3, rue Sainte-Catherine


Rue Sainte-Catherine – X 322 (Blondel), O 596 puis section 31 parcelle 90 (cadastre) n° 3

Maître d’ouvrage, André Dietz, teinturier (1780)

Sainte-Catherine 3 (mars 2015)Sainte-Catherine 3, appuis (mars 2015)
La maison construite par le teinturier André Dietz en 1780.
Vue générale et ferronnerie de fenêtre (mars 2015)

Jean David Kientz, jardinier de Kehl, acquiert en 1644 la maison qui appartient ensuite à des constructeurs de bateaux (1673-1709) puis à des bouchers (1709-1750). Elle comprend en 1683 un bâtiment principal, une vieille grange et une remise. Le boucher Jacques Lidé transforme l’encorbellement en 1709. Le bâtiment principal a un rez-de-chaussée, un étage et trois chambres dallées sous les combles (1748) et comprend trois poêles (1763). Le cocher Laurent Wickert achète la maison avec son gendre Nicolas Arbogast en 1770 et fait construire un bâtiment le long du canal après avoir cédé une bande de terrain à la ville en 1773. Le teinturier André Dietz achète les bâtiments en 1779, demande l’alignement à suivre en 1780 et fait construire par la veuve du maçon Georges Christophe Freysinger une nouvelle maison qu’il hypothèque pour régler le menuisier Jean Conrad Ohm.

219 Elévations a-g
Elévations pour le plan-relief de 1830, îlot 219

L’Atlas des alignements clos en 1829 signale une maison en bon état, à rez-de-chaussée et deux étages en maçonnerie, celle qu’André Dietz a construite et qu’on peut voir de nos jours. Sur les élévations préparatoires au plan-relief de 1830 (1), le repère (d) forme l’extrémité occidentale de la rue Sainte-Catherine, vers le canal, et le repère (g) l’angle avec la rue de la Krutenau. La maison se trouve à gauche du repère (e) : la porte se trouve au milieu de la façade, cinq fenêtres de chaque côté. Chacun des deux étages a onze fenêtres. La toiture comprend deux niveaux de greniers. La cour B représente entre (5) et (6) l’arrière du bâtiment sur rue, le côté ouest de la cour (6-1), le côté nord (1-2), le bâtiment (2-3-4) dans le coin nord-est et le mur (4-5) qui forme séparation avec le voisin à l’est.

219 Cour B
Cour B

Le propriétaire agrandit son terrain de deux parcelles le long de la ruelle de la Bruche où il reconstruit une nouvelle maison en 1858. L’éditeur et agent d’assurances Hartmann Fischer fait construire en 1905 un nouveau bâtiment rue de Zurich (n° 33) et un bâtiment arrière de deux étages entre la rue Sainte-Catherine et la ruelle de la Bruche. La maison est légèrement endommagée lors du bombardement aérien du 25 septembre 1944. Conformément aux dispositions en vigueur à la Krutenau, la Police du Bâtiment refuse en 1986 que le bâtiment soit surélevé d’un étage. Une réhabilitation générale commence en 1987 et se termine en été 1988.

mars 2015

Sommaire
CadastrePolice du BâtimentRelevé d’actes

Récapitulatif des propriétaires

La liste ci-dessous donne tous les propriétaires de 1680 à 1952. La propriété change par vente (v), par héritage ou cession de parts (h) ou encore par adjudication (adj). L’étoile (*) signale une date donnée par les registres du cadastre.

Marguerite Riel
1644 v David Kientz, jardinier, et Brigitte Krieck – luthériens
1673 v Thiébaut Schwing, constructeur de bateaux, et (1639) Esther Rauel d’abord (1631) femme du coutelier Jean Joachim Korn – luthériens
1688 h Jean Jacques Schwing, constructeur de bateaux, et (1684) Marguerite Reuchlin – luthériens
1709 v Jacques Lidé, boucher, et (1705) Marie Marguerite Schmidt d’abord (1700) femme du boucher Jean Dieter – luthériens
1715 h Jean Bernard Pistorius, boucher, et (1715) Marie Marguerite Schmidt ci-dessus – luthériens
1716 v Christophe Dambach, boucher, et (1700) Catherine Obermüller puis (1725) Marie Elisabeth Müller – luthériens
1750 h Jean Daniel Hau, tonnelier, et (1734) Barbe Dambach – luthériens
1770 v Laurent Wickert, cocher, et (1744) Catherine Marguerite Hart puis (1774) Catherine Salomé Rieth et (1778) Marie Salomé Hatt – luthériens
Nicolas Arbogast, cocher, et (1768) Catherine Marguerite Wickert – luthériens
1779 v André Dietz, teinturier, et (1764) Susanne Marguerite Schlæber d’abord (1749) femme du teinturier Jean Jacques Rœderer, puis (1780) Marie Marguerite Say veuve du boulanger Jean Jacques Fix – luthériens
1800 h Philippe Jacques Blind, teinturier, et (1801) Catherine Salomé Dietz
1857* h Jean Frédéric Dietsch, employé puis propriétaire, et (1824) Catherine Louise Blind
1898 v Frédéric Türk
1905* h Hartmann Fischer, agent d’assurances, et Emma Türk puis (1920) la veuve

Valeur de la maison selon les billets d’estimation : 270 livres en 1683, 750 livres en 1705, 650 livres en 1724, 750 livres en 1748, 1 050 livres en 1763, 750 livres en 1776

(1765, Liste Blondel) X 322, la veuve de Daniel Hau
(1843, Tableau indicatif du cadastre) O 596, Blind, Philippe, rue de la Bruche 6 – maison, sol – 6,3 ares

Locations

1811, Jean Pierre Leroy, capitaine retiré
1824, Jean Engel, major

Localisation sur le plan Blondel (1765)

Directeurs fonciers (Bauherren)

1709, Directeurs fonciers (VII 1383)
Les charpentiers soupçonnent le charpentier Pierre Fürst d’avoir travaillé à l’encorbellement du boucher Jacques Lidé et d’avoir posé un pilier. Le propriétaire déclare avoir fait lui-même les travaux. Les directeurs fonciers se rendent sur place et constatent que le propriétaire a modifié l’avance pour pouvoir agrandir une fenêtre

(f° 196-v) Dienstags den 28. Maÿ 1709. Peter Fürst der Zimmermann handelt wider Ordnung – Peter Fürst, der Zimmermann, ward Vorgestellt, daß Er an Jacob Lidi, des Metzgers beÿ der Catharinen brucken ligender behausung den Überhang ohngefragt außgebrochen habe. Ille sagt Er habe keine handt daran gelegt, weder Er noch sein Gesind, sondern es habe der Metzger und seine Knecht solches selbsten gethan, nach der handt habe der Metzger, alß Er Fürst nicht hier gewesen, seinen Gesellen abgeholt und einen newen pfosten darein Zu setzen demselben befohlen, daß Er anhero gekommen und solches erfaren, habe Er demselben daran Zu arbeiten Verbotten, welches der Metzger bekräfftiget. Erk. Soll solcher überhang besichtiget werden.
(f° 197) Jacobi Lidi Überhang betr. – Augenschein eingenommen an Jacob Lidi, des Metzgers ohnfern der Catharinen brucken ligenden behausung daran ein stück Von dem Überhang, umb die darinnen befindliche fenster umb etwas Zu vergrößern eingeschlag. worden. Erk. bedacht

1773, Directeurs fonciers (VII 1415)
Laurent Wickert demande l’autorisation de réparer la risberme (revêtement) du canal pour pouvoir y construire une maison

(f° 188) Montags den 26. Aprilis 1773 (wurden folgende Augenschein eingenommen). Lorentz Wicker, der Kutscher – Beÿ der St Catharinæ bruck an Lorentz Wicker, des Kutschers behausung, welcher gebetten ihme zu erlauben statt des verfallenen ein neu steinen Landvest um künftghin ein haus darauf bauen zu können, aufzuführen. Erkannt, Willfahrt und seÿe die flucht durch Hrn bau Inspectorem auszustecken, und einen Plan davon ad Protocollum zu liefern.

1777, Directeurs fonciers (VII 1417)
Laurent Wickert cède à la Ville une partie de sa cour (c’est-à-dire un terrain le long du canal)

(f° 263-v) Montags den 13. Octobris 1777. Lorenz Wicker, Kutscher – Lorenz Wicker der Kutscher ist mit seiner Hoff Maur beÿ St Catharinæ Bruck um Zweÿ Klaffter dreÿ schuh Vier Zoll quadrat Maß zurück gefahren, liegt im X. Canton hat davor à 18 lb zu empfangen 46 lb

1780, Directeurs fonciers (VII 1419)
Le teinturier qui a l’intention de faire des travaux dans sa maison demande l’alignement à suivre. Le Magistrat n’avalise pas le plan de 1777 mais demande à l’inspecteur d’en dresser un nouveau.

(f° 18-v) Dienstags den 15. Februarÿ 1780. Andreas Dietz, ferber – Johann Reinhard Pfaudt, der Maurer nôe. Andreas Dietz, des Ferbers, bittet, da derselbe willens einige veränderung ane seiner beÿ der Catharinæ bruck gelegenen behaußung machen zu lassen, ihme das Alignement derselben zu zeigen. Erkannt, bedacht, Seÿe zu vorderist der Plan N° 9 auf dem Platz zu examiniren.
(f° 38-v) Dienstags den 4. Aprilis 1780 – Andreas Dietz, Ferber – Andreas Dietz, der Ferber, bittet um anzeig des Alignements seiner ane der St Catharinä bruck gelegenen behausung da nun Meine Gnädige Herren geruhet haben vor einiger zeit den in Anno 1777 über das Alignement dasiger gegend approbirten Plan auf dem Platz selbsten zu examiniren und in Ansehung deßen vorführung einige Schwierigkeit gefunden als wurde Erkannt, bedacht, seÿe an vorderist über das zu beobachtende Alignement dasiger Gegend durch Herrn Bau Inspector ein neuer Plan zu projectiren.
(f° 43) Dienstags den 11. Aprilis 1780. Andreas Dietz Ferber – Andreas Dietz, der Ferber, wiederholet sein gethanes Petitum um Anzeig des Alignements seiner ane der Catharinæ bruck gelegenen behausung. Erkannt, Seÿe das Alignement durch Herrn Bau Inspector nach dem in Anno 1777 approbirten Plan an zu weisen und aus zu stecken.

Protocole des Quinze

1709, Protocole des Quinze (2 R 113)
Convaincu d’enfreindre souvent le règlement, l’affaire de Pierre Fürst est portée devant les Quinze. Le préteur royal propose une peine d’emprisonnement. On notera que les déclarations de Jacques Lidé aux Directeurs fonciers dégagent Pierre Fürst d’une des infractions

(f° 217) Freÿtags den 27. Sept. 1709. die Obere Bawhh. und dreÿ des Pfthurns Ca. Peter Fürsten. – Obere Bawherren Laßen per herrn Friden proponiren daß Sie und die Herren dreÿ des Pfenningthurns mit einem ohngehorsamen zimmermann nahmens Peter Fürst Zu thun haben welchen man wegen verschiedener wider Ordnung gemachter gebäw zwar abgestrafft welcher aber nicht allein keine straff erlegt, sondern in seiner Halßstarrigkeit fortfahren deßwegen Herr Secret. Wetzel heüt morgen Gegenwärtiges Memoriale übergeben habe.
H Fridt lißt es ab, Dahin gehendt daß ged. Fürst sich unterstanden habe die Vordere Riegelwand an Jacob Lidj des Metzgers beÿ der Catharinen bruckh gelegenen behaußung, ohngefragt auß zu brechen undt eine newe an deren stelle Zu machen da doch so wohl auff der Zimmerleuth als Maurer Zunfft daß keiner, dergleichen, ohne vorwißen der Obern Bawherren vorzunehmen, noch st* auff dem Allmendt Zu Repariren oder new zu machen sich unterstehen solte, durch ein absonderliches verbott inhibirt seÿe.
Bald darauff habe Er an dem Eckhauß beÿ dem Catharinen thurn einen überstoß nach d. handt an Johann Friderich Kleinen des Huffschmidts behaußung das dach über dem Überhang anderthalben schuh breiter,
Ferner an Johann Jacob Köllen des Schloßers behaußung in der Hennengaß ein wetterdach,
undt an Michael Diemers Erben behaußung beÿ dem König. Hospithal dreÿ wettertächlein, woran Er aber Verhindert worden, vndt dann
vor Johann Georg Rothen des Bratwürstmachers behaußung in dem Gerbergraben, eine newe Landvest Gemacht, vndt weiler derselbe wed. auff freündliches errinnerung noch gethanes ernstliches Verbott, solches nicht unterlaßen auch die ihme deßwegen Zu verschiedenen mahlen andictirte straffe, so sich auff 3 lb 10. ß belauffen nicht erlegt alß habe man Selbigen Mgh. herren als ohngehorsam geschrieben geben wollen, vndt werd. demnach Zu Mgh herren was Sie hierauff erkennen wollen.
Herr Prætor Regius sagt, aus dem abgelesenen Memoriali seÿe Zu ersehen, daß der beklagte schon Zu verschiedenen mahlen abgestrafft, aber die ihme angesetzte straffe, nicht erlegt, vndt auch in seinem ohngehorsam fortgefahren habe. Vndt wolte Er der meinung seÿn, daß wegen der rückständigen straffen, mit ihme nach Ordnung verfahren, nemblich daß man sich beÿ E. E. Kleinen Rhat anmelden, Vndt die Execution wid. Ihme Vorgenommen werden solte. Vndt weilen 2.) derselbe über alles abwarnen in seiner halßharrlichkeit fortgefahren vnd keine Correction beÿ Ihme statt habe, so vermeine Er daß mit vorwißen des Reg. Herrn Ammeisters derselbe in thurn gesetzt undt mit Ihme nach der Ordnung nach dem Rechten vndt dem interesse publico verfahren werden könte.
Erk. Herrn Prætori Regio in beeden stücken Gefolgt

Description de la maison

  • 1683 (billet d’estimation traduit) La maison comprend une vieille grange et une remise
  • 1724 (billet d’estimation traduit) La maison comprend un petit bâtiment arrière, un poêle, plusieurs chambres et cuisines, vestibule, poêle et petite chambre pour les officiers, une buanderie, une écurie pour le logement militaire, un vieux fenil, une porcherie, une petite cave et un puits commun, le tout estimé à la somme de 1 300 florins
  • 1748 (billet d’estimation traduit) La maison comprend au rez-de-chaussée à main droite un poêle, chambre à coucher, cuisine et vestibule, au premier un poêle, un cabinet, cuisine et vestibule, il y a trois chambres dallées sous les combles couverts de tuiles plates et de tuiles creuses. Un petit bâtiment arrière comprend un petit poêle, vestibule où se trouve le fourneau et l’évier, au premier une petite chambre. Il y a encore une vieille grange, une écurie pour le logement militaire, une buanderie, une cave voûtée et un puits commun. Le tout est estimé avec ses appartenances et dépendances à la somme de 1 500 florins
  • 1763 (billet d’estimation traduit) La maison comprend trois poêles, trois cuisines, plusieurs chambres, le comble est couvert de tuiles plates et de tuiles creuses, il y a en outre une cave voûtée, un puits commun, une grange et une écurie dont le comble est couvert de tuiles plates. Le tout est estimé avec ses appartenances et dépendances à la somme de 2 100 florins
  • 1776 (billet d’estimation traduit) La maison comprend un bâtiment avant et un bâtiment arrière où se trouvent quatre poêle, trois cuisines et plusieurs chambres, en outre une grange, une remise et une écurie dont le comble est couvert de tuiles plates, une cave voûtée et un puits commun. Le tout est estimé avec ses appartenances et dépendances à la somme de 1 500 florins

Atlas des alignements (cote 1197 W 37)

Atlas des alignements, 4° arrondissement ou Canton est – Rue de Ste Catherine

nouveau N° / ancien N° : 3 / 2
Blind
Rez de chaussée et 2 étages bons en maçonnerie
(Légende)

Cadastre

Cadastre napoléonien, registre 25 f° 283 case 2

Blind Philippe Jacques à Strasbourg
1857 Dietsch Jean Frédéric Propriétaire Krutenau N° 2

O 596, maison, sol, Krutenau 2
Contenance : 6,30
Revenu total : 363,28 (360 et 3,28)
Ouvertures, portes cochères, charretières : 1 / 1
portes et fenêtres ordinaires : 70 / 56
fenêtres du 3° et au-dessus :

Cadastre napoléonien, registre 27 f° 1107 case 1

Dietsch Jean Frédéric propriétaire
Turck Friderich Rentner

O 596, maison, sol, Rue Ste Catherine 3
Contenance : 6,30
Revenu total : 363,28 (360 et 3,28)
Folio de provenance : (283)
Folio de destination : 1107. augn. de constr. (maison) – 1107-I zum Weg (sol)
Année d’entrée :
Année de sortie : 1861
Ouvertures, portes cochères, charretières : 1
portes et fenêtres ordinaires : 70
fenêtres du 3° et au-dessus :

O 590, maison, sol, Impasse de la Bruche 5
Contenance : 1,70
Revenu : 0,88
Folio de provenance : 1104
Folio de destination : 1107-I zum Weg
Année d’entrée : 1860
Année de sortie : 1877

O 591, maison, sol, Impasse de la Bruche 5
Contenance : 0,28
Revenu total : 364,30 (0,14)
Folio de provenance : 1104
Folio de destination : Gb
Année d’entrée : 1860
Année de sortie :

O 596, Maison (O 590, 591, 596), Rue Ste Catherine 5 et 3
Revenu total : 454,30 (450 et 4,30)
Folio de provenance : 1107, augm. de constr.
Folio de destination : Gb
Année d’entrée : 1861
Année de sortie :
Ouvertures, portes cochères, charretières : 1 / 1
portes et fenêtres ordinaires : 77 / 96
fenêtres du 3° et au-dessus :

Année 1861, Augmentations – Dietsch Jean Frédéric f° 1107, O 590, 591, 596, Maison, revenu 450, augmentation de Const.on, achevée en 1858, imposable en 1861, imposée en 1861
Diminutions – Dietsch Jean Frédéric f° 1107, O 596, Maison, revenu 360, Aug.on de Const.on en 1858 (voir ci-contre), supp.en 1861

O 596.p, sol, Rue Ste Catherine 3
Contenance : 6,14
Revenu total : 454,15 (3,19)
Folio de provenance : 1107-I
Folio de destination : Gb
Année d’entrée : 1877
Année de sortie :

O 590.p, Impasse de la Bruche
Contenance : 1,58
Revenu : 0,82
Folio de provenance : 1107-I
Folio de destination : Gb
Année d’entrée : 1877
Année de sortie :

Jahrgang 1877, Abgang – Dietsch Johann f° 1107, O 596.p, sol 0,16, revenu 0,09, Übergang zur Strasse, supp. 1877
id. O 591, Übergang zur Strass, supp. 1877p, sol 0,12, revenu 0,06, Abbruch, supp. 1877

Cadastre allemand, registre 30 p. 399 case 6

Parcelle, section 31, n° 90 – autrefois O 590.p, 591, 596.p
Canton : St. Katharinengasse Hs. Nr. 3 u. Züricherstraße Nr. 33 – Rue Sainte-Catherine et rue de Zurich
Désignation : Hf, 3 Whs u. NG – Hf, 2 Whs u. NG
7/06 n° 17/06, 23/08
Contenance : 7, 68 – 7,70
Revenu : 12 200 – 11 700 – 2800 – 10 800 – 12 700
Remarques : 1910 Minderung
1916 Zug. 1906 Seite 380 F. 3
1906 Abbruch
1908 Neubau

(Propriétaire jusqu’à l’exercice 1906), compte 1241
Türck Friedr. u. Ehefr. d. Erben
1906 Türk Friedrich Sohn u. Miteigentümer
1918 Ehrismann Robert Dr. pharm. Apothecker u. Ehefr. Olga geb. Burckhardt
1938 Ehrismann Jean Eugène Robert & son épouse
1948 Wahl Charles à Illkirch Graffenstaden ½ et son épouse ½
(4183)

(Propriétaire à partir de l’exercice 1906), compte 1465
Fischer Hartmann Ehefr. 1907
1920 Fischer Hartmann Kaufmann Witwe geb. Türk
(1423)

1789, Enquête préparatoire à l’Etat des habitants (cote VII 1295)

Canton X, (353) Rue beÿ der Catharinen bruck, Crautenau, Breuschgäßlein
(maison n°) 2

(Pr.) Dietz Andreas Färber und burger – Tücher
Müller Michel burger u. Inspector du pont d Schausé – Maurer
Schaffer Jacob Doctor Médicine u. burger – Weinsticher
Salomon Jean Baptiste journalier u. burger – Möhrin

1789, Etat des habitants (cote 5 R 26)

Canton X, Rue 353, Quartier de la Krautenau (p. 543)
(maison n°) 2

Pr. Dietz, André teinturier – Drapiers
Loc. Müller, Michel, Inspecteur des ponts et Chaussées – Privilegié
Loc. Schaffer, Jacques, Doct. en Médecine – Vignerons
Loc. Salomon, J. Baptiste journalier – Moresse

Annuaire de 1905

Verzeichnis sämtlicher Häuser von Strassburg und ihrer Bewohner, in alphabetischer Reihenfolge der Strassennamen (Répertoire de toutes les maisons de Strasbourg et de leurs habitants, par ordre alphabétique des rues)
Abréviations : 0, 1,2, etc. : rez de chaussée, 1, 2° étage – E, Eigentümer (propriétaire) – H. Hinterhaus (bâtiment arrière)

St. Katharinengasse (S. 74)

(Haus Nr.) 3
Bonnet, Hebamme. 0
Bonnet, Schreiner. 0
Fischer, Kunstverlag u. Generalagentur. 02
Willem Kochlehrschule. 1
Türk, Rentner. E 2
Herger, Tabackbereiterin, H 0
Spitz, Schuhmacher. H 0
Stolz, Kachlerwerkst. H 0
Thomas, Tagner. H 0
Zimmermann, Wwe. H 0
Anton, Büglerin. H 1
Beinert, Schreiner. H 1
Clody, Schreiner. H 1
Groshenny, Maurer. H 1
Lüntz, Depotarbeiter. H 1
Münch, Maschinenarb. H 1
Wernert, Schreiner. H 1
Brechenmacher, Inval, . H 2
Hau, Steinhauer. H 2
Lahnig, Tagnerin. H 2
Louot, Tagnerin. H 1

Dossier de la Police du Bâtiment (cote 954 W 206)

Rue Ste. Catherine 3 (1886-1994)

Le propriétaire remet en état en 1897 la clôture endommagée rue de Zurich. L’éditeur et agent d’assurances Hartmann Fischer fait construire en 1905 un nouveau bâtiment rue de Zurich (n° 33) et un bâtiment arrière de deux étages entre la rue Sainte-Catherine et la ruelle de la Bruche. Le tapissier Michels y a son atelier de 1895 à 1898, le chef cuisinier Charles Willem son école de cuisine (1903), le retraité Schumann un atelier de couture (1906). Les bâtiments sont légèrement endommagés lors du bombardement aérien du 25 septembre 1944. Conformément aux dispositions en vigueur à la Krutenau, la Police du Bâtiment refuse en 1986 que le bâtiment soit surélevé d’un étage. Une réhabilitation générale commence en 1987 et se termine en été 1988.

