein langmeßerschmitt seÿe, Implorant rep. dißes seÿe eine chicanne, legte Vor lehr: und geburts brieff, auß Welchem man ersehen daß der Implorant ein lang Meßerschmidt seÿe. Hierauff Wurden ablelesen, Waß in dieser sach den 19. 7.bris jüngst ref. Worden vide pag. (-) und Weilen der Implorant Würcklich deß burgerrechts Vertröstet zu sein behörig erwießen, undt er sich – en küfftiger burger mit seinem hwkh ernehren müße, alß stelle man Zu MGhh. waß sie dißfalls gn. Zu erkennen wollen.

Fils du coutelier Jean Krebser de Thoune, Jean Gaspard Krebser épouse en 1733 Marie Ursule Isenheim, fille de Jean Henri Isenheim : contrat de mariage, célébration
1733 (3.9.), Not. Lobstein (Jean, 31 Not 78) n° 301
Eheberedung – entzwischen dem Ehren vnd vorgeachten herrn Johann Caspar Krebser, dem ledigen Lang Meßerschmid von Thun aus Schweitz gebürtig, weÿland des Ehren vnd vorgeachten herrn Johann Krebßers auch geweßenen Lang Meßerschmids vnd burgers daselbsten nun mehr seeligen nachgelaßenem Sohn, als dem herrn Bräutigamb, ane einem,
So dann dem Ehren und wohl vorgeachten herrn Johann Heinrich Isenheim, des ältern Zinngießers vnd burgers allhier Zu Straßburg ehelich erziehlte tochter Nahmens Mariæ Ursulæ Isenheimin als der hochzeiterin, ane dem anderen theil
So beschehen in Straßburg auf Donnerstag den 3.ten Septembris Anno 1733 [unterzeichnet] Johann Caspar Kræpser als Hochzeiter, Maria Ursula Isenheimin als hochzeiterin

Mariage, Temple-Neuf (luth. f° 116) n° 29, 431)
1733. Dienst. d. 10. 9.br. sind auff schrifftliche erlaubnus von deß Regierenden H. Ammeisters Herrlichkeit, ohne Proclamation, im hauß ehelich Copulirt v. eingesegnet worden, Johann Caspar Krebßer der Ledige Lang Meßer Schmid v. burger alhier, weÿl. Joh: Krebsers geweß. b. v. Lang Meßerschmids zu Thun in d. Schweitz Nachgel. ehl. Sohn v. Maria Ursula H. Joh: Heinrich Isenheims b. v. Zinn Gießers ehl. Tochter [unterzeichnet] Johann Caspar Kræpser als hoch Zeiter, Maria Ursula Isenheimin als Hochzeiterin (i 120)

Gaspard Krebser présente la requête habituelle des réformés qui veulent devenir bourgeois. La commission constate que le pétitionnaire a la fortune suffisante pour que la reqête soit transmise au Grand Sénat.
1733, Conseillers et XXI (1 R
(p. 327) Montag d. 14.tr, 7.bris – Joh: Caßpar Krebßer Ref. Religion kombt ein puncto Ciuilegÿ.
Lt Fuchs, Nomine Johann Caßpar Krebßer des ledigen lang Meßerschmidts von thun aus der Schweitz, Reformirter Religion Zugethan, producirt unterthäniges Memoriale und Bitten sambt beÿlagen Sub Num.is 1 bis 7 inclusivé, umb gnändige Weißungen E. E. großen Rath Zu erhaltung des Burgerrechtens, handelt innhalts.
Ist Erkandt, werden Zu untersuchung des Imploranten Vermögens H. XV.r Schenck und H. Rth. Städel abgeordnet auff deren hoc puncto erstattete Relation, ferners ergehen soll, was recht ist. Deputati ijdem Zu anzeigung des Bescheids.

(p. 338) Sambstag d. 26.ten Septembris – Joh: Caßpar Krebßer wird puncto Ciuliegÿ E. E. großen Raths Verwießen.
H. XV.r Schenck referirte, Waßmaßen Er, meiner Herren Erkandtnuß vom 14.ten huius Zufolg, Johann Caßpar Krebßer des aus der Schweitz gebürtigen und der Reformirten Religion zugethanen langmeßerschmidts Vermögen untersucht, und befunden daß Solches in 750. lb. d. baaren gelds bestehe laut ein von Notario Lobstein auffgesetzten Attestai, Welche Summ der Implorant auch sein Wahren und unverfangenes eÿgenthumb Zuseÿn mit einem Cörperlichen eÿd bekräfftiget hat.
H. Lt. Städel der andere Deputatus war unpäßlichkeit halben nicht gegenwärtig.
Erkandt, Wird Implorant nach sattsamer bescheinung seines Vermögens, Zu erhaltung des Burgerrechts an Einen Ehrsahmen Großen Raths verwießen. Dep. H. XV.r Schenck zu anzeigung des Bescheids.

Jean Gaspard Krebser devient bourgeois par sa femme un mois après son mariage
1733, 4° Livre de bourgeoisie p. 1005
Johann Caspar Krebßer d. langmeßerschmidt Von Inluß in d. schweitz geb. erhalt d. b. von seiner ehefr. Maria ursula Eißenheimin umb d. alt. b. woill beÿ E: E: Zunfft d. schmidt dienen, Jur. eod. [23. Xb 1733]

Les nouveaux mariés font dresser l’inventaire de leurs apports dans une maison au Vieux-Marché-aux-Poissons. Ceux du mari s’élèvent à 63 livres, ceux de la femme à 632 livres.
1733 (7.12.), Not. Lobstein (Jean, 31 Not 37) n° 856
Inventarium und Beschreibung aller derjenigen Haab, Nahrung und Güthere, so der Ehren: und Wohl Vorgeachte Herr Johann Caspar Krebßer, der Lang Meßerschmid und die Viel Ehren: und Tugendsahme Frau Maria Ursula Krebßerin, gebohrene Isenheimin, beede Eheleuthe und Burgere allhier Zu Straßburg einander für ohnverändert in den Ehestand Zugebracht, welche der ursachen, allweilen in Ihr beeder Eheleute mit einander auffgerichteten heuraths Verschreibung expresse enthalten, daß eines Jden in die Ehe bringende Nahrung reservirt und ohnverändert sein und bleiben solle (…) So beschehen in Straßburg in Beÿsein des Ehren und Wohl vorgeachten Herrn Johann Heinrich Isenheims, des ältern Zinngießers, der Ehefrauen geliebten herrn Vatters und Herrn Veit Kärchers des Schreiners Ihres noch ohnentledigten Curatoris beeder burgere allhier auf Montag den 7.ten Decembris Anno 1733.
In einer allhier Zu Straßburg ane dem Untern Fisch Marck gelegenen und in dieße Zugebrachte Nahrung Nicht gehörigen Behaußung, befunden worden, wie folgt
Wÿdembs Verfangenschaft, Welche Herr Johann Heinrich Isenheim, der ältere Zinngießer und burger allhier der Ehefrauen geliebter Herr Vatter von Weÿl. Frauen Maria Ursula Isenheimin geb. Schaaffin seiner Erstern Ehefrauen seel. Zeit Lebens zugenießen hat
Abzug In gegenwärtig Inventarium gehörig. Des Manns in die Ehe gebracht Vermögen. Sa. haußraths 81, Sa. Werckzeugs Zum Lang Meßerschmidt handwerck gehörig 13, Sa. Silbers 1, Summa summarum 96 lb – Schulden 40, Detrahendo verbleibt 56 lb, Hierzu kommen die Ihme gebührige zween drittetheil ane denen haussteuren 6 lb, Des Manns völlig in die Ehe gebracht guth 63 lb
Der Frauen in die Ehe gebrachte Nahrung, Sa. haußraths 210, Sa. Silbergeschmeids 29, Sa. Goldener Ring 19, Sa. baarschafft 370, Summa summarum 628 lb – Darzu gelegt ane denen verehrten haussteuren den Ihro Zuständigen drittentheil 3, Der Frauen Völlig in die Ehe gebracht Vermögen 632 lb

Jean Gaspard Krebser meurt en 1735 en délaissant une fille. L’inventaire est dressé dans une maison Grand rue. La masse propre à la veuve est de 468 livres. L’actif de l’héritière et de la communauté s’élève à 129 livres, le passif 412 livres.
1735 (23.6.), Not. Lobstein (Jean, 31 Not 43) n° 961
Inventarium und Beschreibung aller derjenigen Haab, Nahrung und Güethere, so Weÿland der Ehren: und Wohl vorgeachte Herr Johann Caspar Krebßer, der geweßene Lang Meßerschmid und burger allhier Zu Straßburg nunmehr seel. als derselbe Sambstags den 11.ten dießes Monats Junÿ dießes Zetliche in das Ewige verwechßelt, nach solch seinem aus dießer Welth genommenem tödlichen hintritt Zeitlichen verlaßen, welche Verlaßenschafft auf freundliches ansuchen erfordern und begehren des Ehren: und wohl vorgeachten herrn Johann Heinrich Isenheims, des Jüngern Zinngießers und burgers allhier, als geordnet und geschworenen Tutoris Mariä Ursulä Krebßerin, des Verstorbenen seel. mit hernachgemelter seiner hinterbliebenen Wittib ehelich erziehlten töchterleins und ab intestato Verlaßener universal Erbin, welcher aber nomine seiner Pupillin dieße Verlaßenschafft anderer gestalt nicht als cum Beneficio Legis et Inventarÿ angetretten (…) ersucht und inventirt durch dte Ehren: und tugendsahme Frau Mariam Ursulam Krebserin gebohrene Isenheimin, die hinterbliebene Wittib mit assistentz des Ehren: und wohl vorgeachten herrn Veit Kärchers, des Schreiners und Burgers allhier Ihres geschwornen Curatoris (…) So Beschehen in Straßburg auf Donnerstag den 23.sten Junÿ Anno 1735.
In einer allhier zu Straßburg ane der Langen Straß gelegenen und in dieße Verlaßenschafft nicht gehörigen behaußung befunden worden, wie volgt
Wÿdembs Verfangenschaft, Welche Herr Johann Heinrich Isenheim, der ältere Zinngießer und burger allhier der Wittib geliebter Herr Vatter von Weÿl. Frauen Maria Ursula Isenheimin geb. Schaaffin seiner Erstern Ehefrauen seel. Zeit Lebens zugenießen hat
Antheil ane einer behausung. Der Vierdte ane einem Fünfftentheil das ist ein 20.theil
beÿ dem Münster gegen St. Lorentzen über (…)
Ergäntzung der Wittib abgegangenen ohnveränderten guths. Inhalt Inventarÿ über Beeder geweßenen Eheleute einander für ohnverändert in den Ehestand Zugebrachte Nahrungen in Anno 1733 durch mich Notarium Johann Lobstein auffgerichtet
Abzug In gegenwärtig Inventarium gehörig. Der wittib ohnverändert Vermögen, Sa. haußraths 24, Sa. Silbergeschmeids 11, Sa. goldener Ring 9, Sa. baarschafft 7, Sa. antheils ane einer Behaußung 25, Sa. Schulden 22, Erg. rest 367, Summa summarum 468 lb
Der Erbin ohnverändert und theilbahre Nahrung, Sa. haußraths 43, Sa. Werckzeugs und gemachte wahr Zum Lang Meßerschmidt handwerck gehörig 73, Sa. Silber Geschmeids 9, Sa. Activ Schulden 3, Summa summarum 129 lb – Schulden 412 lb, der Erbin Passiv onus 282 lb
Stall Summ 186 lb

