10, rue Saint-Marc
Rue Saint-Marc n° 10 – VIII 160 (Blondel), P 1229 puis section 9 parcelle 46 (cadastre)
Partie de la n° 8, partagée en 1714
Démolie en 1906 – Nouveau bâtiment à la place des n° 10, 12 et 14, maître d’ouvrage Établissement du Bon Pasteur, architectes Albert Brion et Eugène Haug
Les 10 (partie droite autour de la porte) à 14 rue Saint-Marc – Porte – Etages (août 2021)
L’ancienne cour Lumbart est partagée en 1714 après la mort de l’aubergiste Jean Georges Fritsch entre les deux enfants. Le bâtiment à l’est (futur n° 10) qui revient à son fils boucher Jean Georges Fritsch restera aux mains de bouchers jusqu’à sa vente en 1892 à l’établissement des Diaconesses.
Plan-relief de 1725 (Musée historique), la maison se trouve au milieu de l’image (cour carrée entourée de bâtiments)
Dessins préparatoires au plan-relief de 1830, îlot 256 : façade et cour carrée à l’arrière (Musée des Plans-relief) 1
L’Atlas des alignements (années 1820) signale une maison à rez-de-chaussée et un étage en maçonnerie. Sur les élévations préparatoires au plan-relief de 1830, la façade sur rue se trouve entre (r’) et (s’) : trois fenêtres, portail et une autre fenêtre au rez-de-chaussée, étage à six fenêtres, toiture à deux niveaux comprenant chacun six ouvertures. La cour centrale U montre l’arrière (2-3) du bâtiment sur rue, le bâtiment latéral ouest (1-2), le bâtiment arrière (1-4) et la bâtiment latéral est (3-4). La face postérieure du bâtiment arrière est représentée en –7) de la cour E, la face est des différents bâtiments en (16-17-18) de la cour F.
La maison porte d’abord le n° 3 (1784-1857) puis le n° 10.
Cour U, partie des la cour F et E
Dessins préparatoires au plan-relief de 1830, îlot 256 : plan
Plan-relief de 1725 (Musée historique, cliché Thierry Hatt). Maison à cour carrée
Les bouchers Daniel et Auguste Grœtzinger agrandissent la maison en 1864 (le nombre de fenêtres au-dessous du troisième étage passe de 42 à 47, le revenu de 112 à 150 francs). Auguste Grœtzinger vend en 1892 la maison à l’établissement des Diaconesses (établissement du Bon Pasteur) qui charge l’architecte E. Salomon d’agrandir la partie arrière gauche du bâtiment. L’école pour jeunes filles le Bon Pasteur cède à la ville un terrain en avant de l’alignement légal et fait construire en 1906 sous la direction des architectes Albert Brion et Eugène Haug un nouveau bâtiment comprenant des salles de classe, des dortoirs et des logements sur le terrain des n° 10, 12 et 14. Les anciennes maisons sont démolies en mai 1906. Les travaux sont achevés en décembre 1908. L’établissement des Diaconesses établit en 1909 une clôture devant le nouveau bâtiment suivant une ligne convenue avec l’architecte municipal Nebelung.
Plan du Bon Pasteur, bâtiment transformé en 1897
Façade prévue en 1906 (la partie droite n’est pas réalisée), dossier de la Police du Bâtiment
juin 2025
Sommaire
Cadastre – Police du Bâtiment – Relevé d’actes
Récapitulatif des propriétaires
La liste ci-dessous donne tous les propriétaires de 1697 à 1952. La propriété change par vente (v), par héritage ou cession de parts (h) ou encore par adjudication (adj). L’étoile (*) signale une date approximative de mutation.
Jean Georges Fritsch, aubergiste, et (1667) Barbe Niclaus, (1678) Anne Marie Wolff puis (1688) Ursule Wolff, d’abord (1659) femme du teinturier Georges Frédéric Merckel – luthériens | ||
1714 | h | Jean Georges Fritsch, boucher, et (1701) Dorothée Strohl – luthériens |
1717 | h | Jean Georges Fritsch, horticulteur, et Anne Barbe Keller, à Colmar |
1736 | h | Frédéric Kreuchel, boucher, et (1733) Marie Dorothée Fritsch, remariée (1739) avec le boucher Jean Weyl – luthériens |
1742 | v | Nicolas Meyer, boucher, et (1726) Anne Marie Auer – luthérien converti, catholique (héritières) Marie Barbe Meyer et (1753) Jean Jacques Schultz, aubergiste, veuf de Marguerite Dubuisson Marie Madeleine Meyer et (1754) Joseph Graff, remueur de grains, puis (1773) Jean Georges Pulvermüller, boucher Anne Marie Meyer et (1759) Jean Jacques Stahl, orfèvre |
1792 | v | Jean Feder, boucher, et (1764) Susanne Barbe Weiner puis (1776) Marguerite Salomé Dürrbach – luthériens |
1797 | h | Jean Daniel Klein, boucher, et (1797) Marguerite Salomé Dürrbach veuve de Jean Feder |
1824 | v | Jean Daniel Grœtzinger, boucher, et (1811) Marie Dorothée Schær |
1852 | h | (copropriétaire) Daniel Grœtzinger, boucher, et (1857) Sophie Henriette Müller Auguste Grœtzinger, boucher, célibataire († 1895) |
1868 | h | Auguste Grœtzinger, boucher, célibataire († 1895) |
1892 | v | Etablissement des Diaconesses |
Valeur de la maison selon les billets d’estimation : 400 livres en 1717, 500 livres en 1738, 400 livres en 1776
(1765, Liste Blondel) VIII 160, Nicolas Meyer
(Etat du développement des façades des maisons, AMS cote V 61) Schultz, 7 toises, 2 pieds et 6 pouces
(1843, Tableau indicatif du cadastre) P 1229, Groetzinger, Jean Daniel, boucher – maison, sol, cour, bâtiment – 2,8 ares
Locations
1717 (cave) Jean Adam Baur, brasseur
1798, Jean Schwartz, fabricant de boucles, et Marie Madeleine Siefert
1810, André Haussmann, boucher
Description de la maison
- 1738 (billet d’estimation traduit) La maison dont le comble délabré est couvert de tuiles creuses comprend plusieurs poêles, chambres, cuisines, vestibule, cave en partie voûtée en partie solivée, petit bâtiment arrière comprenant un petit poêle, chambre, cuisine et vestibule, au rez-de-chaussée une écurie, chambre à soldats, le tout estimé avec le puits et autres appartenances et dépendances à la somme de 500 florins
Atlas des alignements (cote 1197 W 37)
3° arrondissement ou Canton Sud – Rue St. Marc
nouveau N° / ancien N° : 11 / 3
Klein
Rez de chaussée et 1° étage médiocre en maçonnerie
(Légende)
Cadastre
Cadastre napoléonien, registre 28 f° case 4
Groetzinger, Jean Daniel, Boucher
Groetzinger Daniel, Groetzinger Auguste par ½, Subst. 1854
P 1229, sol, m.on, bât. et cour, rue St Marc 3
Contenance : 2,80
Revenu total : 113,46 (112 et 1,46)
Ouvertures, portes cochères, charretières : 1
portes et fenêtres ordinaires : 42
fenêtres du 3° et au-dessus :
Cadastre napoléonien, registre 26 f° 677 case 2
Groetzinger, Daniel & Auguste par ½
1869 Groetzinger Auguste rentier
84/95 Evangelische Diakonissenanstalt
P 1229, Maison, sol, Rue St Marc 10
Contenance : 2,80
Revenu total : 113,46 (112 et 1,46)
Folio de provenance : (348)
Folio de destination : 677 aug. de Con.
Année d’entrée :
Année de sortie : 1867
Ouvertures, portes cochères, charretières : 1
portes et fenêtres ordinaires : 42
fenêtres du 3° et au-dessus :
P 1229, Maison, Rue St Marc 10
Revenu total : 151,46 (150 et 1,46)
Folio de provenance : 677 aug. de Con.
Folio de destination : Gb
Année d’entrée : 1867
Année de sortie :
Ouvertures, portes cochères, charretières : 1
portes et fenêtres ordinaires : 47 / 38
fenêtres du 3° et au-dessus :
1867. Augmentations – Groetzinger Daniel f° 677, P 1229, Maison, revenu 150, Aug.on de C.on, achevée en 1864, imposable en 1867, imposée en 1867
Diminutions – Groetzinger Daniel f° 677, P 1229, Maison, revenu 112, Aug.on de C.on, supp. en 1867
Cadastre allemand, registre 29 page 117 case 4
Parcelle reportée à partir de l’exercice 1907 au n° 8 (case 5) et en partie à la voie publique (rue Saint Marc, section 5 parcelle 45)
Parcelle, section 9, n° 46 – autrefois P 1229
Canton : St. Marxgasse, Hs. Nr 10
Désignation : Hf, 2 Whs
Contenance : 2,56
Revenu : 1200
Remarques : ab 1907 F. 5 u. S. 101 F. 4
(Propriétaire), compte 61
Evangel. Diakonissenanstalt
1927 Etablissement des Diaconesses
(154) corrigé en (175)
1789, Etat des habitants (cote 5 R 26)
Canton VIII, Rue 280 Finckweiler Derrière la Mouche (p. 435)
3
prop. Schulz demailleur
loc. Hoeffler, Martin, tisserand – Drapiers
loc. Hoeffler, Nicolas, tisserand – Drapiers
loc. Hartmann, Léonard, boucher – Bouchers
loc. Kress, Léonard, boucher – Bouchers
loc. Martin, bûcheron, Ritt est le nom de famille – Manant
Annuaire de 1905
Verzeichnis sämtlicher Häuser von Strassburg und ihrer Bewohner, in alphabetischer Reihenfolge der Strassennamen (Répertoire de toutes les maisons de Strasbourg et de leurs habitants, par ordre alphabétique des rues)
Abréviations : 0, 1,2, etc. : rez de chaussée, 1, 2° étage – E, Eigentümer (propriétaire) – H. Hinterhaus (bâtiment arrière)
St. Marxgasse (Seite 109)
(Haus Nr.) 10
Ehresmann, Heizer. 0
Rehahn, Wäscherin. 0
Heiligenstein. Wwe. 1
Lehmann. Schutzmann. 1
Scheidecker, Ausläufer. 1
Bauernschmidt, Privat. 2
Liszbeck, Privat. 2
Möbius, Wwe. 2
North, Waschfrau. 2
Brandes, Wwe. H 1
Lecuyer, Tagnerin. H 0
Dossier de la Police du Bâtiment (cote)
L’établissement du Bon Pasteur charge en 1898 l’architecte E. Salomon d’agrandir la partie arrière gauche du bâtiment.
Les architectes Brion et Haug demandent en mai 1906 au nom de l’école pour jeunes filles Le Bon Pasteur l’autorisation de construire un bâtiment comprenant des salles de classe, des dortoirs et des logements sur le terrain des n° 10, 12 et 14. Ils sont autorisés en juillet 1906, après cession à la ville d’un terrain en avant de l’alignement légal, à construire un nouveau bâtiment rue Saint-Marc et rue des Greniers. Celui qui dépasse de l’alignement rue des Greniers ne devra jamais être surbâti. L’entreprise Sigrist et Albrecker démolit les anciennes maisons en mai 1906. L’entrepreneur Ehstand creuse en août la fosse pour les fondations. Le gros œuvre est terminé en mars 1907. L’école supérieure de jeunes filles Bon Pasteur et les architectes Brion et Haug sont autorisés à installer un ascenseur en janvier 1908. Les travaux sont achevés en décembre 1908. L’établissement des Diaconesses établit en 1909 une clôture devant le nouveau bâtiment suivant une ligne convenue avec l’architecte municipal Nebelung.