Sommaire
  • 1886 – L’entrepreneur Haussmann (13, rue Kageneck) demande au nom du propriétaire Dietsch l’autorisation de ravaler la façade. La Police du Bâtiment note que la maison suit l’alignement légal et qu’elle n’a pas d’avance. – Autorisation – Travaux terminés août 1886
  • 1890 – Note de la Police du Bâtiment. Les deux fosses d’aisances de la maison 3, rue Sainte-Catherine qui appartient au notaire Kœrttgé ne sont pas réglementaires. La Police du Bâtiment enjoint le propriétaire de se conformer à l’arrêté du maire en date du 4 novembre 1857 – Note de mai 1890 : la fosse arrière a été supprimée, la fosse avant est désormais réglementaire
  • 1894 – (Avril) La Police du Bâtiment notifie Edmond Willm (1, rue du Bouclier) de faire ravaler la façade – (Juillet) Rapport d’un agent de police d’après lequel il est nécessaire de ravaler la maison qui appartient à Edmond Willm, professeur domicilié à Lille en France. – Travaux terminés, octobre 1894
  • 1895 – Le tapissier Michels demande l’autorisation de transférer son enseigne du 22, quai des Pêcheurs au 3, rue Sainte-Catherine – Autorisation – 1898, la notification de paiement est retournée à la Ville, le tapissier a déménagé 51, rue du Faubourg de Pierre
  • 1895 – La Police du Bâtiment notifie le notaire Stiegelmann (1, rue du Bouclier) de faire ravaler la façade du 3, rue Sainte-Catherine et de la maison à l’angle de la rue de Zurich et de la ruelle de la Bruche – (Décembre) Les façades sur rue ont été ravalées mais pas les autres parties visibles de la rue
  • 1897 – La Police du Bâtiment constate que l’entrepreneur Koch de Schiltigheim fait des travaux sans autorisation à la maison du notaire Kœrttgé – Eugène Kœrttgé demande au nom du propriétaire Dietsch l’autorisation de remettre en état une partie de la clôture endommagée rue de Zurich en joignant un croquis – Autorisation
  • 1895 – La Police du Bâtiment notifie le notaire Koerttgé (12, petite rue de la Course) de se conformer au nouveau règlement en supprimant les dix volets du rez-de-chaussée qui s’ouvrent vers la voie publique à une hauteur inférieure à 2,20 mètres – Décembre 1896, les volets à battants ont été remplacés par des volets pliants – 1897, Même demande, pour trois volets – 1898, la Police du Bâtiment fait remarquer que les volets s’ouvrent toujours vers la voie publique mais qu’il suffirait de poser une barre – Septembre 1898, F. Türk, propriétaire de la maison domicilié 16 place des Bouchers, demande un an de délai parce qu’il a l’intention de faire des travaux – Les volets sont réglementaires, novembre 1899
  • 1903 – Le chef cuisinier Charles Willem demande l’autorisation de poser une enseigne « Ecole de cuisine ». Autorisation
  • 1905 – Les entrepreneurs Comment et Imberger (27, rue du Vieil-Hôpital) demandent l’autorisation de poser un échafaudage devant la maison Fischer – Autorisation – Les locaux destinés aux ouvriers sont conformes après transformation. Prolongation du délai – Travaux terminés novembre 1905
    Hartmann Fischer fait construire un nouveau bâtiment arrière de deux étages entre la rue Sainte-Catherine et la ruelle de la Bruche. La réception du gros œuvre a lieu en août 1905, le crépissage en septembre
    L’entrepreneur en bâtiment Nuss (44, faubourg de Cronenbourg ou de Saverne) demande l’autorisation de transformer la maison sise 3, rue Sainte-Catherine – Autorisation (juillet 1905), les travaux sont en cours (août), le mur de la cage d’escalier ne correspond pas aux plans, les travaux sont presque terminés (mars 1906). La réception finale a lieu en mars 1906. Il n’y a pas lieu d’établir une fiche comptable puisque le nombre de logements et de pièces dans chaque logement n’ont pas changé
    Hartmann Fischer est autorisé à construire un bâtiment arrière de deux étages qui s’ouvre vers la ruelle de la Bruche. Dessins (plan de situation, élévation, plan, coupe) – Le soubassement devra être reculé sur une partie de la ruelle – Lors de la réception du gros œuvre (août 1905), la Police du Bâtiment constate que la cage d’escalier ne correspond pas au plan et demande de nouveaux dessins. L’entrepreneur justifie les changements. La Police du Bâtiment accepte à titre exceptionnel d’autoriser la cage d’escalier et accepte que la distance entre le bâtiment avant et le bâtiment arrière soit de sept mètres. – Avenant au permis de construire, un plan modifié
    Les travaux de plâtrerie puis de peinture sont en cours (novembre). L’entrepreneur demande en décembre la réception finale qui ne peut avoir lieu parce que les canalisations ne sont pas encore posées, la buanderie et les remises pas entièrement terminées. Tous les travaux sont terminés, mai 1905
    Hartmann Fischer, agent général d’assurances de la compagnie Bayrische Hypotheken- und Wechsel-Bank in München, fait remarquer que la maison n’appartient pas aux consorts Fischer comme l’indiquent les courriers de la Police du Bâtiment mais à sa femme Emma née Türk
  • 1904 – La Police du Bâtiment notifie Frédéric Türk (domicilié sur place) de faire ravaler la façade du 3, rue Sainte-Catherine – Il répond qu’il va procéder au partage de ses biens entre ses enfants en demandant un délai, accordé jusqu’au printemps suivant – Herrmann Fischer adresse en mai 1905 à la Police du Bâtiment une lettre dans laquelle il expose qu’il va faire démolir et reconstruire les bâtiments rue de Zurich et ruelle de la Bruche (les travaux étant terminés au plus tard début avril 1906) puis transformer la maison au 3, rue Sainte-Catherine. Il se propose de faire ravaler la façade à cette occasion. Le délai est accordé
  • 1906 – H. Schumann (retraité domicilié 18 rue des Tonneliers) demande l’autorisation d’installer un moteur électrique au 3, rue Sainte-Catherine. La mairie transmet le dossier à la préfecture – Autorisation d’installer un atelier de couture pourvu d’un moteur – Travaux terminés, juin 1906
  • 1921 – L’entrepreneur J. Bruckmann demande l’autorisation de poser un échafaudage sur la voie publique pour repeindre la maison. Accord
  • Commission contre les logements insalubres, 3, rue Sainte-Catherine. Propriétaire, Türk, domicilié sur place. Observations en quatre points (1900). Deux observations en suspens font l’objet en 1902 d’un rapport au Conseil municipal qui prend une décision le 1 août 1902. Le propriétaire a vendu la maison. Dossier classé, août 1903
    1906. Les lieux d’aisance sont raccordés aux canalisations
    1915. Commission des logements militaires. Observations en quatre points, l’un d’eux concernant les ouvertures de taille insuffisante dans les deux chambres mansardées des domestiques
  • 1933 – La Police du Bâtiment notifie la veuve Fischer de faire ravaler la façade du 3, rue Sainte-Catherine – La propriétaire obtient un délai en arguant des loyers très modérés
  • 1941 – Le propriétaire E. Fischer (33, rue de Zurich) informe la Police du Bâtiment que certains locataires élèvent des lapins dans les caves du 3, rue Sainte-Catherine. Elle répond qu’il lui appartient de prendre les mesures nécessaires
  • 1945, certificats de sinistré, la maison a subi de légers dégâts lors du bombardement aérien du 25 septembre 1944. Bénéficiaires, Léon Blanché (1° étage, colis), Charles Krieg, idem
  • 1986 – La société Sogenim que le propriétaire a chargé de rénover et de réhabiliter les bâtiments demande s’il est possible de surélever le bâtiment d’un étage ou à défaut d’agrandir les chiens assis vers la rue ou vers la cour. Plan de situation (cadastre de 1896), photocopies de plans de 1905. La Police du Bâtiment émet un avis défavorable à une surélévation d’après les dispositions en vigueur à la Krutenau.
  • 1987 – L’Immobilière Halles dépose une déclaration de travaux dans le champ de visibilité d’un monument historique : réfection de la toiture, les menuiseries extérieures, de la peinture en façade. Propriétaire, Johann Grimas domicilié à Vienne en Autriche dont l’Immobilière Halles est mandataire depuis 1973. Extrait du plan cadastral (plan de situation et plan parcellaire). Dessins, plans des différents niveaux. Avis favorable de l’architecte des bâtiments de France. Observations du Service des incendies
    Suivi des travaux. Une partie de la charpente a été déposée (septembre 1987), la toiture est en cours de réfection, les travaux intérieurs se poursuivent (janvier 1988), le ravalement de la façade est terminé, les travaux intérieurs se poursuivent (juin 1988), le garde-neige n’a pas été posé sur la toiture (août), ne sera pas posé étant donné qu’il s’agit d’un ancien bâtiment (novembre)
    1987 (octobre). L’entreprise Fregonese (rue Desaix à Mundolsheim) est autorisée à poser un échafaudage sur la voie publique
  • 1994 – Rapport sur un feu de cheminée

Relevé d’actes

Le tuteur de Marguerite Riel vend la maison 400 livres à David Kientz de Kehl

1644 (3. Jan.), Chambre des Contrats, vol. 493 f° 4
(Prot. fol. 2. fac. 2. et fol. seqq.) Erschienen diebolt Schuster der Garten Mann alß Vogt Margarethæ Rüelin, mit beÿstand Michael Schwing. vnd Jacob Hetzelß, beed. Gartner in Krautenaw, ihr Margarethæ Bruders und Schwagers
hatt in gegensein David Küentzen von Keel, mit beÿstand Andreß Schötterins deß iung. seines Stieffvatters, und Georg Meÿers seines Schwähers, beed. von Keel & vff E. E. groß. Rhats heut dato interponirtes Decretum alienendi, vffrecht verkauft gedachtem Küentzen, der dann mit wohlgedachts Rhats anheut ertheilten obrigkeitlich. Consens und mit dem Vorhaben sich in dißer Statt burgerlich ein Zu laß. gekauft zu haben geständig war
hauß, hoff, hoffstatt, Scheür, Ställ, Trott, Trotthauß, mit allen deren Gebäwen, alhie in Krautenaw, beÿ St: Catharinæ Bruckh, neb. hannß Freiß. dem Meelmann ein: und anderseit neben Mathiß Conrad dem Schiffmann, hind. vffs waßer stoßend gelegen so verhafftet ist umb 50. lib. Ester Lampin, Mehr umb 150. lib. hannß Meÿern alß Ehevogt Elisabethæ Nägelin (übernohmen) – umb 200 Pfund
[in margine :] Vide die in Registrand. de Anno 1643. fol. 380. fac. 2. in margine befindliche Anweißung Vnd dießer 150. lb Meÿerischer Beschwärdt halben bestimpte bezahlung

David Kientz de Kehl achète le droit de bourgeoisie pour lui et sa femme Brigitte Krieck. Il apporte un fils, David
1644, 3° Livre de bourgeoisie, p. 900
David Küntz von Kheul erkaufft d. burger recht für sich und sein haußfraw Brigida Krueckhin vmb 20. Gold fl. bringt mit sich ein Kindt nahmens David so noch kein eigen gutt, würd Zu den Gartnern dienen. Jur. & den 2.ten Maÿ 1647

David Kientz hypothèque la maison au profit des enfants mineurs de Daniel Ayerer

1664 (29. Aprilis), Chambre des Contrats, vol. 529 f° 257
Erschienen H David Kuntz Gartner in Krautenaw mit assistentz H. Johann Leffer Notarÿ
in gegensein H. Jacob Kleinen deß Weinhändlers alß Vogts weÿl. Daniel Aÿerers deß Würths zum Spanbeth nunmehr seel. hinderlaßener Kinder seiner Enckel – schuldig seÿe 75 Pfund pfenning
Unterpfand sein soll hauß hoffstatt höfflin Scheur Ställ mit allen deren Gebäwen begriffen weith. Zugehördten und Gerechtigkeiten alhie in der Vorstatt Krautenaw beÿ St. Catharinæ bruckh, einseit neben hannß Frießen dem Meelmann, anderseit neben Diebolt Schwing dem Schiff zimmermann, hinden uff deß Waßer stoßend gelegen, (…)
Weiters solle in spê. Unterpfand sein, Ein halb Zweÿtheil feldts im zoll Garten ohnfern des härlischen Guths

Le jardinier David Kientz assisté de son fils du même nom vend la maison 350 livres au constructeur de bateaux Thiébaut Schwing, propriétaire de la maison voisine à l’angle du canal depuis 1646. En marge, quittance donnée aux héritiers en 1687

1673 (18. 8.br), Chambre des Contrats, vol. 541 f° 579
Herr David Kuentz der älter Gartner in Krautenaw mit beÿstand David Küentzen deß Jüngern Gartners alda, seines eheleiblichen Sohns
in gegensein Diebold Schwingen deß Schiff Zimmermanns mit assistentz Philipp Metzgers deß Weißbeckhen
hauß, hoff, hoffstattn Scheur, Ställ, Trotthauß mit allen deren Gebäwen, begriffen, weithen, Zugehördten rechten und Gerechtigkeiten alhier in der Vorstatt Krautenau beÿ St. Catharinæ Bruckh, einseit neben dem Käuffern selbsten, anderseit neben hannß Adam Frießen dem Ohlmann, hinden uffs waßer stoßend gelegen, welche behaußung annoch umb 50. lb weÿl. herren Ulrich Marbachß alten Großen Rhats Verwanthens nunmehr seel. nachgelaßener Wittib und Erben, Item umb 25. lb Balthasar Klingen dem ältern, Item umb 75. lb weÿl. herren hannß Wörners wohlgedachten Rhats geweßenen beÿsitzers nunmehr seel. nachgelaßenen Erben, So dann umb 100. lb Johann Adam Siglen Verhafftet (übernohmen) – umb 100. lb
[in margine :] (…) in gegensein hannß Jacob Schwingen deß Schiff Zimmermanns, hannß Friderich Simon deß Kantengießers alß Ehevogt Ester Schwingin, So dann Hannß Niclaus Hetzel deß strehlmachers alß Ehevogts Annæ Mariæ Schwingin (quittung) Act. d. 15.t. 9.br 1687.

Fils de jardinier, le constructeur de bateaux Thiébaut Schwing épouse en 1639 Esther Rauel veuve du coutelier Jean Joachim Korn qu’elle a épousé en 1631 : contrat de mariage tel qu’il est copié à l’inventaire, célébration
Copia Eheberedung – zwischen dem Ehrsamen Undt bescheidenen Theobaldt Schwingen, Schiff Zimmermann, burgern alhier Zu Straßburg an einem, Und dann der Ehren, Vndt Tugendsamen fr. Ester Rawlin weÿl. deß auch Ehrsamen Vnd bescheidenen Hannß Joachim Kornen gewesenen Meßerschmidts Vndt burgers daselbsten nachgelaßener With. am andern theil, (in beÿsein) Michael Schwing auch Gartners seines bruders, So dann vff ihr der Hochzeiterin seitten H Caspar Schweickhaußers Metzgers ihres geliebten Vatters – So beschehen in dießer deß heiligen reichs freÿen Statt Straßburg Sonntags d. 18.t tag deß Monats Augusti im Jahr alß man nach Christi Jesu Unßers Einigen Erlößers V. Seeligmachers gebuhrt zalte 1639. Christoph Khernstock Nots: Publ.

