127, Grand rue
Grand Rue n° 127 – IV 311 (Blondel), N 954 puis section 60 parcelle 94 (cadastre)
Partie de l’actuel 24, rue Gutenberg et 21, rue des Francs-Bourgeois
Auberge aux Bâtons Royaux (1691-1701), café à la Reine de France (1776-1778)
Nouveau bâtiment sur les parcelles IV 311 et 323 en 1776, maître d’ouvrage Nicolas Huin, cafetier – maître maçon André Müller
Vers 1910, enseigne Gutenberg Bierquelle, Fontaine de bière Gutenberg. Un étage a été ajouté depuis 1830 (AMS cote 1 Fi 26 n° 17)
En 1913, après démolition des maisons côté ouest de la rue des Fribourgeois (AMS, cote 112 Z 7 – 1913-4)
Située à l’angle de la Grand rue et de la rue des Fribourgeois, la maison dont l’encorbellement fait vingt-neuf pieds et demi de long vers la Grand rue est inscrite au nom du revendeur Thomas Odino dans le Livre des communaux de 1587. Elle revient après plusieurs ventes successives à son gendre Elie Goll qui exploite les bains thermaux de Peterstal au-dessus d’Oberkirch comme son beau-père avant lui. Elle appartient de 1636 à 1691 aux fabricants de pâtés Nicolas Allheilig, venu de Lahr, puis à son fils Jean Adam Allheilig. Originaire de Paris, le traiteur français François Bellan l’acquiert et y établit l’auberge aux Bâtons Royaux. Il la revend en 1701 au monnayeur Benoît Charbonnier qui sollicite des exemptions auxquelles il n’a pas droit. Le compte rendu dressé en 1701 fait état de quatre poêles. La maison appartient ensuite aux fondeurs d’étain Jean Jacques Isenheim, Melchior Edel puis Henri Isenheim (1708-1746). D’après le plan-reflief de 1725, le bâtiment à deux étages a un pignon vers la rue des Fribourgeois. Le sellier Philippe Sauthier n’est pas autorisé à remplacer en 1746 les poutres de son encorbellement. Ses héritiers vendent la maison en 1775 au cafetier Nicolas Huin. Comme il n’est pas autorisé à reconstruire sa maison sur les anciennes fondations à cause du nouvel alignement, il achète la maison voisine rue des Fribourgeois, cède un terrain à la Ville en 1776 et charge le maître maçon André Müller de bâtir une maison neuve à deux étages surmontés d’un troisième étage mansardé. Le rez-de-chaussée vers la Grand rue a trois arcades, les appuis de fenêtre sont galbés au premier étage. Nicolas Huin y exploite le café à la Reine de France. Ses ayants-droit vendent la maison au charcutier Jean Georges Bernhard.
La maison forme l’angle droit en bas de l’image, Plan-relief de 1725 (Musée historique, cliché Thierry Hatt)
Extrait du plan Blondel. Les terrains à céder à la Ville sont en avant des lignes rouges (AMS, cote 1 PL 675)
Elévations préparatoires au plan-relief de 1830, îlot 151 (© Musée des Plans-relief) 1
L’Atlas des alignements (années 1820) signale un bâtiment à rez-de-chaussée et deux étages en maçonnerie vers la Grand rue et en bois vers la rue des Fribourgeois. Sur les élévations préparatoires au plan-relief de 1830, la façade se trouve de part et d’autre du repère (a). Sur la gauche, la façade rue des Fribourgeois a six fenêtres, une porte et trois autres fenêtres au rez-de-chaussée, dix fenêtres à chacun des deux étages, une toiture à deux étages de lucarnes. Sur la droite vers la Grand rue, le rez-de-chaussée a trois ouvertures en arcade et deux étages à trois fenêtres surmontés du pignon. La petite cour A montre l’arrière (4-1) de la façade ouest et l’arrière (3-4) de celle sur la Grand rue.
La maison porte d’abord le n° 149 de la Grand rue et le n° 6 de la rue des Fribourgeois (1784-1857) puis le n° 127 de la Grand rue et le n° 5 de la rue des Fribourgeois.
Cour A – Bâtiment actuel, septembre 2019
Les héritiers testamentaires du chanoine de Saint-Denis Joseph Philippe Sauthier vendent la maison au cafetier Jean Kœberlé. Le docteur en médecine Charles Frédéric Gross loue en 1862 le rez-de-chaussée au restaurateur Laurent Kelhetter. Le locataire Jean Geoffroi Johanny installe en 1873 une pharmacie qu’il cède en 1878 à Charles Emanuel Steiner. La Ville acquiert la maison en 1907 sous le couvert de la société immobilière dite Grunderwerbsgesellschaft. Le sol est réuni en 1931 à celui de la parcelle voisine. L’entrée rue des Francs-Bourgeois prend alors le n° 21. La maison est citée pour la dernière fois en 1933 dans le livre d’adresses. Le nouveau bâtiment porte depuis les années 1960 le n° 24 de la rue Gutenberg.
juillet 2021
Sommaire
Cadastre – Police du Bâtiment – Relevé d’actes
Récapitulatif des propriétaires
La liste ci-dessous donne tous les propriétaires de 1602 à 1952. La propriété change par vente (v), par héritage ou cession de parts (h) ou encore par adjudication (adj). L’étoile (*) signale une date approximative de mutation.
Thomas Odino, revendeur, et (v. 1570) Marguerite Bazoille | ||
Georges Genin de Sainte-Marie-aux-Mines | ||
1604 | v | Abraham Hendel, revendeur, et (1578) Esther Rosenhauer – luthériens |
1605 | v | Paul Mebwart, savonnier, et (1592) Odile Zoller – luthériens |
1611* | v | Elie Goll, marchand à Strasbourg et aubergiste à Bad Peterstal, et (1601) Marguerite Odino – luthériens |
1629 | v | Matthias Hügel, boulanger, et (1624) Catherine Schædler – luthériens |
1636 | v | Nicolas Allheilig, fabricant de pâtés, et (v. 1630) Ursule Probst – luthériens |
1656 | h | Jean Adam Allheilig, fabricant de pâtés, et (1658) Susanne Denninger – luthériens |
1691 | v | François Bellan, traiteur, et (v. 1680) Marguerite Le Moine – catholiques |
1701 | v | Benoît Charbonnier dit Chevalier, officier de la monnaie, et (v. 1685) Marguerite Genon – catholiques |
1708 | v | Jean Jacques Isenheim, fondeur d’étain, et (1703) Sara Schwartz – luthériens |
1709 | h | Melchior Edel, fondeur d’étain, et (1709) Sara Schwartz veuve de Jean Jacques Isenheim – luthériens |
1727 | adj | Jean Henri Isenheim, fondeur d’étain, et (1699) Marie Ursule Schaaff puis (1726) Susanne Salomé Schatz – luthériens |
1746 | v | Jean Philippe Sauthier, sellier, et (1736) Marie Barbe Prima – catholiques |
1775 | v | Jean Huin, cafetier, et (1772) Marguerite Marie Josèphe Scholl – catholiques |
1778 | h | Jacques Henri Burger, perruquier, et (1778) Marguerite Marie Josèphe Scholl veuve de Jean Huin puis (1784) Marie Salomé Walcker – couple mixte puis luthériens |
1788 | v | Jean Bernhard, charcutier, et (1777) Marie Françoise Christmann – catholiques |
1801 | v | Charles Paul Hirn, négociant, et (1800) Françoise Dangelo |
1805 | v | Joseph Philippe Sauthier, chanoine de Saint-Denis († 1830) |
1830 | v | Jean Kœberlé, cafetier, et (1826) Jeannette Meyer d’abord (1813) femme de l’ouvrier en tabac Antoine Wolff puis (1824) du garçon cafetier Jean Baptiste Pfrimmer |
1849 | v | Eugène Perrin, architecte et entrepreneur, célibataire († 1853), enfant avec Salomé Sophie Geiger |
1852 | v | Charles Frédéric Gross, docteur en médecine, et (1843) Sophie Salomé Stahl |
1863 | v | Simon Katz, négociant, et (1832) Anne May |
1885* | v | Louis Engelmann à Neustadt an der Haardt |
1894 | v | Baruch Wolff, négociant, et Barbe Weill |
1905 | v | Frédéric Zeiss, négociant |
1907 | v | société dite Grunderwerbsgesellschaft (société d’acquisitions foncières), puis Ville de Strasbourg |
Valeur de la maison selon les billets d’estimation : 1 350 livres en 1725, 1 150 livres en 1735, 2 070 livres en 1774, 2 400 livres en 1774 – Nouveau bâtiment, 2 500 livres en 1777
(1765, Liste Blondel) IV 311, Joseph Philippe Sautier
(Etat du développement des façades des maisons, AMS cote V 61) Burger, 15 toises, 4 pieds et 2 pouces
(1843, Tableau indicatif du cadastre) N 954, Koebelé (Koeberlé), Jean – maison, sol – 1,85 are
Locations
1689, François du Pré, confisseur et manant
1691, François Bellan, traiteur (ensuite propriétaire)
1699, Hyacinthe Lavalette, traiteur, et (1698) Chrétienne Rose Brion
1727, Jean Daniel Isenheim, fondeur d’étain
1745, André Crollat, boutonnier
1786, Jean Ehrlenholtz le jeune
1788, Antoine Laurent Schuhmacher, lustreur, et Catherine Keller
1805, Charles Léopold Chardoillet, receveur de la Loterie, et Marie Elisabeth Louise Dichat
1843, Willard le jeune, mercier
1861, Sébastien Erb
1862, Laurent Kelhetter, restaurateur
1873, Charles Geoffroi Johanny, pharmacien
1877, Charles Emmanuel Steiner, pharmacien
Livres des communaux
1587, Livre des communaux (VII 1450) f° 182-v
La maison face au poêle des Maréchaux appartient à Thomas Odino qui régle 14 sols 10 deniers. Elle a un encorbellement jusqu’à l’angle de la rue des Fribourgeois (29 pieds ½ de long, saillie de 3 pieds 10 pouces), plus haut une avance (29 pieds ½ de long, saillie de 9 pouces), un étal (10 pieds ½ de long, 2 pieds 4 pouces de large) un autre étal (10 pieds de long, 2 pieds 3 pouces de large)
Oberstraßen
Thoman Odino hatt vor seinem Hauß gegen d Schmidt Stuben Oben ein Vsstoß, Vnz das Eckh Freÿburger gaß xxix= schu lang, Vnd iij schu x Zoll herauß, Mehr oben ein Staucher xxix= schu lang, Vnd ix Zoll herauß, Ein Banckh x+ schu lang, Vnd ij schu iiij Zoll breit, Mehr j Banckh x schu lang, Vnd ij schu iiij Zoll breit, Bessert für das Niessen, xiiij ß x d
1587, Livre des communaux (VII 1450) f° 151-v
La maison à l’angle de la rue des Fribourgeois en allant vers la Monnaie appartient au revendeur français Thomas Odino qui règle 3 sols 10 deniers. Elle a un auvent (13 pieds de long, un pied et demi de saillie), une plate-forme dallée (3 pieds de long, 1 pied ½ de saillie), une cheminée (4 pieds de long, 1 pied ½ de saillie) et une marche dallée (5 pieds de long, 1 pied ½ de large)
Anderseits Freÿburger Gaß.
Thoman Odino der Welsch Grempp hatt vor seinem Hauß am Eckh freÿburger gaßen, gegen dem Müntzhoue Zu, Oben ein Wettertach 13 schu lang, vnd anderhalben schu herauß, Ein besezter steinerin Tritt 3 schu lang vnd 1 ½ schu herauß, Mehr ein angehenckht Kamin 4 schu lang, vnd 1 ½ schu herauß, Mehr ein besezte staffel v schu lang vnd 1 ½ schu breit, Bessert für d. Nießen, iij ß x d
Préposés au bâtiment (Bauherren)
1746, Préposés au bâtiment (VII 1402)
Les préposés vont voir la maison du sellier Philippe Sauthier qui demande l’autorisation de remplacer les poutres abîmées de son encorbellement. Ils ajournent leur décision.
(f° 75) Donnerstags 6. Octobris 1746 – Philippe Sautier
Augenschein eingenommen beÿ Philippe Sautier des sattlers hauß in der straß gegen der Schmidstub über, welches einen Überhang hat, daran Verschiedene balcken schadhafft, An deren statt er Neü einzuziehen willens und deßwegen Unterthänig um erlaubnus gebetten. Erkant Bedacht.
1775, Préposés au bâtiment (VII 1416)
Le maître maçon André Müller demande le 7 mars 1775 au nom du cafetier Nicolas Huin l’autorisation de renconstruire à neuf sa maison sur les anciennes fondations. Les préposés l’éconduisent en le renvoyant au nouvel alignement.
(f° 161-v) Dienstags den 7. Martii 1775 – Nicolas Huin
Andreas Müller, der Maurer Meister nôe. Nicolas Huin, des Caffée Sieders bittet zu erlauben deßen behausung in der Langenstras an der Freÿburger Gas auf das alte fundament neu aufzubauen. Erkannt, Seÿe der Implorant mit seinem begehren ab un an das alda adoptirte allignement zu verweisen.
1776, Préposés au bâtiment (VII 1417)
Le cafetier Nicolas Huin cède à la Ville un terrain de trois toises carrées moyennant 72 livres
(f° 89-v) Montags den 15. Julii 1776 – Nicolas Huin Caffetier
Idem [Hr. Streidbeck] trägt vor, daß Nicolas Huin, der Caffetier mit seiner ane der Langenstras gelegenen behaußung dem Allignement nach zur weichen mußte, so habe sich gemachter Außmeßung nach befunden, daß 3 Quadrat Klafter zum Allmend liegen geblieben so à 24 lb antreffen 72 lb. Erkannt, Seÿe Nicolas Huin 72 lb aus gemeiner Stadt Cassa zu bezalen.
Préposés aux feux (Feuerherren, 4 R 91)
1776. Le maître maçon Müller le jeune (André Müller) expose les travaux que le cafetier Nicolas Huin a l’intention de faire dans sa maison Grand rue : placer un poêle en fonte au rez-de-chaussée vers la rue des Fribourgeois, un fourneau dans la cuisine à l’arrière. Dans le bâtiment arrière à gauche de l’entrée une salle pourvue d’un poêle rond, à l’arrière une buanderie pourvue d’un chaudron. Au premier étage vers la Grand rue une salle pourvue d’un poêle en fonte. Dans le bâtiment arrière vers la rue une salle pourvue d’un poêle en fonte, à l’arrière une cuisine pourvue d’un fourneau. Au deuxième étage vers la rue à main droite une chambre pourvue d’une cheminée à la française, au même étage vers la rue des Fribourgeois une cuisine pourvue d’un fourneau, à l’avant une salle pourvue d’un poêle en fonte. Au même étage du bâtiment arrière une cuisine pourvue d’un fourneau. Au troisième étage dans la masarde du bâtiment arrière une cuisine pourvue d’un fourneau. Les préposés donnent leur accord à condition de déplacer d’un pied la hotte dans la cuisine au deuxième étage du bâtiment arrière.
(p. 391) Mittwochs den 26.ten Junii 1776 – Sieur Nicolas Huin der Caffe Sieder will in seiner in der Langen straß gelegenen Behaußung auf dem rez de Chausse gegen der freÿburger stub Gaß eine stub gegen der straß mit einem Runden gegossenen offen In welchen in der Hinten daran Befindlichen Kuchen eingefeuert wird machen, Hinten daran eine Kuchen mit Herd und Camin schoß das Rohr mitten durchs gebäu von allem Holtz entfernt.
in dem Hintergebäud Linckerhand neben dem eingang eine Stube mit einem Runden Offen das blechene Rohr In das Hinten daran befindliche Camin Rohr führen, hinten daran eine bauchküchen mit Herd, Bauch keßel und Camin schoß, das Rohr am Steinern gäbel Hienauf von allem Holtz entfernt.
Im ersten stock gegen der straß einen saal mit einem gegossenen Runden offen Hinten daran mit Vor Camin auf eingewölb wohl Verwahrt setzen.
Im Hinter gebäu gegen der gassen eine Stube mit einem gegossenen offen, das Blechene rohr in das hinten daran befindliche Camin Rohr samt einem vor Camin aus welchem in den offen gefeuert wird, Hinten an dieser Stub eine Kuchen mit Herd und Caminschoß das Rohr an steinern gäbel Hinauf von allem Holtz entfernt.
Iù Zweÿten stock gegen der straß Rechter hand ein Zimer mit Einem frantzösischen Camin auf einem gewölb, das Rohr am steinern gäbel hinauf von allem Holtz entfernt.
im nemlichen stock gegen der Freÿburgerstub gaß eine Kuche mit Herd und Caminschoß das Rohr mitten durchs gebäud von allem holtz entfernt vornen daran eine Stube mit einem gegoßenen Runden offen deßen Blechene Rohr in das Kuchen Camin geführt.
in dem hinterhauß im nemblichen stock eine Kuch mit Herd und Camin schoß das Rohr am steinern gäbel Hinauff von allem Holtz entfernt.
Im dritten stock in der Mansarde im Hinder gebäu eine Kuche mit Herd und Caminschoß das Rohr durchs dach hinauß von allem Holtz entfernt.
Erkand willfahrt, mit dem anhang das der Caminschoß in der im Zweiten stock im Hinterhauß befindlicher Kuchen um einem schuh weiter heraus gerucket werden solle – Mr Müller d. jung
Description de la maison
L’estimation de 1777 est celle de la nouvelle maison qui comprend deux anciennes
- 1725 (billet d’estimation traduit) La maison comprend plusieurs poêles, chambres, poêle pour l’officier, cuisines, atelier, four à fusion, chaudron, petite cave voûtée, petite cour, puits, estimée avec toutes appartenances et dépendances à la somme de 2 700 florins
- 1735 (billet d’estimation traduit) La maison comprend plusieurs poêles, chambres, cuisines, vestibule et cabinet, à l’étage un poêle, chambre, cuisine, vestibule pour l’officier, au rez-de-chaussée atelier de fondeur d’étain, salle de fusion, cabinet, petite cour, puits et cave voûtée, le tout estimé à la somme de 2 300 florins
- 1777 (billet d’estimation traduit) La maison comprend deux salles de billard, plusieurs poêles, cuisines et chambres, le comble est couvert de tuiles plates, la cave est en partie solivée et en partie voûtée, estimée avec le puits, la cour et autres appartenances et dépendances à la somme de 5 000 florins
Atlas des alignements (cote 1197 W 37)
2° arrondissement ou Canton nord – Grand’Rue (en partie)
nouveau N° / ancien N° : 26 / 149
Hirn
Rez de chaussée et 2 étages bons en maçonnerie
(Légende)
2° arrondissement ou Canton nord – Rue des Fribourgeois
nouveau N° / ancien N° : 2 / 6
porte de derrière du N° 149 grand’rue
Rez de chaussée en maçonnerie et 2 étages bons en bois
Cadastre
Cadastre napoléonien, registre 31 f° 277 case 3
Koeberlé Jean à Strasbourg
Perrin Eugène, architecte (susbtitution p. 1851)
Gross Charles Frédéric, medecin (1853)
N 954, maison, sol, grand’rue 149
Contenance : 1,85
Revenu total : 288,96 (288 et 0,96)
Ouvertures, portes cochères, charretières :
portes et fenêtres ordinaires : 46 / 37
fenêtres du 3° et au-dessus : 9 / 7
Cadastre napoléonien, registre 23 f° 895 case 1
Gross Charles Frédéric, medecin
1865 Katz, Simon, négociant
1885 Engelmann, Ludwig zu Neustadt a/ Hardt
1895/96 Wolf Baruch Kaufmann in Lingolsheim
1906 Zeiss, Friderich Kaufman hier
(ancien f° 643
N 954, Maison, sol, Grand rue 127
Contenance : 1,85
Revenu total : 288,96 (288 et 0,96)
Folio de provenance : (277)
Folio de destination : Gb
Ouvertures, portes cochères, charretières :
portes et fenêtres ordinaires : 46 / 37
fenêtres du 3° et au-dessus : 9 / 7
Cadastre allemand, registre 32 p. 401 case 3
Parcelle, section 60, n° 94 – autrefois N 954 / 1594
Canton : Langstrasse N° 127
Désignation : Hf, Whs
Contenance : 1,70
Revenu : 3400 / 4300
Remarques : B. V. 1908, 140 – 1931 d. c. 2 [section 60 n° 93, Langstrass Hs N° 129 puis Grand rue 127 et rue des Francs-Bourgeois N° 21]
(Propriétaire), compte 34
Strassburg die Gemeinde
1909 Gemeinde Strassburg / Ville de Strasbourg
(33)
1789, Etat des habitants (cote 5 R 26)
Canton IV, Rue 221 Grande Rue, Depuis le fossé des tanneurs jusqu’aux Petites Arcades (p. 204)
149
pr. Bernard, Jean, Charcoutier – Fribourg
loc. Hering, Ben. François, vitrier – Echasses
loc. Dela Porte, Empl. au Bureau de la Lott. – Privilégié
(délogé demeure actuellement dans le N° 146 d’autre part)
loc. Pellier, Joseph, Neg. – privilégie
loc. Heller, Jean, friseur de Dames – privilégié
Annuaire de 1905
Verzeichnis sämtlicher Häuser von Strassburg und ihrer Bewohner, in alphabetischer Reihenfolge der Strassennamen (Répertoire de toutes les maisons de Strasbourg et de leurs habitants, par ordre alphabétique des rues)
Abréviations : 0, 1,2, etc. : rez de chaussée, 1, 2° étage – E, Eigentümer (propriétaire) – H. Hinterhaus (bâtiment arrière)
Freiburgergasse (Seite 40)
(Haus Nr.) 5
Lehner, Spezereihdlg. 02
Hosse, Ausläufer. 0
Gress, Ausläufer. 1
Heitz, Kurzwarendllrn. 2
Trotz, Malermeister. 2
Guth, Schneiderm. 3
Horrenberger, Tagner . 3
Langstrasse (Seite 99)
(Haus Nr.) 127, s. Freiburgergasse 5
Annuaires 1931-1934
Annuaire 1931 – 127, Ville de Strasbourg – Werner Ina, tissus (p. 154, i 87)
Annuaire 1932 – 127, Ville de Strasbourg – Werner Ina, tissus (p. 154, i 88)
Annuaire 1933 – 127, Ville de Strasbourg – Werner Ina, tissus (p. 155, i 90)
Annuaire 1934 – (pas de 127, p. 184, i 100)
Grille d’enquête
(89)
Fragebogen
zur Feststellung der Altertümer in den für den Straßendurchbruch zum Abbruch bestimmten Häusern in Straßburg i. E. 1907
[Questionnaire destiné à répertorier les antiquités dans les maisons vouées à la démolition pour réaliser la percée, Strasbourg, 1907]
Anmerkung. Den aufzuführenden Gegenständen ist ein Vermerk der Erhaltung hinzuzufügen und zwar bedeutet
+ sofort zu entfernen, * dringend zu erhalten, o an Ort und Stelle zu erhalten.
Diejenige Gegenstände die sofort zu entfernen sind, sind umgehend dem Kaiserlichen Denkmal-Archiv mitzuteilen.
[Remarque. On joindra aux éléments à répertorier une mention relative à la conservation, à savoir : (+) à démonter immédiatement, (*) à conserver absolument, (o) à conserver sur place. Il faudra signaler au Service impérial des monuments historiques les éléments à démonter immédiatement]
Dessins, Ferrures de porte et Remarques
Haus Freiburgergasse 5 [Maison : 5, rue des Fribourgeois]
a) Geschichtliches : Hans von Dalheim Küffer do Claus von Barre sitzet. 1466, Thoman Odino der Welsch Gremp 1587, Ecl an der Oberstrasse. Zur grünen Linde. 1739. 1741. [Historique repris d’Adolphe Seyboth]
b) Zeitbestimmung : XVIII Jahrh. [Epoque, XVIII° siècle]
c) Zeicheriche Aufnahmen : [Relevés sous forme de dessin]
d) Photographische Aufnahmen : [Relevé photographique]
I. Das Äussere [Extérieur]
- 1. Ausführung der Fassade, Fachwerk, Sandstein etc. Erdgeschoss – in Stein, 3 Bogenstellungen. Oberstrasse Fenstergewände in Stein, Sohlbänke an Grundriss geschwungen. Flächen Putz
[Nature de la façade, pan de bois, pierre de taille, etc.] en pierre, trois arcades vers la Grand rue, encadrements de fenêtres en pierre, appuis galbés, surfaces crépies
II. Im Inneren [Intérieur]
- 7. Treppenhaus – Offene Treppe 4 Geschosse jetzt mit Glasdach
[Cage d’escalier] Cage d’escalier ouverte à quatre étages, aujourd’hui pourvue d’un toit vitré - 8. Treppengeländer- Balluster in Bretten geschnitten
[Balustrades d’escalier] Balustres en planches sculptées - 25. Türbeschläge – II. Stock 2 Bocksbänder
[Ferrures de porte] au 2° étage, deux (*)
Bemerkungen :
I Stock Wandplättchen i. d. Küche
2 1 flügel Pl* (2 Füllungen) mit gesch*ten Rahmen
Und g*st Eingangstüre * der Freiburgergasse gut erhalten
[Remarques –] au premier étage plaques murales dans la cuisine, portes du deuxième étage. La porte d’entrée rue des Fribourgeois est bien conservée
Dossier de la Police du Bâtiment (cote)
Relevé d’actes
Bains de Petersthal par Matthias Merian, 1644 (image Wikipedia)
La maison est inscrite en 1587 au nom du revendeur Thomas Odino. Il fait baptiser des enfants de sa femme Marguerite à Saint-Thomas à partir de 1574. Il est réputé avoir établi les bains thermaux de Peterstal au-dessus d’Oberkich en Bade (historique). Thomas Odino figure sur la liste des neuf maisons dans lesquelles auraient lieu des réunions de réformés français d’après les déclarations d’Abraham Held en 1585.
Baptême, Saint-Thomas (luth. f° 112, n° 532)
1574. Dominica Cantate. Thoman Ottiné, Margret, [Infans] Michel, [compatres] hans von Matzene, Heinrich Zorn, Margret Georg Meisner (i 114)
Baptême, Saint-Thomas (luth. f° 138 n° 642) 1575.Dominica Trinitatis. Thoman Ottina, Margret, [Infans] Israel, [compatres] H Philip Schmidt D Iohannes Gergorius hans Grapethen nachgelaßene wittwen (i 140)
Le revendeur Thomas Odino et sa femme Marguerite hypothèquent la maison au profit du tonnelier Blaise Leitersperger
1592 (vts. [v. Septemb.]), Chancellerie, vol. 281 (Registranda Kügler) f° 198
(Inchoat fo: 285) Erschienen Thoman Ottino Gremp burg. Zu Straßburg vnd Margred sein eheliche hußfr. Haben vnuer: bekhandt
Inn gegensein Hn Bläsin Leitterspergers Khüffs. burgs. Zu St. – schuldig sein 700 guldin zu 15 batz. gelühen gelts
soll Underpfand sein soll ein Huß, Hoffestatt Höfflin Brunnen vnd Keller mit Allen & geleg. Inn d. St. St. ane d. Obern Straßen vff einer seiten ein Eck ane Freÿburger gaßen, and.seit neben Hanß Grasecks des Puluermachers selig. erben stost hind. vff den Schuldbekhenner selbs, dauon gond. j lib v ß gelts Abloßig mit xxv lib. d. Florian Grafen burger Zu St. selig. Erben Sunst ledig eÿgen
Le revendeur Thomas Odino hypothèque la maison au profit de Raimbaut Meyer
1594 (15. Feb.), Chancellerie, vol. 290 (Imbreviaturæ Contractuum) f° 25-v
Schuldbekenntnus H Reinboldt Meÿers
Erschienen Thoman Odino d gremp
vnd hat In gegensein Reinboldt Meÿers des Rhath. – schuldig seÿe 25 Pfund pfenning
dafür zu Vnderpfand verlegt sein behausung alhie An d Obernstraß geleg. einseith an d. freÿburg. gaß and.seit neben herrn Heinrich Graseck hinden vf den Müntzhoff stoßend, dauon gohnd 8 fl. gelts Jhärlich vf Mathiæ Apli. losig mit 20 fl. St. W. sunst ledig vnd eig. Auch den Crediroren den Kauffbrieff vber diser behausung geben und Zugestelt
Vente de la maison voisine par Thomas Odino et sa femme Marguerite Bazoille
1596 (23 Julÿ), Chancellerie, vol. 302 (Imbreviaturæ Contractuum) f° 60-v
(Extendirt in Volumine Contractuum huius Anni fol. 144.) Erschienen Rheinhardt Grauiset aus befelch wie er sagte seines schwagers Thoman Odino und Margrethe Bazoille seiner ehelichen haußfrauwen Jetziger Zeit sich In St: Petersthal dem Saurprunnen verhaltend
Marguerite, veuve de Thomas Odino, hypothèque la maison au profit de Léonard Fischer, marchand à Francfort
1598 (vts [xi. Febr.]), Chancellerie, vol. 314 (Registranda Kügler) f° 54-v
(Inchoat. fo: 73.) Erschienen Margredt Wÿland Thoman Ottinots des handelsmans seligen wittwe Mit beÿstand herrn Blasÿ Leutterspergers Ires geschwornen Vogts So dann H Johann Schiller burg. vnd handelsman alhie geschworner Vogt obbemelts Thoman Ottinots seligen Kind. Mehr Thoman Ottino gartenman vnd Reychart Otino bemelten frauwen Shön
Hatt Inn gegensein h Leonhardt Vischers gewerbsmans von Franckfurt – schuldig seÿ 250 guldin Zu xv batze gelühens gelts
dafür Vnderpfand sein soll huß hoffstatt vnd höfflin, gelegen Inn s. St. Straßburg Inn d. Obern Straßen einseit ein eck an d. freÿburger gaßen, and.seit neben Michel Conrad stoßt hinden vff N Murer, Dauon gondt 25 guldin ablösig mit 500 guldin Straßburger dietterich dennis seligen erben, Mehr Zwen guldin gelts lösig mit 50 guldin sunst ledig eÿgen
Le batelier André Heinrich donne quittance aux héritiers de Thomas Odino, à savoir la veuve du marchand Thomas Odino (fils) remariée à Jean Solcourt, Marguerite Odino veuve d’Elie Goll et Elisabeth Odino femme du marchand Pierre de Barry.
1637 (67. Novemb:), Chambre des Contrats, vol. 478 f° 819
Erschienen Andreß Heinrich der Schiffmann alhie
hatt in gegensein weÿ: Thoman Odino geweßenen handelßmanns see. witiben, ietzigen Ehevogts Johann Solcourt deß handelßmanns, So dann sein Odino see. Erben mit namen H Johann Goll., Vorwegen seiner eheleiblich. Mueter Margretha Odinoin, weÿ: Eliæ Gollen see: witibin vnd Peter de Barÿ deß handelßmanns alß Ehevogts Elisabeth Odinoin bekant,
daß Er von denselben die 500. fl. hauptgut, welches Er Heinrich den 26. Junÿ A° 1629. v.mög der auch in der Contractstuben vfgerichteten Verschreibung von Margreth Fürffelderin Zu Basel erkaufft und H M. Emanuel Mendtel helffer Zu S. Wilhelm alhie, Alß weÿl. Mariæ Rothin der geschwornen hebammnen see: eintziger hind.laßener Sohn und Erb, von vf und abe seinem hauß alhie in Freÿburger gaß neben dem Müntzhoff gelegen, Järlich vff den ersten Januarÿ mit 25. fl. nach vßweisung der in alhieiger Cantzleÿ den 3. Januarÿ Anno 1586. vfgerichteten verschreibung zuuerzinsen schuldig (…)
Vber daß haben mehrerwehnte Odinoische in gegensein Mathiß Hügels deß weißbecken alhie bekannt, daß sie die behausung, so er Hügel vff Jüngst v.schienen weÿhenachten An Niclaus Allheÿligen den Pastetenbecken verkaufft, vnd auch neben vorgent. H M. Mendtels hauß für obberürt hauptgut und zinßhafft und und.pfandt gewesen, hiemit gäntzlich und allerdings entschlagen
Georges Genin de Sainte-Marie-aux-Mines vend en 1604 la maison à Abraham Hendel et à sa femme Esther Rosenhauer
1604 (7. Januarÿ), Chancellerie, vol. 350 (Registranda Kügler) f° 13
Erschienen Gorgus Gening burger Zu Marien Kirch hatt verkaufft
Abraham hendell v Ester Roßenhauwerin seiner ehelich. hußfr. Inen
huß hoffestatt v. hefflin m. all Ir gebeud geleh. Inn d. SS an d. Obern strass vff einseyt ein eck ane Freyburger gaß andersyt Heinrich graßecks selg. erb. stoßend hinden vff Mathÿs Rothen d. Murer, dauon gnd xv lb x ß gld. vff (-) losig mit ij C lb herr dietherich demanß selig erben, Mehr 5 pfd gls vff (-) widerkheuffig m. 1. C ld d herrn Johann leuwnio* Churfürstlichen pflch Rath, Mehr 1 lb v ß gelts vff (-) loßig m xxv lb d hans Mucke schloßer Sonst ledig eÿg. der khauff vber die solch beschwerd. für ij C xij lb x
Fils de maçon, le garçon batelier Abraham Hendel épouse en 1578 Esther, fille du peintre Michel Rosenhauer de Bâle
Mariage, Saint-Guillaume (luth. f° 99)
1578. Item [Am XIX Sontag die 5. octobris] Abraham Hendel ein schiffknecht weÿland * Hendels eines Maurers vnd burgers allhie nachgelaßener Sohne, dient bey einem Schiffman *att Daniel genant, Hester Roßenhawerin, weÿland Michel Roßenhawers eines Malers vnd burgers Zu Basel nachgelaßene tochter, ist bey *ein Vatter Mans Daniel. Sind mit angezeigt worden von Hanßen Merdlin einem Nadler vnd burger alhie in der selbigen nachpautschafft wonhafft der gibt Zeignuß das Kein irrung vnd Span da sein soll
[in margine :] cofirmatio facta die 30 Octobris
Le revendeur Abraham Hendel et sa femme Esther hypothèquent la maison au profit des enfants d’Antoine Mennel
1604 (vt spâ [xxviij Julÿ]), Chancellerie, vol. 350 (Registranda Kügler) f° 227
(Inchoat. fo: 239.) Erschienen Abraham Hendell der gremp v Ester sein eheliche hußfrauw
hab. in gegensein herrn Philips Mannen Schaffners alls geschwornen Vogts Emanuel Wÿland Anthoni Menels der Statt eanatzen* selig Sohn, Mit beÿstand v bewilligung Meyster Mathei Rothen Steinmetzen alls großvatter demselb. Emanuel vffrecht vnd redlicher schuld schuldig sein 100 guldin Zu xv batzen gelühen gelts
dafür Vnderpfand huß hoffestatt höfflin So* In pr: 1604 fo. 9 den v* eld v sind auch noch verhafftet für j C lxij lb x s Gorgus Gening burgern Zu Markirch
(Cassirt vonn wegen einer and. Verschreibung d xiiij Junÿ 1606)
[in margine :] Erschienen M Matheus Roth hatt in gegensein Abraham hendlers bekhant, weyl derselbig hie Ingeschribne vervnderpfande Behausung verkaufft das M Matheus Roth von Emanuel Mentels seines Enckels solcher behausung mit deren begriff vnd Zugehörd vonn den 100 guldin Schuldig freÿ Quirttire (…) den xviij Januarÿ A 1606.
Le contrôleur fait grief à Abraham Hendel d’étaler pêle-mêle des harengs saurs frais et de plus anciens. Abraham Hendel déclare les avoir achetés à Ulric Mürsel. L’amende qui lui est infligée est réduite.
1604, Protocole des Quinze (2 R 32)
Hanns Roppel contra Abraham Hendel. 20. Abraham Hendel. 21.
(f° 20) Mittwoch den 15. Februarÿ – Hanns Roppel contra Abraham Hendel.
Hannß Roppel gewesener gremp p. Schollern gepieten laßen Abraham Hendel, übergibt ein Underthenige suplôn so verlesen, darinn Clagt er weitleüffig, alß er sampt seinem mittschauwer über die gesaltzene Wahr beÿ Abraham Hendel seine wahr, ob sÿ frisch vnd Kauffmansgutt besichtiget vnd befunden das de alte bicking beÿ vnd neben den Neüwen feÿl hatt vnd verkaufft, vnd Ime beuohlen dieselben hienweg Zuthun vnd nicht mehr Zuverkauffen, das er Hendel daruff mit hochmütigen trutzig vnd ehrrürigen wortten Ihne vff de Fischmarckt angefahren vnd gesagt, hörstu Roppel wann du redest das Jetz Inn meinem hauß alte bicking habe, so leügtu Inn den halß hienein vnd redest nicht wie ein ehrlicher mann, mitt fernerem Vermelden, daß er den deren Ime seine wahren nehmen wollte, wohl sehen möchte, er wolle Ime der Bicking geben, das er daran ein weÿl Zu tauwen haben sollte & Bitt Ihle mitt ernst darumb anzusehen vnd seinem Verbrechen nach Zustraffen. & Hendel sagt er wölls verantwortten, so gutt er köne, seÿn gutte neuwe bickingh gewesen, hab sÿ beÿ H Ulrich Mörßeln erkaufft & er muß bekommen das sÿ mit wortten aneinander kommen, der Zorn hab Ihne überwunden, H. Mörsel sagt, hab er die bicking Inn seinem hauß gekaufft, so wüß ers nicht, wann aber das Wetter daruff schlecht, lauffen sÿ bald an. Er hab sonst kein alte bicking Inn seinem hauß gehabt, wie auch noch nicht.
