9, impasse Thomann


Impasse Thomann n° 9 – III 105 (Blondel), P 511-f (cadastre)

Aussi 7, rue du Roitelet. Parcelle réunie au 1-3, rue du Noyer à partir de l’exercice 1877



Façades ruelle du Roitelet et ruelle Marbach (impasse Thomann),
Elévations préparatoires au plan-relief de 1830, îlot 42 (© Musée des Plans-relief) 1

La maison qui comprend un jardin est la réunion de deux bâtiments adossés l’un à l’autre, donnant respectivement dans la ruelle du Roitelet et dans l’impasse Thomann ou ruelle Marbach. Elle appartient au XVII° siècle au boucher Jean Thiébaut Bechtold qui accorde en 1661 à son voisin Jean Barthelémy Notter le droit d’ouvrir une fenêtre vers sa propriété. Les bâtiments ne sont pas estimés lors de l’inventaire dressé après sa mort en 1671 parce qu’ils sont en mauvais état. Le journalier et tisserand Gabriel Sifferer devient bourgeois pour l’acquérir en 1697. Elle revient ensuite en 1711 par adjudication judiciaire au professeur à l’université Jules Reichelt qui accorde en 1716 à sa voisine le droit d’ouvrir deux fenêtres vers son jardin à condition de les munir d’un grillage. Elle reste une maison de rapport propriété de marchands pendant trente ans. Le tailleur Pierre Etter qui l’acquiert en 1742 y fait faire des travaux dont ceux de 1764 sont connus par un litige porté devant le conseil des Charpentiers. La maison estimée par les experts à une valeur minimale de 450 florins en 1732 passe à celle de 1 400 florins en 1767. Le compagnon maçon et manant François Joseph Scheller en devient propriétaire en 1781, il y fait faire des travaux en 1786 puis vend en 1792 la moitié de son jardin à son voisin Jean Conrad Kræutler.


La maison se trouve au centre de l’image, entre la ruelle du Roitelet et la ruelle Marbach (ensuite impasse Thomann) qui courent à l’horizontale (Plan-relief de 1725, Musée historique, cliché Thierry Hatt)

Cours D et E

L’Atlas des alignements (années 1820) signale une maison à rez-de-chaussée et deux étages en bois. Sur les élévations préparatoires au plan-relief de 1830, la façade vers la ruelle du Roitelet comprend les deux bâtiments à gauche du repère (f) : rez-de-chaussée à porte d’entrée et deux étages, toiture à deux niveaux de lucarne. Le repère (f) marque la limite entre les jardins séparés en 1792, La façade ruelle Marbach se trouve au-dessus du repère (b) : pignon à demi-toit et deux bâtiments à un étage. La partie (2-11) de la cour D se trouve derrière la ruelle du Roitelet, la cour (E) derrière les bâtiments ruelle Marbach.
La maison porte d’abord le n° 7 de la rue Marbach (1784-1857) puis le n° 9 de l’impasse Thomann.

Le maître maçon Jean Jacques Stotz fils l’acquiert en 1833 et la réunit à l’îlot entre la ruelle du Roitelet et la rue du Noyer (voir 9, rue Thomann). Un magasin et un hangar prennent la place de la maison d’après le cadastre.

octobre 2019

Sommaire
CadastreRelevé d’actes

Récapitulatif des propriétaires

La liste ci-dessous donne tous les propriétaires de 1612 à 1833, date de sa réunion à la propriété Stotz. La propriété change par vente (v), par héritage ou cession de parts (h) ou encore par adjudication (adj). L’étoile (*) signale une date donnée par les registres du cadastre.

Jean Thiébaut Bechtold, tripier, et (1615) Chrétienne Meyer, veuve de Jean Henri Christ, (1634) Anne Marie Haderbeck puis (1646) Marie Schallmeyer, veuve du marchand d’étoffes Jacques Aland – luthériens
1672* h Jean Georges Roth, boucher, et (1684) Anne Eve Bechtold femme en premières noces (1671) du boucher Jean Jacques Leitel – luthériens
1697 v Gabriel Sifferer, journalier et tisserand, et (1669) Elisabeth Bacher – luthériens
1711 adj Jules Reichelt, professeur à l’Université, et (1668) Madeleine Bressler, (1693) Catherine Kollœffel puis (1702) Anne Marguerite Stœffel, veuve du boucher Jean Philippe Kamm et du tanneur Jean Georges Minder – luthériens
1718 v Jean Christophe Reichard, marchand, et (1692) Anne Marie Brand puis (1714) Marie Cléophée Miville – luthériens
1727 v Laurent Græthel, marchand, et (1694) Marie Marguerite Lang puis (1715) Marie Susanne Graff, veuve du marchand Jean Arnaut Ruhland – luthériens
1742 v Pierre Etter, tailleur, et (1715) Marie Lang puis (1735) Susanne Salomé Müller, remariée (1768) au tailleur Jean Frédéric Schmidt – luthériens
indivis entre Jean Jacques Bayerlé, savetier, cordonnier, et (1721) Marie Salomé Specht puis (1768) Anne Marie Etter – luthériens
André Voltz, boulanger, et Chrétienne Etter – luthériens
1781 v François Joseph Scheller, compagnon maçon, et (1767) Anne Marie Gœppel – catholiques, manants
1833 v Jean Jacques Stotz, entrepreneur et architecte, et (1819) Cléophée Sophie Heitz puis (1836) Madeleine Sophie Remp

Valeur de la maison selon les billets d’estimation : 350 livres en 1704, 62 livres en 1717, 700 livres en 1767

(1765, Liste Blondel) III 105 Pierre Etter
(Etat du développement des façades des maisons, AMS cote V 61) Maisons Situées dans un Cul de Sac de St Thomas
(1843, Tableau indicatif du cadastre) P 511-f, Stotz, Jean Jacques, mre maçon – maison, sol – 1,54 are

Locations

1712, Jean Georges Thaler, tisserand
Georges Guillaume Grimm, apprêteur de tabac et (v. 1705) Marie Elisabeth Sifferer puis (1711) Marie Salomé Goll

Préposés aux affaires foncières (Bauherren)

1786, Préposés aux affaires foncières (VII 1422)
Le compagnon maçon François Joseph Scheller est autorisé à réparer sa maison rue du Roitelet et à poser une croisée

(f° 13-v) Dienstags den 31. Januarii 1786 – Frantz Joseph Scheller Maurer Gesell
Frantz Joseph Scheller, der Maurer Gesell, bittet zu erlauben sein Haus im Gollen Gäßel gelegen zu repariren und Ein Kreutzstock ein Zu setzen. Erk. Willfahrt.

Description de la maison

  • 1717 (billet d’estimation traduit) La maison comprend un petit bâtiment arrière, une cave solivée et un puits, le tout estimé avec la cour, appartenances et dépendances à la somme de 125 florins
  • 1732 (billet d’estimation traduit) La maison comprend un bâtiment arrière, plusieurs poêles, chambres, cuisine, vestibule, cave solivée et un puits, le tout estimé avec la petite cour, appartenances et dépendances à la somme de 450 florins
  • 1767 (billet d’estimation traduit) La maison comprend plusieurs poêles, chambres et cuisine, le comble est couvert de tuiles creuses et de tuiles plates, , cave solivée le tout estimé avec la petite cour, appartenances et dépendances à la somme de 1400 florins

Atlas des alignements (cote 1197 W 37)

1° arrondissement ou Canton ouest – Rue du Roitelet

nouveau N° / ancien N° : 8 / 7
Schaller
Rez de chaussée et 2 étages mauvais en bois
(Légende)

Cadastre

Cadastre napoléonien, registre 28 f° 136 case 1

Stotz Jean Jacques Mre maçon

P 511-f, sol, magasin et hangard – rue Marbach 7
Contenance : 1,54
Revenu total : 54,80 (54 et 0,80)
Ouvertures, portes cochères, charretières : 1
portes et fenêtres ordinaires : 54 (avec 511-a)
fenêtres du 3° et au-dessus :

Cadastre napoléonien, registre 22 f° 733 case 2
La parcelle est réunie à celle P 511-a à partir de l’exercice 1877

Stotz Jean Jacques, propriétaire
1873 Stotz Sophie Mathilde, Jakob Gottfried u. Karl Oskar
(ancien 481)

P 511-f, magasin et hangard, sol, Rue du noyer 1-3
Contenance : 1,54
Revenu total : 54,80 (54 et 0,80)
Folio de provenance : (136)
Folio de destination : 733-I
Année d’entrée :
Année de sortie : 1877
Ouvertures, portes cochères, charretières :
portes et fenêtres ordinaires : (avec 511-a)
fenêtres du 3° et au-dessus :

1789, Etat des habitants (cote 5 R 26)

Canton III, Rue 65 du Roitelet p. 132

7. Pr. Scheller, François, garçon Maçon – Manant
Lo. Glassmann, Jean, g. tisserant
Lo. Kirschbaur, Salomé, fille de bourgeois
Lo. Bergasse, Sebastien – invalide
Lo. Kirchhausser, Salomé, fille de bourgeois
Lo. Münch, Michel, Garçon tisserant
Lo. Zimmermann, Veuve
Lo. Walter, Marguerithe, fille de bourgeois
Lo. Staubin, Marie Anne, Veuve – Manante
Lo. Bühler, Veuve – Manante


Relevé d’actes

La maison appartient dans les années 1620 au tripier Jean Thiébaut Bechtold. Originaire de Rouffach, il épouse en 1615 Chrétienne Meyer, veuve de Jean Henri Christ

Mariage, cathédrale (luth. f° 13)
1597. Hans Heinrich Christ der metziger, Christina Hans Meÿer des Zeichters am arm brust Rein tochter (i 9)

Mariage, cathédrale (luth. f° 31)
1615. Dominica XII. den 27. Augusti. Hans Thiebold Bechtold von Ruffach der Metziger vnd Christina Hans Heinrich Christen des metzigers e. witwe, eingesegnet montag den 4. 7.bris (i 20)

Jean Thiébaut Bechtold acquiert le droit de bourgeoisie un mois après son mariage
1615, 2° Livre de bourgeoisie (4 R 104) p. 992
Hans Diebold Bechtoldt Von Rufach d. Metzger Empfahet d. Burg.recht Von Christina, Weÿl. hanß heinrich Christen deß Metzg.s Wittib Wüll Zu den Metzg. dienen Actum den 17. 8.bris A° 1615.

Jean Thiébaut Bechtold se remarie en 1634 avec Anne Marie Haderbeck, fille de l’aubergiste à l’Aigle noir.
Mariage, Saint-Guillaume (luth. f° 48)
1634. Dom. post festum novi anni 5. Jan. Hannß Diebold Bechtoldt Kutler v. burger alhie v. J. Anna maria wld. Hanß Had.becks gewesenen würth zum Schwartzen Adlern hind.laßene dochter. Mont. d. 21. Januarÿ (i 268)

Jean Thiébaut Bechtold épouse en troisièmes noces Marie Schallmeyer, originaire d’Offenbourg et veuve du marchand d’étoffes Jacques Aland
Mariage, Saint-Pierre-le-Vieux (luth. f° 75)
1646. Eodem [Dnca 14.Trinit. 30. Augusti.] Johann Theobaldt Bechtoldt Burg. Vndt Metziger alhie, Maria Jacob Alandt Burgers Vnd Kartenmachers alhier hinderlaßene Wittib (i 76)

Mariage, Saint-Pierre-le-Vieux (luth. f° 180)
1627. Dominica paschatos. Jacob Alend d. Weiß Krämer allhie, J. Maria Hanß Schallmeier deß Flichs. v. Rathsverwanden Zue Offenburg eheliche tochter, 3. Apr. (i 185)

Jean Thiébaut Bechtold, agissant par un mandataire pour cause de maladie, et sa femme Anne Marie Haderbeck, hypothèquent une maison rue des Bouchers et une autre rue Lang au Thomanloch au profit du tanneur Jean Thiébaut Rohr

1639 (4. Maÿ), Chambre des Contrats, vol. 482 f° 382
Erschienen Hanß Diebold Bechtold der Metzger burger Zu St. und Anna Maria Haderbeckin sein eheliche haußfraw mit beÿstand hanß Philipp vnd hanß Carol der Schäffer gebrüed. zwar Er hanß Philipp crafft hiebeÿ eingesteckhten Zedelins, weil derselb leibs halben nit außgehen Kan, ihrer hierzu insonderheit erbetener nechsten v.wanthen
haben in gegensein Hanß diebold Rohren deß Rothgerbers auch Burger. alhie – schuldig seÿen 50 lb
dafür in specie Vnd.pfand sein soll ein Vorder und hinder hauß, hoff, hoffstatt und Stallung mit allen and.en ihren gebäwen, alhie im Metziger güssen neben Jacob Schoners deß Eltern see. wittib && Lienhard Peter dem Weißbecken zum theil neben Seuerin Weissen dem Küeffer, hinnd. vff weÿl. Johann dieterichen s: Erb. So zuuor v.hafftet umb 400. R. Str. w. der Samblung Zum Offenburg, It. vmb 680. fl. H. Johann Wencker XV. So dann umb 100. fl. hanß Heinrich Christen deß Debitoris Stieff sohn, sonst eigen,
So dann hauß, hoffstatt und schöpfflin mit allen and.en ihren gebäuwen alhie im Thoman loch in der Langengaßen neben H Tobias Städel Alt Ammeister & Jacobs Adamen den Kornmeßer, hind. vf besagten Hn Ammeisters garten stoßend gelegen

Jean Thiébaut Bechtold passe un accord avec le tuteur de ses quatre enfants issus d’Anne Marie Haderbeck au sujet de la jouissance viagère qu’il a accordée à Marie Schallmeyer veuve du jardinier Jacques Aland dans la maison au Thomanloch

1646 (28. Augusti), Chambre des Contrats, vol. 497 f° 413-v
Erschienen hannß Diebold Bechtold der silber Bott Burger Zu Straßburg
in gegensein Christoph Möllingß deß Metzgers und Burgers alhie alß Vogts sein Bechtoldts mit Weÿl. Anna Maria Haderbeckhin seiner abgeleibter haußfrawen seel. ehelich erziehlter Vier Kind. Annæ Mariæ, Apoloniæ, hannß Diebolds und Annæ Barbaræ mit beÿstand H Georg Obrechten dero recht. Doctoris und E.E. Kleinen Rhats Advocati & Procuratoris alß ihr der Kind. Groß Muter Mariæ Göppin Weÿl. hannß Haderbeckhß deß Weißbeckhen seel. wittibin, Vogts, wie auch H Adam Burckhardts und H Johann Sebastian Leiterspergers beed. alß vß E.E. groß. Rhats mittel hierzu insonderheit Deputirter – schuldig seÿen Erstlich 50. lb. Morgengaab und dann 135. lib ohnveränderten Guts Ergäntzung (…)
denen Kindern in specie exprimirt sein die fol. 73. fac. 2. & fol. seq. fac. j. Inventarÿ beschriebene Behaußung im Thoman loch (…) Und dieweilen Er Bechtold Mariæ Schallmeÿerin weÿl. Jacob Ahlandts deß Gartenmanns seel. wittibin siner Hochzeiterin, den widemß Nutz. dißer angezogener Behaußung wafern Sie ihne überleb. würde vff ihr lebtag in der Eheberedung verschrieben, so ist Sie Maria mit beÿstand Martin Eberlins deß Krämers ihres Vogts hiebeÿ erschienen, Vnd Zwar dießen widembßnutz ihro geg. sonst. männiglich Vorbehalt. sich aber deß. gegen der obgemeldte ihre Stieffkind. Zu dero Schad. und Nachtheil nicht u gebrauch. noch sie dadurch ahne erhaltung ihrer Zahlung Zu hindern, außtruckhlich erclärt, ohne alle gefährdt.

