8, rue du Vieux-Marché-aux-Grains
Rue du Vieux-Marché-aux-Grains n° 8 – IV 354 (Blondel), N 877 puis section 60 parcelle 57 (cadastre)
Reconstruite en 1757, maître d’ouvrage Antoine Duclo, cafetier – Troisième et quatrième étages ajoutés en 1870, maître d’ouvrage Charles Auguste Dœrffer – Détruite lors du bombardement aérien du 11 août 1944.
Nouveau bâtiment à l’emplacement des n° 4, 6 et 8, maître d’ouvrage Grande brasserie alsacienne d’Adelshoffen, architecte Charles Heitz (1961)
Le restaurant Dœrffer tenu par Adolphe Jehl, vers 1910 (AMS, 1 Fi 25 n° 12)
Bâtiment actuel à l’emplacement des anciens numéros 6 à 8 (juillet 2023)
Brasserie Au Romain suivie du restaurant Dœrffer (n° 4, 6 et 8, AMS, 1 FI 25 n° 13) – Même endroit en 2021 (image Wilfred Helmlinger, Archi-Wiki)
Le commissaire priseur Jean von Miltenberg construit un auvent en 1556. La maison est inscrite au Livre des communaux (1587) au nom de son gendre barbier Jacques Kopp qui en transmet la propriété à son fils et à son petit-fils, tous deux barbiers et nommés Jean Kopp. Le sellier Tobie Stephan achète la maison en 1702, les Quinze l’autorisent à agrandir la partie de l’auvent entre la ruelle et la porte d’entrée, soit sur seize pieds alors que sa longueur totale est de vingt-deux pieds et demi. La maison est estimée à une valeur minimale de 1600 livres en 1721 puis de 800 livres en 1733 à cause du bâtiment accessoire en mauvais état. Le sellier Augustin Güntzer en est propriétaire par sa deuxième femme. Ancien manant, le cafetier Antoine Duclo l’achète en 1757 et la reconstruit à neuf la même année en supprimant l’auvent. Le nouveau bâtiment est estimé à la somme minimale de 1900 livres (1762) et 2000 livres (1778, 1789). Les héritiers d’Antoine Duclos le vendent en 1787 à l’horloger Jean Frédéric Liebold qui fait poser un nouveau fourneau au rez-de-chaussée et faire une cheminée à la française au premier étage. Ses descendants en restent propriétaire jusqu’en 1869.
Plan-relief de 1725. Façades entre la rue de la Lanterne à gauche et la rue des Pelletiers à droite. La maison à pignon sur rue (quatrième à partir de la droite) se trouve à droite de la ruelle du Saumon (Musée historique, cliché Thierry Hatt)
Elévations préparatoires au plan-relief de 1830, îlot 189 (Musée des Plans-relief) 1
L’Atlas des alignements (années 1820) signale une maison à rez-de-chaussée et deux étages en maçonnerie. Sur les élévations préparatoires au plan-relief de 1830, la façade vers le Vieux-Marché-aux-Grains se trouve à droite du repère (k) : porte et fenêtre en arcade au rez-de-chaussée, deux étages à trois fenêtres chacun, toit à un seul versant. La façade (h-k) vers la ruelle du Saumon a deux fenêtres, une porte puis quatre autres fenêtres au rez-de-chaussée, deux étages à sept fenêtres chacun, toiture à sept lucarnes. La cour F représente l’arrière (3-4-5).
La maison porte d’abord le n° 17 (1784-1857) puis le n° 8.
Cour F, Plan, la rue du Vieux-Marché-aux-Grains est en bas (1830) – Ajout de deux étages en 1870 – Façade en 1940 lors du changement d’enseigne (dossier de la Police du Bâtiment) – Le n° 8 au premier plan (restaurant au Vieux-Marché-aux-Grains) en 1944 (AMS, 1 Fi 114 n° 144)
Le négociant Auguste Dœrffer est autorisé en avril 1870 à surélever de deux étages le bâtiment à rez-de-chaussée et deux étages en maçonnerie. Les modifications ne sont pas portées au cadastre bien que les travaux aient été réalisés comme le montrent les photographies ultérieures. Le maître maçon Emile Widmann pose en 1891 une devanture pour le compte du propriétaire Henri Edmond Schnitzler. L’architecte Emile Kieffer transforme en 1923 le rez-de-chaussée et le premier étage pour la Brasserie Kronenbourg, locataire principal, qui change en 1940 la dénomination Restaurant Dœrffer en Gasthaus zum Alten Kornmarkt (restaurant au Vieux-Marché-aux-Grains). Le bombardement aérien du 11 août 1944 détruit entièrement le bâtiment. Le terrain est entouré d’une barrière en 1948.
La Grande brasserie alsacienne d’Adelshoffen (Schiltigheim) fait élever en 1946 un baraquement provisoire à l’emplacement du Restaurant au Romain (4-6, rue du Vieux-Marché-aux-Grains). Propriétaire des terrains sis 4, 6 et 8 de la rue du Vieux-Marché-aux-Grains, elle dépose en février 1955 une demande de permis de construire sous la direction de l’architecte Charles Heitz. Le Ministère du Logement et de la Reconstruction délivre en septembre 1955 le permis de construire qui est périmé sans que les travaux aient commencé. La Grande brasserie alsacienne d’Adelshoffen dépose une nouvelle demande de permis de construire en janvier 1959. Les terrains à réunir à la voie publique sont cédés à la Ville, le Ministère du Logement et de la Reconstruction délivre le permis de construire en novembre 1959. La hauteur sous corniche est portée à 15,10 mètres par dérogation accordée par le préfet en janvier 1960. La baraque provisoire est démolie en février 1960. Le gros œuvre est achevé en janvier 1961, les travaux sont entièrement terminés en février 1962.
Baraquement provisoire (1946) – Nouveaux alignements (1955)
Elévations rue du Vieux-Marché-aux-Grains et rue du Saumon, dessins 1959 et de 1961 (architecte Charles Heitz, dossier de la Police du Bâtiment)
La brasserie Au Romain, façade rue du Vieux-Marché-aux-Vins vers 1965 (publié par Christian Lamboley, Strasbourg bombardé, éd. Contades, 1988) – Façade rue du Saumon (juillet 2023)
août 2023
Sommaire
Cadastre – Police du Bâtiment – Relevé d’actes
Récapitulatif des propriétaires
La liste ci-dessous donne tous les propriétaires de 1593 à 1952. La propriété change par vente (v), par héritage ou cession de parts (h) ou encore par adjudication (adj). L’étoile (*) signale une date approximative de mutation.
Jean von Mültenberg, tailleur et commissaire priseur, et Barbe | ||
1580* | v | Jacques Kopp, barbier, et (1570) Anne von Mültenberg – luthériens |
1612 | h | Jean Kopp, barbier, et (1601) Madeleine Baumwel puis (1627) Marie Cléophée Greiner, auparavant (1609) femme de Louis Ruckhard, maître des forêts – luthériens |
1660* | h | Jean Kopp, barbier, et (1655) Catherine Pastorius, (1664) Reine Steg puis (1676) Anne Ursule Guckelius – luthériens |
1702 | v | Tobie Stephan, sellier, et (1700) Marie Madeleine Brecht, d’abord (1688) femme du sellier Jean Daniel Heusch – luthériens |
1733 | h | Jean Philippe Heusch, sellier, et (1723) Marie Cléophée Marheinigen puis (1733) Jeanne Marguerite Klauhold – luthériens |
1735 | h | Augustin Güntzer, sellier, et (1726) Marie Catherine Bœrus, (1735) Jeanne Marguerite Klauhold, veuve de Jean Philippe Heusch, puis (1743) Marie Ursule Wachenheim, d’abord (1731) femme du tailleur Chrétien Müller – luthériens |
1757 | v | Antoine Duclo, cafetier, et (1733) Anne Barbe Kisser – catholiques |
1778 | h | François Gascard, portier, et (1765) Marie Anne Wepffer puis (1770) Anne Marie Lalanne – catholiques |
1787 | v | Jean Frédéric Liebold, horloger, et (1785) Marie Salomé Klein, remariée (1790) avec l’aubergiste Jean Georges Teutsch – luthériens |
1818 | h | Jean Frédéric Liebold, propriétaire, et (1814) Amélie Saum |
1869 | v | Charles Auguste Dœrffer, tonnelier, et (1861) Marie Emma Matern |
1884 | v | Henri Edmond Schnitzler, négociant, et (1872) Marie Emilie Ehrhard |
1898 | v | Jacques Klein, aubergiste, et (1886) Marguerite Brandt |
1909* | v | (Martin) Adolphe Jehl, hôtelier, et (1892) Joséphine Osel – catholiques |
1939* | h | Adèle Lucie Jehl et cohéritiers |
Valeur de la maison selon les billets d’estimation : 1600 livres en 1721, 800 livres en 1733, 1900 livres en 1762, 2000 livres en 1778 et en 1789
(1765, Liste Blondel) IV 354, Antoine Duclos
(Etat du développement des façades des maisons, AMS cote V 61) Duclot, 13 toises, 3 pieds et 6 pouces
(1843, Tableau indicatif du cadastre) N 877, Liebold, Jean Frédéric – maison, sol – 1,15
Locations
1703, François Palousse, perruquier
1759, Jean Peter
1774, (café) Pierre Rinquenet de la Toulinière, cafetier
1774, Pierre Binder, cafetier
1784, Jean Jacques Kolb, caffetier, et Marie Salomé Schneider
1790, Charles Friedel, horloger
1810, Alexandre Bayer, sellier, et Louise Dorothée Dürr
1857, Charles Auguste Schnitzler, négociant
1877, Henri Edmond Schnitzler (futur propriétaire)
1877, Georges Diehl, marchand de vins, et Marie Emilie Einholtz
Livres des communaux
1587, Livre des communaux (VII 1450) f° 144
Le barbier Jacques Kopp règle 17 sols 8 deniers pour sa maison sise à côté du Saumon à l’angle de la ruelle du Saumon, à savoir un auvent (21 pieds de long, saillie de 5 pieds dont il paie 1 sol), une porte de cave inclinée (6 pieds 3 pouces de long, marge de 7 pied ½) et un aiguisoir – Comme l’auvent est soumis à un cens communal d’un sol, les huit sols lui sont remis
Am Eck ane dem Barfüsser Platz beÿ dem brunnen an, Vnd dem Ganthauß der Zunfft Stuben Zur Lutzernen Zugemessen
Jacob Kopp der Scherer neben dem Salmen hatt vor seinem Hauß so ein ortthauß am Salmen geßlin Ist, oben ein Wettertach 21 schu lang, 5 schu herauß, Daruon gibt Er 1 ß d. Zinß, Darunder ein ligende Kellerthüer 6 schu 3 Zoll lang, vnd 7 ½ schu breit, sampt einem schleiffstein, Bessert für das Niessen, xvij ß viij d
[in margine :] Das wettertächlin zinßt vorhin der Statt j ß d. Alßo seint ihme die 8 ß d nachgelassen worden
1562, Livre des loyers communaux, VII 1446 (Zinßbuch D) f° 137-v
Le commissaire priseur Jean von Miltenberg paie 1 sol pour l’auvent à sa maison à côté du Saumon au chemin dit Holweg pour la première fois à la Chandeleur 1556. Le contribuable est ensuite le barbier Jacques Kopp. Le cens est de 2 sols lors de la révision le premier mars 1627.
Item 1 ß gibt Hanns von Mÿlttenberg der Koÿffler von Einem wettertächlin An seÿnem huß neben dem Salmen Am holwig vnnd gefallet der Erst Zinns vff vnnser frawen Liechtmeß tag Anno &. xv. C Lvj°
gibt Jetz Jacob Kopp der scherer
(rub.) Jetzt Jacob Kopp Balbirer 2 ß d, 1. Martÿ 1627.
Neü 485.
1652, Livre des loyers communaux VII 1461 (1652-1672) f° 485
Même cens porté dans le registre comptable ouvert en 1652
Hannß Kopp, der Barbierer beÿm Salmen, Soll gemeiner Statt, vom Wetterdächlein des haußes neben dem Salmen Jahrs vf liechtmeß, 2 ß d
Ex. 53
(rub.) Alt D. f. 137
New fol. 368.
(Quittungen, 1660-1672)
1673, Livre des loyers communaux, VII 1465 (1673-1741) f° 368
Les héritiers de Jean Kopp, puis Jean Kopp, ensuite Tobie Stephan et Augustin Güntzer doivent un cens pour un auvent et pour une porte de cave.
Hannß Koppen Erben ([corrigé en] Hannß Kopp) Soll(en) vom /: 5 Schuh breit: v. 21. Schuh langen:/ Wetterdach des Barbier haußes neben dem Salmen vff Liechtmeß, 2 ß ([corrigé en] 1 lb 1703. i.mo)
St. Zinnßb. 485 – Und einer 6 Schuh 3. Zoll lang Und 7. Schuh 6. zoll breiten ligenden Kellerthür
jetzt Tobias Stephan d. Sattler
Augustin Güntzer
(Quittungen 1674-1741)
Neuzb fol 223-b
1741, Livre des loyers communaux, VII 1470 (1741-1802) f° 223-b
Mêmes cens reportés au registre suivant. Ils s’éteignent en 1757 quand Augustin Güntzer reconstruit à neuf sa maison en supprimant les objets imposés
alzb. 368
Augustin Güntzer soll vom 5 schuh breit undt 21. schuh langen Wetterdach des Barbier haußes neben dem Salmen, und einer 6 schuh 3. Zoll lang und 7. schuh 6. Zoll breiten Liegenden Kellerthür, Jahrs auf Johann: Bapt: 1. lb.
(Quittungen, 1741-1757)
ist das Haus neugebauen und sowohl das Wetterdach als Kellerthür hinwegethan also der Zinß auffzuthun, Vid. Prot: 1757 fol: 61.b
Préposés au bâtiment (Bauherren), Protocole des Quinze
1702, Préposés au bâtiment (VII 1380)
Le sellier Tobie Stephan qui a acheté la maison des héritiers du barbier Jean Kopp demande l’autorisation de remplacer l’ancien auvent par un nouveau. L’ancien auvent a une saillie de trois pieds et une longueur de 22 pieds 6 pouces, le nouveau aurait une saillie de 6 pieds 3 pouces. Comme son voisin l’aubergiste au Saumon soulève des objections, il se contenterait d’ajouter deux pieds à la saillie pour que la pluie ne pénètre plus dans sa cave. Les préposés refusent parce que le seul but est de suspendre des marchandises, que l’auberge voisine serait assombrie et que le passage serait étréci.
(f° 39-v) Mittwochs den 14. Junÿ 1702 – Tobias Stephan der Sattler, wegen eines Wetterdachs
Augenschein eingenommen auff dem Kornmarckt an Herrn Johann Koppen, des Barbierers hinterlaßener Erben neben dem Würths: hauß Zum Salmen gelegenen behausung, welche Tobias Stephan der Sattler gekaufft und gesinnet ist das daran befindliche Wetterdach hinweg brechen Zulaßen und ein newes, so 6 schuhe 3. Z. breit und 22. schuhe 6. Zoll lang werden solle, an deßen stell machen Zulaßen. Erk. Bedacht.
(f° 48-v) Mittwochs den 19. Julÿ 1702. – Tobias Stephan der Sattler, umb erlaubnus sein Wetterdach Zuvergrößern
Tobias Stephan der Sattler, ersucht MGhh. underthänig Ihme gnädig Zuerlauben daß Er sein Wetterdächel an seiner auff dem Kornmarckt neben dem Würths: hauß Zum Salmen gelegener behausung, welches aniezo 3 schuhe breit und 22 schuhe 6 Zoll lang ist, seinem am 14. Junÿ jüngst beÿ dem vor Mghh. eingenommenen augenschein gethanem begehren nach 6. schuhe und dreÿ Zoll breit machen Zulaßen, oder Weilen Er vernommen, daß sein Nachbaur der Würth Zum Salmen sich darüber beschwäret, allein umb 2 schuhe breiter alß es anietzo ist, Zu bedeckung seiner Keller thür, damit Ihme das Regenwaßer vom tachtrauff nicht in den Keller lauffen könte, verferttigen Zu laßen. Erk. Weilen dieses begehren bloß und alllein dahin Zwecket, daß Er einen stand unter dieses Wetterdach machen könte, umb solchen mit Satler Wahren zu behencken, dardurch dann nicht allein dem Würt seine Gaststub umb etwas Verfinstert, sondern auch der Zugang und das allmend versperrt werden würde, alß ist das begehren abgelainet worden.
Tobie Stephan demande aux préposés de réduire le cens pour son auvent que les Quinze ont autorisé. Les préposés consultent le Livre des communaux de 1587 dans lequel la saillie est de cinq pieds et ramènent le cens d’une livre dix sols à une livre.
(f° 134) Mittwochs den 16. Maÿ 1703. – Tobias Stephan der Sattler pt° eines Wetterdachs
Tobias Stephan, der Sattler, welcher das Wetterdächel vor seiner auff dem Kornmarckt neben dem Würths: hauß Zum Salmen gelegenen behausung, so 3 schuhe breit war, auß erlaubnus der Herren fünff Zehen umb 1 ½ schuhe breiter machen laßen, erscheint umb den Zinß darvon Zu reguliren, deme auß dem Allmend buch de Anno 1587. fol. 144. vorgelesen worden, daß dieses Wetterdach 5. schuhe breit und 21 schuhe lang sein solle, und daß Er darvon, wie auch der darunder ligenden Kellerthür so 6 schuhe 3 Zoll lang vnd 7. schuhe 6 Zoll breit anietzo jährlichen 1. lb 10 ß d Allmend Zinnß geben solle Mghh. Erkandt hätten, Welcher sich über diesen großen Zinnß beschwäret und umb deßen moderation angehalten. Erk. Würd derselbe auff 1. lb d moderirt.
1702, Protocole des Quinze (2 R 106)
Tobie Stephan sollicite auprès des Quinze l’autorisation d’agrandir son auvent. Il déclare que son prédécesseur l’a raccourci pour avoir davantage de lumière dans sa boutique et souhaite lui redonner l’ancienne saillie malgré la décision des préposés au bâtiment. Il se contenterait d’agrandir l’auvent d’un à deux pieds pour pouvoir exercer son métier, en ajoutant que les auvents de ses voisins ont six pieds de saillie voire davantage. Son précécesseur a posé devant la cave des planches qui n’empêchent pas la pluie d’entrer, ce qui l’a obligé à la louer pour y entreposer du tabac. Le préposé Wetzel a du mal à croire que l’auvent aurait eu six pieds de saillie sans qu’il soit inscrit dans les registres. La visite des lieux établit que l’auvent qui a 22 pieds et demi de long a été coupé sans qu’on puisse savoir de combien. Le pétitionnaire ne l’agrandirait que sur seize pieds, de l’angle de la ruelle jusqu’à sa porte, de sorte qu’il garderait ses dimensions actuelles entre sa porte et le Saumon. Thierry Schlehenacker, propriétaire du Saumon, voit d’un mauvais œil que son voisin accroche des marchandises. Christophe Henning qui exploite l’auberge s’oppose lui aussi au changement qui nuirait à la vue. Les préposés au bâtiment reprennent les arguments qui les ont amenés à ne pas accorder l’autorisation, 1) le passage est étroit à cet endroit du marché aux grains, 2) les baquets de farine y sont nombreux, 3) la ruelle qui mène aux écuries du Saumon est étroite, on risquerait de se heurter aux selles suspendues, 4) la Tour aux deniers ne conserve aucune trace que l’auvent ait été raccourci. Comme le pétitionnaire ne souhaite plus agrandir son auvent autant que lors de sa première demande, les préposés s’en remettent à la décision du Magistrat. Le syndic royal estime que l’agrandissement pourrait être accordé puisque Tobie Stephan est revenu sur sa première demande, d’autant que les voisins ont des auvents de même taille et que le propriétaire du Saumon ne bénéficie d’aucune servitude, sans quoi il l’aurait fait valoir. L’assemblée adopte l’avis du syndic.
(f° 278) Freÿtags den 1. Septembr. 1702 – Tobias Stephan pt° Wetterdächels
Obere Bawhh. per herren Friden, es habe Tobias Stephan burg. vnd Sattler alhie den 29. July jüngsthin, ein unterthäniges Memoriale, so abgelesen worden, übergeben, und darinnen remonstrirt, welcher gestalten Er ohnlängst d. barbier hauß neben der Gastherberg Zum Salmen gelegen, an sich erhandelt, umb solches Zu seiner profession Zu genießen, nachdem aber das vor dem haus hangendes Wetterdächlein à 3 schuh breit, so vor dießem 6. Schuh breit gewesen Er, wider in Vorigen alten stand Zusetzen willens war, angesegen sein Vorfahr, solches umb mehrere Helle in der Stub Zuhaben abgeschitten, wodurch die vor dem haus liegende Kellerthür in gäntzlichen Ruin gekommen, vnd Er sich beÿ den Obern Bawherren auff dem Pfenningthurn deßweg. angemeldet, Selbige ihm aber sein begehren gäntzlich angeschlagen, vnd ihne an Mghherren gewießen, alß wolte Er unterth. gebetten haben, einen Augenschein gn. Zu erkennen, vnd Ihme in seinem begehren Zu willfahren.
Auff beschehener Remission habe man vor nöthig erachtet den Imploranten selbsten auch anzuhören, welcher beditten daß Er sich auf dem Pfthurn angemeldet, und umb erlaubnus gebetten habe, sein wetterdächel dreÿ schuh breiter machen Zu dörffen anietzo aber verlange Er nur einen, biß Zweÿ schuh breiter Zu haben, widrigen falls Er sein handtwerckh nicht treiben Könne, und begehre Er nicht mehr als w. seine nachbaren auch hetten, deren Wetterdächlein wohl 6. und mehr schuhe breit weren, Neben dem seine Kellerthür immer im regen stehen müßte, und obzwar sein Vorfahr solche mit dreÿ diehlen belegt, so habe doch das waßer dadurch getrungen, daß Er den Keller nicht mehr gebrauchen können, sondern einem Andern Zum tabac Verlehnen müßen. Solchemnach habe man dem Hn Wetzel auch darüber vernommen, welcher gesagt er könne nicht glauben, daß dieses Wetterdächel Sechs schuhe breit geweßen, weilen in den Pfenningthurns Büchern, davon nichts stehe vndt sonsten die Wetterdächlin von solcher breite, jährl. Ein Pfundt d. und mehres Zu erlegen haben, hingegen dießen hiebevor und Zwar aô 1560. nur 1 ß. gegeben, so aber in anno 1627. auff 2 ß gesetzt worden seÿe. Womit man sich nicht contentirt, sondern den Augenschein selbsten eingenommen, und gefunden, daß etwan davon geschnitten word. seÿ, wieviel aber, und wer es gethan, wiße man nicht, maßen auff dem Pfthurn sich nichts davon befinde undt stehe man an, ob d. Jenige, so der Implorant vorgebe, sich alßo verhalte, Worauff man durch die Werckmeister die länge des dächels abmeßen Laßen, und gefunden daß er 22 ½ schuh lang seÿe, allein verlange Er Implorant es nur von dem Eckh des Gäßels, bis an seine hußthür so 16. Schuh außtrage, alßo das der platz von seiner haußthür bis an den Salmen, am alten Wetterdächel nicht geändert werde, auff seithen der Herrn Deputirten habe man vor nöthig gefunden, Dietrich Schlehenacker den Eigenthumbs H. der gastherberg Zum Salmen auch hierüber anzuhören, welcher gesagt, daß solches hauß Ihne viel gelostet, vndt es ohne dem, einen schmahlen begriff habe, daß am freÿtag der platz wegen vielen Fuhren sehr eng seÿe, vndt wann Implorant eine Stallage machen, und Sättel daran hencken wolte, es noch mehr platz wegnehmen würde, anbeÿ gebetten, das dächel in dem ietzigen standt Zu laßen.
Auff welches man Christoph Henning den ietzigen würth alda auch darüber vernommen, der vermeldet, daß Er Jährl. 200 fl. hauß Zinß geben müßte, und wan Gagnern in seinem begehren willfahrt werden solte, Ihme der prospect gäntzlich benommen, und die Gäst entzogen werden würden.
Nach dem man solches alles angehört und davon geredt seÿen von den Oberen Bawherren selbsten, die rationes, welche Sie bewogen, dem Imploranten, auff dem Pfthurn abzuweißen, angebracht worden als (1) wegen der Situation deßelben hauß, welches hart am Kornmarkt gelegen, alwo der platz eng seÿe, (2) daß die mehlbütten dagegen Zu stehen kommen, (3) die passage durch das gäßel in den Stall Zum Salmen auch eng seÿe, und wann man an deßen Sättel stoßen solte, es leichtlich allerhand streit abgeben dörffe, vnd (4) auf dem Pfthurn sich nichts befinde, daß etwas von gedachtem dächel abgeschnitten worden seÿe, deßwegen auch die oberen Bawherren ihrem bescheidt Zu änderen bedenckens getragen hetten, Weilen der Implorant aber anjetzo sich anderst erklärt und beditten, daß er bemeltes dächel nicht mehr so breit verlange, alß werde Zu Mghherren stehen, ob Sie demselben etwas willfahren oder es beÿ dem Pfthurns bescheidt, wo durch Er abgewießen worden, Laßen wollen.
Herr Syndicus sagt, weilen der Implorant sein petitum geändert, vnd ane statt verlangter augmentaôn von 3. schuhen, anietzo nur einen od. 2. schuh Weiters begehre, so halte Er davor daß den Obern Bawherren Committirt werden könte, demeselben in seinem petito, mit anderthalben schuhen, Zu willfahren, in deme sein ansuchen vmb so viel mehr favorabel seÿe, als deßen nachbaren auch dergleichen Wetterdächlein hetten, vnd der Würth Zum Salmen kein jus Servitutis habe, maßen Er sonsten seinen titulum hette produciren sollen, so aber nicht geschehen seÿe, Neben dem der Implorant auch in der länge mehr nicht als 16. schuhe verlange. Erkandt, dem herrn Syndico gefolgt.
1757, Préposés au bâtiment (VII 1407)
Les préposés rayent de leur registre l’auvent et la porte de cave que le cafetier Antoine Duclo supprime parce qu’il reconstruit à neuf la maison
(f° 61-v) Dienstags den 1. Martÿ 1757. – Antoine Duclo, Augustin Güntzer
Antoine Duclo der Cafetier Zeigt an, daß er Augustin Güntzers Hauß neben dem alten Salmen beÿm ganthauß gekaufft, wovon wegen eines Wetterdachs und Kellerthür Laut Statt Zunßbuch fol: 223. jährlich auf Joh: Baptistæ 2. fl. Zinß auf den Pfenningthurn bezahlt werden, und weilen er das Hauß Völlig neü Zubauen, und beÿdes das Wetterdach und die Kellerthür Vom Allmendt hinweg Zuthun willens, als bittet er um nachlaß der 2. fl. Zinß, und daß selbiger in dem Zinßbuch möchte außgethan werden. Erkannt, solle die Marzahl für dreÿ Viertel jahr nachgetragen und der Posten im Zinßbuch außgethan werden.
1788, Préposés au bâtiment (VII 1423)
Les préposés autorisent le maître maçon Gruber à abaisser les croisées de fenêtres au rez-de-chaussée et à repeindre la maison de l’horloger Jean Frédéric Liebolt le jeune.
(f° 24) Dienstags den 19. Februarii 1788. – Hr Johann Friderich Liebold, Jun. Uhrenmacher
Herr Gruber, der Maurer, nôe Herrn Johann Friderich Liebold, des Jüngern, Uhrenmachers, bittet zu erlauben an deßen behausung am Salmen Gäßel gelegen au Rez de chaussée den Fenster Banck erniedrigen, und die Behausung anstreichen Zu laßen. Erkannt Willfahrt.
Préposés aux feux (Feuerherren, 4 R 92)
Le maître maçon (Jean Michel) Gruber déclare les travaux qu’il fait dans la maison de l’horloger Liepold ruelle du Saumon, au rez-de-chaussée vers la rue, à savoir poser un fourneau dans le pignon en pierre et faire une cheminée à la française dans le poêle du premier étage. Les préposés approuvent en ajoutant qu’il faudra poser soit une dalle verticale soit une tôle derrière le fourneau dans le poêle du bas
(p. 1) Montag den 21.sten Julius 1788 – Liepold
H. Liepold der Uhrenmacher will in seiner an dem Salmengäßlein gelegene Behaußung à rez de chaussée in der vordern Stube auf die Straße herumb einen Ofen vor ein in dem steinernen Giebel sich befindliches, mit brustgetäfel verkleidetes Blindloch auf eine steinerne Platte setzen, davon das blechene Rohr durch die Stubendecke und ein alda angebrachtes Gewölblein in das auf dem ersten Stock erbaute frantzösische Camin von allem Holz entfernt gerichtet seÿn soll.
Auf den ersten Stock will derselbe in der vordern Stube ein neues frantzösisches Camin auf ein Gewölb setzen, davon das Rohr an eine steinernen Giebel hinauf Ziehet von allem Holz entfernt.
Erkannt Willfahrt mit dem Anhang daß das brustgetafel hinter dem Ofen in der untern Stuben (entweder mitt einer aufrecht stehenden steinernen Platte oder mit Eisenblech wohl verwehret wurde) ausgeschnitten werden übrigens facta Insp. gut befunden. – Mstr. Gruber
Description de la maison
- 1721 (billet d’estimation traduit) La maison comprend plusieurs poêles, chambres, cuisines, vestibule où se trouve un fourneau, atelier de sellier, caves voûtées, bâtiment arrière, écuries couvertes d’un vieux comble, comprenant deux poêles, chambres, écuries, cave voûtée, le tout estimé avec les appartenances et dépendances à la somme de 3200 florins
- 1733 (billet d’estimation traduit) La maison comprend un bâtiment accessoire délabré, plusieurs poêles, chambres, chambre à soldats, cuisine, vestibule où se trouvent le fourneau et l’évier, puits, boutique et deux caves voûtées, le tout estimé avec les appartenances et dépendances à la somme de 1600 florins
- 1762 (billet d’estimation traduit) Le débit de café comprend une salle de débit, plusieurs poêles, chambres et cuisines, le comble est couvert de tuiles plates, la cave est voûtée, le tout estimé avec le puits, autres appartenances et dépendances à la somme de 3800 florins
- 1778 (billet d’estimation traduit) La maison comprend une salle de café et une salle de billard, en outre quatre poêles, deux cuisines et plusieurs chambres, le comble est couvert de tuiles plates, la cave est voûtée, le tout estimé avec le puits, autres appartenances et dépendances à la somme de 4000 florins
- 1789 (billet d’estimation traduit) 1789 La maison comprend une boutique, deux poêles, deux cuisines, une chambre à cheminée à la française et plusieurs autres chambres, le comble est couvert de tuiles plates, la cave est voûtée, le tout estimé avec le puits, autres appartenances et dépendances à la somme de 4000 florins
Atlas des alignements (cote 1197 W 37)
2° arrondissement ou Canton nord – Rue du vieux marché aux Grains
nouveau N° / ancien N° : 17 / 17
Teutsch
Rez de chaussée et 2 étages bons en maçonnerie
(Légende)
Cadastre
Cadastre napoléonien, registre 21 f° 253 case 3
Liebold, Jean Frédéric à Strasbourg, Gd. rue 10
N 877, maison, sol, vieux marché aux grains 17
Contenance : 1,15
Revenu total : 198,60 (198 et 0,60)
Ouvertures, portes cochères, charretières :
portes et fenêtres ordinaires : 23 / 18
fenêtres du 3° et au-dessus :
Cadastre napoléonien N 877, registre 23 f° 1043 case 2
Remarque – Les deux étages ajoutés en 1870 ne sont pas portés au cadastre bien que les travaux aient été réalisés comme le montrent les photographies ultérieures.
Liebold Jean Frédéric grand rue 136
1871 Doerffer Charles Auguste tonnelier
1885 Schnitzler Heinrich Eduard
98/99 (3009) Klein Jakob Wirth /und Ehefrau (Wittwe) Margareta geb. Brandt in Gg.
(ancien f° 791)
N 877, maison, sol, Rue du vieux marché aux grains 8
Contenance : 1,15
Revenu total : 198,60 (198 et 0,60)
Folio de provenance : (253)
Folio de destination : Gb
Ouvertures, portes cochères, charretières :
portes et fenêtres ordinaires : 23 / 18
fenêtres du 3° et au-dessus :
Cadastre allemand, registre 32 f° 394 case 1
Parcelle, section 60, n° 57 – autrefois N 877.p
Canton : Alter Kornmarkt Hs. N° 8 / Rue du VieuxMarché aux Grains
Désignation : Hf, Whs / sol, maison
Contenance : 1,21
Revenu : 3100 – 4300
Remarques
(Propriétaire jusqu’à l’exercice 1910), compte 2657
Klein Jakob Wittwe
(2365)
(Propriétaire à partir de l’exercice 1910), compte 3837
Jehl Adolf und Ehefr.
1935 Jehl Martin Adolphe les héritiers et sa veuve
1939 Jehl Adèle Lucie & cohéritiers
(2171)
1789, Etat des habitants (cote 5 R 26)
Canton IV, Rue 108 Vieux Marché aux Grains p. 155
17
Prop. – Liebold, Marie Salomé, veuve d’horloger – Marechaux
Loc. – Klein, Michel, ancien Boulanger – Boulangers
Loc. – Ulrich, Jean Daniel, Employé à la Douane – point tributaire
Annuaire de 1905
Verzeichnis sämtlicher Häuser von Strassburg und ihrer Bewohner, in alphabetischer Reihenfolge der Strassennamen (Répertoire de toutes les maisons de Strasbourg et de leurs habitants, par ordre alphabétique des rues)
Abréviations : 0, 1,2, etc. : rez de chaussée, 1, 2° étage – E, Eigentümer (propriétaire) – H. Hinterhaus (bâtiment arrière)
Alter Kornmarkt (Seite 84)
(Haus Nr.) 8
Klein, Wirt. E 01
Lorentz, Kaufmann. 2
Trilling, Kaufmann. 3
Gottweiss, Melior.-Techn. 4
Dossier de la Police du Bâtiment (cote 709 W 225)
Vieux-Marché-aux-Grains 8 puis 6-8 (1870-1987), voir aussi le n° 6 et le dossier du Ministère de la Reconstruction et de l’Urbanisme
Le négociant Auguste Dœrffer est autorisé en 1870 à surélever de deux étages le bâtiment à rez-de-chaussée et deux étages en maçonnerie. Les deux étages supplémentaires donnent sur le Vieux-Marché-aux-Grains et les quinze premiers mètres de la rue du Saumon, après quoi il y aura un troisième étage supplémentaire en retrait. Le maître maçon Emile Widmann pose en 1891 une devanture pour le compte du propriétaire Schnitzler. Il aménage la même année un puits de lumière devant la maison. L’architecte Emile Kieffer transforme en 1923 le rez-de-chaussée et le premier étage au nom de la Brasserie Kronenbourg. Le bombardement aérien du 11 août 1944 détruit entièrement le bâtiment. René Rohmer demande en 1945 au nom de Victor Schmitt, ancien locataire du Restaurant Dœrffer, s’il est possible de reconstruire, ne serait-ce que provisoirement, un bâtiment pour reprendre son commerce. Le terrain est entouré d’une barrière (1948).
Exploitants du restaurant Dœrffer – Adolphe Jehl (1909), Emile Dorschner (1923), Albert Haslauer (1924), Fernand Burger (1936), Victor Schmitt (1940).
La Brasserie de Kronenbourg change en 1940 la dénomination Restaurant Dœrffer en Gasthaus zum Alten Kornmarkt (restaurant au Vieux-Marché-aux-Grains).
Nouveau bâtiment n° 8 à l’emplacement des anciens n° 4, 6 et 8
La Grande brasserie alsacienne d’Adelshoffen (Schiltigheim) fait élever en 1946 un baraquement provisoire à l’emplacement du Restaurant au Romain (4-6, rue du Vieux-Marché-aux-Grains) sous la direction de l’architecte Charles Heitz. Les caves qui se trouvent en partie sous la voie publique menacent ruines en 1946 parce que les voûtes sont fissurées.
La Grande brasserie alsacienne Adelshoffen, propriétaire des parcelles 55, 56 et 57 de la section 60 (numéro 4 à 8 de la rue du Vieux-Marché-aux-Grains) dépose en février 1955 une demande de permis de construire sous la direction de l’architecte Charles Heitz. Le Ministère du Logement et de la Reconstruction délivre le permis de construire en septembre 1955. Le permis de construire est périmé sans que les travaux aient été commencés. L’architecte Charles Heitz demande en avril 1958 de proroger le permis de construire, les travaux ayant été retardés à cause de la façade de la pharmacie voisine dont la conservation était pendante au service des Monuments historiques.
