13, rue du Fossé des Tailleurs


Rue du Fossé des Tailleurs n° 13 – VI 195 (Blondel) O 256, puis section 19 parcelle 16 (cadastre)

Maison dite zum Stauff ou zum goldenen Stauff (au hanap d’or)
Pharmacie (1637-1812), dite pharmacie Scheid puis pharmacie des Hallebardes (1727), pharmacie au Soleil (1770)
Détruite par le bombardement aérien du 11 août 1944.


Fossé des Tailleurs, dernier bâtiment sur la gauche (AMS, 1003 W 1706)
Rue des Hallebardes, partie arrière du bâtiment de droite (AMS, 1003 W 1203)
La maison se trouve à l’emplacement de l’arbre (mai 2025)

La maison dite zum Stauff ou zum goldenen Stauff (au hanap d’or) qui appartient en 1587 à Jean Jacques Stœsser a un auvent le long de chaque façade, rue des Hallebardes (27 pieds ½) et au Fossé des Tailleurs (57 pieds). Le marchand Gilles Bitto achète la maison en 1595. Son fils Daniel Bitto fait démolir en 1612 la maison jusqu’au premier étage et remplacer la galerie en bois vers le Fossé des Tailleurs par une nouvelle entièrement en pierre. Il est autorisé en 1617 à prolonger sa galerie vers le Fossé des Tailleurs (28 pieds ½) et dans la rue des Hallebardes (27 pieds ½), les travaux ne sont sans doute pas tous réalisés puisque le cens supplémentaire n’est pas entièrement acquitté par la suite (10 sols ou lieu de 25). Le pharmacien Geoffroi von Brunn y transfère en 1637 sa pharmacie du bâtiment situé en face (actuel n° 3). Il achète la même année des héritiers Krafftberger une petite maison rue des Hallebardes. La pharmacie zum Stauff est ensuite appelée pharmacie Scheid d’après Jean Jacques Scheid qui la possède de 1655 à sa mort. Elle appartient de 1684 à 1781 indivisément à André Brackenhoffer puis à son fils pharmacien Philippe Jacques Brackenhoffer et au pharmacien Jean Frédéric Eisenmann puis à ses ayants-droit. Le bureau des logements militaires demande en 1724 à Philippe Jacques Brackenhoffer de supprimer la galerie en pierre le long du Fossé des Tailleurs pour que le logement de l’officier soit mieux éclairé mais les préposés au bâtiment s’y opposent. La pharmacie est connue sous le nom de pharmacie des Hallebardes (Spiess apotheck, 1727) puis aussi de pharmacie au Soleil (Spiess oder Sonnen-Apotheck, 1770).


Elévations préparatoires au plan-relief de 1830, îlot 181 (Musée des Plans-relief) 1 – Cour

L’Atlas des alignements (années 1820) signale un bâtiment à rez-de-chaussée et trois étages en maçonnerie le long des deux rues. Sur les élévations préparatoires au plan-relief de 1830, la façade vers le Fossé des Tailleurs se trouve à gauche de (c) : portes, fenêtres et arcades au rez-de-chaussée, trois étages à six fenêtres chacun, toiture à trois niveaux de lucarnes. Le pignon à droite de (c) donne dans la rue des Hallebardes : trois arcades au rez-de-chaussée, trois étages à trois fenêtres chacun. Le bâtiment suivant à deux arcades et deux fenêtres à chaque étage correspond à l’ancienne maison Krafftberger acquise en 1637. L’arrière (à droite de 2) du bâtiment donne sur le fossé dit Ulmergraben, le petit bâtiment à une travée correspond à l’ancienne maison Krafftberger, les deux travées suivantes au reste du bâtiment, la première moitié représentant une cage d’escalier.
La maison porte d’abord le n° 9 (1784-1857) puis le n° 4 dans la rue des Hallebardes, le n° 10 puis 13 dans la rue du Fossé des Tailleurs.

Le pharmacien Jean Daniel Niethammer fait transformer une fenêtre en porte en 1812 à sa maison qui n’a pas d’avance. Il loue le local de l’ancienne pharmacie aux négociants Labeaume et Wilhelm puis en 1813 à Herrmann Grauls. Le négociant Pierre Frédéric Ehmann devient en 1832 propriétaire de l’immeuble qu’il transmet à son fils Emile Ehmann. Le marchand Paul Siebler-Ferry prend la maison à bail en 1892, la société en nom collectif Fürderer Jægler et Compagnie (Jean Baptiste Siebler et Paul Siebler-Ferry) l’achète en 1899 en agrandissant sa propriété qui comprend déjà les immeubles sis 2, place Guteberg, 2, rue des Hallebardes, 9 et 11 rue du Fossé des Tailleurs. L’ancienne société Fürderer Jægler et Compagnie devient en 1927 la Quincaillerie centrale dont tous les bâtiments sont détruits lors du bombardement aérien du 11 août 1944. La maison n’est pas reconstruite, le sol forme aujourd’hui une petite place.


Fossé des Tailleurs, maison détruite au fond à gauche (image Spehner, AMS cote 1 Fi 103)
Elévation rue des Hallebardes (dossier de la Police du Bâtiment)
Elévation sur les deux rues (dossier du M.R.U., ADBR 438 D 16)

juin 2025

Sommaire
CadastrePolice du BâtimentRelevé d’actes

Récapitulatif des propriétaires

La liste ci-dessous donne tous les propriétaires de 1581 à 1952. La propriété change par vente (v), par héritage ou cession de parts (h) ou encore par adjudication (adj). L’étoile (*) signale une date approximative de mutation.

Jean Jacques Stœsser et (1561) Susanne von Molsheim – luthériens
1595 v Gilles Bitto, marchand, et (1575) Barbe Hellbeck, d’abord (1573) femme de Michel Maltzet – luthériens
1611 h Daniel Bitto, négociant, et (1606) Odile Kau – luthériens
1657 v Geoffroi von Brunn, marchand épicier puis pharmacien, et (1629) Marie Ringler puis (1636) Marguerite Meyer – luthériens
1641 v Gabriel Engel, pharmacien, et (1628) Catherine Hitschler – luthériens
1655 h Jean Jacques Scheid, pharmacien, et (1655) Catherine Hitschler, veuve du pharmacien Gabriel Engel – luthériens
revient pour moitié à Susanne Engel femme d’André Brackenhoffer
et pour moitié à Anne Catherine Engel, femme du pharmacien Jean Jacques Hitschler, de Landau, ensuite sa fille Anne Sibylle Hitschler, femme de Sébastien Grimmeissen puis de Pierre Henri Burggraff, marchands à Landau
1700 v (moitié Hitschler) Jean Frédéric Eisenmann, pharmacien, et (1679) Marie Elisabeth Wetzel puis (1686) Catherine Marguerite Sebitzius, remariée (1705) avec le pharmacien Jean Henri Kopp – luthériens
1716 h Jean Albert Eisenmann, pharmacien, et (1717) Anne Catherine Greiner – luthériens
1763 h Jean Herrmann, pasteur, et (1737) Anne Marie Lentz puis (1737) Marie Madeleine Eisenmann – luthériens
1684* h (moitié Brackenhoffer) Philippe Jacques Brackenhoffer, pharmacien, et (1701) Marie Marguerite Haan puis (1721) Marie Salomé Wagenmann, d’abord (1705) femme du boucher Jean Henri Lobstein – luthériens
puis Marie Marguerite Brackenhoffer et (1734) Jean Kirschner, marchand
Marie Salomé Brackenhoffer et (1740) Jean Geoffroi Saltzmann, docteur en médecine
1781 v (maison entière) Jean Daniel Niethammer, pharmacien, et (1784) Marie Françoise Charlotte Lachausse – luthérien et catholique
1816 v Louis Schneegans, confiseur, et (1817) Christine Caroline Heyl
1832 h Pierre Frédéric Ehmann, négociant, et (1818) Marie Madeleine Schnitzler
1869 h Emile Ehmann, négociant, et (1859) Eugénie Lobstein
1899 v Fürderer Jægler et Compagnie, société en nom collectif (Jean Baptiste Siebler et Paul Siebler-Ferry)
1907 h Paul Siebler (ensuite Paul Siebler-Ferry), négociant, et (1893) May Buchalew de Ferry
1920* v Edmond Bloch et co-propriétaires
1921* v Salomon Lehmann, négociant, et (1895) Aline Levy
1927 h Quincaillerie centrale anciennement Fürderer, Jægler et Compagnie, société anonyme

Valeur de la maison selon les billets d’estimation : 2650 livres en 1716, 3500 livres en 1727, 4000 livres en 1746, 1700 livres en 1770

(1765, Liste Blondel) VI 195 au Sr Hermann
(Etat du développement des façades des maisons, AMS cote V 61) Herrmann, 14 toises, 2 pieds et 0 pouce
(1843, Tableau indicatif du cadastre) O 256, Ehmann, Pierre Frédéric, rue des Hallebardes 9 – maison, sol – 2,1 ares

Locations

1684, (pharmacie) Frédéric Wæchtler, pharmacien, et (1682) Marguerite Catherine Hitschler puis (1684) Marguerite Schach
1686, 1695, (pharmacie) Jean Frédéric Eisenmann (ensuite propriétaire)
1701, Georges Mengès, marchand
1730, (pharmacie) Philippe Jacques Brackenhoffer, pharmacien (voir plus bas)
1747, 1754, (pharmacie) Benjamin Hecht, pharmacien, et Anne Marie Schwangart
1763, Jean Herrmann, diacre (copropriétaire)
1771, Jacques Joseph Demaude, secrétaire à l’intendance d’Alsace, et Catherine Lemarchand
1783, Béat Ignace Lachausse, docteur en médecine
1812, (local de la pharmacie) Labeaume et Wilhelm, négociants
1813, (local de l’ancienne pharmacie) Herrmann Grauls, négociant
1827, Léon Rehns, bijoutier
1831, Pierre Frédéric Ehmann (futur propriétaire)
1859, Emile Ehmann (futur propriétaire)
1862, 1869, Emile Ehmann (futur propriétaire) et Emilie Ehmann
1874, Georges Zimmermann, comptable, et Caroline Schuster
1892, Paul Siebler, marchand (futur propriétaire)

Livres des communaux

1587, Livre des communaux (VII 1450) f° 31
Jean Jacques Stœsser règle 4 livres 2 sols 4 deniers pour sa maison qui s’étend sur 27 pieds ½ jusqu’au Fossé des Tailleurs, à savoir un auvent de ladite longueur en saillie de 5 pieds, deux étaux d’exposition (l’un de 9 pieds de long, deux pieds 3 pouces de large, l’autre 12 pieds de long, 2 pied 9 pouces de large) au-dessous desquels un gradin (8 pieds ½ de long, 1 pied ½ 9 pouces de large)
La façade au Fossé des Tailleurs a 52 pieds de long, un auvent (57 pieds de long, saillie de 6 pieds), une porte de cave (8 pieds de long, 5 pieds ½ de large), un soupirail horizontal (1 pied 9 pouces de long, autant de large), un étal (9 pieds de long, 7 pieds de large), un étal de tondeur de drap (9 pieds de long, 2 pieds de large), au-dessus de l’auvent une galerie en bois (25 pieds de long, saillie de 3 pieds)

Sporer oder Spießgaß die Ein seit hienein gemessen nach dem Schneider Graben Zu
Herr Hans Jacob Stößer hatt darneben vor seinem Hauß vntz ane das Eckh des Schneÿdergrabens die Allmendt 27 ½ schu lang, Oben ein Wettertach auch so lang, vnd 5 schu herauß, Darund. 2 Vssatz Benckh, der Erste 9 schu lang vnd 2 schu 3 Zol breÿt, der Ander 12 schu lang vnd 2 schu 9 Zoll breÿt, Darunder ein Staffel 8 ½ schu lang vndt 1 ½ schu 9 Zoll herauß
Schneider Graben die Einseith
Item der gedachte Herr Hans Jacob Stößer hatt auch ahne gemelttem seinem Hauß von dem Eckh, Inn den Schneÿder Graben gegen Crämergaß Zugemessen 52 schu lang, Darüber ein Wettertach 57 schu lang vnd 6 schu herauß, Darund. ein Keller thüer 6 schu lang vnd 5 ½ schu breit, Item mehr ein Kellerthüer 8 schu lang vnd 5 ½ schu breit, Mehr ein Ligend Kellerfenster i schu 9 Zoll lang vnd breÿt, Darund. auch ein Scherbanckh 9 schu lang vnd 7 schu breit, Item mehr ein Tuchscherer od. Schmitzbanckh 9 schu lang 2 schu breÿt, oben vf dem Wettertach ein hültzenen gang 25 schu lang vnd 3 schu herauß, vf der Allmend, Soll & Bessert & iiij lb ij ß iiij d

1562, Livre des loyers communaux, VII 1445 (Zinßbuch C) f° 152
Voir ci-dessous, registre D

Item viij ß d soll geben h Daniel Bitto der handelsmann In Spießgass. von seim steÿnen gänglin vnd einem Kellerfenster so Ihme new Zumachen gegen dem Schneidergraben, gönnt worden gefallt vff Georgÿ 1613. Zum ersten mal. Act. 30. Jenner Ao. 1612.
Item j lb iiij ß d. soll er weiters das er solchen gang vmbs hauß herumb Zumachen erlaubt vnd erhalten Luth Manuals 2. Aprilis 1617. gefalt gemelten tag Ao 1618 [in margine :] Nicht gemacht worden

1562, Livre des loyers communaux, VII 1446 (Zinßbuch D) f° 267-v
Le marchand Daniel Bitto doit 8 sols pour une nouvelle galerie et un soupirail dans la rue du Fossé des Tailleurs, à verser pour la première fois en 1613. Les préposés aux communaux se réservent le droit de statuer sur le surplus de l’auvent où se trouve la galerie, ainsi que sur les autres soupiraux et les portes – 6 sols pour le passage, 2 sols pour le soupirail.
Il doit en outre 1 livre 4 sols, pour prolonger la galerie jusqu’à l’angle et de l’angle jusqu’à la petite maison dans la rue des Hallebardes, le 2 avril 1617 (non réalisé)
(Mise à jour, 10 octobre 1627) doit maintenant 16 sols – Porté au folio 14 du nouveau registre

Item viij ß d soll geben h Daniel Bitto der handelsmann In Spießgassen von eim newen steinen genglin vnd kellerfenster gegen dem Schneidergrab. so Ihme gegont worden Luth vnsers Manuols vnd gefallen solche vff Georgÿ Ao 1613. Zum ersten mal. vnd bleibt das vbrige an seinem wetterdach darin solch genglin begriffen, wie auch die vbrige Kellerfenster vnd Thieren, den Almend herren Zu rechtfertigen vorbehalt. Actum 30. Januarÿ 1612.
[in margine :] NB gengle 6 ß d, Kellerf: 2 ß d
Item j lb iiij ß d gibt er weiter, das er gemelten gang biß ans eck, vnd vom eck vff der seiten In Spießgaß bisans clein heußle gemacht hat, Ihm gegont 2.t Aprilis 1617. vff gemelten tag
Nicht gemacht
(rub.) Jetz 16 ß d. 10. 8.br 1627
Neü 14

1652, Livre des loyers communaux, VII 1461 (1652-1672) f° 14
Report dans le registre comptable ouvert en 1652. Le loyer est ensuite porté au nom de Jean Jacques Scheyd

Jetzt Johann Jacob Scheÿdt
Gabriel Engel der Apothecker, Soll gemeiner Statt Von einem steinern gängel Und einem fenster Vf dem Schneidergraben, seiner behaußung in der Spießgaßen Jahrs vf Georgÿ 16 ß
Alt. d. 267
New fol. 13
Ext. 1652
(Quittungen 1653
1657 v. H. Hanß Jacob Scheiden empf.
1660-1672)

1673, Livre des loyers communaux, VII 1465 (1673-1741) f° 13-v
Report au registre suivant, au nom de Philippe Jacques Brackenhoffer et de Jean Henri Kopp puis Jean Albert Eisenmann

Johann Jacob Scheid, der Apothecker, Soll Von einem Steinern Gängel und einem fenster vf dem Schneider graben seiner behaußung in der Spießgaßen, Jahrs vff Georgÿ, 16 ß
St. Zinnßb. p. 14
Neuzb. fol 322
Jetzt herr Philipp Jacob Brackenhoffer und Johann Heinrich Kopp ([corrigé en] Johann Albrecht Eißemann) jed. Zur helffte

(Quittungen) 1673-1741, dont
1701 Zalt Hn Eisenmanns W. p. 1701
Eod. Zalt herr Philipp Jacob brackenhoffer p. 1701 [iden sqq]
1706 Zalt H. Brackenh: p. 1706
Zalt H. Kopp pro 1707

1741, Livre des loyers communaux VII 1471 (1741-1802) f° 322
Report au registre suivant. Contribuables, Philippe Jacques Brackenhoffer et consorts, Jean Kürschner, Jean Daniel Saltzmann, Marie Madeleine Hermann, Jean Daniel Niedhammer jusqu’à la suppression du loyer en 1792.

alzb. 13-b
H. Philipp Jac: Brackenhoffer und Consorten sollen von einem Steinern Gängel und einem Fenster auf dem schneider Graben seiner behaußung in der Spießgaßen, Jahrs auf Georg, id est 23. April – 16 ß
[in margine :] vid. 471. 492.b, 495.b
(Quittungen 1741-1792)
Suiv. Délibération du Directoire du Département du Bas Rhin du 25. sept. 1792 les redevances des balcons sont supprimées

[biffé] Johannes Kürschner jetzt H. Dr Johann Gottfried Saltzmann
Fr. Maria Magdalena Herrmännin
H. Johann Daniel Niedhammer

Préposés au bâtiment (Bauherren)

1611, Préposés au bâtiment (VII 1326)
Conrad Reinbold demande au nom de Daniel Bitto l’autorisation de construire une charpente pour la maison sise rue des Hallebardes sur un terrain au marché aux Chevaux.

(f° 129) Mittwoch 17.t Julÿ 1611. Daniel Bitto. Platz vffm Roßmarckt
Conrad Reinbolt weg. Daniel Bitto bitt platz Zu 500 s* holtz Zu eim dachstuel in d. Spießgaß. werde In 6 woch. dz. holtz *komen vnd hatte 6 od. 7. woch. daran Zuthun. Ist Ihm vffm Roßmarckt Zugelaß. Zwisch. 2. brucke vnd Ihm beuohlen geschwindig Zusammen Zulegen, wils thun.

1612, Préposés au bâtiment (VII 1327)
Les préposés se rendent à la maison de Daniel Bitto à l’angle de la rue des Hallebardes et du Fossé des Tailleurs. Le propriétaire a l’intention de démolir la maison jusqu’au premier étage et de remplacer la galerie en bois vers le Fossé des Tailleurs par une nouvelle entièrement en pierre (23 pieds de long, saillie de trois pieds), de faire une porte de cave sous son auvent (5 pieds 3 pouces, saillie de cinq pieds), de remplacer l’ancien seuil et le muret par de nouveaux de mêmes dimensions que les anciens, de faire un soupirail sur le communal devant le mur (3 pieds de long sur 2 pieds ½ de large), un nouveau soupirail sous l’auvent. L’autorisation lui est accordée à condition de payer un cens annuel de 6 sols à l’Assomption pour la galerie en pierre et deux sols pour chaque soupirail. Daniel Bitto renonce à faire un des soupiraux.

(f° 13) Donnerstag den 30.t Jenner 1612. – h. Daniel Bitto.
Seindt nach mittag B. vnd 3 vff augenschein gefahren, vnd erstlich beÿ Daniel Bitto in der Spießgaß. angefangen, derselb. begert das Eckhauß an dem Schneid. graben biß vff das erste gad. gantz abzubrechen, weil er aber In sein hinderhauß gegen dem Schneidergraben Zu einem hültzenen gang, der In lenge 25 sch: vnd 3 sch vberhaupt herauß ghot wolt er denselben gantz steÿnen machen dan er kein höfflein hat, vmb d. Kund. willen, 2° begert er ein ligende Kellerthuer vffm schneidergraben vnder sein Wetterdach so 5 schuh herauß ghot vnd 5. sch 3* Zoll Im liecht Ist, wolt er die vordere schwell vnd das eine gewend so bede gebrochen vff heben vnd wider andere anstatt leg. vnd sonst. gar nichts weiter od. grösser mach. sond. beÿ d. alten Weÿte Zulaß. 3° wolt er ein keller fenster so vff d. Almend vor seiner hauptmaur hienauß ligt vnd Zimblich eng Ist, wolte er gern vff brech. vnd dasselb. 3. sch lang vnd 2 ½ schuh In weite Zumachen, 4° wolt er noch ein gantz new keller fenster auch vor d. hauptmaur vnder sein wetterdach, da vor Keins gewesen, ligend. mach. bitt Ihme solches Zu Zulaß. vmbfragt Erkandt, vnd Ist Ihme In seinm begeren Willfahrt, In allen Puncten, doch soll er von dem Steinen gang Inn dem Wetterdächlin (daran den vberige am Wetterdach den Almend herren vorbehalten) Järlich vff vnser frawen tag Zinß geben 6 ß d. von beden Keller fenstern Jedem 2 ß d. thut 4 ß d. da er aber die Kellerthier größer mach. solte, würde man Ihm ein Zinß druffschlag. Wo nit, soll er nichts dafür geben, hatts bewilligt vnd solls machen vff die weiß wie ers hieoben begert hat nit Anderß. NB. hat nur j kellerfenster gemacht vnd begert dz. Andere nit mehr, ghon 2 ß ab
[in margine :] D 224 – C 152

1613, Préposés au bâtiment (VII 1328)
Daniel Bitto demande l’autorisation de transformer sa porte de cave vers le Fossé des Tailleurs pour qu’elle soit semblable à celle de son voisin. Les préposés le renvoient à la décision précédente

(f° 82-v) Mittwoch 26.t maÿ – h. Daniel Bitto der handelsmanns Im Eckhauß an d. Spießgaßen wie man Zum Schneid. graben hinein ghen will vff rechter hand, der begertt sein Ligende Kellerthier so 5 sch 3 Zoll Im Liecht brait Ist, vnd 6 sch 9 Zoll herauß vffs Almend geht begert er vff Zuheben, In alter braide vnd lenge Zu lassen, allein solche wie sein nachbar neben Ihme etwas Zu erhöhen vnd mit demselben In ein gleicheit Zu richten vnd Zubring. Wie er dan dieselben Platten alle 23. sch lang vnd In braide 7 ½ sch begert vffzuheben, vnd etwas höher Zu legen, gleich wie sein Nachbar Weil dan die Kellerthier 30.t Jenner Ao 1612. Ihme willfahrt vnd das vbrige begeren wol Zu wilfahren, Ist Ihm sein begeren Zugelaß. Weil Ihm Auch Ao 12 v* hierzu Zweÿ Kellerfenster Zumachen a 2 ß Jedes gerecht, Zumachen, Zugelassen, Er aber nur eins gemacht, vnd das ander nit mehr begert, Bittet er Ihme 2 ß abzuschreiben, will *gedencken.

1614, Préposés au bâtiment (VII 1329)
Daniel Bitto qui a pris à bail la petite maison voisine des héritiers de Luc Krafftberger demande l’autorisation de percer une ouverture entre les deux maisons pour y établir un bureau. Les préposés l’y autorisent à charge de présenter une nouvelle demande à la fin de son bail de huit ans.

(f° 173-v) Mittwoch 16. 9.br. – Daniel Bitto.
Sind die h. xv. samtlich vffm augenschein gewesen In dem hauß In Spießgaß. neben h. Daniel Bitto so vor Jaren laux Crafftberger gehörig gewesen. Dasselbst bringt Daniel Bitto für, das er solch clein Neben hauß von den vögten 8 Jar enthehnet habe, da begert er Ihm Zugönen Im vndersten gemach ein thür: vnd Im andern gemach auch ein thür durch Zu brechen. Wolte daruf ein schreib stube machen, Seindt lohner vnd werckleüth gehört vnd weil Ihm In solch. wol Zu willfahren, dan es ein vberauß kleiner Platz Ist, Ist Erkand, Ihm sein begeren Zu Zulaß. doch davor noch 8 Jaren widerumb bey den h XV darumb ferner ansuch. bedanckt sich

1616, Préposés au bâtiment (VII 1331)
Daniel Bitto déclare avoir transformé une porte de cave sans faire la deuxième. Le cens communal de 10 sols est ramené à 8 sols.

(f° 175-v) Mittwoch 30. octob. 1616. – Daniel Bitto
Zinßmr. sagt Daniel Bitto Zinß hab sollen 10 ß Zinß geben der gebe aber für ein Kellerfenster hab er gemacht, das and. hab er nit gemacht, vnde Ao 1612. fo. 13. 14. Ist befragt welches er new od. gar nit gemacht hat od. nit. Andtwortet er hab das Alt geandert, das New gar nit gemacht. Also soll er 8 ß Zinßen Ist albereit geändert.

1617, Préposés au bâtiment (VII 1332)
Daniel Bitto demande en mars l’autorisation de prolonger sa galerie vers le Fossé des Tailleurs (28 pieds ½) et dans la rue des Hallebardes jusqu’à la petite maison (27 pieds ½), sur la même largeur de 3 pieds 5 pouces, il demande aussi l’autorisation d’enfoncer un pilier dans le sol. L’acte renvoie à celui de 1612. Les préposés lui accordent en avril l’autorisation moyennant un cens annuel de 24 sols puisqu’il s’agit d’un nouvel aménagement, soit au total 30 sols. Ils communiquent la décision au maçon Jean Œchsler.

(f° 53-v) Zinstag 25.ten Martÿ 1617. – Daniel Bitto
Augenschein Ingenommen In d. Statt vnd erstlich in Spießgaß., begert Daniel Bitto In dem Eckhaus am schneid. graben, seinen Gang, vmb das Eck hinumb Zu führen Nemlich vffm schneid. graben In lenge 28 ½ schuh, vnd In der Spießgaß biß an das Clein heußle 27 ½ schuh In der lenge. So dann dem vorigen gang gleich In braite 3 sch 5 Zoll Ist diß mals Zugesteltt vnd will man Künfftig Vffm d.th daruon red. Item begert auch ein pfolloch & vide Ao 12 fo. 13

(f° 59) Zinstag den ersten Aprilis. – Seind B vnd 3 vffl d.th. Zusammen kommen von nechstem Aug.schein Zur holschlag.
Vnd erstlich vonn Daniel Bitto begerten beeden gengen In der Spießgaß am schneid. grab. vmb sein eck behaußung herumb, das Ihme In demselben wol Zu willfahren, vnd weil solche gäng gantz new da Zuuor Keine niemalen de gewesen Ist dißmahls erkandt er Bitto soll von solchen beden Newen gängen alle Jar 24 ß. Das Ist von dem Vorigen vnd disen beden newen Jarlich 30 ß d. Zinß geben. Als dann mag er sie noch soll auch x ß d. für den Augenschein geben und betzalen.

(f° 63) Mittwoch 2. Aprilis. – Daniel Bitto maurer hanns Öxler begert bescheidt vnd hat 10 ß p. Augenschein Zalt. Daruff Ist Ihme willfarung angezeigt, das ers mach. soll wie der Ander, vnd soll vonn alt. vnd Newen 30 ß Zinß, wills Ihm an Zeig.

1627, Préposés au bâtiment (VII 1342)
Daniel Bitto est autorisé à réparer son auvent en conservant les anciennes dimensions (31 pieds vers la rue des Hallebardes et 52 vers le Fossé des Tailleurs, saillie de 6 pieds)

(f° 133) Donnerstags den 27. Sept. 1627. – Wetterdach inn Spießgaß
Daniel Bitto will In Spießgaß Ein Wettertächlin repariren vnd in Alt. stand richt. laß. lang geg. Spießgaß 31 sch geg. Schneid.grab. 52. vnd allenthalb. 6. sch herauß, wie eß d Wetterdach abgemeß. vnd referirt. Ist Vergönt.

1724, Préposés au bâtiment (VII 1391)
Le pharmacien Philippe Jacques Brackenhoffer a aménagé cinq ou six ans auparavant un logement d’officier. Le bureau des logements militaires lui demande de faire en sorte qu’il soit mieux éclairé en supprimant la galerie en pierre le long du Fossé des Tailleurs. Comme il en paie un cens annuel de 16 sols, il demande une visite des lieux pour pouvoir restituer l’ancien état par la suite. Le secrétaire rapporte que l’autorisation est inscrite au registre D. Les préposés décident de présenter une requête au bureau des logements militaires pour que le pétitionnaire puisse conserver sa galerie.

(f° 88-v) Dienstags den 17. Ejusdem [Octobris 1724.] – H. Philipp Jacob Brackenhoffer der Apothecker pt° Seines Steinern gangs
Herr Philipp Jacob Brackenhoffer, der Apothecker, berichtet MGHh. welchergestalten Ihme von denen hochansehnlichen Herren Deputaten Zu der Einquartierungs auferlegt worden, vmb den Losament worin der officier logirt, vnd welches erst vor fünff oder Sechs Jahr dazu accomodirt worden, mehrers Liecht und Helle Zugeben an den Steinern Gang vor Seiner an dem Schneidergraben liegenden Wohnung Sechs Schuh, vier Zoll Lang, vnd fünff Schuh Zween Zoll breit wegbrechen Zu laßen, weilen Er nun Jährlichen hievon 16. ß d Allmend Zinß davon gibt, als bittet Er unterthänig solches ad Protocollum nehmen Zulaßen, damit beÿ andern Zeiten Er solche wieder in vorigen stand setzen Könrte. Ego berichte daß dießes steinere gang schon A° 1612. gebawen worden, wie in dem alten Zinnßbuch D. fol: (-) Zusehen ist, gehet Herr Brackenhoffer auch biß dato den jährlichen Zinnß richtig davon abgestattet, derowegen Erk. worden, daß den herren Deputirten beÿ den Einquartierungen solches alles remonstrirt vnd daß vorhaben dahien vermittelt werde, damit solcher sterinerne Gang, Wavon die Statt einen Jährlichen Zinß Ziehet, verbleiben möge.

1812, Voirie (283 MW 342)
Le pharmacien Niethammer est autorisé à transformer une fenêtre en porte et à transformer les fenêtres à sa maison construite en pierre bien qu’elle dépasse de l’alignement.

N° 161, Le soussigné (…) qu’il est intentionné de faire changer la croisée d’un cintre en une porte d’entrée a la façade de sa maison faisant le coin de la rue des hallebardes et du fossé des tailleurs N° 10 et de faire boiser l’appui de fenêtres du cintre a côté du premier lesdits cintres font face sur led. fossé des tailleurs – le 21 février 1812, Niethammer
La maison du Sr Niethammer n’a point d’avance mais elle n’est pas alignée en conséquence le soussigné estime qu’il n’y a pas lieu d’autoriser les changements demandés, 25 février Tourneux
le Maire, Considérant que l’art IV porte que les menues réparations pourront être autorisées aux façades des maisons sans avance quoique hors l’alignement et qu’au nombre de ces réparations sont compris le remplacement du montans, du (-) changement de porte et le crépi (…) que la maison du pétitionnaire étant construite en pierre de taille les réparations qu’il se propose d’y faire faire ne lui donnant pas plus de solidité que ce changement sont nécessaires pour y établir sa pharmacie et pour y exercer son état Estime qu’il y a lieu d’autoriser les changements 2 mars – ratifié par le Préfet le 10 mars

Description de la maison

  • 1727 (billet d’estimation traduit) La maison comprend plusieurs poêles, poêle pour officier, petite chambre à cheminée, boutique, bureau, plusieurs cuisines dont l’une qui est voûtée contient un alambic, deux caves voûtées, le tout estimé avec appartenances et dépendances à la somme de 7000 florins
  • 1770 (billet d’estimation traduit) La maison comprend une pharmacie et son laboratoire, plusieurs poêles, chambres cuisines, le comble est couvert de tuiles plates, la cave est voûtée, le tout estimé avec le puits, autres appartenances et dépendances à la somme de 3400 florins

Atlas des alignements (cote 1197 W 37)

3° arrondissement ou Canton Sud – Rue des hallebardes (en partie)

nouveau N° / ancien N° : 49 / 9
Schnegans
Rez de chaussée et 3 étages médiocres en maçonnerie
(Légende)

3° arrondissement ou Canton Sud – Rue des Tailleurs

nouveau N° / ancien N° : 15 / 10
porte de derrière du N° 9 rue des hallebardes
Rez de chaussée et 3 étages médiocres en maçonnerie

Cadastre

Cadastre napoléonien, registre 25 f° 102 case 1

Ehmann, Pierre Frédéric rue des hallebardes N° 9

O 256, maison, sol, R. des hallebardes 9
Contenance : 2,10
Revenu total : 721,09 (720 et 1,09)
Ouvertures, portes cochères, charretières :
portes et fenêtres ordinaires : 49 [biffé] / 31 / 25
fenêtres du 3° et au-dessus : 30 [biffé] / 23 / 18

Cadastre napoléonien, registre 26 f° 167 case 2

Ehmann, Pierre Frédéric
1884/85 Ehmann Emilie Johanna Margaretha hier
1900 Fürderer, Jaegler & Cie

O 256, Maison, sol, Rue des hallebardes 4
Contenance : 2,10
Revenu total : 721,09 (720 et 1,09)
Folio de provenance : (102)
Folio de destination : Gb
Année d’entrée :
Année de sortie :
Ouvertures, portes cochères, charretières :
portes et fenêtres ordinaires : 31
fenêtres du 3° et au-dessus : 23

Cadastre allemand, registre 30 page 222 case 5

Parcelle, section 19, n° 16 – autrefois O 256
Canton : Schneidergraben, Spießgasse H. N° 13 bzw. 4
Désignation : Hf Whs
Contenance : 1,83
Revenu : 4300 – 6000
Remarques :

(Propriétaire jusqu’à l’exercice 1908), compte 428
Fürderer, Jägler & Cie
gelöscht 1908

(Propriétaire à partir de l’exercice 1908), compte 1510
Siebler-Ferry Paul
1920 Bloch Edmund Kaufmann zu ½ und Miteigenthümer in Strassburg
1921 Lehmann Salomon commerçant et son épouse Aline née Levy en com.de b.
1929 Quincaillerie centrale anct. Fürderer, Jaegler et Cie société anonyme
335

1789, Enquête préparatoire à l’Etat des habitants (cote VII 1295)

Canton VI, (134) Rue des Hallebardes

9
est porté dans l’état du fossé des Tailleurs N° 10, Litt. C

1789, Etat des habitants (cote 5 R 26)

Canton VI, Rue 165 des Tailleurs p. 325

10
Pr. Niedhammer, Jean Daniel Apoticaire – Pelletiers
lo. Lachausse, Ignace Beart, Medecin – Pêcheurs

Annuaire de 1905

Verzeichnis sämtlicher Häuser von Strassburg und ihrer Bewohner, in alphabetischer Reihenfolge der Strassennamen (Répertoire de toutes les maisons de Strasbourg et de leurs habitants, par ordre alphabétique des rues)
Abréviations : 0, 1,2, etc. : rez de chaussée, 1, 2° étage – E, Eigentümer (propriétaire) – H. Hinterhaus (bâtiment arrière)

Spiessgasse (Seite 164)

(Haus Nr.) 4
Frenkel, Tapisseriegesch. 0
Frenkel, Reg.-Sekretär. 2
Welzer, Kanzlist. 3

Dossier de la Police du Bâtiment (cote 807 W 196)

13 rue du Fossé des Tailleurs (1843-1916), voir aussi 5-7-9-11, rue du Fossé des Tailleurs et 1-2-3, place Gutenberg)

La société Fürderer, Jægler et Compagnie charge en 1909 les architectes Henri Backès et Othon Zaché de faire une entrée de cave puis en 1914 de prolonger la devanture.

Sommaire
  • 1880 – Le directeur de l’usine à gaz demande que l’installateur Hermann soit autorisé à faire une prise pour environ 9 becs dans la maison Ehmann sise 13, rue du Fossé des Tailleurs
  • 1886 – Le maire notifie la demoiselle Ehmann (en son nom le notaire E. Ritleng, 14, rue de la Nuée Bleue) de raccorder la maison aux canalisations (eaux usées et eau de pluie) avant que la rue soit pavée
    Les travaux sont en cours aux n° 2 et 4 (juin 1886), au n° 8 (idem). Courrier au notaire Georges Flach (5, place Gutenberg) au sujet du 8, rue du Fossé des Tailleurs
    1886 (juillet) Le maître maçon G. M. Friederich (7, quai des Batelier) demande au nom du notaire Ritleng et de la demoiselle Ehmann l’autorisation de faire un raccord aux canalisations – Autorisation – Travaux terminés, juillet 1886 – Dessin
  • 1890 – Le directeur de l’usine à gaz demande que le locataire Frenkel soit autorisé à faire une prise pour environ 10 becs dans la maison à l’angle du Fossé des Tailleurs et de la rue des Hallebardes – Autorisation [Livres d’adresses de 1890, p. 166, Nr. 4, Frenkel, Tapisserie-geschäft]
  • 1896 – Le maire constate que le dentiste Roth a fait poser sans autorisation une enseigne perpendiculaire au 13, rue du Fossé des Tailleurs – Demande par la veuve L. Roth – Autorisation, juillet 1896
    1896 (novembre) – Le maire constate que le même a posé sans autorisation une vitrine – Demande – Autorisation, décembre 1896
  • 1897 – Le peintre en bâtiment Zugmeyer (6, rue des Echasses) demande l’autorisation de poser un échafaudage sur la voie publique – Autorisation
  • 1907 – Le maire notifie Paul Siebler-Ferry (1-2, place Gutenberg) de faire ravaler le 13, rue du Fossé des Tailleurs. Il accorde un délai
    1907 (novembre) – Le peintre en bâtiment Auguste Schuler (5-7, rue du Soleil) déclare qu’il fera les travaux en janvier si le temps le permet – Travaux terminés, juillet 1908
  • 1909 – Les architectes Backès et Zaché (2, rue Oberlin) demandent l’autorisation de faire une entrée de cave dans la maison Fürderer, Jægler et Compagnie – Autorisation – Calcul statique – Dessin – L’entrée de cave est terminée (décembre), le garde-corps est posé (février 1910), la porte est posée (juillet 1910)
  • 1911 – L’entreprise strasbourgeoise de parquets et d’asphalte demande l’autorisation de poser un chaudron d’asphalte devant la maison Fürderer, Jægler et Comp. – Le commissaire de police transmet au maire – Droits de voirie
  • 1913 – La société Fürderer, Jægler et Compagnie déclare avoir retiré l’enseigne plate au 13, rue du Fossé des Tailleurs – Le fichier est rectifié
  • 1914 – L’entreprise Rossi et Leja (40, rue Gailer) demande l’autorisation de poser un échafaudage devant les deux façades – Le commissaire de police transmet au maire – Accord
    1914 (février) – Les architectes Backès et Zaché et la société Fürderer, Jægler et Compagnie demandent l’autorisation de transformer le rez-de-chaussée – Autorisation – Calcul statique – Le dessin est transmis à l’architecte de l’Œuvre Notre Dame Knauth. Knauth, conservateur des monuments historiques, n’a pas d’objection à faire (les travaux consistent à prolonger la devanture)
    Autorisation de revêtir de granit le rez-de-chaussée donnant sur les deux rues et de repeindre la façade (7 avril 1914) – Les architectes font remarquer que les taxes à régler mentionnent une façade crépie alors qu’elle est en pierre de taille. Le décompte des droits est rectifié – Autre exemplaire de l’autorisation (avril 1914) – Travaux terminés, janvier 1915
  • 1916 – L’entreprise strasbourgeoise de parquets et d’asphalte demande l’autorisation de poser un chaudron d’asphalte devant la maison Fürderer, Jægler et Comp. – Accord

Dossier du Ministère de la Reconstruction et de l’Urbanisme (ADBR, cote 438 D 16)

Dossier commun avec le bâtiment sis 1 et 2

Copie par extrait, feuillet N° 2279 du livre foncier de Strasbourg
Cadastre section 19 n° 16, Rue du Fossé des Tailleurs Nr. 13 et Rue des Hallebardes Nr. 4. – 1 ares 83 ca, sol, maison, Strasbourg, feuillet n° 2279 (1)
Est inscrit comme propriétaire depuis le 26 avril 1927
Quincaillerie centrale, anciennement Furderer Jaegler & Cie, Société Anonyme à Strasbourg
Délivré à titre gratuit en vertu de l’art. 15. de l’ord. Nr. 45-610 du 10-4-1945 pour le Ministère de la Reconstruction. Strasbourg le 4 octobre 1946.


Relevé d’actes

La maison est inscrite au nom de Jean Jacques Stœsser dans le Livre des communaux (1587)

Fils de Jean Stœsser, Jean Jacques Stœsser épouse en 1561 Susanne, fille de Gaspard von Molsheim
Mariage, cathédrale (luth. p. 89)
1561. Suntag den 17. August 61 Hans Jacob Stosser, Herrn Hanß Stossers seligen Sun, Susanna, Weiland H Caspar von Moltzheims selig. dochter. eingesegnet Montag den 25. Augusti Hora 7 (i 47)

La maison entre le 20 janvier 1595 dans la famille Bitto (Gilles Bitto) par achat conclu avec Susanne von Molsheim, veuve de l’assesseur des Quinze Jean Jacques Stœsser (voir plus loin l’inventaire dressé en 1628). L’acte ne se trouve ni parmi les actes des notaires Meyer ou Kugler, ni parmi les actes de la Chancellerie (minutes Imbreviaturæ ou expéditions Gemein Contract Buch)

Accord passé entre Barbe Bitto, femme de Daniel Hammerer, d’une part, sa mère Barbe veuve de Gilles Bitto, ses frères Guillaume Bitto, Jean Bitto bourgeois de Bâle et Daniel Bitto d’autre part
1608 (20. Oct.), Chancellerie, vol. 374 (Gemein Contract Buch) f° 55-v
Vertrag Zwischen Barbara Bittoin Daniel Hammerers ehelicher Haußfrawen vnd derselben Muter vnd Brüedern
erschienen seind vnsere Rhatsbewandten Hans Jacob Kügeler, Conrad Stöhr, Jacob Borst vnd Augustin Trens, vnd beneben Ihnen vnser Burg. Michael Beringer der Notarius als von vns verodnneter vogt Barbaræ weÿland Gilg Bitto seligen gewesenen Burgers vnd Handelsmanns alhie eheleiblicher Tochter Daniel Hammerers alhie eheleiblicher haußfrauwen mit beÿstand vnsers bestelten Aduocaten des hochgelehrten Stephani Berchtolden der Rechten Doctoris als Clägere an einem
vnd dann auch vnserer Burg. Wilhelm Bitto vnd desselben Brudern Johann Bitto Burg. Zu Basel für sich selbs vnd In namen Daniel Bitto Ires abwesenden Bruders als Beclagte am andern theÿl vnd vns erzelen vnd fürpringen lassen
nachdem ernanter Clagende vogt In namen ermelter seiner als Innhabere Irer anerstorbenen vätterlichen nahrung vor vns In Rechtfertigung erwachsen vnd in derselben durch vnser Rechtlich ertheÿlte Urtheÿl erhalten, das Ir von den Beclagten Innhabern angeregt Ir zugefallen vätterlich erbtheÿl erstattet werden sollen (…)
Donnerstag den 20.tag Monats Octobris 1608.

