35, rue des Grandes Arcades


Rue des Grandes Arcades n° 35 – V 145 (Blondel), N 1033, puis section 62 parcelle 38 (b) (cadastre)

Maison dite à l’Oiselet (zum Vögelein)
Façade reconstruite pour le fripier Frédéric Rüger en 1744
Nouveau bâtiment à la place des anciens 33, 35 (1897), voir n° 33


Le n° 35 formait la partie droite du bâtiment Manrique (1898, carte postale G. Fischbach) – Elévation des anciens 33, 35 et 37 (1897, dossier de la Police du Bâtiment)

La maison dite dite à l’Oiselet (zum Vögelein) qui appartient au pelletier Etienne Gassner selon le Livre des communaux (1587) a dix-huit pieds et demi de long. Le cordonnier Pierre Berneck fait façonner en 1629 des pièces de bois place des Cordeliers, sans doute pour faire des réparations. Les propriétaires suivants sont fondeur de pichets (Balthasar Heckel, 1634-1676), fondeur d’étain (Antoine Füssel, 1676-1684) et chaudronniers (Michel Schwartz père et fils, 1684-1728). Le fripier Frédéric Rüger est autorisé en 1744 à avancer de cinq pieds deux pouces sa maison pour l’aligner avec celle de son voisin Jean Daniel Berger (futur n° 37). Jean Dupé, déjà propriétaire du futur n° 33, achète la maison qu’il conserve jusqu’en 1777. Il charge en 1772 le maître maçon Georges Michel Müller de divers travaux : aménager une buanderie au rez-de-chaussée du bâtiment arrière, une cheminée dans une chambre donnant sur la rue et une autre dans une chambre donnant sur la cour. La maison appartient ensuite (1777-1814) au marchand de rubans Jean Daniel Graffenauer qui obtient en 1782 que le voisin à l’arrière fasse grillager les ouvertures donnant vers sa propriété et en 1780 que les propriétaires de la maison au sud modifient le chenal de leur gouttière. Les élévations de 1830 montrent que les façades des n° 35 et 37, construites la même année, sont identiques.


Plan-relief de 1727, maisons entre la rue de l’Outre et la ruelle des Dominicains. La maison est la troisième à partir de la droite, (Musée historique, cliché Thierry Hatt)

Elévations préparatoires au plan-relief de 1830, îlot 63 et cour O (Musée des Plans-relief) 1

L’Atlas des alignements (années 1820) mentionne un bâtiment à rez-de-chaussée et trois étages en maçonnerie, un quatrième étage en bois et un balcon. Sur les élévations préparatoires au plan-relief de 1830, la façade se trouve à droite du repère (t) : deux arcades au rez-de-chaussée, balcon, quatre étages à trois fenêtres chacun, toiture à un niveau mansardé puis lucarnes sur deux niveaux. La cour O montre l’arrière (2-3) du bâtiment sur rue, le bâtiment latéral (3-4) au nord, le bâtiment arrière (1-4) et le mur (1-2) qui sépare la cour de celle du voisin au sud.
La maison porte d’abord le n° 27 (1784-1857) puis le n° 35.

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Plan des Ponts et Chaussées 1856, cote 2 SP 52), maison Krick à quatre étages en pierre, solide (4 EPS), en retrait de l’alignement fixé par l’ordonnance de 1828

Au XIX° siècle, la maison appartient aux négociants Jean André Silbermann qui part chercher fortune à Marseille (1814-1822) puis Joseph Krieck originaire de Mayence (1822-1852). Propriétaire de 1872 à 1897, le rentier et ancien marchand mercier Marie Joseph Manrique la vend à la société en nom collectif Gœhrs et Compagnie qui fait construire un nouveau bâtiment à la place de trois anciennes maisons.

octobre 2024

Sommaire
CadastrePolice du BâtimentRelevé d’actes

Récapitulatif des propriétaires

La liste ci-dessous donne tous les propriétaires de 1586 à 1987. La propriété change par vente (v), par héritage ou cession de parts (h) ou encore par adjudication (adj). L’étoile (*) signale une date approximative de mutation.

Etienne Gassner, pelletier, et (1555) Marguerite Biermann, veuve d’Alexandre Lichter, puis (1563) Anne Weinling – luthériens
1622 v Pierre Bernecker, cordonnier, et (1613) Susanne Frantz – luthériens
1634 v Balthasar Heckel, fondeur de pichets, et (1632) Anne Marie Dremer, d’abord (1619) femme du potier Jean Weber – luthériens
1676 v Antoine Füssel, fondeur de pichets, et (1650) Susanne Kolb, (1659) Marguerite Strintz puis (1683) Anne Barbe Storck, d’abord (1673) femme du diacre Daniel André Tromer – luthériens
1684 v Michel Schwartz, chaudronnier, et (1680) Sara Voltz – luthériens
1717* h Michel Schwartz, chaudronnier, et (1718) Anne Marie Fischer – luthériens
1828 v Jean Benoît Bruder, marchand de cuir, et (1725) Marguerite Voltz – luthériens
1736 v Frédéric Rüger, fripier, et (1735) Marie Marguerite Ebinger, veuve de Georges Jacques Prück – luthériens
1772 h Jean Dupé, revendeur de tabac, et (1743) Marie Madeleine Cécile Haupt, (1758) Marie Catherine Louis, (1774) Anne Françoise Lionnet puis (1792) Marie Salomé Wild – catholiques
1777 v Jean Daniel Graffenauer, boutonnier et marchand de soie, et (1767) Marie Elisabeth Rothhan puis (1778) Marguerite Elisabeth Redslob, remariée (1809) avec le joaillier Joseph Ott – luthériens
1814 h Jean André Silbermann, négociant, et (1813) Frédérique Sophie Graffenauer
1822 v Joseph Krick, négociant, et (v. 1807) Antoinette Marie Geisweiler
1852 h Joseph Jacquin, chirurgien militaire, et (1852) Alice Catinka Joséphine Schauffler
1872 v Marie Joseph Manrique, négociant, et (1868) Constance Petit puis (1892) Elisabeth Jehl
1897 v Gœhrs et Compagnie, société en nom collectif
voir ensuite le n° 33

Valeur de la maison selon les billets d’estimation : 1250 livres en 1710, 850 livres en 1717, 1 400 livres en 1757, 1 000 livres en 1772, 2 300 livres en 1774 (voir remarque plus bas)

(1765, Liste Blondel) V 145, Fréderic Rieger
(Etat du développement des façades des maisons, AMS cote V 61) Graffenauer, 2 toises, 5 pieds et 2 pouces
(1843, Tableau indicatif du cadastre) N 1033, Krick, Joseph, négocaint – maison, sol – 1,1 are

Locations

1728, Jean Jacques Meyer, brasseur, et Georges Jacques Prück, tailleur
1735, Jean Louis Schlag, marchand de fourrures, et Marie Elisabeth Bœhm
1736, Daniel Jacques Spoor, pelletier
1772, Pierre Lemonier, marchand
1776, Philippe Auguste Buché, marchand modiste
1849, 1866, Joseph Lambrecht, négociant

Livres des communaux

1587, Livre des communaux (VII 1450) f° 137-v
Le pelletier Etienne Gassner règle 1 livre 10 sols pour sa maison, à savoir un auvent (18 pieds ½ de long, saillie de 11 pieds), une plate-forme dallée (18 pieds ½ de long, saillie de 8 pieds ½) sur laquelle se trouve une porte de cave inclinée (6 pieds ½ de long et 6 pieds ½ de large), un étal pliant (10 pieds ½ de long et 1 pied ½ de large), en outre un soupirail incliné (2 pieds 4 pouces de long, 2 pieds de large) et deux petites colonnes en bois.

Sondern Cleinen Prediger Gaëßlin gegen dem Pfenningthurn Zu
Steffan Gaßner der Kürschner hatt vor seinem hauß oben ein Wettertach 18 ½ schu lang Vnd 11 schu herauß, Vnden ein besetzten Tritt 18 ½ schu lang vnd 8 ½ schu herauß, Darauff ein ligende Kellerthüer 6 ½ schu lang, vnd 6 ½ schu breit, Ein Vssatz banckh 10 schu lang vnd 1 ½ schu breit, Mehr ein ligendt Kellerfenster 2 schu 4 Zoll lang vnd 2 schu breit, sampt Zweÿen hültzenen Kleinen Saulen, Bessert für das Niessen, j lb x ß d

Préposés au bâtiment (Bauherren)

1629, Préposés au bâtiment (VII 1344)
Le cordonnier Pierre Berneck est autorisé à façonner 50 pièces de bois place des Cordeliers

(f° 26) Mittwochß den 8 Aprilis 1629. – Zimmer Platz
Peter Berneck d. Schumacher umb ein Zimmerplatz vff Parfüßer Platz. Zu 50 Stuck holtz Willfahrt mit gewohnlich. conditionen.

1744, Préposés au bâtiment (VII 1401)
Le fripier Frédéric Rüger est autorisé, comme son voisin Jean Daniel Berger (f° 32), à avancer de 5 pieds 2 pouces sa maison qui a 18 pieds ½ de long pour aligner les deux maisons. Si les voisins souhaitaient à l’avenir aussi ravancer leurs maisons, on pourra tirer une ligne depuis la maison Rüger à l’angle jusquà celle du conseiller Jean Braun rue de l’Outre pour délimiter l’alignement. Frédéric Rüger est autorisé l’année suivante à aménager une galerie de 19 pieds de long et 3 pieds de large.

(f° 32-v) Dienstags den 7. Ejusdem [Julÿ 1744]. – Friderich Rüger
Deßgleichen wurde Friderich Rüeger den fripier auf deßen ansuchen erlaubt, mit seinem neben Obged. H. Johann Daniel Berger gelegenen, auch 18. ½ schuhe breiten hauß um 5. schuhe 2. Zoll gegen dem allmendt Herauß Zufahren gegen erlag 30 fl. für ein und Allemahl Zu bezahlen, wordurch dieße Zweÿ häußer in eine Lini oder flucht Kommen. Und wann die Nachbaren mit der Zeit auch heraußbauen wolten, Könte die schnur Von dem Undern Eck an Rügers Hauß, an das Eck Von H. Rathh. Johannes Braunen hauß An der Schlauchgaß gezogen, und nach dießer Gebauen werden. dt. den 25. Julÿ 1744. 15. lb.

(f° 70) Mittwoch den 24. Februarÿ 1745. – Friderich Rieger
Ferner haben die Obere Bauherren auch augenschein eingenommen an Friderich Rieger des fripier Hauß hieher der Großen Gewerbs Laub gegen der Kürschner stub über, an welches er, nach deme ihme, wie hiefornen fol: 32. Zusehen, erlaubt worden, selbiges 5. schuhe 2. Zoll beßer Vorwehrts Gegen dem Allmendt Zubauen, einen 19. schuhe Lang, und 3. schuhe tieffen altan Zumachen willens, und deßwegen um erlaubnus Gebotten. Erkannt in dießem Maß Willfahrt.

Préposés aux feux (Feuerherren, 4 R 91)

1772. Le conseiller Müller (Georges Michel Müller) expose les travaux qu’il va faire dans la maison de Jean Dupé près de la place d’Armes, à savoir aménager au rez-de-chaussée du bâtiment arrière une buanderie comprenant un chaudron à lessive et une hotte, au premier étage vers la rue une chambre à cheminée à la française, au deuxième étage une chambre à cheminée donnant dans la cour (il s’agit sans doute de travaux dans la maison que Jean Dupé vient d’acheter et non dans celle qu’il possédait déjà)

(p. 261) Mittwoch den 17. Junii 1772.
Sr Dupé der Burger und Tabachändler will in seiner gegen dem Baarfüßer platz gelegenen behausung im hindern gebäu au rez de chaussée eine Bauch Kuchen samt Bauchkeßel auf den grund boden setzen darüber ein Caminschoß, das Rohr am steinern gäbel hinauf, von allem holtz entfernt.
Im ersten stock eine Cammer gegen der Straß, mit einem frantzösischen Camin auf ein gewölb wohl versehen setzen das rohr mitten durchs gebäu, Von allem holtz entfernt. Im Zweÿten stock eine Camer gegen dem hof das Camin auf ein gewölb wohl versehen setzen, das rohr mitten durchs gebäu, Von allem holtz entfernt. Erkandt, Willfahrt. Hr. Rathh. Müller

Description de la maison

  • 1710 (billet d’estimation traduit) La maison comprend une cour, un puits, une cave voûtée, un bâtiment latéral et un bâtiment arrière, le tout estimé avec appartenances et dépendances à la somme de 2500 florins
  • 1717 (billet d’estimation traduit) La maison comprend une boutique, un bâtiment arrière, une cave voûtée et un puits, le tout estimé avec appartenances et dépendances à la somme de 1700 florins
  • 1757 (billet d’estimation traduit) La maison comprend une boutique à l’avant deux poêles, deux cuisines et plusieurs chambres, par-dessus une mansarde couverte de tuiles plates, en outre une cave voûtée et un puits, de même un petit bâtiment arrière où se trouvent deux chambres, le comble est couvert de tuiles plates, le tout estimé avec appartenances et dépendances à la somme de 2800 florins
  • 1772 (billet d’estimation traduit) La maison comprend une boutique à l’avant deux poêles, deux cuisines et plusieurs chambres, par-dessus une mansarde couverte de tuiles plates, en outre une cave voûtée et un puits, de même un petit bâtiment arrière où se trouvent deux chambres, le comble est couvert de tuiles plates, le tout estimé avec appartenances et dépendances à la somme de 2000 florins
  • 1774 (billet d’estimation traduit) La maison comprend un bâtiment avant et un bâtiment arrière dans lequel se trouve une boutique et une arrière-boutique, plusieurs poêles, chambres, une cuisine, comble couvert de tuiles plates, cave voûtée et puits, le tout estimé avec appartenances et dépendances à la somme de 4600 florins (même somme que la maison voisine)
  • 1814, rapport d’experts

Atlas des alignements (cote 1197 W 37)

2° arrondissement ou Canton nord – Rue des Grandes Arcades

nouveau N° / ancien N° : 60 / 27
Grick
Rez de chaussée et 3 étages bons en maçonnerie le 4° étage bon en bois et balcon
(Légende)

Cadastre

Cadastre napoléonien, registre 21 f° 299 case 4

Krick, Joseph à Strasbourg
Schauffler alice catinka Josephine Epouse Joseph Jacques, Chirurgien major au 12° d’artillerie, sub. 1854

N 1032, maison, sol – vis à vis la place d’armes N° 27
Contenance : 1,10
Revenu total : 342,57 (342 et 0,57)
Ouvertures, portes cochères, charretières :
portes et fenêtres ordinaires : 23 / 18
fenêtres du 3° et au-dessus : 13 / 10

Cadastre napoléonien, registre 23 f° 1090 case 1

Jacquin Joseph, la femme née Schauffler
1875, Manrique, Marie Josef, Kaufmann, Gewerbslauben 35
98/99, Goehrs & Cie, offene Handelsgesellschaft
1909, Goehrs, Theodor Kaufmann u. Goehrs Luise Rentnerin
(ancien f° 838)

N 1033 Maison, sol, Rue des grandes arcades 35
Contenance : 1,10
Revenu total : 342,57 (342 et 0,57)
Folio de provenance : (299)
Folio de destination : Gb
Année d’entrée :
Année de sortie :
Ouvertures, portes cochères, charretières :
portes et fenêtres ordinaires : 23
fenêtres du 3° et au-dessus : 13

Cadastre allemand, registre 32 page 446 case 3

Parcelle, section 62, n° 38-b – autrefois N 1033
Canton : An den Gewerbslauben Hs N° 35
Désignation : 1,35
Contenance : Hf, Whs, e.n.a.T u. NG
Revenu :
Remarques : 1909 von Parz. 38-a, VII, 112

(Propriétaire jusqu’à l’exercice 1914), compte 2263
Goehrs Theodor u. Luise
1911 Goehrs Theodor
gelöscht 1914

(Propriétaire à partir de l’exercice 1914), compte 446
Goehrs Karl Gustav Herm. We
1914 Goehrs Theodor August und Ehefr. Maria Elisabeth Leonie geb. Schmutz
1947 Goehrs Théodore Aug. les héritiers et sa veuve les héritiers
(1639)

(Propriétaire à partir de l’exercice 1950), compte 2102
Elbel Marie Lucie
1924 Société Anonyme de l’Est Cinéma à Paris
1944 Arcaden Filmtheater Hochwelker u. Wintrich offene Handelsgesellschaft
1947 Société Anonyme de l’Est Cinéma à Paris
(359)

1789, Enquête préparatoire à l’Etat des habitants (cote VII 1295)

Canton 5, Rue 98 au bas de la Place D’armes

27
Pr. Grafenauer, Jean Dan: Boutonnier – Miroir
Loc. Baron de Haaké, Frédéric Charles, Lieutenant Colonel au Regiment de la Mark – officier
Loc. Baron de Haaké, Frédéric Charles Ernest Major au Regiment de la Mark – officier
Loc. Mademoiselle de Haaké, Louise Sophie, Stiffts Dame in dem Stifft zu Schaacken – Privilégiée

1789, Etat des habitants (cote 5 R 26)

Canton V, Rue 98 au bas de la Place d’Armes, p. 240

27
Pr. Grafenauer, Jean Dan: Boutonier – Miroir
Loc. B.on de Haaké, Fred: Charl: Lieut: Colon.
Loc. B.on de Haaké, Fred: Charl: Ernest Major
Loc. Melle de Haaké, Louise Sophie, Chanoinesse de Schaaken

Annuaire de 1905

Verzeichnis sämtlicher Häuser von Strassburg und ihrer Bewohner, in alphabetischer Reihenfolge der Strassennamen (Répertoire de toutes les maisons de Strasbourg et de leurs habitants, par ordre alphabétique des rues)
Abréviations : 0, 1,2, etc. : rez de chaussée, 1, 2° étage – E, Eigentümer (propriétaire) – H. Hinterhaus (bâtiment arrière)

An den Gewerbslauben (Seite 48)

(Haus Nr.) 33-35-37
Manrique, Kurzwarenhandlung E 012
Schweitzer, Kaufmann. 3

Annuaire 1890 (p. 51) i 245
An den Gewerbslauben
35
Manrique, Kurzwarenhandlung E 2

Dossier de la Police du Bâtiment (cote)

Voir au n° 33


Relevé d’actes

La maison est inscrite au nom du pelletier Etienne Gassner dans le Livre des communaux (1587)

Le pelletier Etienne Gassner de Strasbourg épouse en 1555 Marguerite Biermann, veuve d’Alexandre Lichter
Mariage, cathédrale (luth. f° 27)
1555. 12. Maÿ. Steffan Gassner Kürßner von Strasburg vnd Margreta piermennin, Alexander Lichters s. verlaßne wittfraw. Eingesegnet den 20. Maÿ im früegebett (i 30)

Etienne Gassner épouse en 1563 Anne, fille de Gui Weinling
Mariage, Saint-Pierre-le-Jeune (luth. f° 24-v)
1563. Dominica Trinitatis. Stephan Gassner von Straßburg Anna Winling Vix Winlings Verlassene dochter, eingesegnet 15. Junÿ h. 9. (ri 15)

Etienne Gassner hypothèque la maison au profit du boulanger Conrad Moor

1607 (xiiij Decembris), Chancellerie, vol. 373 (Registranda Kügler) f° 350-v
(Inchoat. fo: 373.) Erschienen herr Steffan Geßner beÿsitzer der herren des grossen Raths
hatt in gegensein Conrad Mooren Brottbecken – schuldig sein 100 pfund pfenning Straßburger gelühens gelts
dafür Vnderpfand sein soll huß hoffestatt V hefflin mit allen Iren gebeud gelegen Inn der SS nahe gegen der kurßner Zunffstb. einseyt neben hanns helm kannengießer andersyt Georg dannbach stoßend hinden vff (-) dauon gnd 8 guldin geld losig mit 200 guld SW d. Armen Sondersiech. In der gutten leüthen, Mehr Zwen guldin Ein Orth Inn gold Inn hauptgutt abzulößen mit 50 gold guldin herrn Niclaus von dürckheim seligen erben
[in margine :] Erschienen fraw Elisabetha weÿland Conrad Moren selig. witwe mit beÿstand Jacob Eberharden des Becken Ires geordneten Vogts Erkant das sie von des Schuldbekenners selig. erben die hier Inn gemelt. 100. lb bezalt derselb. dieser darfür best. form quittirte den 29 Junÿ Aô & 1622.

Anne, veuve d’Etienne Gassner, fait des legs à ses cinq enfants, Salomé femme de l’aubergiste à la Licorne André Cuntz, Anne, femme du boulanger Jacques Erhard, Etienne, pelletier, Daniel, aubergiste à la Ménagerie et Jonas, pelletier. Les dispositions sont exécutées en 1622.
1611 (11.11.), KS 392, Registranda instrumentorum Publicorum de Annis 1610-1615 f° 155
Zuwissen das vff Montag den 11. tag November Anno & 1611 vor mir Notario (…) persönlich erschienen Ist die Tugendsame Frauw Anna wÿld des Fürnemen wÿssen herrn Steffan Gaßners geweßenen beÿsitzers der herren des gross. Raths seligen witwe vonn der Gnaden Gottes gesunden gehends vnd Stendes leÿber auch gutten verstandtlicher sinn vernunfft (…)
Zum anderen legirt sie Frauwen Salome Andres Cuntzen würts Zum Einhorn hußfrauwen Irer lieben dochter, Mehr Annen auch Irer lieben dochter Jacob Erharts Brottbecken Zu eÿlen Ehelichen gemahl, Item Steffen Gaßnern Kürßner, Daniel gaßnern wurth Zum Thiergartten vnd Jonas gaßnern Kurßner, Iren dreyen lieben Söhnen allen Fünff geschwüsterde Zu einem frey Prælegat v voraus
[in margine :] Dieses Codicill Ist außgeschryben vnd den Legatarÿs per Copias Zugestelt den 30.ten August Anno & 1622.

Les enfants et héritiers d’Etienne Gassner vendent la maison au cordonnier Pierre Bernecker

1622 (vij. Septembris), Chancellerie, vol. 446 (Registranda Meyger) f° 327
(Inchoat. in Prot. fol. 243.) Erschienen h. Steffan Gaßner d. Kirschner, h. Daniel gathalter Zum Thiergartt., Jonas Gaßner d. Kirschner, h. Jacob Eberhard Als ehevogt Annæ Gaßnerin, Andreß Cuntz Als ehevogt Jacobee Gaßnerin, disse Alle für sich selbst vnd Alle Ihre erb. So dann h. Johann Käpff Nots. Als theilvogt dauid wÿland dauid Gaßners des Kirschners selig. Sohns, vögtl. weÿß (verkaufft)
Peter Bernecker dem schuomach. burg. Zu Straßburg, so auch Zueg. Ime & mit beÿstand Clauß Frantz Metzigers seines schwähers
hauß, hoffstatt, höffl. vnd hind.heußlin, mit Allen Ihren geb. d gelg. Inn d. St. St. Vnd. Ane d. groß Erbs lauben geg. d. Kürschner Zunfft stuben einseit neben hannß Holmen des Khandt. gießers selig. Erb. vnd Michell Frör Isen And. seit n. Geörg Dambacher dem weißb. hind. vff Anthoni Weÿßhard Altgewend. dauon gnd viij gl gld Alblöß. mit ij C gld Werung vff Geörgÿ den Armen sond. sich. Zur Roth. Kirch Mehr 2. goldgld vnd ein orth* gelts loßig mit 50. goltgld. vff Liechtmeß hn Christoff Städell Jahr Regirend. Ammeister, Sunst ledig vnd eig. Vnd Ist disser Khauff vber obgehörtte beschwerd. so der Kheüffer vff sich nemmen Zugang. v. besch. für vnd vmb 1600 pfund d.