La Grande brasserie alsacienne Adelshoffen dépose une demande de permis de construire en janvier 1959. Les terrains à réunir à la voie publique seront cédés par voie de remembrement. Le Ministère du Logement et de la Reconstruction délivre le permis de construire en novembre 1959. La hauteur sous corniche est portée à 15,10 mètres par dérogation accordée par le préfet en janvier 1960. La baraque provisoire est démolie en février 1960. Le gros œuvre est achevé en janvier 1961. Les travaux sont entièrement terminés (février 1962). Le rez-de-chaussée est aménagé en restaurant de 320 m², les trois étages en logements.
Exploitants du restaurant Au Romain – Léon Maschino (1970), Charles Sengel (1972), Roger Sengel (1983)
Sommaire
- 1870 (avril) – Le négociant Auguste Dœrffer demande l’autorisation de surélever de deux étages le bâtiment sis 8, rue du Vieux-Marché-aux-Grains et 3, rue du Saumon – Coupe
L’agent voyer note que les deux façades sans avance qui suivent l’alignement ont un rez-de-chaussée et deux étages en maçonnerie. Elles auront deux étages de plus vers le Vieux-Marché-aux-Grains et sur les quinze premiers mètres de la rue du Saumon, après quoi il y aura un troisième étage supplémentaire en retrait. La hauteur totale ne dépasse pas la hauteur maximale prévue par le règlement. - 1886 (mai) – Le maire notifie Mathilde Dœrffer, demeurant sur place, de faire ravaler la façade vers le Vieux-Marché-aux-Grains
1886 (juillet) – Le maître maçon Emile Widmann (1, rue Saint-Louis) demande au nom du propriétaire Schnitzler l’autorisation de ravaler la façade – Autorisation – Travaux terminés, septembre 1886 - 1891 (avril) – Le maître maçon Emile Widmann (1, rue Saint-Louis) demande au nom du propriétaire Schnitzler l’autorisation de poser une devanture – Autorisation de transformer en partie le rez-de-chaussée pour aménager des devantures – Les travaux sont entièrement terminés depuis huit jours, 28 juillet 1891. – Plan
1891 (juillet) – Emile Widmann demande l’autorisation de transformer un soupirail – Autorisation de faire un puits de lumière devant la maison - 1900 – Le maître maçon Louis Adé (37, rue Finckwiller) demande au nom du propriétaire Klein l’autorisation de ravaler la façade – Autorisation
- 1895 – Le maire notifie le propriétaire de se conformer au règlement du 30 novembre 1891 en supprimant six volets qui s’ouvrent à moins de 2,20 mètres de la voie publique. – D. Schnitzler (marchand de vins, 136, Grand rue) déclare en décembre 1895 que les travaux sont faits, sauf les volets qui ne demandent pas de réparation. L’agent voyer note que les volets n’ont pas été transformés
1898, 1900 – Rappels – Travaux terminés, octobre 1900 - 1907 (mai) – Le maire notifie Jacques Klein, demeurant sur place, de faire ravaler la façade vers le Vieux-Marché-aux-Grains – Travaux terminés, novembre 1907.
- 1909 – Dossier ouvert suite à un courrier de la Division II. Adolphe Jehl demande l’autorisation d’exploiter le débit de boissons sis 8, rue du Vieux-Marché-aux-Grains – Les locaux du rez-de-chaussée et du premier étage servant au débit de boissons correspondent aux prescriptions, sauf le rez-de-chaussée qui a 3,10 mètres de hauteur au lieu de 3,50 mètres et les portes qui s’ouvrent vers l’intérieur. La fenêtre entre la cuisine et le cabinet d’aisance devra être murée. Les cabinets d’aisance au rez-de-chaussée et à l’étage ne reçoivent pas la lumière du jour – Rapport de l’inspecteur Nebelung – La Police du Bâtiment est d’avis d’accorder l’autorisation puisqu’il s’agit d’un ancien bâtiment si les cabinets d’aisance sont transformés.
1909 (août) – Le commissaire de police demande si les travaux ont été faits. - 1909 (juillet) – Le maire notifie Jacques Klein, demeurant sur place, de faire ravaler la façade – Klein est mort, le nouveau propriétaire est Adolphe Jehl – Adolphe Jehl demande un délai en juin 1910.
1911 – Le peintre Ch. Werner (59, rue de Zurich) demande l’autorisation de poser un échafaudage sur la voie publique devant le 8, rue du Vieux-Marché-aux-Grains appartenant à A. Jehl – Autorisation de poser un échafaudage et de ravaler la façade – Travaux terminés, juin 1911 - 1916 – Commission des logements militaires – Travaux à faite en trois points (repeindre le local et les murs de la cage d’escalier, supprimer l’humidité dans une chambre) – Les travaux ne sont pas faits, ils ne sont pas urgents, 1918
1923, remarque qu’Hélène Tresch est morte de tuberculose - 1921 – Le maire notifie Adolphe Jehl, demeurant sur place, de faire ravaler les façades – Le peintre Ch. Werner (59, rue de Zurich) demande l’autorisation de poser un échafaudage sur la voie publique – Le commissaire de police transmet la requête au maire qui donne son accord – Travaux terminés, juillet 1921
- 1923 – Dossier ouvert suite à un courrier du commissaire de police. Emile Dorschner demande l’autorisation d’exploiter le débit de boissons – L’agent ne peut visiter les lieux qui sont en cours de transformation
Rapport, mai 1923. Les locaux correspondent aux prescriptions ministérielles du 24 mars 1890 sauf la hauteur des locaux (3,10 au lieu de 3,50 mètres) et les portes qui s’ouvrent vers l’intérieur. Le débit de boissons comprend une salle et des toilettes au rez-de-chaussée, une salle à manger, une cuisine et des toilettes au premier étage. - 1923 – L’architecte Emile Kieffer (4, rue Sabine) demande au nom de la Brasserie Kronenbourg l’autorisation de transformer le rez-de-chaussée et le premier étage – Travaux terminés, juin 1923 – Dessin du rez-de-chaussée et du premier étage
- 1924 – La Police du Bâtiment constate que le restaurateur Albert Haslauer a fait poser sans autorisation une enseigne lumineuse – Demande – Autorisation
- 1930 – La Police du Bâtiment constate que la gouttière est bouchée – Le maire écrit à la Brasserie Hatt (66, route d’Oberhausbergen), locataire principal, de faire réparer la gouttière – La Brasserie de Kronenbourg (anciennement F. G. Hatt) répond que les travaux incombent au propriétaire – Le maire écrit au propriétaire Jehl, demeurant 12, rue Aubry et Rau – Travaux terminés, novembre 1930
- 1931 – L’entreprise Dentzer et Gramling (5, rue des Frères) demande au nom de la Brasserie Hatt l’autorisation de poser une enseigne au néon pour le restaurant Hasslauer (libellé, Tigre Bock) – Dessin – Autorisation – L’enseigne est posée
- 1937 (avril) – Les locataires Bœsch et Maurer se plaignent des cabinets d’aisance – La Police du Bâtiment constate que la plainte n’est pas justifiée
1937 (septembre) – Le service d’hygiène déclare que le restaurateur Burger a fait réparer les cabinets d’aisance mais qu’ils sont à nouveau détériorés – Travaux terminés, octobre
Réponse de Fernand Burger (papier à lettre Restaurant Dœrffer, propriétaire Fernand Burger), successeur de Hasslauer (1936) - 1940 – La Brasserie de Kronenbourg demande l’autorisation de changer la dénomination Restaurant Dœrffer en Gasthaus zum Alten Kornmarkt (restaurant au Vieux-Marché-aux-Grains) – Dessin
1940 – Les conjoints Victor Schmitt demandent l’autorisation d’exploiter le débit de boissons. Rapport comme les précédents. Le puisard dans la cave doit être pourvu d’une plaque en pierre ou en métal.
1942 – Avis de paiement pour une lampe - 1945 – Le bombardement aérien du 11 août 1944 détruit entièrement le bâtiment. Certificats de sinistré remis à Louise Bœsch (troisième étage), Marcel Brocher (4° étage), Jeanne Schmitt (4° étage), Eugénie Boesch (troisième étage).
- 1945 (août) – René Rohmer demande au nom de Victor Schmitt, ancien locataire du Restaurant Dœrffer, s’il est possible de reconstruire, ne serait-ce que provisoirement, un bâtiment pour reprendre son commerce – Plan cadastral
1945 (septembre) – L’architecte principal (Division VI) répond que les alignements pourront être modifiés mais que rien ne s’oppose à une reconstruction provisoire
1948 – Le terrain est entouré d’une barrière - 1946 (septembre) – La Grande brasserie alsacienne Adelshoffen demande l’autorisation de poser un baraquement provisoire à l’emplacement du Restaurant au Romain (4-6, rue du Vieux-Marché-aux-Grains) – Dessin de l’architecte C. Heitz (rue de Verdun à Bischheim)
1946 (septembre) – L’entrepreneur Scharwart (rue du Tivoli) construit sans autorisation le baraquement préfabriqué – La Grande brasserie alsacienne Adelshoffen renvoie à son précédent courrier et ajoute que le M.R.U. a fourni le baraquement dont l’architecte surveille le montage.
1946 (octobre) – Le maire donne son accord à titre précaire – Le baraquement est monté, octobre 1946. Les travaux intérieurs sont terminés, janvier 1947
1946 (novembre) – Les caves se trouvent en partie sous la voie publique. Elles menacent ruine parce que les voûtes sont fissurées. Il faudra les combler. - 1955 (février) – La Grande brasserie alsacienne Adelshoffen (67, route de Bischwiller à Schiltigheim), propriétaire des parcelles 55, 56 et 57 de la section 60 dépose une demande de permis de construire sous la direction de l’architecte Charles Heitz (42, rue de Wissembourg à Schiltigheim) – Plan cadastral selon le nouvel alignement
Remarques de la Division VI. Réduire la dimension des ouvertures dans le trottoir pour les fûts. Mieux séparer le bâtiment principal et le premier étage de la façade arrière. Supprimer la marquise rue du Saumon, ne la conserver que sur 7,20 de la façade rue du Vieux-Marché-aux-Grains
1955 (mai) – L’architecte des Bâtiments de France émet un avis favorable
1955 (septembre) – Le Ministère du Logement et de la Reconstruction délivre le permis de construire
1958 (février) – Le permis de construire est périmé sans que les travaux aient été commencés.
1958 (avril) – L’architecte Charles Heitz demande de proroger le permis de construire. Les travaux ont été retardés à cause de la façade de la pharmacie voisine dont le conservation était pendante au service des Monuments historiques.
1958 (décembre) – Le préfet demande à la Commission de sécurité son avis sur le futur restaurant Au Romain qui accueillera plus de cent personnes – Le projet ne donne lieu à aucune observation. - 1959 (janvier) – La Grande brasserie alsacienne Adelshoffen dépose une demande de permis de construire – Dessins
Remarques de la Division VI. Rehausser la toiture jusqu’à la corniche du terrasson de la pharmacie, ce qui permettra d’aménager les combles
1959 (mars) – Les terrains à réunir à la voie publique seront cédés par voie de remembrement.
1959 (1 avril) – Remarques de la Division VI sur les plans rectifiés. Il serait souhaitable de prévoir partout des portes-fenêtres, sauf aux deux extrémités
1959 (13 avril) – La Division VI émet un avis favorable sur la nouvelle proposition et à une dérogation relative à la hauteur du bâtiment
1959 (octobre) – Pas de mise en chantier. Le local provisoire n’est pas démoli
1959 (novembre) – Le Ministère du Logement et de la Reconstruction délivre le permis de construire (dossier N° 6181 et 6182 Z). Les versants de la toiture seront couverts de tuiles plates vers la rue, les enduits seront lisses, leur teinte fera l’objet d’un accord.
1960 (janvier) – Le préfet accorde dérogation, la hauteur sous corniche est portée à 15,10 mètres
Suivi des travaux. 1960 (février), la baraque provisoire est démolie, entreprise Hœllé-Matter. 1960 (avril), les murs de la cave sont coulés, le coffrage de la dalle haute est en cours. 1960 (juin), le gros œuvre se poursuit au rez-de-chaussée, piliers en béton armé, briques cellulaires. 1960 (septembre), le gros œuvre se termine, la corniche est réalisée. 1961 (janvier), le gros œuvre est achevé. L’aménagement intérieur commence. Le bâtiment suit l’alignement de la rue du Saumon, il est en arrière de celui rue du Vieux-Marché-aux-Grains de 22 à 24 centimètres. 1961 (mai), le bâtiment ne correspond pas entièrement aux plans. 1961 (octobre), l’aménagement intérieur est en voie d’achèvement. 1962 (février), les travaux sont entièrement terminés. La réception finale n’a donné lieu à aucune objection. Rez-de-chaussée, restaurant de 320 m². Premier étage, entrée rue du Vieux-Marché-aux-Grains, deux logements de deux pièces, un logement de trois pièces, deuxième et troisième étage, idem. Premier étage entrée rue du Saumon, un logement de deux pièces, deuxième et troisième étage, idem.
1961 (juin) – La Grande brasserie alsacienne d’Adelshoffen dépose une demande de permis de construire – Le Ministère du Logement et la Reconstruction délivre le permis de construire (avenant), 15 septembre 1961
1962 (mars) – Les installations sanitaires sont conformes au règlement de la Ville – Le maître ramoneur René Arnold de Schiltigheim délivre un certificat de conformité - 1961 – La Grande brasserie alsacienne Adelshoffen demande l’autorisation de poser des enseignes au néon (libellé Au Romain et deux enseignes Bière Adelshoffen)
Même demande par la société Ott Frères – L’architecte des Bâtiments de France émet un avis favorable à condition de déposer une enseigne posée sur la façade arrière – Dessin - 1962 – Récépissé de déclaration. Dépôt non souterrain de mazout (12.000 litres) au restaurant Au Romain – La Grande brasserie alsacienne d’Adelshoffen demande l’autorisation correspondante pour alimenter une chaudière au sous-sol
- 1970 – Le préfet autorise Léon Maschino, né en 1908, directeur général de la Société d’exploitation de la brasserie restaurant Maschino et Compagnie, à exploiter le débit de boissons de quatrième catégorie Au Romain dans trois salles au rez-de-chaussée.
- 1971 – Le préfet demande un rapport avant d’autoriser Charles Sengel à exploiter le restaurant – La Police du Bâtiment fait un rapport sur les locaux (salle de restaurant, salle à manger, cuisine, toilettes), elle n’a pas d’objection à formuler.
Le préfet autorise le 17 février 1972 Charles Sengel, président du conseil d’administration de la Société d’exploitation de la brasserie restaurant Maschino et Compagnie, à exploiter le débit de boissons Au Romain. - 1974 – La Commission interurbaine de sécurité fait son rapport sur le restaurant Au Romain, 6-8 rue du Vieux-Marché-aux-Grains
1975, idem. Exploitant, Sengel. Les mesures prescrites en 1974 n’ont pas été observées. Un nouveau contrôle en avril montre que les mesure sont appliquées. – Autorisation d’ouverture au public (effectif de 450 personnes), mai 1975 – La Grande brasserie alsacienne d’Adelshoffen fournit les plans des issues de secours.
1976 – Nouveau rapport
1977, 1979, 1980 – Idem - 1979 – Charles Sengel sollicite une autorisation d’ouverture tardive (3 heures du matin) – Le préfet accorde l’autorisation – Idem, 1980
- 1979 – Le restaurant Au Romain demande l’autorisation de transférer l’enseigne dans la rue du Saumon et d’en poser de nouvelles rue du Vieux-Marché-aux-Grains et rue du Saumon – Photographies – Dessin
La société Kappeler (enseignes, rue de la Première Armée) dépose une demande
1980 – Le restaurant Au Romain demande l’autorisation de transférer l’enseigne dans la rue du Saumon et d’en poser une nouvelle rue du Vieux-Marché-aux-Grains – Photographies – L’architecte des Bâtiments de France émet un avis favorable – Le maire accorde l’autorisation de poser deux enseignes lumineuses – Les enseignes sont posées, octobre 1980. - 1980 (juin) – Les établissements Lucien Walter (à Mundolsheim) demandent l’autorisation de poser un store en corbeille à lambrequin comportant une inscription – Dessin, photographie – L’architecte des Bâtiments de France émet un avis favorable – Le maire accorde l’autorisation
1980 (août) – M. Sengel demande l’autorisation de remplacer la toile. L’architecte des Bâtiments de France émet un avis défavorable
1980 (octobre) – L’architecte des Bâtiments de France émet un avis favorable au nouveau projet – Les objets sont posés, décembre 1980 - 1981 – La Commission interurbaine de sécurité fait son rapport sur le restaurant Au Romain exploité par M. Sengel
- 1980 – La Police du Bâtiment constate que le restaurant Au Romain a posé sans autorisation deux enseignes lumineuses à double face – La Grande brasserie alsacienne d’Adelshoffen déclare que les enseignes étaient provisoires et les a fait déposer.
- 1981 – Charles Sengel demande de renouveler l’autorisation d’ouverture tardive
- 1983 – Roger Sengel, demeurant 106, rue du Rebhof à Westhoffen, demande l’autorisation d’exploiter le débit de boissons de quatrième catégorie en qualité de président du conseil d’administration de la société anonyme Société d’exploitation de la brasserie-restaurant Au Romain Charles Sengel. Le préfet demande un rapport sur les locaux. La Division II répond que les locaux ont fait l’objet d’une autorisation municipale d’ouverture le 14 mai 1975, la commission de sécurité émet un avis favorable
- 1984 – L’entreprise générale d’électricité Schoro et Compagnie soumet un projet d’éclairage de la devanture (douze lampes) – Dessin – L’architecte des Bâtiments de France émet un avis favorable – Le maire accorde l’autorisation – Les lampes sont posées, juillet 1984.
- 1984 – La Commission de sécurité fait son rapport
- 1985 – Roger Sengel demande l’autorisation de remplacer la toile des stores en corbeille – L’architecte des Bâtiments de France émet un avis défavorable (les stores devront être en toile teintée et non blanche) – Note, la réalisation n’est pas satisfaisante mais peut être maintenue, septembre 1985.
- 1987 – Roger Sengel demande l’autorisation de poser un auvent (15,40 de long, saillie de 3,50 mètres – Photographie – Même demande par la société Rowa (zone industrielle de Hœrdt) – L’architecte des Bâtiments de France émet un avis favorable, sous réserve que le store n’empiète pas sur les piliers à chaque extrémité – Autorisation
Autres dossiers (anciens numéros 4 à 8)
1540 W 317 – 8, rue du Vieux-Marché-aux-Grains, modification de la devanture (2002)
1541 W 395 – magasin (2002)
1600 W 595 – modification de la devanture (2001-2004)
1601 W 909 – devanture (2003-2004)
1687 W 1639 – réfection de la toiture (2010-2011)
1689 W 517 – réfection de la toiture, zinguerie (2012-2013)
Relevé d’actes
Le commissaire priseur Jean von Miltenberg fait construire un auvent en 1556. Le tailleur Jean von Miltenberg fait baptiser sa fille Anne le 3 janvier 1552. Il est commissaire priseur lors du baptême en 1557 de Jacqueline issue de sa femme Barbe
Baptême, cathédrale (luth.) 1552. Ianuario d 3. Hans von Multenburg schneid. baptizabat puella Anna (i 11)
Baptême, cathédrale (luth. p. 155) 1557. den 28. feb. Hans von Multenberg der Keuffler, M. Barbara, I. Jacobe (i 50)
La maison est inscrite au nom du barbier Jacques Kopp dans le Livre des communaux (1587). Fils de Jean Kopp de Blaubeuren en Wurtemberg, Jacques Kopp épouse en 1570 Anne, fille du commissaire priseur Jean von Mültenberg. Remarque – Jacques Kopp n’est pas porté au livre de bourgeoisie
Mariage, Saint-Pierre-le-Jeune (luth. f° 130-v)
1570. Dnca Prima post Epiphanie. Jacob Kopp Hans Koppen Son von Blawbeuren, Anna Hans von Mültenburg des Keüfflers dochter. Sind Eingesegnet vff Zinstag 31. Januarÿ h. 9. (i 70)
Il est barbier au Marché aux Grains au baptême de sa fille Barbe en 1575
Baptême, Saint-Pierre-le-Jeune (luth. f° 271)
1575. Am Donnerstag den 18 Octobris. p. Jacob Kopp scherer am Kornmarkt, M. Anna, I. Barbara (i 141)
Jacques Kopp l’aîné hypothèque la maison au profit de Jonas Metzger. Son fils Jean Kopp se porte garant.
1607 (vt spâ [xix. tag Septembris]), Chancellerie, vol. 370 (Registranda Meyger) f° 392
(Inchoat. in Proth. fol: 311.) Erschienen Jacob Kopp der elter Balbierer burg. Zu Straßburg
hatt bekhandt vndt In gegenwertigkheit Jonas Metzigers burgers Zu Straßburg offentlich verÿehen schuldig sige 50 guldin Straßburger werung
Zum vnderpfand eingesetzt vnd verlegt Ein Vorder vnd hind. hauß mit Ihrenn hoffstett. Auch Ihren gebeüen & geleg. Inn d. Statt Straßburg Am Kornmarck einsit neben der herrberg Zum Salmen vnd And.sit ein Eckhauß Am Salmen gäßlin hinden vff gemelte herrberg stoßend Dauon gond xij guldin gelts Ablösig mit 300 guldin werung H. Georg Nagel pfarrer Zu Doroltzh. Sunst eÿg.
Vnd Zu noch mehrer vorgewüsserung, So Ist Auch persönlich erschienen, Hannß Kopp auch Balbierer burg. Zu Straßburg sein des Bekhenners Sohn hatt sich für sich & Mit sampt Ime dem Bekhenner Zu einem bürg. mit: und und selbst schuldner Vnver: gesetzt und gemacht
Le barbier Jean Kopp et sa femme Anne, fille du commissaire priseur Jean von Mültenberg, vendent à leur fils Jean Kopp et à sa femme Madeleine Bauwel une maison comprenant un bâtiment avant et un bâtiment arrière au Vieux-Marché-aux-Grains
1612 (xxiij Junÿ), Chancellerie, vol. 400 (Registranda Kügler) f° 168-v
Erschienen Jacob Kopp der Balbierer vnd Anna wÿland hannß von Mültenberg des Keüfflers vnd burg. alhie seeligen dochter sein eheliche haußfrau haben (verkaufft)
Hannß Koppen dem Balbierer Ihrem Sohn vnd Magdalena Bauwelin seiner ehegemahlen
Zweÿ heüser ein förders vnd ein hinders mit Iren hoffestatten auch allen and Iren gebeuwen & gelegen In der Statt Straßburg gegen dem Kornmarck einsit ein Eck am Salmengäßlein andersyt neben der Herberg Zum Sallmend stoßend hinden Vff bemelte Herberg, Dauon gendt Zwölff guldin gelts Straßburg werung H Georg Nagel Pfarrherren Zu Dorlesheim Alle Jar vff Johannis Bptiste Ablosig mit 300 guldin derselb. werung, Mehr 10 guldin gelts auch Vff Johannis Baptiste Widerkäuffig mit 200 guldin Straßburger Johann Strohäcken handelßmann Vogtlicher weÿs, Item 5 guldin gelts S vff d. xviij Martÿ loßig mit 100 gulden bemelter werung den Closter Frauwen Zu den Reuerein, Mehr verhafftet für j lb v ß d gelts vff S Michel tag V 25 pfund pfenning hauptgutts Margreden Jonas Metziger seligen witwe, So dann für 25 pfund pfenning den Kheüffern auch hanns Merckel holtzhändlern als Burgen gegen herrn der Munßen mit gebürend Zinß Zu legen Sunst für freÿ ledig eÿg. V alles Recht & der Khauff vber obbestimpte beschwerden für 400 pfund
Vnd Ist beredt das die verkheuffer so lang sie beyde Inn leben auch Ir dochter Barbell alls dieweÿl sie vnuer. für sich Inn obgeschrib. behußung, sonderlich der vatter v. die Mutter die Stub v Cammer daran ob die Scherstub auch der hauß ohr. v Kuchen dauor Ir wonung haben soll. Der Kheufer soll auch allen der (…)
(Vide Registrand. de Anno 1631. fol. 561. fac. 2.
Fils du barbier Jacques Kopp, Jean Kopp épouse en 1601 Madeleine Bauwel, fille du forgeron Laurent Bauwel
Mariage, Saint-Nicolas (luth. f° 53 n° XV)
1601. den 14. Julÿ sind Ehelich eingesegnet word. Johann Kopp von Straßburg d. Balbirer, Jacob Koppen deß Balbierers vndt Burgers alhie Sohn, vnd Jungfrau Magdalena Bauwelin, Lorentz Bauwels deß Schmidts vnd Burgers alhie dochter (i 60)
Jean Kopp passe un contrat par lequel il prend en apprentissage Louis Fehrler, beau-fils du fabricant de papier Isaac Jeckelmann
1602 (Ersten Julÿ), Chancellerie, vol. 343 (Registranda Kügler) f° 311-v
(Inchoat. fo: 322.) Erschienen Hannß Kopp der Scherer burger alhie ane eim,
So dann Isaac Jeckelman Papÿrer, auch burger alhie, Inn nammen und als Stieffvatter Ludwigs, Wÿland Ludwig Fehrlers des Soldners seligen Sohns am and.n theÿl
Haben beÿde Partheÿen gegen einand. bekhandt vnd offentlichen verÿehen, das Sie sich von bemelts Ludwigs mit einander wegen freundlichen v.einbart vnd v.glichen wie hernach volgt, Namlich, Das bemelter Hans Kopp gedachten Ludwigen Zu seinem handwerck für einen gesellen vff vnd annemmen soll Ein Jar lang so vff Johannis Baptistæ nechst verschinnen angefangen In solcher Zeit des Barbierer handwercks beÿ welchem handwerck er Zuuor auch Zweÿ Jar gewesen (…)
Jean Kopp passe un contrat par lequel il prend en apprentissage Simon, fils de feu le notaire Simon Schrottlinger
1604 (xxj Augusti), Chancellerie, vol. 350 (Registranda Kügler) f° 247
(Inchoat. fo: 258.) Erschienen der Ersame Meyster Hanns Kopp der Scherer an eim
So dann Herr Johanns Reyth Notarius alls geschwornenn Vogt Simons wÿland Simon Schrottlinger Notarÿ seligen Sohns am andern theyl
haben sich beyde parthey mit einander von wegen bemelts Vogts Sohn mit einander freündlich vereinbart vnd verglichen Inn diße weÿß, Namlich soll v will Mayster Hanns Kopp bemelten Simon den vogt vff v anemen Zwey Jar lang die nechsten nach.der volgend v vff Sanct Ohßwaldts nechstverschÿnen angefangen (…) das Scherer handwerck (…) lernen v vnderrichten
Jean Kopp demande de ne pas perdre son droit de bourgeoisie alors qu’il va séjourner à Willstett pour surveiller une construction. Le pêcheur Nicolas Roser et le maçon Jean Brohl se portent garants.
1605, Conseillers et XXI (1 R 84)
(f° 115-v) Montag den XXIX Aprilis – Hans Kopp
Hans Kopp hab Zu Willstett ein baw angenohmen, dem er dissen Sommer abwarten will auch so er Ime gefalt sein burg: Recht hernach aufsag. Bitt Ime Schein mit Zutheilen d. er 2 wegen mit hausrecht mog hienaus fahren. Erkant, Ist willfahrt und soll burgen stellen wie herkommen.
NB hatt herren burg, Claus Roser fischer vnd Hanns Brol den Maurer gestelt den 30. diß Mnh* Ime ein Zedul *en geben.
Jean Kopp passe un contrat par lequel il prend en apprentissage Daniel, fils de feu l’aubergiste au Loup Daniel Gassger
1605 (2 Decembris), Chancellerie, vol. 357 (Registranda Kügler) f° 296
(Inchoat. fo: 359.) Erschienen der Ehrenhafft Hanns Kopp der Scherer ane eim
So dann Herr Caspar Schröpfer offner Notarius alls geschworner Vogt Daniel, Daniel Gassger geweßenen würtths Zum Wolff Sohn am andern theil,
Haben beÿde Partheÿen gegen einander bekhant Vnd offentlich verÿehen, das sie sich von wegen bemelts Daniels Inn diße wÿß Nemblich Soll Vnnd will Maÿster Hanns Kopp, bemelten Daniel den Vogt Sohn vff vnd annemmen, Zweÿ Jahr lang die nechsten nach einander Volgendt vnnd Vff Wÿhenachten nechst Khünfftig anefangen sollen, Ine Zuuorderst Zur ehr vnd furcht Gottes vfferziehen, mit essen drincken vnd gelÿger Versehen, das Scherer handwerck Inn bestimpter Zeÿt mit allem Vleÿß Vnnd ernst nach seinem besten wissen, lernen vnd vnderrichten
Jean Kopp passe un contrat par lequel il prend en apprentissage Jean Conrad Rœsch, fils de feu le receveur Conrad Rœsch
1607 (1. tag Augusti), Chancellerie, vol. 373 (Registranda Kügler) f° 213
(Inchoat. fo: 226.) Erschienen der Ehrenhafft Hannß Kopp der Balbierer burger Zu Straßburg ane einem
So dann Hannß Roth d. Schneÿder burg. alhie, alls geschworner Vogt, Hannß Conrad Röchen, Wÿland Conrad Röchen deß geweßenen Kuchen schaffner Im mehren Spittal alhie seligen Sohn, Mit beÿstand h. Daniel Anthoni Voli burg. alhie seines Stieffvatters Vnd Catharinen Märxin seiner lieben Mutter am andern theÿl
haben beÿde Partheÿen gegen einander bekhant, Vnnd offentlich verÿehen, daß sie sich Vonn bemelts hannß Conrad Röchen deß Vogtsohns wegen freündtlich Verglichen Vnd Vereÿnbart Inn dißen Wÿß Nemlich, Will erstgenanter Hanß Copp bemelten Hannß Conrad Röchen zu seinem handwerck Vff Vnd Annemmen, Zweÿ Jahr lang die nechsten nach einander Volgendt vnd vff Johannis nechst verschinen angefangen
Jean Kopp passe un contrat par lequel il prend en apprentissage Marx Letzmann, beau-fils de Nicolas Gœpffer, de Friesenheim près de Lahr
1608 (21. Xbris), Chancellerie, vol. 377 (Registranda Kügler) f° 374
(Inchoat. fo: 403.) Erschienen Hanß Kopp Scherrer burger Zu Straßburg ane eim
So dann Claus Göpffer von früeßenheim In die herrschafft lohr gehörig, In nammen Marx Letzman seines Stieffsohns am and. theil
Haben bede Partheÿen gegen einander bekhandt vnd offentlich verÿehen, das sie sich nachuolgenden bedings halben freündtlich V.glichen In dise weÿß, Nemmlich Soll vnd will obgemelter M. Hans Kopp Ime Marx Letzman Zu seinem Lehr Jung. Zweÿ Jahr lang so vff den heÿligen Weÿhenachten Jetz nechst Khünfftig anfahen sollen, vff und angenomen
Jean Kopp rembourse à Sébastien Jung et Odile Burger un capital de 200 florins garanti sur sa maison
1614 (11. Novembris), Chancellerie, vol. 409 (Imbreviaturæ Contractuum) f° 73
Kauffverschreÿbung Hanß Koppen Barbierers vber 10 g. w. Zinß mit 200 g. abzulosen
(Extendirt wie in Volum: Contr. de Anno 1614 folio 132.) Erschienen Sebastian Jung Soldat vnd Otilia Burg. alhie
hatt in gegenwertigkeyt Hanß Koppen des Barbierers auch burg. alhie (verkaufft)
Zehen gulden Jährlichs gelts Straßburg. wehrung Jährlichs auff Johannis Baptistæ gefallend welche er Hanß Kopp Innhalt einer vnd. dato den 24. Januarÿ Anno & 1587. auffgerichtet. Zinßverschreybung wie In der Cancelleÿ In d. imbreviaturæ de Anno & 1587. folio 13. Zubefind. biß dahero von 200 gulden hauptguts von vnd abe seiner Behaußung alhie neben dem Salmen Geßlein vnd d. Herberg Zum Salmen geleg. als den bahr vorlegt. vnd.pfandt Zureychen schuldig geweß. vnd were d. Kauff geschehen für vnd vmb 160 guld.
Jean Kopp passe un contrat par lequel il prend en apprentissage Daniel, fils de feu le vitrier Paul Bischoff et de Susanne Rœderer
1614 (8. Junÿ), Chancellerie, vol. 413 (Registranda Kügler) f° 151
(Inchoat. fo. 147.) Erschienen Frantz Ysenheim Notarius alls geschworner vogt hanns Daniels wÿland Pauli Bischoffs glaßer seligen Sohn Mit beÿstand Fr. Susanna Reddererin Sein Mutter auch herrn Johann Strohecker alls verwandten ane eim
So dann des Ehrenhafft hanns Kopp Balbirer andern theyls
haben beyde parteÿen gegen einander bekhant vnd offentlich verÿehen, das sie sich vonn bemelts Daniel der vogt Sohn sonderlich verglichen Inn diße wÿß, Namlich das bemelter hanns Kopp Ine Danieln Zu seinem leerjungen vff vnnd annemmen soll Zweÿ Jar lang die nechsten nacheinand volgend So vff Johannis Baptistæ nechskhünfftig anefahen sollen (…)
Jean Kopp passe un contrat par lequel il prend en apprentissage Laurent Hertzog, fils de feu Laurent Hertzog d’Oberweier près de Lahr
1612 (7. Junÿ), Chancellerie, vol. 400 (Registranda Kügler) f° 153-v
(Inchoat. fo: 168.) Erschienen Lorentz Herrtzogk wÿland Lorentz hertzogen zu oberwÿher Inn lahrer herrschafft Oberweyr gehörig seliger Sohn mit beÿstand vnd bewilligung Jacob Sigele wohnhaft daselbs seines geschwornen vogts, Mehr Claus Göpferts vonn Frießenheim seines vettern ane eim
So dann des Ehrenhafften hannß Koppen Balbierer burgers Zu Straßburg am andern theyl
haben beÿde Partheÿen gegen einander bekhant vnd offentlich verÿehen, das die partheyen sich vonn sein Lorentz herzogks wegen freundlich vff heut dato mit einander verglichen Inn diße wyß Nemblich soll unnd will bemelter hans Kopp vorgedachtem Lorentz herrtzogen zu seinem Lehrjungen vff vnd annemen Zweÿ Jar lang die Nechsten nach einander volgendt So vff Johannis Baptistæ nechstkhünfftig anestehen sollen In der Balbier handwerck (…)
Jean Kopp et Madeleine Baumwol hypothèquent la maison au profit du vitrier Georges Ruhlmann et de ses sœurs Marie et Ursule
1626 (ut spâ. [7. Julÿ]), Chambre des Contrats, vol. 459 f° 472-v
Erschienen hannß Kopp der balbierer burg. Zu Straßburg Vnd Magdalena Baumwolin sein eheliche hauß frauw
haben in gegensein Jörg Rulmann des glaßers Marien Vnd Ursulen, aller dreÿen geschwistern – schuldig seÿen 25 Pfund
zu vnderpfand eingesetzt vnd verlegt hauß hoffstatt Vnd hinderhauß, mit & geleg. Inn d. St: St: vff dem kornmarck einseit ein eckhauß Ane dem Salmengäßell, And. seit der herberg Zum Salmen, hinden vff gemelte herberg stoßend, dauon gend. 12 guld. in gelts lößig mit 300 guld. wehrung weÿland Geörg Nagell seligen Witwen vnd erben, Vnd dann v. gld. geltd lößig mit j C gulden gelts werhrung dem Schaffner Zur Reweren
Jean Kopp se remarie en 1627 avec Marie Cléophée, veuve de Louis Ruckhard, maître des forêts au service de Nassau à Friesenheim
Mariage, Saint-Pierre-le-Jeune (luth. p. 66)
1627. Dom: LX 28. Jan: Johann Kopp burger vndt barbierer allhie Und Maria Cleophe weiland Ludwig Ruckhardts gewesenen Nassawischen forstmeisters vndt schaffners s. Zu Frießenh. nachgelaße. wittw. (i 35)
Proclamation, cathédrale (luth. p. 228) 1627. Dominica 60, 28 Jenner. Johan Kopp der barbirer vnd Maria Cleophe Ludwig Rückhards forstmeisters Zu Frießenheim n. wittwe, eingesegnet Zum J. S. P. (i 119)
Originaire de « Weyernach » en Wetterau, Louis Rückhard épouse en 1609 Marie Cléophée, fille du pasteur de Saint-Guillaume Henri Greiner
Mariage, Saint-Guillaume (luth. f° 87 n° 18)
1609. Dominica Misericordias 30. Aprilis. Ludowich Rückhardt von Weÿernach aus der Wetteraw J. Maria Cleophe hern Mag. Heinrich Greiners altten pfarhers dißer Kirchen tochter. Eingesegnet 16. Maÿ auf einen Zinstag hora 10. (i 91)
Jean Kopp verse un paiement complémentaire à Marguerite Roser, veuve de son frère Jacques Kopp, après avoir versé le capital lors de le dévaluation. En marge, quittance remise en 1672 au barbier Jean Kopp
1631 (8. Novembris), Chambre des Contrats, vol. 470 f° 561-v
Erschienen hanß Kopp der Barbierer burger Zu St. An einem,
So dann herr Tobias Städel alter groß. Rhats verwanter alß Vogt Margreth Roserin weÿ: Jacob Koppen gewesenen Barbierers auch burgers alhie, sein hanß Koppen Bruders see: witiben, am 2. theil
Zeigten an und bekannten gegen einander demnach er hanß Kopp, besagter Vogts frawen 60. lb. so er, vermög der beÿ H Jacob Küglern alß der St. St. Contractuum Not° den 24. Junÿ Anno 1612. vfgerichten v.schreibung Järlich von, vff vnd abe seinem alhie am Kornmarckt gelegenen hauß zu v.zinsen schuldig gewesenen in Anno 1623. mit damaligem höchsten gelt abgelegt, Alß heten sie sich, nach maß alhieiger vber die Nachträg v.faßten instruction mit einander gütlichen dahin v.glichen, daß Er Kopp an gutem ietziger Zeit gäng vnd gibigen geld ihro Roserin XXX lb nachzutragen (…)
[in margine :] Erschienen er Edel- fromm und Wohlweÿs- herr Johann Philipp Mülb deß geheimen Regiments der herren dreÿzehen, hatt in gegensein H Johann Koppen deß barbierers alß iezigen Possessoris hierinn gedachter behaußung (…) Act. den 17. Aug. A° 1672.