Jean Thiébaut Bechtold accorde à son voisin Jean Barthelémy Notter le droit d’ouvrir une fenêtre vers sa propriété en confirmant par écrit un accord passé avec son père Ulric Notter

1661 (10. Aug.), Chambre des Contrats, vol. 526 f° 544-v
Erschienen hannß Diebold Bechtold der Metzg. an einem,
So dann hannß Barthol Notter der Schuhmach. am andern theil,
Demnach Er Bechtold, weÿl. H Ulrich Nottern geweßenen groß. Raths Verwanthen sein hannß Barthold Vatter, seel. aus nachbahrlicher Freundschafft, alberaÿt vor ohngefährd vier Jahren gegönnet hette, ein fenster in den Nottisch. Gäbel, geg. dem Jenig. ort, d. besagter Bechtold hiebevor ein baw stehen gehabt durchzubrech. Inmaß. dann solch. Fenster gemacht word. Und aber diß Precarium nicht Zu papÿr kommen seÿe, Damit dann darüber ins künfftig kein Mißverstand erstehe, will obgemelter hannß Barthol Notter alß ietzig. haußbesitzer für sich und alle seiner nachkommende possessoren berührter Notterisch. Behaußung geg. obernanntem hannß Diebold Bechtold für sich und alle deßen Nachkommen Besitzer der Bechtolisch. Behaußung /:alhie im Thomanloch theilß neben Zum theil hinder einand. geleg:/ erwehnt fenster für ein Recht precarium und bloße Nachbarliche Gönning recognoscirt word. erkannt und gehalten

Jean Thiébaut Bechtold hypothèque sa maison rue Lang au profit des enfants du marchand de soie Jean Paul Kolb. En marge, quittance accordée à Anne Eve Bechtold femme du boucher Jean Georges Roth

1663 (16. Jan.), Chambre des Contrats, vol. 528 f° 26
Erschienen hannß diebold Bechtold der Metzg.
in gegensein H Martin Bürckhels deß jüngern handelßmanns alß Vogts H Hannß Paul Kolben deß Seidenhändlers Kind. erster Ehe – schuldig seÿe 50 Pfund
Unterpfand sein soll hauß hoffstatt höfflin, mit allen deren Gebäwen, Begriffen, Zugehördten und Gerechtigkeit. alhie im Thomanloch in d. lang. Gaßen, einseit neben H Christoph Städeln alten Ammaÿstern anderseit neben weÿl. Jacob Adams gewesenen Statt Kornwerffers seel. Wittib, hind. vff hannß Henrich Meÿern v. Cons. stoßend gelegen
dabeÿ geweß. Anna Maria deß Schuldners Eheweib, welche beständig vorgegeben, daß sie kein ohnverändert Gut habe, sondern all der beÿd. Eheleuth Nahrung gemein und theilbahr seÿe
[in margine :] (…) in gegensein Annæ Evæ Bechtoldin hierin gemeldten debitoris tochter, mit beÿstand hannß Georg Rothen deß Metzgers Ihres Ehevogts (quittung) Actum d. 5.ten Mart. 1686

Jean Thiébaut Bechtold et sa femme Anne Marie hypothèquent la maison au profit de la mineure Jeanne Dorothée Welper

1670 (21. Junÿ), Chambre des Contrats, vol. 537 f° 371-v
Erschienen Hannß Diebold Bechtold der Metzger und Anna Maria sein Eheweib, Vnd zwar Sie Anna Maria insonderheit mit assistentz der Ehrenvest Fürsichtig und weÿsen H Johann Peter Schmidts und H. Andres Gebhard Rheinthalers beed. alß aus E.E. groß. Rhats mittel ahne statt nechtser Verwanther hierzu insonderheit Deputirter
in gegensein Johann Welpers deß Buchtruckhers alß Vogts Johannæ Dorotheæ Welperin – schuldig seÿen 25. Pfund pfenning
Unterpfand sein soll hauß hoffstatt höfflein und Schöpfflin mit allen deren Gebäwen, Begriffen, und Zugehördten alhie im Thomanloch in der lang. Gaßen, einseit neben H Christoph Städel alten ammaÿstern und Treÿzehnern anderseit neben H Jacob Wenckhern alten Treÿern der Statt Stalls, hinden uff Michael haffnern den leinenwebern stoßend gelegen

Jean Thiébaut Bechtold meurt en 1671 en délaissant quatre enfants issus d’Anne Marie Haderbeck et une fille issue de la veuve Anne Marie Schallmeyer. L’inventaire décrit les deux bâtiments qui composent la maison, sans donner lieu à une estimation à cause de leur mauvais état. Le titre le plus récent date de 1611. L’actif de la succession s’élève à 111 livres, le passif à 18 livres.

1671 (17.5.), Not. Oesinger (David, 37 Not 22) n° 8
Inventarium vnd Beschreibung Aller und Jeder haab, Nahrung vndt güethere, Ligendter vndt Vahrendter, So Weÿlandt der Ehrenhaffte Hannß Diebold Bechtoldt geweßener burger undt Kremp alhie Zue Straßburg sel. nach dienstags d. 21.ten jüngst Verwichenen Monats Martÿ diße Welt gesegnet, hindter Ihme Verlaßen, welche auff beschehen freündtl. vndt fleißiges bitten vndt begehren, deßelben hindterlaßenen Sohns vndt töchter, alß rechtmäßiger ab intestato auch p. testamenta instituirter Erben, wie auch derselb. H. Ehe vndt vögten vndt erbettenen Deputirter beÿstandts aller hernach benandt, fleißig Ersucht Jnventirt durch die tugendsame Fr. Annam Mariam Schallmeÿerin die hindterblibene Wittib mb& deß Ehrengeachten hanß Philipps Fleischmanns, Metzgers vnd burgers alhie Ihres geordneten vogts (…) So beschehen Mittwoch d. 17.ten Maÿ A° 1671.
Der Verstorbene sel: hat Zu Erben p. Testamentum nuncup. instituirt v. hind. laßen 1. Erstl. Annam Mariam Paul Schrötter Paßmentmachers Eheweib beÿ hamburg wohnhaft, 2. Hanß Dieboldt Bechtoldt d. Hoßenstricker burger Zu Regenspurg, der beed. weg. E. E. Kl. R. Mittel Deputirt word. der Ehrenvest Fürsichtig v. weiß H. Jacob Haprecht Zinngießers vndt wohlgedachten Raths Wohlverordneter beisitzer. 3. Apoloniam hannß Friderich Schneiders burgers v. weißbeckens alhie haußfr. 4. vnd Annam Barbaram Latzaro Kolben burgers vndt Paßmentmachers alhie Eheliche haußfr. Alle vier in vorgehendter Ehe mit weÿland Anna Maria Haderbeckin selig. Ehelich erzeugtten Sohn undt töchtere, wie auch
5. Annam Evam hannß Jacob Leuttels Metzgers alhie haußfrau, 6. Maria Cleophe hannß Michel Rimpachets burgers vndt Kürßners alhie, So Alle beÿ vorhanbendter Inventation Zuegegen geweß.
Bericht. Hernach Solte nuhn Vermög hievornen ein Verleibten Eheberedung die Verlaßenschafft separatim Inventirt vnd eines Jed. Ehegemächts in den Ehestand Zugebrachte Nahrung Inventirt v. beschrieben werden, Weilen Sie aber selbige nicht beschrieben v. Kheine Inventaria auffrichten laßen, Auch die hinterlaßene witwe eügens v. zeigens halben nicht geweßen v. ordentlich. bericht geben Khönnen, Alß ist dahien mittelt v. verglich. worden, das mann die gantze Verlaßenschafft durchauß Theilbar Inventiren solle.

In Einer In d. St. St. un dem thumenloch, und. Jung brunnen gäßl. gelegenen undt in dieße verlaßenschafft gehörig. behaußung So hernach beschrieb. wirdt, ist befund. worden wie volget.
Auff d. Oberst. bienen, In d. Kammer A, In der Kammer B, In d. Wohnstub, In d. Kuchen, Im hoff, In (*)ger hauß
Werckzeug Zum Schrein. 4. vngl. großn böhrer, 3 handseeg. vndt sonst allerhandt werckzeug zum treh. gehörig, 1. lb
Es im Gädel
Eigenthumb ane häußern. It. j. vorder vndt j. hin. hauß sampt hoff, hoffestatt v. j. bronnen auch all. d gebeüwen, begriff. weith. recht. vnd gerechtigkeit gelegen alhie in d. Statt Straßburg im tomenloch in der Lang gaß einseith neb. H: Jacob Wenckhern anderseith hernach beschrienener behaußung, hind. auff garten Michel Häffelin d. Leinenweber vndt burg. alhie stoßend geleg. Davon gehendt Jährlich 3. lb. 15 ß H. Martin Buckheln Jährlich auff Johannis Baptistæ ablößig mit 75. lb d. Item j lb 5 ß Jährlich auff Johannis Baptistæ ist in Capital ablößig mit 25. lb. H. Johann Welperten buchtruckern vndt händtlern Sonst allerdings freÿ ledig vndt eig.
It. Noch j. vorder vndt hindter hauß sampt schöfflin d. Zwisch. ist ein bor hauß über die Langegaß einseith neb. die vorstehend. behaußung die anderseith neb. Barbara N einer Schirms verwanthin alhie, hind. vff ein Allmendtgaß stoßend geleg. davon gehendt Jährlich auff Annunciationis Mariæ 2. lb. 10. ß Ablößig mit 50. lb dem wohl Edel vest fürsichtig vndt hochweiß. H. Christoph Städeln Alten Wohl verdienten Ammeistern diser St. St. sonst allerdings freÿ ledig vndt Eig.
Auff die vorstehendte Zweÿ häuser hat Jetzigerzeit weilen sie sehr bawällig v. die häußer in gering Preiß keine beßerung gesetzet werd. können. Über hie vorstehente behaußung besagt j. Pergamentene Kauffverschreibung mit d. St. Str: Contract Insigel verwahrt deren datum d. 23.t 7.bris A° 1611. Signirt mit N° 1. It. j. Pergamenten Insatz brieff von E. E. Kleinen Rath alhie mit deßelben anhangend. Insiegel verwahret deß. datum d. 5.ten Junÿ A° 1591. so auch mit N° 1 notirt
Abzug In dießes Inventarium. Sa. haußraths 81, Sa. Silbers 2, Sa. guldenen ring 2, Sa. Schulden 25, Summa summarum 111 lb – Schulden 18, Nach deren Abzug 92 lb
Summa finalis 92 lb

Les deux maisons (rue Lang et ruelle de la Fontaine de jouvence) reviennent à sa fille Anne Eve Bechtold, femme du boucher Jean Georges Roth, qui les vend en 1697 au journalier Gabriel Sifferer et à sa femme Elisabeth Bacher

1697 (4.7.), Chambre des Contrats, vol. 569 f° 319-v
Anna Eva geb. Bechtoldin, hans Georg Rothen deß Metzgers haußfrau mit beÿstand ihres Ehevogts
in gegensein Gabriel Sÿferer deß taglöhners und Elisabethæ geb. Bacherin [unterzeichnet] Gabriel Sifferer, elisabet siffertrin
Zweÿ haüßer mit Ihren hoffstätt. höfflein auch Gärttlein sambt allen andern Gebaüen rechte und zugehördt. welche beede haüßer hinden einander stoßen und mit einer darzu gehörigen Mauren und. schied. seind, darvon das eine hauß im thomen loch in der langen gaßen genandt einseit neben henrich Jancke dem wächter and. seit neben hans Georg Hügelin dem Maurern
das andere im Jungenbronnen gaßlein, so anjetzo d. Marbachs gaßlein genandt wird, einseit neben H. Hans Daniel Städel dem Specereÿ händler anderseit neben Catharinam geb. Soderin H. Joh: Heinrich Schreibers Cantoris geschiedene haußfr. gelegen – umb 175 pfund

Les acquéreurs hypothèquent le même jour les maisons au profit du professeur de mathématiques Jules Reichelt

1697 (4.7.), Chambre des Contrats, vol. 569 f° 320
Gabriel Sÿferer der Maurer taglöhner und Elisabetha geb. Bacherin
in gegensein Hn Julÿ Reichelts, Mathem. Professor. Publ., schuldig seÿen 175 pfund, daß Sie damit hernach beschriebene zweÿ haüßer hab. erkauffen und völlig bezahl. können
unterpfand, Zweÿ haüßer p perge auß immediate vorstehend. Verschreibung

Fils d’un culottier d’Offenbourg, Gabriel Sifferer épouse en 1669 Elisabeth Bacher, fille de tisserand
Mariage, Saint-Thomas (luth. f° 1)
1669. Dom. Rogate et Exaudi den 16. v. 23. Maÿ. Gabriel Süferer der Leinenweber, Gabriel Süferers deß Hosenstrickers von offenburg ehelicher Sohn, Jungfr. Elisabeth, weÿland Geörg Bachers gewesenen burgers vnd leinenwebers allhier nachgelaßene eheliche tochter. Eingesegnet zu St. Thoman montag den 24. Maÿ (i 2)

Le journalier Gabriel Sifferer originaire d’Offenbourg devient bourgeois en juin 1697 avec sa femme Elisabeth Reffes, fille d’un tisserand de Strasbourg, en apportant quatre enfants
1697, 4° Livre de bourgeoisie p. 689
Gabriel Siferer, der taglöhner Von Offenburg, Weÿl. Gabriel Siferers gew: hoßenstrickers daselbst hinterl. Ehl. sohn, empfangt das burgerrecht von Elisabeth weÿl. Georg Reffes gew: leinenwebers allhier hint. tochter seiner haußfrawen gratis, mit ihren 4. Kindern ist es beÿ ordnung Gelaßen worden, Vnd werden beÿ E. E. Zunfft Zur Mörin dienen. Jur. d. 1. Junÿ 1697.

Gabriel Sifferer meurt en 1704 en délaissant cinq enfants. Les experts estiment la maison 350 livres. L’actif de la succession s’élève à 51 livres, le passif à 133 livres.

1706 (5.6.), Not. Kolb (Jean Pierre, 23 Not 4) f° 155
Inventarium und Beschreibung aller der Jenigen Haab und nahrung, so weÿl. Gabriel Sifern geweßener tagner und burger alhier den 26. 9.bris deß abgelegten 1704. Jahrs genommenen tödlichen ableiben Zeitlichen verlaßen, welche auf freundliches ansuchen erfordern und begehren des bescheidenen Mstr Hanns Jacob Kirchmeÿer huthmachers auch burgers Zu Straßb. als geschwornen vogten Mariæ Elisabethæ, Joh: Christoph, Joh: Philipp, Joh: Martin und Christian aller fünff gebohrne Siferer sein des Verstorbenen mit deßen hinderbliebener W. Ehelich erzeugtter hinderlaßener Kinder inventirt u. ersucht durch die die W. Fraw Elisabeth Sifererin gebohrner Bacherin zum theil mit beÿstand Hannß Geörg Kirchenbaurs des tagners und burgers alhier, u. theils erstgedachter Vogten (…) Actum Straßb. auf Sambstag den 5. Junÿ A° 1706.

