4, rue du Vieux-Marché-aux-Grains
Rue du Vieux-Marché-aux-Grains n° 4 – IV 356 (Blondel), N 879 puis section 60 parcelle 55 (cadastre)
Réunie de fait au n° 6 en 1896. – Détruite lors du bombardement aérien du 11 août 1944.
Vers 1940, le n° 4 est celui au pignon crénelé. Un balcon court au-dessus du rez-de-chaussée. (AMS, 1 Fi 84, 328 et 329, photographie Falkenstein)
1944, bâtiments après bombardement (AMS, 1 Fi 104, 193)
La maison entre l’auberge au Saumon au sud et la maison des subhastations au nord est inscrite au nom du fondeur de pichets Jean Wedelé dans le Livre des communaux (1587). Elle a un auvent de vingt-quatre pieds et demi de long, la même longueur que le toit que Jean Wedelé fait remplacer en 1589. La maison appartient ensuite à son beau-fils Michel Wanner puis aux neveux de sa veuve (1615-1665). Les chaudronniers Jean Richard Reiffel puis Barthelémy Erasme Albrecht en sont propriétaires de 1665 à 1716. Barthelémy Erasme Albrecht paie à partir de 1691 quinze sols pour le droit de poser des cuves à farine sur le marché aux grains devant sa maison ; la redevance s’éteint en 1745 par renonciation. La maison reste ensuite jusqu’en 1888 la propriété des ayants droit du vitrier Sébastien Eckel. La veuve du marchand de fer Daniel Pfæhler est autorisée en 1765 à réparer la porte de sa cave inclinée en remplaçant les murs en bois par des murs en pierre. Jean Michel Ott demande en 1768 l’alignement à suivre pour reconstruire sa maison, l’affaire n’a cependant pas de suite. Il fait remplacer en 1774 le pavé par des dalles devant sa maison sur une largeur de quatre pieds.
Plan-relief de 1725. Façades entre la rue de la Lanterne à gauche et la rue des Pelletiers à droite. La maison est la deuxième à partir de la droite (Musée historique, cliché Thierry Hatt)
Elévations préparatoires au plan-relief de 1830, îlot 189 (Musée des Plans-relief) 1
L’Atlas des alignements (années 1820) signale un bâtiment à rez-de-chaussée, trois étages en maçonnerie et un balcon. Sur les élévations préparatoires au plan-relief de 1830, la façade se trouve entre les repères (l-m) : rez-de-chaussée à deux grandes arcades, trois étages à trois fenêtres, pignon crénelé à deux petites fenêtres. Le bâtiment arrière a une sortie (c-d) dans la rue des Chandelles. La cour E représente l’arrière (2-3) du bâtiment vers le Vieux-Marché-aux-Grains, le bâtiment latéral nord (1-2) à deux étages, le bâtiment latéral sud (3-4) à un étage et le bâtiment (4-1) entre deux cours. La cour arrière D représente l’arrière (2-3) du bâtiment entre deux cours, le mur nord (1-2), le bâtiment latéral sud (3-4) à deux étages et le bâtiment (4-1) vers la rue des Chandelles.
La maison porte d’abord le n° 17 (1784-1857) puis le n° 4.
Le farinier Jacques Arlen achète en 1845 un terrain communal pour faire une devanture. Son gendre Jean Chrétien Bieler fait des agrandissements qui portent le revenu de 306 à 360 livres, le nombre de fenêtres au-dessous du troisième étage passe de 42 à 61. Le boucher Jacques Gangloff achète la maison en 1888 puis les commerçants associés Edouard Frey et Charles Frédéric Wolff en 1893. Lors de la liquidation en janvier 1896, Charles Frédéric Wolff en devient seul propriétaire et la loue à la brasserie au Coq blanc. La maison partage ensuite la destinée de sa voisine, le n° 6.
Plan du rez-de-chaussée et du sous-sol lors des transformations prévues en 1889. Le bâtiment à droite de la cour sert de charcuterie. Une partie de la cave se trouve au-dessous de la rue (dossier de la Police du Bâtiment)
septembre 2023
Sommaire
Cadastre – Police du Bâtiment – Relevé d’actes
Récapitulatif des propriétaires
La liste ci-dessous donne tous les propriétaires de 1592 à 1952. La propriété change par vente (v), par héritage ou cession de parts (h) ou encore par adjudication (adj). L’étoile (*) signale une date approximative de mutation.
Jean Wedelé, fondeur de pichets, et (1566) Marguerite, veuve du fondeur de pichets Jacques Martzolff, puis (1583) Ursule Meyer d’abord (1559) femme du chaudronnier Léonard Wanner – luthériens | ||
1615* | h | Michel Wanner, chaudronnier, et (1606) Anne Christmann – luthériens |
1663 | h | (co-propriétaires) Jean Christian, chaudronnier, et (v. 1648) Marie Marguerite Pœnius puis (1663) Anne Dieffenbecher – luthériens Georges Boss, de Bosselshausen – luthérien |
1665 | v | Jean Richard Reiffel, chaudronnier, et (1657) Marie Christian puis (1660) Anne Marie Vogt – luthériens |
1672 | h | Barthelémy Erasme Albrecht, chaudronnier, et (1672) Anne Marie Vogt, veuve de Jean Richard Reiffel – luthériens |
1716 | v | Sébastien Eckel, vitrier, et (1701) Marie Salomé Waldeck – luthériens |
1756 | h | Jean Daniel Pfæhler, marchand, et (1743) Marie Dorothée Eckel – luthériens |
1766 | h | Jean Michel Ott, enseignant, et (1748) Marie Elisabeth Eberlin puis (1766) Marie Dorothée Eckel veuve de Jean Daniel Pfæhler – luthériens |
1807 | h | Jean Michel Eckel, menuisier, et (1795) Chrétienne Spanner |
1835 | h | Jacques Arlen, farinier, et (1823) Marguerite Salomé Eckel |
1857 | h | Jean Chrétien Bieler, propriétaire, et (1847) Caroline Arlen |
1888 | v | Jacques Gangloff, boucher, et (1880) Caroline Lapp |
1893 | v | Société Frey et Wolff (Edouard Frey et Charles Frédéric Wolff, commerçants) |
1896 | h | Charles Frédéric Wolff, commerçant, et (1879) Catherine Litt |
1922* | v | Grandes Brasseries Alsaciennes d’Adelshoffen |
Valeur de la maison selon les billets d’estimation : 750 livres en 1663, 900 livres en 1690, 1 900 livres en 1714, 2 000 livres en 1746 et en 1759
(1765, Liste Blondel) IV 356, Sebastien Edel
(Etat du développement des façades des maisons, AMS cote V 61) Ott wittib, 5 toises, 1 pied et 3. pouces
(1843, Tableau indicatif du cadastre) N 879, Arlen, Jacques, farinier – maison, sol – 3 ares
Locations
1677, 1688 (cave) David Stigler, boulanger
1716, Jean Philippe Fiessel, chaudronnier
1716, (boutique), 1719, Ursule Schwab
1730, Thomas Hœger, farinier
1780, (cave) Othon Erdmann, tourneur
1781, Christophe David Abel, orfèvre
1786, Jean Antoine Lesina, marchand
1798, 1808 (cave) Frédéric Gundelwein
1808, Geoffroi Christophe Schütze, mécanicien, et Catherine Dorothée Weismantel
1813, Susanne Dorothée Œsterling veuve Siegfried
1865, (magasin) Jean Schneider et Barbe Erbs
1869, (magasin) Sophie Bloch épouse d’Elie Troller
Livres des communaux
1587 Livre des communaux, VII 1450 f° 143-v
Le sénateur Jean Wedelé règle 2 livres 4 sols 8 deniers pour sa maison à côté de la maison aux subhastations, à savoir un auvent (24 pieds ½ de long, saillie de 10 pieds), deux plates-formes dallées (même longueur, saillie de 7 pieds), une porte de cave inclinée (7 pieds de large, saillie de 8 pieds ½), un étal de fondeur de pichets (6 pieds de long, 5 pieds de large), un autre étal (8 pieds de long, 5 pieds de large), et un étal (6 pieds ½ de long, 4 pieds ½ de large).
Am Eck ane dem Barfüsser Platz beÿ dem brunnen an, Vnd dem Ganthauß der Zunfft Stuben Zur Lutzernen Zugemessen
Herr Hans Wädele der Rhatherr hatt vor seinem hauß, neben der Ganthen ein Wettertach 24 ½ schu lang vnd 10 schu herauß, Vnden Zween besetzter Tritt auch so lang, vnd 7 schu herauß, Darauff ein ligende Kellerthüer 8 ½ schu herauß, vnd 7 schu breit, Ein Kandtengiesser Banckh 6 schu lang vnd 5 schu breit, Mehr ein Banckh 8 schu herauß, vnd 5 schu breit, Mehr ein Banckh 6 ½ schu lang und 4 ½ schu breit, Bessert & ij lb iiij ß viij d
1673, Livre des loyers communaux, VII 1466 (1673-1741) f° 625
Barthelémy Erasme Albrecht paie à partir de 1691 15 sols pour le droit de poser des cuves à farine sur le marché aux grains (voir plus bas la décision des Quinze). La somme est revue à plusieurs reprises.
Bartholomæus Erasmus Albrecht, soll wegen der gerechtigkeit die Mehlbütten auff dem Kornmarckt zu verlehen, Jahrs vff den 1. Aprilis ([corrigé en] Michaelis), und A° 1691. I.mo, 15 ß ([corrigé en] 17 ß 10 – 27 lb 10 ß – 35 lb Reinig. – 26 lb)
Sol laut der herrn XV. Erk. p. 1703. 1704 & 1705. jährlichen 17 lb 10 ß bezahlen, deren datum d. 10. Martÿ 1702
(Quittungen 1691-1726)
1717 Eckel – Reinig.1718-1741
[in margine :] l. der HHn. XV. Erk. de 1. 8.br. 1714 soll Daniel Reinigen der Ganth käuffler p. 1715. 16. et 1717 jahrl. vff Michaelis 27 lb 10 ß d bezahlen
l. Erk. der Herrn XV. de 1. febr. 1716. sollen die albrechtischen Erben oder Sebastian Eckel, der jetzige Käuffer Ihres haußes p 1716. 1717. und 1718 Jährlichen 6 lb bezahlen
L. Erk. der Herrn XV. de 4. 7.bris 1717. soll reinigen Vf Michaelis 1718. 19. et 20. Jähr. 35 lb d. vf d Pfenningthurn lüffern
l. Erkh. der Hh. XV. de 19. 8.bris 1720. soll reinigen Uff Mich: 1721. 22. et 23. jährl. nur 25. lb Geben
l. Erk. der herrn XV. e 16. Octobr. 1723 soll Er wied. avf Mich : 1724. 1725. et 1726. Jährl. 25. lb d geben
L. Erk. der herrn XV. de 11. 9.bris 1726. Soll diebold jmbs der ganth Käuffler p. 1727. 28. et 1729. vf Mich: Jährl. 20 lb und Eckel à 6 lb d. Zahlen
Imbs ist wieder auff 3. Jahr umb bemeltden Preiß der 20. lb d. Continuirt, l. der Herren XV. Erk. d. d. 4. Martÿ 1730
Neuzb. fol 224-b und 225
1741, Livre des loyers communaux, VII 1470 (1741-1802) f° 225
Même loyer dû par Sébastien Eckel qui renonce au droit en 1745.
alzb. 625
Sebastian Eckel soll wegen der Gerechtigkeit die mehlbütten auf dem Kornmarckt zu verlehen, Jahrs auf Michaelis – 6 lb
(Quittungen, 1740-1745) mit Aufkündung
Préposés au bâtiment (Bauherren)
1589, Préposés au bâtiment (VII 1305)
Les préposés autorisent le 23 août 1589 le fondeur de pichets Jean Wedele à faire travailler cent pièces de bois de construction sur la place des Cordeliers puis le 25 octobre à refaire son toit que les chefs de chantier mesurent (24 pieds ½ de long, saillie de 9 pieds ½)
(f° 148-v) Sambstag den 23.t Augusti – Barfüßer platz.
Hans Wedelin Kanthengieser begert platz Zu 100 stuck baw holtz vff dem Barfüser blatz Zu Zymern Im Zuge* Ist Im Zugelaßen.
(f° 191-v) Sambstag den 25.ten Octobris. – Hans Wedelin wett. dach
Statt lonherr Zeigt An Hans Wedelin der Kanthengieser hab bey Bauwherrn Angesucht diewil der newe dach An seinem Haus neben der Statt ganthhuß mangellhafft d. Er zu Beßern vorhabens, die haben Im beuelch solche ab Zumeßen und vff dem Pfenningthurn wid. An Zu Zeig, Im bescheid Zugeben Ist daß selbige durch die werckmeyster abgemessen vnd befund. 24 ½ schu lang vnd 9 ½ sch breit herauß will d wider Also mach, Ist Ime sein begeren Zugelaßen.
1765, Préposés au bâtiment (VII 1411)
La veuve du marchand de fer Daniel Pfæhler est autorisée à réparer la porte de sa cave inclinée en remplaçant les murs en bois par des murs en pierre, à condition que les murs soient au même niveau que le pavé et de ne pas poser de pierre aux angles
(f° 77-v) Dienstags den 14. Maÿ 1765. – Daniel Pfählers Wb.
Augenschein eingenommen an weÿl. Daniel Pfählers des Eißenhändlers hinterl. wittiben Hauß neben dem Herren Stall welche umb erlaubnus gebetten jhre auff dem Allmendt Liegende Kellerthür außbeßern und an statt der höltzernen gewändter steinere machen Zu laßen.
Erkannt Willfahrt, mit conditio dieselbe dem pflaster eben und gleich Zu legen auch keine eckstein davor Zu setzen.
1768, Préposés au bâtiment (VII 1413)
Jean Michel Ott demande que les préposés lui indiquent l’alignement à suivre pour reconstruire sa maison. L’inspecteur des travaux Werner devra délimiter le terrain et faire un rapport sur le terrain à enclore pour en fixer le prix (la suite du registre n’évoque pas de prix à régler).
(f° 24) Dienstags den 7. Junÿ 1768 – H. M. Johann Michael Ott
H. M. Johann Michael Ott bittet umb anweißung der flucht nach welcher er sein hauß neben dem herren Stall bauen solle. Erkannt, solle jhme H. Werner außstecken und rapport abstatten wie weit er auff das allmend vorfahren Könne umb den preiß davor zu reguliren.
1774, Préposés au bâtiment (VII 1416)
Les préposés autorisent le maître maçon Schrœder au nom de Jean Michel Ott à remplacer le pavé par des dalles devant sa maison sur une largeur de quatre pieds, à condition qu’il règle les frais si les pavés devaient être remis en place.
(f°10-v) Dienstags den 1. Februarii 1774. – Hr. Mag. Joh. Michael Ott
Mr Schröder, der Maurer, nôe. Hrn Mag. Johann Michael Ott, bittet zu erlauben vor seiner behausung ane dem alten Korn Marckt neben dem Herren Stall gelegen mit vier Schuh breit das Pflaster auf zu heben und mit Blatten zu belegen.
Erkannt, Mit dieser Condition willfahrt, daß solches auf des Imploranten Kösten geschehen und falls solcher Platz wieder müßte oder solte gepflästert werden, solches ebenfalls auf des Haus Eigenthümers Kösten geschehen solle, dahero Ihm auch die herausnehmende Wacken zu laßen.
Atlas des alignements (cote 1197 W 37)
2° arrondissement ou Canton nord – Rue du vieux marché aux Grains
nouveau N° / ancien N° : 21 / 19
Eckel
Rez de chaussée et 3 étages médiocres en maçonnerie et balcon
(Légende)
Cadastre
Cadastre napoléonien, registre 21 f° 254 case 1
Arlen Jacques farinier à Strasbourg
N 879, maison, sol, vieux marché aux grains 19
Contenance : 3,00
Revenu total : 307,56 (306 et 1,56)
Ouvertures, portes cochères, charretières :
portes et fenêtres ordinaires : 42 / 34
fenêtres du 3° et au-dessus : 6 / 5
Cadastre napoléonien, registre 23 f° 1044 f° case 1
Arlen Jacques farinier
1859 Bieler, Jean Chrétien farinier
1889/90 Gangloff Jakob Metzger
94/95 Frey & Wolff, Eisenhändler
1897/98 Wolff Carl Friderich Straßburg / und Ehefrau Katharina geb. Litt in Gütergemeinschaft
(ancien folio 792)
N 879, maison, sol, Rue du vieux marché aux grains 4
Contenance : 3,00
Revenu total : 307,56 (306 et 1,56)
Folio de provenance : (254)
Folio de destination : 792 (sol, Gb)
Année d’entrée :
Année de sortie : 1866
Ouvertures, portes cochères, charretières :
portes et fenêtres ordinaires : 42
fenêtres du 3° et au-dessus : 6
N 879, maison
Revenu total : 361,56 (360 et 1,56)
Folio de provenance : 792, augmentation
Folio de destination : Gb
Année d’entrée : 1866
Année de sortie :
Ouvertures, portes cochères, charretières :
portes et fenêtres ordinaires : 61 / 49
fenêtres du 3° et au-dessus : 8 / 6
1866, Augmentations – Bieler Jean Chrétien f° 792, N 879 maison, revenu 360, addition de construction, achevée en 1863, imposable en 1866, imposée en 1866
Diminutions – Bieler Jean Chrétien f° 792, N 879 maison, revenu 306, addition de construction de 1863, supp. en 1866, voir les augmentations
Cadastre allemand, registre 31 p. 393 case 4
Parcelle, section 60, n° 55 – autrefois N 879
Canton : Alter Kornmarkt, Hs N° 4 und Heiligenlichtergasse 3
Désignation : Hf, 2 Whs (droit de créance de superficie et infrastructures, v. compte 76)
55, deux maisons droit de créance de superficie et infrastructures, v. compte 6602
Contenance : 3,26
Revenu : 5800 – 9000
Remarques 1952 rect.
(Propriétaire jusqu’à l’exercice 1923), compte 3766
Wolff Karl Fridr. u. Ehefr.
1920 Wolff Karl Friedrich Reichart Wittwe Katharina geb. Litt
1930 Ohl Louise étudiante
1932 Mihailovith Stanislav
(rayé 1934)
(Propriétaire à partir de l’exercice 1923), compte 76
Bierbrauerei Adelshoffen A. G. mit Sitz in Schiltigheim
1904 Straßburger Münsterbräu
1922 G.des Brasseries Alsaciennes d’Adelshoffen
1944 Brauerei Adelshofen A. G. in Strassbg. Schiltigheim
1947 Brasserie d’Adelshoffen s.a. à Schiltigheim
(84) corrigé en (109)
(Propriétaire à partir de l’exercice 1952), compte 6602
Association syndicale de remembrement de Strasbourg-Ville
(clos)
1789, Etat des habitants (cote 5 R 26)
Canton IV, Rue 108 Vieux Marché aux Grains p. 156
Prop. – Ott, Marie Dorothée, veuve – Fribourgeois
Loc. – Riss, Jean Jacques, Negociant – Miroit
Loc. – Imroth, Jean, passementier – Miroir
Loc. – Weishaar, Henry, sellier – Tanneurs
Annuaire de 1905
Voir au n° 6
Dossier de la Police du Bâtiment (cote 232 MW 47)
Rue du Vieux-Marché-aux-Grains n° 4 et n° 6 (1866-1952), partie relative au n° 4
Le maître boucher Gangloff charge en 1889 l’architecte Gustave Hagenbüchle de transformer le rez-de-chaussée en y aménageant une devanture et d’ouvrir un puits de lumière dans le trottoir, les travaux ne sont cependant pas réalisés.
Sommaire
- 1885 – Le maître maçon Emile Widmann (1, rue Saint-Louis) demande au nom du propriétaire Steinmetz l’autorisation de ravaler la façade (4, rue du Vieux-Marché-aux-Grains) – Autorisation – Le crépi est terminé, la peinture reste à faire, juillet 1885
- 1886 (mai) – Le maire notifie Chrétien Bieler, propriétaire du 4, rue du Vieux-Marché-aux-Grains de faire ravaler la façade – Le propriétaire demande un délai, il envisage de vendre la maison après la mort de sa femme puis de sa fille à Sélestat. – L’agent Wetzer note que la maison vaut environ 70.000 marks et rapporte 800 marks par trimestre. Le maire refuse d’abord d’accorder un délai parce que la façade est sale puis accorde un délai d’un an.
1887 (avril) – L’entrepreneur Th. Wagner demande au nom du sieur Bieler l’autorisation de réparer le crépi – Autorisation (le bâtiment est en arrière de l’alignement) - 1887 – Le directeur de l’usine à gaz demande au nom des frères Levy l’autorisation de faire une prise pour environ trois becs. – Autorisation accordée au directeur Weil-Gœtz (1, rue des Bonnes-Gens)
- 1889 – L’architecte Gustave Hagenbüchle (47, Faubourg de Pierre) demande au nom du maître boucher Gangloff l’autorisation de transformer le rez-de-chaussée – Dessins – Autorisation (le rez-de-chaussée suit l’alignement mais le sous-sol en dépasse de deux mètres) – Droits réglés pour transformer un pilier, poser une devanture et ouvrir un puits de lumière dans le trottoir – Les travaux n’ont pas commencé un an après que le maire a accordé le permis
- 1896 – Le maire constate que la couturière Luck a posé sans autorisation une enseigne sur le balcon au n° 4. – Demande – autorisation de poser une enseigne plate
- 1896 – Le maire notifie le commerçant Wolf (demeurant rue de Cronenbourg à l’angle du boulevard de Cronenbourg, ensuite rue du Faubourg de Saverne et boulevard du Président-Wilson) de faire ravaler la façade du n° 4. Le locataire principal pour quinze ans est le brasseur Marx de Schiltigheim – Travaux terminés, décembre 1897.
