Jacques Seemann, maître maçon, et (1714) Anne Marie Matz veuve de François Remy puis (1730) Marie Madeleine Schrœder – catholiques


Originaire de Röhrwangen près de Biberach en Wurtenberg, Jacques Seemann présente son chef d’œuvre en juin 1714. Les examinateurs qui ne sont pas satisfaits de son travail le reçoivent maître en limitant à trois le nombre de ses employés (au lieu des six réglementaires) et en lui interdisant de former un apprenti. Il épouse en juin de la même année 1714 Anne Marie Matz, veuve du maître maçon François Remy. Jacques Seemann devient bourgeois et tributaire chez les maçons en août 1714. Les Quinze l’autorisent en 1722 à employer quatre compagnons en surnombre pour terminer une construction avant l’hiver.
Anne Marie Matz meurt en 1730. Le veuf se remarie l’année suivante avec Marie Madeleine Schrœder, fille du potier Melchior Schrœder. Il meurt lui-même en 1743 en délaissant quatre enfants. Seul son fils Jacques survit en 1779 à la mort de Marie Madeleine Schrœder qui a épousé en secondes noces en 1744 le maître maçon Gaspard Théodore Raballiati.

Maisons en propriété
1732, rue des Aveugles (IV 28, ultérieurement n° 16), bien propre à sa première femme qu’il acquiert en toute propriété en 1732 en y réunissant en 1738 la maison arrière


Originaire de Röhrwangen près de Biberach en Wurtenberg, Jacques Seemann s’inscrit en mai 1714 au chef d’œuvre qu’il présente en juin. Les examinateurs qui ne sont pas satisfaits de son travail lui donnent huit jours pour l’améliorer. Comme le résultat n’est pas meilleur, ils estiment que les compétences du candidat sont insuffisantes. Ils le reçoivent cependant maître en limitant à trois le nombre de ses employés (au lieu des six réglementaires) et en lui interdisant de former un apprenti.

1714, Protocole des Maçons (XI 246, chefs d’œuvre)
Jacob Seemann, 20.b, 21.a et b
(f° 20-v) Donnerstags den 3.ten Maÿ A° 1714. seind Vorobgemelte die pro dieses Jahr geschwornen auch deß, deßwegen abgeordnete Meisterstück schawer beÿ einander geweßt und haben Verhandelt wie folgt.
Jacob Seemann, der Ledige Maurer und Steinhawer gesell, gebürtig von Röhrwangen beÿ Biberach an der donau, erscheind und bringt Vor, weilen Ihme Jüngsthin von E. Ehrs. Meisterschafft vergönstiget worden, das Prob: und Meisterstück aufzunehmen, alß bitte Er die herren Schawern Ihme das gewohnliche Maaß darzu mitzutheilen.
Erk. und in seinem begehren Willfarth, auch darauf das Maaß gegeben

(f° 21) Freÿtags den 8.ten Junÿ A° 1714. hat hierübengemelter Jacob Seemann, der Maurer: und Steinhawer Gesell, Viel hoch Edelberührtem Herrn Obmann & und denen hernechst benehmsten Vier Meisterstück schawern, sein Prob: und Meisterstück Vorgelegt, mit dienst fr. bitt, daßelbige ordnungsmäßig Zubesichtigen so dann darauf auch beschehen und folgender maßen befunden worden.
1. Hat er im Kellergrundriß im Schnecken die Kellerthür vergeßen.
2. Ist die Kellerthür in dem Großen auftrag viel Zu nider.
3. Befand sich daß er das besetz im Keller grund nicht angeditten, so doch sein muß.
4. Fehlet in den dreÿ Grundrißen, wie auch in dem Auftrag, an der Länge des Baws dreÿ und ein halben Zoll.
5. Ist in dem andern Grundriß auß dem Boden Ein tritt zu wenig.
6. Hat er im Kleinen Auftrag, Zween tritt Vornen herauß gemacht, welches nicht recht, sondtern ganz falsch.
7. Ist das Fenster im großen Schnecken auftrag nicht aufgerißen und also Vergeßen worden.
8. Ingleichem allda, das Verbürste Brett sambt den Hakenbrettern, Zu den dreÿ dritten.
9. Ist der groß Schnecken auftrag sambt den dritten und handhaben gantz irrig und falsch befunden, dahero auch mit einander verworfen worden.
Auf solch beschehene besichtigung Wurde Erk. Wann derselbe Innerhalb acht tagen, den Großen Schnecken auftrag sambt dem Grundriß wie auch die handhabe und dritt, so wohl im Zeichnen oder reißen, alß auch in Gibs, in stand stellen wirdt, daß mann damit Zufrieden sein Kann, daß alß dann auch gesprochen werden soll was recht ist.
Ille Verspricht hierauf diesem bescheid parition zuleisten.

