4, rue de Schiltigheim


Rue de Schiltigheim n° 4 – III 312 (Blondel), N 457 puis section 68 parcelle 33 (cadastre)

Démolie

Schiltigheim 6-4 (1003 W 2, 965)Schiltigheim 4, 1, Petite rue de la Fonderie (1003 W 2, 967)
Au premier plan, une partie du n° 8 puis le n° 6 après lequel s’ouvre le terrain communal. Au-delà, le n° 4, petit bâtiment à demi-toit puis maison principale à deux étages (photographie prise vers 1942, AMS cote 1003 W 2 n° 965)
Façade Petite rue de la Fonderie, bâtiment de gauche derrière lequel s’ouvre la rue de Schiltigheim. La maison au-delà de la rue existe toujours (AMS cote 1003 W 2 n° 967)
Petite rue de la Fonderie, aspect actuel (février 2016)

Fonderie (Petite rue, février 2016)

La maison forme l’extrémité occidentale de la rue de Schiltigheim qui se termine en impasse. Elle est limitée au nord par le jardin de l’ancienne maison de Hornberg (ensuite Schmidberg, Zoller puis Deux-Ponts), au sud par une ruelle communale et à l’arrière par deux maisons de la rue de l’Ecrevisse. Elle est formée de deux bâtiments définitivement réunis au début du XVIII° siècle (1700, eine behausung so zuvor zwei häußer). Elle est tantôt une maison de rapport dont les propriétaires habitent ailleurs (le notaire Medler 1655-1674, les marchands Hausser 1731-1754, puis au XIX° siècle) soit à de petits artisans comme le culottier Jean Nicolas Schneider (1674-1707) ou le compagnon maçon Jean Waggin (1754-1773) puis son gendre l’artiste peintre Jean Georges Saum (1773-1804).
Jean Nicolas Schreiber et Ulrich Haure, propriétaire d’une maison rue de l’Ecrevisse (III 287 au plan Blondel) passent en 1692 un accord pour établir un chenal commun sur le mur qui sépare leurs propriétés. Le Maréchal du Bourg envisage en 1728 d’acquérir la maison pour y transférer sa buanderie. Il y renoncera parce que les fonds que la Ville met à sa disposition sont insuffisants. Si on en juge par sa valeur, la maison ne semble pas avoir fait l’objet de travaux hormis l’entretien ordinaire. Elle comprend en 1791 six logements (six poêles, six cuisines et plusieurs chambres).
La partie nord de la maison longe la petite rue de la Fonderie depuis sa percée au cours de la Révolution. Comme le confirment les dessins du plan relief de 1830, il ressort du devis établi en 1826 que la façade nord (petite rue de la Fonderie) n’existe pas encore. Elle sera construite d’après les nouveaux alignements en avant de 35 centimètres sur les anciens dans les années 1830, avant l’ouverture du cadastre, peut-être par le maître maçon Auguste Arnold qui l’acquiert en 1837.

58 Elévations h-p
Elévations pour le plan-relief de 1830, îlot 58

L’Atlas des alignements clos en 1829 signale un rez-de-chaussée en maçonnerie et deux étages en bois à encorbellement. Sur les élévations préparatoires au plan-relief de 1830 (1), la façade sur rue se trouve entre les repères k-l-m : d’abord un petit bâtiment à demi-toit, puis le mur qui ferme la courette, le bâtiment principal à deux étages puis (l-m) le bâtiment d’angle qui se prolonge (m-n) dans la petite rue de la Fonderie. Le terrain communal j-k au sud (voir le plan) permet de voir l’arrière bu bâtiment à demi toit à gauche du repère (k) puis le bâtiment arrière à droite du repère (j). La cour B montre le mur (1-4) qui ferme la cour, le bâtiment à demi-toit (1-2), le bâtiment arrière (2-3) et le bâtiment principal (3-4).

58 Cour B
Cour B

Le cadastre ne signale aucune modification, sauf une destruction partielle lors du siège de 1870. La maison retrouve quelque temps après son ancienne valeur les réparations terminées. Après avoir servi de maison de rapport, elle appartient (1896) au menuisier Albert Melchior qui y a son atelier. La Commission contre les logements insalubres note à plusieurs reprises que les logements du rez-de-chaussée sont humides. Après avoir acquis la maison en 1951, Charles Gless de Hœnheim, la fait visiter par la Police du Bâtiment qui constate que la maison d’angle est en assez bon état alors que celle à encorbellement dont l’entrée se fait par la rue de Schiltigheim devra être démolie. Le maire prend un arrêté de péril en décembre 1951. Le propriétaire projette en 1954 de construire sur son terrain. Il obtient un accord préalable mais on oppose ensuite (1957) un sursis à statuer à sa demande de permis de construire étant donné que la rue fait partie d’un avant-projet d’aménagement (voir le plan). Le propriétaire étaie début 1960 les murs qui menacent de s’écrouler.

Schiltigheim 4 (1956) planSchiltigheim 4 (1956) projet
Plan de la parcelle 33 (4, rue de Schiltigheim) dont 12 m² dépassent de l’alignement légal
Projet de construction (1957, dossier de la Police du Bâtiment)

mars 2016

Sommaire
CadastrePolice du BâtimentRelevé d’actes

Récapitulatif des propriétaires

La liste ci-dessous donne tous les propriétaires de 1634 à 1952. La propriété change par vente (v), par héritage ou cession de parts (h) ou encore par adjudication (adj). L’étoile (*) signale une date donnée par les registres du cadastre.

Siméon Süss, précepteur, et (1626) Anne Madeleine Breitenacker – luthériens
1655 h Jean Frédéric Medler, notaire, et (1647) Anne Ursule Süss – luthériens
1674 v Jean Nicolas Schreiber, culottier et (v. 1670) Marie Hiro puis (1705) Marie Elisabeth Friess veuve du tailleur Jean Georges Koch – luthériens
1707 éch Chrétien Sutor, cordonnier, et (1703) Susanne Catherine Spach – luthériens
1707 v Jean Jacques Hæberlin, tisserand et foulon, et Susanne Menoth puis (1704) Marie Madeleine Schmidt veuve de Jacques Sibour puis du maître de langues Jean du Cloux – réformés
1712 v Philippe Régnard Bassecour, tisserand en laine, et (1695) Anne Meyer – réformés
1712 v Jean Philippe Biber, maître maçon, et (1711) Catherine Salomé Meisenbach – luthériens
1719 v Mathias Dax, tisserand, et (1713) Susanne Wetzlau – catholiques
1731 adj Jean Georges Hausser, marchand, et (v. 1695) Elisabeth Müg – réformés
1740 h Jean Georges Hausser, marchand, et (v. 1732) Anne Barbe Krug puis (1740) Anne Stehlin – réformés
1753 adj Jean Waggin, compagnon maçon, et (1734) Anne Marie Volmeyer puis (1754) Marie Gleichauff – catholiques
1773 h Jean Georges Saum, peintre, et (1767) Cécile Waggin – catholiques
1801 h Thérèse Waggin et Eugénie Waggin
1812 v Jean Georges Lerff, charpentier, et (1778) Marie Jeanne Krantz veuve de Mathias Mussler puis (1802) Marie Burger – catholiques
1824 h Martin Volck, cordonnier, et Marie Thérèse Aufderbrück
1837 v Chrétien Auguste Arnold, architecte, et (1822) Charlotte Arnold puis (1830) Elise Fleischmann
1896* v Albert Melchior, menuisier, et (1885) Joséphine Andrea
1914* Auguste Hammer et sa femme née Richert
1924 Martin Ritzenthaler, employé
1951 v Charles Gless, de Hœnheim

Valeur de la maison selon les billets d’estimation : 700 livres en 1714, 500 livres en 1740, 580 livres en 1754, 450 livres en 1772

(1765, Liste Blondel) III 312, Jean Wacké bedau de la tribu des Maçons
(Etat du développement des façades des maisons, AMS cote V 61) Saum, 8 toises, 3 pieds et 7 pouces
(1843, Tableau indicatif du cadastre) N 457, Volck, Thérèse, veuve – maison, sol – 1,9 are – (puis) Arnold Charles Chrétien, architecte

Locations

1713, Thomas Holtzhau, tisserand
1716, Mathias Dax, tisserand (futur propriétaire)

Localisation sur le plan Blondel (1765)

Préposés au bâtiment (Bauherren) et Protocole des Quinze

1728, Préposés au bâtiment (VII 1393)
Le chef des travaux de la Ville demande en février 1728 au nom du Maréchal du Bourg l’autorisation de construire une remise à carrosses sur un terrain rue de Schiltigheim où se trouvaient les maisons de Jean Pierre Hebeissen et d’Anne Marie Rothenbach. Le Maréchal du Bourg demande en outre que la Ville achète la maison de la veuve Seitz pour pouvoir construire une buanderie et un poulailler. Il modifie le mois suivant son projet en déclarant préférer que la nouvelle construction se trouve à l’endroit de la maison qui appartient au tisserand Mathias Dax. Mathias Dax répond aux propositions d’achat qu’il a acquis sa maison six ans auparavant pour 1 500 florins et qu’il y a fait de coûteuses réparations, il y loge lui-même et loue le reste cent florins. Il serait disposé à vendre si la Ville lui procurait une autre maison. Mathias Dax propose un prix de 2 600 florins qu’il n’est pas prêt à réduire à moins de 2 500. Le chef des travaux produit un devis qui dépasse les compétences des préposés au bâtiment. La Ville décide d’allouer une somme annuelle de 4 000 florins, le Maréchal du Bourg renonce en juillet à acquérir la maison Dax, la buanderie sera déplacée dans un bâtiment qu’il loue de la fondation de la Toussaint.

Beÿ Monsieur Le Marechal Du Bourg solle gebawen werden
(f° 13-v) Dienstags den 10. februarÿ 1728. Beÿ Monsieur Le Marechal Du Bourg solle gebawen werden – Herr Frantz Rudolph Mollinger der Statt Lohner proponirt daß Monsieur Le Marechal Du Bourg einen Wagenschopff in dem Stallhoff 7. frantzösische schuhe breit und 36 frantzösische schuhe Lang begehre. Erkanntnus wird die bewerckstelligung Herrn Lohner auffgetragen.
(f° 17) Dienstags den 17. februarÿ 1728. Vor Monsieur Le Marechal Du Bourg solle gebawen werden – Herr Frantz Rudolph Mollinger der Statt Lohner proponirt, daß Monsieur Le Marechal Du Bourg Verlange, daß Mann Von seithen der Statt, neben den jenigen Zweÿ Häußern in der Schildsgaß, auff dem Roß marckt, so Mann A° 1724. Von Johann Peter Hebeisen, und Anna Maria Rothenbachin eingetauscht, Abgebrochen, und jhme eine Remise de Carosse dahin Gebauen, noch eines Kauffe, oder ein tausche, umb jhme darauß ein Wasch: und Geflügelhauß Zumachen. Erkannt, solle Herrn Prætori Regio part davon Gegeben werden. Quod factum und Gehet deßen meinung dahin, daß Mghh. einen augenschein allda einnehmen sollen.
(f° 20-v) Eodem die 24. Februarÿ 1728. Mons. Le Marechal Du Bourg wegen Hanß Michel Seitzen Wittiben hauß – In der Schildsgaß am Roßmarckt an Mariæ Salome Notterin, Hannß Michael Seitzen des geweßenen Consigne am Spitalthor Wittib häußel, Welches Mghh. der Ursachen halben, in Augenschein Genommen, Weilen Monsieur Le Marechal Du Bourg Verlanget, daß Mann solches an die Statt erhandelen, und jhme ein Wasch: und Geflügelhauß darauß machen solle, Ged. Wittib mit beÿstand Johann Peter Sponemers jhres Vogts Zugegen æstimirt solches umb 800.R
(f° 21) Donnerstags den 4. Martÿ 1728. Mons. Le Marechal Du Bourg wegen bauens und Mathis Dachßen Hauß – Auf beschehenen rapport daß Monsieur Le Marechal Du Bourg Lieber Mathis Dachßen des Leinenwebers Hauß in der Schildsgaß, als Hannß Michael Seitzen Wittib jhres allda Zu einer Waschereÿ und Geflügelhauß haben möchte, wird ged. dachs angehört und befragt, ob das Haus, worinn er wohnet, sein Eigen seÿe, wie Lang er es Habe, wie Hoch es jhn Komme, und Ob es jhme nicht feÿl wäre ? Ille sagt das Haus wäre sein eigen, Hätte es Vor Sechs Jahren umb 1500. fl. erkaufft, seith deme Kostbare reparationen darinnen Gemacht, Ziehe jährlich nebst seiner freÿen Wohnung 100. fl. Zinß darauß, und wäre jhme in soweit feÿl, Wann Mghh. jhme Anderstwehrts mit einem Hauß wohl Versorgen Könten. Erkannt, solle seinen Kauffbrieff nächsten produciren, auch einen Estat Geben was er darinnen Verbauwen.
(f° 26) Dienstags den 16.ten Martÿ 1728. Mathis Dachßen des Leinenwebers Wohnung betr. – Herr Mollinger, der Statt Lohner berichtet Mghh. daß herr Marechal Dubourg inständig verlangt, daß mann mit Mathis Dachßen dem Leinenweber vergleiche, damit deßen ane der Schiltsgaßen liegende behaußung Zu Seinen diensten, als ein wasch: und Geflügelhauß, Könte accomodirt werden, Er seines orts vermeint daß die nötige reparations Kösten wohl auf 300. fl. noch Zu stehen Kommen würden, da mann als denn zugleich Umb die Völlige Summ beÿ Gnd. Herren den XIII. deßwegen ein Komme, und wegen continuirung des ohnweit davon befindlichen flügels, einen ohnvergreifflichen überschlag der erfordernden uncosten halben machen Könte. Erk. Solle Mathis Dachß der Leinenweber biß nechste Session bescheiden, und deßen endliche resolution darüber von Jhme vernommen werden.
(f° 28-v) Freÿtags den 19.ten Ejusd. [Martÿ 1728] Mathis Dachßen behaußung betr. – Mathis Dachßen der Leinenweber, wurde auch beschickt, und von Jhme vernommen, wie hoch Er Seine in der Schiltsgaß liegende behaußung æstimire, in deme Gemeine Statt deroselben benötigt. Citatus præsens, sagt, Er Könte neben freÿer wohnung und Einquartirung, Jährlichen von dießer behaußung 100. Gulden Zinnß aufheben, wäre also nicht Zuviel, wann Er 2600. fl. dafür fordere, im übrigen wolle Er nicht hoffen, daß mann Seinen schaden verlange, in deme Er solche lieber behalten als quittiren wollte, auf das von den herren dreÿen gethanes remonstriren und gethanen Auspruch aber verbleibe Er beÿ 2500. fl. und wollte sich Zu wenigerem nicht verstehen, sondern von Seinen Abscheid, welches dann den oberen Bauherren Zu Communiciren, damit mann Herrn Prætoris Regÿ gedancken darüber vernehmen möge.
(f° 29) Dienstags den 23. Martÿ 1728. Monseign. Le Maréchal Du Bourg betr. – Herr Lohner producirt einen Riß Von dem Lincken flügel in Monseign. Le Maréchal Du Bourg bewohnenden Statthauß, den Herr Maréchal dieses Jahr durch die Statt will gebawen haben, beneben einem Überschlag der Kosten, Welche darzu er forderet werden, so sich in dem Mauerwerckh a 3229. lb d, Zimmer: Schreiner: Glaser: und Schloßer Arbeit auf 940. lb. also Zusammen auf 4169. lb belauffen. Weilen nun diese Summ die jenige Worüber die Obere Bauherren nach deren Ordnung Zusprechen haben, übersteiget, und eigentlich für Herren Räth und XXI. Gehöret, als solle die sach, wie Herr Prætor Regius solches Verlanget, Zuforderist per memoriale and ie Herren Fünff Zehen, und von dar weiter an behöriges Ort Gebracht, Auch das Begehren wegen Mathis Dachßen Hauß Zur Waschereÿ und Geflügelhauß, welches noch 243. lb. 18. ß bawkösten, solches in den standt, wie er Herr Maréchal Verlangt Zusetzen, erfordern wird, mit eingeruckt werden. Quod fact.
(f° 33-v) Dienstags den 6.ten Ejusdem [Aprilis 1728] Monsgn. Le Marechal Du Bourg betr. – Herr Mollinger der Statt Lohner, berichtet Mghhn. daß Herr Marechal Dubourg sich erkläret hätte, wann der lincke flügel an Seinem bewohnenden Statt hauß, nach dem vorgelegten Riß, solte gebawen werden, so wäre Er willens, das Hauß, allwo ein wasch: und Geflügelhauß hätte sollen bereitet werden, Zu Abandoniren, es hätte Zwar Ihre Exc: Herr Pr: Regius Von Klinglin und Herr Stättmeister Wormser Ihme beditten, daß von seithen der Statt resoluirt worden, 8000 Livres Jährlichen hier Zu Zu employiren, in Seiner gegen wart Ihme Herr Marechal auch alles nötige remonstrirt und denselben umb einige beÿhülff angesucht, graber wegen unmöglichkeit von frembden nicht geschehen Kan, derowegen Erkant worden, daß Herr Lohner die anstalten Verfügen solle damit mit dem verlangten baw der anfang möchte gemacht werden.
(f° ) Dienstags den 6. Ejusd. [Julÿ 1728] Herrn Marechal Dubourg betr. – Herr Lic.t Mollinger der Statt Lohner, Zeigt Mghhn. an, welchergestalten Herr Marechal Dubourg gesinnet ist, die bißherige waschereÿ von Ihrem Ord. ort abzuschaffen, wie Er dann Zu solchem ende die dem Stifft Allerheiligen gehörige behaußung, welche Herr Von Andlaw, als Præbendarius Zugenießen hat, gelehnt, und anietzo verlangt, daß der bauchkeßel von dem alten ort in diese behaußung gebracht, alda eingemaurt, in dem Garthen, hängen vor die wäschen aufgericht: und in den äusern Stattgraben ein waschpritsch gemacht werden solle. Erk. soll Herr Prætori Regio dießes begehren durch Herrn Mollinger communicirt und deßen antwort wieder berichtet werden.
(f° 101-v) Dienstags den 19.ten Ejusd. [Octobris 1728]. M.r Le Marechal Du Bourg wegen bawens – Herr Frantz Rudolph Mollinger der Statt Lohner proponirte, welchergestalten Herr Mareschal Dubourg an Ihne verlangt, daß Er die vier fenster ane Seinem Schlaff zimmer und Cabinet gegen dem Garth. Zu, solte Hienweg, und dagegen in das newe gebäw machen laßen, ane statt deren aber newe fenster mit läden versehen, davon die fenster Rahmen sampt den Läden, welche mit Espagnolets müßen versehen sollen, auf 350. fl. Zustehen Kommen, machen auch wann solches geschehen sein wird, oben an den fenstern auch also Continuiren. Erk. Sollen die untere fenster verlangter masen gemacht, mit den obern aber eingehalten werden in dem Zu dießen Vorhaben Viel Zeit erfordert wird.

1728, Protocole des Quinze (registre 2 R 134, notes du greffier 2 R 133)
La proposition d’acquérir la maison de Mathias Dax est soumise au collège des Quinze. Le Maréchal du Bourg a commencé ses travaux par l’aile gauche le long de la rue des Lods-et-ventes. Il souhaite maintenant construire une aile droite en achetant la maison du tisserand Mathias Dax pour y établir une buanderie et un poulailler. Comme le devis établi par le chef des travaux dépasse 500 livres, la demande est transmise aux Vingt-et-Un qui répondent par un état des finances en proposant une somme maximale de 4 000 florins.

Mgr Le Mareschal Du Bourg pt° Newen Gebäus und erkauffung Mathis Dachßen behaußung
(Notes p. 61) Sambst. den 27. Martÿ. Oberbaw H. ppon. Lect. mem. deroselben undt der H. dreÿ des dth. pt° erbawung deß Statthaußes in der blaw wolckengaß, worinn Herr Maâl Du Bourg Wohnt, undt erkauffung eines leinenwebers haußes darzu in der schültzgaß. Erk. ahne herren Räth XXI. Verwießen.

