6, rue des Tripiers


Rue des Tripiers n° 6 – VII 393 (Blondel), O 77 puis section 19 parcelle 157 (cadastre)

Agrandie de la maison de droite (1652) puis de celle de gauche (1765)
Maître d’ouvrage, Georges Adolphe Mann, pâtissier – maître maçon, Jean Laurent Gœtz (1765)
Détruite par bombardement aérien, 11 août 1944


Reconstitution (1951, Paul Widmann, architecte) qui montre la même façade qu’en 1830 sans les cordons – Photographie après destruction (partie subsistante du bâtiment à partir du chaînage), dossier du M.R.U.

La maison qui appartient en 1587 au ceinturier Brand Gravenhorst a un encorbellement de dix-huit 18 pieds de long. Le ceinturier Jacques Barth qui en est propriétaire de 1598 à 1601 établit des ouvertures avec sa propre maison à l’ouest avant de la revendre au ceinturier Georges Wentzbühel. La maison restera jusqu’en 1825 aux mains des ayants droit du pâtissier Florentin Dochtermann qui l’achète en 1632. Le pâtissier Jean Philippe Sachs réunit en 1652 la maison qui avait appartenu à Jacques Barth à la sienne. Jean Geoffroi Mann achète en 1740 les droits de jouissance viagère de sa mère et la nue-propriété des héritiers de son beau-père. Son fils pâtissier Georges Adolphe Mann achète en 1765 la maison voisine à l’est (VII 394 sur le plan Blondel). Il est autorisé la même année à reconstruire sur les anciennes fondations, sans avancer à l’aplomb de l’encorbellement. Le maître maçon Jean Laurent Gœtz déclare en novembre 1765 les travaux aux Préposés aux feux. D’après la photographie, le nouveau bâtiment a des chaînages, des cordons entre les étages, des encadrements de fenêtres dont le linteau a une faussé clé et des appuis galbés aux deux premiers étages.


Elévations préparatoires au plan-relief de 1830, îlot 162 (Musée des Plans-relief) 1

L’Atlas des alignements (années 1820) signale une maison à rez-de-chaussée et trois étages en maçonnerie. Sur les élévations préparatoires au plan-relief de 1830, la façade se trouve à droite du repère (f) : deux fenêtres, une porte, deux autres fenêtres, une deuxième porte et encore deux fenêtres au rez-de-chaussée, huit fenêtres à chacun des trois étages, un étage sous comble et un niveau de lucarnes. La cour C à l’angle sud-ouest de la parcelle montre la face latérale (4-1) du bâtiment principal et la remise (1-2) au fond de la cour.
La maison porte le n° 6 aussi bien selon l’ancienne numérotation (1784-1857) que selon la nouvelle.


Cour C – Plan d’arpentage joint au dossier du M.R.U.

Ancien clerc de notaire devenu négociant, Joseph Farner achète la maison en 1844. Il la vend en 1861 à Virginie Boitel qui institue pour son héritière universelle la veuve de Joseph Farner. L’atelier de menuiserie du rez-de-chaussée est réaménagé en 1886 après un incendie.
Le peintre en bâtiment Charles Emile Rutherd achète en 1889 la maison de la veuve Farner, l’habite jusqu’en 1896 puis s’établit rue d’Or. Le bombardement aérien du 11 août 1944 détruit entièrement la maison. L’îlot non reconstruit est transformé en place.


Plan du rez-de-chaussée (reconstitution, 1951, Paul Widmann, architecte, dossier du M.R.U.). La partie gauche correspond à l’ancienne parcelle VII 394, la partie droite au bâtiment réuni une première fois entre 1598 et 1601 puis en 1652 – Place des Tripiers, juillet 2016

janvier 2024

Sommaire
CadastrePolice du BâtimentRelevé d’actes

Récapitulatif des propriétaires

La liste ci-dessous donne tous les propriétaires de 1590 à 1952. La propriété change par vente (v), par héritage ou cession de parts (h) ou encore par adjudication (adj). L’étoile (*) signale une date approximative de mutation.

Brand Gravenhorst, ceinturier, et (1583) Anne Frentzel, d’abord (1558) femme du ceinturier Matthieu Hildebrand – luthériens
1598 v Jacques Barth, ceinturier, et (v. 1583) Susanne Kull – luthériens
1601 v Georges Wentzbühel, ceinturier, et (1589) Anne Sesenecker – luthériens
1632 v Florentin Dochtermann, pâtissier, et (1631) Susanne Stalp puis (1641) Anne Elisabeth Axt – luthériens
1647 h Jean Philippe Sachs, pâtissier, et (1647) Anne Elisabeth Axt, veuve du pâtissier Florentin Dochtermann, puis (1672) Anne Chrétienne Hügel, d’abord (1655) femme du pâtissier Nicolas Allheilig – luthériens
1691* h Jean Philippe Sachs, pâtissier, et (1692) Anne Barbe Weissheyer, (1700) Anne Marguerite Krieger puis (1706) Marie Salomé Ferber, veuve de David Ulric Mann, pharmacien à Freudenstadt, remariée (1717) avec le charpentier Michel Bindenschuh – luthériens
1716 h Marie Marguerite Sachs et (1678) Georges Goll, marchand – luthériens
1740 h Jean Geoffroi Mann, pâtissier, et (1734) Marie Madeleine Neff puis (1736) Sara Seiffert – luthériens
1763* h Georges Adolphe Mann, pâtissier, et (1759) Catherine Eve Rechberger – luthériens
1824 v François Augustin Armbruster, menuisier, et (1815) Françoise Kayser, remariée (1836) avec Florent Adam, veuf de Marie Antoinette Pasta (à la veuve seule, 1843)
1844 v Joseph (Henri) Farner, clerc de notaire puis négociant, et (1844) (Madeleine) Eugénie Berthelé
1861 v Virginie Boitel, rentière célibataire († 1882)
1882 h Eugénie Berthelé veuve de Joseph Farner, supra
1889 v Charles (Emile) Rutherd, peintre en bâtiment, et (1892) Louise Bodemer
h (indivision) Henri (Edouard) Rutherd, peintre en bâtiment, et (1962) Rose Vix
Paul (Jean Georges) Rutherd, peintre en bâtiment, célibataire, († 1959)

Valeur de la maison selon les billets d’estimation : 750 livres en 1716, 900 livres en 1735, 600 livres en 1763 (avant reconstruction)

(1765, Liste Blondel) VII 393, Jean Géofroi Mann
(Etat du développement des façades des maisons, AMS cote V 61) Mann, 8 toises, 4 pieds et 8 pouces (avec VII 394)
(1843, Tableau indicatif du cadastre) O 77, Armbruster, François Auguste, veuve rue des Tripiers 6 – maison, sol – 1,6 are
O 77-bis, Diss, Joseph – le sol est au 53 bis

Locations

1771, Gustave Adolphe Holenfeld, négociant
1843, Philippe Jacques Rasp, propriétaire

Livres des communaux

1587, Livre des communaux (VII 1450) f° 233
Le ceinturier Bernard Grabenhorst règle 12 sols 2 deniers pour sa maison, à savoir un encorbellement (18 pieds de long, saillie de 3 pieds), une porte de cave (4 pieds ½ de large, saillie de 2 pieds ½), un établi devant la maison (9 pieds de long, saillie de 3 pieds ½), un autre établi (3 pieds ½ de long, saillie de 3 pieds ½).

Kuttelgaß Einseitt, würdt im Altten Puch genandt Brühe Gaß
Bernhardt Grabenhorst der Gürttler hatt vor seinem Hauß ein Vsstoß xviij schu lang, iij schu herauß, Mehr ein ligende Kellerthüer v= schu breÿt, ii+ schu herauß, Item Vor dem Hauß ein Werckhbanckh ix schu lang, Vnd iii+ schu herauß, Aber ein Werckhbanckh iii+ schu lang, Vnd iii+ schu herauß, Bessert für das Niessen, xij ß ij d

1562, Livre des loyers communaux, VII 1446 (Zinßbuch D) f° 275-v
Le ceinturier Jacques Artt (Jacques Barth) doit 1 sol pour un soupirail sur le communal (2 pieds de large, saillie de deux pieds) d’après la décision des Préposés au bâtiment et Trois de la Tour aux deniers en date du 7 août 1599 (voir plus loin) – Maintenant Georges Wentzbühel – [1627] Toujours lui

Item j ß d. gibt Jacob Artt der gürttler Inn Kuttelgäßlin von einem Kellerfenster so Ihme vff das Almend zwen schuch breit vnd Zwen schuch herauß Zumachen von B. vnd d. bewilligt worden den 7.t Augusti 1599.
Jetz georg Wentzbühel
(rub.) Er noch. Bleibt
Neü 273.

1652, Livre des loyers communaux, VII 1461 (1652-1672) f° 273
Le cens du Registre D f° 275 est inscrit au nom de Florentin Dochtermann dans le registre suivant. Ensuite Jean Philippe Sax

Jetzt Hanß Philipp Sax
Florentin Dochtermann, der Bastetenbeck, Soll gemeiner Statt, Vom Kellerfenster im Lucerngäßel Jahrs Vf Bartholomæi 3 ß
Alt. d. f. 275
New. fol. 233
[in margine :] j. f. 508
(Quittungen 1656-1672)

1652, Livre des loyers communaux, VII 1462 (1652-1672) f° 508-v
Jean Philippe Sax doit 15 sols pour une communication dans sa maison « rue du Poumon », l’autorisation court pendant dix ans

Hanß Philipp Sax, soll gemeiner Statt, Vom durchbruch seines haußes im Lungengäßell, vf Michaelis 1654. Zum ersten mahl. 15 ß d
Manual fol. 247. Ist länger nicht als Zehen Jahr erlaubt
New p. 233.
(Quittungen, 1660, 1662, 1668, 1671, 1672)

1673, Livre des loyers communaux, VII 1465 (1673-1741) f° 233-v
Les deux loyers sont reportés au même folio dans le registre suivant (« rue du Poumon »)

Hannß Philipp Sax /:Erben:/ Soll vom Kellerfenster im Lungengäßel, Jahrs vff Bartholomæi 1 ß
St. Zinßb. p. 273
Ferners vom durchbruch dießes haußes vff Michaelis 15 ß
St. Zinßb. 508
(Quittungen 1673-1741)
Neuzb fol 579

1741, Livre des loyers communaux, VII 1471 (1741-1802) f° 579
Mêmes loyers dans le registre suivant, portés au nom de Geoffroi Mann puis Georges Adolphe Mann. Le compte est clos en 1789.

alzb. 233-b
Joh: Philipp Sachßen Erben sollen vom Kellerfenster im Lungen gäßel, Jahrs auf Bartholomæi 1 ß
Ferner vom durchbruch dießes haußes auf Michaelis (id est 29. sept.) 15 ß
(vid. Arrêté du C. M. du 6 flor. V)
Gottfrid Mann
jetzt Georg Adolph Mann, Pastetenbeck
(Quittungen 1741-1789)

Préposés au bâtiment (Bauherren)

1599, Préposés au bâtiment (VII 1314)
Jacques Art (Jacob Barth), propriétaire de deux maisons voisines rue des Tripiers, demande le 7 août 1599 l’autorisation de percer deux portes à l’étage et une au grenier, en particulier d’ouvrir un soupirail sur le communal (deux pieds de large, saillie de deux pieds). Les préposés le renvoient aux Quinze pour la communication entre les maisons et autorisent le soupirail moyennant un sol de loyer annuel. Jacques Artt refait la demande de communication en novembre, les préposés le renvoient à nouveau aux Quinze.

(f° 156) Zinstags den 7.ten Augusti 99 – Jacob Artt gürtler In Kuttelgäßlin hat Zweÿ heüßer an einander darinn er wohnet, Bittet Ihme Zugestatten das er oben auff In der Stuben und In der Cammern, Zwo thieren möge durch brechen, deßgleichen oben vff der bÿnen eine thier Zumach. Item vff dem boden ein ligend Kellerfenster vff das Almend herauß Zwen schuh breit und Zwen schuh herauß, vffs Almend. Erkandt, des Zusammen brechens oder der Thuren halb. Ist er für die xv gewieß. das Kellerfenster Ist Zugelassen, doch das er Jerlich 1 ß d dauon soll Zinß geben. Ist Zugelassen und bewilligt. d. fol. 229.

(f° 218) Sambstags 24 Novemb. – Jacob Artt der gürtler In Kuttelgäßlin hat Zweÿ heüßlin neben einander, vnd bittet Ihm Zugönnen oben In der Stuben vnd oben vff der bienen Zwo thieren durch Zubrechen, weil der augenschein antzeigt als wan es vor Jaren aun hauß gewesen were & Welchs begeren er hieuor auch gethan. Das steht Zu mein H XV.

1653, Préposés au bâtiment (VII 1353)
Jean Philippe Sax demande l’autorisation d’ouvrir une communication avec la maison qu’il vient d’acheter à côté de la sienne comme il en existait déjà une par le passé (7 pieds de haut et 4 pieds ½ de large, 7 pieds de haut et 2 pieds ½ de large). Les préposés accordent une autorisation renouvelable pour dix ans.

(f° 62) Donnerstags den 6. dito [Octobris] – Sax. Durchbruch in der Lungengaß
Hannß Philipp Sax der Pastethen beckh in der Lungengaß, begert einen durchbruch in sein Neben hauß, so er Zu dem seinigen erkaufft, vnd deßwegen einen augenschein, in welchem sich befunden, daß dieße beede heüßer vor altem Zusammen gehörig gewesen, vnd Zween durchbruch gehabt haben, einen vnden 7. schue hoch 4 ½ schue breit, den anderen oben 7. schue hoch vnd 2 ½ schue breit.

(f° 63) Sambstags den 8. 8.bris – Sax. Durchbruch
Hannß Philipp Sachßen dem Bastethen becken werden begerte durchbruch in seinem hauß in der Lungengaßen, so wohl oben alß vnden vff 10 Jahr lang dergestalt willfahrt, daß er dauon in recognitionem der Statt Zinnßmeister Jahrs vff Michaelis 15. ß Zinß erlegen, vnd nach verfließung der 10 Jahr vfs newe wider darumb anhalten solle.

1765, Préposés au bâtiment (VII 1411)
Les préposés visitent la maison du pâtissier Georges Adolphe Mann qui souhaite construire à l’aplomb de son encorbellement dans l’alignement de la maison Richshoffer (à l’angle du Vieux-Marché-aux-Poissons), en empiétant de deux pieds 4 pouces d’un côté et d’un pied 7 pouces de l’autre. Ils lui demandent le 26 janvier d’attendre l’avis de l’architecte Blondel.
Georges Adolphe Mann présente à nouveau sa demande le 19 mars en déclarant qu’l s’est déjà procuré les matériaux et passé un marché de 1800 livres tournois. Les préposés l’autorisent à construire sur les anciennes fondations, le bâtiment ne devra pas avoir d’encorbellement.

(f° 62) Sambstags den 26. Januarÿ 1765 – Georg Adolph Mann
Augenschein eingenommen in der Kuttelgaß an Georg Adolph Mann des basteten becks hauß so einen überhang hat, den er in der flucht von obersten Eck der gaß mit dem untersten vorstehenden Eck des Richßhofferischen haußes Zu unterbauwen, und oben 2 sch. 4 Zoll unten aber 1 sch. 7 Z. auff das Allmendt vorzufahren umb erlaubnus angehalten.
Erkannt, wid der Implorant annoch Zur gedult verwießen biß H. Blondel Architecte de Paris sein project die fluchen der gaßen hießiger Statt betreffendt wird determinirt und angenommen seÿn, inzwischen aber wird H. Werner dem baw Inspectori auffgetragen ged. H. Blondel Zu schreiben umb deßen vorläuffige meinung über des Imploranten begehen Zu vernehmen.

(f° 69-v) Dienstags den 19. Martÿ 1765. – Georg Adolph Mann
Georg Adolph Mann der Pasteten beck præsentirt unterthäniges Memoriale und remonstrirt, daß er Zu dem vorhabenden baw seines haußes in der Kuttelgaß sich bereits die erforderliche baw: Materialien angeschafft, mit denen handwercks leuthen accords getroffen und ihnen auch schon 1800 Livres Zum voraus auff abschlag bezahlt, mit bitten jhme Zu erlauben nach der flucht Zu bauen, wie er den 26. Januarÿ jüngst beÿ angenommenem augenschein angehalten.
Erkannt, wird dem remonstranten erlaubt auff sein alt fundament des haußes Zu bauen, mit verbott einen neuen überhang Zu machen.

Préposés aux feux (Feuerherren, 4 R 91)

Le maître maçon Jean Laurent Gœtz présente le 13 novembre 1765 aux préposés les travaux qu’il va faire chez le pâtissier Georges Adolphe Mann « rue du Poumon », c’est-à-dire rue des Tripiers : un poêle vers la rue, un départ de cheminée dans le vestibule au-dessus de la cave voûtée, sur la droite un fournil à deux fours superposés, une cuisine aux rez-de-chaussée, deuxième et troisième étages, enfin aux deuxième et troisième étages vers la rue une chambre à cheminée à la française, les tuyaux se trouvant à distance des pièces en bois.

(p. 86) Mittwochs den 13.ten Novembris 1765. – Georg Adolph Mann der Pastetenbeck will in seiner behaußung in der Lungengaß au rez de chaussée eine Stube gegen der gaß, darneben im hauß ehren ein Vor Camin auf den gewölbten Keller setzen, das rohr mitten durchs gebäu Von allem holtz entfernt.
Ferner rechter hand eine bach stube gegen der gaß mit Zweÿ über einander befindlichen bachöfen, samt einem Camin schoß setzen das ror mitten durchs gebäu von allem holtz entfernt.
Ferner in der rez de chaussée, Zweÿten und dritten stock jedes mal eine Kuchen gegen dem hof mit heerd und Camin schoß machen, die rohr am steinern gäbel hinauf von allem holtz entfernt.
Item im ersten, Zweÿten und dritten stock jedesmal eine Cammer gegen der gaß mit einem frantzösischen Camin und Gewölb wohl versehen setzen, die Rotr am steinern gäbel hinauf von allem holtz entfernt. – Mr Götz

Protocole des Quinze

1599, Protocole des Quinze (2 R 28)
Jacques Barth demande aux Quinze l’autorisation de rouvrir d’anciennes communications entre ses deux maisons qu’il n’a pas l’intention de reconstruire puisqu’elles sont en bon état. Il y est autorisé pour deux ans renouvelables.

(f° 145) Sambstag den VI Octobr. – Jacob Bartt. Heuser zusammen prechen
Hanß Heinrich Mornhinweg der Maurer, Innamen Mr Jacob Barthen p. L. Hüenerer, Es habe Barth neben seiner behaußung Inn Kuttellgaß, ein hauß erkaufft, so vor Jahren Zusammen gehört, wie die anzeig ettlicher thüren mittpringt, Da wolte er gern ein thür Inn seiner Stub durchprech. Ein stub Cammer Zumachen. Bitt den augenschein einzunemmen vnd Ime gn. Zuwillfahren &
Erkandt, Ime In dem willfahrt, d. der augenschein eingenommen werden vnd Ime sag mein h. werden vff den augenschein kommen. B. Mr.

(f° 174-v) Sambstag den I. Decemb. – Jacob Barth. Heuser zusammen prechen
Jacob Barth gürttler, mitt beÿstandt seines Maurers p. Dachtlern, übergibt ein S.plon so verlesen, darinn bitt er dieweil seine beÿde heüßlin Inn Kuttelgäßlin an holtz vnd Maurwerck noch gesundt vnd abbrechens nicht bedörffig, Ime Inn seinem begeren Zu willfahren vnd Zugestatten, das er allein Im andern vnd dritten stock diß beeder heüßlin thüren durchprechen vnd dieselben Zusammen geprauchen möge.
Erkandt Ime gönnen, die durchprüch Zumach. wie ers begert hatt, doch so die heüßer sollten mitt der Zeitt verkauft werden, so soll man wider Zweÿ vnderschiedliche heüßer darauß Zumachen schuldig seÿn. Anhang, daß er beÿ einer straff x lib d alle Zweÿ Jahr wid. beÿ mein herren vmb fernerer Vergönstigung ansuchen solle. J. Wormßer, H. Drenß. B. Mr.

Description de la maison

  • 1716 (billet d’estimation traduit) La maison comprenant deux caves voûtées et un puits commun est estimée avec toutes ses appartenances et dépendances à la somme de 1500 florins
  • 1735 (billet d’estimation traduit) La maison comprend plusieurs poêles, chambres, cuisines, vestibule, en haut deux chambres dont l’une pour les soldats, au rez-de-chaussée cuisine, chambre, vestibule, cave voûtée, petite cour, puits commun, le tout estimé avec les appartenances et dépendances à la somme de 1800 florins
  • 1763 (billet d’estimation traduit) La maison comprend un fournil et un four, trois poêles, une cuisine et plusieurs dépenses, le comble est couvert de tuiles plates, la cave est voûtée, le tout estimé avec les appartenances et dépendances à la somme de 1200 florins
  • 1946, Etat descriptif dans le dossier du Ministère de la Reconstruction et de l’Urbanisme

Atlas des alignements (cote 1197 W 37)

3° arrondissement ou Canton Sud – Rue des Trippes

nouveau N° / ancien N° : 3 / 6
Mann
Rez de chaussée et 3 étages bons en maçonnerie
(Légende)

Cadastre

Cadastre napoléonien, registre 25 f° 23 case 3

Armbruster François Auguste veuve rue des trippes N° 26
Farner Joseph Henri, clerc de notaire (subst° 1846)

O 77, maison, sol, R. des trippes 6
Contenance : 1,60
Revenu total : 189,83 (189 et 0,83)
Ouvertures, portes cochères, charretières :
portes et fenêtres ordinaires : 33 / 26
fenêtres du 3° et au-dessus : 15 / 12

Cadastre napoléonien, registre 26 f° 324 case 1

Farner Joseph Henri
1863 Boitel, Virginie, rentière
1890/91 Rutherd Karl Emil Maler

O 77, maison, sol, Rue des tripiers 6
Contenance : 1,60
Revenu total : 189,83 (189 et 0,83)
Folio de provenance :
Folio de destination :
Ouvertures, portes cochères, charretières :
portes et fenêtres ordinaires : 33 / 26
fenêtres du 3° et au-dessus : 15 / 12

Cadastre allemand, registre 30 p. 235 case 7

Parcelle, section 19, n° 157 – autrefois O 77
Canton : Kuttelgasse Hs N° 6
Désignation : Hf, Whs
Contenance : 1,40
Revenu : 1700 – 1900
Remarques

(Propriétaire jusqu’à l’exercice 1946), compte 1028
Rutherd Karl Emil
clos 1946

(Propriétaire à partir de l’exercice 1946), compte 6212
Rutherd Henri Edouard, peintre à Strasbourg Koenigshoffen et cohéritiers
(3503)

1789, Etat des habitants (cote 5 R 26)

Canton VII, Rue 253 Rue des Trippes d°. Kuttelgass (p. 407)

6
Pr. Mann, Georges Adolph, patister – boulangers
loc. Bochholtz d. immatric. Baron, étrang. – Privilégié
loc. Berchtold, Henri, Son Domest. étrang.
loc. Lambla, Louis, marchand
loc. Klein, Catherine, fille de la maison étrang.

Annuaire de 1905

Verzeichnis sämtlicher Häuser von Strassburg und ihrer Bewohner, in alphabetischer Reihenfolge der Strassennamen (Répertoire de toutes les maisons de Strasbourg et de leurs habitants, par ordre alphabétique des rues)
Abréviations : 0, 1,2, etc. : rez de chaussée, 1, 2° étage – E, Eigentümer (propriétaire) – H. Hinterhaus (bâtiment arrière)

Kuttelgasse (Seite 94)

(Haus Nr.) 6
Wernert, Wwe, Büglerin 0
Riedinger, Sesselmach. 1
Schneider, Friseur, 1
Birchen, Schneider. 2
Brunner, Buchhändler. 2
Roeder, Wwe. 2
Müller, Schneidermstr. 3
Meyer, Maler. 4

Dossier de la Police du Bâtiment (cote 725 W 92)

6, rue des Tripiers (1884-1946)

Eugénie Farner fait réaménager en 1886 l’atelier de menuiserie du rez-de-chaussée endommagé par un incendie. La maison est raccordée aux canalisations en 1906, sauf les cabinets.
Charles Rutherd s’adresse à la Ville en 1908 pour remédier à l’humidité du mur de pignon vers le 15, rue du Vieux-Marché-aux-Poissons, en 1912 pour que les fenêtres du 22, rue des Tonneliers qui donnent dans sa cour soient à nouveau grillagées puis en 1921 pour remédier à une fissure dans le mur vers la maison rue du Vieux-Marché-aux-Poissons.
Le bombardement aérien du 11 août 1944 détruit entièrement la maison.