Relevé d’actes
La maison est inscrite au nom de Jean Wedelé dans le Livre des communaux (1587). Jean Wedelé épouse en 1566 Marguerite, veuve du fondeur de pichets Jacques Martzolff
Mariage, Saint-Thomas (luth. f° 263-v n° 960)
1566. Joannes Wedelin, Margareth Martzolffs Jacobs des Kantengießers seligen nachgelasne witwe (i 272)
Il se (re)marie en 1583 avec Ursule, veuve du chaudronnier Léonard Wanner
Mariage, Saint-Thomas (luth. f° 349 n° 722)
1583. Eodem die [Dominica IX] Hans wedele der cantegießer Ursul Lenhart wanners des kupfferschmidts wittwe 13. Augusti (i 355)
Fils de Jean Wanner de Strasbourg, Léonard Wanner épouse en 1559 Ursule, fille d’Etienne Meyer
Mariage, cathédrale (luth. p. 57)
1559. Sontag den 22. Octobris. Lienhardt Waner von Stras. Hans Waner seligen Sun, Vrsula Steffen Meiers seligen docht. (i 31)
Ursule Meyer, femme du fondeur de pichets Jean Wedel, institue pour ses héritiers ses trois enfants Ursule Wanner, femme du notaire Martin Hartmann et ses deux fils Léonard et Michel Wanner. L’acte est dressé dans sa maison, sise à côté de la maison aux subhastations.
1609, Not. Strintz (Daniel, Protocole 58 not 61, I) fol. 204
Testamentum nuncupativum frauwen Ursulæ Meÿerin, Weÿlandt hannß Wädelß deß Kandtengießers seligen hinderlaßenen wittwen
1609 (…) vff Freÿtag den 3. Novembris Zwüschen fünff vnd sechß vhren nachmittag (…) erschienen Ist die Ehren und tugendsam frauw Ursula Meÿerin Weÿlandt herrn Hanß Wädels deß Khandtengiessers vnnd burgers Zu Straßburg seligenn Wittwen gleichwol mit Zimblichen hohen Altter beladen vnnd ettwaß übell Auff (…) vnd vnd.schribnene lettst willens schrifft, den erforderten gezeügen verstendlich vorgeleßen von wortt Zu wortt (…)
Zum dritten So verschaffe vnd ordne Ich Zu einem Prælegat Ursulen Wannerin herrn Martin Harttmans deß Notarÿ haußfrawen meiner lieben dochter (…)
Zum Vierden So Prælegire Ich Leonhard Wannern meinem sohn (…)
Zum Fünfften So vermache Ich Zu einem freÿen vorauß und Prælegat, Michell Wannern meinem andern sohn (…)
Zum Subenden (…) meiner dochter angehöriger drittertheil Ihren Kindern meinen lieben Enckheln (…) Sara und Ursula
lettstlichen dieweil die einsatzung der Erben In einem Jeden testament fürnemblich beschehen soll (…) zu meinen rechten Erben Ursulam Wannerin herrn Martin Harttmans haußfraw, Leonhard und Michell Wannern, Alle dreÿ meine mit Weÿlandt Leonhard Wannern dem Kupfferschmidt meinem ersten lieben haußwürth erzeigte dochter und söhne
(f° 213-v) Vnd seindt dise dinng Zugangen vnnd beschehen Inn deß Heÿligen Reichß freÿen Statt Straßburg, Inn einer behausung der frawen testiererin Zuständig gegen dem Kornmark vnd vff einer seitten neben dem ganthauß, vff der andern seÿten neben der herrberg Zum salmen gelegen, oeben auff In einer stuben gegen der gassen sehendt
La maison revient au chaudronnier Michel Wanner qui épouse en 1606 Anne, fille de Gautier Christmann, de Bosselshausen (près de Bouxwiller)
Mariage, Saint-Thomas (luth. f° 231 n° 627)
1606. Sonntag. den 6. Julÿ. Michaël Wanner d. Kupfferschmidt Alhie, vndt Anna, Walthers Christman, von Boselshausen tochter, Eingesegnet Zinstag. 15. Julÿ (i 236)
Michel Wanner meurt en délaissant pour héritier testamentaire Nicolas Hartmann, ancien bourgeois de Strasbourg habitant près de Heidelberg. Le titre de la maison date du samedi suivant la Sainte-Gertrude 1500. La masse propre à la veuve est de 551 livres, celle de l’héritier de 2 465 livres. L’actif de la communauté est de 3 336 livres, le passif de 2 227 livres.
1636 (11.8.), Not. Oesinger (David, 37 Not 6) n° 24
Inventarium vnndt Beschreibung Aller vndt Jed. liegender vndt fahrend. Haab Nahrung vndt Güther, So weÿlandt d. Ehrengeachte vndt Vornehme H Michael Wanner geweßner burg. und Kupfferschmidt alhie Zu Straßburg seel. nach seinem tödlichem Abschiedt aus dießer Weltt verlaßen, vndt vff beschehenes freundt: vndt fleißiges begehren des Ehrenvest. vndt Wohl vornehmen H Nicolai Hartmans burgers allhier Jetzmahlen Zu Frÿdenheim Heÿdelberger Ambts Wohnhaft alß per Testamentum nuncupativum instituirten einich. Erben, So aber Weg. leibßblödigheit zu beth geleg. vndt beÿ dem Anfang Vorhabend. Inventation nicht selbst Zugegen sein können, An deß. stath aber d. auch Ehrenvest v. Wohl Vorgeachte H. Celestinus Helffenstein Churfr. Pfältzischer ober Ambts Schultheiß Zu Brettheim vndt Keller Zu Wingartheim & alß von Ihme H. Hartman erbettener beÿstandt gegenwertig war, fleißig ersucht, Inventirt, durch die Ehren: vndt Tugendsame Fraw Annam Christmännin die hinderlaßne Wittib, mit beÿstand deß Ehrengeachten vndt Vornehmen H Georg Kraußen deß büchßenmachers vndt burgers allhier Ihres geordneten vndt geschworenen Vogts Vff Zuvor beschehene erinnerung trewlich geäugt, gezeiget (…) Actum Straßb. Donnerstags d. 11. Augusti A° 1636. In beÿsein des auch Ehren Vest. vndt vorgeachten H Abraham Habrecht des Eltern alß von d. abgeleibten H Michel Wanner seel. neben obgedachten H. Georg Kraußen verordneten Testamentarÿ.
Publicatio vnd Erclärung über hieuorgesetztes Testamentum nuncupativum (…) Freÿtags den 26. Augusti A° 1636.
In Gottes Nahmen Amen. (…) Persönlich erschienen ist der Ehrengeachte vnd Vornehme H Michel Wanner burger und Kupferschmidt alhie Zue Straßburg zwar schwach und Kranckh auff dem banckh neben am Tisch sitzend Jedoch aber guten gesund richtig. Verstandts (…) Zum Achten Legirt er seines Schwag. hanßen Christmans Zue Boßelhaußen lieben Töchterlin Maria (…) Alß will offt vnd vilgedachter H Testator Zu seinen rechten wahren ungezweiffelt. vnd einig. Erben ernandt, eingesetzt und Instituirt haben Nicolaum harttman seines lieben schwester Ursulæ Wannerin und H. Martin Hartmans beed. ehegemächt nunmehr selig ehelich erzeügten und nachgelaßenen Sohn seinen lieben Vettern der ohne d. sein Einiger und rechter erben ab intestato wehre souern derselbe noch Inn leben vnd seinen Todt erleben solte (…) Freÿtags den 3. Junÿ Zwischen 7. vnd 8. Uhren geg. abendt A° 1636. David Ösinger Nots.
Inn Einer Behaußung In dißer Statt Straßburg nahe beÿ dem Korn Marckh neben der Herberg Zum Salmen geleg. So Inn diße Verlaßenschafft gehörig vnd hernach specificirt würdt Ist befunden worden wie volgt.
Auff der 2. büenen, Auf d. 3. boden In d. Cammer A, Auf d. 4. boden In d. Cammer B, In d. Cammer C, In d. Cammer D, In d. Cammer E, In d. hind.sten Stub Cammer, Im hindersten Stüblin, In d. Wohn Stuben, In der Stub Cammer, Im Hauß öhren, In Understen Stub Cammer, In Undern Haußöhrn, In der Kuchen im hoff, Im bad stübel, Im Hoff, Im Keller
Ergäntzung deß H Erben unveränd.ten Guths. Erstlich Ist d. H. Vermög Theilbuchs über weÿl. Fr. Ursula Meÿerin selig. Verlaßenschafft vffgerichtet. fol. 12 (…)
Eigenthum ane Häußern deß Erben ohnverändert. Item ein dritter theil für unvertheillt ane einer vordern hindern vndt nebens behausung In d. Statt Strasburg an dem Korn Marckh gelegen, eins. neb. dem Ganthauß, and.seit hind. undt vornen neb. d. herrberg Zum Sallmen, stost hind. vff die Heiligen Liechtgaß, vndt vornen vff die Straß, Von der hindern Nebens behauß. gohndt Zuvor 9. fl. gedts Str. Wr. Jährlich. vff Martini lösig mit 225. fl. ermelter wr. dem großen Allmoßen Zue St Marx, sonst allerdings freÿ ledig vnd eig. Vnd ist dißer dritter theil über den 3. theil ane nechst hieuor gesetzten 225. fl. Str. wr. darauff stehende beschwerd hiehero angeschlagen word. für und umb 366. lb 13 ß 4 d.
Theilbar. It. 2/3. für unvertheillt ane einer vordern, hind. vnd nebens behauß. In d. Statt Strasb.an dem Kornmarckh geleg. 1. seit neb. d. Ganthauß, 2.seit hind. vnd vornen neb. d. herrberg Zum Salmen, stost hind. vff die Heÿlig. Liechtgaß, vndt vornen vff die Straß, Von der hindern nebens behauß. geh. Zuvor 9. fl. gedts Str. wer. Jährlich. vff Martini lösig In Hauptg. mit 225. fl. ermelter wr. dem groß. Allmoßen Zue St Marx sonst allerdings freÿ ledig vnd eig. Vnd ist diße zwen 3.t theil über die 2. drittheil ane nechst vorgesetzten 225. fl. Str. wr. darauff stehende beschwerd. hiehero angeschlag. word. für und umb 733. lb 6 ß 8 d.
Darüber sagt Ein Pergamentin brieff vnd. des Kleinen Rhats Zu Straßb. Insigel versigelt deßen dat. Sambstag nach St. Gertrud tag A° 1500. signirt mit altem N° 18 darbeÿ er für dißmal auch gelaßen word. Die übrige darzu gehörige spruch: und Kauffbrieff auch abgelößte Zinßverschreibung. seindt beÿsammen In einer sonderbahren laden Zubefind.
Summarum des Erben unveränderten Haußrhats 75, Sa. Werckzeugs 16, Sa. Silber geschirr und Geschmeids 93, Sa. Guldenen Ring 4, Sa. Pfenningzinß hauptg. 69, Sa. Eÿgenthumbs ane Haüßern 366, Sa. Guths Ergäntzung 1840, Summa summarum 2465 lb
Sa. Anschlags der Wittiben unveränderten Haußrhats 33, Sa. Silber geschmeids 11, Sa. Baarschafft 24, Sa. Guldener Ring 10, Sa. Pfenningzinß hauptgüter 50, Sa. ligend. Güetter 87, Sa. Guths Ergäntzung 334, Summa summarum 551 lb
Sa. Theilbare, haußrhats 141, Sa. Früchten 28, Sa. Wein und Lährer Faß 122, Sa. Werckzeugs zum Kupferschmidt handwerckh gehörig 4, Sa. Wahren 1249, Sa. Silber geschirr und Geschmeids 87, Sa. Guldenen Ring 22, Sa. baarschafft 644, Sa. Pfenningzinß hauptgüter 217 lb, Sa. Eigenthum ahne häusern 733, Sa. Schulden 85, Summa summarum 3336 lb – Abzuziehen 2227 lb, Restirend theilbar Guth 1108 lb
Summa finalis 4136 lb
Propriétaire de la maison, Anne veuve de Michel Wanner meurt en délaissant pour héritiers testamentaires ses neveux le chaudronnier Jean Christian de Strasbourg et Georges Boss de Bosselshausen. Les experts estiment la maison à 750 livres. L’actif de la succession s’élève à 1 736 livres, le passif à 93 livres.
1663 (3.2.), Not. Schübler (Christophe, 55 Not 24) n° (1402)
Inventarium vnd beschreibung Aller Haab Nahrung und güetter, so weÿl. die Ehren: und Tugendsamme Fr: Anna, Weÿl. des Ehrenhafften Michael Wanners geweßenen Kupfferschmidts und burgers alhie hinderlaßene Wittib, Welche den 27.ten Januarÿ einstehenden Jahrs tödlichen Verblichen, hinderlaßen, so vff erfordern und begehren der Abgeleibten Fr. Seel. per Testamentum nominirter und ane nachgemeltem folio benambßter Erben, durch beede instituirte Testaments Erben, Sodan den Ehrenhafften hanß Georg Stengern hueffschmiden und burgern alhie der Verstorbenen Fr. Seel. geweßenen Vogten (…) Actum und angefangen den 3. Februarÿ 1663.
Die Verstorbene Fr. Seel: hat per Testamentum Zu Erben Verlaßen Wie Volgt 1. Johannen Christian Kupfferschmiden Und burgern inn Straßburg Zu einem halben theil, 2. Zu dem Andern halbentheil aber Georg Boßen burgern Zu Boßelshaußen, Mit beÿstandt des Ehrenvesten Fürsichtig und Weißen H Joh: Petri Schmiden E. E. Großen Raths Alten beÿsitzers und dießer Zeit E.E. Kleinen Raths Wohlverordneten Constofflers und vorgedachtem Rath in Nahmen des Frembden Erben Zu dißem geschäft deputirt und erbettenen herrens. Bede der in Gott ruhenden Fr. Seel: Bruders Seel: auch per Testamentum instituirte Erben.
Im vordern Stock, Auff dem Obern Kasten, Inn der Cammer A, Inn der Cammer B, Inn der Cammer C, Inn der Cammer D, Inn der Cammer E, Inn der Stub Cammer, Im obern hauß öhren, Inn der Kuchen, Im kleinen Stüblein, Inn der Kuch. Im vord. haußöhren, Im hoff, In der vndern Stub Cammer
Eygenthum ane Häußern. Item ein vorder mittler vndt hinderhaus, Zweÿen höfflein Ane dem Kornmarckh geleg. einseit neben dem Ganthauß ander seit der Herrberg Zum Salmen hinden vff gedachte Herrberg vndt die Heylich Liechtgaß stoßend, so allerdings freÿ ledig vndt eÿgen vndt hiehero æstimirt 750 lb. Darüber sagt j pergamentin brieff mit des Kleinen Rhats Insigel versigelt deßen dat. Sambstag nach Gertrudentag Anno 1500. Darbeÿ ferner 23. Alt. pergamenter Khauff: Spruch und abgelöste Zinßbrieff, Alles mit altem N° 18 et 2 notirt, Inn einer Schindelladen Zubefinden
Item hauß vnd hoffstatt mit allen ihren gebeuwen, begriffen, weithen rechten Zugehörden vnd gerechtigkeit. geleg. Inn der Statt Str. hinder der Kursner Zunfftstuben Inn heyligen Lichtes gassen, einseit neben der Herrberg Zum Salmen, Anderseit hieuor geschriebene beh. hind. Auch vff gemeltebeh. stosent (…)
Abzug Inn dißes Inventarium, Sa. haußraths 191, Sa. Frücht 1, Sa. weins und vaß 23, Sa.wahren und gemachten Arbeit 268, Sa. Silbergeschmeids 25, Sa. Guldener Ring 12, Sa. der baarschafft 143, Sa. der Pfenningzinß hauptguetter 127, Sa. eigenthumbs Ane Liegende guettern 178, Sa. eigenthumbs Ane heüssern 750, Sa. der Schulden 14, Summa summarum 1736 lb – Schulden 93 lb, Nach deren Abzug 1642 lb, Sa. præ und legaten 1093 lb, bleibt 548 lb
Conclusio finalis Inventarÿ 1608 lb
En annexe de l’inventaire, Georges Boos loue sa moitié de maison à son frère
Verleuhung der neben der Gant behausung gelegenen behausung
Dieße behausung *dtden daran Georg geburenden halb theÿl hatt er Ihme Christian seinem brueder volgender gestalt verlieh.
1. behalt er Georg Ihme bey fridens vndt ruhe Zeiten Inn solcher behausung die gröste vordere Cammer Zu seinen erebten hausraht verwahrlich Zuenthalten
2.
Dieße Lyhenung et respective v.gleich haben beede gebrüedere gegen einander mit handt gegeben treuen Zuhalten mir Notario Zusproch. vndt Zugesagt. Act. den 18.ten Februarÿ Anno 1663. Christoph Schübler, Nots.
Georges Boss, de Bosselshausen en juridiction de Hanau, hypothèque la moitié de la maison au profit du préteur régent Philippe Jacques Wurmser de Vendenheim. En marge, quittance remise en 1698 à Barthelémy Erasme Albrecht.
1664 (1. Aprilis), Chambre des Contrats, vol. 529 f° 222-v
Erschienen Georg Boos Von Boßelßhaußen Hanawischer herrschafft
in gegensein deß freÿ Reichß hochwohl Edelgeborhen herrn Philipp Jacob Wurmbsers Von Vendenheim dießer Statt ietz regirenden Stättmaÿsters und treÿ Zehners Gewalthabers herrn Sebastian Goltbach des Wachtmaÿsters – schuldig seÿen 100 Pfund pfenning
Unterpfand sein solle die helffte Ihme dem Debitori für ohnvertheilt gebührend an Einem Vordern: Mittlern: und hinderhauß und allen übrig. deren Gebäwen, Begriffen weithen Zugehördten Rechten und Gerechtigkeiten alhie an dem Kornmarckh einseit neben dem Ganthauß anderseit neben der Herberg Zum Salmen gelegen, welche gantze behaußung sonderlich aber die ietzt hÿpothecirte helffte gegen männiglichen freÿ ledig und eÿgen, und die übrige helffte Johann Christian Boosen des Kupferschmidts Kindern zuständig seÿe
[in margine :] (…) in gegensein Bartholme Erasmi Albrecht deß Kupfferschmidts alß ietzmahlig. besitzers deß hierinn gemeldten verpfänd. haußes, (quittung) Act. den 9. 7.br 1698
Georges Boss de Bosselshausen près de Bouxwiller demande remboursement d’un capital déposé à la Tour aux deniers
1665, Conseillers et XXI (1 R 148)
(f° 90-v) Montag den 12. Junÿ 1665. – Georg Booß
Georg Booß von Boßelshaußen nach Buchßweÿler gehörig bitt p Schilden vnderthänig Ihme ein Pfenningthurns Capital vom 63. lb 10 ß in gewohnlichem preÿß ablößen Zu laßen. Erk. Ahn Mgh. die XV. gewießen
1665, Protocole des Quinze (2 R 82) Georg Booß. 102. [von Boßelßhausen, Abloßung]
Propriétaire de la moitié de la maison, le chaudronnier Jean Christian, originaire de Bosselshausen, devient bourgeois par sa femme Marie Marguerite, fille du prédicateur Martin Pœnius, le 7 février 1648.
1647, 4° Livre de bourgeoisie p. 247
Johann Christian der Kupfferschmid Von Boßelshaußen, empfangt daß Burgerrecht von seiner haußfrawen Maria Margaretha Weÿl. M. Martin Penÿ deß freÿpredigers seel. hinderlaßenen dochter vmb 8 Goldt fl. Ist ledigen Standts gewesen Würd Zu den schmiden dienen vnd 100 fl. verstallen. Jur. den 7. Februarÿ 1648.
Le mariage n’est pas célébré à Strasbourg. Leur fils Jean est baptisé à Saint-Pierre-le-Jeune en février 1651.
Baptême, Saint-Pierre-le-Jeune (luth. p. 416 n° 28) 1651. Johann Christian der Kupfferschmidt vnndt Maria Margaretha Poenußin sein eheliche haußfraw, Johannes ihr Sohn war getaufft Donnerstags d. 20.t Februarÿ horâ secundâ. Gevatter, H. M: Johannes Brunn diaconus Zum alt. Sct Peter, H Andreas Brackenhoffer der Ampt Man Zu Schiltigheim, Jr. Anna Maria Johann Christian geweßen burgers Buxvillensis filia (i 218)
Marie Marguerite Pœnius meurt en 1662 en délaissant quatre enfants. L’inventaire est dressé dans la maison qui appartient pour moitié aux enfants du veuf. L’actif de la succession s’élève à 51 livres, le passif à 43 livres.
1663 (26.2.), Not. Schübler (Christophe, 55 Not 25) n° 1405
Inventarium vndt beschreÿbung Aller Haab vndt Nahrung, so weÿlandt die tugendsame Maria Margaretha Poeniusin Meister Johann Christian Kupfferschmidt vndt burgers alhie Zu Straßburg haußfr. welche den 9.ten Februarÿ Innstehenden Jahrs tödtlichen verplichen hinderlaßenen, So vff erfordern vnd begehren des Ehrenthafften vndt bescheidenen Hanß Georg Stenger Hueffschmifts vndt burgers alhie als geordnet und geschworenen Vogts Johanns, Joh: Philippi, Joh: Jacobi vnndt Catharina der Abgeleibten seligen mit vor vdt nachgemeltem ihrem hinderlaßenen wittiber ehelich erzeügter Kinder (…) Act. Donnerstags den 26. Februarÿ Anno 1683.
Inn einer Inn der Statt Str. neben dem Ganthauß gelegenen undt Zum halben theil des wittibers Kindern gehörigen beh. ist befunden worden wie volgt.
