Jean Adam Schwartz, secrétaire, et (1640) Marie Elisabeth Bischoff – luthériens
Fils du notaire Georges Schwartz, Jean Adam Schwartz épouse en 1640 Elisabeth, fille du directeur de la Monnaire Balthasar Bischoff. Les Quinze le nomment mandataire adjoint à la Monnaie le 6 septembre 1642 puis secrétaire à la Tour aux deniers le 4 janvier 1643. Comme il est souvent malade et qu’il ne peut plus s’acquitter de ses fonctions, les Préposés au bâtiment proposent en 1645 une mutation qui a lieu le 23 novembre 1649. Il reprend alors les fonctions de Jean Philippe Cuntzmann en devenant secrétaire de la manance et des mutations.
Jean Adam Schwartz meurt en délaissant sept enfants. Ses héritiers demandent en 1652 de s’acquitter d’un reliquat de compte par un capital placé à la Tour aux deniers. La veuve demande en 1688 une assistance pour entretenir les enfants de sa fille Rosine, abandonnés par leur père. Elisabeth Bischoff meurt à l’âge de 70 ans le 11 septembre 1688.
Maison en propriété
Place des Cordeliers (IV 251, ensuite 16, place Kleber)
Enfants
- Elisabeth, épouse (1664) Jean Welper, imprimeur
- Marguerite, épouse (1668) Jean Jacques Schreiber, receveur
- Rosine, épouse (1667) Jean Jacques Wildermuth, marchand épicier puis (1676) Jean Philippe Beck, organiste
- Catherine Salomé, épouse (1694) Jean Tscherning, relieur
- Esther, célibataire
Fils du notaire Georges Schwartz, Jean Adam Schwartz épouse en 1640 Elisabeth, fille du triumvir de la Monnaire Balthasar Bischoff
Mariage, cathédrale (luth. p. 431)
1640. H. Johannes Adamus Schwartz, H. Georg Schwartzen deß Notarÿ vndt Procuratoris beÿm Stattgericht allhie nachgelaßener Ehelicher Sohn, Vnd Jungfraw Elisabetha H. Balthasar Bischoffs der Müntz allhie Verordneten dreÿers Eheliche Tochter. Eingesegnet Zinstag Im Münster deb 21. Januarÿ (i 220)
Les Quinze nomment Jean Adam Schwartz mandataire adjoint à la Monnaie le 6 septembre 1642. Il pose en décembre sa candidature pour être nommé secrétaire à la Tour aux deniers. La commission retient quatre candidats. Les Quinze nomment Jean Adam Schwartz le 4 janvier 1643. Il prête serment le 9 janvier.
1642, Protocole des Quinze (2 R 65)
Hanß Adam Schwartz. 236. 326. 356. 360.
(f° 235-v) Zinstag den 6. 7.bris – Newe Müntz Ordnung. Müntz Anwaldt vicarius. Schreiber. Hanß Adam Schwartz.
(…) Vnd Würdt der Obern Müntz Herren bedencken gefolgt, In der andern aber, Hanß Adam Schwartz.pro Vicario der Müntz Anwaldt geordnet.
(f° 326) Sambstag den 3. Decembris – Müntz Pfenningthurn Schreibereÿ
Hanß Adam Schwartz pd. unterthänige Supplication so v.lesen, bitt darinnen vmb die vacirende Müntz oder Pfenningthurn Vnd. schreibereÿ, erkandt soll sich geschrieben geben.
(f° 356-v) 1643. Mittwoch den 2. Januarÿ – Vnderschreiber Stell vfm d.thurn, Außschütz
Waren die Jenige, welche sich vmb die Vnderschreiber Stell vfm Pfenningthurn angemeldet, auß dem Ämbterbüchlin abgeleßebn vndt Erkandt, daß die Oberen Bawherren Einen Außschutz machen, vnnd solchen widerumb herein bringen wollen.
(f° 360) Mittwoch den 4. Januarÿ – Ausschütz, Hans Adam Schwartz würdt Vnderschreiber vffm Pfenningthurn
Obere Bawherren Lasseb per me referiren, daß Sie Crafft Jüngst empfangenen befelch vnnd gewaldt, die Jenige subjecta welche sich vmb die Vnderschreiber stell vfm Pfenningthurn angemeldet, examinirt, auch die dreÿer deßwegen gehört vnd dann Inn den Außschütz für tauglich ermeßen, 1. Johann Adam Schwartz, 2. M. Joh: Peter Thoman Wallißern, 3. Johann Michael Moscherosch, 4. Johann Conrad Rauch, stelle die Wahl zu Mghh.