(p. 124) Sambstag d. 27. Martÿ 1728. Mgr Le Mareschal Du Bourg pt° Newen Gebäus und erkauffung Mathis Dachßen behaußung – Herr Secretarius Kleinclaus proponirt, Es hätten die hochverordnete Oberbawherrn undt Hrn dreÿ des Pfenningthurns ohnlängst ein Memoriale mit zweÿen beÿlagen Sub Lit. A. et B. Zu Mgh. protocoll liefferen laßen, dahin gehendt, Es habe Monsieur Le Mareschal Du Bourg denenselben ohnlängst bedütten, was maßen er gern sehete, daß das forder Gebaw in dem Statt hauß so er bewohne, beneben Zweÿen Flügeln Zur rechten und Linckhen, in dem hoff möchten gebawen, undt Zwahr für dieses Jahr mit Auffbaw, und Verfertigung es Lincken Flügels, auff seithen der Pfundt Zoller Gaß der anfang gemacht. Nicht weniger Mathis Dachßen des Leinenwebers Hauß in der Schilts gaß neben hochgedachtem Hrn Mareschals Garthen, an die Statt erhandelt, undt Ihme daraus ein Wasch: und Geflügel: hauß gemacht werden, Weßwegen Selbige nicht ermangelt so wohl einen Überschlag der baw Kösten, benebst dem Riß angeregten Lincken Flügels durch den Hn Stattlohner machen Zu laßen, als auch obgemelte Mathis Dachßen zu beschicken umb Von Ihme Zu Vernehmen ob das Hauß worinnen er wohne sein eigen seÿen Wie lang er es schon habe, wie hoch es Ihne Komme, und ob es Ihme nicht feÿl wäre ? damit Sie über alles an behörigen orthen umbständlichen bericht abstatten Könten. Belangend nun die baw Kösten mehrerwehnten Lincken Flügels so belauffen sich solche nach beÿgefügtem Unerschlag Sub Lit. A /:so ein Summarischer Entwurff Von H Mollinger dem Stattlohner:/ auff 4169. lb. d betreffend aber Mathis Dachsen, habe derselbe auff obige an Ihne gethane Fragen in antworth ertheilt, das hauß seÿe sein eigen, er habe es vor 6. Jahren umb 1500. fl. erkaufft, undt ob er schon annoch 1400. fl. darauff schuldig, hätte er dennoch solche reparationen darinnen machen laßen, daß er jährlich nebst seiner Freÿen wohnung annoch 100. fl. hauß Zinß darauß ziehen wäre Jhme dahero anderst nicht feÿl alß umb 2500. fl. Viel lieber aber wann er selbiges behalten Könte, zu welchem Hauß nach entgehendem Deuis sub Lit. B. /:so eben mäßig ein summarischer entwurff Von Hrn Mollinger Stattlohner:/ die bawkösten wegen der darinn Zu machen habender Änderungen auff 243. lb 18. ß d zu stehen Kommen Würden, Wenn aber dieße Kösten die jenige Summ worüber Sie, die hochverordnete Ober bawherren, nach anleÿtung dero Ordnung Zu sprechen haben weit übersteigen, Alß hätten Sie die Sach an Mgh. gelangen laßen denenselben anheim stellen, undt dero hocherleuchteten auß spruch darüber erwarthen wollen. Weilen nun die Ordnung Klahr dahien gehe daß wann die unkosten so zu ein dergleichen Gebäw erfordert werden, sich über 500. pfund d belauffen, die Sach Vor herrn Räth und XXI solle gebracht Werden, alß stehe zu Mgh. was Sie erkennen wollen. Erkannt Soll das gantze geschäfft ehistens Vor Herrn Räth undt XXI. gebracht. undt Zur Decision gestellet Werden.

(Notes p. 65) Mont. den 5.ten Aprilis. Die beede Herren XV. Meister, Deputation Von Gn. Herren den XIII. Herr Stätt.r Von Wormbßer, herr Amstr Gising undt Herr Advocat Scheffmacher Referiren, daß die die Ihnen ohnlängst communicirte sach Weg. der gebäw Von Mgr. le Maâl Du Bourg gnd. herren der XIII. communicirt und vorgetragen haben, Welche darüber resoluirt, daß durch sie ob Zwar sie allen respect alles thun Waß ihn satifaciren doch leÿd, d. d. ærarium publ. ô im standt, d. die baw Kösten, so ein große summ, bestreiten könten, u. sich auf 30 000 liv. belauffen, 1° d. man casernen bauen 2° freüdten feur, 3° H. von Landsperg rucken* d. man den liechtenberg. hoff, so Er Von hanaw in lehn. hat, ihme wider außraum. 4° Cantzleÿ u. H Maâl es geneigt (-)n habe ein schreiben von hoff communicirt, u. es in 3 jahr regulirt, allein es vier auff 6. oder mehr jahr Zu setz. allen dißes jahr anzufang. und er f* die H. Zu logiren, 5° M Maâl wir aparte conven.* mit H Str. begehrt: cons d. dießes jahr 8000 liv. von dißes jahr Zu offeriren u. H Str. von Wormbßer u. H Lohner commission auffgetragen, den riß ferner Zu examiniren, H Maâl wolte optiren wo anzufang. resolv. am linckel flügel aber ô so weit alß d. riß außweißt, so wolle ersparen waß er könte, d. hauß Were nicht vor jhne sondern Vor den König. H Str. bedenckt sich Vor die communication u. wie bts od. rfe.

(p. 137, notes p. 142) Sambstag den 10. Aprilis 1728. Herr Mareschal Du Bourg pt° Newen Gebäw – Herrn Fünffzehen Meister ließen durch Herrn Secret. Kleinclauß referiren, Es hette Mgh. die $ Deputation an Mghh. die XV.er abgeordnet, umb denenselben, Wieder Zu hinterbringen, Waß wegen derjenigen reparation und respectivé augmentation ane gebawen Hn Mgr le Mareschal Du Bourg von E. Löbl. Magistrat Verlangt, beÿ hochged. Gnädigen Herren der XIII.en gehandelt undt resoluirt worden, da dann den 5. hujus Herr Stettmeister Wormbßer, Herr Ammeister Giesing und herr Oswald Scheffmacher beÿ Ihnen, denen Fünff Zehen Meistern in dießer Stub angebracht, daß, nachdeme Sie dieße Ihnen letztverwichenen Mitwoch von seithen Mgh. communicirte Sach pleno Consensu Gn. Hrn denen XIII. referirt eine Deputation an hochged. Hrn Mareschal abgeordnet und Sie hochermelte dreÿ herrn darzu ernennet worden, umb dem Hh. Mareschal versuch* durch Sie beschehen, mit aller behutsam: undt bescheidenheit derentwegen Zu remonstriren, daß obwohlen E. Löbl. Magistrat den selben allen ersinnlichen respect und gefalligkeiten zu bezeugen, immerhien geneigt seÿe, dennoch das ærarium publicum nunmehro nicht im stand seÿe dieße von ihme Verlangte so große baw: und andere Kösten, Welche auf* eine sehr große Summe sich belauffen zu bestreiten, in deme 1° Gemeine statt nothwendigerweis Cazernen zu bawen habe, 2.do mann wircklich die anstalten machen müße zu einer nächst Jnnstehenden Festivitæt undt freüdten feür Wegen Ihrer Maÿestätt Künfftiger, Gott gebe glücklicher Niderkunfft, welches wieder ansehnlichen Spesen erforden werden. 3.tio daß Herr Von Landsperg würcklich auch eingekommen seÿe, undt begehre daß Ihme der Liechtenbergerische hoff, den er Von Hanaw Zu Lehen trage, Wieder eingeraumet oder Ihne der Werth davon bezahlet werden, umb von solches in ein ander Liegendes Guth Verwandlen, nachgehends seinem Lehen herrn aufftragen, undt Von Ihme wieder alß Lehen empfangen Zu können, Welchem nach denn Gemeine Statt sich mit Wohl Edel gedachtem Herr Von Landsperg werde abfinden, und wiederumb eine erglöckliche Summ werde erlegen müßen, Neben deme so wäre clar am tag Wie sehr das ærarium publicum erschöpfft seÿe, indeme E. Löbl. Magistrat nicht einmahl die Zue wieder Erbawung der abgebrandten Cancelleÿ erforderte unkosten, daraus bestreiten könte. Worauff hochged. Herr Mareschal geantwortet, solche reparationen wurden nicht Vor Ihne sondern Vor den König verlangt, Wie Er dann Ihnen, denen Herrn Deputirten, einen brieff Von Mgr Le Blanc Vom Januarÿ jüngst communicirt, woraus erhelle daß Von seithen des hoffs bereiths regulirt worden, daß dieses so Verlanget wird in Zeit dreÿ Jahren bewerckstelliget Werden solle. Im fall aber in sothaner Zeit nicht alles bestritten werden Könte, so wolle Er, herr Mareschal, über sich nehmen und daran* sein daß etwa die Zeit auff Sechß oder mehr Jahr außgestellet werde, allein müßte noch dießes Jahr, und Zwahr an dem Lincken Flügel der anfang gemacht Werden, damit wann Frembde Herrn Von Consideration anhero Kähmen, er dießelbe zu logiren im stand sein möge, undt nicht nöthig habe selbig in denen Würths Häußern Zu besuchen, Welches dem Hoff nicht anständig wäre. In deßen habe er Verlangt mit Herren Stettmeister Von Wormbßer allein Zu conferiren, mit Ihme auch mit zuziehung des Stattlohners den Abriß ferner zu examiniren Welches auch geschehen, undt habe Herr Mareschal sich endlichen erklähret, daß er bemeltes Linckhes Seithen Gebäw Vor dieses Jahr nicht so groß Wie in dem Riß enthalten Verlange, sondern nur biß an sein nunmahliges Geflügelhauß. Worauff hien Gnädige herrn die XIII. resuluirt undt Erkant hätten, daß Vor dieses Jahr hier Zu eine Summ von 8000. Liures gewidmet und ane ermeltem Linckhen Seithen Gebäw, auff der Statt Kosten Verbawet werden sollen, Welches alles ad referendum genomen undt Von Ihnen, denen hochverordenten herrn XV. Meistern, Ihme Hern Secretario communicirt worden es Mghh. ad notitiam wie hiemit geschehe, Zu bringen, undt Zu referiren. Erkannt, Inseratur protocollo.

1775, Préposés au bâtiment (VII 1416)
Le peintre Georges Saum est autorisé à réparer les montants de sa porte

(f° 248-v) Dienstags den 12. Septembris 1775. Georg Saum, der Mahler – Georg Saum, der Mahler bittet zu erlauben an deßen behausung ane der kleinen Schildt Gaß am Roß: Marckt gelegen die thür Pfösten repariren zu laßen. Erkannt, Willfahrt.

1789, Préposés au bâtiment (VII 1423)
Le peintre Georges Saum demande l’autorisation de poser une palissade en lattes devant sa maison qui est la dernière de la rue pour empêcher qu’on y dépose des ordures et des immondices. Il y est autorisé à titre précaire et devra supprimer la palissade si le Commandant en second décide de rouvrir la porte arrière qui donne dans son hôtel.

(f° 353-v) Dienstags den 3. Novembris 1789. Georg Saum, Mahler – Georg Saum, der Mahler, bittet ihme zu erlauben vornen an seine behausung, so das hinterste Haus in der kleinen Schilds Gaß am Roßmarckt ist, einen Latten Gatter über die Gaß auf seine Kösten und gegen Erlag eines ansetzenden jährlichen Zinses machen Zu laßen, weilen ihme alle Geröhr und Unrath vor das Haus geschüttet wird. Erkannt, Augenschein.
(f° 359) Dienstags den 10. Novembris 1789. Georg Saum, Mahler – Idem [SS. TT. Herr Rath von Oberkirch] referirte, daß Er mit Hrn Zirckelbach ein Augenschein an Georg Saum, des Mahlers behausung in der kleinen Schilts Gaß am Roß Marckt gelegen, welcher einen Latten Gatter vor dieselbe über die Gaßen machen laßen möchte, eingenommen, und befunden, daß da solche behausung das Gäßel schließt, als geschehe keinem Nachbar Schaden, es befinde sich aber eine dermahlen Zugemaurte thör aus dem hintern Hoff des Hôtel du Commandant en second in dem zumachenden Berzirck, daher solcher nicht vor immerwehrend dem Imploranten Zuerkannt werden könte, weilen sich fügen könte, daß man die thür wieder benutzen wolte.
Erkannt, Seÿe dem Imploranten Zwar bis auf anderwärtige Verordnung zu erlauben vor seine vorbemelte behausung ein Latten Gatter machen zu laßen, jedoch mit dem Beding, daß er schuldig seÿn solle, auf ersteres Ansuchen denselben wieder weg zu machen, in zwischen aber und solang er bleiben wird jährlich Zehen Schilling Zins abzurichten.

Description de la maison

  • 1740 (billet d’estimation traduit) La maison comprend au rez-de-chaussée un poêle, chambre, vestibule où se trouvent le fourneau et le chaudron à lessive, petit cabinet et petite cuisine, au premier étage un poêle, chambre, petite cuisine, vestibule et petit cabinet, petite cuisine pour l’officier, le grenier est couvert d’un vieux comble, le toit est couvert de tuiles simples, le tout estimé avec ses appartenances et dépendances à la somme de 1 000 florins
  • 1772 (billet d’estimation traduit) La maison comprend plusieurs poêles, chambres et cuisines, le comble est couvert de tuiles plates, il y a en outre une cave et un puits, le tout estimé avec ses appartenances et dépendances à la somme de 900 florins
  • 1791 (billet d’estimation traduit) La maison comprend six poêles, six cuisines et plusieurs chambres, le comble est couvert de tuiles plates, il y a en outre une cave solivée, le tout estimé avec ses appartenances et dépendances à la somme de 2 000 livres tournois
  • 1826 Devis

Atlas des alignements (cote 1197 W 37)

2° arrondissement ou Canton nord – Rue de Schiltigheim

nouveau N° / ancien N° : 27 / 14
veuve Wacqué
Rez de chaussée en maçonnerie et 2 étages mauvais en bois et avance
(Légende)

Cadastre

Cadastre napoléonien, registre 21 f° 124 case 1

Arnold, Chrétien Auguste, architecte à Strasbourg

N 457, maison, sol, R. Schiltigheim 14
Contenance : 1,90
Revenu total : 99,99 (99 et 0,99)
Ouvertures, portes cochères, charretières : 34
portes et fenêtres ordinaires :
fenêtres du 3° et au-dessus :

Cadastre napoléonien, registre 22 f° 661 case 2

Arnold, Chrétien Auguste Architecte rue du Jeu des enfants 20
1890/91 Kuhff Theobald Karl und 3 Miterben
1896/97 Melchior Albert, Schreiner – 1903 Melchior Albert, Schreiner, und Ehefr. Josefine geb. Andres in G.G
(ancien f° 409)

N 457, maison, sol, Rue de Schiltigheim 4
Contenance : 1,90
Revenu total : 99,99 (99 et 0,99)
Folio de provenance : (124)
Folio de destination : theilw. zerst.
Année d’entrée :
Année de sortie : 1871
Ouvertures, portes cochères, charretières :
portes et fenêtres ordinaires : 34
fenêtres du 3° et au-dessus :
1871, Diminutions – Arnold Chrétien f° 409, N 457, revenu 99

N 457, Haus
Revenu total : 61,99 (61 et 0,99)
Folio de provenance :
Folio de destination : berichtigung, theilw. zerst.
Année d’entrée : 1871
Année de sortie : 1875
1875, Augmentations – Arnold Christian August f° 409, N 457, maison, revenu 38, Berichtigung

N 457, maison
Revenu total : 99,99 (99 et 0,99)
Folio de provenance : rectif.
Folio de destination : Gb
Année d’entrée : 1875
Année de sortie :

Cadastre allemand, registre 32 p. 541 case 1

Parcelle, section 68, n° 33 – autrefois N 457
Canton : Schiltigheimergasse Ns. N° 4 – Rue de Schiltigheim
Désignation : Hf, Whs u. N.G. – sol, maison et bât. acc.
Contenance : 1,79
Revenu : 800 – 1500
Remarques :

(Propriétaires), compte 2919
Melchior Albert u. Ehefr.
1914 Hammer August u. Ehefr. geb. Richert / Hammer Jean Auguste veuve
1927 Ritzenthaler Martin employé et son épouse
(3406)

1789, Enquête préparatoire à l’Etat des habitants (cote VII 1295)

Canton 3, Rue 79 de Schillique

13 der durch Gang in die Krebs Gaß vom Hauß N° 15
(maison n°) 14
Loc. Studhammer Catherine Blanchisseuse de Bas – Manant
Loc. Sitter Martin journalier – Manant
Loc. Bauer Catherine Jardiniere – Manant
Loc. Modeste Jean Cocher – Manant
Loc. Moyau François garçon Chez Mr Levrault
Loc. Richartin Catherine Pauvre femme – Manant

1789, Etat des habitants (cote 5 R 26)

Canton III, Rue 79 de Schillique (p. 101)

(maison n°) 14
Lo. Studhammer Catherine Blanchisseuse – Manante
Lo. Sitter Martin Journalier – Manant
Lo. Bauer Catherine Jardiniere – Manante
Lo. Modeste Jean Cocher – Manant
Lo. Moyau François garçon chez Mr Levrault
Lo. Richartin Catherine femme – Manante

Annuaire de 1905

Verzeichnis sämtlicher Häuser von Strassburg und ihrer Bewohner, in alphabetischer Reihenfolge der Strassennamen (Répertoire de toutes les maisons de Strasbourg et de leurs habitants, par ordre alphabétique des rues)
Abréviations : 0, 1,2, etc. : rez de chaussée, 1, 2° étage – E, Eigentümer (propriétaire) – H. Hinterhaus (bâtiment arrière)

Schiltigheimergasse (Seite 148)

(Haus Nr.) 2
Büttner, Tagner. 0
Landolt, Wwe. 0
Vonhof, Dienstmann. 0
Barth, Tagnerin. 1
Melchior, Schreiner. E 1
Person, Tagner. 2
Büttner, Schreiber. 3
Richert, Tagner. 3
Schwab, Schuhmacher. 3

(Haus Nr.) 4 fehlt

Dossier de la Police du Bâtiment (cote 233 MW 2084)

Rue de Schiltigheim 4 (voir aussi P. rue de la Fonderie 4)

La maison appartient (1896) au menuisier Albert Melchior qui y a son atelier. Le ferblantier Joseph Stock pose une enseigne en 1896. La Commission contre les logements insalubres note à plusieurs reprises que les logements du rez-de-chaussée sont humides. Le bâtiment est raccordé aux canalisations en 1906. Albert Ritzenthaler qui habite rue du Vingt-deux-novembre acquiert la maison en 1924 et la loue à Mme Ringler qui y exploite un petit commerce d’épicerie.
Charles Gless de Hœnheim acquiert la maison en 1951. Il demande l’autorisation de la démolir. La Police du Bâtiment observe que la maison comprend deux parties, celle qui forme le coin de la petite rue de le Fonderie et de la rue de Schiltigheim est en assez bon état alors que celle à encorbellement dont l’entrée se fait par la rue de Schiltigheim devra être démolie. Le maire prend un arrêté de péril en décembre 1951. L’évacuation des logements tarde, ceux qui sont libérés sont à nouveau occupés. Le propriétaire demande en novembre 1954 l’avis de la Ville sur une éventuelle construction nouvelle sur son terrain. La Division VI déclare donner son accord en septembre 1955 puis en octobre 1956 pour reconstruire une maison à rez-de-chaussée et un étage en suivant le nouvel alignement. La Division VI recommande en février 1955 d’aménager le terrain en petite place pour améliorer la salubrité du quartier puis demande au préfet sursis à statuer étant donné que la rue fait partie d’un avant-projet d’aménagement. Le préfet décide en juin 1957 qu’il sera sursis à statuer puis rejette la demande en opposition du propriétaire. Le maire donne au propriétaire en février 1960 un délai pour étayer les murs qui menacent de s’écrouler.