Jean Kopp hypothèque la maison au profit des enfants mineurs de son fils Daniel Kopp
1636 (15. Septembris), Chambre des Contrats, vol. 475 f° 791
Erschienen Hanß Kopp d. Barbierer
hatt in gegensein weÿ: Daniel Koppen seines sohns see. Kinder vogts ut spâ [Jonæ Wagners deß Guldenschreibers] – schuldig seÿe 125. lb Sr. daran & ut spâ.
dafür Vnderpfand sein soll Ein Vorder: vnd hind.hauß höfflin und hoffstat mit allen And.en ihren gebäwen & Alhie vffm Kornmarckt neben der herberg Zum Salmen & neben den Salmen gäßlin, hind. vff besagten Salmen so zuuor v.hafftet vmb 300. fl. H. Johann Wencker XV. It vmb 100 fl. dem Closter Zun Rawern alhie Mehr umb 25. lb d. Margreth Roserin, So dann vmb 248. lb Annæ Margarethæ Jacob Füessels s: wittiben sein Koppen dochter
[in margine :] Erschienen Johann Carl Kopp der Barbierer für sich selbsten Und Margaretha Hannß Bernhard Branden deß Glaßers Eheweib, mit beÿstand ersternannts ihres Ehevogts, Geschwisterdt alß deme, ihrer Anzeig hach die hierinn beschriebene Schuld forderung gebühre, haben in gegensein Johann Koppen deß Jüngern Barbierers und Catharinä seiner Eheweibs (…) Actum den 24. Junÿ A° 1658.
Jean Kopp hypothèque la maison au profit du barbier Georges Œrtel
1651 (8. Julÿ), Chambre des Contrats, vol. 511 f° 541
Erschienen hannß Kopp der Barbierer
hatt in gegensein Georg Örtelß deß Barbierers – schuldig seÿen 25. lib.
Underpfand sein soll Zwo neben einand. gelegener Behaußung mit allen deren Gebäwen, alhie am Kornmarckh seind einseit ein Eckh und anderseit neb. d. herberg Zum Salmen geleg. davon gehnd iahrs 12. fl. wehr. lößig mit 300. fl. wehr. H. Johann Wenckhern alt. Ammaÿstern, Item 2 lib. 10. ß lösig mit 50. lib. dem Closter Zun Rewerin, Item 15. ß lößig mit 15. lib. Jacob Koppen seel: wittib, und 15 ß lößig mit 15. lib. Michael Glitzen dem Seckhlern, Item 1 lib 10 ß lößig mit 30. lib. hannß Jacob Engelhardts Kindern
Fils de Jean Kopp, le barbier Jean Kopp épouse en 1655 Catherine, fille du diacre Michel Pastorius
Mariage, Saint-Pierre-le-Jeune (luth. f° 72 n° 10)
1655. Eodem Paschalis Festo. H Johannes Kopp der Barbierer H. Johannis Koppen des Barbierers vndt burgers alhie ehelicher Sohn, Vndt Jungfr. Katharina H. M Michaelis Pastorÿ dießer unserer Kirchen diaconi eheliche tochter. Copulabantur Eod. die eodemq in loco [Zinst. d. 24.t. Aprilis Zum JSPeter] (i 83)
Les nouveaux mariés font dresser l’inventaire de leurs apports. Ceux du mari s’élèvent à 197 livres, ceux de la femme à 415 livres.
1655 (30.4.), Not. Schübler (Christophe, 55 Not 26) n° 1486
Inventarium undt beschreibung aller undt ieder haab, nahrung undt güettere, so die viel Ehren und tugendreiche fr. Catharina Pastoriusin, Zu dem Ehrenhafften Herrn Johann Koppen barbierern ihren geliebten ehemann Inn den ehestandt gebracht, welche der ursachen, dieweilen inn Ihre beeer mit einand. vffgerichten Eheberedung v.sehen d. einem Jeden sein Inn den Ehestandt Zubringende Nahrung ein reservirt vndt unverändert guet sein solle (…) Act. In fernerer gegenwart Zugleich des Ehrwürdig vndt wohlgelehrten H M: Michaelis Pastorÿ, Diaconi Zum Jung. S. Peter d. et deßen geliebten haußfr. beede d. fr. geliebter Eltern, Montag den 30. Aprilis Anno 1655.
Abzug in dißes Inventarium. Des Herren Zubringende Nahrung, Sa. haußraths 92, Sa. werckzeugs 18, Sa. Silbergeschmeids 9, Sa. goldener ring 8, Sa. schulden Inns erbe zugeltend 65, Summa summarum 201 lb – Schulden 4, Pleibt 197 lb
d. fr. Nahrung, Sa. haußraths 190, Sa. Silbergeschmeidts 19, Sa. goldener ring 15, Sa. baarschafft 190, Summa summarum 415 lb
Jean Kopp hypothèque la maison au profit de Jean Régnard Mader, secrétaire aux affaires criminelles et à la Chancellerie
1662 (18. 9.br), Chambre des Contrats, vol. 527 f° 595-v
Erschienen Johann Kopp der Barbierer
in gegensein H. Johann Reinhard Maders Vergichtschreibers und Cancelleÿ Verwanthens – schuldig seÿe 25. lb
Unterpfand sein solle, hauß und hoffstatt mit allen deren Gebäwen, begriffen, weithen, und Zugehördten alhie an dem Kornmarckh, einseit neben der Gastherberg Zum Salmen anderseit ist ein Eckh am Salmen Gäßlein, hinden uf g. Herberg stoßend gelegen
Les préposés généraux de la Taille soumettent aux Quinze l’inventaire dressé après la mort de Catherine Pastorius. Jean Kopp régalt ses impôts sur une somme qui n’attaignait pas la moitié de la fortune constatée lors de l’inventaire. L’enquête montre que la succession est grevée de dettes. Les Quinze renvoient l’affaire aux préposés qui fixeront l’amende.
1663, Protocole des Quinze (2 R 80)
(f° 98) Freÿtag den 5. Junÿ – Stall Ca. Johann Kopp
Obere Stallherren per H. Frantz referiren laßen, demnach die herren dreÿ deß Stalls Johann Koppen deß Barbierers haußfrawen Catharinæ Pastoriußin seel. Inventarium eingelüffert so hetten Sie selbiges examinirt befund. daß die Schlußsumm 800 fl. Er aber nit gar die helffte verstallet, dahero für Nachtrag 13. lb 2 ß 6 d gefordert Würdt, die straff aber Zu Mgh. gestelt & Wann aber solche nahrung in Zimblich schlechten mitteln bestehet, absonderlich daß hauß so gleichsamb daß beste Stück davon sein solte, mit starcken wid. Zinß beschwerdt, alß vermeinen Sie Obere Stallherren es were daß geschäfft auch puncto mulctæ wid.umb ane die Herren dreÿer Zu remittiren. Erkandt, würdt placidirt.
Jean Kopp se remarie en 1664 avec Reine, fille du barbier Frédéric Steg
Mariage, Saint-Pierre-le-Jeune (luth. f° 138-v n° 6)
1664. Eâd. Dominicâ [IV. Epiphaniæ 31 Januar.] H Johannes Kopp der Barbirer Vndt Wundartzt auch Burgern allhie Undt Jfr. Regina weÿl. Hrn Fridrich Stegen gewesenen Barbirers Vndt Wundartztes allhie, auch E. E. Großen Raths alten Beÿsitzers nachgel. ehm: Tochter. Eingesegnet J. S. P. eod.die [Zinst. 9. Febr.] (i 151)
Jean Kopp se remarie en 1676 avec Anne Ursule, fille du pharmacien Jacques Guckelius de Schorndorf
Mariage, Saint-Pierre-le-Jeune (luth. f° 265-v n° 40)
1676. Dom. V. Trinitatis 25. Junÿ H. Johannes Kopp Barbirer Vndt Wundartzt allhie, Vnd Jfraw Anna Ursula Hn Jacob Gückelius Apotheckern v. Gerichts Verwandten Zu Schorndorff hinderlas. ehl. Tochter. Eingesegnet J. S. P. Donnerst. 6. Julÿ (i 279)
Anne Ursule Cuculius devient bourgeoise un mois après son mariage.
1676, 4° Livre de bourgeoisie p. 431
Anna Ursula weÿl. Jacob Cuculi gewesenen Apotheckers von Schondorff dochter, empfangt das burgerrecht von ihrem Ehemann Johann Koppen dem barbierer p. 8. golt fl. welche Er auff der Cantzleÿ erlegt hatt, ist Zuuor ledigen standts gewesen, promis. d. 3. aug. 1676.
Les enfants Kopp (Marie, Marie Salomé, Daniel, Marie Dorothée et Philippe Jacques) vendent la maison au sellier Tobie Stephan. Anne Ursule Guckel, mère et belle-mère respective des vendeurs, renonce à la jouissance viagère de la maison vendue.
1702 (15.5.), Chambre des Contrats, vol. 575 f° 217-v
(1100) Joh: Pastorius buchdrucker alß Vogt Mariæ Koppin, ferners Barth: Erasmus Allbrecht Kupferschmidt alß Vogt Mariæ Salome u. Daniels geschwisterd der Koppen, u. dann Maria Dorothea Koppin so majorennis u. ohnbevögtiget, für sich u. nôe. Philipp Jacobs Knöpffmachers ihres bruders anjetzo in der frembde u. gleichfalls majorennis auch unbevögtiget
in gegensein Tobiæ Stephans sattlers
ein Vorder u. hinterhauß mit ihren hoffstätten u. allen anderen ihren gebaüen, begriffen, zugehörden, u. gerechtigkeiten, allhier gg. dem Kornmarckt einseith ist ein eck ahm salmengäßel anderseit neben der Herberg zuem Salmen hinten auch darauf stoßend gelegen – davon gibt mann jährlichen 2 ß Vom Wettertächel auf der Statt Pfthrn. – Worbeÿ ferners erschienen Anna Urßula geb. Guckelin der Curandin Stieff u. rechtmutter mit beÿstand u. consens Joh: Caspar Dechen haußfeurers ihres Curatoris, die hat in obigen Verkauf consentiret, mithien sich erkläret, daß pto. auf sothanen hauß habenden Wÿdembs, keine ansprach mehr ahn d. hauß, sondern allein ahn obigem Kaufsch. machen, einfolglich sich die zinß Von erwehntem Kaufß. pro rato reserviren wolle – um 150 und 50 pfund Capitalien verpfändet, geschehen um 900 pfund
[in margine :] hierinnen gemelde Maria Dorothea Koppin in gegensein hierinnen besagten Emptoris, Stephans, (quittung) 180 lb, Worbeÿ ferners geweßen Anna Urßula geb. Guckelin Dero mutter mit beÿstand u. consens Joh: Caspar Dechen haußfeurers ihres Curatoris, die hat in solche heutige handlung consentiret, u. dahero auf den wÿdumsgenuß renunciret, den 23. Maÿ 1702
[in margine :] Anna Urßule Koppin geb. Buckelin noe. Philipp Jacob Koppen hierinnen gemeldet, Kraft eines Vor H. Joh: Heinrich Jungen Notario sub dato franckfurt ahm Maÿn den 19. Maÿ jüngst gegebenen, Von ihme Koppen unterschriebenen gewalts mit beÿstand u. consens Joh: Caspar Dechen Haußfeurers ihres Curatoris (quittung) 8. junÿ 1702
Fils d’Elie Stephan, de Waltersdorf près de Schweidnitz en Silésie, Tobie Stephan épouse en 1700 Marie Madeleine, veuve du sellier Jean Daniel Heusch.
Mariage, Saint-Pierre-le-Jeune (luth. f° 99)
1700. Eodem die [Dominica VIII et X. post Trin.] proclamati sunt Tobias Stephan der Ledige Sattler gesell H Elias Stephan E* v. gerichts schultz Zu Wißden Waldersdorf in Schlesien hinderlaßener Ehelich. Sohn, vndt Maria Magdalena Weÿland Johann Daniel Heischen burgers v. Sattlers allhier Hinderlaßene Wittib Copulati sunt d. 18. Augusti Zu Jungen St: Peter (unterzeichnet) Tobiaß Stephan Alß Hochzeitter, maria magdalena Heÿschin als hochzeiterin, Andreas stumpff als schwager (i 101)
Fils du sellier du même nom, Jean Daniel Heusch épouse en 1688 Marie Madeleine, fille de Jean Régnard Brecht, diacre à Saint-Pierre-le-Jeune : contrat de mariage tel qu’il est copié à l’inventaire, célébration
Copia Eheberedung – zwisch. dem Ehrengeachten mstr. Johann Daniel Heÿschen, leedigem Sattler, als dem H. Hochzeith. ane einem, So dann d. tugendsamen Jfr Maria Magdalena, deß weÿl. wohl Ehrwürdig v. Wohlgelehrt. H M. Johann Reinhard Brechten, geweßene, treweÿfferig. Diaconi Zum Jung. St. Peter allhier in Straßb. m. d. auch weÿl. Ehr. v. tugendreich. Fr. Catharina gebohrner v. d. Straß beed. Eheleuth. nunmehr seel. ehelich erziehlt. docht. als d. Jfr hochzeiterin andern theils
darbeÿ in beÿsein (…) d. Ehrengeachten auch Zu Ehrsam v. bescheidenen Mstr Daniel Heÿschen, Sattlers, als deß Hochzeithers Vatters, mstr. Philipp Heÿschen auch Sattlers deß hochzeithers Vatters bruders (…) auff Sein deß Hochzeithers, So dann auff Ihro d. Jfr. hochzeitherin Seithen der Ehren Vest v. Vorgeachten H. Joh: Caspar Emmerichs Weinhändlers d. Hfr. hochzeiterin H Vogts, H. M. Johann Reinhard Brechten freÿpredigers v. præcepr: Clas. als d. Jfr. hochzeiterin H. Bruders (…) So beschehen in Straßburg Dienstags d. 21. 7.br Anno Christ. 1688. Benedictus Groß, Nots. publ. juratus
Mariage, Saint-Pierre-le-Jeune (luth. f° 17)
1688. Domin. XVI et XVII. post Trinit. seindt proclamirt vndt außgeruffen worden Johann Daniel Heüsch der Sattler alhier, Daniel Heüschen deß satlers v. burgers alhier ehl. sohn Vndt Jfr. Maria Magdalena weÿl. Hrn M. Joh: Reihardt Brechten geweßten Wohlverdient. Diaconi vndt Helfers beÿ dieser Kirch Zum Jung. S. Peter alhier Nachel. ehl. tochter. Copulati sunt Mittw. d. 13. 8.bris (unterzeichnet) Johann Daniel Heÿsch als Hochzeiter, Maria Magdalena brechtin als hochzeiterin (i 13, proclamation Saint-Nicolas f° 42 n° 20)
Jean Daniel Heusch meurt en 1699 en délaissant deux enfants et un posthume. L’inventaire est dressé dans la maison du boulanger David Stiegler au Vieux-Marché-aux-Grains. La masse propre à la veuve est de 282 livres, celle des héritiers de 50 livres. L’actif de la communauté s’élève à 322 livres et le passif à 295 livres.
1699 (13.8.), Not. Rohr (Daniel, 46 Not 5) n° 215
Inventarium und Beschreibung aller der Jeniger Haab, Nahrung vnd Güthere, Liegender und Vahrender, Keinerleÿ außgenommen, so weÿl. der Ehren und Vorgeachte herr Johann Daniel Heÿsch, geweßene Sattler und burger alhier zu Straßburg nunmehr seel. nach Seinem den 19.ten Julÿ instehenden 1699.sten Jahrs genommenen tödlichen ableiben, Zeitlichen verlaßen, Welche Verlaßenschafft auf freundliches ansuchen erfordern und begehren, deß Wohl Ehrenvesten, Großachtbahren vnd Rechtsgelehrten H. Johann Andreas Käufflins, J. U. Candidati und Vornehmen Burgers allhier, als geordnet und geschwohrnen Vogts Mariæ Magdalenæ v Johann Philipßen deß abgeleibten mit deßen hinterlaßenen hernach benannten Wittib ehelich erzeigter Kinder und nebst einem annoch under Mütterlichem Hertzen Liegendem Posthumo ab intestato nachgelaßener Erben, fleßig inventirt, und ersucht durch die Viel Ehren und tugendsahme fraw Mariam Magdalenam Heüschin gebohrene Brechtin die Hinterbliebene Wittib, beÿständlich deß Ehrenachtbahren Herrn Andrea Stumpffen, Kieffers vnd burgers allhier Zu Straßburg, deroselben geschwohrnen Curatoris (…) So beschehen in der Königlichen freÿen St. St. in fernerem gegensein, deß Wohl Ehrwürdig vnd Hochgelehrten Herren M. Johann Reinhardt Brechten, Præceptoris inf. Gymnnasÿ, der Fr. Wittib geehrten herrn Bruders, Donnerstags d. 13. Aug. Anno 1699.
In einer allhier Zu Straßburg, nechst dem Kornmarckh genegenen: H David Stieglerin weißbecken vndt Burgern allhier eigenthümlich zuständigen behaußung befunden woden wie volgt
Ane Höltzen: und Schreinwerck, Auff der Bühn, In der Wohn Stub, In der Stub Cammer, In der Cammer A, In der Kuchen, Im haußöhren, In der Bauch Küchen, Im Laden
Ergäntzung der Wittib abgegangenen unveränderten Gueths. Vermög deß über Beeder geweßener Ehepersohnen einander in die Ehe zusammengebrachte Nahrung, durch Weÿl. H. Notm. Benedictum Großen concipirten und H. Johann Peter Kolben auch Notm. publ. in Anno 1692. expedirten Inventarÿ
Series rubricarum hujus Inventarÿ. Der Wittib Vermögen betr. Sa. haußraths 14, Sa. Silbers 2, Sa. Guldener Ring 3, Sa. baarschafft 3, Sa. Ergäntzung 258, Summa summarum 282 lb
Der Erben Guth belangend, Sa. haußraths 13, Sa. Silbergeschmeids 3 ß, Sa. Ergäntzung 36, Summa summarum 50 lb
Theilbahre Verlaßenschafft, Sa. haußraths 53, Sa. gemacht arbeith 146, Sa. Frucht 12, Sa. Wein v. Vaß 6, Sa. Silber 14, Sa. baarschafft 75, Sa. Activ schulden 12, Summa summarum 322 lb – Schulden 295 lb, Nach deren Abzug 27 lb
Conclusio finalis Inventarÿ 360 lb
Copia Eheberedung (…) So beschehen in Straßburg Dienstags d. 21. 7.br Anno Christ. 1688. Benedictus Groß, Nots. publ. juratus
Copia Codicilli reciproci. 1689. (…) auf Sontag d. 5. Junÿ (…) Benedictus Groß, Nots. publ. requisitus
Originaire de Schweidnitz en Silésie (aujourd’hui Świdnica en Pologne), Tobie Stephan s’adresse aux Quinze pour pouvoir faire son chef d’œuvre. Les certificats de baptême et d’apprentissage tardent à venir, il n’a pas appris à faire les courroies comme l’exige le règlement de Strasbourg. Les Quinze l’autorisent le 29 mars à présenter son chef d’œuvre en lui donnant trois mois pour produire les certificats. Il devra apprendre à faire les courroies chez un maître d’après un accord passé en avril avec la maîtrise. Il présente en mai son chef d’œuvre que les examinateurs lui demandent de parfaire. Il n’est pas autorisé à présenter les courroies en même temps que la selle. Les examinateurs relèvent encore des défauts en juin mais le candidat est reçu maître. Tobie Stephan participe pour la première fois au conseil le 4 août 1700.
1700, Protocole de la tribu des Tanneurs (selliers, XI 370, 1692-1727)
(f° 74) Montags den 7. Martÿ Anno 1700 – Tobias Stephan der Ledige Sattler gesell gebürtig von Schweidnitz auß der Schleßing, stehet vor, bittet Ihne Zu erlauben das Meister Stück aufzunehmen vnd Zu verferigen, producirt anbeÿ ein Schreiben auß Schweidnitz sub dato den 5. Januarÿ Ano 1700, in welchem enthalten, daß wann Implorant nach Ordnung ein authentisch attestatum, daß er allhier Meister Zu werden, verstiglich gesonnen würd übermachen, man Ihme deßen Geburths und Lehr brieff als dann überschicken werde. Erkand, soll vorderist die benöthigte Schein, als geburth vnd Lehrbrieff produciren, da dann fernee ergehen wurd, was recht ist.
(f° 79) Montags den 29. Martÿ Anno 1700 – Hr Niclaus Hünel der Handwercks Meister proponirte, es seÿe dato beÿ Unsern Gnädigen Herren der XV.er Erkand worden, daß Tobias Stephan der Ledige Sattler gesell sein Meisterstück auffnehmen vnd verfertigen, anbeÿ aber innerhalb 3. Monath seine Brieff von hauß kommen laßen solle. Erkand sollen ehister tagen die Wohlverordnete Obere handwercks herren erbetten vnd Ihnen der Meisterschafft anlegen, vnd was vor Unheil es dem gantzen handwerckh Zuziehe, so solcher bescheidt exequirt würde, vorgebracht, mitin die Sach zu hindertreiben alles ernstes gesucht werden.
(f° 79-v) Mittwochs den 31. Martÿ Anno 1700 – H. Handwercks Meister proponirt, Tobias Stephan der Sattler Gesell hätte E. E. Meisterschafft auf den Morgenden Tag wider vor Unßere Gn. herren die XV. citiren laßen, verlangt also Zu wißen, was hiebeÿ Zuthun seÿe. Erkand, wird Zu anhörung der Klag der handwercks Meister vnd Johann Conrad Hertzog deputirt.
(f° 80-v) Sonntags den 17. Aprilis Anno 1700 – Tobiæ Stephan des Ledigen Sattler gesellen pt° auffnahm des Meisterstücks ist dato Zwischen Imploranten vnd E. E. Meisterschafft gütlich abgered und verglichen worden, daß weilen derselbe nicht nach allhießigem Lehrbrieff das schwartz vnd weiße Riehmwerckh gelernt, er Zwar so viel die Sättel Kunst und Hulfftern betrifft Jetzo geich auffnehmen vnd verfertigen möge, deß Rhemwercks halben aber vorderist sich ein Jahr lang Zu Meister hanß Erhard Meÿern in die lehr einschreiben Zu laßen, als dann nach dessen verfließung auch das benöthigte Rehmwerckh schawmäßig Zu fertigen schuldig sein, wabeÿ ferner bedungen, daß er Stephan in Zeit solchen Jahrs, Zwahr gesind und gesellen fördern mithin das handwerck, wie ein anderer Meister treiben, aber nichts desto weniger keinen Lehrjungen annehmen oder informiren soll.
(f° 82) Donnerstags den 13.ten Maÿ Anno 1700 hat in beÿsein S. T. Herrn Abrahamb von Friedolßheim XV. als Obmanns, vnd der Vier Schaw Meister, wie auch des Handwercks Meisters, Tobias Stephan sein, Meisterstück behawen Vorgestellt vnd vmb die besichtigung gebetten.
Wurde volgends durch die Schawer referirt. Den Fuhr Sattelbaum betreffend, seÿen die Grumb Fliegel gar zu niedrig vnd der eine Lappen länger als der andere auch beede Zu dickh, der vörder gegen hinden Zu seucht die orth stuckh studen hinden Zu weilt hinauß, das eine äffter stuck ist gegen dem andern Zubreit vnd der Kopff ohnfleißig gefügt, auf die dritte Maß wäre er vornen Zu weith gegen hinden, die stütz am äffter etwas Zu seücht, vnd der Widerriß vornen ein wenig krumb Auch habe das eine gestell ein Ästel, den Ruth Sattelbaum anlangend derselbe habe über rucks Zu viel holtz, vnd wäre die steig ohnfleißig eingefügt, auch ane den gestellen und am Vorder inwendig Zu viel holtz außgekrebt, der eine bausch, stehe Zu weit hinaus gegen dem andern, und liege der eine steg vornen höher als der andere, auch seÿe er vornen auf die dritte Maß Zu weit. Hierauff wurden in gehaltener Umbfrag beede bäum über besagte fehler vor passierlich und auß Zu machen Erkändt.
(f° 83) Dienstag den 26.ten Maÿ Anno 1700 – Tobias Stephan stehet Vor bittet Ihme Zu erlauben beÿ Verfertigung deßen Meisterstücks auch das Rhiemwerckh gleich it Zu machen, Erkandt verbleibt beÿ vorigem bescheidt.
(f° 83-v) Donnerstags den 16. Junÿ Anno 1700 hat in beÿsein herren XV. von Fridolßheim Tobias Stephann denen geschwornen Schaw Meistern vnd den Handwercks Meister seine Meisterstück, ohne das Riehmwerckt, vorgewießen vnd vmb die besichtigung gebetten. Befande sich daran nach der Schaw Meistern Relation wie volgt
Den Fuhr Sattel betrifft, habe beede seits an den hinder bauschen Viel falten, wäre unsauber gespättelt, vnd der eine Vorder bausch höher als der andere, an den Kißen seÿe der Wiederriß Zu eng vnd wäre wegen all zu vielen thuchs voller fallten.
den Reit Sattel belanged, der Sitz ist beÿ 2. finger breit Zu kurtz, vnd hat im äffter ein Loch ein hinderbausch stehe mehr vorwarths als der ander, die taschen seÿen in die länge hinden Zu Kurtz, beder *an das Küßen nicht völlig, das Küsse gehe den taschen gleich Vnd wäre die arbeit voller falten, vnd ohnsauber genehet auch ahne den hulfftern die näht ungleich. Das Kummet betr. seÿe klein vnd Zu rund wäre einer seiths dicker als auff der andern, der ranfft oben auff zuschmahl vnd durchaus ohngleich gefüllt.
Hierauff Erkant, werden die stück vber besagte fehler, dannoch vor passirlich angenommen.
(f° 89) Mittwochs den 4. Augusti Anno 1700 – Tobias Stephan der leedige Sattler stehet vor, repetirt nochmahlen sein voriges petitum betr. den Meistersitz. Erkant wird Zwar demselbigen der Sitz gegen erlag der gewohnlichen gebühr per Majora willfahrt, er soll aber Implorant, weilen er annoch in der Lehr wegen des Riehmwercks stehet, dafern über kurtz oder lang dem handwerckh dadurch solte einige Verantworttung vnd nachtheÿl Zu kommen angeloben dafür gut Zu sein, vnd das handwerckh deßwegen schadloß zu halten, hats gegen dem Handwerck Meister vnd herrn Schultheißen handgebig versprochen ferner weilen sich beÿ verfertigung des Meisterstücks Zimlicher fehler hervorgethan, sonderlich aber in dem Sitz des Rit sattels ein Loch geweßen, als soll er derentwegen 1. lb Zur Straff erlegen. Hats zu geben verwilligt.
(f° 93) Montags den 20. Junÿ Anno 1701 – Tobias Stephan stunde vor bat Ihme, das Zu seinem Meisterstück annoch gehörige Riehmwerckh, vollend in seiner behaußung fertigen Zu dörffen, Zu erlauben. Erkannt Willfahrt.
(f° 113-v) Dienstags den 30. Octobris Anno 1703
(sein geweßener Gesell nahmens Christoph Krähmer Von Preßlau gebürtig auff Mümpelgarth die frantzösische Sprach Zu erlernen, zu Tobiä Stephan seinem Landtsmann (f° 115, Dienstags den 6. Novembris Anno 1703 – Montags den 11. Novembris Anno 1703, f° 117 Mittwoch den 13. Novembris Anno 1703, Sonntags den 18. Novembris Anno 1703) (f° 137-v) Mittwochs den 29. Decembris Anno 1706 (pt° Irrden gesellen)
(f° 184) Mittwoch den 11. Octobris Anno 1713 (Johann Samuel Schall klagt Tobias Stephan)
(f° 195) Montag den 6. Augusti Anno 1714 (Hanß Georg Brösamle clagt Tobias Stephan)
Procédure chez les Quinze. Quoique la demande de Tobie Stephan ne satisfasse pas au règlement, Samuel Schübler et les autres maîtres selliers reconnaissent les qualités du candidat. Les Quinze accordent la dispense eu égard (1) à sa bonne réputation, (2) qu’il va épouser la veuve d’un maître, (3) qu’il va faire son chef d’œuvre, (4) qu’il n’établira pas un nouvel atelier et (5) qu’il s’est montré un compagnon honnête auprès de ses maîtres, à condition qu’il fournisse les certificats.
1700, Protocole des Quinze (2 R 104)
(f° 104) Sambstags den 20.ten Martÿ – Tobias Stephan Ca. E. E. Meisterschafft der Sattler
G. noîe Tobiæ Stephan des Ledigen Sattlers von Schweinitz, Cit. per Sched. E. E. Meisterschafft der Sattler Obermeister, Prplis. Clagt das Citirte, Ihne, aus ursach er die gewiße und bestimpte Zeit noch nicht verarbeitet, Zum Meisterstück nicht admittiren wollen, bittet deßwegen unterth. Zu einziehung mehreren berichts, Deputationem et Relatione factâ, Ihme dispensando das Meisterstück machen, Gn. Zu willfahen, angesehen Er mit einer Meisters Wittib sich zu verheurathen Gesinnet. Heck noîie Cit. man mag deputationem wohl leiden, bittet aber gegentheiliges begehren abzuschlagen. G. setzts. Erkandt, Gebettene Deputation, auff die obere Handwercks herren willfahrt.
(f° 111) Freÿtags den 26. Martÿ 1700. – Tobias Stephan Ca. E. E. Meisterschafft der Sattler
Iidem [Obere Handwercks herren] per Herren Friden, Es habe Tobias Stephan der ledige Sattler in einem gehaltenen Receß wider E. E. Meisterschafft der Sattler geklagt, daß dieselbe Ihne Zu Verfertigung des Meisterstücks nicht admittiren wollen, deßweg. vmb einer deputation gebetten, wo auch willfahrt worden, vndt alß man Ihne ferners angehört, den ged. receß nichts weiters begehret habe, Auff seithen der Meisterschafft aber Herren Samuel Schübler & Consorten beditten, daß Sie wider den Imploranten, der ein feiner Mensch seÿe, und sein handwerckh wohl verstünde, nichts einzuwenden hetten, allein gehe der articul dahin, daß keiner Zu dem Meisterstückh gelaßen werden solte, er habe dann Zuvor seinen Geburths: vnd lehrbrieff vorgelegt, (2.) derselbe das Schwartz und weiß Riemwerckh gelernt haben, vnd (3.) Zweÿ Jahr in arbeit alhie gestanden seÿn solle, welches letztere Sie iedoch alleine Mghheren überlaßen wolten, weilen schon mehrmahlen deßwegen dispensirt worden seÿe, Worauff Kläger replicirt, daß er Vor einiger Zeit an die Meisterschafft nach Schweinitz geschrieben, vndt seinen Geburths: vnd Lehrbrieff begehrt habe, die ihme aber geantworttet, daß er Zuvor einen schein von den hießigen Meistern einschicken solte, daß Er sich beÿ denenselben vmb das Meister Recht angemeldet habe, So Er auch gethan, die ihme aber solchen Schein abgeschlagen, deßwegen Er beÿ E. E. großen Rhat vmb ein Attestatum angesucht, es auch Zu erhalten verhoffe, deme Er ferners beÿgesetzt, daß bekant seÿe, daß man beÿ ihme auff dem Schwartz vnd weiß leder nicht Zu arbeiten pflege, iedoch Er solches wohl zu machen getrawe. Auff welches die Meisterschafft regerirt, daß Sie es nicht anderst eingehen könten, weilen kein Frembder in der Bruderschafft befindlich, der nicht ein solches in seinem Lehrbrieff habe, dabeneben Sie einen Lehrbrieff von Georg Brösamle, der ein Frembder, vom 16.t Januarÿ 1634. producirt, in welchem alle dergleichen stuckh enthalten seÿen, mit bedeüten, daß wan Kläger ein solchen lehrbrieff auch einbringen werde, Sie damit auch zufrieden seÿn wolten. Es habe aber Kläg. darauff geantworttet, Er besorge, daß der Lehrbrieff nicht auff solche weiße eingerichtet werden dörffe, gleichwohlen hette er beÿ andern Meistern gearbeitet, welche Ihne in weÿl. H. Johann Daniel Heüschen hinterlassener Wtb. werckstatt gethan, die Er auch mit Zweÿen Kindern Zu heürathen willens seÿe
Auff seithen der HHn Deputirten habe man gefunden, daß der articul, so H Frid abgelesen, Zwar Clar seÿe und dahin Gehe, daß Einer dreÿ Jahr das handwerckh und das Schwartz vndt weiß Riehmwerckh gelernt haben solle, Andererseithen aber auch, daß Kläger ein Gutes Zeügnuß habe, (2.) eines Meisters wittib heürathen wolle, (3.) das Meisterstück, vnd gedachte arbeit, wohl Zumachen getrewe, (4.) kein newe werckstatt auffrichte, vnd (5.) allezeit als ein ehrlicher Gesell darauff gearbeitet vndt passirt worden seÿe, deßwegen man dafür gehalten, daß demeselben dispensirt werden könte, iedoch mit der condition daß er innerhalb dreÿen Monaten, einen geburts vnd lehrbrieff einbringen solle. Erkandt, bedacht gefolgt.
Fils du prévôt de Schweidnitz Elie Stephan, Tobie Stephan devient bourgeois par sa femme le 20 septembre 1700.
1700, 4° Livre de bourgeoisie p. 722
Tobias Stephan der sattler von Schweinitz, Weÿl. Elias gew. Schultheisen sohn, empfangt das burgerrecht von seiner Frawen Maria Magdalena Brechtin p. 2. gold fl. 10. ß. so beÿ der Cantzleÿ erleg. Worden Vnd wird beÿ E E Zunfft der Gerber dienen, Jur. d. 20. 7.br. 1700.