In einer alhier in der Statt Straßb. im tommenloch sogenandten Marbachs gessel gelegenen und hernach beschriebener behausung ist befunden worden wie volgt
in der Soldaten Cammer, vor dem gemach in der obern Cammer, in der nebens Cammer, im unteren haußöhren, im underen stübl.
Vergleich Zwischen weÿl. Gabriel Sÿfferts Tagners vnd burgers alhie seel. hinderlaßenen 5. Kindern einßen, So dan andern theils Frr. Elisabetha Sÿffertin gebohrner Bacherin der Wittib und Mutter getroffen. Zuwißen daß nach deme (die verlaßenschafft) inventirt worden, worauf sich dan dem darüber gezogenem Calculo nach, herfürgethan daß die passiva die inventirte geringe Nahr. ein Merckliches übertroffen, vnd also fast gescheinen als dörfe diße Verlaßenschafft zusammen der Mutter und Kindern in eine weitläuffigkeit außschlag. dahero um solchen abzuhelfen haben sich die wittib und Erben, Nahmentlich Fr. Maria Elisabeth Grimmin gebohrne Sÿffertin beÿständlich ihres Ehevogts, Georg Wilhelm Grimmen tabacmachers v. Schirms Verwanthen alhier, ferner Joh: Philipp Sÿffert, Schiffmacher, Item Joh: Martin Sÿffert tabacmacher bede burgere alhie, So dann Joh: Jacob Kirchmeÿer huthmacher V burger alhier als geschwornener Vogt Christian Sÿfferten auff dato zu end gemelt beÿ dem Inventarÿ Concept, und Zwar Er der vogt mit vorbehalt fernerer genehmhaltung E. löbl. Vogteÿ gerichts sich dahin gütlich Verglich und auf deren respê. vatters seel. Verlaßenschafft tam active quam passive wohlbedaächtlich renuncirt und Verzug gethan (…) Straßburg den 7. 9.bris 1707. [unterzeichnet] elisabeth sifferdin
Eÿgenthumb ane einer behauß. It. eine behaußung sambt hind häußel, höffl. bronnen vnd gärthl. mit allen deren rechten und zugehörd. alhier in der Statt Straßb. im thomen loch im fünfften Schlupff eins. neben Fr. XV. Städelin wittib 2.s. neben Heinrich Jancki dem garde beÿ Jeweilig. regirend. Hh. Ammeister, hind. auf ein allmend gäßlin stoßend geleg. welche undern 6. Julÿ 1706. durch die geschworne Hh. Werckmeistere der Statt Straßb. dem Jetzig. Preiß nach æstimirt und angeschlag. worden umb 350. fl. macht 175. lb d. Davon gehet ab 8 lb 15 ß d Zinß solle man Jahrs ayf den 4. Junÿ hn Julio Reichert Mathem. Professor: Pub. ablößig in hg. mit 175. lb d. Darüber soll besagen j. perg. Kbr. in alhießuger Cancelleÿ Contract stuben gefertigt so cih aber beÿ geg.wertiger Inventation nicht befund. sondern beÿ H. hammen dem Silberarbeiter dem bericht nach versetzt sein.
Norma hujus inventarii., Bericht ane statt der Eheberedung. Zu Wißen daß beÿ Eingangs dießen inventation die wittib berichtet, daß Sie Zwar mit dero Ehemann seel. vormals eine Eheberedung auffgerichtet hette, solche seÿe auch vor etlich. Jahren als Sie separirt word. beÿ handen gewesen seÿe aber nachgehends durch dero Ehemann seel Verlohren gang. und weil Sie sich nicht gar wohl Zu erinnern weiß, woselbe gemacht worden, wolle Sie sich ihre Recht vorbehalt. haben, In zwischen aber umb dieße Inventation zu befordern die Verlaßenschafft zur Zeit vor theilbar passiren laßen, obwohlen dero man seel. nichts in die Ehe gebracht habe und solches Zum bericht.
Sa. haußraths 50, Sa. Silbers 15 ß, Summa summarum 51 lb – Schulden 133 lb die passiv: Schulden übertreffen die activ Nahrung 82 lb
Abschatzung den 6. Julÿ aô 1706. Weÿlandt des Ehrhafften und bescheidenen Gabriel Sifridt seel: hinter laßene Wittib und Erben ist eine behausung allhier in der statt Straßburg im fünfften schlupff gelegen, einseits neben der Fr. XV. Städelerin, anderseits neben Heinrich Jancki, hinden auff ein Allmen Gäßlein stosendt Welche behausung hinder hauß, hoff, und bronnen sambt aller gerechtigkeit wie solches durch der statt Straßburg geschworene Werckleüthe sich in der besichtigung befunden und jetzigem Preiß nach angeschlagen wird Vor undt Umb Dreÿhundert undt Fünffzig gulden. Bezeichnus durch der statt Straßburg geschworene Werckhleuthe. Jacob Staudacher Werck Meister des Maur hoffs. Johann Jacob osterrieth Werck Meister deß Zimmer Hoffs

Acte de sépulture de Gabriel Sifferer âgé de 64 ans le 6 décembre 1704.
Sépulture, Saint-Thomas (luth. reg. 1687-1711 f° 111)
den 6. Xbris A° 1704 ist Vormittags umb halb 5 uhren gestorben Gabriel Seÿferer, leinen Weber V. burger allhier, seines alters 64 jahr, ist arauff den 8. Eiusd. Zu St.Helenen begraben, V. durch mich die leichpredigt gehalten worden, bezeugen solches [unterzeichnet] Gabrielsÿfferer als so* (i 116)

Les préposés de la Taille font figurer la succession d’Elisabeth veuve de Gabriel Sifferer dans leur registre parce que deux enfants non bourgeois doivent régler le droit de détraction, Marie Elisabeth femme de l’apprêteur de tabac Georges Guillaume Grimm et Chrétien Sifferer
1709, Livres de la Taille (VII 1174), f° 73-v
(Möhrin, A., N. 154) Weÿl. Frauen Elisabethæ auch Weÿl. Gabriel Sÿferers geweßenen Leinenwebers und burgers alhier hinterbliebener Wittib Verlaßenschafft inventirt H. Not. Kolb.
Concl. fin. Inv. ist fol. 39 – 36. lb 3 ß
Extat d. Stallgeltt pro 1708 mit 3 ß
So thun die Gebott 1 ß 4 s
Und dann die Anbhandung 2 ß 6 d, Summa 6 ß 10 ß
Abzug. Maria Elisabetha, Geörg Wilhelm Grimmen des tabackbereiters und Schirmers alhier Haußfrau, hat von Mütterl. Erbe d. 7. lb. 15. ß. 6 d. ane Abzug zu erlegen, 15. ß. 6. ½ d
Ingleichen Christian Sÿfridt d. noch Ledige und ohnverburgerte Sohn 2. lb. 12. ß. 7. ½ d.
dt. omnia d. 4° Martÿ 1709.

Georges Guillaume Grimm se remarie en 1711 avec Marie Salomé Goll, fille de tailleur : contrat de mariage, célébration
1711 (5.7.), Not. Mader (6 E 41, 693)
Eheberedung – zwischen dem Ehren: und vorgeachten Georg Wilhelm Grimmen dem Tabackbereiter und burgern allhier alß dem Bräutigamb ane einem,
So dann der Tugendsamen Jungfrauen Maria Salome Gollin, Weil daß Ehrengeachten H. Johann Heinrich Gollen geweßen Schneiders und burgers allhier mit auch Weÿl. Anna Ursula gebohrner Mehlerin seiner Ehefrauen seel. Ehelich erzeugter tochter alß der Jungfrauw Hochzeiterin am andern theil
So geschehen in der Königl. freÿen Statt Straßburg auff Sontag den 5. Julÿ Anni 1711 [unterzeichnet] Georg Wilhelm grim Als hochzeitter, maria salome gollin als hochzeiterin

Mariage, Temple-Neuf (luth. f° 228 n° 22)
1711. Mitwoch den 8. Julÿ Seind nach 2 mähl. Proclamation ehl. copulirt worden Georg Wilhelm Grimm der Tabackbereiter b. u. Wittiber allhier und J. Maria Salome, weÿl. Johann Heinrich Gollen gew. burgers und Schneiders allhier hinterl. ehl. tochter [unterzeichnet] Georg Wilhelm grim, Maria salome gollin als hochzeiterin (i 227)

Fils d’un manant de Strasbourg Georges Guillaume Grimm (ici noté Grumann) devient bourgeois par sa femme Marie Salomé Goll
1711, 4° Livre de bourgeoisie p. 785
Georg Wilhelm Grumann, der tabackmacher Von hier, weÿl. Georg Willhelm Grumann gew. Rittmeisters, empfangt das burgerrecht Von seiner Fr: Maria Salome Gollin p.2. gold fl. 16. ß Wird beÿ E. E. Zunfft Zur Mörin dienen. Jur: d. 17. Dito [7.bris] 1711.

Les nouveaux mariés font dresser l’inventaire de leurs apports dans une maison sise au Jardin aux Roses près du Thomanloch. Ceux du mari s’élèvent à 39 livres, ceux de la femme à 103 livres.
1713 (6.3.), Not. Mader (6 E 41, 667) n° 120
Inventarium undt Beschreibung aller der Jenigen Haab undt Nahrung, So der Ehrsame undt bescheidene Georg Willhelm Grimm der Tabackbereiter und Fraw Maria Salome Grimmin gebohrne Gollin beede Eheleüthe undt burgere allhier zu Straßburg einander in den Ehestand zugebrachter Nahrungen (…) So geschehen in der Königlichen Freÿen Statt Straßburg Montag den 6. Martÿ 1713.
In Einer in der Statt Straßburg in dem Roßengarten ohnfern beÿm Thomenloch gelegenen in dieße Nahrung nicht gehörigen behausung ist befunden worden wie volgt
Series rubricarum hujus Inventarÿ. Des Mannß in den Ehestandt gebrachte Nahrung, Sa. haußraths 35, Sa. Silber geschirr v. geschmeid 4, Summa summarum 39 lb
Der Frawen in die ehe gebrachtes Vermögen, Sa. haußrath 44, Sa. Silbergeschirr 21, Sa. Goldener Ring 3, Sa. baarschafft 27, Sa. Pfenningzinß hauptguth 25, Summa summarum 103. lb

Georges Guillaume Grimm meurt en 1721 en délaissant une fille issue de son premier mariage avec Marie Elisabeth Sifferer (Sifridt). La masse propre à la veuve est de 90 livres, celle des héritiers de 4 livres. L’actif de la communauté s’élève 52 livres et le passif à 10 livres.
1721 (24.3.), Not. Mader (6 E 41, 678) n° 397
Inventarium über Weÿland deß Ehren und Vorgeachten Georg Willhelm Grimmen geweßenen tabackbereithers und burgers allhier zu Straßburg nunmehr seel. Verlaßenschafft auffgerichtet Anno 1721. – nach seinem den 2.ten Martÿ deß gegenwärtigen 1721.ten Jahrs beschehenen tödtlichen ableiben Zeitlichen verlaßen, Welche Verlaßenschafft dann auf freundliches ansuchen erfordern und begehren deß Ehrsahmen Johann Melchior Weißhaars Tabackbereiters und burgers allhier alß geschwornen Theil Vogts Jgfr. Mariä Elisabethæ Grimmin deß Verstorbenen seel. mit auch weÿl. Maria Elisabetha Gebohrner Sÿfridtin in erster Ehe erzeugter Tochter und ab intestato einztiger Erbin Inventirt und ersucht durch die tugendsahme Frau Mariam Salome Grimmin gebohrne Gollin die hinterbliebene Wittib beÿständlich deß Ehrengeachten Herrn Johann Gollen Schneiders und burgers allhier dero geschwornenn Vogts auff Zu Vorher beschehene genugsahme anerinner und ableßung deß Gewohnl. Articuls deß Eÿdts. So Geschehen in der Königl. freÿen Statt Straßburg auff Montag d. 24.ten Martÿ A° 1721.

In Einer in der Statt Straßburg ane dem Thomanloch in dieße Verlaßenschafft nicht gehörig. behaußung ist befunden worden, wie volgt.
Ane Höltzen und Schreinwerck. In der Cammer A, vor dießem gemach, In der Wohnstub,
Series rubricarum hujus Inventarÿ. Copia der Eheberedung
Der Wittib Nahrung, Sa. haußraths 8, Sa. Silbers 1, Sa. Goldener Ring 1, Sa. der baarschafft 15 ß, Sa. Pfenningz. Haupt Guths 50, Sa. Schulden 25, Sa. der Ergäntzung 3, Summa summarum 90 lb
Der Erbin guths belangend, Sa. Haußraths 10, Sa. Silbers 1, Sa. der baarschafft 10, Sa. der Ergäntzung 6, Summa summarum 29 lb – Sa. Schulden 25. lb, compensando 4 lb
Das theilbare Vermögen, Sa. haußraths 8, Sa. Tabachs 15, Sa. Silbers 15 ß, Sa. der baarschafft 25, Sa. der Schulden in die Nahrung 1, Summa summarum 52 lb – Schulden 10 lb, Nach deren Abzug 41 lb

Les deux petites maisons reviennent par une vente judiciaire du 9 avril 1711 (voir plus loin) au créancier Jules Reichelt.
Fils de tailleur, Jules Reichelt épouse en 1668 Madeleine Bressler, fille de pharmacien. Il se remarie en 1693 avec Catherine Kollœffel, fille de receveur, puis en 1702 avec Anne Marguerite Stœffel, successivement veuve du boucher Jean Philippe Kamm et du tanneur Jean Georges Minder

Mariage, Temple-Neuf (luth. f° 97-v, n° 5)
1668. Dom. invocavit. Zum 2.mal hr Julius Reicheld Prof. Mathematum bei hiesiger Universitet Weiland Julij Reicheld Schneiders u. Burgers alhier nachgelaßener ehel. Sohn undt Jfr. Magdalena Weiland hr. Johann Breßlers gewesenen Apoteckers u. Burgers alhier nachgelaßene ehel. Tochter – Donnerstags den 27.ten Febr: Münster (i 100)

Mariage, Saint-Thomas (luth. f° 39, n° 199)
Heut den 30. Sept. 1693. ist (…) auff Obrigkeitliche erlaubnuß in seinem hauß eingesegnet word. H. Julius Reichelt beÿ löbl. universität professor Mathes. et Capit. Thom. Canonicus mit Jgfr. Catharina weÿl. H. Johann Carl Kohllöffels gewesenen schaffners Zur Charteuß allhier nachgelaßene ehelich. tochter [unterzeichnet] Julius Reichelt alß Hochzeiter, Catharina Kolefflin alß Hochzeiterin

Mariage, Saint-Thomas (luth. f° 86, n° 471)
Eodem [den 15 februarÿ 1702] ist auff obrigkeitliche erlaubnus nach geschehene ordentlicher außruffung auff der Zunfftstub Zum Ancker eingesegnet worden Salv. Tit. H. Julius Reichelt, beÿ hiesiger Universität Mathematum professor publ. ordin. undt beÿ dem collegiatstifft S. Thomæ Decanus mit fr. Anna Margaretha weÿl. H. Johann Georg Minders, gewes. burgers undt Rothgerbers nachgelaßener wittib [unterzeichnet] Julius Reichelt alß Hochzeiter, als hochzeitterin, Heinrich Lobstein als der Fraw hochzeiterin Vogt (i 88)