Le bureau de protection anti-aérienne (Luftschutzamt) fait aménager en 1941 un abri rue des Greniers dans le prolongement du bâtiment d’angle
Sommaire
- 1884 – Le maire notifie le rentier Auguste Gretzinger (demeurant 25, rue Finckwiller) de faire ravaler la façade du 10, rue Saint-Marc – Travaux terminés, novembre 1884
1889 – Le maire notifie A. Gretzinger (demeurant sur place) de faire ravaler la façade du 10, rue Saint-Marc – Travaux terminés, octobre 1889 - 1894 – Le maire notifie l’établissement des Diaconesses de faire ravaler la façade du 10, rue Saint-Marc – Travaux terminés, octobre 1896
- 1898 – L’architecte E. Salomon demande au nom du Bon Pasteur l’autorisation d’agrandir le bâtiment suivant le plan joint (partie arrière gauche) – Autorisation de construire un bâtiment à deux étages
Les murs sont terminés jusqu’à la toiture, les plâtriers travaillent, août 1897. Travaux terminés, le bâtiment est occupé, janvier 1898. - 1901 – La Commission contre les logements insalubres fait remarquer qu’il faudrait remplacer par une cheminée le tuyau qui se trouve dans la façade sur cour. – Le maire écrit à l’établissement des Diaconesses
- 1901 – Commission contre les logements insalubres. Propriétaire, établissement des Diaconesses. Remarques 1) plafond du cabinet d’aisance, 2) tuyau à remplacer par une cheminée (vide supra) – Réponse par Alfred Herrenschmidt, président de l’établissement – Travaux terminés, février 1902
1902 – Plainte relative aux mauvaises odeurs provenant d’un clapier à lapins – La plaignante a quitté le logement après la mort de sa mère pour s’établir en France. Le clapier est supprimé
1904 – Les plafonds de cuisine doivent être plâtrés – L’architecte Salomon demande à surseoir aux travaux puisque la maison sera démolie dans les trois ans – 1907 (août), la maison est démolie - 1906 (décembre) – Le maire notifie la Société strasbourgeoise de construction (Strassburger Baugesellschaft) de munir l’échafaudage de garde-corps – Les garde-corps sont en place, janvier 1907
1906 (mai) – Les architectes Brion et Haug demandent l’autorisation de construire un nouveau bâtiment servant d’école et d’habitation – L’entreprise Sigrist et Albrecker démolit les anciens bâtiments
1906 (août) – L’entrepreneur Ehstand creuse la fosse pour les fondations – Remarques sur les dispositions relatives à la sécurité des ouvriers – Travaux terminés, décembre 1908
1907 (novembre) – Les architectes Brion et Haug (7, rue Kageneck) transmettent les dessins de la clôture à construire devant le bâtiment sur le communal. Le Service d’architecture donne son accord si la clôture se trouve deux mètres derrière le bord de la rue (plan, dessin). L’établissement des Diaconesses devra verser un cens communal de 75 marks pour la jouissance du terrain communal de 197 mètres carrés. Les architectes répondent que la clôture sert seulement à éviter que des gravats soient déposés ou que des personnes ne se dissimulent, ils proposent un loyer symbolique d’un mark. Le maire fixe la redevance à 65 marks. – La clôture n’est pas construite. - 1906 (mai) – Les architectes Brion et Haug demandent au nom de l’école pour jeunes filles Le Bon Pasteur l’autorisation de construire un bâtiment comprenant des salles de classe, des dortoirs et des logements.
1906 (mai) – Le maire écrit à Alfred Herrenschmidt que l’autorisation ne peut être accordée qu’après convention relative au terrain à céder à la ville.
1906 (juin) – Le maire demande aux architectes des précisions concernant les plans (usage des salles au rez-de-chaussée, taille des fenêtres de la cuisine au sous-sol, épaisseur des murs coupe-feu, etc.) – Réponses des architectes
1906 (juillet) – L’école supérieure de jeunes filles Bon Pasteur et les architectes Brion et Haug sont autorisés à construire un nouveau bâtiment rue Saint-Marc et rue des Greniers. Le bâtiment rue des Greniers qui dépasse de l’alignement ne devra jamais être surbâti – Jeu de dessins (plans des différents niveaux, élévations, plan de la serre), calcul statique (Brion et Haug, 30 pages)
Suivi des travaux – La dalle en béton de la cave est commencée, août 1906. Le troisième étage est terminé, décembre. Le comble est en place, février 1907
1906 (septembre) – L’entreprise Th. et Ed. Wagner (14, rue de la Fontaine) demande de vérifier les dalles en béton armé (plafonds à nervures), calcul statique – La Société strasbourgeoise de construction (Strassburger Baugesellschaft, anciennement J. & E. Klein & Othon Back & Compagnie) demande de vérifier l’alignement
1906 (octobre) – L’entreprise Th. et Ed. Wagner est autorisée à réaliser les dalles en béton armé – Dessin – Complément au calcul
1907 (mars) – Les architectes Brion et Haug transmettent des plans rectifiés. Les modifications sont intervenues après la démolition des anciens bâtiments – Ils demandent la réception du gros œuvre
1907 (avril) – Avenant à l’autorisation de juillet 1906 – Dessin
La réception du gros œuvre ne donne lieu à aucune observation
1907 (mai) – Compte rendu après essai de charge des dalles à nervures
Suivi des travaux – Les plâtriers travaillent (avril 1907), les menuisiers (septembre), les peintres (novembre), les pièces dans les mansardes sont habitées (novembre)
1907 (décembre) – Autorisation d’occuper le bâtiment. Remarques - 1908 (janvier) – L’école supérieure de jeunes filles Bon Pasteur et les architectes Brion et Haug sont autorisés à installer un ascenseur dans le nouveau bâtiment (l’ascenseur est déjà en place) – La cage d’ascenseur doit être entièrement fermée à chaque étage (Travaux terminés, mai) – Description de l’ascenseur (constructions mécaniques Stigler à Milan), calcul des partie portantes (Charles Joseph Becker, ingénieur à Francfort), description imprimée
- 1909 – L’établissement des Diaconesses (école de jeunes filles et école normale), demande, après un entretien avec le maire Schwander, à jouir d’un terrain communal devant le bâtiment. Le cens est fixé à 30 marks – Autorisation de construire une clôture deux mètres devant le nouveau bâtiment (plan) – Les architectes Brion et Haug transmettent un plan où figure l’alignement légal (A-B) sur lequel la clôture a été autorisée et la ligne (C-D) correspondant à l’accord donné par le maire. L’architecte municipal Nebelung propose une ligne ABCDE pour que le trottoir ait deux mètres de largeur. Plans joints – La clôture est terminée, janvier 1910.
- 1915 – Commission des logements militaires. Rien à signaler
Quatre cas de fièvre scarlatine, 1924 - 1941 – Le bureau de protection anti-aérienne (Luftschutzamt) n’a pas d’objection à faire contre l’aménagement d’un abri pour 255 personnes dans l’école Marie Hart – Les travaux n’ont pas commencé, août 1941 – Les travaux sont terminés, janvier 1942 – Dessin, plan (l’abri se trouve rue des Greniers dans le prolongement du bâtiment d’angle)
1941 (septembre) – Le Service d’architecture présente au commissaire faisant fonction de maire (Oberstadtkommissar) une demande pour exécuter des travaux – Accord
Idem, pour construire une salle de dessin – Pas de travaux - 1954 – L’entreprise de crépissage Frezza (15, rue de la Patrie à Schiltigheim) est autorisée à poser un échafaudage devant le collège Lucie Berger rue Saint-Marc et rue des Greniers
- 1964 – Le directeur de l’établissement des Diaconesses autorise l’architecte Breitenbach à consulter les plans de l’établissement et du collège
Autres dossiers
Voir le n° 8
Relevé d’actes
La maison qui faisait partie de la cour Lumbart revient à Jean Georges Fritsch, l’un des deux enfants du marchand de vins Jean Georges Fritsch après sa mort en 1714. Anne Salomé Fritsch ratifie en 1733 le legs d’une des maisons (celle à l’est) que son père a fait à son fils Jean Georges Fritsch
Le boucher Jean Georges Fritsch épouse en 1701 Dorothée, fille du boucher Georges Strohl : contrat de mariage tel qu’il est copié à l’inventaire, célébration
Copia der Eheberedung – zwischen dem Ehrsamen Hanß Geörg Fritschen dem ledigen Metzger des Wohl Ehren und Vorgeachten herrn hanß Geörg Fritschen senioris, Weinhändlers und burgers alhier Zu Straßburg eheleiblichen Sohn, mit beÿstand deßelben, wie auch herr hanß Geörg Picken des Biersieders seines geordneten Curatoris als Bräutigam an einem, So dann der Ehren und Tugendsamen Jungfrauen Dorothea weÿland herrn hanß Geörg Strohlen geweßenen Accis-Einnehmers auch Metzgers und burgers alhier seelig nachgelaßene tochter mit assistentz herrn Mr Philipp Strohlen Wohlverdienten Diaconi beÿ St. Thomæ ihres Nahen Verwantens und herrn Johann Geörg Kraußen Meisters ihres noch ohnentledigten Vogts als hochzeiterin am andern theil – Actum in der Königlichen Statt Straßburg Mittwochs den 24. Monatstag Augusti Anno 1701. Andreas Schmidt Not. publ. jur.
Mariage, Saint-Pierre-le-Jeune (luth. f° 107)
1701. Dominica XVI et XVII post trin: proclamat. sunt Hanß Georg Fritsch der Ledige Metzger, H. Johann Georg Fritschen Burgers vnd Weinhändlers alhier Ehelicher Sohn, Vnd Jungfr. Dorothee Weÿland Hanß Georg Strohlen Burgers vnd Metzgers alhie eheliche Tochter Copulati sunt Mittw d. 21. 7.bris [unterzeichnet] hannß goerg fritsch als hoch Zeitter, dorotha Strohlin als hochzeitrin (i 109, proclamation. Saint-Thomas f° 84-v n° 460)
Le boucher Jean Georges Fritsch meurt en 1717 en délaissant deux enfants. La maison à l’arrière de la rue du Pâtre est estimée à 400 livres. La masse propre à la veuve est de 60 livres, celle des héritiers de 1 601 livres. L’actif de la communauté s’élève à 12 livres et le passif à 584 livres.
1717 (29.7.), Not. Hoffmann (Christophe Michel, 19 Not 73) n° 224
Inventarium über Weÿland Meister Johann Georg Fritschen geweßenen Metzgers und burgers alhier nunmehro seel. Verlaßenschafft auffgerichtet Anno 1717.
Inventarium und Beschreibung aller der Jenigen Haab und Nahrung, liegender und Vahrender nichts davon außgenommen, so weÿland Meister Johann Georg Fritsch geweßener Metzger und burger alhier, nach seinem am 1. Junÿ jüngsthin genommenen tödlichen hintritt hie Zeitlichen verlaßen, Wie Solche auf freundliches ansuchen erfordern und begehren Hn Johann Röschen des Rothgerbers und Lederbereithers auch burgers alhier alß geordnet und geschworenen Vogts Johann Georgen und Mariæ Dorotheæ beeder Fritschen, so der Verstorbene seel. mit hernach Vermelter seiner hinterbliebenen wittib ehelich erziehlt, und ab intestato Zu gleichen portionen und Antheilern Zu Erben Verlaßen, heüt dato ordnungs mäßig inventirt und ersucht, durch fraw Dorotheam gebohrener Strohlin die hinterlaßene wittib, mit hülff und beÿständlich Hn Niclauß Strauven des Kunst und bluhmen Gärtners auch burgers allhier ihres geordneten Curatoris – So beschehen in dießer Königlichen Freÿen Statt Straßburg den 29. Julÿ Anno 1717.