Tobie Stephan loue une partie de sa maison au perruquier François Palousse
1703 (14.5.), Chambre des Contrats, vol. 576 f° 221
Tobias Stephan sattler (unterzeichnet) Tobiß Stephan
in gegensein Hn Frantz Paulus peruquenmachers (unterzeichnet) francois Palousse
enthehnt, in sein Stephan allhier gegen dem Kornmarckt über einseith ist ein eck ahm Salmengäßlein anderseit neben Hn Gallo chyrurgo gelegenen hauß d. vordere Hauß nichts darvon außgenommen, auf zweÿ jahr lang anfangend von Joh. Bapt: 1703 – um einen jährlichen Zinß nemlich 39 pfund
Tobie Stephan hypothèque la maison au profit du pelletier Jean Gaspard Hanser, fidéicommissaire de feu Nicolas Hanser de Francfort. En marge, quittance accordée en 1744 à Augustin Güntzer, alors propriétaire de la maison
1704 (22.8.), Chambre des Contrats, vol. 577 f° 422
Tobias Stephan Sattler
in gegensein Joh: Caspar Hanßers Kürßners alß Fidei Commissarÿ weÿl. Niclaus Hanßers sen: geweßenen burgers zu franckfort – schuldig seÿe 200 pfund
unterpfand, deß debitoris behaußung allhier gg. dem kornmarckt, welche Er ahm 15.ten Maÿ jüngst erkaufft, gibt man auch jährlichen 2 fl. vom Wetter Tächel
[in margine :] H. Johannes Schätzel burger und weinhändler allhier als mandatarius Mathiß Hanßer Corporals in Saltzburgischen diensten als dermalligen Nießers hiervor beschriebener 200 lb, in gegensein Augustin Güntzer des sattlers und burgers allhier als Co-proprietarÿ hievor verpfändter behaußung (quittung), den 13. 8.bris 1744
Tobie Stephan hypothèque la maison au profit des deux enfants mineurs du tailleur Jean Huffenbach
1704 (5.9.), Chambre des Contrats, vol. 577 f° 433
Tobias Stephan sattler
in gegensein Joh: Schmids schneiders alß vogts weÿl. Joh: Hufenbachs auch schneiders 2 KK. – schuldig seÿe 75 pfund
unterpfand, seine behaußung allhier gegen dem kornmarckt einseit neben dem würthshauß zuem Salmen anders. ist ein eck ahm Salmengäßlein hinten auf besagtes Hauß stoßend gelegen
[in margine :] Johann Peter Zopffen der Stattdreher alß nunmahliger Vogt hierinn bemelter Vffenbachischer 2. Kinder mit beÿstand Theodosÿ Reißners Schneiders ged. Kind. Stieffvatters (…) quittung den 14. Octobris 1706
Tobie Stephan hypothèque la maison au profit du libraire Jean Pastorius
1706 (13.11.), Chambre des Contrats, vol. 579 f° 819-v
Tobias Stephan sattler
in gegensein H. Joh. Pastorius buchführers – schuldig seÿe 100 pfund
unterpfand, seine behaußung cum appert: allhier ahm Kornmarckt, einseit neben dem Salmen anderseit neben Froment gelegen
Tobie Stephan hypothèque la maison au profit des enfants mineurs Reichelt
1715 (6.5.), Chambre des Contrats, vol. 588 f° 358-v
Tobias Stephan sattler
in gegensein S.T. H. Philipp Caspar Leitersperger XV.ers als vogts Reicheldischer KK zweÿter ehe – schuldig seÿe 300 pfund
unterpfand, seine behausung c. appert: gegen dem Kornmarckt über, einseit ist ein eck ahm salmengässlein anderseit neben dem würthshauß zum Salmen hinten auf den Salmen – davon gibt man 2 fl. ane bodenzinß
Tobie Stephan meurt en 1721 en délaissant pour héritier testamentaire son cousin Jean Frédéric Stephan, au service de la duchesse de Birckenfeld. Les experts estiment la maison à 1 600 livres. La masse propre à la veuve est de 697 livres, celle de l’héritier de 657 livres. L’actif de la communauté s’élève à 1 415 livres et le passif à 1 924 livres.
1721 (9. 10.br), Not. Rohr (Daniel, 46 Not 52) n° 1689
Inventarium und Beschreibung aller der Jenigen haab und Nahrung, Liegender und Fahrender, Keinerleÿ davon außgenommen, so weÿl. der Ehrengeachte Meister Tobias Stephan, geweßener Sattler und burger alhier Zu Straßburg nunmehr seel. nach seinem am 8.ten 9.bris dieses Zuend lauffenden 1721.sten Jahrs genommenen tödlichen Ableiben hie Zeitlichen verlaßen, welche Verlaßenschafft auf freundliches Ansuchen Erfordern und Begehren H. Gottfried Glocken, Vöchhändlers und Hn Johann Fischer Gastgebers uff der Herrenstub, beeder Burgere alhier als durch hernach inserirt Testament bestellte Anwalden Johann Friderich Stephan, so dermahlen in diensten beÿ Ihro hochfürstl. Fr. durchleücht Hertzogin von Bürckenfeld, des Verstorbenen seel. Vetter und per Testamentum instituirten eintzigen Erbens in deßen Nahmen ferner, weilen Er ohnverburgert beÿ E: E: Kleinen Rath unterthänig erbetten und gnädig deputirt worden, S. T. Herr Daniel Von Friedolsheim Wohlgedachten E: E: Kl. raths wohlmeritirter beÿsitzer, so beneben beeden H. Anwalden dem Geschäfft in person abgewartet, fleißig inventirt und ersucht, durch Fr. Mariam Magdalenam gebohrne Brechtin: die hinterbliebene Wittib, mit hülff und beÿstand S. T. H. Johann Thomä Römers, Pract: und burgers allhier dero geordneten Curatoris (…) So geschehen in fernerem beÿseÿn S. Tit. H. Johann Andreæ Keifflins Jur. Pract. u. E. E. Kl. Raths wohlmeritirten Assessoris auch burgers alhier, der Wittib Kinder erster Ehe ohnentledigtenen Vogts, in der Königl. Statt Straßburg auff Dienstag den 9 Decembris Anno 1721.
Copia der Eheberedung – Copia Codicilli Reciproci – Copia Testamenti nuncupativi
In einer alhier Zu Straßburg ane dem Kornmarck gelegenen in dieße verlaßenschafft gehörigen deßwegen hernach fol: (-) beschriebenen behaußung folgendermasen befunden als
Schrein: und Hötzenwercks. In der Wohnstub, Vor dießem Gemach, Cammer A, Cammer B, Auff der obern Bühn, Im Keller, Im Laden
(f° 13) Eigenthum ane einer Behaußung. Ein Vorder und Hinterhauß mit Ihren hoffstätten und allen andern Ihren Gebäuen weithen Zugehörden Rechten und Gerechtigkeiten, gelegen alhier Zu Straßburg gegen dem Kornmarck einseit ist ein Eck am Salmengäßel, anderseit neben der Gastherberg Zum Salmen, hinten auch darauff stoßend und ist solche behaußung Tit. H. Johann Friderich Rebhan, wohlverordneten Substituto Contractuum alhier, auff Martini verfallend, umb 330. lb. 2 ½. d. It. S. T. H. Johann Strehlin jun: E: E: grosen raths jetzmaliger Bÿsitzer curatorio nomine H Johann Melchior Haußers von Zimmershaußen, Lieutenent von der Land Milice auff Michaeli um 200. lb. So dann H Johann Heinrich Seÿlern, dem geschwornen Rathsbotten alhier, auff den 4. 9.bris um 100. lb verhafftet und gibt man Jährlich auff der Statt Straßb. Pfenningthurn 1. lb d vom Wetterdächel, thut Zu doppeltem Capital gerechnet 40. lb, sonsten sofern freÿ ledig und eigen, Zumahlen durch der Stat Straßburg geschworne Werckkeüthe vermög dero schrifftlichen Abschatzung vom 26. 9.bris 1721. æstimirt und angeschlagen worden pro 1600. lb. Davon abgezogen obige onera der 670. lb 2 ½ d restirt annoch in außwurff Zu bringen 929. Darüber vorhanden ein pergamentener Kauffbrieff in allhiesiger Cantzleÿ Contractstuben gefertiget und mit dero anhangendem Innsiegel verwahrt, de dato 15.ten Maÿ 1702. mi Lit. A signirt.
(f° 15) Ergäntzung der Erben abgangener unveränderter Nahrung. Innhalt Inventarÿ illatorum durch mich mehrbemelten Notm. unterm 4. 7.bris A° 1700. gefertiget
Series rubricarum hujus Inventarÿ. Der Wittib unverändert Vermögen, Sa. haußrath 94, Sa. Werckzeug 5, Sa. Leerer vaß 16 ß, Sa. Silbergeschier 15, Sa. Goldener Ringe 14, Sa. Activ Schulden 100, Sa. Ergäntzungs Rest 542, Summa summarum 772 lb – Schuld 74, Compensado verbleibt 697 lb
Des Erben unveränderte Nahrung, Sa. haußrath 4, Sa. Silbergeschirr 6, Sa. Ergäntzung 356, Summa summarum 367 lb – Schuld 100, In Compensatione 657 lb
Theilbahre Verlaßenschafft, Sa. haußrath 70, Sa. Leder und Gemachte Arbeit 356, Sa. Pferd 30, Sa. Leere Vaß 12, Sa. Silbergeschir 8, Sa. Goldene Ring 6, Sa. Eigenthum ane I. behaußung 929, Summa summarum 1415 lb – Schulden 1924 lb, In Compensatione 509 lb
Conclusio finalis Inventarÿ 319 lb
Abschatzung d. 26.ten 9.bris anô 1721. Weÿland deß Ehren hafften vnd bescheÿten HN Tobias Steffan Sattler, ist Eine behaußung allhier in der Statt Straßburg beÿ dem Kornmarckh über, Ein Eckh hauß an dem Sallmen Geßell Ein Seÿth Neben H: Joh Jacob Stempffell, wirt Zu dem Salmen, Ander seÿth, Neben: vnd hinden, Auff vorgedachten Sallmen stossendt, welche behaußung, hoffstatt, Stuben, Kammern, Küchen, hauß Ehren, darin Ein Härt Ein Sattler werckh statt, vnd hauß Ehren, darin Ein Härt und brunnen, Gewölbden Kellern hinder gebeÿ, Stall Mit Einem alten tachstull, Mit Zweÿ Stuben Kammern Stallung Gewölbter Keller, sampt Aller Ihrer gerechtigkeiten wie solches durch der Statt Straßburg geschwohren werckh Leüthen in der besichtigung befunden, vnd dem jetzigen preÿß Nach, Angeschlen Wirt, Vor, und umb Treÿ taussent Zweÿ Hundert Gulten Bezeichnuß durch der Statt Straßburg Geschwohren Werckh Leüthen [unterzeichnet] Michael Ehrlacher Werck Meister deß Meinsters, Johann Jacob Biermeÿer Werck Meister deß Zimmerhoffs
Tobie Stephan meurt à l’âge de 47 ans et deux mois le 8 novembre 1721. Les témoins sont son beau-fils Jean Philippe Heusch et son gendre par alliance Philippe François Kast
Sépulture, Saint-Pierre-le-Jeune (luth. reg 1716-1783 f° 40)
1721. Sambst. d. 8. Novembr. Vor mittag um halb 8. uhr starb Tobias Steffan der Sattler v burger alhier und wurde Sont. d. 9. Ejusd. auff dem Gottesacker St. Galli (allwo ich unterschriebener Pfarrer Ihme auch die Leichen Predigt gehalten) christichem Gebrauch nach begraben seines alters 47. Jahr 2. Monate (unterzeichnet) Johann Philipp Heisch als sohn, Philipp franß Kast als dochter Mann (i 43)
Marie Madeleine Brecht meurt en 1733 en délaissant deux enfants. Elle a légué la maison à son fils Jean Philippe Heusch. Les experts estiment la maison à 800 livres (soit moitié moins qu’à l’inventaire précédent). L’actif de la succession s’élève à 97 livres, le passif à 308 livres.
1733 (23.2.), Not. Brackenhoffer (Jean, 4 Not 7) n° 258 (1635)
Inventarium und beschreibung aller derjenigen Haab Nahrung und Güthere, Schulden und gegenschuld., überall nichts davon außgenommen, so weÿl. die tugendsahme frau Maria Magdalena Stephanin gebohrne Brechtin weÿl. H. Tobiæ Stephans gewesenen Sattlers und burgers hieselbst verlaßene Wittib nunmehro seel. nach ihrem den 9.t Jan: h. a. aus dießer Zeit undt Welt genommenen tödlichen hintritt hie Zeitlichen Verl., welche Nahrungs Verl. dato Zu End stehend auf freund. Ansuchen, Erfordern und Begehren der hinterl. Erben hernachbenamßten nachdeme der Erben einer H. Johann Philipp Heusch der Sattler und burger alh. wie auch deßen Ehefrau Maria Cleophe Gebohrne Marheinickin ein solches alles (…) geeigt gezeigt und gewießen (…) Actum Straßburg de, 23. Februarÿ 1733.
Die Verstorbene seel. hat ab intestato und per Testamentum Zu ihren Erben Verlaßen 1. Weÿl. Fr Mariä Magdalenä gebohrner Heuschin mit H. Philipp Frantz Kasten, bedienten im Kauffhauß und burgern alhier erzeügt, nach tod verl. 4. kinderen nahmentlichen Philipp Frantz, den leedigen sattler, Johann Daniel, Maria Magdalenam und Margar. Salome welche bevögtiget mit hernach gemeltem ihrer Mutter seel. Bruder und Miterben, dannenhero weil solcher selbsten im geschäfft interessirt ihnen zu einem geschwornen theil Vogt nominirt worden H Johann Michel Schneidern burg. und leinenweber alhier, so auch benebens dießer 4 Kinder vatter vorher benambst, dießen geschäfft beÿgewohnt, vnd dann 2. H. Johann Philipp Heuschen burger und Sattlen alhier so selbsten Zugegen, Beide der verstorbenen seel. in erster Ehe mit längst weÿl. H Johann Daniel Heuschen auch gewesenen Sattler alhier ehel. erzeugter resp° Sohn und nunmehro verstorb. dochter Kindern zu 2. gleich. Stammtheilen Verl. Erben.
Copia Testamenti nuncupativi
In einer alhier Zu Straßb. ane dem Kornmarckt gelegenen und hiehero gehörig. behausung befund. hat
Eigenthumb ane einer Behaußung. I. Vorder vndt hinterhauß mit Ihren hoffstätten undt allen andern dero gebäwen, weithen, rechten Zugehörden undt Gerechtigkeiten gelegen alhier Zu Straßburg gegen dem Kornmarck 1.s. ist ein Eckh am Salmengäßlein, 2.s. neben der gastherberg Zum Salmen, hinten auch auff solche Herberg stoßend, davon gibt man Jährlich 1. lb d vom Wetterdächel auf der Statt Straßb. Pfenningthurn, tht. Zu doppeltem Capital gerechnet 40. lb, It. S.T. H. Joh: Friedrich Rebhans, geweß. Substituti contractuum alhier nachgel. Erben ist solche ane Capit. auf Martini verzinß. verhafftet vmb 330. lb. 2 ½. d. It. H. Stoßberger alß Schaffner H. Lieut. Haußers solle mann Jährl. 8 lb. d. Zinß ablöß. in Capit. mit 200. lb. It. H Joh: Philipp Heuschen des Sohns ehelicher haußfr. ist diese behauß. verhafftet vor vnd vmb 100 lb, d Capital, so vorhin H. Heinrich Seÿlern, der Rathßbott alhier, darauf zu erfordern hatte, aber vermögscheins vom 29. Januarÿ 1724 auß allhießiger Cantzl. Contr. Stuben auß ihr fraw Heuschin mittlen demeselben abgestoßen word. It: 12 lb d Zinß gibt mann Jährl. denen Reinboldischen Kindern, so biß dato Georg Abraham Endling der Paßmentirer Empfang. ablößig in capital mit 300 lb. Sonsten aber freÿ ledig vndt eigen, vndt vermög scheins von denen geschwohrnen Herren Werckleüth alhier vom 5.ten Martÿ h. a. æstimirt und angeschlag. vor vndt vmb 800. lb.
Übertreffen also die auf dem hauß hafftenden Capitalien und bodenzinß dero Anschlag derer Hh. Werckmeistere umb 170. lb, so hernach alß ein passivum eingetragen Zufinden. Darüber vorhand. ein Pergament. Kauffbrieff in allhieß. Cantz. contr: Stuben gefertiget, mit dero anhang. Innsiegel verwahrt, de dato 15. Maÿ 1702. mit altem Lit. A signirt.
Series rubricarum, Sa. haußraths 65, Sa. Vaß und bütten 4, Sa. Silbergesch: und Geschmeids 7, Sa. der Goldenen Ring 1, Sa. Eigenth. ane I. behaußung nihi, Sa. Activorum 19, Summa summarum 97 lb – Summa passivorum 308 lb, Übertreffen also die passiva die activ Nahrung dem Stalltax nach umb 211 lb
Conclusio finalis Inventarÿ 319 lb
Copia Testamenti – 1724. (…) auf dienstag d. 7. Martÿ die Ehren und tugendsahme frau Maria Magdalena Stephanin gebohrne Brechtin weÿl. Mstr tobiä Stephans, geweß. Sattlers und burg. alh. Zu Straßb. nachgel. Wb. weÿl. H Daniel Rohren gewesenen geschwornen Notarium alhier Zu sich in ihrer eigenth. ane dem Kornmarck gelegene behauß. beruffen laßen und ihme, als er vor ihro in der vorderen mittlern mit denen fenstern auf die Gaß aussehend wohnstuben abends zwischen 6 u. 7. uhren erschienen und dieselbe Zwar etwas kranckh und schwach. leibes dahero zu bett liegend (…) vors andere will die testirerin ihrem Sohn Johann Philipp Heuschen deroselben eigenthümlich gehörige ane dem Kornmarckt, neben der Gastherberg Zum Salmen gelegenen behausung cum appertinentÿs vor und umb 3000 gulden à 15 batzen gerechnet (…) Zu übernehmen prælegats weiße anverschafft haben (…) Expedirt den 20. Januarÿ 1733. Johann Philipp Liechtenberger
Abschatzung d. 5. Marty 1733. Auf begehren Weÿ. der Viel Ehren Tugendsahmen fraw Mariæ Magdalenæ Steffin seel. hinter laßene Erben ist eine behausung allhier in der Statt Straßburg gegen dem Korn Marck über gelegen, einseits ein Eckh gegen dem Sallmen gäßlein, anderseits wie auch hindten auf des Wirts hauß Zum Salmen stoßendt, welche behausung, Nebens gebäw so schlecht, Stuben Cammer, Soldaten Cammer, Kuchen, hauß Ehren, mit herdt und Waßerstein, bronnen, laden, stall und Zweÿ gewölbte Keller, sambt aller gerechtig Keit, Wie solches durch der Statt Straßburg geschworene Werckleuthe sich in der besichtigung befunden und Jetzigem preiß Nach, angeschlagen Wirt, Vor und Um Ein Taüsent und Sechß Hundert Gulten, bezeichnüß durch der Statt Straßburg geschworenne Werckleuthe [unterzeichnet] Michael Ehrlacher Werck Meister deß Meinsters, Johann Peter Pflug Werck Meister deß Mauerhoffs
Marie Madeleine Brecht meurt le 9 janvier 1733 à l’âge de 74 ans,
Sépulture, Saint-Pierre-le-Jeune (luth. reg 1716-1783 f° 107-v, n° IV)
1733 Freit. d. 9. Januarÿ Vormittag ein Viertel nach 8 Uhr starb fr. Maria Magdalena Stephanin geb. Brechtin weÿl. Tobias Stephan, gewesenen Sattlers v. burgers alhie hinterlassene Wittib v. wurde Sonnt. d. 11. Ejusd. auff dem Gottes: Acker St. Galli (daselbst ich unterschriebener Pfarrer Ihro auch die Leichen Predigt gehalten) Christichem Gebrauch nach begraben seines alters 74. Jahr und 27 Tage (unterzeichnet) Johann Philipp Heisch als sohn, Philipp franß Kast als dochter Mann (i 112)
Marie Cléophée Marheinickin meurt en 1733 en délaissant trois enfants. L’estimation de la maison est reprise de l’inventaire dressé quelques mois plus tôt. La masse propre au veuf est de 405 livres, celle propre aux héritiers de 744 livres. L’actif de la communauté s’élève à 299 livres, le passif à 426 livres.
1733 (20.8.), Not. Brackenhoffer (Jean, 3 Not 15) n° 271
Inventarium und Beschreibung aller derjenigen haab, nahrung und Güeteren, Schulden und Gegenschulden, nichts aus genommen, so weÿl. die Ehren und tugendsahme frau Maria Cleophe Heuschin gebohrne Marheinickin, des Ehrengeachten Herrn Johann Philipp Heuschen, Sattlers und Burgers alhie Zu Straßb. gewesene eheliche haußfrau nunmehro seel. nach ihrem den 1.ten Aprilis dießes lauffend. Jahres aus dießer zeith und welt genommenen tödl. hintritt, hie Zeitl. Verlaßen, welche Verlaßenschafft dato Zu End stehend. auf freundliches Ansuchen Erfordern und Begehren des Ehrsamen und bescheidenen H. Johann Friderich Fruthen des Metzgers und Burgers hieselbst als geordnet und geschworenen Vogts Johann Daniel, Gottfried und Mariä Barbarä der Heuschen, als der Verstorbenen seel. mit dem hinterbliebenen wittiber ehelich erzeugte annoch im Leben sich befindliche Kindern und ab intestato Erben, ersucht (…) Actum Straßburg Donnerstags den 20.ten Augusti A° 1733.
In einer alhier Zu Straßburg ane dem Kornmarck gelegenen dem Wittiber als ohnverändert gehörigen hiehero gehörigen behaußung hat sich befunden
Eigenthumb ane Einer Behaußung. (W.) Ein Vorder vndt hinterhauß mit ihren hoffstett. und all. anderen dero gebäuen, weithen, rechten Zugehördt. und gerechtigkeiten geleg. alh. Zu Straßburg gegen dem Kornmarckt, eins. ists ein Eck am Salmengäßlein, anders. neben der Gastherberg Zum Salmen, hinten auf solche herberg stoßend. Davon gibt man jährlich 1. lb d Vom Wetterdächel auf der Statt Straßb. Pfenningth., thut Zu doppeltem Capital gerechnet 40. lb. Item H. Johann Friedrich Rebhaans, gewes. Substituti In der hiesigen Cancelleÿ Contract Stub nachgel. Erben modo H. Kolben uxorio nomine, ist diselbe ane Capital verhafftet, so jährlich auf Martini verzinßlich vmb 330. lb. 2 ½. d. Item H. Stoßberger alß Schaffner Herrn Lieutenant Hannßers soll mann Jährl. 8 lb. d. Zinß ablößig in Capit. mit 200. lb. Item 12. lb d Zinnß gibt man jährlich denen Reinboldischen Kindern, so bis dato Georg Abraham Endling der Paßmentierer eingenommen, wiederlößig in hauptguth mit 300 lb. Sonsten aber freÿ, leedig vndt eigen und Vermög scheins von denen geschwornen H. werckmeistern Vom 5.t Martÿ 1733 als des nunmahligen wittibers Mutter weÿl. Frauen Mar: Magd: Stephanin, geb. Brechtin, auch weÿl. H Tobiæ Stephans gewes. Sattlers und burg. alh. nahchgel. Wb. Verlaßenschafft inventirt worden, æstim. und angesch. Vor und umb 800 lb. Übertreffen also die auf dem hauß hafftende Cap. und Zinß den Anschlag deren Hh. Werckmeistere umb 70 lb 2 ½ d. So hernach Von des Wittibers activ Nahrung fol. (-) abgezog. Zubefind. Darüber ist Vorhanden i. Perg. Kauffbr. in alh. C. C. gef. u. mit deß. anhang. Insieg. verw. ded: 15° Maÿ 1722. mit alt. Lit. A. sign.
Waaren und Werckzeug Zum Sattler handwerck gehörig
Ergäntzung des wittibes währender Ehe abgegangenen ohnveränderten Guths. Vermög einer von mir Notario über des nunmahligen wittibers inn der verst. seelb einander in den Ehestand Zugebrachte Nahrung vnterm 18.ten 8.bris 1723. auffgerichtete Inventarÿ
Series rubricarum. Copia der Eheberedung, vide beÿlaag. Copia Codicilli Reciproci, vide mein des notarÿ Extens: prot: N° 2
drs hinterbliebenen Wittibers ohnveränderten Vermögen, Sa. haußraths 27, Faß und bütten 2, Silbergesch. und geschmeid 6, Goldenen Rings 1, Eigenthum an Ir behaußung (-), Ergäntzung (-), Summa summarum 47 lb – Summa Passivorum 452, In Compensatione 405 lb
dießemnach wird auch der Erben ohnveränderte Nahrung beschrieben, Sa. haußraths 44, Silbergesch. und geschmeid 6, Goldener Ring 4, Eigenthumbs ane einem Gültguth 13, Pfenningzinß hauptguths 200, Activa 87, Rest der Ergäntzung 382, Summa summarum 744 lb
Endlichen wird auch die theilbare Verlaßenß. consignirt und beschrieben, Sa. haußraths 30, Faß und Bütten 7 ß, Waaren und Werckzeug zum Sattler handw. gehörig 168, Pferdt 10, Silbergeschmeids 2, Goldenen ring 1, Baarschafft 60, Activorum 26, Summarum 299 – Sa. passivor. 486, übertreffen alßo die passiva die theilb. activ Nahrung dem Stalltax nach umb 186 lb
Verstallungs Summ 152 lb
Copia der Eheberedung (…) So beschehen und verhandelt in der Königlichen freÿen Statt Straßburg auff Mittwoch den 14. Julÿ 1723. Daniel Rohr.
Le compagnon sellier Jean Philippe Heusch demande le 5 février 1723 de faire son chef d’œuvre qu’il présente le 11 mars. Les examinateurs lui demandent de le parfaire mais des défauts subsistent le 19 avril. Le candidat est reçu maître, en payant une amende.
1723, Protocole de la tribu des Tanneurs (selliers, XI 370, 1692-1727)
(f° 249-v) Freÿtag den 5.ten Februarÿ Anno 1723
Johann Philipp Heusch der ledige Sattler Gesell weÿland Daniel Heÿschen geweßenern Sattler und burgers allhier hinterlassener Sohn stehet vor, begehrt das Meisterstück auffzunehmen. Erkand, nach der Ordnung willfahrt. Sollen Ihme Hanß Jacob Schuhrers, Jacob Schellen und Josiä Christoph Kießels Werckstätte offen stehen. (dt. 11. ß.)
(f° 250-v) Donnerstag den 11. Martÿ 1723 hat in gegenwarth T. herrn XV. Richßhoffers als Obmanns, der vier Schau und handwercks meistere Johann Philipp Heusch Sein Meisterstück zu beschauen vorgestelt und umb die besichtigung gebetten.
Die vier Schaumeister referirten, Den Reuth sattel belangend, seÿe derselbe in der maaßen ungleich, der Äffter zu hoch und nach proportion zu kurtz, die schnautz vornen nicht recht außgebutzt, auch miteinander unsauber gefügt und zu plump, den großen Sattel betreffend ist solcher an etlichen Orten unsauber gefüegt, die krum Flügel zu dick und zu grad, einer wäre länger und weiter für sich als der andere der Äffter zu krumb und die Ortstück stünden ungleich. Erkandt werden die beÿ den bäum über solche fehler dannoch passirt, soll es aber im Außmachen verbeßern. (dt. 11. ß.)
(f° 252) Montag den 19. Aprilis 1723 hat Johann Philipp Heusch der leedige Sattler in gegenwarth hochverordneten herrn Obmanns sein völlig außgemachtes Meisterstuck vorgewießen und umb deßen besichtigung gebetten.
die vier Schaumeister referirten, nemlichen
(1) den reuthsattel belangend, so ist das genäh davon sehr unfleißig gemacht, der Sattel hinten zu schmahl, die hinterbeusch zu hart, die beeden beusch an sich selbsten ungleich, die schnühr darumb ungleich auffgesetzt, inwendig das Rinddecken unsauber und allzu geringe Strupffen daran auch die Grampen zu nahe beÿsammen, (2) die hulffter Kappen wären gleicher Weiß unsauber genähet, die Kappen ungeformbt indem die untersten blätter zu kurtz deßgleichen wid* eingestrengt, (3) den Fuhrsattel betreffend, wird derselbe an etlichen Orten faltecht befunden, die hinderbeüsch haben bückel, die deck ist unfleißig eingestrengt und die Rind deck unsauber. (5) das Reuthzeug auch unsauber genähet. Endl. (6) das Kummet berührend seÿe daßselbe unten zu dick und zu hart ausgefült nach hierüber gehaltener umbfrag ward Erkand, soll vor die daran befundene fehler 2. lb. d. Straff erlegen übrigens könne es vor passierlich angenommen werden. (dt. 18. ß. Pfleggelt, 4. ß. Scrib. 1. ß. büt.)
Jean Philippe Heusch épouse en 1723 Marie Cléophée Marheinigen, fille du chirurgien Ulric Marheinigen : contrat de mariage tel qu’il est copié à l’inventaire, célébration
Copia der Eheberedung – Zwischen dem Ehren: und Wohlvorgeachten Herrn Johann Philipp Heuschen, Leedigem Sattler, weÿl. des Ehren: und Vorachtbahren Herrn Johann Daniel Heuschen auch geweßenen Sattler und burgers allhier Zu Straßburg nunmehr seeligen: mit der Viel Ehren und Tugendreichen Frauen Maria Magdalena gebohrner Brechtin ehelich erzeugtem Sohn, als dem herrn Brauthigamb ane Einem, So dann der Viel Ehren und tugendgezierten Jungfrauen Mariä Cleophe gebohrner Marheinigin, weÿland des Wohl Ehrenvesten Großachtbahr: und Kunsterfahrenen herrn Ulrich Marheinigen geweßenen berühmten Chirurgi und Vornehmen Burgers Zu ermeltem Straßburg mit auch weÿland der Hoch Ehren und Tugendbegabten frauen Maria Ursula gebohrne Metzgerin ehelich erzeugten tochter als der Jungfrau hochzeiterin am andern theil (…) So beschehen und verhandelt in der Königlichen freÿen Statt Straßburg auff Mittwoch den 14. Julÿ styli novi in dem Jahr als man nach vnßers Erlößers und Seeligmachers Jesu Christi gnadenreichen geburth und Menschwerdung Zahlte 1723. unterzeichnet Johann Philipp Heisch als hochzeittern Maria Cleöphe Marheinickin als hochzeitterin, Daniel Rohr.
Mariage, Saint-Pierre-le-Jeune (luth. f° 63-v n° XIX)
1723. Dominica XIV et XV. Trinit. proclamati sunt Johann Philipp Heusch der ledige Sattler v. burger alhie Weÿl. Johann Daniel Heusch geweß. Sattlers v. burg. alhier nachgelaß. ehl. Sohn und Jgfr. Maria Cleophe weÿl. H Ulrich Marheinicken geweß. Chyrurgi v. burg. alhie nachgelaß. Ehl. Tochter. Copulati sunt Mittw d. 9. Decembr. (unterzeichnet) Johann Philipp Heisch als hochzeiter, Johanna Margaretha Klauholdin hochzeiterin (i 125)
Les nouveaux mariés font dresser l’inventaire de leurs apports (non conservé)
1723, Not. Brackenhoffer (Jean, répert. 65 Not 2) n° 47
Inventarium über H. Johann Philipp Heüschen des Sattlers zu frauen Maria Cleophe geb. Marheinicken in die Ehe gebrachte Nahrung
Inventarium über frauen Maria Cleophe geb. Marheinicken zu H. Johann Philipp Heuschen dem Sattler in die Ehe gebrachte Nahrung
Ils se lèguent mutuellement leurs biens
1726 (26.8.), Not. Brackenhoffer (Jean, 4 Not 26) n° 100
Codicillus Reciprocus – persönlich kommen und erschienen seind der ehrsahme und bescheidene H. Joh. Philipp Heusch der Sattler, so dann die Ehren und tugendsahme Fr. Maria Cleophe gebohrne Marheinickin beede Eheleuthe vnd burgere alhier gehend v. stehender leiber (…)
Straßb. Montagß den 26.ten Augusti A° 1726. abend zwisch. sechß vnd sieben (unterzeichnet) Johann Philipp Heisch, Maria Cleophe heischin
Jean Philippe Heusch se remarie en 1733 avec Jeanne Marguerite Klauhold, fille du pasteur de Vendenheim André Klauhold : contrat de mariage, célébration
1733 (19. 9.br), Not. Brackenhoffer (Jean, 4 Not 27) n° 288
Eheberedung – Zwischen dem ehrengeacht. vndt bescheidenen H. Joh: Philipp Heuschen dem Sattler burger vnd wittiber alhier,
so dan der ehr: vnd tugendbegabten Jfr. Johanna Margaretha Klawholdin, weÿl. deß Ehrwürdig vndt wohlgelehrten Herrn M. Andreæ Klawholdß geweßenen treweÿfferig. Pfarrers Zue Vendenheim vnd burg: alhier ehelich erzeugter hinterl. dochter alß hochzeitherin andern theilß
Actum Straßb. d. 19. Novembris 1733. (unterzeichnet) Johann Philipp Heisch als Hochzeiter, Johanna Margaretha Klauholdin als hochzeiterin
Mariage, Saint-Pierre-le-Jeune (luth. f° 120-v n° XXVI)
1733. Dominica I. et II Advent. Christi Proclamati sunt Herr Johann Phillipp Heusch der Sattler v. burger allhie v. Jfr. Johanna Margaretha weÿl. H M Andreas Klauhold geweßenen Wohlverdienten Pfarrers Zu Vendenheim v. burgers alhie nachgelaßene ehel. Tochter. Copulati sunt Mittw d. 9. Decembr. (unterzeichnet) Johann Philipp Heisch als hochzeiter, Johanna Margaretha Klauholdin hochzeiterin (i 125)
Jean Philippe Heusch et Jeanne Marguerite Klauhold font dresser l’inventaire de leurs apports dans la maison que le mari a héritée de sa mère.
1733 (30.12.), Not. Brackenhoffer (Jean, 3 Not 16) n° 280-a
Inventarium und beschreibung aller derjenigen haab und nahrung, Schulden und gegenschulden, überall nichts ausgenommen, so der Ehren und Vorgeachte H. Johann Philipp Heusch, der Sattler und die Ehren und tugendsahme frau Johanna Margaretha Heuschin gebohrene Klauholdin, beede Eheleuthe und burgere alhier, einander in ihren Ehestand zugebracht haben, so aus ursachen bede Eheleuthe inn ihrer Vor mir Not° auffgerichteten Ehepactis, ein ohnverändert Guth, auch die Ergäntzung dero, währender Ehe davon abgehender Posten, sich reservirt (…) Actum Straßburg in præsentia H Johann Heinrich Heitzen, des Buchdruckers und burgers alhier, des Ehefrauen Beÿstands, Mittwochs den 30.ten Decembris Ano 1733.
In einer alhier Zu Straßburg ane dem Kornmarckt gelegenen hiehero gehörigen Behaußung hat sich befunden
(f° 23) Eigenthumb ane Einer Behaußung. (M.) Ein Vordern und hintern hauß, mit all andern dero Gebäuen, begriff. weithen, recht. Zugehörden und gerechtigkeiten, gelegen alh. Zu Straßb. geg. dem Kornmarckt, 1.s ists ein Eck am Sallmengäßlein, 2.s. neben der gast heerberg Zum Salmen hinten auf solche heerberg stoßend. davon gibt man jährlich 1. lb Vom Wetterdächel, auf der Statt Straßb. Pfenningth. thut Zu doppeltem Capital gerechnet, 40. lb. It. H. Joh: Frid. Rebhaans, geweß. Substituti Cancellariæ contractuum nachgelaßenen Erben modo H. Kolben dem handelsmann uxorio nomine, ist diselbe ane Capital verhafftet, so jährlich auf Martini verzinßlich vmb 330. lb. 2 ½. d. Item H. Stoßberger alß Schaffner H. Lieutenant Hannßers solle mann Jährl. 8 lb. d. Zinß ablößig in Capit. mit 200. lb. Item 12. lb d Zinnß gibt man jährlich denen Reinboldischen Kindern, so bis dato Georg Abraham Endling der paßmentierer eingenommen, wiederlößig in hauptgut mit 300 lb. Sonsten aber freÿ, leedig vndt eigen. Darüber Vorhanden ein pergamentener Kauffbrieff in alh. C. C. stub gef. und mit dero anhang. Insiegel verwahrt de dato 15. Maÿ 1722. mit altem Lit. A. signirt. Dieße behaußung und Zugehördt ist hier in Keinen anschlag gebracht, sondern beliebet word. wann dieselbe wied: verhoff Stante matrimonio alieniret würde der darauf erlöste werth Künfftig. fall wieder ergäntzt werden solle.