Des Wittibers unverändertes guet. Dieweyl Alles d. Jenige so den wittiber von weÿlandt Anna Wannerin auch weÿlandt Michel Wanners gewesenen kupfferschmidts seelig wittib seiner baaßen den 3. Februarÿ dießes Zustehenden 1663.ten Jahrs ererbt Inn dem vber solche verlaßenschafft gefertigten vff der Statt Stall eingelüfferten Inventario begriffen hatt mann vor ohnnotig erachtet, Alles d. Jenige so Ihme wittiber erblichen Angefallen dißem Inventario widerumb Specific. einzutrag. Ist deroselben d. Summarum aller Erbsportion welches dem wittiber Innhalt der Eheberedung als ein ererbt vndt unverändertes guet Zubeschreiben, benantlich 345 lb
Ane haußraht. Auff dem Kasten, im haußöhren, Im hindern Stüblein, Inn der vndern Stuben, Im haußöhren
Abzug inn dißes Inventarium. Sa. haußraths 36, Sa. der Frucht 3, Sa. Werckzeugs 12, Summa summarum 51 lb – Schulden 43, Restirendt Theilbar Guet 8 lb
Conclusio finalis Inventarÿ 725 lb
La Tour aux deniers rembourse un capital de quinze livres que Jean Christian a cédé en paiement
1664, Protocole des Quinze (2 R 81) (f° 29) Sambstag den 5. Martÿ – Johann Christian, Ablöß.
H Johann Knölen* dem Scribenten seindt auch 15. lb Pfenningthurns Capital so ihme sein Schwager Johann Christian der Kupfferschmid alhier in solutum cedirt abzulößen verwilliget vnd deßwegen Schein ertheilt worden.
Jean Christian se (re)marie en 1663 avec Anne, fille du chaudronnier Gaspard Dieffenbecher
Mariage, cathédrale (luth. f° 37, n° XVIII)
1663. Dom. 9. post Trin. den 16. Aug. Zum 2 mahl hanß Christian der Kupfferschmidt u. Burger alhie undt Jf. Anna, Caspar Dieffenbech. auch Kupfferschmidts undt Burgers alhier ehel. Tochter. *stag den 25.t Aug: Freiburger, J. S Peter (i 39. NB pas de mariage à Saint-Pierre-le-Jeune)
Georges Boss et les enfants issus de Jean Christian et de Marguerite Pœnius vendent la maison au chaudronnier Jean Richard Reiffel
1665 (26. Aug.), Chambre des Contrats, vol. 531 f° 457-v
(Prot. fol. 26. fac. 2) Erschienen hannß Kugler der Zoller am Cronenburger Thor alß Georg Boßen Von Boßelßhaußen Gräffl. Hanawischer Herrschafft den 21.ten Jüngsthien in der Cancelleÿ Contractstuben mündlich constituirter Gewalthaber, So dann hannß Georg Stenger der hueffschmid alß Vogt Johann Christians deß Kupfferschmidts mit weÿl. Margarethæ Poeniußin ehelich erziehlter Kinder, und Er der Vogt mit beÿstand der Ehrenvest- Fürsichtig- weÿsen Hn Johann Peter Schmidts und herren Johann Leonhardt Fröreisens beeder alß auß E.E. Großen Rhats Mittel ad Contractus Minorum insonderheit deputirter
in gegensein hannß Reichard Reiffels deß Küpfferschmidts mit assistentz diebold Vogten deß Holtzhändlers seines Schwähers
hauß hoffstatt Zweÿ höfflein mit allen deren Gebäuen, begriffen, weithen, Zugehördten, Recht. und Gerechtigkeiten alhie an dem Kornmarckh, einseit neben dem Ganth hauß, anderseit neben der Herberg Zum Salmen, hinden uff gedachte Herberg und die Liecht Gaß /:in welche gd. behaußung auch einen ein: und aus: gang hatt:/ stoßend gelegen und seÿe obgemelts Georg Boßen helffte umb 100. lib herren Philipß Jacob Wormbsern dießer statt altem stättmaÿstern und treÿ Zehnern, Verhafftet (übernohmen) – umb 800 Pfund
Fils du farinier Jean Reiffel, Jean Richard Reiffel épouse en 1657 Marie, fille du cultivateur Jean Christmann (Christian) de Bosselshausen
Mariage, cathédrale (luth. f° 77, n° XXXIX)
1657. mehr Zum 2. mal eod. [Sonnt. XII Trin. d. 16. Aug.] Johann Reichard Reÿflin d. Kupfferschmidt, Weilandt Johann Reÿfflin des Burgers und Melmans alhier, hinterlaß. Ehel. Sohn, und J. Maria, Weilandt Christmans Hanßen des Burgers vnd Baursmans Zu Boselshausen Hanawischer Herrschafft hinterlaß. Ehel. tocht. Mont. 24. Aug. Weinstich. Münst. Weinstich. (i 78)
Jean Richard Reiffel se (re)marie en 1660 avec Anne Marie Vogt, fille du marchand de bois Thiébaut Vogt
1660 (17. Martÿ), Chambre des Contrats, vol. 525 f° 330-v
(Prot. fol. 88 fac. 1) Erschienen Hannß Reichardt Reÿffel dem Kupfferschmidt und burger Zue Straßburg, alß hochzeiter mit beÿstand Philipß Strohlen deß Metzgers und Michael Schwartzen deß Kupfferschmidts beeder burger alhier an einem,
So dann Jungfrau Anna Maria Vogtin, alß Hochzeiterin mit beÿstand diebold Vogten deß Holtzhändlers ihres eheleiblich. Vatters und Annæ Mariæ ihrer eheleiblichen Muter, Gall Gillgen deß Salpeter sieders und Michael Finckhen deß Statt Kornwerffers aller burger zue Straßburg am andern theil
Mariage, Saint-Pierre-le-Jeune (luth. f° 108 n° 12)
1660. Eodem Paschatis Festo. Hanß Reichart Reiffel der Kupfferschmid und burg. alhie, und Jungf. Anna Maria Theobald Vogten des holtz händlers und burgers alhie eheliche Tochter. Copulabant Zinst. d. 1. Maÿ Zum J S Peter (i 119 – Proclamation, cathédrale f° 115, n° III)
Jean Richard Reiffel et Anne Marie Vogt font enregistrer des dispositions de dernière volonté alors que le mari est malade.
1670 (29.1.), Not. Oesinger (David le jeune, 38 Not 17) n° 296
Codicill, Mr hannß Reichardt Reiffels des Kupfferschmidts vndt Fr. Annæ Mariæ Vogtin, beeder Eheleüth vndt Burgere alhie. Act. den 29.ten Januarÿ 1670.
Persönlich kommen und erschienen seindt der Ehrengeachte Mr Hannß Reichardt Reiffel, Kupfferschmidt, vndt beneben Ihme die Ehren und Tugendtsahme Fr. Anna Maria Vogtin beede Eheleuth vndt Burgere alhie Zue Straßburg, Er der Ehemann schwachen vndt Kranckhen, Sie die Ehefrauen gehend vndt stehenden leibs darneben ab. beede vermittelst Göttlicher gnad. verleihung gueten richtigen Verstandts (…)
Hievor beschriebene ding alle seindt Zugang vnd beschehen In des heÿl. reichs freÿen Statt Straßburg In einer ahne dem Kornmarckh neben dem Ganthauß gelegenen vndt beed. Ehegemächten eigenthümlich zuständig. bewohnend. behaußung dero Obern Wohnstub mit d. fenstern auff die gaß außsehende in gegenwertigkeit (…) Sambstags den 29. Januarÿ vormittag Zwischen 6. vndt 7 Uhren A° 1670.
Jean Richard Reiffel meurt en 1670 en délaissant un fils de son premier mariage avec Marie Christian et quatre enfants du deuxième avec Anne Marie Vogt. Les experts estiment la maison à 900 livres (somme restituée). L’actif de la succession s’élève à 897 livres, le passif à 496 livres.
1670 (19.4.), Not. Oesinger (David le jeune, 38 Not 4) n° 8
Inventarium vndt Beschreibung aller undt Jeder Haab, Nahrung vnd Güetere, Ligender vnd Vahrender, So weÿlandt der Ehrengeachte Mr Hanß Reichardt Reiffle geweßenen Kupfferschmidt vnd burger alhie zu Straßburg nach dem derselbe den 4.ten Hornung dießes fortlauffenden 1670. Jahres dieße welt gesegnet, Verlaßen, welche auf gebührliches ansuchen vndt erfordern, dener auff nachbeschribenem Blatt auß Erster vnd Anderer Ehe erzeügter Kinder vnd nechster ab intestato Hinderlaßene Erben, geordneter und geschwohrner Vögt, inventirt, durch die Ehren und tugendsame Fr. Annam Mariam Vogtin die hinderbliebene Wittib mit beÿstand deß Ehrenvösten Wohl Vorgeachten Herrn Sebastian Kuglers Statt Kupfferschmidts vnd burgers alhie Zu Straßburg Ihres geordneten Vogts vnd Hern Diebold Vogten holtzhändlers der Wittiben Vatters (…) So geschehen in Straßburg den 19.ten Aprilis Anno 1670.
Der Verstorbene Mr Hanß Reichardt Reiffle hat Zu Erben ab intestato hinderlaßen alß Volgt. 1. Johannem Reifflin mit weiland Fr. Mariæ Christianin, seiner Ersten Haußfr. seel. erzeugtes Söhnlein, deßen geordneter Vogt H Michel Schwartz Kupfferschmidt vnd burger alhie, 2. Mariam, 3. Barbaram, 4. Dieboldt 5. Vnd Weilen die Fr. hoch Schwangern Leibs ein Posthumum. Dießer 4 Letstern mit eingangs benambster Fr. Maria Vogtin der hinterbliebenen Wittiben Ehelich erzeugter Kinder geschworner Vogt Hr Philippß Strohl der Metzger.
In Einer In der Statt Straßburg auff dem Kornmarckh neben dem Ganthauß vndt in dieße Verlaßenschafft gehörigen behausung ist befund. worden Alß Volgt
Hultzen undt Schreinwerck, Cammer A, Cammer B, Cammer C, Obern Stub, Obern Stub Cammer, In d. Obern Kuchen, Im Obern Hauß Öhren, Im hind Stübel, In d. Stub Cammer, In d. Wohnstub, In d. Stub Cammer, Im Hauß Öhren, Kuchen, Im Hoff, Im Keller
Eigenthumb ahne Einer Behaußung. Item ein Hauß, Hoffstatt, 2. Höfflein, mit allen deren gebäwen, begriffen, weithen, Zugehörd. rechten vndt gerechtigkeiten, alhie Zu Straßburg am Kornmarckh, j.s. dem Ganthauß, 2. s der Herberg Zum Salmen, Hinden vf besagte Herberg vnd die Liechtgaß /:in welche gemelte behaußung auch einen ein vnd aßgang hatt:/ stoßend gelegen, dauon gibt mann Jahres 4 lb d den 19. Aprilis dem hoch Edelgebohrnen vnd Gestreng. H Philippß Jacob Wormbsern Stättmeistern, Ablößig in Capital mit 100. lb d, Weiters 9 lb d Jahrs auff Michaelis Geörg Boßen Burgern Zu Boßelshausen à 4 pro Cento vom Restirenden Kauffschilling herrührend, ablößig in Capital mit 225. lb d. Mehr 12 lb d à 4 pro Cento Jahrs auch auff Michaelis Handelsmann Geörg Stägern dem huffschmid alß Vogten Johann Christians deß Verzogenen Kupfferschmidts alhie, mit weÿland Margarethæ Pöniußin ehelich erzeugtter Kinder, so auch noch vom Kauffschilling restirt, abzulößen in hauptgut mit 300 lb d., sonst Ledig und eügen, vnd über dieße beschwerden angeschlagen vmb 275. Darüber sagt ein Pergamentene in alhiesiger CancelleÿContractstuben gefertigte Kauffverschreibung mit dero anhangendem Insigel verwahrt, datirt den 26. August Anno 1662. Signirt mit N° 1
Eigenthumb ahne Einem Gartten. Item ein achter theil ahne einem acker gartt. so 3 acker groß beÿm Beckenwäldel gelegen (…)
Wÿdembs Verfangenschaft. Es hatt herr Theobaldt Vogt der holtzhändler von weÿl. Frawen Anna Maria Wernerin seiner Ehelich geweßenen lieben haußfrauen seel ad dies vitæ wÿdebs weise zu genüßen (…)
Abzug In dießes Inventarium gemeinschafft. Sa. haußraths 138, Sa. Werckzeugs vnd Wahren Zum Kupfferschmidt Handwerck gehörig 248, Sa. Weins 40, Sa. Silber geschmeid und geschirrs 44, Sa. Guldener Ring 5, Sa. Pfenningzinß hauptgüter 100, Sa. Eügentumbs ahne einem Garten 37, Sa. Eügentumbs ahne einer behausung 275, Sa. Schuld 9, Summa summarum 897 lb – Schulden 496 lb, Nach solchem abzug 390 lb – Summa finalis 634 lb
Wÿdumb. Der Verstorbene seel. hatt Auch von Johann seinem auß der Ersten Ehe erziehl. Söhnlein die Jenige veldt güetter, welche in d. Mutterlichen Inventation beschrieben seind undt Geörg Booß Zu Boßelßhauß. und Geörg Mehlen Zu Ißenhauß. umb eine Jährliche Gülth (…)
Copia der Eheberedung (…) mit vnßerem anhangenden Cancelleÿ Contract Insigel verwahrt, am 17. Monats tag Martÿ Nach Jesu Christi vnßes einigen Heÿlands Freudenreichen geburth Zalt 1660 Jahr
Originaire d’Arnstadt en Thuringe, le chaudronnier Barthelémy Erasme Albrecht épouse en 1672 Anne Marie Vogt, veuve de Jean Richard Reiffel : contrat de mariage, célébration
1672 (26.12.), Not. Oesinger (David le jeune, 38 Not 16)
Act. den 26. 10.br 1672. – Eheberedung Zwischen dem Ehrengeachten vndt bescheidenen Bartholomeo Erasmo Albrechten dem ledigen Kupfferschmidt, des auch Ehrengeachten Michel Albrechts kupfferschmidts vndt Burgers Zue Arnstatt In Thüringen gelegen ehelichem Sohn alß Bräuttigamb ahn Einem
So dann der Ehren vndt Tugendtsammen Fr. Annæ Mariæ Vogtin Weÿl. Hannß Reichardt Reifflins auch geweßten Kupfferschmidts vndt Burgers alhie Zue Straßburg sel. nachgelaßener Wittiben Alß hochzeiterin Andern theils sich begeben
So beschehen vndt verhandelt In des heÿligen Reichs freÿen Statt Straßburg Dienstagß d. 26. Decembris alß mann nach der Gnad. reich. vndt Heÿl bringend. Menschwerdung Jesu Christi Zahlte 1671.
Mariage, Saint-Pierre-le-Jeune (luth. f° 226 n° 1)
1672. Dominicâ Post Novum Annum 7. Januarÿ. Bartholomæus Erasmus Albrecht der Kupfferschmidt Michael Albrecht des Kupfferschmidts vndt Burgern Zu Arnstatt in Thüringen Ehelicher Sohn Vndt Fr. Anna Maria Weÿl. Hanß Reichart Reuffel, des Kupfferschmidts Vndt Burgers alhie nachgelas. Wittib. Copulavi Mont. 15. Januarÿ (i 238)
Barthelémy Erasme Albrecht devient bourgeois par sa femme cinq jours après son mariage
1672, 4° Livre de bourgeoisie p. 393
Bartholomæus Erasmus Albrecht der Kupfferschmidt Von Arnstadt inn Thüringen, empfangt daß burgerrecht Von seiner haußfrawen Anna Maria, Weÿl. Hannß Reichardt Reifflin, deß Kupfferschmidts und burgers alhie Wittwen, umb 8. gold fl. so er beÿ alhießiger Cantzleÿ erlegt. Ist Zuuor ledigen standts gewesen, und Würdt beÿ E. E. Zunfft der Schmidt Zünfftig. Jurav. den 20. Januarÿ A° 1672.
Barthelémy Erasme Albrecht loue une cave au boulanger David Stigler
1677 (27. Aug.), Chambre des Contrats, vol. 546 f° 618
Bartholomæus Erasmus Albrecht der Kuppferschmidt
in gegensein David Stiglers deß Weißbeckhen
Verlühen, in seinem alhier am Kornmarckh gelegenen hauß den Keller, so underschlagen seÿe, uff 9. Jahr lang Von ietzt Verstrichenen Bartholomæi angerechnet, umb einen iährlichen Zinnß benantlichen 5. lb
Barthelémy Erasme Albrecht et sa femme Anne Marie hypothèquent la maison au profit des enfants mineurs du secrétaire Jean Georges Röhm
1680 (12.6.), Chambre des Contrats, vol. 549 f° 410-v
Bartolomeus Eraßmus Albrecht der Kupferschmidt undt Anna Maria beÿdte Eheleuthe undt Zwar Sie Anna Maria insonderheit mit beÿstandt der Ehren Vest undt Weÿßen herren Michael Fausten, undt herrn Mathæi Schmidts beÿdter alß auß E.E. Kleinen Rhats mittel ahne statt nechster Verwanther hierzu Deputierter
in gegensein herren Johann Schmidts Schaffners der großen gemeinen Allmoßens zu St. Marx alß Vogts Weÿl. H. Johann Georg Rhömen geweßenen Oberschreibers alda nunmehr seel. nachgelaßener Kinder – schuldig seÿen 100. lb
unterpfand, hauß undt hoffstatt mit allen deren gebawen undt Zugehördten alhier ohnfern des Kornmarckts einseit neben dem Ganthauß anderseit neben der Gastherberg Zum Salmen hinden uff heÿligen Liechter Gaß stoßend gelegen
Barthelémy Erasme Albrecht loue à nouveau une cave au boulanger David Stigler
1688 (16. 7.bris), Chambre des Contrats, vol. 559 f° 535-v
Bartholome Albrecht, der Kupfferschmid
in gegensein Hn David Stieglers, deß Weißbecken
entlehnt, Under seinem am Kornmarckt Zwischen dem Ganthhauß und würthshauß zum Salmen gelegenen wohnhauß den größern vordern Keller sambt dem Kleinen vornen daran und. der gaß, auff Neün jahr lang vom 3.ten 7.br. jüngst verfloßenen an zu rechnen
[in margine :] hierinn gemeldter H. Albrecht alß verleiher hat in gegensein Hans Georg Witmanns, deß Kieffers als von hierinn gemeldten Stiegler dem Entlehner deßen kieffer er Wittmann ist, hierzu bevollmächtiger, angezeigt und bekandt, demnach Ihme Stieglern hierinn gemeldte lehnung außzuhalten nicht mehr anständig gewesen (…) ged. lehnung mit guten belieben cassirt verspr., den 13. sept. 1695.
Les Quinze autorisent pour trois années supplémentaires Barthelémy Erasme Albrecht à poser des cuves à farine sur le marché aux farines, moyennant une redevance anuelle de 30 florins au lieu de 20 florins.
1691, Protocole des Quinze (2 R 95)
(f° 226-v) Sambstags den 1. Xbris – Bartholome Erasmus Albrecht der Burger und Kupfferschmidt alhie, per Künast, prod. Undth. Memoriale und Bitten w. d. Erk. vor Obere Umbgeldts Hn gewießen.
(f° 230) Freÿtag den 7. Decembris – Bartholome Erasmus Albrecht pt° die Meelbütten
Idem [Obere Kornherren] per Herrn Schragen, Es seÿe erinnerlich, daß Bartholome Erasmus Albrecht, d. Burger und Kupfferschmidt allhier, schon vor einigen jahren die Meelbütten auff den Kornmarck umb 30 fl. geldts jährlichen bestanden, und jüngst umb continuation, solang der Meelhandel währet, angehalten haben sonderlich, weilen der Pfenningth: etwas schrifftlich, umb es gehörigen Orthen notiren* zu Können, Von ihme Verlangt.
Als man ihn noch Ferners darüber gehört, so habe er beditten, daß er wegen der Meelbütten viel hätte Anwenden müßen, und wid. dem hin: Und hertragen viel müh hätte, Auch die hütt, Wohin die soldaten Viel unrath machten, sauber halten müßte, Und habe man vermeint, ihn noch zu einem mehrerem Zu bringen, allein habe er es Nicht thun wollen, sonden Vermeldt, daß Kein profit dabeÿ, Und er je schon Hn Hannß Jacob Zimmer, dem Kornwerffer, anestatt der vor dießem jährlich gegebenen 20. fl. auff 30. fl. getrieben worden were, welches sich im protocoll auch also befinde, und, Weilen er seithero den Zinnß richtig abgestellet, so habe mann dafürgehalten, daß mann ihme dieße Lehnung Noch länger continuiren Könte, jedoch selbige Vom j.sten April. 1691. angerechnet Nur dreÿ jahr währen sollte, zu Mghh. belieben stehend. Erk. beliebt.
Barthelémy Erasme Albrecht demande aux Quinze d’infliger une amende exemplaire au remueur de grains Jean Seiler qui a posé des cuves à farine. L’affaire est renvoyée aux préposés généraux des meuniers et à ceux de l’accise.
1702, Protocole des Quinze (2 R 106)
(f° 335) Sambstags den 20.t May 1702. Bartholomæus Erasmus Albrecht Ca. Hans Seiler
K. nôe Bartholomæi Erasmi Albrecht des kupfferschmidts Cit. per Sched. Hans Seiler den Kornwerffer, weilen Citatus Principali in seiner admodiaôn der Meelbütten eintrag gethan, gelt eingenommen vnd vor sich behalten unterm vorwand daß Principalis ihme deßwegen befehl gegeben, dem dort nicht alßo seÿe, und noch mehr als die ordnung außweißt gefordert habe, alß bittet Citatum Exemplarisch abzustraffen, und ihme dergleichen beÿ höher straff künfftig Zu verbiethen, ref. exp. G. Citatus præs. berichtet, daß er nichts als seinen gebühr eingenommen, sagt dagegen wid. obiges generalia, und bitt Zu anhörung mehrern berichts deputationem.
