3, place de la Grande Boucherie


Place de la Grande Boucherie n° 3 – VI 240 (Blondel), O 166 puis section 19 parcelle 75 (cadastre)

Étages refaits par le farinier Martin Hermann, 1668


Le n° 3 est la maison à pan de bois au milieu de l’image
Arcade et porte Renaissance, montants sculptés aux fenêtres du premier étage (Jonathan Michalon, janvier 2022)

La maison est inscrite au Livre des communaux (1587) au nom de la veuve de l’éperonnier Sigefroi Leibach ; elle a 16 pieds 3 pouces de long et un encorbellement en saillie de trois pieds et comprend (1633) un bâtiment avant et un bâtiment arrière séparés par une petite cour. Elle appartient ensuite au tailleur Georges Pfau, au coutelier Abraham Dattler qui devient aubergiste (1626) et au tailleur Antoine Spach (1633). Elle reste pendant plus de cent-quatre-vingts ans propriété des ayants droit du boulanger Martin Thierbach qui l’achète en 1635. Le farinier Martin Hermann doit une rente communale pour un déversoir de ses latrines dans le fossé Ulmergraben. Les Quinze refusent en 1648 de l’autoriser à ouvrir une nouvelle boulangerie pour ne pas porter préjudice à son voisin Jean Conrad Ferber. Il refait le bâtiment comme en témoigne le millésime 166(8) sur une poutre de la façade. Martin Albrecht se plaint en 1715 que son voisin Jean Philippe Blanck avance tant son étal de boulanger à l’angle de la rue qu’on ne peut plus voir son étal de farinier. Située dans le coin (im Winckel) en face de la Grande Boucherie, la maison revient en 1748 par héritage à la femme du boulanger Jean Georges Antoni, propriétaire de la boulangerie voisine à l’angle de la rue de l’Hôpital. Jean Georges Antoni est autorisé la même année à remplacer par un nouveau son auvent de 20 pieds de long.


Elévations préparatoires au plan-relief de 1830, îlot 175 (Musée des Plans-relief) 1

L’Atlas des alignements (années 1820) mentionne une maison à rez-de-chaussée en maçonnerie et trois étages en bois. Sur les élévations préparatoires au plan-relief de 1830, la façade se trouve à droite du repère (c) ; porte et arcade au rez-de-chaussée, trois étages à trois fenêtres chacun, toiture à deux lucarnes. La façade arrière donne sur le fossé Ulmergraben (cour A) à gauche du repère 26 : la partie droite donne dans une petite cour, non portée sur le plan. Par exception, le plan cadastral est plus précis que le levé pour le plan-relief.
La maison porte d’abord le n° 25 (1784-1857) puis le n° 3.


Cour A
Plan cadastral qui représente la cour de la parcelle 166 (calque de l’original)

Les propriétaires au XIX° siècle sont toujours des fariniers, Thiébaut Kuhn (1812) puis son fils Thiébaut Geoffroi (1838). Charles Schneider (1873) est tapissier. Les lucarnes sont supprimées quand les combles sont aménagés.


Détail du premier étage : millésime 16 6(8) sous les montants sculptés en lamelles (Jonathan Michalon, janvier 2022)

février 2022

Sommaire
CadastrePolice du BâtimentRelevé d’actes

Récapitulatif des propriétaires

La liste ci-dessous donne tous les propriétaires de 1601 à 1952. La propriété change par vente (v), par héritage ou cession de parts (h) ou encore par adjudication (adj). L’étoile (*) signale une date approximative de mutation.

Georges Pfau, tailleur, et (1584) Anne Herr, d’abord (1565) femme du tailleur Jean Buntz, puis (1606) Susanne Meyentau – luthériens
1626 v Abraham Dattler, coutelier puis brasseur, et (1595) Judith Niess, d’abord (1585) femme du coutelier Jean Surlet, (1621) Marie Quackhard puis (1634) Anne Marie Reuter, remariée (1638) avec le barbier Gabriel Braunstein – luthériens
1633 v Antoine Spach, tailleur, et (1619) Madeleine Klopffer – luthériens
1635 v Martin Thierbach, boulanger, et (1624) Jacqueline Bietmann (Dietmann) – luthériens
1652 h Martin Hermann, farinier, (1639) Jacqueline Dietmann veuve de Martin Thierbach – luthériens
1672 h Jean Georges Hermann, farinier, (1665) Marguerite Schmutz – luthériens
1717 h Martin Albrecht, farinier, et (1698) Anne Marie Hermann – luthériens
1748 h Jean Georges Antoni, boulanger, et (1724) Anne Marie Albrecht – luthériens
1775 h Jean Martin Antoni, boulanger puis farinier, et (1753) Marie Madeleine Kilian – luthériens
1812 h Jean Louis Rehm, marchand, et (1788) Marie Madeleine Antoni – luthériens
1812 v Thiébaut Kuhn, farinier, et (1796) Marie Madeleine Werlen
1838 h Thiébaut Geoffroi Kuhn, farinier, et (1848) Caroline Lobstein
1873 v Charles Schneider, tapissier, et (1858) Marie Anne Heintz puis (1865) Caroline Schœnborn
1889* v Edouard Bloch, marchand
1907* v Félix Luib, marchand, et (1924) Marguerite Hélène Berthe Lutz
Frédéric Kœnig et Berthe Walter – Gustave Kœnig

Valeur de la maison selon les billets d’estimation : 750 livres en 1743, 450 livres en 1774

(1765, Liste Blondel) VI 240, Jean George Antonÿ
(Etat du développement des façades des maisons, AMS cote V 61) Antoni, 2 toises, 2 pieds et 3 pouces
(1843, Tableau indicatif du cadastre) O 166, Kuhn, veuve tailleur d’habits, Place de la Grande boucherie 25 – maison, sol – 0,68 are

Locations

1801, Thiébaut Kuhn (futur propriétaire)
1837, Thiébaut Geoffroi Kuhn (futur propriétaire)

Livres des communaux

1587, Livre des communaux (VII 1450) f° 56
La maison appartient à la veuve de l’éperonnier Sigefroi Leibach qui paie 14 sols 8 deniers pour sa maison qui a 16 pieds 3 pouces de long, un encorbellement (3 pieds de saillie), une porte de cave inclinée (5 pieds ½ de long, 5 pieds de large), un étal amovible (9 pieds de long, 3 pieds de large), trois degrés en pierre devant la porte et un muret (5 pied ½ de long, 7 pieds de saillie)

[Von dem Eckh gegen d. Newen Metzig vndt gegen dem Spanbeth zu]
Seifridt Leÿbachs des Sporers Wittwe hatt vor Irem hauß 16 schu 3 Zoll lang, oben der Vsstoß 3 schu herauß, Ein ligende Kellerthüer 5 ½ schu lang, vnd 5 schu breÿt, darüber ein Vssatz Laden 9 schu lang vnd 3 schu breit, Item dreÿ steinerin Tritt vor der haußthüeren sampt einem Neben Meürlin 5 ½ schu lang vnd 4 schu herauß, Soll Allmendt sein vnd bleiben, Bessert für das Niessen, xiiij ß viij d

1652, Livre des loyers communaux, VII 1461 (1652-1672) f° 400
Le farinier Martin Hermann doit 10 sous par an pour un entonnoir (déversoir des latrines, voir l’inventaire de 1710) dans le fossé Ulmergraben

Marten Hermann, der mehlmann geg. der Metzig Soll gemeiner Statt, Vom Trächter in Vlmersgraben dohlen, Jahrs vf Jacobi 10 ß
New fol. 337
(Quittungen 1653-1672)

1673, Livre des loyers communaux, VII 1465 (1673-1741) f° 337-v
Même loyer. Les contribuables sont Jean Georges Hermann puis Martin Albrecht

Martin Hermann, der Meelmann gegen der Metzig Soll vom Trächter in Vlmers graben vff Jacobi 10 ß
ietzt Hannß Georg Hermann W.
jetzt Martin Albrecht
St. Zinnßb. p. 400

1675 Zalt p. 1673. 74. et 75 Samuel Hermann
(Quittungen, 1677-1741)
Neuzb fol 425-b

1741, Livre des loyers communaux, VII 1471 (1741-1802) f° 425-v
Suite, contribuables Jean Georges Antoni puis Martin Antoni

alzb. 337-b
Martin Albrecht soll vom Trächter am Ulmer Graben auff Jacobi (id est 25. Julii) 10 ß
(Quittungen, 1741-an 10)
[in margine :] 7. fructidor
C 206

Joh: Georg Anthoni
Johann Martin Antoni (Wittib)

Préposés au bâtiment (Bauherren)

1652, Préposés au bâtiment (VII 1352)
Martin Hermann se plaint que le fossé Ulmergraben bouché pourrait endommager les sous-sols. Les chefs de chantier rapportent que le fossé est propre jusqu’à rue de l’Hôpital mais qu’il est encombré de là jusqu’à la Boucherie. Les riverains devront le nettoyer sous peine d’amende.

(f° 178) Dinstags den 17. Febr. – Martin Herrmann, dolen durch den Vlmergraben
Martin Herrmann berichtet, d. der ienige dolen durch den Vlmergraben gantz verstopfet, vnd daß den gewelben gar leicht schaden Zugezogen werden könne, bittet deßwegen hülff. In nachschlagen findet sich nicht, d. gemeine Statt solchen dolen Zu halten oder Zu saubern nicht schuldig, derowegen Erkand, daß durch den Werckmeister vorderist augenschein eingenommen vnd facta relatione der Bht. an die benachbarten gegeben werden solle.

(f° 198) Donnerstags den 1. Aprilis – Vlmergraben
Werckmeister referiren, d. sie den Vlmer graben besichtiget vnd gefunden haben, d. derselbe von H. Isaac Claußen hauß biß an d. Spitalgeßlein Sauber, von dar aber biß vnder die Metzig gar unsauber gehalten, auch gar etlicher orthen mitt geröhr beschüttet werde, warauß erfolgt, d. d. gewolb schaden nehmen müße. Erk. soll den benachbarten beÿ straff 3. lb d gebetten werden, den dohlen Zue sauberen, vnd d. geröhr hinweg Zutrag.

Martin Hermann se plaint en 1662 que son voisin Antoine Eyser qui a démoli le réduit au-dessus du fossé l’a remplacé par un nouveau plus élevé.

1715, Préposés au bâtiment (VII 1386)
Martin Albrecht se plaint que son voisin Jean Philippe Blanck avance tant son étal de boulanger à l’angle de la rue qu’on ne peut plus voir son étal de farinier. Jean Philippe Blanck doit reculer son étal pour l’aligner avec celui de Martin Albrecht

(f° 207) Dienstags den 24. 7.bris – Martin Albrecht pt° Wannenbancks
Martin Albrecht, der Meelman, Klagt, daß Johann Philipp Blanck der Weißbeck seinen Vor seiner an dem Spittal gäßlein gegen der Großen metzig über gelegenen Brodtladen wo weit her außgeruckt, daß man seinen Wannenbanck darvor nicht sehen könte. Erk. Augenschein.

(f° 237-v) Donnerstags den 28. 9.bris 1715. – Johann Philipp Blanck, Martin Albrecht
Johann Philipp Blanck Blancken dem Weißbecken wurde vorgehalten, warumb Er der ergangenen Erkantnus gemäs Seinen Brodbecken Laden nicht umb Zween schuh Zurücken und den Wannen banckh dem laden gleich machen laßen daneben ernstlich anbefohlen, solches alles innerhalb dreÿen tagen in stand Zusetzen.
Ille bitt nicht allein des Meßen moderation, sondern auch den termini auf das spätheste biß den darauff folgenden dienstag Zusezten.
Erkandt, wird das Meß biß auf anderthalben Schuh moderirt, und soll die änderung auf das späteste biß nechstkommende dienstag geschehen, oder beÿ dem alten bescheid, der zweÿ schuhen Verbleiben.
Martin Albrecht wurde auch erlaubt, über Seinen Zwölff schuh lang vnd Zween Schuhe Zehen Zoll breite Wannen banckh, oben am überhang einen newen dielen an machen zu laßen.

1748, Préposés au bâtiment (VII 1403)
Jean Georges Antoni est autorisé à remplacer par un nouveau son auvent abîmé de 20 pieds de long.

(f° 42-v) Freÿtags den 14. Junÿ 1748., seÿnd folgende Augenschein eingenommen worden – Joh: Georg Antoni
An Johann Georg Antoni des Mehlmanns Hauß im Winckel beÿ der großen Metzig, welcher um erlaubnus Gebetten, ein 20. schuhe Lang, und 6. schuhe sambt den Zieglen tieffes Wetterdach, so sehr schadhafft, Herabzuthun, und ein Neues Anzumachen. Erkanndt, im Nemblichen Meß Willfahrt, solle den Augenschein bezahlen.

Description de la maison

  • 1743 (billet d’estimation traduit) La maison comprend au rez-de-chaussée une boutique de farinier à gauche un poêle, un (vestibule) où se trouvent le fourneau et l’évier, une cave sous solives, au premier étage un poêle, une petite cuisine, un vestibule, une dépense, au deuxième étage deux chambres, la chambre pour l’officier et celle pour les domestiques, le vieux comble renferne deux chambres, les deux pignons sont en bois, la galerie est couverte d’un demi-toit, le tout estimé avec ses appartenances et dépendances à la somme de 1500 florins
  • 1774 (billet d’estimation traduit) La maison comprend une boutique, une arrière-boutique, trois poêles, trois chambres, une cuisine, le comble est couvert de tuiles plates, la cave est solivée, le tout estimé avec la petite cour, le puits, appartenances et dépendances à la somme de 900 florins

Atlas des alignements (cote 1197 W 37)

3° arrondissement ou Canton sud – Place de la grande boucherie

nouveau N° / ancien N° : 24 / 25
Kuhn
Rez de chaussée en maçonnerie et 3 étages en bois mauvais et avance
(Légende)

Cadastre

Cadastre napoléonien, registre 25 f° 71 case 1

Kuhn, Thiébaut Geoffroi, marché aux cochons de lait N° 25

O 166, maison, sol, place de la g.de boucherie 25
Contenance : 0,68
Revenu total : 108,35 (108 et 0,35)
Ouvertures, portes cochères, charretières :
portes et fenêtres ordinaires : 18 / 14
fenêtres du 3° et au-dessus : 11 / 3

Cadastre napoléonien, registre f° 26 f° 214 case 2

Kuhn, Thiébaut Geoffroi
1875 Schneider Karl Tapezirer*
1889/90 Bloch Eduard Kaufmann

O 166, maison, sol, Place de la grande boucherie 3
Contenance : 0,68
Revenu total : 108,35 (108 et 0,35)
Folio de provenance : (71)
Folio de destination : Gb
Ouvertures, portes cochères, charretières :
portes et fenêtres ordinaires : 18
fenêtres du 3° et au-dessus : 11

Cadastre allemand, registre 30 f° 228 case 2

Parcelle, section 19, n° 75 – autrefois O 166
Canton : An der großen Metzig Hs. N° 3 – Place de la Grande Boucherie
Désignation : Hf, Whs e. T.
(compte 1101) Hf, Whs e. T. – (compte 683) Hf, Whs e. T.
Whs e. T. ( Skizze 31)
Contenance : 0,87
Revenu : 1400 – 1300 – 1200
Remarques : 1910 Berufung

(Propriétaire jusqu’à l’exercice 1907), compte 212
Bloch Eduard
1924, rayé

(Propriétaire à partir de l’exercice 1907), compte 1473
Luib Felix Aug.
1950 Luib Félix Auguste Philippe, sa veuve née Lutz
2744

(1° partie)
(Propriétaire jusqu’à l’exercice 1907), compte 1101
Schmutz Karl Friderich die Erben und We.
1904 Schmutz Friderich Wwe
1908 Koenig Friedrich u. Ehefrau
1935 Koenig Frédéric sa veuve Berthe née Walter
2435

(2° partie)
(Propriétaire, compte 683
Koenig Gustav
1933 Koenig Marguerite
2437

1789, Etat des habitants (cote 5 R 26)

Canton VI, Rue 171 Ferrelmarck, Marché des Cochons de lait p. 305

25
Pr. Antoni, Jean Martin Pere, farinier – Boulanger
Lo. Jost, Jean Jc. Boulanger – Boulanger
Lo. Materen, fille Bourgeoise Couturière

Annuaire de 1905

Verzeichnis sämtlicher Häuser von Strassburg und ihrer Bewohner, in alphabetischer Reihenfolge der Strassennamen (Répertoire de toutes les maisons de Strasbourg et de leurs habitants, par ordre alphabétique des rues)
Abréviations : 0, 1,2, etc. : rez de chaussée, 1, 2° étage – E, Eigentümer (propriétaire) – H. Hinterhaus (bâtiment arrière)

An der grossen Metzig (Seite 115)

(Haus Nr.) 3
Christ, Schnellsohlerei. 0
Fischer, Wwe. 1
Messmer, Schuhmacher. 2
Hölle, Schneidermeister. H 1.

Annuaire 1905 (p. 138) i 362
3
[Luib, F. Orangerier. 2. E]
Engelhard, G., Schnellsohl. 0
Fischer, K., Wwe. 1
Messmer, K., Schuhmm. 2
Schwäderle, M., Wäscher. 2.
Bohr, A., Schiffer. 3.
Metz, L., Tagner. 4

Annuaire 1914 (p. 147) i 402
3
[Luib, Giesshausg. 18/22, E]
Bucher, N. Gärtner. 1.
Biering, A. Zimmermann. 2
Loinger, S. Trödler. 2.
Zimmermann, F. Tagn. 3.
Litzelmann, P. Reisend. H 1
Baer, S. Handelsm. H 2
Arbogast, J. Maurer, H 3

Annuaire 1921. Place de la Grande Boucherie (p. 148) i 90
3
Berthelen M. Vve, caf.
Huck E. journ.
Sturm Vve, repasseuse

Dossier de la Police du Bâtiment (cote 798 W 239)

3, place de la Grande-Boucherie, (1874-1992)
à faire


Relevé d’actes

La maison appartient au début du XVII° siècle au tailleur Georges Pfau. Originaire d’Ingelfingen en Wurtemberg, il épouse en 1584 Anne Herr, veuve du tailleur Jean Buntz

Mariage, Saint-Thomas (luth. f° 3, n° 30)
1584. Dom. 7. Trinit. Georg Pfaw von Ingelfingen, der Schneid. vnd Anna, Hans Buntzen des Schneids. nachgelaßene Wittwe, eingesegnet 4. Augusti (i 4)

Originaire d’un village nommé Aldria ou Aldwichen au Luxembourg, le tailleur Jean Buntz épouse en 1565 Anne, fille de l’oiseleur Thiébaut Herr.
Mariage, Saint-Guillaume (luth. f° 68-v, n° LXX)
1565. Ausgeruff. dom. XV. post Trinit. Hanns Buntz von Aldwichen ein schneider, Anna Herren Diepolts des voglers verlassene tochter. Diese braut hatt gedient bey dem gewesenen Spittal Schaffner. volgen zweig. celebravit nuptias die lunæ die 8 Octobris (i 245)

Jean Buntz (ici Pontz) devient bourgeois par sa femme trois semaines après son mariage
1565, 2° Livre de bourgeoisie (4 R 104) p. 259
Hanß Pontz von Aldria Im Landt zu Lutzelburg der Schneid. hat d. Burgrecht empfang. von Anna weilandt herren dieboldt des garttners selig. dochter sein Hausfr. vnnd will dienen zun Schneid. Actt. 31.t Octobris Ao & 65.

Jean Pfau devient bourgeois par sa femme Anne Herr veuve de Jean Bontz trois mois après son mariage
1584, 2° Livre de bourgeoisie (4 R 104) p. 538
Jörg pfauw der schneider von engelfingenn Hatt daß burgrecht Kaufft Vnnd sag empfangen von Ana Härin Hanß Buntzen deß schneiderß seligen wittwen seiner hausfauwenn Vnnd will Zuo den schneiders dienenn Actum den andern November 84.

Georges Pfau se remarie en 1606 avec Susanne, fille du pêcheur Jean Meyentau.
Mariage, Saint-Thomas (luth. f° 230-v, n° 618)
1606. Sonntag den 2. Martÿ Geörg pfauw schneÿd. vndt Susanna hannß Meÿhentauw des vischers Nachgelaßene tochter. Eingesegnet, Montag. Nach Reminiscere (i 236)

Le tailleur Georges Pfau qui exerce son métier depuis trente ans demande aux Quinze l’autorisation d’ouvrir un débit de vin dans sa maison face à la Boucherie. Il est éconduit.

1615, Protocole des Quinze (2 R 43)
(f° 101) Sambstag den 10. Junÿ – Georg Pfauw vnd Weinschanck
Georg Pfauw der schneider erscheint, vnd p. Lt. Bittlingern, haltet er Underthänig ahn demnach er nuhn vff dreÿßig Jar des handwerck getrieben, aber durch die Jungen Meister vonn seinen Kunden Kommen, So woll man Ime gnedig erlauben Inn seiner behaußung gegen der Metzig hinüber am guldenen Stiffel, den Weinschanck anzurichten, Wolle er sich ohnclagbar verhalten. Erkant, Mann soll Ime sein begehren rund abschlag. B. Mr.

1617, Protocole des Quinze (2 R 45) Burger: Ungeldt, so in den Messen frembde Leuth beherbergen, Georg Pfauw der schneider. 13.

