16, rue du Dôme
Rue du Dôme n° 16 – V 96 (Blondel), N 1206 puis section 63 parcelle 11 (cadastre)
Autre adresse, 2, impasse du Tiroir
Reconstructions de 1812 à 1840
Le n° 14 au premier plan, suivi du n° 16 (vers 1942, AMS cote 1003 W 4, 1939)
Vue en mars 2018
Elévations en 1983 (dossier de la Police du Bâtiment
Le docteur en médecine Florent Schilling vend en 1634 au docteur en droit et procureur au Petit Sénat André Scholl la maison qui forme l’angle nord de l’impasse du Tiroir, en face du poêle de la tribu de l’Echasse. La maison a cinq poêles, cinq chambres, deux cuisines et une cave voûtée quand l’orfèvre Paul Helwig la vend en 1698 à Jean Wolfgang Contz, receveur ecclésiastique et notaire royal manant de la ville. Elle comprend un bâtiment sur rue, un bâtiment latéral, un bâtiment arrière et un puits commun d’après l’estimation dressée en 1717. Sa valeur vénale passe de 1 700 à 3 000 livres entre 1710 et 1714, ce qui laisse supposer que d’importants travaux ont pu avoir lieu, ce qui est confirmé par l’autorisation accordée en 1727. Elle appartient au docteur en médecine Jean Samuel Silberrad (1718-1746) puis au pâtissier Nicolas Leclerc (1746-1781). La porte et la marche posée sur le communal sont déplacées d’un côté à l’autre de la maison en 1738. L’encorbellement est en partie mis à nu quand le voisin (actuel n° 14) fait reconstruire sa maison. Le billet d’estimation de 1781 mentionne un bâtiment avant, un bâtiment arrière et deux boutiques. Le pâtissier Charles Lecerf est propriétaire de la maison (1798-1806) que son successeur Bernard Bérot, professeur à la faculté de médecine, fait reconstruire en supprimant l’encorbellement.
Elévations pour le plan-relief de 1830, îlot 184 (plan de l’îlot) (© Musée des Plans-relief)
L’Atlas des alignements (années 1820) signale un bâtiment à rez-de-chaussée en maçonnerie et deux étages en bois à encorbellement. Sur les élévations préparatoires au plan-relief de 1830 (1), la façade sur la rue du Dôme est celle à droite du repère (h) : deux fenêtres, une porte et deux grandes ouvertures au rez-de-chaussée, quatre fenêtres à chacun des deux étages, toiture à deux niveaux de lucarnes. La façade impasse du Tiroir comprend le pignon (h-g) du bâtiment sur rue, le bâtiment arrière (g-f) à deux étages comme le bâtiment sur rue. La cour X représente la façade arrière (4-1) du bâtiment vers la rue, la façade arrière (1-2) du bâtiment vers l’impasse qui se prolonge par le bâtiment (2-3) au fond de la cour. Le côté nord de la cour est occupé par la remise (3-4)
La maison porte d’abord le n° 8 (1784-1857) puis le n° 16. Selon la nouvelle numérotation, la maison porte le n° 2 de l’impasse du Tiroir.
Cour X
Elévations en 1980 (dossier de la Police du Bâtiment)
Le cadastre, à partir de 1840, ne signale aucune modification. On en conclut que les travaux commencés par Bernard Bérot sont terminés avant cette date, sans doute dus au lithographe Frédéric Emile Simon, pour obtenir la disposition actuelle : bâtiments avant et arrière unifiés, fenêtres en plus grand nombre, au rez-de-chaussée trois grandes baies qui rappellent la disposition des maisons voisines.
Le bombardement du 25 septembre 1944 endommage le bâtiment. Le rez-de-chaussée est occupé par une succursale de la Société Coopérative de Consommation (Coopé, de 1959 à fin des années 1980). La société propriétaire de l’immeuble charge les architectes Liehr et Dorer de refaire en 1983 la toiture détruite par un sinistre et d’aménager des logements. Elle fait en outre convertir une fenêtre en porte et poser une devanture pour un petit local commercial impasse du Tiroir. L’architecte Laurent Misbach modifie en 1991 les devantures rue du Dôme.
Modification du rez-de-chaussée dans l’impasse (dossier de la Police du Bâtiment)
janvier 2018
Sommaire
Cadastre – Police du Bâtiment dossier I, dossier II, dossier de 1867 – Relevé d’actes
Récapitulatif des propriétaires
La liste ci-dessous donne tous les propriétaires de 1621 à 1952. La propriété change par vente (v), par héritage ou cession de parts (h) ou encore par adjudication (adj). L’étoile (*) signale une date donnée par les registres du cadastre.
Florent Schilling, docteur en médecine, et Anne Marie Scholl – luthériens | ||
1634 | v | André Scholl, docteur en droit, avocat et procureur au Petit Sénat, et (1623) Catherine Theus puis (1635) Susanne Hammerer – luthériens puis son fils Constantin Scholl |
1662 | v | Jean Guillaume Schatz, marchand, et (1662) Madeleine Eisenheim – luthériens |
1680* | h | Jean Jacques Schatz, notaire, et (1655) Susanne Güntzer – luthériens |
1683 | v | Paul Helwig, orfèvre, et (1658) Anne Marie Erhard – luthériens |
1790 | v | Jean Wolfgang Contz, receveur, notaire royal, et (v. 1671) Marie Weidmann – catholiques |
1710 | v | Jean Gaspard Mustinger, chirurgien, et (1685) Marie Elisabeth Gundelwein veuve du barbier Philippe Trombach, puis (1710) Marie Diehl veuve du diacre Jean Georges Kitsch – luthériens |
1714 | v | Louis Charot, marchand, et (1704) Marie Sibylle Pierrot – catholiques |
1718 | v | Marie Dorothée Rauch et (1707) Jean Pastorius, imprimeur libraire, mari en premières noces (1696) de Marie Salomé Hertenstein – luthériens |
1718 | h | Jean Samuel Silberrad, docteur en médecine, et (1718) Marie Dorothée Rauch ci-dessus, puis (1721) Marie Barbe Caspary – luthériens |
1746 | v | Nicolas Leclerc, traiteur puis pâtissier, et (1733) Elisabeth Girot, (1742) Claire Bidot puis (1743) Anne Françoise Sauthier – catholiques |
1781 | h | René Froydevaux, menuisier, et (1760) Barbe Leclerc – catholiques |
1798 | v | Charles Lecerf, pâtissier, et (1784) Barbe Schmitt |
1812 | v | Bernard Bérot, professeur à la faculté de médecine, et (1804) Justine Françoise Louise Olinet |
1836 | v | Frédéric Emile Simon, lithographe, et (1837) Julie Wilhelmine Knoderer |
1902* | h | Jules Emile Simon |
1920* | Gaston Lantz, juge à Paris | |
1938* | h | Louis Noël Lantz, docteur en médecine |
Valeur de la maison selon les billets d’estimation : 2 000 livres en 1717, 1 575 livres en 1719, 1 750 livres en 1781
(1765, Liste Blondel) V 96, Nicolas Leclerc
(Etat du développement des façades des maisons, AMS cote V 61) Leclair, 14 toises, 4 pieds et 3 pouces
(1843, Tableau indicatif du cadastre) N 1206, Simon, Frédéric Sigismond, lithographe – maison, sol – 1,7 are / Simon Frédéric Emile
Locations
1710, Joseph Boissin, employé pour le roi
1727, Robert Trudenne, perruquier
1729, Jean Duhamel dit Picard, manant, et Angelique Dimanche
1734, Charles Jerôme Bain, chef de cuisine, et Marguerite Jean
1737 (cave) Jean Schueler, brasseur
1738, Nicolas Leclerc, traiteur, et Elisabeth Girot (futurs propriétaires)
1753 (cave) Sébastien Conrad, boulanger, puis (1756) Jean Stoupe
1782, Jean Georges Lobstein, cabaretier, puis Jean Daniel Bay, cafetier
1792, Jean Louis Jourdain et François Doyen, pâtissiers
1798, Jean Baptiste Grilliet, monnayeur, et Marie Marguerite Joséphine Lelarge dite Vernicour
1830, Jean Louis Valentin, ferblantier
Préposés aux affaires foncières (Bauherren)
1727, Préposés aux affaires foncières (VII 1392)
Jean Samuel Silberrad demande l’autorisation de construire une cheminée impasse du Tiroir pour pouvoir établir un poêle et une chambre, en arguant 1) que la rue est une impasse, 2) que la cheminée est cachée par l’encorbellement, 3) que le propriétaire précédent a fait démolir une cheminée comparable une dizaine d’années auparavant. Les préposés donnent leur autorisation après s’être rendus sur place, moyennant un cens annuel de deux sols
(168-v) Dienstags den 6. Ejusdem [Maÿ 1727] Herr Dr Johann Samuel Silberrad wegen seines Camins
Herr Johann Samuel Silberrad Med. Dr. ersucht Mghh. umb Erlaubnus Außwendig an der Maur seines theils in die Groß: theils in die Klein Münstergaß, sonsten auch Schubladen Gäßel Genannt, Gehenden Haußes ein Camin Auff Zuführen, damit er in dem Untern Stockwerckh eine Stub und Cammer Könne bauen Laßen, getröstet sich umb so mehr Gnädiger Willfahrt, weilen es I.mo in einer nicht durch Gehenden Gaß, nehmich in dem Schubladen Gäßel, 2.do hinder dem Überhang Kombt durch welches bedeckt wird, und 3.tio weilen Vor dießem Auch schon ein Camin da geweßen, und erst Vor ohngefehr Zehen Jahren Von seinem Vorfahren Hinweg Gethan worden. Erkant, Augenschein
(169-v) Sambstags den 10. Ejusdem [Maÿ 1727] seÿnd folgede augenschein eingenommen worden – Herr Dr Johann Samuel Silberrad wegen Camins
An Herrn Dr Johann Samuel Silberrads hauß in der Münstergaß, an welchem er ein Camin außerhalb seiner Maur in das Schubladen Gäßel auff führen willens.
(171-v) Dienstags den 20. Ejusdem [Maÿ 1727] Herr Dr Johann Samuel Silberrad wegen Camins
Deßgleichen wird Herrn Dr Johann Samuel Silberrads pt° suchenden Camins an seinem Hauß in der Münstergaß Willfahrt daß Er Hingegen jährlich 2 ß d Zinß davon Zahlen solle.
1738, Préposés aux affaires foncières (VII 1398)
La veuve de Samuel Silberrad qui a déplacé la porte d’un côté à l’autre de la maison est autorisée à déplacer aussi la marche en arguant que la marche comme la porte sont moins larges qu’auparavant
(f° 21-v) Dienstags den 15. Aprilis 1738 – H. Dr Samuel Silberrads Wittib
Herrn Dr Samuel Silberrads Fraw Wittib berichtet, daß Sie die Thür ihres Haußes in der Münstergaß Von einer seithen auf die Andere Versetzen Laßen, dahero nöthig, daß Die darvor Gelegene staffel auch dahin Verlegt werde, deßwegen Sie umb erlaubnus gebetten nebst dem erinneren daß beedes sowohl die Thür als Staffel schmähler werde als Sie gewesen. Erkannt, Willfahrt.
1740, Préposés aux affaires foncières (VII 1399)
Les préposés constatent que la veuve de Samuel Silberrad a fait ouvrir une fenêtre dans son encorbellement vers la maison de Jean Christophe Schrader. Elle répond qu’elle n’en a jamais eu l’intention mais qu’elle a été obligée de fermer son encorbellement ouvert par la démolition de celui de son voisin Schrader. La veuve est autorisée à fermer l’encorbellement mais le maître charpentier Jean Klein est condamné à une livre d’amende pour avoir fait les travaux sans autorisation préalable.
Le voisin Jean Christophe Schrader se plaint quelques mois plus tard que la veuve Silberrad a pratiqué deux fenêtres dans son encorbellement, de sorte qu’elle peut voir chez lui. La veuve répond qu’il ne s’agit que de deux petites ouvertures. Les préposés exigent que la veuve referme les ouvertures dans les huit jours.
(f° 19) Sambstags den 23. Aprilis 1740 – H. Dr Johann Samuel Silberrads Wittib
An Herrn Dr Johann Samuel Silberrads Wittiben Hauß in der Münstergaß, welche auf der seithen gegen Herrn Heinrich Christoph Schraders Hauß, in ihrem Überhang wie berichtet worden, ohne erlaubnus ein fenster machen Zulaßen gesinnet, dieselbe aber entschuldigte sich, daß Sie solches niemahlen in willen gehabt, sondern weilen jhr Hauß durch Abbrechung des Untern Überhangs an schraders hauß auff selbiger seithen Offen gestandten, Habe Sie die Öffnung, Zu jhrer sicherheit, mit brettern Zuschlagen und außerhalb etliche Stücklein Holtz, darin machen Laßen selbige Zu Zumauren.
Erkant, erlaubt Zu zumachen, Weilen aber Johannes Klein d. Zimmermann ohne erlaubnus an dießem Überhang gearbeitet, solle er 1. lb d straff geben. dt. d 4. Maÿ 1740.
(f° 66) Dienstag den 20 Ejusdem [Septembris 1740] H. Christoph Schrader Ca. Fr. Dr Silberradin
H. Christoph Schrader der Handelsmann Klagt wieder Herrn Dr Johann Samuel Silberrads fraw Wittib, daß selbige Mghh. Verbott Ohngeachtet, Zweÿ Kleine fensterlein in jhrem Überhang neben Schaders hauß in der Münstergaß machen Laßen dardurch Sie in Schraders Hauß sehen kan, Frau Silberradtin Citiert sagt es seÿe Keine Fenster sondern nur Zweÿ Kleine Viereckigte Löcher, dardurch Sie gar nicht in Schraders Hauß sehen Kan.
Erkannt wird Frau Dr. Silberradin beÿ 2. lb d straff aufferlegt, die Gemachte Öffnungen jnnerhalb acht tagen Zumauren Zulaßen
1774, Préposés aux affaires foncières (VII 1416)
Le pâtissier Nicolas Leclerc demande l’autorisation de poser une marche devant sa porte ruelle du Tiroir dont le pavage a été surélevé. Les préposés demandent à l’inspecteur de rédiger un rapport
(f° 105-v) Dienstags den 27. Septembris 1774 – Nicolas Le Clerc Pasteten beck
Nicolas Le Clerc, der Pastetenbeck, bittet weilen das Pflaster im Schubladen Gäßel ane der Münstergaß erniedriget worden, vor seine Hausthür eine Staffel zu legen.
Erkannt, Seÿe Hr. Bau Inspector abzuordnen, die Sach zu untersuchen und seinen Rapport dißorts abzustatten.
1781, Préposés aux affaires foncières (VII 1419)
Le maître maçon Hertelmeyer est autorisé à réparer le mur au-dessous de l’encorbellement à condition qu’il ne touche pas à l’encorbellement
(f° 271-v) Dienstags den 21. Augusti 1781 – M. René Froidevaux, Schreiner
Mr. Härtelmeyer, der Maurer nôe. M. René Froidevaux, des Schreiners, bittet zu erlauben an deßen behausung ane der Münstergaß am Eck des Schubladen gäßels gelegen vom Rez de Chaussée bis unter den Überhang ausbeßern zu laßen.
Erkannt, Willfahrt, jedoch den Überhang nicht zu berühren.
1785, Préposés aux affaires foncières (VII 1421)
Même autorisation accordée au maître maçon Fæssler
(f° 328-v) Dienstags den 9. Augusti 1785. – René Froidevaux, Schreiner
Mr. Fäßler, der Maurer, nôe René Froidevaux, des Schreiners, bittet zu erlauben deßen behausung in der Münster Gaß gelegen, unter dem Überhang ausbeßern und weisen Zu laßen.
Erkannt, Willfahrt, doch den Überhang nicht Zu berühren.
1786, Préposés aux affaires foncières (VII 1422)
Le commis Alexandre Colin rapporte aux préposés que Jean Jacques Fæsler a blanchi l’encorbellement de René Froidevaux. Les préposés consultent le registre de l’année précédente et constatent que le maître maçon a contrevenu à l’autorisation qu’ils lui ont donnée et lui demandent de restituer l’état initial sans quoi les ouvriers de la Ville le feront à ses frais. Les préposés réduisent l’amende qu’ils ont infligée au maître maçon. L’inspecteur Boudhors constate peu après que les encorbellements de René Froidevaux rue du Dôme et celui de Philippe Jacques Kammerer face à la Grande boucherie sont toujours blancs. Les préposés ordonnent que les ouvriers de la Ville se chargent des travaux.
(f° 93) Dienstags den 13. Junii 1786 – Mr Joh: Jacob Fäßler, Maurer
Mr Johann Jacob Fäßler, der Maurer wurde von Alexandre Colin, dem Commis, angeklagt, daß Er an Mr René Froidevaux, des Schreiners behausung in der Münstergaß am Eck des Schubladen Gäßels gelegen, unten her den Überhang reparirt, worüber er den hiebei producirten Procès verbal de 12. hujus aufgesetzt. Nachdem beklagtem Mr Fäßler dieser Procès verbal abgelesen worden, sagte derselbe, Er habe in Verwichtenem Späthjahr deshalben bei Meinen Gnädigen Herren umb Erlaubnus angehalten, und seÿe an dem Überhang weiter nichts gemacht als ein wenig geweiselt worden. Worauf die von Beklagtem unterm 9. Augusti 1785. desfalls an Meine Gnädige Herren gethane Ansuchung in dem Protocoll nachgeschlagen, da sich befunden, daß Beklagter um Erlaubnus gebetten, obberührte behausung unter dem Überhang aus beßern und Weisen Zu laßen, Worauf Erkant worden, Willfahrt, doch den Überhang nicht Zu berühren.
Nach deren Ablesung wurde Erkannt, Seÿe beklagter Mr Fäßler in Ein hundert und Fünfzig Gulden Straf Zu condemniren, anbei an Zu halten alles was an besagtem Überhang gemacht worden, wieder weg Zu machen und weg zu waßen, wozu ihme Acht Tag Zeit An zu beraumen, Falls nun solche innerhalb der angesetzten Acht tagen nicht geschehen solle, solle solche auf des beklagten Kösten durch Gemeine Statt Werckleuth bewerckstelliget werden.
(f° 98-v) Dienstags den 20. Junii 1786. – Mr Joh: Jacob Fäßler, Maurer
Mr Johann Jacob Fäßler, der Maurer, bittet um Nachlaß oder wenigstens Gnädiger Milderung der Mr René Froidevaux, des Schreiners in der Münstergaß gelegenen behausung andictirter Straff.
Erkannt, Wird dem Supplicanten diese Straf auf Zwölf Pfund Pfenning gemindert, oder aber den begangenen Frevel Zwei mal vier und zwantzig Stunden in Meiner Herren Haft Zu büsen, anbei Alexandre Colin, Commis drei gulden vor einer Mühe Zu bezahlen, anbei aber demselben nachdrücklich insinuirt worden alles was an berührter Überhang reparirt und geweiset worden weg Zu machen und abzuwaschen.
(dt. den 28. Junii 1786. die Geld Straf mit 12. lb.)
(f° 115- Dienstags den 4. Julii 1786. Mr Froideaux Schreiner, M. Phil. Jacob Kammerer Junior Seiler
Idem [H. Bau Inspector Boudhors] referirte, daß die Überhäng an Mr Froideaux, des Schreiners Behausung in der Münster Gaß, und an Mr Philipp Jacob Kammerer Jun. des Seilers Behausung gegen dem Kaufhaus über gelegen, annoch völlig weis, ohngeachtet Mr Fäßler und Mr Pfauth, den Maurern, durch deren Gesellen das weisen geschehen, injungirt worden, dieselbe so abzuwaschen, daß das Weisen völlig weg.
Erkannt, Sollen beede Überhäng in beiseÿn eines Stadt Maurers Balier auf der Maurermeister Kösten, wann die an denselben gemachte Ausbeßerung weggekratzt seÿn wird, mit Kuheruß überstrichen und schwartz gemacht werden.
1812 (283 MW 342)
Le professeur Berot est autorisé à reconstruire la maison sans avance en suivant l’ancien alignement
N° 289 – Berot professeur a la faculté de Medecine, que propriétaire de la maison sise rüe du Dôme N° 8 et que voulant faire abatre l’avance, mais ne sachant si ladite maison est sur l’alignement – renvoi à l’architecte 1 septembre 1812
architecte Villot le 12 septembre 1812. Considérant que le maison dont s’agit a une avance mais que le rez de chaussée est aligné, qu’on peut lui accorder la permission en lui observant de rester sur les anciennes fondations de ne mettre aucune saillie à sa nouvelle construction
(Maire 1. 7.bre 1812 tant dans la rue du Dome que dans le cul de sac qui conduit dans la maison de M Beck)
Description de la maison
- 1698 (rapport de visite) La maison qui comprend cinq poêles, cinq chambres, deux cuisines et une cave voûtée demande des réparations
- 1717 (billet d’estimation traduit) La maison comprend une boutique, deux caves voûtées, un bâtiment latéral, un bâtiment arrière et un puits commun, le tout estimé avec ses appartenances et dépendances à la somme de 4 100 florins
- 1781 (billet d’estimation traduit) La maison comprend un bâtiment avant et un bâtiment arrière où se trouvent deux boutiques, plusieurs poêles, cuisines et chambres, le comble est couvert de tuiles plates, les deux caves sont voûtées, le puits est commun, le tout estimé avec ses appartenances et dépendances à la somme de 3 500 florins
Atlas des alignements (cote 1197 W 37)
2° arrondissement ou Canton nord – Rue du Dôme (en partie)
nouveau N° / ancien N° : 13 / 8
Lecerf
Rez de chaussée en maçonnerie et 2 étages en bois médiocres et avance
(Légende)
Cadastre
Cadastre napoléonien, registre 21 f° 359 case 2
Simon Frédéric Emile à Strasbourg
N 1206, maison, sol, Rue du Dôme 8
Contenance : 1,70
Revenu total : 504,88 (504 et 0,88)
Ouvertures, portes cochères, charretières :
portes et fenêtres ordinaires : 58 / 46
fenêtres du 3° et au-dessus : 17 /14
Cadastre napoléonien, registre 23 f° 1219 case 1
Simon Frédéric Emile, rue du Dôme 14
1902 Simon Julius Emil, Rentner
ancien f° 967
N 1206, maison, sol, Impasse du Tiroir 2 / Münstergäßchen
Contenance : 1,70
Revenu total : 504,88 (504 et 0,88)
Folio de provenance : (359)
Folio de destination : Gb
Ouvertures, portes cochères, charretières :
portes et fenêtres ordinaires : 58
fenêtres du 3° et au-dessus : 17
Cadastre allemand, registre 32 p. 459 case 2
Parcelle, section 63, n° 11 – autrefois N 1206
Canton : Münstergasse Hs N° 14 und Münstergäßchen N° 2 – rue du Dôme, impasse du Tiroir
Désignation : Hf, Whs u. N.G.
Contenance : 1,92
Revenu : 3400 – 4300
Remarques :
(Propriétaire jusqu’à l’exercice 1948), compte 3482
Simon Julius Emil
1920 Lantz Gaston, Richter am Civiltribunal in Paris
1938 Lantz Louis Noël
(clos 1948)
(Propriétaire à partir de l’exercice 1948), compte 6397
Lantz Louis Noël docteur en médecine, sa veuve née Bertonille à Paris
1789, Enquête préparatoire à l’Etat des habitants (cote VII 1295)
Canton 5, Rue 139 Du Dôme
8
pro. Mr Froideveau, Mre Menuisier
Loc. Mr Jean Philippe Hetzel Mre Sellier – Tanneurs
M. Mengeot, Musicien de la Cathédrale
Mad. la Veuve Leclerc, Epouse de Mr Le Clerc cy dvt. Mre Patessier – Boulangers
Mad. Rambour femme delaissée de son mari cy dvt. Mre Tapissier en cette ville – Miroir
1789, Etat des habitants (cote 5 R 26)
Canton V, Rue 139 Du Dome (p. 251)
(maison n°) 8
Loc. Jean Philippe Hetzel, Sellier – Tanneurs
Loc. Mougeot, Musicien de la Cathédrale
Loc. Leclerc, la Veuve, Patissier – Boulangers
Loc. Rambour femme delaissée d’un Tapissier – Miroir
Registres de population
(1795) 6° section, Rue du Dôme N° 8 (registre 600 MW 6) – légende
6° section, Rue du Dôme N° 8
Nicolas Doyen, 36, Patissier, Strasbourg
Marie Doyen, 38, Epouse, id
Ursule Frepit, 41, Servante, Saverne
Antoinette Rambour née Leclerc, 44, Veuve tapiss.e, Strasbourg
Marie Bonfils, 53, id. Ouv. en Modes, id
Madel. Bonfils, 14, Sa fille, id
Joseph Vernicour, 52, Commis Negt.
Cath: née Barbier, 54, Epouse
Cecile Vernicour, 14, fille
Jean Bapt. Grilliet, 42, Md. en Détect, id
Joseph.e née Vernicour, 20, Epouse, id
Marie Welschinger, 24, Servante, Niedernehm.
