51, rue des Grandes Arcades


Rue des Grandes Arcades n° 51 – V 173 (Blondel), puis section 63 parcelle 97 (cadastre)


Le 51 est la maison blanche de gauche (mai 2018)
Le n° 51 est la troisième maison à partir de la gauche (deuxième oriel, dessin d’Albert Kœrttgé, vers 1890, dans Ad. Seyboth, éd. en fr. p. 338)
Oriels des n° 49 et 51 (dessin d’Elise Gerold, BNU)

Le bâtiment qui est aujourd’hui le premier sous lequel s’ouvrent les arcades était jusqu’au début du XIX° siècle le septième (photographie). Adolphe Seyboth signale que l’ancien oriel portait le millésime 1562. La maison appartient au XVII° siècle à des pelletiers. Jonas Gassner qui l’acquiert en 1613 la transmet à ses ayants droit Jean Henri Rœhmer puis Jean Mathias Schmidtmeyer qui obtient en 1701 l’autorisation d’enclore comme ses voisins un terrain communal devant sa maison. Les préposés au bâtiment imposent en 1707 les arcades si les propriétaires y vendent des marchandises. D’après le billet d’estimation dressé en 1750, la maison comprend un rez-de-chaussée surmonté de trois étages ordinaires et d’un quatrième où se trouvent trois chambres dallées. Le bâtiment arrière est relié au bâtiment avant par des galeries. La maison est estimée au cours du siècle à environ 2 000 livres. Le marchand de soie Jean Jacques Schæffer l’achète en 1753 et la transmet à son gendre le marchand Jean Georges Schweighäusser. Le marchand de verre Jean Geoffroi Eckel est autorisé en 1786 à ouvrir pendant neuf ans au premier étage une communication avec la maison voisine de Jean Louis Schlag (actuel n° 53).


Elévations préparatoires au plan-relief de 1830, îlot 187, cour K (© Musée des Plans-relief) 1

L’Atlas des alignements (années 1820) signale un bâtiment à quatre étages en maçonnerie. Le plan des Ponts-et-chaussées (1856) ne compte pas le quatrième étage comme un étage ordinaire. Sur les élévations préparatoires au plan-relief de 1830, la façade est la deuxième à droite du repère (b) ; une arcade au rez-de-chaussée, trois fenêtres au premier (oriel), deux fenêtres à chacun des trois autres étages. La toiture comprend cinq niveaux de lucarnes comme ses deux voisines. La cour (K) montre la façade arrière (4-1) du bâtiment sur rue, le bâtiment arrière (2-3), relié au premier par un bâtiment (1-2) en forme de galeries au nord, le sud étant séparé par un mur (3-4) de la propriété voisine.
La maison porte d’abord le n° 36 (1784-1857) puis le n° 51.


Plan des Ponts-et-Chaussées, 1856 (ADBR, cote 2 SP 52)

Le pelletier Gustave Henri Eyrich réunit en 1878 la maison à la voisine (n° 53) qu’il a acquise en 1863. Victor Baltzer fait transformer en 1901 les bâtiments par la société Th. et Ed. Wagner qui aménage des cabinets d’aisance et remplace les arcades par des piliers en fer. Le propriétaire transforme le premier étage en 1904, il y fait poser un nouvel oriel en fer. Il fait installer des vitrines autour des piliers sous les arcades en 1907. Le propriétaire est autorisé à titre exceptionnel en 1910 à rehausser le n° 53 qui atteindra ainsi la même hauteur que le numéro 51, supérieure à la hauteur maximale déterminée par la largeur de la rue. Victor Baltzer charge en 1923 l’architecte Henri Garnon de transformer et rehausser les bâtiments sur cour en pans de bois au 51, rue des Grandes Arcades pour servir d’atelier. La Commission des Beaux-Arts s’oppose à la décoration multicolore prévue lors du réaménagement du magasin en 1934.
Le Ministère de la Reconstruction et de l’Urbanisme ajourne sine die en 1948 un projet de modifier l’intérieur et l’extérieur du bâtiment, notamment en ouvrant des fenêtres dans le mur nord à l’entrée des arcades. Le propriétaire est autorisé la même année à faire des réparations urgentes, en l’occurrence à réparer les sous poutres et les solives du premier étage et à supprimer l’oriel en façade.


Elévation en 1904 puis en 1910, après ajout d’un étage au n° 53
Plan du rez-de-chaussée, n° 51-53, 1900 (dossier de la Police du Bâtiment)


Rez de chaussée et premier étage en 1901 puis en 1936 (dossier de la Police du Bâtiment)

Le n° 51 sur la gauche est aujourd’hui le premier bâtiment sous lequel s’ouvrent les arcades
Oriel du n° 49 au milieu, du n° 51 sur la droite (vers 1890, BNU)


Carte postale, vers 1910 (publiée par Hamm, Strasbourg en cartes postales, 1992)
Vue en 1947 et élévations des n° 47-55 en 1961 (Erasme Schwab, dossier de la Police du Bâtiment)

février 2020

Sommaire
Cadastre – Police du Bâtiment dossier I, dossier IIRelevé d’actes

Récapitulatif des propriétaires

La liste ci-dessous donne tous les propriétaires de 1610 à 1952. La propriété change par vente (v), par héritage ou cession de parts (h) ou encore par adjudication (adj). L’étoile (*) signale une date donnée par les registres du cadastre.

Bernard Betz, pelletier
1613 v Jonas Gassner, pelletier, et (1611) Catherine Graner, veuve de Pierre Zipperer, remariée (1634) au pelletier Jean Adolphe Eck – luthériens
1658 h Jean Henri Rœhmer, pelletier, et (1647) Barbe Klein – luthériens
1690 h Jean Mathias Schmidtmeyer, pelletier, et (1671) Barbe Klein, veuve de Jean Henri Rœhmer, (1691) Catherine Riff puis (1700) Susanne Marguerite Spangenberger – luthériens
1720 h Jean Mathias Schmidtmeyer, pelletier, et (1716) Marie Salomé Hansmetzger – luthériens
1753 v Jean Jacques Schæffer, marchand de soie, et (1734) Marie Marguerite Birr, veuve du boutonnier Philippe Jacques Faust – luthériens
1767 h Jean Georges Schweighæusser, marchand, et (1763) Marie Marguerite Schæffer – luthériens
1781 v Jean Geoffroi Eckel, marchand de verre, et (1770) Marie Cléophée Otto – luthériens
1794 v Jean Théophile Kusian, aiguilletier, et (1785) Marguerite Salomé Griesbach – luthériens
1801 v Jean Philippe Leinert, selllier, et (1791) Salomé Harnack – luthériens
1820 adj Jean Jacques Ott, tanneur, et (1783) Catherine Marguerite Bœswillwald – luthériens
1830 h Chrétien Ott, tanneur, et (1820) Dorothée Schaaff
1878* v Gustave Henri Eyrich, pelletier, et (1858) Fanny Sophie Vierschrodt
1902* Victor Baltzer, négociant, et Marie Siehr

Valeur de la maison selon les billets d’estimation : 1900 livres en 1715, 2100 livres en 1750, 1750 livres en 1767

(1765, Liste Blondel) V 173 Jean Jacques Schaeffer
(Etat du développement des façades des maisons, AMS cote V 61) Schweigheißer, 2 toises, 0 pied et 8 pouces
(1843, Tableau indicatif du cadastre) N 1076, Ott, Chrétien, tanneur rue des Dentelles – maison, sol – 1,45 are / 1,30
N 1076 bis, Strasbourg, la Ville – sol – 0,15 are

Locations

1779, Jean Gay, marchand libraire
1807, Caroline Wilhelmine Christine de Bernhold veuve du colonel Jean Leopold Dettlingen
1817, Madeleine Reine Dupré veuve du perruquier Joseph Schmalbach
1839, Casimir Blanc, serrurier, et Salomé Griesbach
1862, Gustave Henri Eyrich, pelletier (futur propriétaire)

1673, Livre des loyers communaux, VII 1466 (1673-1741) f° 660
Jean Mathias Schmidmeyer doit pour un terrain communal inscrit au registre des Préposés au bâtiment un cens de 3 livres 10 sols

Herr Johann Mathias Schmidmeÿer (W), Soll vom Allmend platz vor Seiner unter der Erbslauben gelegenen behaußung welche zu beeden seithen vom hauß herauß Neun Schuh und Neun Zoll in der länge, in der breite aber 15. Schuh breit ist jahrs auf Martini und A° 1702. I.mo l. Prot: de 1701. fol: 140, 3 lb 10 ß
[in margine :] V 665
(Quittungen, 1702-1741)
Neuzb. fol 266

1673, Livre des loyers communaux, VII 1466 (1673-1741) f° 665
Différents propriétaires des maisons aux Grandes Arcades doivent régler un cens pour le droit d’occuper le passage communal