Jean Daniel Ehinger et Marie Ursule Isenheim font dresser l’inventaire de leurs apports dans une maison Grand rue. Ceux du mari s’élèvent à 242 livres, ceux de la femme à 484 livres.
1736 (30.8.), Not. Lobstein (Jean, 31 Not 45) n° 1032
Inventarium und Beschreibung aller der jenigen Haab, Nahrung und güethere, so der Ehren: und vorgeachte Meister Johann Daniel Ehinger, der feÿelhauer und die Ehren: und tugendsahme frau Maria Ursula Ehingerin, gebohrene Isenheimin, beede Eheleuthe und Burgere allhier Zu Straßburg, einander Vor ohnverändert in den Ehestand Zugebracht, welche der ursachen, allweilen in Ihr beeder Eheleute mit einander auffgerichteten heuraths Verschreibung expressé enthalten, daß eines jeden in die Ehe bringende Nahrung reservirt und ohnverändert seÿn vnd bleiben solle (…) So beschehen in Straßburg, in beÿsein des Ehren: vnd wohl vorgeachten herrn Veit Kärchers, des Schreiners und burgers allhier, der Ehefrauen annoch ohnentledigten Curatoris, auf Donnerstag den 30.ten Augusti Anno 1736.
In einer allhier zu Straßburg ane der Langen Straß gelegenen und in dieße Zugebrachte Nahrung nicht gehörigen behaußung befunden worden, wie volgt
Wÿdembs Verfangenschaft, Welche Herr Johann Heinrich Isenheim, der ältere Zinngießer und burger allhier der Wittib geliebter Herr Vatter von Weÿl. Frauen Maria Ursula Isenheimin geb. Schaaffin seiner Erstern Ehefrauen seel. Zeit Lebens zugenießen hat
Abzug In gegenwärtig Inventarium gehörig. Des herrn in die Ehe gebracht guth, Sa. haußraths 56, Sa. Werckzeugs zum Feÿelhauer handwerck gehörig 57, Sa. Silbergeschmeids 12, Sa. Pfenningzinß haubtgüter 218, Summa summarum 345 lb – Schulden 125, Nach solchem abzug 220, Dießer Summ ist nun ferner beÿzusetzen der halbe theil ane denen verehrten haussteuren 21 lb, Des herrn völliges in die Ehe gebrachte Guth 242 lb
Der Frauen in die Ehe gebracht Vermögen, Sa. haußraths 230, Sa. Werckzeugs und gemachte wahr Zum Langmeßerschmidt handwerck gehörig 90, Sa. Silbers 30, Sa. Goldener Ring 21, Sa. baarschafft 10, Sa. Pfenning 79, Summa summarum 462 lb – Hierzu ist nun ferner beüzusetzen der halbe theil ane denen verehrten haussteuren 21 lb, der Frauen gantzes in die Ehe gebracht Vermögen 484 lb

Jean Daniel Ehinger hypothèque la maison au profit de son beau-père Jean Henri Isenheim pour en régler le prix d’achat.

1748 (13.5.), Chambre des Contrats, vol. 622 f° 410-v
Johann Daniel Ehinger der feÿlhauer
in gegensein Johann Heinrich Isenheim des jüngern zinngießers nahmens seines vatters Johann Heinrich Isenheim senioris des zinngießers (…) Isenheim dem ältern seinem schwäher zu bezalung der vorhin auff hiernach beschriebener behausung gehaffteten capital von 1450 lb
unterpfand, eine behausung und hoffstatt am Baarfüßer platz, einseit neben Stephan Schreiber dem weinhändler, anderseit neben Stallischen wittib

Jean Daniel Ehinger et Marie Ursule Isenheim hypothèquent la maison au profit du courtier Jean Samuel Fingado

1751 (5.11.), Chambre des Contrats, vol. 625 f° 545-v
Johann Daniel Ehinger der feÿlhauer und Maria Ursula geb. Isenheimin mit beÿstand Johann Jacob Dürrbach des schloßers und Lorentz Seeberg des silber drehers beede ihrer vettern
in gegensein H. Johann Samuel Fingado des geschwornen courtier – schuldig seÿen 400 pfund
unterpfand, eine behausung und hoffstatt ane dem Baarfüßer:platz einseit neben Stephan Schreiber dem weinhändler, anderseit neben Stallischen wittib, hinten auff dieselbe

La tribu des Fribourgeois fait grief à Jean Daniel Ehinger de servir à boire et à manger aux pensionnaires de la foire d’été qu’il a été autorisé à héberger. Le conseil ne lui inflige aucune amende après avoir entendu ses explications.
1752, Protocole de la tribu des Fribourgeois (XI 167)
(f° 158-v) Donnerstags den 16.ten des Monaths Novembris Anno 1752 – Johann Daniel Echinger der Feÿelhauer ex officio citiret, daß derselbe Zwar mitt Erlaubnus frembde Leuth in Letzten St Joh. Bapt: Meß logiret aber denselben ohne Erlaubnus gn. Hh. derer XV. denenselben wein vnd Eßen umbs geldt gegeben. Ejus uxor præsens Sagt, Sie haben Zwar frembde Leute im Losament gehabt Ihnen aber weder Eßen noch wein vmbs gelt gegeben, sonsten Sie sich den wein selbsten Eingeleges vnd hien vnd wieder anspeiset haben.
Hierauff ist Erkandt worden daß Citatus pro nunc Au absolviren Ihme aber ins Künfftige Niemanden ohne Erlaubnus Gn. Hh. denen XV.en Meß: Leuten beÿ * straff zu logiren, ex officio Zu verbieten.

Jean Daniel Ehinger et Marie Ursule Isenheim hypothèquent la maison au profit des mineurs Jean Frédéric et Marie Elisabeth Isenheim

1753 (22.2.), Chambre des Contrats, vol. 627 f° 94-v
Johann Daniel Ehinger der feÿlhauer und Maria Ursula geb. Isenheimin mit beÿstand ihres bruders Johann Heinrich Isenheim des zinngießers und ihres schwagers Johann Christoph Spach des goldarbeiters
in gegensein Johann Wilhelm Schatz des zinngießers als vogt Johann Friedrich und Mariæ Elisabethæ der Isenheim – schuldig seÿen 200 pfund
unterpfand, eine behausung und hoffstatt ane dem Baarfüßer:platz einseit neben Stephan Schreiber dem weinhändler, anderseit neben Stallischen wittib, hinten auff dieselbe

Jean Daniel Ehinger et Marie Ursule Isenheim hypothèquent la maison au profit du pasteur Jean Georges Stuber

1754 (4.2.), Chambre des Contrats, vol. 628 f° 70-v
Johann Daniel Ehinger der feÿelhauer und Maria Ursula geb. Isenheimin mit beÿstand ihres bruders Johann Friedrich Isenheim des ledigen Zingießers und ihres schwagers Johann Michael Kräutler des stadt drehers
in gegensein H. M. Friedrich Jacob Reuchlin S.S. Theol. D. et Prof. wie auch Cap, Thom. Canonici als mandatarius seines H. tochtermanns Johann Georg Stuber jetzmahlen pfarrers im Steinthal – schuldig seÿen 200 pfund
unterpfand, eine behausung und hoffstatt ane dem Baarfüßerplatz, einseit neben Stephan Schreiber anderseit neben den Stahlischen erben, hinten auff dieselbige

La tribu des Fribourgeois inflige une amende à Jean Daniel Ehinger pour avoir fourni un certificat d’hébergement non conforme.
1767, Protocole de la tribu des Fribourgeois (XI 168)
(f° 308) Mittwoch den 6.ten mensis Maji in Anno 1767 – Johann Daniel Ehinger der Feÿelhauer auff dem Baarfüßer Platz allhier wohnhaft, citirt wegen eines Ihro Gnaden dem Regirenden Herrn Ammeister überschickten Straffbahren Nacht Zeduls Maßen dasselbe darinnen nicht nur zu klein nicht gemeldet, wer undt woher Mr Roullot so Er den 26. Octobris 1766 allschon logiret, deßhalben aber erst den 31.ten ejusdem mensis et anno solchen Nachtzedul überschicket hat.
Citati uxor præsens Sagt Ihr Mann wäre Kranckh, habe dahero nicht Selbst Erscheinen können, Meldet daß der Zedul quæstionis were dahero durch Sie geschrieben worden.
Erkandt Solle beklagter pro Nunc nur in 10. ß d Straff condemnirt seÿn

Marie Ursule Isenheim meurt en 1775 en délaissant quatre enfants de son mariage avec le veuf. Les experts estiment la maison à la somme de 750 livres. La masse propre aux héritiers est de 2 507 livres. L’actif du veuf et de la communauté s’élève à 972 livres, le passif à 3 457 livres