Annuaire de 1905
Verzeichnis sämtlicher Häuser von Strassburg und ihrer Bewohner, in alphabetischer Reihenfolge der Strassennamen (Répertoire de toutes les maisons de Strasbourg et de leurs habitants, par ordre alphabétique des rues)
Abréviations : 0, 1,2, etc. : rez de chaussée, 1, 2° étage – E, Eigentümer (propriétaire) – H. Hinterhaus (bâtiment arrière)
Münstergasse (Seite 121)
(Haus Nr.) 16
unbewohnt
Dossier de la Police du Bâtiment (cote 685 W 151)
Rue du Dôme 16 (I, 1867-1984)
Après avoir notifié sans succès depuis 1895 le propriétaire de supprimer les volets qui s’ouvrent vers la voie publique au rez-de-chaussée conformément au règlement du 30 novembre 1891, le maire fait faire en 1904 les travaux aux frais du propriétaire. La maison placée sous séquestre est nettoyée en 1915 pour en supprimer les immondices. Le bombardement du 25 septembre 1944 endommage le bâtiment. Le rez-de-chaussée est occupé par une succursale de la Société Coopérative de Consommation (Coopé, 1959). Propriétaire de l’immeuble, la société OFPI fait refaire en 1983 la toiture détruite par un sinistre et aménager des logements par les architectes Liehr et Dorer. Elle fait faire une entrée (en convertissant une fenêtre en porte) et une devanture pour un petit local commercial impasse du Tiroir.
Sommaire
- 1867 – L’entrepreneur J. A. Weyer demande au nom du propriétaire Simon l’autorisation de réparer le crépi. L’agent voyer note que la maison suit l’alignement et qu’elle n’a pas d’encorbellement.
- 1880 – Le directeur de l’usine à gaz demande au nom du locataire Hubert Haberer l’autorisation de faire une prise pour un moteur à gaz
- 1895 – Le maire notifie le propriétaire Simon, domicilié 14, rue du Dôme, de faire ravaler la façade de la maison n° 16 et impasse du Tiroir n° 2. Le propriétaire fait remarquer qu’il a fait réparer la façade des n° 14 et 16 à la demande de la Ville en 1888 et qu’elles sont encore propres. La Police du Bâtiment estime qu’il suffirait de laver la façade peinte à l’huile rue du Dôme mais qu’il y a lieu de repeindre celle impasse du Tiroir
- 1902 – Le maire notifie Jules Simon, domicilié sur place, de faire ravaler la façade de la maison n° 16 et impasse du Tiroir n° 2. L’entrepreneur E. Wieger (30, rue du Faubourg de Pierre) demande en novembre un délai à cause de la saison qui est trop avancée – Le ravalement est terminé, septembre 1903
- 1895 – Le maire demande au propriétaire de se conformer au règlement du 30 novembre 1891 et de supprimer les volets qui s’ouvrent vers la voie publique au rez-de-chaussée (4 fenêtres et 4 soupiraux). Rappels, 1898, 1900, 1901, 1902. La Ville fait faire en 1904 les travaux aux frais du propriétaire. Factures du menuisier Eugène Schultz (17, rue du Jeu-de-Paume) et du serrurier Baumeister – Les factures sont réglées, juin 1904
- 1908 – L’entrepreneur E. Wieger (30, rue du Faubourg de Pierre) demande l’autorisation de réparer le crépi pour le compte du propriétaire J. Simon – Autorisation – Travaux terminés, novembre
1908 – Le même demande l’autorisation de poser un échafaudage sur la voie publique au commissariat qui transmet au maire – Autorisation - 1912 – La directrice de l’école de filles (couvent de la Divine Providence) qui a son entrée par l’impasse du Tiroir se plaint que les tuiles et les gouttières de la maison 16, rue du Dôme menacent de tomber – Travaux terminés, avril 1911
- 1912 – Le maître maçon Widmer (15, rue du Dôme) demande l’autorisation de poser un échafaudage sur la voie publique au commissariat qui transmet au maire – Autorisation – La Police du Bâtiment constate que l’échafaudage n’est pas réglementaire – L’échafaudage a été retiré, octobre
- 1913 – Le maire notifie Jules Simon, domicilié 14, rue du Dôme, de faire ravaler la façade de la maison n° 16. – Travaux terminés, juillet 1913
- 1923 – L’entreprise de peinture Flesch et Bauswein (41, quai des Bateliers) demande l’autorisation de poser un échafaudage sur la voie publique – accord
- 1923 – La Police du Bâtiment constate que le tailleur Laugel a fait poser sans autorisation deux enseignes. Le tailleur demande l’autorisation de transférer ses enseignes du 11, rue du Vieux-Marché-aux-Vins
- 1915 – Rapport de la Commission des logements militaires. La maison placée sous séquestre doit être nettoyée pour en supprimer les immondices
- 1932 – La Police du Bâtiment constate que Paul Gunther a fait poser sans autorisation une antenne de T.S.F. 16, rue du Dôme et 5, impasse du Tiroir – Demande – Accord – Croquis
- 1938 – Le tailleur A. Laugel supprime une de ses enseignes et modifie l’autre
- 1946 – Certificat de sinistré accordé à Joseph Kœnig (troisième étage) suite au bombardement du 25 septembre 1944
- 1951 – L’entrepreneur Fernand Motz (11, rue de Lucerne) est autorisé à poser un échafaudage sur la voie publique
1954 – L’entreprise Jean Barthelmé et fils (28, rue du barrage à Schiltigheim) est autorisée à poser un échafaudage sur la voie publique pour repeindre la façade au titre des dommages de guerre - 1959 (septembre) – La Police du Bâtiment constate que la Société Coopérative de Consommation (Coopé) a posé sans autorisation une enseigne lumineuse double – Demande – L’architecte des Bâtiments de France émet un avis très défavorable – L’enseigne est enlevée, mars 1960
1959 (octobre) – La parfumerie Flach (10, rue du Dôme) s’appuie sur l’enseigne posée au n° 16 pour obtenir une autorisation comparable
1959 (décembre) – La Police du Bâtiment constate que la Société Coopérative de Consommation (Coopé) a posé sans autorisation une enseigne en lettres détachées – Demande – Autorisation - 1968 – Le maire demande à la société de gérance Steiner et Martin (16, rue Baldung-Grien) de faire ravaler les façades. Les gérants demandent un délai que la Police du Bâtiment refuse d’accorder. Ils communiquent l’accord de la veuve Lantz, propriétaire, et les devis pour le crépissage (entreprises Tomar et Motz) et la peinture (Kornwachs et Ponset) – Devis de l’entreprise de peinture Marcel Deiss (Pfaffenhoffen), de l’entreprise de revêtement Zavagno-Riegel (1-3, rue Saglio à la Meinau)
Rapport technique établi par Charles Adam, architecte de la Police du Bâtiment (date de construction environ 1880, surface bâtie 160 m², construction en moellons et briques), charpente à deux versants couverte de tuiles
Devis des entreprises Kornwachs (peinture, 10, rue de l’Arc-enciel), Roger Tomat (crépissage, 78, route de Colmar au Neudorf), Charles Hamm (menuiserie, 5, rue du Fil) – Les gérants donnent leur accord pour que la Ville ordonne les travaux et déposent une demande de subvention
1969 (juin) – L’agence Steiner et Martin est autorisée à faire poser un échafaudage sur la voie publique – Les travaux sont en cours (octobre), terminés (novembre) - 1980 (juin) – Le maire demande à la société de gérance Steiner et Martin (16, rue Baldung-Grien) de faire ravaler les façades des 14 et 16 rue du Dôme.
1981 (avril) – Le maire prend un arrêté portant injonction de ravalement – L’agence demande un nouveau délai parce que les immeubles sont en vente. – Travaux terminés, septembre 1983 - 1983 – Dossier ouvert pour refaire la toiture détruite suite à un sinistre et aménager trois logements. Propriétaire, Sàrl Omnium Foncier et de Participation Immobilière (OFPI, gérée par la société anonyme Scharf, 17, avenue des Vosges), parcelle 10 de la section 63. Architecte, Les Bâtisseurs Liehr et Dorer (27, avenue des Vosges) – Attestation que Gilbert Liehr est inscrit à l’ordre des architectes de la circonscription de Colmar – Dessins – L’architecte des Bâtiments de France émet un avis favorable – Le préfet accorde le permis de construire en avril 1983 – Les Bâtisseurs Liehr et Dorer déclarent l’ouverture du chantier, avril 1983
La reconstruction de la toiture et l’aménagement des combles sont en cours (mai 1983), les travaux sont terminés conformément aux plans (février 1984) - 1983 (avril) – La Sàrl OFPI (19, rue de Niederbronn) dépose une demande de permis de construire pour transformer la façade impasse du Tiroir en aménageant une entrée et une devanture pour un petit local commercial – Dessin – L’architecte des Bâtiments de France émet un avis favorable – Le préfet accorde le permis de construire en juin 1983 – Les Bâtisseurs Liehr et Dorer déclarent l’ouverture du chantier, juillet 1893 – La société OFPI donne son accord pour transférer le permis de construire au profit du locataire Marimootoo Collapen – Le préfet accorde le permis de construire en novembre 1983
Les transformations sont en cours, la fenêtre de gauche est convertie en porte impasse du Tiroir. Les travaux sont achevés conformément aux plans, mai 1984. Le directeur départemental de l’équipement délivre le certificat de conformité, mai 1984 - 1984 – La société Scharf Immobilier demande que les droits à régler pour un puits de descente ou d’aération soient désormais adressées su syndic Mischler, domicilié 2, rue des Meuniers
Dossier de la Police du Bâtiment (cote 919 W 161)
Rue du Dôme 16 (II, 1983-1994), partim
L’atelier d’architecture Robert Jacob et Maurice Lauber est autorisé en 1983 au nom de l’Union des coopérateurs d’Alsace à transformer les locaux et à surbâtir la cour. Les travaux dans la cour n’ont pas lieu, seule la façade impasse du Tiroir est transformée en y perçant une ouverture. Plusieurs enseignes se succèdent dans le local commercial impasse du Tiroir. La S.N.C. Pauli-Blacher charge en 1991 Laurent Misbach de modifier les devantures rue du Dôme.
Sommaire
- 1983 – L’atelier d’architectes Robert Jacob et Maurice Lauber (route de la fédération) demande au nom de l’Union des coopérateurs d’Alsace l’autorisation de transformer les locaux qu’elle envisage d’acquérir et de surbâtir la cour – Dessins – Les travaux consistent notamment à transformer la façade impasse du Tiroir – Le préfet accorde le permis de construire en juillet 1983 – La société Coop Alsace déclare renoncer à couvrir la cour
Suivi des travaux. Les façades sur rue et sur cour sont en cours de crépissage (septembre). L’ouverture est percée impasse du Tiroir (décembre) . Les travaux se terminent (mai 1984) – L’annulation générale du permis de construire rend illicites les travaux déjà réalisés – Le préfet accorde un avenant au permis de construire, août 1984 – Les travaux sont conformes aux plans - 1984 (octobre) – Le maire prend un arrêté portant autorisation de poser des saillies mobiles au profit de l’Union des Coopérateurs d’Alsace – Dessins
- 1987 – L’Union des Coopérateurs d’Alsace demande l’autorisation de remplacer le store en corbeille endommagé par un accident
- 1988 (mars) – La Police du Bâtiment constate que le magasin Rouge Cœur a posé sans autorisation un store impasse du Tiroir – L’architecte des Bâtiments de France émet un avis défavorable
1988 (juin) – Gabrielle Fliegans demande au nom de la Galerie Gabrielle l’autorisation de poser une enseigne en drapeau impasse du Tiroir - 1989 – Le notaire Christian Grieneisen, à la Wantzenau, demande des renseignements d’urbanisme. Propriétaire, Union des Coopérateurs d’Alsace
1990 – Les notaires Lotz (route de Saverne à Pfaffenhoffen) demandent des renseignements d’urbanisme. Propriétaire, syndicat de copropriétaires
1990 (octobre) Les notaires associés Pierre Geny et Jacques Garnier (rue de la Nuée Bleue) demandent des renseignements d’urbanisme. - 1989 – Raïf Atli (vente de boissons non alcoolisées) demande l’autorisation de poser une enseigne impasse du Tiroir – L’architecte des Bâtiments de France émet un avis défavorable – Maquette, photographies
- 1989 – David Lepert demande l’autorisation de poser une enseigne impasse du Tiroir – L’architecte des Bâtiments de France émet un avis défavorable – Photographies
- 1991 – La S.N.C. Pauli-Blacher (3, rue Herder) demande l’autorisation de modifier les devantures – Plan, dessins (Laurent Misbach, 4, rue Hirschler) – Les travaux sont terminés et le magasin ouvert, novembre 1992. La réception finale n’a donné lieu à aucune objection, février 1992
- 1992 – Rapport de la commission de sécurité, local Euro-snack, impasse du Tiroir
- 1994 – La société Texstra (Tartine et chocolat, rue du Wineck à Colmar) demande l’autorisation de poser une enseigne – Autorisation
- 1994 – L’architecte des Bâtiments de France émet un avis favorable à M. Charobert pour poser une enseigne au néon (Signatures) – Autorisation
Dossier de la Police du Bâtiment (cote 721 W 253)
Impasse du Tiroir 2 (1867)
1867 – L’entrepreneur A. Weyer demande au nom du propriétaire Simon l’autorisation de réparer le crépi et de peindre la façade. L’agent voyer note que la maison suit l’alignement et qu’elle n’a pas d’encorbellement (voir l’autorisation comparable à la même date dans le dossier du 16, rue du Dôme)
Relevé d’actes
Le docteur en médecine Florent Schilling vend la maison à André Scholl, docteur en droit, avocat et procureur au Petit Sénat
1634 (15. Decembris), Chambre des Contrats, vol. 473 f° 764-v
(Protocollat. fol. 145.) Erschienen d. Ehrenuest hochgelehrt herr Florentius Schilling medicinæ Doctor burger zu St.
hatt in gegensein deß Auch Ehrenuesten hochgelehrten herrn Andreæ Schollen, beeder Rechten Doctoris und E. E. kleinen Rhats Advocaten und procuratoris (verkaufft)
hauß vnd hoffstat mit Allen and.en ihren gebäwen & alhie in der Münstergaß, ist einseit ein Eck, 2. seit neben weÿ: H Tobiæ Rüegers gewesenen Apoteckers s: Erben hind. vff H hanß Jacob Kasten stoßend gelegen, dauon gehen Jarß vf de 3. Martÿ 2 lb d Zinses Catharinæ Cuntzmännin so sie von der Bütelbronnischen linien here ererbt, in hauptgut mit 100. lb d. Item 1. lb I ß d Zinß vf den 12. Martÿ hartlieb gnt. Kurtzliebs Seelgerecht in hauptgut mit 26. lb 5 ß, J. 2. lb 2 ß gelts vf Johis. bpstæ dem Almosen Zu S. Marx alhie mit 52. lb 10. ß capital Abzulösen, So ist diß hauß auch noch v.hafftet vmb 100. lb. d. Samblung Zun Innenhein Jährlich vff Barthomolei mit 5 lb d Zuuerzinßen vnd vf begeren Zuerlegen, Item gehen auch Jährlich vff Michaelis 4 lb 10. ß Zinß in Johannis Baptistæ vicaria in hauptgut mit 90. lb d Mehr 1 lb 11 ß 6 d Zinß vff Michaelis dem Chor hoher stifft St. mit 39. lb 7 ß 6 d Item 2 lb 17 ß 9 s Zinß vff Michaelis dem Stifft Zum Jung. S. Peter alhie in hauptg. mit 57. lb. 15 ß Abzulösen, welche dreÿ letztere beschw. von Nachträgen herrüeren. sonst freÿ, ledig, eÿgen, Vnd were diser Kauff vber die beschw. so der Käuffer vf sich genommen, Zugangen und beschehen p. 559. lb
André Scholl épouse en 1623 Catherine, fille du docteur en médecine Henri Theus de Haguenau
Mariage, cathédrale (luth. p. 162)
1623. H. Andreas Scholl beder Rechten doctor vnd procurator für den kleinen Rath, H. Caspari Schollen i. v. doctoris sohn, vnd J. Cätherin h. Heinrich Thei medicinæ doctoris Zu Hagenaw tochter, eingesegnet Zu hagenaw Zinstag den 18. 9.bris (i 86)
Il se remarie en 1635 avec Susanne Hammerer
Mariage, cathédrale (luth. p. 366)
1635. Doîca XIX. Trin. H. Andreas Scholl beder Rechten D. Advocat vnd procurator für den Kleinen Rath Vnd J. Susanna H. Philips Hammerer n. tochter, eingesegnet montag 12. 8.bris (i 188)
André Scholl laisse pour héritiers son fils Constantin issu de son premier mariage avec Catherine Theus et sa veuve Susanne Hammerer. Michel Spener rend compte de la gestion des biens de Constantin Scholl et de ses prétentions sur la maison
1652, Not. Braun (Jean Philippe, 5 Not 1)
Rechnung Mein Michael Speners burgers alhie Zu Straßburg als verordneten vogts Constantin Schollen L L. Studiosi weÿlandt deß Edlen und hochgelehrten Herrn Andreæ Schollen j. u. Doctoris E. E. Kleinen Raths Procuratoris vnd Advocat alhie seel. hinterlaßenen Sohns, Innhaltendt undt außweißendt, waß ich seith Ehrengemelts hn. Doctoris Schollen seel. tödlichen Ableiben biß Ostern dießen innstehenden 1652.sten Jahrs besagts meines vogtsohns wegen einegommen dahingegen widembs außgeben und sonst inn andere weege verrichtet vndt verhandelt habe. Erste Rechnung dießer Vogteÿ
Bericht gegenwärtiger Rechnung. Zuwißen demnach der nuhnmehr weÿland Edle und hochgelehrte H. Andreas Scholl beeder rechten Doctor E. E. Kleinen Raths Procurator vnd Advocaten allhier in A° 1645. todes verfahren und hinter sich die Viel Ehren und Tugendreiche frauw Susannam Hammererin sein geweßte eheliche haußfr. Zuer Wittib, Eines, So dann Constantin Schollen seinen in erster Ehe mit auch weÿl. Fr. Catharina Theusin ehelich erziehlter Sohn Andern theils, sowohl ab intestato alß auch p. Testamentum Zu einigen Erben Verlaßen (…) allermaßen daß darüber durch H. Notarium Christian Schüblern auffgerichtete Inventarium und General Theilbuch mit mehrehrm bezeügen und außweißen (…)
Meiner Vogts sohns Mütterliche Gutt betreffendt
Mütterlich theilbar Gutt. (6) Eÿgenthumb ane einer Behausung so Theilbar. Vermög General Theilbuchs fol. 32. befindet sich, d. meinem Vogt sohn auf der behausung in d. Münstergassen ane Mütterlichem Guth gepüehrt 105. lb welche dessen Stiefmutter lauth Gnr. thlrg. fol. 75. biß Zu endung des Univerals wÿdumbs demselben jährlich Zuverzinßen gehabt, Wavon aber beÿ abhandlung Vätterlichen unveränderten Guets vnter der Rubrica der Häuser mehrer bericht ertheilt werd. solle.
(f° 3.) Volgt nuhn hierauff ein außführlicher bericht über meines Vogts sohns Vätterliche Guett.
Vnd zwar Zuvor ist, so viel daß Unveränd. angelangen thuet.
(4) Häuser. Behausung in der Juden gaß (…)
Behausung inn d. Münstergaß. Crafft General und vätterlich. thlb. fol. 73. et seqq. befindet sich, daß die Stieff Mutter biß auf endung Ihres universal Wÿdumbs neben und übernemmung d. jährlich. wid. Zinß von dem vf solcher behausung hafftenden beschwerden meinem vogtsohn des Jahres wegen Mütterlichen guets 5. lb 2 ß 8 d vnd wegen vätterlich. Legitimæ 2. lb 2 ß d vnd also inn allem 7. lb 4 ß 9 d Zue Zinß hinreicht. gehabt, (…) die behausung aber ane sich selbst ist hernacher fol. (-) dem Corpori inverleibt.
Behausung inn Steltzengäßlein (…)
(f° 4) Behausung Zue Hagenaw
La maison revient aux héritiers de Constantin Scholl. Administrateur des biens et de revenus ecclésiatiques en Palatinat, Jean Georges Obernheimer de Heidelberg vend la maison au marchand Guillaume Schatz assisté de son frère le notaire Jean Jacques Schatz
1662 (16. 8.br), Chambre des Contrats, vol. 527 f° 545
(Prot. fol. 48. fac. 2.) Erschienen der Ehrenvest- from- und Wohlweÿs H Johann Jacob Erhardt deß beständigen Regiments der H Fünffzehen alß H. Johann Georg Obernheimers Churfürstl. Pfaltz Geistl. Gütter und Gefälle Registratoris Zu Heÿdelberg Vermög einer sub dato Heÿdelberg den 4.ten Julÿ (…) Gewalts Scheins hierzu constituirter mandatarius
in gegensein H Wilhelm Schatzen deß handelßmanns mit assistentz H. Johann Jacob Schatzen Notarÿ seines eheleiblich. bruders
hauß, höfflin, hoffstatt mit allen deren Gebäwen, begriffen, Zugehördten, Rechten und Gerechtigkeiten alhier in der Münster Gaßen, einseit ist ein Eckh anderseit neben hannß Peter Beinen dem Weinhändlern hinden uf die Kastische behaußung stoßend gelegen, davon gehend iahrs uf den 3. martÿ 4. lb. ablößig mit 100. lb Catharinæ Cuntzmännin, Item 2. fl. straßb. Wehrung uf den 12. martÿ lößig mit 50. fl. besagter Wehrung, H. Johann Böllern in Schaffners weiß, Item 4. fl. wehr. ablößig mit 100. fl. gd. Wehrung dem großen gemeinen Allmosen Zue St Marx, Item 4. lb 10. ß widerlößig mit 90. lb. un St Johann deß täuffers Vicariat, Item 1 lb 11 ß 6 d. uf Mich. ablößig mit 39. lb 7 ß 6 d , It dem Chor hoher stifft Straßburg Item 2 lb 17 ß 6 d uf gd. termin lößig mit 57. lb 15 ß dem Stifft Zum Jungen St. Peter (übernohmen) – umb 234 Pfund
Fils du marchand Jean Guillaume Schatz, Jean Guillaume Schatz épouse en 1662 Madeleine Eisenheim, fille de receveur
Mariage, cathédrale (luth. f° 27, n° 55)
1662. Dom. 22. post Trin. den 26. 8.br. Zum 2. mahl hr hannß Wilhelm Schatz der handelsmann Weiland hr. hannß Wilhelm Schatzen auch handelsmanns und burgers alhie hinderlaßener ehel. Sohn, Jgfr. Magdalena Weiland hr. Ludwig Eisenheims gewesenen Schaffners Zu St. Steffan hinderlaßene ehel. Tochter. Donstags den 4. 9.bris. Weinsticherst. (i 29)
Jean Guillaume Schatz rembourse à Catherine femme d’Abraham Werner un capital de 100 livres assis sur la maison
1663 (13. martÿ), Chambre des Contrats, vol. 528 f° 170
Erschienen Fraw Catharina H. Abraham Wörners eheliche haußfrau, mit assistentz erstermelts ihres Ehevogts
in gegensein Herrn Hannß Wilhelm Schatzen des handelßmanns
bekannt, daß Er, deroselben. 100. lb. erlegt, und damit die Jenige 4 lb so besagter Schatz, Ihro Fr. Wörnerin, Vermög der Montagß den 12.ten febr. A° 1654. durch E.E. Kleinen Rhat und deßelben anhangendem Insigel gefertigten Zinnßbrieffs und deßen transfixes, iährlich. termino 3.ten martÿ Von seiner alhie in der Münster Gaßen gelegenen Eckh behaußung Zue Zinnß Zu raichen schuldig gewesen ist, abgelöst
Accord passé par Jean Chrétien Schatz concernant l’héritage de son cousin Jean Guillaume Schatz
1686 (24.8.), Chambre des Contrats, vol. 556 f° 319-v
H. Johann Christian Schatz, der Parchet händler an einem,
So dann hans Carl Stock, der wollenweber, alß vogt Sein Schatzen Kinder i. Eh. am andern theÿl
Nemblich und zum Ersten, demnach Er Schatz vermög einer, beÿ löbl. Vogteÿgericht am 14. und beÿ ged. E. Ers. Großen Rath am 17.ten eiusd. sub N° I producirten forderung an seinen ältisten Sohn Johann Christian Schatzen Vor allerhand außlagen 65 Gulden 7 ß 6 d rechtsmäßigen zu erfordern habe, Alß solle Ihme dem Vatter erlaubt sein, solche Summ von demjenigen so Er dem Sohn für Mütterlich Guth, und was derselbe Von seinem Vettern, Weÿl. H. hans Wilhelm Schatzen ererbt, beÿ künfftiger deßen lüfferung in abrechnung zu bringen und abzuziehen, Demnach auch 2. der Vatter von hier Zu verziehen, und, inmaßen Er beÿ Vorged. E.E. Großen Raths bereits angebracht hat, sein burgerrecht auff zu geben willens ist, in deßen aber nicht allein deßen beeder Söhn Mütterliches guth sondern auch all d.jenige was dieselbe von vorged. weÿl. H. Johann Wilhelm Schatzen ererbt haben annoch in hand. hat (…)
La maison revient à son frère le notaire Jean Jacques Schatz qui épouse en 1655 Susanne, fille du tonnelier Adam Güntzer
Mariage, cathédrale (luth. f° 29-v, n° XLIII)
1655. Zum 2 mahl H. Johann Jacob Schatz Notarius weÿland H. Johann Wilhelm Schatzen, geweßenen handelsmanns vnd burgers alhier seligen nachgelaßener ehelicher Sohn vnd Jungfr. Susanna Adam Güntzer des Kieffers vnd burgers alhier eheliche tochter. – Zinst. d. 12. Jun. Maurerst. Münster, Thiergart. (i 31)
Les enfants et héritiers de Jean Jacques Schatz vendent la maison à l’orfèvre Paul Helwig. En marge, quittance d’un capital d’après un titre de 1560
1683 (12.7.), Chambre des Contrats, vol. 553 f° 295
H. Johann Jacob Schatz Notarius für sich selbsten und herrn Stephan Cornelius Saltzmann Notarius alß Vogt Johann Friderichs, Johann Wilhelms, Mariæ Dorotheæ und Mariæ Margarethæ weÿl. herrn Johann Jacob Schatzen geweßenen Notarÿ nunmehr seel. nachgelaßener Kinder
in gegensein herrn Paul Hellwigß deß Goltarbeiters mit assistentz herrn Johann Schmidts Schaffners zu St Marx seines Schwagers
hauß, höfflein, hoffstatt gemeinschafft des bronnens mit allen deren Gebäwen, begriffen, weithen zugehördten, rechten und gerechtigkeiten alhier in der Münster Gaßen, einseit ist ein Eckh, anderseit neben weÿl. hannß Peter Beinen deß Weinhändlers nunmehr seel. hinterbliebenen Erben, hinden uff die Schellerische behaußung stoßend gelegen, davon gehend iahrs 2 fl. straßburger Wehrung uff den 12. Martÿ lößig mit 50 fl. besagter wehrung empfangt herr Johann Jacob Böller Notarius in schaffners weiß, Item 4. fl. wehrung ablößig mit 100 fl. gedachter wehrung dem großen gemeinen Allmosen zu St Marx, Item 4. lb. 10 sch widerlößig mit 90 lb in St Johann deß Täuffers Vicariat, Item I lb. ii ß 6 d uff Mich. ablößig mit 39. lb. 7 ß 6 s uff gedachten termin lößig mit 57 lb 15 ß dem Stifft Zum Jungen St. Peter – umb 534 lb
[in margine :] /:salv. titt:/ herr Johannes Pecheux, Deputatus deß hohen Chors hoher Stifft Straßburg H Johann Ferdinand Wiersberg Deputatus und H. Deicola Nicolin, Adjuncus ged. Hohen Chors mit beÿstand Hn Johann Richard Gutendorffs, Selbigen hohen Chors præbenden Schaffners für sich selbsten und im Nahmen deß herrn Senioris, Deputatorum & Præbendariorum haben in gegensein deß hiein gemeldten Käuffers H. hellwigs angezeigt und bekandt (…) 90 pfund capital abgeloßet, den 17. April. 1692. Eod ist H. hellwig hierbeÿ ein alter pergamentiner mit des hoffs zu Straßb. Insiegel bekräfftigter, VIII. Id. VIII.bris A° 1560. datirter über die behaußung besagend. Kauffbrieff extradirt word.