Mariage, Saint-Nicolas (luth. f° 271-v, n° 20)
1664 – Domin. 1. et 2. Advent: Hanß Philips Kamm der Metzger und burger alhie: und Jungfr. Anna Margareth weÿl. hrn Christophen Stöffels geweßen Burgs. alhe hind.laßene Eheliche Tochter. Copulirt zu St: Niclaus, 10 br post preces publ. (i 290)

Mariage, Saint-Thomas (luth. f° 41-v, n° 215)
Heüt den 12 Maÿ 1694 ist (…) Copulirt word. H. Johann Georg Mündter burger Rothgerber und lederbereiter, und fr. Anna Margaretha, weÿl. H. Joh: Philip Kammen burgers undt Metzgers nachgelaßene wittib gebohrne Stöffelin [unterzeichnet] Hanß Georg Mündter Alß Hochzeiter, Anna Margaretha Kammin als hochzeitterin, Henrich Lobstein als der Fraw Hochzeiterin Vogt, Johann Christian Hornuß Als deß H. hochzeiter Schw* (i 44)

Mariage, Saint-Nicolas (luth. f° 258, n° 20)
1664 – Eodem tempore [Dom. XXIV. Trin. et I. adv. 21 et 28. 9.bris] Hanß Philipps Kamm der Metzger, Hn hans Kammen Gastgebers Zum Hirtzen Und burgers alhie hinterlaßener ehelicher sohn Vnd J. Susanna, H. Joh: Friderich Pfeffingers, eines Ehrs. Großen Rhatts alhie alten beÿsitzers, hinterlaßene eheliche Tochter – St. Claus Montag 29. 9.bris (i 276)

Jules Reichelt loue les maisons au tisserand Jean Georges Thaler

1712 (11.2.), Chambre des Contrats, vol. 585 f° 108-v
hr. Julius Reichelt Prof. Math: publ. und Præpositus Capituli Thom:
in gegensein Joh: Georg Thalers leinenwebers
entlehnt, zweÿ häußlein neben einader im Thomanloch einseit neben Jacques E.E. anderseit neben H. Rathh. Städel gelegen zusambt dem Gärtel hinten daran nichts außgenommen, auf 3 jahr lang, anfangend auf Annunciationis Mariæ 1712, um 20 lb
Worbeÿ erscheinen Friedrich Brillenmeÿer hoßenstricker der hat sich verbürgert Endlichen hat er Thaler ihm Brillenmeÿer in afferlehnung gegeben d. hauß ins Marbachgässel so lang alß deße lehnung wehret, um einen jährlichen zinß von 10 lb

Jules Reichelt accorde à sa voisine Marie Salomé Hægel femme de l’apprêteur de tabac Philippe Fuchs la tolérance d’ouvrir deux fenêtres vers son jardin à condition de les munir d’un grillage

1716 (4.5.), Chambre des Contrats, vol. 589 f° 253
hr Julius Reichelt Professor Math: publ: auch Præpositus Capituli Thom:
Maria Salome geb. Hägelin beÿständlich Philipp Fuchs tabacb: ihres mariti
in ihrer behausung allhier im Thomanloch im langen brunnen gässel gelegen bereiths 2. fenster auf sein Professoris gärtel eingebrochen und nach eines zumachen gesinnet seÿen, alß wolle Er hr. Professor daß solches allein alß eine vergönstigung gehalten und solche fenster verkrembßt werden sollen

Jules Reichelt meurt en 1717 en délaissant trois enfants issus de son premier mariage avec Madeleine Bressler. L’inventaire est dressé dans une maison de fonction qui appartient au chapitre Saint-Thomas. La succession comprend plusieurs maisons. Les experts estiment celle rue Thomann à 62 livres. La masse propre à la veuve est de 8 766 livres, celle des héritiers de 8 710 livres. L’actif de la communauté s’élève 11 .767 livres et le passif à 8 199 livres.

1717 (31.5.), Not. Rohr (Daniel, 46 Not 41) n° 1382
Inventarium und beschreibung aller derjenigen Haab Nahrung und Güttere, Liegender: und Vahrender, Keinerleÿ davon außgeschloßen, so weÿland der Hoch Ehrwürdig Hoch Edel, Vest und hochgelehrte Herr Julius Reichelt der Mathematischen Wißenschafft Weltberühmte Professor und des hochansehnlichen Collegiat Stifft zu St Thomæ hochverdiente Præpositus vornehme burger allhier zu Straßburg nunmehr seelig, nach seinem den 19. februarÿ instehenden 1717. Jahrs aus dießer welt genommenen tödlichen ableiben, Zeitlichen verlaßen, Welche Verlaßenschafft auf freundliches ansuchen erfordern undt begehren des seelig verstorbenenn Herrn Professoris in erster Ehe erzeugten dreÿer Kinder vndt ab intestato nachgelaßener Erben (…) fleißig inventirt vnd ersucht, durch die Edle, Viel Ehren und tugendreiche fraw Annam Margaretham gebohrne Stöffelinin die hinterbliebene fraw Wittib, beÿständlich des wohl ehrenvesten, hochachtbahr und wohlgelehrten herrn M. Israel Dieterlins drewfleißig und wohlbestelltn Præceptoris Inferioris Gymnasÿ Vornehme burgers allhier, Ihres geordneten Herrn Curatoris (…) geaigt undt gezeigt (…) So beschehen allhier in der Königlichen freÿen Statt Straßburg auff Montag den31.te, Maÿ Anno 1717.
Der nun in Gott seelig ruhende Herr Professor hat ab intestato zu Erben verlaßen wie volgt. 1. die Edlen viel Ehren und tugendreiche fraw Susannam Müllerin gebohrne Reicheltin des Ehrenvest und Wohlvorgeachten Herrn Johann Ernst Müller Materialisten und geweßenen burgers zu Heÿlbronn, anjetzo allhier zwahr annoch ohnverburgert wohnhaft, geliebte fraw Ehegattin, 2. die Edle Viel Ehren und tugendsame Fraw Mariam Magdalenam Buckin gebohrne Reicheltin Weÿland des Ehrenvesten und vorachtbahren Herrn Johann Heinrich Bucken geweßenen Buchhändler undt burgers allhier zu Straßburg seel. nachgelaßene Fraw Wittib, so dann 3. die Edle, Viel Ehren und tugendgezierte fraw Margaretham Haubenstrickerin gebohrne Reicheltin des Wohl Ehrenvest und Großachtbahren herrn Johann Joachim Haubenstrickers alten wohlansehnlichen beÿsitzers hochlöbl. Policeÿgerichts und dreÿers des Umgelds auch Vornehmen burgers allhier Fraw ehegemahlin,
Alle dreÿ des abgeleibten Herrn Professoris in erster ehe mit Weÿl. der hoch Edlen hoch Ehr und tugendbegabten frawen Magdalena gebohrner Breßlerin, längst in Gott ruhende erzeugte fraw Töchtere zu dreÿ gleichen Portionen und Stammtheilern

In einer allhier auff dem Thomanns plahn gelegenen dem Collegiat Stifft Zu St. Thomæ eigenthümlich zuständigen behaußung sich volgender maßen befunden
Ane Höltzen und Schreinerwerck, Auff dem Frucht Kasten, Im Taubenhäußel, Auff dem hindern Bühnel, Im Schwartzen Gethüch Cämmerlein, Vor dießer Cammer, Im hindern Kleinen Cämmerlein, Im Hindern Haußöhrel, In der Cammer A, Im Haußöhrem vor der großen Stub, In den hindern Küchen, In der Großen Stub, In der Wohn Stub Cammer, In der Wohn Stub, Im obern vordern Haußöhren, Im Speiß Cämmerlein, In der obern Kuchen, In der Cammer B, In dem Studenten Stübel, In des Herrn seel. Studier Stub, In der Bibliothec Cammer, In der Cammer C, In der Cammer D, Im Haußöhren vor des Herrn seel. Studierstub, Im undern hindern Saal, In der undern Speiß Cammer, In der Meel Cammer, Im Hoff, Im Vordern Saal, In dem Trog N° 106, Im Hoff vor dem vordern Saal, Im hindern Keller, Im bitten Keller
Eigenthum ane Häußern (W.) ane der Schiltzgaßen (…)
(W.) It. i. behaußung oberhalb dem Pflantzbaad, das Schmeltzenhöfflein genannt (…)
(T.) It. 2. Häußlein m. Ihren hoffstätten, höfflein v. Gärttlein, sampt allen andern gebäwen, begriffen, weithen, Zugehörden, Rechten v. gerechtigkeiten, welche beede häußlein hinden auff einander stoßen, davon das I. in dem Thomans loch in der langen Gaßen genand, 1.s. neben Heinrich Jancken Wittib, 2.s. neben hannß Geörg Hägelin deß geweßenen Maurers Wittib, das andere im Jungenbronnen Gäßlein 1.s. neben gedachten Jancken wittib, 2.s. neben H. Rathh. Joh: Daniel Städels deß Specereÿ händlers behaußung gelegen, so gegen männiglich freÿ, leedig v. Eÿgen, V. seind solche häußlein nach der Von allhießigen Werckmeistern untern 1. Julÿ 1717. gefertigten Abschatzung angeschlagen worden pro 62. lb 10 ß. Darüber bes. 1. perg. Ganth Kbr. m. E. E. Kleinen Raths anhang. Innsiegel Verwahrt, so datirt den 9.ten Aprilis A° 1711. m. Lit. B. notirt, Crafft deßen Zuersehen, wie solche beede häußlein von Weÿl. Elisabetha Seÿffertin der Gümpelfrawen Erben, wegen an dießelben zu erfordern Gehabte 581 fl. 9 ß 8 d Cap: Zinß V. Unkosten durch das Ganthrecht Eÿgenthümblichen gezogen und in dieße theilbahre Nahrung gebracht worden.
(f° 66) Ergäntzung, Inhalt Inventarÿ in Anno 1702. durch mich Notarium auffgerichtet
(f° 71) Series rubricarum hujus Inventarÿ, der Fraw Wittib unveränderte Nahrung betreffend, Sa. hausraths 583, Sa. leerer Vaß 2, Sa. Silber geschirr und Geschmeids 210, Sa. Goldener Ring 164, Sa. baarschafft 1442, Sa. Pfenningzinß hauptgüter 1635, Sa. Eÿgenthumb ane häußern 1336, Sa. Ergäntzungs Rest 3391, Summa summarum 8766 lb
Der Erben unveränderte Vermögen, Sa. hausraths 414, Sa. Bibliotheca 215, Sa. Leerer Vaß 19, Sa. Silber geschirr und Geschmeids 270, Sa. Goldener Ring und Geschmeids 73, Sa. baarschafft 245, Sa. Pfenningzinß hauptgüter 2603, Sa. Gültten 60, Sa. Ergäntzungs rests 4808, Summa summarum 8710 lb
die Theilbahre Verlassenschafft betr., Sa. hausraths 95, Sa. früchten 82, Sa. Wein und Leere Vaß 36, Sa. Silber geschirr und Geschmeidt 165, Sa. Goldener Ring und geschmeids 240, Sa. baarschafft 1401, Sa. Pfenningzinß hauptgüttere 9386, Sa. Eigenthum ane häußern 62, Sa. Schulden 297, Summa summarum 11.767 lb – Schulden 8199 lb, Nach deren Abzug 3568 lb
Summa vorstehender dreÿer Außwurff als warinnen der fraw wittib völlig eÿgenthümbliche Nahrung dem billigen werth anschlag nach gerechnet bestehen soll ist 9965 lb, Davon aber gehet ab, Erstlichen (…)
It. beÿ Absterben weÿl. herrn Johann Georg Minder geweßenen Rothgerber und auch burgers allhier Ihr der fr. Professorin zweÿten ehemanns sel. wurde deroselben als ein lebtägiger wÿdumbs genuß (…), summa vorstehenden Abgangs 1083 lb, Nach Abzug deßen 8882 lb – Conclusio finalis Inventarÿ 22.071 lb
Wÿdumbs Verfangenschafft Welche auß weÿl. Tit. Frawen Catharinæ gebohrner Kohllöffelin, des abgeleibten herrn Professoris zweÿten geweßenen fr. Eheliebstin seel. Verlassenschafft herrühret. Erstlichen so hat ermelte fr. Professorin weel. S. Tit. H. Johann Friderich Ösingern J. Ctum undt E.E. Kleinen Raths allhier hochansehnlichem Referendarium zur helffte Ihrer Verlassenschafft nach abzug der præ: und Legaten, als Erben eingesetzt dero H. Wittibern als dem jetzt nun uach seel. verstorbenen H. Professori aber den genuß davon zeit lebens geordnet
Copia der Eheberedung

Lors du partage, les maisons au Thomanloch reviennent à sa fille aînée Susanne Reichelt femme du droguiste Jean Ernest Müller

1717 (5.7.), Not. Rohr (Daniel, 46 Not 42) n° 1383
Abtheilungs Concept über Weÿland S: Tit: Herrn Julÿ Reichelts gewesenen Prof. Mathem: und Vornehmen burgers allhier seel: Verlaßenschafft, Anno 1717.
Actum in der Königlichen freÿen Statt Straßburg Montag den 5. Julÿ et seqq. Anno 1717.
(f° 78) Abhandlung der auß Theilbahere Nahrung den Erben Gemeinschaftlich gefallenen behaußung.
Nchdeme die in allhießigem sogenanntem Thomanloch gelegene behaußung zwischen der fraw Wittib undt Erben gemeinschaftlich Verlooßt und auff 150. lb d zu taxiren Verglichen geweßt, und solche durch das ohnpertheÿisch gezogene looß denen Erben Zugefallen, haben sie nochmahls dießelbige beÿ erwehntem anschlag der 150. lb d gelaßen und wieder de novo darumb das freÿe Looß gelegt, Wobeÿ solche frawen Susannæ Müllerin gebohrner Reicheltin der ältern fraw Tochter angefallen, hat alßo jeeder dero beeden fraw Schwestern herauß gegeben 50 lb
Abschatzung d. j. Julÿ anô 1717: Weÿlandt deß Ehrenhafften Vnd bescheiten H: Jullius Reichling Prohfeor Seel: hinder Laßenen, Frau: Vnd Erben ist Eine behaußung Alhier in der Statt Straßburg in dem Langen brun gessel gelegen, Ein seith, Neben, Daniel Walter, Ander seÿth, Neben, hanß Philippus Fux: hinden Auff daß Marbach Gessel stoßendt, Welche behaußung hoff, hoffestatt, hinder häußel, Gebälckhter Keller, hoff, Und brunnen, sampt Aller Ihrer Recht Vnd gerechtigkeit Wie solches durch die geschwohren Werckhleüthe, sich in der besichtigung befundten, Vnd dem Jetzig. preiß Nach angeschlagen wirdt, Vor und vmb. Einn Hundert Vnd Zwantzig Vnd Fünff Gulten
Der Ander begriff ist Auch Alhier in der Statt Straßburg, beÿ dem pflantz badt (…)
der drite begriff ist auch Alhier in der Statt Straßburg in der straß gelegen, Ein Eckh an der schiltz gaßen (…)
der Vierte begriff, ist Vnder der großen Metzig (…)
Bezeichnüß durch der Statt Straßburg geschwornen Werckhleuthe, Jacob Staudacher werckh Meister des Maur hofs, Michel Ehrlacher Werck Meister deß Minsters. Jacob schuller Werck Meister des Zimmer hoff

Vente d’effets mobiliers
1717 (19.8.), Not. Rohr (Daniel, 46 Not 42) n° 1394
Verkauff: und Loß Registerlein, Inhaltend alles dasjenige, so abe denen haußräthlichen Mobilien, Welche Tit. fraw Anna Margaretha Reicheltin gebohrene Stöffelinin, auch weÿland S. Tit. Herrn Julÿ Reichelt geweßenen weitberühmten Prof. Mathem. und höchstmeritirten Præpositi des Wohl Ehrwürdigen Capituls Zu St. Thomæ vornehmen burgers allhier Zu Straßburg, hinderbliebenen Fraw Wittib, beede nunmehr seel. (…) so beschehen allhier in der Königlichen freÿen Statt Straßburg auff dienstag den 19. Aug. et seqq. diebus Anno 1717.

