18, rue du Maroquin
Rue du Maroquin n° 18 – VI 299 (Blondel), O 206 (cadastre)
Maison sur le Gradin (auff der Gräth) puis au Gradin – Façade en saillie, 1789, maître d’ouvrage Jean Geoffroi Herrenschneider – Démolie en 1860 pour réunir le sol à la voie publique
Façade à l’enseigne Herrenschneider puis Gustave Hepp (photographies de Charles Winter, Musées de Strasbourg)
Dessin dressé lors de l’enquête précédant l’expropriation forcée (1859, Musées de Strasbourg)
Située sur le Gradin à côté de la Cave au Faucon (auff der Gräth neben dem Falckenkeller), la maison fait l’angle de la place de la Cathédrale et de la rue du Maroquin. Dans le Livre des communaux de 1587, elle appartient à la veuve du farinier Frédéric Linck ; la façade vers la rue a 49 pieds de long, celle vers la place doit faire 16 pieds d’après la longueur de la plate-forme. Comme sa voisine l’auberge de la Cave au Faucon, la maison est une emphytéose de l’Œuvre Notre Dame (1624), de la Monnaie (1658) puis d’Elie Brackenhoffer (1676) ; Simon Weber qui rachète le 18 avril 1763 le domaine direct en le réunissant au domaine utile devient propriétaire à part entière de la maison.
La veuve Linck accorde en 1624 à son voisin aubergiste à la Cave au Faucon le droit de faire s’écouler les eaux de son évier dans sa fosse d’aisances. La maison appartient de 1658 à 1677 au marchand Jean Jacques Schell qui devient péager au Pont du Rhin puis préposé à la balance de la douane puis au tamisier Simon Weber qui a la réputation d’être une forte tête. Ses descendants la conserveront jusqu’à son expropriation en 1859. Les préposés l’autorisent en 1693 à surbâtir un terrain communal pour agrandir son poêle mais l’affaire reste en suspens à cause du loyer élevé. Ils autorisent en 1718 son fils aussi nommé Simon Weber à remplacer les poutres pourries de son encorbellement. Troisième tamisier du même nom, Simon Weber demande en 1745 l’autorisation de remplacer sa galerie que les intempéries dégradent par une construction qui agrandirait sa maison mais occulterait les entrées de la Cave au Faucon ; les préposés estiment que la Monnaie devrait acheter la maison et la remplacer par un bâtiment plus régulier. Simon Weber est finalement autorisé en 1748 à reconstruire sa maison en l’alignant avec la Cave au Faucon, à y mettre un balcon et à ouvrir sa porte sur la terrasse du Faucon. La Ville suggère en 1768 d’acheter la maison pour aligner la Cave au Faucon mais l’affaire n’a pas de suite. Jean Daniel Lung qui vient d’acheter de la Ville l’ancienne Cave au Faucon cède en 1784 sa cave à son gendre Jean Geoffroi Herrenschneider, petit-fils de Simon Weber. Tous deux proposent en 1785 à la Ville d’aligner leurs maisons contre un dédommagement de 9 000 livres tournois mais l’offre est déclinée. Jean Geoffroi Herrenschneider est autorisé la même année à convertir une croisée en porte mais pas en arcade ; il est condamné à restituer l’état antérieur après avoir transformé sans autorisation la cave en boutique. Sa demande de rehausser deux arcades et de les surbâtir selon l’alignement est rejetée en 1789. Jean Daniel Lung et Jean Geoffroi Herrenschneider qui transforment sans autorisation le caveau en boutique la même année sont autorisés à conserver la boutique après avoir confirmé devant notaire qu’ils en jouissent à titre précaire. Jean Geoffroi Herrenschneider fait ôter en 1798 les boutiques de cordonnier adossées à son bâtiment pour pouvoir le transformer.
Plan-relief de 1725. La maison est la partie droite de celui au milieu de l’image, précédé d‘un bâtiment à demi-toit (Musée historique, cliché Mathieu Bertola, musées de Strasbourg)
Elévations préparatoires au plan-relief de 1830, îlot 179 (© Musée des Plans-relief) 1
L’Atlas des alignements (années 1820) mentionne vers la place un bâtiment à rez-de-chaussée, deux étages en maçonnerie et balcon, vers la rue un bâtiment à rez-de-chaussée et quatre étages en maçonnerie. Sur les élévations préparatoires au plan-relief de 1830, la façade vers la place se trouve entre les repères (o-p) : porte et arcade au rez-de-chaussée, deux étages surmontés d’un toit, à l’arrière un étage supplémentaire. L’avance par rapport à la maison sur la gauche est représentée en (n-o). La façade rue du Maroquin comprend l’équivalent de (n-o) à droite du repère (p) puis un bâtiment qui s’ouvre par une porte au rez-de-chaussée et comprend quatre étages à deux fenêtres chacun.
La maison porte d’abord les n° 1 et 2 rue du Maroquin et 1, place de la Cathédrale (1784-1857) puis le n° 18 rue du Maroquin et 4, place de la Cathédrale.
La Ville de Strasbourg loue en 1846 au propriétaire un terrain communal devant sa maison. Elle acquiert la maison et ses voisines par expropriation forcée le 21 novembre 1859 pour en réunir le sol à la voie publique. Les maisons sont démolies en août 1860 d’après le cadastre et en octobre 1860 d’après le dessin portant estimation des maisons.
Aspect actuel. La maison se trouvait à l’avant de la poste, sur la droite (image Fabien Romary)
septembre 2021
Sommaire
Cadastre – Police du Bâtiment – Relevé d’actes
Récapitulatif des propriétaires
La liste ci-dessous donne tous les propriétaires de 1587 à 1860. La propriété change par vente (v), par héritage ou cession de parts (h) ou encore par adjudication (adj). L’étoile (*) signale une date approximative de mutation.
Frédéric Linck, boulanger, et (1570) Barbe Dachs, remariée (1588) avec le meunier Balthasar Ulrich – luthériens | ||
1630* | h | Frédéric Linck, boulanger, et (1605) Dorothée Schlosser – luthériens (dont) Frédéric Linck, , et (1632) Sara Damon – luthériens |
1658 | v | Jean Jacques Schell, marchand, péager au Pont du Rhin, et (1652) Elisabeth Schmidt puis (1672) Catherine Schmidt – luthériens |
1677 | v | Simon Weber, tamisier, et (1673) Marie Salomé Schmitz – luthériens |
1711 | h | Simon Weber, tamisier, et (1703) Elisabeth Alber – luthériens |
1731 | h | Simon Weber, tamisier, et (1731) Catherine Salomé Martin – luthériens (unique héritière) Jean Geoffroi Herrenschneider, boutonnier, et (1753) Marguerite Madeleine Weber puis (1764) Catherine Marguerite Leonhard – luthériens |
1784 | h | Jean Geoffroi Herrenschneider, boutonnier, et (1784) Marguerite Madeleine Lung – luthériens |
1834 | h | Jean Henri Hepp, négociant, (1803) et Marguerite Madeleine Herrenschneider |
1845 | h | (indivis avec le suivant) Frédéric Théodore Hepp, négociant, et (1836) Louise Amélie Lamp |
1852 | h | Henri Gustave Hepp, négociant, enfant (1862) avec Louise Four |
1859 | exp | Ville de Strasbourg |
Valeur de la maison selon les billets d’estimation : 400 livres en 1704, 600 livres en 1711, 375 livres en 1730, 500 livres en 1777
(1765, Liste Blondel) VI 299, Simon Weber
(Etat du développement des façades des maisons, AMS cote V 61) Simon Weber, 8 toises, 2 pieds et 4 pouces
(1843, Tableau indicatif du cadastre) O 206, Hepp, Jean Henri – rue du Maroquin 2 – maison, sol – 1,7 are
Locations
1672, Jean Michel Diebold, tourneur
1786 (étal), Jean Daniel Dürr, cordonnier
1788 (boutique) Jean Georges Dotzler, tamisier
Livres des communaux
1587, Livre des communaux (VII 1450) f° 46
(Façade rue du Maroquin, 49 pieds de long) La maison formant l’angle de la rue du Maroquin à côté de la Cave au Faucon appartient à la veuve du farinier Frédéric Linck qui doit à la Ville deux sols pour un tas de planches posées le long du mur
Oben am Andern Eck In Kurben Gaß Zum Falckhen wider hinab
Friderich Lincken des Maëlmans Wittib vf der Kraëten hatt vornen am Eckh In Kurbengaß neben dem Keller Zum Falckhen 49. schu lang, vnd befindt sich recht vßgenohmen einem hauffen dielen vf d. gassen ane d. Mauren ligen, soll deßwegen gerechferttiget werden, Bessert für die dielen, ij ß d
Idem f° 66-v
(Façade vers le Gradin) La veuve de Frédéric Linck doit 1 livre 17 sols et 10 deniers pour une plate-forme (16 pieds de long, saillie de 23 pieds), un auvent (12 pieds ½ sur 4 pieds ½), trois étaux amovibles (10 pieds de long sur 5 pieds ½) vers le bas et un étal amovible (7 pieds ½ de long sur 5 pied ½) vers le bas. Mention marginale, le terrain enclos sera à l’avenir soumis à un cens perpétuel à déterminer.
Vff der Leingräten
Friderich Lincken Wittwe hatt vff der Grätten Vor Irem hauß, vnden ahne der Gräeten 3 steinerin Tritt 16 schu lang vnd 23 schu herausser, Darüber ein Wettertach 12 ½ schu lang vnd 4 ½ schu herauß, Vnden ahne der Graëtten 3 Vssaz Benckh 10 schu lang, vnd 5 ½ schu herauß, Vndt oben auch ein Vssaz banckh 7 ½ schu lang vnd 5 ½ schu breÿt, Soll Allmendt sein vnd bleiben, Bessert für dises Niessen, j lb xvij ß x d
[in margine :] Diße Inzaünung soll hinfürtter bestendiglich verzinßet Vndt der zinß daruff benent werd.
1673, Livre des loyers communaux, VII 1466 (1673-1741) f° 581
Simon Weber doit d’un étal près de la Cathédrale pour y vendre les jours de marché 8 sols à partir de 1674 (puis 15 sols à partir de 1712)
Simon Weber, der Sibmacher, Soll vom platz zum Stand beÿ dem Münster, Jahrs vf den Marckhtag darauff feil zuhaben, vff Johan: Bapt: und 1674 primo, 8 ß ([corrigé en] à 15 ß p. 1712. I.mo)
Protocoll: pag. 47
(Quittungen 1676-1741)
Neuzb fol 397
1741, Livre des loyers communaux, VII 1471 (1741-1802) f° 397
Même loyer porté au registre suivant, résilié en 1780.
alzb. 581
Simon Weber der Sibmacher soll vom platz Zum Stand beÿ dem Münster auf den marckt tag darauff feÿl zuhaben, Jahrs auf Johan: Bapt (id est 24. Junii), 15 ß
beÿ dem Münster
(Quittungen 1741-1780)
Hat auf Johannis Bapt: 1780. den Platz aufgegeben
1741, Livre des loyers communaux, VII 1470 (1741-1802) f° 300-d
Le boutonnier et marchand de soie Geoffroi Herrenschneider doit à partir de 1791 3 livres pour une cave sous le Gradin dont la Ville s’est réservé la propriété lors de l’aliénation de la Cave au Faucon
Gottfried Herrenschneider Knopffmacher und seidenhändler solle wegen einem Keller unter der Gräth, wovon sich löbl. Stadt beÿ Verkauffung des alten falcken Kellers das eigenthum vorbehalten, laut löbl: bau Amts protocoll vom 12. januarii 1790. (10. Pluvios) fol: 380 und verschrebung in hiesiger Cantzleÿ Contract stube de 29 januarii daraufhin, auf nemlichen tag und anno 1791. erstenmahls ane zinß 3 lb
(Quittungen 1791-an 10)
N. C. 57
Préposés au bâtiment (Bauherren)
1673, Préposés au bâtiment (VII 1363) f° 47-v
Le tamisier Simon Weber doit chaque année 8 sols pour un étal près de la cathédrale pour y vendre les jours de marché
(f° 47-v) Montags den 2. Junÿ.- Simon Weber, Allmend zinß
Simon Weber der Sibmacher, soll vom platz Zum Stand beÿ dem Münster, jahrs vff die ordentliche Marcktag feil zu haben vff Joh. Bapt: und 1674. p°, 8 ß
1693, Préposés au bâtiment, VII 1375
Les préposés informent la femme de Simon Weber qu’ils ont autorisé son mari à empiéter sur la communal pour agrandir son poêle moyennant un loyer annuel d’une livre. Elle objecte que la somme est élevée pour un petit terrain. Les préposés proposent soit un loyer de 10 sols soit une cession moyennant 15 livres. Le propriétaire demande à réfléchir.
(f° 86) Montags den 7. Decembris. – Simon Weber
Simon Webers deß Siebmachers auff der Grät beÿ dem Falckenkeller haußfrawen, ist angezeigt worden, daß Mhh. ihrem Mann mit erweitterung ihrer stuben, begehrter maßen Willfahren wollen, Wann er Jährlichen 1. lb. d bodenzinß darvon gebe. Sie aber beschwehrte sich, daß solches Von einem so kleinen plätzlein Gar Zuviel seÿe, darauff Erkandt Worden, daß er entweder Jährlich 10. ß bodenzinß geben solle, oder Wann er diesen Zinnß abkauffen wolte 15. lb. d. darfür erlegen. Ille name es zu bedacht.
1718, Préposés au bâtiment, VII 1388 f° 92-v
Après visite des lieux, les préposés autorisent Simon Weber à réparer son encorbellement en saillie de 3 pieds qui a été démonté parce que ses poutres sont pourries
(f° 92-v) Dienstags den 9. Aug. 1718. – Simon Weber pt° Uberhangs
Augenschein eingenommen in Simon Webers des Sippmachers, auff dem Falcken Keller stehenden behausung, an deren der Uberhang welcher 3. schuhe breit und (-) schuhe lang ist, deren die balcken ganz faul seindt, biß auff der balcken abgebrochen worden, umb deß reparation Weber umb erlaubnus angeführt hatt. Erk. Willfahrt.
1745, Préposés au bâtiment, VII 1401
Simon Weber demande l’autorisation de supprimer sa galerie que les impempéries dégradent après chaque réparation et de la rempacer par une construction qui agrandirait sa maison. Les préposés le renvoient à la Monnaie, propriétaire de la Cave au Faucon dont certaines fenêtres recevraient moins de lumière ou plus du tout.
(f°117-v) Sambstags den 11 Ejusdem [Septembris 1745]. – Simon Weber
An Simon Webers des Siebmachers Hauß neben dem Falckenkeller beÿm Münster, welcher um erlaubnus Gebotten seinen Altan, der jhme, wann er jhn gleich neü machen Laßet, durch den Regen allermahl bald wieder ruinirt wird, Zum theil Zuüberbauen und sein hauß dardurch Zuerweitern. Weilen aber solches nicht geschehen Kan, daß nicht einige fenster am Falcken Keller Verdunckelt, und Andern Gar Verbauet würden, als ist der Implorant mit seinem Petito an die Oberen Müntzherren, welche die Direction über dem Falcken Keller haben, Verwießen.
1746, Préposés au bâtiment (VII 1402)
Les préposés éconduisent Simon Weber. Ils estiment que la Monnaie devrait acheter la maison et la remplacer par un bâtiment plus régulier.
Simon Weber demande quelques semaines plus tard l’autorisation de réparer la galerie délabrée qui sert de toiture à sa maison et dont le bois est pourri et de reconstruire sa maison telle qu’elle se trouve.
(f° 7) Donnerstags den Februarÿ 1746. – Simon Weber
An Simon Webers des Siebmachers Hauß am Falcken Keller, ist der am 11. Septembris 1745. eingenommene Augenschein, in beÿseÿn Herrn XV. Paul Gottfried Gambßen alß Ober Müntzherrn, und Herrn XV. Secretarÿ Frantz Heinrich Städels, wegen Webers Vorhabender Änderung des Haußes, nochmals wiederhohlt, und befunden worden, daß dem Imploranten nichts Zu erlauben, sondern Vielmehr Zuwünschen wäre daß dießes Hauß wegen seiner üblen Beschaffenheit und Übelstandts durch die Obere Müntzherrn er Kaufft, Zu dem Falckenkeller gezogen und regulärer Gebauen werden Könte.
(f° 30) Montags den 16. Ejusdem [Maÿ 1746] – Simon Weber
An Simon Webers des Siebmachers Hauß neben dem Falcken Keller, welcher um erlaubnus gebotten seinen altan der jhme Zugleich auch theils Zum dach dienet und gantz baufällig, und in dem Holtzwerck faul ist, repariren und das Häußel auf die Art wie es anietzö ist, Neu auffbauen Zulaßen.
1748, Préposés au bâtiment (VII 1403)
Simon Weber réitère en juillet 1748 sa demande de reconstruire sa maison dont le défunt chef des travaux Jean Pierre Pflug aurait fait un dessin en ajoutant que le préteur royal l’a assuré de son appui. Les préposés ordonnent de prendre des informations auprès du préteur royal et de rechercher le dessin de Pflug. Il est autorisé en août à reconstruire sa maison sur le point de s’effondrer en reculant le bâtiment au-dessous duquel se trouve la cave de l’auberge au Faucon de manière à l’aligner avec l’auberge et de le garnir d’un balcon. Il est en outre autorisé, conformément au dessin, à mettre sa porte sur la terrasse du Faucon en s’engageant à la déplacer si la Ville décidait de ravancer l’auberge.
(f° 50) Dienstags den 30 Ejusdem [Julÿ 1748] – Simon Weber
Simon Weber der Siebmacher wiederhohlet seine seith etlichen Jahren her schon Öffters gethane Unterthänige bitt, jhme Zuerlauben, sein Gantz baufälliges Haus am Falckenkeller nach dem Von dem Verstorbenen Herrn Lohner Verfertigten Riß der jhme aber nicht zugestellt worden, so Zubauen, daß er mit seiner famille darin wohnen Könne, mit dem beÿsatz daß er Herrn Prætori Regio deßwegen seine aufberatung* Gemacht, welcher jhme die sach gar nicht erschwehret sondern an Mghh. Verwießen. Erkannt solle mit Herrn Præt. Regio Geredet werden, und H. Pfllug nachsehen, Ob er angeführten Riß Unter seines Hn Vatters seel. schrifften nicht finde.
(f° 58) Sambstag den 17. Ejusdem [augusti 1748] – Simon Weber
An Simon Weber des Siebmachers hauß am Falckenkeller, welcher nochmahls Unterthänig gebotten, jhme Zuerlauben, daßselbe Zubauen ehe es gar zisammenfalle, weilen das Holtzwerck daran meistens faul, offerirt alles was seinem gebaud darneben, worunder der Keller Zum Falckenkeller ist, Vorstehet, abzuschneiden und deme Zugleich auffzubauen, wann Mgh. jhme nur die gnädige erlaubnus geben wollen, daß er einen Balcon darvor machen und solchen auch an besagtem seinem gebäud über dem Keller fortführen dörffe. Auf gegebenen Bericht Von H. Pflug dem architecte, daß Herr Prætor Regius den Riß Hierüber gesehen, und darinn Consentire, ist Erkannt, dem Imploranten in seinem begehren Willfahrt.
Idem – Derselbe bittet ferner um erlaubnus seine Haußthür welche in dem Riß fornen und gegen der St. Urbansgaß Gezeichnet, wieder auf die seithe des Falcken Kellers Terrasse wo Sie anietzo ist, Zureichten, mit dem erbieten, solche wieder Hinweg zuthun, wofern mit der Zeit das Gebaud des Falcken Kellers auf besagte Terrasse Vorgeruckt werden solte. Erkant, auf diese Condition willfahrt.
1762, Préposés au bâtiment (VII 1410)
Le tamisier Simon Weber se plaint que les cordonniers fixent leurs étaux à son mur. Les préposés ordonnent aux propriétaires des étaux de les fixer aux pieux qui se trouvent sur le communal.
(f° 43-v) Dienstags den 12. 8.bris 1762. – Simon Weber
Ferner Augenschein eingenommen an Simon Weber des Sippmachers an der St: Urbans gaß, welcher sich wieder diejenige schuemacher so an dem gäbel seines haußes auff dem allmendt sitzen und Schuh feÿl haben beklaget, daß Sie mit jhren ständten seine maur beschädigen, Kloben und Hacken in dieselbe einschlagen, weßwegen er schadloßhaltung begehret und bittet denen beklagten Zu Verbieten jhre ständt nicht mehr nagelvest an seines maur Zu machen
Erkannt Sollen die Schuhmacher jhre Ständt nicht mehr nagelvest an des Klägers maur anmachen, jedoch ist jhnen erlaubt Kleine Pföstlein auff das Allmend zu schlagen ihre ständ daran zu befestigen.
1768, Préposés au bâtiment (VII 1413)
Les préposés décident de supprimer les marches et la cuisine de l’auberge au Faucon qui dépassent de l’alignement. Comme il n’y a pas de place pour la cuisine, la Ville devra acheter la maison de Simon Weber.
(f° 23-v) Freÿtags den 3. Junÿ 1768. – Falckenkeller
Ferner augenschein eingenommen am falckenkeller, allwo die Stafflen und Küchen so unter der terrasse im Keller ist nach dem angenommenen allignement hinweg gemacht werden sollen, weilen aber in dem hauß Kein andere platz zu einer Kuchen sich befindet, als wurde Erkannt, Solle Simon Weber der Sippmacher citirt und getrachtet werden, daß er sein darneben sich befindliches häußlein Gemeiner Statt käufflchen überlaße, damit die Küche in daßelbige verlegt und die dermahlige Zugeworffen werden Könne.
1785, Préposés au bâtiment (VII 1421)
Le maître maçon Gruber demande au nom du boutonnier Jean Geoffroi Herrenschneider l’autorisation de convertir une croisée en porte. Il y est autorisé à condition de ne pas transformer la partie qui dépasse de l’alignement.
Jean Daniel Lung (qui vient d’acheter de la Ville l’ancienne Cave au Faucon) et son gendre Jean Geoffroi Herrenschneider proposent d’aligner leurs maisons si la Ville leur verse un dédommagement de 9000 livres tournois. Les préposés refusent.