Sommaire
  • 1883 – La Police du Bâtiment constate que la fosse d’aisance au 4, rue de Schiltigheim ne comporte pas le tuyau d’aération réglementaire (arrêté municipal du 4 novembre 1857), elle écrit au sieur Didot, demeurant 4, petite rue de la Fonderie.
    Charles Kuhff (domicilié 8, rue Ehrmann) répond que Didot est locataire principal, les héritiers de l’architecte Arnold étant propriétaires de la maison, et que l’inspecteur de la Ville Nebelung a convenu qu’un tuyau d’aération n’est pas adapté à la situation, ce qu’il confirme dans sa note au bas de la lettre. Le dossier est classé
  • 1887 – Le maire notifie la veuve Kuhff-Arnold (demeurant 20, rue du Jeu-des-Enfants) de faire ravaler les façades du 4, rue de Schiltigheim – Le bâtiment accessoire à simple rez-de-chaussée a été ravalé, octobre 1887. La Police du Bâtiment demande un ravalement du bâtiment principal
    1888 – La veuve Greiner (demeurant 20, rue du Jeu-des-Enfants) demande l’autorisation de réparer le crépi – Autorisation de réparer le crépi et de repeindre la maison Kuhff-Arnold sise 4, rue de Schiltigheim – Travaux terminés, mai 1888
  • 1889 – La Police du Bâtiment constate que la gouttière fuit – Elle a été réparée, mars 1899
  • 1894 – Le maire notifie Charlotte Kuhff (demeurant 2, quai Saint-Nicolas) de faire ravaler les façades du 4, rue de Schiltigheim – La veuve Kuhff demande d’ajourner les travaux étant donné que les propriétaires en indivision ont l’intention de vendre la maison – Travaux terminés, juin 1895
  • 1896 – Le ferblantier Joseph Stock demande l’autorisation de poser une enseigne – Autorisation – L’enseigne perpendiculaire est transformée en enseigne plate, un grappin à marchandises a été posé à 2,80 mètres
  • 1897 – Le maire notifie Albert Melchior (demeurant 2-4 rue de Schiltigheim) de faire ravaler les façades – Le propriétaire demande un délai en arguant que la maison a été repeinte récemment. La Police du Bâtiment accorde un délai – Travaux terminés (peinture à l’eau), septembre 1898
  • 1901 – La Police du Bâtiment constate que Pierre Clauss a posé sans autorisation une enseigne perpendiculaire. L’intéressé répond qu’elle a été posée par son prédécesseur Masson – Autorisation
  • 1903 – Procès verbal de visite de la maison
  • 1904 – Le maire notifie le menuisier Albert Melchior (demeurant sur place) de faire ravaler les façades du 4, rue de Schiltigheim – Travaux terminés, juin 1905
    1905 – L’entrepreneur en bâtiment Metzger (à Schiltigheim) demande l’autorisation de réparer le crépi du soubassement – Autorisation
  • 1912 – Le maire notifie le menuisier Albert Melchior (demeurant sur place) de faire ravaler les façades du 2, rue de Schiltigheim – L’intéressé qui déclare qu’il a 53 ans et qu’il a des difficultés à nourrir sa famille obtient un délai
    1913 – Le maire notifie la veuve Melchior (demeurant sur place 2-4 rue de Schiltigheim) de faire ravaler les façades du 4, rue de Schiltigheim
    1914 – L’entrepreneur Charles Müller (24, rue Sainte-Marguerite et 12, quai des Bateliers) est autorisé à réparer le crépi et à peindre les façades – Travaux terminés, juillet 1914
  • 1906 – L’installateur sanitaire Mœbs (7-9, rue des Aveugles) demande l’autorisation de poser des gravats sur la voie publique pendant les travaux de canalisation dans la maison sise 2, rue de Schiltigheim – Accord de la préfecture – Prolongation
  • 1912 – Un locataire du 5, rue de l’Ecrevisse signale que des champignons se développent sur le mur du 3, rue de l’Ecrevisse à cause d’ouvertures dans le mur du 4, rue de Schiltigheim – Les travaux ont déjà eu lieu quand la Police du Bâtiment se rend sur place
  • Commission contre les logements insalubres – Un rapport de 1898 constate que le locataire ne se plaint pas de l’humidité, il est satisfait de son logement auquel il a fait lui-même des améliorations. Liste de travaux que le propriétaire devra faire faire.
    Formulaire imprimé – La maison 4, rue de Schiltigheim et 2, petite rue de la Fonderie forme une seule propriété à simple rez-de-chaussée occupé par le propriétaire (le menuisier Melchior) et un locataire (l’ouvrier Büttner). La maison est tenue de façon négligée, elle est très humide, les eaux s’écoulent par une rigole
    1899 – La Commission rappelle au propriétaire les mesures à respecter (cubage d’air par habitant) et demande des travaux
    Formulaire imprimé (1902) – La Ville doit cimenter la rigole petite rue de la Fonderie, le propriétaire devra ensuite faire un soubassement en ciment. Les pièces du rez-de-chaussée sont très humides. Liste de travaux à faire. Tous sont faits en octobre 1903 sauf le chaulage de la cage d’escalier
    Nouvelle visite en novembre 1903, nouvelle liste de travaux – Idem, février 1905
    1907 – Les cabinets d’aisance sont raccordés aux canalisations. La maison est exposée aux enchères (novembre 1907, la veuve Melchior est à nouveau propriétaire (août 1908)
    1909 – E. Ungerer (1, rue Mœller) se plaint que sa pupille Sophie Barth-Lonchamp occupe un logement insalubre 4, rue de Schiltigheim
    1910 – Comme le propriétaire n’a pas fait tous les travaux, la Ville le menace de poursuites. Récapitulatif des travaux demandés depuis 1903 – Le propriétaire est cité à comparaître devant le tribunal en septembre 1910. Albert Melchior meurt entre temps
    1915 – Commission des logements militaires. Rien à signaler
  • 1924 – Albert Ritzenthaler (1, rue du Vingt-deux-novembre) signale à la Police du Bâtiment que le fils de Mme Ringler qui exploite un petit commerce d’épicerie au rez-de-chaussée couche dans le magasin avec son amie – La Police du Bâtiment se rend sur place sans constater d’anomalie
    1924 – Plainte d’un locataire que la Police du Bâtiment estime injustifiée
    1925 – Un locataire du deuxième étage se plaint d’être incommodé par la fumée provenant de la cheminée. Propriétaire, Ritzenthaler, rue de la Krutenau – La Police du Bâtiment constate que la plainte est fondée – La cheminée a été refaite, mars 1926
  • 1951 – Le gérant de la maison A. Cullmann (1, rue du Maréchal-Foch) demande l’autorisation d’occuper la voie publique pour réparer la maison
  • 1953 – Les pompiers interviennent pour accumulation de fumée dans une chambre. Le manchon défectueux a été réparé
  • 1951 – Charles Gless (43, route de Brumath à Hœnheim) déclare avoir acquis la maison par acte passé devant Me Offenstein à Strasbourg le 17 octobre 1951. Elle est en mauvais état, l’architecte estime qu’il y a lieu de craindre un effondrement pendant les travaux. Il est par ailleurs arrivé que des camions endommagent la maison qu’il demande à être autorisé de démolir. La Police du Bâtiment se rend sur place et rédige un rapport
    L’immeuble menace partiellement ruine. La maison en question peut être considérée en 2 parties. Le bloc formant coin de la petite rue de la Fonderie et de la rue de Schiltigheim paraît en assez bon état et pourrait être conservé. L’accès se fait par la p. r. d. la Fonderie.
    L’autre partie de l’immeuble accessible par la rue de Schiltigheim est vétuste à un tel point que la démolition devra être faire sans tarder. Une partie à encorbellement fait saillie dans la rue à partir du 1° étage.
    L’évacuation immédiate de cette partie incriminée menaçant de s’écrouler devra être ordonnée. Liste des occupants (3 locataires au rez-de-chaussée, 3 au premier étage, 4 au deuxième étage, un au troisième étage)

    1951 (décembre) – Le maire prend un arrêté de péril qui ordonne de démolir immédiatement la partie de l’immeuble accessible par le rue de Schiltigheim
    1952 (janvier) – Rapport de visite. Deux des locataires pourront rester sur place
    1954 (février) – Les locataires à évacuer sont inscrits sur la liste des familles à reloger dans les nouvelles constructions rue des Canonniers – Charles Gless s’engage à démolir le bâtiment dès que les locataires l’auront quitté – Liste des locataires, nouvelle adresse – La Ville constate que les logements évacués sont à nouveau occupés
    1954 (novembre) – Le propriétaire demande l’avis de la Ville sur une éventuelle construction nouvelle (garages) sur son terrain de 186 mètres carrés – Plan de situation
    1955 (février) Note de la Division VI à la Division V
    L’immeuble en question est situé d’une part dans l’alignement légal de la Petite rue de le Fonderie. Il se trouve d’autre part dans, respectivement dépasse de près de 0,30 m jusqu’à près de 1,00 m l’alignement de la rue de Schiltigheim, environ 12 m² tombant dans ladite rue.
    Pour des raisons de salubrité et d’hygiène, l’immeuble en question ne devrait plus être reconstruit à son ancien emplacement. Le terrain pourrait être aménagé en placette publique, ce qui contribuerait dans une certaine mesure à l’amélioration de l’aération et de l’éclairage de l’îlot de construction en partie insalubre
    La I° Division devrait acquérir le terrain en question en vue de son aménagement en placette publique.

    1955 (mars) – Charles Gless déclare être sans travail et sans ressources
    1955 (septembre) – La Division VI déclare donner son accord pour reconstruire une maison à rez-de-chaussée et un étage en suivant le nouvel alignement – Plan de situation
    1956 (avril) – Les locaux sont occupés par quatre familles dont le fleuriste Waldmann au rez-de-chaussée
  • 1956 – Charles Gless dépose une demande de permis de construire, parcelle 33 de la section 68 – Plan de situation – Dessins de l’architecte André Hartmann (18, rue Neuve à Hœnheim), Agrandissement de 2 logements petite rue de la Fonderie. Construction de garages au r. d. c. & d’un logement au 1° étage rue de Schiltigheim
    1956 (octobre) – Le Maire donne son accord au projet de construction à condition que la rue de Schiltigheim ait 7 mètres de large et que la partie subsistante soit remise en état
    1956 (novembre) – Note de la division VI
    L’immeuble à transformer tombe dans l’emprise de l’avant-projet d’aménagement établi en conformité avec la circulaire du 24 janvier 1956 relative à l’aménagement des îlots urbains défectueux. D’après la teneur de cet avant-projet qui n’est pas encore approuvé par les autorités compétentes, les immeubles 2, petite rue de le Fonderie et 4, rue de Schiltigheim appartenant à M. Gless devront être démolis. Pour cette raison, il y a lieu de demander à la Préfecture un sursis à statuer sur la demande de construction présentée jusqu’au moment de l’établissement du plan d’aménagement définitif de ce quartier.
    1956 (novembre) – Le propriétaire demande une prime à la construction – Plan de situation
    1957 (juin) – Le préfet décide qu’il sera sursis à statuer
    1957 (juillet) – Charles Gless fait opposition à cet arrêté en arguant que la réponse à sa demande a largement dépassé les délais légaux et que le projet a été approuvé par la Ville et le M.R.L. avant qu’il ne s’adresse à un architecte
    1957 (août) – Le préfet rejette la demande en opposition
    1957 (novembre) – Le maire écrit à l’inspecteur départemental de l’Urbanisme et de l’Habitation en présentant deux variantes du projet concernant l’îlot entre la rue de l’Ecrevisse et la rue de la Fonderie et en abordant le cas Gless – Dossier classé, septembre 1959 – Plan de l’avant-projet
  • 1959 (décembre) – L’inspecteur de la salubrité constate que les façades arrière et latérale du 4, rue de Schiltigheim sont détériorées à tel point qu’il y a lieu de craindre un écroulement
    1960 (janvier) – Le maire notifie le propriétaire de prendre immédiatement des mesures (consolidation, réfection)
    1960 (février) – Le maire donne au propriétaire un nouveau délai d’un mois pour faire les travaux – Travaux terminés, mars

Relevé d’actes

La maison appartient au précepteur Siméon Süss. Fils du pasteur de Goxwiller, il épouse en 1626 Anne Madeleine Breitenacker, fille du receveur de l’église de Bischoffsheim à la Haute-Montée (Bade, Rheinbischofsheim)

1626, Proclamation, Saint-Nicolas (luth. n° 23)
1626. Domin. XI. Trinit. I. Vice. Mag. Simon Süess, Herren Mad. Valentini Süeßen Pfarrherrn Zu Goxweiler ehelicher Sohn, Vndt Jungfr. Anna Magdalena, Herrn Philipps Breitenackers Kirchenschaffners Zu Bischoffsheim Zum Hohensteg eheliche tochter. – Kirchgang Zu Bischoffsheim Zum Hohensteg (i 159)

Lors du partage des biens entre ses quatre enfants, la maison rue de Schiltigheim revient à la fille Anne Ursule Süss femme du notaire Jean Frédéric Medler

1655 (17. Xbr), Me Oesinger (David, 37 Not 13) n° 20
G. Theilbuch darinnen Waß Weÿland Fr. Annæ Ursulæ, Fr. Annæ Magdalenæ Süeßin, H Johann Valentin vndt H Johann Philippß Süeßen, In Vertheillung Ihres Verstorbenen H Vatters M. Simeonis Süeßen, Præceptoris Classici und burgers alhie Zue Straßburg selig. Hinderlaßener Ligender Güether, Häußer und etlich schlechter Schulden Zu theil word. Zu befinden. Anno 1655
Zuwißen daß auff und.bemeldtes datum Weÿl. H. M. Simeonis Süeßen, Præceptoris Classici und burgers alhie selig. nachgelaßener Erben, benantlich Fr. Anna Ursula Süeßin H. Joh: Friderich Medlters Notarÿ Publici eheliche haußfr, mit beÿstand deßelben, H Daniel Dietrich der Goldtschmid vnd burger alhie als geschworner Vogt Johann Valendtin Süeßen der ledig. Knöpffmachers so in der frembden, H Johann Philipps Süeß Philosophiæ studiosus für sich selbsten, vnd dann Fr. Anna Magdalena Süeßin, H Joh: Friderich Kauffmanns burgers alhie eheliche haußfr. beneben ihrem lieben haußwürth sambt beÿ einander erschienen vnd zusammen Kommen seindt, In willen und meinung eine freündliche Separation und Abtheill. der hernach beschriebene, von obeherngemeltem Ihrem respectivé geliebt. H. Vatters vnd Schwäher selig. anererbten Häußer und ligend. Güether halben

Eigenthumb ane Haüßern. (E.) It. hauß v. hoffstatt, sambt all. and.n ihren gebäwen geg. d. Gerber Zunfft stub. über (…)
(F.) It. 2. häußer neb. einand., sambt hoff hoffstatt, höfflin, v. I. lähren plätzlin, auch all. and.ern ihren gebäwen, begriffen, weith. recht. Zugehördt. v. gerechtigkeit., geleg. in d. Statt Straßb. in d. Schiltz Gaß. 1. s. etwan neben J. Philipps von Hornbergs, Jetz und aber H. Obrist. von Schmidburgs Gart. 2. s. zwisch. einem gemeinen brunnen, hind. Zum theil auff Zebedeum Müllern d. Mahler od. deßen Erben v. Zum theil vf. H. Commerells Speicher stoßend, so freÿ ledig eig. v. hiehero angeschlag. p. 200. lb. Vermög j. Perg. brieffs mit d. Statt Straßb. Contract Insigel verwahrt, deß. datum d. 3. Junÿ A° 1636 bezeichnet mit alt. n° 1. vnd darbeÿ gelaß. (hat H. Medler den brieff)
(G.) It. hauß, hoff, hoffstatt, höfflin, v. hind. hauß sambt d. Gerechtigkeit eines gemeinen bronnens, auch all. and.en ihren gebäwen, begriffen, weith. recht. Zugehörd. v. gerechtigkeiten, so Zur Kuglen genant, geleg. alhier in der Statt Straßb. Jenseit des Pfenningthurns, neb. d. Adenlich. Zunfftstub. Zum hoh. steg ein: vnd anders. neb. Geörg Hellern d. Amlungmacher etwan, Jetzund Hans Schleÿffenheimer d. Käuffler, hind. vff Michel Arnoldt d. Kürcner stoßend, so freÿ ledig eig. v. hiehero angeschlagen für 700 lb. Laut j. Teutsch. Perg. brieffs mit d. Statt Straßb Contract Insigel verwahrt, de dato 15. Janu: A° 1627. besagt wie fr. Susanna Scheidin, mit beÿstandt H Philipps Breittenackers ihres haußwürths vorstehende behauß. von H. Hannß Philipps Scheid. an sich erkhaufft. Dabeÿ noch j. Cession v. vbergab, meldet wie d. verstorbene H. M. Süeß selig solche behauß. von Fr. Anna Maria Breittenackherin seiner geschweÿh. Kkäufflich an sich gebracht, datirt d. 22. 9.bris A° 1634. wie auch sonst noch allerhand brieffliche Documenten vnd abgelößte Zinß verschreibung. gebund. zu befinden, alles Sign. mit alt. n° 1 vnd darbeÿ gelaß.
NB. Hiebeÿ Ist verglich. word. d. die Jenige so beÿ dießer vertheillung herauß zugeb. hab. Jährlich auff weÿhenacht. neb. dem Zünß auch 5. lb d Zielgelt zugeb. schuldig sein auch wann eine oder die andere behaußung verkaufft werd. solte, die andere Geschwistrige d. vorkauff vor andern frembd. haben Jedoch d. Er soviel als ein frembd. geben solle.
(H.) Frücht Gült (…)
Vergleich: vnd Vertheillung der Häußer. Die häußer wie auch die 5. frtl. auß der Mühl Zue Härlißh. fallender Gülten Zusambt d. Thalheimer Zehen. seind sammethafft durch die Erben selbsten, vnd d. H. Vogt angeschlag. und gewürdiget word. für vnd vmb 1375. lb, Macht daran ¼. Nemblich 343. lb 15. ß
Solch.nach seind selbige mit Lit. E. F. G. et H. Verlooßt, Vertheilt vnd darneben mit aller Interessenten belieblich. consens verglich. vnd verabschiedet word. d. die Jenige, so beÿ dißer Theillg. herauß Zugeben haben, Jährlich. auff Weÿhenachten, vnd in d. nechst kommend. 1656. Jahr Zum Erstenmal neben d. Zünß auch 25. lb d Zielgelt zu geben schuldig sein, auch wann eine, oder die andere behaußung Verkhaufft werd. solten die übrige Geschwistrige d. Vorkhauff wie andern frembd. hab. Jedoch aber auch sovil alß andere darfür geben solle,
Ist also mit dem Zedul E. H. Hannß Philipßen durch das Looß zugefallen. Hauß und hoffstatt & 400 lb (…)
Ist also mit d. Zedul F. fr. Annæ Ursulæ durchs looß Zugefallen, Zweÿ häußer & 200 lb (…)
Ist also mit d. Zedul G. fr. annæ Magdalenæ durchs looß Zugefallen, Ein Hauß hoff & 700 lb
Ist also mit d. Zedul H. H. Johann Valentin durchs looß Zugefallen, Fünff frtl. Moltzergült & 75

Anne Ursule, femme de Jean Frédéric Madler, vend 212 livres la maison au culottier Jean Nicolas Schreiber assisté de son père Pierre Schreiber de Hœnheim

1674 (3. 10.br), Chambre des Contrats, vol. 543 f° 694
Fraw Anna Ursula herrn Johann Friderich Medlers, Notarÿ eheliche haußfrau, mit beÿstand erstgedachts ihres Ehevogts
in gegensein hannß Niclaus Schreibers deß hoßenstrickhers mit beÿstand Peter Schreibers Von Höhnheim beÿ bischen seines eheleiblichen Vatters
Zweÿ häüßer neben einander sambt hoff, hoffstatt, höfflein und einem Lähren Plätzlein auch allen übrigen deren Gebawen, begriffen, weithen, zugehördten, recht. und Gerechtigkeiten alhier in der Schiltsgaßen, einseit neben herren Jacob Zollern Amptschaffnern in der Wantzenaw, anderseit neben einem gemeinen brunnen, hinden uff hannß Adam Rothen deß Werckhmaÿsters uff dem Maurhoff nunmehr seel. nachgelaßene Wittib und Erben Zum theil und theils uff herren Johann Kummerells E.E. Großen Raths alten beÿsitzers Speicher stoßend gelegen – geschehen umb 212. lb

Un mois auparavant, Jean Nicolas Schreiber natif de Sarrewerden et Marie Hiro native de Nordheim, tous deux manants à Hœnheim, font dresser un état de leurs biens dans la maison du culottier Balthasar Hatt au Finckwiller à côté de la maison à l’Eléphant
1674 (20. 9.bris), Me Schübler (Christophe, 55 Not 28) n° 33 (1592)
Inventarium undt Beschreibung der jenig. Haab undt Nahrung, so der Ehrsam und bescheÿdene Hannß Niclauß Schreiber, hoßenstrickher vonn Sarwerten gebürtig, und die tugendsame Maria Schreiberin gebohrne hiro von Northeim gebürtig, beede Eheleuth und Schirms Verwanthe Zu hönheim anjetzo eÿgenthümblichen haben und besitzen, welche der vrsachen, dieweilen Sie beede Eheleuth fürhabens beÿ allhieiger Statt Straßburg sich burgerlich. einzulaßen, inventirt – Actul den 30. 9.bris A° 1674
In einer alhie in d. Statt Straßburg neb. dem Elephant. gelegenen von H. Balthasar Hatten dem hoßenstrickern allhie lehensweiß bewohnend. behaußung ist befunden worden wie volgt
Abzug In dießen Inventarium, Sa. haußraths 141, Sa. Früchten undt Meels, 9, Sa. Woll, Wahren und Werckzeugs zum hosenstrickh. handwerck gehörig 22, Sa. Silbergeschmeidts 4, Sa. Guldener Ring 2, Sa. baarschafft 115, Sa. d. Schulden in die Nahrung Zugeltend 43, Summa summarum 337 lb – Schulden 34 lb, Nach deren Abzug Conclusio finalis Inventarÿ 303 lb

Nicolas Schreiber de Hœnheim et Marie Hiro deviennent bourgeois en octobre 1674 en apportant un enfant
1674, 3° Livre de bourgeoisie, p. 992
Hannß Niclaus Schreiber der hosenstricker von hönheim erkauffet das burger Recht erkaufft das burger Recht [bis, sic] für sich vnd seine haußfr Mariam Hÿro pro 20. goltR. welche auff dem Pfenningthurn erlegt worden seindt, bringen Ein Kindt mit sich nammens hanß Peter, will Zu denen Tuchern dienen. Jur. den 16. 10.br. 1674.

Jean Nicolas Schreiber passe un accord avec son voisin tisserand Ulrich Haure, propriétaire d’une maison rue de l’Ecrevisse (III 287 au plan Blondel), au sujet d’un chenal qui assure l’écoulement des eaux de leurs toits. Le chenal en bois qui repose sur le mur d’Ulrich Haure étant pourri, Jean Nicolas Schreiber rehaussera son mur d’un pied et demi pour qu’il ait la même hauteur que celui de son voisin, tous deux y établiront un chenal commun

1692 (7.8.), Chambre des Contrats, vol. 564 f° 538-v
Johann Niclaus Schreiber, der Hosenstricker an einem,
So dann Ulrich Hauer der Leinenweber am andern theil
haben angezeigt und bekandt, demnach Sie beede Zweÿ in der Schilds gaß neben einander gelegene haüßer besitzen, und aber Er Haure mit einigen andern Nachbarn sich verglich. daß Er übernommen, d. ablauffende waßer von bronnen und tach trauffen auß der Krebsgaß, und durch seine behausung in die Schildsgaß leiten zu laß. und solches alß eine beständige servitutem fluminis zu leid., welches under andern auch Sein Schreibers behaußung zu statten und guten kommen, alß habe Er Schreiber dar geg. Ihne Haure die hernach beschriebene Gutthat wid.fahren laßen und sie sich mit einand. verglich., Nemblich Es hat biß dahero Haure einen hültzern Nach an seinem tach gehabt, Er Schreiber aber einen absonderlich. auff seiner Maur liegend. steinern Nach, durch d. waßer von Tach beed. seits abgefloßen, Weil aber deß Haure Nach faul, alß hat Er Schreiber Ihme vergönnet seinen hültzern Nach wegzuthun, dargegen sein Schreibers Maur etwan 1 ½ schuh zu erhöhen damit solche seiner eÿgenen Maur gleich werde, alß dann dem Steinen Nach auff beede Mauren In gleich in der Mitte zuleg., dergestalt. d. d. trauff von beed. tächern in solchem steinern Nach allein fallet, alles und iedes auff sein Costen, doch soll Schreiber was deßweg. an seinem tach zu endern selbst bezahlen, Und soll d. also künfftig gelegte Nach gemein sein und in gemeinen Costen erhalten werd.