Mariage, Saint-Guillaume (luth. p. 139)
1639. Dominica XIV. Trinitatis. Diebolt Schwing der Schiff Zimmermann undt burger Alhie weÿlandt Hannß Schwingen deß Garttners vndt auch burgers alhie nachgelaßener ehelicher Sohn, vndt Esther weÿlandt Hanns Joachim Korn deß Meßerschmidts vndt burgers Alhie nachgelaßener eheliche wittib. Copulirt Zu St Wilhelm (i 315)

Le coutelier Jean Joachim Korn épouse Esther fille du boucher Erard Rauel et belle-fille du boucher Gaspard Schweickhæuser
Mariage, Saint-Guillaume (luth. p. 15, n° 9)
1631. Dnica. pasch: & quasimodo 10 & 12. hans Joachim Korn ein Meßer schmidt, Joachim Korn des meßer schmidts un gellers Sohn
J. Esther, Erhard Rawels des metzgers p. m. Tochter Caspar Schweickhauser metzgers an der Catharinæ Bruck stieff Tochter, proclamati st. p. Juniore patrum s* uterum q. par copulati zinstags 19. Aprilis ad S. Wilhelmum (i 250)

Thiébaut Schwing et sa femme Ester hypothèquent la maison au profit de Jean Georges Meyer, diacre à la Cathédrale

1673 (13. 9.br), Chambre des Contrats, vol. 541 f° 615-v
Diebold Schwing der Schiff Zimmermann Und Ester sein Eheweib und Zwar dieselbe mit assistentz Michael Schweighäußers deß Metzgers Jhres eheleiblichen Bruders und hannß Friderich Simons deß Zinngießers Ihres dochtermanns
in gegensein deß Wohl Ehrwürdig und wohlgelehrten H. M. Johann Georg Meÿers Diaconi im Münster – schuldig seÿen 75. lb
unterpfand, sein soll, hauß hoff, hoffstatt, Scheür, Ställ, Trotthauß, mit allen deren Gebäwen, Begriffen Zugehördten und Gerechtigkeiten allhier in Vorstatt Krautenaw beÿ St. Catharinæ Bruckhen, einseit neben denen Schuldigen Eheleuthen selbsten, anderseit neben Hannß Adam Frießen dem ohlmann, hinden uffs waßer stoßend gelegen
Und deßen Zu noch mehrhern Versicherung so ist auch hierbeÿ persönlich erschienen Eva Rawglerin mit assistentz der Ehrenvest Fürsichtig und weÿsen herren Daniel Fischers und H. Niclaus Caroli beeder alß aus E.E. großen Rhats Mittel ahne obgedachts diebold Schwingen Ihres Vogts statt hierzu insonderheit Deputirter, die hatt sich für obige Schuld und biß dieselbe Völlig wird bezahlt Verbürgt

Le jardinier Jean Voltz cède un capital de 25 livres garanti sur la maison de Thiébaut Schwing

1676 (12. Maÿ), Chambre des Contrats, vol. 545 f° 568-v
hannß Voltz Gartner in Krautenau für sich selbsten und alß Vogt Georg Schultheißen
in gegensein herrn David Beuthers deß Ohlmanns
Zwen dritte theil am Viertentheil Ihme dem Verkäuffer gehörig und einen tritten theil am Vierten theil den seinem curando Zustehend ahne hauß, höfflin, hoffstatt und allen übrigen Gebäwen, begriffen und Zugehördten in der Krautenau Zwischen den Zwoen gedeckhten bruckhen, einseit neben dem Verkäuffern, anderseit neben Georg Veltin dem Fischer, hinden auch uff Ihne den Verkäuffer,
Item Zwen dritte theil am Viertentheil, und einen dritten theil am Viertentheil, ahne hauß, höfflin hoffstatt und allen übrig. Gebäwen und Zugehördten allda, einseit neben dem Verkäuffern, anderseit neben dem Käuffern, hinden auch uff denwelben stoßend gelegen
Item Zwen dritte theil am Viertentheil, und wieder Einen dritten theil am Viertentheil, ahne denen zu Druchterßheim und Munoltzheim iährlich fallenden Gülten, welche etwann in allem 2 Viertzel frucht halb Waitzen und rocken ertragen und – raichen, Item Zwen dritte theil am Viertentheil, und Einen dritten theil am Viertentheil ahn einem Viertzel Gülten halb Waitzen und rocken, so Adams Diebolt Von Handschuhheim jährlichen Zu geben Pflichtig, so dann Zwen dritte theil am Viertentheil, und einen dritten theil am Viertentheil ahne 40. fl. so hannß Beckher Zu Marlenheim bekantlich schuldig seÿe – umb 75 lb
dafür hatt der Käuffer dem Verkäuffer in solutum cedirt 25. lb so diebolt Schwing der Schiff zimmermann von seiner alhier in der Vorstatt Krautenau beÿ St. Catharinæ bruckhen Zwischen Ihme Schwing und hannß Adam Frießen dem Ohlmann gelegener behaußung bekantlich schuldig seÿe (…)

Le constructeur de bateaux Thiébaut Schwing meurt en 1683 en délaissant trois enfants issus de la veuve Ester Rauel. Les experts estiment la maison 270 livres. La masse propre à la veuve est de 231 livres, celle des héritiers de 47 livres. L’actif de la succession s’élève à 213 livres, le passif à 299 livres.

1683 (5.5.), M° Theus (Philippe Henri, 59 not 17) n° 553 (554)
Inventarium undt Beschreibung aller Undt jeder Haab, Nahrung und güettere, so weÿl. der Ehrenvest V. Vorgeachte H. Diebold Schwing, gewesene Schiffbeüger Undt burger alhier, nach seinem den 18.ten febr: St: N. diß Zum end gehenden jahrs aus dießem zergänglich. leben genommenen seel. hienscheiden hinter ihme Verlaßen, (…) durch die Viel Ehrn: Undt tugendsame fr. Ester Rawlin die hinterbliebene With. mit beÿstand deß Ehrengeacht. Meister Hannß Paulus Eberlins Schuhmachers Undt burgers alhier ihres geordnet und geschworenen Vogts (geäugt und gezeigt) – Actum in der Königlichen freÿen Statt Straßburg Mittwochs den 5.ten Maÿ Anno 1683.
Der abgeleibte H Diebold Schwing seel. hat ab intestato Zu Erben hinterlaßen seine mit eingangs gemelter geweßenen geliebten ehelichen haußfr. der nunmahls hinterbliebenen Wittibin ehelich erziehlten Sohn und döchter nahmentlichen 1. Erstlichen fr. Ester Schwingin H. Johann Friderich Simons deß Zinngießers Undt burgers alhier geliebte eheliche haußfr. mit beÿstand gedacht ihres geliebt. ehelich. haußwürths, 2. Annam Mariam Schwingin, Mstr. Hannß Niclauß Hetzels, Kammachers v. burgers alhier eheliche haußfr. mit beÿstand gemelt ihres ehelich. haußwürths, 3. So dann Hannß Jacob Schwingen, Schiffbeüger V. burgers alhier aber noch ledigen standts.

In einer der Statt Straßburg In der Vorstatt Krautenaw beÿ der Catharinenbrucken am waßer gelegenen hiehero gehörigen Undt hernach beschriebenen behausung ist befund. Word. Wie Volgt.
Ahne Haußrhat. In der Cammer A, n der Cammer B, In der Cammer C, Vor dießer Cammern, In d. obern od. Wohnstuben, In der Stub Cammer, Im obern Haußöhren, Im Undern Haußöhren, Im Keller – Im Hauß darneben, Im Keller
Eigenthum ane Häußern (T.) Item i. hauß V. hoffstatt mit allen deren gebäwen, begriffen, rechten, Zugehörden Undt gerechtigkeiten alhier in der Vorstatt in Krautenaw an St: Catharinen brucken, eins. ein Eck an St. Johannis Gießen (…)
(T.) Item hauß, hoff, hoffstatt, scheür, ställ mit allen deren übrig. gebäwen, begriffen, Weiten, zugehörden gerecht v. gerechtigkeit geleg. neben nechst Vorher gemelt behaußung beÿ St. Catharinen brucken, ein: V. an.s. neben Hannß Adam Frieß. d. ohlmann V. burgern alhier, hinden auf Vorgemelt. Gieß. od. Waß. stoßendt.
Dauonn gehen järlich 3. lb. 15 ß d. Zinß auf d. 12. 8.bris, weÿl. H. Joh: Georg Werners deß geweß. Würths V. Gastgebers, deß gewes. Würths V. Gastgebers Zum Engel hinderlas. Erben in specie Joh. Wernern V. Annæ Mariæ Wernerin gebohrner Schragin indem Zur helfte ablößig in Cap. mit 75. lb. Ferner 3 lb. Zinß, fr: Annæ Barbaræ Meÿerin, H. (-) Burgers Silberarbeiters V. Burgers alhier nuunmahls ehelich. haußfr. alle jahr auf Martini, ablößig in hauptguth mit 75. lb. Mehr 2. lb 10. ß d. Zinß, jährlich auf Jacobi Apli. fr. Mariæ Ester Marbächin ablößig in Cap. mit 50 lb. Undt dann 1. lb d zinß, järlich. auf d. Schwörtag H Hanß Voltzen, Gartnern in Krautenaw, widerlößig in Cap. mit 25. lb. Sonsten über jetzt specificirte beschwerden freÿ ledig V. eigen. Undt ist dieße behaußung durch die hießige H. Werckmeister V.mög deß Von sich außgestelltendt concept beÿgelegten scheins angeschlagen word. pro 270. lb. Über abzug aber Vorhergemelt beschwerd. welche Zusammen thun 225. lb bleibt p. rest annoch außzuwerfen übrig 45. lb. Über nechstgemelte behaußung besagt 1. teutsch. p.gamen. Kauffbr. so H. Rhath. Bischoff Weg. Annæ Barbaræ Meÿerin obgedacht Zu Versicherung deß Vorhergehendihro gehörigen v. auf dießem hauß stehend. 75. lb. d. Cap. v. wahrlich in handhabt. Ferner ist annoch beÿ d. stell i. alt teutsch. p.gamin. Kauffbr. mit d. Statt straßb. anhangend. Contract Insigel v.wahrt, dat. d. 3. Jan: A° 1644. not: mit alt. N° 1 ietzo aber N° 2
– Abschatzung Mitwochs d. 18/28 Aprillis 1683. Weillandt deß Erbaren Diebold schwing burger Vnd schiffbeÿer allhier Zu Straßburg See: hinderlaßene fraw Wittib Vnd Erben behaußung beÿ der sogenandten Catharina Brucken Ein seits Neben dem St. Johannes Gießen, ander Seitz Neben denn Erben selbsten Welche behaußung durch die geordnete Werckleit besichtiget und in acht genommen dem Jetzigen preiß Und Wahrt Nach angeschlagen Vor Vnd Vmb Dreÿ hundert Gulden
die andere behaußung sambt der alte Neben scheÿren Vnd Werckh schopff Ein seits Neben denn Erben Selber Ander seitzes Neben Hanß Adam frieß dem öllman hinden auff Sebastian heß dem fischer Stoßent Welches Eben Meßig in allen woll besichtiget Vnd in acht genommen dem Jetzigen preiß Vnd wehrt Nach angeschlagen Vor Vnd Vmb Vünf hundert Vnd Vüerztig Gulden. Bezeigens der Statt Straßburg Werckhleut [unterzeichnet] Andres Schmidt Werckmeister deß Maurhoffs, Johann Feÿlotter Werck Meister deß Zimmer hoffs, Joseph Lauttenschlager alter Werckhmeister

der Wittib, Sa. haußraths 23, Sa. Silbergeschirrs und geschmeids 8, Sa. Gold. Ringen 5, Sa. der Wittib Ergäntzung 231 lb, Summa summarum 269 lb – der Fr. Wittib restirende Vermögen 231 lb
der Erben, Sa. haußraths 9, Sa. Silbergeschirrs und geschmeids 10 ß, Schulden 37, Summa summarum 47 lb
Theilbar, Sa. haußraths 34, Wein und lehre Vaß 9, Früchten 1, Sa. Zum Schiffbeügen handwerck gehörig Schiff und geschirrs 57, Sa. baarschafft 14, Sa. Schulden 38, Sa. Eigenthumbs ane Häußern 57 lb, Summa summarum 213 lb – Schulden 299, Theilbare passiv Schulden übertreffen das Theilbare guth 86 lb
Conclusio finalis Inventarÿ 192. lb
Ergäntzung der Fraw Wittib unveränderten Guths (…) Aus angeregt ihr d. sel. geliebten Schwester Evæ Rawlin seel. a° 1641. d. 19. Augusti über das jenige was beÿ Abtheillung Weÿl. Fr. Annæ Schultheißin H. Gaspard Schweighäußers, burgers V. Metzgers alhie Zue Straßb. Verstorbenen Ehelich. haußfr. ihrer geliebt. Mutter seel. V.lassenschafft, erbl. an: v. Zugefallen, ist durch Notarium H. Dauid Ößingern sen: auffgerichtet v. außgefertigt. Special Theilregister (…)
Aus dem über Weÿl. Jgfr. Evæ Rawlin ihr d. fr. Wittib geliebten leibl. Schwester seel. V.lassenschafft Anno 1677. d. 8. 8.bris durch mich Notarium auffgerichteten Inventario – Sa. der Wittib Ergäntzung 231 lb
Copia Eheberedung (…) – Copia Codicilli

Les deux filles du défunt vendent leur part de la maison à leur frère Jean Jacques Schwing

1688 (13.4.), Chambre des Contrats, vol. 559 f° 252-v
(Prot. fol. 27.b) Erschienen Johann Friderich Simon, der Zinngießer, alß Ehevogt Annæ Mariæ gebohrner Schwingin, vnd hans Niclaus Hetzel, der Strehlmacher alß Ehevogt Annæ Mariæ gebohrner Schwingin
haben in gegensein hans Jacob Schwingen deß Schiffbäuers, Ihres Schwagers
Zween dritte theÿl für ohnvertheilt an Hauß, Hoff, Hoffstatt Schur, ställ, Trotthauß, gemeinschafft deß bronnens mit allen übrig. deren Gebäuen, begriffen, weith. Zugehördt. Rechten und Gerechtigkeit, allhier in der Vorstatt Krautenau beÿ St. Catharinæ Brucken, einseit neben hans Adam Frießen dem Ohlmann, anderseit neben obged. hans Niclaus Hetzel, hinten auffs waßer stoßend gelegen, welche behaußung annoch umb 50 lb Capit. (item umb 25 lb Capital, so dann umb 75 lb. Capital verhafftet), Ihme Kaüffern aber der übrige dritte theÿl zuvorhin zuständig – umb 150 pfund

Le constructeur de bateaux Jean Jacques Schwing épouse en 1684 Marguerite Reuchlin, fille d’un ancien diacre de Saint-Nicolas : contrat de mariage tel qu’il est copié à l’inventaire, célébration, inventaire des apports
Copia Eheberedung – entzwischen dem Ehren und Vorachtbahren Herrn Johann Jacob Schwingen, dem Schiff Zimmermann und burgern in Straßburg, Weÿland deß Ehrenvesten herrn Theilbar Schwingen auch Schiff zimmermanns burgers allhier seelig hinterlaßenem Sohn alß dem braütigamb ane einem. So dann der Viel Ehren und tugendsamen Jungfrauen Margaretha auch Weÿland deß Wohl Ehrwürdig und wohlgelehrten herren M. Friderich Reuchlins, geweßenen treweifferigen Diaconi der Pfarrkirchen zu St Nicolai in Straßburg nunmehr seel. hinterbliebenen Ehelichen tochter alß der Jungfrawen hochzeiterin am andern theil – So beschehen in Straßburg dem 19. May im Jahr 1684, Stephan Cornelius Saltzmann Not. Req. publ.

Mariage, Saint-Nicolas (luth. f° 26-v, n° 13)
1684. iis dem Dominicis (Festo Pentecostes et Trinitatis) Johann Jacob Schwing der ledige Schiff Zimmermann wey Theobald Schwingen deß Burgers Und Schiff Zimmermanns allhie nachgelaßener ehelicher Sohn Vndt Jungfr. Margaretha Weÿland H. M. Friderich Reüchlins deß Burgers und gewesenen Diaconi beÿ dießer Kirche, nachgelaßene eheliche Tochter. Copul. Zu St. Niclaus d. Montag 19/29 Maÿ (i 28)
Proclamation, Saint-Guillaume (luth. f° 167) 1684. Festo Pentecostes et Trinitatis. Johann Jacob Schwing der Ledige Schiff Zimmermann wl. Diebold Schwing deß Schiff Zimmermanns v. unds allhie hinterl. ehel. Sohn Vndt J. Margaretha W. Hn M. Friderich Reüchlin treüÿfferigen Diaconi Zu St Niclaus alhie hinterlassene eheleibliche Tochter. St. Niclaus (i 104)

Inventaire des apports
1684 (14.6.), M° Saltzmann (Etienne Corneille, 49 Not 6) n° 10
Inventarium undt beschreibung aller der Jenigen Haab, Nahrung und Güttere, so der Ersame Johann Jacob Schwing, Schiff Zimmermann und die Ehren und Tugendreiche fraw Margaretha Schwingin gebohrne Reichlinin, beede Eheleuth und b. alhier Zu Strbg. einander In Ihren Ehestand Zugebracht. Welche der Ursachen Wegen, weilen in der Zwischen Ihnen aufgerichteten Eheberedung expressé Versehen daß einem Jeden seine in die Ehe bringende Nahrung unverändert Verbleiben – Actum in der Königlichen freÿen Statt Straßburg in gegenwartj der Viel Ehren und tugendbegabten frawen Margaretha Reichlin Wittibin der frawen geliebten Mutter, den 14 Junÿ 1684.
(sans sommes)

Marguerite Reichlin meurt en 1705 en délaissant quatre enfants. Les experts estiment la maison 1650 livres. La masse propre au veuf est de 816 livres, celle des héritiers de 349 livres. L’actif de la succession s’élève à 995 livres, le passif à 995 livres.

1705 (14. 8.br), M° Rohr (Daniel, 46 Not 14) n° 551
Inventarium und beschreibung aller derjenigen Haab Nahrung und Güttere, liegender Vnd vahrender Keinerleÿ davon außgenommen, so weÿland die Viel Ehren und Tugendreiche Fraw Margaretha Schwingin gebohrne Reichlinin des Ehrenachtbahren Herrn Johann Jacob Schwingen Schiff zimmermann vnd burgers allhier zu Straßburg geweßene Eheliebste nunmehr seel. nach Ihrem den 29.sten Maÿ instehenden 1705.ten Jahrs aus dießer welt genommenen tödlichen ableiben, Zeitlichen verlaßen, welche Verlassenschafft auf freundliches ansuchen erfordern und begehren des Wohl Ehrenvesten, Rechtsgelehrten und Großachtbahren herrn Jacob Christoph Pantrion vornehmen Notarÿ Publ. vnd berühmten Practici auch burgers allhier, als geordnet und geschworenen Vogts Johann Jacobs, Mariæ Evæ, Mariæ Magdalenæ und Mariæ Ester aller Vier der abgeleibten ehelich erzeigter Kinder vnd ab intestato Zugleichen theilen nachgelaßener Erben, fleißig inventirt – So beschehen allhier in der Königlichen freÿen Statt Straßburg Mittwochs den 14.ten Octobris Anno 1705.

In einer allhier in der Crautenaw ohnfern St. Catharinæ bruckh gelegenen vndt in dieße Verlassenschafft gehörigen behaußung sich volgendermaßen befunden.
Ane Höltzen und Schreinerwerck. In der Cammer A, Vor dießer Cammer, In der Wohn stub, Im obern Haußöhren, In der Kuchen, In der Wohn Stub Cammer (pge. fol. 8.b)
(f° 14-v) Eÿgenthumb ahne Einer behaußung (T.) Ein hauß, hoff, hoffstatt, Scheur, Ställ, ruinirt trotthaus auch gemeinschafft eines bronnens mit all vbrigen deren gebäwen, begriffen, Weithen, Zugehörden, Rechten vnd Gerechtig Keit. gelegen allhier in der Vorstatt Krautenaw beÿ St. Catharinæ bruckh, einseith neben Niclaus Hötzel dem Strehlmacher, anderseit neben hannß hohe dem Garttner vnd Ohlmann hinden auffs waßer Zum theil v. theils auff gedachten hannß hohe stoßend, so gegen männiglichen freÿ leedig vnd eigen vnd ist solche behaußung durch die allhießig geschwornen Werckmeistere, vermög deren beÿ mein Notarÿ Concept befindlichen schrifftlichen Abschatzung de dato 7.t 8.bris Anno 1705. æstimirt worden pro 750.
Über Zween dritte theil vorstehender behaußung besagt ein perg. Kbr. in allhießiger C. C. stuben vnder dero vorgetrucktem anhangedem Insiegel, sub dato 13. Aprilis Anno 1688. gefertiget, mit N° 1 notirt. Darbeÿ ferner ein alter perg. Kbr. vber die gantze behaußung besagend, in allhiesiger C. C. stuben gefertiget, datirt den 18.ten Octobris A° 1673. mit alten N° 33 signirt.
– Abschatzung de 7. 8.bris aô 1705. Auff begehren des Ehrhafften und bescheidenen Herrn Hanns Jacob Schwing Schiffbeÿer ist eine behausung allher in der statt Straßburg in der Krautenaw beÿ der Catharinen bruck gelegen, einseit neben hannß ho gartner, hinden auff das Waßer stosend, Welche behaußung hoff Scheur stallung und gemeiner bronne sambt aller gerechtigkeit wie solches durch der Statt Straßburg geschwornen Werckleuthe sich in der besichtigung befunden und jetzigem preiß nach angeschlagen wird Vor und Umb Ein tausendt und Fünff Hundert Guldten. Bezeichnus durch der Statt Straßburg geschworene Werckleuthe [unterzeichnet] Jacob Staudacher Werckh Meister des Maur hofs. Johan Jacob osterrieth Werck Meister deß Zimmerhoffs
(f° 15) Ergäntzung des wittibers abgangenen unveränderten Vermögens. Inhalt Inventarii vber beeder geweßener Ehepersohnen einander in den Ehestand gebrachten Nahrungen in Anno 1684. durch herrn Stephan Cornelium Saltzmann Not. Publ. et Academ. auffgerichtet
(f° 19) Series rubricarum hujus Inventarÿ. Des Wittibers unveränderter Nahrung betr. 1. Sa. Haußraths 36, Sa. Silbers 9, Sa. Guldenen Rings 1, Sa. baarschafft 1, Sa. Ergäntzung 767, Summa summarum 816
Der Erben Nahrung betr. Sa. haußraths 66, Sa. Silbers 43, Sa. Guldener Ring 6, Sa. baarschafft 22, Sa. Pfenningzinß hauptgüter 165, Sa. Ergäntzung 44, Summa summarum 349 lb
Theilbahr Guth betr. Sa. Haußraths 89, Sa. Werckzeig, holtz & 85, Sa. Silbers 5 Sa. Guldener Ring 3, Sa. baarschafft 55, Sa. Eigenthumbs ane einer behaußung 750, Sa. Activ Schulden 6, Summa summarum 995 lb – Schulden 811 lb, Uber Abzug dßen Verbleibt 183 lb – Conclusio finalis Inventarÿ 1349 lb
Verlohrene Schulden in des wittibers unveränderte Nahrung Zugeltend 36, Zweiffelhaffte Schulden in das Erbe Zugeltend 158 lb
Copia Eheberedung (…) So beschehen in Straßburg dem 19. May im Jahr 1684, Stephan Cornelius Saltzmann Not. Req. publ.
(f° 25-v) Copia Codicilli reciproci – Im Jahr 1705 (…) auff dienstags den 26. Maij, persönlich kommen und erschienen der Ehrenhaffte und Vorachtbahre herr Johann Jacob Schwing Schiff bäuer und mit und beneben Ihme die tugendsame Fraw Margaretha Schwingin gebohrne Reichlinin, beede Eheleuth und burgere allhier zu Straßburg Er der Codicillator von den gnaden Gottes gesunden gehend und stehenden Sie die Frau Codicillierin aber Vnpäßlichen Krancken und sehr geschwollenen Leibs in einem seßel sitzend – in einer in der Crautenaw beÿ der Catharina Brucken gelegenen dem Codicillator zuständigen behaußung deren Oberen wohnstuben mit den fenstern auff die gaß sehend

Jean Jacques Schwing meurt trois ans plus tard. L’estimation de la maison est reprise de l’inventaire de sa femme. L’actif de la succession s’élève à 1 321 livres, le passif à 112 livres.