Les préposés de la Taille font figurer la succession dans leur registre parce que la fille non bourgeoise et différents légataires doivent régler le droit de détraction.
1717, Livres de la Taille (VII 1175) f° 252-v
(Steltz, F. N° 1960) Weÿl. H. Julÿ Reichelts Prof. Matheseos und Canonici Thomanj auch burgers alhier Verlaßenschafft inventirt H. Not. Rohr.
Concl. fin. Inv. ist fol. 332.b, 22.006. lb. 12 ß 5 d
abgezogen sambtlicher dißorts der Verstallung befreÿte Haußraht thut 728. lb 16 ß, restirt 21.277. lb 16 ß 5 d
Und weilen bereits in Anno 1702. von der ohnverburgerten dochter Mütterl. Guht der Abzug erlegt, und also zu einem frembden Guht so der Verstallung nicht ferner underworfen gemacht werden, so der verstorbene H. Prof. biß in seinen todt in handen behalten und under obiger Summa begriffen alß gehet hier ferner ab 469 lb 9 ß 5 d
Compensando restirt 20.800. lb 6 ß 11 d, die machen 41.600. fl., es wurde hiengegen allein verstallt 40.600. fl. alßo 1000 fl. Zu wenig
Warvon der Nachtrag alß vor theilbahrem Guht gerechnet wird auff 6 Jahr in duplo macht à 3 lb d – 18 ß
Und auch auff Vier Jahr in simplo à 1 lb 10 ß d trifft 6 lb
Extat das Stallgeltt pro 1717 & 1718 – 124 lb 10 ß
Abhandlung und pro Correctione Inventarÿ gemachte Calculos und Extractus 25 lb 2 ß 6 d – Summa 173. lb 13 ß 10 ß
(rub.) Nachlaß 9. lb rest 164. lb 13 ß 10 d
dt. 18° May 1718
Abzug. Frau Susanna gebohrne Reicheltin Hn Johann Ernst Müllers Materialisten Von Heilbronn ehel. Haußfrau die ohnverburgerte dochter soll von resp. Vätter: und Mütterlichem Guht so annoch 2538. lb 5 ß 11 d erträgt, den Abzug erlegen mit 253. lb 16 ß 7 d
Vermög Erkantnus Gnäd. Herrn der XV.ern ist vorstehender Abzug den 11° Mart. 1718 moderirt worden ad 200. lb
dt. 18° May 1718
Frau Rachäel Gradin gebohrne Kärcherin soll nacher Hailbronn gezogen soll von 150. lb d Kochlöffelischem legat 15. lb
dt. 18° May 1718
Weÿl. Hn Johann Daniel Ösingers geweßenen Procuratoris Zu Reichenweÿer hinderlaßene Erben von 100. lb Legat wie auch deren rato von Frau Rohrin geerbter 16. lb 13. ß 4. d alßo zusammen 11. lb 13 ß 4 d
In Crafft Erkantnus G. Herren der XV.ern vom 23° Febr. 1718. ist vorstehender Abzug moderirt worden ad 1. lb 13 ß 4 d
dt. 18° May 1718
Frau Catharina Margaretha gebohrne Ösingerin Hrn M. Herrmann Wagners Pfarrer zu Lützelstein Ehel. Haußfrau soll ebenmäßig gleich Ihres Hn bruders seel. Erben von 116. lb 13. ß 4. d den Abzug mit 11. lb 13 ß 4 d
nach außweißung erst angeregter Erkantnus G. Herren der XV.ern moderirt ad 1. lb 13 ß 4 d
dt. 18° May 1718
Frau Magdalena Scherdonin die Wittib soll von 15. lb d Legat 1. lb 10 ß
dieser Abzug ist laut producirten Inventarÿ über deren Verlaßenschafft dermahlen bereits beÿ E.E. Kleinen Raht alß welcher auch Inventiren laßen, erlegt worden
Jungfrau Maria Barbara Scherdonin deren dochter soll vom 7. lb. 10. ß Ihro Verschafftem Legat den Abzug entrichten mit 15. ß
dt. 18° May 1718

Susanne Reichelt vend quelques mois plus tard moyennant 200 livres les deux maisons dont l’arrière se touchent au marchand Jean Christophe Reichard

1718 (23.4.), Chambre des Contrats, vol. 591 f° 219-v
(200) Frau Susana geb. Reicheltin beÿständlich Johann Ernst Müller handelsmanns ihres Mariti
in gegensein S.T. H. Joh. Christoph Reichardt XV.er auf Abschlag deßen so Sie ihm schuldig aufrichtig vest und unwiderruflichen Cediret
zweÿ häußlein und ihren hoffstätten höfflein Gärtlein allen übrigen begriffen, weithen, Zugehörden und Gerechtigkeiten im Thomanloch allhier, welche bede häußlein hinten auf einander stoßend deren d. eine in dem Thoman loch in der Langen gassen genant eins. neben Heinrich Jan cken wittib as. hanß Georg Hägelin deß geweßenen maurers wittib
d. andere im jungen bronnen gäßlein einseit neben gedachten Jancken wittib anderseit neben H. Rathh. Johann Daniel Städel deß Specereÿ händtlers behausung gelegen – um 200 lb

Jean Christophe Reichard revend les maisons 375 livres au marchand Laurent Græthel

1727 (23.6.), Chambre des Contrats, vol. 601 f° 384
S.T. H. Johann Christoph Reichard dreÿzehner
in gegensein H. Johann Lorentz Grädel des handelsmanns
zweÿ häußlein mit dero höfflein und hoffstäten auch allen derselben gebäuden, begriffen, weithen, zugehörden und gerechtigkeiten, deren eines samt dazu gehörigem gärttlein allhier im Thoman: loch im vierdten so genannten Schlupff oder Jungen Bronngäßlein einseit neben Daniel walther dem garttenmann anderseit dem gärttlein neben Salome fuchßin der wittib hinten auff Fr: Fünffzehnerin Städelin die wittib
das andere häußlein aber im Marbachs: gäßlein einseit neben ged. walther anderseit neben ged. Fuchßin hinten auf vorbemeldtes gärttlein – um 375 pfund

Les experts estiment les bâtiments à 112 livres à l’inventaire dressé en 1732 après la mort de Laurent Græthel.
La veuve et les héritiers Græthel vendent les deux maisons sises respectivement dans la venelle dite à la Fontaine de Jouvence et ruelle Marbach au tailleur Pierre Etter et à sa femme Susanne Salomé Müller

1742 (17.2.), Chambre des Contrats, vol. 616 f° 71-v
Fr. Maria Susanna geb. Gräffin weÿl. H. Johann Lorentz Grädel des handelsmanns wittib beÿständlich ihres sohns H. Johann Friedrich Ruland ebenmäßigen handelsmanns mehr besagten H. Grädels kinder und erben H Johann Daniel Grädel, Johann Heinrich Grädel des handelsmanns und Fr. Maria Elisabetha geb. Grätelin Johann Jacob Stubers des Paßmentirers
in gegensein Peter Etter des schneiders und Susannæ Salome geb. Müllerin
ein häußlein dero höfflein und hoffstätte und gärtlein samt allen deroselben begriffen, weithen, zugehörden und gerechtigkeiten im Thomanloch im vierten so genandten schlupff oder jungbronnen gäßlein, deren eines einseit neben weÿl. Daniel Walthers des gartenmanns erben anderseit mit dem gärtlein neben Salome Fuchßin der wittib hinten auf die Städelischen Erben stoßend,
das andere häußlein aber im Marbachs gäßlein einseit neben ged. Waltherischen erben anderseit neben ged. Fuchßin hinten auff besagtes gärtlein – der Grätelischen Fr. wittib als ein in ihrem Ehestand am. 23. Junÿ 1727 erkaufft mithin theilbares guth zu einer ihres verstorbenen Ehemanns mit verkauffenden erben aber zu den zween übrigen tertzen – um 275 pfund verhafftet, geschehen um 87 pfund

Jean Louis Drusser fait enregistrer la fin de l’apprentissage de Pierre Etter, sans doute le même que le suivant
1704, Protocole de la tribu des Tailleurs XI 343 (1701-1710)
(f° 133) Mittw. 15° Maÿ 1704 – Johann Ludwig Drußer quittirt Peter Ettern überstandener Lehrzeit (dt. 10. ß)

Originaire de Wittenweier en Bade, Pierre Etter épouse Marie Lang, fille d’un laboureur d’Uhrwiller près de Bouxwiller. D’après l’inventaire dressé en 1735, le contrat de mariage a été passé devant le notaire Jean Jacques Schneuber.
Mariage, Saint-Nicolas (luth. f° 148 n° 20)
Montag den 2. 8.bris 1715 seind nach Vorhergegangenen Zweÿmahligen offentlichen Außruffung in der Pfarrkirch zu St. Nicol. in Straßburg Ehelich copulirt vnd eingesegnet worden Peter Eder der ledige Schneider, weÿl. Peter Eders gewesenen taglöhners Vnd burgers Zu Wittenweÿr hinterlaßener Ehelicher Sohn vnd Jfr. Maria Langin weÿl. Theobaldt Langen geweßenen burgers vnd Ackersmanns Zu Uhrweiler hochgräffl. Leiningischer Westerburgischer Herrschafft nachgelaßene tochter [unterzeichnet] + deß hochzeiters handzeichen, + der hochzeiterin handzeichen (i 152)

Tous deux deviennent bourgeois un peu plus d’un an après leur mariage
1717, 3° Livre de bourgeoisie p. 1303
Peter Etter der schneider Von Wittenweÿer weÿl. Peter Etter gew. ackersmanns daselbst sohn, Vnd sein Fr: Anna Maria Langin Von Urweiller erkauffen das burgerrecht p. 6. Gold fl. 16. ß. bringt 1. Kind so beÿ ordnung gebliben. Wird beÿ denen Schneidern dienen, Jur: d. 9. Dito [Jan:] 1717

Alors qu’il est encore célibataire, Pierre Etter demande à pouvoir faire son chef d’œuvre auquel il s’est inscrit un an et demi plus tôt. Il demande en février 1716 aux Quinze une dispense pour pouvoir le faire puisqu’il s’est marié entre temps. Les Tailleurs lui ont infligé une amende pour travail illicite. Les Quinze font attendre au pétitionnaire son tour pour faire son chef d’œuvre et renvoient l’affaire de l’amende aux préposés en chef des métiers qui en réduisent le montant.
1716, Protocole des Quinze (2 R 120)
Peter Etter Ca. E. E. Zunfft der Schneidter
(f° 16-v) Sambstag den 1.ten Februarÿ. Peter Etter, E. E. Zunfft der Schneidter pt° Zunfftscheins
S. noê Peter Etters von Wittelweÿr deß schirmers und schneidters allhier, Ca. E. E. Zunfft der Schneidter H. Zunfftmeister principalis hat sich bereits vor 1 ½ jahren Zum meisterstück einschreiben Laßen, weilen er aber burger Zu werden sich angemeldet, und einen Zunfftschein nöthig hat, alß bittet ihme solchen zu kommen Zu laßen gn. Zuerkennen, Wie auch weilen er bereits 2. jahr verheÿrathet, alß bittet ptô deß mstr. stücks gn. Zu dispensiren. R. pro Kün. cit. præs. berichtet, daß solches wider ordnung, bittet ihme abzuschlagen. S. bittet eput. Erkandt Ober Handwercks herren.

(f° 98-v) Sambstags den 2.ten May – Schübler pro Saltzmann nôe Peter Etters deß schneidters allhier Ca. E. E. Zunfft der Schneidter H. Zunfftmeister principalis ist vor 7 Viertel jahren schon Zum meisterstück eingeschreiben, will sich samt seiner frawen in allhießiges burgerrecht begeben, habe außer dem Zunfftschein alle requisita, sich auch beÿ Mghherren den 1.ten Februarÿ jüngsthin angemeldet, aber biß dahero keinen bescheidt erhalten, inn Zwischen wolle die Meisterschafft ihn nicht mit seiner handt arbeiten laßen, undt noch gestrafft, alß bittet umb beförderung bescheidts und erlaßung der straff. R. citat. berichtet, daß solches wider ordnung im Verheuratheten standt daß meisterstück Zu machen, ptô mulctæ seÿe er wegen deß stimplers gestrafft worden, bittet bescheidts gn. manutenentz.
Erkandt, ptô Mulctæ Wird die sach an die Oberhandtwercks Herren gewießen, im übrigen Peter Etter dahin angewießen, daß er biß die ordnung und reÿhe an ihn kombt, alß gesell arbeiten solle.

(f° 168) Sambstag den 22.ten Augusti – Peter Etter Ca. E. E. Zunfft der Schneidter pt° mulctæ
Iidem [Oberhandtwercks Herren] per Eund. [Herrn Secret. Friden] laßen reassumiren, waß zu anfang dießes jahrs in sachen Peter Etters deß schneidters Ca. E. E. Zunfft der Schneidter erkandt worden, anbeÿ berichten, daß Weilen damalen die sach Wegen angesetzter straff der 2. lb d. Vor die herren deputirte Zue examination gewießen worden, sie seithdem davon geredt, undt davor gehalten hetten, daß die straff auff 1. lb 10. ß d moderirt werden könte, die genehmhaltung Zue MGHherren stellendt. Erkandt beliebt.

Anne Marie Lang meurt en 1735 en délaissant deux filles. L’inventaire est dressé rue de l’Hôpital dans la maison du ceinturier Jean Baldner. La masse propre au veuf présente un solde négatif de 25 livres, celle des héritiers s’élève à 33 livres. L’actif de la communauté s’élève à 24 livres, le passif à 10 livres.
1735 (28.6.), Not. Lichtenberger (Jean Frédéric, 6 E 41, 299) n° 36
Inventarium über Weÿland der Ehren: und Tugendsahmen Frauen Annä Mariä Ederin gebohrener Langin des Ehenhafften und bescheidenen Meister Peter Eders, Schneiders und burgers allhier zu Straßburg geweßener Ehefrauen, nunmehr seel. Verlaßenschafft auffgerichtet Anno 1735. – nach ihrem Freÿtags den 15. Aprilis jüngsthin aus dießem mühesamen leben genommenen tödlichen Ableiben zeitlichen verlaßen, Welche Verlaßenschafft auf freundliches ansuchen erfordern und begehren des Ehrsam: und bescheidenen Martin Johann Meÿers, Schuhmachers und burgers allhier als geordnet und geschworenen Vogts Annæ Mariæ und Catharina Christina Ederin, der Verstorbenen Frauen seel. mit hievor ernandtem ihrem hinterbliebenen Wittiber ehelich erzeügter Zweÿer Kinder und ab intestato verlaßener Erben inventirt (…) So beschehen in Löbl. Statt Straßburg Dienstags den 28.ten Junÿ A° 1735.