(f° 24) Des Ehemanns Kinderen erster Ehe Pfetter vnd göttel geld. Joh: Daniel gehörig – Joh: Gottfrid – Mariæ Barbaræ gehörig
Jean Philippe Heusch meurt en novembre 1734 en délaissant deux enfants de son premier mariage et un posthume de la veuve. La maison est estimée au même prix qu’à l’inventaire précédent, soit 800 livres, parce qu’on n’y a fait aucune amélioration. La masse propre à la veuve est de 263 livres, celle propre aux héritiers de 215 livres. L’actif de la communauté s’élève à 631 livres, le passif à 958 livres
1734 (14.12.), Not. Brackenhoffer (Jean, 4 Not 38) n° 322 (1899)
Inventarium und beschreibung aller derjenigen liegend. und fahrender Haab und Nahrung, Schulden und Gegenschulden, verändert und unverändert, überall nichts davon außgenommen, so weÿl. der Ehrengeachte und bescheidene Herr Johann Philipp Heusch gewesener Sattler und burger alhier Zu Straßburg nunmehro seel. nach seinem den 5. 9.bris jüngst aus dießer Zeit und welt genommenem töd. hintritt verlaßen, welche Nahrungs Verlaßenschafft dato Zu end stehend auf freundliches ansuchen erfordern und begehren des verstorbenen seel. hinterlaßener Frau Wittib und Erben geschw. vögte hernachbenambßt ersucht und inventirt, durch fraw Johannam Margaretham Heuschin gebohrene Klauholdin die hinterbl. Wb. beÿständlich herrn Johann Cladi Wilhelms, des Sattlers und burgers alhier ihres geschwornen Vogts angegeben, geeigt und gezeigt (…) Actum Straßburg dienstags den 14. Decembris 1734.
Der verstorbene seel. hat ab intestato Zu seinen Erben verlaßen 1. Johann Daniel Heuschen und 2. Gottfried Heuschen, beede des verstorbenen, seel. mit Fr. Maria Cleophe gebohrner Marheinickin seiner ersten Ehefrauen seel. ehel. erzeugte Söhnlein in dero Nahmen H. Johann Friderich Fruth, der Metzger und burger alher ihr geschwornee Vogt hiebeÿ Zugeg.
3. ist die Frau Wittib gesegneten Leibes, dahero inn des posthumi Nahmen præsens war H Johann Heinrich Hoch der buchdrucker und burger alhier sein geschworner Vogt. Alle dreÿ /:wofern die frau wittib die Geburt glücklich und lebendig an dieße welt gebähren wird:/ des verstorbenen seel. Zu 3. gleihcen antheilen verlaßene Erben
In einer alhier Zu Straßburg am Kornmarck gelegenen hiehero gehörigen behaußung hat sich befunden
Höltzen und Schreinw. Auf der obern Bühn, In der Cammer A, In der Cammer B, In der Soldaten Cammer, Im untern stüblein, Im mittlern haußöhren, In der Wohnstub
Eigenthumb ane Einer Behauß. (E.) Ein Vorder vndt hinter hauß m. all. dero begriffen, weiten, Rechten Zugehörden und Gerechtigkeiten, gelegen alhier Zu Straßburg gegen dem Kornmarck über, einseit ist ein Eck am sallmengäßlein, anders. neben der Gastherberg Zum Salmen, Vornen auf die Straß am Kornmarckt, und hinten auf gedachte Gast Herberg stoßend. Davon gehen jährl. 1. lb d jahrs auf Johannis Baptistæ hießiger Statt Pfenningthurn Von einem Wetterdächlein, thut Zu doppeltem Capital gerechnet, antreffend 40. lb. Item 13. lb 4 ß ad 4. pro Ct° Gerechneten Zinß jahrl. auf Martini H. Johann Philipp Kolben dem handelsmann und burger alhier uxorio nomine, so in Capital abzulößen mit 330. lb. 2 ½. d. Item 8 lb. d. Zinß ad 4. pro C° gerechneten Zinß Lieutenant Haußers zu oberehenheim Jährl. in Capital mit 200. lb, Item 12. lb d Zinß ad 4. pro C° gerechnet H Georg Abraham Endling Paßmentirer und burger alhier als Vogt der Reinboldischen Kindern, so abzulößen in Cap. mit 300 lb. Sonsten aber leedig vndt eig. und beÿ Inventation weÿl. Frauen Mariä Magdalena Stephanin gebohrne Brechtin auch weÿl. H Tobiä Stephans, gewesenen Sattlers und burg. alhie nachgelaßener Wittib, des abgeleibten Mutter seel. Verlaßenschafft, Von den Geschwornen herren Werckmeistern hiesiger Statt laut ihres damahlen darüber ausgestellten scheins dedato 5.ten Martÿ 1733. æstimirt und angeschlagen dabeÿ es anjetzo auch weilen in dißer Zeit man im gerinsgten nichts hauptsächliches darinn meliorirt hat gelaßen word. umb 800 lb. d. Übertreffen also vorstehende auf dem hauß stehenden Capital und bodenzinß den Anschlag deren Hh Werckmeistere vmb 70 lb 2 ½ d. So hernach fol: (-) in des Verstorbenen, seel. ohnverändert passivis Zufinden seind. Darüber Vorhand. einen pergamentenen teutschen Kauffbrieff in alhießiger Cantzleÿ Contr. stub verfertiget und mit dero anhangend. größern Insiegel verwahrt de dato 15. Maÿ 1722. mit alt. Litera A. signirt
Ergäntzung der Frawen Wb. wehrender Ehe abgegang. ohnv. guthß. Laut Inventarÿ über ihres und ihres Verstorbenen Ehemanns seel. Einander in den Ehestand Zugebrachte Nahrungen durch mich unterzogenen Not. sub dato 30. decemb. 1733. auffgerichtet
Series rubricarum. Wittibers ohnverändert, Sa. haußraths 56, Leerer Faß 12 ß, Rind vieh 4, Silber geschirr und Geschmeid 18, Goldener Ring 13, Baarschafft 17, Schulden in die Verlaßenschafft Zugeltend 114, Ergäntzung 37, Summa summarum 263 lb
Der Erben ohnveränderte Nahrung, Sa. haußraths 139, Leerer Faß und bütten 2, Pferd 10, Kutschen und darzu gehöriges geschirr 121, Silber geschirr und Geschmeid 20, Guldene Ring 2, Baarschafft 1, Eigenthum an Ir behaußung (-), Pfenning 200, Gülth von Eigenth. liegend güthern 4, Schulden 32, Ergäntzung 645, Summa summarum 1179 – Summa Passivorum 963, verbleibt 215 lb
Theilbahre Verlaßenschafft Sa. haußraths 11, Weins 6, Heu 10, waaren und Werckzeug 98, Baarschafft 395, Activorum 110, Summarum 631 – Summa passivorum 958, die passiv schulden die theilbare activ Nahrung dem Stalltax nach übertreffen umb 327 lb
Conclusio finalis Inventarÿ 672
Copia der Eheberedung (…) Johannes Brackenhoffer
Catherine Marguerite Heusch, fille posthume de Jean Philippe Heusch, meurt le premier juillet 1735 à l’âge de vingt semaines. Il s’ensuit que sa mère Jeanne Marguerite Klauhold hérite de sa part d’héritage, soit le tiers de la maison.
Sépulture, Saint-Pierre-le-Jeune (luth. reg. 1716-1783 f° 120)
1735. Freÿt. d. 1. Julÿ vormittag zwischen 11 & 12 uhr starb alhier Catharina Margaretha Heuschin, weÿl. Johann Phillipp Heusch geweßenen Sattlers v. burgers alhier v. fr. Johanna Margaretha geb. Klauholdin beeder Eheleuthe erzeugtes töchterlein v. wurde Sambst. d. 2. Ejuds. auf dem Gottes Acker St. Galli (daselbst ich unterschriebener Pfarrer Ihme auch parentiret) christlichem gebrauch nach begraben, seines Alters 20 wochen wenniger 1 tag. Testes Augustin gintzer als stieff vatter, Claudius Wilhelm als pfetter (i 124)
Jeanne Marguerite Klauhold se remarie en 1735 avec le sellier Augustin Güntzer : contrat de mariage, célébration
1735 (1.6.), Not. Brackenhoffer (Jean, 4 Not 28) n° 362
Eheberedung – Zwischen dem ehrsahmen vndt bescheidenen H. Augustin Gintzer dem Sattler, burger vndt wittiber alhie alß hochzeithern ane einem
so dann der Ehr: vndt tugendbegabten frawen Johanna Margaretha Heuschin gebohrner Klauholdin, weÿl. deß ehrsahmen H. Joh: Philipp Heuschen geweßenen Sattlers vndt burgers alhier hinterbliebenen Wb. alß hochzeitherin andern theilß
Actum Straßb. d. 1. Junÿ 1735. (unterzeichnet) Augustin gintzer als hoch Zeiter, Johanna Margaretha heuschin als hochzeiterin
Mariage, Temple-Neuf (luth. f° 133 n° 497)
1735. Mittw. d. 29. Jun. sind nach 2. maliger Proclamation ehelich Copulirt und eingesegnet worden, Augustin Güntzer der sattler, Wittwer v. b. alhier, v. frau Johanna Margaretha, weÿl. Johann Philipp Heuschen geweßenen b. v. Sattlers Nachgel. Wittib (unterzeichnet) Augustin gintzer als hoch Zeiter, Johanna Margartha heischin als hochzeiterin (i 137)
Les nouveaux mariés font dresser l’inventaire de leurs apports dans la maison dont l’épouse a la jouissance viagère. Le récapitulatif de l’inventaire est incomplet.
1735 (15.7.bris), Not. Brackenhoffer (Jean, 4 Not 39) n° 365
Inventarium und Beschreibung aller derjenigen liegend und fahrender Haab und nahrung, Schulden und Gegenschulden überall nichts davon ausgenommen, so der Ehren und vorgeachte Herr Augustin Güntzer, Sattler und die Ehren und tugendsame Frau Johanna Margaretha geb. Klauholdin beede Eheleuthe und burgere alhier Zu Straßburg einander vor unverändert in den Ehestand gebracht, so aus Ursachen dieselbe in Ihren mit einander auffgerichteten Ehepactis solche zugebrachte Nahrung sich als ein unverändert reservirt (…) Actum Straßburg in præsentia H. Claudii Wilhelms, sattlers und burg. alh. des Ehefr. geschw. noch ohnentledigten Vogts & hierzu vorhien erbettenen beÿstands, Donnerstags den 15.ten 7.bris Anno 1733.
In einer alhier Zu Straßburg am Kornmarck gelegenen zum theil hiehero gehörigen behaußung hat sich befunden
Eigenthumb ane Einer Behauß. (Fr.) Eine Vorder vndt hinder behaußung mit all. dero begriffen, Weithen, Rechten, Zugehörden und Gerechtigkeiten, gelegen alhier Zu Straßb. gegen dem Kornmarck über, 1.s. ist ein Eck am Sallmengäßlein, 2.s. neben der Gastherberg Zum Sallmen, Vornen auf die Straß am Kornmarckt, und hinten auf ged. Gastherberg stoßend. Davon gehen jährlich Erstl. 1. lb d jahrs auf Joh. Bapt. Löbl. Statt Pfenningthurn Von einem Wetterdächlein Vor dem Laden, th. Zu doppelt. Capital gerechnet 40. lb. It. 13. lb 4 ß ad 4. pro Ct° gerechnet. Zinß jahrl. auf Martini H. Johann Philipp Kolben dem handelsmann und b. alhier uxorio nomine, so in Cap. abzulößen mit 330. lb. 2 ½. d. Item 8 lb. d. Zinß ad 4. pro C° gerechneten Zinß Lieutenant Haußers zu oberehenheim Jährl. in Capital mit 200. lb, It. 12. lb d Zinß ad 4. pro C° gerechnet H Georg Abraham Endling Paßmentirer und burger alhier als Vogt der Reinboldischen Kindern, in Capital mit 300 lb. Item 10 lb 2 ß auch à 4 rpo C° gerechneten Zinß soll man H Philipp Frantz Kasten, bedienten im Kauffhauß und burg. alhier in erster Ehe erzeugten 4. annoch lebenden Kindern nahmens Philipp Frantz, Johann Daniel, Magdalenä und Margarethä Salome geschwornen Vogt Johann Rheinen fastenspeishändler und burger alhier abzulößen mit 265 lb 1 ß d, Sonsten aber freÿ, leedig vndt eig. und wird anstell (*) ohnpræjudicirlich æstimirt und angeschlagen umb 2000 lb (…) Über dieße Behaußung besagt ein teutsch pergamentenen Kauffbrieff in allhießiger C C stub verfertiget und mit dero anhangedem Insiegel verwahrt de dato 18. Maÿ 1722. mit alter Litera A. signirt
Wÿdumb, so die Ehefrau lebtägig zu genießen hat. (…) so weÿl. H Johann Philipp Heußen der geweßene Sattler und burger alhier ihren erstern Ehemann seel. Crafft der mit ihro auffgerichteten Eheberedung §° 6° zu einem lebtäg. wÿdumbs genuß in seine hinterl. behausung am Kornmarckt alhier gelegen
Series rubricarum hujus Inventarÿ, Sa. haußraths 292, Sa. Leerer Faß 2, Sa. Wahren 220, Sa. Silbers 38, Sa. Goldener Ring 2, Sa. Baarschafft 150, Sa. Acivorum (-), Summa summarum (-), Passiva 365 lb
Der Ehefrauen, Sa. haußraths 331, Leerer Faß und bütten 3, Sa. Wahren und werckzeugs 68, Sa. Silbers55, Sa. Guldener o 198, Sa. Baarschafft 221, Sa. Eigenthumbs ane Ir behaußung 88, Sa. Gülth von Eigenth. liegend güthern (-),Sa. Activorum 88, Summa summarum 1010 lb – Passiva
Augustin Güntzer et Jeanne Marguerite Klauhold se lèguent mutuellement leurs biens
1735 (3. 9.br), Not. Brackenhoffer (Jean, 4 Not 28) n° 389
Codicillus Reciprocus – persönlich kommen und erschienen seind der ehrsahme und vorgeachte H. Augustin Güntzer, Sattler, und die Ehren und tugendsame frau Johanna Margaretha Güntzerin gebohrne Klauholdin, beede Eheleuthe und burgere alhier Zu Straßburg, Er der Ehemann aufrecht gesund gehend und stehenden, die Ehefrau aber etwas Krancken Leibes, dahero zu bette liegend, jedoch dabeÿ guter richtiger Sinnen, vernunfft und verstands
Donnerstags den dritten 9.bris A° 1735. zwischen 7 und Acht Uhren (unterzeichnet) Augustin gintzer, Johanna Margaretha gintzerin
Fils d’Augustin Güntzer, aubergiste au Cep de vigne à Dorlisheim, Augustin Güntzer fait son apprentissage chez Samuel Schall de 1714 à 1717.
1714, Protocole de la tribu des Tanneurs (selliers, XI 370, 1692-1727)
(f° 192) Montag den 14. Maÿ Anno 1714 – Lehrjung eingeschrieben
Samuel Schall stehet vor, producirt Schein von beeden Obern Handwercks herren ertheilt de dato 14. Maÿ A° 1714 crafft deßen Er Zum Lehr Jungen angenommen Augustin Güntzer, weÿl. Augustin Güntzer geweßenen burgers vnd Gastgebers Zum Reebstock in Dolißheim seel. ehelichen Sohn, Ihne das Sattler handwerckh vf dreÿ Jahr lang trewlichen Zu Lehren gibt Lehr gelt 90 Gulden und der Frawen Sechs Gulden pro discretione woran gleich jetzo die helffte und die ubrige helffte Zu end der Lehrzeit, auch von seithen des Jungen, alle beÿm auffdingen vnd ledigsprechen erfordernde Unkosten allein bezahlt werden solle, gehet die Lehr zet an auff heut dato den 14. Maÿ A° 1714. und endet sich wider ermelten tags A° 1717 Bat umb die einschreibung.
Erkandt Willfahrt, Actum in præsentia Frantz Oberlins Kieffers des Jungen Vogts vndt Herrn Johann Ernst Becken Schaffners der hohen Schuhl allhier deßelben Pföttern gab vor die Zunfft 1. lb 10 ß d
(f° 219-v) Montag den 14. Junÿ Anno 1717 – Lehrjung außgethan
Samuel Schall stehet vor meldet es seÿe seines Lehr Jungen Augustin Gintzers Lehr Zeit bereits verfloßen wäre mit Ihme in allem wohl Zufrieden, bat also Ihne der Lehr halben freÿ zu sprechen.
Erkand Willfahrt, Actum in præsentia Frantz Oberlins Kieffers vnd burgers allhier des geweßenen Jungen Vogts. (dt 8 ß vfflaggelt, 2 ß Scrib. 1 ß Bittel)
Geoffroi Jorch de Gotha en Saxe déclare qu’Augustin Güntzer doit être porté sur la liste noire. Augustin Güntzer qui a été injustement mis en cause a rattrapé Jorch à Molsheim. Les frais de procédure sont supportés pour moitié par le maître du fugitif qui n’a pas assez surveillé son compagnon et pour moitié par Augustin Güntzer qui l’a laissé s’enfuir.
(f° 251) Montag den 15.ten Martÿ 1723
Der Handwercksmeister producirt dreÿ Schreiben von Gotha in Sachßen wegen Augustin Güntzers, welcher Gottfried Jorchen Außsag nach daselbst solle an der schwartzen Taffel stehen, die aber ein gantz anderers melden und nicht Ihne sondern einen andern Verstehen, der ursachen dann gedachter Augustin Güntzer Vorstehet und clagt es wäre der handwercksmeister schuldig daran daß Gottfried Jorch sein ancläger Von hier außgetretten, wie er dann deßwegen Ihme nachgesetzet Zu Moltzheim attrapirt und gegen Wärthigen Schein so mit seiner undettlicher Metzger unterschrifften corroborirt, annoch erhalten, worinnen Jorch selbsten bekennet, daß Ihn Meister Brösamle darzu angefrischet Ihnen auff Zutreiben, wie nicht weniger als er sein ungerechte sach vor augen sehe, heißen fortgehen und darzu noch 4 thaler mit auff den weeg gegeben, fordert deßwegen seine uncösten und satisfaction an den handwercksmeister.
Ille hingegen leugnet solches alles, Vorgebende Jorchen könne mann in dießem stuck Keinen glauben beÿmeßen weilen er bekantermaßen Clägern auch durch unwahrheit hinter das liecht geführet. Nach gehaltener umbfrag wurde Erkand, es solle nicht allein obgedachter Gottfried Jorch an die schwartze Taffel geschrieben, sondern auch nach Saxen Gotha und deßen heÿmath dieß action verkunbahret werden, der handwercksmeister anbeÿ weilen er den Gesellen nicht beßer beobachtet und deßen bindel Verwahret die helffte der Handwercks Costen die übrige helffte aber Cläger weilen er bemelten Gesellen Zu Moltzheim da er Ihn angetroffen nicht habhafft gemacht sondern gehen laßen zu leiden schuldig sein, doch daß Sie Ihren regress an Jorchen wann er wider anhero Käme, suchen mögen.
Augustin Güntzer est mis à l’amende pour avoir travaillé chez des maîtres français à l’encontre du règlement
(f° 263) Sambstag den 25. Novembris A° 1724 – Augustin Güntzer der Gesell von Dorrlißheim gebürtig welcher auch wider ordnung beÿ frantzöischen Meistern gearbeitet, stund vor, und wolte sich auch mit E. E. Meisterschafft deß wegen abfinden. Erkandt, soll 7 fl. erlegen, bat umb genad, verblieb beÿ 6 fl. die er dann Zu geben versprochen (dt. 11. ß Handtwercks Costen)
Augustin Güntzer s’incrit le 21 février 1726 pour faire son chef d’œuvre qu’il présente le 18 mars. Les examinateurs lui demandent de le parfaire, il reste cependant des défauts lors de la nouvelle inspection le 24 avril. Augustin Güntzer est cependant reçu maître. Il prend part pour la première fois au conseil de la maîtrise le 29 avril.
(f° 269) Mittwoch den 21. Februarÿ 1726. – Augustin Güntzer der Leedige Sattlers Gesell, weÿl. Augustin Güntzer des geweßenen Gastgebers Zu Dorrlißheim nachgelaßener ehelicher Sohn, stehet vor und begehrt beÿ E. E. Handwerck das Meisterstück auff zunehmen. Erkandt wird Ihme nach Zuvor abgeleßnener ordnung willfahrt, und bekam die wahl solches in Mstr Kuntzen, Kießels oder Zÿsichs weckstätten solches zuverfertigen.
(f° 269) Montag den 18.ten Martÿ hatt in præsentia S T. H. XV. Richßhoffers als Obmanns, Augustin Güntzer Seine meisterstück bäum besichtigen laß.
die vier Schau Meister sagten auß 1. den Reith Sattel anlangend, träffe sich derselbe in den maaßen an ettlichen Ortten etwas ungleich, in den Gestellen, wäre eines ein wenig breiter als das andere, im übigen seÿe er passirlich.
2. den Krummen fliegel betreffend ist ein Flügel etwas höher als der Andere der Äffter in den Creutzmaaßen ungleich zwischen dem Kopff und der Grundvest ist die Fueg etwas unsauber, sonsten mag er auch vor gültig acceptirt werden. Erkandt, soll die Fehler im außarbeiten verbeßern.
(f° 270) Mittwoch den 24. Aprilis ließ in beÿsein des Herren Obmanns Augustin Güntzer seine völlig außgemachtes Meisterstück besichtigen.
die vier Schau Meistere referirten 1. den Reith Sattel anlangend so seÿen die Taschen formen beÿ anderhalben Zoll Zu Kurtz, der Sitz hart außgefüllt und hinten zu schmahl auch etwas Zu eng abgenähet, die hinterbausch sehen beÿm Äffter hieneinwarts die Latzlen an den hintern Bäuschen verkehrtn außgenähet und wären die Gallaunen an besagten hinteren bäuschen anzunähen vergeßen worden, die Hulfftern solten etwas Längr, und die Kappen gleich wie der Sattel gesteppt sein, das vorderzeug wäre zu schmahl und die Hulffter Schlauffen zu nahe beÿ einander gesetzt, so solle auch der Stuckmeister ein paar stärckere Steig Riehmen verfertigen.
2. Was den Krummenflügen anlangt, wäre er vor passierlich anzunehmen.
3. das Kummet berührend, wäre es ungleich außgefüllt und habe unten viel Falten, seÿe kein ungarische Riehmen daran, und die höltzer zu strack.
Erkand, soll vor jetzerzehlte begangene Fehler 1. lb d Straff erlegen. Nach gebettener Genadt und da sonderlich hochverordneter Herr Obmann seine dürfftigkeit und bißherige gute Aufführung vorgestellt, wurde Ihm die Straff wie wohl sine præjudicio alterius auß gnaden nachgelaßen, davor er sich gegen demselben und gesambter E. Meisterschafft bedanken, die fehler aber annoch möglichste Fleißen Zu verbeßern suchen solle.
(f° 270-v) Montag den 29.ten Aprilis – Augustin Güntzer stehet vor, bat umb den Meistersitz. Erkandt willfahret, hat wegen der Frantzöschen beusch am meisterstück nach ordnung Zu erlegen 1. lb
Augustin Güntzer est reçu tributaire chez les Tanneurs le 10 juillet 1726.
1726, Protocole de la tribu des Tanneurs (XI 358)
(f° 163-v) Mittwoch den 10. Julÿ – Augustin Güntzer, der Sattler, weÿl. Augustin Güntzer geweßenen Gastgebers Zu Dorrlißheim und burgers allhier ehelicher Sohn, producirt Stallschein vom 3.ten Julÿ 1726. bitt ut ante [umb das Zunfftrecht] Erkandtn willfahrt soll davor 1 lb 5 ß, wegen befreÿung der Feÿr eÿmer 1 lb 5 ß, Zur Feÿrspritz 5 ß, Auff den Pfenningthurn 13 ß 4 d, Zu den Fenstern 5 ß (dt. 3 lb 13 ß 4 d)
Fils de feu Augustin Güntzer, aubergiste à Dorlisheim, Augustin Güntzer épouse en 1726 Marie Catherine, fille du marchand de fruits et légumes Jean Jacques Bœrus : contrat de mariage, célébration
1726 (14. 8.br), Not. Hoffmann (Christophe Michel, 19 Not 5) n° 47
Eheberedung – Zwischen dem Ehrengeachten Meister Johann Augustin Güntzer Ledigen Sattlern Von dorrlisheim gebürtig und burger, alß brautigam ane einem
Sodann der Ehren und tugendsahmen Jungfer Mariæ Catharinæ Börußin weÿl. des Ehren und vorgeachten Hn Johann Jacob Böruß gewesten fastenspeishändlers und burgers alhier nunmehro seel. nachgelaßener ehel. tochter, alß Hochzeiterin am andern theÿl
So beschehen und Verhandelt in der Königl. Freÿen Statt Straßburg den 14. Octobris Anno 1726.
(Répertoire 65 not 12, f° 93-v sqq) Eheberedungen, So nicht unterschriebenen worden
Mariage, Temple-Neuf (luth. f° 45, n° 176)
1726. Eod. die [Mittw. d. 6. 8.br.] nach Zweÿmaliger Proclamation ehelich Copulirt und eingesegnet word. Augustin Güntzer der ledige sattler v. b. alhier, weÿl. Augustin Güntzers Gewes. b. v. Gastgebers Zu dorlißh. Nachgel. ehel. Sohn v. Jgfr. Maria Catharina weÿl. Joh: Jacob Beres gewes. b. v. Fastenspeishänd. Nachgel. ehl. tochter (unterzeichnet) Augustin gintzer als hoch Zeiter, Maria Chatarina böresin als hochzeiterin (i 48)
Jeanne Marguerite Klauhold meurt en octobre 1742 en délaissant une fille issue du veuf. La maison appartient pour un tiers à la défunte (comme héritière de l’enfant posthume) et pour les deux autres tiers à son beau-fils Jean Geoffroi Heusch. La maison est estimée au même prix qu’à l’inventaire précédent, soit 800 livres. La masse propre au veuf est de 353 livres, celle propre aux héritiers de 337 livres. L’actif de la communauté s’élève à 475 livres, le passif à 992 livres.
1743 (24.7.), Not. Brackenhoffer (Jean, 4 Not 16) n° 645
Inventarium über Weÿl. der Ehren und Tugendsahmen frauen Johannæ Margarethæ gebohrener Klauholdin, des Ehren und Vorgeachten herrn Augustin Güntzers Sattlers und burgers allhier Ehefrauen seel. Verl. auffgerichtet in Anno 1743. – nach ihrem den 31.ten Octobris 1742. aus dießer Zeith und welt genommenen tödtlichen hintritt hier Zeitlichen Verl. Welche Nahr. Verl. dato Zu End stehend. auf freundliches ansuchen erfordern und begehren H: Phill: Jacob Dambachs b: und handelsmanns allhier als geordnet und geschworenen Vogts Maria Dorothea der verstorb. seel: mit dem hinterbl. Wittiber ehelich erzeugten döchterleins vnd ab intestato Verl: eintziger Erbin, ersucht (…) Actum Straßburg d. 24.ten Julÿ 1743.
In einer alhier Zu Straßburg ane dem Korn Marck gelegenen hiehero zum theil gehörigen behauß.
Auff der ersten bühn, In der Leder Kammer, In der Gesellen Kammer, In der Soldaten Kammer, Im obern haußöhren, In der hinteren stub, In der Stub Kammer
Ergäntzung deß Wittibers wehrend. Ehe abgegangen ohnv. guthß, Vermög Inventarÿ über deß Wittib. vnd seiner verstorb. ehefr. seel: einand. in den Ehestand Zugebrachte Nahrungen, sub dato d. 15. 7.br. 1735. durch mich unterzog. N°
(f° 29) Eigenthumb ane Einer Behauß. I. Vorder vndt hinter hauß m. all. dero begriffen, weithen, Rechten Zugehörden und Gerechtigkeiten gelegen alhier Zu Straßb. gegen dem Kornmarck hinüber 1.s. ist ein Eckh ane dem Salmen Gäßl. 2.s. neben d. Gastherberg Zum Salmen genandt, Vornen auf die Straß am Kornmarck, u. hinten auf gedachte Gasten Herberg stoßend, davon gibt man jährlich 1. lb d Jahrs auff Baptistæ hießiger Statt Straßb. Pfenningth. Von i. Wetterdächl. thut Zu doppeltem Capital gerechnet, antreffend 40. lb, So dann ist solche annoch wegen verschiebene darauff hafftender Capitalien wie unter den Passivis eingetragen Zu befinden vnderpfands weiße verhafftet, sonsten aber ledig und Eigen undt Weilen der hinterbl. Wittiber berichtet, daß er deß wegen Von denen hochverordneten Hh. dreÿ der Statt Stall den Consens und Einwilligung erhalten gelaßen beÿ dem Jenigen Anschlag, wie solche auf Absterben weÿl. H. Joh: Phill: Heuschen geweßenen Sattlers und Burgers allhier seines Ehevorfahren gehabten erstern Ehefr. seel. l. Scheins vom 5. Martÿ A° 1733. æstimirt und angeschlagen Vor und umb 800 lb. Abgezogen wegen des darauff hafftenden bodenzinßes 40 lb, Restirt noch ane dem anschlag 760. lb. daran hiehero vor ein tertz eigenthümbl. gebührig auszuwerffen mit 253. die übrige Zwo tertzen seind Joh: Gottfried Heuschen des Wittibers Stieff Söhnl. eigenthüml. zuständig. Über dieße behauß. besagt j. teutscher pergamenter Kauffbrieff aus allhießiger Cantzleÿ Contract Stub gefertiget m. dero anhangendem Insiegel verwahrt datirt d. 15.ten Maÿ 1722. mit alten Lit. A. signirt
(f° 37) Series rubricarum hujus Inventarii. Copia der Eheberedung – Copia Codicilli reciproci
Des Wittibers ohnverändertes Vermögen, Sa. haußraths 42, Sa. Silbers 10, Sa. goldenen Rings 18 ß, Sa. d. Ergäntzung 687, Summa summarum 742 lb – Schulden 388, Nach deren Abzug 353 lb
Dießemnach wird auch der Erbin ohnverändertes Mütterliches Guth beschrieben, Sa. haußraths 93, Sa. Silbers 16, Sa. goldener Ring 16, Sa. baarschafft 3, Sa. Eigenth. an i. behauß. 253, Sa. Gültten 1, Sa. Activ schuld 25, Sa. Erg. 293, Summa summarum 702 lb – Schulden 365, Nach deren Abzug 337 lb
Endlichen wird auch das gemein verändert und theilbar guth beschrieben, Sa. haußraths 30, Sa. Frucht 5, Sa. Wein und leerer Vaß 67, Sa. der Waaren und werckzeug 91, Sa. Silbers 1, Sa. baarschafft 53, Sa. Activ Schuld 225, Summa summarum 475 lb – Schulden 992 lb, Übertreffen also die Passiva die das Activ Vermögen dem Stalltax nach umb 516 lb
Conclusio finalis Inventarÿ 538 lb
Augustin Güntzer se remarie en 1743 avec Marie Ursule Wachenheim, veuve du tailleur Chrétien Müller : contrat de mariage, célébration
1743 (20. 7.br), Not. Brackenhoffer (Jean, 4 Not 30) n° 672
Eheberedung – zwischen dem Ehrenhafften H. Augustin Güntzer dem Sattler, burger vndt wittiber alhier als hochzeither ane einem
so dann der tugendsahmen Fr. Mariæ Ursulæ gebohrner Wachenheimin weÿl. Christmann Müllers geweßenen Schneiders vndt burg. alhier hinterbl. wittib alß hochzeitherin andern theils
daß darauffhin mit unterhandl. undt vermittelung auff seith deß hochzeithers H Phillipp Jacob Dambachß des handelßmanns vndt auch burgers alhier wie auch H Joh: Paul Buschen Schneider und auch burgers alhier seiner schwagere auff der fr. hochzeitherin seith. aber S.T. H. Johann Braunen vornehmen handelßmanns vndt E.E. großen raths dermahlig. beÿsitzers
Straßburg den 20. 7.br 1743. (unterzeichnet) Augustin güntzer als hoch Zeiter, + d. hochzt. handz.
Mariage, Saint-Pierre-le-Jeune (luth. f° 170-v n° XXIII)
1743. Sont. XV.et XVI. post Trinit. wurden proclamirt H. Augustin Güntzer Sattler und burger allhier, Fr. Maria Ursula geb. Wachenheimin weÿl. Christmann Müller hew. schneiders u. b. h.l. nachgelaßene wittwe, Copulirt Mittw d. 2. 8.br (unterzeichnet) Augustin gintzer als hoch Zeiter, x fr. hochzeiterin (i 175)
Le tailleur Chrétien Müller épouse en 1731 Ursule, fille du boulanger Daniel Wachenheim
Mariage, Saint-Pierre-le-Jeune (luth. f° 110 n° XXIII)
1731. Sont. XV. Dominica XXVII Trinit. et Advent proclamati sunt Herr Christmann Müller, Schneider v. burger alhier v. Jgfr. Ursula, weÿl. Daniel Wachenheim gewesenen Weißbecken v. burgers alhier nachgelaßene ehel. Tochter. copulati sunt Mittw d. 5. Decembr. (unterzeichnet) H. Christ Mann Müller Alß Hochzeiter, x ist der Jfr. hochzeiterin handzeichen (i 114)
Testament
1744 (26.3.), Not. Brackenhoffer (Jean, 4 Not 30) n° 696, 697
Maria Ursula Güntzerin gebohrne Wachenheimin H Augustin Güntzers burgers und sattlers haußfrau
Marie Ursule Wachenheim fait dresser l’inventaire de ses apports, soit 314 livres, dans la maison au Vieux-Marché-aux-Grains que possède en partie son mari.
1745 (7.Xbris), Not. Brackenhoffer (Jean, 4 Not 20) n° 736
Inventarium über der Ehren und Tugendbegabten frauen Mariæ Ursulæ Güntzerin geb. Wachenheimin zu H. Augustin Güntzer dem Sattler u. b. allhier ihrem Ehemann in den Ehestand zugebrachte Nahrung auffgerichtet in Anno 1745. (…) weilen Sie sich in denen mit ihrem Ehemann Zur Zeit ihrer Verheürathung auffgerichteten Ehepacten ein ohnverändert Guth reservirt und vorbehalten (…) Actum Straßburg d. 7. Xbris 1745.
In einer allhier Zu Straßburg ane dem alten Kornmarckh gelegenen dem Ehemann Zum theil eigenthümlich gehörigen behaußung hat sich befunden wie volgt
Series rubricarum hujus Inventarÿ, Sa. haußraths 22, Sa. Silbers 32, Sa. goldenen Ring 10, Sa. baarschafft 235, Summa summarum 300 lb – Haussteuren 29, daran gebühret mehrbesagter Fr. Güntzerin in Krafft der Eheberedung 5.ten Punctens die helffte 14 lb
Lors du règlement de la succession délaissée par Jeanne Marguerite Klauhold, Georges Heusch, étudiant au collège des Guillaumites, rachète la part de sa demi-sœur Marie Dorothée Güntzer
1757 (20.1.), Not. Brackenhoffer (Jean, 4 Not 16) Joint au n° 645 du 24 juillet 1743
Vor mir dem unterschriebenen offenbahren geschworneb Not° Löbl. Stadt Straßburg als dermaligen besitzers weiland H. Notÿ Johannes Brakenhoffers seel. Verlaßener Notariat acten, mithin auch des durch denselben über weiland frau Johannä Margarethä geb. Klauholdin H. Augustin Güntzers Sattlers und burgers alhier Ehefr. seel. Verlaßenschaft A° 1745. errichteten Invÿ. seind an unte stehendem Tag persönlich kommen und erschienen Herr Johann Friderich Kreß der Sattler und burger alhier als geordnet und geschworenen Vogts Jungfrau Mariä Dorotheä Güntzerin, der hat
in gegenseÿn Herrn M. Gottfried Heuß alumni Collegii Wilhelmitani ihres Stieffbruders angezeigt und bekanndt, daß Er demselben in ohnvertheiltem Erb aufrecht Vest und ohnwiederrufflich abgetretten und überlaßen habe (…)
benandlich das Zwischen ihro Jgfr: Güntzerin Zu einer tertz und Ihme H.M. Heuschen zu d. übrigen tertzen gemeinschaft. Vorder und Hinterhauß mit allen deßen begriffen, Weithen, Rechten, Zugehörden und Gerechtigkeiten, alhier Zu Straßburg an dem alten Kornmarckt gelegen 1.s. ist es i. Eckh ane dem alten Salmengäßel 2.s. neben dem alten Salmen hinten auch auf erstged. Hauß dermalen H. Rathh. Großen dem Sattler Zugehörig stoßend, Von einem Wetterdächlein davon gibt man jährl. auf Joh. Bapt: hießiger Stadt Pfenningthurn 1 lb Zu bodenzinß, und ist die Jetzte cedirte tertz ihr Jgfr. Güntzerin als ein Von ihrer obged. seel. Mutter anerstorbenes Erbguth eigenthümlich zuständig, auch über angezeigte beschwerde, sonsten gegen männigl. freÿ, leedig und eigen, Zumalen ermelter Herr Augustin Güntzer der Cedentin Vater Vermög der Vor mir Not° am 8.ten hujus mit Herrn Antoine Duclo dem Caffeesieder und b. alhier errichteten Interims Verschreibung auf den natural Genuß des cedirten dritten theils an ged. behaußung Verzug gethan – um 1333 gulden 3 schilling 4 pfenning
Straßburg den 20.ten Januarÿ 1757. – T. Johann Richard Häring Not.