Georges Pfau hypothèque sa maison au profit du tanneur Georges Brumbart

1615 (xxix. Nouembr.), Chancellerie, vol. 416 (Registranda Kügler) f° 236
(Inchoat. fo. 267.) Erschienen M. Georg Pfauw der Schnyder
hatt in gegensein M. Georg Brunhard Rothgerber demselb (…) schuldig sein 50 pfund
dafür Vnderpfand huß vnd hoffestatt mit all Iren gebeu gelegen Inn der S S Zum Grün* Inn der S S gegen der Neuwen Metzigk vber, einsyt neben Gabriel Neher dem Schumacher andersyt Jörg Winckler Brottbecken stoßend hinden auch vff Jörg Winckler davon gend. Süben schilling Sechs pfenning Boden Zinß. den herrn Deputaten des Chors hoher stifft S. Mehr vier guldin gelts S W abloßig mit 100 guld Jerg Merckelbach der S S pfund Zoller Inn Schaffners wÿß, vnnd sind noch verhafftet für 160 pfund pfenning Straßburger Junckher Friderich Prechter mit gebürendem Zinß Zubezalen
[in margine :] Erschienen Georg Brumbart der Rothgerber hat Inn gegensein Georg pfawen Schneider (…) quittirt vf den 6. Decembris Anno 617.

Anne Herr, fille de l’oiseleur Nicolas Herr, vend avant de partir dans le margraviat de Bade un capital dont Georges Pfau a la jouissance viagère au titre de sa première femme Anne

1622 (ut spâ [xvij. Maÿ]), Chancellerie, vol. 446 (Registranda Meyger) f° 168
(Inchoat. in Prot. fol. 125.) Erschienen Anna Herrin weÿland Clauß Herr des Voglers burgers Zu Straßburg selig. dochter, so für dißmahl Inn die Marg graffschafft Zu reÿsen Vorhabens, mit beÿstand & Christophell Meÿer Bürstenbinders burgers Zu Straßburg Ihres geschwornen Vogts (verkaufft)
Bastian Zeller dem Soldat vnd. den Metzig. vnd Elisabeth. Heckin seiner ehelich haußfr.
xxv. lb d Verfangenschaft so Geörg Pfauw d. schneÿd Alhie vff seiner Behaußung geg. d. Metzigk über ad dies vitæ Zu nutz. vnd Zinÿß. Inn crafft des durch weÿland Annam sein erste haußfr. Ime geordnett. wÿdembs, Vnd Ist disser Khauff Zugangen vnd beschehen für vnd vmb xj lb

Georges Pfau hypothèque la maison au profit du tailleur Martin Bentelé

1622 ‘ut spâ. [xxx. Decembris]), Chancellerie, vol. 446 (Registranda Meyger) f° 605-v
(Inchoat. in Prot. fol. 429.) Erschienen Geörg Pfauw d. schneÿd. burger Zu Straßburg
hatt In gegenwärtigkheit Martin Bentele schneÿders burgers Zu Straßburg – schuldig seÿe 100 pfundt
vnderpfand, hauß vnd hoffestatt mit All Ihr. geb. & gelg. Inn d. St. St. beÿ d. Metzigk einseit neben Geörg Winckler Weißbeck Anderseit neben Gabriel Näher schuomach. hind. vff gemelt. Geörg Winckler stoßend, dauon gnd iiij gl. gldt loß. mit j C gl. h. Johann Hartman doctorÿ, Mehr xij gl. gld. lößig mit iij C gl. h: Friderich Prechters Wittwe

Georges Pfau vend avec le consentement de sa femme Susanne Meyenthau la maison à Abraham Dattler, brasseur à la Cloche. Elle est grevée entre autre d’un capital provenant de sa première femme Anne Herr

1626 (24. Junÿ), Chambre des Contrats, vol. 459 f° 449
(P. fol. 184.) Erschienen M. Georg Pfaw der Schneider burg. alhie
hatt in gegensein Abraham Dattlers deß Biersieders Zur Glocken auch burgers alhie (verkaufft)
Ein behausung sampt deren hoffstatt alhie gegen der Metzig über neben Gabriel Neher dem schuhmacher ein und 2. seit neben Georg Wincklers deß weißbeck s. witib vnd Erben hind. vff dem Schneidergrab. Zum theil vnd Zum theil vf vorbesagts Wincklers see. wittib vnd Erben stoßend gelegen dauon gehen Jahrß vff Michaelis 12 gld. gelts & 15. bz. Anna Prechterin wittib gebohrner Surgerin ablösg mit 300. fl. a 15. bz. Item 4. gld. S. w. Jährlichs gelts vff Urbani in hauptg. mit 100. gld. besagter werung H. D. Ernst Heußen in befehlhabers weÿß einß von Reichenweÿer, Item 7. ß 16. d bo. zinß Jarß vff Weÿhenachten dem Gürtlerhoff alhie, So dann ist d. hauß auch noch verhafftet Anna Herin sein deß V.keuffers hauß frawen see: Erben vmb 300. lb so Er V.keüffer ad dies vitæ Zunüeßen hat vnd sollen dauon nach sein V.keuffers absterben 150. lb. d dem Stifft Zu St. Marx heimfallen sonst ledig, eÿgen, Vnd ist der Kauff Zugangen vber die beschwerd, so der Käuffer vber sich genommen für und umb ix. C Lxxxxc gld.
[in margine :] Susanna Meÿenthawin deß verkäuffers haußfr. mit beÿstand Melchior Christ deß federmachers hat auch in disen verkauff consentirt den 26. Junÿ 1626.

Originaire de Markgrafen Baden (Baden-Baden), Abraham Dattler épouse en 1595 Judith, veuve du coutelier Jean Surlet
Mariage, Saint-Thomas (luth. f° 39-v, n° 114)
1595. Eodem die [Dominica 19. Trinit: 26. Octob.] Abraham dattler von Margraff. bad. d. Meßerschmidt vndt Judith, Johannes Surlet des Meßerschmidts Nachgelaßene wittib, Eingesegnet Montag den 3. Novembr. (505)

Originaire d’« Arch » ou « Ach », le coutelier Jean Surlet épouse en 1585 Judith, fille du corroyeur Corneille Niess
Mariage, Saint-Pierre-le-Jeune (luth. p. 341, n° 35)
1585. Dominica IIII [post Trinitatis] Hans Surlett von Ach ein messerschmidt, vnd Judith, Cornelius Niesen des lederbereiters tochter, Eingesegnet Montag den 12. Julÿ. Außgang in der grossen Stadel gassen (i 178)

Il devient bourgeois quelques jours après son mariage
1585, 2° Livre de bourgeoisie (4 R 104) p. 549
Hanß Surlett vonn arch der Meßerschmidt hatt daß burg.recht empfangenn vonn Juditt Corneli Nießen deß lederbereit.s Dochter Seiner Haußfrauwen vnnd will Zuo denn Schmiden dienen acttum den 17. Julÿ 85.

Abraham Dattler devient bourgeois par sa femme Judith Neuss veuve de Jean Surlet quatre mois après son mariage.
1595, 2° Livre de bourgeoisie (4 R 104) p. 729
Abraham Dattler v. Margrovenbaden der Meßerschmidt, hat v. Judith Neüßin W. Hannß Surlet deß Meßerschmidts hinder: wittib, daß burgerrecht empfang. vndt will Zur Schmidt. dienen. Actum 8 Novemb. 95.

Le coutelier Abraham Dattler demande l’autorisation de brasser de la bière chez son beau-frère brasseur à la Cloche et de la débiter dans sa maison rue des Pâtissiers. Les Quinze l’autorisent à brasser et débiter la bière chez son beau-frère mais pas à un autre endroit.
1600, Protocole des Quinze (2 R 29)
(f° 121) Sambstag den XXVII Septembris. – Abraham Dattler. Biersieden
Abraham Dattler Meßerschmidtt p. Bittlingers schreiben übergibt ein Splôn so verlesen, darinn bitt er Ime zu gönnen, das er beÿ seinem Schweher Zur Glocken bier sieden vnd Inn seiner behaußung Inn Flader gaß gegen Claus Braunen über auß schencken möge.
Erkandt wann er beÿ seinem schweher bier sieden vnd auß schencken will, soll es Ime Zugelaßen seÿn, aber an andern ortten ein bierkeller vffzurichten, ist Ime abgeschlagen. B. & Meister

Brasseur à la Cloche, Abraham Dattler est accusé de servir des repas chauds. Il convient en avoir par exception servi à des marchands de Franckenthal mais que d’ordinaire il ne sert rien à manger et se soumet scrupuleusement au règlement et règle l’accise.
1611, Protocole des Quinze (2 R 39)
(f° 248) Montag den 2. Septembris – Abraham Dattler
Abraham Dattler biersieder Zur Glocken soll Zum bier warme spieß geben, welches wider ordnung, darumb er für und zu redt gestelt, der meldet In der Meß hab er frembde leüth beÿ sich gehapt, und denselben warme speiß geben, seÿen etliche Kauffleüth geweßen von Franckenthal & sonsten geb er kein warmen Costen, weder Häring, Wie es die ordnung vermag, vnd neben dem bier gar keinen Wein, frag auch nichts darnach, Wan Ime mein Herren die frembden aberkennen, dann waß er thue, thue er denselben, vff Ir pitt, zu gefallen, Wan wann erfahre das er anders geschaffen woll er inn meiner Herren straaff stehen. Der Meß halben hab er im Ungeld die gebüer erstattet. Wie sich dann auch inn demselben büchlin befindet, das er für dreÿ ohmen, die maaß Zur 12. d. 2. lib. 12. ß. 5 s. abgericht. Erkant, Mann soll Ime wider erlauben. Mr.

Abraham Dattler a acheté de l’avoine à l’encontre du règlement
1613, Protocole des Quinze (2 R 41)
(f° 224) Mittwoch den 15. Septembris. – Abraham Dattler
Abraham Dattler dem biersieder Zur Glocken 4. fiertel Weÿtzen vnd 8. fiertel gersten Vom marck heigeführt, welches der gersten halb Wider Ordnung, In dem Kein biersieder vfm marck einige gerst kauffen soll. So würde man auch darvonn Zureden haben. Erk. Mann soll Ihn beschicken vnd darüber hören.

Les Quinze refusent à Abraham Dattler l’autorisation de vendre son excédent de bière de mars à 6 deniers et non à 5 deniers mais l’autorisent à brasser autant de bière qu’il pourra pour la vendre l’été à condition de la faire d’abord goûter aux vérificateurs
1617, Protocole des Quinze (2 R 45)
(f° 106) Sambstag den 24. Maÿ. – Abraham Dattler, Biertax – Biersieden
Lt. Bittlinger erscheint vonn wegen Abraham Dattlers des biersieders Zur Glocken allhier, vnd vbergibt ein untertänige Supplication, so abgelesen worden, darinnen berichtet er, das er noch ettliche faß Mertzen bier im vorrhat, welches er nicht vff die 5. d. sonderen Zu dem end Zugerichtet, damit er sein behaußung beÿ gutem nahmen erhalten mög, dahero es Ihn auch ein mehreres gecostet, bitt derowegen Ime gnedig Zugestatten, das er allein solches Mertzen bier, so vff acht fuder fäßleins weiß, oder auch Zu Zeÿten frembden allhier ankommenden, in Vorstehender Meß die Maaß à 6 d. verkauffen mög, ohne einige enderung des Täffelins so außgehenkt würd vnd weÿl auch die hitzige Zeÿt allererst herbeÿ kompt, da nach dem bier starck nachfrag gehalten, aber mehrern theils allhier umb solche Zeÿt der gröste mangell gespührt würd, So woll mann Ime ferner gnedig verwillig. das er Zwischen hier vnd Johannis Baptistæ nechstkünfftig noch mehr bier, Zu der burgerschafft vnnd frembden notturfft sieden möge, Woll er solches allso Zurichten, damit seiner behaußung guter rueff erhalten werd. Lt. Bittlinger meldet noch weitter mündlich, das die acht fuder allso baldt vonn den Ungeltern köndten vffgenohmen werden, damitt gemeiner Statt nichts abgehe.
Erkant, Ist Ime sein erst begehren abgeschlagen, Im anderen mag er hie zwischen Johannis bier brauwen so viel er Khan, doch das er solches nicht außschencke, es haben es dann Zuor der bierschätzer versucht vnd probirt. B Mr

Abraham Dattler est autorisé à retirer un fût de bière qu’il a acheté à un marchand de Liège
1620, Protocole des Quinze (2 R 48)
(f° 177-v) Sambstags den 28. Octobris – Abraham Datler der Biersieder Erscheint, Sagt hab Von einem frembden Kauffman Von Lüttich, der neben andern Wahren ein eintzige Tonn hierin, alhero gebracht, dieselbe vmb 27. fl. erkaufft, Wolle aber ihme auß dem Kauffhauß nicht gefolgt werd. Weil Kein frembder mehr alß ein halben last Zuverkauffen macht hatt, bitt ihme solche folgen zulaßen.
Erkant, Soll Ihme pleiben Vnd erlaubt sein faß Stuck vmb 3 ½ Zu verkauffen. Mr

Abraham Dattler se remarie en 1621 avec Marie, fille du marchand Quackest (Quackhard) de Cologne
Mariage, Saint-Pierre-le-Jeune (luth. p. 322)
1621. Dominica Septuagesima. Abraham Dattler der Biersieder Zur Glocken, Vndt J: Maria, Johann Quackest Von Cöllen des gewesenen handelsmanns alhie hinderlaßene Tochter. Eingesegnet Zinstag 6. Feb: (i 166)

Le mandataire de Abraham Dattler alors malade et sa femme Susanne Meyenthau hypothèquent la maison aux marchands associés Samuel Müller et Henri Lips.

1627 (13. Feb.), Chambre des Contrats, vol. 461 f° 96-v
Erschienen wegen Georg Pfawen (welcher derselb leibs halben, an ietzo nicht außgehen Kann) sein schwager Melchior Christ der Federschmucker burger alhier, vnd Susanna Meÿenthawin sein Pfawen eheliche haußfr. bekanten
in gegensein H Samuel Müllers deß handelßmanns auch burgers alhie, daß sie Susanna vnd ihr haußwürth ihne Müllern vnd Heinrich Lipsen beeden Gewerbs gemeinern vffrecht schuldig seÿen Lx. lb
Vnderpfand 400. fl. so Abraham datler der Biersieder alhie wegen deß von ihnen den beed. Schuldbekennern erkaufften und gegen der Metzig über gelegenen haußes, noch am Kauffschilling schuldig

Abraham Dattler se remarie avec Anne Marie, fille du boucher Georges Reuter
Mariage, Saint-Nicolas (luth. f° 90-v, n° 10)
1634. In Festo paschatos. H Abraham Datler der Biersieder vnd Burg. alhie und Jungfr. Anna Maria Jerg Reuter des mezigers vnd burgers alhie eheliche tochter (i 184)

Abraham Dattler meurt en laissant pour héritières ses deux filles adoptives Marie Surlet, mariée avec Jacques Lamblin de Sainte-Marie-aux-Mines, Judith Surle femme de Marc Hœllbeck, sa fille Marguerite Dattler femme du brasseur Jean Kolb, et son autre fille Salomé issue se son deuxième mariage avec Marie Quackhard. L’inventaire est dressé à leur requête et à celle de la veuve en troisième noces Anne Marie Reutter dans la maison rue des Pâtissiers. La masse propre à la veuve est de 4 739 livres, celle propre aux héritiers de 234 livres. L’actif de la communauté s’élève à 3 564 livres, le passif à 2 952 livres.
1635 (2. 9.bris), Not. Oesinger (David, 37 Not 4) n° 14
Inventarium undt Beschreibung Aller undt Jeder Haab Nahrung vndt güettere Ligender und Vahrender, So weÿlandt der Ehrengeachte und Vornehme herr Abraham Datler gewesener burger Alhie Zue Straßburg selige nach seinem Zeitlichen vndt sehlig. abscheidt aus dießer welt verlaße, vnd auf beschehen freundlich. vnd fleißig erfordern ansuch. und begehren der auch Ehrengeachten und Erbaren H Johann Kolben des biersieders Zu dem Straußen, und burgers alhie Zu Straßb. alß Ehevogts fr. Margarethæ Datlerin obgemelten Verstorbenen H seligen In erster ehe erzeügter Tochter Alß Zue einem Vierten theil, Item Sebastian Kuglers des Kupferschmidts als geschwornen Vogts Salome Datlerin deßelben In der mitlern ehe erzielten Töchterlins, auch zu einem Vierdten Theil, Item Pauli Tÿri burgers und handelßmanns Zur Mariakürch als Ehevogts fr. Judith Lambling mit beÿstand des Ehrenvesten fürsichtig und weÿßen H Johann Christoph Engelhardts E. E. Kleinen Rhats alhie beÿsitzers und Herr Isaac Billets als geschwornen vogts Abel, vnd hans Jacob Lambling aller dreÿ geschwisterden vnd weÿland Herrn Johann Lambling gewesenen Handelßmanns Zu Straßb. mit auch weÿland Fr: Maria Surletin mehrbenambsten Herrn Datlers seligen adoptirten Tochter selig. ehelich erzielten Tochter und Söhne auch Zue einem Vierdten theil, So dann Pauli Kürchers des Barbierers vnd burgers daselbsten alß geschwornen Curatoris auch weÿland frawen Judith Surlethin vil erwehnten H seligen adoptirten Tochter selig mit Marx Hölbeckh dem Barbierer ehelich erzeügter fünff Khinder Nahmens Margaretha, Dorothea, Johannes, Elisabetha, unndt Marx alß auch Zu einem Vierdten theil per Testamentum nuncupativum gesambter Erben Instituirter fleißig ersucht inventirt, durch die Ehren: und Tugendsame Fr. Annam Mariam Reütterlin vilberüerten verstorbenen H Abraham Datlers selig Hinderlaßene wittwe mit beÿstand der Ehrenvesten Hoch: und wohlgelehrten Herrn Johann Ernst Leüterspergers I.V.D. und E. E. Kleinen Raths wohlverordneten Procuratoris vnd Philippo Mangoldts Notarÿ Publici Ihres erbettenen Herrn und geschwornen Vogts (…) Beschehen Montags den 2. 9.bris A° 1635

In Einer Behaußung In der Statt Straßburg In der Fladergaßen gelegen, so Inn diße Verlaßenschafft gehörig vnd hernach Specificirt würdt, deßelben hindern Stockhs Ist befunden word. wie volgt
Vff der Obersten Büenen, Inn d. Cammer A, In der Cammer B, In der Wohnstub, In der Neben Cammer D, Im haußöhren, Inn der Kuchen, Im undern Stocks In d. Obernstub, In der Kuch. Im mittlern Stock, Im Undern stockh, I, dem Gerümpel Kämmerlein, In d. Holtzkammer, Im Keller – In einem Keller In der Stroßen gelegen, So frawen Eblerin Zuständig
Eigenthumb ahn einer Behaußung so theilbar (T.) Item eine Behaußung (…)
Ergäntzung der Erben Unveränderten Guths. Erstlichen ist den Erben vermög Inventarÿ über weÿland Fr. Mariæ Quarckhardin seel. Verlaßenschafft in A° 1634 auffgerichtet
der Erben, Wein und Lähren Faß 268, pfenningzinß hauptgüter 525, Schulden, Ergäntzung 2828, Summa summarum 6076 lb – Schulden 1336 lb, Nach deren Abzug 4739 lb
Hernach volgt die Beschreibung der Fraw Wittiben unveränderten Guths, haußrath 36, Frucht auff dem Kasten 78, Ergäntzung 75, Schuld 52, Summa summarum 234 lb
Endlichen Würdt auch die Theilbare Nahrung beschieben, haußrath 38, Behaußung 1540 (…) Summa summarum 3564 lb – Schulden 2952, Nach deren Abzug 601 lb
Summa finalis 5585
Wÿdemb So die Fr. Wittib die tag ihres lebens zugenüeßen hat, Inhalt hieuornen einuerleibter Eheberedung
Publicatio und Erclärung über hieuorgesetzten testament und beÿgefügte fernere disposition (…) Johann Kolben Burgers und biersieders zu dem Straußen alhie alß Ehevogt der auch ehren und tugendsamen frawen Margarethæ Datlerin deßelben eltisten Tochter, Zu einem Stammtheil, Sebastian Kuglers aucb burgers und Kupfferschmidts daselbsten als geschwornen Vogts Salome mehrberüerten H Datlerins selig. mit weÿland frawen Maria Quackhardtin seiner mitleri haußfr. selig erzeugten döchterlins Zum Andern Stammtheil (…)

La veuve Anne Marie se remarie en 1638 avec le barbier chirurgien Gabriel Braunstein
Mariage, cathédrale (luth. p. 414)

1638. 4. 9.br. Dominica XXIV Trin. H. Gabriel Braunstein der Balbierer Wundtartz Vnd Burger alhie, Vndt Fr. Anna Maria h. Abraham Dattlers Bier Würts Zur Glocken n. Witwe Eingesegnet Zinst. 13. 9.br (i 212)

Abraham Dattler vend la maison au tailleur Antoine Spach. En marge, quittance remise à Martin Hermann.

