7, rue d’Or
Rue d’Or n° 7 – IX 9 (Blondel), P 1386 puis section 15 parcelle 44 (cadastre)
Maître d’ouvrage, Jean Brey (1607) – Façade déplacée rue du Maroquin (1939)
Le n° 7 surmonté du clocheton (vers 1930, Lucien Blumer, AMS cote 8 Z 1161)
Vue vers 1910 (carte postale, collection Strasbourg disparu)
Façade en pan de bois remontée au musée de l’Œuvre Notre Dame (décembre 2010)
La maison qui appartient en 1587 à Loup von Molsheim a un encorbellement de 21 pieds ½ de long en saillie de 6 pieds 9 pouces. Le charron Pierre Groshenn alors locataire achète la maison. Sa veuve se remarie avec le charron Jean Brey qui a l’intention de reconstruire entièrement sa maison en 1607 en aménageant deux arcades. Les préposés l’autorisent à refaire un encorbellement pourvu que la saillie ne soit pas supérieure à quatre pieds. L’enquête menée en 1907 dans les maisons sur le tracé de la Grande Percée relève sur un linteau de porte au premier étage la date 16xx dont les deux derniers chiffres seraient 01. Jean Brey cède un bâtiment arrière en 1607 à son gendre Nicolas Anslinger, un autre bâtiment en 1608 à Michel Walter et une écurie en 1610 à son voisin l’aubergiste à la Pomme d’Or. Jean Brey rachète en 1609 la maison cédée à son gendre. Michel Walter se rend propriétaire des trois bâtiments initiaux en 1619 et revend la même année le bâtiment avant au vigneron Jean Siffermann de Mittelbergheim. Les propriétaires suivants sont des cordiers (Michel Gering, Chrétien Kamm, Jean Jacques Kamm) puis des éperonniers (1693-1728, Jean Heisch, Martin Encke) et des tailleurs (Jean Martin Straub en 1728, Jean Michel Wittmann en 1752). D’après les billets d’estimation, le rez-de-chaussée comprend l’atelier de l’artisan, chaque étage un poêle, une chambre, une cuisine et le vestibule où se trouvent un fourneau et un évier, la cave est solivée. Le comble très ancien couvert de tuiles creuses renferme en 1739 la chambre des logements militaires ; le comble qui a une simple couverture de tuiles plates renferme trois chambres cloisonnées en 1750. Il semble donc que le clocheton soit dû au coutelier Jean Daniel Froschhammer.
Elévations préparatoires au plan-relief de 1830, îlot 250 (© Musée des Plans-relief) 1
L’Atlas des alignements (années 1820) mentionne un bâtiment à rez-de-chaussée en maçonnerie, deux étages en bois et un encorbellement. Sur les élévations préparatoires au plan-relief de 1830, la façade sur rue se trouve entre les repères g’’ et h’’ : porte et une arcade, deux étages à quatre fenêtres chacun, toiture à deux niveaux de lucarnes. L’arrière (1-2) de la maison donne dans la cour Q.
La maison porte d’abord le n° 4 (1784-1857) puis le n° 7.
La maison appartient de 1809 à 1818 au faiseur de treuils Jean Henri Edler. Il la vend à deux architectes qui en font une maison de rapport. La ville achète la maison (exercice 1909) qui se trouve sur le tracé de la Grande Percée. La Commission des monuments historiques fait observer en 1932 que le bâtiment inscrit à l’inventaire supplémentaire doit être conservé. Comme le tracé de la percée a déjà été modifié pour éviter de démolir des bâtiments quai Saint-Nicolas, la Société pour la conservation des monuments historiques d’Alsace propose qu’à défaut de conserver sur place les n° 7 et 9 rue d’Or ils soient intégrés aux bâtiments du musée de l’Œuvre Notre Dame lors de son extension. La Police du Bâtiment ratifie en 1938 le projet de remonter dans la cour de l’hôtel du Cerf la façade anciennement au 7, rue d’Or et vers la rue du Maroquin différents éléments qui proviennent de maisons démolies dans la première partie de la Grande Percée.
Etages (vers 1930, Lucien Blumer, AMS cote 8 Z 1160)
Dessin de la façade à remonter rue du Maroquin (1938, dossier de la Police du Bâtiment)
Relevés du Service des monuments historiques en août 1907 (dessins d’Othon Reick, Fonds Denkmalarchiv, DRAC Grand Est, cote DAR 482 B 146)
juin 2021
Sommaire
Cadastre – Police du Bâtiment – Relevé d’actes
Récapitulatif des propriétaires
La liste ci-dessous donne tous les propriétaires de 1603 à 1952. La propriété change par vente (v), par héritage ou cession de parts (h) ou encore par adjudication (adj). L’étoile (*) signale une date approximative de mutation.
Loup von Molsheim, drapier, et (1572) Catherine Reiff – luthériens | ||
Pierre Groshenn, charron, et (1576) Véronique Schuekür – luthériens | ||
h | Jean Brey, charron, et (1594) Véronique Schuekür veuve de Pierre Groshenn – luthériens | |
1607 | h | (partie arrière, 1607-1609) Nicolas Anslinger, cocher, et (1597) Madeleine Groshenn, remariée (1609) avec le cocher Georges Barchert – luthériens |
1608 | v | (partie arrière, 1608) Michel Walter, ci-dessous |
1619 | v | Michel Walter, gourmet, et Barbe Gamp, bourgeois depuis 1609 – luthériens |
1619 | v | Jean Siffermann l’aîné, de Mittelbergheim – luthérien |
1624 | h | Michel Gering, cordier, et (1624) Eve Sifermann puis (1638) Apollonie Burckhard – luthériens |
1668 | v | Chrétien Kamm, cordier, et (1648) Anne Thomas – luthériens |
1680 | h | Jean Jacques Kamm, cordier, et (1687) Anne Marie Schuhmacher, remariée (1695) avec le boulanger Jean Thiébaut Ammel, d’abord (1688) mari de Marie Madeleine Nonnenmann – luthériens |
1691 | v | Jean Heisch, éperonnier, et (1687) Marguerite Freytag, remariée (1696) avec l’éperonnier Martin Encke – luthériens |
1728 | v | Jean Martin Straub, tailleur, et (1719) Marie Salomé Appelli puis (1733) Marie Salomé Weber, d’abord (1730) femme du maréchal ferrant Jean Michel Ott de la Robertsau – luthériens |
1739 | v | Jean Daniel Froschhammer, coutelier, et (1717) Catherine Dorothée Schneider – luthériens |
1752 | v | Jean Michel Wittmann, tailleur, et (1750) Catherine Elisabeth Rœmer, remariée (1784) avec le batelier Jean Thiébaut Rimbach – luthériens |
1807 | v | Jean Geoffroi Schæffer, marchand, et (1770) Marie Elisabeth Strohmeyer – luthériens |
1809 | v | Jean Henri Edler, faiseur de treuils, et (1808) Marguerite Salomé Reichard |
1818 | v | Jean Chrétien Arnold, architecte, et (1796) Catherine Dorothée Heitz (indivis avec le suivant) |
1838 | v | Jean Daniel Fritz, charpentier, et (1784) Marie Salomé Heiligenstein |
1881 | v | Gustave Adolphe Kieffer, tailleur puis receveur de l’octroi, et (1857) Barbe Klinger |
1909* | v | Ville de Strasbourg |
Valeur de la maison selon les billets d’estimation : 600 livres en 1722, 350 livres en 1733, 250 livres en 1739, 250 livres en 1750, 450 livres en 1782
(1765, Liste Blondel) IX 9, Michel Wittmann
(Etat du développement des façades des maisons, AMS cote V 61) Wittmann, 3 toises, 1 pied et 0 pouce
(1843, Tableau indicatif du cadastre) P 1386, Arnold, Jean Chrétien, architecte rue du Jeu des Enfants 27 – maison, sol – 0,4 are / Fritz Jean Daniel hér. / 0,25
Locations
1605, Nicolas Anslinger et Madeleine Groshenn (ensuite propriétaires)
1608, Georges Brey, voiturier (frère du propriétaire)
Livres des communaux
1587, Livre des loyers communaux (VII 1450) f° 365
Loup von Molsheim est propriétaire de la maison qu’il loue au charron Pierre Grosshenn. Il doit 8 sols pour jouir d’un encorbellement (21 pieds ½ de long, 6 pieds 9 pouces de saillie)
Pierre Grosshenn doit en particulier 2 sols pour poser du fumier sur le communal.
Im Goldtgießen die Ander seitten vonn dem Spitthalthor widerumb hieneinwerths nach der Statt dem Wasser Zu.
Wolff von Moltzheim der Tuchmann hatt an seinem Hauß, da Peter Großhenn der Wagner Innen sizt, ein Vsstoß xxi+ schu lang, vj schu ix Zoll herauß, Bessert für den Ausstoß, viij ß d.
Peter Großhenn der Wagner hatt auch daß Allmend mit Mist verschlagen, Bessert für das Nießen, ij ß d.
Préposés au bâtiment (Bauherren)
1607, Préposés au bâtiment (VII 1322
Le charron Jean Brey qui habite à côté de la Pomme d’or a un grand encorbellement (6 pieds ½ de saillie, 20 pieds ½ de long) qu’il a l’intention de démolir. Il a l’intention de reconstruire entièrement sa maison et d’aménager deux arcades. Comme les voisins qui ont eux aussi de grands encorbellements devront aussi faire des travaux, les préposés renvoient le pétitionnaire aux Conseillers et aux Vingt-et-Un
(f° 101-v) Freÿtag 17. Julÿ – Hans Breÿ d. wagner im Goldgießen neben dem guldenen Apffel wohnend, hat ein grossen alten Uberhang 6 ½ schuh herauß, vnd 20 ½ sch lang war er willens abzubrechen 2 Newe bögen Zubrech. vnd d. hauß von newem Zubawen. Weil dan bede seine Nachburen Zu beden seiten eben solche vberhang auch haben vnd In Kurtzenn auch bawen müssen, Ist dauon gered, ob man Ihm willfahren, oder etwas abbrech. will, weil man aber sein beg.en ohn d. nit recht verstehen können Ist er für die xxi gewieß. mags daselbst schrifflich für bring.
1607 Conseillers et XXI (1 R 86)
Les Conseillers et les Vingt-et-Un donnent pouvoir aux préposés au bâtiment de prendre la décision qui leur paraîtra la plus esthétique et la plus appropriée.
(f° 190) Mittwoch den XXII Julÿ – Hans Prey vmb Newen vberhang – Hans Prey der wagner vbergibt supp.tôn dorin er meldt, wie er sein hauß im goldtgiessen bawen muß do er ein vberhang hatt deßwegen die bawhh. den augenschein eingenohmen vnd Zu referiren lassen werden, Wan Ime aber angelegen d er den vberhang behalten mag Bitt Zubewillig. den vberhang also. zuvergohnnen* wie er itzund hatt dan er sonst mehr auß flicken muße. Erk. Hn Bawhh. sollen befelch vnd gewaldt haben Ime wie es gemeiner Statt an Zierlichsten u. nutzesten Zuwillfahren.
1607, Préposés au bâtiment (VII 1322)
Les préposés décident que le nouvel encorbellement ne devra pas avoir une saillie supérieure à quatre pieds et qu’il ne sera pas imposé. Jean Brey déclare qu’il ne peut pas perdre trois pieds sans quoi sa maison sera trop petite. Les préposés maintiennent leur décision.
(f° 123) Zinstag 25. Augusti – Hans Breÿ d. wagner im Goldgießen neben dem guldenen Apffel hat hieuor einen alten vberhang vi+ vnd vij schuh herauß, vffs Almend herauß gebetten, Ihme wider Zuerlauben wie er hieuor gewesen, deßhalber für die xxi gewissen vnd daselbsten B und 3 beuelch und gewalt geben worden Ihme Zu willfahren oder nit Seind B und 3 widerumb vffm augenschein erschinen, der nachnahm sein hieuorig bedencken vnd begeren repetirt. Ist derhalb dauor geredt, das bede seine nachburen Zu beden seiten, eben auch solche grosse vberhengh haben nemlich 7 und 7 sch herauß und das dieselben auch werden bawen müß. es seÿe gleich vber kurtz oder lang, solte man derhalben solche große wüeste, breite vberhang abschaffen, vnd anstatt der siben schuh so er bißher gehabt, nur 4 schuh gestatten und zulaßen, vff die vberige 3 schuh soll er Verzigt thun, vnd solchen 4 schühige vberstoß vergebens haben. Das Ist Ihme angezeigt, der erclärt sich habe sonst wenig platz vnd könne nichts verlüeren od. Verzugk thun, sonder will d. bawen Ehe vnd laß. vnd das hauß verkauff. & bleibt dabeÿ.
Description de la maison
- 1722 (billet d’estimation traduit) La maison comprend plusieurs poêles, chambres, vestibules où se trouvent un fourneau et un évier, estimée avec toutes ses appartenances et dépendances à la somme de 600 florins
- 1733 (billet d’estimation traduit) La maison comprend un petit poêle, plusieurs chambres, chambre à soldats, vestibules où se trouvent un fourneau et un évier, une petite cave sous solives, estimée avec toutes ses appartenances et dépendances à la somme de 700 florins
- 1739 (billet d’estimation traduit) La maison comprend au rez-de-chaussée le vestibule, une cave sous solives, au-dessus deux poêles, deux chambres, deux vestibules où se trouvent un fourneau et un évier, chambre à soldats sous le comble très ancien, toiture couverte de tuiles creuses, le tout estimé avec toutes appartenances et dépendances à la somme de 500 florins
- 1750 (billet d’estimation traduit) La maison comprend au rez-de-chaussée un atelier de coutelier, au premier étage un poêle, une chambre, une cuisine et le vestibule, le deuxième étage est entièrement pareil au premier, le comble qui a une simple couverture de tuiles plates renferme trois chambres cloisonnées, la cave est solivée, le tout estimé avec toutes appartenances et dépendances à la somme de 700 florins
- 1782 (billet d’estimation traduit) La maison comprend une boutique de tailleur, deux poêles, deux cuisines et plusieurs chambres, le comble est couvert de tuiles plates, la cave est solivée, le tout estimé avec toutes appartenances et dépendances à la somme de 900 florins
Atlas des alignements (cote 1197 W 37)
3° arrondissement ou Canton Sud – Rue d’Or
nouveau N° / ancien N° : 7 / 4
Edler
Rez de chaussée en maçonnerie et 2 étages mauvais en bois et avance
(Légende)
Cadastre
Cadastre napoléonien, registre 28 f° 438 case 4
Fritz, Jean Daniel hér.
P 1286, maison, sol, rue d’Or 4
Contenance : 0,25
Revenu total : 50,13 (50 et 0,13)
Ouvertures, portes cochères, charretières :
portes et fenêtres ordinaires : 10 / 8
fenêtres du 3° et au-dessus :
Cadastre napoléonien, registre 27 f° 805 case 2
Fritz, Jean Daniel héritiers
1881/82 Kieffer Adolph Wwe Barbara Klinger
P 1286, maison, sol, Rue d’Or 7
Contenance : 0,25
Revenu total : 50,13 (50 et 0,13)
Folio de provenance : (438)
Folio de destination : Gb
Ouvertures, portes cochères, charretières :
portes et fenêtres ordinaires : 10
fenêtres du 3° et au-dessus :
Cadastre allemand, registre 29 p. 174 case 3
Parcelle, section 15, n° 45 – autrefois P 1386.p
Canton : Goldgießen, Hs N° 7
Désignation : Hf, Whs e. a T. (Skizze 13)
Contenance : 0,25
Revenu : 400 – 500
Remarques : 1937, démolit. – 1950 à p. 173/6
(Propriétaire jusqu’à l’exercice 1908), compte 642
Kieffer Gustav Adolph Wwe
(gelöscht 1908)
(Propriétaire à partir de l’exercice 1908), compte 34
Strassburg die Gemeinde
1909 Gemeinde Strassburg / Ville de Strasbourg
(33)
Cadastre allemand, registre 29 p. 174 case 2
Parcelle, section 15, n° 44 – autrefois P 1386.p
Canton : Goldgießen, zu Hs N° 7
Désignation : Hf, Whs Stockwerk e. a T. (Skizze 13)
Contenance :
Revenu : zu 110
Remarques :
(Propriétaire jusqu’à l’exercice 1908), compte 642
(supra)
1789, Etat des habitants (cote 5 R 26)
Canton IX, Rue 294 Dite Goldgiessen, Quart. des Charrons
4
Loc. Trapp, Jean Henri – Moresse
Loc. Bohnert, Michel – Tailleur
Annuaire de 1905
Verzeichnis sämtlicher Häuser von Strassburg und ihrer Bewohner, in alphabetischer Reihenfolge der Strassennamen (Répertoire de toutes les maisons de Strasbourg et de leurs habitants, par ordre alphabétique des rues)
Abréviations : 0, 1,2, etc. : rez de chaussée, 1, 2° étage – E, Eigentümer (propriétaire) – H. Hinterhaus (bâtiment arrière)
Goldgiessen (Seite 50)
(Haus Nr.) 7
Hummel, Schuhmacher. 0
Kieffer, Rentnerin. E 12
Jacquemin, Schreiner. 3
Grille d’enquête
L’enquêteur suppose que la date 16xx qui se trouve sur le linteau sculpté d’une fenêtre du premier étage correspond à 1601 qui donnerait la date à laquelle la maison a été construite. La façade est en pans de bois. Les combles sont particulièrement remarquuables. L’escalier en colimaçon est en bois. Certaines portes sont sculptées – Remarque. Le compte rendu est particulièrement difficile à déchiffrer.
(118)
Fragebogen
zur Feststellung der Altertümer in den für den Straßendurchbruch zum Abbruch bestimmten Häusern in Straßburg i. E. 1907
[Questionnaire destiné à répertorier les antiquités dans les maisons vouées à la démolition pour réaliser la percée, Strasbourg, 1907]
Anmerkung. Den aufzuführenden Gegenständen ist ein Vermerk der Erhaltung hinzuzufügen und zwar bedeutet
+ sofort zu entfernen, * dringend zu erhalten, o an Ort und Stelle zu erhalten.
Diejenige Gegenstände die sofort zu entfernen sind, sind umgehend dem Kaiserlichen Denkmal-Archiv mitzuteilen.
[Remarque. On joindra aux éléments à répertorier une mention relative à la conservation, à savoir : (+) à démonter immédiatement, (*) à conserver absolument, (o) à conserver sur place. Il faudra signaler au Service impérial des monuments historiques les éléments à démonter immédiatement]
Haus : Goldgiessen N° 7 [Maison :] 7, rue d’Or
a) Geschichtliches : [Historique] : Wolff von Molsheim, Tuchmann, wo Peter Grosheim [sic] der wagner wohnt 1587
Kraus : Sehr altes Haus mit Holzskulptirter Fenstereinfassung [Kraus, Très ancienne maison dont les encadrements de fenêtre sont sculptés]
b) Zeitbestimmung : c. 1600. Datum auf Türfries I. Ob. * erhalten *) [Epoque] environ 1600, date sur la frise d’une porte au premier étage
c) Zeicheriche Aufnahmen : Im Denkmal* – von Tür* im I. Ob. erforderlich [Relevés sous forme de dessin]
d) Photographische Aufnahmen : der Front erforderlich [Relevé photographique] façade
I. Das Äussere [Extérieur]
- 1. Ausführung der Fassade, Fachwerk, Sandstein etc. – Holz massiv, Rg Fackwerk [Nature de la façade, pan de bois, pierre de taille, etc.] en bois massif, pans de bois
- 2. Anzahl der Geschosse – 2 [Nombre d’étages]
- 4. Kelleranlage– nicht vorhanden (Goldgiessen !) [Sous-sol] aucun (Rue d’or !)
- 5. Dachstuhl – eigenartig – Pfetten liegen auf Giebelwänden – aufzi*decke ! [Comble] remarquable. Les pannes reposent sur les murs du pignon
- 11. Türeinfassungen – *boss Stein mit Kohlprofil *) [Encadrement de porte]
- 12. Fenstereinfassungen- *ergl. ein od. II. *) [Encadrements de fenêtre]
- 15. Gliederungen – ornamentiste F*er im I. Obz *) [Moulures]
II. Im Inneren [Intérieur]
- 1. Grundrissanlage- * * mit * Holzwendeltreppe, 2. kl. Zimmer vorn, weiten Stube u. Treppe [Disposition générale] escalier en colimaçon en bois, 2 petites chambres, un poêle et un escalier li>
- 7. Treppenhaus – Holzwendeltreppe [Cage d’escalier] escalier en colimaçon en bois
- 12. Plafonds – I. Obz. Ge*töbt, Tafelbretter mit Deckprofilen [Plafonds] lambrissé
- 23. Türbilder (supraporten) – 3 Tür* mit Pilaster und ornamentirten Friesen im I. u II. Obz. *) [Dessus-de-porte] trois portes (…) à frises ornées aux 1° et 2° étages
- 25. Türbeschläge – i Speicher * und Türfries *) [Ferrures de porte]
Dossier de la Police du Bâtiment (cote 886 W 73)
7, rue d’Or (1895-1939)
Le propriétaire fait les travaux ordinaires en réaménageant notamment en 1901 la fenêtre qui n’ouvre plus vers la voie publique. La Commission contre les logements insalubres constate que la maison est bien tenue.
La Commission des monuments historiques fait observer en 1932 que le bâtiment inscrit à l’inventaire supplémentaire doit être conservé. Comme le tracé de la percée a déjà été modifié pour éviter de démolir des bâtiments quai Saint-Nicolas, on propose de démonter certains éléments comme la toiture. La Société pour la conservation des monuments historiques d’Alsace propose qu’à défaut de conserver sur place les n° 7 et 9 rue d’Or ils soient intégrés aux bâtiments du musée de l’Œuvre Notre Dame lors de son extension. La Police du Bâtiment ratifie en 1938 le projet de remonter dans la cour de l’hôtel du Cerf la façade anciennement au 7, rue d’Or et vers la rue du Maroquin différents éléments qui proviennent de maisons démolies dans la première partie de la Grande Percée.
Sommaire
- 1884 – La Police du Bâtiment notifie la veuve Kieffer, propriétaire, d’installer un tuyau d’aération à ses latrines – Le tuyau est installé, novembre 1884
- 1895 – La Police du Bâtiment notifie la veuve Kieffer, propriétaire, de modifier les volets d’une fenêtre au rez de chaussée pour qu’il ne s’ouvre plus vers la voie publique – Rappel, juillet 1898 – La propriétaire répond que l’agencement de la maison ne le permet pas – Nouveau rappel, mars 1900 – Les volets ont été modifiés mais pas encore la porte à guillotine – Rappel au sujet de la porte, avril 1901 – Travaux terminés, mai 1901
- 1904 – La Police du Bâtiment constate que la sage-femme Hügel a fait poser sans autorisation une enseigne perpendiculaire – L’enseigne a été enlevée, avril 1904
- Commission contre les logements insalubres – 1905 Les logements sont en bon état, les latrines sont accessibles de la cuisine, la cage d’escalier est propre
1912 – Le logement Schellenberg est occupé par trop de personnes
1915 – Commission des logements militaires. travaux à faire, raccorder les latrines aux canalisations, enlever les cheminées, éclairer la cage d’escalier - 1932 – Pièces jointes. Compte rendu de la Commission artistique municipale, Avis de l’Office d’habitations à bon marché, constructeur du bâtiment futur.
Compte rendu sur le tracé à retenir – La Commission des monuments historiques fait observer que le bâtiment inscrit à l’inventaire supplémentaire doit être conservé.
Le bâtiment 9 rue d’Or aussi inscrit à l’inventaire supplémentaire sera détruit.
Annexe au compte rendu de la Commission artistique. La maison ne peut être conservée dans le tracé de la percée, déjà modifié pour éviter que d’autres bâtiments du quai Saint-Nicolas soient détruits. On a proposé de réutiliser certains éléments dont les toitures à un autre endroit.
1933 – La Société pour la conservation des monuments historiques d’Alsace propose qu’à défaut de conserver sur place les n° 7 et 9 rue d’Or ils soient intégrés à ceux du musée de l’Œuvre Notre Dame lors de son extension. - 1938 – Dossier de dix dessins concernant le projet de nouveaux musées municipaux. La façade sur la cour de l’hôtel du Cerf accueillera les éléments de la façade anciennement au 7, rue d’Or, la façade rue du Maroquin différents éléments qui proviennent de maisons démolies dans la première partie de la Grande Percée.
La Police du Bâtiment ratifie le projet. Pas de travaux, octobre 1938 – Travaux commencés, février 1939
Relevé d’actes
Pierre Grosshenn est locataire de la maison en 1587 (voir le Livre des communaux).
Originaire d’Altkirch, Pierre Groshenn épouse en 1576 Véronique Schuekür, originaire de Reichshoffen
Mariage, Saint-Nicolas (luth. f° 116-v, n° 15)
1576. Den Ersten Octobris sind Ehelich eingesegnet worden Peter Großhenn von Alkirch in Sundgaw vnd frawele Schuekuerin selig. hind.lassene tochter von Richshofen (i 132)
Le charron Pierre Groshenn originaire d’Altkirch achète quelques jours plus tard le droit de bourgeoisie
1576, 3° Livre de bourgeoisie (4 R 105) p. 266
Petter großhanne von Alttkirch der Wagner hatt d. burgkrecht kaufft vnd dient Zu den Zimmerleuth den 13.ten 8.bris 76
Véronique veuve de Pierre Groshenn se remarie en 1594 avec Jean Brey, charron originaire de Benningen en Allgäu (voir l’acte de 1608 qui cite son frère originaire de Dettingen près de Memmingen)
Mariage, Saint-Nicolas (luth. f° 31-v, n° 33)
1594. Den 9. Decemb. sind Ehelich eingesegnet worden Hans Breÿ von Behning. d. Wagner und frawen Peter Großhenn deß wagners seligen nachgelaßene Widtwe (i 37)
Le charron Jean Brey natif de Benningen devient bourgeois par sa femme Véronique veuve de Pierre Groshenn quelques jours après son mariage
1595, 2° Livre de bourgeoisie (4 R 104) p. 721
Hannß Breÿ von Beningen ein Wagner, hat daß burgerrecht empf. vonn Veronica w. Peter Großhänn deß Wagners wittibenn s. haußf: vnndt will Zun den Zimmer Leüttenn dienen. Actum den 17. decemb. 94.