Fils de sénateur, Paul Helwig épouse en 1658 Anne Marie Erhard, aussi fille de sénateur
Mariage, Temple-Neuf (luth. f° 98)
1658. Paulus helwig goldarbeiter weÿl. herrn Pauli helwig eines Ehrs. großen Raths beÿsitzers hinderlaßener Ehelicher Sohn, U. Jungf. Anna Maria des herrn Johann Jacob Erhard deß beständigen Regiments der H. XV. herrn eheliche Tochter, Montag d. 6.ten 10.br. im Münster (i 99)
Jean Paul Hellwig rembourse un capital garanti sur sa maison d’après un titre de 1548
1684 (14.4.), Chambre des Contrats, vol. 554 f° 165-v
herr Johann Jacob Böhler Notarius und E:E: kleinen Rhats alter beÿsitzer alß Schaffner der /:Stifftung Hartlieb genandt Kurtzlieb:/ Adelichen Zornen
in gegensein herrn Johann Paul Hellwig deß Goldt Arbeiters und gedachten Rhats beÿsitzers,
daß derselbe ihme Böhler als Schaffners weiß 50. fl. Straßburger in bahrem geldt welche und da durch die In Compensationen term. Georgÿ Von seiner alhier in der Münstergaß gelegener behaußung Zu zinß Verfallene 20. fl so vermög eines lateinischen pergamentinen mit deß bischofflichen Hoffs anhangende Insigel verwahrten Zinßbrieffes sub dato 8. des Martÿ 1548 uff erwehnte behaußung gestanden, abgelöst
Jean Paul Helwig et Anne Marie Erhard font dresser l’inventaire de leurs biens qui s’élèvent à 3 822 livres
1698 (3. 7.br), Not. Winckler (Elie, 61 Not 18) n° 18
Inventarium der jenigen Hab und Nahrung So Herrn Johann Paul Helwig, Goldarbeitern und E.E. Kleinen Raths alten beÿsitzern und Fr. Annæ Mariæ gebohrne Erhardin beeden Ehegemächten eigenthümlich zuständig – Actum Mittwochs den 3. Septembris Anno 1698.
Baarschafft 2675, Summa 3822 lb
Les préposés de la Taille font figurer la succession dont l’inventaire non conservé est dressé par le notaire Rohr dans leur registre parce que les impôts acquittés étaient calculés d’après une fortune sous-évaluée de 2 500 florins (1 250 livres) sur un total de 8 800 florins
1710, Livres de la Taille (VII 1174) f° 130
(Steltz, F., N° 328) Weÿl. Hn Paul Helbichs geweßenen Goldarbeiters und burgers alhier Verlaßenschafft inventirt H. Not. Rohr.
Concl. fin. Inv. ist fol. 137, 4401. lb 14 ß 1 d, die machen 8800. fl. Verstallte nur 6300 fl. also Zu wenig 2500 fl.
Worvon der Nachtrag alß ohn verändertem Guht gerechnet wird auff Acht jahr in duplo macht à 7 lb 10 ß d, 60 lb
Und auch auff Sechs jahr in simplo trifft à 3 lb 15 ß d, 22 lb 10 ß
Extat Kein Stallgeltt
Gebott, 4 ß 4 d
Abhandlung 4 lb 12 ß 6 d – Summa 87. lb 6 ß 10 d
Auff der Hinterbliebenen Wittib suppliciren, Haben die Herren Dreÿ ane den Nachtrag ein jahr in duplo und ein jahr in simplo nachgelaßen th. 11. lb 5 ß, rest. 76. lb 1 ß 10 d
dt. 7° aprilis 1710.
Etat des biens délaissés par Anne Marie Erhard, de Berlin, veuve Hellwig
1714 (14.5.), Not. Rohr (Daniel, 46 Not 35) n° 1208
Designation derjenigen Sachen welche beÿ Abtheilung weÿl. Frawen Annæ Mariæ Hellwigin gebohrner Ehrhardin seel. Verlaßenschafft in Berlin, auch weÿlandt herrn Paul Hellwig geweßenen arbeither undt burgers allhier seel. Kindern und Erben, als Enckeln ermelter Fr. Hellwigin seel. vor einen vierdten theil eblich angefallen
Paul Helwig sollicite l’autorisation de vendre sa maison à Jean Wolffgang Contz, secrétaire au Grand chapitre de la cathédrale. La commission qui se rend sur place constate que la maison qui fait face au poêle de l’Echasse comprend 5 poêles, 5 chambres, deux cuisines et une cave voûtée mais qu’elle demande des réparations.
1698, Conseillers et XXI (1 R 181)
Paul Helwig vmb hauß Verkauffs. 211. 212.
(p. 211) Sambstags den 19.ten Julÿ 1698. – Paul Helwig vmb permission sein hauß Zu verkauffen
H. Ersch. H. Paul Helwig der Goldarbeiter vndt burger allhier der will seine in der Münster gaß gelegene behaußung an H. Johann Wolffgang Kuntzen Eines hochwürdigen dom Capituls hohen Stiffts Straßburg secretarium vndt Notarium Regium verkauffen, b. vmb deßen gn. vnd obrigkeitliche erlaubnuß.
Erk. H. XV. Gambß vnd H. Städel deputirt vmb dem augenschein einzunehmen, vnd wider Zu referiren.
(p. 212.) Montags den 21.ten Julÿ 1698. – Paul Helwig hauß Verkauff
H. XV. Gambß vnd H. Rhatherr Städel referiren daß der am 19. huius ergangenen erkandnuß Zufolge Sie den augenschein in der in der Münstergaß gelegenen behaußung welche H. Paul Helwig, der Goldarbeiter burger allhier an H. Johann Wolffgang Kuntzen Eines hochwürdigen dom Capituls allhier Secretarium vndt Notarium Regium vmb 2100 fl. verkaufft eingenohmen vnd befunden, daß dieselbe in der Münstergaß gegen der Zunfft Zur Steltz über gelegen 5 stuben 5 Kammern 2 Küchen vnd einen guth. gewölbten Keller habe, im übrigen aber Zimlich bawloß were, der Kaüffer auch sich erklärt habe den hießigen ordnungen vnd insonderheit dem jenigen was in der letzten instruction enthalten Zu submittiren vnd allein dießes gebetten habe, daß ihme die gnad von der Einquartierungen befreÿet zu sein gedeÿen möchte.
Erkandt, Würdt Zuuor Obrigkeitlicher consens in den quæstioirten hauß verkauff ertheilt, es soll aber die Contract verschreibung den hießigen Ordnungen gemäß eingerichtet vnd derselben inserirt werden, daß extra casum necessitatis der herr Kauffer von der Einquartierung befreÿt sein solle vnd würdt im übrigen durch die herrn Deputirte demselben auch anzuzeigen, daß solches ohne schuldigkeit geschehen vnd Zu Keiner consequentz gezogen werden solle.
Paul Hellwig l’aîné vend la maison 1 050 livres à Jean Wolfgang Contz, secrétaire au Grand chapitre de la cathédrale et notaire royal
1698 (22.7.), Chambre des Contrats, vol. 570 f° 457
Erschienen herr Paul Hellwig, der Goldarbeiter und E:E: Kleinen Raths alter Beÿsitzer [unterzeichnet] Paul Helwig d. Älter
in gegensein herrn Johann Wolffgang Contzen, Eines hochwürdig. dom Capitulß hoher Stifft Straßburg Secretarÿ, auff die von H. Räth Und XXI. am 21. huius ertheilte permission
hauß, höfflein, Gemeinschafft deß bronnens, mit allen deren Gebaüen, begriffen, weithen Zugehörden, rechten und Gerechtigkeiten allhier in der Münstergaßen, einseit ist Ein Eck, anderseit neben weÿl. hans Peter Beinen deß weinhändlers sel. hinterbliebenen Erben, hinten auf Hn Johann Carl Hammerern, Med. Doctor. stoßend gelegen, darund. auch die im Keller liegende Stuckfaß mit begriffen – umb 1050 pfund
Les héritiers de Jean Wolfgang Contz louent la maison à l’employé pour le Roi Joseph Boissin
1710 (20.2.), Not. Humbourg (6 E 41, 35)
Bail – fut present Le Sr Jean Peseux Employé aux Domaines de Messieurs du Magistrat de Cette ville y demeurant tant en son nom et qu’en Celuy des Sieurs De Hasselt et Corhummel Cohéritiers de feu Mr Contz vivant secrétaire du Grand Chapitre dudit Strasbourg ses beaux frères, Lequel a reconnu et Confessé auoit Baillé et delaissé par ces présentes a titre de loyer Bail a commancer aux Pasques prochaines jusqu’à deux ans ensuivant & consécutifs
a Mons de faureau Cons.er en Parlem.t & stipulant pour le Sr Joseph Boissin Employé pour le Roy residant en cette ville (signé) fauereau
Vne Maison scise en cette ville Rue de La Cathedrale vis à vis du poile de la tribune des Orphevres appartenant aux héritiers de feu le S Contz, ainsi qu’elle est Construite sans en rien reserver ny excepter sinon que Les tonneaux qui se trouvent actuellement dans La Grande Cave y demeureront sans estre deplacés ny que ledt. Sr prenneur s’en puisse Servir – moyennant La Somme de 300 Liures monnoye d’alsace par Chacune année
Les héritiers Contz vendent la maison 1 700 livres au chirurgien Jean Gaspard Mustinger
1710 (11.4.), Chambre des Contrats, vol. 583 f° 260-v
(1700) hr Joh: Peseux zollverwalter nahmens fr. Anna Marg: geb. Contzin S.T. H. Philipp Frantz von Hasselt Med: Dris ihres mariti wie auch Jungfer Maria Christina Contzin so dann frn Maria Ursula geb. Contzin und H. Friedrich Anthon flecksteinischen Kellers ihres mariti wie auch hr Joh: Michel Cohrhummel Schaffner beÿ hochwürdigen Dum Capitul zu Ehrstein alß ehevogt fr. Maria Francisca Contzin
in gegensein H. Joh: Caspar Mustingers Chirurgi
d. Conzische hauß alhier in der Münstergass, einseit neben Jacob Bein weinh: anderseit ist ein eck ahm Schübladengäßlein vornen H. XV. Lemp hinten auf die hammererische EE. – um 1700 pfund
Originaire de Hambourg, Jean Gaspard Mustinger se marie en 1685 avec Marie Elisabeth Gundelwein qui a épousé en premières noces en 1680 le barbier Philippe Trombach originaire de Leipzig
Mariage, cathédrale (luth. f° 80) 1680. Zum 2. mahl hr. Philipp Trombach der Barbirer, Caspar* Trombach (-) Fendrichs in Leipzig ehel. S. Jgfr. Maria Elisabeth Tobiæ Gundelweins burgers und (-) ehel T., den 6. Maÿ Münster
Philippe Trombach devient bourgeois quelques jours après son mariage
1680, 4° Livre de bourgeoisie p. 470
H. Philipp Trombach der barbir von Leipzig empfangt das burgerrecht von seiner haußfr. Maria Elisabeth Gundelweinin p. 8. gold fl., Er beÿ der Cantzleÿ erlegt hatt, ist ledig. standts geweßenen vnd würdt Zur Lucern dienen. Jur. 17. maÿ
Jean Gaspard Mustinger épouse Marie Elisabeth veuve de Philippe Trombach et devient bourgeois quelques jours plus tard
Mariage, Saint-Guillaume (luth. p. 172)
1685. Dm. III. et IV. Trinit. – H. Caspar Mustinger Von Hamburg, d. ledige Barbierer, Wld. Hrn Erich Mustingers gewesenen Schiffmanns Vnd Burgers Zu Hamburg hinterlaßener ehelicher Sohn, Vndt Fr. Maria Elisabetha Wld. Hrn Philipp Trombachs deß Barbierers Vndt Wundartzts alhie hinderlaßene Wittib, W. d. 16. Julÿ (i 106)
1685, 4° Livre de bourgeoisie p. 513
H. Caspar Mustinger von Hamburg der barbierer, empfangt das burgerrecht von seiner haußfr. Maria Elisabetha Trambachin pro 8. gold fl. so beÿ der Cancelleÿ erlegt, Lucern Zünfftig, Jur. 9. aug.
Nouvelle inscription au livre de bourgeoisie
1709, 3° Livre de bourgeoisie p. 1275
H. Joh: Caspar Mustinger V. Hamburg, weÿl. Ulrich Mustingers gew. burgers daselbsten sohn erkaufft das burgerrecht p. 6. gold fl. 16 ß wird beÿ E. E. Zunfft Zur Lucern dienen. Jur. d. 30. Xbr. 1709.
Jean Gaspard Mustinger et Marie Elisabeth Gundelwein font dresser un état de leurs biens (actif 1 632 livres, passif 662 livres) puis vendre des effets mobiliers dans leur maison rue des Veaux
1699 (1. 7.br), Not. Rohr (Daniel, 46 Not 5) n° 218, 220
Inventarium und Beschreibung aller derjenigen Haab Nahrung und Güttere, Liegender und Vahrender, Keinerleÿ außgenommen, so der Wohl Ehren Veste vndt Großachtbahre Herr Johann Caspar Mustinger, vornehme und Kunstberühmte Chirurgus vnd Wundartzt vnd die Viel Ehren und tugendreiche fraw Maria Elisabetha gebohrne Gundelweinin, beede Eheleuth und burger allhier Zu Straßburg der Zeit annoch würcklichen besitzen – Actum in der Königlichen freÿen St. St. Dienstags den 1. 7.bris A° 1699.
(f° 2) Haußrath. Auff der Obersten bühn, Auff der ohneins Obersten bühn, In der obern Stub, In der Obern Stub Cammer, In der Cammer A, Im obern haußöhren, In der Cammer B, In der Mittlern Stub, In der Cammer C, In der Andern barbier Stuben, In der Undern Stub Cammer, In der Mittlern Stub Cammer, In dem Mittlern haußöhren, In der Kuchen
(f° 8) Series rubricarum hujus Inventarÿ, Sa. haußraths 253, Sa. Olitäten, Gebrand. waßer 28, Sa. silbers 42, Sa. Guldener Ring 29, Sa. baarschafft 150, Sa. Pfenningzinß hauptgüter 1129, Summa summarum 1632 lb – Schulden 642 lb, Nach deren Abzug 990 lb
n° 220, Verkauff und Looßregisterlein – in dero behaußung in der Kalbsgaßen gelegen – Act. Straßburg den 23. 7.br et seqq. A° 1699.
Jean Gaspard Mustinger se remarie avec Marie Diehl, veuve du diacre de Saint-Guillaume Jean Georges Kitsch. Il lègue la jouissance viagère de sa maison rue du Dôme à la future épouse avec réserve en faveur de ses enfants.
1710 (2.6.), Not. Rohr (Daniel, 46 Not 59) n° 568
Eheberedung Zwischen Herrn Johann Caspar Mustinger Kunsterfahren Chirurgo vnd barbierer auch burger allhier als dem herrn Brauthigamb beÿständlich herrn Andreæ Gundelwein Kieffers und E. E. Kleinen Raths jetzmahls wohlverdienten beÿsitzers auch burgers allhier seines Schwagers ane Einem,
So dann Frawen Mariæ Kitschin gebohrner Diehlin weÿl. Tit. Herrn M. Johann Geörg Kitschen geweßenen treueÿfferigen vnd wohlverordneten Diaconi Zu St. Wilhelm vnd burgers allhier nachgelaßener Fr. Wittib als der fraw hochzeiterin mit assistentz Tit. H. Philipp Joseph Mollingers E. E. Großen Raths alten wohlansehnlichen assessoris vnd vornehmen burgers allhier deroselben H. Vogts andern theils
5. die Wÿdumb betreffend so verspricht der hr. Brauthigamb seiner geliebten Fr. Hochzeiterin Zu einem gemeinen und widerfälligen wÿdumb entweder in seiner wohn behaußung ane der Münstergaß liegend die Zwo Obersten auff einem boden Zwo stegegen hoch liegenden Stuben, Eine Stub Cammer, Kuchen, frucht Kasten, platz Zu holtz Zulegen, vnd entweder den hindern Kleinen Keller allein, oder in dem vordern großen Keller platz vor Zweÿ oder dreÿ hundert Ohmen Wein logiren Zukönnen, So dann auch den genuß der barbier stub so viel das gemach betrifft, jedoch länger nicht als biß entweder des H. Brauthigambs einiger Sohn so von seiner profession oder aber eine der töchter sich ane einen barbierer verheurathen und besagte barbierstub selbsten benöthiget sein Würd, als auff welchen fall Sie dieselbe abzutrettenn schuldig sein solle, oder aber falls Ihro der fr. hochzeiterin dießer Wÿdumbs sitz in besagter behaußung nicht belieben solte, als welcher nur so lang Sie im Wittibstand verbleiben würd, gelten solle, so solle Ihro ad dies vitæ von 1000 Gulden Capital das Interesse à fünff pro cento von sein der H. Hochzeiters Erben vnd auß deßen verlaßenden Nahrung, Jährlich gelüffert werden
Actum Straßburg Montags d. 2. Junÿ a° 1710. [unterzeichnet] Johann Caspar Mustinger Als hochzeiter, Maria Kirschin Gebohrne dielin
Mariage, Temple-Neuf (luth. f° 214-v, n° 947)
1710. Eod. [Michael den 25. Junÿ] Sind nach 2. mähl. Proclamation copulirt word. H. Joh: Caspar Mustinger chirurgus burger und Wittwer allhier, und Fr. Maria weÿl. H. M. Joh: Georg Kitschen gew. wohlverdienten Diaconi Zu St. Wilhelm nachgelaßene Wittib [unterzeichnet] Johann Caspar Mustinger Als hohzeiter, Maria Kitschin Als hochzeiterin (i 214) – Proclamation, Saint-Guillaume (luth. f° 144-v)
Les nouveaux mariés font dresser l’inventaire de leurs apports. Ceux du mari s’élèvent à 6 752 livres, ceux de la femme à 2 422 livres
1710 (1.7.), Not. Rohr (Daniel, 46 Not 25) n° 905
Inventarium und Beschreibung aller derjenigen haab und Nahrung, so der wohl Ehrenveste und Kunstberühmte H. Johann Caspar Mustinger Vornehmer Chyrurgus, und die viel Ehren und tugendsahme Fraw Maria Kietschin gebohrne Diehlin, beede Eheleuthe und burgere allhier zu Straßburg einander in den Ehestand Zugebracht und vermög auffgerichteter Eheberedung sich vor unverändert vorbehalten haben – So beschehen allhier in der Königlichen freÿen St. St. in fernerer gegensein deß Ehrenvesten fürsichtig vnd weißen Hn Philipp Joseph Mollinger E. E. Großen Raths wohlverdienten beÿsitzern und der Ehefrawen annoch ohnentledigten Curatoris, Dienstags den 1. Julÿ Anno 1710.
In einer allhier Zu Straßburg ane der Münstergaß gelegenen dem Eheherrn Eigenthümlich zuständigen behaußung sich volgender maßen befunden
(f° 29) Eÿgenthumb ane einer behaußung (M.) It. j. behaußung, hoff, hoffstatt, sambt allen deren gebewen, begriffen, weithen, Zugehörden rechten und gerechtig Keiten allhier in der Münstergaß 1. s. neben Joh: Jacob Beinen weinhändlern 2. s. ist ein eck am schubladten gäßlein, vornen gegen H. XV. Lempen hinten auff die Hammerischen Erben stoßend gelegen, so gegen männiglich freÿ, Leedig und eigen, und wirdt solche behaußung dem ankauff nach jedoch ohnpræjudicirlich angeschlagen vor 1700. lb. Darüber besagt ein Teutsch. perg. Kbr. m. allhiesßiger C. C. stub anh. Innsiegel verwahrt, de dato 11.ten Aprilis A° 1710. Ferner i. Teutsch. perg. Kbr. m. der St. St. anh. C. C. Ins. verwahrt datirt d. 22. Julÿ A° 1698., Weither i. Teutsch. perg. Kbr. m. der St. St. anh. C. C. Ins. verwahrt, deßen datum 12. Julÿ 1683. Dabeÿ ferner gebunden 1. teutsch perg. Kbr. in der St. St. anh. C. C. Innsiegel verwahrt datirt den 16. Octobris A° 1660. mit N° 1 notirt und dabeÿ gelaßen. Weiter Sechß vnderschiedene Teutsch perg. Kbr. m. der St. St. anh. V. C. Innsiegkel verw. alle m. N° 5 notirt und babeÿ gelaßen. Noch weiter 1. teutsch perg. Kbr. m. deß Rhats allhier Ins. Verw. datirt 12. Februarÿ A° 1554. Dabeÿ ferner gebunden etliche teutsche Lateinische perg. brieff vber das hauß besagend.
Nota. Es haben sich beede Eheleuthe verglichen daß wann d. hauß wehrender Ehe solte verkaufft werden, nicht der anschlag dießes hauß sondern das daran erlößte pretium sollte ergäntzet werden.