Les négociants Jean et Daniel Bitto vendent à Guillaume Bitto les deux tiers qui leur reviennent de la maison dite Gürtlerhoff face à la cathédrale et d’une maison au Fossé des Tailleurs. L’acte mentionne un accord avec leurs sœurs Anne Bitto, mariée à Genève avec Jean Sarrazin (ici Sarrasige) et Barbe Bitto, femme de Daniel Hammerer. Guillaume Bitto cède à ses frères Jean et Daniel Bitto la maison dite zum Stauff à l’angle de la rue des Hallerbardes et du Fossé des Tailleurs ainsi que la maison dite zum Bleydeck.

1611 (10. tag Aprilis), Chancellerie, vol. 395 (Registranda Kügler) f° 136
Erschienen die Ehrenvesten herrn hanns vnnd Daniel die Byde gebrüder Gewerbßmenner hab. verkaufft
den auch Ehrenvesten herrn Wilhelm Byde Iren gebrüd.
der Zweytheÿl den Verkäuffern für vnuertheilt gebürend von v ane Zweÿen heüßern sampt hofestetten allen deren gebeud. Behausung hoff hoffestatten sampt derer neben V hinderstocken auch all deren gebeud. genant der alt Gurtler hoff In d. S. S vor dem Münster einseyt h Johann Seuppel vochhandler andersyt Gebrud Artzen* bede goldschmid hinden Vff dem Schnyder grab. einseyt neb. Peter Dieltzen handelsmann anderseyt nachgeschriebene Behaußung Inn diße Khuff auch Ime Zweÿ theyl gehörig
Item der Zweytheÿl ane huß V hoffestatt mit Iren gebeu vf dem schnyd. grab. einseyt obgeschrib. Behausung andersyt h. Anthons Bydo gewerbßman stoßend hind auch vff obgehende Behausung, Ane welch hoff herr heußer hoffestatten der dreye dritteyl den herrn Verkheuffer Inen Zuständig
vonn den heüßern der alt gurtler hoff gen gnd 32 guld geld SW vff den heylig. Wyhenacht tag ablößig mit 800 guldin bemelt Werung, Mehr Achtzigt guldin gelts S Vff Johannis Baptistæ In huptgutt abzulosen mit 2000 guld. SW beÿd posten den Verpfandt Hn Inn der Samblung Zum thurn In S. Wyther 24 guldin glt SW vff S Ludwigen tag widerkheuffig stehenden geld SW Wÿland Lux Vogler seligen erben, Vnd 100 pfund pfenning gelts vff Michels fallend ablosig mit 200 pfund pfenning Ane die vier pflegereÿ dem Werck Vnß Fr. huß den Schulern den Armen Sondersich Im Roth kirch (…) Sunst für freÿ ledig vnd eÿg. der Khauff vber solche beschwerd. für 2511 pfund
(f° 137) Vnd sit aber Inn dißen Verkhauff sonderlich bedung. vnd abgered Weyl Ir schwester Fr. Anna Bytonin H Johann Sarrasige burg. In Genff hußfr. auch Ir gebürend antheÿl vonn vätterlichen v. Mütterlichen Erb ane denen heußer d. Gürttler hoff genannt hatt Solcher antheyl halben herr Wilhelm Bytto sich freündtlich mit bemelter schwester verglychen soll ane *egnichen abzugk gegen der herr Verkheuffere Alls auch Frawen Magdelen Byttonin Carle Hammerer hußfr. nach forderung obgeschribener heüßer halben mütterliche legitima fallen (…)
(f° 137-v) Vber solchs hatt herr Wilhelm Bÿtto für sich verkaufft herrn hanns vnd Daniel Bytto gebrüder obgdach. sein gebrüd. antheÿl ane nachgeschrb. heüßer Nemblich huß V hoffestatt mit der. gebeu genant Zum Stauff In d. S. S. vff d. Schnÿd. grab. einseyt ein Eck ane der Spieß gaß (neben Jacob Wyssenburgs. selig. erben) andersyt h. Sebastian Brand dem elt. selig. erb. stoßend hind vff d. Vlmer graben, davon gd. sammenthafft 15 dritthalb. guld. S vff S Steffan tag fallend loßig mit 1015 guld. beml. werung abzulös. J Christophell Mundten seligen erben Sunst ledig eÿg.
Auch vor fr. Annen Bÿttonin nach Vatterlich v Mutterlichen Erbs halben* für Ire antheyl vorgeschribner Eck Behaußung gebürt Sollen die beyd herren Khöüffer vff sich nemen (…)
(f° 138) Item sein gebürend antheÿl vonn ane Behausung hoff hoffestatt Stall V. Schopff genant Zum Bleÿdeck m. all Ir gebeu hie Innwendig dem pfenning thurn geleg. einsyt Jacob Gerlach d. Brottbeck selig. erb. andersyt Mathys Bepfflingerer Kupfferschmids selig. erb. gl. stosst hind. vff ettliche heüsser So etwan ane die Schul geherig. davon gnd smhfft v lb d gelt Vff d. heÿlig. wÿhnacht tag d. Newen sonder sich. Zum Roth. Kirch, dißer Zinß seÿe ewig ob abloßig were solche In hauptbrieff bestund (…) Mehr j lb d (…)

Jean Bitto, bourgeois de Bâle, cède à Daniel Bitto, qui en devient seul propriétaire, sa part dans les maisons dites zum Stauff et zum Bleydeck

1611 (x. Julÿ), Chancellerie, vol. 395 (Registranda Kügler) f° 250
Erschienen der Ehrenvest herr Hannß Bydo buerg. Zu Basel verkhaufft
dem auch Ehrenvest H Daniel Bÿdo gewerbsm. alhie
die antheyl v. gerechtigkeit In gebürend ane huß v hoffestatt genant Zum Stauff vid. supra in pro. fo. 119.
Item mehr die Antheÿl V. gerechtigkeÿt anne huß hoff hoffestatt Stallung v. Schopff genant Zum Blydeck & in pro. 611. fo. 119. mit den conditionen deßelb. (…) der Khauff vber die beschwerd so der H Keufer für den Antheyl vor sich vmb 1050 pfund pfenning

Daniel Bitto épouse en 1606 Odile, fille du marchand Léonard Kau
Mariage, cathédrale (luth. p. 166)
1606. Dominica I post Epiphanias den 12. Ianuary. Daniel Bito vnd vtilia Leonhard Ko deß handelsmanns tochter (i 87)

Le négociant Daniel Bitto hypothèque la maison zum Stauff au profit de Grégoire Gennin de Sainte-Marie-aux-Mines. Son frère Jean Bitto se porte garant.

1613 (ut spâ [dritt. Julÿ]), Chancellerie, vol. 407 (Registranda Kügler) f° 217
(Inchoat. fo: 217.) Erschienen der Ehrenvest herr Daniel Bÿtto gewerbßman burger Zu Straßburg
hatt in gegensein der auch Ehrenvesten herren Gregorÿ Gennig burger In Marien Kirch – schuldig sein 5000 gulden zu xv batzen
dafür Vnderpfand huß V hoffestatt mit all andern Iren gebeuwen genant Zum Stauffen gelegen Inn der S S Vff dem Schnyder graben einsÿt ein Eck ane Spießgaß andersÿt H Isaac Claußen handelßmann stoßend hinden vff (-) vnd Zum theil den Vlmer graben Welche auch vngeuarlich verhafftet für 60 gulden Carlen Hammerers hußfr. Ihrer legitima halben Mütterlich Erben, So dann vff 6 schilling Allmend Zinß vff d. pfenning thurn zu Straßburg (…)
Unnd Zu noch mehrer sicherheit Ist erschÿenen Herr hanns Bÿdo gewerbßmann burger zu Baßel hat s. des Schuldbekhenners bruder hatt sich für sich v seine erben mit sampt dem hauptschuldner vnverscheidentlich Zum rechten Bürgen, Mit: und und selbst schuldner ernant

Le négociant Daniel Bitto hypothèque la maison zum goldenen Stauff au profit du pasteur de Mietersheim Gabriel Hoffmann

1613 (v. tag Novembris), Chancellerie, vol. 404 (Registranda Meyger) f° 484
(Inchoat. in Prot. fol: 469.) Erschienen Herr Daniel Büthot d. handelßmann burger Zu Straßburg
hatt bekhandt vndt In gegenwertigkheit herrn Gabriel Hoffman pfarrers Zu Mieterßheim beÿ Finsting. – schuldig sige 200 pfund pfenning
Zum Vnd.pfand Angeb. die Behausung mit Allen Ihren geb. & geleg. In d. Statt Straßburg Inn s. Spießgaß zum guldin Stauff, ein sit ein Eck vff den Schneÿd. graben, and. sit neben Isaac Clausen dem handelßmann, hind. vff den Vlmer graben stoßend, dauon gnd. vj ß viij d Allmend glt vonn dem gang
(disse verschreibung Ist wegen eines Neüwren Contracts prout in Reg: 1615. fol: 363. Zue sehen vß geheiß bed. parthen wid. Cassirt vnd vßgethan worden. Actum den 3. Augusti 1615.)

Autre hypothèque au profit de Gabriel Hoffmann, passée par les marchands Jean et Daniel Bitto.

1615 (ut spâ [3. Augusti]), Chancellerie, vol. 418 (Registranda Meyger) f° 363
(Inchoat. in Proth. fol. 317.) Erschienen Herr Hannß Büthot vnd herr Daniel Büthot gebrüdere handelsmänner burgere zu Straßburg
haben bekhandt vndt In gegenwertigkheit herrn Gabriel Hoffmann Pfarrers Zu Mitterßheim beÿ Finsting. – schuldig sigent 450 pfund
Zum rechten wüssenthafften Vnderpfand eingesetzt vnd verlegt, sein gewerbß behaußung mit Allen Ihren gebäuwen & gelegen Alhie Inn der St. St. Inn d. Spieß gassen Zum guldin Stauff genant, einseit ein Eck vff dem schneid. graben anderseit nebent Isaac Claußen dem handelsmann hinden vff dem Vlmergraben stoßend, dauon gend vj ß viij d Allmendt gelt von dem gang
(vide cassaturam in Reg. 1613. fol: 484 – Actum 21 Octobris Aô 1619 Zu cassiren befohlen)

Le négociant Daniel Bitto hypothèque la maison zum Stauff au profit du mineur Antoine Koch

1620 (iiij. februarÿ), Chancellerie, vol. 439 (Registranda Meyger) f° 74
(Inchoat. in Prot. fol. 60.) Erschienen herr Daniel Büthott handelßmann burger Zu Straßburg
hatt bekhandt vndt In gegenwärtigkheit h hannß Geörg Marbach pfund Zollers burgers Zu Straßburg Als vogt Anthoni wÿland h. Anthoni Koch selig Sohns offentlich verÿeh, das er demselben seinen vogtsohn Einen vff & schuldig seÿe 500 pfund
vnderpfand, hauß vnd hoffestatt mit Allen Ihren gebewen & geleg. Inn d. St. St. Inn der Spießgaß genant Zu Stauff eins. ein Eck Ane dem schneÿd. grab. And.seit neb. Isaac Clauß, vnd stoßt vff des Bekhenners lehen hauß, dauon gnd vj ß Allmend geld So dann seind sie verhafftet vlb xxxv lb vff vngeuorlich für Carle Hammerers haußfr.

Le négociant Daniel Bitto hypothèque la maison zum Stauff au profit du négociant Jean Weitz

1624 (ix. Decemb.), Chancellerie, vol. 452 (Registranda Meyger) f° 440
(Inchoat. in Proth. fol. 268.) Erschienen Herr Daniel Büthodt handelßmann Vndt burger Alhie Zue Straßburg
hat bekhandt vndt In gegenwärtigkheit herrn Johann Weitzen handelßmann Vndt burger Alhie Zue Straßburg seines Schwagers – schuldig seÿen 7000 Reichsthaler
zu vnderpfand eingesetzt Vnd Verlegt Hauß Vndt hoffstätt mit Allen Ihren gebeüwen d gelegen In d. St. St. in der Spießgaßen, vnd Zum Stauff genannt n eins. ein eck vff den Schneid. graben, Andsts h Johann Claußen, hinden vff ein Allmend gäßlin stoßend, dauon gnd viij ß Bodenzinß der Statt, Mehr Ist sie verhafftet vmb xxxb lb Carlen Hammerer, So dann vmb ij C lb fr. Annæ Bitholdin Item (…)

Daniel Bitto hypothèque la maison zum Stauff et celle zum goldenen Schaaf (à l’Agneau d’or) face à la Halle pour servir de caution à son frère Jean Bitto de Bâle qui voyage pour affaires en Italie (Milan, Gênes, Lucques)

1625 (vij. octobris), Chambre des Contrats, vol. 455 f° 412
(Inchoat. in Prot. fol. 347) Erschienen h. Daniel Bitto vnd herr Gabriel Freÿ bede gewerbß gemeinere burger Zu Straßburg
Vnnd haben In gegenwärtigkeit h. hannß Bitto Vonn Basell Ihres Bruders vnd respectivé schwagers bekandt,
demnach gemelter hannß Bitto Inn nechst verschuenenen Monath Augusto Inn dem nammen vnd geschäfften nacher italiam verreÿset vnnd Zu Meÿland, Genua vnd Luca vmb ein nammhaffte Summ gelts sich für dieselben genüeg. verrichtet (…)
darzu dann mehrbesagt h. Daniel Bitto Zum Recht. wissenthafft. vnderpfand eingesetzt vnd Verlegt, volgende post, Als die gewerbß behaußung Zum Stauff genannt mit Allen Ihren gebewen & geleg. Inn d. St. St. Inn d. Spießgaß, ein Eck Am schneÿd. grab. And. seit n. Sixt Krafftbergers erb. hind. vff Isaac Clauß. So vber die beschwerd. so dem glaubg. bewußt ledig vnd eÿg.
Item die Behausung Zum gultin schaaff Alhie In d. St. St. geg. dem Kran vber, einseit n. Melchior Knab dem Balbierer, And.seit ein Eck Ane einem gäßlin, hind. vff h. Ammeÿster Ulrich Mürsell erb. stoßend, davon gnd 16 goldg. gelds Abloß. mit 400 goldgld. Friderich Bocks erben vnd dann vmb 300 lb Ane vnd.schiedlich. orth, Sunst eÿg,
Item ein Mahl mühel mit seinen heüßern, Scheur, Ställ vnd Matten, Zwisch. Illkirch vnd Graffenstaden geleg.

Inventaire dressé en 1628 après la mort de Daniel Bitto. L’inventaire est dressé à Strasbourg et au moulin d’Illkirch. La succession comprend plusieurs maisons, celle dite zum Stauff, une maison rue de l’Ecarlate, celle à l’Agneau d’or face à la Halle, une maison rue des Cheveux, une autre près du Chapelet (Rosen Crantz, rue du Parchemin). L’actif s’élève à 80 655 livres, le passif à 20 237 livres, les dettes actives douteuses à 19 776 livres, les créancess perdues à 61 760 livres.

1628, Not. N. N. (64 not 1)
[manque la page de l’intitulé, Daniel Bitto der Handelßmann]
Inn einer Gewerbs Behaußung Inn Spießgaßen geleg. Inn diße Erbschafft gehörig Ist befund. word. wie hernacher geschrieb.
Vff dem Obern Bod., Vff dem And. Boden, Vff den dritten bod. Inn d. holtz Cammer, Vor ders. holtz Cammern, Im Schwartzen duch Cämmerlin, In der Cammern A, Inn Rauch Cammerlin, Vor dießem Cämmerlin, Inn d. Cammeren B, Inn d. Cammeren C, Inn d. Cammeren D, Inn d. Cammeren E, Inn der Cammeren F üb. d. Stub. In Spießgaßen, Vor dißen dreÿ Cammeren, Inn d. Cammeren G, Inn d. Cammeren H, Vor dißer Cemmern, Inn dem Bad stüblin, Inn d. Cammeren J, Vff d. hindern obern Bünnen, Im haußöhren (i Clavicordium), Inn d. Wohn stub. Inn d. Kuch. Im Speiß Cammerlin, Vor dem Speiß Cammerlin, Inn der Bauch Kuchen, Im Contor, Im Gad., Im Haußöhren, Im Keller
Inn dem hauß Zum Schaaff (…)
Vff der Müehl Zu Illkürch Ist befind. word. wie folget
Eigenthumb ahne haüßerenn. It. i. Behaußung vnd hoffstatt mit allen And Ihren gebeuwen begriffen weitten Rechten vnd Zugehörtten, Inn d. Statt Straßb. Inn Spießgaßen geleg. Zum Stauff genannt, einseith ein Eckhauß am Schneid. grabenn vnd darneb. Isaac Claus d. handelsmann, and.seith neben weÿland N. Crafftberger Seelig Erben, so freÿ ledig vnd eig. vff ahngeregtter Behaußung Zuuor 25. fl. gelts, so vff ulrici fellig gewesen, aber mit 500 fl. hauptgutts, Mehr 52 ½ fl. gelts vff Stephani mit 2050 fl. hauptguts durch den Hn Seelig vnd seine Hn Brüd. Fr. Susannæ von Molßh. vnd Jr Christoph Mund. abgelößt worden vnnd ist obbesagtte Behaußung von ehrengemeltter Fr. Susannæ Von Molßheim Weÿland hn hanß Jacob Stößers xv.ners Selig. wittwe; den 20.ten Januarÿ Anno & 1595. erkaufft für vnd vmb 2640. fl. a xv. bz. aber Zu dißem mahl durch hn hanß heckhler Frawen hauß werckhr. Niclaus Müeh. vnd hanß Diebold Frawler vff dem Maur vnd Zimmerhoff Werckmeÿster desgleich. hanß werck.man Zimmermann taxirt vnd Ahngeschlag. pro 3398. fl. thut 1699. lb. hierauff für wittere beßerung gerechnet 1301. lb. d., Zusammen 3000. lb
Darüber ein Bergamin Kauffverschreibung auch vber ein Behausung am Barfüßer blatz neben dem Uberhang geleg. sagend, weiset vß wie h. hanß Bitto von Basell des hn Seelig. Brud. Ihme dise Behaußung Käufflich vberlaßen der Berg. Brieff Ist mitt d. Statt Straßb. Contract Innsigel v.wahrt datirt den 10.ten Aprilis A° 1611. sig. mit alt. Lit. A.A. aber dismahlen nicht befunden (NB diß brieff Ist nicht beÿ diß. Inventation funden). Ferner darbeÿ 6. Altte B. B. auch vber die Behaußung sagend 3. mit des Bischofflich. hoffs Insigel v.wahrt sig. mit Alten Nôis 1 et 2.
It. ein Behaußung, hoffstatt höfflin vnndt Gärttin Inn Scharlachsgassen hind. dem Trachen (…)
It. Zweÿ heüß. ein Vord. Vndt ein hinds. Zum Schaaff genant Inn d. Statt Straßb. geg. dem Cran hinüber geleg. (…)
It. j hauß hoff hoffstatt vnd höfflin Im Haargeßlin (…)
It. j. vord. vnd ein hind. Behaußung beÿm Rooßen Krantz (…)
Schulden Inn das Erb. Summarum Schuld. Inn das Erb thun vermög hn Daniel Bittons des geweßenen handelsmanns Seelig. den 10.t Junÿ A° 1629. geschloßenen Inuent. so vßer dem hauptt Schuld. Inn Rothled. In gebund. vnd lit: C notirt, deßgleich. die Schuld. welche vff hn hanß vnd Daniel Bittons Gebrüeder Gewerbs haupttbuch B gezog.
Schulden vsser dem Erb Zubezalen, 20.237 lb
Summa summarum ahnschlags Hievorgeschribnen gantzen Verlaßenschafft ahne haußrath, darund. auch Lehren vaß begriff. Sÿlbergeschmeÿd, Eigenthum ahne heüßern Vnd Schuld. Inn d. Erb wie solches Inn Vorestehnd. Vor Vnd.schiedlich Summarien Zuersehn. Ist vnd thut Zusammen Benantlich 80.655 lb
Zweiffelhaffte Schulden Inn das Erb 19.776 lb. Vngewiße Schulden Inn das Erb 61.760 lb

Daniel Bitto hypothèque ses maisons au profit de ses créanciers par une acte enregistré à la Chambre des Contrats le 12 décembre 1628.

(Joints) Erschienen Herr Daniel Bitto der Handelßmann Burger Zu Straßburg An einem, So dann deßelben Creditores (…) demnach Er Bitto denselben auff 90.000 gulden a 15. batzen schuldig worden (…) Zum vnderpfand verlegt vnd eingesetzt Erstlichen ein Behaußung Zum Schaff genannt (…)
Item ein Behaußung zum großen Christophel alhie Am Trach.gaßlein (…)
Item ein Behausung im Haargäßlein (…)
Item ein Gerwerbs Behaußung sambt deren Hoffstatt alhie inn der Spießgaßen Zum Stauff genant, ist einseit ein Eck auf dem Schneidergraben anderseit neben Isaac Clauß dem Handelßmann, hinden auf ein Allmend gäßlein stoßend, dauon gehen Jährlich 8 ß d bodenzinß der Statt Straßburg, So ist diese Behausung auch noch verhafftet vmb 500. ducaten Tobias Bergern von Schlettstatt, so aber vff nechst Künfftig Michaelis erlegt werd. müssen, wie wol auch dtße Behausung verhafftet ist vmb 4000. fl. weÿland Gregorÿ Jenning seeligen Zue Marienkürch Erben, So hatt doch Er Herr Bitto hiengegen an dieselben 1000. fl. Zuerfordern, vnd ist vber dießes alles dieße Behausung geachtet für 7000. fl.
Item eine Behausung alhie in der Pergementergaß so ledig Eigen vnd geachtet per 600 fl
Item ein Behausung alhier hinder dem Trachen (…)
Actum den 4.ten Septembris Anno 1628. in ædibus debitorum Zum Schaff genannt auch inn beÿsein Herrn D. Daniel Osingers vndt Georg Jägers Notarÿ – Cancelleÿ Contractstub der Statt Straßburg
Erschienen Weÿland Herr Daniel Bitto, geweßenen handelßmanns vnd Burgers seeligen Zu Straßburg nachgelaßener Wittib vnd Kinder vogt, Herr Johann Weitz der handelsmann vnnd Herr Hanß Ulrich Kloterer Notarius, So dann Herr Gabriel Freÿ vonn Basel alß sein Herr Bitto seligen gewesenen Gewerbsgemeiner, Haben in gegenwertigkeit Herrn Johann Lux Iselius, des Handelsmanns vnd Burgers Zu Basel bekandt (…) Actum den 12.ten Decembris Anno xvj C. Zwantzig vnd acht – Cancelleÿ Contractstub der Statt Straßburg

Les créanciers de feu Daniel Bitto vendent la maison zum Stauff à Daniel Bitto, meunier à Illkirch, Jeanne Bitto femme du pharmacien Jacques Ringler, Barbe Bitto, femme de Henri Hestermann de Bischwiller et aux mineurs Isaac, Guillaume, Frédéric, Ernest, Odile, Elisabeth et Véronique (enfants de Daniel Bitto)

1637 (27. Jan:), Chambre des Contrats, vol. 477 f° 83
Erschienen H. Johann Philipp Schatz Herr Balthasar Ludwig Küenast, undt herr Johann Georg Marbach, alle dreÿ, Alß ex officio auß E. Ers. groß. Rhats mitel Zu Weÿ: Daniel Bittons deß handelßmanns see: Verlaßenschafft Insonderheit Verordnet, mit beÿstandt H Ulrich Büttlingers, alß gewalthabers sein Bittons see. Versicherten Creditoren, und innamen H Anthoni Flachen burgers alhie, So dann H. D. Johann Knafelÿ groß. Rhats procuratoris alß befelchhabers erstgedachts Bittons ohnuersicherter Creditoren
haben in gegensein Daniel Bitto deß Müllers Zu Illkürch für sich selbsten, Item Jacob Ringlers Apotheckers alß Eheuogts Johanna Bittoin, It. Henrich Hestermanns von Bischweiler an ietzo Schirms Verwanthen alhier alß Eheuogts Barbaræ Bittoin, So dann Philipps Mangold Notÿ. alß Vogt der vbrigen Sechß noch ohn verheürather Bittoischen Kindern, namens Isaac, Wilhelm, Friderich, Ernst, Ottilia, Elisabeth und Veronica (…) mehr gemelten Kindern vff Abschlag ihres Großmüetterlichen guths von Barbaræ Helbeckin see. herrührend (verkaufft)
hauß und hoffstat mit alle, andern deren gebäwen Zum Stauff genannt alhie in d. Spießgaßen, einseit neben H Johann Georg Marbachen obgedacht, 2. seit ists ein Eck am Schneider graben, hind. vff Isaac Claußen und den Ullmer graben stoßend – per 700. fl.

Les frères et sœurs Bitto vendent la maison zum Stauff au pharmacien Geoffroi von Brunn (Geoffroi Brunn) qui va transférer la pharmacie de la maison située en face.

1637 (31. Augusti), Chambre des Contrats, vol. 478 f° 700
(Protocollat. fol. 65.) Erschienen H Daniel Bitto, burg. Zu St. Item Fr. Johannan Bitoin sein schwester, Jacob Ringlers alhie eheliche haußfr. beede für sich selbsten, So dan Philipps Mangold der Notarius, Alß Vogt sein Daniel vnd ihr Johannæ vbriger sechß Geschwisterd. namens Isaac, Wilhelm, Friderich Ernst, Ottiliæ, Elisabethæ und Veronica (verkaufft)
herrn Gottfried Bronnen den Apotecker
hauß vnd hoffstatt mit Allen Andern ihren gebäwen Zum Stauff gent. alhie in d. Spießgassen, neben H. Johann Georg Marbachen dem eltern && ist ein Eck am Schneidergrab. hind. vff Isaac Clausen den handelßmann und den Vlmer graben stoßend, welche Behaußung obwolgedachte Rhat ihnen verkäuffern vff abschlag ihres Groß müeterlichen guts für ledig, eigen den 27. Januarÿ nechsthin cedirt, Vnd were diser Kauff geschehen per 3225. lb

Geoffroi Brunn achète la maison voisine dans la rue des Hallebardes moyennant 800 livres

1637 (12. Septemb:), Chambre des Contrats, vol. 478 f° 723
(Protocollat. fol. 65.) Erschienen herr Johann Georg Marbach Groß. Rhats V.wanther (verkaufft)
Herrn Gottfried Bronnen dem Apothecker auch Burgern Zu St. so Zugegen
huß vnd hoffstatt, mit allen Andern ihren gebäwen & alhie in der Spießgaßen, neben ihme Käuffer selbsten & zum theil dem Vlmergrab. und theils neben Isaac Clausen dem handelßmann hind. auch vff den Käuffern stoßend gelegen, so gantz freÿ ledig eÿgen, Vnd ihme H Verkäuffern von E. E. groß. Rhat, vermög deß den 27. Aprilis nechsthin wider Jacob Craffbergern publicirten bescheidts, zuerkannt word. – per 800. lb

Geoffroi Brunn hypothèque la maison au profit de l’ancien sénateur Raoul Würtz

1637 (XIII. Septembris), Chambre des Contrats, vol. 478 f° 724
Erschienen herr Gottfried Brunn der Apotecker burger Zue Straßburg
hat in gegenwärtigkeit herrn Rudolff Würtzen Alten großen Rhats Verwanthen alhie – schuldig seÿe 600 Reichßthaler
zu Vnderpfand eingesetzt und v.legt hauß und hoffstat, mit allen andern Ihren gebäwen alhie in der Spießgaßen und zum Stauffen genannt, Eheberedung ihme dem Bekenner selbsten, anderseit ist ein Eck am Schneidergrab. hinden vff herrn Isaac Claußen den handelßmann Zum theil undt theils vff den Vlmer graben stoßend, So Zuuor verhafftet umb 2500 Pfund pfenning weÿ: Daniel Bitto see. Erben rest am Kauffschilling

Les créanciers de feu Geoffroi von Brunn et le tuteur de sa fille vendent au pharmacien Gabriel Engel la maison (3 750 livres) et le fonds de pharmacie (2 348 et 488 livres)

1641 (13. martÿ), Chambre des Contrats, vol. 486 f° 205
(Prot. fol. 19 – Emptio-Venditio – Lectum & confirm. vor Rhat d. 22. martÿ a° 1641) Erschienen die edel- ehrenvest- Fürsichtig Weiß und hochgelehrte Herr Johann Goll und H Johann Jacob Müeg E. E. großen Rhats Beÿsitzer und H Ernst Friedrich Molling dero rechten Doctor, Comes Palatinus Cæsareus und der Statt Straßburg Consiliarius und Advocatus alß von wohlgedachtem Rhat hierzu insonderheit verordnete, haben in nahmen wohlermeldt. Rhats, umb der gesampten weÿl. Gottfried von Bronn sel. Creditoren beßern nutzens und frommens willen (…) widerholten den ienigen Verkauff und Kauff, so Zeit sein Bronnen hinderlaßenen döchterlins und cum beneficio Inventarÿ Erbin Margarethæ Vogt H Johann Georg Salatin Kleinen Rhats Verwanthen und Apotheckern alhie,
und H Gabriel Engel burgern und Apotheckern alhie im aprilis nechstverschienen 1640. Jahrs beschehen, in maßen dann Er Engel, mit beÿstand deß Edel- Ehren- Vest- und hochgelehrten H Ernesto Heuß dero Recht. Doct. und Advocati Zugegen solche widerholung annahm
Erstlich die Apotheck Behaußung zum Stauff genannt in der Spießgaß. alhie neben Isaac Clauß. dem handelßmann, ein: und anderseit ist ein Eckh am schneider graben hind. vff besagten Claußen und den Vlmer graben stoßend, davon gehen iahrs vff Georgÿ 16. ß Allmendgeldts der Statt Straßburg
So dann die Vasa und Instrumenta so Zur Apotheck gehörig, wie solche auch in einer Designation begriffen, Und dann daß gantze Corpus wie selbiges in einer sonderbahren Specification beschrieben, Und were dißer Kauff erstlich so viel die mehrberührte Behaußung betrifft p. 3750. lib. daß Corpus p.2348 lib, die Vasa p 488 also Zusammen geschehen und zugangen für und umb 6587 lib
(Scheda) Im Jüngst verschinen Aprili hat H Johann Georg Salatin der Apotecker alß Vogt Margarethæ weÿl. H Gottfried von Bronnen see. eintzig nachgelaßenen töchterlins und cum beneficio Inuentarÿ Erbin, mit beÿstand H. D. Georg Kamelen & alß ernannten Bronnen vßländischer Creditoren befelchabers wie auch gutem wißen Alhieigen versicherten und unversicherten Creditoren (verkaufft) Gabriel Engel dem Apotecker alhie die apoteckh behaußung zum Stauff genannt, in der Schloßgaß. Alhie, neben Isaac Clausen && ist ein Eck Am Schneider grab. dauon gehen Jarß vff Georgÿ 16. ß Allmend gelts der Statt Straßburg, so ist dise behausung auch noch verhafftet vmb 2500 lb d Kauffschillings rest, weÿl. Daniel Bito deß eltern sel. Kind. Vnd dann vmb 400. lb d H Johann Georg Marbachen see: wittib und Erb. sonst eigen, Item daß gantz Corpus, wie solches in seiner sonderbaren Designation specificirt (…) So dann die Vasa und Instrumenta so zur Apoteck gehörig, wie solche auch in einer Designation begriffen – Vnd were diser Kauff für freÿ ledig eigen, erstlich souil die Behausung betrifft 3750. lb. daß Corpus p. 2348, die Vasa p. 488. lb, also Zusamen geschehen und Zugangen für vnd vmb 6587 lb

Gabriel Engel de Landau et sa femme Catherine Hitschler achètent le droit de bourgeoisie le 3 mars 1640 en apportant quatre enfants.
1640, 3° Livre de bourgeoisie p. 885
Gabriel Engel der Apothecker von Landauw Erkaufft daß burgerrecht für sich vnd sein Haußfrauw Catharinam Hitschlerin vmb 20 gold fl. Hatt 4 Kinder mitt Hiehergbracht So noch Kein eÿgen guth haben würdt Zu den Spieglern dienen Signatÿ den 3. Martÿ Anno 1640.

Baptême du premier enfant né à Strasbourg le 30 décembre 1641
Baptême, cathédrale (luth. f° 174-v)
1641. den 30. Decembris. Par: h. Gabriel engel d. Apotecker Catharina. Inf: Anna Maria (i 179)

Gabriel Engel meurt le 2 juin 1653 en délaissant quatre enfants. La veuve déclare qu’il n’a pas été fait de contrat lors de son mariage en 1628 à Landau. La succession comprend la pharmacie dite zum Stauff et une maison à Landau.

1654 (31.3.), Not. Winter (Jean Christophe, 62 not 4) f° 13
Inventarium und Beschreibung der Jenigen Haab, Nahrung vnd Güettere, liegender vnd vahrender, keinerleÿ dauon außgenommen noch hindergesetzt, so weilandt der Ehrenvest, Kunstreiche vnd Vornehme H. Gabriel Engel, Apothecker burger Zu Str. beÿ seinem albereit den 2.ten Junÿ des lengsten abgewichenen 1653.sten Jahrs beschehenen seel. absterben verlaßen, welches vff erfordern vnd begehren, des Ehrenuesten, vornehmen vnd weißen H. Johann Adam Veltzen, E. E. Kl. Raths beÿsitzers, alß geschwornen vogts Gabriels, Annæ Catharinæ, Susannæ Dorotheæ, vnd Johannis Caroli, sein des verstorbenen seel. mit der viel ehren vnd tugendreichen frawen Catharinæ Hütschlerin, der hind.bliebenen wittib, ehelich erzeugten vier Kind. vnd nechster ab intestato Erbenn durch Sie die Fr. Wittib erstbenant mit beÿstandt des Ehrenvesten fürsichtig. vnd weißen H Johannis Petri Schmiden gartenmanns vnd E. E. Großen Raths beÿsitzers ihres geordneten vormunds (…) Actum vnd angefangen in Straß. freitags den 31. Martÿ 1654.

Bericht ane Statt ohnaufgerichteter Eheberedung. Demnach vff mein des Notÿ befragen die frauw Wittib glaubwürdigen angezeigt, d. Sie beede ehegemächdt Zur Zeit ihrer verheurathung alß in a° 1628 Keine Eheberedung mit einander auffgerichtet auch in werend. Ihr weder Zu Landaw, alda Sie anfänglichen häußlig gewohnet, vnd verburgert gewesen, noch alhie Zu Straßburg einig. letzten willen od dergl. ichtwas mit einander auffgerichtet, die fraw Wittib auch nicht wißen könne, waß Sie dem H. seelig ane vahrnuß, welches doch meisten theilß beÿ beschehener Translation anhero nacher Straßburg Zu ersagem Landaw verkhaufft worden Zugebracht
In einer In der Statt Straßb. ane Spießgaßen gelegenen vnd in diße hæreditæt gehörig. Apotheckher behaußung befunden worden alß volgt
Vff der Obern büenen, Vff dem Undern boden, Vff dem 3. Boden In der Cam: An Vffm Frucht Kasten, Vor dißer Cam: vnd Kasten, Vffm 4. boden In der Camm: B, Cam: C, In der Material Cammer, Im Nebenheusel In der gesellen Cam. lit. D, Cam: E, In der Cam: F, Cam: G, In der Stuben geg. über, Vor dißer Stuben, Vor diß Cam:, Vff dem Wohnboden Im Kleinen stüblin, In der Kuchen, Im obern hauß öhren, In der Obern vord. groß. Stub, In der Stub Cammeren, Im underen haußöhr, In der officin stübel, In der officin, In dem Laboratorio
Eÿgenthumb ane Häußeren vnd liegenden Güttern. Item Eine Apotheckher behaußung Zum Stauf genant sampt allen deren Pertinentien, Weiten, begriffen, rechten vnd gerechtigkeit geleg. in der Statt Straßb. ane Spießgaßen, Einseit neben weiland H Isaac Claußen des ältern handelßmannß seel. Erben, anderseit ein Eckh am Schneidergraben hinden vff besagte Claußische Erben vnd Schneid. graben stoßend, davon gibt man Jahrs der Statt Straßb. Allmend gelt 16 ß d. Ferner 20. lb. H. Johann Adam Voltzen, alß Vogten Jungfr. Salomeen Preßlerin Jahres vff Mariæ Verkündung, wid.lößig in h.gutt mit baar fürgeluhenen 1000 fl. sonsten freÿ ledig vnd Eig. vnd über vorstehende beschwerden angeschlagen per 2000 lb
Darüber vorhanden ein Pergamentiner Khaufbrieff in der St. Str. Cantzleÿ Contractstuben gefertigt und mit deren anhangendem Insiegel verwahrt, Weißet welcher gestalt H. Gabriel Engel seliger solche Behaußung von Weiland H. Gottfried von Brunns, des darinn vorig geweßten Apotheckers, vnd bgrs daselbsten gesampten Creditoren den 22. Martÿ 1641. über allen obstohnde 16. ß Allmend Zinß vmb 3750. lb d. erkhaufft, datirt den 22. Martÿ 1641. mit N° 8 signirt. Darbeÿ noch ein Prgm. Kauffbrieff auch in der St. St. Cantzleÿ Contractstub. gefertiget, vnd mit deren anhangendem Insigel bekrafftigt, Inhaltend wie H. Gottfried von Brunn seel. berührte behaußung von H. Daniel Bitto des Eltern vmb 3225. lb d erkaufft datirt den 31. Augusti 1637. mit altem N. 4. ietzt auch mit newem N° 8 bemerckt, darbeÿ noch allerhandt briefliche documenten weg. des Brunnischen Falliments beschehenen v.schidenen außweißung. prælationen, alß deß bezahlten Khauffschillingß alles beÿsammen gebunden Zubefinden.
Item Hauß (…) geleg. in der St. Landaw sampt einem Garten vnd Schewr beÿ dem Heimbacher hoff (…)
It. Hauß (…) gelegen Zu Roth beÿ Landaw, in der Pflöckhen
Præparata vnd Materialia, sampt dem gantzen Corpore der Apothecken vnd waß sonsten darzu gehörig, 1601. lb

Gabriel et Susanne Engel, enfants du défunt, deviennent bourgeois en septembre 1656 à la requête de leur beau-père Jean Jacques Scheid
3° Livre de bourgeoisie p. 953
Gabriel vnd Susanna Engel weÿl. H Gabriel Engels des Apotheckers Hind.laßener 2. Kind. wegen, Erschien H. hanß Jacob Scheidt d. Kind. Stieffvatter vnd Apothecker, vnd richtet aus E. E. Großen Raths Erkandtnus vom 16. Julÿ 1655. Ihrentwegen der Renthmeistereÿ ab, den benambsten alten burger schilling, Benantlich. 8. Golt. fl. Actum den 18. 7.bris A° 1656.

Jean Jacques Scheid, fils du marchand Balthasar Scheid, épouse en mars 1655 Catherine, veuve du pharmacien Gabriel Engel

Mariage, cathédrale (luth. f° 24, n° XXII)
1655. Dom. Reminisc. d ii Martÿ. Mehr zum 2 mal. Herr Johann Jacob Scheÿdt der Apothecker allhier, Weilandt herren Balthasar Scheÿden des Burgers vnd Handelsmanns allhier hinterlaßener Ehelicher Sohn, vnd Fr. Catharina, Weilandt h. Gabriel Engels des Burgers vnd Apotheckers allhier, hinterlaßene wittib – Zinst. 20. Martÿ Spiegel, Münster Spiegel (i 25)
1656

Le pharmacien Jean Jacques Scheid et sa femme Catherine Hitschler font dresser l’inventaire de leurs apports où figure la maison. Ceux du mari s’élèvent à 235 livres, ceux de la femme à 7 007 livres.

1655 (18.6.), Not. Winter (Jean Christophe, 62 not 4) f° 8
Inventarium vnd Beschreibung Aller vnd ied. Haab Nahrung v. Gütteren, ligend. v. Vahrend. so d. Ehrenvest Kunstreich vnd wohlvorgeachte Herr Johann Jacob Scheidt, Apothecker, vnd die viel ehren vnd tugendreiche fr. Catharina gebohrne Hütschlerin, beede Eheleuth brgr. Zu Str. einander für unverändert in den Ehestandt Zugebracht, Welches d. Vrsachen bescheh. weilen in beed. ernanter Ehepersonen auffgerichteter heuraths verschreibung vnd. anderen per expressum verseh. d. bederseits Zubringende vnd in werend. Ehe vff iedes linien ererbende Güttere, Jedem theil vnd seinen Erben vnuerandt. sein vnd heißen (…) Actum vnd angefang. in beÿsein d. Ehrenuesten fürsichtig vndt weißen H Johann Peter Schneidern handelßmanns vnd E. E. Großen Raths beÿsitzers der fraw geweßenen Vogts, vnd H Johann Adam Voltz, alten Cleinen Raths Verwanthens, Ihro d. fr. mit weiland H Gabriel Engeln, Apotheckern, ihrem ersten H. seel. ehelich erzeugter Kind geschw. vogts, Montags den 18. Monathstag Junÿ a° 1655.

In Ihrer In der St. Str. ane Spießgaßen gelegenen Apotheckh. behaußung befund. vndt angeben.
Eÿgenthumb ane Häußeren vndt Liegenden Gütteren. Item ein Apotheckher Behaußung Zum Stauff genant, sampt allen deren Pertinentien, weiten, begriffen, rechten vndt gerechtigkeiten gelegen in der Statt Str. ane Spießgaßen, einseit neben weil. H. Isaac Claußen des ältern handelßmanns seel. Erben, anderseit ein Eckh am Schneidergraben, hind. vf besagte Claußische Erben v. Schneid. graben stoßendt, dauon gibt mann Jahrs der Statt Str. Allmendgelt 16 ß d. Ferner 20. lb. d à 4. pro Cento gerechnet H. Johann Adam Voltzen alß Vogten Jfr. Salomeen Preßlerin Jahrlichen vff Mariæ Verkündung, widerlößig in hg. mit baar fürgeluhenen 1000 fl. sonsten allerdings freÿ, ledig vnd Eigen vnd über vorstehende beschwerden angeschlagen p. 2000 lb
Darüber vorhanden ein Pergamentiner Khaufbrieff in d. St. Str. Cantzleÿ Contractstb. gefertigt v. mit deren anhangendem Insigel verwahrt, weißet welcher gestalt H. Gabriel Engel seel. solche Behaußung von weil: H. Gottfried von Brunn, des darinn vorig geweßten Apotheckers vnd burgers daselbsten gesampten Creditoren, den 22. Martÿ A° 1641. vber allen obstohnde 16. ß Allmendt Zinß, vmb 3750. lb d. erkhaufft, datirt den 22. Martÿ A° 1641. mit N° 8 signirt. Darbeÿ noch ein Pergamentener Kauffbrieff auch in der St. Str. Cantzleÿ Contractstuben gefertiget, vnd mit deren anhangendem Insigel bekrafftigt, Innhaltend wie H. Gottfriedt von Brunn seel. berrührte behaußung von weil. H. Daniel Bitto des Eltern seel. Erben 3225. lb d erkhaufft, datirt den 31. Aug. A° 1637. mit altem N° 4. ietzt auch mit newem N° 8 bemerckt. Darbeÿ noch allerhandt brieffliche Documenta so wohl wegen des Brunnischen Falliments beschehenen verschidenen außweißungen, prælationen, alß des bezahlten Khauffschillingß alles beÿsammen gebunden Zubefinden.
Item Hauß (…) geleg. in der St. Landaw sampt einem Garten vnd Schewr beÿ dem Heimbacher hoff (…)
It. Hauß (…) gelegen Zu Roth beÿ Landaw, in der Pflöckhen
Præparata vnd Materialia, sampt dem gantzen Corpore der Apothecken vnd waß sonsten darzu gehörig, 1601. lb
Rubricen. Des H. unverändert gutt. Kleÿd. weiß gezeugk vnd gewehr 105, Lähre vaß 2, Silber 2, Guldine Ring 15, Schuldt 110, Summa 235 lb
Der Fr. vnuerandt Zugebracht Gutt, haußrath 478, Frucht 6, Vÿhe 12, Wein und lähre Vaß 726, Vasa vnd Instrumenta 194, Corpus d. Apotheckh 2529, Silbergeschirr vnd geschmeidt 170, Guldine Ring 61, baarschafft 99, d.Zß hg. 30, Eÿgenthumb ane Häußer und ligenden Gütter 2487, Schulden in die Nahrung Zugelt. 212., Summa summarum 7007 lb – Schulden (-)

Catherine Hitschler, veuve de Jean Jacques Scheid, loue la pharmacie à Frédéric Wæchtler. La bailleuse se réserve certains localités de la maison. Son gendre André Brackenhoffer s’accorde avec le preneur en raison de son logement.