Le revendeur Jean Nicolas Schreiber hypothèque sa maison au profit du pâtissier mineur Jean Georges Lang pour lequel agit son tuteur le boutonnier Jean Daniel Lang

1700 (26. 9.br), Chambre des Contrats, vol. 573 f° 598
Johann Niclaus Schreiber der Kremp
in gegensein Johann Daniel Langen, des Knöpffmachers alß Vogts Johann Georg Langen, des ledigen Pastetenbecks, schuldig seÿe 100 pfund
unterpfand, Eine behaußung, so vor diesem zweÿ Haüßer gewesen, sampt Hoff, Hoffstatt Höfflein Und einem lähren Plätzlein, auch allen übrigen deren Gebaüen, begriffen, Weithen, Zugehördten, Rechten Und Gerechtigkeiten allhier in der Schilts Gaßen, am Roßmarckt einseit neben denen Zollerischen Erben, anderseit neben einem gemeinen Bronnen, hind. auff Hn Pancratium Ignatium Romhardt Pfarrherrn zu Wilvisheim zum theil, theils auff Hn Johann Georg aßfalcken des Handelsmanns Eßig hauß stoßend gelegen

Jean Nicolas Schreiber se remarie en 1705 avec Marie Elisabeth Friess veuve du tailleur Jean Georges Koch
Mariage, Saint-Pierre-le-Jeune (luth. f° 126-v)
1705. Dominica Reminiscere proclamati sunt Zum I. und II. mal H. Johann Nicolaus Schreiber der fastenspeiß händler und Burger allhier, Und Fr. Maria Elisabeth, weÿl. Johann Georg Koch gewesenen Schneiders und Pörtners in allhiesigem mehrern Hospital nachgelaßene wittib. Copulati sunt Mittw. d. 11.t Martÿ [unterzeichnet] Johann Niclauß Schreiber als hochzeiter, Maria Elisabett Koschin allß hochzeitterin (i 133)

Marie Elisabeth Friess fait dresser l’inventaire de ses apports où figurent les présents de baptême de ses enfants Anne Catherine et Jean Geoffroi
1705 (19.5.), Me Schatz (Jean Frédéric, 51 Not 6)
Inventarium und beschreibung aller der Jenigen Haab Nahrung und Güther, so die Viel Ehren und Tugendsahme fraw Maria Elisabetha gebohrne Frisin Zu dem Ehren und vorgeachten H. Joh: Niclauß Schreibern Fastenspeiß händlern und burgern zu Straßburg Ihrem Zweÿten Ehemann als ohnverändert in die Ehe gebracht, welcje beede Eheleuth Crafft der beÿ Ihrer Verheürathung am 27.ten Febr: dießes lauffenden 1705.ten Jahrs Zwischen Ihnen vffgerichteten Eheberedung §° 5.to Ihro reservirt – Geschehen in beÿsein obgedachten H Joh: Niclauß Schreiber und Hrn Joh: Ernst Gößen Sohns deß Hoßenstrickers und unter stall bottens der frawen ohnentledigten Vogts und Herrn hanß Heinrich Füßels Schuhmachers deroselben Kunder Vogts, beeder burgere alhier in Straßburg Dienstag den 19.ten Maÿ 1705.

Der Kinder erstere Ehe Pfetter Göttel und Geschenckt gelt. 1. Jgf. Annæ Catharinæ, 2. Johann Gottfriedt
Calculus über Frawen Mariä Elisabethä gebohrner Kochin, hanß David Engelbrechers Meister Johann Jacob Engelbrechers deß Schloßers und burgers Zu Straßburg vätterliches Erb ratum
Norma hujus inventarii, 1. haußrath 180, 2. Silber geschirr und Geschmeid 15, 3. Guldener Ring 51, 4. baarschafft 162, Summa summarum 395. lb – Schulden 54 lb, Ubarbeer abzug welcher Passivor. 341. lb

Jean Nicolas Schreiber cède à sa femme Marie Elisabeth Friess la propriété de sa maison rue de Schiltigheim et de sa boutique au Temple Neuf

1706 (27.8), Chambre des Contrats, vol. 579 f° 622
(300) Johann Niclaus Schreiber fastenspeishändler u. frau Maria Elisabetha geb. frießin beÿständlich Joh. Heinrich fießels schuemachers ihrer KK. vogts des halben separationis bonorum nachfolgenden accord getroffen
1. übergibt u. cedirt in solutum Er Schreiner ihro seiner haußfrauen seine auf dem Rossmarckt in der Schildsgassen gelegene eÿgenthümliche behaußung cum appert: samt allen seinem haußrath (…),
2. solle der frauen auch der ahn der Prediger Kirch allhier gelegene laden samb allem darinnen befindlichen waaren offen schubladen und alle fournirung schiff und geschirr dergestalt überlaßen seÿn, daß sie daraus den jährlichen zinß abzurichten schuldig seÿn solle

Marie Elisabeth Friess vend la maison au cordonnier Chrétien Sutor

1707 (17.2.), Chambre des Contrats, vol. 580 f° 128-v
(650) Maria Elisabetha geb. frießin Joh: Niclaus Schreibers haußfr: beÿständlich deßelben
in gegensein Christian Sutor schuemachers
Hauß Hoff hoffstatt mit allen deren begriffen, weithen, zugehörden, rechten und Gerechtigkeiten + (+ allhier in der Schiltsgass einseit ist ein gässel anderseit neben einem Garthen hinten auf alßfalck stoßend) zusamt dem schiff und geschirr zuem seÿfensieden gehörig wie auch einem stoß holtz – um 400 pfund verhafftet, geschehen um 250 pfund

Chrétien Sutor et Susanne Catherine Spach d’une part, le tisserand en laine Jean Jacques Hæberlin et Marie Madeleine Schmidt échangent leurs maisons quelques semaines plus tard.

1707 (21.3.), Chambre des Contrats, vol. 580 f° 220
Tauschbrieff – Joh: Jacob Häberlin wollenweber u. Maria Magd. geb. Schmidtin einßen
und andren theils Christian Sutor schuemacher und Susanna Christine geb. Spachin
übergeben sie Häberlinische beede eheleuthe ihnen Sutorischen beeden eheleuthen Hauß Höfflein und dero hoffstätt mit allen deren gebaüen, rechten und zugehörden ahm Staden, einseit neben dem Bierhauß zuem vogelgesang anderseit neben Sebastian Gast dem weißbecken hinten auff besagter bierhauß stoßend – um 200, 100 und 50 pfund verhafftet
dahingegen so übergeben sie Sutorischen beede eheleuthe ihnen Häberlinischen beeden eheleuthen Hauß Hoff hoffstatt mit allen deren begriffen, weithen, zugehörden, rechten und Gerechtigkeiten allhier in der Schiltzgass einseit ist ein Gässel anderseit neben einem Garthen hinten auf Aßfalck stoßend zusambt dem schiff und geschir zuem seifensieden gehörig, wie auch einem stoß holtz – um 400, 175 und 25 beladen, (kein theil dem anderen) nichts ferners heraus zu geben solle

Le foulon réformé Jean Jacques Hæberlin épouse en secondes noces Marie Madeleine Schmidt, veuve du maître de langues Jean du Cloux
Mariage (Strasbourg-Wolfisheim, réformés, f° 121-v)
1704. den 4.ten Novembris seind eingesegnet worden herr Johann Jacob Häberlin der Walckmüller Wittwer, Fr. Maria Magdalena gebohrne Schmidtin weÿl. herrn Johannes du Cloux gewesenen Burgers und Sprachmeisters in Straßburg nachgel. wittib (i 132)

Le veuf Jean du Cloux épouse en 1691 Marie Madeleine Schmidt, veuve du manant Jacques Sibour
1691, Mariage (Strasbourg-Wolfisheim, réformés, f° 108)
1691. den 20.t dito [Novembris] seind eingesegnet worden herr Johannes du Cloux, Frantzösischer Sprachmeister in Straßburg Wittwer, Fr. Maria Magdalena Schmidtin, herrn Jacques Sibour gew. Schirms Verwanthen in Straßburg nachgel. wittib (i 117)

Drapier et foulon au moulin Herff, Jean Jacques Hæberlin fait dresser l’état de sa fortune pour accéder à la bourgeoisie. Il a eu deux enfants (Jean Jacques et Judith) de sa première femme Susanne Menoth
1705 (3.4.), Me Pantrion (Jacques Christophe, 40 Not 15)
Inventarium über Herrn Johann Jacob Häberlins, Thuchmachers und Walckers auff dem Herffischen Hoff, auch Schirmbs Verwanthen zu Straßburg der Zeit habende eigenthümliche Nahrung, auffgerichtet in Anno 1705. – auß Ursachen selbiger fürderlichst beÿ Vnserer Gn. Obrigkeit vmb das burgerrecht Anzuhalten Vorhabens inventirt – So beschehen theils in Straßburg theils außerhalb auff dem herffischen hoff, Freÿtags den 3.ten Aprilis 1705.
Series rubricarum, Sa. Haußraths 84, Sa. der Wein vnd vaß 461, Sa. der Werckz. Schiff und geschirrs Zum Thuchmachen gehörig 6, Sa. der Woll und wahren Zum thuchmach. gehörig 398, Sa. Silbers 43, Sa. guldenen Ring 18, Sa. baarschafft 58, Summa summarum 1072 – Nach abzug der Passiv Schulden 561 lb
Schulden auß dem Erbe Zuebezahlend. Erstlich soll mann Joseph Jacob und Judith Häberlinin des Manns mit weÿland frauen Susanna häberlinin gebohrner Menotin seiner ersten haußfr. see. ehelich erzeügter Kindern Mütterlich Guth 360, Item H Wigand Lerchen von Waßlenheim, ietzmahlen Schirms Verwanthen allhier, 150 lb

Susanne Menoth est morte d’apoplexie en août 1704
Sépulture (Strasbourg-Wolfisheim, réformés, f° 40-v)
Fr. Susanna gebohrne Menotin, Johann Jacob Häberlins des Walckmüllers ehel. haußfr. starb an einem Schlagfluß und Felck: Fieber den 14.ten Augusti 1704. Abends Zwischen 9 und 10 Uhren (i 48)

Marie Madeleine Schmitt fait dresser l’inventaire de ses apports dans la maison de Joachim Haubenstricker rue de la Lie
1704 (27. 9.br, Me Pantrion (Jacques Christophe, 40 Not 14)
Inventarium und beschreibung aller Haab und Nahrung, so die Ehren: und tugendsahme fraw Maria Magdalena Häberlinin gebohrne Schmidin, zu dem Ehrenhafften H. Johann Jacob Häberlin, Wollenwebern und ietzmahlig. Walckern auff dem so genandten Herffisch. Hoff außerhalb der Statt Straßburg geleg. ihrem ietzig. lieben haußwürth, Crafft ihrer mit einander auffgerichteter Eheberedung alß ein unverändert Guth in den Ehestand Zugebracht, welche auff deroselben freundliches ansuchen, Erfordern und begehren, inn beÿsein erstgemelts ihres Ehevogts vnd hrrn Johann Georg Deüchers Vornehme handelßmanns vnd burgers alhier ihres hiebevor geweßenen Geschwornen vnd noch ohnentledigten Curatoris inventirt – Actum Straßburg Donnerstags den 27° Novembris Anno 1704.
Inn einer alhier Zu Straßburg Im trußen Gäßlein gelegener H. Joachim Haubenstrickern Zuständiger behaußung, ist befunden word. wie volgt
In der Stub Cammer
Series hujus Inventarii, Sa. Haußraths 184, Sa. Silber 8, Sa. guldenen Ring 26, Sa. baarschafft 26, Sa. Schulden 28, Summa summarum 273 – Schulden 20, Nach deren Abzug 253 lb

Jean Jacques Hæberlin hypothèque la maison au profit des enfants du Cloux

1707 (23. Xbr.), Chambre des Contrats, vol. 580 f° 781
Joh. Jacob Häberlin wollenweber ([barré] u. Maria Magd: geb. Schmidin beÿständlich Joh. Niclaus)
in gegensein Abraham fickeißens wollenwebers alß vogts Du Clouxischer KK: – schuldig seÿen 100 pfund
unterpfand, seine behaußung allhier auf dem Rossmarckt in der Schildsgass einseit neben neben dem zweÿbruckischen Garten anderseit ist ein gäßlein

Jean Jacques Hæberlin meurt en décembre 1711. Son inventaire après décès n’est pas conservé

1712, Me Pantrion (Jacques Christophe, répert. 65 Not 45)
Inv: über weÿl. H. Joh: Jacob Heberle gew: tuchmach: alh: Verl:

Sépulture (Strasbourg-Wolfisheim, réformés, f° 28)
Johann Jacob Häberlin Burg. und tuchmacher in Straßburg starb Donnerstag den 31.t 10.bris 1711. abends Gegen 11 Uhren, begraben den 3.t Januarÿ 1712 auff St. Gallen (i 32)

La veuve et les héritiers de Jean Jacques Hæberlin vendent la maison 675 livres au tisserand en laine Philippe Régnard Bassecour et à sa femme Anne Meyer

1712, ut ante (8.3.), Chambre des Contrats, vol. 585 f° 198
(675) Maria Magd: Häberlinin wittib geb. Schmidtin beÿständlich Joh: Philipp Knecht handelsmann ihres vogts, Item Abraham Häberlin welcker, Item Joseph Häberlin der ledige wollenweber, Item Joh: Jacob Häberlin auch wollenweber (der Wb. zeichen MMH)
in gegensein Philipp Reinhardt Bassecourt wollenwebers und Anna geb. Meÿerin
hauß hoff hoffstatt mit allen begriffen, weithen, zugehörden, rechten und Gerechtigkeiten in der Schiltsgass, einseit ist ein gässel anderseit neben einem garten hinten auf aßfalck – um 400 pfund verhafftet, geschehen um 275 pfund

Natif de Bouxwiller, le veuf Philippe Régnard Bassecour épouse Anne Meyer, veuve de Zurich
Mariage (Strasbourg-Wolfisheim, réformés, f° 111-b)
1695. d. 3.ten Julÿ seind eingesegnet word. Philipps Rheinhard Bassecourt Schirms V.wanther v. Wollenweber in Straßburg von Buchsweiler gebürtig wittwer, Fr. Anna Meÿerin, Johann Heinrich Wolffen s. von Zürich nachgel. wittib (i 121)

Réformé devenu bourgeois quelque temps auparavant, il meurt en 1715
Sépulture (Strasbourg-Wolfisheim, réformés, f° 38)
Philipp Reinhard Bassecourt Burger und Wollspinner in Straßburg sonst von Buchsweiler, starb gantz sanfft donnerstag den 7.t Martÿ 1715 morgens umb 4. Uhren, hinterließ 2. Söhn, begraben auff St: Gallen den 9. dito. (i 43)

Philippe Régnard Bassecour et Anne Meyer revendent cinq mois plus tard la maison au maître maçon Jean Philippe Biber et à sa femme Catherine Salomé Meisenbach

1712, ut ante (29.7.), Chambre des Contrats, vol. 585 f° 527-v
(650) Peter Reinhardt Bassecourt wullenweber und Anna geb. Meÿrin
in gegensein Joh: Philipp Biber maurers u. steinhauers und Cath: Salome geb. Meÿßenbachin
hauß hoff hoffstatt mit allen deren begriffen, weithen, zugehörden, rechten und Gerechtigkeiten in der Schildsgass, einseit ist ein gässel anderseit neben einem Garten hinten auf aßfalck – um 250 pfund verhafftet, geschehen um 400 pfund

Jean Philippe Biber le jeune loue une partie de sa maison au tisserand Thomas Holtzhau

1713 (14.9.), Chambre des Contrats, vol. 586 f° 522
Johann Philipp Biber der Jünger Maurer
in gegensein Thomas Holtzheü leinenwebers
in sein Bibers allhier in der Schilds gaß am roßmarckt liegenden wohnhauß nachfolgende gemach und gelegenheiten Nemblich und auff dem bod. eine stueb und Cammer so aber zur Werckstatt anjetzo gebracht wird so dann im dritten stock zwo Cammern ahn einander, alles auff 5 jahr lang anfangend auff Michaelis 1713 – um einen jährlichen Zinß nemlich 12 pfund

Catherine Salomé Meisenbach loue une partie de sa maison au tisserand Mathias Dax

1716 (20.7.), Chambre des Contrats, vol. 589 f° 408
Cath: Salome Biberin geb. Meißenbachin beÿständlich H. Joh: Jacob Schreiber ihres Curatoris
in gegensein Mathias Dachs Webers
entlehnt, in ihrem hauß in der Schildtsgass eine stueb Kuchen werckstatt und Cammer, auf 3 jahr lang anfangend auf Mich: 1716 um einen jährlichen Zinß nemlich 12 lb

Catherine Salomé Meisenbach que son mari a quitté meurt sans enfant en 1719 en délaissant pour héritière sa mère. Lors de l’inventaire, la valeur de la maison, 700 livres, est reprise d’une estimation dressée en 1714
L’héritière vend la maison 700 livres au tisserand Mathias Dax, le locataire

1719 (28.9.), Chambre des Contrats, vol. 593 f° 486
(700) Anna Catharina Maÿsenbachin geb. Baürin mit beÿstand Friedrich Tomers lang Meßerschmidts und büttels E. E. Zunft der Schmidt Ihres Vogts
in gegensein Matthis Dax des leinenwebers und burgers allhier
hauß hoff hoffstatt mit allen deren gebäuen, begriffen, weithen, zugehörden, rechten und gerechtigkeiten ahne der Schiltzgaß ahm Roßmarckt, einseit ist ein gäßel anderseit neben einem garten hinten auf die aßfalckische Erben – um 350 und 300 verhafftet, geschehen um 50 pfund

Originaire de Heilbronn, le compagnon Mathias Dax s’adresse aux Quinze pour obtenir la permission de faire son chef d’œuvre bien qu’il ne se soit pas inscrit aux années d’épreuve. Il argue qu’il travaille à Strasbourg depuis quinze ans dont onze chez la veuve Braunwald et qu’il s’est fiancé avec la fille du bourgeois Christophe Weitzlaub. La commission traite trois affaires semblables en même temps. Mathias Dax ajoute que la veuve Braunwald est disposée à lui céder ses outils et qu’il n’a jamais donné lieu à plainte. Il appert non seulement que Mathias Dax ne s’est pas inscrit à la tribu malgré les avertissements mais qu’il a incité d’autres compagnons à ne pas le faire en prétendant que c’était gaspiller son argent. La commission propose d’opposer un refus au pétitionnaire.
Mathias Dax réitère sa demande un mois plus tard après avoir transmis au préteur royal un mémoire où il expose, outre ce qui précède, qu’on ne lui ferait pas tant d’histoire si sa fiancée ne venait pas de se convertir. Les représentants de la tribu demandent d’appliquer le règlement en soulignant que le pétitionnaire est une forte tête qui va jusqu’à prétendre qu’il pourra présenter son chef d’œuvre même sans s’inscrire aux années d’épreuve. La commission entend des témoins qui le confirment. On oppose un nouveau refus au pétitionnaire

1712, Protocole des Quinze (2 R 116)
(f° 195-v) Sambstags den 3.ten Septemb. 1712. S. noîe Matthis Dachsen des ledigen Leinenwebers von Hailbronn Cit. gleichfalls E. E. Mstrschafft der Leinenweber Obermr. Principalis ist bereits 15. jahr Hier in arbeit vndt beÿ Hans Michael Braunwalds Wtb. 11 Jahr auch mit einer burgers tochter Christoph Weitzlaubs Hinterlaßenen tochter versprochen, Weilen Er aber sich nicht einschreiben laßen, alß bittet man admissionem Zum Meisterstückh. K. recessirt wie vor. S. s. Erk. wie vor [gebettene deputation willfahrt. Ob. Handwerckshh.]