Herr Johann Matthias Schmidmeÿer der Kürßner, Herr Johann Jacob Rauch ([corrigé en] Leonhard Lercher) der buchhändler, Johann Georg Strohl ([corrigé en] Johann Daniel Helmstätter) der Melmann, und Herr Johann Daniel Lang der Seidenhändler, sollen gleichfalls von denen Schwibbögen vor ihren unter der Großen Erbslauben liegenden Häußern, solang Sie selbige mit Kästlein oder Ständlein verstellen laßen, und gegen einem Jährlichen zinß verlehnen werden, laut Prot: de 1707. fol: 166. vf Joh: Baptæ und A° 1708. I.mo, jeder macht 4 lb
an L. Larche Platz ist Antoine Raynal S. 169, Neuzb. fol 265
Neuzb fol 264-b, Helmstätter Vid. 272-b
Neuzb fol 263-v Cath: Bontems Mr Savary Wit. v. 84 et 590
Neuzb. fol 266

1741, Livre des loyers communaux, VII 1470 (1741-1802) f° 266
Mêmes loyers reportés dans le nouveau registre

alzb. 660, 665
Johann Matthias Schmidmeÿer, Soll vom Allmend platz vor Seiner unter der Erbslauben gelegenen behaußung welche zu beeden seithen vom Hauß herauß 9 schuh und 9 Zoll in der länge, in der breite aber 15. schuh breit ist Jahrs auf Martini (id est 11. Nov. – 21 Brumaire), 3 lb 10 ß
[in margine :] C 139
Ferner von dem Schwibbogen vor obbesagter behaußung, so lang Er selbigen mit Kästlein oder Ständlein verstellen laßen, und gegen einem Jährlichen zinß verlehnen wird, Jahrs auf Johannis Baptæ (id est 24 Junii) 1 lb
[in margine :] M.C. 179
(Quittungen, 1740-an 10)
Joh: Jacob Schäfer
jetzt Hr Joh: Georg Schweighäuser, Seidenhdlers uxor nôe ex hæred. paterna
modo hr.Joh: Gottfried Emanuel Eckel Glashändler laut Lfbrf
Gottlieb Cusian der Nadler

Préposés au bâtiment (Bauherren)

1701, Préposés au bâtiment (VII 1379)
Les Préposés au bâtiment autorisent Jean Mathias Schmidtmeyer à enclore comme ses voisins un terrain communal de neuf pieds neuf pouces sur 15 pieds de large devant sa maison

(f° 139-v) Dienstags den 11. Ejusd: [8.bris] – Herr Johann Matthæus Schmidtmeÿer umb einzäunung des allmends
Herr Johann Matthæus Schmidtmeÿer der Kürßner ersucht MGHh. underthänig Ihme gnd. Zuerlauben, daß Er das allmend Vor seiner unter der Großen Erbslauben gelegenen behausung gleich seinen Nachbaren einzäunen und Zumachen laßen dörffe. Der Statt Lohner und beede Werckmeistere berichten, daß Sie dieser Allmend platz committirter maßen abgemeßen und denselben zu beeden seithen Vom Hauß Herauß Neün schuhe und Neün Zoll inn der Länge in der breite aber 15 schuhe breit gefunden hätten. Erk. Wurdt demselben in seinem begehren Willfahrt, soll aber solchen platz jährlichen auff Martini und A° 1702. primo mit 5 lb d Zuverzinnßen, mod: à 3 lb 10 ß d.

1707, Préposés au bâtiment (VII 1382)
Les préposés invitent Jean Mathias Schmidtmeyer à libérer l’arcade ou à régler un cens.

(f° 144-v) Dienstags den 8. Februarÿ 1707. Herr Johann Daniel Lang pt° Verzinnung seines Schwibbogens. – Monsieur Paul Tribert, der Confisseur, ward beschickt und Jhme angezeigt, daß Er die Städlein unter seinem Schwibbogen Vor der unter der Großen Erbslauben liegenden behausung entweder Hinweg thun oder dem Pfenningthurn i. lb. darvon Verzinnßen solte. Ille berichtet daß Er diese Ständlein nicht dahin gesetzt hätte, sondern herr Johann Daniel Lang, der Seidenhändler, deme das Hauß darinnen Er wohnte Zugehörte, es würden MGhh. Ihme einen großen gefallen erweisen, wann Sie diese Leüthe vor seinem Wohnhauß Hinweg thun würden, indeme Sie Ihme sehr hinderlich wären und Ihme den Zugang Zu seinem Laden Versperrten, Er müßte herrn Langen einen großen haußzinnß geben und leiden, daß Er von diesen Leüthen Zinnß einnehme. Erk. Soll Herr Lang beschickt werden.
(f° 145) Herr Johann Mathias Schmidtmeÿer, pt° seines Schwibbog. – Herr Johann Mathias Schmidtmeÿer, der Kürschner, ward beschickt und Ihme gleichmäßiges angezeigt, welcher sich Zu keinem zinß Verstehen wolle, sondern Vorgewendet, Er müßte seinen Laden thewer genug Verzinnßen, Er könte den Schwibbogen nicht auch Verzinnßen. Erk. Soll den platz unter dem Schwibbogen raumen und lähr stehen laßen.
(f° 145) Herr Johann Daniel Botzon pt° dgl. – Herr Johann Daniel Botzon, der Seidenhändler, ward deßwegen gererchtferttiget, welcher sich weder Zum Zinnß Verstehen noch den Schwibbogen räumen. Erk. ut ante.

1707, Préposés au bâtiment (VII 1382 Bauherren)

Ständt unter der Großen Erbslauben – Die Einwohner unter der Großen Erbslauben erklären sich entweder die unter Ihren Häußern befindliche mit Ständlein und Kästlein bestellte und umb einen Zimlichen großen zinnß Verlühene Schwibbögen entweder Zuraumen oder dem Pfenningthurn Von jedem Schwibbogen 1. lb. d zinnß jährlichen Zuerlegen, nemblichen
Herr Michael Fröreisen
Johann Georg Müller
Emanuel Dietschen Kinder
Johann Georg Schuhler
Mr Claude Camel
Herr Johannes Roser – Herr Johannes Roser, der Küeffer, Verspricht ein gleichmäßiges zuthun
Gottfried Glock
Herr Georg Jacob Duppert
Herr Johann Henrich Schadenmann
herrn Johann Wolffgang Platzen W.
Herr Johann Wilhelm Starck
Johannes Roht (Johann Roth)
Herr Adam Nagel, der Weinhändler Will das Allmend unter seinem Schwibbogen lähr stehen laßen
Rudolph Schranckenmüller, der Weißbeck, Herr Johann Mathias Schmidmeÿer, der Kürßner, Herr Johann Jacob Rauch, der Buchhändler, Johann Georg Strohl, der Meelmann und Herr Johann Daniel Lang, der Seidenhändler, Versprechen insgesampt die Schwibbögen unter Ihren häußeren, so lang Sie das darunder befindliche Allmend genießen werden, Zuverzinnßen.

1745, Préposés au bâtiment (VII 1401
Les préposés indiquent à Jean Gangolff et à Jean Mathias Schmidtmeyer la hauteur des dalles qu’ils pourront poser. Jean Gangolff propose de prendre des pavés qui seront moins chers et plus durables. Les préposés invitent tous les habitants des Grandes Arcades à recouvrir les tuyaux de descente pour qu’ils ne représentent pas de danger la nuit

(f° 134-v) Dienstags den 30. Ejusdem [9.bris], seÿnd folgende Augenschein eingenommen worden.
Johannes Gangolff – Joh: Mathias Schmidmeÿer – Gewerbslaub
Unter der großen Gewerbslaub Vor Johannes Gangolffen des schneiders und Johann Mathias Schmidmeÿers des Kürßners Häußern, welchen Vermittelst einer gespannten schnur die Höhe gewießen worden, in welcher Sie die steinere platten Vor ihren häußern Können legen laßen, gangolff sagte er wolte lieber mit Wacken pflästern, theils weilen es dauerhaffter, und theils weilen es nicht so viel Kostet, Ist ihme solches freÿgestellt. Übriges solle denen sambtlichen Inwohnern Unter der Großen und Kleinen Gewerbslaib angezeigt werde, daß Sie die Näche Vor ihren Häußern bedecken sollen, weilen beÿ der Nacht gefährlich darüber zugehen ist.

1786, Protocole des Quinze (2 R 196)
Jean Geoffroi Eckel est autorisé à ouvrir au premier étage une communication avec la maison voisine de Jean Louis Schlag (actuel n° 53) pendant neuf ans

Durchbruch 307 Johann Gottfried Eckel, Johann Ludwig Schlag Vöghändler pt° communication, 330
(p. 307) Sambstag den 9.ten Septembris 1786. – Rang nomine H. Johann Gottfried Eckel des hiesigen burgers und Glaßhändlers, der Implorant mit seinem nachbaren H Joh: Ludwig Schlag dem burger und Vöghändler über eingekommen in ihrem an einander stoßenden Haüßern, sowohl unten in ein und durchgang als auch auf dem ersten stock eine Communications vermittelst durchbruchs zu errichten, als bitt gnädig zu erlauben solches thun du dörfen. Erkandt Obere bauhh.