Le maître maçon Gruber demande de faire une arcade au lieu de la porte autorisée. Les préposés refusent.
Jean Daniel Lung et Jean Geoffroi Herrenschneider démontent les étaux pour pouvoir percer la nouvelle porte. Les employés de la Ville se plaignent des mots vifs que leur a adressés Jean Daniel Lung. Les étaux seront remis en place aux frais des deux propriétaires jusqu’à ce que la porte soit terminée.
Jean Geoffroi Herrenschneider a transformé en boutique la cave qui dépendait de la Cave au Faucon alors qu’il n’en a pas la libre disposition. Il est comdamné sous huitaine à remettre les lieux en l’état antérieur.
Les cordonniers Jean Daniel Dürr et Marie Madeleine Seifert se plaignent que Jean Geoffroi Herrenschneider trouble la jouissance de leurs étaux. Les préposés ordonnent une visite des lieux
(f° 226) Dienstags den 15. februarii 1785. – Gottfridt Herrenschneider
Herr Gruber, der Maurer, nôe Gottfridt Herrenschneider, des Knopffmachers, bittet zu erlauben an deßen behausung am Münster Platz am Eck der Urbans Gaß, die Gräth genannt, in der Urbans Gaß aus einem Kreutzstock eine thür machen zu laßen. Erkannt, Mit dem ausdrucklichen Anhang Willfahrt, daß an besagter behausung soweit solche dem Alignement nach abgeschnitten werden solle, nicht das mindeste gemacht werde.
(f° 229-v) Dienstags den 22. Februarÿ 1785. – Hr. Johann Daniel Lung und Johann Gottfridt Herrenschneider
Herr Johann Daniel Lung und deßen tochtermann Johann Gottfridt Herrenschneider beede Knopffmacher und Seidenhändler presentiren unterthäniges Memoriale vorstellend, daß da der erstere als acquisitor des ehemaligen Falckenkellers mit seinem Gesuch des zu verändernden Alignements abgewiesen worden, ein deutliches Kennzeichen seie, wie sehr des andern Imploranten Vorstehendes Haus Zur Gräth genannt, im Weeg und mißfällig seÿn müße. Als seien beede Imploranten übereingekommen als das ganze Gebäu in grader Flucht Zu Ziehen, wann wegen Abschneidung der Vorstehenden Gräth Von Löblicher Stadt eine Schadloshaltung Von Neuntausend livres zuerkannt werden würde. Erkannt, Seien die Imploranten mit ihrem ohnbefugten Antrag abzuweisen.
(f° 247) Dienstags den 5. Aprilis 1785. – Joh. Gottfridt Herrenschneider, Knopffmacher
Herr Gruber, der Maurer, nôe Johann Gottfridt Herrenschneider, des Knopffmachers, bittet zu erlauben an deßen behausung an dem Münster Platz am Eck der St Urbans Gaß gelegen, in der St. Urbans Gaß statt des den 15.ten februarii jüngst erlaubten thüren Gestells einen bogen Zu Zwo Thüren gegen der Gaß aufgehend machen zu laßen. Erkannt, Abweisung.
(f° 254) Dienstags den 19. Aprilis 1785. – Hr. Joh. Daniel Lung und Gottfrid Herrenschneider
Herr Johann Daniel Lung und Gottfrid Herrenschneider wurden vorbeschieden, weilen Sie eigenmächtiger weis die, an ihrer behausung in der St. Urbans Gaß gestandenen Ständ weggerißen und auf das von dißorts angelegtes Verbott gegen den dreier Knecht unnütze Wort ausgestoßen. Citati zugegen sagen, da an dem Herrenschneiderischen Hauß eine Thür ausgebrochen wird, so konten die Ständ ohnmöglich stehen bleiben, und da der dreier Knecht auch ein Verbott wegen Ausbrechung der thür angelangt, so haben Sie sich auf Meiner Gnädigen Herren Erkantnus berufen. Anthoni Müller der dreier Knecht versichert, Er habe kein Verbott auf Ausbrechung einer Thür wol aber eines Thors und dann Wegräumung der Ständt angelegt, worauf Citati und besonders Herr Lung mit vielen Eifer geantwortet, er achte dieses Verbott nicht, er gehe weiter. Herr Lung entschuldigte sich, daß er von nichts gehört als von Ausbechung der Hausthür und sich daher auf Meiner Gnädigen Herren disfalls erhaltene Erlaubnus berufen. Erkannt, Seie auf beklagter Kösten die Ständ in solang bis die Hausthür eingerichtet seÿn wird, anderwärts hin zu stellen, als dann aber wieder nach Herrn Inspector Stredbeck Anordnung an Vorige Stelle zu placiren. Anbei seie denen Citatis ihres widrigen Verhaltens wegen ein Verweis zu geben.
(f° 270-v) Dienstags den 3. Maji 1785. – Gottfrid Herrenschneider, Joh. Daniel Lung
Gottfrid Herrenschneider, der Seiden Knopffmacher wurde vorbeschieden, weilen er den Keller unter der Gräth, so Herrn Johann Daniel Lung, als Käufer des ehemaligen Falckenkellers, bis zu vollführung des dasigen Alignement gratis zu geniesen überlaßen worden, Zu einer Boutique eingerichtet. Citatus zugegen sagt, Er habe von gedachtem Herrn Lung solchen theil Kellers entlehnet, und geglaubt er könne solchen zu seinem Gebrauch einrichten laßen, wie ihme gefällig. Nach eingesehenem Steig Procès verbal über den ehemaligen Falckenkeller, worinn nur gemeldt, daß dem Käufer dieses Stück Kellers solang gratis zu geniesen überlaßen werden solle, bis Zu Ausführung des dasigen Alignements geschritten werden wird, ihme aber die freie Disposition darüber nicht zugestanden worden wurde, Erkannt, Seie dieser Keller in Zeit vion Acht Tagen wieder in vorigen Stand Zu Stellen. Welche Erkantnus dann Herrn Johann Daniel Lung um sich demnach zu richten zu notificiren.
Les cordonniers Jean Daniel Dürr et Marie Marguerite Seifert se plaignent que Jean Geoffroi Herrenschneider les trouble dans la jouissance de leurs étaux.
(f° 282-v) Dienstags den 24. Maji 1785. – Joh: Daniel Dürr, Maria Margaretha Seifertin Wittib Ctra. Gottfried Herrenschneider
Johann Daniel Dürr und Maria Margaretha Seifertin Wittib, die Schumacher klagen wider Gottfried Herrenschneider, den Seiden Knöpffmacher, daß er nicht nachlaße sie wegen ihren an seiner behausung am Münster Platz gegen der St. Urbans Gaß stehen habenden Standen Zu beunruhigen wie er dann erst kürtzlich Vorbäncklein habe machen laßen um besagte Ständt weg zu treiben. Erkannt, Augenschein.
1789, Préposés au bâtiment (VII 1423)
Le maître maçon Schneller demande au nom du marchand Herrenschneider l’autorisation de rehausser deux arcades et de les surbâtir selon l’alignement. Les préposés refusent parce que la maison est inesthétique alors que le Magistrat a l’intention d’embellir la place et que la Ville s’est réservé des droits sur la cave du Faucon lors de sa vente.
Jean Daniel Lung et Jean Geoffroi Herrenschneider ont transformé sans autorisation le caveau en boutique et supprimé l’escalier de cave dont la Ville s’est réservé la propriété lors de la vente de la Cave au Faucon en en accordant la jouissance à l’acquéreur. Les défendeurs devront soit remettre les lieux dans leur état antérieur soit payer dix livres par an en s’engageant à mettre les lieux à disposition de la Ville à sa première réquisition.
(f° 232) Dienstags den 31° Martii 1789. – Herrenschneiderische behaußung auf dem Münsterplatz
Meister Schnöller der Maurer nomine eines ungenannten Handelsmanns so Herrn Herrenschneiders auf dem Münster platz gelegene behaußung einen bogen höher zu machen und nach dem allignement zweÿ stöck darauf bauen und anstreichen zu dörfen. Erkannt, Augenschein.
(f° 246-v) Dienstags den 28. Aprilis 1789. – Herrenschneiderische behaußung auf dem Münsterplatz pt° eines bogens und aufsatzes von zweÿ stöck
An der Herrenschneiderischen behaußung auf dem Münsterplatz neben dem so genannten alten Falckenkeller puncto erlaubnus einen bogen höher zu machen und zweÿ stöck darauf zu setzen und anstreichen zu dörffen, da nun bemerckt worden, daß mann von jeder Zeit gesucht den Münsterplatz zu verschönern und den übelstand den dießes haus verursachte weg zu schaffen, Löbl. Statt auch des wegen den eingang in den Keller des alten Falckenkellers da solcher H Lung dem Knöpffmacher verkaufft worden so in dem Haus quæstionis sich befindet, ausdrucklichen sich in dem Kauff Contract desfalls vorbehalten als wurde Erkannt, Abweißung.
(f° 260-v) Dienstags den 17. Novembris 1789. – Hr. Joh: Daniel Lung und Hr. Gottfried Herrenschneider
Herr Johann Daniel Lung und Hr. Gottfried Herrenschneider, beede Knopffmacher und Seidenhändler, wurden vorbeschieden, weilen Sie an dem Stuck Keller, so unter sein Hrn Herrenschneiders an dem Münster Platz am Eck der St. Urbans Gaß (recte Corduan-Gaße) gelegenen behausung sich befindet, und zu dem ehemaligen Falckenkeller gehörig war, welcher löbliche Stadt sich bey Verkaufung besagten Falckenkellers das Eigenthum ausdrucklichen vorbehalten hat, das Gewölb, so über dem Kellerthor war, ohne vorherige Erlaubnus mithin eigenmächtiger weis einschlagen, die dasige Kellersteeg wegräumen, und einen Laden dahin machen laßen. Beede Citati zugegen, sind der Anklag geständig, sagen dagegen zu ihrer Verantwortung, Sie sehen dieses Ihr Verfahren nicht an, als hätten Sie in Gemeiner Stadt rechten gegriffen, weilen besagter Keller jederzeit der Stadt Eigenthum verbleiben solle, es mag derselbe beschaffen seÿn, wie er will, Und da Ihme Herrn Lung bei Erkaufung des Falckenkellers die Nutzung quæstionirten Kellers bis zu Ausführung des dasigen Alignements gratis überlaßen worden, so habe er geglaubt, Er könne Hrn. Herrenschneider, als seinem tochtermann diese Verändering zu machen ohne Anstand erlauben, bitten daher beede Citati um Entladung von gegebener Assignation.
Erkannt, Sollen Citati gehalten seÿn, entweder den Keller sogleich wieder in der alten Stand zu stellen, oder aber, jedoch nur præcario, denselben in dem jetzigen Stand in so lang zu laßen bis von Gemeiner Stadt wegen die Sach wieder in den alten Stand zu setzen verordnet werden wird, in zwischen aber jährlich vor diese Vergünstigung zehen Pfund Pfenning Zins auf löblicher Stadt Pfenningthurn zu bezahlen, auch dieserwegen eine besondere Verschreibung in Löblicher Stadt Kantzlei Contract Stub passiren zu laßen.
Les deux propriétaires proposent à la Ville, au cas où elle voudrait réaliser l’alignement, de lui céder moyennant 6 000 florins et de racheter 2 000 florins la partie derrière l’alignement, de sorte que la Ville ne devrait que 4 000 florins. Les préposés déclarent s’en tenir à leur décision du 17 novembre précédent.
(f° 369-v) Dienstags den 1. Decembris 1789. – Hr. Joh: Daniel Lung und Hr. Gottfried Herrenschneider, Knopffmacher, pt° Kellers unter der Gräth
Herr Johann Daniel Lung und Herr Gottfried Herrenschneider, beede Knopffmacher und Seidenhändler præsentiren unterthäniges Memoriale puncto des unter der Herrenschneider’schen behausung, am Eck des Münster Platz und St. Urbans Gaß gelegen, befindlichen zu dem ehemaligen Falckenkeller gehörig, so löbliche Stadt sich bei deßen Verkaufung vorbehalten, davon Herr Herrenschneider das Gewölb eingeschlagen und die Steeg weggeräumt hat, mit bitten, die dißfallsige den 17. Novembris jüngst ergangene Erkantnus gäntzlich auf sich zu laßen, und beede Imploranten von der darin enthaltenen Klag zu absolviren allenfalls unter der Erklärung von Seiten des implorirenden Herrenschneiders und ohnnachtheilig ihrer habenden Rechts Mittel, als auf welche Sie keines Weegs Verzug thun wollen, mithin Vergleichs weise, daß er Herrenschneider seine behausung, die Gräth genannt, wann in Zukunft Löbliche Stadt Zur Execution des Allignements schreiten würde, Wolgedachter Stadt um 6000. fl. zum Abbruch eigenthümlich überlaßen, und dieselbe nach einer vierjährigen Aufkündigung räumen wolle, mit dem Vorbehalt jedoch, daß ihme, wie auch seiner etwa hinterlaßenden wittib und Erben oder dem als dannigen Eigenthümer freistehen solle, dasjenige Hintere theil derselben, so der Flucht des alten Falckenkellers nach stehen bleiben darf, nebst dem vordern Theil so abgebrochen werden müßte um 2000. fl. wieder an sich Zu Ziehen und zu behalten, so daß Er für den Platz welchen Er durch Abschneidung des vordern Theils und Zurücksetzung seiner facade verlieren würde, nur 4000. fl. zu empfangen haben solte, Wann dagegen löbliche Stadt versprechen wird, ihn den Keller bis dahin ferner ohnentgeltlich geniesen zu laßen. Erkannt, Seÿen die Imploranten mit ihrem begehren ab: und an dißortige Erkantnus vom 17. Novembris jüngst zu verweisen.
Les parties conviennent de passer un contrat à la Chambre des Contrats en modifiant la décision du 17 novembre, les bénéficiaires devront régler un loyer annuel de trois livres tant qu’ils jouiront à titre précaire de la cave et remettre les lieux en leur état antérieur à première réquisition de la Ville.
(p. 380) Anno 1790. Dienstags den 12. Januarii – Hr. Joh: Daniel Lung und Hr. Gottfried Herrenschneiders, pt° Kellers unter der Gräth vom alten Falckenkeller
In Sachen Herrn Daniel Lung und Herrn Gottfried Herrenschneiders, beeder Knöpffmacher und burger allhier, wegen Einschlagung des Gewölbs und übriger Abänderung eines Kellers, so sich unter der sogenannten Greth befindet und von dem alten Falkenkeller herrühtet, von welchem sich löbliche Stadt bei Verkaufung des alten Falckenkellers das Eigenthumb vorbehalten, übergeben die Imploranten unterthäniges Memoriale mit bitten, Wie geruheten wolten, Ihre Déclaration, wie daß Sie die von Ihnen gemachte abänderung des Keller Gewölbs quæstionis als ein Precarium und blose Vergünstigung,bis Löbliche Stadt anderwärtig Verordnen wird, ansehen und anerkennen, auch zu deßen mehrer Bekräftigung eine Verschreibung auf Löblicher Stadt Contractstube passirten wollen, Zu verzeichnen, denselben aber der angesetzte jährliche Zins von 10. lb d entweder gantz Zu erlaßen, oder wenigstens auf ein gantz geringes in signum recognitionis jener Vergünstigung Zu reduciren.. Wo Euer Gnadan nicht lieber wolten, die in Frag befangene Behausung die Greth genannt durch unpartheiische von beeden Theilen zu ernenende Experten, ohn auf die gemachten Bauveränderungen quæstionis als wo durch sothane Behausung einen etwaigen mehrern Werth erhalten haben mag, acht zu haben, blos nach dem Zustand wie sie vorher war, abwürdigen laßen. Welches als dann der Preis seÿn solle, um welchen man sich anheischig macht, Löblicher Stadt dieses Haus Zu überlaßen, Wann einstens das Alignement vollzogen und daselbe abgeschnitten werden solle, somithin das unterm 17. Novembris jüngst ertheile Decret als ohne fernern Gegenstand wieder bei zubringen.
Nach gehaltener Umfrag wurde Erkannt. Seÿen die Imploranten schuldig und gehalten die Verschreibung, daß die Einschlagung des Gewölbs und übrigen Abänderung des Kellers, so sich unter der sogenannten Greth befindet, und von dem alten Falckenkeller herrühret, von welchem sich Löbliche Stadt bei Verkaufung des Falckenkehhers das Eigenthum vorbehalten, nur precariô seÿe, mithin auf Löblicher Stadt ersterer Ansuchen dem hiebei vorgelegten Plan nach wieder in den vorigen Stand Zustellen, in Zwischen aber jährlich in Recognitionem Precarii drei Pfund Pfenning Zins Zu bezalen in Löblicher Stadt Kanzlei Contract Stub auf Ihr, der Imploranten Kösten vornehmen Zu laßen, Als in wie weit dißortige Erkantnus vom 17. Novembris jüngst abzuändern. Anbei wird Herr Johann Daniel Saum bestens ersucht und authorisirt der Verschreibung Namens Löbl. Stadt bei zu wohnen.
1798, Voirie (283 MW 365)
Voirie M.ple – Enlèvement des Barraques appart.tes à M Richshoffer, M Burckartsmeyer, Henneberg et Fischer
Strasbourg le 30 fru. 5, Geofroid Herrenschneider aux Cit. Officiers Municipaux de la Commune de Strasbourg
Comme il se trouve à la Maison appartenante à moi Geofroid Herrenschneider située sur la place de la Cathedrale au Coin de la rue des Maroquains un mûre de 18 à 20 pieds de long donant dans la susdite Rue auquel ils se trouvent dépuis 12 ans que j’habite Cette Maison 3 petites Bûdes de Cordonniers qui sont enclouées au mur à moi propre, Ces trois susdite Bûdes ne m’ont pas encore embarrassées dépuis que j’habite la Maison mais voyant maintenant la plus grande urgence de faire percer Ce Mûre pour me procurer un appartement très nécessaire à mon commerce et de faire encore plusieurs autres Réparations tant à l’intérieur qu’à l’extérieur de la Maison qui a été très endommagée par les Vilnies infectueuses qui se sont consommées dans ces 3 bûdes, Je me Vois dans la nécessité de vous prier de vouloir bien ordonner aux 3 cordonniers Propriétaires des bûdes de les ôter de Mon mur
Délibération de l’Administration Municipale, 9 fri an VI, Vû la pétition du Cit Geofroid Herrenschneider, Vu aussi l’avis des Inspecteurs des Bâtiments, Arrête qu’il sera denoncé aux particuliers qui occupent des boutiques placées sur le communal et adossées contre le mur dont s’agit pour les enlever, le 11 frimaire 6
Ce jourd’huit deuxième Vendemiaire An 6 (…) Nous soussignés Inspecteur des Bâtiments (…) nous sommes transportés sur les lieux pour voir et examiner le Contenu de ladite demande et avons trouvé que le mur ou le petitionnaire veut faire percer ladite porte pour établir une boutique se trouve dans la rue des maroquins et appartient en toute propriété audit Cit. herrenschneider par conséquent les soussignés sont d’avis que la demande peut lui être accordée – Arnold, Kaltner
Description de la maison
- 1730 (billet d’estimation traduit) La maison comprend plusieurs poêles dont un est voûté, petites chambres, vestibule où se trouvent le fourneau et l’évier, estimée avec ses appartenances et dépendances à la somme de 750 florins
Atlas des alignements (cote 1197 W 37)
Atlas des alignements, 3° arrondissement ou Canton Sud – Place de la Cathédrale
nouveau N° / ancien N° : 5 / 3
boutique du N° 1 rue du Maroquin
Rez de chaussée et 2 étages médiocres en maçonnerie et balcon
(Légende)
Atlas des alignements, 3° arrondissement ou Canton sud – Rue du Maroquin
nouveau N° / ancien N° : 1 / 1
Herrenschneider
Rez de chaussée et 4 étages médiocres en maçonnerie
Cadastre
Cadastre napoléonien, registre 25 f° 80 case 1
Hepp, Jean Henry, rue du maroquin n° 2
Hepp, Henri Gustave, Rue du Maroquin n° 2 (1853)
O 206, Maison, sol, R. du Maroquin 1 et 2
Contenance : 1,70
Revenu total : 540,88 (540 et 0,88)
Ouvertures, portes cochères, charretières :
portes et fenêtres ordinaires : 41 / 33
fenêtres du 3° et au-dessus : 14 / 11
Cadastre napoléonien, registre 16 f° 208 case 1
Hepp, Henri Gustave
O 206, Maison, sol, Rue du Maroquin 18
Contenance : 1,70
Revenu total : 540,88 (540 et 0,88)
Folio de provenance : (80)
Folio de destination : Démolition en août 1860. (sol) voie publique
Année d’entrée :
Année de sortie : 1860 – (sol) 1861
Ouvertures, portes cochères, charretières :
portes et fenêtres ordinaires : 41
fenêtres du 3° et au-dessus : 14
1861 Hepp Henri Gustave f° 208, O 206, Maison, revenu 540, Démolition en août 1860, supp.en 1861
Idem f° 208, O 206, Sol 1,70 are, revenu 0,88, Terrain destiné à l’agrandisst. de la place de la cathédrale et devenu voie publique, supp. en 1861
1789, Etat des habitants (cote 5 R 26)
Canton VI, Rue 170 St. Urbin dite du Maroquin p. 312
1
Pr. Herrenschneider, Geofroid, Boutonnier – Miroir
Lo. Gerlin, J. Pierre, Mtre de Guidhart* – Manant
Lo. Gerlin, frs. Suisse, pensionné –
Relevé d’actes
La maison est inscrite au nom de Frédéric Linck dans le Livre des communaux. Originaire de Kirchheim unter Teck en Wurtemberg, Frédéric Linck épouse en 1570 Barbe Dachs, fille du farinier Michel Tachs.