1708 (14.8.), M° Rohr (Daniel, 46 Not 20) n° 753, 760
Inventarium und beschreibung aller derjenigen Haab undt Nahrung, liegender und Vahrender Keinerleÿ davon außgenommen, so Weÿl. der Ehren und Vorachtbahre Herr Johann Jacob Schwing geweßene Schiffbäwer und burger allhier zu Straßburg nunmehr seel. nach seinem den 29. Julÿ instehenden 1708.ten Jahrs aus dießer welt genommenen tödlichen ableiben Zeitlichen verlaßen, welche Verlassenschafft auf freundliches ansuchen erfordern und begehren des Wohl Ehren vesten, Großachtbahren und Rechtsgelehrten herrn Jacob Christoph Pantrion vornehmen Notarÿ Publici und berühmten Practici auch burgers allhier, als geordnet und geschworenen Vogts Johann Jacobs, Mariæ Evæ und Mariæ Magdalenæ des abgeleibten herrn seel. mit Margarethæ gebohrner Reichlinin seel. ehelich erzeigter dreÿer Kinder Und ab intestato nachgelaßener Erben, fleißig inventirt – So beschehen allhier in der Königlichen freÿen Statt Straßburg in ferneren gegensein des Wohl Ehrwürdig und wohlgelehrten herrn M. Friderich Reichling treweÿfferig und wohlverordneten Pfarrers beÿ der Evangelischen Gemeindt Zu Gerstheim der Kinder und Erben fr. Mutter seel. herrn Bruders, ferer des Wohl Ehren und Wohlvorgeachten herrn Andreä Stumpffen Statt Kieffers und herrn Johann Caspar Geiger Jun.is Hoßenstrickers beeder burgere allhier und auff des verstorbenen Manns seel. seithen nechster Anverwanth. Dienstags den 14 Augusti Anno 1705.

In einer allhier zu Straßburg ane der Crautenaw ohnfern St. Catharinæ bruckh gelegenen vnd in dieße Verlassenschafft eÿgenthümblich gehörigen behaußung sich volgender maßen befunden.
Ane Höltzen: und Schreinerwerck. Auff der obern Bühn, Auff der Nebens bühn, In der Cammer A, Vor dießer Cammer, In der Wohnstub, In der Wohnstub Cammer, Im obern Haußöhren, In der Kuchen, In der Officier Stub, Im Keller, Im Nebens Keller, Im Hoff
Eÿgenthumb ahne Einer behaußung. It. hauß, hoff, hoffstatt, Scheur, ruinirte Ställ und Holtzhaus auch gemeinschafft eines bronnens mit allen vbrigen deren gebäwen, begriff., weithen, Rechten Zugehörden und Gerechtig Keiten, gelegen allhier Zu Straßburg in der Vorstatt Crautenaw beÿ St. Catharinæ bruckh 1.s. neb. Niclaus Hetzel dem Strehlmach., 2.s. neben hannß hohe dem Ohlmann hind. Zum theil auffs waßer v. theils auff gedachten hohe stoßendt, so freÿ leedig und eigen, angeschlagen vmb den jenigen preiß wie solche allererst vor ohngefehr 2 ½ Jahren durch die geschwornen Werckmeistere allhießiger Statt beÿ des Verstorbenen, seel. Zibor abgeleibter Haußfrawen Verlassenschaffts Inventation crafft dero schrifftlich vbergebenen Abschatzung de dato 7. Octobris 1705. æstimirt worden pro nemblichen 750. lb.
Über Zween dritte theil vorstehender behaußung be. i. perg. Kbr. in allhießiger Cantzelleÿ Contract stuben vnder dero vorgetrucktem anhangedem Insiegel, sub dato 13. Aprilis Anno 1688. gefertiget, mit N° 1 notirt. Darbeÿ ferner I. a. perg. Kbr. Vb. die gantze behaußung besagend, in allhiesiger Cantzelleÿ Contract stuben gefertiget, datirt den 18.ten Octobris A° 1673. mit alten N° 33 signirt.
Series rubricarum hujus Inventarÿ. Sa. Haußraths 93, Sa. holtz, Schiffborth, dielen, Stange, wie auch schiff und geschirr Zum Schiffbäuer handwerck gehörig 74, Sa. Früchten 2, Sa. leerer Vaßen 13 ß, Sa. Silber geschirr und Geschmeids 53, Sa. Guldenen Rings 8, Sa. Pfenningzinß hauptgüter 115, Sa. Eigenthumbs ane einer behaußung 750, Summa summarum 1321 lb – Schulden 112 lb
Conclusio finalis Inventarÿ 1228 lb
N° 760 Verkauff und Looß Registerlein, Mittwochs d. 12. 7.bris et seqq. diebus Anno 1708.

L’inventaire dressé après la mort de sa femme montre que Jean Jacques Schwing a réglé des impôts sur une somme considérablement sous-évaluée. Le notaire Pantrion intercède pour son beau frère malade qui argue que la maison a été évaluée 1 500 florins alors qu’il l’a acceptée pour 1 100 florins dans la succession de son père. Les préposés objectent que même en défalquant 400 florins, la fortune de l’intéressé reste sous-évaluée de 1 000 florins pour l’assiette de l’impôt. Outre le paiement des arriérés, ils proposent d’infliger une amende au contrevenant et éventuellement de confisquer les biens sous-évalués. La décision suit l’avis du préteur royal qui proposait d’infliger une amende. Une semaine plus tard, l’intéressé demande que l’amende soit réduite de moitié. Les préposés décident quelques mois plus tard de réduire l’amende de moitié étant donné que le pétitionnaire est malade.

1708, Protocole des Quinze (2 R 112)
(f° 11) Freÿtags den 20.t January 1708. Die dreÿ des Stalls Ca. Hans Jacob Schwing. pt° Zu weniger Verstallung
Iidem [Obere Stallherren] per me, es haben die Herren dreÿ des Stalls gegenwärtigen unterth. bericht herauff gelieffert, daraus Zu ersehen, daß Hans Jacob Schwingen des Schiffbawers haußfr. so verstorben, Vermög auffgerichteten Inventary 2700 fl. 5 ß 4 d verlaßen, dahingegen allein 1300 fl. undt also 1400 fl. Zu wenig verstallt worden seÿen, worunter 300 fl. theilbar, vndt 1100. fl. unverändert Guth sich befinden. deßwegen ane nachtrag außständigen 2. jährig Stalgelts, undt vor gebot undt unkosten, in Summa 67. lb 18 ß 2 d angesetzt vndt wegen so gar viel zu weniger Verstallung das geschäfft ratione Mulctæ an Mghherren verwießen worden seÿe.
Nachdem um obged. Schwing, so lang kranck danieder liege, vndt dem verlaut nach schwehrlich mehr auffkommen werde, alßo daß man Ihne darüber hören können, so habe Er seinen Schwager H. Notar. Pantrion in seinem nahmen herauff geschickt, welcher berichtet daß sein Schwager gesagt, daß der überschuß daher komme, daß die Werckmeister sein hauß sehr hoch angeschlagen, Welches Er von seinem Vatter umb 1100 fl. angenommen undt allein den platz undt daß es ein Schiffbawershauß seÿe, considerirt da doch die Gebäw gar schlecht seÿen, vndt könne Er H Pantrion Versichern, daß ged. Schwing ein ehrlicher mann aber dabeneben einfältig seÿe, undt daß dießer fehler mehr aus unwißenheit als aus vorsatz geschehen, mit angehengter bitte, Ihme solchem ged. Zu Verziehen.
Worauff man d. Inventarium besehen undt gefunden daß d. Hauß umb 1500. fl. angeschlagen worden, und wann gleich 400. fl. davon abgezogen würden, so hette doch ged. Schwing 100. fl. noch Zu wenig verstallt. Undt werde demnach zu Mghh. stehen, ob Sie es beÿ dem nachtrag der Zimblich starck Verbleiben laßen, od. noch eine straff anhencken, oder gar die Confiscation des nicht verstallten guths erkennen wollen.
Herr Prætor Regius hielte davor, daß neben dem nachtrag noch eine straff von 15 lb d angesetzt werden könte. Erk. Gefolgt.
(f° 24) Sambstags den 28. January 1708. pt° mulctæ. K. nôe Joh: Jacob Schwingen des Schiff Zimmermanns deponirt ane denen Ihm angesetzten 15. lb d straff die helffte mit 7. lb 10. ß undt bittet des residui gn. nachlaßes. Erk. an die Obern stallherren gewiesen.
(f° 119) Freÿtags den 4. May 1708. Joh: Jacob Schwing pt° mulctæ
Obere Stallheren Laßen per me proponiren es habe Johann Jacob Schwing der Schiffbawer welcher Mghh. wegen Zu weniger Verstallung neben bezahlung des nachtrags in 15. lb d straff condemnirt die helffte nembl. 7. lb 10. ß daran erlegt, undt umb erlaßung des residui gebetten. Auff beschehene remission habe man nicht ermangelt davon Zu Reden Vnd weilen der Implorant schon eine lange Zeit kranck darund. liegt, undt ane nachtrag 76. lb. undt einige schilling Zu bezahlen habe, alß werde Zu Mghh. stehen, ob sie demselben ane obiger straff d. residuum in gnaden nachlaßen wollen. Erk. wirdt der rest in gnaden nachgelaßen.

Le tuteur des enfants de Jean Jacques Schwing vend 800 livres une maison en mauvais état au boucher Jacques Lide et à Marie Marguerite Schmidt

1709 (10.6.), Chambre des Contrats, vol. 572 (Protocoles) f° 18-v
(800) H. Jacob Christoph Pantrion Notarius publicus als vogt weÿl. Johann Jacob Schwingen gewesenen Schiffbauers seel. nachgelaßener 3. Kinder
in gegensein Jacob Liede des Metzgers und Mariæ Margarethæ Schmidin deßen haußfrauen [unterzeichnet] Jacob Liede, Maria Margaredha liedein
eine ruinirte behaußung mit allen gebaüen, begriffen, weithen, zugehörden, Rechten Uund Gerechtigkeiten allhier in der Krautenau ahne de Catharinæ brucken neben Niclaus Hefele strehlmacher anderseit neben Hanns Hohe dem Ohlmann hinten auf diebold Helcken Schiffmann zum theil theils auff die Käuffere selbsten stoßend gelegen – umb 800 pfund

Jacques Lidé et Marie Marguerite Schmidt hypothèquent la maison au profit de Jean Georges Schiller, diacre à Saint-Pierre-le-Jeune

1709 (14.10.), Chambre des Contrats, vol. 572 (Protocoles) f° 36
Jacob Liede metzger und Maria Marg: geb. Schmidtin beÿständlich David Kuhn Kornwerffers u. hanß Martin Pracht schuem:
in gegensein H. M. Joh: Georg Schillers Diaconi beÿm jungen St. Peter – schuldig seÿen 150 pfund
unterpfand, ihre behaußung cum appert: allhier in der Krautenau beÿ St. Cath: bruck einseit neben hanß hoh anderseit neben Diebold Helck hinten auf die debitores stoßend
[in margine :] H. M. Johann Jacob Guthermann Schielmeister zum alten St Peter im Nahmen Samuel Schillers Commis auff der Schmiden Belfort seine Schwagers in gegensein Christoph Dambach Metzger als Nunmahlig. Proprietarÿ hieran bem. Haußes (Quittung) den 22. feb. 1717

Originaire de Durlach, le boucher Jacques Lidé épouse en 1705 Marie Marguerite Schmidt, veuve du boucher Jean Dieter qu’elle a épousé en 1700. Jacques Lidé devient bourgeois deux semaines après son mariage
Mariage, Saint-Nicolas (luth. f° 89-v, n° 2)
Mittwochs den 21. Jenner 1705. seind nach zweÿmahliger außruffung in der Pfarrkirchen Zu S. Niclauß in Straßb. copulirt und eingesegnet worden, Jacob Lide, der Metzger und burger alhie, und fr. Maria Margaretha Dieterin weÿl. Johann Dieter, geweßenen Metzgers und burgerß alhier nachgelaßene wittwe [unterzeichnet] Jacob Lide, Metzger als hochzeiter, Maria Margaretha diederrin als hoch Zeiderin (i 94)

1705, 4° Livre de bourgeoisie p. 755
Jacob Lide V. Durlach, Jacob Lide des schirmers allhier sohn, empfangt das burgerrecht V. seiner Fr: weÿl. Johann Dieters wittib p. 2. gold fl. 16. ß. Wird beü E. E. Zunfft Zur blum dienen. Jur. d. 7. dito [febr.] 1705.

Jean Dieter épouse en 1700 Marie Marguerite Schmidt, fille d’un employé de l’intendance de Kehl
Mariage, Saint-Nicolas (luth. n° 2)

Heute Mittwochs den 24 Hornung 1700. seind nach zweymahliger außruffung in der Pfarrkirchen Zu S. Niclaus in Straßb. copulirt und eingesegnet worden Johannes Dietert, d. ledige Metzger v. burg. alhie, H Joh: Dietert deß Horblohners v. burgers alhier ehl Sohn, und Jfr. Maria Margaretha Schmidtin, Matthæi Schmidts, dißmahlß des hochlöbl. Schwabisch. Craisses Commissariat, der Festung Kail proviant bedienten eheliche Tochter [unterzeichnet] Johanneß Dieter der Jünger Metzer alß hochzeitern Maria Margaretha schmidtin alß hochzeiterin (i 64)

Jacques Lidé et Marie Marguerite Schmidt hypothèquent la maison au profit du noble Jacques Christophe Bœcklin de Bœcklinsau

1712 (14.3. ut ante), Chambre des Contrats, vol. 585 f° 212
Jacob Liede metzger und Maria Marg: geb. Schmidtin beÿständlich H. David Stamm horbloners und Joh: Martin Pracht schuemachers (lat. Liete)
in gegensein Jr. Jacob Christoph Böckel von böcklinsau – schuldig seÿen 300 lb zu erkauffung immediate infra stehenden versetzten helfte
unterpfand, perge supra fol. 207 a ibi die helfte usq. eigen
Item ihr hauß c. appert: beÿ St Cath: bruck, einseit neben Niclaus Hetzel anderseit neben Joh: Hoh hinten aufs wasser stoßend

Jacques Lidé et Marie Marguerite Schmidt hypothèquent la maison au profit de le veuve Thorwarth

1711 (6.8. ut supra), Chambre des Contrats, vol. 584 f° 442
Jacob Liede metzger und Maria Marg: geb. Schmidtin beÿständlich hanß Martin Pracht sen. und Maximilian Kick Kiefers
in gegensein Cath: Thorwarthin wittib geb. Knodererin beÿständlich Georg Friedrich Spangenbergers buchbinders ihres Curatoris – schuldig seÿen 150 pfund
unterpfand, ihr hauß c: appert: ahn der Catharinæ bruck, einseit neben Niclaus Hetzel anderseit neben d. ohlhauß

Une deuxième fois veuve, Marie Marguerite Schmidt se remarie en 1715 avec le boucher Jean Bernard Pistorius originaire de Sarrebruck
Jean Bernard Pistorius et Marie Marguerite Schmidt hypothèquent la maison et un étal de boucher au profit du médecin Jean Braun

1716 (28.1.), Chambre des Contrats, vol. 589 f° 35
Johann Bernhardt Pistorius Metzger und Maria Margaretha geb. Schmidtin mit beÿstand Daniel Elles hosenstickers und Johann Martin Pracht Schuemachers
in gegensein H. Johann Braun Med. Doct. und Practici et Exsenatoris – schuldig seÿen 100 pfund
unterpfand, Erstl. hauß hoff hoffstatt Scheur cum appertinentÿs in d. Vorstatt Krautenau ohnfern d. Catharinæ bruck einseit neben Niclaus hetzel Strehlmacher neben hans hoh ohlmann hinten auff Jacob helcken Schiffmann
Item ein Metzger banck mit allen zugehörden Unter d. Kleinen Metzig einseit neben Johann Ehehalt anderseit neben Cyriacus rummel beed. Metzgern hinten auff den Rindshäutergraben stoßend gelegen, davon gibt mann jährlich 5 ß ane bodenzinß

Jean Bernard Pistorius et Marie Marguerite Schmidt hypothèquent la maison au profit de la mineure Marie Salomé Leydecker

1716 (12.3.), Chambre des Contrats, vol. 572 (Protocoles) f° 9-v
Johann Bernhard Pistorius Metzger Und Maria Margaretha geb. Schmidtin mit beÿstand Johann Daniel Elles Hoßenstrickers Und Johann Bernhard Silbereÿsen Weißbecken Ihrer Schwägere
in gegensein Johann Adam Runckel goldarbeiter alß Vogts Maria Salome Leÿdeckerin – schuldig seÿen 100 pfund
unterpfand, Hauß, Hoff, Scheur, Stall cum appertinentÿs allhier beÿ der St. Catahrinä bruck einseit neben Hanns Hoh ohlmann anderseit neben Niclaus Hetzel kammacher hinten auf Joh: diebold Helck Schiffmann stoßend

Marie Marguerite Schmidt assistée de son mari Jean Bernard Pistorius vend la maison 1 600 livres au boucher Christophe Dambach

1716 (6.8.), Chambre des Contrats, vol. 589 f° 433-v
(1500) Anna Marg: geb. Schmidtin beÿständlich Bernhardt Pistorius metzgers ihres mariti
in gegensein Christoph Dambach metzgers und Cath. geb. Obermüllerin
hauß hoff hoffstatt scheur Ställ mit allen begriffen, weithen, zugehörden, rechten und Gerechtigkeiten allhier beÿ der Catharinen bruck in der Krautenau, einseit neben Joh: hoch ohlmann anderseit neben Niclaus hetzel kammacher hinten auff Joh: Dieboldt Helck – um 600, 150, 150, 100 und 100 pfund verhafftet, geschehen um 400 pfund

Originaire de Schiltigheim, le boucher Christophe Dambach épouse en 1700 Catherine Obermüller, fille de boucher, et devient bourgeois quelques jours plus tard.
Mariage, Saint-Nicolas (luth. n° 3)
Mittwochs den 3. Mertz 1700. seind nach zweymahliger außruffung in der Pfarrkirchen Zu S. Niclaus in Straßb. copulirt und eingesegnet worden Christoph Danbach der ledige Metzger von Schiltigheim und burger alhier, weÿl. Matthis Danbachs, gewesenen Schreinerß daselbsten nachgelassener ehl. Sohn, und Jfr. Catharina Obermüllerin, weÿl. H Johann Georg Obermüllers geweßenen Metzgers und burgers alhier nachgelaßene eheliche Tochter [unterzeichnet] Christoph dambach Als hoch Zeÿter, Catharina Obermüllerin als Hochzeiterin (i 65)

1700, 4° Livre de bourgeoisie p. 718
Christoph Dambach der Metzger Von Schiltigheim, weil. Mathis Dambach gew: schreinners daselbst. sohn, empfangt das burgerrecht Von seiner Frawen Catharina Obermüllerin, p. 2. gold fl. Vnd 16. ß. Vns Wird beÿ E. E. Zunfft der blum diennen. Jur. d. 8. Martÿ 1700.