Deß Ehemanns Kinder Pfettern Göttel und Geschenckt Geldt, Mariæ Margarethæ gehörig, Herrn Johann Caspar Zuständig, Jgfr. Mariæ Catharinæ gebührig
Series rubricarum hujus Inventarÿ. Deß Herrn nahrung betr. Sa. haußraths 1409, Sa. Olitæten, Pflaster und Instrumenta Zur Barbierer Kunst gehörig 158, Sa. Bibliothec 103, Sa. Silbergeschiff und Geschmeidt 1055, Sa. Goldene Ring vnd Geschmeidt 159, Sa. Baarschafft 1298, Sa. Pfenningzinß hauptgüter 641, Sa. Eÿgenthumb ane einer behaußung 1700, Sa. Schuldten in die Nahrung Zugeltendt 196, Summa summarum 6721 lb – Hierzu Kombt ferner der Angebühr hernach beschriebener Haussteuren 31. lb, Solchemnach belaufft sich deß Herrn Nahrung in allem sammenthafft auff 6752 lb
Der Frawen Nahrung betr. Sa. haußraths 475, Sa. Früchten 28, Sa. Wein und Leerer Vaß 589, Sa. Silbergeschirr und Geschmeidts 160, Sa. Goldener Ring und geschmeidt 84, Sa. baarschafft 1195, Sa. Pfenningzinß hauptgüter 475. Gülth von liegenden güthern o, Eÿgenthumb ane einer Mühl, Eÿgenthumb ane liegenden güthern, Sa. in die nahrung zugeltend 95, Summa summarum 2406 lb – Hierzu Kombt ferner die angebühr hernach beschriebenner Verehrter haußsteuren 15 lb, Sofort erträgt der frawen völlig Eÿgenthümblich Vermögen 2422 lb
Specification deren Jënigen dingen vnd stucken so Zu der chirurgia vnd barbierstuben gehörig
Les préposés de la Taille font figurer dans leur registre la succession dont l’inventaire n’est pas conservé parce que les impôts acquittés étaient calculés d’après une fortune sous-évaluée de 1 400 florins (700 livres) sur un total de 8 600 florins
1714, Livres de la Taille (VII 1175) f° 69
(Lucern, F. N° 1218) Weÿl. H. Johann Caspar Mustingers geweßener Chirurgi barbierers und burgers alhier Verlaßenschafft inventirt H. Not. Rohr.
Concl. fin. Inv. ist fol. 200, 4306. lb 14 ß 6 d, die machen 8600. fl, verstallte nur 7200 fl. alßo zu wenig 1400. fl.
Wavon der Nachtrag gerechnet wird auf vier Jahr alß lang derselbe burger in duplo th. à 4 lb 4 ß, 16 lb 16 ß
Und auch auff vier Jahr in simplo macht a 2 lb 5 ß d, 8 lb 8 ß
Extat Stall geltt pro 1713, 12 lb 6 ß
angesetzte Straff 5 lb
Gebott 2 ß
Abhandlung 4 lb 16 ß 6 d – Summa 46. lb 19 ß 6 d
Auff bitten haben die Herren Dreÿ nachgelaßen ein Jahr in duplo und ein Jahr in simplo, macht 6. lb 6. ß, und ane der Straff 3. lb. macht zusammen 9. lb
remanet 37. lb
dt. 9° Maÿ 1714
Jean Joachim Haubenstricker porte devant les Quinze ses dissensions avec le corps des barbiers pour que ses pupilles conservent le droit de barbier, le fils étant en voyage de formation et la fille en âge de se marier, bien que la veuve ait déclaré renoncer à exploiter le droit. Le corps des barbiers objecte notamment que le fils qui se trouve à Hambourg étudie la médecine et non le métier de barbier. Les Quinze décident de mettre l’enseigne en berne jusqu’à ce que les ayant-droit aient décidé de leurs intentions. Les Quinze délivrent au début de l’année suivante une version officielle de leur décision
1713, Protocole des Quinze (2 R 117) et 1714 (2 R 118)
Weÿl. H. Johann Caspar Mustingers hinterlaßenen Kind. Vogt H. Haubenstricker Ca. E. E. Meistersch der Barbierer
(f° 299-v) Sambstags den 2.ten Decembris 1733.
S. nôe weÿl. Johann Caspar Mustingers gewesenen Barbierers Hinterlaßenen Kinder Vogts H. Joh: Joachim Haubenstrickers, Cit. E. E. Meisterschafft der barbierer Ober mr. Joh: Philipp Wilden, Weilen noch ein Sohn undt tochter vorhanden, als bittet Ihnen die barbierstub Zu continuiren gn. Zu erlauben. G. Citat. præs. bittet deputationem. Erk. gebettene Deputation willfahrt. Ob. Handwerckh.
(f° 325) Sambstags den 16. Decembris 1713. Weÿl. H. Johann Caspar Mustingers hinterlaßenen Kind. Vogt H. Haubenstricker Ca. E. E. Meistersch der Barbierer
Obere Handwerck herren laßen durch herrn Secretarium Friden referiren, daß herr Johann Jacob Haubenstrickers alß Vogt weÿl. Johann Caspar Mustingers geweßenen barbierer hinterlaßener Kinder vnd H. angesucht gn. Zu erlauben, daß die barbier stub noch ferner continuirt werd. dörffen, gegentheil deß E. E. Meisterschafft der Barbirer habe vmb Deputation gebetten, welch auch willfahrt worden, vnd alß man bede theil gehört hette, jener beÿgefügt, daß Er die continuation deßwegen verlangte, weilen der Mustingerische Sohn in der frembde noch were vnd man nicht wußte, ob Er die Profession eines barbierers annehmen werde, neben dem so were auch eine tochter da, so Mannbare, vnd wohl alhier einem barbierere sich verheürathen dörffte.
Warauff noîe der Meisterschafft der barbierer herr Wildt et Consorten geantwortet, daß 1) gegners begehren wider Ordnung lauffe, 2) der verstorbene Mustinger schon Ein vierthel jahr todt were, 3) die Mutter sich ja erklärt hette, daß Sie die barbierstub nicht continuiren wolte, 4) der Mustingerische Sohn Ltus Medicinæ were, und Zwar eine wißenschafft von der barbier stub habe, aber dieselbe nicht erlernt, 5) der tochter nicht Zustünde, die babierstub Zu continuiren, anbeÿ denen articul producirt, und Zwar den 14. dahien gehend, daß wann nach absterben Eines Meisters von den seinigen niemand vorhanden, der sie Werckstatt fortzuführen geschicktt war, Kein frembder dazu gelaßen werden solte,
darauff jener replicirt, daß die Wittib ohne vorwißen ihres Vogts sich wegen continuation der barbierstub herauß geloßt hette, vnd man noch Zur Zeit nicht wüßen könte, ob nicht der Sohn, der Zu Hamburg lauth Lehrbrieffs de Anno 1703. gelernet, die barbier stub continuiren wolte,
dieße haben regerirt vnd gebetten gn. Zuerkennen, daß in Zwischen die Werckstatt geschloßen, und die Becken eingehengt werden solten, Alß mann solcher gehört habe, mann vor nöthig erachtet der Wittib Vesten anzuhören, so herr Frantz Heinrich Städel, der vermeldet, daß Er noch Zur Zeit Keine positive Antwortt von der Wittib erhalten, ob Sie die barbierer stub continuiren wolle oder nicht, da durch herr Mustinger seel. in seinem Testament erlangt habe, daß Sie solche Entführen solte, so lang biß Eines von den Kindern in dem stand sein würde solche anzunehmen, deßwegen man ihme committirt sich mit der Wittib Zu vnderreden und denen gedancken und meinung Zu übertragen, so einige tag hernach geschehen vnd, wie Er berichtet, so wolte die Wittib die barbierstub Zwar einnehmen vnd eine Zeit lang continuiren, die Erben aber Ihro vor allen schaden stehen, und denselben gesetzen solten, dazu sich aber H. Haubenstricker nicht verstehen wollen, mit vnderth. bitt nur dießes Zuerlauben daß, wann ja die barbierstub abgehen solte, die aufgehengte becken ahne der stang gelaßen selbige aber ihne die wand eingezogen, vnd daselbsten so lang bleiben möchten, biß daß der Sohn entweder hiehero komme oder die tochter heurathen würde.
Welches mann auff seith. d. Hh. Deputirten für eine gute sach angesehen vnd demnach Zu Mghh. stünde, ob Sie darinn willfahren wolten. Erk. quoad sic.
(f° 53-v) Sambstags den 3. Martÿ 1714. H. Mustinger pt° bescheidts
Obere Handwercks herren laßen durch herrn Friden referiren, daß nach dem herr Lt. Mustinger vmb schrifftliche communication deß jenigen bescheidts so jüngst wegen der Mustingerischen behausung ergangen gebetten solches ihme willfahrt werden, derselbe were nun Zu papier gebracht worden folgenden innhalts. Erk. Soll derselbe auff solche weiß außgefertigt werden.
Sambstags den 16. Decembris 1713. In Sachen Herrn Johann Joachim Haubenstricker alß vogten Johann Caspar Mustinger gewesenen barbierers allhier hinderlaßener Kindern Imploranten, ane Einem, entgegen vnd wider E. Ehrsamen Meisterschafft der barbierer Imploranten am andern theil, ist pt° Continuation der barbierstuben Erkandt, weilen anjetzo keine von den Mustigerischen Kindern sich in einem standt befindet erstged. barbier stuben Zu bestehen noch fortzuführen auch die hinterbliebene Wittib darauff renuncirt alß soll nach inhalt deß 14.ten articuls dieselbige geschloßen vnd die barbier becken nicht wie biß dahero auffgehenckt sondern selbige neben der eißernen stang, daran Sie hangen harth an das hauß angeruckt vnd es so lang biß entweder der Sohn von seiner Reÿß wider Zurück kommen oder die tochter heirath. wirdt alßo gelaßen werden.
Marie Diehl, veuve de Jean Gaspard Mustinger, meurt en 1725 en délaissant deux filles issues de son premier mariage. L’inventaire est dressé Grand rue dans une maison qui appartient à la veuve Linck. L’actif de la succession s’élève à 2 398 livres, le passif à 23 livres.
1725 (14.3.), Not. Lang l’aîné (Jean Daniel, 25 Not 9) n° 99
Inventarium über Weÿl. der Viel Ehren und Tugendreichen Frauen Mariæ gebohrner Diehlin, letstmals weÿl. des Wohl Ehrenvest, Großachtbaren und Kunsterfahrenen Herrn Johann Caspar Mustingers geweßenen berühmten Chyrurgi und burgers allhier seel. hinderbliebene frau Wittib nun auch seel. Verlaßenschafft, auffgerichtet Anno 1725. – erstmahls weÿl. des Wohl Ehrwürdig und Wohlgelehrten Herrn M. Johann Georg Kitschen geweßenen Treueifferigen und wohlmeritirten Diaconi Zu St. Wilhelm letztmals aber weÿl. des Wohl Ehrenvest, Großachtbaren und Kunsterfahrenen Herrn Johann Caspar Mustingers geweßenen wohlerfahrenen barbierers und Wundartzts, beeder Vornehmer burgere allhier längst seel. hinderbliebene frau Wittib, nach deme dieselbe den 23.ten nechst verwichenen Monats Februarÿ Von dem lieben Gott aus dießer Vergänglichen weltwesen in die seelige ewigkeit abgefordert worden, Zeitlichen hinder sich verlaßen – So beschehen on der Königl. freÿen Statt Straßburg in fernerer gegenwarth des Edlen, Wohl Ehrenvest, Großachtbahren und Weißen herrn Frantz Heinrich Städels E. E. Großen Raths allhier alten wohlvorgeachten beÿsitzers als der abgeleibten frauen seel. gewesenen herrn Curatoris welcher herbeÿ allerseits bekandter maßen die geringste Verwaltung Von deroselben Nahrung nicht gehabt, ingleichem der Edlen Viel Ehren und tugendreichen frauen Mariæ Salome Städelin gebohrner Friedin deßelben frauen Eheliebstin, auff Mittwoch den 14.ten Martÿ Anno 1725.
Die abgeleibte frau seelige hat ab intestato Zu Erben Verlaßen wie folgt. 1. S. T. frau Mariam Magdalenam Moßederin gebohrner Kitschin, S. T. Herrn M. Johann Friderich Moßeders treu eifferigen und wohlmeritirten Pfarrern Zu Lembach Fleckensteinischer herrschafft und burgers alhier Zu Straßburg Frau Eheliebstin in deren Nahmen weilen dieselbe Zugestoßener ohnpäßlichkeit halben nicht abkommen Können obwohl Ehrengemelyer deroselben herr Eheliebste dem Geschäfft persönlich abwaretete
2. S T. Frau Mariam Elisabetham Wägelinin gebohrne Kitschin weÿl. S. T. Herrn (-) Wäglins gewesenen hochgräfflich. Hanaw Liechtenbergischen wohlmeritirten Cammer Justificatoris Zu Buchßweiler seel. hinterbliebene Frau Wittib, welche mit beÿstand S. T. herrn Gottfried Plarren Kunst und Schönferbers auch E. E. Kleinen Raths allhier Zu Straßburg jetzigen wohlverdienten beÿsitzers alß auß Ehrengedachten Kleinen Raths Mittel (…) weilen sise Frau tochter allhier ohnverburgert, Zu dißem Geschäfft in specie abgeordneten herren, Ihro stelle hiebeÿ vertetten, Alßo beede der Verstorbenen frauen seel. in erster Ehe mit eingage wohl Ehrengeertem Herrn Diacono Kitschen seel ehelich erzeugte frau töchter und ab intestato Zu 2. gleichen Antheilen Verlaßene Erben.
In einer Allhier Zu Straßburg ane der langen Straß allhier gelegenen Madame de Linck zuständigen Behaußung befunden worden wie folgt.
(f° 8) Ane Höltzen und Schreinwerck. In der Cammer A, In der Kuchen, In der Wohnstub, In der Wonstub Cammer, Im Keller
(f° 17) Eigenthumb ane einer Mahlmühl. Eine Mahlmühl mit einem Waßerrad (…) vor dem Felcken Barr in St. Ulrichs thal
Series rubricarum hujus Inventarÿ, Sa. Haußraths 363, Sa. Wein und lährer Vaß 224, Sa. Silber geschirr und Geschmeid 142, Sa. goldener Kett, Ring und dergl. Geschmeid 107, Sa. der baarschafft 20, Sa. Pfenningzinß hauptgths 28, Sa. Gülth von liegenden güthern& 225, Sa. Eigenthumbs ane einer Mahlmühl 335, Sa. Eigenthums ane einer behaußung 170, Sa. Eigenthums ane liegende güthern 587, Sa. Schulden 198, Summa summarum 2398 lb – Schulden 33, Nach deren Abzug 2365 lb
Les héritiers Mustinger vendent la maison 3 000 livres au marchand Louis Charot
1714 ‘12.6.), Chambre des Contrats, vol. 587 f° 409
(3000) Maria Marg: geb. Mustingerin beÿständlich H. Joh: Reichlin Chirurgi, Item hr Johann Joachim Haubenstricker dreÿer des umgelds alß vogt H. Johann Caspar Mustingers Medicinæ Lti und Jgfr. Maria Cath: Mustingerin beÿständlich der erwehnten Curanden
in gegensein H. Louis Charost Kauffmans
ihre behaußung hoffstatt hoff gemeinschafft des bronnen mit allen begriffen, weithen, zugehörden, rechten und Gerechtigkeiten in der Münstergass, einseit neben Joh: Jacob Bein weinhändler anderseit ist ein Eck ahm Schubladen gäßlein hinten auf die hammerische EE – um 3000 pfund
Originaire de Paris, fils d’un marchand établi à Strasbourg, Louis Charot épouse en 1704 Marie Sibylle Pierrot, fille d’un maître de langues
1704 (13.9.), Not. Bidier Dutil (6 E 41, 14)
Mariage – furent presens Louis Charaut Marchand Quinquaillier en cette ville de Strasbourg fils de loüis Charaut aussy Marchand Quinquaillier en lad. ville et Jacqueline Hubert sa femme ses pere et Mere cy presents et assisté d’eux à la passation des presentes d’une part,
Et damoiselle Marie Sibille pierrot fille de deffunt Eberhard pierrot en son vivant Maistre de langues en lad. ville et de deffunte damlle Anne Barbe de Hundelshaussen sa femme ses pere et Mere d’autre part
Fait et passé à Strasbourg le 13° septembre 1704 en presence des Srs Jean Baptiste Blois licencié és Loix et de anthoine Leger traiteur en cette ville (signé) Louis Charost, Maria Sybille pierrott
Mariage, Saint-Laurent (cath. p. 216)
1704. Hodie 12° Septembris (…) sacro matrimonii vinculo juncti sunt Ludovicus Charon Parisinus et pudica puella Sybilla Pierrotin (signé) Louis Charost, Maria sybille pierrott (i 109)
Les Quinze refusent d’accorder à Louis Charot le droit d’héberger des pensionnaires dans la maison de la garde (Scharwächter hauß) parce que la maison sert aussi de librairie et de corps de garde et qu’il y aurait des difficultés d’imposition. Il dépose quelques jours plus tard une nouvelle demande qui reste sans suite
1705, Protocole des Quinze (2 R 109)
Louis Charrot pt° Pensionnaires in dem Schaarwächter hauß
(f° 323-v) Sambstags den 14. Novembr. 1705. – G. nê Louis Charon des Schirmers alhien der ist willens einige pensionnaires Zu halten, bittet unterth. Ihme damit gegen erlag des Ungelts gn. Zu willfahren.
Erk. an die Obern Ungelts Hh gewießen.
(f° 332) Freÿtags den 20.t Novembr. 1705. Louis Charon pt° auberge.
Iidem [Obere Ungelts Herren] per Herrn Friden es gabe Louys Charon auch umb erlaubnus Pensionnaires angehalten, derselbe wohne in dem Schaarwächter hauß, und auch noch ein Anderer nahmens Rousselot der Libraire neben dem befinde sich auch die Wacht darinnen, alßo daß die Vngelts gebühr in gefahr stehe, vnd allerhandt betrug verübt werden würden, deßwegen Zu Mghherren stünde, Ob Sie demselben auch abweißen wollen.
Erk. Soll derselbe ebenmäßig abgewießen werden.
(f° 356) Sambstags den 28. Novembris 1705. G. noê Louis Charrot prod. Frantzös. requeste vnd bittet wie inhalts pt° erlaubnus Pensionnaires Zu halten. Erk. an die Oberen Ungelts Hh gewießen.
Le marchand Louis Charot demande l’autorisation de tenir une loterie sur son étal à la foire. Le préteur royal présente plusieurs objections : le jeu s’apparente à une tromperie, l’appât du gain incite les joueurs à se ruiner, les marchands qui ne pratiquent pas les jeux ont peu de clients, l’expérience prouve que ces jeux considérés comme innocents posent problème, les jeux se généraliseraient si on les autorisait, le pétitionnaire devrait devenir bourgeois pour continuer ses affaires
1706, Conseillers et XXI (1 R 189)
Louis Charron vmb permission Ein Stechbuch der Meß über Zu halten. 244.
(p. 244) Sambstags den 11. Decembris 1706. – G. V. Ersch. Louis Charron Marchand der schirmer prod. vnderth. Memoriale vnd bitten pt° permission ein Stechbuch bevor stehender Meß Zu halten.
H. Prætor Regius meldet, die jenige permission welche in der verschinnen Johannis Meß Einem frembden gegeben worden Ein solch Stechbuch Zu halten, gebe anlaß Zu dießem gesuch, es were aber dergleichen glückspiel nicht leichtlich Zuerlauben bevorab, weilen dieselbe ohne betriegereien nicht geschehete, vnd auch wider die leges vnd ordnungen weren, deßweg. Er dann darvor gehalten, daß weilen 1. solche stechbücher alß Stehlbücher anzusehen, 2. in denen Ordnungen verbotten, angesehen Sie instrumenta weren Zu dergleichen betriegereÿen, 3. beÿ dem letztern stechbuch viel persohnen sich in der hoffnung etwas Zu profitiren betrug. befunden vn* gesind seinen lohn verspielt, vnd sich in * gesetzt, 4. die Kauffleuth sich beschwert, daß Sie ihre wahren nicht debitiren können, weilen sonst jedermann solchem Glückspiel Zugelauffen, 5. vnd obschon dermahlen in der Meßzeit die permission gegeben word. ein solches glückspiel Zu halten, so seÿe Zu solcher Zeit darvorgahalten worden, es giegne trewlich vnd ohne gefährde damit her, welche sich aber nachgehelds nicht alßo* befunden, 6. weilen auch Zubesorgen, daß wann dießem Imploranten in seinem begehren Willfahrt werd. solte, auch andere kauffleuth sich anmeld. vnd dergleich. such wurden welchen dann solch begehren nicht wohl würde können abschlagen werden, vnd dann 7. dießer Implorant nicht einmahl burger, da Er doch weilen Er eine boutique hat, und offentlich wahren abkaufft in das burgerrecht sich Zu begeben obligirt ist, dießer gesuch vnd begehren wurd abzuschlagen sein werde.
Erk. Würdt Implorant mit seinem gesuch abgewießen.
H. Rathherr Neübeck vndt H. Rathherr Stecher.
Louis Charot natif de Paris dait dresser un état de ses biens qui consistent en diverses parures outre le fonds de nouveautés qu’il a en magasin
1710 (23.5.), Not. Hoffmann (Christophe Michel, 19 Not 66)
(Designation und Verzeichnüs) Zuwißen daß auff heüt dato Vor mir dem unterschriebenen geschwornen Inventir Notario in Gegenwarth S. T. Herrn Johann Becken E.E. Gr. Raths alhier ietzmahliger beÿsitzer aljier Persönlich erschienen Mons. Louÿs Charost Handelsmann und Schirmer alhier gebürtig auß Paris, und hat mir Volgende Posten Vorgewießen, und seÿe wahren Eÿgenthumb Zu seÿn handtreülich angelobt
Erstl. ein fünff fahr Schnur feine groß Zahl Perlen æstimirt auf das wenigste 124 lb. (…) Summa 313. ln
Ferner so hat derselbe in seiner Bouticque eine schöne quantität von allerhand galandrie und schöne haußräthliche Posten, so Zu erspahrung der uncösten nur hieher Zum unterthänig. bericht anmercken solle.
Sig. Straßburg den 23. Maÿ Anno 1710. [unterzeichnet] Louis Charost
Fils du manant de Strasbourg Louis Charot, Louis Charot devient bourgeois avec sa femme Marie Sibylle Pierrot
1710, 3° Livre de bourgeoisie p. 1276
Louis Charrot der Kauffmann V. Paris, Louis Charrot hiesigen schirmers sohn V. sein Fr. Maria Sibilla Pierrot erkauffen d. burgerrecht p. 6. gold fl. 16 ß. Wird beÿ E. E. Zunfft Zum Spiegel dienen. Jur. d. 5. Junÿ 1710.
Louis Charot hypothèque la maison au profit du marchand Jean Henri Vigera
1716 (7.10.), Chambre des Contrats, vol. 589 f° 560
Louis Charroth handelsmann
in gegensein H. Joh: Heinrich Vigera handelsmann – schuldig seÿen 675 pfund
unterpfand, sein hauß cum appertinentÿs in der Münstergaß, einseit neben Joh: Jacob Bein anderseit ist ein eck hinten auf die hammerische Erben
Louis Charot hypothèque la maison au profit du capitaine Jean Garimond
1716 (10. Xbr), Chambre des Contrats, vol. 572 (Protocoles) f° 50
Sr Louis Charron marchand
devoir au Sr Jean Garimond Capitaine reformé, 1600 Livres tournois
hypothèque sa maison sçituée icy in der münster gass auevc tous ses droits appartenançes et dependançes ou pend pour enseigne La cloche d’or d’un côté ahn d. schublad gässlein d’autre à Bein par derrière aux heritiers de feu Sr Hammerer
Louis Charot meurt en septembre 1717 en laissant pour héritiers ses parents. Les experts estiment la maison 2 000 livres. L’actif de la succession s’élève à 5 450 livres, le passif à 4 156 livres.
1717 (25.1.), Not. Rohr (Daniel, 46 Not 41) n° 1370
Inventarium und beschreibung aller derjenigen Haab, Nahrung und Güttere, Liegender: und Vahrender, Keinerleÿ davon außgenommen, so Weÿl. der Ehren veste und Wohlvorgeachte Herr Ludwig Charost geweßene handelßmann und burger allhier Zu Straßburg nunmehr seel. nach seinem den 21. Septembris des ohnlägst zurückgelegenen 1716. Jahrs genommenen tödlichen ableiben Zeitlichen verlaßen, Welche Verlaßenschafft auf freundliches ansuchen erfordern und begehren herrn Louis Charost Gasthalter vndt frawen Jacqueline Hubert beeder Eheleuth vnd Schürms Verwanther allhier, des Verstorbenen see. leibliche Eltern und ab intestato nachgelaßenee Erben, Welche aber dieße Hereditæt anderer gestalt nicht als cum Beneficio Legis et Inventarÿ anzutretten sich expressé reservirt und declarirt, fleißig inventirt vnd ersucht durch die Ehren vnd tugendsame fraw Mariam Sibillam gebohrne Pierrot die hinterbliebene fr. Wittib beÿständlich des Ehren Vest Barbar Großachtbahren Herrn Johann Friderich Lobstein Jun: vornehmen handelßmanns vnd burgers allhier Ihres geschwornen Curatoris, auff Zuvorhien ane dieselbe wie auch herrn Georg Louis Violand den handelßdiener v. Annam Barbaram Warthin die dienstmagd (…) geäugt und gezeigt – So beschehen allhier in der Königlichen freÿen Statt Straßburg in fernerem gegensein S. Tit. Herrn Johann Valentin Bäurle J. U. Lt. und E. E. Kleinen Raths jetzt wohlansehnlichen beÿsitzers als alsß wohlermelten Raths Mittel im Nahmen samtlicher Herrn Creditorum deputirten herrn Montags d. 25. Jan. A° 1717.