1684 (19.10.), Not. Saltzmann (Etienne Corneille, 49 Not 5) Joint au compte de tutelle de 1683
Kundt und Zuwissen seÿe Hiermitt allen denen es Zuwissen vonnöthen, daß auff heüt Zu endt vermeldtes datum Zu besserer auffrecht erhaltung der so genandten Scheÿdischen Apothecken, Zwischen der Edlen, Vil Ehre und Tugendreichen Frawen Catharinæ geborhner heütschlerin weÿlandt des Edlen Ehrenvesten, fürsichtigen und weÿßen herrn Johann Jacob Scheÿden, E: E: Großen Raths allhier geweßenen Assessoris und vornehmen Apotheckers nunmehr Seel. hinterlaßener fraw Wittib, mit beÿstandt und Zuziehung deren deßwegen in specie erbettenen hernach vnder Zeichneten herren Assistenten Eines,
So Dann dem Ehren Vesten wohl Vorgeachten und Kunsterfahrenen herrn Friderich Wächtlern jeztmahligen Provisori erwehnter Apothecken und vornemmen burgers allhier, wie auch deßen erbettenen herren beÿstandt hierundten benant, andern theils
eine Erbare auffrichtige lehenung und Admodiation auff folgende clausuln und conditionen abgehandelt, geschloßen und verglichen worden ist
Nemblichen und Zum ersten, so verlehnt und Admodirt wohl ermeldte Scheÿdische fraw wittib für sich und dero herren Erben, Ehrenbenanten herrn Wächtlern, Ihre eÿgenthümbliche in der Spießgaßen gelegenen Apotheckher behausung sambt denen darinn befindlichen in verschiedenen Medicinalien bestehenden corpore, vnd denen darzu behörigen Instrumentis und vasis, auff Neün Jahr lang die nechsten nach einander folgende, welche Ihren anfang haben und nehmen auff innstehendt aller heÿligen Tag Neuen Calenders daß ist den 1. 9.bris des noch fortlaufenden 1684.sten Jahrs und sich widerumb dicto termino enden wann mann Zahlen würdt 1693. also und dergestalten daß
Zweÿtens Scheÿdische Fraw wittib mit ihren ieweÿl beÿ sich habenden leüthen die Tag ihres lebend in besagter Apothecker behaußung folgende Gemach Zu ihrem ohnverhinderten gebrauch gantz freÿ und ohne einigen Zinß besitzen und genießen solle, alß nehmblichen die mittlere große Stub und Kammer, wie auch die beede darüber ane der Material Kammer neben einander gelegene Kammer deßgleichen oben auff ein blatz Zu legung bennholtzes, Item eine gelegenheit im Keller Zu Ihrem trinckhwein /:wie mann sich deßwegen mit einander nächstens Verglichen würd:/ so dann noch daß gegen oben gemelter vorbehaltener Großen Stuben, gelegene Stüblein und Daran erbautes Küchelein, mit herrn Wächtlern Zu Gemeinem gebrauch und Wohnung.
Übriger samptliche Gemach, böden, frucht Kasten, und Keller aber, hätte der Herr Admodiator beneben den seinigen sich nach lehnungs rechten allein Zubedienen und solche gebührendt Zugebrauchen, wobeÿ jedoch insonderheit Verabschiedet, daß beÿ für fallender Einquartierung, die über dem Gemein habenden Stüblein befindliche großen Kammer darzu emploÿirt, auch da Göttlichem willen nach, Scheÿdische fraw Wittib Vor beendigter dießer Admodiation in Gott seelig Versterben würde, die Von Ihro ingehabte Gemach, boden und Kellern, & herrn Wächtlerin ohn weitere entgeltung, als hernach Vermeldet, Zu freÿer bewohnung Zu Kommen vnd eingeraumbt werden sollen.
Und Weilen fürs Dritte so wohl herr Andres Brackenhoffer, Scheÿdischer fraw wittib herr Tochtermann, alß auch herr Wächtler, wegen respectiue Verlehener und bestandener behaußung ratione der auffkündung Vor nechst verschinend Frawen Tag 1685 Ihr bißherig bedienter wohnungen sich nicht wohl entziehen können, Alß ist allerseitlich beliebt worden, daß herr Brackenhoffer, biß dahin in statu quo, wie auch herr Wächtler in seiner gemüteten behaußung biß Zu gedachtem termin verpleiben und ihme prorata temporis der hauß Zinß verguetet werden solle
Viertens ist verglichen, daß fürderlichst und Namentlich den 25.ten dießes Monaths, durch darzu behörige Persohnen daß Corpus der Apotheckhen, wie auch die abhandene anverschaffte Instrumenta et vasa, ordnungs mäßig Inventirt, gebührend æstimirt, beschrieben, calculirt und deren werth in eine gewißen Summam gebracht (…)
Hierauff und Sechstens so solle herr Wächtler alß Admodiator wegen der Ihme obvermeldter maßen übergebenen Apothecker behaußung Jährlich 300 Gulden à fünffzehen batzen ane Zinßen Zulüffern, So dann daß Corpus der Apothecke, somit sambt denen Instrumentis et vasis dem angesetzten pretio noch auff 4984 fl. 7 ß 5 ½ d sich belauffet deß Jahrs â fünff pro Cento daß ist 249. fl Zuverinteressiren, und also samtlichen in Summa 549 lb (…)
So geschehen Straßburg den 19.ten Octobris Anno 1684

Etat du fonds de pharmacie
1684 (1.11.), Not. Saltzmann (Etienne Corneille, 49 Not 6) n° 22
Designation und beschreibung der Jenig. Instrumenten Vasen Schiff v. geschirr so in weÿl. Herrn Joh: Jacob Scheid. E. E. Groß. Rhats alt. beÿsitzers seel. Verlaßenschafft Apotheck gehörig und sich befund. welche H. Friedrich Wächtlern Apothecker v. b. allhier dermalen Admodiatori übergeben worden welche auf freundliches erfordern vnd begehren der Edlen viel Ehren vnd Tugendreich. Scheidisch. Fr. Wittib vnd überigen Interessenten beschrieben (…)
Actum in fernerer gegenwarth h. Andreæ Brackenhoffers H. Ernst heüßen deß. Kinder vogts H Sebastian Grimmeiß. wie auch Fr. Annæ Sibillæ Grimmeißin gebohrener hitschlerin aller seits Interessenten, Mittwoch den 1. 9.br. aô 1684.
In Einer in der Statt Straßb. ane der Spießgaß vnd dem Schneider Graben gelegener sogenand. Scheidischen Apothecker behaußung ist Ane Instrumenten Vasen Schiff und geschirr Zu der Apoteck. gehörig befunden word. wie volgt
Auff dem Obersten Casten, Auff dem Kräuterboden, Auff den dritten boden, In der Material Cammer, Vor der Apothecken, In der Apothecken, Im Laboratorio, Im Keller, In dem Andern Keller, In der Undern Stub
Summa summarum 350 lb

Originaire de Grühm ou Grienaw en Saxe (sans doute Grimma près de Leipzig), Jean Frédéric Wæchtler épouse en 1682 Marguerite Catherine, fille du pharmacien Jean Joseph Hitschler de Landau (petite-fille de Catherine Hitschler, veuve de Gabriel Engel, voir plus bas)
Mariage, cathédrale (luth. f° 101 n° 17)
1682. Fest. Pentecostes. zum 2. mahl Herr Johann Friderich Wächtler Apotecker Weiland h. M. Jacob Wächtlers Gewesenen Archivarien Zu Grienaw* in Sachsen nachgelaßener ehel. S. Jfr. Margaretha Catharina Weiland h. Joh: Joseph Hitschlers Gewesen Apoteckers u. E. G. Raths Zu Landaw Beisitzers nachgelaß. ehel. T. Donnerst. den 28. Maÿ. Zu den Predigern (im 103)

Jean Frédéric Wæchtler devient bourgeois par sa femme deux mois après son mariage en s’inscrivant à la tribu du Miroir
1682, 4° Livre de bourgeoisie p. 490
H. frid. Wächter von Grühm aus Sachßen, der Apothecker, empfangt das burgerrecht von seiner haußfr. Margaretha Catharina hitschlerin von Landau, per 8 gold fl. welche beÿ der Cantzleÿ erlegt, vndt würdt Zum Spiegel dienen. Jur. eod. [10. aug. 1682]

Marguerite et Anne Silylle, filles de feu le pharmacien Jean Joseph Hitschler de Landau, achètent le droit de bourgeoisie en février 1676 en s’inscrivant à la tribu du Miroir
1675, 3° Livre de bourgeoisie p. 997
Jfr. Margaretha vnd Jfr. Anna Sibilla weÿl. H. Johann Joseph Hütschlers gewesenen burgers und Apotheckers zu Landaw seel. tochterlein, erkauffen das burgerrecht, ex dispensatione senatus p. 8 gold fl. Zusammen p. 16. gold fl. welche auf dem Pfenningthurn erlegt worden seindt werd. Zum Spiegel dienen. Jur. 7. feb. 1676.

André Brackenhoffer rend compte de la gestion des biens appartenant à feue Marguerite Catherine Hitschler, femme du pharmacien Frédéric Wæchtler et à Anne Sibylle Hitschler, femme du marchand Sébastien Grimmeissen de Landau, toutes deux filles de Jean Joseph Hitschler, pharmacien à Landau, et d’Anne Catherine Engel. Le testament de Catherine Hitschler, veuve Scheid, est joint au compte : elle institue pour ses héritières ses petites-filles Marguerite Catherine et Anne Sibylle Hitschler et sa fille Susanne Engel, épouse Brackenhoffer.
1683 (4.6.), Not. Saltzmann (Etienne Corneille, 49 Not 5)
Rechnung Mein Andreæ Brackenhoffers, alß geschwornen und respectivé geweßenen Curatoris Weÿl. Frauen Margarethæ Catharinæ gebohrner Hütschlerin & herrn Friderich Wächtlers Apotheckers und burgers alhie gewesener hausfrauen Nunmehr seel. und Frauen Annæ Sibillæ auch gebohrner Hütschlerin & Herrn Sebastian Grimmeißens Vornehmen Handelßmanns Zu Landau Eheliebstin aller beeden Weÿland Herrn Joh: Joseph Hütschlers geweßenen Vornehmen Apotheckers und des Raths Zu Landau mit auch weÿl. Fr. Anna Catharina Englerin beed. nunmehr auch seel. ehelich erziehlter Töchter, Innhaltend alles das jenige so Ich derselben wegen vom 3. Novembris anno 1677. alß Ich dieße Vogteÿ übernommen biß den 4 Junÿ anno 1683. eingenommen, auch dahingegen wieder außgeben habe. Erste und letzte Rechnung dießer Vogteÿ.
Testament – Nachdem Ich Catharina Scheÿdin eine geborne Hitschlerin beÿ mir hetzeinigkeit erwogen (…) in mein logiment in der obern Apothecken allhier Zu Landauw erfordert
Fünfftens prælegire ich meiner lieben Tochter Annæ Catharinæ Hn Joseph Hitschlers gewesenen des Raths und Apotheckers Zu Landau seel. haußfrawen nunmehr auch S. hinterlaßenen beÿden döchtern Margarethæ Catharinæ Friedrich Wächtlers burgers und Apotheckers Zu Straßburg haußfrau und Annæ Sybillæ noch ledigen Standts (…)
Sechstens (…) wegen Einsetzung der Erben (…) meine liebe Tochter Susanna Brackenhofferin Zu einem und dann meine beÿde liebe Enckelin oder dochterkinder Margaretha Catharina Wächtlerin und Anna Sibilla Hitschlerin (…)
So geschehen Zu Landaw den Ersten Octobris früh morgend umb fünff Uhren im Jahr nach der heilsamen geburt Jesu Christi 1682 – Johann Georgius Schrooth Christianissimâ regiâ authoritate Notarius publicus et Judici Landaviensis Procurator ordinarius

Marguerite Catherine Hitschler, femme du pharmacien Frédéric Wæchtler, meurt en délaissant pour héritière sa grand-mère Catherine Hitschler, veuve de Jean Jacques Scheid. L’inventaire est dressé dans la pharmacie rue des Hallebardes. La masse propre au veuf est de 149 livres, celle propre à l’héritière de 1 114 livres. L’actif de la communauté s’élève à 243 livres, le passif à 556 livres
1683 (10.9.), Not. Saltzmann (Etienne Corneille, 49 Not 4) n° 19
Inventarium und Beschreibung der Jenigen Haab vnd Nahrung, Liegend. vnd vahrend. verändert vnd vnveränderter, so weÿl. die Viel Ehren und Tugend Reiche fraw Margaretha Catharina Wächtlerin gebohrne Hitschlerin, des wohl Ehren Vesten v. Kunstreich. herrn Friderich Wächtlers, Apoteckers v. b. allhier haußfr. seel. nach Ihren den 2* Junÿ. 1683. beschehenen tödtlich. ableiben, sowohl hier in Str. alß Zu Landaw Zeitlichen verlaßen, auf erfordern vnd begehren des hoch Edel vest für(-) hochweiß vnd hochgelehrten herrn Johann Philipp Bra[ckenhoffer] des geheimen Regiments der Herren XIII. allhier zu [hoch] verdienten beÿsitzers, alß geschwornen Curatoris der Edlen viel Ehren vnd Tugendreich. frawen Catharinæ Scheidin gebohrener Hitschlerin, weÿl. des Edel Ehrenvest fürsichtig weiß v. Kunstreich. herrn Johann Jacob [Scheiden] vornehmen Apotheckers vnd E. E. groß. Raths alt. beÿsitzer hinderlaßene fr. Wittib der v.storbenen fr. seel. [] vielgeliebter Fr. Groß Mutter vnd ab intestato Zur helffte nachgelaßener Erbin eines And. theils aber des Edel Ehrenvest vnd großachtbaren herrn Andreæ Brackenhoffers, alt. dreÿers des allhießig. Pfenningthurn alß geweßenen vnd noch ohnentledigt. vogts (-) Zu dießem Geschäfft erbettenen herrn Assistent. der viel Ehren vnd Tugendreich. fr. Annæ Sibillæ Grimmeißin gebohrner hitschlerin des Ehr. herrn Sebastian Grimm Eiß.n vornehmen handelßmanns b. in Landaw Eheliebst. burgerin allhier alß der seel. abgeleibt. fr. sel. geliebte fr. Schwester v. ab intestato gelaßenen Fr. Erbin Zur übrigen helffte (…) Actum vnd angefangen in Straßb. d. 10. 7.bris aô 1683.

In einer in der Statt Straßburg ane [der] Spießgaß und Schneidergraben gelegener Scheidischen Apothecker behaußung befunden worden
Erbvertrag der Erben ohnveränderten Gueths. Vermög deß Notarÿ Silbertheilers so den 6.ten Martÿ Anno 1682. beschehen
Abzug des Wächtlerischen Inventarÿ. Des Hrn. Wittibers Vermögen, hausrath 1, Silbergeschmeid 26, Guldenen geschmeids 121, Summa summarum 149 lb
Der Erben ohnverändert Gueth, haußraths 261, Silbergeschirr und geschmeidt 67, Gulden geschmeids 19, Baarschafft 10, Pfenningzinß hauptgüter 90, Eigenthums ane Ligenden güettern 21, Schulden 202, Ergäntzung (537, Abzug 97, Rest) 440, Summa summarum 1114 lb
Das theilbare Guth, Sa. haußraths 6, Sa. Schulden 88, Summa summarum 84, Dazugelegt deß H. Wittibers Ohnverändert Vermögen 149 lb, Summa 243 lb – Schulden 556 lb, Passiva übertreffen des Hrn: Wittibers Vermögen v. theilbaren Verlaßenschafft umb 312 lb
Conclusio finalis Inventarÿ 1114 lb – Sa. legaten 30 lb
Copia Codicilli – 1683 (…) auff Dienstag den 15. deß Monatgs Junÿ Styli novi abendts Zwischen Neün und Zehen Uhren in der Allhier Zu Straßburg ane der Spießgaß und dem Schneidergraben gelegenen sogenandten Scheidischen Eck: und Apothecker behaußung, inn der Großen Stuben deß Obern stocks, die bücherstub genandt mit den fenstern theils in ermelter Spießgaß theils auf den Schneidergraben sehend die Viel Ehren und Tugendreiche Fraw Margaretha Catharina Wachtlerin gebohrene hitschlerin, deß wohl Ehrenvest vorgeacht vnd Kunsterfahrnen herrn Friderich Wächters, wohlbestellt, Professoris in vorangereckter Apotheckh und burgers allhier eheliche haußfraw, (…) Zwar Krancken und schwachen leibs, auf einem bette ligend – Johann Reinhardt Lang

Frédéric Wæchtler se remarie en 1684 avec Marguerite, fille de Conrad Schach
Mariage, Temple-Neuf (luth. f° 122 n° 16) 1684. Dom. Misericordias. Zum 2 mahl Hr. Friderich Wächtler Apotecker v. Burgers Jfr. Margaretha des Weiland Wohledlen, Fromm Fürsichtig n Wohlweisen Hn Clauß Conrad Schachen des beständ. Regiments der Herrn XV. geweßenen *en Mitglieds nachgelaß. ehel. T. Donnerst. den 27.t Aprilis Zun Predigern (i 123)

Catherine Hitschler, veuve de Jean Jacques Scheid, loue la pharmacie à Frédéric Wæchtler

1685 (2.4.), Chambre des Contrats, vol. 555 f° 194-v
Erschienen fraw Catharina gebohrne Hütschlerin weÿl. Herren Johann Jacob Scheiden deß Apotheckers und E.E. Großen Rhats nachgelaßener Wittib mit beÿstand deß Edel- fürsichtig und hochweÿsen Herrn Johann Philipp Braunen deß geheimen Regiments der Herrn dreÿ Zehn ihres Curatoris an einem,
So dann Herr Friderich Wächtler der Apothecker, mit assistentz herrn Reinhard Wächtlers deß buchführers seines eheleiblichen bruders am andern theil, Zeigten und bekanten freÿ gutwillig offentlich, demnach beÿde Parten über die Apotheck materialien, medicinalia composita, instrumenta und Vasa am 19. 8.br: 1684. eine ordentliche admodiation und Lehnung mit einander getroffen, dieselbe auch zu papÿr bringen laßen, Zu mehrer Versicherung und stäthhaltung (…)
Zum Ersten, weilen in angeregter Lehnungs Verschreibung /:in dem §: anfagangend Viertens ist Verglichen gaß d. Corpus der Apotheck, wie auch die obhandene Instrumenta et Vasa & ordnungßmäßig, inventirt, gebührend æstimirt, beschrieben, calculirt und dem wehrt in eine Gewise Summ gebracht, auch nach geendigter dieser admodiation widerumb revidirt (…)
Zweitens & Versehen, daß der fraw Verleÿherin Zu ihrem Trinckhweitz /:wie man sich deßwegen mit einander Verglichen werde:/ ein platz Vorbehalten sein sollen Alß ist der Vergleich dergestalten geschehen, d. der Fraw Verleÿherin, der gantz uff der rechten seiten, wie mann hinunder gehet, liegende und mit Latten underschlagen beschlüßige Keller Zu ihrem gebrauch vorbehalten sein solle. Trittens solle der große Keller hier zwischen nechst Künfftig Joh. Bapt: in der fraw Verleÿherin Kosten, ohnfehlbar mit wein und faßen gäntzlichen gelähret und dem Entlehner lähr gelüffert werden soll, Zum Vierdten die ieweilige Einquartierung der Soldaten betreffend, so ist der Admodiation Versehen, daß die über dem gemein habende Stüblein, befindlichen Große Kammer darzu employirt werden solle darbeÿ auch Verbleibt, iedoch mit der erläuterung, daß die Verleÿherin, bett und darzu benöthigtes weiß gedüch immer anschaffen, der Entlehner hingegen daß übrige servis hergeben solle
hierauf so ist hierbeÿ persönlich erschienen fraw Margaretha gebohrne Schachin deß Admodiatoris eheliche haußfrau mit assistentz deß Edel- from und wolweißen herrn Johann Philipps Schmidts fünff Zehners und herrn Johann Joachim Richshoffers Registratoris Archivi (die hat) sich Zur Mit Entlehnerin ohnverscheidentlich dargestellt

Le tuteur de Catherine Hitschler, André Brackenhoffer au nom de ses deux fils procréés avec Susanne Dorothée Engel et Sebastian Grimmeissen de Landau au nom de sa femme Anne Sibylle Hitschler consentent à transférer le bail passé avec Frédéric Wæchtler qui va tenter sa chance ailleurs au pharmacien Jean Frédéric Eisenmann

1686 (9.7.), Chambre des Contrats, vol. 556 f° 253
der Edel Fürsichtig und hochlweiße H. Johann Philipß Braun deß beständigen Regiments der Herren dreÿ Zehen Beÿsitzer, alß Vogt Frawen Catharinæ gebohrner Hütschlerin, weÿl. H. Johann Jacob Scheiden deß Apotheckers und E.E. Großen Raths geweßenen beÿsitzers sel. nachgelaßener Wittib, herrn Andreas Brackenhoffer, dreÿer deß Umbgelds, Herr Ernst Heuß, dreÿer der Statt Stalls, alß Vogt erstged. Herrn Brackenhoffers mit Weÿl. Frauen Susanna Dorothea gebohrner Engelin, erzeugt 2. Söhnlein, Ferner H Sebastian Grimmeißen, der handelßmann von Landau, alß Ehevogt Fr. Annæ Sibyllæ Hütschlerin an einem
So dann H. Friderich Wächtler der Apothecker, mit beÿstand deß hochgelehrten herrn Ulrich Marbachs U.J. Ddi und E.E. Großen Raths Advocati & Procuratoris, am andern,
und endlich H. Johann Friderich Eisenmann der Apothecker am dritten theÿl, in gegenwarth der wohl Ehren Vesten Fürsichtig und Weÿßen herrn Jacob Luthers und H. Daniel Lienhards, alß auß E.E. Großen Raths mittel hierzu insonderheit Deputierter
demnach Zwischen Ihro Scheidischer Fr. Wittib und Ihme Hn Wächtlern in A° 1684. ein gewisser Admodiations und Lehnungs contract wegen der in der Spießgaßen allhier gelegenen Scheidischen Apoteck und wohnbehaußung, vermög deß under deren Interessenten handschrifften und pitschafften am 19. 8.bris besagten jahrs darüber verfertigten privat Auffsatzes geschloßen, so auch vermög Cancelleÿ Contract Verschreibung vom 2.ten Aprilis 1684. offentlich bestätiget, zumahlen darbeÿ ein und andern Umbstand ferner erlaütert und Verglichen worden, und aber gemeldter H. Wächtler nunmehro sein Glück anderwärtlich zu suchen und von bedittener Lehnung abzustehen gesinnet seÿe (…) solchem nach hätte Sie offtged. Fr. Scheidin und Hn Assistenten obged. Herrn Johann Friderich Eisenmann an statt sein Hn Wächtlers und auff deßen recommandation Zum Admodiatore und Lehenmann angenommen, dergestalten daß derselbe von under gemeldtem dato an in d. recht, welches bißhero Er Wächtler gehabt tretten, und biß Zu end der bedungenen Admodiations Zeit deßen genüßen solle (…) in maßen auch derselbe entlehnt zu haben geständig war, hievor bedittene Apothecker behaußung allhier in der Spießgaßen am Schneidergraben gelegen, sambt den darinn befindlichen in vielfaltigen Medicinalien bestehenden corpore – umb einen jährlichen Zinß, und zwar so viel d. hauß betrifft umb 300 gulden à 15 bz. wegen deß Corporis des Apotheck aber, welches sambt denen Instrumentis & Vasis dem angesetzten pretio nach auff 4984 Gulden sich belauffet ieden Jahrs 249 Gulden Alßo in summa 549 Gulden
[f° 255 v°] darbeÿ ist insonderheit Zwischen Ihro Fr. Scheidin und den neun Admodiatore H. Eisenmann bedungen und abgeredt worden 1. daß mehrgem. Fr. Scheidin mit ihren ieweilen beÿ sich ahbenden Leuthen, die tag Ihres lebens in der Apothecker Behaußung folgende Gemach Zu Ihrem ohnverhinderten Gebrauch gantz freÿ und ohne einigen zinß besitzen und Genießen solle, Nemblich die mittlere Große stub und Cammer d. haußehren darvor, die darvor befindliche kleinere Stub und Kuchen, die beede an der Material Cammer neben einander gelegene Cammern oben auff ein Platz Zu behörigen Brennholtz, So dann in dem Keller den gantzen auff der rechten seiten, wie man hinunder geht, liegenden und mit latten underschlagenen beschlüßigen Keller, welche Gemach aber alle auff Ihro Dr. Scheidin seligen ableiben Ihe Hn Eisenmann ohne steigerung weiteren hauß Zinßes alß hievorgemeldet ist, nach Lehnungs recht Zu gebrauchen, eingeraumbt werden sollen, Fürs andere, daß beÿ fürfallender Einquartierung die über vor erwehnter Kleinern Stuben befindliche große Kammer darzu solle employiert, und da es ain officier ist, der alß einquartiert wird, demselben von der Fr. Scheidin, deßen dienern aber von Hn Eisenmann die gewohnliche Bettstatten mit ihrer Zugehör gegeben, da es aber Gemeine Knechte, von ieder part die helffte hier zu anverschafft

Etat du fonds de la pharmacie Scheid
1686 (15.8.), Not. Saltzmann (Etienne Corneille, 49 Not 8)
Designation vnd Beschreibung, der jenigen Instrumenten, Vasen auch anderen Schiff und Geschirr, von demjenig. welches in weÿl. des Edlen, Wohl Ehrenvesten Weiß und Kunstreichen Herrn Johann Jacob Scheid. geweßenen Apotheckers v. E. E. Großen Raths beÿ löbl. Statt Str. alten Wohlverdienten beÿsitzers nunmehr seel. Verlaßener, sogenandten Scheidischen in der Spießgaßen gelegenen Apothecken, alß solches dem wohl Ehrenvesten vnd Kunstreichen herrn Friedrich Wächtlern Apotheckern vnd burgern allhier dem damahlig. angenommenen H. Admodiatori von der Edlen viel Ehren vnd Tugendreichen Fr. Annæ Catharinæ Scheidin gebohrner Hitschlerin, Wittiben, mit einwilligung des hoch Edelvest fürsichtig vnd hochweißen Herrn Johann Philipp Braunen des beständigen Regiments der H. dreÿzehen alhier hochmeritirten beÿsitzers Ihres geschwornen herrn Curatoris vnd übrigen hochansehnlich. anverwanthen, vermög sonderbaren mit Ihme H. Wachteln getroffenen Accords gegen billichen Jährlichen v.Zinßung habend (…) So geschehen in der König. fr. St Str. Montag d. 15. Aug. 1686.
In Einer in der St. Str. ane der Spießgaßen vnd dem Schneidergraben gelegenen sogenannden Scheidischen Apotheker behaußung ist ane Instrumenten, Vasen, Schiffmann Zu der Apothecken gehörig, befund. worden, wie volgt.
Auf der Obern bühn, Auf dem dritten Boden, In der Material Cammer, Im Obern Haußöhrin, In der vndern Stub, In der Apotheckh, Vor der Apotheckh, Im großen Keller, In der Glaß Cammer oben, In der Undern Cammer
Volgende Posten, haben sich beÿ dießer Inventation befund. welche H. Wächtler Zwar in lehnungs weiß gebraucht, Gehörigen aber nicht Zur Admodiation, sondern Scheidischer Fr. Wittib Zu eig, vnd hatt solchs H. Eißenmann nicht angenommen, sondern sind allein vnd daß Sie jetzmahlen sich befund. d. 15. Aug. 1686. Zu notiren beliebt worden

Pierre Henri Burggraff, deuxième mari d’Anne Sibylle Hitschler, donne la pharmacie à bail à Jean Frédéric Eisenmann.

1695 (10.8.), Chambre des Contrats, vol. 567 f° 486-v
H. Peter Henrich Burggraff, der handelsmann von Landau alß Ehevogt Fraun Annæ Sibÿllæ Hütschlerin an einem
So dann H. Johann Friderich Eisenmann der Apothecker und E.E. Kleinen Raths beÿsitzer am andern theil
haben angezeigt und bekandt, demnach Zwischen weÿl. Fr. Catharina Scheidin geb. Hütschlerin wittib & Cons. eines und Ihme Herrn Eisenmann andern theils, bereits am 6. Jul. 1686 ein gewißer Vergleich und Admodiations Contract über d. in der Spießgaß allhier gelegenen Apotheck geschehen und in d. Cancelleÿ Contractstub verschrieben worden, Seithero aber nicht allen Sie Scheidische Fr. wittib neben Sein H. Burggraffen Ehefrauen weil. Hn Sebastian Grimmeisen sel. gestorben, sondern auch die darinn bestimmte Lehnungs Zeit bereits am 1. 9.bris 1693. zu end gegang. Alß hätte nunmehro Er. H. Burggraff alß ietzmahlig. Ehevogt obbemeldter Fr. Annæ Sibÿllæ Hutschlerin deren nunmehr die helffte besagter Apotheck eÿgenthümlich gehörig, sich mit Ihme H. Eisenmann folgender maßen verglich. Nunmehr und für d. Erste so verlehnt Er H. Burggraff mehrged. seiner haußfrauen deren besagte helffte an der bemeldt. apotheck, wie solche vormahls verlühen geweßen, alß ein continuation der bißherig. admodiation Ihme Hn Eisenmann, auff fernerer Neün jahr vom 1.t Augusti dieß jahrs an Zurechnen – umb 125 pfund

Etat (non conservé) du fonds de pharmacie
1700, Not. Pantrion (Jacques Christophe, répert. 65 Not 45)
Design: über die in H. Joh: Friderich Eisenmanns u. H. Philipp Jac: Brackenhoffers gemeinschaftlich: Apothecke ahne d. Spieß Gaß sich befind: Intr Vasa auch end Schiff und geschirr

Pierre Henri Burggraff et Anne Sibylle Hitschler vendent la maison et le fonds de pharmacie à Jean Frédéric Eisenmann

1700 (13.1.), Chambre des Contrats, vol. 573 f° 26
H. Peter Heinrich Burggraff, der Handelßmann und burger zu Landau alß Ehevogt Frauen Annæ Sibÿllæ geb. Hitschlerin
H. Johann Friderich Eisenmanns deß Apotheckers u. E.E. Kleinen Raths alten beÿsitzers
Erstlich die helffte der alßo genandten Scheidischen Apothecker Behaußung mit allen deren Gebaü. Recht. hoffstätten, Zugehördt. Und Gerechtigkeit. allhier an der Spießgaß einseit neben H. Christian Gebhard dem Säckler zum theÿl, zum theÿl neben einen graben, d. Ulmer graben genandt, anderseit ist Ein Eck am Schneidergraben, hind. auff Fr. Mariam Magdalenam Wildin geb. Mosederin, stoßend gelegen, Ferner die helffte der Verkaüfferin gebühend, an der medicalien, auch vasen Und Instrumenten, Und aller Gerechtigkeit zu solcher Apotheck gehörig, alßo und d. gestalt daß alle der Fr. Verkäuferin an ged. Apothecker Behaußung auch Apotheck selbsten und dero gerechtigkeit bißhero gehabt Eÿgenthum besitz und andere Rechten auff Ihne den H. Kaüffern transferirt, um 4250 pfund – Paulo post ist ferner verglich. daß im fall solche Apothecker helffte cum appertinentiis innerhalb fünffzehen jahren wid. solte verkaufft werd., den H. Verkaüffer und deß. haußfrau der Verkauff noch Verkauffts recht gedeÿn solle
[in margine :] H. Philipp Heinrich Burggraff J.V. Cand. der Creditor hierinn bemelten Kauffschillings rests von 825 lb, so majorennis und ohnbevögtiget ist, hat in gegensein H. Georg Heinrich Eisenmann Med. D. et pract. als proprietarii zum dritten theil der hierverkaufften apotheck helffte und debitoris erwehnter 825 lb (Quittung) 26. sept. 1722

Originaire de Landau, Jean Frédéric Eisenmann devient bourgeois par sa fiancée en novembre 1678. Il épouse en juillet 1679 Marie Elisabeth Wetzel, fille du diacre Jean Georges Wetzel
1678, 4° Livre de bourgeoisie p. 453
H. Johann Friderich Eißenmann der Apothecker, von Landaw empfangt das burgerrecht von seiner verlobten, umb 8 golt fl. welche Er beÿ der Cantzleÿ erlegt hatt ist ledig standts und wirdt (-) Jur. eod [9. 9.br 1678]

Mariage, cathédrale (luth. f° 68-v, n° 37)
1679 Dom: 2. post Trinit: Zum 2. mahl hr Johann Friedrich Eisenman der Apotecker alhie Weiland hr Johann Eisenmans gewesener Evangel: Pfarrherrs Zu (-) nachgelaß. ehel. Son Jfr. Maria Elisabeth Hr. M. Johann Georg Wetzels Diaconi bey dieser Münster Kürchen ehel. T. Donnerstag den 10.t Julÿ Münster (im 71)

Marie Elisabeth Wetzel fait dresser l’inventaire de ses apports qui s’élèvent à 658 livres
1679 (7.8.), Not. Schatz (Jean Jacques, 50 not 7) n° 501
Inventarium undt Beschreibung aller der Jenigen Haab und Nahrung, so die Viel Ehren: undt Tugendreiche Fraw Maria Elisabetha Eißenmännin gebohrne Wetzelin dem Wohl Ehrenvesten Großachtbahren und Kunsterfahrenen herrn Johann Friderich Eißenmann, Apotheckern und burgern alhie zu Straßburg Krafft Ihr beeder auffgerichtet. heüraths Verschreibung für unverändert in die Ehe zugebracht – Actum in fernerer gegenwarth deß wohl Ehrwürdigen v. wohlgelehrten Herrrn Magistri Johannis Georgÿ Wetzels, Diaconi Senioris in alhießigen Münster, der Frauen Eheleiblichen Vatters, Donnerstags d. 7. Augusti Anno 1679.
Sa. anschlags haußraths 149, Sa. Silber geschirr und Geschmeidt 42, Summa guldiner Ring v. geschmeid 51, baarschafft 415, Summa summarum 658 lb

Marie Elisabeth Wetzel meurt en délaissant deux enfants dont l’un meurt peu de temps après sa mère. L’inventaire est dressé dans la pharmacie Scheid rue des Hallebardes. La masse propre au veuf s’élève à 500 livres, celle des héritiers à 1 159 livres. L’actif de la communauté s’élève à 1 338 livres, le passif à 951 livres
1686 (24. 8.br), Not. Saltzmann (Etienne Corneille, 49 Not 8) n° 15
Inventarium und Beschreibung der Jenigen Haab vnd Nahrung, so weÿl. die Viel Ehren vndt Tugendreiche Fraw Maria Elisabetha Eißenmännin gebohrne Wetzelin, des Wohl Ehrenvest Kunstreichen und Hochgeachten Herrn Johann Friderich Eißenmanns, vornehmen Apotheckers und burgers allhier geweßene geliebte haußfraw, nunmehr seel. nach Ihrem den 25. Junÿ dieses Laufenden 1686. gsten Jahrs beschehenen tödlichen ableiben Zeitlich verlaßen, welche auf freundliches ansuchen erfordern und begehren des Edel Wohl Ehrenvesten vnd hochachtbaren herrn Johann Friderich Theürers wohlverordneten Schaffners Unßerer frawen Wercks und vornehmen burgers alhier alß geschwornen vogt Mariæ Elisabethæ, der Verstorbenen Fraw seel. Mit vorermeltem Ihrem hind. pliebenen Wittibern ehelich erzeügten töchterlins vnd nachgelaßenen Erbin, wie auch dem herrn Wittiben selbsten alß in den halben theil jure successionis rechtsmäßigen Erben Georg Friderich Seines lieben Söhnlins, so balden nach seiner leiblich. geburth der mutter seelig in dem Tode nachgefolget – Actum und angefangen in der Königlich. freÿ. Statt Straßburg, Mittwoch den 24. 8.bris Anno 1686.

In der Statt Straßburg In der Spießgaß gelegenen sogenandten Scheidischen Apothecker behaußung ist befunden word Wie Volgt
Allerhand Vasa, Schiff und geschirr wie auch Apothecker Wahren zu dem Corpore der Apothecken gehörig zu Theilbar
Eigenthumb ane Eiener Behauß. (E.) Item ein Neündter theil für unvertheilt von: und ane einer behaußung vnd hoffestatt, sampt einem hefflin vnd garten beÿm brud. hoff (…)
Ergäntzung der Erben Unverändert Gutts. Vermög Inventarÿ über der verstorbenen Frawen sel. in dieße Ehe Zugebrachte Nahrung durch weÿl. H. Joh: Jacob Schatzen den Notm. in Anno 1679. auffgerichtet
Abzug In das Eißen Männischen Inventarium Gehörig. Des H. Wittibers Unverändert Guth. so allein invorgesetzter Rubric seiner Ergäntzung bestehet ist 500 lb
Der Erben unverändert Guth, Sa. haußraths 77, Sa. Früchten 14, Sa. lährer Vaß 2, Sa. Silber 50, Sa. Guldenen Ring 34, Sa. baarschafft 178, Sa. Capitalia 282, Sa. Gültten 6, Sa. behaußung 55, Sa. Schulden 6, Sa. ergäntzung (452, Abzug 18 ß, verbleibt) 451, Summa summarum 1159 lb
Die Theilbar Verlaßenschafft, Sa. haußraths 96, Sa. Wein vnd Vaß 32, Sa. Vasa vnd Apothecer wahren 635, Sa. Silbers 59, Sa. baarschafft 136, Sa. Capital 250, Activ Schulden 127, Summa summarum 1338 lb – Schulden 951 lb, Nach deren Abzug 377 lb
Conclusio finalis Inventarÿ 2046 lb

Jean Frédéric Eisenmann se remarie en 1686 avec Catherine Marguerite Sebitzius, fille de médecin : contrat de mariage tel qu’il est copié à l’inventaire, célébration
Copia der Zwischen eingangs Wohlgedachten beeden Eheleuthen mit einander auffgerichteten Eheberedung. – zwischen dem Wohl Ehrenvest, Kunstreichen und hochachtbahren herrn Johann Friderich Eißenmann, vornehmer Apothecker und burger in Straßburg, alß dem herrn bräutigtamb ane einem, So dann der Edlen, viel Ehren und Tugendreichen Jungfrauen Catharina Margaretha weÿland des hoch Edlen, Vest: hochgelehrten und hocherfahrenen herrn Johannis Alberti Sebitzÿ, Med. Doctoris, berühmten Professoris publ: und Statt Physici alhier, wie auch Eines wohl Ehrwürdig Collegiat: Stifft Zu St. Thomæ Canonici senioris, nun Seel. mit weÿland der Wohl Edlen, Viel Ehren: und Tugendreichen frawen Catharina Margaretha gebohrener Riehlin Seel. in anderer und mittler Ehe erzeugter und nachgelaßeneer Jungfrau Tochter, als der Jungfrau hochzeiterin am andern theil – Beschehen vnd verhadelt in der Königlichen freÿen Statt Straßburg, Montags den 11. tag deß Monats Novembris in dem Jahr Christi, als mann Zahlte 1686. Stephan Cornelius Saltzmann, Nots. publ. et Academ.

Mariage, Saint-Thomas (luth. f° 125)
1686. Dom: II, III. Advent. d. 8. & 15. Decemb. H. Johann Friderich Eissenmann der burger und Apothecker alhier Jfr Catharina Margaretha Weÿl. H. Johann Albrecht Sebizÿ gewesenen Med. Doct. Practici et Professoris des Collegiat Stiffts S. Thomæ Canonici Senioris, Civitatis huiusq. Archiatri hinterlaßene eheliche Tochter. Cop. St. Thomæ d. 18. Xbr (i 64)
Proclamation, Temple-Neuf (luth. f° 146) 1686. Dienstag den 10.10.bris Maurerstub. Dom: 2. Adventus Zum 2. mahl Zu Joh: Friedrich Eisenman Apotecker u. Burgers alhier, Jfr. Catharina Margaretha Weiland Hr. Joh: Alberti Sebizy Med: D: Prof. P. Archiatri beÿ Löbl. Rath alhier auch Canonici beÿ dem Collegiat-Stifft Zu St. Thomæ nachgelaßene ehel. T. Mittwoch den 18.en 10.bris. St. Thoman.

Les nouveaux mariés font dresser l’inventaire de leurs apports
1687 (7.6.), Not. Saltzmann (Etienne Corneille, 49 Not 9) n° 14
Inventarium und Beschreibung aller derjenigen Haab, Nahrung und Güetter, liegender Und Vahrender, keinerleÿ dauon außgenommen, so der Wohl Ehren Veste Kunstreiche und hochgelehrte Herr Johann Friderich Eißenmann Vornehmer Apothecker und burger in Straßburg Zu der Edlen Viel Ehren und tugendreichen Fr. Catharina Margaretha gebohrner Sebitziusin seiner Eheliebstiin die den Ehestand gebracht – Act. in der Königlichen freÿen Statt Straßburg in fernerer gegenwärtigkeit Edelgedachter seiner Fr. Eheliebstin Und der Hoch Edel Vest Hochgelehrten und Hochachtbahren Herrn H. Heinrich Nicolai Medicinæ Doctoris und berühmbten Practici allhier, obwohlgedachter frawen Eißenmännin Curatoris und dann H. Johann Friderich Theürers, Wohl Verordneten Schaffners Unßer Frawen Werckg auch Vornehmen burgers allhier geschwornenn Vogts Mariæ Elisabethæ, deß H. Mit Weÿl. der Viel Ehren und tugendreichen Fr. Maria Elisabetha gebohrner Wetzelin seiner ersten haußfr. erziehlten töchterleins, Sambstags den 7. Junÿ A° 1687.