Les nouveaux mariés font dresser l’inventaire de leurs apports
1700 (11. 8.br), M° Baer (Christophe Evrard, 2 Not 1) n° 187 (numéro XIX° s.)
Inventarium und beschreibung aller v. Jeder Haab undt Nahrung keinerleÿ außgeschl:, So die Ehren und Tugendsame Fraw Anna Catharina gebohrne Obermüllerin Zu dem Ehrs: und bescheid: meister Joh. Christoph Danbach burger und Metzger alhier zu Straßburg alß Ihro der fr: ihrem Ehemann in dieße ihre Ehe zugebracht (…) in persönlicher Gegenwärtigkeit des Ehren: v: bescheid: Philipp Widmeÿer burger vnd Schneid. alhier ihres Schwagers – So beschehen Straßbg. den 11. 8.bris Anno 1700.
Norma hujus Inventarÿ. deß Manns Zugebrachten Nahrung, Sa. hausraths 23 ln, Silber 1, baarschafft 7, Summa summarum 31 lb
der Frawen Zugebrachte Nahrung, Sa. haußraths 101, Sa. Silber Geschirr 4, Sa.Guld: Ring etc. 7, baarschafft 80, Summa summarum 196. lb

Christophe Dambach et Catherine Obermüller hypothèquent leur maison au profit des enfants mineurs du boucher Daniel Winter

1720 (7.10.), Chambre des Contrats, vol. 594 f° 474
Christoph dambach Metzger und Catharina geb. Obermüllerin mit beÿstand Johann Georg Obermüller und Augustin österlin beed. Metzger
in gegensein Johann Ulrich Winters Metzgers als vogts weÿl. Daniel Winthers des Metzgers seel: Kind. – schuldig seÿen 700 pfund
unterpfand, sein hauß hoffstatt hoff cum appertinentÿs in d. Krautenau ohnfern d. Catharinen bruck, einseit neben Schaf gewesenen Biersieder zum guldenen Löwen hinten auff auff Johann diebold helck schiffmann

Catherine Obermüller meurt en 1723 en délaissant trois enfants. Les experts estiment la maison 650 livres. La masse propre au veuf est de 2 livres, celle des héritiers de 777 livres. L’actif de la succession s’élève à 434 livres, le passif à 876 livres.

1724 (18.4.), M° Oelinger (J. Jacques, 35 Not 9) n° 342 (312)
Inventarium und beschreibung aller derjenigen Haab Vnd Nahrung, so weÿl. die Viel Ehr: und tugendsahme fraw Catharina Dannbachin gebohrne Obermüllerin deß Ehren und Vorgeachten Herrn Christoph Dannbachs, Metzgers V. burgers allhier zu Straßb. Ehelich gewesene haußfraw, nunmehr seel. nach Ihren Vor Ungefähr einen halben Jahr genommenen tödlichen hientritt, Zeitlichen verlaßen, welche Verlassenschafft auf freundliches ansuchen erfordern v. begehren deß Ehren V. Vorachtbahren herrn geörg Obermüllers Metzgers V. burgers allhier als geordnet v. geschworenen Vogts Christoph, Barbaræ und Marthæ der dannbachen, alle dreÿ der Abgeleibten seel mit Vorermeltem Ihrem hinterbliebenen Wittiber Ehelich erziehlte KK. V. ab intestato hinterlaßene rechtsmäßige Erben fleißig inventirt – Actum Straßb. den 18.ten Aprill. 1725.

In einer allhier Zu Straßburg ane der Catharina bruck gelegenen, Und in dieße Verlassenschafft eÿgenthümlich gehörigen behaußung sich befunden als Volgt
Ane Höltzen und Schreinwerck. In der Kammer A, In der Kammer B, In der Kammer C, In dem Hauß Öhren, In der Kuchen, In der Kammer D, In der Wohnstub, In Officier Stub, Im Keller
Eÿgenthumb ane einer behaußung und Metzger banckh (T.) Item eine behaußung hoff v. hoffstatt, sampt allen deren begriffen weiten Zugehördten, rechten V. gerechtigkeiten gelegen allhier Zu Straßburg in der Krautenaw beÿ der Catharina Bruck einseit neben Philipp Pranthoffer dem biersieder anderseith neben Daniel Bauren dem schuhmacher hinten Zum theil auff Jacob Helcken v. Zum theil auf den Rheingießen stoßend davon gibt mann Jährlich 6. lb. d Zinnß der Prediger Kirch. Jahrs auff Michaelis Verfallend ablößigen Capital mit 150. lb. Item 14. lb. d Zinnß à 2 pro Cento gerechnet H Joh: Ulrich Wintern dem Metzger V. burgern allhier Jahrs Vf Michaelis thut in Capital 700. lb. Summa der beschwerden 850. lb. Sonsten gegen männiglich freÿ leedig V. eigen V. ist solche behaußung durch der Statt Straßburg geschwornene werckleuthe Vermög ein Zu dem Concept gelüfferten schrifftlichen Abschatzung de dato 30. nôbris 1724. æstimirt worden pro 650. lb. Werden alßo die beschwerden den Anschlag Ubertreffen umb 200. lb. Solche werden hernach der theilbaren passiv Nahrung eingetragen. Darüber besagt ein teutscher pergamenter Kauffbrieff in allhiesiger C. C. stub gefertigt sub dato 16. Augusti Anno 1716.
(T.) Item ein Metzger banck Unter der großen Metzig allhier beÿ der Kleinen thür gegen dem Spital gäßl. Vber (…)
– Abschatzung d. 30.ten 9.bris aô 1724. Auff begehren des Ehrenhafften und bescheidenen Herrn Christoph Dambach Metzger ist eine behausung allhie in der Statt Straßburg in der Krautenaw beÿ der Catharinen bruck gelegen einseit Neben Hern Philipps Brandhoffer Biersieder anderseit Neben Daniel Baur schuhmacher, hinten zum theil auf hannß Jacob helck und zum theil auf den Rheingießen stoßend, welche behaußung hinder gebäwlein, stuben, Kammern, Küchen, hauß Ehren, Officier Stub und Cämmerlein, bauch Küchen stallung Vor die Einquartierung, Eine alte frucht scheur, (s.h.) schweine Stall, Kellerlein, hoff und Gemeiner bronne sambt einem alten tränckstein sambt aller Gerechtigkeit, wie solches durch die statt Straßburg geschwornene Werckhleithe sich in der besichtigung befunden, und Jeztigem preiß nach angeschlagen wird vor und Umb Ein Tausend und Dreÿ hundert Gulden (…) Bezeichnuß durch der Statt Straßburg Geschworene Werckleuthe [unterzeichnet] Michael Ehrlacher Werck Meister deß Meinsters, Johann Jacob Biermeÿer Werck Meister deß Zimmerhoffs
Ergäntzung, Inhalt Inventarÿ Vber beeder Ehepersohnen einander in den Ehestand Eingebrachte Nahrung durch weÿl. H Notm. Christoph Eberhard Bähren in A° 1700. vffgerichtet
Series rubricarum hujus Inventarÿ. Des Wittibers Vermögen, Silbers 15 ß, Ergäntzung 7, Summa summarum 7 lb – Schulden 30. lb, In Compensatione 2. lb
Der Erben Vermögen bet. Sa. haußraths 88, Sa. Silbers 2, Sa. Goldener ring 4, Sa. baarschafft 1, Sa. Schuldt in die Nahrung zugeltend 30, Sa. Ergäntzung (660, Abzug 9, rest) 651 lb, Summa summarum 777 lb
Die theilbahre Verlassenschafft anl. Sa. hausraths 73, Sa. Speck und Geraucht fleisch 28, Sa. Viehe 17, Sa. Silbers 1, Sa. Goldenen rings 16 ß, Sa. der baarschafft 55, Sa. Eigenthum ane einer behaußung 55,, Sa. Eigenthumb ane einem Metzgerbanck 250, Sa. Schulden 7, Summa summarum 434 lb – Schuld 876 lb, In Compensatione 442 lb
Copia der Eheberedung – Copia Codicills Reciproci

Christophe Dannbach se remarie en 1725 avec la fille d’un tonnelier, Marie Elisabeth Müller : contrat de mariage, célébration
1725 (10.8.), M° Oelinger (J. Jacques, 35 Not 74) n° 337
Eheberedung entzwischen dem Vorachtbahren H. Christoph Dannbach Metzgern Wittibern vnd burgern allhier Zue Straßburg beÿständlich H. Johann Geörg Obermüller auch metzgers deßen Kinder Erster Ehe Vogten vnd H Johann Großen, weißbecken beeder burger allhier vf seiten des hochzeiters ane Einem,
So dann der Ehren vnd tugendsamen Jgfer Mariæ Elisabethæ Müllerin, weÿl. H Christoph Müllers, Kiefers vnd burgers allhier Zu Straßburg seel. Ehelich nachgelaßene tochter mit beÿstand S. T. H. Daniel Kammen Visitatoris vnd hauptkand E. E. Zunfft der Ancker, H Johannes Stammen bedienten auf dem Pfenningthurn vnd H Joh: Jacob Stammen Schiffmanns und E. E. Kleinen raths alten beÿsitzers Ihren Vetters alle burgere allhier vf seithen deroselben am andern theil – Actum Straßburg Freÿtags d. 10. Aug. 1725 [unterzeichnet] Christoph dambach als hoch zeÿder, maria Elisabetha Müllerin als hochzeiter

Mariage, Saint-Nicolas (luth. f° 200, n° 11)
1725. Mittwoch den 29. Aug: seind nach Zweÿmalig. öffentlicher pclamation in der Evangel. Pfarrkirch Zu St. Niclaus ehelich copulirt u. eingsegnet word. Christoph dammbach der Metzger und burger allhier u. Jungfr. Maria Elisabeth Weil. Christoph Müllers geweßten Kieffers u. burg. allhie hinterlaßene eheliche Tochter [unterzeichnet] Christoph dambach als Hoch Zeÿter, Maria Elisabetha Müllerin als hochzederin (i 205)

Christophe Dannbach et Marie Elisabeth Müller font dresser l’inventaire de leurs apports dans la maison du mari

1726 (11.4.), M° Oelinger (J. Jacques, 35 Not 12) n° 429 (397)
Inventarium und beschreibung aller derjenigen haab: und nahrung liegend und Vahrender, Verändert Und Unveränderten keinerleÿ davon außgenommen, so der Ehren und Vorgeachte Herr Christoph Dannbach metzger Und die Ehren Und tugendsahme fr. Maria Elisabetha gebohrne Müllerin beede Eheleuthe vnd burgere allhier Zu Straßb. Einander in den Ehestand Zugebracht und sich deren Jeedes Vermög Ihrer mit einander Vffgerichteten Eheberedung Vor Unverändert Vorbehalten hat – Actum In fernerem Gegenseÿn Herrn Georg Obermüller Metzgers deß Ehemanns Kinder Erster Ehe Vogts Und herrn Johann Stammen dreÿer Knechts und burgers Allhier der Ehefrau Vogten Straßburg d. 11. Apr. 1726.
Inventarium und beschreibung aller derjenigen Haab und Nahrung, liegend und Vahrender, unverändert Und Unveränderten, keinerleÿ davon außgenommen, so der Ehren und vorgeachten Herr Christoph Dannbach metzger und die Ehren und tugendsahme fr. Maria Elisabetha geb. Müllerin beede Eheleuthe und burgere allhier in den Ehestand zugebracht

In einer allhier Zu Straßburg ohnfern der Catharina bruck gelegenen, Und dem Ehemann Eÿgenthümlich Zuständiger behaußung sich befunden als Volgt
Eÿgenthumb ane einer behaußung und Metzger banckh (M.) It. eine behaußung hoff und hoffstatt, sampt allen deren begriffen weiten Zugehördten, rechten und gerechtigkeiten gelegen allhier Zu Straßburg in der Crautenaw beÿ der Catharinæ Bruckh, eins. neben H. Philipp Branthoffer dem Biersieder and.s. neben Daniel Bauren dem schumacher, hinten Zum theil auff Jacob Helcken und Zum theil auf den Rheingießen stoßend davon gibt mann Jährlich 6. lb. d Zinnß der Prediger Kirchen Jahrs vf Michaelis v.fallen, ablößig in Capital mit 150. lb. It. 14. lb. d Zinnß à 2. pro Cento gerechnet H Ulrich Winter dem Metzger Und burgern allhier Jahrs vf Michaelis th. in Capital 700. lb. (zusammen) 850. lb. Sonsten gegen Männiglich freÿ leedig und Eigen, Und ist solche behaußung beÿ des Ehemanns erstern haußfrauen seel. Verlassenschafft Inventarium in A° 1725 angeschlagen worden alß wobeÿ man es dißmahlen auch ohnpræjudicirlich Läßt per 650. lb. Were also außzuwerffen o. Darüber besagt i. teutscher perg. K.brieff in allh. C. C. stub gefertigt de dato 16. Aug. Anno 1716.
(M.) It. i. Metzger banck Unter der großen Metzig allhier beÿ der Kleinen thüren gegen dem Spitalgäßel Vber (…)
Series rubricarum hujus Inventarÿ. Des Ehemanns Nahrung betr. Sa. haußraths 322, Sa. Meels 4, Sa. Speck und geraucht fleisch 95, Sa. Schiff und geschirr zum fuhrwerck gehörig 37, Viehe 1, Sa. Heus und Strohs beßerung 9, Sa. Silbers 8, Sa baarschafft 30, Sa. Eigenthum ane einer behaußung und Metzgerbanck 250, Sa. Schulden 63, Summa summarum 822lb – Adde Sein ahne den haussteuren gehörige helffte 20, des Ehemanns Völlig Vermögen 842 – Sa. der Schulden 1096 lb, In Compensatione 253 lb
der Ehefr. Vermögen betr. Sa. haußraths 159, Sa. Meels 1, Sa. Silbers 16, Sa. Goldener Ring 22, Sa. baarschafft 65, Sa. Eÿgenthumbs ane Einem Gütguth 28, Sa. Schuld in die nahrung 50, Summa summarum 343 lb – Dazugelegt Ihr ane den hernach beschriebenen haussteuren gehörige helffte 20 lb, Der Ehefr. Völlig. Vermögen 363 lb
Zweiffelhaffte Schulden in des Ehemanns Nahrung zugeltend 6 lb

Christophe Dambach et Marie Elisabeth Müller hypothèquent la maison au profit d’Anne Marguerite Miville veuve de Jean Henri Bœckler, professeur et chanoine à Saint-Thomas

1738 (14.8.), Chambre des Contrats, vol. 612 f° 459
Christoph Dambach der ältere Metzger und Maria Elisabetha geb. Müllerin mit beÿstand ihres bruders Johann Jacob Müller des glaßers und ihres geschwistrig kindts H. Johann Jacob Stamm des waßerbestätters
in gegensein Fr. Annæ Margarethæ geb. Miville weÿl. S.T. H. Johann Heinrich Böckler J.V.D. und Prof. Publ. Ord. auch Capituli Thom: Præpositi ohnbevögtigten Fr wittib mit beÿstand ihres tochtermanns H. Johannes Braun des handelsmanns – schuldig seÿen 300 pfund
unterpfand, eine Behausung bestehend in Vorder, hinderhauß, Scheur, stallung, gärttlein gemeinschafft des bronnens, hoff und hoffstatt mit allen übrigen deren gebäuden, begriffen, zugehörden und gerechtigkeiten in der Vorstadt Krauttenau ohnfern St Catharinæ Bruck, einseit neben Jacob Rooß kauffhauß bedienten anderseit neben Michael Brandhoffer dem ohlmann hinten auff Andreas Meÿer den schiffmann
ferner zween dritte theil für ohnabgetheilt ane einem Metzig banck unter der großen Metzig beÿ der keinen thür gegen dem Spitalgäßlein über in der breitte 6 schuh und in der länge 11 schuh 7 zoll haltend, einseit neben Johannes Lobstein anderseit neben H. Rathh. Johannes Klein beede Metzgern hinten auff die Maur – davon gibt man jährlich hiesigen Stadt Pfenning Thurn 10 ß ane bodenzinß – als ein in sein Dambach erster ehe erkauff mithin theilbares guth ihme zu zwo tertzen und seinen dreÿen kindern besagter Ehe eine dritten theil gehörig

Marie Elisabeth Müller meurt en 1748 en délaissant une fille. Les experts estiment la maison 750 livres. La masse propre aux héritiers est de 372 livres. L’actif du veuf et de la communauté est de 662 livres, le passif de 1 385 livres.
Les biens propres de la femme s’élèvent à 603 livres. L’actif du mari et de la communauté est de 818 livres, le passif de 1 788 livres

1748 (26.3.), M° Oelinger (J. Jacques, 35 Not 54) n° 1401
Inventarium über Weÿl. der Ehren und tugendsamen Frauen Mariæ Elisabethæ Dannbachin gebohrner Müllerin herrn Christoph Dannbach, Metzgers und burgers alhie zu Straßburg gewesener Haußfrauen nunmehr seel. Verlassenschafft, auffgerichtet Anno 1748. – nach ihrem den 19. Febr. dieses Jahrs aus dießer Welt genommenen tödlichen Hintritt Zeitlichen verlaßen, welche Verlaßenschafft dann heut dato auf freundliche requisition und ansuchen herrn Johann Jacob Müllers, Glasers und b. alhier alß geordnet und geschwornen Vogts Jgfrn Catharinæ Salome Dannbachin der Verstorbenen seel. mit oberwehntem dem hinterbliebenen Wittiber ehelich erziehlter und ab intestato Zu ihren rechtsmäßigen eintzig. Erben verlaßener tochter – So geschehen Straßburg den 26. Martÿ 1748.