Mariage, cathédrale (luth. p. 213)
1570. Friderich Linck der Beck von Kirchheim an d. Eck, Barbara Michel Dachsen des Melmans hind.lasene dochter, wirt ob den falcken keller wohnt. Eingesegnet Zinstag den (-) Augusti hora 10 (i 104)
Le boulanger Frédéric Linck devient bourgeois par sa femme Barbe Dachs
1570, 2° Livre de bourgeoisie (4 R 104) p. 341
Frÿdrich Linck von Kirchen an der Eck der beck hatt das burgkrecht Empfang. von barbaren Weÿlandt Michel dachs. des Mehlmanns sellig. Dochter, seiner ehefraw. und dient Zu den Beck. Eod. die [5. Augusti A° Lxx]
La veuve se remarie en 1588 avec le meunier Balthasar Ulrich
Mariage, cathédrale (luth. p. 144) 1588. Dominca Quasimodogeniti. 14. Aprilis Balthasar Ulrich d. Habermüller vnd Barbara Friderich Lincken des Mahlmanns nachgel. wittib. Eingesegnet Zinßag den 23.t Aprilis (i 75)
Assistée de son fils Frédéric Linck, Barbe Dachs veuve du meunier Balthasar Ulrich passe un acord avec son voisin Gaspard Flos, aubergiste à la Cave au Faucon. Les deux maisons sont propriété de l’Œuvre Notre Dame. La veuve Linck accorde à titre de pure tolérance que les eaux provenant de l’évier de son voisin s’écoulent dans la fosse d’aisances à condition que les frais supplémentaires de vidange soient à sa charge.
1612 (xv tag Decembris), Chancellerie, vol. 399 (Registranda Meyger) f° 539
(Inchoat. in Proth. fol: 528.) Erschienen h. Michael Bering. Nots. burger Zu Straßburg Als ein geschworner vogt Barbaræ Taxin wÿland Balthasar Ulrich gewesenen habermüllers selig witwe mit beÿstand Friderich Lincken des müllers Ihres Sohns Ane eim,
So dann Caspar Flooß der Weinschanck Im Falcken Keller burger zu Straßburg Am Andern theil
haben bede parth. gegen einander bekhandt vnd offentlich verÿeh. demnach sie bede nachbauren Caspar Floß vnd Barbara Ihre behausung. vor dem Münster Alhie Inn der Kurbengaßen & lÿhnungs weÿß vonn dem werck Vnser Fr. Münster Inhaben Vnd besitzen, vnnd aber ermelter Caspar Floß einen Nooch vß seiner behausung Vom wasserstein Inn gedachter Barbaræ profeÿ vnd heimlichkeit lauffen hatt, das hierauff ernant Caspar flooß sich hiemit erclärt haben will, solchen einlauff Allein für ein gönnung vnd Khein gerechtigkeit Zu erkhennen, vnnd Zuhaltten, Mit ferner bescheÿdenheit, wo sich aber kurtz od: lang befünden möchte, das das profeÿ durch solch. wasserstein vff geschwelet werd. solte, Als dann mehrgemelt. Caspar Flooß dasselbig. profeÿ vß Zuführen werd. Inn seinem cost. seübern Zulaß. schuldig vnd verbund. sein solle, Sunst soll Auch Caspar Flooß den Nooch durch die Maur dadurch das Waßer lauffet, Inn seinen costen Zuhaltt. vnd versehen, damit der Mauren hierdurch Khein schad. Zugefügt werden, Alles Vngeuorlich
Les trois enfants et héritiers de Barbe Dachs (le meunier Frédéric Linck, Barbe Linck et le fils issu du mariage de Catherine Linck et de Chrétien Scholl) s’accordent sur la maison qui est une emphytéose de l’Œuvre Notre Dame en en laissant la jouissance pendant trois ans à Barbe Linck
1624 (13. Martÿ), Chancellerie, vol. 454 (Imbreviaturæ Contractuum) f° 22
Vertrag zwischen Friderich Lincken selig. Erben wegen der Behausung
Erschienen Friderich Linck der haber Müller für sich selbs, Valentin Tretzel der Rotgerber als vogt Hans Philipsen weÿland Catharinæ Linckin seligen mit Herrn Christian Schollen Großen Rhats bewandten ehelich erzeugten minderjährigen Sohns, vnd Johann Ulrich Heisch der Notarius, als geordnet vnd geschworner vogt Barbaræ Linckin, alle treÿ für sich selbs vnd respectivé vogtlicher weÿß weÿland Barbaræ Dachsin Friderich Lincken des Brotbecken hinderlaßener wittwen hinderlaßener Kinder vnd Erben vogt, vnd Zuerkennen geben vnd bekant haben,
Als nach vorgemelter Barbaræ Dachsin Ir der treyen erben eheleibliche Muter vnd grosmuter seligen tödlichen abgang bey vertheylung derselben verlaßenschafft, von wegen der Behausung so ein Erblehen von dem werck vnser Frawen Im Münster alhie neben der Behausung Zum dem Falcken Keller genant gelegen, vnd derselben Besitz vnd bewohnung wegen, In fürgenommener abtheylung gerürter verlaßenschafft, am streÿt erhaben, deßen wegen sie für einen Ersamen Kleinen Rhat kommen vnd Zu güttlich. handlung angewisen (…) In beÿ: vnd gegensein herrn Philipps Mangoldten obgedachts Friderich Lincken Schwagers, volgender gestalt verglichen worden, das nemlichen, obangeregt Ir der bemelten dreÿen Erben In gemein angehorige Behausung obermelter Jungfrawen Barbaræ Linckin, Johann Ulrich Heuschen vogt tocht. dreÿ Jar lang, die nechsten Von Mariæ verkündung nechstkünfftig anzurechnen, nach einand. volgende leÿgenungs weÿß Innhaben, bewohnen vnd Irer nodurfft vnd geleg.eyt, geprauchen (…)
La maison appartient pour un tiers au boulanger Frédéric Linck qui épouse en 1605 Dorothée, fille du revendeur Samuel Schlosser
Mariage, cathédrale (luth. p. 149)
1605. Dominica septuagesima den 27. Ianuarÿ. Friderich Linck der Beck und Dorothe Samuel Schlosser des grempen n.g. dochter (i 77)
Elle revient ensuite aux enfants de Frédéric Linck, dont Frédéric qui épouse en 1632 Sara, fille de Jean Louis Damon
Mariage, cathédrale (luth. p. 309)
1632. Doîca Jubilat. 22. April. Friderich Linck der Müller Friderich Lincken deß Habermüllers sohn, J. Sara Hans Ludwig Damonn. tochter. eingesegnet Zinstag den 15. Maÿ (i 159)
Proclamation, Saint-Pierre-le-Jeune (luth. f° 126) 1632. Eadem [Dom. Voc. Jucundat. 6. Maÿ] Friderich Linck j. Müller Friderich Linck deß eltern v. habermüllers ehelicher Sohn, vnnd J. Sara H. Hans Ludwig Damons gewesenen burgers alhie nachgelaßene Tochter. Cop. 15. Maÿ Im Münster (i 65)
1634, Protocole des Quinze (2 R 60) Friderich Linck der Jüngere umb Meelwann. 122.
1635, Conseillers et XXI (1 R 118) Friderich Linckh et consorten pt° mehl. 188.
1637, Protocole des Quinze (2 R 62) Friderich Linckh der Habermüller. 79.
1657, Protocole des Quinze (2 R 75) Hanß Friderich Linckh vmb Wannenrecht. 26.
(f° 26) Sambstag den 14. Febr. – Hanß Friderich Linckh per Dr. Bitsch, prod: Lucernen Zunfftschein, bitt ane Hanß Leonhardt Rößlers deß becken statt Ihme d. Wannenrecht gn. Zugestatten. Erkandt, Würdt Willfahrt hat Schein empfangen.
Le boulanger Jean Louis Linck et son frère meunier Jean Georges Linck vendent au marchand Jean Jacques Schell leur part de maison dont le domaine direct appartient à la Monnaie
1658 (5. Aug.), Chambre des Contrats, vol. 523 f° 350
Erschienen hannß Ludwig Linckh der Weißbeckh, Vnd hannß Georg Linckh der Müller, Gebrüder, beede mit beÿstand H Hannß Mögele deß Meelmanns sein hannß Georg geweßenen und sein hannß Ludwig noch würckhlich. Vogts
in gegensein H hannß Jacob Schellen deß handelsmanns
die Erb lehnungß Gerechtigkeit und Beßerung so Ihnen beed. Gebrüdern Zur dritten theil gebühre vff einer Behaußung und Gädlin, vor dem Münster vff der Gräth am Falckhen Keller stehend. Welche Behausung iure dominÿ directi der Statt Straßburg Müntz gehörig seÿe, und solch Eÿgenthumb iährlich mit 3 lib. ewig. Zinnßes recognoscirt werde – auch noch umb 50. lib bemelter Statt Straßburg verhafftet – umb 40 Pfund pfenning
Fils de l’assesseur des Vingt-et-Un Chrétien Schell, le marchand Jean Jacques Schell épouse en 1652 Elisabeth Schmidt, fille du tonnelier municipal Daniel Schmidt
Mariage, Saint-Pierre-le-Vieux (luth. f° 98-v)
1652. Dnica 7.a 15 febr. Herr Johan Jacob Schell d. Handelsman des Ehrnw. fürsichtigen v. wollweisen Herr Christian Schellen des bestendigen Regiments der Herren xxi. hinderlassener Sohn, J. Elisabetha H Daniel Schmidt Burgers vnd Stadtkieffers Eheliche tochter, Zinst. 24. febr. A. St Peter (i 100)
Le farinier Jean Frédéric Linck vend à son tour le tiers qui lui appartient à Jean Jacques Schell
1665 (30. Martÿ), Chambre des Contrats, vol. 531 f° 165
(Prot. fol. 11.) Erschienen hannß Friderich Linckh der Meelmann
in gegensein H Hannß Jacob Schellen deß handelßmanns
die Erblehnungß Gerechtigkeit und Beßerung so ihme dem Verkäuffern, seiner Anzeig nach, Zum tritten theil gebühre Einer Behaußung und Gädlin vor dem Münster vff der Gräd am Falckhen Keller stehend, welche Behaußung iure dominÿ directi der Statt Müntzen gehörig seÿe, und solch Eigenthumb iährlich mit 30. lib ewig. erbzinnßes recognoscirt werd. so seÿe die Erblehnungß Gerechtigkeit und Beßerung der gantz. Behaußung auch noch umb 50. lib besagter Müntz verhafftet (zum tritten theim übernohmen) – umb 60 Pfund
Jean Jacques Schell hypothèque au profit du tuteur de ses enfants divers immeubles dont le domaine utile de sa maison sur le Gradin à côté de la Cave au Faucon. En marge, quittance accordée en 1677 à Simon Weber et à sa femme Marie Salomé
1668 (17. Martÿ), Chambre des Contrats, vol. 535 f° 149-v
Erschienen hannß Jacob Schell der handelßmann
in gegensein H Christoph Scheublers Notarÿ und EE Kleinen Rhats Beÿsitzers, alß sein Schellen Kind. Vogt mit assistentz H Daniel Schmid EE großen Rhats Beÿsitzers ihres Groß Vatters – schuldig seÿe 450. Pfund
Unterpfand sein soll daß Gültguth in Eckhwerßheim Bann geleg. (…), Item 183. lb so H Hannß Martin Schell der Lederhändler deß Debitoris Brud. alle Jahr vff weÿhenacht. Zu verzinnßen pflichtig,
Item die Erb lehnungß Gerechtigkeit und Beßerung ahn Einer Behaußung ahie vor dem Münster vff der Gräth neben dem Falckhenkeller an der Kurbengaßen geleg. daran daß Dominum directum der Statt Müntz gehörig seÿe und iährlich. vff Johann Bapt. mit 3. lib. ewig. erblehnungß Zinß recognoscirt werde
[in margine :] Erschienen Hannß Jacob Schell der Jünger Kieffer für sich selbsten und im nahmen herrn Johann Philipp Schüblers Notarÿ alß Ehevogts Annæ Elisabethæ Schellin seiner eheleiblichen Schwester, denen obgemelte Schellische 200. lb gebühren, hatt, in gegensein Simon Webers deß Sippmachers und Mariæ Salome beÿder Eheleuth alß ietziger Possessores der uff der Gräth neben den Falckhen Keller gelegener behaußung (quittung) Act. d. 20. Xbr. 1677
Les Quinze nomment Jean Jacques Schell adjoint à la Chambre du suif après que son beau-père Daniel Schmidt s’est porté garant
1670, Protocole des Quinze (2 R 87)
Hans Jacob Schell Vicarius beÿ d. Unschlitt Cammer
(f° 7-v) Sambstag den 22. Januarÿ – Hans Jacob Schell per Dr. Bitschen producirt Supplication, pittet Vns das Vicariat beÿ der Unschlitt Cammer, Erkant, vor Obere Unschlit Herren gewißen, die solten von Rathherr Schmidten vernemen, wie er zu caviren gemeind.
(f° 10-v) Freÿtag den 28. Januarÿ – Obere Ungelt Herren laßen per herr Negelin referiren, daß wegen Hans Jacob Schellen caution mit H Daniel Schmiden seinem Schwehr Vatter geredet worden, weil nun derselbe sich von 2. bis in 3000 thale anerbietig macht, alß fragt sich ob Ihme das vicariat In der Vnschlitt Cammer Zu conferiren. Erkandt quoad sic, die caution aber werckstellig Zumachen, den Ob. Unschlitt Herren überlaßen.
1659 Conseillers et XXI (1 R 142)
(f° 226) Sambstag d. 17. Decemb. – Beÿ E. E. Zunfft der Gerber Ist ahne statt Isaac Rummelßperger erwöhlt word. Hanß Jacob Schell.
1660 Conseillers et XXI (1 R 143) Johann Jacob Schell und Consorten wegen Pfenningthurns Capital. 68. Schellische Erben wegen eines Pfenningthurns Capitals. 108.
1660 XV (2 R 78) Jacob Schell der Sattlergesell Ca. Sattler. 94. 97. 105. 111. 113.
1666 XV (2 R 83) Johann Jacob Schell umb Compensation. 202. 211. umb Nachlaß Schuld. 215. 217.
Les Conseillers et les Vingt-et-Un nomment Jean Jacques Schell et Jean Georges Werner péagers au Pont du Rhin
1671, Conseillers et XXI (1 R 154)
Hannß Jacob Schell würdt Zoller auff der Rheinbrückh
(p. 312) Montags d. 23. Octobris – die heren XV laßen durch Herrn Secr. Nägelin anzeigen, Sie hetten einen Außschuß der Jenigen Personen, So Sich Zu Widerersetzung deß Rhein Zollers Angeben gemacht, Vndt samt darauff Hannß Jacob Schell, vndt Hanß Georg Werner unanimiter [erkosen]
(p. 321) Sambstag d. 28. Octobris – die new erwehlte Rhein Zoller Johann Jacob Schell, Johann Georg Werner Vndt Daniel Öhlinger schwören vff die Ordnung.
1671, Protocole des Quinze (2 R 88)
Rhein Zolls beßere bestellung 22,
Außschutz wegen d. Rhein zoller dienst 141. 143 (hannß Jacob Schell, hannß Georg Wörner, Daniel Öhlinger), Hannß Christoph Roll geweßener Rhein Zoller 148. Hannß Georg Wörner Rhein Zoller 179
Hannß Christoph Roll der Rheinzoller 13. 169
Jean Jacques Schell se remarie en 1672 avec Catherine Schmidt, fille de Jacques Schmidt
Mariage, cathédrale (luth. f° 156, n° 32)
1672. Dom: 10. post Trinit. Zum 2 mahl Johann Jacob Schell der Rheinbrucken Zoller und burger alhier, Jfr. Catharina Weiland Hn Jacob Schmidt gewesenen Beweißers u. Burgers alhie nachgelaß. ehel. T. Donnerstags den 22.ten Aug. im Münster (i 158)
Le péager au Rhin Jean Jacques Schell loue la maison au tourneur Jean Michel Diebold
1672 (26. Aug.), Chambre des Contrats, vol. 539 f° 449-v
Hannß Jacob Schel der Rhein Zoller
in gegensein hannß Michael Diebolts deß Trähers
verlühen, Eine behaußung über dem falckhen Keller uff der Gräth gelegen, uff Vier Jahr lang Von bevorstehend. Michael. angerechnet, umb einen Jährlichen Zinnß benantlichen 13. lb
Les Quinze nomment Jean Jacques Schell préposé de la balance à la Douane (Zollkeller)
1674, Protocole des Quinze (2 R 90)
Waag Meisters Stell in dem Zollkeller – Johann Jacob Schell
(f° 241) Sambstag den 7. Novmbr. – Waag Meisters Stell in dem Zollkeller
Ob. Kaufhaus Herren proponiren, weilen Heinrich Fleischbein der gewesen wag Meister in dem Zollkeller Gott ergeben, Vnd solche stell vacirend, ob die Sach Montag beÿ H Räth Vnd XXI die sach wegen der umbkundung angebracht werden solle. Erkandt, quoad sic.
(f° 253) Montags den 30. Novembr. – Ausschutz Eines Wag Meisters im Zollkeller – Johann Jacob Schell
Obere Kaufhaus Herren laßen per me den Ausschutz eines Wag Meisters in dem Zollkeller ane stat des Verstorbenen Johan Heinrich Fleischbeins Vortragen, daß nemblichen Von den 14. persohnen so sich darumb Geschrieben Gegeben Volgende 5. in Ausschutz kommen, als (1) Hans Jacob Schell, (2) Johannes Goos, (3) Joachim von Botzheim, (4) Christoph Wilhelm Stromer Notar. (5) Georg Heinrich Musculus. Erkandt, wurd beliebt Vnd Soll gleich ietzo Vor Hn Räth Und XXI Gebracht worden, so p. me geschehen v ist Johann Jacob Schell so seithero vicarius ordinarius in dem Zollkeller Gewesen, per majora darzu erwehlt worden.
Jean Jacques Schell et Catherine Schmidt font dresser l’inventaire de leurs apports. Le domaine direct de la maison appartient alors à Elie Brackenhoffer
1676 (20.6.), Not. Theus (Philippe Henri, 59 not 10) f° 323
Inventarium vndt Beschreibung aller Vndt Jeder haab undt nahrung, so der Ehrengeachte Herr Johann Jacob Schell, hieß. Zollkellers bedientter, seines nunmahlig. geliebt. Ehelich. haußfr. d. Viel Ehren: undt Tugendsamen fr. Catharinæ Schmidin, Weÿl. deß Erenhafft. V. Vorgeacht. H. Jacob Schmiden, geweßenen bawmeisters v. burgers allhier hinderlaßene Ehelichen dochter in diese Vor 4. Jahren bereits mit Einand. angetrettene Ehe Würcklichen Zugebracht hatt, Welche Zur Verhütung all überrächtigen streits, Wie Er herr Schell solches alles in beÿsein angeregt seiner geliebt. Ehelich. haußfr. V. derselben Wohlerbettenen H beÿstadts des Wohl Ehrwürdig v. Wohlgelehrte H Jacobi Philippi Espichs, Wohlmeritirten Diaconi Zum jung. St: Peter alhier Vorgewieß. angegeben, geäuget V gezeiget (…) Actum Straßburg Dienstags den 20.ten Junÿ Annp 1676.
In einer d. Statt Straßb. in der Bruderhoffs gaß gelegenen v. hiehero nicht gehörig. behausung ist befund. worden wie volgt.
Sa. haußraths 189, Sa. Silber geschirr und Geschmeids 68, Sa. goldener Ring 26, baarschafft 18, Pfenningzinß hauptgüter 25
Eigenthumb ane einer Behausung. It. hauß v. hoffstatt mit all. deren gebäuwen, begriffenn Weith. Recht. Zuegehörd. v. gerechtigkeit. geleg. in d. Statt Straßb. Vor dem Münster auf d. Gräthen od. dem Falcken Keller, eins. ein Eck ane d. Kurbengaß, anders. neb. gedachtem Falckenkellern hind. auf H. Joh: Bernhard d. handelßmann alhier stoßend, davon geh. jars 3. lb d Erblehens Zinß H. XV.ers Eliæ Brackenhoffern auf Joh. Bapt: in hauptg. ablösig deb Zinß nach gerechnet mit 60. lb d. Ferner 2. lb. 10 ß gelts Vor Wohl Ehren besagtem H. XV.ern Brackenhoffern jars auf Margarethæ lößig in hauptg. dem Zinß nach mit 50. lb d. Über das ist diese behausung auch beneb. vorhergehenden Cap. v. 1. gültguth v.pfändet, Weilen aber solche schuld hernach beÿ d. passiv schuld eingetrag. befindlich, v. dieses hauß sonst freÿ ledig v. eig. alß ist über obspecificirte bschwerden dieses hauß annoch angeschlagen pro 225. lb. Über 2/3. theil ane solch. behaus. ist Vorhand. 1. p.gam. Kauffbr. mit d. Statt Straßb. Contract Ins. v.wahrt de dato d. 30.t Martÿ A° 1665. So dann ein pap. Extractus in allhiesig. Cancelleÿ Contract stub vfert. dat. d. 5. Aug. A° 1658. beedes mit alt. N° 10. not.
Summa per se 225, Pfenningzinß hauptgüetter 25, Gültguth 50, Schulden, Summa summarum (602) – Schulden 16 lb
L’employé à la Douane Jean Jacques Schell vend le domaine utile de la maison au tamisier Simon Weber et à sa femme Marie Salomé
1677 (14. Xbr), Chambre des Contrats, vol. 546 f° 808-v
Johann Jacob Schell beampter im Zollkeller
in gegensein Simon Webers des Sippmachers undt Mariæ Salome beÿder Eheleuth
die Erblehnungß Gerechtigkeit undt beßerung Uff einer behausung undt gädlein Vor dem Münster Vff der gräd am Falckhenkeller stehendt, welche behausung jure dominÿ directi H. Eliæ Brackhenhoffern XV. gehörig seÿe, undt solch Eÿgenthumb jährlichen mit 3 lb d ewigen ErbZinnßes recognoscirt werde, so seÿe dieße Erblehnungß Gerechtigkeit undt beßerung auch noch umb 50. lb besagtem H. Fünff Zehner Brackhenhoffern, Item umb 400. fl. sein des Verkäuffers eheleiblichen Kindern Verhafftet – umb 200 fl.
Simon Weber et sa femme Marie Salomé hypothèquent la maison au profit des enfants de Jean Jacques Faust, ancien aubergiste à la Couchette. Les parents du débiteur en portent caution en hypothéquant leur maison à la Krutenau.