Holtzenwerckh. Auf der obern Bühn, In der Cam. A, In der Cam. C, In der Cam. D, In der Cam. E In der oben newen stuben, Im Haußöhren, In der Cammer F, In der Stub Cammer
Eigenthumb ane einer Behaußung. It: ein Neündter theil für unvertheilt von: und ane einer behaußung vnd hoffstatt, sampt einem hefflin vnd garten beÿm brud. hoff (…)
Itel j. Hauß v hoffstatt mit allen anderen Ihren gebäuwen in dem sogenannten Spitthalgäßlein (…)
Abzug In dießes Inventarium Gehörig. Sa. haußraths 329, Sa. Bibliothec 9, Sa. Früchten 18, Sa. Wein und Lährer Vaß 84, Sa. Apothecker Corpus sampt schiff und geschirr Zu der Apothekcen gehörig 919, Sa. Silber geschirr und Geschmeids 137, Sa. Guldenen Ring und geschmeids 83, Sa. baarschafft 234, Sa. Pfenningzinß hauptgüter 532, Sa. Eigenthumb ane Einer behaußung 44, Sa. Gülth von liegenden güthern 12, Sa. Schulden 1166, Summa summarum 3582 – Schulden 1203, Remanet 2379 lb

Jean Frédéric Eisenmann meurt en 1701 en délaissant une fille de son premier mariage et six fils du deuxième. Les experts estiment 200 livres la maison près de la cour aux Plantes. La masse propre à la veuve s’élève à 946 livres, celle des héritiers à 97 livres. L’actif de la communauté s’élève à 5 724 livres et le passif à 4 242 livres

1701 (24.8.), Not. Lang (Jean Régnard, 29 Not 55 et 56) n° 507
Inventarium und Beschreibung aller derjenigen Haab Nahrung undt Güthere, so weÿland der Edle, Großachtbahre, Kunstberühmte und Weiße Herr Johann Friderich Eißenmann, geweßener Vornehmer Apothecker und E. E. Kleinen Raths alhier zu Straßburg alter Wohlverdienter beÿsitzer nunmehr seeliger, nach seinem den 2. Aprilis dießes Jahrs beschehenem Tödlichen ableiben, Zeitlichen Verlaßen, welche Verlaßenschafft auf freundliches ansuchen erfordern und begehren des abgeleibten herrn seeligen ab intestato verlaßener Erben, auch dero geschwornenr herren vögte, allergleich nach dem eingangs diese Invantarÿ benahmbßet, inventirt durch die Edle v. Viel Ehren und Tugendreiche Fraw Catharinam Margaretham Eißenmännin gebohrne Sebitzÿn, die hinterbliebene Fraw wittib, mit assistentz des hoch Edel Vest und hochgelehrten H. Melchioris Sebitzÿ, hochberühmten Medicinæ Doctoris, auch beÿ alhießiger Wohllöblichen universität Professoris Publici und wohl Ehrwürdigen Collegiat Stifft Zu St. Thomæ alhier hochverdienten Canonici ihres eheleiblichen herrn Bruders und geordneten Herrn Curatoris (…) angefagen den 24.ten Augusti Anno 1701.
Der in Gott ruhende Herr seeliger hat zu seinen Erben ab intestato Verlaßen wie volgt. 1. Jfr. Mariam Elisabetham Eißenmännin, des abgeleibten herrn seel. in erster ehe mit weÿl. der wiel ehren: und tugendreichen Fr. Maria Elisabetha Eißenmännin gebohrner Wetzlerin erzeilte Jfr. Tochter, deren geschworner herr Curator der Edle, Wohlehrenvest, hochachtbare vnd wolhweiße herr Johann Michael Rebhan, E. E. großen Raths alhier Zu Straßburg alter und E. E. Kleinen Raths alhier ane Statt einer Constofflers jetzmahliger wohlmeritirter Assessor welcher dem geschäfft beneben seiner Jfr. Curandæ in Persohn beÿgewohnt,
2. Johann Friderich, 3. Johann Albrecht, 4. Philipp Gottfried, 5. Georg Heinrich, 6. Johannem und 7. Johann Daniel die Eisenmann, diese 6 Letzere mit einfangs Edelerwehnter Frawen Catharina Margaretha gebohrner Sebitziusin der hinderlaßenen fr. Wittib in dieser letztern Ehe ehelich erzeugte 6. Söhne, deren geordneter Herrn Tutor der Edle, Wohl Ehrenvest, hochachtbahr undt wohlweiße Herr Philipp Caspar Leitersperger, E. E. Großen Raths alter, und E. löbl Vogteÿ gerichts alhier jetzmahliger wohlverdienter beÿsitzer so dem geschäfft in Person abwartete. Also alle Sieben des Verstorbenen herrn seel. in deßen beeden ehen erziehlte Jfr. Tochter und Söhne auch ab intestato zu gleichlingen antheilen verlaßene Erben

Copia der Eheberedung. (…) 1686. Stephan Cornelius Saltzmann, Nots. publ. et Academ.
Copia des in Gott ruhenden Herrn seelig. mit und beneben seiner hinterlaßenen fraw Wittib auffgerichteten Codicilli Reciproci. 1690. (…) den 25. Junÿ Newen Calenders, abends Zwischen Sieben und Acht Uhren, in seiner in der Statt Straßburg in dem, im Finckweiler gelegenen vormahlen genandten Richßhofferischen, nunmehr herrn Melchiori Sebitzio Medicinæ Doctori et Prof. Publ. und den Fraw Eheleibsten gehörigen Guetten, dem new auffgebawten Gartenhauß, dero obern Stuben mit Sechs fenstern in den Garten außsehend, (…) persönlich erschienen seind der Wohl Ehrenvest, fürsichtig Weiß und Großachtbahre herr Johann Friedrich Eißenmann, Kunsterfahren und berühmter Apothecker, auch E. E Kleinen Raths jetzmahliger beÿsitzer und beneben Ihm die viel Ehren: und Tugendreiche Fraw Catharina Margaretha Eißenmännin gebohrne Sebitziusin beede Eheleuth und burgere allhier zu Straßburg (…) Stephan Cornelius Saltzmann Nots.
Inn einer in der Statt Straßburg in der Spießgaß gelegenen und Zur Spieß apotheck genandten behausung befunden worden wie folgtl
(f° 19) Ane Höltzen und Schreinwerck. Auff der obersten Bühn, Auf der andern Bühn, Auff der Truckeneÿ, In der Cammer A, In der Cammer B, In der Soldaten Cammer, In der Cammer D, In der Schwartz tuch Cammer, Vor dießen gemachen, Ins officiers Stub, In der Cammer E, In der Cammer F, Vor dieße gemachen, In der Wohnstuben, In dero Cammer In der Stub neben der Kuch. Im haußöhren vor der wohnstub, In der Kuchen, In der Stuben in derer Apotheck, Im Keller – Auff den hoff vor dem Fischerthor(f° 38) Gärtten Vor dem Fischerthor. (T.) I. Baum u. Wahren garthen von 8. Kleinen A.rn (…)
(T.) It. I. gärtl. daselbst unterhalb des Neßelstegs (…)
(f° 44) Eigenthum ane häußern. (T.) Erstl. die helfte ane der alßo genandten Scheidischen Apothecker behausung ane der Spießgaß (…)
(T.) It ; ein Vorder: Mitter: und hinder behaußung, Gärthlein mit Allen d. Gebäuwen in dem Steltzengäßlein (…)
(T.) It. eine Behaußung, hoffstatt, sambt der Badstuben, alhier auf der Reiffgaß, 1. seit neben David Schranckenmüllern dem Tabackbereitern 2.seit neben hannß Jacob Heller dem Leinenweb. hinden auf den Stattgraben stoßend gelegen und Zum Reiff genant
It. ein höfflein gegen über so etwann ein gärtlein geweßen, 1.s neben herrn Lorentz Heinrich Göltel, dem alten Schultheißen von Hönheim, 2.seit neben Lorentz Armbruster dem Leinenweber, hinden auff herrn Clemenß Reiffen dem holtzhändlern stoßend gelegen vnd gehen von der Behaußung 15 ß d von einer landvest ane dem Waßer der Statt Straßb.Pfenth. jahrs auf Joh. Bapt: u. 1 lb 4 ß auff Martini prætendirend Ehrschatz in das granische Modo Lerchenfleldische lehen empfangt anjetzi herrn (-) Pickh des freÿherrn Lerchenveldischer Lehenschaffner, sonsten über diese beschwehrden durch mehrgemelte herren Werckmeistere angeschlagen pro 355. lb. Über dieße behausung und höfflein meldet ein teutsch perg. Kauffbr. m. der Strbg. anhangendem Cancelleÿ Constract Innsigel corroborirt deßen datum der 2.te Februarÿ Anno 1694. Dabeÿ ferner i. teutscher perg. Kauffbr. m. ermeltem Contract Insigel bekräfftiget datirt den 15. Februarÿ A° 1686. Mehr i. pap. Copia einer Cancelleÿ Contract verschreib. vom 31. Martÿ A° 1612. Dabeÿ ferner i. pap. verschreib. in allhießiger Cancelleÿ Contractstb. gefertiget deren datum den 14. Julÿ 1642, Ferner i. pap. verschreib. in alhiesiger Cancelleÿ Contractstb. gefertiget datirt den 14. Junÿ A° 1650. vnd sonsten unterschiedener anderer schrifftllicher bericht alles mit N° 23. signirt. Worbeÿ in specie eine Brieff registratur und bericht weg. des Reiffbads Zubefinden, auch mit N° 23 notirt, Darbeÿ noch ferner 10 unterschiedene perg. Kauff verspruch und abgelößter Zinßb. mit alten N° 13 und ebenmäßig jetzigen N° 23 bemercket.
(T.) It. eine behaußung und höfflein sambt deren hoffstätten auch einem gemeinen Profeÿ und allen andern deren gerechtigkeiten, weiten, begriffen, und Zugehörden, alhier unden am Pflantzhoff, 1. s neben Johann Klingen dem Hoßenstricker 2. seit neben Ludwig Senckeißen dem Amlungmacher, hinden auffs allmend stoßend, gelegen, so freÿ ledig und eigen, und ist dieße behaußung durch offtbenambster herren Werckmeister dießmahlen angeschlagen pro 200 lb. Darüber meldet 1. teutscher perg. Kauffbr. m. der Statt Str. anhangendem Cancelleÿ Contract Insigel verwahrt datirt den 12. Octobris A° 1697. Dabeÿ ferner i. teutscher perg. Kauffbrieff m. der Statt Strbg. anhangenden Contract Insigel bekräfftiget, datirt den 18.ten Junÿ A° 1616. mit altem N° 1. Darbeÿ mehr i. Extractus auß E. E. Vogteÿgerichts Memoriali vom 12. 8.bris 1697. Und i. pap. quittung ab eod. die alles mit N° 24. signirt.
(T.) It. I. behauß. hoff, hoffstatt Scheur Vor dem Fischerthor (…)
(f° 65) Wÿdem, Welch. der Abgeleibte herr seel. weg. Jungfr. Mariæ Elisabethæ Eißenmännin seiner in erster Ehe mit auch weÿl. Fr. Maria Elisabetha gebohrner Wetzelin deßen ertserer Fr. Eheliebstin seel. erzeugten Jungfr. Tochter ererbt Mütterlich Guth
(f° 69) Ergäntzung der Fraw Wittib unveränderten guths, Vermög Inventarÿ über die Fraw Wittib in die Ehe Zugebrachte Nahrung, durch herrn Andream Schmidt Notarium publicum und burgern ammhoer in Anno 1687. auffgerichtet
(f° 73) Ergäntzung der Erben unveränderten Guths. Nach besag Inventarÿ über des Abgeleibten Herrn seel. in die Ehe gebrachte Nahrung durch herrn Stephanum Cornelium Saltzmann Notarius publicus et Academicum in Anno 1687. auffgerichtet
(f° 85) Eigenthumb ane einer Apothecker behaußung auch dem darzu gehörigen Corpori dee Apothecker wahren deßgleich. allerhand Vasis, Schiff und geschirr darzu gehörig. (T.) Erstlich die helfte ane der so genandten Scheidischen Apothecker behausung ane der Spießgaß <(…) Wÿdembs Verfangenschaft, welche Salome Brimmerin gebohrne Schillin, auch weÿland herrn Johann Georg Brimmers allhießig. Statt Straßburg Pfenningthurns gewesenen wohlmeritirten dreÿers dreÿ hinderbliebenen Fraw Wittib von weÿland herrn Philipp Jacob Sebitzio dero erstern Eheherr, der Fraw Wittib eheleiblichen herren Brudern seelig Zeit lebens wÿdembs weiße Zugenieß. Abzug in dießen Inventarium gehörig. Der Fr. Wittib unverändert guth. Sa. haußraths 54, Sa. Silber geschirr und Geschmeids 31, Sa. Guldener Ring 107, Sa. baarschafft 126, Sa. Pfenningzinß hauptguths 205, Sa. Gülth von liegenden güthern 13, Sa. Eigenthums ane liegende güthern 16, Sa. Ergäntzung (455, abzuziehen 64, verbleibt) 391, Summa summarum 946 lb Der Erben unveränderte Nahrung, Sa. haußraths 140, Sa. Bibliothec 6, Sa. Lährer vaß 9, Sa. Silber geschirr und Geschmeids 39, Sa. Guldener Ring und geschmeids 33, Sa. baarschafft 1, Sa. Pfenningzinß hauptgüeth. 300, Sa. Schuld. 3, Sa. Ergäntzung (2712, abzuziehen 418, verbleibt) 2231, Sa. Gülth von liegenden güthern 4, Summa summarum 2781 lb – Schulden 2683, Nach solchem abzug 97 lb Das Gemein verändert und theilbare guth, Sa. haußraths 219, Sa. Eigenthums ane einer Apothecker behaußung auch dem Corpori der Apotheck 1120, Sa. Schiff und geschirr Zum fuhr und Ackerwerck 6, Sa. Früchten 29, Sa. Wein und lährer Vaß 103, Sa. Gutsch 3, Sa. Pferdt 30, Sa. haws und Strohes 1, Sa.Silber geschirr und Geschmeids 110, Sa. Guldener Ring und Geschmeids 36, Sa. Pfenningzinß hauptgüter 1382, Sa. Eigenthums ane liegend. güethern 570, Sa. liegender lehengüether 8, Sa. Eigenthums ane häußern 930, Sa. Schulden 1171, Summa summarum 5724 lb – Schulden 4242 lb, Nach deren Abzug 1481 lb Conclusio finalis Inventarÿ 3142 lb Abschatzung donrstag d. 8.t 7.brs 1701. Weilandt deß Ehren Hafften und bescheidenen Herrn Johann Friderich Eißen Mann burger und Appodecker seel. hinderlaßen fr. Wittib und Erben behaußung alhie in der Statt Straßburg Erstlich die Appodeckh (…) die Andere Behaußung auch allhier in der Statt Straßburg in dem so genandten Stältzen Geßel (…) die dritte behaußung alhie in der Statt Straßburg in der Raiff Gaß, das Raiff badt genandt, Ein seitz Neben Meister hanß Jacob heller, dem Leinenwebern Ander seitz neben hanß Jacob Reiff hinden auff den Engen Graben stoßend, welche behaußung sambt baad stuben, gewölbten Keler, bronen und ein Gerdtel, auch übrige begriffen Zugehör und Gerechtigkeit, wie solches in der besichtigung befunden und dem jetzigen Preiß nach angeschlagen Vor und umb Acht Hundert Siebenzüg Gulden die Vierdte behaußung auch ahie in der Statt Straßburg, beÿ dem pbern Wassr Zoll, beÿ der Gedeckten bruck einseitz Neben Ludwig Zünckh Eißen dem hoßenstricker, ander sitz Neben Johannes Kling dem Hoßenstricker tochtert, Welche behaußung samt einen geträmbten Keller auch die übrige zugehör und Gerechtigkeit Wie solches in der besichtigung befunden und dem jetzigen Preiß nach angeschlagen vor und umb 400 gulden. Bezeugens der Statt Straßburg geschworne Werckh Leute, Joseph Lauttenschlager Werckhmeister des Münsters, Jacob Staudacher Werck Meister des Maur hoffs. Johann Jacob osterrieth Werck Meister deß Zimmer Hoffs

Catherine Marguerite Sebitzius, veuve de Jean Frédéric Eisenmann, loue une partie de la maison au marchand Georges Mengès

1701 (17.Xbris), Chambre des Contrats, vol. 574 f° 636-v
/:tit:/ Herr Melchior Sebitzius Med. Doctor et Professor alß Curator Frauen Catharinæ Margarethæ geb. Sebitziusin Weÿl. Hn Johann Friderich Eisenmanns des Apotheckers und E:E: kleinen Raths alten beÿsitzers nun seel. nachgelaßener Wittib
Hn Georg Menges des Handelsmanns
entlehnt, In Ihr Fr Eisenmännin ietzmahligen Wohnbehaußung, den gantzen hindern Stock nichts darvon ausgenommen als d. obere Stübel auff dem Gang, welches Sie sich Vor Ihre Jugend reservirt, Ferner den Gartten, doch mit Vorbehalt des freÿen Aus und Eingangs durch denselben in das hinder Gäßel beÿ p. Hn Ammeister Friderici hindern Hauß, So dann Platz im Keller Siebenzig biß Achzig Ohmen wein zu legen, alles auff dreÿ Jahr lang Von Michaelis dieses 1701.sten Jahrs angehend – Darbeÿ Verglichen, daß zu der Einquartirung die Verleiherin die darzu destinirte Gemach geben Und darzu halten d. H. Entlehner aber d. Geliege und anderes herbeÿ schaffen Und erhalten solle – um einen jährlichen Zinß nemlich 20 pfund

Catherine Marguerite Sebitzius se remarie en 1705 avec le pharmacien Jean Henri Kopp : contrat de mariage tel qu’il est copié à l’inventaire, célébration
Copia der Eheberedung – zwischen dem Edel, Wohl Ehrenvest Großachtbahren und Kunst Wohlerfahrnen Herrn Johann Heinrich Koppen, Vornehmen Apotheckern, wÿlandt deß Wohl Edel Vest und hochgelehrten Herrn Johann Heinrich Koppen, des beständigen geheimen regiments der Herren dreÿ Zehen in allhießiger Löblicher Statt Straßburg geweßenen wohlmeritirten Secretarÿ und vornehmen Burgers allhier nunmehr seeligen, hinderlaßenem ehelich erziehltem Sohn, als dem Herrn Bräutigam, ane einem, So dann der Edel, Viel Ehren und tugendreichen Frawen Catharinæ Margarethæ, gebohrener Sebitziußin, weÿland des auch Edel Wohl Ehrenvest, Großachtbaren, Weiß und Kunstberühmten Herrn Johann Friderich Eißenmanns geweßenen Vornehmen Apotheckers und burgers, auch E: E: Kleinen Raths allhier alten Wohlverdienten beÿsitzers nun ebenmäßig seeligen hinderbliebener Fraw Wittib als der Fraw Hochzeiterin, ane dem andern theil – Geschehen und verhandelt seind diese ding in allhießiger Löblichen Königlichen Freÿen Statt Straßburg, auff Sambstag den 21. Monaths tag Novembris im Jahr nach Christi unserers Einigen Erlößers und Seeligmachers geburth gezahlt 1705. [unterzeichnet] Johann Heinrich Copp als hochzeiter, Catharina Margaretha Eisenmänin als Hochzeiterin

Mariage, Temple-Neuf (luth. f° 161)
1705. Mittwoch den 2.ten 10.mbr Seind nach Zweÿmählicher proclamation ehl. eingesegnet worden H. Joh: Heinrich Kopp, Apothecker vnd burger allhier, weil. H. Joh: Heinrich Koppen gewesenen XIII. Secretarÿ hinterl. ehel. Sohn vnd Fr. Catharina Margaretha weÿl. H. Joh: Friderich Eisenmanns gew. burgers und Apotheckers auch E E. Kleinen Raths alten beÿsitzers hinterl. Wittib, [unterzeichnet] Johann Heinrich Copp als hochzeiter, Catharina Margaretha Eisenmännin als hoch zeiterin (i160)

Jean Henri Kopp et Catherine Marguerite Sebitzius font dresser l’inventaire de leurs apports dans la maison de l’orfèvre Jean Pierre Stræhlin rue des Hallebardes. Les apports du mari s’élèvent à 522 livres, ceux de la femme à 5 122 livres.

1706 (23.2.), Not. Lang (Jean Régnard, 29 Not 72) n° 654
Inventarium und Beschreibung aller der Jenigen Haab, Nahrung und Güethere, so der Edel, Wohl Ehrenvest, Großachtbahr und Kunsterfahrene, Herr Johann Heinrich Kopp, vornehmer Apothecker und die Edle Viel Ehren und Tugendreiche Fraw Catharina Margaretha Koppin, gebohrene Sebitziußin, beede Eheleuth und burgere allhier zu Straßburg einander in die Ehe zugebracht, welche der Ursachen allweilen in ihr beeder vorehrenberührter personen mit einander auffgerichteter Heuraths Verschreibung außtrucklichen enthalten, daß einen jeeden derselben sein in die Ehe bringende Nahrung, ein unverändert freÿ und vorbehalten guth sein (…) So angefangen in fernerem beÿsein der hoch Edel Vest Fürsichtig, wohlweiß, hochgelehrte und hocherfahrenen herrn Heinrich Nicolai Medicinæ hochberümten Doctoris und Practici auch vornehmen burgers allhier, vorehren erwehnter Frauen Catharinæ Margarethæ Koppin hochgeehrten Herrn Schwagers und hierzu in specie erbettenen herrn Assistenten und herrn Philipp Caspar Leitersperger, hochmeritirten Ein und Zwantzigers des geheimen beständigen Regiments allhier Ihr der Frauen 3.er noch lebender Söhne geschwornen Herrn Curatoris, auff Dienstag den 23. Februarÿ Anno 1706.

In einer in der Statt Straßburg ane der Spießgaßen gelegenen herrn Johann Peter Strählin dem goldarbeitern und burgern allhier eigenthümlich zuständig. behaußung befund. word. wie volgt
(f° 12) Ane Höltzen und Schreinwerck. Auff der oberen Bühn, Auf der undern Bühn, In d. Obern Stuben, In der obern Stuben, In der obern Stub Cammer, Vor der obern Stub, Auff dem obern gang, In d. Cammer am gang, in d. obern Vordern Cammer, In d. Wohnstuben, Auff dem untern gang, In d. Apotheck, in d. Kuchen, Im hoff und Keller
(f° 39-v) Eigenthumb ane einer Apothecker behausung auch dem darzu gehörig. Corpori der Apothecker Wahren (F.) Erstl. die helfte ane der alßo genandten Scheidischen Apothecker behausung ane der Spießgaß (…)
(f° 40.b) Ferners Eigenthumb ane häußern so der Frawen allein gehörig. (Verkaufft den 12. Martÿ 1708. über all Uncosten pro 262. lb) Eine behaußung und höfflein sambt deren hoffstätten auch einem gemeinen Propheÿ und allen andern deren Gerechtigkeiten, Weithen, Begriffen, und Zugehörden, allhier unden am Pflantzhoff, einseit neben Johann Klingen dem Hoßenstricker, anderseit neben Ludwig Senckeißen dem Amlungmacher, hinden auff das allmend stoßend, gelegen, so freÿ ledig und eigen, und hiehero ohnvergreifflich wie in weÿl. herrn Joh: Frid. Eisenmanns der Frawen gewes. erstern Eheherrn seel. Verlaßenschafft Inventario fol. 201. fac. j.ma zusehen, widerumb angeschlagen pro 200 lb. Darüber meldet ein teutscher pergamentener Kauffbrieff mit der Statt Straßburg anhangendem C. Cont. Insigel verwahrt datirt den 12. 8.bris Anno 1697. Dabeÿ ferner 1. teutsch. perg. Kffbrieff. mit der Statt Straßb. anhangendem C. Cont. Insigel verwahrt datirt den 18.ten Junÿ A° 1616. mit altem N° 1. Darbeÿ weiter i. Extractus auß E. E. Vogteÿgerichts Memoriali vom 12. 8.bris 1697. Und i. papÿrene quittung ab eod. die alles mit N° 24. notirt und dißmahlen darbeÿ gelaßen
It. Zween dritte theim ane einer behaußung (…) vor dem Fischer Thor in dem Undern Schluethveld (…)
(f° 83) Wÿdemb, Welchen eigangs gedachte Fraw Coppin weÿ. Frauen Mariæ Elisabethæ Geißlerin gebohrner Eißenmännin ihrer Fraw Stieff Tochter Zeit lebens Zugenießen
(f° 84) Wÿdemb, Welchen eigangs gedachte Fraw Coppin wegen Johann Albrecht, Philipp Gottfried und Georg Heinrich Eißenmanns ihrer dreÿer Söhne erster Ehe ins gemein mit gewißer condition zu genießen
Series rubricarum hujus Inventarÿ. Des Herrn in die Ehe gebrachte eigenthümliche Nahrung, Sa. haußraths 147, Sa. Silber geschirr und Geschmeids 31, Sa. goldener Ring 56, Sa. baarschafft 157, Summa summarum 392 lb – Hierzu seind zurechnen der herren Zween dritte theil ane denen Haussteuren 130 lb – Des Herrn in die Ehe gebracht eigenthümlich. Guth 522 lb
Der Frauen in die Ehe gebrachtes Vermög. Sa. haußraths 781, Sa. Bibliothec 6, Sa. Eigenthumbs ane einer Apothecker behaußung auch dem darzu gehörig Corpore der Apothecker wahren 5, Sa. Vasorum auch Schiffmann Zue Apotheck gehörig (276) Sa. Früchten 38, Sa. Wein und lährer Vaß 380, Sa. der Gutsch 5, Sa. Silber geschirr und Geschmeid 101, Sa. Goldener Ring, Kettlen, Perlein und dergleichen Geschmeids 294, Sa. baarschafft 290, Sa. Pfenningzinß hauptgüter 1152, Sa. Gülth von liegenden güthern 38, Sa. Eigenthumbs ane liegenden güthern 275, Sa liegenden lehen güthern 5, Sa. Eigenthumbs ane haußern 436, Sa. der Schulden (1139, 137, etc.) 1924, Summa summarum 5734 lb – Schulden 677, Nach deren Abzug 5057 lb, Deme beÿgefügt die der Frawen ane der haussteuren gebührige tertz 65 – Der Frauwen in die Ehe gebrachte gantze eigenthümliche Nahrung 5122 lb

Catherine Marguerite Sebitzius meurt en 1712 en délaissant trois fils. L’inventaire est dressé en présence de sa belle-fille

1712 (28.11.), Not. Lang (Jean Régnard, 29 Not 96) n° 867
Inventarium über Frauen Catharinæ Margarethæ Coppin gebohrner Sebitiußin, Hn Johann Heinrich Coppen, Apotheckers allhier geweßener Eheliebstin seel. Verlassenschafft de Anno 1712.
Inventarium und Beschreibung aller derjenigen haab, Nahrung und Güthere, so weÿland die Edle, Viel Ehren und tugendbegabte Fraw Catharina Margaretha Coppin, gebohrene Sebitiußin, des Edlen, Wohl Ehren Vesten, hochachtbahren und Kunstberühmten herrn Johann Heinrich Coppen, vornehmen Apotheckers und burgers allhier nunmehr seelige, nach ihrem auff nechstverwichenen Michaelis dieses 1712.ten Jahrs aus dießer welt genommenen tödlichen hintritt, Zeitlichen verlaßen, welche Verlaßenschafft auf freundliches ansuchen erfordern und begehren des hoch Edel Vest, Fromb, Fürsichtig, hochweiß und hochgelehrten Herrn Philipp Caspar Leiterspergers, des geheimen beständigen Regiments der herren fünffzehen in allhiesiger löblichen Statt Straßburg, hochansehnlichen Assessoris als geschwornen herrn Curatoris herrn Johann Albrechts ledigen Apotheckers, herrn Philipp Gottfrieds, des ledigen Goldarbeiters und herrn Georg Heinrichs, Medicinæ studiosi, der Eisenmänner, als der in Gott ruhenden frawen seeligen mit weÿland dem Edlen, wohl Ehrenvst, hochachtbahren und Weißen auch Kunst berühmbten herrn Johann Friderich Eisenmann, gewesenen vornehmen Apothecker, und E: E: kleinen Rahts wohlverdienten beÿsitzer, seeligen ehelich erzeigter und nach tod verlaßener dreÿer herren Söhn, wie auch des jüngsten Herrn Sohns selbsten, inventirt, durch obehrenerwehnten der Frawen seeligen hinterbliebenen herrn Wittiber, wie auch den anwesenden herren Sohn, nicht weniger Catharinen Senckrißin, Margaretham Schellerin, beede von hier und dann Barbaram Baumännin von Collmar gebürtig, alle dreÿ dießithige dienst Mägd (…) geäugt und gezeigt – So Beschehen in löbl. Statt Straßburg in fernerem beÿsein der hoch: und Wohl Edlen auch hoch tugendbegabten, Viel Ehren und tugendreichen frawen Margarethæ Leiterspergerin gebohrner Reißeißin, obhochedel erwehnten herrn Fünffzehener Leiterspergers, hochwerthesten Fraw Ehegemahlin, Mehr Frawen Annæ Dorotheæ Zentgräffin, gebohrenen Sebitziußin, weÿland des hochwürdig hochachtbahren und hochgelehrten herrn Johann Joachim Zentgraffin, der heÿligen Schrifft gewesenen hochberühmten Doctoris und Professoris E. hoch: und Wohl Ehrwürdigen Kirchen Convents hochverdienten Præsidis auch E. Löbl. Collegiat Stiffts Zu St. Thomæ Decani, nunmehr seeligen hinderbliebenen fraw Wittib der verstorbenen frawen seeligen eheleiblichen fraw Schwester und dann frawen Mariæ Elisabethæ Geißlerin, gebohrner Eisenmännin, des Wohl Ehrwürdig, Großachtbahren und Wohlgelehrten Herrn M. H. Ulrich Geißlers, Secundæ Classis beÿ allhießigem löblichen Gÿmnasio, wohlverdienten Præceptoris ordinarÿ und burgers allhier frawen Eheliebsten, der abgeleibten frawen seel. Fraw Stieff tochter, nicht weniger erst wohl ehren erwehntne dero Eheherrn, den 28.ten Novembris Anno 1712.
Copia der Eheberedung – Copia Codicilli – Copia Nach Disposition

In einer in der Statt Straßburg anee der Spießgaß gelegenen Zue helffte in der Erbschafft gehörigen Apothecker behaußung ist befunden worden wie folgt
(f° 8) Ane Höltzen und Schreinwerck. Auff der Obersten Bühn, Auff der Truckeneÿ, Auff dem Fruchtkasten, In der Cammer A, In der Cammer B, Vor dießem Gemach, In der Cammer C, In der Cammer D, In des Herrn Doctoris Stub, In der Cammer E, Vor dießem Gemach, In der Cammer F, In der vordern Großen Stub: In dießer Stub Cammer In der Wohnstub, In der Kuchen, Im Haußöhren vor der Wohnstub, Im nebens Cämmerlein, Im Stüblein in der Apotheck, Im Keller
(f° 21) Eigenthumb ane einer Apothecker behausung auch dem darzu gehörig. Corpori der Apothecker Wahren, so der Erben ohnverändert
Erstl. Zween dritte theil ane der Helffte, der so genandten Scheidischen Apothecker behaußung, sambt allen deren Gebäuen, Begriffen, rechten, hoffstätten, Zugehördten und Gerechtigkeiten, allhier ane der Spießgaß, einseit neben herrn Johann Friedrich Rebhahn, allhießiger löblichen Cancelleÿ Contractuum Substituto, Ehevögtlicher weiß, Zum theil und zum theil neben einem Graben, der Ulbergraben genandt, anderseit ist ein Eck am Schneidergraben, hinden auff herrn La Motte den handelsmann stoßend, gelegen, und gehen von der gantzen behaußung und in specie einem gänglein jahrs auff Georgÿ 16. ßd. Allmendt Zinnß, sonsten ist die völlige behaußung ins gemein freÿ, ledig und eigen, undt hiehero wider wie obig weÿland hern Johann Friderich Eisenmanns gewesenen Apotheckers und E. E. Kleinen Raths allhier alten wohlverdienten Assessoris der frauen seel. ersteren Eheherrn auch seel. Verlaßenschafft Inventario durch mich Johann Reinhard Lang Notarium in Anno 1701. auffgerichtet fol: 192. fac. j.ma durch (die) Werckmeistere angeschlagen word. æstimirt pro 3218. lb
Darüber besagt ein eutscher pergamentiner Kauffbrieff mit der Statt Straßburg anhangendem größerem Innsigel verwahret datirt den 15. Januarÿ Anno 1700. mit altem N° 21 notirt u. dißmahlen darbeÿ gelaßen.
It. Zween dritte theil ane der helffte des gantzen Corporis der Apotheck, als allerhand Materialien, Apothecker wahren, Compositis et Simplicibus, als welche beÿ dießer Verlaßenschafft Inventation durch Herrn Johannes Breßler und Herrn Philipp Jacob Brackenhoffern, beede vornehme Apotheckere u. burgere allhier vonn neuem aufgenommen und angeschlagen worden: auch Crafft sonderbahren darüber in a° 1713 im Majo auffgerichteten theils in schwartz verguldt. papÿr und theils in weiß pergament eingebundenen Inventarÿ in folio, sich sammenthafft belaufft auff 3463 lb 3 ß 1 d
(oo) Pro Nota. Es findet sich zwar in dem Inventario Zugebrachter Nahrung fol. 79. fac. 2.da daß das gantze Corpus der Apotheck als allerhand Materialien, Apothecker Wahren, Composita et Simplicia so zu dem Corpori gehörig, sammenthafft anbeloffen 3580. lb. Dahingegen belaufft sich das jetzige Corpus noch der neuwen æstimation wie vorgemeldt allein auff 3463. Also daß das jetzige Corpus geringer als das vorige umb 117 lb. Macht hiehero Zur helffte so der Erben hernach fol (-) fac. (-) in Ergäntzung gebracht 58 lb
Summa der völlig Apothecker behaußung, auch des gantzen Corporis der darzu gehörigen Apothecker Wahren thut dißmahlen in allem 6681. lb. Davon der Frauen seeligen und dero dreÿen herren Söhn ersterer Ehe der halbe theil /:dann der übrige halbe theil vorehren erwehntem herrn Philipp Jacob Brackenhoffern Zuständig:/ gehörig, beträgt 3340 lb. Darvon giengen jährlichen auff den 13.ten Januarÿ 150. lb d. Zinnß herrn Peter Heinrich Burggraffen dem handelsmann zu Landau als Ehevogten frauen Annæ Sÿbillæ gebohrener Hitschlerin, widerlößig in hauptgut mit 3250. Es seindt aber hievon stehender dießer Ehe wie hernacher fol (-) fac (-) beÿ der Erben ohnveränderten Guths Ergäntzungs Abzugs befindlich, abgelößt worden 363. lb. Also daß demselben in Capital nun allein annoch restiren 2886. lb. Mehr hat auff solcher helffte der Apothecker Behaußung und des Corporis der Apotheck, frau Maria Elisabetha Geißlerin gebohrne Eisenmännin, die Eisenmännische frau Tochter Erster Ehe, auch ane Capital, vermög Inventarÿ Zugebrachter Nahrung fol: 52. fac. j.ma wegen dero übergebenen Antheils ane solcher Apothecken und andern immobilibus zu erfordern 280. lb
Wavon die abgeleibte frau seelige den halben ttheil Zeit lebens wÿdembs weißen genoßen dahero auch hernach fol: (-) fac: (-) als ein Wÿdembs eingetragen befindlich die übrige helffte aber Ihro der fraw Stieff tochter jährlichen auff Johannis Baptistæ mit 7. lb d Zu verzinnßen. Summa vorheriger beschwärden, so von der Eisenmänischen helffte hin widerumb abzuziehen thut 3166. lb, restirt demnach ane dem hiehero gehörigen halben theil der behausung auch Corporis der Apothecken annoch außzuwerfffen 174. lb. Daran der abgeleibten frauen seel. Erben wie Inventarÿ Zugebrachter Nahrung fol: 83 fac. j.ma et 2.da zu sehen von Mütterlich guth gebührige Zween dritte theil thun 116. lb und ist die übrige Tertz denen dreÿen herren Söhnen, Vor vätterlich guth Zuständig, maßen Sie auch hernach fol: (-) fac (-) dero Wÿdembs Nahrung einverleibt befindlich
(f° 32) Eigenthumb ane Liegenden güthern. (E.) Ein gärtlein vor dem Fischerthor (…)
Ergäntzung des Herrn Wittibers ohnveränderten Guth. Vermög Inventarÿ über beeder eingangs ehrenwemeldter Eheleute einander in die Ehe gebrachte Nahrungen durch mich Notarium Johann Reinhardt Langen in Anno 1706 auffgerichtet
Wÿdemb Welchen die Verstorbene Fraw seelige wegen Herrn Johann Albrecht, Herrn Philipp Gottfriedts und herrn Georg Heinrichs der Eißenmänner Ihrer dreÿer Söhne erster Ehe ins gemein Zeit Lebens und zwar mit gewißer Condition genoßen – Antheil ane einer Apothecker behausung auch darzu gehörigem Corpore der Apothecker wahren
(f° 120) Abzug in dießes Inventarium gehörig. Des H. Wittibers ohnveränderte Rubricen, Sa. haußraths 79, Sa. lähren Vaß 1, Sa. Silber geschmeids 27, Sa. Guldener Ring 27, Sa. Ergäntzung (582, abzuziehen 25 , verbleibt) 556, Summa summarum 692 lb
Der Erben ohnveränderte Nahrung, Sa. haußraths 237, Sa. Gutsch 3, Sa. Eigenthums ane einer Apothecker behaußung 116, Sa. Vasorum auch Schiff und geschirrs Zur Apotheck gehörig 49, Sa. lehrer Vaß 17, Sa. Silber geschirr und Geschmeids 58, Sa. Guldener Rinng, Ketten Perlein und dergleichen Geschmeids 156, Sa. baarschafft 122, Sa. Pfenningzinß hauptgüth. 692, Sa. Gülth von liegenden güthern 19, Sa. Eigenthumbs ane liegenden güthern 21, Sa. Schulden 384, Sa. Ergäntzung (5924, abzug 4197, In Vergleichung) 2264, Summa summarum 4126 lb
Das gemein, verändert und theilbahr Guth, Sa. haußraths 97, Sa. Vasorum auch schiff und geschirrs zur Apotheck gehörig 5, Sa. Wein und Lährer Vaßen 129, Sa. Silber geschirr und Geschmeids 9, Sa. Pfenningzinß hauptgüter 1033, Sa. Gülth von liegenden güthern 18, Sa. Eigenthums ane Reebgüthern 70, Sa. beßerung ane lehengüthern 60, Sa. Schulden 541, Summa summarum 2013 lb – Schulden 3350 lb, Theilbare passiva übertreffen das Theilbahr guth 1336 lb
Copia der Eheberedung (…) Straßburg, auff Sambstag den 21. Monaths tag 1705. [unterzeichnet]Copia Disposition – 1707 (…) Mittwoch den 10. Augusti Nachts Zwischen Zehen und Eilff Uhren beÿ dreÿen hellbrennenden Liechtern inn allhießiger Königlichen freÿen Statt Straßburg, in einer ane der Spießgaß gelegenen, Von hernach ehrenerwhenten Eheleuthen Lehnungsweiß bewohnten behausung, deren Vordern Von Ihnen inhabenden Cammer mit den fenstern in den hoff sehnd (…) persönlich erschienen die Edle, Viel Ehren und Tugendbegabte Frau Catharina Margaretha Coppin gebohrene Sebitziußin, deß Edel Wohl Ehrenvest, Großachtbahren und Kunstberühmten Herrn Johann Heinrich Coppen, Vornehmen Apotheckers und burgers allhier Zu Straßburg Frau Eheliebste, Zwar Krancken und schwachen Leibes, auf einem bette ligend (…) Johann Rainhard Lang Notarius juratus
Copia Codicilli 1707 (…)
(f° 50) Vergleichung und Überlaßung einiger in die Mütterlich Erbschafft gehörigen Rubricen, welche Herr Philipp Gottfried Eißenmann der eine herr Sohn, herrn Johann Albrecht Eißenmann seinem herrn Brudern auff zu end stehendem datum überllassen. Erstlichen hat Er Herr Philipp Gottfried Eißenmann seinem herrn Bruder überlaßen, die Ihme vor vätter und Mütterlich Guth gehörige tertz ane der Eisenmännischen helffte der sogenandten Scheidischen Apothecker behaußung sambt alle deren gebäuden (…) Item seinem vätter und Mütterlichen dritten theil ane der helffte des gantzen Corporis der Apotheck (…) Straßburg den 30. Aprilis 1716.
(f° 76) Eigenthum ane einem Gärtlein (…)
(f° 103) Vergleichung wegen herrn Georg Heinrich Eißenmanns, Medicinæ studiosi des jüngste herren Sohns antheils ane der Apotheck (…) seinem herrn Bruder herrn Johann Albrecht Eisenmann (…) So beschehen in Straßburg den 4. Septembris Anno 1716

Catherine Marguerite, femme du pharmacien Jean Henri Copp, meurt à l’âge de 52 ans le 29 septembre 1712
Sépulture, Temple-Neuf (luth. reg. 5 1705-1740 f° 51-v n° 267)
1712. Donnerst. den 29. 7.bris ist abends gleich nach 8 uhren Frau Catharina Margaretha H. Johann Heinrich Coppen deß apoteckers und burgers allhie ehl. frau seelich gestorben vnd darauf Sonnt. den 2.ten Octobris ehrlich nacj gehaltener leichpredigt Zu S. thomæ begraben worden zu S. Galli Ihres alters 52 Jar, 8 Monat 17 tag, deßen seind Zeügen [unterzeichnet] Johann Heinrich Copp als Wittiber (im 54)

Les préposés de la Taille font figurer la succession dans leur registre parce que les impôts acquittés étaient calculés d’après une fortune sous-évaluée de 300 florins (150 livres) sur un total de 7 300 florins
1716, Livres de la Taille (VII 1175) f° 172

(Freÿburger, F. N° 1648) Weÿl. Frauen Catharinæ Margarethæ gebohrner Sebiziussin, Hn Johann Heinrich Koben, Apotheckers und burgers alhier geweßener Ehel. Haußfrauen Verlaßenschafft inventirt H. Not. Johann Reinhard Lang.
Concl. fin. Inv. ist fol. 358 – 3689. lb. 5. ß 8 d, die machen 7300. fl. Verstallte 6700. fl. Zu wenig 600 fl
Wovon der Nachtrag alß von ohnverändertem guht gerehnet wird auff acht Jahr in duplo à 1 lb 16 ß – 14 lb 8 ß
Und auch auff Sechs Jahr in simplo macht à 18 ß – 5 lb 8 ß
Extant die Stallgeltter pro 1713, 1714, 1715 & 1716 thun 48 lb
Marzahl 6 ß
Gebott 6 ß 4 s
Abhandlung 4 lb 2 ß 6 d – Summa 72. lb 10 ß 10 ß
dt. 17° Martÿ 1716.