Copia der Eheberedung – Copia Codicilli
In einer alhier Zu Straßburg ane dem Finckweiler hinter dem Hirtengäßlein gelegenen in dieße Verlaßenschafft gehörigen und deßwegen hernach fol. (-) beschriebenen behaußung Volgendermaßen befunden
Sa. haußraths 72 (W 15, E 49, T 7), Viehe (T 5) Leere Vaß und anders (E 19 T 14 ß), Silber (W 2 ß, E 1, T 1 ß) Summa summarum Theÿlbahrer Verlaßenschafft 12 lb
guldene Ring (W 4), Pfenningzinß hauptguth (E 700)
Eigenthum ane einer behaußung (E.) Eÿgenthum ane einer behaußung. (E.) Eine behaußung, hoff, sambt allen deren weÿden rechten Zugehörd vnd gerechtig Keiten gelegen in dem finckhweÿler hinter dem hürtten gäßel einseith neben Hn Johann Röschen dem Rothgerber und leder bereiter and. seit neben Hn Niclauß Struve, dem Kunst und blumen gartner bede burgere alhie hinden auff gedachten Hn Röschen garten stoßend, so freÿ Ledig und eÿgen Zumahlen Von denen geschwornen H. Werckmeister, Krafft dero Abschatzung Vom 13. Julÿ 1717. æstimirt und angeschlagen pro 400. Dieße behaußung hat d. verstorbene seel. von weÿl. H. Georg Fritschen geweßenen weinhändler und burger allhier seinem vatter seel. erbl. erlangt darbeÿ noch vorhanden ein teutscher Pergamentiner Kauffbrieff mit der Statt Straßb. Canzeleÿ Contract Insigel Verwahrt datirt den 11. Februarÿ 1697. m. altem litera A. bezeichnet und dabeÿ gelaßen
Theilbahre Activ Mass 12 lb – Schulden aus der Theilbahren Verlaßenschafft Zugeltend 584 lb, Compensando 571 lb
Schulden in der Wittib unveränderte Vermögen zugeltend 40, Summa summarum des Wittib (Vermögens) 60 lb
Ergäntzung der Erben abgegangen unveränderter Nahrung, Inhalt einer durch H. Johann Friderich Redwitzen Notm. publ. underm 6. 8.bris Anno 1701 über des Verstorbenen seel. Mütterl. und Groß mütterlichen Guths
(f° 10) Ergäntzung der Erben (496, abzug 25, verbleibt) 471 lb – Summa summarum der Erben Nahrung 1641 lb – Schulden aus der Erben Nahrung Zugeltend 40, Conferendo bleibt 1601 lb
Conclusio finalis Inventarÿ 1089 lb
Copia der Eheberedung (…) Actum in der Königlichen Statt Straßburg Mittwochs den 24. Monatstag Augusti Anno 1701. Andreas Schmidt Not. publ. jur.
Copia Codicilli – 1717 (…) auff Dienstag den 25. Maÿ abends Zwischen Sehchs und Sieben Uhren in dießer Königlichen freÿen Straßburg der Ehrengeachte Johann Georg Fritsch Metzger undt Burger alhier (…) in seiner ane dem finckweiller hinter dem hirtzen gäßel gelegenen behaußung in der obern ford.en mit den fenstern auff die gaß auß sehend wohnstuben Zu sich beruffen und erfordern laßen da wie demselben Zwar kranckh und unpäßlichen Leibs dannenhero auf seinem bett Liegend (…) – Christoph Michael Hoffmann
Dorothée Fritsch née Strohl loue la cave au brasseur Jean Adam Baur
1717 (19.10.), Dorothea fritschin wittib geb. Strohlin beÿständlich niclaus Straub kunstgärtners ihres vogts
in gegensein Joh: Adam Baur biersieders zum guldenen Schwanen
entlehnt, in ihrem hauß allhier im finckweiler einseit neben obigem Straub anderseit neben Rösch gelegen den Keller sambt vass 32 ohmen haltend, auff 3 jahr lang anfangend auf weÿh: um einen jährlichen Zinß nemlich 9 lb
L’inventaire après décès non conservé de Dorothée Strohl est dressé en 1729
1729, Not. Hoffmann (Christophe Michel, rép. 65 not 11) n° 962
Inventarium über weÿl. der Ehren und tugendsahmen frauen Dorotheæ Fritschin gebohrner Strohlin auch Weÿl. des Ehren und Vorgeachten H. Johann Georg Fritschen geweßenen Metzgers und burgers alhier zu Straßburg nachgelaßener wittib Seel. Verlassenschafft
Marie Dorothée Fritsch, femme du tonnelier Frédéric Kreuchel, assistée de son neveu Jean Frédéric Rœsch, hypothèque au profit de Jacques Hector Gombault, employé à la Halle, la maison qui appartient pour moitié à son frère Jean Georges Fritsch, horticulteur absent
1733 (25.9.), Chambre des Contrats, vol. 607 f° 422
Friedrich Kreuchel der Kieffer und Maria Dorothea geb. Fritschin mit beÿstand ihres geschwistrigkindts Johann Friedrich Rösch des Rothgerbers und ihres geschwistrig kindts Ehemann hannß Jacob von Zabern des Schirmers
in gegensein H. Jacob Hector Gombault Beamten in hießigem kauffhauß – schuldig seÿen 150 pfund
unterpfand, die ohnvertheilte helffte einer behausung bestehend in vorder und hinderhauß hoff stallung und hoffstatt mit allen derselben gebäuden, begriffen, weithen, zugehörden und gerechtigkeiten im Finckweiler beÿ dem Stifft zu St Marx, einseit neben Nicolaus Struve dem Doctor gärttner anderseit neben Fr. Anna Salome geb. Fritschin weÿl. Lorentz Rhein gewesten Metzgers zu Schiltigheim wittib hinten auff eben denselben und ged. Struven gartten – ihro Kreuchelischen ehefrau zu einer zur andern helffte aber ihrem bruder Johann Georg Fritsch dem ledigen von hier abweßenden Blumengärttner
Jean Georges Fritsch, horticulteur célibataire à Colmar, assisté de son beau-frère Frédéric Kreuchel, hypothèque sa moitié de maison au profit du diacre Jean Huber
1734 (15.2.), Chambre des Contrats, vol. 608 f° 47-v
Johann Georg Fritsch der ledige sich zu Collmar auff haltende Blumen gärttner so mehrjährig und ohnbevögtigt beÿständlich seines schwagers Friedrich Kreuchel des Kieffers
in gegensein H. M. Johannes Huber Diaconi Senioris zu St Willhelm – schuldig seÿe 100 pfund
unterpfand, die ohnvertheilte helffte ahne einer behausung bestehend in vorder: hinder hauß, hoff, stallung und hoffstatt mit allen derselben gebäuden, begriffen, weithen, zugehörden und Rechten in dem Finckweiler beÿ dem Stifft zu St Marx einseit neben Nicolaus Struwe dem Doctor: gärttner anderseit neben Fr Annä Salome geb. Fritschin weÿl. Lorentz Rhein Metzgers zu Schiltigheim wittib hinten auff eben derselben und besagten Struwe gartten – ihme zu ged. helffte zum andern halben theil aber vorbemeldten Kräuchels Ehefrau Maria Dorothea geb. Fritschin
Jean Georges Fritsch horticulteur à Colmar, vend la moitié de maison à Frédéric Kreichel et à Marie Dorothée Fritsch sa sœur
1736 (18.5.), Chambre des Contrats, vol. 610 f° 509-v
Johann Friedrich Rösch der Rothgerber als mandatarius Johann Georg Fritsch Blumen: gärttners und burgers zu Collmar
in gegensein Friedrich Kreichel des kieffers und Mariæ Dorotheæ geb. Fritschin
die unverändert helffte einer Behausung, hoff, hinderhauß, stallung, Bronnens und hoffstatt mit allen deren übrigen gebäuden, begriffen, weithen, zugehörden und gerechtigkeiten in dem Finckweiler ohnfern der Schaffneÿ des Stiffts zu St Marx, einseit neben Nicolaus Struve dem gärttner in dem Horto Medico, anderseit neben Johann Certain dem Confisseur, hinten auff denen deßelben – als ein von weÿl. Johann Georg Fritschen metzger seines vatters seel. ererbtes und vermittelst am 5. maÿ 1733 in hiesiger C.C. Stub getroffen und am 20. ejusdem confirmirten vergleichs zu einer helffte und zum andern halben theil der mitkauffender Kreichelischer ehefrauen eigenthümlich zuständig – um 350 pfund und 6 pfund zu einer verehrung für verkauffenden Fritschischen Ehefrau Anna Barbara geb. Kellerin
Les acquéreurs hypothèquent le même jour la maison au profit de Marguerite Salomé Fessel pour laquelle son tuteur Jean Joachim Haubenstricker
1736 (18.5.), Chambre des Contrats, vol. 610 f° 511
Friedrich Kreichel der kieffer und Maria Dorothea geb. Fritschin mit beÿstand ihres Curatoris ad hunc actum Johann Friedrich Butz des Schneiders und mit fernerer assistentz in geschwistrigkinds Johann Friedrich Rösch des rotgerbers und ihres geschwistrigkinds ehemanns Johann Jacob von Zabern des Schreiners
in gegensein H. Johann Joachim Haubenstricker E.E. großen Raths beÿsitzers als geschwornen vogts Jfr Margarethæ Salome Feßelin – schuldig seÿen 450 pfund
unterpfand, eine zur helffte aus jetzigem vorschuß heutigen tags erkaufft und bezalte auch zu repariren vorhabende Behausung bestehend in vorder und hinderhauß, hoff, stallung, Bronnen und hoffstatt mit allen deren gebäuden, begriffen, weithen, zugehörden und gerechtigkeiten in dem Finckweiler ohnfern der Schaffneÿ des Stiffts zu St Marx, einseit neben Nicolaus Struve dem gärttner in dem Horto Medico, anderseit neben Johann Certain dem Confisseur, hinten auff denen deßelben – als ein von ihre Kreichelin Eltern besonders deren Vatter weÿl. Johann Georg Fritschen dem metzger ererbt und vermittelst am 5. maÿ 1733 in hiesiger C.C.st. getroffen und am 20. eujudem confirmirten vergleichs zu einem halben theil, zur anderen helffte vermög anheute getroffenen kauffs
Fils du boucher Elie Kreuchel, Frédéric Kreuchel termine en mai 1722 son apprentissage de trois ans chez le tonnelier Jean Ammel.
1722, Protocole de la tribu des Tonneliers (XI 393)
(f° 512) Dienstags den 9. Maÿ Anno 1722
Mstr Johannes Ammel der Kieffer stellet Vor Friderich Kräuchel H. Eliæ Kräuchels deß Metzgers und burgers allhier ehelichen Sohn meldete daß sein deß Jungen dreÿjahrige lehrzeit Vollig Verstrichen, auch seÿe Er mit dem Jung und der Jung mit Ihme Zu frieden bathe derowegen umb gesetzliche looß Zahlung. Erkant willfahrt, zahlte gebühr 12 ß 6 d und pro Ziunfftschreibr. und büttel 2 ß 6 d.
Frédéric Kreuchel s’inscrit pour faire son chef d’œuvre
1725, Protocole de la tribu des Tonneliers (XI 393, XI 394)
(f° 91) Dienstags den 12. Junÿ Anno 1725
Friderich Kräuchel der Ledige Kieffer Knecht eines Hießigen und hier gelernten Burgers Sohn stehet Vor, bittet Ihne Zu Verfertigung des Kieffer Meister stücks, einzuschreiben. Erkannt Willfahrt Zahlte Werckstätten Zinnß 1 lb 10 ß und pro Zunfftschreiber und büttel 2 ß 6 d.
Frédéric Kreuchel devient tributaire chez les Tonneliers le 14 mars 1730
(f° 254-v) Dienstags den 14.t Martÿ 1730 – Friderich Kraichel der Kieffer stehet vor prod. Schein von der Statt Stall vom 13.t Martÿ 1730. vermög deßen er sich daselbsten ordtnungs mäßig angemeldet, bittet ihme Leibzünfftig anzunehmen. Erkandt willfahrt dt. 1 lb. 1 ß 5 d vor das Zunfftrecht, für die feureÿmer 10 ß d und für den Zunfftschrbr. und büttel 2 ß 6 d.