Freÿtags den 15.ten Junÿ A° 1714. Wurde in Gegensein hoch Edelberührten Herrn Obmann & Von denen geordneten Meisterstück schawern, hernächst gemelt Jacob Seemanns Rißen den handhaben und dritten, welches er anderst ermachen müßen und Verbeßern sollen, besichtiget und folgenden maßen befunden worden.
1. Seind die handhaben stück Von Gibs Zulang, und hat er demnach Keine Wißenschafft darinnen.
2. Werden die dreÿ dritt wider Verworfen maßen solche gar unfleißig gemacht und sich nicht auf einander schicken hat also auch Keine Wißenschafft und fundament davon.
3. Ist Keine Schöllung wie auch Kein Verbürst brett Zu dem Kopf gemacht, welches doch sein muß.
Nach solchem wurde dann Erk. daß derselbe Zwar vor ein Mitmeister auff: und angenommen auch passirt werden, Jedoch anderer gestalten nicht, in deme er im Haubtweßen deß Meisterstücks gantz kein fundament hat, alß daß er Lebenslang allein mit dreÿen Gesellen arbeithen, aber deß Jungen Lernens sich gäntzlichen enthalten solle.

Le jeudi 3 mai 1714 se sont réunis les examinateurs de chef d’œuvre ci-dessus, nommés pour l’année en cours, qui ont décidé ce qui suit.
Le compagnon maçon et équarrisseur Jacques Seemann, natif de Röhrwangen près de Biberach sur le Danube, se lève et demande aux examinateurs de lui indiquer les mesures puisque le Corps des maçons l’a autorisé à faire son chef d’œuvre.
Décision, la demande du pétitionnaire est accueillie favorablement, on lui donne ensuite les mesures.

Le vendredi 8 juin 1714, en présence de l’honorable prévôt, ledit Jacques Seemann, compagnon maçon et équarrisseur a présenté son chef d’œuvre aux examinateurs ci-avant nommés en leur demandant de l’inspecter comme l’exige le règlement, ce qu’ils ont fait et constaté ce qui suit.
1. Sur le dessin de la cave, il a oublié la porte vers l’escalier.
2. La porte de cave est beaucoup trop basse sur le grand projet.
3. Les dalles sur le sol de la cave ne sont pas indiquées comme il l’aurait fallu.
4. Il manque trois pouces et demi à la longueur du bâtiment aussi bien sur les trois dessins que sur le projet.
5. Il manque une marche à partir du sol sur l’autre dessin.
6. Il a fait deux marches sur le devant dans le petit projet, ce n’est pas bon mais complètement faux.
7. Il n’a pas dessiné la fenêtre dans le grand projet d’escalier mais l’a oubliée.
8. Il y manque aussi aux trois marches la planche de jonction et les planches de maintien.
9. Comme on a constaté que le grand projet d’escalier est mal fait, à savoir les marches et les rampes, on l’a rejeté.
L’inspection terminée, il a été décidé de lui donner huit jours pour refaire le projet de grand escalier et son dessin ainsi que la rampe et les marches, à la fois sous forme de dessin et de plâtre, de manière à ce qu’il soit satisfaisant et qu’on décide ce que de droit.
Le candidat promet de présenter à nouveau le travail comme on le lui a demandé.

Le vendredi 15 juin 1714, en présence de l’honorable prévôt, les examinateurs jurés des chefs d’œuvre ont inspecté les dessins, les rampes et les marches qu’a dû refaire et corriger le susdit Jacques Seemann. Ils ont constaté ce qui suit.
1. Les rampes en plâtre sont trop longues, ce qui montre qu’il n’a aucune connaissance en la matière.
2. Les trois marches sont de nouveau mal faites, sans soin, elle ne sont pas ajustées les unes aux autres, ce qui montre qu’il n’a pas non plus les connaissances en cette matière.
3. Le haut de l’escalier ne comporte ni coffrage ni planche de jonction qui sont pourtant nécessaires.
Il a ensuite été décidé de recevoir le candidat au nombre des maîtres mais avec des restrictions puisqu’il n’a aucune des connaissances nécessaires pour faire le chef d’œuvre, à savoir qu’il ne pourra jamais employer plus de trois compagnons et qu’il lui est absolument interdit de former d’apprenti sa vie durant.

Jacques Seemann épouse en juin de la même année 1714 Anne Marie Matz, veuve du maître maçon François Remy : contrat de mariage, célébration

1714 (30.6.), Me Goldtbach (6 E 41, 231) n° 36
(Eheberedung) zwischen dem Ehrengeachten Meister Jacob Seemann, dem Ledigen Maurer und Steinhawern alß dem bäutigamb ane einem,
So dann der Ehren und tugendsamen frawen Annæ Mariæ Remÿn, gebohrner Matzin, Weÿl. Mr Frantz Remÿ gewesenen Maurer und Steinhawers auch burgers allhier seel. hinderlaßener Wittib alß der Fraw hochzeiterin ane dem andern theil – So beschehen in der Königlichen freÿen Statt Straßburg, Sambstags den 30.ten Junÿ A° 1714. [unterzeichnet] Jacob seeman als Hochzeiter, + der fr. hochzeiterin handzeichen

Mariage, Saint-Pierre-le-Vieux (cath. p. 363)
Die nona Julÿ Anni 1714 (…) Sacro matrimonii vinculo copulati sunt Jacobus Sohman solutus lapicida ac Cæmentarius ac Ciuis argentinensis oriundus ex Parochia Röhrwangen prope Biberach ac Diœcesis Constantiensis et Anna Maria Matzin vidua defuncti Francisci Remy etiam Civis Cæmentarii ac lapicidæ huiatis. Testes huiusce Matrimonÿ fuerunt Marcus Antonius Löwenstein Etiam lapicida, Cæmentarius ac Ciuis argentinensis et Carolus Franciscus Hannon tabac Pfeiffenmacher ac Ciuis huiatis et Joannes Georgius Heissler faber lignarius ac Cius huiatis. (signé) Jacob seeman, + Signum sponsæ (i 155)

Jacques Seemann fait dresser l’état de sa fortune pour devenir bourgeois. Il présente au notaire une somme d’argent comptant.