Sommaire
  • 1884 – Le maire notifie la veuve Eugénie Farner de transformer la fosse d’aisance pour qu’elle soit étanche. Le tuyau d’aération devra avoir un diamètre minimal de 20 centimètres. – Travaux terminés, septembre 1884.
  • 1886 – Un incendie a entièrement endommagé l’atelier de menuiserie au rez-de-chaussée. Le lambris et le volet sont détruits – Le maire demande à la veuve Farner née Bertelé que les nouvelles persiennes soient conformes au règlement municipal du 2 août 1855. Le fourneau est soumis à autorisation. – L’atelier est conforme au règlement mais les volets ne sont pas réglementaires. La veuve déclare cependant que les volets sont conformes. – Le propriétaire doit encore 22.400 marks sur le prix de la maison (35.000 marks) Le revenu annuel s’élève à 1200 marks. – Le maire notifie la veuve de modifier les volets – Les volets sont conformes, janvier 1890.
  • 1888 – Ravalement de la façade. Le commissaire de police demande qui est propriétaire du 6, rue des Tripiers.
  • 1902 – Le maire notifie Charles Rutherd (demeurant 24, rue d’Or) de faire ravaler la façade – Travaux en cours (octobre), terminés (novembre)
    Le peintre en bâtiment Ch. Rutherd (demeurant 24, rue d’Or) demande l’autorisation de poser un échafaudage sur la voie publique. Le commissaire de police transmet au maire – Autorisation – Travaux terminés, octobre.
  • 1905 – Le maire constate que le cordonnier F. Riester a fait poser une enseigne perpendiculaire sans autorisation – Félix Riester demande l’autorisation de transférer l’enseigne du n° 4 au n° 6. – Autorisation, octobre 1905
  • 1908 – Charles Rutherd demande l’assistance de la Ville pour remédier à l’humidité du mur de pignon – L’humidité semble provenir d’un tuyau défectueux du 15, rue du Vieux-Marché-aux-Poissons. Dossier classé, novembre 1908.
  • 1912 – Charles Rutherd (73, route de Schirmeck à la Montagne Verte) demande que les fenêtres (22, rue des Tonneliers) qui donnent dans sa cour soient à nouveau grillagées. – La Police du Bâtiment constate qu’il est difficile de savoir si les fenêtres étaient déjà grillagées.
  • Commission contre les logements insalubres. 1899. Propriétaire, Rutherd, demeurant 87-b route de Schirmeck – 3 cabinets d’aisance (sombres) pour 10 ménages
    Le maire demande que les cabinets d’aisance soient mieux aérés
    1905. Remarques en 2 points – La fosse d’aisance est commune avec le 15, rue du Vieux-Marché-aux-Poissons (propriétaire, Hampelé)
    1906. La maison est raccordée aux canalisations, sauf les cabinets – Rapport au conseil municipal, 24 juillet 1906. Le maire met le propriétaire en demeure de raccorder les cabinets aux canalisations. Le propriétaire s’engage à s’accorder avec son voisin.
    Commission des logements militaires, 1915. Le mur pignon commun avec le 14, rue du Vieux-Marché-aux-Poissons est humide. Rien à signaler par ailleurs
    1921. Le propriétaire Rutherd (24, rue d’Or) constate qu’il y a une fissure dans le mur vers la maison rue du Vieux-Marché-aux-Poissons. La Police du Bâtiment qui se rend sur place estime que le mur s’est légèrement détaché sous l’effet de vibrations mais qu’il n’y a pas de danger.
  • 1924 – Les frères Rutherd (73, route de Schirmeck) sont autorisés à crépir le socle de la maison
  • 1942 – Le locataire Richard Ley se plaint de fumées dans son logement au deuxième étage. – Le ramoneur Guillaume Waltzinger (32, rue du Bain-aux-Plantes) certifie que la cheminée est en bon état.
  • 1946. Le bombardement aérien du 11 août 1944 détruit entièrement la maison
    Certificats de sinistré délivrés à Michel Pfahl (rez-de-chaussée), Georgette Desserich, Marcel Müller (3° étage), André Schwach

Dossier de la Police du Bâtiment (cote 233 MW 2249)

Le propriétaire Rutherd, demeurant 73, route de Schirmeck déclare le sinistre le 6 septembre 1944. La maison 6, rue des Tripiers a été entièrement détruite lors du bombardement aérien le 11 août 1944. Les six logements sont inhabitables.

Stadt Straßburg, Amt für Sofortmassnahmen bei Bomben- und Brandschaden
Ortsgruppe : Gutenberg
Anwesen : Kuttelgasse Nr 6
Register Nr. 84
Fliegerschaden vom 11.8.1944

Anmeldung von Fliegerschaden an Gebäuden
Der Unterzeichnete meldet hiermit den nachstehenden Fliegerschaden an und bittet um dessen Feststellung
Anwesen : Kuttelgasse Nr 6
Eigentümer : Rutherd, Schirmeckerstr. 73
1. Gebäudebeschrieb : Miethshaus
2. Beschädigte Gebäudeteile : Totalschaden
3. Durch welche Kriegeinwirkungen ist der Schaden verursacht worden ? Sprengbomben
4. Art der Schäden : Totalschaden
5. Anzahl der vorhandenen Wohnungen usw.
Wohnungen 6, unbewohnbar 6
Geschäfte –
Werkstätten –
Garageräume –
Stallungen –
Grund, weshalb unbrauchbar bezw. unbenutzbar –
Ich versichere, die obigen Angaben nach bestem Wissen und Gewissen gemacht zu haben. Es ist mir bekannt, dass falsche Angaben bestraft werden.
Strassburg, den 6 September 1944
Unterschrift : Rutherd

Dossier du Ministère de la Reconstruction et de l’Urbanisme (ADBR, cote 424 D 81)

Dossier N.V. 1537 Z

Propriétaires indivis de la maison, les peintres en bâtiment célibataires Henri et Paul Rutherd, demeurant 73, route de Schirmeck à la Montagne-Verte, déclarent le sinistre en 1946. Le 6, rue des Tripiers a été entièrement détruit lors du bombardement aérien du 11 août 1944. Un état décrit avec précision le rez-de-chaussée et les trois étages : la façade est en briques, les encadrements des portes et des fenêtres en pierre de taille.
Photographies, dessin du bâtiment reconstitué par les architectes Emile Widmann et Paul Widmann.
Henri Rutherd rachète en 1963 une créance sur un mobilier à usage professionnel, à Frœschwiller.

Extraits
  • Propriétaires
    Extrait du registre des naissances, 1828 / 1895 – Le 17 juin 1895 est né Henri Edouard, fils de Charles Emile Rutherd, peintre en bâtiments domicilié à Strasbourg et de Louise Bodemer son épouse
    Extrait du registre des naissances, 2042 / 1897 – Le 17 juin 1897 est né Jean Paul Georges, fils de Charles Emile Rutherd, peintre en bâtiments domicilié à Strasbourg et de Louise Bodemer son épouse
    Extrait du registre des personnes réintégrées de plein droit dans la qualité de Français en exécution du traité de Paris du 28 juin 1919
    (n° 757) Henri Edouard Rutherd, demeurant route de Schirmeck 73
    (n° 758) Paul Jean Georges Rutherd, demeurant route de Schirmeck 73
  • 1946. Déclaration de sinistre, 1537 Z, au nom de Henri (Edouard) Rutherd, de Henri et Paul Rutherd
  • Dossier de destruction (4 juillet 1946)
    Propriétaire, Henri Edouard Rutherd, né le 17 juin 1895 à Strasbourg, et Paul Jean Georges Rutherd, né le 17 juin 1897 à Strasbourg, peintres en bâtiment demeurant 73, route de Schirmeck à la Montagne-Verte
    Rue des Tripiers N° 6, entièrement détruit lors du bombardement aérien de Strasbourg le 11 août 1944.
    Croquis d’implantation
    Bâtiment d’habitation provenant de succession.
    Locataires, rez-de-chaussée 1020 et 1200, premier étage 3000, deuxième étage 3600, troisième étage 2400, mansardes 930
    Assurances, Rhin-et-Moselle, la Nationale
  • Procès verbal de vérification, 10 mars 1952. Vérificateur, Geng
    Bombardement aérien du 11 août 1944.
    Rapport. Bâtiment détruit à 100%. Vérification faite d’après les déclarations du sinistré et les renseignements donnés par les photos et croquis d’arpentage joints au dossier
  • Mutation, 30 novembre 1963
    Situation ancienne, S.A.R.L. L’immobilière Alsace Lord, 87. route Principale à Frœschwiller, mobilier à usage professionnel, Frœschwiller château
    Situation nouvelle, Henri Rutherd, 73, route de Schirmeck à la Montagne-Verte
    montant total 250.000, montant cédé 8270
  • Emile Widmann et Paul Widmann, architectes, 1, place Saint-Louis
    Reconstruction à l’identique de la propriété sise à Strasbourg, 6 rue des Tripiers, dossier N.V. 1537 Z
  • Etat descriptif d’un bâtiment totalement détruit
    Propriétaires, Henri (Edouard) Rutherd et Paul (Jean Georges) Rutherd, demeurant 73, route de Schirmeck à la Montagne-Verte
    Rue des Tripiers N° 6, complètement détruit lors du bombardement aérien de Strasbourg le 11 août 1944.
    Caves des locataires, remise, 121,50 m²
    Rez-de-chaussée, 1 logement de deux pièces, cuisine, 1 logement d’une pièce, cuisine, 121,50 m²
    Premier étage, logement de 5 pièces, cuisine, W.C., 121,50 m²
    Deuxième étage, logement de 5 pièces, cuisine, W.C., 121,50 m²
    Troisième étage, logement de 4 pièces, cuisine, W.C., 121,50 m²
    Combles et greniers, logement de 3 pièces, cuisine, W.C. mansardes, 121,50 m²
    Façade en briques, hourdées en mortier de chaux, enduit en mortier de chaux lissé à la taloche, encadrements de portes, fenêtres en pierre de taille, épaisseur 0,75 m
    Murs latéraux, partie en briques, partie en pan de bois, épaisseur 0,25 m
    Cuisines et escalier, plancher en carrelage, Chambres aux 1°, 2° et 3° étages, plancher en parquet, Rez-de-chaussée, plancher en lames de sapin
    Charpente, bois, couverture double en tuiles plates sur lattis, garniture en zinc
    Eau, gaz, électricité, 4 W.C., tout-à-l’égout
    Bon état d’entretien
  • Renseignements fournis par M. Rutherd
    Bodenbelag im Keller (…)
  • Dessins et photographies
    Copie du croquis d’arpentage
    Photographies collées sur papier au tampon de l’architecte Théo Berst
    Dessin, façade, coupe, plan des niveaux
    Plan de situation (architectes Widmann), façade sur rue, coupe, plan des étages

Relevé d’actes

La maison est inscrite dans le Livre des communaux (1587) au nom du ceinturier Bernard Grabenhorst. Originaire de Brunswick, Brand Gravenhorst épouse en novembre 1583 Anne Frentzel, veuve du ceinturier Matthieu Hildebrand

Mariage, Saint-Nicolas (luth. f° 144 n° 29)
1583. den 26. Novemb. sind Ehelich eingesegnet worden Brand Gravenhost von Braunschweig ein Gürtler, vnd Anna Frentzlerin weÿland Matheß Hildebrands des gürtlers selig. hinderlaßene widwe von Straßburgk (i 160)

Matthieu Hildebrand épouse en 1558 Anne, fille du boucher François Frentzel
Mariage, Saint-Nicolas (luth. f° 57)
1558. Den 23. Januar seind Ehelich eingesegnet worden Matthes Hyldebrand von Strasburgk vnd Anna Frentzelin, Frantz Frentzels metzgers tochter von Straßburg (i 61)

Les Conseillers et les Vingt-et-Un renvoient Brand Gravenhorst à l’instance supérieure quand il demande le droit de bourgeoisie en novembre 1583. Il présente une nouvelle fois sa requête en demandant que sa disgrâce soit levée. Les Conseillers et les Vingt-et-Un proposent que la maîtrise des ceinturiers lui inflige une amende avant d’admettre le requérant parmi les leurs.
1583, Conseillers et XXI (1 R 57)
(f° 509-v) XX Novembris – Brand Gravenhorst von Braunschweig, Gürtler Gesellschafft
Brand Gravenhorst von Braunschweig ein Gürtler, p. Bittelb. er hab vorgangenen Sambstag vor Rhat ein Supplôn Zu erlangung des Burgerrechten vbergeben, er seÿ aber von dannen höher gewiesen worden, Reproducirt sein Supplôn, vnd bitt Inhalts, vnnd sonderlich die gefaßte vngnad fallen Zulaßen vnnd Ihne Zu einem burg. anzunehmen. Erkandt, Gürtler herren sollen bedencken ob Ihme nit etwan ein gelt straaff abzunehmen ehe des man Ihne annimpt.

Nouvelle requête de Brand Gravenhorst qui a épousé la veuve de Mathias Hildbrand. La commission rapporte le 20 janvier 1584 que le pétitionnaire a encouragé les compagnons à se rebeller. Elle propose que Brand Gravenhorst fasse un séjour en prison puis promette de ne plus encourager les compagnons à se rebeller contre leur maître.
1584 Conseillers et XXI (1 R 59)
(f° 27) XX Januarÿ – Brand Gravenhorst von Braunschweig, Gürtler Gesellschafft
Brand Gravenhorst von Braunschweig des Gürtlers supplicien, darinn er beg[er]t Nach dem er Mathis Hildtprandts selig. wittwe genommen, burg. zuwerd., Ist gelesen daruff h N. Hug Kniebsen vnd h xv: schimpffen bedencken referirt, daruff beruhend, das mhermalen erkant diweil er vnrüwigst einer thun* vil Jhar geweßen vnd alle vnrhu vnßifferen* vnd fort treib. helffen vnd nit allein die meister sond. Auch meiner hrn verordnete vilfeltig getrutzt, d. mann ihn Zum burg. nit alsbald annemmen sond. ein Zeitt lang nachlauffen lassen soll Dieweil er dann Jetzt darum supplicirt So solt ihm angezeigt werd. d. er sich Inn hafft einstell alsdann werd. ihm gebürend. bescheid. werden, vnd solt er acht tag In hafft endschaltern als dann Inn der urphed Ihme eingebund. werden, sich hinführo der händel so die gesellen wid. die meister fürnemmen gentzlich Zu endtschlagen sich aller getue gehorsam vndschleünig Zuerzeig. Als dann solt ihn d. burg. recht gegönnt werd.
Erkant Ist der H bedencken geuolgt, mit den anhang das künfftig die Hn so Zu dem Handwerck geordnet, macht vnd gewalt haben sollen, wann sie dergleich. angebür von den gesellen spüren, einen Zuhelffen einziehen Zulassen vnd ein Ehr. rhat geschrib. Zugeben.

Brand Gravenhorst devient bourgeois le 30 janvier 1585 par sa femme Anne, fille de François Frentzel et veuve de Mathias Hildebrand
1584, 2° Livre de bourgeoisie (4 R 104), p. 526
Brandtt Grauwerhurst der gürttler Vonn Brunschwig Hatt daß burgrechtt empfangenn Vonn Anna fräntzelin, Frantz fräntzels deß Metzigers Seligenn dochtter, Weÿlandtt Mattis Hilttenbrantts deß Gürtlerß seligenn Wittwen, seiner Haußfrauwen vnnd will Zuo denen schmidenn dienen. Acttum denn 30.t Januarÿ 84.

Autres mentions de Brand Gravenhorst dans les registres du Magistrat
1589 Conseillers et XXI (1 R 66)
Gürtler (Gall Wöltz, Matthis Kein, Brand Grauenhorst und Jacob Bart) wöllen sich laßen redlich machen. 178. 185-187.
1591 Conseillers et XXI (1 R 68)
Gall Weltz und Brand Gravenhorst contra Caspar Rotten et consorten. 625.

Brand Gravenhorst et sa femme Anne hypothèquent la maison au profit de leur voisin ceinturier Jacques Barth. Erasme Schott, beau-frère de la débitrice à qui l’immeuble est propre, et Jean Louis Klein, son cousin, consentent à l’hypothèque.

1595 (vts [8.t Januarÿ]), Chancellerie, vol. 298 (Registranda Kügler) f° 10
(Inchoat. fo: 10.) Erschÿnnen Brand Graffenhurst Gürttler Vnd Burger Allhie vnd Anna sein eheliche Hußfrouw
Haben in gegensein Jacob Barten Gürttlers Vnd burgers Allhie – schuldig sein 100 guldin St. W.
dafür Vnderpfand sein soll Huß, Hoffstatt, Höfflin, mit Allen Andern Ihren gebeüwen geleg. Inn bemelter Unserer Statt Im Kuttel gässlin Ein seÿt neben dem schuldgläubiger selbß die And. seÿt neben Bastian Hernold stost hinden vff Bastian Branden den Thuchman, Dauon gond 5 Pfund Pfenning gelts Ablößig mit 100 Pfund Pfenningen h Michell Heusen dem Seÿffensieder, Mehr Sechs guldin St. W Ablößig mit (-) Ane ein Vicariat des Stiffts Zu Sanct Thoman, deren Possessor Jetzmals Ist H Samuel Hubertus, Dauon gondt dritthalben guldin geltts Ablößig mit 50 guldun St. W. Herrn Melchior Junio, Mehr Zweÿ Pfund Zehen schilling Pfenning geltts Ablößig mit 50 Pfund Pfenning empfahet Jacob Richtinger der Schumacher Inn Vogts wÿß, Vnnd sindt ouch noch verhafftet für 100 Pfund Pfenning Matthÿs Hildebrandt des gürttlers seligen Erben Sunst ledig eÿgen (…) Weÿl Aber obgeschribne Verund.pfänte behaußung obgedachter Anna f. unverändert Ist, derhalben Sindt erschÿnen Asimus Schott der Nestler bemelter Annen schwag. So dann Hannß Ludwig Clein bemelter Annen Vetter, Haben In dise Versatzung beneben obbemelter Annen verwilligt

Salomé Frentzel femme de l’aiguilletier Erasme Schott, les enfants d’Appolonie Frentzel et de Jean Klein ainsi que le boucher Jean Henri Frentzel vendent la maison à Jacques Barth et à sa femme Susanne

1598 (18. Novemb.), Chancellerie, vol. 314-II (Imbreviaturæ Contractuum) f° 105
Kauffbrieff Jacob Barten des Gürttlers
Erschienen Erasmus Schott d. Nestler als ehevogt Salome Fräntzlerin, So dann h. Dieboldt Grießbach vnd h. Israel Bockh beede des Cleinen Rhats beÿsitzere Als von einem Ers: rhat geordnet von wegen Mariæ Cleinen Hans Ferren* des Tuchscherers Zu Offenburg hußfrawen, vnd dann auch von wegen hans Ludwig Cleinen, Item Frantz Clein der buchbind. burg. alhie für sich selbst, Item Geörg Busch der schreiner* als eheuogt Elisabeth Cleinin, Item Simon Rudolff d. buchbind. Als geschworner Vogt Hans Jacob Cleinen obgemelter Mariæ, Hans Ludwig, Frantzen vnd Elisabethæ brud. vnd alle fünff wÿland hans Cleinen des buchbinders, mit Apolloniæ Fräntzlerin selig. ehelich erzielter Kind. vnd dann Hans Heinrich Fräntzlin der Metzg. für sich selbs, vnd haben alle samptlich vnd unverscheidenlich (verkaufft)
Jacob Barthen dem gürttler burg.n alhie, vnnd Susannæ seiner ehelich. haußfrauwen von deren wegen er Jacob Barth Zugegen
Ein Behaußung vnnd Hoffstatt sampt einem cleinen höfflin mit allen Iren rechten Zugehörden vnd gerechtigkeit. gelegen alhie In disser Statt Straßburg vnden ane dem Vischmarckh Im Brueh oder Kuttelgeßlin, einseith neben Inen den Keuffern selbs andersith neben Wolff wÿdenbaur dem gürttler hinden vf h Sebastian Branden stoßend, dauon guth Jarlich Zehen guld. gelts vff S. Margred. tag fellig h. hans Michel Heussen Ablosig mit 200 fl. werung, Item dridthalb guld. gelts vff Jacobi fallendt mit 50 guld. werung Lösig h. Melchior Junÿ P.fessoris alhie haußfrawen, Item 5 guld. gelts vnd Adolffi fallend, Bastian Hardtman, Ablösig mit 100 guld. werung, Item dreÿ pfund Zehn schilling Pfenning gelts, Inn ein Pfrund gutt gehörig, empfahet Jetz h. M. Samuel Hubertus burg. alhie Ablosig mit 70 pfund pfenning, Item Zweÿ pfund 10 schilling pfenning gelts vff weÿhenachten wÿland Peter Vogels des schuflick. selig. Kind. ablösig mit 50. lb d Sonst für freÿ Ledig vnd eigen (…) das der Kauff vber Jetzgeschribene beschwerd. Zugang. seÿe für vnd vmb 200 gulden Straßburg. wehrung

Jacques Barth et Anne revendent la maison au ceinturier Georges Wentzbühel

1601 (4. Martÿ), Chancellerie, vol. 333 (Registranda Kügler) f° 97
Erschienen Herr Jacob Barth Gürtler burger alhie, vnnd Susanna sein eheliche haußfrauw
Haben In gegensein Georg Wentzbühels, Gürtlers (verkaufft)
Hauß, Hoffestatt, Höfflin vnd gemeinen brunnen, mit allen and.n Iren gebeüwen, gelegen Inn d. St. St. Vnden ane dem Vischmarck Im Brüeg od. Kuttelgäßlin, einseit neben den Verkhöufer, selbs, and.seit neben Wÿland Wolff Wÿdenburs des Gürtlers seligen Wittwe vnd erben, stoßend hinden vff H Sebastian Branden, dauon gnd. Zuuor Järlich Zehen guldin gelts St. W. vff S Margreden tag fallendt, ablösig mit 200 guldin bemelter Werung herr Hans Michel Heußen, Item dritthalb guldin gelts St. W. vff Jacobi fallendt mit 50 guldin bemelter Werung lößig Hn Melchior Junio* Pfofessorn der alhieigen Academia, Item Fünff guldin gelts St. W. vff Adolffi fallend, ablößig mit 100 guldin bemelter Werung, Bastian Hartman dolmetsch am Metzgig. thor, Item dreÿ pfund Zehen schilling pfenning geld Inn ein pfund gehörig, empfahet Jetzig Zeit H M. Samuel Huptus ablößig mit 70 pfund pfenning, Mehr 2 pfund 10 schilling gelts vff Weÿhenachten ablößig mit 50 pfund pfenning Hannß Zincken Schuhmachern vnd wann man aber Innerthalbe fünff Jaren (…) Sunst für freÿ ledig eÿgen, Vnd alles recht & der Khouff über diße beschwerden daran d. Khöuffer gewÿssen vnd über sich genommen beschehen vmb 285 guldin Zu xv batzen

Originaire de Hall en Saxe, Georges Wentzbühel épouse en 1589 Anne, fille du cordonnier Laurent Sesenecker (ici Zisenecker)
Mariage, cathédrale (luth. p. 157)
1589. Dominica Quasimodogeniti 6. Aprilis. Georg Wentzbeil der Gurtler von Hall in Sachsen vnd Anna Lorentz Ziseneckers Schuehm. nachg. tochter. Eingesegnet Zinstags dn 15.t Aprilis (i 82)

Georges Wentzbühel devient bourgeois par sa femme Anne fille de Laurent Sesenecker quinze jours après son mariage
1589, 2° Livre de bourgeoisie (4 R 104) p.
Georg Wendtsbeÿel von Hall Inn Saxen, ein gürtler hat daß Burckrecht empfang. von Anna weÿland Lorentz Seseneckers deß Schuhmachers selig. nachgelaßner dochter, vnd will Zun Schmid. dienen Act. erst. Maÿ A° & 89.

Georges Wentzbühel et Anne Sesencker hypothèquent la maison au profit de leur voisin Jacques Barth

1604 (xiiij tag Julÿ), Chancellerie, vol. 351 (Registranda Meyger) f° 270
(Inchoatum in Proth. fol: 227.) Erschienen Georg Wentzbühell der gürtler burger Zu Straßburg Vnnd Anna Sesseneckerin sein eheliche hauß frauw
haben bekhandt vndt In gegenwertigkheit Jacob Barth des gürtlers burgers Zu Straßburg – schuldig sigent 50 pfund pfenning
Zum vnderpfand eingesetzt vnd verlegt hauß, hoffestatt vnd hofflin mit Allen Ihren gebeu & geleg. Alhie In d. St. St. beÿm fischmarck Im Kuttelgässell einsit neben Ime d gloubiger selbst Andersit neben Wolff Widebaur des gürttlers selig. wittwen hind. vff Bastian Brand. den thuchmach. stoßend, dauon geth j ß d Allmend gelt d. Statt, Item x gl gelts Ablösig mit ij C gl Straßburg werung, hannß Michell heüsen, Mehr v gl gelts Lösig mit j C gl Melchior Hartman dem tollmetsch vnd. dem Metzig. thor, Item ij lb x ß d gelts wid. Kheüffig mit L ln d hannß Zincken dem schuemacher, weÿther iij guldin gelts stnd In hauptgutt L guld. wÿland H Melchior Junÿ professoris der Schulen selig. erben, Vnd dann iiij lb viij ß d Zinß Magister Samueli Huperto, Sunst eÿg.