Erkandt, Ime treuwe vffleg. daß er beÿ H Mürßeln die bicking erkauft, vnd soll er weg. seiner freuele wortt Inn dreÿen tag. 3. lb Zur straff erleg. auch dem Roppel den Uncosten wieder erstatten. B. q. Mr.
Abraham Hendel – Referiren sÿ haben Ime den bescheidt angezeigt, ob er könn treüw geben, hab er gesagt, das er gleichwol beÿ Israël Dahlstein auch vff ein hundert gekaufft die hab er noch dahien, wüß nicht ob sy undereinander kommen. & die straff haben sÿ Ime auch angezeigt vnd das er Roppeln den Costen erstatten solle, so begert er gnad. Erkandt Ime 30 ß abnehmen, vnd solle er Ime Roppeln den Costen abrichten. B. q. Mr.
Abraham Hendel et Ester Rosenhauer vendent la maison à Paul Mebwart et à sa femme Odile
1605 (xxj Nouem.), Chancellerie, vol. 357 (Registranda Kügler) f° 287-v
Erschienen Abraham Hindell der Gremp vnd Ester Roßenhauwerin sein eheliche haußfrauw haben unverscheidenlich verkaufft
Paulo Mebharten vnd Otilia seiner ehegemahln
Hauß, hoffestatt vnd höfflin mit allen andern Iren gebewen gelegen In der St: St: Inn der Oberstraßen, einseit ein Eck ane freÿburger gaß, anderseit Conradt Düllinger stost hinden vff Mathÿs Rothen den steinmetzen, Dauon gehndt 25 guldin Jährlich vff Johannis Baptistæ lößig mit 500 guldin Zu xv batzen Johann Dÿenaschten von Franckenthal, Item 10 guldin gelts Jährlich vff (-) D Leurnio* von heÿdelberg Churfürstlichen pfaltz Rath, lößig mit 200 guldin St. Wehrung, So dann Ein pfund 5 schilling Jährlich vff ablößig mit 25 lb Hanns Müller dem Schloßer vnnd sonst auch noch verhafftet für 325 guldin Zu xb batzen George Genning Zu Marien kirch Dazu 100 guldin vff Mariæ verkhündung Anno 606 (…) Sunst ledig eÿgen Der Khauff vber die beschwerden davon die Kheüffere gewÿsen vnd vber sich nemmen sollen, beschehen vmb 365 guldin Zu xv batzen
Paul Mebwart et sa femme Odile (Zoller) hypothèquent la maison au profit des enfants mineurs du soldat Philippe Weber. Odile Zeyssolff veuve de Charles Frédéric Zoller, bailli de Lichtenau en Bade, se porte garante de sa fille et de son gendre.
1606 (5. Februarÿ), Chancellerie, vol. 367 (Registranda Kügler) f° 33
(Inchoat. fo: 55.) Erschienen Paulus Mebhart vnd Fraw Otilien sein eheliche hußfr.
haben in gegensein herr Mathys Erb alls geschwornen vogts Margreden vnd Susannen geschwistern Philips Webers des Soldaten döchtern – schuldig sein 40 pfund pfenning Straßburger gelühens gelts
dafür Vnderpfand sein soll huß hoffestatt v hefflin mit all Ihren gebeud gelegen In der SS ane der obernstraß ist einseyt ein Eck ane Freyburger gaß, andersyt H Conrad Dyllinger stoßend hind. vff Matys Rothen Steinmetzen, davon gnd 25 guld gld ablosig m. 500 guld zu xv batz. H Johann Denois* burgern Zu Franckenthal, Mehr 10 guld. gelts loßig mit 200 guldin SW herrn Johann Leurnio* der Rechten doctor Churfürstlichem pfaltzgräffischen Rath, Item j lb v ß gelts losig mit xxv lb d hans Müller Schlossern v sind auch noch verhafftet für 325 pfund gelt zu xv batzen Gorges Gening burgern Zu Markirch So dann sind* 150 gulden vff Marien verkhundung Anno 1611 Zubezalen Sunst frey ledig eÿg.
Vnd Zu noch mehrer sicherheit Ist erschÿnen Frauw Otilien Zeyßolffen herrn Carle Friderich Zollers Amptschaffnern Zu lichtenaw selig witwe des Schuldbekhenners Schwÿg. v. Mutter Mit beÿstand h. hanns Jacob Bittman Irs geschwornen Vogt hatt sich für sich & mit sampt d. hauptschuldnern vnver: Zum Bürgen vnd schuldnern ernant
Le revendeur Paul Mebwart et Odile Zoller hypothèquent la maison au profit de leur belle-mère et mère respective Odile Zeyssolff veuve de Charles Frédéric Zoller, bailli de Lichtenau en Bade
1607 (j tag Maÿ), Chancellerie, vol. 370 (Registranda Meyger) f° 185
(Inchoat. in Proth. fol: 195.) Erschienen Paulus Mebert der Gremp burger Zu Straßburg vnnd Otilia Zollerin sein eheliche haußfrauw
Haben bekhandt vnd Inn gegenwärtig Kheit Otilia Zeÿsolffin wÿland Carle Friderich Zollers geweßenen Amptschaffners Zu Liechtenauw selig. witwen, Ihrer Schwÿger vnd Mutter Mit beÿstandt hannß Jacob Bettman des Notarÿ burgers Zu Straßburg Ihres geordnet vogts – schuldig sigen 787 pfund 14 schilling
Zum vnd.pfand Angeb. hauß, hoffestatt vnd hofflin mit Allen Ihren geb. geleg. In d. St. St. Ane d. obern strassen einsit ein Eckhauß Ane d. Freÿburg. gaß, vnd And.seit neb. Magistro Conradt Dilling. hind. vff Mathÿß Roth den Maurer stoßend, dauon xij lb x ß d gelts ablösig mit ij C L lb d Johann Dienast von Franckenthal, Item viij gl. gelts ablösig mit ij C gl werung H. Michell Leurnio Pfaltzgrävisch Rath Zu heÿdelberg, Item j lb v ß d gelts Lösig mit xx lb d hannß Müller dem schloßer, Mehr verhafftet für ein schuldt ij C Lxxv gl. zu zÿlen zu reich. Jörg Gruin* burg. Zu Mariakirh, Vnd dann für ein schuld L lb d Abraham hendell den grempen alhie, So dann noch für xlij lb d Mathÿß Erben dem weinsticher Alhie Sunst freÿ ledig vnd eÿg
Item ferner vnderpfand eingesetzt Sein des Bekhenners gebürende Antheil Ane der Verfangenschaft des wÿdem so Anna Geboldtin wÿland Michell Meberts selig witwe sein Mutter die Zeit Ihres lebens crafft vffgericht. Codicilli vnd Inventarÿ Zu nÿßen
(Ist cassirt prout in Scheda introfixa)
La maison revient ensuite à Elie Goll, natif de Colmar, qui épouse en 1601 Marguerite, fille de Thomas Odino (ancien propriétaire de la même maison) : contrat de mariage tel qu’il est copié à l’inventaire, célébration
Copeÿ der Eheberedung – Zwisch. dem Erenhafften vndt bescheidenen Heliæ Gollen Weÿland des Ernhafften vnd fürgeachten Hn Mathej Gollen gewesenen burg. vnd handelßmanns Zu Colmar seligen eheleiblichem Sohn an einem, Vnd der Ern vnd Tugendsamen Jungfrawen Margaretha auch weÿland Thomä Odino seligen gewesenen Burg. vnd handelßmann allhie ehelich hinderlaßener Tochter am andern theÿl (…) auff Ir der Jungkfrawen seÿtten herrn Blasium Leÿtterspergern handelßmann Ir der Jungkfr. unter geordneten vogt (…) Johann Saltzmann Rhatschteyber (s.d.)
Mariage, cathédrale (luth. p. 80)
1601. Den 1. Sontags post Epiphanias. Elias Gol von Colmar und Margretha Thomas Ottino sel. nach gelaßene dochter * den 19. Ianuarÿ (i 43)
Originaire de Colmar, le marchand Elie Goll devient bourgeois par sa femme, fille du marchand Thomas Odino. Il s’inscrit à la tribu des Fribourgeois.
1601, 2° Livre de bourgeoisie (4 R 104) p. 804
Elias Goll vonn Colmar der Handelsmann empfahet d. B. Vonn Margret Weÿland Thomen Odino deß Handelsmanns seligen dochter Will Zun freÿburgeren dienen Vnd Kein nahrung angeb. Act. 14. Januarÿ 1602.
Aubergiste à Peterstal et bourgeois de Strasbourg, Elie Goll hypothèque au profit des enfants d’André Reinbold sa maison à Strasbourg ainsi que l’auberge et les bains de Peterstal
1611 (ut spâ [xxviij tag Martÿ]), Chancellerie, vol. 396 (Registranda Meyger) f° 130-v
(Inchoat. in Proth. fol: 106.) Erschienen Elias Goll Gasthalter Inn Sant Peters thal burger Zu Straßburg
hatt bekhandt vndt In gegenwertigkheit herrn männiglich Mackg. burgers Zu Gerstbach Als geschwornenn Vormundes Euæ Margred. vnd Annen Marien wÿland h. Andreß Reimboldts selig. Khindern offentlich verÿehen – schuldig seÿe 1000 guldin p. 15. batz.
Zum vnd.pfd ein.stzt vnd v.lgt Als erstlich hauß, hoffestatt, höfflin vnd hind.hauß mit Allen Ihren geb. & geleg. In d. St. St. vff der obern straß, einsit ein Eckhauß Ane d. Freÿburg. gaß And.sit neb. Hannß Murern dem schreÿnern hind. vff N. N. stoßend Ist eÿg.
Item die herrberg vnd Bad Inn Sant Peters thal mit sampt scheuren, Ställen vnd Garttt. Auch Allen Ihren geb. & was darzu gehörig daselbß herumb geleg.
Elie Goll demande une réduction d’impôts en arguant qu’il est aussi imposé à Oberkirch. Les Conseillers et les Vingt-et-Un l’éconduisent.
1631 Conseillers et XXI (1 R 113)
(p. 300) Montag den 28.ten 9.bris 1631 – Elias Goll
Elias Goll d. Aeltter supplirt vmb etwas nachlaß an d. dreÿfach. schatzung, weil er auch Zu Oberkirch mit Schatzung hartt belegt. Erk. Abgeschlag. H. Bleß, H. Stör
L’inventaire des biens d’Elie Goll, bourgeois de Strasbourg et aubergiste aux bains de Peterstal, est dressé en 1635 après sa mort. Il délaisse trois fils, Elie, Jean et Abraham, issus de sa veuve Marguerite Odino. L’inventaire est dressé dans sa maison rue des Serruriers. La masse propre à la veuve est de 250 livres, la masse propre aux héritiers de 800 livres. L’actif de la communauté s’élève à 7 341 livres, le passif à 4 002 livres.
1635 (20.7.), Not. Oesinger (David, 37 Not 4) n° 17
Inventarium vnndt beschreibung Aller v. Jed. ligend. vndt fahrender Haab, Nahrung vndt Güthere, So weÿl. der Ehrenuest vndt vorgeachte H. Elias Goll d. ältere geweßener burg. alhier zu Straßb. vndt gasthalter In St: Peters thal Sauerbrunnen sehl. Nach seinem tödtlich. Abschiedt auß dißer weltt verlaßen, vndt vff beschehenes erfordern, ansuchen v. vornehmen H. Eliæ Gollen, des Jüngern burgers alhier, Johannis Gollen auch burgers daselbsten v. Lorentz Meÿers auch burgers vndt handelßmans allhier Zu Straßb. als geschwornen Vogts Abrahams Gollen, Aller dreÿ gebrüdere obgedachten verstorbenen H. sehl. mit hernach bemelter seiner hind.laßen fr. witwe Ehelich erzeügter dreÿer Söhn vndt rechtmäsig. ab intestato Erben fleißig ersucht, Inventirtn durch die Ehren vnd tugendreiche Fr. Margaretham Odino die Witib mit beÿstand deß Edlen Ehrenvesten v. hochgelehrten herren Johannis Knafelÿ JV Doctoris E. Ehrs. Groß. Rhts dißer der H. Reichß freÿen Statt Straßb. Wolbestelten Advocati vndt Procuratoris Ihres geordneten Curatoris (…) Bescheh. In Straßb. den 20. Julÿ Ao. 1635.
Inn Einer Behaußung In der Statt Straßburg Inn der Schloßergaßen gelegen So Inn diße Erbschafft gehörig vnd hernacher beschriben würdt, Ist befund. worden wie volgt
Auff der Obern büenen des Vord. stocks. Auff dem 2. bod. In d. Cammer A, In der Cammer B. Vor dißer Cammer, In dem Cämmerlin C, In der Vordern Wohnstuben, In der Stub Cammer, In dem Obern hauß Öhren. Inn der Kuchen, Inn der vndern Stuben Im vördern Stockh, Im vndern Cämmerlin ab d. Kuch.
Inn dem Hindern Stock Vff der Obern Büenen, Vff der Andern Bienen, In der Obern Hindern Stub, Inn der Stub Cammer, Vff dem Gang an dißer Cammer, Inn der hindersten Kamin Cammer, In dem Sommerhauß, In deù vndern Saam des hindern Stocks, Inn der vndersten Gerümpell Cammer, Im hoff, Im Keller
Eigenthumb ahne Häußern. 2 Behaußung j hinderer vnndt j vordere Inn der Schloßergaßen (…)
Liegende Güetter So Eigen. Erstlich hauß, hoff, hoffstatt, Scheür und Ställ sambt einem Trotthauß und 2. trotten, wie auch allen andern dero Zugehörd. rechten und gerechtigkeiten geleg. In der Statt Oberkirch hinder der Herberg Zum Guld. Löwen (…)
Vndt Erstlichen der Erben Unveränderten Guths, in die Ehe zugebracht 800 lb
Hernach Würdt auch der Fr. Wittiben unverändert Guth beschriben, Inhalt Eheberedt 250 lb
Sa. haußrhats 456, Sa. Lährer Vaßen 46, Sa. Silber geschirr und Geschmeids 244, Sa. Guldenen Ring 51, Sa. Baarschafft 109, Sa. Eigenthumbs ahne heußern und ligend. Güethern 3650, Sa. Schulden 2782, Summa summarum 7341 lb – Schulden 4002 lb Nach abzug 3328 lb – Summa finalis 4389 lb
Copeÿ der Eheberedung (…) Johann Saltzmann Rhatschteyber (s.d.)
Elie Goll vend la maison au farinier Matthias Hügel
1629 (26. Martÿ), Chambre des Contrats, vol. 464 f° 214
(Protocollat. fol. 38.) Erschienen herr Elias Goll burg. Zu St.
hatt in gegensein Mathiß Hügels deß Meelmanns auch burgs alhie (verkaufft)
hauß, hoffstat höflin mit allen & alhie an der Obern Straß neben hanß Jacob Isenheim dem Kannengüesser & ein Eck an der Freÿburger gassen hinden vff Maria Kolerin die hebammen stoßend geleg. dauon gehen Jarß vff Joh. Baptistæ 12. lb 10 ß d Zinß H Hanß Jacob Becken Raths. Verwanth Zu Basel in haupth. mit 250. lb abzulößen sonst eÿg. Vnd ist d. Kauff vber die beschwd., Zugangen per 715 pfund
[in margine :] Erschienen Margret Gollin mit beÿstand Ihres Sohns H. Gollen (…) Actum den 14. Januarÿ 1635.
Matthias Hügel achète en 1636 la maison voisine. Il vend à la fin de la même année son ancienne maison à Nicolas Allheilig et à sa femme Ursule qui n’auront pas le droit d’exploiter une boulangerie tant que le vendeur aura la sienne dans la maison voisine.
1636 (29. X.bris), Chambre des Contrats, vol. 475 f° 1027
(Protocollat. fol. 90.) Erschienen Mathiß Hügel der Weißbeck alhie
hat in gegenwärtigkeit Niclauß Allenheiligen deß Pastetenbecken auch burgers alhie und Ursulä seiner ehelichen haußfr. (verkaufft)
hauß, hoffstat und höfflin sambt dem Bronnen auch allen and. ihre gebäwen & ist einseit ein Eck an der Freÿburger gaß, anderseit neben dem v.käuffer selbsten, hinden vff H. M. Emanuel Mendel Helffer Zu S. Wilhelm alhie stoßendt, dauon gehen Jährlich vff Joh. Baptistæ 12. lb 10. ß Zinß Helenæ Düenastin weÿl. N.N. see. Zur Basel nachgelaßener Wittiben in Hauptgut mit 250. lb abzulösen, Vnd ob wohl solches hauß noch vmb 400. fl. weÿl. Eliæ Gollen see: Wittib und Erben v.hafftet, So hat doch der Verkäuffer solche vff ihme behalten (…) Über die düenastische beschwerdt der 250. lb so die Käuffere vff sich genommen geschehen für und umb 700. lb
Darbeÿ außtruckenlich abgeredt und Ihnen den Käuffern angedingt word., daß Sie so lang sein v.käuffers behaußung Ein Beckenhauß Verbleiben Würdt, dißes ietzerkauffte Hauß darzukommen zu laß. nit macht haben sollen
Originaire de Lahr, le fabricant de pâtés Nicolas Allheilig et sa femme achètent le droit de bourgeoisie le 2 juillet 1636 en s’inscrivant à la tribu des Boulangers. Ils apportent deux fils, Alexandre et Jean Adolphe
1636, 3° Livre de bourgeoisie (4 R 105) p. 865
Niclauß Allheiligen der Pastetenbeckh von Lahr erkaufft d. Burgerrecht für sich sein Haußfrauw vnd seine Zweÿ in letzterer Ehe erzielter Kinder Alexandri vnd Hanß Adolff vm 20 gold. fl. würd Zu Becken dienen Jur: d. 2. Junÿ 1636.
Les frères Nicolas et Philippe Allheilig, tous deux fabricants de pâtés, donnent à leur frère Jean Adam Allheilig, aussi fabricant de pâtés, quittance du prix de la maison provenant de leurs père et mère.
1658 (29. Maÿ), Chambre des Contrats, vol. 523 f° 227-v
Erschienen Niclaus und Philipß die Allheilig Gebrüd. und Pastetenbeckhen
in gegensein hannß Adam Allheilig. deß Pastetenbeckh., ihres Bruders, mit beÿstand H Niclaus Reben, Notarÿ, seines noch ohnentledigten. Vogts
bekannt, daß Sie Niclaus und Philipß die ienige 166. lb 10. ß 4 d welche besagter hannß Adam Ihnen weg. der in vertheilung sein hannß Adamns vätter: und müterlich. Verlassenschafft angenohmener alhie an der obern Straß: geg. der Schmid zunfftstuben gelegener Pastetenbeckhen behaußung, über die darauff hafftende Beschwärdten, zu ihrem rato herauß schuldig verblieben seÿe, Ir genüeg. empfangen haben, dafür bester form rechtes quittirend
Fils de Nicolas Allheilig et d’Ursule Probst, Jean Adam Allheilig épouse en 1658 Susanne, fille du marchand de vins Georges Denninger et de sa femme Elisabeth Schad : contrat de mariage tel qu’il est copié à l’inventaire, célébration
Eheberedungs Copia – Zwischen dem Ehrsam und Bescheidenen Johann Adam Allheÿlihen dem noch Leedigen Pastetenbecken und burgern Zu Strb. weÿland des Achtbahr und bescheidenen Nicolai Allheiligs auch geweßenen Pastetenbecken und der Ehren und Tugendsamen Frawen Ursulæ Pröbstin, beeder Ehegemächt und burgere Zu gerührtem Strb. seel. hinderbliebenem eheleiblichem Sohn, alß dem Bräuthigamb ane einem, So dann der Ehren: Züchtigen und Tugendsahmen Jungfrawen Susanna, des Ehrenhafft und vorgeachten Herrn Georg Denningers Weinhändlers und Burgers Zu Strb. in erster Ehe mit weÿland der Ehren Vnd tugendsamen frawen Elisabetha Schadin die seel. erzeugten tochter alß der Hochzeiterin am andern theil (…) Beschehen vnd verhandelt in der heÿligen Reichs freÿen Statt Straßburg Dienstags den 23. Martÿ in dem Jahr alß man von Unßers herr einigen Erlößers und Seeligmachers Jesu Christi Geburth Zahlte 1658. [unterzeichnet] Nicolaus Reeb Nots. des hochzeiters Vogt, Ich Hannß Fronhöffer alß des H Hochzeithers schwager, Johannes Völck als des Hochzeithers Schwager
Mariage, Saint-Pierre-le-Vieux (luth. f° 120, n° 19)
1658. Dnca Cantate 9 maii. Hanß Adam Allheÿlig der Pastetenbeck Niclauß Allheÿlig des Pastetenbecken nachgel. ehelicher Son, J. Susanna H. Görg Denninger deß Weinhändlers ehel. Tochter. Mont. 17. ejus (i 121, Proclamation Saint-Pierre-le-Jeune f° 93 n° 14, i 104)
Le fabricant de pâtés Alexandre Allheilig donne aussi quittance à son frère Jean Adam Allheilig
1659 (17. Dec.), Chambre des Contrats, vol. 524 f° 912
Erschienen Alexander Allheilig der Pastetenbeckh
in gegensein Hannß Adam Allheiligs des Pastetenbeckhen, seines eheleiblichen Bruders
bekannt, daß Er, Von demselben, die jenige 125. lb. welche besagter Hannß Adam, Ihme Alexandern, Wegen der, in Vertheilung ihrer Mutter sel. Verlassenschafft, angenohmener, Alhie an der Obern Straßen gegen der Schmid Zunfft Stuben gelegener Pastetenbeckhen Behaußung, über die darauff hafftende Beschwerdte Zu deßen rato herauß schuldig Verblieben seÿe, Zugenügen empfangen habe
Jean Adam Allheilig hypothèque la maison au profit de Jean Philippe Kast, docteur en droit et assesseur au Petit Sénat, pour pouvoir rembourser son frère Alexandre. En marge, quittance remise en 1721 à Sara Schwartz femme de Melchior Edel puis en 1727 à Jean Henri Isenheim
1659 (17. Dec.), Chambre des Contrats, vol. 524 f° 911
Erschienen Hannß Adam Allheilig der Pastetenbeckh mit beÿstand H Nicolai Reben deß Notarÿ seines noch ohnentledigten Vogts, Wie auch Alexander Allheiligs deß Pastetenbeckhen seines eheleiblichen Bruders
in gegensein deß Edel, Hochgelehrten H. Johann Philipß Kasten U.J.D. und E: E: Kleinen Rhats actuarÿ et Referentis – schuldig seÿen 100 Pfund,
daß Er damit obgemelten Allexander Allheilig. seinen Brudern, umb die jenige 125. lb. so Er demselben weg. annehmung der alhie in der Obern Straß. an der freÿburger gaßen gelegenen Pastetenbeckhen Behaußung Zuthun ist, bezahlen möge, (…) Dafür dann die obgemelte Pastetenbeckhen Behaußung, so zu Vor noch umb 250. lb Fr Helenæ Dienastin Zu Basel seel. Erben, sodann umb 25. lb. Ursulæ Hannß Fronhöffers Gastgeben Zum Weinstockh ehelicher Haußfrawen v.hafftet
[in margine :] Erschienen H Johann Ludwig Städel J.V.D. und Fiscalis, hat in gegensein Saræ gebohrner Schwartzin, Melchior Edels des Zinngießers ehefrauen, als proprietariæ hierin hypothecirt und beschriebener behaußung, mithin debitrices (…) Actum d. 13. 9.bris 1721.
[in margine :] (…) in gegensein H Johann Heinrich Isenheim, Zinngießers als Käuffers hier Verpfändet: und beschriebener Behaußung (quittung) actum den 30. Januarÿ 1727
Le fabricant de pâtés Jean Adam Allheilig loue la maison au confisseur et manant François du Pré
1689 (16. 7.br), Chambre des Contrats, vol. 560 f° 458-v
Jean Adam Allheilig, maistre Pasticier et bourgeois de cette ville
bail à François du Pré, confisseur et manant de cette ville (signé) françois Dupré
Une Maison avec tous ses appartements et commodité scitiée dans la grande rüe faisant d’un coté le coin a la rue appelée Freÿburger gaß, d’autre à Jean Ulric Goll, hoste au Corveau, sans en rien reserver ny excepter, Ce présent bail fait pour deux années à commencer à la Sr Michel qui vient, moyennant la somme de 80 florins par an
Jean Adam Allheilig meurt en mai 1714 en délaissant cinq enfants. L’inventaire est dressé dans leur maison Grand rue près de l’église Saint-Pierre-le-Vieux. L’actif de la succession s’élève à 2034 livres, le passif à 138 livres
1714 (19.7.), Not. Rohr (Daniel, 46 Not 35) n° 1198
Inventarium und Beschreibung aller derjenigen Haab, Nahrung und Güthere, Liegender und Vahrender Keinerleÿ davon außgeschloßen, so weÿland der Ehren und vorgeachte Herr Johann Adam Allheÿlig der ältere geweßene Pastetenbeck und burger allhier nunmehr seel. nach seinem den 29.t Maÿ instehenden 1714. Jahrs aus dießer welt genommenen tödlichen Ableiben Zeitlichen verlaßen, Welche Verlaßenschafft auf freundliches ansuchen erfordern und begehren des abgeleibten herrn seeligen sowohl ab intestato alß per Testamentum nachgelaßene Erben (…), durch die Viel Ehren und tugendreiche fraw Susannam gebohrne Thenningerin die hinterbliebene Wittib beÿständlich des Ehren Vesten fürsichtig vnd weißen herrn Johann Martin Rueger Schuhmacher v. E. E. Kleinen Raths alten wohlmeritirten beÿsitzer, burgers allhier, Ihres geordneten herrn Curatoris (…) So geschehen allhier in der Königlichen freÿen St. Str. Donnerstags den 19. Julÿ A° 1714.
Der nun in Gott seelig ruhende Herr hat sowoh ab intestato alß per Testamentum Zu Erben Verlaßen wie Volgt 1. den Ehren und Vorachtbahren H Johann Friderich Allheÿlig Pastetenbeck und burger, allhier Zu Straßburg, so auch in Persohn dem geschäfft abgewarthet, 2. Susannam Meÿelin gebohrne Allheÿligin Johann Daniel Meÿels des gewesenen Würths auff E. E. Zunfftstub der Maurer und burgers allhier haußfrauw, welche aber von allhießiger gnädiger hohen Obrig Keit von hier relegirt worden, dahero in Ihrem Nahmen den Ehrenvest fürsichtig und weiße Herr Lucas Schaaff, Schneider und E. E. Kleinen Raths wohlverdienter Beÿsitzer alß auß wohlermeltem Rathsmittel Zu dießem geschäfft insonderheit deputirt, beÿ gegenwärtiger Inventation persönlich Zugegen geweßt.
3. den Ehrenachtbahren H Johann Adam Allheÿlig ebenmäßigen Pastetenbeck und burgern allhier, so auch præsens war, 4. die Ehren und Tugendsahme fraw Mariam Margaretham Frantzin gebohrne Allheÿligin, des Ehren und wohlvorgeachten herrn Johann Jacob Frantzen gastgebers Zum Hirschen undt burgers allhier Eheliebste, welche auch beneben ersternanntem Ihrem Eheherrn der Inventur in Persohn selbsten beÿgewohnt. 5. die Ehren und tugendsahme Fraw Mariam Magdalenam Kipßin gebohrne Allheÿligin, des Ehrenachbahren herrn Johann Daniel Kipßen Thuchscheerer und burgers allhier Ehegattin so welche beede Eheleuthe gleichfalls beÿ dem geschäfft anweßend waren
Bericht und respective Vergleich in gegenwärtiges Inventarium gehörig. Es haben sich allerseit Interessenten als fr. Wittib vnd Erben mit consens Ihrer respectivé Ehe: vndt geschworner Herren Vögte auch des herrn Deputirten E. E. Kleinen Raths sich mit einander gütlichen dahien verglichen vnd abgeredt, daß gegenwärtige Verlaßenschafft, ob Wohlen die Fr. Wittib nach dero Zugebrachtem Nahrungs Inventario vnd sonsten ein Zimliches als unverändert, theils annoch in natura theils vor die abgegangene stück in Ergäntzung prætendiren Könte, dahingegen vor den verstorbenen seel. nichts schrifftliches über deßen gehabt. unverändert guth vorhanden, dannoch in consideration es rechte leibliche Mutter und Kinder mit einander Zuthun haben, solle als ein gemein verändert und theilbahr Guth tractirt und davon den Erben Zween der Fr. Wittib und Mutter aber der vbrige eine dritte theil eÿgenthümblich Zugeschrieben (…)
In einer allhier Zu Straßburg ane der Langen Straßen ohnfern der alten St. Peter Kirch gelegenen und in dieße Verlaßenschafft eÿgenthümblich gehörigen Behaußung sich Volgender maßen befunden
Ane Höltzen und Schreinerwerck. In der Cammer A, In der Cammer B, In der Wohnstub, In der Wohnstub Cammer, Im hauß Öhren, Auff dem gang, Im Hindern Stock in der Stub, In der Stub Cammer, In der Cammer C, Im Keller
Eÿgenthumb ane einer Behaußung. It. Ein Vorder und ein Hinderhauß in der St. Str. ane der Obern Straßen fast gegen dem rothen hanen hinüber (…)
Series rubricarum hujus Inventarÿ, Sa. hausraths 224, Sa. Leerer Vaß 85, Sa. Silber geschirr v. Geschmeids 159, Sa. Goldener Ring 10, Sa. Baarschafft 198, Sa. Eigenthum ane i. behaußung 1250, Sa. Schulden 108, Summa summarum 2034 lb – Schulden 138, Nach deren Abzug 1896 lb
Conclusio finalis Inventarÿ 1671 lb
Eheberedungs Copia (…) Beschehen vnd verhandelt in der heÿligen Reichs freÿen Statt Straßburg Dienstags den 23. Martÿ 1658.
Copia Testamenti nuncupativi – 1700 (…) auff Donnerstag den 23. 7.bris Nachmittag umb 3 Uhren in einer der St. Str. ane der Langen Straßen ohnfern dem Alten Sacht Peter gelegenen, hernachbenannten beeden Testirenden Ehegemechten eÿgenthümblich Zuständigen Behaußung dero Obern stuben mit den fesntern in ermelte Straß außsehend (…) persönlich kommen und erschienen der Ehrenvest und wohlvorgeachte Herr Johann Adam Allheÿlig der Ältere Pastetenbeck undt mit Ihme die Ehren und tugendsahme fraw Susanna gebohrne Thenningerin beede Eheleuthe und Burgere allhier Zu Straßburgn von der Gnade Gottes gesunder gehend und stehendes Leibs (…) Johann Ludovicus Scherer, Notarius jurat. publ.
Partage des meubles après la mort de Susanne Denninger, veuve de Jean Adam Allheilig
1715 (10. Xbris), Not. Rohr (Daniel, 46 Not 37) n° 1291
Abtheilungs Concept Über diejenige Hausraths Posten, Silber geschirr und geschmeidt, so fraw Susanna gebohrene Thenningerin, weÿland Herrn Johann Adam Allheÿlig des ältern geweßenen Pastetenbeck und burgers allhier nunmehr seelig hinderlaßene fraw wittib dero allhier wohnenden vnd sich auffhaltenden Vier Kindern alß H. Johann Friderich vnd H. Johann Adam Allheÿlig, frawen Mariæ Margarethæ Frantzin und Frawen Mariæ Magdalenæ Kipßin under sich Zu Vertheilen, außgehändiget, welche dato nemlichen deb 10. Xbris 1715 (…) Vertheilt worden
Le fabricant de pâtés Jean Adam Allheilig loue la maison au traiteur et fabricant de pâtés François Bellan
1691 (28.3.), Chambre des Contrats, vol. 563 f° 288
Jean Adam Allheilig, maistre Pasticier et bourgeois de cette ville
bail à François Belan, Traitteur et manant de ladte. ville (signé) Bellan
Une maison avec tous ses appartements et commodités Située dans la grande rüe, faisant d’un costé le coin de la rüe appelée Freÿburgergaß, d’autre à la femme de Jean Ulric Goll hoste au Corveau, sans en rien excepter ny reserver, Ce présent bail fait pour deux années consécutives à commencer à la St Michel de l’année courrante et qui finiront a pareil jour de l’année 1693 moyennant la somme de 80 florins par an
Il sera permis au Locataire d’aggrandi le poel d’en bas à ses depens
Les Conseillers et les Vingt-et-Un autorisent Jean Adam Allheilig à vendre la maison au manant François Bellan
1693, Conseillers et XXI (1 R 176)
(p. 67) den 6. Aprilis – Johann Adam Allheilig pt° hauß Verkauffs.
Kl. ersch. Johann Adam Allheilig, der will sein an der Freÿburger gaß gelegenes hauß an François Bellant frantzösischen Traitteur und Basteten beck p. 2000 fl. verkauffen, bittet deßen gdige erlaubnus.
Erk. Zweÿ herren deputirt, umb den gewohnlich. augenschein zinzunehmen.
H. XXI. Brackenhoffer, H. Freundt
(p. 68) Sambstag den 11. Aprilis. Relatio Johann Adam Allheiligs hauß betreff.
Herr XXI Brackenhoffer, und H. Freundt referiren die beschaffenheith deß haußes so Johann Adam Allheiligen François Bellant den frantzösischen Traitteur, verkauffen will, nemlich es liege daßelbe in der Straß gegen den alten post hauß über, habe ein Klein höfflein, und sonsten geringe gemach der käuffer alß welches sich jüngst erntheiltes Verordnung gar gern Vnterwürffig mache, wolle 1000 fl. baar an dem Kauffschilling bezahlen, den rest aber Verzinßen.
Erk. das begehren placidirt, und soll die Verschreibung ordnungsmäßig geschehen
Le fabricant de pâtés Jean Adam Allheilig vend la maison au traiteur François Bellan. En marge, quittance remise en 1701 à Benoît Charbonnier
1693 (13.4.), Chambre des Contrats, vol. 565 f° 296-v
Jean Adam Toussaint maistre pasticier et bourgeois de cette ville
François Bellant aussy maistre pasticier ([corrigé en] traitteur) et manant de lad.te ville
une Maison avec sa place, cour, puit et tous ses bastimens, droits & appartenances, Scituée dans cette ville dans la grand rüe appelée volgairement An der Obern Straß, faisant d’un costé le coin de la rüe appellée Freÿburgergaß d’autre costé tenant à la maison d’Abraham Jund, boucher, du bout par derriere à Christian Guebhard, gantier, laquelle maison est encore chargée et hypothéquée pour la somme de 1000 francs ou 100 livres de Strasbourg – pour 650 livres de Strasbourg ou 2600. livres tournois
[in margine :] Il et a Scavoir que l’Achepteur ayant obtenu la permission d’achepter cette maison par sentence rendüe au grand Conseil de Messr. les Vint un de l’11.me du mois courant (…)
[in margine :] (…) reçu du Sr Benoit Charbonnier dit Chevalier officier de la monnoye de la ville de Strasbourg, possesseur de present de lad. maison les 400 livres restant – Fait le 6. 7.br 1701
Au baptême d’Anne Marguerite Bellan en 1692, François Bellan est dit originaire de la paroisse de Saint-Nicolas-du-Chardonnet à Paris et sa femme Marguerite Le Moine de Paris.
Baptême, Saint-Pierre-le-Vieux (cath. p. 174)
Die 28.ua Aprilis An. 1692 Baptizata est Anna Margareta Francisci Bellan parisini parochiæ Sti Nicolai Chardonneret et Margretæ Le Moine parisinæ coniugum filia Quam Susceperunt dominus Michael Le Moine pistor parisinus et domina Anna Wilhelm Domini Garnier uxor (signé) Bellan (i 97)
Les Quinze rendent compte de leur visite des débits de boissons. François Bellan qui tient l’auberge aux Bâtons Royaux face au poêle des Maréchaux a bonne réputation
1696, Protocole des Quinze (2 R 100)
(p. 125) Mittw. den 25. Maÿ. Aubergistes – Iidem [Obere Umgeldts Herren] per Herrn Schragen, daß, als jüngsthin die relation von den Würths häußern abgestattet worden, mann biß auff die Aubergistes Kommen seÿe, deren biß dato 21 geweßen, und seÿe anjetzo die Frag, ob sie Noch Ferners Zu laßen, und wie mann sich des Umbgeldts halben mit ihnen Zu Verhalten, als Welche Nicht Nur Zu hauß jedermann logiren und setzen, sondern auch wein auff die gaß außschencken, Und seÿe
12. au baston royal François Bellan, gegen d. Schmidt Stub über, so von guter renommée seÿe, doher es mit Mghh. ratification Zulassen seÿn werde. Erk. beliebt.