In Einer allhier Zu Straßburg ane der Münstergaß gelegenen und in dieße Verlaßenschafft gehörig. behaußung sicht volgender maßen befuden.
Auff der bühn, Auff der Ohneeins Obersten bühn, In der Cammer A, Im Oberen Stüblein, In der nebens Stub B, In dem Nebens Gemach, In dem Stüblein, In dem Stüblein, In deß officiers Stüblein, In der Magd Cammern In der Wohn Stub, In dieße Stub Cammer, In der Stub E, In dießer Stub Cammer, In der Küchen, Im haußöhren, Im Contor, Im Laden, Im Hoff, Im Keller
(f° 24) Eÿgenthumb ane einer behaußung. It. eine behaußung, hoff, hoffstatt, laden, Zweÿ gewölbte Keller, nebens Gebäw, hinterhäußel und gemeiner bronnen, sambt allen übrig. deren gebäwen, begriffen, weithen, Zugehörden Rechten und Gerechtigkeiten gelegen allhier Zu Straßburg in der Münster gaß, 1.s neben Johann Jacob Beinen dem Weinhändler, 2. seit ein Eckh am Schubladen Gäßlein, vornen auff E. E. Zunfft der Steltzen hinten auff weÿl. S. T. Herrn Johann Carl Hammerer geweßenen hocherfahrenen Dris Med. v. E. E. Großen Raths alten wohlansehnlichen beÿsitzers seel. nachgelaßene Erben stoßend, welche behaußung annoch umb 2000 lb d weÿland herrn Johann Caspar Mustinger geweßenen chirurgi und barbierer auch burgers allhier nunmehr seel. nachgelaßenen dreÿen Kindern und Erben Verhafftet und Jährlichen auff Joh. Bapt: à 2 ½ pro Cento Zu Verzinnßen. Sonsten gegen männiglichen freÿ leedig und Eÿgen und ist so dieselbe Crafft i. beÿ mein Notarÿ Concept befindlichen schrifftlichen Abschatzung de dato 8.t Martÿ 1717. Von allhießigen geschwornen Werckmeistern æstimirt worden pro 2000 lb. nach Abzug Vorstehende Passiv Oneris aber Verbleibt allhie allein annoch auszuwerffen im Rest 150. Darüber besagt ein teutscher pergament Kbr. m. der St. Str. anhangend. C. Contract Innsiegel verwahrt, datirt den 12. Junÿ Anno 1714.
Abschatzung den 8.ten Martÿ 1717. Weÿlandt deß Ehrenhafften und bescheidenen Herrn Ludwig Charaux, Kauffmann Seel. hinderlaßene Fraw wittib und Erben ist eine behaußung allhier inn der Statt Straßburg inn der Müntser gaßen Gelegen, Ein Eck ahne der Münster Gaßen, einseith neben Mr Hannß Jacob Beinnen dem Küeffer, anderseith neben S. T. Herrn Dr. Hammerers seel. Erben stoßend, Welche behaußung, hoff, hoffstatt, Laden, Zweÿ Gewölbte Keller, Neben Gebäu, Hinderhäußel und Gemeiner bronnen, sambt aller Ihrer Recht: und Gerechtigkeit sich inn der besichtigung befunden und durch der Statt Straßburg Geschwornen Werckmeistere Jetzigem Preiß nach angeschlagen wirdt Vor und umb Vier taußendt Ein hundert gulden. Bezeichnuß durch der Statt Straßburg Geschwornen Werckhleuthe, Jacob Staudacher werckh Meister des Maur hofs. Jacob schuller Werck Meister des Zimmer hoff, Michel Ehrlacher Werck Meister deß Minsters
(f° 29) Series rubricarum hujus Inventarÿ Sa. Haußraths 342, Sa. Wahren wie auch Schiff und geschirrs 3713, Sa. Weins und Leeren Vaß 61. Sa. Silbers 8, Sa. Goldener Ring und Geschmeids 166, Sa. Eigenthums ane i. behaußung 80, Sa. Schulden in die Nahrung Zugeltend 1108, Summa summarum 5450 lb – Schulden 4156 lb, restirt 1209 lb
Zweiffelhaffte Schulden in die Nahrung Zugeltend 491, Verlohrene Schulden 492 lb
Copia der Eheberedung (…) Fait et passé à Strasbourg le 13° septembre 1704, Not. Bidier Dutil
Vente de mobilier en présence des créanciers
1717 (10.7.), Not. Rohr (Daniel, 46 Not 42) n° 1386
Verkauff und Erlöß Register, inhaltend alles das jenige, so abe weÿland des Ehren Vesten und wohl vorgeachten herrn Ludwig Charost geweßenen handelsmanns und burgers allhier nun mehr seel. hinterlaßenen haußräthlichen Mobilien v. wahren erlößt worden, welche auff begehren und in gegensein von den Creditoren besteller Syndicorum – So beschehen allhier in der König. freÿen St. St. den 10. Julÿ A° 1717. et seq. diebus
Marie Sibille Pierrot veuve Charot fait vendre du mobilier devant la maison du boucher Klein
1723 (11. 9.bris), Not. Lang l’aîné (Jean Daniel, 25 Not 6) n° 67
Verkauff und Erlöß Register über frauen Mariæ Sibillæ Scharo gebohrner Pierotin, weÿl. herrn Louis Charo, Kauff: und Handelsmanns allhier in Straßburg hinderbliebener frau Wittib eigenth. zuständige und von deroselben (…) den 11. 9.bris 1723. Vor herrn Kleinen des Metzgers als dero nunmalig. Wohn behausung offentlich Verkauffte Mobilia
Marie Sibylle Pierrot meurt après avoir institué pour héritiers les Pères Capucins. L’inventaire est dressé à l’auberge du Chapelet où logeait la défunte. La succession s’élève à 69 livres
1724 (29. 9.bris), Not. Hoffmann (Christophe Michel, 19 Not 20) n° 655
Inventarium über Weÿland der Ehren und Tugendsahmen Frauen Mariæ Sÿbillæ Charotte gebohrner Pierotte auch weÿl. Hn Louis Charotte gewesten Handelsmanns und burgers alhier zu Straßburg nachgelaßene Wittib nunmehro seel. Verlaßenschafft auffgerichtet Anno 1724. – nach ihrem am 16.ten dießes Monaths Novembris genommenen tödlichen hintritt hie Zeitlichen verlaßen Wie solche Verlaßenschafft auf Ansuchen und begehren der Wohl Ehrwürdigen H. Capuciner alhier alß Executores hernach inserirten Testamenti Nuncupativi im Nahmen derselben Mons. Jaque Aubrÿ dero Geÿstlichen Vatters ordnungs mäßig inventirt und ersucht, durch erstgemelten Hn Aubrÿ und frau Mariam Catharinam gebohrner Bardin meister Johann Martin Schillers des geschwornen Holtzlegers und burgers alhier Ehefrau alß welche der Verstorbenen seel wehrender ihrer Kranckheit und biß in ihren todt abgewartet – So beschehen Straßburg d. 29. 9.bris Anno 1724.
In der alhier Zu Straßburg gelegenen bierbräuer behaußung Zum Rooßencrantz genannt und dero inhabenden Gemächern folgender maßen befunden
Sa. haußraths 69, Sa. Vaß und Wein 14, Sa. Silbers 10, Sa. Golden Geschmeids 8, baarschafft 74, Summa summarum 206 lb
Sa. Erstl. H. Johann Michael Schaaden dem biersieder und burger soll mann vor I. Jahr haußzinß 20 (…) Summa 136 lb, Nach solchem abzug, Conclusio finalis Inventarÿ 69 lb
Copia Testamenti nuncupativi – 1724 (…) auff Donnerstag den 16. Novembris Nachmittag Zwischen ein und Zweÿ Uhren in der bier brauer behaußung Zum Rosencrantz alhier Zu Straßburg dero Obern Stube, die fenster auff die Gaß auß sehend (…) persönlich erschienen ist die Ehren und tugendsahme frau Maria Sybilla gebohrne Pierotte, weÿland Hn Louis Charotte gewesten handelsmanns und burgers allhier seel. nachgelaßene Wittib, Kranck und unpäßlichen leibs, dannenhero auff einem bett liegend – Michael Christoph Hoffmann
Les héritiers Mustinger revendent la maison 2 050 livres à Marie Dorothée Rauch veuve Pastorius
1718 (22.6.), Chambre des Contrats, vol. 591 f° 325-v
(2050) Maria Marg: geb. Mustingerin beÿständlich Joh. Reichlin Chirurgi ihres mariti, Item hr. Joh. Caspar Mustinger Med. Dr und Practici, Item Maria Cath: geb. Mustingerin beÿständlich H. Joh. Friedrich Kohl Pfarrers zu Boffzheim ihres mariti
in gegensein Frauen Maria Dorotheæ Pastoriußin wittib geb. Rauchin beÿständlich H. Joh. Reinholdt Dulseckers buchführers ihres Curatoris
d. Mustingerische hauß allhier in der Münstergass mit allen begriffen, weithen, rechten und Gerechtigkeiten, einseit neben Joh. Jacob Bein weinhändler anderseit ist ein Eck ahm schubladen gäßlein vornen gegen H. XV.er Lempen hinten auf die Hammereriche Erben – um 2050 pfund
L’imprimeur libraire Jean Pastorius épouse en secondes noces en 1707 Marie Dorothée Rauch, fille de libraire : contrat de mariage, célébration
Eheberedungs Copeÿ – zwischen dem Wohl Ehrenvest Kunsterfahren und Wohlvorgeachten Herrn Johann Pastorio Buchhändlern undt buchdruckern und burgers Zu Straßburg alß dem Bräutigamb ahne Einem, So dann der Viel Ehren und tugendreichen Jungfrauen Mariæ Dorotheæ Rauchin deß Wohl, Ehrenvest, Fürsichtig vnd Wohlweißen herrn Johann Jacob Rauchen buchhändlers und alten Kleinen Raths Verwanthen auch burger zu Straßburg ehelich erzeugter Tochter alß der Jungfrau Hochzeiterin am andern Theil – Beschehen und verhandelt in der Königlichen Freÿen Statt Straßburg, Donnerstags den 21. Julÿ in dem Jahr des Herrn Anno 1707 [unterzeichnet] Johann Pastorius alß Hochzeiter, Maria Dorothea Rauchin als hochzeiterin – Johann Friderich Marbach, Nots. requis.
Mariage, Temple-Neuf (luth. f° 179, n° 812)
1707. Mitwoch den 17.t Aug. ist nach 2.mähl. Proclamation ehl. copuliert word. H. Joh: Pastorius b. v. buchh. a. wittwer allh. u. J. Maria Dorothea H. Joh: Jacob Rauchen auch b. und buchh. allh. u. E. E. Kl. Raths alh. beÿsitzers ehl. tochter [unterzeichnet] Johann Pastorius als Hochzeiter, Maria Dorothea Rauchin als hochzeiterin (i 178)
Fils d’imprimeur libraire, Jean Pastorius a épousé en 1696 Marie Salomé Hertenstein, fille de juriste et procureur fiscal de la Chancellerie
Mariage, Saint-Pierre-le-Jeune (luth. f° 71)
1696. Domin: XV. et XVI. post Trinit. proclamati sunt H. Johann Pastorius d. Buchhändler v. buchtrucker alhier weÿl. Hrn Johann Pastorÿ geweßenen buchhändlers v. buchtruckers burgers auch beÿ der Kirch Zum Jung. S. Peter Kirchen Pflegers Nachgel. ehl. Sohn vnd Jgf. Maria Salome weÿl. frn. Joh: Heinrich Hertenstein I. U. Doctorandi V. beÿ löbl. Cantzleÿ alhier geweßenen fiscalis Nachgel. ehl. tochter, Copulati sunt Mittw. d. 10. 8.bris [unterzeichnet] Johann Pastorius als Hochzeiter, Maria Salome Herttensteinin alß hochzeiterin, Michael Faust des Hn. Hochzeiters Vogt, Philipp Ludwig Künast der Jgfr. Braut Curator (i 74)
L’imprimeur libraire Jean Pastorius meurt en 1718 en délaissant un fils issu de son premier mariage avec Marie Salomé Hertenstein et trois enfants issus de la veuve
1718 (21.3.), Not. Pantrion (Jacques Christophe, 40 Not 40)
Inventarium und beschreibung aller Haab, Nahrung vnd Güter, so weÿl. der Wohl Ehren Vest, und vorachtbare Herr Johann Pastorius, vornehmer buchtrucker Und Händler, auch burger zu Straßburg nunmehr seel. nach Seinem dinstags den 8.ten Februarÿ Jüngsthin aus dießem mühesamen leben genommenen tödlichen Ableiben Zeitlichen verlaßen (…) durch die Viel Ehren vnd tugendreiche Fraw Mariam Dorotheam Pastoriusin gebohrne Rauchin die hinderlaßene Fraw Witib, mit beÿstand des Wohl Edel, Vest vnd Wohlweißen Herrn Johann Reinhold Dulßeckers, vornehmen buchführers vnd E. E. Kleinen Raths beÿsitzers Ihres geschwornen Curatoris – Actum Straßburg, Montags den 21. Martÿ 1718.
Der abgeleibte Herr seelige hat ab intestato Zu Erben verlaßen 1. Herrn Johann Pastorium noch ledigen handelßdiener, deßen in erster Ehe mit weÿl. frawen Maria Salome gebohrner Hertensteinin seel. ehelich erzeugten Sohn mit beÿstand herrn Johann Daniel Dinckels Seidenhändlers und burgers alhier Seines geschwornen Curatoris, vnd S. T. Herrn Johann Heinrich Hertensteins J. U. Lic. Seines hochgeehrten herrn Vettern vor einen Vierdten theil, So dann
2. 3. et 4. Mariam Dorotheam, Johann Friderich und Johann Daniel Pastorium des in Gott ruhenden Herrn seel. mit eingangs gemelter Seiner hinderlaßenen Fraw wittib ehelich erzeugte Kinder, deren geschworner Curator der wohl Edel, Vest vnd hochgelehrte Herr Johann Hertenstein J. U. Lic. so dießer Inventur in Persohn Zugegen war, vor die übrige dreÿ vierdte theil,
Vnd also sambtlichen des abgeleibten Herrn seel. in Zween Vnderschiedenen Ehen ehelich erzeugter Söhne vnd dochter, vndt ab intestato verlaßene Erben
In einer alhie Zu Straßburg vnder der Großen Erbis lauben gehöriger vnd in dieße Verlaßenschafft gehöriger behaußung, ist befund. word. Wie volgt.
Hültzen vnd Schreinerwerck. Auff der Obersten bühn, Auff der Undern bühn, In der Cammer A, In der Cammer B, Vor dießem Gemach, Auff der Hindern Bühn, In der Cammer D, Im Hindern Stübel, Vor dießem Gemach, In der Kuchen, Im haußöhren, Im Hindern Stübel, Im Holtzhauß, Im Vorderst: haußöhren, Im Laaden, Im Keller
(f° 11) Eigenthumb ane einer Behaußung so der Erben unverändert (E.) Item fünff Sechste theil vor ungetheilt von und ane Hauß, hoffstatt vndt höfflein sambt dem Hinderhauß under der Kleinen Gewerbs lauben (…)
(f° 12) Eigenthumb ane einer bemm&&, so der Fraw Wittib unverändert (W.) Item Hauß, Hoffstatt und Höfflein mit allen deren Gebeüwen, under der Großen Gewerbslauben (…)
(f° 12-v) Eigenthumb ane einem Hauß und liegende güther, in der Ruprechtsau gelegen (W) Item der halbe theil vor ungetheilt an hauß, hoff, Scheür, Ställ und Nebens häußlein, in der Ruprechtsau in der Nideraw im Rad gelegen sambt einem Garten darumb (…)
Ergäntzung der Erben Unveränderten Guths. Vermög eines, über des abgeleibten Herrn seel. in den Ehestand zugebrachte Nahrung, durch weÿl. H. Johann Friderich Marbachen Notarium seel. in Anno 1708: auffgerichteten Inventarÿ
Ergäntzung der Fraw Wittib unveränderten Guther, Lauth des über derselben in den Ehestand zugebrachte Nahrung, durch Herrn Johann Friderich Marbachen Notarium den 4. Junÿ 1712. auffgerichteten Inventarÿ
(f° 42) Nach inhalt des über weÿland Fr. Annæ Ursulæ Rauchin gebohrne Heppin d. fraw Wittib Mutter seel. Verlaßenschafft den 19. Februarÿ Anno 1710. auffgerichteten Abtheilungs Concept ist der Fraw wittib noch weilters Zu ergäntzen
(f° 45) Vermög Inventarÿ über weÿland herrn Johann Jacob Rauchen des Buchhändlers der Fr. wittib Vatters seel. unverändert Verlaßenschafft , so die Fraw wittib allein geerbt, in Anno 1716. auffgerichtet hat man ferners Zuergäntzen
(f° 66) Series rubricarum hujus Inventarÿ. Der Fraw Wittib unverändert Nahrung, Sa. haußraths 125, Sa. leerer Vaß 18, Sa. Silber geschirr und Geschmeids 89, Sa. guldenen Ring 73, Sa. baarschafft 101, Sa. Pfenningzinß hauptgüter 2818, Sa. Schuld 150, Sa. Ergäntzung 1290, Summa summarum 6406 lb
Der Erben unverändert Guth, Sa. haußraths 141, Sa. leerer Vaß 17, Sa. Silbers 79, Sa. guldenen Ring 36, Sa. baarschafft 59, Sa. Pfenningzinß hauptgüter 1310, Sa. behausung 1550, Sa. Ergäntzung 4935, Summa summarum 8130 lb – Schulden 914, Nach solchem abzug 7215 lb
Die Theilbare Verlaßenschafft, Sa. haußraths 169, Sa. frucht 28, Sa. Wein und Vaß 139, Sa. Gutsch 15, Sa. der getruckten Ein: und ohnbundenen büchern Papÿr und anderer wahren Zum buchhandel gehörig 713, Sa. Schiff und geschirrs, bretter, Kästen gegoßnene schrifften, Preßen und dergleich. zum buchtruckereÿ gehörig 261, Sa. Silbers 80, Sa. guldenen Ring 24, Sa. baarschafft 621, Sa. Pfenningzinß hauptgüter 2462, Sa. Schulden 832, Summa summarum 5347 – Schulden 6891, Nach solchem abzug 1544 lb
Sa. Legaten 953 lb, Nach deren Abzug 4717 lb – Verstallungs Summ 12 406 lb
Wÿdumb So der Verstorbene Herr Seel. wegen eingangs gemelts seines Sohns erster Ehe lebtägig in handen gehabt und genoßen
Eheberedungs Copeÿ (…) Straßburg, Donnerstags den 21. Julÿ in dem Jahr des Herrn Anno 1707 [unterzeichnet] Johann Pastorius alß Hochzeiter, Maria Dorothea Rauchin als hochzeiterin – Johann Friderich Marbach, Nots. requis.
Copia Codicilli – 1718 (…) auff Sambstag den 22. Monat tag Januarÿ Abents zwischen Sechs und Sieben uhren der Wohl Ehrenvest und Großachtbahre Herr Johann Pastorius, vornehmer buchtrucker und händler und mit und neben ihme die Viel Ehren undt tugendbegabte Fraw Maria Dorothea gebohrne Rauchin beede Eheleuth und burgere alhier Zu Straßburg (…) Jacob Christoph Pantrion, Notarius publicus juratus ac Ciuis Argentinensis
Marie Dorothée (Rauch) se remarie en 1718 avec le docteur en médecine Jean Samuel Silberrad, fils du pasteur du Temple Neuf
Mariage, Temple-Neuf (luth. f° 312, n° 1334)
1718 Mittwoch den 2. Novembris sind nach Zweÿmahliger Proclamation ehelich copulirt worden H. Johann Samuel Silberrad Med. Doct. et Practicus, H. Samuel Silberrad Treuÿferigen geweßenen Pfarrers in unßerer Prediger Kirch nachgelaßener ehl. Sohn, und fr: Maria Dorothea, weiland Hn Johannis Pastorÿ gewesenen Buchdruckers und Buchbinders allhie hinterlaßene Wittib [unterzeichnet] Joh: Samuel Silberrad als hochzeiter, Maria Dorothea Pastoriußin als hochzeiterin (i 311)
Les nouveaux mariés font dresser l’inventaire de leurs apports dans la maison que l’épouse a acquise peu de temps avant son mariage. Les apports du mari s’élèvent à 1 316 livres, ceux de la femme à 8 125 livres
1719 (21.4.), Not. Mader (6 E 41, 674) n° 300
Inventarium über deß Hoch Edel Vest und Hochgelehrten Herrn Johann Samuel Silberrads, Medicinæ Doctoris et Practici und der Viel Ehr: und tugendreichen frauen Mariæ Dorotheæ Silberradin gebohrner Rauchin beeder Eheleuth v. Burgere allhier Zu Straßburg einander in den Ehestand zugebrachte Nahrung auffgerichtet Anno 1719. – in Ihren ohnlängst mit Gott angetrettenen Ehestand Zugebracht, und Sich vermög der mit einander auffgerichteter Eheberedung vor unverändert vorbehalten haben – So geschehen in der Königlichen Statt Straßburg auff Freÿtag den 21.ten Apr. A° 1719.
In einer in der Statt Straßburg in der Münstergaßen gelegenen der Fr. Dr. Eigenthümlich zuständigen behaußung befunden als volgt.
Ane Höltzen vnd Schreinerwerck. Auff der Bühn, Im Nebens Kämmerl. Im obern Stübel, In der obern Stub Cammer, In der Neuen Stub, Im der nebens Cammer, Im obern fordern Stübel, In der obern Hauß Ehren, In der Studier Stub, Stub Cammer, In der Kuchen, Im Hauß Ehren, In der Stub Cammer, Im Hoff, Im Laden
Eigenthum ane Häußern und Liegenden Güthern, (F.) Erstlichen eine behaußung, Hoff, Hoffstatt samt allen deren Gebäuen, Begriffen, Weithen, Rechten, Zugehörden und Gerechtigkeiten, gelegen in der Statt Straßburg ane der Münster gaßen, eins. neben H. Joh. Jacob Beinen dem Weinhändler und burger allhier, anderseit neben dem sogenandten Schubladen Gäßlein, hinten auff Frau XIII. Mockelin behaußung stoßend, so freÿ leedig und eigen. Darüber besagt ein teut. perg. Kbr. in allh. C. C. Stuben gef. v. m. dero anh. Ins. Verwahret de dato 22. Jun. A° 1718. Dabeÿ noch versch. ält. daselbsten gefertigte Kauffbrieff gebunden.