Erkandt, Ward Johann Adam Schwartz per majora erwöhlt, soll Ihme zugesprochen werden, nit Stoltz Zu sein, sondern dem Oberschreiber gebührend ane hand zu ziehen.
[in margine :] Juravit beÿ Räth v. 21. d. 9.ten dito v. ist die bestallung mit abgeleßen word.
Les Préposés au bâtiment rapportent aux Quinze que le secrétaire adjoint à la Tour aux deniers est souvent absent pour cause de maladie et qu’il ne peut plus s’acquitter de ses fonctions. Comme ils estiment qu’un renvoi est une mesure trop dure, ils proposent de le nommer receveur de l’hospice des vérolés et de nommer un nouveau secrétaire. Les Quinze ajournent la décision en faisant remarquer que l’hospice des vérolés est libre de nommer qui il veut
1645, Protocole des Quinze (2 R 66)
(f° 91) Mittwoch den 28.ten Maÿ – Johann Adam Schwartz, Wegen Pfenningthurns, Underschreibereÿ Undt Blaterhauß Schaffeneÿ
Obere Bawherren notificiren, demnach H. Schwartz der Underschreiber vfm d.thurn, nun Eine gute Zeit hero sehr maladiv, vnd wie bekand, allerhandt beschwehrliche Kranckheiten vnd Zuständt an sich hat, daß Er nicht allein, künfftig seinem dienst nit wohl ferner würd abwartten konnen, sondern auch bawherren vnden deß d.th. viel mit Ihme vmbzugeh. schew trage, Als hette Sie davon gered, Wie seiner Persohn halben enderung möchte Vorgenohmen wd. vnd weilen denselben puré abzuschaffen es etwaß harts scheinen würde, so möchten Sie wünschen v. gern stehen, daß die wahl der ietz vaciren. Platerhauß Schaffeneÿ /:als die Er verhoffenlich mit beßerer commoditet verstehen köndte:/ auff Ihne als d. sich bereits darumb angemeldet, fiele & Köndte als dann die d.thurns Schreibereÿ mit Einer tauglichen Persohn gestalten höchstnöttig bestellet wd.
Erkandt, weilen Es Wegen d. Blatterhauß Schaffeneÿ Eine freÿe wahl, stehe es dahin, trifft dieselbe Ihne mögen es Ihme Mh. gonnen, wanit Können obere Bawherren, wie weeg. seiner Persohn Zu endern, davon reden.
Secrétaire à la Tour aux deniers, Jean Adam Schwartz est souvent malade et absent. Les affaires prennent du retard. Les Préposés au bâtiment proposent le 23 novembre 1649 de le nommer receveur de l’hôpital des vérolés ou de lui verser une pension. Les Conseillers et les Vingt-et-Un n’agréent pas la première proposition, la deuxième grèverait le trésor déjà en difficulté. Les Quinze proposent une permutation comme cela s’est déjà fait. Jean Philippe Cuntzmann autrefois secrétaire des communaux et actuellement secrétaire de la manance et des mutations serait nommé secrétaire à la Tour aux deniers d’autant qu’il a les qualités requises. Jean Adam Schwartz deviendrait secrétaire des mutations, tâche qu’il peut accomplir à domicile. Les Quinze approuvent la proposition qu’ils vont transmettre aux Conseillers et aux Vingt-et-Un
Les héritiers de feu Jean Adam Schwartz, secrétaire des communaux et de la manance, demandent l’autorisation de s’acquitter un reliquat de compte par un capital placé à la Tour aux deniers. Les Quinze renvoient l’affaire aux Préposés au bâtiment en recommandant une compensation au florin près.
1652, Protocole des Quinze (2 R 70)
(f° 294) Freÿtag den 31. Xbris – H. Johann Adam Schwartzen Erben. vmb Compensation
H. Johann Adam Schwartzen gewesenen Schirmbs gerichts Schreibers und Pfundt Zollers seel. Wittib vnndt Erben Vögt übergeben unterthänige Supplication, so verleß. bitten ihnen 50. lb schuldigen Rechnungs Recess gegen Ihren umbstehenden d.thurns Zinß Zu compensiren.