Jean Brey et sa femme Véronique veuve de Pierre Groshenn hypothèquent au profit du cocher Nicolas Anslinger au nom de sa femme Madeleine Groshenn, fille en premières noces de la débitrice, la maison comprenant trois bâtiments, deux écuries, un puits et autres dépendances, entre l’auberge à la Pomme d’or et le maréchal ferrant Laurent Baumwoll
1605 (xxix Januarÿ), Chancellerie, vol. 360 (Registranda Meyger) f° 53
(Inchoatum in Prothocoll. fol: 66.) Erschienen Hannß Breÿ der Wagner burger Zu Straßburg, vnd frauwell sein eheliche haußfrauw, Wÿland Peter Großhenn des Wagners seligen witwe
Haben bekhandt vndt In gegenwertigkheit Niclaus Anßlingers des Gutschers, Burgers Zu Straßburg, Als Ehevogts Magdalenen Großhennin seiner hußfraw. obgemelter Ehegemechd frauwell vnd Peter Großhennen dochter – schuldig sigent 400 gulden, Jeden gulden Zu xv batzen gerechnet
Zum vnderpfand ÿngesetzt vnd verlegt dreÿ heüser An einander mit Iren Hoffestatten, Zweÿen Stallung Vnd Brunnen, auch allen Andern Iren gebeuwen, begriffen, Weithen, Rechten Vnd Zugehörden, gelegen Inn der Statt Straßburg, Im Goldtgiessen, einsit nebent der Herrberg Zum Guldin Apffell, Niclaus Geude Zuständig, Vnd anderseit neben Lorentz Baumwoll den Huffschmÿtt, hinden auch vff die Herrberg Zum Guldin Apffell stoßend, Davon geth j lb d Boden Zinß den Herren Vicarien Im Gürtler hoff, Item xxx gudin gelts Ablosig mit vj C guldin Wolff Vonn Molßheim, Item Zehen guldin gelts Lösig mit ij C guldin Friderich Scholl dem Metziger, daran aber x guldin gelts Widerkheüffig mit ij C guldin Cunradt Mohr dem Haußbecken, Jährl. wie man sagt
Jean Brey et Véronique louent à leur gendre et fille Nicolas Anslinger et Madeleine Groshenn la maison sauf l’atelier de charron. Les parties résilient le bail le 19 mars 1607.
1605 (vt spâ [xxix tag Januarÿ]), Chancellerie, vol. 360 (Registranda Meyger) f° 54
(Inchoatum in Prothocoll. fol: 66.) Erschienen Niclaus Anßlinger der Gutscher burger Zu St: Vnd Magdalen Großhennin seine eheliche Haußfraw
Haben bekhandt vndt In gegensein Hannß Breÿ des Wagners, burgers Zu St: vnd Frauwell desselbig. Ehegemahell, Ihres Schwähers vnd. Mutter Offentlich verÿehen
Das sie Inen vonn Jetzgemeltem Ihrem Schwäher vnd Mutter, Sechs Jahr lang nach einander Volgend, so albereit vff Johannis Baptistæ nechstkünfftig Anegehen sollen, Entlehnt hetten Bemelter Ehegemechd Hannß Breÿen und Frauwell Ein Behausung, sampt Stallung Vnd Heuwbünen, Mit allen begriff Vnd Zugehörd. Allein die Wagner Werckstatt Vndenher vßgeschlosen, so nit Inn disser Lyhenung begriffenn sein sollen Gelegen alhier Im Goldtgiessen nebent Herrbergen Zum Guldin Apffell ein, Vnd anderseit Lorentz Baumwoll den Huffschmÿtt, Vnd Ist disse Lyhenung beschehen Vnd Zugang. Für Vnd Vmb einen Jährlichen Zinß 20 guldin Zu xv batzen
Hiebeÿ vnd mitt ist gewesen Melchior Kesselmeÿer der Sattler burger Zu St.
[in margine :] Vff 19. tag Martÿ 1607. Ist erschien hannß Breÿ hierin gemelt hatt in gegensein Niclauß Anßlingers befohlen disser Verschreibung Zu cassiren vnd Abzuthun.
Jean Brey et Véronique veuve du charron Pierre Groshenn hypothèquent la maison au profit de Nicolas Anslinger et de Madeleine, leur gendre et fille respectifs. L’acte est annulé par le suivant.
1607 (vt spâ [xix tag Martÿ]), Chancellerie, vol. 370 (Registranda Meyger) f° 126-v
Erschienen hannß Breÿ der Wagner burger Zu Straßburg vnd frauwell sein eheliche haußfrauw, wÿland Peter Großhenn des wagners selig. witwe
haben bekhandt vndt In gegenwertigkheit Niclauß Anßlingers des Landtgutschers burgers Zu Straßburg Magdalena seiner haußfr. Ihres dochtermanns vnd dochter offentlich verÿehen – schuldig sigent 300 pfund pfenning Straßburger gelühens gelts
Zum vnderpfand eingesetzt vnd verlegt dreÿ heüser Aneinand. geleg. mit Ihren hoffstett. Zweÿ höff. Stallung vnd Brunnen, Auch Allen Ihren gebeüwen & Inn d. St. Straßburg Im goldtgiessen, einseit neben d. herrberg Zu guldin Apffell vnd and.sit neben Lorentz Boumwoll dem huffschmidt hind. vff die herrberg Zum guldin Apffell stoßend, Dauon gond j lb d Boden Zinß den herrn Vicarien Inn Gürtlerin hoff, Item xxx gl geldt Ablösig mit vj C gl Wolff vonn Molßheim, Mehr w gl gelts Lösig mit ij C gl Cunradt Mohren dem haußbeck Alle Jahr Sunst eÿg.
(Vide Cassaturam in Reg. 1605. fol. 53.)
(Disser gegenwärtiger Contract Ist vß geheÿß bed. parth. vnd abgethan weg. eines newen Contract prout infra fol: 300. Act. 6. Julÿ Anno 1607)
Jean Brey et Véronique veuve du charron Pierre Groshenn vendent une maison au profit de Nicolas Anslinger et de Madeleine, leur gendre et fille respectifs. Les vendeurs se réservent le bâtiment avant et prennent à leur charge les capitaux garantis sur la maison, notamment 400 florins dus à Loup von Molsheim (précédent propriétaire). Les parties conviennent de construire un mur dans la première cour et de divers aménagements (escalier, jours)
1607 (vj tag Julÿ), Chancellerie, vol. 370 (Registranda Meyger) f° 300-v
(P. fol. 181.) Erschienen Hannß Breÿ der wagner burger Zu Straßburg vnd frauwell seiner eheliche haußwürthin wÿland Peter Großhenn des wagners selig. witwe haben (verkaufft)
Niclauß Anßlinger dem Landtgutscher burger Zu Straßburg vnd Magdalenen Großhennin seiner ehelich. haußfrauwen Ihrem dochtermann und dochter, bede Zugeg.
hauß, hoffestatt vnd hinder Stallung sampt dem Stall vnder der behausung deßgleichen ein Vord. vnd hind. höfflin benebent dem vßgang vornen Inn das goldtgiessen Auch mit der gerechtigkeit des halben Brunnens so mit hannß Khammen dem Metziger gemein gelegen Inn der Statt Straßburg Im goldtgiessen, hind. Ihr der verkhöuffern noch vorbehalttenen Behausung einseit nebent demselbig hannß Khammen zum theÿl und Zum theil Mathÿß Schäffer dem Landtgutscher, anderseit nebent der herrberg Zum guldin Apffel vnd stoßt vornen vff der Verkhöuffern vorbehaltene vordere Behausung, da dan der vßgang vnder derselben vorderer Behaußung Inn das goldtgiessen gehet vnnd das vorder höfflin nebent der verkhöüffere nebens beüwlin so sie Inen Auch Vorbehaltten gelegen, Vnnd ob wol Ihr der Verkhoüffere vordere behausung mit sampt dissen erkhaufftenn hauß hoffestatt höfflin vnd Ställen noch verhafftet Ist für ein pfund pfenning gelts Bodenzinses vff Johannis Baptæ fallend Inn gürtlerhoff, Mehr v lb d gelts Ablösig mit j C lb d vff Galli Cunradt Mohren dem Becken, So haben doch die Khöuffere solche bede beschwerd. vff Ihre Behausung Angenommen, dieselbe Jahrs ohne der Verkhöuffere Zuthun, costen vnnd schad. Zu Verzinsen vnd Abzurichten
Weÿther dieweil bede Behausung. das vord. vnd hind. noch verhafftet sind geg. herrn wolff von Molßheim vmb 400 guldin Straßburger wehrung So haben die Verköüffere solche beschwerdt vff ihre noch vorbehalttene vorder Behausung geschlag. dieselbig. Summ Jährlich ermelten herrn Wolff von Molßh. ohne der Khöuffere costen vnd schad. Zu verzinsenn, Dafür dann bede Behausung gegen einander vff den fahl da man einig. Verlust Ane einem oder andern nemmen solte, obligirt vnd verpfandt sein sollen, vnnd Alles Rht, Also das & Vnd Ist dißer Khauff Zugangen vnd beschehen 550 pfund pfenning Straßburger
Vnd Ist hirin Insonderheit Abgeredt, Weil Inn dem Vordern höfflin vonn nebents bouwlin ein scheÿdtwandt bits Ane den vßgang der vordern thüren würdt gemacht werdenn zu vnderscheÿden des wagners werckstatt, So Ist vff Acht Jahr lang gegönnet worden ein thier Inn die scheÿdtwandt Zu machen, damit der wagner die thier Zu seinem handtwerck desto besser gebrauchen möge, Nach vßgang er Acht Jahren solle disse gönnung vffhören vnd die thier wider Zugemacht werden, ferner die steg nebent der erkhaufften Behausung Inn dem nebents buwlin soll den khoüffern Auch gehören vnd vonn den Verkhoüffern vnderschlag werd. dann sie die Verkhöuffere Ihren vßgang Zu dissem nebents buwlin vonn der vordern Behausung suchen vnd disse steg nimmer mehr gebrauch. sollen, Item es sollen Auch Alle der Verkhöuffere taglichter vnnd fenster Vonn Ihrer vorbehalttenen Vndern Behausung vnd dem nebents heüßlin Vergettert sein vnd pleiben, damit nichts unsaubers Inn den Vorder höfflin geschüttet werde, wie nicht weniger khein theil dem Andern Zu ewig. zeiten tagliechter od. fenster Zu Verbauwen macht haben. Souil endlich die tachtrauff belangt, sollen dieselben wie die Jetzundt fallen Auch also verpleiben Getreüwlich vnd Vngeuorlich Verzigt
Hiebeÿ gewesen Wolff von Molßheim, Ruprecht Stollenmeÿer d. Beck, Andreß Schuch Alle burgere Zu Straßburg vnd Friderich Großhenn von Lucern
Originaire de Melzting (sans doute Metzing près de Forbach) en pays welsche, Nicolas Anslinger épouse Madeleine Groshenn en 1597
Mariage, Saint-Nicolas (luth. f° 38 n° 10)
1597. den 18. Apr. sind Ehelich eingesegnet word. Niclaus Antzling. von Meltzing. in Westrich vnnd Magdalena Groshennin Peter Großhenn deß Wagners seligen nachgelaßene dochter (i 45)
Le cocher Nicolas Anslinger originaire de Miltzingen acquiert le droit de bourgeoisie en juin 1602.
1602, 3° Livre de bourgeoisie (4 R 105) p. 655
Niclaus Anßlinger Vonn Miltzingen der Landgutscher Kaufft mit beÿstandt Hanns Brewen deß wagners das B. will Zur Morin dienen, Vnnd sein Nahrung für 200 fl
angeben. Actum vt Supra [j. Junÿ 1602.]
Jean Brey et Véronique Groshenn hypothèquent la maison qu’ils ont conservée au profit du maçon Sébastien Goldbach
1608 (3. tag Februarÿ), Chancellerie, vol. 378 (Registranda Meyger) f° 56-v
(Inchoatum in Protho. fol: 61.) Erschienen hannß Breÿ der wagner burger Zu Straßburg vnnd frauwell Großhennin sein eheliche haußwürthin
haben bekhandt vndt In gegenwertigkheit Bastian Goldtbach des Maurers burgers Zu Straßburg – schuldig sige 50 pfund pfenning Straßburger gelühens gelts
Zum vnderpfand eingesetzt vnd verlegt, hauß vnd hoffestatt mit Allen Ihren gebeu. & geleg. In d. Statt Straßburg Im goldtgieß. einsit neb. der herberg Zum guldin Apffell vnd And.sit neben Lorentz Boumwoll dem huffschmÿdt hind. vff Niclauß Aßlinger den Landt gutscher stoßend, Dauon gend. xx guldin gelts Ablösig mit iij C gl h Wolff vonn Molßh. Sunst ledig eÿg.
Jean Brey loue la maison à son frère voiturier Georges Brey
1608 (vt spâ [xxj. Aprilis]), Chancellerie, vol. 377 (Registranda Kügler) f° 144-v
(Inchoat. fo: 146.) Erschienen Georg Breÿ der Furknecht
hatt in gegensein Hanns Breÿen Wagners burgers Zu Straßburg seines lieben bruders
freÿ guttwillig bekhant vnd offentlich verÿehen das er Ime V. seinen erben Zweÿ Jar lang die nechstnach einander volgend Vnd Vff Johannis Baptistæ nechstkhünfftig anestehend vonn gedachtem hanns Breÿen Entlehnet Ein Behaußung hinder sein Georg Breÿen Behausung Inn der S S Im goldt gieß gelegen einseÿt Niclaus Anßinger dem Guttscher gelegen nach der S S bruch V. gewonheÿt für vnd vmb ein Jährlichen Zinß Nemlich 5 guldin SW
Jean Brey hypothèque la maison au profit de son frère Georges Brey, originaire de Dettingen près de Memmingen (en Allgäu)
1608 (xxj Aprilis), Chancellerie, vol. 377 (Registranda Kügler) f° 144-v
(Inchoat. fo: 146.) Erschienen Hanns Breÿ Wagner burger alhie
hatt in gegensein Georg Breÿen des Furknechts von Dettingen bey Memmingen gelegen seines lieben bruders – schuldig sige 100 guldin Zu 15 batzen
dafür Vnderpfand sein huß und hoffestatt mit all Iren gebew gelegen Inn d. St St Im goldtgieß einseÿt Lorentz Brumpt dem huffschmid andersyt Niclaus Anßinger des Guttschers hefflin stoßend hind. vff denselben Anßinger, dauon gend 20 guldin glts SW loßig mit 400 guldin derselb. werung wolff von Molßheim, Mehr ij lb x ß glts loßig m. 50 pfd. pfenning Bastian Goldtbach dem Murer
Jean Brey et Véronique vendent une maison à Michel Walter, de Kork en Bade, et à sa femme Barbe. L’acquéreur promet de devenir bourgeois dans les quatre semaines.
1608 (vt spâ [xxiij. Decembris]), Chancellerie, vol. 377 (Registranda Kügler) f° 376
Erschienen hanns Brey der Wagner v. Frauwel sein eheliche hußfr
haben vnuer. verkaufft Michell Walthern von Korck vnd Barblen seiner huß fr.
Inen huß v hoffstatt mit all Ir gebeu geleg. In der S S Im goldgieß. einseyt Lorentz Boumwol, andersyt Niclaus hanslingers gutschers löffen* stoßend hind. vff denselb. für freÿ ledig eÿgen, alles Rht, der Khauff besch. vmb 462 guld. zu xv batzen
Hiebeÿ gewesen Lorentz Boumwoll huffschmid Andres Schütterlin bed. hierzu erbetten
[in margine :] nota Michel walther erclert sich Inn vier wochen burger zu werden.
Madeleine Groshenn, veuve de Nicolas Anslinger, se remarie en 1609 avec le cocher Georges Barchert, fils du vigneron Marc Barchert de Durlach
Mariage, Saint-Nicolas (luth. f° 79 n° 6)
1609. denn 1. Maÿ seÿndt ehelich eingesegnett wordenn Jörg Barchertt vonn Durlach der Gutscher, Weÿland Marx Barchertt des Rebmanns vnndt Burgers seligenn daselbsten nachgelaßener Sohn, Vnndt Magdalena Großhennin, Weÿland Niclauß Anslingers gewesenen Gutschers vnndt Burgers seeligen alhie nachgelaßene wittwe
Le cocher Georges Barchert de Durlach achète le droit de bourgeoisie quelques mois plus tard en s’inscrivant à la tribu des Maçons
1609, 3° Livre de bourgeoisie (4 R 105) p. 750
Georg Barchet der gautscher Von Durlach Khaufft d. Burgerrecht mit Beÿstandt Sebastian Goltbachs Kleinen Rahts bewandten vnd wüll Zu den Maurers Zünfftig sein, Actum den 10. 8.bris Ao. 1609.
Tuteur de Marc Anslinger, fils de Nicolas Anslinger, Chrétien Walter cède la maison à ses grands-parents. Les cessionnaires garantissent le paiement de 525 livres non seulement par la maison cédée mais par celle qui leur appartient en propre
1609 (xxvij tag Octobris), Chancellerie, vol. 383 (Registranda Meyger) f° 520
(Inchoat. in Protho. fol: 440.) Erschienen Hannß Breÿ der wagner burger Zu Straßburg vnd Frawell sein eheliche Haußfr. mit beÿstandt & Andres Schuoh burgers Alhie Ihres dochtermans Ane eim, So dann Christmann Walther der Elter Metzig. burger Zu Straßburg Alß geschworner Vogt Marx Anßlinger, Weÿland Niclauß Aßlingers des Gutschers Alhie selig. Khinden Am Andern theil
Haben gegen einander bekhandt vnd offentlich verÿehenn, d. sie sich heut dato mit einander hienach geschribener sachen einmütiglich vereinbaret hab. Iren wÿß vnd maß. wie hernach volgt, Benantlich Zum Ersten So hatt Obgedacht Christmann ehgemelten beden ehegemechden obgenandt Vogts Sohns H. Großvattern vnd Großmuttern freÿ eÿgenthümblich cediret Zugestellt vnd Vbergeben die behaußung, Alß hauß, hoffestatt sampt Zweÿen höfflin, Stallung auch Allen Andern & geleg. In d. St: St: Im Goldgieß. einsit nebent Hanß Khammen dem Eltern, Andersit nebent der herberg Zum guldin Apffel, stoßt hinden vff den selbig. Apffell, dauon ein pfund pfenning bodenzinß, Im Gürtler hoff, mehr Zweÿ pfund 10 schilling & gelts lößig mit L lb & Conradt Mehrern den haußbeck. Sonst eÿg. Ferner dreÿ pfert sampt Schiff Vnd geschirr vnd Zween Gutsch., wie dann Auch Allen haußrath (…) für vnd vmb 525 pfund pfenning Straßburg
Dargegen hab. Obgenante Ehegemechd der Groß Vatter vnd Mutter für sich & gelopt v. versproch. Jetzgehörte 525 pfund gedachten Ihren Enckel Zu geben (…) darfür den Obangeregte Vbergebene behaußung, sampt Ihr den Ehegemechd eÿgenen behaußung, In gemelt. Goldgieß. geleg. einsit Auch nebent guldin Apffell, And.sit nebent Lorentz Bauwell dem huffschmidt hinden vff Michell Walther stoßend, davon gondt 20 guldin gelt Lößig mit 400 gultin werung wolff von Moltzheim selig erben, Mehr Zweÿ pfund 10 schilling pfenning gelts Lößig mit L lb Abraham Kellnern den Allmosen Knecht
Le charron Jean Brey hypothèque deux maisons au profit de Michel Meyer
1609 (27. Octobris), Chancellerie, vol. 384 (Registranda Kügler) f° 436-v
(Inchoat. fo: 467.) Erschienen Hans Breÿ der Wagner burger alhie
Hatt Inn gegensein des Ersamen Michael Meÿgers auch burgers alhie bekhant demselben schuldig zusein 200 guldin
dafür Vnderpfand sein soll Zweÿ heüßer sampt Zweÿen höfflin ein vord.s vnd hinds. dar zwischen ein Behausung Michel Waltern Zuständig, sampt deren gebewen geleg. In d. St. St. Im goldtgießen einsit neben d. herberg Zum guldin Apffell, 2.sit neben H. Lorentz Bauel dem huffschmidt Zum theil, vnd zum theil h. Hans Kammen dem Eiltern stoßendt die hind. behaußung auch den gulden Apffell Dauon gend j lb d bodenzinß den Vicarien hohen stifft St. Item 20 gld. gelts Lösig mit iiij C gls St. werung Wolff von Molßheim s. Erben Vnd sindt auch noch v.hafft für 1500 gld zu xv batzen Marx Aßlinger Niclaus Aßlings des Gutschers Sohn zubezahlen, Item v gld ablößig mit j. C gls zu xv batzen Abraham Cölner dem Almusen knecht, Sunst ledig &
Jean Brey et sa femme Véronique hypothèquent la maison au profit du marchand Joseph Abri pour rembourser Georges Brey
1609 (ut spâ [xviij. tag. Novembris]), Chancellerie, vol. 383 (Registranda Meyger) f° 557-v
(Inchoat. in Protho. fol: 463.) Erschienen Hannß Breÿ der wagner burg. Zu Straßburg vnd frauwell sein eheliche haußfrauw
haben bekhandt vndt In gegenwertigkheit herrn Joseph Abri des handelßmanns burgers Zu Straßburg – schuldig sige 50 pfund pfenning Straßburger gelühens gelts vonn Geörg Breÿen dem Fuhrknecht herrührend
Zum vnderpfand eingesetzt vnd verlegt Ein Vorder Vnnd hind.hauß mit d. Stallung höfflin vnd Brunnen, Auch Allen Andern Iren gebeüwen & geleg. Inn d. Statt Straßburg Im goldtgieß. einsit neb. d. herrberg Zum guldin Apffel, vnd and.sit neb. Lorentz Boumwoll, hind. vff h. hannß Khamen scheür vnd Auch vff die herrberg Zum guldin Apffell stoßend, Dauon gond xx gl gelts Lösig mit iiij C gl werung herrn wolff von Molßheim, Mehr x gl gelts Ablösig mit ij C gl Michell Meÿer dem weinsticher, Item j lb d Bod. Zinß Inn gürtler hoff, Item ij lb x ß d wid. khöuffig mit L lb d Conradt Mohren dem haußbeck. Vnd dann sind noch verhafftet für ein schuld v C xxv lb Zu Zÿlen Zuerleg. wÿland Niclauß Anßlingers des gutschers s. Sohn
(vide supra fol: 520)
Jean Brey et sa femme Véronique vendent une écurie à leur voisin Emanuel Golder, aubergiste à la Pomme d’or
1610 (j. Febr.), Chancellerie, vol. 388 (Registranda Kügler) f° 55-v
Erschienen M. Hans Breÿ der Wagner Vnd frauwel sein eheliche gemahell haben (verkaufft)
H Emanuel Golder Gasthalten Zum Guldiin Apffell Alhie
Ein Hindern Stallung hind. des V.kheuffers behaußung Im Goldtgießen, einseit neben H Hans Kammen, 2.sit neben d. Herberg Zum guldin Apfell, stoßend hind. auch vf bemelte herberg sampt deren gebewen &
V Ist harin sonderlich abgeredt, weil diser Stallung 2 thüren In des V.khöüffers höfflin gehndt, So soll der Khöuffer solcher 2 thüren In seinem costen Zumauren, deß gleichen alle läden v.gettern laßen So Inn des v.kheüffers höfflin gehn, Vnd dann wie der Tachtrauff Jetzo felt soll es dabeÿ Jed.zeit v.bleiben, Auch der Khoüffer nicht höher zubawen macht haben, seind dabeÿ v.bleiben laßen für freÿ ledig vnd eÿgen, Vnd wiewol aber Jetzverkauffte Stallung neben des v.kheüffers Behaußung v.hafft Namlich für 1 pfund bodenzinß vff weihenachten den deputaten fallendt, Wÿtter v.hafft für 25. lb wÿland Niclaus Anßlingers s. Sohn Zuerleg. Vnd dann Conradt Mooren dem Brodtbecken für 50 lb hauptsumm, Sollen vnd wöllen doch die V.kheüfferern gedachten Khoüffer diser beschwerd. halbenn Inn alle weg Zuendtheben vnd schadtloß Zuhalten, Vnd Alles Recht & Also das & Vnd Ist dißer verkhauff Zugangen für vnd vmb 150 guldin
Hiebeÿ gewesen H Johann Tewrer Schaffner, H Andres Schurtz Nota.
Le cocher Georges Barchert cède à Jean Brey les droits qui lui reviennent de sa défunte femme Madeleine Groshenn suivant l’inventaire dressé par le notaire Georges Antz.
1610 (ut spâ [7. Februarÿ]), Chancellerie, vol. 388 (Registranda Kügler) f° 63
(Inchoat. fo: 59.) Erschienen Jeörg Barchert Landgutscher burger alhie (hatt verkaufft)
Hans Breÿen dem wagner alhie
Ime die 99 Pfund v ß xj d welche er sein lebenlang wÿdems weiß zunießen hatt, Vnd Ime fraw Magdalena Großhännin seiner ehegemahlen seligen In Irem vffgerichten Codicill vff ettlichen stucken vß Irem Unverändertn gutts Zugeordnet, Auch eines besond. vffgerichten Inventarÿ durch Georg Antzen Notm. v.fertigt deßen datum den 21. Octobris 609. fol. 35. zusehen (…) um 124 guldin
Jean Brey hypothèque la maison au profit de son frère Michel Brey, originaire de Bettingen près de Memmingen.
1611 (4 Julÿ), Chancellerie, vol. 395 (Registranda Kügler) f° 238-v
(Inchoat. fo: 224.) Erschienen hanns Breÿ der Wagner
hatt in gegensein Michel Breÿen gutscher Vonn Bettingen beÿ Memmingen seines lieben bruders – schuldig sein 105 guldin zu xv batzen
dafür Vnderpfand huß hoffestatt hefflin v hinderhußlin mit all and. Iren gebeud geleg. Inn d. S S Im goldgieß einsyt d. Wurtzhuß Zum guldin Apffell ansyt Lorentz Bauwol stosst hind. auch vff d. guldin Apffell, dauon gend 22 guld gls loßig mit 400 guld SW H Wolff von Molßheim selig erben, Mehr xxvj lb v ß abloßig mit 100 gulden SW Marx Anßinger deßen vogt Christmann Welcher der Eltere wÿther 10 guld gls loßig mit vj C SW Michel Meÿer Teutschen schulmeyster So dann ij lb x ß loßig mit L lb d Conrad Lorren Brottbeck sunst eÿg.
Le charron Jean Brey hypothèque sa maison au profit de Catherine Kæmmerling, veuve du conseiller Charles Spielmann
1613 (xvj. Martÿ), Chancellerie, vol. 404 (Registranda Meyger) f° 156-v
(Inchoat. in Proth. fol: 155.) Erschienen Christmann Walther der würth Zur Cronnen vnnd hannß Breÿ der wagner burger Zu Straßburg
haben bekhandt vndt In gegenwertigkheit h hannß Oßwald Falck. burgers Zu Straßburg so zugeg. Inn nammen seiner Fr. schwÿger Catharinen Khämmerlingin wÿland h. Carle Spielmans Alt Raths verwantt selig. witwe offentlich verÿehenn, das sie derselb. Fr. Catharinen Eine Vff. & Vnuer: schuldig sigent 309 guldin
Zum rechten wüssenthafften Vnderpfand eingesetzt vnd v.legt hauß, hoffestatt, höfflin vnd Stall sampt einem hind. hauß mit Allen Ihren & geleg. Inn d. St. St. Im goldtgiessen einseit neb. d. herberg Zum guldin Apffell and. sit neb. Lorentz Baumwoll dem schneÿd. hind. Auch vff die herrberg Zum guldin Apffel v h. hannß Khammen scheur stoßend, dauon gend xx gl geld Abloßig mit iiij C gl wolff von Molßh. Item x gl gelts mit ij C gl Abloßig Michell Meÿers des Weinstichers erb. It. ij lb x ß d gelts wid.kheuffig mit L lb d Joseph Abri dem handelsmann weÿther sind sie verhafftet vmb xxxv lb d Michel Breÿn des Bekhenners brud. Zu Morßmünster, Mehr seind sie hafft vmb Llb d Cunradt Mohren dem Beck.