In einer alhier Zu Straßburg in der Crautenau an der Catharinæ Bruck gelegenen und in diese Verlassenschafft zum theil gehörigen Behaußung hat sich befunden alß folgt.
Eigenthum ane einer Behaußung und Metzigbanck (W. et T.) Nehmlich 2/3. theil vor ohnvertheilt von und ane einer behaußung, hoff und hoffstatt s. i. Scheur u. Stallung auch allen dero Gebäwen, begriffen, weithen, Zugehörd. und Gerechtigkeiten alhie Zu Straßburg in d. Crautenau an d. Catharinæ bruck, i.s. neben der bruck selbst 2.s neben Johann Jacob Roß dem Kauffhauß bedienten, hinten auf Andres Meÿer den Schiffmann stoßend gelegen, davon die übrige tertz des Wittibers KK. I.ter Ehe gebührig und infra fol (-) als Wÿdum beschrieben befindlich ist. Und ist diese gantze behaußung vermög einer Zu mein des Notarii Concept geliefferten schrifftl. Abschatzung de dato 18. Martÿ h. a. durch H Johann Jacob Biermeÿer stattlohnern (…) æstimirt und angeschlagen worden pro 1500. fl. oder 750. lb. thun die davon hier außzuwerffende 2/3, 500, so außerhalb den darauf hafftenden und unter denen passivis behorig inventirten Capitalien freÿ leedig und eigen. Über die gantze behausung besagt ein teutscher pergamentener in alhies. CC Stub gefertifter und mit der anhanfenden größern Insiegel verwahrter Kauffbrieff de dato 16. aug. 1716.
(W. et T.) Item 2/3. theil vor ohnvertheilt von und ane einem Metzigbanck unter der großen Metzig alhier (…)
– Abschatzung Vom 18. Martÿ 1748. Auff begehren deß Vorgeachten Christoph danbachs Metzgers und burgers allhier ist eine behaußung allhie in der Statt Straßburg in der Krautenaw an der Catharinen bruck einseith an die Catharinen bruck anderseit neben Jacob Roß den Kauffhauß Knecht stoßend gelegen unten im Eingang lincker hand befindet sich eine Stuben Stb Kammer Küchen und Haußöhren auff dem ersten stock eine Stube nebens Kammer Küchen und hauß öhren, unter dem dach seind dreÿ Kammern so besetzt, hat einen alten tachstuhl mit breit und hohl Zieglen bedeckt, ferner ein Klein hintergebäw, in demselben ist ein Stübel hauß öhren worinn ein herd und Waßerstein, darüber ein Kämmerlein, es befindet isch uach ein alte Scheur Ein quartirungs Stall, hoff, bauch Küchen gewölbten Keller und gemeinschafftlichen bronnen diese behaußung ist durch uns der Statt Straßburg geschworne Werckhleuthe nach vorher gegangener besichtigung mit aller Ihrer gerechtigkeit dem Jetzigen Preiß nach angeschlagen Worden Vor und umb Erin Taußend und Fünff hundert Gulden
der Zweÿte gebriff ist auch allhie bestehend in einem Metzger banck in der großen Metzig (…) [unterzeichnet] Johann Jacob Biermeÿer Lohner, Michael Ehrlacher Werck Meister deß Meinsters, Samuel Werner, Werckmeister deß Maurhoffs
Ergäntzung, Inhalt Inventarÿ Illatorum de 1726. durch mich Notarium gefertigt

Series rubricarum hujus Inventarÿ Sa. haußraths 33, Sa. Silbers 5, Sa. Goldener Ring 6, Sa. Schuld. 70, Sa. der Ergäntzung (259, abzug 1, remanet) 257 lb, Summa summarum 372 lb
Des Wittibers Unveränderte Nahrung v. theilbare Verlassenschafft, Sa. haußraths 68, Sa. Silbers 3, Sa. baarschafft 10, Sa. Eigenthums ane einer behaußung und Metzigbanck 736, Summa summarum 818 lb – Schulden 1788, In Compensatione 969 lb
Conclusio finalis Inventarÿ 535
Wÿdemb Nach anleitung eines Uber weÿl. fraun Catharinæ gebohrner Obermüllerin des Wittibers Erstern Ehefraun seel. Verlassenschafft den 3. Aprilis 1748. anderwärtigen gezogenen summarischen Calculi hat derselbe vi codicilli (…) lebtägig zu genießen wie folgt (…) Antheil ane einer Behaußung und Metzigbanck. Nemlich ein dritter theil vor ohnvertheilt von undt ane einer behaußung & davon die Ubrige zween dritte theil wie oben fil (-) beschrieben dem Wittiber und respe. Vatter eigenthümlich zuständig, thut der H. Werckmeistere gemachtem anschlag nach von 750. lb zu der hiehero gehörigen tertz 250. lb
Item ein dritter theil vor ohnvertheilt von undt ane einem Metzigbanck unter der großen Metzig alhier (…)
Copia der Eheberedung, (…) Actum Straßburg Freÿtags d. 10. Aug. 1725 ; [unterzeichnet] Jacob Ölinger
Copia Codicilli Reciproci. Im Jahr 1739 (…) auff Freÿtag den 11. des Monaths Septembris abends zwischen Sieben und acht Uhren in einer allhier zu Straßburg ohnfern St. Catharinæ bruck gelegenen hernach gedachtem Codicillirer gehörigen behaußung dero obern stuben mit denen fenstern auff die Gaß aussehend (…) persönlich erschienen seÿen der Ehren und vorgeachte Herr Christoph Dambach der Metzger und die Ehren und tugendsame frau Maria Elisabetha gebohrne Müllerin beede Eheleuth und burgere allhier Zu Straßburg Er der Ehemann zwar etwaß unbäßlich auff einem bett liegend (…) Matthias Koch

Christophe Danbach meurt quelques mois plus tard. Il réduit à la légitime la part d’héritage qui revient à sa fille du deuxième lit. L’actif de la succession s’élève à 798 livres, le passif à 1 898 livres.

1748 (16.10.), M° Oelinger (J. Jacques, 35 Not 55) n° 1417
Designatio deßjenigen Vermögens so H. Christoph Danbach der Aeltere Metzger nach seinem d. 5. Octobris 1748 genommenen tödlichen hintritt zeitlichen verlaßen
Designatio deßjenigen Vermögens So H. Christoph Danbach der Aeltere Metzger und burger allhie Zu Straßb. nach seinem d. 5. Octobris 1748 genommenen tödlichen hintritt, zeitlichen verlaßen, welche Verlassenschafft, nach deme das Inventarium über Weÿl. frauen Mariæ Elisabethæ gebohrner Müllerin seiner Zweÿten haußfrauen Seel. verlassenschafft d. 26. Martÿ d. Anni errichtet, auf löbl. Statt stall den 9. Octobris jüngst reproducirt Vnd vermög von deraus der Inventur auf der Statt Stall dispensirt worden, auf deßen hinterbliebenen 4 Kindern und per Testamentum Zu ungliechen antheilern instituirter Erben, (…) durch Frau Barbaram Hauin gebohrner Dambächin die älteste im hauß sich befindende tochter wie auch ihren Ehemann Joh: Daniel Haueb den Kiefer und burger allhier (geäugt und gezeigt) Actum in d. Königl. Statt straßb. d. 16. octobr. 1748.
Der abgeleibte Seelig hat per Testamentum zu seinen Erben verlaßen wie folgt. 1. Jungfr. Catharinam Salomeam Danbächinin Zweÿter Ehe mit weÿl. fraun Mariæ Elisabethæ gebohrner Müllerin seel. ehel. erziehlte und nach todt verlaßene tochter So unter der authoritæt H Joh: Jac.Müller des Glasers u. burgers allhier ihres geschwornen vogts u. frauen S. T. H. Joh: Phil. Lichtenberger Notarii Jurati Publ. und Vornehmen Practici deßelben erbettenen H Assitenten hiebeÿ erschienen, jedoch aber in mer nicht, als den ihro in rechten bestimmten pflichttheil, Zu latein Legitima genannt.
In die überige Verlassensch. Zu gleichen Portionen u. Antheilern (…) 2. Herrn Christoph Dannbach d. Metzger und burger allhie so præsens war, 3. Fr. Barbaram Hauin gebohrne Danbächin Mstr. Joh: Dan. Hauen des Kiefers und allhies. burgers Ehefrau mit demselben hierzu verbeÿstandet, welche beede Eheleuth auch in person zugegen waren. 4. Jfr. Martham Danbächin so majorennis und dermahl. vor sich und ihrem Nahmen ohne ferneren beÿstandt hiebeÿ erschienen. Welche dreÿ Kindere mit auch weÿl. Frauen Catharinæ geb. Obermülerin in 1.ster Ehe ehelich erziehlt.
Copia Testamenti nuncupativi

In Einer allhier Zu Straßburg ane der Catharinæ bruck gelegenen und zum theil eigenthümlich iehero gehörigen Behaußung befunden worden wie folgt
Antheil ane einer Behaußung und Metzigbanck. Nemblichen Zween dritte theil vor ohnvertheilt davon die übrige tertzen denen drejen Kindern Erster ehe als Mütterlich guth zuständig und hernach fol (-) in wÿdumb beschrieben Zu befunden von und ane einer behaußung, hoff v. hoffstatt sampt einer Scheur v. Stallung, auch allen deren übrigen gebäud, begriffen, weiten, zugehörden und Gerechtigkeiten allhier Zu Straßburg ane der Catharinæ bruck ohnfern der Crautenau, eins. neben der bruck selbsten and.s neben Joh. Jacob Roß dem Kauffhauß bedienten, hinten auf Andres Meÿer den Schiffmann stoßend gelegen, Uber die hernach unter denen passivis befindliche Capitalia freÿ, Leedig und eigen. Und Läßt mann die gantze behaußung wieder beÿ dem anschlag, als Sie d. 18. Martÿ hujus anni auf absterben fraun Mariæ Elisabethæ gebohrner Müllerin des verstorbenen Zweÿter Ehefraun seel. Verlassenschafft durch der Stattlohner und H Werckmeistere angeschlagen word. nemblich pro 750. lb. Werffen die dießortige zwo tertzen daran ab 500 lb. Über die völlige behausung besagt ein teutscher pergamentener in alhies. C.C. Stub gefertifter Kauffbrieff datirt den 16. aug. 1716. mit dero anhangendem Insigel verwahrt.
Item zween dritte theil vor ohnvertheilt von und ane einem Metzigbanck unter der großen Metzig alhier (…)
(f° 8) Wÿdemb So der abgeleibte Seelig von weÿland fraun Catharinæ gebohrner Obermüllerin seiner Erstern Ehefrauen seel. ad dies vitæ genoßen dermahlen auf denen dreÿ in solcher Ehe ehelich erzielter Kinderl fallet. Zufolg des den 25. 7.br. 1724. aufgerichteten Codicilli
(f° 11) Wÿdemb Welchen der abgeleibte Von Weÿl. frauen Mariæ Elisabethæ gebohrner Müllerin seiner Zweÿen haußfraun biß ane sein seeliges end genoß. Und der Zeit mit Ihro dochter Catharinam Salomeen dannbächin fälligen
Series rubricarum hujus Inventarÿ. Sa. haußraths 35, Sa. baarschafft 12, Sa. Antheils ane einer behaußung und Metzigbancks 750 lb, Summa summarum 798 lb – Summa Schulden 1898 lb, In Compensatione 1100 lb
Copia codicilli – Im Jahr 1748 (…) auff Montag den 20. Monatstag Maÿ in einer allhier Zu Straßburg nahe der Catharinæ bruck ohnfern der Crautenau gelegenen und hernachgemeldten herrn Testatori Zum theil eigenthümlich Zuständiger behaußung dero Vordern Wohn Stuben mit denen Fenstern auf die gaß außsehend – Joh: Jacob Ölinger

Catherine Salomé Dannbach, la fille issue du deuxième lit, vend sa part de maison aux deux autres héritiers

1749 (17.12.), M° Oelinger (J. Jacques, 35 Not 55), Joint au n° 1417 du 16 octobre 1748
Abhandlung der behaußung. Erschienen (…) H. Joh: Jacob Winter Metzger und burger allhier Zu Straßburg alß geschworner Vogt Jgfr. Catharinæ Salome Danbächinin, Weÿl. H Christoph Dambachs deß ältern allhiesigen geweßenen Metzgers mit auch weÿl. fraun Mariæ Elisabethæ gebohrner Müllerin in letzter Ehe ehelich erziehlte und per Testamentum in Legitima constituirter Erbin
anzeigt demnach Er die in die Vätterliche Verlassenschafft gehörige und allhier über der Catharinæ bruck gelegene behaußung nach hiesiger Statt Straßburg wohl hergebrachte gewohnheit, umb gedacht seinem Curandi legitimâ so bestmöglichst zu betreiben (…) beÿ E. E. allhies. großen Rath zum 2.ten mal Versteigern laßen, sich aber auf das außgebott der 3000. fl. Kein Liebhaber dazu præsentirt, welcher weder darüber noch unter bieten wollte, Ihme aber die fortführende Gemeinschafft solches haußes und deßen unterhaltung weilen es sehr baufällig sehr oneros verkommt, angesehen fast nicht einmahl die Interesse Von den auf solcher behaußung stehender Capitalien könnten bezogen werd., als wollte Er hiemit und in crafft dieses wißend und wohlbedächtlichen Vor und im nahmen seiner Curandæ ihren antheil ane sothaner behaußung cum appertinentiis eins. neben Joh. Jacob Roß dem Kauffhauß bedienten, anderseit neben Daniel Ott dem olmann und hinten auf Andres Meÿer den Schiffmann stoßend gelegen, so pro legitima ane Vier Sechs Vätterlichen theilen Ein 18.der theil außmacht, maasen die übrige tertz denen dreÿen Kindern erster Ehe und gleich hernach benambste Cessionariis Vor Mütterlich Guth Zuständig Herrn Christoph Danbach dem Metzger, fraun Barbaræ Hauin gebohrner Dannbächin Mstr. H. Joh: Danile Hau des allhiesigen Kiefers Ehefrau und Fraun Mariæ Marthæ Kraußertin gebohr. Danbächin H Joh: Kraußerts gebohr. Danbächin, H. Joh: Kraußerts des mahlers und ebenmäßig burgers dahier Ehegattino, alle dreÿen respe. voll und halbbändugen geschwüsterden und von dem seel. Vatter Vor Voll insituirter Erben Käuflichen cedirt und überlaßen haben (…) nemlichen die gantze behaußung zu 2780 Gulden gerechnet – Actum Straßburg den 17.ten Decembris 1749

Barbe Dambach épouse du tonnelier Jean Daniel Hau devient seule propriétaire de la maison

1750 (13.2.), M° Oelinger (J. Jacques, 35 Not 55), Joint au n° 1417 du 16 octobre 1748
(f° 17) Fernere Cession der behaußung. Erschienen (…) die dißorthige dreÿ Kinder Erster Eghe nemblichen Herr Christoph Danbach der Metzger, Frau Barbara Hauin gebohrne Dannbächin Herrn Johann Daniel Hau des Kiefers und burgers allhier Ehefrau und Fraun Maria Marthe Kraußertin gebohrne Danbächin Herrn Johannes Kraußerts des mahlers alhier Eheweib
zeigten an, demnach Ihnen letzthin nemlich den 17. Decembre 1749. von Herrn Joh: Jacob Winter dem allhießigen Metzger u. Vohten Jgfr Catharinä Salome Dannbächin Ihrer halb schwester und von ihrem Vatter Herrn Christoph Danbach dem ältern Metzger nur in Legitimam instituirter tochter ane hernach mentionirten behaußung ihren daran gebührigen 18.den theil ansgesamt cedirt und überlaßen, mithien dieselbe unter ihnen annoch gemeinschafft ist, Sie aber in solcher Communitæt mit einander Zu verbleiben nicht gesonnen, als haben Er Herr Danbach und Fr. Kraußertin beede geschwüsterde,
Frauen Barbaræ Hauin deroselben Schwester obgedacht in ohnvertheiltem vätterlichen Erb ihrer zwo tertzen ane der nahe der Catharinæ bruck gelegene, und vorhero weitläuffig beschriebenen behaußung sambt allen deren Zugehörd. und Gerechtigkeiten (um) beins. neben Joh. Jacob Roß dem Kauffhauß bedienten, anderseit neben Daniel Ott dem olmann und hinten auf Andres Meÿer den Schiffmann stoßend gelegen, die gantze behaußung zu 3000 Gulden gerechnet – Straßburg d. 13. febr. 1750.

Daniel Hau présente en janvier 1732 un chef d’œuvre dont les examinateurs sont satisfaits
1732, Protocole des Tonneliers (XI 394)
(f° 292-v) Samstags den 12.ten Jan. ist Daniel Hauen deß ledigen Von hier gebürtigen Kieffers Mstr stückh Zu letztenmahl besichtiget worden und referirten die H. schaumeister daß in der ersten schau sich weiter nichts befunden alß daß der bauch einwendig Zu flach ware in der Zweiten schau ware daß eine end ein wönig, weiter alß daß andere, und daß thürlein inwendig auff beÿden seithein ein meßer ruckh offen gestanden, in der dritten schau ware nichts zu thatlen, weßwegen sie solches Vor gültiges Mstr. stück erk. so auch von H. XV. Sainctlo dem obmann confirmirt worden.

Les maîtres tonneliers convoquent Daniel Hau devant le conseil en lui demandant depuis quand il travaille chez le tonnelier Jean Philippe Brandhoffer
1732, Protocole des Tonneliers (XI 394)
(f° 306) Dienstags den 25.t 9.bris. Mstr Daniel Hau der Ledige kieffer wurdt ex officio vorgestellt, undt gefragt wie lang er beÿ H Joh. Philipp Brandthoffer in arbeit gestandten, worauff Er bekandt daß er 4 wochen nach verfloßenen weÿhenachten zu ihm in arbeit kommen undt biß dato gestandten habe wein gefüllt beÿ gedachtem herrn brandthoffer ihme auch dreÿ fäßlen gemacht, nemlichen ein dreÿ öhmiges und 2. Zweÿ öhmige der sohn hätte ihm und Er auch dem Sohn helfften wein füllen. der alte brandthoffer hätte ihme Kosten undt Lohn gegeben, außer 8. wochen, währender welcher Zeit er weder Kost noch lohn gehabt. Erkandt wurde Sach zu bedacht gezogen.

Jean Daniel Hau épouse en 1734 Barbe Dambach : contrat de mariage, célébration
1734 (11.1.), M° Lobstein (Jean, 31 Not 78) n° 306
(Eheberedung) zwischen dem Ehren Und Vorgeachten Herrn Johann Daniel Hau dem Ledigen Kieffer, des Ehren und wohlvorgeachten herrn Johann Hauen des glaßers und burgers allhier zu Straßburg ehelichem sohn, als dem bräutigamb ane einem, So dann der Ehren und tugendsahmen Jungfrauen Barbara Dambachin, des Ehren und wohlvorgeachten herrn Christoph Dambach des Metzgers und burgers allhier Zu Straßburg ehelich erziehlter tochter, als der Jungfrauen hochzeiterin ane dem andern theil – den 11. Januarÿ Anno 1734. [unterzeichnet] Johann Daniel Hau als hoch Zeiter, Barbara dambächin als hoch Zeiterin

Mariage, Saint-Nicolas (luth. f° 13-v, n° 2)
1734. Mittwoch den 27. Januarÿ seind nach zweÿmahli geschehener proclamationen (…) in den Ehestand eingesegnet worden Johann Daniel Hau der ledige Kieffer und burger allhier Johann Hauen deß Glaßers und burg. allhier ehl. Sohn und. Jgfr. Barbara, Christoph dannbachs deß Metzgers und burgers allhier eheliche Tochter [unterzeichnet] Joh: Daniel Hau als hochzeitern Barbara dannbächin als hochzeiterin (i 15)

Jean Daniel Hau meurt en 1753 sans enfant. Ses héritiers sont sa sœur et son neveu. Les experts estiment la maison 1 050 livres. La masse propre à la veuve est de 15 livres. L’actif de la succession s’élève à 38 livres, le passif à 162 livres.