In einer allhier Zu Straßburg in dem Spittahl Gäßlein gelegener Johann Baldner, dem Gürtler zuständiger behaußung ist befunden worden wie folgt
Series rubricarum hujus Inventarÿ. Copia der Eheberedung auffgerichtet vor Not. Schneüber d. 10. 7.bris 1715
Bericht über gegenwärtige Verlaßenschafft. Ob zwar wohlen vermög vorher copeÿlich inserirter Eheberedung §° 3.tio die gantze Verlaßenschafft dergestalten theilbahr, daß dem hinterbliebenen Wittiber und denen Erben, jedem theil die helffte gebührig seÿn solle, so haben sich doch der Wittiber und der Erben Vogt wegen beederseits Kleÿder und weißen Zeugs (…) verglichen
Des Wittibers Substantz, so allein in hernach folgender Passiv: Schuld bestehet, 25 lb
Dießem nach wird auch der Erbin unverändertes Vermögen beschrieben, Sa. Kleÿder und weißen zeügs 8, Sa. Schulden 25, Summa summarum 33 lb
Endlichen wird auch die übrige Verlaßenschafft, als welche nach außweiß oben copeÿlich eingetragener Eheberedung samtlich Zur helffte theilbar consignirt und beschrieben, Sa. haußraths 22, Sa. Werckzeugs Zum Schneider Handwerck gehörig 2, Summa summarum 24 lb – Schulden 10 lb, Nach deren Abzug 14 lb
Beschluß und Verstallungs summa 23 lb

Pierre Etter se remarie en 1735 avec Susanne Salomé Müller, fille d’un majordome de la cour de Bouxwiller : contrat de mariage, célébration
1735 (15.11.), Not. Lichtenberger (Jean Frédéric, 6 E 41, 348) n° 22
Eheberedung – Persönlich erschienen Meister Peter Eder Schneider mit beÿstand Meister Johann Meyers Schuhmachers und burgers allhier seiner Kinder erster Ehe geschwornen Vogts als Hochzeiter ane einem
So dann Susanna Salome Müllerin, weÿland Eliæ Müllers gewesenen Taffeldeckers am hochgräffl. hanauischen Hoff zu Buchsweiler und burger allda mit auch weÿl. Frauen Anna Catharina gebohrner Mettenheimerin ehelich erzeügter und nachgelaßene tochter mit assistentz H Georg Adam Nigrinus Pasmentirers und burgers allhier ihres hierzu erbettenen beÿsitandts als hochzeiterin
So beschehen in der Königlichen freÿen Statt Straßburg Dienstags den 15. Novembris Anno 1735 [unterzeichnet] I. P. E. des Hochzeiters Handzeichen, Susanna Salome Müllerin als hochzeiterin

Mariage, Saint-Pierre-le-Jeune (luth. f° 132-v, n° XLII)
1735. Dominica XXII et XXIII. Trinit. proclamati sunt Peter Etter der Schneider v. burger alhier V. Susanna Salome weÿl. Elias Müller geweßenen Taffel: deckers am Hoch Gräfflich: Hanauischen Hoff nachgelaßener Ehel. Tochter Copulati sunt Mittw. d. 16. Novembr. [unterzeichnet] + Ist des Hochzeiters hand Zeichen, Susanna Salome (i 137)

Susanne Salomé Müller devient bourgeoise en s’inscrivant à la tribu des tailleurs de laquelle son mari fait partie
1736, 4° Livre de bourgeoisie f° 1028
Susanna Salome Müllerin Von Buchßweiler geb. erhalt. d: br. gratis will beÿ E E Zunfft d. schneider dienen. Prom. eodem [9.ten Jan. 1739]

Le tailleur Pierre Etter se plaint au conseil de la tribu des Charpentiers que Melchior Steinecker n’a pas posé de plancher dans la pièce du bas. Le charpentier répond que le marché ne mentionnait que quatre planchers. L’affaire ajournée n’a pas de suite.

1742, Protocole de la tribu des Charpentiers (XI 32)
(f° 9) Dienstag den 25. 7.bris 1742 – Meister Peter Etter schneider Klagt contra Melchior Steinecker Zimmermann daß Er mit Ihme wegen erbauung seines haußes im Thomanns loch einen Accord gemacht Vom 19.ten apr. 1742. hiebeÿ producirend, Nun wolle Er Ihme die untere Cammer nicht belegen, so doch in dem accord enthalten, bitt Ihme anzuhalten die Cammer Zu belegen, ref. Exp.
Beklagter Zugegen sagt Es seÿe nur Vier Böden zu belegen Accordirt, welche Er auch belegt, bitt absol. ref. Exp.
Erkand Es seÿe die sach auf 8. tag außzusetzen.

Pierre Etter et Susanne Salomé Müller hypothèquent leurs deux petites maisons au profit du marchand Jean Daniel Ries

1743 (14.2.), Chambre des Contrats, vol. 617 f° 55
Peter Etter der schneider und Susanna Salome geb. Müllerin mit beÿstand H. Gambß und H. Schreiber beede EE. kleinen Raths beÿsitzer
in gegensein H. Johann Daniel Rieß des handelsmanns – schuldig seÿen 50 pfund
unterpfand, zweÿ häußlein, höfflein, hofftstätt und gärtlein cum appertinentis im Thoman loch und dem so genandten vierten Schlupff oder jungen bronnen gäßlein deren eines einseit neben weÿl. Daniel Walthers des gartenmannns erben anderseit neben mit dem gärtlein neben Salome Fuchßin der wittib hinten auff die Städelischen erben stoßend
das andere aber im Marbachgäßlein einseit nebens. ged. Waltherischen erben anderseit neben gemelter Fuchsin hinten auff besagtes gärtlein – als ein am 17. Februarÿ 1742 erkaufftes guth

Le contrôleur des marchandises de deuxième main rapporte que le tailleur Pierre Eder a mis en vente malgré ses avertissements un tablier de coton bleu à l’encontre du règlement. Le prévenu déclare qu’il a voulu vendre un tablier qui lui appartenait pour rembourser 20 sols qu’il devait et ignorait que cela fût interdit. Il nie avoir été averti. Le contrôleur maintient qu’il a donné un avertissement. Le contrevenant est condamné à un florin d’amende.
1751, Protocole de la tribu de la Mauresse (XI 260)
(f° 25-v) Donnerstags den 17.ten Junÿ Anno 1751 – Mathiß Schmidt der Gümpel Käuffler Rüger Klagt wieder Peter Eder, den Schneider und Burgern allhier, daß derselbe wieder Ordnung Gümple, allermaßen er dann nach verwichenen Freÿtag ein blau baumwollen Fürtuch auf offentlichem Marckt feÿl gehabt und nachdeme er kläger ihne beklagten deßentwegen etliche mahl gewarnet, anbeÿ demselben angesagt, solches hinweg zuthun, habe Er ihne endlichen, Weilen das quæstionirte Fürtuch hinweg genommen und auf die Zunfft Stub gelieffert, bittet dem Beklagten, weilen er wieder articul gehandelt, abzustraffen.
Beklagter zugegen sagt zu seiner Verantwortung, daß das quæstionirte Fürtuch sein eigen seÿen welches Er um den annoch schuldigen 20 pfenning bezahlen zu können, Verkauffen wollen, über das hätte er nicht gewußt, daß solches verbotten seÿe, auch derentwegen niemahlen gewarnet worden, bittet absolutionem.
Erkandt, solle der Beklagte, Zumahlen der Kläger nochmahlen bekräfftigte ihne gewarnet Zu haben, Einen gulden Straff erlegen und nach deßen Erlegung ihne das hinweg genommenen Fürtuch wieder Zugestellet worden (Extat die Straff)

Pierre Etter se plaint à la tribu des Charpentiers que Michel Grau n’a pas posé le lambris d’après les règles de l’art. Les experts constatent les défauts. Le charpentier objecte que le maître d’ouvrage a laissé sous la pluie les lattes déjà préparées. Le conseil ordonne au charpentier de reprendre son travail et au maître d’ouvrage de régler les sommes dues une fois le travail terminé.

1764, Protocole de la tribu des Charpentiers (XI 33)
Peter Etter, der Schneider, wieder Michael Grau den Schreiner
(f° 20-v) Dienstag den 25. Septembris 1764. – Peter Etter, der Schneider und burger alhier, bringt wieder Michael Grau den Schreiner und burgern alhier klagend an, daß beklagter ihme ein Getäfel in ein Zimmer gemacht, wofür er ihme, weilen solches nicht Meisterhaft verfertiget, per Rest 6. fl. schuldig verblieben, weßwegen beklagter ihne Kläger auf den 24.ten Julii vor Ihro Gnaden de regierenden Hn Ammeisters Audiens citirt woselbst vermög vorgewiesenen Extractus de eodem dato erkannt worden, daß besagtes Getäfel durch die geschwohrnen Schreiner meistern besichtiget werden und als dann ferner ergehen solle was Rechtens,
worauf in Conformitæt dieses bescheids Kläger den tag darauf als den 25.ten dieses die herren Geschwohrne berufen laßen, die vermög ihres rapports de eodem dato ihre declaration dahin gegeben, daß das Getäffel hätte verleimet und die übrige fugen so nicht geleimet worden mit leisten versehen seÿn sollen, in Kraft welchen rapports Klagenden beklagten auf den 30.ten Julii vor Ihro Gnaden des regirenden Herren Ammeisters Audientz citiren laßen woselbsten inhalt Extractus de eodem dato die Sache reservatis Expensis.
Kläger bittet daheri beklagten rapports der Herren Geschwohrnen, das Getäfle quæstionis in guten und behörigen Stand zu stellen sub offerti die ihme annoch schuldigen 6 fl. zu bezahlen, und beklagten wegen der Contestation in alle deswegen gehabte Unkösten zu verdammen, wo nicht beklagter lieber will die ihme annoch schuldige 6 fl. fallen laßen und klägern ane dem gehabten Unkösten die helfte bonificiren, beklagter Zugegen sagt zu seiner Verwantwortung daß er die Arbeit wie recht verfertiget und seÿe er nicht seine Schuld daß es Klägers darzu gegebe dielen gesprungen sind, und Riß bekommen haben.
Kläger aber replicirt, daß seine dielen gut gewesen, beklagter aber hätte solche nachdem er sie gehobelt hatte, etliche Wochen im Regen stehen laßen dadurch die dielen verderbt worden und Riß bekommen haben, und weilen dieses des beklagten fehler so repetirt Kläger priora.
Erkannt. Weilen nach Inhalt der Herren Geschwohrnen rapports vom 25.ten Julii die Arbeit nicht Schreinermäßig verfertiget, und ohne beederseitigen Schaden nicht wohl wieder in Stand gestellt werden kann, seÿe beklagter anzuhalten die ane klägern annoch zu fordern habende 6 fl. fallen zu laßen und annoch demselben ane dem bisherig gehabten Unkösten de helfte mit 2 fl.. zu bonificiren, idque refusis expensis.

Pierre Etter meurt en janvier 1767 en délaissant deux filles. Il réduit l’aîné à la légitime en lui substituant ses enfants pour le restant de sa part. Les experts estiment la maison 700 livres. La masse propre à la veuve est de 41 livres, celle des héritiers présente un solde passif de 57 livres. L’actif de la communauté s’élève à 758 livres et le passif à 508 livres.

1767 (12.3.), Not. Dautel (Fr. Henri, 6 E 41, 271) n° 1057
Inventarium und Beschreibung aller derjenigen Haab undt Nahrung, Keinerleÿ davon ausgenommen, so Weÿl. der Ehrenachtbare Meister Peter Etter, der geweßene Schneider und burger allhier Zu Straßburg nunmehr seel. nach seinem den 31. Januarii dießes angefangenen 1767.ten Jahrs aus dießer welt genommenen tödlichen Ableiben Zeitlichen verlaßen, welche Verlassenschafft auf freundliches Ansuchen, Erfordern und Begehren der Ehren und Tugendsamen Frauen Catharinä Christinä geb. Etterin Mr Joh: Jacob Voltzen, des Haußfeurers und burgers allh. Zu Straßburg Ehegattin mit beÿstand deßelben, und weilen dieße per testamentum nur in Legitimam und Jhro so jetzig als Künfftig ehel. erzeugende KK. deren dato 4. mit Nahmen 1° Mariä Cath., 2.do Andreas, 3° Magd. Salome v. 4° David, die Voltzen, im Leben vorhanden in den Überrest zu erben eingesetzt sind, des Ehrenachtbaren Meisters Johann Jacob Voltz, des Seilers und burgers allh. dießer Ihrer KK. geordnet und geschworenen Vogts, So dann der Tugendsamen Jgfr. Annä Mariæ Etterin annoch ledigen Standts und majorennis, dahero allein mit Assistentz des Ehrsamen Hieronÿmus Leisten, des Seilers und burgers allh. dieße beede des Verstorbenen seel. mit Weÿl. Frn. Anna Maria gebohrener Langin seiner 1.n Ehefr. seel. ehel. erzeugte Töchtere v. per testamentum nebst der einen tochter KK. zu 2. Stammtheilen gleichlinge Erben, fleißig inventirt und ersucht durch die Ehren und tugendsame Frau Susanna Salome geb. Müllerin, die hind.bliebene Wb. beÿständl. des Ehrenachtbaren Mr Georg Fried. Lincken, des Schneiders und burgers allh.
So geschehen allh. Zu Straßburg auff Donnerstag den 12.ten Martii A° 1767.
Copia der Eheberedung – Copia Testamenti nuncupativi
Bericht in gegenwärtig Inv. gehörig. Demnach ich der Inventir schreiber beÿ gegenwärtig Inventur die hinterbliebene Wb. v. E. befragt gehabt, ob sie beede nun Zertrennte Ehel. Zu bald nach ihrer Copulation dem 2.ten paragrapho ihrer Ehebered. gemäß ihren einander zugebrachte Nahrungen nach ordnung hätten inventiren laßen, so wurde mir Zur Antwort ertheilt, daß sie deme nicht nachgelebt worden seÿe, mithin Kein Inv. einig. Zugebrachten nahrung vorhanden seÿe (…)