La maison revient à Jean Albert Eisenmann qui épouse en 1717 Anne Catherine, fille de l’huilier Ulric Greiner : contrat de mariage tel qu’il est copié à l’inventaire, célébration

Copia der Eheberedung – entzwischen dem Ehren Vest und Kunsterfahren Herrn Johann Albrecht Eißenmann Leedigen apotheckher, weÿland deß wohl Ehren Vest Großachtbahr, fürsichtig und Großachtbahr. Johann Friderich Eißenmann auch geweßenen Vornehmen Apothecker und E. E. Kleinen Raths allhier Zu Straßburg alten beÿsitzers, burgers daselbsten, mit auch weÿland der Edlen, Viel Ehr: und tugendbegabten frawen Catharina Margaretha gebohrner Sebitziußin seeligen, erzeugtem Sohn, als dem herrn bräutigamb ane Einem, So dann der Viel Ehren: und tugendgezierten Jungfrawen Anna Catharina Greunerin, deß Ehren und Wohlvorgeachten Herrn Ulrich Greuner Ohlmann und burgers Zu gedachtem Straßburg mit der Viel Ehr: und tugendreichen frawen Maria Magdalena gebohrner Schweickhäußerin Ehelich erzeugten Tochter, als der Jungfrau hochzeiterin ane dem andern theil – So beschehen und Verhandelt in Löblicher Statt Straßburg, auff Mittwoch den 15. Septembris im Jahr, als man nach Christi unßers Einigen heÿlandts undt Seeligmachers geburth Zahlte 1717. [unterzeichnet] Johann Albrecht Eisenmann als brautigamb, Anna Catharina Greinerin Als hochzeiterin – Daniel Roth, Nots. Jur: Publ. Requisit.

Mariage, Saint-Pierre-le-Jeune (luth. f° 34, XVII)
1717. dominica XX & XXI post Trinitatis proclamati sunt Herr Johann Albrecht Eisenmann Wohlverordneter Apotecker und burgere Allhier Weÿl. H. Johann Friderich Eisenmanns burgers Apoteckers auch E. E. Kleinen Raths Wohlmeritirten beÿsitzers Hinterlaßener ehel. Sohn und Jfr. Anna Catharina herrn Ulrich Greiners burgers und Ohlmanns allhie ehel. Tochter. Copulati sunt Mittw. den 20. 8.bris [unterzeichnet] Johann Albrecht Eißenmann als hochzeiter, Anna Catharina Greinerin als hochzeiterin (i 38)

Les nouveaux mariés font dresser l’inventaire de leurs apports dans la maison qui appartient pour moitié au mari pour en avoir hérité du tiers de ses parents défunts et du tiers de son frère Philippe Geoffroi mort célibataire en avril 1716. Ceux du mari s’élèvent à 1 112 livres, ceux de la femme à 1 916 livres. L’autre moitié de la maison appartient au pharmacien Philippe Jacques Brackenhoffer.

1718 (31.5.), Not. Rohr (Daniel, 46 Not 43) n° 1430
Inventarium und beschreibung aller derjenigen haab und Nahrung, so der Wohl Ehrenvest und Kunsterfahrene herr Johann Albrecht Eißenmann Apothecker und die Viel Ehren und tugendreiche fraw Anna Catharina gebohrne Greunerin beede Eheleuthe und burgere allhier Zu Straßburg einander in den Ehestand zugebracht und vermög auffgerichteter Eheberedung sich Vor unverändert Vorbehalten haben – So beschehen allhier in der Königlichen freÿen Statt Straßburg Dienstags den 31.ten Maÿ Anno 1718. in fernerem gegenseÿn h. Tit. H. Philipp Caspar Leiterspergers deß beständigen Regiments der Herren XV. hochansehnlichen beÿsitzer, vornehmen burgers allhier, des Eheherrn annoch ohnentledigten Herrn Curatoris.
In einer allhier Zu Straßburg ane der Langen Strasen gelegenen der Ehefrauwen Eltern Eÿgenthümblich gehörigen behaußung sich volgender massen befunden.
Eÿgenthumb ane einem Gärtlein (M.) It. j. gärthel Vor dem Fischerthor unterhalb dem Neßelsteg (…)
Series rubricarum hujus Inventarÿ. Des Herrn in die Ehe gerachtes Guth betr. Sa. haußraths 81, Sa. Wein und Leerer Vaß 20, Sa. Silbers 32, Sa. Goldener Ring 58, Sa. baarschafft 53, Sa. Pfenningzinß hauptgüter haupt Güther 149, Sa. Eÿgenthumbs ane I Gärthlein o, Sa. Eigenthumbs ane I. Apothecker behaußung 4750, Sa. Eÿgenthumbs ane Gültt und liegende güthern o, Summa summarum 5144 lb – Schulden 4031, Nach deren Abzug 1112 lb
der Frauen Nahrung concernirend, Sa. haußraths 180, Sa. Silers 58, Sa. Goldener Ring 134, Sa. baarschafft 1543, Summa summarum 1916 lb
Wÿdumbs Verfangenschaften. Benantlichen der Edle, wohl Ehrenvest, hochachtbahre und Kunstberühmte herr Johann Heinrich Copp vornehme Apothecker und burger allhier Zu Straßburg von weÿl. der Edlen viel Ehren und tugendbegabten frauen Catharina Margaretha Cappin gebohrne Sebitziußin seiner geweßenen Fr. Eheliebstinin alß dißorts Eheherrn frau Mutter (…)
Item S. T. Herr Heinrich Nicolaj hocherfahrener Medic: Doctor und berühmter Practicus ist gleichfalls von weÿl. S. T. Frauen (-) gebohrner Kiehlin seiner erstern Fr. Eheliebstin als des dißortigen Eheherrn fr. Großmutter Schwester (…)
So dann hat auch S. T. Fr. Judith Sebitziußin gebohrne Deckerin des Eheherrn werthgeehrte Fr. Stieff Großmutter crafft der mit seinem in gott ruhenden H. Großvatter als Ihrem geweßenen Ehegatten auffgerichteten heuraths verschreibung §° 2.do (…)
(M.) Eigenthumb ane einer Apothecker behausung und dem darzu gehörig. Corpori der Apothecker Wahren, sambt denen Vasis auch Schiff und geschirr Zur Apotheck gehörig
Benandtlich die Helffte ane der sogenandten Scheidischen Apothecker behaußung mit allen deren Gebäuen, Begriffen, rechten, hoffstätten, Zugehördten und Gerechtigkeiten allhier ane der Spießgaß, einseit neben herrn Johann Friedrich Rebhahn, Contractuum Substituto, Ehevögtlicher weiß, Zum theil und zum theil neben einem Graben, der Vlbergraben genandt, Anderseit ist ein Eck am Schneidergraben, hinten auff N. N. stoßend gelegen, und gehen vonn der gantzen behaußung in specie aber einem Gänglein Jahrs auff Georgÿ 16. ß d. Allmendt Zinnß, Zusambt der helffte des zu solcher behaußung gehörig. gantzen Corporis der Apotheck, als allerhand Materialien, Apothecker wahren, Simplicibus et compositis, auch vasa, Schiff und geschirr, wird allhier weilen der Eheherr erstberührtes Corpus d. Apothec mit deßen Zugehördt nicht specificé inventiren noch Anschlag. Laßen , beliebter maßen ohnvergreifflich in Außwurff gebracht mit 4750. lb
Von dießer Helffte hat der Eheherr vorderist eine tertz von seinen beeden seelig. Eltern S. T. H. Johann Friedrich Eißenmann und Frauen Catharina Margaretha gebohrner Sebitziußin eÿgenthümblichen ererbt und die andere tertz seinem ohneins ältern bruder H. Philipp Gottfried Eißenmann leedigen Goldarbeiter den 30. Aprilis 1716 auß ohnvertheiltem Erb Abgehandelt wegen des übrig. dritten theils aber sich mit deßen jüngerem Hn Bruder H. Geörg Heinrich Eißenmann Med. Lt dergestalten Verglich. daß Er hr. Geörg Heinrich Eißenmann solchen seinen dritten theil einander anders dann dem Eheherrn Zumahlen auch umb keinen Andern Preiß als die völlige Helffte Zu obaußgeworffenen 4750. lb d gerechnet, Zu überlaßen berechtiget, hiengeg. aber der Eheherr, den in dem accord biß Zu deßen end. Erfüllung benahmbßten und Versprochenen Zinß mittlerweile richtig abzuführen schuldig sein solle. Die andere Helffte dießer behaußung und des Corporis der Apotheck ist Hn Philipp Jacob Brackenhoffern vornehme Apothecker und burgern alhie Zuständig.
Specificatio, dessen so noch nicht meinem Inventario Zugebrachter Ehe einverleibt ist. Erstl. die helffte der sogenandten Scheidischen Apothecker behaußung in der Spießgaß Liegendt

Jean Albert Eisenmann hypothèque la maison au profit d’Anne Catherine Schweighæuser née Günther

1718 (27.10.), Chambre des Contrats, vol. 591 f° 538
H. Joh. Albrecht Eißenmann Apothecker
in gegensein Annæ Cat: Schweickhäußerin wittib geb. Güntherin beÿständlich H. Johann Joachim Haubenstrickers alten dreÿers deß Umbgeldts ihres Curatoris – schuldig seÿe 500 pfund
unterpfand, seine helfte ahn der Eißenmännschen Apothec allhier in der Spießgaß
(f° 539) H. Joh. Albrecht Eißenmann Apothecker
in gegensein Ulrich greiners ohlmanns seines Schwehers, schuldig seÿe 600 pfund
unterpfand, die helfte für unvertheilte ahne der Eißenmännschen apotheck samt allen Materialien zugehörden rechten und gerechtigkeit allhier ahne der Spießgaß und ahm Schneidergraben

Anne Catherine Greiner meurt en 1727 en délaissant trois enfants. La succession comprend la moitié de la pharmacie Scheid communément appélée pharmacie des Hallebardes (Spiess-Apotheck). Les experts estiment la maison entière à 3 500 livres. La masse propre aux héritiers s’élève à 2 071 livres. L’actif de la communauté et du veuf s’élève à 3 064 livres, le passif à 4 136 livres

1727 (12.8.), Not. Kolb (Abraham, 22 Not 7) n° 142
Inventarium und beschreibung aller Haab Nahrung undt Güttere so weÿl. die Viel Ehren und tugendbegabte fraw Anna Catharina gebohrne Greinerin deß Wohl Ehrenvest undt Kunst Erfahrenen herrn Johann Albrecht Eißenmanns vornehmen Apotheckers und burgers allhier Zu Straßburg geweste Eheliebste nach ihrem den 21. Aprilis dieses lauffenden 1727.ten Jahrs genommenen Tödlichen ableiben Zeitlichen verlaßen, welche auf Ansuchen und begehren herrn Ulrich Greüners ohlmans undt burgers allhier der verstorbenen seel. leiblich. Vatters alß geschwornen vogts derselben mit ermeltem ihrem hinterbliebenen herrn Wittibern Ehelich erzielter und hinderlaßener dreÿer Kindter und ab intestato Erben, Nahmentlich. Mariæ Magdalenæ, Mariæ Salome undt Catharinæ Dorotheæ Eißenmännin, inventirt – So beschehen Straßburg in fernerem beÿsein fr. Mariæ Magdalenæ Greinerin gebohrner Schweighäußerin der Kindter und Erben Großmutter, So dann Mariæ Elisabethæ Geißelin gebohrner Eisenmännin des H. Wittibers fr. Schwester auff dinstag den 12. aug. a° 1727.

Hültzen und (Schreinwerck). In der gesellen Cammer, In der Magd Cammer, In der Wohnstub, In der Stub Cammer, In der großen Stub, In deß Herren Stub, Vor dießer Stub, Im Hauß öhren, In der Küchen
(f° 14-b) Eigenthumb ane Einer gemeinschafft. Apothecker Behaußung, so deß H: Wittibers unverändert
Die helffte ane der sogenannten Scheidischen apothecker behaußung, vulgo die Spieß apotheck genant, mit allrn deren gebäwen, begriffen, rechten, hoffstätten, Zugehördten undt gerechtigkeiten, geleg. allhier zu Straßburg ane der Spießgaß, i.s. H. Johann Friedrich Rebhahn, Cancellariæ Contractuum Substituto Zum theil vndt theils neben Einem graben der Ulmergraben genant, 2.s. ist ein Eckh am Schneidergraben genant, hinten oder Nebens auff Joh: Michael Rioth den Schneider stoßendt, undt gehet von der gantzen behaußung und in specie aber Einem gengell Jahrs auff Georgÿ 16. ß d. Allmendt Zinnß sonsten ist die völlige behaußung ins gemein freÿ ledig undt Eigen undt aber diese beschwerdt durch (die Werckmeistere) lauth deren beÿm Concept befindlicher Abschatzung vom 19. Xbris 1727. angeschlagen wordt. pro 3500 lb. d. Wovon die helffte H Philipp Jacob Brackenhoffer auch apotheckern undt E: E: Großen Raths allhier beÿsitzern Zuständig. vor die übrige helffte aber allhero auszuwerffen 3500 fl. th. 1750. lb. Darüber soll besagen Ein alter teutscher perg. Kbr. in der Statt Straßb. anhang. hies. Innsiegell verwahrt datirt den 13.t Januarÿ A° 1700. mit altem N° 21 datirt
Corpus der zur hievorbeschriebenen apothecker behaußung gehörigen Materialien apothecker wahren compositorum et Simplicium welche beÿ dieser Verlaßenschafft Inventation Vermög Eines sonderbahren darüber durch H. Philipp Jacob Brandhoffern undt H Johann Preßlern beede vornehmen apothecker (…) in mense Decembri 1727. auffgerichteten Inventarÿ
(f° 18) Ergäntzung der Kinder und Erben Ermanglenden ohnveränderten Gueths. Vermög deß über hievorberührter beeder geweßter Ehegatten durch nunmehr weÿl. H. Notm. Daniel Rohren sel. in A° 1718. auffgerichteten, erst letsthin aber verfertigten undt von H. Not° Joh: Philipp Lichtenberg d. 4. Junÿ 1727. vidimirten undt zu Endt unterschriebenen Zugebrachten Nahrungs Inventarÿ
Norma hujus inventarii. Copia der Eheberedung
Der Kindter undt Erben ohnverändertes Vermögen. Inn Einer allhier in der Statt Straßb. in der Spießgaß undt hernach fol: (-) beschriebener Apothecker behaußung, vulgo die Spieß apotheck genannt: befunden worden alß volgt, Sa. haußraths 180, Sa. Silber undt geschmeids 32, Sa. goldenen Ringen 45, Sa. Schulden 150, Sa. Ergäntzung 1665, Summa summarum 2071 lb
Wirdt auch, weilen die KK. Vogt auf das theilbahre renuncirt deß H. Wittibers undt die Theilbahre Nahrung unter Einer massa beschreiben, Sa. haußraths 95, Sa.Wein u. leeren faß 15, Sa. Silber geschirr und Geschmeids 29, Sa. baarschafft 60, Sa. Eigenthums ane vorher beschriebener apothecker behaußung 1750, Sa. deß zu vorberührten apothecker behaußung gehörig. Corporis 771, Sa. der Vasorum auch Schiff und geschirrs 61, Sa. der Schulden 250, Summa summarum 3064 lb – Schulden 4136 lb, (passiv onus) 1072 lb
Verstallungs Summa 998 lb
Abschatzung d. 19. Xbris aô 1727. Auff begehren des Ehren Vesten und Vorachtbahrn H Johann Allbrecht Eißenman ist eine behausung allhie in der Statt Straßburg in der Spießgaßen gelegen, ein Eckhauß der Spieß apotheck genand, einseits Neben H Johann Friderich Rebhan, anderseits Neben Joh: Michel Rith Schneider welche behausung Stuben, officiers Stub, Kammern, Camin Kämmerlin, Laden, Contor, Küchen, Wovon eine gewölbt, worinnen distelin öffen, und Zweÿ gewölbte Keller sambt aller gerechtigkeit wie solches durch der Statt Straßburg geschworene Werckleuth sich in der besichtigung befunden und Jetzigem preiß nach angeschlagen wird Vor und Umb Sieben Tausend gulden. Bezeichniß durch der Statt Straßburg geschworne Werckleüthe Bezeichniß durch der Statt Straßburg geschworene Werckleuthe [unterzeichnet] Michael Ehrlacher Werck Meister deß Meinsters, Johann Jacob Biermeÿer Werck Meister deß Zimmerhoffs, Johann Peter Pflug Werckmeister deß Mauer hofs
Copia der Eheberedung (…) Straßburg, auff Mittwoch den 15. Septembris 1717. Daniel Roth, Nots. Jur: Publ. Requisit.

Jean Albert Eisenmann hypothèque la maison au profit de son beau-père Ulric Greiner

1728 (29.11.), Chambre des Contrats, vol. 602 f° 531
H. Johann Allbrecht Eißenmann Apothecker
in gegensein seines schwähers H. Ulrich Greiner des Ohlmanns – schuldig seÿe 1000 pfund
unterpfand, die helffte vor unvertheilt ahne der Scheidischen oder so genannten Spieß Apothecker Behausung mit allen derselben gebäuden, begriffen, weithen, zugehörden, Rechten und gerechtigkeiten ahne der Spießgaß, einseit neben H. Johann Friedrich Reebhaan Cancell: Contractuum Substituto zum theil theils neben dem Ullwer graben anderseit neben ist ein Eck ahm Schneider: graben hinten auff Johann Michael Rieth den Schneider, von solchem gantzen hauß und in specie von einem gänglein auff Geörgÿ 16 ß ane allmend zinß hiesiger Stadt Pfenning Thurn

Révision de l’inventaire précédent après la mort de Jean Albert Eisenmann le 22 avril 1730. L’actif de la succession s’élève à 3 222 livres, le passif à 5 699 livres

1730 (13.5.), Not. Kolb (Abraham, 22 Not 7) n° 143
Revisions Inventarium über Weÿl. deß wohl Ehrenvest und Kunst Erfahrnen herrn Johann Albrecht Eißenmanns geweßenen vornehmen Apotheckers und burgers alhier Zu Straßburg seeligen Verlaßenschafft, auffgerichtet Anno 1730. – nach seinem den 22. Aprilis dieses Lauffenden 1730.ten Jahrs aus dießer welt genommenen tödlichen ableiben Zeitlichen verlaßen, Welche Verlaßenschafft auf erfordern und begehren deß Ehrenvest und Vorgeachten Hn Ulrich Greüners Ohlmans undt burgers allhier deß ab resp. Schwäher vatters, alß geschwornen Vogts Mariæ Magdalenæ undt Mariæ Salome Eißenmännin, sein deß Jetzt Verstorbenen seel. mit auch weÿl. der Viel Ehren und tugendreichen fr. Anna Catharina Eißenmännin gebohrner Greünerin ehelich erzielter undt annoch Verlaßenter zweÿer Kindter und ab intestato hinterlassene Erben, auß dem über erstgemelter Fr. Anna Catharina Eißenmännin gebohrner Greünerin alß deß jetz abgeleibten geweßener Eheliebsten seel. Verlaßenschaffts Inventario Vom 12. aug: 1727. allein revidirt – Actum Straßburg undt Sambstag den 13.ten maÿ Anno 1730.

Inn Einer allhier in der Statt Straßb. in der Spießgaß gelegener undt hernach bemerckter Apothecker behaußung, vulgo die Spieß apotheck genannt: befunden worden alß volgt,
Krafft Eingangs gedachten Inventarÿ über der Frawen seel. Verlaßenschafft Auffgerichtet thut der Kindter undt Erben ohnveränderter haußrath fol. 41.a dem Stall Tax nach 180. lb, Sa. Abgangs 15, im Rest 165 lb
Silber undt geschmeids 60, Sa. Schulden 150, Sa. Ergäntzung 1698, Summa summarum 2106 lb
Des Verstorbenen haußraths 15, Sa. Wein u. leeren faß 10, Sa. Silber geschirr und Geschmeids 30, Sa. Goldene Ring 140, Sa. Eigenthums ane vorher beschriebener apothecker behaußung 1750, das Corpus der zue hiehero bemerckter apothecker behaußung gehörig. 771, Vasa 61, Schulden 310, Summa summarum 3222 lb – Schulden 5699 lb – Endlicher Schulden Nachstandt 369 lb

Le tuteur des deux filles survivantes de Jean Albert Eisenmann loue la pharmacie au pharmacien Philippe Jacques Brackenhoffer

1730 (3.11.), Chambre des Contrats, vol. 604 n° 474-v
H. Ulrich Greiner der Ohlmann als vogt weÿl. H. Johann Allbrecht Eißenmann gewesten Apotheckers seines tochtermanns hinterlassenen noch lebender beeder Kinder Maria Magdalena und Maria Salome der Eißenmann
in gegensein H. Philipp Jacob Brackenhoffer apotheckers und E.E. großen Raths alten beÿsitzers
entlehnt, die den curanden eigenthümlich für ohnvertheilt zuständigen hälffte ahne der so genannten Spießapotheck und apothecker behausung mit allen derselben gebäuden, begriffen, weithen, zugehörden, Rechten und gerechtigkeiten ahne der Spießgaß, einseit ist ein eck ahne dem Schneider: graben anderseit neben weÿl. H. Johann Friedrich Rebhan gewesten Concellariæ Contractuum Substituti Erben hinten auff Ignatium Rick den Schneider und auff den Ullwer: graben, sambt allen dazu gehörigen vasen Instrumenten Materialien Medicamenten Simplicibus und Compositis – auff 9 nacheinander folgenden jahren ihren anfang nehmend von jüngst verfloßenen Johann Baptistæ – um einen jährlichen Zinß nemlich 400 gulden

Philippe Jacques Brackenhoffer et Marie Madeleine Eisenmann, femme du pasteur Jean Herrmann, louent la pharmacie au pharmacien Benjamin Hecht

1745 (19.2.), Chambre des Contrats, vol. 619 f° 107
H. Philipp Jacob Brackenhoffer Apothecker und E.E. großen Raths alter beÿsitzer, H. Samuel Friedrich König Med. D. und Practicus als mandatarius Fr Mariæ Magdalenæ geb. Eißenmännin H. M. Johann Herrmann des Pfarrers zu Barr eheliebsten
in gegensein H. Benjamin Hecht des Apotheckers
entlehnt, die sogenannte Spieß Apotheck und Apothecker behausung mit allen deroselben begriffen, weithen, zugehör und rechten und gerechtigkeiten ane der Spießgaß, einseit ist ein eck am Schneider graben, anderseit neben H. Johann Heinrich Hummel dem handelsmann samt allen dazu gehörigen vasen, Instrumenten, Materialien, simplicibus et compositis – auff 18 nacheinander folgenden jahren anfangend am 1. maÿ dieses lauffenden 1745. jahr – um einen jährlichen Zinß nemlich 200 gulden (bedingnussen)

Jean Herrmann, au nom de sa femme Marie Madeleine Eisenmann, et Jean Geoffroi Saltzmann, médecin, au nom de sa femme Marie Salomé Brackenhoffer, louent la pharmacie à Anne Marie Schwangart, veuve du pharmacien Benjamin Hecht

1754 (4.7.), Chambre des Contrats, vol. 628 f° 302-v
H. M. Johann Herrmann diaconus in der neuen oder Prediger kirch als ehevogt Fr. Mariæ Magdalenæ geb. Eißenmännin, ferner H. Johann Kürßner EE Kleinen Raths beÿsitzer und handelsmann und H. Joseph Gottfried Saltzmann Med. Doct. und Practici als ehevogt Fr. Mariæ Salome geb. Brackenhoferin
in gegensein Fr. Annæ Mariæ geb. Schwangardin weÿl. H. Benjamin Hecht gewesten apotheckers wittib beÿständlich H. Johann Georg Eschenauer des handelsmanns
daß sie H. Pf. Herrmann und H. D. Saltzmann vor ihre Fr. eheliebsten und deren erben, er H. Kürßner aber als usufructuarius nicht vor seinen erben, die sogenannte Spießapotheck und apotheck behausung mit allen deroselben begriffen und rechten samt allen dazu gehörigen vasen, instrumenten, materialien, simplicibus et compositis – auff 9 nacheinander folgenden jahren von verwichenen Annunciationis Mariæ anfangend, um einen jährlichen Zinß nemlich 900 gulden

Jean Kürschner, usufruitier (de sa femme Marie Marguerite Brackenhoffer) et Jean Geoffroi Saltzmann, au nom de sa femme Marie Salomé Brackenhoffer, font un projet de bail de la moitié de la pharmacie des Hallebardes au profit de Jean Herrmann, diacre au Temple-Neuf

1763 (s.d.), Not. Dinckel (6 E 41, 435)
Project einer Lehnung – herr Johann Kürschner E.E. großen Raths alter wohlverordneter beÿsitzer als usufructuarius vor sich allein, herr Johann Gottfried Saltzmann Med: Dr. als ehevogt Fr. Mariæ Salome Brackenhofferin
in gegensein herrn M. Johann herrmann wohlverdienten Diaconum in der Neuen oder Prediger Kirch und Fr. Mariæ Magdalenæ geb. Eißenmännin
die ohnvertheilte helfte an der sogenanden Spießapotheck und apothecker behaußung mit allen deroselben gebäuden, begriffen, zugehörden und gerechtigkeiten ane der Spießgaß einseit ist ein eck ane dem Schneider graben anderseit neben herrn Johann Heinrich Hummel dem handelsmann gelegen, wie auch allen dazu gehörigen vasen Instrumenten Matarialien, Medicamentis Simplicibus et compositis, auff 9 nacheinander folgenden jahren von Annunciationis Mariæ 1763 anfangend [sans loyer]
[autre acte, ut supra] auf 18 nacheinander folgenden jahren, um 450 gulden

Marie Salomé Brackenhoffer, Jean Geoffroi Saltzmann et Jean Kürschner louent la moitié de la maison de pharmacie au diacre Jean Herrmann

1763 (20.6.), Chambre des Contrats, vol. 637 f° 309
H. Lt. Johann Carl Spielmann EE. Großen Raths alter beÿsitzer als mandatarius Fr. Mariæ Salome geb. Brackenhofferin, H. Johann Gottfried Saltzmann Medicinæ doctoris und practici eheliebstin, H. Rathh. Johann Kürschner der handelsmann
in gegensein H. M. Johann Herrmann des Diaconi in der Neuen: oder Prediger kirch und Mariæ Magdalenæ geb. Eißenmännin
entlehnt, die unvertheilte helffte der apothecker behausung, die Spieß apotheck genanndt, mit allen begriffen und rechten ane der Spießgaß samt ellen zugehörigen, vasen, instrumenten, materialien, medicamenten simplicibus et compositis – auff 18 nacheinander folgenden jahren von verfloßenen Annunciationis Mariæ – um einen jährlichen Zinß nemlich 225 pfund

Fils du diacre de Saint-Guillaume Jean Herrmann, Jean Herrmann épouse en 1737 Anne Marie, fille de l’aubergiste Jean Daniel Lentz
Mariage, Saint-Nicolas (luth. f° 31-v n° 3)
1737. Montag den 27. Mertz seind nach Zweÿmahl geschehener proclamation in der Evangel. Pfarrkirch Zu St. Niclaus, zu hauß in den Ehestand eingesegnet Word. H. M. Johannes Herrman, Pfarrer der Evangelischen Gemeinde Zu Barr, weil. H. M. Johannis Herrmans, geweßt. Diaconi Zu St. Wilhelm allhier hinterlaßener ehel. Sohn u. Jgfr. Anna Maria Weil. herren Johann Daniel Lentzen geweßten Gastgebers und Burg.s allhie hinterlaßene ehel. Tochter [unterzeichnet] M. Johannes Herrmann Pfarrer in Barr als Bräutigam, Anna Maria Lentzin als braut (i 34)

Anne Marie Lentz meurt trois semaines plus tard à Barr dont son mari est pasteur
Sépulture, Barr (luth. n° 20)
1737. Dienstags d. 16. April, gleich nach 12 uhr ist allhie selig verstorben u. im Herrn entschlaffen T. Fraw Anna Maria Herrmännin gebohrne Lentzin S. T. Hrn M. Johannes Herrmanns, Treüeÿferigen u. wohlmeritirtesten Pfarrers dießer Evangel. gemeinde allhier, hertzgeliebte Frau Eheliebste, wurde Donnerstags darauf als auf den heil. grünen Donnerstag Zur erden bestattet ætatis 22. Jahr 7 monat u. 27. Tage (i 48)

Jean Herrmann se remarie en novembre 1737 avec Marie Madeleine, fille de Jean Albert Eisenmann
Mariage, Saint-Pierre-le-Jeune (luth. f° 147)
1737. Dominica XXII et XXIII Trinit. proclamati sunt Herr M. Johannes Herrmann, Treueifferiger Pfarrer beÿ der Evangelischen Gemeinde Zu Barr v. burger allhie v. Jungr. Maria Magdalena weÿl. Herrn Johann Albrecht Eisenmann Gewesenen Apoteckers v. burgers alhie nachgelaßene ehel. Tochter Copulati sunt Mittw. d. 27. Novembr. [unterzeichnet] M. Johannes Herrmann Pfarrer in Barr als Bräutigam, Maria Magdalena Eissennmänin als Braut (i 151)

Carrière de Jean Herrmann d’après le répertoire de Bopp
Johann Herrmann (Bopp n° 2149) ° Straßburg 5 Juli 1704, Sohn von Johann Herrmann, Pfarrer, und Anna Margaretha Beyckert
imm. in Straßburg, Phil. am 15. April 1721, Magister am 6 Aprilis 1724
1733-1734, Pfarrer in Handschuhheim
1734-1737, Pfarrer in Quatzenheim
1737-1748, Pfarrer in Barr I
1748-1772, Diakon senior in Straßburg, Neue Kirche IV, ab 1763 II – † 29 Juni 1772

Marie Madeleine Eisenmann meurt en 1770 en délaissant huit enfants dont l’un meurt peu de temps après elle. Les experts estiment la maison entière à 1 700 livres. L’actif de la succession s’élève à 4 670 livres, le passif à 3 722 livres.

1770 (5.11.), Not. Schweighæuser (6 E 41, 554) n° 207
Inventarium über Weÿland der hoch-Edlen: Viel-Ehren: und tugendbegabten Fr. Mariæ Magdalenæ Herrmännin geb. Eißenmännin, S.T. H. M. Johannes Herrmann treueiffrigen Diaconi Sen: beÿ der Prediger gemeinde und angesehenen burgers allh. Zu Straßburg geweßene Fr. Eheliebste, nunmehr seel. Verlaßenschafft, Auffgerichtet in anno 1770 – nach ihrem den 15. Junÿ lauffenden 1770.sten Jahrs aus dießer Welt genommenen tödl. hintritt hier Zeitlichen verlaßen hat, Welche Nahrungs Verlaßenschafft heut dato zu end stehend, auff ansuchen erstgedachten herrn Wittibers (…) beneben Jgfr. Catharinæ Bauerin der Haußhälterin – So geschehen allh. Zu Straßb. auf Montag den 5.ten Novembris & seq. Anno 1770.
Die Verstorbene Frau Pfarrerin seelige hat ab intestato zu Erben verlaßen wie folgt 1° S.T. Herrn Johannes Herrmann, Med. Doct. & Prof: publ. extraord. Wie auch angesehener b. allhr. Zu Straßb. 2° Herrn Gottfried Herrmann, Apothecker und auch burger allh: 3° Herrn Johann Friedrich Herrmann J.V. Ltum welche dreÿ Majorennis, und diesem Geschäfft persönlich abwarteten
4° herrn Ludwig Herrmann, ledigen Handels Mann so letzt verfloßenen 17. Junÿ 21 Jahr alt war, 5° Jgfr Mariam Magdalenam Herrmännin, welche 19 Jahr alt, 6° Johann Daniel so 16 ½ Jahr alt Und 7° Margaretham Salome, welche seit dem 23.ten Junÿ letzthin 11 Jahr alt ist. Über diese vorher beschriebene 7. Erben hat die Defuncta auch noch ein töchterlein nahmens Cleophe Elisabetha hinterlaßen, welches seither auch verstorben und von dem H. Wbr. als Vater geerbt worden ist, dieweilen derselbe aber zufolg hernach befindlichen Vergleichs auf dieße Erbschafft renuncirt solche denen Übrigen Kindern ebenfalls abgetretten, so wird solches hier nur Zur Nachricht angemerckt. Und ist in Vorbenannter der 4 jüngern annoch minorennen Kkr. nahmen, welche mit ihrem Ältern H. Bruder H. Doct. Herrmann bevögtigt wind, weilen derselbe beÿ diser Succession selbsten interessirt ist, anbeÿ erschienen herr Joh: Friderich Teutsch der Post: Meister und b: allh: (…) ihr interesse bestens besorgt hat, Alle Sieben der Fr. Pfarrerin seel. mit aingangs benanntem ihem hinterbliebenen H. Wber ehelich erzielte Kinder und ab intestato Zu gleichen Antheilern nachgelaßene Erben.
Vergleich wegen gegenwärtiger Erb: und Verlaßenschafft (…)

In einer allhier Zu Straßburg beÿ der Neuen Kirch gelegenen von dem Herrn Wittiber bewohnenden Pfarr-Behausung befunden orden wie folgt
Eigenthum ane Häußern. Erstl: eine Vorder: und hinter-behausung mit allen deren begriffen, Weithen, Zugehörden, Rechten und Gerechtigkeiten, gelegen allh. Zu Straßb: in der langen Straaß, oberhalb der Schiltz-gaß, 1. s. neben Joh. Georg Jund dem glaßer, modo deßen Erben und Nachkommen, 2. s. neben N. Häßler hinten zum theil auf Mr de Hautewald und zum theil auf das bier-hauß zum Grenadierer stoßend, so freÿ, leedig und Eigen, und Zufolg einer beÿ diesem Concept befindlichen Abschatzung vom 9. Nov. 1770 durch (die Werckmeistere) abgeschätzt und angeschlagen worden pro 500. lb. Dieße behausung hat die Defuncta von ihrem Groß-Vater H. Rathh. Greiner seel. ererbt. Und ist hierüber besagend Vorhanden 1. teutscher pergam. Kauf-brieff mit allhiesiger C. C. Stub anhandendem Innsiegel Verwahrt datirt den 28.ten Januarÿ 1665.
Item die helffte für ohnvertheilt ane der apothecker-behausung, die Spieß oder Sonnen-Apotheck genannt, mit all deren Gebäuen, begriffen, Weithen, Rechten und Gerechtigkeiten, gelegen allh: zu Straßb: ane der Spieß-Gaß 1.s. neben herrn Hirn dem handels-Mann Zum theil, und theils neben einem Graben der Ulmer-Graben genannt, 2.s. ist ein Eck am Schneider-Graben hinten auff N. Maison den Schneider stoßend, von solcher gantzen behaußung und besonders von einem Gänglein gibt mann jährl: löbl: Statt auf dero Pfennigthurn, auf Georgii 16. ß. Allmend zinß, sonsten ist dieselbe freÿ, leedig und Eigen und auch durch Vorbenannte (…) Werck-Meister Zufolg der beÿm Concept liegenden Abschatzung Vom 9. Nov. 1770. æstimirt worden vor 1700. lb. thut zu hieher gehöriger helffte 850 lb. Die übrige helffte ist fr: Dr Saltzmännin zuständig, und hat die verstorbene fr. Pfarrerin seel. von der in ihre Succession gehörigen helffte den halben theil oder die quart an der gantzen behauß. von ihrem Vater weÿl. H. Joh. Allbrecht Eißenmann dem gewes: Apothecker allhier längst seel. und einen 12.t theil von einer nach dem Vater verstorbenen Schwester geerbt, die übrige zweÿ zwölffte theil aber Von ihren Groß-Eltern als geweßenen Miterben, annoch beÿ ihren Leb-zeiten per Cessionem erhalten. Sonsten besagt hierüber und ist Vorhanden I. teutscher pergam: Kauff- Brieff in allh: C. Stub gefertigt und mit deren anhangendem größern Innsiegel verwahrt, de dato 13. Januarÿ 1700.
Corpus der zu hievor-beschriebener Apothecker: behaußung gehöriger Materialien, Apothecker Waaren, Compositorum & Simplicium wie auch Schiff und geschirrs. Die Materialien und Apothecker Waaren welche der jeweilige Lehnungs-beständer in natura zu repræsentiren oder dem Anschlag nach Zu ersetzen hat, sind laut producirten Inventarÿ de Anno 1730. im Monath Junio, durch Herrn Johannes Breßler und Herrn Philipp Jacob Brackenhoffern, bede vornehme Apothecker u. burgere alljier von neuen auffgenomme, und angeschlagen worden, auch Crafft soderbahren darüber in a° 1713. in Majo auffgerichteten theils in schwartz verguldt papÿr und theils in weiß pergament
Joh: Fried: Ströhlin æstimirt pro 2465 lb. Das Schiff und geschirr oder die Vasa et Instrumenten als welche zwar in vorgedachten Inventario specificirt, aber nicht angeschlagen sind, werden hier ohnpræjudicirlich (…)
– Abschatzung vom 9.ten 9. bris 1770, Auff begehren S. T. H. Pfarrer Herrman ist eine behausung allhier In der Statt Strasburg in der Spiesgaß gelegen Ein seits Neben dem schneider graben ander seits Neben dem Ulmergraben und hienden auff H. Mesan stosent gelegen, solche behausung besteht in einer abedeg und Laberadorium, Ferner in Ettlichen Stuben Kammern und Kichen dar jber ist der Dach stuhl mit breitzieglein belegt, hat auch ein gewölbten Kaller und brunnen, Vor und Vmb Dreÿ Thausent Vir Hundert gulden
Der Zweÿte begriff ist Auch alhir in der Statt Strasburg in der Langen Straß gelegen Ein Seites neben dem H Jundt dem glaser ander seites neben H. Heßler und hienden auff eine behausung Löbl. Statt geherig, solche behausung besteht in Ferder Mitler und hiender gebeÿ warinnen Ettliche Stuben Kammern und Kichen dar jber seindt die Dach Stühl mit breitzieglein belegt hat auch ein Gewelbten Keller zweÿ häiff und einen brunnen. Von uns Unterschriebenen der Statt Strasburg Geschwornen Werckmeister nach Vorher geschehener besichtigung mit aller jhrer gerechtigkeit Dem Jetzigen wahren wert nach Estimirt und angeschlagen worden Vor und umb Ein Thausent Gulden [unterzeichnet] Werner, Sebastian Hueber
Wÿdem, So die verstorbene seel. aus weÿl. S.T. H. Doct: & Prof: Georg Heinrich Eißenmann ihres H. Oncle seel. Verlaßenschafft lebtägig zu genießen hatte, nunmehr aber ihrer dermahlen annoch lebenden 4. jüngen Kkn als instutuirt und resp° Substituirten Erben anheil fällig ist. Es hat nemlich vorbenannter H. Dr Eißenmann seel. in den den 9. Aug. 1768. auffgerichteten beÿ H. Not° Joh: Jacob Grießbach deponirt befindl. Testament geordnet (…)
Series Rubricarum hujus Inventarÿ. Copia der Eheberedung Copia Codicilli
Sa. hausraths 427 lb, Sa. der Bibliothec 50 lb, Sa. Weins und lehrer Faß 54 lb, Sa. Silbers und dergleichen Geschmeidt 200 lb, Sa. goldener Ringe 46 lb, Sa. Pfenningzinß hauptgüther 375 lb, Sa. des Eigenthums ane Häußern 1350 lb, Sa. des Apothecker Corporis 888 lb, Sa. der Schulden 1278 lb, Summa summarum 4670 lb – Passivorum 3722 lb, Nach deren Abzug 948 lb
Hierzu Kommen des Zween älteren verheuratheten Herrn Söhne erhaltene Ehesteuren 1490 lb – Stall summa 5974 lb
Eheberedung (…) den 7. Novembris 1737, Abraham Kolb Nots.