Erkandt Für Obere Bawherren gewieß. die es dahin gestalten deß solcher recess gegen Pfenningth. Capital, doch guld. für guld. compensirt werden solle.
La veuve de Jean Adam Schwartz demande en février 1654 aux Quinze de réduire le montant de la taille à payer parce que son défunt mari souvent malade a essuyé beaucoup de pertes et qu’elle est chargée de sept enfants. Les préposés de la Taille réduisent le montant de moitié. Elle demande en septembre à rembourser une dette à la Monnaie par un capital placé à la Tour aux deniers.
1654, Protocole des Quinze (2 R 72)
H. Johann Adam Schwartz seel. Wittib. 15. 226. 231.
(f° 15) Mittwoch den 1.ten Februarÿ – H. Johann Adam Schwartz seel. Wittib vmb Stallgeld moderation
H. Johann Adam Schwartz seel. Wittiben Vogt, per M. Eggen dt. Supplicat. so Verleßen, bitt vmb gn. moderation nach v. nach vff geschwollenen Stallgelts, weilen ihr haußwürth seel. wegen Vielen Kranckheit vnndt andern Verlusts, Zimblich vmb seine nahrung kommen, vnd sie mit 7. vnerzogenen Kind.en behafftet, & Erkandt, Für Obere Stallherren Zubedencken gewieß. die haben solches vff die helffte gemiltert.
(f° 226) Sambstag den 4. 9.bris – H. Johann Adam Schwartz. seel. Wittib Vogt Per M. E. dt. Supplication, bitt Ihro 25. lb. Müntzschuld gegen Einem Pfenningth. Capital so ohne daß d. Müntz und.pfand g. Zu compensiren. Erkandt, Obere Müntz vnd bawherren bedenckens.
(f° 231-v) Freÿtag den 10. 9.bris – Obere bawherren laßen per me referiren, vff H. Johann Adam Schwartz. seel. Wittiben supra fol: 226. hette mann sich in der Müntz erkündiget vnd befunden, daß gleichwohl obige 75. lb. baar gelühen gelt, vnd nun biß dato davon für 5 Jahr 18. lb 15 ß Zinß außstehen thut Zusammen 93. lb 15 ß in consideration aber Ihrer Vielen Kleinen Kind. solte die begehrte compensation, ane Capital vndt Zinß, iedoch anderst nicht alß daß hundert à 60. fl. erwilliget H. vff mherren belieben. Erkandt, Würdt placidirt, hatt Schein empfang..
La veuve de Jean Adam Schwartz demande que les intérêts d’un capital placé à la Tour aux deniers soient versés en vin.
1655, Protocole des Quinze (2 R 73)
(f° 51) Sambstag den 31.ten Martÿ – H. Joh: Adam Schwartz. Wittib bitt vff 89. lb d d.thurns Zinß etwaß ane Wein. Erkandt, für Obere bawherren gewießen, die haben 6 ohmen verwilligt, Ist Schein erth.
Elisabeth veuve de Jean Adam Schwartz expose aux Quinze que son gendre musicien Jean Philippe Beck lui a envoyé par deux fois les enfants qu’il a eus de sa fille Rosine pour qu’elle les entretienne. Veuve depuis trente ans, elle a élevé ses enfants et s’est portée garante de ses trois gendres ; elle n’a pas les moyens de se charger de ses petits-enfants. Le consul déclare que Jean Philippe Beck est un débauché qui a quitté la ville quatre semaines plus tôt mais est revenu. L’avocat Schiller demande quelles pourraient être les mesures à prendre contre Beck. Le préteur royal Obrecht rappelle que ce sont les parents ou les grands-parents qui doivent élever les enfants. Comme il est impossible d’appliquer cette règle en l’occurrence, il demande quelle sera la meilleure manière de venir en aide aux enfants. L’assemblée renvoie l’affaire à l’aumône Saint-Marc.