K. s. bittet aber wie vor. Erkandt an die oberen Müller und Ungelts Hh. gewießen.
Barthelémy Erasme Albrecht et Anne Marie Vogt hypothèquent la maison au profit de Marie Madeleine Mangin veuve Herff
1711 (4.3.), Chambre des Contrats, vol. 584 f° 104-v
Barth: Erasmus Allbrecht kupferschmidt u. Anna Maria geb. vögtin beÿständlich Joh: Michel u. Joh: Jacob der allbrecht ihrer Söhn
in gegensein frn Maria Madg: Herffin wittib geb. Mangin – schuldig seÿen 750 pfund
unterpfand, ihr hauß c. appert. beÿ der Kl: gewerbslaub, einseit ist d. ganthauß anderseit neben der Salmen hinten in die liechtergass gehendt
Barthelémy Erasme Albrecht hypothèque la maison arrière au profit de Marie Ursule Reiffel
1714 (28.4.), Chambre des Contrats, vol. 587 f° 289-v
Barth: Erasmus Allbrecht Kupferschmidt
in gegensein H. Joh: Jacob Vogt Kiefer als vogt Maria Ursula Reiflinin – schuldig seÿen – 250 pfund
unterpfand, d. hinterhauß ahn seiner behaußung allhier einseit ist der Salm anderseit neben dem ganthauß hinten auff die heilige liechtergass
Barthelémy Erasme Albrecht meurt en 1714 en délaissant quatre enfants. Les experts estiment la maison à 1 900 livres. La masse propre à la veuve est de 1 719 livres, celle propre aux héritiers de 281 livres. L’actif de la communauté s’élève à 1 127 livres, le passif à 2 616 livres
1714 (6.8.), Not. Rohr (Daniel, 46 Not 35) n° 1201
Inventarium und Beschreibung aller derjenigen Haab, Nahrung und Güthere, Liegender und Vahrender Keinerleÿ davon außgenommen, so weÿland der Ehrenveste und wohlvorgeachte Herr Bartholomæus Erasmus Albrecht geweßene Kupfferschmidt undt burger allhier nunmehr seel. nach seinem den 12. Junÿ instehenden 1714.ten Jahrs aus dießer welt genommenen tödlichen Ableiben Zeitlichen verlaßen, welche Verlaßenschafft auf freundliches ansuchen erfordern und begehren des Abgeleibten herrn seel. mit nachgemelter seiner hinderbliebenen wittib ehelich ab intestato erzeugte 4 Kinder und nachgelaßener Erben (…) inventirt und ersucht durch die Viel Ehren und Tugendreiche fraw Annan Mariam gebohrne Vögtin die hinderbliebene fraw Wittib, beÿständlich des Wohl Ehrenvesten und Großachtbahren herrn Johann Jacob Sauren vornehmen handelßmann und burgers allhier deroselben geschwornen herrn Curatoris (…) So beschehen allhier in der Königlichen freÿen Statt Straßburg Montags den 6. Augusti Anno 1714.
Der nun in Gott seelig ruhende herr hat ab intestato Zuerben Verlaßen wie Volgt. 1. den Ehren und Vorachtbahren Herrn Johann Michael Albrecht Kupfferschmidt undt burgern allhier Zu Straßburg, so auch in Persohn dem geschäfft angewartet, 2. Jgfr. Annam Elisabetham Albrechtin, welche mit beÿstand des Wohl Ehren undt wohlvorgeachten herrn Johann Kugler Statt Kupfferschmidt und Burgers allhier dero geschwohrnen Vogts, auch in persohn Zugegen geweßt. 3. die Ehren und tugendsahme fraw Mariam Salomeam Koberin gebohrne Albrechtin David Kober des Metzgers und Burgers allhier geschiedene haußfraw, welche bevögtiget mit Vorermeltem herrn Johann Michael Albrecht dahero in deßen Nahmen, weilen er selbsten proprio nomine interessirt, ist der Ehren und Vorachtbahre Herr Johann Jacob Vogt Weinhändler und Kieffer auch Burger allhier alß erbettener Assistent beÿ dem Geschäfft erschienen. So dann 4. den Ehrenachtbahren herrn Johann Jacob Albrecht Zinngießer und Burgern allhier so gleichfalls der Inventation in Persohn beÿgewohnt, Alle vier Zugleichen portionen und Stammtheilern
Copia der Eheberedung – Copia Codicilli reciproci
In einer allhier Zu Straßburg nahe beÿ dem Kornmarck gelegenen und in dieße Verlaßenschafft eigenthümlich gehörigen behaußung sich Volgender maßen Befunden
Ane Höltzen und Schreinwerck. In der Cammer A, In der Cammer B, In der Cammer C, In der Stub Cammer, Im Hauß öhren, Auff dem Ga,g, In der Wohnstub, Im u&ern hauß öhren, Im Keller, In des officiers Stub
Ergäntzung der Erben ermanglenden unveränderten Vermögens. Inhalt Inventarÿ vber beeder geweßenen Ehepersohnen einander in den Ehestandt zugebrachte Nahrungen in A° 1672. auffgerichtet ist den Erben zu ergäntzen
Eÿgenthumb ane einer Behaußung. (W.) It. ein Hauß Hoffestatt sambt Zweÿen Höflein mit allen deren Gebewen begriffen weithen Zugehördten Rechten und Gerechtigkeiten gelegen allhier Zu Straßburg am Kornmarckt einseit neben dem Ganthauß, 2. seith neben der herrberg Zum Salmen hinden auff besagte herberg undt die Liechtgaß /:in welche gaß es auch einen ein und außgang hat:/ stoßend, davon gibt mann Jahrs auff Annunciationis Mariæ 5. lb d Zinnß herrn Paul Flachen alten wohlverordneten dreÿern der Statt Stall Undt Oberschreibern des Mehrern Hospithals Vornehmen Burgern allhier Lößig in Cap: mit 100. lb d. It. 16. lb d Zinnß in dreÿen posten theils den 17. Jan: theils 18. Martÿ und theils auff Johannis Baptistæ Verfallen dem Stifft St. Marx alhier, Lößig in hauptgut Zusammen mit 400 lb d. Sonsten freÿ Leedig v. eÿgen v. ist solche Behaußung durch die allhießig. Geschwohrne Werckmeistere Vermög deren beÿ mein Notÿ concept befindl. schrifftl. Abschatzung dedato 6 Augusti A° 1714 æstimirt worden pro 1900. lb. Nach Abzug vorstehender beschwehrden der 600 lb d aber verbleibt allein allhier annoch auß zu werffen in rest 1300. Darüber besagt ein perg. in allhießiger C. C. Stuben gefertigte Kauff Verschreibung mit dero Anhangendem Insiegel verwahrt, datirt d. 26. Aug. A° 1665. m. a. N° 1 notirt
Eÿgenthumb ane Liegende, güthern, Wolxheimer Banns (…)
Ergäntzung der Fraw Wittib abgegangenen unveränderten Guths. Vermög Abtheilungs Concepts vber weÿl. herrn Theobald Vogts geweßenen holtzhändler und burgers allhier der Fr. Wittib herrn Vatters seel. verlaßenschafft in A° 1679 durch auch weÿl. Herrn Nicolaum Reeben Notm. Publ. vergriffen – Von vorstehender der Fraw Wittib Ergäntzung Ist wider abzuziehen wie volgt. Erstlichen vor Baw Kösten, so wehrender Ehe andero obeingetragene unveränderte Behaußung verwendet vnd bezalt worden, sich zusammen gerechnet vnd verglichener maßen erstreckend auf 257. lb
(f° 27-v) Wÿdumbs Verfangenschaft, Davon daß Eigenthumb finito usufructu diß orths fraw Wittiben oder dero Erben anfällig. Vermög eines durch herrn Johann Reinhard Langen berühmten Notm. publ. et pract. in A° 1712. auffgerichtet vnd verfertigten so titulirten Lüffer: v Wÿdumbs Registers vber das ienige so diß Orths fraw Wittib, von weÿlandt Frawen Maria Ursula Angererin gebohrner Reifflinin, Meister Johann Martin Angerer des Kupffer hammerschmidts vnd burgers allhier Zu Straßburg geweßener haußfrawen Ihrer Tochter alß Wittiber (…)
(f° 28) Series rubricarum hujus Inventarÿ. Der Fr: Wittib unveränderte Nahrung betr. Sa. haußraths 78, Sa. Werckzeugs 41, Sa. leerer Vaß 14, Sa. Silbers 35, Sa. Goldener Ring 1, Sa. Eigenthumbs ane j behaußung 1300, Sa. Eigenthums ane j. Reebstuck 15, Sa. Ergäntzungs rests 383, Summa summarum 1869 lb – Schulden 150 lb, Nach deren Abzug 1719 lb
Der Erben unverändert Guth belagend, Sa. Kleidung und Weißgezeigs 20, Sa. Ergäntzung 111, Sa. Schuld 150, Summa summarum 281 lb
Die Theilbahre Verlaßenschafft betr. Sa. haußraths 99, Sa. Kupffers vnd Wahen 321, Sa. Leerer Vaß 35, Sa. Silbers 59, Sa. Goldener Ring 6, Sa. baarschafft 39, Sa. Pfenningzinß hauptgüthere 125, Sa. Eigenthums ane liegend. gütter, 125, Sa. Activ Schulden 409, Summa summarum 1127 lb – Schulden 2616 lb, In Compensatione Theilbar passiv onus 1489 lb
Conclusio finalis Inventarÿ 541 lb – Ungiebig vnd Verlohrene Schulden in der Fr. Wittib unveränderte Nahrung Zugeltend 162, Zweiffelhaffte Schulden in die Nahrung Zueldtens 1091 lb
Extractus Auß dem, über Weÿland Herrn Theobald Vogten, geweßenen Holtzhändlers und burgers Zu Straßburg seeligen Verlaßenschafft, durch mich underzeichenten Notarium den 17. Junÿ Anno 1704. Vergriffenem Inventations: Concepto
1211. Verkauff und Looß Registerlein, 25. 7.bris A° 1714
Bartolome Erasmus Albrecht der Kupfferschmidt contra Zunft Zur Lucern, 329-v, 335-v, 342, 362-v, 370-1, 380-v, 385, 387 (procédure sans suite)
Anne Marie Vogt meurt en 1715 en délaissant les représentants de ses deux enfants en premières noces et les quatre enfants de son deuxième mariage. L’estimation de la maison est reprise de l’inventaire précédent. L’actif de la succession s’élève à 1 717 livres, le passif à 624 livres.
1715 (16. Xbris), Not. Rohr (Daniel, 46 Not 37) n° 1293, 1294
Inventarium und beschreibung aller derjenigen Haab, Nahrung und Güthere, Liegend und Vahrender, Keinerleÿ davon außgenommen, so weÿland die Viel Ehren: und tugendreiche fraw Anna Maria Albrechtin gebohrne Vögtin auch weÿland deß Ehrenvest und wohl vorgeachten herrn Bartholomæi Erasmi Albrecht geweßenen Kupfferschmidt undt burgers allhier Zu Straßburg hinterbliebene fraw Wittib, beede nunmehr seelig nah Ihrem den 4.ten Novembris dießes Zu End eilendten 1715. Jahrs aus dießer welt genommenen tödlichen ableiben, Zeitlichen verlaßen (…) So beschehen allhier in der Königlichen freÿen Statt Straßburg in fernerem gegenseÿn deß wohl Ehrenvesten und großachtbahren herrn Johann Jacob Sauren Vornehmen handelßmann und burgers allhier der abgeleibten fraw seeligen geweßenen herrn Curatoris auff Montag den 16. Decembris Anno 1715.
Die abgeleibte fraw seelig hat ab intestato Zu Erben Verlaßen wie volgt. 1. Weÿl: Frawen Mariæ Barbaræ Wildin gebohrner Reÿfflinin mit Meister Johann Dieboldt Wilden Sattler und burgern allhier Ehelich erzeugte und nach todt Verlaßene 2. töchterlein Nahmentlich Mariam Barbaram und Annam Mariam, so bevögtigt mit herrn Johann Michael Albrecht Kupfferschmidt und burgers allhier, weÿlen aber derselbige hiebeÿ selbsten interessirt, als ist in deßen Nahmen so lang dißes geschäfft währet Zum theilvogt ernannt und gehöriger Orthen confirmirt worden mstr. Joh: Peter Dürrbach auch Sattler und burger allhier welcher auch beneben der Kinder Vattern der Inventation abgewarth. 2. Weÿl. herrn Diebold Reÿfflin geweßenen Kupfferschmidt und burgers allhier mit auch weÿl. frawen Anna Margaretha gebohrner Baw Meisterin seel Ehelich erzeugte Tochter Nahmens Jgfr. Mariam Ursulam Reifflinin, so bevögtigt mit herrn Johann Jacob Vogten weinhändler und Kieffer auch burgern allhier, welcher auch beneben der Jgfr. curandin selbst beÿ dem geschäfft erschienen
3. Obgedachten Herrn Johann Michael Albrecht Kupfferschmidt und burgern allhier, so gleichfalls persönlich zugegen geweßt. 4. Jgfr. Annam Elisabetham Albrechtin, ist bevögtigt mit herrn Emanuel Wehner dem Jüngern haußfeurer und burgern allhier so beede auch præsens wahren, 5. Fraw Mariam Salomeam Kooberin gebohrne Albrechtin Davidt Koober deß Metzgers und Burgers allhier geschiedene haußfraw, welche bevögtiget mit mehrermeltem herrn Johann Michael Albrechten, dahero in deßen Nahmen, weilen Er selbsten interessirt, Herr Johann Philipp Fießel Kupfferschmidt und Burger allhier alß theil Vogt dem Geschäfft abgewarthet. So dann 6. herrn Johann Jacob Albrecht Zinngießer und Burgern allhier so gleichfalls der Inventation von Anfang biß Zu End in Persohn beÿgewohnt, Alle 6 Zugleichen Portionen und Stammtheilern
In einer allhier Zu Straßburg nahe beÿ dem Korn Marckh gelegenen: und in dieße Verlaßenschafft Eÿgenthümlich gehörigen behaußung sich Volgender maßen befunden
Ane Höltzen: und Schrein Werckh. In der Cammer A, In der Cammer B, In der Obern Stub, Inn dießer Stub Cammer
Eÿgenthumb ane einer Behaußung. It. i. hauß, hoffestatt s. 2. höfflein m. allen deren gebäwen, begriffen, weithen, Zugehördten, Rechten u. Gerechtigkeiten gelegen allhier Zu Straßb. am Kornmarckh 1.s.neben dem Ganthauß, 2. s. neben der herberg Zum Salmen, hinden auff besagte herberg und die Liechtgaß /:in welche gaß es auch i. Ein : und außgang hat:/ stoßend, davon gibt man Jahrs 16. lb d. Zinnß in 3. posten theils den 17. Januarÿ, theils den 18. Martÿ und theils auff Johannis Baptistæ Verfallend, dem Stifft St. Marx alhier, lößig in hauptguth Zusammen mit 400 lb. It. 30. lb d. à 4. pro C° gerechneten Zinnß weg. Hn Niclaus Herffen geweßenen Vornehmen handelßmann und burgers Zu Basel seel. nachgelaßenen fraw Wittib Jährlichen auff (-) redimibel in hauptgut mit 750 lb d, So dann 10. lb d. à 4 pro C° gerechneten Zinnß frawen Maria Ursula Tornariußin gebohrner Reifflinin dießorths Enckel Jahrl. auff den 27. Aprilis wiederkheuffig in hauptgut mit 250 lb d. Sonsten aigen, und ist solche behaußung durch die allhießig. geschwohrene Werckmeistere Vermög deren beÿ mein Notarÿ concept befindlichen schrifftlichen abschatzung dedato 6. Augusti Anno 1714 æstimirt worden pro 1900. lb. Nach abzug vorstehender beschwehrdt der 1400 lb d. aber verbleibt allein allhier annoch allein auß zu werffen im rest 500. Darüber besagt i. perg. in allhießiger C. C. St. gefertigte Kauff Verschreibung m. dero anhang. Inns.verwahrt, datirt d. 26. August Anno 1665. m. a. N° 1 notirt.
Series rubricarum hujus Inventarÿ. Sa. haußraths 78, Sa. Werckzeugs 155, Sa. Werckzeugs 2, Sa. Wein und leeren Vaß 60, Sa. Silber geschirr u. geschmeidt 88, Sa. Goldener Ring 7, Sa. baarschafft 73, Sa. Pfenningzinß hauptgüthere 250, Sa. Eigenthumbs ane j behaußung 500, Sa. Schulden 578, Summa summarum 1717 lb – Schulden 624 lb, Nach deren Abzug 1093 lb
Conclusio finalis Inventarÿ 1055 lb
Wÿdumbs Verfangenschaft, davon das Eÿgenthumb finito usufructu dieß orths sambtlichen Erben anfällig. Vermög eines durch herrn Johann Reinhard Langen berühmten Notm. publ. et pract. in A° 1712. auffgerichtet vnd verfertigten so titulirten Lüffer: v Wÿdumbs Registers vber das ienige so diß Orths fraw Wittib, von weÿlandt Frawen Maria Ursula Angererin gebohrner Reifflinin, Meister Johann Martin Angerer des Kupffer hammerschmidts vnd burgers allhier Zu Straßburg geweßener haußfrawen Ihrer Tochter alß Wittiber (…)
1294, Abtheilungs-Concept
Les héritiers louent une partie de la maison au chaudronnier Jean Philippe Fiessel
1716 (29.1.), Chambre des Contrats, vol. 589 f° 39-v
Joh: Jacob Vogt weinhändler alß vogt Maria Ursula Reiflinin, Item hr. Emanuel Wener haußfeurer alß vogt Elisabetha Allbrechtin, Item Joh: Peter Dürrbach sattler alß vogt Dieboldt Wildten KK. Item Joh: Michael Albrecht alß vogt Maria Salome Koberin, Item Joh: Michel Albrecht Kanengießer
in gegensein Joh: Philipp Fießel Kupferschmidts
entlehnt, in dem Albrechtischen hauß allhier zwischen dem Ganthauß und Salmen die unterste stueb Kuechen und werckstatt, Item d. gantze obere hinterhauß sambt der kohlen Cammer, Item platz im vordern Keller und einen großen geschirr Kasten platz vor der thür d. geschirr außzuhencken, auf 2 jahr anfangend auf Annunciationis Mariæ 1716 – um einen jährlichen Zinß nemlich 40 pfund
Jean Jacques Albrecht hypothèque son cinquième de maison au profit de Jean Philippe Bœckler, maître des rentes
1716 (17.2.), Chambre des Contrats, vol. 589 f° 88-v
Johann Jacob Allbrecht zinngießer
in gegensein hn Johann Philipp Böcklers hiesigen Statt rentmeistern – schuldig seÿen 125 pfund
unterpfand, ein fünffter theil für unvertheilt ahn hauß hoff hind. hauß cum appertinentÿs allhier gegen dem kornmarckt, einseit neben dem ganth hauß anderseit neben dem gasthauß zuem Salmen hinten auff die heilig. liechtengaß stoßend
Les héritiers d’Anne Marie Vogt vendent la maison au vitrier Sébastien Eckel et à sa femme Marie Salomé Waldeck
1716 (15.10.), Chambre des Contrats, vol. 589 f° 577-v
(2250) Joh: Michel Albrecht kupferschmidt, Item Joh: Jacob Albrecht kantengießer, Item obiger Joh: Michael Albrecht alß vogt Diebold Wildten sattlers 2 KK. in beÿsein deß. vatters, Item Anna Elisabetha geb. Albrechtin beÿständlich Joh: Lipß sattlers ihres mariti, Item Maria Ursula geb. Reiflinin beÿständlich Johann Joachim Tormarius kürßners ihres mariti, Item Maria Salome geb. Albrecht beÿständlich obigen Joh: Michel Albrecht ihres Curatoris
in gegensein Sebastian Eckel glaßers und Mariæ Salome geb. Waldeckin
hauß hoffstatt zweÿ höfflein mit allen deren gebäuden, begriffen, weithen, zugehörden, rechten und Gerechtigkeiten ahm Kornmarckt, einseit neben dem Ganthauß anderseit neben der herrberg zuem Salmen hinten auf gedachte herrberg und die Liechtgaß /:in welche gemeldte behausung auch einen ein und auß gang hat:/ – um 400, 750 und 250 pfund verhafftet, geschehen um 850 pfund
Fils de l’aubergiste à la Corne de Cerf Jacques Eckel, Sébastien Eckel épouse en 1701 Marie Salomé, fille de l’orfèvre Gabriel Waldeck : contrat de mariage tel qu’il est copié à l’inventaire, célébration
Copia der Eheberedung – zwischen dem Ehrengeachten herrn Sebastian Eckhelen dem ledigen Glaßer, Weÿlandt herrn Jacob Eckhels geweßenen Gastgebers Zum Hirschhorn auch burgers allhier Zu Straßburg mit fr. Catharina gebohrner von Türckheim in dritter Ehe erzeugtem und nachgelaßenen Sohn, alß bräutigamb anne einem,
so dann der Viel Ehren und Tugendreichen Jungfrauw Maria Salomæ, weÿlandt des wohl Ehren Vesten und Kunsterfahrenen herren Gabriel Waldeckhs geweßenen Goldarbeiters und auch burgers alhier mit fr. Anna Maria gebohrner Stritzin erzeugten und hinterlaßener dochter als der Jungfrau hochzeiterin am andern theil – So beschehen und verhandelt in der Königlichen freÿen statt Straßburg Freÿtags den 21. Januarÿ St. nov. im Jahr des herren als mann Zahlte 1701. – Joh: Jacob Grünwaldt Nots.