(p. 330) Sambstags den 23.sten Septembris 1786. – Obere Bauhh. laßen durch H. Secretarium Widt referiren, es habe H. Eckel gebetten ihme Zu erlaube,Zweÿ thüren eine in dem rez de chaussée, die andere im ersten stock in H. Schlag seines nachbaren hauß mit dessen einwilligung durchbrechen Zu dörfenn dem H. Deputirten habe beÿ eingenommenen augenschein nichts wahrnehmen können welches weder dem publicum noch gemeiner statt nachteilig seÿn könte, und der die convention unter beeden nachbaren auf neun jahr dießerwegen getroffen worden, als haben sie geglaubt das dem H. Imploranten gegen einer Zu bestimmenden retribution auf löbl. Stadt Pfenningthurn in seinem begehren könte willfahrt werde .
Erkandt gegen Erlag von 6. fl. ein für allemal willfahrt.

Description de la maison

  • 1715 (billet d’estimation traduit) la maison comprenant un bâtiment arrière, un passage latéral, une échoppe, une cave voûtée est estimée avec ses appartenances et dépendances à la somme de 3800 florins
  • 1750 (billet d’estimation traduit) la maison comprend au rez-de-chaussée une échoppe, un petit poêle derrière, au premier étage un poêle, un vestibule où se trouve la cuisine, au deuxième un poêle, et un vestibule, le troisième étage est pareil au premier, au quatrième se trouvent trois chambres dallées, le comble a une double couverture de tuiles plates et deux greniers dallés, la cave est voûtée, il y a en outre un puits, item un bâtiment arrière et un passage latéral où se trouvent plusieurs chambres et le bûcher, le comble a une double couverture de tuiles plates, le tout estimé avec ses appartenances et dépendances à la somme de 4200 florins
  • 1767(billet d’estimation traduit) la maison comprend une échoppe, une arrière boutique, item plusieurs poêles, chambres et cuisines, le comble est couvert de tuiles plates, la cave est voûtée, le tout estimé avec le puits, appartenances et dépendances à la somme de 3500 florins

Atlas des alignements (cote 1197 W 37)

2° arrondissement ou Canton nord – Rue des Grandes Arcades

nouveau N° / ancien N° : 42 / 36
Lienert
Rez de chaussée et 4 étages médiocres en maçonnerie
(Légende)

Ponts et Chaussées

1856 (ADBR, cote 2 SP 52) N° 36, 3 E S P (Maison à trois étages, construction solide en pierre)

Cadastre

Cadastre napoléonien, registre 21 f° 318 case 2

Ott, Chrétien, rue des dentelles N° 10 Strasbourg, grandes arcades 36

N 1076, maison, sol, grandes arcades 36
Contenance : 1,30
Revenu total : 324,67 (324 et 0,67)
Folio de provenance : (318)
Folio de destination : Gb
Année d’entrée :
Année de sortie :
Ouvertures, portes cochères, charretières :
portes et fenêtres ordinaires : 22 / 18
fenêtres du 3° et au-dessus : 7 / 6

Cadastre napoléonien, registre 23 f° 1093 case 2

Ott, Chrétien, quai St Nicolas 18, rue d’Austerlitz 9, des bouchers 1, rue des arcades 51
1879 Eyrich, Gustav Heinrich, Pelzhändler
1902 Baltzer Viktor, Pelzwaarenhändler und Ehefrau Maria geb. Siehr in Gg.
(ancien n° 841)

N 1076, maison, sol, Rue des arcades 51
Contenance : 1,30
Revenu total : 324,67 (324 et 0,67)
Folio de provenance : (318)
Folio de destination : Gb
Année d’entrée :
Année de sortie :
Ouvertures, portes cochères, charretières :
portes et fenêtres ordinaires : 22 / 14
fenêtres du 3° et au-dessus : 7 / 7

Cadastre allemand, registre 32 p. 477 case 1

Parcelle, section 63, n° 97 – autrefois N 1076, 1077
Canton : An den Gewerbslauben Hs N° 53 / 51
Désignation : Hf, Whs u N.G. / Hf, Whs e. n. a. T.
Contenance : 2,33 / 2, 37
Revenu : 2800 – 5900 – 8500
Remarques : von N° 98

(Propriétaire), compte 1771
Baltzer Viktor und Ehefr.
(gelöscht)

(Propriétaire suivant), compte 3553
Stuhl, Gottfried Wilh. und Ehefr.
1912 Stuhl Gottfried Wilhelm
1923 Eschbach Jean commerçant
1929 Baltzer Victor négociant et son épouse Marie née Siehr en comm. de biens
1947 Baltzer Victor sa veuve née Siehr
(650)

1789, Etat des habitants (cote 5 R 26)

Canton V, Rue 131 Grandes Arcades p. 24536
Pr. Ekel, Jean Geoffroid, Marchand – Echasse

Registres de population

1795, 600 MW 6 (Registres de population)

6° section, Grandes Arcades N° 36
Jean Theophile Kusian, 40, Epinglier, Strasbourg
Marie Salomé née Griesbach, 30, Epouse, id
Catherine Stroh, 24, Servante, id
– Krug, 76, veuve, id
Krug, 30, sa fille couturiere, id
Catherine Kulmann, 40, faiseuse de robes, Selz

légende

Annuaire de 1905

Verzeichnis sämtlicher Häuser von Strassburg und ihrer Bewohner, in alphabetischer Reihenfolge der Strassennamen (Répertoire de toutes les maisons de Strasbourg et de leurs habitants, par ordre alphabétique des rues)
Abréviations : 0, 1,2, etc. : rez de chaussée, 1, 2° étage – E, Eigentümer (propriétaire) – H. Hinterhaus (bâtiment arrière)

Gewerbslauben (Seite 48)

(Haus Nr.) 51 u. 53.
Baltzer, Pelzwarenhandlung. E 02
Scherzer, Schneider. 3
Romer, Schneidermstr. 4
Hatt, Wäscherin, H 4

Dossier de la Police du Bâtiment (cote 802 W 83)

Grandes Arcades n° 51-53, dossier I (1885-1948)

Le pelletier Gustave Henri Eyrich charge en 1885 les entrepreneurs Schoop et Mayer de raccorder la maison aux canalisations. Victor Baltzer fait transformer en 1901 les bâtiments par la société Th. et Ed. Wagner qui aménage des cabinets d’aisance et remplace les arcades par des piliers en fer. Le propriétaire transforme le premier étage en 1904 et fait un nouvel oriel en fer. Il fait installer des vitrines autour des piliers sous les arcades en 1907.
C. Baltzer est autorisé à titre exceptionnel en 1910 à rehausser le n° 53 qui atteindra ainsi la même hauteur que le numéro 51, supérieure à la hauteur maximale déterminée par la largeur de la rue. Il y fait installer un atelier de pelletterie desservi par un ascenseur. Victor Baltzer charge en 1923 l’architecte Henri Garnon de transformer et rehausser les bâtiments sur cour en pans de bois au 51, rue des Grandes Arcades pour servir d’atelier. La Commission des Beaux-Arts s’oppose à la décoration multicolore prévue par le fourreur Baltzer qui transforme le magasin en 1934.