Item der halbe theil vor unvertheilt ane Hauß, Hoff, Scheür, Stall undt Nebens häußlein, in der Ruprechtsaw in Nideraw im Rad gelegen sambt einem Garten darumb (…)
Series rubricarum hujus Inventarÿ. Des Herrn Doctoris unveränderte Nahrung, Sa. haußraths 120, Sa. Silber geschirrs 55, Sa. goldener Ring 84, Sa. der baarschafft 1050, Summa summarum 1310 lb, Darzu gelegt den haussteuren 5 lb, des Eheherren in die Ehe gebrachte Nahrung 1316 lb
Der Frau Doctorin Vermögen, Sa. haußraths 426, Sa. der Früchten 15, Sa. Weins und d. Lähren Vaß 468, Sa. Silbergeschirrs 24, Sa. Guldenen Ketten, Ring 336, Sa. baarschafft 371, Sa. pfenningzinß hauptgüter 5679, Sa. Schulden 516, Summa summarum 8119 lb – Dazu gerechnet die haussteuren 5 – Der Fraun Vermögen 8125 lb
Marie Dorothée Rauch meurt en 1719 en délaissant trois enfants de son premier mariage et une fille du deuxième. Les experts estiment la maison 1 575 livres. La masse propre au veuf s’élève à 1 454 livres, celle des héritiers à 4 432 livres. L’actif de la communauté s’élève à 1 387 livres, le passif à 1 792 livres
1719 (23. 8.br), Not. Mader (6 E 41, 674) n° 301
Inventarium über Weÿl. der Edlen, Viel Ehr und tugendreichen Frauen Mariæ Dorotheæ Silberradin gebohrner Rauchin, deß Hoch Edel Vest, Hocherfahrenen und Hochgelehrten Herrn Johann Samuel Silberrads, Med: Dris. und berühmten Practici auch burgers allhier Zu Straßburg geweßener Frau Eheliebsten nunmehr seel. Verlassenschafft, auffgerichtet A° 1719. – nach ihrem Montags den 18. 7.br dieses Zu End lauffenden 1719.ten Jahrs beschehenen tödlichen Ableiben Zeitlichen verlaßen, Welche Verlaßenschafft auf freundliches ansuchen erfordern und begehren deß Wohl Edel Vest und Hochgelehrten Herrn Johann Hertensteins J. U. Ltii und breühmten Juris practici auch burgers alhier als geschwornen Tutoris Mariæ Dorotheæ, Johann Friderichs, und Johann Daniel Pastorii der Verstorbenen Fraun seel. mit auch Weÿl. dem Wohl Ehren Vesten, und vorachtbaren Herrn Johann Pastorio, geweßenen Buchtrucker und Buch Händler und burgern allhier ihrem Erstern Ehehern seel. ehel. erzeugter dreÿ Kinder, ferner deß Hoch Edel Vest, Großachtbahr und Hochgelehrten Herrn Abraham Städels J. U. Ddo und gedachter Statt Straßburg Wohlmeritirten Commissarii auch burgers allhier als geordnet und geschworenen Tutoris Margarethæ Salomeæ Silberrad, der Verstorbenen Frauen seel. mit Hoch Edler ermeltem Ihrem hinterbliebeneem Herrn WIitiber ehelich erzeugten Töchterleins aller Vier deroselben Kinder und ab intestato nächster Erben inventirt – So geschehen in Wohlgedachter Statt Straßburg auff Montag d. 23° 8.br. A° 1719.
In einer in der Statt Straßburg ane der Münstergaßen gelegenen in dieße Verlaßenschafft Eigenthümlich gehörigen behaußung befund. worden als volgt.
Ane Höltzen vnd Schreinerwerck. In der Neuen stub, Im obern vordern Stübel, In der Studier Stub, In der Stub Cammer, Auff der bühn, Im nebens Cämmerlein, Im obern Stübel, In der obern Stub Cammer, In der nebens Cammer, Im obern Vordern Stübel, In der Studier Stub, In der Kuchen, Im Hauß Ehren, In der Stub Cammer, Im Hoff, Im Laden
Eigenthum ane einer behaußung. Eine behaußung, Hoff, Hoffstatt und Höfflein, mlit allen deren übrigen begriffen, weithen, Rechten, Zugehörden und gerechtigkeiten, gelegen allhier Zu Straßburg, in der Münster gaßen, 1.s neben Johann Jacob Beinen dem Weinhändler, 2.s. ist ein Eck am Schubladen Gäßl. hinten auff H. D. Hammerers seel. Erben stoßend, so freÿ leedig und eigen und durch der Statt Straßburg geschwornen Werckmeistere Crafft eines unterm 2.ten 9.bris A° 1719. ertheilten Scheins angeschlagen Vor 1575. Darüber besagt ein teutscher pergamentener Kauffbr. in allh. C. C. Stuben gef. vnd mit dero anh. Ins. Verw. de dato 22. Jun. 1718. mit Lit A not.. Dabeÿ noch versch. ält. das. gef. Kbr. gebunden.
(Wÿdums Erben) Itel 5/8.te tthel vor ungetheilt von und ane Hauß, Hof statt v. Höfflein samt dem hinterhauß wie auch einem bronnen unter d. Kl. gew. lauben (…)
Eigenthumb ane einem Hauß und Liegenden Güthern in der Ruprechtsau gelegen (E.) Item der halbe theil vor unvertheilt ane Hauß, Hoff, Scheür, Stall undt Nebens häußlein, in der Ruprechtsaw in Nideraw im Rad gelegen sambt einem Garten darumb (…)
Ergäntzung deß Herrn Wittiber unveränderten Guths. Vermög deß über beeder nu zertrennter Eheleüth Zugebrachte Nahrungen durch Mich vor und nachgemelten Notarium gefertigtern Inventarÿ sub dato 21. Apr: A° 1719
Series rubricarum hujus Inventarÿ. Des Herrn Wittibers unverändert Vermögen, Sa. haußraths 62, Sa. der Bibliothecæ 25, Sa. Silber geschirr und Geschmeids 22, Sa. goldener Ring und Geschmeids 38, Sa. der Schuld ins Erbe 250, Sa. Ergäntzung (1056, Abzug 1, Rest) 1055, Summa summarum 1454 lb
Der Erben unveränderte Nahrung, Sa. haußraths 426, Sa. der Früchten 10, Sa. deß Weins und d. Lähren Vaß 232, Sa. Silber geschirr und Geschmeids 128, Sa. Guldenen Ring und Geschm. 161, Sa. Pfenningzinß hauptgüter 5345, Sa. Eigenthums ane Häußern 1792, Sa. Schulden 2162, Sa. der Ergäntzung ‘836, Abzug 96, Rest) 740, Summa summarum 8999 lb – Schulden 4567 lb, Compensando 4432 lb
Die Theilbare Guth, Sa. haußraths 2, Sa. der früchten 9, Sa. Wein und Lähren Vaß 107, Sa. Silber geschirrs 11, Sa. Pfenningzinß hauptgüter 1075, Sa. Schulden 182, Summa summarum 1387 – Schulden 1792, Solchemnach übertreffen die Theilbare Passiva das Theilbahre Guth um 407 lb
Conclusio finalis Inventarÿ 10 765 lb
Jean Samuel Silberrad se remarie en 1721 avec Marie Barbe Caspary, fille de marchand
Mariage, Temple-Neuf (luth. f° 336, n° 1381)
1721. Mittw. d. 14. Maji sind nach 2. maliger Proclamation ehelich Copulirt und eingesegnet worden H. Joh. Samuel Silberrad Med. Dr. v. Practicus alhier v. Jgfr. Maria Barbara weÿl. H. Joh: Ogier Caspari geweßenen Handelsmanns v. Burgers alhier nachgel. ehl. Tochter [unterzeichnet] Johann Samuel Silberrad Med. Dr. als hochzeiter, Maria Barbara Caspariis als Hochzeiterin (i 335)
Marie Dorothée Pastorius femme du pasteur Ernest Frédéric Behrlin cède sa part d’immeubles à Jean Samuel Silberrad, déjà propriétaire d’un cinquième légué par Marie Dorothée Rauch et d’un deuxième cinquième hérité de sa fille
1727 (1.3.), Not. Humbourg (6 E 41, 45)
Sr Jean Samuel Silberad docteur en medecine d’une part
Sr Erneste friedric Behrlin ministre de fröschweiler en basse alsace et dlle Marie Dorothée Pastorius assistée du Sr Sébastien Dürrbach vitrier
que défunte Marie Dorothée Rauch femme en premières noces du Sr Jean Pastorius imprimeur bourgeois de cette ville et secondes noces dudit Sr Silberad estant décédée en l’an 1719 elle auroit délaisé une maison située en la rue des Pretres dite Munstergass joignant celle de Jean Jacques bein tonnelier bourgeois de d’une part et la petite rue dite Schubladengässel qui est un cul de sac au bout derrière sur celle des héritiers du Sr Hammerer docteur en medecine et devant ladite rue dite Münstergass vis à vis du Poële ou de la tribû dit Steltz, ensemble la moitié d’un bien de campagne situé a la Ruprechsau tenu actuellement par le nommé Heller blanchisseur aux droits de sa femme auparavant veuve de Jean Martin Schwing aussi Blanchisseur (…) Lesquels n’ayant pas encore été partagés et ledit Sr Silberad y ayant deux cinquièmes l’un au moyen du testament reciproque fait entre luy et ladite défunte Marie Dorothée Rauch sa femme et l’autre par droit d’hérédité et succession de Marguerite Salomé son enfant
Behrlin cède au Sr Silberad leur beau père leur 5 parts et portion tant dans la susdite maison que dudit bien de campagne
Jean Samuel Silberrad loue une partie de la maison au perruquier Robert Trudenne
1727 (31.3.), Chambre des Contrats, vol. 601 f° 232-v
H. Johann Samuel Silberrad Med: D. et Pract:
in gegensein H. Robert Trudenne Peruquenmachers und burgers allhier
In seiner ahne der Münstergaß einseit ein eck ahm Schubladen gäßlein anderseit neben Bein dem weinhändler hinten auff Fr: XIII. Mockelin die wittib stoßend gelegenen wohnbehausung, Einen Laden, eine Camin Kammer und zweÿ Cabinets, alles unten auff dem boden, platz im hoff umb holtz zu legen, den kleinen gegen dem Schubladen gäßlein sehenden Keller, gemeinschaftlichen gebrauch des hoffs, bronnens und Bauchkuchen, Ferner zwo stiegen hoch zwo stueben, eine Küche, eine Camin Kammer und eine Stueb Kammer, so dann den unteren Fruchtkammer gegen dem Schubladen gäßel – auff 6 nacheinander folgenden jahren anfangend von Johann Baptistæ fürwährenden Jahrs – um einen jährlichen Zinß nemlich 50 pfund
der verlehner obigiert sich einen offen in den laden und ein Frantzösisches camin in die darneben befindliche Cammer setzen, in dieße letztere einen neuen Fußboden legen und dieselbe täffeln in die laden thür fenster machen und ein neues fenster in derselben durch die Maur gegen dem Schubladen gäßel brechen, So dann in die thür so aus dem laden in das Caminzimmer und in die so auf dießem letztern in den hoff gehet fenster machen zu laßen
Jean Samuel Silberrad loue une partie de la maison au pâtissier manant Jean Duhamel dit Picard et à sa femme Angélique Dimanche
1729 (5.11.), Chambre des Contrats, vol. 603 f° 499
H. Johann Samuel Silberrad Med. D. et pract:
in gegensein Jean Duhamel dit Picard des Schirmers und Pastenbecken und Angelique geb. Dimanche mit beÿstand ihres vettern nahmens Claude Devain des Peruquenmachers und Henry Blanchair des Schneiders (signé) Duhamel, +, deuain, Blanchard
In seiner in der Münster: gaß einseit ein eck am Schubladen gäßlein anderseit neben Peter Bein dem weinhändler hinten auff Fr: XII.rin Mockelin die wittib gelegenen wohnbehausung, Erstlich unten auff dem boden Einen Laden, eine camin Cammer und zweÿ Cabinets, platz im hoff umb holtz zu legen, den kleinen gegen dem Schubladen gäßlein sehenden Keller, den gemeinschafftlichen gebauch des hoffs, Bronnens und Bauchküchen und den alleinigen gebrauch des bachoffens, so der verlehner auff seine cösten zu setzen hat, Ferner zwo stiegen hoch zwo Stuben, eine Camin Kammer, eine andere Kammer, eine Kuchen, so dann den Undern Fruchtkasten gegen gedachten gäßlein – auff 4 nacheinander folgenden jahren anfangend von weÿnachten fürwährenden jahrs – um einen jährlichen Zinß nemlich 130 gulden
Le curateur de l’orfèvre Jean Daniel Pastorius cède son cinquième de maison à Jean Samuel Silberrad
1733 (10.12.), Chambre des Contrats, vol. 607 f° 500
Simon Rickert der Schneider als Curator ad actum Johann Daniel Pastorius des ledigen von hier ausgetettenen goldarbeiter gesellen
in gegensein sein des Curandi Stieffvattters H. Johann Samuel Silberad Med. Doctoris und Practici auch dreÿers hiesigen statt stalls
Erstlich den fünfften theil für ohnvertheilt ahne der proprietate nudâ eines vorder: und hinder haußes hoffs bronnens und hoffstatt mit allen derselben gebäuden, begriffen, weithen, zugehörden, Rechten und gerechtigkeiten ahne der Münstergaß, einseit neben Johann Jacob Bein dem ältern weinhändler anderseit ist ein eck am Schubladen gäßel hinten auff weÿl. Fr. XIII Mockelin geb. Greuhmin erben
Zweÿtens den fünfften theil des ledigen eigenthums ahne der helffte des sogenannten Rauchischen in einem hauß Scheur stallung hoff gartten hoffstatt und ohnfgefähr 20 ackern grundts bestehenden in der Ruprechtsau in der Niederau ohnfern dem wütthshauß zum Jäger gelegenen Landgüthleins, daran die übrige helffte weÿl. Johann Martin Schwingen Bleichers wittib und Erben zugehört – zu seinem bruder Johann Friedrich Pastorius ledigen knopffmachers zum andern dem H. Käuffer zuvorhin zweÿ fünfften theilen für ohnvertheilt,
so dann fünff 24. theil für ohnvertheilt ane einer Behausung bestehend in vorder und hinderhauß höfflein Bronnen und hoffstatt mit sambtlichen dero zugehörden, rechten und gerechtigkeiten unter der Kleinen Gewerbslaub einseit neben H. Philipp Jacob Ströhlin dem Apothecker anderseit neben Johann Martin Roth dem weißbecken hinten auff H Georg Friedrich und erstged. H. Philipp Jacob der Ströhlin beeder gebrüder und Apotheckern apothecker behausung, dem curando zu fünff 24. seinem bruder zu fünff 24. dem H. käuffer zu ebenso viel antheilern und weÿl. Johann Pastorius gewesten buchhändlers und Buchdruckers wittib und erben zu 9. 24.te theilen – um 300 pfund
Les préposés de la Taille font figurer dans leur registre la succession dont l’inventaire n’est pas conservé parce que les impôts acquittés étaient calculés d’après une fortune sous-évaluée de 700 florins (350 livres) sur un total de 6 300 florins
1734, Livres de la Taille (VII 1177), f° 371
Blum F. N. 6444 – Weÿl. H. Johann Samuel Silberrad Med. Doctoris und burgers alhier Verlaßenschafft inventirt H. Not. Kolb.
concl. Fin. Inv. ist fol. 107. 3185. 19. 6. die machen 6300 fl. Verstallte nur 5600 fl. zu wenig 700. fl.
Weilen aber pro 1733. 2000 fl. abgeschrieben so biß dahien Verstallet worden alß ist allein die Zu wenige Verstallung nachzutragen Erkannt worden th. pro 1733. et 1734. à 1 lb 1 ß, 2 lb 2 ß
Extat kein Stallgeltt
Gebott, 2 ß
Abhandlung 3 lb 7 ß 6 d – Summa 5 lb 11 ß 6 d
dt. 26. Januarÿ 1735.
Marie Barbe Caspary loue une partie de la maison à Marguerite Jean, femme du chef de cuisine Charles Jerôme Bain, qui s’engage à former gratuitement les quatre filles de la bailleuse dans le métier de nouveautés
1734 (2.12.), Chambre des Contrats, vol. 608 f° 459
weÿl. H. Johann Samuel Silberrad Med: D. und Practicus Fr. Wittib Fr. Maria Barbara geb. Caspari beÿständlich ihres bruders und Curatoris H. Johannes Caspari des handelsmanns und deren Kinder vogt H. Johann Thomas Römer E.E. großen Raths Proc: und Advocatus ordinarÿ
in gegensein Fr. Margarethæ geb. Jean, Charles Jerôme Bain Premier chef de cuisine de Mgr le Comte de Hanau ehefrau
entlehnt, In derselben ahne der Münstergaß einseit ist ein eck am Schubladengäßlein anderseit neben Peter Bein dem weinhändler gelegenen Behausung unden auff dem boden einen Laden, zweÿ Cabinets, Eine Stube an dem Laden und eine Camin Kammer an derselben, die Bauchküchen umb dieselbe zu ihrer Kuchen zu gebrauchen, doch mit dem vorbehalt, daß die verlehner sich des bauch Keßels zu ihrem waschen so offt sie es nöthig haben werden bedienen können, Ferner den gemeinschafftlichen gebrauch des Bronnens und den kleinen gewölbten Keller in dem hindern hauß, Item zwo stiegen hoch ein klein stüblein und ein klein vorküchlein allwo mann gedachts stüblein einheitzet – auff dreÿ nacheinander folgenden jahren anfangend von jüngst verfloßenen Michaelis, um einen jährlichen Zinß nemlich 82 gulden
anbeÿ verpflichet sich die mitentlehnerin Fr. Verlehnerin vier töchterlein in all dem so zu der galanterie arbeit, davon sie profession macht, gehört, nemlich in verfertig: und steckung der coëffures, palatines, und anderer zur weiber kleÿdung gehörigen stuck, getreulich, ohne einigen entgeldt: und ohne schmälerung obstipulirten zinnßes zu informiren
Le boutonnier Jean Frédéric Pastorius cède à sa belle-mère Marie Barbe Caspary le cinquième qu’il possède de la maison rue du Dôme
1736 (20.11.), Chambre des Contrats, vol. 610 f° 901
Johann Friedrich Pastorius der Knopffmacher
seiner stieffmutter Fr. Mariæ Barbaræ geb. Casparÿn weÿl. H. Johann Samuel Silberrad Medicinæ Doctoris und Practici auch dreÿers hiesiger Statt Stalls hinterlaßenen wittib mit beÿstand ihres bruders und Curatoris H. Johann Caspari handelsmanns
Einen fünfften theil für ohnvertheilt ahne einer Behausung bestehend in Vorder und hinderhauß, hoff und hoffstatt mit allen übrigen deren gebäuden, begriffen, weithen, zugehörden, rechten und gerechtigkeiten ahne der Münster gaß, einseit ist ein Eck ahne dem Schubladen gäßel anderseit neben Johann Jacob Bein dem weinhändler hinten auff H. Lt. Johann Carl Hammerer – als ein von seiner mutter seel. weÿl. Fr. Maria Dorothea geb. Rauchin ererbtes guth zu übrigen vier fünffte theilen aber theils der Fr. käufferin theils ihren mit obged. H. Dre Silberrad erzeugten kindern gehörig seÿe – um 410 pfund
Marie Barbe Caspary loue une cave au brasseur Jean Schueler
1737 (8.8.), Chambre des Contrats, vol. 611 f° 539-v
Fr. Maria Barbara geb. Casparÿn weÿl. H. Johann Samuel Silberrad gewesten Med. D. und Pract. hinterlassenen Fr. wittib beÿständlich ihres bruders und Curatoris H. Johann Casparÿ des handelsmanns
in gegensein Johann Schueler des Bierbrauers zum Roßenkrantz
In ihrer alhier ane der Münster gaß, einseit ist ein Eck am Schubladen gäßlein anderseit neben Johann Jacob Bein dem weinhändler hinten auff das Hammereriche hauß gelegenen behausung, Einen auff die Münstergaß sehenden gewölb, keller sambt denen Liegerlingen – auff 9 nacheinander kommende jahr anfangend auff jüngst verfloßenen Johann Baptist um einen jährlichen Zinß nemlich 9 pfund
Marie Barbe Caspary loue une partie de sa maison au traiteur Nicolas Leclerc et à sa femme Elisabeth Girot
1738 (17.1.), Chambre des Contrats, vol. 612 f° 46-v
Fr. Maria Barbara geb. Casparÿn weÿl. Johann Samuel Silberrad Med. D. et Practici auch alten dreÿers hiesiger Stadt Stalls hinterlassenen wittib mit beÿstand ihres bruders und curatoris H. Johann Casparÿ des handelsmanns
in gegensein Nicolas Le Clair des Traitteur und Elisabethæ geb. Girot
entlehnt, In einer ahne der Münstergaß einseit ist ein Eck am Schubladengäßlein anderseit und hinten auf H. Lt. Carl Hammerer gelegenen behausung, unten auff dem boden Einen Laden, eine daran liegende stueb, Caminkammer und Cabinets, Platz im hoff umb holtz zu legen, den kleinen gegen dem Schubladengäßlein sehenden keller, gemeinschafftlichen gebrauch des hoffs und bronnens, die kuche sambt dem backoffen, jedoch behaltet sich die verlehnerin bevor sich dieselben und des darin befindlichen Bauchkeßels zu ihren jeweiligen waschen ohne hindernuß bedienen zu können, dreÿ stiegen hoch eine kleine bühn, so den eingang durch eine andere der Fr. verlehnerin verbleibende bühn hat, nebst dabeÿ befindlicher unterschlagener bühnen Kammer deren entlehner sich die entlehenere umb einen Knecht aber weder Mägdlein noch kinder darin schlaffen zu laßen bedienen mögen – auff 6 nacheinander kommenden jahr anfangend auf nächststehenden Annunciationis Mariæ, um einen jährlichen Zinß nemlich 45 pfund
[in margine :] hiervorstehend Lehnung auff 9 nachfolgenden auf Annunciationis Mariæ 1744 anfangend prolongirt, welche fernere Lehnung auch begriffen ist ein auf dem zweÿten stock auf die Münstergaß stehendes stüblein welches der Entlehner zu genießen befugt ist, um einen jährlichen Zinß nemlich 250 livres, den 30. julÿ 1743
Marie Barbe Caspary hypothèque le cinquième qu’elle possède de la maison au profit de Jean Wieger, docteur et professeur en droit, chanoine du chapitre Saint-Thomas
1741 (11.3.), Chambre des Contrats, vol. 615 f° 117-v
Fr. Maria Barbara geb. Casparÿn weÿl. H. Johann Samuel Silberrad gew. Med. D. und Practici Fr. wittib beÿständlich H. Johann Caspari des handelsmanns ihres bruders und vogts
in gegensein S.T. H. Johannes Wiegers J.U. D. und Prof. auch Capituli Thomani Canonici – schuldig seÿe 200 pfund
einen fünfften theil vor unvertheilt ane einer behausung bestehend in vorder und hinder hauß, hoff und hoffstatt cum appertinentis ane der Münstergaß, einseit ist ein Eck an dem Schubladengäßlein, anderseit neben Johann Jacob Bein, hinten auff H. Lt. Hammerer stoßend
Autre hypothèque au profit de Jean Thomas Frœlich, receveur de la fondation Saint-Marc
1741 (9.5.), Chambre des Contrats, vol. 615 f° 239-v
Fr. Maria Barbara geb. Casparÿ weÿl. H. Johann Samuel Silberrad Med. Dis. und Practici Fr. wittib beÿständlich H. Johannes Casparÿ des handelsmanns ihres bruders und vogts
in gegensein des Stiffts St Marx schaffners H. Lt Johann Thomas Frölich – 300 pfund
unterpfand, erstens einen fünfften theil und wiederum zweÿ neunte theil ane vier fünfften theilen vor unverändert ane einer behausung bestehend in vorder und hinderhauß hoff und hoffstatt ane der Münstergaß, einseit ist ein Eck ane dem Schubladengäßlein, anderseit neben Heinrich Christoph Schrader, hinten auff H. Lt. Hammerer
Etat de la fortune revenant aux six enfants de Jean Samuel Silberrad après la vente des quatre cinquièmes de la maison
1750 (10. X.bris), Not. Langheinrich (J. Daniel, 6 E 41, 707) n° 45
Summarische Ersuch und berechnung, Alles desjenigen Was Weÿl. S. T. Hn Joh: Samuel Silberrads geweßenen Med: Doct: und Pract: undt wohlverordneten Dreÿers der Statt Straßburg Stalls, auch burgers allhier seel. mit frauen Maria Barbara gebohrner Casparÿin seiner geweßener Ehefrauen ehelich erziehlte und noch lebende Sechs Kinder Vor Vätterlich und ererbt Großmütterlich Guth zuerforderen haben.
Inhalt Summarischen Calculi mit aufgerechneter gewohnlicher beßerung über gedachten Hn Doct. Silberrads seel. Verlaßenschafft d. 10.ten Martÿ A° 1739. durch Hn Notm. Abraham Kolben gefertigt so auch den 9.ten ejusdem Anni beÿ E. E. Großen Rath producirt und den 12.t dito nach Vorher von damahligen wohlverordneten Ober Kinder Vertrags Herren abgestatteter relation Confirmirt worden (…)
Nach deme aber die Ane der Münstergaß allhier gelegene Behaußung Verkaufft worden, so wurde aus denen hiehero gehörigen 4/5.ten theile baar erlößt 4044 lb (…)
Erschienen Jgfr. Maria Barbara Silberradin so majorennis mit beÿstand S. T. H. Johann Anthoni Danners Ambtschreibers Nied. Elßaßischen Rittersch. zu Hochfelden ane einem, So dann eingangs gedachte frau Maria Barbara Silberradin geb. Casparÿin (…) als deroselben geliebte Fr. Mutter – Straßburg auf Sambstag d. 10. Xbris 1750.