L’acquéreur hypothèque quelques jours plus tard la maison au profit du brasseur Christophe Hillmann

1622 (10. Septemb.), Chancellerie, vol. 444 (Imbreviaturæ Contractuum) f° 103-v
Schuldbekandtnus Christoff Hillmans vber 200 pfund
Erschienen Peter Bernecker d. schuhmach.
bekannte in gegensein Christoff Hillmans des Biersieders alhie – schuldig worden 200. lb. d
dafür Vnderpfand sein soll hauß vnd hoffstatt alhie 1. seit neben Jörg Danbach dem Becken, 2. seit neben Zacharias Holmen dem Kannengießer hind. vff (-) den altgewänd. stoßend gelegen, welches Zuvor v.hafft für 50 goldgld. H Ammeister Städel, Item 200 fl. Capital Zum Guthleüthen gehörig, So dann für 1350 fl. Capital Zu xv batz. Daniel Gaßner Würth Zum Thiergarten für sich vnd vögtlicher weiß, vndt Jacob Eberhard. dem becken ehevögtlich weiß Zu Zielen Zuerleg.

Originaire de Geislingen en Wurtemberg, Pierre Bernecker (ici Pernegger) épouse en 1613 Susanne, fille du boucher Nicolas Frantz.
Mariage, Saint-Nicolas (luth. f° 98 n°6)
1613. den 9. Martÿ seindt ehelich eingesegnet worden Peter Pernegger von Geißlingen der Schuemacher, Gall Perneggers des Nestlers vnndt Burgers daselbst Sohn, vndt Jungfraw Susanna Fräntzin, Claus Frantzen des Metzgers vnnd Burgers alhie dochter (i 107)

Pierre Bernecker devient bourgeois par sa femme Susanne Fræntz une semaine après son mariage
1613, 2° Livre de bourgeoisie (4 R 104) p.
Peter Berneckher, d. Schumacher von Geÿßling. empfahet das Burgerrecht von Susanna, Clauß Fräntz. deß Metz.s mit Susanna B. eheliche dochter, wüll Auff der Schumacher stub dienen. Actum Zinstag den 16. Martÿ aô 1613.

Susanne Fræntz fait des dispositions testamentaires alors qu’elle est malade.
1613 (11.10.), KS 392, Registranda instrumentorum Publicorum de Annis 1610-1615 f° 273
Zuwissen das vff Montag den 11. tag Octobris Anno & 1613 vor mir Notario (…) persönlich erschienen Ist die Erbar Fr. Susanna Fräntzin des Ehrenhafften Claus Frantzen Metzigers dochter vnnd Meÿster Peter Berneckers des Schuhmachers eheliche haußfrauw, wie wol krancks leÿbs vnnd In Bett gelegen, glÿchwol dabeÿ guter verstandtlicher sinn vernunfft (…)
Zum anderen von rechter ehelicher liebe wegen so sie sagte haben vnd trage, Zu v. gegen bemeltem Peter Berneckern Irem lieben hußwürth So were Ir will das Ir gantze Verlaßenschafft nach Irem vsser dießem Zergenglicher leben abscheÿden ane unverändert vnd theylbaren güttern Inn dreÿ theÿl glychlichen abgetheilt v. verloßen werden, Dauon Zweÿ dritteheÿl bemelter Ir lieber haußwürth Zu handen Inn sein verwaltung nemme, v haben solche alles es seÿe ligendes oder fahrendt (…) Aber der drittheÿl Irer Verlaßenschafft glÿch nach Irem absterben Iren lieben Kinder, wann vorhanden, wo * sie aber kein leibe*, Ir liben vattern empfahen haben soll

Pierre Bernecker hypothèque la maison au profit de Daniel Steinbock (aubergiste). En marge, quittance remise en 1657 au fondeur de pichets Balthasar Heckel.

1624 (xxiij. Novemb.), Chancellerie, vol. 452 (Registranda Meyger) f° 426
(Inchoat. in Proth. fol. 262.) Erschienen Peter Bernecker schuomach. burg. zu Straßburg
hatt in gegensein Daniel Steinbock burgers Zu Straßburg – schuldig seÿen j. C. L lb
vnderpfand hauß, hoffstatt, höfflin vnd hind. hauß, mit Allen Ihren geb. & gelg. Inn d. St. St. vnd. der großen erbßlaub. einseit Geörg Dambach And.seit n. Zacharias holm hind. vff dieboldt Weingartt. d. Altgewänd. stoßend dauon gnd. ij goldgld. vnd ein orth loßig mit 50. goldgld wehrung h. Christoffel Städells s. erb. So dann sind sie verhafftet vmb v C. xxv lb weÿland Steffan Gaßners selig. erb.
[in margine :] Erschienen der Creditor, hatt in gegensein Balthasar Heckhels deß Kanntengießers alß ietzig. Vnderpfandts Inhabers (…) Act. 14. 9.br a° 1657.
[in margine :] Erschienen H. Georg Rehm alß Schaffner deß groß. gemeinen Allmoßens Zu St. Marx deme die Vorstehende 200. lb Capital rest von E. E. großen Rhat auß der Steinbockhischen Verlaßenschafft ahne statt deß Steinbockhischen Legati assignirt worden seÿen, hatt in gegensein vorenannts Balthasar Häckhels (…) Act. 9. octob. 1658.

Pierre Bernecker hypothèque la maison au profit de la fondation Maurice Überhey. En marge, quittance remise en 1643 à Balthasar Heckel.

1625 (5. Octobr.), Chambre des Contrats, vol. 455 f° 409-v
(Mauritÿ Vberheÿ fundation fol: 28) Erschienen Peter Bernhecker schuomacher burg. Zu Straßburg
in gegensein herrn Paulj heÿdell Alß Schaffner weilandt hr Mauritÿ Vberheÿ fundation Inn das Almoß. Zu St Marx gehörig – schuldig seÿe 150 pfund
vnderpfand hauß hoffstatt Vnd hinder hauß mit Allen Ihren gebeuwen geleg. Inn der St: St: Vnden Ane der Erbßlauwen, einseit Jörg dambach dem weÿßbecken, Andersit Zacharias holmer dem Kantengießer hinden vff ein Altgewender stoßend, dauon gent Jährlichen Zwen goldt guldin gelts lößig mit 50 goldt gulden h. Johann Wencker, Item vij. lb x ß gelts lößigk mit j C L. lb h. Daniel Steibockh, Vnd dan ij C. L. lb weilandt Steffen gaßners s. Erben Sundt ledig Vndt eÿgen
[in margine :] h. Geörg Rhem alß Schaffner Zue St: Marx, hatt in gegensein Balthasar Häckhelß deß Kanntengießers alß ietzig. Innhabers der hierin gemeldter Behaußung (…) quittirendt Act. d. 18. Jan. a° 1643.

Nouvelle hypothèque entre les mêmes. Nicolas Frentz, beau-père du débiteur, se porte garant

1626 (ut spâ. [21. Septembris]), Chambre des Contrats, vol. 459 f° 610-b
(Ptocoll. fol. 26) Erschienen Peter Bernecker d. schuomacher vnd Susanna Fräntzin sein eheliche hauß frauw
haben in gegensein h. Pauli heÿdells schaffners Mauritÿ stifftung – schuldig seÿent 150 pfund
zu vnderpfand verlegt hauß, hoffstatt, höfflin v. hind. hauß, mit Allen ihren geb. & geg. Inn d. St. St. vnden Ane d. erbß lauben einseit Geörg Dambach dem Weÿßbeck. anderseit Zacharias holmen Khandtengießer, hind. vff eines Alt gewenders Hauß stoßend, dauon gend 2. goldg. loß mit 50. goldgl. Johann Wenckern, Item vj. lb x ß gnd loß. mit j. C L. lb Daniel Steinbock, Item vmb 150. lb. Mauritÿ stifftung zuuor, So dann vmb j. C. lb weÿl. Steffan Gaßners erb. Sonst eÿg.
Vndt Zu noch mehrer & So ist persönlich erschienen Clauß Frantz der elter Metzig. burger Zu Straßburg der Bekhennere schwäher vnd vatter, hatt sich für sich mit sampt Inen den Bekhennern Zu einem recht. Bürg mit vnd selbst schuldner unuersch. gesetzt
[in margine :] Erschienen H Georg Rhem der Schaffner Zu St: Marx hatt in gegensein Balthasar Häckelß deß Kantengießers alß ietzig. Innhabers der hierinn beschribenen Behaußung (quittirend) act. d. 18. Ja : A° 1643

Pierre Bernecker et Susanne Frantz hypothèquent la maison au profit de la fondation Maurice Überhey.

1627 (30. 8.bris), Chambre des Contrats, vol. 461 f° 537-v
(Protocollat. fol. 27.) Erschienen Peter Bernecker der Schuomacher Alhie Vnd Susanna Fräntzen sein eheliche haußfr.
haben in gegensein hn Pauli Heÿdelß Schaffners weÿland Mauritÿ Vberheuws gewesenen Probsts Zum Jung. S. Peter Alhie seelig fundation – schuldig seÿen 150. pfund
Zu vnderpfand verlegt (…) in specie Aber Angeben hauß, hoffstatt, höfflin vnd hinderhauß mit Allen Ihren gebewen d gelegen Inn d. St. St. vnd. halb der groß. Erbßlauben, einseit Georg dambach, And. seit Zacharias holm, hind. vff eines Alt gewends behaußung stoßend, dauon gnd. Zwen goldguld. gelt h. Johann Wencker in hauptgut mit 50. glt guld. Widerkheüffig, Mehr vmb 125. lb d David Gaßner s. Sohns, Mehr 150. lb d Daniel Steinbocken Würth Im Falckenkeller, Item vmb 150. lb d der fundation obgedacht, Vnd dann noch vmb 150. lb. d Auch gemelter fundation Sunst eÿgen

Assisté de son beau-père Nicolas Frentz, Pierre Bernecker passe avec ses voisins, le cordonnier Ulric Notter et Madeleine, femme du fripier Thiébaut Weingarten, une convention « contenant réglement du stillicide versement et cours d’eau, restriction de l’usage desdits droits, défense de constructions nuisibles et construction ordonnée d’un pignon mitoyen en fixant sa hauteur pour ne pas priver de jour les croisées de ses deux voisins avec permission d’établir un balcon ou autre bâtiment en une dimension déterminée contre ledit pignon mitoyen » (voir plus loin l’acte de 1806)

1630 (15. 7.bris), Chambre des Contrats, vol. 468 f° 622
Erschienen Peter Bernecker der Schuhmacher burger Zu St. mit beÿstand Niclauß Frantzen deß Metzigers seines Schwehern an einem,
Ulrich Noter der Schuhmacher Am andern, So dann Magdalena Dieboldt Weingarten deß Altgewänders alhie eheliche haußfraw, mit beÿstand ihres Schwagern herrn Peter Ermelhausen Alten grossen Rahtsverwanthen am dritentheil, Zeigten an und bekannten gegen einander
Demnach Zwischen ihme Bernecker vnd ihr Magdalenen vor einem Ers. Kleinen Rhat ein Rechtfertigung wegen ihrer beeden vff einander stoßenden häuser halben alhie vffm Prediger Kürchhoff gelegen, vnd deren gerechtigkeiten halben, geschwebt, Alß heten sie sich mit einander güetlichen Volgender gestalt verglichen, daß Er Bernecker ihr Magdalenen keüfflich vbergeben, den an sein Berneckers in streit gezogener hinder behausung grund vnd Boden, für vnd vmb 150. lb. d daran sie ihme auch albereit 50. bezalt – umb 100 Pfund
Vnd dieweil Bernecker alß der Verkäuffer, diß sein hindergebäw, welches vff dem ietzuerkaufften vnd nunzumahl ihme Notern eÿgenthümblich zustendigen grund vnd boden, do 15. schuh 7 Zoll breit mit sampt der 24 werckschuh höhigen Scheidmaur, vnd 19 ½ schuh lang, stehet, abbrechen Zulaßen schuldig Ist, ferner verglichen, daß Bernecker dem Regenwaßer, vnd Tachtrauff, so von ihr Magdalenen hauß sein fall hat, wie bißhero, also auch fürohin, Jedoch durch ein Blechine Seÿh, welche Bernecker vnd Noter in gemein Zuerhalten hiemit verbunden, durch seine Behausung den Außlauff Zuerstaten, sonsten aber kein ander, vil weniger einig Vnsauber wasser zu dulden schuldig, Alß daß Sie Magdalena vnd Noter deß orts keinen wasserstein, Stallung vnd ander dergleichen beschwehrliche gebäw in solchen Außlauff Zurichten nicht befugt sein, auch Kein vnsauber waßer von einichen theil in deß höfflin außgeschütet werden. Vnd soll Noter vnd Bernecker Einen gemeinen Gebel von Stein od. holtz, wie sie sich mit einand. güetlichen vergleichen können, vier vnd zwantzig Schuh hoch, vnd im geringsten nicht höher, damit so wol offbemelter Magdalenæ alß Bernecker daß tagliecht deß orts nicht benommen werde, dahero auch sie Magdalena vff die obangeregter maßen par erlegte 50. lb d verzügk gethan, aufführen laßen. Endlichen auch Er Noter auf disem ihme ietzverkaufften grund vnd boden, vndt ann disen gemeinen Gebel od. Scheidmaur Einen Gang oder ein ander leÿdenlich gebäw, Sechß Schuh und nicht breiter, auch so lang sich daß höfflin erstreckt, bawen und setzen Zulaßen, berechtigt sein soll.
Dabeÿ hannß hanß Vischer der Maurer vnd Adam Brothbeÿhl, Glockenhencker

Pierre Bernecker hypothèque la maison au profit d’Elisabeth Negel, veuve de l’aubergiste François Heus. En marge, quittance remise en 1642 à Balthasar Heckel.

1631 (23. Junÿ), Chambre des Contrats, vol. 470 f° 329
Erschienen Peter Bernecker d. schuhmach. burger Zu St.
hatt in gegensein ut spâ. [Elisabeth Negelin, weÿ: Frantz Heußen gewesenen Würths see. Alhie Zum Engel nachgelaßener wittiben mit beÿstand hanß winckhlers ihres Vogts] – schuldig seÿe 125. lb
hauß, hoffstat, höfflin vnd hindergebäwlin, mit Allen andern ihren Zugehörd. alhie gegen der Kürscher Zunfftstub vber neben Georg Dambachen dem eltern & Georg Dambachen dem Jüngern vater vnd sohn beed. Weißbecken, hind. vff diebold Weingarten den Altgewänder stoßend gelegen, zo Zuuor noch v.hafftet seind vmb 400. lb. dem Closter S. Marx alhie Item vmb 200 lb. Daniel Steinbocken, So dann vmb 50. goldgld S Johann Wenckern
[in margine :] Erschienen H Hannß Meÿer der Metzg. alß ietziger Eheuogt Fr. Elisabethæ Nägelin der Schuldglaubigerin, hatt in gegensein Balthasar Heckels deß Kandten güeßers alß ietzigen possessoris deß hierin zu Undpfand v.legten hauses – Actum den 28. Aprilis Anno 1642.

Pierre Bernecker hypothèque la maison au profit du fondeur de pichets Balthasar Heckel

1633 (ut spâ. [12. Septembris]), Chambre des Contrats, vol. 471 f° 425-v
Erschienen Peter Bernecker schuhmacher burger Zu St.
hatt in gegensein Balthasar Heckels deß Kannengüessers alhie – schuldig seÿ 80 pfund
dafür in specie Vnderpfand sein soll hauß vnd hoffstat mit allen Anden ihren gebäwen & alhie gegen der Kürschner Zunfftstuben vber, neben Georg Dambachen & hanß Georg Dambachen Vater vnd sohn beed. Weißbecken hinden vff Ulrich Notter den schuhmacher vnd Daniel Unselten den horntreher stoßend gelegen, so zuuor v.hafftet vmb 450. lb. d dem Stifft S. Marx alhie, J. vmb 235. lb d Daniel Steinbocken, J. vmb 125. lb. Frantz heüsen gewesenen würths s: Zum Engel Alhie wittib vnd erben, Item vmb 50. goldgld. H Johann Wencker

Susanne Frantz, veuve de Pierre Bernecker, et le tuteur de ses enfants vendent la maison dite à l’Oiselet (zum Vögelein) au fondeur de pichets Balthasar Heckel

1634 (18. Julÿ), Chambre des Contrats, vol. 473 f° 541-v
(Protocollat. fol. 94.) Erschienen Susanna Frantzin, weÿ: Peter Berneckers deß Schuhmachers alhie wittib, mit beÿstand Mathiß Becken deß Schuhmachers ihres Vogts, So dann sein Berneckers Kinder Vogt Jacob Kappel auch Schuhmacher (verkaufft)
Balthasar Heckel dem Kannengüesser
hauß, hoff, hoffstat vnd hinderhauß, mit allen and. ihren gebäwen gent. Zum Vögelein & alhie vnd.halb der Grossen Erbslauben gegen der Kürschner Zunfftstuben vber, neben Georg Dambachen & hanß Georg Dambachen Vater vnd sohn beed. Weißbecken, hind. vff Vlrich Notter den Schuhmacher stoßend geleg. dauon gehen Järlich vf Georgÿ 5. gld. geldt St. w. dem Gutleüthauß in hauptgut mit 100. gld. w. It. 2 ¼. goldgulden Zinsen vff Liechtmeß H Johann Wenckern XV. mit 50. goldgulden abzulösen, So seind sie auch noch verhafftet vmb 450. lb d dem Stifft S. Marx, Item vmb 235. lb d Daniel Steinbocken, It. vmb 125. lb d Elisabeth Negelin so dann vmb 80. lb d den Käuffer selbsten, sonst ledig, eÿgen, Vnd were diser Kauff vber die beschw., so der Käuffer vff sich genommen, gescheh. per 240. lb.

Fils du tonnelier Jean Heckel, Balthasar Heckel épouse en 1632 Anne Marie, veuve du fondeur de pichets Jean Weber
Mariage, cathédrale (luth. p. 309)
1632. Doîca Misericord. 15. April. Balthasar Häckel der Kanttengieser Hans Häckel des Küeffers n. sohn und Anna Maria Hans Weber des Kanntengiesers N. witwe. eingesegnet montag 24. April (i 159)

Le potier Jean Weber épouse en 1619 Anne Marie, fille de Blaise Dremer (Gruner), prévôt de Heidenheim en principauté de Wurtemberg
Proclamation, Saint-Pierre-le-Jeune (luth. f° 308-v)
1619. Hanß Weber der Haffner gesell Hans Weber der taglöhner hinderlaßener Sohn, vndt J: Anna Maria Blasÿ Gruners des Schultheißen Zu heÿdenheim Im Fürstenthumb Würtenberg Ehelich Tochter. Eingesegnet den 29. Novemb: Zum Alten St. Peter (i 159)
Mariage, Saint-Pierre-le-Vieux (luth. f° 149-v)
1619. 29. Novemb. Hans Weber der Haffner, J. Anna Maria, Blasÿ Dremers von Heid.heim Tochter (i. 154)

Mentions de Balthasar Heckel dans les registres du Magistrat
1649, Protocole des Quinze (2 R 68)
Balthasar Heckel. 100. 121. (Glaßkrämer contra Kandtengießer)
1660, Conseillers et XXI (1 R 143)
(f° 42) Sambstag d. 3. Martÿ – Balthasar Heckel d. Zinngießer schwört auff die Stattgerichtß Ordnung

Rectification d’une quittance accordée pendant l’inflation par l’Eglise Rouge en paiement d’une obligation passée en 1532 en hypothéquant la maison dite à l’Oiselet (zum Vögelin)

1637 (3. Augusti), Chambre des Contrats, vol. 478 f° 648-v
Erschienen herr Lazarus Wohlfarth alter Schaffner Zur Rohten Kürchen Burger Zue Straßburg, An einem
So dann Balthasar Heckel der Kannengüeßer auch burger alhie Am andern theil
Zeigten An, demnach die 200. fl. Straßburger Wehrung so sein Heckels ietzo besitzender Behaußung alhie underhalb der großen Erbslauben gelegen, vndt Zum Vögelin genannt, einseit neben Georg Dambachen see: Erben, anderseit neben hanß Georg Dambachen dem Weißbecken gestanden durch Peter Bernecker den Schuhmacher den 10 Maÿ Anno 1623. mit damahls leichten gelt besagter Kürchen abgelöst worden (…) alß heten Sie sich mit einander dahin verglichen, daß Er Heckel ihme herren Wolfahrten die in dem vor den Nachtrags deputirten herren den 17. Maÿ Anno 1633. ergangenen bescheid gemelte 100. fl. Str. Wehr. Nachzutragen schuldig sein solle (…)
Mit dem außgetruckhten Anhang, daß es im vberigen beÿ der den 6. Maÿ Anno 1532. under des Bischofflichen hoffs alhie Insigel durch Veit Kegelin Notm. vffgerichteten Verschreibung und deren vnderpfands gerechtigkeit ohne novation verbleib. soll

Anne Marie, veuve de Balthasar Heckel, hypothèque la maison au profit des enfants d’André Bilger, assesseur au Petit Sénat

1667 (2. Martÿ), Chambre des Contrats, vol. 534 f° 147-v
Erschienen Anna Maria, weÿl. H Balthasar Häckele des Kantengießers nunmehr seel. nachgelaßene wittib, mit assistentz H. Hannß Jacob Rueffen E.E. Großen Rhats beÿsitzers ihres Curatoris
in gegensein H Ulrich Kochen E.E. Kleinen Rhats beÿsitzers alß Vogts Weÿl. H Andres Bilgers gewesenen kleinen Rhatsverwanthens nunmehr seel. nachgelaßener Kinder – schuldig seÿe 125. lib.
Unterpfand sein sollen, Zweÿ häußer ein Vorders und ein hinders, mit allen deren gebäwen & Zum Vögelin genant, alhie underhalb der großen Erbslauben gegen der Kürscher Zunfft stuben über, einseit neben H Hannß Georg Dambachs dem Meelmann, and.seit neben H. Andres Fischers E.E. Großen Rhats alten Beÿsitzern hinden uff Ulrich Nottern dem schuhmachern stoßend gelegenn dauon gehen iahrs 2 ¼. gold fl.. vff liechtmeß, lößig mit 50. goltgulden weÿl. H Johann Wenckers gewesenen treÿers des Pfenningthurns nunmehr seel. nachgelaßener Wittib

Anne Marie, veuve de Balthasar Heckel, hypothèque la maison au profit de Jean Kübler

1669 (8. 9.br), Chambre des Contrats, vol. 536 f° 587
Erschienen Fr. Anna Maria weÿl. H Balthasar Häckhels deß Zinngießers nunmehr seel. nachgelaßene wittib mit assistentz H Hannß Jacob Ruoffen EE großen Rhats alten Beÿsitzers ihres Curatoris
in gegensein H Ulrich Koch. E.E. Kleinen Rhats alten Beÿsitzers alß Vogts Johann Küblers – schuldig seÿe 50 Pfund pfenning
Unterpfand sein soll hauß hoff hoffstatt werckstatt, Bronnen mit allen deren Gebäwen, alhie geg. der Kürßner Zunfftstuben hienüber einseit neben H Andres Fischern EE. groß. Rhats Beÿsitzern anderseit neben Georg Oberle dem weißbeckhen, hind. vff Daniel Vnselt den hornträher stoßend gelegen

Anne Marie, veuve de Balthasar Heckel, hypothèque la maison au profit du diacre Jean Georges Wetzel

1669 (8. 9.br), Chambre des Contrats, vol. 536 f° 588
Erschienen ut supra [Fr. Anna Maria weÿl. H Balthasar Häckhels deß Zinngießers nunmehr seel. nachgelaßene wittib mit assistentz H Hannß Jacob Ruoffen EE großen Rhats alten Beÿsitzers ihres Curatoris]
in gegensein deß wohl Ehrwürdig. und wohlgelehrten H M Johann Georg Wetzels Diaconi senioris im Münster – schuldig seÿe 100 Pfund pfenning
Unterpfand sein soll hauß hoff hoffstatt werckstatt, Bronnen mit allen deren Gebäwen, alhie geg. der Kürßner Zunfftstuben hienüber einseit neben H Andres Fischern EE. großen Rhats Beÿsitzern anderseit neben Georg Oberle dem weißbeckhen, hind. vff Daniel Vnselt den hornträher stoßend gelegen

Anne Marie, veuve de Balthasar Heckel, hypothèque la maison au profit du fondeur d’étain Philippe Kübler

1674 (22. Junÿ), Chambre des Contrats, vol. 543 f° 373-v
fraw Anna Maria, H. Balthasar Häckhels deß Zinngießers nunmehr seel. nachgelaßene Wittib, mit beÿstand deß Ehrenvest- fürsichtig und weÿsen herrn Hannß Jacob Ruoffen EE Großen Rhats beÿsitzers ihres Curatoris
in gegensein herrn Philipp Küblers deß Zinngießers – schuldig seÿe 75 Pfund pfenning
Unterpfand, Eine behaußung mit allen deren Gebäwen und Zugehördten alhier underhalb der großen Erbs Lauben gegen der Kürßner Zunfft hinüber, einseit neben herrn Andres Fischer XXI.ern anderseit neben Georg Oberle dem Weißbeckh, hinden uff Daniel Unselt dem Hohlträher stoßend gelegen

Anne Marie, veuve de Balthasar Heckel, vend la maison au fondeur d’étain Antoine Füssel

1676 (15. Febr:), Chambre des Contrats, vol. 545 f° 203-v
Anna Maria, weÿl. Balthasar Häckhels deß Zinngießers nunmehr seel. nachgelaßene wittib, mit beÿstand herrn hannß Jacob Ruoffen E.E. Großen Rhats alten beÿsitzers ihres Curatoris
in gegensein Anthoni Füesels deß Zinn gießers
Ein Vorder: und ein hinder hauß, hoff, hoffstatt mit allen deren Gebäwen, begriffen, weithen, Zugehördten rechten und Gerechtigkeiten alhier underhalb der großen Erbßlauben, einseit neben herren andres Fischern Fünffzehnern, anderseit neben Georg Oberle dem Weißbeckhen hinden uff die Notterische behaußung stoßend gelegen were dießer Verkauff und Kauff geschehen umb 900 pfund pfenning
[in margine :] (…) in gegensein Hannß Adam Schwaben deß Zinngießers alß Ehevogts Annæ Margarethæ Füselin, und alß Vogts hannß Michaels und Georg Ernst der Füßel gebrüder, weiters Johann Füßel der Zinngießers für sich selbsten, weiters Samuel Roth der Weinhändler alß Ehevogt Annæ Mariæ Füeßelin, Mehr Christian Mohren deß Schneiders alß vogts Mariæ Margarethæ Mohrin und Anthoni Füesels deß ledigen Kandtengießers (quittung) Act. d. 1684.