1688, Conseillers et XXI (1 R 171)
(f° 151) Sambstags den 27. Maÿ – Joh: Adam Schwartzen wittib umb versorgung ihrer Enckel, Philipp Beck der Muaicant tritt auß
Kienast nôe fr. Elisabeth weil. H. Johann Adam Schwartzen geweßenen pfenningth. Unterschreibern hinterl. wittib prod. unterth. anbringen und bitten, inhaltend wie daß Johann Philipp Beck der Musicant ihr leÿder bekanter liederlicher dochterman ohnlängsten dreÿ seiner mit weil. ihrer verstorbenenn dochter Rosina erzeugter Kinder, Ihr Zuerziehen und Zuerhalten, nach haußgeschickt, und solches schon vorhin zweÿ mahl gethan habe, Wann Sie aber ohne dem eine betrübte Wittib, dis sich beÿ 30. Jahren her mit ihren Kinderen ohne hülff Kümmerlich außbringen müßen und bereits vor 3.. ihro dochtermänner gethane bürgschafft ein namhaffres eingebüßet, und vast umb alles gekhommen, also diese Kinder nicht anehmen noch ernehren könne, alß bitte Sie unterth. dahin obrigkeitl. beholffen Zu sein, daß diese Beckerischen Kinder dem Vatter, wofern Er sich annoch alhier betretten läßet, überlaßen, wo Er aber hinweg gezogen, an andere ort gethan und ernehret werden mögen.
Der Reg. Herr Ammeist. berichtet hierauf, daß vorgedachter Beck ein heÿloser Mann seÿe, der vor 4 wochen außgetretten und davor geloffen, seithero aber wieder Zurück gekommen, thue den ganzen tag nichts alß ein leiderlichen leben herumb Zu fahren.
Herr advocat Schiller, weilen Er wieder alhier, könne Er beschickt und sein vnordentliches thun ihme vorgehalten auch comminirt werden, wo Er sich nicht beßer anlaßen auch eine andere weiß mit Ihme zu verfahren, vnterdeßen werde dahin Zu denckhen sein, wie man die Kinder erhalten wolle, ob es von policeÿ gericht oder St. Marx auß geschehen könne.
Herr Prætor Regius Obrecht, die Hiesige ordnungen geben ahn die handt, wann Eltern ihre Kinder nicht alimentiren Können, daß es groß Eltern thun, und sich ihrer anehmen sollen. das letztere geschehe durch Implorantin, das erste aber falle ihr ohnmöglich, alß werde nur die frag sein, ob der Vatter verschollen und auf solche weiß wurde das begehren ahn die Herren pflegere des weÿßenhauß, wo Er aber auch im leben und alhier sich aufhält, ahn die herren Pflegere Zu St Marx Zu Weißen sein, wo hin es aber khomme, könne man die Kinder vor sich khommen laßen, ihr alter examiniren, ob sie zu handwerckhen tauglich, oder in diensten gebraucht werden mögen.
Erkandt, Ahn die Herren Pflegere des Allmosens Zu St. Marx gewießen umb den Kindern Einige hülff von darauß gedeÿen Zu laßen. Herr XXI. Goll, Rathh. Botzheim.
Elisabeth Bischoff veuve de Jean Adam Schwartz meurt à l’âge de 70 ans le 11 septembre 1688. Son corps est inhumé au cimetière Saint-Gall. Sont témoins son gendre Jean Welper et son frère Jean Henri Bischoff.
Sépulture, Temple-Neuf (luth. reg. 1687-1719 f° 7 n° 32)
Heute Sambstag d. 11. 7.br. starb nachts umb 12 uhr fr. Elisabetha gebohrne Bischoffin weÿl. H Johann Adam Schwartzen geweßenen Secretarÿ auff dem allhiesig. Pfenningthurn nachgelaß. wittwe, wurde folgend. dienstag d. 14. ejusd. in beÿsein (…) auff die begräbnus St. Galli begraben, ihres alters 70. jahr v. 31 woch. bescheint soches Johann Welper als dochtermann, Johann Heinrich Bischoff allß bruder (i 8)
Marguerite Schreiber et le libraire Jean Welpert demandent que les droits de la succession délaissée par leur mère Elisabeth veuve de Jean Adam Schwartz soient réglés en capitaux.
1689, Protocole des Quinze (2 R 93)
(f° 38) Freÿtag den 25. Febr. – pt° Abzugs
Nôe Margarethæ Schreiberin u. H Johann Welperd, der Buchführer, berichtet p. Künast, daß selbige Wegen ihrer Mutter Elisabeth H Johann Adam Schwartzen Wittib Vor abzug 9. lb 10. ß 8 d Lauth mitgehenden Scheins schuldig, Weilen die erbschafft aber jnn Pfenningth. Cap. bestehet, Und sie Keine andere Mittel hatt, als bitt sie demüthig solchen abzug darvon abschreibenn Zulaßen gn. Zu erlauben. Erk. Ihr Obere Stall Herren gewießen.