Le traiteur François Bellan loue la maison à l’enseigne aux Bâtons Royaux au traiteur Hyacinthe Lavalette
1699 (27.5.), Not. Bidier Dutil (6 E 41, 12)
Bail 27 May 1699 – fut present François bohlan traiteur en lad° ville Lequel a recognu avoir donné a loyer
A Jacinthe Lavalette aussy M° traiteur
La Maison a luy appartenant Scize dans La Grande rue de cette ville a laq.lle pend pour enseigne les batons Royaux, pour Le temps et espace de trois années a commancer a la St Jean prochain et a finir a pareil Jour en fin desd. trois annéés Moyennant Le prix et Sôe de 300 Liures argent courant par chacune annéé
dans Laq.lle Maison Led. Sr Bellant sera tenu dy laisser Les Meublss Speciffiées dans un petit mémoire signé tant de luy que dud. Laualette Lesquelles Meubles Montent a la sôe de 100 Liures
de la part syd. Laualette Le Sieur Joseph Laualette aussy M° traiteur en cette ville
(signé) jencinthe Laualette, Bellan
Hyacinthe Lavalette qui était cuisinier chez son frère Joseph Lavalette, traiteur à l’Epée Royale, demande l’autorisation d’exploiter l’auberge aux Bâtons royaux sous le nom du Duc de Bourgogne. Les préposés objectent que le nombre maximal d’auberges est atteint et que le pétitionnaire peut servir du vin comme cabaretier en attendant une occasion
L’aubergiste aux Bâtons Royaux François Bellan et sa femme Marguerite Le Moine empruntent de l’argent à l’aubergiste Jacques Vanem. En marge, quittance remise en 1702 à Benoît Charbonnier
1699 (6.6.), Chambre des Contrats, vol. 571 f° 322 – Not. Bidier du Til le 21. mars 1699
A la demande du Sr Jacques Vaneim Hoste au Lion d’or icy à Strasbourg fût enregistré l’obligation suivante passée par devant le Sr Bidier du Til Notaire Royal
François Bellant, hoste de la maison ou pend pour enseigne les batons Royaux, scize en cette ville dans la grande rüe, et Margueritte le Moyne,
debvoir a Jacques Vaneim Me de la maison ou pend pour enseigne le Lion d’or, la somme de 1300 livres tournois, pour l’employer en leur negoce – en présence de Michel le Moyne et Marin Bouchet Mr Boulangers en cette ville
[in margine :] en présence du Sr Benoist Charbonnier dit Chevalier Officier de la monnoye de cette ville en qualité de propriétaire et possesseur de la maison aussy nommée cy dedans (quittance), le 9. jan. 1702
Les Conseillers et les Vingt-et-Un autorisent François Bellan à vendre la maison au manant Pierre Benoît Charbonnier. La commission constate que la maison assez délabrée face au poêle des Maréchaux comprend quatre poêles, trois chambres à cheminée, une chambre des logements militaires, une petite chambre et un petit grenier pour environ 100 quartauts de grains.
1701, Conseillers et XXI (1 R 184)
François Bellan Traitteur vmb Erlaubnus seine Behausung ahne Pierre Bennois Charponnier Zu Verkauffen. 80. Relatio. 82.
(p. 80) Sambstags den 16. Aprilis 1701 – François Billan Traitteur vmb Erlaubnus seine Behausung ahne Pierre Bennois Charponnier Zu Verkauffen
S. Ersch. François Billan Traitteur, der will seine Behaußung In der Straß oben ahn der Freÿburger Gaß gelegen ahne gegenwärtigen Pierre Bennois Charponnier, Monnoyeur à 5000 livres Verkauffen, bitt Unterthänigst vmb deßen gnädige Permission. Erk. Werden herr XV. Gambs vndt herr Rath. Gangolff den Augenschein des haußen Quæstionis Einzunemmen Deputirt, Vmb Ihre Relation darüber Naachgehends abzulegen
(p. 81) Sambstags den 16. Aprilis – Relation vorgemelder behausung so François Bellan der Traitteir ahn Pierre Bennois Charponnier verkauffen will.
Herr XV. Gambs frater Meus vndt herr Ratherr Gangolff Referiren, vmb welches François Bellan der Traitteur, Verwichenen Montag beÿ Meinen herren Zu Verkaufften ahn Pierre Bennois Charponniere, Monoyeur, Unterthänigst Eingekommen, woher folgender Maßen dießelbige währe ahn der Freÿburgergaßen In der Straßen gegen der Schmitt Stuben vber gelegen, hätte 4 Stuben, 3 Cammern à Cheminées, darunter die Eine Zue Einquartierung marquiret, Nebst einem Kleinen Cämmerlin, Eine Kleine Fruchtschütte vor etwa 100 frtl. frucht, sonsten sehr alt vndt bawfällig, die Keufer Währe Commis In der Muntz alhier, hätte Einige Exceptiones præsentirt weg. der Charge so Er hatt, Nach deme Ihme aber Remonstrirt Worden, daß Keine Ihme wurden gestattet werden habe Er sich dahien declariret daß Er sich Meine herrn so wohl personal als Real Schirm, der Einquartierung vndt vbrigen dero Ordnungen wie Sie auch Nahmen haben Müsten vnterwerffen vndt submittiren Wolle, die Ratification In dem übrigen dießes Kaufes Zu Meinen gnädigen herren außstellendt. Erkandt, Würdt dem Imploranten In seinem begehren das hauß quæstionis Zu verkaufft gn. willfahrt, vnd die herren Deputirten ersucht die Verschreibung in der Contract Stuben beÿ Zu wohnen ouch daß alle Obige Clausulen vnd Conditiones allda beobachtet vnd der Verschreibung Inseriret Werden bestens Recommendirt.
Alors traiteur à Belfort, François Bellan fait vendre la maison à Benoît Charbonnier dit Chevalier, officier de la monnaie
1701 (16.4), Chambre des Contrats, vol. 574 f° 206-v
Sr Dominique Cazenave Chirurgien juré et manant de cette ville pour et au nom du Sr François Bellant, Traitteur demeurant presentement à Befort
Sr Benoist Charbonier dit Cheualier officier de la Monnoye de cette ville
Une maison avec sa place, cour, puit et tous ses bastiments, droits, appartenances et dependances Scituée en cette ville de Strasbourg dans la grande rüe appelée volgairement an der obern Straß faisant d’un côté le coin de la rue appellée Freÿburgergass autre costé tenant à la maison d’Abraham Jund maistre boulanger, aboutissant par derriere à Chrestien Guebhard, maistre gantier, hypothequée pour 250 livres de Strasbourg, plus 400 francs ou 100 livres de Strasbourg et pour 400 livres tournois ou 100 livres de Strasbourg, faisant ces trois articles la somme de 1800 livres, Item 1000 livres de France ou 250 livres de Strasbourg (en outre) 2200 livres tournois ou 550 livres de Strasbourg – Il est à Savoir que l’achepteur ayant obtenu la permission d’achepter cette maison par la Sentence susdite s’est obligé de ne revendre pas ladte maison a un autre que bourgeois (…)
La femme de Benoît Charbonnier (nommé Antoine à la première requête) demande l’autorisation de servir du vin dans l’ancienne auberge aux Bâtons Royaus en arguant que son mari est chargé d’une famille nombreuse. Les Quinze accordent en mars 1703 l’autorisation d’exploiter un cabaret à condition que le pétitionnaire devienne manant. Benoît Charbonnier demande en avril à être exempté de l’accise en arguant de la décision prise par les Conseillers et les Vingt-et-Un. Les Quinze refusent l’exemption après avoir constaté que la lettre de provision à laquelle se réfère le pétitionnaire n’en fait pas état.
1703, Protocole des Quinze (2 R 107)
Benoist Charbonnier pt° Weinschancks
(f° 19) Sambstags den 27.ten Januarÿ 1703 – S. noîe Anthoine Charbonnier des Officiers de la Monnoye Haußfrawen die bittet unterth. weilen Ihr mann eine starckhe famille habe, Ihnen in ihrem eigenen hauß oben an der freÿburger gaß, so vor dießem den Schild aux bastons Royaux gehabt, den weinschanck gn. zu willfahren. Erkandt, vu supra [an die Oberen Ungeltherren gewießen]
(f° 51) Freÿtags den 2. Martÿ 1703 – Benoist Charbonnier pt° Weinschancks
Iidem [Obere Ungeltherren] per Herrn Friden, es habe Benoist Charbonnier dit Cheualier, bedienter in der Müntz, welcher das Eckhaus, oben an der freÿburger gaß, gekaufft vmb erlaubnus angehalten, daß er den weinschanckh darinnen treiben möchte. Wobeÿ man auch angestanden, weilen der Implorant weder burger noch Schirmer seÿe, und alle die in der Müntz arbeiten, der Statt nicht das geringste beÿ Zutragen pflegen, stünde demnach Zu Mgherren, Ob Sie demselben willfahren wollen, zumahlen es die meinung habe, daß keinem der nicht burger, der weinschanckh in der Statt, gestattet worden solte.
Herr Syndicus hielte davor, daß demselben Zwar der weinschanckh erlaubt, derselbe aber, als ein Cabaretier sich mit seiner frawen, in dem Schirm einschreiben zulassen vndt anderen gewohnlichen conditionen Zu unterwerffen, auch solche zu unterschreiben schuldig seÿn solte. Erk. Gefolgt.
(f° 119-v) Sambstags den 21. Aprilis 1703. – Benoist Charbonnier pt° Ungelts freÿheit
S. noîe Benoist Charbonnier des Schirmers und Müntzer, deßen haußfr. erschienen, Implorant ist neben anderen exemptionen auch vor sich vnd seine familie des Ungelts befreÿt laut bescheids von Herren Rhät und XXI. vom 31. Martÿ jüngsthin, weilen Er aber auch aux bastons Royaux den Weinschanckh habe, Als bittet Ihme, das Jenige, was Er in seine haußhaltung gebraucht, im Ungelt freÿ passiren Zu lassen. Erkandt, an die Oberen Ungeltherren gewießen.
(f° 348-v) Freÿtags den 14. Decembr. 1703. – Benoist Charbonnier pt° freÿen truncks
Iidem [Obere Ungeltherren] per Herrn Friden, es habe Benoist Charbonnier so aux bastons Royaux wein außschencke vnd in der Müntz employirt seÿe, umb einen freÿen trucnkh angesucht, vnd alß man ihne ferner gehört, beditten, daß er vor 6. od. 8. personen, woch. nur 2. ohmen freÿ verlange, vnd auff befragen, aus was vor einer ursach er soches prætendire. seine provision vorgelegt, worinnen aber nicht stehe, daß er des Ungelts freÿ seÿn solle, man Habe auch vor bedencklich angesehen, demeselben Zu willfahren, weilen schon andere Müntzer und Würth deßwegen beÿ dem Herrn Intendanten geklagt, der sie aber abgewiesen habe.
Les Conseillers et les Vingt-et-Un ratifient en mars 1703 les termes de la lettre de provision présentéee par Benoît Charbonnier
1703, Conseillers et XXI (1 R 184)
(f° 59) Sambstags den 3.ten Martÿ 1703 – Benoist Charbonnier Monnoyeur pt° Einiger Franchises
Erschienen Benoist Charbonnier der Monnoyeur prod. deßen Lettres de prouision et réception, welches Er hiermit in Unterthänigkeit notificiren Vndt Zu gleich bitten sollen, Ihnen den darinn enthaltenen prvilegien Vnd Exemptionen gnädiig genießen Zu lassen. Erk. soll Implorant der in seinen Lettres patentes enthaltene privilegien Vndt freÿheiten, Vndt so Ihme gebühren mögen, ohngehindert gaudiren.
H. XV. Reichshoffer vndt H. Rathh. Mohr
Plusieurs employés à la Monnaie (Etienne Bunelle, Benoît Charbonnier, Augustin Clerc, Nicolas de Marly, Etienne d’Elpy et Jean Pierre Windershorn) demandent à l’intendant d’être exemptés de l’accise. L’intendant renvoie l’affaire au consul. Les Quinze constatent qu’ils ont déjà jugé en la matière en décembre 1703.
1704, Protocole des Quinze (2 R 108)
(f° 158-v) Freÿtags den 30. May 1704 – Müntz bediente als Estienne Bunelle, Benoist Charbonnier, Augustin Clerc, Nicolas de Marly, Estienne d’Elpy, Jean Pierre Windershorn pt° befreÿung des Ungelts
Obere Ungelts herren Lassen per Herren Friden Proponiren daß etliche Beampte in der Müntz, als Estienne Bunelle, Benoist Charbonnier, Augustin Clerc, Nicolas de Marly, Estienne d’Elpy und Jean Pierre Wintershorn dem Herrn Intendanten vor einigen wochen Gegenwärtigee req.te so H. Frid abgelesen, überreicht, undt unter andern auch die befreÿung des Ungelts prætendirt hetten, Welche req.te der Herr Intendant an dem Reg. Herrn Amm. verwießen undt befohlen, daß man innerhalb 3. tagen darauff antwortten solte, so aber dahero unterblieben, weilen hochermelter Her Intendant verreist gewesen seÿe. Alß man die sache examinirt, habe man sich gleich errinnert, daß schon hiebevor Von dießer materie occasione ged. Charbonniers und Claude Capitaine, und Zwar den 14. Xbris 1703. geredt und damahlen Erkandt worden, daß weilen in dern Lettres de provisions davon nichts enthalten war, und diesße beeden dabeneben Würtschafft treiben Ihnen ihr begehren abgschlagen seÿn solle. Wurde dermahlen Zu Mghherren Ob Sie den Obern Ungelts herren Committiren wollen, dem Herrn Intendanten, benöthigte Remonstration darüber Zuthun.
Herr Syndicus hielte davor, daß den Obern Ungelts Herren, dem Herrn Intendantesn auff besagte req.te eine schrifftl. antwortt Zu übergeben, Communicirt werden könte. Erkant Gefolgt.
Fils de Benoît Charbonnier et de Marguerite Genon, le garçon perruquier Pierre Charbonnier renonce à tous droits sur la maison qu’ont achetée ses parents.
1708 (21.7.), Not. Bidier Dutil (6 E 41, 16)
Reuersal – Pierre Charbonnier jeune garçon perruquier Lequel a déclaré que quoy que le Sr benoist charbonnier son pere Monnoyeur en lad. ville et Marguerite Jenon sa mere ayant fait acquisition d’une maison en lad. ville Scituéé vis à vis le gouuernement Laquelle acquisition a esté faite du Sr Lombart ad.at en parlement au proffit dud. comparant par condition en datte de ce jour passé devant moi, Il declare qu’il n’a et ne pretend rien a lad. maison et qu’elle appartient a ses père et mère
Originaire de Tullins en Dauphiné, Pierre Charbonnier achète le droit de bourgeoisie en août 1708.
1708, 3° Livre de bourgeoisie p. 1271
Pierre Charbonnier d. Peruckenmacher V. Tullin en Dauphiné erkaufft d. burgerrecht p. 6. gold fl. 16 ß wird Zum Spiegel dienen, Jur. d. 11. Dito [Augusti] 1708.
La femme de Benoît Charbonnier demande l’autorisation de prendre des pensionnaires comme le sellier français Besson. L’affaire n’a pas de suite.
1708, Protocole des Quinze (2 R 112)
(f° 45-v) Sambstags den 18.ten Martÿ 1708. -Saltzm. noîe Benoist Charbonnier haußfrauen welche jetzund in deß frantzösischen Sattlern Bresson genandt hauß wohnet, bittet vmb gn. erlaubnus pensionnaire Zuhalten. Erk ahne due Obere Umbgelt herren gewießen.
Marguerite Genon femme de Benoît Charbonnier dit Chevalier demande l’autorisation d’héberger des pensionnaires. Les Quinze constatent qu’elle n’en a pas qualité puisqu’elle n’est ni bourgeoise ni manante. La requérante répond que son mari est en poste à Lyon et qu’elle sert seulement des repas sans vin. Les Quinze accordent la permission à condition que la pétitionnaire règle l’amende que lui a infligée la tribu des Fribourgeois.
1714, Protocole des Quinze (2 R 118)
(f° 154-v) Sambstags den 9. Junÿ 1714 – G. noîe Marguerithe Jennon femme de Benois Charbonnier dit Monnoyer Chevalier prod. frantzösische requeste vmb permission pensionaires Zuhalten, Erk. ahne die Obere Ungelts herren gewiesen.
(f° 233) Sambstag den 1. Septembris – S. nôe E. E. Zunfft der Freÿburger Zunfft meister Johann Friderich Bahl Citat Dame Capponniere principalis klagt, daß Citata weder burgerin noch schürmerin seÿe, dießes dannoch ingeachtet sine permission auberge halten bidtet inhibitionem.
G. Citata præsens bittet &deputationem und sie dabeÿ Zulaßen. S. setzts. Erkandt, wird diße sach ahne die Ober Ungeldts herren verwißen.
(f° 421-v) Montag den 17.ten Decembris. – E. E. Zunfft der Freÿburger Ca. De Charbonniere pt° auberge
Iidem [Obere Handt Wecks Herren] per Eund. [Secretarium Friden] laßen referiren daß gedachte Zunfft der Freÿburger Ca. De Charbonniere geklagt daß dieselbige ohne scheu auberge halten anbeÿ gebedten, ihro solches obrigkeitlich nider Zu legen, und sie Zu erlegung angesetzter Straff anzuhalten. Alß man herrn Bahlen alß Zunfftmeister hierüber ferner gehört, habe Er beÿgefügt, wie daß Beklagter schon lange Zeit Officiers halte, und ihnen Zu eßen und Zu trincken gebte, 2° sie weder burgerin noch schürmerin were, 3° man ihro auf seithen deß gerichts beÿ 3. lb d straff auberge zu halten Verbotten hette, deßen ungeachtet sie damit continuirten und obwohl man ihro auch an die handt gegeben, daß wann sie sich hierüber Zu beschwehren hette, sie sich beÿ gn. herren den XV.en anmeldten solte, sie es dannoch nicht gethan hette,
Worauf beklagtin geantwortet, daß Ihr man ein Müntzer Were, und ietz Zu Lion sich aufhielte, auch daß Wahr weren daß die officiers hielte, allein gebte sie Ihnen nur Zu eßen, und sie die Officers lößten daß Zeichen Zu dem wein in dem Ungelts Hauß, und Zahlte vor jeden Ohm. 13. sols 8. deniers ahnbeÿ gestehen müßen, daß die weder burgerin noch schürmerin were, beÿ Welcher beschaffenheit man davor gehalten, daß Ihro auberge Zuhalten Verbotten, und der Zunfft ahn die handt gegeben werden könte, daß Se beklagtin die angesetzte straff der 3. lb d Zu Zahlen anhalten widrigen falls sie mit der execution wider die verfahren solte,. Die Genehmhaltung Zu MGHherren stellend. Erkandt, beliebt.
Benoît Charbonnier dit Chevalier vend la maison au fondeur d’étain Jean Jacques Isenheim moyennant 1 250 livres
1706 (21.5.), Chambre des Contrats, vol. 579 f° 410-v
(1250) Benoit Charbonnier dt. Cheualier officier de La Monnoye
in gegensein Joh. Jacob Eißenheims Zinngießers
Hauß, Hoff, Hoffstatt brunnen mit allen deren begriffen, weithen, Zugehörden, rechten und Gerechtigkeiten allhier ahn der obern straß, einseit ist ein eck ahn der freÿburger gaß, anderseit neben Abraham Jund weißbeckers, hinten auf Jacob Reichard schneidern stoßend gelegen – um 250 und 100 lb verhafftet, geschehen um 900 lb
Fils du fondeur d’étain Jean Henri Isenheim, Jean Jacques Isenheim épouse en 1703 Sara Schwartz, fille du chaudronnier Michel Schwartz : contrat de mariage, célébration
1706 (19. Aprilis), Not. Oesinger (Jean Adam, 39 Not 39) n° 148
Eheberedung – Zwischen dem Ehrenhafften und bescheidenen Herrn Johann Jacob Eißenheim dem Ledigen Zinngießer, weÿl. deß Wohl Ehrenhafften und Vorachtbaren Herrn Johann Heinrich Eißenheims ebenmäßig geweßenen Zinngießers und burgers alhier, mit der Viel Ehren und tugendsamen frawen Maria Magdalene gebohrner Beinin ehelich erzeugtem und hinderlaßenem Sohn, alß dem Bräutigamb ane Einem
So dann der Ehren: und tugendsammen Jungfr. Saræ gebohrner Schwartzin, deß Wohl Ehrenhafften und Vorachtbaren Herrn Michael Schwartzen Kupfferschmidts und burgers alhier mit der Viel Ehren und tugendsammen frawen Sara gebohrner Voltzin ehelich erzeügten Tochter, alß der Jungfr. Hochzeiterin am andern theil
zugleich durch Unterhandlung, guthem Consens Wißen Willen underhandlung des Wohl Ehrsamen und Vorachtbaren Herrn Johann Sebastian Otten Rothgerbers, des Hochzeiters geschwornen Vogts
Beschehen in der Königlichen Statt Straßburg in Vor erwehnter persohnen beÿweßen (…) Montags den 19.ten Aprilis Anno 1706. [unterzeichnet] Johann Jacob Isenheim Als hoch Zeiter, Sara schwartzin als hoch zeiterin
Mariage, Temple-Neuf (luth. f° 168, n° 769)
1706. Mitwoch den 19.t Junÿ Seind nach 2. mahl. proclamation ehl. copulirt worden Joh: Jacob Eißenheim der ledige Zinngießer vnd burger H. Joh: Heinrich Eißenheim gew. burgers und Zinngießers hinterl. ehl. Sohn, vnd J Sara H Michael Schwartzen b. und Kupfer: Schmidts allhier ehl. tochter [unterzeichnet] Johann Jacob Isenheim Als hich Zeiter, Sarra schwartzin ahl hoch Ziedern (i 167)
Les nouveaux mariés font dresser l’inventaire de leurs apports dans la maison que le mari a achetée avant son mariage et qu’il ameublit parce qu’il y a fait des travaux à la charge de la communauté. Les apports du mari s’élèvent à 243 livres, ceux de la femme à 471 livres.
1706 (4. Xbr), Not. Oesinger (Jean Adam, 39 Not 10) n° 224
Inventarium und Beschreibung aller derjenigen Haab, Nahrung und Güttere, so der Ehrenhaffte achtbare und bescheidene Herr Johann Jacob Eißenheim und die Viel Ehren und Tugendsamme Fraw Sara gebohrne Schwartzin, beede Eheleuthe und burgere alhier Zu Straßburg einander in den Ehestandt zugebracht und sich deren jedes nach inhalt Ihrer mit einander auffgerichteten Eheberedung für Unverändert Vorbehalten haben (…) Actum o , der Königl. Statt Straßb. in fernerem gegenseit deß Wohl Ehrenhafften und Vorachtbaren Herrn Michael Schwartz Kupfferschmidts und Fr. Saræ gebohrner Voltzein, obgemeldter Ehefr. geliebten Eltern, obgemelder Ehefr. geliebten Eltern, So dann der Viel Ehren und tugendbegabten Fr. Mariæ Magdalenæ Eißenheimin gebohrner Bainin deß Ehemanns Leiblichen Mutter und H Johann Sebastian Otten, Rothgerbers und Lederbereiters Burgers alhier seines annoch ohnentledigten Vogts, Sambstag den 4. Decembris Anno 1706.
In einer in der Statt Straßburg ahne der innernstraßen oben ahne der Freÿburgergaß gelegenen behaußung befunden Word. Wie Volgt
Bericht Wegen der Behaußung so der Ehemann noch Vor der Ehe erkaufft hatt. Es hatt Zwar der Ehemann die alhier in Straßb: ahne der Straß oben ahne der Freÿburgergaß gelegenen Eck behaußung annoch vor Vollzogener dießer Ehe erkaufft, dieweilen Er aber auß seinen Mittlen darauff nichts bezahlt und noch über dasn in Währender dieser Ehe darinnen auß theilbarer Nahrung Viel gebawen und meliorirt, alß ist Verglichen, daß solche in die theilbare Nahrung fließen und Weder der Ehemann noch seine Erben hienkünfftig daran nichts Unverändertes prætendiren sollen noch wollen Zu Urkundt und Wahren Vesthaltung deßen sich allerseits Interessenten hiernechst Und. eigenhändig Unterschriebenen haben. Sig. den 3. Xbris aô 1706.
Werckzeug und Zinn auch gemachte Arbeith Zum Zinngießer Arbeith gehörig
Series rubricarum hujus Inventarÿ, Sa. haußraths so deß Ehemanns unverändert 55, Sa. Werckzeugs und Geschirrs Zum Zinngießer Handwerck gehörig 68, Sa. Silber geschirr und Geschmeids 12, Sa. Baarschafft 106, Summa summarum 243 lb
Sa. Haußraths so der Ehefrau unverändert 183, Sa. Silber geschirr und Geschmeids 5, Sa. Guldener Ring 21, Sa. Baarschafft 161, Summa summarum 471 lb
Haussteuren 92 lb, Thut Jedem Verglichener maßen Bor einen halben theil 46 lb
Sara Schwartz se remarie en 1709 avec le fondeur d’étain Melchior Edel, fils du fondeur de cloches Jean Pierre Edel : contrat de mariage tel qu’il est copié à l’inventaire, célébration
Copia der Eheberedung – zwischen dem Wohl Ehrenhafften Achtbaren und bescheidenen Herr Michel Edeln, dem leedigen Zinngießern Von Straßburg gehürthig, deß Wohl Ehren Vesten, Weißen Kunstberühmten und großachtbahren herrn Johann Peter Edelln Stuckh vnnd Glocken gießers auch Eines Ehrsamen Kleinen Raths in Vorgedachter Statt Straßburg Wohlverdienten alten beÿsitzers, mit Weÿland der Viel Ehren und tugendbegabten Frawen Marthæ gebohrnee Höllbeckin ehelich erzeugtem Sohn, als dem Bräutigamb ahne Einem, So dann der Ehren undt tugendbegabten Frauen Sara Eißenheimin gebohrner Schwartzin, weÿland deß Ehrenhafften und Vorgeachten Herrn Johann Jacob Eißenheimbs geweßenen Zinngießes und burgers allhier seeligen hinderlaßener wittib alß der hochzeiterin am andern theil (…) Beschehen unndt Verhandtel seind dieße ding un er Königlichen Statt Straßburg, Montags den 22. tag deß Monats Octobris Anno Christi 1708 [unterzeichnet] Melchior Edel als Hochzeiter bekenne wie Obstehet, Sarra gebohrne schwartzin als hoch Zeiterin – Johann Adam Ösinger Notarius juratus publ.
Mariage, Temple-Neuf (luth. f° 181-v, n° 880)
1708. Eodem [Mitwoch den 14.ten 9.mbr] sind nach 2 mahl Proclamation ehl. copulirt worden Melchior Edel der Ledige Zinngießer H Joh: Peter Edell des b. und Stuckgießers ehl. Sohn und Fr. Sara weÿl. Johann Jacob Eißenheim gew. b. und Zinngießers hinterl. wittib [unterzeichnet] Melchior Edel Als Hochzeiter, Sara eÿsensen heim hls hoch Zren (i 197)
Les nouveaux mariés font dresser l’inventaire de leurs apports dans la maison, non estimée, que la femme a apportée en mariage. Ceux du mari s’élèvent à 477 livres, ceux de la femme à 119 livres.
1708 (30. 9.bris), Not. Oesinger (Jean Adam, 39 Not 12) n° 294
Inventarium undt Beschreibung aller der Jenigen Haab, Nahrung und Güethere, Liegender vnnd Vahrender, Keinerleÿ davon außgenommen, so der Wohl Ehrsame v. achtb. H. Melchior Edel der Zinngießer und die Edle Viel Ehren und tugendsamme Fraw Sara gebohrne Schwartzin beede Eheleuthe undt burgere allhier einander in ihrem ohnlängst angetrettenen Ehestandt Zu gebracht, undt sich deren Jeedes Crafft Ihrer mit einander auffgerichteten Eheberedung für unverändert vorbehalten hatt (…) Actum in der Königlichen Statt Straßb. in fernerem beÿsein deß Ehrenvesten wohl Ehrenhafften vnnd vorachtbaren Herrn Johann Peter Edels, Glocken Kießers und eines Ehrs. Kleinen Raths alten wohlverdienten beÿsitzers des Ehemanns geliebten Vatters, Weither deß Wohl Ehrenvesten vnnd Vorachtbaren herrn Michel Schwartzen Kupfferschmidts undt burgers allhier der Ehefr. leiblichen Vatters, so dann auch deß Ehrsammen und achtbahren herren Johannes Dörffers deß Küffers auch burgers allhier Ires annoch ohnentledigten Vogts alß hierzu beederseiths erbettener beÿständere, Freÿtags den 30. 9.bris 1708.
In einer in der Statt Straßburg ahne der Innern Straßen ahne der Freÿburger Gaßen gelegenen in der Ehefrauen Nahrung gehörigen hernach beschribenen behaußung befunden worden wie volgt
Eigenthumb ahne einer behaußung. Hauß, Höffel, Hoffstatt und bronnen, mit allen anderen deßen begriffen, Weithen, rechten Zugehörden und gerechtigkeiten gelegen alhie in der Statt Straßb. ahne der obern Straß, einseith ist ein Eckh ane der freÿburger gaß, anderseith neben H Abrahamb Jundten, dem Weißbecken, stoßt hinden auff Meister Jacob Reichardten Schneider, davon gehen dem Stifft St: Marx alhie Jährl. auff Joh. Bapt: 10. lb. d Zinß ablößig in Capital mit 250 lb d. Item 5 lb d H Johann Ludwig Städel U. J Lto jahrs auff den 17. Junÿ ist das hauptg. 100. lb d. Item 20. lb d Zinß Jährl. auff Joh. Bapt: S. T. J. Johann Philipp Bartenstein Professori Publico alß vogten der Heinricischen Kinder, Zweÿter Ehe ist in Capital 500 lb, Item 10 lb d Zinnß Jahrs auff den 17. Martÿ H Johann Philipp Schellen dem Silberarbeiter macht die hauptsumma 250. lb. d. Und dann 8. lb d Zinß Jährl. auff den 5. Martÿ Johann David Eißenheim der Ehefrauen Schwager so in Capital Widerlößig mit 200 lib. Summa der Vorher beschriebenen beschwehrten thut 1300 lib d. Sonsten über obige beschwehrten freÿ Ledig und Eigen und hiehero doch niemand Zur Præjuditz in Keinen anschlag gebracht word. Darüber meldet ein teutscher pergamentener Kauffbrieff in alhießiger Cantzleÿ Contractstub gefertiget und mit dero anhangenden Kleineren Secret Innsiegell Verwahrt datirt den 21. Maÿ A° 1706.. Ferner ein frantzö. Pergamentener Kauffbrieff auch ane gemeldem orth gefertiget de dato 16.ten Aprilis Anno 1701.
Series rubricarum hujus Inventarÿ. Deß Ehemanns in den Ehestandt gebrachtes Guth. Sa. haußraths 127, Sa. Silber geschirr und Geschmeid 14, Sa. der baarschafft 402, Summa summarum 545 lb – Schulden 57, Nach deren Abzug 477 lb
Der Frauen in den Ehestand gebrachte unveränderte Nahrung, Sa. haußraths 287, Sa. Werckzeugs und gemachte arbeith auch ohngerabeith Zum Zinngießer handwerck gehörig 281, Sa. Wein vnd lähren Vaß 7, Sa. Silbergeschmeids 8, Sa. Guldenen Ringen 36, Sa. Eigenthümb ahne einer behaußung (-), Sa. der Schulden 15, Summa summarum 636 lb – Schulden 517, Nach deren Abzug 119 lb
Haussteuren 94 lb
Les Quinze accordent à Melchior Edel dispense d’inscription préalable pour faire son chef d’œuvre. Le pétitionnaire argue que son tour de compagnon a duré neuf ans et qu’il va épouser une veuve de fondeur d’étain.
1708, Protocole des Quinze (2 R 112)
(f° 237-v) Sambstags den 10. Novembris 1708 – Melchior Edel C. E. E. Meisterschafft der Zinngießer
Saltzm. nôe Melchior Edel deß ledigen Zinngießers gtra. E. E. Meisterschafft der Zinngießer Ober meister Citati wollten principalen wegen nicht verarbeiteter Zeit Zum Meisterstück nicht admittiren, da Er doch 9 jahr auff der wanderschafft geweßt vnd Eines Meisters wittib heürathen würdt, bittet deßwegen. dispensation vnd ihme das Meisterrecht gnd. Zu kommen Zu laß.
Kun. weil das petitum wider ordnung, vnd das dispensation begehren beÿ Ewer gnaden stehet alß s. doch den* Er andern dabeÿ nicht vergeßen werden möchten. Erk. würdt Imploranten in seinem begehren gegen erlag 2. lb d. dispensando willfahrt.
Melchior Edel et Sara Schwartz hypothèquent la maison au profit du docteur en médecine Jean Haan.
1722 (27.7.), Chambre des Contrats, vol. 596 f° 442
Melchior Edel zinngießer und Sara geb. Schwartzin beÿständlich Michael Schwartz des Kupfferschmidts ihres bruders und Johann Pfähler des Ohlmanns ihres Schwagers
in gegensein H. Johann hahnen Med. D. et Pract. – schuldig seÿen 150 pfund
unterpfand, Eine Behausung hoff und hoffstatt mit allen derselben gebäuden, begriffen, weithen, zugehörden und gerechtigkeiten ahne d. Straß, einseit ist ein Eck ahne der Freÿburger gaß, anderseit neben Balthasar Hummel dem weißbecken, hinten auff Reichard dem Schneider
Melchior Edel meurt en 1725 en délaissant quatre enfants. Les experts estiment la maison à 1 350 livres. La masse propre à la veuve est de 500 livres. L’actif des héritiers et de la communauté s’élève à 76 livres, le passif à 1 255 livres
1725 (1.3.), Not. Lobstein (Jean, 31 Not 91) n° 288
Inventarium und beschreibung aller derjenigen Haab, Nahrung und Güethere, so Weÿl. der Ehrengeachte Meister Melchior Edel, der geweßene Zinngießer und Burger allhier Zu Straßburg nunmehr seel. nach seinem Mittwoch den 24.ten Januarÿ dießes Lauffenden 1725.sten Jahrs aus dießer welt genommenen tödlichen hintritt Zeitlichen verlaßen, Welche Verlaßenschafft auf freundliches ansuchen erfordern und begehren des Ehren: und Wohl vorgeachten Herrn Matthæi Edels des Stuck und Glockengießers auch burgers allhier zu Straßburg, als geordnet und geschworenen Vogts Margarethæ Salomeæ, Johann Melchior, Johann Daniels und Barbaræ der Edel, aller vier des Abgeleibten seel. mit hernach genanter seiner hinterbliebenen Wittib ehelich erziehlter Kinder und ab intestato Zu gleichen antheiltern Verlaßener Erben (…) durch die Ehren und tugendsahme Frau Saram Edelin gebohrner Schwartzin, die hinterbliebene Wittib mit beÿstandt des Ehren und wohlvorgeachten herrn Philipp Jacob Erhards des Zinngießers und burgers allhier Zu Straßburg Ihres geschwornen Curatoris (…) So beschehen in Straßburg auf Donnerstag den 1.ten Martÿ Anno 1725.
In einer in der Statt Straßburg ane der Obern Straßen gelegenen und in dießer Verlaßenschafft gehörigen behaußung befunden worden wie volgt
Ane Höltzen und Schreinwerck. Auff der Bühn, Im Obern Haußöhren, In der ohnstub, In dero Stub Cammer Im haußöhren Vor der Wohnstub, In der Kuchen, In der Wercktatt, Im Keller
Eigenthumb ahne einer behaußung. (W.) Eine behaußung, Hoff, Hoffstatt, Höfflein und bronnen, mit allen anderen deren gebäuen, begriffen, Weithen, Rechten Zugehörden und gerechtigkeiten, gelegen allhier in der Statt Straßburg ane der obern Straß, einseit ist ein Eck ane der Freÿburgergaß, anders. neben Mr Diebold Hummel, dem Weißbecken, hinden auff Hn Jacob Reichard, den Schneider stoßend, davon gehen Jährl. auf Joh. Bapt: dem Stifft St: Marx allhier 10. lb. d Zinnß, ablößig in Haubtguth mit 250 lb. Ferner 5. lb d. Zinß Jährlich auf den 17. Junÿ denen Kastischen Erben etwan modo herrn Joh: Philipp Güntzer dem goldarbeiter alh. Jährl. auf den 17. 9.bris, redimibel in Cap. mit 100. lb. Weiter 20. lb d Zinnß Jährl. auf Joh. Bapt: H M. Johann Daniel Heinrici Vorhien anjetzo aber H Johann Peter Edel dem Stuck und Glockengießer allhier als welcher deßwegen in sein H. M. Heinrici Recht gestanden, widerlaufig in Capital mit 500 lb. It. 8. lb d Zinß Jährl. auf den 17. Martÿ Hn Johann Philipp Schellen dem Silberarbeiter etwan, modo vorgedachten Hn Johann Peter Edel, dem Stuck und Glockengießer, welcher in solch Recht gestanden, ablößig in haubtguth mit 200. lb. Sonsten über dießer beschwährden und die hernach unter denen theilbaren Passivis eingetragene 150. lb d freÿ ledig eigen und durch (die Werckmeistere) laut Abschatzungs Zeduls Vom 13.ten Aprilis Anno 1725. angeschlagen pro 300 lb. Darüber meldet j teutscher perg. Kauffbrieff in alhießiger C. Contract Stub gefertiget und mit dero anh. Kleinerem Secret Ins. Verwahrt, sub dato 21. Maÿ Anno 1706. Dabeÿ ferner ein frantzösischer perg. Kauffbrieff, so auch in gemeldem Contract Stub gefertiget und mit derrselben anh. Ins. becräfftiger, de dato 16.ten Aprilis Anno 1701.