1633 (8. Julÿ), Chambre des Contrats, vol. 471 f° 331
(Protocollat. fol. 62.) Erschienen Abraham Dattler, Biersieder Zur Glocken alhie,
hatt in gegensein Anthoni Spachen deß Schneiders auch burgers alhie (verkaufft)
hauß, hoffstat, höfflin und hinderhauß, mit allen andern ihren gebäwen, alhie gegen der Metzig vber neben Gabriel Neher dem schuhmacher & neben Georg Wincklers deß Weißbecken see. wittib und Erben hind. zum theil vff den Vlmergraben vnd zum theil vff besagts Wincklers witib vnd Erben, dauon gehen Jährlich auff Urbani 4. gld. gelts St. w. H. D. Ernst Heussen in hauptgut mit 100. fl. w. abzulösen, Jt. 7 ß 6 s bodenzinß vff Weÿhenachten dem Gürtlerhoff alhie, so seind sie auch noch verhafftet vmb 100. lb d dem Stifft S. Marx alhie, so vff erfordern erlegt, Inmittelst vff Joh. Bapt: verzinßt werd. müessen, sonst ledig, eÿgen, Vnd were diser Kauff vber die beschwerde geschehen per 950. lb
[in margine :] die hierinn angegebene 100. lb dem Großen Gemeinen Allmusen Zu St. Marx gehörig seind durch Martin Hermann alß ietzig Possessorem hiering. behaußung abgelöst wd. Er dafür quittirt word. wie in deß Allmusens Reg. de A° 1560. biß 1653. inclusive fol. 364. mit mehrerm zu befinden ist

Fils d’Ulric Spach, Antoine Spach épouse en 1619 Madeleine, fille du cordier Thomas Klopffer
Mariage, Saint-Pierre-le-Jeune (luth. p. 298)

1619. Dominica Quinquagesima. Anthoni Spach der Schneider, Herrn Ulrich Spachen Hinderlaßener Sohn, Vndt J: Magdalena Thoman Klopffer des Seÿlers Hinderlaßene Tochter. Eingesegnet Zinstag 16. feb: (i 154)

Antoine Spach vend la maison au farinier Martin Thierbach (Dürrenbach)

1635 (15. Junÿ), Chambre des Contrats, vol. 472 (expéditions) f° 48-v
Wir ut spâ [Hans Carol Prechter der M. &] erschienen ist vnser Burger Anthoni Spach der Schneider (verkaufft)
auch vnserm Burger Martin Dürrenbach dem Meelman
Ein Vorder vnd hinderhauß, hoffstat vnd höfflin, mit allen and.en ihren gebäwen & gelegen in vnserer St. St. gegen der Metzig vber, einseit neben Gabriel Neher dem Schuhmacher, anderseit neben weÿ: Georg Wincklers see. wittib und Erben, hinden Zum theil vff de Vlmergraben vnd Zum theil vf erstgedaht wittib vnd Erben stoßend dauon gehen Jährlich auf Urbani vier gulden gelts Straßburger wehrung D Ernst Heüssen in hauptgut mit 100 Gulden bemelter werung abzulösen, Item Sÿben schilling sechs pfenning bodenzinß auf weÿhenachten dem Gürtlerhoff alhie, So seind die Heüser annoch verhafftet vmb 100. pfundt dem Stifft St. Marx alhie (…) So dann vmb 700 Pfundt d Abraham Dattler dem Biersieder zur Glocken – vber die beschwerde so der Käuffer auf sich genommen, Zugangen und beschehen für und umb 398 pfund

Originaire de Weissensee en Thuringe, le boulanger Martin Thierbach épouse en 1624 Jacqueline, fille du musicien Augustin Bietmann (ensuite Dietmann)
Mariage, cathédrale (luth. p. 178)
1624. Dominica 3. Trin : 13. Junÿ. Martin Thürbach von weissensee aus Thüringen der weisbeck, vnd J. Jacobe, Augustin Bietman den spielman n. tochter. eingesegnet montag 21. Junÿ (i 94)

Martin Thierbach devient bourgeois par sa femme deux jours après son mariage
1624, 4° Livre de bourgeoisie p. 69
Martin Dürbach Von Weißensee In Düring d. Weißbeckh empfangt d. Burgkrecht Von Jacobe Augustin Bietman deß Spülmans selig. hind.laßener Tochter Vnd Wüll beÿ den Beckh Zünfftig sein. Signatum den 15. Julÿ Ao 1624.

Martin Thierbach et sa sœur Barbe Thierbach femme du chaudronnier Sébastien Kugler vendent à leur beau-père Martin Hermann deux cinquième qui leur appartiennent dans la part paternelle de la maison

1652 (22. Julÿ), Chambre des Contrats, vol. 512 f° 449
(Prot. fol. 138. fac. 2) Erschienen Martin Thierbach der schwartzbeckh und Barbara sein Schwester Sebastian Kuglers deß iüngern, Kupfferschmidts, eheliche haußfr. mit beÿstand ermeldts ihres Ehevogts
haben in gegensein Martin Hermanns deß Meelmanns ihres Stieff Vatters
ihre Zween fünffte theil ahne Zwen tritten theilen ahne Zweÿen häußern einem vordern und einem hindern, dero hoffstätten, höfflin und allen deren Gebäwen & alhie geg. der groß. Metzig hienüber, einseit neb. Anthoni Eisen dem Schuhmachern, anderseit neb. weÿl. Georg Winckhlers deß weißbeckh. seel. Erben, hind Zum theil vff den Olbergraben, und theilß vff die winckhlerische Kind. stoßend gelegen, von welch. gantz. Behaußung gehnd iahrs vff Urbani 4 fl. Wehr. lößig mit 100 fl. ermeldter wehr. Fr. Susannæ Bernerin, Item 7 ß 6 d iährlich. vff weÿhenachten.dem Gürtler hoff, Item 5 lib. vff Joh. Bapt: lößig mit 100. lib. dem Stüfft St. Marx, so ist diße Behaußung auch noch verhafftet geweß. umb 500. lib. weÿl. Abraham Dattlers deß Biersieders Zur Glockh seel. Erben, daran aber der Käuffer bißhero nach und nach abgetragen hatt, sonsten seÿe solche Behaußung ledig und eig. Und were dißer Verkauff und Kauff über die ietz specificirte Beschwärdt daran der Käuffer gewiß. word ist, welche derselbe auch (…) übernohmen – zu dem hiehero gehörig. rato übernohmen ) geschehen umb 70. lib

Originaire de Sundhoffen près de Colmar, le farinier Martin Hermann épouse en 1639 Jacqueline, veuve de Martin Thierbach : contrat de mariage tel qu’il est copié à l’inventaire, célébration
Copia Eheberedung – Zwisch. dem Ehrsamen v. bescheidenen Martin Herrmann, Von Sunthoffen, der Weißbecken an einem, v. dann d. Ehren: v. Tugendsamen frawen Jacobea Weÿl. Martin Dhierbachs, geweßenen Meelmanns v. burgers Zue Straßburg seel. hinderlaßenen Wittib andern theils (mit beÿstand) Martin Müllers ihres geschwornen Vogts, V. Hanß Lorentz dhierbachs deroselben Kinder Vogts (…) Welches alles beschehen v. abgehandelt Sambstags d. 13. 9.bris A° 1639. v. durch nich expedirt d. 25. Maÿ A° 1655. Johann Friderich Medler nots.

Mariage, cathédrale (luth. p 429)
1639. Dom: 24. Trinitatis. Martin Hermann der Meelman, Martin Hermans deß gewesenen Wirths von Sundhoffen hind.laßener ehelicher Sohn, Jacobea Martin Dürrbachs deß Meelmanns vnd burgers allhie nachgelaßene Wittib. Mont. den 2. Decemb. In der Ruprechts. eingesegnet (i 219)

Il devient bourgeois une semaine après son mariage
1639, 4° Livre de bourgeoisie p. 189
Martin Herman Von Sundthoffen der Mehlman Empfangt d. Burgerrecht von Jacobea, weÿl. Martin Dürbachs deß Mehlmans Seel: witiben Seiner Haußfrauwen vmb 8. gold fl. Ist noch ledigen Stants geweßen vnd würd Zu den Becken dienen Jur: den 9 Xbris 1639.

Martin Hermann demande le 28 octobre 1648 l’autorisation d’établir une boulangerie dans sa maison. La commision se réfère à des précédents. Elle constate que les boulangers sont déjà nombreux et que le pétitionnaire vient d’être emprisonné pendant deux jours pour une querelle avec ses voisines. Par ailleurs Martin Hermann a appris le métier de boulanger et plusieurs boulangeries ont fermé à proximité. La commission demande aux préposés aux feux d’inspecter la maison. Ils concluent dans leur rapport présenté le 17 novembre que la qu’on peut y faire sans danger un four à pain. La commission estime qu’une nouvelle boulangerie porterait préjudice au voisin Jean Conrad Ferber. Elle est d’avis que Jean Conrad Ferber continue à exercer le métier de boulanger et Martin Hermann celui de farinier. Martin Hermann se plaint en décembre que son voisin contrevient à la décision des Quinze en vendant de la farine, de la semoule, de l’avoine et des pois au détail.

1648, Protocole des Quinze (2 R 67)
(f° 206) Sambst. den 28. 8.bris – Martin Hermann wegen Beckenwercks
Martin Hermann per M. Eggern d. Mehlgremp beÿ d. Metzig, pd. Supplicat: bitt daß Er daß beckenwerck in seiner behaußung treiben mög, vndt deßwegen vmb Augenschein. Erkandt, soll vffgeschlagen vndt die Sach ieht Zubedacht gezog.

(f° 210) Freÿtag den 3. 9.bris – Martin Hermann wegen Beckenwercks
H. Baur, H. Stör reassumiren Martin Hermanns deß Meelmanns gegen der Metzig supra folio 206. gesuchtes beckenwerckh, vnd laßen ex protocollis de a° 1643 et 47. Waß damahlen mit hans Georg Dambachen vndt den becken fest ingleichem begehren Vor war, ableßen, Nun seÿe nicht ohn, daß das Becken Handwerck ohne daß über setzt, bereits 2 beckenhäußer inn selber gegend, vnd Zwar Eins hart an Imploranten hauß, vnd Würdt die Willfaht nicht allein beÿ dem gesambten handtwerckh groß lamentirens, sondern auch beÿ der nechsten nachbaurin /.weilen diese beÿde Weiber ohne daß in stettigem Zanckh mit einander Leben./ nicht wenig händel vnndt Ungelegenheit verursachen, maßen dann daselbst ohne daß Jüngsten Schwetz händel Vorgegang., deßwegen Supplicant vnd sein haußfrau auß Erkandnuß E. E. Großen Raths Zween tag In hafft büßen soll.
Weilen aber auch supplicant Ein Arm gesell, der sein handtwerckh redlich erlehrnt, auch solches zu treiben billich nit Zuhindern, daß hauß gleichwohl vmb 1200. fl. beschwert vnd von den creditoren gezogen, darauf die 5. Kind. Mhh. Zu erbarmen kommen möchten, Item auch vor etlich Jahren Ein beckenhauß vffm Fischmarck abgangen, auch Vor Jahren daß bierhauß Zum Strauß Eines geweßen, vnd Im übrigen in dergleich ansuchen MHh. Kein gebundene handt haben, alß seindt die Herren Deputirte der ohnmaßgäblich. meinung, Es solte der augenschein per Obere Fewrherren eingenohmen /:undter deßen möchten Vielleicht die becken auch einkommen:/ köndte als dann ferner vom geschäfft geredn vndt nach befundenheit willfahrt od. abgeleint wd. Erkandt, würdt placidirt.

(f° 218) Sambstag den 11.ten 9.bris – Becken Meisterschafft et Cons. Ca. Martin Hermann
Becken Meisterschafft Item Hans Conrad Ferber, Weißbeck gegen der Metzig, so dann Hanß Heinrich Boch, Vincens Limpurger vnndt übrige Nachbaurschaft daselbst vbergeben per Bullian dreÿ und.schiedliche Supplicationes, Vnd bitten vff Mhh. Erkandnus supra fol. 210. vmb eingeführter ursach willen, Martin Hermann sein begehrtes beckenwerckh abzuleinen & Erkand, Vorig herren sollen die Sach bedencken.

(f° 219-v) Freÿtag den 17. 9.bris – Hans Conrad Ferber et Cons. Ca; Martin Hermanns beckenwerckh
H. Baur und H. Stör Laßen die Verschiennen Sambstag Von E. E. Zunfft der becken, wie auch den Nachbaurschafft vnd hanß Conrad Ferbers des weißbecken, Wid. Martin Hermanns begehrtes beckenrecht, Einkommene Supplicationes ableßen. Ob nun wohl der, Von Obern Fewr Herren Jüngst eingenommene Augenschein, Wie solcher in Fewer, Augenschein Protocollo fol: 180. verzeichnet Zuerkennen gibt, daß das Fewer recht in gedachten Hermanns hauß wohl Zu v.gönnen vnd ein Bachoffen ohne sonderen gefahr vfzurichten were, So find. doch die Herren Deputirte vnd erschiedliche in gegenseitig. Supplicationibus eingeführte motiven vndt sonderlich aber die nachfolgende, von solchem grundt, benantlich daß (1) die beede beckenhäußer so nahe an einand. kämen, d. beÿ beeden läden fast kein und.scheid Were, welches (2) großen Zanckh noch mehrere verbitterung bevorab Zwisch. den 2 bißigen weibern, vnndt also bestendige Ungelegenheit causiren würde & (3) Ferber gleich wohl 7. Hermann aber nur noch 3. Kind. beÿ sich vnndt dann auch (4) In selber refier vnd gleichsamb nit vber j. od. 2. Steinwürff Von Einand. sich vff 9. od. 10. beckenhäußer befinden & daß Sie dahero nit sehen konnen Wie Hermann In seinem begehren Zu willfahren, sondern vermeinen* Jedoch ohne Einige maßgebung, Es solte ihme an diesem orth daß beckenwerckh Zutreiben abgeleint, sond.n Er beÿ seinem Meelverkauff gelaßen, hingegen aber auch seinem nachbauren, weilen mann die eüsverliche* nachricht, ob wolte Er Jenem Zutrutz, neben dem beckenrecht auch Wannen außstellen, angezeigt werden, daß Er sich deß Wannenrechts sonderlich so lang bede heußer In dem Stand verbleiben, allerdings und gäntzlich enthalten, also allein beÿ seinem beckenwerckh vnd Jener allein beÿm wannenrecht verbleiben solle, alles vff belieben MGhh.
Erkandt, würd der Herren Deputirt. bedencken placidirt.
[in margine :] Sambt. den 18. dito Ist Hermann u. Ferbern in ph. Jr. Kippenheim v. H. Dieffenbechers bescheid angezeigt.

(f° 238) Sambstag den 9. Xbris – Martin Hermann Ca. Hans Conrad Ferbern
Martin Hermann der Meelmann per Eggen Contra Hans Conrad Ferbern den becken seinen Nachbauren, Clagt daß derselbe MHh. Jüngsten Erkandnuß Zu Wid. nicht allein Meel und grieß sondern auch Gerst und Erbßen Sester Weiß verkaufft & bitt ihme Zur parition anzuhalten. Bullian pro citato ad proximam begehrt, ille setzts.
Erkandt soll beclagten auß dem Semel mehl und grieß, durch auß nichts von gekörn, od. andern Stucken Zum Meelwerck gehörig, wed. in noch außerhalb dem hauß verkaufen, beÿ straff 5. lb. d. so offt dar wid. beschiht
[in margine :] den 13. diß Ist Hermann wie auch Ferbern v. seiner Frawen in E. Jr. Kippenh. H. Dieffenbechers bescheid angezeigt worden.

Les Quinze confirment Martin Hermann dans son droit de vannage.
1665, Protocole des Quinze (2 R 82)
(f° 37) Sambstag den 15. Februarÿ. – Martin Herman wegen Wannenrechts
Martin Herman pro filio Hanß Georgen, p. Wilden, prod: Zunfftschein, vnd pitt vmb gn. confirmation, erlangt. Wannenrechts. Erkandt, willfahrt, vnd ist schein gefertiget.

Le chapelier André Thierbach et sa sœur Salomé Thierbach femme de Paul Lorentz vendent deux autres cinquièmes à leur beau-père Martin Hermann

1657 (23. 9.br), Chambre des Contrats, vol. 522 f° 504
(Protocoll. fol. 67.) Erschienen Andres Thierbach der huetmacher und Salome sein Schwester, Paulus Lorentz Eheweib, mit beÿstand erstermelts ihres Ehevogts, wie auch Martin Thierbach deß haußfewrers ihres eheleiblich. Bruders und Sebastian Kuglers deß Kupfferschmidts ihres Schwagers
in gegensein Martin Herrmanns deß Meelmanns ihres Stieffvatters
Zween fünffte theil ahne zwen tritten theilen ahne Zweÿen häußern einen vordern und hindern, deren hoffstätten, höfflin, und allen ihren Gebäwen & alhie geg. der groß. Metzig hienüber, einseit neben Anthoni Eisen dem Schuhmachern, anderseit neben hannß Georg Planckh dem Weißbeckh. hind. theils vff den Ulbergraben, theilß vff erstgemelt. Blanckh stoßend geleg., daran der übrige ein fünffte theil am Zweÿten theil sampt dem haupt tritten theil dem Käufferen ehevögtlich. weiße Zustehe, von welch. gantz. Behaußung gehend iahrs vff Vrbani 4. fl. straßb. wehr. lößig mit 100. fl. ermelter Wehr., Fr. Susannä Bronnerin, Item 7 ß 6 d iährlich vff weÿhenacht. dem Gürtler hoff, Item 5 lib vff Joh. Bapt: lößig mit 100. lib. dem groß. gemeinen allmosen Zu St Marx, So ist solche Behaußung auch noch verhafftet umb 337. lib. 10. ß rest ahne 500 lib weÿl. Abraham Dattlers geweßenen Biersieders Zur Glockh nunmehr seel. nachgelaßenen Erben – zu dem hieheri gehörig. rato übernohmen – umb 70 pfund

Martin Hermann renonce au nom de sa femme Jacqueline à la jouissance viagère de la succession de Martin Thierbach en faveur des quatre enfants issus du premier mariage
1657 (23. 9.br), Chambre des Contrats, vol. 522 f° 505
Erschienen Martin Herrmann der Meelmann alß Ehevogt Jacobeæ, weÿl. Martin Thierbachs deß ältern geweßenen Meelmanns seel. Wittibin, an einem,
So dann Martin Thierbach der haußfewrer, Barbara Sebastian Kuglers deß Kupfferschmidts Eheweib mit beÿstand erstgemelts ihres Ehevogts, Andres Thierbach der huetmach., Vnd Salome Paulus Lorentz deß Metzgers Eheweib, mit beÿstand erstgedachts ihres Ehevogts, alle vier Geschwisterd, und obernannts Martin Thierbachs deß ältern Zu vier fünffte, theilen Erben, am andern theil
Zeigten an und bekannten geg. einand. freÿ gutwillig offentlich Wiewohl. Sie Jacobæ die Muter sein Martin Thierbachs deß ältern Verlaßenschafft, salvâ legitimâ, die tag ihres lebens widems weiß Zu genießen befugt geweß. were, hette Sie iedoch vff solch. widems nieß gutwillig verzug gethan (…)

Martin Hermann rachète un capital assis sur la maison en vertu d’un titre de 1548.

1670 (4. Aug.), Chambre des Contrats, vol. 537 f° 456-v
Erschienen H. Johann Georg Lemp der Apothecker, alß Curator Fr. Susannæ Gernerin
in gegensein Martin Hermanns deß Meelmanns
bekannt daß derselbe 100. fl. Straßb. erlegt und dadurch die Jenige 4. fl. straßb. Wehr. iährlich. term° Urbani fallenden zinnßes, so Er, Vermög eines Latinisch. pergamentinen sub dato 15. Calendas Junÿ Anno 1548. durch weÿl. H Sebastianum Metzgern alß deß Bischofflichen hoffs damahlig. Contractuum Notarium nunmehr seel. mit deß hoffs anhangenden Insigel außgefertigten Zinnßbrieffs, Von seiner allhier gegen der Metzig hinüber gelegener Behaußung

Martin Hermann meurt le 25 août 1672 en délaissant trois enfants réduits à la part légitime. Le défunt a légué la maison face à la grande Boucherie à son fils cadet Jean Georges. La masse propre à la veuve est de 644 livres, celle propre aux héritiers de 26 livres. L’actif de la communauté s’élève à 2 445 livres, le passif à 134 livres.

1672 (4. 9.bris), Not. Theus (Philippe Henri, 59 not 7) n° 192
Inventarium vndt Beschreibung aller vndt jeder haab, nahrung V. güeter, so Weÿl. der Ehrenhafft V. Vorgeachte Herr Martin Herrmann, Meelmann V. Burger alhier, nach seinem den 26. Augusti dießes Zue end gemelten jars aus dießer Zergänglich. Welt genommenen seel. hienscheiden hinder ihme V.laßen, Welche Verlaßenschafft auf freundliches ansuchen erfordern Vnd begehren Mstr. Samuel Herrmanns Vndt Hanß Georg Herrmanns beeder haußfeurer Vndt burgere alhier, So dann Fr: Jacobea Hermännin H. Johann Christoph Kertzdörffers glaßers v. burgers alhier haußfrau mit beÿstand deßelben, sein Martin Herrmanns seel. mit nachgemelter hinterbliebener Wittibin Ehelich erzielter dreÿer Kindere Vnd per Testamentum in Legitimam instituirter Erben, deren Kinder in das übrige d. Stämmer nach eingesetzet seindt, durch die Tugendsame fraw Jacobeam Dietmännin des v.storbenen seelig. hinterbliebene Wittib mit beÿstand Mstr Pauli Weinschencken Stub. vatters d. beck. knecht stub. ihres geordnet V. geschworenen Vogts (…) Actum Straßburg in fernerem beÿseÿn Hn Seb. Kuglers Kupferschmidts v. Mstr. Andreæ dhierbachs hutmachers beed. burger allhier Montags den 4. Novembris A° 1672.