Marc Anslinger fils de Nicolas Anslinger (héritier de ses grands-parents) vend la maison au gourmet Michel Walter et à sa femme Barbe Gamp (qui réunissent ainsi la propriété des trois bâtiments initiaux)
1619 (1. Februarÿ), Chancellerie, vol. 436 f° 90-v
(P. fol. 67.) Erschienen Marx Anßlinger, Wÿland Niclauß Anßlingers des gutschers burgers Zu Straßburg seligen nachgelaßener Sohn mit beÿstandt herrn Michael Philipß Lungen Notarÿ seines noch unentledigten geschwornen Vogts (verkaufft)
Michell Walther dem Weinsticher burgern Zu Straßburg vnd Barbaræ Grampin seiner ehelichen haußfr.
hauß, hoffestatt, sampt dem order vnd hinder stall deßgleichen ein forder vnd ein hinder höfflin beneben dem vßgang, vornen Im goldt giessen, Auch Allen Andern Ihrenn gebeüwen & gelegen Inn der Statt Straßburg Inn gemeltem Goldtgiessen, einseit neben hanß Kammen dem metziger, Anderseit neben der herrberg Zum gultin Apffell stoßend vornen vff die Keüffere selbst, vnd hinden vff gemelten guldin Apffell, dauon gend. Jährlichen Ein pfund pfenning bodenzinß vff Weÿhenachten Inn dem Gürttlerhoff, Mehr Zweÿ pfund Zehen schilling pfenning gelts Ablößig mit 50 pfund pfenning vff Galli herrn hanß Jacob Kügler zuerlegen wann man es fordern würdt sunst ledig vnd eigen, Vnd Alles Recht & Also das & Vnnd Ist dißer Khauff vber obgehörtte beschwerden so die Kheüffere vff sich genommen Zugangen vnd beschehen für vnd vmb 500 pfund pfenning
Cultivateur à Kork, Michel Walter achète le droit de bourgeoisie le 14 février 1609
1609, 3° Livre de bourgeoisie (4 R 105) p. 744
Michael Walther der Baurßman von Korck Khaufft d. Burgerrecht mit beÿstandt Hanß Breÿßen deß wagners vnd Lorentz Baumwolls deß huffschmidts, will Zu den Weinstüchern dienen, vnd 300 guld. verstallen. Actum Zinstag den 14. Februarÿ 1609.
Michel Walter revend la maison avant à Jean Siffermann l’aîné, de Mittelbergheim en restant propriétaire de la maison du milieu. Le vendeur se charge seul de la rente foncière.
1619 (xv. Maÿ), Chancellerie, vol. 436 f° 282
(Inchoat. in Prot. fol. 177.) Erschienen Michell Walther d. Weinstich. burger Zu Straßburg (verkaufft)
hannß Seÿfferman dem eltern Zu Mittelbergkheim, So auch Zugeg. mit beÿstand & hannß Breÿ des wagners burgers Zu Straßburg seines dochtermanns
hauß vnd hoffestatt mit Allen Ihren gebaüwen & geleg. Inn d. St. St. Im goldt giessen einseit neben der herrberg Zum gultin Apffell, anderseit neben Jacob Geseson dem huffschmÿdt, hind. vff Michell Walther des Verkheüffers höfflin vnd vorbehaltten Mittel hauß stoßend, Vnnd gehörd die Infarth vorn Am Goldtgiessen Zu sein des verkäuffers Mittellhauß Vnd ob wol disse Verkhauffte behaußung mit sampt sein des Verkäuffers behausung verhafftet Ist umb j lb d Bod. zinß Im Gürttlerhoff, So hatt doch der verkäuffer solch. Bod. Zinß vff seine Behausung geschlag. Ouch demselb. ohne des Kheüffers zuthun, cost. vnd schaden, Järlich vß Zurichten versproch. Vnd Alles Recht & Also das & Vnnd Ist dißer Khauff Zugangen vnd beschehen für vnd vmb 350 pfundt pfenning Straßburger
(vide supra fol: 90.)
Michel Walter demande l’autorisation d’exploiter en meublé la maison qui appartenait au charron Jean Brey, Les Quinze refusent
1619, Protocole des Quinze (2 R 47)
(f° 265-v) Zinstag den 21. Decembris – Michael Walter vmb Schlaafhauß
Michael Walter der Weinsticher allhier erscheint, vnnd berichtet, p. Tromern das er ohnlengsten ein behaußung im goldgießen neben Laurentz Baumen gelegen, welche Zuvor hannß Breÿen dem Wagner gehörig gewesen, käufflichen an sich gebracht, dieweÿl dann solche behaußung Zimbliche Stallung darinnen man vor dißem pferd einzustellen gepflegt, Er auch vber rhein Verwandte, so den einkehr beÿ Ime suchen, vnnd er sonsten Kein andere handtierung gelernt, Alß bitt er vnderthänig Ime gnedig Zubewilligen, ein Schalaaffhauß an dißem ort Zuhalten, vnnd erbeüth sich zu aller gebüre. Erkant. Man soll Ime sein begehren abschlagen.
La maison revient au cordier Michel Gering, fils du cordier Jean Gering, qui en 1624 épouse Eve Sifermann, fille du vigneron Jean Siffermann de Mittelbergheim
Mariage, Saint-Nicolas (luth. f° 139 n° 33)
1624. dominica XXI. Trin.II. vice. Michael Gerüng der Seiler, Hanß Gerüng des Seÿlers Vndt burgers alhie eheliche Sohn, Vndt Jungfr. Eva Hanß Schiffermann deß Rebmans zu Mittelberckheim eheliche tochter, Mont. post 22. Trin. Zu S Claus (i 152)
Michel Gering se remarie en 1638 avec Apollonie, fille du tonnelier Adam Burckhard
Mariage, Saint-Pierre-le-Jeune (luth. f° 1-v)
1638. Domin. Pentecostes d. 13. Maÿ. Michael Gering der Burger Vnd seiler alhie Vndt Apollonia Adam Burckhard deß Küffers allhier Eheliche dochter. Copulatio facta Zu St. Clauß (i 3)
Etat des biens qui reviennent à Anne Madeleine Gering, issue du deuxième mariage de son père, dans la succession de Michel Gering et Eve Seiffermann, morts en délaissant trois enfants.
1652 (26. Apr.), Not. Ursinus (Jérémie, 60 Not 20) n° 24
Lüffer Register vber Annæ Magdalenæ Geringin noch restirende vätterliche Nahrung auffgerichtet 1652.
Zuwißen, nach dem weÿl. Michael Gerings geweßenen Seÿlers vndt Burgers alhie zu straßb. see. Verlassenschafft, nach deßelben tödtlichen hinscheÿd. den 30. Januarÿ A° 1639. Inventirt, darauff d. haußrath, werckzeug Zum Seÿler handwerck gehörig wie auch wahren deßgleich. d. ohn p.legirt Silbergeschirr v. Geschmeidt, Craft darüber v.fertigten V.kauff v. Erlößregisters distrahirt, vnd Zugeltt gemacht, aber nicht auffgeschrieben waß Anna Magdalena Geringin von solch haußrath vorbehaltten, Ingleich. von den ohnverkaufft vberig v.pliebenen Zugetheilt, die vberige Nahrung durch H Hannß Jacob Füeßingern Seÿlern v. E. Ehrs. Großen Raths alhie Altten Beÿsitzern als hanß Michels, Salomeen vnd Vrsulæ, aller dreÿ geschwüsterdten vnd eingangs ernants Michael Gerings mit auch weÿl. Euæ Seÿffenmännin in erster Ehe ehelich erzeugter Kind. geschwornen vogt biß vff der Jüngst deßelben tödliches hinscheid., ohn separirt administrirt vnd verwalttet word., dannenhero obbemelter Annæ Magdalenæ Geringin Vogt Mr Tobias Burckhardt, Küeffer v. burger alhie nicht wissen können, waß eÿgentilich ietz bemelte seiner Vogts dochter vätterlich Gutt noch seÿe, vnd worinnen solches bestehe, daß derohalben nach auch ietzig. tödlichem hinscheÿden, weÿl. H. Adam Burckhardts, Küeffers v. E. Ehrs. Großen Raths alhier Altten Beÿsitzers Ihr Annæ Magdalenæ Geringin Müetterlich. lieben Großvatters, als derso wohl Ihren Vätterlich. haußrath als auch alle schrfftliche documenta biß vff sein seeligen absterben hind. sich gehabt, vff ietz ernants Tobiä Burckhardts erfordern v. begehren (…), So beschehen In beÿsein H Martin Ebingers Küeffers und burgers alhier, als Annæ Mariæ Goobin, mehrbemelter Annæ Magdalenæ Geringin stieffschwester geschwornen Vogts, vndt H Hannß Meÿers ebenmäßig Küeffers v. burgers alhie, als nechsten v.wanthens, Montags den 26.7en Ap.lis A° 1652.
Eÿgenthumb ane einer Behaußung hind. d. Herberg Zum Hirtz. vff dem Holtzmarckh (…)
Summarum, haußraths 26, Sa. Pfenningzinß hauptgüter 28, Sa. Eigenthumbs einer behaußung o, Sa. Schulden 17, Summa summarum 72 lb
Ursule Gering, Salomé Gering femme du cordier Nicolas Weiss et Anne Madeleine Gering femme de l’orfèvre Jean Thiébaut Olter vendent la maison au cordier Chrétien Kamm et à sa femme Anne.
1668 (14. 7.br), Chambre des Contrats, vol. 535 f° 492
(Prot. fol. 29. fac. 2) Erschienen hannß Jacob Füeßinger d. Saÿler alß Curator Ursulæ Göringin, Mehr Salome Göringin hannß Niclaus Weißen deß Seÿlers Eheweib, mit assistentz erstermelts ihres Ehevogts, Vnd Fr. Anna Magdalena Göringin H Hannß Diebold Olters deß Silberarbeiters eheliche haußfraw mit beÿstand erstermelts ihres Ehevogts, alle treÿ sorores consanguineæ
in gegensein Christmann Kammen deß Seÿlers und Annæ seines Eheweibs mit assistentz Frantz Thomaßen deß Bürstenbinders und Jacob Brions deß Seidenferbers alß ihr Annæ hierzu erbettener nechster Verwanth.
hauß und hoffstatt mit allen deren Gebäwen, Begriffen, Zugehördten und Gerechtigkeiten alhie im Goltgießen, einseit neben der Herberg Zum guldinen Apffel, anderseit neben H Ulrich Koch alten Kleinen Rhats Verwanthen hinden uff gemelte herberg stoßend geleg. – umb 200 Pfund pfenning
Chrétien Kamm et Anne hypothèquent le même jour la maison au profit de Gérard von Stœcken, professeur à l’Université et chanoine de Saint-Thomas
1668 (14. 7.br), Chambre des Contrats, vol. 535 f° 493
Erschienen Christmann Kamm der Seÿler und Anna seine Eheweib, Und Zwar Sie Anna insonderheit mit assistentz Frantz Thomaßen deß Bürstenbinders und Jacob Brions deß Seidenferbers alß deroselben hierzu erbettener nechster Verwanther
dem Edel hochgelehrten H Gerhardo von Stöckh. U.I.D. V. Profess. auch E.E Collegiat Stiffts Zu St. Thoman Canonico – schuldig seÿen 200. Pfund pfenning
Unterpfand ist hauß und hoffstatt mit allen deren Gebäwen, Begriffen, Zugehördten und Gerechtigkeiten alhie im Goltgießen, einseit neben der Herberg Zum guldinen Apffel, anderseit neben H Ulrich Koch alten Kleinen Rhats Verwanthen, hind. uff gemelte herberg stoßend geleg.
Fils du boucher Jean Kamm, Chrétien Kamm épouse en 1648 Anne, fille du chapelier Jacques Thomas : contrat de mariage, célébration
1648 (23. Maÿ), Chambre des Contrats, vol. 501 f° 305-v
(Eheberedung) Erschienen Christmann Kamm der Saÿler und Burger Zu Straßburg alß hochzeiter mit beÿstand hannß Kammen deß Metzgers seines Bruders und seines Vogts und H Johann Joachim Frantzen Fünffzehen Secretarÿ seines Vettern an einem,
So dann Jungfr. Anna weÿl. Jacob Thomas deß Huetmachers und Burgers Zu Straßburg nunmehr seel. nachgelaßene eheliche dochter alß hochzeiterin mit beÿstand Caspar Mockh deß Schneiders ihres Vogts wie auch Paul Brions deß Schuhmachers ihres Vettern und dann H Johann Kummerellß deß Handelßmanns hierzu insonderheit erbetten am andern theil
Mariage, Saint-Nicolas (luth. f° 235-v, n° 16)
1648.Dominica 3. Trinitatis. Christmann Kamm der Seyler vnd burger allhie, Herr Hanß Kammen gewesenen Metzgers vnd gasthalters Zum hürtzen hinderlaßener Ehelicher Son, Und Jfr. Anna Jacob Thomas des hutmachers vnd burgers allhie hinderlaßene eheliche tochter (i 254)
Chrétien Kamm meurt en octobre 1680 en délaissant un fils, Jean Jacques. La masse propre à la veuve est de 64 livres, celle de l’héritier de 5 livres. L’actif de la communauté est de 115 livres, le passif de 76 livres.
1680 (16. 10.bris), Not. Stoeffel (Jean Christophe, 57 Not 4) n° 41
Inventarium undt Beschreibung aller Haab vndt Nahrung, so weÿlandt der Ehrsam vnd bescheÿdene Mr Christmann Kamm, geweßener Seÿler vndt burger alhie Zue Straßburg nunmehr seelig, nach seinem Montags den 25.ten 8.bris Jüngsthin aus dießem Zergänglichen Leben genommenen tödtlichen hintritt hinder Ihme verlaßen, welche auf freundliches ansuchen erfordern und begehren deß auch Ehrsam vnd bescheÿdenen hannß Jacob Kammen, noch Ledigen Seÿlers, mit assistentz deß Ehrengeacht vndt achtbahren H. Hannß Philipp Kammen, deß ältern Metzgers und burgers alhier seines Geordneten Vogts deß ietz Abgeleibten seel. mit seiner hinderpliebenen wittwen ehelich erzeugten hinderlaßenen Sohns vndt ab intestato nachgelaßenen Einigen Erbens, ersucht durch die Ehren vndt tugendsame fraw Annam Kammin Gebohrne Thomaßin die Wittib beÿständlich deß Ehrsamen vnd bescheÿdenen Mr Hannß Jacob Schwartzen, auch Seÿlers und burgers alhie Ihres geschwornen Curatoris (…) So beschehen in Straßburg auff Donnerstag den 16. 10.bris Anno 1680.
Inn einer alhie inn der Statt Straßburg in dem Goldgießen Gelegener behaußung so auch inn dieße Verlaßenschafft gehörig, vnd hernach beschrieben, ist befunden worden wie volgt.
Inn der Cammer An Inn der obern Stuben,, Inn dießer Stub Cammernn, Vor dießer Stueben, Inn der wohnstueben, Inn der Stub Cammer, Im mittlern haußöhren
Eigenthumb vndt besserung ane einer behausung. Item hauß vnd hoffstatt, mit allen d.en gebäwen, begriffen, weithen, rechten, Zugehörden vndt gerechtigkeiten, gelegen alhie in der Statt Straßburg im Goldgießen, einseit neben der herberg Zum Guldenen apffel, 2.s neben hannß Georg Dimpffelmeÿern, Schuemachern vndt Burgern alhie, hinden auff gemelte Herberg stoßendt, davon gehen Jährlichen auff den 24.ten Junÿ 7. lb Zinß E. E. Zunfft Zur Möhrin alhie seind in hptguth abzulößen mit 175. lb d. Ferner j lb d gelts Jährl. auff d. 20.ten Martÿ H. M. Samuel Rothenbachs Cantoris im Münster burgers alhie, mit weÿl. Fr. Magdalena Kammin seiner ersten hfren seel. ehelich erzeugten Kindern in hguth lößig mit 25. lb. s. thun diese 2 posten Zusammen 200. lb. d. sonsten freÿ ledig vnd eigen angeschlagen 15. lb. Darüber sagt i. t. Perg: Kauffbr. mit d. Statt Straßb. anhang. Cancelleÿ Contract Insigel verwahret, dessen datum den 14. 7.bris A° 1668. Inhaltes welchergestalt der verstorbene seelig vnd sein hinderpliebene wittib dieße behausung von hanß Jacob Füßingern den Seÿlern, alß Ursula Geringin Curatore, ferner hanß Niclaus Weÿßen dem Seÿler alß Salome Geringin Ehevogten, vnd H Hanß Diebold Oltern Silberarbeitern v. burgern alhie alß Fr. Anna Magdalena Geringin Eheh. vmb 200 lb d ane sich erhandelt mit N° 1 signirt, ferner dabeÿ j. Papeÿrin Extract vndt vergleich aß E E. kl. Raths alhie Memorial dedato 8.ten 9.bris A° 1670. mit N° 1 notirt
Der Wittib unveränderte Nahrung, Sa. haußraths 13, Sa. Silbergeschmeids 8, Sa. Guldinen Ring 6, Sa. Ergäntzung 35, Sa. baarschafft 19, Summa summarum 64 lb
Deß Erben unverändert Vermögen, bestehet allein inwenigem haußraths posten, 5 lb
Die Theilbahre verlaßenschafft, Sa. haußraths 25, Sa. werckzeugs und wahren Zum Seÿler handwerckk gehörig 55, Sa. Silbergeschmeids 6, Sa. Guldinen Rings 8 ß, Sa. baahrschafft 10, Sa. Eigenthums vnd besserung ane einer behaußung 15, Sa. Schulden 3, Summa summarum 115 lb – Schulden 76 lb, Nach deren Abzug 39 lb
Conclusio finalis Inventarÿ 109 lb
Copia der Eheberedung (…) Actum d. 23. Maÿ Anno 1648, Canceley Contractstub der Statt Straßburg
Le cordier Jean Jacques Kamm épouse en 1687 Anne Marie Schuhmacher, fille de Gui Schuhmacher, manant et ancien capitaine
Mariage, Saint-Nicolas (luth. f° 39, n° 20)
1687. Domin: 25. & 26. Trinit. Hans Jacob Kamm der Burger und lediger Seiler allhier, weÿland Christmann Kammen deß Burgers und Seilers alhier nachgelaßener ehelicher Sohn, und Jungfr. Anna Maria, Veit Schuhmachers deß Schirmverwanthen vnd gewesenen Musquetirers alhier unter H. Obersten eheliche Tochter. Copul. Zu St Niclaus d. Mittw. 26 / 16. 9.bris (i 40)
Marie Schuhmacher devient bourgeoise par son mari trois semaines après son mariage
1687, 4° Livre de bourgeoisie p. 536
Maria Schuhmacherin von hier empfangt das burgerrecht von ihrem Ehemann hanns Jacob Kammen dem Seiler gratis. Mörin, promis. 8. Xbr. 1687.
La veuve de Jean Jacques Kamm se remarie en 1695 avec le boulanger Jean Thiébaut Ammel
Le tuteur de la fille délaissée par Jean Jacques Kamm vend la maison à l’éperonnier Jean Heisch, assisté de son beau-père Martin Freytag moyennant 412 livres
1691 (28.6.), Chambre des Contrats, vol. 563 f° 536-v
Johann Daniel Steinbach der Metzger alß Vogt Mariæ Weÿl. Hanß Jacob Kammen geweßenen Seÿlers allhier Seel. hinderlaßen döchterleins
in gegensein Johann Heÿschen deß Spohrenlmachers, mit beÿstandt hanß Martin Freÿtag deß büchßenmachers, Seines Schwehers
Eine behaußung und hoffstatt mit allen deren Gebäwen begriffen Zugehördten und Gerechtigkeiten allhier im Goldgießen, einseit neben Weÿl. Lorentz Moßeders deß Würths Zum Guldinen Apffel hinderlaßenen Erben anderseit neben hannß Conrad Werner dem Huffschmid, hinden auff erstgeschriebene Herrberg Zum Guldenen Apfel stoßend gelegen, Welche behaußung umb 175 pfund (verhafftet) – umb 237 pfund
L’acquéreur hypothèque quelques jours plus tard la maison au profit du maréchal ferrant Jean Conrad Werner
1691 (3.7.), Chambre des Contrats, vol. 563 f° 558-v
Johannes Heisch der Sporenmacher mit beÿstand Hannß Martin Freÿtags deß büxenmachers seines Schwehers
in gegensein H: Hannß Conrad Werners deß hueffschmids, schuldig seÿe 125 pfund
unterpfand, Eine behaußung und hoffstatt allhier im Gold Gießen einseit neben Weÿl. Lorentz Moßeder deß Würt Zum Guldinen Apffel hinderlaßener wittib und Erben, anderseit neben Hannß Conrad werner dem Creditore selbst geleg.
Fils de l’arquebusier Jean Georges Heusch d’Ödenburg (aujourd’hui Soporn) en Hongrie, Jean Heisch épouse en 1687 Marguerite, fille de l’arquebusier Martin Freytag : contrat de mariage, célébration
1687 (21. Mart.), Chambre des Contrats, vol. 557 f° 164-v
(Eheberedung) Johann Heusch, der Sporer, von Oedenburg in Ungarn, alß hochzeiter, an einem,
So dann Jfr. Margaretha, hans Martin Freÿtags, deß büchßenmachers eheliche tochter alß hochzeiterin, mit beÿstand ged. Ihres Leiblich. Vatters am andern theÿl
[unterzeichnet] Johannes Heisch, Marga freitagin, hanß Marthin freÿdag
Mariage, Saint-Pierre-le-Jeune (luth. f° 326-v)
1687. In Festo Paschali 30. Martÿ. Johannes Heisch der sporer alhie gebürthig von Öedenburg auß Ungarn weÿl. Joh: Georg Heisch geweßenen buchßen Machers in ermelter statt Öedenburg Nachgel. ehl. Sohn, V. Jfr. Margaretha Johann Martin Freÿtags deß burgers Vndt büchßemachers alhie ehl. tochter, Copul. Mittw. 9. Aprilis (i 341)
Les nouveaux mariés font dresser l’inventaire de leurs apports. Ceux du mari s’élèvent à 16 livres, ceux de la femme à 107 livres.
1687 (14.4.), Not. Kitsch (Jean, 1 AH 6076) n° 156
Inventarium über die Jenige Haab undt nahrung, so d. Ehrenhaffte Mstr. Joh: Heüsch, Sporer undt die tugendtsahme Margaretha Freÿtagin, beede new angehendte Ehepersohnen einand. inn Ihrem vor wenig tag mit einander angetrettenen Ehestandt für unverändert Zugebracht auffgerichtet Anno 1687. (…) Welches beschehen inn dieser Statt Straßb. Montags den 14. Aprilis 1687.
Werckzeug Zum Spohrer Handwerck gehörig dem Mann zuständig 34 lb, Kleÿder 16 lb
d. frawen, haußrath 65, Silber 6, Guldene Ring 5, baarschafft 24, Schuldt 4, Summa summarum 107 lb
Sa. Haussteuren 23 lb, dem Mann 15 lb, der frawen 7 lb
Jean Heisch meurt en septembre 1694 en délaissant trois enfants. La masse propre à la veuve est de 51 livres. L’actif des héritiers et de la communauté s’élève à 76 livres, le passif à 112 livres
1695 (29.6.), Not. Kitsch (Jean, 1 AH 5788) n° 451
Inventarium über weÿl. des Ehrsam undt bescheid.en Meister Johann Heüschen, gewesenen Spoorers, burgers alhier zu Straßburg seeligen verlaßenschafft auffgerichtet Anno 1695.
Inventarium undt beschreibung aller undt Jeder Haab undt Nahrung, so weÿl. d. Ehrsame undt bescheidene Meister Johann Heusch, gewesener Spoorer burger allhier Zu Straßb. nach seinem d. 25. 9.bris des abgewich. 1694.sten Jahrs tödtlich genommenen hienscheid. hind. Ihne v.laß. welche v.laß.schafft auf freundliches ansuch. erford.n undt begehren des Ehrsamen undt bescheid.en Meister Hanß dieboldt Heüsch, büchß.machers burgers allda als geordnet undt geschwornen Vogts Johannis, Hanß Martins undt Mariæ Margarethæ des verstorb.en seelig. mit d. nachgelaß.en wittib ehelich erzeugter Kind. undt ab intestato nachgelaß.er Erben, durch die Tugendsahme Margaretham freÿtagin die hinderlaßene wittib, mit Assistentz undt beÿstandt des Ehrenhafft. Hanß Michel Schwingen, Schloßers burgers allda Ihres geordntet: undt geschwornenn Vogts wie auch deß Ehrengeachten Hanß Martin Freÿtags, buchß.mach.s burgers alhier, Ihres leiblichen vatters (…) welches beschehen inn Straßburg Montags den 29. Junÿ Anno 1695.
Inn einer inn d Statt Straßburg im Goltgieß. ahne del Guld.en Apffel geleg.en in dieße v.laß.sch. gehörig. hernach beschrieb.en behaußung ahtt sich befund., wie volgt
Ane Haußrath, Inn der Cammer A, Inn der Cammer B, Inn der Stub Cammern Im Nebens Cämmerl., Vor dießen gemachen, Inn der undern Stub. Inn der Stub Cammer, Im haußöhrn, Im Keller
Werckzeug Zum Sporer handwerck gehörig
Eÿgenthumb ane einer Behaußung. Eine Behaußung undt hoffstatt, mit allen d.en gebäwen, begriff. Zugehörd. u. gerechtigkeit. geleg. alhie im Goldgieß. eins. neb. weÿl. H. Lor. Moßeders gewes. würths Zum Guld. Apffel sel. hind.laß. wittib u Erb. ands. neben weÿl. H Hanß Conrad Wörners des Stattschmidts seel. nachgelaß.er wittib u. Erb. hind. auff erst gemelte Gastherberg Zum Guld. apffel stoßd. geleg. davon geh. Jahrs auff d. 28.t Junÿ 7. lb d EE Zunfft Zur Möhrin, lösig mit 175. lib. d undt 5 lib. d weÿl. H Joh: Conradt Wörners vorgemelt des Huffschmidts wittib u. Erb. so d. gelt Zum Kauffschilling hergeschoß. ablösig mit 125. lb. undt werden dieße behaußung eug. und kein sond.lich begriff hatt, Zumahlen auch nicht mehrern werth als ist dauor nichts in außwurff gebracht word. Vermög Pergam. Kauffbrieff mit d. Statt Straßb. fürgetruckt. Cancelleÿ Contract Insigel v.wahrt de dato 28. Junÿ 1691. Ferner ein teutsch Pergam. Kauffbrieff auch inn allhieß. Canc. Contractstub v.fertigt de dato d. 14. 7.br 1668.