1677 (20. Xbris), Chambre des Contrats, vol. 546 f° 816-v
Simon Webers der Jünger, Sippmacher und Maria Salome sein eheweib, und Zwar dieselbe insonderheit mit beÿstand der Ehrenvest- fürsichtig und weÿsen Herrn Christoph Schüblers und herrn Johann Georg Metzgers, beÿder alß aus E.E. Großen Rhats mitter ahne statt nechster Verwanther hierzu deputirter
in gegensein H. Michael Fausten deß Zinngießers alß Vogts, weÿl. herrn Johann Jacob Fausten geweßenen Würthß zum Spanbeth nunmehr sel. nachgelaßener Kinder – schuldig seÿen 75 pfund
unterpfand, die Erblehnungß Gerechtigkeit undt beßerung uff einer behaußung undt Gädlein, allhier Vor dem Münster, uff der Grädt am Falckhenkeller stehend, welche behausung Jure dominÿ directi p H. Eliæ Brackhenhoffern Fünf Zehnern gehörig seÿe, undt solch Eÿgenthumb jährlich. mit 3 lb d ewigen Erb Zinnßes recognoscirt werde, so seÿe dieße Erblehnungß Gerechtigkeit undt beßerung auch noch umb 50. lb besagtem H. Fünff Zehner Brackhenhoffern, Item umb 400. fl. sein des Verkäuffers eheleiblichen Kindern Verhafftet
Und deßen Zu noch mehrern Versicherung so seind hierbeÿ persönlich erschienen H. Simon Weber der älter Wagner und Anna Maria Weberin beÿde Eheleuth undt Zwar Sie Anna Maria insonderheit mit beÿstand der Ehrenvest- fürsichtig und weÿsen hern Johann Daniel Richßhoffers und herrn Johann Niclaus Caroli beÿde alß auß obwohlgedachten Rhats mittel ahne statt nechster Verwanther hierzu deputirter, die haben sich für obige schuldt und biß dieselbe völlig wirdt bezahlt sein, Verbürgt (…) und deßwegen insonderheit Zu Unterpfand, Verlegt Ein haüßlein mit allen deren Gebäwen Rechten und Zugehördten alhier in der Vorstatt Krautenau am Blumen Gießen neben David Gori dem Gartenmann gelegen, davon gehend jährlich 4. fl. bodenzinß der Statt Pfenningthurn
Item Ein Garten so Ein halb Ackher groß beÿ der Kurbau, einseit neben hannß Schweitzer, anderseit neben Jacob Hetzel, gelegen
Lors de l’inventaire dressé après la mort de Marie Salomé Schmitz en 1704 les experts estiment la maison à 200 livres puis à 600 livres en 1711 lors de l’inventaire dressé après la mort de Simon Weber.
La maison revient à son fils Simon Weber qui épouse en 1703 Elisabeth Alber, fille du tanneur Adam Alber : contrat de mariage, célébration
1703 (30.t julÿ), Auenheim (Wolfgang Régnard von, 1 Not 4) f° 126
Eheberedung – zwischen dem wohlgeachten Simon Weber, dem ledig. Siebmacher, deß auch Ehrb Vorgeacht. Herrn Simon Weber Burgers vnd Siebmachers allhier Zu Straßburg mit der Tugendsamen frawen Salome gebohrner Schmitzin, Ehelich erziehlen Sohn, alß hochzeitern ahn einem
vnd dann der Viel Ehren vnd tugendbegabt. Jungfer Elisabetha. S. Tit. Herrn Johann Adam Albers, gerbers v. lederbereiters auch löbl. Policeÿgerichts wohlverdienten beÿsitzers mitt S. T. frawen Salome gebohrner Reffoldin Ehelich erzielten Jungfer Tochtern alß hochzeiterin anden theils
Geschehen v. verhandelt in der Statt Straßburg auff montag den 30.t julÿ, alß mann Nach J Ch. herr Unsers einig. Erlößers geburth Zahlte 1703. Jahr
Mariage, Saint-Thomas (luth. f° 92-v, n° 511)
den 26 Sept. 1703 seind nach außruffung eingesegnet word. Simon Weber der ledige Sipmacher, H. Simon Webers des burgers undt Sipmachers alhier ehelicher Sohn, und Jgf. Elisabetha H. Johann Adam Albers, burgers Rothgerbers und eines löblichen Policeÿ gerichts beÿsitzers eheliche Tochter [unterzeichnet] simon Weber alß hochzeiter, Elisabetha Alberin Als Hoßseiter (i 95)
Les nouveaux mariés font dresser l’inventaire de leurs apports. Ceux du mari s’élèvent à 104 livres, ceux de la femme à 231 livres.
1704 (1.3.), Not. Rohr (Daniel, 46 Not 11) f° 432
Inventarium und Beschreibung aller derjenigen Haab und Nahrung, so der Ehrengeachte Meister Simon Weber der Jüngere Sippmacher und die Ehren: und tugendsahme fraw Elisabetha gebohrne Alberin beede Eheleuthe und burgere allhier zu Straßburg einander in den Ehestand Zugebracht und vermög auffgerichteter Eheberedung sich vor unverändert vorbehalten haben – So beschehen allhier in der Königlichen freÿen Statt Straßburg in fernerem gegensein des Ehrenvest und Großachtbahren herrn Johann Adam Alber Rothgerber und burgers allhier und der viel Ehren: und tugendreichen frawen Salome gebohrner Reffoldin der Ehefrawen beeder Eltern, So dann des Ehren und Wohlvorgeachten Herrn Simon Weber Sen: Sippmacher und auch burgers allhier des Manns leiblich. Vatters, Sambstags den 1. Martÿ Anno 1704.
Series rubricarum hujus Inventarÿ, des Manns Nahr. betr., Sa. Hausraths 48, Sa. Werckzeugs Zum Sippmacher handw. gehörig 4, Sa. Silbers 4, Sa. baarschafft 47, Summa summarum 104 lb
der Fr. Vermög. belang. Sa. Hausraths 140, Sa. Silbers 7, Sa. Goldener Ring 13, Sa. Baarschafft 70, Summa summarum 231 lb
Simon Weber et Elisabeth Alber hypothèquent la maison au profit de Salomé Reisseissen veuve Geiger et d’Elie Brackenhoffer, greffier à l’audience du consul. Les deux sœurs et cohéritières du débiteur déclarent n’avoir aucun droit sur la maison.
1711 (23.11.), Chambre des Contrats, vol. 584 f° 673-v
Simon Weber der Sippmacher und Elisabetha geb. Alberin mit beÿstand H. Johann Adam Albers des gerbers und lederbereiters Ihres leiblichen Vatters und Johann Albers auch gerbers und lederbereiters Ihres leiblichen bruders
in gegensein herrn Francisci Reiseisens U.J.Ddi und Cancelleriæ Contractuum Actuarÿ als Curatoris Fraun Salome Geigerin wittib geb. Reißeisin so dann hn Elias Brackenhofers E. Löbl. Ammeister Audienz Actuarÿ – schuldig seÿen 200 pfund
unterpfand, die Erblehens gerechtigkeit od. dominium utile ahne einem hauß sambt allen gebäuden, rechten, zugehörden und gerechtigkeiten oben ane der St Urbans od. Curben gaß gegen dem Münster über einseit zum theil ein Eck theils neben dem Falcken Keller anderseit ist auch Ein Eck ahne ged. gaß hind: auff Peter Nonnen Mann haußfeurern, das Dominium directum obged. Brackenhofferischen fr. Wittib und Erben gehörig denen mann auch davon jährlich 3 lb ewigen Erblehen zinnßes zu rechnen hat
Worbeÿ erschienen obged. Weberische Mit Erben Nahmens Maria Salome Weberin Johann Meÿers Sandführers eheliche hausfrau mit beÿstand und consens deßelben So dann Susanna Catharina Weberin David Meÿers deß Sippmachers hausfrau, die haben angezeigt und bekannt daß bemelte Erblehengerechtigkeit ged. haußes ged. Simon Webern Ihrem leiblichen bruder eigenthümlichen und allein gehörig seÿe und keine ansprach daran zu machen haben
Simon Weber dans les registres de la tribu des Charpentiers
1718, Protocole de la tribu des Charpentiers (XI 31)
(f° 33) Dienstags den 22. Junÿ 1718
Cra Mr Simon Weber und Johann Michael Gundelfinger den gesellen
Le tamisier David Meyer fait grief à Simon Weber (son beau-frère) de manœuvrer pour lui prendre un compagnon. Le conseil de tribu écarte ses arguments et renvoie à sa décision du 22 juin précédent.
(f° 35) Dienstags den 4. Octobris 1718 – David Meÿer Contra Simon Weber beede Sippmacher, Klagt daß Er Ihme seine werckstatt zu sperren suche, in deme Er Ihme einen Gesellen abspannet und alß Er den Letztern gesellen bekommen solte, seÿe Bekl. nebst Carl Reinthaler Zuvor auf die Schenck gangen vnd hätten den Complot mit dem Gesellen gemacht, ehe und bevor einige Gesellen dazu Kommen, wie Er demnach der handt außgeben, Er habe dem Gesellen beschieben, welches aber nicht seÿn, sondern der Meister von Hagenau beÿ welchem der Gesell gewesen, halte Simon Weber vor einen s.v. etc. der Gesell habe auch sehr ungleiche reden getrieben, daß Er bald von Zabern bald von Hagenau were beschrieben word. bitt also Ihne beÿ seinem Meister recht zu manuteniren daß Kl. Ihle seine Gesellen nicht aufstifften solle. Kläger præsens sagt, mann solle nur Carlen Reinthaler und dem Gesellen darüber hören, maßen sich die sach nicht also befinde, sondern habe dem Gesellen aufrecht und redlich durch seinen Vatter beschrieben mit dem Meister Von Hagenau habe Er gar nichts Zuthun, hätte auch nicht einmahm beÿ Ihme gearbeitet, sondern es ist derselbe von Zabern beschrieben were dan Zumahlen habe Ihme sein Meister abschied gegeben, undt alß Er anhero gelangt, habe Kl. Kein gruß von Ihme nehmen wollen.
Ignatius Baldinger der Gesell von Ettlinger referirt als Er noch Zu hauß gewesen, hätte Ihne alle diß Mr Weber schon gern gehabt, es hätte aber dazumahlen nicht seyn Können, weilen Er schon auf Hagenau beschrieben war, Alß Er aber Von Hagenau hienweg gereist, seÿe Er auf Zabern vnd von dort habe Er Ihne beschrieben.
Erkand es soll beÿ dem 22. Junÿ Jüngst ertheilten bescheid verbleiben, weilen die übrige Meister auch beschrieben, und theils beschrieben worden seind.
(f° 39) Dienstags den 13. Junÿ 1719
Frantz Carl Box Wannenmacher Contra Simon Weber den Sippmacher
Le tamisier Jean Georges Fels fait grief à Simon Weber d’avoir vendu des vans tout l’été à l’encontre du règlement. Le conseil condamne le défendeur à cinq livres d’amende en vertu du règlement en date du 16 mai 1688. Simon Weber déclare qu’il va porter l’affaire devant les Quinze.
(f° 97) Dienstags den 25. Novembris 1727 – Hannß Geörg Felß der Sippmacher Contra Simon Webern auch Sippmachern, Klagt, daß Er den gantzen Verwichenen Sommer hin durch Wannen wieder ordtnung Verkaufft, welches schädlich, Bitt abstraffung, oder aber Ihme vnd den andern Mit Meistern Zu erlauben, daß Sie auch Wannen Verkauffen dörffen anbeÿ ruffe vnd winckte deß Beklagten frau den Kaufleuten, so daß die andere dadurch nicht Verkauffen Könten. Beklager Zugegen Ist der anklag geständign Er kauffe aber die Wannen selbsten Von den Wannenmachern, vnd hätte Er der Kläger die Klag nicht, sondern die Wannenmacher anstellen sollen.
Erkand, es seÿe der beklagte In den articul von gn. G. den XV.ern gegeben de dato 16. Maÿ 1688. der 5. lb d Zu Condemniren ref. Exp. Ille will es vor die G. H. die XV. gelangen laßen.
Simon Weber introduit une plainte en décembre 1727 en faisant remarquer qu’elle est motivée par des rancœurs. Contrairement à ce qu’il prétend, il n’achète pas seulement des marchandises aux vanniers de Strasbourg mais en fait venir de Bade. La commission confirme la décision de la tribu qui s’appuie sur le règlement de 1688 et condammne Simon Weber aux dépens. L’affaire se poursuit par un litige sur les sommes à verser.
1727, Protocole des Quinze (2 R 132)
(p. 434) Sambstag d. 13. Xbris 1727 – Moss. nôe Simon Webers des Sippmachers und burgers Cit. Joh: Georg Feltz auch burger undt Sippmacher, prod. App. Klag juncto petito und beylag Lit. A. handelt jnhalts. Fuchs bitt Cop. et T Ord. Obt.
1727-1728, Protocole des Quinze (registre 2 R 134, notes du greffier 2 R 133)
(p. 434) Sambstag d. 13. Xbris 1727 – Moss. nôe Simon Webers des Sippmachers und burgers Cit. Joh: Georg Feltz auch burger undt Sippmacher, prod. App. Klag juncto petito und beylag Lit. A. handelt jnhalts. Fuchs bitt Cop. et T Ord. Obt.
(p. 12) Sambstag d. 24. Januarÿ 172[8] – Fuchß nôe Joh: Georg Felß des burgers undt Sipmachers alhie contra Simon Weber auch Sipmachers, auff gegentheilige Appellations Klag, prod. Except. mt beÿlag. Sub N. 1. 2. Moss bitt Cop. et T. Ord. Obt. (notes p. 9)
(notes p. 31) Sambst. den 21. febr. – F. Joh: Georg Felß Ca. Simon Weber erholt rec. u, prod. vom 24. Jenner jüngst, Weil citatus noch keine cop. davon bekommen, alß 6 noch mahl cop. T. O. F. weil gegner appellanten auch seine appell. Kl. schrifftl. eingegeben alß laßt cop. zu b. aber Dep M. Pr. Erk. cop. u. Zeit 8.
(p. 95) Sambstag d. 13. Martÿ 1728 – Fuchß nôe Joh: Georg Felß des burgers und Sipmacher Cit. Simon Weber erholt Except. und Recess vom 24. Januarÿ und 21. Febr: jüngst bitt Deput. Moss prod. Undtg. Replicas, mit Wied.hohltem bitten, Fuchß Weil dieses pord. nur Zum umbtrieb dient, alß erholt prod. d. d d. bitt Deput. Moss bitt auch Deput. bey welcher Frantz Carl Buchß wannenmacher erscheine. Fuchß priora. Erk. Ober Handwerck Herren und soll dam Wannenmacher gebetten werden. (notes p. 50)
(p. 139) Sambstag d. 10. Aprilis 1728. – Simon Weber Ca. Hanß Georg Felß pt° mulctæ
Obere Handwerckh hrn laßen per Eundem [Secretarium] referiren, daß Simon Weber, der burger undt Sippmacher alhier den 25. Novembris jüngst beÿ E. E. Zunfft der Zimmerleuth Gericht Vorgetelt,undt wieder Ine durch Hanß Georg Fels auch Sippmacher und burger allhir Klagend angebracht word. daß er, Weber, den gantzen verwichenen Sommer durch Wannen wieder ordnung verkaufft, so Ihnen den Sippmachen schädlich, mit bitt Ihne abzustraffen, oder aber Ihme, Felsen, und seinen Mitt Meistern auch Zu erlauben, daß Sie Wannen verkauffen dörffen, & auff Welches der beklagte der anklag geständig gewesen, mit dem beysatz Er kauffe die Wannen sebsten Von denen Wannenmachern, und hätte er Kläger die Klag nicht, sondern die Wannenmacher anstellen sollen, So fort seÿ erkandt worden, daß der beklagte in den Articul Von Mgh. gegeben de dato 8. Maÿ 1688. der 5. lb Zu condemniren, Refusis Expensis.
Von diesem bescheid habe Simon Weber an mghh. appellirt, und d. 13. Xbris 1727. seine Appellations Klag juncto petite mit beÿlag Lit. A. Johann Georg Felß aber den 24. des darauff folgenden Monaths Januarÿ seine Exceptiones mit beÿlagen sub N. 1. et 2. vnd Weber den 13. Martÿ jüngst Replicas producirt, Ille ließt dieße Acta ab, und berichtet daraufff daß da auff geschehene Remission man die Parthen auch mündlich gehört, der Appellant beÿgesetzt, Es seÿ beÿ dießer Sach eine große passion, Worauff der Appellat Geantwortet, Gegner Kauffe die Wannen nicht nur allein von denen heißigen Wannenmachern, sondern bekenne auch deren noch von über Rhein her, und seÿe derselbe schon etliche mahl gestraffet worden, Er beruffe sich in dem übrigen auff seine Exceptiones und auff einen Articul vom 8. Maÿ 1688. dahin gehend, daß die Sipmacher sich des Einkauffs undt Verkauffs der Wannen, undt der Wannenmacher waahren sowohl inn: alß auch außerhalb der Statt Straßburg innerhalb einer Meil weegs gäntzlich enthalten sollen, beÿ 5. pfundt d. Straaff. Die in denen beÿlagen Sub N. 1. et 2. benambste Zweÿ Wannenmacher seÿen auch gehört worden, welche ausgesagt daß Sie wegen des Gegeners an Ihren orth nichts verkauffen Könten
Auff seithen der Hh. Deuptirten finde man daß übel und muthwillig appellirt, mithien der Appellant wohl meritirte in poenam temeré litigantium condemnirt Zue werden Und halte man, daß die Sententia â quâ Zu confirmiren, der Appellant mit seinem begehren abzuweißen undt in die auffgeloffene unkosten Zu condemniren seÿe. Die Genehmhaltung zu Mghh. stellend. Erk. bedacht geflolgt. (notes p. 65 et 145)
(notes p. 73) Mont. den 12. April. Oberhwksg. H. laßen bescheid ansagen in s. Simon Webers Ca. Joh: Georg Felß
(p. 158) Sambstag en 24. Aprilis – Fuchß nôe Joh: Georg Fels cintra Simon [Weber -] wilfahrt. (notes p. 83)
(p. 170) Sambstag d. 8. Maÿ 1728
Bescheid – Sambstag d. 10. Aprilis 1728. In Sachen Simon Weber des burgers undt Sippmacher Ca. (page abîmée – notes p. 88)
(notes p. 221) Sambst. 12. Junÿ. F. nôe Joh: Georg Felß Ca. Simon Weber Zufolg Mghh. bescheid vom 10. Aprilis jüngst vermög deßen gegner in alle uncosten condemnirt wd. prod. specif. expensarum sambt beÿl. N° 1 und b. uth. pro taxa. M. cit. b. uth. *f Tax. Erk. Ob Hwks Hh.
(notes p. 227.) Mittw. den 16. Junÿ – Iid. Schr. unkosten Zedul in s. Joh: Georg Fels Ca. Simon Weber p° taxæ. Erk. Zu geg. solt die Taxam Zu Mgh. u. waß Mghh. Vor guy befinde. Werden d. wolle er gelten laßen. llle H. setz beÿ d. seithero Wider 6 ß Weg. begehrten taxation er außgelegt habe. H. Dep. daß der unkosten Zedul zu approbiren. Erk. auch 6 ß pro no* exp. erleg. solle. Erk. in plenum.
(p. 226) Sambstag d. 19. Junÿ 1728. – Joh: Georg Fels C. Simon Weber
Iidem [Obere Handwerckh hrn] laßen per Eundem [Secretarium] referiren, daß Joh: Georg Felß der Sipmacher contra Simon Weber, auch Sipmacheer, Welcher Letztere ohnlägst in die unkosten condemnirt worden, d. (-) hujus eine specification sothaner unkosten, sammenthafft auff 5 fl. 5 ß 5 d sich belauffend producirt, mit beÿlag N° 1 und hätte beede umb deren taxation angesucht, undt alß man selbige in beysein beeder parthen durchgangen, habe man nichts darinen Zu ändern gewußt Wie dann auch der condemnirte nichts darwieder eingewendet, sondern bedütten daß was Mghh. für guth befänden er deßen sich bequemen wolte, der producens aber habe beÿgesetzt, daß er seithero wiederumb 6. ß ausgelegt, Und halte man davor, daß gemelte Specification Zu approbiren, undt der condemnirte die darinnen benambste unkosten der 5 fl. 5 ß 5 d beneben den rerst new ausgelegte 6. ß Zu bezahlen schuldig sein solle. Erk. also beliebt. (notes p. 231, 184)
Dienstags den 22. Martÿ 1729
1729, Protocole de la tribu des Charpentiers (XI 31)
Klagen Simon Weber den Gesellen Von hier und Hannß Michel Schäfer den Gesellen Von Schweinfurth
Le tamisier Jean Georges Fels fait grief, en son nom et en celui de son pupille Jean Charles Reinthaler, à Simon Weber de ne pas partager les marchandises qu’il reçoit, en l’occurrence des mesures de grains et des pelles. Le conseil demande à celui qui passe une commande d’en avertir désormais quinze jours auparavant le maître de tribu et inflige une amende à chacune des parties, le plaignant pour injures et le défendeur pour ne pas observer le règlement.
(f° 127-v) Dienstags den 14. Martÿ 1730 – Hannß Geörg Felß der Sippmacher so wohl in seinem Nahmen als auch als Vogt Joh: Carl Reithalers Sippmachers wittib, klagt contra Mr Simon Webern auch Sippmachern, daß, wann Wahr, nemlich Sestergeschirr vnd Schauflen & anhero Kämen, das Er gleich den Übrigen Sippmachern gehalten seÿe, solche Ihnen Vermög Articuls theil ane solcher wahr zu geben, in Specie aber ane den Letßhien angekommenen Vnd von dem Beklagten allein übernommenen Sestergeschirr & ref. Exp.