1775 (30.9.), Not. Schaeff (Jean Frédéric, 6 E 41, 864) n° 161
Inventarium über Weil: der Ehr: und tugendsamen Fraun Mariæ Ursulæ Ehingerin gebohrener Isenheimin, H. Joh: Daniel Ehinger des Feÿelhauers und burgers alhier Zu Straßburg geweßener Ehefrauen nunmehro seel. Verlaßenschafft auffgerichtet in Anno 1775. – (…) nach ihrem am 9.ten Maÿ 1774. aus dieser Zeit und Welt genommenen töd. Hintritt nach sich verlaßen. Welche Vermögens Nachlaßenschafft heutigem Zu End gesetztem dato auf freundl. Ansuchen und begehren hernach gemelter der Frauen Defunctæ seel. Zu Erben verlaßener Kinder (…) So beschehen alhier Zu Strasburg in einer ane dem Baarfüßer Platz gelegener hiehero eigenthümlich gehöriger und hernach mit mehrerem beschriebener behaußung auf Sambstag den 30.ten Septembris Anno 1775.
Benennung der Erben. Die verstorbene seel. hat ab intestato Zu ihren rechtmäsigen Erben verlaßen nament und 1° H. Johann Daniel Ehinger dem leedigen Feÿelhauser, so majorennis und hiebei Zugegen, seine eigene Interesse besorget, 2° Jgfr. Mariam Ursulam Ehingerin, 3.° Jgfr. Mariam Margaretha Ehingerin, 4.to Jgfr Mariam Magdalenam Ehingerin, Welche dreÿ Jungfrauen töchter ebenfalls volljährigen alters persönlich zugegen unter beÿstand Hn Joh: Frid. Isenheim, des Zinngiesers und burgers alhier ihres Oncles ihren eigenen Nutzen hiebei beobachtet. Alle vier der verstorbenen Fraun seel. mit eingangs gemeltem dem hinterbliebenen Wittiber ehel. erzeugte Kinder und ab intestato Zu vier gleichlingen portionen und antheilern verlaßene Erben

Bericht Zu gegenwärtigem Inventario. Gleich Zu anfang dieses Geschäffts haben der H. Sohn und die Jungfrauen töchter mit beÿstand wie hievor gemelt, ihre Erklärungen dahien gethan, wie daß sie gar wohl Zu voraus einsehen können, daß ane theilbaren Vermögen nicht das gerigste ausfällig seÿn möge. Diesemnach wollen sie sich dieselben mehreres nicht als ihr unverändert mütterl. Guth bestens vorbehalten, den Überrest der Verlaßenschafft aber den hinterbliebenenWittiber und vater tam active quam passive überlaßen haben, welchergestalten deren des Wittibers unverändert und die theilbare Verlaßenschafft unter einer Mass beschrieben worden.
(f° 8) Eigenthum ane einer Behausung. Neml. eine behausung und hoffstatt mit allen übrigen deroselben begriffen, Weiten, Zugehörden, Rechten und Gerechtigkeiten, gelegen alhier Zu Strasburg ane dem baarfüßer Platz, einseit neben Weil. Mr Frid: Weishaar geweßenen Weinhändlers alhier hinterlaßener Wittib, anderseit neben Jacob Stamm dem Weißgerber und hinten auf eben denselben stoßend, so außer denen darauf haftenden und hernach passivé eingetragenen Capitalien gegen männiglicher freÿ leedig eigen und dermalen durch (die Werckmeistere) zufolg deroselben unterm 3.ten 8.bris 1775. schrifftl: ausgestellten und bei dieses Invent: Concepto verwahrlich liegenden Abschatzungs Scheins gewürdiget und angeschlagen worden vor und umb 1500. fl. oder 750 lb. Über zween dritte theil sothaner behausung besagt und ist vorhanden ein deutscher pergamenter in alhiesiger C: C: Stub gefertigter und mit deroselben anhangendem Insiegel verwahrter Kauffbrieff de dato 15. Junii 1745. und über den übrigen dritten theil meldet ein deutsche auf dem Rucken erstbesagtem Kauffbrieff stehende auch in allhies. C: C. Stub errichtete Kauffverschreibung vom 1.ten 8.bris 1745.
(f° 9) Ergäntzung der Erben währender Ehe abgegangenen und unveränderten guths, Vermög des über beeder nun Zertrennter Ehepersohnen in die Ehe zugebrachter Vermögenschaften durch H. Not Joh: Lobstein am 30.ten Augusti 1736. auffgerichteten Inventarii
(f° 13) Series rubricarum hujus Inventarÿ. Copia der Eheberedung, Copia Codicilli nuncupativi
Der Erben unverändert Vermögen, Sa. haußraths 6, Sa. Schulden 75, Sa. der Ergäntzung 2525, Summa summarum 2607 lb – Schuld 100, Nach deren Abzug 2507 lb
Diesemnach so wird auch des Wittibers unverändert und die theilbare Verlaßenschafft unter einer Mass beschrieben, Sa. haußraths 59, Sa. Werckzeugs Zum Feÿelhauer Handwerck gehörig 18, Sa. leeren Faß 15, Sa. Silbers 4, Sa. goldenen Rings 2, Sa. Eigenthums ane einer behaußung 750, Sa. Schulden 122, Summa summarum 972 lb – Schulden 3457 lb, In Vergleichung 2485 lb
Beschluß und Stall summa 22 lb
Copia Codicilli – auf heut Mittwoch den 19.den Decembris nachmittag zwischen drei und vier Uhren in dem Jahr (…) 1753 (…), persönlich kommen und erschienen die Ehr: und tugendsame Maria Ursula gebohrene Ißenheimin Hn Johann Daniel Ehinger, Feÿelhauers und burgers alhier ehel. Hausfrau etwas unpäß. Leibes (…) So geschehen in dieser königl. Stadt Straßburg und einer ane dem genannten baarfüser Platz gelegenen beeden Eheleuten eigenthümlich zuständigen behaußung deren indem dritten Stockwerken mit denen Fenstern auf gedachten Platz aussehender Wohnstuben – Johann Jacob Heß, Notarius juratus

Règlement de l’usufruit et de la succession
1779 (12.8.), Not. Greis (Jean Frédéric 6 E 41, 878) n° 65
Summarische Berechnung auch respectivé Erörter- und Wittums Aufrichtung über Weiland Fraun Mariæ Ursulæ Ehingerin, gebohrner Isenheimin, Herrn Johann Daniel Ehingers des Feÿelhauers und burgers dahier zu Straßburg geweßener Ehefraun nun seel. Verlaßenschafft, nach Maasgaab des darüber durch Herrn Notarium Johann Friderich Schäff den 30.ten Septembris 1775 errichteten Inventarii dem Stalltax nach mit aufgerechneter verglichener Beßerung gefertiget

Jean Daniel Ehinger meurt en 1780 en délaissant quatre enfants. L’actif de la succession s’élève à 640 livres, le passif à 484 livres.
1780 (2.8.), Not. Greis (Jean Frédéric 6 E 41, 879) n° 89
Inventarium über Weiland Herrn Johann Daniel Ehingers, des ältern, geweßenen Feÿelhauers und burgers allhier Zu Straßburg und seel. Verlaßenschafft, errichtet Anno 1780. – (…) nach seinem den 26.ten Junÿ jüngst erfolgten Absterben an Vermögen hinterlassen hat, welche Verlaßenschafft auf Ansuchen des defuncti mit auch weiland Fraun Maria Ursula, gebohrener Isenheimin, seiner verstorbenen Ehegattin seel. erzeugte vier Kinder, als deßelben ab intestato zu gleichlingen Antheilen Verlaßene Erben (…)
Geschehen allhier Zu Straßburg in einer an dem baarfüßen Platz gelegenen Herrn Johann Georg Holderer, dem Kiefer und Weinhändler, auch burgern dahier, nunmehro eigenthümlich Zuständigen behaußung, Mittwochs den 2. Augusti Anno 1780.
Des Verstorbenen seel. ab intestato verlaßene Erben sind 1° herr Johann Daniel Ehinger, Feÿelhauer und burger allhier, Welcher in selbsteigener Persohn dieser Verlaßenschafft Inventur beÿwohnte, in den Ersten Vierten Stammtheil, 2° Jgfr. Maria Ursula Ehingerin, in den Zweÿten Vierten Stammtheil, 3° Jgfr. Maria Margaretha Ehingerin, in den dritten Vierten Stammtheil, So dann 4° Jgfr. Maria Magdalena Ehingerin, in den Vierten und letzten Stammtheil. Dieße dreÿ Töchter sind majorenes und ohnbevögtigt, dahero sie beÿ gegenwärtigem Verlaßenschafft Geschäfft mit Zuziehung herrn Johann Wilhelm Schmid, des handelsmanns und burgers allhier, ihres ad hoc angesprochenen beÿstands persönlich Zugegen waren und ihrem Nutzen besorgten.
Series Rubricarum hujus Inventarii, Sa. hausraths 38, Sa. Silbers 1, Sa. Pfenningzinß hauptguths 600 lb, Summa summarum 640 lb – Schulden 484 lb, Nach solchem Abzug 155 lb – Beschluss summ 576 lb, Stall summ 453 lb
Wittum belangend, Welchen der Verstorbene von weiland Frn Maria Ursula, gebohrener Isenheimin, seiner geweßenen Ehefraun bis an das Ende seines Lebens in handen gehabt und genoßen hat. Es hat namlich erstbenamßte des Defuncti Verstorbenenn Ehefrau in ihrem vor weiland Herrn Notario Joh. Jacob Heß und fünf Zeugen d. 19. Decembris 1753. errichteten Codicill, diesem ihrem Ehemann das General usumfructum ihres Verlaßenen Vermögens (…) verschrieben