Les enfants et héritiers d’Antoine Füssel vendent la maison au chaudronnier Michel Schwartz le jeune et à sa femme Sara

1684 (12.8.), Chambre des Contrats, vol. 554 f° 334
Johann Füßel der Zinngießer, Margaretha Füselin, hannß Adam Schwaben Eheweib, mit beÿstand gemelts ihres Ehevogts, Daniel Füesel der Zinngießer, Anna Maria Füeselin, Samuel Rothen deß Weißbeckhen Eheweib mit assistentz erstgedachts ihres Ehemanns, Anthoni Füesel der Kupfferschmidt alle für sich selbsten und obbesagter Schwab alß vogt Michael und Ernst der Füesel Gebrüder, alle weÿl. anthoni Füesels geweßenen Zinn Gießers nunmehr seel. nachgelaßene Kinder und Erben,
in gegensein Michael Schwartzen deß Jüngern Kupfferschmidts und Saræ, beÿder Eheleuth und beÿde mit beÿstand Michael Schwartzen deß ältern ihres resp. eheleiblichen und Schwäher Vatters
hauß, hoffstatt höfflein mit allen deren gebäwen begriffen weithen, zugehördten, rechten und Gerechtigkeiten alhier underhalb der Großen Erbs Lauben gegen der Kürschner Stub hinüber, einseit neben Balthasar Böhlern dem Weißbeckhen, anderseit neben Georg Oberlin dem Weißbeckhen, hinden uff Ulrich Notters des Schuhmachers wittib stoßend gelegen, welche behaußung annoch umb 50 Gold fl. (verhafftet) umb 2000 fl. à 15. batzen

Fils du chaudronnier Michel Schwartz, Michel Schwartz épouse en 1680 Sara Voltz, fille du jardinier David Voltz
Mariage, Sainte-Aurélie (luth. p. 188)
1680. Donnerst den 5. Augusti St. Aurel. Michael Schwartz, der Kupfferschmidt, Michael Schwartzen Sohn vnd Jfr. Sara, herrn David Voltzen nachgelaßene Tochter (i 97)
Proclamation, Saint-Pierre-le-Jeune (luth. f° 291) 1680. Domin. Eâd. [Domin: VII post. Trinit. d. 25. Julÿ] Michael Schwartz der Kupfferschmidt allhier, Michael Schwartzen des burgers V. Kupfferschmidts allhier ehl. Sohn Vndt Jfr. Sara, Weÿl. hn David Voltzen gewesenen burgers v. gartners allhier Nachgel. ehl. Tochter. Copul. d. 5. Aug. Zum A. S. P. (i 305)

Sara Voltz meurt en 1710 en délaissant cinq enfants. Les experts estiment la maison à 1 250 livres. La masse propre au veuf est de 174 livres, celle des héritiers de 3 686 livres. L’actif de la communauté s’élève à 1 348 livres, le passif à 3 131 livres.
1710 (5.5.), Not. Oesinger (Jean Adam, 39 Not 14) n° 334
Inventarium und Beschreibung aller derjenigen Haab, Nahrung undt Güettere, liegender und fahrender, Veränderter und Unveränderter, Keinerleÿ davon außgenommen, so weÿl. die Viel Ehren und tugendsamme Fraw Sara Schwartzin gebohrne Voltzin deß Ehrenhafft und Vorachtbahren Herrn Johann Michel Schwartzen Kupfferschmidts und burgers allhier zu Straßburg geweßene Eheliche Haußfrau, nach Ihrem den 13. Januarÿ dießes instehenden 1710.ten Jahrs auß dießer müheseeligen Welt genommenen seeligen hintritt, Zeitlichen verlaßen (…) Actum in der Königlichen Statt Straßburg, Montags den 5.ten Maÿ Anno 1710.
Die Verstorbene Seel: hat ab intestato Zu Erben Verlaßen, wie volgt. 1. die Viel Ehren cnd Tugendsahme fr. Annam Margaretham gebohrne Schwartzin, deß Ehrenhafften und Achtbahren Herrn Johann Pfählers Ohlmans und burgers allhier Ehefraw, welche nebst gedachtem Ihrem Ehewürth Zugegen war. 2. die Viel Ehren und Tugendsahme Fr. Saram gebohrne Schwartzin, des Ehrenhafften undt Achtbahren herrn Melchior Edels, Zinngießers und burgers allhier, Ehewürthin, so zusampt bemelten Ihrem haußwürth in gegenwärtig geweßen. 3. 4. 5. Jungfr. Annam Barbaram, Michael und Johannem die Schwartzen, deren geschworner Vogt ist der Ehrsame und Achtbahre Herr Johannes Dörffer, Kieffer vnd fuegblochmacher burger allhier, welcher dießer Inventation abwarthete. Alle fünff der Verstorbenen Fr. seel. hinderlaßener Eheliche Kinder und Zu gleichen portionen vnd Stammtheil Erben.

In einer in der Statt Straßburg underhalb der großen Gewerbslaub gelegenen in dieße Verlaßenschafft gehörigen vnd hernach beschriebenen behausung, befunden worden wie volgt.
Ane Höltzen und Schreinerwerck. In der Soldaten Cammern, In der Cammer A, In der Cammer B, In der Cammer C, In der Cammer D, in der Wohnstub, In der obern Küchen oder haußöhren, Im Kleinen Stübel, Im kleinen Küchel, In der undern Kuchen, Im Keller
Eigenthum ahne einer Behaußung. Hauß, Hoffstatt und höfflein sampt einem bronnen, auch überig. deßen begriffen weithen rechten Zugehördten und gerechtigkeiten gelegen alhier in der Statt Straßburg Underhalb der grosen Gewerbs Lauben gegen der Kürschner Stuben, Ein seith neben Johannes Hermann den Weißbecken, anderseith neben Johann Jacob Matzinger auch Weißbecken ehevögtlicher weiß. hinden auff Weÿl. Ulrich Notters deß Schuhmachers seel. Erben stoßend, davon gehen Jährl. auff den 2.ten Aug. 2. lb d. Zinß Ihro Hochadel. Gnad. H. Johann Jacob Wormbsers hochverdienten Stett Meisters allhier fraw Eheliebstin so ablößig mit 50. Goldgulden so jetzigem Cours nach in Capital macht 75. Sonsten über erst bemelde beschwehrt freÿ, ledig und eigen, und durch der Statt Straßb. geschworne H. Werck Meistere Vermög Ihrer Zu dem Concept gelüfferten schrifftlichen abschatzung Sub dato den 14.t Maÿ Anno 1710. annoch æstimirt umb 1175. lb. Darüber ist Vorhanden i. teutscher pergament. Kauffbr. mit der Statt Straßb. Cantzleÿ Contractstub anhangendem Insiegel verwahrt, datirt den 12.t Aug. Anno 1684. Darbeÿ ferner i. ältere Pergamentener Kauffbrff ane erst Vorbemeldem orth gefertiget und mit selbigem anhang. Insigell Verwahrt deßen datum ist den 18.t Aug. aô 1634. so bede notirt mit Nummer N° 8
Ergäntzung des Wittibers abgegangenen unveränderten Vermögens, Nach Innhalt vber beeder geweßener Ehepersohnen durch weÿland H Johann Thoman Trohmer geweßenen Notm. publ. v. burgern allhier seel. in A° 1680 ey 1681. auffgerichtet
Series rubricarum hujus Inventarÿ, Des Wittibers Guth betr. Sa. Werckzeugs auch gemacht und ohngemachte arbeith Zum Kupfferschmidt handwerck gehörig 23, Sa. Leerer Vaß 1, Sa. Pfenningzinß hauptgüter 50, Sa. Ergäntzung (174, gehet ab 10, Compensando) 164, Summa summarum 249 lb – Schulden 75, Nach solchem abzug 174 lb
der KK. unnd Erben Vermögen betref. Sa. haußraths 51, Sa. Silbers 3, Sa. Guldener Ring 10, Sa. Baarschafft 6, Sa. Pfenningzinß hauptgüter 50, Sa. Eigenthum von liegenden Veldgüthern 520, Sa. beßerung ane Lehen güthern 2, Sa. Ergäntzung 2966, Sa. Schuld 75, Summa summarum 3686 lb
Das Gemein Verantwortung und Theilbar Guth, Sa. haußraths 56, Sa. Werckzeug geamcht und ohngemachter arbeith Zum Kupfferschmid handwerck gehörig 80, Sa. der Frucht 7, Sa. Wein und leerer Vaß 9, Sa. Silbers 11, Sa. baarschafft 7, Eigenthumb ane Einer behaußung 1175, Summa summarum 1348 lb – Schulden 3131 lb, übertreffen die Activ Nahrung umb 1782 lb
Beschluß summa Inventarÿ, 2078 lb
Abschatzung den 14. Maÿ Anno 1710. Auff begehren deß Ehrenhafften und bescheidenen herrn Michael Schwartz Kupfferschmidt, ist eine behaußung allhier in der Statt Straßburg auf dem Baarfüßer Platz underhalb der Großen Gewerbs Lauben gelegen, einseith neben herrn Johannes Herrmann Weißbeckh, anderseith neben herrn hannß Jacob Metzinger, dem Weißbeckhen, Hinden auf die Knoderischen Erben stoßendt. Welche behaußung, Werckhstatt, hoff, hoffstatt, Brunnen, gewölbten Keller, neben: und Hindergebäw, sambt aller Ihrer Recht: und gerechtigkeiten Jetzigen Preiß nach angeschlagen wird vor vndt umb Zweÿtausend und Fünffhundert gulden. Bezeuchnus durch der Statt Straßburg geschwohrne Werckhleuthe. Jacob Staudacher Werck Meister des Maur hoffs. Johann Jacob osterrieth Werck Meister deß Zimmer Hoffs

Michel Schwartz est nommé échevin à la tribu des Maréchaux en 1714.
1714, Conseillers et XXI (1 R 197)
Michael Schwartz würdt Schöff beÿ der Zunfft d. Schmid. 134.

L’inventaire des biens qu’apporte Anne Marie Schwartz en mariage au diacre Jean Ehrenmann de Westhoffen est dressé dans la maison qui appartient au père de l’épouse au bas des Grandes Arcades

1716 (24.2.), Not. Oesinger (Jean Adam, 39 Not 22) n° 559
Inventarium und beschreibung aller der Jenigen Haab und Nahrung, So der Ehrwürdig und Wohlgelehrte Herr M. Johannes Ehrenmann treweifferiger Diaconus des Stättleins Westhoffen und die Viel Ehren und Tugendbegabte Frawen Anna Barbara gebohrne Schwartzin, beede Eheleuthe einander in Ihren ohnlängst angetrettenen Ehestand Zugebracht, und sich deren jeedes nach anzeig ihrer mit einander auffgerichteten Eheberedung für unverändert vorbehalten hat (…) Actum in der Königlichen Statt Straßburg beÿseÿn herrn Johann Dörffers Kieffers der Ehefrawen noch ohnentledigtenen Vogts undt Herrn Joh: Michael Schwartzen Kupfferschmidts der Ehefr. leiblichen Vatters beder burgere allhier, Montags den 24.ten Febr: Anno 1716.

In einer allhier in der Statt Straßburg ahne der großen Gewerbs laub gelegenen Herrn Michael Schwartzen der Ehefrawen Vatter eigenthümlich Zuständigen behaußung befunden Worden, wie volgt
Series rubricarum hujus Inventarÿ. Des Eheherrn in den Ehestand gebrachtes samptliches eigenthümliches Vermögen, Sa. haußraths 44, Sa. Silbergeschmeids 16 ß, Sa. der baarschafft 20, Summa summarum 65 lb – Darzu ist Zu legen die Ihme gebührige helffte ahne denen haussteuren, so thut 31 lb, Ist demnach des Eheherren samptlich in den Ehestand gebrachtes eigenthümliches Vermögen 97 lb
Der Ehefrauen in die Ehe gebrachte samptliche eigenthümliche Nahrung, Sa. hausraths 178, Sa. Silbergeschirrs undt Geschmeids 1, Sa. Goldener Ring 15, Sa. der Baarschafft 3, Sa. der Außlüfferung ihres Mütterl. Guths 250, Summa summarum 448 lb – Darzu ist zu legen die Ihro gebührige helffte ahne denen haussteuren, so thut 31 lb, Welchemnach dann der Ehefrauen samptliche eigenthümliche Nahrung in allem außmachet, nahmentlich 480 lb.

Michel Schwartz meurt en 1717. Les experts évaluent la maison à 850 livres. L’actif de la succession s’élève à 1 726 livres, le passif à 381 livres.

1717 (9.8.), Not. Oesinger (Jean Adam, 39 Not 24) n° 618
Inventarium undt Beschreibung aller der Jenigen Haab, Nahrung und Güthere, Liegender und Vahrender, Keinerleÿ davon außgenommen, So weÿland der Ehrenveste und Großachtbahre Herr Johann Michael Schwartz geweßene Kupfferschmidt und burger allhier Zu Straßburg seel. nach seinem den 4.ten Julÿ dießen lauffenden 1717.ten Jahrs aus dießer Jammervollen Welth genommenen tödlichen hintritt hie zeitlichen verlaßen (…) Actum Straßburg, Montag den 9.ten Augusti Anno 1717.
Der Verstorbene Herr seel. hat ab intestato Zu Erben Verlaßen, wie folget. 1. die Ehren und Tugendbegabte fraw Annam Margaretham Pfählerin gebohrne Schwartzin, des Ehrenhafften und Vorachtbahren Herrn Johann Pfählers, des Ohlmans undt burgers allhier Ehefraw, Welche nebst demselben dem Geschäfft persönlich assistirte. 2. die Ehren und Tugendsahme fraw Saram Edelin gebohrne Schwartzin, des Wohl Ehrenhafften undt Achtbahren herrn Melchior Edels Zinngießers und burgers allhier eheliche haußfraw, so in persohn nebst demselben dem Geschäfft abwartete. 3. die Viel Ehren; und Tugendbegabte Fraw Annam Barbaram Ehrenmännin gebohrne Schwartzin deß Ehrwürdig und Wohlgelehrten Herrn M. Johann Ehrenmanns treweifferigen Diaconi des Stättleins Westhoffen Fr. Eheliebste, so mit assistentz deßelben dem Geschäfft beÿwohnte, 4. 5. Michael ledigen Kupfferschmidt und Johann die Schwartzen, deren geschworner Vogt ist der Ehrenhaffte Herr Johann Dörffer Kieffer und burger allhier, so nebst seinem Curanden dem Geschäfft assistirte, Alle fünff des Verstorbenen herrn seel. hinderlaßener Kinder und Erben Zugleichen portionen und Stammtheilern.

In einer in der Statt Straßburg ahne der großen Gewerbslaub gelegenen in dieße Verlaßenschafft gehörigen und hernach beschriebenen behausung befunden worden wie folget.
Ane Höltzen und Schreinerwerck. Auff der bühn, In der Cammer A, Vor dießem Gemach, In der Soldaten Cammer, in der Wohnstub, In der Kuchen, In der undern Kuchen, In der Magd Cammer, Im hindern Stübl.
Eigenthum ahne Einer Behaußung. Nemlichen ein Hauß, Hoff, Hoffstatt, bronnen, sampt übrigen Zugehörd, recht und Gerechtig Keithen, gelegen allhier ohnweith der groß. Gewerbs laub gegen dem becken hauß Zum Krebs, ein seith neben Jacob Matzinger uxorio noîe. anders. neben Andres Kempffen beeden Weißbecken, Vnd Burgern allhier und hinden Zum theil auff Ulrich Notter den Schuhmacher, und theils auff herrn N. Unselt stoßend, davon gehen jährlichen auff den 2.ten Aug. 2. lb d. Zinß weÿl. Ihro Hochadel. Gnd. herrn Johann Jacob Wormbsers hochverdienten Stätt Meisters allhier hinderlaßenen Hoch Adel. Fr. Wittib so ablößig mit 50. Gold. fl. so jetzigem Cours nach in Capital macht 67. 10. Sonsten über erst bemelte beschwerd freÿ, ledig und eigen, und durch der Statt Straßburg geschworne herrn Werck Meistere Vermög ihrer Zu dem Concept gelüfferten schrifftlichen Abschatzung Sub dato 10.ten Aug. Anno 1717. annoch æstimirt pro 782. lb. Darüber ist Vorhanden ein teutscher perg. Kffbr. m. d. Statt Straßb. anh. C. C. Stub Ins. verwahrt, datirt den 12.ten aug. Anno 1684. Darbeÿ ferner 1. ältere perg. Kffbrff ahne erst bemeldem orth gef. und mit selbigem anh. Ins. Verwahrt deßen datum ist der 18.t Aug. Anno 1634. so beede notirt mit altem N° 8 und dißmahlen wieder dabeÿ gelaßen.
Series rubricarum hujus Inventarÿ, Sa. haußraths 121, Sa. Werckzeugs, Wie auch gemachter vnd ungemachter Arbeith Zum Kupfferschmidt handwerck gehörig 67, Sa. der frucht 16, Sa. lährer faß 10, Sa. Silber geschirr und Geschmeids 15, Sa. Goldener Ring 10, Sa. der baarschafft 7, Sa. der Pfenningzinß hauptgüter 640, Sa. Eigenthums ahne einer behaußung 782, Sa. Schulden 54, Summa summarum 1726 lb – Schulden 381 lb Compensando 1344 lb
Abschatzung den 10.ten August 1717. Weÿland deß Ehrenhafften und bescheidenen Herrn Michael Schwartz Kupfferschmitt Seel. hinderlaßene Erben ist eine behaußung allhier inn der Statt Straßburg vnden an der Erbislauben gelegen Einseith neben herrn hannß Jacob Martinger Weißbeckh, anderseith neben herrn Andresen Kämpff dem Weißbeckh, hinden auff H. Michael Füeßel den Schuemacher stoßendt, Welche Behaußung Laden, Nebengebäw, hinder gebaw, gewölbter Keller, hoff, hoffstatt und bronnen, Sambt aller Ihrer recht und gerechtigkeit, durch der Statt Straßburg Geschwohrne Werckhmeistere Jetzigem Preiß nach angeschlagen wird. vor und umb Ein taußend Sieben hundert Gulden. Bezeichnüß durch der Statt Straßburg Geschwohrne werckh leüthe, Jacob Staudacher werckh Meister des Maurhofs, Jacob schuller Werk Meister des Zimmer hoff, Michel Ehrlacher Werck Meister des Minsters

Les héritiers de Michel Schwartz portent devant les Quinze le litige qui les opposent à la maîtrise des chaudronniers qui ont voulu fermer l’atelier le lendemain de la mort de Michel Schwartz. Son fils Michel, compagnon âgé de vingt-cinq ans, rentre d’Amsterdam. Les Quinze l’autorisent à exercer le métier de chaudronnier bien qu’il n’ait pas entièrement terminé son tour de compagnon.
1717, Protocole des Quinze (2 R 121)
(p. 358) Sambstag d. 24. Julÿ 1717. – weÿl. H. Michael Schwartzen Erben Ca. E. E. Meisterschafft der Kupfferchmidt pt° arbeithens
Saltz. nôe weÿl. H. Michael Schwartzen gewesenen Kupfferschmidts undt burgers allhier nachgelaßener Erben erschienen H Melchior Edel Zinngieser Citirt E. E. Meisterschafft der Kupfferschmid genanten Schultheißen Friedrich Zeisolff Principales beschwehren sich daß die Citirte gleich den andern tag nach ged. H. Schwartzen leichen die Werckstätt propria authoritate schließen wollen, bitten, umb Vor selbigen ruhe Zu haben Zeit eines Monaths, angesehen der Sohn Michael Schwartz, 25 Jahr alt, Welcher biß anhero Zue Amsterdam gearbeitet, bereit auff der Ruck Reiß begriffen laut in handen habenden Missiven. Goll Cit. præsens berichtet daß er nichts als was Ihre Ordnungen undt Gerechtigkeiten Zulaßen gethan habe, bitt deputationem. Saltzl. setzts. Erkandt, werden die Ober Handwerckh herren abgeordnet, und denenselben die hand geöffnet nach Guthbefund. zu sprechen.

(p. 416) Sambstag d. 21. Aug. 1717 – Michael Schwartz Ca. E. E. Meisterschafft der Kupfferchmidt
Saltz. nôe Michael Schwartzen des ledigen Kupfferschmidts contra E. E. Meisterschafft der Kupfferschmid Principal hat sich beÿ Cit. laut hiebeÿ gehend Extractus den 14. hujus umb das Meisterrecht angemelt, es hat aber ged. Meisterschafft Ihme wegen nicht allerdings verwandter Zeit an Mghh. remittirt, wann aber sein Vatter in zwischen gestorben, als bitt Er Ihme das Meisterrecht dispensando gnädig Zukommen Zu laßen. Goll bitt deput. Goll weil die Werckstatt bereiths 14 tag geschloßen alß erholt priora. Erk. Ober handwerck Hh.