Mariage, Saint-Pierre-le-Jeune (luth. f° 104-v)
1701. Domin: Quasimod. et Misercord. proclamati sunt, Sebastian Eckeln der glaser alhie, weÿl. hr. Jacob Eckel geweßenen burgers v. gastgebers zum hirtzhorn alhie nachgel. ehl. Sohn V. jfr. Maria Salome weÿl. hr. Gabriel Waldeck gewesenen goldarbeiters V. burgers alhie nachgel. ehl. tochter. Copulati sunt Mittw. d. 13. Apr. [unterzeichnet] Sebastian Eckel Als hochzeiter, Maria Salome Waldeckin als hochzeiterin, Friderich Schell allß Stiff Vatter, Johann Michael Eckel alß hochzeiter bruder (i 107)
Sébastien Eckel loue une boutique à Ursule Schwab
1716 (23.11.), Chambre des Contrats, vol. 589 f° 638
Sebastian Eckel glaßer
in gegensein Ursulæ Schwäbin wittib geb. Schwäbin beÿständlich Balth: Bößwilwaldt ihres Curatoris
entlehnt, der laden in seinem hauß allhier ahm Ganthhauß sambt 6 bütten, Item den platz vor der thür solche bütten zu stellen auf 6 jahr lang anfangend auf weÿhn: dießes jahrs – um einen wochentlichen zinß 10 ß
Sébastien Eckel loue d’autres parties de la maison à la même Ursule Schwab
1719 (11.5.), Chambre des Contrats, vol. 593 f° 232
Sebastian Eckel glaßhändler
in gegensein Ursulæ Schwäbin wittib geb. Schwäbin beÿständlich Balth: Bößwilwaldt haußfeuers ihres Curatoris
in seinem hauß allhier ahm Ganthauß eine stueb zwo Cammern zwo bühnen Keller platz zuem holtz, auf 9 jahr lang anfangend auf Joh. Bapt. nächstkünfftig, um einen jährlichen Zinß nemlich 17 lb
Le marchand de verre Jean Philippe Walter se plaint devant le Conseil de l’Echasse que Sébastien Eckel a pris un panier plein de verre de Bohême. L’enquête montre que Sébastien Eckel a fait porter le panier à la halle commerciale jusqu’à ce qu’une transaction ait été tirée au clair.
1727, Protocole de la tribu de l’Echasse (XI 103)
(p. 376) Dienstag den 29. Aprilis Anno 1727 – Johann Philipp Walter der ledige glaßhändler, Klagt wieder Sebastian Eckel, daß Er ihme einen Korb mit Cristallen böhmisch glaß hienweg genommen, in deme ein officier Zu ihme in den laden gekommen und begehrt verschiedene Cristallene böhmische gläßer, weÿlen aber der officier pressirt war, so hat der officier befohlen, er solte einen Korb mit dergleichen glaß zum dann Zapffen bringen, darüber er einen Böhmen angestellt, solchen Korb mit glaß in besagtes wirtshauß Zutragen, darüber herr Eckel ihme das glaß von böhmen abgenommen und biß Zu Außtrag der Sachen in das Kaufhauß geschickt.
Herr Eckel sagt dießer Böhm seÿe mit dem glaß vor seinen laden gekommen und alß Er ihn befragt, wo Er solches her hälte, antwortete der Böhm, herr Walter schickte ihne mit zu haußieren
Sébastien Eckel loue une partie de la maison au farinier Thomas Hœger
1730 (21.2.), Chambre des Contrats, vol. 604 f° 81-v
Sebastian Eckel glaßer
in gegensein Thomas Höger des Meelmanns
In seiner gegen dem Kornmarckt über einseit neben dem ganthauß anderseit neben der gastbehausung zum Salmen gelegenen behausung In dem hinderhauß eine Stiege hoch eine stueb haußöhren oder Kuchen zwo Stiegen hoch eine Kammer eine holtzbühn, dreÿ stiegen hoch eine bühn und vier stiegen hoch auch eine bühn, einen besondern Keller in ged. hinderhauß – auff 9 nacheinander folgenden jahren anfangend von nächst kommenden Ann: Mariæ fürwährenden jahrs – um einen jährlichen Zinß nemlich 34 gulden
[in fine :] Ferner einen platz vor obged. hauß auff dem Allmend umb 2 biß 3 Meelbütten jeden Freÿtag oder Marcktag dahin stellen zu können, 8 sch. 8 p.
Sébastien Eckel demande aux Quinze de prolonger son droit de poser des cuves de farine devant sa maison
1730, Protocole des Quinze (2 R 136)
(p. 87) Sambstag d. 11. Martÿ 1730. [- nô]e 87 Sebastian Eckels, burger und Glaßers, bitt umb g. prolongation die Meelbütten vor seinem hauß gegen erlag der 6. lb noch ferner halten Zu dörffen. Erk. wird Erlaubnus auff dreÿ Jahr gegen erlag der 6. lb jährlich prolongirt
Marie Salomé Waldeck meurt en 1746 en délaissant six enfants. Les experts estiment la maison à la somme de 2 000 livres. La masse propre au veuf s’élève à 9 livres, celle des héritiers à 1 955 livres. L’actif de la communauté s’élève à 5 334 livres, le passif à 1 852 livres.
1746 (16.8.), Not. Langheinrich (J. Daniel, 6 E 41, 706) f° 4
Inventarium über Weÿl. der Viel Ehren: und tugendsahmen Frauen Mariä Salome Eckelin geb. Waldeckin, des Ehrenvest und Wohlvorgeachten Herrn Joh: Sebastian Eckels Glaßhändlers und burgers allhier Zu Straßburg geweßener ehelicher Haußfrauen nunmehr seeligen Verlaßenschafft auffgerichtet Anno 1746. – nach Jhrem Freÿtags den 15.den Apr. dießes laufenden 1746.sten Jahrs beschehenen tödlichem Ableiben hier Zeitlichen verlaßen (…) So beschehen in Straßburg auf dienstag den 16. Augusti seq. A° 1746.
Die abgeleibte Frau seelige hat ab intestato Zu Erben Verlaßen, Wie folgt. 1.mo Frau Mariam Ursulam Lobsteinin gebohrne Eckelin, Herrn Anthoni Lobsteins Chirurgi und burgers allhier Zu Straßburg frau Eheliebstin, Welche mit beÿstand gedachten Ihres haußwürths dem Geschäfft persönlich beÿgewohnt, In den Ersten Sechsten Stammtheil, 2.do Fr. Mariam Barbaram Österlinin geb. Eckelin Herrn Joh: Friderich Österlin Schwerdtfegers und burgers allhier eheliche Haußfrau welche beneben dero Ehemann sich beÿ der Inventation eingefunden In den Zweÿ Sechsten Stammtheil. 3.tio Herrn Emanuel Eckel den Glaßhändler und burger allhier, so ebenmäßig beÿ dem Geschäfft zugegen war, In den dritten Sechsten Stammtheil, 4.to Herrn Joh. Eckel den Leedigen Rothgerber und Lederbereiter auch burgern alhier so sich ebenmäßig beÿ der Inventation eingestellt, In den Vierten Sechsten Stammtheil. 5.to Fr. Mariam Salome Ottin geb. Eckelin H Georg Friderich Otten des jüngern Rothgerbers Ehefrau, in dem fünfften Sechten Stammtheil, So dann 6.to Frau Mariam Dorotheam Pfählerin gebohrne Eckelin, herrn Joh: Daniel Pfählers deß handelßmanns und burgers allhier frau Eheliebstin, welche unter assistentz gedachten Ihren Eheherrn sich beÿ der Inventation gegenwärtig Zeigte, In den Sechsten und Letzten Stammtheil
In einer allhier Zu Straßburg ane dem alten Kornmarckt neben dem Ganthhauß gelegenen und in dieße Verlaßenschafft gehörigen behaußung befunden worden wie folgt.
Ane Höltzen und Schreinwerck. In der Wohnstub, In H. Pfählern des tochtermanns Wohnstub, In des jüngern H Sohn Zimmer, In d. obern Kuchen, In d. obern Cammern Ins officiers Knechts Cammer, Ins Officirs zimmer, Vor der Wohnstub, In d. Vordern Stub, In d. Stub Cammer, In d. Kuchen, In der Werckstatt, In d. hintern Hoff Camer, Im unden hauß Ehren, Im Laaden
Eigenthumb ane einer Behaußung. Nemblichen 1.r. behaußung Hoff Hoffstatt und hinterhauß mit allen deren Gebäuen begriffen weithen rechten Zugehörd. v. Gerechtigkeiten gelegen allh. Zu Straßburg ane dem alten Kornmarkt gegen d. Großen Gewerbslaub über 1.s. neben dem so genandten Ganthauß 2. s. neben Hn Philipp Jacob Fischers dem nunmahlig. Caffetier hinten auf die hellenlichtergaß stoßend 1. s. neben Joh: Adam Zachmann dem Büchsenmacher 2.s neben weÿl. Meister Christian Stamlers des Gürthlers ersterer Ehefraun seel. Erben et Consorten, so geg. Männig. freÿ leedig eigen und durch Hn Peter Pflug Stattlohner v. Baumeistern (…) laut Abschatzungs Zeduls v. 14. Julÿ 1746. angeschlagen pro 2000 lb. Darüber sagt 1. teutsch. perg. in allh. C. C. gefer. v. m. d. anh. Ins. verwahrt. Kauffbrieff d.d. 15.ten 8.bris A° 1716.
Ergäntzung des Herrn Wittibers abgegangenen unveränderten Guths. Vermög Inventarÿ über beeder geweßenen Eheleuth einander für ohnverändert in die Ehe Zugebrachte Nahrungen in A° 1701 durch nun auch Weÿl. Hn Joh: Jacob Grünwald Notm. publ. et Pract. nun seeligen auffgerichtet
Series rubricarum hujus Inventarÿ. Copia der Eheberedung. Copia Codicilli reciproci
Des Hn Wittibers ohnveränderten Vermögens. Sa. haußraths 3, Sa. Silbers 1, Sa. Goldener Ring 2, Erg. rest 78, Summa summarum 84 – Schulden 75 lb, compensando 9 lb
Dießenmach wird nun auch der Erben unveränderte Nahrung beschrieben. Sa. Haußraths 48, Sa. Silber geschirr und Geschmeids 9, Sa. der goldenen Ring 16, Sa. Pfenningzinß hauptguths 25, Sa. Gülth von liegenden güthern 7, Sa. Activ Schuld 75, Sa. Erg. Rests 1774. Summa summarum 1955 lb
Endlich Wird nun auch das gemein Verändert theilbar Guth beschrieben, Sa. haußraths 119, Sa. der Wahren zum Glaßhandel gehörig 694, Sa. Wein und lähren faß 138, Sa. Silber geschirr und Geschmeids 138. Sa. goldenen Ring 9, Sa. baarschafft 1950, Sa. Eigenthumbs ane 1. behaußung 2000, Sa. der Activ Schulden 300, Summa summarum 5334 lb – Schulden 1852 lb – Nach solchem abzug 3502 lb
Stall summ et Conclusio finalis Inventarÿ 5467 lb
Copia der Eheberedung – So beschehen und verhandelt in der Königlichen freÿen statt Straßburg Freÿtags den 21. Januarÿ St. nov. im Jahr des herren als mann Zahlte 1701. – Joh: Jacob Grünwaldt Nots.
Copia Codicilli reciproci – Im jahr 1702 (…) Montag den 30. Monats tag Januarÿ abends zwischen Sechs und Sieben Uhren beÿ dreÿen helbrennenden liechtern, in einer in der langen straßen gegen dem Müller gäßlein über, oder neben dem bierhauß Zur Mühlen gelegenen Von mit Notario aber lehnungsweiße bewohnenden behaußung (…) Persönlich kommen und erschienen seindt her Sebastian Eckel der Glaßer und mit Ihme Fraw Maria Salome gebohrne Waldeckin deßen Eheliebstin burgere allhier Zu Straßburg gesunder gehender und stehender leiber (…). – Johann Jacob Grünwaldt Nots. publ.
Sébastien Eckel meurt en 1756. L’estimation de la maison est reprise de l’inventaire précédent. L’actif de la succession s’élève à 4 346 livres, le passif à 700 livres.
1756 (15.9.), Not. Langheinrich (J. Daniel, 6 E 41, 711) n° 221
Inventarium über Weÿland des wohl Ehrenvest und Vorachtbahren herrn Sebastian Eckels, geweßenen Glaßhändlers und Es En Kleinen Raths alten Wohlverordneten beÿsitzers auch burgers allhier Zu Straßburg nunmehro seeligen Verlassenschafft, auffgerichtet Anno 1756. – als derselbe Freÿtags den 3.ten Septembris dießes lauffenden 1756.ten Jahrs dießes Zeitliche mit dem Ewigen Verwechßelt – So beschehen in Straßburg auf Donnerstag den 15.den Septembris et seq. A° 1750.
Der Verstorbene Herr Eckel seelig hat sowohl ab intestato als per Testamentum Zu Erben Verlaßen, Wie folgt. 1.mo Frau Mariam Ursulam Lobsteinin gebohrne Eckelin, Hn Anthoni Lobsteins Chirurgi und burgers allhier Zu Straßburg frau Eheliebstin, Welche mit beÿstand Erst gedachten Ihres Ehemanns dem Geschäfft persönlich beÿgewohnt, In den Ersten Sechsten Stammtheil,
2.do Weÿland Frauen Mariä Barbarä Österlinin gebohrner Eckelin seelig mit Hn Joh: Friderich Österlin, dem Schwerdfeger und burger allhier ehelich erziehlte und nach todt Verlaßene dreÿ noch lebende Jgfr. Töchtere nahmentlichen 1.mo Jgfr. Mariam Salome, 2.do Mariam Barbaram und 3.tio Susannam Dorotheam die Österlin, welchen dreÿen Österlinischen Enckeln, herr Georg Friderich Ott der Mittlete Rothgerber und Lederbereiter auch burger allhier Zu einem geschwornen Vogt geordnet, Alldieweilen abe derselbe dießem Geschäfft wie hernach zu sehen uxorio nomine assistiren muß, alß ist Ihnen Zu einem theilvogt S. T. herr Joh: Heinrich Thenn Notarius publ. jur. und berühmter Practicus erbetten worden, welcher auch in solcher Qualitæt auf Vorher beÿ Em En Großen Rath abgelegtes Juramentum sich beÿ der Inventation eingefunden und seiner Curanden Interesse besorget, dieße 3. österlinische töchtete in den Andern Sechten Stammtheil.
3.tio Weÿland Hn. Emanuel Eckel des geweßenen Glaßhändlers und burgers allhier seeligen mit frauen Maria Dorothea geb. Wildin ehelich erziehlte und nach todt Verlaßene beede noch lebende Söhne benantlichen 1. Johann Emanuel Gottfried und 2. Philipp Jacob die Eckele, dere geschworner Vogt Obgedachter herr Anthonius Lobstein Chirurgus und burger allhier und indeme aber derselbe uxorio nomine beÿ diesem Geschäfft Interessirt als ist Ihnen also zu einem Theilvogt constituirt und erbetten worden S. T. H Joh: Richard Häring Not. publ. jur. und berühmter practicus, welcher auch nomine seiner Curanden beÿ dem Geschäfft zugegen war, und seiner Curanden Interesse bestens angelegen seÿn ließ, dieße beede Eckelische Enckele in den dritten Sechsten Stammtheil,
4.to Herrn Johannes Eckel den Rothgerber und Lederbereiter auch burgern alhier, Welcher mit und beneben S. T. Herrn Johann Georg Albert J. V. Lto Wie auch Not° publ. jur. und berühmten Practico als seinem in specie erbettenen herrn assistenten dem Geschäfft persönlich beÿgewohnt, In den Vierten Sechsten Stammtheil. 5.to Frau Mariam Salome Ottin geb. Eckelin H. Georg Friderich Ott, des Mittlern Rothgerbers und Lederbereiters auch burgers allhier frau Eheliebstin Welche mit beÿhilff erstgemelten Ihres geliebten Ehemanns dem Geschäfft persönlich abgewartet, in dem fünfften Sechten Stammtheil, So dann 6.to Frau Mariam Dorotheam Pfählerin gebohrne Eckelin, herrn Joh: Daniel Pfählers deß jüngern handelßmanns und burgers allhier frau Eheliebstin, welche unter assistentz gedachten Ihren Eheherrn sich beÿ der Inventation gegenwärtig Zeigte, In den Sechsten und Letzten Stammtheil, Also alle 6. des seel. Verstorbenen Hn Eckels mit auch weÿland frauen Maria Salome Eckelin gebohrner Waldeckin, längst seel. ehelich erziehlte Hh. Söhn frau töchter und Enckele auch Zu 6. gleichlingen portionen und Stammtheilen sowohl ab intestato Verlaßene als per testamentum instituirte Erben
In einer allhier Zu Straßburg ane dem alten Kornmarckt neben dem Ganthhauß gelegenen und in dieße Verlaßenschafft gehöriger behaußung befunden worden wie folgt.
Eigenthumb ane einer Behaußung. Nemblichen eine behaußung Hoff Hoffstatt und hinterhauß mit allen deren Gebäuen begriffen weithen rechten Zugehörden und Gerechtigkeiten gelegen allhier Zu Straßburg ane dem alten Kornmarkt gegen der Großen Gewerbslaub über 1.s. neben dem so genandten Ganthhauß 2. s. neben Hn Joseph Groß dem Sattler und E. E. Großen Raths dermahligen beÿsitzern hinten auf die heiligen Lichtergaß stoßend einseith neben Joh: Adam Zachmann dem Büchsenmacher, anderseith neben N. Beck dem Schneider uxorio nomine et Consorten stoßend, so gegen männiglich freÿ leedig eigen, und ist diese behaußung beÿ weÿl. Frauen Salome Eckelin geb. Waldeckin des verstorbenen seel. Ehefraun auch seel: Verlaßenschafft Inventation, Lauth des darüber durch mich unterschriebenen Not. A° 1746. errichteten Inventarÿ fol° 141.-v durch damahlige HH. Statt lohner auch Bau und Werckmeistere angeschlagen worden dabeÿ man Es auch auf approbation derer wohlverordneten Hh Dreÿer Löbl. Statt Stalls weilen seithero Keine Haubt reparationen darinnen Vorgenommen worden gelaßen pro 4000 fl. oder 2000. lb. Hierüber ist dißorths vorhanden 1. teutsch. pergament. in allh. C. C. Stub gefertigter und mit dero anhang. Insieg. verwahrter Kauffbrieff de dato 15.ten Octobris 1716.
Series rubricarum hujus Inventarÿ. Copia Testamenti
Hierauff folgt nun die Inventation und beschreibung Eingangs gedachter Verlaßenschafft Vor und ane sich selbsten. Sa. haußraths 65, Sa. Wein und lährer faß 190, Sa. Werckzeugs und wahren Zum Spiegel und Glaßhandel gehörig 278, Sa. Silbers geschirr und Geschmeids 133, Sa. Goldener Ring 20, Sa. baarschafft 209, Sa. Pfenningzinß und deren hauptgüther 124, Sa. Eigenthums ane einer behaußung 2000, Sa. Gülth von liegenden güthern 7, Sa. Schulden 1316, Summa summarum 4346 lb – Schulden 700, Compensando, Stall summ 3645 lb
Zweiffelhaffte und verlohrene Pfenningzinß hauptgüter 195, Zweiffelhaffte Schulden 845, Schuldenin die Nahrung zugelten 192 lb
Marie Dorothée Eckel, femme du marchand Jean Daniel Pfæhler, rachète les parts de ses frères et sœurs et devient seule propriétaire de la maison.
1756 (12.10.), Not. Langheinrich (J. Daniel, 6 E 41, 711) Joint au n° 221 du 15 sept. 1756
(Inventarium über Weÿland herrn Sebastian Eckels, geweßenen Glaßhändlers und Es En Kleinen Raths alten Wohlverordneten beÿsitzers auch burgers allhier Zu Straßburg nunmehro seeligen Verlassenschafft)
Die in gegenwärtige Verlaßenschafft gehörige allhier Zu Straßburg ane dem alten Kornmarkt gegen der großen Gewerbslaub über einseith. neben dem so genandten Ganthhauß anderseith neben Hn Rathh. Joseph Groß dem Sattler gelegene, hinten auf die Heÿligen Lichtengaß einseith neben Joh: Adam Zachmann dem Büchsenmacher, anderseith neben Meister Beck dem Schneider uxorio nomine stoßende Vordern Mittel und Hinder behaußung mit allen übrigen dero Rechten und Gerechtigkeiten ist Zufolg des seelig verstorbenen H Eckels errichteten Testamenti §° 2.do
Frauen Mariæ Dorotheæ Pfählerin geb. Eckelin H Johann Daniel Pfählers Handelsmanns und Burgers allhier Frauen Eheliebstin der Jüngsten Frau Tochter vor freÿ leedig und eigen um den von dem Verstorbenen seel. gesetzten Anschlag der 9000 gulden (…)
Alßo Verglichen, acceptirt, überlaßen und unterschrieben Straßburg den 12.ten Octobris Anno 1756.
Fils du marchand Jean Léonard Pfæhler, Jean Daniel Pfæhler épouse Marie Dorothée Eckel en 1743 : contrat de mariage, célébration
1743 (26.7.), Not. Lobstein (Jean, 31 Not 79) n° 463
Eheberedung – zwischen dem Ehren Vest und Wohlvorgeachten Herrn Johann Daniel Pfähler dem ledigen Handelsmann des Wohl Ehren Vest und Großachtbahren Herrn Johann Leonhard Pfählers vornehmen handelsmanns und burgers allhier Zu Straßburg ehelich erziehltem H Sohn als dem H. bräutigamb ane einem
So dann der Viel Ehren und hoch tugendbegabten Jungfrauen Maria Dorothea Eckelin des Wohl Ehren Vest und Hochachtbahren Herrn Johann Sebastian Eckels Vornehmen Glaßhändlers und Burgers allhier Zu Straßburg ehelich erzeugter Jungfer Tochter als der Jungfrauen Hochzeiterin ane dem andern Theil
So beschehen und Verhandelt in Löbl. Statt Straßburg auf Freÿtag den 26. Monatstag Julÿ im Jahr als man nach Christi geburth Zahlte 1743.