1714 (16.6.), Me Goldtbach (6 E 41, 230) n° 134
Zuwißen seÿe hiermit und in Crafft dieses, daß der Ehrengeachte Mr Jacob Seemann, der Ledige Maurer und Steinhauwer, gebürtig von Röhrwangen /:so sich an weÿl. Mr Frantz Remj gewesenen Maurers und Steinhauers hinterlaßene Wittib verheurathen wird:/ mit underschriebenen geschwornem Notario erörtert, wasgestalten er gesinnet sich allhier bürgerlichen niderzulassen, gleichwohlen aber wegen erhaltung deß burgerrechts, Vorderist Verbunden wäre, sein Vermög. verzeichnen Zulaßen, (…) nachgeschriebene baarschafft Vorgewießen (…) Summa 157 lb.

Jacques Seemann devient bourgeois par sa femme. La notice du livre de bourgeois est fautive sur plusieurs points (voir le commentaire à la page sur les Livres de bourgeoisie)

1714, 4° Livre de bourgeoisie p. 806
Jacob Sichemann, der Maurer Von Bettberg, Weÿl. Joh: Sichemann gew: ackersmanns daselbst sohn, emp. das burgerrecht von seiner Fr: Anna Maria Mackin p. 2. goldR. 16. ß wird beÿ E. E. Zunfft der Maurer dienen. Jur. d. 13. Dito [Augusti] 1714. [Jacob Seemann, Anna Maria Matzin, la mention Bettberg reproduit le lieu d’origine de l’article suivant]

Jacques Seemann devient tributaire chez les maçons en août 1714.

1714, Protocole des Maçons (XI 234)
Montags den 27.to Augusti A° 1714
(f° 168) Neu Zünfftiger C. – Mr Jacob Seemann der Maurer und Steinhr. prod: Schein auß der Cancelleÿ Vom 13.ten Augusti A° 1714. auch Von d. Statt Stall und herrn Rentmeister Böckler und.schrieben und bitt Ihne alß einen Zünfftig. auf: und anzunehmen.
Erk. und Willfarth
[in margine :] Zunft 5 ß , Pfth 1 lb Zunfftschr. u. b. 4 ß (zusammen) 1 lb 9 ß)

Les Quinze autorisent Jacques Seemann à employer quatre compagnons en surnombre pendant un mois pour qu’il puisse terminer avant l’hiver la maison que le Quinze Gangolff se fait construire dans son jardin hors la porte des Juifs

1722, Protocole des Quinze (2 R 126)

(p. 378) Sambstags d. 17. Octob. 1722. pt° mehrerer Gesellen
Moss. nôe Jacob Seemanns des burgers und Maurers der bitt Underthg., weil er (S.T.) Herrn XV. Gangolffs Garthen hauß vor dem Juden Thor annoch Vor dem Winther auffbawen soll, Ihme gn. zu erlauben daß er Zu solcher arbeith annoch 4. Gesellen über die ordinari Zahl halten dörffe. Erkandt, wird dem Hrn Imploranten auf einen Monath mit denen 4. Gesellen willfahrt.

Extrait du Protocole du Corps des maçons. Jacques Seemann devient représentant de la tribu auprès des compagnons en 1724. Il se plaint de Philippe Zell qui aurait retiré à sa place les tuiles de la maison de Pierre Labelly. Il occupe ensuite plusieurs fonctions à la tribu. Il n’assiste pas aux réunions en 1741 pour cause de maladie.

1724, Maçons (XI 241-242, Protocole du Corps des maçons 1719-1731-1749)
Seemann, Jacob, 95.b
Seemann, Jacob, 16.a, 17.a, 22.b, 40.b, 46.a, 48.a, 61.b, 75.b, 78.a, 81.b, 91.a, 92.b, 96.a, 110.b (bis), 104.b, 106.b, 107.a, 111.a, 115.a, 117.a (bis), 129.b, 130.b, 134.a (bis), 146.a, 147.b, 157.b, 159.b

Dienstags den 11.ten Julÿ 1724. (f° 95.v) Dato wurde Vor M Lagardelle den Handwercks büttel, welchen man ferners zu dem handwerck ansagen Zulaßen gewißer ursach halben bedencken trägt, Mr Jacob Seemann und Zu einem beÿsitzmeister beÿ denen Gesellen ane Stat Mr Pfandselts, M. Johann Georg Küeffer ernennet, dann Zum Oberhandw. meister auch Er Küeffer und Zum Adjuncto hr. Peter Pflug.