Augustin Güntzer meurt en 1765 en délaissant une fille de son premier mariage et une autre du deuxième. L’inventaire est dressé dans une maison près des Petites Boucheries. La masse propre à la veuve est de 261 livres. L’actif des héritières et de la communauté s’élève à 1 007 livres, le passif à 464 livres
1765 (15.2.), Not. Haering (6 E 41, 1365) n° 265
Inventarium über Weiland des Ehren und Wolgeachten H. Augustin Güntzer, im Leben gewesenen Sattler Meisters und burgers alh. Zu Straßburg nunmehr seel. Verl.t auffgerichtet Anno 1765. – nach seinem Montags den 21. Jenner laufenden 1765.sten Jahrs aus dießer Welt genommenen tödt. von hinnen Scheiden hie Zeit. verlaßen, WelcheVerlt. auf gebührendes Ansuchen nur allein der Ehren: und tugendsamen Frau Mariä Ursulä Güntzerin geb. Wachenheimin der dießorts hinterbliebenen Wittib beÿständ. des Ehren und vorachtbaren H. Johann Friedrich Kreß Sattlermeisters und hiesigen Brs, sondern auch des Verstorbenen seel. in zween Ehen erzeugter nach Tod Verlaßener zwoen frauen Töchter (…) So beschehen Straßburg Freÿtags den 15.den Februarii 1765.
den Verstorbenen seel. ab Intestato zu erben sind fähig Seine in Zwoen Ehen erzeugte nach tod verlaßene zwo fr: Töchter. 1. die Ehren: und Tugendsame Fr: Catharina Salome Stammin geb. Güntzerin, des Ehrengeachten H. Johannes Stamm Weißgerb. und brs. alhie Ehefr: beÿstd. deßelben Zugegen, diese hat der verstorbene seel. in erster Ehe mit weil. Fr: Maria Catharina geb. Börußin, welche den 27. 8.bris 1734 im H. Seelig entschlaffen, erzeugt, 2.do die Ehren und Tugendbelobte Fr: Maria Dorothea Rothin geb. Güntzerin, unter der beÿhülfe ihres Eheliebsten H. Joh: Martin Roth, Weißbecken und Brs alhier, Ehegattin, diesem Geschäft abwartend, Welche der Verstorbene seel. mit Fr. Johannna Margaretha geb. Klauholdin, seiner am 31. 8.bris 1742. seel. verschied. Eheliebstin erzielet hat. Beede Zu gleichen Portionen und Antheilen
In einer alhier Zu Straßburg ane der Kleinen Metzig gelegenen, dießorts zum theil Lehnungs Weiße bewohnenden Behausung befunden worden, wie folgt
(f° 9) Eigenthum an einer Behaußung. Neml. eine behausg. höflein und hofstatt, mit allen deren Gebäuden, Rechten und Gerechtigkeiten gelegen alhier an dem Spital Gäßel (…)
1.s Gottfried Kraußen dem bürstenbinder 2.s neben N. Milius dem Krempen hi. auf N. Geißtod des hohldehers Wb. und erben (lt) abschatzung vom 23. feb. 1765 angeschlagen worden pro 600 R oder 300 lb, hierüb: meldet Ganth Kaufbrieff vom 25. maÿ 1762 Nebst 2. ält. Kaufbr: aus C.C. Stb vom 25. maÿ 1747 und 21. maÿ 1695
(f° 11) Ergäntzung der Wittib eighen vorbehaltenen Guths. Außweißl. deroselbeen Invÿ. Illat. Anno 1745 durch H. Not. Johannes Brackenhoffer aufgerichtet
Ordnung gegenwärtigen Inventarÿ. Copia der Eheberedung (…) den 20. 7.br 1743, Johannes Brackenhoffer, Notarius juratus, Collat. Johann Richard Häring Notarius
Copia Codicilli – persönlich erschienen ist H Augustin Güntzer der Sattler und burger alhier durch Verleihung göttlicher Gnaden aufrecht gesunden gehend und stehenden Meibs (…) Donnerstags den 26. Martÿ 1744 , Joh. Brackenhoffer Not.
(f° 17) Folgt nun hierauf die Beschreibung gegenwärtiger Verlt. an und vor sich selbsten. der Wittib unverändert und eigen vorbehaltenen Guths, Sa. hausraths 3, Sa. Silbers 3, Sa. gold. Ring 2, Sa. baarschafft 3, Ergänzg. Rest 249, Summa summarum 261 lb
Diesemnach wird die übrige Verlaßenschaft in Conformitæt der Eheberedung 4.ten punctes als in des verstorb. seel. Nahrung gehörig, beschrieben, Sa. hausraths 61, Sa. leeren Faß 7, Sa. Waar zur Sattler Profession 58, Sa. Silbers 24, Sa. gold. Ring 8, Sa. Eigenthums an einer Behaußung 300, Sa. Pfenningzins hauptguths 197, Sa. Schulden 348, Summa summarum 1007 lb – Schulden 464, Nach deren Abzug 543 lb – Stall summ 1019 lb
Wÿdem den der Verstorbene seel. aus erster Ehe genoßen 168
Vente provisoire par laquelle Geoffroi Heusch et Marie Dorothée Güntzer vendent la maison au cafetier Antoine Duclo moyennant 2 000 livres.
1757 (8.1.), Not. Haering (6 E 41, 1379) n° 31
Interims Verschreibung – Herr M. Gottfried Heusch, alumnus Collegii Wilhelmitani wie auch Hr Johann Friedrich Kreß der Sattler für sich und im Nahmen Maria Dorotheæ Güntzerin H. Augustin Güntzers des Satters mit weÿl. frau Johannæ Magdalenæ geb. Klauholdin erzeugter tochter
in gegensein H. Antoine Duclo des Caffe Sieders
Eine Vorder und hinterhauß mit allen deßen begriffen, Weithen, Zugehörden, rechten und Gerechtigkeiten gelegen an dem alten Kornmarckt, 1.s ist es ein Eck an dem Salmengäßel, anderseit neben dem alten Salmen hinten auch auf erstged. hauß, davon gibt man jährlich 1 pfund pfenning auf Joh: Bapt: hiesiger Stadt Pfenning Thurn von einem Wetterdächlein – um 4000 gulden
Vente ferme par Geoffroi Heusch à Antoine Duclo, dressé par le notaire royal Humbourg le 21 janvier et transcrite à la Chambre des Contrats le 18 février 1757.
1757 (18.2.), Chambre des Contrats, vol. 631 f° 44-v, Not. Humbourg 21 janvier 1757 (6 E 41, 97)
auf ansuchen H. Johann Philipp Nicard Juris studiosus nahmens H. Antoine Duclo des caffesieders, nachstehende kaufverschreibung
Sr Godefroy Heüsch, Etudiant en théologie faisant membre du collège de St Guillaume
au Sr Antoine Duclos bourgeois caffetier
une Maison consistante en corps de logis sur le devant et sur le derrière sous un même toit avec ses appartenances, droits et dépendances scituée en cette ville Vieux Marché aux Grains faisant une part coin de la ruelle du Vieux Saumon, attenante d’autre part à la maison à l’enseigne du Vieux Saumon, aboutit par derrière sur la maison appartenant présentement au Sr Groos assesseur au Grand Sénat – échue savoir deux tiers des successions de feu le Sr Philippe Heüsch son père maître sellier et de Jean Daniel Heüsch son frère, et l’autre tiers par l’abandon qui lui en a fait sa sœur privigne Marie Dorothée Güntzer, fille du Sr Augustin Güntzer aussi maître sellier et de defunte Jeanne Marguerite Klauhold qui avait épousé en premières noces le père du vendeur, lequel abandon a été fait Pardevant le Sr Jean Rich. Häring not. le jour d’hyer, suivant inventaire de Jeanne Marguerite Klauhold dressé en 1743 par Jean Brackenhoffer – pour 4000 florins ou 8000 livres tournois
Ancien soldat au régiment d’infanterie Angoumois, Antoine Duclo originaire de Lafitole en Gascogne dans le diocèse de Tarbes épouse en 1733 Anne Barbe Kiser qui habite à Strasbourg depuis son enfance
Mariage, Saint-Pierre-le-Jeune (cath. p. 270)
Die 16 Mensis februarii anni 1733 (…) sacro Matrimonii vinculo in facie ecclesiæ Coniuncti fuerunt Antonius ducloux oriundus ex loco lafitolle in Casconia diœcesis tarbensis Miles dimissus es legione pedestri vulgo angoumois et anna Barbara Kiserin à Juventute in hac urbe Commorans et modo in nostra parochia præsentibus testibus laurentio Castel incola, Renato turquoy Cive et heinrico blanchard Cive et ludocivo finance cive et caupone (signé) sponsus lacro, sponsæ signum + (i 142)
Les Quinze autorisent Antoine Duclo à être revendeur français. Manant qui a servi pendant huit ans dans le régiment d’Angoumois et ancien cuisinier, il déclare qu’il n’a pas les moyens d’entreteir sa famille sans avoir un nouveau revenu. La tribu de la Mauresse s’en remet aux Quinze, bien que le nombre de revendeurs français, fixé à trente, soit déjà dépassé. Les Quinze délivrent une expédition de leur décision.
1745, Protocole des Quinze (2 R 155)
(p. 457) Sambstag d. 21. Aug. 1745. – Fuchß nôe Antoine Duclo des Schirmers und gewesenen Kochs Cit. E. E. Zunfft Zur Mörin, H. Zfft. M. prod. underth. Mem. sambt beylagen 1. et 2. Moss. bitt Deput. Fuchs bitt auch Deput. Erk. Deput. willfahrt
(p. 534) Sambstag d. 11. Septembris 1745. – Antoine Duclos Ca. E. E. Zunfft Zur Mörin
Iidem [Obere Handwerckh herren] lassen per Eundem [Hrn Secret. Kleinclaus] referiren, daß Antoine Duclos der Schirmer und gewesene Koch in einem den 21. Augusti jüngst, contra E. E. Zunfft Zur Mörin H. Zunfft Meister produciren underth. Memorial sambt beÿlagen Sub Nis 1. et 2. gehorsambst Vorgetragen, er Habe besag dem Sub N° 1 beÿliegendem Congé absolu vnßerm allergnädgsten König in die acht Jahr, under dem Regiment D’Angoumois gedient, sofort laut beylag N° 2 sich A° 1733 in allhiesigen Schirm begegen und sich und die seinige bißhero mit seiner Handarbeit unterhalten, welches es aber fernerhin mit diesem geringen Verdienst Zu continuiren nicht vermögend, & Mit demuthiger bitt Mghh geruhen wolten Ihme mit dem so genanten Frantz. Krempen Recht in ansehung seiner Königl. dienst, und daß Er bereits 12. Jahr in allhiesigem Schirm seÿe, in gnaden Zu willfahren, Auß welches die Citirte E. Zunfft umb Deputation gebetten, welche auch bewilligt und beseßen worden, da der Implorant petitum wiederhohlet, Nomine E. E. Zunfft Zur Mörin habe H. Rath. Cammerer geantwortet, des gegners begehren seÿe Zwahr wieder Ordnung in deme der Frantz. Krempen so Schirmer nur 30. sein solten, welche Zahl aber bereits weit übersetzt, es stehe abr Zu Mghh. was Sie hierüber erkennen wollen.
Auff seithen der Herren Deputirten Vermeine man, daß aus beygebrachten ursachen dem Imploranten in seinem begehren dispensando Zu Willfahren, die Genehmhaltung Zu Mghh stellend. Erkandt, Bedacht gefolgt.
(p. 578) Sambstag d. 18. Sept. 1745 – Bescheid.
Sambstag den 11. Sept. 1745. In Sachen Antoine Du Clos des Schirmers und gewesenen Kochs, Imploranten, ane einem, entgegen und Wider E. E. Zunfft Zur Mörin H. Zunfft Meister Imploratin, am andern theil, Auff producirten underth. Memoriale, sambt beÿlagen Sub Nis 1. et 2. und beÿgesetztem Bitten, dem Imploranten mit dem so genanten Frantzösischen Krempen Recht in ansehung seiner Königlichen diensten, und daß Er bereits 12. Jahr in allhiesigem Schirm seÿe, in gnaden Zu willfahren, des Imploraten darüber gethane Verantwortung, gebettene, bewilligte und beseßene Deputation, und all übrigen angehörte Vor: undt anbringen, Ist, der Herren Deputirten ablelegten Relation nach, Erkand, Wird dem Imploranten in seinem begehren dispensando Willfahrt.
Antoine Duclo et sa femme née Kiesser deviennent bourgeois en 9 mai 1748, le mari à l’ancien tarif par recommandation, la femme à titre gratuit pour bon comportement
1748, Livre de bourgeoisie 1740-1754 (VII 284) p. 342
Antoine Duclot der bisherige schirmer allhier und deßen Ehefrau gebohrne Kießerin erhalten das burgerrecht und zwar der mann wegen hoher recommendation umb den alten burgerschilling die Ehefrau aber wegen wohlverhaltens gratis, wollen dienen beÿ E. E. Zunfft der Freÿburger jur. et promis. eodem [9. Maÿ 1748]
La tribu du Miroir demande au cafetier Antoine Duclo de devenir son tributaire. Il quitte la tribu des Fribourgeois pour celle du Miroir le 28 juillet 1750.
1750, Protocole de la tribu du Miroir (XI 277)
(f° 6) Dienstags d. 3.ten Martÿ 1750 – Hr Antoine Duclos der Caffetier und burger allhier, so weder Leib noch geld Zünfftig beÿ dieser Ehrsamen Zunfft wurde Citirt und ermahnet, daß Er E E Zunfft der Freÿburger allwo er Leibzünfftig wegen dem Caffee schanck quittiren und dißorths leibzünfftig werden solle.
Citatus ist willig solches Zu thun und sich leibzünfftig beÿ dießer E Zunfft, beÿ dem ersthaltenden Gericht, Zu begeben.
(f° 22) Dienstags den 28. Julÿ 1750 – Leibzünfftiger –
Antoine Duclos der Burger und Caffetier allhier ist nunmehr auff produciren Stallschein vom 20. Aprilis jüngsthien, gegen Erlag 2 lb 13 ß 4 d leibzünfftig als Caffetier angenommen worden dt. et prom. obed. (d. 2 lb 13 ß 4 d)
Antoine Duclo résigne son appartenance à la tribu des Fribourgeois mais continue d’y cotiser
1750, Protocole de la tribu des Fribourgeois (XI 167)
(f° 56) Donnerstags den 19.ten Martji A° 1750 – Anthoine Duclo der hiesige Caffetier undt bißherige Leibzünfftig beÿ dieser Ehrs: Zunfft, Erscheint und remonstriret wie daß er Zu Er En Zunfft Zum Spiegel dießorts aber geldt zünfftig zu verbleiben vndt dahero Jährlichen 6 ß d Stubengeldt Zu Entrichten willens, bittet derwegen Ihme den behörigen Resignations Schein Ertheilen Zu laßen
Hierauff wurde Erkandt daß demselben in seinem Gesuch zu willfahren, derselbe aber dießorths geldt Zünfftig zu verbleiben undt derwegen Jährlichen 6 ß d Stubengelts zu entrichten anzuhalten.
(f° 61) Sr Anthoine Duclo – daß h. Anthoine Duclo der Caffetier und burger allhier beÿ Er En Zunfft der Freÿb. alle biß dato verfallene Schuldigkeit Abgerichtet, Solches wird, weilen derselbe beÿ Er En Zunfft Zum Spiegel sich Künfftighin Leibzünfftig zu machen, beÿ ob:gedachter Ehrs. Zunfft aber Geldt Zünfftig Zu verbleiben, Undt dahero Jährlichen 6 ß d ane Stubengeldt Zu Entrichten so willens alß schuldig auß Erkanntnus Es Ehrs: Zunfft Gerichts hiemit beschienen, Straßburg Donnerstag den 19. Martÿ 1750.
Antoine Duclo loue à Jean Peter une partie de sa maison dont la salle d’auberge
1759 (5.7.), Chambre des Contrats, vol. 633 f° 217
H. Antoine Duclo der caffésieder
in gegensein H. Johann Peters des burgers
in seiner auf dem alten Kornmarckt neben H. Rathh. Joseph Groß des sattlers behausung zum Alten Salmen genannt gelegenen behausung, erstlich auf dem boden die gaststube in das hinder stüblein samt der kuchen und den halben keller, auf dem zweÿten stock eine stube, so dann auf dem dritten stock die gantze mansarde – auff 4 nacheinander folgenden jahren auff nächst kommenden 8. Octobris anfangend – um einen jährlichen Zinß nemlich 100 pfund
Barbe Kisser (ici Kiner) meurt en 1762 après avoir institué son mari légataire universel. Les experts estiment la maison à 1 900 livres. L’actif de la succession s’élève à 2 775 livres, le passif à 1 146 livres.
1762 (4.3.), Not. René (6 E 41, 546) n° 51
Inventaire de la succession delaissée par feu Dlle Barbe Kiner vivante Epouse du Sieur Antoine Duclos, Caffetier et bourgeois de la ville de Strasbourg dressé en l’année 1762. – fait à la réquisition dudit Sieur Duclos veuf en qualité d’héritier institué par ladite Defunte (…) Fait à Strasbourg le 4° mars 1762.
Copie du Testament de la Défunte – Aujourd’hui premier Decembre 1761 (…) est comparue Dle Barbe Kiner Epouse d Sr Antoine Duclos Caffetier Bourgeois de Cette ville y demeurant laquelle malade de Corps dans son lit dans le poële au second Etage de sa maison prenant jour dans la rûelle du saumon vis à vis les arcades, mais saine d’esprit (…)
meubles meublans, lesquels se sont truvé dans la maison mortuaire size audit Strasbourg faisant le Coin de la ruelle du vieux Saumon, appartenante à la présente succession comme s’ensuit
propriété d’une Maison. une maison avec ses appartenances Droits et Dépendances, située en Cette ville au vieux marché aux grains faisant d’une part le Coin de la ruelle du vieux Saumon, attenante de l’autre part à la maison à l’enseigne du vieux saumon, aboutissant par derrière à lad° maison appartenant au Sr Gross ancien assesseur au grand senat, ladite maison à la reserve des Capitaux y affectés franche quitte et libre est estimée par les architectes de la ville suivant leur procès verbal d’estimation en datte du 25° fevrier dernier, demeurant à la presente minutte d’inventaire, à la somme de 7600 livres. La propriété de lad° maison est Constatée par Contrat de vente expédié en parchemin passé pardevant m° Humbourg Notaire Royal le 21 Janvier 1757 et enregistré èz registres de la Chambre des Contrats de Cette ville le 18° febrier 1757 et munie du Sceau de lad. Chambre des Contrats.
Suite des rubriques du present Inventaire, Total de la prisée des meubles meublans 492, Total de l’estimation du vin et des tonneaux 81, Total du montant des effets et meubles d’argent 136, Total de la propriété d’une maison 7600, Total general 8310 livres – Dettes passives 4583 livres, reste 3727 – Somme finale 3123 livres
Abschatzung Vom 5.ten feb. 1762. Auff Begehren H Antonÿ Dicklo ist ein Caffee Haus Allhie in der Statt Straßburg Auff dem Alten Kornmarckt Gelegen Einseits Neben dem Salmen Geslein Anderseits vnd hienden auff H: Ratt Herren Gros Dem sadtler stosent Gelegen solches Caffee hauß bestet in einer *so Stuben ferner in Ettlichen Stuben, Kamern Vnd Kichen, dar jber ist der dachstuhl mit breitzieglein belegt Hat auch ein Gewelbten Keller und brunnen. Von uns underschriebnen der Statt Strasburg Geschworne Werck Meister Nach Vorhero geschehner besichtigung mit Aller Ihrer Gerechtigkeit Dem Jetzigen Wahren Werth Nach æstimirt Und angeschlagen Worden Vor und Vmb Threÿ Thausent acht Hundert Gulden (unterzeichnet) Werner, Huber
Barbe Kissel meurt à l’âge d’environ 65 ans
Sépulture, Saint-Pierre-le-Vieux (cath. p. 282)
Anno Domini 1762 die 17 januarii mortua est Barbara Küssel uxor antonii Duclo Liquoris caffé dicti et aliorum adustorum opificis ætatis suæ 65 circiter annorum SS: sacramentis pœnitentiæ Eucharistiæ et extremæ unctionis rité munita, postridie a me sepulta fuit in coemeterio Ecclesiæ nosträ collegiatæ Contiguo (i 145)
Le cafetier Antoine Duclo loue le droit de café et la salle de débit au cafetier Pierre Rinquenet de la Toulinière
1774 (29.9.), Chambre des Contrats, vol. 648 f° 393
H. Antoni Duclos der caffésieder
in gegensein H. Peter Rinquenet de la Toulinière des caffesieders
lehnungs weiße, 1. das caffe recht und deßen schanck,
2. die dem verlehener eigenthümlich zuständige behausung ane dem alten Kornmarckt neben H. Groß d. sattler meisters, nichts davon außgenohmen, auff 9 nacheinander folgenden jahren von dato anzurechnen – ohne nachtheil derer gerechtsame so H. Christian Lechner dem goldsticker und Barbara geb. Chenaut zuständig beseßen, welche eheleute H. Duclos sothanes cafferecht besag acte coram Not. Langheinrich löbl. policeÿ gerichts mit deßen decrets vom 13. Junÿ 1763 belehret cedirt und übertragen hat – 600 gulden
Antoine Duclo cède son droit de café au brodeur d’or Chrétien Lœchner et à sa femme Barbe Jenante
1763 (13.6.), Not. Langheinrich (6 E 41, 743) n° 183
Zuwißen seÿe hiemit daß auf heut Zu End gemeltes datum vor mir unterschriebenem geschwornem Notario persönlich erschienen Herr Antoine Duclot Caffesieder und Burger allhier Zu Straßburg, ane einem
So dann Herr Christian Löchner Goldsticker und frau Barbara Löchnerin gebohrne Jenante beede Eheleuth und auch Burgere allhier Welche folgendes guth und freundschafftlichen mit einander abgeredt und mich unterschriebenen Not. ersucht, solches gebühren Zu Verzeichnen und einen ordentlichen Acte darüber aufzurichten, so auch hiermit beschehen
Nemblich und Zum Ersten so Will Er Sr Duclot in Ansehung derselbe biß anhero Von Ihro Frauen Löchnerin und seith deme Sie Verehelichet auch von obgedachtem Ihrem Ehemann alle nur ersinnliche Treue und Freündschafft genoßen, solche auch fernerhin und in specie beÿ seinem Zunehmeden Jahren Zu genießen Verhoffet, Ihnen beeden Löchnerischen Eheleuthen auß pur lauterm freundschafftlichem Gegenbezeugen sein biß dato genoßenes Caffé Recht, dergestalten cedirt überlaßen und übergeben haben, daß Sie Solches treiben und exerciren Können und mögen, Wie Er solches biß dato exercirt und getrieben hat, Wobeÿ aber sich Er Sr Duclot expressé reservirt, im fall Sie beede Löchnerische Eheleuthe Vor Ihm mit todt abgehen solten oder auch die biß dato gegen Ihme hegende Liebe und freudschafft Ihme fenernhin Zu erweißen, unterlaßen würden, daß derselbe berechtiget seÿn solle und könne solches Ihnen hiemit übergenene Caffé recht Wieder an sich Zu ziehen (…) Straßburg d. 13. Junÿ 1763. (unterzeichnet) duclo, Lechner
Antoine Duclo loue sa maison au cafetier Pierre Binder
1774 (11.7.), Not. Laquiante (6 E 41, 1052) n° 24
Sr Antoine Duclos Caffetier
au Sr Pierre Binder Marchand caffetier, vente pour 9 années consecutives qui commencent a courir a la St Michel prochain
la jouissance et l’usage de Sa maison et dépendances sise en cette ville sur le vieux marché au grains a côté de celle du Sr Gross sellier ladite maison portant pour enseigne le Caffé Duclos, ensemble son droit Caffé – moyennant 10.800 livres tournois
Antoine Duclo meurt en 1778 en délaissant pour héritiers testamentaires les deux enfants de sa sœur remariée avec Pierre L’Estrade, Anne Marie Lalanne femme du concierge François Gascard et Dominique Lalanne, natif de Lafitole en Bigorre. Les experts estiment la maison à 2 000 livres. L’actif de la succession s’élève à 2 214 livres, le passif à 827 livres. Il a acquis le droit de café le 13 juin 1763 de Chrétien Lechner.
1778 (20. 9.bris), Not. Becker (6 E 41, 1395) n° 19
Inventarium und Beschreibung aller derjenigen Haab und Nahrung so liegend als fahrenden, Schulden in und aus dm Erbe keinerleÿ nichts davon ausgenohmen, reservirt noch vorbehalten, so weÿl. H. Anthonÿ Duclos im Leben geweßter W.br b.gr und ehemaliger Cafféesieder allhier Zu Straßburg nach seinem Donnerstags den 19.ten dieses laufenden Monaths Novembris aus dieser Welt genommenen töd. Hientritt hie zeitl. verlaßen, Solche Verlaßenschaft auf freundlich und geziemendes ansuchen Fr. Anna Maria geb. Lalanne, H. Frantz Gascard Portners in dem allhießigen zeughauß Eheliebstin, als eine der testamentarisch. Erben bald nach gedacht, So dann des wohlachtbaren H Peter Joseph Noel, bgrs. und vergulders auch E.E. kl. Raths dermahlig wolverdienten beÿsitzers allhier vor und im Nahmen des auch bald nachgemelten abweßebden Erben (…) So beschehen in der Königl. Stadt Straßburg auf Freÿtag den 20.ten 7.bre 1778
Der Verstorbene seel. hat per testamentum zu seinen eintzigen und universal Erben eingesetzt und hinterlaßen 1° Annam Mariam Lalanne, Hn Frantz Gascard Portners in dem allhießigen Zeughauß eheliche haußfrau, eingangs gedacht unter dessen assistentz gegenwärtig und 2.do Dominique Lalanne aus dem dorf de la Fitole in Bigorre gebürtig, so abweßend, beÿde des Verstorbenen Hn Duclos schwester Kindern, welche Schwester ane Peter L’Estrade sonsten Cristau* genannt in 2.ter Ehe veheurathet und in dem dorf de la fitole nahe beÿ Vic en Bigorre im bistum von Tarbes wohnhaft war
Copia der durch den Verstorbenen unterm 25. April 1759 errichteten testamenti clausi. Je sousigné Antoine Duclos marchand Caffetier de cette ville (…)
Copia actus Suscriptionis, Aujourd’hui 28 avril 1759, Humbourg Not. royal
In Einer allhier Zu Straßburg ane dem alten Weinmarckt gelegener in dieße verlaßenschafft gehöriger behaußung befunden worden als
Eigenthumb ane Zwo behaußungen. Erstl. I. behaußung in vorder und hinter hauß bestehend mit allen übrig. deren gebäuden, begriffen, zugehörden, Weithen, Rechten und Gerechtigkeiten gelegen allhier Zu Straßb. ane dem alten Weinmarckt (…)
Item Eine behaußung in vorder u. hinterhauß bestehend mit ihren hofstätten und allen anderen ihren gebäuen, begriffen, zugehörden, Rechten und Gerechtigkeiten gelegen allhier gegen dem alten Kornmarckt 1.s ist ein Eck am Salmen gäßel, 2.s n. und hinten auf das großische hauß stoßend, so löbl. Stadt pfth. weg. dem ehemals vorragenden Wetter dächlein 1. lb. d. ane bodenzinß zalte und dermalen außer den darauf haftenden und beÿ den Passivis ausgeworfen. Capital freÿ, leedig und Eigen. über sothane behausung besagt ein auf papier geschr. Extract aus hies. C. C. stub, kraft deßen solche behaußung von Hn Gottfried Heisch, Theologiæ studioso erkauft, vor H. Not° regio Humbourg den 21. Jener 1750 verschrieben und den 18. febr. 1757. in ged. C. C. stub enregistrirt worden. Dieße behaußung samt ihren Zugehörden wie Sie hieoben beschrieben wurde durch die geschw. Hhn. Werckmeistere zufolg ad Conceptum Inventarii schriftl. eingeschickter Abschatzung de dato 25. 9.bris 1778. nach genauer besichtigung dem Jetzigen wahren Werth nach æstimirt und angeschlagen ad 4000 fl, 2000 lb
Des verstorbenen Hn Duclos seel. Caffée Recht betrefend. Das Caffée Recht so H. Duclo seel. von hießig. Löbl. Stadt erlanget und mehrere Jahre in seiner gegen dem alten Korn Marckt gelegener behaußung Exerciret, hat derselbe aus freundschaft. Gegenbezeugen vor alle und ersinnliche treuw und freundschaft die Er von H. Christian Löchner dem bn. u. goldsticker und Fr. Barbara geb. genant deß. Eheliebsten genoßen, gedachter Lechnerische Ehefrau durch einen vor H. Langheinrich Not° publ. seel. unterm 13. Juny 1763 passirten acte sub approbatione Judiciale also und dergestalt cedirt, überlaßen und übergeben, daß Sie ein solches, wie Er Cedens, Exerciren und treiben könne, welche Cession acte auch würckl. beÿ E. L. Policeÿ Gericht zufolg Extr. desfalßig. Protocolli vom neml. tag 13. Junÿ 1763 Confirmirt und bestättiget worden. Ohne nachtheil dieses acts aber und mit Einwilligung der Lechnerisch. Eheleuth hat der verstorbene seel. sothanes Caffée Recht samt seiner dazu bestimten behaußung zufolg in allhies. C. C. stub unterm 29. Sept. 1774 passirter 9. jährig. Lehnung, ane H. Peter Ringuenet de la Touilliniere bgr. und Caffésieder verlehnet, und die verfallene Zinse davon bis an sein seeligen Ende bezogen. Weilen nun dießes Caffée Recht nicht als ein fond, sondern nur als ein verstattenes Recht anzusehen als komt auch hiervon nichts in auswurfe gebracht werden, sondern alles nur hiehero zum Bericht.
hausrath 113 lb, Silber 11 lb, baarschafft 21 lb, behaußung 2000 lb, Schulden 68 lb, Summa summarum 2214 lb – Schulden 827 lb, Compensando bleibt 1386 lb
– Abschatzung vom 25.t Novembre 1778. Auff begeren Weÿland Herrn Anthonÿ Duclo des geweßenen Caffesieder ist Eine behausung alhir in der statt strasburg auf dem alten Kornmarck gelegen Ein seÿts Ein Eck auf das allmend, anderer seÿts und Hinten auf Herr Groß dem sattler stoßend gelegen, solche behausung bestehet in Einer Caffee und biljard stube ferner in Vier stuben, zweÿ Küchen und Etlichen hauß Kammern darüber ist der dachstuhl mit breidzigel belegt, hat auch Ein gewölbter Keller und brunnen, vor und um Vier Tausend gulden
Der zweÿte begriff (…) [unterzeichnet] Hueber, Kaltner W:Mstr
Antoine Duclo (ici Lestrade dit Duclo, d’après le deuxième mari de sa sœur) meurt le 19 novembre 1778 à l’âge de 78 ans. Son corps est inhumé dans le cimetière du couvent Sainte-Marguerite.
Sépulture, Saint-Pierre-le-Vieux (cath. p. 336)
Anno Domini 1778 die 19 Novembris mortuus est Antonius lestrase Duclo dictus Annorum ætatis 78 agens civis et Maritus Barbaræ Kritzler SS: sacramentis pœnitentiæ Eucharistiæ et extremæ unctionis rité munitus cujus corpus die 20 ejusdem Mensis et Anni solito exequiarum ritu ad Ecclesiam nostram parochialem ad S: petrum seniorem intra argentinenam dictam (…) ulterius delatum fuit nempé ad Ecclesiam monialium vulgo ad S: Margaretham dictam intra argentinam in cujus coemeterio (…) sepultum fuit (i 173)
Les préposés de la Taille font figurer la succession dans leur registre parce que les impôts acquittés étaient calculés d’après une fortune sous-évaluée de 800 florins (400 livres) sur un total de 2 800 florins
1779, Livres de la Taille (VII 1180) f° 250
Spiegel N. 4549 – Weÿl. Antoni Duclos gew. burgers und Caffeesieders alhier verlaßenschafft jnventirt H Not. Becker.
Concl. final. jnvent Ist fol. 62.b 1386 lb 14 ß d sie machen nahe 2800 fl. Verstallte 2000 fl. allso Zuwenig 800 fl. Weilen aber 68 lb 8 ß 4 s nicht genoßen worden, die wenige meubles dem wahren werth angeschlagen so wird nur von 600 fl. der nachtrag angesetzt thut vor 6 Jahr à 1 lb 16 ß – 10 lb 16 ß
und 4 Jahr in simplo – 3 lb 12 ß
Ext. Stall geldt 1779 – 4 lb 7 ß
Gb. und abhandlung – 2 lb 7 ß 6 d (zusammen) 21 lb 2 ß 6 d
das Simplex nachgelaßen, restirt 17 lb 10 ß 6 d
dt. 6. martÿ 1779.
Veuf d’Anne Marie Wepffer, François Gascard épouse en 1770 Anne Marie Lalanne, fille du laboureur Jean Lalanne, de Lafitolle dans le diocèse de Tarbes, et de Catherine Duclos. La fiancée est assistée de son oncle Antoine Duclos : contrat de mariage, célébration (le diocèse est par erreur celui de Toul et non de Tarbes)
1770 (10. X.br), Not. Laquiante (6 E 41, 1037)
Contrat de Mariage – furent presens en Personnes le sieur François Gascard Portier de l’Arsenal de cette ville veuf de deffunte Marie Anne Vephfer agissant, faisant et stipulant pour luy et en son nom d’une part du conseil du sieur Charles Vermandé portier de cette ville son ami ici present
Et Dlle Anne Marie Lalanne fille majeure du Sr Jean Lalane Bourgeois laboureur de Lafitolle Diocese de Tarbe en Bigorre, et de deffunte Catherine Lalanne née Duclos ses pere et mere agissant, faisant et stipulant pour elle sous l’assistance du Sr Antoine Duclos Bourgeois Caffetier de cette ville, son oncle Maternel ci present et aussi du sieur Joseph Palu Bourgeois marchand Epicier de cette ville et du sieur Christian Lechner Bourgeois Brodeur dud. Strasbourg d’autre part
2° les futur Epoux seront uns et communs en tous les conquets, meubles et immeubles qu’ils feront (…) partagés par moitié entre le survivant et les héritiers du prédécédé
(signé) François Gascard, Lalanne
Mariage, Saint-Pierre-le-Vieux (cath. p. 16)
Hodie 27. Decembris anni 1770 (…) sacro matrimonii vinculo in facie Ecclesiæ conjuncti fuerunt Franciscus Gascard, Nancejanus filius legitimus filius legitimus Francisci Gascard Et Margarithæ remy* defunctorum conjugum, Commorans in parochiâ ad S. Petrum juniorem Et Maria Anna Lalanne Ex Lafitole, Diocesis Tullensis Oriunda, filia legitima Di Lalanne et Catherinæ Duclos conjugum parochiana nostra. (signé) Gascard, Lalanne (i 12)
Fils du maître d’école de Laneuveville-devant-Nancy François Gascard épouse en 1765 Marie Anne Wepffer, servante originaire de Ribeauvillé, en service à Strasbourg puis à Nancy : contrat de mariage tel qu’il est copié à l’inventaire, célébration
Copie du Contrat de mariage – furent presens en Personne le Sr François Gascard, Jardinier et Portier de l’arsenal de cette ville, fils majeur de deffunt le Sr François Gascard en son vivant Mre d’Ecole de ma Neuve Ville près de Nancy et de Dlle Marguerithe Remy ses Pere et Mere, du Consentement de ladite Dlle sa mere (…) d’une part, Et Dlle Marie Anne Wepfer, demt. cy devant à Nancy, fille majeure de deffunt le Sr Jean Wepfer de son vivant vigneron de Ribauvillé et dle Marguerithe Schon ses Pere et Mre, agissant et stipulant pour Elle et en son nom, de l’avis et conseil du Sr Charles Vermandois Jardinier de M° Delord de St Victor commandant pour le Roy en cette ville et Vicaire portier dudit Strasbourg, a ce presens d’autre part – Fait, lu et passé audit Strasbourg le premier May 1765, M° Humbourg et Laquiante Not. Royaux
Mariage, Saint-Pierre-le-Jeune (cath. p. 292)
Hodie 2. Maÿ Anno 1765 (…) sacro Matrimonii vinculo in facie Ecclesiæ Conjuncti fuerunt Honestus Juvenis Franciscus Gascard Hortulanus Et Armorum *tari regii hujus urbis Custos ostiarius, Ex Neuveville les Nancy Diœcesis tullensis oriundus, filius defuncti D. Francisci Gascard, Ludimagistri, Et Margaritæ Remi Supersttis ejus uxoris legitimæ a 12 annis parochianus noster Et pudica virgo Maria Wepfer ex Rappolswihr Diœcesis Basiliensis oriunda, filia Joannis wepfer et Margarithæ Schoen conjugum defunctorum Nanceÿ in parochiana B. M. V. Commorata, anteâ quoque parochiana nostra (signé) Gascard, + signum sponsæ (i 152)
Marie Anne Wepffer meurt en 1769 en délaissant pour héritière sa sœur. L’inventaire est dressé dans une maison dépendant de l’Arsenal. La masse propre au veuf est de 150 livres, celle propre à l’héritière de 420 livres. L’actif de la communauté s’élève à 331 livres, le passif à 531 livres (les sommes dans l’acte sont exprimées en livres tournois).