Le pharmacien Geoffroi Herrmann (fils des précédents) loue un logement à Jacques Joseph Demaude, secrétaire à l’intendance d’Alsace, et à Catherine Lemarchand

1771 (4.9.), Not. royal Lacombe (6 E 41, 143)
Bail – Sr Godfroy Hermann appoticaire – bail pour 9 années consésutives qui commenceront à courir à la St Michel prochaine
à Mr Jacques Joseph Demaude, secrétaire à l’intendance d’alsace, et Catherine Lemarchand
un appartement dans la maison qu’il occupe présentement en cette ville rue des Hallebardes composé Led. appartement du second étage en entier et sans réserve, de deux pièces au troisième et d’un grenier au quatrième étage, d’une partie de la cave qui regne sous la maison lad. partie étant celle qui est à droite en descendant et qui a pour jour un soupirail qui donne dans la cour. Plus et enfin de l’usage commun de la buanderie pour la lessive
stipulé que le Sr bailleur fera mettre d’icy à la St Michel prochaine les pièces composant led. appartement en Etat d’etre occupé sur le pied convenu entre les parties, savoir faire abbattre le tuyau de la cheminée qui se trouve actuellement dans le petit vestibule à gauche de l’appartement du second étage, de faire construire une niche en maçonnerie et y poser un fourneau de fonte dans le grand poel qui donne sur les deux rues et de faire remplacer à neuf les marches de l’escaler qui conduisait du premier au second étage
2. (autorisés de faire des améliorations évaluées à 400 livres) faire mettre une cloison dans le grand poel avec une porte de communication dud. poel dans la chambre qui est a côté donnant sur la rue des Hallebardes et enfin une alcove dans la chambre à coucher – moyennant un loyer annuel de 200 livres

Le marchand Louis Herrmann hypothèque un septième de la moitié de maison au profit des quatre plus jeunes enfants de Marie Madeleine Herrmann née Eisenmann

1773 (12.2.), Chambre des Contrats, vol. 647 f° 52
H. Ludwig Herrmann der handelsmann beÿständlich seines curatoris ad actum H. Gottfried Herrmann des apotheckers
in gegensein S.T. H. Professoris Johann Herrmann alß geordneten vogts weÿl. Fr. Mariæ Magdalenæ Herrmannin geb. Eißenmännin hinterlassenen 4 jüngeren kinder – schuldig seÿe 2400 gulden
unterpfand, Primo den ihme eigenthümlich zuständigen 7.t theil ane der helffte der anoch unvertheilten Spießapotheck ane der Spießgaß, einseiths theils H. Hirn dem handelsmann theils den Ulmergraben, anderseits ist eck ane dem schneidergraben, hinten H. Maison den schneider – von der gantzen gibt man löbl: Stadt Pfenning Thurn auff Georgÿ 16 ß allmend zinß
item ein 7. theil vor unvertheilt von und ane einer behausung cum appertinentis ane der Langen straß, einseit neben eins. N. Haßler dem perruquenmacher, anders. neben N. Jund dem glaßer, hinten theils H. d’Hauteval theils die bierbehausung zum Granadier
H. Johann Friedrich Herrmann, vor H. Debitorem seinen bruder, alß bürg

La maison figure à l’inventaire des apports de Georges Jérôme Kob et de Marie Madeleine Herrmann

1773 (30.10.), Not. Schweighæuser (6 E 41, 555) n° 244
Inventarium über des Wohl-Edlen: und großachtbahren Herrn Georg Hieronimus Kob, Material-handels-Manns und der Viel-Ehren und tugendbegabten Frauen Mariæ Magdalenæ gebohrner Herrmännin, beeder Ehe-Persohnen und burgere allhier zu Straßburg einander für ohnveränderte in die Ehe zugebrachte Nahrungen auffgerichtet in Anno 1773 – und sich in dem den 1. Februarÿ laufenden 1773.sten Jahrs vor unterschriebenen Notario errichteten Ehe Contract für unverändert vorbehalten haben
So beschehen in fernerm beÿseÿn S° T° herrn Doctoris et Professoris Johannes Herrmann, der Ehefrauen leibl. herrn bruders und geschwornenn Vogts als hierzu erbettenen beistands, Straßburg auf Sambstag den 30. Octobris Anno 1773

In einer allhier Zu Straßburg ane der Fladergaß gelegen dem Eheherrn Zur Hälfte gehörigen und hernach beschriebenen behausung befuden worden wie folgt
Eigenthum ane Häußern. (F.) Erstl. Ein Siebender theil für ohnvertheilt von und ane Einer Vorder: und hinter: behaußung mit allen deren Gebäuden, begriffen, Weithen, Zugehörden, Rechten und Gerechtigkeiten, gelegen allh. Zu Straßb. in der Langen Straaß oberhalb der großen Schiltzgaß, 1. s. neben Joh. Georg Jund des glaßers Erben 2. s. neben N Häßlern hinten z. th. auf Mr de Hautewald u. z. thl. af. das bierhaus zum Grenadier: stoßend, so freÿ, leedig u. Eigen und hieher ohn præjudicirlich æstimirt pro 2500 lb, thut zu dißortiger Ehefr. deren participîrendem Siebenden theil 357 lb, Welchen Antheil dieselbe von ihrer fr. Mutter weÿl. fr: Pfr: Mariæ Magdalena Herrmännin geb. Eißenmännin seel. ererbt, und sind die übrige 6/7.te theil ihren Sechß Geschwüsteren und Mit-Erben eigenthüml. zuständig. Hierüber ist vorhanden i. teutsch. pergam. Kfbrief in der St. Straßb. anh. C. C. Inns. Verwahrt, de dato 28.ten Januarÿ 1665, welchen hr: Prof. Joh: Herrmann der ältere bruder in gemeinschaftl. Verwahrung hat.
(F.) Item Ein Vierzehender theil für ohnvertheilt von und ane der Apothecker-behausung, die Spieß oder Sonnen Apotheck genannt, mit allen deren Gebäuen, begriffen, Weithen, Rechten und Gerechtigkeiten, gelegen allh: zu Straßb: ane der Spieß-Gaß, 1.s. neben hn. Hirn dem handels-M: Zum thl, u. Z. thl. neben einem dem Ulmer-Graben, 2.s. ist ein Eck am Schneider-Graben, hinten auff N. Maison den Schneider stoßend, davon und besonders Von einem Gänglein, gibt mann jährl: löbl: St. Pfthn. 16. ß. Allmend-zinnß, sonsten ist solche Behauß: freÿ, leedig, Eigen hier samt dem darzu gehörigen Apothecker-Corpore und an deren Apothecker-Waaren, wie auch Vasis et Instrumentis bestehend, ohnpræjudicirlich zu æstimiren beliebt worden vor 12.465 lb 6 ß. 3 d. Zu hieher gehörigen 14. theil anlangend 890. Von denen übrigen 13/14 theilen sind fr: Dr Saltzmännin geb. Brackenhofferin 7/14.te theil, und einem jeeden der Ehefrauen Sechß Geschwüsteren als Mit-Erben gleich Ihro für ererbt Mütterlich guth 1/14.te theil eigenthümlich zuständig. Und besagt über dieße Behaußung I. teutsch. pergam: Kauff-Brieff in allh: C. C. Stub gefertigt u. m. dero anh. größeren Ins. verwahrt, sub dato 13. Januarÿ 1700. Welchen Vorgedachter hr. Prof. Johann Hermann der ältere bruder in gemeinschaft. Verwahrung hat.
(M.) Erstl. die helfte für unabgetheilt von und ane Einer behausung, hoff, Gemeinschafft des bronnens und Hoffstatt mit allen deroselben Gebäuden, begriffen, Weithen, Zugehörden, Rechten und Gerechtigkeiten, allh. Zu Straßb. ane der Fladergaß (…)
Series rubricarum hujus Inventarÿ, des Eherrn zugebrachtes Guths, hausrath 2 lb, Silber 23 lb, baarschafft 36 lb, behausung 4000 lb, summa summarum 4062 lb, schulden 4000 lb, Nach deren abzug 62 lb
Series rubricarum hujus Inventarÿ. Des Eheherrn zugebrachten Guths, Sa. haußraths 2, Sa. Silbers u. dergl. Geschmeids 23, Sa. der baarschaft 36, Sa. Eigenthums ane einer behaußung 4000, Summa summarum 4062 lb – Schulden 4000 lb, Nach deren Abzug 62 lb
Dießemnach wied auch der Ehefrauen für unverändert in die Ehe zugebrachtes Guth beschrieben, Sa. hausraths 385 lb, Sa. Silbers und dergleichen Geschmeids 54 lb, Sa. goldener Ring und dergleichen Geschmeids 121 lb, Sa. baarschafft 32 lb, Sa. des Eigenthums ane häußern 1247 lb, Sa. Schulden 1577 lb, Summa summarum 3417 lb – Schulden 384 lb, Nach deren abzug 3033 lb – haussteuren 167 lb

Jean Daniel Herrmann, fils cadet, mineur et célibataire du pasteur Jean Herrmann, meurt en 1774. La maison appartient pour moitié aux héritiers Herrmann et pour l’autre moitié à la femme Saltzmann.

1776 (1.2.), Not. Schweighæuser (6 E 41, 557) n° 278
Inventarium über Weÿland Herrn Johann Daniel herrmann, auch weÿld. M. Johannes Herrmann gewesenen Diaconi Sen: beÿ hiesiger Prediger Gemeinde seel. nachgelaßenen jüngern annoch minorennen Sohns, nun auch seel. Verlaßenschafft auffgerichtet Anno 1776 – nach seinem den 4.ten Novembris 1774. aus dieser Welt genommenen tödlichen hintritt hie zeitlichen verlaßen – So Geschehen Straßburg den 1. Februarÿ Anno 1776
der Verstorbene seelige hat ab intestato zu Erben verlaßen wie folgt. 1° S.T. Herrn Johannes Herrmann Med: Doct: & Prof: extraord: auch burger allh. zu Straßb: seinen ältern bruder, 2° Herrn Johann Gottfried Herrmann, Apothecker und auch burger allhier, seinen zweÿten bruder, 3° Herrn Johann Friedrich Herrmann J: V: Ltum so dermahlen abweßend und daher laut producirter Vollmacht de dato Moscau den 10. 9.bris neuen Stils 1775. seinen Vorbenannten ältern bruder Herrn Prof: Herrmann zu seinem Mandatario constituirt hat, 4° Herrn Ludwig Herrmann, leedigen Handels: Mann und Burger allhier den jüngern bruder, 5° Frau Mariam Magdalenam Kobin geb. Herrmännin herrn Georg Hierominus Kob, des Handels-Manns und burgers allhier Ehefrau, die ältere Schwester, So dann 6° Jungfrau Margaretham Salome Herrmännin, die jüngere Schwester, welche mit mehrgedachtem ihrem ältern bruder herrn Prof. Herrmann bevögtigt ist. Und Zwar soviel das Eisenmännische Substitutions guth anbelangt, die dreÿ letztere Allein, Zu gleichen theilen Zu dem übrigen Vermögen aber alle sechß geschwüsterde Zu Sechß gleichlingen Portionen

Das von weÿland Herrn Doct. & Prof. Heinrich Eißenmann herrührige Guth, wovon der dißortige Antheil per substitutionem denen dreÿen jüngern Geschwüsterden Allein Zukomten belaufft sich nach Ausweißung der darüber beÿ des Defuncti Elterlichen Verlaßenschafft Abtheilung befindlichen berech: und Ausweißung in Sa. auf 6238 lb
Antheil ane einer behaußung und darzu gehörigem Apothecker-Corpore. Neml. der 14.de theil für unvertheilt von und ahne der Apothecker-Behaußung, die Spieß: oder Sonnen-Apotheck genannt, mit all deren Gebäuen, begriffen, Weithen, Rechten, Zugehörden und Gerechtigkeiten, gelegen allh: Zu Straßb: ane der Spieß-Gaß, 1.s. neben H. Hirn dem Handels-Mann Zum theil, und Zum theil neben dem Ulmer-Graben, hinten auff N. Maison den Schneider stoßend, Von welcher Behaußung und besonders von einem Gänglein, löbl. St. Pfthrn: jährl: auf Georgii 16. ß. Allmend-Zinß gereicht wird, sonsten aber ist dieselbe freÿ, leedig, eigen und nebst dem Apothecker-Corpore und darzu gehörigem Schiff und Geschirr, Anno 1770. beÿ Mütterlicher Verlaßenschaffts-Inventur angeschlagen und berechnet worden pro 1738 lb, zu dießortigem 1/14.ten theil antreffend 248- 6- 11. Solchen Vierzehenden theil hat Defunctus Von seiner Mutter seel. ererbt, und sind Von denen übrigen 13/14.ten theilen seinen Geschwüsterden denen hierseitigen Erben 3/7.te theil und fr: Dr. Saltzmännin die helfte oder 7/14.te theil eigenthüm: zuständig. Über diese Behaußung besagt ein in allh. C.C. Stub gefertigter Teutscher pergam: Kauf-brieff de dato 13. Januar. 1700, Welchen hr. Prof: Herrmann in gemeinschafftl. Verwahrung hat
Bericht wegen gegenwärtiger Erb: und Verlaßenschafft. Es haben die Erbs: Interessenten gleich Anfangs dieser Inventur einen Von dem herren Erb-Laßer seel. hinterlaßene privatim errichtete Letzte Willens-Verordnung, so hernacher copialiter einverleibet wird, producirt, mit Vermelden daß obschon dieselbe in Rechten Keinen bestand hätte, sie solche dennoch aus Liebe zu ihrem seel. Bruder Vollzogen haben wollen (…)
Series rubricarum hujus Inventarÿ. das von weÿl. H. Dr und Prof: Georg Heinrich Eisenmann, 1252 lb, macht deren, die einem jeden der Vorgedachte 3. Subtsitutions Erben anfällige tertz 517 lb
Dießemnach wird auch die übrige Verlaßenschafft beschrieben, Sa. Pf.zinßzs und deßen hauptguths 342 lb, Sa. Antheils ane einer behausung 248 lb, Sa. Schulden 21 lb, Summa summarum 612 lb – Schulden 114 lb, Detrahendo 498 lb
Stall Summa 1750. lb
Letzter Will, So geschehen Straßburg d. 5. Septembris Im Jahr 1774

Marie Madeleine Herrmann femme de Georges Jérôme Kob hypothèque la maison au profit d’Isaac Ehrenholtz, conseiller aulique à Deux-Ponts

1777 (9.12.), Chambre des Contrats, vol. 651 n° 447-v
Fr. Maria Magdalena geb. Herrmännin H. Georg Hieronimus Kob des materialisten ehegattin und H. Ludwig Herrmann des materialisten
in gegensein SSTT. H. Isac Ehrenholtz des hochfürstl. zweÿbruckischen cammer rath in deßen nahmen H. Johann Ehrlenholtz des weinhändlers deßen H. bruder – schuldig seÿe 3400 gulden
unterpfand, der mitschuldnerin Fr. Kob den ihre zuständigen 6.ten theil ingleichem H. Herrmann dero bruder den ihme vor unvertheilt gehörigen 6.ten theil ane der zur Sonnen oder Spieß apotheck benanntliche behausung ane der Spießgaß, einseit ist ein eck ane dem Schneidergraben, anderseit neben den Ulmergraben, hinten auff denselben

Les consorts Herrmann et Marie Salomé Brackenhoffer, veuve de Jean Geoffroi Saltzmann, vendent onze douzièmes de la maison au pharmacien célibataire Jean Daniel Niethammer

1781 (24.3.), Chambre des Contrats, vol. 655 f° 151-v
Erschienen SSTT. H. Johannes Herrmann Mediciniæ et Philosophiæ doctor et professor ordinarius logices et metaphisices, H. Gottfried Herrmann der Apotecker, H. Lt. Johann Friedrich Herrmann EE. Grosen Raths dermahliger beÿsitzer, H. Ludwig Herrmann der handelsmann, Fr. Maria Magdalena Kobin geb. Herrmann H. Georg Hieronÿmus Kob des materialisten ehefrau, Fr. Maria Salome Saltzmännin geb. Brackenhofferin weÿl. H. Johann Gottfried Saltzmann Medicinæ Doctoris et practici wittib beÿständlich H. Johann Daniel Saltzmann notarii publici und practici
in gegensein H. Johann Daniel Niethammer des ledigen aber grosjährigen Apotheckers
11/12 theil einer ane der Spießgaß einseit neben H. Frantz Hirn dem handelsmann dazwischen der sogenannte Ulmergraben, anderseit ist ein Eck ane dem Schneidergraben, hinten auff H. Ludwig Maÿé dit St Louis den schneider gelegenen Apothecker behausung und hoffstatt mit allen deren übrigen gebäuden, begriffen, weithen, zugehörden, rechten und gerechtigkeiten – davon soll man den 23. April der löbl: Stadt Pfenning Thurn 16 sch. ane Allmend zinß – woran ihre Fr. Saltzmann 6/12 oder die helffte und jedem der obbenambsten Herrmannischen geschwinstigen 1/12
wie auch 11/12 an allen in solcher apotecke gehörigen gefäßer, instrumenten, materialien, artzeneÿen simplicibus et compositis, wie solche in dem den 27. maÿ 1730 darüber errichteten verzeichnis und derßelbe in Annis 1745 et 1746 angesehenter (…) revision enthalten – um 22.000 gulden

Fils du pasteur de Saint-Guillaume Jean Niethammer, le pharmacien Jean Daniel Niethammer devient tributaire chez les Pelletiers en 1778
1778, Protocole de la tribu des Pelletiers (XI 333) 1778-1791
(f° 76-v) Sambstags den 10.den Novembris Anno 1781.
A.C. Herr Johann Daniel Niethammer, der Apotheker und Burger dahier, Herrn Johannes Niethammer des Pfarrers bei der Evangelischern Gemeinde Zu St. Wilhelm und Burgers hieselbst ehelicher Sohn, præsentirte Stallschein vom 23. Octobris 1781
(…)
Erkannt, wird jedem derer obgedachten vier Herren Comparenten in seinem Begehren, gegen Erlag der Hälfte der Von Gnädigen Herren den Fünfzehen angesetzten neuen Gebür von 6. fl. vor die Zunft, 5 ß vor das Findlinghaus und 1 fl. Vor den Zunftschreiber und Büttel, hiermit gerichtlich willfahret, worauf alle vier die gewohnliche Handtreu an Eÿdes statt Gerichtlich abgelegt haben.

Jean Daniel Niethammer cotise à la tribu du Miroir en qualité de pharmacien
1781, Protocole de la tribu du Miroir (XI 279)
(f° 272-v) Montags, den 10. Decembris 1781
E. Geldzünftiger – H Joh: Daniel Niethammer des H. Johann Niethammer, Pfarrers Zu St. Wilhelm alhier, ehl. Sohn, welcher bei den Kürschnern leibzünfftig, hat man gegen Erlag 2 lb 8 ß 4 d Geldzünftig als Apotecker angenommen, promisit (dt 2 lb 8 ß 4 d, 7 ß 4 d Findl.)

Jean Daniel Niethammer passe un contrat de mariage avec Marguerite Salomé Herrmann (propriétaire du dernier douzième de la maison). Le mariage ne sera pas célébré.
1781 (17.2.), Not. Saltzmann (Jean Daniel, 6 E 41, 614) n° 212
Eheberedung – Erschienen der Woledelvest und Kunsterfahrene Herr Johann Daniel Niethammer, lediger Apotecker, hochwolehrwürdigen und wolgelehrten Herrn Johannes Niethammer, treueiferigen Pfarrers und Seelsorgers zu St Wilhelm und burgers alhier, mit weiland der viel-Ehren- und Tugend-begabte Frau Susanna Magdalena geborener Theurer, ehelich erzeugter anjetzo grosjährige mittlere Sohn, als Bräutigam, an einem Theil
So dann die woledle und tugendgezierte Jungfrau Margaretha Salome Herrmann, des Weiland wolehrwürdigen und wolgelehrten Herrn Magister Johannes Herrmann, gewesenen hiesigen Burgers und treueiferigen ältesten Helfers bei der Prediger oder neuen Kirche alhier und auch weiland der viel Ehren und tugendreichen Frau Maria Magdalena gebohrner Eisenmann nach Tod hinterlaßene jüngere eheliche Tochter, als Braut, beiständlich ihres ältesten H Bruders
Straßburg auf Sambstag den 17. Februarii anno 1781 [unterzeichnet] Johann Daniel Niethammer Als Bräutigam, Margaretha Salome Hermännin als Braut, Joh: Herman D Bruder und Vogt, Gottfried Herrmann als Bruder, Joh: Fridr. Hermann Jur. Jtr. Lic. als Bruder, Ludwig Hermann ams Bruder

Marguerite Salomé Herrmann épouse en 1783 le marchand Jean Frédéric Christophe Stein, originaire de Wiesbaden : contrat de mariage, célébration
1783 (13.3), Not. Schweighaeuser (6 E 41, 567)
Eheberedung – persönlich erschienen seÿe Herr Johann Friederich Christoph Stein, Handels Mann und Burger allhier Zu Straßburg, weiland Herrn Johann Philipp Stein, geweßenen Cammer Assessoris in Wißbaden, mit auch weiland frauen Maria Catharina geborner Haberkornin Eheberedung erzeügter Sohn als Bräutigam, ane Einem,
und Jungfrau Margaretha Salome Herrmännin, weiland Herrn M. Johannes Herrmann gewesenen treueifrigen ältesten Diaconi beÿ der Prediger Gemeind und angesehenen Burgers allhier mit ebenfalls weiland frau Maria Magdalene gebohrener Eisenmännin ehelich erzeugte tochter, als Braut, beiständlichen ihres Herrn Bruders und geschwornen Vogts, S. T. Herrn Johannes Hermann, Medicinæ Doctoris et Professoris beÿ allhiesiger löblicher Universitæt, am andern theil
Straßburg auf Donnerstag den 13. Martÿ Anno 1783 [unterzeichnet] Johann Friedrich Christoph Stein als Bräutigam, Margaretha Salome Herrmänin als Braut

Mariage, Temple-Neuf (luth. f° 113 n° 21)
Im Jahr Christi 1783 Montags den 28. Aprill Nachmittags um Zweÿ Uhr sind nach geschehenen proclamationen Festo Paschatos und Dominica quasimodogeniti in der Prediger-Kirch offentlich copulirt und ehelich eingesegnet worden herr Johann Friedrich Christoph Stein, lediger Handelsmann und burger allhier von Wißbaaden gebürtig weÿland herrn Johann Philipp Stein geweßenen hochfürstlich Nassau-Usingischen Cammer-Assessoris daselbsten und weÿland Frau Mariæ Catharinæ geborner Haberkornin hinterlaßener ehelicher Sohn und Jungfrau Margaretha Salome Herrmännin weÿland Herrn Magister Johannes Herrmann geweßenen Diaconi Senioris beÿ allhießiger Prediger-Kirch und burgers allhier und weÿland Frau Mariä Magdalenä gebohrener Eisenmännin hinterlaßene eheliche Tochter [unterzeichnet] Joh: Friderich Christoph Stein als Bräutigam, Margareth Salome Hermännin als Braut (i 114)

Le douzième de la maison figure à l’inventaire de leurs apports.

1783 (11.7.), Not. Schweighæuser (6 E 41, 560) n° 380
Inventarium über Herrn Johann Friedrich Christoph Stein, des Handels-Manns und Fraun Margarethæ Salome geborner Herrmännin, beÿder Ehepersohnen und Burgere allhier Zu Straßburg einander für unverändert in die Ehe Zugebrachte Nahrungen, auffgerichtet im Jahr 1783. (…) und sich in der vor unterschriebenem Notario den 13. Martii laufenden Jahrs auffgerichteten Eheberedung §° 3° für Eigen und unverändert vorbehalten haben (…) So geschehen in Einer allhier Zu Straßburg ane der Knoblauchs-Gaß gelegenen disorts lehnungs Weise bewohnenden Behausung, in Beisein S. T. Herrn Johann Herrmann Medicinæ Doctoris et Professoris P. O. beÿ allhiesiger löblicher Universität, der Ehefraun herrn Bruders und annoch ohnentledigten Vogts, als hierzu erbettener beÿstands Straßburg auf Freÿtag den 11.ten Julii Anno 1783
(f° 8-v) Eigenthum ane einer Behausung und Apotheck. (F.) Nemlichen Ein Zwölfter theil für ohnvertheilt, von und ane der apothecker: Behausung die Spieß oder Sonnen-apotheck genannt samt dem darzu gehörigen apothecker-Corpore, in Materialien und apothecker-Waaren bestehend, als welche der jeweilige Lehnungs-Beständer in natura zu repræsentiren oder den Werth dafür nach dem anno 1730. im Monath Junii darüber errichteten Inventario mit 2465. lb 6. ß 3. d. zu ersetzen hat, wie auch dem dabeÿ befindlichen Schiff und geschirr, oder denen Vasis et Instrumentis, so auch in vorgedachtem Inventario specificirt, aber nicht æstimirt sind, mit allen übrigen Zugehörden, Weithen, Rechten und Gerechtigkeiten, gelegen allhier zu Straßburg ane der Spießgaß Einseit neben herrn Hirn dem Handels-Mann zum Theil und zum Theil dem Ulmer Graben, anderseit ist ein Eck am Schneidergraben, hinten auf herrn (-) Maison den Schneider stosend. Von solcher Behausung und besonders von einem Gänglein gibt mann jährlich löblicher Stadt Pfenningthurn auf Georgii 16. ß allmend Zinnß, sonsten ist diese Behausung freÿ, leedig, Eigen und wird der hieher gehörige Zwölfte Theil ohnpræjudicirlich geschätzt vor 1100 lb. Als nach welchem Preiß Herr Niethammer der Apothecker die übrige 11/12.te Theil zufolg Kauffverschreibung in allhiesiger C.C. Stub vom 4. Martii 1781. von Fraun Doctor Saltzmännin und hierseitiger Ehefrau Fünf älteren Geschwüsteren käuflichen an sich gebracht hat. Diesen zwölften theil hauses und der apotheck hat die Ehefrau von ihrer Fr: Mutter seelig ererbt, wie solches über die Mütterl. Erbschaft besagende durch mich Not.m A° 1772. ausgefertigte Designation ausweiset. Die Verstorbene Frau Mutter aber hat die hälfte beseßen und davon den halben Theil oder die Quart ane der gantzen Behausung von ihrem Vater weil. H. Joh. Albrecht Eisenmann dem geweseneb apothecker allhier längst seeligen und einen zwölften Theil von einer, nach dem Vater verstorbenen Schwester geerbt. Die übrige 2/12.t Theile aber von ihrem groß-Eltern mütterl. Seite, als gewesenen Miterben annoch beÿ ihren lebzeiten per Cessionem erhalten und ane sich gebracht. Sonsten besagt hierüber ein Teutscher pergamentener Kauffbrieff in allhies. C.C. Stub gefertigt und mit dero anhangendem grösern Insiegel verwahrt sub dato 13. Januarii 1700.
Series rubricarum hujus Inventarii. Des Eheherrn eingebracht guth, Sa. hausraths 206, Sa. Silbers 27, Sa. goldenen rings 67, Sa. handels: fonds 929, Summa summarum 1230 lb – Darzugelegt doe Ihme gebührige Hälfte ane denen Haussteuren 83 lb – Des Eheh. Guth 1314 lb
Solchemnach wird auch der Ehefraun eingebrachtes Vermögen beschrieben, Sa. hausraths 276, Sa. silbers 34 lb, Sa. goldener Ringe 212, Sa. Pfenning Zinnß hauptgüter 1968, Sa. Eigenthums and einer behausung 1100, Sa. Schulden 130, Summa summarum 3713 lb – Darzu ist Ihro auch die hälfte ane denen haussteuren gebührig 83 lb – Der Ehefrau eingebr. guth 3797 lb

Jean Daniel Niethammer loue un logement au docteur en médecine Béat Ignace Lachausse

1783 (17.10.), Chambre des Contrats, vol. 657 f° 432
H. Johann Daniel Niethammer der apothecker
H. exsenatoris Beatus Ignatius Lachausse des medicinæ doctoris und practicii
lehnungs weiße, in der dem H. verlehner eigenthümlich zuständig in der Spießgaß gelegenen Apothecker behausung, eine vollständige wohnung bestehend aus dem gantzen zweÿten stock, ferner zwo cammern im dritten stock eine unterschlagen und einen holtzplatz auff der bühn – auff 9 nacheinander folgenden jahren von verwichenen Michaelis tag – um einen jährlichen Zinß nemlich 200 livres

Jean Daniel Niethammer sollicite le consentement de son père à son mariage avec Françoise Charlotte Lachausse, fille de Béat Ignace Lachausse. Le père déclare avoir ses raisons pour refuser de signer le contrat de mariage mais ne s’oppose pas aux intentions de son fils âgé de trente-six ans.
1784 (16.2.), Not. Saltzmann (Jean Daniel, 6 E 41, 619) n° 108
Ehrfürchtvolles Begehren H. Joh: Daniel Niethammer, des Apotheckers, an seinem H Vater
Montags den 16. Februarii anno 1784. begab sich Hr. Joh: Daniel Niethammer, der hiesige burger und ledige Apothecker, in Gegenwart und mit Zuziehung der unterzeichneten der Stadt Straßburg geschwornen Notariorum in seines H. Vaters H. Johannes Niethammer, des evangelischen Pfarrers bei der Gemeinde Zu S. Wilhelm und burgers alhier, Wohnbehausung, allwo der Requirent, welcher schon seit dem 2. Februarii anno 1778 sein dreisigstes Jahr zurückgelegt hatte, in schuldige Ehrfurcht das schon vorhin getane geziemende bitten, auch heute mehrmalen widerholet nochmalen solchen seinen H. Vater pflichtmäsig angesprochen und gebeten, er mögte siene Einwilligung zu dessen mit Jgfr. Maria Francisca Charlotte Lachausse, des H. Exsenatoris und Medicinæ Doctoris Beati Ignatii Lachausse alhier ehelichen Tochter vorhabenden Verehelichung geben um so mehr als er sie vor sich vorteilhaft halte.
Worauf der H Vater aber Zur Antwort erteilte, daß er zwar solches seines H. Sohns Heurat nicht hindern wolle, er gleichwol besondere Ursachen habe, aus welchen er die Eheberedung nicht unterschreibe. daß übrigens der Sohn schon sechs und dreisig Jahr alt, mithin sein eigener herr seÿe, und nach Gutbefinden handeln könne. Über welchen mit Erlaubnus des SS. TT. regirenden Herrn Ammeisters Zufolg seines vorgestrigen decrets niedergeschriebenen Vorgang der Hr Sohn Act verlangte, um sich dessen Zu gehöriger Zeit und Ort bedienen zu können, so ihm gewährt, sofort von beden Hh. Comparenten und den Notarius nach geschehener Ablesung unterzeichnet

Jean Daniel Niethammer épouse en 1784 Marie Françoise Charlotte Lachausse : contrat de mariage, célébration à Fessenheim (mariage mixte)
1784 (17.2.), Not. Saltzmann (Jean Daniel, 6 E 41, 614) n° 248
Eheberedung – Herr Johann Daniel Niethammer, lediger Apotecker, des H. Johannes Niethammer evangelischen Pfarrers zu St Wilhelm und burgers alhier, mit weiland Frau Susanna Magdalena geborener Theurer, ehelich erzeugter mitlere anjetzt grosjährige Sohn, als Bräutigam, an einem Teil
Sodann Jungfrau Maria Francisca Charlotte Lachausse, des H. Beatus Ignatius Lachausse, Medicinæ Doctoris, bischöffichen Hofraths zu Basel und E. E. grosen Raths dahier alten Beisitzers, mit weiland Frau Maria Anna geborener Heupel ehelich erzielte Tochter, als Braut, beiständlich dieses ihres H. Vaters an dem andern Teil
Straßburg den 17. Februarii anno 1784 [unterzeichnet] H. Daniel Niethammer als Bräutigam, françoise charlote Lachausse

Mariage, Fessenheim (p. 32)
Hodie die 24. mensis Februarÿ anni 1784 unâ proclamatione cum dispensatione super duabus in ecclesia parochiali ad sanctum Laurentium argentinæ facta (…) ac unâ pariter facta in parochiâ confessionis augustanæ ad Sanctum Wilhelmum argentinæ (…) in facie ecclesiæ conjuncti fuerunt Joannes Daniel niethammer religionis augustanæ et Maria Francisca lachausse filia soluta Dni beati Ignatii Lachausse doctor medicinæ et magistratus argentinensis exsenatoris et mariæ annæ Heupel defunctæ in vivis conjugum (signé) Johan Daniel Niethammer, Marie Françoise charlote Lachausse (i 17, proclamation Saint-Guillaume f° 147, Saint-Laurent p. 566)

Les nouveaux mariés font dresser l’inventaire de leurs apports dans la maison appartenant au mari qui a acquis le dernier douzième le 25 juin précédent. L’actif du mari s’élève à 14 801 livres, le passif à 15 108 livres. Les apports de la femme sont de 1 625 livres.

1784 (18.10.), Not. Anrich (6 E 41, 1517) n° 217
Inventarium über des wohledlen und wohlgelehrten Herrn Johann Daniel Niethammers Apotheckers, wie auch der edlen und tugendbelobten fraun Mariä Franziscä Carolinæ geborner Lachausse, beeder allhier Zu Straßburg, Verburgerte Ehegatten, einander in die Ehe Zugebrachte Nahrungen, auffgerichtet anno 1784. – (…) und sich vermög ihrer den 17.ten Februarÿ dieses Zu End laufenden 1784.ten Jahres Vor herrn Notario Saltzmann dahier auffgerichteter Eheberedung paragrapho quarto vor ohnverändert reservirt und vorbehalten haben (…) So Beschehen in beÿseÿn Herrn Lt Johann Friedrich Lachausse des haußherrns im Zoll Keller und burgers allhier der Ehefraun hn Bruders und erbettenen beÿstandts Zu Straßburg in hernach beschriebener dem Eheherrn eigenthümlich zuständiger ane der Spießgaß gelegener und Zur Sonn geschildeter Apothecker Behaußung, den 18.ten Octobris anno 1784.
(M.) Eigenthum an einer Behaußung. Nemlichen eine Apothecker Behausung und Hoffstatt mit allen deren übrigen Gebäuden, begriffen, Weiten, Zugehörden, Rechten und Gerechtigkeiten, gelegen allhier Zu Straßburg ane der Spießgaß einseit in derselben neben Frantz Hirn dem Handelsmann dazwischen der sogenannte Ulmergraben, anderseit ist ein Eck an dem Schneidergraben hinten auf Ludwig Meyé dit St Louis, den Schneider stoßend, wovon man löbl. Stadt Pfenningthurn jährlich am 23.ten Aprilis 16 ß ae allmend Zinß Zu reichen pflichtig ist, sonsten aber ist diese Behausung auser dene darauf haftenden und hernach eingetragenen passiv Capitalien gegen männiglich freÿ, leedig und eigen.
Über vorstehende Apothecker behausung und hoffstatt deren Zugehörden, wie auch die damit verknüpfte Apotheker Gerechtigkeit Zur Sonne genannt, samt allen dazu gehörigen Gefäßen, Instrumenten, Materialien, Artzeneÿen Simplicibus et compositis und Zwar über eilf Zwölfte theil daran besagt ein in hiesiger Cantzleÿ Contractstub gefertigter pergamentener Kauffbrieff mit dero aufgedrucktem Insiegel corroboriret de dato 24.ten Martÿ 1781. so mit N° 2 bezeichnet und über den übrigen zwölften theil ein auch allda den 25.ten Junÿ 1784. passirte und in gedachtem Kauffbrieff angezogener Kauf Contract.
Diesem Kauffbrieff Zufolg hat der Eheherr die gantze Behaußung samt der Apotheker gerechtigkeit um 21.439. fl. 3 ß 9 d. das apothecker Corpus in vasis et instrumentis simplicibus et compositis, wie auch Schiff und geschirr bestehend um 4930. fl. 6 ß 3d. Zusammen also pro 26.400. fl. käuflichen an sich gebracht sich auch anbeÿ verpflichtet die auch der in angezogenem Kaufbrief de 24.ten Martÿ 1781. bemerkten revision und Verzeichnuß sich vorfindende mehrere Waaren um den currenten Preiß des Orts, wo sie hergekommen, nebst Spesen biß in die officinam Zu übernehmen, und solche mehrern Waaren Gefäße und compositis deren Verkäuferen Zu bonificiren, werden dahero hier nur vor die erwehnte gantze Behaußung cum appertinentiis und die apotheker gerechtigkeit jedoch ohnnachtheilig die vorbenamste 21.429 fl. 3. ß 9. oder 10.734 lb in auswurf gebracht zumalen die übrige 4930. fl. 6 ß 3 d oder 2436 lb 6 ß 3 s so vor das apotheker Corpus zu achten, vornen samt deßen nachgefundenen meheren Werth unter sothaner Rubric schon ausgeworfen sind.
Rubricarum Series. Des Ehemanns in die Ehe gebrachtes Vermögen, Sa. Haußraths 348, Sa. Weins 8, Sa. Apotheker Corporis 3375, Sa. Silbers und geschmeids 52, Sa. Golds und Geschmeids 30, Sa. Eigenthums ane einer behaußung 10.734, Sa. Schulden 253, Summa summarum 14.801. – Schulden 15.108 lb, Compensando 206. lb
Solchemnach wird auch der Ehefraun zugebrachte Nahrung beschrieben, Sa. haußraths 57, Sa. Silbers und Geschmeids 18, Sa. golds und geschmeids 50, Sa. baarschafft 1500, Summa summarum 1625 lb

Le médecin Béat Ignace Lachausse meurt dans la maison.
1799 (18 prairial 7), Strasbourg 11 (2), Not. Anrich n° 406
Inventarium über weÿl. des bürgers Beät Ignatz Lachausse Leibartzt dahier nach seinem den 10. hujus mensis erfolgten tödlichen hinscheiden, auf Ansuchen des abgeleibten mit längs weÿl. der bürgerin Maria Anna geb. heupel erzeugten 6 Kinder als 1. der bürgerin Maria Margaretha franscisca Lachausse vormaliger nun Erbsfähige Closter frauen so großjährig und dermalen in Pariß wohnhaft, 2. der bürgerin Carolina theresia Beatricis Gallino geb. Lachausse burgers Dominique anton Gallino Ehegattin, 3. die bürgerin Maria Elisabetha helena Lachausse vormaliger mehrjährigen nun Erbssfähigen und hieselbst wohnhaften Closter frauen, 4. des bürgers Johannes Niethammers Secretarÿ des 4.t Gerichts bezircks Policeÿ Commissarii als ernannt und beeÿdigten theil vogts Josephi Wilhemi Lachausse des schon in die 22. Jahr von hier abweßenden philiosphiae Studiosi durch bürger Gallino deßen Curatorem zu verwalten, 5. der bürgerin Maria Francisca Carolina Niethamerin geb. Lachausse des bürgers Daniel Niethamer Apotheckers Ehefrau, 6. der bürgerin Mariae Ursulae Antoniae Ceciliae Rubin geb. Lachausse des bürgers Jean Baptiste Rubin Rechtsgelehrten in Schlettstatt ehefrauen
in einer ane der Spießgaß gelegen mit N° (-) bezeichenen und zur Sonnen geschildeter Apothecker behausung
hausrath 1094 fr, silber 1240 fr, gold und geschmeid 138 fr, baarschafft 2247 fr, summa summarum 2247 fr, schulden 26 035 vor gut zu achten und 20 404 zweiffelhafte, summa summarum 25 123 fr, ohne der zweiffelhaffen schulden
Enregistrement, acp 68 f° 143 du 21 prai. 7

Marie Françoise Charlotte Lachausse meurt en 1801 en délaissant quatre enfants. La masse propre aux héritiers est de 8 889 livres (tournois). L’actif de la communauté s’élève à 22 280 livres, le passif à 16 880 livres.

1801 (28 frimaire 10), Strasbourg 11 (2), M° Anrich n° 425
Inventarium über weÿl. der am 6. messidor des 9.t Jahres verstorbenen bürgerin Mariä franciscä Carolinä Niethhammer geb. Lachausse des bürgers Johann Daniel Niethhammers apotheckers allhier geweßener Ehegattin vermögenschaft – auf Ansuchen des Wittibers, und der mit der abgelebten erzeugter 4 minderjährigen Kinder nahmentlich Maria Francisca Barbara etwas über 15 Jahr alt, Maria Magdalena ihres alters 12 jahr, Maria Ludovica Ursula 10 jahre alt und Johanna Catharina beÿ nahem 5 jahr alt, als auch des bürgers dominic anton gallino dießer Stadt Waaren Niederlage Vorgesetzten Streit und theil Vogts
in hernach beschriebener dem Wittiber zuständigen behausung

des Wittibers unveränderten Vermögen, hausrath 1303 fr, silber 63 fr, apothecker corpus 15.741 fr
Eigenthum an einer behausung, so dem wittiber unverändert. Nemlichen eine apothecker behausung und hoffstatt mit allen deren übrigen gebäuden, begriffen, weithen, zugehörden, rechten und gerechtigkeiten an der Spießgaß mit N° 9 bezeichnet einseit in derselben neben fr. hirn dem handelsmann darzwischen der sogenannte Ulmergraben anderseit ein Eck an dem Schneider graben hinten auf Peter Ehmann den handelsmann, über dieße behausung so der Wittiber æstimationis loco ad 48.000 fr. ohnpraejudicirlich anzusetzen beliebet worden. Darüber melden zwei in hiesiger C.C. Stb gefertigter Kaufbrieffe de datis 24. Martÿ 1781 und 25. junÿ 1784
Ergäntzung durch unterschriebenen Notarium den 6. Augusti 1785, 1303 fr, dagegen ist zu halten 19.373 fr, Compensando 18.070 fr, Summa summarum 65.109 fr – Schulden 57.802 fr, Compensando 707 fr
des denen Kindern und Erben vor unverändert zuständigen Vermögens, hausrath und kleidung 566 fr, silber 181 fr, schulden 1235 fr, Ergäntzung 6906 fr, summa summarum 8889 fr
die gemein und theilbare Nahrung, hausrath 1525 fr, Leere Faß und bütten 88 fr, Vorräthig brennholtz und ancken 84 fr, Silber und golden geschmeid 671 fr, baarschafft 720 fr, schulden 19.192 fr, Summa summarum 22.280 fr – Schulden 16.880 fr, In Compensatione 5400 fr
Copia der Eheberedung (…) den 17. feb. 1784 Not. Satzmann
Enregistrement, acp 83 f° 23-v du 1 nivose 10

Inventaire dressé après la mort de Marie Madeleine Kæmpff qui a institué pour légataire universel Jean Daniel Niethammer
1808 (13.4.), Strasbourg 9 (anc. cote 16), M° Bossenius n° 377, 3606
Inventaire de la succession de Marie Madeleine Kaempff fille majeure décédée le 28 février courant – à la requête de Jean Daniel Niethammer Pharmacien héritier universel par testament reçu M° Bossenius le 2 avril courrant
en la demeure de la défunte rue des hallebardes N° 9 maison appartenante au Sr requérant en propre
meubles 231 fr, dettes actives 810 fr, total 1040 fr, passif 1816 fr, reste 774 fr, legs 900 fr
Enregistrement, acp 105 F° 78-v du 16.4.

Jean Daniel Niethammer loue le local de la pharmacie aux négociants Labeaume et Wilhelm

1812 (3.2.), Strasbourg 15 (15), M° Lacombe n° 2364
Bail de 2 années à commencer du 15 mai 1812 – Jean Daniel Niethhammer pharmacien
aux Srs Labeaume et Wilhelm négociants pour qui Sr Nicolas Wilhelm l’un d’eux
tout le local de la pharmacie et le comptoir au rez de chaussée de la maison du bailleur rue des Hallebardes n° 9, plus tout le second étage de la même maison sans réserve, une chambre au troisième, une portion du grenier au quatrième séparée, une partie de cave séparée, l’usage commun du puits, de la petite cour et de la buanderie et aisances locatives – 2000 francs
Enregistrement, acp 119 F° 7 du 12.2.

Jean Daniel Niethhammer loue le local de l’ancienne pharmacie au négociant Herrmann Grauls

1813 (18.3.), Strasbourg 15 (17), M° Lacombe n° 2969
Bail 9 de ans à commencer le 26 juin prochain – Jean Daniel Niethammer pharmacien
à Herrmann Grauls négociant
tout le local de l’ancienne pharmacie et le comptoir au rez de chaussée dans la maison du bailleur rue des Hallebardes n° 9, plus tout le second étage de la même maison sans réserve, deux chambres au troisième étage, une portion du grenier au quatrième séparée avec une chambre au linge sale, une partie de la cave séparée, l’usage commun du puits, de la petite cour et de la buanderie et aisances locatives
le local et les logements loués sont les mêmes que ceux qui ont été pris à bail par le Sr Labeaume et Wilhelm négociants en cette ville, devant le notaire soussigné le 3 février 1812, moyennant un loyer annuel de 1500 francs
Enregistrement, acp 122 F° 7 du 24.3.

Jean Daniel Niethammer vend la maison au confiseur Louis Schneegans moyennant 45.700 francs

1816 (30.12.), Strasbourg 8 (16), M° Roessel n° 3841
Jean Daniel Niethammer pharmacien
à Louis Schneegans confiseur
une maison avec tous droits, appartenances et dépendances sise à Strasbourg rue des Hallebardes n° 9 ayant pour enseigne la Pharmacie du Soleil, d’un côté la propriété du Sr Klein ci devant épicier de laquelle elle est séparée par le fossé dit Ulwergraven et faisant d’d’autre le coin du fossé des Tailleurs où elle est marquée du n° 10, aboutissant sur la maison du Sr Ehmann négociant – acquis de Jean Hermann professeur à l’académie de Strasbourg et de feu Geofroi Hermann pharmacien, Jean Frédéric Hermann doyen de la faculté de droit, Marie Madeleine Kob née Hermann, Marie Salomé Saltzmann née Brackenhoffer, Marguerite Salomé Stein née Hermann, selon ventes passées à la Chambre des Contrats les 24 mars 1781 et 25 juin 1784. Le premier acte porte sur les 11/12 de ladite maison a été fait avant le mariage du vendeur avec Marie Françoise Caroline Lachausse, le second sur 1/12 acquis pendant le mariage lui est demeuré propre, suivant inventaire des apports dressé par M° Anrich le 18 octobre 1784
sont compris un poele en fonte se trouvant dans la niche du grand appartement du premier étage, un buffet en bois de noyer dans la petite salle au premier étage donnant sur le petit vestibule, deux chantiers en bois se trouvant dans la grande cave occupée par le Sr Niethammer – chargé d’une rente foncière ville de Strasbourg aux droits de la ci devant tour aux Pfennings de 3 fr 15 – moyennant 45.700 fr
Enregistrement, acp 132 F° 121 du 2.1.