Copia des Eheberedung (…) in der C. Stub
Volgt nun hierauff die Inventation undt beschreibung d. verlaßenschafft vnd ahne sich selbst. Der Wittib ohnverändt. eÿg.thümblich Vermög. Sa. haußraths 10, Silb. 4, Guldene Ring 3, Ergäntzung Auß dem Inventario des verstorbenen seelig. und d. hinderlaß. wittib einander in die Ehe gebrachte Nahrung d. 14. April 1687. durch mich Notm. auffgerichtet (34 lb, wied. abzuzieh. 16 ß, verbleibt) 33, Summa summarum 51 lb
Solchem nach undt endlich wirdt sowohl d. Erb. ohnverändert als theilbahr nahrung beschrieben, Sa. haußraths 34, Sa. Werckzeugs undt wahren Zum Spoorer handwerck gehörig 41, Silb. 11 ß, Eÿgenthumb ane einer behaußung (-), Summa summarum 76 lb – Schulden 112 lb – Passiv onus 35. lib
Conclusio finalis Inventarÿ 16 lib
Marguerite Freytag se remarie en 1696 avec l’éperonnier Martin Encke, fils du tisserand Michel Encke, de Wernsdorf près de Zwickau en Saxe : contrat de mariage, célébration
1696 (6.6.), Not. Kitsch (Jean, 1 AH 5892)
Eheberedung – Zwischen dem Ehrenhafften Martin Encke, Ledigem Spoorers, von Wernsdorff auß Sachßen Churfürstl. Herrschafft, des Ehrsamen Michel Encke, Leinenwebers burgers allda ehelich erzeugtem Sohn, als hochzeithern an einem,
So dann der Ehren: undt Tugendsahmen Margarethæ Freÿtagin weÿl. des Ehrsam und bescheidenen Johann Heüschen gewesenen Spoorers burgers alhier Zu Straßburg seeligen nachgelaßenen wittib, der Hochzeiterin am andern theil
welches beschehen in Straßburg Mittwoch den 6. Junÿ anno 1696 [unterzeichnet] Martin Enck alß hochzeiter, Margred fretagin, hanß Marthin freÿtag, Theobalt heÿsch Kinder Vogt
Protholollum secundum, 1 AH 6295
Mariage, Saint-Nicolas (luth. f° 42-v, n° 12)
Mittwochs den 20. Juny st. n. 1696. seind nach Zweÿmahliger außruffung in der Pfarrkirchen Zu St. Niclauß in Straßb. copulirt und eingesegnet worden Martin Encken, der ledige Sporer von Wernsdorff auß Sachsen, Michael Encken, deß Ackermanß daselbsten ehelicher Sohn und fr. Margretha Heuschin, weÿl. Johanneß Heuschen geweßenen Sporerß und Burgerß alhie nachgelaßene wittwe [unterzeichnet] Martin Encke spore alß hochzeiter, margreda heusin Als hogzeitrin (i 46)
Martin Enckel devient bourgeois en mai 1696 alors qu’il est fiancé.
1696, 4° Livre de bourgeoisie p. 676
Martin Enckel, der ledige sporer, Von Zwickaw, Michel Enckels des leinenwebers daselbst hintl. Ehl. sohn, empfangt das Burg.recht Von Margaretha Heuschin, weÿl. Johann Heuschen des spoorers hint: Wittib seiner Verlobtin gratis, Vnd wird beÿ E. E. Zunfft der schmid dienen. Jur. d. 28. Dito. [May] 1696
Les nouveaux mariés font dresser l’inventaire de leurs apports dans la maison propre à l’épouse. Ceux du mari s’élèvent à 4 livres, ceux de la femme à 224 livres.
1697 (9. 7.bris), Not. Kitsch (Jean, 1 AH 6355) n° 521
Inventarium undt Beschreibung aller undt Jeder haab undt Nahrung, so d. Ehrsame undt bescheidene Meister Martin Encke, Spoorer undt die Ehren: undt tug.dtsahme Margaretha Feÿtagin, beÿde Eheleüth und burgere alhier Zu Straßburg einand. als ein Eÿgen Guth in den Ehestandt Zu bring., vmb d. ursach beschrieb. wirdt, weilen inn d. Zwisch. beed. gedachten Ehepersohnen mit einand. auffgerichtet. Eheberedung außtrucklich verseh. d. eines Jed, inn die ehe zugebracht v.mög einen Jed. ohnveränd.t seÿn (…) Bescheh. inn beÿsein der Ehrenhafft. hanß diebold Heüsch buchß.mach. undt Michel Schwing. Schloß. beed. burg. alhie, als d. Ehefrauen undt Ihrrer Kind. geordnet: undt geschwornnen Vogts Montags d. 9.ten 7.bris aô 1697.
Eÿgenthumb ane einer Behaußung. Eine Behaußung undt hoffstatt, mit allen d.en gebäwen, begriff. Zugehörd. Recht. u. gerechtigkeit. geleg. alhie inn d. Statt Straßburg im Goldgieß. eins. neb. weÿl. H. Lor. Moßeders gewesenen würths Zum Guld. Apffel seel. hind.laß.en wittib und Erb. ands. neb. weÿl. H Hanß Conrad Wörners, des Stattschmidts seel. nachgelaß.er wittib u. Erb. hind. auff erst gemelte Gastherberg Zum Guld. apffel stoßdt. geleg. davon geh. Jahrs auf d. 28.t Junÿ 7. lb d EE Zunfft Zur Möhrin, lösig mit 175. lb. d undt 5 lb. d weÿl. H Joh: Conradt Wörners vorgemelts des Huffschmidts wittib u. Erb. so d. gelt Zum Kauffschilling hergeschoß. ablösig mit 125. lb. sonst. ledig undt Eig. Zwar diese behaußung dißmahlen hieh. nicht angeschlag. Vermög Pergamenten. Kauffbrieff mit d. Statt Straßb. fürgetruckten anhang.den Ins. verwahrt, de dato 28. Junÿ aô 1691. Darüb. ist ferner ein teutsch Pergam. Kauffbrieff auch inn allhießig. Cancelleÿ Contractstub verfertiget de dato d. 14. 7.bris 1668.
Werckzeug undt Wahren Zum Sporer handwerck gehörig
Haußrath So die Fraw inn die Ehe g.bracht. Auff der bühn
Volgt nun hierauff die Inventation undt beschreibung d. Zugebracht für undt ahne sich selbst. Der jenigen welches dem Ehemann eÿgenthümblich. gehörig undt inn wenigen Kleÿdungs posten und weißen gezeug bestehet 4 lb
Auff solches undt endtlichen wirdt nun auch d. frawen eÿg.thümblich zugebracht v.mög. beschrieben. Sa. haußraths 156, Werckzeug undt Wahren Zum Sporer handwerck gehörig 62, Silber undt geschmeidt 8, Guldene Ring 12, baarschafft 18 ß, Eÿgenthumb ane einer behaußung (-), Summa summarum 241 lb – Schulden 17, Nach deren Abzug 224 lb
Martin Encke meurt en août 1721 en délaissant pour héritiers les trois enfants issus du premier mariage de sa veuve. Les experts estiment la maison à 300 livres. La masse propre à la veuve est de 131 livres, la masse propre aux héritiers de 4 livres. L’actif de la communauté s’élève à 96 livres, le passif à 33 livres.
1722 (11.8.), Not. Lobstein (Jean, 31 Not 9) n° 186*
Inventarium über Weÿland des Ehren: und Wohl vorgeachten Meister Martin Encke, des gewesenen Spoorers und burgers allhier zu Straßburg nunmehr seeligen Verlaßenschafft
Inventarium und Beschreibung aller derjenigen Haab nahrung und Güthere, so Weÿland der Ehren: und Wohl vorgeachte Meister Martin Encke, der Spoorer und burger allhier zu Straßburg nunmehr seelige, nach seinem den 16. August des Zurückgelegten 1721.sten Jahrs aus dießer welt genommenen tödlichen hintritt Zeitlichen verlaßen, Welche Verlaßenschafft auf freundliches ansuchen erfordern vnd begehren des abgeleibten seel. per Testamentum Verlaßener und gleich nach dem Eingang dißes Inventarÿ benahmbste Erben auch der herren Deputati, inventirt, durch die Ehren und tugendsahme Frau Margaretham Enckein geb. Freÿtagin die hinterbliebene Wittib, mit beÿhülff des Ehren vest, Wohl Vorgeachten und Weißen herrn Johann Wennemar Haÿlen, des Stattschmidts, auch E. E. kleinen Raths jetzigen beÿsitzers, Ihres geschwornen herrn Curatoris (…) So beschehen in Straßburg, auf Dienstag den 11.ten Augusti Anni 1722.
Der abgeleibte seeliger hat per Testamentum Zu Erben verlaßen wie volgt. 1.mo Johann Heüschen, den Spoorer und burger, Zu Dreßden wohnhaft, in deßen Nahmen aus E. E. Kleinen Raths der Statt Straßburg Mittel (…) Herr Johannes Hellbeck d. Kürschner und vorgedachten Kleinen Raths ietzig wohlmeritirter Assessor, 2. Johann Martin Heuschen, den Ledigen Schreiner Gesellen, majorennis vor sich beÿ dem geschäfft in selbst eigene Persohn eingefunden, Und dann 3. Jungfer Maria Margaretha Heuschin, so gleichfals Majorennis, Welche sie ebenmäßig in selbst eigener Persohn eingestelt. Alle 3. weÿl. Mr Johann Heuschen des geweßenen Spoorers und burg. allhie mit Fr. Margaretha geb. Freÿtagin als der hind.bliebenen seel. Stieffkinder und per Testamentum zu gleichlingen antheileren Verlaßene Erben
In einer in der Statt Straßburg ane dem Gold gießen gelegener vnd in dieße Verlaßenschafft gehörigen behaußung befunden worden wie volgt
(In der Cammer A) In der soldaten Cammer, In der Cammer B, In der Cammer C, In der Wohnstub, In der Kuchen, Im Und. haußöhren
Eigenthumb ane einer Behaußung. (W.) Eine Behaußung und hoffstatt, mit allen anderen gebäwen, begriffen, weith. recht. Zugehörden und gerechtigkeit. geleg. allhier in der Statt Straßburg, im Goldgießen, einseith neben H. Andreæ Wolffen, dem Gastgebern Zum Guldenen Apffel, and.seit neben Hn Johann wennemar Heÿlen, dem Stattschmidt, hinden auf erstgemelte Gastherberg Zum guldenen Apffel stoßend, davon geh. jahrs auf d. 28.t Junÿ 7. lb d Zinnß E. E. Zunfft Zur Mörin, widerlösig in Capital mit 175. lb. d. Sonsten freÿ ledig, eig. und durch (die Werckmeistere) Laut Abschatzungs Zeduls vom 10. Aug: 1722. angeschlagen pro 125. lb. Darüber sagt ein teutsch pergamentener Kauffbrieff mit d. Statt Straßb. anhangendem Cancelleÿ Contract Ins. verwahret dat. d. 28. Junÿ Anno 1691. Dabeÿ ferner ein teutsch. perg. Kauffbrieff mit d. Statt Straßb. anh. Cancelleÿ Contract Ins. verwahrt, dat. d. 14. 7.bris 1668. beede mit altem N° 1 notirt und dißmahlen wid. nach beschehener besichtigung dabeÿ gelaß.
Ergäntzung, Crafft Inventarÿ über beeder geweßener Eheleuthe einand. Vor ohnverändert in den Ehestand Zugebracht Nahrungen in Anno 1697. dh. nun auch weÿland Hn Notm. Johann Kitschen auffgerichtet
Abzug in gegenwärtig Inventarium gehörig. Der Wittib ohnverändert Guth, Sa. haußraths 52, Sa. Werckzeugs Zum Spoorer handwerck gehörig 12, Sa. Silbers 8, Sa. Guldener Ring 8, Sa. Eigenthums ane einer behaußung 125, Sa. Ergäntzung (67, Abgang 143, mehr bezalt 76) Summa summarum 207 lb – Schulden 76, Detrahendo 131 lb
Der Erben ohnveränderte Nahrung, Ergäntzung (4 lb 16 ß, Abgang 6 ß, Nach solchem abzug) 4 lb 10 ß
Das Theilbahr Guth, Sa. haußraths 10, Sa. Werckzeugs und gemachte arbeit Zum Spoorer handwerck gehörig 9, Sa. Silbers 15 ß, Sa. Schuld 76, Summa summarum 96 lb – Schulden 33, Nach deren Abzug 62 lb
Stall Summ 161. lb
Copia Heüraths Verschreibung (…) Straßburg Mittwoch denn 6. Junÿ Anno 1696, Johann Kitsch Nots. publ: Juratus
Copia Testamenti nuncupativi – 1721 (…) auf Donnerstag den 14. tag des monaths Augusti Abends zwischen Acht und Neun uhren beÿ dreÿ hellbrennenden liechtern in einer in der Statt Straßburg ane dem Goldgiessen gelegenen Hernach gemelten Testirers ehelicher Haußfrau eigenthümlich zuständiger Behaußung, deren Undern Stub Cammer, mit den Fenstern in den Gold gießen außsehend vor mir (…) persönlich kommen und erschienen ist der Ehrengeachte Meister Martin Encke, der Spoohrer und burger allhier Zu Straßburg Zwar Krancken und Schwachen Leibes auff einem bette Liegend (…)
Abschatzung d. 10.t Aug : ano: 1722: Weÿ Landt deß Ehrenhafften Vnd bescheÿdenen Martin Encker: Sporrer: Seel: hinder Laßenen: Frau: witib Vnd Erben ist Eine behaußung, Alhier in der Statt Straßburg, in dem Goltgüßen gelegen, Ein seith neben andreß Wolff, wirdt in dem Guldenen Apffell,Ander seith Neben H Wilhelm heÿll Statt schmit, hinden auff Vorgedachten Guldtenen apffell stoßendt, Welche behaußung, hoffstatt, stuben Kammeren, hauß Ehren, darin Ein härtt, vnd wasserstein, Gebälckhder Keller, Sampt Aller Ihrer gerechtigkeith wie solches durch der Statt Straßburg Geschwohrenen Werckh Lëuthen in der besichtigung befunden Vnd dem Jetzigen preiß Nach an geschlagen wirt Vor undt umb Sechs Hundert Gulden Bezeichnuß durch der Statt Straßburg Geschworene Werckleuthe [unterzeichnet] Michael Ehrlacher Werck Meister deß Meinsters, Johann Jacob Biermeÿer Werck Meister deß Zimmerhoffs
La veuve hypothèque sa part de maison au profit du fondeur d’étain Léonard Wœhrlé
1723 (2.9.), Chambre des Contrats, vol. 597 n° 465-v
Erschienen Frau Margaretha geb. Freÿtagin weÿl. Martin Encke gewesenen Sporrers wittib beÿständlich ihres Vogts H. Wennemar Heÿl des Stattschmidts und E.E. Kleinen Rats beÿsitzers
in gegensein Leonhard Wöhrle des zinngießers – schuldig seÿe 50 pfund
der debitricis antheiler ahne einer Behausung und hoffstatt mit allen derselben gebäuden, begriffen, weithen, zugehörden, Rechten und gerechtigkeiten ahm goldgießen einseit neben der gastherberg zum guldenen Apffel
Marguerite Freytag meurt en 1726 en délaissant trois enfants. L’estimation de la maison est reprise de l’inventaire précédent. L’actif de la succession s’élève à 193 livres, le passif à 68 livres.
1726 (4. 7.br), Not. Lobstein (Jean, 31 Not 16) n° 364
Inventarium und Beschreibung aller derjenigen Haab, Nahrung und Güethere, so weÿl. die Ehren: und tugendsahme Frau Margaretha Eckein, gebohrne Freÿtagin, Weÿland des Ehrengeachten Meister Martin Encke, des geweßenen Spoorers und burgers allhier zu Straßburg nunmehr seel. hinterlaßene Wittib nun ebenmäßig seel. als dieselbe Donnerstags den 29.ten Augusti dieses Lauffenden 1726.sten Jahrs dießes Zeitliche in das Ewige Verwechßelt, nach solch Ihrem aus dießer Welth genommenen tödlichen hintritt zeitlichen verlaßen (…) So beschehen in Straßburg auf Mittwoch den 4.ten Septembris Anno 1726.
Die Verstorbene seelige hat Zu Ihren Erben ab intestato verlaßen wie volgt. 1. Meister Johann Heuschen, den Spoorer und burger, Zu Dreßden wohnhaft, in deßen Nahmen aus E. E. Kleinen Raths der Statt Straßburg Mittel (…) Herr Johann Conrad Simon der Perucquenmacher und Vor Ehrengedachten Kleinen Raths jetziger wohlmeritirter Assessor, 2.do Johann Martin Heuschen, den Ledigen Schreinergesellen, so Majorennis dahero ohnbevögtigt und in selbst eigene Persohn dem geschäfft abgewartete Und dann 3.tio Frauen Mariæ Margarethæ Böhmein geb. Heuschin nun sel. mit Mr Johann Gottlieb Böhme dem Spoorer und burgern allhier Ihre in geweßenen haußwürth ehelich erzeugtes Söhnlein nahmentlichen Johann Gottlieb Böhme, deßen geschworner Vogt Meister Michael Siegel der Schloßer und burger allhier, welcher beneben vorgedachtem seines Curandi Vattern in Persohn beÿ dem geschäfft sich eingefunden. Alßo alle dreÿ der Abgeleibten seel. mit weÿl. Mr Johann Heuschen dem geweßenen Spoorer und burgern allhier Ihrem Ersten haußwürth seel: ehelich erziehlte Söhn und Enckel auch ab intestato Zu gleichlingen portionen und antheilen Verlaßene Erben
In einer allhier zu Straßburg ane del Gold gießen gelegener vnd in dieße Verlaßenschafft gehörigen behaußung befunden worden wie volgt
In der soldaten Cammer, In der Cammer A, In der Kuchen (…)
Eigenthumb ane einer Behaußung. Eine Behaußung und Hoffstatt, mit allen gebäuen, begriffen, weithen, Rechten, Zugehörden und gerechtigkeiten geleg. allhier in der Statt Straßburg im Goldgießen, eins. neben H. Andreæ Wolffen, dem Gastgeber Zum Guldenen Apffel, anders. neben Hn Joh. Wennemar Haÿlen, dem Statt Schmidt, hinden auf erstgemelte Gastherberg Zum guldenen Apffel stoßend, davon gehen Jahrs auf den 28.t Junÿ 7. lb d. Zinnß E. E. Zunfft der Mörin, widerlösig in Capital mit 175. lb. Sonsten freÿ ledig, eigen und über dieße beschwährde, in weÿl. Mr Martin Encke des geweßenen Spoorers der Abgeleibten seel. Zweÿten haußwürth auch seel. dh. mich unterschrib. Notm. in Anno 1722. auffgerichtetem Verlaßenschafft Inventario fol. 40. fac. 2. durch der Statt Straßburg geschworene Werckmeistere angeschlagen, dabeÿ mann es auch dißorths gelaßen pro 125. lb. Darüber sagt ein teutsch pergamentener Kauffbrieff mit d. Statt Straßb. anhangendem Cancelleÿ Contract Ins. verwahret datirt den 28. Junÿ Anno 1691. Dabeÿ ferner j teutscher perg. Kauffbrieff mit der Statt Straßb. anh. C. Contract Ins. corroborirt de dato 14. 7.bris 1668. beede mit a. N° 1 notirt und dißmahlen wid. nach beschehener besichtigung dabeÿ gelaßen.
Wÿdemb, Welchen die abgeleibte seelige Von auch Weÿl. Mr Johann Heuschen dem geweßenen Spoorer und burgern allhier Zu Straßburg Ihrem erstern haußwürth seel. Lebtägig genoßen hat
Wÿdemb, Welchen die Verstorbene seel. von auch weÿl. Mr Martin Encke dem ebenmäßigen geweßenen Spoorer und burger allhier zu Straßburg Ihrem Zweÿten haußwürth seel. ad dies vitæ zu usufruiren gehabt hat.
Abzug in gegenwärtig Inventarium gehörig. Sa. haußraths 51, Sa. Silbergeschmeids 9, Sa. Goldener Ring 8, Sa. Eigenthums ane einer behaußung 125, Summa summarum 193 lb – Schulden 68, Detrahendo 125 lb
Stall Summ 146 lb
Copia Testamenti nuncupativi – 1726 (…) auf Montag den Ersten Julÿ Abends zwischen Fünff und Sechs uhren (…) in einer ane dem Goldgiessen Liegender und hernach gedachter Codicillirerin eigenthümlich zuständiger Behaußung deren undern Stuben mit den fenstern in die Gaß außsehend persönlich kommen und erschienen, die Ehren: und Tugendsahme Frau Margaretha Enckein gebohrne Freÿtagin (…) Johannes Lobstein Notarius juratus
Le fils cadet Jean Martin Heusch rachète les parts de son frère et de sa sœur et devient seul propriétaire de la maison
1726 (15. Oct.), Not. Lobstein (Jean, 31 Not 16) Joint au n° 364 du 4. sept. 1726
Abtheilung auch Respective Verkauff und Erlöß Register über Weÿland der Ehren: und tugendsahmen Frauen Margarethæ Eckein, gebohrner Freÿtagin, auch weÿl. des Ehrengeachten Meister Martin Encke, des geweßenen Spoorers und burgers allhier zu Straßburg nunmehr seel. hinterlaßene Wittib nun ebenmäßig seel. Verlaßenschafft (…) den 5. Septembris et 15. Octobris Anno 1726.
(f° 5) Vergleich und Überlaßung der behausung. Die in dem Inventario fol: (-) fac. (-) et seqq. eingetragene Behaußung und hoffstatt, mit allen deren gebäuen, begriffen, weithen, Rechten, Zugehörden und gerechtigkeiten gelegen allhier in der Statt Straßburg im Goldgießen, eins. neben H. Andreæ Wolffen, dem Gastgeber Zum Guldenen Apffel, anders. neben Hn Johann Wennemar Haÿlen, dem Statt Schmidt, hinden auf erstgemelte Gastherberg Zum guldenen Apffel stoßend, ist vor freÿ ledig und eigen
Johann Martin Heuschen dem Ledigen Schreiner gesellen, So Majorennis und ohnbevögtigt, dem Jüngsten Sohn, von gesambten Interessenten und Zwar von seinem bruder, Meister Johann heuschen, dem Spoorer in dreßden, so absens (…) eigenthümlich Käufflichen überlaßen worden, Vor und umb 900 Gulden, th. 450. lb (…)
Zwischen Mr Gottlieb Böhme, deù Spoorer welcher in dem hauß wohnet und dem Übernehmer des haußes wurde ferner abgeredet, daß Wann ein theil die Lehnung zu ändern gesinnet wäre, es dem andern solches ein Vierteljahr zuvor zuverkündigen schuldig sein solle. Alßo Verglichen und übernommen in Straßburg den 15. Octobris Ano 1726.
Jean Martin Heusch revend quelques mois plus tard la maison au tailleur Jean Martin Straub et à sa femme Marie Salomé Appelli moyennant 270 livres
1727 (12.5.), Chambre des Contrats, vol. 601 f° 328-v
Johann Martin Heusch der ledige Schreiner so über 25 jahr und ohnbevögtigt [unterzeichnet] heisch
in gegensein Johann Martin Straub Schneiders und Mariæ Salome geb. Appellÿn [unterzeichnet] strub
Eine Behausung und hoffstatt mit allen derselben gebäuden, begriffen, weithen, zugehörden und gerechtigkeiten ahne dem goldgießen, einseit neben Andreas Wolff dem gastgeber zum guldenen apffel, anderseit neben H. Johann Wennemar Heÿl Stattschmidt und E. E. kleinen Raths alten beÿsitzer, hinten auff gedachte gastherberg zum guldenen apffel – ihme zufolg eines von H. Not. Johann Lobstein unter dem 11. Februarÿ jüngst ausgestellten attestati als ein in weÿland Fr. Margarethæ Enckein geb. Freÿtagin seiner Mutter seel. Verlaßenschaffts abtheillung von seinen Miterben ihme käufflich überlaßenes guth eigenthümlich zuständig – 270 pfund
Fils du charretier Jean Straub, Jean Martin Straub fait son apprentissage auprès du tailleur Michel Rachel de 1709 à 1712
1709, Protocole de la tribu des Tailleurs XI 343 (1701-1710)
(f° 318-v) 26° Februarÿ 1709 – Michel Rachel nimbt Zum Lehrjungen an Hannß Martin, Hanß Struben deß Faßziehers ehelichen Sohn, vff 3. Jahr, anfahend Ann: mar: 1709. und endend vff gleichen Termin 1712. gegen 30. fl. Lehrgelt und 3. fl. der frawen pro discretione und 10. sr. mehl, deshalben und die überige helff der lehrjahr end, war præsens obged. deß Jung. Vatter. (dt. 10. ß)
1712, Protocole de la tribu des Tailleurs XI 344 (1710-1723)
(f° 137-v) Donnerstags als den 30.ten Junÿ – Michel Rachel spricht seinen Lehrjungen Hannß Martin Strauben er Lehrjahr quitt.
Jean Martin Straub s’inscrit pour faire son chef d’œuvre
1718, Protocole de la tribu des Tailleurs XI 344 (1710-1723)
(f° 130) Dienstag den 15. Februarÿ 1718 – Johann Martin Straub laßet sich Zuer Zeit und Meisterstück Einschreiben
Jean Martin Straub devient tributaire le 5 décembre 1719
1719, Protocole de la tribu des Tailleurs XI 344 (1710-1723)
(f° 153) Dienstags den 5.ten Decembris 1719 – Johann Martin Strub Schneider, Hanß Struben deß Vaaß Ziehers und burgers Sohn, haltet umb das Zunfft und Stuben recht an, wird zuerkandt.