Sommaire
  • 1885 – Le maire enjoint le pelletier Gustave Henri Eyrich (51, 53 rue des Grandes Arcades) de faire ravaler la façade
    1885 (septembre) – Les entrepreneurs A. Schoop et G. Mayer (39, rue des Bouchers) demandent l’autorisation de raccorder la maison aux canalisations par deux tuyaux. – Henri Eyrich et les entrepreneurs sont autorisés à poser un raccord – Travaux terminés, novembre – Dessin
    1886 – Nouvelle injonction de ravalement – Travaux terminés, septembre 1886
  • 1901 – Victor Baltzer fait transformer les bâtiments par la société Th. et Ed. Wagner
    1901 (juin) – Th. et Ed. Wagner (14, rue des Livres) demandent au commissaire de police l’autorisation d’occuper la voie publique. Le commissaire transmet au maire. – Autorisation – Le délai est prolongé de douze jours
    1901 (août) – La fabrique strasbourgeoise de parquets (Strassburger Parquetfabrik, à Schiltigheim) demande au commissaire de police l’autorisation de poser un chaudron d’asphalte sur la voie publique devant les 51, 53 rue des Grandes Arcades. Le commissaire transmet au maire. – Autorisation – Travaux terminés, septembre
  • 1900 – Le maire enjoint la veuve Eyrich (51, 53 rue des Grandes Arcades) de faire ravaler la façade – Le propriétaire demande de repousser les travaux jusqu’au printemps où il a prévu refaire les volets – Le ravalement n’est pas fait mais des transformations ont lieu au rez-de-chaussée – Autre injonction au nom de Victor Baltzer, mai 1901 – Le ravalement est terminé, novembre 1901.
    1901 – L’entrepreneur A. Wagner (21, rue Déserte) est autorisé à poser un échafaudage sur la voie publique pour ravaler la façade
    1901 (mars) – L’entrepreneur Th. et Ed. Wagner demande au nom de Victor Baltzer l’autorisation de transformer le bâtiment – La Police du Bâtiment transmet une liste de conditions à respecter – Calcul statique – Autorisation
    Suivi des travaux. Les démolitions sont en cours, avril. Le gros œuvre des nouveaux cabinets d’aisance est terminé, le bâtiment dans la cour n’est pas encore démoli (mai) – Plan du rez-de-chaussée et du premier étage, coupe – Plan du bâtiment arrière
    1901 (juin) – L’entrepreneur Th. et Ed. Wagner demande l’autorisation de remplacer les arcades par des piliers en fer. Calcul statique – Autorisation
    Les étais sont posés. La structure en fer est commencée, juillet. Le gros œuvre est fini, août – Les transformations sont terminées, quelques peintres travaillent encore. Les travaux sont entièrement terminés, janvier 1902
    1901 (juin) – L’entrepreneur Th. et Ed. Wagner soumet un avenant. Dessin du rez-de-chaussée et du premier étage, représentant l’oriel au n° 51.
  • 1904 – Le service des eaux informe Victor Baltzer que la maison peut être raccordée aux canalisations
    1904 (juillet) – L’entrepreneur Th. et Ed. Wagner demande au nom de Victor Baltzer l’autorisation d’occuper la voie publique pour transformer le premier étage. Le commissaire de police transmet la demande au maire – Autorisation – Prolongation
    1904 (juillet) – Victor Baltzer demande l’autorisation de poser un oriel en fer au premier étage – Autorisation – La structure en fer est terminée, août – Dessin – Calcul statique – Réception finale, octobre 1904
  • 1907 – L’entrepreneur Th. et Ed. Wagner demande au nom de Victor Baltzer l’autorisation de ravaler le N° 51 – Autorisation – Travaux terminés
    Autre demande, autorisation de poser un échafaudage sur la voie publique – Autorisation – Prolongation
  • 1907 – Le pelletier C. Baltzer demande l’autorisation de poser une vitrine contre le premier pilier sous le passage des arcades alors que le nouveau bâtiment voisin (brasserie au Lion) est terminé. Croquis – Refus motivé par la circulation des passants (27 avril) – Autorisation de poser une vitrine sur le sol communal (17 mai)
  • Commission contre les logements insalubres. 1902, 51-53, rue des Grandes Arcades, Propriétaire, Baltzer demeurant sur place. La chambre du logement Romer ne doit plus servir de chambre à coucher
    1904, rien à signaler
    Commission des logements militaires, 1915, rien à signaler
  • 1907 – Le maire enjoint Victor Baltzer (51, 53 rue des Grandes Arcades) de faire ravaler la façade
    Victor Baltzer déclare que le support de lampe qu’il avait fait poser en même temps que l’oriel quatre ou cinq ans plus tôt est devenu inutile – Autorisation puisque le support est toujours en place
  • 1910 – C. Baltzer demande l’autorisation de démonter l’ancien toit du bâtiment avant et d’y aménager un atelier – La Police du Bâtiment répond que les transformations sont interdites aux bâtiments en avant de l’alignement légal. – Dessin et alignement légal – L’architecte municipal Beblo intercède en faveur du projet – Le bâtiment atteindrait 16 mètres de haut mais la hauteur maximale autorisée dans une rue de 12,50 m de large est de 15,50 mètres – Nouvelle intervention de Beblo pour des raisons d’aspect – Accord sur la hauteur du n° 53 qui atteindra celle du n° 51, soit 16 mètres – Autorisation – Dessins – Th. et Ed. Wagner établissent le calcul statique. La Police du Bâtiment demande la preuve que le rez-de-chaussée est assez solide pour supporter le poids de la nouvelle construction, Th. et Ed. Wagner répondent que la démolition du pignon sur trois étages libère le rez-de-chaussée des charges. – Le gros œuvre est terminé (avril). Reportée parce que le nouvel escalier n’est pas encore crépi, la réception finale a lieu en juillet.
    1910 (juin) – Th. et Ed. Wagner demandent au nom du propriétaire l’autorisation d’établir un ascenseur électrique. La Police du Bâtiment demande une description de l’ascenseur à l’ingénieur Rodolphe Engelmann (Fabrique de machines Charles Flohr, 26, rue Manteuffel, ensuite rue du Maréchal Foch) – Autorisation – Dessins, description (pour 4 personnes, la cage pèse 650 kg) – Réception finale, septembre
    1910 (août) – C. Baltzer transmet la description de l’atelier au cinquième étage (16,50 ou 15,00 mètres de long sur 8 de large et 3,25 mètres de haut) où travaillent au plus quatre personnes – L’inspecteur du travail indique les conditions à respecter dans l’atelier de pelleterie – Autorisation d’aménager un atelier mécanique de pelleterie – Travaux terminés, octobre – Dessins
  • 1913 – Victor Baltzer demande l’autorisation de placer des vitrines comme son voisin Fischer (n° 55) sous les arcades. Une note signale que les vitrines en place devraient suffire et qu’elles ne devraient pas être agrandies – Victor Baltzer est autorisé à remplacer trois vitrines – Dessin – Les décorations au-dessus des vitrines sont conservées malgré les termes de l’autorisation
  • 1914 – Les entrepreneurs Sigel Frères (26, rue des Juifs) demandent au commissaire de police l’autorisation de poser un échafaudage sur la voie publique pour ravaler la façade. Le commissaire transmet au maire – Autorisation de ravaler le n° 51
  • 1923 – Jean Eschbach et Victor Baltzer demandent l’autorisation de transformer les mansardes dans les bâtiments arrière aux numéros 51-53 et 57. Les transformations au n° 57 sont ajournées parce qu’elles supprimeraient deux logements. Conditions à respecter au n° 51-53. Architecte Henri Garnon (40, boulevard du Président Wilson). Entrepreneur, Th. et E. Wagner (rue Adolphe-Seyboth). Autorisation de transformer et rehausser les bâtiments sur cour au 51, rue des Grandes Arcades pour servir d’atelier – Dessin
    Lors des travaux, on constate que le mur entre les bâtiments sur cour n’est pas assez solide pour soutenir les supports qui devront reposer sur les murs coupe-feu – Calcul statique – La sous-poutre ne donne lieu à aucune objection mais le pan de bois ne correspond pas aux termes de l’autorisation quoique la solidité soit assurée – Le crépi est terminé (juillet 1924), le dossier est classé, septembre 1924
  • 1926 – La Police du Bâtiment constate que l’agence Friedlin (18, quai Saint-Nicolas, prochainement 47-49, rue des Grandes Arcades) a posé sans autorisation une vitrine sur la façade – Demande de poser une enseigne à l’entrée des arcades – Autorisation
  • 1927 – G. Lipsky (photos Mercure) demande l’autorisation de poser une enseigne en tôle émaillée au-dessus de la vitrine de l’agence Friedlin – Autorisation
  • 1927 – Les Frères Sigel (26, rue des Juifs) demandent au nom de la maison Eschbach et Baltzer l’autorisation de poser une enseigne plate sur verre – Autorisation – Maquette
  • (Pièces propres au n° 53)
    1886 – Le journal L’Alsacien rapporte qu’un incendie s’est déclaré au troisième étage du 53, rue des Grandes Arcades – La Police du Bâtiment rédige un rapport (pièces de bois proches de la cheminée)
  • 1902 – L’entreprise Nicot (17, place Saint-Etienne) est autorisée à poser un chaudron d’asphalte sur la voie publique devant le 53, rue des Grandes Arcades
  • 1920 – Les Frères Sigel (26, rue des Juifs) demandent l’autorisation de poser un échafaudage sur la voie publique pour repeindre la façade et remplacer les inscriptions en allemand par de nouvelles en français – Accord
  • 1934 – Le fourreur Baltzer demande l’autorisation de transformer un magasin – La Commission des Beaux-Arts s’oppose à la décoration multicolore. Seules seront autorisées les teintes grises au rez-de-chaussée et crème sur la façade – Autorisation de revêtir en fibrociment à l’amiante l’encadrement de la devanture et de peindre l’encadrement et les fenêtres. Architecte, Schwab, rue Saint-Maurice – Plan de situation, dessin (plan, rez-de-chaussée et étage, élévation aux couleurs refusées) – Travaux commencés, juin 1935, terminés, juillet 1935
  • 1936 – La Police du Bâtiment constate que le fourreur Jules Baltzer a posé sans autorisation une enseigne – Demande – Autorisation – Dessin
    1938 – Les fourrures P. Baltzer et fils demandent l’autorisation de poser des enseignes provisoires sur calicot dans la partie supérieure des arcades (croquis) – Accord
    1939, idem
  • 1948 – La société Th. et Edm. Wagner est autorisée à occuper la voie publique pour réparer l’oriel

Dossier II de la Police du Bâtiment (cote 802 W 84)

Grandes Arcades n° 51-53 (1947-1991)

Le Ministère de la Reconstruction et de l’Urbanisme ajourne sine die en 1948 la demande, jugée inopportune, de la veuve Baltzer de modifier l’intérieur et l’extérieur du bâtiment. Le projet prévoyait entre autres d’ouvrir des fenêtres dans le mur nord à l’entrée des arcades. Le propriétaire est autorisé la même année à faire des réparations urgentes, en l’occurrence à réparer les sous poutres et les solives du premier étage et à supprimer l’oriel en façade. La société Baltzer et fils vend en 1961 l’immeuble qui sert entièrement à l’exploitation commerciale à la société anonyme Taourel (Alger et Oran). Le nouveau propriétaire réaménage les locaux en supprimant les cloisons du rez-de-chaussée. Le magasin de prêt-à-porter Pimkie s’installe en 1987 dans les anciens locaux Taourel.