Mariage, Saint-Pierre-le-Jeune (luth. f° 170 n° XXI)
1743. Sonnt. X et XI proclamati sunt H Johann Daniel Pfähler lediger handelsman u. b. h. l. Hn Johann Leonhard Pfähler Specierers u. Burgers alhier u. wohlverdient. Kirchen Pflegers Zum Jung. S Peter ehl. Sohn u. Jgfr. Maria Dorothea, H Johann Sebastian Eckel, Glaßhändlers u. burger h. l. ehel. Tochter. Copulati Mittw. d 28. Aug. (unterzeichnet) Johann Daniel Pfähler als hochzeiter, Maria Dorothea Eckerlin als hochzeiterin (174)
Les nouveaux mariés font dresser l’inventaire de leurs apports dans la maison qui appartient aux parents du mari. Les apports de la femme s’élèvent à 887 livres. L’actif du mari est de 1 787 livres, le passif de 2 023 livres.
1743 (28.11.), Not. Lobstein (Jean, 31 Not 58) n° 1324
Inventarium und Beschreibung aller derjenigen Haab, Nahrung und Güethere, so der Ehren Vest und wohlvorgeachte herr Johann Daniel Pfähler der jüngere Handelsmann und die Viel Ehren und tugendreiche frau Maria Dorothea Pfählerin gebohrene Eckelin, beede Eheleuth und burgere allhier Zu Straßburg einander vor ohnverändert in den Ehestand Zugebracht, welche der Ursachen alldieweilen in Ihr beeder Eheleuthe mit einander auffgerichteten Heuraths Verschreibung expresse enthalten, daß eines jeeden in die Ehe bringende Nahrung resevirt und ohnverändert seÿn und bleiben solle (…) So beschehen in Straßburg auf Donnerstag den 28.ten Novembris A° 1643.
In einer allhier Zu Straßburg ane der Vorstatt Steinstraß gelegenen des Eheh. geliebten Eltern eigenthümlich zuständigen Behaußung befunden worden wie folgt
Abzug in gegenwärtig Zugebracht Nahrungs Inventarium gehörig. Des Herrn in die Ehe gebracht Vermögen, Sa. haußraths 191, Sa. gewerbswahren 1181, Sa. Silbers 24, Sa. goldener Ring 12, Sa. baarschafft 122, Sa. Schulden 254, Summa summarum 1787 lb – Schulden 2023, In Vergleichung 236 lb – Haussteuren 89 lb
Der Frauen in die Ehe gebracht Guth, Sa. haußraths 243, Sa. Silbers 30, Sa. goldener Ring, Ketten und dergleichen Geschmeids 59, Sa. baarschafft 464, Summa summarum 798 lb – Haussteuren 89, der Frauen Völlig in die Ehe gebracht huth in vero pretio 887 lb
Jean Daniel Pfæhler meurt en 1759 en délaissant ses cinq frères et sœurs pour héritiers. Les experts estiment la maison à 2 000 livres. L’actif de la veuve s’élève à 3 726 livres, le passif à 3 939 livres. L’actif des héritiers et de la communauté s’élève à 1 346 livres, le passif à 2 229 livres
1759 (2.10.), Not. Langheinrich (J. Daniel, 6 E 41, 715) n° 319
Inventarium über Weÿland des Ehrenvest und Vorachtbahren Herrn Joh: Daniel Pfählers junioris geweßenen Handelsmanns und burgers allhier Zu Straßburg nunmehr seel. Verlaßenschafft auffgerichtet Anno 1759. – als derselbe Sontags den 16.ten Septembris A° 1759. dießes Zeitliche mit dem Ewigen verwechßelt, nach solch seinem aus dießer Welth genommenen tödlichem hintritt hie Zeitlichen verlaßen, Welche Verlaßenschafft auf freundliches ansuchen erfordern und begehren des seelig Verstorbenen eheleiblicher H. Brüder und Frauen Schwester als deßelben ab intestato Verlaßener Herren und Frauen Erben, aller gleich nach dem Eingang dieses Inventarÿ insonderheit benahmbßet ersucht und Inventirt durch die Viel Ehren und tugendreiche Frau Mariam Dorotheam Pfählerin gebohrene Eckelin die hinterbliebene frau Wittib, beÿständlich S. T. Herrn Joh: Georg Alberts J. B. Lti und Notarÿ publ. jur: und berühmbten Practici auch Vornehmeen Burgers allhier Zu Straßburg (…) so beschehen in Straßburg auf dienstag den 2.ten Octobris et seq. A° 1759.
Der Verstorbene Herr Pfähler seelig hat ab intestato Zu Erben Verlaßen wie folgt. 1. S. T. Frau Dorotheam Salome Ößingerin gebohrene Pfählerin, S. ST. Herrn Philipp Friderich Ößingers Es En Großen Raths alten wohlverdienten beÿsitzers auch jetzigen wohlmeritirt Beÿsitzers dreÿers des allhießigen umbgeldts vnd vornehmen burgers allhier Zu Straßburg Frau Eheliebstin In den Ersten fünfften Stamtheil.
2. S.T. frau Susannam Margaretham Röcklingerin gebohrene Pfählerin, S. T. Herrn M. Johann Joachim Röcklingers treueÿfferigen Pfarrers und Seelsorgers der Evangelischen Gemeinde Zu St. Nicolai und Vornehmen burgers allhier Frau Eheliebstin in den Zweÿten fünfften Stamtheil
3. S. T. Herrn Joh: Gottfried Pfähler, hocherfahrnen Medicinæ Doctorem und berühmten Practicum auch Vornehmen Burgern allhier in den dritten fünfften Stamtheil
4. S. T. Herrn Joh: Jacob Pfähler, Handelsmann und Burgern allhier zu Straßburg in den vierten fünfften Stamtheil. So dann
5. Herrn Joh: Philipp Pfähler, Kieffer und Weinhändler auch Burger allhier in den letzten und fünfften Stamtheil. Alßo alle 5. des seel, Verstorbenen Hn Pfählers seeligen eheleibliche Herren Brüdere und Frau Schwester als zu 5. gleichlingen portionen und Stammtheilern Verlaßene Erben, anbeÿ ist im Nahmen obehrengedachter frau Rathh. Ößingerin und H Docroris Pfählers beÿ dießer Inventur erschienen S. T. Herr Jacob Reinbold Stroehlin, Wohlverordneter Inspector des Allhießigen Umbgeldts und vornehmen Burgers allhiern als deroselben erbettenen Hn Assistenten, ferner erschienen den 3.ten 8.bris 1759. S. T. Herr Joh: Friderich Roederer JV. Ltus als Bevollmächtigten Herrn Johann Jacob Pfählers des handelsmanns und einen Erben
In einer allhier Zu Straßburg ane dem alten Kornmarkt neben dem Ganthhauß gelegener und in dieße Verlaßenschafft gehörigen behaußung befunden worden wie folgt.
Ergäntzung der hinterbliebenen frau Wittib wehrender Ehe abgegangenen unveränderten Guths. Zufolg Inventarÿ über beeder nunmehr durch den Zeitlichen todt getrennter Eheleuthe einander für unverändert in den Ehestand Zugehörige Nahrungen A° 1743. durch weÿl. H Joh: Lobstein Notm publ. et Pract. nun sel. auffgerichtet
Eigenthumb ane einer Behaußung (W.) Nemblichen eine Behaußung hoff hoffstatt und hinterhauß mit allen deren Gebäuen Begriffen weithen, Rechten, Zugehörden und Gerechtigkeiten gelegen allhier Zu Straßburg ane dem alten Kornmarckt geg. der Groß Gewerbs laub über, 1.s . neben dem so genandten Ganthhauß, anderseit neben Hn Joseph Groß dem Sattler und Es En großen Raths altem beÿsitzer, hinten auf die heÿligen Lichtengaß einseith neben Joh: Adam Zachmann dem Büchßenmacher anderseit neben N Beck dem Schreiner uxorio nomine et Consorten stoßend, so außer hiernach eingetragenen passiv Capitalien freÿ leedig eigen und ist solche behaußung durch (die Werckmeistere) laut Abschatzungs Zeduls vom 6. Octobris angeschlagen pro 2000 lb. Über dieße Behaußung sagt i. teutscher pergamentener in allh. S. S. Stub gefertigter und mit dero anh. Insiegel verwahrter Kauffbrieff d. d. 15.ten 8.bris 1716.
Series rubricarum hujus Inventarÿ Copia der Heurats Verschreibung
Der Fraw Wittib unveränderte Nahrung, Sa. haußraths 45, Sa. Lährer faß 30, Sa. Silbers 22, Sa. Guldener Ring und dergleichen Geschmeids 28, Sa. Eigenthums ane einer behaußung 2000, Sa. Pfenningzinß hauptguths 11, Sa. Wahren Zum Spiegelhandel gehörig 156, Sa. Schulden 175, Erg. Rest 1263, Summa summarum 3726 lb – Schulden 3939 lb, In Vergleichung 203 lb
Dießemnach wird nun auch der Erben unverändert und theilbar Vermögen unter einem titul beschrieben, Sa. haußraths 97, Sa. wahren Zum Eißenhandel gehörig 892, Sa. Silbers 30, Sa. Guldener Ring 2, Sa. baarschafft 72, Sa. Schulden 251, Summa summarum 1346 lb – Schulden 2229, Compensando 882 lb
Zweiffelhaffte und Verlohrene Schulden in d. Beneficial Erben unverändert und theilbahren Nahrung Zubezahlend 441 lb
Copia der Eheberedung (…) Straßburg auf Freÿtag den 26. Monats tag Julÿ 1743., Johannes Lobstein Notarius publicus juratus
Marie Dorothée Eckel se remarie avec l’enseignant Jean Michel Ott : contrat de mariage, célébration.
1766 (27.11), Not. Haering (6 E 41, 1377) n° 453
Eheberedung Zwischen dem Wohl Ehrwürdig und wohlgelehrten M. Johann Michael Ott, Lehrer des obern Gymnasÿ alhier und Wittiber als Bräutigam an einem
So dann der Ehren und Tugendbegabten Fraun Mariä Dorotheä geb. Eckelin, weiland herrn Johann Daniel Pfehlers, gewesenen Eißenhändlers und hiesigen burgers hinterbliebener Wittib am andern theil
So beschehen Straßburg Donnerstags den 27. Novembris Ano 1766 (unterzeichnet) M Johann Michael Ott, als Bräutigam, Maria Dorothea Pfählerin als braut
Mariage, Temple-Neuf (luth. f° 53, n° 77)
Im Jahr Christi 1766. Mittwoch den dritten Decembris wurden (…) copulirt und ehelich eingesegnet, H. Magister Johann Michael Ott, Lehrer in dem obern Gymnasio, wie auch Wittwer und burger allhier, welcher in der ersten Ehe lebte mit weÿl. Frau Maria Elisabetha gb. Eberlinin und Frau Maria Dorothea gb. Eckelin, weÿl. Hn Johann Daniel Pfählers gewesenen Eisenhändlers und burgers allhie nachgelaßene Wittib (unterzeichnet) M. Joh. Michael Ott, bräutigam, Maria Dorothea pfählerin als hochzeiterin (i 58)
Fils du maréchal ferrant Jean Michel Ott, l’enseignant et prédicateur Jean Michel Ott épouse en 1748 Marie Elisabeth Eberlin, fille du diacre Jean Michel Eberlin : contrat de mariage, célébration
1748 (27.8.), Not. Stoeber l’aîné (6 E 41, 1224) n° 322
Eheberedung – zwischen dem Wohl Ehrwürdig und Wohlgelehrten Herrn M: Johann Michael Ott, des allhießigen löbl. Gymnasÿ treueifferigem lehrer und Wohlmeritirten frantzösischen Predigers allhier, weÿl. H Johann Michael Ott, geweßenen Hueffschmidts in der Ruprechtsau und burgers dahier mit auch Weÿland Frauen Maria Cleophe gebohrener Roßmeÿßelin, nun beeder seel. ehelich erzieltem Herrn Sohn, als dem Hn Bräutigamb ane einem,
So dann die Viel Ehren: und tugendgezierten Jungfr. Mariä Elisabethä Eberlinin, des Wohl Ehrwürdig und Wohlgelehrten Herrn Johann Michael Eberlin, p. t. treueifferigen Diaconi de allhießigen Evangelischen Lutherischer Gemeinde St Auraliæ in Zweÿter Ehe mit weÿl. der Viel Ehren und tugendbegabter Frauen Maria Elisabetha gebohrener Sattlerin seel. erzeugter Jgfr. tochter, als der Jgfr.braut ane dem andern theil
So beschehen Straßburg Dienstags d. 27. aug. A° 1748.
Mariage, Sainte-Aurélie (luth. f° 192-v n° 12)
Mittw. den 11. 7.bris 1748. sind nach Zweÿmahliger proclamation ehelich copulirt v. eingesegnet worden der Ehrwürdige v. Wolgelerte Herr M. Johann Michael Ott Lehrer des alhießigen Löblichen Gymnasÿ v. frantzösischer Prediger allhie, Weÿl. H Johann Michael Ott, Huffschmidts in der Ruprechts: Au v. Burgers allhie nachgelaßener ehel. Herr Sohn v. Jgfr. Maria Elißabetha, deß Wohl Ehrwürdigen Wohl Gelehrten Herrn M Johann Michael Eberlin Treu Eiffrigen v. Fleissigen Diacony dieser Kirch Zu St: Aurelien Eheleibliche Jgfr. Tochter (unterzeichnet) M. Joh. Michaël Ott, als Hochzeiter, Maria Elisabeth Eberlinin als hochzeiterin (i 198)
Les nouveaux mariés font dresser l’inventaire de leurs apports dans une maison dite cour de Colmar rue Sainte-Barbe. Les apports du mari s’élèvent à 807 livres, ceux de la femme à 1 403 livres.
1748 (15.10.), Not. Stoeber l’aîné (6 E 41, 1147) n° 585
Inventarium über des wohl Ehrwürdigen und wohlgelehrten Herrn M: Johann Michael Ott, des allhießigen Löbl. Gymnasÿ treueifferigen Lehrers und Wohlmeritirten frantzösischen Predigers allhier und der Viel Ehren: und tugendgezierten Frauen Mariä Elisabethä Ottin gebohrener Eberlinin beeder Eheleuthe und burgere allhier Zu Straßburg einander vor ohnverändert in den Ehestand Zugebrachte Nahrungen auffgerichtet Anno 1748. – sich deren jedes Vermög Ihrer mit einander auffgerichteten Eheberedung §° 4.to vor ohnverändert reservirt und vorbehalten hat (…) Straßburg Dienstags den 15.ten Octobr: Ano 1748.
In einer allhier Zu Straßburg ane der Barbarä Gaß gelegenen Zum Colmarer Hoff genannten und theils lehnungs weiße bewohnenden behaußung, befunden worden, wie folgt
Der Ehefrauen mütterl. Guth und dasjenige so Ihro nach der Fr. Mutter seel. todt anderwärtig Erblich Zugekommen betr.
Abzug Gegenwärtigen Inventarium gehörig. Des Eheherrn eigenthümbl. Vermögen, Sa. haußraths 77, Sa. Bibliothecæ 287, Sa. Silber geschmeids 20, Sa. baarschafft 70, Sa. Activ Schulden 191, Summa summarum 652. – Dazu gelegt deßen helffte ane denen haussteuren anlangende 155, Des Ehehn. eigenthümlich Vermögen 807 lb
Dießemnach wird auch der Ehefrauen in den Ehestandt gebrachtes Guth beschrieben, Sa. haußraths136, Sa. Silber geschirr und Geschmeids 25, Sa. Goldener Ring und Geschmeids 138, Sa. der baarschafft 228, Sa. Pfenningzinß hauptgüter und deren Hauptgüther 720, Summa summarum 1248 lb, Und wann die übrige helffte derer hernach beschriebenen haussteuren hierzu gerechnet wird mit 155 lb, So langet der Ehefrauen (Guth) dem heutigen anschlag nach an 1403. lb
Marie Dorothée Eckel fait dresser l’inventaire de ses apports parmi lesquels la maison au Vieux-Marché-aux-Grains. L’actif s’élève à 5 709 livres, le passif à 2 506 livres.
1768 (7.5.), Not. Haering (6 E 41, 1369) n° 353
Inventarium über der Ehren und Tugendbelobten Fraun Mariä Dorotheä geb. Eckelin des Wohl Ehrwürdig und Wohlgelehrten herrn M. Johann Michael Ott Lehrers des obern Gymnasÿ alhier und hießig. burgers Fr. Eheliebsten, demselben in den Ehestand Zugebrachte Nahrungen, auffgerichtet Anno 1768. (…) in Ihren den 3. Xbris anno 1766. angetrettenen Ehestand zugebracht und sich in deren den 27. 9.bris 1766. vor mir Not° miteinander gepflogenen Eheberedung dritten Puncten, vor freÿ und eigen vorbehalten hat. – So beschehen Strasbourg Sambstags den 7. Maÿ 1768.
In einer allhier Zu Straßburg ane der Schlauchgaß gelegenen dem Eheherrn Zuständigen behaußung befunden worden, wie folgt
Erster Stock des Vorderhaußes Im haußöhren, In der frantzösischen Camin Cammer, Wohnstube, In obern stübel, In der Camin Cammer
Eigenthum an einer behaußung. Eine behaußung hoff hoffstatt mit allen deren Gebäuden, begriffen, Weithen, Rechten, Zugehörden und Gerechtigkeiten geleg. allhier Zu Straßburg ane der alten Korn Marckt gegen der großen Gewerbs Laub über einseit neben dem sogenannten Ganthauß, Nunmehr unserer Herren der Stadt Stall, anderseit neben herr Joseph Groß dem Sattler und E. E. Großen Rath alten beÿsitzern, hinten auf die heil. Lichten Gaß, einseith neben Johann Adam Zachmann des büchßenmachers Wb. andern seith N. beck dem Schreiner uxorio Noê et consorten stoßend, so wuser hernach eingetragenen passiv Capitalien freÿ leedig eigen, welche Sie aus Elterlicher Verl.t angenommen hat pro 4500 lb. Laut Cession die H. Not° Joh. Daniel Langheinrich den 12. 8.bris 1756 passirt.
Ordnung gegenwärtigen Inventarÿ. Folgt nun hierauf die beschreibung der Fr. in die Ehe gebrachten Guths, Sa. hausraths 224 lb, Sa. leerer faß 62 lb, Sa. Spiegel 430 lb, Sa. Silbers 103 lb, Sa. goldener Ring 104 lb, Sa. baarschafft 285 lb, Sa. Eigenthum an einer behaußung 4500 lb, Summa summarum 5709 lb – Schulden 2506 lb, Nach deren Abzug 3203 lb
Jean Michel Ott meurt en 1776 en délaissant trois enfants de son premier mariage. L’inventaire est dressé dans sa maison rue de l’Outre. L’actif de la succession s’élève à 12 165 livres, le passif à 10 983 livres.
1776 (15.2.), Not. Dinckel (J. Raoul, 6 E 41, 420) n° 1336
Inventarium über Weÿland des Wohl Ehrwürdig, Hochachtbahr und wohlgelehrten herrn Mag. Johann Michael Ott, geweßenen treueifferigen und wohlverdienten Præceptoris superioris Gymnasii und burgers allhier zu Straßburg nunmehr seeligen Verlaßenschafft aufgerichtet Anno 1776 – nach deme derselbe Sontags den 28. Januarÿ dießes lauffenden 1776. Jahrs durch einen seeligen tod von dießer Welt abgefordert worden, nach solch seinem seeligen Absterben Zeitlichen hinter sich verlaßen, welche Verlaßenschafft auf freundliches Ansuchen Erfordern und Begehren der Wohl Edlen und Viel tugendbegabten Frauen Mariæ Dorotheæ Ottin gebohrner Eckelin der hinterbliebenen Frau Wittib, mit assistentz des Ehrenvest und Kunsterfahrnen herrn Johann Daniel Lobstein, berühmbten Chirurgi und burgers allhier, Ihres erbettenen Herrn beÿstands wie auch des Ehrenvest und Wohl vorachtbahrn herrn Johann Michael Greiner des Kieffers Weinhändlers und Burgers allhier als geordnet und geschworenen Vogts herrn Johann Michael, J.V. Lt., herrn Joseph, ledigen Goldarbeiters und herrn Jonathan Primæ Classis studiosi der Otten des in Gott seelig entschlaffenen herrn Magisters mit auch Weÿland der Wohl Edlen und biel tugendbegabten Fraien Maria Elisabetha gebohrner Eberlinin seiner geweßenen erstern Ehegattin langst seeligen ehelich erziehlter dreÿen herren Söhn und ab intestato Zu dreÿen gleichen Portionen und Stammtheilern verlaßener rechtmäsiger Erben ersucht (…) So beschehen in Straßburg auf Donnerstag den 15. Februarÿ Anno 1776.
In einer allhier Zu Straßburg ane der Schlauchgaß gelegenen in dieße verlaßenschafft gehörigen und hieunder eingetragenen behaußung befunden worden als volgt
Eigenthumb ane Matten, in Grießbacher bann gelegen
Eigenthumb ane einer Behaußung. Nemlichen eine Behaußung ane der Schlauchgaß (…)
Der Frau Wittib ohnverändert Vermögen betreffend.
Wÿdemb, Welchen der in Gott seelig entschlaffene Herr Magister von auch weÿland Frauen Maria Elisabetha Ottin gebohrener Eberlinin seiner gewesenen Erstern Frauen Eheliebstin seeligen biß an sein tödliches hienscheiden genoßen hat.