(p. 434) Montag d. 30. aug. 1717 – Michael Schwartz Ca. E. E. Meisterschafft der Kupfferchmidt pt° Meisterrechtz
Iidem [Obere handwerck Hh] laßen ferner per Eundem [Secretarium] referiren, daß Michael Schwartz der ledige Kupfferschmid allhier contra E. E. Meisterschafft der Kupfferschmid in einen gehaltenen Recess berichtet daß er laut mitkommenden Extractus aus gemelter Meisterschafft Memorial vom 14. huj. umb das Meister Recht angemelt, Wegen nicht völlig Verwanderter Zeit aber seÿe Er ab: und an Mgh. gewießen word. mit Unterth.ger bitt Ihme ged. Meisterrecht dispensando in gnad. Zu kommen Zu laßen, deme Er beÿ der Deputation beÿgefügt, daß Ihme mehr nicht alß noch 7 Monath fehlten, und würde er vor Verfließung der dreÿ Jahr nicht wieder anhero gekommen sein, wann nicht sein vatter ohnlängst dieses Zeitliche geseegnet, habe nicht von sich selbsten sondern auff ansuchen der gantzen Freundschafft sich auff den weeg gemacht, umb allhier die werckstat anzutretten, welche sonsten in gäntzlichen abgang würden gerathen sein. Auff welches nôe der Meisterschafft Johann Georg Rieger und Leonhard Leidel geantwortet daß Vermög articul der Implorant dreÿ gantze Jahrlang hätte wandern sollen, so er aber nicht gethan, sie Ihres orths Verlangten nichts anders alß guthe und erfahrene Meister beÿ dem handwerck einzuführen, und einer so nicht lang in der Frembde gewesen Keine große Wißenschafft haben Könte, mit Unterthäniger bitt die beÿ Ihren Articul Zu mainteniren.
Auff Seithen der Hh. Deputirten vermeine man, daß weilen der Implorant nicht nur eines burgers sondern auch einer Meisters Sohn seÿe, und deßen Vatters Todtfall dar zwischen gekommen, beÿ Ihme gar wohl gegen erlag 4. lb d halb der Statt halb dem handwerck, doch ohne præjudiz undt consequenz dispensirt werden Könte, die genehmhaltung Zu Mghh. stellend. Erkandt, bedacht geliebt.

(f° 506) Sambstag d. 9. Octobris 1717.
Bescheid – Montags d. 30. Augusti 1717. In Sachen Michael Schwartz des ledigen Kupfferschmids Imploranten ane einem, entgegen und wieder E. E. Meisterschafft der Kupfferschmid allhier Imploraten am andern theil, Ist pt° Verlangten Meisterrechts Erkandt, Wird beÿ Imploranten aus erheblichen Ursachen, wegen der annoch restirenden Wanderzeit gegen erlag vier Pfund halb der Statt halb dem handwerck dispensirt, mithin Ihme das Meister Recht doch ohne præjudiz undt consequenz conferirt.

Le tonnelier Jean Dœrffer rend un compte à son pupille Jean Schwartz, compagnon chaudronnier
1720, Not. Oesinger (Jean Adam, 39 Not 26) n° 718
Rechnung Mein Johann Dörffers deß Kieffers und Burgers allhier zu Straßburg alß geordneten und geschwohrnen Vogts Johannes Schwartzen deß Kupfferschmidt gesellens, Weÿl. H. Johann Michael Schwartzen geweßenen Kupfferschmidts und burgers allhier zu Straßburg mit auch Weÿl. Fr. Sara gebohrener Folßin Ehelich erzeugten und Hinterlaßenen Sohns, in sich begreiffend alles dasjenige, waß ich Vom 4.t Julÿ Anno 1717 biß den 15. Maÿ Anno 1720 gedachten meines Vogts Sohn halben eingenommen und außgegeben auch sonsten in ein und ander Weiß und Weeg Verrichtet und Verhandelt habe – Erste Rechnung dieser Vogteÿ

La maison revient à Michel Schwartz qui épouse en 1718 Anne Marie Fischer, fille de l’aubergiste au Paysan bleu Laurent Fischer : contrat de mariage, célébration

1718 (28.3.), Not. Rohr (Daniel, 46 Not 60) n° 878
Eheberedung Zwischen Herrn Michael Schwartzen leedigen Kupfferschmidt, weÿl. herrn Michael Schartzen auch gewesenen Kupfferschmidts vnd burgers allhier seel. ehelichem Sohn, als dem H Hochzeiter, beÿständlich herrn Johann Dörffers Kieffers deßelben Vogts vnd H Johann Christmann Röderers Rothgerbers seines vettern, beeder burgere allhier, ane einem
So dann Jungfrawen Annæ Mariæ Fischerin Herrn Lorentz Fischers Würths Zum blawen bauren vnd burgers allhier ehelich erzeigten Tochter als der Jgfr. hochzeiterin mit Assistenz herrn Anthoni Kayßers hinterlaßen handelßmanns, Ihres Curatoris, vndt herrn Jacob Fischers gasthalters Zum Stall Ihres Vettern, auch beeder Burgere allhier Zu Straßburg, andern theils
Actum Straßburg Montags den 28. Martÿ 10 1718. [unterzeichnet] Michael Schwartz als Hochzeiter, Anna Maria Fischerin als hoch Zeiterin

Mariage, Saint-Pierre-le-Jeune (luth. f° 37 n° VII)
1718. Dominica Misericordias & Jubilate proclamati sunt Michael Schwartz, der ledige Kupfferschmidt v. burger alhier, Weÿland H Michael Schwartz, gewes. burgers v. kupfferschmidts alhier nachgelaßener ehl. Sohn, vnd Jgfr. Anna Maria H. Lorentz Fischer burg. v. gastgebers alhier ehel. tochter. Copulati sunt Mittwoch d. 11. Maÿ [unterzeichnet] Michael Schwartz als hochzeiter, Anna Maria fischerin als hochzeiterin (i 41)

Les nouveaux mariés font dresser l’inventaire de leurs apports dans la maison qui appartient à Michel Schwartz. Ceux du mari s’élèvent à 842 livres sans la maison, ceux de la femme à 546 livres.

1718 (22.5.), Not. Rohr (Daniel, 46 Not 43) n° 1424
Inventarium und Beschreibung aller derjenigen Haab, Nahrung und Güthere, liegender und fahrender, Keinerleÿ davon außgenomen, so der Ehren und vorgeachte herr Michael Schwartz Kupfferschmit und die Ehren und tugendsahme Frau Anna Maria gebohrene Fischerin beede Eheleuthe und burgere allhier Zu Straßburg einander in den Ehestand Zugebracht und vermög auffgerichteter Eheberedung sich vor unverändert vorbehalten haben, Welche auf freundliches ansuchen und begehren beeder Eheleuten selbsten, fleißig Inventirt (…) So beschehen allhier in d. Königlichen Statt Straßburg in fernerem gegenseÿn herrn Johann Dörffer Kieffers des Ehemanns annoch ohnentledigten Vogts v. herrn Lorentz Fischers Gasthalters Zum blohen bauren der Ehefrauen leiblichen Vatters beeder burgere allhier, Montags den 22. Maÿ Anno 1718.

In einer allhier Zu Straßburg ohnfern der großen Gewerbslaub beÿm überhang gelegenen behaußung sich volgendermaßen befunden.
Ane Höltzen und Schreinerwerck. Ohneins obersten bühn, In der Soldaten Cammer, In dem Obern Hauß Ohren, In der Gesellen Kammer, In der Obern Fordern Cammer, In der Wohnstub, Im Mittlere Haußohren, In dem Hindern stübl. Im hoff, In der Understen Kuchen
(f° 12) Eigenthum ahne Einer Behaußung. Item ein hauß, hoff, hoffstatt, bronnen, samt übrigen Zugehörd recht v. Gerechtig Keiten, gelegen allhier ohnweith der großen gewerbs laub gegen dem becken hauß Zum Krebs, ein seith neben Jacob Matzinger uxorio Nomine anderseith neben andres Kempffen beeden Weißbecken und burgern allhier hinden Zum theil auff Ulrich Notter den Schuhmacher und theils auff herrn N. Unselt stosend, davon gehen jährlichen auff den 2.ten Augusti 2. lb d. Zinß weÿl. Ihro Adelischen Gnd. herrn Johann Jacob Wormbsers geweßenen hochverdienten Stättmeisters allhier hinderlaßenen hochadeliche frau Wittib so ablößig mit 50. Gold. Gulden so jetzigem Cours nach in Capital machen 67. lb 10. ß Sonsten über erst bemelte beschwerd freÿ, ledig und eÿgen, und wird solche behausung allhier beliebter maßen ohne anschlag gelaßen. Darüber ist vorhanden ein teutscher pergamentener Kauffbrieff mit der Statt Straßburg anhangendem C. C. Stub Insiegel verwahrt, datirt d. 12.ten Augusti Anno 1684. Darbeÿ ferner ein älterer pergamentener Kauffbrieff ane erst bemeldem orth geferthiget und mit selbigem anhangendem Insiegel verwahrt, deßen datum ist d. 18.t Augusti Anno 1634. so beede notirt mit altem N° 8 und dabeÿ dießmahl wieder gelaßen.
Series rubricarum hujus Inventarÿ, Des Manns Nahrung betr. Sa. haußraths 83, Sa. Wahren wie auch Schiff v. geschirrs Zum Kupfferschmidt handwerck gehörig 209, Sa. Sa. lährer Vaß 4, Sa. Früchten 4, Sa. Silbers 5, Sa. baarschafft 21, Sa. Eigenthums der behaußung o, Sa. der Activ Schulden 5, Summa summarum 331 lb – Schulden 1174 lb, Compensando 842 lb
Der Frauwen Zugebracht guth betr. Sa. haußraths 176, Sa. Früchten 2, Sa. Silbers 20, Sa. Goldener Ring 25, Sa. baarschafft 46, Sa. Pfenningzinß hauptgüter 275, Summa summarum 546 lb

Michel Schwartz et Anne Marie Fischer font dresser l’inventaire de leurs biens. La masse propre à la femme est de 875 livres. L’actif du mari et de la communauté s’élève à 1 161 livres, le passif à 1 328 livres.

1727 (26.6.), Not. Lobstein (Jean, 31 Not 19) n° 410
Inventarium und Beschreibung aller derjenigen Haab Nahrung und güethere, so Meister Michael Schwartz der Jüngere Kupfferschmid und Frau Anna Maria Schwartzin gebohrene Fischerin beede Eheleuthe und Burgere allhier zu Straßburg anjetzo Würcklichen tam active quam passive eigenthümlichen haben und besitzen, welche der ursachen, alldieweilen sein Meister Michael Schwartzen habende Nahrung mit Zimblichen Passiv Schulden behafftet auf Ihro Frauen Annæ Mariæ Schwartzin geb. Fischerin, der Ehefrauen mit assistentz herrn Johann Joachim Fischers des Bierbrauers Zur Ketten und burgers allhier Zu Straßburg Ihres geschwornen Hn Curatoris beschehenes freundliche ansuchen erfordern und begehren, umb Salvirung Ihres ohnveränderten und Eigenthümlichen guths Willen, ersucht und inventirt durch Sie beede Eheleute Selbsten (…) So Beschehen in Straßburg auf Donnerstag den 26.ten Junÿ Anno 1727.

In einer allhier beÿ dem Überhang nahe ane dem Baarfüßerplatz gelegenen und in dieße Nahrung gehörigen behaußung, befunden worden, wie Volgt
Ane Höltzen und Schreinwerck. In der Soldaten Cammer, In der Gesellen Cammer, In der Magd Cammer, In der Wohnstub, In der Kuchen, In der Werckstatt, In der Bauchküchen, Im Keller
Eigenthumb ahne einer Behaußung. (M et T.) Ein Behaußung, Hoff, Hoffstatt, bronnen, sampt allen übrigen deren gebäuen, begriffen, weithen, Rechten, Zugehörden und Gerechtig Keithen, gelegen allhier ohnweith der großen gewerbs laub gegen dem Beckenhauß Zum Krebs hinüber, ein seith neben Jacob Matzinger uxorio nomine anderseit neben Johann Jacob Debuß, beeden Weißbecken, hinden Zum theil auff Ulrich Notter, den Schuhmacher und Zum theil auff herrn Johann Marx Kählhoff dem Perucquier stoßend, davon gehen Jährl. auff den 2.ten Augusti 2. lb d. Zinnß weÿl. Ihro Hochadel. G. Hn Johann Jacob Wormbsers hochverdienten Stätt Meisters allhier seel. hinderlaßener Fr. Wittib und weÿl. Hn Johann Nicolai Kempffers geweßenen Conseilers au Conseil souverain d’Alsace seel. hinterlassenen Erben ins gemein ablößig in Capital mit 50. goldgulden so allhier ohnpræjudicirlich auszuwerffen à 1 lb. 17. ß 6 & th. 93. lb 15 ß, It. 1 lb 18 ß 9 12 d a 4 pro Cento gerechneten Zinnßes, solle mann Frauen Anna Margarethæ Pfählerin geb. Schwartzin H, Johann Pfählers des ohlmanns und burgers allhier frauen Eheliebstin Jahrs auf den 11. Augusti ablößig in hauptgut mit 198. lb 9 ß 9 d, It. 6 lb 15 ß 2 ½ d Zinß auch à 4 pro Cento gerechnet, gibt mann frauen Barbara Ehrenmännin geb. Schwartzin, H. M. Johann Ehrenmanns p.t. treueifferigen Pfarrers der Evangelischen Gemeind Zu Mittelhaußen, Frauen Ehegattin, Jahres auf den 13.ten Aug. redimibel in Cap. mit 143. lb 19 ß 7 s, It. 22. lb 11 ß d ebenmäßig à 4 pro Cento gerechneten Zinnßes reicht mann Johann Schwartzen dem ledigen Kupfferschmid, Jährl. auf den 12.ten Augusti redimibel in haubtguth mit 563. lb 16 ß 2 d, Sonsten freÿ ledig eigen um über obige beschwärde dißorts Jedoch Keinen theil Zum præjudiz angeschlagen pro 999 lb 19 ß 6 d. Darüber ist Vorhanden ein teutscher pergamentener Kauffbrieff mit der Statt Straßburg anhangendem Cancelleÿ Contract Insiegel verwahret, de dato den 12.ten Augusti Anno 1684. Darbeÿ ferner zween alte teutsche perg. Kauffbrieff, auch in allhiesiger Cancelleÿ Contract Stub gefertiget und mit dero anhagenden Insiegel bekräfftiget de datis 18.ten Julÿ Anno 1634. et 15. Februarÿ Anno 1676 mit alten N° 3. et 8. auch Lit. A. signirt und dießmahlen wider nach beschehener besichtigung dabeÿ gelaßen.
Ergäntzung der Frauen ermanglenden ohnveränderten guths. Inhalt Inventarÿ über Beeder Eheleute einander Vor ohnverändert in den Ehestand Zugebrachte Nahrungen in Anno 1718. durch Hn Notarium Daniel Rohren nun seel. Auffgerichtet, hat man der Frauen Zu Ergäntzung wie volgt
Abzug in gegenwärtig Inventarium gehörig. Der Frauen ohnverändert Vermögen, Sa. haußraths 94, Sa. Silbergeschmeids 10, Sa. Goldener Ring 14, Sa. der baarschafft 12 ß, Sa. Schulden 125, Sa. was man der Frauen wegen Ihrer durante Matrimonio alienirten ohnveränderten Guths Zuerlegen hat (632, Sa. Abgangs 1, Nach solchem abzug) 630, Summa summarum 875 lb
Des manns ohnverändert und theilbahre Nahrung, Sa. haußraths 65, Sa. Werckzeugs und Gemachter Wahr Zum kupfferschmidt handwerck gehörig 82, Sa. Silbers 1, Sa. Eigenthums ahne einer behaußung 999, Sa. Schulden 13, Summa summarum 1161 lb – Schulden 1328 lb, Übertreffen demnach des Manns ohnverändert und theilbare Zubezahlen habende Passiv Schulden desselben Völlige Vorhandenen Activ Massam dem billichen werth und anschlag umb 166 lb
Conclusio finalis Inventarÿ 875 lb
Copia heuraths Verschreibung (…) Daniel Rohr

La maison de Michel Schwartz va être vendue par enchère judiciaire. L’acte suivant montre que son frère Jean s’en porte acquéreur.

1727, Livres de la Taille (VII 1176) f° 165
Sambst. den 8. Novembr. die dreÿ ordinarÿ Herren und Ich Johannes Dörffer der Kieffer alß Vogt Michael Schwartzen Einen sohns berichtet daß seines Vogt Sohns gantzes Vermögen in dem hauß bestehe, welches nächster tagen in ganth kommen werde, bittet biß dahien in geldult Zustehen, weilen Er keinen Heller sonsten in Handen habe, Erkannt willfahrt.

Le chaudronnier Jean Schwartz loue une partie de la maison au brasseur Jean Jacques Meyer et au tailleur Georges Jacques Prück

1728 (8.7.), Chambre des Contrats, vol. 602 f° 318
Johannes Schwartz lediger Kupfferschmidt und
in gegensein Johann Jacob Meyer des bierbrauers und Georg Jacob Prück Schneiders
In sein des verlehners eigenthümlich allhier außerhalb der großen gewerbslaub gegen dem weißbecken hauß zum Krebs über, einseit neben Johann Jacob Matzinger dem weißbecken anderseit neben H. Johann Georg Krauß handelsmann gelegen behausung Ihme Matzinger den vordersten auff die gaß gehenden theil des Kellers Ihme Brück aber zwo stiegen hoch eine Stueb Stuebkammer und zweÿ andere Kammern nebst einer Kuchen, platz zum holtz auff der bühn und ein besonderes Kellerlein, dießem nach ist sein Meÿers lehnung getroffen worden, auff 3 sein Brücken Meyer aber auff 2 nacheinander folgenden jahren beede anfangend von allererst verfloßenen Johann Baptistæ – Meyer um einen jährlichen Zinß nemlich 7 pfund, Brück 38 pfund

Jean Schwartz vend la maison au marchand de cuir Jean Benoît Bruder et à sa femme Marguerite Voltz

1728 (7.12.), Chambre des Contrats, vol. 602 f° 540-v
Johann Schwartz lediger Kupfferschmidt ohnbevögtigt so über 25 jahr alt zu sein versicherte beÿständlich seines schwagers H. Johann Leonhard Pfähler handelsmanns
in gegensein H. Johann Benedict Bruder Lederhändters beÿständlich seiner Ehefraun Margaretha geb. Voltzin annoch ohnentledigten Vogts Bernhard Wagner des seÿlers
Eine Behausung höfflein und hinderhäußlein, Bronnen und hoffstatt mit allen derselben gebäuden, begriffen, weithen, zugehörden, Rechten und gerechtigkeiten ohnfern der großen gewerbslaub gegen dem weißbecken hauß zum Krebs über, einseit neben Jacob Matzinger des weißbecken Stieffkindern denen Oberlinischen Kindern anderseit neben H. Johann Georg Krauß dem handelsmann hinten zum theil Ulrich Notter den Schuemacher und zum theil Johann Marx Kehlhoff den Peruquenmacher – um 900 pfund capitalien beldaen, geschehen um 765 pfund

Jean Benoît Bruder loue la maison au marchand de fourrures Jean Louis Schlag et à sa femme Marie Elisabeth Bœhm

1735 (12.7.), Chambre des Contrats, vol. 609 f° 488-v
Johann Benedict Bruder der Lederhändler
in gegensein H. Johann Ludwig Schlag des Rauchwaarenhändlers und Mariæ Elisabethæ geb. Böhmin
entlehnt, Eine Behausung, hoff, bronnen, hinderhauß und hoffstatt mit allen deren gebäuden, begriffen, weithen, zugehörden, rechten und gerechtigkeiten unden an der großen gewerbslaub ohnfern des Baarfüßer platzes einseit neben H Johann Georg Krauß dem Specirer anderseit neben Johann Georg Friedrich Barbenes dem weißbecken hinten auff Ulrich Notter den Schuhmacher zum theil theils Johann Marx Kehlhoff den Peruquenmacher, nichts davon ausgenommen – auff 6 nacheinander folgenden jahren anfangend von nächstbevorstehenden Michaelis, um einen jährlichen Zinß nemlich 100 pfund

Jean Benoît Bruder et Marguerite Voltz vendent la maison au fripier Frédéric Rüger et à sa femme Marie Marguerite Ebinger

1736 (20.11.), Chambre des Contrats, vol. 610 f° 904-v
Johann Benedict Bruder der Lederhändler und Margaretha geb. Voltzin
in gegensein Friedrich Rüger des altgewänthers und Mariæ Margarethæ geb. Ebingerin
Eine Behausung bestehend in vorder und hinder hauß, höfflein, Bronnen und hoffstatt mit allen übrigen deren gebäuden, begriffen, weithen, zugehörden, rechten und gerechtigkeiten ohnfern der großen gewerbslaub gegen dem weißbecken hauß zum Krebs über, einseit neben Johann Friedrich Barbenes weißbecken anderseit neben weÿl. Johann Georg Kauß des handelsmanns erben hinten zum theil Ulrich Notter den schuhmacher theils Johann Marx Kehlhoff den Peruquenmacher – als ein am 17. Decembris 1728 erkaufftes guth – um 200 pfund beladen, geschehen um 2425 pfund

Frédéric Rüger loue une partie de la maison au pelletier Daniel Jacques Spoor

1736 (15.12.), Chambre des Contrats, vol. 610 f° 939
Friedrich Rüger der altgewänther
in gegensein Daniel Jacob Spoor des Kürßners
entlehnt, In seiner ihm Rüger eigenthümlich zuständig unten an der großen gewerbs: laub ohnfern dem Baarfüßerplatz einseit neben weÿl. H. Johann Georg Krauß des Specireres Erben anderseit neben Johann Georg Friedrich Barbenes weißbecken hinten auff Ulrich Notter den schuemacher zum theil theils auff Johann Marx Kehlhoff Peruquenmacher gelegenen behausung Unten auff dem Boden Einen gewerbsladen, Comtoir, gewölb, gemeinschafft des hoffs und Bronnens den vordern unterschlagenen Keller, Eine stiege hoch im vorderhauß über den Laden Eine stueb Stuebkammer, Kuch und haußöhren an der zweÿten stieg eine holtzbühn, dreÿ stiegen hoch eine kammer, vier stiegen hoch eine gesinds kammer und ein Spänen bühnlein so dann fünff stiegen hoch die daselbst befindliche Bühnen deren gebrauch sich doch der verlehner zum wasch hencken vorbehaltet – auff 6 nacheinander kommende jahren anfangend von Annunciationis Mariæ 1737 – um einen jährlichen Zinß nemlich 65 pfund

Les experts estiment la maison à 1 400 livres lors de l’inventaire dressé après la mort de Marie Marguerite Ebinger

Les héritiers cèdent la maison au veuf et à Marie Madeleine Prick, femme du marchand Frédéric Jacques Rœderer

1757 (30.7.), Not. Dinckel (J. Raoul, 6 E 41, 389) Joint au n° 723 du 10 juin 1757
(Inventarium über Weÿland Frauen Mariä Margarethä Rüegerin gebohrner Ebingerin, Herrn Friderich Rüegers, des frippiers und burgers allhier Zu Straßburg geweßener Ehegattin Verlassenschafft)
Cessiones und Überlaßung des Eigenthums ane häußern so theilbar
Erstlichen die theilbare behaußung bestehend in Vorder und hinderhauß, höfflein, bronnen und Hoffstatt, mit allen übrigen deren gebäuen, Begriffen, Weithen, Zugehörden, Rechten und Gerechtigkeiten, gelegen allhier Zu Straßburg ohnfern der großen Gewerbslaub gegen dem Weißbecken hauß Zum Krebs hinüber, einseit neben Herrn Johann Christian Gimmig, dem Meßerschmidt, anderseit neben Herrn Dupé dem tabackhändler hinden Zum theil auf Johann Groß, den Schuhmacher und zum theil auf Johann Conrad Sengenwald, den Schneider stoßend, so gegen Männiglichen freÿ, Ledig, eigen, ist in gegenwärtigem ohnvertheilten Erbe sowohl dem hinterbliebenen herrn Wittiber herrn Friderich Rüeger, dem frippier, und burgern allhier allein vor seine Persohn, als auch der jüngeren Frau Tochter und Miterbin, Frauen Mariä Magdalenä Rödererin gebohrener Prickin, herrn Friedrich Jacob Röderers des Handelßmanns und burgers allhier Frauen Eheliebstin Vor Sie und Ihre Erben von denen gesambten übrigen Mit Erben eigenthümlich käufflichen cedirt und überlaßen, auch von Ihnen beeden dergestalten Käufflichen angenommenn worden, mit der außdrucklichen Condition und Bedingungen, daß so lang Er Herr Rüeger der Wittiber in Leben oder Ihme gefällig seÿn wird, Ihme das Eigenthum solcher behaußung gäntzlichen allein Zustehen und gebührig seÿn (…) umb 8000 gulden Straßburger Current doer 4000 lb (…) vor und umb 3000 Gulden hießig Straßburger Current oder 1500. lb – So beschehen in Straßburg den 30. Julÿ Anno 1757.