Sommaire
  • 1947 (mai) – La veuve Marie-Jeanne Baltzer dépose une demande de permis de construire pour transformer et modifier l’intérieur et l’extérieur du bâtiment (bâtiment arrière et bâtiment du milieu) sous la direction des architectes J. et E. Schwab (Erasme Schwab, 3, rue Saint-Maurice) – Plan de situation (la parcelle rejoint la ruelle Sainte-Marguerite à l’arrière des deux maisons qui n’en séparent), dessin (coupes, plan des différents niveaux) – La demande jugée inopportune est refusée.
    Autre demande, pour améliorer les installations. La parcelle est en avant de 80 centimètres ruelle Sainte-Marguerite. L’architecte municipal souhaite que les bâtiments soient mieux aérés. Il faudra aussi déterminer qui est propriétaire du pignon vers l’ouest. Parmi les croquis de la façade, l’architecte municipal retient le n° 7 (le pignon ouest est percé d’une ou de deux fenêtres, l’angle est ou non arrondi et décoré, l’oriel de façade est supprimé)
    1948 (mars) – Le Ministère de la Reconstruction et de l’Urbanisme rejette la demande, « ajournée sine die, travaux jugés inopportuns »
  • 1948 (mars) – Autre demande, pour réparer les sous poutres et les solives du premier étage et supprimer l’oriel en façade. Dessin. L’architecte Erasme Schwab expose au préfet que l’oriel est dangereux pour le circulation publique et qu’il projette de le remplacer par deux fenêtres identiques aux autres. L’ bâtiment est inscrit à l’inventaire des sites par arrêté du 16 juin 1946.
    1948 (mars) – Rapport que constate que le bâtiment construit au XVIII° siècle a souffert des bombes tombées à 20 mètres et que les travaux projetés sont urgents. L’architecte des Bâtiments de France et le Ministère de la Reconstruction et de l’Urbanisme donnent son accord (avril 1948). L’ingénieur en chef des Ponts-et-Chaussées accorde son autorisation (mai 1948) – Le maire accorde le permis de construire (juillet 1948)
    Suivi des travaux. Le chantier est ouvert (mai 1948), les travaux ont commencé (juin). Les travaux en façade sont terminés sans soulever d’objection, les travaux de consolidation intérieure sont en cours (juillet), sont terminés (septembre) – Certificat de conformité (août 1952)
  • 1954 – Les fourrures Baltzer sont autorisées à occuper la voie publique
    1960 – Le maire enjoint verbalement la société Baltzer et fils de faire ravaler la façade du 53, rue des Grandes Arcades puis envoie une lettre de confirmation. La société en nom collectif Baltzer et Compagnie répond qu’elle a l’intention de réaménager les bâtiments et demande un délai. La société déclare qu’elle va vendre l’immeuble (juin 1960). Note de février 1961. La société Taourel a chargé l’architecte Ersame Schwab des transformations
    1961 (janvier) – M. Taourel, demeurant à Oran, demande si la Police du Bâtiment exigera des travaux. La visite des lieux constate des affaissements mais que le bâtiment une fois remis en état pourra continuer à servir entièrement de locaux commerciaux. Les bâtiments arrière sont vétustes mais le bâtiment avant qui a été régulièrement entretenu dpuis 1921 est en assez bon état.
    1961 (février) – La société anonyme Taourel (Alger et Oran) informe la Police du Bâtiment qu’elle a acquis l’immeuble le 2 février 1961
  • 1961 – La société Taourel est autorisée à déposer des matériaux la voie publique. L’entreprise Fistarol (7, rue du Chemin Bleu au Neudorf) est autorisée à poser un échafaudage sur la voie publique. Le ravalement est terminé (octobre 1961)
    1961 – La même demande l’autorisation de poser une enseigne en lettres métalliques dorées. L’architecte des Bâtiments de France émet un avis favorable – Autorisation
    1961 (avril) – La société Taourel dépose une demande de permis de construire sous la direction de l’architecte Erasme Schwab. Plan de situation. Dessin (plan des différents niveaux, coupe, élévation) – L’architecte des Bâtiments de France émet un avis favorable, l’ingénieur des Ponts-et-Chaussées et le directeur départemental du Ministère de la Construction donnent leur autorisation – Arrêté portant permis de construire (transformer le sous-sol, le rez-de-chaussée et les étages, quatre trumeaux, aménager deux devantures)
    1962 (janvier) – Les ascenseurs Otis demandent de régulariser leurs travaux – Dessin. Caractéristiques de l’appareil – Autorisation
    Suivi des travaux. Le gros œuvre est en cours, les anciennes cloisons du rez-de-chaussée sont supprimées (septembre 1961). Les plâtriers travaillent, les cadres métalliques de la devanture sont posés. Le crépi est en cours (octobre). Les travaux sont terminés, le magasin exploité (novembre). La réception de l’asenceur ne donne lieu à aucune objection.
    1962 (avril) – La maison Taourel demande l’autorisation de poser une enseigne lumineuse en caisson sous les arcades – Autorisation
  • 1973 – Le maire demande à la société Taourel France de faire ravaler la façade. Le propriétaire demande en 1975 un délai en arguant qu’il a dû réparer la toiture et les gouttières
    1979 – Le maire envoie un nouveau courrier.
    1980—L’administrateur de la société, Jacques Taourel, sollicite une subvention – Devis – Le maire accorde une subvention – L’architecte des Bâtiments de France émet un avis favorable – La société anonyme Taourel dépose une demande pour travaux exempts de permis de construire dans le secteur sauvegardé. Elle est autorisée à poser un échafaudage sur la voie publique – La Ville verse la subvention
  • 1986 – Le notaire Gilles Colet à La Petite Pierre demande des renseignements d’urbanisme – Réponse
    1986 – Ernest Schenck, propriétaire du 57, rue des Grandes-Arcades, constate que son locataire la S.A. Taourel outrepasse les droits accordés par son bail passé le 20 avril 1961, ce qui représente un danger d’incendie. – La commission de sécurité se rend sur place et fait son rapport.
  • 1987 – La société Pimkie (promotion du prêt-à-porter Pimkie) qui va ouvrir un magasin du 51, rue des Grandes Arcades soumet son projet d’aménager les locaux – Dessin (façade) par les établissements Fluorest – L’architecte des Bâtiments de France émet un avis défavorable pour l’enseigne lumineuse qui contrevient au règlement (nombre d’enseignes, enseigne animée). – Le pétitionnaire soumet un nouveau projet – Photographie Taourel et Pimkie – L’architecte des Bâtiments de France émet un avis favorable sous réserve de rapetisser la hauteur des lettres – Photographie du bâtiment – Autorisation de poser des enseignes en saillie – L’enseigne est posée, mars 1987
    1987 (février) – Autre demande de poser des enseignes – Dessin par les établissements Fluorest – L’architecte des Bâtiments de France émet un avis défavorable en renvoyant à la proposition précédente (enseigne double, couleur fuchsia trop vive)
    1966 (décembre) La commission de sécurité fait son rapport. Exploitant, Promotion du prêt-à-porter Pimkie, à Neuville en Ferrain (Nord)
    1987 (janvier) – La société Distrimode (Wasquehal, Nord) dépose une demande pour transformer la façade et la distribution intérieure – Photographie Taourel – Dossier sur papier à lettre Pimkie Distrimode – Rapport d’examen préliminaire par la Société de Contrôle Technique (Socotec) – La commission de sécurité rédige son procès verbal – La direction du travail ne fait aucune objection.
    1987 (mars) – Déclaration de travaux – Arrêté du préfet
    1987 (avril) – La Société de Contrôle Technique présente son rapport final – Déclaration d’ouverture du magasin – Les travaux sont conformes aux plans approuvés
    1987 (août) – La commission de sécurité rédige son procès verbal – Récépissé de déclaration d’ouverture (rez-de-chaussée 200 m², premier étage 120 m²)
  • 1988 – Le notaire Pierre Laylé (Schiltigheim) demande des renseignements d’urbanisme – Réponse
  • 1990 – Le magasin Pimkie demande l’autorisation de poser une enseigne à double face. L’architecte des Bâtiments de France émet un avis favorable – Autorisation – L’enseigne est posée, décembre 1990.

Relevé d’actes

Le pelletier Bernhard Betz et deux marchands de Cologne vendent la maison au marchand Denis Petri moyennant 1350 livres, somme inférieure aux charges dont elle est grevée. La vente est remplacée par une nouvelle en 1613.