Series Rubricarum hujus Inventarÿ. Copia der Eheberedung
Der Frau Wittib ohnverändert Vermögen betreffend
Dießemnach wird auch die übrige Verlaßenschafft so denen Erben allein gehörig, beschrieben, Sa. haußraths 349, Sa. Bibliothec 9, Sa. Frucht und Meels 12, Sa. Wein und Lährer Faß 191, Sa. Silber geschirr und Geschmeids 74, Sa. Goldener Ring und Geschmeids 27, Sa. der baarschafft 59, Sa. Pfenningzinß hauptgüter 5550, Sa. Eigenthums ane einer Behaußung 1500, Sa. Gülthen von liegenden güthern 98, Sa. Eigenthumb ane Matten 922, Sa. Activ-Schulden 3200, Sa. Capital Zinßen 170, Summa summarum 12.165 lb – Schulden 10.983 lb, Detrahendo verbleibt 1181 lb (…) Der Frau Wittib gantze Substanz 1144 lb
Conclusio finalis Inventarÿ 11.298 lb – Stall Summa 9903 lb
Catalogus Librorum miscelaneorum quibus in vita usus est Dn. Joh. Mich. Ott superioris gymnasii præceptor argentorati in ædibus pie defuncti viduæ A. D. XIV. Martii 1776. Hora secunda post-meridiem publice devendendorum
Copia der Eheberedung, Johann Richard Häring (AUGSPURG ° BEY SIMON HAEICHELE C ° P ° S ° M ° N 37 S °)
Les préposés de la Taille font figurer la succession dans leur registre parce que les impôts acquittés étaient calculés d’après une fortune sous-évaluée de 2 900 florins (1 450 livres) sur un total de 19 800 florins
1776, Livres de la Taille (VII 1180) f° 203-v
Mittwoch den 31. Julÿ (Freÿburger N° 3847) Weÿl. H. M. Johann Michael Ott geweß. Præceptoris superioris Gymnasÿ und burgers allhier Verlaßenschafft jnvent. H. Not. Dinckel Sen.
Concl. final jnvent. Ist fol. 145., 11.298 lb 15 ß 7 ¾ d davon gehet aber ab wegen den a 4 pro Cento angelegten Capitalien und übrigen so der bisherigen Verstallung nicht unterworffen geweßen 1394. lb 17 ß 3 s Verbleibt 9903 lb 18 ß 4 ¾. die machen 19.800. fl. verstallte 16.900 fl. zuwenig 2900. fl.
Wovon Nachtrag 6 Jahr in duplo a 8 lb 14 ß – 52 lb 4 ß
und 4 Jahr in simplo 17 lb 8 ß
Ext. Stallgeltt 1776 – 26 lb 14 ß
Gb. 2 ß 6 d
Abhandlung 17 lb 7 ß (zusammen) 113 lb 16 ß
Auff trifftigen ursachen dem nachtrag auff die helffte moderirt, restirt 79 lb
dt. 8. Julÿ 1776.
Marie Dorothée Eckel loue une cave au tourneur Othon Erdmann
1780 (11.2.), Chambre des Contrats, vol. 654 f° 61
Fr. Maria Dorothea Ottin geb. Ecklerin weÿl. M. Johann Michael Ott des lehrers in allhiesigem gymnasio wittib beÿ H. Johann Siegfried, Statt pflästerers
in gegensein H. Otto Erdmann des kunstdrehers
lehnungs weiß, den unter dem ihre Fr. verlehnerin eigenthümlich zuständig ane dem alten Kornmarckt gelegenen behausung befindlichen großen keller der gantzen länge nach, einseit neben der gemeinen Statt Stall, anderseit neben H. Groß dem sattler – auff 10 jahren auff innstehenden Annunciationis Mariæ, um einen jährlichen Zinß nemlich 24 gulden
Marie Dorothée Eckel loue un logement à l’orfèvre Christophe David Abel
1781 (10.3.), Chambre des Contrats, vol. 655 f° 120-v
Fr. Maria Dorothea Ottin geb. Ecklerin weÿl. H. M. Johann Michael Ott des lehrers des obern gymnasÿ wittib beÿständlich H. Johann Jacob Kolb des weißbecken
hatt in gegensein H. Christoph David Abel des silberarbeiters
lehnungs weiß, in der ihro Fr. verlehnerin eigenthümlich zuständig neben dem gemeinen statt stall ane dem alten kornmarckt gelegenen behausung eine vollständige wohnung bestehend auff dem boden in einer stub, stub kammer und laden nebst einer kleinen stub kammer einer eß im hoff mehr daselbst eine große kammer samt einem kämmerlein in dem hintern hoff, ein holtzhaus, weiters ein kleines kämmerlein unter der steeg einen unterschlagenen keller samt der bühn im fünfften stock – auff 9 nacheinander folgenden jahren auff Michaelis tag anzufangen – um einen jährlichen Zinß nemlich 250 gulden
Marie Dorothée Eckel loue un logement au marchand Jean Antoine Lesina
1786 (20.5.), Chambre des Contrats, vol. 660 f° 203
Fr. Maria Dorothea verwittibte Ottin geb. Ecklerin beÿständlich H. Johann Siegfried des pflästerers
in gegensein Johann Antoni Lesin des handelsmanns (unterzeichnet) Lesina
in der ihro zuständige ane dem alten Kornmarckt neben dem Herren Stall gelegenen behausung eine vollständige wohnung bestehend auff dem boden einen laden, stub und stub kammer nebst küch, dreÿ cammern und eine kleine stub samt holtzhauß, ferner im ersten stock (in) den hoff abermahlen eine stub wie auch einen unterschlagenen keller – auff 6 nacheinander folgenden jahren auff verwichenen Mariæ verkündigungs tag anfangend, um einen jährlichen Zinß nemlich 400 livres
Compte que rend le marchand de vins Jean Michel Greiner de la gestion des biens qui appartiennent à son pupille Jonathan Ott, installé à Saint-Petersbourg en 1790.
1790, Not. Greis (Jean Frédéric 6 E 41, 899)
Rechnung Mein Johann Michael Greiner, Kieffers und Weinhändlers auch burgers allhier Zu Straßburg, inhaltend alles dasjenige, was Ich Vögtlicher weiße vor und in Nahmen Weÿl. H. M. Johann Michael Ott geweßenen Lehrers des Obern Gymnasii auch burgers allhier seel. hinterlaßener jüngsten Sohns Nahmens H. Jonathan Ott, maßen die zween ältiste Söhne mich der Vogtei entlaßen, seit Annunciationis Mariæ 1780 biß den 26. 9.bris 1782 Vor dießen meinen Curandum eingenommen und hingegen wider ausgegeben habe.
Rechnung Mein Joseph Ott Juwelierers und Goldarbeiters auch burgers allhier Zu Straßburg als geordnet und geschwornen Vogts Weÿl. H. M. Johann Michael Ott geweßenen Lehrers des Obern Gymnasii auch burgers allhier hinterlasenen Jüngsten Sohns Namens Jonathan Ott meines bruders, Handelsmanns in Petersburg, besagend über alles dasjenige was ich in solcher Qualitæt für besagt meinen bruder seit dem 26. Nov. 1782 bis Michaelis 1790. eingenommen und ausgegeben auch sonsten in verschiedene Weege verhandelt habe – Vierte Rechnung dieser Vogteÿ von mein des vogts Verwaltung aber die Erste.
La veuve Ott loue une partie de la maison (sans doute une cave, voir plus loin un autre bail) à Frédéric Gundelwein
1798 (6 thermidor 6), ssp – Enregistrement, acp 62 f° 159-v du 5 fruct. 6
Bail de 9 ans – veuve Ott
Frédéric Gundelwein
une maison marché aux grains n° 19, moyennant un loyer annuel de 48 francs
Marie Dorothée Eckel meurt en 1807 en délaissant des héritiers collatéraux. Elle a légué la maison à Jean Michel Eckel.
1807 (11.8.), Strasbourg 4 (35), Not. Stoeber n° 438
Inventaire de la succession de Marie Dorothée Eckel veuve de Michel Ott, régent au gymnase, décédée le 5 août 1807 – à la requête de I. Les decendants de Marie Ursule née Eckel décédée veuve de Antoine Lobstein chirurgien à Strasbourg, sœur de la défunte, savoir Jean Georges Frédéric Chrétien Martin Lobstein chef des travaux anatomiques a l’ecole de médecine, Jean François Martin Théodore Lobstein licencié ès Loix Employé aux hospices civils tant en son nom et fondé de pouvoir de Jean Chrétien Geofroi Lobstein homme de lettres demeurant à Paris son frere, Charles Daniel Lobstein étudiant en droit, petits enfants de Marie Ursule Eckel, 2. Plus Jean Daniel Lobstein docteur en chirurigie tant en son nom qu’en qualité de curateur de Jean Jacques Lobstein ci devant chirurgien en ladite ville demeurant présentement a Wasselonne interdit judiciairement, Jean Geofroi Pfaehler marchand de vins son subrogé tuteur, enfants de ladite Marie Ursule Eckel née Lobstein
II. Plus à la requête de Marie Salomé Osterling veuve de feu Jean Jacques Kolb boulanger et de Susanne Dorothée Osterling veuve de Jean Siegfried paveur, cohéritières pour un 5° par représentation de Marie Barbe née Eckel épouse de Frédéric Osterling fourbisseur
III. Jean Jacques Ott fabricant de bas héritier pour un 5° par représentation de Marie Salomé née Eckel veuve de Jean Jacques Ott
IV. Marie Cléophé Eckel épouse de Gaspard Waegelin négociant et Sébastien Emanuel Eckel négociant par représentation de Sébastien Eckel miroitier leur père frère de la défunte
V. enfin Jean Daniel Eckel tourneur (barré Marie Dorothée Eckel veuve de) Jean Michel Eckel menuisier et Jean Jacques Eckel aussi menuisier les trois héritiers par représentation de Jean Eckel tourneur
dans la chambre du devant au second étage sur la gauche, dans la cuisine, dans la chambre du devant, dans la chambre du devant au second étage sur la droite, dans la cave au second étage, chambre a côté
Immeuble, Une maison sise en cette ville avec appartenances et dépendances rue du vieux marché aux grains derrière les petites boutiques n° 19, d’un côté la veuve Schlagdenhaufen, de l’autre la veuve Martin, derrière en partie veuve Tilier en partie le Sr Herter confiseur – occupée par le Sr Brad au rez de chaussée moyennant un loyer annuel de 288 fr, Sr Vogt blanchisseur pour une boutique 120 fr, la veuve Siegfried occupe le premier étage 192 fr, le Sr Immroth du troisième étage 96 fr, Jean Jacques Eckel de la maison de derrière 192 fr, second étage occupé par la défunte 148 fr, ensemble 1036 fr – léguée au Sr Jean Michel Eckel menuisier suivant testament olographe du 20 avril courant enregistré le 25 août déposé au rang des minutes du notaire soussigné
Papiers, acte passé à la Chambre des Contrats le 15 octobre 1716 concernant la maison ci dessus indiquée, Partage du père de la défunte par le notaire Langheinrich en 1746
(sans sommes)
Vente des meubles n° 453, 5 septembre, suivi de la liquidation n° 463
numéraire 613 fr, vente de meubles 2900 fr et autres 3693 fr, dépense, total de la masse 20 142 fr, passif 10 861 fr, reste 9280 fr
Enregistrement, acp 103 F° 92-v du 21.8.
Fils du tanneur Jean Eckel, le menuisier Jean Michel Eckel épouse en 1795 Chrétienne Spanner, originaire de Westhoffen : contrat de mariage, célébration
1795 (4 germinal 3), Strasbourg, Not. Saltzmann, (rép. 6 E 41 449-5) n° 381
Contrat de mariage – Jean Michel Eckel menuisier
Christine Spanner
Enregistrement, acp 32 F° 12-v du 4 ger. 3 – revenu industriel 150 livres
Mariage, Strasbourg (n° 390)
Cejourd’hui 14° Germinal l’an III de la République française une et indivisible (…) sont comparus pour contracter mariage d’une part Jean Michel Eckel, agé de 32 ans, menuisier né et domicilié en cette commune, fils de feu Jean Eckel, tanneur, et de Salomée Alberti, de l’autre part Christine Spanner agée de 31 ans, servante, domiciliée en cette commune depuis huit ans native de Westhoffen, Département du Bas Rhin, fille de feu Jean Georges Spanner, vigneron audit lieu et de feue Christine müller (…) 1° l’acte de naissance du futur portant qu’il est né le 31 août 1762 (…) 2° l’acte de naissance de la future portant qu’elle est née le 15 janvier 1764 (signé) Jean Michel Eckel, Christina Spannerin (i 49)
Inventaire dressé après la mort du locataire Geoffroi Christophe Schütze
1808 (29.12.), Strasbourg 4 (37), Not. Stoeber n° 682
Inventaire de la succession de Geoffroi Christophe Schütze, mécanicien décédé le 15 du présent mois – dressé à la requête de Catherine Dorothée Weismantel la veuve, héritière universelle par contrat de mariage reçu Stoeber père notaire le 24 thermidor 9 enregistré le 1 fructidor. suivant – M° Dagobert Thurman, commis pour représenter les héritiers ab intestat absens
dans la maison rue du vieux marché aux grains n° 19
meubles au premier étage dans une chambre donnant sur le devant sur le balcon, marchandises
Titres et papiers, 2) Chambre des Contrats le 29 juillet 1774 par lequel Jean Thomas Froelich receveur de l’aumonerie de St Marc a cédé au nom de ladite aumonerie à Jean Christophe Holl une maison rue des chandelles, Chambre des Contrats 14 août 1773 Jean Jacques Kayser tonnelier et Marie Salomé Brod cédé au susdit Sr Holl d’une cour attenante a lad. maison, plus Chambre des Contrats 13 septembre 1779 par lequel Jean Georges Krausser tailleur a acquis des conjoints Holl la susdite maison
Maison, Une maison avec cour puits appartenances et dépendances sise à Strasbourg rue de la chandelle n° 2, d’un côté les héritiers Bartolomé Hannsmann cordonnier, de l’autre les héritiers de Jean Jacques Kaysser tonnelier les mêmes et Jacques Luss journalier – locataires Michel Brumter 72 fr, Sr Eckertsfeld 96 fr, total 168 fr de revenu en capital 3360 fr
Relevé. Meubles 492 fr, marchandises 333 fr, maison 3360 fr, total 4182 fr, passif 1825 fr, reste 2360 fr
Enregistrement, acp 109 F° 84 du 7.1.
Jean Michel Eckel loue une cave à Jacques Gundelwein
1808 (21.5.), Enregistrement de Strasbourg, ssp 25 n° 383
Bail sous seing privé du 2. courant pour 9 ans par Jean Michel Eckel de Strasbourg
au Sr Jacques Gundelwein
deux Caves dans la Maison vieux marché aux grains N° 15 pour 66 francs par an
Inventaire dressé après la mort de la locataire Susanne Dorothée Œsterling
1813 (1.5.), Strasbourg 8 (6), Not. Roessel n° 1211
Inventaire de la succession de Susanne Dorothée Siegfried née Oesterling – dressé à la requête de Susanne Dorothée Siegfried épouse de Jean Jacques Jundt farinier sa fille unique héritière
dans la maison vieux marché aux grains n° 19 appartenant au Sr Eckel menuisier
meubles 498 fr, garde robe 195 fr, argenterie 78 fr, créances 7000 fr, total 7771 fr
Enregistrement, acp 122 F° 73-v du 3.5.
Jean Michel Eckel vend la maison au farinier Jacques Arlen et à Marguerite Salomé Eckel (gendre et fille du vendeur)
1835 (8.5.), Hypothèque de Strasbourg, Transcription reg. 293, n° 59
Strasbourg, Me F. Grimmer du 14.4.
Jean Michel Eckel, ancien menuisier
Jacques Arlen, farinier, et Marguerite Salomé Eckel
Désignation, une maison avec cour, puits, bâtiment de devant et de derrière sise en cette ville de Strasbourg rue du Vieux Seigle n° 19 ayant une issue dans la rue des Chandelles, d’un côté Sr Oppermann, pharmacien, en partie Sr Diemer menuisier, de l’autre en partie Sr Otter en partie la D° Restlé née Holzschuh – sont compris tous les poeles murés et non murés, un chaudron à lessive – Etablissement de la propriété. La maison à a été léguée au vendeur par feu Marie Dorothée Eckel veuve de Michel Ott suivant testament olographe en date du 20 avril 1827 déposé au rang des minutes de M° Stoeber le 10 août 1807 à charge de verser dans la succession 16.000 francs – moyennant 25.000 francs
Enregistrement, acp f° 67 du 22.4.
Autre transcription du même acte
1836 (17.2.), Hypothèque de Strasbourg, Transcription reg. 303, n° 28 – M° F. Grimmer du 14.4.1835
Jean Michel Eckel, ancien menuisier
à Jacques Arlen, farinier, et Marguerite Salomé Eckel
Désignation, une maison avec cour, puits, bâtiment de devant et de derrière sise en cette ville de Strasbourg rue du Vieux Seigle n° 19 ayant une issue dans la rue des Chandelles, d’un côté Sr Oppermann, pharmacien, en partie Sr Diemer menuisier, de l’autre en partie Sr Otter en partie la D° Restlé née Holzschuh – sont compris tous les poeles murés et non murés, un chaudron à lessive – Etablissement de la propriété. La maison à a été léguée au vendeur par feu Marie Dorothée Eckel veuve de Michel Ott suivant testament olographe en date du 20 avril 1827 déposé au rang des minutes de M° Stoeber le 10 août 1807 à charge de verser dans la succession 16.000 francs – moyennant 25.000 francs
Enregistrement, acp 231 f° 67 du 22.4.
Originaire de Hœrdt, Jacques Arlen épouse Marguerite Salomé Eckel en 1823.
1823 (11.3.), Strasbourg, Me F. Grimmer (minutes en déficit)
Contrat de mariage – Jacques Arlen, boulanger à Hoerdt, fils de feu Martin Arlen, cultivateur, et de Marie Arlen
Marguerite Salomé Eckel, fille majeure de Jean Michel Eckel, menuisier, et de Chrisitine Spanner
Enregistrement , acp 162 F° 15-v du 14.3. communauté d’acquets partageable par moitié
Jacques Arlen et Marguerite Salomé Eckel constituent une rente au profit de Philippe Frédéric Artopeus et de Marie Anne Rohrer
1841 (9.6.), M° Noetinger
Constitution par Jacques Arlen, farinier à Strasbourg, et Marguerite Salomé Eckel, sa femme
au profit de Philippe Frédéric Artopeus, négociant à Strasbourg et de Marie Anne Rohrer sa femme
d’une rente annuelle et viagère de 400 francs payable par quart de trois mois 400, au capital par dix de 4000, moyennant 4000 francs. Cette rente sera servie intégralement au survivant des époux Artopeus jusqu’à son décès, époque à laquelle elle sera définitivement éteinte
acp 288 (3 Q 30 003) f° 27 du 14.6.
Le maire cède un terrain communal au propriétaire Arlen pour faire une devanture
1845 (14.5.), 267 MW 147 (Pièces présentées au Conseil municipal) n° 11
Cession de terrain par alignement à M. Arlen
Séance du 14 Mai 1845. Rapport du Maire au Conseil municipal
Messieurs, Le Sr Arlen, propriétaire en cette ville demande l’alignement à suivre pour l’établissement d’une devanture à la façade de sa maison sise rue du vieux marché aux grains N° 19.
J’ai l’honneur de vous soumettre le tracé de l’architecte de la vile d’après lequel le pétitionnaire dont la maison est en retraite de l’alignement, gagnera sur la voie publique une superficie de 5 mètres 50 centimètres carrés évalués à 20 francs le mètre. Le tracé étant conforme au plan général des alignements de la Ville, je vous propose Messieurs de l’admettre et de fixer suivant la base de l’estimation à cent dix francs l’indemnité à payer par le Sr Arlen à la caisse municipale & pour la cession de terrain qui lui sera faite.
Jacques Arlen meurt en 1853 en délaissant une fille
1853 (11.6.), M° Noetinger
Inventaire de la succession délaissée par Jacques Arlen, marchand farinier à Strasbourg, décédé le 2 janvier 1853 et de la communauté de biens qui a existé entre entre la défunt et Marguerite Salomé Eckel son épouse, dressé à la requête de la veuve agissant comme commune en biens en vertu de son contrat de mariage reçu Grimmer le 11 mars 1823. et comme usufruitière par le même acte 2° Salomé Caroline Arlen épouse de Jean Chrétien Bieler marchand farinier à Strasbourg fille du défunt
acp 420 (3 Q 30 135) f° 36-v du 17.6. (succession déclarée le 22 juin 1853 n° 1499) Communauté, meubles 874, argent comptant 640, créances 3248
Une Maison à Strasbourg rue du vieux seigle N° 19 estimée à 25.000 – Passif 27.245 francs
Reprises de la veuve comprises dans le passif 5600, reprises du défunt idem 5445 – garde robe 150
Marguerite Salomé Eckel meurt en 1857
1857 (12.9.), M° Noetinger
Inventaire de la succession délaissée par Marguerite Salomé Eckel veuve de Jacques Arlen, vivant farinier à Strasbourg où elle est décédé le 23 mars 1857, dressé à la requête de Salomé Caroline Arlen épouse de Jean Chrétien Bieler marchand farinier à Strasbourg fille de la défunte
acp 463 (3 Q 30 178) f° 15-v du 16. 7.br (succession déclarée le 16 septembre 1857) Il dépend de la dite succession Mobilier et garde robe estimés 645, Créances 982
Moitié d’une Maison à Strasbourg rue du vieux seigle N° 19 estimée à 12.500 – Masse passive 6000 francs – description des papiers
La maison devient propriété de Salomé Caroline Arlen qui a épousé en 1847 l’ouvrier meunier Jean Chrétien Bieler. Les parents de l’épouse louent au futur époux un logement dans leur maison.