Les experts estiment la maison à 1 000 livres lors de l’inventaire dressé après la mort de Frédéric Rüger

Les héritiers de Frédéric Rüger vendent aux enchères la maison dont le voisin Jean Dupé se rend propriétaire moyennant 7 550 livres

1772 (6.3.), Chambre des Contrats, vol. 646 f° 134-v
Fr. Maria Barbara geb. Brückin Johann Burger des schuhmachers ehefrau beÿständlich deßelben, item Fr. Maria Salome geb. Brückin Johann Christian Vierling des frippiers ehefrau, item H. Friedrich Jacob Röderer Cancellariæ adjunctus so zwar nach recht großjährig vermög erkanntnus EE. Großen Raths samtliche als erben vi testamenti von weÿl. H. Friedrich Rüeger gewesten frippier
in gegensein H. Johann Dupé des tabackhändlers als meist gebottenen
eine unter ihnen verkäuffern annoch unvertheilte behausung bestehend in vorder und hinter haus, höfflein, bronnen und hoffstatt mit allen denen übrigen gebäu, begriffen, weithen, zugehörden, rechten und gerechtigkeiten ane der Großen gewerbslaub ohnweit dem Baarfußerplatz, eins. zum theil Christian Gimmig dem kurtzmeßerschmidt zum theil H. Theuerkauff dem kürschner, anders. neben dem käuffer selbst, hinten auf Johann Groß des schuhmachers höfflein – um 7550 pfund

Jean Dupé loue toute la maison au marchand Pierre Lemonier

1772 (11.6.), Chambre des Contrats, vol. 646 f° 309-v
Sr Jean Dupé, marchand
à Pierre Lemonier, marchand
Bail, pour 6 années consécutives à commencer à la St Michel, une maison en entier appartenant en propre au Sr bailleur scise au bas des Grandes Arcades près la Place d’Armes, d’un côté le Sr bailleur, de l’autre Sr Chrétien Gimmig coutelier et en partie Sr. Theurkauff pelletier, derrière la cour de Jean Gross cordonnier – moyennant un loyer annuel de 1200 livres tournois

Les experts estiment la maison à 2 300 livres lors de l’inventaire dressé après la mort de Marie Catherine Louis, deuxième femme de Jean Dupé.

Jean Dupé hypothèque la maison au profit de Marie Madeleine Bressler, veuve du marchand Nicolas Henri Schreider

1774 (21.5.), Chambre des Contrats, vol. 648 f° 226
H. Johann Dupé der handelsmann
in gegensein H. Johann Cornelius Jacob Weÿher EE. Großen raths alten beÿsitzer vor und innahmen Fr. Mariæ Magdalenæ Schreiderin geb. Breßlerin weÿl. Nicolaus Heinrich Schreider des handelsmanns wittib – schuldig seÿe 2000 gulden
unterpfand, eine behausung samt zugehörden ane der Großen gewerbslaub ohnweit dem Baarfüßerplatz, einseit zum theil neben H. Christian Gimmig dem kurtzmeßerschmidt zum theil H. Theurkauff dem kürschner, anderseit neben H. Schuldner, hinten auf Johann Groß des schuhmachers höfflein

Jean Dupé expose infructueusement la maison aux enchères sur la mise de 10 000 puis de 9 500 florins

1776 (19.3.), Not. Zimmer (6 E 41, 1451) n° 325
Anno 1776 den 19. Martÿ nachmittags, H. Johannes Dupé, des handelsmanns und burgers allhier Zu Straßburg und nach vorhergegangener Verkündung durch das allhiesige Wochenblättlein wurde (…)
zur freiwilligen Versteigerung einer ihme dem H. Requirenten eigenthümlich zuständigen behaußung in vorder und hinter Gebäude bestehend, sambt allen übrigen deroselben begriffen, Weithen, Zugehörden, Rechten und Gerechtigkeiten, gelegen allhier Zu Straßburg ohnfern dem baarfüßer Platz, einseit neben ihme dem H. Requirenten selbsten, anderseit neben H. Gimmich, dem Meßerschmidt und hinten auf Johannes Groß, den Schuhmacher und burger dahier stoßend, so über 8000 fl. in Zweÿen Posten darauf hafftenden Capitalien, des H. Requirenten Declaration gemäß freÿ leedig eigen unter nachstehenden ausdrucklichen Bedingungen geschritten als (…)
ausgerufen pro 10.000 fl., dieweilen nun sich beÿ dieser Versteigerung niemand eingefunden, so hierauf ein Gebott hätte thun wollen, als ist die bemelte behausung samt zugehörden, Zu sein des H. Requienten Disposition verblieben
Anno 1776 den 18 Junÿ, (…) ausgeruffen worden pro 9500 fl. daß aber niemand erschienen weniger ein Gebott hierauff gethan worden

Jean Dupé loue la maison entière au marchand modiste Philippe Auguste Buché

1776 (20.8.), Chambre des Contrats, vol. 650 f° 264-v
Sr Jean Dupé, marchand – bail de 3, 6 ou 9 années à commencer à la St Michel prochaine quoique le Sr preneur l’occupe déjà
au Sr Philippe Auguste Buché, marchand modiste
toute la maison sans rien réserver appartenant en propre au Sr bailleur attenant à celle qu’il occupe au bas des Grandes Arcades vis à vis le poël des Pelletiers, moyennant un loyer annuel de 1100 livres tournois

Jean Dupé vend la maison au boutonnier et marchand de soie Jean Daniel Graffenauer : vente provisoire devant notaire puis vente définitive à la Chambre des Contrats

1777 (14.8.), Not. Greis (Jean Frédéric 6 E 41, 898) f° 17
Interims kauff – herr Jean Dupé der handelsmann als Verkäufer
herr Johann Daniel Graffenauer der Seidenhändlers und knopfmacher
die jenem eigenthümlich zuständige behaußung mit allen denen Gebäuen, begriffen, Weithen, Zugehörden, Rechten und Gerechtigkeiten unten an dem sogenannten baarfüßerplatz gegen der kürschner Zunft Stub, einseit neben Ihm herrn Dupé dem Verkäufer selbsten, anderseit neben Hn Christian Gimmich dem Kurzmeßerschmidt hinten auff herrn Dill den Schneider um 19.000 livres

Une pièce annexe autorise Jean Dupé à vendre la maison sur laquelle sa femme encore mineure a des droits d’après le contrat de mariage.
1777 (30.10.), Chambre des Contrats, vol. 651 f° 403-v
H. Johannes Dupé der tabackhändler, H. Johann Baptista Lionnet H. baron d’Autigny Prætoris Regii dahier secretarius, dieser letztere vor und innahmen D° Franzisca geb. Lionnet seiner minderjährigen tochter sein H. Dupé Ehegattin verordneter curator
in gegensein H. Johann Daniel Graffenauer des seidenhändlers und knopffmachers
eine behausung, höfflein, bronnen und hoffstatt mit allen denen gebäuden, begriffen, weithen, zugehörden, rechten und gerechtigkeiten unten ane der großen gewerbs laub gegen der kürschner zunfft über nächst dem baarfüßerplatz, einseit neben dem verkäuffer, anderseit neben H. Christian Gimmig dem kurtzmeßerschmitt zum theil zum theil H. Theurkauff dem kürschner, hinten auff Johannes Groß des schuhmachers hoff – um 9500 gulden
(Pièces annexes à la Chambre des Contrats, 94 Z 72) Aus Löblicher Ammeister Haus: Audienz der Stadt Strassburg Memoriali de Anno 1777. Sambstag den 18. Octobris. In Sachen Herrn Jean Dupé, des Burgers und Tabackhändlers annoch minderjähriger Ehefraun Franciscæ geborener Lionnois Curatoris ad actum (…)
Copia Relationis. Gnädig gebietender Herr Ammeister ! Herr Johannes Dupé der hiesige burger und handelsmann, ist gesinnet die eine seiner Zween neben einander ane dem Barfüser Platz gelegenen, ihme eigenthümlich zuständigen und seiner Ehegattin Franciscæ geborener Lionnois vor die ihr in der bei der Deputation vorgelegten Eheberedung verschriebene 6000 livres Morgengab und 3000 livres Wittum unterpfändlich verlegten behaußung und Zwar die Nebens: behaußung, welche N. Buché der ehemals hiesige Modehändler in Mieth gehabt, Zu verkaufen, wozu er aber, da bemelter seiner Ehefrauen so erst das Zwantzigste Jahr zurückgelegt hat, Interesse darunter versirt, derselben und ihres ad actum ernannten Curatoris Herrn Jean Baptiste Lionnois, Secrétaire bei Ihro Excellenz Herrn Prætore regio, beitritt und beider Gerichtliche authorisation Zu der in hiesiger Cantzleÿ Contract Stub vorzunehmenden Kauf Verschreibung gedachter behausung benöthiget ist. Obwohlen nun als das Ansehen gewinnen mögte, das diese Veräusserung des einen der Curandin Zur Sicherheit der ihr Zufolg der Eheberedung Zukommenden Beneficien, verpfändeten Immobilis derselben Zum Nachtheil gereichen könnte, so sind dannoch die Endes unterschriebene derer abwesenden Herren Kinder Vertrags Herren Deputirte der ohnmaßgeblichen Meinung, daß, da der Implorant angeregte Behaußung aus der Ursach Zu verkaufen gedencket und die darauf haftende Schulden durch deren Erlös Zu tilgen, den Rest aber beßer anzulegen, die Curandin auch wegen den ihr Zukommenden Ansprüchen nicht nur durch die dem Implorant übrig bleibenden, ohngefehr auf Zwölf tausend Gulden gewürdigte und nach seiner Declaration frei ledig und eigene Behausung, sondern auch durch den ihme eigenthümlich zuständigen vor dem Judenthor gelegenen Garten hinlänglich gesichert ist, und noch auser dem der bemelte Curator, so ihr der Curandin Vater ist und vor derselben Nutzen am besten Zu sorgen præsumirt wird, sich desselben begehren nicht wiedersetzet, die gedachte Dupé’sche Ehefrau und derselben Curator Zu authorisiren seÿe das Immobile gemeinschaflich mit dem Ehemann in Löblicher Cantzlei Contract: stub Zu verkaufen und dem Käufer gewohnlicher masen Zu Zuschreiben.
unterschrieben Pick nomine Herrn Rathherrn Kleinmann J. G. Pick nomine Herrn Rathherrn Kien – P J Greis

Fils de l’orfèvre du même nom, Jean Daniel Graffenauer épouse en 1767 Marie Elisabeth Rothhan, fille du tondeur de draps Jean Georges Rothhan : contrat de mariage, célébration
1767 (23.2.), Not. Ensfelder (J. Daniel 6 E 41, 643) n° 1
Eheberedung – zwischen dem Viel Ehren und Vorgeachten Herrn Johann Daniel Graffenauer, dem leedigen Seiden Knöpffmacher so majorennis Weiland herrn Johann Daniel Graffenauers gewesenen Goldarbeiters und burgers Zu Straßburg längst seel. mit Frauen Maria Dorothea gebohrner Enßfelderin seiner nunmahlen hinterbliebenen Frau Wittib ehelich erzeugtem Sohn, als herrn Bräutigam ane einem,
So dann der Viel Ehren und tugendgezierten Jungfraun Mariä Elisabethä Rothhanin, des Wohl Ehren vnd Vorachtbaren herrn Johann Georg Rothhan, des Tuchscherers auch Burgers alhier mit Frauen Maria Martha einer gebohrnen Bertschin ehelichen erziehlen Tochter, als Jungfer Hochzeiterin am andern Theil
So geschehen alhier Zu Straßburg (…) auf Montag den 23. des Monaths Februarÿ anno 1767 [unterzeichnet] Johann Daniel Graffenauer, als Hochzeiter, Maria Elisabetha Rothhanin als Hochzeiterin

Mariage, Saint-Nicolas (luth. f° 62 n° 14)
1767 Mittwoch den 20. Maÿ sind nach ordentlich geschehenen Ausruffungen in der Kirch Zu St. Nicolai ehelich eingesegnet worden H Johann Daniel Graffenauer weÿland H Johann Daniel Graffenauer gewesten Goldarbeiter und burgers alhier mit deßen hinterlaßenen Wittib Frauen Maria Dorothea, gebohrene Ensfelderin ehelich erzeugter Sohn, und Jungfer Maria Elisabetha H Johann Georg Rothhan, des Ältern, Tuchscherers und burgers alhier mit Frau Maria Martha geborner Bertschin ehelich erzeugte Tochter [unterzeichnet] Johann Daniel Graffenauer Als Hochzeiter, Maria Elisabetha Rothhanin als Hochzeiterin (i 65, procl. Temple-Neuf f° 67-v)

Les nouveaux mariés font dresser l’inventaire de leurs apports dans la maison qui appartient aux parents de l’épouse. Ceux du mari s’élèvent à 451 livres sans la maison, ceux de la femme à 713 livres.
1767 (26.5.), Not. Ensfelder (J. Daniel 6 E 41, 627) n° 3
Inventarium über Herrn Johann Daniel Graffenauer Seiden Knöpffmachers und der Viel Ehr und Tugendbegabten frauen Maria Elisabetha gebohrene Rothhanin beeder Eheleuthe und Burgere alhier Zu Straßburg einander vor ohnverändert in den Ehestand Zugebrachte Nahrungen, Auffgerichtet in Anno 1767. (…) in ihren den 20.ten gegenwärtigen Monaths May in Gottes Nahmen angetrettenen Ehestand einander Zu und eingebracht haben, welche beederseits Nahrung /:aus Ursachen man in der vor mir Notario den 23.ten Februarÿ letzthin zwischen ihnen Ehepersohnen errrichteten Heuraths abrede die versuchung gethan daß solche ein ohnverändert, eigen und vorbehalten guth seÿn und bleiben solle:/ (…) So geschehen Straßburg in persönlicher Gegenwarth herrn Johann Georg Rothhan des tuchscherers und Fr. Maria Martha gebohrene Bertschin beeder Eheleuthe und b. dahier der Ehefrauen geehrt und gelebter Eltern, dienstag den 26. Maÿ A° 1757
In einer allhier Zu Straßburg ane der Kiefergaß gelegener dißorthiger Ehefraun geliebter Eltern eigenthümlich zuständigen behausung hat sich befunden
Norma hujus inventarii. Des Ehemanns zugebrachtes Vermögen, Sa. Haußraths 30, Sa. Silbers und dergl. Geschmeids 34, Sa. goldener Ringe 6, Sa. baarschafft 258, Summa summarum 330 lb – Dazu gelegt deßen Halbscheid ane denen verehrten Haussteuren 121 lb, So zeiget sich daß des Ehemanns völliges in die Ehe gebrachtes Vermögen ohnverändertes sich belauffen auff 451 lb
Dießemnach wird auch der Ehefraun angebrachte und für ohnverändert vorbehaltene Nahrung verzeichnet, Sa. haußraths 205, Sa. Silbers 33, Sa. goldener Ringe und Geschmeids 40, Sa. baarschafft 312, Summa summarum 592 lb – Wird nun dazu gerechnet Ihr der Ehefraun gebührige Hälfte ane denen hieunten verzeichneten Haussteuren ertragend 121 lb, So erhellet daß der dißortigen Ehefrauen gesamtes in diese Ehe gebrachtes vor ohnverändert reservirtes Guth bestehe In 713 lb

Jean Daniel Graffenauer devient tributaire au Miroir le 5 juin 1767
1767, Protocole de la tribu du Miroir (XI 278)
(f° 247-v) Freitags den 5. Junii 1767 – E. Leibzünfftiger
Hr Johann Daniel Graffenauer, des weil. Hn Johann Daniel Graffenauers gewesenen hiesigen burgers und Goldarbeiters hinterl. ehl. Sohn, ist auf vorgewiesenen Stallschein Vom 30. Martii jüngsthin gegen Erlag Zwei Pfund 13 Schilling 4 Pfenning leibzünftig als Knöpffmachermeister angenommen worden. prom obed.

Marie Elisabeth Rothhan meurt en 1774 en délaissant un fils. L’inventaire est dressé dans une maison rue des Tonneliers. La masse propre au veuf est de 340 livres, celle propre à l’héritier de 648 livres. L’actif de la communauté s’élève à 278 livres, le passif à 856 livres.
1774 (9.8.), Not. Haering (6 E 41, 1374) n° 510
Inventarium über Weÿland Fraun Mariæ Elisabethæ Graffenauerin geb. Rothhanin, H. Joh: Daniel Graffenauers Knopffmachers und Seidenhändlers gew. Ehefr. nunmehr seel. Verlaßenschafft, auffgerichtet Anno 1774. – nach Ihrem den 10. Maÿ laufenden 1774.sten Jahrs aus dieser Welt genommenen tödl. Von hinnen Scheiden, hie Zeitl. Verlaßen. Welche Verl. auf Ansuchen nicht nur allein ebenged. hinterbl. Wbers. sondern auch des Ehren u. vorgeachten H. Joh: Jacob Remp, Säckler Mr. u. hies. Bs. Defæ eheleibl. Schwagers, als geordnet u. geschworenen Vogts ihres mit ihme dem Wittiber ehelich erziehlten Kinds und ab intestato verlaßenen eintzigen Erbe Nahmens Joh: Daniel Graffenauers, welcher den 31. Mertz 1773. dieses tages Licht Zum erstenmal erblicket hat und tags darauf in der Augsp. Conf. zugeth. Kirche zu St Niclaus an der Preusch getaufft worden ist, inventirt (…) So beschehen Straßburg Montags den 29. Aug. 1774.
In einer alhier Zu Straßburg, an der Kieffer Gaß gelegenen, hiehero Zum theil Lehnungsweiß bewohenden behaußung befunden worden wie folgt
Ergäntzung des Herrn Wittibers unverändert und eigen vorbehaltenen Guths. Ausweißl. des über beeder geweßter Eheleute einander in den Ehestand Zugebrachte Nahrungen den 26.Maÿ 1767 durch H. Notm. Johann Daniel Enßfelder auffgerichteten Inventarÿ (…)
Abzug gegenwärtigen Inventarÿ. des Wbrs unverändert u. eihen vorbehaltenen Guths, Sa. hßraths 7 lb, Sa. Silbers 4 lb, Erg. Rest 404 lb, Summa summarum 415 lb – Schulden 75 lb, Nach deren Abzug 340 lb
Dießemnach, wird auch des Kinds und Erben unveränderten und eigen vorbehalten Guth beschrieben, Sa. Kleÿd und Ws. Gzg. 75 lb, Sa. hßrths 43 lb, Sa. Silbers u Geschm. 9 lb, Sa. Gold. o. und Geschmeid 10 lb, Sa. Schuld 75 lb, Erg. 434 lb, Summa summarum 648 lb
Endlich folgt auch das gemeinl. verändert und theilbar Guth, Sa. hausraths 38 lb, Sa. leerer Faß 3 lb, Sa. Silber u. Geschmeid 10 lb, Sa. gold. O und Geschmeids 12 lb, Sa. Waar und Wkzgs. zur Knopffmacher Prof. gehörig 213 lb, Summa summarum 278 lb – Schulden 856 lb, Compensando 577 lb – Stall Summa 411 lb
Eheberedung (…) den 23. Februarÿ 1767, Joh. Daniel Ensfelder Notarius publicus

Jean Daniel Graffenauer hypothèque la maison au profit du fils en secondes noces du marchand Jean Christophe Hummel

1778 (16.2.), Chambre des Contrats, vol. 652 f° 60-v
H. Johann Daniel Graffenauer der seidenhändler und knopffmacher
in gegensein H. Wilhelm Heinrich Schott des säcklermeisters als geordneter und geschworenen vogts weÿl. H. Johann Christoph Hummel gewesten handelsmanns in zweÿter ehe erziehlen eignigen Söhnleins nahmens Johann Christoph – schuldig seÿen 7500 gulden
unterpfand, eine behausung samt zugehörden unter der großen Gewerbs laub gegen der kürschner stub über nächst dem Baarfüßer platz, einseit neben H. Dupé dem tabackhändler, anderseit neben H. Christian Gimmig dem kurtzmeßerschmidt zum theil zum theil H. Theurkauff dem kürschner, hinten auff Mr Groß des schuhmachers hoff

Jean Daniel Graffenauer se remarie avec Marguerite Elisabeth Redslob : contrat de mariage, célébration
1778 (18.4.), Not. Grauel (Jean Michel, 6 E 41, 626) n° 59
Eheberedung – persönlich erschienen der Wohl Ehren und vorgeachte Herr Johann Daniel Graffenauer, Seiden Knopfmacher Wittiber und Burger alhier als Bräutigam ane einem
So dann die Viel Ehren und tugendbegabte Jungfrau Margaretha Elisabetha Redslobin, Herrn Johann Michael Redslob, des Paßmentirers, Seidenhändlers und Burgers alhier mit Frauen Maria Salome gebohrener Baumin ehelich erzeugte Tochterl als Jungfer hochzeiterin am andern theil
So geschehen Straßburg den 18. Aprilis Anno 1778 [unterzeichnet] Johann Daniel Graffenauer Als Hochzeiter, Margaretha Elisabetha Redslobin als Hochzeiterin

Mariage, Saint-Nicolas (luth. f° 231 n° 15)
1778 Montag den 25. Maÿ sind nach ordentlich geschehenen ausruffungen in der Kirch Zu St. Nicolai ehelich eingesegnet worden H Johann Daniel Graffenauer, weÿland Frauen Maria Elisabetha geborner Rothhanin hinderlaßener Wittwe Seiden knopfmacher und burger alhier, und Jungfer Margaretha Elisabetha Redslobin, des Paßmentirers und burgers alhier, herrn Johann Michael Redslobs mit deßen Ehefrauen Frauen Maria Salome geborner Baumin ehelich erzeugte Tochter [unterzeichnet] Johann Daniel Graffenauer Als Hochzeiter, Margarethe Elisabetha Redslobin als braut (i 237)

Les nouveaux mariés font dresser l’inventaire de leurs apports dans la maison que Jean Daniel Graffenauer a achetée l’année prédédente. Ceux du mari s’élèvent à 4 712 livres, ceux de la femme à 943 livres.