1763 (11.8.), M° Dinckel (J. Raoul, 6 E 41, 403) n° 1001
Inventarium über Weÿland des Ehren und vorachtbahren Herrn Johann Daniel Hau des geweßenen Kieffers und burgers alhier Zu Straßburg nunmehr seel. Verlassenschafft auffgerichtet Anno 1763. – nach deme derselbe Sambstags den Neunten Julÿ dießes lauffenden 1763. Jahrs durch einen seeligen tod von dießer Welt gefordert worden, nach solch seinem seeligen absterben zeitlichen hinter sich verlaßen, welche Verlassenschafft auf freundliches ansuchen erfordern und begehren der Viel Ehren und tugendsahmen Frauen Barbara Hauin gebohrner Dambachin der hinterbliebenen Wittib mit assistentz des Ehren und Vorgeachten Herrn Christoph Dambach deß Metzgers und burgers allhier Ihres eheleiblichen bruders und erbettenen beÿstandts – So beschehen in Straßburg auf Donnerstag den Eilfften Augusti Anno 1763.
Der Abgeleibte seeliger hat Zu seinen Erben ab intestato Verlaßen Wie folgt. 1. Herrn Friderich Jacob Hau den Zinngießer und burgern allhier des Defuncti Verstorbenen bruders Sohn, welcher in selbst eigener Persohn dem Geschäfft abwartete, So dann 2.do Jungfer Catharinam Salome Hauin, Weÿland herrn Johann Hauen geweßenen Glaßers und burgers allhier Längst seeligen hinterlaßenen ehelich erziehlter tochter, des Defucti eheleibliche Schwester, welche abweßend dahero in Ihrem Nahmen auß E: E: Kleinen Rats Mittel Krafft Extractus Memorialis vom heutigen dato in specie deputiret worden S. T. Herrn Georg Daniel Meinicken der handelsmann und E. E. großen Raths alter auch Ehrengedachten Kleinen Rhats Jetzig Wohl verdienter beÿsitzer, welcher in Persohn beÿ dem geschäfft sich eingefunden

In einer alhie Zu Straßburg ane der Vorstadt Krautenaw beÿ der St. Catharinen bruck gelegener in dieße Verlassenschafft gehörigen und hieunden eingetragenen behaußung befunden worden als folgt
Eigenthumb ane einer behaußung (W.) Neml. eine behaußung, bestehend in Vorder und hinder gebäu, hoff, hoffstatt, und Scheur sambt der Gemeinschafft eines bronnens und einem kleinen Gärtlein, gelegen allhier Zu Straßburg ane der Vorstadt Krautenau ohnfern der Catharinen bruck einseit neben Hn Johann Busch dem Schiffmann anderseit neben anderseit neben Hn Johann Daniel Otten dem Ohlmann hinden auf Herrn Andream Meÿer den Schiffmann stoßend so vor freÿ ledig und eigen durch (die Werckmeistere) vermög überschickter schrifftlicher Abschatzung vom 27.ten Augusti 1763. angeschlagen pro 1050. Dieße behaußung ist der Wittib beÿ weÿl. H Christoph Dambach des geweßenen Metzgers und burgers allhier Ihres geweßenen Vatters seeligen Verlassenschafft Abtheilung um ohnvertheilten Erb eigenthümlichen cedirt worden laut der hieunden allegirten darüber ausgefertigten Designatio und der fol. 38. fac. 2.da & seqq. eingetragenen Cession de dato 13. Februarÿ A° 1750.
– Abschatzung Vom 27.t aug. 1763. Auff begehren Weil. Joh. Daniel Hau des gewösener Kieffer seil. hiender Lasener Fr: Witib und erben ist eine behausung alhie in der Statt Straßburg beÿ der Katarinen brug gelegen, Einseits Neben Johannes busch der Schiffmann anderseits Neben Daniel Lutt und hienden Auff Andreas Maÿer Stoßend gelegen, solche behausung bestehet in Dreÿ stuben Dreÿ Kichen und Ettliche hauß Kammern dar jber ist der dach stull mit hohl undt breid Ziglein belegt hat auch ein gewelbten Keller hoff und gemeinschafftlichen brunen Ferner befiendet sich i. Scheur und Stallung Vor jber die dach stiell mit beitziglein belegt. Von uns Unterschriebenen der statt Strasburg Geschwornen Werck Meister Nach Vorhero Geschehener besichtigung mit Aller Ihrer Gerechtigkeit Dem Jetzigen Wahren werth Nach Estimiert Und Angeschlagen worden Vor und Umb Zweÿ thausent Ein Hundert Gulden, [unterzeichnet] Werner, Sebastian Huber
Ergäntzung der Wittib abgegangenen ohnveränderten Guths
Vermög Designationis über der Wittib von Weÿland herrn Christoph Dambach dem ältern geweßenen Metzger und burgers allher Ihrem eheleiblichen Vatter seeligen erlangte Erbschafft und rückständig Mütterlich Guth durch herrn Notarium Johann Jacob Ölinger gefertigt de Annis 1749 et 1750.
Series rubricarum hujus Inventarÿ. Der Wittib ohnverändert Vermögen, Sa. hausraths 5, Sa. Silbers 2, Sa. goldenen Rings 18 ß, Sa. Eigenthumbs ane einer behaußung 1050, Sa. Schulden 67, Erg. Rest 33, Summa summarum 1159 lb. – Sa. Schulden 1173 lb, In Vergleichung 15 lb
Dießem nach wird nun auch der Erben ohnverändert und theilbahre Nahrung und Zwar weilen Keine Errungenschafft außfällt unter einer Massa beschrieben, Sa. hausraths 11, Sa. Werckzeugs Zum Kieffer handwerck gehörig 3, Sa. Silbers 1, Sa. baarschafft 7 ß, Sa. Schulden 21, Summa summarum 38 lb – Schulden 162. lb, Der Erben Passiv Onus 124. lb
Mehr Schulden als Nahrung dem Stall pretio nach 140. lb
Copia der Eheberedung, (…) den 11. Januarÿ Anno 1734. Johannes Lobstein Notarius juratus
Copia Codicilli

Barbe Dambach veuve de Jean Daniel Hau meurt en 1777 dans la maison qu’elle a vendue quelques années auparavant. L’actif de la succession s’élève à 361 livres, le passif à 39 livres. Elle laisse pour héritiers son frère pensionnaire à l’hôpital et sa nièce
1777 (31.1.), M° Dinckel (J. Raoul, 6 E 41, 421) n° 1362
Inventarium über Weÿland der Ehren und tugendsahmen Frauen Barbaræ Hauin gebohrner Dambachin, auch Weÿland des Ehren: und vorachtbahren Meister Johann Daniel Hau des geweßenen Kieffers und burgers allhier Zu Straßburg längst seeligen nachgelaßene Wittib nun ebenmäßig seeligen Verlassenschafft auffgerichtet Anno 1777 – nachdeme dieselbe Freÿtags den 17. dießes Monats Januarÿ dießes Zeitliche mit dem Ewigen verwechßelt nach solch Ihrem seeligen absterben zeitlichen hinter sich verlaßen – So beschehen in Straßburg auf Freÿtag den 31. Januarÿ Anno 1777.
Die seelig Verstorbene hat Zu Ihren Erben ab intestato Verlaßen als folgt. 1.mo Meister Johann Christoph Dambach den Metzger und burgern allhier dermaligen armen Pfründer in allhießigem mehrern Hospithal weßwegen von seithen wohlermelten Hospithals herr Georg Friderich Fettich Notarius publicus und practicus beneben Ihme selbst beÿ dießem Geschäfft erschienen,
So dann 2.do Fraw Catharinam Ackerlinin gebohrne Dambachin, Weÿland Meister Johann Wilhelm Aeckerlin, des gewesenen Schuhmachers und burgers allhier nachgelaßene Wittib, solche mit beÿhilff Lorentz Wickert des Kutschers und burgers allhier ihres erbettenen beÿstandts in Persohn dießem Geschäfft abwartete. Alßo beede der seelig Verstorbenen vollbändigen bruder und einbändige Schwester und ab intestato Zu Zweÿen gleichen portionen und Stammtheilern verlaßene rechtsmäßigen Erben welche dieße Erbschafft anderer gestalt nicht als cum Beneficio Legis ac Inventarÿ einzutretten sich hiebeÿ außtrucklichen erkläret haben
In einer allhier Zu Straßburg ane der Vorstatt Krautenau beÿ der Catharinen bruck gelegenen in dieße Verlassenschafft nicht gehörigen behaußung befunden worden als folgt
Schulden aus dem Erben zu bezahlend. It. Lorentz Wickert und Niclaus Arbogast beeden Lehn Kutschern, solle mann Vor ein Viertel Jahe hauß Zinnß auf Annunciationis Mariæ 1777 Verfällig
Series rubricarum hujus Inventarÿ, Sa. hausraths 10, Sa. Silbers 17 ß, Sa. Pfenningzinß hauptgüter 350, Summa summarum 361 lb – Schulden 39 lb, Detrahendo verbleibt 322 lb – Stall Summ 252. lb

Barbe Dambach veuve de Jean Daniel Hau vend la maison aux cochers Laurent Wickert et Nicolas Arbogast en se réservant l’habitation dans la petite maison arrière

1770 (23.2.), Chambre des Contrats, vol. 644 n° 105
Maria Barbara geb. Dambachin weÿl. Daniel Hau gewesten kieffers wittib beÿständlich Christoph Dambach des metzgers
in gegensein Lorentz Wickert des lehnkutschers und Nicolaus Arbogast auch lehnkutschers
eine behausung, hoff und hoffstatt, mit allen gebäuden, begriffen, zugehörden, rechten und gerechtigkeiten /:gemeinschafft des bronnens:/ ane Catharinä bruck in der Krautenau, einseit neben Johann Busch dem schiffmann, anderseit neben Jacob Ott dem ohlmann hinten auff Andreas Meyer dem schiffmann, theils von ihren eltern ererbtes theil von ihrer geschwistern im ohnvertheiltes erb cedirtes guth – die verkäuferin die kleine behausung im hoff um einen jährl. zinß von 10 pfund lebtägig zu bewohnen vorbehalten – geschehen um 500 pfund

Originaire de Dinglingen en Bade, le cocher Laurent Wickert épouse en 1744 sans passer de contrat de mariage (voir l’observation à l’inventaire après décès) Catherine Marguerite Hart, fille de journalier, et devient bourgeois quelques semaines plus tard.
Mariage, Temple-Neuf (luth. f° 231-v, n° 885), Anno 1744, Mittwoch d. 7. Oct. nach ordentl. Proclamation Ehl. copul. u. eingesegnet worden Lorentz Wickert der led. Kutscher u. b. allhier, Friederich Wickerts ackersmanns u. b. zu dinglingen un d. Lahrer Herrschafft Ehl. Sohn und J. Catharina Margaretha Johannes Hardt Taglöhners u. b. allhier Ehl. Tochter [unterzeichnet] Lorentz Wickert als hochzeiter, Catharina marga Hardin als hochzeiterin (i 237)

1744, Livre de bourgeoisie 1740-1754 (VII 284) p. 185
Lorentz Wickert der Kutscher Von Dinglingen gebürtig erhalt das burgerrecht Von seiner Ehefraun Catharina Margaretha, Johann Hardt burgers und Schloßers hinterl. tochter um den alten burger schilling und will dienen beÿ E. E. Zunfft Zur Möhrin. jur. eod. [23. 9.br 1744]

La tribu de la Mauresse remet en septembre 1744 un certificat à Laurent Wickert pour qu’il puisse devenir bourgeois. Il s’incrit à la tribu fin novembre
1744, Protocole de la Mauresse (XI 259)

(f° 37) Mittwochs den 9.ten Septembris Anno 1744. Erlangter Zunfft Schein Zum burgerrecht – Lorentz Wickert der Leedige Kutscher, Friderich Wickerts des Ackersmann zu Dinglingen, lahrer Herrschafft ehelichr Sohn, nittet um einen Zunfft Schein Zu erlangung des Burger Rechts. Erkannt Willfahrt
(f° 62) Neuer Leibzünfftiger E. R. – Lorentz Wickert, der Kutscher von Dinglingen gebürtig und burger allhier, producirt Cancelleÿ, Pfenning thurns und Stall Schein, de dato 23.ten Novembris 1744. bittet um ertheilung des Zunfft: rechts.
Erkandt, gegen Erlag der Gebühr Willfahrt, Zalte vor den Pfenningthurn 1 lb, vor das Zunfftrecht 5 ß, vor die Feur Eÿmerer 3 ß 4 d, Und einschreib Geld 2 ß (summa) 1 lb 10 ß 4 d

Catherine Marguerite Hart meurt en 1768 en délaissant une fille. L’actif de la succession s’élève à 1 414 florins (707 livres), le passif à 967 florins (483 livres).
1768 (14.10.), M° Euth (Jean, 6 E 41, 531) n° 247
Inventarium über Weÿland Fraun Catharinæ Margarethæ Wickertin, gebohrner Hartin, Lorenz Wickert, des Kutschers und burgers allhier Zu Straßburg geweßener Ehefraun, auffgerichtet Anno 1768.nunmehr seel. Verlassenschafft – nach ihrem den 5. Septembris lauffenden 1768.sten Jahrs aus dießer welt genommenen tödlichen hientritt zeitlichen verlaßen, welche Verlaßenschafft auf freundliches Ansuchen Erfordern und Begehren der gemelten hinterbliebenen Wittibers wie auch Jungfraun Margarethä Barbarä Wickertin der tochter und respectivé Universal Erbin, so 23. Jahr alt, beÿständl. Andreas Hirtz dießigen burgers und Sandführers, fleißig inventirt – Actum Straßburg auf Freÿtag den 14. Octobris Anno 1768.
Bericht dieße Verlassenschafft betreffend. Der diesorts Wittiber, hat gleich anfangs dießer Inventur in Gegenwarth seiner tochter und respectivé Universal Erbin (…) berichtet, daß als sich derselbe mit seiner verstorbenen Ehefrauen Verheurathet, Er keine Eheberedung errichtet habe. Und weilen Sie beederseits nichts in die Ehe gebracht, so wäre auch kein zugebracht Nahrungs: Inventarium errichtet, Von ihnen den geweßenen Eheleuthen auch währen ihres Ehestands nichts ererbet worden, mithien ist nah hießigem Gebrauch und Ordnung die gantz Verlaßenschafft (…) als theilbar anzusehen, woran dem Wittiber zwo tertzen, der Tochter und Erbin aber die übrige tertz gebührig

(f° 8) Eigenthum ane einer Behaußung und Liegende güthere Zu Illkirch gelegen (…)
(f° 14) Series rubricarum hujus Inventarÿ. Sa. haußraths 117, Sa. Silbers 6, Sa. Goldenen Rings 2, Sa. Pferd, Kutschen und Geschirrs 289, Sa. Schaaff 16, Sa. Schiff und geschirrs zum Ackerbau gehörig 9, Sa. Früchten auf der Kast 152, Sa. Eigenthums ane einer behaußung und liegende güthern 822, Summa summarum 1414 fl. – Schulden 967 fl. Nach solchem abzug 447 fl. – Stall Summa 447 fl.

Sa fille Catherine Marguerite épouse en 1768 Nicolas Arbogast, cultivateur originaire de Mittelhausen : contrat de mariage, célébration. Le mari devient bourgeois quelques mois plus tard.

1768 (19. 7.bris), M° Euth (Jean, 6 E 41, 540) n° 83
(Eheberedung) zwischen Niclaus Arbogast, leedigem Ackersmann von Mittelhaußen im Elsaß gelegen, hochfürtslich Heßen: hanau: Lichtenbergischer Jurisdiction, Georg Arbogast burgers und Ackersmann alda, mit frauen Margaretha gebohrner Dieringerin seiner Ehefrauen, ehelich erzeugter Sohn als Hochzeiter an einem,
So dann Jungfrauen Margaretha Barbara Wickertin, Lorentz Wickert, Kutscher und burgers allhier Zu Straßburg, mit Weÿland frauen Catharina Margaretha gebohrner Hartin, seiner geweßenen Ehefrauen seeliger, ehelich erzeugter Tochter, als der hochzeiterin am andern theil – Auf Montag den 19. Septembris Nachmittag Anno 1768. [unterzeichnet] Nicolauß Arbogast als hochzeiter, Margaretha Barbara Wickertin als hoh zeiterin

Mariage, Temple-Neuf (luth. f° 121, n° 168)
Im Jahr Christi 1768, Mittwochs den 30. Novembris sind (…) ehelich copuliert und eingesegnet worden, Niclauß Arbogast, lediger Kutscher von Mittelhaußen beÿ Brumat gebürtig Georg Arbogasts, Ackersmanns und burgers daselbst, und Margaretha Düringerin seiner Ehefrau ehelicher Sohn, und Jgf. Margaretha Barbara Wickertin, Lorentz Wickerts, Kutschers und burgers allhier und weÿl. Catharina Margaretha gb. Harthin, seines gewesnen Ehefrau ehl. erzeugte hinterlaßene Tochter [unterzeichnet] Niclaus Arbogast als hochzeiter, Margaretha Barbara Wickertin als hochzeiterin (i 128)

1769, Livre de bourgeoisie 1762-1769 (VI 285) p. 162
Niclaus Arbogast, lehngutscher von Mittelhausen erhalt das burgerrecht von seiner Ehefrauen Margaretha Barbara, Lorentz Wickert des lehngutschers und burgers alhier ehel. tochter, umb den alten burger schilling will dienen beÿ E.E. Zunfft Zur Möhrin Jur. eod. [22. febr. 1769]

Les nouveaux mariés font dresser l’inventaire de leurs apports dans une maison au faubourg de Pierre
1769 (3.3.), M° Euth (Jean, 6 E 41, 531) n° 250
Inventarium über Niclaus Arbogast, des Kutschers, und Fraun Margarethä Barbarä Arbogastin gebohrner Wickertin, beeder Eheleuthe und burgere alhier zu Straßburg einander in den Ehestand Zugebrachte Nahrung auffgerichtet Anno 1769. – Welche der Ursachen beschrieben worden, alldieweilen beede Ehe Persohnen in der, Vor mir Notario den 19. Septembris 1768. auffgerichteten Eheberedung und dem darinn stipulirten 4.ten §° solches expressé mit einander abgeredet haben – Actum und angefangen in Straßburg auf Freÿtag den 3. Martÿ 1769. in fernerer Gegenwarth Lorentz Wickert des ebenmäßigen Kutschers als der Ehefrauen eheleiblichen Vatters und respectivé beÿstands

In einer alhier Zu Straßburg ane der Steinstraß gelegenen diesorts Lehnungs weis bewohnenden behaußung folgender maßen befunden worden
(F.) Feld Acker Zu Illkirch gelegen und Antheil ane einer behausung so die Ehefrau in die Ehe gebracht
(M.) Liegende Güthere so der Ehemann in die ehe gebracht, Mittelhaußer banns
(f° 19-v) Series rubricarum hujus Inventarÿ. Des Ehemanns eingebrachtes Vermögen, Sa. haußraths 72, Sa. Silbers 13, Sa. baarschafft Nullum, Sa. Weins u. leeren Faß 56, Sa. Frucht 28, Sa. Liegende güther 244, Sa. Schulden 329, Summa summarum 744 fl. – Schulden 105 fl. Nach solchem abzug 638 fl., Wann aber die helffte ane denen haussteuren dazu addirt wird betragend 24. fl. So erstrecket sich des Ehemanns gesamtes eingebrachte Guth auf 663 fl.
Dießemnach wird auch der Ehefraun in die Ehe gebrachte Nahrung beschrieben, Sa. haußraths 137, Sa. Silbers 31, Sa. Goldener Ring 22, Sa. Pferd, Kutschen und geschirr, sowohl Zum Fuhrwerck als Zum Ackerbau gehörig 400, Sa. derer Schaaff 7, Sa. derer Früchten auf der Kast 57, Sa. Feld Acker Zu Illkirch gelegen 740, Summa summarum 1396 fl. – Schulden 482 fl. Nach deren Abzug 913. fl., Hierzu gerechnet der halbe theil ane denen haussteuren 24 fl. Solchemnach wird der Ehefraun völlig in die Ehe gebrachte Nahrung dem Wahren Werth nach antreffen 938. fl.

Laurent Wickert se remarie avec Catherine Salomé Rieth, fille d’un tanneur de Lahr en Bade : contrat de mariage, célébration. La femme devient bourgeoise quelques semaines apràs son mariage
1774 (5.5.), M° Schatz (6 E 41, 1302) n° 12
(Eheberedung) persönlich erschienen Lorentz Wickert der Lehn Kutscher, Wittiber, und burger allhier als Hochzeiter ane einem,
So dann Jungfer Catharina Salome Riethin, Weÿland Philipp Rieth geweßenen burgers u. Weisgerbers Zu Lahr, mit auch Weÿl. Fraun Anna Maria geb. Unterbergerin ehelich erzeugte tochter als hochzeiterin – auf Donnerstag den fünfften Maÿ Anno 1774 [unterzeichnet] lorentz wickert, + Jungfraun Catharinæ Salome Riethin der hochzeiterin selbst gemachtes hand Zeichen

Mariage, Temple-Neuf (luth. f° 61-v)
Im Jahr 1774 dienstags den 10 Maÿ (…) copulirt und ehelich eingesegnet worden Lorentz Wickert, Kutscher u. burger allhier wittwer, der vorher zue Ehe hatte weÿland Catharina Margaretha gebohrne Hardtin und Jungfer Catharina Salome Riethin Von Lahr, weÿland Philipp Rieth geweßenen weißbecken und burgers Zu Lahr mit weÿland Annä Mariä gebohrner Unterbergerin hinterlassene eheliche Tochter [unterzeichnet] Lorentz Wickert als hochzeiter, + handzeichen der hochzeiterin (i 114)

Catherine Salomé Rieth devient bourgeoise : inscription au registre de bourgeoisie et registre de traitement des demandes. Elle est reçue à titre gratuit sur certificat de son maître qu’elle a servi dix-huit années durant sans interruption
1774, Livre de bourgeoisie 1769-1777 (VI 286) p. 107
Catharina Salome Riedin von Lahr gebürtig verheurathet an Lorentz Wickert den Kutscher und burgern allhier, erhalt das burgerrecht wohlverhaltens wegen gratis, will dienen beÿ E. E. Zunfft Zur Mörin, Jur. den 4.t. Junÿ 1774.