Ergäntzung der Wittib abgegangenen ohnveränderten guths, Inhalt Inventarÿ über beeder geweßener Eheleuthe einander vor ohnverändert in den Ehestand zugebrachten Nahrungen durch H. Notarium Johann Adam Posinger in Anno 1708 auffgerichtet
Wÿdemb, Welchen die Wittib Wegen Jungfrauen Mariæ Magdalenæ Isenheimin Ihrer in erster Ehe mit weÿl. herrn Johann Jacob Isenheim, dem gewesenen Zinngießer und burgern allhier Zu Straßburg, Ihrem geweßenen Erstern haußwürth seel. ehelich erziehlter Tochter, mit gewißer condition genießen hat
Abzug in gegenwärtig Inventarium gehörig. Der Wittib ohnverändert Guth, Sa. haußraths 60, Sa. Werckzeugs und Zinns Zum Zinnhießer handwerck gehörig 28., Sa. Silbers 1, Sa. Eigenthums ane einer behaußung 300, Sa. Ergäntzung (935, abzuziehen 492, bleibt) 442, Summa summarum 832 lb – Schulden 331 lb, verbleibt 500 lb
Der Erben ohnverändert und theilbahr Verlaßenschafft, Sa. haußraths 23, Sa. Werckzeugs und gemachter arbeit Zum Zinngießer handwerck gehörig 3, Sa. Schulden 30, Summa summarum 76 lb – Schulden 1255 lb, Passiv onus 1178 lb
Conclusio finalis Inventarÿ 750 lb, Mehr Schulden als nahrung dem Stalltax nach 428 lb
Copia der Eheberedung (…) Beschehen unndt Verhandtel seind dieße ding un er Königlichen Statt Straßburg, Montags den 22. tag deß Monats Octobris Anno Christi 1709
Abschatzung d. 13.ten April ao. 1725. Auff begehren Weÿland des Ehren Vesten und Vorachtbahren Meister Melchior Edel gewesenen Zingiesers seel: hinter laßene Fraw Wittib und Erben, ist Eine behausung allhier in der Statt Straßburg in der langen Straß, ein Eckhauß an der Freÿburger Gaß gelegen, einseiths Neben Thiebold Hummel, Weißbeck, anderseits Neben Jacob Reichert Schneider welche behausung, Stuben, Cammer, officier Stuben Kuchen Werckstatt, schmeltz und bauch Offen, gewölbtes Kellerlein und Klein höffel, mit einem bronnen, sambt aller Gerechtigkeit wie solches durch der Statt Straßburg Geschworne Werckleuthe sich in der besichtigung befunden und Jetzigem preiß nach angeschlagen wird Vor vnd vmb Zweÿ Thausend und Sieben hundert gulden. Bezeichnuß durch der Statt Straßburg Geschworene Werckleuthe [unterzeichnet] Michael Ehrlacher Werck Meister deß Meinsters, Johann Jacob Biermeÿer Werck Meister deß Zimmerhoffs
Compte que rend Matthias Edel de la tutelle des biens qui appartiennent aux quatre enfants de Melchior Edel
1729 (20.7.), Not. Lobstein (Jean, 31 Not 24) n° 564
Rechnung Mein Matthæi Edels Stuck: und Glockengießers, auch burgers allhier Zu Straßburg als geordnet und geschworenen Vogts Jungfrauen Margaretha Salome, Johann Melchiors, Johann Daniels und Barbaræ der Edel, Weÿland Meister Melchior Edels, des geweßenen Zinngießers und burgers allhier nunmehr seel. mit Frauen Sara geb. Schwartzin seiner hinterbliebenen Wittib ehelich erziehlter und nach Tod verlaßener Vier Kinder, ausweißend alles dasjenige, was Ich vom 19. Februarÿ Anno 1725 als da Ich zu dießer Vogteÿ gekommen, biß den 20. Julÿ Anno 1729 berührter meiner Curanden halben Eingenommen und hingegen wider außgegeben, auch sonsten Vögtlicher Weiße verhandelt und verrichtet habe – Erste Rechnung dießer Vogteÿ
Corpus der Vier Vogts Persohnen ins gemein Jährlich Zugewartten habenden hauß Zinnßes.
12. lb. d Zinnß solle Frau Sara Edelin geb. Schwartzin (…) von Ihrer Vier Kinder eigenthümlich ererbter Großvätterlich. Behausung ane der Vorstatt Steinstras in der Graumannsgaß gelegen
Compte que rend Matthias Edel de la tutelle des biens qui appartiennent aux deux enfants de Melchior Edel après le mariage de Marguerite Salomé avec le cordonnier Jean Bernard Wild et la clôture du compte de Jean Melchior
1733, Not. Lobstein (Jean, 31 Not 37) n° 846 [coin supérieur gauche très abîmé par l’humidité]
Rec]hnung Mein [Matthæi] Edel Stuck und Glockengießers auch burgers allhier zu Straßburg als geordnet und geschworenen Vogts Johann Daniels und Barba[ræ der Edel Weÿla]nd Meister Melchior Edels des [geweßenen] Zinngießers und burgers allhier nunmehr seel. mit Frauen Sara geb. Schwartzin seiner hinterbliebenen Wittib erziehlter zweÿer Kinder, inhaltend alles dasjenige, was Ich vom 20. Julÿ Anno 1729 als dem Beschluß meiner abgelegten Erstern Rechnung biß den 20. 8.bris Anno 1733. berührter meiner beeden Curanden halben, ferner Eingenommen und hingegen wieder außgegeben habe – Zweÿte Rechnung dießer Vogteÿ.
Bericht gegenwärtiger Rechnung. Es gibet meine Wegen der Beeden Curanden und Ihrer Zweÿen ältern Vollbändigen geschwüsterde, Nahmentlich Frauen Margarethæ Salome, so ane Johann Bernhard Wilden, den Schuhmacher Verheurathet und Johann Melchiors, Ledigen Peruquenmacher gesellen, die mich aber beÿde seithero der Vogteÿ entlediget (…)
Corpus der beeden Vogts Persohnen ins gemein Jährlich Zugewartten habenden hauß Zinnßes.
6. lb. d Zinnß solle Frau Sara Edelin geb. Schwartzin (…) von Ihrer Vier Kinder eigenthümlich ererbter Großvätterlich. Behausung ane der Vorstatt Steinstras in der Graumannsgaß gelegen
Compte que rend Matthias Edel de la tutelle des biens qui appartiennent à Barbe Edel après clôture du compte de Jean Daniel
1737, Not. Lobstein (Jean, 31 Not 47) n° 1087
Rechnung Mein Matthäi Edels Stuck und Glockengießers auch E:E: kleinen Raths alten beÿsitzers und burgers allhier zu Straßburg als geordnet: und geschworenen vogts Jungfrauen Barbarä Edelin, weÿl. Mr Melchior Edels, des geweßenen Zinngießers und burgers allhier seel. mit Frauen Sara geb. Schwartzin seiner hinterbliebenen wittib ehelich erziehlter Jüngern tochter, außeißend alles dasjenige, was Ich vom 20. 8.bris Anno 1733 als dem Beschluß meiner abgelegten Zweÿten Rechnung, biß den 29. 78.bris Anno 1737. erwehnter meiner vogts dochter halben, weiter Eingenommen und hingegen wieder außgegeben habe – Dritte Rechnung dießer Vogteÿ.
Bericht gegenwärtiger Rechnung. Nach besag meines wegen der Vogts dochter und Ihres bruders Johann Daniel Edels /:den Ich aber beÿ errichtetem 20. jährigen alter den 23. 8.bris Anno 1734 ordnungs mäßig gelieffert (…)
Corpus der Vogts dochter ins gemein Jährlich Zugewartten habenden hauß Zinnßes.
3. lb. d Zinnß solle Frau Sara Edelin geb. Schwartzin (…) von Ihrer Vier Kinder eigenthümlich ererbter Großvätterlich. Behausung ane der Vorstatt Steinstras in der Graumannsgaß gelegen
Les enfants sont dispensés de faire dresser l’inventaire après la mort de leur mère qui bénéficiait de l’aumône Saint-Marc.
1740 (10.8.), Livres de la Taille (VII 1179) f° 35
Weÿl. Melchior Edel des Zinngießers wittib Verlassenschafft betreffend erscheint Johann Melchior Edel der Peruckenmacher und fr. Margarethæ Salome Bernhard Wilden des Schuemachers Ehefrau und bitten in ihrer und der abweßeden Geschwüsterd Nahmen umb befreÿung der Inventur. Erkannt weilen die Verstorbene das Allmoßen beÿ St. Marx biß in ihrem tod genoßen, aus Armuht willfahrt.
Jean Henri Isenheim loue la maison à son frère Jean Daniel Isenheim
1727 (17.11.), Chambre des Contrats, vol. 601 f° 613
H. Johann Heinrich Isenheim zinngießer
in gegensein seines bruders Johann David Isenheim auch zinngießers
entlehnt, Eine Behausung höfflein bronnen und hoffstatt mit allen derselben gebäuden, begriffen, weithen, zugehörden und gerechtigkeiten nichts davon ausgenommen in der langen straß, einseit ist ein eck ahn der Freÿburger: gaß anderseit neben Hummel dem weißbecken, hinten auff H Reichard den Schneider gelegen – auff 5 nacheinander folgenden jahren anfangend von jüngst verfloßenen Johann Baptistæ fürwährenden jahrs, um einen jährlichen Zinß nemlich 50 pfund
Jean Henri Isenheim acquiert la maison par enchère judiciaire le 8 janvier 1727 (la référence figure à l’inventaire de 1735)
Fils du fondeur d’étain Jean Henri Isenheim, Jean Henri Isenheim épouse en 1699 Marie Ursule Schaaff, fille du tailleur Lux Schaaff : contrat de mariage, célébration
1699 (31.7.), Not. Kitsch (Jean, 1 AH 5892)
Eheberedung – Zwischen dem Ehrenhafften Johann Heinrich Eißenheimen, ledigen Kannengießern, weÿl. des Ehrengeachten herrn Johann Heinrich Eißenheims, geweßenen ebenmäßigen Kannengießers burgers alhier Zu Straßburg seelig. nachgelaßenen ehelichen Sohn, als hochzeitern an einem
So dann der viel Ehren: undt tugendsahmen Jungfrauen Mariæ Ursulæ, des Ehrengeachten herrn Lux Schaaffen, Schneiders auch burgers Zu gedachtem Straßburg eheleiblichen tochter, der Jungfrawen hochzeiterin am andern theil
Welches beschehen in Straßburg Freÿtags d. 31. Julÿ Anno 1699. [unterzeichnet] Johann Heinrich Isenheim Als Hoch Zeider, Maria Ursula Schaaffin Als hochzeiterin
Protocollum tertium, f° 66-v
Mariage, Temple-Neuf (luth. f° 101-v, n° 508)
1699. Mittw. d. 9. 7.br wurd. nach ordentl. Außruffung copulirt Johann Heinrich Isenheim d. ledige Zinngießer v. B. allhier, weil. H. Johann Heinrich Isenheims des geweß. Zinngießers v. B. alhier nachgelaß. ehl. Sohn, J. Maria Ursula, Hn Lucä Schaffen des schneiders V. B. allhier ehl. Tochter [unterzeichnet] Johann Heinrich Isenheim als Hochzeidter, Maria Ursula Schaaffin Als hohzeitterin (i 101)
Jean Henri Isenheim se plaint aux Quinze que les contrôleurs de l’étain ne font pas bien leur travail en rapportant ce qu’ils ont fait chez lui. Les Quinze estiment que le plaignant devra régler une amende pour ne pas porter préjudice à l’autorité des contrôleurs et ordonnent que les contrôles suivants soient portés à leur connaissance.
1720, Protocole des Quinze (2 R 124)
(p. 410) Sambstag d. 19. Octobr. 1720 – die Zinnschawer C. Joh: Heinrich Isenheim pt° Prob
Iidem [Obere Handwercks herren] laßen ferner per Eundem [Secret. Kleinclaus] referiren, Es hatten die gesamte H Zinnschawer C. Joh: Heinrich Isenheim den Zinngießer undt burger allhier Klagend angebracht, daß dießer, weilen die Prob deßen Zinnß um halt nicht jusr, noch wie sichs gebühret befund. worden nach dreÿmahliger Citation beÿ Ihnen nicht erschienen seÿe, deßweg. sie Kläger nach ordnung solche Sach Mghh. Erkantnus anheim stellen wollen, worauff Beklagter umb Deputation angeruffen, undt umb Vorlegung des Articul buchs sambt der prob undt waag gebetten habe.
Beÿ der Deputation seÿen Von denen Klägern erschienen, H. Rathh. Zachæus Saur, Johann Wilhelm Schatz und Johann Friderich Weiß, Welche sich erst den gehaltenen Recess bezogen mit dem beÿsatz, daß sie von gegnern vernehmen wolten, warumb er nicht erschienen seÿe, Beklagter Zugegen habe geantwortet, Er finde daß Große Mißbrauch beÿ der Zinnschaw Vorgiengen, und wan er erschienen wäre, so würden selbige auch beÿ dieser gelegenheit Verübet word. sein, das erste mahl seÿe er erschienen, sie hätten Ihne aber so hart angefahren und tractirt daß er das 2.te mahl nicht habe erscheinen mögen, dann 1° Schlagen Sie die prob auff Zinn, so nicht einmahl Kaufmanns Guth seÿe, Wie sie Ihme ehedeßen ein Barbierbecken so in den halt aus Zinn 10.ten seÿe, die Englische prob geschlagen hatten, Worauff Kläger replicirt daß Sie das Zinnzeichen in der qualitæt wie solche von dem Meister, der selbiges Verarbeite angegeben werde, auffschlagen, Betreffend das barbier becher so seÿe selbiges eine geschlagene arbeit, deßweg. sie auch selbiges alß Englisch Zinn hätten Zaichnen müßen, jedeme laut 4. Articuls Ihrer ordnung Keine geschlagene arbeit gemacht werden solle alß von purem das ist Englischem Zinn. Beklagter habe hierauff eine Schrifft wollen einleg. er seÿe aber dahien angewießen worden, daß er selbige per procuratorem angeben laßen solle, damit pars adversa deßen commun. begehren und sich darauff verantworten Könne. Indeßen aber hätten die Hh. Depp. davon gehalten daß Zu maintenirung der H. authoritæt dem Bekl. beÿ 5 lb straaff anzubefehlen, sich beÿ dem Kläger Zu sistiren, sein Zu schawen habendes Zinn, durch sie ordnungs mäßig schawen Zu laßen undt wann Ihme durch die Schaw Zu wenig oder Zu viel geschehen solte Ihme solches beÿ Mgh. anzubring. ohnverwert undt Zugelaßen sein solte, darauffhin nachgehendts ferner ergehen Könte was recht ist, die genehmhaltung Zu Mghh. fallend. Erk. Bedacht gefolgt.
(p. 433) Sambstag den 23. 9.bris 1720 – Moss nôe E. E. Meisterschafft der Zinngießer erscheint der Alte Ober Meister Philipp Jacob Erhard citirt Johann Heinrich Isenheim auch Zinngießer prod. Extractum Handwercks Protocolli will damit die legitimation præstirt haben, und bitt nochmahl Unterthänig wie den 16. h. gebetten worden. Gug Citatus Verwilligt in die Communication gebettener Copeÿ.Moss acceptirts.
Jean Henri Isenheim demande l’autorisation de prendre un nouvel apprenti bien que les deux ans réglementaires entre la fin d’un apprentissage et le début du suivant ne soient pas écoulés. Les Quinze accordent la permission eu égard que l’apprenti est allié à la famille Fried, à condition que l’intervalle jusqu’à l’apprentissage suivant soit augmenté de la durée manquante. Les Quinze remettent aux parties une expédition de leur décision.
1724, Protocole des Quinze (2 R 129)
(p. 37) Sambstag den 12. Febr. 1724. – Johann Heinrich Isenheim Ca. E. E. Meisterschafft der Zinngießer pt° Lehrjungens
Moss. nôe Johann Heinrich Isenheim Zinngießers Ct. E. E. Meisterschafft der Zinngießer Ober Meister H Philipp Jacob Erhard prod. Memoriale und bitten pt° gn. dispensation einen newen Lehr: Jungen an zunehmen. Gug Weil das petitum wider Articul alß bitt Deputationem et Facta Relatione den gegner mit seinem gesuch abzuweisen. Ref. Expensis. Moss. bitt auch Deputation. Erkand, Ober Handwerckh. herren.
(p. 84) Sambstag den 4. Martÿ 1724. – Joh. Heinrich Isenheim Ca. E. E. Meisterschafft der Zinngießer pt° Lehrjungens
Iidem [Obere Handwercks Herren] laßen ferner per Eundem [Secretarium Kleinclaus] Referiren, daß Johann Heinrich Isenheim der burger und Zinngießer allhier C. E. E. Meisterschafft der Zinngießer Ober Meister H Philipp Jacob Erhard d. 12. Febr. jüngst ein Memorial eingelegt, jnhalt Welches derselbe vorgetragen, daß Ihme einen Lehrjungen nahmens Johann Georg Schmid Von Reichenweyer gebürtig, von deßen Hier befindlichen Hrn Anverwanthen in die Lehrjahr auff Zu nehmen Zugemuthet worden, Zu Welchem ende er sich beÿ dem Ober Meister angemeldt, von demselben aber Zur Antwort erhalten, daß er die gesetzte Zweÿ Jahr nach außthuung des vorigen Lehrjungen auß warthen mußte, Weil man ihme Imploranten noch neun monath manglen und anbeÿ aber des ged. jungen Anverwanthen Zu Ihme allein das Vertrawen hätten, alß bäthe Er mit Obrigkeitlicher dispensation Krafft deren er den benambsten Jungen in die Lehrzeit auff nehmen und einschreiben dörffe, gnädig Zu willfahren, Auff dises Memorial habe gedachtes Handwerckh geantwortet, daß das quæstionirte petitum wider Articul lauffe, und gebetten den Imploranten abzuweißen, Ref. Expensis.
Beÿ erkandt und beseßener Deputation habe der Implorant sein petitum Widerhohlet, nahmens erstangeregten Handwerckhs habe obgenanter Erhardt gemelt, es fehleten dem Imploranten noch über dreÿ Fiertel Jahr an der geordneten Zeit, und bäthe die Meisterschafft es beÿ Articul Zu laßen.
Auff seithen der Hh. Deputirten Vermeine man daß einige Consideration Zu haben vor die Fridische famillie, aus Welcher der Jung den der Implorant anzunehmen willens seÿe, mithien dem Imploranten selbigen jetzund aufzudingen dispensando erlaubt werden Könte, jedoch mit dem anhang, daß wann dieses jungen Lehrzeit Zu end, der Implorant über die geordnete Zeit der Zweÿ Jahr annoch dreÿ Viertel Jahr still zu stehen schuldig sein solle, ehe er wieder einen andern jungen annehmen döffe. die Genehmhaltung zu Mghh. stellend. Erkandt, Bedacht gefolgt.
(p. 117) Sambstags d. 18. Martÿ 1724. – Herr Secret. Kleinclaus proponirt daß nachfolgender Vier bescheid Communication seÿe begehrt, auch willfahrt, auch so fort wie hienach Zu sehen Zu papier gebracht worden
Bescheid. Sambstag den 4. Martÿ 1724. In Sachen Johann Heinrich Isenheims des burgers undt Zinngießers allhier Imploranten ane einem, entgegen und wieder E. E. Meisterschafft der Zinngießer Imploraten am andern theil pt° annehmung eines Lehrjungens, auff producirters Und.thg. Memoriale undt bitten, der Beklagten darüber gethane mündliche Verantwortung, gebettene undt besessene Conferenz Ist der Hrn Depitirten abgelegter Relation nach Zu Recht Erkandt, wird dem Imploranten aus bewegenden ursachen Johann Georg Schmid Von Reichenweyer gebürtig in die Lehr auff: und Aufzunehmen dispensando erlaubt, jedoch mit dem anhang, daß wann dieses jungen Lehrzeit Zu end, der Implorant über die geordnete Zeit der Zweÿ Jahr annoch dreÿ Frtl. Jahr, ehe er wieder einen andern jungen annehmen döffe, still zu stehen schuldig sein solle.
Marie Ursule Schaff meurt en 1725 en délaissant quatre enfants. L’inventaire est dressé dans sa maison place de la Cathédrale face au portail Saint-Laurent. La masse propre au veuf est de 646 livres, celle des héritiers de 302 livres. L’actif de la communauté s’élève à 4 289 livres, le passif à 199 livres.
1725 (6. 9.br), Not. Oesinger (Jean Adam, 39 Not 35) n° 913
Inventarium und Beschreibung aller derjenigen Haab, Nahrung und Güthere, Liegenter und Fahrenter, Keinerleÿ davon außgenommen noch hindangesetzt, so Weÿl. die Ehren und Wohl tugendbegabte Frau Maria Ursula Ißenheimin gebohrene Schäffin, deß Ehrenhafften und wohlachtbahren Herrn Johann Heinrich Ißenheimbs Zinngießers und burgers allhier geweßene geliebte Ehefr. nunmehr seel. nach Ihrem den 5. Junÿ dießes Zuend Lauffenden 1725. Jahrs aus dießer mühesamen Kummer vollen umbständig: und Vergänglichen welt genommenen seel. hintritt Hie Zeitlichen verlaßen, Welche Verlaßenschafft auf freundliches ansuchen erfordern und begehren deß Ehrenhafften und achtbahren Herren Veit Kärchers Schreiners und burger allhier als geordnet und geschwornen Tutoris Johann Heinrichs, Maria Ursula, Johann Lucæ und Margarethæ Salomeä der Isenheimeren als der Verstorbenen seeligen mit obgedachtem Ihrem hinderbliebenen Wittibern Ehelich erzeugtten Kindern und deroselben ab intestato nechster rechtmäsiger Erben, Inventirt (…) Actum im der Königlichen Statt Straßburg in fernerem Beÿsein deß Ehrenvesten und wohlachtbahren Herrn Lucæ Schaaffen Schneiders und E. E. Kleinen Raths allhier alten beÿsitzers auch der Ehren und Wohl tugendsamen Frauen Mariæ Ursulæ gebohrner Rumplerin, beeder Eheleuthen als der dißorths Erben Leiblichen Groß Eltern, dinstag den 6.ten 9.bris Anno 1725.
In einer allhier in der Königlichen Statt Straßburg Gegen der Münster Kirch und Zwar gegen der Thür Zu St. Lorentzen genannt gelegenen in dieße Verlaßenschafft gehörigen und hernach beschriebener behaußung ist befunden Worden Wie folgt
Ane Höltzen und Schreinerwerckh. Cammer A, Im obern Haußöhren, In der Obern Stub, In der officir stub, In der Magd Cammer, Im obern haußöhren, Im Hindern Stübel, Im Mittlern Haußöhren, On der Wohn Stub, In der Stuben Kaminer
Eigenthumb ahne Einer behaußung (W:) Eine Behaußung Hoffstatt und Höffl: mit allen übrigen dero Gebäwen, begriffen, weithen, Rechten, Zugehörden und Gerechtigkeiten gelegen allhier in der Statt Straßburg beÿ der Münst. Kirch gegen der Thür St Lorentzen über, einseit neben H. Isac Kübler deß Silberarbeiters seel. Wittib und Erben, Anderseit neben Herrn Adam Schmidten dem Schneider undt geschwornen Käufflern, hinden auff H. Jacob Dürrningers seeligen wittib stoßend, so gegen Jeeder männiglichen freÿ leedig und eigen und durch der Statt Straßburg geschworene Werckmeistere nach anzeig Ihrer beÿ dem Concept sich befindlichen Schrifftlichen Abschatzung Sub dato den 5. Novembris Anno 1725. æstimirt pro 900 lb. Darüber meldet ein Teutscher Pergamentiner Kauffbrieff in allhießiger Cantzleÿ Contract Stub gefertiget so dadirt den 25.ten Jan: Anno 1672. Signirt m. N° 2
Ergäntzung deß Wittibrs abgegangenen ohnveränderten Gueths. Inhalt Inventarÿ über deß Wittibers und seiner verstorbenen geliebten Ehegattin seelig einander in den Ehestand gebrachte Nahrung durch Weÿl. H. Johann Kitschen geweßenen Notarium publicum Anno 1699 auffgerichtet
Series rubricarum hujus Inventarÿ. Deß Wittibers unverändert Vermögen, Sa. haußraths 12, Sa. Werckzeug Zu der Zinngißer profession gehörig 71, Sa. Gold. Rings. 2, Sa. Eigenthumb ahne einer behaußung 900, Sa. Ergäntzung (1097, Abzug 2658, übertrifft umb 1560) Summa summarum 986 lb – Schulden 1635, Conferendo 646 lb
Der Kinder und Erben unveränderte Mütterliche Verlaßensch. Sa. haußraths 69, Sa. Silbers 1, Sa. Guldinen Ring 4, Sa. Schulden 72, Sa. Ergäntzung 154, Summa summarum 302 lb
Daß gemein verändert und theilbar guth, Sa. haußraths 106, Sa. Werckzeugs 2048, Sa. Wein und Leehrer Vaßen 191, Sa. Silbers 27, Sa. Gold. Ring 5, Sa. baarschafft 34, Sa. Pfenningzinß hauptgüter 75 lb, Sa. Schulden 1800 lb, Summa summarum 4289 lb – Schulden 199, Nach deren Abzug 4079
Conclusio finalis Inventarÿ 3745 lb
Abschatzung d. 5. 9.bris aô 1725. Auff begehren des Ehren Vesten und Vorachtbaren herrn Johann Heinrich Eißenheim Zingießer ist eine behaußung allhier in der Statt Straßburg hinder dem Münster gelegen, einseits neben Isaac Kübler seel. Erben, anderseits Neben Adam Schmids Schneider hinden auf Jacob Dirninger seel. Fraw Wittib stosend welche behaußung, Stuben Cammer, Kuchen, hauß Ehren, officier Stub sambt Einer Kuchen, Werckstatt, Zinschmeltz öfflein gewölbtes Kellerlein Klein höffel, gumpf bronnen und tränckstein, sambt aller gerechtigkeit wie solches durch der Statt Straßburg geschworne Werckleuthe sich in der besichtigung befunden, und Jetzigem preiß nach angeschlagen wird Vor und Umb Ein Tausend und acht hundert gulden. Bezeichnus durch der Statt Straßburg geschworene [unterzeichnet] Michael Ehrlacher Werck Meister deß Meinsters, Johann Jacob Biermeÿer Werck Meister deß Zimmerhofs
Les préposés de la Taille font figurer la succession dans leur registre parce que les impôts acquittés étaient calculés d’après une fortune sous-évaluée de 3 000 florins (1 500 livres) sur un total de 9 100 florins
1725, Livres de la Taille (VII 1176) f° 21-v
Schmidt F. N° 3853. Weÿl. Fr. Mariæ Ursulæ gebohrner Schaffin H Johann Heinrich Eißenheim Zinngießers und burgers alhier geweßener Ehel. Haußfrauen Verlaßenschafft inventirt H. Nit. Ößinger
Cocl. Fin. Inv: ist Fol. 99. 3745. lb 2 ß 5 d Darzu gelegt wegen geringen anschlags der behaußung, alß welche Von den Werckmeistern pro 900 lb d æstimirt Von del H. Wittiber aber in anno 1707. Von deßen geschwüsterden pro 1375. lb. Käufflich angenommen und seithero umb 600 lb. wie in dem Ergäntzungs Abzug fol. 37. Zu sehen meliorirt worden 1000 lb. Summa 4745 lb 2 ß 5 d
Hingegen gehet wieder ab so beÿ der rubric Werckzeug gestoßen und Zu Viel in auswurff gebracht worden 193. lb 7 ß. Compensando restirt 4551. lb 15 ß 8 d, die machen 9100 fl. Verstallte Hiengegen allein 6100. fl. also Zu Wenig 3000 fl.
Von welchen Zu wenig verstallten 3000 fl. alß von theilbahr und errungenem Guht der Nachtrag gerechnet wird auff Sechs Jahr in duplo à 9 lb d th. 54. lb
Und auff vier Jahr in simplo à 4 lb 10 ß d macht 18 lb
Extat kein Stallgelt
Gebott 2 ß
Abhandlung 4 lb 17 ß 6 d, Summa 76 lb 19 ß 6 d
Auff bitten und eingebrachte erhebliche motiven haben die Herren dreÿ den angesetzten Nachtrag auf die helffte moderirt gehet demnach ab 36 lb, Rest 40 lb 19 ß 6 d
dt. 4. Mart. 1726.
Jean Henri Isenheim se remarie en 1726 avec Susanne Salomé Schatz, fille du fondeur d’étain Jean Guillaume Schatz : contrat de mariage tel qu’il est copié à l’inventaire, célébration
Copia der Eheberedung – zwischen dem Ehrenhafften und Wohlachtbaren herrn Johann Heinrich Ißenheim Zinngießern, Wittwern und burgern alllhier, alß dem Bräutigamb ane Einem, So dann der Ehren und Wohl tugendsahmen Jungfrauwen Susannæ Salomeä gebohrner Schatzin deß Ehrenhafften und Wohlachtbaren Herrn Johann Wilhelm Schatzen auch Zinngießers und burgers allhier mit der Viel Ehren und tugendsamen frawen Maria Salomea gebohrner Lobsteinin Ehelich erzeugten Tochter alß der Jungfer Braut andern theils – Beschehen und Verhandelt seÿnd dieße ding, allhier in der Königlichen Statt Straßburg, Mittwochs den 6. Martÿ Anno 1726 [unterzeichnet] Johann Heinrich Isenheim als Hochzeitter, Susanna Salome Schatzin Alß Hochzeitterin, Johann Adam Ösinger Notarius juratus publicus
Mariage, Temple-Neuf (luth. f° 39-v, n° 155)
1726.. Mittw. d. 20. Martÿ sind nach 2. maliger Proclamation ehelich Copulirt v. einesgnet word. H. Johann Heinrich Isenheim, der b. Zinngießer v. Wittwer b. Jgft. Susanna Salome H. Joh: Wilhelm Schatz b. v. Zinngießers ehl. tochter [unterzeichnet] Joh: Heinrich Isenheim als Hoch Zeitter, Susana Salome Schatzin als hoch Zeitterin (i 43)
La nouvelle épouse fait dresser l’inventaire de ses apports qui s’élèvent à 345 livres.
1726 (31. 8.br), Not. Oesinger (Jean Adam, 39 Not 36) n° 921
Inventarium und Beschreibung aller der Jenigen Haab und Nahrung, so die Ehren und Tugendbegabte frau Susanna Salome gebohrene Schatzin deß Ehrenhafften und Vorachtbahren Herrn Johann Heinrich Ißenheims Zinngießers und Burgers allhier Zu Straßburg eheliche hßfr: Zu erstgedachtem Ihrem Ehewirth in Ihrem mit demeselben ohnlängst angetrettenen Ehestand zugebracht (…) Actum in der Köbigl. St: Strßb. in fernerem gegenseÿn H Veit Kärchers Schreiners alß deß dißorths Ehemann Schwagers und deßelben K. K. Erster Ehe geschwornen Vogts, So dann H. Joh: Willhelm Schatzen Zinngießers und burgers allhier auch Fr. Mariæ Salomeæ geb. Lobsteinin der dißorths Ehefr. Leibl. Eltern Donnerstags den 31. 8.bris A° 1726.
In einer allhier in der Königl. Statt Straßb. ahe dem Münster platz gegen der Münster Thür St. Lorentzen genannt gelegenen, dem dißortgs Ehemann Eigenthümlich zuständigen und hernach beschriebenen behaußung befunden Worden Wie Volgt
Series rubricarum hujus Inventarÿ, Sa. Haußraths 168, Sa. Silber geschmeids 27, Sa. Goldener Ringen 16, Sa. der baarschafft 77, Summa summarum 310 lb – Hierzu Ist Zu Legen die Helffte ahne denen Haussteuren so tht. 35. lb, Beschluß summa 345 lb
Susanne Salomé Schatz meurt en février 1735 en délaissant quatre enfants. Les experts estiment la maison 1 150 livres. La masse propre au veuf est de 2 074 livres, celle des héritiers de 1 288 livres. L’actif de la communauté s’élève à 3 913 livres, le passif à 2 235 livres.
1735 (12. 7.bris), Not. Lobstein (Jean, 31 Not 43) n° 976
Inventarium und Beschreibung aller derjenigen Haab, Nahrung und Güethere, so Weÿland die Viel Ehren und tugendsahme Frau Susanna Salome Isenheimin, gebohrner Schatzin, des Ehrenvest und Wohlvorgeachten Herrn Johann Heinrich Isenheims, des ältern, Zinngießers und burgers allhier Zu Straßburg geweßene eheliche Haußfrau nunmehr seel. als dieselbe Freÿtags den 18.ten Februarÿ dießes Lauffenden 1735.sten Jahrs dießes Zeitliche in das Ewige verwechßelt, nach solch Ihrem aus dießer Welth genommenem tödlichen Hintritt, Zeitlichen verlaßen, Welche Verlaßenschafft auf freundliches ansuchen, erfordern und begehren des Ehrenvest und Wohlvorgeachten Hern Johann Wilhelm Schatzen des Zinngießers und burgers allhier als geordnet und geschworenen Vogts Susannä Dorotheä, Johann Friderichs, Annä Mariä und Mariä Elisabethä der Isenheim, der Verstorbenen Frauen seel. mit Vor Ehren ernantem Ihrem hinterbliebenen Herrn Wittiber ehelich erziehlter Vier Kinder und ab intestato Verlaßener Rechtmäsiger Erben, ersucht und inventirt (…) So Beschehen in Straßburg auf Montag den 12.ten Septembris Anno 1735.
Inn einer allhier Zu Straßburg Ane deù Münsterplatz gelegenen und in dieße Verlaßenschafft gehörigen behaußung befunden worden wie volgt
Ane Höltzen und Schreinwerck. Auf der Bühn, Vor dießem gemach, In der Stub Cammer, Vor dießen gemachen, Inn der Magd Cammer, In der Cammer A, Im undern hindern Stübel, In der Wohnstub, In dero Stub Cammer, Im Haußöhren, In der Kuchen, Im Keller
Eigenthumb ane Häußern. (W.) Erstl. eine Behaußung hoffstatt und höfflein, mit allen übrigen deren Gebäwen, begriffen, weithen, Rechten, Zugehörden und gerechtigkeiten, gelegen allhier in der Statt Straßburg beÿ der Münster Kirch gegen der Thür St. Lorentzen hinüber, einseit neben H. Isaac Kübler, dem Silberarbeiter, anderseit neben Hn Johann Jacob Straubhaar dem Groß uhrenmacher, hinden auff N. N. den Kübler stoßend, so gegen Männiglichen freÿ, Ledig eigen und durch (die Werckmeistere) laut Abschatzungs Zeduls vom 19.t 7.bris Anno 1735 angeschlagen pro 1000 lb. Darüber meldet ein teutscher pergamentiner Kauffbrieff in allhießiger Cancelleÿ Contract Stub gefertiget und mit dero anhangendem Insiegel corroborirt, de dato 25.ten Januarÿ Anno 1672. mit altem N° 2 signirt und dißmahlen wieder dabeÿ gelaßen.
(T.) It. eine Behaußung, Hoff Hoffstatt, mit allen deren gebäuen, begriffen, weithen, Rechten, Zugehörden und gerechtigkeiten gelegen allhier Zu Straßburg ane der Langen Straß, einseit ist ein Eck ane der Freÿburgergaß, anderseit neben H Johann Diebold Hummel dem Weißbecken, hinden auf Johann Jacob Reichards Erben stoßend, so gegen Männiglichen freÿ Ledig eigen und durch hieoben benahmbsten der Statt Straßburg geschworne herren Werckmeistere inhalt berührten Abschatzungs Zeduls Vom 19. 7.bris Anno 1735 æstimirt per 1150. Hierüber besagt ein teutscher pergamentener Ganth Kauffbrieff, mit E. E. Kleinen Raths der Statt Straßburg anhangendem Insiegel Verwahrt, datirt den 8.ten Januarÿ Anno 1727.
Wÿdemb Welchen der Herr Wittiber Von Weÿland Frauen Maria Ursula Isenheimin gebohrner Schaaffin seiner Erstern Ehefrauen nunmehr seel. theils ad dies vitæ und theils mit gewißer Condition Zu usufruiren hat.