(f° 217) Freÿtags den 23. Sept. Joh: Mich. Schneid. Joh: Henckel, Matthis dachs C. E.E. Meistersch. d. Leinenweber
Obere Handtwercksherren Laßen per Hn Friden proponiren es hetten dreÿ ledige Leinenweber C. E. E. Meisterschafft der Leinenweber geklagt, daß dieselbe, Sie zum Meisterstück nicht admittiren wollen, alß Johann Michael Schneider, Johann Henckeln vndt Matthis dachs, anbeÿ umb derren admission gebetten. Vndt alß man dießelbe angehört habe der erste alß Joh: Michael Schneid. (…)
Johann Henckel (…)
Matthiß Dachs habe vermeldet daß Er schon 15. jahr Hier seÿn, vndt 11. jahr beÿ Michael Braunwaldts Wtb. geschafft habe, undt mit weÿ: Christoph Weitzlaubs tochter versprochen seÿe, 2) des braunwalds Wtb. Ihme die Stühl überlaß. wolte undt Habe Er sich so verhalten, daß das Handwerckh nicht über ihne Klagen werde. Auff befragen, Ob Er nicht wie anere Knappen Zum einschreiben errinnert worden seÿe ? habe Ers mit ja beanworttet.
Dawid. Herr Rath. Spihlmann sich sehr opponirt undt gesagt, daß dießer dachs, eben der jenige seÿen welcher die Andere vom einschreiben abwendig gemacht, es seÿe ein halßstarrige Kopff, da doch das einschreib gelt nur 11. ß koste, derselbe hette sich auch verlauten laßen, Er wolle es schon beÿ den Herrn XV.en durch bringen, undt es Leicht erhalten, Anbeÿ gebetten, alle dreÿ Imploranten abzuweißen, Vndt Verlangte man Ihnen nichts in weeg zu legen, sondern Sie solten nun thun w. die Articul haben wollen.
Auff seithen der Herrn Deputirten habe man Keiner andern meinung seÿn können, alß daß dieselbe abzuweißen seÿn werden, weil die articul erst vor etlichen renovirt worden seÿen. Erk. bedacht gefolgt.

(f° 249) Sambstags den 29.t Octobris 1712. Saltzm. noîe Matthiß Tachsen deß ledigen Leinenwebers gtr. der Meisterschafft der Leinenweber Ober meister, wegen auffnahm deß Meisterstücks erhohlt recess vom 3. Sept. jüngst, vnd bittet Deputationis continuationem. Kun. noîe Citati mag gebettene continuationem wohl leÿden. Erk. ahne die Obere Handwerckh herren gewießen.

(f° 317) Montags den 19.t Decembris 1712. Matthis Dachs Ca. E. E. Meistersch. der Leinenweber – Obere Handtwerckshh. Laßen per Hn Friden proponiren es seÿe in Sachen Matthis Dachßen des ledigen Leinenwebers den 23.t Septembr. jüngst ein bescheidt ergangen, daß er mit seinem begehren pt° verfertigung des Meisterstücks abgewießen, undt Er Zuvor den articlen sich gemäß Zu bezeugen angewießen werden solte, womit Er sich aber nicht contentirt, sondern dem Herrn Prætori Regio ein Memoriale übergeben, vndt darinnen exponirt, daß Obwohlen Er schon 15. jahr hier gearbeitet undt sich beÿ der Meisterschafft sich gebührendt umb das Meisterstück an [f° 217-v] gemeldt undt eines Meisters tochter Zu heurathen willens, dießelbe ihne dannoch aus Haß, weilen Er ursach seÿen daß seine Verlobte Catholisch worden, undt unter dem vorwandt daß Er sich nicht hette einschreiben laßen, mit seinem begehren abgewießen hette. Weilen aber dießes Statutum niemahlen observirt worden, undt bekandt, daß Er beÿ seinem Mstr. 11 Jahr ohne daß einige Klag wid. ihn eingekommen were gearbeitet, undt wann Er nicht Catholisch were, niemandt einige hindernuß Zu machen, gedacht hette, alß wolte Er gebetten haben, gnd. Zu erkennen, daß Er gegen Erlegung der gewohnl. gebühren Zu dem Meisterstück admittirt werden möchte, anbeÿ nicht gestehen wollen daß Er sich nichtt habe einschreiben wollen undt andere abwendig Gemacht hatte.
Worauff E. E. Meisterschafft der Leinenweber Hochermeltem Herrn Prætori Regio ein unterth. verantworttung überreicht, undt darinnen remonstrirt daß dachs nimmer mehr erweißen würde, daß auß haß der religion, er nicht zum Meisterstück habe gelangen Können, undt hette Er der Schuldt niemandt anders als ihme selbsten Zu Zuschreiben, in deme Er Zwar schon lange Zeit, als Knapp einschreiben undt hier gearbeitet, aber nicht als einer der das Meisterst. verfertigen undt sich hier setzen wolle, welchen §° 8. dero von Mghherren den XV. den 16. 8.br 1651. ertheilten Ordnung undt eine Zweÿte einschreibung erlegung eines guldens, undt angelobung der Ordnung nach zugeleben, erfordert wirdt, so habe Er auch wid. §.um 1.mum der Ordnung de anno 1656. öffters verfeÿret, undt sich nicht straffen laßen, deßwegen schon vor vier jahren Zu gesambten Meistersch. auffnehmen, obige articul wider ernewert und Confirmirt worden seÿen.
Worauff gedachtes Handwerck [f° 218] vor guth angesehen, solche beÿ versamblung der gesellen, selbigen Kundt Zuthun, damit fürohin alle die Jenige, so sich alhier seßhafft zu machen willens, wegen einschreibung der Versitzungs Zeit sich darnach Zu richten haben möchten welches zum 3.t mahl denen sambtl. gesellen, beÿ dero Zusammenkunfft verkündet worden seÿe. Auff welches sich etliche warnen und sich einschreiben laßen, dachs aber hette dieselbe nur hoher scher weis verlacht vndt gesagt, daß Ers nicht thun, undt doch ehend. alß Sie, zum Meisterstück gelangen wolte, welches Zu erweißen seÿe ,alßo daß er auff seithen des dachßen in purer trutz undt widerspänstigkeit seÿe, dabeneben Er auch andere auffgewickelt umb die articul Zu verachten, damit Er sich rühmen köntt, daß Er dannoch ohne einschreibung sein sach durch gebracht habe, wie dann unterschiedlichen gesellen hier weren die nur darauff wertten wie es mit dießem abgehen werden, wornach sie die ihrige auch ein rühten, dadurch aber Mgherrn nicht wenig mühe undt dem handtwerckh viel unkösten, undt mißverständtnuß Zwischen beeden Religionen Causiren würden, & mit unterth. bitt, es beÿ dem 10. 7.br. jüngst von Mghh. den XV. gegebenen bescheidt Zu laßen oder daß wenigstens Ihme dachßen, ein jahr beÿ einem Meister Zu versitzen aufferlegt werden damit es dem handtwerckh nicht præjudiciten mochte.
auff beschehene remission habe man einige von den Meistern gehört, als hanß Heinrich Wisandt und hanß Hugs, welche man befragt, ob Er dachs nicht von der Mrsch. gewarnet worden seÿe, daß Er sich eischreiben laßen solle ? so Sie mit ja beantworttet, (2) ob erweißlich [f° 218-v] daß er einige Knappen abwendig Gemacht habe ? so Sie ebenmäßig mit ja beantworttet, anbeÿ Jacob Lentzen und Diebold Kuntzen die Knappen benahmßt, die deßwegen Zeugnus geben könten.
W. das erste belangt, habe dachs es gestanden, undt gesagt daß er vor dreÿ jahren geschehen, da Er beÿ einer wittfrawen gearbeitet, d. letztete aber wegen abwendig machung der Knappen es nicht geständig seÿn wollen, deßwegen man vor nöthig erachtet, einige personen darüber Zu hören, alß hanß Georg Krieger burger undt Leinenwebern alhie wie auch ged Lentzen undt Kuntzen, welche 2. letstere beÿ der Zunfft gehört worden und beÿ der Deputation sich darauff bezogen, dahingehendt daß Lentz außgesagt, er dachs seÿe wohl ein Narr daß er seine jahr Zu Versitzen sich einschreiben laßen, undt beßer gethan hette, wann er das gelt s. v. verworffen hette, ingleichem habe Kuntz deponirt, daß ged. Dachs zum 3.t mahl als man Zum gebott gegangen, zu ihm gesagt, Er were narrisch geweßen, daß Er die jahr Zu versitzen, sich einschreiben laßen, Er aber wolle es nicht thun, undt doch ehender Meister werden. Conrad Müller der Knapp habe ihme Kuntzen auch beditten, daß er auch seine Jahr verschreiben Zu laßen, willens geweßen, weilen aber ged. dachs Ihne undt andere also agirt, Ers unterlaßen wolte. Was den Krieger belange, so habe Er beditten, daß Er vor 5. jahren Ober: undt Rechenmeister geweßen undt die Meisterschafft ihme committirt die bruderschafft zu warnen, daß wann einer das Meisterstück machen wolle, Er sich Zuvor einschreib laßen solle, Er es gethan, darauff sich auch 7. Knapen angemeldet, dachs aber es nicht gethan, Er habe auch sein des Kriegers Knappen vexirt, daß Er sich hette einschreiben laßen [f° 319] mit bedeüten, daß Er beßer gethan, wann er d. gelt vertruncken hette, undt deß Er doch nach ehender Meister werden wolte.
Auff seithen der Herren Deputirten halte man davor, daß mehrbesagter Dachs sich ordtnungs mäßig einschreiben laßen undt wann die Ordtnung an Ihne komme, das Meisterstück machen vndt die gebühr bezahlen solle. Erk. bedacht gefolgt.

Originaire de Binswangen dans le diocèse de Wützbourg, Mathias Dax épouse Susanne Wetzlau, fille de tisserand, qui vient de se convertir chez les Jésuites
Mariage, Saint-Pierre-le-Vieux (cath. p. 242)
Die prima Mensis May a. 1713 (…) sacro matrimonÿ vinculo copulati sunt honesti adolescentes Scilicet Mathias dax oriundus es Binswangen Diœcesis Herbilopensis, ac lini textor ac Ciuis Huiatis, et pudica virgo Susanna Weitzlauin Argentinensis ac filia legitima Christophori Weitzlau lini textoris ac Ciuis huiuatis et Susannæ Thalerin etiam Argentinensis (signé) Mathis dax, signum sponsæ + (i 144)

Répertoire des Jésuites (1 AST 305, p. 365)
Susanna Weitzlauin, 1712 aoust 15

Originaire de Neckarsulm, Mathias Dax devient bourgeois par sa femme
1713, 4° Livre de bourgeoisie p. 798
Mathiß Dachs, der Leinenweber Von Neckers Ulm, Weÿl. Wolff dachß gew. Webers daselbst sohn, emp. das burgerrecht Von seiner Fr. Susanna Wintzlagin p. 2. gold fl. 16. Wird beÿ denen Tuchern dienen. J. d. 3. Junÿ 1715.

Mathias Dax meurt en 1739. Sa veuve se remarie dix ans plus tard avec Pierre Carl tisserand originaire de Sankt Leon dans le diocèse de Spire
Sépulture, Saint-Etienne (cath.) Mathias Dax, 1739 p. 229

1749 (20.6.), Me Brackenhoffer (Jean, 4 Not 31) n° 877
(Eheberedung) zwischen dem ehrsamen vnd bescheidenen Mstr. Martin Carl dem ledigen leinenweber weÿ: Peter Carls geweßenen reebmans vnd schirmers Zu St. Leon im Speirer bistumb ehelich erzeugter hinterlaßenem Sohn alß hochzeitern ane einem, beÿständlich Jacob Annerig deß Cantzleÿ Silberbottens vnd burgers alhie
ane einem andern theilß aber fr. Susanna gebohrner Weitzlauen, weÿl. Mstr Mattiß Daxen des geweßenen leinen webers vnd burg. alher hinterlaßenen wittib, mit beÿstand Mstr. Johann Michel Logels deß leinenwebers und auch burgers alhier ihres dochtermanns – actum straßb. d. 20. junÿ 1749. [unterzeichnet] Johann Martin Carl alß hochezeiter, + Susannæ daxin d. hochzeitherin handz.

Mariage, Saint-Marc (cath. p. 135)
Hodie primo julii anni 1749 (…) sacro matrimonii vinculo in facie ecclesiæ conjuncti fuerunt Joannes Martin Carl lini textor ex S. leonard oriundus Diœcesis spirensis defunctorum Joannis petri Carl vinitoris et incolæ ibidem et Annæ Mariæ Schäffin conjugum filius legitimus et virtuosa Susanna Weitzlaubin defuncti Mathiæ Dax Civis Argent. et textoris vidus superstes parochiana nostra (signé) Johann Martin Carl, signum sponsæ x (i 71)

Jean Georges Hausser acquiert la maison par adjudication judiciaire le 1 août 1731 (référence donnée dans les actes ultérieurs)
Réformé originaire de Bâle, Jean Georges Hausser devient bourgeois avec sa femme Elisabeth Müg, elle aussi de Bâle, en apportant plusieurs enfants

1704, 3° Livre de bourgeoisie p. 1245
Joh: Georg Haußer Von Baßel der Tabackhändler, Weÿl. Michael Haußers gew: schwerdfeger daselbst hint: sohn, V. sein Fr: Elisabetha Mügin auch V. Baßel, erkauffen das burgerrecht p. 6. goldR. 16. ß so auf dem Pfenningth. erlegt worden, mit ihren Kinderen ist es beÿ ordnung geblieben, werden beÿ E. E. Zunfft Zum Spiegel dien. J. d. 28. Dito [Aprilis 1704].

Inventaire des apports
1704 (4.4.), Me Pantrion (Jacques Christophe, 40 Not 13)
Inventarium über H. Johann Georg Haußern des Jüngern tabackhändlers und frauen Susannæ Elisabethæ Miegin, beÿder Eheleuthe habende Nahrung

L’inventaire après décès, non conservé, de Jean Georges Hausser est dressé en 1731
1731, Me Pantrion (Jacques Christophe, répert. 65 Not 45)
Inv: über Weÿl. H. Joh: Georg Haußer des Jüngern gew: handelßm: allh: Verl:

Susanne Elisabeth Müg hypothèque la maison au profit des enfants de Philippe Jacques Bassecourt

1731 (28.9.), Chambre des Contrats, vol. 605 f° 405
Fr. Susanna Elisabetha geb. Mügin weÿl. Johann Georg haußer Junioris handelsmanns wittib beÿständlich ihres Curatoris H. Johann Nicolauß würtz Banquier
in gegensein Johann Georg Winterhaldt Wollenwebers als vogts Philipp Jacob Bassecourt – schuldig seÿe 175 pfund
unterpfand, Eine Behausung höfflein und hoffstatt mit allen derselben gebäuden, begriffen, weithen, zugehörden und gerechtigkeiten auff dem Roßmarckt in der Schildtsgaß, einseit neben des Fürstl: zweÿbruckischen hoffs gartten anderseit neben weÿl. wittich wittib Macklers Erben hinten auff H. Brackenhoffer des Apotheckers Speicher – als ein am 1. Augusti jüngst ahne allhießiger ganth erkaufftes guth

Susanne Elisabeth Müg veuve de Jean Georges Hausser le jeune meurt en 1740 en délaissant deux enfants. Les experts estiment la maison rue de Schiltigheim 500 livres. L’actif de la succession s’élève à 2 688 livres, le passif à 1 844 livres

1740 (21.4.), Me Lichtenberger (Jean Frédéric, 6 E 41, 306) n° 173
Inventarium über Weÿl. der Viel Ehren: und Tugendreichen Fr. Susannä Elisabethä Haußerin gebohrner Müegin, auch weÿl. S.T. H. Joh: Georg Haußers des Jüngern geweßenen Handelsmanns v. burgers allh. Zu Straßb. seel. nachgelaßene Frau Wittib nunmehr auch seel. Verlassenschafft auffgerichtet Anno 1740. – nach ihrem am letzt verwichenen H: Ostertag aus dießem mühesamen Leben genommenen tödl: Hintritt Zeitl. verlaßen – So beschehen in der Königl. St. Straßb. Donnerstags den 21.ten Aprilis 1740.
Die abgeleibte Fr. seel. hat sowohl ab intestato als per Testamentum Zu erben Verlaßen, wie folgt. 1.mo den Wohl Ehrenvest v. Großachtbahren H Joh: Georg Haußer handelßmann v. burger allh. Zu Straßb. welcher dießer Inventur Persönlich beÿgewohnt, Und dann 2.do. Weÿl. der Viel Ehren v. tugendbegabten Fr. Mariä Barbarä Crugotin, gebohrner Haußerin mit S. T. H Joh: Niclaus Crugot, dem Handelsmann v. burgern allh. ehel. erzeugtes v. nach tod Verlaßenes einiges töchterl. Nahmens Susanna Barbara Crugotin deßen geschwornene Curator der Wohl Ehrenvest v. Großachtbahren H Joh: Christoph Bernard Vornehmer Handelsmann v. burger allh. Zu Straßb. welcher sich ebenfalls beÿ dießem Geschäfft persönlich eingefunden, Alle beÿer der abgeleibten Fr. seel. mit einganges ernandten ihrem Zuvor Verstorbenen Ehe Hn seel. ehel. erzeugte H Sohn v. von der verstorbenen tochter vorhandenes Enckelin v. so wohl ab intestato als per testamentum Zu Zweÿen gleichen portionen und Antheilern Verlaßene Erben.

In einer allhier Zu Straßburg ane dem Bocks Gäßlein wie auch einer in der Schiltzgaß auf dem Roßmarckt gelegener v. in dieße Verlaßenschafft gehörigen behausungen ist befunden worden wie folgt.
Ane Höltzen und Schreinwerck. In dem Hauß an der Schiltzgaß.
In der Behaußung im dem Bockhsgäßlein. In des H. Sohns Stub, In der Nebens Cammer, auff dem Gang
Eigenthum ane Häußern. (H Joh: Georg Haußer prælegirt). Erstl. eine behaußung, hoff v ; hoffstatt allhier im Box Gäßl. (…)
It: eine behausung, Hoff Hoffstatt, mit allen derselben begriffen, Weithen, Zugehörden, Rechten und Gerechtig Keiten, gelegen allh. in der Schildsgaß, auff dem Roßmarckt, eins. neben dem Garten ane dem Zweÿbrückischen Hoff, anders. auff Weÿl. H. Schaffner Johann Bechtolds seel. Erben, hinten auf H. Rathherrn Philipp Jacob brackenhoffers des Apotheckers Speicher stoßend gelegen, so freÿ, ledig, eigen, v. vermög vorherangezogener Abschatzung durch gedachte Hh. Werckmeister angeschlagen um 1000 fl. oder 500 lb. Darüber desagt ein teutscher pergamentener Ganth Kauffbrieff und Es En Kl. Raths anhangendem Insiegel verwahret, datirt den 1. Aug. 1731.. Wie auch ein älterer pergamentener Kbr. in allhies. C. C. stub gefertiger v. mit dero anh. Insiegel verwahret d. d. 17. febr. 1707.
Series rubricarum hujus Inventarÿ. Copia Testamentum nuncupativi so die Verstorbene Frau seel. den 15. Aprilis 1740. vor mir Not° und Gerzeugen auffgerichtet.
Sa. haußraths 115, Sa. Lähre Faß 22, Sa. Schiff und geschirr Zur Taback fabric gehörig 70, Sa. Silbers 39, Sa. baarschafft 9, Sa. Pfenningzinß haupt Guths 900, Sa. Eigenthums ane häußern 1500, Sa. Schulden 30, Summa summarum 2688 – Sa. Schulden 1844, Compensando verbleibt 843 lb
Beschluß und Verstallungs summa 843 lb
– Abschatzung dem: 22. Aprill: 1740. Auff begehren Weillandt der Viell Ehr und Tugendsamen frau Susana Elisabetha haußerin, gebohrnë Migin Seel: hinder Laßenen Erben, ist eine behaußung alhier in der Statt Straßburg, in dem boxgäßlein gelegen (…)
Der 2.te begriff ist auch allhier in der Statt Straßburg, in der schiltz gaßen auff dem roßmarck gelëgen, ein seitß Neben herrn Bëmmen dem handtelß Mann, ander seitß an dem Zweÿ bruckischen hoff, hinten auff H brackenhoffer dem Apotecker stoßent, welche behausung unden auff dem botten ein stuben Cammer hauß Ehren, darinn der herdt und buchofen, Nebenß Stübell und Küchell, oben dar über Stuben, Cammer Küchell und hauß Ehren Nebeß Stuben und Küchell Vor dem officier, war über die bien mit einen alten tach stull, daß tach Mit ein fachen Ziglen beleg, samt allen gerechtig Keit wie solches turch der Statt Straßburg geschwornen wërck Meister sich in der besichtigung befunden und Jetzigem Preiß nach angeschlagen wirdt vor und umb Ein Tausend Gulten. bezeichnuß der Statt Straßburg geschwornen wërck Meistere, [unterzeichnet] Johann Peter Pflug Statt Lohner und bau Meister, Michael Ehrlacher Werck Meister deß Meinsters, Johann Jacob Biermeÿer Werck Meister deß Zimmerhoffs

La maison revient pour moitié à son fils Jean Georges Hausser qui épouse en premières noces Anne Barbe Krug de Bâle. Elle devient bourgeoise en 1732

1732, 4° Livre de bourgeoisie p. 992
Anna Barbara Krugin von Baßel geb. erhalt d b. Von ihrem ehemann H. Johann Georg Haußer d b. undt Handelsmann umb d. alt. b. woll beÿ EE. Zunfft Zum Spiegel dienen. Jur. d. 4. decemb 1732

Jean Georges Hausser épouse en secondes noces Anne Stehlin de Bâle qui devient bourgeoise en 1740 : contrat de mariage tel qu’il est copié à l’inventaire, célébration portée dans le registre de l’église réformée de Strasbourg
Copia der Eheberedung – zwischen dem Ehrenvest und wolvorgeachten Herrn Hannß Georg Haußer zu Straßburg, Hochzeitern an einem, So dann der tugendsamen Jungfrauen Anna Stähelin von Baßel, hochzeiterin an dem andern theil, – so geschehen in Baßel den 26. Decembris Anno 1739 [unterzeichnet] Johann Georg Haußer als hochzeiter, Anna Stahelin als hochzeiterin, Ursula Stahelin gebohrne parußin als Mutter, H. Rudolph Steiger als der Jgfr. Hochzeiterin Vogt – Ludwig Locher, offenbahrer Kaÿßerlicher geschworner Notarius und burger zu Baßel

Mariage, Strasbourg (réf. f° 147)
1740 – Aprilis d. 20. Seÿnd eingesegnet worden Hr. Johann Georg Haußer, burger u. handelßmann allhier, wittwer, Jgf. Anna, weÿl. Hr. Johannes Stäheling Gew. Burgers y. hansdelßm. v. baßel hinterl. Ehel. tochter

1740, Livre de bourgeoisie 1740-1754 (VII 284) p. 16
Fr. Anna weÿl: H. Johannes Stehlins gewesenen burgers und handelsmanns zu Baßel hinterl. Eheliche tochter erhalt das burgerrecht Von ihrem marito H. Johann Georg Haußer burger und handelsmann von hier um den alten burgerschilling will beÿ E. E. Zunfft Zum Spiegel dienen, promisit d. 22.ten Junÿ 1740.