Frédéric Kreuchel présente en septembre 1731 son chef d’œuvre auquel les examinateurs trouvent des défauts. Il est reçu maître mais devra travailler sans aide pendant un an.
(f° 283) Montags d. 26.ten 9.bris 1731 ist Friderich Kräuchels des Kieffers Verfertigten Kieffer Mstr. Stück Zum letzten mahl besichtiget worden, und referirten die H. Schaumeister, daß in der ersten schau sich unterschiedliche buckel und täschlein befunden, war auch daß stuck ungleich eingericht, in der Zweiten schau war solches wid. Verbeßert, aber die böden waren ungleich eingehoblet, so auch wid. verbeßert worden, in der 3.ten und letzten schau aber befanden sich am hinderen end 2 fugen noch offen stehend, wie auch eine am fordern end daselbst in einer taugen ein ößel Vor der gargel berühret, Item befindet sich ein angeleimbter schliffer auff der lincken seith, so biß in die gargel gehet, weillen nun solche fehler Von consequentz alß wurde solches Zwar vor ein gültiges Mstrstuck Erk. doch daß der meisterstück schauer ein Jahr lang ohne gesind arbeiten solle, Welches auch von H. XV. Sainctlo dem obman condirmirt worden.
Frédéric Kreuchel épouse en janvier 1733 Marie Dorothée Fritsch, fille du boucher Jean Georges Fritsch : contrat de mariage non conservé, célébration
1732, Not. Hoffmann (Christophe Michel, rép. 65 not 12) n° 747
Eheberedung – Johann Friderich Kreuchel, ledigen Kieffers
und Jungfrauen Mariä Dorotheæ Fritschin
Mariage, Saint-Thomas (luth. f° 225-v n° 1285)
Anno 1732 den 19. Novembr. seind nach geschehener ordentlicher außruffung in der Kirch Zu St. Thomas ehelich eingesegnet worden Friedrich Kreuchel der ledige Kieffer, weiland Eliæ Kreuchel des gewesenen Metzgers und burgers alhier, hinderlaßener ehel. Sohn, und Jungfr. Maria Dorothea weÿl. Johann Georg Fritsch des gewesenen burgers und Metzgers alhie hinderlaßene ehel. tochter [unterzeichnet] Friederich Kreuchel Als hoch Zeider, xx die hochzeiterin konte nicht schreibe (i 230)
Frédéric Kreuchel et Marie Dorothée Fritsch se lèguent mutuellement la jouissance de leurs biens
1733 (21.8.), Not. Hoffmann (Christophe Michel, 19 Not 63)
Codicillus reciprocus Meister Friderich Kreüchel des Kieffers und burgers alhier et uxoris
Zuwißen daß auff Freÿtag den 21.ten Augusti Anno 1733. Nachmittag Zwischen 6 und 7 Uhren in (…) meiner ordinari Schreibstub (…) der Ehrengeachte Meister Friderich Kreüchel der Kieffer und die Ehren und tugendsame Maria Dorothea geb. Fritschin, beede Eheleuthe und burgere alhier durch die Gnade Gottes auffrecht gesund gehend und stehender Leiber auch richtiger Sinnen guter Vernunfft und Verstands (…) ihren Letzt: und Liebsten willen in forma Codicillorum reciprocorum oder wÿdumbs stüfftung gegen einander, gantz ohngezwungen und ohngetrungen sondern freÿwillig und wohlbedächtlich gestüfftet und auffgerichtet
[unterzeichnet] Friederich Kreuchel, maria dorothea Kreüchelin
Inventaire des apports non conservé
1733, Not. Hoffmann (Christophe Michel, rép. 65 not 11)1270
Inventarium über Meister Friderich Kreüchel Kieffers und frauen Mariæ Dorotheæ gebohrner Fritschin beeden Eheleuthe und burgere alhier zusammen gebrachte Nahrungen
Le tonnelier Jean Adam Gilot fait grief à la veuve Frédéric Kreuchel de ne pas lui avoir livré toutes les douves du marché passé avec son mari. La veuve remboursera le plaignant.
1738, Protocole de la tribu des Tonneliers (XI 394)
(f° 389-v) Dienstags den 22. Julÿ 1738
Mstr. Joh: Adam Giloth der Kieffer Klagt wid. weÿl. mstr Friderich Kräuchels wittib, nach dem er in gemeinschafft dero verstorbenen mann einen accord mit einem daugen hauer umb 800 daugen holtz gemacht, und der daugenhändler nach ihres manns tod 400 à conto gelüffert sie die helffte nicht ihme, sondern ihrem vogt Friderich burger junior Zu kommen laßen, bittet beklagte anzuhalten, daß sie ihme die 7 fl. so selbe dem holtzhändler annoch schuldig Zu stelle, oder die halbe daugen überlüffere.
Ille sagt, sie will solch gelt dem daugenhändler wohl auff halten, aber ihme Könne sie selbiges anjetzo nicht geben.
Erkandt wurdte beklagte injungirt dem verkauffer das gelt einzubehalten, biß Kläger Contendirt seÿn wirdt, Zu nächstem Gericht aber soll beklagter vogt citirt werden und als dann ferner ergehen was rechtens ist reserv. expens.
(f° 391) Dienstags den 16.t 7.bris 1738 – Mstr. Joh: Adam Giloth der Kieffer erhohlt Klag vom 22.ten Julÿ meister Fridrich burger junior der Krauchelischen wittib vogt gestunde daß er denen 400 geliefferte daugen 200 empfangen gestehet auch daß weÿl. mstr Friderich Kräuchel Kläger Zu sich in gemeinschafft des accords genommen habe, worauff Erkandt wurde, daß, weilen meister Giloth Zufrieden wann er sein außgelegt Gelt undt unkosten wid. empfangt, daß beklagte Kräuchelin ihme solches nebst unkösten wid. ersetzen solle und Zwar innerhalb 8 tagen ref. expens. worin sich meister burger auch verwilligt.
Frédéric Kreuchel meurt en mai 1737 en délaissant trois filles. Les experts estiment la maison à 780 livres. La masse propre à la veuve est de 480 livres, celle des héritiers de 6 livres. L’actif de la communauté s’élève à 419 livres et le passif à 732 livres.
1738 (19.8.), Not. Hoffmann (Christophe Michel, 19 Not 50) n° 1614
Inventarium über Weÿland des Ehrengeachten Meister Friderich Kreuchel, geweßenen Kieffers und burgers allhier Zu Straßburg nunmehr seel. Verlaßenschafft auffgerichtet in Anno 1738.
Inventarium und beschreibung aller derjenigen Haab, Nahrung und güthere, nichts davon außgenommen, so weÿland der Ehrengeachte Meister Friderich Kreuchel, der geweßene Kieffer und burger allhier Zu Straßburg nunmehr seel. nach seinem Donnerstags den 22.ten Maÿ innstehenden 1737.gsten Jahrs aus dießer welt genommenen tödlichen hintritt genommenen tödlichen hientritt Zeitlichen verlaßen, welche Verlaßenschafft auf gebührendes ansuchen erfordern undt begehren Hn Abraham Kreuchel des Metzgers und burgers allhier als geordnet und geschworenen Vogts Mariæ Dorotheæ, Annä Mariä, Mariä Salome derer Kreuchelin des abgeleibten seel. mit Vor: und hernach gemelter seiner hinterbliebener wittib ehelich erziehlter Kinder und ab intestato Verlaßener rechtmäßiger Erben, inventirt und ersucht durch die Ehren und tugendsahme frau Mariam Dorotheam Kreuchelin gebohrener Fritschin die hinterbliebene wittib beÿständlichen Mstrs Johann Friderich Burgers des Kieffers und burgers allhier ihres geschwornen Curatoris, auff Zu Vorhin ane dießelbe beschehene gebührende anerinner: und Vorleßung des gewohnlichen articuls äugens und Zeigens (…) Geschehen Straßburg Dienstags den 19. Augusti Anno 1738.
Copia der Eheberedung
In einer allhier Zu Straßburg ane dem finckweiler hinter dem sogenannten hirten gäßlein gelegenen und in dieße Verlaßenschafft gehörigen behaußung befunden worden wie volgt
Eÿgenthumb ane einer behaußung (W.) Nembl. der halbe theil Vor ohnvertheilt Von und ane einer behaußung, hoff, hinterhauß, Stallung, bronnen und hoffstatt mit allen deren übrigen gebäuen begriffen, weithen, zugehörden rechten und gerechtigkeiten, alhier in dem Finckweiler ohnfern der Schaffeneÿ des Stiffts St. Marx einseit neben Niclauß Struv dem Doctor gärtner anderseit neben Jean Certain dem Confiseur hinten auff eben deßelben garten stoßend gelegen, so über die unter denen theilbaren passiv Schulden befindliche passiv Capitalien gegen männiglich freÿ ledig eigen und durch H. Johann Peter Pflug den Stattlohner (…) außweißlich des sub dato 14. 8.bris 1738. Zu mein Notarÿ Concept gelüfferten schrifftlichen Abschatzung angeschlagen pro 780 lb. Mithin zu dießortiger Hälffte 375 lb. Der übrige halbe theil war Johann Georg fritsch dem blumen Garthner und burgern zu Collmar des w ihrem eheleiblichen bruder Zuständig welche mann ihme aber den 18.ten May 1736. aberkaufft hat dehero selbiger halbe theil infra alß theilbar eingetrage wird. Über die gantze behaußung besagt 1 teutscher pergamentinen Kauffbrieff mit der Statt Straßb. C. C. Insiegel verwahret, und datirt den 11. Februarÿ 1697. mit altem Lit. A signirt und dabeÿ gelaßen
Ergäntzung der Wittib ermanglenden ohnveränderten guths. Nach besag des über beeder geweßener Eheleute einander für ohnverändert in den Ehestand zusammengebrachte Nahrungen durch mich Notarium in Anno 1733 auffgerichteten Inventarÿ
Eÿgenthumb ane einer behaußung (T.) Nemblichen das übrige halbe theil Vor ohnvertheilt Von und ane der oben fol: (-) et seqq. beschriebenen behaußung, hoff, hinterhauß, Stallung, bronnen und hoffstatt mit allen deren übrigen gebäuen begriffen, weithen, zugehörden recht und gerechtigkeiten, allhier in dem Finckweiler ohnfern der Schaffeneÿ des Stiffts St. Marx 1.seit neben Niclauß Struv, dem Doct. Gärthner 2.seit neben Jean Certain dem Confiseur hinten auff eben deßelben garthen stoßend gelegen, so über die hernach befindliche passiv Capitalia gegen männiglich freÿ ledig eigen und der oben allegirten Abschatzung gemäs ane 750 lb. d. hier außzuwerffen 375. lb.3 Über dieße helffte besagt ein teutscher pergamentener Kauffbrieff in allhießiger CC. Stub gefertiget mit dero anhangenden Innsiegel Verwahrt, de dato 18. May 1736.