Le confiseur Louis Schneegans épouse Christine Caroline Heyl en 1817
1817 (22.9.), Strasbourg 9 (anc. cote 23), M° Bossenius n° 449, 7090
Contrat de mariage – Louis Schneegans, confiseur fils de Valentin Schneegans, rentier, et de feue Dorothée née Hansmetzger
Christine Caroline Heyl fille mineure de Christine née Lung veuve de Jean Frédéric Heyl tonnelier épouse actuelle de Charles Louis Bucherer marchand de vins
en la demeure dudit Sr Bucherer rue des veaux n° 28
communauté avec réserve d’apports
Enregistrement de Strasbourg, acp 135 F° 186 du 27.9.

Son père Valentin Schneegans meurt dans la maison en 1821.
1822 (31.1.), Strasbourg 12 (85), M° Wengler n° 12.567
Inventaire de la succession de feu Valentin Schneegans, propriétaire à Strasbourg où il est décédé le 18 août dernier – fait à la requête de Valentin Schneegans avoué près le Tribunal Civil de Première Instance et Louis Schneegans marchand confiseur, ses enfants
dans une maison rue des Hallebardes n° 9
La masse mobilière est évaluée à 2450 fr, les grains 403 fr, les vins 600 fr, créances 23.036 fr ; total 26.905
Immeubles. Un corps de biens de 3 ha 53 ares 33 ca ban de Schnersheim 2152 fr
4 ha 22 ares terre à Issenhausen près Hochfelden 6720 fr
7 ares 50 terres ban de Wilwisheim 73 fr et 20 ares terres dit ban 184 fr et 7250 fr
19 ha 50 ares terres et broussailles ban de Furchhausen 17.550 fr, ensemble 33.930
Les deux fils déclarent avoir reçu en dot de leur père qu’ils rapportent à la masse, savoir Valentin en meubles et argent 11.231 francs Louis 11.117 fr – passif 5500 fr
acp 156 (3 Q 29 971) f° 19-v du 5.2.

Inventaire des apports
1822 (2.2.), Strasbourg 12 (85), M° Wengler n° 12.574
Déclaration par Louis Schneegans, confiseur demeurant rue des Hallebardes n° 9 à Strasbourg, et Christine Caroline Heyl sa femme, de leurs apports d’après leur contrat de mariage du 5 septembre 1817 reçu par M° Bossenius*
le mari marchandises 10.080 fr, numéraire 14.711 fr, créances 4934 fr, argent comptant 1212 fr
biens immeubles, 222. maison avec tous ses droits, appartenances et dépendances ayant pour enseigne le Soleil située à Strasbourg rue des Hallebardes n° 9, d’un côté la propriété du Sr Klein et Exel, de l’autre le coin de la rue dite fossé des Tailleurs où elle est marquée du n° 10, devant la rue, derrière le Sr Ehrmann négociant
estimée 40.000 fr, total 70.938 fr – passif 64.649 fr
apports de la femme 10.093 fr
acp 156 (3 Q 29 871) f° 20 du 5.2.

Le confiseur Louis Schneegans loue une partie de la maison au bijoutier Léon Rehns

1827 (7.2.), Strasbourg 1 (50), M° Rencker n° 5027
Bail pour 3, 6 ou 9 ans à commencer à Pasques prochaine – Louis Schneegans, confiseur
à Léon Rehns, bijoutier
dans la maison appartenant à M Schneegans sise rue des Hallebardes n° 9 à Strasbourg la boutique qui forme le coin de la susdite maison,
2. le rez de chaussée faisant partie de ladite boutique & consistant en une arrière boutique, cuisine & chambre à côté de cette cuisine,
3. le corps de logis au second étage en entier avec cuisine & dépendances,
4. la partie de la cave toujours destinée pour le locataire du second étage & une autre petite cave pour les charbons, moyennant un loyer annuel de 1400 francs
Enregistrement, acp 182 f° 106 du 8.2.

Louis Schneegans loue une partie de la maison au négociant Pierre Frédéric Ehmann

1831 (2.6.), Enregistrement de Strasbourg, ssp 60 F° 41-v du 28.5.
Bail de 9 années à commencer le 25.9. prochain – Louis Schneegans, propriétaire de la maison à Strasbourg rue des Hallebardes n° 9 faisant le coin de celle du Fossé des Tailleurs
à Pierre Frédéric Ehmann, négociant
de tout le rez de chaussée de ladite maison avec toutes ses dépendances consistant en quatre boutiques ou magasins dont deux avec des arrières boutiques, cuisines & ca. plus un compartiment dans la cave et un emplacement pour loger le bois – moyennant un loyer annuel de 2000 francs

Louis Schenegans et Caroline Heyl, demeurant aux bains du Bühl dans la vallée de Barr, vendent la maison à Pierre Frédéric Ehmann

1832 (25.10.), Strasbourg 1 (65), M° Rencker n° 9273
Valentin Schneegans, licencié avoué près le Tribunal Civil de de Première Instance, mandataire de Louis Schenegans, propriétaire des bains du Bühl vallée de Barr, et Caroline Heyl
à Pierre Frédéric Ehmann, négociant
une maison avec tous droits, appartenances, dépendances située rue des Hallebardes n° 9 ayant autrefois pour enseigne la pharmacie du Soleil d’un côté la propriété de M Exel de laquelle elle est séparée par le fossé dit Ulmergraben, de l’autre le coin du Fossé des Tailleurs où elle est marquée du n° 10, derrière la maison du Sr Ehmann
Etablissement de la propriété, acquis de Jean Daniel Niethammer, pharmacien, par acte dressé par M° Roessel le 30 décembre 1816 transcrit. Ledit Niethammer l’avait acquis de Jean Herrmann, professeur à l’académie, de Geoffroi Hermann, pharmacien, Jean Frédéric Herrmann, doyen de la faculté de droit et Louis Herrmann, négociant, de Marie Madeleine Kob née Herrmann, Marie Salomé Saltzmann née Brackenhoffer, Marguerite Salomé Stein née Herrmann, suivant acte passé à la Chambre des Contrats le 24 mars 1781, il appert de l’inventaire d’apports dudit Niethammer et de Marie Caroline Lachausse reçu M° Anrich le 18 octobre 1784, que cet immeuble faisait partie des propres de M Niethammer – moyennant 38.000 francs
Enregistrement, acp 213 f° 67-v du 28.10.

Pierre Frédéric Ehmann épouse Marie Madeleine Schnitzler en 1818
1818 (2.5.), Strasbourg 1 (33), M° Rencker n° 153
Contrat de mariage entre Pierre Frédéric Ehrmann, négociant à Strasbourg, fils de Jean Pierre Ehmann, ancien négociant, et de Marie Madeleine Isenheim ses père et mère d’une part
et Marie Madeleine Schnitzler, fille de Jean Jacques Schnitzler, charron, et de Marie Madeleine Roesch à Strasbourg ses père et mère d’autre part
acp 138 (3 Q 29 853) f° 171-v du 4.5. – portant réserve d’apports, des habillements linges propres à chacun, au décès de l’un d’eux, usufruit au survivant de la succession du prédécédé, réductibe en cas d’existence d’enfant
Le futur se constitue en propre une somme de 4000 francs
Les père et mère de la future épouse lui assure une dotte de 1500 francs

Consentements au mariage
1818 (3.5.), Strasbourg, M° Rencker
Consentement par Jean Pierre Ehrmann, négociant, et Marie Madeleine Isenheim sa femme de Strasbourg, au mariage Pierre Frédéric Ehrmann, négociant en ladite ville, avec Marie Madeleine Schnitzler
Consentement par Jean Jacques Schnitzler, charron, et Marie Madeleine Roesch sa femme au mariage de Marie Madeleine Schnitzler leur fille avec Pierre Frédéric Ehrmann, négociant en ladite ville
Enregistrement, acp 138 F° 172 du 4.5.

Marie Madeleine Schnitzler meurt à Scharrachbergheim en juillet 1850 en délaissant cinq enfants

1851 (14.1.), Strasbourg 1 (131), M° Rencker n° 21.256
14 & 15 janvier 1851. Inventaire de la succession de Marie Madeleine Schnitzler femme de Pierre Frédéric Ehmann négociant
A la requête & en Presence 1° de Mr Pierre Frédéric Ehmann, négociant domicilié à Strasbourg, agissant tant comme ayant été commun en biens avec Dame Marie Madeleine Schnitzler, son Epouse défunte, aux termes des dispositions de leur Contrat de mariage qui seront ci après insérées, qu’à raison des droits avantages de survie qui lui sont assurés par ce Contrat,
2° de Madlle Emilie Ehmann, majeure d’ans 3° de M Eugène Ehmann, Commis négociant agissant tant en son nom personnel qu’en sa qualité de mandataire de Mr Emile Ehmann, son frère, âgé de 19 ans, sans état mais émancipé par M. le Juge de paix du canton Sud de la Ville de Strasbourg sur les déclarations faites par M Ehmann père, devant ce Magistrat qui en a dressé le Procès verbal en date du 9° août dernier, M. Eugène Ehmann étant d’ailleurs lui-même Curateur dudit Sr Emile Ehmann son frère (…) 4° de Mlle Sophie Ehmann majeure d’ans, 5° de Mr Frédéric Auguste Ehmann, commis négociant, Tous mesdits Sr & Dlles Ehmann domiciliés et demeurant à Strasbourg, agissant comme habiles à se dire & porter héritiers chacun pour un cinquième de la défunte Dame Ehmann, née Schnitzler, leur mère (…) décédée à Scharrachbergheim le 21 juillet dernier
Dispositions du contrat de mariage (…)
Immeubles. 1. une Maison avec appartenances & dépendances située à Strasbourg rue des Hallebardes n° 9 tenant d’un côté & à la propriété de M. Exel de laquelle elle est séparée par le fossé dit Ulmergraben & fesant de l’autre le coin du fossé des tailleur où elle est marquée du N° 10
Titres de propriété. Cet immeuble a été acquis par M. Ehmann de M Louis Schneegans propriétaire des bains de Bühl vallée de Barr & de Dame Caroline Heyl ; son épouse moyennant le prix de 38.000 francs suivant Contrat passé devant M° Rencker notaire soussigné & l’un de ses collègues le 25 octobre 1832, enregistré, transcrit au bureau des hypothèques de Strasbourg le 29 du même mois volume 262 Numéro 1
II. Une maison avec puits appartenances & dépendances située à Strasbourg rue dite fosé des tailleurs N° 9, aujourd’hui réunie à la Maison ci-dessus décrite (…)
acp 397 (3 Q 30 112) f° 100-v (succession déclarée le 18 juillet 1851 N° 411) Communauté. Le mobilier et les marchandises en magasin estimés ensemble à 61.661 francs, Argent comptant 1099, Extances 6222, une rente 5 % de la somme annuelle de 459 francs
Une maison à Strasbourg rue des Hallebareds N° 9
Une maison dite ville rue du fossé des tailleurs N° 9
Passif de la communauté 57.641
Garde robe de la défunte 1338. Reprises de la défunte 11.119, Reprises du veuf 14.679

Pierre Frédéric Ehmann dépose son testament olographe
1859 (16.2.), Strasbourg 1 (166), Alfred Ritleng (fils) n° 461
16 février 1859. Dépôt – a comparu Monsieur Pierre Frédéric Ehmann, Négociant domicilié et demeurant à Strasbourg, lequel a déposé au rang des minutes de M° Ritleng notaire soussigné son testament fait en la forme olographe à Strasbourg (…) en date du 11 février courant
acp 476 (3 Q 30 191) f° 38-v du 17.2.

Pierre Frédéric Ehmann loue une partie de la maison à son fils Emile Ehmann

1859 (15.2.), Strasbourg 1 (166), Alfred Ritleng (fils) n° 460
15 février 1859. Bail de 3 ans – a comparu Monsieur Pierre Frédéric Ehmann, négociant, demeurant à Strasbourg, lequel a déclaré donner à bail
à Monsieur Emile Ehmann, son fils, négociant, demeurant en la même ville, ci présent & acceptant
Les localités et objets mobiliers ci après désignés
Savoir 1. Tout le rez de chaussée & le premier Etage de la maison sise à Strasbourg rue des Hallebardes n° 4
2. Le premier & le dernier compartiment de la Cave à droite en entranrt, clos au moyen de lattes, une chambre de domestique & une chambre de décharge au quatrième Etage, Une chambre à linge sale au grenier, la jouissance commune de la pompe & les objets mobiliers se trouvant dans les appartements ci après consistant en savoir
I. Rez de chaussée, II. Rez de chaussée Magasin, III. Bureau, IV. Premier Etage, V. Premier Etage Magasin, VI. Quatrième Etage
Le présent bail est fait sous les charges, clauses et conditions suivantes Savoir 1. Il durera pendant trois années consécutives à partir du 25 mars prochain (…) 4. Le loyer annuel est fixé à la somme de 12.500 francs
acp 476 (3 Q 30 191) f° 38-v du 17.2.

Nouveau bail à Emile Ehmann

1862 (24.3.), Strasbourg 1 (172), Alfred Ritleng (fils) n° 2280
24 Mars 1862. Bail pour 9 ans – ont comparu 1° Monsieur Pierre Frédéric Ehmann, propriétaire domicilié & demeurant à Strasbourg, agissant tant en son nom personnel qu’en qualité de mandataire de Monsieur Sébastien Reyss, instituteur communal, demeurant à Paris, (…) en qualité de tuteur légal de son fils mineur Frédéric Auguste Reyss, 2° Mademoiselle Emilie Ehmann, majeure, rentière domiciliée & demeurant à Strasbourg, lesquels en qualité qu’ils agissent ont déclaré donner à Bail
à Monsieur Emile Ehmann, Négociant domicilié & demeurant à Strasbourg, ci présent & acceptant, les localités ci après désignées, Savoir
I. Tout le rez de chaussée & le premier Etage de la maison sise à Strasbourg rue des Hallebardes n° 4
II. Le premier & le dernier compartiment de la cave à droite en entrant, clos au moyen de lattes, Une chambre de domestique & une chambre de décharge au quatrième Etage, une chambre à linge sale au grenier & la jouissance commune de la Pompe. Le présent bail est fait sous les charges, clauses et conditions suivantes 1. Il durera pendant neuf années consécutives à partir du 25 mars courant (…) 6. Le loyer annuel pour est fixé à la somme de 2600 francs
acp 509 (3 Q 30 224) f° 5 du 26.3.

Les baileurs louent le reste de la maison à Emilie Ehmann

1862 (31.3.), Strasbourg 1 (172), Alfred Ritleng (fils) n° 2288
31 Mars 1862. Bail pour 9 ans – ont comparu 1° Monsieur Pierre Frédéric Ehmann, propriétaire domicilié & demeurant à Strasbourg, 2° Monsieur Emile Ehmann, négociant domicilié & demeurant à Strasbourg, lesquels ont déclaré donner à Bail
à Mademoiselle Emilie Ehmann, Majeure, Rentière domiciliée & demeurant à Strasbourg, ci présente & acceptant
Toutes les localités de la Maison sise à Strasbourg Rue des Hallebardes n° 4 qui ne sont pas comprises dans le Bail consenti à Monsieur Emile Ehmann susnommé aux termes d’un contrat passé devant le soussigné notaire Ritleng le 24 mars courant. Le présent bail est fait sous les charges, clauses et conditions suivantes 1. Il durera pendant neuf années consécutives à partir du 25 mars courant (…) 4. Le loyer annuel pour est fixé à la somme de 1000 francs
acp 509 (3 Q 30 224) f° 25-v du 1.4.

Nouveau bail à Emile Ehmann et à sa femme Eugénie Lobstein

1869 (22.10.), Strasbourg 1 (186), Alfred Ritleng aîné n° 6645
22 octobre 1869. Bail – A comparu Monsieur Eugène Schweighaeusser, propriétaire domicilié & demeurant à Strasbourg, agissant en qualité de mandataire de I. de Monsieur Pierre Frédéric Ehmann, propriétaire domicilié & demeurant à Strasbourg, ayant lui-même agi tant en son nom personnel qu’au nom et comme se portant expressément fort de Frédéric Auguste Reyss son petit fils encore mineur, sous la tutelle légale de M. Sébastien Reyss, son père, instituteur communal, demeurant à Paris, par lequel mineur il s’est obligé à faire ratifier les présentes dès qu’il aura atteint sa majorité, suivant procuration (…) II de Mademoiselle Emilie Ehmann, majeure d’ans, rentière, domiciliée et demeurant à Strasbourg, aux termes de la procuration (…) Lequel, en qualité qu’il agit, a déclaré donner
à Monsieur Emile Ehmann, négociant et à Dame Eugénie née Lobstein, son épouse de lui autorisée, domiciliés & demeurant ensemble à Strasbourg, ci présents et acceptant
une maison avec toutes ses dépendances, située à Strasbourg Rue des hallebardes n° 4. Le présent bail est fait sous les charges, clauses et conditions suivantes, à l’entière exécution desquelles les preneurs s’obligent solidairement entr’eux
savoir 1. Il durera pendant 24 années consécutivess à partir du 25 mars 1871 (…) 6. Le loyer annuel pour la totalité de la maison sera fixé à la somme de 4100 francs
acp 587 (3 Q 30 302) f° 42-v du 25.10.

Pierre Frédéric Ehmann lègue la maison à son fils Emile

Enregistrement de Strasbourg, ssp 161 (3 Q 31 660) f° 42-v du 13.7.
3. Augusti 1866, Testament – Peter Friedrich Ehmann
II. Ich gebe und vermache meiner Tochter Emilie Ehmann einen Landgut im Bann Scharrachbergheim (…)
IV. Ich gebe und vermache ebenfalls zum Voraus meinem Sohn Emil Ehmann meinen ganzen Antheil Mit Eigenthum an dem Hause in der Hallebardenstraße N° 4 nebst Zubehör, das ganze haus taxiert zu 80.000 frs. (…)

Pierre Frédéric Ehmann meurt en 1874 en délaissant une fille célibataire, son fils Emile et un petit-fils né de sa fille défunte

1874 (19.8.), Strasbourg 1 (197), Alfred Ritleng aîné
Inventar des Nachlasses von Friedrich August Ehmann lebend Eigenthümer zu Straßburg gestorben zu Scharrachbergheim den 19. Juni 1874.
errichtet durch 1° Fräulein Emilie Ehmann, großjährig, ledig zu Straßburg wohnhaft, 2° Herr Emile Ehmann, Kaufmann, wohnhaft in besagter Stadt, Handelnd sowohl in seinem eigenen Namen als in der Eigenschaft als special Bevollmächtigter des Herrn Sébastien Reyss, director der Ecole communale zu Paris, (…) Herr Sébastien Reyss handelnd selbsten in besagter Vollmacht in der Eigenschaft als natürtlicher und gesetzlicher Vormund des H. Auguste Frédéric Reyss, sein minderjähriger Sohn geboren zu Dely Ibrahim (Algerien) am 24. Dezember 1856, entsprossen aus der Ehe mit verstorbenen, Frau Sophie gebohrene Ehmann
acp 631 (3 Q 30 346) f° 2 n° 3444 du 21.8. (Nachlass erklärt 11/6 1875) Die Erben willigen in die Auslieferung der Legaten, die ihr verstorbene Vater nach eigenhändigen Testaments vom 3. August 1866 de, 13. Juli 1874 registrirt, ein
Nachlass, Mobilien 1113, Kleidung 98 – Passiva 34.067
Ein Landgut zu Scharrachbergheim zu 18.000
Ein Haus zu Straßburg Spießgasse N° 4 abgeschätzt zu 80.000
vermachte mobilien 2227, andere Mobilien 1591

Dépôt du testament olographe
1874 (9.7.), M° Flach
Hinterlegung 1. des eigenhändigen Testaments des am 19. Juni 1874 zu Scharrachbergheim verstorbenen ehemaligen Kaufmanns Peter Friedrich Ehmann & 2. die Ausfertigung der Ordonnanz des Präsidenten des Landgerichts hier
acp 629 (3 Q 30 344) f° 52-v n° 2761 du 13.7.

La maison est attribuée à Emile Ehmann lors de la liquidation. L’acte établit la propriété des parts de maison après les différents décès.

1874 (19.8.), Strasbourg 1 (197), Alfred Ritleng aîné n° 8745
19. August 1874. Liquidation und Theilung des Nachlasses von Friedrich August Ehmann
sind erschienen 1° Fräulein Emilie Ehmann, großjährig, ledig zu Straßburg wohnhaft, 2° Herr Emile Ehmann, Kaufmann, wohnhaft in besagter Stadt, Handelnd sowohl in seinem eigenen Namen als in der Eigenschaft als special Bevollmächtigter des Herrn Sébastien Reyss, director der Ecole communale zu Paris, (…) Herr Sébastien Reyss handelnd selbsten in besagter Vollmacht in der Eigenschaft als natürtlicher und gesetzlicher Vormund des H. Auguste Frédéric Reyss, sein minderjähriger Sohn geboren zu Dely Ibrahim (Algerien) am 24. Dezember 1856, entsprossen aus der Ehe mit verstorbenen, Frau Sophie gebohrene Ehmann,
Welche, indem sie zur Liquidation und Theilung der Verlaßenschafts des Herrn Pierre Frédéric Ehmann und der Frau Marie Madeleine Schnitzler dessen Ehefrau ihre Eltern und respective Großeltern und des H. Frédéric Auguste Ehmann, ihr Bruder und respective Onkel, schreiten wollen, vorgetragen haben was folgt

Summarische Darstellung. Erste Bemerkung. Die Eheleut Pierre Frédéric Ehmann waren verheirathet unter dem Rechtsbestande der auf die Errungenschaft beschränkte Gütergemeinschaft, laut ihres vor H. Rencker damals Notar zu Straßburg am zweiten Mai 1818 errichteten Ehevertrags.
Zweite Bemerkung. Absterben der Frau Ehmann geb. Schnitzler. Frau Ehmann geborene Schnitzler verstarb zu Scharrachbergheim am 21. Julÿ 1850, indem sie für ihre einzige und alleinige Erben ihre hiernach genannten aus der Ehe mit H. Ehmann entsprossene Kinder hinterließ, nämlich Fräulein Emilie Ehmann, Herr Eugène Ehmann, Herr Emile Ehmann, Fräulein Sophie Ehmann, Herr Frédéric Auguste Ehmann
Dritte Bemerkung. Inventar. (…) durch Notar Rencker unter den Datum vom 14. und 15. Januar 1851
Vierte Bemerkung. Ehe und Absterben der Sophie Ehmann. Fräulein Sophie Ehmann verheirathete sich im Jahr 1856 mit Herrn Sébastien Reyss. Ihren Ehevertrag wurde durch besagten Notar Rencker errichtet am 15. Februar 1856. Sie verstarb zu Dely Ibrahim am 21. Januar 1857 und hinterließ als einziger und alleiniger Erbe ihren noch minderjährigen hie oben genannten Sohn Auguste Frédéric Reyss.
Fünfte Bemerkung. Absterben des H. Frédéric Auguste Ehmann. Herr Frédéric Auguste Ehmann verstarb zu Algier am 15. Januar 1857 und hinterließ als einzige und alleinige Erben Herr Pierre Frédéric Ehmann sein Vater für ein Viertel oder 4/16., Herr Emile Ehmann sein Bruder für 3/16, Herr Eugène Ehmann sein Bruder für 3/16, Herr Frédéric Auguste Reyss sein Neffe durch Vorstellung der Frau Reyss gebornen Sophie Ehmann seine Schwester für 3/16.
Sechste Bemerkung. Liquidation seiner Verlaßenschafft. Die Mobiliar Liquidation seiner Verlaßenschafft wurde durch den besagten Notar Rencker errichtet am 29. Dezember 1857. Das zu Straßburg Spießgaße N° 9 gelegene Haus von welchem der Verstorbene mit Eigenthümer war, blieb unvertheilt.
Siebente Bemerkung. Absterben des H. Eugène Ehmann. Herr Eugène Ehmann verstarb zu Straßburg am 30. April 1860 und hinterließ 1. H. Pierre Frédéric Ehmann sein Vater, Vorbehaltserbe für ein Viertel, 2. und H. François Joseph Georger, Safianmacher zu Straßburg wohnhaft für die drei anderen Viertel in seiner Eigenschaft als universallegatar des besagten Verstorbenen auf grund deßen eigenhändigen Testaments unterm datum vom 27. Dezember 1857 in die Schreibstube des unterzeichneten Notars Ritleng hinterlegt (…) am 8. Mai 1860 errichteten Aktes
Achte Bemerkung Liquidation. Die Verlaßenschafft des H Eugène Ehmann wurde liquidirt (…) vor dem unterzeichneten Notar Ritleng am 18. August 1860 (…)
Neunte Bemerkung. Absterben des H. Pierre Frédéric Ehmann. H. Pierre Frédéric Ehmann Vater ist zu Scharrachbergheim am 19. Junÿ 1874 versorben und hinterließ alss einzige und alleinige Erben Fräulein Emile Ehmann für ein Drittel, Herr Emile Ehmann für ein Drittel, und der minderjährige Reyss für ein Drittel
Zehnte Bemerkung. Testament. Verstorbener H Pierre Frédéric Ehmann hatte verschiedene testamentarische Verfügungen gemacht laut eines eigenhändigen Testamentes zu Straßburg unterm 3. August 1866 errichtet, enregistrirt (…) in des unterzeichneten Notars Ritlenh hinterlegt (…)
Elfte Bemerkung. Inventar, durch den unterzeichneten Notar Ritleng errichtet unterm heutigen Tag
Zwölfte Bemerkung. Hause zu Straßburg. Das zu Straßburg Spießgasse N° 4 gelegene Haus welches in gegenwärtige Theilung einbegriffen wird, hing von der Gütergemeinschaft ab, welche zwischen den Eheleut Pierre Frédéric Ehmann bestanden hatte, am Absterben der Frau Ehmann gehörte es für Hälfte oder 240/480. dem H. Pierre Frédéric Ehmann und für 84/480 an einem jeden seiner fünf Kindern. Am Absterben des H. Frédéric Auguste Ehmann fielen dessen 84/480. dem H. Pierre Frédéric Ehmann Vater für ein Viertel oder für 12/480. welcher dann in Gesamtheit Eigenthümer von 252/480 war, und für dreÿ Viertel oder 26/480. seinen vier Geschwistern und zwar einem jedem für 9/480, welche dann Eigenthümer des fraglichen Hauses waren jedes für 75/480.
Am Absterben des H. Eugène Ehmann kamen die 75/480. dieses Letzteren zu den 252/480. seines Vaters Pierre Frédéric Ehmann, welcher dann Eigenthümer war von 309/480.
Endlich in Folge des Absterbens des H. Pierre Frédéric Ehmann Vater fielen die 309/480 drittheilsweise und Zwar jedem für 103/480. seinen drei Erben zu welche ein jedes schon Eigenthümer war von 75/480. was das Eigenthum eines jedem an dem fraglichen Haus auf 160/480. oder ein drittel trug. Dieses Haus wurde durch den Verstorbenen dem H. Emil Ehmann sein Sohn vermacht, nach dem Abschätzungspreis von 8000. Franken
Dreizehnte Bemerkung Liegenschaften in Scharrachbergheim gelegen (…)
14. Bemerkung. Mobiliargegenstände der Fräulein Emilie vermacht
15. Bemerkung nicht vermachte Mobiliargegenstände
16. Bemerkung besondere Legate in Geld
17. Bemerkung Rückbringung des minderjährigen Reyss
18. Bemerkung Zinsen des durch den Verstorbenen geschuldeten Summen
19. Bemerkung Einkünfte der Liegenschaften der Verlaßenschaft
Bildung der Massen. active Masse. Artikel eins. Ein Haus mit Zugehörigen und Abhangigkeiten zu Straßburg gelegen Spießgasse N° 4, stossend auf einer Seite an das Besitzthum Exel, von welchem es durch den Graben genannt Ulmergraben geschieden ist, und bidet auf der andern Seite das Ecke der Spießgaße und des Schneidergrabens.
Herkunft des Eigenthums. Diese Liegenschaft hing von der Gütergemeinschaft ab welche zwischen verstorbenen Herrn Pierre Frédéric Ehmann und Frau Marie Madeleine Schnitzler deßen Ehefrau bestanden hatt, in Folge ihres vor dem obengenannten Notar Rencker am 2. Mai 1818 errichteten enregistrirten Ehevertrags um dasselbe während dieser besagten Gemeinschafft erworben zu haben von Herrn Louis Schnegans, laut eines vor besagtem Notar Rencker am 25. October 1832 errichteten, enregistrierten Vertrags. In Folge der noch einander folgenden Sterbfällen des H. Frédéric Auguste Ehmann Sohn, geschehen am 15. Juni 1857 und des H. Eugène Ehmann Sohn, vorgefallen am 30. April 1860 und verschiedene Akten welche diese Sterbefällen gefolgt haben, wurde H. Pierre Frédéric Ehmann Eigenthümer der 309/480. dieses Hauses und Fräulein Emilie Ehmann, H. Emil Ehmann und der minderjährige Reyss jedes für 75/480. Abgeschätzt auf 80.000
acp 631 (3 Q 30 346) f° 2 n° 3445 du 21.8. (Nachlass erklärt 11/6 1875) Actif Masse. Ein Haus zu Straßburg Spießgasse N° 4 abgeschätzt zu 80.000
Ein Landgut zu Scharrachbergheim zu 18.000
Ausstände Curent Conto 500 und 100, Geld 513, Rückbringen des Sohns Reyss nach Eve der Mutter 3000 (Summa) 102.113
Passif Masse 373970, bleibt 64.970, Drittel 21.381
Abtretung (…) II. Emil Ehmann, er bekommt das Haus

Emile Ehmann épouse en 1859 Eugénie Lobstein, fille de l’hôtelier Michel Lobstein
1859 (7.10.), Frédéric Grimmer, (actes en déficit)
Contrat de mariage – ont comparu 1) Monsieur Emile Ehmann, négociant demeurant et domicilié à Strasbourg, fils de Monsieur Frédéric Ehmann, ancien négociant demeurant en cette ville, et de feu Madame Marie Madeleine née Schnitzler, futur époux, d’une part
2) Et Mademoiselle Eugénie Lobstein, majeure d’ans, institutrice demeurant et domiciliée en la même ville, fille de feu Michel Lobstein, vivant maître d’hôtel à Strasbourg et de Madame Marie née Rohfritsch sa veuve, rentière demeurant en cette ville future épouse, d’autre part
3. Et Madame veuve Lobstein née Rohfritsch susnommée, agissant en son nom personnel à raison de la donation qu’elle fera ci après à Mademoiselle la future épouse sa fille aussi d’autre part
acp 481 (3 Q 30 196) f° 91-v du 8.10. – stipulation de communauté de biens réduite aux acquêts réserve d’apports et d’héritages
Les apports du futur consistent en marchandises estimées à 22.698 francs
Les apports de la future consistent en un mobilier évalué à 3135
Donation par la veuve Lobstein, à la future épouse sa fille ce acceptant
25 ares 65 terres au canton Mundolsheimerweg, 23 a 87 vignes canton dit Hoehl, 14 ares de vignes canton Langenberg le tout au ban de Niederhausbergen, d’un revenu de 120 francs, en capital 2400
Donation réciproque par les futur époux au survivant d’eux de l’usufruit de toute la succession rédictible à moitié en cas d’enfants
Hypothèque de Strasbourg, Transcription reg. 786 (2926) n° 45

Emile Ehmann loue une partie de la maison au comptable Georges Zimmermann et à Caroline Schuster

1874 (6.6.), Strasbourg 10 (174), Jean Théodore Kœrttgé n° 4148
Bail du 6 juin 1874 (After-Pacht) – ist erschienen Herr Emil Ehmann, Kaufmann in Straßburg wohnhaft, Hauptmiether eines zu Strassburg Spießgasse N° 4 gelegenen Hauses, auf 24 auf einander folgende Jahren welche den 25. März 1871 zu laufen begonnen haben, zufolge einem Miethvertrag abgeschlossen mit dem bevollmächtigten von H. Peter Friedrich Ehmann, Eigenthümer in Strassburg, 2. Friedrich August Reyss, minderjährig in Paris, 3. und Fräulein Emilie Ehmann, Rentnerin in Strassburg laut Akt vor Notar Ritleng dem Aelteren, in Straßburg den 22. October 1869 passirt
Welcher Comparent, durch Gegenwärtiges, auf fünf oder zehn auf einander folgende Jahren welche den 24. Jun 1874 zu laufen beginnen, (…)
dem H. Georg Zimmermann, Rechnungsführer in der Société Générale, und dessen ermächtigte und verbeiständete Ehegattin Caroline Schuster, beide in Straßburg wohnhaft, solidarische Untermiether
die nachbezeichneten Räumlichkeiten in gedachtem Hause Spießgasse n° 4 gelegen, nämlich 1. den Laden im Bodengeschoß mit dem sich darneben befindlichen Bureau
2. den Laden im ersten Stock
3. die erste Abtheilung im Keller, längst am Eingang, und welche als Durchgang dient, und die vierte Abtheilung des Kellers, rechts mit Latte umschlossen. Sowie diese Räumlichkeiten sich befinden (…) Gegenwärtige Untermiethe ist geschehen und angenommen vermittelst einem jährlichen Mietzins von 4000 Franken
acp 628 (3 Q 30 343) f° 46-v du 8.6.

Eugénie Lobstein meurt en décembre 1786 à Scharrachbergheim en délaissant deux filles

1877 (25.4.), Strasbourg 1 (207), Alfred Ritleng aîné n° 10.091
25. April 1877. Inventar des Nachlaßes der Eugenie Lobstein im Leben Ehefrau von Emile Ehmann, Kaufmann zu Straßburg
auf Anstehen und in Gegenwart des Herrn Emile Ehmann, Kaufmann zu Straßburg wohnhaft, Spießgaße N° 4, Handelnd in seinem eigenen Namen 1° wegen der auf die Errungenschaft beschränkte Gütergemeinschaft die zwischen ihm und seiner verlebten Ehegattin Frau Eugenie geborene Lobstein bestanden hat, auf Grund ihres Ehevertrages errichtet von H. Grimmer Notar zu Straßburg am 7. Oktober 1859. 2° in der Eigenschaft als Gläubiger dieser Gemeinschafft wegen der Ersatzansprüche die er etwa geltend zu machen hat, sei es auf Grund seines Ehevertrages oder sei es auf Grund von andern Titeln, 3° als Schenknehmer des lebenslänglichen Nutzgenußes mit dispensation bürgschaft zu leisten der Hälfte aller beweglichen und unbeweglichen Güter welche vom Nachlass seiner Ehefrau herrühren, auf Grund des Artikels sechs seines gedachten Ehevertrages, 4° in der Eigenschaft als gesetzlicher Vormund von Sophie Eugénie Marie Ehmann zu Straßburg geboren am 23. März 1861 und von Emilie Jeanne Marguerite Ehmann zu Straßburg geboren am 7. Juli 1865 seiner zwei minderjährigen Kinder entsprossen aus seiner Ehe mit Frau Eugenie Ehmann gebornene Lobstein dessen verstorbenen Ehegattin, 5° und noch als gesetzlicher Nutznießer der Güter seiner minderjährigen Kinder auf Grund des Gesetzes und unter den gesellschafften Lasten (Art. 385 und 385 des frantzösischen bürgerlichen Gesetzbuches).
Und in Gegenwart des Herrn Paul Emmerich, Kaufmann zu Straßburg wohnhaft, handelnd im Namen und als Neben Vormund der besagteen zwei minderjährigen Ehmann (…) die oben besagten minderjährigen Sophie Eugénie Marie Ehmann und Emilie Jeanne Marguerite Ehmann Erbinnen jede für die Hälfte der besagten Frau Eugenie Ehmann geborenen Lobstein ihrer Mutter gestorben zu Scharrachbergheim am 5. Dezember 1876
Ehevertrag (…) Mobliar Gemeinschafft. Activa. Mobiliargegenstände sich zu Clarens (Schweitz) im Hause Wolkardt befindend (…)
Immobiliar Verlaßenschafft. Eigene Liegenschaften der Verstorbenen,
I. Ein Haus auf dem alten Weinmarkt N° 40 früher bekannt unter der Benennung Wirtschaft Hôtel de Hollande (…)
acp 664 (3 Q 30 379) f° 46-v n° 1756 du 26.4. – Mobliar Gemeinschafft. Mobiliargegenstände zu Clarens (Schweitz) 1493, Mobiliargegenstände zu Schiltigheim 1383, andere Mobiliargegenstände, Rententitel 1940, Forderung 4800, baares Geld 608
Einkünfte der Gemeinschaft 1710
Immobilien Nachlass, Ein Wohnhaus auf dem alten Weinmarkt N° 40, vemiethet um jährlich 3520, 2. Bann Niederhausbergen 25 a 65, 23 a 87, 14 a, 17 a 69, 2 a 47
Ersatzansprüche der Verstorbenen 3630, Garderobe der Verlebten 758, Ersatzansprüche des Wittwers 18.569
Entschädigung durch den Wittwen an die Gemeinschaft 47.359, Entschädigung durch die Verstorbene an die Gemeinschaft 49.549t

Emile Ehmann meurt en 1882 en délaissant une fille

1882 (6.10.), M° Holtzapffel
Inventar über dem Nachlass des dahier am 1. d. Monats verlebten Emil Ehmann, im Leben Kaufmann dahier, auf Anstehen des Vormunds der einzigen minderjährigen Tochter und Erbin des Verlebten Emilie Johanna Margaretha Ehmann
acp 731 (3 Q 30 446) f° 2-v n° 2426 du 16.10. – Mobilien 9416, Werthpapiere (1 ad 10), Forderungen (1 ad 6)
(Fortsetzung f° 59-v du 8.11. n° 2675) vom 6 November – Einkünfte aus der vorhandenen Liegenschaften 875
Ein in der Spießgasse N° 4 gelegenes Wohnhaus mit Zugehör
Ein zu Scharrachbergheim gelegenes Landgut, bestehend aus Herrschaffts- und Landwirtschaftshaus mit Hof, Garten und Zugehörd mit einem Flächeninhalt von 30 Aren
die noch nicht liquidirten Ebschaftsrechte am Nachlasse der hierselbst am 1. August 1880 verlebten Tochter Sophie Eugenie Marie Ehmann (siehe Erbverzeichnis Ritleng vom 25. April 1877) und der hieselbst am 15. October 1880 verlebten Tante Christine Henriette Ehmann (siehe Erbverzeichnis Ritleng vom 21. Januar 1882) sowie der hieselbst am 6. Mai 1882 verlebten Schwester Ehmann Emilie
Ehevertrag zwischen dem Erblasser und dessen Ehefrau Lobstein Eugenie errichtet durch Notar Grimmer am 1. October 1859. Nach dem Ableben der letztern wurde durch Notar Ritleng am 25. Aprilis 1877 Erbverzeichnis erichtet
Die Schulden betragen M. 3427

Actes de notoriété
1883 (17.11.), Alfred Ritleng aîné
Offenkunde woraus hervorgehet daß Emil Ehmann, Kaufmann in Straßburg am 1. Oktober 1882 verstorben ist, und daß derselbe seine Tochter Emilie Johanna Margaretha Ehmann als einzige Erbin hinterlassen hat, und daß ihr mithin ein auf den Namen des Verstorbenen ausgestellten (…) Reichsbank-Antheils-Schein von 3000 Mark zum Allein Eigenthum gehört die Ehegattin des besagten Emil Ehmann Eugenie Lobstein Mutter der Emilie Ehmann ist schon früher verstorben.
acp 741 (3 Q 30 456) f° 86-v n° 3031 du 19.11.

1888 (14.3.), Alfred Ritleng aîné
Offenkunde bestätigend, daß Emil Ehmann ehemaliger Kaufmann dahier den 1. Oktober 1882 gestorben und als einzige Erbin seine Tochter Emilie Johanna Margaretha Ehmann, ledig in Scharrachbergheim hinterlassen
acp 799 (3 Q 30 514) f° 54-v n° 3649 du 15.3.

Emilie Jeanne Marguerite Ehmann loue la maison au marchand Paul Siebler

1892 (8.10.), Strasbourg 1 (258) Alfred Ritleng aîné n° 15.791
5. October 1892. Miethvertrag – Erschienen Herr Johann Baptist Vetter, Eigenthümer in Straßburg wohnhaft, handelnd in seiner Eigenschaft als Bevollmächtigter von Fräulein Emilie Johanna Margaretha Ehmann, Rentnerin in Scharrachbergheim wohnhaft (…) derselbe in seiner angegebenen Eigenschaft erklärte zu vermiethen
an Herrn Paul Siebler, Kaufmann in Strassburg wohnhaft, hier anwesend und annehmend
nachbeschriebenes Anwesen, nämlich, Stadt Strassburg
Ein Wohnhaus sammt Allen An- und Zubehör gelegen zu Straßburg in der Spießgasse N° 4, bildend die Ecke dieser Gasse & des Schneidergrabens, wo es die Nummer 13 trägt
Bedingungen (…) Die Dauer der Miethe wird auf sechs oder neun Jahre festgesetzt, welche am ersten October jüngst angefangen haben (…) VIII. Gegenwärtiger Miethvertrag wurde abgeschlossen um einen jährlichen Miethzinses von 4500 Mark
acp 863 (3 Q 30 578) f° 100 du 11.10.