Georges Wentzbühel et Anne Sesencker hypothèquent la maison au profit du marchand Ambroise Trausch

1610 (ut spâ [23 Augusti]), Chancellerie, vol. 388 (Registranda Kügler) f° 213
(Inchoat. fo: 215.) Erschienen Geörg Wentzbühell d. gürttler alhie vnd Anna Seseneckerin sein eheliche haußfr.
Haben Inn gegensein h Ambrosii Trauschen gewerbßmanns bekhandt – schuldig zu sein 25 Pfund d. St. für wahren vnd gelühen gelt
Dafür Vnderpfand sein sollen, huß hoffstatt vnd höfflin sampt einem gemeinen Brunnen, auch allen deren gebeuwen & gelegen In d. St: St. vnden ane dem vischmarck Im Kuttellgäßlin einsit neben Gabriel Schmitt dem kremer 2. sit Wolff Wÿdenburns s. erben, stoßend hinden vf h. Sebastian Branden, Dauon gendt x gld. gelts ablößig mit 200 guldin St. Hans Michel Heusen, Mehr iij gld mit 50 guld St. abzulösen wÿland Hn Melchior Junÿ s. Erben vnd Wittwe, Item 5 gld. gelts wid. keüffig mit j lb gls St. Bastian Hartman, Item 3 lb 10 ß d lösig mit 20 lb an ein Capellaneÿ St. Thoman, Sunst ledig eÿgen

La ville de Nuremberg écrit à celle de Strasbourg au sujet d’une dette de Georges Wentzbühel
1612 Conseillers et XXI (1 R 91)
(f° 72-v) Montag den IV Martÿ – Georg Weis contra Georg Wentzspiehel.
Nurnberg fürsch.ben Georg Weysen wid. Georg Wentzspiehel den Gürtler so Ime 92 fl. schuldig clagt nit allein vber den schuldner in supplôn sonder auch Caspar Schropff der Ine Wentzpiehel auß d. hafft gelaßen ehe er Ine Zalt begert d. man Ime Zur Zalung helffen woll od. Schropffen Zur gepuer anzuhalten so er versaumbt Item 10. fl. vncosten. Erk. Ist für Rhatt gewiesen

Anne, veuve de Georges Wentzbühel, hypothèque la maison au profit du cordonnier Jean Jacques Würth

1629 (24. Jan.), Chambre des Contrats, vol. 464 f° 50
Erschienen Anna weÿ: Georg Wintzbyhels deß Gürtlers see: alhie wittib mit beÿstand hanß Hubners deß gürtlers ihres Vogts
hatt in gegensein hanß Jacob Würten deß schuhmachers alhie bekannt – schuldig seÿ 53. lb
Vnderpfand hauß vnd hoffstat alhie im Kutelgäßlin neben Gabriel Schmidt & Jacob Burger hinden vff H D. Johann Georg Kasten, welche Zuuor v.hafftet vmb 100. fl. St. w. H. D. Johann Hartman It. vmb 50. gld. w. h hannß Heinrich Gambsen vögtlicher weiß, Item vmb 200. gld. w. H hanß Michel heußen XIII.er, Item gehen Jarß auch dauon 6. fl. 9 ß gelts dem Stifft S. Thoman, So dann vmb 50. lb. d Robert Königsmann vnd dann vmb 25. lb. d Daniel Reichshoffer

Anne, veuve de Georges Wentzbühel, vend la maison à Valentin Dochtermann, assisté de son beau-père Guillaume Stalp. L’acte est interrompu, la vente a lieu six mois plus tard (voir ci-dessous)

1631 ([11/12. Julÿ]), Chambre des Contrats, vol. 470 f° 356-v
(nil actum) Erschienen Anna Seseneckerin, weÿ: Georg Wüntzbÿhels deß gürtlers alhie s: witib, mit beÿstand hanß hübners deß gürtlers Ihres Vogts, hat verkaufft
Veltin dochtermann dem Pastetenbecken auch burgern alhie, so zugegen ihme mit beÿstand Wilhelm Stalpen deß schreiners alhie seines Schwehern
hauß, hoffstat, höfflin und den gemein Bronnen mit allen and.n ihren gebäwen & alhie im Kutel: od. Brüehgäßlin zwischen dem Lungengäßlin vnd Rindtsfueß, neben Jacob Burger dem gürtler & neben Gabriel Schmidten deß pariser Krämers see: witib, hinden Vff herrn D. H. Georg Kasten Kleinen rhats procuratorn, dauon gehen Jarß vff Margrethen tag X fl. gelts St. w. in hauptg. mit 200. fl. w. H hanß Michel Heüßen XIII.r, Jt . ii+ fld gelts w. vf Margrethæ h Johann Heinrich Gambsen Vögtlicher weiß mit 50. fl. wer., J. 2. lb 10. s d Zinß vff Adolphi H Johann Heinrich Gambsen mit 50. lb d hauptg., J. 3 lb 9 ß d gelts vff Mathiæ apostoli einer Cappellanen zu St. Thoman in hauptg. mit 70. lb abzulösen, So dann ist dise behausung auch noch v.hafftet vmb 27. lb 11, ß Daniel Reichshofer dem handelßmann, Item vmb 25. lb. d H Daniel Städel, Item vmb 31. lb 10. ß hanß Jacob Seüpel dem goldarbeiter, So gehet Jarß auch duon 1 ß d Allmend Zinß d. St. St. sonst eÿgen, vnd were diser Kauff vber die beschwerd so der käuffer vff sich genommen zugangen [acte interrompu]

Anne Sesenecker, veuve de Georges Wentzbühel, vend la maison au pâtissier Florentin Dochtermann

1632 (XXII Februarÿ), Chambre des Contrats, vol. 466 (expéditions) f° 33-v
(Florentin Dochtermann) Wir ut spâ [Joachim von Berstett der M. &] erschienen ist Anna Seseneckerin weÿ: vnsers Burgers Georg Wentzbÿhels deß Gürtlers see: hinderlaßene witib, mit beÿstand gutem wissen vnd verwilligen Ihres von vnß geordneten Vogts hanß Hübners deß gürtlers (verkaufft)
auch Vnserm burger Florentin Dochtermann dem Pastetenbecken, so zugegen
hauß, hoffstat vnd höfflin, mit allen andern Ihren gebäwen, & gelegen in vnserer St. St. vnden Am Fischmarckht im Brüe: od. Küttel gäßlin, einseit neben Jacob Burger, anderseit neben Gabriel Schmidts see: Erben hinden vf den hochgelehrten Johann Georg Kasten beeder Rechten Doctor, vnd vnsers Kleinen Rhats Redner stoßend, dauon gehet Jährlich Ein schilling d Bodenzinß, vnserer Statt Straßburg, Item Zehen gulden 99 dauon gehet Jährlich Ein schilling d Bodenzinß unserer Straßburger wehrung auff Margarethæ vnserem kleinen geheimen Mitrahts Verwanthen vnd dreÿ Zehener herrn hanß Michel Heußen, in haubtgut mit 200 gulden wehrung, Item drithalben gulden gelts besagter wehrung, vff (-) hanß Jacob Stößers see: Kindern, mit 80 gulden werung, Item 5 gulden gelts vff Adolphi Johann Heinrich Gambsen mit 100 guld. capital, mehrbesagter wehrung abzulößen,So ist dise behausung auch noch verhafftet vmb 69. pfund d dem Stifft S. Thoman alhie, so vff Martini, Item vmb 19 pfund d Daniel Reichshofers see. witib vnd erben, so vff Johannis Baptistæ, Item vmb 35. pfund d hannß Joh. Bapt: d hanß Jacob Seüpel dem goldarbeiter, so vff weÿhenachten Vnd dann vmb 25. pfund pfenning Daniel Städel so auf Weÿhenachten verzinßt vnd auf erfordrern erlegt worden müessen, sonst freÿ, ledig, eÿgen, Vnd were diser Kauff vber die beschwerd. so der Käuffer auf sich genommen, Zugangen vnd beschehen für vnd vmb 217 Pfund pfenning

Originaire du Westrich (Hamming ou Herning), Florentin Dochtermann épouse en 1631 Susanne, fille du menuisier Guillaume Stalp : contrat de mariage, célébration
1631 (24. 7.bris), Chambre des Contrats, vol. 470 f° 480
(Eheberedung) Erschienen Florentinus dochtermann der Pastetenbeck und burger Zu St. alß hochzeiter, mit beÿstand hanß Caspar Heimen auch Pastetenbeck und burgers alhie An einem,
So dann Jgfr. Susanna Wilhelm Stolpen deß Schreiners burgers Zu St eheliche dochter alß hochzeiterin, mit beÿstand ietzernten ihres Vaters vnd hanß Jacob Würtzen deß Schuhmachers Am andern theil

Mariage, cathédrale (luth. p. 304)
1631. Doîca 16. Trinit. 25. 7.bris. Florentius Dochterman der pasteten beck von Hamming* im Westerich Hans Dochterman daselbsten sohn, J Susanna Wilhelm Stalp des schreiners tochter eingesegnet Zintag 4. 8.bris (i 157)

Florentin Dochtermann devient bourgeois par sa femme quinze jours après son mariage
1631, 4° Livre de bourgeoisie p. 122
Florenten Dochtermann Von Herning Auß dem westrich Postettenbeckh Empfangt d. Burg.recht Von Susanna,Wulhelm Stalpen deß Schreiners vnd Burg. Ahne eheliche Tochter Wull Zunfftig sein beÿ den Beckh. den 20. 8.ber 1631.

Florentin Dochtermann se remarie en 1641 avec Anne Elisabeth, fille du marchand Christophe Axt : contrat de mariage tel qu’il est copié à l’inventaire de 1646, célébration
Eheberedungs Copeÿ – zwischen dem achtbaren vndt bescheidenen meister Florentin Dochtermann dem pasteden beckhen burgern alhie zu Straßburg ahne einem, Vndt der Erhen: vndt tugendsamen Jungfrawen Annæ Elisabethæ, weÿland des Ehrenvesten, vndt vornehmen Herren Christoph Axten geweßenen handtelßmans, auch burger daselbst ehelich hinderlaßener dochtern am andern theil (…) Geschehen vndt verhandelt un dießer deß Heÿligen reichs freÿen statt Straßburg vff Donnerstag d. 21. tag deß monats octobris Im Jahr als mann nach Christi Jesu Unsers einigen mitlers, Erlößers vndt seeligmachers heÿlwurtigen geburth Zahlte,1641.

Mariage, cathédrale (luth. p 450)
1641. Domin: XVII Trin: Florentius Tochtermann der Bastetenbeck vndt Burger allhie, vndt Jungfraw Anna Elisabetha, H. Christoff Axten deß geweßenen Handelßmans vndt Burgers nachgelaßene eheliche tochter. Eingesegnet Im Münster. Mont. j. Novemb. (i 230)

Florentin Dochtermann fait dresser l’inventaire de ses apports (actif 706 livres, passif 347 livres) où figure la maison

1642 (23.2.), Not. Ursinus (Jérémie, 60 Not 11) n° 4-A
Inventarium Vber deß Ehrenhafften Florentin Dochtermanns Pasteten becks, burgers alhie Zu Straßburg zu fren. Annæ Elisabethæ Axtin seiner lieben haußfren in die Ehe Zugebrachte nahrung auffgerichtet 1642 (…) vnder andern auch versehen, daß beiderseiths Zusammen bringende vnd ererbende nahrung, einem Jeden vnder Ihnen beiden vnd deßelbigen Erben unverändert sein vndt pleiben solle. (…) So beschehen In beÿsein gedacht fren Annæ Elisabethæ Axtin Mittwoch den 23. Februarÿ Aô 1642.

Inn hernach beschriebener in dieße Nahrung gehörige behausung Ist befunden worden, wie volgt.
Auff d. Bühnen, In d. Cammer A, In d. Cammer B, Inn der Magd Kammer, In d. Cammer C, Vor diesen Cammern, In d. Cammer D, Vor dießer Kammer, Inn d Wohnstuben, Vor dießer Stuben, Inn der Kuchen, Im Bachhauß, Im haußöhren, Im Keller
Werckzeug Zum Pasteten handwerck gehörig
Eigenthumb an einer Behaußung. Item Hauß vndt Hoffstatt, sampt einem gemeinen höfflein, vndt Brunnen, auch allen andern deren gebeüwen, begriffen, weithen, Zugehördten, rechten vndt gerechtigkeiten, gelegen alhie in d. Statt Straßburg, vnden am fischmarckh Im Brühe: od. Kuttelgeßlein, 1.s. neben Jacob Burgers deß seel. Erben, 2. s neben Georg Schmiden geweßenen handelßmanns burgers allhie seel. Erben, hinden vff weÿl. H Johann Georg Kasten, beeder Rechten Doctoris vnd E. Ehrs. Kleinen Raths geweßenen Procuratoris seel. nachgelaßene wittib vndt Erben stoßendt.
Dauon gehet Jährlichen j ß d. boden Zinnß gemeiner Statt vff Bartholomæi, Item 10 fl. gelts Straßb. w. vff Margarethæ H Hannß Michael Heußen dreÿ Zehenern, in hauptgut abzulößen mit 200 fl. derselben wehrung, Mehr 2 ½ gelts auch Straßb. Wehrung Jahrs vff Margarethæ weÿl. H hannß Jacob Stößers burgers alhie seel. Kind. vogt, H Joh: Heinrich Gambßen & mit 50 fl. besagter wehrung abzulößen, Ferner 3. lb 9 ß d gelts, Jahrs vff Mathiæ, dem Stifft St. Thoman alhie wid. lößig in hauptgut mit 69 lb d. Weithers j lb d geltts, Jahrs vff Joh.is Bapt: obehrengedachtem H Hannß Michael Heüßen 13.nern In hauptgutt Zu zweÿen gleich terminen von restirendem Kauffschilling her, Zu bezalen mitt 20 lb d, vndt vber vorstehende beschwerden hiehero noch æstimirt vnd angeschlagen p. 279. lb 15 ß d
Hierüber sagt j t. P. Kauffbr. mit d. St. Str. anhangend. Contract Insigel v.wahret, deßen dat. d. 22. Febr. A° 1632. Inhaltts wie eingangs gedachter Florentin dochtermann dieße behaußung in erstgemeltem Jahr von Anna Senßeneckerin weÿl. Georg Wentzbühels deß Gürttlers seel. wittwen an sich erkaufft habe. Dabeÿ auch noch j. teutsch. Perg. Confessat vber 5 fl. gelts v. 100 fl. Capital vff dieß. behausung, Ist mit d. Statt Kleinerem Insigel v.wahret, v datirt den 2. Martÿ A° 1619. Mehr noch ettliche quittung. abrechnungen vnd dergleichen documenta alles mit N. j bemerckt.
Sa. Haußraths 295, Sa. Werckzeugs zum Pastetenbecken handwerckh gehörig 17, Sa. Silber geschirr und Geschmeids 105, Sa. Guldenen Ring 9, Sa. Eigenthumbs ane einer behaußung 279 lb, Summa summarum 706 lb – Schulden 347 lb, Nach deren Abzug 359 lb

Anne Elisabeth Axt fait dresser l’inventaire de ses apports (actif 584 livres, passif 31 livres)
1642 (23.2.), Not. Ursinus (Jérémie, 60 Not 11) n° 4-B
Inventarium Vber der Ehren vndt tugendsammen frawen Annæ Elisabethæ Axtin, Zu dem Ehrenhafften Florentin Dochtermann, Pastetenbecken, burgern alhie Zu Straßburg Ihrem lieben haußwürth in die Ehe Zubrachte nahrung auffgerichtet 1642.
Inventarium vnd Beschreibung aller haab vndt nahrung, So die Ehren: vndt tugendsame fraw Anna Elisabetha Axtin, weÿl. H. Christoph Axten geweßenen handelsmanns, burgers alhie Zue Straßburg seeligen hinderlaßene dochter, dem Ehrenhafften Florentin Dochtermann Pastetenbecken, burgern alhie Zu Straßburg Ihrem lieben haußwürth in die Ehe Zubringen thut, vndt vermög der Zwischen Ihnnen beiden auffgerichteter Eheberedung ihro vndt ihres Erben für unverändert eigenthümlichen Zustendig (…) Beschehen auff Mittwoch den 23. Februarÿ Aô 1642.
Inn einer alhie in der Statt Straßburg Im Brühe: od. Kuttelgeßlein gelegenen Behausung so eingangs gemeltem Florentin Dochtermann eigenthümlich zuständig Ist, befund. word. wie volgt
In d. Cammer C, In d. Cammer D
Eigenthumb an Einem Khremer gaden. Item ein gantzer fünffter theil vnd ein Vierter theil am fünfften theil für vngetheilt ane einem Khremer gaden inn Khremergaßen (…)
Sa. Haußraths 105, Sa. Silber geschirr und Geschmeids 20, Sa. Guldenen Ring 9, Sa. Pfenningzinß hauptgütter 228, Sa. Eigenthumbs ane einem Krämergaden 125, Sa. Schulden 96, Summa summarum 584 lb – Schuld 31 lb, Beschluß summa, Conclusio finalis Inventarÿ 553 lb

Florentin Dochtermann meurt en délaissant un fils de son premier mariage et deux du deuxième (dont l’un meurt quand l’inventaire est dressé). La masse propre à la veuve est de 376 livres, celle propre aux héritiers de 75 livres. L’actif de la communauté s’élève à 240 livres, le passif à 182 livres.

1646 (18.7.), Not. Ursinus (Jérémie, 60 Not 16) n° 20
Inventarium vndt Beschreibung Aller Haab vndt Nahrung, so weÿl. der Ehrenhaffte Florentin Dochtermann, Pastetenbeckh, burger alhie Zu Straßburg nunmehr seel. nach seinem aus dießer Welt tödtlichen hinscheÿden hinder ihme verlaßen, Welche die Ehren: vndt viel tugendtsame frau Anna Elisabetha Axtin sein hinderlaßene wittib, mit hülff vndt beÿstandt deß auch Ehrenhafften Hannß Ludwig Luntzen, Messerschmidts, burgers alhie, Ihres geschwornen vogts, auf freundliches ansuchen erfordern vndt begehren des Ehrengeachten vndt Achtbahren Herrn Hannß Wagners, verampten im Ungelts als hannß Wilhelm dochtermanns, deß ietzt abgeleibten mit auch weÿl. der Ehren: vnd tugendsamen frau Susannæ Stalpin, seiner vorigen haußfrawen in erster Ehe ehelich erziehlten Söhnleins, geschwornen vogts, vnd herrn Michael Emerichs Handelßmanns burgers alhie, alß Isaacs vndt Abrahams, davon aber Abraham Zwischen d. Inventation und außfertigung dießes Inventarÿ v.storben, sein deß ietzt abgeleibten sel. mit obernandter frn Annæ Elisabethæ Axtin, seiner iezt hinderlaßenen wittwen ehelich erzielter beeder Söhnlein geschwornen Vogts, vndt also aller 3. deß ietzt abgeleibten seel. in Zwoen ehen ehelich erzielter Kind. vndt ab intestato hinderlaßener nechster Erben geäugt vndt gezeigt (…) So beschehen auff Donnerstag den 18.ten Julÿ Anno 1646.

Eheberedungs Copeÿ (…) vff Donnerstag d. 21. tag deß monats octobris 1641.
Inn einer alhie in der Statt Straßburg im Brüh: oder Lungengaßlein in einer Behaußung in dieße Verlaßenschafft gehörig hernach beschrieben, Ist befunden worden wie volgt
Auff der Bühnen, In der Kammer A, In der Kammer B, In der Kammer C, In der Kammer D, In der Kammer E, Inn d Wohnstuben, Inn der Kuchen, Vnden im haußöhren, In der Werckstatt, Im Keller
Eigenthumb vndt Besserung ane einer Behaußung, so der Erben ohnverändert. Item Hauß vndt Hoffstatt, sampt einem gemeinen höfflein, vnd Brunnen, auch allen andern deren gebeüwen, begriffen, weithen, rechten, Zugehördten vndt gerechtigkeiten, gelegen alhie in d. Statt Straßburg, vnd. am vischmarckh, Im Brüh od. Kuttelgeßlein, 1.s. neben Jacob Burgers deß Gürttlers, burgers allhier seel. Erben, 2. s neben weÿl. Georg Schmiden, geweßenen handelßmanns v burgers allhier seel. Erben hind. vff weÿl. H Johann Georg Kasten, beed. rechten Dris vnd E. Ehrs. Kleinen Raths geweßenen Advocaten, Procuratoris seel. hind.laßner Fr. wittib v Erben stoßendt.
Dauon gibt mann Jährlich. vff Bartholomæi gemeiner Statt j ß d. boden Zinnß (2 s. neben Georg Schmiden geweßenen handelßmanns, burgers alhie seel. Erben), Item 5 lb 5 ß d Zinnß vff Margarethæ H Johann Michael Heußen, 13.nern, stehen in hauptgut abzulößen mitt 105. lb, Mehr j lb 6 ß 3 d Zinnß, Jahrs auch vff Margarethæ H hannß Jacob Stößers burgers alhie seel. Kind. seindt ablößig in capital mit 26 lb 5 ß d, Ferners 3 lb 9 ß d Zinnß Jahrs vff Mathiæ, dem Stifft St. Thoman alhie wid. lößig in hauptgut mit 69 lb d. Weithers j lb d Zinnß Jahrs vff Joh. Bapt: obgedachtem H hannß Michael Heüßen 13.nern in hauptgutt Zu 2. gleich terminen von restirend. Kauffschilling her, Zu bezalen mitt 20 lb, Sonsten freÿ ledig vndt eigen, vndt vber vorstehende beschwerden hiehero noch æstimirt vnd angeschlagen p. 180. lb 5 ß
Darüber sagt j t. Perg. Kauffbr. mit d. St. Straßb. anhangend. Insigel v.wahret, deßen dat. den 22.ten Februarÿ A° 1632. Inhaltts wie d. ietzt abgeleibte seel. dieße behaußung in erstgemeltem Jahr von Anna Senßeneckerin weÿl. Georg Wentzbühels, Gürttlers v. burgers alhie seel. wittwen an sich erkaufft habe. Dabeÿ auch noch j. t. Perg. Confessat vber 5 fl. gelts v. 100 fl. Capital vff dieß. behausung, Ist mit d. Statt Kleinem Insigel v.wahret, v datirt den 2.t Martÿ A° 1619. Mehr noch ettliche quittung. abrechnung. v. d.gleichen documenta, alles mit alttem N. j bemerckt.
Wÿdem So der ietzt abgeleibte biß in sein absterben genoßen. Item vemög deß Zwischen dem ietz verstorbenen seel. vndt seine mitt auch weÿl. Susanna Stolpin seiner vorigen haußfrau seel. ehelich erziehlten hinderlaßenen Söhnlins Hannß Wilhelms geschwornem vogt (…)
Der Wittib unverändert Nahrung, Sa. haußraths 6, Sa. Silbers vndt Geschmeids 14, Sa. Guldenen Rings 1, Sa. baarschafft 50, Sa. Pfenningzinß hauptgüter 206, Sa. Ergäntzung 98, Summa summarum 376 lb
Der Erben unverändert Gutt, Sa. haußraths 123, Sa. Werckzeugs Zum Pastetenbecken handwerck gehörig 14, Sa. Silbergeschmeids 79, Sa. Eigenthum und besserung ane einer Behaußung 180, Sa. Ergäntzung 73, Summa summarum 471 lb – Schulden 397 lb, Nach deren Abzug 75 lb
Die Theilbahre verlaßenschafft betreffend, Sa. haußraths 26, Sa. Werckzeugs Zum Pastenbecken handwerckhs gehörig 17, Sa. Silers 8, Sa. Ring 5, Sa. Baarschafft 2, Sa. Schulden 170, Summa summarum 240 lb – Schulden 182, Nach deren Abzug 57 lb
Conclusio finalis Inventarÿ 688 lib.

La veuve Anne Elisabeth se remarie en 1647 avec le pâtissier Jean Philippe Sachs, fils du greffier d’Ottweiler près de Sarrebruck : contrat de mariage, célébration
1647 (3.3.), Not. Ursinus (Jérémie, 60 Not 44) f° 97
Eheberedung Hanß Philipps Sachßen des Pastetenbeckhen vndt Fren Annæ Elisabethæ Axtin Florentin Dochtermans des Pastetenbecken, burgers alhier seel. wittwen
zwischen dem Ehrenhafften vndt bescheÿdenen Hanß Philips Sachßen, Pastetenbecken, weÿland herrn Wolffgang Heinrich Sachßen, geweßenen Statt schreibers seeligen Zu Ottweÿler beÿ Sarbrücken ehelich erzeiltem hinderlaßenem Sohn, ane einem
vndt der Ehren: vndt viel tugendsamen Frawen Annæ Elisabethæ Axtin, weÿland des auch Ehrenhafften Florentin Dochtermanns, ebenmeßig Pastetenbeckens, burgers alhier seeligen hinderlaßener wittwen, am andern theil
auff vnderhandlung der Ehren vndt vorgeachten auch Ehrenhafften Peter Weÿlen, Schneiders, auff sein deß Hochzeiters, So dann auf Ihr der fraw hochzeiterin seithen Hannß Ludwig Kuntzen, Meßerschmidts, herrn Friderich Balthasar Kaltten, vndt herrn Michael Emerichs beeder Handelßleüth aller burgere alhie Zu Straßburg, Ihr beÿderseiths respectivé geschwornen vogts, Schwägeren vndt ebettener günstiger Herren Beÿständere vnd Saal persohnen
Endlichen vndt zuem fünfften, So hatt der Hochzeiter auch bewilligt, zugesagt vndt versprochen, der fraw Hochzeiterin albereith habendes, auß voriger Ehe erzieltes Söhnlein, Isaac genandt, biß er seine achtzehen Jahr erreicht, gebührendt Zu erziehen, Zuvnderhaltten vnd in sein Costen, ohne deß Söhnleins Zuthun, ein ehrlichen Handthierung oder Handwercks darzu es Künfftiger Zeitt lust haben vnd dauglich sein würdt, lehren zu laßen
Auff Mittwoch den dritten tag deß monaths Martÿ Im Jahr deß herren als man Zaglte 1647.

Mariage, cathédrale (luth. p. 504)
1647. Domin. Quadrages. Hanß Philips Sax der Bastetenbeck Wolff Heinrich Saxen, geweßenen Statschreibers Zu Ottweiler, ehelicher Sohn, vnd Anna Elisabeth, Florentin Tochtermann, Bastetenbeckens vnd Burgers allhie nachgelaßene Wittib. Im Münster Mont. 15. Martÿ (i 257)

Jean Philippe Sax (Sachs) devient bourgeois une semaine après son mariage
1647, 4° Livre de bourgeoisie p. 242
Hannß Philipp Sax der Pastetenbech Von Ottweÿler empfangt d. burgerrecht von seiner haußfrauwen Anna Elisabetha Florentin dochtermanns des Pastetenbeckhs seel. Wittib vmb 8 Gold fl. it ledigen standts geweßen v. würdt Zu E. E. Zunfft der Beckhen dienen. Jur. den 23. Martÿ 1647.

Jean Philippe Sachs achète en 1652 la maison voisine à l’ouest (ancienne maison de Jacques Barth) qu’il réunit à la sienne.