Mittwoch den 28.ten Novembris 1736 (f° 48) – Mstr. Jacob Seemann Klagt Contra Mstr Philipp Zeller, daß derselbe ihme 600. oberdächlin Von Pierre Labbellé des fastenspeishändler hauß, welches er mstr Seemann abgebrochen, und abgedeckt, ohn ihn Zufragen, wegführen laßen, und Zwar durch die fuhr des H. Santons.
Ille Mstr Zeller sagt, er habe den Santon darumb angesprochen, daß er Ihme die hohl Ziegel, vnd nicht die Oberdächlin wegführen, Und in sein Zellers hauß lüffern solle.
Warauff per Majora Erkant, solle er Mr Zeller angehalten seÿn ihme Mstr Seemann Vor jeden hundert Oberdächlein weilen mstr Seemann ihme für die hohlziegel, deren beÿ 1000 waren, nicht rechen will, 10. ß sog. Zehen schilling bezahlen, thut für 600 Sechß Gulden

Anno 1738, den 2.ten Januarÿ (f° 61-v) – warauff denn Zu beÿsitz meistern ernennet worden Mstr Joh: Jacob Seemann und Mstr Johann Philipp Wöhrlen

Sambstags den 4. Junÿ 1740 (f° 100.b) – zu Einem Undermeister ernennet Mstr Jacob Seemann

Montags den 20. Martÿ 1741 (f° 117) – Absentes, Mstr Jacob Seemann, kranck
Mittwochs den 12. Aprilis 1741 (f° 117) – Absentes, Mstr Jacob Seemann, kranck
Sambstags den 16. Februarÿ 174. (f° 146) – Absentes, Mstr Jacob Seemann, kranck

Anne Marie Matz meurt en 1730 en délaissant deux petites-filles issues de son fils mort chirurgien à Kaysersberg et sa fille Anne Marie Remy femme du maître maçon Jean Georges Knott. Les experts estiment la maison 275 livres, dont 18 livres d’améliorations faites pendant la communauté. La masse propre au veuf s’élève à 26 livres, celle des héritiers à 199 livres. L’actif de la communauté s’élève à 177 livres, le passif à 134 livres

1730 (24.8.), Me Lang l’aîné (Jean Daniel, 25 Not 31) n° 293
Inventarium über Weÿl. der Ehren und tugendsamen Frauen Annæ Mariæ Seemännin gebohrner Matzin, des Ehren und Vorgeachten Meister Jacob Seemanns, Steinhauers und Maurers, auch burgers allhier zu Straßburg, gewesener ehelicher haußwürthin nun seel. Verlassenschafft, auffgerichtet Anno 1730. – nachdeme dieselbe jüngst Verwichenen Laurentÿ tag Von dem lieben Gott aus dießer welt seelig abgefordert worden, Zeitlichen hinder sich verlaßen – So beschehen Zu Straßburg auff Donnerstag den 24. Aug. A° 1730.
Die Verstorbene seel. hat ab intestato Zu Erben verlaßen wie volgt. 1. Weÿl. herrn Frantz Remi geweßenen barbierers Zu Kaÿßersburg Ihren in erster Ehe mit Weÿl. Meister Frantz Remj, Geweßenen Steinhauer und Maurer, auch burgern allhier, Ihrem ersten Mariti erzeugten Sohns, welcher vor ohngefehrt einem halben Jahr dißes Zeitliche auch geseegnet nach tod Verlaßene mit frauen Anna Maria Remiin gebohrner Meÿerin deßen hinderbliebenen Wittib ehelich erzeugte Zweÿ Kinder nahmens Annam Mariam und Mariam Magdalenam die Remiin deren geschworner Vogt, wie dero Mutter hiebeÿ anzeigte, meister Johann Georg Huffinger Schuhmacher und burger Zu Kaÿßersburg, so aber abweßend, hiengegen Sie der Kinder eheleibliche Mutter gegenwärtig waren in derem nahmen der Wohl Ehrenvest Großachtbahre und weiße hr. Johann Friderich Sachß, Vornehme handelßmann und E. E. Kleinen Raths dermahliger wohlverdienter beÿsitzer (…) und 2. Frau Annam Mariam Knottin gebohrne Remiin, deß Ehren und vorgeachten Meister Johann Georg Knotten Steinhauers und Maurers auch burgers allhier Ehegattin, die tochter ao auch in erster Ehe mit obgemelten Meister Frantz Remi seel. erzeuget worden, welche mit beÿstand solch. Ihres Ehemanns dem Geschäfft in Persohn beÿgewohnt.