Series rubricarum hujus Inventarÿ, Sa. haußraths 17, Sa. Silbers 1, Sa. goldenen ringleins 12 ß, Sa. Eigenthums ane einer behaußung 375, Sa. Schulden 40, Erg. 45 Summa summarum 480 lb
Dießemnach wird auch der Erben ohnverändert guth beschrieben, Sa. haußraths 9, Sa. Silbers 1, Sa. Werckzeugs zum Kieffer handwerck gehörig 11, Erg. 23, Summa summarum 46 lb – Schuld 40, Nach deren Abzug 6 lb
Endlichen volgt auch das gemein Verändert und Theilbahr guth, Sa. haußraths 12, Sa. Werckzeugs, Holtz, reÿff und band Zum Kieffer handwerck gehörig 22, Sa. Silbers 12 ß, Sa. Eigenthums ane einer behaußung 375, Sa. Schulden 9, Summa summarum 419 lb – Schulden 732 lb, In Vergleichung, theilbahr passiv onus 313 lb
Stall Summ 173 lb
Abschatzung d. 14. 8.br 1738. Auff begeren Weilland deßen Ehrenhafften vnd bescheidner Meister fridrich Kreichleing gewesenen keiffer Selliger heinder lassen frau Wittib vnd Ehrben ist Eine behaußung allheir in der Statt Strasburg in dem finck Weiller beig Sant Martz gelegen Ein seith Neben dem H. Serdung Zucker beck ander Seit wie auch heinden Auff H Strub dem docker gardner stosent Welche behaußung Erst H Meit einem Schlechten dach Stull Meit holl Zigel Er dach worrender Stuben Kammeren Kichen hauß Ehren ein gewelber vnd ein gebelckter Keller heinder gebeiglein Meit Stibel vnd kemmerlen Kichel Im hauß Ehrlen darunder Stallung Neben Soll datten Kammer hoffel vnd brunnen Wie Solches durch der Statt Straßburg geschworen Werck leithe in der besichtigung befunden vnd dem Jetzen Preis Nach an geschlagen wirdt vor vnd vmb Ein tausent vnd finff hundert gulden. bezeichnuß durch der Statt Strasburg geschworen Werrck Meister [unterzeichnet] Johann Peter Pflug Statt Lohner und bau Meister, Michael Ehrlacher Werck Meister deß Meinsters, Johann Jacob Biermeÿer Werck Meister deß Zimmerhoffs
Marie Dorothée Fritsch se remarie avec le boucher Jean Weyl, originaire de Herrenberg en Wurtemberg : contrat de mariage, célébration (le registre de bourgeoisie manque pour 1739)
1739 (26.1.), Not. Hoffmann (Christophe Michel, 19 Not 77) n° 959
Eheberedung Zwischen dem Ehrengeachten H. Johann Weÿl ledigen Metzgern des auch Ehren und wohlvorgeachten H. Johann Wendling weÿl ebenmäßigen Metzgern und burgern Zu Herrenberg in dem Hertzogthum würtenberg gelegen eheleiblichen Sohn, alß Hochzeittern ane einem
So dann der Ehren: und Tugendsahmen Frauen Mariæ Dorotheæ Kreüchelin gebohrner Fritschin, weÿland Meister Johann Friderich Kreüchels geweßenen Kieffers undt burgers alhier seel. nachgelaßener wittib, alß hochzeiterin am andern theÿl
So beschehen Straßburg den 26.ten Januarÿ Anno 1739. [unterzeichnet] Johannes Weil als Hochzeiter, mara dorothea Kreichelin als hozeiterin
Mariage, Saint-Nicolas (luth. f° 43-v n° 3)
1739. Mittwoch den 25. Febr. seind nach zweÿmahl geschehener proclamation, in der Evangel. Pfarrkirch Zu St. Niclaus in den Ehestand eingesegnet word. Johannes Weÿl der ledige Metzger und Burger allhier, von Herrenberg, Hertzog. Würtenbergischer Herrschafft, Wendelin Weÿls, deß Säcklers und Burgers daselbst ehel. Sohn u. Frau Dorothea weil. Johann Friderich Kreuchels, geweßten Kiefers und Burgers allhier hinterlaßene wittib [unterzeichnet] Johannes Weil als hochzeiter + Dorothea Kreuchelin der hochzeiterin handzeich. (i 46)
L’inventaire après décès non conservé de Marie Dorothée Fritsch est dressé en 1765.
1765, Not. Thenn (Répertoire 6 E 41, 664-5) n° 141
weiland Frauen Mariä Dorotheä Weÿelin gebohrner Fritschin, H. Johann Weÿel Metzgers und burgers alhier geweßener Ehefrauen seel. Verlassenschaft
Jean Weil et Dorothée Fritsch passent une vente provisioire de la maison au profit du transporteur de sable Jean Jacques Huck
1742 (15.1.), Not. Kolb (Abraham, 22 Not 29)
Zuwißen, daß auff dato Zu Endt gemelt (…) Persönlich erschienen Johannes Weill der metzger undt burger allhier undt fr. Dorothea weillin gebohrne Fritschin beede Eheleute, die Erkandten undt bekhandt daß Sie vor Sich vndt ihre Erben sambt undt sonders auffrecht und redlichen verkaufft undt Zu Kauffen gegeben
Johann Jacob Huckh dem Sandfuhrmann burgern dahier, Welcher dann auch also erkauffte zu haben bekandtlich war
benantl. Eine Behaußung, Hoff, hoffstatt undt höfflein bestehend in Einem vorder undt hinderhauß mit allen denen darzu gehörigen weithen, Rechten undt Gerechtigkeiten gelegen dahier Zu Straßburg im finckweiller ohnfern der löbl. Stifftung St Marx dahier, Einseith Neben Jean Sartin dem Zucker beckh. dahier, anderseith H. Nicolas Strube dem Dr. Garten Mann, vndt hinden auff bemelt. Sartein stoßendt, vnd ist die erkauff undt verkauff hierüber Zugangen undt beschehen vor vndt vmb 1760 Guldten (…)
Straßburg auff Montag d. 15. Januarÿ 1742. [unterzeichnet] Johannes Weil bekenn Wie obete, Johann Jacob Huck, + ana Salome huckihn
L’acquéreur est le boucher Nicolas Meyer lors de la vente définitive à la Chambre des Contrats.
1742 (10.4.), Chambre des Contrats, vol. 616 f° 154-v
Fr. Maria Dorothea geb. Fritschin weÿl. Friedrich Kreuchels des kieffers wittib modo Johann Weÿel des metzgers ehefrau und deren ermeldte mit ihrem ersten ehemann seel. erzeugte 3 kinder Maria Dorothea, Maria Salome und Anna Maria der Kreuchel vogt Abraham Kreucher der metzger
in gegensein Nicolaus Meÿers des metzgers – laut erkanntnus vom 28. martÿ obrigkeitlich confirmirten versteigerung
eine behausung, hoff, hinderhauß, stallung und hoffstatt mit allen übrigen deren begriffen, weithen, zugehörden und gerechtigkeiten im Finckweiler ohnfern der Schaffneÿ des Stiffts St Marx, einseit neben Nicolaus Struve dem blumengärtner, anderseit neben Jean Certain dem zuckerbeck, hinten auff deßelben garten – der Weÿelischen Ehefrau zu zwo tertzen, ihren mitverkauffenden kindern aber zur übrigen tertz theils ererbt theils als ein am 18. maÿ 1736 erkaufftes guth – um 1015 pfund
Luthérien converti fils du boucher Mathias Meyer, Nicolas Meyer épouse en 1726 Anne Marie Auer, fille de Jean Jacques Auer, de Markdorf dans le diocèse de Constance
Proclamation, Saint-Marc (cath. p. 105)
1726. Franciscus Joseph Ignatius Gœtzman & Venerabili Dno parocho in Marschdorf Diœcesis Constantiensis salutem in Domino. Vobis et omnibus quorum interest aut interesse potest husce notum ac certum este volumus, quod tribus proclamationibus de more Ecclesiæ Catholicæ in Ecclesia nostrâ publie factis pro futuro Matrimonio inter Nicolaum Meyer lanium honesti viri Mathiæ Meyer lanii consulis Tribûs ad florem /:vulgo Zur Blum:/ dictæ et defunctæ Annæ Mariæ Deckerin conjugum filium parochianum nostrum et annam Mariam Auerin Joannis Jacobi Auer civis in Marchdorf et Mariæ Magdalenæ Kudermännin conjugum filiam parochianam nostram nemo se opponerit aut ullo modo contradixerit, quare non putamus ullum canonici aut civilis impedimenti obstaculum existere, quominus dictus Nicolaus Meyer, quem alias in doctrina christiana sufficenter instructum attestamur, cum dicta anna maria Auerin parochiana nostra in facie Ecclesiæ coram vobis aut alio sacerdote approbato (…) dedimus argentorati die 11 Februarÿ Anno 1726. (im 57)
Anne Marie Auer, originaire de Markdorf en Suisse, devient bourgeoise par son mari
1726, 4° Livre de bourgeoisie p. 928
Anna Maria Auerin von Marckdorf auß d. schweitz geb. erhalt das b. Von ihrem ehemann Niclauß Meÿer b. undt Metzger allhier umb die tertz d. alten bs. will beÿ E. E. Zunfft Zur blumen dienen, Prom. d. 8.ten Junÿ 1726.
Nicolas Meyer hypothèque la maison au profit de l’apprêteur de tabac Jean Georges Weber
1742 (9.6.), Chambre des Contrats, vol. 616 f° 280
Nicolaus Meÿer der Metzger
in gegensein Johann Georg Weber des tabacbereiters
entlehnt, In einer dem verlehner eigenthümlich gehörig in dem Finckweiler ohnfern der Schaffneÿ des Stiffts St Marx gelegenen behausung, unten auf dem boden eine Kammer mit einem eisernen öffelein auf dem ersten stock eine stub, stubkammer und küchen auf dem zweÿten stock dreÿ bühnen kammer die erste bühn und den gantzen keller im hinder hauß, stallung vor ein pferd und der überrest der stallung zu einem magazin samt der heu bühn – auff 6 nacheinander folgenden jahren anfangend auff innstehenden Johannis Baptistæ anfangend, um einen jährlichen Zinß nemlich 60 gulden
Nicolas Meyer devient échevin à la tribu de la Fleur
1764 Conseillers et XXI (1 R 247)
H. Niclaus Meÿer Wird Schöff beÿ E. E. Zunfft Zur bluhm. 321.
Nicolas Meyer meurt en 1776 en délaissant trois filles. Les experts estiment la maison à 400 livres. L’actif de la succession s’élève à 1 540 livres, le passif à 265 livres.
1776 (21.5.), Not. Langheinrich (J. Daniel, 6 E 41, 735) n° 966
Inventarium und Beschreibung aller derjenigen Haab Nahrung und Güthere, so Weÿland der Ehrenvest und Vorachtbahre Herr Nicolaus Meÿer der geweßene Metzger und Burger allhier Zu Straßburg, als derselbe Donnerstags den 2.ten Maÿ dießes lauffenden 1776.ten Jahres dießes Zeitliche mit dem Ewigen Verwechßelt, nach solch seinem aus dießer welt genommenen tödlichen hintritt genommenen seel. hintritt, hie Zeitlichen verlaßen. Welche Verlaßenschafft auf freundliches ansuchen erfordern und begehren des Verstorbenen seel. ehelich erzeugter Frauen Töchtere und Enckem, auch deren Hh. Ehe Vögte Hn Deputati Geschwohrnen Hn Vogts und H: Theil Vogts, als des Verstorbenen seel. per testamentum eingesetzter Erben (…) So beschehen in Straßburg auff Dienstag den 31.ten Maÿ Anno 1776.