1778 (11.6.), Not. Grauel (Jean Michel, 6 E 41, 625) n° 109
Inventarium über des Wohl Ehren und vorgeachten Herrn Johann Daniel Graffenauer Seiden Knöpffmachers und der viel Ehren und tugendbegabten Frauen Margarethæ Elisabethæ Graffenauerin gebohrene Redslobin beeder Eheleuth und Burgere alhier einander in den Ehestand Zugebrachte Nahrungen auffgerichtet Anno 1778. – und vermög den 18.ten Aprilis jüngst vor mir dem unterschriebenen Notario auffgerichteter Eheberedung §. 4.to vor unverändert vorbehalten haben, Welche beederseits Nahrungen, wie sie von denen Eheleuthen selbsten nach Zuvor abgelegter handtreu ane Eÿdesstatt vorgewießen und angegeben (…) So geschehen in der Königlichen Stadt Straßburg in fernerem gegenseÿn herrn Johann Michael Redslob des Paßmentirers Seidenhändlers und burgers alhier der Ehefrauen Vaters und erbettenen beÿsitzers auf Donnerstag den 11. Junii anno 1778.

In Einer alhie ohnfern dem Barfüßer Platz gegen der Kürschner stub über gelegenen hieher gehörigen und hernach eingetragenen Behaußung ist befunden worden wie folgt
Eigenthum ane einer Behaußung (H.) Nehmlichen eine Behaußung, höfflein, Bronnen und hoffstatt, mit allen deren begriffen, gebeüden, Weiten, Zugehörden, Rechten vnd gerechtigkeiten gelegen alhier Zu Straßburg, unten an der großen Gewerbs: Laub, gegen der Kürschner Zunftstub über, nechst den Baarfüßer platz, einseit neben herrn Johanns Dupé dem tabackhändler, anderseit neben herrn Christian Gimmig dem Meßerschmidt Zum theil, und theils neben herrn N. Theurkauff dem kürschner, hinten auf Johannes Groß des Schuhmachers hoff stoßend, so ausser dem hernach unter denen passivis stehenden Capital freÿ, ledig und eigen und hiehero doch ohne præjuditz nur um den Calculum gegenwärtigen Inventarii formiren Zu können, anzuschlagen beliebet worden vor 6000 lb. Darüber besagt ein teutsche pergamente libellsweiße gefertigte Kauff Verschreibung in allhießiger Cantzleÿ Contract stub passirt de dato 30. t Octobris 1777.
Series rubricarum hujus Inventarii. Des Eheherrn Zugebrachten Vermögens, Sa. haußraths 290, Sa. Werckzeugs und der Waaren Zum Seidenhandel gehörig 1666, Sa. Weins und leerer Faß 257, Sa. Silbers 76, Sa. goldener Ring und Geschmeids 76, Sa. der baarschaft 230, Sa. Eigenthums an I behaußung 6000, Sa. Pfenningzinß hauptgüther 350, Sa. der Schulden 565, Summa summarum 9512 lb – Schulden 4800, Nach deren Abzug 4712 lb
Diesemnach wird auch der Ehefrauen Zu und eingebrachte Nahrung beschrieben, Sa. haußraths 284, Sa. Silbers 50, Sa. goldener Ring und Geschmeids 96, Sa. der baarschafft 512, Summa summarum 943 lb – Dazu gelegt dero helffte an denen gleich hernach beschriebenen haussteur 74 lb
Verzeichnus der Waaren Zum Seidenhandel gehörig und Werckzeugs Zur Knöpffmacher profession so sich den 19.ten Junii 1778. beÿ herrn Joh: Daniel Graffenauer befunden und folgender maßen dem billigen Werth nach angeschlagen worden

Jean Daniel Graffenauer contracte un abonnement à la Taille
1785, Livres de la Taille (VII 1181) f° 15-v
Erkandtnus derer Hoch: und Wohlverordneten Herren Ober: Stall: Herren vom 18. Maÿ 1785
Johann Daniel Graffenauer, der burger und Seiden Knöpffmacher stehet vor, und bitt ihme mit einem abonnement aug Löblicher Statt Stall dergestalt Zu willfahren, daß er statt bisher verstallter 1300 Gulden, eine Summ von 4000 Gulden, bis ad Annum 1790. incl. Zu verstallen habe.
Erkandt, wird Imploranten mit begehrtem Abonnement auf Löb. Statt Stall auf den Fuß von 4000 Gulden, unter folgenden Bedingungen willfahrt, daß er das angesetzte Quantum, über Abzug der bis dahin verstallten Summ, sogleich baar erlege, und wann ihme während solchem abonnement etwas Erbs: legats: donations: oder Wÿdems weiße Zufallen solte, deßen betrag auf Löblicher Statt Stall angeben, und das Stallgeld davon obig fixirter Summ beÿgesetzt werde wie nicht weniger, daß auf deßen während dieser Zeit erfolgende Absterben deßen Verlaßenschafft ordnungsmäßig inventirt und das Zu errichtende Inventarium jedoch ohne Zu beförchtende Recherche oder Nachtrag, denen Herren Dreÿ Löbl. Statt Stall überlieffert werde. Unterschrieben Zaepfel XV. Secretarius mit Handzug.

Marguerite Elisabeth Redslob, veuve de Jean Daniel Graffenauer, acquiert les parts que trois de ses enfants détiennent de la maison

1805 (7 nivôse 14), Strasbourg 10 (46), Not. Zimmer n° 1870, 2591
1. Caroline Marguerite née Graffenauer épouse de Jean Chrétien Hasslauer propriétaire, 2. Charles Louis Graffenauer enjoliveur et fleuriste majeur, 3. Chalotte Marguerite née Graffenauer épouse de Jean Schaeff Passementier en qualité d’héritiers pour 1/5 dans la succession de Jean Daniel Graffenauer leur père Marchand de ruban en Détail
à Marguerite Elisabeth Redslob leur mère veuve de Jean Daniel Graffenauer
trois cinquièmes par indivis appartenant auxdits vendeurs en leurs qualité d’héritiers pour autant dans une Maison avec cour puits appartenances et dépendances droits et servitudes actives et passives place d’Armes n° 27, d’un côté celle du Sr Remond parfumeur, de l’autre le Sr Besson Marchand quincailler et en partie celle Sr Vest cordonnier, derrière la cour dud. Vest – dont les autres deux cinquièmes appartiennent aux deux sœurs mineures desdits vendeurs – acquis la totalité à la Chambre des Contrats le 30 octobre 1777 – moyennant 11.400 francs
Enregistrement, acp 98 f° 68 du 10 nivôse

Le marchand de rubans Jean Daniel Graffenauer meurt en 1805 en délaissant cinq enfants. L’inventaire mentionne les différentes transactions avec les voisins depuis la convention de 1630.

1806 (24.3.), Strasbourg 10 (19), Not. Zimmer n° 332
Inventaire de la succession de Jean Daniel Graffenauer marchand de Rubans en détail décédé le 21 vendémiaire dernier – dressé à la requête de Marguerite Elisabeth Redslob la veuve assitée de Jean Michel Redslob son père. Le défunt a délaissé pour seuls et unique héritiers 1. Caroline Marguerite née Graffenauer épouse de Jean Chrétien Hasslauer propriétaire, 2. Charles Louis Graffenauer enjoliveur et fleuriste, 3. Charlotte Marguerite Graffenauer épouse de Jean Schaeff passementier, 4. Marie Madeleine Graffenauer née le 27 décembre 1785, 5. Frédérique Sophie Graffenauer née le 12 avril 1792 procréés avec la veuve
propres de la veuve, créances 600 fr, remploi 4889 fr, total 5489 fr
propres des héritiers, 218 fr
Maison a Strasbourg propre aux héritiers. Savoir une Maison cour Puits appartenances et dépendances scise à Strasbourg entre les grandes arcades et la Place d’armes N° 27, d’un côté celle du Sr Remonnd Parfumeur de l’autre celle du Sr Besson marchand quincailler en partie celle du Sr Georges Vest cordonnier derrière la cour du Sr Vest cordonnier, tourneur, petite rue de l’Eglise – occupée en plus grande partie par le défunt et le surplus par le Sr Capet adjoint a L’Etat Major, 850 fr de revenu faisant en capital 19.000 francs. Propriété justifiée suivant vente par le Sr Dupé à la Chambre des Contrats le 30 octobre 1777 et le 6 mars 1772. Plus il existe 1. Une copie simple d’une transaction passée entre un ancien propriétaire de lad. Maison et ses voisins sur le derrière vers le temple neuf à la Chambre des Contrats le 15 septembre 1630 contenant reglement du Stillicide versement et cours d’eau, restriction de l’usage desdits droits deffense de constructions nuisibles et déterminée Construction ordonnée d’un pignon mitoyen et fixation de sa hauteur pour ne pas priver de jour les croisées de ses deux voisins avec permission d’établir un balcon ou autre bâtiment en une dimension déterminée contre led. pignon mitoyen
2. Extrait des registres du Petit Sénat contenant Procès verbal de Descente sur les lieux et Décision des architectes experts jurés de la ville du 10 mars 1741 confimant de la transaction alléguée
3. Extrait des mêmes Registres contenant Procès verbal d’une descente sur les mêmes lieux pour abus du versement d’Eau et décision des architectes experts jurés que le voisin Letz cordonnier soit tenu de griller en fer ses croisées qui donnent sur la maison du défunt, le 22 juin 1782
4. Extrait des mêmes Registres contenant plainte du défunt descente et décisions des même Experts jurés relativement au placement du canal descendant des gouttieres des maisons Besson ci devant Gimmig et Berger du 14 août 1780
remploi 11.948 fr, déduire 11.000 fr, reste 948 fr, total de la masse 20.166 fr, passif 4748 fr (reste)15.418 fr
communauté, meubles 1828 fr, vins 907 fr, argenterie 646 fr, marchandises (état joint) 7573 fr, numéraire 4200 fr, créances hypothécaires et chirographaires 2424 fr, total 18 514 fr, passif 6737 fr, reste 11.777 fr (liquidation)
Eheberedung (…) den 18. Aprilis 1778 Grauel Not.
Enregistrement, acp 99 f° 65 du 25.3.

Marie Madeleine Graffenauer cède à sa mère sa part de maison

1807 (4.4.), Strasbourg 10 (48), Not. Zimmer n° 2171, 3110
Marie Madeleine Graffenauer fille majeure assitée de Charles Louis son frère Enjoliveur fleuriste en qualité d’héritière pour un cinquième de Jean Daniel Graffenauer son père marchand de rubans en détail
à Marguerite Elisabeth Redslob sa mère veuve de Jean Daniel Graffenauer son père
un 5° par indivis appartenant a ladite venderesse en sa qualité d’héritière dans une maison avec cour Puits appartenances et dépendances droits actifs et servitudes passives scise à Strasbourg entre les grandes arcades et la place d’armes n° 27, d’un côté celle du Sr Remond parfumeur de l’autre le Sr Ott jouailler ci devant Besson et en partie celle de la succession Vest et dont les autres quatre cinquièmes appartiennent a raison de trois 5° à ladite veuve Graffenauer pour les avoir acquis de ses deux sœurs et d’un frère de la venderesse et d’un 5° à Frédérique Louise Graffenauer mineure – de la succession de son père qui l’a acquis à la Chambre des Contrats le 30 octobre 1777 – pour 3800 francs
Enregistrement, acp 102 f° 82-v du 6.4.

Marguerite Elisabeth Redslob se remarie avec le joailler Joseph Ott, propriétaire de la maison voisine (n° 28, ensuite n° 37)

1809 (12.4.), Strasbourg 10 (32), Not. Zimmer n° 422, 4001
Contrat de mariage – Mr Joseph Ott pere marchand Jouaillier demeurant à Strasbourg rue des Grandes arcades N° 25 veuf avec enfants de Louise Catherine fibich décédée le 27 germinal 13
Dame Marguerite Elisabeth Redslob veuve avec enfants de feu Jean Daniel Graffenauer, marchand de Rubans en détail, décédé le 21 vendemiaire 14 ou 13. octobre 1805 demeurant rue des Grandes Arcades n° 27
article 3, les deux futurs conjoints etant propriétaires des deux maisons dessus enoncées la future celle n° 27 et le futur celle N° 28 il est convenu entr’eux que tout abaissement du mur de séparation ou toute porte de communication ouverte et pratiquée dans le mur de séparation desdites deux maisons ne pourront être considérées que comme une pure faveur momentanée et jamais comme un droit acquis a l’une ou a l’autre desdites deux maisons
Enregistrement, acp 111 f° 46 du 13.4.

Marguerite Elisabeth Redslob rachète la part de Frédérique Sophie Graffenauer

1813 (21.6.), Strasbourg 10 (56), Not. Zimmer n° 6036, 3751
Frédérique Sophie Graffenauer fille majeure assitée de Philippe Joseph Ott son beau frère bijoutier
à Marguerite Elisabeth Redslob sa mère veuve de Jean Daniel Graffenauer actuellement épouse séparée quant aux biens de Joseph Ott père ancien jouailler
un cinquième par indivis appartenant à ladite venderesse en sa qualité d’héritière pour autant dans une maison avec cour, puits, appartenances et dépendances scise à Strasbourg entre les grandes arcades & la place d’Armes n° 27, d’un côté celle du Sr Remond parfumeur, de l’autre celle du Sr Joseph Ott père en partie succession de Vest cordonnier, derrière la cour de la succession Vest – son père a acquis la totalité par acte passé à la Chambre des Contrats le 30 octobre 1777 – l’acquéreuse est déjà propriétaire des autres quatre cinquième indivis – moyennant 3800 francs
Enregistrement, acp 122 f° 152-v du 23.6.

Marguerite Elisabeth Redslob meurt en 1814

1814 (28.4.), Strasbourg 10 (22), Not. Zimmer n° 533, 6339
Inventaire de la succession de Marguerite Elisabeth Redslob, veuve en premières noces de Jean Daniel Graffenauer, marchand de rubans, et épouse en secondes noces de Jean Joseph Ott père, bijoutier, décédée le 14 février dernier, Ladite défunte a délaissé pour ses seuls enfants 1. Caroline Marguerite Graffenauer épouse de Jean Chrétien Hasslauer porpriétaire, 2. le descendant de Charles Louis Graffenauer, fils de la défunte, enjoliveur et fleuriste, nommé Charles Louis Graffenauer né le 31 mai 1811 du mariage avec Salomé Gambs présentement épouse de Jonathan Ott négociant, Philippe Joseph Ott bijoutier subrogé tuteur dudit mineur, 3. Charlotte Marguerite Graffenauer épouse de Jean Schaeff passementier, 4. Marie Madeleine Graffenauer épouse de Philippe Jacques Ott bijoutier, 5. Frédérique Sophie Graffenauer épouse de Jean Silbermann négociant
garde robe 517 fr, meubles 1337 fr, farine et sel 46 fr, marchandises 14.400 fr, vins tonneaux 588 fr, argenterie, or, bijoux 296 fr, numéraire 2631 fr, créances 4926 fr
Propriété d’une maison. Savoir une maison avec cour, puits, appartenances et dépendances sise à Strasbourg entre les grandes arcades et la place d’armes n° 27 d’un côté celle des veuve et héritiers Eloy, de l’autre celle dudit Sr Ott veuf ci devant Besson en partie celle du Sr Vest cordonnier, derrière le Sr Vest – occupée par la défunte, estimée à un revenu de 900 francs faisant en capital 18.000 fr – acquis trois 5° par indivis suivant acte passé par D° Hasslauer et Schaeff et Charles Louis Graffenauer devant le notaire soussigné le 7 nivôse 14
un 5° par indivis de Marie Madeleine Ott née Graffenauer au profit de sa mère, par acte devant ledit notaire le 4 avril 1807 et le 5° restant à la D° Silbermann née Graffenauer au profit sa mère le 21 juin 1813, échu aux enfants Graffenauer de la succession de leur père, suivant inventaire dressé par le notaire soussigné le 24 mars 1806. Propriété constatée par acte passé à la Chambre des Contrats le 30 octobre 1777
total 42.744 fr, passif 14.593 fr, reste 24.150 fr
Enregistrement, acp 124 f° 106 du 29.4.

Le négociant Jean André Silbermann et Frédérique Sophie Graffenauer rachètent les parts de la maison

1814 (12.9.), Strasbourg 10 (58), Not. Zimmer n° 6476
Cahier des charges n° 6430 du 5 juillet – Adjudication définitive. 1. Caroline Marguerite Graffenauer épouse de Jean Chrétien Hasslauer, propriétaire, 2. Salomé Gambs épouse de Charles Jonathan Ott, négociant, mère et tutrice légale de Charles Louis Graffenauer né le 30 mai 1811 issu du mariage de Charles Louis Graffenauer son mari en premières noces suivant inventaire dressé par le notaire soussigné le 20 juillet 1812, 3. Philippe Joseph Ott fils bijoutier subrogé tuteur audit mineur, 4 Charlotte Marguerite Graffenauer épouse de Jean Schaeff, passementier, 5. Marie Madeleine Graffenauer épouse dudit Philippe Joseph Ott, susdit, 6. Frédérique Sophie Graffenauer épouse de Jean André Silbermann, négociant, héritiers pour un 5° de ladite défunte D° Ott, suivant inventaire dressé par le notaire soussigné le 28 avril 1814, Jugement du Tribunal civil le 6 juin dernier homologuant l’avis des parens, rapport d’experts du 13 juin et jugement du 21 juin
Désignation sommaire de l’immeuble, une maison à rez de chaussée et quatre étages avec petite cour, puits, droits, appartenances et dépendances sise à Strasbourg entre les Grandes Acades et la place d’Armes n° 27, d’un côté celle de la veuve et héritiers Eloy, de l’autre celle du Sr Ott veuf ci devant Besson en partie celle de la succession du Sr Vest cordonnier, derrière la maison Vest – estimée 19.000 francs. Enonciation des titres de propriété. La défunte D° Ott était propriétaire savoir de trois 5° indivis par Contrat passé par les Dames Hasslauer et Schaeff et Charles Louis Graffenauer au profit de leur mère devant le notaire soussigné le 7 nivôse 14, un 5° par indivis de Marie Madeleine Ott née Graffenauer au profit de la défunte sa mère devant le notaire soussigné le 4 avril 1807 et du 5° restant par la D° Silbermann née Graffenauer au profit sa mère devant le notaire soussigné le 20 juin 1813 après que la maison fut echue auxdits enfants Graffenauer dans la succession de leur père, suivant Inventaire dressé par le notaire soussigné le 24 mars 1806. La propriété est justifiée par contrat au profit de Jean Daniel Graffenauer par le Sr Dupé à la Chambre des Contrats le 30 octobre 1777, plus au profit du Sr Dupé le 6 mars 1772. Plus il existe à l’égard des droits de servitudes de ladite maison 1. copie d’une transaction entre l’ancien propriétaire et des voisins sur le derrière vers le Temple Neuf à la Chambre des Contrats le 15 septembre 1630 contenant reglement du stillicide, versement et cours d’eau, restriction de l’usage des droits, défense de constructions nuisibles et déterminées, Construction ordonnée d’un pignon mitoyen et fixation de sa hauteur pour ne pas priver du jour les croisées des deux voisins avec permission d’établir un balcon ou autre bâtiment en une dimension déterminée contre ledit pignon mitoyen,
2. extrait du registre du Petit Sénal contenant procès verbal de descente sur les lieux et décision des architectes experts jurés de la ville du 10.3.1741 confirmative de la transaction susalléguée,
3. extrait des mêmes registres contenant procès verbal descente sur les même lieux pour abus du versement d’eau et décison des architectes experts jurés que le voisin Letz cordonnier soit tenu de griller en fer ses croisées qui donnent sur la maison du défunt en date du 22 juin 1782,
4. extrait des mêmes registres contenant plainte du défunt descente et décison des mêmes experts jurés relativement au placement du Canal descendant des gouttières des maisons Besson ci devant Gimmig et Berger du 14 août 1780,
(Charges, clauses et conditions) 11. autorisé à faire exécuter l’art. 3 du Contrat de mariage entre la défunte D° Ott et son veuf devant M° Zimmer le 12 avril 1809 concernant le rétablissement du mur de séparation entre la maison du veuf et celle de la succession dans l’ancien état comme il fut avant le mariage des conjoints Ott – adjudication préparatoire n° 6448 du 22.8.
à Jean Michel Lindenlaub, serrurier, au nom de Jean André Silbermann et Frédérique Sophie Graffenauer, propriétaires du 5°, moyennant 41.000 francs, le 5° faisant 8200 fr, reste à payer 32.800 francs
Procès verbal d’expertise, le 15 juin 1814 – Jacques Frédéric Arnold architecte. Cet immeuble consiste en un bâtiment principal donnant sur la rue à rez de chaussée et quatre étages en maçonnerie, d’une petite cour avec puits, dans cette cour se trouve un pavillon en galendure en forme de galerie ouverte et d’un bâtiment de fond à rez de chaussée et premier étage en galendure terminé par un mi toit, le bâtiment principal est terminé d’un comble uni, celui du pavillon d’un mi toit, les tenans et aboutissans sont d’un côté la maison du Sr Ott jouailler d’autre celle des héritiers Eloy et au fond celle du Sr Vest. La maison principale est construite à rez de chaussée petit magasin et comptoir au dessus se trouve une cave voutée. Le premier, second, troisième et quatrième étage contiennent chacun deux pièces et un corridor, Le pavillon en forme de galerie a quatre étages qui forment cage d’escalier au bas des latrines. La maison du fond contient au rez de chaussée bucher et au premier étage une chambre et cuisine, au grenier se trouve une cuisine et une petite chambre de domestique, estimée 19 000 francs
Enregistrement, acp 125 f° 105-v du 16.9.

Fils du négociant du même nom, le facteur d’orgues Jean André Silbermann épouse Sophie Frédérique Graffenauer en 1813
1813 (6.7.), Strasbourg 10 (53), Not. Zimmer n° 510, 6056
Contrat de mariage – Jean André Silbermann, facteur d’orgues demeurant à Strasbourg, né le 22 mars 1786, fils de feu Jean André Silbermann, négociant et d’Anne Elisabeth Karth
Sophie Frédérique Graffenauer, fille majeure née à Strasbourg le 13 avril 1792 fille de feu Jean Daniel Graffenauer, marchand de rubans en détail, et de Marguerite Elisabeth Redslob présentement épouse de Joseph Ott père ancien bijoutier
Extraits de baptême paroisses St Thomas et du Temple Neuf
Enregistrement, acp 122 f° 181 du 6.7.

Le marchand quincailler Jean André Silbermann meurt à Marseille où il a tenté de rétablir ses affaires.

1822 (12.7.), Strasbourg 12 (87), Me Wengler n° 12.784
Inventaire de la succession de Jean André Silbermann, marchand quincailler décédé à Marseille le 18 mars dernier – à la requête de Sophie Françoise Graffenauer la veuve, mère et tutrice légale de Jean André Emile âgé de 6 ans, en présence de Jean Chrétien Oppermann, négociant, subrogé tuteur dudit mineur. Communauté suivant contrat de mariage reçu M° Zimmer le 6 juillet 1813.
Observe la veuve que le peu que son mary défunt avait dans son commerce à Strasbourg et les pertes considérables qu’il y avait essuyées l’ont engagé à quitter cette ville en l’année 1821 et à s’établir à Marseille où il y avait espérance de mieux faire ses affaires, qu’elle l’y aurait accompagné et qu’ils auraient amené la majeure partie de leurs effets mobiliaires (…) Mais que le malheur a voulu que son mari fut atteint d’une maladie grave
dans la maison rue des Arcades n° 27
meubles 279 fr, marchandises 13.489 fr, créances 1654 fr, avec récompenses 36.022 – passif 46.700 fr
vente d’une maison par acte M° Zimmer le 12 septembre 1814, maison près des Grandes arcades n° 27 estimée 15.422 francs
Enregistrement, acp 158 F° 120 du 19.7.