1847 (8.4.), Strasbourg 9 (95), Not. Becker n° 3458
8 août 1847. Contrat de mariage – Ont comparu Mr Jean Chrétien Bieler, ouvrier meunier, fils majeur de M. Jean Chrétien Bieler, farinier et de ad. Marie Madeleine Eben, son épouse tous demeurant à Strasbourg, stipulant pour lui et en son nom à cause du mariage dont il va être question, d’une part, Mr et Mad° Bieler père et mère, sus nommés et qualifiés la femme dûment autorisée de son mari, stipulant tant pour assister M Bieler leur fils qu’à cause de la dot qu’il vont lui constituer ci après, aussi d’une part
Madlle Salomé Caroline Arlen, fille majeure de M. Jacques Arlen, farinier et de Mad ° Marguerite Salomé Eckel, son épouse, tous demeurant à Strasbourg, stipulant aussi pour elle et en son nom à cause dudit mariage, d’autre part, Et Mr et Mad° Arlen ci-dessus nommés et qualifiés avec indication de leur demeure, la femme aussi autorisée de son mari, stipulant tant pour assister Mlle Arlen leur fille qu’à cause de la dot qu’il vont lui constituer ci après, aussi d’autre part
acp 359 (3 Q 30 074) f° 89-v du 9.4. – Les père et mère du futur lui font donation d’une somme de 5000
Les apports de la future se composent de sa garde robe, de meubles et effets mobiliers pour 2058 francs. Ses auteurs lui font donation d’une somme de 2000 francs
Bail consenti par lesdits Sr et D° Arlen au profit du futur pour la durée de huit ans à partir du jour de la célébration de deux chambres & une cuisine au premier étage, d’un bucher dans le même bâtiment sis à Strasbourg rue du vieux marché aux grains moyennant un loyer annuel de 100 francs
Donation mutuelle par lesdits époux au survivant d’eux de l’usufruit de la succession du prémourant.
Jean Chrétien Bieler loue un magasin à Jean Schneider et Barbe Erbs
1865, Enregistrement de Strasbourg, ssp 142 (3 Q 31 641) f° 45-v du 17.8.
27 septembre 1863. Bail – Le Sr Jean Chrétien Bieler, propriétaire de la maison sise à Strasbourg rue du vieux marché aux grains n° 4 loue
au Sr Jean Schneider et Barbe Erbs son épouse à ce autorisée par sondit mari, domiciliés ensemble à Strasbourg, ce acceptant solidairement entre eux
un magasin dans la susdite maison donnant sur ladite rue avec arrière magasin, cuisine et petite chambre, le tout au rez de chaussée et six appartements situés au 1° étage de la maison de derrière, le bucher se trouvant le 2° à gauche dans le bâtiment dans la 1° cour, La chambre de linge sale la plus élevée au grenier et le compartiment de la cave le 2° remise à gauche dans la 2° cour et la remise en moitié avec Mr Weber sur la rue des chandelles. Les preneurs ne pourront changer la destination des localités louées en y introduisant une autre profession ni sous louer en tout ou en partie lesdites localités sans la permission par écrit du bailleur. Ce bail est fait pour neuf années qui ont commencé à courir le 29. 7.bre 1863. pour finir à pareille époque de l’année 1872 (…) Le bail est fait moyennant un loyer annuel de 1440 francs (…)
Jean Chrétien Bieler loue un magasin à Sophie Bloch, épouse séparée d’Elie Troller
1869 (1.9.), Enregistrement de Strasbourg, ssp 152 (3 Q 31 651) f° 55 du 6.9.
1° septembre 1869. Bail entre les soussignés Chrétien Bieler, propriétaire domicilié à Strasbourg, d’une part
et M° Sophie Bloch épouse séparée de corps et de biens du Sr Elie Troller négociant à Strasbourg, et autorisée suivant acte reçu Momy not. à Strasbourg le 16 août 1869 d’autre part, il a été convenu ce qui suit
M. Bieler déclare par les présentes donner à bail à Mme Troller ce acceptant les localités suivantes dans une maison sise à Strasbourg rue du vieux marché aux grains n° 4 savoir
A. Le magasin dans la maison de devant à côté de la propriété Oppermann avec arrière magasin, cuisine et petite chambre
B. Le premier bucher à gauche en entrant dans la première cour et y prenant jour
C. Dans le bâtiment latéral le second magasin en entrant dans la seconde cour à gauche et y prenant jour
D. Le quatrième compartiment à droite en entrant dans la cave
E. La chambre à linges sales au grenier supérieur de la maison de devant à gauche en montant
F. Dans le bail sont compris l’appareil à gaz avec accessoires et un poele en faience avec tuyaux
La location aura une durée de six années entières et consécutives qui commenceront le 25 mars 1870. Le locataire ne pourra sous louer les localités louées ni céder un droit au bail sans le consentement par écrit du propriétaire. Le présent bail est en outre accepté moyennant un loyer annuel de 1200 francs
Salomé Caroline Arlen meurt chez son fils pasteur à Hunawihr. Elle délaisse quatre enfants et ses petits-enfants issus de sa fille Emma Julie Bieler
1886 (29.4.), M° Allonas
Inventar des Nachlasses der zu Hunaweier am 19. August 1885 verlebten Salome Caroline Arlen, Ehefrau des hier wohnhaften Rentners Johann Christian Bieler. Erben sind I. die Kinder a) Gustav Carl Bieler, Pfarrer in Dieuze, b) Albert Eduard Bieler, Pfarrer in Hunaweier, c) Emilie Bertha, Wittwe von Friderich August Viktor Nessmann hier, d) Mathilde Oktavie Bieler, gewerblos hier, 2. die Enkel a) Julius Gustav Adolph, b) Bertha Johanna Mathilde, c) Frieda Elisabeth Alice, minderjährige Kinder der am 13. Januar 1886 in Schlettstatt verlebten Tochter Emma Julie Bieler, Ehefrau des Aichmeisters Johann Woelflin in Schlettstatt
Laut Ehevertrag Becker vom 8 April 1847 bestand Errungenschaft-Gemeinschaft & steht dem Wittwer die Hälfte des Nachlasses in Nutznießung Zu.
acp 777 (3 Q 30 492) f° 22 n° 480 du 5.5. (T Bd 71 Bl. 5 n° 72, Sterbefall vom 18/5 86, Bd 150 Nr 91) Gemeinschaft. Mobilien 545, Außstände bei Gustav Carl Bieler 1200, Albert Eduard Bieler 1200, Entschädigung des Nachlasses 24.000, Ersatzforderung desselben (3246)
Nachlass, Kleider 71
f° 53 du 18.5. (Fortsetzung vom 17.Mai) – Ersatzforderung des Wittwers 14.379, Rückständige Miethzinsen 400, Passiven 17.880
Nachlass Kleider 71, Rückbringen durch Frau Wölflin laut Ehevertrag Flach vom 6/4.1872, 1600, Rückbringen durch Frau Nessmann laut Ehevertrag Metz vom 10/4.1874, 1600,
Immöbel Ein Wohnhaus hier Alter Kornmarkt N° 4 und Heiligenliechtergasse N° 3 section N 879
La maison est exposée aux enchères puis en est retirée
1886 (8.10.), M° Allonas
Bedingnisheft enthaltend die Bedingungen unter welchen ein zum Nachlasse der am 19. August 1886 zu Hunaweier verlebten Salome Caroline Arlen, Ehefrau von Johann Christian Bieler, Rentner dahier gehöriges Haus alter Kornmarkt N° 4 in Straßburg versteigert werden soll
acp 781 (3 Q 30 496) f° 32-v n° 2171 du 11.10.
acp 781 (3 Q 30 496) f° 61 du 5.11. n° 2505 Allonas 2.11. Rücknahme
Lors du partage, la maison revient au veuf Jean Chrétien Bieler
1886 (6.12.), M° Allonas
Theilung des Nachlasses der zu Hunaweier am 19. August 1885 verlebten Salome Caroline Arlen, Ehefrau des Rentners Johann Christian Bieler. Erben sind I. die Kinder 1. Mathilde Oktavie Bieler, gewerblos hier, 2. Gustav Carl Bieler, Pfarrer in Dieuze, 3. Albert Eduard Bieler, Pfarrer in Hunaweier, 4. Emilie Bertha, Wittwe von Friderich August Nessmann hier
II. die Enkel, in Vertretung der Mutter Emma Julie Bieler gest. am 13. Januar 1886 in Schlettstatt, Ehefrau des Aichmeisters Johann Woelflin in Schlettstatt a) Julius Gustav Adolph, b) Bertha Johanna Mathilde, c) Frieda Elisabeth Alice, alle unter Vormundschaft des Vaters weil minderjährig.
Jeder Stamm au 1/5. erbberechtigt
Laut Ehevertrag Becker vom 8 April 1847 bestand Errungenschaft-Gemeinschaft & steht dem Wittwer die lebenslängliche Nutznießung an der Hälfte des Nachlasses. Inventar vor Notar Allonas vom 20. Aprilis 1886 soll der Theilung als Basis dienen
I. Gütergemeinschaft. Mobilien 545, Forderung an Gustav Carl Bieler 1200, Forderung an Albert Eduard Bieler 1200, Entschädigung des Nachlasses 21.721, Mietzinsen 400 (zusammen) 25.067 – Passivmasse, Schulden 17.974. Ersatzforderung des Nachlasss 3242, Ersatzforderung der Wittwe 14.379 (zusammen 10.532)
II. Nachlass, 1. Garderobe 71, 2. Ersatzansprüche 3246, 3. Rückbringen durch Frau Nessmann laut Ehevertrag Metz vom 10/4.1874 M 3200 woran ½ hier zu verehren 1600, 4. Rückbringen durch Frau bzw. Kinder Wölflin laut Ehevertrag Flach vom 6/4.1872, 3200 woran ½ hier zu verehren 1600, 5. Ein Wohnhaus hier Alter Kornmarkt N° 4 und Heiligenliechtergasse N° 3 section N 879, 40.000 (zusammen) 46.517, Ab die Ersatzleistungen 21.721, bleibt 24.795
Woran ½ der Nutznießung des Wittwers unterliegt mit 12.397
Zutheilung. Dem Wittwer, das Haus (…)
acp 784 (3 Q 30 499) f° 54 n° 3267 du 15.12. (Sterbefall Erkl. vom 18.5.86 Bl. 150 N° 91)
f° 55-v n° 3268 du 15.12. – Privaturkunde vom 17. November 1886. Abschatzung durch 1. Theodor Wagner, Bauunternehmer 2. Heinrich Schoop, ehemaliger Bauunternehmer, beide hier, der Häuser Alter Kornmarkt N° 4 und Heiligenliechtergasse N° 3, zu 40.000 Mark
acp 786 (3 Q 30 501) f° 23-v n° 3710 du 18.1. (Fortsetzung vom 6. Januar) Nachtrag zu der Theilung Bieler-Arlen Bd. 784 Bl. 54
Jean Chrétien Bieler vend la maison au boucher Jacques Gangloff et à Caroline Lapp
1888 (26.6.), M° Mossler
Verkauf durch Johann Christian Bieler, Rentner hier
an Jakob Gangloff, Metzger und Ehefrau Caroline Lapp zusammen wohnhaft hier
Ein Besitzthum gelegen hier, alter Kornmarktgasse N° 4 und Heiligenliechtergasse N° 3, bestehend aus Wohnhaus mit Erdgeschoß auf gewölbten Keller, drei Stockwerke, nebst Seiten und Hintergebäuden, letzter enthaltend Wohnhaus mit Erdgeschoß auf Keller, zwei Stockwerke und Speicher, Rechten und Zubehörden um 51.000 Mark wovon baar bezahlt 13.000 – Genuß, Lasten vom 24. Juni cur. Genannter Bieler behält das Recht unentgeltlich bis zum 25. März 1889. im ersten Stocke zu wohnen, diese Last geschätzt auf 400 Mark. Eigenthumsnachweis. Theilung des Nachlasses der Eltern Christian Bieler und Salome Caroline Arlen errichtet vor Notar Allonas den 6, 7 und 9 Dezember 1886.
acp 804 (3 Q 30 519) f° 33-v n° 1328 du 29.6.
Jacques Gangloff et Caroline Lapp vendent la maison à la société Frey et Wolff, dont les seuls sociétaires sont les commerçants Edouard Frey et Charles Frédéric Wolff
1893 (20.7.), M° Loew
Kauf – sind erschienen Herr Jacob Gangloff, Metzgermeister, und seine von ihm ermächtigte Gattin Frau Caroline Lapp, beide wohnend in Straßburg, dieselben verkaufen (…)
an die zu Straßburg unter der Firma Frey und Wolff bestehende offene Handlungsgesellschaft, hier vertreten durch ihre mitanwesenden einzigen Gesellschafter herrn Eduard Frey, Kaufmann, und Karl Friderich Wolff, Kaufmann, beide wohnend in Straßburg
Bezeichnung. Eine zu Straßburg Alte Kornmarktgasse N° 4 und Heiligenlichtergasse N° 3 belegenes Besitzthums, bestehend aus einem Wohnhauss auf die Kornmarktgasse mit Erdgeschoß auf gewölbtem Keller, drei Stockwerke nebst Seiten- und Hintergebäuden, letztere enthaltend Wohnhaus auf die Heiligenlichtergasse mit Erdgeschoß auf Keller, zwei Stockwerken und Speicher, Rechten und Zubehörungen, einerseits Wittwe und Erben Haas und Diemer, anderseits Fasoli und unbekannt, vorn die alte Kornmarktstrasse, hinten die Heiligenlichtergasse, in Katasterbuch eingetragen unter Sektion N Nr. 879 und 879 mit einer Fläche von drei Ar. Als mitverkauft gelten die im Anwesen stehende Öfen nebst Rohren und Steinen, sowie Herdt mit Zugehör, soweil sie den Verkäufern gehören (…)
Eigenthumsnachweis. Ehegatten Gangloff kauften das Anwesen von dem hiesigen Rentner herr Johann Christian Bieler, laut Vertrags vor dem hiesigen Notar Mossler vom 26. Juni 1888. überschrieben beim hiesigen Hypothekenamte den 6. Juli darauf, Band 2402 Nr 21, mit amtlicher Einschreibung Band 163 Nr 345. (…) Der frühere Eigenthumsnachweis lautet in jenem Erwerbstitel wörtlich wie folgt. Herr Bieler erklärt, das obige Anwesen gehörte zum Nachlasse seiner Ehefrau Salome Karoline Arlen, bei ihme in Straßburg wohnhaft gewesen, welche daselbe selbst in den Nachlässen ihrer dahier verlebten Eltern Jakob Arlen, Mehlhändler, und dessen Ehefrau Margaretha Salome Eckel, von welchen sie die einzige Erbin war, ererbte. Frau Bieler geborene Arlen verstarb den 19. August 1885 und hinterließ a) deren Wittwer Herrn Bieler als Schenknehmer der unentgeltlichen und lebenslänglichen Nutznießung an der Hälfte ihres Nachlasses in Gemäßheit ihres Ehevertrages errichtet vor dem früheren Notar Becker zu Straßburg den 8. April 1847, b) und als einzige Erben ihrer mit ihrem hinterbliebenen Wittwer erzeugten Kinder als 1. Gustav Karl Bieler, Pfarrer zu Dieuze, 2. Albert Eduard Bieler, Pfarrer zu Hunaweier wohnhaft, 3. Emilie Bertha Bieler, gewerblos in Strassburg wohnhaft, Wittwe des verlebten Friderich August Viktor Nessmann, 4. Emma Julie Bieler, Ehefrau des Herrn Johann Woelflin Aichmeister zu Schlettstadt wohnhaft, 5. Fräulein Mathilde Oktavie Bieler, ohne Gewerbe zu Straßburg domizilirt. Genannte Frau Woelflin geborene Bieler ist zu Schlettstadt den 13. Januar 1886 gestorben und hat als einzige Erben ihre drei in der Ehe mit ihrem benannten Ehemann herrn Woelflin erzeugter Kinder hinterlassen, als a) Julius Gustav Adolph Woelflin, geboren den 15. Juli 1874, b) Bertha Jeanne Mathilde Woelflin, geboren den 5. Februar 1877, c) und Frieda Elisabeth Alice Woelflin, geboren den 27. Oktober 1879, so wie dies bestätigt ein Inventar errichtet vor Notar Allonas zu Straßburg den 20. Aprilis 1886.
Dasselbe Immöbel, welches den benannten Kindern am Nachlasse ihrer benannt verlebten Mutter der Frau Bieler zufiel, wurde durch dieselben ihrem Vater respektive Großvater H. Johann Christian Bieler zum Alleineineigenthum abgetreten in Gemäßheiit einer Liquidation und Theilung errichtet vor Notar Allonas zu Straßburg den 6. 7. und 9. Dezember 1686 um den Preis von 40.000 Mark (…)
Die vorstehend benannten Eheleute Arlen-Ecker, Eltern der Frau Bieler, erkauften das fragliche Anwesen von Johann Michael Eckel, ehemaliger Schreiner zu Straßburg wohnhaft, in Gemäßheit eines Kauffvertrages errichtet vor dem früheren Notar Georg Ludwig Friderich Grimmer zu Straßburg den 14. April 1835, überschrieben auf dem Hypothekenamte zu Straßburg den 17. Februar 1736, Band 303 Nr 28. Der damalige Kaufpreis betrug 20.000 Mark (…) Genannter Johann Michael Eckel ererbte dasselbe Immöbel am Nachlasse von Maria Dorothea Eckel, Wittwe von Michael Ott aus Straßburg, von welcher er Universallegatar war, in folge deren eigenhändigen Testaments vom 20. April 1807, welches nach Erfüllung der gesetzlichen Formalitäten in das Archiv des damaligen Notar Stoeber zu Straßburg hinterlegt wurde zufolge dessen Depotaktes vom 10. August desselben Jahres Fragliches Legat geschah vermittels einer Summe von 1600 livres (…)
Kaufpreis (…) Feuerversicherung
acp 877 (3 Q 30 592) f° 15 n° 2061 du 26.7. – (um) 68.000 Mark, wovon 20.000 M baar und von den übrigen 48.000 M wurden bezahlt aus Mitteln von Maria und Augustine Gross, minderjährige Kinder der Anna Maria Babette Kuehn, Wittwe von Carl Joseph August Gross hier mit M. 40.000 und von Carl August Winckler, Versicherungssbeamten hier, mit 8000 M
Lors de la liquidation de la société suite au jugement du 20 décembre 1895, la maison revient en toute propriété à Charles Frédéric Wolff.
1896 (3.1.), M° Loew
acp 907 (3 Q 30 622) f° 43-v du 13.1.
Theilung des Handelsgesellschaft Frey Wolff, ausgesprochen durch Urtheil vom 20. Dezember 1895, zwischen 1. Carl Friderich Wolff, Kaufmann, 2. Eduard Frey, Kaufmann alle hier wohnhaft. Vom vorhandenen Vermögen erhalten
1. Carl Friderich Wolff 1) ein Anwesen hier alter Kornmarktgasse N° 4 und Heiligenlichtergasse N° 3 bestehend aus Wohnhaus mit 3 Stockwerken, Seiten & Hintegebäuden, Rechten & Zubehör Section N 879, 879 mit 3 Ar Fläche, erworben durch Akt Loew vom 20. Juli 1893, geschätzt 73.500 M
Fils de maraîcher, Charles Frédéric Wolff épouse en 1879 Catherine Litt, originaire de Kolbsheim : contrat de mariage, célébration
1879 (21.1.), M° Allonas
Ehevertrag zwischen 1. Carl Friderich Wolff, Kaufmann in Straßburg wohnhaft, Bräutigam
2. Fräulein Catharina Litt zu Kolbsheim wohnhaft, Tochter von Philipp Litt Eigenthümer und dessen Ehefrau Catharina Karcher in Kolbsheim wohnhaft, Braut
acp 686 (3 Q 30 401) f° 83-v n° 297 du 23.1. – Gütergemeinschaft auf die Errungenschaft beschränkt im Sinne der Arr. 1498 et 1499 C.C. theilbar zur Hälfte Der Bräutigam bringt sein Gesellschafft antheil im Werthe von M. 24.000
Einbringen der Braut 1) Geld 7100, 2) Mobilien 2864, Summa 10.064
Die Eltern der Braut schenken ihrer Tochter auf ihre zukünftigen Erbschaften, Bann Kolbsheim sect. B n° 1431, 1432, 1433 & 1434, 1 a 72 c Reben canton Neuenberg, Rohertrag 30 (x 20, 600)
Das Ueberlebende der Ehegatten wird vertragsmäßig den Antheil des Zuerststerbenden an der Gemeinschafft haben
Der Bräutigam schenkt der Braut auf Todesfall die Nutznießung einer Summ von M 16.000
die Braut schenkt dem Bräutigam auf Todesfall den Genuß an ihren eingebrachten Vermögen
Mariage, Strasbourg (n° 150)
Strassburg den 18. März 1879. Vor dem Standesbeamten erschienen heute zum Zwecke der Eheschließung 1. der Kaufmann Carl Friderich Wolff, evangelischer Religion, geboren den 21. December 1844 zu Strassburg, wohnhaft zu Strassburg, Sohn der verstorbenen Eheleute Johann Daniel Wolff, Ackergärtner und der Barbara gebornen Friedolsheim, zuletzt wohnhaft zu Straßburg, 2. die Catharina Litt, ohne Beruf, evangelischer Religion, geboren den 24. März des Jahres 1856 (Unter-Elsass) Christoph zu Kolbsheim, Tochter des Eigenthümers Philipp Litt und der Catharina geborner Karcher Eheleuthe wohnhaft zu Kolbsheim (i 35)