In einer allhier Zu Straßburg ane der blindengaß gelegenen in dieße Verlassenschafft gehörigen behaußung befunden worden wie folgt
Ane Höltzen: und Schreinwerck. Auff der bühn, Im obern Haußöhren, In der obern Kammmer, In der Wohn stub, In der Kuchen
(f° 5-v) Antheil ane einer Behaußung (E.) Ein Vorderhauß, sambt 18. Schuhen Vom hoff Von Vordern hauß angerechnet, hoffstatt mit allen übrigen deroselben gebäwen begriffen weithen, rechten zugehörden und gerechtigkeiten gelegen allhier Zu Straßburg ane der blindengaß, einseit neben Abraham Büchels wittib, anderseit neben Hn Johann Höllbeck E. E. großen Raths alten beÿsitzer, hinden auff Johann anstets Erben stoßend, so eigen und durch (die Werckmeistere) Vermög deroselben ad conceptum geliefferter schrifftlichen Abschatzung Vom 19. aug. 1730 angeschlagen Vor 550. R. oder 275 lb. Wavon abzuziehen die wehrender dießer letzten Ehe ane solche behaußung Verwandte bau und meliorations Cösten, hernach fol: (-) fac: (-) bedeuteter maßen anlangend 18. lb 3. ß. Nach deren abgang so verbleibt ane obiger Abschatzung dißorts per rest außzuwerffen 256. lb. Die auff solcher behaußung ehedeßen gestandene, Johann Leonhard Lutzen, dem haußfeurer schuldig geweßte 100. lb d capital seind Wehrender dißer letzten Ehe bezahlt, hiengegen aber zu zweÿen verschiedenen mahlen wiederumb 100. lb d anderwerts auffgenommen und davon 50. lb Vor Frantz Georg Remi den Verstorbenen Sohn Zu bestreitung deßen Meisterstücks Spesen verwendet, dannenhero jene ehedeßen daroben gestandene 100. lb hernach vor den Erben ohnveränderten guths Ergäntzung abgezogen, dieße auffs neue gelehnte 100. lb. Über denen theilbaren passivis einverleibt und die 50. lb so der verstorbenen Sohn davon empfangen demselben in rech. gebracht Worden, auch inter denen hernach fol: (-) auff Ihme außgeworffenen 143. lb 10 ß würcklichen enthalten seind.
Pro Nota. Dieße behaußung hat die Verstorbene seel. und eingangs gedachter Meister Frantz Remi, dero ersteren Ehemann in Wehrender ihrer he mit einander erkauffet, Alßo daß daran ihme Meister Remi Zween dritte und deßen Wittib, der nunmehro Verstorbenen Fr. Seemännin 1/3. theil eigenthümbl. gehörig ware, Nach deßen absterben nun wurde die gantze Verlassenschafft gedachter seiner wittib durch einen Kindervretag umb einen gewißen Preiß eigenthb. entschlagen und das hauß umb den nemblichen Wert der 275. lb in anschlag gebracht, die damals dar oben gestandene 100. lb davon weggerechnet und die restirende 175. lb in außwurff gesetzt, anbeÿ aber Ihnen denen Kinder, das Eigenthum davon reservirt.
Ane dißer behaußung nun wäre der Verstorbenen seel. obgemelter maßen 1/3. theil in Eigenthumbs weiße gebührig so dann hat dieselbe ane dero Kinder erster Ehe Vätterl. Zwoen tertzen von Caspar Remin dem ledigen standts Verstorbenen sohn 1/3. theil ererbt alßo daß Sie daran zusammen fünff Neuendte theil, so dann Frantz Georg Remj, der ältiste nunmehro auch verstorbene Sohn und fr. Mariæ Knottin geb. Remiin die noch lebende tochter ane deren Vätterl. zwoen tertzen, Jedes insonderheit 1/3.theil das ist ane der völligen behausung Zween Neünde theil Vor Vätterl. guth participirte.
Falls nun gemelte behaußung umb einen höhern Preiß angebracht und Verkauffet werden solte, so Wäre Von den surplus obged. Frantz Georg Remi und fr. Mariæ Knottin Jedem insonderheit Zween Neudte theil Vor Vätterlich guth, der uberrest aber in der Mütterl. und respectivé großmütterl. Nahrung gehörig, soman anhero Zum bericht anmercken Wollen.
Und besagt über die völlige behaußung ein teutscher pergamentener Kauffbrieff in allhießiger Canc. Contractstuben gefert. v. mit dero anhang. Insigel Verwahret dat. den 14. aug. 1708. mit alt. N° 1 notirt.