Ergäntzung des herrn Wittibers abgegangenen ohnveränderten guths. Inhalt Inventarÿ über weÿland Frauen Mariæ Ursulæ Isenheimin geb. Schaaffin des Hn Wittibers Erstern haußfrau nunmehr seel. Verlaßenschafft durch Hn Not. Joh: Adam Ösinger nun auch seel. in Anno 1725. auffgerichtet
Ergäntzung der Erben ermanglenden ohnveränderten guths. Nach besag Inventarÿ über der Verstorbenen Frauen seel. für ohnverändert in die Ehe gebrachte Nahrung durch Weÿl. Hn Not. Johann Adam Ösinger nun seel. in Anno 1726. consignirt aber durch H. Not. Joh: Jacob Ölinger expedirt
Abzug in gegenwärtig Inventarium gehörig. Des H Wittibers ohnverändert Vermögen. Sa. haußraths 91, Sa. Werckzeugs Zum Zinngießer handwerck gehörig 419, Sa. Lährer Vaß 28, Sa. Silber geschmeids 27, Sa. goldener Ring 10, Sa. Pfenningzinß hauptgüter 100, Sa. Eigenthums ane einer Behaußung 1000, Erg. rest 2145, Summa summarum 3823 lb – Schulden 1749 lb, Nach solchem abzug 2074 lb
Der Erben ohnveränderte Nahrung, Sa. haußraths 62, Sa. Silber geschirr und Geschmeids 17, Sa. Goldener Ring 23, Sa. der baarschafft 17, Sa. Schulden 75, Erg. Rest 90, Summa summarum 1288
Theilbahre Verlaßenschafft, Sa. haußraths 23, Sa. Zinns und gemachter arbeit Zum Zinngießer handwerck gehörig 1389, Sa. Weins 87, Sa. Silber geschirr und Geschmeids 14, Sa. goldener Ring 1, Sa. baarschafft 834, Sa. Pfenningzinß hauptgüter 275, Sa. Eigenthums ane einer behaußung 1150, Sa. Schulden 136, Summa summarum 3913 lb – Schulden 2235, Detrahendo verbleibt 1677 lb
Conclusio finalis Inventarÿ 5714 lb
Abschatzung den 19. September 1735. Auff begehren deß Wohl achtbahren und bescheitenen H: Johann Heinrich Eißenheim deß Cinn gießers, ist eine behausung allhier in der statt straßburg auff dem Münster blatz gegen der st. Laurentzÿ thur hinüber gelegen ein seits neben H. Jacob Kübler dem silber arbeÿter, anderseits neben h. straubharr dem statt uhrenmacher, hinten auff H. N: N: dem Kübler Stoßent, welche behaußung, stuben, Kammeren, Küchen, haußehren im oberen stock, stuben, Kammer, Küche, hauß ehren, so alleß Zue einloschirung Vor dem Officir unten auff dem botten die Cinn gießer wërckstätt neben daran die schmeltz Küchen, hauß ehren, und nebens Kammer, höfflein und bronnen, gewölbter Keller, sambt aller gerechtigkeit, wie solches durch der statt straßburg geschwornen wërckleüthe sich in der besichtigung befunden und Jetzigem breÿß nach angeschlagen wird, Vor und umb Zweÿ dausent Gulden
Der 2.te begriff ist auch allhier in der statt straßburg in der langen straß gelegen ein seits ein Eck on die freÿbürger gaß, anderseits neben Diebolt hümmel dem weißbecken hinten auf Johann Jacobs reicharts Erben stoßend welche behaußung stuben, Kammer, Küchen, haußehren und nebens Kammer, im oberen stock ein stuben Kammer, Küchen, haußehren, vor dem Officir, unten auff dem botten die Cinn gießer Wërck stätt, schmaltz Küchen und nebens Kammer, Klein höffell, bronnen, und gewölbter Keller, sambt aller gerëchtig Keit, wie solches durch der statt straßburg geschwornen wërckleuthe sich in der besichtigung befunden und Jetzigem Preÿß nach angeschlagen wird Vor und umb Zweÿ Tausent und dreÿ Hundert Gulden. Bezeichnuß durch der statt straßburg geschwornen Wërckleuthe [unterzeichnet] Michael Ehrlacher Werck Meister deß Meinsters, Johann Jacob Biermeÿer Werck Meister deß Zimmerhoffs, Johann Peter Pflug Werckmeister deß Mauer hofs
Copia der Eheberedung (…) Beschehen und Verhandelt seÿnd dieße ding, allhier in der Königlichen Statt Straßburg, Mittwochs den 6. Martÿ Anno 1726 [unterzeichnet] Johann Heinrich Isenheim als Hochzeitter, Susanna Salome Schatzin Alß Hochzeitterin, Johann Adam Ösinger Notarius juratus publicus
Les préposés de la Taille font figurer la succession dans leur registre parce que les impôts acquittés étaient calculés d’après une fortune sous-évaluée de 1 900 florins (950 livres) sur un total de 11 200 florins
1735, Livres de la Taille (VII 1178) f° 95
Schmidt F. N° 6902 – Weÿl. Fr. Susannæ Salome gebohrner Schatzin H. Johann Heinrich Ißenheim senioris Zinngießer und burgers alhier ehel. Haußfrau Verlaßenschafft inventirt H Not. Lobstein
Concl. Fin. Inv. ist fol. 161.b, 5714, 10. 3. Darzu gelegt wegen die Kinder Erster Ehe ererbten Groß Vätterl. Guth die dem Vatter zugeschrieben 100, Summa 5814. 10. 3.
Hingegen werden hier wieder abgezogen die außständige nicht genoßene Activa mit 136.. Und wegen 325 lb d Zu Vier pro Cento angelegten Capitalien 75, Summa Abgangs ist 211. lb.
Compensando restirt 5603. 10. 3., die machen 11.200 fl. Verstallte nur 9300 fl. Zu wenig 1900 fl.
War Von der Nachtrag alß Von theilbahr und errungenem Guht gerechnet wird auff Sechs Jahr in duplo à 5. lb 14 ß – 34. 4.
Und auff Vier Jahr in simplo à 2 lb. 17. ß – 11. 8.
Extat ukein Stallgelt
Gebott – 3 ß
Abhandlung 6. 7. 6, Summa 52 lb 2 ß 6 d
Auf ansuchen des Wittibers undt bericht daß durch verkauffte Wein seit kurtzem ein ahnsehnliches profitirt worden, haben die Herren dreÿ nachgelaßen 11 lb 8 ß, restirt 40 lb 14 ß 6 d
dt. 19. Novembris 1735.
Jean Henri Isenheim loue la maison entière au boutonnier André Crollat
1745 (1.10.), Chambre des Contrats, vol. 619 f° 684
H. Johann Heinrich Isenheim der Jüngere Zinngießer als mandatarius seines vatters H. Johann Heinrich Isenheim Senioris Zinngießers
in gegensein Sr André Crollat des knopffmachers
verlühen, eine behausung mit allen deroselben zugehörden und rechten ane der Langen straß, einseit ist ein eck am Freÿburgergäßlein anderseit neben weÿl. Johann Heinrich Demuth des weinhändlers wittib – auff 6 nacheinander folgenden jahren anfangend auff nächst künfftigen weÿhnachten – um einen jährlichen Zinß nemlich 150 gulden
Jean Guillaume Schatz rend compte de la tutelle des biens qui appartiennent à Jean Frédéric Guillaume Isenheim après le mariage de sa sœur Marie Elisabeth avec le tourneur Jean Michel Kræutler
1753, Not. Lobstein (Jean, 31 Not 73) n° 1591
Rechnung Mein Johann Wilhelm Schatzen Zinngießers und Burgers allhier Zu Straßburg, als geordnet: und geschworenen Vogts Johann Friderich Wilhelm Ißenheim des ledigen Zinngießers, weÿland Herrn Johann Heinrich Ißenheim, des ältern geweßenen Zinngießers und burgers allhier mit auch weÿl. frauen Anna Salome Ißenheimin geb. Schatzin ebenmäßig seel. ehelich erziehlten Sohns, inhaltend alles das jenige, was ich von Weÿhenachten 1751 biß den 3.ten Novembris 1753. besagten meines Curandi halben Eingenommen und hiengegen wiederumb außgegeben auch sonsten Vögtlicher weiße Verrichtet und Verhandelt habe. Zweÿte und Letzte Rechnung dießer Vogteÿ.
Kurtzer Bericht gegenwärtiger Rechnung. Es weißet meine Wegen des Vogts : Sohns und seiner Schwester frauen Mariæ Elisabethæ Kräutelin, gebohrner Ißenheimin in herrn Johann Michael Kräutlers des Stattdrähers und burgers allhier zu Straßburg ehelicher haußfrauen erstern abgelegter Rechnung (…)
Jean Henri Isenheim meurt en 1749 en délaissant trois enfants de son premier mariage et deux du deuxième. La succession comprend deux maisons (place de la Cathédrale et rue des Pâtissiers). L’actif de la succession s’élève à 7 195 livres, le passif à 2 508 livres.
1749 (5.5.), Not. Lobstein (Jean, 31 Not 67) n° 1504
Inventarium und Beschreibung aller derjenigen Haab, Nahrung und Güethere, so weÿland der Ehrenveste und Wohl Vorgeachte Herr Johann Heinrich Ißenheim, der ältere, geweßener Zinngießer und burger allhier Zu Straßburg nunmehr seeliger, als derselbe Dienstags den 8.ten Aprilis dießes laufenden1749.sten Jahrs dießes Zeitliche mit dem ewige Verwechselt, nach solch seinem aus dießer welt genommenen tödlichen hintritt, Zeitlichen verlaßen, welche Verlaßenschafft auf freundliches ansuchen erfordern und begehren des abgeeibten H. seeligen in Zween Ehen ehelich erziehlter herren Söhne, Frau undt Junger töchtere (…) ersucht und inventirt – So beschehen in Straßburg auf Montag den 8. Maÿ Anno 1749.
Der abgeleibte Herr seeliger hat Zu seinen Erben ab intestato Verlaßen wie volgt. 1.mo H. Johann Heinrich Ißenheim, den Zinngießer und burgern allhier, welcher sich in selbst eigener Persohn beÿ dem Geschäfft eingefunden, in den Ersten Fünfften Stammtheil, 2.do Frau Mariam Ursulam Ehingerin, gebohrne Ißenheimin, H. Johann Daniel Ehingers, des Feÿelhauers und Burgers allhier Frau Ehegattin, welche mit und beneben demselben dem geschäfft abwartete, in den Zweÿten Fünften Stammtheil, 3. Frau Margaretham Salome Spachin gebohrne Ißenheimin, Hn Johann Christoph Spach, des goldarbeiters und burgers allhier Frau Eheliebstinn welche beneben Ihrem herrn Eheliebsteb beÿ dem Geschäfft erschinnen, in den dritten Fünften Stammtheil, Dieße 3. in erster Ehe mit auch weÿland Frauen Maria Ursula Ißenheimin gebohrner Schaaffin, seel. ehelich erziehlter Hn Sohn und Frau töchter
4.to Hn Johann Friderich Ißenheim, den leedigen Zinngießer Gesellen, welcher auf der Wanderschafft begriffen, in den Vierten Fünften Stammtheil, 5.to Jungfer Mariam Elisabetham Ißenheimin, welche in Persohn hiebeÿ Zugegen gewesen in den Fünfften und letzten Stammtheil, dießer beeder letzteren geschworner Vogt herr Johann Wilhelm Schatz, der Zinngießer und burger allhier, welcher sich beneben seiner Jfr. Curandin beÿ dem Geschäfft eingefunden, dieße 2. letztere in 2.ter Ehe mit auch weÿl. Frauen Susanna Salome gebohrner Schatzin ehelich erzielter Herr Sohn und Jungfer tochter, Also alle 5. der in Gott ruhenden H. seeligen in 2. Ehen ehelich erziehlten Söhn, Frau und Jungfer töchtere und zu 5. gleichen portionen und Antheilern Verlaßene Erben
In einer allhier Zu Straßburg ane dem Münsterplatz gelegenen und in dieße Verlaßenschafft gehörigen behaußung befunden worden, Wie volgt
Ane Höltzen und Schreinwerck, Auff der obersten bühn, In der Gesellen Cammer, In der Meel Cammer, Im obern hintern Cämmerlin, In der Küchen, In der Wohnstub, In der Wohnstub Cammer, In der Untern Stub, Im Untern Hauß öhren, Im Officier Stub, Auf der bühn allda, Im Keller daselbsten
(f° 8) Eigenthumb ane Häußern. Erstlichen eine Behaußung, hoffstatt und höfflein, mit allen übrigen deren gebäuen, begriffen, Weithen, Rechten, Zugehörden und gerechtigkeiten, gelegen allhier in der Statt Straßburg beÿ der Münster Kirch gegen der Thür St. Lorentz hinüber, einseit neben H. Isaac Küblers, des gewesenen Silberarbeiters und burgers allh. nunmehr seel. nachgelaßenen Kindern, anderseit neben Hn Jacob Decari dem frantzösischen Pastetenbeck, hinden auf hernach beschriebene behaußung stoßend, so gegen männiglichen freÿ, Ledig eigen und durch (die Werckmeistere) laut abschatzungs Zeduls vom 30.ten Aprilis Anno 1749 angeschlagen pro 1400 lb. Darüber meldet ein teutscher pergamentiner Kauffbrieff in allhießiger Cancelleÿ Contract Stub gefertiget und mit dero anhangendem Insiegel corroborirt, de dato 25.ten Januarÿ Anno 1672. mit altem N° 2 signirt und dißmahlen wieder dabeÿ gelaßen.
It. eine Behaußung und hoffstatt in der Fladergaß (…)
(f° 9) Wÿdemb Welchem der Verstorbene Herr seeliger wegen seiner noch lebenden dreÿen Kindern Erster Ehe ad dies vitæ zu usufruiren gehabt hat. Inhalt Inventarÿ über Weÿland Frauen Mariæ Ursulæ Ißenheimin geb. Schaaffin, des Verstorbenen erstern Haußfrauen seel. Verlaßenschafft, durch Herrn Notm. Johann Adam Ösingern nun seel. in A° 1725. auffgerichtet
Abzug in gegenwärtig Verlaßenschafft Inventarium gehörig. Sa. Haußraths 131, Sa. Werckzeugs Zur Zinngießer Profession gehörig 347, Sa. Weins und Lährer Vaß 168 Sa. Silber geschirr und Geschmeids 57 Sa. goldener Ring 19, Sa. baarschafft 27, Sa. Pfenningzinß hauptgüether 3542, Sa. Eigenthums ane häußern 2480, Sa. Schulden 421, Summa summarum 7195 lb – Schulden 2508 lb, Nach solchem abzug 4686 lb
Stall summ 6588 lb
Copia Dispositionis inter liberos. 1745 (…) Dienstag den 30. tag des Monaths Novembris Abends Zwischen Vier und Fünff Uhren beÿ zweÿen Hellbrennenden Liechtern in einer allhier Zu Straßburg ane der Großen Kirchgaß gelegenen und Von mir Notario bewohnenden behausung (…) persönlich kommen und erschienen der Ehrenvest undt Großachtbahre Herr Johann Heinrich Ißenheim, der ältere, Zinngießer und burger allhier Zu Straßburg, Von der Gnade des grundgütigen Gottes guter Richtiger Sinnen, Vernunfft n Verstandts und gesprächs (…) Johannes Lobstein Notarius
Abschatzung Vom 30. Aprilis 1749. Auff begehren Weÿland herrn Johann Heinrich Ißenheim deß geweßenen Zinnhießers hinterlaßener Erben, ist eine behaußung allhier in der Statt Straßburg gegen dem Münster über einseit neben Mons. (-) dem Pastetenbecken anderseit neben herrn Isaac Küblers Erben und hinten auff die Erben selbsten stoßend gelegen, Solche behaußung hat vornen neben dem Eingang eine Zinn gießers Werckstatt und hinden daran ein Kammerlin auff dem Ersten stock eine Stube, Stubkammer Küchen und haußöhren, der Zweÿte Stock ist dem Erstern gleich, Auff dem dritten Stock seind dreÿ Kammern wovon Zwo vor die Einlogirung, darüber ist der tachstuhl Welcher mit breit Ziegeln einfach gedeckt darunter Zwo besetzte bühnen Im höffel seind Zweÿ gewölbte Kellerlein und ein Gumpbronnen, Von uns den unterschriebenen der Statt Straßburg geschwornen Werckmeistern nach vorher beschehene besichtigung, mit aller Ihrer Gerechtigkeit dem Jetzigen Werth nach æstimirt undt angeschlagen Worden, Vor und umb Zweÿ Tausend Acht Hundert Gulden
Der zweÿte begriff ist auch in der Statt Straßburg in der Fladergaß
(f° 14) Vergleich und überlaßung der häußer
Specificatio Alles Zinnengeschirrs und anders, so herr Johann Heinrich , der ältere Zinngießer und burger allhier, seinem Sohn herrn Johann Heinrich Ißenheim, dem jüngern Zinngießer und burgern allhier umb hernachgesetzten Preiß (…) eigenthümlich überlaßen
Jean Henri Isenheim et les deux enfants de son deuxième mariage vendent la maison au sellier Jean Philippe Sauthier et à sa femme Marie Barbe Prima moyennant 1 377 livres
1746 (11.8.), Chambre des Contrats, vol. 620 f° 613-v
H. Johann Heinrich Isenheim der ältere Zinngießer und deßen in zweÿer ehe mit weÿl. Fr. Susanna Salome geb. Schatzin erzeugte zweÿ kinder Johann Friedrich und Elisabetha der Isenheim vogt H. Johann Wilhelm Schatz des zinngießers
in gegensein Joseph Philippe Sauthier des sattlers und Mariæ Barbaræ geb. Prima, versteigerung
eine behausung und hoffstatt mit allen deroselben begriffen, weithen, zugehörden und rechten ane der Langen straß, einseit ist ein eck ane der Freÿburgergaß, anderseit neben Johann Michael Greiner des weinhändlers Ehefrau, hinten auff. Johann Gottfried Schumann den schreibmeister – ihme H. Isenheim als ein währender seiner letzten Ehe am 28. Januarÿ 1727 erkaufft mithin theilbares guth zu zwo tertzen, zur übrigen tertz aber seinen mitverkäufenden kindern als ein mütterliches erbguth – umb 2755 gulden
Les acquéreurs hypothèquent le même jour la maison au profit du revendeur Pierre Ledez dit Picard
1746 (11.8.), Chambre des Contrats, vol. 620 f° 615-v
Joseph Philippe Sauthier der sattler und Maria Barbara geb. Prima mit beÿstand ihres vatters H. Claude Prima und ihres bruders Pierre Prima beede Perruckenmacher
in gegensein Pierre Ledez dit Piccard des krempen, zu bezalung des kauffschillings hiernach beschriebener behausung – schuldig seÿen 1000 pfund
unterpfand, eine anheute erkauffte behausung und hoffstatt cum appertinentis ane der Langen straß, einseit ist ein eck ane der Freÿburgergaß, anderseit neben Johann Michael Greiner des weinhändlers uxorio nôe. hinten auff Johann Gottfried Schumann den schreibmeister
Natif de Strasbourg, le sellier Jean Philippe Sauthier acquiert le droit de bourgeoisie le 27 juillet 1735.
1735, 4° Livre de bourgeoisie p. 1022
Joseph Philipp Sautier d. Satler Von hier geb. erhalt d. b. umb d. alt. b. will beÿ E. E. Zunfft d. gerber dienen. Jur. . 27. Julÿ 1735
Il devient tributaire le 19 août suivant chez les Tanneurs
1735, Protocole de la tribu des Tanneurs (XI 358)
(f° 245-v) Freÿtag den 19. Augusti 1735 – Joseph Philippe Sautier der frantzösische Sattler weÿl. Caspar Sautier geweßenen Sattler und burgers allhier nachgelaßener ehelicher und in das burgerrecht gebrachte Sohn, producirt burger und Stallschein dedato 27. Julÿ 1735. und bate um das Zunfft Recht
Erkannt gegen Erlag der Gebühr willfahrt (4 lb 7 ß Zunfft, 2 ß Scribæ, 1 ß Büttel)
Le sellier français Pierre Gayneau rapporte que Jean Philippe Sauthier emploie son frère sans qu’il ait été apprenti ni compagnon. Jean Philippe Sauthier répond que l’apprentissage a eu lieu chez leur père. Le conseil de tribu renvoie l’affaire au corps de métier.
1735, Protocole de la tribu des Tanneurs (XI 358)
(f° 301-v) Donnerstag den 3.ten Martÿ Anno 1740 – Pierre Gayneau der Frantzösische Sattler Klagt wider Joseph Philippe Sauthier deßen Mitmeister, daß er seinen bruder auff dem Handwerck arbeiten laße ohne daß er als Lehr Jung noch als Gesell passirt, bitten Ihne dazu anzuhalten, daß er selbigen beÿ Ihrem handwerck einschreiben laßen möchte.
Beklagter gab Vor sein Bruder wäre eines frantzösischen Sattlers Sohn und hatte das Handwerck beÿ seinem Vatter erlernt, bate Ihne davon zu befreÿen.
Erkant, Kläger und Beklagter sollen diese Streit sach beÿ Ihrem handwerck nach dero habenden Articuli durch den Obern handwercks Herren erörtern lassen.
Fils du sellier Gaspard Sauthier et d’Anne Barbe Thiriet, Jean Philippe Sauthier épouse en 1736 Marie Barbe Prima, fille du perruquier Claude Antoine Prima et de Jeanne Chodet : contrat de mariage, célébration
1736 (26.1.), Not. Humbourg (6 E 41, 55)
Mariage – furent presens Le sieur Joseph Philippe Sauthier m° Sellier Bourgeois de cette ville y demeurant grand’ruë Paroisse St Louis, fils majeur d’ans usant et jouissant de ses droits de feu Sr Caspar Sauthier en son vivant m° sellier aussi Bourgeois de cette ville et de defunte daml° Anne Barbe Thiriet sa femmen faisant stipulant et agissant pour Luy et en son nom d’une part
Et Le Sieur Claude Antoine Prima m° Peruquier aussi bourgeois de cette ville demeurant sur la place d’arme au coin de La Grande Stadelgass Paroisse St Pierre le Vieux et Dlle Jeanne Chodet sa femme faisant stipulant et agissant pour deml° Marie Barbe Prima leur fille presente de son Consentement d’autre part
Fait lû et passé audit Strasbourg le 16° Janvier 1736 (signé) Joseph philippe Sauthier, marie barbe prima
Mariage, Saint-Pierre-le-Vieux (cath. p. 340)
Hodie 7. mensis februarÿ anni 1738 (…) Sacro matrimonii vinculo in facie Ecclesiæ conjuncti fuerunt Josephus Philippus Sauthier civis et Epiphiarius in hac urbe filus defunctorum Gasparis Sauthier et annæ Barbaræ Tirir conjugum, et Maria Barbara Primat filia Claudÿ Primat civis et Comarium textoris et Joannæ Chodec conjugum commorantes in hac urbe adfuerut testes Claudius Prima, Prænobilis Dnus Dr Elvert Satrapa in Dachsburg, Michaele Petit cive et Epiphiario et Joanne Lenoir (signé) Joseph phillippe Sauthier, Marie Barbe prima (i 177)
Jean Philippe Sauthier et Marie Barbe Prima hypothèquent la maison au profit d’Anne Marie Langlois veuve du sellier Antoine Douillard
1760 (2.9.), Chambre des Contrats, vol. 634 f° 264
Joseph Philipp Sauthier der sattler und Fr. Maria Barbara geb. Prima mit beÿstand H. Johann Georg Fulgraff des perruckenmachers und Johann Peter Clavel des fastenspeishändlers
in gegensein Fr. Annæ Mariæ geb. Langlois weÿl. Antoine Douillard des sattlers wittib, schuldig seÿen 1500 lb
unterpfand, eine behausung cum appertinentis ane der Langenstraß, einseit ist ein Eck, anderseit neben H Greiner dem weinhändler ux. noe.
Jean Philippe Sauthier hypothèque la maison au profit du fondeur d’étain Jean Frédéric Isenheim
1771 (16.4.), Chambre des Contrats, vol. 645 f° 207
H. Joseph Philipp Sauthier der sattler
in gegensein H. Johann Friedrich Ißenheim des zinngießers – schuldig seÿen 175 pfund
unterpfand, eine behausung cum appertinentis in der Langen straß, einseit ist ein Eck ane der Freÿburger gaß, anderseit neben N. Reumännin, hinten auff Johann Gotfried Schumann des schreibermeisters verlassener Ehefrau – als ein von Johann Heinrich Ißenheim des zinngießers d. 11. Augusti 1746 vermög contract verschreibung erkaufftes guth
Jean Philippe Sauthier et Marie Barbe Prima engagent leur maison en garantie de la rente qu’ils consentent à leur fils Joseph Philippe Sauthier qui se destine à la prêtrise.
1772 (6. 9.bre), Not. Laquiante (6 E 41, 1045) n° 17
Titre clérical – Sr Joseph Philippe Sauthier Mr sellier de cette ville et Marie Barbe Prima assitée du Sr Jean Georges Fulgraff ex senateur Jean Conrad Lacause employé a St Marc
voulant favoriser le saint désir que M Joseph Philippe Sauthier leur fils clerc de ce diocese de se faire promouvoir a L’ordre du soudiaconat (lui assurent) 150 livres tournois
hypothèque de la maison qu’ils possedent en cette ville scise grand Ruë, tenant d’un côté au Sr Rehman boulanger d’autre la rue du poel de fribourg dont elle fait le coin, par derrière au Sr Schuehman et par devant a la grand rue, estimée 8284 livres
(Joint) Auf ansuchen des H. Joseph philip Sodier den burger und sadtler alhier haben würr beide burger Maurer und Zimmermeister alhir seine behausung gelegen in der langen Straß einseit an H Gehman anders. an der freiburger Gaß und hinden an H Schuhman stosend besehen samt alle Grundt und boden vorder und Nebens gebeÿ Rechten und Gerechtigkeidten so Estimiret würd 8284 livres (…), den 4. Novembris 1772 [unterzeichnet] härtelmaÿer Maurer Meister
Jean Philippe Sauthier meurt en 1774 en délaissant trois fils. Les experts estiment la maison à la somme de 2 400 livres. L’actif de la succession s’élève à 5 196 livres, le passif à 8 369 livres.
1774 (28. 7.bre), Not. Dinckel (J. Frédéric, 8 Not 1) n° 9
Inventaire de la Succession de feu le Sieur Joseph Philippe Sauthier, en son vivant Maître Sellier et Bourgeois de la Ville de Strasbourg, fait en l’année 1774.
Inventaire et Description de tous les Effets Meubles et Immeubles, Dettes actives et passives rien excepté ny reservé, que feu le Sieur Joseph Philippe Sauthier, en son vivant Maître Sellier et Bourgeois de la Ville de Strasbourg avoit possedé, contracté et delaissé apres son decés arrivé le 8° Aoust de la presente année 1774., fait à la Requisition de la Dame Marie Barbe Sauthier née Prima sa veuve et de ses trois fils procréés avec sadite Veuve et du Curateur du fils Cadet (…) Fait Lû et passé audit Strasbourg en la Maison Mortuaire à la grande rue el 28 septembre 1774 en presence du Sieur Michel Rieff Maitre sellier et bourgeois de cette ville, l’assistant de la veuve.
Le Deffunt Sieur Sauthier a delaissé pour ses heritiers ab intestato. 1° Monsieur Claude Joseph Sauthier, Ingénieur majeur d’ans, jouissant de ses droits, 2° Monsieur Joseph Phillippe Sauthier, Ecclesiastique agé de 23 ans et en conséquence majeur suivant les Statuts de cette ville et qui est membre du Seminaire episcopal de cette ville, 3° Monsieur Jean Georges Sauthier agé de 19 ans, mineur auqual a eté établi par justice pour tuteur le Sieur Jean Conrad Lacause bourgeois employé à l’aumonerie de St Marc de cette ville, Tous trois procrés du Mariage qui a existé entre le deffunt et ld. Marie Barbe Prima sa veuve
S’ensuit la Copie du Contrat de mariage (…) le 26 janvier 1736, Humbourg Notaire
Total des meubles meublans 426, Total des Marchandises de Boutique, Outils et Ustensils servant au metier de sellier 1648
(f° 13) Propriété d’une Maison. Sçavoir une Maison et fond avec toutes ses appartenances et dépendances scise en cette ville de Strasbourg rue dite grande rue faisant d’un côté le coin de la rue des fribourgs, tenant de l’autre à Marie Salomé Albrecht femme séparée quant aux biens de Guillaume Reumann bourgeois boulanger de service et aboutissant par derrière à Dlle Schouman fille de feu le Sr Jean Geoffroi Schouman en son vivant Maître Ecrivain de lad. Ville estimée pour franche et quitte de toutes dettes par (les) Experts jurés de cette ville suivant l’estimation qu’ils en ont faitte et donnée par ecrit le 4 octobre 1774 à la Somme de 2400 livres. La Propriété de la susd. maison prouve une Lettre d’achapt passée à la Chambre des Contrats de cette ville le 11 Aoust 1746.
Total de la Propriété d’une maison 2400, Total de l’argent comptant 721, Total géneral 5196 livres – Dettes passives 8369 livres, Plus de dettes que de bien suivant le prix de la chambre de la taille 3173 livres
Total de la dette active douteuse 337 livres
Marie Barbe Prima meurt en 1783 dans la maison du vitrier Fügner rue Sainte-Hélène en délaissant trois enfants. L’actif de la succession s’élève à 557 livres, le passif à 8 livres.
1784 (4.3.), Not. Anrich (6 E 41, 1509) n° 264
Inventarium über Weiland Fraun Mariæ Barbaræ Sauthier geborner Prima, längst weiland Hrn. Joseph Philipp Sauthier geweßenen burgers und Sattlermeisters allhier zu Straßburg hinterbliebener Wittib, nunmehr seeligen Verlaßenschafft, aufgerichtet anno 1784 – nach ihrem am 26.ten Decembris des letzthingelegten 1783.ten Jahrs aus dieser welt genommenen tödlichen Hintritt allhier Zeitlichen verlaßen, Welche Verlaßenschafft auf Ansuchen Erfordern und Begehren hernach gemelter beeder der Defunctæ seelig hier anwesender herrn Söhnen und Erben fleißig ersucht und inventirt (…) So beschehen allhier Zu Straßburg in einer ane Stæ Helenæ gaß gelegenen, Hrn. Fügner dem Glaßer eigenthümlich zuständigen und dißorts Zum theil lehnungs weiß inhabenden Behausung auf Donnerstag den 4.ten Martÿ anno 1784.
Die abgelebte Frau seelig hat ab intestato zu ihren rechtmäßigen Erben verlaßen ihre dreÿ mit längst weiland Herrn Joseph Philipp Sauthier vorgedacht ehelich erzeugte Kinder als 1° Herrn Claudium Josephum Sauthier den mehrjährigen und dermalen abweßenden Ingenieur beÿ herrn Milord Percy Zu London, Von welchem bald hernach mehrere Erwehnung bestehen wird, 2° S.T. Herrn Joseph Philipp Sauthier, Priestern in des hiesigen Königlichen Collegii wohlverordneten Professorem Philosophiæ publicum so Zugegen, 3° H. Johann Georg Sauthier so majoris ætatis und persönlich gegenwärtig
Welche dreÿ ihrer abgelebten fraun Mutter Nachlaßenschafft on dreÿ gleiche theil unter sich Zu Vertheilen hätten, angesehen aber Herr Claudius Josephus Sauthier der ältere Hr Sohn den ihme daran Zu Kommenden theil Vermög eines sub 12.sten Januarÿ 1784 an Hrn Professor Sauthier abgelaßenen missiv schreibens, seinem jüngern Hrn Bruder Hrn Johann Georg Sauthier cedirt und übergeben, Alß wird gegenwärtige Verlaßenschafft zwischen ihme Hrn Johann Georg Sauthier Zu Zwo und wohl ernanntem herrn Joseph Philipp Sauthier Zu einer tertz abzutheilen seÿn.
Extractus aus angezogenem Missiv Scheiben &&& Mais voila mon Intention, faites de toute la Succession trois parts, gardéz la votre et je cede la mienne a mon frère George, comme vous etes en quelque façon pourvû, je m’imagine que vous ne trouverés pas mauvais que j’avantageasse mon frère Georges attendu qu’il n’a aucun établissement &&& Collationné pour Extrait
Sa. Hausraths 57 lb, Sa. Pfenningzinß und deßen Hauptguth 500 lb, Summa summarum lb – Schulden 8 lb, Compensando, Stall summ 549 lb
ungewiße und zweiffelhaffte schulden 84 lb
(Lettre datée de Stanwick en Yorkshire ce 12 janvier 1784)
Marie Barbe Prima veuve de Jean Philippe Sauthier et ses enfants vendent la maison au cafetier Nicolas Huin.
1775 (16.1.), Chambre des Contrats, vol. 649 f° 14
Fr. Maria Barbara Sauthier geb. Prima weÿl. H. Joseph Philipp Sauthier gewesten sattlers wittib, beÿständlich H. Michael Riff des sattlers, ferner dieselbe innahmen ihres großjährigen sohns H. Claude Joseph Sauthier des ingenieurs, mehr nahmens H. Joseph Philipp Sauthier diaconi, Johann Conrad Lacause der allmoßen knecht alß geordneter und geschworener vogt besagten H. Sauthier minderjährigen sohns Johann Georg
in gegensein H. Nicolaus Huin des caffesieders
eine unter ihnen verkäuffern gemeinschafftliche behausung, höfflein, bronnen und hoffstatt mit allen deroselben übrigen gebäuden, begriffen, weithen, zugehörden, rechten und gerechtigkeiten, daran ihre wittib dem Ehe contract gemäß die helffte, die andere helffte denen kindern und erben ane der Langen straß ane der Freÿburgergaß wovon dieselbe ein eck außmacht, einseit neben Susanna Schuhmännin, anderseit neben Fr. Reumännin, hinten auff besagte Schuhmännin – H. Abbé Joseph Philipp Sauthier titulo clericali mit 150 li pension verhafftet, das nicht er den käuffer die H. Abbé Sauthier vorausgesetzte pension ins besonderen zu erlegen – um 3515 gulden
Nicolas Huin prend à bail l’auberge du poêle des Pelletiers
1772, Protocole de la tribu des Pelletiers (XI 332) 1751-1778
(f° 268.a) Dienstags den 15. Septembris 1772 abends um fünff Uhr hat sich Ein Löbl. Collegium derer Herren schöffen vesammlet und wurde dabeÿ folgendes verhandelt, wobeÿ hochgebietender Herr Oberherr Zugegen war, Herr Nicolas Huin, mit welchem E. E. Zunft vermög besondern Auffsatzes eine Lehnung auff Neun Jahr lang pro 1300 lit. jährlichen Zinß getroffen hat, beklagte sich, und stellte vor, daß er nunmehr wahrnehme, daß er nicht Zweÿ sondern nur ein Billard in die Entresol stellen Könne, auch sonst nicht Platz genug vor sich, seine Künftlige Ehefrau und Gesind habe, bitte dahero ihme noch über die im bail bemeldte Plätz und Gemach noch was Mehrers gegen offerirung eines mehrern Zinßes angedeÿen zu lassen Hierauff wurde ihme Zwar noch die untere vordere Boutique als eine addition des bail gegen bezalung jährlicher 500 lit mlehrer Zinßes offerirt, welches er aber nicht annehmen wollen, mithin weiter nichts mit ihme vorgegangen noch geschloßen worden.
Originaire de Sainte-Croix en Haute-Alsace, Jean Huin épouse en 1772 Marguerite Marie Josèphe Scholl, fille du marguillier de Saint-Louis Jean Conrad Scholl : contrat de mariage, célébration
1772 (20. 9.bre), Not. Zimmer (6 E 41, 1444) n° 120
Contrat de mariage – sont comparus le Sr Nicolas Huin, Caffetier, fils majeur d’ans, usant et jouissant de ses droits, de Jean Huin, bourgeois Laboureur à Ste Croix en Alsace, et de Marie Perrin, ses pere et lere d’une part
Et Dem.lle Marguerithe Marie Josephe Scholl, fille du Sr Jean Conrad Scholl, Marguillier de lEglise de St Louis et bourgeois de cette ville, procréé avec feu Dlle Marguerite Lerch, ses pere et mere, agissant sous l’autorité dud. Sr son pere, d’autre part
cejourd’hui 20° novembre 1772 (signé) Nicolas Huin, Marguerithe Marie joseph Scholl
Mariage, Saint-Louis (cath. p. 346)
Hodie 24. Mensis Novembris anni 1772 (…) sacro Matrimonii vinculo in facie Ecclesiæ Conjuncti fuerunt Nicolaus Huin filius minorennis joannis huiin et Mariæ Perin et Maria Margarita Josepha Scholl filia minorennis joannis Conradi scholl æditui nostri et Margarethæ Lerch defunctæ in hac Parchia commorantes Niclaus Nicolas Huin Marguerithe Scholl (i 176)
Originaire d’« Orbisheim », Nicolas Huin devient bourgeois par sa femme le 5 décembre 1772 à l’ancien tarif en s’inscrivant à la tribu des Fribourgeois : inscription et traitement de la demande
1772, Livre de bourgeoisie 1769-1777 (VI 286) f° 72-v
Nicolas Huin, Caffé sieder von Orbisheim im Ober Elsaß, erhalt das burgerrecht von seiner Ehefrau Maria Margaretha Josepha Scholl Conradt Scholl, Sigrist beÿ St Louis und burgers allhier ehel. tochter umb den alten burger schilling will dienen beÿ EE Zunfft der Freÿburger, Jur. den 5. Xbr. 1772.
(VI 286 bis, p. 417) Freÿburger, N° 39. den 26. 7.bris 1772.