Fils du charretier Jean Strub (Straub) et de sa femme Anne Marie Müller, le tailleur Jean Martin Straub épouse en 1719 Marie Salomé Appelli, fille du tailleur Casimir Appelli et de Salomé Stoltz : contrat de mariage, célébration
1719 (2 : Junÿ), Not. Baer (Christophe Evrard, 2 Not 13)
Eheberedung – zwischen dem Ehrenhafften vndt bescheidenen Johann Martin Struben ledigen Schneiders, deß auch bescheidenen Johannes Struben deß Vaßziehers vnd weinschröters auch burgers alhier mit Weÿl. Anna Maria gebohrne Müllerin seiner Zweÿten geweßenen haußfrawen längst seel. erzeugten vnd eheleibl. Sohn, alß dem H. hochzeiter ane Einem,
So dann der Ehr: v. tugendsamen Jungfr. Maria Salomea Appellin deß Ehrs. v. bescheid. Caßimir Appelli deß Schneiders v. burgers alhier, mit Weÿl. Salomea gebohrner Stoltzin seiner geweßenen Ehefr. in längst seel. ehe erzeugter Jungfr. tochter alß der Jungfr. hochzeiterinn andern Theils
Actum Straßburg auff Freÿtags d. 2: Junÿ Anno 1719. [unterzeichnet] h Johann Marthin Straub als hoch zeiter, Maria Salomea Appellin als hochzeiterin
Mariage, Temple-Neuf (luth. f° 319-v, n° 1359)
1719. Mittwoch den 5. Julÿ seind nach Zweÿmahliger Proclamation ehelichen copulirt und eingesegnet worden Johann Martin Straub der ledige Schneider und burger allhie, Johann Strauben, deß burgers und Stattfaßziehers allhier ehelicher Sohn, und Jfr: Maria Salome, Casimir Apelli deß burgers und Schneiders allhier ehl. tochter [unterzeichnet] Johann Marthin Straub als hochzeiter, Maria Salome Appellin als hochzeiterin (i 319)
Le chef de tribu fait grief à Jean Martin Straub d’avoir un employé comme s’il était maître alors qu’il n’a pas encore fait son chef d’œuvre. Le défendeur qui se montre impertinent répond qu’il n’a eu un aide que peu de temps pour honorer une commande. Le conseil lui inflige une amende, confirmée après que Jean Martin Straub ait demandé une réduction, en recommandant davantage de civilité.
1721, Protocole de la tribu des Tailleurs XI 344 (1710-1723)
(f° 182-v) Anno 1721 d. 3.ten Juli – Johann Martin Straub wird durch Herrn Zunfftmeister Kuntzen vorgestellt, wider Ihn Klagendt, Wiedaß er arbeith Vndt gesindt befördert wie ein anderer Meister ohngeachtet Er d Meisterstück noch nicht Verfertiget hat, bitt deßwegen ihn d gebühr Nach abzustraffen Umb so Viel Mehr weil er sich Wan Man solches ihm Verhalt jedzeit mit vngestimm andtwordet Vnd Noch Unhöfflich dabeÿ derentwegen man Ihm die arbeit weg Zunehmen genöthiget geweßen
d. Straub præsens sagte habe Nur einen Kerel auff d. Tag gesprochen, weil er Nöthige arbeith Zu Verfertigen bekommen bitt Ihn Vor d anklag zu absolviren.
Erkandt soll sich Zur anderen Zeit moderater Undt höfflicher aufführen, Vnd weil er Wid. Ordnung gehandelt, 1. lb d Straff zuerlegen schuldig seÿn.
Ille bitt Vmb gnad, erlegt Zugleich 8 ß 9 d auff den tisch. Erkandt soll dabeÿ Verbleiben Zue anderen Zeit aber soll er sich in Zeit wißen höfflicher vnd mannierlicher auffzuführen anbeÿ kan Man ihn auch d. Zeug den die Rüger ihn hinweg genohmen wid..umb abfolgen lassen.
Jean Martin Straub s’adresse aux Quinze pour être autorisé à faire son chef d’œuvre bien qu’il soit marié. Il déclare que son tour de compagnon a duré six ans et qu’il a déjà demandé en 1718 à faire son chef d’œuvre. Les représentants de la tribu ne voeint pas d’objection à ce que le pétitionnaire obtienne une dispense, pourvu que cela ne porte pas préjudice à la tribu. La commission constate que le nombre de candidats au chef d’œuvre a déjà dépassé le nombre maximal pour l’année et demandent à Jean Martin Straub d’attendre l’année suivante pour présenter son travail.
1721, Protocole des Quinze (2 R 125)
Johann Martin Straub c. E. E. Zunfft der Schneider
(p. 339) Sambstag d. 23. Augusti 1721 – Fuchs nôe Johann Martin Straub des burgers und Schneiders prod. Undth. Memoriale handelt jnnhalts. Erk. Soll E. E. Zunfft der Schneider zu diesem begehren Verkündet werd.
(p. 351) Sambstag d. 6. Sept. 1721. – Fuchs nôe Martin Straub des Verheuratheten Schneiders undt burgers allhier Cit. E. E. Zunfft der Schneider H. Zunfft Mstr. Johann Martin Kuntz erholt prod. vom 23. Aug. Gug. weil des gegners petitum wieder ordnung als bitt vmb Deput. eaque facta E. E. Zunfft beÿ Ihren Art. Zu manuteniren. Gug bitt Deput. Erk. Ober Handtwerk Hn.
(p. 367) Sambstag d. 13. Sept. 1721 – Johann Martin Straub c. E. E. Zunfft der Schneider
Iidem [Obere Handwerck Hrn] laßen ferner Eund. [Secretarium Kleinclaus] referiren, Es habe Johann Martin Straub der burger undt Schneider allhier C. E. E. Zunfft der Schneider, ein Mem: producirt, innhalt welches derselbe anregung thut, daß er bereits d.. 15. feb. 1718. er sich ordentlich Zu dem Meisterstück habe laßen einschreiben, Zuvor aber 6 Jahr in der Frembde sich auffgehalten nun aber seye er mit eines Schneider Meisters Tochter Verheurathet, weilen aber Krafft Articuls nicht einem jeden erlaubt, das Meisterstück wehrendem ehestand Zu verfertigen, er aber mit seiner handt allein sich Zu nehren nicht wiße, undt Ihme Kein Gesellen Zu setzen erlaubt, alß bithe Er Ihnen maßen der tour an Ihme seÿe Zu Verfertigung des Meisterstückh gn. Zu admittiren ohngeachtet er Verheurathet, Auff dieses Memoriale habe nomine gn. Zunfft H Gug geantwortet das gegentheilige petitum lauffe wieder ordnung, mit bitt Deputation Zu erkennen, undt facta relatione E. E. Zunft beÿ Ihrem Articul gn. Zu manuteniren.
Beÿ erkandt: undt beseßener Deputation habe der Implorant gebetten, daß er gleich nach dem so jetzundt den Riß Zum Meisterstück habe admittirt werden möchte. Nomine ged Zunfft seÿe erschienen H Andreas Nauert, welcher geantwortet, daß Zwahr nach ordnung ein jeder das Meisterstück Lediger weiß machen solle, Implorant seÿe verheurathet, Weilen er aber eines burgers Sohn, und bereits burger seÿe, wann es ohne præjuditz geschehen Könne, möge er es wohl leÿden. Befragt, Wie Viel dieses Jahr schon das Meisterstück Verfertiget habe. hätte er geantwortet 9 in der Zahl, es seÿe aber beÿ einigen dispensirt worden. Auff seithen der Hh. Depp. halte man davor, daß weilen die Anzahl der Stuckmeister Vor dieses Jahr nicht nur Complet, sondern auch über die ordinari Zahl schon einige dispensando admittirt worden, der Implorant noch Zur Zeit Zur gedult und biß auff das Zunkünfftige Jahr zu Verweißen seÿe. Erk. Bedacht gefolgt.
Jean Martin Straub présente son chef d’œuvre. Les examinateurs en sont satisfaits et le nomment maître.
1722, Protocole de la tribu des Tailleurs XI 344 (1710-1723)
(f° 200) Mittwoch den 4.ten Martz 1722 – Ist erschienen Johann Martin Straub Unter seinem Informatore Herrn Johann gräder mit bitt Zu seinem Vorhabenden Meisterstück beliebige Riß auffzugeben, ist der halben demselben mit folgenden stücken placidiret worden
N° 5 Einen Leviten Rock
N° 1 Ein Manns Kleÿdt mit offenen Ermlen
N° 8 Ein Soudan in Tuch
Nach dem nun Hieborstehende Rieß facta Examinatione in allem jn 5.ten Ziemlich Vnd ohne Fehler Erfunden worden als ist d.selbe Zu einem Mitt Meister auff vnd angenohmen worden.
Marie Salomé Appelli meurt en juillet 1732 en délaissant deux enfants. Les experts estiment la maison 350 livres. La masse propre au veuf est de 334 livres, celle des héritiers de 83 livres. L’actif de la communauté s’élève à 147 livres, le passif à 420 livres.
1733 (9.2.), Not. Lang l’aîné (Jean Daniel, 25 Not 42) n° 389
Inventarium über der Ehr: und tugendsamen Frauen Mariä Salome Straubin, geb. Appellin des Ehren und vorgeachten Mr Johann Martin Strauben, des Schneiders und burgers allhier geweßter Ehel. Haußwürthin seel. Verlaßenschafft auffgerichtet Anno 1733 – nach deme dieselbe den 20.ten Julÿ nechstverwichenen 1732.ten Jahrs von dem lieben Gott aus dießer welt seel. abgefordert worden, Zeitlichen hinder sich verlaßen, Welche Verlaßenschafft dato auf freundliches ansuchen erfordern und begehren des Ehren und vorgeachten Mr Johann Weßels, auch Schneiders und burgers allhier als geordneten Curatoris Mariä Salome und Johannis der Strauben, der abgeleibten seel. mit obgedachtem Ihrem hinderblieben Wittiber ehelich erzeugter und nach Tod verlaßener Kinder und ab intestato Erben fleißig inventirt (…) So beschehen allhier Zu Straßburg auff Montag den 9.ten Februarÿ Anno 1733.
In einer allhier Zu Straßburg im Goldgießen neben der Gastherberg Zum goldenen Apffel gelegenen in dieße verlaßenschafft gehörigen und hernach beschriebenen behaußung befunden worden wie volgt
Series rubricarum hujus Inventarÿ. Des Wittibers ohnveränderte Nahrung, Sa. haußraths 3, Sa. Vaßes 5 ß, Sa. Silbers 7 ß, Sa. Guths Ergäntzung 370, Summa summarum 374 lb – Schulden 40, Nach deren Abgang 334 lb
Dießem nach wird auch der Kinder und Erben ohnverändert Guth beschrieben, Sa. haußraths 12, Sa.Silbers 7 ß, Sa. goldenen Ring 1, Sa. Schuld 40, Sa. Ergäntzung 28, Summa summarum 83 lb
Hierauff wird nun die gemeine theilbahre Verlaßenschafft gesetztet, Sa. haußraths 16, Sa. lähren Vaß und bütten 7 ß, Sa. Werckzeugs Zim Schneider handwerck gehörig 1, Sa. Silbers 7, Sa. behausung 125, Summa summarum 147 lb – Schulden 420, In Vergleichung 273 lb
Conclusio finalis Inventarÿ 144 lb
Copia der Eheberedung (…) Actum Straßburg auff Freÿtag den 2.ten Junÿ Anno 1719, Christoph Eberhardt Bär, Notarius juratus
Abschatzung d. 36. Januarÿ 1733. Auff begehren des Ehrenhafften und bescheidenen Mstr Johann Martin Strub Schneider ist eine behausung allhier in der Statt Straßburg im gold gießen gelegen, einseits neben dem Wirthshauß Zum guldenen Apffel, anderseits Neben Herren Willhelm Heÿl gewesenen Statt Schmidts seel. hin[der]laßnen fraw Wittib, hinten auf schon ermeltes Wirts: hauß stosendt, Welche behausung Stübel, Cammern, Soldaten Kammer, hauß Ehren mit herdt und Waßerstein und gebälcktes Kellerlein sambt aller gerechtigkeit Wie solches durch die Statt Straßburg Geschwornen Werckleuthe sich in der besichtigung befunden und Jetzigem preiß Nach angeschlagen Wirt Vor und Um Sieben Hundert Gulden. Bezeichnüß durch der Statt Straßburg Geschworene Werckleuthe [unterzeichnet] Michael Ehrlacher Werck Meister deß Meinsters, Johann Jacob Biermeÿer Werck Meister deß Zimmerhoffs, Johann Peter Pflug Werckmeister deß Mauer hofs
Jean Martin Straub se remarie en mars 1733 avec Marie Salomé Weber, veuve du maréchal ferrant Jean Michel Ott de la Robertsau : contrat de mariage, célébration. Le futur époux assure à la future épouse la jouissance viagère de sa maison.
1733 (10. febr.), Not. Lang l’aîné (Jean Daniel, 25 Not 104) n° 114
Eheberedung – entzwischendem Ehren und Vorgeachte Meister Johann Martin Strauben Schneider, Wittiber und burgern allhier Zu Straßburg als dem bräutigamb ane einem
So dann der Ehren und tugendsamen Frauen Mariæ Salome Ottin gebohrener Weberin, weÿl. des Ehrengeachten Meister Johann Michael Otten, geweßenen huffschmidts und burgers in Ruprechtsau seel. hinderbliebener Wittib als der Hochzeiterin ane dem andern theil
Fünfftens, hat der Bräutigamb seiner gebliebten Braut auf den fall er Zu erst, es seÿe gleich mit oder ohne hinderlaßung ehelicher Kinder und Leibs Erben, dißes Zeitliche gesegnen würde, die Ihme Vor ohnvertheilt gebührige Zwen dritte theil ane der in sein von weÿl. frawen Mariæ Salome gebohrner Appellin nun seel. gemeine theilbare Verlaßenschafft gehöriger behaußung hoffstatt mit aller übrigen dero begriffenn weithen, Zugehörden, rechten und gerechtigkeiten gelegen allhier Zu Straßburg ane dem Goldgießen einseith neben der Gastherberg Zum guldenen Apffel anderseith neben weÿl. herrn Johann Winnemar Heÿlen geweßenen Stattschmidts und burgers allhier seel. wittib und Erben hinden auff gedachte Gastherberg stoßend, so über 350 gulden welche man E. E. Zunfft der Mörin allhier ane Capital, wie auch über 100 gudlen so man dem Stifft des Weÿßenhaußes allhier in haubtguth schuldig, eigen ist, Zu einem gemeinen lebtägigen und wiederück fälligen Wÿdemb, bestimmet (…)
So beschehen Zu Straßburg in hievorgedachter des hochzeiters behaußung ane dem Goldgießen gelegen auff Dienstag den 10. febr. A° 1733. [unterzeichnet] Johann Martin strub als hochzeiter, Maria Salome Weberin Als hochzeitern
Mariage, Robertsau (luth. p. 65)
Dienst. den 3. Marii 1733 sind auff Obrigkeitl. Erlaubnuß nach contrahirter Proclamation, Ehel. eingesegnet worden H. Joh: Martin Straub d. burger und Wittwer auch Schneider Zu Straßburg und Fr. Maria Salome weÿl. Mstr Joh: Michael Otten gewesenen burgers und Huffschmidts allhier nachgelaßene Wittwe [unterzeichnet] Johann Marthin strub Als hochzeiter, Maria Salome Weberin Als hochzeitrin (i 81)
Fille du cultivateur Jean Erard Weber, Marie Salomé Weber épouse le maréchal ferrant veuf Jean Michel Ott en 1730.
Mariage, Robertsau (luth.p. 18)
Zinst. den 5. 7.br. 1730. seind auff Obrigkeitl. Erlaubnus, nach ordentl. Zweÿmaliger Außruffung, Ehlich eingesegnet worden der Ehrsame und bescheidene Mstr Joh: Michael Ott, burger, Huffschmid und Wittwer allhier, und Jgfr. Maria Salome H. Joh: Erhardt Webers, burgers, Ackermans, wue auch Alten Ober Meisters allhier, Eheliche Tochter [unterzeichnet] Johann Michael ott als Hochzeiter, Maria Salome Weberin Als hochzeiterin (i 58)
Le conseil de tribu fait grief à Jean Martin Straub de n’avoir pas assisté à la visite annuelle du consul. Il prétend avoir été présent. L’affaire est remise au conseil suivant. Le registre n’en fait plus mention.
1737, Protocole de la tribu des Tailleurs XI 346 (1735-1753)
(f° 87) Freÿtags den 5.ten Apr. 1737 – Johann Martin Straub der schneider wird vorgestellt daß er am Nächst Verwichenen ammeister umbfahrtstag beÿ der Versammlung nicht Erschienen seÿe, und auch auch nicht habe Excusiren laßen, Beklagter sagt er seÿe gegenwärthig gewesen, und wolle es Erweißen. Erk. soll sein vorbringen biß auff nächst künfftiges Gericht Erwißlich Machen.
Marie Salomé Weber fait dresser dans la maison de son mari rue d’Or l’inventaire de ses apports qui s’élèvent à 301 livres.
1738 (11. 8.bris), Not. Lang l’aîné (Jean Daniel, 25 Not 66) n° 585
Inventarium über der Ehren und tugendsamen Frauen Mariä Salome Straubin gebohrner Weberin, zu dem Ehren und vorgeachten Meister Johann Martin Strauben Schneidern und burgern allhier Zu Straßburg Ihrem Ehemann in die Ehe gebrachte Nahrung auffgerichtet Anno 1738. – welche der ursachen, dieseilen in Ihr beeder Eheleuthe den 10.ten Februarÿ Anno 1733. Vor mir Notario mit einander auffgerichteter Eheberedung §° 2.do austrucklichen Versehen, daß einem jeede theil seine in die Ehe bringende und währenden Ehestands durch oder ohne testament ererbende, auch Legats: Schanckungs: oder in andere degleichen weiße überkommende Nahrung ein freÿ, eigen, ohnverändert und vorbehalten guth seÿn und bleiben (…) So beschehen Zu Straßburg in gegenwarth obgemeldten Ihres Ehemanns und Hn Joh: Erhard Webers, des ältern alten Obermeisters in Ruprechtsau, Ihres eheleiblichen Vatters, auf Sambstag den 11.te, Octobris Anno 1738.
In einer allhier Zu Straßburg ane dem Goldgießen gelegenen in des Ehemanns erster Ehe theilbahre Nahrung gehörigen behaußung gefunden worden wie folgt
Series rubricarum hujus Inventarÿ, Sa. haußraths 58, Sa. Silbers 3, Sa. guldener Ring 5, Sa. baarschafft 20, Sa. Schulden 57, Sa. Eigenthums ane liegende güthern 247, Summa summarum 393 lb – Schulden. 150 lb, Nach solchem abzug 243 lb, Wann nnun hierzu gerechnet wird deroselben von Ihrem ersten Ehemann seel. lebtägig Zu genißen habender Wÿdumb gleich hernach befindl. maßen anlangend 57 lb, So belaufft sich mehrerwehnter Fr. Straubiin Ihrem nunmahligen Ehemann sowohl Eigenthumb als wÿdembs weißen zugebrachte Nahrung dem vero preio nach sammenthafft auff 301 lb
Wÿdemb, welchen die Ehefrau Von weÿl. Mr Joh: Michael Otten dem gewes. hueffschmidt in Rupr: und burgern allhier zu Straßburg Ihrem erstern Ehemann lebtägig Zugenießen
Jean Martin Straub et Marie Salomé Weber hypothèquent la maison au profit du maréchal ferrant Jean Georges Vix
1738 (4.7.), Chambre des Contrats, vol. 612 f° 378-v
Johann Martin Straub der schneider und Maria Salome geb. Weberin mit beÿstand ihres vatters Johann Erhard Weber des ältern Obermeisters in der Ruprechtsau und ihres bruders Johann Erhard Weber ackersmanns allda
in gegensein Johann Georg Vix des hueffschmidts – schuldig seÿen 50 pfund
unterpfand, zwo terzten Einer behausung und hoffstatt mit allen übrigen deren gebäuden, begriffen, weithen, zugehörden und gerechtigkeiten im goldgießen, einseit neben Johann Friedrich Heÿl dem hueffschmitt, anderseit und hinten auff das würths hausß zum goldenen apffel – ihme Straub zu zweÿ dritten, seinen kindern erster Ehe aber zu einem dritten theil als ein in ged. Ehe erkaufftes guth
Jean Martin Straub meurt en novembre 1738 en délaissant deux enfants de son premier mariage et deux du deuxième. Les experts estiment la maison 250 livres. La masse propre à la veuve est de 176 livres. L’actif des héritiers et de la communauté s’élève à 585 livres, le passif à 1 064 livres. Le tuteur des enfants du premier lit renonce à la succession à cause du passif élevé.
1739 (20.5.), Not. Lang l’aîné (Jean Daniel, 25 Not 67) n° 597
Inventarium über Weÿl. des Ehren: und Vorgeachten H. Joh: Martin Strauben, geweßenen Schneiders und burgers allhier nunmehr seel. Verlaßenschafft auffgerichtet Anno 1739. – nachdeme derselbe den 33. Nov. verwichenen 1738.ten Jahrs von dem lieben Gott aus dießer Welt abgefordert worden, Zeitl. hinter sich verlaßen, Welche Verlaßenschafft auf freundliches ansuchen erfordern und begehren der Ehren v. tugendsamen Frauen Mariä Salome Straubin geb. Weberin, deßelben geweßter Ehewürtin V. nunmahliger Wittib, mit beÿstand des Ehr: vnd Vorgeachten Hn Joh: Christoph Ernsten, auch Schneiders v. burgers allhier, deroselben geschwornenn Vogts, wie auch des Abgeleibten seel. in Zwoen Ehen erzeugter Kinder v. ab intestato Verlaßener Erben (…) So beschehen Zu Straßburg auf Mittwoch den 20. Maji 1739.
Der Verstorbene seelig hat ab intestato Zu Erben Verlaßen wie Volgt. 1. Jungfrau Mariam Salome Straubin so ohngefehr 19 Jahr alt v. dermahlen beÿ H. Elia Krauchel dem Metzger alhier in diensten stehet, auch dießer Inventur persönlich beÿgewohnt, 2. Johann Strauben, Schneider gesellen so ohngefehr 17 Jahr alt v. beÿ seinem Vatter seel. sich auffgehalten auch die Inventur ebenmäßig persönlich abgewartet, dieße beede in erster Ehe mit weÿl. der Ehren v tugendsamen Fr. Maria Salome Straubin geb. Appellin, deßen ersterer den 20. Julÿ Ao 1732. verstorbenen Ehewürthin seel. erzeugte Kinder, deren geschworner Vogt der Ehren v vorgeachte H Johannes Weßel Schneider v. burger allhier welcher persönlich Zugegen geweßen v. seiner Vogts Persohnen Interesse hiebeÿ observirte
3.tio Mariam Elisabetham Straubin, so ohngefehr 6 Jahr alt Und dann 4.tio Johann Martin Strauben, so ohngefehr 2 Jahr alt, Dieße beede in letzter Ehe mit weÿl. der tugendsamen Fr. Maria Salome gebohrner Weberin deßen nunmahliger Wittib erzeugte Kinder, dern geschworner Vogt der Ehren vnd Vorgeachte herr Johann Georg Busch, ebenmäßiger Schneider V burger allhier, welcher Vor v. im Nahmen seiner Pupillen dem geschäfft in Persohn abwartete. Alßo alle vier des abgeleibten seel. in zwoen Ehen erzeugte Kinder v. ab intestato zu gleichen Antheilen Verlaßene Erben
In einer allhier Zu Straßburg ane dem Goldgießen gelegenen in dieße Verlaßenschafft gehörigen v. hernach beschriebener behaußung, befunden worden wie volgt
(f° 14) Eigenthum ane Häußern und Liegenden gütheren (E. et T.) Erstl. eine behaußung und hoffstatt mit allen deroselben Gebäuen, begriffen, weithen, Zugehördten, rechten und Gerechtigkeiten, gelegen allhier Zu Straßburg ane dem goldgießen eins. neben der Gastherberg Zum guldenen Apffell, weÿl. H. Andreæ Wolffen seel. hinterlassener Fr. Wittib und Erben gehörig, anderseith neben H. Friderich heÿlen, dem hueffschmidt, hinden auf besagte Gastherberh stoßend, so über hernach gemelde unter denen Passivis eingetragene Capitalia eigen und durch (die Werckmeistere) vermög deroselben übergebener schrifflicher Abschatzung vom 25.ten Maj 1739. angeschlagen Vor und vmb 500 Gulden oder 250. lb. Wie der Verstorbene und Maria Salome gebohrne Appellin seine erstere Ehefrau beede nun seelig dießes hauß von Johann Martin Heuschen, dem Schreiner, ane sich erkauffet haben, weißet ein teutscher pergamenter Kauffbrieff, in allhießiger Cancelleÿ Contract stuben gefertiget und mit deroselben anhangendem Insiegel Verwahret, datirt den 28. Maji Anno 1727. Dabeÿ noch zween alte teutsche pergamentene Kauffbrieff, auch in allhießiger Cancelleÿ Contract stuben gefertiget und mit deroselben anhangendem Insigell bekräfftigt de datis 28.ten Junÿ Anno 1691. und 14. Sept. Anno 1668. alle dreÿ mit altem N° 1 bemercket und dabeÿ gelaßen.
Worbeÿ Zu berichten, daß weilen die Passiva Von des Verstorbenen und seiner ersterer Ehefr. seel. Verlaßenschafft herrührend, deroselben Theilbare Activ Nahrung in welche dießes hauß gehörig ware und damahlen nembl. den 26. Jan: Anno 1733 umb 350. lb d angeschlagen worden annoch umb 273 lb 1 ß 5 d übertroffen, mithin vor die Kinder erster Ehe Ihres Mütterl. Invent. Stalltax nach, kein theilbar Guth Zuhoffen geweßen deroselben vogt eingangs gedachter Herr Johannes Weßel auf die theilbare Massam verzug gethan und solche dem damahligen wittiber und respectivé Vattern tam active quam passive übrerlaßen, dannoch dergestalten, daß im fall künfftighien beÿ Verkauffung dießer nemblichen behaußung die melioration als die besserung und überbesserung so starck ausfallen sollte, daß annoch theilbar Guth heraus kommen könte als dann in solchem fall seiner Curanden Antheil denenselben in alle Weeg bestens reservirt und Vorbehalten seÿn solle.
(E. et T.) Item eine behaußung, Scheur Stallung, hoff, hoffstatt und haußgarten
in der Rupr: und deren Ober au im hindern Orth (…)
(f° 17) Ergäntzung der Wittib abgegangenen ohnveränderten Guths. Vermög Inventarÿ deroselben Zu dießem Ihrem Zweÿten Ehemann seel. in die ehe gebrachte Nahrung durch mich Notm. Langen den 11. Octobris Anno 1738. auffgerichtet
(f° 20) Series rubricarum hujus Inventarÿ. Copia der Eheberedung
Der Wittib ohnveränderte Nahrung, Sa. haußraths 23, Sa. Silbers 1, Sa. Goldenen Ring 2, Sa. baarschafft 7, Sa. Eigenthums ane liegende güetheren 198, Sa. Schulden 82, Sa. Ergäntzung 13, Summa summarum 329 lb – Schulden 153, Nach deren Abzug 176 lb
Dießemnach weilen beÿ so Vielen Vorhandenen passivis Keine Errungenschaft außfallen kan, werden die übrige rubricen und Effecten, sie seÿen gleich des Defuncti Erben Vor unverändert gehörig oder aber theilbar, beliebter kürtz halbe, unter einer Massa beschrieben, Sa. haußraths 34, Sa. Frucht 2, Sa. silbers 5, Sa. Goldener Ring 1, Sa. baarschafft 3, Sa. Eigenthumb ane Häußern v. liegenden Güethern 500, Sa. Schulden 37, Summa summarum 585 lb – Schulden 1064 lb, In Vergleichung 479 lb
Endlicher Schulden rest 153. lb
(f° 23) Wÿdemb, Welchen die Wittib von weÿl. Mr Joh. Michael Otten, geweßenem huffschmidt in Ruprechtsau burger allhier zu Straßburg ihrem ersten Ehemann seel; lebtägig Zugenießen hat
Wÿdemb Welchen der Verstorbene wegen seiner Zweÿer Kinder erster Ehe biß anhero genoßen hat
Copie der Eheberedung (…) So beschehen zu Straßburg (…) auff Dienstag den 10. Februarÿ im Jahr 1733, Johann Daniel Lang, Notarius publicus
(Copia, Contract Stub 1739 fo. 61.a
(Joint) Rechnung Innhaltend Alles das jenige was weÿland Johann Martin Straub geweßener Schneider und burger allhier nun selig wegen Johann Georg Wilhelms auch weÿland Johann Jacob Wilhelms geweßten tagners und burgers allhier längst seeligen hinterlasenen ehelichen Sohns, so dermahlen in Königlichen Kriegsdiensten stehet, von anno 1720. biß Anno 1739. Vögtlicher weiß eingenommen und hienwiederumb augegeben hat. Erste und lestet Rechnung diesr Vogteÿ (prod. beÿ löbl. Vogteÿ gericht d. 23. Junÿ 1740.)