Der Verstorbene Hr Meÿer seel. hat per testamentum Zu Erben Verlaßen wie folgt. 1.mo Frau Mariam Barbaram Schultzin geb. Meÿerin Hn Joh: Jacob Schultz Gastgebers Zum Kaÿsser und burgers allhier auch Es. En Großen Raths alten Wohlverdienten Beisitzers Frau Eheliebstin welche unter assistentz Ihres geliebten Eheherrn der Inventur persönlich beÿgewohnt, in den Ersten dritten Stammtheil
2.do fr. Mariam Magdalenam Bulffermüllerin geb. Meÿerin, H. Georg Pulffermüllers Metzgers und Burgers allhier Frau Eheliebstin, so mit und beneben Ihrem Eheherrn beÿ dem Geschäfft erschienen, in den andern dritten Stammtheil. So dann
3.tio Fr. Annam Mariam Stahlin geb. Meÿerin Joh: Jacob Stahl ehemahligen Gold Arbeiters und Burgers allhier Ehefrau, jedoch nur in die Ihre gehörige Legitimam, das ist in den dritten theil eines dritten Stammtheils Weilen nun dieße tochter Ihren jetzigen Auffenthalt nicht benachrichtiget, so ist ohnerachtet sie obgedachten Hn Rathh. Schultz und Ihren Verstorbenen Schwager H. Rathh. Graff seel. vermög einer Zu Kehl außgestellten Vollmacht Zu Ihren Hn Mandatarÿ ernennet, darnach Zufolg E. E. Kleinen Raths Erkandtnuß vom gestrigen tag S. T. Herr Wilhelm Berga Cancellariæ Secretarius und E. E. Kleinen Raths dermahliger wohlverdienten Beÿsitzer in derselben Nahmen Zu diesem Geschäfft abgeordnet worden, welcher dann auch hiebeÿ erschienen. In alles übrige aber was nach Abzug solcher Legitima ane solchen dritten Stammtheil übrig verbleibt, Ihr Fr. Stahlin mit obgedachtem Ihrem Ehemann ehelich erzeugt und fernerhin erzeugende Kinder, welche samtlich mit abgedachtem Hn Rathherr Schultz bevögtiget, weilen aber derselbe uxorio nôe selbsten interessirt, als ist Ihnen Herr Joh: Michael Schäfer der Kiefer und Weinhändler als theilvogt constituirt und geordnet worden, welcher auch nôe seiner Curanden der Inventur persönlich beÿgewohnt
Alle des Verstorbenen seel. ehelich erzeugte Frau töchtere und Enckel als per testamentum eingesetzte Erben
In einer allhier Zu Straßburg ane der Regenbogen gaß gelegener und in dieße Verlaßenschafft nicht gehörigen behaußung befunden Worden Wie folgt.
(f° 4) Eigenthumb ane einer Behaußung und Metzigbanck. Erstl. eine behaußung hoff hoffstatt und hinterhauß mit allen übrigen deren begriffen, weithen, Rechten, Zugehörden und gerechtigkeiten gelegen allhier Zu Straßburg ane dem Finckweiler ohnfern der Schaffneÿ des Löbl. Stiffts St. Marx, einseit neben Hn Johann Lichtenbergers des handelsmanns Garten anderseit neben dem sogenanndten Rehgarthen, hinten auf die Neue Reitschuhl stoßend, so gegen Männiglich. freÿ leedig eigen, und durch (die Werckmeistere) laut Abschatzungs Zeduls Vom 20. Maÿ 1776. angeschlagen vor 800 fl. oder 400. Hierüber sagt i. teutscher pergamentener in allh. C. C. Stub auffgerichteter und mit dero anhangendem Insiegel verwahrter Kauffbrieff datirt de 10. Aprilis A° 1742.
It. ein Metzgerbanck unter der Kleinen Metzig (…)
(f° 5) Series rubricarum hujus Inventarÿ. Copia des Verstorbenen vor mir Notario den 22. Xbris 1767. auffgerichteten Testamenti nuncupativi – Copia der von dem Verstorbenen seel. vor mir Notario den 2.ten Martÿ 1776. errichteter Nach Disposition
Sa. haußraths 62, Sa. Silbers 7, Sa. Pfenningzinß hauptgüter 900, Sa. Eigenthumb ane einer behaußung und Metzigbancks 570, Summa summarum 1540. lb – Schulden 265 lb, Nach solchem abzug 1274 lb
Stall Summ 1274. lb
Marie Barbe Meyer épouse en 1753 Jean Jacques Schultz, aubergiste à l’Empereur veuf de Marguerite Dubuisson : contrat de mariage, célébration
1753 (12.12.), Not. Fické (6 E 41, 774) n° 16
Eheberedung – persönlich kommen und erschienen ist der Wohl Ehren und vorachtbare Herr Johann Jacob Schultz, der Würth und Gastgeber Zum Kaÿser, Wittiber und burger alhier Zu Straßburg, als der herr hochzeiter an einem
sodann die Viel Ehren und tugendreiche Jungfrau Maria Barbara Meÿerin des Ehren und Wohlgeachten herrn Niclaus Meÿers des Metzgers und Burgers dahier ehelich erziehlte Jungfer Tochter als die Jungfrau Hochzeiterin am anden Theil
auf Mittwoch den 12. Decembris 1753 [unterzeichnet] Johann Jacob schultz als Hochzeiter, Anna Barbara Meÿerin als hochzeitterin
Mariage, Saint-Pierre-le-Vieux (cath.)
Die 15. Januarÿ Anni 1754 (…) sacro Matrimonii vinculo in facie Ecclesiæ conjuncti fuerunt Joannes Jacobus Schultz civis argentinensisis viduus defunctæ Margarithæ Dubuison in Parochia Sti Stephani hujus urbis commorans et Anna Maria Barbara Meyerin argentinensis filia legitima Nicolai Meyer Civis et lanionis hujus urbis Er Annæ Mariæ Auer Conjugum parochiana nostra (signé) Johann Jacob ssultz, anna Barbara Metzgererin (i 160)
Marie Madeleine Meyer, veuve du remueur de grains Joseph Graff, épouse en 1773 le boucher Jean Georges Pulvermüller. La valeur de la maison lors de son inventaire après décès (1780) est reprise de celle établie par les experts à la mort de son père.
Anne Marie Meyer épouse en 1759 l’orfèvre Jean Jacques Stahl : contrat de mariage, célébration
1759 (15.12.), Not. Langheinrich (J. Daniel, 6 E 41, 739) n° 163
Eheberedung – zwischen dem Ehren und wohlvorgeachten Herrn Joh: Jacob Stahl dem leedigen Gold Arbeiter, Hn Joh: Stahlen, Silberarbeiters und burgers allhier Zu Straßburg ehelich erziehltem H. Sohn als dem Hn Bräutigam, an einem,
So dann der Viel Ehren und tugendreichen Jungfrauen Annä Mariä Meÿerin, Hn Joh: Nicolai Meÿers, Metzgers und Burgers allhier ehelich erziehlten Jgfr. Tochter als der Jgf. hochzeiterin ane dem andern theil
auf Sambstag den 15.ten Decembris Anno 1759. [unterzeichnet] Johan Jacob Stahl als hochzeiter, Anna Maria Meÿerin als Hochzeiterin
Mariage, Saint-Pierre-le-Vieux (cath. p. 43)
Hodie 22. Mensis Januarÿ Anni 1760. (…) sacro Matrimonii vinculo in facie Ecclesiæ conjuncti fuerunt Joannes Jacobus Stahl ad fidem Cathilicam neo conversus, Domini Joannis Stahl Civis et aurifabri hujatis, et defunctæ Dominæ Annæ Margarethæ Brackwehrin in vita Conjugum filius legitimus, et Anna Maria Meyerin Dni Nicolai Meyer civis et Lanionis hujatis et defunctæ Dnæ Annæ Mariæ Auerin in vita conjugum filia legitima ambo argentinenses parochiani nostri (signé) Jean Jaques Stahl, Anna Maria Meÿerin (i 24)
Marie Françoise Stahl, femme de l’ancien valet de chambre Jean Heller, qui a l’intention de quitter Strasbourg donne pouvoir à son oncle Jean Jacques Schultz de vendre la moitié de maison qui lui appartient avec ses quatre frères et sœurs.
1786 (29.3.), Not. Greis (Jean Frédéric 6 E 41, 898) n° 129
Frau Maria Francisca geb. Stahlin herrn Johannes Heller des ehemaligen Kammerdieners beÿ der Fraun Gräfin von Frieß Ehegattin
anzeigend daß ihro in Gemeinschafft mit ihren vier Geschwistern eigenthümlich zuständig seÿe die helfte an einer behaußung samt zugehörden gelegen an dem Finckweiler ohnfern der Schafneÿ des Stiffts St marx einseit neben einem herrn Stadtrichter Seiler gehörigen Garten, anderseit neben dem sogenannten Rehgarten herrn Rathherrn Johann Friedrich Pfeffinger dem Metzger zuständig hinten auf erstbenahmsten herrn Pfeffingers und herrn Seilers Gärten stoßend, da nun diese behaußung sobald ein Liebhaber dazu sich befinden wird verkauft werden solle, sie die Frau Comparentin mit ihrem Ehemann aber dem ehestens von hier abzureißen gedencket, als wolle sie hiemit in krafft dieser herrn Johann Jacob Schultz dem Gastgeber wie auch Eines Ehrs. Grosen Raths altem beÿsitzer ihrem herrn Oncle und gewesenen Vogt vollkommen Macht und Gewalt ertheilet
Barbe Meyer femme de Jean Jacques Schultz et les enfants d’Anne Marie Meyer femme de Jean Jacques Stahl vendent la maison au boucher Jean Feder et à sa femme Marie Marguerite Dürrbach
1792 (31.10.), Chambre des Contrats, vol. 667 n° 644 enreg. 2.11. F°
namens Fr. Barbara geb. Meÿerin dere eheherr H. Johann Jacob Schultz der weinhändler, welcher zugleich namens Johann Jacob Stahl des großjährigen pitschierstechers und Catharinæ Salome geb. Stahlin H. Thomas Schneider des schloßers Ehefrau, Fr. Maria Francisca geb. Stahlin Johannes Hellers des coeffeur Eheliebstin, Fr. Catharina Barbara Stahlin Johann Joseph Keßler des gimpelkäuflers Ehefrau, Fr. Maria Magdalena geb. Stahlin Michael Schmidt des schneiders Ehefrau
in gegensein H. Johannes Feder des metzgers und Mariæ Magdalenæ geb. Dürrbachin unter assistentz H. Johannes Hurst des sigristen zu St Nicolaus und David Dürbach des schloßers
eine behausung, hinterhaus, stallung und hoffstatt mit allen übrigen begriffen, weithen, zugehörden, rechten und gerechtigkeiten im Finckweiler beÿ St Marx, gelegen mit N° 3 bezeichnet, einseit neben H. Friedrich Pfeffinger, anderseit neben H. Seÿler des receveur des deniers des consignations, hinten auff vorbenamsten H. Pfeffinger – ihre Fr. Schultzin zur einen halfte, den Stahlischen fünff geschwisterden aber zur anderen helffte als ein ererbtes guth – um 6000 livres
Fils du boucher Jean Georges Feder, Jean Feder épouse en 1764 Susanne Barbe Weiner, fille du marchand de fruits et légumes Mathias Weiner
Mariage, Saint-Thomas (luth. f° 126 n° 757)
Anno 1764. Mittwoch den 23. May sind nach zweÿmaliger ordentlicher Proclamation und Ausruffung Zu St. Thomæ und St Wilhelm copulirt und eingesegnet worden Johannes Feder Lediger Metzger, Weiland Johann Georg Feder gewesenen Metzgers und burgers allhier hinterlaßener ehelicher Sohn und Jungfrau Susanna Barbara Weinerin Mathias Weiner Fastenßpeishändlers und burgers allhier eheliche tochter [unterzeichnet] Johannes Feder als hochzeiter, Susanna Barbara Weÿnerin als hochzeiterin (i 128, proclamation Saint-Pierre-le-Vieux p. 291)
Les nouveaux mariés font dresser l’inventaire de leurs apports dans une maison aux Ponts Couverts qui appartient aux parents de l’épouse. Ceux du mari s’élèvent à 1 469 livres, ceux de la femme à 309 livres.