Nicolaus Huin der Leedige Keller gebürtig Von Orbisheim. Verlobt an Margaretham Josepham, Joh: Conrad Scholl des B: und sigristen Zu St Louis allhier Ehel. Tochter. Seine Schein Zeig. daß er Ehel. geborhren Cath. Relig. daß seine Sponsæ gebühr in richtigkeith, Er die Erforderl. Stadt Stall Caution geleistet und des Zunfftrecht beÿ E : E : Zunfft der Freÿburger Vertröstet word.
500 fl. Baaren gelts Hat derselbe dargewißen und deßen wahren Eigenthum mit Eÿdt erhärtert auch 103. fl. beÿm B. Proth. deponirt.
Impl. Bittet E. G. ihme a Sponsa um den A. B. schilling des b. rechts gnädigst Zu vertrösten.
Receptus a sponsa um d. A: B: Sch.
Les nouveaux mariés font dresser l’inventaire de leurs apports dans la maison du banquier Kornmann rue Saint-Louis. Ceux du mari s’élèvent à 527 livres, ceux de la femme à 815 livres.
1772 (30.11.), Not. Zimmer (6 E 41, 1417) n° 299
Inventaire des apports du Sr Nicolas Huin, bourgeois de Caffetier de cette ville de Strasbourg et de Dlle Marguerithe Marie Josephe née Scholl son Epouse, dressé en l’année 1772
Inventaire et Description de tous les Biens generalement quelconques apportés en mariage par le Sr Nicolas Huin, bourgeois de Caffetier de cette ville, et la Dlle Marguerithe Marie Josephe née Scholl son Epouse, à eux propres et reservés suivant l’article troisième de leur Contrat de mariage passé pardevant le Notaire soussigné le 20° du present mois de novembre. Lequels Biens à la requête dudit Sr Huin et de la Dlle son Epouse, assistée du Sr Jean George Sturm, bourgeois Portier à l’hôpital bourgeois de cette ville, son tuteur (…) Fait et passé à Strasbourg le 30° novembre 1772
Trouvés dans une maison scise en cette ville de Strasbourg rue St Louis appartenante au Sr Kornmann, Banquier à Paris
Etat sommaire du present Inventaire. Les apports du Sieur Huin, Total des Meubles et Effets 473, Total de l’argenterie 88, Total de l’argent comptant 864, Total de la Dette active 600, Total general 2025 livres – A laquelle in convient d’ajouter la moitié des Presens de nôces 81 livres, Montant des biens du Sr Huin 2107 livres
S’ensuit aussi la description des Biens apportés en mariage par la Dlle Huin, Total des meubles et effets 2225, Total des Bagues d’or 34, Total de l’argent comptant 208, Total de la Dot 600, Total general 3179 livres – En y ajoutant la moitié aux Presens de nôces faisant 81, Il appert que tous les Biens appartenant en propre à lad. Dlle Huin se montent ensemble à la somme de 3260 livres
Nicolas Huin hypothèque au profit du ferblantier municipal Jean Georges Müller les deux maisons voisines qu’il a respectivement acquises des héritiers Sauthier et des héritiers Schumann pour en acquitter le prix d’achat et les frais de construction
1776 (16.3.), Chambre des Contrats, vol. 650 f° 104
H. Nicolas Huin der caffésieder
in gegensein H. Johann Georg Müller des Stattspenglers, ane baar gelühen und theils zue bezahlung der bau kösten nachbeschriebener unterpfändter behausung theils zur abführung (..) des kauffschilling capitals – schuldig seÿe 1000 gulden
unterpfand, eine behausung samt Zugehörden die er unterm 16. Januarÿ 1775 von Fr. Maria Barbara Sauthier geb. Prima erkaufft,
ferner eine behausung so er von Schuhmännischen interessenten unterm 16. Julÿ besagten jahrs käufflich ane sich gebracht, welche beede behausungen aus dem grund neu erbaut und nunmehr nur ein haus formiren, diese neu erbaute behausung nun ist in der Langen straß ane der Freÿburgergaß wovon sie ein eck außmachet, einseit neben Fr. Reumännin, anderseit neben N. Haffner vogteÿ boden, hinten auff denßelben
Nicolas Huin et Marie Josèphe Scholl hypothèquent la maison qu’ils viennent de faire construire
1776 (30.8.), Chambre des Contrats, vol. 650 f° 279
H. Nicolaus Huin der caffesieder und Maria Josepha geb. Schollin unter assistentz Johann Wunibald Renck des schneiders ihres geordneten curatoris
in gegensein H. Andreas Müller des Maurermeisters und H. Antoni Enderle des Zimmermeisters, H. Müller vor maurer arbeit ane neu erbauten hiernach beschriebenen unterpfändete behausung 800 gulden, H. Enderle vor gemachte Zimmer arbeit, 1500 gulden, an welche hauptsumm der comparenten Stieffmutter Fr. Margaretha Gougin geb. Natzigin 1200 gulden zu genießen
unterpfand, vorgedachte neu erbaute behausung samt zugehörden ane der Straß und zum theils ane der Freÿburgergaß
Nicolas Huin et Marie Josèphe Scholl hypothèquent la maison au profit du notaire Jean Daniel Lauth
1777 (3.4.), Chambre des Contrats, vol. 651 f° 134
H. Nicolaus Huin der caffesieder und Maria Margaretha Josepha Schollin unter assistentz H. Johann Conrad Scholl des sigrist zu St Louis ihres leiblichen vattes und H. Johann Bpatista Choisy des sattlers
in gegensein H. Johann Daniel Lauth notarii publici jurati ac practici – schuldig seÿen 1500 gulden
unterpfand, eine behausung samt zugehörden ane der Langen straß und zum theil ane der Freÿburger gaß
Nicolas Huin meurt en septembre 1777 en délaissant pour seuls héritiers ses parents habitant à Sainte-Croix. Les experts estiment la maison à 2 500 livres. La masse propre à la veuve est de 630 livres, la masse propre aux héritiers de 228 livres. L’actif de la communauté s’élève à 2 790 livres, le passif à 6 978 livres.
1777 (8. 8.br), Not. Lauth (6 E 41, 647) n° 50
Inventarium über Weiland Herrn Nicolas Huin gewesenen Caffée: Sieders und Burgers allhier Zu Straßburg nunmehr seel Verlaßenschaft auffgerichtet in Anno 1777. – nach seinem den 28.ten 7.bris laufenden 1777.ten Jahrs aus dießer Welt genommenen tödlichen Hintritt hier Zeitlichen verlaßen, Welche Nachlaßenschaft auf freundliches Ansuchen, Erfordern und Begehren Fraun Margarethæ Mariæ Josephæ Huin gebohrner Schollin, der hinterbliebenen Wittib, wie auch H. Joh. Baptist Choisi berühmten Sattler: Meisters, E. E. Großen Raths alten: und E. E. Kl: Raths dermalig Wohlverdienten Beisitzers und hiesigen Burgers, als (…) Vor die abwesende und auf folgendem benambste ab in& hinterbliebenen Erben aus ged. E Kl. Raths Mittel hierzu insonderheit abgeordneten H. Deputati (…) So geschehen allhier Zu Straßburg in præsentia H. Johann Conrad Scholl, des Wohlbestellten Sigristen zu St Louis und Burgers dahier, der Fr. Wb. leibl. Vaters und hierzu berufenen Beistands auf Mittwoch den 8.ten 8.bris Anno 1777.
Der Verstorbene seelig hat ab intestato zu Erben verlaßen wie folgt. 1° Johann Huin, den Taglöhnern und Burgern zu Ste Croix im Elsaß und 2° Fraun Mariam Huin gebohrene Perrin, deßen Ehefrau, diese beede sind des Verstorbenen seeligen Leibliche Eltern und aus Mangel ehelich erzeugt vorhandener Kinder, ab intestato zu gleichlingen Portionen hinterbliebene Erben
Copia der Zwischen beeden nun Zertennten Ehe: Persohnen coram Herrn Notario Zimmer den 20.ten 9.br 1772. als Zur Zeit ihrer Verheurathung auffgerichteten Eheberedung
In einer allhier Zu Straßburg ane der Freÿburgergaß und Langen Straß gelegenen Caffée behausung à la Reine de France genannt u. in disortige theilbare Massam gehörig, befunden Worden, wie folgt
Eigenthum an einer Behausung so theilbar. Nemlichen eine Behausung, Hoff, Hoffstatt und Bronnen, mit allen dero Begriffen, Weithen, Zugehörden, Rechten und Gerechtig Keiten gelegen allhier Zu Straßburg an der untern Langen Straß, an der Freÿburger Gaß, wovon dieselbe ein Eck ausmacht, einseit neben Joh. Jacob Haffner dem Vogtei: Boten, anderseit neben Mr Joh. Wilhelm Reumanns, des Weißbecken geschieden: u. verlaßener Ehefrau, hinten auf ged. Frau Reumännin stosend, so auser hernach specificirten darauf Versicherten Passiv: Capitalien, freÿ, ledig und eigen, Und ist diese Behausung nach Maasgab der Zu diesortigem Concept geschickten und Von H. Hueber und H. Kaltner den 7.ten 8.bris 1777. unterschriebenen Abschatzung, angeschlagen worden, pro 5000 fl. oder 2500 lb. Worüber und zwar Weilen diese Behausung ehender als sie neuer dingen aufgebauen war, aus zweien erkauften alten häusern bestunde, zwo teutsche perg: in allh. C. C. Stub Libells weis verfertigte Kauffverschreibungen besagen, beede mit dero gröserem Insiegel verwahrent sind de datis 16. Jan. und 26.ten Julii 1775
Ergäntzung der Frauen Wittib währender Ehe abgegangener unveränderten Guts, Nach Anleitung des Von beeden nun zetrennten Ehegatten durch H. Not.m Joh. Friedrich Zimmer den 30.ten 9.bris 1772 errichteten Inventarii illatorum
Mütterliche Wÿdums: Verfangenschaft So die Fr. Wb. unverändert u. H. Joh: Conrad Scholl dero Leiblicher Vater von seiner erstern Ehefr. weil. Fr. Margaretha gebohrner Lerchin, Kraft der mit einander auffgerichteten Eheberedung Lebenslänglich Zu genießen hat
Series rubricaruim. der Frau Wittib unverändert, haussteur 2 lb, Sa. Hausraths 136 lb, Sa. Silbers 2 lb, Sa. der Ergäntzung 416 lb, Sa. Schuld 75 lb, Summa summarum 630 lb
Demnach wird auch der Erben unverändert Guth verzeichnet, haussteur 2 lb, Sa. Hausraths 20 lb, Sa. Silbers 2 lb, Sa. des Ergäntzungs: Rests 280 lb, Summa summarum 303 lb – Schulden 75 lb, Nach deren Abzug 228 lb
Endlichen wird dann die gemein: verändert und thielbare Nahrung beschrieben, Sa. Hausraths 73 lb, Sa. Baarschafft 109 lb, Sa. Billards Schiff und Geschirr wie auch vorräthiger Waar zum Caffée: Schanck gehörig 107 lb, Sa. Eigenthums ane einer Behausung 2500 lb, Summa summarum 2790 lb – Schulden 6978 lb, Passiv onus 4187 lb Endlcihes Passiv: onus loco Stall: summæ 3329 lb
Copia der Eheberedung (…)
Marie Josèphe Scholl demande l’autorisation de se remarier avant la fin de son deuil. Bien que Nicolas Huin ne soit mort que trois mois et demi plus tôt, l’avocat général est dévis d’autoriser le remariage à cause du passif important qui grève la succession. Les Conseillers et les Vingt-et-Un éconduisent la pétitionnaire mais donnent leur autorisation trois mois plus tard.
1778, Conseillers et XXI (1 R 260 et 1 R 261)
weil. Niclaus Huin geweßten Caffésieders wittib Margr. Maria Josepha geb. Schollin wird p° dispensat. in tempore luctus heurathen Zu können, dato noch abgewießen. 395.
(p. 395) Sambstag den 10. Januarii 1778. – Wilhelm nê Fr. Margarethæ Mariæ Josephæ geb. Schollin weil. Niclaus Huin geweßten burgers und Caffeesieders alhier wittib Implorantin prod. unterth. Memoriale und bitten samt beÿl. sub N° 1, 2 et 3 puncto dispensationis von der übrigen trauerzeit.
Nach angehörtem voto H. general advocat Mogg welcher gemeldet, es seÿe Zwar der Implorantin maritus erst den 28.sten Septembris Jüngst gestorben, folglichen die Zeit alzukurtz umb wieder in die Zweÿte Ehe schreiten Zu können, wann jedoch anderseits betrachtet wird, daß Implorantin die das Caffée gewerb treibet, ohne mercklichen schaden die Meisterschafft allein fortzuführen nicht Vermag, selbige auß erster Ehe keine Kinder erzielet und der beneficien ihrer Eheberedung, so in general Wÿdumbsgenuß bestehen solte, indeme des defuncti ohnverändert und theilbare Nahrung mit einem starcken passif onere beladen nicht genießen kan, so wolle er Mghh anheim gestellet haben, obnicht beÿ solchem Günstigen Umbständen derselben mit gebettener dispense Zu wilfahren wäre, doch daß selbige dem Allmosen ein erglöckliches beÿzutragen haben solle.
Dießemnach wurde vermittelst gehaltener Umbfrag Implorantin mit ihrem gesuch noch Zur Zeith abgewießen. Dppi. H. Rath, Kimmig, H. Rathh. Lauth.
1778 Conseillers et XXI (1 R 261)
weil. Nicolaus Huin geweßten burgers und Caffésieders alhier wittib fr. Margaretha Maria Josephia geb. Schollin, erhält dispensat. à tempore luctis gegen erlang 6. lb in das allmosen. 76.
(p.76) Sambstag den 14. Martii 1778. – Wilhelm nê Fr. Margarethæ Mariæ Josephæ geb. Schollin weil. Niclaus Huin geweßten burgers und Caffeesieders alhier wittib Implorantin prod. unterth. Memoriale und bitten puncto dispensationis von der übrigen trauerzeit.
Nach angehörtem voto H. general advocat Mogg welcher gemeldet, da Implorantin den 10. Januarii jüngst wegen gleichem begehren abgewießen worden, so seÿe es haubtsächlich darumb geschehen, weilen ihr maritus est gegen viertthalb Monath vestorben da selbige aber seit deme wieder vorstehet, und E. G. neuerdings nach Verlauf über Zween Monath umb nehmliche gnad anflehet, ihre häußliche Umbständten besonders beÿ treibung des Caffé Rechts ihr ohne unvermeidlichen Nachtheil ihr nicht Zulaßen, das angefangene werck ferner allein Zutreiben erlauben, beÿ selbiger auch laut Vorgelegtem Ammenschein Kein Zeichen einiger schwangerschafft nicht wahrzunehmen, so glaube er daß der Implorantin mit gebettener dispense jedoch gegen einigem betrag in das allmoßen Zu willfahren wäre.
Dießemnach wurde vermittelst gehaltener Umbfrag per majora Erkandt, wird der Implorantin mit gebettener dispensatione tempore luctus heurathen zu dörfen, jedoch also wilfahrt, daß selbige sechs pfund d. in allhießiges allmosen entrichte und den erlag zu gehörige orthen bescheine. Dppi. H. Rath, Lauth, H. Rathh. Hervé.
Marie Josèphe Scholl se remarie en 1778 avec le perruquier luthérien Jacques Henri Burger, originaire de Dossenheim (mariages mixtes autorisés, voir la lettre du duc de Choiseul) : contrat de mariage, célébration. Les parties accordent à Madeleine Œrtler, troisième femme de Jean Conrad Scholl, l’habitation dans leur maison pendant son veuvage.
1778 (18.3.), Not. Lauth (6 E 41, 652) n° 35
Eheberedung – persönlich kommen und erschienen seÿen, der Ehrengeachte Herr Jacob Heinrich Burger, lediger Perruquier von Dossenheim gebürtig, Georg Jacob Burger, des Innwohners und burgers daselbst, mit Fr. Elisabetha gebohrner Jungin ehelich erzeugter Sohn, unter verbeÿstandung Hn Wunibaldus Rinck des Schneider ; Meisters und Burgers allhier, wie auch Zufolg producirten und von seinen erstged. Eltern sowol als auch seinem H Oncle unterschriebenen allein gleich wieder Zurückgelegten Consens Scheins, hierzu authorisirt, als Hochzeiter an einem
So dann die Viel Ehr: und tugendreiche Frau Margaretha Maria Josepha Huin gebohrne Schollin, Weil. Herrn Nicolas Huin gewesenen Caffée: Sieders und hiesigen Burgers seel. nachgelaßene Wittib, und Zwar unter assistentz Joh: Conrad Scholl des wohlbestellten Sigristen Zu Saint Louis und burgers hieselbten, ihres Leiblichen Vaters als Hochzeiterin am andern theil
Fünfftens, verpflichten sich beede hochzeitliche Personen sowol vor sich als auch ihre Erben gegen Frau Magdalena Schollin gebohrne Örtlerin Eingangs ged. Hn Scholl, ihres Leibl. und respe. Schwieger Vaters Eheliebstin dahin, Wann sich solte Zutragen, daß Hr Scholl vor seiner Zweiten Ehefrauen nächstgedacht versterben würde, so wollen Sie Ihro der als dannigen Wittib als dero resp° Stief: Mutter und Stief: Schwieger: Mutter in dero Würcklich bewohnenden behausung an der Langen Stras und Freiburger gaß liegend u. à la reine de fance, genannt eine Wohnung Zuhinderst auf dem Zweite stock mit denen Fenstern in ged. Freiburgergaß aussehend, so aus einer Stub, Stub: Cammer, Kuchen v einem Pläzlein im Keller bestehen soll, einraumen, und solche Lebenslänglich solang Sie nemlichen im Wittwenstand verbleiben sollte, ohne Zinß und einige Abgab Zu bewohnen und zugebrauchen
So geschehen Straßburg auf Mittwoch den 18. Martii Anno 1778. nachmittag [unterzeichnet] Jacob heinrich burger als hoch zeiter, Marie joseph huin né choll
Mariage, Saint-Louis (cath. p. 85)
Hodie 19 mmensis martii anni 1778 (…) in facie Ecclesiæ conjuncti fuerunt jacobus henricus Burger oroindus ex Dosenheim filius legitimus et minorennis Georgii Jacobi Burger et Elisabethæ jung conjugum et civium dicti pagi a decem annis hac in urbe commorans Religione Lutheranus Ex unâ et Maria Josepha Scholl vidua defuncti Nicolai Huin civis Dum viveret hujatis Religione catholica parochiana ad stum petrum senioren (signé) Jacob Friderich burger, Marie Joseph huin (i 45)
Jacques Henri Burger figure sur la liste de nouveaux bourgeois (registres en déficit). Le mariage fait l’objet d’un certificat délivré par le pasteur du Temple-Neuf, conservé dans le fonds Saint-Thomas
VI 370, 11 (Nouveaux bourgeois, 1778-1780) Jacob Heinrich Burger
1778, Temple Neuf, Jacob Heinrich Burger E, Margaretha Maria Josepha geb. Schollin, Nicolas Huin wittib C, 829 (1 AST 89 (Mariages mixtes)
Les nouveaux mariés font dresser l’inventaire de leurs apports dans la maison que l’épouse apporte en mariage. Ceux du mari s’élèvent à 146 livres. L’actif de la femme s’élève à 5 413 livres, le passif à 6 149 livres.
1778 (6.4.), Not. Lauth (6 E 41, 647) n° 55
Inventarium über des Ehrengeachten Herrn Jacob Heinrich Burger, dermaligen Caffée: Sieders, wie auch der Viel: Ehren und Tugendreichen Fr. Margarethæ Mariæ Josephæ geborner Schollin, beede Eheleuthe u. Burgere allhier Zu Straßburg einander für unverändert in die Ehe Zugebrachte Nahrungen, aufgerichtet in Anno 1778 – in ihrem den 23.ten Martii laufenden 1778. Jahrs angetrettenen Ehestand Zugebracht und sich Vermög der vor mir Notario den 18.ten d: m: et a: aufgerichteten Ehe: Beredung §° 2° für unverändert vorbehalten haben (…) Sie die Ehefrau unter Verbeiständung H. Joh. Conrad Scholl, des wohlbestellten Sigristen zu St Louis und Burgers dahier ihres leiblichen Vaters, beschehenes Ansuchen inventirt – So geschehen allhier Zu Strasburg auf Montag den 6.ten aprilis Anno 1778.
In einer allhier zu Straßburg ane der langen Stras und Freiburger: Gaß gelegenen à la Reine genannten und diesortiger Ehefraun eigenthümlich zuständigen Caffée: Behausung befunden worden Wie folgt
(f° 6) Eigenthum an einer behausung. (F.) Nemlichen eine Behausung, Hoff, Hoffstatt und Bronnen mit allen dero Begriffen, Weithen, Zugehördten, Rechten und Gerechtigkeiten gelegen allhier Zu Straßburg an der untern Lang Straas und der Freiburgergaß, Wovon dieselbe ein Eck ausmacht, einseit neben H. J: Jb: Haffner dem Vogtei: Botten, anderseit neben Mr J. Willh: Reumanns des Weißbecken geschieden u. verlaßener Ehefraun, hinten auf ged. Fr. Reumännin stosend, so auser hernach specificirten und darauf Versicherten Passiv: Capitalien frei, ledig und eigen Es ist diese Behausung der unter Ihnenselbsten gemachten Abschatzung nach, hier ohnpræjudicirlichen auszuwerfen genehmigt worden pro 4375 lb. Worüber u. zwar, Weilen vorbesagtes haus, ehender als sie neuer dingen aufgebauen war, aus zweien, Während ihres, als der dißortigen Ehefr : mit weil. Hn Nicolas Huin, dero erstern Ehemann seel. gehabten Ehestandts, erkauften alten Häusern bestunde, 2 teutsche perg. in allhiesig. Löbl. C.C.St: Libells: weis verfertigte Kauf: Verschreibungen de Datis 16. Jan. 1775 und 26. Julii d: a: besagen, so beede in deo gros : Inns. verwahret sind
des Ehemanns zugebrachten Vermögens, Sa. Silbers 16 lb, Sa. Golden: Geschmeids 30 lb, Sa. Baarschafft 25 lb, Sa. Schuld 75 lb, Summa summarum 146 lb
Solchemnach werden auch der Ehefraun in dieder Ehe gebrachte Mittel verzeichnet, Sa. Hausraths 342 lb, Sa. Billards, Schiff und Geschirr wie auch vorräthiger Waar, so zum Caffée: Wesen gehörig 208 lb, Sa. Silber Geschirrs 35 lb, Sa. gold. Ring 10 lb, Sa. Baarschafft 48 lb, Sa. Eigenthums ane einer Behausung 4375 lb, Sa. Schulden 393 lb, Summa summarum 5413 lb – Schulden 6149 lb, In Gegeneinanderhaltung 735 lb
Schuld in des Ehemanns zugebrachte Nahrung zugeltend, von Georg Jb: Burger und inwohner zu Dosenh: wie auch Elisabetha geb. Jungin als des ehemanns leiblichen Eltern
Mütterlichen Wydums Verfangenschafft so die Ehefrau gebracht
Marie Josèphe Scholl meurt en 1782 en délaissant un fils. L’estimation de la maison est reprise de l’inventaire dressé en 1777 (2 500 livres). La masse propre au veuf est de 125 livres, celle des héritiers de 3 326 livres. L’actif de la communauté s’élève à 1 401 livres, le passif à 1 061 livres.
1782 (21.6.), Not. Lauth (6 E 41, 649) n° 109
Inventarium über Weil. der Viel: Ehr: u: Tugendreichen Fraun Margarethæ Mariæ Josephæ Burgerin gebohrner Schollin, des Ehren: geachten Hn Jakob Heinrich Burger, Caffé: Sieders und Burgers allh: Zu Strasb. gewesene Eheliebstin nunmehr seel. Verlassenschaft aufgerichtet in Annoc 1782. – nach Ihrem den 22.ten Maÿ dieses laufenden 1782.sten Jahrs aus dießer Welt genommenen tödlichen Vonhinnenscheidten hier Zeitl. verlaßen, Welche Verlaßenschaft auf freundliches Ansuchen Erfordern und BegehrenHn Jakob Heinrich Burger, des hinterbliebenen Wittibers wie auch Hn Johann Conrad Scholl des Wohlbestellten Sigristen in der Pfarrei zu St Louis und Burgers dahier, als Großvaters u. resp° geordnet und geschworenen Vogts (des) Söhnleins (…) So geschehen allhier Zu Straßburg auf Freitag den 21. Junii Anno 1782.
Die verstorbene seelige hat ab intestato zu ihrem Erben verlaßen wie folgt, Nemlichen Heinrich Andreas Conrad Burger, so dermalen nur anderthalben Jahr alt, also unmündig, dahero bevögtiget (…) mit Hn Joh: Conrad Scholl Eingangs gedacht
In einer allhier Zu Straßburg ane der Langen Straas und Freiburgergaß gelegenen à la Reine genannten in disortig. Verlaßenschafft eigenthümlich gehörigen behausung befunden worden, wie folgt
(f° 6) Eigenthum ane einer behausung, so dem Beneficial: Erben unverändert. (E.) Nemlichen eine Behausung, Hoff, Hoffstatt und bronnen, mit allen dero Begriffen, Weithen, Zugehörden, Rechten und Gerechtig Keiten, gelegen allhier Zu Straßburg an der Untern Langstraas u. der Freiburger: Gaß, wovon dieselbe ein Eck ausmacht einseit neben Hn. J. Jb: Hafner dem Vogtei: Botten, anderseit neben Mr Mich. Schott dem Weisbecken, hinten auf ged. Mr. Schott stosend, so auser hernach specificirten u: darauf Versicherten Passiv: Capitalien, frei, ledig u. eigen, Es ist diese Behausung bei Weil. Hn Nicolas Huin gewesenen Caffé: Sieders u. Brs; allhier, als der diesortig. Verstorbenen seel. erstern Ehem. seel. Verlaßenschafft durch eine von H. Hueber und H. Kaltner unterschriebene und Zum dasigen Inventarii Concept schrifftlich eingeschickte Abschatzung datirt den 7.ten 8.bris 1777. æstimirt und diesorts ohnerachtet solche seithero mehr ab: als Zugenommen, den noch dabei gelasen worden pro 5000 fl. oder 2500 lb. Worüber und zwar, Weilen diese Behausung ehender als Sie neuer dingen aufgebauen wurde, aus zweien erkauften alten Häusern bestunde, Zwo teutsche perg: in allh. C. C. Stub Libells weis verfertigte Kauffverschreibungen besagen, so beede mit dero gröserem Insiegel verwahrent sind de Datis 16. Jan. und 26.ten Julii 1775
Abschatzung vom 7. octobre 1777, Auff begeren Weÿland Nicolat Huin dem geweßenen Cafesieder ist Eine Behausung allhir in der statt straßburg in der langen straß gelegen Ein seÿts Ein Eck auf die freÿburger stubgaß anderer seÿts neben frau Rehmerin und hinten auf herr Haffner dem fogteÿ bott stoßend gelegen, solche behausung bestehet in Zweÿ biljard stuben ferner in Etlichen stuben Kuchen und Kammern darüber ist der dachstuhl mit breitzigel belegt, hat auch Ein gewölbter und Ein getremter Keller hoff und brunnen. Von uns unterschriebenen der statt straßburg geschwornen Werckmeister und Vorher geschehener besichtigung mit aller jhrer gerechtigkeit dem jetzigen wahren werth nach Estimirt und angeschlagen Vor und um fünff Tausend gulden [unterzeichnet] Hueber, Kaltner W:Mst
(f° 7) Ergäntzung des Hn Wittibers währender Ehe abgegangenen unveränderten Guths. Nach anleitung des Von beeden nun zetrtennten Ehepersonen durch mich den adhibirten Inventir: Notarium den 6.ten Aprilis. 1778 angefangenen und d. 27.ten Martii 1782. beschlossenen u. expedirten Inventarii illatorum
(f° 12-v) Gros: Mütterliche Wÿdums: Verfangenschaft, So dem G: E: unverändert und H. J: Conrad Scholl dessen Gros: Vater von seiner erstern Ehefr. weil. Fr. Margaretha gebohrner Lerchin, Kraft der mit einander auffgerichteten Eheberedung Lebenslänglich Zu genießen hat
Series rubricarum hujus Inventarii. Copia der Eheberedung
Des Hn Wittibers unveränderten Guts, Sa. Silber Geschmeids 8 ß, Sa. golden Geschmeidts 8 lb, Sa. Guts: Ergs. 115 lb, Summa summarum 125 lb
Diesemnach wird auch der Verstorbenen seel: modo dero minorennen Söhnl. als Von dessen Hn Vogt declarirten Beneficial: Erbens unverändert Vermögen verzeichnet, Hausraths 112 lb, Sa. Billards, Schiff und geschirr so Zum Caffé Schanck gehörig 21 lb, Sa. Silbers 4 lb, Sa. gold. Ringe 2 lb, Sa. Eigenthums ane einer Behausung 2500 lb, Sa. der Ergäntzung (passiv onus 1292), Summa summarum 2640 lb – Schulden 5967 lb, In Gegeneinaderhaltung 3326 lb
Endlichen wird auch die gemein : verändert u. theilbare Verlaßenschafft geschrieben, Sa. Hausraths 18 lb, Sa. Billards, Schiff und geschirr, Wie auch vorräthige Waar, Zum Caffé Schanck gehörig 28 lb, Sa. Pferds 12 lb, Sa. Silbers 5 lb, Sa. goldenen Rings 12 ß, Sa. Baarschafft 25 lb, Sa. Schulden 1311 lb, Summa summarum 1401 lb – Schulden 1061 lb, Nach deren Abzug 340 lb
Passiv onus loco Stall Summæ 2861 lb – Zweiffelhaffte schulden in des B. E. unveränderten Vermögenschaft zugeltend 393 lb, in de theilbare Verlaßenschaft zugeltend 30 lb – Großmütterl. Wÿdums: Verfangenschaft perge f° 12 b
Calcul sommaire de la succession
1784 (9.2.), Not. Roessel (Jean Georges, 6 E 41, 929) n° 111
Summarischer Calculus über Weiland Frauen Margaretha Maria Josepha Burgerin geborner Schollin, Hn Paul Heinrich Burger, Caffetier und burgerlichen Inwohners alhier, im Leben gewesener Ehegattin nunmehrige Verlassenschaft. Nach Anleitung des hierüber durch Hn Notarium Johann Daniel Lauth, den 21. Junÿ 1782 dem Stall tax nach errichtet und expedirten Inventarÿ, mit Aufrichtung Besser und Überbesserungen, durch mich unterschriebenen Notarium
Jacques Henri Burger se remarie en 1784 avec la luthérienne Marie Salomé Walcker aussi dite Walter, fille du charpentier Jean Léonard Walcker : contrat de mariage, célébration
1784 (12.2), Not. Roessel (6 E 41, 936) n° 83
Eheberedung – zwischen Herrn Jacob Heinrich Burger, Wittiber, Caffetier und burgerlichen Innwohner daselbst, H. Georg Jacob Burger, Hosenstrickermstr. und Burgers in Dosenheim mit Fraun Elisabetha gebohrner Jungin, ane einem
So dann Jungfraun Mariä Salome Walckerin, weil. H. Johann Leonhard Walcker geweßenen Zimmermann und hießigen burgers mit auch weil. Fraun (-) gebohrner (-) ehelich erziehlt und hinterl. tochter beÿständlich ihres geschworne und annoch ohnentledigten Vogts H. Johann Christian Beÿerbach, des hießigen Burgers und Schneidermeisters als Braut ane dem andern Theil
Actum Straßburg auf Donnerstag den 12. Februarÿ 1784 [unterzeichnet] Jacob Heinrich Burger als hochzeiter, Maria Salomea Walckerin hochzeiteron
(Deponirt) Straßburg den 13. Februarÿ Anno 1784.
Mariage, Saint-Thomas (luth. f° 121 n° 241)
Im Jahr 1784, Mittwoch den 25. Februaii Abends um Vier Uhr sind nach den ordentlichen proclamationen (…) in dieser unserer Kirche Zu St. Thomæ in den Stand der heiligen Ehe eingesegnet worden Herrn Johann Heinrich Burger der Caffesieder wittwer und burger allhier und Jungfrau Maria Salome weiland Johann Leonhard Walter (sonst auch Walcker genannt) gewesenen Zimmermann und burgers allhier mit weiland Frau Marg. Barb. gebohrner Bartholdin ehelich erzeugte Tochter [unterzeichnet] Jacob Heinrich Burger als hochzeiter Maria Salomea Walterin hochzeiterin (i 125)
Les nouveaux mariés font dresser l’inventaire de leurs apports dans la maison dont le mari a la jouissance au coin de la rue des Fribourgeois. L’épouse apporte une maison au Fossé des Tanneurs. Les apports du mari s’élèvent à 977 livres, ceux de la femme à 855 livres.
1784 (30.6.), Not. Roessel (Jean Georges, 6 E 41, 935) n° 53
Inventarium über Herrn Jacob Heinrich Burger des Caffetier und Fr. Mariæ Salome geb. Walterin beder Eheleute und Burgere alhier Zu Strb. einander für ohnverändert in die Ehe gebrachter Nahrungen aufgerichtet Anno 1784. – in ihrem den 25. Februarii jüngst mit einander angetrettenen Ehestand Zugebracht und sich vermög der unterem 12. febr. 1784. errichteten Eheberedung für ohnverändert vorbehalten haben, (…) So geschehen alhier Zu Straßburg und einer daselbst ane der untern Langenstraß ane der Freÿburger gaß gelegenen von dem Ehe H. Wittums weis bewohnenden behaußung in fernerer Gegenwarth H. Joh. Christian Beÿerbach des Burgers u. Schneidermstrs. der Ehefrauen annoch ohnentledigtenen Vogts und beÿstands auf Mittwoch den 30.sten Junii 1784.
Eigenthum ane einer Behaußung (F.) Nemlich eine Behausung an dem Rindshäuter oder Gerber: Graben (…)
Wittum Welcher der Ehemann Hr Jacob Heinrich Burger, von seiner verstorbenen erstern Ehegattin frauen Marg. Mariæ Josephæ geborner Schollin Zugeniesen hat. Nemlich Zufolg des Zwischen ihm H. Burger und seiner erstern Ehefr. einer gebornen Schollin vor H. Not° Joh: Daniel Lauth unterm 18. Märtz 1778 mit einander auffgerichteten Ehe Contracts und Zwar §° 4° (…) Wobeÿ aber auch beede nun Zertrennte Burgerische Eheleuth sowohl vor sich als auch ihre Erben gegen Frau Magdalena Schollin gebohrener Örtlerin Hn Conrad Scholl ihres leibl. und respe. Schwiger Vaters Eheliebste dahien verpflichtet haben, wann sich solte Zutragen, daß Hr Scholl vor seiner Zweÿten Ehefr. nechstgedacht, versterben würde, so wollen sie ihre der als dannige Wittib, als dero respê Stief Mutter und Stieffschwiger Mutter in die würcklich bewohnenden behaußung an der langen stras und Freiburger Gaß liegend a la Reine de France genanndt eine Wohnung Zu hinderst auf den Zweÿten Stock mit denen fenstern in gedachte Freiburger Gaß aussehend, so aus einer Stub, Stub Kammer, Kuchen und einem Plätzel im Keller bestehen soll, einraumen, um solche lebenslänglich so lang sie nemlich im Wittwenstand verbleiben solte ohne Zins und einige Abgang Zu bewohnen und Zugebrauchen.
Series rubricarum hujus Invent.. Des Ehemanns eingebracht Vermögen, Sa. haßraths 224, Sa. Billards Schiff u. gesch 336, Sa. Silbers 19, Sa. golds 31, Sa. baarschaft 75, Sa. Act. Schulden 380, Summa summarum 1066 lb – Schulden 190 lb, Detrahendo verbleiben 975 lb – Dazugelegt deßen gehörige ½ an denen hßteuren 101 lb, Macht bedes 977 lb
Diesemnach wird auch der Ehefrauen eingebracht guth beschrieben, Sa. hßraths 89, Sa. Silb. 11, Sa. golds 7, Sa. Eigenth. an i. bhßg. 1500, Sa. baarschaft 175, Summa summarum 1783 lb – Schulden 1029, Nach deren Abzug 753. – Addé dero helfte haussteuren betragt 101, thut bedes 855 lb
Jacques Henri Burger et le grand-père et tuteur de son fils louent une partie de la maison à Jean Ehrlenholtz le jeune.
1786 (8.6.), Chambre des Contrats, vol. 660 f° 224
Jacob Heinrich Burger ehemaliger caffesieder als nutznießer, H. Johann Conrad Scholl der sigrist zu St Louis als vogt weÿl. Fr. Maria Josepha Burgerin geb. Schollin einigen kinds und proprietarii
in gegensein H. Johannes Ehrlenholtz des jüngern
in ihrer ane der untern Langen straß am eck der Freÿburgergaß gelegene behausung eine vollständige wohnung bestehend aus dem gantzen rez de chaussée eine cammer in der mansarde einen unterschag auff der bühn und einen unterschlagenen keller im vordern hauß – auff 9 nacheinander folgenden jahren auff Johannis Baptistæ anfangend – um einen jährlichen Zinß nemlich 350 lit
Jean Conrad Scholl renonce au nom de sa femme Madeleine Œrler à la jouissance du logement dans la maison au coin de la rue des Fribourgeois eu égard qu’elle est davantage une charge qu’un avantage, d’autant que le droit de café n’y est plus attaché.