Jean Philippe Sachs se remarie en 1672 avec Anne Chrétienne, veuve du pâtissier Nicolas Allheilig : contrat de mariage, célébration
1672 (30. Apr.), Chambre des Contrats, vol. 539 f° 255
(Prot. fol. 86 – Eheberedung) Hannß Philipß Sachß der Pastetenbeckh Burger Zu Straßburg alß hannß mit assistentz H Johann Werner Sattler deß Postverwalthers seiner Kinder Vogts an einem,
So dann Anna Christina Weÿl. Niclaus Allheÿligen geweßenen Pastetenbeckhen nunmehr seel. nachgelaßene Wittib alß Hochzeiterin mit beÿstand H. Michael Braunen deß Weißbeckhen ihres Curatoris und diebolt Hummels auch Weißbeckhen ihres Schwagers, alle Burger alhier am anderntheil

Mariage, Saint-Thomas (luth. p. 28, n° 115)
1672. Dom. Rogate et Exaudi den 12. v 19 Maÿ Joh: Philip Sax der Pastet. beck undt burg. allhier vndt Anna Christina weÿl. Niclauß Alheiligs gewesenen Pasteten beck vnd burgers wittib. Eingesegnet Zu St. Thomæ Donnerstag den 23. Maÿ (i 16)

Le pâtissier Nicolas Allheilig épouse en 1655 Anne Chrétienne, fille du boulanger Matthieu Hügel
Mariage, Saint-Thomas (luth. f° 23-v)
1655. Eâdem [Festo Paschalis d. 15.t Aprilis] Nicolaus Allheilig der Pastetenbeck, Nicolaus Allheilig des Pastetenbeck. v burgers alhier Ehelicher Sohn, J. Anna Christina Matthie Hügels des Weißbecken vnd burgers (alhie) Eheliche Tochter. Copulitt d. 24.t Ap. JS Peter Zu St (-) (i 27)
Proclamation, Saint-Pierre-le-Jeune (luth. f° 72, n° 11) 1655. Eodem Pasch. Festo Nicolaus Allheilig der Pastetenbeck, Nicolai Allheilig des Pastetenbecken vndt burgers alhier ehelicher Sohn,vndt Jungfrau Anna Christina Matthiæ Hüegels des Weißbecken vndt burgers alhie eheliche Tochter. Copulabantur Zinst. d. 24. Aprilis Zu Sct. Thomas (i 83)

Anne Chrétienne Hügel fait dresser l’inventaire de ses apports dans une maison rue du Bouclier. Elle sera héritière pour un tiers des biens dont sa mère Catherine Schædel a la jouissance viagère. L’actif s’élève à 1 045 livres, le passif à 192 livres.
1672 (1.6.), Not. Ursinus (Jérémie, 60 Not 42) n° 7
Inventarium über Frawen Annæ Christinæ Hügellin Zu H Johann Philipß Sachßen, Pastetenbecken undt Burgern alhie, Ihrem ietzigen lieben haußwürth in den Ehestandt zugebrachte Nahrung auffgerichtet 1672. (…) durch Fraw Annam Christinam Mit beÿstand deß Ehren vnd vorgeachten herrn Michael Braunen Weißbecken vndt Burgers alhie, Ihres noch ohnentledigten vogts, wie auch deß Ehrenhafften Theobald Hummels ebenmäßig weißbecken vnd Burgers alhie, Ihres Schwagers (…) So beschehen auff Sambstag den 1.t Junÿ A. 1672.
Inn einer alhier in der Sttt Straßburg inn der Schildts gaß gelegener behaußung H hanß Adam Eißenschmid Stattschrbn Zu Beel eigenthümlich gehörig, der Fr. aber Lehnungs weiß bewohnt ist befund. word. wie volgt
Inn der obern Vorden Stuben. Inn der obern hindern Stuben, Inn der mittlern hindern Stuben, vor dießer Stuben, Inn der Cammer B, Inn der vndern Stuben, Inn der vndern Kuchen, Il vndern haußöhren, Im Keller
Sa. haußraths 463, Sa. früchten 90, Sa. Weins vnd der Vaß 47, Sa. Silber geschirr und Geschmeids 117, Sa. Guldinn Ring 34, Sa. der Baarschafft 225, Sa. Schulden 67, Summa summarum 1045 lb – Schulden 192, Nach deren Abzug 853 lb
Wÿdemb So Frau Catharina Schädlerin, Weÿl. H Mathÿs Hügels, geweßenen weÿßbecken und Burgers alhie seel. hind.laßene Wittib, d. fraw Mutter noch ad dies vitæ wÿdembs weÿß Zu genießen hatt, ahne ihren Eigenthumb aber der Frn ein dritter theil gehörig
Wÿdemb So die Fraw auß voriger Ihrer Ehl. nach Zugenießen hatt. Vermög deß, über H. Nicolai Allheÿligs geweßenen Pastetenbecken vndt Burgers alhie d. fraw vorigen haußwürths seel. verlaßenschafft auffgerichteten Inventarÿ
Conclusio finalis Inventarÿ 945 lb

Jean Philippe Sachs fils rachète les parts de ses cohéritiers. Il épouse en 1692 Anne Barbe Weissheyer, fille du maire de Dorlisheim : contrat de mariage, célébration

Eheberedung – zwischen dem Ehrenhafften Herrn Johann Philippß Saxen, Pastetenbecker Vndt bereits Burger Alhier, Weÿland deß Ehrenvest Wohl vorgeachten vndt Weißen herrn Johann Philipps Saxen deß älttern auch geweßenen Pastetenbecken burgers vndt E. E. Kleinen Rhats Allhier Altten Beÿsitzers hinderlaßener Ehelicher Sohn alß Hochzeittern, an Einem, So dann der Viel Ehr vndt Tugendsamen Jungfrauwen Annæ Barbaræ Weißheÿrinn des Ehrenhafften vnd Vorgeachten herrn Wolffgang Weißheÿers Wohlverordneten Burgermeisters Zue Dorlißheim Eheleiblicher dochter alß Hochzeiterin Andern theils (…) Donnerstags den 29. Novembris Anno 1691, (unterzeichnet) Hannß Phillipp Sachs, ABW

Mariage, Temple-Neuf (luth. f° 30-v n° 188)
1692. Eod. [Dom. Jubilate] Seind Zum II mahl ausgeruffen Worden Johann Philipp Sachs Pasteten beck Weiland Joh: Philipp Sachsen E. E. Kleinen Raths Beÿsitzers auch Pasteten Becken nachgel. S. Jfr. Anna Barbara Wolffgang Weißheiers Burgermeisters Zu Dorlißheim hiesiger Herrschafft ehel. T. Sind den 7.ten Maji Würcklich copulirt Worden. (unterzeichnet) hannß Philipp Sachs als hochzeitern, A der hochzeiterin Zeichen (i 31)

Fille du vigneron Wolff(gang) Weissheyer, Anne Barbe devient bourgeoise par son fiancé Jean Philippe Sachs.
1691, 4° Livre de bourgeoisie p. 604
Anna Barbara Weißheÿerin von Dorlißheim Wolff Weißheÿers des Rebmans daselbst Ehel. tochter, empfangt das burgerrecht von Joh: Philipp Sachßen dem Pastetenbeckh, vndt burgern allhier, als deroselben Verlobten, gratis, ist annoch ledigen standtes, Vnd wird Zu E. E. Zunfft der becken dienen. Prom d. 28. dito [9.br] 1691.

Les nouveaux mariés font dresser l’inventaire de leurs apports dans les deux maisons voisins propres au mari ; ses apports s’élèvent à 699 livres, ceux de sa femme à 209 livres.

1692 (30.6.), Not. Theus (Philippe Henri, 59 not 24) n° 796
Inventarium vndt Beschreibung aller Vndt jeder haab, Nahrung Undt güettere, so der Ehrenhaffte Herr Johann Philipp Sax Pastetenbeck, Vndt die Viel Ehren vndt tugendsame Fraw Anna Barbara, gebohrne Weißheÿerin, beede Eheleütt vndt burgere Alhie einander in ihren ohnlängst mitteinand. angetrettenen Ehestandt für vnverändert würcklich Zugebracht haben, Welche Zur Verhütung all über*achtigen streits, Wie auch jedes das Seinige in deß andern gegen Wahrt vorgewießen vnd angegeben (…) Actum in der Königlichen Freÿen Statt Straßburg in beÿsein der Ehrenvest Fürsichtig Vnd Weiße auch Vorgeachten herrn Philippß Küblers, E. E. Großen Rhats alhier Nunmahligen Wohlmeritirten Beÿsitzers auf Ihr d. Frawen uf sein H. Saxen seitten aber H Georg Gollen, handelßmanns vndt burgers alhier, seines leiblichen Schwagersn Montags den 30. Junÿ Anno 1692.

In einer der Statt Straßburg in der Kuttelgaßen gelegenen, Ihme H Saxen Eigenthümlich gehörigen vndt hernach beschriebenen Behaußung befunden worden wie volget
Sa. haußraths M 174, F 129, Schiff und geschirr Zum Pastetenbecker Handwerck gehörig M 27, Silber geschirr und Geschmeid M 2, F 18, Guldinen Ring F 13, Baarschafft M 49, F 3
Eigenthumb ane Behausungen (M.) Item hauß v. hoffstatt, gemeinschafft deß höffleins, bronnen v. cloac, mit allen andern deren gebäuden, begriffen, Weitten, Rechten, Zugehörden v. gerechtigkeiten gelegen alhier Zue Straßburg in der brüh: od. Kuttelgäßlein, ane d. fischmarckt, eins. neb. weÿl. hanß Michael Stattmanns, deß Tabacmachers v. burgers alhier, sel. hind.blieb. with. anders. neb. nechst hernach volgend. behaußung gelegen, hind. auff Mstr Martin Wolffend. d. Kübler v. burger alhier stoßend. Davon gefallen jährl. 5 fl. Wehrungs Zinß auf Thomæ Apli. dem Stifft St. Thomæ alhier wid.lößig mit 100 fl. ermelter Wehrung. Und dann 15 ß d Zinß jährlich auf Michaelis weg. deß durchbruchs auf alhiesig. d.thurn, von dießem v. volgendem hauß, thut hiehero die helffte 7 ß 6 d. Sonst über jetzgemelte beschwerden, freÿ, ledig v. eig.
(M.) Item hauß v. hoffstatt sampt j. gemeinen höfflein v. bronnen auch allen andern gebäwen begriffen, Weitt. Recht. Zugehörd v. gerechtigkeit gelegen alhier Zu Straßb. vnd. am Fischmarckt im brüh: od. Kuttelgäßlein eins. neb. Phil. Gißen deß barchethändlers Nachkomm. nahmens Johann Bahnen auch barchethändlers v. burg. alhie, and.s. neben Vorher beschrieb. behaußung, hind. auf Martin Wolffender d. Kübler stoßend, Von dißem hauß gibt mann jahrs auf Bartholomæi gemeiner Statt j ß bod. Zinß, Weitters auf allhießig. d.thurn an 15 ß d deß durchbruchs weg. die helffte thut 7 ß 6 d. Mehr 3 lb 9 ß d . Zinß jahrs auf Matthiæ dem Stifft St Thomæ alhier, ablößig in hauptgut mit 69. lb d. Ferner soll Er H Joh: Phil. annoch seinem mittlern brudern Johanni auf beede häußer, über abzug j lb d so Er Ihme schuldig, p rest an deßelben Antheil 19 lb d, Item H Georg Gollen dem handelßmann soll mann auch noch auf beeden häusern in Capitali 450 fl. thun 225. lb, sonsten seindt gedachte beede häußer über obenangeregte beschwerd. freÿ ledig v. Eigen, vndt dißmahlen gantz ohnpræjudicirlich beÿ dem præcio, wie Er H. Hanß Phil. Sax selbige von seinen Geschwisterd. Eigenthümlich übernommen nemblichen mit d. alt. beschwerd. pro 787 lb. Über abzug aber vorher specificirter darauf annoch hafftenden beschwerd. (welche in capital Zusammen werffen 381. lb 10 ß d) v.bleibt per rest noch in außwurff Zuebring. übrig allein 406. lb d
Über das neben Bahnen nunmehr gelegene hauß besagt j. teutsch. perg. Kauffbr. mit der Statt Straßb. anhangendem Contract Insigel v.wahrt dat. d. 22. feb. A° 1632. mit alt. N° 1 et 2
Über das neben Stattmännisch. Wit. geleg. hauß aber ist v.hand. 1 p.gam. Kauffbr mit d. Statt Straßb. anhangendem Cancel. Contract Insiegel v.wahrt de dato d. 9. 9.bris A° 1652. mit alttem N° 3 Dabeÿ i. ältter teutscher p.gam Kauffbr. mit d. Statt Straßb. anhangendem Contract Ins. dat. d. 29. Aug. A° 1636 mit alt. Nis 1 & 3. So dann ettlich abgelößte Zinß: v. j. Gantkauffbrieff
Sa. Eigenthums ahne Behaußung M 406, Pfenningzinß hauptgüettere M 56 lb, Schulden in die Nahrung zuegeltend M 23, Summa summarum M 740 lb, F 209 lb – Schulden aus der Nahrung Zubezahlend M 16, Nach deren Abzug 699 lb

Anne Barbe Weissheyer meurt en 1693 en délaissant pour uniques héritiers ses parents. L’inventaire décrit la maison de la même manière que ci-dessus.

1693 (1.7.br), Not. Theus (Philippe Henri, 59 not 25) n° 825
Inventarium und Beschreibung Aller Vndt Jeder Haab, Nahrung Vndt güettere, so weÿland die Viel Ehren und Tugendsame Fraw Anna Barbara, gebohrne Weißheÿerin, deß Ehrenhafften Herrn Johann Philipp Saxen, Pastetenbecken, vnd burgers alhier geweßene geliebte Eheliche haußfrau, nach Ihrem den 17. Aprilis diß Zue End gemeltten Jahres auß dießer Zergänglichen Weltt genommenen seeligen hinscheiden, hinder Ihro verlaßen, Welche Verlaßenschafft auf freundliches ansuchen erfordern und begehren hernachgemeltter Ihr der seelig abgeleibten Fraweb geliebte Elttern und ab intestato hinderlaßene Frembder Erben, durch vor Ehrengemeltten Hn Saxen den hinterbliebenen Wittibern mit beÿstand herren Georg Gollen handelßmann Vnd burgers allhier seines leiblichen Schwagers (…) Actum in der Königlichen Freÿen Statt Straßburg dienstags den 1. Septembris Anno 1693.
Die seelig abgeleibte Eingangs gemelte Frau Anna Barbara Saxin hat ab intestato Zu Erben hinderlaßen ihre geliebte leibliche Elttern Nahmentlichen den Ehrenhafften vndt Achtbaren Herrn Wolffgang Weißheÿern, altten Burgermeister Zue Dorlißheim vnd die Ehr und Tugendsame Fr. Maria gebohren Salonin, beede Eheleütt vnd Burgere zue Dorlißheim, so beede persönlich und beneben Ihnen auch in Ihrem namen Zuegeg. der Ehrenvest, Vorgeacht vnd Weiße herr Georg Sigmund Braunsmänttel, Zinngießern vnd E. E. Kleinen Raths alhier ietzmäligen Wohlmeritirt Beÿsitzer

In einer der Statt Straßburg in der Brüh: oder Kuttelgaßen gelegenen, hiehero vnd Zwat dem H. Wittiber unverändert gehörigen vndt hernach beschriebenen Behaußung befunden worden wie hernacher volget
Ahne haußrhat. Auf d. obern Bühnen, In d. Cammern A, In d. Cammern B, In dem obern Stüblein, In d. Cammern C, In d. Cammern D, In d. Cammern E, Vor dießer Cammer, In d. obern od. Wohnstub, In d. Nebens Stuben, In d. Küchen, Vnd im Sommerhauß, Im vndern Haußöhren, In d. Backstuben, Im Keller, Im Nebens Keller
Sa. haußraths W 96, E 83, T 11, Schiff und geschirr Zum Pastetenbecker Handwerck gehörig W 18, Silber geschirr und Geschmeid W 2, E 8, Guldinen Ring Z 11, Baarschafft W 33 E 17 T 16, pfenningzinß hauptguth 6
Eigenthumb ahne Behausungen dem H. Wittiber Unverändert gehörig (W.) Item hauß vndt hoffstatt, gemeinschafft deß höffleins, bronnen vndt cloacs, mit allen andern deren gebäuden, begriffen, Weitten, Rechten, Zugehörden v. gerechtigkeiten gelegen alhier Zue Straßburg in der brüh: od. Kuttelgäßlein, ahne dem fischmarckt, einseit neben weÿland Hanß Michael Stattmanns, deß Tabacmachers v. burgers alhier, seel. hinderbliebenen Wittibin. anders. neb. nechst hernach volgend. Behaußung gelegen, hind. auff Meister Martin Wolffender d. Kübler v. burgern alhier stoßend. Davon gefallen jährl. 5 fl. Wehrungs Zinß auf Thomæ Apostoli dem Stifft St. Thomæ alhier wid.lößig mit 100 fl. ermelter Wehrung. vndt dann 15 ß d Zinß jährlich auf Michaelis wegen deß durchbruchs auf alhiesigen Pfenningthurn, von dießem vndt volgendem hauß, thut hiehero die helffte 7 ß 6 d.
(W.) Item hauß vndt hoffstatt sampt einem gemeinen höfflein vndt bronnen, auch allen andern gebäwen begriffen, Weitten, Rechten, Zugehörden v. gerechtigkeitten gelegen auch alhier Zu Straßb. vnd. am Fischmarckt im brüh: od. Kuttelgäßlein eineit neben hievor beschriebener behaußungn anders. Johann Bahnen dem Barchethändler vndt burgern alhie, hinden auf Martin Wolffender d. Kübler stoßendt, Davon gibt mann Jahrs auf Bartholomæi gemeiner Statt 1 ß boden Zinß, Weitters auf allhießiger Pfenningthurn ahne 15 ß d die helffte deß durchbruchs halben thut 7 ß 6 d. Mehr 3 lb 9 ß d . Zinß jahrs auf Matthiæ dem Stifft St Thomæ alhier, ablößig in hauptgut mit 69. lb d. Welche vorhergehende auf gedachten beeden häußern annoch hafftende alte Beschwerden Zusammen belauffen in Capital nemblichen auf 137 lb 10 ß. Indeme der Wittiber bemelte beede häußer mit seinen leiblichen Geschwisterden biß A° 1691 ohngethelit gewesen, von denselbigen pro 13 fl. Eigenthümlich übernommen nemblichen alß werden Selbige anietzo auch in solchem preiß hiehero gebracht thun 650 lb. d. Dauon aber ist ferner Abzuziehen waß Er seinem mittlern brudern H. Johanni Saxen so Zue Bischweÿler der Zeit sich in diensten auffhalttet, darauff capitaliter p rest annoch schuldig ist, nemblichen 14 lb s So dan was derselbe auch seinem leiblichen Schwagern H Georg Hollen dem handelßmann und Burgern allhier alß Fr. Margarethæ gebohrenn Saxin sein H Joh: Philippß leiblichen Schwester Ehevogten im hauptguth (…) 225 lb, Welche nechst Vorhergemelte beede posten Zusammen thun 239 lb. Über deren Abzug bleiben annoch p. rest in Außwurff Zubringen übrig 411 lb
Über letztgemeltes neben Bahnen nunmehr gelegenes hauß besagt j. Teutsch. pergamentener Kauffbrieff mit d. Statt Straßb. anhangendem Contract Insigel v.wahrt datirt d. 22. feb. A° 1632. mit alt. N° 1 et 2 signirt
Über das neb. Stattmännisch. Wittib gelegene hauß aber ist vorhanden 1 p.gam. Kauffbr mit d. Statt Straßburg anhangendem Cancelleÿ Contract Insiegel v.wahrt de dato d. 9. 9.bris A° 1652. mit altt. N° 3 vermerckt. Dabeÿ i. ältter teutsch. p.gam Kauffbr. mit d. Statt Straßb. anhangendem Contract Ins. datirt d. 29. Augusti A° 1636 mit alt. Nis 1 & 3. So dann ettlich abgelößte Zinß: v. j. Gantkauffbrieff
Sa. Eigenthums ahne Behaußung W 411, Schulden in das Erb zuegeltend W 11, T 14, Ergäntzung d. Erben unverändert (45, abzug 1, rest) 44
Eheberedung (…) Donnerstags den 29. Novembris Anno 1691

Jean Philippe Sachs se remarie en 1700 avec Anne Marguerite Krieger fille de Jean Jacques Krieger : contrat de mariage, célébration
1700 (4.11.), Not. Scherer (Jean Louis, 53 Not 9)
Eheberedung Hn Johann Philipp Sachßen Pastetenbecks Jgfr. Annæ Margarethæ Kriegerin. Donnerst. d. 4.t Novembris 1700.
zwischen dem Ehren: und Vorgeachten Hn Johann Philipp Saxen, Pastetenbecken und Burgern alhier, alß hochzeiter an einem,
und dann d. Ehrn: und tugendsamen Jungfrawen Annæ Margarethæ Kriegerin, weÿl. des Ehren: und Mannhafften hannß Jacob Kriegers, gewesene Statt Constablers und feürwerckers alhier ehelicher hinderlaßener Tochter als des Jungfraw hochzeiterin anden theils
Straßburg Donnerst. d. 4. 9.bris 1700 (unterzeichnet) hannß Philipe Sachs als hochzeiter, o sig: der Jfr. hochzeiterin

Mariage, Temple-Neuf (luth. f° 113, n° 555)
Mittw. d. 8. Xbr. wurd. nach ordentlicher außruffung copulirt Johann Philipp Sachs d. Pastetenbeck v. Burger allhier v. J. Anna Margaretha, weil. Johann Jacob Kriegers des geweßenen Constablers allhier nachgelaß. ehl. tochter (unterzeichnet) hannß Philipp Sachs als hochzeiter, q der hochzeiterin hand Zeichen (i 112)

Jean Philippe Sachs se remarie en 1706 avec Marie Salomé Ferber, veuve de David Ulric Mann, pharmacien à Freudenstadt. Le pasteur de Willstätt Jean Adolphe Ferber, père de la mariée, est témoin.
Mariage, Temple-Neuf (luth. f° 170-v n° 779)
1706. Mittwoch den 22.t 7.mbr. Seind nach 2. mähl. Proclamation ehl. copulirt worden Joh: Phil. Sachs der wittwer, b. u. Pastetenb. allhier, und Fr. Maria Salome, weÿl. f. David Ulrich Manns, geweßenen Apotheckers in der freudenstatt hinterl. Wittib (unterzeichnet) hannß Phillipp Sachs als hochzeiter, Maria Salome sachßin als hochzeiterin, M. Joh: Adolph Ferber Pfarrer Zu Willst. Vatter, Geörg Goll alß Schwager (i 170)

Native de Willstätt, Marie Salomé Ferber devient bourgeoise par son mari cinq mois après son mariage
1707, 4° Livre de bourgeoisie p. 765
Maria Salome Färberin V. Willstätt, empfangt d. burgerrecht V. ihrem Mann Joh: Philipp Sachß P. 2. gold fl. 16. ß. Wird beÿ denen becken dienen, P. d. 14. Dito [febr:] 1707

Jean Philippe Sachs meurt en mai 1716 après avoir institué pour unique héritière testamentaire (sa sœur) Marguerite Sachs, veuve du marchand Georges Goll. Les experts estiment la maison à 750 livres. La masse propre à la veuve est de 270 livres. L’actif des héritiers et de la communauté s’élève à 633 livres, le passif à 414 livres

1716 (3.6.), Not. Scherer (Jean Louis, 53 Not 8)
Inventarium über Weÿl. des Ehrenvesten und vorgeachten Hn Johann Philipps Sachsen, Pastetenbecks und Burgers Zu Straßburg seel. Verlaßensch. auffgerichtet in Anno 1716.
Inventarium und Beschreibung aller und jeder Haab, Nahrung und Güthere, liegend: und fahrender, so weÿl. der Ehrenveste und vorgeachte H Johann Philipps Sachß, gewesener Pastetenbeck undt Burgern alhier Zu Straßburg nach seinem d. 12.ten Maÿ dießes lauffenden Jahrs aus dießer Trübsaamvollen Weltt genommenen tödlichen Hientritt, hinderlaßen, Welches auff geziemendes Erfordern und Begehren des Wohl Ehrenvesten und Großachtbahren Hern Joh: Niclaus Sederers, vornehmen Handelsmanns und Burgers alhier, als geordnet und geschworenen Curatoris der hernach benannten per Testamentum instituirten Erbin, durch die Ehrn: und tugendsame fraw Maria Salome gebohrne Ferberin, die hinterbliebene Wittib (geäugt und gezeigt) Mittw. d. 3.ten Junÿ A° 1716.
Der Seelig abgeschiedene Herr hat per Testamentum Nuncupativum Zur eintzigen Erben verlaßen die Viel Ehrn: und tugendreiche fraw Margaretham Gollin gebohrne Sachßin, weÿl. Hn Georg Gollen gewesenen Handelsmanns und Burgers allhier sel. hinderlaßener Fraw Wittib, welche mit vorbenanntem Hn Sederer bevögtigt, in deßen Nahmen H Joh: Mich: Schweighäußer d. Specerirer dero Tochtermann weilen der Curator verreiß. müß. dem Geschäfft beÿgewohnt hatt.
Copia der Heüraths Verschreibung vid. Protocoll. meum I.mum
Copia Testamentum nuncupativi habetur in Protoc: meo 2.do
Bericht quære in fine

In einer in der Kuttelgaßen gelegenen in diese Erbschafft gehöriger Behausung sich befund. hatt
Schrein: und Höltzernwerck. Auff der Obern Bühn, In d. Cammer A, In d. Soldatten Cammer, In der Cammer B, In der Cammer C, In der Cammer D, In der Wohnstuben, In dem Mittlern haußöhren, In der Back Stub, Im undern Haußöhen, Im Keller
Sa. haußraths W 19, E 104, Leerer faß und Bütten E 7 ß, Schiff und geschirr Zum Pastetenbecken handwerck gehörig E 14, Brennholtz 15 ß, Silber geschirr und Geschmeid W 1, E 9, Guldene ring W 6, E 1
Eigenthumb ahne Behaußungen (E.) Erstm. I. Behaußung u. Hoffstatt, gemeinschafft des Höffleins, bronnens, und S. V. Clöacs m: allen d.ren andern Gebäuwen, Begriffen, Weithen, Zugehörden, Rechten und Gerechtigkeiten, allhier in der St: St: im Brüh: oder Kuttel Gäßl. am Fischmarckt gelegen, ein S: neben H Philipp Jacob Büchen des Handelsmanns seel. W. u. E.E. die ander Seit neben nachbeschriebener Behaußung, hinden auff Meister Martin Wolffender den Kübler stoßend, Davon gehen jahrs 50 fl. Wehrungs Zinnß auff Thomæ Apostoli dem Stifft Zue Thoman alhie, ablößig mit 100 fl. Wehrungs Cap: so thut 52 lb. 10. ß d. Weiter 7 ß 6 d ane 15. ß d Zinnßt dieß Behaußung, dm Pfenningthurn allhier, wegen gethanen durchbruchs, von dießem jnn folgendes hauß Jährlichen termino Michaelis trifft Zue doppeltem Capital gerechnet 17 lb 10 ß d
(E.) Item Hauß und Hoffstatt sampt der Gemeinschafft des Höffleins und Bronnens, auch allen anderen Gebäuen, begriffen, weithen, Zugehörden, rechten und gerechtigkeiten auch allhier Zue Straßburg Im Brüh: oder Kuttel Gäßlein am Fischmarckt, neben vorgeschriebener behaußung einer seits und die andere Seit neben Benjamin Frantzen dem Barchet Krämer gelegen, hinden auff obgedachten Martin Wolffender stoßend, Hievon fällt gemeiner Statt auff Bartholomæi 1. ß d Zue Boden Zinnß, So gehen auch gemeiner Statt Pfenningthurn 7 ß 6 d ane 15 ß d wie von vorbeschriebenem Hauß wegen des durchbruchs Inn beede Behausungen, Jahrs auff Michaelis thur beedes Zue Capital ohnvergreifflich 17 lb. Weiters gehet 3. lb 9 ß jahrs auff Mathiæ Apostoli Zue Zinnß dem Stifft S Thomæ allhier, so wiederlößig in Hauptgut mit 69 lb d. Im übigen ist dieße Behausung, außer nachgesetztem Capital, so auff beede Häußer veresichert, freÿ, leedig und eÿgen. Endlichen Zinnß man auch noch ferners vorgeschriebenen beeden Behausungen Jahrs auff d. 6.to Maÿ 4 lb d Fr. Margarethæ Gollin der Erbin, so in hauptgut abzustoßen mit 100 lb. Summa vorgeschriebener Onerum thut 235. lb 10 ß d. Und sich solche Behaußungen durch die Statt geschwohren Werckleüth, vermög eingelüfferten Zeduls, Vor Voll angeschlagen worden pro 750. lb Über Abzug aber der gemelten beschwehrt wird allhie annoch auszuwerffen 496 lb 10 ß.
Über das erstere neben H. Philipp Jacob Büchels seeligen W. und Erben gelegene Hauß, sagt ein teutscher pergamentener Kauffbrieff, mit der St: St: C.C. St: Ins. verwahrt de dato 22.t Febr. A° 1632. mit N° 1 notirt. So besagt auch ein dergleichen Kauffbrieff über das Letzt beschriebene Hauß, deßen datum d. 9.to 9.bris A° 1652. Warbeÿ ein alter teutscher pergamentener Kauffbrieff mit gleichförmigen Innsiegel verwahrt datirt d. 29 t Augusti A° 1636. Ferner ein pergamenter Ganth Kauffbrieff sampt etlichen abgelößten Zinßbrieffen, Alles mit N° 2. bemerckt und darbeÿ gelaßen. Summa Eigenthums ane Behaußungen, So der Erben ohnverändert 496.
Eigenthumb ane Liegenden güthern Im Sandter Bann (W.) 13. Schulden Ins Erben zugeltend E 6 W 100
Ergäntzung der Wittib alienirten ohnverändert Nahrung, Vermög des durch H. F. W. Wildermuth den hochgräffl. Hanaw Liechtenberg. Landschrbr. Zu Willstett den 30. 8.bris A° 1706. verfertigten Theilreg. hatt die Wittib von weÿl. frn. Anna Maria gebohrner Köbelin F, M. Joh: Adolph Ferbers, Pfarrers Zu Willstett gewesener Hausfrauen als jhrer geliebt. Mutter seel. ererbt, (131, abzuziehen 2, rest) 128
Summa summarum W 270 lb, E 633 lb – Schulden 414 lb, Nach Vergleichung 218 lb
Conclusio finalis Inventarÿ 599 lb
Wÿdumb So der verstorbene H. seel. ad dies vitæ gnoßen. Der seelig verschiedene Herr hat von weÿl. fn: Margaretha gebohrner Kriegerin seiner Zweÿten hausfrawen seel. über die ausgelüfferte Natural posten biß in sein seeligen Ende wÿdumsweiße Zugenißen gehabt, davon anjetzo das Eigenthumb auff fraw Annam Ursulam Kriegerin Mstr. Joh: Christoph Stahlen des Schneiders und Burgers allhier ehel. Hausfraw, verfallen, 110 lb
Abschatzung d. 28.t Maÿ anô 1716. Weÿlandth deß Ehrenhafften vnd bescheiten H: hanß Philippus Sackhs, pasteten beckh: Seel: hinder laßenen Frau witib Vnd Erben, ist Eine behaußung Alhier in der Statt Straßburg in der Lungen gaß, gelegen, Einseit neben Min Frantz Ander seith Neben: H. hanß Jacob Hauckh, hinden Auff: H schnehacker biersieter Stoßent welche behaußung hoff, hoffstatt, Zweÿ gewölbt Keller höffel Ein gemeiner brunen sampt Aler Ihrer Recht, vnd gerechtigkeith wie solches durch der Statt geschwornen werckhleüthe in der besichtigung befunden vnd dem Jetzigen Preiß Nach angeschlagen wirt, vor und umn Ein taussent Fünff Hundert Gulten. Bezeichnüß durch der Statt Straßburg geschwohr. Werckhleüthe, Jacob Staudacher werckh Meister des Maur hofs. Jacob schuller Werck Meister des Zimmer hoff, Michel Ehrlacher Werck Meister deß Minsters