Marie Barbe Caspary pour un cinquième et les six enfants de Jean Samuel Silberrad pour les quatre autres cinquièmes vendent la maison 5 055 livres au pâtissier Nicolas Leclerc et à se femme Anne Françoise Sauthier
1746 (20.12.), Chambre des Contrats, vol. 620 f° 1009
Fr. Maria Barbara geb. Caspariin weÿl. H. Johann Samuel Silberrad gewesten Medicinæ Doctoris und Practici wittib mit beÿstand ihres bruders und vogts H. Johann Caspari des handelsmanns und dero annoch lebenden sechs kinder Margaretha Salome, Einbetha, Maria Barbara, Johann Samuel, Johann und Johann Balthasar der Silberrad vogt H. Johann Thomas Römer E.E. großen Raths advocatus und procuratonis ordinarius
in gegensein Nicolas Le Clerc des Pastenebecks und Anne Françoise geb. Sauthier, versteigerung
eine behausung, höfflein, gemeinschaft des bronnens und hoffstatt mit allen deroselben begriffen, weithen, zugehör und rechten ane der Münster gaß, einseit ist ein Eck ane dem sogenannte Schubladengäßlein, anderseit neben Heinrich Christoph Schrader dem handelsmann, anderseit neben Fr. Maria Sidoniam Scheidin geb. Hammererin – als ein respectivé erkaufft und ererbtes guth, um 200 und 300 pfund verhafftet, geschehen um 4555 pfund
Originaire d’Omerville en Vexin dans le diocèse de Rouen, Nicolas Leclerc épouse en 1733 Elisabeth Girot, fille de jardinier ; contrat de mariage tel qu’il est copié à l’inventaire, célébration
Copie du contrat de mariage – Par devant le Notaire juré de la Ville de Strasbourg y demeurant rue de l’arc en Ciel paroisse de Saint Etienne, et les Temoins ci bas Nommés, furent presens le Sieur Nicolas le Clerc, aide de Cuisine et Patissier de Monseigneur le Marcheal du Bourg, fils Majeur d’age de fei Sieur Nicolas le Clerc en son vivant tiserant demeurant au village d’omerville Doyenné de Magny vicariat de Pontoise Diocèse de Roüen et de Damoiselle Catherine le Clerc née Louverniau ses Père et mère pour luy et en son nom (…) d’une part Et Damoiselle Elisabeth Giraut fille de feu Jean Giraut vivant jardinier de feu Monsieur dle Preteur de Klinglin et de Damoiselle Antoine Richard aujourd’hui Epouse du Sieur Robert Gabory, Bourgeois et Mre Boulanger de cette ville (…) d’autre part – Strasbourg ce 12° May 1733 – Jean Christophe Fingado
Mariage, Saint-Etienne (cath. f° 67)
Hodie 6 die mensis Octobris 1733 (…) sacro Matrimonii vinculo in facie Ecclesiæ Conjuncti fuerunt Nicolaus Le Clerc oriundus ex parochia St Martin Loci Domerville in Vexin Diœcesis Rotomagensis et Elisabetha Girau filia defuncti Joannis Girau hortulani dum viveret (signé) nicolas le cler, elisabeth giraut (i 72)
Nicolas Leclerc et Elisabeth Girot deviennent bourgeois quelques jours après leur mariage en s’inscrivant à la tribu des Fribourgeois
1733, 4° Livre de bourgeoisie p. 1003
Nicolas le clerc der Pasteten becker und traiteur von omerville beÿ Magnÿ in Nomandie geb. und sein ehefr. Elisabetha girau Von hier geb. erhalt. d. br. umb den Neuen b. x. wollen beÿ E.E. Zunfft der freÿb. dinen. Jur. et prom d. 26. octob. 1733.
Nicolas Leclerc qui tient auberge devient tributaire chez les Fribourgeois le 25 novembre 1733
1733 (25. 9.br), Protocole de la tribu des Fribourgeois (XI 165)
(f° 151-v) Dienstags den 25.ten Novembris 1733 – Neu Zünfftiger
Nicolas Leclerc der Koch und Traitteur von Ste Martin Omerville beÿ Magny en Normandie gebürtig, so würcklichen eine Würtschaft und Auberge haltet, citiret, umb vermög der Ord. sich Leibzünfftig zu machen.
Ille prod. burger Urkund vom 26.t oct. und 26. Nov. beeder 1733. wie auch Lehrbr. und Abschied, Krafft deßen Er beÿ Monseign. le Marechal Comte Du Bourg alß Patissier und Koch serviret, bittet Recept.
Erkandt, daß derselbe gegen erlag der ord. gebühr der 6 lb 14 ß alß Leibz. Zu recipiren. Ded. et jur. auff d. ordnung
Nicolas Leclerc a l’intention d’abandonner le métier de traiteur qu’il exerçait à l’auberge à la Neuve Ville et de redevenir cuisinier et pâtissier. Il sollicite le droit d’enseigne auprès des Quinze qui le renvoient au corps des pâtissiers. Il présente plusieurs certificats dont celui qui atteste de son apprentissage à Paris chez Pierre Labrier. Il souhaite rester tributaire chez les Fribourgeois pour pouvoir vendre des poulets en croûte et cotiser chez les Boulangers qui refusent en arguant de leur règlement. Les boulangers sont cependant prêts à le recevoir tributaire. La commission estime que le pétitionnaire devrait quitter la tribu des Fribourgeois pour passer à celle des Boulangers, ce que ratifie l’assemblée. Il est en outre autorisé en mai à fabriquer et à vendre des biscuits et des macarons.
1738, Protocole des Quinze (2 R 147)
Nicolas Le Clerc Pastetenbeck Ca. E. E. Zunfft der Becken
pt° Biscuit und Macronen bachen
(p. 116) Sambstag d. 1. Martÿ 1738. Moss nôe Nicolas Le Clerc burgers und bißherigen Traitteurs der will das Würths hauß à la Neuve Ville quittiren und sein Handwerck als Koch und Pastetenbeck treiben, prod. deßen Lehrbrieff und ein attestatum bitt Ihme solches gn. Zu erkauben und eine Taffel vor seinem hauß außhendlen Zu dörffen.
Erk. Vnd der Impl. an das Pastetenbeck handwerck verweißen
(p. 174) Sambstag d. 22. Martÿ 1738. Moss. nôe Nicolas Le Clerc Cit. E. E. Zunfft der Becker Zunfft Mr. prof. Appell. schrifft mit beÿlagen 1, 2 et 3, Römer bitt Cop. und T. ord. Moss. laßt Copeÿ Zu bitt Deput. Romer priora. Erk. Copeÿ und T. Ord. willfahrt.
(p. 190) Sambstag d. 29. Martÿ 1738. Moss. nôe Nicolas Le Clerc Cit. E. E. Zunfft der Becker erhohlt prod. vom 22.ten, Römer Weil gegners petitum wider Articul alß bitt Dep. et Facta relat. gn Manutenenz des Zunfft bescheids ref. Exp.
Moss bitt auch umb Deput. und wie in producto. Erk. Deput. willfahrt.
(p. 220) Sambstag d. 12. Aprilis 1738. Obere Handwerck herren laßen durch herrn Secret. Kleinclaus referiren daß Nicolas Le Clerc der Koch und Pastetenbeck contra E. E. Zunfft der Becker den 22. Martÿ jüngst eine Unterthänige Appellations Schrifft mit beÿlagen Sub N. 1. 2. et 3. producirt, darinnen gehorsambst Vortragend, wie besag beÿld N° 1 /.so ein Extract auß ged. E. Zunfft der Becken protocoll vom 20. Ejusd. er mit seiner bitt umb alß ein gelt Zünfftiger beÿ sothaner Zunfft angenommen Zu werden, abgewiesen worden, Nun aber seÿe seine erlernte profession Pastetenbeck und Koch Zu sein, und Wegen des Kochens seÿe er beÿ dennen Freÿburgern Leibzünfftig, wegen des Pastetenbeckens aber wolle er beÿ erstged. E. Zunfft der Becken Geld Zünfftig werden, und offerire Zu Zahlen was deßwegen an Ihne wurde gefordert werden, seine gedachte profession erweiße er durch der beÿlagen Sub N° 2 et 3 /.N° 2 ist ein Abschied und Certificat von Mgr le Marechal du Bourg, daß er Zeit dreÿ Jahr beÿ hoched. Herrn Marschal alß Cuisinier getrew gedienet, die beÿlag N°3 aber deßen Lehrbrieff auff Pergament daß er die Patisserie Zu Paris 6 Jahr lang beÿ Pierre Labrier wie recht erlernet./ mit demuthiger bitt, Mghh. geruhen wolten Zu erkennen und auszusprechen, daß so Viel nöthig, eine gndgste Dispensation Ihme ex gratia gedeÿen, und er beÿ E. E. Zunfft der Becken als ein Geld Zünfftiger angenommen werden, beÿ E. E. Zunfft der Freÿburger aber Leibzünfftig Verbleiben möge.
Worauff ged. Zunfft geantworttet Gegentheils petitum lauffe schnurstracks wieder Ordnung, anbeÿ umb Deputation gebetten et Facta relatione umb gn. Manutenenz E. E. Zunfft Gerichts Bescheids refusis Expensis.
Beÿ bewilligt und beßeßene Deputation habe der Appellant sein petitum wiederhohlet, mit dem beÿsatz daß La Liberté, Gauthier, Sainte Fois und andere mehr auch nur beÿ denen Becken Geld zünfftig seÿen, wie sie sich dann auch beÿ Ihnen Gelt Zünfftig seÿen, wie er sich dann auch beÿ denen Becken Geld zünfftig machen und beÿ denen Freÿburgern Leibzünfftig bleiben wolle, damit es alß ein Koch neben dem Pastetenwerck dann und wann ein Hünlein Verkauffen dörffe.
Nomine Appellaten seÿe Vorgestanden Hanß Martin Hetzel alß Zunfft Meister, welcher geantwortet, alß wenn Gegner die Zunfft der Freÿburger, mit dem Leib quittiren undt beÿ E. E. Zunfft der Becken Leibzünfftig werden wolle, sie Ihne alß einen Leib zünfftigen anzunehmen nicht erschwehrten.
Auff Seithen der Hh Deputirten Vermeine man, daß Weilen der Appellant die Würtheÿ auffgegeben, und nunmehro weder Würth noch aubergiste seÿe, er nocht nöthig habe beÿ denen Würthen Leib Zünfftig Zu sein, sondern als ein Pastetenbeck beÿ E. E. Zunfft der Becken Leib zünfftig sein solle, die Sententia â quâ Zu confirmiren, undt der Appellant mit seinem begehren abzuweißen seÿe, Refusis Expensis. Die Genehmhaltung Zu Mghh. stellend. Erkandt, bedacht gefolgt.
(p. 321) Sambstag d. 24. Maÿ 1738. Moss. nôe Nicolas Le Clerc b. und patissier prod. Unterth. Mem. umb gn. dispensation Bisquit und Macronen bachen und verkauffen Zu dörffen. Erkand, wird dem Implorant dispensando in seinem begehren ex gratiâ willfahrt.
Nicolas Leclerc quitte la tribu des Fribourgeois en avril 1738
1738, Protocole de la tribu des Fribourgeois (XI 166)
(f° 60-v) den 21. Apr. 1738 – Resignans
Nicolas Leclerc, so Zu Er. E. Zunfft der Becker mit dem Leib undt dießorts mit dem Geldt Zu dienen willens, Erhaltet dato einen gleichen Schein undt Verspricht Jährlichen 6 ß Stubengeldt Zu Entrichten
Elisabeth Girot meurt en mai 1741 en délaissant trois filles. L’inventaire est dressé dans la maison rue du Dôme (voir le bail plus haut). La masse propre au veuf s’élève à 303 livres, celle des héritiers à 1 061 livres. L’actif de la communauté s’élève à 1 189 livres, le passif à 1 237 livres
1741 (20.6.), Not. Koch (Matthias, 6 E 41, 472) n° 181
Inventaire Des Biens delaissés par feüe Dlle Elisabeth Giraut vivante Epouse du Sr Nicolas Leclerc patissier et bourgeois de la ville de Strasbourg dressé l’An 1741 – après sa mort arrivée le 24° du Mois de May dernier. Lesquels biens à la réquisition du Sr Jean Darsy boulanger et bourgeois en cette ville en qualité de tuteur des enfant et heritieres cy après nommées – Fait et passé aud. Strasbourg Mardy le 20° du Mois de Juin de l’année 1741.
La deffunte Dlle Elisabethe Giraut a delaissé pour héritieres ab intestat Scavoir 1. Barbe Leclerc agé de 3 ans, 2. Elisabethe Antoinette agée d’un an, 3. Marie Therese agée d’un Mois, Tous trois enfants et heritiers de la deffunte engendrés avec le Sr Le Clere survivant par egales portions
Meubles Trouvés dans une Maison size rüe de la Cathédrale ou led. Sr Leclerc demeure actuellement sçavoir Dans la boutique
Series rubricarum hujus Inventarii. Le Bien du Veuf, total du remplacement 608, dettes passives 300 livres, reste 303 livres
S’ensuit aussi la description du bien des héritiers, total des habits et linges servant au Corps de la deffunte 149, total de la bague d’or 4, total de la dette active 608, Total de toute la Masse active 1061
S’ensuit Enfin la description du bien de la Communauté, total des meubles 525, total des vins et tonneaux 31, total de l’argenterie 84, total de l’argent comptant 181, total des dettes actives 367, Total de toute la masse 1189 – Dettes passives 1237, Partant il appert que les dettes passives payables sur la communauté excedent ladite Masse de la somme de 148 livres – Somme finale 1221 livres
Copie du contrat de mariage – (…) Strasbourg ce 12° May 1733 – Jean Christophe Fingado
Nicolas Leclerc se remarie avec Claire Bidot : contrat de mariage, célébration
1742 (15.5.), Not. Humbourg (6 E 41, 66)
Contrat de mariage – furent presens le Sieur Nicolas le Clerc maitre patissier Bourgeois de cette ville y demeurant rue du Dome, fils majeur de feu Sr Nicolas le Cler en son vivant maitre Tisserant à Omerville Doyenné de Magny vicariat de Pontoise au diocese de Rouën et de deffunte Catherine Louverniau ses Pere et mere faisant stipulant et agissant pour lui et en son nom d’une part et
Sr Jacques Bido dit La Liberté traiteur aussy bourgeois en cette ville y demeurant rue des Serruriers et dlle Anne Marie Françoise Vogler stipulant pour dem.le Claire Bido leur fille
le futur époux estant veuf de Damle Elizabeth Giraut sa femme en premières noces, Inventaire devant Mathias Koch le 20. juin de l’année derniere deux enfants appelés Elisabeth Antoinette et Marie Thérèse le Clerc décédées en minorité, Barbe Leclerc leur troisième fille encore vivante
[in fine :] 19. juillet que le surlendemain des noces elle etant tombée malade est décédée le 26. juin dernier
Mariage, Saint-Louis (cath. p. 202)
Hodie 5. mensis junii anni 1742 (…) sacro matrimonii vinculo in facie ecclesiæ Conjuncti fuerunt nicolaus Le Clairpistor Dulciaria Civis argentinensis viduus Defunctæ Elisabeth Girau Commorans in prædicta parochiâ Sti Laurentii et joanna Claudia Bidot filia Jacobi Bidot Dicti La Liberté, obsonatoris et Civis argentinensis et Annæ Mariæ Fauglerin Conjugum in hac parochia (signé) le cler, Jeanne Claudine bidot (i 105)
Les préposés de la Taille dispensent Nicolas Leclerc de faire dresser un inventaire des biens de Claire Bidot qui meurt peu de temps après le mariage
1742 (29. Aug.), Livres de la Taille (VII 1179) f° 154-v
Nicolas le Clerc der Traitteur ist weilen Er sehr kurtze Zeit in der Ehe geweßen, mit bewilligung seines Schwähers, der Inventur erlaßen worden.
Nicolas Leclerc épouse en troisième noces Anne Françoise Sauthier : contrat de mariage, célébration à Schirmeck par le frère de l’épouse
1743 (21.6.), Not. Humbourg (6 E 41, 69)
Contrat de mariage – furent presens le Sieur Nicolas le Clerc maitre patissier Bourgeois de cette ville y demeurant rue du Dome, fils majeur de feu Sr Nicolas le Cler en son vivant maitre Tisserant à Omerville Doyenné de Magny vicariat de Pontoise au diocese de Rouën et de deffunte Catherine Louverniau ses Pere et mere faisant stipulant et agissant pour lui et en son nom d’une part et Delle Anne Françoise Sauthier fille majeure d’ans usant et jouissant de ses droits de feu le Sr Caspar Sauthier en son vivant maitre sellier Bourgeois de cette ville et de defunte damle Anne Barbe Thiriet son Espouse stipulant et agissant pour elle d’autre part et en son nom
(…) 4. Le sieur futur époux a declaré qu’après le decès arrivé le 24 mai 1741 de feue damle Elisabeth Giraut sa femme en premières noces, jl fut le 20 juin et jours suivants aud. an fait par Mathias Koch Notaire juré et public de cette ville jnventaire et description des Biens dont leur communauté avoit été composée Et qu’Elisabeth Antoinette et Marie Thérèse le Clerc leurs deux filles étant décédées, il en a hérité les deux portions de leur bien
(…) Fait lû et passé audit Strasbourg le 21 juin 1743 en presence (…) de la part de la Demle future épouse des Sieurs Caspar Sauthier son frere Prêtre curé de Schirmeck et annexes, Joseph Philippe Sauthier aussy son frere Bourgeois mre sellier – Humbourg notaire royal
Mariage, Schirmeck (cath. p. 6)
Hodie 9 mensis Julÿ anni 1743 (…) sacro matrimonii vinculo in facie Ecclesiæ conjuncti fuerunt Nicolaus Leclerc Civis et Pistor dulciarius commorans in Parochiâ Sti Laurentÿ viduus defuctæ Joannæ Claudiæ Bidot, et Anna Francisca Sauthier etiam Civis argentinensis, filia defunctorum Gasparis Sauthier Ephipparÿ et annæ Barbaræ Thiriet conjugum Civium argentinensium commorans in hac Parochia à pluribus annis (signé) le clerc, anne françoise Sauthier, Gaspar Sauthier Parochus in Schirmeck (i 4)
Nicolas Leclerc et Anne Françoise Sauthier hypothèquent la maison au profit de Jean Barthelemy Marié, trésorier des vivres en Alsace
1750 (2.4.), Chambre des Contrats, vol. 624 n° 158-v
Nicolas Le Clerc der pastetenbeck und Anne Françoise geb. Sauthier mit beÿstand ihres bruders Joseph Philippe Sauthier des sattlers und ihres schwagers Pierre Prima des perruckenmachers
in gegensein H. Jean Barthelemy Marié trésorier des vivres de la province d’Alsace, zu abstattung der zufolg kaufverschreibung vom 20. Decembris 1746 schuldig gewesten kaufschilling der 1000 pfund
unterpfand, eine behausung, höfflein, gemeinschafft des bronnens und hoffstatt ane der Münstergaß, einseit ist ein Eck ane der sogenannten Schubladen gäßlein, anderseit neben H. Jacques Rondouin dem handelsmann, hinten auff die Scheidische Fr wittib – als ein den 20. Decembris 1746 erkaufftes guth
Nicolas Leclerc loue une partie de sa cave au boulanger Sébastien Conrad qui cède en 1756 son bail à Jean Stoupe originaire de Plaine
1753 (14. 9.bre), Not. Laquiante (6 E 41, 1002)
Bail de 6 années consécutives a commencer aujourd’hui – Sr Nicolas Le clerc Me patissier
au Sr Sébastien Conrad Me boulanger
environ trois quarts de la cave de sa maison qui luy appartient en cette ville scitué rue du dôme telle que cette partie est séparée et divisée du reste par des lattes – moyennant un loyer annuel de 50 livres tournois
[in margine :] 24. sept. 1756, Sébastien Conrad preneur retrocédé au Sr Jean Stoup bourgeois marchand de Plaine Principauté de Salm, a commencer de ce jour, pour 72 livres (signé) stoupe
Nicolas Leclerc meurt en avril 1781 en délaissant une fille de son premier mariage et deux enfants issus de la veuve. Les experts estiment la maison 1 750 livres. La masse propre à la veuve est de 650 livres, celle des héritiers de 1 648 livres. L’actif de la communauté s’élève à 1 886 livres, le passif à 3 175 livres.
1781 (14.5.), Not. Anrich (6 E 41, 1507) n° 226
Inventarium über Weiland Sr Nicolas Leclerc im Leben gewesenen Pastetenbeckers und burgers alhier nunmehriger Verlaßenschafft auffgerichtet Anno 1781 – nach seinem d. 20. Aprilis jüngst aus dieser welt genommenen tödlichen Hintritt verlaßen hat, Welche Nachlaßenschafft auf ansuchen der hinterbliebenen Wittib Frauen Annæ Franciscæ geb. Sauthier, wie auch der Kinder und Erben – So geschehen alhier Zu Straßburg in einer daselbst ane der Münster Gaß gelegenenen und hernach beschriebenen behaußung in fernerer Gegenwart H. Johannes Hächler des hießigen burgers u. Peruckenmachers als der Wb. hierzu insonderheit erbettenen beÿstandts auf Montag d. 14. Maÿ Anno 1781.
Der verstorbene Sr Leclerc hat ab intestato zu Erben verlaßen 1° Fr. Barbaram Froydevaux geborner Leclerc Sr René Froydevaux des Schreiners und burgers allhier Ehegattin, so unter assistentz dieses ihres Mariti gegenwärtiger Inventur abgewartet hat, diese von dem defuncto in erster Ehe mit längst weiland Frauen Elisabetha gebohrner Giraut ehelich erzielte tochter
2° Frau Annam Barbaram Rambour geb. Leclerc Hn Frantz Rambour des hießigen burgers u. Tapezierers Ehegattin unter verbeÿständung deßelben Zugegen, 3° Herrn Robert Leclerc den ledigen aber Majorennen Silberarbeiter so in Person dieser Inventur abgewartet, dieße beede hat der Erblaßer in Zweÿt. u. letzte Ehe erzeugt mit Eingangs gedachter seiner hinterbliebenen Wittib, Also alle dreÿ Töchter u. Sohn zu dreÿ gleichen portionen und Antheilern rechtsmäßige Erben
Eigenthum an einer behaußung. (T.) Neml. eine behausung in Vorder und Hinder: Gebäud bestehend samt Hof und gemeinschaftlichen bronnen gelegen alhier Zu Straßburg ane der Münster gaß einseit ist ein Eck auf das Schubladen Gäßel anderseit neben H. Marchand dem handelsmann hinten auf H. Weinborn stoßend, Welche behaußung außer dem darauff haftenden hernach eingetragenen passiv Capital freÿ ledig und eigen und durch hießiger Statt geschworne Herren Werckmeistere Vermög deren selben ad conceptum hujus Inventarÿ eingelieferter schriftlicher Abschatzung de dato 16. Maÿ 1781 æstimirt und angeschlagen worden pro 3500 fl. oder 1750 lb. Hierüber besagt ein in hiesiher Cantzleÿ Contract stub gefertigter pergamenten und mit dero anhangendem Insigel verwahrter Kauffbrieff de dato 20.ten Decembris 1746. so mit Lit. A. bezeichnet ist.