1764 (14.6.), Not. Nenter (Georges Fréd. 6 E 41, 964) n° 185
Inventarium über des Ehrenachtbaren H. Johannes Feder des Metzgers und der Ehren und tugendsamen Fr. Susanna Barbara geb. Weÿnerin beede Eheleuthe einander vor ohnverändert in den Ehestand zugebrachte Nahrung vermög der vor mir Notario den 5. apr. dießen lauffenden 1764. sten Jahrs errichteten Eheberedung
in praesentia H. Johann Philipp Riehl des Schneiders der Ehefrauen bruders (go. mathias wäiner)
In einer ane der Quartier aux Ponts couverts gelegenen der Ehefrauen geliebten Eltern eigenthümlich zuständigen behausung
Series rubricarum hujus Inventarÿ des Ehemanns ohnveränderte Nahrung, In einer ane dem Finckweÿler gelegen und hiernach beschriebener behausung, hausrath 61 lb, Silber 19 lb, behausung 1355 lb, summa summarum 1435 lb, haussteur 32 lb, summa 1468 lb, schulden 1553 lb, des Ehemanns passiv onus 84 lb
der Ehefrauen ohnveränderte Nahrung, In einer ane dem Quartiere aux Ponts couverts gelegenen der Ehefr: Eltern eigenthümlich zuständigen behausung, hausrath 118 lb, silbers 18 lb, goldene ringe 9 lb, baarschafft 129 lb, summa summarum 276 lb, haussteur 32 lb, summa 309 lb
Jean Feder se remarie en 1776 avec Marguerite Salomé Dürrbach, fille du serrurier Jean Jacques Dürrbach : contrat de mariage, célébration
1776 (23.9.), Not. Fické (6 E 41, 774) n° 269
Eheberedung – zwischen dem Ehren und wolachtbaren herrn Johannes Feder, dem Metzger, wittiber u. b. allhier zu Straßburg,
So dann der Viell Ehren und tugendsamen Jungfraun Margarethæ Salome Dürrbachin, hr. Joh: Jacob Dürrbach des Schloßers u. bs. allhier mit Fraun Mariæ Dorotheæ geb. Lobsteinin ehel. erzeugter tochter
auf Montag den 23.ten Septembris 1776 [unterzeichnet]
Johannes Feder als hochzeiter, Margaretha Salome dürrbachin als hochzeiterin
Mariage, Saint-Thomas (luth. f° 25-v n° 49)
Im Jahr 1776 Dienstag den 5. Novembris sind nach zweÿmaliger ordentlicher Proclamation und Ausruffung Zu St. Thomæ und des Prediger Kirch auf Erlaubnus des herren ober Kirchen Pflegers in der Stiftskirche Zu St. Thomas ehelich copulirt und eingesegnet worden Johannes Feder der wittiber, Metzger und burger allhier, und Jungfrau Maria Margaretha Dürrbächin, Johann Jacob Dürrbach des Schloßers und burgers allhier eheliche Tochter [unterzeichnet] Johannes Feder als hochzeiter, Maria Margaretha dürrbachin als hochzeitrin (i 29)
Marguerite Salomé Dürrbach fait dresser l’inventaire de ses apports (132 livres)
1788 (13.11.), Not. Greis (Jean Frédéric 6 E 41, 891) n° 442
Inventarium über Fraun Margarethæ Salome geborner Dürrbachin zu Herrn Johannes Feder dem Metzger und Burgern alhier Zu Straßburg ihrem Ehemann vor ohnverändert in den Ehestand gebrachtes Vermögen, auffgerichtet Anno 1788. – in ihrem vor weiland Herrn Notario Johann Carl Ficke d. 23. Septembris 1776 errichteten Ehe Contract und dessen Vierten Paragrapho unverändert Gut stipulirt – Geschehen alhier Zu Straßburg in einer ane dem Ochsengäßlein gelegenen hiehero nicht gehörigen Behausung, in fernerem Beÿseÿn Herrn Johann Daniel Lux des Spenglermeisters und Burgers allhier als der Ehefrauen ad hoc angesprochenen Beÿstands Donnerstags den 13. Novembris anno 1788.
Copia der Eheberedung (…)
Series rubricarum hujus Inventarii – Hierauff folgt nun die Beschreibung der disortigen Ehefrau in die Ehe gebrachter Nahrung an und vor sich selbst. Sa. hausraths 61, Sa. silbers 7, Sa. des goldenen Rings 10, Sa. schulden 37, Summa summarum 116 lb – Wird nun darzu gerechnet due deroselben kraft der Eheberedung §° 5. gebührige Helfte an denen Haussteuren 16, der Ehefrau gesamtes guth 132 lb
Marie Marguerite Dürrbach se remarie en 1797 avec le boucher Jean Daniel Klein, fils du boucher du même nom.
1797 (3 brumaire 6), Strasbourg 7 (28), Not. Stoeber n° 685
Eheberedung – persönlich erschienen burger Johann Daniel Klein der Metzger, weil. brs Johann Daniel Klein gew. Metzgers allhier mit auch weil. Fr. Maria Barbara gebohrner Mack erzeugten Sohn als hochzeiter
und Frai Maria Margareth geb. Dürrbach, leztmals weiland brs Johannes Feder gew. Metzgers allhier Wittib beÿständlich ihres Schwagers brs Johann Hurst Maurers alhier als Braut – Straßburg den dritten Brumaire im 6.ten Jahr der Republick [unterzeichnet] Johann Daniel Klein als hochzeiter, Maria Margaretha Feder als Braut
Enregistrement, acp 55 F° 71 du 13 brum. 6
Inventaire dressé après la mort du locataire Jean Schwartz, fabricant de boucles
1798 (4 vend. 7), Strasbourg 12 (2), Not. Wengler n° 354
Inventarium über weÿl. des burgers Johannes Schwartz zinn-Schnallenmachers Verlassenschafft, auf ansuchen Maria Magdalena geb. Siefert br. Wittwe und des burgers Niclaus Frickert tabakbereiters hieselbst Vormunds Johann Schwartz mit der wittib erzeugter dermalen 4 jährigen Kinds und auf deßen im Monath nivose des 4 Jahrs erfolgten absterben – nach hiesigen Municipal Statuten
in einer an der Marxgasse gelegenen des burgers Feder metzgers Wittib und Erben eigenthümlich zuständigen mit N° 3 bezeichneten behausung
manns Kleidung 41 fr
Mobilien so als theilbar anzusehen 13 fr, abgezogen 40 fr, per Rest 14 fr
Enregistrement, acp 63 f° 96-v du 13 vend. 7
Le tripier Jean Daniel Klein meurt en délaissant sa femme pour héritière testamentaire
1805 (14 ventôse 13), Strasbourg 12 (6), Not. Wengler n° 1153
Inventaire de la succession de Jean Daniel Klein tripier, dressé à la requête de Marie Marguerite Dürrbach la veuve seule et unique héritière suivant Testament reçu par le notaire soussigné le 30 fructidor 12
demeurant rue Marc N° 3
meubles 240 fr
Enregistrement, acp 95 f° 197-v du 15 ventôse 13
Le cinquième de la maison figure à l’inventaire des biens que Marguerite Madeleine Feder apporte en mariage au boucher Jean Heintzenberger
1809 (30.6.), Strasbourg 12 (26), Not. Wengler n° 4102
Inventaire des apports de Jean Heintzenberger boucher et Marguerite Madeleine Feder – Contrat de mariage passé le 9 janvier dernier, mariage célébré le 7 février dernier
dans une maison sise rue St Marc n° 3
le mari 3725 fr dont
Immeuble, Un 5° par indivis d’une maison consistant en bâtiment de devant et de derrière cour magasin et écurie avec toutes ses autres appartenances droits et dépendances sise à Strasbourg rue du bœuf n° 5, attenant d’un côté au Sr Arbogast cocher, de l’autre faisant un coin, devant la rue, derrière le Sr Clement Held boucher – tant du chef de ses père et mère que de celui de Daniel Heintzenberger son frère lequel aura cédé sa part et portion a lui avenu dans la succession de ses père et mère, estimée 3000 fr
la femme 723 fr
Enregistrement, acp 112 f° 69 du 1.7.
Marie Marguerite Dürbach veuve de Daniel Klein loue son fonds de boucherie et une partie de la maison au boucher André Haussmann
1810 (16.7.), Strasbourg 12 (32), Not. Wengler n° 4960
Bail de 9 années qui commencent au 24 août prochain – Marie Marguerite Dürbach veuve de Daniel Klein, boucher
à André Haussmann boucher
tout le bénéfice et l’industrie qui pourra résulter par la suite du métier de boucher que ladite veuve de Klein a exercé jusqu’à présent ainsi que la jouissance d’un logement dans sa maison sise à Strasbourg rue St Marc n° 3, lequel logement sis au rez de chaussée de ladite maison consiste dans une poele, chambre à côté et cuisine, deux chambres au second et une au troisième étage, une cuisine dans le bâtiment de derrière et le grenier a foin au dessus, la grande écurie a porc et une cave
la jouissance qu’elle tient de la ville de deux étaux de boucher dont un à la grande boucherie et l’autre à la petite boucherie qui ne consiste cependant que dans un petit terrain communal – moyennant 600 fr dont 360 fr en raison de la cession de l’industrie et du bénéfice du métier, 240 fr pour le logement
Enregistrement, acp 115 f° 42-v du 17.7.
Marguerite Madeleine Feder femme du boucher Jean Heintzenberger meurt dans la maison en 1820
1821 (16.1.), Strasbourg 12 (82), M° Wengler n° 12.147
Inventaire de la succession de Marguerite Madeleine Feder épouse de Jean Heintzenberger, boucher à Strasbourg où elle est décédée le 25 juillet dernier – fait à la requête du veuf tant en son nom qu’en celui de Jean Gustave Heintzenberger son fils âgé 6 ans – en présence de Jean Martin Feder, boucher oncle dudit mineur subrogé tuteur
dans la maison mortuaire rue St Marc n° 3
mobilier propre à la défunte estimé à 721 fr, remploi 51 fr, don matutinal 400 fr, total 1172 fr
Communauté, mobilier 597 fr, dettes actives 2000 fr, ensemble 3770 fr
acp (3 Q 29 ) f° 150 F° 190-v du 22.1.
Les enfants et héritiers de Marie Marguerite Durbach et de Jean Feder vendent par enchère la maison au boucher Jean Daniel Grœtzinger
1824 (2.9.), Strasbourg 12 (94), M° Wengler n° 13.590
Adjudication (adjudication préparatoire le 2 août n° 13.574, adjudication définitive le 19 août n° 13.580 – cahier des charges du 16 juin n° 13.522) 1. Georges Frédéric Feder, charcutier à Haguenau, 2. Jean Daniel Feder, serrurier, 3. Jean Mathieu Feder, boucher comme tuteur de Marie Agnès Joséphine Roemer et de Petite Georgette Roemer, seuls et uniques héritiers Marguerite Salomé Feder épouse de Henri Louis Roemer, journalier à Strasbourg et actuellement en Amérique, 4. Jean Heintzenberger, boucher, père et tuteur légal de Jean Gustave procréé avec Marie Madeleine Feder, tous en qualité d’héritiers sous bénéfice d’inventaire de Jean Feder, boucher, et de Marie Marguerite Durbach, épouse en secondes noces de Jean Daniel Klein, boucher, leur mère et aieule – Jugement du 5 mai 1824, rapport d’experts du 2 juin déposé le 9 juin – en présence de Jean Jacques Baltz, boucher, subrogé tuteur des enfants Roemer et Jean Mathieu Feder subrogé tuteur de l’enfant Heintzelberger
à Jean Daniel Groetzinger, boucher
Désignation de l’immeuble à vendre. une maison à rez de chaussée et un étage, mansardes et greniers, bâtiments latérraux et de derrière avec caves, greniers, pompe, écurie, toits à porcs, buchers, appartenances, droits et dépendances le tout situé à Strasbourg rue St Marc n° 3, d’un côté la veuve Georges Freysz, de l’autre le Sr Stall tanneur, par devant la rue, par derrière la veuve Freysz, estimée 6500 francs
Etablissement de la propriété, recueilli dans la succession de Jean Feder et Anne Marie Dürbach leurs père et mère, qui l’ont acquis pendant la communauté de Barbe Meeyer épouse de Jacques Schultz, marchand de vin, Jean Jacques Stahl, graveur, de Catherine Salomé Stahl femme de Thomas Schneider, serrurier, Marie Françoise Stahl épouse de Jean Heller, coeffeur, de Catherine Barbe Stahl femme de Jean Joseph Kessler, revendeur, de feu Marie Madeleine Stahl femme de Michel Schmitt, tailleur, par acte passé à la Chambre des Contrats le 31 octobre 1792
Dépôt n° 13.513 du 9 juin – Rapport d’experts du 2 juin 1824. Jean Jacques Stotz maître maçon. Cet immeuble consiste en un bâtiment de devant d’un seul étage en maçonnerie, une mansarde et deux greneirs. Un bâtiment en aile à un étage en galandures et un grenier, un bâtiment de fond de la même construction que l’aile dans la cour se trouve une pompe. Le bâtiment de devant contient à droite de l’entrée une cave voutée et dallée à gauche une cave solivée. Au rez de chaussée en entrant par la porte cochère il y a un large passage à droite une chambre servant d’atelier à un tisserand et un escalier à gauche un corridor dans lequel se trouve un autre escalier deux chambres et une cuisine au premier étage deux logements chacun de deux chambres et d’une cuisine dans la mansarde 6 cheminées carrelées, la toiture forme un comble uni couvert en tuiles. L’aile à gauche contient au rez de chaussée un attelier d’un serrurier, au premier une petite chambre et une cuisine terminée d’un mi toit couvert en tuilles plattes. Le bâtiment du fond contient au rez de chaussée un attelier du trippier ou se trouve une chaudière en cuivre avec son foyer et une grande auge en pierre de taille. Une écurie, les latrines, une étable de porcs avec trois auges et deux buchers. Au premier étage deux chambres et un grenier à foin, estimée 6500 francs – 7100 francs
(Joint Inventaire Dürback épouse Klein)
Enregistrement, acp 169 F° 156-v du 6.9.