Marie Salomé Ferber se remarie en 1717 avec le charpentier Michel Bindenschuh : contrat de mariage, célébration
1717 (7.5.), Not. Lang (Jean Henri l’aîné, 27 Not 52) n° 360
Verglichene Heüraths Puncten Zwischen dem Ehrenvest Wohlgeachten Herrn Michael Bindenschuh, Zimmermann vnd E. E. Kleinen Raths altem Beÿsitzern burgern Zu Straßburg, als hochzeitern An einem
So dann der Viel Ehren und Tugendreichen Frawen Maria Salome Saxin, Gebohrner Ferberin, Weÿl. Herrn Johann Philipp Saxen, Geweßenen Pastetenbeckers und Burgers alhier seel. nachgelaßener Wittib als der Hochzeiterin Am Andern theil
Actum Straßburg in fernerem beÿsein H. Lorentz Leÿtels, Kupfferschmidts, seiner Kinder Geschwornen Vogts, auff sein deß Bräuttigambs (Seilen) Freÿtags den 7. Maÿ Anno 1717
Michael bindenschuh alß hochzeiter, Maria Salome sachßin geborne Ferberin als hochzeitterin

Mariage, Saint-Pierre-le-Jeune (luth. f° 31-v)
1717. Fest. Trinitat. et Dom. I. post Trinit. Proclamati sunt H Michael Bindenschuh der Zimmer Mann, auch E. E. Kleinen Rahs Alter Beÿsitzer allhier und Fraw Maria Salome weÿl. H Johann Philipp Sachß, gewesenen Pasteten Becken und Burgers allhier nachgelaßene Wittib. Copulati sunt Mittw. d. 2.ten Junÿ (unterzeichnet) Michael bindenschuh alß hoch Zeiter, Maria Salome als hoch Zeitterin (i 36)

Marie Salomé Ferber, veuve de Jean Michel Bindenschuh, meurt à Brumath en 1755. Elle délaisse les enfants de son fils aîné chirurgien à Brumath et son fils cadet, propriétaire de la maison, tous deux issus de son premier mariage avec Ulric David Mann. L’actif de la succession s’élève à 416 livres, le passif à 167 livres.
1755 (10.6.), Not. Marbach (Ph. Jacques, 33 Not 28) n° 387
Inventarium über Weÿl. Frauen Maria Salome Bindenschuhin gebohrener Färberin weÿland Herrn Johann Michael Bindenschu, geweßenen Zimmermanns undt E. E. Kleinen Raths alten wohlverordneten Beÿsitzers längst seel. nachglaßener Wittib nun auch seel. Verl. auffgerichtet in Anno 1755. – welche am H: Grünen donnerstag so da ware der 28.ten des Monaths Martÿ in fürwährendtem 1755.sten Jahre zu Brumath dieses Zeitliche mit dem Ewigen Verwechselt, nicht nur allhie Zu Straßburg alß auch Zu ermeldtem Brumath (…) hinter Ihro Zeitlichen verlaßen – So geschehen allhier in der Koeniglichen Statt Straßburg Montag den 16. deß Monaths Juny A° D.ni 1755
Denominatio hæredum, Die nun in Gott ruhendte Frau Eingangs benandt, hat ab intestato zu Ihren rechtsmäßigen Erben verlaßen, wie volget Nahmentlichen und I.mo Weÿl. Hn Johann Adolph Mann, den geweßenen Chirurgi vndt burgers zu Brumath hochfürstl. Hanau Lichtenbergischer Jurisdiction vndt burgers daselbsten seel. nach Todte verlaßener 2. Söhn benandlichen den Ehrengedachten und Kunsterfahrenen H. Philipp Jacob Mann auch Chir: undt burger zu ermeltem Brumath, wie auch H. Johann Adolph Mann, den Kürßner undt burger zu Cronweißenburg, beede der verstorbenen Fr. seel. Zu Erben verlaßene Enckele, welche beeder beÿ solcher Verlaßenschafft Inventur allhier Persönlich Zugegen geweßen. Weilen aber diese beede Enckele vndt Erben allhier ohnverburgert Sein, Alß ist auß Mittel Es E. Kl. Rath Memoriales de dato 9.ten Aprilis 1755. Nahmens dererselben Zu solchem Geschäfft gn. deputirt vndt Abgeordnet worden der Wohl Ehren: Veste undt weise Herr Georg Friedrich Roggenbach, der Gastgeber zum Schw: bähren wie auch E. E. Großen Raths alten dermahlen aber wohlermelten E. E. Kl. Raths dermahliger wohlverdienter beÿsitzer, So beneben seinen Principalen solchem Geschäfft Persönlich beÿgewohnet hat, So dann 2.do den wohl Ehren: und vorgeachten Herrn Johann Gottfried Mann, den Pastetenbeckh vnd burger zu Straßburg, der abgeleibten Frauen Sohn, welchem Sie beneben dem vorgedachtem verstorbenen Sohn, mit auch weÿl. herrn Ulrich David Mann, dem geweßenen Apothecker vndt Burgern Zu Freudenstadt, deroselben ersten Ehemann seel. ehelichen Erzeuget und nach Todt Zu Ihren rechtmäßigen Erben verlaßen hat, Und Zwar Sie die beede Enckele nomine defuncti Patris Zu der Einen Ine den nachbemelten Sohn aber zu der Zweyten Helffte concernirendt

Inn einer ahne der sogenanndte Kuttelgaß gelegen in solche Verlaßenschafft nicht sondern herrn Johann Gottfried Mann dem Pastetenbecken beckh dem dießorts Sohn eigenthümlich zuständigen behausung
(Documenta) Kostgeld und Leichen Costen
Wÿdumb Welchen die abgeleibte fr. seel. von weÿl. herrn Johann Philipp Sachßen dem geweßenen Pastetenbecken und burgern zu Straßburg dero 2.ten Ehemann zufolg durch weÿl. H. Johann Ludwig Scheerer sub dato 10. maÿ 1716 aufgerichtetn Testam: nuncupativi
Wÿdumb So die Verstorbene fr. seel. auß weÿl. herrn Johann Michael Bindenschuh deß gewes. zimmer: meister Ihres 3.ten Ehemanns Verl.t lebtägig zu genießen gehabt
Norma hujus inventarii, hausrath 49 lb, Lähren faßen 4 lb, silbers 3 lb, goldene ringe 3 lb, schulden 356 lb, summa summarum 416 lb – Schulden 167 lb, Compensando 249 lb, Stall summa 409 lb

Marie Marguerite Sachs meurt en décembre 1729, l’inventaire de ses biens est dressé en 1730.
Ses filles Marie Madeleine et Marie Dorothée, devenues seules propriétaires lors du partage vendent la nue propriété à Marie Salomé Ferber, veuve de Jean Philippe Sachs, la jouissance viagère de la maison au fils de cette dernière, le pâtissier Jean Geoffroi Mann.

1740 (11.4.), Chambre des Contrats, vol. 614 f° 208
Fr. Maria Magdalena geb. Gollin H. Jacob Dürninger des Jüngern handelsmanns und E.E. kleinen Raths alten beÿsitzers eheliebste und erstged. H. Dürninger als gewalthaber Fr. Mariæ Dorotheæ geb. Gollin weÿl. H. Francisici Brackenhoffer wittib, Fr. Maria Salome geb. Färberin weÿl. Johann Michael Bindenschuh des Zimmermanns ohnbevögtigte wittib unter assistentz H. Friedrich Thomas Alberti hochfürstl. Heßen: Hanau: Lichtenbergischen Kirschenschaffners beeder Oberämter Lichtenau und Willstätt ihres H. vettern
in gegensein Johann Gottfried Mann des Pastetenbecks, ihr Bindenschuhischer wittib in erster Ehe mit weÿl. David Ulrich Mann, Apotheckers in der Freudenstatt erzeugten sohns
eine Behausung oder zweÿ neben einander liegenden häußer, höfflein, gemeinschaft eines Bronnens und Cloac mit dero hoffstätten auch allen übrigen gebäuden, begriffen, weithen, zugehörden und gerechtigkeiten im Brüh: oder Kuttelgäßlein ohnfern dem Fischmarckt, einseit neben H. Johann Jacob Haug dem handelsmann ehevögtl. weiß und weÿl. Philipp Jacob Büchel des handelsmanns erben anderseit neben weÿl. H. Johannes Kleinschrodt des barchethändlers erben modo Peter Hebeißen auch Barchethändlers, hinten auff Johann Jacob Steinmetz dem schloßer modo (-) Seitz dem schloßer zum theil und theils H. Rathh. Johann Philipp Richßhoffer dem tuchhändler – davon gibt man dem Stifft zu St Thomæ auff Thomä apostol. 5 fl. ane zinß ablößig mit 50 lb oder 52 lb 10 ß, ferner ged. StIfft auff Mathiæ apostol. 3 lb 9 ß ahne zinß ablößig mit 69 lb, hiesiger Stadt Pfenning Thurn auff Michaelis 15 ß ahne durchbruch: zinnß und eben dahin auff Bartholomæi 1 ß ane bodenzinß – ihr Dürningerin zufolg eines von H. Not. Lobstein heutigen tags ertheilt und hierbeÿ producirten attestati als ein von sechs ihrer geschwisterden in Mütterlicher verlassenschafft abtheilung käufflich übernommenen und auff sich selbst ererbtes guth zu 7/8 theile, der Brackenhofferischen wittib zum übrigen 8.t theil ahne der proprietate nuda und Bindenschuhischer wittib /:zufolg §° 3. des von ihrem zweÿten Ehemann weÿl. Johann Philipp Sachß dem Pastetenbecken vor H. Not. J. Lud. Scherer am 10. maÿ 1716 errichteten Testamenti Nuncupativi:/ quoad usufructum ad dies vitæ gehörig – 1000 pfund

Geoffroi Mann, fils du pharmacien Ulric Mann de Freudenstadt, devient bourgeois en 1717 en s’inscrivant à la tribu des boulangers
1717, 3° Livre de bourgeoisie p. 1304
Gottfried Mann Von Freÿdenstatt, weÿl. Ulrich Mann gew. Apoteckers daselbst sohn, erkaufft das burgerrecht p. 2. Gold fl. 16. ß. Wird beÿ denen Becken dienen, Jur: d. 24. Dito [Julÿ] 1717

Le pâtissier Jean Geoffroi Mann épouse en 1734 Marie Madeleine, fille du tonnelier Josse Neff : contrat de mariage, célébration à Illkirch
1734 (24.2.), Not. Marbach (Ph. Jacques, 33 Not 40)
Eheberedung Hr Joh: Gottfried Mann, Led. Pastetenb. weÿl. H Johann Ulrich Mann deß gew. Apotheckers Zu freudenstatt seel. nachgel. Sohnes und Jgfr. Mariæ Magdal. Näffin, Mr Jost Näffen d. Kieffers u. b. allhier ehel. Tochter
daß Er Hr Johann Gottfried Mann, der led. Pastetenbeckh und burger Zu Straßburg
und Sie Jgfr. Maria Magdalena Näffin, Mr Jost Näffen deß Kieffers auch burgers allhier eheliche Tochter
Actum Straßburg Mittwoch den 24. deß Monats Febr: A° Dni 1734.
(unterzeichnet) Joh Gottfrid mann alß hochzeiter, Maria Magdalena Näffin alß Hoch Zeitterin, Johan Jost Neff als fatter

Mariage, Illkirch (luth.)
1734. d. 3. Martÿ sind auf Erlaubnus Ihro Gnad. Regirend. H. Ammeister in strasb. ohn ausgeruffen ehl. copulirt und eingesegnet word. H. Johann Gottfried Mann der ledige besteten becker und burg. in Strasb. weÿl. H David Ulrichs Manns des geweßenen apothckers und burg. in freud. Statt nachg. ehl. Sohn Jgfr. Magdalena H Johann Jost Neffen des grankieffers und burg. alhie in Strasb. ehel. tochter. NB. sind nach d. vorig. erst kommen doch eher eingesegnet worden ohn ausgeruffen (unterzeichnet) Joh: Gott frid mann als hoch Zeiter, *** Sig. der hochzeiterin (i 110)

Marie Madeleine Neff meurt en 1734 en délaissant un fils. L’inventaire est dressé dans la maison que le mari possède à titre de jouissance viagère de sa mère. Les experts estiment la maison 900 livres. La masse propre à l’héritier est de 94 livres, celle propre aux héritiers de 88 livres. L’actif de la communauté s’élève à 435 livres, le passif à 224 livres

1735 (25.5.), Not. Marbach (Ph. Jacques, 33 Not 10) n° 145
Inventarium undt Beschreibung aller derjenigen so ohnverändert, verändert, Theilbahrer Ligend und Fahrender habe, Nahrung und Güthere, wie auch Schulden und Gegen Schulden überahl daran nichts außgenommen noch vorbehalten, so weÿl. die viel Ehren: vnd tugendsame Frau Maria Magdalena Mannin gebohrene Näffin des Ehrenachtbahren Herrn Joh: Gottfried Mann deß Pastetenbeckhs und burgers alhier Zu Straßburg geweßene Eheliche haußfrau nunmehro seelig, nach ihrem dienstags den 22.ten des Monats Februarÿ fortlauffenden 1735.sten Jahrs genommenem tödlichem hienscheiden, hinder Ihro Zeitlich verlaßen, Welche verlaßenschafft auff geschehenes dienstfreundlicher Ansuchen, Erfordern und Begehren, sowohlen obernandten hinterbliebenen wittibers, wie auch deß Ehrenachtbaren H. Johann Bernhard Trauttmann, deß Schuemachers und Burgers allhier, alß Johann Gottfried Mannen, der seelig verstorbenen mit dem H. Wittiber ehelich erzeugten Kindts und ab intestato verlaßener einzigen Erbens, so ohngefähr ¾ tel Jahr alt (…) geordnet und geschworenen vogten (…) ersucht und beschrieben, durch Ihne den den hinterlaßenen H Wittiber, wie auch Fr. Mariam Salome Bindenschuin gebohrener Färberin wittib deßelben eheleibliche Mutter (…) So beschehen und Angefangen Inn der königlichen Statt Straßburg, Mittwochs den 25. des Monats Maji Anno domini 1735
Copia der Ehe Pacten vor mir Notario unterm 24. feb. 1734 passiret, dahero protocolliret und Expediret word. alß hat man dießorts copialiter zu inseriren vor unnöthig erachtet

In Einer allhier Zu Straßburg ah[ne der] so genanndten Kuttel: oder Lungengaßen gelegen In hierunten beschriebenen Wÿdums g[ehörigen] behaußung, alß volget befunden
Ane Höltzen und Schreinerwerck. Inn der Soldaten Cammer, In der Gesellen Cammer, Auff dem Bühnel, Inn der Magdt Cammer, Inn der Cammer A, In der Kuchen vor der Wohn Stuben, Inn der Back Stuben, In dem untern Hauß Ehren, In dem Keller, Inn der Wohnstuben
Bericht wegen Gegenwärtiger Verlaßenschafft. Zu wißen seÿe Hiermit, daß Nachdeme man zu gegenwärthiger Verlaßenschafft Inventur geschritten undt üb. der hierzu requirirte Notarius gleich Anfangs solchen Geschäffts den hinderbliebenen H. Wittiber außtrucklichen befraget, Ob Ihr beede geweßenen durchden Zeitlichen tod allschon widerumb Zertrennter Eheleuthen, Einander in Ehestandt vor Ohnverändert gebrachte Nahrung Klein Inventarium auffgerichtet, und hier durch Ihren hievornen Copeÿlich getragenen Ehe Pacto §° 3.tio Ein Genügen gethan worden, So hat Er Herauff die Erklärung gethan (…) Maßen Er mit seiner seelig. [Ehefrau] nicht einmahl ein völliges Jahr In (dem) Ehestand gelebt (…), ahne zeitlicher Nahrung in den Ehestand gebracht welches H. Jost Näff der Kieffer und burger zu St[raßburg] deß Kindts und Erben Großvatter
Eÿgenthumb ahne i. behaußung. (W. Wi.) Eine behaußung, Hoff, Hoffstatt, Höfflein Gemeinschafft deß bronnens und s.v. Cloac mit allen deren überigen gebäuen, begriffen, weiten, Rechten, Zugehörden und Gerechtigkeiten, so geleg. alhier in der Statt Straßb. in der sogenannten Brueh: Kuttel oder Lungen gaß. Einseits neben herrn Jacob Hauckhen dem Handelsmann u. burgern allhier, 2.s neben Hn Joh: Peter Hebeißen dem barchethändler und Musicanten, hinten auff Meister NN Steinmetzen dem Schlosser, sambtliche Burgere allhier stoßend, welche Behaußung durch (die Werckmeistere) zufolg deriselb. Beschehenen Abschatzung und deß derwegen unterm 10. Julij A° 1735. außgestellten und Zu mein Notarii Concept geliefferten Scheins, für freÿ Ledig und Eÿg. æstimirt und angeschl. worden vor 1800 guldten oder 800 lb. Wovon aber hienwiederumb die auf solchem Hauß Jährlichen abgehende Onera undt darauf verzinßlich hafftende Capitalien In abzug zu bringen wie volget, als Erstlichen ist mann der Stadt Straßburg Pfth. wegen geschehenen durchbruchs /:Maßen vorherbeschriebene behaußung vorhin auß zweÿen bestanden aber Zusammen gebroch. + (+ dahero von denen Werckmeistern beÿ der Æstimation Krafft obenangezogenen Ihres deshalben erteilten Scheins wurde eine tractiret*) worden:/ Jahres termino Michaelis, ahne bodenzinß abzuricht. schuldig 15 Schilling d. macht zu doppeltem capital gerechnet hihero ohnpræjudicirlich 30 lb. Item Erstged. Stadt Straßburg Pfth. solle mann weither ahne bodenzinß Jahrs auff Bartholomæi * brieff zu doppeltem Cap. gerechnet allhier ahn 2 lb, Item dem Stifft St Thomæ alhier ist man Jahrs auff Thomæ apostoli Fünff gulden hiesiger Währung Zinß von solcher behaußung abzustatten schuldig, so in hauptgut hier in Abzug zu bringen mit 2 lb 10, Item weither solle nemblich d. Stift St Thomæ ahne zinß Jahres auff Matthiæ Apostoli 1 ß widerlößig in hauptgut mit 69, Item und so dann solle mann weÿl. Fr. Margaretha Gollin geb. Sachßin weÿl. H. Georg Gollen deß gewesenen handelßmanns u. burgern Zu Straßburg längst seel. nachgelaßener Wittib nun auch seel. Kind. denen dießorts Wÿdumß erben Jahrs auf den 6. Maÿ (so aber anjetzo Term. St Joh. Bapt: gleich denen überig 100 ln denenselben verzinßt werden) 4 lb d. ahne zinß abzurichten thut in Capital alh. so auff 100 lb, Summa vorbeschriebener Onerum und auff solchem hauß hafftend. Capitalien trifft Zusammen 253 lb 10 ß
Solche nun von obigem Abschlag der behaußung 900 ln außmachend abgezogen so wird darahn annoch überig. und in rückstand verbleiben so allhier In außwurff Zu bringen mit 646 lb
Über welche behaußung solle besagent j. teutscher Pergam. Kauffverschreibung mit der Statt Straßb. anhangend. Cancelleÿ Contract Stuben Innsiegel verw. so datiret d. 22. Febr. 1632, so mit N° 1 notiret. Weither i. dito m. dito et dito welcher datiret den 9. Nov. 1652, Wobeÿ noch ferner i. a. teutscher pergam. Kaufbrieff auß der Statt Straßburg nahangend. Insigel verw. so datirt d. 29. aug. 1636 entsch. *tz dar Weither i. Perg. Ganthkaufbrieff sampt etlich abgebösten Zinßeb vff * deßen datum nicht allegiret, Welche vostehend. Documenta aber beÿ gegenwärtigen Verlassenschaffts Inventation sich nich vorgethan haben, sondern es seindt solche vorhergemeldeter maßen in weÿl. H. Joh: Phil: Sachßen, deß gewesenen Pastetenbeckß u. b. allhier Zu Straßb. seel. in A° 1716 auffgerichtetem Verlassenschafft Invent: beÿ beschreib: solch: haußes Folio 31* et seq. allegirt zu befinden. Hiehero Zum bericht.
(f° 1-v) Des Kindts vndt Erbe ohnverändert Vermögen
(f° 8 b) Sa. hausraths 30, Sa. Silbers 2, Sa. Goldenen Ringen 6, Sa. Schuldt (f° 10 b) 50, summa summarum 88,
des H. Wittibers so Ohnv. alß theibare Nahrung zufolg Berichts unter einem Titul inventiret und beschrieben, hausrath 14, schiff und geschirr zum Pastetenbecken handwerck 1 lb, Wein und faß 5, brennholtzes 10, silbergeschmeid 5, schulden 12,
(f° 18 a) Summa summarum 435 lb – Schulden 224 lb, restirend. Vermögen 210 lb
Conclusio finalis Inventarÿ 630 lb – Stall Summa 859 lb
Wÿdumb So Frau Maria Salome Bindenschuhin gebohrene Färberin weÿl. H. Joh: Michael Bindenschuhe gew. Zimmermanns E. E. Kl. Raths beÿsitzers auch burgers Zu Straßburg nachgelaßene Wittib, wegen weÿl. H. Joh. Philipp Sachßen. geweßenen Pastetenbecken auch burgers Zu Straßburg ihres 2.ten Ehemanns Längst seel. verlaß. zufolg deßelben coram H. Not. Joh: Ludwig Scheerern unterm 10. Maÿ 1716 auffericheten Testamentum nuncupativum lebenlänglich zu usufruiren berechtiget, hausrath 70 lb, schiff und geschirr zum Pasteten becken handwerck 10 lb, silbers 6 lb, behaußung 646 lb, ergäntzung vermög über H. Joh: Phil: Sachßen gew. Pastetenbecken Verlassenschafft vor Not. Johann Ludwig Scheerer unterm 19. junÿ 1716, 45 lb, summa summarum 779 lb, schulden 44 lb, In Compensatione 332 lb
– Abschatzung dem 10. Julÿ 1735. Auff begehren deß wohll achtbahren und bescheitenen herrn Johann Gottfriedt Mann deß Bastëten bëck[en] ist eine behausung alhier in der Statt Straßburg in der Lungen gaßen gelegen, ein seits Neben H jackob haub dem handtelßmann, anderseits den H bitter hehr Eißen dem Musicanten, hinden auff Meister Steinmëtz dem schloßer Stoßent, welche behaußung Stuben Cammeren Küchen Hauß Ehren, oben dar über Zweÿ Cammeren eine dar Von die Soldaten Cammer unden auff dem botten Kuchen Cammer Hauß Ehren gewölbter Keller höfflein gemeinschafftlicher bronen sambt aller gerechtig Keidt wie solches turch der Statt Straßburg geschwornen werck Meistern sich in der besichtigung befundten und Jetzigen Peÿß nach angeschlagen wird Vor und umb Ein Tausent und Acht hundert Gulten. Bezuchnuß der Statt Straßburg geschwornen wërk Meistern, vor und umb 1800 Gulden, [unterzeichnet] Michael Ehrlacher Werck Meister deß Meinsters, Johann Peter Pflug wërck Meister des Mauer hoffs

Les préposés de la Taille font figurer la succession dans leur registre parce que les impôts acquittés étaient calculés d’après une fortune sous-évaluée de 200 florins (100 livres) sur un total de 1 700 florins
1735, Livres de la Taille (VII 1178) f° 100-v
Becker F. N. 6934 – Weÿl. Fr. Mariæ Magdalenæ gebohrner Nöffin, Gottfried Mannen Pastetenbeck und burgers alhier Ehel. haußfrauen Verlaßenschafft inventirt Not. Philipp Jacob Marbach.
Concl. Fin. Inv. ist fol. 160-b, 859 17 5 die machen 1700 fl. Verstallte 1500 fl. Zu wenig 200 lb
Nachtrag Acht Jahr in duplo à 12 ß macht 4 lb 6 ß
Und sechs Jahr in simplo à 6 ß – 1 lb 16 ß
Extat kein Stallgeltt
Gebott 3 ß 4 s
Abhandlung 1 lb 2 ß 5 d – Summa 7 lb 17 ß 6 s
Auf producirtes Inventarium Vermög deßen clahr erhellet daß solcher überschuß von der dermalen vor höher angeschlagenen Wÿdembs behaußung herühret, haben die Herren dreÿ den Nachtrag Moderirt auf die Helffte
dt. 30. Julÿ 1736

Jean Geoffroi Mann se remarie avec Sara Seiffert, fille du boucher Jean Charles Seiffert, de Badenweiler ou Kandern en haut margraviat de Bade : contrat de mariage, célébration
1736 (27.8.), Not. Marbach (Ph. Jacques, 33 Not 41)
Eheberedung zwischen dem Hn Johann Gottfried Mann dem Pastetenbeckh, Wittiber vndt burger allhier mit beÿstand Joh: Bernhard Trauttmann des Schuemachers auch burgers Zu Straßburg Seines Vettern und Kindts ersterer Ehe vogten, alß Hochzeitern Ahme Einem
So dann Saræ Seiffertin, H. Joh. Carl Seifferts, Metzgers und Burgers zu Cander in der Ober Marggraffschafft Durlach gelegen ehelichen Tochter, mit assistentz Hn Johann Diemers, Würths und Gastgebers zum Kleinen Hirtzen, wie auch H. Joh. Leonhard Röchbergers, auch Würths und Gastgebers Zum Wolff am Fischerstaaden gelegen Ihres Schwagers, beeder burger hierselbsten, alß der Jungfrauwen Hochzeiterin am Andern Theil – Actum Straßburg Montags den 27. Aug. A° 1736 (unterzeichnet) Joh: Gott frid mann alß hochzeiter, Sara Seyffertin alß hoch Zeutrinn

Mariage, Temple-Neuf (luth. f° 153-v n° 45)
1736. Mittw. d. 10.t Octobr. sind nach 2 mahl ordentl. proclamation ehelich copulirt u eingesegnet worden H Johann Gottfried Mann der Pastetenbeck, burger u. Wittiber alhier und Jgfr. Sara H Johann Carl Seÿfert burgers und Metzgers Zu Badenweÿler in der Obern Margraffschafft ehel. Tochter (unterzeichnet) Joh: Gott mann alß hochzeiter, sara Seyffertin als hochzeiterin (i 158)

Sara Seiffert devient bourgeoise par son mari six mois après son mariage
1737, 4° Livre de bourgeoisie p. 1045
Sarra Seÿfertin von Badten weÿler geb. Gottfridt Manns d. Pastetenbecks ehefr. erhalt d. b: gratis, will beÿ E. E Zunfft . becker dienen, Prom. 8.t ap. 1737.