Emilie Jeanne Marguerite Ehmann, demeurant à Tettitet en Suisse, vend la maison à la société en nom collectif Fürderer Jægler et Compagnie pour laquelle agit Paul Siebler-Ferry

1899 (1.5.), Strasbourg 1 (285) Alfred Ritleng aîné n° 19.744
1. Mai 1899. Verkauf – erschienen Herr Andreas Popp, Kassirer wohnhaft in Straßburg, handelnd in seiner Eigenschaft als Special bevollmächtigter der Fräulein Emilie Johanna Margaretha Ehmann, ledig großjährig, Rentnerin wohnhaft in Territet, Villa Colombia (Schweiz) laut (Vollmacht) Derselbe erklärte zu verkaufen (…)
an die in Strassburg unter der Firma Fürderer Jaegler & Cie bestehende offene Handelsgesellschaft mit dem Sitze zu Strassburg, für welche hier gegenwärtig ist, stipulirt und annimmt, einer deren Theilhaber, der hierselbst wohnende Kaufmann Herr Paul Siebler-Ferry, nachbeschriebenes Anwesen
Stadt Strassburg. Das zu Strassburg, Ecke der Spießgasse (N° 4) und des Schneidergrabens (N° 13) gelegenes Hausanwesen, welches katastrirt ist sub Section O N° 256 mit allem An- und Zubehör.
Eigenthumsherkunft. Die Verkäuferin Fräulein Ehmann hat diese Liegenschaft im Nachlasse ihres zu Straßburg am 1. October 1882 verstorbenen Vaters, dessen einzige gesetzliche Erbin sie ist, answeislich des vor dem vormaligen hiesigen Notar Holzapffel am 6. desselben Monags errichteten Inventars. Herr Ehmann, Vater, hatte dieselbe Liegenschaft ererbt in den Nachlässen seiner Eltern Peter Friedrich Ehmann und Maria Magdalena Schnitzler von Strassburg, laut der vor dem amtirenden Notar am 19. August 1874 errichteten Theilungsurkunde.
Bedingungen (…) Preis, 110.000 Mark. Abschläglich hierauf bekennt Comparent Herr Popp der Gesellschaft Ankäuferin sofort in Gegenwart des Notars die Summe von 30.000 Mark baar erhalten zu haben, wofür et quittirt.
acp 953 (3 Q 30 668) f° 77 du 2.5. – Ueberschrieben um Hypoth. in Straßburg 5.5.1899 2978/65 eingeschrieben 1900/55

A la dissolution de la société suite à la mort de l’associé Jean Baptiste Siebler, les immeubles reviennent à Paul Siebler-Ferry

1907 (11.5.), Antoine Keller n° 23.119
Theilung zwischen I. Paul Siebler-Ferry, Kaufmann in Strassburg, II. den Erben des am 14. Februar 1907 verstorbenen Johann Baptist Siebler hier 1. die Wittwe Maria Galler, Rentnerin hier, 2. die Kinder von Johann Baptist Siebler, a) Anna Siebler, Ehefrau von Dr Heinrich Doeckhoff, Polizeipräsident in Mülhausen*, b) Luise Siebler, hiern Wittwe des Kaufmanns Julius Ruff, c) Maria Siebler, Ehefrau von Ferdinand Werlé, Kaufmann in Mainz, d) Paul Siebler
des Vermögens der zwischen dem verstorbenen Johann Baptist Siebler und dem Paul Siebler Ferry bestandenen offenen Handelsgesellschaft unter der Firma Furderer Jaegler u. Cie. hier, da die Gesellschaft zwischen der Wittwe und den Erben des Verstorbenen aus dem verbleibenden Gesellschafter nicht fortgesetzt werden soll

acp 1068 (3 Q 30 783. I) f° 47-v n° 468 du 23.5. – Vorbemerkungen. Die Eheleute Siebler-Galler waren laut Ehevertrag Merlet in Messkirch vom 13. Oktober 1857 in Errungenschafts Gemeinschafft verheirathet. Maßgebend für die Auseinandersetzung ist die Bilanz vom 30. Juni 1906. Der Ehemann Johann Baptist Siebler beerbt zu einem Viertel von seiner Wittwe und drei Viertel von seinen Kindern.
1. Massenaufstellung. Aktiv. Grundstücke. Stadt Strassburg 1) a) ein Wohnhaus mit Erdgeschoß und 4. Stockwerken Hof Gutenbergerplatz N° 1 und Spießgasse N° 2
b) Ein Wohnhaus mit Erdgeschoß und 4 Stockwerken nebst Hintergebäu über dem Ulmergraben Gutenbergerplatz N° 2
Flur 19 Nr 24 – 2,55 Hf Whs Gutenbergerplatz 1 und 2, N.W. 13.900 M
c) Ein Lagerhaus Schneidergraben N° 9
d) ein Lagerhaus bestehend aus Erdgeschoß über Keller 5 Stockwerken und Speicher am Schneidergraben N° 11
Flur 19 Nr 17 – 1,18 Hf Schneidergraben 9 und 11, N.W. 1700
e) ein Wohnhaus Ecke der Spießgasse N° 4 und des Schneidergrabens N° 13
Flur 19 Nr 16 – 1,83 Hf Whs Schneidergraben 13, Spießgssse 4, N.W. 4300
f) Flur 19 Nr 24-a – 0,73 Hf Ulmergraben
Flur 19 Nr 18 – 0,81 Hf Schneidergraben N° 5 und 7
Flur 19 Nr 18-a – 0,16 Hf – 576.000 M
2) die vorhandene Waren 295.061 M, 3) die Geschaftsausstände 195.589 M, 4) Bankguthaben und Wertpapiere 86.191, 5) baaren Restenbestand 2483, 6) Wechsel 8709 (zusammen) 1.163.925
Passiv, 1) Hypothekenkonto mit 35.500, 2) Warenschuldenkonto 7041, 3) Kreditorenkonto 192.387, 4) Kapitalkontoren a) Johann Siebler 437.622, b) Paul Siebler-Ferry 64.737
Zuteilungen. I für Paul Siebler Ferry, bespricht 440.790, er erhält zugeteilt 1. die samtliche Grundstücke der Gesellschaft oben beschrieben 576.000. M (…)
[in margine, f° 48] Laut Theilung Keller vom 23.V.96 reg. Bd 912 N° 88 sind die Häuser Spießgasse 2 und Gutenbergerplatz 1, Gutenbergerplatz 2 Schneidergraben 9 und 11 den Johann Siebler, Julius Ruff und Emil Siebler Ferry aus die aufgelösten früheren Gesellschaft Fürderer Jaegler & Cie zu gleichen Teilen zugeteilt worden, da diese Häuser nicht durch notarielle Urkunde in die neue zwischen den genannten gebildete Gesellschafft eingelegt* worden sind, bleiben dieselben ge*ches Eigenthum der Gesellschafter. Diese Häuser sind geschätzt nach dem beigehefteten Schreiben des Paul Siebler-Ferry zu 340.000, wovon 1/3 beträgt 113.333 M.

Paul Clinton Siebler, fils aîné de Paul Siebler et de sa femme May Buchalew de Ferry, naît à Strasbourg en 1895. En marge, copie de la décision du lieutenant général (Statthalter) en date du 25 novembre 1896 qui autorise Paul Siebler à porter le nom de Siebler-Ferry. Le mariage a eu lieu à Genève en mai 1893 d’après le site des tombes.
Naissance, Strasbourg (n° 1246)
Strassburg am 24. April 1895. Vor dem Standesbeamten erschienen heute der Kaufmann Paul Siebler, wohnhaft zu Straßburg Spiesgasse N° 2, katholischer Religion, und zeigte an daß von der May Buchalew geborenen de Ferry seiner Ehefrau, katholischer Religion, wohnhaft bei ihm zu Straßburg in seiner Wohnung am 24. April des Jahres 1895 Mittags um zwölf Uhr ein Kind männlichen Geschlechts geboren worden sei, welches die Vornamen Paul Clinton erhalten habe
[in margine :] Durch Erlaß der Kaiserlichen Herrn Statthalter vom 25. November 1896. ist genehmigt worden, daß der Kaufmann Paul Siebler seinem Familiennamen den Zusatz Ferry hinzufügen und so fortan die Namen Siebler-Ferry führen darf. Diese Namensänderung erstreckt sich auch auf das in nebenstehender Urkunde erwähnte Kind Paul Clinton. Strassburg den 3. Mai 1898. Der Standesbeamte
† 20/10.18 1919/1762.

Le maire vend un mètre carré de terrain communal à Paul Siebler-Ferry et Mary Buchalew de Ferry

1908 (5.10.), Maire
1457. vor Bürgermeisteramt hier, 5. Oktober, durch die Stadt Strassburg
an Paul Siebler-Ferry, Kaufmann hier und Mary Buchalew geb. de Ferry
Gemeinde Straßburg Flur 19 n° 18-c, 1 Qm Schneidergraben
Bei Berechnung des Preises kommt in Betracht daß durch die am Schneidergraben weggenommene Fluchtlinienänderung an tatsächlichen Fläche die Stadt abtritt 1,10 Qm Baugelände
Siebler-Ferry abtritt 0,50 Qm Straßengelände, somit sind an die Stadt 0,60 zu verguten
acp 1083 (3 Q 30 798. I) f° 59 du 7.10.

L’immeuble est inscrit au cadastre pour l’exercice 1920 au nom d’Edmond Bloch puis en 1921 à celui de Salomon Lehmann et Aline Levy

Fils d’Isaac Lehmann, Salomon Lehmann épouse en 1895 Aline Levy, fille du boucher Moïse Levy d’Ottrott
1895 (4.9.), M° Mossler
Ehevertrag zwischen Salomon Lehmann, Kaufmann in Straßburg großjähriger ehelicher Sohn der zu Straßburg verstorbenen Eheleute Isaac Lehmann und Clara Levy
Aline Levy, gewerblos in Straßburg, großjährige Tochter des zu Ottrott verstorbenen Metzgers Moses Levy und dessen überlebenden Wittwe Babette Jonas
acp 902 (3 Q 30 617) f° 65-v n° 2398 du 11.9. Art. 1. Annahme der Errungenschafts Gemeinschaft
Art. 3. der Bräutigam bringt in Ehe seinen Gewinnantheil an dem Strumpfwarengeschäft, welcher er mit Isaac Hemmendingen dahier betreibt, sowie sein Gewinnantheil an dem Bazargeschäft in Firma M Weil, Nachfolger, geschäftzt auf M. 30.000
art. 4. die Braut brigt in Ehe 1. Ihren Anteil am Nachlass ihres Vaters, 2) an Mobilien
Art. 5 die Brautleute schenken sich gegenseitig zu Gunsten des Ueberlebenden die lebenslängliche Nutznießung der Gesamtnachlasses des Erststerbenden, bei Vorhandensein von Kindern nur die Hälfte


Part Brackenhoffer

La moitié de maison avenue à Susanne Engel, femme d’André Brackenhoffer, revient à son fils Philippe Jacques.

Le pharmacien Philippe Jacques Brackenhoffer épouse en 1701 Marie Marguerite Haan, fille du marchand Jean Michel Haan : contrat de mariage tel qu’il est copié à l’inventaire, célébration
1701, Not. Pantrion (Jacques Christophe, répert. 65 Not 45)
Eheberedung – H. Philipp Jacob Brackenhoffers apotheckers vnd Jfr M: Margar: Hanin

Copia der Eheberedung – zwischen dem Edlen Wohl Ehren Vesten und Kunsterfahrenen Herrn Philipp Jacob Brackenhoffer, Vornehmen Apotheckern allhier Zu Straßburg, deß Wohl Ehrenvest, Fromb, fürsichtig und Wohlweißen herrn Andreæ Brackenhoffers deß beständigen Regiments der herren Fünffzehen in Straßburg Wohlverordneten Assessoris ehelich erzeugtem Sohn, alß dem herrn Bräutigamb ane einem, So dann der Edlen Viel Ehren undt Tugendsamen Jungfrauen Mariæ Margarethæ Haanin, deß Edlen Wohl Ehren Vesten Großachtbahren undt Weißen herrn Johann Michael Haanen Vornehmen Handelsmanns undt E. E. Großen Rahts allhier alten beÿsitzers ehelicher tochter, alß der Jungfrau Hochzeiterein andern theils – Beschehen und Verhandelt in der Königlichen Statt Straßburg Montags den 24. Octobris Anno 1701. – Jacob Christoph Pantrion, Nots.

Mariage, Saint-Nicolas (luth. f° 70-v n° 20)
Mittwochs den 23. Novemb. 1701. seind nach Zweymahliger Außruffung in der Pfarrkirchen Zu S. Niclauß copulirt und eingesegnet worden H. Philipp Jacob Brackenhoffer der ledige Apothecker und burger alhie, deß Wohl Edlen Vest from, fürsichtig vnd wohlweissen H Andreas Brackenhofferß deß beständigen Regiments der Hh. XV. alhier, ehelicher Sohn, und Jfr. Maria Margaretha Haanin, H Johann Michael Haan, deß handelßmanns vnd burgerß auch E. E. Großen Raths alhier alten beÿsitzers ehl. Tochter [unterzeichnet] Philipp Jacob Brackenhoffer als hochzeiter, Maria Margaretha Haanin als Hochzeiterin (i 74)

Marie Marguerite Haan meurt en 1719 en délaissant deux filles. Les experts estiment à 2650 livres la moitié de maison dont l’autre moitié est indivise entre le pharmacien Jean Albert Eisenmann et le docteur en médecine Georges Henri Eisenmann. La masse propre au veuf est de 2 075 livres, celle propre aux héritiers de 2 672 livres. L’actif de la communauté s’élève à 2 536 livres, le passif à 2 910 livres

1719 (22.11.), Not. Lang (Jean Régnard, 29 Not 115) n° 1050
Inventarium und Beschreibung aller der Jenigen Haab, Nahrung und Güthere, so weÿland die Edle, Viel Ehren und Tugendbegabte Frau Maria Margaretha Brackenhofferin gebohrene Haanin, des Edel, Wohl Ehren Vest, hochachtbaren und Kunstberühmten Herrn Philipp Jacob Brackenhoffers, Vornehmen Apotheckers und burgers allhier Zu Straßburg nunmehro seelige, nach Ihrem den 3.tio Monats tag Augusti dieses lauffenden 1719.ten Jahrs aus dießer Welt genommenem tödlichen hientritt, Zeitlichen hinder sich Verlaßen, welche Verlaßenschafft auf freundliches Ansuchen, erfordern und begehren des Edel, Wohl Ehrenvest und hochachtbahren Herrn Johann Friderich Bembergs, Vornehmen Banquiers und handelsmanns, auch burgers alhier alß geschwornen Vogts Jungfrauen Mariæ Margarethæ und Mariæ Salome der Brackenhofferin, beeder der abgeleibten frauen seel. mit Vorwohl Ehrengenandtem Ihrem hinterbliebenen Herrn Wittiber ehelich erziehlter töchtere und ab intestato Verlaßener Erben, inventirt – Angefangen in Straßburg auff Mittwoch den 22.ten Novembris Anno 1719.

In einer allhier Zu Straßburg ane der Spießgaß gelegenen in diser Verlaßenschafft Zur helffte gehörigen und hernach beschriebenen Apothecker behausung befunden worden wie Volgt
Ane Höltzen und Schreinwerck. In der Cammer A, Vor dießem gemach, In der Cammer C, In der Cammer D, In der Cammer E, In des officiers Stub, In der Cammer F, In der magd Cammer, Vor dießen Gemachen, In der Wohnstuben, In der Wohnstub Cammer, Im Nebens Cämmerlein, Vor dießen Gemachen, In H. Rath. Haanin Stub, In der Bauchkuchen
Eigenthumb ane Häußern. (W.) Erstlich hauß in der Ruprechtsau in der Oberaw ohnfern der Kirch. gelegen (…)
(W.) Item Scheür, Stallung und Schöpff in der Ruprechtsau in der Oberaw (…)
Eigenthumb ane Häußern. Erstl. ein Apothecker behaußung mit allen deren gebäuden, Begriffen, Weiten, Rechten, Zugehörden und Gerechtigkeiten gelegen in der Statt Straßb. an der Spießgaßen, Zum Stauff genandt, eins. neben Herrn Friderich Rebhahn, Secretario beÿ allhießiger Cancelleÿ Contract stuben, anders. neben ist Ein Eck am Schneider graben, hinden auf herrn Cammott den handelsmann stoßend, davon gehen Jahrs auf Georgii 16. ß. d. Allmend Geld der Statt Straß. Pfenningthurn, sonsten freÿ, ledig und eigen und über dieße beschwehrd durch (die Werckmeistere) vermög übergebenen Abschatzungs Zeduls Vom 2.ten Decembris 1719. völlig angeschlagen pro 2293 lb, deren hiehero die helffte gehörig thut 1146 lb 10 ß. Und ist die übrige helfte Herrn Joh: Albrecht Eißenmann Apotheckern und burgern allhier und Georg Heinrich Eißenmann, Medicinæ doctori und Practico beeden Hhn. gebrüdern Zu ungleichen antheilen gebührig. Über die Völlige Apothecker behaußung besagt j. teutsch. Pergam: Kauffbrieff mit d. Statt Straßb. anhangendem C. Contract Insiegel verwahret, deßen datum der 31. Aug: 1637. Ferner unterschied. papÿr: Extractus in allhießig. C. Contract stub gefertiget. so dann etliche beÿ E. E. großen Raht allhier ergangene bescheid und sonst allerhand schrifftliche Acta alles mit altem N° 4. et 8. notirt, so sich aber dißmahlen nicht befunden
(E.) It: ein Speich. und deßen hoffstatt, allhie in der Krebs gaßen, auff dem Roßmarck (…)
(f° 47 Ergäntzung des herrn wittibers ohnveränderten Guths. Crafft einer Verzeichnus der jenig. haußraths Posten so weÿl.S.T. herr Andreas Brackenhofffer hochverdientener Fünffzehner des Geheimen beständigen Regiments allhier seinen beeden herren Söhnen als dem herrn Wittiber und herrn Frantz Brackenhoffern nach inhalt des über weÿl. S. T. Frawen Catharinæ Scheidin gebohrener Hitschlerin, ihrer Fraw Großmutter, in natura ausgeliefert (…)
(f° 62) Ergäntzung der Erben ohnverändert Guths. Nach außweiß Abtheÿlungs Concepts über Weÿl. S. T. Frawen Ursulæ haanin gebohrener Aßfalckin, S. T. Herrn Johann Michael Haanen, vornehmen handelsmanns und E. E. Großen Raths allhier Zu Straßburg alten wohlverdienten beÿsitzers geweßener Frawen Eheliebsten nunmehr seeligen verlaßenschafft in A° 1716. vergriffen (…)
(f° 65) Wÿdembs Verfangenschaft Welche hievor wohlermeltdte Fraw XV.in Susanna Brackenhofferin gebohrene Metzgerin des herrn wittibers hochgeehrte Fraw Stieff Mutter (…)
(f° 65-v) Wÿdembs Verfangenschaft Welche Herr Johann Michael Haan vornehmer handelsmann und E. E. Großen Raths alter wohlmeritirter beÿsitzer der in Gott ruhend. Frawen seel. werthgeliebter Herr Vatter von weÿl. Fr. Ursula Haanin gebohrner Aßfalckin seiner Frawen Eheliebst. seel. Zeit lebens wÿdembs weiße Zugenießen
Abzug in dießes Inventarium gehörig. des Herrn Wittibers ohnveränderte Rubricen, Sa. haußraths 186, Sa. Bibliothec 10, Sa. Eigenthumbs ane einer Apothecker behaußung 2029, Sa. lähren vaß 14, Sa. Silber geschirr und Geschmeids 118, Sa. Goldener Ring 27, Sa. Pfenningzinß hauptgüther 658, Sa. Eigenthums ane liegenden güthern 785, Sa. lehen güttern 4, Sa. Eigenthums ane häußern 160, (Sa. deßen was man befindlichen maßen dem herrn wittiber wegen seines ohnveränderten guths zu erstatten hätte 3156, 4488, 1332 lb, die seind hernach als eine Schuld auß des herrn Wittibers ohnverändert Nahrung Zubezahlend und als eine schuld in die theilbare Verlaßenschafft Zugelten, eingetrag. befindlich) Summa summarum 3994 lb – Schulden 1919, Verbleibt 2075 lb
Der Erben ohnveränderte Nahrung, Sa. haußraths 193, Sa. lährer vaß 97, Sa. Silber geschirr und Geschmeids 18, Sa. goldener Ring, Perlein 121, Sa. Eigenthums ane einem Speicher 375, Sa. Pfenningzinß hauptgüter 747, Sa. Ergäntzung 1119, Summa summarum 2672 lb
das Gemein, verändert und theilbar guth, Sa. haußraths 140, Sa. Schiff und geschirrs 16, Sa. Gutsch 20, Sa. Früchten auf dem Kasten 219, Sa. Früchten in der Ruprechtsau 9, Sa. Samens auff dem Velde 14, Sa. Viehes 39, Sa. Strohes, booßen und beßerung 10, Sa. Spinnhanffs 1, Sa. Tabacks 12, Sa. Rueben 24, Sa. Weins, Essigs und Lährer vaß 293, Sa. Silber geschirr und Geschmeidt 50, Sa. goldener Ring 5, Sa. Schulden (691, 345) 1678, Summa summarum 2536 lb – Schulden 2910, Mehr Schulden als guth 375 lb
Gantze Verlaßenschafft et Conclusio finalis Inventarÿ 4373 lb
Copia der Eheberedung (…) Straßburg Montags den 24. Octobris Anno 1701. – Jacob Christoph Pantrion, Nots.
Abschatzung d. 2.ten Xbris anô 1719. Auff begehren, deß Ehrenhafften vnd bescheÿtenen: H: Philippus Jacob Brackenhoffer, ist Eine behaußung Alhier in der Statt Straßburg, in der spieß gaßen gelegen, ist ein Apodeck Ein Eckh, An dem schneider graben, Ein seith, Neben, Neben H: Friterich Repphann Ander seith Neben H: Lammot Kauffman stoßend, welche behaußung, hoffstatt, hauß Ehren, Ladten, Condor, distelier und bauch Küchen, hauß Ehren vnd Zweÿ gewölbter Keller, Sampt Aller Ihrer gerechtig Keith, Wie solches durch der Statt geschwohren Werckh leüthen in der besichtigung befunden, vnd dem Jetzigen preiß Nach, angeschlagen, wirt Vor, und umb Fünf Tausendt dreÿ Hundert Gulten
der Ander Begriff ist Auch All hier in der Statt Straßburg in der grebs gaßen Auff dem Roßmarckh gelegen (…)
Bezeichnüß durch der Statt Straßburg Geschwohren Werckh leuthen [unterzeichnet] Michael Ehrlacher Werck Meister deß Meinsters, Johann Jacob Biermeÿer Werck Meister deß Zimmerhoffs

Philippe Jacques Brackenhoffer se remarie avec Marie Salomé Wagenmann, veuve du boucher Jean Henri Lobstein
Mariage, Saint-Nicolas (luth. f° 174 n° 3)
1721. Mittwoch post oculi den 19. Mart: 1721. seind nach Zweÿmahliger offentlichen Außruffung in der Evangelischen Pfarrkirchen Zu St. Nicol. in Straßburg Ehelich copulirt vnd eingesegnet worden H. Philipp Jacob Brackenhoffer, der Apothecker vnd burger alhier, vnd Fr. Maria Salome geb. Wagenmännin, weÿl. Johann Heinrich Lobsteins geweßenen Metzgers vnd Viehhändlers alhier nachgelaßene wittib [unterzeichnet] Philipp Jacob Brackenhoffer als hochzeiter, Maria Salome Lobsteinin Alß Hochzeiterin (i 178)

Le boucher Henri Lobstein épouse en 1705 Marie Salomé Wagenmann, fille du tonnelier et marchand de vins Isaac Wagenmann
Mariage, Saint-Nicolas (luth. f° 95-v n° 26)
Eodem [Mittwochs den 14. Octob. 1705] seind copulirt worden Johann Heinrich Lobstein der ledige Metzger und burger alhier H Johannes Lobsteinß deß Metzgers und Viehhändlers auch burgers alhier ehel. Sohn und Jfr. Maria Salome Wagenmännin weÿl. Isaac Wagenmans geweßenen Kieffers vnd weinhändlerß auch burgers alhier nachgelaßene ehel. tochter [unterzeichnet] Johann Heinrich Lobstein als hochzeiter, Maria Salome Wagenmännin Alß hochzeiterin (i 100)

L’inventaire est dressé en partie dans une maison derrière les murs, propre à l’épouse, et en partie dans celle rue des Hallebardes, décrite comme à l’inventaire ci-dessus. Les apports du mari s’élèvent à 8 217 livres, ceux de la femme à 9 255 livres.

1721 (25.6.), Not. Rohr (Daniel, 46 Not 51) n° 1659
Inventarium und Beschreibung aller derjenigen Haab Nahrung und Güthere, liegender: und Vahrender, Keinerleÿ darvon außgenommen, so der Ehren Veste und Großachtbahre auch Kunst berühmte Herr Philipp Jacob Brackenhoffer Vornehme Apothecker und die Viel Ehren und tugendreiche Frau Maria Salome gebohrene Wagenmännin beede Eheleuthe und Burgere allhier Zu Straßburg einander in den Ehestand Zugebracht, auch vermög auffgerichteter Eheberedung sich vor ohnverändert vorbehalten haben – So beschehen allhier in der Königl. fr. St. Str. auff Mittwoch deb 25. Junÿ A° 1721. in fernerer Gegenwart H. Johann Carl Gäcklers, Metzgers und Burgers allhier der Fr. Eheliebsten geweßenen H. Vogts.

In einer allhier zu Straßburg hinder behaußung Zum theil den Mauren gelegenen und theils in die ane der Spießgaß gelegenen Apotheck volgender maßen sich befunden.
Eigenthumb ane einer Apothecker behaußung auch dem darzu gehörigen Corpore der Apothecker Wahren. (H.) die helffte ane einer Apothecker behaußung, mit allen deren Begriffen, Weithen, rechten, Zugehörden und Gerechtigkeiten gelegen in der Statt Straßb. ane der Spießgaßen Zum Stauff genand, einseit neben Herrn Fried. Reebhaan, Secretario beÿ allhies. C. C. stuben, 2.s. ist j. Eck am Schneidergraben, hinden auf h. Lamot den handelsmann stoßend, da von gehen jahrs auff Georgii 16. schilling Allmend d. St. Str. Pfgth. sonsten freÿ, ledig und eigen, und über dieße beschwehrd dh. (die Werckmeistere) vermög übergebenen Abschatzungs Zeduls Vom 2.ten x.br 1719. Völlig angeschlagen pro 2293 lb. Wobeÿ mann es auch Vor dießes mahl gelaßen und ist das darab erlößte wahre pretium, wann sie solte in währender Ehe v.kaufft werden, Wied. Zu ergäntzen.
It. die helffte ane dem gantzen Corpore der Apotheck als allerhand Materialien, Apothecker Wahren, compositis et simplicibus welche dh. H. Joh: Breßlern E. E. Kl. Raths a. Assessorem und H. Johann Albrecht Eißenmann beeder Apotheckeren und burgere allhier beÿ dießer Zugebrachten Nahrungs Inventation im Monat Julÿ 1721. Von neuem auffgenommen, vnd sambt denen darzu gehörigen vasis, Schiff und geschirr sammenthafft laut darüber à parte in folio auff gerichteten Inventarÿ æstimirt worden pro 3381. lb 4 ß 4.d Trifft also die Völlige Apothecker behaußung auch das gantze Corpus der darzu gehörigen Apothecker Wahren dißmalen in allem 5674 lb Daran hiehero die Helffte gehörig, warzu auch nach diejenige Materialia, so dem Eheh. allein gehörig, gerechnet werden v. beträgt sich alßo in allem auff 3135. lb. Und ist die übrige helfte H. Joh: Albrecht Eißenmann Apotheckern und b. allh. v. Georg Heinrich Eißenmann, Med. Dri. und Practico beeden H. Gebrüd. Zu ungleichen Antheilen gebührig. Über die völlige Apothecker behaußung besagt j. perg. teutscher Kffbr. m. d. St. Str. anh. C. C. Ins. verwahret, deßen datum d. 31. Aug: 1637. Ferner unterschied. pap. Extractus in allhies. C. C. stuben gef. so dann etliche beÿ E. E. großen Rath allh. ergangene bescheid und sonst allerh. schrifftliche schrifftl. acta, alles m. a. N° 4. et 8. notirt, so sich aber dißmahlen nicht befunden.
Eigenthumb ane Häußern. (H.) i. hauß in der Ruprechtsau in der Oberaw ohnfern der Kirch. gelegen (…)
(H.) Item Scheür, Stallung und Schöpff in der Ruprechtsau in der Oberaw (…)&
(F.) i. Behaußung hinder der Statt Ringmauer beÿm Metzger thor (…)
(F.) i. Behaußung außerhalb der Statt Vor dem Metzgerthor (…)
Wÿdumbs Verfangenschaft Welche Herr Johann Michael Haan vornehmer handelsmann und E. E. Großen Raths alter wohlmeritirter beÿsitzer, des Ehehern geweßener ersterer Frau Eheliebstin seel. werth geehrten Herr Vatter von weÿland Frauen Ursula Haanin gebohr. Aßfalckin seiner Fr. Eheliebsten seel. Zeit lebens wÿdumbs weiße Zu genießen.
Series rubricarum hujus Inventarÿ. Des Herrn ohnveränderte Nahrung, Sa. haußraths 1169, Sa. Bibliothec 156, Sa. Eigenthumbs ane einer Apothecker behaußung 3135, Sa. Schiff und geschirr Zum Ackerbaw 42, Sa. Hew v stroh 33, Sa. Pferd 28, Sa. Vieh 52, Sa. Tung v beßerung 7, Sa. Fülth 50, Sa. Spinnhanffs 2, Sa. Tabac 22, Sa. Früchten 382, Sa. Wein und Leerer Vaß 702, Sa. Silber geschirr und Geschmeids 972, Sa. Goldener Ring 665, Sa. baarschafft 426, Sa. Pfenningzinß hauptgüther 1200, Sa. Früchten auff dem Veld 303, Sa. Eigenthums ane häußern 160, Sa. Eigenthums ane liegenden güthern o, Sa. ane j. liegend. Lehen Guth 4, Sa. Schulden 794, Summa summarum 10.309 lb – Schulden 2176 lb, Nach deren Abzug 8133 lb – Darzu gelegt was dem Eheherren ane denen Haussteuren begührig ist 83 lb, So belaufft des Eheherrn gesambte in die Ehe gebrachte Nahrung in allem 8217 lb
der Ehefr. ohnverändertes Vermögen, Sa. haußraths 1096, Sa. Haw 24, Sa. Vieh 6, Sa. Gutsch 10, Sa. Wein und Leerer vaß 391, Sa. Silber geschirr und Geschmeids 462, Sa. Goldener Ring 353, Sa. baarschafft 231, Sa. Pfenningzinß hauptgüter 6304, Sa. Eigenthums ane j. Metzgerb. v. Häusern 2710, Sa. Eigenthumb ane Liegenden Güthern 95, Sa. Activ Schulden 489 lb, Summa summarum 12.173 lb – Schulden 3002, Compensando 9171 lb, Was deroselben Zum halben teil ane den verehrten hß.steuren crafft der Eheberedung Zukommt 83 lb, So wird sich die gantze Substanz der Ehefr. in die Ehe gebrachter ohnveränderter Nahrung erstrecken auff 9255 lb

Philippe Jacques Brackenhoffer meurt en 1745 en délaissant deux filles, Marie Marguerite mariée avec le marchand Jean Kirschner et Marie Salomé, femme du docteur en médecine Jean Geoffroi Saltzmann. Les experts estiment la maison à 4 000 livres. La masse propre à la veuve est de 9 239 livres, celle des héritières de 6 949 livres. L’actif de la communauté s’élève à 5 871 livres et le passif à 9 158 livres.

1745 (21.8.), Not. Brackenhoffer (Jean, 4 Not 20) n° 725
Inventarium über Weÿl. S.T. Hn Phillipp Jacob Brackenhoffers geweßenen Apotheckers und E: E: großen Raths allhier Zu Straßburg altem wohlmeritirten Assessoris seel. Verlaßenschafft, auffgerichtet Anno 1745.
Inventarium und Beschreibung all derjenigen liegend und Vahrender Verändert und unveränderter Haab und Nahrung, Schulden und Gegenschulden, überall nichts davon excludirt, und außgenommen, so weÿl. S. T. H. Phillipp Jacob Brackenhoffer geweßener Apothecker und E: E: großen Raths allhier Zu Straßburg wohlmeritirter alter Assessor seel. nach seinem den 21.ten Junÿ hujus Anni aus dießer Zeith und Welt genommenen tödlichen hintritt hier Zeitlichen verlaßen, welche Nahrungs Verlaßenschafft dato Zu End stehend, auf freundliches Ansuchen erfordern und begehren, deßelben ab intestato Verlaßenen auf folgendem Blatt benahmster Erben, ersucht und inventirt nach deme dieselbe wie auch S. T. frau Maria Salome geborne Wagenmännin die hinterbliebene Frau Wittib mit beÿstand S.T. H Joh: Rudolph Dinckels Notarÿ publici jurati und Vornehmen practici auch burgers allhier (…) Actum und jnventirt Strassburg den 21.ten Aug. et seqq. Anno 1745.
Der in Gott ruhende H. Rathherr seel. hat ab intestato Zu Erben Verlaßen wie volgt 1.mo S. Frau Mariam Margaretham Kirchnerin gebohrne Brackenhofferin, S. T. H Johann Kirchners Vornehmen handelßmanns und burgers allhier Fr. Eheliebstin, welche mit beÿstand deßelben Zugegen war, 2.do S. T. Frau Mariam Salome Saltzmännin geb. Brackenhofferin, S. T. H. Johann Gottfried Saltzmanns Medicinæ Doctoris und Vornehmen Practici auch burgers allhier Fr. Eheliebstin, welche mit assistentz deßelben dießem Geschäfft beÿwohnete. Dieße beede des Verstorbenen seel. in erster Ehe mit Weÿl. frauen Maria Margaretha gebohrnen Haanin ehelich erzeugte respê döchtere und ab intestato Zu Zweÿ gleichen Stammtheilen Verlaßene Erben

In einer allhier Zu Straßburg in der Spießgaß gelegenen hiehero Zum theil gehörigen und hernach beschriebenen Apothecker behausung hat sich befunden wie Volgt
Ane Höltzen und Schreinwerck. Vor der Bühnen Cammer, In der Schwartztuch Cammer, In der Magd Cammer, In der Eck Cammer, Im haußöhren Vor der Eck Kammer, In der Gesellen Cammer, Im Mittleren Haußöhren, In der Kleinenstub, In der Wohnstub, In der Stub Cammer, Im Cabinet, In der Kuchen, Im Keller, In der officiers Stub, In des Knechts Cammer, Auffm Guth in der Ruprechtsau
Eigenthumb ane einer Apothecker Behaußung. (E.) die Helfte ane einer Apothecker behauß. mit allen deren gebäuden, Begriffen, Weiten, Zugehörden, Rechten und Gerechtigkeiten gelegen allhier zu Straßburg ane der Spießgaß Vor alters her Zum Stauff genandt 1.s. neben H. Joh: Heinrich Hummel dem Handelsmann allhier, 2.s. ist Ein Eck am Schneider Graben und hinten auf M. Degeorge den handelsmann stoßendt, davon gehen Jahrs auf Georgii 16 ß Allmend Geldt der Statt Straßburg Pfenningthurn thut Zu doppeltem Capital ad 5. p. Cto gerechnet antreffen 32. lb. Sonsten aber freÿ, ledig und eigen undt Vermög Scheins Von den Geschwohrnen Hh. Werckmeistern allhier de dato 12.t Augusti 1745. æstimirt und angeschlagen Vor und umb 4000 lb. d. Abgezog. obig darauff hafftendes onus so verbleibt ane dem anschlag des hauses annoch übrig 3968 lb d. daran hiehero die helffte gebührig u. in Auswurff Zu bring. mit 1984. Die übrige helfte ist Weÿl. H. Joh: Albrecht Eißenmanns geweßenen Apotheckers undt burgers hinterbliebenen Enckelin H. Johannes Herrmanns Evangelischen Pfarrherrn Zu Barr Fr. Eheliebsten Zuständig.
Über die Völlige Apothecker behaußung besagt Ein teutscher Pergamentener Kauffbrieff mit der Statt Straßburg anhangendem Cantzleÿ Contract Insiegel Verwahrt deßen datum der 31. Aug. 1637. Ferner unterschiedliche Papierene Extractus aus allhießiger Cantzleÿ Contract Stub gefertiget. So dann etliche beÿ E. E. großen Rath allhier ergangene bescheid und sonst allerhand schrifftliche acta.
Eigenthumb ane einem Meÿereÿ Guth in der Ruprechtsau gelegen
(E.) 1. behaußung in der neuen Zeil (…)
Eigenthumb ane einem Metzig banck so d. Fr. Wb. unverändert (W.)
Wÿdumb In der Fr. Wb. Ohnv. Nahr. Zue geltend. H. Johann Valentin Schneeganß der Jüngere Metzg: v. b. alhier hat auß weÿl. Fr. Cath: Salome Schneeganßin geb. Lobsteinin deßen Zweÿten eheleibl. seel. Verlaßenschafft ad dies vitæ annoch Zu genießen (…)
Ergäntzung der Fraw Wittib wehrend. ehe abgegang ohnverändert guthß. Vermög Inventarÿ über deß Verstorb. H. Rathh. seel. und deßen hinterbl. Wb. Zu der Zeit ihrer Verheurath. einander in den Ehestand Zugebr. Nahrung in Anno 1721. sub dato 25. Junÿ durch nun weÿl. H. Daniel Rohr geweß. Notar: vnd burger alhier verfertiget
Series rubricarum hujus Inventarÿ. Copia der Eheberedung
Der hinterbliebenen Fr. Wittib unveränderten Vermögens, Sa. haußraths 44, Sa. Leerer Vaß 9, Sa. Silbergeschier 181, Sa. Goldener Ring 136, Sa. Baarschafft 98, Sa. Eigenthum ane Liegenden Guttern 230, Sa. Eigenthums ane einem Metzig banck 1240, Sa. Pfenningzinß hauptgütter 1279, Sa. der Ergäntzung 6019, Summa summarum 9239 lb
Dießemnach wird auch deren Erben unverändertes Vätterliches Guth beschrieben, Sa. haußraths 355, Sa. Leeren Vaß 24, Sa. Silbers 263, Sa. Goldener Ring 148, Sa. baarschafft 1, Sa. Eigenthums ane einer Apothecker behaußung 1984, Sa. Eigenthumbs ane einem Meÿereÿ Guth in der Ruprechtsau 683, Sa. Lehen Gütter o, Sa. Pfenningzinß hauptgüter 774, Sa. Erg. 2717, Summa summarum 6949 lb
Endlichen so wird auch daß gemein Verändert und theilbahre Guth beschrieben, Sa. haußraths 155, Sa. Wein 102, Sa. Corporis d. Materialien 750, Sa. Silbers 31, Sa. Goldener Ring 7, Sa. baarschafft 655, Sa. Mattwachßes 16, Sa. Lehengütter o, Sa. Pfenningzinß hauptgütter 4066, Sa. activ: Schuld 87, Summa summarum 5871 lb – Schulden 9158 lb, Übertreffen (…) umb 3287 lb
Conclusio finalis Inventarÿ 12.901 lb – Stall summ 11.321 lb
Eheberedung – entzwischen dem Edel, Wohl Ehrenvest, Hochachtbaren und Kunsterfahrnen Herrn Philipp Jacob Brackenhoffern, Vornehmen Apotheckern und burgern allhier Zu Straßburg, als dem herrn Bräutigamb, ane einem, So dann der Viel Ehren und Tugendbegabten Frauen Maria Salome gebohrener Wagenmännin, Weÿland des Ehrenvest und Wohlvorgeachten Herrn Johann Heinrich Lobsteins geweßenen Metzgers und burgers allhier nunmehr seeligen nachgelaßener Fraw Wittib, als der Fraw Hochzeiterin, am andern theil – Beschehen und verhandelt seindt dieße ding in der Königlichen freÿen Statt Straßburg, auff Freÿtag den 7. Monats Tag Martÿ im Jahr als mann nach unsers einigen Erlößers heÿlandts und Seeligmachers Gnadenreichen geburth und Menschwerdung Zahlte 1721 [unterzeichnet] Philipp Jacob Brackenhoffer als Hochzeiter, Maria Salome Lobsteinin Geborene Wagenmännin Als Hochzeiterin – Johann Reinhard Lang, Notarius juratus
Abschatzung dem 12. Augst: 1746. Auff begehren Weillandt deß wohll achtbahren und bescheitenen herrn Pflip Brackhoffer deß gewëßenen apotecker seel: hinder Laßnen frau wittib und Erben ist eine behausung allhier in der Statt Straßburg in der spieß gaßen gelegen ein seitß Ein Eck gegen dem schneiter graben, anderseitß Neben H: Johann Heinrich hünëll dem handelß Mann hindten auff Meister haußer dem schneiter stoßent welche behaußung unden ein gangß die apoteck Neben daran daß Labertorium und Contor, die wahren Cammer und bauch Kuchen gewölbter Keller und hauß Ehren sambt einem auß gang auff dem schneiter graben, oben dar über ihm Ersten stock, ein Stuben Cammer Cammin Camërlin hauß Ehren und Nebenß Stuben ihm 2.ten Stock wiedrum ein Stuben Cammer Küchell hauß Ehren und Nebenß Stuben ihm 3.ten Stock 5 ingleiche Cammern war über ein alten tach stull darinnen 2: Cammern beszeztet Bienen, daß tach mit breidt Ziglen belegt sambt aller gerëchtigkeit wie solches turch der Statt Straßburg geschwornen werck Meister an geschlagen wierdt Vor und umb Acht Tausent Gulden. bezeichnuß der Statt Straßburg geschwornen Werckmeistere, [unterzeichnet] Pflug Statt Lohner, Michael Ehrlacher Werck Meister deß Meinsters, Johann Jacob Biermeÿer Werck Meister deß Zimmerhoffs

Les préposés de la Taille font figurer la succession dans leur registre parce que les impôts acquittés étaient calculés d’après une fortune sous-évaluée de 4 700 florins (2 350 livres) sur un total de 22 600 florins
1745, Livres de la Taille (VII 1179) f° 359
Fischer F. N. 9521 – Weÿl. H. Philipp Jacob Brackenhoffer Apothecker und E. E. Großen Rahts Alten beÿsitzers Verlaßenschafft inventirt H. Not. Brackenhoffer
Concl. Fin. Inv. ist Fol. 493.b 12.901 16. 7. gehet ab der haußraht der 555. lb, und wegen 5127. lb 15 ß Zu 4. pro Cento angelegte Capitalien 1025. lb 11 d also Zusammen 1580. 16, rest 11.321
die machen 22.600 fl. Verstallte 17.900 fl, Zu wenig 4700 fl.
Nachtrag, Acht Jahr in duplo à 14 lb 2 ß – 112. lb 16 ß
Und Sechs Jahr in simplo à 7 lb 1 ß – 42 lb 6 ß
Extat Stallgeltt 1745. – 28 lb 4 ß
Gebott 2 ß
Abhandlung – 13 lb 17 ß 6 d – Summa 197 lb 5 ß 6 d
Nachgelaßen 42 lb 6 ß, rest 154 lb 19 ß 6 d
dt. 11. Octobr. 1745.

Partage mobilier entre les héritières
1745 (3.3.), Not. Brackenhoffer (Jean, 4 Not 19) n° 701
Verzeuchnuß derjenigen Capitalien Und dann verschiedenen Silbergeschirrs welche H. Phillipp Jacob Brackenhoffer der Apothecker, vnd E.E. großen Raths alter beÿsitzer seinen beeden döchteren fr. Mariæ Margarethæ H. Joh: Kirschners deß handelßmanns vnd burgers alhier ehefrawen, Vndt dann fr. Mariæ Salome Hn. Joh: Gottfrid Saltzmanns Med: Dr. et practici auch burgers allhier eheliebstin, vmb solches in 2. gleichlinge theil vnter sich habendt Zu vertheilen, freÿwillig eigenthümb. abgetretten
Straßb. d. 3. Martÿ 1745.

1745 (14.9.), Not. Brackenhoffer (Jean, 4 Not 20) n° 729
Verkauff Register Über die in weÿl. S.T. H. Philipp Jacob Brackenhoffers geweß. Apotheckers und E.E. großen Raths alten beÿsitzers seel. Verlaßenschafft gehörig geweßte (…) auffgerichtet den 14.ten 7.bris 1745.

Marie Salomé Brackenhoffer épouse en 1740 le docteur en médecine Jean Geoffroi Saltzmann. La maison est estimée à la somme de 4000 livres lors de l’inventaire dressé en 1767 après la mort de Jean Geoffroi Saltzmann.


Les Maisons de Strasbourg sont présentées à l’aide de Word Press.