In einer d. Statt Straßburg geg. d. großen Metzig über gelegenen, hiehero gehörigen vndt hernach beschriebenen behausung ist befund. Word. Wie volgt
Ahne Haußrhat. Auff d. obern bühnen, Auf d. undern bühnen, In d. Cammern A, In d. Cammern B, In d. Cammern C im hindern Stock, In d. obern Vordern Stuben, In dem hindern Stüblein, In dem vndern od. gad. stüblein, Im höfflein, Im gad., Im Keller
Ahne Früchten vndt Meel. Auff Hanß Georg Hermanns Casten, Auff dem Kasten im Bruderhoff, In d. Wohn behaußung auff dem Casten, Im gaden auff dem banck
Eigenthum ane einer behaußung. Item einen Vordern Vndt einen hinderhauß hoffstatt Vndt höfflein mit allen ihren gebäwen, begriffen, Weitt. Rechten, Zugehörd. V. gerechtigkeitt. gelegen in d. Statt Straßb. gegen der großen Metzig über eins. neben Mstr Hanß Georg Planck dem Weißb. v. burgern alhier, anderseit H. Hannß Conrad Simon dem barbierer V. auch burger allhier, hinden Zum theil auf dem Ulmer graben Vndt theils auf erstgemelt.H Planck stoßend. Davon jährlichen d. Statt Straßb. d.thurn auf Jacobi 10. ß d. Zinß, So dann 7. ß 6 d dem Gürtler hoff allhier jährlich auf weÿhenachten abzurichten aber dieselbige freÿ ledig v. eigen, Vndt über gemeltte beschwerd. hiehero Wie dieselbige hans Georgen dem jüngst. Sohn dießer tagen in beÿsein d. H. Testamentarien überlaßen worden angeschlagen seind Nemblichen pro 2100. fl. gehört d. Fr. Wittib für Unverändert Vordrist Ein dritter theil so da thut 350 lb. Und ane den übrigen Zweÿtten theil Wiederumb ein 5. theil so da ist 140. lb Thut also d. Wittib gantze Unveränderte theil nemlich 490 lb.. Darüber Vorhanden 2 teutsche p.gamönine Kauffbrieff, mit d. Statt Straßb. anhangendem Contract Insigel deren d. Erste datirt d. 22. Julÿ A° 1652. besagt wie d. V.storbene Martin Herrmann Von Martin dherbach den schwartzb. v. Barbara seiner Schwester H. Seb. Kuglers deß Kupfferschmidts Eheliche haußfr. ihre 2/3. theil ane 2/3. theille an sich erkaufft, d. andere sub dato d. 23. 9.bris A° 1657. inhaltend wie d. seelig v.storbene Von Andreæ dhierbachen den hutmachern v. Salome seiner Schwester, Paul Lorentz deß Metzgers haußfrawen ihre 2/5. theil ane 2/3. theillen abgehandelt hatt, beede not. mit N° 1.
Itel Was das jenige in d Burggaß gelegene beckenhauß (…)
Ergäntzung der fr. Wittib unveränderter guths. Erstl. Auß dem über weÿl. h : meister Dhierbachs gewesenen Meelmans v. burgere Zue Straßb. ihres Ersten haußwürths seel. V.laßenschafft durch auch Weÿl. Notarium H Caspar Medlern seel. A° 1639. d. 23. 7.bris auffgerichteten Inventario. 165 lb, Abzuf 40, Restierende Ergäntzung 124 lb.
Der Fraw Wittib unverändert Vermögen, 1) d haußrath 72, 2) Silber 43, 3) gold ring 1, 4) Eÿgenthumb an i. behaußung 403, 5) Ergäntzung 124, Summa summarum 644 lb
Solchem nach volgt nun auch die beschreibung der Erben Unverändert Nahrung allein in Volgender Kleidung vnd Weißen gezeüg bestehet (…) 26 lb
Endl. Wirt auch das gemein Verantwortung vndt theilbar guth, so in Volgend. rubricen bestehetn beschriben 1) s haußrath 61, 2) Schiff v. geschirr 10, 3) Frücht v. Meel 548, 4) Wein v. lehrer Vaß 85, 5) Silber geschirr 48, 6) gld. Ring 4 ß 7) baarschafft 804, 8) beßerung ane häußern 747, 9) Activ Schulden 137, Summa summarum 2445 – Passiv Schulden 134 lb
Conclusio finalis Inventarÿ 2980 lb
Copia Testamenti clausi vel inscriptis. Ich Martin Herrmann und ich Jacobe Dietmännin beede Ehegemächte und burgere Zu Straßburg (…) Zum sechst. ist unß. beed. Testirend Eheleuth ernstich will u. meinung, d. nach Unßerm. seel. ableib. wann nemlich d. von uns einand. v.schaffte usufructus seine endschafft erreicht hab. wird, Unßerm Sohn Hanß Georg Herrmann, dafern d.selbe alß dann noch beÿ leb. sein wird, Unß.e alhier in Straßburg geg d groß Metzig üb. gelegene wohnbehaußung umb 800 pfund v. seinen übrig. mit Erben Käufflich überlaß. werd. (…) Darnach u. Zum Siebend. so p.legiren u. v.mach. wir Unß.m Sohn Samuel Herrmann auch auff vorgemelt. unß. beed.seits töldich. hientritt, Unß.e Eigenthümliche ane d. Burggaß alhier gelegene Behaußung umb 500 Pfund Pfenning (…) Und dieweilen Zum 11. die benambß: u. einsetzung d. Erben d: wesentlichs hauptstück eines Jed. Testaments ist, so ernenne Ich Martin Hermann Zu meinen recht. u. ungezweiffelt. Erb. meine mit ietzig. meiner haußfr. Jacobea Dietmännin ehelich erzielte 3. Kind. benantlich. Samuelen, Hanß Geörg. u. Jacobeam, doch dergestalt, d. Sie weit. nicht dan in Legitima eingesetzt sein (…), Ich Jacobea Dietmännin ab. setze Zu meinen Erb. ein, meine in erst. u. and.re Ehe erziehte Kind. nemlich Martin, Barbaram, Andream und Salome, so ich mit meinem esten haußwürth Martin dhierbach. den Meelman ehelich erzeugt, so dann Samuelen, Hanß Geörg u. Jacoben, die ich mit ietzigem meinen Ehemann Martin Herrmann auch Meelmann ehelich erziehlt, doch d.gestalt, d. von meinen Kind. erster Ehe, dreÿ benantlich. Martin, Barbara u Salomen so d. Kind.n and.er Ehe ab. alle dreÿ nemlich Samuel, Hans Geörg u. Jacobe allein umb ihren Pflichttheil zu Latein Legitima genant, eingesetzt sein (…). Gescheh. in des heÿl. Reichs freÿ Statt Straßburg, sontags d. 14. Monatstag Julÿ Ao. 1667. – Copia Instrumenti, Johann Georg Redtslob, Sacra Imp.iali Authoritate Notarius publicus ac Civis Argentinensis – Copia Nach Dispositionis – Erklärungen, dinstags d. 29. 8.vris A° 1672. – Vergleich, d. 13. 9.bris A° 1672, Philippß Heinrich Theus, Nots.
Den 30. Maÿ A° 1673 hab Ich d. Fr. Wittiben als kranck v. Zu bette geg. (…) überlieffert
Copia Eheberedung (…) Welches alles beschehen v. abgehandelt Sambstags d. 13. 9.bris A° 1639. v. durch nich expedirt d. 25. Maÿ A° 1655. Johann Friderich Medler nots.
N° 193 General Theil Buch

Biens dont la veuve a la jouissance viagère et liquidation de la succession
1673 (20. Februarÿ), Not. Theus (Philippe Henri, 59 not 8)
N° 198 – Wÿdemb Welchen fraw Jacobe Herrmännin lebtägig Zu usufruiren hat, Vndt nach dero seel. hientritt auf die Herrmännische Kindts Kind. Eigenthümlichen Zufallet, auffgerichtet Anno 1673. (…) Fraw Jacobe Dietmännin gemelt. Herrn Hermann seel. hinderbliebene Wittib – Donnerstags d. 20. Februarÿ A° 1673
N° 197 – Abrechnung Zwischen Frawen Jacobeæ Dietmännin herrn Martin Herrmanns deß Meelmanns und burgers alhier hinderbliebenen Wittibin
Vndt derselben Kindern Letzter Ehe nammentlich an Samuel und hanß Georg Herrmann Undt Jacobæ Kertzendörfferin alß Herrmännischen Erben
Wegen deren beÿ der inventation Zu bezahlung der Stallgebühr Inventiren vnd theil : auch anderer Kösten außgesetzten 50 lb. d. (…) Donnerstags d. 20. Februarÿ A° 1673

Partage de la succession suite à un acte dressé par le notaire Christophe Schübler après la mort de Jacqueline Dietmann le 17 mars 1674.
1674 (27.3.), Not. Oesinger (David le jeune, 38 Not 7) n° 7
Zuwißen demnach Weÿl. Fr. Jacobe Dietmännin auch weÿl. Herrn Martin Hermanns geweßenen Mehlmanns, vndt Burgers alhie Zu Straßburg hinderlaßene Wittib den 17. Martÿ dieses fortlauffend. 1674. Jahrs ihr Zeitliches leben quittirt, So ist darauff den 24. hujus deroselben Verlaßenschafft vnd Ihr gesambte Erben In Süben Stammtheil vertheilt, vndt waß weÿl. Fr. Barbara Dierbachin, Herrn Sebastian Kuglers Statt Kupfferschmidts vnd burgers alhie Zu Straßburg geweßene haußfr. seel. hinderlaßene 6. Kinder alß obgedachter Fr. Jacobe Dietmännin hind.blibenen Enckheln für Einen, Sÿbend. Stammtheil durch alle rubricen zu gefallen, das findet sich alles ordentlich vnd umbständlich In dem durch H Christoff Scheüblern Not. Cæs: auch E. E. Großen Raths Jetzmahlig. beÿsitzern darüber ord. in gedacht. 1674. Jahr außgefertigt Special Theil Register, die weilen aber Zwen Sohn Majorennes darunder Elster alhier d. and. ab. vff der Wanderschafft vnd die Zwo döchter verheurathet seind (…)
A. Fr. Anna Barbara, B. Martinus, C. Jgfr. Anna Maria, D. Johannes, E. Fr. Ursula, F. Sebastian

Insinuation à la Chambre des Contrats d’un contrat passé entre les héritiers majeurs et mineurs
1674 (25. April), Chambre des Contrats, vol. 543 f° 247
Martin Dierbach der Haußfeurer für sich selbsten, herr Johann Ludwig Kuentz der Meßerschmidt und E.E. Kleinen Rhats alter beÿsitzer alß Vogt weÿl. Barbaræ Dürbachin, mit H Sebastian Kuglern der Statt Kupfferschmidt ehelich erziehlter und nachgelaßener Kinder, mit beÿstand ietzgedachts ihres eheleiblichen Vatters Andres Dürbach der Hutmacher für sich selbsten, H. Johann Jacob Stich Not. alß Theil Vogt weÿl. Salomeen Dürbachin mit auch weÿl. Paul Lorentzen dem Metzger ehelich erziehlten Kinder, alle Vier weÿl. frawen Jacobæ Dietmännin in erster Ehe, mit weÿl. Martin Dürbachen dem Mehlmann ehelich Erziehlte Kinder, ferners Samuel Hermann der Schwartzbeckh, hannß Georg Hermann der Mehlmann, beede für sich selbsten und Christoph Kertzendörffer der Glaser als Ehevogt Jacobeæ Hermännin, alle dreÿ obgedachter Jacobæ Dietmännin mit weÿl. Martin Hermann geweßenen Mehlmann ehelich erziehlter Kinder, an einem, Mehr herr Josias Gerner der handelßmann alß Vogt Vorbesagter Jacobeæ mit bemeltem Kertzendörffer erzeügter Kinder, Philipp Körner der Weinhändler alß Vogt Samuel Hermanns erziehlter Kinder, so dann hannß Georg Keller der Schneider alß Curator hannß Georg Hermanns ehelicher Kinder am andern, und beÿde theil mit beÿstand der Ehrenvest- fürsichtig und weÿden herren Johann Baptistæ Fechers und heren Johann Philipp Braunen deß ältern, beÿder alß aus E.E. Großen Rhats mittel ad Contractus Minorum insonderheit deputirter, haben Einen beÿ wohlgedachtem Rhat producirten, am 11. April in abgeleßenen uff der Herren deputirten beschehene relation, und der Parten Verspruch und der Vögt behabung obrigkeitlich confirmirten Vertrag hierbeÿ Vorgelegt und daß derselbe dem Cancelleÿ Contract Protocollo Verbotenus inserirt werden möchte, gebetten, allermaßen auch darauff erfolget ist, und laut derselbe Von wort Zu wort also

Le farinier Jean Georges Hermann épouse en 1665 Marguerite Schmutz, fille du pêcheur Nicolas Schmutz : contrat tel qu’il est copié à l’inventaire, célébration
Eheberedungs Copeÿ – zwischen dem Ehrsahmen und bescheidenen Hanß Georg Herrmann, dem ledigen Mehlmann, des Ehrenhafften und Vorachtbahrn Herrn Martin Herrmanns, Mehlmanns und burgers alhier Zu Straßburg Eheleiblichen Sohn, als dem Bräutigamb ane einem, So dann der Ehren und tugendsamen Jungfrawen Margaretha Schmutzin, des Ehrengeachten Niclaus Schmutzen, Fischers und Burgers alhier Zu Straßburg Ehelich erzeugten dochter, als der Jungfraw hochzeiterin am andern theil – So beschehen und Zugangen in des Heiligen Reichs freÿen Statt Straßburg, Mittwochs den 9. Monathstag Martÿ Anno 1665. Johann Georg Redslob, sacra Imperiali auth: Notarius publicus ac civis Argent.

Mariage, Saint-Pierre-le-Vieux (luth. 134, n° XI)
1665. Dom. Misericord. Johann Georg Hermann d. Meelmann Martin Hermanns deß meelmanns Ehl. sohn undt Jungfr. Margaretha H. Nicolai Schmutzen deß fischers Ehl. tochter (i 135)

Jean Georges Hermann et Marguerite Schmutz hypothèquent la maison au profit des enfants mineurs de Samuel Hermann

1674 (27. Julÿ), Chambre des Contrats, vol. 543 f° 475
Hannß Georg Herrmann der Meelmann und Margaretha sein Eheweib und Zwar dieselbe insonderheit mit assistentz Niclaus Schmutzen deß Fischers und hannß Georg Kellers deß Schneiders ihres resp. eheleiblichen Bruders und Schwagers laß deroselben erbettener nechster Verwanther
in gegensein H. Philipp Körners deß Weinhändlers alß Vogts Samuel Herrmanns deß haußfewrers Kinder erster Ehe, mit beÿstand erstgedachts Ihres Vatters
Unterpfand, hauß hoffstatt höfflin mit allen deren Gebäwen und Zugehördten alhier gegen der Großen Metzig hienüber, einseit neben H. hannß Conrad Simon dem Barbierer, anderseit neben hannß Georg Blanckhen dem Weißbeckhen hinden uff demselben und den ulbergraben stoßend gelegen

Jean Georges Hermann hypothèque la maison au profit des enfants mineurs du brasseur Georges Pick

1706 (18. Xbr), Chambre des Contrats, vol. 579 f° 917-v
Joh. Georg Herrmann meelmann
in gegensein Joh. Jacob Kamm gastgebers zuem Geist alß vogt Georg Picken bierwürths zuem Schwartzen Bähren 2 söhne – schuldig seÿe 750 pfund
unterpfand, seine behaußung gegen der metzig über, einseit neben Joh. Philipp Blanck weißbecken anderseit neben Joh. Philipp ferber Gremp hinten auf hn Blancken stoßend

Jean Georges Hermann meurt le 28 février 1710 en délaissant huit enfants dont les deux aînés sont établis en Allemagne. La masse propre à la veuve est de 171 livres, celle propre aux héritiers de 324 livres. L’actif de la communauté s’élève à 1144 livres, le passif à 146 livres.

1710 (1.4.), Not. Pantrion (Jacques Christophe, 40 Not 24)
Inventarium und Beschreibung aller Haab vnd Nahrung, so weÿl. der Ehrenhafft und Achtbare H. Johann Georg Hermann, geweßener Meelhändler vnd Burger Zu Straßburg nunmehr seel: nach seinem Freÿtags den 28. Februarÿ Jüngsthin aus dießem mühesamen leben genommenen tödlichen Ableiben Zeitlichen verlaßen, welche auf freundliches ansuchen erfordern und begehren, des abgeleibten Herrn seel: mit hernach gemelter seiner hinterlaßenen Fraw Wittwen ehelich erzeügter Kinder vnd ab intestato verlaßener Erben ane folgendem folio benambßet, inventirt, durch die Ehren: vnd tugendsame Fraw Margaretham Hermännin gebohrne Schmutzin die hinderlaßene Wittib, mit beÿstand H. Johann Daniel Kuhnen, des Meelmanns vnd Burgers alhier, Ihres ane Vogtsstatt erbettenen Assistent. (…) So beschehen in Straßburg, Dienstags den 1. Aprilis Anno 1710.
Der abgeleibte seel: hat so wohlen Per Testamentum aus auch ab intestato Zu Erben verlaßen, Erstlichen H. Johann Georg Hermann, der Rechten befließene, der Zeit im Reich sich enthatend vnd Fraw Annam Margaretham Rothin gebohrne Hermännin, H. Frantz Rothen, vormaligen Weißbecken vnd burgers alhier, anietzo Zu Heÿlbronn wohnhaft haußfraw, beede allein in Legitimam: vnd den Ihnen von rechtswegen gebührenden Pflichttheil, In dero beede Nahmen weilen Sie abweßend, auch ohnverburgert, der Wohl Ehren Vest, Großachtbahre vnd vornehme Herr Peter Kornmann, Wohlberühmbter handelßmann vnd Banquier, auch E. E. Kleinen Raths Wohlverdienter Beÿsitzer, als auß Wohlermelt Kleinen raths mittel hierzu Insonderheit verordneter Herr Deputatus, dießer Inventation beÿgewohnt.
In alles übrige aber H. Johann Martin Hermann, Weißbecken vndt burger alhier, vor sich selbsten, Item Fraw Annam Dorotheam, H. Samuel Schrag Statt Seÿlers vnd Burgers allhier haußfrau, mit beÿstand erstgemelts ihres Ehevogts, Ferners Fraw Annam Catharinam, H. Johann Philipp Kleinen, Metzgers vnd burgers alhier Ehewürthin, mit assistentz deßelben, Weiters Fraw Annam Mariam, Johann Martin Albecht, Meelmanns vnd burgers alhier Eheliebste, Mehr Samuel Hermann, ohlmann vnd burger alhier, Vnd dann Frauw Jacobeam, Herrn M: Michael Friderich Böhme, wohlmeritirten treüwfleißig. diaconi in der Predig. Kirch alhier, Vielgeliebte fraw Ehewürthin, mit beÿstand deßelben. Und also alle acht des in Gott ruhenden Herrn seel: mit eingangs erwehnter seiner hinderlaßener Fraw Wittwe ehelich erzeugte resp. Söhn und Döchter, vnd sowohlen ab intestato alß auch per Testamentum Jedoch ungleich. ratis instituirte Erben.
Bericht wegen eingangs gemelter Verlaßenschafft betreffendt. Zu wißen, daß zwar mehrernandte beede Eheleuth sich in der Eheberedung wie hievor Zu sehen, ein unverändert guth vorbehalten, auch der fraw Wittib bericht nach solche ordnungsmeßig inventiren, das Inventarium aber darüber nicht ausfertigen laßen, weilen es nun bereits über 45. Jahr angestanden, Sie die Wittib nicht mehr eigentlich durch welch. Notarium es beschehen, wenig. was Sie einand. sonderlich vor haußrath vnd vahrend. haab, außer daß gedachte Wittib ein außbereit bett vnd dergelichen mobilien gehabt, dafür Ihro hernach 36. lb. ergäntzt word., zugebracht (…)

In einer alhier Zu Straßburg gegen der großen Metzig über gelegener vnd in dieße Verlaßenschafft gehöriger behaußung ist befund. word. wie Volget.
hützenwerckh. In d. Kammer A, In d. Kammer B, In d. Kammer C, In d. Kammer D
Eigenthumb ane einer Behaußung (E.) Item Ein Vord. vnd hind. hauß hoffstatt v. höfflein m. allen deren Gebawen, begriffen, weiten, rechten, Zugehörden v. gerechtigkeiten, gelegen alhier Zu Straßburg gegen der großen Metzig hinüber, Einseit neben Herrn Johann Jacob wagner dem Krempen, anderseit neben Herrn Johann Philipp Blancken dem weißbecken hind. Zum theil auff de Ulber graben, v. Zum theil auff erstgemelten H. Blancken stoßend. Davon gehen Jährlich 7. ß 6 d bodenzinß dem gürtlerhoff alhier. Ferner 10. ß wegen der s.v. Proveÿ dem Pfenningthurn allmend Zinnß. Sonst freÿ ledig vnd eigen, über solche beschwerd. durch die geschworne Werckmeistere Vermög überschickten Schatzzeduls annoch æstimirt Vor 715. lb. Über hievorgeschriebene behaußung welche der abgeleibte Herr seel. beÿ weÿl. Herrn Martin Herrmann geweßenen Meelmanns Seines Vatters seel. Abtheilung, theils Erbs theils prælegats weiß bekommen besagen zween alte teutsche Pergamentener Kauffbrieff m. d. Cantzleÿ contract Stuben anhangenden Insigeln datirt den 20. Julÿ 1652. v.23.t 9.bris 1657. Dabeÿ noch ferner Zweÿ alte Pergamentene Kauffbrieff befindlich.
Ergäntzung der Erben Unveränderten guths
Series rubricarum hujus Inventarÿ. Der Wittib unveränderte Nahrung, Sa. Schuld 25, Sa. der Ergäntzung 146, Summa summarum 171 lb
Der Erben unverändert Guth, Sa. Kleÿder 24, Sa. Eigenthumb ane einer behaußung 715, Summa summarum 739 – Schulden 414, Nach deren Abzug 324 lb
Die Theilbare Verlaßenschafft , Sa. haußraths 166, Sa. Früchten, Gekörns vnd Meels Zum Meelhandel gehörig 103n Sa. Wein und leeren vaß 37, Sa. Schiffmann Zum Meelhandel 10, Sa. Silbers 58, Sa. Guldenen Ring 15, Sa. der baarschafft 100, Sa. Pfenningzinß hauptgüter 50, Sa. Schulden 602, Summa summarum 1144 lb – Schulden 146 lb, Nach deren Abzug 982 lb
Conclusio finalis Inventarÿ 1362 lb
Eheberedungs Copeÿ (…) So beschehen und Zugangen in des Heiligen Reichs freÿen Statt Straßburg, Mittwochs den 9. Monathstag Martÿ Anno 1665. Johann Georg Redslob, sacra Imperiali auth: Notarius publicus ac civis Argent.
Copia Testamenti clausi – Ich Johann Georg Hermann vnd Anna Margaretha gebohrne Schmutzin beede Eheleüthe vndt burgere alhier Zu Straßburg (…) Zugangen Vnd beschehen In der Königlichen Statt Straßburg Donnerstags den 28. Monaths Tag Februarÿ Im Jahr des Herren alß man Zahlte 1709. [unterzeichnet] Johann Georg Herrmann, Anna Margaretha Herrmännin

Sépulture, Temple-Neuf (luth. reg. 1687-1728, f° 149 n° 15)
1710. Freÿtag den 28.t febr. ist gestorben und Montag darauff nach gehaltener Leichpred. in der Pred. Kirche nach S Helenen begraben worden H Joh: Georg Herrmann, burger und Meelhand. allhier ætat. 67. jahr, bezeug. solches neben mir [unterzeichnet] Samuel Herrman als sohn, Michael Friderius Böhm als tochter Mann (i 150)

Les préposés de la Taille font figurer la succession dans leur registre parce que les héritiers non bourgeois doivent régler le droit de détraction.
1710, Livres de la Taille (VII 1174), n° 174
(Becker, F., N° 504) Weÿl. Hannß Geörg Herrmanns geweßenen Mehlhändlers und burgers alhier Verlaßenschafft inventirt H. Not. Pantrion.
Concl. fin. Inv. ist fol. 91.b, 1362. lb. 7 ß 6 d., die machen 2700. fl., derselbe verstallte Hiengegen 3800 fl.
Extat das Stallgelt pro 1710 – 7 lb 1 ß
Gebott – 1 Lehrbrieff 11 d
Abhandlung – 1 lb 12 ß 6 d – Summa 8. lb 15 ß 2 d
Abzug. H. Johann Geörg Herrmann J.C. und frau Anna Margaretha gebohrne Herrmännin Frantz Rohten des Becken Zu Hailbronn Ehel. haußfrau beede alhier ohnverburgert haben von deren angefallenen Vätterlichen Legitimæ der 61. lb. 4. ß 11. d. jedes ane Abzug Zu erlegen 6. lb. 2. ß 6. d. alßo beede Zusammen, 12. lb.
dt. omn. d. 5° Novembr. 1710.