(VI 286 bis) p. 71. Mörin N 10, d. 27. april 1774
Jgfr. Catharina Salome Riedin Von Lahr gebürtig Philipp Ried des b. u. weißgerbers daselbst ehl. tochter
Verlobt an Lorentz Wickert d. Kutscher u. b. alhier
die schein geben an die ehel. geburt aug. conf. deß sponsi stall gebühr in richtigkeit
300. fl. baren geldt hat sie bewiß. deß. Eigenthum sie mit Einer Handtrew erhärtet auf 100. fl. so s. beÿm Prot. deponirt
Laut schein H. Exsenatoris Reishoffer des b. und handelsmanns alhier wird bescheinigt daß sie 18 Jahr ohn unterbrochen treu u. Ehrlich beÿ ihme in diensten gestandt, deßen er handtrewlich angelobt. wohl Verhaltens weg. gratis ub e. G. b. recghrt gnädigst zu recipiren
Recepta gratis

Catherine Salomé Rieth meurt en 1776 sans enfant. Les experts estiment la maison 750 livres. La masse propre au veuf est chargeée d’un passif de 23 livres, celle des héritiers s’élève à 72 livres. L’actif de la succession s’élève à 42 livres, le passif à 202 livres.

1776 (27.11.), M° Schatz (6 E 41, 1295) n° 48
Inventarium über weÿl. Fr. Catharina Salomé Wickertin geb. Riethin Lorentz Wickert des Lehn Kutschers verlassenschafft – nach ihrem d. 18. nov. 1776 jahrs aus dießer welt genommenen tödlichen hintritt – auff ansuchen des Wittibers
Die abgelebe Fr. Wickertin hat ab intestato zu erben verlassen 1. Philipp Jacob Rieth der Weißgerber und burger zu Lahr, der verstorbenen bruder in dem ersten Stamm theil, hier zu ferner deputirt worden H. Ulrich Lipp den schuhmacher und E. E. kleinen Raths jetziger beÿsitzer, so dann 2. weÿl. Fr. Anna Rosina Imbergerin geb. Riethin der verstorbenen schwester kinder mit H. Johann Imberger dem schreiner ehelich erzielt, nahmentlich Johann Andreas und Catharina Salome Imbegerin, welche beede minorennis dahero H. Johann Leonhard Ring der glaßer geordneter und geschworener vogt

In einer nächst der Catharinæ bruck gelegen dem diesorts Wittiber zum theil zuständigen behausung
Eigenthümblicher Antheil ane einer beh. (W.) Nemblichen die hälffte vor unvertheilt vor und ane einer behausung, hoff, hoffstatt, scheur, ställ, hinderhaus und gemeinschafftlichen bronnen mit allen deren begriffen, weithen, zugehörd, rechten und gerechtigkeiten in der Vorstatt Krautenau nechst beÿ der Catharinen bruck gelegen 1s. neben Johannes Busch dem schiffmann, 2.s. neben der verwittibten Fr Ottmännin hinten auff Andreas Meÿer den Schiffmann, (laut) Abschatzung d. d. 12. Decembris 1776 um 750 lt angeschlagen, Woran die dem Wr. ein gehörige helffte ausmacht 375 lt. Worüber nichts schrifftliches vorhanden, Es solle aber gegebenen bericht nach dem diesortigen Wbr. und deßen tochermann – Arbogast der Lehen kutscher dieße behausung samt zugehörden vor ohngefehr 7 Jahren in gemeinschafft erkaufft haben auch sothaner Kauff in hiesiger C. Contact Stub verschrieben worden
– Abschatzung vom 12 Decembre 1776. Auf begeren H. Lorentz Wickert d. lehnkutscher ist eine behausung beÿ der Catharina bruck gelegen einseit neben Johannes busch dem schiffmann anderseit neben Fr. Ottmenin Wb hinten auff andreas Meÿer den schiffmann stoßend gelegen solche behausung bestehet in forder und hinter gebäu worinnen vier stuben dreÿ kuchen und Etliche hauß Kammern ferner befindet sich eine scheur, Remise und stallung darüber seÿe die dachstühl mit breidziegel belegt hat auch ein getremter Keller, hoff und gemeinschafftlicher brunen (angeschlagen für und um) 1500 gulden [unterzeichnet] Hueber, Götz wkm, Kaltner Wmstr
Eheberedung unter meinen Notariat acten sub dato 5. maÿ 1774
des Wrs.ohnverändert vermögen, hausrath 46 lb, schiff und geschirr zum Ackerbau 1 lb, Pferd Kutschen und geschirr 80 lb, silbers 1 lb, behausung 375 lb, feld güther zu Illkirch 119 lb, schulden 150 lb, In ermanglung eines Inventary Illatorum 2 lb, Summa summarum 776 lb – Schulden 800 lb, passiv onus 23 lb
der erben ohnverändert Nahrung, hausrath 49 lb, silber 3 lb, ergäntzung 169 lb, summa summarum 222 lb, schulden 150 lb, nach deren abzug 72 lb
die wenige theilbare Nahrung, kutsch 25 lb, früchten auf dem Kasten 12 lb, summa schulden 5 lb, summa summarum 42 lb – Schulden 202 lb, passiv onus 160 lb – Endliches passiv onus 111 lb

Les préposés de la Taille font figurer la succession dans leur registre parce que l’héritier non bourgeois Philippe Jacques Rieth doit régler un droit spécial de succession.

1777, VII 1180 – Livres de la Taille f° 211
Mörin N. 4010 – Weÿl. Fr. Catharinæ Salome gebohrner Riethin Lorentz Wickert des Lehenkutschers und burgers allhier gew. Ehefrau Verlassenschafft jnvent. H Not. Schatz
Concl. final. Invent. ist fol. 62.b passiué 111 lb verstallte 800 fl.
Philipp Jacob Rieth weißgerber in Lahr hat von 36. lb wegen den Abzug zu erlegen mit 3 lb 12 ß
dt. den 25. janua. 1777

Laurent Wickert se remarie en 1778 avec Marie Salomé Hatt, fille d’un tricoteur de bas : contrat de mariage, célébration
1778 (29.10.), M° Schatz (6 E 41, 1302) n° 55
(Eheberedung) persönlich erschienen seÿen Lorentz Wickert der Lehn Kutscher, Wittiber und burger allhier als bräutigamb ane einem,
So dann Jungfer Maria Salome Hattin so Majorennis, H. Johann Jacob Hatt, Strumpffstrickers und burgers allhier, mit Fraun Maria Salome gebohrner Volckin, ehelich erziehlte Tochter, als ane dem andern theil braut – auf Donnerstag den 29. Octobris 1778 [unterzeichnet] lorentz wickert, Maria Salamma Hattin

Mariage, Temple-Neuf (luth. f° 207-v, n° 40)
Im Jahr Christi 1778, Dienstag den 3. Novembris Vormittag um Zehen Uhr sind (…) ehelich eingesegnet worden Lorentz Wickert wittwer Lehn Kutscher und burger allhier, welcher Vorher in ehe lebte mit Weÿl. Frau Catharina Salome gebohrner Riethin Und Jungfer Maria Salome Hattin, Johann Jacob Hatt Strumpffstrickers und burgers allhie mit weÿl. Frau Maria Salome gebohrner Volckin ehelich erzeugte tochter, [unterzeichnet] lorentz Wickert als Hochzeiter, Maria Salamea Hattin als hochzeiderin (i 20)

Laurent Wickert meurt en 1805 en délaissant sa fille en premières noces et deux enfants de son dernier mariage. L’inventaire est dressé dans sa maison rue de la Chaîne
1805 (7 floréal 13), Strasbourg 3 (28-2), M° Übersaal n° 869, 3811 – Enregistrement de Strasbourg, acp 96 F° 99-v du 9 flor. 13
Inventaire de la succession du Cit. Laurent Wickert Cocher décédé le 7 ventose 13 – en présence de Marie Salomé Hatt la veuve, tutrice naturelle de son fils mineur
Enfants I. Marguerite Barbe Wickert veuve de Nicolas Arbogast, Cocher, procréé en premières noces avec Catherine Marguerite Hart, II. Marie Salomé Wickert femme de Jean Bühler Cocher, III. Laurent 18 ans

en la maison mortuaire rue de la Chaîne n° 6
Contrat de mariage, M° Schatz le 29 octobre 1778 et convention additionnelle M° Übersaal le 19 ventose 11
propres de la veuve : don matutinal 500 fr, remploi 448 fr, total génénal 948 fr
communauté : meubles 225 fr, chevaux et carosses 426 fr
Propriété d’une Maison. Sçavoir une petite maison avec cour écurie appartenances et dépendances situé a Strasbourg rue de la Chaîne N° 6, d’un côté Jean Frédéric Gros aubergiste et propriétaire de la ci devant Tribu des cordonniers, d’autre les frères Samuel négociants, derrière maison desd. frères Samuel, estimée à 72 fr de revenu en capital 1440 fr – acquis par acte reçu M° Grimmer le 23 messidor 3 et M° Ensfelder le 14 thermidor même année
total 2091 fr, passion 2644 fr, excédent passif 553 fr, ajouter au remploi de la veuve 400 fr, total 848 fr
Extrait vente maison quai des bateliers 1784 (F° 120)

Nicolas Arbogast cède sa moitié de maison à Laurent Wickert son beau père

1779 (24.4.), Chambre des Contrats, vol. 653 f° 170-v
Lorentz Wickert der lehnkutscher ane einem
Nicolaus Arbogast ebenmäßiger lehnkutscher am anderen theil, tausch
(Arbogast ihme Wickert) die helffte vor unvertheilt von und ane einer behausung, hoff, hoffstatt gemeinschafft des bronnens mit allen denen übrigen gebäuden, begriffen, weithen, zugehörden, rechten und gerechtigkeiten ane der Catharina brück einseit neben Johannes Busch dem schiffmann, anderseit neben Jacob Ott gewesten ohlmanns wittib, hinten auff Andreas Meÿer den schiffmann – von Maria Barbara geb. Dambachin weÿl. Daniel Hau des kieffers wittib unterm 23. feb. 1770 erkaufft – auff dieser gantzen behausung stehen 300 fl. 1400, 300, sammenthafft 2400 fl. die gantze behausung zu 4000 fl. gerechnet

Laurent Wickert vend 2 400 livres la maison au teinturier André Dietz

1779 (20.11.), Chambre des Contrats, vol. 653 f° 442
Lorentz Wickert der lehnkutscher
in gegensein Andreas Dietz des schwartz und schönfärbers
eine behausung, hoff und hoffstatt gemeinschafft des bronnens mit allen denen gebäuden, begriffen, weithen, zugehörden, rechten und gerechtigkeiten ane der Catharina bruck in der Krautenau, einseit neben Johannes Busch dem schiffmann, anderseit neben Jacob Ott gewesten ohlmann Erben, hinten auff Andreas Meÿer den schiffmann – um 300 fl. 300, 1400 beladen, geschehen um 4800 gulden worunter die capital summen begriffen

André Dietz hypothèque la maison qu’il refait construire au profit de Marie Elisabeth Biermeyer veuve de Georges Christophe Freysinger à laquelle il doit 5 240 florins suivant contrat de construction

1780 (13.6.), Chambre des Contrats, vol. 654 f° 233-v
H. Andreas Dietz der schwartz- und schönfärber
in gegensein Fr. Mariæ Elisabethæ geb. Biermeÿerin weÿl. H. Georg Christoph Freÿßinger des maurer und steinmetzen wittib, beÿständlich H. Johann Friedrich Zimmer notarii publici und practici und H. Philipp Paul Arnold des zimmermeisters – laut bau accord vor maurer arbeit ane einer neu zu erbauenden und bereits angefangenen behausung, schuldig seÿe 5240 gulden
unterpfand, besagte neu zu erbauenden behausung ane St Catharina bruck, einseit neben Johannes Busch dem schiffmann, anderseit neben Jacob Ott des ohlmanns wittib, hinten auff Andreas Meÿer den schiffmann

André Dietz et Marie Marguerite Say hypothèquent la maison au profit des enfants de Loup (Wolffgang) Daniel Widt pour en régler le menuisier Jean Conrad Ohm

1782 (8.1.), Chambre des Contrats, vol. 656 f° 9
H. Andreas Dietz der schwartz und schönfärber und Maria Margaretha geb. Seitzin unter assistentz H. Johann Michael Murr des weißbecken und H. Johann Friedrich Murr des meelhändlers
in gegensein H. Lt. Wolffgang Daniel Widt dem secretario des Collegii deren H. Fünffzehn so nahmens seines kinds nahmentlich Luisæ Wilhelminæ, so annoch vor Carolinæ Luisæ – schuldig seÿen 300 gulden, so Mr Johann Conrad Ohm dem schreiner vor gemachten schreiner arbeit ane nachbeschrieben neu erbauten behausung
unterpfand, angeregte behausung samt Zugehörden ane St Catharina brück, einseit neben Johannes Busch dem schiffmann, anderseit neben Jacob Ott gewesten ohlmanns wittib, hinten auff H. Andreas Meÿer den schiffmann

La maison revient ensuite à la fille d’André Dietz et de Marie Marguerite Say, Catherine Salomé Dietz qui épouse en 1801 le teinturier Philippe Jacques Blind, originaire de Barr comme son beau père : contrat de mariage, inventaire des apports

1801 (13 fruct. 9), Strasbourg 2 (15), M° Knobloch n° 899 – Enregistrement de Strasbourg, acp 80 F° 61 du 16 fruct. 9
Eheberedung – bürger Philipp Jacob Blind der ledige mehrjährige Färber bürgers Niclaus* Blind und Catharina geb. Dietzin beeder zu Barr wohnhaften Eheleuthen ehelicher Sohn
bürgerin Catharina Salome Dietz die leedige weÿl. bürgers Andreas Dietz mit Maria Margaretha geb. Sayin erzeugte Tochter

Inventaire des apports
1801 (15 nivose 10), Strasbourg 2 (16), M° Knobloch n° 1075 – Enregistrement de Strasbourg, acp 83 F° 52 du 18 niv. 10
Inventarium über burger Philipp Jacob blind Färber und burgerin Catharina Salome dietz einander für ohnverändert in den Ehestand zugebrachten Nahrungen
der Ehemann, silber 113 fr, baarschafft 1200 fr, summa 1313 fr
die Ehefrau, hausrath 2230 fr, baarschafft 1008 fr, schulden 249 fr, summa 3487 fr

Inventaire après décès d’un locataire, le capitaine retiré Jean Pierre Leroy

1811 (7.5.), Strasbourg 14 (47), M° Lex n° 5205 – Enregistrement de Strasbourg, acp 117 F° 35-v du 9.5.
Inventaire de la succession de Jean Pierre Leroy ancien capitaine retiré décédé le 1 avril 1811 – à la requête de Jean François Rivière cultivateur à Miraumont canton d’Alberte arrondissement de Peronne, département de la Somme, fils unique majeur de feu Jean Pierre Leroy ancien capitaine d’artillerie par représentation de Marie Françoise Leroy sa mère sœur du défunt épouse de Pascal Riviere manœuvre son oncle maternel par Testament souss. (au poel de l’appartement qu’il occupe au premier étage dans la maison du Sr Blind teinturier au quartier dit Krautenau près le pont de Ste Catherine lequel poele a trois croisées donnant sur la rue, le 3 juillet 1809), Marie Marguerite Leroy sœur du défunt femme de Nicolas Lecocq cultivateur à Miraumont, héritière pour l’autre moitié représentée, par Jean Baptiste Lecocq son fils cultivateur en la même commune

dans l’appartement qu’il occupait dans la maison de M Blind marchand teinturier au quartier dit Krautenau près le pont de Ste Catherine n° 2
mobilier 1065 fr, capital 17 593 fr, numéraire 30 831 fr, total 49 490 fr, passif 3066 fr (Joints) extraits des décès de Miraumont, 1766 le 28 janvier, Marie Françoise Leroy épouse de Paschal Rivière manouvrier hier 34 ans – baptême de Jean François né aujourd’hui 1763 le 10 juillet fils de Paques Rivière manouvrier et Marie Françoise Leroy, le 4 février 1734 de Jean Pierre Leroy fils de Mathieu et Jeanne Bigorne né le même jour, 1733 le 4 avril Marie Marguerite Leroy (…) née le 3, 1732 le 30 avril Marie Françoise Leroy fille de (…) née le même jour

Inventaire après décès d’un locataire, le major Jean Engel

1824 (17.5.), Strasbourg 1 (44), M° Rencker n° 3179 – Enregistrement de Strasbourg, acp 168 f° 62 du 22.5.
Inventaire de la succession de Jean Engel, major du troisième régiment d’artillerie à cheval, Chevalier St Louis, de la Légion d’Honneur en retraite décédé le 2 mai courant – à la requête de Charlotte Percelat la veuve, 2. X Simon boucher domicilié à Soultz Haut Rhin, 3. Valentin Koenig, marchand demeurant à Soultz mandataire de a) Catherine Simon sa femme, b) Thérèse veuve de Georges Simon cuvetier mère et tutrice légale de Thérèse Simon, c) Véronique Simon femme de Maurice Voegelé vigneron à Soultz, par représentation pour 1/5 de Cécile Engel épouse de Xavier Simon de Soulz leur mère et grand mère, 5. Jean Stirnemann, propriétaire à Soulz père et tuteur légal de Cécile Stirnemann, 6. Philippe Wittmer, menuisier à Soultz mandataire de Catherine Stirnemann sa femme, lesdites Stirnemann par représentation de Catherine Engel femme dudit Jean Stirnemann, héritiers du défunt oncle des représentants de Cécile Engel et Catherine Engel

dans la demeure du défunt rue Krautenau près du Pont Ste Catherine n° 2, communauté, mobilier : dans le salon, dans la chambre à côté du salon, dans la deuxième chambre à côté du salon, dans la troisième chambre, dans la quatrième chambre ayant vue sur la cour à côté de la cuisine, dans la chambre au linge sâle, dans la cuisisne, dans la cour, 3268 fr
immeubles, 1. un jardin avec une gloriette de la contenance d’environ 15 ares 20 ca situé la Robertsau ci devant chantier des Calfats, d’un côté la veuve Schuler, d’autre Jacques Knecht & Jacques Oesinger, devant le chemin, derrière le fossé dit Murgiesen, acquis de Jean Michel Hammer et de Salomé Reibel par acte reçu M° Lex le 23 mars 1814, estimé 2700 fr
numéraire 3774 fr, créances 50 679 fr, ensemble 57 721 fr apport & héritages du défunt 5311 fr, apports de la veuve 11 671 fr, terres 3050 fr, ensemble 5750 fr, terres 3240 fr à Reichstett 5650 fr, passif 16 982 fr
Contrat de mariage devant M° Laquiante le 4 pluviose 9 – Testament olographe le 1 septembre1823 enreg. 14 mai 1824 f° 55 sœur du défunt

La maison revient ensuite à la fille unique de Philippe Jacques Blind, Catherine Louise Blind épouse Jean Frédéric Dietsch,

1846 (28.4.), Strasbourg 4 (100), M° Lauth n° 2063
Notoriété – (…) avoir parfaitement connu M. Philippe Jacques Blind, propriétaire, demeurant et domicilié Strasbourg, et savoir qu’il est décédé en cette ville le 20. février dernier, que depuis son décès il n’a point été dressé d’inventaire de sa succession et qu’il a délaissé pour seule et unique héritière sa fille dame Catherine Louise Blind épouse de Jean Frédéric Dietsch, propriétaire demeurant et domicilié à Strasbourg

Autre acte de notoriété de teneur comparable
1853 (11.2.), M° Lauth
Notoriété, constatant que Philippe Jacques Blind, propriétaire à Strasbourg est décédé en ladite ville le 20. février 1846, qu’il était marié avec Salomé Dietz, présentement sa veuve, sous le régime de la Communauté de biens réduite aux acquêts aux termes d’un contrat de mariage reçu Knobloch le 13 fructidor an X & qu’il a délaissé pour seule et unique héritière sa fille Catherine Louise Blind épouse Jean Frédéric Dietsch, propriétaire à Strasbourg
acp 416 (3 Q 30 131) f° 159-v du 12.2.

Jean Frédéric Dietsch épouse en 1824 Catherine Louise Blind
Catherine Louise Blind
1824 (10.8.), Strasbourg 3 (71), M° Schreider n° 2146 – Enregistrement de Strasbourg, acp 169 F° 110-v du 13.8.
Contrat de mariage, communauté d’acquets partageable par moitié – Jean Frédéric Dietsch, employé à la manufacture de draps de M Dietsch son oncle, fils majeur de Nicolas Dietsch, propriétaire, et de feu Marie Madeleine née Roederer
Catherine Louise Blind fille majeure de Philippe Jacques Blind, teinturier, et de Catherine Salomé Dietz


Les Maisons de Strasbourg sont présentées à l’aide de Word Press.