Marie Madeleine Ehinger meurt célibataire en délaissant pour héritiers son frère et ses deux sœurs.
1785 (10.8.), Not. Greis (Jean Frédéric 6 E 41, 886) n° 286
Inventarium über Weiland Jungfraun Mariæ Magdalenæ Ehingerin, weiland Herrn Johann Daniel Ehingers senioris, gewesenen Feÿelhauers und Burgers alhier zu Straßburg nachgelaßener ehelicher tochter Verlaßenschafft, errichtet Anno 1785. (…) nach ihrem d. 30. Julÿ jüngst erfolgten Absterben hinterlaßen hat – Actum alhier Zu Straßburg in einer an der St Helenä Gaß gelegen hiehero nicht gehörigen Behausung, Mittwochs den 10. Augusti Anno 1785.
Die Defuncta Hat per testamentum zu Erben verlassen 1° Jungfrau Mariam Ursulam Ehingerin, welche beÿständlich H. Johann Daniel Ehingers des Feÿelhauers und Burgers alhier ihres Bruders dieser Verlaßenschaft Inventur abwartete und ihr Interesse besorgte in den Ersten Zweÿten Stammtheil, So dann 2.do Frau Mariam Margaretham gebohrne Ehingerin H. Johann Caspar Hopp des Peruquenmachers und Burgers alhier Ehegattin, welche unter Verbeÿständung dieses ihres Ehemanns gegenwärtigem Verlaßenschaft Geschäfft in Person beÿwohnte und ihren Nutzen bneobeachtete, in den letzten Zweÿten Stammtheil. Beÿde sind der Verstorbenen leibliche Schwestern und per testamentum Zu gleichlingen Antheilen instituirte Erben.
Series Rubricarum hujus Inventarii, Sa. Hausraths 10, Sa. Silbers 12 ß, Sa. baarschafft 175 lb, Summa summarum 186 lb – Schulden 44 lb, Nach solchem Abzug 141 lb, Legat 50 lb, Stall Summ 141 lb
Copia Testamenti nuncupativi – die Ehren und Tugendsame Jungfrau Maria Magdalena Ehingerin, weil. H. Joh: Daniel Ehingers senioris gewesenen Feÿelhauers und burgers dahier seelig. nachgelaßene eheliche tochter mich (…) zu sich in eine alhier Zu Straßburg an dem Baarfüser platz gelegene H. Holderer dem Kiefer und Weinhändler eigenthümlich Zuständige Behausung berufen laßen, die wie auf unser Erschiennen daselbst eine Stiege noch in der vordern Stube mit denen Fensteren auf gedachten Platz aussehend, Zwar krancken und schwachen Leibes in einem Bette liegend (…) Donnerstags den 12. Octobris Anno 1780, Johann Friderich Greis Notarius juratus

Les enfants Ehinger vendent la maison au maître tonnelier Jean Georges Holderer et à sa femme Marie Barbe Schultz

1779 (27.7.), Chambre des Contrats, vol. 653 f° 274
Johann Daniel Ehinger der feÿlhauer, Maria Ursula Ehingerin so ledigen stands aber großjährig, Maria Margaretha und Maria Magdalena Ehingerin die großjährigen unter assistentz H. Johann Wilhelm Schmidt des handelsmanns
in gegensein H. Johann Georg Holderer des kieffermeisters und Mariæ Barbaræ geb. Schultzin unter assistentz H. Johann Friedrich Oettel des goldarbeiters und H. Johann Heinrich Schultz ebenmäßigen goldarbeiters
eine behausung und hoffstatt mit allen denen gebäuden, begriffen, weithen, zugehörden, rechten und gerechtigkeiten ane dem Baarfußerplatz, einseit neben der Weißhaarischen wittib und erben, anderseit neben der Stammischen ehefrau, hinten auff eben dieselben – besagten kinder vatters H. Johann Daniel Ehinger des ältern feÿlhauer mit lebenlänglichen wÿdums genuß verfangen – (um 800 fl, 400, 125 zusammen 1450 gulden beladen), geschehen um 2750 gulden

Fils du tonnelier Jean Frédéric Holderer, Jean Georges Holderer épouse en 1766 Marie Barbe Schultz, fille du boulanger Jacques Schultz : contrat de mariage, célébration
1766 (15.5.), Not. Langheinrich (J. Daniel, 6 E 41, 740) n° 281
Eheberedung – Zwischen dem Ehren: und Wohl vorgeachten Herrn Joh: Georg Holderer dem leedigen Kiefer und Weinhändler auch Burgern allhier Zu Straßburg, Weÿland Herrn Joh: Friedrich Holderer, des auch gewesenen Kiefers, Weinhändlers und Burgers allhier seeligen nachgelaßenem ehelich erzeugtem Sohn, als dem Herrn Bräutigam, ane einem,
So dann der viel Ehr: und tugendgezierten Jungfer Mariä Barbarä Schultzin, Weÿland Herrn Jacob Schultz des geweßenen Weißbecken und Burgers allhier seel. nachgelaßener ehelich erzeugten Jungfer Tochter, als der Jungfer Hochzeiterin am andern Theil
So beschehen in Straßburg auf Donnerstag den 15. Maÿ Anno 1766. [unterzeichnet] Johann Georg Holderer als Hochzeiter, Maria Barbara Schultzin Als Hochzeiterin

Mariage, Temple-Neuf (luth. f° 43 n° 62)
Im Jahr Christi 1766, Mittwochs den 18. Junii wurden nach vorhergegangener ordnungs mäsiger proclamation, so auff Dom. II. post Trin. und Dom. III. post Trin. geschehene in offentlicher Gemeinde ehelich miteinander copulirt und eingesegnet Johann Georg Holderer, lediger Kiefer von hier, weÿl. Johann Friedrich Holderer, gewesenen, Kiefers und burgers allhier, und weÿl. Fr. Maria geb. Lixine ehl. erzeugter hinterlassener Soh,; und Jgf. Maria Barbara Schultzin, weÿl. Johann Jacob Schultzen gewesenen Weißbecken und burgers allhier mit Fr. Maria Barbara gb. Beckin ehel. erzeugte Tochter [unterzeichnet] Johann Heinrich Holderer als hochzeiter, Maria Barbara Schultzin als hochzeiterin, (i 48)

Les nouveaux mariés font dresser l’inventaire de leurs apports dans une maison de location place des Cordeliers. Ceux du mari s’élèvent à 879 livres, ceux de la femme à 495 livres.
1766 (11.8.), Not. Langheinrich (J. Daniel, 6 E 41, 724) n° 606
Inventarium über des Ehren: und Wohl Vorgeachten Herrn Johann Georg Holderers, Kieffers und Weinhändlers und der Viel Ehr und Tugendgezierten frauen Mariä Barbarä Holdererin geb. Schultzin beeder Eheleuthe und burgere allhier Zu Straßburg einander für ohnverändert in den Ehestand Zugebrachte Nahrungen, auffgerichtet Anno 1766. (…) und sich vermög der Vor mir unterschriebenem Notario unterm 15. Maÿ 1766. errichteten heuraths Verschreibung Vor unverändert Vorbehalten haben – So beschehen in Straßburg in præsentia Hr Georg Friedrich Bruders Pergamenters und Burgers allhier der Ehefrauen noch ohnentledigten Vogts, auf Sambstags den 9.tn und Montag den 11.ten Augusti 1766.
In einer allhier Zu Straßburg ane dem Baarfüßer platz gelegener und in dieße Zugebrachte Nahrung nicht gehörigen Behaußung befunden worden Wie folgt
Series Rubricarum hujus Inventarÿ – Des Manns in die Ehe gebracjte Nahrung, Sa. Sin und Faß, auch Werckzeug, holtz und Reiff Zur Kiefer Profession gehörig, 229, Sa. Silbers 6, Sa. Baarschafft 603, Summa summarum 840 lb – Darzugelegt die Ihme dem Ehemann gebührige Helffte ane denen Haussteuren 39, Des Manns in die Ehe gebracht Vermögen dem vero pretio nach 879 lb
Dießemnach wird nun auch der Frauen in die Ehe bebracht Vermögen beschrieben, Sa. haußraths 101, Sa. Silbers 23, Sa. goldener Ring 24, Sa. Baarschafft 307, Summa summarum 456 lb – Dazu gelegt der Ihro der Ehefrauen gehörige Halbe Theil ane denen Verehrten Haussteuren antreffend 39, der Frauen in die Ehe gebrachte Guth in vero pretio 495 lb

Jean Georges Holderer devient tributaire chez les Tonneliers en juillet 1766.
1766, Protocole de la tribu des Tonneliers (XI 396)
(f° 214-v) Dienstags den 8. Julÿ 1766 – N. Leibzünfftiger
Meister Johann Georg Holderer der Kiefer Evangelischer Religion producirt Stall Schein Vom 7.ten Hujus, bittet ihne als einen neuen Leibzünfftigen Anzunehmen.
Erkannt Willfahrt. Zahlt pro receptione 1 lb 2 ß, feuer Eÿmer 10 ß, Prot. 3 ß, findl. 3 ß

Marie Barbe Schultz meurt en 1788 en délaissant deux enfants. Les experts estiment la maison à 600 livres. La masse propre au veuf est de 801 livres, celle propre aux héritiers de 756 livres. L’actif de la communauté s’élève à 1 246 livres, le passif à 2 262 livres

1788 (15.9.), Not. Schaaff (6 E 41, 917) n° 110
Inventarium über Weiland der Ehren : und Tugendbegabten Fraun Mariä Barbarä Holdererin geborner Schultzin, des Ehren und Wolvorgeachten Herrn Johann Georg Holderer, des Kiefer Meisters, Weinhändlers und Burgers dahier Zu Straßburg im Leben geweßter Ehefrau Verlassenschafft, auffgerichtet, Anno 1788 – nach ihrem den 13. Aprilis jüngsthin aus dieser Welt genommenen tödlichen Hinscheiden hier Zeitlichen verlaßen (…) So geschehen alhier Zu Straßburg in einer daselbst ane dem Baarfüßer Platz oben an der kleinen Stadel Gaß gelegenen hiesiger Löblicher Stadt eigenthümlich Zuständigen und diesorts Lehnungsweise inne habenden Sterbbehausung, auf Montag den 15. Septembris A° 1788.
Die Entseelte hat ab Intestato Zu Ihren wahren Erben Verlassen, mit Namen 1° Johann Jacob Holderer, so den 9. Maÿ 1772. an diese Welt gebohren worden, und die Kiefer Profession würcklich erlernet, So dann 2° Mariam Barbaram Holderer, so den 19. May 1778. auf die Welt gekommen, Dererselben geordnet: und geschworner Vogt ist Hr. Johann Heinrich Schultz, der hiesige Burger und Goldarbeiter, deren Oncle, welcher diesem Geschäfft in Persohn abgewartet und seiner beden Curanden Nutzen bestend dabei beobachtet. Bede der Verstorbenen mit Eingangs gedachtem dem hinterbliebenen H. Wittiber ehelich erzeugte Kindere und ab intestato Zu Zweien Gleichen Portionen und Antheilen Hinterlaßene Erben