Abschatzung den 25. Meÿ 1739. Auff begehren weiland dëß wohll achtbahren und Bescheitenen Meister Martin Straub deß gewëßenen schneiters seel. hinderlaßenen frau wittib und Erben in eine behaußung allhier in der Statt Straßburg in dem Gold gießen gelegen, ein seitß Neben dem gasthauß Zum Apffell, ander seitß an Meister frittrich heill dem hoff schmidt, hinden auf gedachten apffell stoßend welche behausung, unden auf dem botten daß hauß Ehren, geträmbten Keller, oben darüber 2: stuben 2: Cammern 2. hauß Ehren worinnen der herdt und waßerstein under dem tach die soldaten Cammer, einen sehr alten tachstull daß tach mit holl Zieglen belëgt sambt aller gerechtig Keidt wie solches durch der Statt Straßburg geschwornen wërck Meister sich in der besichtigung befundten und Jetzigen Preÿß nach an geschlagen Vor und Vmb Vünff Hunderrt Gultin, bezeichnuß der Statt Straßburg geschwornen wërck Meisteren, [unterzeichnet] Johann Peter Pflug Statt Lohner, Michael Ehrlacher Werck Meister deß Meinsters, Johann Jacob Biermeÿer Werck Meister deß Zimmerhoffs
Les héritiers vendent la maison au coutelier Jean Daniel Froschhammer et à sa femme Catherine Dorothée Schneider moyennant 625 livres
1739 (17.12.), Chambre des Contrats, vol. 613 f° 561
Erschienen Weÿl. Johann Martin Straub gewesten Schneiders und burgers allhier, in erster ehe mit auch weÿl. Mariä Salome gebohrner Appellin, ehelich erzeugter beeder Kinder, Maria Catharina Straubin, und Johannes Straub Ledigen Schneiders geschworner Vogt Johannes Weßel, der schneider und burger allhier, Ferner ged. Straub in Letzter ehe mit Salome gebohrene Weberin erzielter beeder Kinder Martin und Elisabetha der Strauben Vogt Johann Georg Busch, der hießige Schneider, die haben
in gegensein Johann Daniel Froschhammer, des Meßerschmiedts und burgers allhier und deßen Eheweibs Catharinæ Dorotheæ, gebohrner Schneiderin, angezeigt und bekandt, daß sie benandter Vier Straubischer kinder beede Vögte, nach Zuvor beÿ E. E. großen Rath allhier gesucht: und erhaltenem Decreto alienandi, darauff erkannt offentlich Vorgenommen, und zufolg besagten Raths am 3. hujus ergangen und hiebeÿ producirter Erkanntnus, obrigkeitlich Confirmirter Versteigerung und adjudication, für Straubische Vier Kinder und deren Erben
Eine Behausung und Hoffstatt, mit allen übrigen deren gebäuden, begriffen, Weithen, Zugehörden und gerechtigkeiten, allhier ahne dem goldgießen, einseit neben weÿl. Andreas Wolff gewesten gastgebers Wittib und Erben gehörigen zum goldenen Apffel genannter gastherberg, anderseit neben Friedrich Heÿl dem Statt Huffschmidt hinten auff erstged. gastbehausung Stoßend gelegen, So annoch E. E. zunnft Zue Möhrin allhier umb 175 lb hießigen Weüßnehauß umb 50 lb und Johann Georg Vix dem Hueffschmidt umb 50 lb alles ahne hauptguth Versetzt (…) als ein am 12.ten Maÿ 1727. von ihme Straub in erster ehe umb 500 lb. erkaufftes guth, deßen erben Zu Zwo tertzen und seinen beeden kindern besagter ehe zur übrigen dritten theil für eigen gehörig seÿe (…) über angezeigte 275 lb.ausmachende Capitalien, so die Kaüffere über sich Nehmen (…) zugangen und beschehen vor und vmb 335 pfund
Les acquéreurs hypothèquent le même jour la maison rue d’Or, la moitié d’une maison Grand rue et cinq arpents de terre à la Plaine des Bouchers au profit de la tribu de la Mauresse et de Jean Froschhammer, frère du débiteur
1739 (17.12.), Chambre des Contrats, vol. 613 f° 562-v
Johann Daniel Froschhammer der Meßerschmied und Catharina Dorothea geb. Schneiderin mit beÿstand ihres vettern Johann Christoph Würtz des Paßmentirers und Johann Gottfried Rauscher des Nestlers
in gegensein Einer Ehrsamen Zunfft zur Möhrin zunfft meister H. Alexandre Le Feuvre EE. kleinen Raths alten beÿsitzers in fernerer gegenwart sein Froschhammers bruders Johannes Froschhammer des schwerdtfegers – schuldig seÿen 175 lb und 100 lb
unterpfand, Eine heutigen tags erkaufft und aus jetzigem vorschuß zum theil bezalte Behausung und hoffstatt mit allen übrigen deren gebäuden, begriffen, weithen, zugehörden und gerechtigkeiten ahne dem goldgießen, einseit neben Friedrich Heÿl dem statt huffschmidt anderseit neben die gastbehausung zum goldenen apffel weÿl. Andreas Wolff des gastgebers wittib und eben gehörig hinten auff dieselbe
ferner die helffte für ohnabgetheilt ahne einer Behausung bestehend in vorder und hinder hauß, hoff und hoffstatt mit allen zugehörden ahne der langen straß gegen der Schildtsgaß über, einseit neben Adolph Dannecker dem lebküchler anderseit neben Johann Jacob Brion dem kübler hinten auff S.T. Fr. Margaretha geb. Reißeißin weÿl. S.T. H. Ammeister Philipp Caspar Leitersperger
weither zweÿ dritte theil für ohnabgetheilt ahne 5 neben einander liegendem einem haag umgebenen ackern vor dem Metzgerthor, einseit ist ein eck ane einer gaß anderseit neben H. Rathh. Diebold von Friedolßheim g.u.w. vornen gegen der Rhein straß und hinden gegen der Citadelle, von diesem gantzen gartten gibt man hiesiger Stadt Pfenning Thurn 9 ß 2 s ane bodenzinß
die in dem goldgiesen heutigen tags umb 610 lb erkaufft, die helffte der in der Straß liegenden behausung Sie Froschhammer von weÿl. Fr. Anna Catharina geb. Eberhardin weÿl. Johann Michael Hiebmeÿer des goldarbeiters wittib vermög deren v. H. Not. Christoph Michael Hoffmann am 4. Aprilis 1727 errichteten Testamenti nuncupativi § 4 ererbt, ahne denen 5 ackern aber Fr. Froschhammerin einen dritten theil von ihrem vatter weÿl. Johann Jacob Schneider dem Doctor: gärtthner ererbt und einen dritten theil von ihrem bruder Johann David Schneider am 14. sept. 1724 umb 100 erkaufft hat dahingegen die übrige tertz ihrem schwager Heinrich Erhard dem garttenmann und die andere helffte des haußes ahne der langen straß weÿl. Friedrich Grießbach des Büttels E.E. Zunfft der Gerber wittib Lucretia geb. Cuntzin zugehöret
Daniel Froschhammer est admis à faire son chef d’œuvre. Il doit cependant régler une amende de deux livres pour avoir écourté de dix mois son tour de compagnon
1717, Protocole des maîtres couteliers (XI 154)
(f° 8) Montags den 8.ten Martÿ – Meisterrecht
Daniel Froschhammer des Meßerschmidts gesell Herrn Daniel Froschhammers des Fastenspeishändlers und burgers allhier ehelicher Sohn, stehet Vor und bittet, wilen er gesinnet seÿe, Meister Zu werden, mann wolle Ihn annehmen, legte auf 6. ß d. gestehen daß Er Zehen Monat Zuwenig verwandert habe. Erkandt solle weilen Er seine Zeit nicht Verwandert zu einer Straff 2. lb d se dann Vor das Meister Recht und wegen der Uncosten so manns seithero gehabt 4. lb d. erlegen
Fils du marchand de fruits et légumes Daniel Froschhammer, Daniel Froschhammer épouse en 1717 Catherine Dorothée Schneider, fille de l’horticulteur Jean Jacques Schneider : contrat de mariage, célébration
1717 (11. 8.br), Not. Lobstein (Jean, 31 Not 75) n° 25
Eheberedung – entzwischen dem Ehren und Vorgeachten Herrn Daniel Froschhammer, dem ledigen Meßerschmidt, des Ehren: und Wohl Vorgeachten herrn Daniel Froschhammers, des fastenspeishändlers und burgers allhier Zu Straßburg ehelichem Sohn als dem bräutigamb ane einem,
So dann der Ehren und Tugendsamen Jungfrauen Catharina Dorothea Schneiderin, des Ehren und Wohlvorgeachten Herrn Johann Jacob Schneiders, Vornehmen Kunst und Blumengärthners auch burgers allher Zu Straßburg ehelich erzeugter Tochter, als der Jungfrauen hochzeiterin, am andern theil
So Beschehen und verhandelt in Löblicher Statt Straßburg auff Montag den 11. tag des Monats Octobris im Jahr des Herrn Als mann Zahlte 1717 – daß gegenwärtige pacta dotalia mit allerseithigem beleiben vorstehender maßen abgehandelt, placidirt und Verglichen, wirdt von mit unterschriebenen in specie hierzu requirirtem Notario hiermit beschinnen
Mariage, Saint-Guillaume (luth. f° 201 n° 27)
Mittwochs den 10. 9.bris 1717. seind nach geschehener 2 maligen außruffung diminica 23. & 24.ta Trin. in der Kirch Zu S. Wilhelm ehelich eingesegnet worden Joh: Daniel Froschhammer der ledige Meßerschmidtt v. burger Johann Daniel Froschhammers deß Krämers v. burgers v. weiland Susannæ Weniggutin ehelicher Sohn v. Jfr. Catharina Dorothea Joh: Jacob Schneiders deß Doctor Gärtners v. b. v. wei& Anna Maria Eberhardtin eheliche dochter [unterzeichnet] Johann Daniel froschhammer als hochzeiter, Catharina dorthea Schneiderin als hochzeiterin (i 208)
Les nouveaux mariés font dresser l’inventaire de leurs apports.
1717 (27. X.br), Not. Lobstein (Jean, 31 Not 2) n° 61
Inventarium und Beschreibung aller der Jenigen haab, Nahrung und Güethere, so der Ehren : und Vorgeachte Meister Johann Daniel Froschhammer, der Meßerschmidt und die Ehren und Tugendsahme fraw Catharina Dorothea Froschhammerin, gebohrene Schneiderin, beede Eheleuthe und Burgere allhier Zu Straßburg einander vor ohnverändert in den Ehestand Zugebracht, welche de ursachen allweilen in der, Zwischen Ihnen beeden Eheleuthen auffgerichteten heuraths Verschreibung expressé Versehen, daß eines jeden in die Ehe bringende Nahrung reservirt und ohnverändert sein und bleiben solle – So beschehen in Straßburg auf Montag den 22. Decembris Anno 1717.
In einer in der Statt Straßburg ane dem [-] Staden Liegenden und in dieße Zugebrachte Nahrung nicht gehörigen behaußung, befunden worden wie volgt
Series rubricarum hujus Inventarÿ. Des Manns in die Ehe gebracht Guth, Sa. haußraths 41, Sa. Werckzeugs und gemachter arbeit Zur Meßerschmid Profession gehörig 97, Sa. Silbers 12 ß, Sa. baarschafft 6, Sa. Schulden 1, Summa summarum 148 lb – Schulden
Daniel Froschhammer et Catherine Dorothée Schneider font un testament réciproque et prévoient l’entretien de leurs deux filles.
1729 (7. Junÿ), Not. Hoffmann (Christophe Michel, 19 Not 63)
Codicillus reciprocus respe. Dispositio inter liberos. Johann Daniel Froschhammers des Meßerschmidts und burgers alhier et uxoris. 1729. (Ist zu concipiren prot : und zu mundiren – Ist nicht expedirt worden)
Zuwißen daß auff Dienstag den 7.ten Junÿ 1729. Nachmittags zwischen 4 und 5 Uhren, in einer ane dem Goldgießen alhier zu Straßburg gelegenen, Meister Lorentz Burgern dem Schuhmacher und burgern alhier eÿgenthümblich Zuständigen behaußung im hintern Stockwerck befindlichen Obern Stuben die fenster in den Hoff aussehend, der Ehren undt vorgeachte H. Johann Daniel Froschhammer Meßerschmidt und die Viel Ehren und tugendsahme frau Catharina Dorothea Froschhammerin gebohrne Schneiderin beede Eheleuthe und burgere alhier, Er der Mann gesund gehend und stehenden Sie die frau aber kranck und unpäßlichen Leibs, dannenhero auff einem Bett liegend, dannoch aber durch die Gnade Gottes richtiger Sinnen guter Vernunfft und Verstands
2. Ist beeder Codicillirenden Ehepersohnen ernstlicher will Meinunug und Befelch, wann ihre beede Töchtere beÿ Lebzeiten d. Eltern sich nicht Verheürathen oder in ein Ehe schreitten solten (…)
[unterzeichnet] Johan Daniel froschhammer, Catharina Dorothe froschhammerin
Le coutelier Jean Henri Schneider se plaint que Daniel Froschhammer ne l’a pas averti qu’il ne se rendrait pas au marché de Haguenau. Il est mis à l’amende bien qu’il prétende qu’un de ses enfants était malade.
1728, Protocole des maîtres couteliers (XI 154)
(f° 53-v) Sambstags den 24. Januarÿ 1728 – Meister Johann Heinrich Schneider der Meßerschmidt clagt contra Mr Johann Daniel Froschhammer, daß Er dem Ihme zugefallenen Martini hagenauer Marck nicht bezogen, auch nicht in das Looß gegeben habe.
Beklagter sagt in Anthworth, Er habe Ein Kranckes Kindt gehabt, Er hätte es je Ihme Mr Schneider gesagt, daß Er vor Ihne soll auf den Marck fahren.
Erkand, weilen es beÿ Verloßung der Märck Verglichen worden, daß wann ein Meister einen Marck nicht beziehen will, derselbe schuldig sein soll, 14. tag Zuvor den Marck wider in das Looß zugeben vnd aber solches Von Ihme nicht werckstellig gemacht worden, dahero soll Er der beklagte Zu Straff 7 ß 6 d erlegen.
Daniel Froschhammer s’adresse aux Quinze parce que le conseil de la tribu lui a infligé une amende pour vendre ses marchandises à deux endroits, son atelier et un étal au Vieux-Marché-aux-Poissons. Il déclare avoir installé une vitrine devant son atelier mais que les ventes se font sur son étal. La commission est d’avis de confirmer le jugement du conseil de tribu. Les Quinze ratifient la proposition. Le défendeur est cependant autorisé à poser une enseigne à son atelier. Les Quinze délivrent une expédition de leur jugement.
1740, Protocole des Quinze (2 R 149)
Joh: Daniel Froschhammer C. die Kurtz Meßerschmid
Joh: Daniel Froschhammer Ca. E. E. Meisterschafft der Kurtz Meßerschmidt
(p. 1) Sambstag den 2. Januarÿ – Römer nôe Joh: Daniel Froschhammer b. und Kurtz Meßerschmid C. E. E. Handwerck der Kurtz Meßerschmid Ober M; prod. Appl. Klag mit beÿlag Lit. A. bitt Verzeichniß, und will ad i.am post Verkünden laßen. Verzeichent
(p. 42) Sambstag d. 23. Januarÿ – Römer nôe Joh: Daniel Froschhammer Cit. E. E. Handwerck der Kurtz Meßerschmid Ober Meister, erhohlt Appl. vom 2. hujus, bitt Deput. Mess. bitt auch Deput. Erk. Deput. willfahrt.
(p. 103) Sambstag d. 13. Februarÿ 1740 – Joh: Daniel Froschhammer C. die Kurtz Meßerschmid
Iidem [Obere Handwercks Herren] laßen Weithers per Eundem [Secretarium Kleinclaus] referiren, daß Johann Daniel Froschhammer der Burger und Kurtz Meßerschmid allhier den 29. Xbris jüngst beÿ E. E. Handtwerck der Kurtz Meßerschmid Vorgestellet und angeklagt worden, daß er dem Articul vom 14. 9.bris 1739. §. 3.tio Kein genügen leiste, sintemahlen er an Zweÿen orthen feÿl habe, da auff deßen Verantwortung, daß er in der Werckstatt allwo er arbeithe, ein Zeichen herauß stehen habe, daß er daselbsten arbeite, und negire er an zweÿen orthen feÿl Zu haben, die Erkantnuß dahien ergangen, bleibt beÿ dem Articul, und wann der beklagte morgenden tages das Krämel wieder heraus stellet, so seÿe er in der Straff, Vor dieses mahl aber Von der Straff absolvirt. Worauff er, Froschhammer den 2. Jan. jüngst eine Underth. Appellations Klag mit beÿlag Sub lit. A. contra ged. E. Handwerckhs der Kurtz Meßerschmidt Ober Meister producirt darinnen er gehorsambst Vorstellet daß er nicht an Zweÿen orthen feÿl hatte sondern habe, wie andere professionen auch vor seiner Werckstatt ein Zeichen was er feÿl habe, nemlich ein Kästlein vornen mit einem Glaß in welchem Verschiedene Gattern Meßern Seeren, Scheer Meßer und andere Instrumenta Von seiner profession, Sein stand aber und Laden worinnen er und die seinige feÿl hätten seÿe auff dem Fischmarck & mit demuthiger bitt Mgh geruhen wolten Zu erkennen und außzusprechen daß in erster Instantz sehr übel und wieder die jntention des habenden Articuls gesprochen, folglichen er Underthge Appellant von E .E. Handwercks bescheid Zu absolviren, mithien Ihme nach wie vor erlaubt seÿe das Kästlein seiner Kurtz Meßerschmid Instrumenten an seiner Werckstätt herauß Zu stellen, und dieses mit ersetzung aller Ihme deßwegen muthwillig causirter unkösten. Worauff E. E. Handwerckh Zur mündtlichen Verantwortung umb Deputation gebetten, welche auch willfahrt und beseßen worden, da der Appellant sich auff die Contenta seiner Appellations Klag Bezogen.
Nahmens der Meisterschafft seÿen Vorgestanden Johann Heinrich Schneider alß Ober Meister, Johann Georg Chariere und Johann Jacob Weber welche geantwortet, Gegner habe Zu Hauß ein Krämel ausgestelt, worin er gemachte arbeit heuche und feÿl habe, und dabeÿ noch einen stand auff den Fischmarck, habe also an Zweÿen orthen feÿl so werden der Klahren buchstaben des Articuls, wolten sie alßo gehorsambst gebetten haben den ergangenen Handwercks bescheid gnädig Zu Confirmiren, und den Appellanten in alle unkösten Zu condemniren, Eine taffel oder Schild außzuhencken seÿe Ihme ohnverwehret.
Auff seithen der Hh. Deputirten Vermeine man daß die Sententia â quâ Zu Confirmiren der Appellant mit seinem begehren abzuweisen und in die unkosten Zu condemniren seÿe. Die Genehmhaltung Zu Mghh. stellend. Erk. Bedacht gefolgt.
(p. 141) Sambstag d. 27. Februarÿ 1740 – Bescheid. Sambstag d. 13. Febr 1740. In Sachen Johann Daniel Froschhammers des Burgers undt Kurtz Meßerschmidts allhier, Appellanten, ane einem, entgegen und Wieder E. E. Handtwerck der Kurtz Meßerschmid, Appellaten, am andern teil, Auff producirte Underthg. Appellats Klag mit beÿlag Sub lit. A. undt angehencktem Bitten Zu erkennen und außzusprechen, daß in erster Intention des habenden Articuls gesprochen, folglichen er, Appellant von E .E. Handwercks bescheid Zu absolviren, mithien Ihme nach wie vor erlaubt seÿe das Kästlein seiner Kurtz Meßerschmid Instrumenten an seiner Werckstätt herauß Zu stellen, und dieses mit ersetzung aller Ihme deßwegen muthwillig causirter unkösten.
Der Appellaten beÿ gebetten, bewilligt und beseßener Deputation darüber gethane Verantwortung, juncto petito den ergangenen Handwercks bescheid gnädig Zu Confirmiren, und den Appellanten in alle unkösten Zu condemniren, und all übriges Vor und Anbringen, Ist der Hh. Depp. abgelegten Relation nach Erkandt, daß der den 14 . Novembris 1739. dißwegen ergangene Handwercks bescheid Zu Confirmiren, der Appellant mit seinem begehren abzuweisen, undt in die unkosten Zu condemniren seÿe. Alß wir hiemit respectivé confirmiren, abweisen und condemniren.
Daniel Froschhammer meurt en janvier 1750 en délaissant deux filles. Les experts estiment la maison à 350 livres. La masse propre à la veuve est de 1 112 livres. L’actif des héritiers et de la communauté s’élève à 412 livres, le passif à 1 316 livres
1750 (21.4.), Not. Lobstein (Jean, 31 Not 69) n° 1531
Inventarium und Beschreibung aller derjenigen Haab, Nahrung undt Güethere, so weÿland der Ehren und wohl Vorgeachte Meister Johann Daniel Froschhammer, der geweßene Kurtzmeßerschmid und burger allhier Zu Straßburg nunmehr seeliger, als derselbe Donnerstags den 22.ten Januarÿ des anfangenden 1750.sten Jahrs dießes zeitliche in das ewige Verwechßelt, nach solch seinem aus dießer welth genommenen tödlichen hintritt Zeitlichen verlaßen, welche Verlaßenschafft auf freundliches ansuchen erfordern und begehren des abgeleibten seeligen mit hernach gemelter seiner hinterbliebenen Wittib ehelich erzielter Kinder auch der Hn Beÿstand und geschwornen Curatoris und ab intestato Verlaßener Beneficial Erben, (…) inventirt, durch die Viel Ehren und tugendsahme Fr. Catharinam Dorotheam Froschhammerin gebohrne Schneiderin die hinterbliebene Wittib beÿständlich Mr Johann Christoph Wurtzen des Paßmentirers und burgers allhier wie auch die Erben selbsten (…) So beschehen in Straßburg, auf Dienstag den 21.ten Aprilis 1750.
Der abgeleibte seelige hat Zu seinen Beneficial Erben ab intestato Verlaßen, wie volgt. 1.mo Jungfer Catharinam Dorotheam Froschhammerin, so Majorennis und ohnbevögtigt, beÿständlich herrn Johann Froschhammers des Lang leßerschmids und burgers allhier, welche mit: und beneben demselben, dem Geschäfft abwartete, in den Ersten dritten Stammtheil. 2.do Frau Mariam Magdalenam Barthelin geb. Froschhammerin, Meister Johann Martin Barthel deß jüngern Schiffmanns und burgers allhier eheliche haußfrau, welcher aber dermahlen zu Franckforth auf der Reÿß begriffen, dahero Vor Ehrengedachter herr Johannes Froschhammer als dero beÿstand mit und beneben deroselben beÿ dem Geschäfft erschinnen, in den Zweÿte dritten Stammtheil, Und dann 3.tio Johann Daniel Froschhammer, der leedige Kurtz Meßerschmidts Jünger, deßen geschworner Vogt offtgemelter herr Johannes Froschhammer, der Lang Meßerschmidt und burger allhier, welcher der Inventation beÿwohnete nomine seines Curanden, in den dritten und Letzten Stammtheil. Also alle des abgeleibten seeligen mit vorgedacht seiner hinterbliebenen Wittib ehelich erziehlter Kinder und ab intestato Verlaßener Erben welche aber dieße Verlaßenschafft anderen gestalt nicht als cum Beneficio Legis et Inventarÿ anzutretten sich Hiebeÿ außtrucklichen erclärten.
In einer allhier Zu Straßburg ane dem Metzgergießen gelegenen Und in dieße Verlaßenschafft gehörigen behaußung befunden worden wie Volgt
Eigenthumb ane Häußern. (E. T.) Erstlichen eine kleine Behaußung und hoffstatt mit allen übrigen deren Gebäuden, begriffen, Weithen, Zugehörden und Gerechtigkeiten allhier ane dem Goldgießen, einseith neben weÿl. herrn Andeä Wolff, geweßenen Gastgeber und burgers allhier nunmehr seel. nachgelaßener Fr. Zum goldenen Apffel genander Gastherberg, 2.s. neben Weÿland Meister Friderich heÿl des hueffschmidts hinterlaßenen einigen Erben, hinten auf erstgedachte Gast behaußung stoßend, so über hernach gemelte beschwerden, freÿ leedig eigen undt durch (die Werckmeistere) laut Abschatzungs Zeduls Vom 18.ten Aprilis 1750. æstimirt und angeschlagen pro 350. Darüber sagt ein teutscher pergamentener Kauffbrieff, mit der Statt Straßburg anhangendem Kleinerem secret Insiegel Verwahret, datirt den 17. Septembris A° 1739.