Beklagter præsens meldet in antworth, wann die wahr nicht bestellt seÿn, so Könrten Kl. theil daran prætendiren, betreffende aber die letstere anhero gekommene wahr, nemblich das Sestergeschirr, Hatte Er in das theil geben wollen, ohnerachtet Er dieselbe bestellet vnd 6. fl. darauff gegeben aber dergestalten daß Er der Kläg. Sie allein behalten solte, anbeÿ hielte der Beklagte den Klägern als nunmahligen beÿsitzern E. E. gerichts einen Kerl und Lumpen, Er hätte auch vber* das mit E. E. Gericht nicht Zu *ertiren vnd die Sach müße Vor gnd. Hh die XV. gelangen, Indem Er den articul Beßer, alß E. E. Gericht Verstünde.
Erkand es seÿe einem Jeeden Sippmacher auferlegt wann Er wahr bestellen will solches dem Jeweiligen Hrn Zunfftmeister 14. tag Zuvor anzuzeigen Vnd wann hernach solche bestellte wahr anhero käme, die helffte davon gegen Erlag der gebühr ins theil Kommen laßen solle Beÿ ohhnachläßlicher straff der in den articuln enthaltenen 5. lb d wegen deß beklagten grosser begangener Unfueg, und daß er den Klägern als gerichtsmann einen Kerl geheißen, seÿe Er in i lb d straf verfallen, vnd habe demselben eine abbitt Zu thun, wegen der abbitt hat Er præstanda præstirt.
Simon Weber et sa femme Elisabeth Albert meurent à un an d’intervalle en délaissant quatre enfants. Les experts estiment la maison 375 livres. L’actif de la succession s’élève à 613 livres, le passif à 319 livres.
1731 (2.1.), Not. Oelinger (J. Jacques, 35 Not 18) n° 664 (622)
Inventarium und beschreibung aller derjenigen haab Nahrung Vndt Güthere so weÿl. der Ehrengeachte Meister Simon Weber, Sippmacher Und die Ehren: und tugendsahme frau Elisabetha Weberin gebohrne Alberin beedte Eheleuthe und burgere allhier zu Straßburg nunmehr seel. nach Ihrem Und zwar die frau Freÿtags den 5.ten augusti des Verfloßenen 1729.sten Jahrs, der Mann aber dienstags den 5.ten Xbris des nächst zurückgelegten 1730.sten Jahrs aus dießer welt genommenen tödlichen hintritt Zeitlichen verlaßen, auf freundliches Ansuchen Erfordern und Begehren Simon Webers Leedigen Sippmachers, Und des Ehren: und Vorgeachten Meister Johann Peter Fritzen Schreiners undt burgers allhier alß geordnet und geschworenen Vogts Abrahams, Philipps beedter Sippmacher gesellen und Catharinæ Elisabethæ der Webern aller Vier der abgestorbenen Eheleuthen seel. mit einander ehelich erziehlter Kinder und ab intestato verlaßener rechtsmäßiger Erben, inventirt durch Sie die Erben selbsten, auf zuvorhien ane dieselbe wie auch Salomeam Meÿerin die haußhälterin, hannß Michel Schääffern Von Schweitz* und Caspar Schloriger Von Nörtlingen auß Schwaben beedte gesellen, beschehener gebührender anerinnern (…) geaigt und gezeigt – So beschehen Straßburg dienstags den 2. Januarÿ 1731.
Extractus Auß dem Von beeden geweßenen Ehepersohnen d. 25. apr. 1704 Vor weÿl. Hrn Nor. Christoph Eberhard Bären aufgerichtetem Codicilli
In einer allhier zu Straßburg beÿ dem Münster ane dem würthshauß zum Falcken Keller gelegenen und hiehero in Erblehnungs gerechtigkeit eÿgenthümblich gehörigen behaußung befundten wordten wie Volgt.
Eÿgenthumb ahne einer behaußung. Nembl. die Erblehnlungs gerechtigkeit Vndt beßerung auff einer behaußung Vndt Gädlein Vor dem Münster auff der grädt am falckenkeller gelegen, welche behaußung jure Dominji directj weÿl. S. T. H. Eliæ Brackenhoffer geweßenen Ammeisters vnd hochverdienten beÿsitzers des beständigen Regiments der Herren XIII. allhier längst seel. hinderbliebener fr. Wittib vndt Erben Vormahls, modo fr. Dri Hartschmidtin wittib gehörig, welches Eÿgenthumb jährl. auff Martini mit 3. lb. d Ewigen Erblehnzinnßes recognoscirt wurd. sonsten aber gegen männiglichen über dieße undt unter denen hieunden specificirten passiv Schulden enthaltene Capitalien ohnverhafftet, freÿ, leedig und eÿgen, undt ist die behaußung durch (die Werckmeistere) Vermög der, beÿ mein dem Concept befindl. schrifftlichen Abschatzung vom 13. Xbris 1730. taxirt worden pro 375. lb. Wann nun obberührter Erblehnzinnß Zu doppeltem Capital wie gewohnlich davon weggerechnet würd, so th. 20. lb d, Rest außzuwerffen 255. Darüber besagt ein teutscher perg. Kffbr. mit der Statt Straßburg Cancelleÿ Contract Insigel verwahrt datirt den 14. Decembr. A° 1677. Und ist solche behaußung dem abgeleibten seel. von seinen Geschwüsterden Käufflichen cedirt und überlaßen wordten.
– Abschatzung d. 13. Xbris 1730. Auff begehren Weÿl. des Ehrenhafften und bescheidenen H Simon Weber gewesenen Statt Sipmachers seel: hinter laßene Erben, ist eine behausung alhier in der Statt Straßburg beÿ dem Münster ein Eck an der Kurbe gaßen gelegen, das hauß Zur Kräth genandt, einseits Neben dem Wirts hauß Zum Falcken Keller, ander seits Neben Peter Nonnenmann hauß Feurer, Welche behausung, stuben Wo Von eins gewölbt Kämmrl. Hauß Ehren mit herd und Waßerstein, sambt aller gerechtigkeit wie solches durch der Statt Straßburg geschworne Werckhleuthe sich in der besichtigung befunden und Jetzigem preiß Nach angeschlag. wird Vor und Umb Sieben hundert und Fünffzig gulden. bezeichnüß durch der Statt Straßburg geschwohrene Werckhleuthe [unterzeichnet] Michael Ehrlacher Werck Meister deß Meinsters, Johann Jacob Biermeÿer Werck Meister deß Zimmerhoffs, Johann Peter Pflug Werck Meister deß Maurhoffs.
Series rubricarum hujus Inventarÿ, Sa. haußraths 97, Sa. wahren und Werckzeug Zum Sippmacher handwerck gehörig 90, Sa. wein undt leeren vaß 27, Sa. silbers 11, Sa. Goldener Ring 2, Sa. baarschafft 55, Sa. beßerung ane einer behaußung 255, Sa. Schulden 73, Summa summarum 613 lb, Schulden aus der Verlaßenschafft zu bezahlend 319 lb Nach deren Abzug 293 lb
Compte que rend le menuisier Jean Pierre Fritz de la gestion des biens qui appartiennent à Catherine Elisabeth Weber, fille des précédents.
1734, Not. Oelinger (J. Jacques, 35 Not 24) n° 853 (809)
Rechnung Mein Johann Peter Fritzen Schreiners alß geordnet und geschworenen Vogts Catharinæ Elisabethæ Weberin, weÿlandt Meister Simon Weber, Sippmachers, mit auch weÿland fraun Elisabethæ gebohrner Alberin beede seel. Ehelich erzeugten undt hinterlaßenen döchterleins, Innhaltend und außweißend was Ich vom 1. Januarÿ 1731 als dann gedachter meiner Curandin Eltern seel. Verlaßenschafft Inventiret und Separiret auch distrahiret worden, biß Joh. Bapt: 1734 Ihrentwegen Eingenommen Und Hiengegen wieder außgegeben, auch sonsten In eine und andere weeg Gehandelt und Verrichtet habe – Erste Rechnung dießer Vogteÿ
Lors du partage de la succession, Simon Weber rachète les parts de la maison et en devient seul propriétaire
1731 (2.1.), Not. Oelinger (J. Jacques, 35 Not 18) Joint au n° 664 (622) du 2janv. 1731
Abhandlung der behaußung. Die in dem Verfertigten Inventario fol: fac: et seqq: beschriebene Erbkehnungs Gerechtigkeit und beßerung auff einer behaußung und Gädlein Vor dem Münster auff der grädt am falckenkeller gelegen welche behaußung jure Dominj Directj Fr. Drj Hartschmidtin Wittib gehörig, welches Eÿgenthumb jährl. auff Martini mit 3. lb. d Ewigen Erblehnzinnßes recognoscirt würd. ist von der zween jüngsten Söhnen Und tochter geschwornen Vogten mit Consens derselben
Simon Weber dem ältesten Sohn käufflich cedirt und überlaßen worden
über abzug obgedachten Ewigen Erbzinnßes, ferner 50 lb. Capital welche mann S.T. H. Elias Brackenhoffers geweßten hochverdienten Ammaÿsters hoch seel. andenckens hinterbliebener Fr. Wittib Undt Erben, So dann des S.T. Hn Francisco Ösingern J.U. Dd Und in dießer Statt C.C. stub bestmeritirtem actuario schuldigen hauptguths der 151. lb, welche beedte Capitalien und Erbzinnß der Cessionarius über sich nimbt, vor und umb 998 pfund – unterschrieben Straßburg den 13. Januarÿ 1731. [unterzeichnet] Simon Weber, Abraham Weber, Philipp Weber, Johann Peter fritz als Vogt
Simon Weber devient tributaire chez les Charpentiers le 10 janvier 1731
1731, Protocole de la tribu des Charpentiers (XI 31)
(f° 136) Mittwochs den 10. Januarÿ 1731 – Evangel. Neuzünfftiger
Simon Weber der Sippmacher weÿl. Simon Webers des Sippmachers nachgelaßener Ehel. Sohn prod. Stallschein dedato 16. Xbr 1730. bitt ihne als einen Zünfftigen anzunehmen. Erk. willf. dt. 1 lb 10 ß d.
Simon Weber épouse en 1731 Catherine Salomé Martin, fille du messager Georges Michel Martin : contrat de mariage, célébration
1731 (9. 8.), Not. Oelinger (J. Jacques, 35 Not 75) n° 622
Eheberedung – entzwischen dem Ehrsamen vnd bescheidenen Mstr Simon Webern, Leedigen Sippmachern vnd burgern allhier, weÿl. H. Simon Webers geweßenen ebenmäßigen Sippmachers vnd burgers allda Ehel. nachgelaßenem Sohn, als dem Hochzeiter ane Einem, beiständlich H. Joh. Georg Alber Rothgerber vnd Lederbereiters seines Vettern vnd H. Joh. Peter Fritzen, Schreiners seines gewesenen Vogten
So dann der Ehren und tugendsahmen Jgfer Catharinæ Salome Martinin, weil. H. Geörg Michel Martin geweßenen Einspännigers vnd burgers allhier seel. Ehelich erzeugter dochter als der Jgfr. Hochzeiterin andern Theils, mit beÿstandt H. Joh. Daniel Borsten peruquenmacher Ihres Schwagers
Actum (…) donnerstags den 9.ten Augusti Anno 1731 [unterzeichnet] Simon Weber als hoch Zeÿdern Catharina Salome Martinin
Mariage, Temple-Neuf (luth. f° 96-b, n° 38)
1731. Mittwoch d. 3. 8.br seind nach 2. maliger Proclamation ehelich Copulirt v. eingesegnet worden, Simon Weber der Ledige Siebmacher u. b alhier, weÿl. Simon Webers b. v. Siebmachers nachgel. Sohn, v. Jgfr. Catharina Salome, weÿl. H. Geörg Michael Martins geweß. b. v. Einspännigers Nachgel. egl. Tochter [unterzeichnet] Simon Weber Als Hochzeÿter, Catharina Salome Martinin (i 101)
Les nouveaux mariés font dresser l’inventaire de leurs apports. Ceux du mari qui comprennent la maison s’élèvent à 180 livres, ceux de la femme à 263 livres.
1731 (5. 9.bris), Not. Oelinger (J. Jacques, 35 Not 18) n° 679 (636)
Inventarium und beschreibung aller derjenigen Haab, Nahrung und Güethere, so der Ehrsahme und bescheidene Mstr. Simon Weber der Sipmacher Und die Ehren und tugendsahme frau Catharina Salome gebohrne Martinin beede Eheleuthe Und burgere alhier zu Straßburg einander in Ihrem ohnlängst angetrettenen Ehestand zugebracht, und sich deren Jeedes Vermög Ihrer mit einander aufgerichteten Eheberedung Vor unverändert vorbehalten hat – Actum in fernerem gegenseÿn fr. Anna Catharina Martinin gebohrner Schlumbergerin der Ehefr. Mutter, Straßburg Montags den 5° 9.bris A° 1731.
In einer alhier Zue Straßburg auf dem Münsterplatz gelegener Vnd dem Ehemann eÿgenthümblich Zuständigen behaußung befund. alß volgt
Eÿgenthumb ahne einer behaußung. (M.) Nemblich die Erblehnlungs gerechtigkeit Vnd beßerung auf einer behausung vnd Gädlein vor dem Münster auf der Gräth am falckenkeller gelegen, welche behaußung Jure dominÿ directi weÿl. S. T. Herrn Elias Brackenhoffer geweßenen Ammeisters vnd hochverdienten beÿsitzers des geheimen Collegÿ der Herren XIII. fr. Wittib vnd H. Erben Vormahls, modo H. Dr Hartschmidts fraw Wittib zuständig, welcher mann Jährlichen auf Martini pro recognitione ane Ewigen Erblehnzinnß 3. lb. d zu reichen pflichtig. sonsten aber außer denen unter den passivis enthaltenen zweÿen Capitalien freÿ, leedig und Eigen. Darüber besagt in allhießiger Cantzleÿ Contract stub gefertigten Pergamentener Kauffbrieff mit dero anhangendem Innsiegel verwarth, datirt den 14.ten Decembris 1677. Dieße behaußung ist dem dießortigen Ehemann den 13. Januarÿ 1731. beÿ Vätterlichen Verlaßenschaffts Abtheilung Von deßen geschwüsterden und Miterben gegen vbernahm des vorher erwehnten Erbehnungszinnßes vnd denen zweÿen under denen passivis inventirten Capitalien ein* annoch Eigenthümlichen Cedirt vnd vberlaßen worden pro 998. lb
Series rubricarum hujus Inventarÿ, des Ehemanns Vermögen, Sa. Haußraths 66, Sa. Werckzeugs zur hiehro gehöriger helffte 102, Sa. silbers 9, Sa. Eigenthumbs ane einer behaußung 998, Summa summarum 1177 lb – Passiv Schulden 1023 lb, Compensando 154 lb – haussteuren 25 lb, des Ehemanns gesambte unveränderte Nahrung 180 lb
Der Ehefrauen Nahrung Concernirend, Sa. haußraths 147, Sa. Silbers 16, Sa. Goldener Ring 8, Sa. baarschafft 65, Summa summarum 237 lb – haussteuren 25, Der Ehefrauen Nahrung 263 – Conclusio finalis Inventarÿ 443 lb
Catherine Salomé Martin fait dresser un état de ses biens
1731 (22.8.), Not. Hoffmann (Christophe Michel, 19 Not 68) Designationes
Jungfer Catharina Salome Martinin, weÿl. Hn Georg Michael Martin geweßenen Einspännigers und burgers alhier seel. nachgelaßene ehel. tochter, so Verlobt an Meister Simon Weber dem ledigen Sipmacher und burgern alhier, hat würcklich eigenthümlich in Vermögen, darüber Sie mit handtreu abgelegt,
baarschafft 165,
Item wird ihro uff abschlag Vätterlichen Erbs ane 192. lb Capital, so Valentin Diemer Ackermann und burger Zu Ittenheim laut Obligation auß alhießiger Cantzleÿ Contractstub de 3. Martÿ Anno 1727. assignirt 100 lb, Summa 265.
Sig. Straßburg den 22.ten Augusti Anno 1731.
[unterzeichnet] Catharina Salome Martinin
Catherine Salomé Martin devient bourgeoise le 11 novembre
1731, 4° Livre de bourgeoisie p. 976
Catharina Salome Martinin von hier geb. erhalt d. b. gratis, will beÿ EE Zunfft d. Zimmerleuth dienen. Prom. eodem [11. 9..br]
Mittwochs den 9. Januarÿ 1732
Klagen Contra Simon Webern auch Sippmachern
Montags den 17. Marty [sic] 1735
contra H Mstr Simon Weber dem Sippmacher Sargen gelüffert
Dienstags den 14.ten Junÿ 1735
contra H Mstr Simon Weber dem Sippmacher
Jean Nock de Cappel en Bade se plaint de Catherine femme de Simon Weber, Jean Georges Fels l’aîné et Jean Charles Reinthaler, tous tamisiers. Il est venu livrer des pelles et les a proposées aux tourneurs et aux tamisiers qui n’en ont pas voulu, le lendemain les défendeurs les lui ont achetées, après quoi le maître de tribu lui a infligé une amende. La femme de Simon Weber déclare qu’avant de partir le plaignant a déposé les pelles chez elle pour 14 sols la douzaine dont les tourneurs n’ont pas voulu. Les tourneurs déclarent que le plaignant n’était pas là en personne et que les pelles étaient trop chères. Trois touneurs témoignent des circonstances dans lesquelles le maître de la tribu a infligé l’amende au plaignant. Les Quinze confirment la décision du conseil de tribu.
(f° 308-v) Dienstags den 25.ten 7.bris 1741 – Hannß Nockh Von Cappell Klagt Contra Frau Catharina Weberin Meister Simon Weber deß Sippmachers Ehefrau, ferner hannß Georg Felßen deß Ältern sippmachers wittib, beÿständlich Mst hannß Georg Felßen Sippmachers Ihres sohns, So dann weÿl. Johann Carl Reinthalers des Sippmachers wittib, alle dreÿ Beklagte, hier Zugegen, daß Er im Monath Julio Schaufeln hiehero gebracht und dieselbe nach Ordnung und Articul Zur Vertheilung vor das Münster gelüffert, nach deme aber den Ersten tag weder die Träher noch Sippmacher Meisterschafft einige davon gewollt, habe Er dieselbe gezwungener weiß einstellen müßen, den Andern tag aber darauff haben die dreÿ Beklagte Sippmacher Meister & fraun so besagte Schaufeln Ihme abgekaufft, Nun Er wieder Ordnung damahl gehandelt habe solle, hab herr Zunfftmeister Ine Crafft scheins vom 27. Junÿ 1741. privatim pro 3. lb gestrafft und 19 ß d Uncosten angesetzt, dieweilen aber die beklagte wieder Ihren articul Ohnwißend seiner gehandelt, alß bittet Er maßen Er sich den Regress ane sie vorbehalten, die Bekagte anzuhalten Ihme die angesetzte straff und Uncosten wieder Zu refundiren, ref. Exp.
Meister Simon Weber des Sippmachers Ehefrau sagt nach deme die quæst. schaufeln vor Kläger am Donnerstag eingestellt waren, Er Nockh aber am Freÿtag abends fortgereißt, habe Sie Weberin, weilen Ihr Mann wothend*, aber damahlen, nicht hier war, Über Ihme geruffen, Er sollte die quæst. schauflen hergeben, welches Er auch gethan, und Zwahr das dutzend à 14 ß d Jedoch mit dem anhang, daß sie auch die treger Meister, vermög Articuls dazu avertiren sollten, welches Sie auch der treher Meisterschafft wißend gemacht, Verhoffe also dießfalls nicht gefehlt Zu haben, anbeÿ aber habe die treher Meisterschafft Kein antheil davon gewolt, welcher aufsag frau Felßin und Frau Reinhalerin die Anderen Zwo beklagte auch beÿstimmenten, bitten absol. ref. Exp.
Hannß Geörg Kuch de Träher Ober Meister sagt interviendo der wothend* der träher Meister were gekommen [f° 310] solche Schaufeln Vermög Articuls Zu theilen, da war aber Hannß Nock der Käuffer nicht Zugegen, nach deme Er aber erschienen habe, Er das dutzend pro 18 ß gebotten endlich wollte Er sie vmb 16 ß d laßen und angesehen die treger Meistern, die Schaufeln umb diesen preis nicht wollten, haben die dreÿ Beklagte solche des andern tags gekaufft, woraufhin sich Er Obermeister Nôe deß handwercks beÿ dem Herrn Zunfftmeister beklagt, und angesehen Er Nockh wieder Articul gehandelt, habe Er Ihme, weilen Er nacher hauß fort eilete, den Articul mit 3. lb. und 19 ß d Uncosten angesetzt, Und angesehen die dreÿ Beklagte die quæst. schaufeln das dutzend umb 14 ß d hatten, Sie aber Ihnen 16 ß d bezahlten sollten, haben die Träher Meisterschafft Keine Schaufeln mehr gewolt.
Meister Johann Michel Ruop Jun: und Johannes Keller die beede drehere und Zwahr der [f° 310-v] letztere als damahliger Rüeger sagt, nach deme Sie Andere Arbeith getheilt, habe Er hannß Nockhen auch gefragt wie Er seine schauffel gebe, hatt Er geantwortet 18 ß d das dutzend, Jedoch auf das Näheste 17 ß d darüber Er replicirt Wann Er 12 ß d umb das dutzend, wie andere auch geben, wollte so seÿn Er bereit sie Zunehmen, darüber Er Nock in anthwort ertheilt wann Er die quæst. schaufel, nicht umb 17 ß d nehmen Wollte, so wüßte Er schon warmit hien, Nechst dießem habe Er sie eingestellt und weren folgenden Tages nicht mehr in das theil gekommen, sondern Er habe sie den quæst. Beklagten dreÿ weibern Verkaufft, Nach deme hannß Nockh wieder eingelaßen wurde, war Er geständig daß die dreÿ Beklagte freÿtags Abends zwischen Vier und fünff Uhren Ihme die Schaufflen [f° 311] abgekaufft doch habe Er Ihnen befohlen Sie sollten Es den trähern ansagen.
Meister Ruop Jun. Johannes Keller und hannß Georg Kuckh alle dreÿ treger deponiren, daß Hannß Nockhen Herrn Zunfftmeisters hauß, Alß Er ihme den Articul Abgeleß, gesagt, Er sehe wohl daß Er gefehlt habe, bitt iIhme nur umb 3 fl. anzusetzen, warauf Er aber beÿ dem Articul Verblieben, wie Er auch die 3. lb d erlegt, Er wollte aber auf das Michaeli Gericht die dreÿ Beklagte verklagen, daß Sie Ihme die straff wieder geben müßten.