1610 (xxx Januarÿ), Chancellerie, vol. 388 (Registranda Kügler) f° 51-v
Erschienen Bernhard Betz Kurßner für sich selbst Steffan Gaßner Alter Rathsherr h Johann Rauch vnd h. Matys helbeck genant Behem alle dreÿ alls Constituirte Beuelch v gealthaber der Ehrenvesten Fürnemmen herrn Johann hunthumb von Cöln vnd herrn Caspar Burckharts Vnd Söhn Gewerbßmänner burger Zu Nurnberg (verkaufft)
Herrn Dionisii Petri handelßmann
Zweÿ heüsser ein vorder v hinder mit Iren hoffstetten v hofflin mit all Ir gebeu geleg. Inn der S S vnder der groß. Erbslauben, einsyt dem Glaßhoff Martin Hartman Zuständig andersyt Andres Krantzer stoßend hind. vff Martin Hartman Dauon gnd ij lb d gelts vff d. heÿligen wyhnacht tag loßig m. xL lb d. d. Armen Sondersiechen Zu d. gutt. leuth, Item xj lb vj ß d gelts vff d. heÿlig. Wyhenacht tag Samuel graner Sieben Kindern In Mütterlichem Erb herrühren, welche Zinß aber der Vatter bitz sie sich verheürathen zunÿssen, ablößig mit 220 pfund 10 schilling, Mehr viij lb x ß gelts vff dem 15. Julÿ fallend bemelt Samuel graners Süben Kindern Widerkheuffig mit j C L lb d (…), Item viij lb xv ß vff dem heÿligen wyhenacht losig m. 175 pfund Vrban Steinmetzen Büttels Zum Encker Sohn (…) Mehr verhafftet für j C L lb herrn Johann thumb obgedacht (…) So dann x lb v ß deren v lb v ß vff Johannis Baptistæ vnd die vbrig v lb d vff d. heylig. weÿhenacht tag soll Fr. Magdalenen layterspergerin hans luschen selig. witwe so lang sie Inn leben (…) Sunst frei ledig eÿg, der Verkhuff vber solch beschwerd zugang. v. 300 gulden
[in margine :] d. Khauff für ledig eÿg. 1350 lb, beschwerd sind 1040, Beßerung 514 lb. Ist nit Zolbar weÿl die heußer hoher beschwerd dann die verkaufft

Le pelletier Bernard Betz vend à Jonas Gassner une maison composée d’un bâtiment avant et d’un bâtiment arrière

1613 (ut spâ [5. Maÿ]), Chancellerie, vol. 407 (Registranda Kügler) f° 169
Erschienen der Ehrenhafft Bernhard Betz Kürßner
hatt in gegensein Jonas Gaßners bekhant, das er vmb der willen darunder der Zinß hauptgutt V beschwerden dafür nachgeschribene Behaußung verhafftet vnd vnderpfand freÿ Quitt ledig W looß werd. für sich seine erben vnd nachkommen gedachtem Jonas Gaßner seinen erben vnd nachkommen vbergebe,
Zweÿ heüßer ein Vorder v ein hinder mit Iren hoffstetten v höfflin auch allen andern Iren gebeüwen geleg. Inn d. S S Vnder der großen Erbßlauben einseÿt neben dem Glaßhoff Martin hartmans Schuldgläubigen Zuständig andersÿt Andres Krantz dem Melman stossen hind. vff d. Glaßhoff, Dauon gnd 2 pfund d pfenning gelts vff dem heÿligen wyhnacht tag abloßig mit 40 pfund pfenning Straßburger den Armen Sondersiechen Zur Rothen Kirchen beÿ Straßburg davon verfallene Zinß 610. 611. v 612. Stehen pfund pfenning, Mehr xj lb vj ß d gelts auch vff den heÿligen Wyhenacht tag Samuel graner des Kürßners Sieben Kindern die aber Ir Vatter Jerlich ynzunemmen so lang die kinder unv*ich gelegt widerkhauff. mit ij C xx lb x ß Item viij lb x s gelts vff dem 15. Julÿ vorgemelt Samuel graners Süben Kinder losig mit j C L lb d (…), Item viij lb xv ß vff dem heÿligen wyhenacht losig m. 17 lb Vrban Steinmetzen Dauon Zinß v vnocosten bitz weÿhenachten nechstverschynen xxij lb (…), Item viij lb s sch d gelts vff Marien Verkhündung wider Kheuffig mit j C M lb d solche hauptsumm H. Johann hundtumb handelßmann burgern Zu Cöln , So dann x lb v ß d gelts daran v lb v ß vff Johannis Baptistæ v v lb d vff d. heylig. weÿhenacht tag soll Fr. Magdalenen layterspergerin hans luschen selig. witwe so lang sie Im leben (…) were diß Verkhuff vber dieße beschwerd zugang. v. 118 gulden

Jonas Gassner épouse Catherine Graner, veuve de Pierre Zipperer.
Fils de pelletier, Pierre Zipperer épouse en 1603, Catherine Graner, fille de pelletier : contrat de mariage, célébration

1603 (13.6.), Not. Strintz (Daniel, 58 not 52, Prothocollum, n° 39) f° 43
Eheberedung – zwischen dem Ehrsamen Peter Zipperer dem Jungen Kürßner, Weÿland deß Ehrenhafften Peter Zipperers deß Elttern Kürßners und burgers Zu Straßburg seeligen hinderlaßenen Sohn Alß dem Breütigam Ane einem, So dann der Züchtigenn und tugendsamen Jungfr. Catharina Granerin, deß Auch Ehrenhafften Samuel Graners Khürßners vnnd burgers Zu Straßburg eheleiblichen dochter Allß der hochzeitererin Andern theil
Inn beÿsein durch vnderhandlung wissen wüllen und Consenß der Ehrenhafften und Ersamen Martin Zipperers, David Rudolph, Daniel Kochenn vnd Daniel Zipperers, Aller kürßner seiner deß hochzeiters vogts schwagers stieffvatters vnnd verwanten vff seiner deß Bräutigams So dann vff der Jungfrauen hochzeiterin seÿten der Ehrenvesten Ehrwürdig wolgebohren fürnehmen Achtbaren und Ersamen Samuel Graners deß Kürßners Ihres vatters, herrn Stephan gassners vnns Georg Leütterspergers beeder grosser und kleinen Raths bewanthen Johannis Monachi halffers In d Pfarrkirchen zu sant Thomas, hanß Georg Falckhenn vnd.schreib. vff dem Pfenningthurn Vnd Eliæ graffen weißbeckhen Ihr der hochzeiterin günstig. herren vnd Verwantten Aller burger Zu Straßburg
Montags den 13. Junÿ Inn dem Jar deß Herrn Alß mans Zalet 1603

Mariage, Saint-Thomas (luth. f° 180-v, n° 511)
Sontag 11. Augusti. Peter Zipperer d. Kürßner, Vnndt Catharina Samuel Graner des Kürßners alhie tochter. Eingesegnet 22. Augusti (i 187)
Proclamation, Saint-Pierre-le-Jeune (luth. f° 167) 1603. Doîca 6. post Trin. 31. Julÿ. Peter Zipperer ein Kürsner, Petri Zipperers des Kürsners hind.lassener Son, Catharina Samuel Kraners des Kürsners Tochtern Eingesegnet Mont. d. 22. Augusti zu S. Thoma (i 88)

Pierre Zipperer meurt en délaissant deux enfants. L’inventaire est dressé dans sa maison rue des Pâtissiers. La masse propre à la veuve est de 125 livres. L’actif de la communauté est de 660 livres, le passif de 267 livres.
1611 (7.2.), Not. Strintz (Daniel, 58 Not 13) N° 348
Inventarium Aller haab v. Nahrung so weÿland d. Ersam vnd bescheidenen Meister Peter Zipperer geweßenen Kürßner v. bürgers Zu Straßburg seelig, nach seinem tödlich. hinscheÿd. hind. Ihne Verlaßen, So vff erfordern vnd begehren Daniel Kochenn deß Jüngern Kürßners v burgers Zu Straßburg Als geschwornenn Vogts Catharinen vnd Daniel bed. geschwüsterd. obgdacht abgestorbenen mit nachgemelter seiner hind.lassenen Wittwen ehelich erzeugt Kind. vnd Alß seiner ab intestato nachgelaßenen erb, durch die Erbar und tugendsame fraw Catharinam granerin die wuttwe mit beÿstand deß Ehrenhafften Martin Ecken kürßners burgers Zu Straßburg Ihrem geschwornen herren Vogts und Samuel Graners kürßners Ihres Vatters – Beschehen Donnerstags den 7. Februarÿ 1611.