(W.) Item die helffte Vor ohnvertheilt ane einer behaußung
ane der Langenstraß gegen der Schiltzgaß hinüber (…)
Ergäntzung der wittib abgegangenen ohnveränderten guths. Vermög Inventarÿ über eingang gedachter beeder geweßener Eheleuthe einander vor ohnverändert in den Ehestand zugebrachte Nahrungen in Anno 1717. durch mich unterschriebenen Notarium auffgerichtet
Abzug in gegenwärtig Inventarium gehörig. Der Wittib ohnverändert Vermögen, Sa. haußraths 14, Sa. Silbers 3, Sa. goldene Ring 2, Sa. Schulden 60. Sa. Eigenthumbs ane einer behaußung 500, Erg. Rest 532, Summa summarum 1112 lb
Der Erben ohnverändert und Theilbares Vermögen, Sa. haußraths 44, Sa. Werckzeugs und gemachte arbeit Zum Kurtz Meßerschmidts handwerck gehörig 12, Sa. Silbers 5, Sa. Eigenthums ane einer behaußung 350, Summa summarum 412 lb – Schulden 1316, In Vergleichung 903 lb
Stall Summ 209 lb
Copia der Eheberedung (…) auff Montag den 11. tag des Monats Octobris im Jahr 1717
Abschatzung vom 18.ten Aprilis 1750. auff begehren Weÿland Johann Daniel Froschhammers deß geweßenen Meßerschmidts seel. hinderlaßener Wittib ist eine behaußung allhier in der statt Straßburg in dem Goldgießen einseit neben dem Würthshauß Zum Goldenen Apffel anderseit neben Weÿland Friderich Heÿlen Wittib und hinten Wider auff vorgemelten Goldenen Apfel stosend, gelegen, neben dem Eingang hat solche behaußung ein Meßerschmidts Werckstatt, und auff dem Ersten stock eine Stube, ein Kammer, Küchen und haußöhren, der Zweÿte stock ist dem Erstern gantz gleich darüber ist der Tachstuhl so mit breitziegeln Einfach gedeckt, Worunter dreÿ verrigelte Kammern hat auch einen geträhmten Keller, Von uns den unterschriebenen der Statt Straßburg geschwohrenen Werckmeisteren nach Vorhero beschehener besichtigung mit aller Ihrer gerechtigkeit dem Jetzigen Werth nach æstimirt und angeschlagen Worden Vor und umb Sieben hundert Gulden.
Der Zweÿte begriff (…)
[unterzeichnet] Johan Jacob Biermeÿer stadt Lohner, Ehrlacher Werckmeister deß Münsters, Werner Werckmeister
Les héritiers exposent infructueusement la maison aux enchères (procès verbal d’adjudication joint à l’inventaire précédent)
Haus Versteigerung – Auf Ansuchen Frauen Catharinæ Dorotheæ Froschhammerin gebohrner Schneiderin weÿland Meister Johann Daniel Froschhammers, des geweßenen Kurtz Meßerschmidts und burgers allhier nunmehr seeligen nachgelaßener Wittib und dero beÿstand Mr Johann Christoph Wurtzen des Paßmentirers, Hab ich Notarius Johann Lobstein mich den 7. Augusti Anno 1752. in den Goldgießen in die Gastherberg Zum guldenen apfel Verfügt und der Versteigerung einer Ihro gehörigen Behaußung in dem Goldgießen, einseit neben weÿland herrn Andeä Wolff geweßenen Gastgebers und burgers allhier nunmehr seeligen nachgelaßener Frau wittib und Erben gehöriger Zum goldenen Apffel genander Gastherberg, anderseit neben weÿland Meister Friderich Haÿl des Hueffschmidts hinterlaßenen einigen Erben, hinten auf erstgedachte Gast behaußung stoßend gelegen beÿgewohnt (…) so ist die Versteigerung Vorgenommen und angeschlagen worden per 1150 fl. Hat Niemand nichts darauf gebotten
Devenue seule propriétaire pour avoir accepté l’actif et le passif de la succession de son mari, Catherine Dorothée Schneider vend la maison au tailleur Jean Michel Wittmann et à sa femme Catherine Elisabeth Rœmer moyennant 600 livres
1752 (17.8.), Chambre des Contrats, vol. 626 f° 417-v
Catharina Dorothea geb. Schneiderin weÿl. Johann Daniel Froschhammer des kurtzmeßerschmidts wittib mit beÿstand Johann Christoph Wurtz des Paßmentirers
in gegensein Johann Michael Wittmann des schneiders und Catharinæ Elisabethæ geb. Römerin
eine kleine behausung und hoffstatt mit allen deroselben begriffen, weithen, rechten und gerechtigkeiten ane dem Goldgießen einseit neben der Gastbehausung zum goldenen apffel, anderseit neben weÿl. Friedrich Heÿl des huffschmidts erben, hinten auff vorgedachte gastbehausung – um 350 pfund und 50 pfund verhafftet – als ein aus ihres Ehemanns massa, so sie active et passive übernommen – geschehen um 200 pfund
Originaire de Bretten en Palatinat, Jean Michel Wittmann s’inscrit en 1746 pour faire son chef d’œuvre.
1746, Protocole de la tribu des Tailleurs XI 346 (1735-1753)
(f° 418) Freÿtag d. 9. 7.bris 1746 – Michael Wittmann Von Bretten aus der Pfaltz gebürtig Laßet sich Zur Zeit und Meister Stückh Ein schreiben.
Jean Michel Wittmann s’adresse aux Quinze pour être autorisé à faire son chef d’œuvre en candidat surnuméraire. Il déclare exercer le métier de tailleur depuis quinze ans, être âgé de trente ans, avoir travaillé à Strasbourg chez un maître depuis six ans et s’être inscrit en 1746. Le représentant de la tribu expose qu’il a bonne réputation et qu’il est l’un des candidats les plus âgés. Les Quinze accordent la dispense moyennant paiement d’un droit.
1750, Protocole des Quinze (2 R 161)
Michael Wittmann Contra E. E. Zunfft der Schneider
(p. 354) Sambstags d. 22. Augusti – Roemer nôe Michael Wittmann, des ledigen schneiders gesellen Von Bretten C. Eundem [E. E. Zunfft der Schneider Hn Zunfftmeister] pt° admission Zum Meisterstück prod. Memor. und bitten, mit beÿl. Lit. A. und bitt deppon. Faust setzts zu Mghh. und bitt ausg deppon. Erk. Deppon.
(p. 382) Sambstags d. 5. Septembris – Iidem [Obere Handwercks Hhn] laßen per Eundem [Secretarium] referiren, es habe Michael Wittmann der ledige Schneider gesell Von Bretten, beÿ Mghh. den 22. Augusti jüngst Ca. E. E. Zunfft der Schneider Hn Zunfftmeister ein unterth. Memoriale mit beÿl. Lit. A übergeben, und darinnen Vorgetragen, wie daß [er] seine profession redlich erlernet, 6 Jahr beÿ einem [Mei]ster allhier gearbeithet und sich d. 9. 7.bris 1746. Zur Z[eit] und Meisterstück einschreiben laßen, mithin solche Ze[it -] ein Jahr darüber Verarbeithet habe. da nun der [Implo]rant schon 15. Jahr beÿ der schneider profession sich bef[indet und] schon 30 Jahr alt seÿe, und dermahlen burger und m[eister] werden mögte, So ergetze an Mghh. deßelben un[terth.] [p. 383] bitten, Sie gnädig geruhen wollen, gratiose Zu erkennen und auszusprechen, daß der Implorant ex speciali gratiâ und dispensando als ein supernumerarius für dieses Jahr Zum Meisterstück Zu laßen seÿe. Nôe Imploratische Zunfft habe man umb deppon. gebetten. Auff geschehenen weißung habe der Implorant sich auf contenta Memorialis et petiti bezogen, Imploratischer H. Zunfftmeister Joh: Martin Gangolff, auch præsens, habe des Imploranten petitum um so mehr Zu Mghh. dijudicatur gestellet, als der Implorant bey der gesambten Meisterschafft wegen seines wohlverhaltens einen guten nahmen habe, auch einer der ältister Candidatorum seÿe. auff seithen derer Hh. deputirten habe man das von seithen des Imploranten vorgekehrte petitum so beschaffen gefunden, daß dieselbe aus der declaration des Imploratischen Hn Zunfftmeisters es Zu der willfahr disponirt erachtet, weßwegen Sie der meinung seÿn sollen, daß der Implorant ex speciali gratiâ, gegen erlag 6 ß [pro] dispensatione, 3. lb. Löbl. Statt, 2. lb Imploratischer [Zunfft] und 1. lb. dem Findlinghauß heimfallen [sollen] vor dießes Jahr zu dem [Meisterstück dispensan]do, ref. exp. zu [Mheren Genehmhaltung] laßend. Erk. [Bedacht gefolgt]
Jean Michel Wittmann présente son chef d’œuvre dont les examinateurs sont satisfaits. Il est reçu maître.
1750, Protocole de la tribu des Tailleurs XI 346 (1735-1753)
(f° 594-v) Freÿtags den 25.ten Septembris 1750 – Erscheint unter Hn Johann Martin Gangolff, seinen Informatore, Michael Wittmann, der leedige Schneider Von Bretten gebürtig, welcher Vermög extr. Gn. Hh. der XV.en Memorialis Vom 5.ten 7.bris Jüngst dispensando Zum Meisterstück admittiret worden, bittet Ihme des quantum Zu einem Completen Mannskleÿd, so er Von drap d’Oelbeuff Verfertigen wolle, beneben denen Riß aufzugeben, Ist demselben mit 3 2/3 Stäb drap d’Oelbeuff N° 11, einen glaten Rock N° 19, einen Pantalon N° 3, einen Spannisch Kleÿd N° 18 einen Kurtzen Mantel willfahret worden.
Facta relatione et Examinatione der geschwohrenen Herren Meisterstück schauern, daß der Implorant ein Meisterstück nach ordnung wie recht Verfertiget, als ist derselbe Zu einem Mitmeister auf und angenommen worden.
Jean Michel Wittmann devient tributaire le 9 mars 1751.
1751, Protocole de la tribu des Tailleurs XI 346 (1735-1753)
(f° 608-v) Dienstags den 9.te Martÿ 1751 – Johann Michael Wittmannn der Schneider und burger allhier erhaltet auf prod. Stallschein vom 18. Januarÿ Jüngst das Zunfft und Stubenrecht.
Fils du boucher Jacques Wittmann de Bretten en Palatinat (près de Karlsruhe), Jean Michel Wittmann épouse en 1750 Catherine Elisabeth Rœmern fille du tailleur de limes Jean Christophe Rœmer : contrat de mariage, célébration
1750 (28. Sept.), Not. Griesbach (6 E 41, 1320)
Eheberedung – zwischen dem Ehrengeachten Michael Wittmann, dem leedigen Schneidern Weÿl. Jacob Wittmann, des gewesenen Metzgers Zu Bretten in der Pfaltz ehel. erzeugten Sohn, als hochzeitter ane Einem,
So dann der tugendsamen Jungfrauen Catharinä Elisabethä gebohrner Rehmerin, Hn Johann Christoph Rehmer, des feÿelhauers und burgers allhier mit frauen Anna Maria gebohrner Grauerin ehel. erzeugten tochter als hochzeiterin andern theils
auf Montag den 28. Septembris 1750 [unterzeichnet] Johann Michael Wittmann als hochzeiter, Catharina Elisabetha Römerin als hochzeiterin
Mariage, Saint-Nicolas (luth. f° 103-v, n° 20)
Mittw. 11. Novembr. 1750. seÿnd nach Zweÿmahl vorher geschehener Proclamation in der Evangelischen Pfarr: Kirche Zu St. Nicolai in den Stand der H. Ehe eingesegnet worden Johann Michael Wittmann der ledige Schneider und burger allhie, weÿl. Jacob Wittmann, geweßten Metzgers und burgers Zu Bretten, Chur Pfältzischer Herrschafft hinderlaßener ehel. Sohn, Und Jgfr. Catharina Elisabetha Roemerin Johann Christoph Römer des feilhauers und burgers allhie ehel. Tochter [unterzeichnet] Johann Michael Wittmann alls hochzeiter, Catharina Elisabetha Römerin als hochzeirin (i 106)
Jean Michel Wittmann devient bourgeois par sa femme deux mois apràs son mariage
1750, Livre de bourgeoisie 1740-1754 (VII 284) p. 437
Johann michael Wittmann der schneider Von Bretten in der Pfaltz erhalt das burgerrecht Vin seiner Ehefrauen Catharina Elisabetha christoph röm des burgers und fegelhauers ehel. tochter umb den alten burger schilling und will dienen beÿ EE Zunft der schneider jur. d. 8. Januar. 1751.
Les nouveaux mariés font dresser l’inventaire de leurs apports dans une maison proche du poêle des Jardiniers de la Krutenau. Ceux du mari s’élèvent à 31 livres, ceux de la femme à 224 livres.
1751 (22.3.), Not. Griesbach (6 E 41, 1313) n° 21
Inventarium über des Vorachtbaren Meister Johann Michael Wittmann, des Schneiders, mit Frauen Catharinæ Elisabethæ gebohrner Römerin, beeder Eheleuthe und Bürgere allhier Zu Straßburg einander Vor ohnverändert in den Ehestand Zugebrachter Nahrung, auffgerichtet Anno 1751. – der ursachen wegen, alldieweilen in dero vor mir Notario den 28.ten Septembris Jüngst auffgerichteten Eheberedung §° 4.to austrucklichen Versehen, daß einem Jeedem theil und seinen Erben, das in den Ehestand bringende Nahrungen ein freÿ, eigen, ohnverändert und Vorbehalten Guth seÿn und bleiben solle (…) So beschehen Straßburg in beÿseÿn Hn Johann Christoph Römer des feÿelhauers und Frauen Annä Mariä gebohrner Grauerin beeder Eheleuth und burgere allhier der Ehefrauen geehrten Eltern auf Montag d. 22. Martÿ 1751.
In einer allhier Zu Straßburg in der Crautenau ohnfern der Gartnerstub gelegenen behaußung folgender maßen befunden
Series rubricarum hujus Inventarÿ. Des Ehemanns in die Ehe gebrachtes Verheurathet mit, Sa. Silber und dergleichen Geschmeids 4, Sa. baarschafft 10, Summa summarum 14 lb – Und wann hierzu gerechnet wird die helffte ane denen haussteuren, so Ihme cafft der Eheberedung §° 6.to gebühren, 15. lb, So wird des Ehemanns sammbtlich in die Ehe gebrachtes Vermögen bestehen in 31 lb
Dießemnach Kommet auch der Ehefrauen vor ohnverändert in die Ehe gebrachte Nahrungen, Sa. haußraths 81, Sa. Silbers und dergleichen Geschmeids 13, Sa. goldener Ring 10, Sa. baarschafft 107, Summa summarum 212 lb – Und wann die helffte ane denen haussteuren so Ihre der Ehefrauen Vermög der Eheberedung gehören, darzu gelegt wied 15 lb, So thut Ihre sammbtliche Nahrung in allem ausmachen 224 lb
Jean Michel Wittmann et Catherine Elisabeth Rœmer font leur testament
1755 (1. Maÿ), Not. Griesbach (6 E 41, 1320)
Testament – 1755 (…) auf Donnerstags den Ersten Monatstag Maÿ abends Zwischen Sieben und Acht Uhren in Mein Notarÿ Wohnbehaußung (…) persönlich kommen und erschienen der Ehrengeachte Hr Michael Wittmann, Schneider und burger allhier, aufgrecht, gesund gehend und stehenden leibs (…) [unterzeichnet] Johann Michaël Wittmann
Testament – 1755 (…) auf Donnerstags den Ersten Monatstag Maÿ abends Zwischen 8 und 9 Uhren in Mein Notarÿ Wohnbehaußung (…) persönlich kommen und erschienen die Ehren und tugendsahme frau Catharina Elisabetha gebohrnee Römerin H. Michael Wittmann des Schneiders und burgers allhier eheliche haußfrau aufgrecht, gesund gehend und stehenden leibs (…) [unterzeichnet] Catharina Elisabetha Wittmännin
Jean Michel Wittmann est élu échevin chez les Tailleurs
1768 Conseillers et XXI (1 R 251)
Schöffen, Schneider, H. Joh: Michael Wittmann. 265.
Jean Michel Wittmann meurt en 1782 en délaissant sa veuve pour unique héritiere. Les experts estiment la maison à la somme de 450 livres. L’actif de la succession s’élève à 722 livres, le passif à 58 livres.
1782 (16.2.), Not. Fettich (Geo. Fréd. 6 E 41, 1308) n° 187
Inventarium über Weiland Herrn Johann Michael Wittmann Burger und Schneider meisters auch E.E. großen Raths wohlmeritirten beÿsitzers nunmehr sel. Verlaßenschafft, auffgerichtet Anno 1782. – nach seinem den (-) dieses laufenden 1782.ten Jahrs aus dießer welt genommenen tödlichen hientritt, Zeitlichen verlaßen hat. Welche Verlaßenschafft auf Ansuchen disortiger Wittib Frauen Catharinæ Elisabethæ gebohrner Römerin, als von ihrem nun verstorbenen Ehemann, zufolg hernach inserirten Testamenti clausi eingesetzten universal Erbin (…) So geschehen allhier Zu Straßburg und einer daselbst ane dem Goldgießen gelegenen in diese Verl. gehörigen behaußung in fernerer Gegenwarth Mr Johann Lucas Schaaff brs. und Küblers hieselbst, der Wittib beistand auf Sambstag d. 16. Februarÿ Anno 1782.
Vorbericht. Wie die vorher in Copia einverleibte Eheberedung §° 4.to ausweiset, so haben die diesortige nun durch den Zeitlichen tod Zertrennte Eheleuth ein ohnverändert Guth und Ergäntzung des abgehenden stipulirt auch ihre Illata ordnungsmäßig inventiren laßen. Da aber die hinterbliebene frau wittib die einige Erbin disortiger Verlaßenschaft ist, auch ihres Verstorbenen Ehemanns sel. letzter Willen angenommen (…) daß alles sub una Masa et titulo inventiret und beschrieben werden solle.
Eigenthum ane einer Behaußung. Nemlich eine Behaußung und hoffstatt mit allen deroselben begriffen, Weiten, Zugehörden und rechten alhier Zu Straßb. ane dem Goldgiesen, einseit neben der Gast behaußung Zum goldenen Apffel, anderseit neben H. Johann Lucas Schaaf dem Kübler, hinten au vorgedachte Gast behaußung Zum Apffell stoßend gelegen, so freÿ, ledig eigen und durch diesig. löbl. Stadt geschwornen hn. Werckmeisterer vermög deroselben as Conceptum hujus Inventarÿ gelieferter schrifftlicher Abschatzung d.d. 8. febr. 1782. æstimirt und angeschlagen worden pro 900 fl. oder 450. Hierüber besagt Kfr u. alh. CCstb errichtet d.d. 17. Aug. 1752. Dabeÿ ferner 3. ältere in gedachter C. C. stub über sothaner behaußung besagend Kfbr. vorhanden de datis 17. Decembris 1739, 12 Maÿ 1727 et (-) 1668.
Series rubricarum hujus Inventarÿ. Copia der Eheberedung – Copia Testamenti Clausi
Sa. haußraths 63, Sa. Silbers 8, Sa. gold. Rings 1, Sa. Eigenth. a. I. behßg. 450, Sa. Pzs. Hptg. 200, Summa summarum 722 lb – Schulden 58, Nach deren Abzug, Stall summ 664 lb
Copia der Eheberedung (…) So beschehen, auf Montag den 28. Septembris 1750. Johann Jacob Grießbach Notarius juratus
Copia Testamenti Clausi – Ich unterschriebener Johann Michael Wittmann burger und Schneidermeister auch Es. En. Grosen Raths dahier alter beÿsitzer (…) Straßburg den 27. Aprilis Anno 1781 – Copia Indulti Testandi
Abschatzung Vom 8.ten Hornung 1782. Auf begeren Weÿland Herr johann Michael Wittmann dem geweßenen schneuder Meyster ist Eine behausung alhie in der statt strasburg im Goldgießen gelegen Einseÿts neben Meister scheff dem Kibler anderer seÿts und Hinten auf die gast härberg Zum Goldenen apffell stoßend gelegen solche behausung bestehet in Einer schneuders boutique ferner in Zweÿ stuben Zweÿ Küchen und Etlichen Kammeren darüber ist der dachstuhl mit breÿzigel belegt hat auch Ein getremter Keller. Von uns unterschriebenen der statt strasburg geschworenen Werckmeister und Vorhero geschehener besichtigung mit aller jhrer gerechtigkeit dem jetzigen wahren werth nach Estimirt und angeschlagen werden Vor und um Neun Hundert gulden [unterzeichnet] Hueberl Götz Wmst, Kaltenr WMstr.
Catherine Elisabeth Rœmer se remarie en 1784 avec Jean Thiébaut Rimbach, marié en premières noces (1746) avec Marie Salomé Wurth puis (1754) avec Susanne Catherine Kopp veuve du batelier Jean Thiébaut Ulrich. La maison rue d’Or figure à l’inventaire de ses apports.
Catherine Elisabeth Rœmer meurt en 1807 en délaissant des héritiers collatéraux.
1807 (12.9.), Strasbourg 3 (31,1), Not. Übersaal n° 1031, 3915
Inventaire de la succession de Catherine Elisabeth Rimbach née Roemer veuve de Jean Tibaud Rimbach l’aîné, batelier, décédée le 23 juin 1807 – à la requête des héritiers collatéraux ab intestat ainsi que des représentans des héritiers testamentaires de Jean Michel Wittmann, tailleur d’habits et ancien assesseur au ci devant Grand Sénat de la ville de Strasbourg, premier mari de la défunte
héritiers collatéraux, I. descendans d’Anne Marie Roemer sœur de la défunte procréés avec Jean Vit Karcher menuisier, 1. les trois enfants d’Anne Marie Karcher procréés avec Jean Ehrenfried Hornig menuisier savoir a) Jean Geofroi Hornig menuisier majeur, représenté par Anne Marie Hornig pour 1/30, b) Charles Guillaume Hornig menuisier majeur pour 1/30, c) Anne Marie Hornig majeure pour 1/30, 2. Catherine Elisabeth Karcher femme de Jean Frédéric Bilger menuisier pour 3/30
II. les trois enfants de Jean Georges Roemer, tailleur de limes, frère de la défunte procréés avec feue Marie Dorothée Jung savoir 1) Jean Georges Roemer tailleur de limes pour 2/30, 2) Marie Dorothée Roemer épouse de Jean Georges Dieterich ferblantier pour 2/30, 3) Jean Daniel Roemer facteur de la forge du Bourgraviat de Dohna près de Bantzen dans la haute Lausitz pré Jean Georges Dieterich mandataire de (procuration à Beerwald) pour 2/30,
III. les trois enfants de feue Salomé Marguerite Roemer, sœur de la défunte, procréés avec Georges Frédéric Hüter, Perruquier, 1) Marie Marguerite Hüter fille majeure représentée par Michel Jacques Ungerer, candidat en théologie fondé de pouvoir (procuration à Niederbronn) pour 2/30, 2) Marie Madeleine Hüter femme de Jean François Antoine Oberthür perruquier pour 2/30, 3) Jean Jacques Hüter pasteur de la confession d’Ausgbourg à Niederbronn représenté par Michel Jacques Ungerer son mandataire de pour 2/30
IV. les sept enfants de Susanne Barbe Roemer, sœur de la défunte procréés avec Jean Albrecht Ungerer boucher 1) Jean Albrecht Ungerer fils boucher pour 1/35, 2) Susanne Barbe Ungerer femme de Georges Henri Kappes menuisier pour 1/35, 3) Marie Salomée Ungerer femme de Georges Frédéric Bosé cordier pour 1/35, 4) Marie Madeleine Ungerer femme de Jean Frédéric Schlegel boucher pour 1/35, 5) Jean Chrétien Ungerer boucher, 6) Christine Caroline Ungerer majeure à Neuwied représentée par Jean Albrecht Ungerer son frère pour 1/35, 7) Michel Jacques Ungerer candidat en théologie pour 1/35
V. les trois enfants de feue Marie Madeleine Roemer, sœur de la défunte, procréée avec Joseph Schumm tailleur savoir 1) Joseph Schumm aubergiste à Neuenlengbach dans la basse Autriche pour 2/30, 2) Frédérique Madeleine Schumm fille majeure pour 2/30, 3) Christine Marguerite Schumm majeure pour 2/30 – Observation, feu Jean Michel Wittmann, tailleur d’habits ancien assesseur, premier mari a institué pour son héritière universelle Catherine Elisabeth née Rimbach par son testament mystique déposé M° Fettich, Les héritiers Wittmann étant absens, il a été commis Me Chrétien Goeffroi Bossenius pour leur curateur
meubles 1366 fr, numéraire 63 fr, capitaux portant rente 1777 fr, dettes actives 1975 et 296 fr, total 5479 fr
Propriété d’une maison, Sçavoir une maison avec appartenances et dépendances située à Strasbourg au quartier des charrons ou rue d’or n° 4, d’un côté l’auberge a la pomme d’or, d’autre Jean Frédéric Schaaff bacquetier, derrière ladite auberge, le petit logement au premier étage etoit occupé par la défunte estimé à 50 fr, La boutique au rez de chaussée et le petit logement au second étage loué à Jean Michel Bohnert tailleur pour 100 fr, total 150 fr de revenu faisant en capital 3000 fr – Propriété constatée par actes passés à la Chambre des contrats les 14 septembre 1668, 12 mai 1727, 17 décembre 1739 et 17 août 1762
(Joints ; copie du Testament de Jean Michel Wittmann – Extrait du registre des décès de Strasbourg n° 2246, 19 pluviose 2, Jean Martin Schumm tailleur 25 ans fils de Joseph Schumm et Marie Madeleine Roemes en sa demeure rue de l’Epine n° 7)
Enregistrement, acp 103 F° 135 du 14.9.
Les héritiers vendent la maison au propriétaire Jean Geoffroi Schæffer
1807 (15.12.), Strasbourg 3 (53), Not. Übersaal n° 2005, 4052
Adjudication – Procès verbal d’enchère du 1 décembre à la requête des héritiers collatéraux de Catherine Elisabeth Rimbach née Roemer, veuve de Jean Tibaud Rimbach l’ainé batelier, décédée le 23 juin dernier, inventaire de la succession dressé par M° Übersaal le 12 septembre dernier
(n° 4092 du 29 décembre) sont comparus les héritiers collatéraux ab intestat Catherine Elisabeth Rimbach Roemer, veuve de Jean Tibaud Rimbach l’ainé batelier, décédée le 23 juin dernier, savoir Anne Marie Hornig majeure pour 1/30, Anne Marie Hornig procuratrice de Jean Geofroi Hornig menuisier pour 1/30, Charles Guillaume Hornig menuisier majeur pour 1/30, Catherine Elisabeth Karcher femme de Jean Frédéric Bilger menuisier pour 3/30, Jean Georges Roemer tailleur de limes pour 2/30, Marie Dorothée Roemer épouse de Jean Georges Dieterich ferblantier pour 2/30, Jean Georges Dieterich mandataire de Jean Daniel Roemer facteur de la forge du Bourgraviat de Dohna près de Bantzen dans la haute Lausitz (procuration à Beerwald) pour 2/30, Michel Jacques Ungerer, candidat en théologie, fondé de pouvoir de Marie Marguerite Hüter majeure, propriétaire à Niederbronn pour 2/30, Marie Madeleine Hüter femme de Jean François Antoine Oberthür perruquier pour 2/30, Michel Jacques Ungerer, mandataire de Jean Jacques Hüter ci devant pasteur de la confession d’ausgbourg de la commune de Niederbronn actuellement pasteur de la commune de Gries pour 2/30, Jean Albrecht Ungerer fils boucher pour 1/35, Susanne Barbe Ungerer femme de Georges Henri Kappes menuisier pour 1/35, Marie Salomé Ungerer femme de Georges Frédéric Bosé cordier pour 1/35, Marie Madeleine Ungerer femme de Jean Frédéric Schlegel boucher pour 1/35, Jean Albrecht Ungerer fondé de pouvoir de de Christine Caroline Ungerer majeure à Neuwied pour 1/35, Michel Jacques Ungerer candidat en théologie pour 1/35, Frédérique Madeleine Schumm et Christine Marguerite Schumm filles majeures fondées de pouvoir de leur frère Joseph Schumm aubergiste à Neuenlengbach dans la basse Autriche pour 2/30, Frédérique Madeleine Schumm fille majeure pour 2/30, Christine Marguerite Schumm majeure pour 2/30,
par jugement du Tribunal Civil rendu le 3 novembre dernier, M Chrétien Geoffroi Bossenius, curateur établi aux héritiers absens de Jean Michel Wittmann tailleur d’habits, defendeur, le Tribunal sans s’arreter à l’institution fidéicommissaire faite au profit des curands du défunt par Jean Michel Wittmann en son testament mystique déposé M° Fettich le 30 avril 1781 laquelle institution est déclarée abolie et sans effet dit et ordonne que la propriété des biens délaissés par le testateur s’est consolidée au profit de l’autrice défunte des demandeurs)
à Jean Geofroi Schaeffer propriétaire
une maison avec appartenances et dépendances située audit Strasbourg au quartier des charrons rue d’Or n° 4, d’un côté l’auberge a la pomme d’or, d’autre Jean Frédéric Schaaff baquetier, derrière ladite auberge – propriété constatée par actes passés à la Chambre des contrats les 14 septembre 1668, 12 mai 1727, 17 décembre 1739, 17 août 1752
personne ne s’est présenté
n° 4057 du 8 décembre personne ne s’est présenté
le 15 décembre criée 3000 francs – enchérie 3220 francs
Enregistrement, acp 104 F° 71-v du 16.12.