Autres références chez les Quinze et les Conseillers et les Vingt-et-Un
1648 XV (2 R 67) Johann Adam Schwartz [Saltz]. 13. 127. Ca. Müntz. 18.
1649 XV (2 R 68) H. Johann Adam Schwartz. umb Saltz. 265.
1650 XV (2 R 69) H. Joh: Adam Schwartz. 237. [wegen Früchten]
1658 XV (2 R 76) H. Joh: Adam Schwartzen Wittib. 120 [Wein]. 180 [frucht und wein]..
1659 XV (2 R 77) Joh: Adam Schwartzen Wittib. 55 [früchten]. 76. [96]. 189 [wein].
1660 XV (2 R 78) H. Joh: Adam Schwartz Wittib. 34 [Wein]. 111 [frucht und wein].
1662 XV (2 R 80) H. Johann Adam Schwartz Wittib. 58 [Frucht und Wein]. 149 [abloßung].
1663 XV (2 R 81) H. Johann Adam Schwartz Wittib. 42. [Abloßung]
1668 XV (2 R 85) Hans Adam Schwartzen Wittib. 70. [abloßung] Hans Adam Schwartzen wittib. 204. [Schirmgericht schreiber, Capital]
1674 XV (2 R 90) Weÿl. Johann Adam Schwartzen Underschreiber auf allhiesigem Pfth. [Pfenningthurn Capital] 207.
Enfants
Elisabeth Schwartz épouse en 1664 l’imprimeur Jean Welper, fils du mathématicien Evrard Welper
Mariage, Saint-Thomas (luth. f° 55-v) 1664. Dn XVI. Trinitatis d. 25. Sept. H. Johann Welper der Buchtrucker Weiland H. M. Eberhardi Welperi Mathematici v. burgers allhier hinderlaßener Ehelicher Sohn und J. Elisabetha Weiland H Johann Adam Schwartzen geweßenen Pfundzollers v. burgers alhier hinderlaßene Eheliche Tochter, Copulirt Donnerst. d. 6. Octobris Zu St. Thoman (i 60)
Fils du syndic de Hohenlohe à Oettingen, le receveur des barons de Schauenbourg, Jean Jacques Schreiber épouse en 1668 à Willstett Marguerite Schwartz, fille du secrétaire adjoint à la Tour aux deniers
Proclamation, cathédrale (luth. f° 107, n° XIII)
1668. Dom: 27. 9.bris. Zum 2 mahl hr Johann Jacob Schreiber, freiherlicher Schauenburg. Schaffner Weiland Hr Sebastian Schreibers Graffl. hohenloischensyndici Zu Edingen nachgelaßener ehel. Sohn, Jfr Margaretha, Weiland hr Johann Adam Schwartzen gewesenen Unterschreibers auf dem Pfenningthurn nachgelaßene ehel. T. Montags den 30. 9.br Wilstett (i 109)
Rosine Schwartz épouse en 1667 le marchand épicier Jean Jacques Wildermuth, fils du marchand Jean Jacques Wildermuth
Mariage, cathédrale (luth. f° 95-v, n° 52) 1667. Dom. 25. post Trin: Zum 2. mahl hr. Hanß Jacob Wildermuth der Spezereÿhändler hr hannß Jacob Wildermuth handelßmanns vnd burgers alhie ehel. Son, Jfr. Rosina Weiland hr. hannß Adam Schwartzen gewesenen Unterschreibers auf dem Pfenningthurn nachgelaßene ehel. T. Donnerstags den 5.ten 10.bis Münster (i 98)
Elle se remarie en 1676 avec Jean Philippe Beck, organiste à Saint-Guillaume, fils du musicien Pleickart Charles Beck
Mariage, cathédrale (luth. f° 20 n° 12) 1676. Dom. LX.ma Zum 2 mahm Hr Johann Philipp Beck der Organist bei St Wilhelm Weiland Hr Bleichard Carl Becken Gewesenen Musici v. Burgers alhier nachgelaß. ehelicher Sohn, Jfr. Rosina Weiland Hr. Hanß Jacob Wildermuths gewesenen Specereÿhändler nachgelaß. W. Dienstags den 10. Febr. Münster