In einer allhier Zu Straßburg ane dem Thomä Loch und deren Gollengäßlein gelegenen in dieße Verlaßenschafft gehörigen behaußung folgender maßen sich befunden
Eigenthumb ane einer behaußung (T.) Nehml. 2. häußl. dero höff. v. hoffstätt auch Gärtlein samt aller derselben Gebäud. begriffen, Weither, Zugehörden, Rechten und Gerechtigkeiten gelegen allhier im Thoman Loch im 4.ten sogenandten Schlupff oder jungen bronngäßl. deren Is. neben Weÿl. Daniel Walters des gewes. Gartenmanns Erben, 2.s mit dem Gärtl. neben Weÿl. Salome Fuchßin der gewes. Wittib hinterl. Erben hinten auff Städelische Erben stoßend, d. andere häußl. aber im Marbachsgäßl. 1.s neben obgedachten Walterischen Erben 2.s neben gedachter Fuchßin Erben, hinten auf obged. Gärtl. stoßend. so außer hernach eingetragenen Passiv Capital ledig und eigen und durch H. bau Inspectorem Werner und H Ziller Werckmeister Hubern vermög der mir Notario Zum Concept eingeschickten schrifftl. Abschatzung de dato 24. april. 1767 æstimirt und angeschlagen worden pro 700. Über dieße beh. bes. j. teut. perg. Kfbr. in allh. CCstub gef. v. m. deren anh. Ins. v.wahrt datirt den 17. febr. A° 1742 dabeÿ 3. ältere respe. pergamentine Ganth v. Kfbr. datirt respe. den 23. Jun. 1727, 23. April. 1718 v. 9. Apr. 1711, dabeÿ jn. revers Von Adam Weiß dem alhies. burgern und Leinenwebern unterm 13. 7.bre 1744. V. respectivé 23. Aug. dicti anni wegen jr. in obgedacht Gärtl. gehende Fenster crafft welchen daßelbe jhme Weiß in so lang als dißortige beede Ehel. oder js. derselben im leben Vergönnet, V. im Fall j. wohnung Vor dießes Fensterl. nachgehends gesetzt werden sollte, weder Er Weiß noch seine nachkommende davor hinderlich seÿn wollte.
– Abschatzung Vom 24.ten april 1767. Auff Begehren Weil. pedter Edter des Gewesener schneiders ist eine behausung alhier in der Statt Strasburg in dem Collen geslein gelegen Ein seits Neben Meister Waldter und Consorten ander seits Neben den Zaperschen Erben und hienden auff Meister Gidtner Stosent gelegen solche behausung besteht in Ettlichen Stuben Kammern und Kichen dar jber seindt die dach Stühl mit holl und breitziglein belegt hat auch ein getrembten Keller hoff und brunen, Von uns Unterschribnen der Statt Strasburg Geschwornen Werck Meister Nach vorhero geschehener besichtigung mit aller Ihrer Gerechtigkeit Dem Jetzigen Wahren Wärth Nach Estimiert und angeschlagen worden, Vor und Vmb, Vier Zehn Hundert Gulden [unterzeichnet] Werner, Sebastian Huber
Series rubricarum hujus Inv. der Wb. unverändert guth, 1. Sa. hausraths 12, 2. Sa. Silber geschmeids 1, 3. Sa. der W. unverändert guths 27, Summa summarum 41 lb
Der E. unveränderte nahrung, 1. Sa. Hausraths 7, 2. Sa. Erg. passiva (51), Summa summarum 7 lb – Schulden 64 lb, Passiv rest 57 lb
Das theilbare Vermögen, 1. Sa. Hausraths 6, 2. Sa. Eigenthumb ane jr. beh. 700, 3. Sa. Schuld 51, Summa summarum 758 lb – Schulden 508, T. Nahr. Rest 249 lb – Stall Sa. 233 lb

Les préposés de la Taille font figurer la succession dans leur registre parce que les impôts acquittés étaient calculés d’après une fortune sous-évaluée de 400 florins (200 livres) sur un total de 500 florins
1768, Livres de la Taille (VII 1180) f° 73
Schneider N° 19 – Weÿl. Peter Etter geweßenen Schneiders und burgers allhier Verlaßenschafft jnventirt H. not. Dautel.
Concl. final. jnvent. Ist fol. 77.b – 233. lb 8 ß 11 d die machen 500 fl. Verstallte 100 fl. Zu wenig 400 fl.
Wovon nachtrag 8 jahr in duplo a 1 lb 4 ß – 9 lb 12 ß
und 6. jahr in simplo – 3 lb 12 ß
Ext. Stallgelt Von anno 1758. bis 1767 incl. 15. lb
Geb. 5 ß 8
Abhandlung 12 ß 6 (Summa) 29 lb 2 ß 2 d
das simplex nachgelaßen, restirt 25 lb 10 ß 2 d
dt. 31. aug. 1768.

Susanne Salomé Müller se remarie en 1768 avec le tailleur Jean Frédéric Schmidt, successivement veuf de Chrétienne Stoltz et de Marie Salomé Walter
Mariage, Temple-Neuf (luth. f° 111 n° 157)
Im Jahr Christi 1768 Mittwochs den 14. Septembris sind nach vorhergegangener ordentlicher Proclamation Dominica XIV. et XV. post Trinitatis sind in offentlicher Gemeinde copulirt und ehelich eingesegnet worden Johann Friedrich Schmidt der Schneider und burger allhier wittwer (der in erster Ehe weÿl. Christinam Stoltzin und in der Zweÿten weÿl. Mariam Salome Waltherin hatte) und Frau Susanna Salome geborne Müllerin weÿl. Peter Etters gewesenen Schneiders und burgers allhier hinterlassene wittib [unterzeichnet] Johann Fridrich Schmidt als hochzeiter, Susann Salome Etter als hochzeiterin (i 118) – Proclamation, Saint-Pierre-le-Jeune (luth. f° 115, i 119)

Frédéric Schmidt et Susanne Salomé Müller hypothèquent la maison au profit du licencié en droit Jean Geoffroi Feigler

1768 (20.12.), Chambre des Contrats, vol. 642 f° 778-v
Friedrich Schmid der schneider und Susanna Salome geb. Müllerin mit beÿstand H. Reichard und H. Beck beede E.E. kleinen Raths beÿsitzer
in gegensein Johann Caspar Löw des bierbrauers innahmen H. Johann Gottfried Feigler J.U.Lti – schuldig seÿen 75 pfund
unterpfand, eine behausung, cum appertinentis im Thomanloch in dem Gollengäßel, einseit neben H. Städel, anderseit neben N. Then dem bierbrauer

La maison revient pour moitié à la fille cadette de Pierre Etter, Anne Marie, qui épouse en 1768 le cordonnier veuf Jean Jacques Bayerlé.
Fils de cordonnier, Jean Jacques Bayerlé (Bæurlé) épouse en 1721 Marie Salomé Specht, fille d’un apprêteur de tabac : contrat de mariage, célébration

1721 (14.7.), Chambre des Contrats, vol. 595 f° 356
Eheberedung – Johann Jacob Bäurle burger und Schuhmacher der jüngere mit beÿstand Johann Jacob Bäuerle auch Schuhmachers seines vatters als Verlobter ahne einem
und dann Jfr: Maria Salome Spechtin beÿständlich Joh. Michael Spechten tabackbereithers ihres vatters als verlobte ahm andern theil

Mariage, Temple-Neuf (luth. f° 340-v, n° 1407)
1721 Mittw. d. 10. 7.br sind nach 2: maliger Proclamation ehelich Copulirt und eingesegnet worden Joh: Jacob Bäurle der Ledige Schuhmacher v. b. alhier, Joh: Jacob Bäurle deß b. u. schuhmachers ehl Sohn u. Jgfr. Maria Salome, hanß Michael Spechten b u. tabackbereiters ehl. T. [unterzeichnet] Johann Jacob Bärel als hochzeiter, dießes Zeichnet die hochzeiterin xx i 340)

Jean Jacques Bayerlé s’adresse aux Quinze pour être admis comme savetier à la tribu des Cordonniers. La tribu objecte que le pétitionnaire n’a pas appris le métier d’après la coutume, qu’il y a déjà plus de quatre-vingts savetiers et que si on accédait à la demande plus personne ne ferait son chef d’œuvre. Le pétitionnaire est éconduit.
1723, Protocole des Quinze (2 R 128)
(p. 63) Sambstag den 27. Feb. 1723. – Johann Jacob Bäurlin Ca. E. E. Zunfft der Schumach.
Moss. nôe. Johann Jacob Bäurlins burgers und Schuhflickers alhie Cit. E. E. Zunfft der Schumacher H. Zunfftmeister, Principal bitt Unterthänig gnädig Zu erkennen, daß mann Jhne beÿ gedachter Zunfft alß man Alt: Reißer annehmen möge. Fuchß bitt Deput. et Facta relatione den gegner, Weilen er das handwerckh nicht nach ordnung undt gebrauch erlernet abzuweißen Ref. Exp. Moss. bitt auch Deputation. Erkandt Ober Handwerck herren.

(p. 142) Sambstag d. 24. Aprilis 1723. – Iidem [Ober Handwerck herren] laßen per Eundem [Secret. Kleinclaus] Referiren daß Johann Jacob Bäurlin der burger und Schuhflicker allhier in einem contra E. E. Zunfft der Schumacher gehaltenen Recess Underthänig gebetten gnädig Zu erkennen, daß man Ihne beÿ ged. Zunfft alß einen Alt Reißer annehmen möchte. Auff welches gemelte Zunfft geantwortet daß gegner das Handwerck nicht nach brauch undt ordnung erlernet, Weßwegen Sie umb Deputation gebetten, undt den Imploranten mit seinem begehren abzuweißen, Refusis Expensis. Sothane Deputation seÿe bewilligt undt beseßen worden, da der Implorant beÿgesetzt, es befänden sich 5 biß 8 in den nemblichen Casu, die doch beÿ der Zunfft seÿen angenommen worden, er Verlange nur das Zunfftrecht, Sein Vatter ob schon nur ein Schuflicker habe jedoch das handwerckh ordentlich erlernrt. Nôe E. E. Zunfft habe H. Joh: Michael Huck ferner geantwortet, Er bitte unterthg. den Imploranten abzuweißen indeme die Zunfft mit etlich und achtzig Altbüßer Welche aber alle Zünfftig gelernet haben, überhaufft seÿen der Articul laute daß die Schuhflicker so gar nicht ihre eigene Kinder lehren sollen, und wann dieses gestattet würde, daß der Implorant der beÿ Keinem Meister gelernet, angenommen werden solte, würde Keiner das Meisterstück mehr machen wollen, beÿ diesen umbständten seÿe man der meinung daß der Implorant mit seinem begehren abzuweißen seÿe. Erk. abgewießen.

Affaire concernant un nouveau bâtiment que Jean Jacques Bayerlé porte devant les Quinze
1741, Protocole des Quinze (2 R 150)
(p. 127) Sambstag d. 25. febr. 1741 – Joh: Jacob Bierle prod. Vnderth. Mem. bitt Deput. posthæc will gebethen laßen. Erk. Deput. willfahrt.

(p. 155) Sambstag d. 4. Martÿ 1741 – Joh: Jacob Bierle prod. vom 25. feb. jüngst, nemine Comparente berufft sich auff den botten /:Ille das Gebott dem Bierle selbst:/. Erkandt, Soll beÿ Geld gebotten werden.

(p. 176) Sambstag d. 11. Martÿ 1741 – Joh: Jacob Bierle prod. Cop. und T. ord. Moss laßt Copeÿ zu, weil aber die Sach Gegner Neues Gebaw betrifft, alß bitt Deput. Gug. priora, Erk. Werd. Copeÿ und T. ord. Zugelaßen.

(p. 281) Sambstag d. 15. Aprilis 1741. – Moss. noê Joh: Frid. Redtslob Cit. Joh: Jacob Bierle erholt nochmahl prod. vom 25. febr. und recess vom 4. und vom 11. Martÿ jüngst. Gug prod. Except. Bitt. Deput. Moss bitt Cop. und ad prox. obt.

Contrat de mariage et célébration du mariage de Jean Jacques Bayerlé et Anne Marie Etter
1768 (20. 7.br), Not. Dautel (Fr. Henri, 6 E 41, 286) n° 535
Eheberedung – zwischen dem Ehrenachtbaren Meister Johann Jacob Beÿerle dem Wittwern, Schuhmacher, geschwornen Todtenträger und burgern allhier zu Straßburg ane einem
So dann der Tugendsamen Jungfrauen Annæ Mariæ Etterin, weÿl. Meister Peter Etters des Schneiders und burgers allhier seel. nachgelaßener ehelich erzeugter Tochter, als der Hochzeiterin am andern theil
so geschehen allhier Zu Straßburg auff Dienstag den 20. Septembris anno 1768. [unterzeichnet] Johann Jacob Bäurel, Anna Maria Etterin

Mariage, Saint-Pierre-le-Jeune (luth. f° 122 n° 4)
Anno 1769 (…) Dienstag drauff als den 31. Januarÿ morgens um acht Uhr beÿ uns copulirt worden Joh: Jacob Beÿerle der ältere schumacher und burger allhuer Wittwer mit Jfr. nna Maria Etterin des weÿlandt Peter Etters gewesenen schneiders und burgers allhier hinderlaßene eheliche dochter mit der frauen Anna Maria gebohrner Langin von Uhrweiler gehörig hinderlaßene eheliche tochter [unterzeichnet] Johann Jacob bäuerle als hoch Zeiter, Anna Maria Etterin als hochseiterin (i 126)

Les nouveaux mariés font dresser l’inventaire de leurs apports dans la maison qui appartient en partie à l’épouse. Ceux du mari s’élèvent à 23 livres, ceux de la femme à 134 livres.

1776 (24. 7.br), Not. Fické (J. Charles, 6 E 41, 769) n° 629
Inventarium über Meister Johann Jacob Bäÿerle, des Schumachers und geschwornen Todenträgers, auch Frauen Annæ Mariæ geborner Etterin, beeder Eheleuthe und Burgere allhier zu Straßburg einander vor unverändert zu: und eingebrachte Vermögens Haabschaften, auffgerichtet im Jahr 1776. – in ihrem bereits schon d. 1.te, Februarii 1769. angetrettenen Ehestand vor unverändert Zu und eingebracht haben (…) Beschehen Straßburg in fernerer Gegenwart des Ehrbaren Michael Marckwaltern des Zu den Weebstühlen blättermachers u. Schirmers allhier der Ehefrau hierzu erbettenen beÿsitzers auf Dienstag d. 24.ten 7.bris 1776.