1787 (17. Nov), Not. Lauth (6 E 41, 649) Joint au n° 109 du 21 juin 1782
Vor mir dem unterschriebenen als zu weiland Fr: Margarethæ Mariæ Josephæ Burgerin gebohrner Schollin, so allhier Zu Straßburg in Anno 1782. den 22.ten Maji seelig Verstorben, Nahrungs: Verlaßenschafft adhibirt geweßten Inventir: Notario ist ane zu End stehendem Dato in Person erschienen Hr. Jakob Heinrich Burger, der Caffé: Sieder und Burger dahier, dermalen Zu Bischheim am Saum domicilirend, gedachter Verstorbenen seel. geweßter Zweiter Ehemann dieser hatt
in Gegensein mit comparirenden H. Johann Conrad Scholl, des Wohlbestellten Sigristen in der Pfarrei zu St Louis und Frauen Magdalenæ gebohrner Oertlerin, beeder Eheleuthe und Burgere hieselbsten /:und Zwar der Ehe: Herr als geordnet und geschworenee Vogt deßen Enckels Namens Heinrich Andreas Conrad Burger, so im Künftigen Decembrer Sieben Jahr alt, Sie die Ehefrau aber als eine in der, von der seelig: Verstorbenenn mit ihme Comparenten als damaligen Hochzeiter Vor mit Notario den 18.ten Martii 1778 errichteten Ehe: Beredung und dern §. 5.ti
hernach ermelter Behausung nach ihres Eheh. Vorabsterben Stipulirte Besitzerin einer freien Wohnung:/ angezeigt und bekandt, wie daß er Vermög der Kinder: Vertrags den unter andern habenden Natural: Genuß einer ane der Langenstras und Freiburger: Gaß gelegenen à la Reine de France, genannten und mit N° 146 marquirten Eck Behausung, so deßen einzigem Söhnl. v. Erben unverändert, bei seinen heutigen Umstäden nicht mehr in naturâ benutzen Kan, und wie Mit Comparenten Wohl Wissend, daß besagtes Haus wegen nicht mehr habender Caffée: Gerechtigkeit nunmehr nicht so Zinnsreich sondern Vielmehr Wegen jährlich darinnen habeden raparationen Abgaben und der darauf haftenden Passiv: Capitalien davon Zu reichenden Zinßen heutigen tags zu einem Onere erwachsen, Weilen alles dieses die Einnahm ohngeachtet, Wann alles besetzt ist, übersteigt, als will er Hr Comparent aus obangeregten Ursachen hiemit und in Kraft dieses auf den Natural genus mehrgedachter Behaußung in aller Form Rechtens Verzug gethan haben (…)
So geschehen Straßburg auf Sambstag den 17. Novembris Anno 1787
Jacques Henri Burger et Madeleine Salomé Walcker habitent ensuite à Bischheim
1821 (17.1.), Strasbourg 8 (31), Me Roessel n° 7616
Contrat de mariage – Charles Burger, menuisier à Strasbourg fils de feu Jacques Henri Burger, aubergiste à Bischheim au Saum et de feu Madeleine Salomé Walcker
Frédérique Dorothée Flach fille majeure de feu Jean Flach, épinglier, et Marguerite Dorothée Krafft femme actuelle de Jean Brand, meunier
Enregistrement, acp 150 F° 179 du 18.1. – régime de la communauté d’acquets partageable par moitié
Jean Conrad Scholl vend au nom du fils mineur de Marie Marguerite Josèphe Scholl et de Henri Burger la maison au charcutier Jean Bernhard et à sa femme Françoise Christmann moyennant 4 905 livres
1788 (6.3.), Chambre des Contrats, vol. 662 f° 98-v
H. Johann Conrad Scholl der Sigrist zu St Louis als gerichtlich bestellter vogt weÿl. Fr. Mariæ Margarethæ Josephine Burgerin geb. Schollin mit Heinrich Burger des caffesieders erziehlten hinterbliebenen Söhnleins nahmens Heinrich
in gegensein Johannes Bernhard des wurstmachers und Franciscæ geb. Christmännin, beÿständlich H. Rathh. Frantz Lorentz Gillig des schaffners des löbl. Collegiat Stiffts Jungen St Peter und H. Frantz Georg Burgard des gastgebers
eine behausung, höffelin, hoffstatt, bronnen mit allen deren gebäuden, begriffen, weithen, zugehörden, rechten und gerechtigkeiten ane der Freÿburger gaß, einseit ist ein Eck ane sothanen gaß, anderseit neben Mr Schott dem weißbecken, hinten auff die Haffnersiche wittib und erben – um 9810 gulden
Les acquéreurs hypothèquent quelques jours plus tard la maison au profit de l’orfèvre Jean Chrétien Pick pour en régler les réparations
1788 (14.3.), Chambre des Contrats, vol. 662 f° 115
Johann Bernhard der wurstmacher und Francisca geb. Christmännin beÿständlich Joseph Lottmann des ackersmanns zu Feßenheim und Georg Iller des schultheißen zu Offenheim
in gegensein H. Johann Christian Pick des silberarbeiters, zu haupt reparationen hiernach beschriebenen behausung- schuldig seÿen 1000 gulden
unterpfand, anfangs gedachte behausung samt zugehörden am eck der Freÿburger gaß so sie von Burgertischen curando vor kurtzem erkaufft
Originaire de Walbourg près de Haguenau, Jean Georges Bernhard épouse en 1777 Marie Françoise Christmann, native de Rossfeld près de Benfeld.
Mariage, Saint-Etienne (cath. f° 148-v)
anno domini 1777 die vero 8. julii (…) sacro matrimonii vinculo in facie ecclesiæ conjuncti fuerunt joannes Georgius Bernard oriundus ex Walburg hujus diocesis filius legitimus et majorennis defunctorum Martini Bernard mercenarii ibidem et Magdalenæ Braxmeyerin conjugum in parochia ad stum ludovicum commorans et maria Francisca Christmann oriunda ex Rossfelden parochiæ herbsheim etiam hujus diocesis filia legitima et majorennis defuncti Galli Christmann civis olim et molitoris ibidem et superstitis Annæ Mariæ Lodmænin conjugum in hâc parochiâ commorans (signé) Johannes Georg Bernhard, + signum sponsæ (i 158)
Le cuisinier Jean Georges Bernhard achète le droit de bourgeoisie le 28 juin 1777 : inscription, traitement de la demande
1777, Livre de bourgeoisie 1769-1777 (VI 286) p. 174
Johann Georg Bernhard der ledige Koch von Walburg beÿ hagenau gebürtig erhalt das burgerrecht umb den alten burger schilling, will dienen beÿ E. E. Zunfft der freÿburger, Jur. 28. Junÿ 1777.
Johann Georg Bernhard, der ledige Koch, Weÿland Martins Bernhard Burger Zu Walpurg mit weÿland Magdalena Braxmeÿerin Ehelich erzeugte sohn, der Catolischen Religion Zugethan, Erweiset durch Vorgelegte schein seine Eheliche geburth
Hat auch die erforderliche Stadt Stall caution geleistet, deß Zunfftrechts Zu den Freÿburgern vertröstet das erforderliche Vermögen hat derselbe Baar Vorgewiesen und als Ein wahres Eigenthum Mit handtreu bekräfftiget, auch 100. fl 5 ß Zum B. Protocol. hinderlegt, implorant bittet E. G. unterthänigst Von hoher Recommendation ihme das B. recht umb den alten V. schilling Zu vertrösten.
Receptus umb d. A. B. schilling
Marie Françoise Christmann acquiert le droit de bourgeoisie par son mari à titre gratuit pour bon comportement le 12 juillet 1777 : inscription, traitement de la demande
1777, Livre de bourgeoisie 1769-1777 (VI 286) f° 174-v
Maria Francisca Christmännin geb. von Roßfelden verheurathet an Georg Bernhard, den Kochn erhalt das burgerrecht wohl verhältnis wegen gratis, will dienen beÿ E. E. Zunfft der feÿburger promis. eod. [12 Julÿ 1777]
(VI 286 bis, p. 513) Freÿburger N° 13 – 5 Julÿ 1777
Jgfr. Maria Francisca Christmännin V. Roßfeld beÿ Benfelden geb. Weÿl. Gallus Christmann gewesenen B. u. müllers daselbst mit Fr. Anna Maria gebohrner Lodmännin Ehelich erzeugte Tochter. Verlobt mit Joh: georg Bernhard dem Hiesigen b. u. Koch Erweiset durch Vorgelegten scheins Ihre Eheliche geb. der Cath. Relig. Zugethan u. Ihren Sponsi Stallgebühr in richtifgkeit.
daß erforderliche Vermögen Hatt dieselbe baar vorgewiesen u. als Ihr Wahren Eigenthum mit handtreu bekräfftiget auch 103. fl 5 beim B. Prot. deponirt
jmporantin bittet E. G. unterthänig Ihro daß B. recht gratis Zu Vertrösten angesehen dieselbe Sieben Jahr ohnunterbrochen beÿ H. Georg burger dem hiesigen B. u. gastgeber a la Ville de Lyon gedienet und Sich Während solcher Zeit getreu u. fleisig erwiesen, lauth vorgelegtem attestat u. handtreulicher affirmation.
Etat de fortune des locataires Antoine Laurent Schuhmacher, lustreur originaire de Wetterdingen dans le diocèse de Constance, et de Catherine Keller native de Montbéliard.
1788 (13.12.), Not. Übersaal (6 E 41, 659) n° 244
Designatio Desjenigen Vermögens, so Antoni Lorentz Schumacher, des Glätters und Seidenwaschers von Wetterdingen in dem Bischoffthum Constanz und Frau Catharina geborner Kellerin von Mümpelgard gebürtig, beede Eheleuthe, welche alhier Zu Strasburg wohnhaft, dermalen eigenthümlich besitzen (…) und der Ursache willen, weil sie bei Einem Ehrsamen Grosen Rath um das Burger Recht unterthänig anzuhalten entschlossen sind
in einer ane der langen Straß am eck der Freiburgergaß gelegen H. Bernhard dem frantzösischen Wurstmacher zuständigen behausung
Sa. Hausraths 493 fl, Sa. Silbers 104 fl. Sa. Sackuhr 108 fl, Sa. Baarschafft 480 fl, Summa 1185 fl. Solches bezeuget Straßburg den 13. ecc&& 1788.
Marie Françoise Christmann obtient le divorce le 2 complèmentaire VIII
Divorce, Strasbourg (n° 408)
Cejourd’hui deuxième jour complèmentaire l’an Sept de la République française une et indivisible (…) est comparue en la maison commune Marie Françoise Christmann, domiciliée en cette commune grand’rue N° 149, native de Rosfelden, Canton de Benfelden Département du Bas-Rhin, demanderesse en divorce, épouse en légitime mariage de Jean Georges Bernard, charicuitier, domicilié en cette Commuine en la susdite demeure, natif deWalbourg Canton de Soultz sous forêts département susdit, défendeur en divorce, Ladite livres Françoise Christmann assistée de Jacques Lutz âgé de 47 ans, menuisier, de Joseph Grübel âgé de 57 ans, perruquier, de Laurent Kolb âgé de 47 ans garde de police, & de Jean Pierre Dierstein âgé de 55 ans, employé à la maison Commune (…) Laquelle Marie Françoise Christmann m’a requis de prononcer la dissolution de son mariage contracté en cette Commune avec ledit Jean Georges Bernard le 8 juillet 1777 et m’a exhibé à cet effet un jugement rendu par le tribunal du Département du Bas Rhin le 4 Messidor dernier (…) Enregistré le 3 compl. an 7 f° 85
Charcutier en la Citadelle, Jean Georges Bernard et Marie Françoise Christmann vendent la maison au négociant Charles Paul Hirn moyennant 16 500 francs
1801 (4 floréal 9), Strasbourg 10 (41), Not. Zimmer n° 912, 785
Cit. Jean Georges Bernard, Chaircuitier en la Citadelle et Marie Françoise Christmann, femme divorcée dudit Bernard led. Divorce prononcé par l’Officier public de cette ville le 2 compl. 7 sous l’assistance des Cit. Charles Riebel Maître de danse et Jacques Lutz menuisier
au Cit. Charles Paul Hirn Negt.
Une Maison petite cour puits appartenances et dépendances scise a Strasbourg grand’rue N° 149, d’un côté le coin de la rue des francbourgeois, d’autre à la maison de Schott le boulanger, derrière celle des veuve et héritiers haffner, (chargée d’un capital de 7200 fr, 12.400 fr, et solde de 1800 francs), pour 16.500 francs
Enregistrement, acp 78 f° 18 du 5 flo. 9
Fils du négociant François Hirn, Charles Paul Hirn épouse en 1800 Françoise Dangelo, fille du négociant Dominique Dangelo : contrat de mariage, célébration
1800 (19 pluviose 8), Strasbourg 10 (31), Not. Zimmer n° 267 (181)
Contrat de mariage – sont comparus le citoyen Charles Paul Hirn, Négociant demeurant à Strasbourg, fils majeur et légitime du cit. François Hirn, Négt. demeurant en cette Commune et de la citoyenne Marie Marguerite née Rebanier ses père et mère futur époux d’une part
Et la Citoyenne Françoise Dangelo, fille majeure et légitime du Cit. Dominique Dangelo, Négociant, et de la Citoyenne Anastase née Dangelo Conjoints demeurant à Strasbourg assistée dudit son père à l’effet des présentes, future épouse, d’autre part
11. Le Cit; François Hirn père, en renonçant pareillement à toutes choses contraires ayx différentes dispositions (…) notamment aux avantages de survie résultant de sondt Contrat de mariage du 6 janvier 1761. déclare en outre qu’il est porté et disposé à céder audit futur sa maison rue des hallebardes et son Commerce, dans l’Etat actif et passif, comme le tout se trouve & sitot qu’il en sera requis par ledit futur son fils cadet, laquelle cession, s’il y echet, est pareillement consenti par ledit Cit.. Claude Antoine Hirn, frere ainé dudit futut, en tant que besoin
Fait, lû et passé à Strasbourg au domicile des conjoints Dangelo (…) le 19 Pluvios après midi ‘an huit de la Republ. française (signé) Charles Hirn, Françoise Dangelo François Hirn
Enregistrement de Strasbourg, acp 71 F° 90 du 21 plu. 8
Mariage, Strasbourg (n° 147)
Cejourd’hui 30° Pluviose l’an VIII de la République française une et indivisible (…) sont comparus pour contracter mariage d’une part Charles Paul Hirn, âgé de 22 ans, négociant, né & domicilié en cette Commune fils de François Hirn, négociant, et de Marie Marguerite Rebannier, d’autre part Marie Françoise Dangelot, âgée de 26 ans née & domiciliée en cette Commune, fille de Dominique Dangelot, négociant et d’Anastase née Dangelot (…) 1° l’acte de naissance du futur portant qu’il est né le 5 may 1777 (…) 2° l’acte de naissance de la future portant qu’elle est née le 25 mars 1773 (signé) Charles Hirn, Marie Françoise Dangelo (i 78)
Charles Paul Hirn expose deux maisons aux enchères
1805 (9 frimaire 14), Strasbourg 13 (23), Not. Bremsinger n° 2850
Sr Charles Paul Hirn négociant, adjudication volontaire
1. une maison sise en cette ville de Strasbourg Grand rue n° 149 petite cour Puits appartenances et dépendances faisant le coin de la rue des francs bourgeois d’un côté, d’autre attenant a La maison de Schott le boulanger derrière celle des veuve et héritiers Haffner avec toutes ses aisances et servitudes
2. une autre maison scise en cette ville vis à vis les douanes impériales connue sous la dénomination de Zollkeller que le Sr vendeur a acquis de la ville également avec toutes ses charges servitudes aisances circonstances & dépendances
n° 2864, 16 frimaire – la maison grand rue mise à prix 14.500 fr, à François Louis Madler pour 14.550 francs
le Zollkeller mise à prix 15.000 fr,à François Louis Madler pour 15.150 francs
n° 2879, 23 frimaire – n° 2885, 30 frimaire, sans nouvelles enchères
Inventaire dressé après la mort de la locataire Marie Elisabeth Louise Dichat, femme de Charles Léopold Chardoillet, receveur de la Loterie
1805 (18 floréal 13), Strasbourg 14 (27), Not. Lex n° 4915
Inventaire de la succession de Marie Elisabeth Louise Dichat femme de Charles Leopold Chardoillet, receveur de la Lotterie Impériale, décédée le 5 messidoe 11 – à la requête du veuf, tuteur naturel des deux enfants Thérèse Caroline née le 28 pluviose 9 et Christophe Gustave Chardouillet né le 8 brumaire 11, représentés par Antoine Georges marchand de fer keur subrogé tuteur
demeurant grand rue n° 149 dans la maison du Sr (Jaeger) négociant
Récapitulation, masse active 74.703 fr (dont numéraire 4973 fr), passif 25.544 fr, dettes douteuses 15.092 fr
Contrat de mariage, M° Tribounet à Belfort le 27 nivose 9 : Charles Leopold Chardoillet, receveur de la Lotterie nationale a Strasbourg, fils majeur de Pierre François Christophe Chardoillet, propriétaire, et de Marie Thérèse Filemer à Belfort et Elisabeth Dichat, fille mineure d’Ignace Dichat, négociant, et de Marguerite Joliot demeurant à Porrentruy
Enregistrement, acp 96 F° 119 du 19 flo. 13
Marie Françoise Dangelo femme de Charles Paul Hirn qui se trouve en Russie meurt en 1840 en délaissant trois enfants
1810 (30.10.), Strasbourg 12 (34), Not. Wengler n° 5253
Inventaire de la succession de Marie Françoise Dangelo épouse de Charles Paul Hirn – à la requête de Jean Baptiste Ballet négociant tuteur, Dominique Antoine Dangelo négociant en qualité de subrogé tuteur d’Auguste Charles âgé de 8 ans, Julie âgée de 6 ans, Joseph Felix âgé de 4 ans, les trois enfants de Marie Françoise Dangelo épouse séparée quant aux biens de Charles Paul Hirn ci devant négociant à Strasbourg, se trouvant présentement en Russie, procrées avec son mari, héritiers de leur mère qui avait son domicile ordinaire a Haguenau, décédée pendant le séjour qu’elle faisait à Strasbourg chez ledit Sr Dangelo son frère le 22 du présent mois
en la maison rue de l’Epine n° 12
dans deux chambres sises au second étage du bâtiment de derrière de ladite maison ayant vue dans la cour – meubles 2806 fr
Enregistrement de Strasbourg, acp 115 f° 171 du 2.11.
Charles Paul HIrn et Françoise Dangelo qui habitent Haguenau vendent la maison à Joseph Philippe Sauthier, prêtre demeurant à Tournai, moyennant 16 000 francs
1806 (9.8.), Strasbourg 1 (30), Not. Lacombe n° 5703
Charles Paul HIrn négociant demeurant présentement à Haguenau et Françoise Dangelo
à M Joseph Philippe Sauthier Pretre du Diocese de Strasbourg demeurant présentement a Dournay pour lequel M Jean Antoine Meyer pretre du Diocese de Strasbourg
une maison consistant en rez de chaussée deux étages et mansardes petite cour puits et dépendances sise à Strasbourg grand rue n° 149 faisant le coin de la rue des francsbourgeois d’un côté la maison du Sr Schott boulanger, derrière celle des veuve et héritiers Haffner – acquis de Georges Bernard et Françoise Christmann par venre reçue M° Zimmer le 4 floréam 9 – moyennant 16.000 francs
Enregistrement, acp 100 f° 110-v du 11.8.
Chanoine de Saint-Denis et maitre des cérémonies à la Chapelle du roi, Joseph Philippe Sauthier meurt à Paris en 1830 en délaissant des héritiers testamentaires
1830 (21.6.), Strasbourg 14 (88), Me Ritleng n° 1310
Inventaire de la succession de Joseph Philippe Sauthier, chanoine de Saint-Denis et maitre des cérémonies à la Chapelle du Roi demeurant à Paris où il est décédé le 19 avril dernier – à la requête de 1. Georges Ritleng, chanoine de la Cathédrale de Strasbourg, exécuteur testamentaire suivant testament olographe daté à Paris au Château des Tuileries le 9 avril 1829 déposé au rang des minutes de M° Ritleng le 27 avril dernier, 2. Louis Leclerc, peintre en voiture, 3. Marie Elisabeth Lacause femme d’Anselme Schildknecht, courrier de Strasbourg à Barr domicilié à Strasbourg, 4. Barbe Kaumann fille majeure, 5. Josephine Kaumann, majeure à Molsheim, en qualité de légataires universelles, lesdites Kaumann représentées par Charles Auguste Schneider, praticien, M Leclerc, Mde Schildknecht héritiers pour un tiers et lesdites Kaumann conjointement pour un tiers, et à la requête de François Joseph Lacause, employé à la douane royale de Strasbourg et Catherine Wiss légataires particuliers
immeuble, une maison sise à Strasbourg grand rue n° 149 faisant le coin de la rue des Fribourgeois où elle est marquée du n° 6 d’un côté le Sr Steyert boulanger d’autre au Sr Kampmann, non estimée. Titres et papiers, contrat reçu M° Lacombe le 8 vendémiaire 14, transcrit, acquis la maison de Charles Paul Hirn et Françoise Dangelo de Haguenau
acp 200 (3 Q 29 915) f° 12-v du 29 juin – Sept premièrev vacations
acp 200 (3 Q 29 915) f° 51-v du 13 juillet – meubles légués 678 fr, meubles légués à l’abbé Zaepffel 75 francs, à M Sultzer 10 francs, un tableau 5 francs, un petit monument à M Fess 6 francs, différents meubles au chanoine Ritleng 27, bibliothèque léguée au Séminaire 520 fr, créances 1028 fr, une maison non estimée – passif 822 fr
acp 200 (3 Q 29 915) f° 94
Les héritiers vendent la maison au cafetier Jean Kœberlé moyennant 18 650 francs
1830 (12.8.), Strasbourg 14 (88, 89), Me Ritleng n° 1390
Cahier des charges, 8 juillet n° 1345 – adjudication préparatoire n° 1356 le 20 juillet – Adjudication définitive 31 juillet n° 1376 – Adjudication sur surmise – 1. Louis Leclerc, peintre de voitures, 2. Marie Elisabeth Lacause femme de Jean Anselme Schildknecht, courrier de Strasbourg à Barr, 3. Charles Georges Schneider, particien, mandataire de Barbe Kaumann, majeure à Strasbourg et Joséphine Kaumann sa sœur majeure à Mosheim
à Jean Koeberlé, caffetier
une maison consistant en un rez de chaussée, deux étages et mansardes, petite cour, puits et dépendances située à Strasbourg Grande rue n° 149 fesant le coin de la rue des Fribourgeois où elle est marquée du n° 6 d’autre la maison du Sr Steyer boulanger, derrière le Sr Kampmann – l’immeuble vendu appartient à M Leclerc pour un tiers, M. Schildkencht pour un tiers, aux Dlles Kaumonn pour un tiers, comme héritiers de M abbé Joseph Philippe Sauthier, chanoine de St Denis et maître de cérémonie de la chapelle du Roi à Paris où il est décédé le 19 avril dernier, testament olographe à Paris le 9 avril 1829 déposé aux rang des actes de M° Ritleng le 27 avril dernier – Origine de la propriété, le défunt l’a acquis par acte reçu Lacombe le 8 vendémiaire 14 de Charles Paul Hirn et de Françoise Dangelo de Haguenau, le Sr Hirn l’avait acquis de Jean Georges Bernard et Françoise Christmann suivant acte dressé par M° Zimmer le 4 floréal 9 transcrit – Mise à prix 16.000 fr – moyennant 18.650 francs
acp 200 (3 Q 29 915) f° 49-v Cahier des charges – acp 200 (3 Q 29 915) f° 78-v – acp 200 (3 Q 29 915) f° 111 du 17 août
Jean Kœberlé épouse Jeannette Meyer, fille du cafetier Joseph Meyer, qui s’est mariée en premières noces avec l’ouvrier en tabac Antoine Wolff en 1813.
1813 (10.3., Strasbourg 5 (37), Not. F. Grimmer n° 8150
Contrat de mariage – Antoine Wolff, ouvrier en tabac, fils de Henri Wolff, brouetteur, et d’Apollonie Himbert
Jeannette Meyer, fille de Joseph Meyer, caffetier, et de Madeleine Dress
Enregistrement, acp 121 F° 190-v du 16.3.
Inventaire des apports
1813 (9.7.), Strasbourg 5 (38), Not. F. Grimmer n° 8345
Inventaire des apports de Jeannette Meyer femme d’Antoine Wolff, ouvrier en tabac, assistée de son père Joseph Meyer caffetier, suivant contrat de mariage du 10 mars dernier
meubles 997 fr, numéraire 1200 fr, total 2197 fr
Enregistrement, acp 123 F° 1-v du 17.7.
Antoine Wolff meurt en 1823 en délaissant trois enfants
1824 (22.3.), Strasbourg 3 (71), Me Schreider n° 1949
Inventaire de la succession d’Antoine Wolff, ouvrier en tabac, décédé le 19 décembre dernier – à la requête de Jeannette Meyer la veuve, en son nom et mère et tutrice légale des trois enfants 1. Caroline âgée de 10 ans passés, 2. Joseph âgé de 8 ans 8 mois, 3. Jeannette Rose âgée de 11 mois – en présence de Joseph Bader, aubergiste à la ville de Lyon subrogé tuteur
au second étage de l’hôtel du Miroir rue des Serruriers
Contrat de mariage reçu Grimmer le 10 mars 1813
garde robe 216 fr, numéraire 528 fr, créances 1145 fr, ensemble 1889 fr, passif 2297 fr
Enregistrement, acp 167 F° 100-v du 1.4.
Jeannette Meyer se remarie en 1824 avec le garçon cafetier Jean Baptiste Pfrimmer
1824 (29.8.), Strasbourg 3 (71), Me Schreider n° 2163
Contrat de mariage – Jean Baptiste Pfrimmer, garçon cafetier, fils majeur de feu Jean Michel Pfrimmer, blatier, et de Dorothée Woessel
Jeannette Meyer veuve d’Antoine Wolff, ouvrier en tabac
Enregistrement, acp 169 F° v152 du 4.9. – sous le régime de la communauté d’acquets partageable par moitié
Jean Baptiste Pfrimmer meurt en délaissant pour héritiers les enfants issus du premier mariage de sa veuve
1826 (31.1.), Strasbourg 3 (74), Me Schreider n° 2704
Inventaire de la succession de Jean Baptiste Pfrimmer, garçon cafetier décédé le 17 octobre dernier – à la requête de Jeannette Meyer veuve en premières noces d’Antoine Wolff, ouvrier en tabac, en secondes dudit Pfrimmer, mère et tutrice légale de 1. Caroline Wolff, 2. Joseph Wolff, 3. Jeannette Rose Wolff, héritiers sous bénéfice d’inventaire de Jean Baptiste Pfrimmer – en présence de Charles Buchetti fils, négociant, subrogé tuteur
dans la maison mortuaire rue des Serruriers hôtel du Miroir au second étage
contrat de mariage reçu le 29 août 1824 par M° Schreider
garde robe 71 fr, numéraire 154 fr
Enregistrement, acp 176 F° 184-v du 4.2.
Garçon brasseur originaire de Souffelweyersheim, Jean Kœberlé épouse en 1826 Jeannette Meyer
1826 (22.9.), Strasbourg 3 (75), Me Schreider n° 3031
Contrat de mariage – Jean Koeberlé, garçon brasseur à Souffelweyersheim fils de feu Jean Georges Koeberlé et de Marguerite Conrad
Jeannette Meyer, cafetière, veuve en premières noces avec trois enfants d’Antoine Wolff, ouvrier en tabac, et en secondes sans enfant de Jean Baptiste Pfrimmer, cafetier à Strasbourg
Enregistrement, acp 180 F° 113-v du 28.9. – communauté d’acquets partageable par moitié
Jean Kœberlé et Jeannette Meyer hypothèquent la maison au profit du passementier Jean Frédéric Scholl
1842 (20.1.), Strasbourg 12 (156), Me Noetinger n° 14.087
Obligation – Ont comparu M. Jean Koebelé, cafetier, & D° Jeannette Meyer son épouse de lui dûment autorisée, les deux demeurant à Strasbourg, lesquels ont reconnu devoir
A M. Jean Frédéric Scholl, fils, passementier demeurant à Strasbourg, créancier, la somme principale de 6000 francs, 2. & à Delle Caroline Metzger, majeure d’ans, demeurant à Strasbourg, créancière, pareille somme de 6000 francs, Ensemble celle de 12.000 francs
Immeubles, Une une maison avec petite cour & dépendances, sise en cette ville grand’rue n° 149, d’un côté tenant au Sr Steigerer faisant de l’autre le coin de la rue des fribourgeois où elle porte le n° 6, donnant par derrière sur M Kampmann. Les débiteurs déclarent sous les peines du stellionat que cette maison leur appartient en toute propriété & qu’elle est franche & libre de tous privilèges & hypothèques
Jean Kœberlé loue un magasin et un logement au mercier Willard le jeune
1843 (4.2.), Enregistrement de Strasbourg, ssp 84 (1873) f° 82-v
Bail du 25 janvier 1843 – Monsieur Köbelé, caffetier à Strasbourg déclare donner bail
au Sieur Willard jeune mercier en ville
un Magasin avec Logement situé dans sa Maison grande rue N° 149 composé comme suit, tout le rez de chaussée formant magasin de devant en trois pièces formant le derrière du dit, tout le premier étage dans toute sa Composition de devant en derrière, une Mansarde, une Grande cave, la jouissance de la cour. Le présent bail est fait sous les clauses et conditions suivantes, 1° le tout pour un loyer annuel de 1200 francs payable par quart par 300 francs
2° Le présent bail Commencera à partir de St Jean prochain pour une durée de trois, six ou neuf années (…)
Monsieur Köbelé s’engage à faire faire une séparation à la pièce formant le magasin, plus une nouvelle devanture descendant jusqu’à la route, le tout d’après le modèle voulu par le Sieur Willard qui se son côté s’engage à participer pour la moitié des frais qu’entraînera la devanture (…)
en marge est encore écrit. J’estime la moitié à ma charge pour la devanture à faire à la somme de cent francs
Jeanne Meyer meurt en 1844 en délaissant deux enfants de son premier mariage et un fils issu du veuf.
1844 (19. 7.br), Strasbourg 12 (164), Me Noetinger n° 17.133
Inventaire après le décès de Jeanne Meyer veuve en premières noces de Joseph Antoine Wolff, en secondes noces Jean Baptiste Pfrimmer et femme en troisièmes noces de Jean Koeberlé
L’an 1844, le Jeudi 19 septembre à neuf heures du matin en la maison Rue des Fribourgeois N° 6 et Grande Rue N° 149 où est décédée le 31 août dernier Dame Jeanne Meyer veuve en premières noces de Joseph Antoine Wolff, ouvrier en tabacs, et en secondes noces Jean Baptiste Pfrimmer garçon cafetier, et femme en troisièmes noces du Sr Jean Koeberlé propriétaire domicilié à Strasbourg au domicile de sondit mari, en présence et à la requête dudit Sr Jean Koeberlé, agissant tant en son nom à cause de la communauté de biens dissoute entre lui et sadite femme défunte et des autres droits et avantages qui peuvent lui résulter de son contrat de mariage ci après relaté, qu’en qualité de père et tuteur légal de Jean Léon Koeberlé, son fils mineur procréé avec sadite défunte, né le 18 octobre 1829, et en présence 1° de M° Théodore Burtz, Notaire à la résidence de Strasbourg, commis pour représenter le Sr Antoine Joseph Wolff, présumé absent, soldat au service de France, fils majeur et légitime procrée en son premier mariage par la défunte Dame Jeanne Meyer avec le Sr Joseph Antoine Wolff (…) et encore en présence et à la requête de Mademoiselle Jeannette Rose Wolff, majeure sans profession domiciliée à Strasbourg, aussi fille légitime de la défunte procréée en son premier mariage avec le Sr Wolff, et enfin en présence de M. Jean Sarburger, Marchand de bois, en qualité de subrogé tuteur dudit mineur Jean Léon Koeberlé (…) Lesdits Antoine Joseph Wolff, Jeannette Rose Wolff et Jean Léon Koeberlé étant les héritiers présomptifs chacun pour un tiers de la succession de leur mère défunte
Contrat de mariage passé devant M° Schreider notaire à Strasbourg le 22 septembre 1826
Communauté d’acquets. Meubles,. Dans la chambre d’habitation au premier étage, Dans une chambre à droite de celle-ci
Immeubles, Une une maison avec cour ayant rez de chaussée, deux étages et mansardes, puits à pompe et autres droits et dépendances située à Strasbourg Grande Rue n° 149 et formant le coin de la rue des Fribourgeois où elle porte le n° 6 tenant d’une troisième part au Sr Steyert boulanger etd e quatrième part au Sr Kampmann. Cette maison a été acquise pendant la communauté et pour le profit de cette masse de M. Louis Leclerc, peintre de voitures à Strasbourg, de Dame Marie Elisabeth Lacause, femme autorisée du Sr Anselme Schildknecht, courrier à Barr, et des Demoiselles Barbe Kaumann de Strasbourg et Joséphine Kaumann majeure de Molsheim suivant contrat de vente passé devant M° Ritleng qui en a la minute et l’un de ses collègues Notaires à Strasbourg, en forme d’adjudication volontaore publique aux enchères en date du 12 août 1830, enregistré le 17 même mois et année, précédé d’un cahier des charges dressé par ledit M° Ritleng le 8 juillet même année enregistré le 13 et transcrit au bureau des hypothèques volume de Strasbourg le 19 août 1830 volume 238 Numéro 37.
la maison ci-dessus décrite est déclarée par le veuf être d’un produit annuel brut de 1000 francs représentant un capital au denier vingt de 20.000 francs. L’expédition du contrat d’acquisition préallégué a été cotée et paraphiée sous la cote D.
Récapitulation de l’actif de la communauté. mobilier 1591, capital et arrérages 950, argent comptant 75, prix d’estimation de la maison 20.000, avancements d’hoirie aux enfants du premier lit 716, total 23.332 francs – Dettes passives 25.171 francs, Balance 1238 francs
Garde robe de la défunte 206 – Dettes passives de la succession 842 francs
acp 327 (3 Q 30 042) f° 10
Liquidation et partage correspondants
1845 (7. 9.br), Strasbourg 12 (167), Me Noetinger n° 18.080
Liquidation & partage de la communauté qui a existé entre Jean Koeberlé et Jeanne Meyer
Ont comparu M. Jean Koeberlé, propriétaire demeurant à Strasbourg, Agissant 1° comme ayant été commun en biens acquets & conquets avec De Jeanne Meyer sa défunte épouse en vertu du contrat de mariage ci-après relaté, 2° comme donataire d’une part d’enfant de cette dernière aux termes du même contrat de mariage, 3° comme tuteur légal de Jean Léon Koeberlé son fils mineur, 2. Melle Catherine Schirer, rentière demeurant à Strasbourg, agissant en qualité de mandataire 1° de Jeannette Rose Wolff, majeure, couurière, domiciliée à Strasbourg (…) 2° de M. Joseph Antoine Wolff, soldat au premier escadron du 9° régiment de hussards en garnison à Avesnes (Nord) (…) Et M. Jean Saarburger, marchand de bois demeurant à Strasbourg, agissant en qualité de subrogé tuteur dudit mineur Koeberlé, Les susnommés Jeannette Rose Wolff, Joseph Antoine Wolff et Jean Léon Koeberlé seuls et uniques héritiers de feu leur mère ladite dame Koeberlé née Meyer
Observations préliminaires. Feu la dame Koeberlé était mariée en premières noces avec le Sr Joseph Antoine Wolff, ouvrier en tabacs à Strasbourg & en troisièmes noces avec ledit Sieur Koeberlé. Le contrat de mariage qui a réglé cette dernière union a été dressé par M° Schreider, Notaire à Strasbourg le 22 septembre 1826, cet acte contient notamment 1) établissement d’une communauté réduite aux acquêts partageable par moitié, 2) donation par la future épouse au futur époux d’une part d’enfant le moins prenant. La Dame Koeberlé est décédée à Strasbourg le 31 août 1844. L’inventaire après décès a été dressé par ledit Notaire Noetinger le 19 septembre même année. La licitation de la maison situéeà Strasbourg & d’une rente foncière dépendant de ladite communauté a été poursuivie par Dlle Jeannette Rose Wolff (…)
acp 341 (3 Q 30 056) f° 99 du 12.11. – Communauté se composant de l’argent comptant 128, arrérages 62, loyers échus 702, arrérages de créances 600, total 1492
Il est dû I. par le veuf pour le prix d’adjudication de la maison et de la rente foncière 30.835, à des créanciers 12.000, pour frais 414, total 12.414, reste 18.440 et intérêts de cette somme 499, ensemble 18.989 francs. Il doit encore pour meubles enchéris 1464, Ensemble 20.403.