Sara Seiffert fait dresser l’inventaire de ses apports qui s’élèvent à 493 livres.
1737 (29.8.), Not. Marbach (Ph. Jacques, 33 Not 13) n° 187 [coin haut droit abîmé par l’humidité]
Inventarium und Beschreibung aller der Jenigen Haabe und Nahrung uberall davon nichts außgenommen noch vorbehalten, so die viel Ehr: vnd tugendreiche Frau Sara Männin gebohrene Seÿffertin, des Wohl Ehren und Vorgeachten Herrn Johann Gottfried Mannen, deß Pastetenbeckhs und burgers allhier Zu Straßburg dermahlige eheliche haußfrau, zu erst ernandtem dero Ehemann in Ihrer in Gott des Allerhöchsten Nahmen ohnlängst angetrettenen Ehestand Zugebracht und in denen vor mir dem auch unterschriebenen Notario unterm 27.ten Aug. Zurückgelegten 1736.sten Jahres auffgerichteten Ehe Pactis §. 4.to außtrucklih vor ohnverändert Sich reservirt und vorbehalten hat – So geschehen allhier in der Koeniglichen Statt Straßburg In fernerem gegenseÿn Hn Georg Leonhard Röchberger deß würths und Gastgebers Zum Wolff ahne allhießigem Fischer Staad. auch burges hiesellbsten der Ehefrauen Schwagers alß vor derselben hierzu Erbettenen beÿstandts, Montags den 29.t des Monats Augusti A° Dni 1737
In einer allhier Zu Straßburg ah[ne der] sogenandten Lungengaß Gelegenen in [diese] Nahrung nicht gehörigen behaußung
Norma Hujus Inventarii, Sa. Hausraths 328 lb, Sa. Silbers 51 lb, Sa. Gold. Ringen 30 lb, Sa. baarschafft 54 lb, Sa. Activ schulden 29 lb, Summa summarum 493 lb

Jean Geoffroi Mann et Balthasar Ernst jurent qu’ls ont respecté le règlement des pâtissiers
1746, Protocole de la tribu des Fribourgeois (XI 166)
(f° 283) Donnerstags den 21.ten Apr. A° 1746. – Pastetenbeckh de 1746. betr.
Hr Johann Gottfriedt Mann, undt Balthasar Ernst, beede hiesige Pasetenbeckhe seindt dato vorgestandten, und haben auff dem Ihnen abgeleßenen Articul de Anno 1646. anglobet, daß sie nicht darwieder gehandelt haben.

Jean Geoffroi Mann meurt en 1763 en délaissant un fils de son premier mariage et trois enfants du deuxième. Les experts estiment la maison à 600 livres. La masse propre à la veuve est de 441 livres, celle propre aux héritiers de 428 livres. L’actif de la communauté s’élève à 9 756 livres, le passif à 971 livres

1763 (5.12.), Not. Marbach (Ph. Jacques, 33 Not 36) n° 487
Inventarium über Weiland des Wohl Ehren und Großachtbaren Herrn Johann Gottfried Mann Senioris gewesen burgers und Pastetenbecks alhier Zu Straßburg nunmehr seel. Verl., auffgerichtet Anno 1763 – nach seinem am Sonntag den 23.ten des Monats octobris in gegenwärtigem 1763.ten Jahr genommenen seel Vonhinnenscheiden Zeitl. hinter sich verlaßen. Welche Verlaßenschafft auf des sowohl von seiten der hinterbliebenen hernachbenannten frau Wittib, als auch des abgeleibten Herrn seeligen ab intestato Verlaßener (Kinder) durch die Viel Ehren und Tugendbegabte frau Saram Mannin eine geborne Seiffertin welche ohnbevögtigt Zu seÿn declarirt, dahero mit beÿstand H Johann Daniel Zix, des Meelhändlers und b. dahier hiebeÿ Zugegen waren (…) nebst denen hernacher benannten dreÿen Hh. Söhnen wie auch Joh: Daniel Löffler von hier und Daniel Legrass von Wombßen gebürtig, Beede Pastetenbecken gesellen, so dann Magdalena Arbogastin der dienstmagd von Sand gebürtig abgelegter handtreu (…) So geschehen und angefangen Straßburg auf Montag den 5.ten Decembris 1763.
Denominatio hæredum. Der in Gott ruhende Eingangs gedachte Herr Johann Gottfried Mann hat ab intestato zu seinen wahren und rechtsmäßigen Erben verlaßen nahmentlich und 1.mo den Ehrengeachten herrn Johann Gottfried Mann juniorem den leedigen Klein: Uhrenmacher und b. allhier, welchen der abgeleibte Hr. mit auch Weiland frauen Maria Magdalena geb. Näffin längst seel. mithin in deßen erster Ehe ehelich erzeugt, und Zwar in den ersten vierten Stammtheil
Weiter und 2.do. Herrn Georg Adolph Mann, auch Pastetenbeck und b. allhier, in den Zweÿten vierten Stammtheil, 3. den Wohl Edlen und Wohlgelehrten hr. Philipp Jacob Mann, Phil: Mag: wie auch Jur: ut: Cand: in den dritten vierten Stammtheil, Welche dreÿ des seel. Verstorb. hinterl.Hh. Sohn und Erben samt. majorennes und solcher Verl. Inv. in Persohn beÿgewohnet und ihr interesse selbst observirt haben, So dann und in den letzten 4.ten Stammtheil 4.to Sara Mannin, das jüngste Kind, welches in das 12.te Jahr seines Alters gehet, dahero und weilen dieses Kind in den minderjährigen Jahren sich befindet, als ist solches mit vorgedachtem H. Georg Adolph Mann (…) bevögtigt (…) In deme aber er dieser Vogt beÿ solcher Invent: und was von deroselben abhanget, selbst interessieret ist, als hat der Ehrengeachte H. Niclaus Blind, der Tuchmacher u. b. alhier als deßen Curatorii (nominirt). Die vorher benante beede jüngere Hh. Söhne u. Erben wie aber wie auch das ersternannte Töchterlein hat der entseelte herr seel. mit der im Eingang benannter hinterbl. Fr. Wittib einfolgl. in deßen Zweÿten und letzten Ehe ehel. erzeugt.

Bericht vndt respectivé Vergleich, So wegen gegenwärtiger Verlaßenschafft und insonderheit der Ersuchung sowohlen der Wittib als auch der Erben in den Ehestand vor ohnverändert gebrachten Vermögens, heut dato nach genugam geschehener Überlegung getroffen worden. Obwohlen Zwar mit Ersuchung solcher beeder ohnveränderter Nahrungen der Anfang wirckl. gemacht worden, so hat man aber demnach nach vorhero geschehener reiffer Überlegung, da es wirckl. in das 28.te Jahr gehet, daß sie beede nun zertrennte Eheleuthe beÿsammen in dem Ehestand gelebet und dahero die wenigste von ihren in solchem Ehestand gebrachten Nahrungen in natura mehr existiren (…)
In einer alhier Zu Straßburg ane der Kuttelgaß gelegenen in solche Verl: als theilbar gehörigen behaußung hat sich befunden als volgt
Höltzen und Schreinwerk. In der Kammer N° 1, In der Kammer N° 2, In der Wohnstub, In dem Nebens Zimmer, In der Küchen, In der bachstub – Bett und Federwerck, In der Kammer N°1, In der Kammer N° 3, In der Gesellen Kammer, In der Wohnstub, In dem Nebens Zimmer
Eigenthum ahne Häußern (T.) Nemlichen Eine Behaußung Hof, Hofstatt, Höflein, Gemeinschafft des brunnens und s.v. Cloacs, so vorhin aus zweÿen bestanden, worzu aber nach sothanem hieunter allegirten Kauf annoch ein kleiner begriff hauses erkaufft nach der hand aber zusammen gezogen worden, und also dermalen gegenwärtige völlige behausung ausmacht, mit allen deren übrigen Gebäuden, begriffen, Weiten, Rechten, Zugehörden u. Gerechtigkeiten, so gelegen allhier Zu Straßb. in der sogenannten Kuttelgaß vulgo Lungengaß genannt, einseits neben H. N.N. Mändel dem barchethändler, anderseits neben H. Joh: Peter Hebeißen dem barchethändler hinten auf H. Jacob Dürninger des handelsmanns und E. E. G. Raths alten Beÿsitzers dermahl. hocheverdienten dreÿers löb. Stadt Stalls Zuständiges hauß stoßend, Und ist man Von solcher behausung jährlich auf Michaelis 15 ß ahne durchbruch Zinß von beeden häußern, und eben dahin jahrs auf Barthol: 1 ß ahne bodenzinß also zusammen 16 ß abzustatten schuldig, sonsten aber gegen jedermännig. freÿ ledig und eigen. Zumalen und solchergestalten durch die Wohl Ehrenveste (Werckmeistere) Zufolg Ihrer beschehnen dahero von denselben eignhändig unterschriebenenn den 29.ten 9.bris jüngst vorgenommener Abschatzung, und des derhalben Zu mein des Notarii Inventarii Concepto gelieferten Scheins æstimirt und angeschlagen worden für vnd umb Ein tausend und Zweÿ hundert Guden, dieße machen allhier 600 lb. Weilen aber, wie vorher gemeldet 16 Sch. an Jährl. Bodenzinß abgehen, als ist solches ohnablößiges Onus Zu doppeltem Capital gerechnet allhier in Abzug zu bringen mit 32. lb. Nach deren abzug restiret ahne den nächst: vorher: gemelten Hauß Anschlag annoch, so allhier in außwurff Zubringen mit 568 lb.
Über solche inventirten Behaußung besagt ein in allhiesiger Cantzleÿ Contract stuben den 11.ten des April. in A° 1740. gefertigter und mit deroselben anhangendem Contract Innsiegel corroborirter deutscher Pergamenter Kauffbrieff, welcher beÿ gegenwärtiger Verlaßenschafts Inventur mit Lit. A bemerckt worden. Wobeÿ noch ferner verschiedene Pergamentene aus allhies. Cantzleÿ Cont. Stuben verfertigte Kauf Briefe, so mann um Ersparung der Zeit allhier specifice Zu allegiren vor unnöthig erachtet, dahero solche Zusammen gebunden hat hieher Zum bericht – perge hierüber sub signo q. (q. Zu solcher vorhin aus 2.en bestandener behß. ist nach dem beschehenem Kauf, wehrender solcher Ehe ferner ein kleiner begriff haußes gekaufft, aber auch Zu solchem vorhin aus zweÿen bestandenem hauß gezogen worden, worüber aber, der frau Wittib erstattetem bericht zufolg, sich dermalen nichts schifftliches befunden hat, jedoch aber seÿe solcher Kauff in allhiesiger C.C. Stub nach ordnung verschrieben, Hiehero zum bericht.)
(T.) Ferner eine Behaußung, Höflein und Hofstadt mit allen derselben Begriffen, Weithen, Rechten, Zugehörden und Gerechtigkeiten, so gelegen allhier zu Straßburg ahne dem sogenannten Aexten Gäßlein (…)
Ergäntzung der dießorts hinterbliebenen frau Wittib wehrender dieser Ehe abgegangenen unveränderten Guths. Nach Inhalt des über der hierseitigen frau Wittib für ohnverändert in den Ehestand gebrachtes Vermögen durch mich Notarium unterm 29.ten des Monats July 1737 aufgerichteten Inventarii
Ergäntzung der Erben wehrender Ehe abgegangenen unveränderten Guths. Weilen der Verstorbene seel. beÿ Eingang in die 2.te Ehe seine Nahrung nicht neuerdingen intentiten noch æstimiren laßen, als hat man heutiges tags um die Ersuchung der wehrender dieser Ehe abgegangenen Posten vornehmen Zu können, kein ander Mittel vor sich gesehen, als derßelben erstern Ehefr. sel. Mariæ Magd. geb. Näffin durch mich Not. unterem 25. Maÿ 1735. errichtetes Verl. Invent: dießfalls Zum grunde Zu legen
Norma et Series rubricarum hujus Inventarii. Der hinterbliebenen Wittib ohnveränderten Vermögens, Sa. Schulden 187 lb, Sa. Ergäntzung 254 lb, Summa summarum 441 lb
Diesemnach wird auch der hierseitigen Erben ohnverändertes Guth beschrieben, Sa. Kleidung 11 lb, Ergäntzung per Rest 567 lb, Summa summarum 578 lb – Schulden 150 lb, Nach solchem Abzug 428 lb
Endlichen komt auch die beschreibung der gemein: verändert und theilbaren Nahrung, Sa. hausraths 110 lb, Sa. Schiff und geschirr zum Pastetenbech handwerck gehörig 22 lb, Sa. Wein und leerer faß 26 lb, Sa. Silbers 29 lb, Sa. gold. Ringe, 5 lb, Sa. baarschafft 4828 lb, Sa. Pfenningzß hauptgüter 2200 lb, Sa. Häußern 1568 lb, Sa. Schulden 966 lb, summa summarum 9756 lb – Schulden 971 lb, In Vergleichung 8785 lb – Stall summa 9115 lb
Vergleich und respective Überlaßung Tit: herr M. Philipp Jacob Mann Jur: U. Cand. dermaligen hof meister von Ihro hochgräfl. Excellence H. Grafen von Wartensleben Ministre Plenipotancico derer general Staaden hollands zu Maÿnz (…) den 23. Februarÿ 1764
Copia der Eheberedung (…) den 27. Augusti 1736, Philipp Jacob Marbach Nots. publ. jur.
Copia des erstern Codicilli de dato 3. Martÿ 1752 (…) in einer ane dem Schiffleuthstaden neben dem Schwerdtgäßlein gelegen mir dem Notario uxorio nomine eigenthümlich zuständigen behausung
Copia der zweÿten Codicillarischen Verordnung de 6. Maÿ 1763 in einer alhier ane der blinden: gaß gelegene zum blinden Mann genannte Würths: und Gast behaußung und dero obern mit denen fenstern in den dabeÿ befindlichen hoff außsehenden Stuben
Copia des dritten Codicilli vom 22. Octobris 1763, in seine ane der Lungen gaß allhier gelegenen behaußung, in der obern stub Kammer mit denen Fenstern an ermelten Lungen: Gaß aus sehend
– Abschatzung Vom 29.ten 9.ber 1763. Auff begehren Weil. H: Godfriedt Mann des gewesenen bastetenbeck seel. hiender Lasener Fr: Witib vnd Erben ist eine behausung Alhier in der Statt Strasburg in der Lungen gas gelegen Ein seits Neben H. Mendell Ander seits Neben H. Hebeisen und hienden auff H. Rathheren thieringer dem handels Man Stosent Gelegen, Sohe [sic] behausung besteht in Einem bachhauß sambt einem bach Offen, Ferner in dreÿ Stuben, eine Kichen Und Ettliche hauß Kamern dar jber ist der dach Stull mit breidtzieglein belegt hat Auch ein Gewölbten Keller, hoff und brunnen, Ein Thausent zweÿ hundert Gulden
Der zweite begriff ist Auch alhier in der Statt Strasburg in dem so genanten hexengesell Gelegen Ein seits Neben Fr: Dochterin Schäide Ander seits Neben Haffner Und hienden auff H. Amäister Langhanß Stoßent gelegen, Solche behausung besteht in Ettliche Stuben Kammern Und Kichen dar jber ist der dach Stull mit breidtzieglein belegt, hat auch ein Gewölbten Keller vnd Hoff, Ferner befindet sich ein bach Stuben und bach offen, Von Uns Unterschriebnen der Statt Strasburg Geschwornen werck Meister Nach Vorher Geschehener besichtigung mit Aller Ihrer Gerechtigkeit dem Jetzigen wahren Werth Nach Estimiert vnd angeschlagen worden Vor und Vmn Zweÿ Thausent gulden [unterzeichnet] Werner, Sebastian Huber

La maison revient au fils aîné du deuxième lit Georges Adolphe Mann qui épouse en 1759 sa cousine germaine Catherine Eve Rechberger après avoir obtenu la dispense de consanguinité : contrat de mariage, célébration

1759 (29.5.), Not. Marbach (Ph. Jacques, 33 Not 41)
Eheberedung – der Ehrengeachte Hr Georg Adolph Mann, der Leedige Pastetenbeck deß wohl Ehren: undt vorgeachten herrn Johann Gottfried Mann, auch Pastetenbecks vndt burgers Zu Straßburg mit der Viel Ehren vnd Tugendbegabten Frauen Sara, gebohrene Seÿffertin deßen Ehefrauen, erzielter ehelicher Sohn, mit beÿstandt der vorherbenandten seiner Eltern, alß Bräutigam ane Einem
So dann die viel Ehren vndt Tugendreiche Jungfrau Catharina Eva Rechbergerin, deß auch wohl Ehren: undt vorachtbahren herrn Johann Leonhard Rechberger deß würths vnd Gastgebers Zum Wolffen vnd burgers allhier, mit der viel Ehren vnd Tugendgezierten fr. Anna Catharina auch einer geborener Seiffertin deßen Ehegattinin eheliche Erzielte Tochter mit assistentz Ihrer vorgemelter Eltern, alß die Jungfrau Braut am andern theil
So beschehen allhier in der Koeniglichen Stat Straßburg Dienstags den 29. deß Monats Maji Anno Domini 1759 (unterzeichnet) Georg Adolph Mann als Hochzeiter, cadharina Eva Rechenbergerin als hochzeitterin

Mariage, Temple-Neuf (luth. f° 371, n° 1380)
1759. Mittwoch d. 27. Juni seind nach ordentlicher proclamation ehel. copulirt und eingesegnet worden georg adolpf Mann der ledige pastöden beck H Joh: gottfrid Mann pastöden becks und b. allh. ehel. Sohn, und Jfr. Catharina Eva H Joh: Bernhard Rechbergs wirths und b. allh. ehel. tochter (unterzeichnet) Georg Adolph Mann als Hochzeiter, Catharina Eva Rechbergerin als hochzeitterin (i 376)

Georges Adolphe Mann demande la dispense aux Conseillers et Vingt-et-Un qui renvoient l’affaire au convent ecclésiastique. La dispense est accordée contre paiement de trois livres.
1759, Conseillers et XXI (1 R 242)
(p. 78) Montag den 14. Maÿ 1759 – Georg Adolph Mann der ledige burger und Eva Catharina Rechenbergerin beede verlobte werden pro dispensatione in gradu prohibito sich Zu heurathen an E. E. Kirchen Convent Verwießen.
Froereisen nôe Georg Adolph Mann des ledigen burgers und Pastetenbecks und Jgfr. Evä Catharinä Rechenbergerin derer Imploranten, producirt unterthäniges Memoriale und bitten mit beÿl. Sub N° 1 so Ein Schema genealogicum ist, pt° gnädiger dispensationis sich als geschwistrig Kinder mit einander Verheürathen Zu dörffen. Erkandt werden beede Imploranten mit ihrem begehren an E. E. Kirchen Convent Verwießen, damit wan alda dießer Casus matrimonialis wird untersuchet ein Schrifftliches gutachten darüber auffgesetzt und M.en Hh.en wiederumb vorgelegt werden seÿn, alß dann ferner ergehen möge was rechtens.

(f° 90) Sambstag den 19.ten May 1759. – Georg Adolph Mann der Pastetenbeck und burger erhaltet erlaubnuß sich mit Jgfr Catharina Eva Rechenbergerin mit welcher Er geschwistrig Kind ist, verheurathen Zu dörffen, gegen erlag 3 lb d in das Allmoßen
Lect. Ein Zufolg Mer Hhen Erkandtnuß vom 14. Hujus Von E. E. Kirchen Convent alhier abgefaßtes und ad protocollum überlieffertes gutachten In sachen Georg Adolph Mann des burgers und Pastetenbecks, welcher umb gnädige dispensation eingekommen sich mit Jgfr. Catharina Eva Rechenbergerin von hier gebürtig, mit Welcher der Implorant geschwistrig Kind ist, verheurathen Zu dörffen da nun dießes guthachten dahin gehet, daß Eine hoh. Obrigkeith in dießen gradu consanguinitatis dispensiren Könne, maßen Eine solche Ehe von dem gottlichen gesetz nicht Zuwider, als wurde nach des H. Syndici regii angehörtem und Zur gegebenden dispense abzielendem voto, vermittelst gehaltener umbfrage auff hohen Anspruch des auff dem Obern banck Vorsitzenden Hn Stättmeisters Vonn Gail /:maßen H Prætor Regius die sach M.en Hhen überlaßen:/ unanimiter Erkandt, wird nach eingezogene plena causæ cognitione Georg Adolph Mann dem burger und Pastetenbeck alhier mit gebettener erlaubnus sich mit Jfr Catharina Eva Rechenbergerin von hier gebürtig als mit welcher Er geschwistrig Kind ist, dießer Zwischen Ihnen sich befindenden Bluths freudschafft ohngeachtet verheurathen Zu dörffen, Jedoch unter dießem anhang willfahrt, daß der Implorant pro gratiose dispensatione dreÿ pfund pfenning deren Entrichtung durch gültige behöriger orthen Vorzulegende quittung zu bescheinen, in das allhießige allmoßen Zu bezahlen Schuldig seÿn solle.
Depp. H. Rathh. Lanfrey, H. Rathh. Roederer

Les nouveaux mariés font dresser l’inventaire de leurs apports dans une maison rue du Bouclier. Les apports du mari s’élèvent à 283 livres, ceux de la femme à 562 livres.
1759 (4.7.), Not. Marbach (Ph. Jacques, 33 Not 30) n° 430 b
Inventarium über Hn Georg Adolph Mann, deß Pastetenbeckhs vndt fr. Catharinæ Evæ einer gebohrenen Rechbergerin beeder Ehe Persohnen vnd Burger Zu Straßburg für ohnverändert in den Ehestand einander Zugebrachte Nahrungen, auffgerichtet in Anno 1759: – in ihrem in Gottes des Aller: Höchsten Nahrung unterm 27.ten deß Monaths Junÿ ohnlängst angetrettenen Ehestandt einander Zugebracht und in Ihrer vor mir unterschriebenem Notario sub dato 29.ten deß Monaths Maÿ 1759.ten Jahre auffgerichteten heuraths: Verschreibung (…)
So beschehen allhier in der Koeniglichen Statt Straßburg In persönlicher Gegenwärtigkeit Herrn Johann Gottfried Mann des Pastetenbeckhs, deß Ehemanns vndt dann Herrn Johann Leonhard Rechbergers, deß Würths und Gastgebers zum Wolff allhier alls der Ehefr. eheleiblichen Vatters, beeder burgere hierselbsten, Mittwoch den 4. deß Monaths Julÿ Anno Domini 1759 Zu Endte aber gebracht Freÿtag den 31.ten deß Monaths Auguste besagten 1759.ten Jahrs (unterzeichnet) Georg adolph Mann, cadarina Eva Mannin

Norma Hujus Inventarii. Deß Manns in den Ehestand gebrachten Vermögens, Inn einer ahne allhie Zu Straßburg ahn der Schiltzgaß beÿ der langen Straß gelegenen hiehero nicht sondern denen Bochischen Erben eÿgenthümblich zuständigen, befunden hat, wie hernacher volget: Sa. hausraths 5 lb, Sa. Schiff v. geschirr zum Pastetenbecken handwerck 35 lb, Sa. des Mähls 7 lb, Sa. Meertrauben, Rosinlein und Mandelen wie auch Gewürtz 16 lb, Sa. Weins 4 lb, Sa. Brennholtzes 4 lb, Sa. Silber geschirr und Geschmeids 30 lb, Sa. goldenen Rings 18 lb, Sa. Baarschafft 125 lb, summa summarum 246 lb – ist ferner zu rechnen die dem Ehemann ahne denen haussteuren (gehörigen helffte) 37 lb, Des Manns Vermögen 283 lb
Solchemnach wird auch der fraun für ohnverändert in den Ehestand gebrachte Nahrung consignirt und inventirt, Inn einer allhier Zu Straßburg ahne dem Fischer: Staad. gelegenen zum Wolff genandter der Ehefr. Eltern Eÿgenthümlich gehörigen Würths: vnd Gast: behausung befundten hat wie volgt, Sa. hausraths 314 lb, Sa. Silbergeschirrs 60 lb, Sa. goldenen Ringen 98 lb, Sa. baarschafft 51 lb, Summa summarum 524 lb – Haussteuren 37 lb, Der Ehefrauen gesambte inventirte ohnveränderte Nahrung in vero pretio 562 lb

Georges Adolphe Mann hypothèque la maison au profit du banquier Jean Charles Schubart