– Abschatzung dem 19: Augt. 1730: Auff begehren Meister Jackob seeman dem Maurer ist eine behaußung alhie in der Statt Straßburg in der blinter gaß gelegen einseit Neben Abraham büchels wittib, ander seits Neben H rathhern Johannes hellbeck eines Ersamen großen rats alter beÿsitzer hinten auff Johannes anstäts Erben welche behaußung eine Stuben Cammern hauß Ehren worinen die soltaten loschiren hauß Ehren worinen der herrt und waßerstein ein hoff so gemeinschafftlich ein Clein getremter Keller sambt aller gerechtigkeit wie solches durch der Statt Straßburg geschworne werck Meister sich in der besichtigung befunden und Jetzigen Preÿß nach an geschlagen wird Vor und Vmb Fünff Hundert und Vünffzig Gulten. Bezeichnuß der Statt Straßburg geschworene werckleüthe [unterzeichnet] Michael Ehrlacher Werck Meister deß Meinsters, Johann Jacob Biermeÿer Werck Meister deß Zimmerhoffs, Johann Peter Pflug Werckmeister deß Mauer hofs
Ergäntzung der Erben ohnveränderten Guths. Vermög Inventarÿ über beeder geweßter Ehepersohnen einander in den Ehestand zugebrachte Nahrungen durch weÿl. H Notarium Sebastian Goldbach seel. in A° 1714. vergriffen und durch H Notarium Johann Lobstein außgefertiget
(f° 12) Series rubricarum hujus Inventarÿ. Des Wittibers ohnverändert Guth, Sa. Silbers 1, Sa. Schuld 25, Summa summarum 26 lb
Dießem nach wird auch der Erben ohnverändertes Guth beschrieben, Sa. haußraths 55, Sa. lähren Vaß 1, Sa. Silbers 1 ß, Sa. Goldenen Rings 1, Sa. Eigenthumbs ane einer behaußung 256, Ergäntzung (111, wegzurechnen 157, In Vergleichung 46 lb), Summa summarum 315 lb – Schulden 79 und 36, 116 lb, Der Erben restirend ohnverändert guth 199 lb
Endlichen wird auch das gemein Verändert und theilbahr Guth beschrieben, Sa. haußraths 13, Sa. Werckzeugs und Materialien Zum Maurer und Steinhauer handwerck gehörig 58, Sa. der baarschafft 12, Sa. beßerung ane der unveränderten behaußung 18, Sa. Schulden 76, Summa summarum 177 lb – Schulden 134, Nach deren abgang 43 lb
Gantze Verlassenschafft in vero pretio 306 lb, Wavon aber wirderumb abzuziehen die auff verschiedenen der inventirten rubricen sich befindliche beßerung zu verstallen nicht obligirt were, 44 lb, Stall summ 261 lb
(f° 17) Wÿdemb Welchen die Verstorbene seelige Von weÿl. Meister Frantz Remj gewesenen Maurer und Steinhauer auch burger allhier Zu Straßburg jhrem erstern Ehemann längst seeligen lebtägig genoßen, Vermög Inventarÿ durch weÿl. H Sebastian Goldbach Notm. nun seel. in A° 1713. auffgerichtet
Ungewiß Zweiffelhaffte und Verlohrene Schulden in die theilbare Nahrung zugeltend 150 lb
Copia der Eheberedung – (…) den 30. Junÿ Anno 1714, Sebastian Goldbach
Eigenthumb ane einer behaußung so der Erben ohnverändert berührend. Das in dem Verlassenschafft Invent. fol: 38. fac. 2.da et seqq. beschriebener Vorderhauß sambt 18. schuhen Vom Hoff Vom Vorderhauß angerechnet, hoffstatt mit allen übrigen deroselben gebäwen begriffen weith. zugehörden, rechten und gerechtigkeiten gelegen allhier Zu Straßburg ane der blindengaß, einseit neben Abraham Büchels wittib, anderseit neben Hn Rathh. Höllbe hind. auff Johann Ansteths Erben stoßend, so eigen, ist beÿ der ohnlängstens Vorgeweßten offentlichen Versteigerung eingangs gedachtem Meister Jacob Seemann dem hinterbliebenen Wittiber als letzt und meistbietendem mit übernahm aller unkosten adjudicirt und den 4. Sept. 1732. beÿ E. E. Großen Rath confirmirt worden, also daß dießer Kauff und Verkauff in der Contractstuben Verschrieben werden solle, Vor und umb die summa der 850 Gulden
Copia Codicilli – im Jahr 1713 (…) auf Mittwoch den 12. Monatstag Julÿ Abends Zwischen Sechs und Sieben Vhren in einer allhier Zu Straßburg und einer daselbst ane der sogenandten Blinden gaß gelegenen und beeden Codicillirenden Ehepersonen eigenthümlich zuständigen behaußung, und deren einen oberen Kammer mit dreÿen Fenstern auf gemelte Gaß außsehend (…) – Sebastian Goldbach Nots. requisitus