Marie Dorothée Schær, veuve de Jean Daniel Grœtzinger, fait en 1852 donation des parts lui revenant des deux maisons à ses deux fils bouchers Daniel Grœtzinger et Auguste Grœtzinger en s’en réservant la jouissance viagère. Daniel Grœtzinger et Auguste Grœtzinger se partagent les maisons en 1868. Celle rue Saint-Marc revient à Auguste.
Auguste Grœtzinger institue pour héritier universel son neveu Charles Cornelius à charge de délivrer différents legs.
1895 (2.2.), M° Lauterbach
Testament des am 1. ds. Mts. dahier verlebten Rentners August Groetzinger hier, wodurch derselbe seinen Neffen Carl Cornelius Vater inn Koenigshofen als Universalerben einsetzt, unter der Last folgende Vermächtnisse in baar, Werthpapiere oder Forderungen auszuliefern
1. dem Neffen Heinrich Groetzinger, Kaufmann in Paris eine lebenslängliche jährliche Rente von 400 Mark
2. der Schwester Sophie Goetz geborene Groetzinger hier 3000 M
3. den vier Kindern des Bruders Daniel Groetzinger zusammen 20.000 Mark
4. dem Eugen Koerttgé hier 1000 Mark
5. der Haushälterin Barbara Rambach eine Wohnung im Hause Finckweilerstraße N° 25 hier auf Lebenszeit & die Kleider
P.U. vom 23. Mai 1894 hinterlegt bei Notar Lauterbach am 2. Februar 1894
acp 895 (3 Q 30 610) f° 96-v n° 4907 du 7.2.
Daniel Grœtzinger meurt célibataire à l’âge de 71 ans
Décès, Strasbourg (n° 233)
Strassburg am 1. Februar 1895. Vor dem Standesbeamten erschienen heute der Kaufmann Daniel Groetzinger wohnhaft zu Straßburg Ludwiggase 14, und zeigte an, daß sein Oheim der ledige Rentner August Groetzinger 71 Jahre 4 Monate alt, evangelischer Religion, wohnhaft zu Strassburg, geboren zu Strassburg, Sohn der verstorbenen Eheleute Johann Daniel Groetzinger Metzger und Maria Dorothea Schaer, zuletzt hier wohnhaft geweßen zu Straßburg Finkweiler 25 am ersten Februar des Jahres 1895 um Zehn Uhr verstorben sei (i 117)
Inventaire dressé après la mort de Daniel Grœtzinger, propriétaire de la maison sise 25, rue Finckwiller
1895 (24.4.), M° Lauterbach n° 18.070
Inventar über den Nachlass des zu Straßburg am 1. Februar 1895 verlebten Rentners August Groetzinger
Auf Anstehen Carl Cornelius, Vater, Rentner in Koenigshofen, handelnd als einziger erben des verstorbenen nach eigenhändigen Testaments vom 23. Mai 1894 hinterlegt bei Notar Lauterbach hier vom 2. Februar 1895.
acp 898 (3 Q 30 613) f° 74-v n° 414 du 26.4. (E. vom 15.10.95 Bd 221 N° 368) Nachlass. Mobilien geschätzt 369, Kleider 58, baares Geld 2803, Sparkassenbuch 821, Forderung an Eheleute Johann Siess hier 8025 an Eheleute Georg Schmitt in Vogelsheim 400, Rückständige Rente 164, Rückständiger Mietzins 126, Werthpapiere 20.204
ein Wohnhaus mit Erdgeschoß und 2 Stockwerken Hof, Rechten und Zubehör Finkweilerstraße N° 25 Ertrag jährlich 1634 M
Rückständige Zinsen aus de Botschaft ihrer Schwester Caroline Groetzinger Wittwe August Schoeffler 1240
acp 901 (3 Q 30 616) f° 5-v n° 1330 du 28.6. (Fortsetzung vom 27. Juni, n° 18.242 – EE v. 19.7.95 Bd 219 N° 203) auf Anstehen der schon genannten Partheien und Wittwe Schaeffer – Ersatzleistung an den Nachlass von welchem der Verstorbene den Genuß hatte mit 15.274
der Nachlass des verstorbenen hat dagegen an denjenigen der Wittwe Schaeffer für bezahlte Schulden zu besprechen 5076, weiter noch für bezahlte Botschafts steuer 2450
Auguste Grœtzinger vend la maison à l’établissement des diaconesses moyennant une rente annuelle de 1 600 marks à servir au vendeur, à sa sœur Catherine, veuve du boucher Auguste Schæffter, et à sa servante Barbe Rambach.
1892 (7.11.), Strasbourg 8 (166) Gustave Edouard Loew n° 24.635
7. November 1892. Kauf – ist erschienen Herr August Groetzinger, Eigenthümer, wohnend in Straßburg, derselbe verkaufft und überläßt hiermit zu vollem Eigenthum (…)
an die evangelische Diakonisenanstalt in Straßburg, welche hier durch ihre mitanwesende, dieß annehemende, Kassirerin Frau Henriette Adele Lobstein, wohnend in Straßburg, Wittwe von H. Doctor Theodor Schneiter vertreten wird, und zu diesem Ankaufe ermächtiget ist, durch den beigehefteten, von frau Wittwe Schneiter gegen Veränderung gezeichenten beschluß des Ministeriums für Elsass-Lothringen, Abtheilung für Justiz und Kultus, vom vierten Oktober 1892, nachbeschriebenes Anwesen
Bezeichnung. Ein Haus mit Seiten- und Hintergebäude, nebst Keller, Hof, Pumpe, An- und Zugehörden, gelegen zu Straßburg, Sankt Marxgasse Nr 10, vorher 3, vorn die Gasse, auf den drei anderen Seiten die Käuferin.
Eigenthumsnachweis. Herr Groetzinger erhielt dieses Anwesen durch Urkunde des Notars Koerttge, dahier vom 9. März 1868 aus einer zwischen ihm und seinem Bruder herrn Daniel Groetzinger, Eigenthümer zu Straßburg, bestandenen Gemeinschaft ohne Auflage einer Herauszahlung, zugetheilt.
Beide Herren Groetzinger hatten das Anwesen, welches aus der zwischen ihren Eltern, den hiesigen Ehegatten herrn Johann Daniel Groetzinger, Metzger, und Frau Marie Dorothee Schaer laut Ehevertrages vor Notar Johann Friedrich Grimmer zu Straßburg vom 13. März 1811 bestandene Errungenschafts Gemeinschaft stammte, wie folgt erworben. Zweÿ Vierzehntel erbten sie von ihrem Vater, von welchem Jeder laut Nachlass Inventars vor Notar Grimmer vom 23. Januar 1839 Erbe zu einem Siebentel war. Vier Vierzehentel kauften sie von ihren vier Geschwistern und Miterben 1. Frau Dorothee Groetzinger, Wittwe des Coiffeurs Herrn Karl Cornelius, 2. frau Karoline Groetzinger, Wittwe des Metzgers herrn August Schaeffler, 3. frau Sophie Groetzinger, Wittwe des holzhändlers herrn Philipp Goetz und 4. herrn Friedrich Groetzinger, Handlungskommis, sämmtlich zu Straßburg, laut vertrags vor Notar Grimmer vom 7. September 1852. Die restigen acht Vierzehentel erhielten sie von ihrer Mutter, welche sieben 14. auf Grund der Gütergemeinschaft besaß und ein 14. ihrem Sohne herrn Johann Heinrich Groetzinger, Metzgerbursche zu Straßburg, laut Urkunde des Notars Grimmer vom 14. März 1849 abgekauft hatte, schenkungsweise übergeben laut Urkunde des Notars Grimmer vom 7. September 1852. Hierbei behielt sich die Schenkerin den Nutzgenuß vor, welcher nunmehr nach Erklärung des anwesenden Herrn Groetzinger durch ihren zu Straßburg am 24. Juni 1853 erfolgten Tod erloschen ist. Auch wurde den Beschenkten auferlegt, in den Nachlass der Schenkerin 14.285 franken einzuwerfen, welcher Einwurf nach Erklärung des anwesenden Herrn Groetzinger auch erfolgt ist laut einer vor Notar Grimmer aufgenommenen Nachlasstheilung, von welcher er jedoch keine Ausfertigung besitze, während der Nachschrift im Jahre 1870 mit den Akten des Notars verbrannt sei, während der Beschießung Strassburgs. Ebenso bezeichnet Herr Groetzinger die aus den beiden Kaufverträgen sich angebenden Preise als längst bezahlt. Für die elterliche Gütergemeinschaft war das Anwesen ersteigert laut Protokoll des Notars Wengler in Straßburg vom 2. September 1824 um einen längst bezahlten Preis von dem Würstler Georg Friedrich Feder, dem Schloßer Johann Daniel Feder und den drei minderjährigen Marie Agnes Josephine Roemer, Petite Georgette Roemer und Johann Gustav Heintzenberger in Straßburg.
Bedingungen (…) Als mitverkauft gelten die im Hause stehenden Öfen nebst Rohren und Steinen und die Heerde, soweit dies Alles dem Verkäuffer gehört, sowie auch der Waschkessel und die Doppelfenster – Kaufpreis. Gegenwärtiger Vertrag wird abgeschlossen um eine Leibrente von jährlich 1600 Mark auf das Haupt des Verkäufers Herrn Groetzinger, seiner Schwester Frau Karoline Groetzinger, wohnend in Straßburg, Wittwe des Metzgers Herrn August Schaeffter und siener Dienstmagd Fräulein Barbara Rambach aus Sulz unterm Wald, wohnend in Straßburg. Diese Rente beginnt am 25. September 1892 und erlischt mit dem Tode des Längstlebenden der drei Rentengläubiger. Ihr Jahresbetrag von 1600 Mark bleibt sich immer gleich, ohne Rücksicht, wer von den drei Gläubigern noch lebt.
acp 866 (3 Q 30 581) f° 28 du 15.11.