Partage du mobilier entre la veuve et les enfants
1715 (4.3.), Not. Pantrion (Jacques Christophe, 40 Not 33)
Abtheilungs Concept Über die Jenige Mobilia Silber vnd Guldene Ring so fraw Anna Margaretha Hermännin gebohrne Schmutzin, weÿl. H. Johann Georg Hermanns gewesenen Meelmanns vnd burgers allhier seel. hinderlaßene Wittib, ihren alhie Zu Straßburg wohnenden: vnd verburgerten resp° Zweÿen Söhne vnd vier döchtere auß freÿem willen nach beÿ dero lebzeiten eigenthümlich. überlaßen (…) auffgerichtet den 4. Martÿ 1715.

La maison revient en 1717 par cession à Anne Marie Hermann (voir l’inventaire dressé en 1743).
Le farinier Martin Albrecht épouse en 1698 Anne Marie Hermann

Mariage, Temple-Neuf (luth. f° 91, n° 29) 1698. Mittw. d. 15. 8.br. wurd. nach ordentl. außruff. copulirt Martin Albrecht d. Mehlman v. burger alhie, J Anna Maria Johann Georg Hermanns des B. v. Mehlmanns allhier ehl. T. [unterzeichnet] Martin Albrecht als hochzeiter, Anna Maria Hermänin alß hochzeiterin, Christoff Herrman als bruder (i 90)

Jean Martin Albrecht et Anne Marie Hermann font un testament par lequel ils lèguent la maison et la grange au quai des Bateliers à leur fils Jean Georges, meunier à Bischofsheim à la Haute-Montée (Rheinbischofsheim en Bade)
1735 (6. 8.br), Not. Brackenhoffer (Jean, 4 Not 28) n° 383
Testamentum nuncupativum – persönlich kommen und erschienen seind der Ehrenhaffte vndt vorachtbahre Herr Johann Martin Albrecht der Meelmann vnd die Viel ehren vnd tugendbegabte fraw Anna Maria gebohrne Herrmännin Eheleuthe vndt burgere alhier , beede durch die Gnade Gottes aufrecht gesund gehend vnd Stehender leiber, auch dabeÿ guter richtiger Sinnen vndt vernunfft (…)
Viertens wollen beede testirede Eheleuth auf ihre tod vndt absterben ihrem ältesten Sohn Johann Georg Albrecht dem Müller zu Bischen Zum hohensteeg wohnhaft vnd burgern alhier, Ihre un alhießige Statt beÿ der großen Metzig gelegenen Wohnbehaußung vndt hoffstatt mit allen dero begriffen, weith. rechten zugehörden vndt gerechtigkeiten 1.s. neben Joh: Jacob Wagners Erben, 2.s Hanß Georg Anthoni ihrem dochtermann gelegen, wie ingleichem auch die am Stad gelegener Scheur cum appertinentiis, vor vndt vmb 7000 guld. (…) Wurde auch die fraw testirerin Zu erst vor ihrem Eheliebsten versterben, vndt dieses als dann /:wie er gesinnet ist:/ Seinem Sohn Joh: Georg den Meelhandel übergeben vndt abtretten, Solle der Sohn ihme dem Vatter dennoch lebenslang Zinßfreÿ beÿ sich im hauß wohnen laßen, und Zu dem ende das hindere oder vordere Stublein welches dem Vatter alß dan belieben vnd anständig seÿn wird, nebst übrigen Zu seiner logir benöthigten blatz eibzuraumlen schuldig sein, darneben auch den Kosten wie sich geziemet gegen erstattung Zwen gulden wochentlichen Kostpreiß demselben geben und Zukommen laßen (…)
Geschehen Sonntagß d. 6. Octobris 1735. [unterzeichnet] Martin Albrechtn Anna Maria Albrechtin

Autre testament de même teneur
1740, Not. Brackenhoffer (Jean, 4 Not 29) n° 590
Testamentum nuncupativum – Wir zu end unterschriebenene beede Eheleuthe Johann Martin Albrecht der ältere Meelmann vndt Anna Maria gebohrne Herrmännin deßen eheliche haußfrau burgere alhier Zu Straßburg
Fünfftens prælegiren wie unßern Sohn Johann Georg Albrecht dem Müller zu Bischen Zum hohensteeg wohnhaft vnd burgern alhier, doch erst nach bed. Eltern tod haed zu beziehen, Unßern alhier Ziu Straßburg gegen der großen Metzig über gelegene behaußung und hoffstatt mit allen dero gebäwen, begriffen, weithen, rechten, Zugehörden vndt gerechtigkeiten 1.s. neben Joh: Jacob Wagners Erben, anderseit neben Hanß Georg Anthoni unserem dochtermann geleg. sambt vier darinnen sich befindlichen gemahlten tafflen mit denen 4. Jahres Zeiten und deren darzu gehörigen schrauben, wie ingleichem auch Unsere ane dem Schiffleuth staden gelegene Scheur mitt ihren begriffen vnd Zugehörden, vor vndt vmb 7000 guld.

Martin Albrecht meurt le 19 janvier 1743 en délaissant cinq enfants. Les experts estiment la maison à 750 livres. Le résumé de l’inventaire n’est pas conservé.

1743 (27.2.), Not. Brackenhoffer (Jean, 4 Not 15) n° 630
Inventarium über Weÿl. H. Martin Albrechts des ältern geweßen Meelhändlers u. b. alhier seel. Verlt. auffgerichtet, in Anno 1743.
Inventarium und Beschreibung aller und Jeder Liegend und Vahrend. Verändet und unverändeter haab, Nahr. und Gütter, schuld. und Gegenschulden überall nichts davon excludirt und außgeschloßen so weÿl. d. Ehren und Vorgeachte H Martin Albrechts der ältere geweß. Meelhändler und b. alhier nunmehr seel. nach seinem den 19. Januarÿ jüngsthin aus dießer Zeit und welt genommenen tödlichen hintritt hier Zeitlichen verlaßen, welche Nahr. (…) inventirt nach deme die Viel Ehren und tugendbegabte Fr. Anna Maria geb. Herrmännin die hinterbl. Fr. Wb. ein solches alles (…) geäugt und gezeigt (…) Actum Straßb. in fernerer gegenwarth H. Samuel Schragen Statt Seÿlers wie auch geschwohr. Weinstichers und burgers alhier Von d. fr. Wb. hierzu erbettenen beÿstands Straßburg den 17. febr. 1743.
Der abgeleibte seel: hat ab intestato und per Testamentum zu Erben Verlaßen als volgt. 1.mo H Georg Albrecht den Müller beÿs Bischen zum hohen steeg u. b. alhier so selbst zugeg. 2.do S. T. Fr. Mariam Margaretham Knapp gebohrne Albrechtin S. T. H. Joh: Jacob Knappen hochfürstl. hanau liechtenbergischen Amptschaffners des ambts Liechtenau fr. Eheliebstin welche mit beÿstandt deßelben, wie auch H. Joh: Jacob Jungen von EE Kleinen Rath weilen Sie ohnverburgert hierzi abgeordneten Deputati dießem Geschäfft abgewarthet, 3.tio H Martin Albrecht den Jüngern b: u. Meelman alhier so selbst Zugegen, 4.to Fr: Annam Mariam Antoni, gebohrne Albrechtin so mit beÿstandt H. Joh: Georg Antoni des weißbecken und burgers alhie ihres Ehemanns dießem Geschäfft abwarthete, Undt dann 5.to H. Johann Jacob Albrecht dem Knöpffmachers und burger alhier so selbst zugegen. Alle fünff des verstorbenen seel. mit Eingangs benambster seiner hinterbl. Fr. Wb. ehel. erzeugter nach todt verlaßene Söhn und Töchter u. ab intestato et per Testamentum zu fünff gleichen Stammtheilen certa conditione verl. erben.

In einer alhier Zu Straßburg gegen der großen Metzig über ohnfern dem Spithal gäßl. gelegenen hiehero gehörig. behaußung befund. worden wie volgt
Höltzen und Schreinwerck In der obern Vordern Kammer, In der Officiers Kammer, Im haußöhren, In der hintern Stub Kammer, In der vordern stub, Im Mittlern haußöhren, In der Kuchen, Im hintern Stüblein, Im laden stübl., Im Laden
(f° 25) Eigenthumb ane einer Behaußung (W.) i. behaußung und hoffstatt mit allen dero begawen, begriffen, weithen, rechten, Zugehörden und Gerechtigkeiten gelegen alhier Zu Straßburg gegen d. großen Metzig über im Winckel i. seith neben Heinrich Junden dem Zinn Knöpffmacher 2. s. neben H. Joh: Georg Antoni dem weißbecken u. hinten auf den ulmer graben Ziehendt, davon gibt mann Jährlichen 10. d. boden Zß auf allhieß. statt Pfth. u. dann 7 ß. 6 d Jährl. auf Weÿhenachten in den Gürtler hoff alhier sonsten aber freÿ ledig und eigen u. vermög scheins von der geschwohr. Hh. Werckmeistern alhier sub dato 14. febr. 1742. æstimirt und angeschlagen vor u. umb 750. lb. abgezogen wehren obiger darauff hafftender boden Zinnß welche Zu doppeltem Capital gerechnet antreffen 35. lb. so verbleibt hiehero in außw. Zu bringen 715. Darüber ist Vorhanden ein von nunmehro weÿl. H. Notario Jacob Christoph Pantrion seel. auf Pergam: außgefertigte Vergleich u. Verloßungs brieff datirt d. 31. Martii 1717. inhaltend welcher gestalten solche behauß. frauwen Albrechtin d. hinterbl. fr. Wb. Von übrigen ihren mit Erben Kauff und eigenthümlichen cedirt undt überlaßen worden, dabeÿ noch ferners Zu finden berschiedene Perg. Kauffbrieff über besagte behaußung besagend.
(W.) I. Scheuer und hoffstatt mit allen ihren gebäuen, begriffen, weithen, rechten, Zugehördten und Gerechtigkeiten auch dahier zu Straßburg im bronngäßlein jenseith des Stadens unterhalb d. neuen bruck. 1.s neben hannß Georg Grabers Erben, 2.s. neben Philipp Eckert gelegen hinten auf Mstr. Johannes Heberle den Kuttler stoßend, so freÿ ledig und eigen und vermög ob allegirten Scheins Von denen geschw. Hh. Werckmeistern æstimirt und angeschlagen vor und umb 1000 lb. darüber ist vorhanden 1. resp. cession und vergleichung schein Von H. Notario Pantrion seel. den 1. Xbris 1711 verfertiget u. von ihren mit Erben unterschriebenen, dabeÿ ferners ein schrifftlicher schein von nunmehr auch weÿl. H. Michael Friderich Böhmen geweßenen Pfarrherrn in d. Predigen Kirch alhier und deßen fr. Eheliebstin frau Jacobea geb. Herrmännin unterschriebenen datirt d. 30. 9.bris 1711. Krafft deßen Sie beede Eheleuth ebenfalls consentirt u. eingewilligt haben, solche scheur entweders zu verlaßen od. zu versteigern darbeÿ seins noch ferners Vorhand. etliche Pergamentene Kauffbrieff über besagte scheur besagend.
(f° 27) Ergäntzung der Erben wehrender Ehe abgagangenen guthß. Vermög Invent. über das Jenige so der Verstorbene seel. vndt seine hinterlaßene frau wittib einander Zur Zeith ihrer bereurath: ane Zeitl. Nahr. in den Ehestand zugebracht haben, durch nunmehr auch weÿl. H. Joh: Martin Brieffen geweß Not: vnd burg. alhier sub dato den 27. octobr: 1698. auffgerichtet vnd verfertiget
Abschatzung dem 14. febr: 1743. Auff begehren weillandt deß wohll achtbahren und bescheiten H Johann Martin Albrecht, daß geweßenen Mehll Mann seel. hiender Laßnen frau wittib und Erben ist eine behausung allhier in der Statt Straßburg, ohm winckell gegen der großen metzig über gelegen Ein seitß Neben Heinrich Jundt dem grëmpen, anderseits wan* Johann Jörg Antonÿ dem weißbecken, hienden auff dem Ulmer graben Stosend, welche behausung unden im eingang den Mehel Lahten Lincker handt ein Stuben, der hoff darin der herdt und bronnen ein getrembter Keller, oben dar über ihm Ersten stock ein Stuben, Küchell, haus Ehren ein Nebenß Stübell, oben ihm 2. Stock 2. Cammern die officierß Cammer und Cammer Vor den Knëcht ein alter tach stull darinen 2: Cammern 2: höltzer gebell der gang mit einem halben tach sambt aller gerechtigkeit wie solches turch der Statt schreiner geschwornen werck Meister sich in der besichtigung befunden und Jetzigen Preÿß nach angeschlagen wierdt Vor und Umb Ein Tausent und Vunff hundert Gulten
der 2.t: begrieff ist auch allhier in der Statt Straßburg ihm Encker gäßlein gelegen, Ein seitß Neben hannß Jörg graber, anderseitß an hannß Jorg Dener, hinden auf Meister Eberle dem Metzger Stoßent welche behausung in einen frucht Kasten bestehet, so unden ein gangß ein groß haus Ehren darinen der backoffen und bauch Keßell Stehet, hinden dar an ein Stuben hauß Ehren darinnen der herdt, die Stallung oben dar über Zweÿ Stockhoch der fruchtkasten, ein alter tachstull mit 2. besetzten bienen sambt aller gerëchtig Keidt wie solches durch der Statt Straßburg geschwornen, werck Meister sich in der besichtigung befundten und Jetzigen Preÿß nach angeschlagen wierdt Vor und Umb Zweÿ Tausent Gulten. bezeichnuß der Statt Straßburg geschwornen wërck Meistere, [unterzeichnet] Pflug Statt Lohner, Michael Ehrlacher Werck Meister deß Meinsters, Johann Jacob Biermeÿer Werck Meister deß Zimmerhoffs

Les préposés de la Taille font figurer la succession dans leur registre parce que les impôts acquittés étaient calculés d’après une fortune sous-évaluée de 3 400 florins (1 700 livres) sur un total de 12 200 florins. Le fils n’accepte pas le legs de la maison et de la grange.
1743, Livres de la Taille (VII 1179) f° 205
(Lucern F. N. 8837.) Weÿl. H. Martin Albrecht sen. geweßenen Mehlhänlder und Burgers alhier Verlaßenschafft inventirt H Not. Brackenhoffer.
Concl. Fin. Inv. ist fol. 170 – 4371. 3. 8. Darzu gelegt umb wie Viel die behaußung und Scheür höher prælegirt alß selbige von denen Hh. Werckmeistern angeschlagen worden 1750. Summa 6121 lb 3 ß 8 d, die machen 12.200 fl. verstallte 8200. fl. Zu wenig 3400 fl.
Nachtrag alß von errungen und theilbarem Guht auff Sechs Jahr in duplo à 10. lb 4 ß – 61 lb 4 ß
Und auff vier Jahr in simplo à 5. lb 2 ß – 20 lb 8 ß
Extat das Stallgeltt pro 1743 – 14 lb 11 ß
Gebott – 2 ß
Abhandlung – 6 lb 7 ß 6 d, Summa 102. 12. 3.
Auf eingebrachte Motiven daß der Prælegatarius das Hauß und Scheüer in dem Fixirten pretio nicht annehmen kan noch will haben die herren dreÿ nachgelaßen 40. 16, restirt 61. 16. 6.
Vermög Erkandnus der Obern Stall Heren Vom 27. Maÿ ist die Nachtrag ferner moderirt worden auff 24. lb gehet also ab 16. 16. – restirt 45. lb 6 ß
dt. 29. Maÿ 1743.

Anne Marie Hermann veuve de Martin Albrecht vend la maison et la grange quai des Bateliers à son gendre farinier Jean Georges Antoni (voir le nouvel acte passé en 1749)

1748 (21.10.), Chambre des Contrats, vol. 622 f° 615
Fr. Anna Maria geb. Herrmännin weÿl. Johann Martin Albrecht des meelmanns wittib mit beÿstand H. Not. Johannes Brackenhoffer
in gegensein ihres tochtermanns Johann Georg Anthoni des meelmanns
erstlich, eine behausung, höfflein, bronnen und hoffstatt mit allen deroselben übrigen begriffen, weithen, zugehörden und rechten am Ferckelmarckt gegen der großen metzig über, einseit neben dem käuffer selbsten, anderseit neben N Jund dem versilbert knopffmacher hinten auff den Ullwergraben – davon gibt man dem Hohen Chor allhier 7 ß 6 d ane ewigen zinß und hiesiger Stadt Pfenning Thurn wegen einem dohlen 10 ß – als ein elterliches erbguth
so dann eine scheur samt deren zugehörden und rechten am Schiffleuthstaden im Bronngäßlein, einseit neben Michael Sarger dem schiffmann anderseit neben Philipp Eckert dem schiffmann hinten auff Christoph Häberlin den kuttler – sich aber vorbehaltet diejenige wohnung so sie im verkaufftem hauß würcklich ine hat lebens lang zu freÿ zu genießen – um 3500 pfund

Anne Marie Hermann fait son testament
1749 (29. Xbr), Not. Brackenhoffer (Jean, 4 Not 31) n° 900
Testament – persönlich kommen und erschienen ist die viel Ehren vndt tugendsahme fraw Anna Maria Albrechtin gebohrne Herrmännin weÿl. H. Joh: Martin Albrecht Sen. geweßenen Meelhändlers vnd burgers alhier hinterlaßene Fr. Wb. durch verleyhung Göttlicher Gnaden, auffrecht gesunden gehend und stehenden leibes
Vor das andere, so will die frau testiererin alle ihre hiebevor schon aufgerichtete Testamenta vndt letzte willen verordnung (…) in Crafft dießes gäntzlichen cassirt, abgethan vnd wiederruffen haben
Montags d. 29. decembr. 1749.

Martin Albrecht le jeune meurt dans la maison qui appartient à sa mère en 1749. Il a deux enfants issus de sa femme Marie Ursule Jung dont il est séparé de corps et de biens. L’actif de la succession s’élève à 67 livres, le passif à 473 livres.