Sa veuve Frédérique Sophie Graffenauer vend par enchère la maison au négociant Joseph Krick

1822 (5.9.), Strasbourg 12 (87), Me Wengler n° 12.843
Cahier des charges du 23 juillet n° 2443 – Adjudication définitive – Frédérique Sophie Graffenauer veuve de Jean André Silbermann cadet, marchand quincailler
à Georges Mathias Blanck, maître maçon, déclaration de command du 5 septembre n° 12.844 pour Joseph Krick, négociant domicilié Marché aux herbes n° 59 – moyennant 24.050 francs
Désignation de la maison à vendre. Une maison à rez de chaussée et quatre étages avec petite cour, puits, bâtiment de derrière, magasin avec autres appartenances, droits et dépendances le tout située à Strasbourg au bas des grandes Arcades près la place d’Armes n° 27, d’un côté les héritiers Eloy, de l’autre le Sr Ott bijoutier en partie le veuve Fest, devant la rue, derrière la veuve Fest.
Etablissement de la propriété, hérité un 5° par indivis dans la succession de Marguerite Elisabeth Redslob sa mère, veuve en premières noces de Jean Daniel Graffenauer, marchand de rubans, épouse en secondes noces de Joseph Ott, marchand bijoutier, suivant inventaire de la succession dressé par M° Zimmer le 28 avril 1814, devenu propriétaire des quatre autres 5° de ses cohéritiers par adjudication définitive sur licitation dressée par M° Zimmer le 12 septembre 1814. Ladite sa mère était devenue propriétaire à titre successif de la part et portion qui appartenait à son mari, suivant inventaire du 12 juillet dernier. La veuve Graffenauer épouse en secondes noces de Ott possédait la totalité de l’immeuble suivant actes dressés par M° Zimmer le 7 nivôse 14 (4 avril 1807) et le 21 juin 1813. Le cahier des charges de la licitation du 5 juillet 1814 contient plus longuement l’énonciation des trois derniers actes de transmission de propriété, mise à prix [non indiquée]
14 août n° 12 809 mise à prix [non indiquée], personne ne s’est présenté
Adjudication définitive, sur la mise à prix de 24.000 francs
Enregistrement, acp 159 F° 21-v du 6.9.

Originaire de Mayence, Joseph Krick et sa femme Antoinette Geisweiler native de Reichenbach ou Lauterecken ont quatre enfants
Registre de population (600 MW 57) 1815 sqq. Vis à vis la Place d’Armes N° 27
Krick, Joseph, 1782, Négt. – Mayence, (à St. depuis) 1808, (auparavant) M. aux poissons 59, Entré août 1824
id. née Geisweiler, Antoinette, 1785, Ep, Lautereken, (à St. depuis) 1808, décédée en mai 1838
id. Joséphine 1810, Strasbourg, dél. près l’homme de fer 69
id. Antoinette, 1811, id, dél. r. des juifs 4
id. Camille 1816, id
id. Ch. Ls. Eugène, 1821

Registre de population (600 MW 67) 1815 sqq. Vieux-Marché-aux-Poissons n° 59
Krick, J. M° Joseph, 1783, Négt. – Mayence, (à St. depuis) 1808, (auparavant) M. aux herbes 5, Entré 1817, dél. Vis à vis la Place d’Armes 27 (…)

Décès, Strasbourg (n° 1108)
Déclaration faite (…) le 30 Mai 1839 du décès de Marie Antoinette Geisweiler, âgée de 58 ans, née à Reichenbach (Gd Duché de Hesse-Darmstadt) Epouse de Joseph Krick, Négociant, domiciliée à Strasbourg, morte en cette mairie le 30 du mois courant à dix heurs du matin, dans la maison située N° 27 rue des Grandes Arcades, fille de Georges Geisweiler, Conseiller à la cour d’appel de Deux Ponts, et de feu Catherine Nau. Premier déclarant Joseph Lipkowski âgé de 28 ans, Professeur de mathématiques Gendre de la défunte [in margine :] obstruction du bas ventre (i 59)

Antoinette Marie Geisweiler meurt en 1839 en délaissant trois enfants et une petite-fille.

1839 (13.6.), Strasbourg 12 (150), Me Noetinger n° 11.409
Inventaire de la succession d’Antoinette Marie Geisweiler, épouse de Joseph Krick, négociant à Strasbourg, décédée le 30 mai dernier – dressé à la requête de Joseph Krick, donataire en usufruit, mandataire de Camille Krick, commis négociant demeurant à Paris et père et tuteur naturel de d’Eugène son fils âgé de 18 ans, tuteur légal et aieul d’Alix Katencka Joséphine Schauffler âgée de 7 ans fille et unique et seule représentante de Joséphine Krick, décédée épouse d’Auguste Antoine Schauffler, avoué près le Tribunal Civil, 2. Elisa Antoinette Krick épouse de Joseph Lipowski, professeur de mathématiques à l’école industrielle de Strasbourg, en présence de 1. Pierre Laurent Roc Marseille Yrouard, capitaine de cavalerie en retraite, Officier de la Légion d’Honneur en tant que 1. subrogé tuteur d’Eugène Krick, 2. mandataire de Théophile Schauffler, greffier de justice de paix du canton d’Obernai tuteur de la mineure Schauffler
Contrat de mariage passé devant M° Thurmann le 9 février 1814, en la maison mortuaire rue des Grandes Arcades n° 27, [Procuration] Camille Krick, rue des Vieux Augustins n° 2
immeubles, 1. une maison & dépendances sise à Strasbourg près des Grandes Arcades vers la place d’Armes n° 27, d’un côté M. Ott, de l’autre M. Stammler, derrière le Sr Erdmann, en partie occupée par la succession, estimée à 24.000 fr, acquise de Frédérique Sophie Graffenauer veuve de Jean André Silbermann, marchand quincailler, suivant adjudication définitive et et déclaration de command, M° Wengler le 2 septembre 1822 transcrit au bureau des hypothèques vol. 152 n° 113
une maison à Graffenstaden (…)
Enregistrement, acp 269 f° 64 du 22.6.

Liquidation sans abandonnement
1839 (5.12.), Strasbourg 12 (151), M° Noetinger n° 11.857
Liquidation de la communauté entre Joseph Krick et Marie Antoinette Geiswiller décédée le 30 mai 1839 – à la requête de 1. Joseph Krick, commun en biens avec la défunte et donataire en usufruit, 2. Camille Krick, commis négociant demeurant à Paris, 3. Eugène Krick son fils, âgé de 18 ans, 4. Alix Katincka Joséphine Schauffler âgée de 7 ans, fille et unique et seule représentante de Joséphine Krick décédée épouse d’Auguste Antoine Schauffler, avoué près le Tribunal Civil de Strasbourg, 5. Elise Antoinette Krick épouse de Joseph Lipowski, professeur de mathématiques à l’école industrielle de Strasbourg, en présence de 1. Pierre Laurent Roc Marseille Yrouard, capitaine de cavalerie en retraite, Officier de la Légion d’Honneur en tant que 1. subrogé tuteur d’Eugène Krick, 2. mandataire de Théophile Schauffler, greffier de justice de paix du canton d’Obernai, tuteur de la mineure Schauffler
aucun abandonnement
masse active : VII. une maison avec appartenances et dépendances sise à Strasbourg près des Grandes Arcades vers la Place d’Armes n° 27, d’un côté M. Ott, de l’autre M. Stammler, derrière le Sr Erdmann, estimée 36,000 francs
Enregistrement, acp 273 f° 77-v du 11.12.

Camille Krick meurt à Paris en 1844 après avoir institué Rose Camille Thérèse Cofman pour sa légataire universelle. Joseph Krick rachète par deux actes les droits mobiliers et les parts d’immeubles
1845 (30.4.), M° Noetinger
Notoriété constatant que le seul héritier à réserve de Camille Krick, négociant en vins à Paris où il est décédé le 19 septembre 1844 est son père Joseph Krick, négociant à Strasbourg
acp 335 (3 Q 30 050) f° 33 du 2.5.

1845 (11.8.), Strasbourg 12 (167), Me Noetinger n° 17.920
Droits successifs. 11 août 1845 – A comparu Mr Joseph Lambrecht, commis négociant demeurant à Strasbourg, agissant en qualité de mandataire de Dlle Rose Camille Thérèse Cofman, rentière demeurant à Paris, rue de Lille N° 39, aux termes d’une procuration (…) en qualité de légataire universelle de feu M Camille Henri Joseph Krick, en son vivant négociant en vins, demeurant à Paris, aux termes du testament olographe de ce dernier, en date à Paris du premier mars 1841, déposé en l’étude de M° Pluchart, notaire à Paris (…) duquel legs universel Mademoiselle Cofman a été envoyée en possession suivant jugement rendu par ledit tribunal civil (de la Seine) le 12 juin dernier, Lequel au nom qu’il agit, a déclaré délaisser, céder et transporter
à M. Joseph Krick, négociant demeurant à Strasbourg
tous les droits successifs mobiliers seulement compétant à feu M. Camille Krick dans la succession de feu M. Eugène Krick, commis négociant domicilié en cette ville de Strasbourg, décédé à Pise en Toscane le 23 janvier 1842 son frère, dont il était héritier pour un 8° en quoi que ces droits puissent consisiter en toute propriété (…)
La succession de feu M. Eugène Krick comprend notamment les droits de ce dernier dans le biens meubles et immeubles dépendant de la succession de feue D° Marie Antoinette Geisweiler vivante épouse de mondit Sr Joseph Krick, mère d’Eugène Krick dont ce dernier était héritier pour un quart – pour le prix de 900 francs
acp 339 (3 Q 30 054) f° 21-v du 18.8.

1845 (11.8.), Strasbourg 12 (167), Me Noetinger n° 17.922
11 août 1845 – A comparu M. Joseph Lambrecht, commis négociant demeurant à Strasbourg, agissant en qualité de mandataire de Mlle Rose Camille Thérèse Cofman, rentière demeurant à Paris, rue de Lille N° 39, Lequel au nom qu’il agit, a déclaré vendre et abandonner
à M. Joseph Krick, négociant demeurant à Strasbourg
un 128° par indivis en pleine propriété et un autre 128° par indivis en nue propriété dans les immeubles ciaprès désignés, savoir
1° Une maison avec appartenances et dépendances située à Strasbourg près des grandes arcades vers la place d’armes n° 27, d’un côté M. Ott de l’autre M. Stammler, par derrière le S. Erdmann
2° (un ha 40 ares 78 terres en cinq parcelles ban d’Illkirch)
et une maison avec cour, grange, écuries, appartenances et dépendances, située à Graffenstaden N° 30 (…)
Mlle Rose-Camille-Thérèse Cofman était propriétaire desdites parties indivises d’immeubles en sa qualité de légataire universelle de M Camille-Henri-Joseph Krick, de son vivant négociant en vins, demeurant à Paris rue de Lille N° 39, en vertu du testament olographe de ce dernier, en date à Paris du premier mars 1841, déposé pour minute en à M° Pluchart, notaire à Paris, suivant ordonnance de M. le Président du tribunal de première instance de la Seine, contenu dans le procès verbal d’ouverture et de description dudit testament en date du 21 septembre 1844, dudit legs universel Mlle Cofman a été envoyée en possession suivant jugement rendu par ledit tribunal civil de la Seine le 12 juin de la même année.
M. Camille-Henri-Joseph Krick a hérité lesdits 128° par indivis en pleine propriété et lesdits 128° par indivis en nue propriété desdits immeubles de M. Eugène Krick, décédé à Pise en Toscane (Italie) le 23 janvier 1842, son frère. M. Eugène Krick en a hérité de sa mère Mme D° Marie-Antoinette Geisweiler, de son vivant épouse de M. Joseph Krick, acquéreur ci devant nommé, de laquelle Dame il était héritier pour un quart. Ces immeubles dépendaient de la communauté de biens entre feu Mlle Krick, née Geisweiler et M. Joseph Krick susdit, et cette communauté ayant été légale, M. Joseph Krick père est propriétaire de la moitié ce des immeuble et les quatre héritiers de Mme Krick de l’autre moitié ou chcun d’un 8°. Et du 8° de M. Eugène Krick. M. Camille-Henri-Joseph Krick a hérité comme il est dit cidevant de deux 128° ou d’un 64°. Ainsi qu’il résulté en partie de l’Inventaire de la succession de Mme Krick née Geisweiler, dressé par M° Noetinger soussigné, qui en a la minute et l’un de ses collègues à la résidence de Strasbourg le 13 juin 1839. Mais par acte passé devant M° Thurmann, notaire autrefois à Strasbourg le 9 février 1814, Mad° Krick née Geisweiler a fait donation à sondit mari, de l’usufruit viager de la moitié de tous les biens qui composent sa succession. Ainsi M. Joseph Krick acquéreur était propriétaire de la moitié desdits immeubles ou de 32/64, Ayant hérité de son fils Eugène Krick 1/64, Ayant acquis du S. Camille-Henri-Joseph Krick deux 12° ou 8/64, et acquérant par le présent acte 2/64, Il se trouve avoir maintenant, au moyen* de sondit usufruit, la pleine propriété de 42/64 ou de 21/32.
La présente vente a été faite (…) pour le prix de 600 francs
acp 339 (3 Q 30 054) f° 22 du 18.8.

Eugène Krick meurt à Pise en Toscane
1847 (21.10.), M° Noetinger
Compte et liquidation dressé par M° Noetinger, à ce commis par jugement du tribunal civil de Strasbourg en date du 19 juillet 1847, de la fortune délaissée par Eugène Krick décédé à Pise (Toscane), ce compte basé sur la liquidation de la succession de Marie Antoinette Geisswiller épouse défunte de Joseph Krick, négociant à Strasbourg, dressé par M° Noetinger le 5 décembre 1839 de laquelle il résulte que la succession du Sr Krick fils défunt consiste en une somme de 15.532 francs mais suivant le présent compte établi par le notaire rédacteur elle se trouve réduite à la somme de 7450 francs
acp 366 (3 Q 30 081) f° 44 du 2.11.

Joseph Krick loue en son nom et en celui de ses enfants le commerce de rubannerie au commis négociant Joseph Lambrecht

1849 (19.4.), Strasbourg 12 (176), M° Noetinger n° 21.021
19 avril 1849. Bail – A comparu le Sieur Joseph Krick, négociant demeurant à Strasbourg, agissant tant en son nom que comme se portant fort 1° de Delle Alice Catincka Josephine Schauffler, sa petite fille dont il est tuteur, 2° du sieur Albert Lipowski & Delle Anna Lipowski, mineurs, enfants de M. Joseph Lipowski, professeur de mathématiques & de feu Dame Elise Antoinette Krick son épouse, Lequel a par ces présentes donné à titre de bail à loyer pour la durée de 15 années entières et consécutives qui ont commencé le 20 mars dernier & finiront à pareil jour de l’année 1864
au Sieur Joseph Lambrecht, commis négociant demeurant à Strasbourg ci présent & acceptant
Le magasin dans lequel Mr Krick exploitait le commerce de rubannerie situé au rez de chaussée de la maison qu’il possède à situé près des grandes arcades vers la place d’Armes N° 27 par indivis avec les mineurs Schauffler Lipowski ci-dessus nommés, cette maison tenant d’un côté à M. Ott, de l’autre à M. Stammler & par derrière à M. Erdmann. Dans ce bail sont compris les comptoirs, cases, rayons, fourneau une grande & une petite glace, un fauteuil & six tabourets en bois de noyer couverts en etoffe de laine, une table & une caisse en fer garnissant ledit magasin. Plus le droit de jouir en l’absence du Sr Krick, d’une chambre à coucher au troisième étage donnant sur le derrière, ainsi que le droit à la patente. Le présent bail a été consenti et accepté sous les charges, clauses et conditions suivantes que le Sr Lambrecht s’oblige d’exécuter ponctuellement. 1° de garnir le magasin de marchandises en suffisante quantité pour répondre du loyer ci après fixé, (…) 4° de ne pouvoir y exercer d’autre commerce que celui exploité par le S Krick & de ne pouvoir faire aucun changement à la devanture sans le consentement du bailleur
Et en outre le bail a été conclu pour & moyennant un loyer annuel de 1500 francs pendant la vie du bailleur & de 1200 francs après son décès s’il venait à mourir avant la fin du bail
acp 381 (3 Q 30 096) f° 87-v

Testament de Joseph Krick
1851, M° Noetinger
11 mars 1848. Testament de Joseph Krick négociant à Strasbourg, par lequel il lègue par préciput et hors part 1) à Albert et Anne de Lipowski, ses deux petits enfants une somme de 1544 francs, 2) à Marie Baizat, célibataire à Strasbourg une somme de 200 francs, 3) à Joseph Lambrecht, commis négociant en la ville, une somme de 300 francs, 4) à Joséphine Schauffler à Strasbourg toute la portion en pleine propriété dont la loi lui permet de disposer.
acp 405 (3 Q 30 120) f° 87-v du 29.12.

Joseph Krick meurt en 1852 en délaissant deux petits-enfants issus de sa fille Elise Antoinette et Alice Catinka Josephine Schauffler, issue de Joséphine Krick

1852 (5.1.), M° Noetinger
Inventaire de la succession délaissée par Joseph Krick, ancien Négociant, décédé à Strasbourg le 24 décembre 1851. dressé à la requête de Joseph Lipowski, professeur de mathématiques à Strasbourg, agissant comme usufruitier des biens de ses enfants et comme tuteur d’Albert Joseph Louis, Anna Victoire Josephine Lipowski, ses deux enfants issus du mariage avec Elise Antoinette Krick son épouse défunte, 2) Alice Catinka Josephine Schauffler, mineure émancipée par représentation de Joséphine Krick sa mère décédée épouse de feu Augustin Antoine Schauffler avoué à Strasbourg
acp 406 (3 Q 30 121) f° 41 du 15.1. (succession déclarée le le 22 juin 1852 N° 1025) Succession, meubles et objets mobiliers estimés 3325, argent comptant 53, créances 24.482, créances véreuses 52.222
Immeubles. 22/32 d’une Maison Grandes arcades N° 27, estimée 27.500
22/32 d’un ha 14 a 40 de terres ban d’Illkirch Graffenstaden estimés à 1402, Total 57.
Rapport des enfants Lipowski 7755, Rapport de Mme Schauffler 5787 – Passif 12.891

Décès, Strasbourg (n° 2310)
Acte de décès. Le 24 décembre 1851 (…) ont déclaré que Joseph Krick âgé de 68 ans, né à Mayence, ancien négociant, veuf de Marie Antoinette Geisweiler, domicilié à Strasbourg, fils de feu NN est décédé le 24 décembre 1851 à quatre heures du matin en la maison rue des arcades N° 27 [in margine :] Apoplexie (i 91)

Liquidation et partage de la succession
1852 (2.7.), M° Noetinger
Etat des opérations de liquidation et partage 1) de la communauté de biens qui a existé entre feus Joseph Krick, négociant, et Marie Antoinette Geisweiller son épouse
2) de la succession du Sr Krick, 3) de celle de Mde Krick, 4) etde celle d’Eugène Krick fils
Entre Alice Catinka Josephine Schauffler, épouse de Joseph Jacquin, chirurgien aide major au 12° d’artillerie à Strasbourg et Albert Joseph Louis de Lipowski et Anna Victoire Josephine de Lipowski, enfants mineurs de Joseph de Lipowski, leur père, professeur à Graffenstaden, issus du mariage avec Elise Antoinette Krick son épouse défunte
acp 411 (3 Q 30 126) f° 47 du 7.7. Liquidation de la communauté. Masse active 117.013, masse passive 14.946, reste 102.066, la moitié 51.055
Succession de la D° Krick. Masse active 61.429, masse passive 929, reste 60.600, le quart 15.125
Succession d’Eugène Krick. Masse active 15.125, masse passive 8464, reste 6660
Succession du Sr Krick père. Masse active 140.633, masse passive 39.079, reste 51.553
Il résulte de la liquidation que la portion disponible léguée à Mde Jacquin qui est ci 14.625. La présente liquidation et partage suivie des abandonnements. Les présentes opérations sont dressées par M° Noetinger sans intervention des parties

La maison revient à Alice Catinka Joséphine Schauffler qui épouse en 1852 Joseph Jacquin, chirurgien militaire, natif de Saint-Ismier dans l’Isère : contrat de mariage, célébration

1852 (6.3.), M° Noetinger
Mariage – Joseph Jacquin, chirurgien aide major au 12° d’artillerie à Strasbourg fils de Joseph Jacquin, propriétaire, et de Victoire Hilaire sa femme à St Imier d’une part
Alice Catinka Josephine Schauffler, mineure à Strasbourg, fille d’Antoine Auguste Schauffler, avoué et de Catherine Joséphine Krick sa femme les deux décédés à Strasbourg d’autre part
acp 408 (3 Q 30 123) f° 1-v du 11.3. – stipulation de communauté de biens réduite aux acquêts réserve d’apports et d’héritages
Le futur époux ne constitue aucun apport
La future épouse apporte en mariage une valeur de 73.315 francs, le tout grevé d’un passif de 9 à 10.000 francs
Donation réciproque par les futurs époux au survivant d’eux en pleine propriété de leur garde robe respective et de l’usufruit viager du surplus de toute la succession réductible à moitié en cas d’existence d’enfant du futur mariage

Mariage, Strasbourg (n° 107)
Du 13° jour du mois de Mars l’an 1852 à dix heures du matin. Acte de mariage de Joseph Jacquin, majeur d’ans, né en légitime mariage le 17 mai 1813 à Chirens (Isère) domicilié à Strasbourg, docteur en médecine et chirurgien aide major au 12° régiment d’artillerie en garnison à Strasbourg, fils de Joseph Jacquin, propriétaire, et de Victoire Hilaire, conjoints domiciliés à St Imier (Isère)
Et de Alice Cathincka Josephine Schauffler, mineure d’ans, née en légitime mariage le 25 février 1832 à Strasbourg, fille de feu Antoine Auguste Schauffler, avoué décédé en cette ville le 18 mai 1834 et de feue Catherine Joséphine Krick, décédée en cette ville le 30 août 1832 (…) il a été passé un contrat de mariage devant M° Noetinger, Notaire en cette ville le 6 mars courant (i 4)

Joseph Jacquin et Alice Catinka Joséphine Schauffler louent la maison au même Joseph Lambrecht

1866 (16.4.), M° Noetinger
Bail – Joseph Jacquin, chirurgien major à l’hôpital militaire de Nice, comme administrateur des biens d’Alice Catinka Joséphine Schauffler, sa femme
à Joseph Lambrecht, Négociant à Strasbourg
une maison sise à Strasbourg rue des grandes arcades N° 35 pour une durée de 12 ans, du 20 septembre 1857, moyennant un loyer annuel de 2400 francs
acp 553 (3 Q 30 268) f° 61 du 16.4.

Joseph Jacquin et Alice Catinka Joséphine Schauffler vendent la maison au marchand Marie Joseph Manrique

1872 (23.9.), M° Noetinger
Joseph Jacquin, Arzt, und Louise Catinka Josephine Schauffler seiner Ehefrau in Nizza
an Maria Joseph Manrique, Kaufmann in Straßburg
ein Haus in Straßburg, Grose Gewerbslaub straße N° 35 um 50.000 Franken, davon 10.000 Franken baar bezalt. Nutznießung, Steuren und Zinsen vom 25. September 1872.
acp 609 (3 Q 30 323) f° 7 n° 3648 du 24.9.

Natif de Strasbourg, Marie Joseph Manrique épouse Constance Petit à Charmes en 1868
Mariage, Charmes (n° 54)
Aujourd’hui 14 Mai 1868, Onze heures du matin, Par devant nous (…) officier de l’Etat civil de la Ville de Charmes, arrondissement de Mirecourt (Vosges) est Comparu Marie Joseph Manrique, âgé de 27 ans, né à Strasbourg (Bas Rhin) le 26 février 1841, majeur, fils de Michel Manrique âgé de 49 ans, rentier, et de Marie Marguerite Lambrecht, âgée de 49 ans, demeurant tous à Strasbourg, et Constance Petit âgée de 26 ans, sans profession, née à Charmes le 16 juin 1842 (…) majeure, fille de Charles Petit, agé de 55 ans, entrepreneur de travaux publics, et de Françoise Crampé âgée de 53 ans, demeurant avec leur fille à Charmes

Constance Petit meurt en 1887 en délaissant onze enfants. La succession comprend plusieurs maisons à Strasbourg et des titres.