Jean Georges Hausser et Anne Stehlin hypothèquent leurs deux maisons, l’une rue du Bouc et l’autre rue de Schiltigheim, au profit du bnaquier Jean Daniel Stædel le jeune

1742 (20.2.), Chambre des Contrats, vol. 616 f° 75
H. Johann Georg Haußer der handelsmann und Anna geb. Stehlinin mit beÿstand H. Gambß und H. Rathh. Baur beede E. E. kleinen Raths beÿsitzer
in gegensein H. Johann Daniel Städels jun. des Banquier – schuldig seÿen 400 lt
unterpfand, eine behausung, hoff und hoffstatt samt einem kleinen gärtlein et appertinentis im Bocksgäßlein, einseit neben den Kammischen wittib und erben anderseit neben H. Amtmann Kempffer hinten auff ebendeßelben garten – ihme H. Haußer als ein elterliches prælegat
ferner hypotheciren sie die unvertheilte helffte ane einer behausung, höfflein und hoffstatt ane der Schildsgaß auff dem Roßmarckt, einseit neben dem garten des Zweÿbruckischen hoffs anderseit neben den Wittichischen Erben hinten auff H. Rathh. Brackenhoffer – ihme dem schuldner als ein mütterlichen erbguth
mehr das in der zuerst beschriebenen behausung befindliche zur Tabacfabric gehörigen schiiff und geschirr samt 8 preßen

Jean Georges Hausser et Anne Stehlin font dresser l’inventaire de leurs biens grevés de dettes

1752 (20.11.), Me Dautel (Fr. Henri, 6 E 41, 256) n° 525
Inventarium und beschreibung aller derjenigen Haab, Nahrung und güthere, Keinerleÿ davon außgenommen, so Herr Johann Georg Haußer, der Handelsmann, und frau Anna geb. Stähelin, beede Ehepersohnen und burgere allhier zu Straßburg, der zeith activé besitzen und hienwieder ane Passiv Schulden zu bezahlen schuldig sind, welche um willen sich in Schuldenlast hervorthut, und dahero die Ehefrau zu ihrem weiblichen Recht zugreiffen, sich gemüßiget siehet, auf ansuchen erfordern und begehren Ihr der Ehefr. mit assistentz H Joh: Christoph Bilgers Notarÿ jurati et Pracrici auch burgers allhier, hierzu erbetten, fleißig inventirt und ersucht – so beschehen allhier zu Straßburg auf Montag den 20.ten Novembris Annno 1752.

In einer allhier ane dem Bocks gäßlein gelegenen in dieße Nahrung gehörigen behaußung sich folgender maßen befunden.
Eigenthum ane häußern. Die helffte vor ohnvertheilt von und ane einer behausung und hoffstatt, mit allen derselben begriffen, Weithen, Zugehörden, Rechten v. Gerechtig Keiten, gelegen alh. ane dem Roßmarckt, und deren Schildsgaß, 1.s. ane dem hochfürstlich zweÿbrückischen hoff garthen, 2. s. neben denen bechtoldischen Erben, hinten auf H. Rath. brackenhoffers seel. Speicher stoßend, so außer deren darauf hafftenden v. hernach passivé eingetragenen Capitalien, freÿ, ledig, eigen, und dißorts jedoch ohnpræjudicirlichen, wie solche angekaufft worden, angeschlagen, zumahlen auch dieselbe vor Kurtzem auch darum Verkaufft werden sollen pro 700 lb. Daran hiehero die helffte in außwurf thut 350. Hierüber vorhanden i. teutsch pergam. Ganth Kaufbrief mit E. E. Kleinen Raths anhangendem Insiegel, so aber dermahlen abgefallen verwahrt gewesen, datirt 1. Aug A° 1731 weißend, daß solche beh. nun weÿl. fr. Susanna Elisabetha geb. Müegin, auch längst Weÿl. H. Joh: Georg Haußers des gew. handelsmanns v. b. alh. hinterbliebene Wb. dißorts Mariti leibliche Mutter seel. an sich ersteigt habe, auf dere absterben, dißorts die helffte und die andere helffte Crugotischer tochter mit Nahmen Jfr. Susanna Barbara weÿl. fr. Maria Barbara geb. Haußerin mit H Joh: Niclaus Crugot, dem handelm. v. b. allhier ehelich erzeugt
It. eine behaußung, vormahls zum gekrönten König genand im grünen bruch (…)
It. i. behaußung ane dem bocksgäß. (…)
Ergäntzung der Ehefrauen ermangelnden unveränderten guths, Erstl. vermög des allhier beÿ Gn. Herrn Räth v. XXI und E.E. großen Raths, da die Ehefr. um allhießiges burger Recht unterthänig eingekommen, und solches daraufhin erlangt, sub dato respe. den 13. febr. 2. et 16. apr. A° 1740 producirten attestati dh. herrn Ludwig Lochern Notarium Cæsareum publicum und burgern in Baßel unterm 6. febr. dicti anni außgestellt, unterschrieben und besiegelt, auch von Löbl. Magsitrat allda legalisirt, hat die Ehefrau von hauß in baarem Mittlen erhalten und in die ehe zugebracht die summam von 1500 Pfund baß. Währung, so in allhießigem valer thun, und als manglend zu erg. sind 750. It. hat sie bald nach ihrer Copulation ferner von ihrer leibl. Mutter fr. Ursula gebohrner Parcus, weÿl. H. Johann Stähelin geweßenen handelsmanns v. b. in mehr besagten Baßel seel. nachgelaßener fr. wittib in baaram geld (…)
Series rubricarum hujus Inventarÿ, der Ehefrauen Vermögen, Sa. hausraths 31, Sa. Silbers 16, Sa. Goldener Ring 20, Sa. Schulden 400, Sa. ermangl. ohnveränderten guths Erg. 956, Summa summarum 1424 lb
des Ehemanns ohnverändert und theilbare Nahrung, Sa. hausraths 166, Sa. Schiff und geschirr zur taback fabricirung gehörig 430, Sa. Silbers 30, Sa. Goldener Ring 2, Sa. Eigenthums ane häußern 2912, Sa. Schuld 15, Summa summarum 3557 lb, Schulden 6679 lb, Compensando, passiv onus 3121 lb
Zweiffelhaffte Schulden in des Ehemanns ohnverändert und theilbare Nahrung, 88 lb
Copia der Eheberedung (…) Ludwig Locher, offenbahrer Kaÿßerlicher geschworner Notarius und burger zu Baßel

La maison est vendue par enchère judiciaire le trois novembre 1753 (référence donnée par les actes ultérieurs) au compagnon maçon Jean Waggin, originaire de Jungholz dans le diocèse de Constance, qui a épousé en 1734 Anne Marie Volmeyer de Gossheim en Haut-Palatinat, diocèse d’Eichstædt

Mariage, Saint-Pierre-le-Jeune (cath. p. 54)
Hodie 3.a Maÿ Anni 1734 (…) sacro Matrimonÿ Vinculo in facie Ecclesiæ Conjuncti fuerunt honesti adolescentes Joannes Waggin oriundus ex pago Junckholtz Diœcesis augustanæ et Anna Maria Volmaÿrin oriunda Ex gossheim in superiori palatinatu Diœcesis Eÿstettensis ambo pro tempose parochiani nostri (signé) Joannes Woggin, Signum sponsæ + declarantis se nescire scribere (i 30)

Anne Marie Volmeyer meurt en 1754 en délaissant deux enfants. L’inventaire est dressé dans une maison rue du Tonnelet Rouge. Les experts estiment la maison 580 livres. L’actif de la communauté s’élève à 912 livres, le passif à 861 livres.

1754 (17.7.), E 5785 (b), Greffier du Petit Sénat
Inventarium über und beschreibung aller derjenigen haab und Nahrung so Maria Vaguin geb. Vollmeÿerin des Ehren und bescheidenen Johannes Vaguin Maurers und Schirmers geweßenen Ehefrau, nach ihrem den 28. maÿ dießes innstehenden 1754. Jahrs aus dießer welt genommenen tödlichen hintritt – auf Ansuchen des Wittibers wie auch H. Niclaus Schmidt Schreiners und burgers allhier, als geordnet und geschworenen vogts Cæciliæ und Johannis der Vaguin beede mit Ihrem hinterbliebenen Wittiber erzeugte Kinder
Bericht, weder Eheberedung noch Inventarium

In einer ane dem Roth Väßel gäßel gelegenen lehnungsweiße bewohnenden behausung
(f° 5) Eigenthumb ahne einer behaußung. Nemblich eine behaußung und hoffstatt samt allen deren zugehörden, rechten und gerechtigkeiten in der Schiltzgaß ane dem roßmarckt einseit neben dem zweÿ brückischen hoff garten anderseit neben denen bechtoldischen Erben und hinten auf der brackenhoferischen Erben Speicher stoßend gelegen, und weilen dieße behaußung erst letzhien den 2. martÿ 1754 der Wittib auf der Ganth umb 1160 R ane sich ersteigert, so hat mann Jedoch absque prejudicio nicht vor nötig erachtet, dieselbe de novo durch der Statt Werckmeistern entschlagen zu laßen, dahero dafür außzu werten 1160 R oder 580 pfund, darüber besagt einer unter obigem dato 2. Martÿ 1754 Ganthkauffbrieff besagend wie die eine in weÿl. Joh: Georg Haußer des geweßenen handelsmanns falliment gehörige helffte Innhat E. E. Kleinen raths bescheids vom 3. Novembris 1753 ane der Statt Ganth nach ordnung zu verkaufen und versteigen Erkand worden, war zu auch die andere denen Crugotischen Kindern zuständige deren Vogt Ist hr Joseph Bernhard der handelsmann nach dem schon zuvor den 26. 7.bris ermelten Jahrs erhaltenen Decreti alienandi gekommen, alßo daß die gantze gemelte behaußung ane seiten der ganth offentlich verkauft versteigert und Johannes Vacquet dem Wittiber als dem als letzt und meistbietenden überlaßen worden seÿe
Series rubricarum hujus Inventarÿ, hausrath 82 lb, silbers 5 ß, pfenningzinß hauptgüter 250 lb, behaußung 580 lb, summa summarum 912 lb, schulden 861 lb, Nach deren abzug 51 pfund
Auß Ihro Gnaden der Regierenden herrn Ammeister hauß memoriali de anno 1754, Erschiene Johannes Vaquet der maurer gesell, zu weÿl. fr. Anna Maria Vaquet gebohren Vollmeÿerin

Sépulture, Saint-Laurent (cath. p. 604)
Anno Dni 1754 die 28 Maÿ mortua est Anna Maria vollmeyer uxor superstitis Joannis wagin tutelaris et Cæmentarii superstitis ejus Mariti annos 54 nata sacramentis pœnitentiæ Eucharistiæ et Extremæ unctionis rité munita et die sequenti ejusdem Mensis et Anno (…) sepulta est in Cœmeterio S. urbani extra porta Lanionum (signé) Joanes Woggin (i 308

Jean Waggin se remarie en 1754 avec Marie Gleichauff, originaire de Geisingen dans le diocèse de Constance : contrat de mariage par lequel l’époux assure à sa femme la jouissance viagère d’un logement dans sa maison, célébration
1754 (16. 8.bris), Me Claus (Adam, 7 not 13, protocole) f° 674-v
Eheberedung – zwischen dem Ehrsamen und bescheidenen H. Johann Wagin dem Wittiber, maurer undt Schirmer allhier Zu Straßburg als hochzeitern Ane Einem,
So dann der Viel Ehr und tugendsamen Jgfr. Maria Gleichauffin, Weÿl. Frantz Gleichauff geweßenen müllers zu Geißingen Constantzer bistumbs mit auch Weÿl. Catharina Huberin Ehel. erzeugter tochtern als hochzeiterin ane dem Andern theil
dießemnach und vor das Andere will der h. hochzeiter der Jgfr. hochzeiterin umb der Zu jhro habend. u. tragender Hertzlicher inclination, Liebe und anmuth willen ane statt der sonsten gewohnlichen morgengaab in seiner an der Kleinen Schildsgaß beÿm Roßmarckt gelegener eigenthümlicher behaußung eine wohnung Lincker hand auff dem Erstern stock bestehend in einer Stuben und Kuchen, so dann einer Cammer unter dem dach, wie auch Platz im Keller zu einem lebtägigen Wÿdumbs genuß entweder selbsten zu besitzen oder durch andere umb den Zinnß bewohnen Zu laßen – So beschehen Zu Straßburg den 16. 8.bris 1754. [unterzeichnet] Johanns Woggin,+ signm. Mariæ gleichauff

Mariage, Saint-Laurent (cath. p. 332)
Hodie 22. die mensis Octobris anni 1754 (…) sacro matrimonii vinculo in facie Ecclesiæ conjuncti sunt Joannes Waggin tutelarius et coementarius hujas viduus Annæ Mariæ Volmeyerin parochinus noster et Maria Anna Gleichauf oriunda es Geisingen dioecesis constantiensis filia defunctorum francisci Gleichauf et Catharinæ Huberin conjugum olim ibidem commorantium ab octo annis hic argentinæ commorans et a duobus fere annis parochiana nostra (signé) Johann Woggin, signum sponsæ x (i 169)

Jean Waggin est élu huissier à la tribu des Maçons le 7 novembre 1757 à condition qu’il devienne bourgeois (les registres de bourgeoisie manquent entre 1754 et 1762).

Jean Waggin hypothèque la maison au profit des maîtres maçons André Stahl et Gaspard Théodore Raballiatti

1758 (23.2.), Chambre des Contrats, vol. 632 f° 61
Johann Waggin, E. E. Zunfft der Maurer büttel
in gegensein H. Rathh. Andreas Stahl, H. Heinrich Reinbold des dermalen Zunfft meisters und H. Caspar Theodor Rabaliatti des maurer meisters
unterpfand, eine behausung cum appertinentis ane der Schitzgaß auff dem Roßmarckt, einseit neben Carl Werdt dem meelmann, anderseit neben dem sogenannten Zweÿbruckischen modo löbl. Stadt zugehörigen hoff, hinten auff das neue gouvernement

Jean Waggin meurt en 1772 en délaissant une fille de son premier mariage et trois enfants du deuxième. Les experts estiment la maison 450 livres. La masse propre à la veuve s’élève à 25 livres, celle des héritiers à 351 livres. L’actif de la communauté s’élève à 687 livres, le passif à 551 livres. Un billet qui fait état de l’adjudication Hausser donne le propriétaire de chacune des maisons vendues

1772 (3.2.), Me Dinckel (J. Raoul, 6 E 41, 416) n° 1249
Inventarium über Weÿland des Ehren und Vorachtbahren herrn Johann Waggin, E. E. Zunfft der Maurer geweßenen Haubtkanden und burgers allhier Zu Straßburg nunmehr seelig Verlassenschafft, auffgerichtet Anno 1772. – nach deme derselbe Freÿtags den 10. Januarÿ dieses lauffenden 1772. Jahrs dießes Zeitliche mit den Ewigen verwechßelt, nach solch seinem aus dießer Welt genommenen tödlichen hintritt Zeitlichen hinter sich verlaßen, Welche Verlaßenschafft auf freundliches Ansuchen erfordern und begehren der Viel Ehren und tugendsahmen frauen Mariä Annä Waggin gebohrner Gleichauffin der hinterbliebenen Wittib mit assistentz des Ehrenvest und vorachtbahren Herrn Johann Nicolai Kötterers des Steinhauers und burgers allhier Ihres hierzu erbettenen beÿstandts (…), durch die Frau Wittib wie auch die Frau tochter erster und die älteste tochter zweÿter Ehe selbsten, so dann Annam Mariam Schottin die dienstmagd von dinßheim gebürtig (geägt und gezeigt) – So beschehen in Straßburg auf Montag den dritten Februarÿ Anno 1772.
Der seelig Verstorbene hat zu seinen Erben ab intestato verlaßen als volgt.
1° Frau Ceciliam Saumin gebohrne Waggin, herrn Johann Georg Saum des Kunstmahlers und burgers allhier Ehefrau des Verstorbenen seeligen in erster Ehe mit Weÿland Frauen Anna Maria gebohrner Rollmeÿerin, seeligen ehelich erziehlte tochter, welche mit beÿhilff gedachten Ihres Ehevogts und S. T. Herrn Johann Daniel Saltzmann Notarÿ jurati publici und berühmbten Practici Ihres erbettenen Hn beÿstands in Persohn beÿ dem Geschäfft sich eingefunden. 2. Jungfrau Mariam Theresiam Waggin welche allhier ohnverburgert, 3° Eugeniam Waggin, 4° Joseph Waggin Sodann 5° Mariam Annam Waggin, dieße Vier des abgelebten seeligen in zweÿter Ehe mit eingangs gedachter seiner hinterbliebenen Wittib ehelich erziehlte Kinder, deren geschwornener ordinari Vogt ist vorgedachter herr Johann Georg Saum der Kunstmahler und burger alhier, Weilen aber derselbe hiebeÿ uxorio nomine selbsten interessirt, als ist zu einem Theilvogt erbetten worden herr Jacob Ferdinand Härtelmeÿer, des Steinhauers und burgers allhier, welcher beneben S. T. Herrn Johann Wilhelm Berga beÿ Löbl. ammeister Audientz allhier wohlbestellten actuario und E. E. Kleinen Raths jetzig wohlverordneten beÿsitzers, als aus Ehrengedachen Kleinen Raths Mittel (…) Im Nahmen der ältesten ohnverburgerten tochter hierzu in specie abgeordneten Herrn Deputati in Persohn dem geschäfft abgewartet

In einer allhier Zu Straßburg ane der Judengaß gelegenen Zu E. E. Zunfft der Maurer Zunfftstuben gehörigen von dem verstorbenen seeligen inngehabten Wohnung befunden worden als folgt.
Eigenthumb ane einer behaußung (E.) Neml. I. behausung u. hoffstatt, samt allen deren Weithen, Zugehörden, Rechten und Gerechtigkeiten gelegen allhier Zu Straßburg ane dem Roßmarckt in der sogenandten Schildsgaß, 1.s. neben dem Zweÿbruckischen hoffgarten, 2.s. neben denen Bechtoldischen Erben und hinten auff der Brackenhofferischen Erben Speicher stoßend, so für freÿ ledig und eigen dh. (die Werckmeistere) vermög überschickten schrifftlichen Abschatzung vom 30. Januarÿ 1772 dem wahren Werth æstimirt und angeschlagen worden vor 450. Darüber besagt ein dh. H. Lt. Beguin E: E: Kleinen Raths Actuarium gefertigter teutscher pergamentener Ganthkauffbrieff mit Ehrengedachten kl. Raths anhangendenm Insiegel corroborirtt de dato 2.t Martÿ A. 1754
– Abschatzung Vom 30. Jenner 1772. Auff begehren Weil. Johannes Wacquet des gewesener haubt Kanten auff der Maurer stub hiender Lasener Erben ist eine behausung alhie in der Statt Straßburg in der schiltz Gaß gelegen Ein seits Neben Dem Zweÿ brickischen hoff Garten anderseits Neben den bechtoldischen Erben und hienden auff der brachenhoffenschen Peicher Stosent Gelegen, solche behausung besteht in Ettlichen stuben Kammern und Kuchen Dar jber ist der dach stuhl mit breitziglein belegt hat auch einen Keller hoff und brunen. Von uns Unterschriebenen der Statt Straßburg Geschwornen Werckmeister nach Vorhero Geschehener besichtigung mit aller jhrer Gerechtigkeit Dem Jetzigen wahren werth nach æstimirt und angeschlagen Vor und Vmb Neÿn hundert gulden [unterzeichnet] Werner, Hueber.
Ergäntzung der Wittib abgegangenen ohnveränderten Guths. Nach besag der hieoben eingetragenen Eheberedung (…)
Ergäntzung der Erben ermanglenden ohnveränderten Guths. Inhalts Inventarÿ über Weÿland Frauen Annä Mariä Waggin gebohrner Rollmeÿerin des Defuncti geweßener erstern Ehefrauen seeligen Verlaßenschafft dh. Hn Beguin E. E. kleinen Raths Actuarium den 17. Julÿ 1754. gefertiget
Series rubricarum hujus Inventarÿ. Copia Heuraths Verschreibung
Der Wittib ohnveränderte Nahrung, Silber 4 ß, Erg. 25, Summa summarum 25 lb 4 ß
Diesemnach wird auch der Erben ohnverändert Vermögen beschrieben, Kleidung und weißen gezeug 20, Sa. Eigenthumbs an einer behaußung 450, Summa summarum 470 lb – Schulden 822. lb, In Vergleichung 351 lb
Endlichen wird nun des gemein, verändert theilbahre Guth beschrieben, Sa. haußraths 112, Sa. Weins 95, Sa. baarschafft 54, Sa. Schulden 425, Summa summarum 687 lb – Schulden 551 lb, Detrahendo verbleibt 136 lb
Conclusio finalis Inventarÿ 100. lb – Ungewiß und Zweiffelhaffte Schulden in das Erbe zugeltens 108 lb
Copia der Eheberedung (…) So beschehen und abgehandelt worden Zu Straßburg den 16. Octobris 1754. T. Adam Clauß
[Joint] 1754. 2° Canton N° 128. Jean Georges Housser marchand pour quatre maisons et un petit jardin &c. payé 35. l. 14. s
comme ces quatre maisons ont été vendues cet article pour 1754. a été payé, Scavoir par M. Bernard 20, par le Sr Vaquet 10, par le Sr Zollickhoffer 5. 14, total 35. 14
ces 4 maisons ayant été acquises par les susnommés, Ils ont fait entre eux le partage comme dit est cydessus de manière que Vaquet ayant payé les 10. l. jl est juste que celle d’onze livres portée par le supplément de ces 54. Luy soit porté en décharge.