1769 (4.Xbr), Not. Humbourg (6 E 41, 136)
Obligation – fut present Le Sr George Adolphe Mann Maître Patissier Bourgeois de cette ville y demeurant lequel a volontairement reconnu et confessé devoir bien et légitimement
au Sr Jean Charles Schoubart Banquier Bourgeois de cetted° ville cy presens et acceptant la somme de 10.000 livres tournois pour prêt de pareille
sous l’hypothèque er obligation générale (…) d’une maison Scituée en cette ville ruë dite Küttelgass, Les Sr Richshoffer freres d’une part, Le Sr Bader Baquetier d’autre part, parderrière le Sr Dürninger pardevant sur la ruë vis à vis le Sr Harnack Bridier, Laquelle maison led. Débiteur a affirmé (…) luy appartenir en propriété et être franche et quitte de toutes Dettes et hypothèques, excepté trois livres tournois de rente annuelle dont elle est chargée envers la recette générale de cette ville

Georges Adolphe Mann loue une partie de la maison au négociant Gustave Adolphe Holenfeld, natif de Silésie

1771 (5.8.), Not. Lacombe (6 E 41, 143)
Bail de 6 années consécutives qui commencent à courir à la St Michel – Sr Georges Adolphe Mann bourgeois patissier à Strasbourg y demeurant
au Sr Gustave Adolphe Holenfeld négociant natif de Streichau en Silésie étant présentement à Strasbourg logé rue de St Urbain chez le Sr Mau(rer) boulanger
un appartement dans la maison qui luy appartient en cette ville rue des trippes aboutissant d’un côté M. les frères Rishoffer d’autre le Sr Bader boetier derrière le Sr Dürninger devant ladite rue, consistant led. appartement en tout le second étage sans rien excepter plus en une chmbre au rez de chaussée et la cave qui regne sous lad. chambre et une autre petite cave à droite en entrant dans la grande plus deux chambres dans la Mansarde plus et enfin l’usage commun de la cour buanderie et des grenier pour la lessive – moyennant un loyer annuel de 240 livres tournois
27 novembre 1772, résiliation

Georges Adolphe Mann ainsi que ses frère et sœur sont seuls héritiers de Philippe Jacques Mann, maître des rentes au service des comtes de Lœwenhaupt à Niederbronn.
1785 (31.10.), Not. Zimmer (6 E 41, 1435) n° 707
persönlich erschienen 1. H. Johann Gottfried Mann der Uhrenmacher und Burger dahier, 2. H. Georg Adolph Mann der Pastetenbeck und Burger allhier, Sodann 3. Frau Sara gebohrene Mannin H. Johann Michael Knörr, des Burgers und Kiefermeisters dahier Ehefrau, beiständlich ihres Ehemanns, alle drei weiland H. Philipp Jacob Mann, gewesenen J.V. Lti und ehemaligen Gräflich Löwenhauptischen Raths und Rentmeisters Zu Oberbronn auch burgers alhier ab intestato nachgelaßene Erben, deßen respectivé voll und einbändigen Geschwisterde, anzeigend, wie daß mehrgemelter H Rath. Mann den 26.ten Januarii dieses lauffenden 1785.sten Jahrs in der Herrschafft Niederbronn das Zeitliche mit dem Ewigen verwechselt und sie die dreÿ Comparenten zu deßen einigen Erben ab intestato verlaßen hat, ane Vermögen aber weiter nichts dann die in den durch H Demeuré, Amtschreiber des Amts Niederbronn den 7. Februarii 1785. über deßen Verlaßenschafft auf der Linsclam* in bemelter Herrschafft Niederbronn gelegen, beschriebnene fahrnede Haab (…)
921 lb, abzuziehen 384 lb, Stall Summ 536 lb

Marie Barbe Mann épouse en 1799 le boulanger Jean Joseph Blæss, de Barr
1799 (11 pluviôse 7), Strasbourg 4 (29), Not. Roessel n° 6
Eheberedung – bürger Johann Joseph Bläss weißbecker Inwohner in Barr und dieser Gemeinde Friedensrichter als hochzeiter
bürgerin Maria Barbara Mann, bürgers Georg Adolph Mann, Pastetenbecks und Inwoners allhier mit weÿl. bürgerin Catharina Eva Rechenberger großjährige Jungfrau tochter
Enregistrement, acp 65 F° 112-v du 12 pluv. 7

Les enfants et héritiers de Georges Adolphe Mann vendent la maison au menuisier François Augustin Armbruster et à sa femme Françoise Kayser moyennant 12.000 francs

1825 (18.6.), Strasbourg 14 (83), M° Lex n° 3705
Catherine Eve Mann épouse de Chrétien Mosseder, préposé de la halle commerciale, Marie Madeleine Mann, célibataire majeure, Marguerite Louise Mann épouse de Michel Ostermann, brasseur, Frédéric Mann, rentier, M° Gustave Stoeber, avoué près le tribunal civil de première instance mandataire de 1. Catherine Juliane Rosine Wyss épouse de Charles Bigler, bourgeois de Berne et de 2. de Charles Blaess, confiseur à Paris (Procuration, à Paris quai Conti n° 7)
à François Augustin Armbruster, ébéniste, et Françoise Kayser
Désignation de l’immeuble à vendre, une maison, cour, bâtiment de derrière au fond de la cour sise rue des Trippes n° 6, d’un côté le Sr Oberlé, de l’autre le Sr Kieffer bacquetier, devant la rue, derrière en partie propriété du Sr Oberlé en partie celle du Sr Exel – sont compris trois poeles dont un grand en fayence au premier étage et les deux autres aux deux étages supérieurs ces deux derniers en fonte
Titres de propriété, aux vendeurs comme héritiers de leur père Georges Adolphe Mann, patissier, la D° Bigler par représentation de sa mère Catherine Sara Mann épouse d’Emmanuel Wiss patissier bourgeois de Berne, le Sr Blaess seul et unique héritier de Marie Barbe Mann épouse de Jean Joseph Blaess, décédé juge de Paix à Barr, sa mère. Ledit immeuble est échu audit Georges Adolphe Mann dans la succession de son père Jean Geoffroi Mann, patissier, lequel l’avait; acquis de Georges Conrad Seup, serrurier, par acte passé à la Chambre des Contrats le 4 juin 1745 – moyennant 12.000 francs
Enregistrement, acp 173 F° 166-v du 21.6.

Originaire de Colmar, François Augustin Armbruster épouse en 1815 Marie Françoise Kayser, native de Wasselonne
Mariage, Strasbourg (n° 19)
Acte de mariage, célébré à l’hôtel de ville de Strasbourg à dix heures du matin le 10 janvier 1815. François Augustin Armbruster, majeur d’ans, né en légitime mariage le 4 avril 1781 à Colmar (Haut-Rhin) domicilié à Strasbourg, Ebéniste, fils de feu Joseph Armbruster, menuisier décédé à Colmar le 4 septembre 1808 et de feu Catherine Hecklé, décédée audit lieu le 16 ventôse an XI, Marie Françoise Kayser, mineure d’ans née en légitime mariage le 28 thermidor an III de la République française à Wasselonne (Bas rhin) domiciliée audit lieu, fille de feu André Kayser, savonnier et cultivateur décédé à Wasselonne le 17 vendémiaire an XII et de feu Marie Madeleine Margraff décédée au même lieu le 2 Frimaire an onze (i 11)

François Augustin Armbruster meurt en 1825 en délaissant trois enfants

1828 (30.10.), Strasbourg 8 (nouv. cote 46), M° G. Grimmer n° 2453
Inventaire de la succession de François Augustin Armbruster, ébéniste décédé le 12 août 1825 – à la requête de Françoise Kaÿser la veuve, mère et tutrice légale de François Joseph né le 5 février 1816, Marie Joséphine née le 9 septembre 1821, Marie Antoinette née le 28 mai 1824 – en présence de Michel Sitz, subrogé tuteur mariés il y a à peu près 14 ans sans contrat de mariage
immeuble, une maison à rez de chaussée & trois étages avec cour et bâtiment de derrière au fond de la cour sise à Strasbourg rue des Tripes n° 6, d’un côté le Sr Oberlé, de l’autre la veuve Armbruster, devant la rue, derrière partie propriété du Sr Oberlé partie celle du Sr Exel – acquis des héritiers Mann par acte reçu M° Lex le 18 juin 1825, estimée 10.000 fr
garde robe 205 fr, communauté mobilier 2092 fr dont meubles au magasin, vignes à Dahlenheim 240 fr, ensemble 12.332 fr, passif 10.148 fr, passif à la charge des enfants seuls 109 fr
Enregistrement, acp 191 F° 196 du 7.11.

Françoise Kayser se remarie en 1836 avec Florent Adam, veuf de Marie Antoinette Pasta
1836 (30.7.), Strasbourg 7 (91), M° Stoeber n° 16.940
Contrat de mariage – Florent Adam, propriétaire, veuf sans enfant de Marie Antoinette Pasta n’ayant pas d’héritiers présomptifs à réserve
Françoise Kayser veuve avec trois enfants de François Auguste Armbruster, ébéniste
régime de la communauté réduite aux acquets
art. 7. apports du futur époux, 3. une maison et appartenances consistant en bâtiment connu sous le nom de Toit pointu sise à Strasbourg rue Salpêtrière au quartier des Canonniers n° 14, d’un côté les remparts, de l’autre l’écurie de l’artillerie, devant la chemin, derrière le cloac et partie le rempart, estimée à un revenu de 1200 fr
art. 8, apports de la future épouse, la moitié par indivis d’une maison à rez de chaussée et trois étages avec cour et bâtiment de derrière au fond de la cour sis à Strasbourg rue des Trippes n°6, d’un côté le Sr Oberlin, de l’autre un inconnu, devant la rue, derrière en partie la propriété du Sr Oberlin en partie le Sr Exel – propriété établie dans l’Inventaire de la succession du Sr Armbruster dressé par M° G. Grimmer le 30 octobre 1828 la moitié estimée 7500 fr l’autre moitié de l’immeuble appartient aux enfants de la veuve Armbruster
Enregistrement, acp 242 F° 81 du 1.8.

Marie Françoise Kayser, veuve de François Augustin Armbruster, hypothèque la maison au profit du pharmacien Léon Oberlin

1841 (13.1.), Strasbourg 13 (56), M° Arbogast n° 378
Obligation, 13 Janvier 1843 – Sont comparus Dame Marie Françoise Kayser, veuve de M. François Augustin Armbruster, en son vivant ébéniste à Strasbourg Et M. François Joseph Armbruster, son fils commis négociant, les deux demeurant et domiciliés à Strasbourg. Le Dame veuve Armbruster agissant en son nom personnel et comme mère et tutrice naturelle de Marie Josephine et Marie Antoinette Armbruster ses deux filles mineures issues de son mariage avec ledit défunt Sr Armbruster et spécialement autorisée à l’effet de ce qui suit par délibération du Conseil de famille (…)
Lesquels ont par les présentes déclaré et reconnu que M. Léon Oberlin, Pharmacien demeurant et domicilié à Strasbourg ci présent vient de leur prêter la somme de 4500 francs (…)
hypothèque, Une maison avec cour, bâtiments de derrière au fond de la Cour, appartenances, droits et dépendances, sise à Strasbourg, rue des tripes N° 6, tenant d’un côté audit Sr Oberlin, de l’autre du Sr Clause auparavant au Sr Krentz, par devant ladite rue et par derrière en partie à la propriété de M. Oberlin et en partie à celle de M. Exel.
(…) Les débiteurs déclarent sous les peinds de droit qui leur ont été expliquées par M° Arbogast Notaire sus dit et qu’ils ont dit bien comprendre que cette maison appartient indivisément pour moitié à la Dame veuve Armbruster et pour l’autre moitié à ses trois enfants, comme ayant été acquise par feu M. Armbruster et ladite Dame sa veuve pendant la Communauté de biens qui a existé entre entre eux, aux termes d’un Contrat de vente passé le le 18 juin 1825 devant M° Lex lors notaire, enregistré et transcrit au bureau des hypothèques de cette ville le 22 juillet suivant volume 181 N° 41 et inscrit d’office le même jour volume 172 N° 267.

Marie Françoise Kayser et ses enfants exposent la maison aux enchères. La veuve s’en rend adjudicataire.

1843, Strasbourg 2 (89), M° Roessel n° 15
Cahier des charges, 16 mai 1843. – furent présents 1° Madame Marie Françoise Kayser, veuve de feu Monsieur François Augustin Armbruster, en son vivant ébéniste à Strasbourg, ladite dame y domiciliée et demeurante, agissant aux présentes 1° en son nom personnel à cause de la communauté de biens qui a existé entre entre elle et son défunt mari, 2° comme mère et tutrice légale de Marie Antoinette Armbruster, mineure, issue du mariage de la dame comparante avec ledit Armbruster défunt, ladite mineure âgée de 19 ans, 2° Mademoiselle Marie Joséphine Armbruster, majeure sans profession demeurant à Strasbourg, agissant aux présentes 1° en son propre et privé nom, 2° au nom et comme mandataire de Monsieur François Joseph Armbruster, son frère, soldat à la 4° compagnie du deuxième bataillon du 54° règiment d’infanterie de ligne en garnison à Montmédy (…) Lesquels ont dit et exposé que par jugement rendu au tribunal civil de cette ville le 3 janvier 1843, sur requête présentée pat lesdits dame veuve Armbruster, agissant en ses qualités sus mentionnées, François Joseph Armbruster et Marie Joséphine Armbruster représentés dans l’instance par M° Ackermann avoué, il a été ordonné que pardevant M° Tinchant, notaire à ce commis par ledit jugement, il sera procécé à la vente par licitation, dans les formes voulues par la loi, de la maison ci après désignée sur la mise à prix de 25.000 francs et en outre aux clauses et conditions stipulées au cahier des charges qui sera dressé à cet effet, enfin que par ordonnance de Monsieur le président du susdit tribunal M° Roessel l’un des soussignés notaires a été commis pour procéder aux opérations ordonnées par le jugement sus allégué en remplacement du dit M° Tinchant démissionnaire. (…)
Désignation de l’immeuble à vendre. Une maison avec cour, bâtiments de derrière au fond de la cour, appartenances et dépendances sise à Strasbourg, rue des tripes N° 6, d’un côté à Mr Oberlin pharmacien, de l’autre à M. Klose, tailleur, par devant à ladite rue et par derrière en partie à la propriété de M. Oberlin et en partie à celle de M. Exel.
Origine de la propriété. Les conjoints Armbruster prédénommés se sont rendus propriétaires du dit immeuble pour l’avoir acquis de 1. Catherine Eve Mann, épouse du sieur Chrétien Mosseder, préposé chef de la halle commerciale de Strasbourg, 2. Marie Madeleine Mann, célibataire majeure, 3. Marguerite Louise Mann épouse de Michel Ostermann, brasseur, 4. Frédéric Mann, rentier, tous de Strasbourg, 5. Catherine Julienne Rosine Wyss, épouse de Charles Bigler, bourgeois de Berne, 6. Charles Blaess, confiseur à Paris, en vertu d’un contrat de vente passé devant M° Lex et son collègue notaires à Strasbourg le 18 juin 1825, enregistré et transcrit au bureau des hypothèques de cette ville le 22 juillet suivant volume 181 N° 41.
Après le décès de mondit sieur François Augustin Armbruster, l’immeuble dont s’agit est échu en propriété et appartient aujourd’hui savoir 1° à ladite dame Marie Françoise Kayser, sa veuve comme ayant été commune en biens avec son mari défunt pour moitié ou 3/6, 2° et aux enfants Armbruster susdénommés comme seuls et uniques héritiers dudit défunt leur père pour l’autre moitié ou 3/6, savoir 1) François Augustin pour 1/6, lesdites dame Mosseder, demoiselle Mann, dame Ostermann, sieur Frédéric Mann, dame Rigler et sieur Blaess étaient eux-même devenus propriétaires de ladite maison comme ayant succédé aux droits du sieur Jean Geoffroi Mann, en son vivant pâtissier en cette ville. Et ce dernier en avait fait l’acquisition sur le dieur Georges Conrad Seup, en son vivant serrurier à Strasbourg en vertu d’un contrat de vente passé à la cidevant Chambre des contrats de cette ville le 4 juin 1745. Etat hypothécaire (…)
acp 310 (3 Q 30 025) f° 29
N° 42, 19 juin 1843, adjudication définitive – Et après plusieurs mises successives, ledit immeuble été porté à la somme de 29.800 francs par Monsieur Joseph Exel, propriétaire domicilié et demeurant à Strasbourg (…) et a mondit seur Exel déclaré à l’instant avoir enchéri au nom et pour le compte de Madame veuve Armbruster requérante ci-dessus qualifiée.
acp 311 (3 Q 30 026) f° 71-v

Marie Françoise Kayser et ses enfants hypothèquent la maison au profit de Philippe Jacques Rasp

1843 (26.6.), Strasbourg 7 (99), M° Boersch n° 4095
Obligation, 26 Juin 1843 – Ont comparu D° Marie Françoise Kayser, sans état, veuve du Sr François Augustin Armbruster, vivant ébéniste et Delle Marie Joséphine Armbruster, mercière les deux demeurant et domiciliées à Strasbourg, agissant tant en leur propre et privé nom que comme se portant solidairement fortes pour 1° le Sr François Augustin Armbruster ci devant commis négociant actuellement soldat au 54° règiment d’infanterie de ligne en garnison à Montmédy, domicilié à Strasbourg (…) et 2° Dlle Marie Antoinette Armbruster, fille mineure sans profession demeurant & domiciliée à Strasbourg (…) Lesquelles ès qualité qu’elle agissent ont par les présentes reconnu & déclaré devoir bien & légitimement
à M. Philippe Jacques Rasp, propriétaire demeurant & domicilié à Strasbourg, créancier ci présent & acceptant, la somme principale de 1100 francs pour prêt de pareille somme (…)
hypothèque, En la Ville de Strasbourg. Une maison avec cour, bâtiment de derrière au fond de la cour, appartenances, droits & dépendances, sise à Strasbourg, rue des tripes N° 6, donnant par devant sur ladite rue, attenant par derrière en partie à la propriété de M. Oberlin et en partie à la propriété de M. Exel, tenant d’un côté à la propriété dudit Sr Oberlin et de l’autre à la propriété du Sr Klose autrefois du Sr Krentz
Au ban de Dahlenheim (…) Les D° et Delle Armbruster déclarent que les maisons appartiennent en toute propriété tant à elles qu’au Sr Armbruster et à la mineure susnommés (…)

Marie Françoise Kayser loue la maison à Philippe Jacques Rasp

1843 (26.9.), Strasbourg 7 (99), M° Boersch n° 4261
Bail, 26 septembre 1843. – A comparu D° Marie Françoise Kayser, sans état, veuve de M. François Augustin Armbruster, en son vivant ébéniste à Strasbourg où elle demeure & est domiciliée, laquelle a par les présentes loué à titre de bail à loyer pour trois années entières et consécutives qui commencent à courir le 29 septembre 1843 et finiront à pareil terme de l’année 1846
à M. Philippe Jacques Rasp, propriétaire demeurant et domicilié à Strasbourg, ci présent & acceptant
Une maison à rez de chaussée & trois étages avec cour, bâtiments au fond de la cour, sise à Strasbourg, rue des tripes N° 6, tenant d’un côté à M Oberlin pharmacien, de l’autre côté au Sr Clause, donnant par devant à ladite rue & attenant par derrière en partie à M. Oberlin & en partie à M. Exel. Ainsi que cet immeuble est & se comporte actuellement ensemble tous les poêles & trumeaux et tous les objets mobiliers se trouvant dans la dite maison. (…) le bail a en outre été consenti & accepté pour & moyennant un loyer annuel de 1000 francs
acp 314 (3 Q 30 029) f° 39-v

Liquidation et partage de la succession de François Augustin Armbruster, ébéniste à Strasbourg
1845 (18.4.), Strasbourg 2 (91), M° Roessel n° 602
Ont comparu 1° Madame Marie Françoise Kayser, veuve de Mr François Augustin Armbruster, en son vivant ébéniste à Strasbourg, agissant 1° en son propre et privé nom à cause de la communauté de biens légale qui à défaut de contrat de mariage a existé entre entre elle et son mari défunt, 2° au nom et comme tutrice légale de Marie Antoinette Armbruster, mineure issue du mariage avec son défunt mari, 2° Demoiselle Marie Joséphine Armbruster, majeure sans profession, agissant en son propre nom, 2° en qualité de mandataire de Mr François Joseph Armbruster, son frère, soldat à la 4° compagnie du deuxième bataillon du 54° règiment d’infanterie de ligne en garnison à Paris, domicilié à Strasbourg (…) Lesdites Veuve & demoiselle Armbruster domiciliées autrefois à Strasbourg & actuellement hors la porte d’Austerlitz banlieue de cette ville,
lesdits sieur Armbruster & demoiselles Armbruster héritiers chacun pour un tiers de feu ledit Sr Armbruster leur père ainsi que cette qualité héréditaire est constatée par un inventaire dresé par M° Guillaume Grimmer notaire à Strasbourg le 30 octobre 1828. Lesquelles comparantes préalablement aux opérations ci après et pour leur intelligence ont exposé ce qui suit

Première observation. Les époux Armbruster se sont mariés à Strasbourg en l’année 1815 sans faire précéder leur union d’un contrat de mariage, de sorte qu’ils ont adopté pour régime de leur union la communauté de biens légale (…) Le sieur Armbruster est décédé à Strasbourg le 21 août 1825 en laissant pour habiles à se dire et porter ses seuls héritiers ses enfants ci dessous nommés 1° ledit Sr François Joseph Armbruster né le 5 février 1816, 2° Marie Joséphine Armbruster née le 9 septembre 1821, 3° Marie Antoinette Armbruster née le 28 mai 1824. L’inventaire après le décès a été seulement dressé le 30 octobre 1828 par le ministère dudit M° Grimmer à la requête de Mde veuve Armbruster
acp 334 (3 Q 30 049) f° 91-v du 18.4. – Il dépendait de la communauté une maison à Strasbourg rue des tripes N° 6 qui a été adjugée à Mme Armbruster suivant acte contenant procès verbal d’adjudication reçu Roesel le 19 juin 1843 moyennant 29.800, dont à déduire les frais montant à 217 francs, reste 29.582 francs
Communauté, masse active. elle se compose 1° de la somme de 2092 montant de l’estimation des objets mobiliers de la communauté et dont Mme Armbruster est comptable, 2) du prix de vente fesant 29.582, 3) d’une pièce de vigne de 20 ares ban de Dahlenheim que les parties laissent indivise entre elles p. mém., Total 31.675
Masse passive. elle se compose de 1148 payés par M° Armbruster à la décharge de la communauté, et de diverses sommes s’élevant à 9200, ensemble 10.348, reste 21.326
Dont moitié à la veuve 10.663, et moitié aux enfants 10.663
Succession. Masse active. Elle compend 1° le bénéfice de la communauté 10.663, 2) la garde robe du défunt 205, Total 10.868 francs. Dont à déduire les frais payés par la mère à la décharge des enfants montant à 109, Reste 10.758, dont ? à chaque enfant 3586
Compte de Mme Armbruster (…)

Marie Françoise Kayser consent au mariage de son fils François Joseph
1851 (11.7.), Roessel Jeune
Consentement par Françoise Kayser veuve d’Augustin Armbruster au mariage que son fils François Joseph Armbruster, commis négociant audit lieu se propose de contracter avec Marie Louise Weiss, majeure à Strasbourg
acp 401 (3 Q 30 116) f° 86 du 11.7.

Marie Françoise Kayser consent au mariage de son fils Antoine à Nancy
1854 (2.9.), Roessel A. subst. Lauth
Consentement par Françoise Kayser veuve de François Auguste Armbruster, ébéniste à Strasbourg au mariage de son fils Antoine Kayser avec Joséphine Ahn* les deux à Nancy
acp 432 (3 Q 30 147) f° 89 du 2.9.

Marie Françoise Kayser vend la maison au clerc de notaire Joseph Henri Farner moyennant 26 000 francs

1844 (6.11.), Strasbourg 10 (103), M° Zimmer n° 5416
Vente, 6 novembre 1844 – a comparu Mme Marie Françoise Kayser, demeurant à Strasbourg, veuve de M. François Augustin Armbruster, en son vivant ébéniste en cette ville, Laquelle a par les présentes vendu (…)
à Mr Joseph Henri Farner, clerc de notaire, demeurant en la même ville, acquéreur ci présent et acceptant
Une maison avec cour, bâtimens de derrière au fond de la cour, appartenances et dépendances sise à Strasbourg, rue des tripes N° 6, d’un côté Mr Oberlin pharmacien, de l’autre M. Diss, par devant la rue et par derrière en partie à la propriété de M. Oberlin et en partie à celle de M. Exel. Cette maison est vendue telle et en l’état où elle se trouve (…) dans cette vente sont également compris tous les rayons et poêles, le chaudron à lessive et toutes les glaces qui se trouvent dans la maison sans autre réserve qu’une glace qui se trouve dans le logement de la venderesse (…) L’entrée en jouissance au profit de l’acquéreur est fixée au 25 décembre prochain (…) Cet immeuble dépendait de la communauté de biens qui avait existé entre la venderesse et son défunt mari. Ce dernier en mourant laissa pour seuls enfans et uniques héritiers, ainsi que la comparante le déclare, 1. Mlle Marie Joséphine Armbruster majeure sans état domiciliée à Strasbourg, 2. M. François Joseph Armbruster, soldat au 54° règiment d’infanterie de ligne domicilié à Strasbourg, 2. et Mlle Marie Antoinette Armbruster, cette dernière encore mineure. Sur requête présentée par la veuve Armbruster et ses deux enfants majeurs, le tribunal civil de Strasbourg a par son jugement du 3 janvier 1843 ordonné la vente par licitation du dit immeuble, cette vente a eu lieu devant M° Roessel notaire en cette ville, et la veuve Armbruster s’est rendue adjudicataire de la totalité de la maison moyennant la somme de 29.800 francs suivant procès verbal d’adjudication dressé par la même notaire le 19 juin 1843, outre les clauses et conditions retenues dans un cahier des charges dressé par ledit M° Roessel le 16 mai de la même année. Le prix d’adjudication dont une partie a été déléguée aux créanciers hypothécaires et une autre partie revient aux trois enfants Armbruster, est encore dû et totalité.
Le défunt Sr Armbruster avait acquis ladite maison durant son mariage de 1. Catherine Eve Mann épouse du Sr Chrétien Mosseder, préposé de la halle commerciale de Strasbourg, 2. Marie Madeleine Mann, célibataire majeure, 3. Marguerite Louise Mann épouse de M. Michel Ostermann, brasseur, 4. Frédéric Mann, rentier, tous de Strasbourg, 5. Catherine Julienne Rosine Wyss, épouse de Charles Bigler, bourgeois de Berne, 6. Charles Blaess, confiseur à Paris, en vertu d’un contrat de vente passé devant M° Lex alors notaire à Strasbourg le 18 juin 1825, transcrit au bureau des hypothèques de cette ville le 22 juillet suivant volume 181 N° 41. Cette acquisition a eu lieu pour la somme de 12.000 francs (…) – Prix 26.000 francs
acp 329 (3 Q 30 044) f° 51-v

Joseph Henri Farner épouse en 1844 Madeleine Eugénie Berthelé, tous deux sont enfants naturels de père inconnu : contrat de mariage, consentements de mariage, célébration
1844 (21.9.), Strasbourg 10 (103), M° Zimmer n° 5359
Contrat de mariage, 21 septembre 1844 – ont comparu 1. Mr Joseph Henri Farner, clerc de notaire, demeurant et domicilié à Strasbourg futur époux d’une part
2. Mlle Madeleine Eugénie Berthelé, majeure sans état, demeurant et domiciliée en la même ville future épouse d’autre part
acp 328 (3 Q 30 043) f° 92-v – Régime de communauté d’acquêts. Les apports du futur époux consistent en deux créances montant ensemble à 2940, plus différents ouvrages de littérature estimés 50
Les apports de la future épouse consistent en un Jardin hors la porte des Juifs et en une somme de 8000 francs
Donation réciproque par les futurs au survivant d’eux de l’usufruit viager de toute la succession

N° 5257 N° 5258. 21 septembre. 8. 21 septembre. Consentement par Eutropie Farner à Strasbourg au mariage de son fils Joseph Henri Farner clerc de notaire à Strasbourg avec Madeleine Eugénie Berthelé fille majeure audit lieu
N° 5258. 21 septembre. Consentement par Catherine Elisabeth Berthelé fille majeure à Strasbourg au mariage de sa fille Madeleine Eugénie Berthelé avec Joseph Henri Farner clerc de notaire à Strasbourg
acp 328 (3 Q 30 043) f° 92 du 23.9.