Werckzeug Zur Kieffer Profession gehörig.
Eigenthum ane einer behausung. (T.) Nemlich I. behausung und hoffstatt, mit allen deren Gebäuden, Begriffen, Weithen, Rechten und Gerechtigkeiten allhier Zu Straßburg ane dem Baarfußer Platz einseit neben weil. H. Keß, des handelsmanns Wittib, 2. seit neben H. Johann Georg Fischer, dem Weinhändler und hinten auf ged. Keß’sche Wb. stoßend gelegen, so auser dem nunmaligen Vingtieme und hienach inventirtem darauf hafftendem Passiv Capital frei, ledig, eigen und durch hiesiger Löbl. Stadt geschworne Hh. Werckmeistere ausweislich deren Zu mein Notarÿ Concept gelieferten Abschatzung Zedul dedato 10. Julÿ 1788. dem billigen Wert nach æstimirt und angeschlagen pro 1200 fl. oder 600 lb. Darüber besagt i. teutsch. perg. Kaufbrief in alhies. Löbl. C. C. Stub gefertiget, de d. 27. Julÿ 1779. mit deroselben aufgetrucktem Insiegel verwahret. Ferner reden darüber Zwo Kaufverscheibungen auch in alhies. C.C. Stub auf Pergam: ausgefertiget de datis 15. Junÿ und 1. 8.bris 1745. mit dero anhangendem Insiegel versehen.
Ergäntzung des hinterbliebeneen Wittibers während der Ehe abgegangenen ohnveränderten Guths. Vermög der über beeder im Leben geweßter Eheleuten einander für ohnverändert in den Ehestand Zugebrachte Nahrungen durch weil. H. Not. Joh: Daniel Langheinrich am 9. und 11. Augusti 1776. errichteten Inventarÿ (…)
Series Rubricarum hujus Inventarÿ. Abschrift des Zwischen beeden nun getrennten Eheleuten Zur Zeit Ihrer Verheürathung vor weil. H. Notario Johann Daniel Langheinrich am 15. May 1766. auffgerichteter Eheberedung
Abschrifft des Von der Verstorbenen am 7.ten Aprilis 1768. Coram weil. Hn not° Johann Friderich Lobstein und 5. Gezeugen errichteten Codicilli.
Des hinterbliebenen H. Wittibers unveränderten Vermögen, Sa. Haußraths 2, Sa. Werckzeugs zur Kief. Prof. geh. 12, Sa. Silber geschmeids 2 ß, Ergäntzung per rest 836, Summa summarum 851 lb – Schulden 50, Nach deren abzug 801 lb
Diesemnach wird auch derer Kinder und Erben unverändert Vermögen beschrieben, Sa. Hausraths 105, Sa. Silbers und dergleichen Geschm. 4, Sa. Goldener ring 5, Sa. Baarschafft 5, Sa. Activschuld 50, Ergäntzungs rest 586, Summa summarum 756 lb
Endlich wird auch das gemein: verändert und theilbar guth geschrieben, Sa. Hausraths 73, Sa. Wein und Faß auch Brandw. 457, Sa. Silbers 14, Sa. Baarschafft 36, Sa. Pfenningzinses und deß. hptg. 25, Sa. Eigenthums an I. behß. 600, Sa. Activorum 32, Summa summarum 1246 lb – Schulden 2262, Theilbar passiv onus 1015 lb – Stall summa 542 lb
Wittums Verfangenschafft welche Frau Maria Barbara gebohrne Beckin dermalen H. Joh. Friedrich Oettel burgers und Goldarbeiters dahier eheliche Haußfrau diesortiger Erben Frau Groß Mutter von längst weil. H. Jacob Schultz, gewes. Weisbecken und burger, dahier ihrem verstorbenen, erstern Ehemann Lebtägig Wittums weise Zu geniesen Berechtiget ist (…) 1702 pfund
Copia der Eheberedung (…)
Copia Codicilli – persönlich erschienen die Viel Ehren und viel tugendsame Frau Maria Barbara Holderin, gebohrene Schultzin, von verleihung Göttlicher Gnade gesunden, gehend und stehenden, jedoch hochschwangern Leibes (…) auf Donnerstag den 7. Aprill Anno 1768 Nachmittags Zwischen vier und fünff Uhr – Johann Friderich Lobstein, Notarius

Les préposés de la Taille font figurer la succession dans leur registre parce que les impôts acquittés étaient calculés d’après une fortune sous-évaluée de 500 florins (250 livres) sur un total de 1 000 florins
1788 (20.11.), Livres de la Taille (VII 1181) f° 73-v
Kiefer N° 1391. Weÿland Fr: Mariä Barbarä gebohrner Schultzin, Johann Georg Holderer, des Kiefermeisters, Weinhändler und Burgers alhier gewesener Ehefr. Verlaßenschafft inventirt H. Not. Schaaff
Cocl: fin: Inv: ist fol: 107. 542 lb 3 ß 2 d diese machen 1000 fl. verstallte 500. fl. dennach Zuwenig 500 fl.
Wovon Nachtrag Acht Jahr in duplo à 1 lb 10 ß d – 12 ln
und Sechs Jahr in simplo à 15 ß – 4 lb 10 ß
Ext. kein Stallgelt
Gebott 2 ß 6 d
Abhandlung – 1 lb 6 ß 6 ß – Summa 17 lb 19 ß
Auf Eingebrachte triftige motiva ist der samtliche Nachtrag auf 3 lb 6 ß moderirt worden, geht daher ab 13 lb 4 ß, Verbleibt 4 lb 15 ß
dt. 19. Novembris 1788

Jean Georges Holderer se remarie en 1789 avec Anne Marie Dürrbach, fille du serrurier Jean Jacques Dürrbach : contrat de mariage, célébration
1789 (20.3.), Not. Schaaff (6 E 41, 919) f° 35
Eheberedung – persönlich kommen und erschienen der Ehren- undt vorgeachte Herr Johann Georg Holderer, verwittibter Kiefermeister, Weinhändler und Burger dahier als hochzeiter ane Einem,
So dann die Ehren: und tugendsame Jungfrau Anna Maria Dürrbachin, des Geachten Meister Johann Jacob Dürrbach, burgers und Schloßers dahier mit weil. Fraun Maria Dorothea geborner Lobsteinin ehelich erzeugte Großjährige tochter, beiständlich dieses Ihres Vaters, als Jungfer hochzeiterin am andern Theil
Straßburg Freÿtag den 20. Martii 1789. [unterzeichnet] Johann Georg Holderer als hochzeiter, Anna Maria dürrbachin als hochzeiterin

Mariage, Temple-Neuf (luth. f° 11 n° 16)
Im Jahr Christ 1789 sind (…) Dienstags darauf den Zwölften Maÿ Nachmittags um dreÿ Uhr in derselben offentlich copulirt und ehelich eingesegnet worden Johann Georg Holderer der Kiefer-Meister, weinhändler und burger allhier, Wittwer, der Zuvor in der Ehe gelebet mit weÿland Frau Maria Barbara geborner Schultzien, 53 Jahr alt und Jungfrau Anna Maria Dürrbachin, Johann Jacob Dürrbachs, des Schlosser-Meisters und burgers allhier und weÿland Frau Mariä Dorotheä geborner Lobsteinin eheliche Tochter, 38 Jahr alt [unterzeichnet] Johann Georg Holderer als hoch Zeiter, Anna Maria dürrbachin als hochzeiterin (i 36)

Les nouveaux mariés font dresser l’inventaire de leurs apports dans la maison. Ceux du mari s’élèvent à 5 131 livres, ceux de la femme à 178 livres La maison a été portée à la valeur de 2 100 livres lors du règlement de la succession de Marie Barbe Schultz

1789 (24.11.), Not. Schaaff (6 E 41, 918) n° 141
Inventarium über des Ehren: und Wolvorgeachten Herrn Johann Georg Holderer, Kiefermeisters und Weinhändlers und der Ehren:und Tugendbegabten Fraun Annä Mariä geborner Dürrbachin, beder Eheleuthen und Burgern dahier Zu Straßburg einander für ohnverändert in den Ehestand Zugebrachte Nahrungen, aufgerichtet Anno 1789. (…) einander in Ihren den 12. Maji Jüngsthin angetrettenen Ehestand Zugebracht und sich Vermög ihrer vor mir dem unterschriebenen Notario am 20. Martii solchen Jahrs aufgerichteten Eheberedung §° 3.tio vor ohnverändert vorbehalten haben – So geschehen alhier Zu Straßburg und einer daselbst ane dem Baarfüßer Platz gelegenen hiesiger Löblicher Stadt Zuständiger und diesorts Lehnungsweise inne habenden Behausung, in beiseÿn H. Johann Friedrich Oettel, burgers und Goldarbeiters hieselbst, der Ehefrauen hierzu insonderheit erbettenen H. beistands, auff Montag den 24. Novembris A° 1789.

Werckzeug Zur Kieffer Profession gehörig
Eigenthum ane einer Behaußung. (M.) Neml. I. behausung und hoffstatt mit allen deren Gebäuden, begriffen, Weithen, Zugehörden, Rechten und Gerechtigkeiten, alhier Zu Straßburg ane dem Baarfüßer Platz, I. seit neben weil. H. Keß, des hdlms: Wb. 2. seit neben H. Joh. Georg Fischer, dem Weinhändler, und hinten auf ged. Keß’sche Wittib stoßend gelegen, so über den nunmaligen vingt° frei, ledig eigen, und hiehero ohnnachtheilig um den in gleich hienach allegierter Summarischen berechnung auch ohnpræjudicirlich eingebrachten Anschlag in Auswurf zu bringen beliebet worden mit 2100 lb. Darüber besagt I. teutsch. perg: Kaufbr. in alhies. C. C. Stub gefertiget ded. 27. Julÿ 1779. mit deroselben aufgedruckten Insiegel verwahret. Ferner reden darüber Zwo Kauf Verschreibungen auch in alhies. C. C. Stub passirt sub datis 15. Junÿ und 1. 8.bris 1745. mit dero anhangedem Insigel Versehen.
Pro Nota. Diese behausung rühret des des disortigen Ehemanns und seiner verstorbenen erstern Ehefraun, weil. Fr. Mariä Barbarä geb. Schultzin seel. mit einander gehabten theilbaren Nahrung her, und wurde deswegen bei der über solche Verl. durch mich Notarium am 27. Febr. 1789. gefertigten Summarischen berechnung ohnpræjudicirlich und mit Vorbehalt der Kindern und Erben daran participirenden Eigenthums um obige Summ in Calculum gebracht, welches hier berichts weise anzumercken für nötig erachtet worden.
Wittum Welchen der diesortige Ehemann Von seiner Verstorbenen erstern Ehefrauen weil. Fr. Maria Barbara geborner Schultzin Vermacht bekommen und derselbe Lebtägig Zu genießen berechtiget
Series Rubricarum hujus Inventarÿ. Des Ehemanns Guths betreffend. Sa. Hausraths 431, Sa. Werckzeugs zur Kief. Prof. geh. 35, Sa. Wein und Faß 3161, Sa. Silbers 65, Sa. goldenen Rings 3, Sa. baarschafft 1630, Sa. Pfenningzinß u. deß. hauptguts 19, Sa. Eigenthums an I. behausung 2100, Summa summarum 7447 lb – Schulden 2334, Nach deren abzug 5112, Dazu gerechnet sein des Ehemanns participirende helffre ane denen Haussteuren 18. Des Ehemann Guth 5131 lb
Dießemnach wird auch der Ehefrau in die Ehe gebracht Vermögen beschrieben, Sa. Hausraths 89, Sa. Silbers 9, Sa. goldener Ring 27, Sa. Activ schuld 33, Summa summarum 160 lb – hierzu kommt die übrihe helffte eingegangener haussteuren 18, Der Ehefraun Vermögen 178 lb.