Sépulture, Saint-Laurent (cath. p. 432)
Anni Domini 1772 die 10 Januarii Mortuus est Joannes Vaggin annos 60. circiter Natus Sacramentis pœnitentiæ Eucharistiæ et extremæ unctionis rité munitus civis et coementarius hujus Maritus Mariæ Annæ Gleichauf Superstitis ejus viduæ et die Sequenti ejudsdem mensis et anni (…) sepultus est in coemeterio Sti urbani extra portam laniorum, præsentibus testibus Georgio Saum cive et pictore hujas et Joanne Casparo Lerner civ (i 223)

La tribu des Maçons établit un certificat d’indigence en faveur de la veuve pour qu’elle puisse bénéficier de l’aumône de la fondation Saint-Marc
1773, Protocole des Maçons (XI 240)
(f° 152-v) Montags den 20.ten Septembris. Allmoßen schein – Anna Maria Gleichauffin, Weÿland Johann Waggin E. E. Zunfft der Maurer geweßenen Haubtkanden und burgers allhier seeligen nachgelaßene Wittib, so 41. Jahr alt und Vier Kinder hat, davon die älteste tochter mit ihrer handarbeith sich selbsten ernehren muß, die dreÿ andere Kinder aber, nemlichen Eugenia so 11 Jahr alt, Joseph so acht Jahr alt und Maria Anna so 5 Jahr alt, annoch minderjährig und unerzogen, mithien außer Stand Ihr brod zu verdienen wird wegen Mangelder Nahrung und in Ansehung ihrer armen Vatterloßen Waÿßen Von seithen dießer Ehrsahmen Zunfft denen hoch: und wohlverordneten herren Pflegern des Löbl. Stiffts S. Marx als des Allmoßens dürfftig und würdig zu seÿn, bestens recommendirt, auch Ihro in Abweßenheit des hochgebietenden herrn Oberherrn u. auf befehl herrn Joseph Anthoni Guerin, Medicinæ Doctoris, sitzenden Rathherrn und Zunfftmeisters dießes Attestat mitgetheilt.

Nouveau certificat
1775, Protocole des Maçons (XI 240)
(f° 256-v) Mittwochs den 7.den Junii. Allmoßen-Schein – Anna Maria gebohrene Gleichauffin, weiland Johann Waggin E. E. Zunfft der Maurer gewesenen Hauptkanden und burgers allhier seel. nachgelaßene Wittib, welche 46. Jahr alt Zu seÿn vesicherte und vier Kinder hat, davon die älteste tochter 19 Jahr alt, die übrige dreÿ aber aber von 14. 9. und 7 Jahren, bereits vom Löblichen Stifft St. Marx das wochentliche Allmoßen genießen, ist auch vor ihre eigene Person, weilen sie wegen großer Armuth und ausgestandene viele Kranckheiten, auch daher entsprungenen Leibes blödigkeiten, außer stand sich füglich Zu ernähren, Von Seiten dieser Ehrsamen Zunft denen hoch: und wohlverordneten Herren Pflegern des Löbl. Stifts St. Marx, als des Allmoßens dürfftig und würdig Zu seÿe, bestens an zu recommendiren, auch Ihro auf befehl S. T. Herren XV. Gangolff, Ehrengedachter Maurer Zunfft hochgebietenden Herrn Oberherrn dieses Attestat mitgetheilt worden.

Les héritiers de Jean Waggin cèdent leurs parts de maison à leur cohéritière Marie Cécile, femme du peintre Georges Saum

1773 (12.3.), Me Dinckel (J. Raoul, 6 E 41, 416) Joint au n° 1249 du 3 février 1772
Vor mir unterschriebenen Zu Weÿland Herrn Johann Waggin, des geweßenen haubt Kanden beÿ E: E: Zunfft der Maurer und burgers allhier Zu Straßburg nunmehr seeligen Verlassenschafft Inventation und Erörterung in specie requirirtem Notario seind ane zu end gemeltem dato persönlich erschienen, deßelben ab intestato nachgelaßene Beneficial Erben, Nahmentlich Frau Cecilia Saumin gebohrene Waggin, herrn Johann Georg Saum, des Mahlers und burgers allhier Ehefrau des Defuncti in erster Ehe mit Weÿland Frauen Anna Maria gebohrener Rollmeÿerin, seeligen ehelich erziehlte tochter, mit assistentz gedachten Ihres Ehevogts und von demselben hierzu genusam autorisirt und mit fernerer Zuziehung Herrn Johann Daniel Saltzmann, Notarii jurati publici und berühmten Practici, Ihres erbettenen Herrn beÿstands, an einem, So dann Herr Jacob Ferdinand Härtelmeÿer, der Steinhauer und burger allhier, als geordnet und geschworener Theilvogt Jungfrauen Mariæ Theresiæ, Eugeniæ, Josephi und Mariæ Annæ der Waggin, des Abgelebten seeligen in Zweÿter Ehe mit Frauen Maria Anna gebohrner Gleichhauffin der hinterbliebenen Wittib ehelich erziehlte Vier Kinder, ane dem andern theil (…)
Ihro Frauen Ceciliæ Saumin gebohrene Waggin, der tochter erster Ehe eigenthümlichen Käufflichen cedirt und überlassen
die vorgemelte in Weiland Herrn Johann Waggin Ihres eheleiblichen Herrn Vatters seeligen Verlaßenschafft gehörige behausung samt hoffstatt und allen deren Gebäuen, Begriffen, Weithen, Zugehörden, Rechten und Gerechtigkeiten gelegen allhier Zu Straßburg ane dem Roß Marckt in der sogenandten Schildsgaß, einseit neben dem Zweÿbruckischen hoffgarthen, anderseit neben denen Bechtoldischen Erben und hinden auff der Brackenhofferischen Erben Speicher stoßend, so annoch herrn Beato Ignatio Lachausse, Medicinæ Doctori und E: E: großen Raths Jetzigem beÿsitzer umb 350 pfund pfenning ane Capital verhafftet Sonsten aber freÿ Ledig und eigen, (…) beschehen und zugangen, die gantze behaußung vor und umb 250 Pfund – Straßburg den 12. Martÿ Anno 1773

Même acte enregistré à la Chambre des Contrats

1774 (15.6.), Chambre des Contrats, vol. 648 f° 265, Not. Johann Rudolph Dinckel, 12.3.1773
auf ansuchen Fr. Cäcilia Saumin geb. Waggin, nachstehende erbscession (…)

Originaire de Sankt-Peter, le peintre Jean Georges Saum demande à passer son chef d’œuvre. La conseil de la tribu refuse parce qu’il ne s’est pas inscrit aux années d’épreuve
1766, Protocole de l’Echasse (Peintres et sculpteurs XI 105)
(p. 26) Anno 1766. Montags den 21.ten Julÿ. – Georg Saum der leed. Mahler von St. Peter geb. stehet vor und bitt ihme zu erlauben, daß er das meisterstück verfertigen darf.
Erk. weilen in denen den 27.t Martÿ 1752. von Gn. Hh. denen Hh. XV. gnädigst ertheilten Articuln par. 4.to expresse enthalten, daß ein Jeeder, der nicht eines Meisters Sohn Zweÿ Muthjahr beÿ einem auffs höchst beÿ Zweÿen derer alhießigen Meistern Verarbeiten solle, Petent aber sich dermahlen noch nicht in solche einschreiben laßen, also Könne ihme in seinem Begehren dißorths nicht Willfahret Werden, dt. 3. fl. Vor die Zusammen Kunfft.

Les Quinze autorisent néanmoins Georges Saum à présenter son chef d’œuvre. Les fragments qui subsistent du registre de 1766 ne conservent que la demande.
1766, Protocole des Quinze (2 R 178), registre fragmentaire
[Table] Georg Saum Ca. E. E. Meisterschaft der Mahler und Bildhauer, p. 462, 490, 553, 565, 595
(p. 462) Sambstags d. 23.ten Augusti 1766. Saum Ca. Mahler. Frœreisen nôe Georg Saum des ledigen mahlers Von St : Peter gebürtig C. E. E. Meisterschaft der Mahler und Bildhauer Obermr. prod. unterth. Implorations schrifft juncto petito samt beÿl. N° 1 et 2. und b. Deputat. Osterrieth b. Cop. et T. O. obt.
(p. 490) Sambstags d. 9.ten Septembris 1766. Saum Ca. Mahler und bildhauer. Frœreisen nôe Georg Saum in aîs cit. E. E. Meisterschaft der Mahler und Bildhauer Obermr. auch in aîs erholt productum vom 23. Aug. jüngst und bitt Deput.
Osterrieth prod. unterth. Exceptiones juncto petito, bitt gleichfalls Deput. Erkannt, Deputatio

Les examinateurs inspectent le chef d’œuvre de Georges Saum qui a dû représenter la Sainte-Cène, Marie Madeleine la repentante et un décor à fleurs pour carosse. Comme ils en sont satisfaits, ils reçoivent le candidat maître à part entière
1766, Protocole de l’Echasse (Peintres et sculpteurs XI 105)
(p. 36) Anno 1767. Sambstags den 5. 7.bris 1767. erscheint in gegenseÿn S. T. H. Eliæ Brackenhoffers des beständigen geheimen Collegii der Hh. XV. hochansehnlichen beÿsitzers und hoch Verordnteten Hn Obmanns beÿ der Mahler Meisterstück Schau ingleichem der 4. geschwornen H. Meisterstück Schauere H Joh: Georg Saum der ledige Mahler Von St. Peter im Breisgau gebürtig præsentirt sein jüngst aufgenommenen Meisterstück, in der Einsatzung des heÿl. Abend Mahl, der bußfertigen Mariä Magdalenä und einer Gutschen thür Von Blum Arbeit bestand. bittet solche zu examiniren und Zubesichtig. qui facto Ihme als einen Meister Zuerkennen.
Die 4. geschwornen H. Meisterstück Schauerer referiren daß die Vorgewießene Stuck sehr wohl und Künstlich Verfertiget mthin wolten Sie Ihme wenn Er wird handtreu ablegen Können solche Stuck mit eigener hand gemacht zu haben Vor einen Meister erkennen.
Mit welcher relation sich Ihro weißheit H. XV. contentirte hat handtreu abgelegt und ist als Meister recipirt worden.

Originaire de Sankt-Peter près de Fribourg-en-Brisgau, le peintre devient bourgeois en 1767 à titre gratuit
1767, Livre de bourgeoisie 1762-1769 (VI 285) f° 126-v
Johann Georg Saum der ledige Mahler Von St. Petri ohnweit Freÿburg im Brisgau gebürtig, erhalt das burgerrecht gratis in favorem artis, will dienen beÿ E. E. Zunfft Zur Steltz. Juravit eodem [26.ten 7.bris 1767]

Jean Georges Saum devient tributaire à l’Echasse à condition qu’il produise un certificat du Bureau de la Taille, ce qu’il fait quelques jours plus tard
1767, Protocole de l’Echasse (XI 112)
(p. 24) Donnerstags den 17. Decembris 1767. Catholischer Neuer Leibzünfftiger – Hr Joh: Georg Saum Mahler von St. Peter ohnweit freÿburg im Preißgau gebürtig stehet Vor prod. Cancelleÿ Schein Vom 26. 7.bris 1767. bitt Ihne Vor ein Leibzünfftigen auf und anzunehmen.
Erkandt willfahrt doch weilen des productum Von Löbl. Statt stall noch nicht darauf befindlich, daß Er solches in Zeit 24. Stunden ad protocollum liefern solle. dt. 2. l 9 ß d jur. eod. prod. d. 18.t Xbris 1767. das production von Löbl. Statt Stall dat. d. 26. 7.bris 1767.

Jean Georges Saum épouse Cécile Waggin en octobre 1767 : contrat de mariage tel qu’il est copié à l’inventaire, célébration
Eheberedung – zwischen dem Ehrsammen und bescheidenen herrn Johann Georg Saum weÿl. H. Mathiä Saum gewesten burgers zu St Peter im breißgau mehrjähriger Sohn Seiner Kunst ein mahler, so dann der Viel Ehr und tugendreichen Jungfrauen Caecilia Waggin des herrn Johann Waggin büttels Einer Ehrsamen Zunfft der Maurer mit weÿl. Anna Maria Kollmeÿerin in Ersterer Ehe erzeugt dato majorenne Jungfrau tochter – den 17. 8.bris 1767 deponirt den 20. nov. Not. Herrenberger

Mariage, Saint-Laurent (cath. p. 221)
Hodie 19 Octobris Anni 1767 (…) sacro matrimonii vinculo in facie Ecclesiæ conjuncti fuerunt Georgius Saum Pictor professione Sua ex Kirchzarten Dioecesis constantiensis oriundus, filius legitimus et majorennis Mathiæ Saum agricolæ dicti loco et Mariæ Wickin conjugum defunctorum a triennis in hac parochia commorans, et Maria Cæcilio Waggin argentinensis filia legitoma Johannis Waggin civis cœmentarii, ac tribûs cœmentariorum Bedelli hujus urbis, et defunctæ Annæ Mariæ vollmeyerin olim conjugum an aliquo tempore ex parochia Sancti Stephani hujus urbis commorans, antea vero ab Infantiâ parochina nostra (signé) Johan Georg Saum, cecilia waggin (i 113)

Marie Cécile Waggin devient bourgeoise par son mari bien qu’il ait commis la faute de se marier sans autorisation à une non bourgeoise
1767, Livre de bourgeoisie 1762-1769 (VI 285) f° 131-v
Anna Maria Cecilia geb. Wagin, Johan Wagen des haupt Kanten beÿ d. Maurer Zunft beÿ ordnung gelaßene tochter, verheurathet ane J. Georg Saum den Mahler u. burger alhie, welchem d. fehler des verheürathens condonirt worden erhalt das burgerrecht ex speciali gratia gratis, will dienen beÿ E. E. Zunfft Zur Steltz. promis. eod. [14. Xbre 1767]

Jean Georges Saum meurt en 1790 en délaissant deux enfants. Les experts estiment la maison 2 000 livres tournois (soit 500 livres strasbourgeoises)

1791 (31. 8.bris), Me Knobloch (6 E 41, 445) n° 94 – enregistré 4.11 acp 8 (15)
Inventarium über weÿl. der Ehren und Vorachtbaren herrn Johann Georg Saum mahlers Verlassenschafft, nach deme derselbe donnerstags den 29. heumonath des verfloßenen 1790. Jahrs dieses zeitliche mit dem Ewigen Verwechselt – auf Ansuchen Fr Cæciliæ Saumin geb. Waggin der hinterbliebenen Wittib mit assistentz des Ehren und Vorachtbahren herrn Jacob Braun, Kornwerffers in gleichem des Ehr und Wohlvorachtbaren herrn Joseph Molitor des Schneiders als geordnet und geschworenen vogts Joseph Saum so 21 ½ jahr alt und Ursula so 17 ½ jahr, alt des verstorbenen mit der Wittib erziehlter zweÿ Kinder

In Einer ane dem Roßmarck und deren Schildtgaß gelegen in dieße verlassenschafft gehörigen behausung
(f° 7) Eigenthum Einer behausung So theilbahr. Eine behausung und hoffstatt mit allen deren gebäuden, begriffen, Weithen, zugehörden und gerechtigkeiten an dem Roßmarckt und deren Schildtgaß einseit neben H. dietrich Banquier anderseit und hinten auff ein gebäu der Gemeinde allhier gehörig vornen die gaß, vermög von H. Kaltner und Arnold dieser Stadt geschwornen bau jnspectoren nach æstimation de 8. 8.bris 1791 angeschlagen ad 2000
– Abschatzung vom 8. octobre 1791, Auff begehren Weÿland herr saum dem geweßenen Mahler Ist eine behaußung alhier in der statt Strasburg auf dem Roßmarckt in der bischoffgaß gelegen ein seits neben herr Von Dietrich anderer seÿts und hinten auf ein gebäu der Commune gehörig stosend gelegen, solche behausung besteht in sechs stuben, 6 Küchen und etliche Kammern darüber ist der dachstuhl mit breidzigel belegt, hat auch Ein getremter Keller und glein höfflein, (…) vor und umb 2000 livres, [unterzeichnet] Kaltner, Arnold
der Wittib ohnverändert, hausrath 134 lb, schulden in das Erb zu geltend 200 lb, summa summarum der Wittib vermögens 334 lb
der Erben ohnverändert, kleidung 62 lb – Schulden 200 lb, In Vergleichung passiv onus 138 lb
das gemein verändert und theilbahre Guth, hausrath 502 lb, behausung 2000 lb, Summa summarum 2502 lb – Schulden aus dem Erb zu bezalend 372 lb, Detrahendo 2130 lb, Conclusio finalis 2327 lb
Eheberedung (…) den 17. 8.bris 1767 deponirt den 20. nov. Not. Herrenberger

Joseph Saum, alors seul héritier de ses parents, meurt célibataire en 1801 en délaissant pour héritiers son oncle et ses tantes Waggin.

1801 (15 vendémiaire 10), Strasbourg 6 (25), Me Laquiante n° 1731 – Enregistrement de Strasbourg, acp 81 F° 48 du 16 vend. 10
Inventaire de la succession de Joseph Saum décédé le 22 germinal dernier – à la requête de Dlle Thérèse Waggin majeure, Dlle Eugénie Waggin majeure, Cit. François Antoine Kuntz Bottier en qualité de curateur établi par la justice au Cit. Joseph Waggin Boulanger à Paris absent, cit. Marie Guillaume Litschgi marchand Epicier mandataire des héritiers de feu le Cit. Georges Saum, peintre a Strasbourg lequel étant héritier partiaire du cit. Saum ci après nommé, oncles, tantes, neveu héritiers du défunt (procuration devant l’actuaire de St Pierre dans la forêt noir le 31 août 1801)

Biens fonds, une maison petite cour appartenances et dépendances scize à Strasbourg rue de Schiltigheim N° 14, d’un côté l’écurie de la De Mennet d’autre la rue derrière lesd. écuries devant la rue, Laquelle maison a été estimée par Madler charpentier et Hummel maçon à 2200 francs
garde robe 27 fr, passif 495 fr
(Joint) extrait des registres de Justice de paix du second arrondissement, Thérèse Waggin, que le C. Joseph Saum fils de feu Georges Saum Peintre et feue Cecille née Waggin est mort en délaissant pour héritier son oncle absent nommé Joseph Waggin)
(Vente de meubles n° 1760, le 21 vendémiaire, 1006 fr)

Les héritiers de Joseph Saum vendent la maison à leurs cohéritières Thérèse et Eugénie Waggin

1801 (11 frimaire 10), Strasbourg 6 (25), Me Laquiante n° 1853 – Enregistrement de Strasbourg, acp 82 F° 89 du 11 frim. 10
Cit. François Antoine Kuntz bottier en qualité de mandataire du Cit. André Joseph Waggin, boulanger demeurant à Paris, Cit. Marie Guillaume Litschgi marchand épicier en qualité de mandataire des Sr Michel Saum, Pierre Saum, Simon Ketterer, Jean Saum & dlle Marie Ruff tous demeurant à la fondation de St Pierre près de Fribourg en Briscau foret noir, tous héritiers partiaires de feu le cit. Joseph Saum (Procurations – geschehen Stifft St Peter auf Schwartzwald beÿ Freyburg im breisgau den 2. Wintermonat 1801 – André Joseph Waggin boulanger demeurant à Paris rue de lille N° 69 division de la fontaine de grenelle)
aux dlles Thérèse Waggin & Eugénie Waggin majeures
le Cit. Kuntz la part et portion faisant un 6° appartenant audit André Joseph Waggin et le cit. Litschgi la part et portion faisant la moitié ou trois 6° appartenant au Sr Saum, Ketterer et Dlle Ruff d’une maison petite écurie appartenances & dépendances sise a Strasbourg rue de Schiltigheim N° 14, d’un côté les héritiers de la dame Mennet d’autre une petite place derrière lesd. écuries, devant la rue – de la succession de Joseph Saum dont les trois autres 6 appartiennent aux dlles acquéreuses en qualité de cohéritières – moyennant 1466 francs

Thérèse et Eugénie Waggin vendent la maison au charpentier Jean Georges Lerff et à sa femme Anne Marie Burger