Mariage, Strasbourg (n° 412)
Du 24° jour du mois de septembre 1844 à dix heures du matin. Acte de mariage de Joseph Henri Farner, majeur d’ans, né hors le mariage le 5 décembre 1821 à Strasbourg, Clerc de notaire, fils d’Eutropie Farner, non mariée, native de Osthoffen (Bas-Rhin) domiciliée à Strasbourg, et de Madeleine Eugénie Berthelé, majeure d’ans, née hors le mariage le 2 février 1818 à Strasbourg, domiciliée à Strasbourg, fille de Catherine Elisabeth Berthelé, non mariée, native de Haguenau (Bas-Rhin) domiciliée à Strasbourg. Ledit époux a produit un acte de consentement de sa mère (…)

Joseph Henri Farner et Madeleine Eugénie Berthelé hypothèquent la maison au profit de Charles Lamey fils

1846 (2.7.), Strasbourg 10 (107), M° Zimmer n° 6236
Obligation et subrogation, 22, 30 et 31 juillet 1846. – ont comparu M. Joseph Henri Farner, clerc de notaire, et Mme Madeleine Eugénie Berthelé sa femme de lui dûment autorisée, les deux demeurant et domiciliés à Strasbourg, lsquels reconnaissent devoir bien et légitimement
à M. Charles Lamey fils, propriétaire demeurant et domicilié à Strasbourg, créancier ci présent et acceptant, une somme principale de 17.000 francs (…)
constituent en hypothèque spéciale Une maison avec tous ses droits, appartenances et dépendances située à Strasbourg rue des tripes N° 6, d’un côté M. Oberlin pharmacien de l’autre M. Diss par devant la rue et par derrière en partie M. Oberlin et en partie M. Exel.
Les débiteurs sont devenus propriétaires de cet immeuble pour l’avoir acquis de Mme Marie Françoise Kayser demeurant à Strasbourg veuve de M. François Augustin Armbruster en son vivant ébéniste en cette ville, suivant contrat de vente passé devant M° Zimmer, soussigné, le 6 novembre 1844 transcrit au bureau des hypothèques de Strasbourg le 9 du même mois volume 425 N° 1 et inscrit d’office le même jour volume 417 N° 53. Les débiteurs déclarent que cet immeuble leur appartient encore en toute propriété (…)

Joseph Henri Farner et Madeleine Eugénie Berthelé exposent la maison aux enchères. La rentière célibataire Virginie Boitel s’en rend propriétaire.

1861, Strasbourg 10 (146), M° Zimmer (Louis Frédéric) n° 14.310
N° 14.310, 17 décembre 1861 – ont comparu Mr Joseph Henri Farner, négociant, et dame Elisabeth Eugénie Berthemé son épouse qu’il autorise à l’effet des présentes les deux demeurant et domiciliés à Strasbourg. Lesquels exposent qu’ils sont propriétaire de la maison ci après désignée, qu’ils sont intentionnés de vendre, en conséquence ils requièrent M° Zimmer notaire soussigné de dresser sur leurs déclarations et indications le cahier des charges, clauses et conditions sous lesquelles la dite vente doit avoir lieu
Désignation de l’immeuble à vendre. Une maison avec bâtiment à gauche de la cour, droits, appartenances et dépendances, sise à Strasbourg rue des Tripes N° 6, d’un côté Mr Beno, de l’autre M. Diss, par derrière M. Exel. Cet immeuble sera exposé aux enchères sur la mise à prix de 25.000 francs.
Etablissement de la propriété. Cet immeuble appartient aux conjoints Farner comparans pour en avoir fait l’acquisition de Dame Marie Françoise Kayser veuve de M. François Augustin Armbruster vivant ébéniste à Strasbourg aux termes d’un contrat de vente reçu par M° Zimmer, notaire soussigné, le 6 novembre 1844 transcrit au bureau des hypothèques de Strasbourg le 9 du même mois volume 425 N° 1 et inscrit d’office le même jour volume 417 N° 53. Cette acquisition a eu lieu moyennant le prix de 26.000 francs qui a été réparti entre les créanciers (…). Et le Sr Armbruster susnommé en est lui-même devenu propriétaire pour en avoir fait l’acquisition durant son mariage avec sa veuve susnommée de 1) Catherine Eve Mann épouse du Sr Chrétien Mosseder, préposé de la halle commerciale de Strasbourg, 2) Marie Madeleine Mann, célibataire majeure, 3) Marguerite Louise Mann épouse de M. Michel Ostermann, brasseur, 4) Frédéric Mann, rentier, tous de Strasbourg, 5) Catherine Julienne Rosine Wyss, épouse de Charles Bigler, bourgeois de Berne, 6) Charles Blaess, confiseur à Paris, aux termes d’un contrat de vente passé devant M° Lex alors notaire à Strasbourg le 18 juin 1825. Après le décès de M. Armbruster, cet immeuble échut pour moitié à sa veuve sunommée comme ayant participé pour pareille quotité à la de la contenance de qui a existé entre entre elle et son défunt mari et l’autre moitié à ses trois enfants et seuls héritiers nommés Marie Joséphine Armbruster majeure, François Joseph Armbruster, alors soldat au service de France et Marie Antoinette Armbruster, alors encore mineure. Sur requête présentée par la veuve Armbruster et ses deux enfants majeurs, le tribunal civil de Strasbourg a par son jugement du 3 janvier 1843 ordonné la vente par licitation du dit immeuble, cette vente a eu lieu devant M° Roessel notaire susnommé, et la veuve Armbruster s’est rendue adjudicataire de la totalité de la maison moyennant la somme de 29.800 francs, aux termes d’un procès verbal d’adjudication dressé par la même notaire le 19 juin 1843. – Etat hypothécaire (…)
acp 505 (3 Q 30 220) f° 43 du 19.12.
Et le jeudi 9 janvier 1862, Adjudication définitive – par devant M° Roessel jeune et son collègue substituant pour cause d’absence M° Louis Frédéric Zimmer
adjugé définitivement à Mlle Virginie Boitel rentière demeurant et domiciliée à Strasbourg pour 25.100 francs

Virginie Boitel hypothèque la maison au profit de Sophie Mélanie Steiner, femme du pasteur Chrétien Ernest Haan

1874 (31.8.), Strasbourg 10 (174), M° Kœrttgé (Jean Théodore) n° 4325
Obligation vom 31. August 1874 – ist erschienen Fräulein Virginie Boitel, Rentnerin in Straßburg wohnhaft welche hierdurch anerkannt, rechtmäßig schuldig zu sein
an Frau Sophie Mélanie Steiner, Ehefrau von H. Christian Ernst Haan, Pfarrer im Hohwald, beide wohnhaft in besagter Gemeinde, Gläubigerin, für welche zugegen ist und solches annimmt ihr Vater H. Johann Carl Eduard Steiner, Handelsgehülfe in Strassburg wohnhaft, die Hauptsumm von 5000 Franken
Zur Sicherheit des besagten Kapitals nebst Zinsen und Zugehörden versetzt Fräulein Boitel hypothekarischer Weise zu Gunsten der Frau Haan, was H. Steiner für sie annimmt, ein Wohnhaus mit allen Rechten & Zugehörden, in Straßburg gelegen Kuttelgasse N° 6 zwischen H. Oberlin & H. Diss, hinten zum theil besagten H. Oberlin und H. Edel.
Dieses Haus gehört der Fräulein Boitel um es ersteigert zu haben von H. Joseph Henri Farner, Kaufmann, & von Elisabeth Eugénie Barthelé, dessen Ehefrau, beide in Straßburg wohnhaft, laut Steigprotokoll durch H. Zimmer damals Notar in Straßburg wohnhaft, den 9. Januar 1862 errichtet, im Hypothekenamte von Straßburg abgeschrieben den 1. Hornung 1862 Band 882 Nr 124 und offizial Einschreibung unter Band 803 Nr 221.

Virginie Boitel nomme pour son héritière universelle Eugénie Berthelé veuve de Joseph Farner, à charge de délivrer plusieurs legs

1881 (15.7.), Strasbourg 10 (195). M° Frédéric Pierron n° 4158
Testament – Ist erschienen Fräulein Virginie Boitel, ledig ohne Gewerbe zu Straßburg wohnhaft Kuttelgasse N° 6
Ich setze zu meiner Universal-Erbin ein, zum völligen Eigenthum von meinem Absterben an, Frau Eugenie Berthelé Wittwe von Joseph Farner zu Straßburg, unter dem Beding
1) meiner Schwester Rosa-Eugenie Boitel, wann dieselbe mich überlebt, bei sich* aufzunehmen und ihr eine jährliche Rente von 800 Franken, bis zu deren Absterben zu bezahlen
2) und an * Partikular-Legaten zu bezahlen, sechs Monate nach meinem Tode, wan meine genannte Schwester vor mir sterben sollte, im Gegentheil erst sechs Monate nach deren Ableben wann sie mich überlebt (…) an Eugen Farner, Kaufmann zu Paris, deßen Pathin ich bin, 5000 Franken
An mein Schwägerin Wittwe Boitel wohnhaft neben Metz zu Sainte-Ruffine 600 Franken.
acp 731 (3 Q 30 446) f° 47 n° 2618 du 2.11.1892 (Sterbfall Erklärung 29.6.83 Bd 141 Nr 134) 18. Juli 1881. Vermächtniss der am 30. October hieselbst verlebten Virginie Boitel, worin dieselbe die Eugenie Bertele Wittwe von Joseph Farner hier zur Gesamtvemächtnißnehmerin einsetzt unter der Bedingung zum Zahlen an
1) die Schwester Eugenie Boitel eine lebenslänglich järliche Rente von M 640
2) Eugen Farner Kaufmann in Paris 4000 M
3) der Schwägerin Wittwe Boitel M 480.

Native de Vertus, Virginie Boitel meurt à l’âge de 78 ans le 30 octobre 1882. Le décès est déclaré par sa nièce Elise Farner, demoiselle de magasin célibataire.
Décès, Strasbourg (n° 2626) Strassburg am 31. October 1882. Vor dem Standesbeamten erschienen heute die ledige Ladendienerin Elisa Farner, wohnhaft zu Straßburg Kuttelgasse 6, und zeigte an, daß ihre Tante die ledige Rentnerin Virginia Boitel, 78 Jahre alt, katholischer Religion wohnhaft zu Straßburg, geboren zu Vertus (Frankreich), Tochter der verstorbenen Eheleute Adrian Boitel, Kaufmann und der Rosa Morand, in ihre Wohnung am 30. October des Jahres 1882 Abends um Zehn Uhr gestorben sei. (i 216)

Acte de notoriété qui établit que Madeleine Eugénie Berthelé est héritière universelle de Virginie Boitel.
1889 (19.9.), Strasbourg 8 (149), M° Gustave Edouard Loew n° 21.342
Offenkunde – (daß sie) die Rentnerin Fräulein Virginie Boitel in Straßburg wohl bekannt zu haben, sowie zu wissen, daß dieselbe in Straßburg am 30. Oktober 1882 verstorben ist, ohne Ascendanten oder Descendanten mit Vorhebaltrecht in ihrem Nachlasse zu hinterlassen, so daß nichts dem unbeschränkten Vollzuge ihres vom damaligen Notar Pierron in Straßburg aufgenommenen, registrirten Testaments vom 15. Juli 1881 entgegensteht, worurch die Verlebte die hiesige Rentnerin Frau Madeleine Eugénie Barthelé, Wittwe des Kaufmanns herrn Joseph Henri Farner, zur Universallegatarin eingesetzt hatte.
acp 820 (3 Q 30 535) f° 7 n° 2032 du 21.9.

Madeleine Eugénie Berthelé consent au mariage de son fils Jean Baptiste Eugène, commis négociant à Paris
1879 (28.1.), M° Ritleng
Einwilligung durch Magdalena Eugenie Berthelé Wittwe von Joseph Heinrich Farner in Straßburg zur Verehelichung ihres Sohnes Johann Baptist Eugen Farner, Handlungsgehilfe in Paris mit Martine Malin allda
acp 684 (3 Q 30 399) f° 92 du 29.1.

Elisabeth Eugénie Berthelé, veuve du marchand Joseph Henri Farner, hypothèque la maison au profit d’Eugénie Marie Roth, veuve de Charles Roth, et de Sophie Amélie Roth, femme de Philippe Roth

1883 (28.6.), Strasbourg 10 (203), M° Frédéric Pierron n° 5732
Obligation, 28 Juni 1883 – ist erschienen Frau Elisabeth Eugenie Berthele, wohnhaft in Strassburg, Wittwe des verlebten Kaufmanns Herrn Joseph Heinrich Farner, welche hiermit erkennt, rechtmässig schuldig geworden sein
an Frau Eugenie Marie Roth, Rentnerin in Paris wohnhaft, zur Zeit sich in Straßburg befindent, Wittwe des verlebten Kassierers Herrn Karl Roth, eine Hauptsumm von 1600 Mark
und an ihrer Schwester Frau Sophie Amelie Roth, Ehegattin des Herrn Philipp Roth, Hauptmann im 22. frantzösischen Infanterie Regiment, Ritter der Ehrenlegion, würcklich in Belfort garnisonnirend, eine Hauptsumm von 1200 Mark
Hypothekarische Verpfändung. Zur Sicherheit des Betrags gegenwärtiger Obligation an Hauptsumme, Zinsen und Zugehörden verpfändet die Wittwe Farner hypothekarischer Weise zu Gunsten der Gläubigerin, solches angenommen wie oben, ein dreistöckiges Wohnhaus bestehend aus Vorder und Seitengebäude, Hof, Brunnen, Rechten und Zugehörden in Straßburg gelegen Kuttelgasse N° 6 (früher rue des trippes N° 6) zwischen Eigenthum Oberlin und Diss, hinten zum theil auf Herrn Oberlin und Herrn Edel stoßend
Eigenthums-Nachweis. Dieses Haus gehört der Frau Farner in ihrer Eigenschaft als Universal legatarin der Fräulein Virginie Boitel ledigen Standes zu Straßburg den 30. October 1882 verstoben, auf Grund eines öffentlichen Testamentes durch den unterzeichneten Notar den 15. Juli 1881 errichtet in Straßburg am 2. November 1882 Band 731 N° 7 registrirt. Fräulein Virginie Boitel hat selbst dieses Haus ersteigert von genannten Ehegatten Farner auf Grund eines Steigprotokolls durch den damaligen Notar Zimmer in Straßburg den 9. Januar 1862 errichtet, im Hypothekenamte von Straßburg den 1. Hornung desselben Jahres Band 882 Nr 124 transcribirt und von Amtswegen eingeschrieben Band 803 Nr 221. – Feuerschaden Versicherung (…) – Civil und Hypothekenstand

Elisabeth Eugénie Berthelé hypothèque la maison au profit de Charles Théodore Seltzer

1884 (8.12.), Strasbourg 4 (164). M° Charles Lauterbach n° 9282
Obligation und Subrogation, 1885 – Erschienen Frau Elisabeth Eugenie Berthelé, ohne Gewerbe zu Strassburg wohnhaft, Wittwe des daselbst wohnhaft gewesenen Kaufmanns Herrn Joseph Heinrich Farner, welche hierdurch erkennt, rechtmässig schuldig geworden sein
an den anwesenden, dies annehmenden, Herrn Karl Theodor Seltzer, Eigenthümer zu Straßburg alte Korngasse N° 3 wohnhaft, ein Kapital von 11.200 Mark
Verpfaendung. Zur Sicherheit der Rückzahlung des obigen Darlehens (…)
Ein Wohnhaus mit allen Rechten und Zugehörden gelegen zu Straßburg Kuttelgasse N° 6, einerseits Heinrich Beno, anderseits Heinrich Diss, vorn die Straßen hinten die Herren Beno und Edel. so wie dieses Immöbel zur Zeit sich befindet (…)
Schuldverhaeltniss und Eigenthumsnachweis. Die Schuldnerin Frau Farner hat das Pfandobject erworben durch Erbschaft von Fräulein Virginie Boitel in Straßburg zufolg deren Testamentes vor Notar Pierron daselbst vom 15. Juli 1881 worin die Schuldnerin zur Universalerbin eingesetzt wurde und durch welches sie zugleich Schuldnerin des eben genannten Herrn Johann Baptist Werner für die unten näher qualificirte Forderung ad 11.200 Mark wurde. Das erwehnte Testament ist registrirt zu Strassburg I am 2. November 1882. Ursprünglich hatte die jetzige Schuldnerin Frau Eugenie Berthelé und deren verlebten Ehemann, Herr Joseph Heinrich Farner Eingangs genannt, das Pfandobject käuflich erworden von Frau Maria Franziska Kayser in Straßburg wohnhaft, Wittwe von Herrn Franz Augustin Armbruster zufolge Act des früheren Notars Herrn Zimmer von 6. November 1844, überschrieben im Hypothekenamte Strassburg den 9. darauf Band 425 Nr 1. Das Immöbel war vor diesen Eheleuthen Farner für eine Schuldforderung ad 18.500 Franken an den Apotheker Herrn Leon Oberlin in Strassburg zufolge Obligation desselben Notars vom 31. und 31. Juli 1848 verpfändet worden (…)
acp 756 (3 Q 30 471) f° 68-v du 11.12.

Elisabeth Eugénie Berthelé hypothèque la maison au profit de Sophie Mélanie Emma Steiner, femme du pasteur Chrétien Ernest Haan (voir l’obligation contractée envers la même par Virginie Boitel)

1885 (27.4.), Strasbourg 10 (209), M° Frédéric Pierron n° 6962
Obligation, 27 April 1885 – ist erschienen Frau Elisabeth Eugenie Berthele, Wittwe von Herrn Joseph Heinrich Farner, Kaufmann, wohnhaft in Strassburg, welche hiermit erklärt, rechtmässig schuldig geworden sein
an Frau Sophie Melanie Emma Steiner, Ehegattin des Herrn Christian Ernst Haan, Pfarrer, mit einander zu Birlenbach, Canton Sulz unter Wald wohnhaft, für welche hierzugegen und solches annimmt der Vater Herr Johann Carl Eduard Steiner, Rentner in Strassburg wohnhaft, die Hauptsumm von 800 Mark
Zur Sicherheit des Betrags gegenwärtiger Obligation an Hauptsumme, Zinsen und Nebensachen verpfändet die Schuldnerin, hypothekarischer Weise zu Gunsten der Gläubigerin, für welche Herr Steiner solches annimmt, Ein dreistöckiges Wohnhaus bestehend aus Vorder und Seitengebäude, Hof, Brunnen, Rechten und Zugehörden gelegen in Straßburg Cuttelgasse N° 6 (früher rue des trippes N° 6) zwischen Eigenthum Oberlin und Diss, hinten zum theil an Eigenthum von Herrn Oberlin und Herrn Edel stossend
Eigenthums-Nachweis. Dieses Haus gehört der Frau Berthele Wittwe Farner in ihrer Eigenschaft als Universal legatarin der Fräulein Virginie Boitel ledigen Standes zu Straßburg den 30. October 1882 verstoben, laut eines öffentlichen Testamentes durch den unterschriebenen Notar den 15. Juli 1881 errichtet. Für den früheren Eigenthums-Nachweis berufen sich die Parteien auf eine Obligation errichtet vor unterfertigten Notar am 28. Juni 1883. – Versicherung gegen Feuerschaden (…) – Civil und Hypothekenstand

Elisabeth Eugénie Berthelé vend la maison au peintre Charles Emile Rutherd moyennant 25 600 marks

1889 (19.9.), Strasbourg 8 (149), M° Gustave Edouard Loew n° 21.344
Kauf, 19 September 1889 – ist erschienen frau Magdalena Eugenie Berthele, Rentnerin, wohnhaft zu Straßburg, Wittwe des Kaufmanns Joseph Heinrich Farner, dieselbe verkaufft (…)
an Karl Emil Rutherd, Maler, wohnhaft zu Straßburg, Goldgießen Nr 24
Ein aus Vorder: und Seitengebäuden bestehendes dreistökiges Wohnhaus nebst Hof, Brunnen, Rechten und Zugehörden, gelegen in Straßburg, Kuttelgasse N° 6 zwischen Herrn Hampele und Fräulein Friedrich, hinten Eigenthum Groskost. Als mitverkauft gelten die im Anwesen stehenden Öfen nenst Rohren und Steinen, soweit sie der Verkäuferin gehören.
Eigenthumsnachweis. Frau Wittwe Farner erbte das Anwesen von Frl. Virginie Boitel in Straßburg, von welcher sie durch registriertes Testament von Notar Pierron daselbst vom 15. Juli 1881 zur Universallegatarin eingesetzt war und welche inhaltlich eines nach vor gegenwärtigem Vertrage zur Regsitrirung kommenden Offenkundigkeitaktes vom heutigen keine Vorbehalts Erben hinterlassen hat. Fräulein Boitel hatte es von den Eheleuten Farber erworben inhaltlich 1. Inventars vor Notar Zimmer in Straßburg vom 13. April 1847, 2. Bedingnisheftes desselben Notars vom 17. Dezember 1861, 3. Versteigerungs Protokolls desselben Notars vom 9. Jan 1862 und 4. Theilungsurkunde desselben Notars vom 10. Januarÿ 1865.
Eheleute Farner hatten das Anwesen von Maria Franziska Kayser in Straßburg, Wittwe von Herrn Franz Augustin Armbruster gekauft, laut Vertrags vor Notar Zimmer von 6. November 1844, überschrieben beim hiesigen Hypothekenamte den 9. desselben Monats, Band 425 Nr 1. – Hypothekenbelastung (…) 18.800 M – Kaufpreis 25.600 Mark, davon sind sogleich bezahlt 1600 Mark
acp 819 (3 Q 30 534) f° 48-v n° 2122 du 21.9.

Le peintre en bâtiment Charles Emile Rutherd originaire de Strasbourg épouse en 1892 Louise Bodemer, de Balbronn
Mariage, Balbronn (n° 7)
Ballbronn am 6. October 1892. Vor dem Standesbeamten erschienen heute zum Zwecke der Eheschließung 1. der Maler Emil Karl Rutherd, evangelischer Religion, geboren den 30. Dezember des Jahres 1862 zu Strassburg, wohnhaft zu Strassburg, Sohn des verstorbenen Malers Johann Bernhard Rutherd und dessen Ehefrau Barbara geb. Dick, wohnhaft zu Straßburg
2. die gewerblose Luise Bodemer, evangelischer Religion, geboren den 13. October des Jahres 1868 zu Ballbronn, wohnhaft zu Ballbronn, Tochter des Ackerers Georg Bodemer und desssen Ehefrau Elisabeth geb. Motzig wohnhaft zu Ballbronn (i 8)

Registre domiciliaire (603 MW 698) – Rutherd, Baumaler
Carl Emil, 31.12.63 Strassb. (1862 ist richtig) † 24.1.21
Frau Louise Bodemer 13.10.68 Ballbronn
Kinder, Heinrich Eduard 17.6.95 Straßb.
Paul Johann Georg 17.6.97
(Wohnungsverhältniß) Kuttelgasse 6
29.3.92 Goldgiessen 24
11.1.98 Schirmeckerstrasse 27-c
jetzt Schirmeckerstrasse 73 wohnt noch x

Décès, Strasbourg (n° 187)
Strasbourg le 25 janvier 1921 (…) a comparu aujourd’hui Monsieur Henri Rutherd, peintre demeurant à Strasbourg 73, Route de Schirmeck (…) a déclaré que Monsieur Charles Emile Rutherd, peintre, époux de Louise Rutherd née Bodemer, âgé de 58 ans, de religion protestante, demeurant à Strasbourg 73, Route de Schirmeck à Strasbourg fils de Jean Bernard Rutherd et de Barbe née Dick demeurant à Strasbourg est décédé à Strasbourg 73 Route de Schirmeck le 24 janvier de l’année 1921 à 18 heures 30 (i 49)

Charles Emile Rutherd n’habite plus à partir de 1896 la maison qui revient à leurs deux fils et héritiers, peintres en bâtiment. Le cadet meurt célibataire en 1959, l’aîné se marie en 1962 et meurt en 1964.

Naissance, Strasbourg (n° 1828)
Strassburg am 18. Juni 1895. Vor dem Standesbeamten erschienen heute der Baumaler Carl Emil Rutherd, wohnhaft zu Straßburg Kuttelgasse N° 6, evangelischer Religion, und zeigte an, daß von der Luise geborner Bodemer seiner Ehefrau evangelischer Religion wohnhaft bei ihm zu Straßburg in seiner Wohnung am 17 Juni des Jahres 1895 Nachmittags um Zehn Uhr ein Kind männlichen Geschlechts geboren worden, welches die Vornamen Heinrich Eduard erhalten habe.
[in margine :] Marié à Strasbourg le 3 février 1962 avec Vix Rosa
[in margine :] Décédé le 6 mai 1964 à Strasbourg

Naissance, Strasbourg (n° 2042)
Strassburg am 18. Juni 1897. Vor dem Standesbeamten erschienen heute der Baumaler Carl Emil Rutherd, wohnhaft zu Straßburg Goldgiessen 24, evangelischer Religion, und zeigte an, daß von der Luise geborner Bodemer seiner Ehefrau evangelischer Religion wohnhaft bei ihm zu Straßburg in seiner Wohnung am 17 Juni des Jahres 1897 Vormittags um fünf Uhr ein Kind männlichen Geschlechts geboren worden, welches die Vornamen Paul Johann Georg erhalten habe.
[in margine :] Décédé le 16 décembre 1959 à Strasbourg


Les Maisons de Strasbourg sont présentées à l’aide de Word Press.