Inn einer hernach specificirten. Inn diße erbschafft gehörige behaußung befund. worden wie volgtt
vff d. Mittlern bünnen, Inn d. Cammer A, Inn d. Cammer B, Vor dieser Cammer, Inn d. Cammer C, In d. stub Cammer, In d. Stuben, Im haußöhrin vor d. stuben, In d. Bauch Küchen, Im Keller
Vertrag Zwischen Frauwen Catharinen granerin weÿland Peter Zipperers deß kürßners selig Wittwen v. Martin Eckhen Ihrem Vogt, so dann Daniel Kochen dem Jüngern kürßners ertsgedanten Peter Zipperers s: Kind. vogt (…)
Eÿgenthumb Ane einer behaußung (T.) Item hauß, hoffestatt in der flad. gassen (…)
Abzugk In dieses Inventarium gehörig. Wittwen Unverändert Gutt, Sa. guld. Ring 6, ß d. Ergäntzung 118, Summa summarum 125 lb
Theilbar Gutt, Sa. haußraths 134, Sa. Werckzeugs gemacht b. vndtgemacht Arbeitt 180, Sa. Silbers 19, Sa. guld. Ring 6, Sa. Baarschafft 17, Sa. Eigmbs j. behaußung 255, Sa. Schulden 45, Summa summarum 660 – Schulden 267, Nach deren Abzug 382 lb
Conclusio finalis Inventarÿ 517 lb

Fils de juriste, le pelletier Jonas Gassner épouse en 1611 Catherine Graner veuve de Pierre Zipperer : contrat de mariage, célébration
1611 (22.4.), Not. Strintz (Daniel, 58 Not 55) n° 391
Eheberedung – zwischen dem Ehrsamen Jonas Gassner dem Jungen kürßner von Straßburg deß Ehrengeachten fürnehmen Herrn Stephan gassners deß etwann geweßenen rechtsvewanten v burgers Zu Straßburg eheleiblich. sohn Ane einem
So dann der Ehren: v tugendsamen Frawen Catharina Granerin Weÿland deß ehrsamen Peter Zipperers deß kürßners burgers Zu Straßburg seeligen hind. lassenen wittwen Am Andernseit
Montagß den 22. Aprilis 1611 [unterzeichnet] Ich Jonas gahner der hochzeiter beken wie forstet, Steffan gaßner der elter, Samuel Kraner der hochzeiterin vater

Mariage, Saint-Pierre-le-Jeune (luth. f° 234-v n° 48)
1611. Domin vocem iucuditatis. Jonas gasner ein kürsner, Catharina Petri Zipperers des kürsners hind.lassene wittwe. Eingesegnet Zinst. d. 14. Maÿ (i 122)

Jonas Gassner et Catherine Graner hypothèquent la maison au profit du pelletier Mathias Hellbeck le jeune

1614 (d. And. Junÿ [sic, Maÿ]), Chancellerie, vol. 413 (Registranda Kügler) f° 123-v
(Inchoat. fo. 121.) Erschienen Jonas Gaßner Kürßner vnd Fr. Catharin Granerin sein eheliche hußfr.
haben in gegensein der Ersamen Mathÿs hellbeck des Jüngern auch Kürßner – schuldig seÿen 100 Pfund pfenning
dafür Vnderpfand sein sollen Zweÿ heußer ein Vorders ein hinders mit Iren hoffstetten v. hefflin auch allen d. Ihren gebeuw geleg Inn der S S vnden der großen Erbslauben einsÿt dem Glaßhoff Martin Hartman Schuldglaubiger Zuständig anderseiyt Andres Krantz den Meelman stoßend hind. vff d. Glaßhoff, dauon gend Zweÿ pfund pfenning gelts abloßig mit 40 pfund pfenning d. Armen Sunder siecher Zur rothen kirch, Mehr vij lb xvij ß v d loßig mit j C Lviij lb x ß Samuel granern der Küeßners Fünff Kinder, Wÿther vij lb x ß ged loßig mit j C x lb d vorgememter Samuel graners Süben Kindern, Item 8 pfund 15 schilling pfenning gelts widerkheüffig mit j C lxxv lb d Urban Steinmetzen dem Schiffmann, Wÿther verhafftet für 130 pfund pfenning h Johann Hundunn handelßmann burger Zu Cöln

Jonas Gassner hypothèque la maison au profit des enfants de Jean Mathis

1633 (3. Junÿ), Chambre des Contrats, vol. 471 f° 263
Erschienen Jonas Gaßner d. Kürschner burger Zu St.
hatt in gegensein Johann Mathißen fünff Kindern Vogts Herren Daniel Gaßners Alten großen Rhats verwanthen – schuldig seÿe L lb
dafür Vnderpfand sein soll Ein Vorder: vnd hinderauß, mit allen ihren gebäwen alhie vnder der großen Erbs lauben neben Daniel Heüßen dem handelsmann & neben Andreß Krantzen Meelmann hind. auf den Glaßhoff stoßend gelegen, so zuuor hafft. vmb 20. fl. den Gutenleüthen Vnd dann vmb 175. fl. H Isaac Fricken
[in margine :] Erschienen Johann Farr der Leinenweber burger alhie, alß Eheuogt Annen Marien Mathißin mit beÿstandt ietzgedachter Annen Marien noch ohnentledigten Vogts, Johann Steinen Notarÿ, haben in gegensein hanß Adolff Ecken alß deß Debitoris see: witiben ietzigen Ehevogts (q.tirt) Act. den 31. Martÿ Anno 1636.

La maison appartient ensuite au pelletier Jean Adolphe Eck qui épouse en 1634 Catherine Graner, veuve de Jonas Gassner

Mariage, Saint-Pierre-le-Jeune (luth. f° 177)
1634.Dom. XII. Trinit. 24. Augusti. hanß Adolph Eck der Kürßner v. burg. alhie vnndt Katharina H. Jonæ Gaßners Kürßners v. burgers alhie nachgelasene Wittwe. Mont. Cop. j. 7.bris Zu J. St. Peter (i 90)

Adolphe Eck sollicite auprès des Conseillers et des Vingt-et-Un le droit de vendre au-delà du tarif
1649, Conseillers et XXI (1 R 132)
(f° 178-v) Montag den 19. Novembr. – Adolph Eck der Kirschner Vnd Burger alhie Vberreicht Undthg. Supplication Bericht d. Er Von dem Illet Vnd großen Gehwerck eine Zimliche anzahl die We* nun Weg. deß Hohen preiß d.selbige von Mgh. Verbotten Word. Alß seÿe Er gemeindt, Von demselbigen die Ehle broh von 3 fl Zu geben falß Mh Ihme gönnen Well. Erk. Ist an die H. Policey Richter remittirt word.
H. XV.er Pfitzer, v. H. Hießel.

Jean Adolphe Eck obtient des Quinze le droit de régler en capitaux placés à la Tour aux deniers ce qu’il doit aux héritiers de Catherine Graner. Il est exempté de régler l’amende que les préposés de la Taille lui ont infligée à cause de ses mauvaises affaires
1652, Protocole des Quinze (2 R 70) et 1653 XV (2 R 71)
Hanß Adolph Eckh, Catharina Granerin Erben, Ca Stall
(f° 209-v) Sambst. den 4. 7.bris – Hanß Adolph Eckh, Catharina Granerin Erben, Ca Stall
Hanß Adolph Eckh pt° Catharinæ Granerin Erbschafft übergibt per Eggen Unterth. Supplication, bitt einverleibter Ursach. wegen, noch umb etwaß Ihme gn. moderation Zuthun. Erkand, Würdt Supplicant noch 25. lb. in seinem rato nachgelaßen vnd kann d. rest an Ihren Pfenningth. Capitalien abgeschrieben Werden.

(f° 268) Sambst. den 27. 9.bris – Hanß Adolph Eckh Ca Stall pt° Granerin Erbschafft
Hanß Adolph Eckh pt° Catharinæ Granerin Erbschafft übergibt Supplication, bitt Weilen beÿ E. E. Rath nunmehr Erkand, daß Er den Stall auß d. Theilbaren Nahrung contentiren solle, Ihme deßwegen leidenliche Zahlungs termin Zuverstatten, Will daran 40 ß d.thurns Zinß gleich davon abschreiben laßen. Erkandt, würd für Obere Stallherren Zubedancken gewieß.

(f° 272) Donnerst. den 2.t Xbris – Hanß Adolph Eckh, Granerisch Stallgeschäfft, Hannß Georg Simon
Obere Stallherren referiren per H. Frantzen, daß Sie von Hanß Adolph Ecken, Granerischen Stallgeschäfft vnderred gehalten, daß Inventarium nochmahlen besichtiget auch den Stallschreiner gehört, Weilen eben supplicant wie notori In schlechtem Stand vnd wenig nahrung hat, alß hetten Sie es vff Mgh belieben Vom Stall geforderte 20. lb verbrochne gebott und Straff nachgelaßen, die noch schuldige Stallgelter ane den Jüngst offerirten 40. fl Pfenningth. Zinß compensirt, daß hauptwerth aber dem Herrn dreÿern, dem Supplicanten Leidenlich und erschwungliche Termin Zumachen und sich nach und nach so gut Sie Können Zu bezahlen, vndt dardurch den armen Supplicanten nit gar umbszustraßen vberlaßen werden solte, Hannß Georg Simons auch verschinnen, Sambstag angebrachte Stellgeschäfft betreffend, Köndte Zwar der Frawen Vogt Hanß Friderich Ettling beschickt und Wie Er Zahlen wolle gehört, aber alß mann sie Sach Wie ane dle herren dreÿern remittirt und solche nach möglichkeit auß zumach. gewieß. & Erkandt, Würdt der Obere Stallherren meinung in beeden puncten placidirt, und Kann auch Ettling Zur Rechnung angehalten werden.
NB. die supplicationes in beed. obig. geschäfft. seind deù Stallschreib. Zugestelt Word.