Anne Marie Dürrbach meurt en 1802 en délaissant des héritiers collatéraux. La masse propre aux héritiers est de 1 394 francs. L’actif de la communauté s’élève à 11 824 francs, le passif à 16 094 francs.

1802 (29 thermidor 10), Strasbourg 7 (16), Jean Daniel Stœber n° 1770, 3504
Inventarium über weÿl. b.in Anna Maria geb. Dürrbach b.s Johann Georg Holderer kieffers und Weinhändlers Ehefraun Verlassenschafft, ist gestorben den 27. florreal dieses Jahrs und hat zu Erben verlaßen vordersamst in die helfte gegenwärtiger Succession die von weÿl. br. Johann Jacob Dürrbach gewesten Schloßers auch weÿl. Maria Dorotea geb. Lobstein erzeugte Kinder und Enckel als vollbändige Geschwisterde und nieces benantlich 1. b.in Maria Magdalena Heusch geb. Dürrbach b.s Johannes Hurst Sigristen bei der evangelischen Pfarrkirch zu St Nicolai allhier Ehegattin, 2. weÿl. b.s Isaac Dürrbach gew. Schloßers mit fr. Catharina Margaretha geb. Baumgartner erzeugten Sohn Johann Friedrich Dürrbach so den 30. dec. 1783 zur welt gekommen und mit br. Abraham Dürrbach dem Schloßer seinem oncle bevögtigt, 3. bi.n Maria Dorotea Klein geb. Dürrbach br. Johann Daniel Klein Schreiners Ehefrau, 4. vorbenannter br. Abraham Dürrbach, 5. bi.n Maria Margaretha geb. Dürrbach dermalen br. Johann Daniel Klein Kuttlers Ehefrau, 6. br. David Dürrbach Schloßer so dann Johann Jacob Dürrbach leediger Schloßer von deßen Aufenthalt man seit geraumer zeit nichts weis
Eigenthum an einer behausung so des Wittibers unverändert, Neml. Eine behausung und hoffstatt mit allen deren Gebäuden, begriffen, Weithen, zugehörden, Rechten und Gerechtigkeiten an dem baarfußer plaz 1. seits neben weil. Keß handelsmanns Wittib 2.siets neben Joh. Georg Fischer Weinhändler hinten auff ged. Keßische wittib, darüber besagt ein Kaufbr. in der Cantzleÿ Contract Stub errichtet vom 27. julÿ 1779
der Erben mass, hausrath 1072 fr, silber und gold 113 fr, ergäntzung 208 fr, summa summarum 1394 fr
das teilbare vermögen, hausrath 647 fr, baarschafft 7680 fr, silber und gold 132 fr, wein eßig und branntenwein 3365 fr, summa summarum 11.824 fr – S schulden 16.094 fr, in Vergleichung 4270 fr
acp 85 F° 65 du 8 fruct. 10

Jean Georges Holderer meurt en 1804 en délaissant son fils Jean Jacques Holderer et une petite-fille issue de sa fille Marie Barbe.

1804 (23 pluviôse 12), Strasbourg 7 (19), Jean Daniel Stœber n° 1923, 5348
Inventarium über weÿl. burgers Johann Georg Holderer gewesenen Kieffers und Weinhändlers gestorben den 9. Pluviose letzthin und hat zu Erben verlaßen, 1. bürger Johann Jacob Holderer Kieffer und Weinhändler so in ehe lebet mit fraun Maria Elisabetha geb. Siefert, 2. weÿl. Maria Barbara geb. Holderer der tochter hinterlassenen uneheliches Kind Maria Barbara Zabern so 6 Jahr alt und mit erstbesagten dero bruder Johann Jacob Holderer bevögtiget, zum beivogt Georg Friedrich Holderer Gastgeber, Welchen Sohn der abgeleibte in erster ehe mit weÿl. Fr. Maria Barbara geb. Schulz seiner den 15 September 1788 verstorbenen Ehefrau gezeugt
der Wittib Fr. Maria Margaretha geb. Baumgartner beiständlich ihres Schwagers burgers Abraham Dürrbach Schloßers, in deme die natürliche Enkelin Maria Barbara Zabern durch das Gesetz vom 29 germinal 11 von dem Erbrecht ausgeschloßen
in der zu Straßburg am baarfüßerplatz gelegen und in dieser Verlassenschafft gehörigen behausung
der wittib unveränderte hausrath 562 fr, Geschmuck 47 fr
des Verstorbenen Kleidung und hausrath 1437 fr, silber und gold 100 fr
Verkauf register – (f° 13) Berechnung des Sohns und Universal Erben – So dann besteheht annoch gegenwärtigen Erbschafft in zwo tertzen einer behausung und hoffstatt mit allen deren Gebäuden und zugehörden gelegen zu Straßburg an dem baarfüßer plaz N° 27 einseit neben dem Sohn und Erb selbsten anderseit neben b. bruner beck hinten auff ihne bruner beck, an der übrigen terz participirt Er der erb selbsten die helffte als mütterliches gut und die übrige helffte als den 6.ten theil der Völligen behausung participirt Maria Barbara Zabern als natürliche Enckelin
die völlige vätterlichen mass ohne zwo tertzen der behausung 1431 fr
Enregistrement, acp 90 F° 111 du 3 vent. 12

Les héritiers de Jean Georges Holderer vendent la maison au cordonnier Henri Geoffroi Schaaff et à Marguerite Salomé Freysz

1820 (20.3.), Strasbourg 9 (anc. cote 41), Philippe Frédéric Hickel n° 447
Jean Jacques Holderer, tonnelier, et Elisabeth Seiffert, Marie Barbe Holderer, majeure
à Henri Geofroi Schaaff, cordonnier, et Marguerite Salomé Freysz
une maison à rez de chaussée et trois étages sise en cette ville place d’Armes n° 27 tenant d’un côté aux héritiers Brühn, de l’autre auxdits conjoints Holderer, derrière les héritiers Brühn – ledit immeuble appartient à Jean Jacques Holderer pour cinq 6° et Marie Barbe pour un 6°. Le Sr Holderer est propriétaire de quatre 5° comme seul et unique héritier de Jean Georges Holderer son père décédé tonnelier et du 6° restant comme héritier pour moitié de Marie Barbe Schultz sa mère. Marie Barbe Holderer l’a recueilli dans la succession de Marie Barbe Holderer sa mère dont elle est seule et unique héritière à laquelle ce 6° était avenu dans la succession de Marie Barbe Schultz femme Holderer sa mère dont elle était héritière pour moitié. Jean Georges Holderer et Marie Barbe Schultz ont acquis ladite maison de Jean Daniel Ehinger, Marie Ursule Ehinger, Marie Marguerite Ehinger et Marie Madeleine Ehinger par acte passé à la Chambre des Contrats le 27 juillet 1779. Les frères et sœurs Ehinger l’ont recueilli dans la succession de Jean Daniel Ehinger, leurs père et mère qui avaient acquis de Georges Nicolas Bayrath, décédé chirurgien par deux contrats passés à la Chambre des Contrats le 15 juin 1745 et 1 octobre de la même année – Remis expéditions des actes passés à la Chambre des Contrats les 27 juillet 1779, 15 juin et 1 octobre 1745 – pour 5000 francs
Enregistrement, acp 146 F° 150 du 21.3.

Fils du tourneur Frédéric Schaaff, Henri Geoffroi Schaaff épouse en 1811 Salomé Freyss, fille du cordonnier Conrad Freyss : contrat de mariage, célébration
1811 (25.6.), Strasbourg 7 (29), Jean Daniel Stœber n° 2082 (10.440)
Contrat de mariage – furent présens le Sr Henri Geofroi Schaaff cordonnier demeurant en cette ville rue du maroquin N° 16 fils de feu le Sr Frédéric Schaaff tourneur en cette ville et de feu D° Salomé Eberhard sa femme, d’une part,
et Dle Salomé Freyss, fille majeure de feu le Sr Conrad Freyss, vivant cordonnier en cette ville et de feu Anne Salomé Baumann sa femme d’autre part
Fait et passé à Strasbourg en l’étude ce 25 juin 1814
acp 117 (3 Q 29 832) f° 105 du 29.6. – Il n’y a pas de désignation d’apports. Le survivant aura la jouissance des biens du prémourant

Mariage, Strasbourg (n° 224)
Acte de mariage, célébré à l’hôtel de ville de Strasbourg à neuf heures du matin le 27 juin 1811. Henri Geofroi Schaaff, majeur d’ans, né le 13 janvier 1780 à Strasbourg, y domicilié, cordonnier, fusilier du second bataillon colonial réformé, fils de feu Jean Frédéric Schaaff, tourneur décédé en cette ville le 14 décembre 1790 et de feu Marie Salomé Eberhard, décédée en cette ville le 26 novembre 1808
et Marguerite Salomé Freyss, majeure d’ans, fille de feu Conrad Freyss, cordonnier décédé en cette ville le 15 décembre 1783 et de feu Anne Salomé Baumann décédée en cette ville le 15 juin 1788 (signé) heinrich Gottfried Schaaff, Margaretha Salome Freÿß (i 41)