Les préposés de la Taille font figurer la succession dans leur registre parce que les petites-filles non bourgeoises doivent régler un droit spécial de succession.

1730, VII 1177 – Livres de la Taille f° 35
Maurer N. 5262 – Weÿl. Fr. Annæ Mariæ gebohrner Matzin, Jacob Seemann Steinhauer Maurer und burgers alhie gewesener Ehel. haußfrauen Verlassenschafft inventirt H. Not. Johann Daniel Lang.
Concl. fin. Inv: ist fol. 93, 261 lb 14 ß 1 ¾ d
die machen 500. R. Verstallte hiengegen auch so Viel
Estat kein Stallgeltt
Gebott 2. ß
Abhandlung 10. ß 6 d, Summa 12. ß 6 d
Abzug. Weÿl. H. Frantz Remy gewesener barbierers Zu Kaÿßersburg hinderlaßene Zweÿ Kinder haben Von theils dato theils Finito usufructu anfallenden Groß Mütterl. Erbe der 99. lb 3. ß 7 ¾. d den Abzug Zuerleben mit 9 lb 18 ß 4 d.
dt. 11. Novembr. 1730.

Jacques Seemann se remarie avec Marie Madeleine Schrœder, fille de potier : contrat de mariage, célébration

1730 (16.12.), Me Lang l’aîné (Jean Daniel, 25 Not 104) f° 93
(Eheberedung) entzwischen dem Ehren und Vorgeachten Meister Johann Jacob Seemann, Steinhauer und Maurers, auch burgern allhier Zu Straßburg, als dem bräutigamb ane einem,
so dann der Ehren und tugendsamen Jungfrauen Mariæ Magdalenæ Schröderin des Ehren und Vorgeachten Meister Johann Georg Schröders, haffners und burgers allhier, mit der Ehren und tugendsamen frauen Anna Catharina gebohrner Schadin seiner Ehefrauen ehelich erzeugten tochter als der Hochzeiterin ane dem andern theil – So beschehen zu Straßburg, in des hochzeiters dermaligen Wohnbehaußung ane der blindengaß gelegen, auff Freÿtag den 15. Decembris Anno 1730. [unterzeichnet] Jacob Seeman als hochzeiter, Johann Georg Knoth alß deßen beÿstand, Maria Magdalena Schröderin hohzeiterin, ioannes melgior Schröter

Mariage, Saint-Pierre-le-Vieux (cath. p. 219)
Hodie die 21 Mensis Januarii Anni 1731 (…) sacro matrimonii vinculo in facie ecclesiæ conjuncti fuerunt Jacobus Seeman Civis Cæmentarius lapicida ac viduus defunctæ annæ mariæ Matzin et Maria Magdalena Schröderin filia legitima Joannis Melchioris Schröder civis ac figuli et Annæ Catharinæ Schredin omnes Commorantes in hac parochia (signé) Jacob Seeman, Maria Magdalena Schröderin (i 117)

Jacques Seemann meurt en 1743 en délaissant quatre enfants. Les experts estiment la maison 600 livres. La masse propre à la veuve s’élève à 116 livres, celle des héritiers à 107 livres. L’actif de la communauté s’élève à 788 livres, le passif à 738 livres.

1744 (26.3.), Me Lang l’aîné (Jean Daniel, 25 Not 82) n° 707
Inventarium über Weÿl. des Ehren und Wohlachtbaren Meister Jacob Seemanns geweßten Steinhauers Maurers und burgers allhier nunmehr seeligen Verlassenschafft auffgerichtet Anno 1744 – nach seinem den 6. Novembris Verwichenen 1743.sten Jahrs aus dießer welt genommenen tödlichen hintritt zeitl. hinter sich verlaßen, Welche Verlassenschafft auf Ansuchen und begehren der Ehren und tugendbegabten Fr. Mariæ Magdalenæ Seemännin gebohrner Schröderin des Defuncti geweßter Zweÿter Ehegattin und nunmahliger Wittib, mit zuziehung des Wohl Ehren und Vorachtbaren H Nicolas Lamassen bierbrauers Zum goldenen Ring und burgers allhier ihres geschwornen Curatoris, deßgleichen des Ehren und Vorachtbaren herrn Abraham Reumanns Kupfferschmidts und burgers allhier als geschwornen Vogts Jacobs, so in das 12. Jahr seines alters gehet, Catharinæ Theresiæ, so in die 7. Jahr alt, Mariæ, so ungefehr 5 Jahr alt, so dann Annæ Mariæ, so nur dreÿ Viertel Jahr alt, der Seemännen, aller Vier des Verstorbenen seel. mit obgedachter seiner hinderbliebener Wittib ehel. erzeugter und nach todt Verlaßener Kinder, auch ab intestato Erben, inventirt, durch die Seemännische Wittib selbsten, wie auch durch Catharinam Weingartin Von Binßdorff in Schwaben gebürtig die nunmahlige dienst Magd im hauß (geäugt und gezeigt) – so beschehen Zu Straßburg auf Donnerstag den 26. Martÿ et seq. Anno 1744.