1749 (16.12.), Not. Brackenhoffer (Jean, 4 Not 24) n° 857
Inventarium über Weÿland des Ehren und achtbaren Herrn Johann Martin Albrechts, des jüngern gewesenen Meelmanns und Burgers alhier, nunmehro seel. Verlaßenschafft, auffgerichtet in anno 1749. – nach seinem d. 25. Octobris h. a. aus dießem zeitlichen Welt: Leben genommenen tödlichen Hintritt, Wie solche Nahrungs Verlaßenschafft ane heutigem zu End ermeltem dato auf freundliches Erfordern und Ansuchen Frauen Maria Salome Münchin gebohrner Albrechtin herrn Andreas Münch, des Weißbecken und burgers alhier Ehefrauen, beÿständlichen deßelben, so dann Herrn Johann Michael Ruop, des Hohldrehers und Burgers alhier als geordnet und geschworener Vogt Johann Martin Albrecht, also beeder in respê eigenen und Vogts Nahmen des Verstorbenen seel. mit Frauen Maria Ursula gebohrner Jungin seiner gewesenen und von Ihme quoad mensam et lectum geschiedner Ehefrauen, ehelich erziehlt und ab intestato Zu rechtmäsigen Erben verlaßener Kinder, ersucht und inventirt, durch die viel Ehren und tugendsame Frau Annam Mariam Albrechtin gebohrner Herrmännin des Defuncti leibliche Mutter beÿ welcher der defunctus seel: sich biß an sein End aufgehalten hat (…) So geschehen alhier zu Straßburg in fernerer Gegenwärtigkeit S. T. Herrn Frantz Heinrich Dautels, Notarii publici und berühmten Practici, alß von denen Erben und der hinterbliebenen Wittib erbettenen herrn Assistenten, den 16.ten Dec: 1749.
Declaratio. Weilen sich gleich zu anfang gegenwärtiger Inventur hervor gethan, daß die vorhandene passiva das wenige activ: Vermögen dem Stalltax nach um ein ansehnliches übertreffen (…)
In einer alhier Zu Straßburg beÿ der großen Metzig gelegener und Eingangs schon ermelter Frauen Albrechtin eigenthümlich zuständigen behaußung hat sich befunden als
Sa. Haußraths 35, Sa. Silbers 25, Pferd 3, Summa summarum 67 lb – Schulden 473 lb. Übertreffen also die passiva das Activ- Vermögen um 406. lb

Le farinier Jean Martin Albrecht épouse en 1727 Anne Ursule Jung, fille du boulanger Jacques Jung
Mariage, Temple-Neuf (luth. f° 26-v, n° 219)
1727. Mittw d. 19. 9.bris sind nach zweÿmaliger Proclamation ehelich Copulirt v. eingesegnet worden Joh: Martin Albrecht der Ledige Meehlhändler v. b. alhie H Joh: Martin Albrechts b. v. Meehlhändlers ehel. Sohn, v. Jfr. Anna Ursula, H. Jacob Jung b. v. Weißbecken ehl. Tochter [unterzeichnet] Johann Martin Albrecht als hoch Zeiter, Anna Ursula Jungin als hoch Zeiterin (i 60)

Anne Marie Hermann veuve de Martin Albrecht vend la maison et la grange quai des Bateliers à son gendre farinier Jean Georges Antoni

1749 (21.10.), Chambre des Contrats, vol. 623 f° 615
Fr. Anna Maria geb. Herrmännin weÿl. Johann Martin Albrecht des meelmanns wittib mit beÿstand H. Not. Johannes Brackenhoffer
in gegensein ihres tochtermanns Johann Georg Anthoni des meelmanns
erstlich, eine behausung, höfflein, bronnen und hoffstatt mit allen deroselben übrigen begriffen, weithen, zugehörden und rechten am Ferckelmarckt gegen der großen metzig über, einseit neben dem käuffer selbst, anderseit neben N Jund dem versilbert knopffmacher, hinten auff den Ullwergraben – davon gibt man dem Hohen Chor allhier 7 ß 6 d ewigen zinß, und hiesiger Stadt Pfenning Thurn wegen einem dohlen 10 ß – der verkäufferin als ein elterliches erbguth
so dann eine scheur samt deren zugehörden und rechten am Schiffleuthstaden im Bronngäßlein, einseit neben Michael Sarger dem schiffmann, anderseit neben Philipp Eckert dem schiffmann, hinten auff Christoph Häberlin den kuttler – sich aber vorbehaltet diejenige wohnung so sie im verkaufftem hauß würcklich ine hat lebens lang zu freÿ zu genießen – um 3500 pfund

Jean Georges Antoni termine en 1720 son apprentissage chez le boulanger Jean Adam Oberlé. Fils du boutonnier réformé David Antoni, Jean Georges Antoni devient tributaire le 8 mars 1724
1720, Protocole de la tribu des Boulangers (XI 9)
(f° 326) Dienstags den 27.ten Febr. 1720 – Siegelgeltt
Johann Adam Oberle der weißbeck allhie erscheint undt bittet desen Jungen Joh: Georg Anthoni von hier seiner lehr Jahr, weillen die Zeit vorbeÿ undt Sie beedte mit einander Zuefriden, gerichtl. ledig zusprechen. Erk. undt willfaht neben Erlegung der gebühr

(f° 417) Mittwochs den 8.ten Mertz 1724 – Neuzünfftiger
Johann Geörg Anthoni der ledige weißbeck reformirter Religion, weÿl. David Anthoni deß gewesten Knöpffmachers undt burgers alhie Nachgelaßener Ehelicher Sohn, producirt Stallschein vom heutigen dato, bittet ihne alß Einen Leibzünfftigen Zu acceptiren so ihme auch nach gehaltener Umbfrag gegen der gebühr willfahrt worden.

Jean Georges Antoni épouse en 1724 Anne Marie Albrecht. La mère du marié fait donation à son fils de la boulangerie sise à côté de la maison qui appartient aux parents de la mariée : contrat de mariage, célébration
1724 (24. Julÿ), Not. Brackenhoffer (Jean, 4 Not 26) n° 62
Eheberedung Zwischen dem ehrsamen vndt bescheidenen Johann Georg Anthoni dem ledig. weißbecken, weÿl. H david anthoni geweßenen Knöpffmachers und burgers alhier ehelich erzeugtem hinterl. Sohn alß hochzeitern ane einem
So dann der tugendsamen Jfr Anna Maria Albrechtin H Martin Albrechts deß Meelmanns vndt burgers alhie ehelich erzeugter dochter alß hochzeiterin andern theilß
Siebendens, so placidirt und verwilliget fr. Maria Elisabetha Anthoni, des H hochzeiters geliebte Mutter mit consens ratification v. bewillig. H Johann Jacob Schneiders fastenspeishändlers vnd burgers alhier ihres vogts, beeden Jung. hochzeit. Persohnen die Jenige becken behauß. vnten am Spithal gäßl. gegen der großen Metzig über geleg. so Sie v. ihr eheman seel. von denen blanckisch. Erb. erkauff haben mit und benebens denen in Kollerisch. befindenden vaßen gegen abstatt. 2 guld sieben schilling sechß Pfenning wochentlich. Zinßes Zu deroselben gebrauch v. bewohn. Zu übergeb v. einzuraumen, also vnd dergestalt daß Sie Junge Eheleuth so lang alß Sie des hochzeiters Mutter im leben seyn v. verbleib. wird, ohnvertreib. in solchem hauß seÿn v. bleiben (…)
Actum in beÿsein auff seith deß H hochzeiters frawen annæ Elisabethæ anthonin seiner leibl. Mutter vndt H Johann Jacob Schneiders deß fastenspeishändlers ihres vogts (…) Straßburg d. 24. Julÿ 1724. [unterzeichnet] Johann Georg Andoni Als Hochzeiter, Anna Maria Albrechtin Als Hochzeiterin

Mariage, Temple-Neuf (luth. f° 22-v, n° 24)
1724. Mittw. d. 23. Aug. nach 2. maliger Proclamation ehelich copulirt v. eingesegnet word. Joh: Georg Anthonÿ der ledige Weißbeck v. b. alhie, Weÿl. H David Anthoni gewesenen b. v. Knöpffmachers nachgel. ehl. Sohn vnd Jgfr. Anna Maria, H Joh: Martin Albrecht b. v. Meelhändlers ehl. tochter [unterzeichnet] Johann Georg Andoni als hochzer, Maria Anna Albrecht als Hochzerin (i 26)

Les nouveaux mariés font dresser l’inventaire de leurs apports (non conservé)
1724, Not. Brackenhoffer (Jean, répert. 65 Not 2) n° 59
Inventarium über Mstr. Johann Georg Anthoni des Weißbeckens zu fr. Anna Maria geb. albrechtin in den Ehestand zugebrachte Nahrung
Inventarium über frauen Anna Maria geb. Albrechtin zu Mstr. Joh: Georg Anthoni den weißbecken in die ehe gebrachte Nahrung

Jean Georges Antoni et son employé Jacques Roller terminent à l’amiable un différend devant le conseil des Boulangers
1725, Protocole de la tribu des Boulangers (XI 9)
(f° 434) Mittwochs den 7. febr. 1725 – demnach Sich zwischen Mstr: Georg Anthoni dem weißbeckhen undt burgern allhier Einßen, undt Jacob Roller deßen Knecht von Millberg auß dem würtenberger Land gebürtig andern theills, letsthien Einigen Streith entstanden undt dabeÿ Einige Scheltworth entfallen, welches beÿm Gebott E: Löbl. bruderschafft der beckhenknecht angebracht undt darauff dem Knecht weillen Er gescholten die arbeith verbotten wordten, Alß haben Sich heuth dato beede Parthen in gegensein herrn Zunfftmeister vndt herrn Johannes München dem weißbeckhen alß obermeistern dahien wiederumb güthichen mit Einander vertragen undt anbeÿ declarirt daß Kein theill von dem andern nichts dann alles Liebß undt guethe Zue sagen weiß, so daß der Meister mit dem knecht undt der Knecht mit ihme dem Meister inn allem Content undt Zuefrieden, inmaßen dann alle gegen Einanderter gefallene Schelttworth auffgehoben und ihme dem Knecht wiederumb wie Vorhien Zue arbeithen erlaubt seÿn solle.

Le boulanger Jean Georges Antoni est à plusieurs reprises accusé de vendre du pain frais les jours où cela lui est interdit
1745, Protocole de la tribu des Boulangers (XI 10)
(f° 58) Mittwochs den 31.t Martÿ 1745 – Straff 1 lb
Johann Georg Anthoni der Weißbeckh alhier ist angeklagt, daß Er den 8. hujus ein par weißbrodt umb 5 pfenning undt also wider articul unter dem Tax verkaufft. Ipse præsens ist der anklag nicht geständig, sagt Es habe ein bueb zwar seinem Kindt 5 Kleine pfenning geben undt soll ihme den rest biß Morgens borgen. Auditis partibus ist Erkandt, soll beklagter Nebst 5 ß unkösten in 2. lb d. Straff Condemnirt seÿn, auff gebettene gnad moderirt ad j lb.

(f° 97-v) den 27. Aprilis 1746 – Straff
Geörg Anthoni der weißbeckh dahie ist angeklagt, daß Er Zum drittenmahl von seinem trockenen Tag Vor der Zeit wieder ordnung weich brod über die gaß verkaufft, deßen Er nicht in Abred, sagt die Frantzösische becken seÿen ihme gleich Er habe so viel Recht alß dieselbe welche alle Tag machen undt verkauffen, so ihme auch erlaubt anbeÿ habe Er besteltes Zue Hochzeiten gehabt. Erkandt soll Nebst 5 ß unkosten in 15 ß straff Condemnirt seÿn.

Jean Georges Antoni devient titulaire du droit de vannage que détenait sa belle-mère , veuve de Martin Albrecht
1747, Protocole de la tribu de la Lanterne (XI 211)
(f° 99) den 4.ten Januarÿ 1747 – Johann Georg Anthoni der Weißbeckh producirt schein Von seiner schwiegermutter weÿllandt Martin albrecht seel. wittib Crafft deßen sie Ihme Ihr bißhero Inngehabtes wannen recht Cediren thut bittet Ihme solches umb die gebühr Zu kommen Zu laßen. Erkand gegen erlag der gebühr willfahrt.

Jean Georges Antoni fait son testament
1751 (23.7.), Not. Brackenhoffer (Jean, 4 Not 31) n° 948
Testament – persönlich kommen und erschienen ist der Ehren vorgeachte Herr Johann Georg Anthoni der Meelhändler cit.t burger alhoer, durch die Gnade gottes aufrecht gesunden gehend vnd stehenden leibes
daß Er von seinereben Ehegattin der Ehren und tugendsamen frawen Anna Maria Anthonin gebohrner Albrechtin die Zeith ihres mit einander führenden ehestands alle ersinnliche trewe vnd aufwarthung erwießen hat
Freÿtagß den 23.ten julÿ 1751 [unterzeichnet] Johann Georg Antoni

La cotisation que Jean Georges Antoni paie à la tribu est réduite pendant qu’il se trouve à Paris
1755, Protocole de la tribu des Boulangers (XI 12)
(f° 28) Dienstags den 16. Septembris 1755 – Stubengeld Nachlaß
Hr Joh: Martin Roth mandatario nôe. Joh: Georg Anthoni so abweßend v. sich würckl. Zu Paris befindet, bittet denselben auch biß Zu seiner Wiederkunfft nur ad 4. ß Stben Geld zu reduciren, Erk. Willfahrt.

Anne Marie Albrecht meurt en 1774 en délaissant trois enfants. Les experts estiment la maison 450 livres. La masse propre au veuf est de 1 985 livres, celle des héritiers de 602 livres. L’actif de la communauté s’élève à 5 450 livres, le passif à 4 352 livres.

1774 (4. 8.br), Not. Saltzmann (Jean Daniel, 6 E 41, 596) n° 218
Inventarium über Weiland Fraun Anna Maria Antoniin geb. Albrechtin, H. Joh: Georg Antoni des Ältern Meelhändlers und Burgers alhier Zu Straßburg gewesener Ehegattin, Verlaßenschaft, auffgerichtet in dem Jahr 1774. – nach ihrem den 24. des letztverfloßenen Augstmonats aus dießer Welt genommenen seligen Abschied Zurückgelaßen hat (…) So geschehen und angefangen in Straßburg in hernach inventirter neben der grosen Metzig gelegener Sterbbehausung auf dienstag den 4. Weinmonats vormittag in dem Jahr 1774.
Benennung der Erben. Die selig Verstorbene Zu erben sind fähig 1. Herr Johann Georg Antoni der Klein-Uhrenmacher Zu Eberdsorf im Voigtland, In dessen abwesenheit der hochedle und hochgelehrte Herr Michael Friderich Böhm, der Arzneikunst hocherfahrener doctor und E. E. Kleinen Rahts alhier wohlverdienter diesjähriger beisitzer (…) hiebei gegenwärtig war, 2. Herr Joh: Martin Antoni, der hies. b. u. Weißbecker welcher diesem Geschäfft persönlich abwartete, 3. Frau Anna Maria geb. Antoniin, des Hn Gottlieb Gentsche, Kupferschmidt u. b. alh. Eheliebste, Wegen ihres Ehemanns Kranckheit dermal mit ihrem Oheim H Joh: Jacob Albrecht dem ältern Knöpffmacher Seidenh. u. b. dahier verbeistandet u. anwesend, Alle drei der Eingangs erwähnten auch seligen Frau Antoniin mit dem diesortigen Wittwer ehelich erzielte und Ohne der Tochter Voraus, zu gleichlingen Theilen ohntestirt Zurückgelaßene Erben.

In einer allhier Zu Straßburg an der grosen Metzig gelegene Zum Winckel genannten Behausung in diese Verlaßenschafft& gehörig befunden worden wie folgt
(f° 12) Eigenthumb an einer Behaußung und Scheür (T.) Nemlich eine Behßg. in Vorder u. hinterhß, bestehd. höflin, bronnen und hoffstatt, mit allen deren übrigen Begriffen, Weithen, Zugehörden und Rechten in hieß. Vndt an dem färckel Marckt in dem Winckel gegen der großen Metzig über, einseit neben dem dißorthigen Jüngerem Sohn H. Joh: Martin Antoni, dem Weißbeck 2. s. neben Jacob Jund dem Zinn Versilberten Knopff u. Pferd Zeugmacher, gelegen, hinten auf den Ulmer Graben stoßend. Davon gibt man in den Gürtler hof des hohen Chors alhier 7 Schilling 6 pfenning an ewigem Zinß Jährl. auf Weÿhenachten u. dem hies. Pfgth. wegen 1. dolen Jährl. auf Jacobi 10 Schilling d Zß ([in margine :] fol. 425.b) sonsten ist dieselbe gegen Jeedermann freÿ, leed. eigen sofort durch (die Werckmeistere) inhalt deren bei diesem Concept liegenden Abschatzung Zeduls den 28.t des Letzt verfloßenen Monaths æstimirt worden vor 450. lb. Obige Zinße Zu doppeltem Capital gerechnet abgezogen mit 35. lb. Restirt demnach hier außzuwerffen 415 lb
(T.) Item, eine Scheuer, oder vielmehr Stallung und darüber befindl. fruchtböden, samt deren Zugehörden und Rechten gelegen in dieß. Stadt an dem Schiffleuth Staden in dem bronngäßlein, 1.s. neben Jacob Wagner dem Rheinbrucken: Knecht, 2.s. neben dem Schiffer Hug, hinten Zum theil auf des Stiffts St. Magdalenæ Garten u. Zum theil auf N. Dollinger den Kuttler, stoßend, so ebenfalls freÿ und eigen, u. in vorged. Abschatzung durch besagte geschwornen herren Werck Mr. gewürdiget worden vor 350. Über vorbeschriebene behßg. u. sogenannte Scheur, ist ein pergamentener in hies. C.S. Stb. außgefertigter mit deren anhgd. Ins. verw. deutsch. Kfbr. vom 21.ten 8.br 1749. vorhanden.
Ferner melden obiger behßg. halben 4. von gnädigen Hh. den XV.en den 17. 9.bris u. 9. Xbris 1648. wie auch 31. Aug. u. 23. 7.bris 1715. wegen wem becken hdw. u. Meelhandel ertheilte bescheide.
Ergäntzung des Wittwers abgegangenen unveränderten Guths. Nach Masgab des durch nun weil. H. Not. Johannes Brackenhoffer A° 1724. verfertigten Ehe-Inventarii
Series rubricarum. Abschrifft der Zwischen beden durch den tod nunmehr getrennten Eheleuthen d. 24. Julii 1724. vor nun weil. H. Not. Johannes Brackenhoffer auffgerichteten Eheberedung
Codicill welches die Verstorbene den 1. Nov. 1757 vor Not. Joh: Richard Härng dahier gestiftet
Des Wittwers unveränderten Guths, solches bestehet allein in der Ergäntzung des Wittwers – Schulden 112 lb, Nach deren Abzug 1985 lb
Diesemnach wird derer Erben unveränderte mütterliche Verlaßenschafft verzeichnet, Sa. Haußraths 162, Sa. Silbergeschirrs 71, Sa. goldenen Geschmeids 1, Schuld 112, Sa. Ergäntzung 2254, Summa summarum 602 lb
Endlich wird auch die Errungenschaft beschrieben, Sa. haußraths 132, Sa. Waaren 655, Sa. Wein, Fäßer 94, Sa. Silbergeschirrs 60, Sa. goldener Ringe u. dergl. geschmeids 62, Sa. baarschaft 100, Sa. Pfenningzinß hauptgüter 1750, Sa. Eigenthums an 1. beh. 765, Sa. Activ Schulden 1828, Summa summarum 5450 lb – Schulden, Ergäntzungen 2097 und 2254, 4352 lb, Nach deren Abzug 1098 lb
Codicill – Zuwißen seÿe hiemit, daß die Viel Ehren und Tugendsahme Frau Anna Maria gebohrne Albrechtin des Ehrengeachten Herrn Johann Georg Anthoni Meelhändlers und Burgers alhier Eheliebste
Copia der Eheberedung (…)
Abschatzung Vom 28. Sept. 1774. Auff begehren H Georg Antonÿ des Mehlmanns ist Eine behausung alhie in der Statt Straßburg in dem Winckell Genant Einseith neben Martin Antonÿ anderseits Nebenn Jacob Jundt undt hienden auff dem Ulmer Graben Stosend Gelegen solche behausung besteht in Einem Laden und Ladenstube Ferners in dreÿ Stuben, dreÿ Kamren und Eine Kuchen dar jber ist der dach Stuhl mit breid Zieglen belegt hat auch ein getrembten Keller Kleinen hoff und bronnen Vor und Vmb Neÿen Hundert gulden [unterzeichnet] Huber
Der Zweÿte Begriff (…)

Le boulanger Jean Martin Antoni rachète de ses frères et sœurs leurs parts dans la maison et la grange quai des Bateliers

1775 (10.5.), Not. Saltzmann (Jean Daniel, 6 E 41, 596) Joint au n° 218 du 4. 8.bre 1774
24. Nov. 1774. Haus Cessio – Erschienen vor den unterschriebenen der Stadt Straßburg geschwornen Notario, als zu weiland Fraun Annä Mariä Antoniin geborner Albrechtin Verlaßenschaft- Geschäft berufenen Inventir schreiber, deren hinterbliebener Wittwer Herrn Johann Georg Anthoni der ältere, hiesige Burger und Meelhändler, ferner S. T. Herr Michael Friderich Böhm, der Arzneikunst hocherfahrener doctor und E. E. Kleinen Rahts alhier diesjähriger beisitzer, als aus edelgedachten Raths Mittel des 22.ten Septembris letzthin ernannter Deputatus vor den diesortigen ältern Sohn Herrn Johann Georg Antoni den Zu Eberdsorf im Voigtland wohnhaften Klein-Uhrenmacher, so dann Frau Anna Maria geborene Antoniin, des weiland H. Gottlieb Gentsche, gewesenen Kupferschmids und burgers dahier Wittwe, beiständlich ihres mütterlichen Oheims, H. Johann Jacob Albrecht des ältern Knöpfmachers Seidenhändlers und burgers hieselbst
haben in Gegenwart Herrn Johann Martin Antoni, des hiesigen burgers und Weisbeckers, offentlich angezeigt und bekandt
daß Sie und zwar der Vater die Ihm aus der Errungenschaft gebührige zween dritte Theile auf abzug künftigen vätterlichen Erbguts, die Zwei Geschwister aber die ihnen anerstorbene Zwei neunte theille in unvertheiltem mütterlichem Erbe, wobei der Vater vor des abwesenden Sohns Anteil auf das Gültigste cavirt (…) sochem ihrem respective Sohn und Bruder (verkaufft)
acht neunte Theile an einer Behausung. Höflin, bronnen und Hofstatt, mit allen deren übrigen Begriffen, Weiten, Zugehörden und Rechten alhier an dem Ferckelmarckt, im Winckel, gegen der grosen Metzig über, ein Seit neben dem Cessionario, ander Seit neben Jacob Jund dem Zinn Versilberten Knopff und Pferdzeug-macher, gelegen, hinten auf den Ulmer Graben stoßend. Davon gibt man in den Gürtler hof des hohen Chors alhier 7 Schilling 6 pfenning an ewigem Zins und dem hies. Pfgth. wegen einem dolen Jährlich auf Jacobi Zehen Schilling Zins, sonsten seÿe selbige frei und eigen
Weiter acht neuntel ane einer Scheüer oder vielmehr Stallung (…)
Und dann acht neunte Theile von allem Zu dem Meelhandel gehörigen und in einer von denen Parteien unterschriebenen besondern Verzeichnis enthaltenen Schiff und Geschirr, der restirenden eine neunte Theil ist dem Cessionairo selbst Erbsweise zuständig – zu 7500 Gulden gerechnet
Anbei wurde ausdrucklich bedungen, Erstlich, daß der Vater die vordere große Stube über dem Laden samt der daran befindlichen Küche zu seinem lebtägigen Aufenthalt und Wohnung dergestalt vorbehalten bleibe, daß er dieselbe nebst der Hälffte des Kellers und Platz zum Holtz, wie auch in sofern Er eine Madg annähme noch dazu eine Kammer in dem Zweiten Stock, frei und ohen zinß zu genießen haben, der Sohn anbei den Vater mit nötigem Feuer und Micht jederzeit versorgen soll. Und ohngeacht der Vater aus solcher Wohnung niemalen vertrieben werden darf, so stehet dannoch in seinem belieben, aus derselben Zu Ziehen und sie zu raumen, welchen Falls Ihm von dar an jährlich 50 gulden hauszins ohne Schmälerung obigen Capitalzinses durch den übernehmenden Sohn ohnfehlbar entrichtet werden soll.. Zweitens, daß der übernehmende Sohn und seine Ehefrau zwar mit einem Von dem Vater und Schwiegervater zu gewarten habenden jährlichen Kostgeld von 100 Gulden sich bengügen, gleichwol es in einer Willkur gestelt seÿn laßen wollen, solche Kost augzuheben und seine eigene Haushaltung wideranzufangen (…) Straßburg den 21. Wintermonat nachmittag in dem Jahr 1774.
Transcrit à la Chambre des Contrats, vol. 649 f° 207, 10 mai 1775

Martin Antoni ternine en 1747 son apprentissage auprès de son père Jean Georges Antoni
1747, Protocole de la tribu des Boulangers (XI 10)
(f° 114-v) Mittwochs den 4. Januarÿ 1747 – Martin Anthoni von hier, den beÿ seinem Vatter Mstr Johann Geörg Anthoni dem Weißbecken allhier, das handtwerckh Erlernet, ist der Lehr ledig gesprochen worden

Martin Antoni est relaxé de l’accusation de vendre du pain frais un jour où cela lui est interdit.
1754, Protocole de la tribu des Boulangers (XI 11)
(f° 108-v) Mittwochs den 19. Februarÿ 1754 – Martin Anthoni der Weißbeck dahier ist accessirt daß Er an seinem trockenen tag wie der articul frisch brod verkaufft, Beklagter præsens ist es nicht geständig, wird auf deßen entschuldigung dißmahlen absolvirt.