Marguerite Salomé Freyss meurt en 1833 à Westhoffen en délaissant des héritiers collatéraux

1833 (4.11.), Westhoffen, Jacques Ignace Schæffer (7 E 63, 51) n° 5125
4. 9.bre 1833. Inventaire dressé sur la succession de la défunte Marguerite Salomé Freÿss, vivante femme de Henry geofroid Schaaff, Cordonnier demeurant à Westhoffen, y décédée le 22 octobre dernier
Dénomination des héritiers. La défunte et son Mari veuf délaissé se sont mariés à Strasbourg le 27 juin 1811 Et la défunte n’a point délaissé de postérité issue de cette union, Mais des Cousins issus de germains, savoir
du côté paternel les parties déclarent qu’il n’Existe point d’héritiers Mais du côté Maternel Existe les héritiers uniques ci après nommés Et qualifiés ainsi que les parties le déclarent savoir 1° Jean Jacques Lauff, sergent pontonnier En garnison à Strasbourg, ci présent, Cousin issu de germain de la défunte, 2° Marguerite Madeleine Lauff, Epouse du Sieur Jean Schaumont, Médecin demeurant à Strasbourg tous deux présents Et la femme de son Mari ici présent dûment autorisée à l’effet des présentes, Cousine issue de germain de la défunte, 3° Marguerite Caroline Lauff, fille Mineure, domiciliée à Strasbourg, aussi Cousine issue de germain, pour laquelle Mineure fut ici présent le dit sieur Schaumont comme tuteur, En présence du Sieur Charles Zwick Distillateur, En qualité de subrogé tuteur de ladite mineure, tous domiciliés à Strasbourg (…) lesdits héritiers chacun héritiers pour un tiers de la présente succession à défaut d’héritiers du côté paternel
à l’instant ledit veuf nous a produit et exhibé l’expédition de son contrat de mariage passé devant Jean Daniel Stoeber Notaire à Strasbourg le 25 juin 1811

Biens Immeubles délaissés par le défunte comme apports. Habillements de la défunte 54
Remploi dû au veuf.
Biens Immeubles de Communauté. 1° une Maison avec cour, grange, écurie et jardin avec les attenans, droits et dépendances le tout situé à Westhoffen in der haargass ou Burÿgasse (…)
2° une Maison à rez de chaussée et trois Etages sise à Strasbourg place d’armes N° 27, d’un côté holderer veuve, d’autre huck, par devant sur la place d’amres, à un revenu annuel de 250 francs, acquis par Contrat de vente reçu Hickel Notaire à Strasbourg le 20 mars 1820 Enregistré, à l’instant le veuf a déclaré que le prix de vente que ledit contrat porte est payé
3° deux ares et demi (un demi viertzel/ de terre ban de Westhoffen (…), 4° cinq ares /un viertzel/ de terre (…), 5° cinq ares /un viertzel/ de terre (…)
Biens Meubles, communauté 438, Dettes actives 4275, Dettes passives 110

Henri Geoffroi Schaaff se remarie en 1834 avec Catherine Caroline Wechsler, native de Barr
1834 (19.1.), Westhoffen, Jacques Ignace Schæffer (7 E 63, 51) n° 5197
Contrat de mariage – ont comparu Henry geofroid Schaaff, Propriétaire, veuf de feu Marguerite Salomé freÿss, demeurant à Westhoffen futur époux d’une part
Et Catherine Caroline Wechsler, domiciliée à Westhoffen, fille majeure de Christophe Jacques Wechsler, tanneur à Barr, et de feu Caroline Kützel, future épouse d’autre part
communauté universelle d’acquêts, réserve d’apports et d’héritages
Donation au survivant de tous les biens meubles et immeubles en toute propriété
Mariage, Westhoffen (n° 5) Le 30° jour du mois de janvier 1834 à quatre heures du soir. Acte de mariage de Henri Géofroid Schaaff veuf de Marguerite Salomé Freyss âgé de 54 ans né à Strasbourg dép. du Bas-Rhin le 30 du mois de janvier 1780, propriétaire domicilié à Westhoffen dép. du Bas-Rhin fls légitime de feu Jean Frédéric Schaaff, tourneur domicilié à Strasbourg et de feu Marie Salomé Eberhard, domiciliée à Strasbourg
Et Catherine Caroline Wechsler, âgée de 20 ans, née à Barr département du Bas Rhin le 11 février 1813 domiciliée à Barr, fille légitime de Christophe Jacques Wechsler ci présent et consentant, mégissier à Barr âgé de 47 ans, et de feu Caroline Kaetzel domiciliée à Barr (signé) henri Geofroi Schaaff, Carolina Wechsler (i 4)

La veuve et les deux enfants de Henri Geoffroi Schaaff ainsi que les héritiers de sa première femme vendent la maison au négociant Isaac Katz

1837 (14.9.), Strasbourg 12 (144), Charles Noetinger n° 9550
Cahier des Charges n° 9415 du 17 juillet, Adjudication définitive – 1. Isaac Schaaff, négociant, mandataire de Catherine Caroline Wechsler veuve de Henri Geoffroi Schaaff, cordonnier à Westhoffen, en son nom suivant contrat de mariage reçu M° Schaeffer à Westhoffen et et tutrice légale d’Amélie Schaaff et Sophie Schaaff, 2. Xavier Weber commissionnaire, mandataire de Georges Fürnis, épicier à Westoffen et Philippe Jacques Welsch, arpenteur géomètre, le Sr Fürnis subrogé tuteur d’Amélie Schaaff et Sr Welsch subrogé tuteur de Sophie Schaaff posthume, 3. Jean Schaumont, officier de santé, et Marguerite Madeleine Lauff, M. Schaumont en outre aux droits de Marguerite Caroline Lauff, fille majeure à Strasbourg, suivant transport reçu par M° Weigel le 24 février 1835, 4. Raphael Blum, cessionnaire de Jean Jacques Lauff, ancien maréchal des logis de Pontonniers, suivant transport reçu M° Noetinger le 13 janvier 1837, seuls héritiers de la communauté entre Geoffroi Schaaff sous bénéfice d’Inventaire de leur père, la D° Schaumont, Marguerite Caroline Lauff et Jean Jacques Lauff seuls héritiers de Marguerite Salomé Freyss première femme de Henri Geoffroi Schaaff, suivant inventaire fdressé par M° Schaeffer à Westhoffen, le 4 novembre 1833 – adjudication suivant jugement rendu le 19 avril 1837 et le 29 mai dernier
Isaac Katz négociant
Description de la maison à vendre, une maison ayant rez de chaussée et trois étages sise à Strasbourg Place d’Armes n° 27, d’un côté la veuve Holderer, de l’autre le Sr Huck, devant la Place d’Armes, estimée à 5600 fr
Etablissement de la propriété, l’immeuble à vendre dépendait de la communauté qui a existé entre Geoffroi Henri Schaaff et Marguerite Salomé Freyss, acquis par acte reçu M° Hickel le 20 mars 1820
Rapport d’experts du 18 mai – Michel Klein, architecte entrepreneur à Strasbourg, Georges Gall, maître maçon et Michel Schuster à Westhoffen (…) cette maison ayant trois étages au rez de chaussée est construite en mœllons à l’exception du troisième étage qui est en maçonnerie de galandure et surmonté d’une toiture en tuiles doubles, elle se compose d’une cave voutée avec escalier en bois un rez de chaussée avec une allée dans laquelle se trouve un puits avec corps de pompe en plomb et balancier en fer deux chambres, une cuisine et lieux d’aisances, d’un premier étage, deux chambres et cuisine, le second étage est semblable au premier d’un troisième étage avec une seule chambre et une cuisine d’un grénier ayant trois séparations en planches ce premier grenier est surmonté de deux autres petits greniers, estimé à 5600 fr
adjudication préparatoire n° 9500 du 31 août – adjugée 10.000 francs
Enregistrement, acp 253 f° 11 du 21.9.

Originaire de Strasbourg, Isaac Katz épouse en 1839 à Mannheim Thérèse Mayer, fille du fabricant de tabac Georges Mayer : contrat de mariage, célébration transcrite dans les registres de Strasbourg
1839 (16.4.), Strasbourg 12 (149), Charles Noetinger n° 11.239
M. Isaac Katz, majeur, marchand de vins demeurant à Strasbourg et M. Henri Georges Mayer, fabricant de tabac demeurant à Mannheim (grand duché de Bade) lesquels ont déposé pour minute à M° Noetinger 1° l’expédition du contrat de mariage entre ledit Isaac Katz et la dlle Thérèse Mayer domiciliée à Mannheim passé devant Louis Meyer commissaire aux partages résidant à Mannheim le 4 avril 1839 (…) 2° et la traduction du dit contrat de mariage faite par M. Masské traducteur juré
Ehevertrag. Vor mir (…) Theilungs Commissaire Ludwig Meyer sind heute anwesend Herr Isak Katz, ledig und großjährig, Weinhändler wohnhaft zu Straßburg als Bräutigam einerseits
so dann Fräulein Therese Maÿer, ledig und ergeblich großjährig handelnd an der Seite ihres Vaters des tabaksfabrikanten Heinrich Georg Maÿer dahier und dessen Ehegattin Rebekka geborene Ladenberg als Braut andernseits (…)
§. 1, die Brautleute verheirathen sich nach dotalrecht wie solches in den Artikel Nr 1540 und folgende des code civil des Français beschrieben ist (…)
Geschehen Mannheim den 4. April 1839
Verzeichniß über die Ausstattung in Betrag von f. 2500 oder frs. 5357 als Anhang zu dem vor hiesigem Groß. Amtsrevisorat passirten Ehevertrags

Mariage, Strasbourg (reg. supplémentaire)
L’an 1839 le 12 septembre vu par nous adjoint au Maire officier de l’Etat civil de la Ville de Strasbourg, l’extrait de l’acte de mariage d’Isaac Charles Katz et de Thérèse Mayer, l’avons conformément à la loi transcrit sur le présent registre ainsi qu’il suit
Traduction. Acte de mariage le 14 Mai ont été par le Rabbin de l’arrondissement à Giesen Mr De Benoist Levy ici et avec autorisation seigneuriale du 25 avril de la présente année numérotée 10.852 unis en légitime mariage d’après le rite de l’Eglise et au prescrit de la loi Isaac Charles Katz, bourgeois et Négociant à Strasbourg fils légitime de Daniel Katz et de Catherine née Larich audit lieu avec Thérèse Mayer célibataire fille légitime de M. G. Mayer bourgeois et négociant et de Rebecque née Ladenburger ici née le 15 avril 1811, Temoins Simon Neugass et Mayer Heymann, Mannheim le 11 Août 1839. le révisorat grand ducat du baillage de la ville (i 2)