– Abschatzung Vom 16.t Maÿ 1781. Auf begeren Weÿland Herr Nicola Lecler dem geweßenen pasteten beck ist Eine behausung alhier in der statt strasburg in der Münstergaß gelegen Ein seÿts Ein Eck auf das schublaten gäßell anderer seÿts neben Herr Marchand dem Handelsmann und hinten auf Herr Weinborn stoßend gelegen, solche behausung bestehet in forder und hinter gebäu worinnen, zweÿ boutiquen ferner befinden sich Etliche stuben Küchen und Kammeren darüber seÿn die dachstühl mit breidzigel belegt hat auch zweÿ gewölbte Keller, Hoff und gemeinschaftlichen brunnen. Von uns unterschriebenen der statt strasburg geschwornen Werckmeister und Vorhero geschehener besichtigung mit aller jhrer gerechtigkeit dem jetzigen wahren werth nach Estimirt und angeschlagen worden Vor und um Dreÿ tausend fünff Hundert gulden [unterzeichnet] Hueber, Kaltner WMstr
Ergäntzung der Frau Wittib wehrender Ehe abgegangen ohnveränderten Guth (…) It Lauth der Ehe Contract (…) passirter Donationis inter vivos hat der dißortigen Fr. Wb. Bruder Hr Caspar Sauthier Pretre Recteur de la paroisse de Schirmeck Ihro Schanckungs Weiß verschrieben 200 lb. Item zufolg Extrait du testament de feu Mr Sauthier chanoine et Curé d Saverne (…) Davon ist wieder in Abzug Zu briengen zufolg Ehe Contract zwischen Sr René Froÿdevaux und dessen Ehefrauen Barbene Leclerc vor Hn Not° René unterm 27. Octobr. 1760. (…) It. diejenige Summ so ihro Frauen Froÿdevaux wegen ererbten Effecten aus der succession weÿl. Frauen Antoinette gebohrener Richard Sr Jean Girand des Gärtners Ehegattin als derselben Großmutter erblich Zugefallen mit 55 lb
Series rubricarum hujus Inventarÿ. Der Frau Wb. ohnverändert Vermögen, Sa. Schulden 150 lb, Sa. Ergäntzung 500 lb, Summa summarum 650 lb
Diesemnach wird auch der Kinder und Erben ohnverändert Guth beschrieben, Sa. Kleidung 10 lb, Sa. Ergäntzungs Rest 1788 lb, Summa summarum 1798 lb – Schuld 150 lb, Detrahendo 1648 lb
Endlich wird auch die gemein verändet und theilbare Mass beschrieben, Sa. Hausraths 64 lb, Sa. Eigenthums ane einer behausung 1750 lb, Sa. der baarschafft 72 lb, Summa summarum 1886 lb – Schulden 3175 lb, Compensando 1288 lb – Stall summ 1010 lb
Contrat de mariage (…) Fait lû et passé audit Strasbourg le 21 juin 1743 Humbourg
Les héritiers cèdent la maison à leur sœur aînée Barbe Leclerc femme du menuisier René Froydevaux
1781 (14.7.), Not. Anrich (6 E 41, 1507), Joint au n° 226
Summarische berechnung wie auch Vergleich: Abhandel: und Erörterung über weil. Hrn Nicolas Leclerc Pastetenbeckers Verlaßenschafft, so nach Anleitung des am 14. maÿ jüngst darüber errichteten Inventarÿ
(…) persönlich kommen und erschienen Frau Anna Francisca Leclerc geborne Sauthier vorermeldeten Hrn Nicolas Leclerc
Zurückgelaßene Wittib beÿständlich Hrn. Johannes Hechlers des hiesigen burgers und Perruckenmachers, so dann Fr. Anna Barbara Rambour gebohrne Leclerc Hrn Frantz Rambour des von hier abweßenden burgers und tapezierers in Bonis geschiedene Ehefrau von Hrn Johannes Käßhammer dem schreinermeister und Exsenatoris hieselbsten Verbeÿstandet, und Hr Robert Leclerc der ledige aber majorenne Silberarbeiter dahier, letztere beede des abgstorbenen Hrn Nicolas Leclerc mit Vorernannter deßen hinterbliebener Wittib in zweÿter Ehe erzeugte Kinder, dieße haben
in gegensein Hrn René Froydevaux des Schreiner meisters und burgers allhier und fraun Barbaræ geborner Leclere deßen Ehegattin und des defuncti in erster ehe mit längst weiland fraun Elisabetha gebohrner Giraut erzeugter tochter (cedirt und überlaßen)
benantlichen die in mehr ernannten Hrn Nicolas Leclerc Verlaßenschafft gehörige und zwischen denen Parthen beÿ der am 10. hujus darüber vorgenommenen Abtheil: und Erörterung ohnvertheilt gelaßene behausung in Vorder und hinder: gebäud bestehend samt hoff und gemeinschaftlichen bronnen gelegen allhier zu Straßburg an der Münster gaß, einseit ist ein Eck auf das Schubladen gäßel, anderseit neben Hrn Marchand dem handelsmann, hinten auff Hrn Weinborn stoßend, an welcher behaußung Froydevauischer Ehefraun der mit cessionnariæ selbsten auch ein sechster theil Vor ohnvertheilt Zuständig – um 11 500 livres oder 5750 gulden – Straßburg den 14. Julÿ Anno 1780
Fils de menuisier, René Froidevaux épouse Barbe Leclerc en 1760
René Froidevaux loue une partie de la maison au cabaretier Jean Georges Lobstein qui cède l’année suivante ses droits au cafetier Jean Daniel Bay
1782 (12.2.), Not. Lacombe (6 E 41, 185) n° 23
Bail de trois années consecutives à commencer à l’Annonciation de Notre Dame prochain – Sr René Froidevaux menuisier
au Sr Jean Georges Lobstein cabaretier
Le rez de chaussée de la maison appartenant au Sr bailleur en cette ville rue des prêtres, d’un côté la rue du tiroir d’autre le Sr Marchand, Plus et de même le premier étage de lad. maison le tout en entier et sans exception, une cave et partie d’une seconde regnant sous ladite maison, deux chambres au premier grenier et enfin l’usage commun des greniers et autres commodités de ladite maison
1. le Sr Bailleur sera tenu de faire oter a ses frais une cloison qui se trouve au premier étage et dont l’appartement servira au Sr prenneur pour une sale de billard – moyennant un loyer annuel de 700 livres tournois
[in fine :] 21 mars 1783, cédé à M Jean Daniel Baÿ Caffetier à compter de la Notre Dame 25 courant
26 septembre 1783 résiliation entre Froidevaux et Bay
René Froidevaux loue une partie de la maison aux pâtissiers Jean Louis Jourdain et François Doyen
1792 (14.1.), Strasbourg 1 (1), Not. Lacombe
Bail de 5 années qui commencent a courir le 20 du présent mois – Sr Réné Froydevau maître menusier
au Sr Jean Louis Jourdain Cit. Patissier et François Doyen aussi patissier
un logement dans la maison du Sr Bailleur sise en cette ville Rue du Dôme N° (-) consistant en deux chambres au second étage donnant sur la rue devant de lad. maison en une grande Boutique donnant au Rez de chaussée une sale au fond de lad. boutique avec un cabinet a droite et un poel dans a sale du fond de la même Boutique, Plus une cave donnant sur le derrière de la Cour un bucher dans ladite cour et un four Dans le fond de la même cour, Plus un petit Cabinet au Grenier Plus et enfin l’usage commun des Greniers Cour Buanderie et Latrines – moyennant 12 louis
[in margine :] le 21. nov. 1792 se retire du bail
Barbe Leclerc meurt en 1802 dans sa maison rue du Bouclier en délaissant trois filles
1802 (19 pluviose 10), Strasbourg 9 (anc. cote 13), Not. Bossenius n° 151, 957
Inventaire de la succession de feue Barbe Leclerc épouse du Cit. René Froydevaux Ebéniste, à la requête du veuf d’une part, Jeanne Barbe Froydevaux, Anne Barbe Froydevaux et Marie Françoise Froydevaux les trois majeures héritières de leur mère décédée le 23 frimaire dernier
dans la maison appartenante à la succession sise rue du Bouclier N° 1
meubles, marchandises 9865 fr
Maison, Une maison consistant en bâtiment du devant et du derrière Cour très fonds avec toutes ses autres aisances appartenances et dépendances sise en cette ville de Strasbourg rue du bouclier N° 1, d’une part le Sr Cit. Jean dür sellier, d’autre le Cit. Lung Notaire, derrière la propriété du Sr Boulach, rapportant Le rez de chaussée servant tant pour le logement que pour l’attelier et Magasin a l’usage du veuf et des enfants 200 francs, Le premier Etage qui est dans ce moment vuide 150 fr, Le second étage occupé par la fille ainée et cohéritiers dont une partie inhabitable 50 fr, Le bâtiment du derrière servant aussi pour Magasin 80 fr, ensemble 480 fr en capital 9600 fr, acquis par acte passé à la Chambre des contrats le 25 octobre 1766
total 19 465 fr, passif 2238 fr, Déduction faite 17 227 fr
Enregistrement de Strasbourg, acp 83 F° 113-v du 23 pluv. 10
René Froidevaux et Barbe Leclerc passent devant notaire la vente conclue devant le juge de paix au profit du pâtissier Charles Lecerf
1798 (21 prairial 6), Strasbourg 2 (10), Not. Knobloch n° 138
Cit. René Froidevaux menuisier et Barbe née Leclerc, qu’ayant fait procéder au greffe de la justice de paix du troisième arrondissement de cette ville à l’enchere d’une maison et dépendances appartenant aux susdits conjoints suivant procès verbal d’enchere et dattés des 6, 14, 21, 18 floreal et 12 prairial, qu’a la derniere enchere personne n’ayant voulu surencherir, elle a été adjugée au
Cit. Charles Lecerf patissier
une Maison scise à Strasbourg rue du Dome N° 8, d’un côté le Cul de sac dit du tiroir d’autre le Cit. Vautrin Negociant parderrière le C. Weinborn avec maison de derrière cour deux Caves Voutées puit deux Boutiques et deux Entrées appartenances et dépendances, acquis suivant Cession passée devant Anrich not. en cette ville le 14. juillet 1781 de la veuve et héritiers du deffunt Nicolas Leclerc patissier a Strasbourg, acquis de la manière exprimée en ladite Cession – moyennant 15 600 livres
Enregistrement de Strasbourg, acp 61 F° 98-v du 16 pr. 6
Originaire de Sainte-Marie-la-Robert en Normandie, Charles Le Cerf épouse Barbe Schmitt à Blieskastel en Sarre : contrat de mariage tel qu’il est copié à l’inventaire
Eheberedung – der herr Charles Le Cerf zu Ste Marie la Robert in der Normandie gebürtig des H. Charles Le Cerf und Françoise Boche ehelicher Sohn, und frau Barbara geb. Schmitt dahier zu Bliescastel gebürtig eine tochter des verstorbenen herrn johann Baptiste Schmitt und Anna Maria geb. Kleinin seine des Herrn Le Cerf dermalige Fr. Eheliebstin der den 3.t dieses laufenden Monats und jahr erfolgte priestliche Einsegnung – Bliescastel den 9. junÿ 1784
Inventaire après décès d’un locataire, le monnayeur Jean Baptiste Grilliet
1798 (1° mess. 6), Strasbourg 3 (20), Not. Übersaal n° 561
Inventaire de la succession de feu le Cit. Jean Baptiste Grilliet Monnoyeur a Strasbourg après son décès arrivé le 14 floreal de la 6 année
à la requête du Cit. François Joseph Lelarge dit Vernicour Négociant en qualité de tuteur à Marie Cécile Grilliet seule fille du défunt née le 7 prairial 6 procréé avec la veuve la Cit. Marie Marguerite Joséphine Lelarge dite Vernicour
dans une maison rue du Dôme N° 8 appartenant au Cit. Lecerf Patissier
meubles 227 livres, passif 298 livres, reste 71 livres
Enregistrement de Strasbourg, acp 61 F° 122 du 2 mess. 6
Barbe Schmidt meurt en 1802 en délaissant un fils
1802 (4 frimaire 11), Strasbourg 2 (18), Not. Knobloch n° 1532
Inventaire de la succession de Barbe née Schmidt épouse du Cit. Charles Le Cerf Patissier décédée le 28 messidor dernier – à la requête du veuf
Dénomination des héritiers, Jean Auguste 13 ans pour lequel le C. Joachim Bonaventure Bloy, Employé des Subsistances demeurant en cette ville, subrogé tuteur
habits linge bijoux 361 fr
succession, meubles 715 fr, argenterie 102 fr
Immeuble. Une Maison située en cette ville Ruë du Dome N° 8 d’un côté cul de sac dit du tiroir d’autre le Cit. Vaultrin Négociant derrière veuve Weinborn devant lad. rue, estimée 9000 francs
total général 10 178 fr, passif 3771 fr
Eheberedung (…) Bliescastel den 9. junÿ 1784
Enregistrement de Strasbourg, acp 86 F° 46 du 4 frim. 11
Charles Lecerf meurt à son tour en 1806
1806 (7.6.), Strasbourg 2 (24), Not. Knobloch n° 2919
Inventaire de la succession de Charles Lecerf, propriétaire, décédé le 28 mai 1806 – à la requête de Joachim Bonaventure Bloy, ancien employé des subsistances, en qualité de tuteur de Jean Auguste Lecerf, âgé de 16 ans, seul et unique héritier procréé de feu Charles Protais Lecerf propriétaire et cidevant patissier et de défunte Barbe née Winter – montré par Rosine Parcaut Gouvernante d’icelui (signé) barcaut
en la maison mortuaire appartenante audit défunt sise rue du Dome marquée du n° 8
meubles, garde robe, dettes actives (40) 897 francs
Immeuble, Une maison avec Cour appartenances et Dépendances sise en cette ville rue du Dôme marquée du n° 8, d’un côté le cul de sac dit du Tiroir, d’autre le Sr Vaultrin Négociant, derrière le Sr Weinborn, avec Maison de derrière Caves voutées et autres aisances appartenant a ladite succession par acte devant le soussigné le 21 prairial 6 – occupée Savoir Le rez de chaussée par les Sr Leichendecker cordonnier et Secker Marchand farinier pour un loyer de 250 fr, Le premier occupé tant par le Sr Riehlé tailleur que par le défunt 150 fr, Le second occupé par Hauswalt et Chamberti 100 fr, total 500 fr de revenu en capital 10 000 fr
total général 10 897 fr, passif 2938 fr, reste 7958 fr
Codicille, Me Laquiante le 15 mai 1806, dans une chambre au premier étage donnant sur la cour de la Maison a lui appartenante rue du Dôme n° 8 – à Rosine Parcaut native de Strasbourg sa servante
Décès, Strasbourg (n° 1738)
L’an 1806 le 29° jour du mois de Mai (…) que Charles Protais Lecerf, agé de 57 ans 6 mois ancien patissier, natif de Vieux pont, fils légitime de feu Protais Lecerf, Cultivateur et de feue Françoise Boche, veuf de Barbe Schmidt, est décédé hier 28 mai (i 216)
Enregistrement de Strasbourg, acp 100 F° 11 du 16.6.
Jean Auguste Lecerf vend la maison 19 200 francs à Bernard Bérot, professeur à la faculté de médecine
1812 (11.4.), Strasbourg 15 (15), Not. Lacombe n° 2493
Joachim Bloy rentier mandataire de Jean Auguste Lecerf commis aux droits réunis a Mulhausen Haut Rhin
à Bernard Bérot professeur à la faculté de médecine
une maison sise à Strasbourg rue du Dôme n° 8 consistant en maison de devant, de derrière, cour, deux caves voutées, puits mitoyen, boutique, appartenances et dépendances, d’un côté le cul de sac dit du tiroir, d’autre le Sr Simon dessinateur, derrière le Sr Pick négociant – héritée de Charles Lecerf dont il est l’unique héritier, son père l’a acquise de René Froidevaux et Barbe Leclerc par acte passé devant Knobloch le 21 prairial 6 – remis procès verbal d’enchère qui ont précédé le contrat par devant Remond juge de paix, titre d’acquisition de décembre 1746, certificat di notaire Anrich concernant la liquidation des sommes de la succession de Nicolas Leclerc, le 21 prairial 6 – moyennant 19 200 francs
Enregistrement de Strasbourg, acp 119 F° 108 du 14.4.
Originaire de Bagnères dans les Hautes-Pyrenées, Bernard Berot épouse en 1804 Justine Françoise Louise Olinet, fille de négociant
1804 (28 vend. 13), Strasbourg 10 (32), Not. Zimmer n° 330, 2148
Contrat de mariage – Sr Bernard Berot, Docteur en Medecine et Professeur à l’Ecole speciale de medecine a Strasbourg, fils du Sr Jean Berot, Propriétaire demeurant a Bagnères Département des hautes Pyrenées, et de De Anne Lias
Dlle Justine Françoise Louise Olinet, fille mineure du Sr Louis Olinet, Négociant, et de De Madeleine Justine Hirn
Enregistrement de Strasbourg, acp 94 f° 71 du 1 brum. 13
Inventaire après décès d’un locataire, le ferblantier Jean Louis Valentin
1830 (2.9.), Strasbourg 2 (70), Me Weigel n° 6675
Inventaire de la succession de Jean Louis Valentin, ferblantier, décédé le 26 août dernier – à la requête de I. Georges Philippe Valentin, juge de Paix du canton nord de la ville y demeurant savoir 1. Georges Benoit Valentin, licencié en droit avoué près le tribunal civil, secrétaire en chef de l’administration des hospices civils, 2. Thérèse Valentin, marchande de pen*, 3. Antoine Valentin, tailleur d’habits domicilié à Strasbourg demeurant à Paris, 4. Felix Valentin, domicilié à Strasbourg demeurant à Paris, ce dernier représenté par Georges Louis Frédéric Grimmer notaire,
II. Thérèse Valentin épouse de Georges Ley, commissonnaire, III. Catherine Julie Valentin veuve de Sébastien Cosme Fanette*, anc employé décédé à Saverne,
IV. les enfants de Marguerite Valentin veuve de Jean Jacques Reiss savoir 1. Marguerite Reiss, servante, 2. Jacques Reiss, armurier à un régiment au service de France, VI. François Joseph Valentin, employé aus hospices civil, seuls et uniques héritiers de leur frère et oncle
en la maison où est décédé le decujus rue du Dome n° 8
masse active purement mobilière, dans un cabinet à côté de la boutique, dans la chambre à coucher, dans la boutique, dans le magasin
outils 1184 fr, argent 539 fr, créances actives 536 fr, immeubles néant, total 2260 fr, passif 159 fr
Bernard Berot meurt en 1832 en délaissant trois enfants
1832 (12.4.), Strasbourg 6 (55), Me Triponé n° 2622
Inventaire de la succession de Bernard Berot, docteur en médecine et professeur à la faculté de médecine, décédé le 21 mars dernier – à la requête de I. Justine Françoise Louise Olinet le veuve, II. Françoise Louise Eugènie Berot, majeure, III. Joseph Bernard Edouard Berot, employé à l’administration des tabacs, IV. Louis Antoine Auguste Berot, candidat en médecine, ces trois derniers enfants
dressé en l’étude rue de la Nuée Bleue n° 8
Titres de la maison rue du Dome n° 8, vente passé devant Lacombe le 11 avril 1812, acquise de Jean Auguste Lecerf, commis des droits réunis à Mülhouse, une maison avec dépendances sise à Strasbourg rue du Dôme n° 8, d’un côté l’mpasse dit du Tiroir, d’autre Simon dessinateur, devant la rue du Dôme, derrière la maison de Xavier Mertian, évaluée 19 200 fr,
meubles 570 fr, linge 274 fr, linge de corps 96 fr, bibliothèque 1195 fr, totalité 2135 fr
contrat de mariage reçu Zimmer le 28 vend. 13
créances actives 50 580 fr, total général 71 915 fr, passif, frais d’Inventaire, reprises total général 44 005 fr
Enregistrement de Strasbourg, acp 209 F° 137-v du 20.4.
Eugénie Louise Françoise Bérot épouse en 1832 Joseph Victor Descolins
1835 (19.2.), Strasbourg 6 (58, nouv. cote 60), Me Triponé n° 3256
Contrat de mariage, communauté réduite aux acquets – Joseph Victor Descolins, juge d’instruction au Tribunal Civil de de Première Instance de Befort, fils de Joseph Michel Descolins, ingénieur des Ponts et Chaussées, et de Jeanne Françoise Georgine Ecoffet
Eugénie Louise Françoise Bérot, fille majeure de Bernard Bérot, professeur à la faculté de médecine, et Justine Louise Françoise Olinet
Enregistrement de Strasbourg, acp 230 F° 95 du 26.2.
1835 (19 fév.) Consentement – Justine Hirn veuve de Louis Olinet, négociant, au mariage d’Eugénie Louise Françoise Berot sa petite fille
Strasbourg, Me Triponé, Consulté Enregistrement de Strasbourg, acp 230 F° 64 du 19.2.
Les héritiers Bérot vendent le maison 15 500 francs au lithographe Frédéric Emile Simon fils (dont le père est propriétaire de la maison voisine)
1836 (21.9.), Strasbourg 7 (91), Me Stoeber n° 17 002
1. Joseph Bernard Edouard Bérot, propriétaire, 2.Louis André Auguste Bérot, docteur en médecine, se portant fort de Françoise Eugénie Louise Bérot épouse de Joseph Victor Descolins, juge d’Instruction au Tribunal de Belfort
à Frédéric Emile Simon fils, lithographe
1. Désignation de l’immeuble vendu, une maison avec petite cour, maison de derrière, pompe mitoyenne, appartenances et dépendances située à Strasbourg rue du Dôme n° 8, d’un côté la rue du Tiroir, d’autre la propriété de M Simon père, devant la rue, derrière la propriété de M Mertian. 2. Origine de la propriété, de la succession de leur père Bernard Bérot, professeur à la faculté de médecine en cette ville, dont ils sont seuls et uniques héritiers pour un tiers chacun, qui l’avait acquis sur Jean Auguste Lecerf, commis des droits réunis à la résidence de Mülhausen (Haut Rhin), par acte reçu Lacombe le 11 avril 1812 transcrit au bureau des hypothèques volume 65 n° 66, ldit Lecerf en est devenu propriétaire comme héritier de Charles Lecerf son père dont il était seul et unique héritier, le Sr Lecerf père l’a acquis sur Réné Froidevaux, menuisier, et Barbe Leclerc par acte reçu Knobloch le 21 prairial 6, propriété établie par procès verbal dressé par feu M. Rémond juge de Paix, acquis en décembre 1746, certificat de Me Anrich portant liquidation dela communauté le 21 prairial 6 – moyennant 15 500 francs
Enregistrement de Strasbourg, acp 244 F° 5 du 24.9.
Frédéric Emile Simon épouse en 1837 Julie Wilhelmine Knoderer : contrat de mariage, inventaire des apports
1837 (27.4.), Strasbourg, Me F. Grimmer – (minutes en déficit)
Contrat de mariage, communauté réduite aux acquets – Frédéric Emile Simon, lithographe
Julie Wilhelmine Knoderer fille de Philippe Jacques Knoderer, propriétaire, et de Marguerite Louise Scholl
Enregistrement de Strasbourg, acp 249 F° 85-v du 5.5.
1838 (24.1.), Strasbourg, Me F. Grimmer – (minutes en déficit)
Inventaire des apports de Julie Wilhelmine Knoderer femme de Frédéric Emile Simon, lithigraphe, contrat de mariage Me F. Grimmer en date du 27 avril 1837
Enregistrement de Strasbourg, acp 256 F° 79 du 1.2.
Julie Wilhelmine Knoderer meurt en juin 1851 en délaissant trois enfants
1851 (30.10.), Me Zeyssolff, minutes en déficit
Inventaire de la communauté de biens qui a existé entre Frédéric Emile Simon, imprimeur lithographe à Strasbourg et Julie Wilhelmine Knoderer son épouse décédée le 10 juin 1851 et de la succession de cette dernière, dressé à la requête du veuf, agissant comme commun en biens en vertu de son contrat de mariage reçu Grimmer Nre le 27 avril 1837 et comme père et tuteur naturel de Julie Louise, Jules Emile et Marie Emelie Simon issus du mariage avec son épouse défunte
Communauté, mobilier estimé 4401
Succession, garde robe estimée 2231 francs
acp 404 (3 Q 30 119) f° 62-v du 5.11. Zeyssolff (succession déclarée le 9 Xbre 1851 n° 501)
(suite du 5 novembre) communauté, mobilier estimé y compris ceuid e la précédende vacation à 34 162 francs
acp 405 (3 Q 30 120) f° 43-v du 8.12. Zeyssolff 27.11.
(suite du 29 novembre, 1°, 2, 4, 5 et 8 décembre) extances diverses 67 975, argent en caisse 2549, créances hypothécaires 29 235
Immeubles 1) 55 ares 44 terres en huit parcelles ban de Dorlisheim
2) 3 ha 25 ares 11 terres en 25 parcelles ban de Dachstein
3) 5 ares 28 vignes im Bitzen ban de Wolxheim
4) 3 ha 1 ares 63 terres prés et vergers en 59 parcelles ban de Geispolsheim
5) 2 ha 39 ares 81 terres en 30 parcelles ban de Westhausen
6) une maison à la Robertsau canton Grossguth
7) 4 ares 65 terres ban de Strasbourg canton Rubenfeld
8) un jardin ban de Strasbourg canton Schultzengarten
9) un jardin ban de Strasbourg de 25 ares canton gegend bei Schultzengarten
créances chirographaires 1000
une action de 500 francs sur le comptoir national
ving obligations de 500 francs chacune sur la ville d’Obernai
Passif de la communauté 2716 passif de la succession 1465, remploi que la succession a a exercer contre la communauté 37 454, remploi que le veuf a a exercer sur la communauté 554
(f° 46-v du 9.12. Zeyssolff 29.11)
Comptes de tutelle rendus à Julie Louise Simon et à Jules Emile Simon
1863 (11.9.), Strasbourg 8 (75), Not. Gustave Edouard Loew n° 621
Arrêté de compte de tutelle rendu par Frédéric Emile Simon, imprimeur lithographe Chevalier de la Légion d’Honneur
à Julie Louise Simon sa fille célibataire à Strasbourg par acte s.s.p. en date du 29 août 1863 enregistré ce jourd’hui, duquel il résulte un reliquat actif au profit de Mlle Simon de 33 839 francs qu’elle reconnaît avoir reçu dont quittance
acp 525 (3 Q 30 240) f° 9-v du 12.9.
1866 (28.7.), Me Loew
Dépôt Compte de tutelle par Frédéric Emile Simon, lithographe
à Jules Emile Simon, lithographe à Strasbourg
1) le compte en date du 4 juillet 1866 enregistré ce jourd’hui, 2) le récépissé dudit compte en date du 14 juillet 1866
arrêté du dit compte à la somme de 30 659 francs que M Simon fils reconnaît avoir reçu de son père au moyen de ce paiement le Sr Simon fils donne décharge à son père de sa gestion
acp 551 (3 Q 30 266) f° 122 du 2.8.