Jean Martin Antoni épouse en 1753 Marie Madeleine Kilian, fille du boulanger Jean Georges Klilian : contrat de mariage, célébration
1753 (16.4.), Not. Brackenhoffer (Jean, 4 Not 31) n° 990
Eheberedung – zwischen dem Ehrengeachten herrn Johann Martin Antonj leedigen Weißbecken des Ehren und großachtbahren herrn Johann Georg Antoni Meelhändlers und burgers alhier mit der Viel Ehren und tugendreichen Frauen Anna Maria gebohrner Albrechtin ehelich erzeugtem Sohn als hochzeitern ane einem
So dann der Ehren und tugendsamen Jungfrauen Maria Magdalena Kilianin Weiland des Ehren und Wohlvorgeacht, H Johann Georg Kilian geweßenen Weißbecken und burgers alhier zu Straßburg seel. mit der Viel Ehren und tugendreichen Fraun Anna Maria gebohrner Kammererin nunmehro des Ehren und Wohlvorgeachten Herrn Johann Georg Mähn Weißbecken und burgers alhier Zu Straßburg Ehegattin ehelich erzeugten tochter als der Jungfraun hochzeiterin am andern theil
Straßburg den 16. Aprilis 1753. [unterzeichnet] Johann Martin Antoni als hochzeiter, Maria Magdalena Kilianin als hochzeiterin

Mariage, Saint-Pierre-le-Jeune (luth. f° 204-v, n° 8)
1753. Sont. Jubil. et Cantate p.clam, Mittw. d. 23. Maji copulati H Joh: Martin Antoni lediger weißbeck u. b. h. l. weÿl. Hn Joh: Georg Antoni des Weißbecken u. b. h. l. ehel. sohn, u. Jgfr. Maria Magdalena, weÿl. Hn Joh: Georg Kilian, gew. weißbecken u. b. h. l. ehel. Tochter [unterzeichnet] Johann Martin Antoni Als Hochzeiter, Maria Magdalena Kilianin Als hochzeiterinn (i 209)

Les nouveaux mariés font dresser l’inventaire de leurs apports dans la maison qui appartient aux parents du marié au Marché aux cochons de lait. Les apports du mari s’élèvent à 727 livres, ceux de la femme à 365 livres.
1753 (16.6.), Not. Brackenhoffer (Jean, 4 Not 25) n° 947
Inventarium über des Ehrengeachten Herrn Johann Martin Antonj des Weißbecken und der Ehren und tugendsahmen Fraun Mariä Magdalenä geb. Kilianin beeder Eheleuthe und burgere allhier Zu Straßburg einander in den Ehestand Zugebrachter Nahrungen, auffgerichtet in A° 1753 – in ihren den 23.ten Maÿ instehenden 1753.sten Jahrs angetrettenen Ehestand Zugebracht, Welche der Ursachen alldieweilen in ihrer Vor mir Notario den 16.ten Aprilis jüngst auffgerichteten Eheberedung und dero 4.ten Puncten außdrucklich enthalten, daß einem jeeden und seinen Erben, das in die Ehe bringende Vermögen ein Vorbehalten Guth seÿn und bleiben solle (…) So beschehen in fernerer Gegenwarth H Johann Georg Antoni Meelhändlers und frauen Annä Mariä geb. Albrechtin dess Ehemanns leibl. Eltern, wie auch H Johann Georg Mähn Weißbecken und fr: Anna Maria geb. Kammererin der Ehefr: geliebten H. Stieffvatters und Fr: Mutter, Straßburg den 16.ten Junÿ 1753.

In einer alhier Zu Straßburg an dem Färckelmarckt gelegenen des Ehemanns Eltern gehörigen behaußung befunden worden wie folgt
Der Ehefraun vätterlichen Guths legitimam und großelterlich Guth betreffend. Nembl. Vermög des Zwischen Fr: Annä Mariä Kilianin geb. Kammererin der Ehefr: eingangs ged. Mutter so dann H Johann Christoph Christiani dem Kupfferschmid u. b. alhier (…) nach anleÿtung des über weil. H. Johann Georg Kilians seel. Verl. durch H. Abraham Kolb den Notm. und geschwornen Inventir Schreibern den 21.ten Jan. 1740. auffgerichtet und außgefertigten Invÿ den 18.ten Junÿ 1740. (…)
Wÿdembs Verfangenschaften. Nemlich Zufolg angeregten Kindervertrags ist der Ehefraun Mutter anstatt des ihro von ihrem verstorbenen Ehemann seelig in der Zwischen ihnen Zur Zeit ihrer Verheurathung auffgerichteten Eheberedung §° 8. verschrieben derer Kilian. Erben unveränderten hauß cum appertinentiis Zu einem lebtägigen Wÿdembs Genuß außgefallen
Ordnung gegenwärtigen Inventarÿ. Des Ehemanns in die Ehe gebrachten Vermögens, Sa. Haußraths 197, Sa. Frucht und Meels 359, Sa. Brennholtzes 13, Sa. Weins 34, Sa. derer Schweine 11, Sa. Silbers 25, Sa. der baarschafft 117, Sa. derer Activ Schulden 17, Summa summarum 727 lb
Dießemnach wird auch der Ehefrauen in die Ehe gebrachtes Guth verschrieben, Sa. hausraths 105, Sa. Silbers 41, Sa. goldener Ring 36, Sa. der Baarschafft 182, Summa summarum 365 lb

Jean Martin Antoni est accusé à plusieurs reprises de vendre du pain frais les jours où il n’en a pas le droit
1761, Protocole de la tribu des Boulangers (XI 12)
(f° 151) Dienstags den 17. Februarÿ 1761 – Straff
Idem [dieser Ehrs. Zunfft geschw. Rieger] Cra. Joh: Martin Anthonj den Weißbecken daß derselbe am Neuen Jahrs tag so sein Verbottener tag ware, frisch gebachen Eÿerbord v. Stollen feil gehabt v. verkaufft.
Bekl. Ehefrau sagt Zur Verantwortung daß Sie bestellt Eÿerbord Zu bachen gehabt v. etwas mehreres gebachen, so Sie verkaufft.
Erk. seÿe bekl/ in 15 ß Straff und 2 ß Gericht.s Costen zu condemniren

(f° 162) Montags den 6. Julii 1761 – Michael Kätzel v. Joh: Georg Schäffer, dieser Ehrs. Zunfft geschw. Rieger Klagen Cra. Martin Anthoni den Weißbecken daß derselbe den 22.t Julii Jüngst, als an seinem trockenen tag weich v. frisch gebachene Kugelhopff hertz verkaufft.
Bekl. Ehefrau Zugegen sagt daß Sie bestelltes gehabt, da Sie etwas darüber gebachen v. es nicht Vom Laden hienweg, sondern aus der Stuben verkaufft, es wären und Zweÿ hertz zusammen, vor 7sols gewesen.
Erk. seÿe die sach ad proximan Zur remitiren, allwo der Comparentin Ehemann, sonderheitl. wegen wider dißortiges Gericht, in Gegenwart Hn Martin Roth v. Johann Phil. Blanck außgestoßener Injurien, selbsten erscheinen solle, reserv. Exp. 2. ß 6 d. außmachen
Angeklagt absolvirt – Idem Cra eundem daß derselbe d. 10. Jul. Letztthin an seinem trocken v. unerlaubten tag 14. Leib Bord, v. also auch über die erlaubte Anzahl auf dem trocken Marckt feil gehabt. Deßen Ehefrau Zugegen, sagt daß Sie von herrn Zunfftmeister Hierzu Speciale Erlaubnus gehabt. Erk. absolvirt

(f° 166-v) Dienstags den 15. Decembris 1761
Hr Joh: Martin Roth dißortigen Schöffen Collegii Assessor bringt vor daß Martin Anthoni der Weißbeck sich ohnlängst in einem Würtshauß gröb. vergangen v. wider dißseitig. Ehrs. Zunfft Gericht sehr ehrenrührisch v. injuriose Reden außgestoßen.
Bekl. Zugegen, ist solches Zwar in Abred Nach deme aber Herr Frantz Anthoni Huther solches ebenfalls selbsten mit angehört Zu haben behauptet Ist Erk. worden, seÿe bekl. nicht nur allein Zur offentl. abbitt v. Ehren Erklärung anzuhalten, sondern auch ferners in 7. lb 10 ß Straff in dißortige Zunfftbüchß v. in 2 ß 6 Gerichts Cösten, zu condemniren.
[in margine :] durch Gerichtl. Erkandtnus vom 23. Martii 1762. auf 4 lb 10 ß reducirt, so er in instanti Zalt.

(f° 211-v) Donnerstags den 20. Junii 1765 – Straff
Dießer Ehrsamen Zunfft geschworne Rieger Klagen Contra Joh: Martin Anthoni den Weißbecken dahier, daß derselbe d. 10. April. 18. Maji und 7. Junii alles Letzthien Weiche Ladenbrod verkaufft, da doch solche dreÿ tag seine unerlaubte täge waren, bitten Ihne mit behörige Straff Zu belegen.
Bekl. Zugegen sagt Zur verantwortung daß das ihme überbrachte brodt theils nicht von dem seinigen und theils nicht frisch gebachen sondern von vorigen tag gebachen ware, bittet dahero um absolutionem.
Herr Zunfftmeister und Riegere behaupten aber es seÿ frisch gebachen brodt gewesen. Erkandt, seÿe Beklagter in 5 lb d. Straff und 2 ß 6 d Cösten Zu condemniren.

(f° 214-v) Dienstags den 1. Octobris 1765
Johannes Maurer dißorthiger Zundt Rieger Klagt contra Johann Martin Anthoni den Weißbecken dahier, daß derselbe den 27.ten 7.bris jüngst als an seinem trockenen und unerlaubten tag Frisch gebachene Ladenbrod verkauft, requirirt denselben nach dem Articul abzustraffen.
Des Beklagten Ehefrau in ihres Mariti abweßenheit zugegen, betheuret daß Sie von dem ehren feindlseeligen Rueger wider die Wahrheit beschuldiget und daß die Zweÿ Ladenbrod, so derselbe beÿ ihnen abhohlen laßen, nicht frisch, sondern deren von dem vorherigen Tag gebachen, waren solche auch von sießer männiglichen der sie gesehen davor gehalten worden, bittet dahero Sie vvon der Klag Zu revogiren.
Erkandt seÿe beklagter nach dem Articul in 5. lb d Straff und 2 ß 6 d Gerichts Cösten Zu condemniren.

Jean Martin Antoni fait appel de l’amende que le contrôleur lui a infligée pour vendre du pain frais les jours où il n’en a pas le droit. Il prétend que le pain était de la veiile et que le contrôleur Jean Maurer agit par animosité à son égard. Les Quinze partent du principe qu’un contrôleur est digne de foi mais adoptent un compromis selon lequel la sentence de la tribu est confirmée mais l’amende levée, le prévenu devant rembourser les frais de procédure.
1765, Protocole des Quinze (2 R 177)
(p. 637) Donnerstags d. 10. Octobris 1765. – Martin Anthoni ca. Becker Zunft
Osterrieth nôe Martin Anthoni des Burger und Weißbecken alhier Ca. E. E. Zunft der Becker H. Zunfftmeister producirt wiedrigen Zunft Gerichts bescheid Vom 1.sten hujus, wovon derselbe an Ew: Gn: hiemit appelliret und appellationis Verzeichnus gebetten haben will. Erkannt, Verzeichnus.

(p. 644) Sambstags d. 16. Novembris 1765. – Anthoni ca. Becker Zunft
Idem [Osterrieth] nôe Martin Anthoni des Burgers und Weißbecken alhier Ca. Eundem [E. E. Zunft der Becker] prod. unterth. appellations Klag juncto petito samt beÿl. Lit. A. Freundt bitt Copiam & T. O. obt.

(p. 697) Sambstags d. 16. Novembris 1765. – Anthoni ca. Becker Zunft
Idem [Osterrieth] nôe Mr Johann Martin Anthoni in aîs Ca. Eundem [E. E. Zunft der Becker] erholt appellations Klag vom 16. 9.bris und bitt Deput. Freundt prod. unterth. Verantwortung juncto petito und bitt simil. Deput. Erk. Deputatio.

(p. 767) Montags d. 23. Decembris 1765 – – Anthoni ca. Becker Zunft
Iidem [Obere Handwerckh Hhn] laßen per Eundem [Secretarium Stædel] referiren, es habe Martin Anthoni der Burger und Weißbeck Ca. E. E. Zunft der Becker H. Zunfftmeister d. 10. 8.bris j. einen wiedrigen Zunft Gerichts bescheidt beÿ MHHh producirt, Vermög deßen derselbe nach dem artickel 5 pfund d. straf und 2 ß 6 d uncosten condemnirt worden.
Von dießem bescheid habe er an Hochdieselbe appellirt und nach erhaltener appellationis Verzeichnus den 16. 9.bris jüngst seine unterth. appellations Klag samt beÿl. Lit. A. übergeben juncto petito in Rechten zu erkennen und auszusprechen, daß in primâ Instantiâ übel gesprochen und wohl appelliret worden, folglich daß die Sententia a quâ Zu annulliren und appellant Von der darin angesetzten straf völlig zu befreÿen seÿe, idq. refusis in utraq. instantia exp. wie auch ferner Zu verordnen, daß Maurer der einte Rüger, der in ansehung des appelanten sehr verdächtig ist, ihme nicht mehr, sondern die andere Rüger und Zwar durch visitirung deßen Bachstube rügen sollen.
Von seinen Appellatischen Zunftmr seÿe in der d. 7. hujus hiewider eingelegten schrifftl. Verantwortung gebetten worden, Deputatos abzuordnen et factâ relatione den Zunft bescheid durchaus Zu confirmiren, gegentheil. appellanten aber in alle uncosten nicht nur Zu condemniren sondern auch H Zunfftmeister, und denen Rügeren wegen derer wieder sie Vorgebrachten schlechtern beschuldigungen ihre competirende actiones de meliori Vorzubehalten.
Auf geschehene Weißung habe der appellant præsens seiner appellatios Klag annoch beÿgesetzt, er könne mit guten gewißen eÿdlich erhärten, daß er denjenigen tag an welchem der Rüger das laden brod, weßwegen er gestrafft worden, beÿ ihme abholen laßen, nicht nur Kein ladenbrot gebachen, sondern auf dasjenige, so er noch übrig gehabt und Verkaufen können, tags Vorher umb zwölff uhr schon gebachen gewesen, dießes aber seÿe sehr vermuthlich, daß der Rüger, Johannes Maurer, welcher ihme appelanten seine freündschaff schon zu Verschiedenen malen spühren laßen, boßhaffter weiß ander und weiches brod Vor das seinige ausgegeben.
Nôe Appellatischer Zunft hätten Vorgemelter H. Zfftmr. und H. Rath. Baudet sich auf ihre übergebene Verantwortung bezogen.
Auf seiten der Hh. Depp. habe man Zwar das gemeine principium, daß einem geschwornen Rüger Vor dem Bekl.ten glauben beÿzumeßen seÿe, gar wohl in betrachtung gezogen, Weilen aber der appellant gar starck wieder denselben excipirt, auch als ein Wackerer burgersmann hoch betheuret, daß ihme Zuviel geschehe, als hätten die Hh. Depp. geglaubt, daß in dießer sach ein mittelweeg Zu treffen wäre, und deßwegen der meinung seÿn wollen, daß zwar in erster Instantz wohl gesprochen, dem appellanten aber, jedoch gegen ersetzung der uncosten, Vor dißmahl die straf nachzulaßen, anbeÿ derselle alles Ernsts und beÿ ohnausbleiblicher Straf des artickels an die genaue befolgung deßeben anzuweißen seÿe. Erkanndt, bedacht gefolgt.

Jean Martin Antoni cesse d’être boulanger pour devenir farinier
1774, Protocole de la tribu des Boulangers (XI 12)
(f° 78-v) Sambstags den 17. Decembris 1774 – Handwercks Änderung
Mr Johann Martin Anthoni, der bißher gewesene Weißbeck, will Meelmann werden, Bitt weilen er seines Vaters H, Joh: Georg Anthoni Sen: Meelhandel übernommen in seinem Begehren Zu willfahren. Erkanndt Willfahrt.

Jean Martin Antoni meurt en 1791 en délaissant deux enfants. La minute de l’inventaire n’est pas conservée

1792 (2.5.), Strasbourg, Not. Saltzmann, (Jean Daniel, rép. 6 E 41 449-5) n° 691
Inventarium über und Eroerterung über Weiland Joh. Martin Antoni Meehlhdl. Nachl.
acp 10 f° 112-v du 8 mai 1792 – Inventaire de la succession de feu Jean Martin Antoni, md. farinier à Strasbourg décédé le 13. 9.bre 1791. à la Requête de D° Marie Madeleine Antoni épouse du Sr Jean Louis Rehm, négociant à Strasbourg et de Philippe Jacques Antoni farinier à Strasbourg
Masse mobiliaire 11.000 livres. Il dépend de cette succession des immeubles pour 17.600 livres
Contenant quittance de 4000 livres pour ladite D° Rehm à D° Marie Madeleine Kilian veuve dudit défunt débitrice par acte en bonne forme

La maison est louée à Thiébaut Kuhn (futur propriétaire)

1801 (1 germinal 9), Enregistrement de Strasbourg, ssp 7 F° 122-v du 23 ger. 9
Bail de 3 années – Me Antoni
Thib. Kuhn
logement dans la maison Rue gd.e Boucherie N° 25, pour 336 francs

Philippe Jacques Antoni meurt en 1807 en délaissant pour héritiers sa mère et sa sœur.
1807 (11.3.), Strasbourg 3 (31), Not. Übersaal n° 993, 3647
Inventaire de la succession de Philippe Jacques Antoni, ancien farinier décédé le 19 février courant – à la requête de 1. Marie Madeleine Kilian veuve de Jean Martin Antoni farinier, héritière pour un quart. 2. Marie Madeleine Antoni épouse de Jean Louis Rehm négociant sœur du défunt héritière pour trois quarts
meubles 847 fr, numéraire 447 fr, capitaux 7206 fr, total 15.400 fr
Enregistrement, acp 102 F° 43 du 12.3.