In einer allhier Zu Straßburg ane der blinden gaß gelegenen in dieße Verlaßenschafft gehörigen und hernach beschriebenen behaußung befunden worden wie folgt.
(f° 10-v) (T.) Eine Vorder: und hider behaußung mit dero hoffstätten, höfflein auch übrigen gebäuden, weithen, rechten, Zugehörden und gerechtigkeiten gelegen allhier Zu Straßburg ane der blindengaß, einseit Johann Michael Mainlin dem Schreiner, anderseit neben H. Johann Höllbeck dem Kürßner und alten großen Raths Verwanthen, vornen auf die Blindengaß undt hinten auf H. Paul Gulden dem Weinhändler stoßend, so über hernach gemeldte unter denen theilbaren passiv Schulden eingetragene daroben hafftende Capitalia eigen und durch (die Werckmeistere) Vermög deroselben eingegebener schrifftl. Abschatzung Vom 3. Martÿ 1744 vor freÿ ledig und eigen angeschlagen pro 1200 gulden od. 600 lb. Wie der Verstorbene Mr Seemann und deßen nunmahlige Wittib die Vordere behaußung mit denen Zugehörden Von Fraun Anna Maria gebohrner Remiin Mr Johann Georg Knotten geweßten Steinhauer und Maurers allhier Ehegattin und weÿland H. Frantz Georg Remi geweßten Chirurgi zu Kaÿßersburg ihres bruders zweÿ Kinder Annä Mariä und Magdalenæ Remiin geschwornen Vogten in offentlicher Versteigerung ane sich erkauffet haben, Weißet ein teutscher pergamentener Kauffbrieff in allhießig. Canc. Contractstuben gefertiget und mit derenselben anhangendem Contract Insigel Verwahret datirt den 20. 7.bris 1732. Dabeÿ ein alter teutscher pergament. Kauffbrieff in ermelter Contract Stuben gefertiget und mit deroselben anhangenden Innsigel Verwahret datirt d. 14. aug. a° 1708.
Über die hindere behaußung aber, so er Mr Seemann und deßen jetzige Wittib Von Joseph Anstett dem Tabackbereiter und deßen Ehefrau Anna Maria gebohrne Heitzmännin Käufflichen ane sich erhandelt haben ist Vorhanden I. Teutscher pergamentener Kauffbrieff in oberwehnter Contract stuben Gefertiget und mit deroselben anhangend. Innsigel corroboriret datirt den 31. Januarÿ anno 1738. alle dreÿ mit N° 1 bemercket.
– Abschatzung dem 3. Martÿ: 1744. Auff begehren weillandt deß wohll achtbahren und bescheitenen Meister Jackob sëemann geweßener Mauer und Steinhauer seel. hinderlaßenen frau wittib und Erben ist eine behausung allhier in der Statt Straßburg in der blinten gaß gelegen, so ein seitß Neben dem Wiertshauß Zum Blinden Mann, anderseitß die frau Andreæ hinden auff H Gulten dem weinhändtler Stoßend welche behausung, unden ein gangß daß haußehren, oben ein Stübell, hauß Ehren darinn der herdt, worüber, ein Cammer und. daß hauß Ehren ein alter tach Stull mit höltzern gëbell, Kleiner hoff und hinder häusell darinen unden ein Stub Cammer hauß Ehren mit hërdt, oben wied.rum ein Stübell Cammer Kuchel, hauß Ehren ein alter tach Stull darinen die Soltaten Cammer, sambt aller gerëchtig Keidt wie solches turch der Statt Straßburg geschwornen werck Meister sich in der besichtigung befundten und Jetzigen Preiß nach angeschlagen wierdt Vor und Umb Ein Tausent und Zweÿ hundert Gulten. bezeichnuß der Statt Straßburg geschwornen wërck Meistere, [unterzeichnet] Pflug Statt Lohner, Michael Ehrlacher Werck Meister deß Meinsters, Johann Jacob Biermeÿer Werck Meister deß Zimmerhoffs
(f° 15) Ergäntzung der Wittib abgegangenen ohnveränderten Guths. Vermög Designationis (…) durch mich Notarium Langen den 24. Sept. Anno 1732. Vergriffen
(f° 22) Series rubricarum hujus Inventarÿ. Der Wittib ohnveränderte Nahrung, Sa. haußraths 11, Sa. Silbers 1, Sa. Schulden 57, Sa. Ergäntzung 46, Summa summarum 116 lb
Dießem nach wird auch der Erben ohnverändertes Guth gesetzt, Sa. haußraths 18, Sa. Silbers 2 ß, Sa. Ergäntzung (517, Abzuziehen 371) 146, Summa summarum 165 lb – Passiva 57 lb, Nach deren Abgang 107 lb
Endlichen wird auch die gemein theilbare Verlassenschafft beschrieben, Sa. haußraths 55, Sa. Werckzeugs und Materialien Zum Steinhauer und Maurer handwerck gehörig 53, Sa. Silbers 3, Sa. der baarschafft 76, Sa. Eigenthumbs ane einer behaußung 600, Summa summarum 788 lb – Schulden 738, Nach deren Abzug 49 lb
Gantze Verlassenschafft et Conclusio finalis Inventarÿ 274 lb
Copia beeder Geweßter Ehepersohnen Zur Zeit dero Verheürathung mit einander auffgericheter Ehepacten – entzwischen dem Ehren: und Vorgeachten Meister Johann Jacob Seemann Steinhauer und Maurern, auch burgern allhier Zu Straßburg, ams dem bräutigamb ane einem, So dann der Ehren und tugendsamen Jungfrauen Mariä Magdalenä Schröderin des Ehren und vorgeachten Meister Johann Georg Schröders, Haffners und burgers allhier, mit der Ehren und tugendsamen Frauen Anna Catharina gebohrner Schadin seiner Ehefrauen ehelich erzeugten tochter, als der hochzeiterin ane dem andern theil – So beschehen Zu Straßburg in des hochzeiters dermaligen Wohnbehaußung ane der blinden Gaß gelegen, auff Freÿtag den 15. Decembris Anno 1730, Johann Daniel Lang, Not. publ.

La veuve épouse en 1744 le maître maçon Gaspard Théodore Raballiati. Elle meurt en 1779 en délaissant un fils de son premier mariage et une fille de son deuxième.


Les Maisons de Strasbourg sont présentées à l’aide de Word Press.