1887 (25.4.), Strasbourg 9 (176). Jean Mossler n° 7954
Inventar nach dem Ableben von Frau Constance gebohrene Petit, lebend Ehefrau des Kaufmanns H. Marie Joseph Manrique zu Straßburg wohnhaft, wo sie den 6. Februar 1887 verstarb.
Heute Montag den 25. April 1887 vormittags acht Uhr zu Straßburg auf der Amtsstube des unterzeichneten Notars
Auf Anstehen in Gegenwart von I. H. Marie Joseph Manrique, Kaufmann zu Straßburg an der Gewerbslauben Nummer 33 wohnhaft, handelnd 1) Eigenen Namens a) wegen der zwischen ihm und seiner verlebten Ehefrau Constance gebohrene Petit bestandenen gesetzlichen Gütergemeinschaft in Ermanglung eines Ehevertrages, b) allenfallsiger Ersatzforderungen wegen c) als gesetzlicher Nutznießer des Vermögens seiner nachgenannten noch minderjährigen Kinder bis zu deren *tener 18. Lebensjahre, d) als Schenknehmer des unentgeltlichen lebenslänglichen und cautionsfreien Nutznießung an der Hälfte des den Nachlaß der Frau Manrique gebohrene Petit bildenden Vermögens, in Gemäßheit einer Schenkung zwischen Ehegatten errichtet vor dem unterzeichneten Notar den 3. Februar letzthin Band 786 Blatt 89 Nuller 4181 registrirt Strassburg I den 20. Februar 1887
2) als Vater und gesetzlicher Vormund seiner nachbenannten, in der Ehe mit seiner benannt verlebten Ehefrau erzeugten noch minderjährigen Kinder als 1) Marie Joséphine Constanze Manrique geboren am 15. Februar 1869, 2) Margaretha Maria Johanna Manrique geboren den 7. August 1871, 3) Joseph Karl Manrique geboren am 5. Dezember 1872, 4) Franziska Therese Manrique geboren am 27. April 1874, 5) Karl Georg Moritz Constanz Manrique geboren am 3. August 1875, 6) Heinrich Renatus Manrique geboren am 31. März 1877, 7) Marie Mathilde Elisabeth Cäcilie Manrique geboren am 15. September 1878, 8) Paul Marcellus Joseph Andreas Manrique geboren am 19. März 1881, 9) Susanna Helene Marie Magdalena Manrique geboren am 1. November 1883, 10) Maria Anna Josefine Manrique geboren den 27. Januar 1887 ([in margine :] † 1887), 11) Johanna Marie Consanze Manrique geboren am 27. Januar 1887 ([in margine :] † 1887)
II und H Karl Schott Banquier in Straßburg wohnhaft, letzterer handelnd in seiner Eigenschaft als Nebenvormund (…) die benannte alf Kinder Manrique (…) als einzige Erbberrchtigte je für ein Elftel am Nachlasse ihrer benannt verlebten Mutter Constanze Petit Ehefrau Manrique, und H. Manrique Vater als Vorbehaltserben für ein Viertel und die sub eins bis zehn einschließlich benannten zehn Kinder Manrique zusammen als Erben für drei Viertel am Nachlasse deren sub elf benannten, den 19. Aprilis dieses Monats verstorbenen Tochter respective Schwester Johanna Maria Constanze Manrique

Vermoegen der Gütergemeinschaft. Mobilien. Kleiner Speisesaal, erster Stock, Kinderzimmer, Vorzimmern, Mägdezimmer erster Stock, Vorder Salon erster Stock, Küche, Schlafzimmer der Kinder zweiter Stock, Schlafzimmer des H. Manrique, Badezimmer, Schlafzimmer de Fräulein Marie Manrique, Schlafzimmer der Fräulein Margaretha Manrique, Mägdezimmer im Zweiten Stock, Im Keller
Cote zwei. 1) die Abschrift eines Actes (…) F 137.p
Cote III, die Abschrift eines Kaufvertrages errichtet vor dem damaligen Notar Edgar Noetinger in Straßburg den 23. September 1872, enthaltend Erwerbung durch Herrn Manrique von dem Vollmachthaber der Eheleute H. Joseph Jacquin retraitirten Stabarzt und Frau Alice Catincka Joséphine Schauffler Eheleute zusammen zu Nizza, Frankreich wohnhaft, von einem Wohnhause nebst Zubehör zu Straßburg gelegen an den Gewerbslauben früher Nr 35 section N N. 1033 um eine Kaufsumm von 40.000 Mark, worauf 8000 Mark baar bezahlt wurden der Ueberrest wurde in Termin zahlbar bedungen
Cote IV (…) Marbachergasse N° 12
Cote V (…) Kinderspielgasse N° 26
Cote VI. Miethverträge, 1) die Abschrift eines Miethvertrages errichtet vor dem unterzeichneten Notar den 10. Mai 1882, Zufolge desselben Actes miethete H Manrique von H. Joseph Weingand Uhrenmacher in Straßburg wohnhaft (…) sämmtliche Räumlichkeiten ohne Ausnahme noch Vorbehalt des ersten und zweiten Stockwerkes eines Wohnhauses Zu Straßburg an den Gewerbslauben N° 33 gelegen (…)
2) Marbachergasse N° 12 (…)
3) Kinderspielgasse N° 26 (…)
Immöbel der Gütergemeinschaft. Bannweile von Straßburg. I. Section F Nummer 137.p ein eingefriedigter Garten (…)
II. Stadt Strassburg. Ein Wohnhaus mit Erdgeschoß, Magazin, vier Stockwerken, Mansardenzimmern Hintergebäuden mit einem Stockwerk, kleine Hof, Rechten und Gerechtigkeiten in der Stadt Strassburg an den Gewerbslauben N° 35 (früher N° 27) einerseits Frau Wittwe Ott, anderseit die Erben von Wilhelm Stammler, vorn die Straße und hinten H. François Gemüsehändler, section N 1033, Fläche cier Ar 10 Quadratmeter. Die Eigenthumsherkunft dieses Anwesens ist unter Cote drei aufgeführt
III. Section P 561 Marbachergasse N° 12
IV. Kinderspielgasse N° 26
acp 789 (3 Q 30 504) f° 20 du 5.5. (T. Bd. 73 Bl. 133 N° 16, St. E. 418, 87 b 154 N° 202) Gütergemeinschaft. Mobilien 5649, Kleider der Verstorbenen 480, baares Geld 7604, Waaren 103.883, Geschäfftsausstände 40.402, Contocourrent Staehling 2898 – Passiven 54.294
Immobilien 1) Garten F 137.p Heiritz, 2) Wohnhaus Gewerbslauben 35, 3) Wohnhaus Marbachergasse N° 12, 4) Wohnhaus Kinderspielgasse N° 26
Miethzinß Rückstände 825 – Andere Passiven 165
Weitere Forderung an Carl Petit, Bauunternehmer in St Dié laut Obligation Poirot in Charmes vom 3/2. 1879 zweifelhaft 12.000
Werthpapiere, 1) 76 Obligationen 4 % der Straßburger Pferdbahn zu 400 M, Curswerth 30.400, Zinsen 324, 2) 135 Aktien Salzwerke Chambrey zu 500 M, 200 M bezahlt Curswerth 43.200, 3) 32 Aktien Staehling der hiesige Bodencreditbank zu 500 frcs 72 bezahlt Curswerth 7936, 4) 40 Pfandbriefe derselben 4 % zu 500 M, Curswerth 20.300, 5) 34 Aktien Stähling Valentin & Cie zu 1000 fr. 36.040, 6) 1278 frcs 4,5 % franz. Staatsrente Curswerth 24.378, 7) 100 f. 3 % desgl. 2092, 8) 120 desgl. 2643, 9) 5 Aktien der Banque d’escompte de Paris zu 500 frd, 200 M bz 860, 10) 75 Aktien des Crédite foncier & agricole d’Algérie 7800, 11) 25 Aktien der Ostbrauerei in Maxeville bei Nancy 31.300, 12) 5 Aktien Confiance in Paris 700, 13) 2 Aktien Laederich & Cie in Mülhausen 9600, (zusammen) 217.654

Décès, Strasbourg (n° 304)
Strassburg am 7. Februarÿ 1887. Vor dem Standesbeamten erschienen heute der Kaufmann Joseph Manrique, wohnhaft zu Straßburg an den Gewerbslauben 35, und zeigte an, daß seine Ehefrau Constanze geborene Petit, 44 Jahr alt, katholischer Religion, wohnhaft bei ihm geboren zu Charmes, Frankreich, eheliche Tochter des verstorbenen Bauunternehmers Karl Petit und der Fannÿ geborener Crampe, wohnhaft zu Charmes, in des Anzeigenden Wohnung am 5. Februar des Jahres 1887 Nachmittag um ein Uhr verstorben sei (i 153)

Constance Petit lègue à son mari la jouissance viagère de la moitié de sa succession
1887, M° Mossler
3. Februar 1887 – Eheschenkung wodurch die am 6. d. Mts hier verlebte Constanz Petit ihrem Ehemann Marie Joseph Manrique, Kaufmann hier die Hälfte ihres Nachlasses zur Nutznießung vermacht
acp 786 (3 Q 30 501) f° 89-v n° 4181 du 22.2.

Marie Joseph Manrique se remarie en 1892 avec Elisabeth Jehl, originaire d’Obernai. Les immeubles figurent parmi les apports dans le contrat de mariage.

1892 (27.4.), M° Mossler
Ehevertrag – Maria Joseph Manrique, ehemaliger Kaufmann jetzt Rentner hier, Wittwer I. Ehe von Constanze Petit
und Elisabeth Jehl, gewerblos hier, volljährige Tochter von Mathias Jehl, Wegemeister & dessen Ehefrau Maria Elisabeth Seilly zu Oberehenheim
acp 857 (3 Q 30 572) f° 15-v n° 556 du 2.5. Annahm der auf die Errungenschaft beschränkte Gütergemeinschaftmit Ausschluß der Kleider
p. Manrique ist Vater von 9 Kindern aus I Ehe, Sein Vermögen sowie jenes seiner verlebten Frau sind bestätigt durch Inventar vor dem amt. Notar vom 18. April 1887. Die damalige Vermögenslage ist jedoch in dem Sinne abgeändert, daß ein Theil des Mobiliarvermögens veräußert, durch andere Wertschaften ersetzt und die Passiva bezahlt worden sind. In folge dessen bezeichnet sich heute das Eheeinbringen des Bräutigams wie folgt 1) baares Geld 5600, 2) Mobilien 8500, 3) Werthpapiere 55.935 (Summa) 584.485
Immobilien 1) Section F Nummer 137.p Garten vor dem Spitalthor
2) ein Haus Gewerbslauben N° 35
3) ein Haus Marbachergasse N° 12
4) ein Haus Kinderspielgasse N° 26
5) ein Haus zu Koenigshofen N° 218 Engels- oder Henckelsgebreit
6) ein Haus Gewerbslauben N° 37
hierauf lasten folgende Schulden 1) 8000 und 19.558 (Summa) 27.538 ), 2) an seine Tochter Marie Josephine Margaretha Manrique Ehefrau Johannes Kuntz 8000, Nachlass 19.260 (zusammen) 54.889
II An die Gütergemeinschaft welche zwischen seinen Eltern den verstorbenen Eheleuten Michael Manrique und Margaretha Lambecht hier bestanden hatte, in Contocourant für bei ihm hinterlegte Gelder 17.500 (Summa) 72.318
Einbringen der Braut, Mobilien geschätzt zu 1728, baares Gelds & gute Wertschafften 28.366 (Zusammen 30.194)
Schenkung durch den Bräutigam an der Braut auf Todesfall den vollen Eigenthums eines Kindstheils seines Nachlasses

Marie Joseph Manrique meurt en 1901 en délaissant neuf enfants de son premier mariage et deux de la veuve. L’inventaire mentione les titres et la maison route des Romains à Kœnigshoffen
1901 (30.11.), Jean Mossler
Inventar über dem Nachlass des am 20. November 1901 zu Strassburg verlebten Rentners und früheren Kaufmanns Marie Joseph Manrique, Wittwer erster Ehe von Constance Petit gest. 6. II 1887 und Ehemann zweiter Ehe von Elisabeth Jehl
Vorbemerkungen. Eheleute Manrique-Jehl verheiratheten sich am 30. IV 1892. Gemäß Ehevertrag vor Notar Mossler vom 27. IV. 1892 bestand Errungenschaft Gemeinschafft. Durch eingenhändiges Testament vom 27 November 1900 hier am 26. November 1901 Band 206. Bl. 4 Nr 391 hat der Verlebte über einen Theil seines Vermögens verfügt und zwar in der Weise, daß er seiner Wittwe außer ihrem gesetzlichen Erbtheil noch 1/8. seines Vermögens vermacht und über 1/8. anderwertig verfügt
Der Erblasser wird beerbt von A. seiner Wittwe a) als gesetliche Erbin zu 1/4, b) als Vermächtnisnehmerin zu 1/8
B. seinen nachgenannten Kindern zusammen zur Hälfte 1. Marie Josephine Constanzia Manrique, Ehefrau von Johann Baptist Larger, Direktor in Agram, Croatien, 2. Margaretha Maria Johanna Manrique, Ehefrau von Jeremias Kientz in Nonnanie*, Slavonien, 3. Joseph Carl Manrique, Kaufmann in Manchester, 4. Franziska Theresia Manrique, Ordensschwester inn Konstantinopel, 5. Heinrich Renatus Manrique, Bildhauer in München, 6. Karl Georg Moritz Manrique, Bankbeamter in Frankfurt am Main, 7. Maria Mathilde Cäcilie Manrique, Ehefrau von Ernst Johann Baptist Roesch, Kaufmann in Paris, 8. Paul Marcellus Joseph Andreas Manrique geb. 19. März 1881, 9. Susanna Helena Maria Magdalene geb. 1. November 1883, entsproßen aus der Ehe Manrique-Petit
10. Elisabeth Maria Cecilie geb. 11. Mai 1893., 11. Andreas Johann Ernst Manrique geb. 1. Juni 1898. diese beide entsprossen aus der Ehe Manrique-Jehl

acp 993 (3 Q 30 708. III) f° 20-v du 9.12. (Erberk. 20. V 1902, 271/72)
Über das letzte Achtel des Nachlasses hat der Erblasser unter abzug verschiedener Partikularlegate zu Gunsten seiner vier jüngsten Kinder verfügt
Nach dem Ableben der estern Ehefrau wurde durch amt. Notar ein Inventar aufgenommen am 15. April 1887. Baares Geld 5025.
acp 993 (3 Q 30 708. III) f° 71 n° 2919 du 24.12. (vacation du 16.12.) Gütergemeinschaft, Mobiliargegenstände 5878, Garde robe des Erblassers 282
acp 992 (3 Q 30 707. I) f° 64-v n° 2123 du 6.2. (vacation du 28.1.1902)
(f° 65 n° 2124, Fortsetzung) – Werthpapiere welche dem Erblasser allein gehören, 307.203, ab die zur Gemeinschafft gehörender Zinsen 2204, rest 304.999
eine Forderung des Erblassers an die Firma Goehrs & Comp. laut Kauf amt. Not. vom 6. Febr. 97
Werthpapiere der Gütergemeinschaft, 515.967, Ausstünde Zinse 590
Weitere Werthpapiere, welche zum größten theil aus dem Einbringen der Wittwe Manrique erworben worden, 50.264
Grundstücke der Gemeinschafft. Unter-Gemarkung Bann Koenigshofen Kronenburg, 1. ein Anwesen Römerstraße N° 140, Miethe 3020, 2. ein Anwesen Römerstraße N° 142, Miethe 3040, ein Anwesen Römerstraße N° 144, Miethe 1580
(f° 66-v n° 2125, Fortsetzung) Werthpapiere, welche den 11. Kindern Manrique allein gehören, herrührend aus dem Nachlass ihrer mütterlichen Großmutter Franziska Crampé Wittwe Petit in Charmes (Frankreich) gestorben am 24. März 1887 von denselben sind getorben Johanna Maria Constanzie Manrique, beerbt vom Vater zu 1/4 und den 10 Geschwistern zu ¾
Erwerbung von Erberchten. Der Erblasser erwarb von seinen Kindern folgende Erbtheile, 1. Heinrich Renatus Manrique in München laut Vertrag amt. Not. vom 7. Februar 1900, 2. Paul Georg Moritz Manrique, Bankberamter in Frankfurt auf Grund Verträge amt. Not. vom 19. Februar 1901
Ersatzansprüche der Eheleute Manrique Jehl, 355.553
Ausstände der Gemeinschaft, 17.973
Abrechnungen (…)

Partage de la communauté avec Constance Petit, de la succession de Constance Petit et de celle des deux enfants décédés
1902 (1.7.), Jean Mossler
Theilung I. der Gütergemeinschaft, welche zwischen dem zu Straßburg wohnhaft gewesenen, allda am 20. Dezember 1901 verstorbenen Kaufmann Marie Joseph Manrique und seiner ersten Ehefrau Constantia geb. Petit, gestorben zu Straßburg am 6. Februar 1887 ohne Ehevertrag bestanden hat
II. des Nachlasses der gen. Ehefrau Manrique geb. Petit
III. des Nachlasses von 1) Johanna Maria Constanzia Manrique gest. 19. Aprilis1887, 2) Anna Maria Josephine Manrique verstorben 6 Julÿ 1887, Kinder aus der Ehe Manrique-Petit
IV. der Gütergemeinschaft bestanden zwischen dem obengenannten und seiner überlebenden Wittwe Elisabeth geb. Jehl
V. des Nachlasses des H. Manrique
auf Anstehen der Erben und der Wittwe Manrique geb. Jehl
acp 1000 (3 Q 30 715. III) f° 22-v n° 1094 du 9.7. – (Erb Erkl. 20/V 02, 271/75) Vorbericht. Inventar nach dem Ableben der I. Ehefrau Manrique geb. Petit wurde errichtet vor amt. Notar am 25. April 1887 und folg. Tagen. Dem Ehemann stand an die hälfte des Nachlasses die Nutznießung zu. Von der Gütergemeinschaft Manrique-Petit sind heute an Mobilien baaren, Waaren Aktivausständen 302.878
das ebenfalls zur Gütergemeinschaft gehörende an den Gewerbslauben N° 35 gelegene Wohnhaus wurde laut Kauf amt. Notars vom 6. Februar 1897 um 88.000 veräußert. Ferner wurden noch erlöst aus dem Verkauf eines Ofens 300 und aus der Kundschaft des Geschäftes 10.000 (zusammen) 98.300 M
Vor Hingehung der II. Ehe errichtete H Manrique Ehevertrag vor amt. Notar vom 27. Apil 1892. Inventar errichtet am 31. November 1901, 16 Dezember 1901 und 30. Januar 1902.
Eigenhändiges Testament des H. Manrique vom 27/30 November 1900 und 12. September 1901 mit dem in der Erbschaftserklärung von 20. Mai 1902. N° 75 näher bezeichneten Inhalt
2. ersteheliche Kinder Friedrich Renatus und Karl Georg Moritz Manrique verkauften die Erbrechte jedoch nur am Volleigentum des Nachlasses der Wittwe laut Erbschaftsüberträgen amt. Notats vom 7. Februar 1900 und 19. Februar 1901. an ihrem Vater den Erblasser obengenannt
Rechnungen. Die Wittwe hat eingenommen (…)
Masse (f° 23-v ad 25-v) I. Gütergemeinschaft Manrique-Petit, Aktiva 667.242, Passiva 55.400, bleibt 611.842
II. Nachlass der Frau Manrique geb. Petit, 306.401
III. Nachlass Johanna Maria Constanzia Manrique, 9275
IV. Nachlass Anna Maria Josephine Manrique, 31.907
V. Nachlass der Großmutter Franziska Crampé Wittwe Petit, 20.601
VI. Gütergemeinschaft Nachlass-Jehl, Aktiva 655.814, Passiva 324.255, bleibt 331.528
VII. Nachlass Marie Joseph Manrique, Aktiva 955.222, Passiva 3024, bleibt 951.598
Ausgleichung zwischen den Kindern Manrique
Zutheilungen (f° 25-v ad 31)
acp 1007 (3 Q 30 722. II) f° 94-v n° 3423 du 2.3.1902 – 18 und 22. Februar, Theilung (Nachtrag) zur Gütergemeinschaft gehört noch eine Forderung an die Firma Klareiswerke zur Dunzenmühle in Straßburg von 10.000, 5% Zins 100, zusammen 11.000

Marie Joseph Manrique vend la maison à la société en nom collectif Gœhrs et Compagnie (déjà propriétaire de la maison voisine n° 33 à laquelle elle est rattachée)

1897 (6.2.), Jean Mossler
I. Marie Joseph Manrique, Rentner in Straßburg 1) eigenen Namens, 2) als Bevollmächtigter von a) Johann Baptist Larger, Direktor der Gesellschaft für Einfuhr von Eichenholz Société d’importation de chêne in Vrbanja (Slawonien) und dessen Ehefrau Marie Josephine Constanzia Manrique, b) Jeremias Kientz, Direktor derselben Gesellschaft in Slatina (Slowenien) und dessen Ehefrau Margaretha Maria Johanna Manrique wohnhaft in Mormanci* (Slawonien), c) Joseph Carl Manrique, Handlungsgehülfe in London, d) Franziska Theresia Manrique, großjährig in Religion Schwester Maria Constantina im Kloster von Sion in Paris, 3) als Vater Vormund von a) Heinrich Renatus Manrique, geb. 31. März 1877, b). Maria Mathilde Cäcilie Manrique, geb. 15. September 1878, c) Paul Marcell Joseph Andreas Manrique geb. 19. März 1881, d) Susanna Helena Maria Magdalena geb. 1. November 1883, II. Karl Georg Moritz Manrique, Bankgehülfe in Straßburg
an die offene Handelsgesellschaft Firma Goehrs & Cie zu Straßburg
Stadt Strassburg. N 1033, 1 Ar 10 Wohnhaus mit Erdgeschoß in welchem ein Laden eingerichtet ist mit 4 Stockwerken, Mansardenzimmer, Hintergebäude mit 1 Stockwerk, an den Gewerbslauben N° 35
herrührend aus der Gemeinschaft bestanden zwischen Maria Joseph Manrique und dessen am 6. Februar 1887 verlebten Ehefrau Constance Petit laut Kauf Noetinger hier vom 23. September 1872. Frau Manrique wurde beerbt von 11 Kindern, 1) den neun Vorgenannten 2 und den seither verstorbenen Maria Anna Josephine Manrique gest. am 6. Juli 1887 und Johanna Maria Constantia Manrique beide geb. 27 Januar 1887, gest. 19. April 1887. beerbt von ihrem Vater zu 1/4 und ihren Geschwistern zu 3/4. Zufolge Schenkung des amtienden Notars vom 3. Februarÿ 1887 reg. 20. darauf vermachte Frau Manrique ihrem Ehemann die Nutznießung ihres halben Nachlasses, demgemäß gehört obiges Immöbel dem Manrique Vater zu 16.587/31.680 und den Kindern je zu 1677/31.680. Unbeschadet der dem Vater zustehenden Nutznießung. Genuß vom 25. März, Steuren vom 1. Aprilis 1897 ab. Kaufpreis 88.000 Mark
acp 922 (3 Q 30 637) f° 72-v du 16.2.


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