1812 (6.4.), Strasbourg 2 (35), Me Knobloch n° 5531 – Enregistrement de Strasbourg, acp 119 F° 97 du 7.4.
Thérèse et Eugénie Waggin célibataires majeures
à Jean Georges Lerff charpentier et Anne Marie née Burger
une maison avec écurie, appartenances et dépendances sise à Strasbourg rue de Schiltigheim n° 14, d’un côté le Sr Wertmuller, d’autre le communal, derrière les écuries du Sr Mennet, devant la rue – en partie héritée dans la succession de Joseph Saum et cohéritiers, acte Me Laquiante le 11 frimaire 10 – moyennant 8600 francs

Jean Georges Lerff a épousé en premières noces Marie Jeanne Krantz veuve de Mathias Mussler.
Originaire de Schutteren près de Lahr (Bade), Mathias Mussler épouse en 1777 Marie Jeanne Krantz de Hesse près de Lorquin : contrat de mariage, célébration

1776 (6.1), Me Lichtenberger (Jean Frédéric, 6 E 41, 351) n° 596
Eheberedung – persönlich erschienen Matthias Mußler, der ledige tagner weiland Johann Georg Mußler, des gewesenen Ackersmanns zu Schutteren jenseits Rheins, mit Catharina gebohrner Bentzin ehelich erzeugter Sohn, beiständlich herrn Johannes Mußler, des Zuckerbeckers und burgers allhier zu Straßburg seines Vettern, als Hochzeiter ane einem, So dann Jungfrau Maria Johanna Crantzin, Conrad Crantz, des Schäfers zu Lörchingen in Lotharingen, mit weiland Anna gebohrner Pierrot ehelich erzielte tochter, mit beÿstand Johann Jacob Gillig des Tagners und Schirmers hieselbst, als Hochzeiterin, am andern theil – auf Sambstag den 6. Jänner im Jahr 1776 [unterzeichnet] Mathiaß Mußler Alß Hochzeiter + Jungfrauen Mariä Johannä Crantzin der hochzeiterin Handzeichen

Mariage, Saint-Pierre-le-Vieux (cath. p. 177)
Hodie 8. Januarii anni 1776 (…) sacro matrimonii vinculo in facie ecclesiæ conjuncti fuerunt Mathias Musler oriundus ex Schuttern hujus diœcesis filius legitimus Georgii Musler et Catharinæ Brezin conjugum et Joanna Conradin oriunda ex Hesse diœcesis Metensis filia legitima Conradi + (+ Krantz) et Annæ Pierrot conjugum ambo soluti Majorennis ratione famulatûs quorundam annorum parochiani nostri (signé) Mathiß Mußler, sponsa + (i 97)

Mathias Mussler meurt sans enfant l’année suivante dans la maison du journalier et manant Jacques Gillig rue du Foulon
1777 (8.4.), Me Beguin (6 E 41, 1465) n° 395
Inventarium über Weiland Mathias Mußler, des gewesenen Tagners und Schirmers alhier Zu Straßburg Verlaßenschafft – nach seinem den 26.sten Martii 1777. aus dießer Welt genommenen tödlichen Hintritt, hier zeitlich Verlaßen hat, Welche Verlaßenschafft sowol auf Ansuchen Fraun Mariä Johannä gebohrner Cranzin, der hinterbliebenen Wittib, beÿständlich H. Johann Friedrich Lichtenberger, Notarii publici und practici alhier, als auch H. Johannes Mußler, des Zuckerbecks und burgers alhier als geordnet: und geschworener vogts der gleich nach diesem Eingang benanten minorennen Erben inventirt – So geschehen und angefangen alhier Zu Straßburg in beÿseÿn H Johann Baptistä Choisy Edelgedachten kleinen Raths dermaliger beÿsitzers als hierzu ernannter Deputati, auf Dienstag den 8. Aprilis 1777.
Der Verstorbene hat ab intestato zu einigen Erben hinterlassen benandtlichen 1.mo weiland Georg Mußler, des gewesenen burgers zu Schuttern nachgelaßene Kinder und Erben mit Nahmen a) benedict Mußler, so ohngefehr 11 Jahr alt, b) August Mußler, so ohngefehr 8 Jahr am Leben, c) Maria Annam Mußlerin, so ohngefehr 5 Jahr erreichet
2.do weiland Carl Mußler, des gewesenen tagners zu Schuttern hinterlassene zweÿ Kinder und Erben, benandlichen a) Joseph Mußler, so ohngefehr 13 Jahr am Leben und b) Theresiam Mußlerin, so ohngefehr 11 Jahr erlebet
3. Joseph Mußlern den burger und Glaser Meister zu Maÿntz so abwesend. Alle des Verstorbenen bruder und respe. zweÿer Verstorbenen brüder Kinder, zu gleichen Antheilen aber den Stämmen nach von demeselben nachgelaßene Erben. Vor die hieobengemelte minorenne Erben ist Eingangs gedachter hr. Johannes Mußler, als geordnet und geschworener Vogt hierbeÿ erschienen und hat seiner Curanden Interesse besorget.

In einer alhier Zu Strasburg ane dem Stampf Gäßlein gelegenen und hiehero nicht gehörigen behausung befunden worden als
Schulden aus der Verlassenschafft zu bezahlend, (…) Item demselben (Jacob Gilig dem Schirmer und tagner alhier) ferner ane Haußzinß seit Annunciationis Mariæ dieses Jahrs bis Johannis Baptistæ nechstkommend gerechnet 2 lb 10 ß
(f° 4) Series rubricarum hujus Inventarii. Der Erben unveränderten Vermögens, Kleidung 19 lb
Dießemnach wird auch alles übrige vorhandene Gut und Zwar nach vorher eingetragener Eheberedung §° 4.to unter einer Massa und Titulo als theilbar beschrieben, Sa. hausraths 18 lb, Sa. Silbers 5 lb, Sa. Schulden 250 lb, Summa summarum 273 lb – Schulden 56 lb, Nach deren Abzug 217 lb
Copia der Eheberedung (…) auf Sambstag den 6. Jänner im Jahr 1776, Johann Friedrich Lichtenberger Notarius publicis requisitus

Marie Krantz se remarie en 1778 avec le compagnon menuisier Jean Georges Lerff originaire de Reicholzried en Allgäu : contrat de mariage, célébration
1778 (9.5.), Me Greis (Phil. Jacques, 6 E 41, 586) n° 100
(Eheberedung) persönlich erschienen seÿen der Ehrengeachte Johann Georg Lerff, lediger Zimmergesell von Regholzrieth im Altgäu gebürtig, weiland Balthasar Lerff, des gewesenen Zimmermeisters alda und auch weiland Fraun Anna Maria gebohrner Ungelehrtin, beeder Eheleuthen ehelich nachgelaßener majorenner Sohn, als Hochzeiter ane einem,
So dann die tugendsame Frau Maria gebohrne Krantzin, weiland Mathis Mußler des gewesenen Stall Knecht und Schirmers dahier nachgelaßene Witwen beÿständlich Meister Ulrich Maturé des burgers und Schneiders alhier, als Braut ane andern Theil – So geschehen alhier Zu Straßburg in mein des Notarii Schreibstub Anno 1778. Sambstags den 9. Maÿ nachmittags [unterzeichnet] Johann Georg lerff als hochzeiter, + Frau Mariæ Mußlerin der braut handzeich.

Mariage, Saint-Pierre-le-Vieux (cath. p. 251)
Joan. Georgius Lerf et M. Joanna Mussler. Hodie 25 Maji anni 1778 (…) in facie ecclesiæ conjuncti fuerunt (-) Majorenis et orphanus oriundus ex Reicholsrieth diœcesis augustana miles ex legione pedestri Royal Suedois dicta rite* dimissus a biennis in parocha nostra commorans et Maria Joanna Krance vidua defuncti Mathiæ Musler parochiana nostra (signé) Lerff, signum sponsæ x (i 132)

Le manant Jean Georges Lerff est autorisé à héberger des compagnons menuisiers, des compagnons maçons ou des employés sans leur servir de vin
1779, Protocole des Quinze (2 R 189)
(p. 159) Sambstags den 27. Martÿ 1779. Rang. nomine Johann Georg Lerf des Schirmers und Zimmergesellen, Implorant bittet ihme gnädig zu erlauben einigen Zimmer und Maurer gesellen auch bedienten die trockne kost reichen Zu dörffen und setzt, Erkandt, mit dem anhang willfahrt, daß er denselben weder wein noch bier außschencke.

Jean Georges Lerff épouse en secondes noces Marie Anne Burger native de Hochstetten dans la vallée de la Kinzig
1802 (23 vend. 11), Strasbourg 3 (39), Me Übersaal n° 420, 1589 – Enregistrement de Strasbourg, acp 85 F° 173-v du 24 vend. 11
(Eheberedung) sind erschienen der bürger Johann Georg Lerff, Zimmermann allhier wohnhaft, Wittwer der weiland Mariæ Annæ gebohrner Krantz, als Bräutigam an einem,
Und Jungfrau Maria Anna Burger, des weiland Martin Burgern gewesenen Ackersmanns Zu Hochstetten in dem Kinziger Thal, mit auch weiland Maria Anna gebohrner Bächler ehelich erzeugt und hinterlaßene großjährige Tochter, beiständlich des burgers Michael North, Beckers alhier wohnhaft, als Braut an dem andern theil – den 23. Vendémiaire Nachmittag in dem Eilften Jahre der einen und unzetrennlichen francken: Republick [unterzeichnet] Johann Georg merff, + Mariæ Annæ Burgerin handzeichen

Jean Georges Lerff meurt en 1820 en délaissant un fils absent issu de son premier mariage

1821 (25.1.), Strasbourg 1 (37), Me Rencker n° 1341 – Enregistrement de Strasbourg, acp 151 f° 16-v du 30.1.
Inventaire de la succession de Georges Lerff, charpentier décédé le 10 octobre dernier – à la requête de 1. Anne Marie Burger la veuve, 2. Félix Joseph Lex, notaire résidant en cette ville, nommé par jugement du 11 de ce mois, représentant Jean Georges Lerff, fils absent, fils du susdit et de feu Marie Krantz son epouse en premières noces

immeuble de la communauté, une maison avec petite cour, appartenances & dépendances située à Strasbourg rue de Schiltigheim n° 14, d’un côté le Sr Stahlberger menuisier, d’autre la maison forme un coin, estimée 4000 francs
Communauté, meubles. dans la chambre au premier étage à droite en montant l’escalier, dans la chambre au linge sale & au grenier, dans la cuisine, dans la boutique, 219 fr
ensemble 4272 fr – passif 4189 fr, garde robe 50 fr
Contrat de mariage Me Übersaal 30 vendemiaire 10, Testament Me Rencker 29 septembre 1820

Héritiers de Marie Anne Burger, la veuve et les enfants de Martin Volck hypothèquent la maison au profit de l’architecte Jean Chrétien Arnold pour ouvrages faits dans la maison conformément au devis annexé

1830 (26.1.), Strasbourg 7 (81), Me Stoeber n° 12 394
Obligation – Marie Thérèse Aufderbruck veuve de Martin Volck, assistée d’Antoine Ostermann, tonnelier, subrogé tuteur, mère et tutrice légale de A. Théodore, B. Georges, 2. Mathieu Volck, étudiant en théologie fils des conjoints Volck
à Jean Chrétien Arnold, architecte, 200 francs que ce dernier à à prétendre pour ouvrages faits dans la maison spécifiée conformément au devis annexé
hypothèque, une maison appartenances et dépendances sise à Strasbourg rue de Schiltigheim n° 14 faisant le coin de ladite rue et de celle derrière les nouvelles prisons, d’un côté la maison du Sr Burger appartenant aux susdits enfants Volck comme légataires universels de Marie Anne Burger veuve de Jean Georges Lerff, charpentier, suivant testament reçu Me Rencker le 11 mars 1824
Copie d’un devis annexé à la délibération de famille du 10 août 1826. Je soussigne Jean Chrétien Arnold, architecte chargé par la De Thérèse Aufderbruck veuve de Martin Volck cordonnier de voir et examiner la maison située à Strasbourg rue de Schiltigheim n° 14 faisant le coin de ladite rue et de celle derrière les nouvelles prisons donnant d’un côté sur la maison du Sr J. Monnet de l’autre sur celle du Sr Stahlbeger appartenant aux héritiers Volck afin de reconnaitre quelles réparations ou constructions devraient être exécutées pour remettre et entretenir la maison dans sa valeur, me suis rendu sur les lieux et en commençant par examiner l’ensemble de l’immeuble je l’ai trouvé consistant en un bâtiment principal à deux étages, bâtiment du fond à deux étages et aile à gauche de l’enrée à rez de chaussée ainsi que deux cours. Puis entrant dans le détail j’ai reconnu que le mur d’enceinte de la cour extérieure formant le coin de la rue se trouve dans un état de vétusté parfait qu’une partie s’en est écroulée et que le reste menace ruine, que le rez de chaussée du bâtiment principal renferme deux chambres, cuisine, cage d’escalier et lieux, que les deux chambres devraient être blanchies, que le premier étage contient trois chambres, cuisine et cage d’escalier, que la première chambre devrait être plafonnée que les faces de l’alcove de la chambre à droite de l’escalier devraient être enduits en platre et le tout blanchi. Que le second étage consiste en quatre chambres, cuisine et cage d’escalier, que l’une de ces chambres devrait être plafonnée et les murs enduits de platre et que les trois autres seraient à blanchir. Au dessus de cet étage comble couvert de tuiles doubles renfermant deux greniers, la toiture est à remanier.
Puis examinant le bâtiment du fond j’ai trouvé au rez de chaussée une chambre et cuisine. Au premier même distribution ainsi qu’au second étage et dans tous les trois des chambres à blanchir. Dessus comble couvert en tuiles doubles et renfermant un grenier. La toiture est à remanier. Enfin et en dernier lieu l’aile gauche en entrant consiste en un rez de chaussée renfermant deux chambres au dessus comble à un grenier et couvert en tuiles simples à remanier.
Le mur d’enceinte étant tout à fait hors d’état de servir soit pour fermer la cour du côté de la rue soit pour servir de soubassement pour un agrandissement de la maison, devra être abattu complettement et être reconstruit a neuf, or considérant que d’après l’alignement arrêté par le corps municipal de cette ville ledit mur devra être avancé à peu près d’un m 35 cm en avant de celui qui existait et que cet avancement pourroit faciliter tot ou tard l’agrandissement de la maison il me parait convenable de donner au susdit mur en le reconstruisant les fondations et l’épaisseur nécessaire pour pouvoir servir plus tard comme face d’un rez de chaussée en y pratiquant de suite trois croisées et une porte, 2000 fr (…) total 2398 fr

Les héritiers Volck exposent la maison aux enchères

1837 (6.3.), Strasbourg 12 (142), Me Noetinger n° 9037, Retrait – Enregistrement de Strasbourg, acp 248 f° 40-v du 8.3.
n° 8933 du 27 janvier, Cahier des Charges – Jean Chrétien Arnold, architecte, mandataire de 1. Marie Thérèse Aufderbrück veuve de Martin Volck, cordonnier, 2. Jean Marthias Volck, maître d’étude au collège de Strasbourg en son nom et mandataire de Georges Théodore Volck, ouvrier tailleur demeurant à Lyon rue Teraille n° 4, 3. Jean Georges Volck, soldat au 52° régiment de ligne troisième bataillon 6° compagnie en garnison à Avignon
Description de l’immeuble à vendre. Une maison avec écurie, appartenances droits et dépendances sise à Strasbourg rue de Schiltigheim n° 14 faisant le coin de la susdite rue et de celle derrière les nouvelles prisons, d’un côté la maison du Sr Burger, d’autre la maison du Sr Stallberger. Etablissement de la propriété, à Jean Mathias, Georges Théodore et Jean Georges Volck qui l’ont recueilli dans la succession de Marie Anne Burger veuve de Jean Georges Lerff, charpentier, suivant testament reçu Me Rencker le 11 mars 1824 enreg. le 13 août suivant par suite que la veuve Lerff a légué l’usufruit à De Ve Volck née Aufderbrück – une moitié de l’immeuble appartenait à la veuve Lerff qui l’a acquis pendant la communauté des époux de Thérèse & Eugénie Waggin célibataires majeures suivant acte reçu Me Knobloch le 6 avril 1812, l’autre moitié légué par son époux suivant testament reçu Me Rencker le 29 septembre 1820 enreg. le 17 octobre suivant
Adjudication préparatoire du 3 février n° 9006 mise à prix 5000, à M Arnold

L’architecte Auguste Arnold s’en rend acquéreur

1837 (8.6.), Strasbourg 12 (144), Me Noetinger n° 9304 – Enregistrement de Strasbourg, acp 250 f° 70-v du 9.6.
1. Marie Thérèse Aufderbrück veuve de Martin Volck, cordonnier, 2. Jean Marthias Volck, maître d’étude au collège de Strasbourg en son nom et mandataire de Georges Théodore Volck, ouvrier tailleur demeurant à Lyon rue Teraille n° 4, 3. Jean Georges Volck, soldat au 52° régiment de ligne en congé de semestre
à Auguste Arnold, architecte
une maison avec écurie, appartenances droit et dépendances sise à Strasbourg rue de Schiltigheim n° 14 faisant le coin de la susdite rue et de celle derrière les nouvelles prisons, d’un côté la maison du Sr Bürger, d’autre celle du Sr Stallberger – Jean Marthias, Georges Théodore et Jean Georges Volck ont recueilli ledit immeuble dans la succession de Marie Anne Burger veuve de Jean Georges Lerff, charpentier, suivant testament reçu Me Rencker le 11 mars 1824 enreg. le 13 août suivant par suite que la veuve Lerff a légué l’usufruit à De Ve Volck née Aufderbrück. Une moitié de l’immeuble appartenait à la veuve Lerff comma ayant été acquis pendant la communauté des époux de Thérèse & Eugénie Waggin célibataire majeures suivant acte reçu Me Knobloch le 6 avril 1812, l’autre moitié légué par son époux suivant testament reçu Me Rencker le 29 septembre 1820 enreg. 17 octobre suivant – moyennant 5000 francs

Chrétien Auguste Arnold épouse en 1822 Charlotte Arnold originaire de Mayence
1822 (24.5.), Strasbourg 10 (34), Me Zimmer n° 639, 9404 – Enregistrement de Strasbourg, acp 157 f° 156 du 24.5.
Contrat de mariage, réserve des apports et usufruit au survivant – Chrétien Auguste Arnold, architecte né le 12 décembre 1798, fils de Jean Chrétien Arnold, architecte, et de Catherine Dorothée Heitz
Charlotte Arnold demeurant à Mayence, Grand Duché de Bade, fille mineure de Georges Erhard Arnold, directeur des Ponts et Chaussées de Son Altesse royale le Grand Duc de Hesse Chevalier de l’ordre hessois du Lion, née à Mayence le 12 mars 1803 de feu Suzane Fleischmann

Charlotte Arnold meurt en 1830 en délaissant une fille. L’inventaire est dressé dans une maison rue du Jeu des enfants
1830 (13.3.), Strasbourg 10 (82), Me Zimmer n° 765 – Enregistrement de Strasbourg, acp 198 f° 148 du 17.3.
Inventaire de la succession de Charlotte Arnold femme de Chrétien Auguste Arnold, architecte, décédée le 17 septembre dernier – à la requête du veuf père et tuteur légal d’Ida née le 8 septembre 1829 – en présence de François Haerter, ministre du culte près la paroisse évangélique du Temple Neuf subrogé tuteur
dans une maison rue du Jeu des enfants n° 27
mobilier 13 799 fr dont garde robe 423 fr, passif 11 981 fr
Contrat de mariage, Me Zimmer le 24 mai 1822

Chrétien Auguste Arnold, se remarie avec Elise Fleischmann originaire d’Offenbach en Hesse
1830 (3.5.), Strasbourg 10 (82), Me Zimmer n° 802 – Enregistrement de Strasbourg, acp 199 f° 81-v du 4.5.
Contrat de mariage, communauté d’acquets partageable par moitié – Chrétien Auguste Arnold, architecte maçon veuf avec enfants de Charlotte née Arnold décédée le 17 septembre 1829
Elise Fleischmann fille mineure de Ferdinand Fleischmann, fabricant, et de Wilhelmine Pfaltz à Offenbach (Grand Duché de Hesse) née le 7 octobre 1809

Mariage conclu entre le menuisier Albert Melchior natif de Strasbourg et Joséphine Andrea native de Rœschwoog

1885, Mariage, Strasbourg (n° 339)
Strassburg am 6. Juni 1885. Vor dem unterzeichneten Standesbeamten erschienen heute zum Zweck der Eheschließung der Schreiner Albert Melchior (…), katholischer Religion, geboren den 12. August des Jahres 1858 zu Strassburg, wohnhaft zu Straßburg, Sohn des verstorbenen Schneiders Ludwig Melchior, zuletzt wohnhaft zu Straßburg und der Philippine Bronner, wohnhaft zu Straßburg
die Josefine Andrea, Näherin (…), katholischer Religion, geboren den13. März des Jahres 1859 zu Roeschwoog (Unter Elsass), wohnhaft zu Straßburg, Tochter des Briefträgers Nicolaus Andrea, wohnhaft zu Straßburg und der verstorbenen Francisca Stoll, zuletzt wohnhaft zu Straßburg. Als Zeugen waren zugezogen und erschienen den Mechaniker Clemenz Melchior 42 Jahr alt, wohnhaft zu Paris (Frankreich), der Mechaniker Ludwig Melchior, 38. Jahre alt, wohnhaft zu Straßburg (i 94)


Les Maisons de Strasbourg sont présentées à l’aide de Word Press.