Isaac Katz et Thérèse Meyer qui demeurent alors à Paris vendent la maison au cordonnier Jules Pozzo et à sa femme Marie Anne Hertlé

1854 (1.9.), Strasbourg 3 (98), Marie Napoléon Théodore Burtz n° 3498
Vente du 1. 7.bre 1854 – A comparu M. Isaac Katz, négociant demeurant à Paris rue Rossini n° 5 et auparavant à Strasbourg, agissant tant en son nom qu’en celui de Mad° Thérèse Meyer son épouse (…) lequel comparant a par les présentes vendu (…) Thérèse Mayer
au Sr Auguste Jules Adrien Pozzo, cordonnier et à D° Marie Anne Hertlé sa femme qu’il autorise demeurant ensemble à Strasbourg à ce présent et acceptant
Une maison à rez de chaussée et trois étages située à Strasbourg place Kleber, anciennement place d’armes N° 27, tenant d’un côté au sieur Holderer de l’autre au Sr Huck, devant la place Kleber et derrière à la propriété du Sr Huck
Etablissement de la propriété. M. Katz déclare que cette maison lui a été adjugée pour le prix de 10.000 francs par procès verbal d’adjudication dressé par M° Noetinger notaire à Strasbourg le 14 septembre 1837 transcrit au bureau des hypothèques de cette ville le 28 septembre vol. 324 N° 63. Elle appartenait précédemment et par moitié aux successions du Sr Henri Geoffroi Schaaff cordonnier et D° Marguerite Salomé Freyss conjoints à Westhoffen veuf en premières noces de cette défunte, le Sr Schaaff s’est remarié en secondes noces avec D° Catherine Caroline Wechsler qui lui a survécu. Aux termes de leur contrat de mariage passé devant M° Schaeffer notaire à Westhoffen le 29 janvier 1834 il a existé entre ces deux derniers une communauté universelle de biens et le mari y a fait donation à la femme d’un quart en propriété et d’un quart en usufruit. Le même défunt a laissé pour ses seuls héritiers ses deux enfants nés de son second mariage, Amélie et Sophie Schaaff, comme le constate le cahier des charges dressé par M° Noetinger le 17 juillet 1837. Sa première femme décédée sans enfant a laissé pour ses seuls héritiers chacun pour un tiers aux termes de l’inventaire dressé après son déès par M° Schaeffer le 4 novembre 1833 savoir 1. D° Marguerite Madeleine Lauff épouse de M. Jean Schaumont officier de santé demeurant à Strasbourg, 2° Marguerite Caroline Lauff, majeure demeurant en la même ville qui céda ses droits successifs à M. Schaumont son beau-frère par un transport passé devant M° Weigel notaire à Strasbourg le 24 février 1835. 3° et le Sr Jean Jacques Lauff, ancien maréchal des logis des pontonniers demeurant aussi à Strasbourg et qui céda également ses droits au Sr Raphael Blum Commerçant demeurant en la même ville en vertu d’un autre transport reçu par M° Noetinger le 13 janvier 1837. C’est sur la demande en partage des époux Schaumont et du Sr Blum qu’il a été procédé avec l’accomplissement des formalités judiciaires, à l’adjudication précitée après laquelle et suivant une quittance reçue par M° Noetinger (…) Et le Sr Schaaff avait acquis la maison pendant son premier mariage en vertu d’un Contrat de vente reçu par M° Hickel notaire à Strasbourg le 20 mars 1827. Entrée en jouissance (…) Prix, 9000 francs

Frédéric Brodkorb est locataire de la maison dans laquelle il tient boutique de coiffeur (voir la photographie de 1860)

Registre de population, 600 MW 349 (1850 sqq)
Brodkorb, Frédéric, Strasbg. 30, h.m., Perruquier, Luthérien, français
id. née Coché, Catherine, Strasbg. 28, f.m., sa femme, luthérienne, française
id. Charles, 52, g. son fils
id. Adolphe, 56, g. son fils
Ruelle des Pelletier N° 2 (délogé) 1856
place Kleber 23

Auguste Jules Adrien Pozzo et Anne Marie Hertlé hypothèquent la maison au profit du cordonnier Joseph Alexandre Baissat

1862 (14.3.), Strasbourg 15 (106), Hippolyte Momy n° 7932
Obligation du 14 mars 1862 – Ont comparu Mr Auguste Jules Adrien Pozzo, Cordonnier, et Dame Anne Marie Hertlé, son épouse de son mari autorisée à l’effet des présentes les deux demeurant & domiciliés à Strasbourg, lesquels ont déclaré et reconnu devoir solidairement l’un pour l’autre (…)
à Monsieur Joseph Alexandre Baissat, Cordonnier demeurant et domicilié à Strasbourg, ci présent et acceptant la somme principale de 1000 francs (…)
Hypothèque spéciale. Une maison située à Strasbourg place Kleber, anciennement place d’armes numéro 27, tenant d’un côté à la veuve Holderer, de l’autre au sieur Huck, par devant ladite place, par derrière le sieur Huck. Les époux Pozzo affirment qu’à l’exception de la somme de 8000 francs qu’ils doivent à M. Baissat (…) la maison cidessus désignée est franche et libre de toutes dettes et hypothèques généralement quelconques (…)

Auguste Jules Adrien Pozzo et Anne Marie Hertlé vendent la maison à l’agent immobilier Henri Herzog Grombach

1864 (19.9.), Victor Noetinger – Hypothèque de Strasbourg, Transcription reg. 994 (3104) n° 76 du 24.9.
Ont comparu Monsieur Auguste Jules Adrien Pozzo, cordonnier, et Dame Marie Anne Hertlé, son épouse qu’il assise et autorise spécialement à l’effet des présentes, demeurant ensemble autrefois à Strasbourg actuellement à Schlestadt mais se trouvant momentanément audit Strasbourg, lesquels ont par les présentes vendu (…)
à Monsieur Henri Hertzog Grombach, agent d’immeubles demeurant à Strasbourg ci présent et acceptant
Désignation. Une maison à rez de chaussée et trois étages située à Strasbourg place Kleber, anciennement place d’armes nouveau N° 23 ancien Numéro 27, d’un côté Monsieur Gaspard de l’autre Monsieur Huck, devant la place et derrière Monsieur Huck y compris trois fourneaux dont un en fayende et deux en fonte avec leurs tuyaux et pierres, les volets, la pompe en état de réparation, les séparations à la cave et au grenier, Tel que cet immeuble se trouve (…)
Origine de la propriété. Les époux Pozzo sont propriétaires de cet immeuble pour en avoir fait l’acquisition de Monsieur Isaac Katz, négociant demeurant à Paris ayant agi tant en son nom qu’en celui de dame Thérèse Meyer son épouse demeurant avec lui (…) suivant contrat passé devant M° Burtz alors notaire à Strasbourg le premier septembre 1854, transcrit au bureau des hypothèques de la dite ville le 9 du même mois volume 593 Numéro 16 inscrit d’office le même jour volume 617 Numéro 254. Cette inscription a été renouvelée audit bureau le 11 mai 1847 volume 687 Numéro 302. L’acquisition eut lieu pour le prix de 9000 francs (…). Les vendeurs font observer à cet égard pour décharger les notaires soussignés de toute responsabilité et éveiller l’attention de l’acquéreur sur la nécessité d’une purge des hypothèques légales que cette ratification ne pouvait produire aucun effet attendu que Monsieur Katz était marié sous le régime dotal aux termes de son contrat de mariage passé devant Memenger* officier public à ce commis résidant à Mannheim le quatre avril 1839 dont une expédition a été déposée pour minute en l’étude de M° Noetinger Charles père et prédécesseur immédiat de M° Victor Noetinger suivant acte dressé par lui le 16 avril même mois.
Origine antérieure. Monsieur Katz était propriétaire de cet immeuble pour en avoir fait l’acquisition suivant procès verbal d’adjudication dressé par M° Charles Noetinger le 14 septembre 1837 à la requête de Dame Catherine Caroline Wechsler veuve du sieur Henri Geoffroi Schaaff en ce moment cordonnier demeurant à Westhoffen & de Monsieur Georges Furnis marchand drapier demeurant à Westhoffen, 3. de Monsieur Philippe Jacques Welsch arpenteur géomètre domicilié au même lieu, Monsieur Furnis ayant agit comme subrogé tuteur d’André Schaaff plus haut nommé et le sieur Welsch comme subrogé tuteur de Sophie Schaaff aussi dénommé, 4. de Monsieur Jean Schaumont officier de santé demeurant à Strasbourg et dame Marguerite Madeleine Lauff son épouse demeurant à Strasbourg 5 et de Monsieur Raphael Blum commerçant demeurant en la dite ville. Cette adjudication a été prononcée pour le prix de 10.000 francs sur lequel M Katz a payé 5000 francs (…). Une expédition de ladite adjudication a été transcrite au bureau des hypothèques le 28 septembre 1857 volume 324 Numéro 65 avec inscription d’office du même jour au volume 266 Numéro 277. Et enfin cet immeuble dépendait de la communauté d’acquêts qui avait existé entre le sieur Henri Geoffroi Schaaff et dame Marguerite Salomé Freyss sa première femme ainsi qu’il et constaté par l’inventaire qui a été dressé après le décès de cette dernière par M° Schaeffer notaire à Westhoffen le 4 novembre 1833. – Cette vente a été conclue pour le prix de 14.000 francs
Simon & Etat-civil. Monsieur et Madame Pozzo déclarent sous les peines de droit qu’ils sont mariés en premières noces sous le régime de la communauté (…)
acp 536 (3 Q 30 251) f° 16 du 20.9.

Henri Herzog Grombach acquiert en 1885 la maison voisine qui ne forment plus qu’une propriété, voir ensuite le n° 24


Les Maisons de Strasbourg sont présentées à l’aide de Word Press.