Erkandt, Es seÿe die von Hannß Nockhen erhaltene straff benebst Uncosten Zue Confirmiren.
Simon Weber et Catherine Salomé Martin hypothèquent la maison au profit de Jean Henri Rosenzweig, étudiant en philosophie
1735 (11.8.), Chambre des Contrats, vol. 609 f° 547-v
Simon Weber der Sippmacher und Catharina Salome geb. Martinin mit beÿstand ihres bruders H. Philipp Heinrich Martin S.S. Theologiæ Studjosi und ihres schwagers Johann Daniel Borst Peruquenmachers
in gegensein H. Heinrich Rang Cazernier als geschwornen vogts H. Johann Heinrich Roßenzweig Philosophiæ Studiosi – schuldig seÿen 500 pfund (…) zu bezalung des kauffschillings hiernach beschriebener behausung
unterpfand, nach zuvor von Fr. Salome Harttschmidtin geb. Brackenhofferin weÿl. S.T. H. Johann Nicolaus Harttschmidt geweßenen S.S. Theologiæ Doctoris et Prof. Publ. Ord. F. wittib als Dominia directa hiernach beschriebener Erblehenhaußes, die Erblehnungs gerechtigkeit der das durch eine Behausung und hoffstatt mit allen deren gebäuden, begriffen, zugehörden und gerechtigkeiten vor dem Münster auff der gräth beÿ dem Falckenkeller, einseit ist ein Eck an St Urbans gaß anderseit ist ein Eck an bemeldtem Falckenkeller hinten theils auff eben denselben theils auff Johann Peter Nonnenmann dem haußfeurer, der Brackenhoferischer familie modo obged. Harttschmittischer Fr. wittib allein 3 lb. ahne Erblehen zinnß (um 152 und 50 pfund capitalien verhafftet), als ein von seinen geschwisterden in Abteilung seines vatters seel. weÿl. Simon Weber des Sippmachers verlassenschafft zufolg einer vor H. Not. Johann Jacob Oelinger am 13. Januarÿ 1731 aufgerichteten Kauffverschreibung
Simon Weber et Catherine Salomé Martin hypothèquent la maison au profit du marchand Jean Frédéric Fritsch
1742 (23.4.), Chambre des Contrats, vol. 616 f° 187-v
Simon Weber der Sippmacher und Maria Salome geb. Martinin mit beÿstand ihres bruders H. M. Philipp Heinrich Martin des seminaristen und ihres Schwagers Johann Daniel Borst des Perruckenmachers
in gegensein in gegensein H. Johann Friedrich Faust J.U.L. und Schaffners des mehrern hospitals als mündlich bevollmächtigter seines schwagers H. Johann Friedrich Fristch des handelsmanns – schuldig seÿen 500 pfund
unterpfand, nach zuvor von Fr. Salome geb. Brackenhofferin weÿl. H. Johann Nicolaus Hartschmidt gewesten Theol. D. et Prof. Fr. wittib als dominia directa hiernach beschriebener behausung, das dominium utile oder die Erblehnungs gerechtigkeit einer behausung und hoffstatt cum appertinentis vor dem Münster auff der gräth beÿ dem Falckenkeller, einseit ist ein Eck ane St Urbans gaß anderseit ist ein Eck an besagtem Falckenkeller hinten auff den selben und theils Peter Nonnenmann den haußfeurer – der Brackenhofferischen familie modo ged. Fr. Hartschmidtin 3 lb erblehenzinß
Simon Weber meurt en 1776 en délaissant trois petits-enfants issus de Marguerite Madeleine Weber et de Jean Geoffroi Herrenschneider. Le défunt a racheté pour 80 livres le domaine direct le 18 avril 1763. Les experts estiment la maison à 500 livres. La masse propre à la veuve est de 256 livres, la masse propre aux héritiers présente un déficit de 266 livres. L’actif de la communauté s’élève à 1 073 livres, le passif à 179 livres.
1777 (20.2.), Not. Albert (Jean Georges 6 E 41, 845) n° 87
Inventarium über Weiland Herrn Simon Webers geweßenen Sippmachers nunmehro seel. Verlaßenschafft (…) nach seinem am 25. Septembris des letzverfloßenen Jahrs 1776 aus dießer welt genommenen tödlichen hintritt hier zeitlichen verlaßen, Welche Verlaßenschaft auf Ansuchen sowohl Frauen Catharinæ Salome gebohrner Martinin, der hinterbliebenen Frauen wittib beiständlich Meister Johannes Lorenz, des Mehl: Händlers und burgers hieselbst, als auch H: Johann Michael Porsts des buchbinders und ebenmäßig burgers dahier als geschwornen Vormunds derer hernach benamßten von dem verstorbenen seel zurückgelaßenen dreien minderjährigen Enkel und Erben – von wohlermelter hinterbliebener Frauen wittib nach deme vordersamst dieselbe sowohl als auch Georg Weiß der im Hauß befindliche Sippmachers: Gesell (…) geäugt und gezeigt – So geschehen allhier zu Straßburg in hernach hierinnen beschriebenen Sterb: behaußung, in fernerer Gegenwarth Herrn Joh: Gottfried Herrenschneider des Knopffmachers, Seidenhändlers und burgers dahier als derer dreien Enkele und Erben leiblichen Vaters, auf donnerstag den 20. Tag des Monats Februarii im Jahr der Ganden 1767.
Benennung der Erben. Der verstorbene H. Weeber seelig hat ab intestato ziu seinen Erben verlaßen, herach benamßte aus seiner mit der hinterbliebenen Frauen Wittib ehelich erzeugten: längst verstorbenen einzigen tochter entsproßene dreÿ Enkele als 1° Jgfr. Margaretham Magdalenam, 2.do Johann Gottfried, leediger Knöpffmachers Gesell, 3.tio Joh: Simon, primæ classis discipulum, Alle dreÿ Herrenschneidere, Weiland Frauen Margarethæ Magdalenæ Herrenschneiderin gebohrner Weberin seelig mit H. Johann Gottfried Herrenschneider, dem Knopffmacher, Seidenhändler und burgern allhier in deßen Erster Ehe erzielte, dermalen noch minderjährige Kinder, Vor welche H. Johann Michael Porst der buchbinder und burger hieslbst als dererselben geordnet und geschworener Vormund
(f° 10) Eigenthum ane einer Behausung. (E.) Neml. eine Behaußung samt allen deroselben Rechten, Zugehörden und Gerechtigkeiten allhier zu Straßburg ane dem Münster Platz auf der Gräth, einseith neben der Gast behausung zum Falcken Keller genannt, anderseith ein Eck ane der St. Urbans Gaß, hinten auf Meister Vix den Weißbeck stoßend, so freÿ, leedig und eigen. Und ist diese behaußung vermög beigebrachten Abschatzung zedels dedato 23.ten Januarii dieses Jahrs geschätzt und angeschlagen worden vor und um 500. lb. Darüber besagt ein in allhiesiger Cantzleÿ Contract: Stuben gefertigter Pergamentiner Kauffbrieff mit dero anhandendem Insigel verwahrt de dato 14.ten Xbris 1677 vermög deßen des Verstorbenen seel. beede Eltern, sothane behaußung von Johann Jacob Schell dem gewesenen beamten im Zollkeller käuflich an sich gebracht. Und ist dieselbe dem verstorbenen seel. am 13. Jan: 1731. beÿ vätterlicher Verlaßenschaffts abtheilung von deßen Geschwüsterden und Miterben eigenthümlich cedirt und überlaßen worden. So dann ist ferner darüber vorhanden zine in Löbl. gedachter Cantzleÿ Contract: Stub beschehene und auf Papier ausgefertigte Verschreibung d. d° 18.ten Aprilis 1763. vermög welcher Frau Catharina Barbara Büttnerin gebohrne Hartschmidtin dreÿ pfund Pfenning Erblehen Zinnßes, so ehemals auf dieser behaußung gehaftet, dem verstorbenen seel. um 80. lb Straßburger verkauft, cedirt und überlaßen hat, wodurch demnach das Dominium directum mit dem Dominio utili consolidirt und die behaußung von dem darauf gehafteten Erblehen-Last während dieses nun zertrennten Ehe befreÿt worden.
(f° 13) Ergäntzung, Nach Anleitung (…) durch weiland Hn Notarium Johann Jacob Oelinger am 5.ten 9.bris 1731. aufgerichteten Inventarii
(f° 18) Manuductio et Series rubricarum hujus Inventarii, Abschrift des von dem verstorbenen seeligen aufgerichteten Codicills – der Frauen Wittib Vermögenschaft, Sa. Haußraths 18, Sa. Silber geschmeids 2, Sa. Schuld 75, Sa. der Ergäntzung 161, Summa summarum 256 lb
das denen dreÿen Enkelen und Erben von dem verstorbenen als ihrem Groß-Vater seel. dermalen anerstorbenen Erb Guth beschrieben, Sa. haußraths 10, Sa. Eigenthums ane einer behaußung 500, Sa. der Ergäntzung -, Summa summarum 510 lb – Schulden 777 lb Nach deren Abzug Passiv onus 266 lb
die gemeinsam theilbare Nahrung und Verlassenschafft, Sa. Hausraths 47, Sa. Werckzeugs und Waar Zum Siebmacher Handwerck gehörig 14, Sa. Silbers 4, Sa. Goldener Ring 4, Sa. Pfenningzinß hauptgüter 300, Sa. Schuld 702, Summa summarum 1073 lb – Schulden 179 lb, Nach deren Abzug 894 lb
Conclusio finalis Inventarÿ 884 lb – Stall Summa dieses Inventarii 824 lb
(f° 23) Abschrift der Eheberedung (…) Actum donnerstags den 9. Augusti Anno 1731. Joh: Jacob Oelinger notarius jurats.
(f° 26) Abschrift des Codicills – Herr Simon Weber, Sippmacher und burger allhier (…) zu sich in seine ane dem Münster Plaz neben dem Falckenkeller gelegene behausung berufen, Erschienen, in der auf dem ersten Stock solcher behausung befindlichen Stuben, mit denen fenstern auf gedachten Münster: Plaz außsehend – Donnerstag den 8. februarii Anno 1766. – Johann Daniel Langheinrich, Nots. juratus
Les préposés de la Taille font figurer la succession dans leur registre parce que les impôts acquittés étaient calculés d’après une fortune sous-évaluée de 300 florins (150 livres) sur un total de 1 300 florins
1777 (30. Apr.), Livres de la Taille (VII 1180) f° 216
(Zimmerleuth N° 4064) Weÿl. Simon Weber gew. Sippmachers und Burgers allhier Verlaßenschafft invent. H. Not. Albert.
Concl. Inventarÿ Ist fol. 102. dedutis deducendis 824 lb 2 ß 7 d. die machen 1600. fl. Verstallte 1300 fl. Zu wenig 300 fl.
Wovon nachtrag 6 Jahr in duplo 6 Jahr a 18 ß – 5 lb 8 ß
und 4 Jahr in simplo – 1 lb 16 ß
Ext kein Stallgeldt
Geb – 2 ß 6 s
Abhandlug – 1 lb 10 ß 6 d, Summa 8 lb 17 ß
der Nachtrag auff die helffte moderirt restirt 5 lb 5 ß
dt. 7. Aprilis 1777.
Jean Geoffroi Herrenschneider devient tributaire au Miroir le 24 juillet 1753
1753, Protocole de la tribu du Miroir (XI 277)
(f° 150) Dienstags den 24. Julÿ 1753 – Neuzünfftiger
Johann Gottfried Herrenschneider der Knöpffmacher H. Johannes Herrenschneider des Knöpffmachers und Leib Zünfftigeb Ehel. Sohn ist Zufolg producirten Stallschein vom 14.ten Julÿ gegen erlag Ein Pfund Leib Zünfftig als Knöpffmacher auff und angenommen worden, ded. et prom. obed.
Fils de boutonnier, Jean Geoffroi Herrenschneider épouse en 1753 Marguerite Madeleine Weber : contrat de mariage, célébration
1753 (29.10), Not. Schweighaeuser (6 E 41, 565) n° 8
(Eheberedung) der Ehrengeachte und Großachtbahre Herr Johann Gottfried Herrenschneider, Leediger Knopffmacher, Seidenhändler und burger allhier, des wohl Edlen und Ehrengeachten herrn Johannes Herrenschneider Knopffmachers Seidenhändlers und b. allh. mit weÿl. fr. Eva Margaretha geb. Küchelin ehelich erzeugter Sohn als Hochzeiter ane einem
So dann die Ehren und tugendbegabte Jgfr. Margaretha Magdalena Weberin, des Ehren und Vorgeachten Hn Simon Weber, Sippmachers und burgers allhier mit der Ehren und tugendbegabten fr. Catharina Salome geb. Martinin ehelich erzeugte tochter als Jgfr. Hochzeiterin am andern theil – auf Montag den 29.ten Octobris a° 1753 [unterzeichnet] Johann Gottfried Herren schneider als hochzeiter, Johannes Heren Schneider als Vatter, Margatha Magdalena Weberin als hoch Zeiderin, Simon Weber als Vatter, Catharina Salome Weberin als mutter
Mariage, Temple-Neuf (luth. f° 319-b, n° 1176)
1753. Mittwoch d. 21. Nov seind nach ordentlicher proclamation ehelich copulirt und eingesegnet worden H Joh Gottfrid Herrenschneider lediger Knopffmacher H Joh Herrenschneiders Knopffmachers und Seyeden handlers auch b alh ehl Soh, und Jfr Margaretha Magdalena h Simon Webers b und Sippmachers allh ehl tochter [unterzeichnet] Johann Gottfried Herrenschneider als hochzeiter, Margatha Magdalena Weberin als hoch Zederin (i 325)
Les nouveaux mariés font dresser l’inventaire de leurs apports dans la maison qui appartient aux parents de l’épouse. Ceux du mari s’élèvent à 142 livres, ceux de la femme à 280 livres.
1753 (3.12.), Not. Schweighæuser (6 E 41, 548) n° 14
Inventarium über des Ehren und vorgeachten Herrn Johann Gottfried Herrenschneider Knopffmacher und Seidenhändlers, und der Ehren und Tugendbegabten Fr. Margarethæ Magdalenæ geb. Weberin beeder Eheleuthe und burgere allhier Zu Straßburg einander in den Ehestand zugebrachter Nahrungen, auffgerichtet in Anno 1753. – und vermög Ihrer vor mir Notario den 29. Octobris letsthin mit einander aufgerichteter Eheberedung §° 5.to Vor unverändert Vorbehalten haben (…) So Geschehen allhier Zu Straßburg in einer auf dem Münster: platz oben ane der St: Urbans gaß gelegenen, der Ehefrauen Eltern eigenthümlich zuständigen und von beeden jungen Eheleuthen bewohnenden behauß. in præsentia des Ehren und Wohlvorgeachten H. Johannes herrenschneider Knöpffmachers Seidenhändlers und burgers allhier als des Eheherrn leibl. Vatters auff deßelben und auff der Ehefr. seiten des auch Ehren und wohlvorgeachten herrn Simon Weber Sippmachers und burgers allh. der Ehren und tugendbegabten Fr. Catharinæ Salome Weberin geb. Martinin deroselben Geehrten Eltern, auf Montag den 3. Decembris A° 1753. Nachmittag
Series rubricarum hujus Inventarÿ. Des Ehemanns Zugebrachte guth, Sa. hausraths 26 lb, Sa. der wahren Zum Seidenhandel 50 lb, Sa. Silbers 1 lb, Summa summarum 78 lb – darzu gelegt deßen helffte ane denen haussteuren 64 lb, So bestehet des Ehemanns dermahlig. eigenthümlich in die Ehe gebracht Vermögen sammenthafft in 142 lb
Der Ehefrauen in die Ehe gebracht gut, Sa. hausraths 53 lb, Sa. Silbers 32 lb, Sa. Gold. ring 20 lb, Sa. der baarschafft 108 lb, Summa summarum 215 lb – darzu gelegt die Ihro der Ehefr. gebührigen helffte ane denen haussteuren 64 lb, So Ist Ihr der Ehefrauen dermahlen besitzendes und als unverändert in die Ehe gebrachtes Vermögen 280 lb
Marguerite Madeleine Weber meurt en 1760 en délaissant trois enfants. La masse propre aux héritiers s’élève à 436 livres. L’actif du mari et de la communauté est de 720 livres, le passif de 1 027 livres.
1761 (30.3.), Not. Albert (J. Georges, 6 E 41, 842) n° 22
Inventarium über Weÿland der Viel Ehren: und Tugendbegabten Fraun Margarethæ Magdalenæ Herrenscheiderin, gebohrner Weberin, des Ehren und Vorgeachten Herrn Johann Gottfried Herrenschneiders, Knopffmachers, Seidenhändlers und burgers allhier zu Straßburg im Leben gewesene Eheliebsten nunmehro seeligen Verlaßenschaft, auffgerichtet den 30° Marty Anno 1761. – nach ihrem den 15.den Septembris des nächst zurückgelegten 1760.sten Jahrs aus dießer Welt genommenen tödlichen Hintritt hier zeitlichen zurückgelaßen (…), nachdeme Vorhero (…) in der Sterb-haus befindlichen dienst: Magd, nahmens Annæ Mariæ Kriegerin von hier gebürtig, (geaigt und gezeigt) – So geschehen Allhier Zu Straßburg in einer ane dem Münster: platz oben ane der St. Urbans: gaß gelegenen, und dißorthiger Kinder und Erben Mütterlichen Groß Eltern eigenthümlich zuständigen behaußung Auf Montag den 30.ten Martÿ Anno 1761.
Benennung derer Erben. Die Verstorbene seelige hat ab intestato zu gleichen Portionen und Antheilern zu Erben hinterlaßen hernach benambste ihre dreÿ mit dero hinterbliebenen und eingangs gemeldten Herrn Wittiber ehelich erzielte minderjährige Kinder, als 1.mo Margaretham Magdalenam, so bald 5 jahr alt, 2.do Johann Gottfried, so ein und dreÿ viertel Jahr alt, 3.tio Johann Simon, so Sieben Monath alt, welche dreÿ minderjährige Kinder und Erben mit Herrn Johann Simon Weber, dem Sippmacher und Burgern allhier, als ihrem Mütterlichen Großvatter, bevögtiget seind
(f° 12-v) Werckzeug und Waaren Zur Knöpff: macher profession und Seidenhandel gehörig
(f° 12) Ergäntzung derer Kinder und Erben ermanglenden ohnveränderten Mütterlichen guthß, Nach Maaßgab der über beeder nun zertrennter Ehe: Personen zusammengebrachte Nahrung den 3.ten decembris A° 1753. durch Hn Notarium Johann Daniel Schwaighäuser aufgerichteten Inventarii
(f° 15) Manuductio et Series rubricarum hujus Inventarii, Abschrift der Eheberedung, Derer Kinder und Erben anerstorbenen Mütterlich Guth, Sa. Hausraths 91, Sa. Silbers 11, Sa. Goldener Ring 8, Sa. Schuld 100, Sa. Ergäntzung (227, abzug 1, restirt) 225, Summa summarum 436 lb
Dießemnach so wird auch die übrige Verlaßenschaft, und zwar des Herrn Wittibers ohnveränderte Nahrung und theilbare Verlaßenschaft zusammen ohne special Untersuchung unter einem titul beschrieben, Sa. Haußraths 25, Sa. Werckzeugs und Waaren Zur Knopffmacher profession und zum Seiden: handel gehörig 546, Sa. Silbers 9, Sa. Golden geschmeids 6, Sa. Baarschafft 32, Sa. Schulden 101, Summa summarum 720 lb – Schulden 1027 lb Passiv onus 306 lb
Stall Summa dieses Inventarii 130. lb
Abschrift der Eheberedung (…) auf Montag den 29.ten Octobris a° 1753, Johann Daniel Schweighäußer Notarius juratus publicus
Jean Geoffroi Herrenschneider se remarie en 1764 avec Catherine Marguerite Leonhard, fille du pasteur de Saint-Pierre-le-Vieux : contrat de mariage, célébration
1764 (26.5.), Not. Albert (Jean Georges 6 E 41, 849) n° 36
(Eheberedung) Herr Johann Gottfried Herrenschneider, der Seiden Händler, Wittiber und burger dahier als Hochzeiter ane einem,
und Jungfrau Catharina Margaretha Leonhardin, weiland Herrn M. Philipp Jacob Leonhards gewesenen Treu-eifrigen Pfarr Herrn beÿ der Evangelischen Kirche zum Alten St. Peter dahier längst seeligen, mit Frauen Anna Dorothea gebohrner Bärin ehelich erzeugt und nach tof gelaßene Tochter als Jungfrau Hochzeiterin ane dem andern theil
So geschehen und abgelesen in gegenwart S.T. Herrn Philipp Friedrich Leonhards wohlbestellten Abend- Prediger beÿ der Evangelischen Kirch zum alten St Peter dahier (…) Straßburg auf Sambstag den 26. tag des Monats May Im Jahr 1764. [unterzeichnet] Johan Gottfried Herrenschneider als Hochzeiter, Catharina Margaretha Leonhardin als Hochzeiterin, Anna Dorothea Leonhardin als Mutter, Simon Weber als schwiger Vatter
Mariage, Saint-Pierre-le-Vieux (luth.)