1769, (21.11.), Not. Elles (6 E 41, 1338) n° 469
Inventaire de la Succession de feüe Damoiselle Marie Anne Gascard née Wepffert viv.te Epouse du sieur François Gascard, Jardinier et Portier de L’Arsenal Royal de cette Ville de Strasbourg, y demeurante et décédée, dressé l’An 1769. – après sa Mort arrivée Me[r]credy dernier 15° Jour du present Mois et Année (…) Fait et passé audt. Strasbourg Cejourd’huy Mardy 21° Jour du mois de Novembre l’An 1769, avant Midy.
Dénomination de l’heririère. La defunte Damlle Gascard a délaissé ab intestat pour sa seule et unique heritière Damlle. Catherine Wepffert sa sœur fille majeure d’ans usante et jouissante de ses Droits en Condition en qualité de Fille de Chambre à Nancy, de present en cette ville, et y présente assistée du Sr Antoine Fidelis Hürstel, Praticien demeurt. en cetted° Ville
Trouvé dans une maison sise au Marché aux Chevaux de cette Ville de Strasbourg attenante à L’Arsenal Royal
Rangée des Rubriques du preent Inventaire. – Copie du Contrat de mariage pardvt M° Humbourg et Laquiante Not. Royaux de cette ville le 1. May 1765.
Bien propre au Veuf, Remplacement des Apports 600 livres
S’ensuit aussy la Description des biens propres à la Def. de present à l’heritiere, Habits 180, Remplacement de Bien propre 1300, Total general 1680 livres
Enfin s’ensuit la Description du Bien de la Communauté, Meubles 284, Argenterie 65, Deniers 828, Dettes actives 148, Total general 1325 livres – Dettes passives 2125 livres, Reste passive de la Communauté 799 livres
Somme Finale 1480 livres
Copie du Contrat de mariage (…) Fait, lu et passé audit Strasbourg le premier May 1765, M° Humbourg et Laquiante Not. Royaux
François Gascard et sa femme deviennent bourgeois en 1778.
1778, VI 370, 11 (Nouveaux bourgeois, 1778-1780)
[p. 12] François gascard, ejus uxor anna Lalairé
Anne Lalanne femme de François Gascard hypothèque la maison au profit de Marguerite Bido, femme du tailleur Pierre Pugens
1779 (14.10.), Chambre des Contrats, vol. 653 f° 387-v
Anne Gascard née La Lanne épouse de Sr François Gascard portier à l’Arsenal
à D° Marguerite Pugens née Bido épouse de Pierre Pugens mre tailleur – devoir 1300 livres tournois
hypothèque, une maison au Vieux marche aux Grains d’un côté faisant le coin de la ruelle du Vieux Saumon, de l’autre la maison à l’enseigne du Vieux Saumon, derrière la maison appartenante présent. au Sr Gros mre sellier – à la débitrice en partie comme héritière d’Antoine Duclo caffetier son oncle qui lui aurait assigné par préciput 6000 livres
François Gascard et Anne Marie Lalanne louent la maison au cafetier Jean Jacques Kolb et à Marie Salomé Schneider
1784 (16.8.), Not. Lacombe (6 E 41, 195) n° 37
Bail de 9 années à commencer à la St Michel prochaine – Sr François Gascard et Anne Marie Lalanne
au Sr Jean Jacques Kolb caffetier et Marie Salomé née Schneider
Scavoir la maison entière qui appartient aux bailleurs en cette ville rue du saumont et qui en fait le coin sans en reserver ny excepter aucune partie que les bailleurs s’obligent à faire blanchir depuis le bas jusqu’en haut – pour 650 livres tournois
(Joint) Etat des frais
François Gascard et Anne Marie Lalanne hypothèquent la maison au profit de la Ville de Strasbourg
1786 (4.7.), Chambre des Contrats, vol. 660 f° 238-v
De Anne Marie Gascard née Lalanne épouse de François Gascard portier de l’Arsenal assistée de M. Fabien Sébastien Dournay licencié ez loix et M Jean Michel Hirchel tous deux assesseurs au Petit Sénat
devoir à la ville de Strasbourg 1762 livres
hypothèque, une maison au Vieux Marché au bled que la débitrice a héritée du Sr Douclot caffetier
Anne Marie Lalanne meurt en 1795 dans sa maison rue Brûlée en délaissant quatre enfants
1795 (25 thermidor 3), Strasbourg 9 (2, nouv. cote 4), Not. Dinckel n° 840
Inventaire de la succession de feu la Cit. Anne Marie Lalanne, vivante épouse du Cit. François Gascard, jardinier en cette commune, décédée le 19 floreal de l’année derniere, à la requête du veuf et encore le Cit. Joseph Duchêne Cuisinier a Strasbourg en qualité de tuteur des enfants mineurs procréés avec le veuf, scavoir François Antoine agé de 19 ans, Nicolas Marie Anthoine agé de 17 ans, Marie Anne 15 ans et Pierre Antoine 12 ans
Propriété d’une maison, Savoir une maison cour puits ecurie avec tous ses droits appartenances et dépendances située a Strasbourg rue brulée N° 13 d’un côté le coin de la rue dite Maurhoffsgaesseln de l’autre la veuve Metzger née Augée, assembl par derrière sur la veuve Kuhnenberger, estimée suivant le revenu net porté à 75 sur la matrice de Role de la contribution fonciere de la ville de Strasbourg de 1793 à 1500 livres – acquise par les conjoints Gascard par acte passé à la Chambre des Contrats le 25 juillet 1792
Série des rubriques de cet inventaire, propres à la défunte, habits 212 li, remplacement 12.479 li, total 12.691 livres
remplacement des apports du veuf 4000 livres
description des biens de la communauté, meubles 1433 li, maison 1500 li, total 2933 li, dettes passives 18.990 li, reste passif 16.057 livres
Copie du Contrat de mariage, Me Laquiante le 10 décembre 1770, le Sr François Gascard Portier de l’Arsenal de cette ville veuf de deffunte Marie Anne Veptifer et Dlle Anne Marie Lalanne fille majeure de Jean Lalanne laboureur de Lafitolle diocese de Tarbe en Bigorre et de deffunte Catherine Lalanne née Duclos assitée du Sr Antoine Duclos caffetier de cette ville son oncle maternel
Enregistrement, acp 36 F° 149 du 3 fruct. 3
Anne Marie Lalanne femme de François Gascard et Dominique Lalanne vendent la maison à l’horloger Jean Frédéric Liebold le jeune et à sa femme Marie Salomé Klein
1787 (28.12.), Chambre des Contrats, vol. 661 f° 487-v
Fr. Anna Maria geb. Lalanne Frantz Gascard des portners in allhiesigen königlichen arsenal hausfrau, H. Lt. Johann Joseph Solff procurator vicarius als gerichtlich bestellter curator Dominique Lalanne in dem dorff de la fitole proche Vic en bigorre diocèse de Tarbes wohnhafft
in gegensein H. Johann Friedrich Liebold des jüngeren klein uhren machers als letzt und meistbietenden und Mariæ Salome geb. Kleinin
eine behausung bestehend in vorder und hinter haus, bronnen, hoff, hoffstätten mit allen übrigen gebäuden, begriffen, weithen, zugehörden, rechten und gerechtigkeiten gegen dem alten kornmarckt, einseit ist ein eck am Salmengäßel, anderseit neben dem Grosische haus – als ein zu gleichen theilen und rechten von weÿl. Antoni Duclos dem caffesieder ererbtes hauß – um 7540 gulden
Fils de l’horloger du même nom, Jean Frédéric Liebold épouse en 1785 Marie Salomé Klein, fille du boulanger Jean Michel Klein : contrat de mariage, célébration
1785 (21. 8.br), Not. Saltzmann (Jean Daniel, 6 E 41, 614) n° 270
Eheberedung – Erschienen der woledle und kunstreiche Herr Johann Friderich Liebold, ledige Kleinuhrenmacher, des H. Johann Friedrich Liebold, ebenmäßigen Kleinuhrenmachers und Burgers alhier mit weil. Fr. Maria Magdalena geb. Buschin ehelich erzeugter einziger mehrjähriger Sohn, als Bräutigam, an Einem Teil
So dann die viel Ehren und Tugend-begabte Jungfrau Maria Salome Kleinin, des H. Joh: Michael Klein, frantzösischen Bäckers und Fr. Anna Maria geb. Fuchsin, beder Eheleuth und unde alhier, einzige nach hiesigen Stadt rechten großjährige Tochter, als Braut, beiständlich dieses ihres Vaters, an dem andern Teil
(unterzeichnet) Johann Friderich Liebold, als Breutigam, Maria Salomea Kleinin als Braut
Mariage, Temple-Neuf (luth. f° 199-v)
Im Jahr 1786 dienst-tags den 31. Jenner Abends nach Vier sind (…) ehelich eingesegnet worden Herr Johann Friderich Liepold, leediger Klein-Uhren-macher und burger allhier, Herrn Johann Friderich Liepold, Klein-Uhren-machers und burgers allhier und weÿland Frau Mariä Magdalenä geborner Buschin ehelicher Sohn und Jungfrau Maria Salome Kleinin, Johann Michael Klein, frantzösischen Beckers und burgers allhier und Frau Annä Mariä geborner Fuchsin eheliche Tochter unterzeichnet Johann Friderich Liebold als Hochzeiter, Maria Salome Kleinin als Hochzeiterin (i 201)
Les nouveaux mariés font dresser l’inventaire de leurs apports dans la maison de Jean Geoffroi Schæffer, Grand rue et rue du Miroir. Les apports du mari s’élèvent à 1 648 florins, ceux de la femme à 2 443 florins.
1786 (19.3.), Not. Saltzmann (Jean Daniel, 6 E 41, 608) n° 539
Inventarium über H. Johann Friedrich Liebold des jüngern Kleinuhrenmachers und Fr. Maria Salome geb. Kleinin, bede Eheleut u. b. alh. Zu Straßburg, in die Ehe gebrachtes vermögen, auffgerichtet anno 1786. – ([in margine :] geb. 27. 8.br 1760, geb. 15. 9.br 1766) in ihrem den letztverfloßenen 31. Jänner mit einander eingetretenen Ehestand gebracht, und Zufolg des 4. Puncts der den 21. Weinmonat 1785. vor unterschriebenem Notario gestifteten Eheberedung, sich vor unverändert vorbehalten haben (…) So geschehen in Straßburg in H. Johann Gottfried Schäffer, des Eisenhändlers an der langen Straß u. Spiegelgäßlein gelegener diesorts lehnungsweise bewohnenden Eckbehausung, in fernerem beiseÿn beder Ehepersonen geliebten Eltern auf Freitag den 19. Maj nachmittah in dem Jahr 1786.
Volgt nun hierauf die Beschreibung des bederseitigen Einbringens an sich selbst. Des Manns in die Ehe gebrachtes Gut, Sa. hausraths 231. Silbers 79. Uhren u. Werckzeugs 200. Sa. gold. Ring u. Stock 38. Sa. baarschafft 22. Sa. Schulden 1075, Summa summarum 1648 fl.
Endlich wird der Ehefrau beigebachtes Vermögen verzeichnet, Sa. h.srats 640. Sa. Silbers u dgl. Schmeids 49. Sa. gold. Ringe u. dgl. Geschmucks 240. Sa. Baarschafft 1513, Summa summarum 2443 fl.
Wittums-Verfangenschafft des Ehemanns, Nämlich Zufolg des 2. Puncts des vor mir Not° d. 23. April 1767 durch des Ehemanns d. 4. Nov. 1781 verstorb. Mr. weil. Fr. Maria Magdalena Liebold geb. Buschin gesetzmäsig gestifteten offenen Codicills, 1075 fl.
Jean Frédéric Liebold meurt en 1789 en délaissant un fils. Les experts estiment la maison 2 000 livres. La masse propre à la veuve est de 1 119 livres. L’actif des héritiers et de la communauté s’élève à 3 785 livres, le passif à 7 461 livres
1789 (28.5.), Not. Saltzmann (Jean Daniel, 6 E 41, 611) n° 631
Inventarium über Weiland H. Joh. Friedrich Liebold des jüngern, gew. Kleinuhrenmachers u. b. alh. zu Straßburg, Vermögen: Nachl. auffgerichtet 1789 Vermögens-Nachlassenschaft – nach seinem den 10. laufend. Monats aus dießer Welt genommenen seligen abschied verlaßen hat. Welches auff Ansuchen sowom dessen hinterbliebener Wittwe der viel Ehren u. Tugend-begabten Frau Maria Salome geb. Kleinin mit Beihilfe H. Lt Joh. Frid: Burger, des Procuratoris vicarii, als auch des Abgelebten mit derselben ehelich erzeugten u. nach Tod zurückgelaßenen einzigen Kindts Johann Friderich, als Intestatserben geordneteten u. in Pflichten genommenen Vogts H. Lt. Johann Ludwig Herrenschneider (…) auffgerichtet in Straßburg in hienach inventirter, an dem alten Kornmarckt gelegener Sterbbehausung auf Donnerstag den 28. Mai vormittag in dem Jahr 1789.
Abschrift der zwischen bed. dh. f. Tod nunmehr getrennter Ehepersonen d. 21. 8.br. 1785. Vor mir Not. errichteten Eheberedung
Ergäntzung der Frau Wittwe abgegangenen unveränderten Guts, Nach Anleitung des d. 19. Mai 1786. durch mich Not. auffgerichteten Inventariums
Wittums- Verfangenschaft des Beneficialerbs. Nämlich vorgemelter väterl. Hr Grosvater hat von seiner d. 4. Nov. 81. selig erbläßten vorgedachten Frau Eheliebste Vermögens-Nachlassenschaft, Zufolg der den 1. des disortigen Erb-lassers anerstorbenen müttel. Erbteil die Hälfte lebenslang zu geniesen
Eigentum ane einer behausung (E & T. – 4. C N° 94, 20° 23 lb 9 s 3 d, logt 32) Nämlich 1. unter 1. dach sich befindende, in Vorder- und Hinter- haus, Hofstätten und 1 Gumpbronn bestehende beh. m. all: ihren begriffen, Weiten, Zugehörd. Rechten u. Gerechtigke. an dem alten Kornmarckt, 1.S. vorn, ist 1. Eck an dem Salmengäßl. 2.S. neb. u. hinten f. weil. H. Rathh. Joseph Gros, Sattlers, We. u. Erben stosend, so auser denen darf. haften. u. hienach fol. (-) invent. Passivcap. frei u. eigen, sofort dh. (die Werckmeistere) in deren bei diesem Conc: liegenden Abschatzung d. (-) 1789. angeschlagen um (-). Wie der nun Verstorbene dies: Hs. von weil. Antoni Duclos, gew. hies. b. u. Kaffes. Erben erkauft hat, solches belehrt der d. 28. Dec. 1787 in hies. CCSt. errichtete u. f. Perg: ausgef. unt. H. Dinckel des Actuarii contractuum Substituti Unterschr: teutsche Kfbr. Dabei 2. ähnl. v. 24. Junius 1612. u. 15. Mai 1702, So dann 1. vor H. Humbourg dem Königl. Not: dah., d. 21. Jän. 1757 pass. d. 18. Febr. darf. hin in vorberührt. C.St. enregistr. m. der: fgedr. Ins. verw. u. mit H. Christiani, des Substit. Unterschr. aufgef. perg. franz. Kfbr.
Folgt nun hierauf die Beschreibung dieser Vermögens-Nachlasenschaft an sich selbst. Der Frau Wittwe unverändertes Gut, Sa. Hausrahts 92, Sa. Silbers u. dgl. Geschmeids 8, Sa. gold. Ringe u. dgl. Geschmeids 36, Sa. Schuld 200, Sa. Ergäntzung 782, Summa summarum 1119 lb
Nach diesem wird alles übrige Vermoegen weil keine Errungenschaft vorhanden, unter dem Titel, so des beneficialerbs unverändert und teilbar, verzeichnet, Sa. Hausrahts 206, Sa. Uhren u. Zugehörde 1074, Sa. Werckzeugs 23, Sa. Weins 4, Sa. Silbergeschirrs u. dgl. Geschmeids 11, Sa. Golds 6, Sa. Baarschafft 350, Sa. Eigenthums en i. Beh. 2000, Summa summarum 3785 lb – Schulden 7461 lb, In Vergleichung 3785 – Stall Summ 2666 lb
Abschrifft d. 21. 8. br. 1785 vor mir Notario errichteten Eheberedung (…)
Patengels des d. 12. dec. 1786 getauften Kinds
Abschatzung vom 19.t Juni 1789. Auf begehren Weiland Herr Johann Friedrich Liebold dem geweßenen uhrenmacher, ist eine behaußung alhier in der Stadt Strasburg ahne dem alten Kornmarckt gelegen ein Seits ein Eck auf dem Salmen gäßlein, ander Seits, und hinten auf die frau Großin wittib Stosend gelegen. Solche behauasaung bestehet in einer Boutique, ferner zweÿ Stuben, zweÿ Kuchen, und ein frantzösisch Kamin Zimmer, und etlichen Kammeren, darüber ist der dachstuhl mit breidzigel belegt, hat auch ein gewölbter Keller, und brunen, Von uns unterschriebenen der Stadt Strasburg geschwohrnen Werck Meister und Vorher geschehener besichtigung mit aller ihrer Gerechtig Keit, dem jetzigen wahren werth nach Estimirt und angeschlagen worden, für und um die Summ von Vier tausend Gulden [unterzeichnet] Kaltner Wkmstr, Klotz Wkmstr [in margine:] thut nichts auf Löbl. Statt Pfenningturn, Ferber
Marie Salomé Klein veuve de Frédéric Liebold loue la maison à l’horloger Charles Friedel
1790 (2.3.), Chambre des Contrats, vol. 664 f° 63
Fr. Maria Salome Liebholdin geb. Kleinin H. Friedrich Liebhold des kleinen uhrenmachers wittib beÿständlich H. Lt. Johann Friedrich Burger
in gegensein H. Carl Friedel des klein uhren machers
ihr gesamtes waaren lager bestehend in (…), 7000 lit
in der ihre zuständig ane dem alten Kornmarckt gelegenen behausung ihme H. Friedel eine vollständige wohnung verlehnt bestehend in einem laden, zweÿ stuben und küch a plein pied au rez de chaussée einen kleinen keller und dreÿ kammer für gesend und schwartz getüch in dem dritten stockwerck – auff 4 nacheinander folgenden jahren von dato angerechnet – um einen jährlichen Zinß nemlich 300 livres
Marie Salomé Klein se remarie en 1790 avec Jean Georges Teutsch qui tient l’auberge du poêle de la Lanterne : contrat de mariage, célébration
1790 (9.1.), Not. Übersaal (6 E 41, 661) n° 105
Eheberedung – Erschienen der Wol: Ehrenvest und Großachtbare Herr Johann Georg Teutsch, lediger Gastgeber auf Er. En. Zunft zur Luzern und burger alhier, weiland Hn Joh: Friderich Teutsch, des auch gewesenen Gastgebers daselbst und burgers dahier mit Frau Sabina Magdalena gebohrner Dörferin ehelich erzeugter Sohn, als Bräutigam, ane einem
Und die Vielehren: und Tugendbegabte Frau Maria Salome Lieboldin gebohrne Kleinin, weiland Hn Joh: Friderich Liebold des gewesenen Klein: Uhrenmachers und Burgers alhier seel. hinterbliebene Frau Wittib, beiständlich Hn. Joh: Michael Klein, des frantzösischen Bäckers und burgers hieselbst, ihres leiblichen Vaters, als Braut, an dem andern Teil
auff Sambstag den 9. Jänner im Jahr 1790 (unterzeichnet) Johann Georg Teutsch, Maria Salome Lieboldin Geb. Kleinin
Mariage, Temple-Neuf (luth. f° 70, n° 15)
Im Jahr Christi 1790 sind so wohl in St Niclaus als in der Prediger Kirche Dominica Oculi Zum ersten mal und Dominica Lætare Zum andern mal proclamirt und so dann von unterschriebenem diacono beÿ der Prediger-Kirche auf Erlaubnus des Herrn Ammeisters den 6. Mertz in dem Hause der Braut Dienst-tags den 16. Märtz Abends um Vier Uhr Ordnungs-masig copulirt und ehelich eingesegnet worden Herr Johann Georg Teutsch, der ledige Gastgeber auf der Lucernen Stub und burger allhier, weÿland Herrn Johann Friderich Teutsch, gewesenen Gastgebers auch auf der Herren-Stub und burgers allhier und Frau Salome Magdalenä geborner Dörferin ehelicher Sohn Neun und dreÿßig Jahr alt und Frau Maria Salome Leiboldin geborne Kleinin, weÿland Herrn Friderich Liebolds gewesenen Klein-Uhren-machers und burgers allhier hinterlassene wittib und Herrn Johann Michael Kleins, ehemaligen Frantzösischen beckers und burgers allhier und Frau Annä Mariä geborner Fuchsin eheliche Tochter, vier und Zwantzig Jahr alt (unterzeichnet) Johann Georg Teutsch als Bräutigam, Maria Salome Lieboldin als Braut ( 59)
Marie Salomé Klein fait dresser l’inventaire des apports dont l’actif s’élève à 9 606 livres, le passif à 6 883 livres.
1790 (8.5.), Not. Übersaal (6 E 41, 660) n° 280
Inventarium über der Viel: Ehren und Tugendbegabten Frau Mariæ Salome Teutschin geborener. Kleinin zu dem Wol Ehrenvest: und Grosachtbaren Herrn Johann Georg Teutsch, Gastgebers auf Er. En. Zunfft zur Luzern und Burger alhier Zu Straßburg, ihrem Eheherrn vor unverändert in den Ehestand zugebrachtes Vermögen, auffgerichtet den 8. Maji Im Jahr 1790. – in dem d. 16. Martii jüngst angetretenen Ehestand zugebracht und sich in der vor mir den unterschriebenen Notario den. 9.ten Jänner dieses Jahrs aufgerichteten Eheberedung §° 4° (…) So geschehen alhier zu Straßburg theils auf Er En Zunft zur Luzern und theils in der Frau Requirentin hernach eingetragener Behausung, auf Sambstag den 8.ten Maji im jahr 1790.
Eigentum an einer Behausung. Nämlich eine Behausung, bestehend in Vorder: und Hinterhaus, einem Bronnen und Hofstatt, samt Zugehörden und Rechten, gelegen alhier an dem alten Kornmarckt, einseit ist ein Eck am Salmengäßlein, anderseit neben dem Grös’schen Haus, hinten auf eben dieses Haus, so auser denen darauf haftender und hernach passivé eingetragenen Capitalien frei, ledig, eigen und hier ohe Nachteil angeschlagen wird vor 8000 fl. Darüber sond vorhanden 3. pergamentene Kaufbriefe aus der C. C. Stube vom 24. Junii 1612, 15. Maji 1702 u. 28. Decembr. 1787. wie auch Kauf-Contract vor H. Humbourg dem ehemal. Königl. Notario den 21. Januarii 1757. passirt.
Norma hujus inventarii, Sa. Hausraths 1070, Sa. Silbers und dergleiche Geschmeids 8, Sa. goldene Ringe 341, Sa. des Eigentums an einer Behausung 8000, Summa summarum 9501 fl. – Dazugelegt die Ihr an denen Haussteuren gehörige Hälfte antreffend 104, (Summa) 9606 fl – Schulden 6883 fl., nach abzug Der Frau Teutschin restirendes Vermoegen 2722 fl.
Inventaire dressé après la mort de la locataire Louise Dorothée Dürr épouse du sellier Alexandre Bayer
1810 (30.6.), Strasbourg 12 (31), M° Wengler n° 4917
Inventaire de la succession de Louise Dorothée Dürr épouse d’Alexandre Bayer, sellier carossier, décédée le 6 janvier 1810 – à la requête du veuf, tuteur naturel de Jean Charles Alexandre âgé de 8 ans, Louise Justine âgée de 7 ans, Guillemine âgée de 2 ans et Julie âgée de 6 mois, ses quatre enfants issus de la défunte, en présence de Jean Dürr, sellier carossier grand père et tuteur subrogé aux enfants mineurs – Contrat de mariage reçu Stoeber le 20 prairial 10
dans la maison mortuaire vieux marché aux grains n° 17 appartenant au Sr Teutsch marchand de vin
propres de la défunte, mobilier 2169 fr
communauté, meubles, voitures, argenterie, dettes actives 14.974 fr, passif 4958 fr, déduction faite 10.016 fr
Enregistrement, acp 115 f° 19 du 2.7.
La maison revient au fils Jean Frédéric Liebold qui épouse en 1814 Amélie Saum, fille du négociant Jean Daniel Saum
1814 (15.9.), Strasbourg 10 (53), M° Zimmer n° 536, 6483
Contrat de mariage – Jean Frédéric Liebold, propriétaire né le 10 décembre 1786 de feu Jean Frédéric Liebold, horloger et de Marie Salomé Klein présentement épouse de Jean Georges Teutsch, marchand de vin
Amélie Saum, fille de Jean Daniel Saum fils ainé négt. et de feu Catherine Dorothée Krauss, née le 27 vendemiaire 4 (19 octobre 1795)
Enregistrement, acp 125 f° 116-v du 17.9. – communauté avec réserve d’apports
L’inventaire après décès du tonnelier Jean Michel Dœrffer, père du propriétaire suivant, est dressé dans la maison
1850 (4. Xbr), Strasbourg 10 (117), M° Zimmer n° 8735
Inventaire de la succession de Mr Jean Michel Doerffer, en son vivant tonnelier
requête de Dame Caroline Specht
rue du vieux marché aux grains N° 17
acp 396 (3 Q 30 111) f° 98-v
Jean Frédéric Liebold loue la maison à rez de chaussée et deux étages au négociant Charles Auguste Schnitzler
1857, Enregistrement de Strasbourg, ssp 125 (3 Q 31 624) f° 8-v du 5.5.
du 29 janvier 1857, Bail – Le soussigné Sr Jean Frédéric Liebold, propriétaire à Strasbourg, loue par ces présentes pour neuf années, à partir du 25 juin 1856
au Sr Charles Auguste Schnitzler, négociant en ladite ville, ce acceptant
une maison à rez de chaussée et deux étages, située à Strasbourg rue du vieux marché aux grains n° 17. Ce bail fait pour un loyer annuel de la somme de 1200 francs. Toutes les grosses réparations et les petites sans exception seront supportées par moitié entre MM. Schnitzler et Liebold ainsi que les contributions de toute nature. Il est cependant déclaré ici que dans le cas où la ville de Strasbourg exigeait que le devant de ladite maison fût badigeonné, les frais de ce travail seront à la charge du Sr Liebold seul. Les charges sont estimées pour l’enregistrement à 150 francs pour toute la durée du bail
Jean Frédéric Liebold meurt en 1859 en délaissant trois filles ou leur représentant
1859 (22.11.), Strasbourg 10 (140), M° Zimmer (Louis Frédéric) n° 13.298
du 22 novembre 1859. Déclaration tenant lieu d’inventaire de la succession de Mr Jean Frédéric Liebold, vivant propriétaire à Strasbourg où il est décédé le 8 avril 1859.
Ont comparu 1. M. Edouard Michel Geoffroi Rist, ancien magistrat agissant a) en qualité de mandataire de Mad. Louis Amélie Gabrielle Rist, sa fille, épouse autorisée de M. Thimodé Charlier, ingénieur civil, demeurant et domiciliés à Strasbourg (…) b) comme père et tuteur légal de son fils mineur Charles Edouard Adrien Rist, né le 26 septembre 1841, Mad° Charlier & le mineur Rist représentant leur mère feu D° Amélie Valérie Liebold, épouse de M. Rist comparant
2° Mad° Louise Laure Liebold, épouse dûment autorisée & assistée de M. Frédéric Charles Rau, chevalier de la Légion d’Honneur & professeur à la faculté de droit à Strasbourg, ci présent, M. Rau agissant en outre en qualité de subrogé tuteur (…) dudit mineur Rist (…) b) & du mineur Schaaff ci après nommé (…)
3° M. Auguste Edouard Schaaff, docteur en médecine, agissant au nom & comme père & tuteur légal de M. Adolphe Frédéric Schaaff son fils encore mineur étant né à Strasbourg le 3 octobre 1855 de son mariage avec feu Mad° Frédérique Cécile Liebold
Les susnommés habiles à se dire et porter seuls et uniques héritiers de feu M Jean Frédéric Liebold leur père et grand père respectif en son vivant propriétaire à Strasbourg où il est décédé le 8 avril dernier, savoir Mad. Charlier & le mineur Rist par représentation de Mad. leur mère susnommée ensemble pour un tiers, Mad. Rau pour un tiers Et le mineur Schaaff par représentation de sadite mère pour le dernier tiers, tous les sus nommés demeurant et domiciliés à Strasbourg
Immeubles. I. La moitié indivise dont l’autre moitié appartient déjà aix héritiers de M. Liebold du chef de Mad. leur mère sus nommée d’une maison
grand’rue N° 136 nouveau, ancien N° 10 (…)
II. Une maison à rez de chaussée & deux étages, droits appartenances et dépendances, le tout situé à Strasbourg rue du vieux marché aux grains n° 8 autrefois N° 17, tenant d’un côté à une ruelle, de l’autre à M Hund, pardevant la rue du vieux marché aux grains, par derrière à divers particuliers. Quant à l’établissement de la propriété de et immeuble il sera consigné dans la liquidation qui sera dressée de la succession de feu M. Liebod
III. Une maison avec petite cour, lavoir, droits appartenances & dépendances située à Strasbourg, quartier de la Krutenau, impasse de la Bruche n° 4 (…)
acp 483 (3 Q 30 198) f° 18 du 23. 9.br (succession déclarée le 5 octobre 1859) Il dépend de ladite succession 1) produit du mobilier 1128, 2) créances et loyers 107.055, 3) argent 3782
4) moitié d’une maison à Strasbourg Grande rue N° 136
5) Une maison dite ville rue du vieux marché aux grains n° 8
6) Une maison dite ville Krutenau, rue de la Bruche n° 4
7) moitié de 2 ha 4 ares 23 terres, pré et vignes au ban d’Osthoffen
8) 91,12 terre même ban
Compte d’administration de M. Stromeyer Nre à Strasbourg en qualité de gérant de feu le Sr Liebold, ce dernier non présent, il a fait recette de 8784, il a fait dépense de 9132, il a en caisse 2782. Dans les dépenses faites par M° Stromeyer on lit, il a payé à Edouard Schaaff au nom de son enfant à valoir sur la succession une somme de 1000 francs, à M. Rist pour ses enfants la somme de 201 francs et à Mde Rau à valoir sur la succession 10.600 francs
Les immeubles restent indivis lors de la liquidation
1860 (26.1.), Strasbourg 10 (140), M° Zimmer (Louis Frédéric) n° 13.387
Liquidation et partage de la succession de Mr Jean Frédéric Liebold
Ont comparu I. M. Edouard Michel Geoffroi Rist, ancien magistrat agissant a) en qualité de mandataire de Mad. Louis Amélie Gabrielle Rist, sa fille, épouse autorisée de M. Thimothé Charlier, ingénieur civil (…) b) comme tuteur légal de M. Charles Edouard Adrien Rist son fils encore mineur, étant né le 26 septembre 1841, Mad° Charlier & le mineur Rist issus du mariage de M. Rist père avec Dame Amélie Valérie Liebold, son épouse défunte
II. Mad° Louise Laure Liebold, épouse de M. Frédéric Charles Rau, professeur à la faculté de droit à Strasbourg, chevalier de la Légion d’Honneur, Mad. Rau agissant en son nom personnel sous l’autorisation de son mari ci présent ci présent, Et M. Rau stipulant tant à cause de cette autorisation qu’en qualité de subrogé tuteur a) dudit mineur Rist (…) b) & du mineur Schaaff ci après nommé (…)
III. M. Auguste Edouard Schaaff, docteur en médecine, agissant au nom et comme tuteur légal de M. Adolphe Frédéric Schaaff, son fils encore mineur étant né à Strasbourg le 3 octobre 1855 de son mariage avec Dame Frédérique Cécile Liebold son épouse défunte
Tous les susnommés demeurant et domiciliés à Strasbourg. Lesquels comparants pour faciliyer l’intelligence de la liquidation avec partage qui fera l’objet des présentes ont préalablement exposé ce qui suit.
Observations préliminaires. Mad. Charlier, le mineur Rist, Mad. Rau & le mineur Schaaff possèdent par indivis dans la proportion indiquée ci après divers biens meubles & immeubles provenant 1° en partie de la communauté de biens qui a existé entre M Jean Frédéric Liebold, propriétaire à Strasbourg & Dame Amélie Saum son épouse aux termes de leur contrat de mariage passé devant M° Zimmer, père, alors notaire en cette ville le 15 septembre 1814. 2° & pour le surplus des successions de ces deux époux.
Mad. Liebold est décédée le 3 mai 1851 laissant pour seuls héritiers Mad. Rist, sa fille aujourd’hui représentée par ses deux enfants pour un tiers, Mad. Rau, aussi sa fillen pour un autre tiers et le mineur Schaaff par représentation de Mad. sa mère, également fille de la défunte pour le dernier tiers. Aucun inventaire n’a été dressé après le décès de Mad° Liebold. L’administration des biens composant ladite communauté & la succession de la défunte a été laissée à Mr Liebold qui l’a confiée plus tard, avec la gestion de ses biens personnels, à M° Stromeyer, notaire à Strasbourg. Le denier compte de cette administration continuée par ce notaire jusqu’au mois de novembre écoulé sera établi ci après.