Jean Geoffroi Schæffer revend deux ans plus tard la maison au faiseur de treuils Jean Henri Edler
1809 (27.11.), Strasbourg 3 (56), Not. Übersaal n° 2484, 5131
Jean Geoffoi Schaeffer propriétaire
à Jean Henri Edler faiseur de crics
une maison avec appartenances et dépendances située en cette ville au quartier des Charrons ou rue d’or n° 4 d’un côté l’auberge à la pomme d’or, d’autre Jean Frédéric Schaaff baquetier, derrière ladite auberge – acquis de la succession de Catherine Elisabeth Roemer veuve de Jean Tibaud Rimbach l’ainé batelier suivant adjudication reçue par le soussigné notaire le 15 décembre 1807 – moyennant 2000 francs
Enregistrement, acp 113 F° 138-v du 27.11.
Jean Henri Edler épouse en 1808 Marguerite Salomé Reichard
1808 (4.10.), Strasbourg 2 (29), Not. Knobloch n° 3865
Contrat de mariage – Jean Henri Edler, faiseur de crics, fils majeur de Jean Daniel Edler, faiseur de crics, et de feu Marie Dorothée Schuler
Marguerite Salomé Reichard, fille majeure de Jean Daniel Reichard et de Marguerite Salomé Murr
Enregistrement, acp 108 F° 45 du 5.10.
Les nouveaux mariés font dresser l’inventaire de leurs apports.
1809 (19.1.), Strasbourg 2 (30), Not. Knobloch n°3997
Inventaire des apports de Jean Henri Edler, faiseur de crics, et Marguerite Salomé Reichard, suivant contrat de mariage reçu par le soussigné notaire le 4 octobre 1808
dans la maison ou demeurent les requérants rue du bétail n° 4
la femme, meubles 952 fr, numéraire 1000 fr, dettes actives, total 1952 fr
le mari, meubles 158 fr, numéraire 1855 fr, total 2018 fr
Enregistrement, acp 110 F° 14-v du 28.1.
Jean Henri Edler et Marguerite Salomé Reichard vendent en octobre 1818 deux maisons sises rue d’Or aux architectes Jean Chrétien Arnold et Daniel Fritz
1831 (13.1.), Enregistrement de Strasbourg, ssp 59 F° 145, ssp du 3 octobre 1818, vente
Jean Henri Edler, faiseur de crics, et Marguerite Salomé Reichard
à Jean Chrétien Arnold et Daniel Fritz les deux architectes
1. une maison ayant communauté de cour et de puits avec la maison Miltenberger ci devant Fries et avec celle appartenant à la fabrique de Nicolas affectée au logement du sacrisatin de ladite paroisse, sise à Strasbourg rue d’Or ou quartier des Charrons n° 25 entre Sr Krieg et Sr Wogelin boulanger, donnant par derrière sur ladite cour,
Plus une maison avec appartenances et dépendances sise en cette ville rue d’Or ou quartier des Charrons n° 4 entre l’auberge de la Pomme d’Or et la maison du Sr Jean Frédéric Schaaff baquelier donnant par derrière sur ladite auberge – avec tous droits (…) à la maison du Sr Krieg charron toutes les démolitions qui font suite à la démolition et reconstruction du pignon qui sépare la maison vendue de celle du Sr Krieg conformément au rapport d’experts du 17 août 1812
pour le paiement au Sr Arnold de 6662 francs et intérets de 838 fr, et 3237 fr au Sr Fritz pour solde principal de 6540 fr et intérets de 406 fr, plus 6000 fr audit Arnold et 754 fr d’intérêts plus audit Fritz 3000 fr et 317 fr d’intérêts, total audit Arnold 14.255 fr et Fritz 7021 fr ensemble 21.276 francs
Fils de l’inspecteur des bâtiments Philippe Jacques Paul Arnold, Jean Chrétien Arnold épouse en 1796 Catherine Dorothée Heitz, fille de l’imprimeur Jean Henri Heitz
1796 (6 germinal 4), Strasbourg 10 (31), Not. Zimmer n° 107
Eheberedung – persönlich erschienen, der Burger Johann Christian Arnold, Architecte allhier wohnhaft, des Burgers Philipp Jacob Paul Arnold, hießiger Gemeinde Bau-Inspector, mit Fraun Margaretha Salome gebohrner Zimmer ehelich erzeugter volljähriger Sohn, als Hochzeiter, ane einem
Sodann Jungfrau Catharina Dorothea Heitz, des Burgers Johann Heinrich Heitz, Buchdruckers allhier, mit Fruan Maria Sara gebohrne Weiß, ehelich erzeugte volljährige Tochter, beiständlich gemelten ihres Vaters, als Braut an dem andern Theil
de, 6. Germinal Abends in Vierten Jahr der Fränckischen Republick [unterzeichnet] Johann Christian Arnold, Catharina Dorothea Heitzin
Enregistrement, acp 39 F° 200-v du 11 germ 4 – revenu industriel 112 livres
Les nouveaux mariés font dresser l’inventaire de leurs apports. Ceux du mari s’élèvent à 3 202 livres tournois, ceux de la femme à 3 942 livres tournois.
1797 (16 vend. 6), Strasbourg 10 (12), Not. Zimmer, n° 113
Inventarium illatorum – bürger Johann Christian Arnold Architecte und Fr. Catharina Dorote geb. Heitz mit den bürger Johann Heinrich Heitz buchdrucker ihrem leiblichen Vater verbeistandet – vor unterschriebenem Notario den 6. germinal 4 errichteter Eheberedung
dem Ehemann in die Ehe gebrachtes Vermögens, so in einer an der Krautenau N° 102 gelegenen nicht hiehero gehörigen behausung
hausrath L 575, silbers 59, Gold 47, Schiff und Geschirr 120, schulden 2400, summa summarum L 3202
der Frauen in die Ehe gebracht guth, hausrath 1497, silbers 87, gold 357, schulden 2000, summa summarum 3942
Enregistrement, acp 54 f° 142 du 21 vend. 6
Jean Chrétien Arnold et son fils cèdent leur moitié de maison aux enfants du copropriétaire Jean Daniel Fritz
1838 (10.4.), Strasbourg 10 (94), Me Zimmer n° 2829
1. Jean Chrétien Arnold père, architecte, 2. Chrétien Auguste Arnold fils, architecte, et Elise Fleischmann
1. Daniel Frédéric Fritz, architecte, 2. Charles Chrétien Fritz, 3. Jean Guillaume Fritz les trois architectes, 4. Marie Salomé Fritz, 5. Sophie Fritz, 6. Christine Louise Fritz toutes trois rentières
les deux tiers appartenant par indivis auxdits Sr Arnold dans une maison avec appartenances & dépendances sise à Strasbourg rue d’Or n° 4 entre la veuve Schaaff & auberge à la Pomme d’Or, derrière la même auberge – acquis avec la maison rue d’Or n° 25 conjointement avec M. Arnold père pendant la communauté avec défunte son épouse et de feu Daniel Fritz, pendant le veuvage, de Jean Henry Edlen, faiseur de crics, et Marguerite Salomé Reichard par acte sous seing privé du 3 octobre 1818 enregistré le 13 janvier 1831 f° 145, ledit Edlen l’avait acquis du Sr Jean Geoffroi Scheffer par devant M° Ubersaal le 27 novembre 1809 – moyennant 2000 fr pour la totalité, soit 1333 francs
Enregistrement, acp 258 f° 86 du 174.
Originaire de Pforzheim, le compagnon charpentier Jean Daniel Fritz s’inscrit pour faire ses années d’épreuve chez Jean Geoffroi Weber et Jacques Paul Arnold.
1774, Protocole de la tribu des Charpentiers (XI 29)
(f° 35-v) Dienstag den 21.den Junii 1774 – Joh: Daniel Fritz der leedige Zimmergesell von Pforzheim gebürtig stehet vor und bittet, weilen Er das Handwerck nach Ordnung gelernet und verschiedene Jahre darauf gewandert, ihne in die gewohnliche Muthjahre einzuschreiben, Nach gehaltener Umbfrag wurde Erkannt, Seÿe dem Comparenten in seinem begehren zu willfahren, hierauf hat derselbe declarirt die verlangte Muthjahr beÿ Mr Joh: Gottfried Weber und M. Jacob Paul Arnold zu Verarbeithen.
Jean Daniel Fritz demande à faire son chef d’œuvre pour pouvoir épouser la fille d’un maître charpentier. Le conseil lui demande d’attester qu’il a passé un contrat de mariage
1779, Protocole de la tribu des Charpentiers (XI 29)
(f° 47-v) Donnerstag den 21.den Januarii 1779 – Erschienen Daniel Fritz der Gesell von Pforzheim gebürtig, stehet vor und bittet, weilen seine Muthjare bereits verfloßen, ihme Zu erlauben nach außgestandenem Examine den Riß Zum Meisterstück aufzunehmen und dieses nun somehr da Er Meister Helgensteins Tochter Zu heÿrathen gesonnen. Nach gehaltener Umbfrag wurde Erkannt, Seÿe dem Comparenten in seinem begehren Zu Willfahren, sobald er einen authentischen Extract aus dem mit gemelten Mr Heilgensteins Tochter getroffenen Ehe Contract denen Herren Schaumeistersn einhändigen werde.
Jean Daniel Fritz souhaite obtenir le sujet de son examen sans fournir le certificat. Le conseil refuse.
(f° 48) Dienstag den 23.ten Februarii 1779 – Joh: Daniel Fritz der leedige Zimmergesell, , von Pforzheim gebürtig, stehet vor und bittet weilen seit del 21.ten Junii 1776 seine Muthjare verfloßen ihm ohne Rücksicht auf eine Verheurathung, davon den 21.ten Januarÿ jüngst Meldung geschehen, Zu Aufnahm des Reißes und Verfertigung des Meisterstücks gelangen Zu laßen, und dieses um so mehr, da dermahlen keiner vorhanden, der das Meisterstück zu verertigen Verlanget. Nach gehaltener Umbfrag wurde Erkannt, Seÿe der Comparent mit seinem Gesuch samt Kösten ab: und an die Articul zu verweisen.
Jean Daniel Fritz porte l’affaire devant les Quinze. Les pages qui rendent compte de l’affaire manquent.
1779, Protocole des Quinze (2 R 189)
Johann Daniel Fritz Ca. E. E. Mstrschfft der Zimmerleuth. 118. 148. 169. 177. 188.
(p. 118) Sambstags den 6.ten Martii 1779. – Osterrieth nomine Johann Daniel Fritz des ledigen Zimmer gesellen von Pfortzheim gebürtig, Contra E. E. Meisterschafft der Zimmerleuth Obermeister producirt unterthäniges Memoriale juncto petito samt beÿlag sub Litt. A [puncto] admission Zum Meisterstück. Wilhelm bitt [Deput;] et Terminum ordiniis, Obtinuit.
(p. 148, p. 169, p. 177, p. 188 manquent)
Jean Daniel Fritz devient tributaire le 8 janvier 1783
1783, Protocole de la tribu des Charpentiers (XI 34)
(f° 27) Mittwochs den 8. Januarÿ 1783 – Neuzünfftiger ER
Erschienen Mr Daniel Fritz der Zimmermann von Pforzheim producirt Cantzleÿ Stall schein dedato 30.ten Decembris 1783. bittend ihne, in Kraft derselben bei dieser Ehrsamen Zunft aks einen Zünfftigen auf und anzunehmen, sub oblato præstanda Zu præstiren und die Gebühr Zu erlegen. Erkant, Gegen Erlang der Gebühr Willfahrt, Juravit.
Fils du charpentier Daniel Fritz de Pforzheim, Jean Daniel Fritz épouse en 1784 Marie Salomé Heiligenstein, fille du charpentier Jean Heiligenstein : contrat de mariage, célébration. Jean Heiligenstein fait donation à sa fille de sa maison rue des Poules à la Krutenau.
1784 (3.2.), Not. Schaeff (Jean Frédéric, 6 E 41, 873) n° 170
Eheberedung – persönlich erschienen, Herr Daniel Fritz, der Zimmer Meister und Burger alhier, H. Daniel Fritz des Zimmer Meisters und burgers Zu Pfortzheim, mit der Ehr: und Tugendsamen Fraun Barbara gebohrner Siegelin ehelich erzeugter Sohn, so majorennis und seiner Rechten selbsten genieset, als hochzeiter, ane einemn
Sodann die Viel Ehr: und tugendbegabte Jungfrau Maria Salome Helgensteinin, Hn Johannes Helgenstein, des Zimmer Meisters und burgers alhier, mit Weil. Frau Maria Elisabetha gebohrner Hetzelin, ehelich erzeugte Tochter beiständlich erstgemelten ihres Hn Vatersn als die Jungfrau braut ane dem andern theil
Achtens, cedirt und überläßt Hr Johannes Helgenstein, der Zimmer Meister und burger amhier, Jungfrauen Marie Salome Helgensteinin, der Jungfrau braut, seiner Tochter, welche auch beiständl. H. Daniel Fritz des Zimmer Meisters und burgers alhier ihres bräutigams, auf gleiche Weise an: und übernommen zu haben bekante, die von ihme bewohnende gantze behaußung, hoff und hoffstatt samt allen übrigen deroselben Gebäuden, begriffen, Weiten, Zugehörden, Rechten und gerechtigkeiten, gelegen alhier Zu Straßburg in der Vorstadt Krautenau ane der Hennen: Gaß, einseit neben Pfählerischen Erben, anderseit neben Hn Lt Ihlen, und hinten Zum theil auf Hn Rathh. Joh: David Zocher den Kunst: gärtner und Zum theil auf H. Lobstein den Handelsmann stoßend, so Herrn N. Fügner dem glaser: Meister u. burger alh. um 600 fl. verhafftet, sonsten aber des H. Cedenten und Vaters Versicherung gemäß gegen Männiglichen freÿ leedig und eigen, Solchemnach ist gegenwärtige Cession und Übernahm ertsbeschriebener behausung über abzug obigen darauf haftenden Capitals der 600 gulden, welche die Jgfr. tochter und braut vermittelts dieses übernimmt, (…) annoch Zugangen und beschehen vor und um die Summam von 1900 Gulden hiesiger Währung
Wohnung (…)
auf Dienstag den 3. Februarÿ anno 1784. [unterzeichnet] Daniel Fritz als hochzeiter, Maria Salome Helgenstein als hochzeiterin
Mariage, Temple-Neuf (luth. f° 138-v, n° 9)
Im Jahr 1784 Dienstags den 9. Martii (sind) ehelich eingesegnet worden Daniel Fritz lediger Zimmermeister und burger allhier, von Pfortzheim gebürtig, Hn Daniel Fritz, Herrschafftlichen Zimmermeisters und burgers daselbst und Frauen Barbara gebohrner Siegelin ehelicher Sohn, und Jgfr. Maria Salome Heiligensteinin Johannes Heiligensteins, Zimmermeisters und burgers allhier, und weiland Frauen Maria Elisabetha gebohrner Hetzelin eheliche tochter [unterzeichnet] Daniel Fritz las hochzeiter, Maria Salome Heiligensteinin als Hochzeiterin (i 140)
Jean Daniel Fritz devient bourgeois
1782, VI 370, 12 (Nouveaux bourgeois, 1781-1783) – Daniel fritz
Marie Salomé Heiligenstein meurt en 1816 en délaissant six enfants.
1816 (2.4.), Strasbourg 8 (14), Not. Roessel n° 3117
Inventaire de la succession de Marie Salomé Fritz née Heiligenstein décédée le 24 octobre dernier – à la requête de 1. Daniel Fritz maître charpentier le veuf, 2. Daniel Frédéric Fritz tailleur de pierres, 3. Marie Salomé Fritz non mariée, 4. Charles Chrétien Fritz charpentier, 5. Sophie Fritz non mariés ces quatre majeurs, 6. Guillaume Fritz et 7. Christine Louise Fritz les deux mineurs mais émancipés issus du mariage avec le veuf, contrat de mariage tel qu’il est copié à l’inventaire suivant contrat de mariage reçu Schaeff le 3 février 1784
dans une maison rue des Bestiaux fauxbourg de la Krautenau n° 40
propres aux héritiers apports 14 fr, garde robe 179 fr, mobilier 5000 fr (apports selon l’inventaire des apports 9688 fr) restent à remplacer 1409 fr, total des propres 6602 fr
communauté, mobilier 969 fr, outils bois 400 fr, créances 6400 fr, immeubles 27.200 fr, total de l’actif de la communauté 34.969 fr – passif 9177 francs
immeubles, Héritiers. La maison que le père de la défunte lui a cédé dans le contrat de mariagesituée en cette ville rue des Bestiaux fauxbourg de la Krautenau n° 40, entre les héritiers Pfaehler et le Sr Karcher tonnelier, elle aboutit en partie sur la propriété du Sr Zocher jardinier en partie sur la place dont il va être tantot parlé, Cette maison dans laquelle le veuf déclare n’avoir pas fait de réparations majeures est occupée par lui et les héritiers, estimée à 250 fr de revenu en capital 5000 francs Communuté. Suivant acte passé à la Chambre des contrats le 18 mars 1786 il a acquis de Jean Daniel Baër négociant et de Jean Frédéric Baër orfèvre au nom de leur mère Marie Salomé née Lobstein veuve Baër un jardin avec puits cour petite maison et dépendances située au susdit Faubourg, d’un côté la maison ci après mentionnée et à la propriété Zocher, d’autre à M Wagner négociant et à la veuve Graff derrière maison ci dessus inventoriée à celle de M Karcher et au jardinier Gohri, Duquel bien dont le sol forme aujourd’hui en grande partie un chantier le veuf et les héritiers jouissent eux mêmes, estimée à 300 fr de revenu en capital 6000 francs
Plus le Sr Fritz déclare avoir acquis de Kayser, emballeur à la douane, une maison sise audit fauxbourg rue dite Spiesengass quai des Chevaux n° 138, tenant d’un côté audit chantier, de l’autre au Sr Asal tisserand, derrière les héritiers Lauth, estimée à 60 fr de revenu, en capital 1200 fr
Et une maison sise à Strasbourg place St Etienne n° 18 à l’entrée de la rue de la Croix, d’un côté celle du Sr Glock brasseur, d’autre celle du Sr Kieffer chandelier, derrière la propriété du Sr Fabian – louée au Sr Jaeglé prêtre moyennant un loyer annuel de 1000 fr, revenu faisant en capital 20.000 fr, Sur ces deux acquisitions il ne s’est pas trouvé de titre
enreg. manquant F°
Daniel Fritz meurt en décembre 1822. La maison rue d’Or figure à l’inventaire de ses biens.
1824 (9.8.), Strasbourg 8 (38), Me G. Grimmer n° 167
Inventaire de la succession de Daniel Fritz, charpentier décédé le 12 décembre 1822 – à la requête de 1. Jean Daniel Fritz, tailleur de pierres, 2. Marie Salomé Fritz majeure, 3. Charles Chrétien Fritz, charpentier, 4. Sophie Fritz, majeure, 5. Jean Guillaume Fritz, charpentier, 6. Christine Louise Fritz majeure
Observations préliminaires, l’inventaire de la succession de Marie Salomé Heiligenstein épouse du défunt a été dressé par M° Roessel le 2 avril 1816
immeubles 1. la moitié d’une petite maison avec cour, puits, jardin & autres dépendances sise en cette ville rue des Bestiaux Faubourg de la Krautenau, entre la maison ci après désignée et propriété Zocher, derrière M. Wager négociant et la veuve Graff, estimée 2500 fr, acquise par acte passé à la Chambre des contrats le 18 mars 1786
2. la moitié d’une maison et dépendances sise en cette ville rie appelée Spiesengasse quai des Chevaux n° 138, d’un côté l’immeuble susdésigné, d’autre la Sr Asal tisserand, derrière les hoirs Lauth, évaluée à 500 fr, acquise du Sr Kayser emballeur à la Douane
3. la moitié d’une maison sise à Strasbourg place St Etienne n° 18 à l’entrée de la rue de la Croix, d’un côté celle du Sr Glock brasseur, d’autre celle du Sr Kieffer chandelier, derrière la propriété du Sr Fabian, estimée 8000 fr – la contre moitié des trois articles ci dessus dépend de la succession de Marie Salomé Heiligenstein épouse du Sr Fritz
4. le tiers par indivis à une maison ayant communauté de cour et de puits avec la maison Miltenberger ci devant Fries et avec celle appartenant à la fabrique St Nicolas affecté au logement du sacristain de ladite paroisse sise en cette ville rue d’Or quartier des Charrons n° 25, d’un côté le Sr Kreig charron, d’autre le Sr Waegeli, boulanger, derrière ladite cour, estimée 800 fr
5. le tiers par indivis d’une maison avec appartenances et dépendances en cette ville rue d’Or ou quartier des Charrons n° 4, entre l’auberge à la Pomme d’Or et la maison du Sr Jean Frédéric Schaaff baquetier, derrière ladite maison, estimée 400 fr – les deux autres tiers appartiennent à Jean Chrétien Arnold maçon. Le titres de propriété ne s’est point retrouvé
6. une maison construite en bois à rez de chaussée surmontée de deux étages avec un petit jardin sur le devant, cour, grange, écurie et puits située à Strasbourg Faubourg de la Krautenau rue de l’Abreuvoir n° 37, d’un côté la fabrique de chicorée appartenant au Sr Baumann, d’autre le Sr Kientz jardinier et Karcher propriétaires, devant la rue, derrière le Sr Fritz défunt, estimée 1920 fr, acquise de Chrétien Wick, charpentier, fondé de pouvoir de Marie Salomé née Schultz veuve de Jacques Margraff, maçon, et Marie Salomé Margraff femme de Vendelin Hähnemann, Catherine Marguerite Margraff femme dudit Wick, Marie Madeleine Margraff femme de Louis Danner, charpentier, Marie Anne Margraff et Elisabeth Margraff les deux majeures suivant acte reçu par M° Hatt le 30 novembre 1822
mobilier 859 fr, créances 130.400 fr, ensemble 144.620 fr et meubles ensemble 145.479 fr
Enregistrement, acp 169 F° 115-v du 16.8.
Les consorts Fritz vendent la maison à la veuve d’Adolphe Kieffer au nom de laquelle elle figure au cadastre en 1881.
Le tailleur Adolphe Kieffer épouse en 1857 Barbe Klinger, fille de cordonnier.
Mariage, Strasbourg (n° 118)
Du 2° jour du mois d’avril 1857 à dix heures du matin, Acte de mariage de Gustave Adolphe Kieffer, majeur d’ans, né en légitime mariage le 4 décembre 1832, fils de Jean Frédéric Kieffer, tailleur domicilié à Strasbourg, ci présent et consentant, et de feu Wilhelmine Dorothée Maucké décédée à Strasbourg le 25 février 1850, et de Barbe Klinger, majeure d’ans, née en légitime mariage le premier décembre 1835 à Strasbourg, domiciliée à Strasbourg, sans état, fille de feu Mathias Klinger, cordonnier décédé à Strasbourg le 5 mai 1852 et de Caroline Bachmann, sage-femme domiciliée à Strasbourg ci présente et consentante (…) il n’a pas été passé de contrat de mariage. Et aussitôt lesdits époux ont déclaré reconnaîre et légitimer Gustave Adolphe Kieffer né d’eux à Illkirch-Graffenstaden (BasRhin) le 17 septembre 1853 inscit le même jour sur les registres de l’état civil de ladite commune (signé) Kieffer, Klinger (i 18)
1871, (5.7.), M° Stromeyer
Inventar der Gütergemeinschaft die zwischen Gustav Adolph Kieffer Octroi Einnehmer und Barbara Klinger seiner Ehefrau in Straßburg existirt hat und vom dem Nachlass des Hn Kieffer den 20 Mai 1871. gestorben
errichtet von der Wittwe und Theilnehmerin der halben Gemeinschafft und als Mutter von Gustav Adolph Kieffer, ihr Sohn
acp 599 (3 Q 30 314) n° 1371 f° 56-v du 15.7. (Sterbeafall erklärt den 2. November 1871)
Gemeinschafft. Mobilien 636, Schuldschein 1477
Nachlas, Kleidung 46
Le receveur de l’octroi Gustave Adolphe Kieffer meurt en 1871 dans une maison quai des Bateliers après avoir fait un testament par lequel il lègue à sa femme la moitié de ses biens
Décès, Strasbourg (n° 1417)
Acte de décès. Le 21 Mai 1871 (…) Ont comparu Frédéric Kieffer âgé de 50 ans, Employé à la mairie frère du défunt domicilié à Strasbourg et Joseph Klingler, typographe, beau frère du défunt domicilié à Strasbourg lesquels nous ont déclaré que Gustave Adolphe Kieffer, âgé de 38 ans, né à Strasbourg, Receveur central de l’octoi époux de Barbe Klinger, domicilié à Strasbourg, fils de feu Jean Frédéric Kieffer, tailleur, et de feu Wilhelmine Dorothée Maucké, est décédé le 20 mai 1871 à six heures du soir en la maison Quai des bateliers 25 (i 44)
1871 (19.5.), M° Stromeyer
Testament von Gustav Adolph Kieffer, Octroi Einnehmer in Straßburg, Barbara Klingler seiner Ehefrau von der Nutzniesung seines halben Vermögens – gestorben 20. mai 1971.
acp 598 (3 Q 30 313) f° 77-v n° 938 du 29.5.