Marie Madeleine Kilian meurt en délaissant pour seule héritière sa fille Marie Madeleine
1812 (4.3.), Strasbourg 3 (35 A), Not. Übersaal n° 1261, 6052
Vente de meubles, place de la grande boucherie n° 25 – Vente des meubles délaissés par feu Marie Madeleine Kilian veuve de Jean Martin Antoni farinier, à la requête de sa fille héritière universelle Marie Madeleine Antoni épouse de Jean Louis Rehm négociant
201, 284 et 281 francs

Marie Madeleine Antoni épouse à l’âge de 32 ans le marchand Jean Louis Rehm, fils du pasteur de Metzingen en Wurtemberg Jean Jacques Rehm : contrat de mariage, célébration
1788 (9.5.), Not. Saltzmann (Jean Daniel, 6 E 41, 614) n° 299
Eheberedung – Erschienen der ehrenveste und wolachtbare Herr Johann Ludwig Rehm, lediger Handelsmann und Burger alhier, des weiland H Johann Jacob Rehm gewesener treueiferigen evangelischer Pfarrers Zu Metzingen Herzoglich-Würtenbergischer Herrschaft, mit auch weiland Frau Maria Katharina geborner Moser ehelich erzeugten jüngster anjezt großjähriger Sohn, als Hochzeiter, an einem
So dann die viel- Ehren- und Tugendbegabte Jungfrau Maria Magdalena Antoni, des H. Joh: Martin Antoni, Meelhändlers und Fraun Maria Magdalena geborner Kilian, beeder Eheleut und Bürger dahier einzige majorenne Tochter, als Hochzeiterin, beiständlich dieses ihres Vaters an dem andern Theil
Straßburg auf Freitag den 9. Maj in dem Jahr nach Christus Geburt 1788 [unterzeichnet] Joh: Ludwig Rehm als Hochzeiter, Maria Magdalena Antoniin als Hochzeiterin

Mariage, Temple-Neuf (luth. f° 2)
Im Jahr 1788, deinstags den 10. Junÿ Abends nach Fünf Uhr sind (…) copulirt und ehelich eingesegnet worden Herr Johann Ludwig Rehm der leedige Handelsmann und burger allhier, weÿland Herrn Johann Jacob Rehm gewesenen Evangelischen Pfarrers Zu Metzingen Uracher Ober-Amts und weÿland Frauen Mariä Catharinä geborner Moserin hinterlassener ehelicher Sohn, 38 Jahr alt, und Jungfrau Maria Magdalena Antoniin, Johann Martin Antoni des Mehlmanns und burgers allhier und Frau Mariä Magdalenä geborner Kilianin, eheliche leedige Tochter, 32 Jahr alt, diesrs haben als Zeugen bestätigt Herr Johann Friderich Bögner Von Lörrach in Badischen gebürtig nun Handelsmann und burger alhier, als des Bräutigams Neveu (…) [unterzeichnet] Joh: Ludwig Rehm als Brautigam, Maria Magdalena Antoniin als braut (i 5)

Les nouveaux mariés font dresser l’inventaire de leurs apports dans une maison qui appartient au marchand de modes Jean Philippe Nercking au Fossé des Tailleurs. Les apports du mari s’élèvent à 3 633 florins, ceux de la femme à 3 197 florins.
1788 (18.6.), Not. Saltzmann (Jean Daniel, 6 E 41, 610) n° 602
Inventarium über H. Joh: Ludwig Rehm, des Hdlsm: u. Fraun Maria Magdalena geb. Antoni, beder Eheleut und burger alhier Zu St. in die Ehe gebrachtes Vermögen aufgerichtet in a° 1788 – in ihre den 10. laufenden Monats angetrettenen Ehe gebracht und kraft des dritten Punckts der d. 9. Maj kurz vorher vor mir unterschriebenem geschwornem hiesihen Stadt-Notarius errichteten Eheberedung sich von unverändert vorbehalten haben (…) So geschehen in Straßburg in H. Joh: Philipp Nercking des Modewaarhändlers, an der Spiesgaß u. dem Schneidergraben geleg. eigenthüml. diesorts Lehnungs weise bewohnenden Eck behausung in fernerem beiseÿn H Joh: Martin Antoni des hies. B. u. Meelhdl. der Ehefrau geliebten H. Vaters u. Von ihr hierzu erbetenen beistandes, auf Mittwoch den 18. Junius vormittag in dem Jahr 1788.
Des Eheherrn beigebrachtes Gut, Sa. hausrats 365, Sa Waaren (Nürnberger- und andere kurtzen Waaren) 5039, Sa Silbers 35, Sa Golds 102, Sa Baarschafft 917, Schiff und geschirr zur Handlung gehörig 50, Sa Schulden 702, Sa zweiffelhaffte schulden 400, Summa summarum 7610 fl. – Schulden 4130, nach deren abzug 3479 fl. Darzugelegt seinem halben Teil an denen Haussteuren mit 153, des Eheherren gut 3633 fl.
Diesemnach wird der Ehefrau Vermoegen verzeichnet, Sa Hausraths 765, Sa Silbers 52, Sa goldener Ringe 293, Sa Baarschafft 1932, Summa summarum 3044 fl. – Darzugerechnet ihre Hälfte von denen Haussteuren mit 153, der Ehefrau Vermögen 3197 fl.
(Joint, Inventarium und Billantz)

1781, VI 370, 12 (Nouveaux bourgeois, 1781-1783) [p. 6]
Joh: Ludtwig rehm

Jean Louis Rehm meurt en 1815 dans sa maison rue des Tonneliers en délaissant une fille
1815 (18.9.), Strasbourg 8 (12), Not. Roessel n° 2685
Inventaire de la succession de Jean Louis Rehm, négociant à Strasbourg décédé le 8 avril courant – à la requête de 1. Marie Madeleine Antoni la veuve, commune en biens acquets suivant l’article 5 du contrat de mariage reçu par Saltzmann notaire le 9 mai 1788, 2. Madeleine Charlotte Rehm, mineure âgée de 20 ans mais émancipée seule et unique héritière procréée avec la veuve

dans une maison sise rue des Tonneliers n° 27
créances 23.570 francs
maison, par acte passé à la Chambre des contrats le 26 février 1790 le défunt a acquis de Marguerite Salomé Meinick veuve de Jean Georges Walter et consorts la maison sise en cette ville rue des Tonneliers n° 27 entre M Grasselly négociant et le Sr Hartschmidt confiseur, derrière l’auberge à la vieille poste, laquelle maison était uniquement occupée par la défunte et sa fille, estimée 12.000 francs. Titres de propriété, inventaire des apports reçu Saltzmann notaire le 18 juin 1788
récapitulation, meubles 922 fr, garde robe 195 fr, or argenterie 46 fr, marchandises et autres articles dans le comptoir 632 fr, maison 12.000 fr, total 37.368 fr
passif du à l’héritière 7420 fr à la veuve 32.917 fr, total passif 10.338 fr
Enreg. manquant F° 166 du 20.9.

Marie Madeleine Antoni femme du négociant Jean Louis Rehm vend la maison au farinier Thiébaut Kuhn et à sa femme Marie Madeleine Werlen

1812 (1.4.), Strasbourg 3 (59), Not. Übersaal n° 6078, 2971
Marie Madeleine Antoni épouse de Jean Louis Rehm négociant
à Tibaud Kuhn farinier et Marie Madeleine Werlen
la maison appartenant en propre à ladite De Rehm avec petite cour, tous bâtiments, droits, appartenances et dépendances située en cette ville vis à vis des grandes boucheries à l’endroit appelé im Winckel n° 25 d’un côté la maison n° 25 bis appartenant au Sr Jacques Moebs boulanger, d’autre la maison n° 24 appartenant à la veuve de feu le Sr Jundt fabricant de boutons d’étain, derrière la maison dudit Sr Moebs boulanger – dont on est obligé de payer annuellement au 28 juillet à la caisse de cette ville d’un egout une rente perpétuelle de 2 fr – propriété constatée par actes passés à la Chambre des Contrats le 22 juillet 1752 et autre signé Jacques Christophe Pantrion Not. le 31 mars 1717, extradés – moyennant 9000 francs
Enregistrement, acp 119 F° 89 du 2.4.

Fils du farinier Thiébaut Kuhn, Thiébaut Kuhn épouse en 1796 Marie Madeleine Werlen
1796 (30 pluv. 4), Strasbourg, Not. Ensfelder n° 215
Eheberedung – persönlich kommen und erschienen seÿn der bürger Theobald Kuhn leediger aber großjähriger und seinen Rechten gewaltender Müller des bürgers Theobald Kuhn, Meelhändlers Zu Straßburg mit fraun Catharina Barbara gebohrne Salomon ehelich erzeugter Sohn als Bräutigam an einem theil
und dann Jungfrau Maria Magdalena Wehrlen, bürgers Johannes Wehrlen mit Weÿland Maria Ursula gebohrner Dollinger ehelich erziehlte Tochter mit erstbesagtem dero Vater verbeÿstandet, als braut am andern theil
Straßburg den 30. Pulviose in Vierten Jahr der in Einheit und Unzertrennlichkeit bestehende Francken Republick [unterzeichnet] Theobald Kuhn als Hochzeiter, Maria Magdalena Wehrlerin als Braut
Enregistrement, acp 39 F° 96 du 1 vent. 4 – revenu industriel 100

Les nouveaux mariés font dresser l’inventaire de leurs apports dans la maison Antoni près des Grands Boucheries. Les apports du mari s’élèvent à 3 011 francs, ceux de la femme à 2 038 francs.

1803 (16 therm. 11), Strasbourg 3 (26), Not. Übersaal n° 795, 2044
Inventarium über des Burgers Theobald Kuhn Meelhaendlers und Fr. Maria Magdalena geb. Werlen in den Ehestand zugebrachtes Vermögen, in ihrer den 5. thermidor IV. Jahrs angetrettenen Ehestand, vor weÿl. Not. Ensfelder den 30. pluviose 4 aufgerichteter Eheberedung
in einer ohnfern der grosen Metzig gelegen des weÿl. burgers Antoni gewesten Meelhändlers zuständigen behausung N° 25
des Ehemanns Vermögen, hausrath 272 fr, silber 73 fr, baarschafft 742 fr
Eigenthümlicher Anteil an einer behausung. Nämlich ein vierdter theil für ohnvertheilt ane einer behausung bestehend in Vorder: Nebens und hinter: Gebäuden samt zugehörden und Rechten gelegen an der Weisenthurnstrase N° 72 einseit neben dem br. drenß Kiefer anderseit neben br. Reÿbel Gartner hinten auf gesagten bu. drenß, angeschlagen um 10.000 fr, nach abzug der Capitalien 7300 fr, der 4.te theil 1825 fr
summa summarum 2912 fr, haussteur 99 fr, des Ehemanns Vermögen 3011 fr
der Ehegattin in den Ehestand gebrachtes Gut, hausrath 714 fr, silber 56 fr, baarschafft 1168 fr, summa summarum 1939 fr, haussteur 99 fr, der Ehefrau guth 2038 fr
Enregistrement, acp 88 F° 134-v du 16 therm. 11

Marie Madeleine Wehrlen veuve de Thiébaut Kuhn et ses enfants louent une partie de la maison à leur fils et frère respectif Thiébaut Geoffroi Kuhn

1837 (30.6.), Strasbourg 8 (66), Me G. Grimmer n° 6119
Bail de 3, 6 ou 9 ans à commencer le 24 juin passé – Marie Madeleine Wehrlen veuve de Thiébaut Kuhn, farinier, 2. Jean Frédéric, commisionnaire de roulage, 3. Charles Kuhn, boulanger, 4. Philippe Jacques Michel, farinier, mandataire de 1) Jean Guillaume Kuhn, brasseur à Clermont Ferrant (Puy de Dôme), 2) Frédéric Chrétien Kuhn, ouvrier serrurier à Strasbourg présentement à Lyon
à Thiébaut Geoffroi Kuhn, farinier
les localités indiquées ci après dans une maison & dépendances située à Strasbourg rue de la Grande Boucherie n° 25
1. tout le rez de chaussée de la maison
2. tout le bâtiment de derrière avec la cave au dessous
3. dans le bâtiment de devant au quatrième étage une une chambre de servante & un petit bucher au cinquième étage, le grenier est compris dans cette location l’usage commun avec les autres personnes qui y habitent du puits étant dans la cour – moyennant un loyer annuel de 500 francs
Enregistrement, acp 251 F° 35 du 5.7.

Thiébaut Geoffroi Kuhn rachète les parts de ses frères et sœurs

1838 (28.2.), Strasbourg 8 (66), Me G. Grimmer n° 6400
1. Jean Frédéric Kuhn, commissionnaire de roulage, 2. Charles Kuhn, boulanger, 3. Chrétien Frédéric Kuhn, serrurier, 4. Christophe Frick fils, trippier, mandataire de Jean Guillaume Kuhn, brasseur à Chamalières (Puy de Dôme)
à Thiébaut Geoffroi Kuhn, farinier
quatre 5° indivis dont le dernier cinquième appartient déjà à l’acquéreur dans une maison consistant en bâtiment de devant & de derrière, petite cour, puits, ayant deux caves, ensemble tous droits, appartenances & dépendances située à Strasbourg rue de la Grande Boucherie n° 25 lieu dit im Winckel, d’un côté le S Seltz boulanger, d’autre le S Jundt boutonnier, devant la susdite rue, derrière le Sr Seltz – Etablissement de la propriété, par acte reçu Ubersaal notaire à Strasbourg le 1 avril 1812 Thiébaut Kuhn, farinier, et Marie Madeleine Wehrlen, père et mère commun des vendeurs, ont acquis de Marie Madeleine Antoni épouse de Jean Louis Rehm, négociant, actes antérieurs passés à la Chambre des contrats le 22 juillet 1752 et 31 mars 1717 – Thiébaut Kuhn est décédé le 25 mai 1827 en laissant pour héritiers ses cinq enfants, inventaire dressé par M° Grimmer soussigné le 9 août, la veuve est décédée le 12 janvier dernier – moyennant 12 000 francs
Enregistrement, acp 257 F° 64 du 6.3.

Thiébaut Geoffroi Kuhn épouse en 1848 Caroline Lobstein, fille du marchand de vins Frédéric Théodore Lobstein. Le mari apporte la maison en mariage

1848 (28.7.), Strasbourg 8 (71), Not. Zeyssolff n° 3981
28 Juillet 1848. Contrat de mariage – Ont comparu Mr Thiébaud Geoffroi Kuhn, marchand de farine, domicilié et demeurant à Strasbourg, fils majeur de M Thiébaut Kuhn, vivant marchand de farine et de D° Madeleine Wehrlen, décédés époux en ladite ville, M Kuhn stipulant en son nom personnel comme futur époux d’une part
Mlle Caroline Lobstein, fille mineure et légitime de M Frédéric Théodore Lobstein, vivant marchand de vins et de D° Eve Salomé Fischer, sa veuve avec laquelle elle demeure et est domiciliée à Strasbourg, Melle Lobstein procédant en son propre nom, du consentement et sous l’assistance de mad. veuve Lobstein sa mère, comme future épouse & seconde part

Article. V. Led. futur époux déclare que ses apports en mariage consisent en (…) Une maison consistant en bâtiment de devant et de derrière avec tous droits appartenances et dépendances, sise à Strasbourg, rue de la grande boucherie N° 25 entre M Seltz et M. Jundt. M. Kuhn déclare qu’il est propriétaire de cet immeuble d’un cinquième à titre d’héritage du chef de ses père et mère et des quatre cinquièmes restant suivant contrat passé devant M° Guillaume Grimmer, notaire à Strasbourg, le 28 février 1838, enregistré, qu’il s’est libéré du prix de son acquisition, ainsi qu’il en a justifié à sa future épouse
acp 374 (3 Q 30 089) f° 21-v – Les apports du futur époux consistent 1° en meubles, effets mobiliers d’une valeur de 5474, 2° en marchandises estimées à 20.000, 3° en une maison
Les apports de la future épouse consistent en sa part dans l’actif et le passif non liquidé encore de la succession de son père. Donation à la future épouse à titre d’avancement d’hoirie par sa mère 1° d’une somme de 1000 francs, 2° d’objets mobiliers prisés à la somme de 500 francs
Donation mutuelle par les futurs au profit du survivant de l’usufruit de la succession du prédécédé. En cas d’existence d’enfant cette donation sera réduite pour le futur à l’usufruit de moitié et pour la future à la jouissance viagère de 24.000 francs à prélever sur la succession du futur époux

Thiébaut Geoffroi Kuhn meurt en 1854 en délaissant un fils

1854 (27.7.), M° Flach (minutes en déficit)
Inventaire de la communauté de biens qui a existé entre Thiébaut Geoffroi Kuhn vivant Marchand de farine et Caroline Lobstein son Epouse à Strasbourg et de la succession du Sr Kuhn décédé le 12 juillet 1854. Dressé à la requête de la veuve, agissant comme 1) commune en biens en vertu de son contrat de mariage reçu Zeissolff Nre le 22 juillet 1848 et comme mère et tutrice d’Adolphe Kuhn son enfant mineur issu du dit mariage, 2) comme usufruitière de la succession de son mari en vertu de son dit contrat de mariage
acp 432 (3 Q 30 147) f° 12 du 29.7. (succession déclarée le 27. 9.bre 1854) Il dépend de la communauté un mobilier estimé à 1802 – succession, Garde robe 196
acp 432 (3 Q 30 147) f° 36-v du 9.8. (vacation du 8 août) Communauté, argent comptant 200
Une maison à Strasbourg rue de la grande boucherie N° 24 estimée à 8000
Créances 3600 – Passif 23.76
Succession, Une maison à Strasbourg rue de la grande boucherie N° 25 estimée à 12.000
Passif 8707 francs

Caroline Lobstein meurt en 1868

1868 (4.5.), M° Flach (minutes en déficit)
Inventaire de la succession délaissée par Caroline Lobstein veuve de Théodore Geoffroi Kuhn, Md. de farine à Strasbourg, décédée le 21 avril 1868, dressé à la requête d’Adolphe Kuhn son fils, commis négociant à Paris
acp 572 (3 Q 30 287) f° 87 du 6.5. (succession déclarée le 18 juillet 1868, décès f° 95 n° 63) récolement du mobilier de la communauté estimé à 650 – Mobilier propre 567
acp 573 (3 Q 30 288) f° 13 du 14.5. (vacation du 12 mai) Il dépend de la communauté moitié d’une maison sise à Strasbourg près de la grande bouchere n° 2
Succession. moitié d’une maison sise à Kœnigshoffen

Commis négociant à Paris, Adolphe Kuhn vend en 1873 la maison au tapissier Charles Schneider et à sa femme Caroline Schœnborn

1873 (1.7.), M° Flach (minutes en déficit)
Verkauf durch Adolph Kuhn, Handlungs Commis zu Paris
an Karl Schneider, Tapezierers und Caroline Schoenborn seiner Ehefrau zu Straßburg
von einem Hause zu Straßburg Gros Metz Platz N° 3, für 30.000 Francken
Nutzniesung vom 24 Junÿ 1873. Erwerbs Titel, Erbschaft von Gottfried Kuhn Mehlhändler zu Straßburg seinem Vater 1854 gestorben.
acp 617 (3 Q 30 332) f° 63 n° 2964 du 7.7.

Fils du fabricant d’harmonicas Jean Georges Schneider, Charles (Georges) Schneider épouse en 1858 Marie Anne Heintz, fille de jardinier
Mariage, Strasbourg (n° 336)
Du 22° jour du mois de juillet l’an 1858. Acte de mariage de Charles Georges Schneider, majeur d’ans, né en légitime mariage le 3 juin 1832 à Strasbourg, domicilié à Strasbourg, tapissier, fils de feu Jean Georges Schneider, fabricant d’harmonicas décédé à Strasbourg le 24 avril 1846 et de Caroline Heimerdinger, sans état, domiciliée à Strasbourg, et de Marie Anne Heintz, majeure d’ans, née en légitime mariage le 20 avril 1833 à Strasbourg, domiciliée à Strasbourg, cuisinière, fille de François Joseph Heintz, jardinier, et de Françoise Oesterlé, sans état, conjoints domiciliés à Strasbourg, ci présents et consentants (…) l’époux produit un acte de consentement au présent mariage donné par sa mère devant M° Grimmer et son collègue notaires à Strasbourg le 21 de ce mois dûment enregistré (i 25)

1858 (21.7.), M° Grimmer Nre. Zimmer
Consentement par Caroline Heimerdinger veuve de Jean Georges Schneider à Strasbourg, au mariage de son fils Charles Georges Schneider, tapissier à Strasbourg, avec Anne Marie Heintz de Strasbourg
acp 471 (3 Q 30 186) f° 3 du 21.7.

Charles Schneider se remarie en 1865 avec Caroline (Henriette Dorothée) Schœnborn, native de Deux-Ponts mais dont les parents habitent à Strasbourg
Mariage, Strasbourg (n° 320)
Du 5° jour du mois d’août l’an 1865. Acte de mariage de Charles Georges Schneider, majeur d’ans, né en légitime mariage le 3 juin 1832 à Strasbourg, domicilié à Strasbourg, tapissier, veuf de Marie Anne Heintz, décédée à Strasbourg le 20 avril 1865, fils de feu Jean Georges Schneider, fabricant d’harmonicas, décédé à Strasbourg le 24 avril 1846 et de Caroline Heimerdinger, sans profession, domiciliée à Strasbourg, ci présente et consentante, et de Caroline Henriette Dorothée Schoenborn, majeure d’ans, née en légitime mariage le 5 avril 1830 à Deux-Ponts (Bavière rhénane) domiciliée à Strasbourg, sans profession, fille de Léonard Schoenborn, cordonnier, et de Henriette Scheid, conjoints domiciliés à Strasbourg, ci présents et consentants (…) il n’a pas été dressé de contrat de mariage (i 63)

La maison est inscrite au cadastre au nom de Félix Luib à partir de 1907

Naissance, Strasbourg (n° 1487)
Acte de naissance. Le 6 juillet 1869 (…) a comparu Auguste Luib, âgé de 34 ans, confiseur né à Mengen (Wurtemberg) domicilié à Strasbourg, lequel nous a présenté un enfant du sexe masculin né à Strasbourg le 5 juillet 1869 à neuf heures du matin en la maison N° 5 place du Corbeau et nommé Félix Auguste Philippe, fils de lui déclarant et d’Elisabeth Françoise Wilhelmine Haeling son épouse âgée de 29 ans
[in margine :] Marié à Strasbourg le 14 octobre 1924 avec Marguerite Hélène Berthe Lutz
[in margine :] Décédé à Strasbourg le 25 mars 1946 (i 12)


Les Maisons de Strasbourg sont présentées à l’aide de Word Press.