II, par Joseph Wolff 333, III. par Jeannere Rose Wolff 288
Total de la masse active 22.518 francs, Masse passive 13.216. Balance, reste 9302 francs
Succession 1° remploi de la défunte 2078, 2° moitié du bénéfice de la communauté 4651, 3) prix de vente du maison 194, Total 6923 – Passif 347, Reste 6549
Droits des parties & Abandonnements (…)
Jean Kœberlé hypothèque la maison au profit de Caroline Metzger
1845 (7. 9.br), Strasbourg 12 (167), Me Noetinger n° 10.081
Obligation – A comparu Jean Koeberlé, propriétaire demeurant à Strasbourg, lequel a déclaré devoir légitimement pour dette nouvelle
A Melle Caroline Metzger, majeure, sans profession, demeurant à Strasbourg, la somme principale de 6000 francs
hypothèque. Une une maison avec cour, rez de chaussée, deux étages et dépendances sise à Strasbourg, grand’rue n° 149, formant le coin de la rue des Fribourgeois où elle porte le n° 6 d’un côté M Steyert, boulanger, de l’autre M. Kampmann. M. Koebele a acquis cet immeuble suivant procès verbal d’adjudication dressé par M° Ritleng notaire à Strasbourg le 12 août 1830 pendant la communauté qui a existé entre lui et Dme Jeanne Meyer, sa défunte épouse et il est devenu seul propriétaire de la totalité de cet immeuble suivant licitation judiciaire dressée par ledit notaire Noetinger le 25 mars dernier
Jean Kœberlé se rend adjudicataire de la maison dont la vente est poursuivie par sa belle-fille Jeannette Rose Wolff
1845 (12.2.), Strasbourg 12 (165), Me Noetinger n° 17.500
Pardevant M° Noetinger, commis à cet effet en vertu du jugement ci après relaté. Ont comparu M. Jean Koeberlé, propriétaire demeurant à Strasbourg, Agissant 1° comme ayant été commun en biens acquets & conquets avec feue son épouse De Jeanne Meyer, 2° comme donataire d’une part d’enfant de sa défunte épouse aux termes d’un contrat de mariage passé devant M° Schreider, Notaire à Strasbourg le 22 septembre 1826, 3° comme tuteur légal de Jean Léon Koeberlé son fils mineur, 2. M. Jean Saarburger, marchand de bois demeurant à Strasbourg, agissant en qualité de subrogé tuteur dudit mineur Koeberlé, 3° Melle Jeannette Rose Wolff, majeure sans profession demeurant à Strasbourg, agissant en qualité de demanderesse & comme poursuivant la licitation des biens ci après désignés, assistée de M Ambroise Ackermann, avoué près le tribunal de première instance séant à Strasbourg où il demeure, à ce présent. En l’absence du Sr Antoine Joseph Wolff, militaire au service de France, ayant eu son dernier domicile à Strasbourg, auquel le présent dépôt & le cahier des charges seront signifiés en temps utile avant l’adjudication (…)
Cahier des charges. A la requête et en présence 1° M. Jean Koeberlé, propriétaire demeurant à Strasbourg, Agissant 1° comme ayant été commun en biens acquets & conquets avec De Jeanne Meyer son épouse, veuve en premières noces de Joseph Antoine Wolff, ouvrier en tabacs et en secondes noces du Sr Jean Baptiste Pfrimmer, garçon cafetier, décédée le 19 septembre dernier, 2° comme donataire (…) d’une part d’enfant de sa défunte épouse aux termes d’un contrat de mariage passé devant M Schreider, Notaire à Strasbourg le 22 septembre 1826, 3° comme tuteur légal de Jean Léon Koeberlé son fils mineur (…)
Enonciation du jugement qui a ordonné la vente. La Dlle Jeannette Rose Wolff voulant sortir de l’indivision des biens ci-après désignés dépendant de la communauté & succession qye ledit Sr Saarburger Antoine Wolff & Koeberlé père ès qualité exposées devant le tribunal de première instance de cette ville lequel a ordonné que la maison & la vente ci-après désignés soient vendues par licitation par le ministère dudit Notaire Noetinger à ce commis, ainsi que cela resulte d’un jugement rendu par ledit tribunal le 13 janvier dernier
(Jean Koebelé père, colicitant)
Désignation des biens à vendre. 1. Une Maison avec cour, rez de chaussée, deux étages & Mansardes, pompe, appartenances & dépendances, située à Strasbourg, grand’rue N° 149 formant le coin de la rue des Fribourgeois où elle porte le N° 6, tenant d’un côté à M. Steyert, boulanger & de l’autre au Sieur Kampmann.
2. Et une rente en céréales (…)
Etablissement de la propriété. M. Koeberlé père a acquis lesdits biens, durant ladite communauté, savoir. La maison grand’rue N° 149, de M. Louis Leclerc, peintre de voitures, Marie Elisabeth Lacause, femme du Sr Anselme Schildknecht, courrier, tous domiciliés à Strasbourg, Barbe Kaumann, majeure, domiciliée en la même ville & Joséphine Kaumann majeure, domiciliée à Molsheim, aux termes d’un procès verbal d’adjudication dressé par M° Ritleng, notaire à Strasbourg, le 12 août 1830, transcrit au bureau des hypothèques de Strasbourg le 19 du même mois volume 238 Numéro 37 & inscrit d’office volume 206 Numéro 626 (…) Les Sr Leclerc, DameSchildknecht & Demoiselles Kaumann étaient propriétaires de cet immeuble en leur qualité de légataires universels de M. Joseph Philippe Sauthier, chanoine de St Denis, demeurant à Paris, aux termes du testament olographe de ce dernier, en date de Paris du 9 avril 1829, déposé en l’étude du dit M° Ritleng le 27 avril 1830. M. Sauthier en avait fait l’acquisition de M. Charles Paul Hirn, négociant, et de D° Françoise Dangelo son épouse, demeurant à Haguenau, suivant acte passé devant M° Lacombe père, notaire à Strasbourg, le 8 vendemiaire an XIV transcrit le 12 août 1806, lequel acte contient quittance du prix. M. Hirn l’avait acquis de Jean Georges Bernard & Françoise Christmann suivant acte passé devant M° Zimmer Notaire à Strasbourg le 4 floreal ab IX transcrit le lendemain.
Mise à prix. Pour la maison, sur la mise à prix de 20.000 francs
N° 17.582. L’an 1845 le 25 mai. (…) Enchérie à celui de 30.150 francs par M. Charles Baer, commissionnaire demeurant à Strasbourg (…) A l’instant le Sr Baer a déclaré avoir enchéri pour et au nom de M. Jean Koebelé père l’un des colicitants, déjà propriétaire de cinq 8°
acp 332 (3 Q 30 047) f° 87 Cahier des charges – acp 334 (3 Q 30 049) f° 24 Adjudication définitive
Jean Kœberlé meurt en 1846 en délaissant un fils.
1846 (22.8.), Strasbourg 12 (169), Me Noetinger n° 18.638
Inventaire de la succession du Sieur Jean Koeberlé en son vivant propriétaire à Strasbourg, y décédé le 17 juillet 1846.
Cejourd’hui 22 août 1846 à trois heures de relevée, A la requête de M. François Joseph Lacause, commis principal des douanes, en retraite demeurant à Strasbourg, agissant en qualité de tuteur datif de Jean Léon Koeberlé, mineur procréé en légitime mariage entre feu le St Jean Koeberlé propriétaire à Strasbourg et dame Jeannette Meyer (…) ledit mineur âgé de 17 ans, agissant en qualité de seul et unique héritier de feu sondit père Jean Koeberlé décédé en cette ville le 7 juillet 1846. En presence de M. Jean Saarburger, marchand de bois demeurant à Strasbourg agissant en qualité de subrogé tuteur dudit mineur Koeberlé (…)
Le tout fait, trouvé et exhibé à Strasbourg en la maison où demeurait le défunt celui-ci étant mort à l’hôpital où il s’était fait traiter, grand’rue N° 149
Immeubles. Au ban de Souffelweyersheim (…)
En la Ville de Strasbourg. L’expédition d’un procès verbal d’adjudication sur licitation dressé par M° Noetinger Notaire soussigné à ce commis le 25 mars 1845 enregistré le premier avril suivant en vertu duquel le veuf a acquis de Jeannette Rose Wolff majeure d’ans à Strasbourg et du sieur Antoine Joseph Wolff militaire au service de France propriétaire indivis avec le défunt lui-même et le fils de celui-ci
Une maison avec cour, rez de chaussée, deux étages et mansardes, pompe, appartenances et dépendances, le tout situé à Strasbourg, grand’rue N° 149 formant le coin de la rue des Fribourgeois où elle porte le N° 6, tenant d’un côté à M. Steyert, boulanger & de l’autre au Sieur Kampmann. Ladite maison est en partie louée à M. Villars, négociant, à M Lacause et en partie occupée par la succession. Les parties évaluent les revenus à 1500 francs par an, lequel revenu capitalisé au denier vingt fait 30.000 francs
Meubles 936, créances 292, immeubles, terre 600, maison 30.000, total de la masse active 32.791 – Masse passive 23.402, déduction faite 9388 francs
acp 351 (3 Q 30 066) f° 95. Il dépend de ladite succession un mobilier estimé 806, argent comptant 156, rentes foncières assises sur divers immeubles ban de Souffelweyersheim et Hoenheim montant à 302 litres 25 centilitres de froment et seigle, évaluées à 906, arrérages 29, créances 292, immeubles (supra), total 32.791, passig 23.402
L’héritier Jean Baptiste Léon Koeberlé qui meurt célibataire à Ebersmunster laisse pour héritiers ses demi-frère et sœur qui hypothèquent la maison au profit du sous-officier Pierre Crétin
1847 (18. Xbr), Strasbourg 12 (173), Not. Noetinger n° 19.787
Obligation – A comparu Mr François Joseph Lacause, commis principal en retraite de l’administration des douanes, demeurant à Strasbourg, agissant en qualité de mandataire de Demoiselle Jeannette Rose Wolff, sœur de la Providence appelée Marie Clemence, institutrice demeurant à Oberbergheim, aux termes d’une procuration (…) dans laquelle la mandante s’est elle-même portée fort de son frere Joseph Wolff, militaire en garnison à Mostanagem (Algérie), doivent conjointement
A Mr Pierre Crétin, lieutenant du train des parcs d’artillerie en garnison à Pont à Mousson où il demeure, au nom duquel stipule & accepte Mr Auguste Heilmann, clerc de notaire demeurant à Strasbourg, la somme de 2100 francs pour prêt
hypothèque spécialement. Une maison à rez de chaussée & deux étages avec mansardes, cour, pompe, droits & appartenances, le tout situé à Strasbourg grand’rue N° 149, formant le coin de la rue des Fribourgeois où elle porte le N° 6, entre M. Steyert boulanger & M. Kampmann. Lequel Immeuble Mr Lacause déclare appartenir aux débiteurs comme leur etant échu de la succession de Jean Baptiste Léon Koeberlé, mineur décédé au couvent d’Ebersmunster, où il était pensionnaire & dont ils sont seuls héritiers chacun pour moitié.
M Lacause déclare en outre que l’immeuble est libre de tous privilèges & de toutes hypothèques à l’exception 1° d’une somme de 3000 francs due par la succession dud. Sr Koeberlé à Mr Jean Frédéric Schall suivant obligation passée devant M° Noetinger, l’un des notaires soussignés le 20 janvier 1842, 2° de celle de 12.000 francs dus à Mlle Metzger aux termes de deux obligations reçues par le même notaire les 20 janvier 1840 & 7 novembre 1845
Jeannette Rose Wolff et Antoine Joseph Wolff exposent la maison aux enchères
1849 (1.5.), Strasbourg 12 (176), Not. Noetinger n° 21.053
Cahier des charges, 1° mai 1849 – A comparu Mademoiselle Jeannette Rose Wolff, institutrice demeurant à Oberbergheim, agissant tant en son nom personne qu’en celui & comme mandataire de M. Antoine Joseph Wolff, fusilier à la première compagnie de discipline en garnison à Mostaganem (Algérie) son frère, Laquelle étant, ainsi que son frère, dans l’intention de vendre aux enchères publiques l’immeuble qui sera ci après décrit a requis ledit M° Noetinger de dresser le cahier des charges (…)
Désignation de l’immeuble à vendre. Une maison à rez de chaussée & deux étages avec Mansardes, cour, pompe, droits & appartenances, le tout situé à Strasbourg, grand’rue N° 149 formant le coin de la rue des Fribourgeois où elle porte le N° 6, tenant d’un côté à M. Steyert, boulanger & de l’autre à M. Kampmann.
Etablissement de la propriété. Les vendeurs sont propriétaires de cette maison pour l’avoir recueillie dans la succession de Jean Baptiste Léon Koeberlé, mineur décédé au couvent d’Ebersheim Münster, où il était en pension, leur frère utérin, dont ils sont les seuls & uniques héritiers chacun d’eux pour moitié. Le mineur Koeberlé avait hérité cet immeuble de M. Jean Koeberlé, vivant propriétaire à Strasbourg, son père dont il était seul héritier. Ladite maison avait dépendu tant de la succession de la D° Jeanne Meyer, veuve en premières noces de M. Joseph Antoine Wolff, en secondes noces dudit S. Jean Koeberlé, que de la communauté qui avait exosté entre elle & ce dernier qui s’en était rendu propriétaire suivant procès verbal d’adjudication sur licitation, dressé par M° Noetinger l’un des notaires soussignés, le 25 mars 1845, aux termes duquel elle lui a été adjugée pour le prix de 30.150 francs (…). Les époux Koeberlé avaient acquis ladite maison de M. Louis Leclerc, de D° Marie Elisabeth Lacause, femme du Sr Anselm Schildknecht, tous de Strasbourg, de Barbe Kaumann, majeure de Strasbourg & de Joséphine Kaumann majeure de Molsheim, en vertu d’un procès verbal d’adjudication dressé par M° Ritleng, notaire à Strasbourg le 12 avril 1830, transcrit au bureau des hypothèques de Strasbourg le 19 du même mois Vol. 238 N° 37. (…) Les Sr Leclerc, D° Schildknecht & Dlles Kaumann étaient propriétaires de cet immeuble en leur qualité de légataires universels de M. Joseph Philippe Sauthier, chanoine de Saint Denis, demeurant à Paris aux termes du testament olographe en date de Paris du 9 avril 1829, déposé en l’étude du dit M° Ritleng le 27 avril 1830. M. Sauthier en avait fait acquisition de M. Charles Paul Hirn, négociant, & de Françoise Dangelo conjoints de Haguenau, suivant acte passé devant M° Lacombe, notaire à Strasbourg, le 8 vendemiaire an XIV (30 septembre 1805) contenant quittance du prix. (…)
Et aujourd’hui 31 mai 1849 (…) il a été procédé à la lecture tant en français qu’en langue allemande du cahier des charges (…) à la réception des enchères (…) sur la mise à prix de 30.000 francs
acp 382 (3 Q 30 097) f° 83
L’architecte et entrepreneur Eugène Perrin s’en rend acquéreur moyennant 20 200 francs
1849 (12. 7.br), Strasbourg 12 (177), Not. Noetinger n° 21.458
A comparu M. Jean Baptiste Bürckel, propriétaire demeurant à Strasbourg au nom & comme mandataire du Sr Antoine Joseph Wolff, ancien militaire demeurant à Amiens ayant eu son dernier domicile à Strasbourg & de Demoiselle Jeannette Rose Wolff, ancienne institutrice à Oberbergheim actuellement au service de M. le curé d’Oberbruck (…) lequel a vendu
à Monsieur Eugène Perrin, architecte & entrepreneur de travaux publics demeurant à Strasbourg, l’immeuble ci après désigné
Désignation. Une maison à rez de chaussée & deux étages avec Mansardes, cour, pompes, droits & appartenances située à Strasbourg Grand’rue N° 149 formant le coin de la rue des Fribourgeois où elle porte le N° 6 attenant d’une part à la propriété Steyert & d’autre part à celle de MM. Kampmann et Hoerter. (…)
Propriété. Les vendeurs sont devenus propriétaires de l’Immeuble dont il s’agit pour l’avoir recueilli dans la succession de Jean Baptiste Léon Koeberlé, décédé en minorité au couvent d’Ebersmunster, leur frère utérin, dont ils étaient les seuls & uniques héritiers comme etant issus du mariage de feu Joseph Antoine Wolff avec Jeanne Meyer qui s’est remariée avec Jean Koeberlé, propriétaire à Strasbourg, père du dit mineur qui avoit lui même recueilli cet immeuble dans la succession de ce dernier dont il était seul & unique héritier, ainsi que le constate l’inventaire dressé après son décès par ledit M° Noetinger le 22 août 1846. Feu le sieur Koeberlé père possedait ledit Immeuble, savoir, une moitié comme ayant été commun en biens avec ladite défunte Jeanne Meyer sa femme, et l’autre moitié au moyen de la vente par licitation qui lui en a été faite par les héritiers de cette dernière suivant procès verbal d’adjudication dressé par led. M° Noetinger le 25 mars 1845 moyennant un prix dont il a fait état à la communauté par la liquidation qui en a été dressée par le même notaire le 7 novembre 1845 (…). Ladite communauté en étoit propriétaire au moyen de l’acquisition qui en a été faite de 1° Louis Leclerc, 2° Marie Elisabeth Lacause épouse d’Anselm Schildknecht, demeurant à Strasbourg, 3° Barbe Kaumann, fille majeure en la même ville, 4° Joséphine Kaumann fille majeure demeurant à Molsheim, aux termes d’un procès verbal d’adjudication dressé par M° Ritleng & son collegue notaires à Strasbourg le 12 avril 1830 transcrit au bureau des hypothèques de Strasbourg le 19 du dit mois d’août volume 238 Numéro 37. (…) Les susnommés Henri Leclerc, dame Schildknecht et les Dlles Kaumann le possédoient comme l’ayant recueilli dans la succession de M. Joseph Philippe Sauthier, chanoine a Saint Denis, décédé à Paris dont ils étaient les légataires universels aux termes de son testament olographe à Paris le 9 avril 1829, déposé pour minute au dit M° Ritleng le 27 avril 1830. Quant au Sieur Sauthier l’immeuble dont il s’agit formait sa propriété par suite de la vente qui lui en avait été faite par M. Charles Paul Hirn, négociant, & Françoise Dangelo son Epouse, demeurant à Haguenau suivant acte passé devant M° Lacombe, notaire à Strasbourg, le 8 vendemiaire an XIV contenant quittance du prix – Prix, 20.200 francs
acp 387 (3 Q 30 102) f° 25
Eugène Perrin meurt célibataire en délaissant une fille naturelle reconnue issue de Salomé Sophie Geiger
1854 (21.1), Strasbourg 10 (126), Not. Zimmer (Louis Frédéric) n° 10.391
Déclaration tenant lieu d’inventaire, 21 janvier 1854. Eugène Perrin entrepreneur
Ont comparu 1) Mad. Marguerite Magnus, veuve de Mr Louis Henri Perrin en son vivant maître charpentier à Strasbourg, 2) M. Charles Henri Perrin, entrepreneur de bâtimens, 3) M. Théodore Albert Perrin, aussi entrepreneur de bâtimens, agissant en son nom & comme subrogé tuteur de la mineure Perrin ci après nommée (…) 4) Melle Emilie Adélaïde Perrin, sans état, en jouissance de ses droits, 5) Et Dlle Salomé Sophie Geiger, sans état, aussi en jouissance de ses droits, tous demeurant et domiciliés à Strasbourg, cette dernière agissant en qualité de tutrice de Louise Sophie Perrin, mineure, née à Strasbourg le 30 octobre 1848, demeurant et domiciliée en cette ville, enfant naturelle reconnue issue de la Delle Geiger & de M Eugène Perrin en son vivant entrepreneur de bâtimens domicilié à Strasbourg (…)
Mad. veuve Perrin habiles à se dire héritière pour un quart dudit M. Eugène Perrin son fils décédé à Hombourg les bains le 14 août 1853 et M.M. Charles Henri Perrin, Théodore Albert Perrin & Madlle Emilie Adélaïde Perrin, habiles à se porter héritiers ensemble pour les trois quarts restants dudit M. Eugène Perrin leur frère défunt. Le tout sauf les droits de ladite mineure Louise Sophie Perrin enfant naturelle reconnue par le défunt, et, en cette qualité, habile à réclamer la moitié en vertu de l’article 757 du code napoléon
Les parties déclarent que le défunt & M.M. Charles Henri Perrin, Théodore Albert Perrin, ses deux frères, étaient associés suivant convention verbale sous la raison Perrin pour l’entreprise des travaux publics & de travaux de constructions pour particuliers & qu’au décès de M Eugène Perrin ses droits dans l’avoir de ladite société se composaient 1) d’une somme de 526 francs
2) Et du tiers indivis d’une maison avec appartenances & dépendances sise à Strasbourg rue des petites boucheries faisant le coin de cette rue & de la rue des grandes arcades (…)
Et que la fortune que le défunt a recueillie dans la succession de son père suivant partage dressé par M° Boersch alors notaire à Strasbourg le 7 septembre 1842 lui a été délivrée depuis longtems
acp 426 (3 Q 30 141) f° 66 du 23.1. (succession déclarée le 15 janvier 1854
Masse active, garde robe 386, aregnt à la Caisse d’Epargne 278, sa part dans la société Perrin 526, le tiers d’une maison, 86.666. total 87.960 – Masse passive 11.431 francs
L’architecte et entrepreneur Eugène Perrin vend la maison au docteur en médecine Charles Frédéric Gross
1852 (4.5.), M° Grimmer
A comparu Monsieur Eugène Perrin, architecte et entrepreneur de travaux publics demeurant et domicilié à Strasbourg, Monsieur Perrin non marié, lequel a par les présentes vendu
à Monsieur Charles Frédéric Gross, docteur en médecine demeurant et domicilié à Strasbourg acquéreur
une maison à Rez de chaussée et deux étages avec mansardes, Cours, pompe, droits, appartenances située à Strasbourg Grande rue N° 149 formant le coin de la Rue des Fribourgeois où elle porte le N° 6 tenant d’une part à la propriété des héritiers Steyert de l’autre part à celle de Messieurs Kampmann et Hoerter, sont compris dans cette vente tous les Fourneaux avec leurs pierres et tuyaux, les volets les jalousies, le chaudron a lessive (…)
Etablissement de la propriété. Monsieur Perrin est devenu propriétaire dudit Immeuble pour l’avoir acquis de Monsieur Jean Baptiste Bürckel propriétaire à Strasbourg ayant agi en qualité de Mandataire du sieur Antoine Joseph Wolff ancien militaire demeurant à Amiens et de demoiselle Jeannette Rose Wolff ancienne institutrice à Oberbergheim suivant Contrat de vente passé devant M° Noetinger qui en a la minute et son Collegue notaires à Strasbourg le 12 septembre 1849 dont la grosse a été transcrite au bureau des hypothèques de la même ville le 27 dudit mois de septembre volume 495 Numéro 79 et inscription d’office prise le même jour volume 515 Numéro 318. Cette vente a été conclue moyennant le prix de 20.200 francs (…)
Les sieur et demoiselle Wolff sont eux mêmes devenus propriétaires du dit Immeuble pour l’avoir recueilli dans la succession du sieur Jean Baptiste Léon Koeberlé décédé en minorité au couvent d’Ebersmunster, leur frère utérin, dont ils étaient les seuls et uniques héritiers comme etant issus du Mariage de feu Joseph Antoine Wolff avec Jeanne Meyer qui s’est remariée avec Jean Koeberlé propriétaire à Strasbourg père du dit mineur qui avoit lui-même recueilli cet immeuble dans la succession de ce dernier dont il était seul et unique héritier, ainsi qu’il est constaté par l’inventaire dressé après son décès par ledit M° Noetinger le 22 août 1846. Le sieur Koeberlé père possedoit ladite Maison, savoir une moitié comme ayant été commun en biens avec son épouse défunte ladite dame Jeanne Meyer et l’autre moitié au moyen de la vente par licitation qui lui en a été faite par les héritiers de cette dernière suivant procès verbal d’enchère dressé par ledit notaire Noetinger le 25 mars 1845 moyennant le prix dont il a fait état à la communauté par la liquidation qui en a été dressée par le même notaire le 7 novembre 1845 (…). Ladite communauté en étoit propriétaire au moyen de l’acquisition qui en a été faite de Monsieur Louis Leclerc, Marie Elisabeth Lacausse femme d’Anselm Schildknecht les deux de Strasbourg et de Barbe Kaumann majeure en la même ville et de Joséphine Kaumann majeure de Molsheim, aux termes d’un procès verbal d’enchère dressé par M° Ritleng notaire à Strasbourg le 12 avril 1830 transcrit au bureau des hypothèques de la même ville le 19 du dit mois d’août volume 238 Numéro 37. Les susnommés Henri Leclerc, dame Schildknecht et les demoiselles Kaumann le possédoient comme l’ayant recueilli dans la succession de Monsieur Joseph Philippe Sauthier, chanoine a Saint Denis, dont ils étaient les légataires universels aux termes de son testament olographe daté de Paris le 9 avril 1829 déposé pour minute au dit M° Ritleng le 27 avril 1830. Et Monsieur Sauthier est devenu propriétaire du dit immeuble présentement vendu pour l’avoit acquis de Monsieur Charles Paul Hirn, négociant, et de dame Françoise Dangelo conjoints à Haguenau suivant acte passé devant M° Lacombe notaire à Strasbourg le 8 vendemiaire an XIV contenant quittance de ce prix – pour la somme de 25.000 francs
Hypothèque de Strasbourg, Transcription reg. 544 (2771) n° 4, du 8 mai 1852
acp 409 (3 Q 30 124) f° 54 du 6.5.
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Fils du chirurgien Jean Frédéric Gross, Charles Frédéric Gross épouse en 1843 Sophie Salomé Stahl
1843 (18.7.), M° Grimmer
Contrat de mariage – Charles Frédéric Gross, docteur en médecine à Strasbourg, fils de feu Jean Frédéric Gross, chirurgien, et de Catherine Salomé Koffler épouse actuelle de Frédéric Pierre Schneider officier de santé d’une part
et Sophie Salomé Stahl, fille mineure de Marie Madeleine Stahl veuve de Philippe Frédéric Lauth vivant propriétaire à Strasbourg d’autre part
acp 312 (3 Q 30 027) f° 43 du 20.7. – sous le régime de la communauté d’acquets
Donation par la mère du futur à son fils, ce acceptant, d’un mobilier évalué 1266 francs
Les apports du futur consistent en un mobilier et créances évalués à 25.092 francs
Les apports de la future consistent en un mobilier évalué à 1002 francs
Donation réciproque par les futurs au survivant d’eux de l’usufruit viager de la succession réductible en cas d’enfants
Charles Frédéric Gross loue le rez-de-chaussée et le premier étage à Sébastien Erb
1861 (16.11.), Enregistrement de Strasbourg, ssp 134 (3 Q 31 633) f° 81 du 15.1.1862
28 novembre 1861. Bail – Entre les soussignés Charles Frédéric Gross, docteur en médecine d’une part
et Sébastien Erb d’autre part il a été convenu et arrêt é ce qui suit
Mr Gross cède et loue à titre de bail à loyer à Mr Erb, ce acceptant, le rez de chaussée et le premier étage, formant partie d’une maison que Mr Gross possède à Strasbourg grand rue N° 127, formant le coin de la rue des Fribourgeois. Les parties louées se composent de la totallité du rez de chaussée et du premier étage donnant sur les deux rues, d’un petit grenier, d’une cour, de plus les locataire aura l’usage commun aux autres locataires de la maison d’une buanderie et de la pompe. Le bail aura la durée de trois, six ou neuf années au choix respectif des parties contractantes. Il commencera le 25 mars 1862 pour finir à pareil jour des années 1865, 1868 ou 1870 (…) En outre ce bail est fait et conclu moyennant un loyer de 1400 francs par an, payable par quart tous les trois mois
Charles Frédéric Gross loue le rez-de-chaussée et le premier étage au restaurateur Laurent Kelhetter
1862 (27.12.), Enregistrement de Strasbourg, ssp 136 (3 Q 31 635) f° 73-v du 29.12.
27 décembre 1863. Bail – Mr Charles Frédéric Gross, docteur en médecine, loue pour trois années qui ont commencé le 25. Xbre 1862 avec faculté accordée aux parties de résilier par une dénonciation de six mois pour les quartiers d’usage
au Sr Laurent Kelhetter restaurateur ce acceptant
le Rez de chaussée, une cave et quatre pièces au 1° étage dans la maison que Mr Gross possède à Strasbourg grand rue N° 127
(…) 6° En outre ce bail est fait pour un loyer annuel de 1080 francs, payable par quart tous les trois mois
Charles Frédéric Gross et Salomé Sophie Stahl vendent la maison au négociant Simon Katz
1863 (10.7.), M° Grimmer
Vente par Charles Frédéric Gross, docteur en médecine & Salomé Sophie Stahl, sa femme à Strasbourg
à Simon Katz, Négociant à Strasbourg
d’une Maison sise à Strasbourg grande rue N° 127 moyennant 30.000 francs, payables par termes de 5000 francs distribués d’une année à l’autre, jouissance et intérêts du 25 juin 1863 , impôts du premier juillet 1863.
acp 523 (3 Q 30 238) f° 62 du 13.7.
Natif de Cernay, Simon Katz épouse Anne May en 1834
Mariage, Strasbourg (n° 193)
Du 26° jour du mois de mai l’an 1834, Acte de mariage de Simon Katz, majeur d’ans, né en légitime mariage le 19 novembre 1808 à Cernay (haut Rhin) domicilié à Cernay, marchand, fils de Mathias Katz, marchand, et de Babette Hallbronn, conjoints domiciliés à Cernay ci présents et consentants et de Anne May, majeure d’ans, née en légitime mariage le 3 mars 1806 à Strasbourg, fille de feu Léon May, marchand décédé en cette ville le 19 avril 1832 et de feu Eve Ullmann décédée cette ville le 21 août 1823 (signé) Simon Katz, anna Maÿ
Simon Katz meurt en 1870 en délaissant pour héritier son fils Léon Katz
1870 (16.8.), Strasbourg 13 (98), Not. Flach (Jean Georges) n° 7690
Inventaire de la communauté de biens qui a existé entre Anne May et Simon Katz
A la requête de I. Mad. Anne May sans état veuve de M. Simon Katz en son vivant négociant à Strasbourg où elle demeure, agissant 1° à cause de communauté de biens réduite aux acquêts qui a existé entre elle et feu son mari aux termes de leur contrat de mariage passé devant Me Weigel et son collègue notaires à Strasbourg le 26 mai 1834, 2° comme donataire de son mari en toute propriété d’une somme de 2000 francs aux termes du dit contrat de mariage, 3° et comme donataire en usufruit avec dispense de fournir caution de tous les biens meubles et immeubles délaissés par le défunt aux termes de l’article 8 du dit contrat de mariage. N.B. La dite donation en usufruit se trouve rédite à moitié conformément à la loi, vu l’existence d’enfant issus du mariage
II. M. Léon Katz, négociant demeurant à Strasbourg, habile à se dire et porter seul et unique héritier de son père M. Simon Katz
en une maison sise à Strasbourg rue des Fribourgeois n° 5 où M. Simon Katz est décédé le 18 février 1870.
Mobilier de la communauté. Les époux Katz s’étant retirés chez leur fils ont aliéné tous leurs meubles à l’exception des objets suivants
Immeubles. I. Il dépend de la communauté une maison à rez de chaussée et deux étages avec mansardes, cours, puits, droits, aisances et dépendances située à Strasbourg grand’rue ancien n° 149 nouveau numéro 127, formant le coin de la rue des Fribourgeois où elle porte le n° 5 anciennement numéro 6, tenant d’un côté à la propriété Koppert de l’autre à celle de M.M. Kampman et Hoerter. Cet immeuble a été acquis par feu M Simon Katz durant son mariage avec Mad. Anne Mey sa veuve de M. Charles Frédéric Gross docteur en médecine et D° Salomé Sophie Stahl conjoints demeurant à Strasbourg par contrat passé devant M° Georges Louis Frédéric Grimmer et son collègue notaires à Strasbourg le 10 juillet 1863 moyennant le prix de 30.000 francs
II. Il dépend de la même communauté un terrain d’une contenance d’environ quatre ares hors la porte de Saverne banlieue de Strasbourg le long de la petite route de Mittelhausbergen (…)
Stalles au Temple israélite
acp 595 (3 Q 30 310) f° 48 du 17.8. (succession déclarée le 17 avril 1870) – Communauté, mobilier 477, créances hypothécaires 6500, créances hirographaires 12.783, créances douteuses 16.6, deux stalles au temple israélite 800, maison à Strasbourg 50.000, terre hors la porte de Saverne 200 – Garde robe 329
Léon Katz loue le rez-de-chaussée au pharmacien Charles Geoffroi Johanny, de Trèves
1873 (13.5.), M) Metz
Pacht durch – Leon Katz, Eigenthümer zu Straßburg
an Karl Gottfried Johanny, Pharmaceut in Trier
von einem Magazin nebst drei daran stoßende Zimmer in einem Hause Langstrasse N° 127 für neun Jahr vom 25. September 1873 um einen jährlichen Pacht von 1800 Franken, Hr Ludwig Zoller, Schuster, genehmigt obige Verpachtung
acp 616 (3 Q 30 331) f° 52 n° 2884 du 19.5.
Le pharmacien Charles Geoffroi Johanny vend son fonds au pharmacien Charles Emmanuel Steiner, fils du rentier strasbourgeois Charles Edouard Steiner
1877 (15.3.), M° Schmitz
Verkauf durch Carl Gottfried Johanny, Apotheker in Strassburg wohnend
an Carl Emanuel Steiner, Apotheker Zu Strassburg wohnhaft verbürgt durch seinen Vater Johann Carl Eduard Steiner, Rentner in Strassburg wohnhaft
Ein Apotheker geschäfft und seine gesampte Apothecker einrichtung nebst sämtlicher Zubehörigungen erworben durch den Verkäufer lt. Act vor Notar Metz am 13. Mai 1873 sich befindlich im Hause Langstrasse N° 127
I. die Mobilien & M* um 6693 M
II. die Praxis & Kundschaft 10.017 M, zusammen 16.800.
Bedingungen 1) Ankäufer tritt am 25. März in Besitz und Genuß sämtliche Kaufobjecte & trägt auch die Steuren von da ab, 2) Ankäufer tritt am 25. März cr. in den Miethrechten & Mieth verpflichtungen des Ankäufers bezüglich folgender Räume, die Apotheke, die Materialien, Räume des Laboratoriums, des Kellers, der Glaskammer sowie sämtliche Räume des dritten Etage Miethzins auf ein Jahr d. h. für die ganze Zeit 4000 M
acp 662 (3 Q 30 377) f° 26-v n° 1213 du 16.3.
Le négociant Frédéric Zeiss vend la maison à la société dite Grunderwerbsgesellschaft (société d’acquisitions foncières) pour laquelle agit André Popp, moyennant 90 000 marks
1907 (10. April), Grand rue n° 127 (96 MW 108), vente Keller
10. April 1907. Nr. 23.033 – Kaufverschreibung über 90.000 Mark
Im Jahr 1807, den 10. April, Vor dem unterzeichneten Justizrat Wunder, Notar mit dem Amtssitze zu Bischheim, als Vertreter seines Zur Zeit abwesenden Kollegen Justizrat Dr. Anton Keller, Notar mit dem Amtssitze zu Strassburg, sind erschienen
1. Herr Friedrich Zeiss, Kaufmann wohnhaft zu Strassburg, Schlossergasse Nr. 23., ledig, volljährig,
2. Herr Andreas Popp, Rentner wohnhaft zu Strassburg, handelnd in seiner Eigenschaft als Geschaftsführer der Grunderwerbsgesellschaft Gesellschaft mit beschränkter Haftung mit dem Sitze zu Straßburg und alles nachstehende für diese Gesellschafft annehmend.
Die Erschienenen erklärten zur Beurkundung den folgenden Kaufvertrag. Herr Friedrich Zeis zu 1 verkauft hierdurch an die genannte Grunderwerbsgesellschaft, für welche Herr Popp zugegen ist und handelt, das nachfolgend bezeichnete Grundstück
Stadt Strassburg, Blatt 2298 des Eigentumsbuchs
Flur N Nr. 954, Langstrasse Nr. 127 und Freiburgergasse Nr. 5., ein Ar 85 Quadratmeter, Hofraithe, Wohnhaus, bestehend aus Erdgeschoss, drei Stockwerken
Kaufpreis . Der vereinbarte Kaufpreis beträgt 90.000 Mark. Hiervon sind zahlbar sofort am heutigen Tage 5000 Mark, wofür Quittung (…)
Eigentumsnachweis. Das Kaufgrundstück gehört dem Verkäufer Herrn Zeiss zu Eigentum da er es erwarb von den Eheleuten Baruch Wolff und Barbara geb. Weill in Strassburg lauf Kautvertrags, errichtet vor dem genannten Notar Dr. Keller am 3. April 1905. Eheleute Wolff hatten das Grundstück erworben von dem Kaufmann Jakob Engelmann in Neustadt an der Hardt laut Kaufvertrags desselben Notars vom 27. März 1894.
Die Auflassung soll erst erfolgen nach Zahlung der am 1. Oktober nächsthin fälligen 25.000 Mark (…)
Band 1057 Blatt 21 Nr. 180.