In einer alhier zu Straßburg an dem Gollen Gäßel gelegenen hieher zum theil eigenthümlich gehöriger behaußung hat sich befunden
Widems Verfangenschaft, davon das Eigenthum der hierortigen Ehefrauen gehörig ist. Näml. der helfte an 2.en 3.ten theilen, das ist ein 3.ter Theil am gantzen vor unvertheilt von und an 2. häuslein, deren höfflein und hoffestatten auch Gärtlein samt allen derselben Gebäuden, begriffen, Weithen, Zugehörden, Rechten und Gerechtigkeiten, gelegen allh. Zu Straßburg im Thomans Loch im 4.ten sogenannten Schlupff respectivé an dem Gollen und Marbach Gäßlein deren eines eins. neben weil. Daniel Walter, des gewes. Gartenmanns Erben, 2.seit mit dem Gartlein neben weil. Salome Fuchsin seel. Erben, hinten auf Städelische Erben stoßend, das andere häußlein 1.seit neben obgedachten Walterischen Erben, 2.seit neben gedachter Fuchßin Erben hinten auf obgedacht Gärtlein stoßend, so außer hernach gemelten Passiv Capitalien leedig eigen und beÿ weil.. Msiet. Peter Etter des gewes. Schneiders u.. B. allh. zu Straßburg ihr der Ehefr. leibl. Vaters seel. Verl. Erörterung vermög eines durch H. Notm. Dautel den 22.ten 8.bris 1768. errichteten Summarischen Calculi ratione Legitimæ angesetzt worden zu 1000. lb. Die gantze behaußung gerechnet. Es gehen aber davon ab, folgende darauf versichert stehende Capitalien als Anfängl. weil. S. T. Hn Christoph Reinhardt des beständigen Regiment der XIII.en gewes. hochverdienten beÿsitzers allhier seel. nachgelaßener Fr. Wb. solle man in Capitali halbjährig à 4 pC verzinslich 375. lb
Ferner weil. Hn Joh: Daniel Gieß de gewes. handelsmanns u. b. allh. seel. Nachl. in Capitali jährl. ane 10.t Aprilis à 5 p. C. verzinslich, 50 lb
Und dann D. T. H. Joh: Rudolph Saltzmann dem Diacono beÿ der Prediger Kirch allh. ebenmäßig in Capitali 75. lb, Welche dreÿ Capital Posten summatim anlangen 500. lb. Werden nun diese von obigel Anschlag der häußlerin in abzug gebracht so verbleibet daran annoch übrig und vorständig 500. lb. Macht daran ihr der Ehefr. eigenthümlich gehörige aber noch Zue Zeit mit wÿdem verfangene 3.te theil 166. lb 13 ß 4 s
Solchen 3.en theil nun hat Fr. Susanna Salome geb. Müllerin dermalen weil. Hn Joh: Fried. Schmid des gewes. Schneiders u. b. allh. hinterl. Wb. von ihrem erstern Mann längst weil. Meister Peter Etter des auch gewesenen Schneider und b. alh. ihr der Ehefr. leibl. Vater durch letzte Willens Verordnung zum lebtägig. Widems genuß vermacht erhalten, und hat selbig wie den andern 3.ten theil welcher Fr. Cath: Christinæ Voltzin gebor. Etterin Hn Andreæ Voltz des Schwartzbecken u. b. allh. Ehefr. der hierortig. Schwester solcher Ort zuständig ist, nach würckl. im Genuß, und dann ist der überig eine 3.te theil Ihro der Wÿdemsniesenden Stiefmutter eigenthümlich gehörig.
Es hat aber Sie die Ehefr. durch diesen 3.ten Natural Antheil der häußlein mehr zu erlangen als ihro Vaterl. Guths portion nach abzug der empfangenen Legitimæ antrift, folgsam dareins An ihr der Wÿdemsnieserin Stiefmutter Verl. Zu Vergüthen oder heraus Zu geben 18 lb 15 ß. Also daß nach deren Hinwegrechnung an dem ohnnachtheilig. Anschlag der häuslein Zu ihr er Ehefr. väterl. Er Guth und der Stieffmutter darauf hebenden Widems genusses nur annoch übrig und vorständig verbleibt 147 lb
Series rubricarum hujus Inventarii. Des Ehemanns eingebrachter Haabschafft, Sa. haußraths 20, Sa. haussteuren 2, des Ehemanns gesamte zugebrachte Vermögenschaft 23 lb
Diesemnach so wird auch der Ehefrauen eingebrachte Vermögens Haabschaft in beschreibung gesetzt, Sa. haußraths 56, Sa. Silbers 5, Sa. baarschafft 70, Summa summarum 131 lb – Hierzu ist Zu legen die deroselben gebührige helfte an den überkommenen und hienächst beschrienenen haussteuren 2 lb, Und damit kommet ihr der Ehefrauen gesamte zu und eingebrachte Vermögenschafr in allem Zu stehen auf 134. lb

Susanne Salomé Müller veuve de Jean Frédéric Schmidt hypothèque le tiers de la maison au profit de Marie Cléophée Miville veuve de (Jean Christophe) Reichard

1777 (23.10.), Chambre des Contrats, vol. 651 f° 394
Fr. Susanna Salome geb. Müllerin weÿl. Hannß Friedrich Schmidt des schneiders wittib beÿständlich Andreas Voltz des schwartzbecken
in gegensein Fr. Mariæ Cleophe Reichardin geb. Mivillin weÿl. H. XIII Reichard wittib in dero nahmen H. Lt. Johann Philipp Wiegel des saltzverwalter – schuldig seÿen 70 gulden
unterpfand, den dritten theil vor unvertheilt von und ane einer behausung samt zugehörden ane dem Thomas loch im sogenannten Gollengäßlein einseit neben H. Hechler dem perruquenmacher, anderseit neben den Städelischen erben, hinten auf das Marbachgäßlein wohinein sie einen außgang hat zum theil und zum theil N. Hatt den bierbrauer

Susanne Salomé Müller s’accorde au sujet de son entretien avec sa belle-fille Catherine Chrétienne Etter femme du boulanger André Voltz

1778 (11.1.), Not. Dautel (Fr. Henri, 6 E 41, 292) f° 231
persönlich erschienen Frau Susanna Salome Schmidin gebohrne Müllerin, weÿland Meister Johann Friderich Schmidt des geweßenen Schneiders und burgers allhier seel. hinderbliebene Wittib beÿständlichen Herrn Johann Michael Mäntels des barchet Krämers und burgers allhier hierzu erbetten ane einem
So dann Frau Catharina Christina gebohrne Etterin Meister Andreæ Voltzen, des Schwartzbecken und burgers allhie Ehegattin mit beÿstand deßelben, am andern theil
dieselben gaben Zu vernehmen, was maßen Sie frau Schmidin, nachdeme sie sich Von ihrer ältern Stiefftochter Anna Maria Beÿerle gebohrner Etterin und ihrem Ehemann auß der Cost und verpflegung zu ihro frauen Voltzin ihrer jüngern Stieffdochter in solche weiß begeben, so beede mit einander folgenden Vertrag und Leibgeding mit einander getroffen und beschloßen hätten als
Nehmlichen so verbindet sich Sie frau Catharina Christina Voltzin mit und neben ihrem Ehemann vor sich und ihre Erben ihre Stieffmutter frau Susannam Salome Schmidin Zeit lebens beÿ sich in Kosten und guter Christlicher Verpfleg: abwart: und versorgung ohnaußgesetzt zu haben und in gesund: und karancken tagen ane hand zu gehen, auch alles das zuthun, was ihro zue verpfleg: dienlich seÿn möchte,
dahingegen Verspricht sie Frau Schmidin ihnen Voltzischen Eheleuthen vor die Wochentliche Cost statt eines Guldens, so sie vorhin der Beÿerischen Stiefftochter, weilen sie die Stieffmutter vor sich das brod halten müßen, gegeben nur Einen Gulden fünff schilling zu erlegen (…)

Susanne Salomé Müller fait vendre des effets mobiliers devant la maison rue Goll (rue du Roitelet)
1778 (22. Herbstmonat), Not. Greis (Phil. Jacques, 6 E 41, 584) n° 386
Designatio dererjenigen Mobilien und Effecten, welche Frauen Susannæ Salome geborner Müllerin, weiland Mr Johann Friderich Schmitt des gewesenen Schmids und burgers alhier Zu Straßburg hinterbliebener Wittib eigenthümlich zuständig, so auf derselben Ansuchen unter assistentz Herrn Lt Johann Friedrich Röderers in Gegenwart dero ältern Stieftochter Ehemanns Johann Jacob Baÿerle des burgers und Todengräbers
Summa 18. lb
Ferner befindet sich in gedachter Fr: Schmittin Wohn behausung im Gollengäßlein an Thomanloch ein Soldaten bett in folgenden bestehend (…) 1 lb 13 ß
Actum Straßburg den 22. Herbstmonat im Jahr 1788.
[unterzeichnet] Suschmittin, Johann Jacob Bäurel, Anna Maria bärberle

Jean Jacques Bayerlé et Anne Marie Etter hypothèquent le tiers de la maison au profit du diacre Jean Raoul Saltzmann

1779 (1.3.), Chambre des Contrats, vol. 653 f° 93-v
Mr Johann Jacob Baÿerle der schuhmacher und Anna Maria geb. Etterin unter assistentz Johann Jacob Baÿerle des pfeiffenmachers und Philipp Jacob Weber des schiffknechts
in gegensein Johann Rudolph Saltzmann des diaconi beÿ der Neuen oder Prediger kirch – schuldig seÿen 50 gulden
unterpfand, ihro alß ererbt zuständige dritte theil vor unvertheilt von und ane zweÿen häußlein samt zugehörden im Thomans loch einseit neben N. Kraußer dem tabackhändler anderseit neben Daniel Walter hinten auff H. Hatt den biersieder

Les deux maisons contiguës de Susanne Salomé Müller veuve de Pierre Etter, sises rue Goll et rue Marbach, sont vendues par enchères judiciaires. Le diacre Jean Raoul Saltzmann s’en rend adjudicataire.

1781 (s.d. [8/10.2.]), Chambre des Contrats, vol. 655 f° 62
Ganthkauff vom 11 Octobris 1780 – ist die Susanna Müllerin weÿl. Peter Etter des schneiders wittib
(H. Johann Rudolph Saltzmann des diacono beÿ der Prediger kirch)
zuständige behausung samt zugehörd im Thomans loch ane der Gollen gäßlein, einseit neben Mr Hüttner dem maurer, anderseit neben H. Hechner dem perruquenmacher, hinten auff Fr. Städelin
ferner ist die besagte Müllerin anderwärtigen zustehenden kleinen behausung nebst übrigen begriffen ane dem Marbach gäßlein, einseit neben N. Murrloff, anderseit neben Fr. Städelin, hinten auff einen gärtlein
ermeltem H. Saltzmann um 1010 gulden als letzt und meistbietenden

Il la revend quelques jours plus tard au compagnon maçon François Joseph Scheller et à sa femme Anne Marie Gœppel

1781 (26.2.), Chambre des Contrats, vol. 655 f° 109-v
H. Johann Rudolph Saltzmann diaconus beÿ der Prediger kirch
in gegensein Frantz Joseph Schäller des maurer gesellen, und Annæ Mariæ geb. Göblerin [unterzeichnet] Schöller
eine kleine behausung, hoffstatt mit allen deren begriffen, weithen, zugehörden, rechten und gerechtigkeiten ane dem Marbach gäßlein, einseit neben N. Murrloff, anderseit neben Fr. Städelin, hinten auff nachgedachtes gärtlein
weiters eine kleine behausung, höfflein, bronnen und gärtlein samt hoffplatz mit allen denen übrigen gebäuden, begriffen, weithen, zugehörden, rechten und gerechtigkeiten wie obige im Thomans loch ane dem Gollen gäßlein, einseit neben Mr Hüttner dem maurer, anderseit neben H. Hechner dem perruquenmacher, hinten auff gedachte Fr. Städelin – vor kurtzem auff der ganth ane sich ersteigert – um 1800 gulden

Les Conseillers et les Vingt-et-Un autorisent la vente à un manant en dispensant les parties de faire dresser une estimation

1781, Conseillers et XXI (1 R 264)
Frantz Joseph Scheller der schirmer erhält erlaubnus von Hn Diacono Saltzmann ein hauß im Marbach Gäßel Kaufen Zu dörfen. 83.
(p. 83, fragmentaire) Claus Nê Frantz Joseph Scheller [-] Maurer alhier, der ist will[ens von H. M.] Rudolph Saltzmann dem D[iacono in der] Prediger Kirch eine im M[arbach gäßlein] gelegene behaußung vo[r 1800 gulden davon] 300 fl. bezahlt werden, d[avon -] lich stehen bleibt, Auf [-] gnädige dispensation [des Augenscheins]
Kraus Nê des H. ver[käuffers] also bitt ebe[nfalls verkauffen] zu dörfen und [Dispens vom Augenschein]
(p. 84) [Implor]anten in ihrem begehren Zu wilfahren [s]eÿn.
Wurde vermittelts gehaltener Umbfrag unanimiter Erkant wird denen Imploranten mit gebettener erlaubnus eine im Marbachs gäßel gelegene behaußung umb achtzehnhundert gulden, worauf dreÿhundert [bar] bezahlt werden, der Rest aber Verzinßlich stehen bleibt Kaufen und dispensando vom augenschein respectivé verkaufen zu dörfen [a]lso wilfart daß der Kauf und ver: [kauf in] Mhh. Cancelleÿ Contract Stub coram [Depurtirten ordn]ungs mäßig verschrieben [und von diesen durch auszustellende reversales- geme]iner Statt versirendes in [-]gen abrichtung des [-]sonsten gewohnlich [-]enderen [-]

François Joseph Scheller épouse en 1767 Anne Marie Gœppel, originaire de Barr
Mariage, Saint-Marc (cath. p. 217)
Hodie 5. Octobris anni 1767 (…) sacro Matrimonÿ vinculo in facie Ecclesiæ coniuncti Franciscus Josephus Scheller Lapicida defuncti Josephi Scheller et Susannæ Mariæ Hermännin filius parochianus ad St. Petrum Seniorem et Anna Maria Gœppel Francisci Josephi Gœppel civis olim et Magdalenæ Meÿer conjugum defunctorum filia legitima, a sex annis ulrimis commorans in parochia nostra ambo ex Barr huius diœcesis oriunda (signé) Frantz Joseph schäller, x sponsæ (i 111)

François Joseph Scheller vend la moitié de son jardin à son voisin Jean Conrad Kræutler. Les parties conviennent de construire un mur

1792 (24.12.), Strasbourg 4 (3), Not. Schaaff N° 69 in Enregistremt. N° 129
persönlich kommen und erschienen der bürger Frantz Joseph Scheller, Maurer dahier
hatt in gegenseÿn des auch bürgers Johann Conrad Kräutlein, Leinenwebers hieselbst (verkaufft)
die helffte ohngefehr von dem an seinem des Verkäufers dahier am Zaunkönig Gäßlein gelegenen hauß sich befindlichen Platz garten, einseit neben dem Verkäufer selbst, anderseit neben dem Käufer gelegen, Vornen auf das besagte Gäßlein und hinten auf Georg Adam Wunderlich den Leinenweber stoßend, so ledig und eigen, Welche Verkauffte helffte Gartenplatzes längs sein des Käufers haußes hin lieget und Vornen auf das Gäßlein Zwölf und ein halben französischen Schu hinten auf ermeldten Wunderlich aber dreizehen französische Schu in der Breite haben soll, Wobei die Contrahirende Parten annoch ferner unter sich bedungen und Vestgesetzt, auch reciproce angenommen haben, daß Zwischen Ihnen beden in der Scheide solchen Garten Platzes eine sechs französische Schu hoche und sieben Zoll dicke gemeinschaftliche Mauer nebst Zween Pfeileren in solche Maur jeden Von einem Schu dick aufgeführt und also auch unterhalten mithin die desfallsigen kosten anjetzo anfangs und Zu allen Zeiten von jedem theil zur helffte gelitten und bestritten werden solle, bis und solange die Parten oder deren Nachkommlinge anderwärtig sich hierüber vergleichen würden – um die Summ 124 Gulden hiesiger Währung

Les héritières de François Joseph Schœller vendent la maison composée de deux bâtiments au maçon et entrepreneur Jean Jacques Stotz, déjà propriétaire de l’îlot entre la ruelle du Roitelet et la rue du Noyer (voir 9, rue Thomann)

1833 (21.5.), Strasbourg 8 (nouv. cote 52), Me G. Grimmer n° 4415
Suzanne Madeleine Schoeller veuve de Laurent Sieffert, cordonnier, Marguerite Schoeller femme de Joseph Mutschler, cordonnier
à Jean Jacques Stotz fils architecte
une maison consistant en deux corps de bâtiment avec cour tous droits, appartenances & dépendances situé à Strasbourg rue du Roitelet n° 7, d’un côté le Sr Schott savonnier, d’autre le Sr Kastner tisserand, derrière la rue Marbach où elle a une issue entre Sr Schott et Sr Scheiner maçon – de la succession de François Joseph Schoeller, maçon, et Anne Marie Gaebler leurs père et mère dont ils sont les enfants seuls et uniques héritiers, acquis de Jean Rodolphe Saltzmann, diacre près l’Eglise du Temple Neuf par acte passé à la cidevant Chambre des Contrats le 26 février 1781 moyennant 4000 francs
Enregistrement de Strasbourg, acp 217 F° 168-v du 23.5.


Les Maisons de Strasbourg sont présentées à l’aide de Word Press.