Im Jahr 1764 seind (…) den 13. Junii copulirt worden Herr Johann Gottfried Herrenschneider, wittwer, Knopffmacher und burger allhier und Jgfr: Catharina Margaretha weiland S.E. Herren Philipp Jacob Leonhards geweßenen treueÿfrigen Pfarrers beÿ dießer Gemeine zum Alten Sanct Peter mit Fr. Anna Dorothea gebohrner Bärin ehelich erzeugte Tochter [unterzeichnet] Johan Gottfried Herrenschneider als hochzeiter, Catharina Margaretha Leonhardin als hochzeiterin (i 154)
Proclamation Temple-Neuf (luth. f° 463)
Anno 1764. Dom: Exaudi und Festo Pentecostes als den 3.ten und 10. Junÿ wurden proclamirt H. Johann Gottfried Herrenschneider Seiden-Knopffmacher, Seidenhändler, wittwer und burger allhier, und Jgfr: Cathar: Margr: Leonhardin, weil H. M. Phil: Jacob Leonhards gewesenen Pastoris zum Alten St Peter und burgers allhier mit Frau Anna Dorothea gebohr. Bärin ehelich erzeugte Tochter. Sind den 13.ten Junÿ zum Alten St Peter allhier ehelich copulirt worden. Uxor I erat weil: Frau Margaretha Magdalena gebohr. Weberin so 1760. d 15 Sept: verstorben (i 467)
Les nouveaux mariés font dresser l’inventaire de leurs apports dans une maison rue du Maroquin. Ceux du mari s’élèvent à 579 livres, ceux de la femme à 163 livres.
1764 (11.12.), Not. Albert (Jean Georges 6 E 41, 843) n° 48
Inventarium über Herrn Johann Gottfried Herrenschneiders, des Seidenhändlers, und Frauen Catharinæ Magdalenæ gebohrner Leonhardin beeder Eheleuthe und burgere allhier zue Straßburg einander in den Ehestand zugebrachtes Vermögen und sich in conformitæt ihrer am 26.ten Maÿ dieses laufenden 1764. Jahres aufgerichteten Heurath: Verschreibung Vor eigen und ohnverändert vorbehalten haben.
So geschehen allhier zu gedachtem Straßburg, In einer an der St. Urbans gaß gelegener, von beeden Eheleuthen zum theil lehnungs: weis bewohnenden behaußung, In fernerer gegenwart Frauen Annæ Dorotheæ Leonhardin gebohrner Bärin, Wittib, der Ehefrauen Frauen Muter, wie auch H. Philipp Friderich Leonhards, wohlbestellten Abend: Prediger beÿ der Evangelischen Kirche Zum alten St. Peter dahier deroselben Herrn bruders und besonders hierzu genommenen beÿstands, auf dienstag Nahmittag den Eilften decembris Im Jaher 1764.
Derer dreÿen Kinder erster Ehe Pfetter,Göttel und geschenckt Geld betreffend, Margaretha Magdalena zuständig, Johann Gottfried gehörig, Johann Simon gebührig
Manuductio et Series rubricarum hujus Inventarii. Des Ehemanns eigenthümliches Vermögen, Sa. hausraths 158, Sa. Werckzeug Zur profession gehörig 7, Sa. Waaren Zur profession und zum Seidenhandel gehörig 878, Sa. Weins und leeren Faß 5, Sa. Silbers 27, Sa. Goldener Rings 2, Sa. Schulden 231, Summa summarum 1310 lb – Schulden 730 lb, Nach deren Abzug 579 lb
Der Ehefrauen in die Ehe gebrachtes Vermögen, Sa. Haußraths 122, Sa. Silbers 19, Sa. Goldener Ring 20, Summa summarum 163 lb
Recapitulatio, 742 lb – Haussteuren 14 lb
Jean Geoffroi Herrenschneider l’aîné meurt en 1810 en délaissant quatre enfants dont les trois aînés sont issus de Marguerite Madeleine Weber
1810 (20.8.), Strasbourg 3 (34), Not. Übersaal n° 1204, 5495
Inventaire de la succession de Jean Geoffroi Herrenschneider père, marchand de soie décédé le 26 juillet courant – à la requête de 1. Catherine Marguerite Léonhard la veuve, 2. Marguerite Madeleine Herrenschneider épouse de Jean Michel Geyler marchand passementier, 3. Jean Henri Hepp négociant fondé de pouvoir de Jean Géofroi Herrenschneider fils négociant, 4. Jean Simon Herrenschneider pasteur de la commune de Schiltigheim, 5. Marguerite Barbe Herrenschneider femme de Jean Frédéric Boeswillwald marchand passementier, procréés les trois premiers du mariage avec Marguerite Madeleine Weber et la De Boeswillwald avec la veuve
dans une maison rue Mercière n° 2 appartenant aux conjoints Boeswillwald
Contrat de mariage devant Albert notaire le 26 mai 1764
propres de la veuve : meubles apportés 194 fr, or 50 fr, créances 500 fr, Inventaire des apports remploi 1457 fr, bien propres 1701 fr
propres des héritiers, meubles 223 fr, argenterie 35 fr, linge 110 fr, remploi des propres 5750 fr, total 6119 fr, dettes 500 fr, reste 5619 fr
communauté, meubles 125 fr, argenterie 27 fr, meubles 27 fr, argenterie 6 fr, cuves 232 fr, numéraire 69 fr, créances 391 fr et prix de maison 14.812 fr
immeuble terres de Schnersheim 720 fr, total 16.410 fr, déduire 6857 fr, reste 9553 fr
Enregistrement, acp 115 F° 84 du 21.8.
Catherine Marguerite Leonhard meurt en 1811 en délaissant une fille
1811 (26.3.), Strasbourg 8 (1), Not. Roessel n° 118
Inventaire de la succession de Catherine Marguerite Leonhard veuve de Jean Geofroi Herrenschneider, marchand de soie, décédée le 10 janvier dernier – à la requête de Marguerite Barbe Herrenschneider épouse de Jean Frédéric Boeswillwald marchand passementier, fille unique héritière de la défunte
meubles 453 fr, tonneaux 175 fr, garde robe 45 fr, argenterie 60 fr, numéraire 394 fr, créances 5197 fr sur la maison vendue au Sr Boeswillawald rue Mercière n° 2 devant M° Übersaal le 22 juin 1809, terres à Schnersheim 600 fr, total des meubles 6753 fr, des immeubles 600 fr
(vente de meubles du 28.2. n° 82 devant la maison rue mercière n° 2)
Enregistrement, acp 116 F° 174-v du 29.3.
Catherine Salomé Martin meurt en 1783. La succession s’élève à 566 livres
1783 (16.6.), Not. Lung (6 E 41, 1524) n° 64
Inventarium über Weiland Fraun Catharinä Salome Weberin, gebohrner Martinin, auch weiland H. Simon Weber, gewesenen Siebmachers und Burgers alhier Zu Straßburg hinterbliebener Wittib nunmehr seel. Verlaßenschaft, auffgerichtet Anno 1783. – nach ihrem den 6. dieses laufenden Monats aus dieser Welt genommenen tödlichen Hintritt hier Zeitlichen verlaßen (…) So geschehen alhier Zu Straßburg auf Montag den 16. Junii Anno 1783.
Die Verstorbene seelig hat ab intestato zu Erben hinterlaßen, die aus ihrer längst verstorbenen eintzigen Tochter, weiland Frn. Margaretha Magdalena gebohrner Weberin entsproßene mit H. Joh. Gottfried Herrenschneider, dem Knopffmacher, Seidenhändler und Burger alhie, in deßen erster Ehe erzeugte Jungfer tochter und zween Söhne, als dißortige Enckel, benantlichen 1° Jungfrau Margaretha Magdalena Herrenschneiderin, so majorennis und beÿständlich erstgedachten ihres Herrn Vaters persönlich diesen Geschäfft Zugegen war, 2° H. Johann Gottfried Herrenschneider, der ledige Knopffmacher dahier, welcher in verfloßenem Monat Maÿ sein 23.tes Jahr zurückgelegt habe, daher sein Interesse selbsten hiebeÿ besorget hat, und 3° H. Mag. Johann Simon Herrenschneider S. S. Theologiæ Cultor, so 22 Jahr alt und ebenfalls in Person dieser Inventur abwarrtete, Alle dreÿ der Verstorbenen seel. ab intestato Zu dreÿen gleichlingen Antheilen hinterlaßene Erben.
In einer alhier Zu Straßburg ane dem Münster platz gelegenen und hernach beschriebenen Behausung befunden worden, wie folgt
Eigenthum ane einer Behausung. Näml. eine behausung samt allen deroselben Rechten und Zugehörden, alhier Zu Straßburg ane dem Münsterplatz auf der Gräth gelegen, eins. neben der ehemaligen Gastbehaußung zum Falckenkeller genannt anders. ein Eck ane dem St Urbansgaß, und hinten auf H. Dietsch den Färber und Bgr. alhier stoßend, so freÿ ledig und eigen. Solche Behausung wird auf die von den Wohlverordneten Hh. dreÿ Löbl. Stadt Stalls eingeholte Bewilligung um den nämlichen Preis, wie selbige vermög des über der Defunctæ Ehemann sel. Verlaßenschaft durch H. Notarium und Lt. Albert ausgefertigt. Inventarii den 23.ten Januarÿ A° 1777 durch die Hh. Werckleut dieser Stadt abgeschätzt worden, maßen keine baukösten seither daran verwendet worden, hier ausgeworfen mit 500 lb. Darüber besagt ein in alhies.C. C. Stb. gefertigter pergamenter Kaufbrief, mit dero anhangendem Insigel verwahrt de dato 14. Dec. 1677. vermög deßen gedachten verstorbenen Ehemanns und dißortigen Großvatters seel. beede Eltern, sothane behaußung käuflich an sich gebracht haben. Beÿ deßen Vaters Verlaßenschaft Abtheilung aber wurde dieselbe am 13. Januarii 1731. Ihme von seinen Geschwüsterden und Miterben eigenthümlich cedirt und überlassen. Sodann ist ferner darüber vorhanden, eine in ged. C. C. Stb. beschehene, auf Papier ausgefertigte Verschreibung d. d. 18. April. 1763. zufolg welcher Frau Cath. Barb. Büttnerin geb. Hartschmidin 3. lb. ewigen Geldes u. respe. Erblehenzinses, so ehemals auf dieser behausung gehaftet, dem verstorbenen H. Simon Weber, dißortigen Großvater seel. um 80 lb. d. Straßburger verkauft, cedirt und überlaßen hat, wodurch also das dominium directum mit den dominio utili consolidirt und die behausung von dem darauf gehafteten Erblehen befreÿet worden.
Series Rubricarum hujus Inventarii. Bericht wegen gegenwärtigem Inventario. Zufolg des durch weiland H Simon Weber, der Defunctæ gewesenen Ehemann seel. den 8. Febr. A° 1776. durch auch weil. H. Notario Langheinrich und fünff Zeügen auffgerichteten Codicilli hatte Zwar die Verstorbene seeL deßen samtliche Verlaßenschaft salva Legitma bis an ihr Lebens ende Wittums weiße Zu genießen, worüber auch den 18. Aprilis 1777. durch H Notarium Albert eine summarische Berechnung gefertiget, und derer dreÿ Enckel und Erben Legitima, dadurch regulirt, welche nach Inhalts des beÿ Löbl. Vogteÿgericht den 15. Maÿ drauffhin errichteten Kinervertrags deren Vater H. Joh: Gottfried Herrenschneider gegen derselben desto bester Alimentation und Education bis Zu eines jeden 20 jährigen Alter in Genuß übergeben worden, daher die samtliche Erben beÿ dieser Inventur declarirten, daß Sie nur nach das Großvätterliche Wittums guth an die Grosmütterliche Verlaßenschaft Zu forden haben, dieweilen aber solches gröstentheils in denen großvätterlichen Zween Tertzen an der hernach beschriebenen Behaußung bestehe und Sie an beeden großelterlichen Verlaßenschaften Zu gleichlingen Erbtheilen participiren, so wurde für unnöthig erachtet besagtes Wittums guth won großmütterlicher Verlaßenschafft abzusondern
Sa. hausraths 61, Sa. Silbers und dergleichen Geschmeids 4, Sa. goldenen Rings 1, Sa. Eigenthums ane einer behausung 500, Summa summarum 566 lb
(Lettre jointe) Erbach d. 27. sept. 1788, M Joh: Simon Herrenschneider Mitprediger und Corector Zu Erbach
Lors de la liquidation, Jean Geoffroi Herrenschneider rachète les parts de son frère et de sa sœur
1784 (30. 7.br), Not. Lung (6 E 41, 1524) Joint au 64 du 16 juin 1783
Abtheil: Außweiß: und Erörerung – Zuwißen seÿe hiemit, daß vor mit unterschriebenem geschwornem Notario Löbl. Stadt Straßburg, als zu weil. Fr. Catharinä Salome Weberin geb. Martinin, auch weil. H. Simon Weber, gewesenen Siebmachers und Burgers alhier hinterbliebener Wittib seel. Verlaßenschaft Geschäfft adhibirtem Inventir-Schreiber persönlich erschienen seind, Jungfrau Margaretha Magdalena Herrenschneiderin, so majorennis, beÿständlich H. Joh. Michael Geÿler, des Paßmentirers Seidenhändlers und Burgers alhier, wie auch H. M. Johann Simon Herrenschneider S.S. Theologiæ Cultor, welcher seine Majorennitæt noch nicht völlig erreicht hat, derowegen verspricht gegenwärtiges nach erlangtem 25. jährigem Alter Zu ratificiren, auch hiebeÿ unter Assistentz und garantie seines geliebten Vaters H. Joh. Gottfried Herrenschneider des Knopffmachers Seidenhändlers und burgers dahier agiret
diese haben in Gegensein ihres Bruders H. Johann Gottfried Herrenschneider, des ledigen Knopffmachers und Burgers dahier, so großjährig zu seÿn declarirte (…) cediren, abtretten und überlaßen
die Ihnen beeden Cedenten zu gleichen Antheilen eigenthümlich zuständige zween dritte Theil für unvertheilt ane einer Behausung, samt allen deroselben Zugehörden, Rechten und Gerechtigkeiten, alhier Zu Straßburg ane dem Münsterplatz auf der Gräth gelegen einseit neben der hernachbenamsten H. Johann Daniel Lung gehörigen ehemaligen Gastbehaußung zum alten Falckenkeller genannt, anderseit ist ein Eck ane dem St Urbansgaß ausmachend, und hinten auf H. Dietz dem Färber und Burger alhier stoßend, so außer denen Vingtiemes und Einquartierung gegen männiglich freÿ, ledig, eigen, und Sie die Cedenten von obgedachtem H. Simon Weber, ihrem Großvatter seel. zu zwo tertzen, Er der Cessionnarius aber zu einem tertz ererbt haben, auch beÿ vorgenannter ihrer Großmutter als Wittums nießerin, Verlaßenschafft Abtheilung gemeinschaftlich ausgesetzt geblieben ist – um 2100 Gulden hiesiger Währung, das ist die gantze behausung zu 3150 gulden gerechnet (…) So geschehen alhier Zu Straßburg auf Donnerstag de, 30. Septembris Anno 1784.
Jean Geoffroi Herrenschneider épouse en 1784 Marguerite Madeleine Lung, fille de boutonnier : contrat de mariage, célébration. Le père de la mariée qui a acquis par adjudication de la Ville l’auberge à la Cave au Faucon cède à son gendre et voisin la cave qui se trouve sous sa maison, d’une surface d’environ 18 pieds et demi sur 29 pieds, sous les réserves de l’adjudication. Le mur de séparation à construire sera commun entre les parties.
1784 (14. 8.br), Not. Lung (6 E 41, 1528) n° 49
Eheberedung – persönlich erschienen Hr Johann Gottfried Herrenschneider der ledige Knopffmacher Seidenhändler und burger alhier, H. Johann Gottfried Herrenschneider, auch Knopffmachers, Seidenhändlers und burgers dahier, mit weil. Fr. Margaretha Magdalena gebohrner Weberin ehelich erzeugte großjähriger Sohn, als Hochzeiterer ane einem,
So dann Margaretha Magdalena Lungin, H. Johann Daniel Lung, des Knopfmachers, Seidenhändlers und burgers hieselbst mit Fr. Maria Magdalena gebohrner Schulerin ehelich erzeugte Tochter, las hochzeiterin ane dem andern Theil
Sechstens, da der Jgfr. Hochzeiterin geliebter Vater obgedacht, die ehemalige Gastbehausung zum Alten Falkenkelller genannt, an sich ersteigert und Ihme den 30.ten Septembris jüngst in Löblicher Canzleÿ Contract: Stub eigenthümlich Zugeschrieben worden, auch Er der H. Hochzeiter das völlige Eigenthum der dabeÿ auf der Gräht ane dem Münsterplatz gelegenen mit seinen zweÿen Geschwistern gemeinschaftlich gehabten behaußung durch die den nämlichen Tag vor mir Notario passirte Erbs Cession erhalten hat, und aber diese beede Häußer dergestalten in einander gebauet, daß es für beÿde Theile Vortheilhafter wäre, solche soviel möglich von einander Zu separiren, Wozu Er der Jungfr. Hochzeiterin Hr Vater jedoch das meiste beÿzutragen hätte, und deßen auch in ansehung dieses Eheverspruchs Zum Nutzen der beeden künftigen Eheleuten erbietig ist, als gibt und überläßt Er herr Lung, der Vater, ihme dem H. Hochzeiter, seinen Erben und Nachkommen, den völligen unter sein des H. Hochzeiters behaußung befindlichen Keller, bis an die Maur welche solchen von dem hintern Keller des Falckenkellers unterscheidet und ist solcher Kellerplatz ohngefehr 18 ½ Schuh breit und ohngefehr 29. schuh tief, wovon Löbliche Stadt in denen Steig: Conditionen des Falckenkellers das vordere Theil soviel das Alignement gehet, ohngefehr 14. Schuh in der tiefe antreffend, sich eigenthümlich vorbehalten, und ihme Steigerer nur den Genuß davon gelaßen, solang bis Löbliche Stadt zur Execution des dasigen Alignement schreiten wird, da als dann dieser Platz der Flucht der neu Zuerbauenden Façade nach abgeschnitten und Zum Allmend gezogen werden solle, ohne daß der alsdannige Eigenthümer weder in ansehung der Zu machenden Veränderung noch sonsten einige Entschädigung zu fordern berechtiget, das hintere Theil berührten Kellerplatzes aber bis an besagte Scheidmaur, ohngefehr 15. Schuh tief, ist ihme Steigerer und dißorts Cedenten eigenthümlich gehörig,
Ferner cedirt Er Hr Lung Ihme H. Herrenschneider die ohnvertheilte Hälfte ane gedachter Separations: Maur von dem Fundament bis oben unter das darauf ruhende dach, jedoch mit dem Beding, daß Zwar Er Hr Herrenschneider solche Maur gemeinschafftlich nutzen, genießen und an dieselbe bauen könne, solche aber nicht ohne sein H. Lungen oder deßen Nachkommen Consens erhöhen oder verändern dörfe, Dagegen cedirt und überlaßt Er H. Herrenschneider ihme H. Lung, deßen Erben und Nachkommen, die Zu sein H. Herrenschneiders behaußung bisher gehörig gewesene: über erwehntem hintern Keller au Rez de chaussée befindliche stube, Zu einem freÿen Eigenthum, um darüber nach seinem belieben Zu disponiren. Welches alles Sie beede Theile einander Tauschweiß hiemit wircklich abtrette, jedem Theil jedoch der Genuß davon bis künftig Frühjahr, wie seither, ohngestört vorbehalten bleiben solle. Und weilen dasjenige, so Er Hr Lung ihme H. Herrenschneider hiedurch übergibt, den Werth der dagegen erhantenden Stube übertrift, so will Er solchen mehrern Werth demselbe als eine Schankung unter Lebendigen und Donationem propter nuptias auch in Consideration des hernach folgenden Artikels, hiemit freÿwillig und ohnwiderruftlich geschenckt und überlaßen haben
damit nun berührter Endzweck der Separation solcher beeder Häußer vollkommen erreicht werden möge, so wurde hiebeÿ ferner abgeredet, daß auf nächstkünftiges Frühjahr vorermelte Scheidmaur auf gemeinschaftliche Kösten wo nötig ausgemaurt und in gehörigen Stand gestellet, auf der Seithe aber zwischen sein H. Herrenschneiders Hauß und dem alten Falckenkeller, so weit als dieser auf die Gaß heraus gebauet werden wird, eine gemeinschaftliche Feurmaur, mit gehörigen blindlöchern versehen, von Grund aus aufgeführt, und diejenige Maur, so vor dem Falckenkeller oder künftiger neuen Façade deßelben heraus, an sein H. Herrenschneiders behaußung, in dem Keller unter seiner auf der Gräth stehenden eigenen Maur, annoch Zu Zu mauren oder Zu setzen seÿn wird, auf deßen alleinige Kösten gemacht werden solle, wann ihme H. Lung mit seiner behaußung auf solcher Seithe heraus zu fahren nicht erlaubt würde, im Fall Er aber solche Erlaubnus erhielte, mithin für ihn H. Herrenschneider nur ein kleines Plätzlein im Keller Zu Zu mauren verbleiben würde, so solle solches mit der übrigen gemeinschaftlichen Maur gemacht werden, und dagegen die hinter der neuen Façade über dem Keller befindliche Herrenschneiderische eigene Maur, gleich wie die im Keller gemeinschaftlich seÿn, also daß an solcher ganzen Maur in einem wie dem andern Fall dasjenige Theil, so vor die Façade des Falckenkellers herausgehen wird, von dem Fundement bis oben aus ihme H. Herrenschneider allein gehörig, das innere oder hinter der Façade befindliche Theil aber, nebst der daranstosenden hintern Scheidmaur, gemeinschaftlich seÿe. Und um ihme H. Herrenschneider diese baukösten Zu erleichtern so verspricht Er H. Lung dieselben für ihn auszulegen, worüber als dann eine Obligation in Löbl. Cantzleÿ Contarct: stub errichtet und deren betrag demselben durch H. Herrenschneider zu vier pro Cento verzinset werden solle – So geschehen alhier zu Straßburg auf Donnerstag den 14.den Octobris Anno 1784. [unterzeichnet] Johan Gottfried Herren schneider als Hochzeiter, Margaretha Magdalena Lungin als hochzeiterin
Mariage, Saint-Thomas (luth. f° 134-v, n° 268)
Im Jahr 1785 dienstag den ersten Feruarÿ sind (…) in den Stand der heilihen Ehe eingesegnet worden Herr Johann Gottfried Herrenschneider, der ledige Seiden knopffmacher und burger allhier, Herrn Johann Gottfried Herrenschneider, des Seiden knopffmachers und burgers allhier mit weiland Frau Margaretha Magdalena gebohrner Weberin ehelich erzeugter Sohn, und Jungfrau Margaretha Magdalena Lungin, Herrn Johann Daniel Lung des Seiden knopffmachers und burgers alhier mit frau Maria Magdalena gebohrner Schulerin ehelich erzeugte Tochter [unterzeichnet] Johann Gottfried Herrenschneider als Hochzeiter, Margaretha Magdalena Lungin als hochzeiterin
Proclamation, Temple-Neuf (luth. f° 169)
Anno Christi 1785 wurden in unsere Prediger-Kirch Dominicâ Quinquages. und Sexages. offentlich proclamirt, H. Johann Gottfriedt Herrenschneider, lediger Seiden Knöpffmacher und burger alhier, H. Johann Gottfriedt Herrenschneiders, Seidenhändlers, Knöpffmachers und burgers allhier ehl. erzeugter Sohn und Jgfr. Margaretha Magdalena Lungin Johann Daniel Lung, Seidenhändlers Knöpffmachers und burgers alhier, ehl. erzeugte Tochter. Diese Persohnen wurden acuh zu St. Thomæ copulirt (i 170)
Jean Geoffroi Herrenschneider devient tributaire au Miroir le 14 juin 1785
1785, Protocole de la tribu du Miroir (XI 280) a. Conseil
(f° 5) Dienstags, den 14. Junii 1785 – E. Leibzünfftiger
Joh: Gottfried Herrenschneider den jüngern des Johann Gottfried Herrenschneiders ältern diesorts leibzünftigen Knöpffmachers, ältern Sohn, 1. Ehe als Knopfm. auf vorgelegten Stallschein von gestern, gegen Erlag 4 lb 16 s Hat angelobet.