M. Liebold est aussi décédé le 8 avril dernier laissant pour seuls héritiers Mad. Charlier & le mineur Rist ses petits enfants ensemble pour un tiers, Mad. Rau sa fille pour un autre tiers & le mineur Schaaff son petit fils pour le dernier tiers (…)
Compte d’administration de M° Stromeyer (…)
Indivision. Les parties sont convenues de laisser dans l’indivision entre les copartageants sus-nommés
1. Une maison avec ses dépendances sise à Strasbourg grand’rue N° 136
2. Une maison avec ses dépendances sise en la même ville rue du vieux marché aux grains n° 8
3. Une maison avec ses dépendances sise en la même ville rue de la Bruche n° 4
4. Un corps de biens à Osthoffen, 5° Un autre corps de biens même ban
acp 485 (3 Q 30 200) f° 15 du 1.2. – Masse active. Créances et intérêts 112.612
Dans les créances il est porté une somme de 1500 francs due par Mr Rau sans titre, intérêts 133
Masse passive 13.363 – Reste 99.244, le tiers 33.081
Timothée Charlier et Gabrielle Louise Amélie Rist, copropriétaires, hypothèquent la maison au profit du Crédit agricole de Paris
1867 (10.10.), Strasbourg 7 (127), M° Edouard Stromeyer N° 5505
du 10 octobre 1867. Crédit – Ont comparu I. Monsieur Auguste Eugène Jundt, négociant demeurant et domicilié à Strasbourg, agissant comme Directeur du Crédit agricole de Paris dont une Succursale est établie à Strasbourg dans les bureaux de M. Jundt rue d’Or n° 3 d’une part
II. Monsieur Jean Metzger, brigadier de gendarmerie en retraite demeurant et domicilié hors la porte d’Austerlitz de la Ville de Strasbourg et en sa banlieue, agissant comme mandataire de Monsieur Timothée Charlier, Ingénieur civil Directeur des ardoisières de Caumont, et Madame Gabrielle Louise Amélie Rist son épouse,demeurant et domiciliés ensemble en la commune de Caumont
Article premier. Crédit, Sa durée. M. Jundt ouvre un crédit en compte courant de la somme de 25.000 francs. La durée du crédit est fixée à un an à compter de ce jour
Article 9°. Hypothèque. Le 6° par indivis des Immeubles ci après désignés, situés à Strasbourg I. d’une Maison à rez de chaussée et trois étages, cour, Jardin, loge de concierge, bâtiments latéraux et de derrière
$ Grand’rue n° 136 à Strasbourg, d’un côté la rue de la Chaîne, de l’autre M. Goppert, devant la Grand’rue, derrière MM Kratz, Oesinger et autres, inscrit à la matrice cadastrale sous le N° 739 de la section P, d’une superficie de 11 ares 90 centiares, Sur la mise à prix de 150.000 francs
II. d’Une Maison avec petite cour, lavoir, droits et dépendances sise à Strasbourg quartier de la Krutenau, impasse de la Bruche n° 4 (…)
III. d’une Maison à rez de chaussée et deux étages, bâtiments latéraux et de derrière, puits, cour, droits et dépendances, situé à Strasbourg rue du vieux marché aux grains n° 8 où elle fait le coin de la ruelle du Saumon, d’un côté M. Fassoli, de l’autre la ruelle du Saumon, devant la rue du vieux marché aux grains, derrière divers propriétaires, inscrit à la matrice cadastrale sous la section N, N° 877 et 877 comme ayant une superficie de un are 15 centiares
Article deuxième. Origine de la propriété
III. M. Liebold était propriétaire de la maison désignée sous l’article trois pour l’avoir héritée dans les successions de ses père et mère feus M. Jean Frédéric Liebold, vivant horloger à Strasbourg où il est décédé le 10 mai 1789 et Mad. Marie Salomé Klein décédée en ladite ville le 14 mai 1818 desquels il était le seul et unique héritier. M. et Mad. Liebold avaient acquis cette maison d’Anne Marie Lalanne épouse de M. François Gascard, portier de l’Arsenal de Strasbourg aux termes d’une adjudication passée devant M° Frédéric Louis Reinhard Wurmser de Vendenheim Maître et conseiller de la Ville de Strasbourg le 28 décembre 1787 pour le prix de 7540 florins soit 15.080 francs, soldés le 19 Brumaire an VII de la République
Liquidation par laquelle les héritiers se partagent le prix de vente des immeubles
1869 (31.8.), Strasbourg 10 (163), M° Kœrttgé (Jean Théodore)
Liquidation et partage des successions délaissées par Frédéric Liebold et Amélie Saum
31 août 1869 – Ont comparu M. Charles Rau, avocat, professeur à la Faculté de droit de Strasbourg, chevalier de la Légion d’Honneur, et Madame Louise Laure Liebold, son épouse de lui assistée et autorisée, demeurant et domiciliés ensemble à Strasbourg, mariés sous le régime de la communauté de biens réduite aux acquêts aux termes de leur contrat de mariage passé devant M° Zimmer alors notaire à Strasbourg le 15 juin 1840,
M. Jules Gérard, principal clerc de notaire demeurant et domicilié à Strasbourg, agissant comme mandataire spécial de Madame Gabrielle Louise Amélie Rist, épouse de M. Timothée Charlier, Ingénieur civil directeur des ardoisières de Caumont, demeurant et domicilié ensemble à Caumont (…) M. et Madame Charlier, mariés sous le régime de la communauté de biens réduite aux acquêts aux termes de leur contrat de mariage passé devant M° Keller notaire à Strasbourg le 12 août 1859,
M. Charles Rist, propriétaire demeurant et domicilié à Strasbourg, agissant en qualité de mandataire spécial de M. Charles Edouard Adrien Rist, majeur d’ans, demeurant et domicilié à Strasbourg se trouvant actuellement à Goettingue (…)
Mad. Charlier et M. Charles Edouard Rist par représentation de leur mère Amélie Valérie Liebeold épouse de M. Edouard Michel Geoffroi Rist, propriétaire à Strasbourg où elle est décédée et dont ils sont seuls et uniques héritiers ainsi qu’il résulte de l’intutulé de l’inventaire dressé après le décès de Madame Rist par M° Keller notaire à Strasbourg le 28 août 1857.
M. Adolphe Frédéric Schaaff, majeur d’ans, étudiant en médecine, demeurant et domicilié à Strasbourg
Madame Rau, Madame Charlier et M Charles Edouard Adrien Rist et M. Schaaff agissant en qualité de seuls et uniques héritiers de leurs parents et grands parents M. Frédéric Liebold, négociant et dame Amélie Saum conjoints décédés à Strasbourg, et ce dans les proportions suivantes, Madame Rau pour un tiers, M. Schaaff pour un tiers et Mad. Charlier et M. Rist ensemble pour le dernier tiers. Lesquels pour arriver à la liquidation qui fait l’objet des présentes ont exposé au préalable ce qui suit.
Observations préliminaires. Toutes les valeurs mobilières dépendant tant de la communauté de biens qui a existé entre M. Liebold susdit et Madame Liebold née Saum ont été liquidées entre les ayants droits ainsi qu’il résulte d’une liquidation dressée par M° Zimmer alors notaire à Strasbourg, prédécesseur du soussigné notaire Koerttgé le 26 janvier 1860. Le décès de Mad° Liebold née Saum est arrivé à Strasbourg le 3 mai 1851 et celui de M. Liebold le 8 avril 1859. Les immeubles dépendant des successions de M et Madame Liebold restèrent à cette époque d’un commun accord indivis entre leurs héritiers. Mais désireux de sortir enfin de l’indivision, ces derniers ont fait dresser sous la date du 17 août 1869 par le soussigné notaire Koerttgé le cahier des charges, clauses et conditions sous lesquelles devait avoir lieu la licitation de ces immeuble. Cette licitation eut lieu le 30 août 1859 (…)
acp 586 (3 Q 30 301) f° 39-v du 6.9. consistant dans le prix des immeubles indivis 1) dans la somme de 156.500, prix de la maison adjugée à Mde Rau et le Sr Schaaff, 2) le prix de la maison adjugée au Sr Doerffer 45.000, 3) le prix de la maison adjugée à la D° Roser 6025, 5) le prix d’immeubles adjugés au Sr Schaaff 5020, total 219.595
Les héritiers vendent aux enchères les immeubles de leurs parents. Cahier des charges
1869 (17.8.), Strasbourg 10 (163), M° Kœrttgé (Jean Théodore) N° 1248
17 août 1869, Cahier des charges – Ont comparu M. Charles Rau, avocat, professeur à la Faculté de droit de Strasbourg, chevalier de la Légion d’Honneur, et Dame Louise Laure Liebold, son épouse de lui assistée et autorisée, demeurant et domiciliés ensemble à Strasbourg, M. Jules Gérard, principal clerc de notaire demeurant et domicilié à Strasbourg, agissant comme mandataire de Mad. Gabrielle Louise Amélie Rist, épouse de M. Timothée Charlier, Ingénieur civil directeur des ardoisières de Caumont, demeurant et domicilié à Caumont, M. Adolphe Frédéric Schaaff, majeur d’ans, étudiant en médecine, demeurant et domicilié à Strasbourg, agissant tant en son nom personnel que comme se portant fort de M. Charles Edouard Adrien Rist, majeur d’ans, étudiant en médecine demeurant à Paris se trouvant actuellement à Goettingue (Allemagne) (…) Lesquels pour arriver au cahier des charges qui fait l’objet des présentes ont exposé ce qui suit.
Mad. Rau, Mad. Charlier et M. Rist et M. Schaaff comparant sont les seuls et uniques héritiers, Mad. Rau et M. Schaaff chacun pour un tiers et Mad. Charlier et M. Rist ensemble pour le dernier tiers de leurs parents et grands parents M. Frédéric Liebold, négociant et dame Amélie Saum conjoints décédés à Strasbourg. Des succession des époux Liebolt-Saum dépendent divers Immeubles qui sont restés indivis entre leurs héritiers vu qu’ils sont impartageables de leur nature. Voulant sortir de l’indivision, les parties sont résolu d’un commun accord de procéder à la licitation desdits immeubles
Désignation des Immeubles à liciter
1. Une Maison à rez-de-chaussée et trois étages, cour, jardin, loge de concierge, bâtiments latéraux et de derrière comprenant écurie à quatre chevaux, belles caves, droits, appartenances et dépendances, le tout sis Grand’rue n° 136 à Strasbourg, d’un côté la rue de la Chaîne, de l’autre M. Goppert, devant la Grand’rue, derrière MM Kratz, Oesiger et autres, inscrit à la matrice cadastrale sous le N° 739 de la section P, d’une superficie de 11 ares 90 centiares, Sur la mise à prix de 150.000 francs
2. Une Maison à rez-de-chaussée et deux étages, bâtiments latéraux et de derrière, puits, cour, droits et dépendances, le tout sis à Strasbourg rue du Vieux-Marché-aux-Grains n° 8, formant le coin de la ruelle du Saumon, d’un côté M. Fassoli, de l’autre la ruelle du Saumon, devant la rue du Vieux-Marché-aux-Grains, derrière divers propriétaires, inscrite à la matrice cadastrale sous les N° 877 et 877 de la section N, d’une superficie d’un are 15 centiares, Sur la mise à prix de 30.000 francs
3. Une Maison avec petite cour, lavoir, droits et dépendances sise à Strasbourg quartier de la Krutenau, impasse de la Bruche n° 4 entre M. Diebold et M. Waltz devant la rue de la Bruche, derrière la rivière, inscrite au cadastre sous le N° 588 de la section O, d’une superficie de 40 centiares, Sur la mise à prix de 5000 francs
4. Un hectare (…) au ban d’Osthoffen (…)
Origine de la propriété. Tout l’immeuble désigné sous l’article premier appartenait primitivement à l’Emigré Flachslanden (…)
II. L’immeuble décrit sous l’article second a été hérité par ledit M. Frédéric Liebold dans les successions de ses père et mère M. Jean Frédéric Liebold, vivant horloger à Strasbourg où il est décédé le 10 mai 1789 et Mad. Marie Salomé Klein décédée en ladite ville le 14 mai 1818 desquels il était le seul et unique héritier. M. et Mad. Liebold avaient acquis cette maison d’Anne Marie Lalanne épouse du Sr François Gascard, portier de l’Arsenal de Strasbourg aux termes d’une adjudication passée devant M° Frédéric Louis Reinhard Wurmser de Vendenheim Maître et conseiller de la Ville de Strasbourg le 28 décembre 1787 pour le prix de 7540 florins soit 15.080 francs, soldés le 19 Brumaire an VII
III. L’immeuble décrit sous l’article trois (…)
Clauses, charges et conditions. (…) La grande propriété désignée sous l’article premier (…)
Dans la propriété désignée sous l’article second se trouvent cinq fourneaux en fonte et deux poêles en faience
b. que l’article second est loué verbalement audit M. Schnitzler pour un loyer annuel de 1498 francs jusqu’au 25 juin 1871
acp 586 (3 Q 30 301) f° 8-v du 18.8.
Vente des immeubles. Le tonnelier Charles Auguste Doerffer acquiert la maison au Vieux-Marché-aux-Grains
1869 (30.8.), Strasbourg 10 (163), M° Kœrttgé (Jean Théodore) N° 1271
30 août 1869, Adjudication – Ont comparu M. Charles Rau, avocat, professeur à la Faculté de droit de Strasbourg, chevalier de la Légion d’Honneur, et Madame Louise Laure Liebold, son épouse de lui assistée et autorisée, demeurant et domiciliés ensemble à Strasbourg, mariés sous le régime de la communauté de biens réduite aux acquêts aux termes de leur contrat de mariage passé devant M° Zimmer alors notaire à Strasbourg le 15 juin 1840,
M. Jules Gérard, principal clerc de notaire demeurant et domicilié à Strasbourg, agissant comme mandataire spécial de Madame Gabrielle Louise Amélie Rist, épouse de M. Timothée Charlier, Ingénieur civil directeur des ardoisières de Caumont, demeurant et domicilié ensemble à Caumont (…) M. et Madame Charlier, mariés sous le régime de la communauté de biens réduite aux acquêts aux termes de leur contrat de mariage passé devant M° Keller notaire à Strasbourg le 12 août 1859,
M. Charles Rist, propriétaire demeurant et domicilié à Strasbourg, agissant comme mandataire de M. Charles Edouard Adrien Rist, majeur d’ans, demeurant et domicilié à Strasbourg se trouvant actuellement à Goettingue (…) M. Adolphe Frédéric Schaaff, majeur d’ans, étudiant en médecine, demeurant et domicilié à Strasbourg
Lesquels ont exposé que sous la date du 17 août 1869 ils ont fait dresser par le soussigné notaire Koerttgé qui en a la minute et l’un de ses collégues notaires à la même résidence, le cahier des charges, clauses et conditions sous lesquelles seront vendus aux enchères les immeubles indivis entre les parties, dépendant des successions de leurs parents et grands parents M. Frédéric Liebold, négociant et dame Amélie Saum conjoints décédés à Strasbourg (…) Que c’est par erreur que l’immeuble désigné sous l’article second audit cahier des charges a été inscrit comme comprenant bâtiments latéraux et de derrière et cour
Que cet immeuble se compose uniquement d’une Maison à rez-de-chaussée et deux étages avec puits droits et dépendances (…)
Que dans le logement occupé par M. Schnitzler dans la maison grand rue 136 il n’y a que deux glaces-trumeaux qui sont à comprendre dans la présente enchère (…)
et déclaré les enchères ouvertes sur
Article premier. Une Maison à rez-de-chaussée et trois étages, cour, jardin, loge de concierge, bâtiments latéraux et de derrière comprenant écurie à quatre chevaux, belles caves, droits, appartenances et dépendances, le tout sis Grand’rue n° 136 à Strasbourg, d’un côté la rue de la Chaîne, de l’autre M. Goppert, devant la Grand’rue, derrière MM Kratz, Oesiger et autres, inscrit à la matrice cadastrale sous le N° 739 de la section P, d’une superficie de 11 ares 90 centiares, Sur la mise à prix de 150.000 francs et plusieurs bougies ayant été allumées les enchères ont été portées pendant leur durée à la somme de 156.500 francs par Mad. Rau et M. Schaaff sus-nommés, co-licitants
Article second. Une Maison à rez-de-chaussée et deux étages, puits, droits et dépendances, le tout sis à Strasbourg rue du Vieux-Marché-aux-Grains n° 8, formant le coin de la ruelle du Saumon, d’un côté M. Fassoli, de l’autre la ruelle du Saumon, devant la rue du Vieux-Marché-aux-Grains, derrière divers propriétaires, inscrite à la matrice cadastrale sous les N° 877 et 877 de la section N, d’une superficie d’un are 15 centiares, Sur la mise à prix de 30.000 francs et plusieurs bougies ayant été allumées les enchères ont été portées pendant leur durée à la somme de 45.000 francs par M. Charles Auguste Doerffer, tonnelier demeurant et domicilié à Strasbourg
Article troisième. Une Maison avec petite cour, lavoir, droits et dépendances sise à Strasbourg quartier de la Krutenau, impasse de la Bruche n° 4 entre M. Diebold et M. Waltz devant la rue de la Bruche, derrière la rivière, inscrite au cadastre sous le N° 588 de la section O, d’une superficie de 40 centiares, Sur la mise à prix de 5000 francs et plusieurs bougies ayant été allumées les enchères ont été portées pendant leur durée à la somme de 7050 francs par M. Guillaume Alfred Schnell, capitaine d’état-major attaché à la 6° Division militaire, en garnison à Strasbourg où il demeure et est domicilié
Article quatrième. Un corps de biens au ban d’Osthoffen (…)
acp 586 (3 Q 30 301) f° 39 du 6.9.
Le tonnelier Charles Auguste Dœrffer épouse en 1861 Marie Emma Matern
1861 (9.4.), Strasbourg 14 (157), M° Ritleng père n° 12.173
Contrat de mariage, 9 avril 1861 1869-1861- Ont comparu Monsieur Charles Auguste Doerffer, tonnelier domicilié & demeurant à Strasbourg, fils majeur de feu le Sr Jean Michel Doerffer, en son vivant tonnelier & de D° Caroline Specht sa veuve, demeurant en la même ville d’une part
& Demoiselle Marie Emma Matern, fille majeure de feus Geoffroi Matern, marchand de vins & aubergiste & de feu Dame Louise Sophie Dettweiller son épouse domicilié & demeurant ensemble à Strasbourg, stipulant sous l’assistance et l’autorisation de son père, d’autre part
acp 497 (3 Q 30 212) f° 84-v du 11.4. Stipulation de communauté de biens réduite aux acquêts, partageable par moitié
Les apports du futur consistent en une valeur de 3000
Les apports de la future consistent a) dans sa part dans la succession de feu sa mère, constatée par inventaire reçu Ritleng p le 26 février 1850, 2) créances 3265
Donation par le Sr Matern à la future d’une somme de 362 francs
Donation réciproque par les futurs au survivant d’eux de l’usufruit de toute la
Charles Auguste Dœrffer meurt en 1874 en délaissant trois filles. La description de la maison mentionne deux étages comme dans les actes précédents.
1874 (8.4.), Strasbourg 7 (144), M° Edouard Stromeyer n° 8986
Inventar von der Gemeinschaft, welche zwischen Hr Carl August Doerffer zu Lebzeiten Küfer und Weinwirth in Straßburg und seine überlebende Wittwe Maria Emma Matern bestanden hat, sowie von der Verlaßenschafft des H. Carl August Doerffer zu Straßburg den 23. Janvier 1874 gestorben.
Im Jahr 1874 am Mittwoch den 8. April an zwei Uhr Nachmittags, auf Anstehen 1° der Maria Emma Matern, Inhaberin einer Weinwirtschaft, Wittwe von Carl August Doerffer, zu Lebzeiten Küfer und Weinwirth in Straßburg und hier domizilirt, Sie allda wohnhaft, handelnd sowohl in ihren eigenen Namen als wegen der Gütergemeinschaft, welche zwischen Ihr und ihrem verlebten Gatte bestand, zufolge ihres durch Hr Ritleng Vater damals Notar zu Straßburg und einem seinem collegen am 9. April 1861 errichteten Ehevertrags, 2° wegen der Ergäntzungen und Forderungen, welche Sie gegen die besagte Gütergemeinschaft oder dem Nachlass ihres Gatten etwan gelten zu machen hat, 3. als Schenknehmerin des Nutznießes an der hälfte des Nachlasses dieses Letztern zufolge des angeführten Ehevertrags 4) als Mutter und gesetzliche Vormünderin ihrer aus der Ehe mit ihrel verstorbenen Ehemann erzogenen Kinder heute noch minderjährig A.) Maria Emma Doerffer geboren den 3. Septembre 1862, B) Caroline Emilie Doerffer, geboren den 16. Februar 1864, C) und Pauline Mathilde Doerffer, geboren den 15. Februar 1865, 5) wegen dem gesetzlichen Genuß der Ihr auf das Vermögen ihrer oben genannten minderjährigen Kinder zusteht (…), In gegenwart von H. Friedrich Eduard Ensfelder, Pfarrer zu Reichenweier, wo Er wohnhaft und domizilirt ist, verschwägerter Oheim der minderjährigen Kinder Doerffer, handelnd als Beivormund der hieoben genannten minderjährigen Kinder Doerffer
in einem Hause in Straßburg Alter Kornmarkt N°13 gelegen, befunden
Gütergemeinschaft. Salon, Chambre à coucher, Chambre à coucher des enfants, Salle à manger, Chambre à armoires, Première chambre des servantes, Deuxième chambre des servantes, Cuisine, Salle de débit, Vins
du 9 avril 1874. N° 8987. Immeuble. Ein Wohnbehausung, Erdgeschoß, zwei Stöck, Rechten und Gerechtigkeiten alles in Straßburg alter Kornmarkt 13 gelegen, erkauft von den Erben Liebolt, laut Steigerungs Protokoll durch H. Koertthé notar in Straßburg, den 30 August 1869 errichtet, davon ein Abschrift im Hypotheken amt von Straßburg den 20 novembre nachfolgend Band 1236 N° 56 eingetragen wurde und vom Amtswegen eingeschrieben den nämlichen Tag, Band 1034 N° 89. Der Steigpreis war von 45.000 Franken, heute ausbezahlt, bis auf derjenigen Summa von 14.402. (…)
acp 627 (3 Q 30 342) f° 20-v n° 1614 du 15.4. (Erklärt 2/7 1874) Gütergemeinschaft, Mobilien 4360,Geld 217, Ein Haus zu Straßburg alter Kornmarkt N° 13, Miethzinsen 136, Lebens Versicherung 10.000
Nachlass, Kleidung 394
Ergäntzungen des verstorbenen 3000, der Wittwe 3627
Marie Emma Matern loue à Henri Edmond Schnitzler une partie de la maison dont le rez-de-chaussée
1877 (19.12.), Strasbourg 8 (101), M° Gustave Edouard Loew N° 9874
Lehnung – Marie Emma Matern, Eigenthümerin zu Straßburg wohnhaft, Wittwe von Carl August Doerffer, auf die Dauer von 6, 9 oder 12 Jahre vom 25. März 1878 an bis 1884, 1887 oder 1889
an Heinrich Edmund Schnitzler, Eigenthümer zu Straßburg
von ihrem Hause alter Kornmarkt N° 8 früher N° 13 das Erdgeschoß als Weinschanck dienend, Küche & Keller & Wohnung im 4. Stock, bestehend aus 4 Zimmer
Bedingungen 1) die Steuer bleiben zur Last der Eigenthümerin, 2) Miether hat die auf die vermiethete Wohnung im 4. Stock treffende Militäreinquartierung zu tragen. Jahresmiethe M 2240
acp 674 (3 Q 30 389) f° 47-v n° 4616 du 28.12.
Henri Edmond Schnitzler sous-loue toutes les localités ci-dessus au marchand de vins Georges Diehl et à sa femme Marie Emilie Einholtz
1877 (19.12.), Strasbourg 8 (101), M° Gustave Edouard Loew N° 9875
Unterlehnung – Heinrich Edmund Schnitzler auf dieselbe Dauer und unter denselben Bedingungen wie oben angegeben
an Georg Diehl, Weinhändler und Frau Maria Emilie Einholtz, beide in Straßburg wohnhaft
oben beschriebene Räumlichkeiten, jährlich 2240 Mark
alter Kornmarkt N° 8 früher N° 13
acp 674 (3 Q 30 389) f° 47-v n° 6415 du 28.12.
Marie Emma Matern meurt le 29 juin 1881
1881 (2.11.), Strasbourg 8 (114), M° Gustave Edouard Loew n° 13.593
Inventar über den Nachlass der dahier am 29. Juni d. J. verlebten Maria Emma Matern, Wittwe des verstorbenen Karl August Doerffer, Küfer zu Straßburg
Auf Ansuchen von I. Friedrich Eduard Ensfelder, Pfarrer zu Reichenweier, handelnd als gerichtlich ernannter Vormund von a) Maria Emma Doerffer, b) Karoline Emilie Doerffer, c) Mathilde Doerffer, minderjährige Kinder der Eheleute Doerffer-Matern und Erben zu je 1/3, II. Heinrich Theodor Ruch, zu Straßburg, als Nebenvormund
acp 719 (3 Q 30 434) f° 24-v du 12.11. (Tab. Bd 67 Bl 117 Nr 127, Sterbf. Erk. 12.11.81 Bd 137 Nr 310) Nach Absterben des Doerffer wurde durch Notar Stromeyer von Straßburg ein Inventar aufgenommen lauth welchem die Gemeinschaft bestand in Mobilien & Vorräthe fr. 4350, baarem Geld 217, Miethzinsen 136
Wohnhaus alter Kornmarkt 13, jetzt 8, Passiv fr. 15.688.
Ersatz an dem Nachlass des Manns für fehlendes Einbringen 3000, Ersatz an die Wittwe für desgl. 3627
Die Lebensversicherung The Gesham hatte der Wittwe ein Kapital von 1000 fr. ausbezahlt
Nachlass des Herrn Doerffer, Kleider 394, Ersatzasprüche 3000
Wiederaufnahme des obigen Inventars mit Beifügung des heutigen Werthes, Es fand sich noch vor, Mobilien M. 2198, Wohnhaus alter Kornmarkt 8
Nachlass der Wittwe Doerffer, Kleider 134, Mobilien 188, baar 640
Forderung an Julius Albert Dettweiler 22.400, Zinsen 243, an Friderich Wilhelm Schroeder 3200, Zinsen 66, an Wittwe E. Borst & Wittwe H. Borst 1600, Zinsen 26, dieselbe 1600, Zinsen 26 – Passiv 348
Marie Emma Dœrffer, l’une des trois filles de la précédente, meurt en 1882 à Riquewihr chez son oncle et tuteur le pasteur Frédéric Edouard Ensfelder
1883 (8.1.), M° Loew
Erbverzeichnis auf Erklärung über den Nachlaß der am 17. Juli 1882 zu Reichenweier verlebten Maria Emma Doerffer, Tochter des hieselbst verlebten Eheleute Karl August Doerffer und Maria Emma Matern, und zur Zeit unter Vormundschaft des Pfarrers Friedrich Eduard Ensfelder in Reichenweier
Erben sind die Geschwister Karoline Emilie Doerffer, Pauline Mathilde Doerffer unter derselben Vormundschaft
acp 733 (3 Q 30 448) f° 95 n° 3567 du 15.1. (Tab. Bd 68 Bl 33 Nr 91, Sterbfall Erkärung. 15.1.83 Bd 148 N° 561) Nach Ableben der Elternwurde Erbverzeichnis errichtet durch durch Notar Stromeyer am 9. April 1874 und durch Loew handelnden Notar vom 2. November 1881. Besteht aus 1/3 an folgenden Wertschaften 1) Mobilien im Werthe von 2386, 2) Schuldforderungen a) Julius Albert Dettweiler hier laut Urkunde Ritleng sen. 2. Octob. 1576 und 30. Juli 1874, 22.400 b) Friderich Wilhelm Schroeder hier laut Urkunde Loew am 31. Januar 1881 und Pierron vom 22 December 1880, c) Wittwe E. Borst & Wittwe H. Borst zufolge Schuldschein 1600, d) dieselbe 1600 (zusammen) 31.186
3) Ein hier am alten Kornmarkt 8 früher 8 gelegenes Wohnhaus und Zugehör N 877, 877
Kassensaldo in Händes der Vormunds als Antheil zu 1/3, 340 – Kleider 97 – Die Passiva betragen 636 M
Liquidation des successions délaissées par Charles Auguste Dœrffer et Marie Emma Matern
1886 (2.8.), M° Loew
Theilung 1) der Verlaßenschafften der Eheleute Carl August Doerffer, Küfer und Maria Emma Matern is Straßburg, letzte gestorben die weÿl. den 29. Juni 1881 2) des Nachlasses der Tochter Maria Emma Doerffer, ledig gestorben den 12 Juli 1882 zu Reichenweier, 3) des den nachbezeichneten Interessenten aus ihrer Einkünften gemeinsam augf*en Vermögens
auf Anstehen von 1) Karoline Emilie Doerffer, 2) Pauline Mathilde Doerffer, beide ledig, ohne Stand in Straßburg, handend a) als einzige Erben ihrer ad 2. genanten Schwester, b) als einzige Erben mit genannter Schwester der Nachlasse ihrer ad 1. genannten Eltern. Inventar wurde errichtet a) nach Ableben von H. Doerffer vor Notar Stromeyer dahier den 9. April 1874, b) nach Ableben der Wittwe Doerffer durch den amt. Notar den 2 & 3 November 1881, c) nach Ableben der Schwester durch den amt. Notar den 8. Janar 1883. Letzteres Inventa enthaltend zugleich Verzeichnis des damals vorhandenen gemeinsamen Vermögens der Geschwister Doerffer sowie Rechnung des Vormunds. Die Vormundschafts Rechnung über die weitere Verwaltung wurde durch den Vormund durch Privaturkunde vom 22. Juli hinterlegt laut Urkunde des amt. Notars vom heutigen gelegt
acp 780 (3 Q 30 495) f° 38-v n° 1900 du 12.8.
Hiernach ergibt sich folgende. Theilungsmasse I. Mobilien der Gemeinschafft Doerffer 2198, des Nachlasses der Wittwe Doerffer 388 (zusammen) 2326, II. Handschriftsforderungen 3200, III. Hypothekenforderungen 22.400, 3200, 4000, 48.000, IV. Inhabertitel 1500,V. Erlös verkaufter Inhabertitel 2000 – Summa 86.686
Zutheilungen (…)
Le tuteur des filles Dœrffer vend la maison à Henri Edmond Schnitzler
1884 (27.3.), M° Loew
Karoline Emilie Doerffer und Pauline Mathilde Doerffer, minderjährige Kinder der hievor verlebten Eheleuthe Karl August Doerffer und Maria Emma Matern, unter Vormundschaft der Pfarrers Friderich Eduard Ensfelder in Reichenweier
an Heinrich Edmund Schnitzler, Eigenthümer hier
ein hier alter Kornmarkt N° 8, früher N° 13, Ecke des Salmengäßchens gelegenes Wohnhaus mit Zugehör auf einer Fläche von 1,15 Aren, N 877, 877, durch die Eltern erworben laut Urkunde Koerttge am 30. August 1869. Eine Schwester Maria Emma Doerffer gestorben am 17. Juli 1882 in Reichenweier
Besitz und Genußantritt vom 25. l. Mts, Steuern übernahm vom 1. April 1884 ab – Kaufpreis 54.400, hievon wurden baar bezahlt 3200
die gerechtliche Bestätigung bleibt vorbehalten binnen 3 Monaten von heute an
acp 748 (3 Q 30 463) f° 38-v n° 76 du 3.4.
Le négociant Henri Edmond Schnitzler épouse en 1872 Marie Emilie Ehrhard, fille de brasseur
1872 (31.1.), Strasbourg 8 (83), M° Gustave Edouard Loew N° 4115
Contrat de mariage, 31 janvier 1872 – Ont comparu M. Henri Edmond Schnitzler, négociant demeurant à Strasbourg, fils majeur de M. Charles Auguste Schnitzler, ancien négociant à Strasbourg et de Madame Sophie Frédérique Lamp, son épouse défunte, futur époux stipulant en son nom personnel à cause du mariage dont il va être question, d’une part
1. Mad.lle Marie Emilie Ehrhard, sans état, demeurant à Strasbourg, fille majeure de M. Jean Ehrhard, brasseur, et de Madame Sophie Flach son épouse demeurant ensemble à Strasbourg, future épouse stipulant en son nom personnel d’autre part Et M. et Mad. Ehrhard susnommés avec indication de domicile, agissant tant pour assister leur fille à l’effet des présentes qu’à cause de la dot qu’ils vont lui constituer ci après de troisième part
acp 602 (3 Q 30 317) f° 99 du 6.2. Annahme der Gütergemeinschaft nach dem C. C. Rücknahme des mitgebrachten und ererbten
Der Bräutigam bringt in die Ehe einen Werth von 131.437, die Braut bringt in die Ehe Mobilien, 1005
Schenkung von Johann Ehrhard und Sophie Falch ihrer Tochter, annehmend, 1) Mobilien abgschätzt zu 10.016, 2) Geld 40.000
Gegenseitige Schenkung dem überlebenden von der Nutznießung des samtlichen Nachlasses, vermindert zur Hälfte wann Kinder aus der Ehe da sind
La maison est inscrite au cadastre à partir de 1898 au nom de Jacques Klein. Originaire de Hœrdt, le domestique Jacques Klein épouse en 1886 Marguerite Brandt, servante originaire de Vendenheim
1886 (8.7.), M° Ritleng l’aîné
Ehevertrag – Jacob Klein, Stallknecht hier
Margaretha Brand, Köchin in Vendenheim
acp 778 (3 Q 30 493) f° 73 n° 1578 du 14.7. – Annahme der Errungenschafts gemeinschaft
Einbringen des Bräutigams in baar M. 4400, der Braut 1600
Mariage, Strasbourg (n° 433) Straßburg am 10. Juli 1886. Vor dem Standesbeamten erschienen heute zum Zwecke der Eheschließung 1. der Hausknecht Jacob Klein, evangelischer Religion, geboren den 19. Juli des Jahres 1852 zu Hœrdt (Unter-Elsaß) wohnhaft zu Straßburg, ehelicher Sohn des verstorbenen Webers Jacob Klein, zuletzt wohnhaft zu Hoerdt, und der Marie Maechling, ohne Beruf, wohnhaft zu Hoerdt, 2. die Dienstmagd Margaretha Brandt, evangelischer Religion, geboren den 12. Mai des Jahres 1865 zu Vendenheim (Unter-Elsaß) wohnhaft zu Straßburg, eheliche Tochter der verstorbenen Eheleute Adam Brandt, Wagner, und Margaretha Kuhn, zuletzt wohnhaft zu Vendenheim (i 38)
La propriété passe en 1909 à Adolphe Jehl.
Originaire d’Elsenheim près de Marckolsheim, le garçon d’hôtel Adolphe Jehl épouse en 1892 Joséphine Osel, fille du confiseur Michel Osel de Haguenau
Mariage, Haguenau (n° 11) Hagenau am 6. Februar 1892. Vor dem Standesbeamten erschienen heute zum Zwecke der Eheschließung 1. der Kellner Martin Adolph Jehl, katholischer religion, geboren den 15. September des Jahrs 1865 zu Elsenheim Bezirk Unter Elsaß, wohnhaft zu Hagenau, ledigen Standes, Sohn des zu Elsenheim verstorbenen Ackersmanns Andreas Jehl und dessen Wittwe Josephine geb. Schmitt, ohne Gewerbe wohnhaft zu Elsenheim
2. die gewerblose Josephine Osel, katholischer Religion, geboren den 13. August des Jahres 1871 zu Hagenau Bezirk Unter Elsaß, wohnhaft zu Hagenau, ledigen Standes, Tochter des Zuckerbäckers Michael Osel, und dessen Ehefrau Maria Anna geb. Beyler wohnhaft zu Hagenau (i 12)
Adolphe Jehl habite à plusieurs reprises à Strasbourg à partir de 1884. Il devient propriétaire en 1909 de la maison au Vieux-Marché-aux-Vins puis en 1923 d’une maison rue Aubry-et-Rau
Fichier domiciliaire (603 MW 389)
Jehl Adolph † 20.8.29, 16.9.65, Elsenheim
rue Aubry et Rau 12
voir Jehl née Osel Josephine 13.8.71 à Haguenau
Jehl, Hôtelier, Kellner
Adolph († 20.8.29), 16/9.65 Elsenheim Schlettstatt, (Religion) K,
Frau († 23.11.34) geb. Osel, Joséphine, 13.8.1871 Hagenau, (Religion) K,
Kinder Jehl Anna 13.4.93, Hagenau
Lea 29.8.96
Xaver
Adelheid Lucie 8.12.98 Straßburg
– von Schlettstat
12.4.84 Pariserstaden 5, Mathis
17.10.84 Elsenheim
21.3*.95 Halbmondg. 6
von Elsenheim
24.12.88 Kußstraße 19, Kientzli
2.9.89 v. Elsenheim lt Abm*
fremd Elsenheim
18.2.90 Thomangasse 5 (Lutz)
5.3.90 Blauwolkeng. 19, *ling
7.10.90 v Elsenheim (lt Abm*)
von Hagenau
4.6.97 u Bahnhofplatz 2, Maier
21.7.09 u Alter Kornmarkt 8 Jehl
1.4.23 rue de l’Aubry et Rau 12 Jehl