Les nouveaux mariés font dresser l’inventaire de leurs apports dans la maison qui appartient au mari. Ceux du mari s’élèvent à 1 646 livres, ceux de la femme à 1 898 livres.
1785 (11.8.), Not. Lung (6 E 41, 1525) n° 107
Inventarium über Herrn Johann Gottfried Herrenschneider, des Knopffmachers und Seidenhändlers, wie auch Fr. Margarethä Magdalenä gebohrner Lungin, beede Eheleute und Burgere alhier, einander für unverändert in die Ehe Zugebrachte Nahrungen, auffgerichtet Anno 1785. – in ihrem den 1. Februarÿ jüngst angetrettenen Ehesand Zugebracht und in der vor mir Notario den 14. Octobris A° 1784 gepflogenen Eheberedung §° 3° eigenthümlich vorbehalten haben (…) So geschehen alhier Zu Straßburg in einer ane dem Münsterplatz gelegenen dem Ehemann Zuständigen behaußung, in beÿsein deßen geehrten Vaters H. Joh: Gottfried Herren schneider, Knöpffmachers Seidenhädlers Ÿ Burgers alhier, wie auch H. Joh: Daniel Lung des ebenmäßigen Knöpffmachers, Seidenhädlers und hießigen burgers der Ehefraun geliebten Vaters, ams deroselben Beÿständtsn auf Donnerstag den 11. Augusti Anno 1785.
Eigenthum ane einer Behausung, so der Ehemann in die Ehe gebracht. Nämlich eine Behausung und Hofstatt samt allen deren Zugehörden, Rechten und Gerechtigkeiten, gelegen allhier Zu Straßburg, ane dem Münsterplatz auf der sogenannten Gräth, einseit neben der Eingangs gedachtem H. Joh. Daniel Lung Zuständigen ehemaligen Gastbehausung zum Falcken genannt, anderseit ein Eck an der St Urbansgaß ausmachend, und hinten auf H. Dietz den Färber und Burger alhier stoßend, so außer henrachgemelte Capitalien freÿ, ledig, eigen und auf eben den Fuß wie Er der Ehemann einen theil derselben käuflich ane sich gebracht hat, hier ohne præjudicirlich in Auswurf gebracht wird mit 3150 fl. Von solcher Behausung hat der Ehemann eine Tertz von seinem Großvater weil. H. Simon Weber, dem Siebmacher und burger dahier ererbt, die übrige zwo tertzen aber seind Ihme von deßen Geschwisterden durch die den 30. Septembris 1784. vor mir Notario passirte Erbscession überlassen worden.
Series Rubricarum hujus Inventarii. Des Ehemanns in die Ehe gebrachen Vermögens, Sa. hausraths 122, Sa. Waaren und Werckzeugs zur Knöpffmachers Profession gehörig 169, Sa. Silbers 61, Sa. goldener Ring 35, Sa. Eigenthums ane einer behausung 3150, Summa summarum 3538 fl. – Schulden 2100, Nach deren abzug 1438 fl. – deme beÿzurechnen deßen Hälfte ane der Haussteuren, antreffend 208, Des Ehemanns in die Ehe gebracht Guth 1646 fl.
Folgt nun auch doe Beschreibung der Ehefrauen in die Ehe gebrchten Guths, Sa. Hausraths 503, Sa. Silbers 56, Sa. goldener Ringe 69, Sa. Baarschaft 1060, Summa summarum 1690 lb – Wird nun auch hierzu gerechnet deroselben Hälfte ane den Haussteuren anlangend 208, der Ehefrau in die Ehe gebracht Guth 1898 fl.
(Verzeichnus Meiner Währn)
Jean Geoffroi Herrenschneider loue un étal devant sa maison au cordonnier Jean Daniel Dürr.
1786 (26.6.), Not. Laquiante (6 E 41, 1101) n° 53
Sr Jean Gottfried Herrenschneider Boutonnier, Bail de 18 années qui commencent à courir de ce jour
à Jean Daniel Dürr cordonnier
la Boutique dite Ständel qui se trouve devant sa maison sise dans la Rue de St Urbain de cette ville pour y débiter et vendre ses marchandises comme aussy le petit cabinet sous l’escalier dans l’entrée de ladite maison pour audit preneur servir de dépot pour ses marchandises tel qu’il l’occupe déjà présentement – moyennant un loyer annuel de 15 florins
Jean Geoffroi Herrenschneider loue une boutique au tamisier Jean Georges Dotzler
1788 (25.2.), Not. Laquiante (6 E 41, 1108) n° 51
Bail pour 18 années qui ont commencé à courir de ce jour – le Sr Godfroid Herrenschneider le jeune Mr boutonnier
au Sr Jean Georges Dotzler tamisier
Une boutique et une cave y attenante dans la maison qui appartient au Sr bailleur ladite maison située sur la place de la cathédrale au coin de la rue St Urbain – moyennant un loyer annuel de 48 livres
Suite aux délibérations consignées dans les registres des Préposés au bâtiment, les boutonniers Jean Daniel Lung et Jean Geoffroi Herrenschneider confirment que la Ville a accordé la propriété de la cave à titre précaire.
1790 (29.1.), Chambre des Contrats, vol. 664 n° 31
H. Johann Daniel Lung und H. Gottfried Herrenschneider beeden knopffmacher seidenhändler
in gegensein H. Johann Daniel Saum des handelsmanns als beÿsitzer löbl. Oberbauamts
daß die von ihnen vorgenommenen einschlagung des gewölbs und übrigen abänderung des kellers so sich unter der sogenannten Greth befindet und von dem alten Falckenkeller herrühret, von welchen sich löbl. Statt beÿ verkauffung des Falcken kellers in krafft Contract vom 30. sept. 1784, das eigenthum vorbehalten nur præcario seÿn sofort auff löbl. statt ersteren ansuchen all dießes dem hierbeÿ vorgelegten plan nach wider in den vorigen stand au stellen sich unverscheidentlich verbindlich machen, in recognitionem precarii 3 pfund
Jean Geoffroi Herrenschneider hypothèque la maison au profit de son beau-père Jean Daniel Lung l’aîné
1790 (16.3.), Chambre des Contrats, vol. 664 f° 80
H. Johann Gottfried Herrenschneider der junge Seiden knopffmacher
in gegensein H. Johann Daniel Lung des älteren seiden händlers seines Schwiegervatters – schuldig seÿen 1700 gulden zum hauptbau hiernach beschriebener behausung
unterpfand, angeregte ane dem Münsterplatz behausung samt zugehörden, einseit ist ein Eck ane der St Urbans gaß anderseit neben H. creditori
Marguerite Madeleine Lung veuve de Jean Geoffroi Herrenschneider meurt en 1834 en délaissant pour unique héritière sa fille Marguerite Madeleine femme de Jean Henri Hepp
1834 (7.6.), Strasbourg 9 (anc. cote 67), Me Hickel n° 4780
Liquidation et Partage – Marguerite Madeleine Lung veuve de Jean Geoffroi Herrenschneider, négociant et propriétaire, décédée à Schiltigheim le 9 décembre 1833 – à la requête de Marguerite Madeleine Herrenschneider épouse de Jean Henri Hepp, négociant, seule et unique héritière de son père
Contrat de mariage passé devant Lung notaire le 14 octobre 1784, communauté réduite aux acquets
communauté, maison à Schiltigheim – actif 6732 fr, passif, reprises idem
succession, art. 2, une maison avec appartenances & dépendances sise à Strasbourg place de la Cathédrale n° 1, d’un côté la propriété de Mde Hepp d’autre la rue du Maroquin derrière le Sr Grad boulanger, estimée à 14.000 francs, recueilli un tiers dans la succession de Simon Weber, tamisier son grand père maternel acquis deux tiers de ses frères et sœurs par acte devant Lung notaire le 30 septembre 1784
Total de l’actif 14.284 fr, passif 2172 francs
Enregistrement, acp 225 F° 91 du 9.6.
1839 (13.6.), Strasbourg 9 (75), Me Becker
Déclaration tenant lieu d’Inventaire – succession de Marguerite Madeleine Lung veuve de Jean Geoffroi Herrenschneider à Schiltigheim par Marguerite Madeleine Herrenschneider épouse de Jean Henri Hepp à Strasbourg
une maison dépendances à Schiltigheim
Enregistrement, acp 269 F° 46 du 18.6.
La maison revient à Marguerite Madeleine Herrenschneider qui épouse en 1803 le négociant Jean Henri Hepp
1803 (13 prairial 11), Strasbourg 10 (32), Not. Zimmer n° 296, 1605
Eheberedung – bürger Johann Heinrich Hepp, lediger handelsmann, bürgers Sixtus Hepp, Organisten allhier, mit fraun Anna geb. Diehl volljäriger sohn
So dann Jungfrau Margaretha Magdalena Herrenschneider, des bürgers Gottfried Herrenschneider, Poßmentirers, mit Fr. Margaretha Magdalena geb. Lung erzeugte tochter
Enregistrement, acp 88 f° 18-v du 15 pr. 11
Marguerite Madeleine Herrenschneider veuve de Jean Henri Hepp fait donation de ses biens à ses sept enfants. Les deux maisons contiguës place de la Cathédrale, l’une provenant de son père et l’autre, ancienne auberge à la Cave au Faucon, de sa mère, reviennent à Frédéric Théodore Hepp et à Henri Gustave Hepp.
1845 (6.11.), Strasbourg 8 (68), Me Zeyssolff n° 2911
Partage anticipé – De Marguerite Madeleine Herrenschneider veuve du Sr Jean Henri Hepp, vivant négociant à Strasbourg, Laquelle a déclaré faire donation entre vifs et irrévocable en toute propriété à titre de partage anticipé
A ses sept enfants ci après nommés issus de son mariage avec feu Mr son époux, savoir 1° Mr Frédéric Théodore Hepp, négociant, 2° Mr. Eugène Hepp, pharmacien à l’hôpital civil, 3° Mr Louis Emile Hepp, commis négociant, 4° Delle Henriette Julie Hepp, majeure, 5° Demme Sophie Emilie Hepp, majeure, Tous demeurant et domiciliés à Strasbourg, à ce présents et acceptants,
6° Mr. Charles Edouard Hepp, commis négociant, 7° Mr. Henri Gustave Hepp, négociant, ces deux derniers demeurant à Paris, pour lesquels acceptent & stipulent savoir (…)
A M. M. Frédéric Théodore Hepp & Henri Gustave Hepp, à chacun pour moitié et indivisément
I° Une maison avec cave, rez de chaussée surmonté de deux étages appartenances et dépendances, sise à Strasbourg place de la cathédrale N° 1 faisant le coin de la rue du maroquin, d’un côté ladite rue, de l’autre et par derrière la maison ci après décrite. II. Une autre maison connue sous la dénomination zum alten falckenkeller avec petite cour, puits, bâtiment latéral, droits, appartenances et dépendances située à côté de la précédente, portant le N° 2 bis, d’un côté la propriété de M. Lung, de l’autre la maison prédécrite, donnant par derrière sur la propriété du sieur Wilm, ledit bâtiment latéral donnant dans la rue du mariquin où il a une issue marquée du N° 2.
Pour la perception des droits d’enregistrement, ces maisons ont été évaluées à un revenu annuel de 3500 francs & en capital à 70.000 francs.
La donation des maisons a eu lieu aux charges, clauses et conditions suivantes (…) 4° Mme veuve Hepp se réserve la jouissance viagère et gratuite d’un logement dans lesdites maisons se composant : Du premier étage des deux maisons, du second étage de celle portant le N° 1, d’une chambre à linge sale, d’une cave, d’une chambre de domestique & d’un bûcher. 5° M. M. Frédéric Théodore Hepp & Henri Gustave Hepp serviront à Mme leur mère donatrice une rente annuelle & viagère de 2000 francs
Titres de propriété des maisons. Maison place de la Cathédrale N° 1. Elle est avenue à Mme Hepp dans la succession de feu Mr Jean Geofroi Herrenschneider son père, vivant négociant et propriétaire à Strasbourg, dont elle était seule et unique héritière, ainsi que le tout est constaté par la liquidation de ladite succession dressée par Me Hickel lors notaire à Strasbourg le 7 juin 1834. enregistrée. Cet immeuble avait fait partie des apports en mariage de M. Herrenschneider ainsi qu’il est à voir dans l’inventaire dressé par Me Lung lors notaire à Strasbourg en date en commencement du 11 août 1785.
Maison dite Falckenkeller, portant le N° 2.bis. Feu Mr Jean Daniel Lung père, vivant marchand de soie à Strasbourg en fit l’acquisition de la ville de Strasbourg suivant contrat passé à la ci devant Chambre des Contrats de cette ville le 30 septembre 1784. Cette acquisition fut faite pendant la communauté partageable des deux tiers en tiers qui a subsisté entre Mr Lung et De Marie Madeleine Schuler son épouse. Par conséquent Mr Lung en était propriétaire pour deux tiers & Mme son épouse pour un tiers. Par suite du décès de Mr Lung, les deux tiers qui lui avaient appartenu à ladite maison sont avenus à ses six enfants nommés 1° Mr Jean Daniel Lung, marchand de rubans, 2° De Christine Salomé Lung épouse du sieur André Multzer tapissier, 3° De Marie Elisabeth Lung épouse du sieur Jean Jacques Stamm, 4° De Sophie Frédérique Lung Veuve du sieur Charles Bahn, 5° De Christine Lung épouse de Mr Charles Louis Bucherer, marchand de vins, 6° Et De Marguerite Madeleine Lung épouse du sieur Jean Geofroi Herrenschneider propriétaire, tous de Strasbourg, lesquels six enfants possédaient chacun un neuvième ou 6/54. du dit immeuble.
Mme Veuve Lung, Mr Lung fils, les Dames Stamm, Bahn, Bucherer, Herrenschneider sont devenus propriétaire chacun d’un 54°, des 6/54 qui avaient appartenu à la femme Multzer suivant acte passé devant Me Zimmer le 21 août 1818. D’après ce qui précède, participaient alors à la propriété du dit immeuble, savoir Mme veuve Lung 1° comme ayant été commune en biens avec son époux défunt pour un tiers ou 18/54, 2° comme s’étant rendue acquéreuse sur sa fille la femme Multzer pour 1/54, ensemble 19/54,
Mr Lung fils 1° Comme héritier de son père pour 6/54, 2° Comme acquéreur sur la femme Multzer pour1/54, ensemble 7/54,
Mme Stamm pour autant, ci 7/54,
Mme Bahn pour autant, ci 7/54,
Mme Bucherer pour autant, ci 7/54,
Mme Herrenschneider pour autant, ci 7/54.
Mr Lung fils acquit de sa mère & de ses quatre sœurs leur part à la maison prédécrite en vertu 1° d’un contrat passé devant Me Zimmer le 24 juin 1817, 2° d’un contrat passé devant Me Hickel le 25 nov. 1822. Enfin mondit Sr Lung, De Anne Marie Lung son épouse ont vendu cette maison à Mr Hepp défunt à Mme sa veuve comparante, lesquels l’ont acquis au profit du survivant d’eux, suivant contrat dressé par Me Hickel le 28. nov. 1825. transcrit au bureau des hypothèques de cette ville le 6 décembre suivant volume 155 N° 17.
acp 343 (3 Q 30 058) f° 34
La Ville de Strasbourg loue au propriétaire Hepp un terrain communal devant sa maison
1846 (14.4.), Maire
Bail pour 18 ans du 1 juillet 1846 par la Ville de Strasbourg
au Sr Hopp propriétaire à Strasbourg
d’un terrain communal devant la maison du locataire place de la Cathédrale N° 1 moyennant un loyer annuel de 5 francs – approuvé le 13 juin
acp 349 (3 Q 30 064) f° 97 du 2.7.
Frédéric Théodore Hepp et Louise Amélie Lamp vendent au copropriétaire Henri Gustave Hepp, leur moitié des deux maisons
1852 (15.2.), Zeyssolff (minutes en déficit)
Vente par Frédéric Théodore Hepp, Négociant et Louise Amélie Lamp son épouse à Strasbourg
à Henri Gustave Hepp, négociant audit lieu
de la moitié indivise avec l’acquéreur propriétaire de l’autre moitié
1° d’une Maison sise à Strasbourg place de la Cathédrale N° 1
2° d’une autre maison adjacente à la première sous le N° 2 moyennant 35.000 francs
à compte de laquelle somme le Sr Théodore Hepp délègue l’acquéreur de payer en son acquit et décharge 1° à Eugène Hepp, pharmcien, 2) Louis Emile Hepp, commis négociant, 3° Henriette Julie Hepp, célibataire, 4° Sophie Emilie Hepp célibataire, et 5° Charles Edouard Hepp commis Négociant tous à Strasbourg la somme de 25.000 francs faisant la moitié de celle de 50.000 francs dont Marguerite Madeleine Herrenschneider veuve de Jean Henri Hepp vivant Négociant à Strasbourg a fait donation à ses enfants suivant partage anticipé reçu Zeyssolff Nre le 16 novembre 1845, par le même acte Md veuve Hepp donatrice s’est réservé la jouissance viagère de celle N° 1 et de lui servir une rente annuelle et viagère de 2000 francs
Pour la perception des droits d’enregistrement, le soussigné évalue le droit d’usufruit à un revenu anuel de 200 francs, en capital 2000 francs
acp 407 (3 Q 30 122) f° 41-v du 19.2.
Célibataire, Henri Gustave Hepp reconnaît en 1877 Marie Joséphine Four qui est née en 1862 de Louise Four, originaire de Liepvre.
1877, (25.1.), M° Loew
Anerkennung durch Heinrich Gustav Hepp, Kaufmann zu Straßburg, welcher hiemit anerkannt als seine natürliche Tochter Marie Josephine Four, geboren von Fr. Louise Four am 7. Mai 1862, und eingetragen in dem Register der Bürgermeisterei Straßburg als geboren von Fr. Louise Four und einem unbekannten Vater, Ferner gestattet er, daß das anerkannte Kind von heute an seinen Nahmen führe und Maria Josephine Hepp genannt werde
acp 660 (3 Q 30 375) f° 20-v du 26.1. n° 336
Registre de population 600 MW 232, Rue du Maroquin N° 1, folio 2 (i 4)
Fours, Marie Louise, 1827, Liepvre, Ht Rhin, d.tique Hepp, 21 juin 52, (carte de sûreté 3767, (auparavant) grand rue 7, (entrée) 7 7.bre 54, (sortie) 12 juillet, r. des tanneurs 7.
Registre de population, 600 MW 308
Hepp, Gustave, Strasbourg 15, Garçon, négociant, luthérien, français, dep. sa naiss.
(sur la même fiche, 5 demoiselles de comptoir, 2 servantes)
Place de la Cathédrale N. 3. puis 4
La Ville de Strasbourg acquiert le 21 novembre 1859 par expropriation forcée la maison pour en réunir le sol à la voie publique. Les maisons sont démolies en août 1860 d’après la cadastre et en octobre 1860 d’après le dessin portant estimation des maisons.
1860 (24.8.), M° Momy
Quittance par Henri Gustave Hepp, négociant à Strasbourg
à la Ville de Strasbourg
de la somme de 100.000 francs, du prix de la maison place de la Cathédrale N° 4 et rue du Maroquin N° 18 également expropriée pour cause d’utilité publique en vertu du même jugement (du tribunal civil de Strasbourgle 21 novembre 1859 et décision du jury du 6 juillet 1860)
acp 491 (3 Q 30 206) f° 40 du 3.9.
(Légende du dessin reproduit en haut de la notice, Musées de Strasbourg)
trois maisons faisant face à la place de la cathédrale, et situées entre la place du Château et la rue du Maroquin (ou de Saint Urbain, Kurbengas) et qui seront démolies en 1860. pour élargir l’avenue à la place du Chateau (relevé fait le Jeudi 10 mars 1859 à 2 h. de relevée
Le vendredi 6 juillet 1860, le jury d’expropriation avait à statuer sur le prix à accorder
1° la maison (ancienn. Lung) Christmann formant le coin vis à vis l’angle sud-ouest de la cathédrale
MM Buck et Matz, Nég. y établis (demande du propriétaire) 96.000
(offre de la ville) 55.000
(décision du jury) 73.000
pr. un bail pr. 9 ans (demande du propriétaire) 18
(offre de la ville) 9
(décision du jury) 14
2. Hepp (H. G.) au coin de la R. du marocain
(demande du propriétaire) 150.000
(offre de la ville) 60.000
(décision du jury) 100.000
3. Willm, boulanger rue du marocain adossé à la maison Hepp
(demande du propriétaire) 48.000
(offre de la ville) 25.000
(décision du jury) 34.000
Ces 3. maisons ont été demolies au mois d’octobre 1860