1653 XV (2 R 71)
Hanß Adolph Eckh wegen Catharinæ Granerin Erben. 142.
(f° 142) Sambst. den 30. Julÿ. – Hanß Adolph Eckh dt. per Eggen supplicat. so Verleßen, bitt in wld Catharinæ Granerin Stallstraff, ihme noch restirende 23 lb 10 ß 7 d Wegen seiner bekandte dürfftigkeit auß gnaden nachzulaß. Erkandt, Würd Suppl. auß g. Willfahrt.

La veuve de Jean Gœtz hypothèque sa part de maison

1653 (5. febr:), Chambre des Contrats, vol. 514 f° 68
Erschienen Anna Maria, weÿl. hannß Götzen deß Weißbeckh. seel. wittib, mit beÿstand hannß Jacob Caspars deß Umbgelts Beamptens ihres geschwornen Vogts und H Johann Thoman Gerathwohl deß huetstaffierers ihres Schwagers
hatt in gegensein H Johann Wolffgang Pfeilen V.I.D. & Advocati auch Fürstl. Würtenberg. Consiliarÿ – schuldig seÿen 50. Pfund pfenning
Underpfand sein soll ihr tritter theil ane dem Vätterlich. Zweÿtentheil, und ihr vierder theil ahne dem Müterlich. tritten theil, der Behaußung alhie under der groß. Erbißlauben, einseit neben H Wolff Mößnern, anderseit neben hannß Georg Dambach, hind. vff bemeldt. dambach
[in margine :] Erschienen H Johann Christoph Peil U.J. Candidatus alß seiner anzeig nach, mündlicher befelchhaber hierinn gemelts H Creditoris seines H. Vatters, in gegensein hannß Hellbergers Sch[w]artzbeckhen alß Vogts weÿl. hieringemelter Debitricis in Erster Ehe erzeugter 5. Kinder, Wie auch Philipß Jacob Zittelins deß sattlers alß Vogts Annæ Magdalenæ in anderer Ehe erziehltes döchterlins (quittung) Actum d. 31. Maÿ Anno 1656.

Autre hypothèque par la même

1654 (11. April.), Chambre des Contrats, vol. 516 f° 210-v
Erschienen Anna Maria, weÿl. hannß götzen deß Weißbeckh. nunmehr seel. nachgelaßene wittib anietzo Amandi Rauch. deß Weißbeckh. eheliche haußfr. mit beÿstand erstermelts ihres Ehe: und hannß Jacob Caspars Vmbgelts Beamptens ihres noch ohnentledigten Vogts
hatt in gegensein Jacob habrechts deß Kanntengießers alß ietzig. Vogts Jungfr. Ursulæ Eisenheimin bekannt, daß Sie Anna Maria ihro Ursulæ ahne denen 74. lib 1 ß 3 d so eingangß ernannter hannß Götz ihr Ursulæ alß deroselben geweßener Vogt in gethaner Vogteÿ rechnung herauß verblib. ist, und Sie die wittib durch den von der Kinder Vogt vor dem herrn Vogteÿrichtern auffgerichtet und vor EE. groß. Rhat confirmirten Vertrag übernohmen (…)
Underpfand sein soll ihr der wittibin vätter: und Müterlich. Antheil ahne der alhie und. der groß. Erbißlauben neben hannß Georg dambach dem Melmann gelegener Behaußung, so Zuvor noch umb 50. lib. H Johann Wolffgang Pfeilern V.I.D. Advocato auch Fürstl. Würtenberg.Consiliario verhafftet

Jacqueline femme de l’apprêteur de chapeaux Jean Thomas Grathwohl vend sa part de maison au pelletier Jean Henri Rœhmer. En marge, quittance remise en 1720 à Jean Mathias Schmidtmeyer, alors propriétaire

1658 (4. Martÿ), Chambre des Contrats, vol. 523 f° 86-v
(Protocoll. fol. 16.) Erschienen Jacobea, H Johann Thoman Gerathwohl deß Hutstaffierers eheliche Haußfrau, mit beÿstand ersternannts ihres Ehevogts
in gegensein Hannß Henrich Röhmers deß kürßners, mit beÿstand H. Johann Jacob Zeißolffs Treÿzehen Secretarÿ dißer Statt
ahne dem Vätterlichen Zweÿten theil einen Vierten theil Und ahne dem Mütterlich. tritten theil gleicher gestalt einen Vierten theil ahne Zweÿen Häußern eine, Vordern, Vndt einem hindern, mit dero hoffstätten, Höfflin, auch allen andern ihren Gebäwen, alhie Vnder der großen Erbiß lauben, einseit neben H. Hannß Georg Dambach dem Melmann anderseit neben weÿl. Wolffgang Mößners gewesenen Kürßners nunmehr seel. hinderlaßener Wittibin Und Erben, Und hind. Vff gedachten H. Dambachen stoßend geleg. Davon gehend Jahrs Vff Weÿhenacht. 2. lb. den Armen sondersichern Zur Rothen Kirchen ablößig mit 40. lb. Mehr seind diße häußer Verhafftet Vmb 87. lb 10. ß H. Johann Thewren alten treÿern der Statt stall, so dann hat Ursula weÿl. Henrich Eißenheims deß Kanntengießers seel. hinterbliebene dochter 30. lb prælegats weiß auff dißen behaußungen zuerfordern – umb 250. lb
[in margine :] die Hierinn vff Ursulen Eisenheimin angegebene 30. lb d prælegats, seind in der, Zwischen weÿl. Catharinæ Granerin seel. übrige Erben vnd hieinn gemeltem hannß Henrich Römern dem Käuffern am 5. Martÿ A° 1658. in der Cancelleÿ Contract stuben vffgerichteter et in Protocollo extensivo fol: 18. fac. 2. et seqq. befindlicher Kauffverschreibung Vnder denen Ihro Ursulæ daselbst am Kauffschilling Zugeschriebene 264. lb 14. ß d begriffen
[in margine f° 87-v] Erschienen Fr. Maria Ursula Schmidtin Wittib gebohrne Heußin mit beÿstand Hn Johann Christoph Diebold Ober Secretarÿ des Pfenningthurns allhier ihres Curatoris daro die hierinnen ahne Kauffschilling Restirte 150 lb Ihrem Außsag nach zuständig seÿen, hatt in gegensein Johann Mathias Schmidtmeÿers Rauh Wahrenhändlers alß nunmahligen proprietarÿ hierinn beml. vnter der großen Gewerbslauben liegend. Häußern (quittung) – act. den 13. Novembris 1720.

Jean Henri Rœhmer hypothèque quelques jours plus tard la maison composée de deux bâtiments dont il est seul propriétaire

1658 (23. Martÿ), Chambre des Contrats, vol. 523 f° 115-v
Erschienen hannß Henrich Römer der Kürschner und Barbara sein Eheweib, Zumahlen Sie Barbara mit beÿstand H. Hannß Caspar Wolffen EE. großen Rhats beÿsitzers und Michael Kleinen des Kueffers, Ihres hierzu erbettener nechster Verwanther
in gegensein hannß Caspar Wolffen des Jüngern, Lautenmachers, alß Vogts Michael Kopffen – schuldig seÿen 125 pfund
Unterpfand sein soll Zweÿ häußer ein Vorders und ein hinders mit deren hoffstätten, höfflin und allen übrigen Ihren Gebäwen alhie under der Großen Erbslauben, einseit neben H Hannß Georg Dambachen den Meelman, anderseit neben weÿl. H. Wolff Mößners seel. wittib und Erben, hinden auch uff Ihne Dannbachen stoßend gelegen, So Zuvor noch umb 40. lb den armen sondersiechen Zur Rothen Kirchen, umb 87. lb 10. ß H. Johann Theurern alten Treÿern der Statt Stall, so dann umb 234. lb Kauffschillings rests Hannß Götzen des weÿßbeckhen, mit Anna Maria Gaßnerin ehelich erziehlten Kindern, und 264. lb. Ursulæ Eisenheimin verhafftet

Fils de Véronique Zipperer, héritière de sa mère Catherine Graner (voir ci-dessous), et du pelletier Henri Rœhmer, Jean Henri Rœhmer épouse en 1647 Barbe, fille du pelletier Michel Klein
Mariage, Saint-Pierre-le-Jeune (luth. f° 33)

1647. Doîca Jubilate. Hanß Heinrich Römer d. Kürschner, Hanß Heinrich Römer deß Kürschners alhie nachgel. ehelich. Sohn, und Jgf. Barbara Michael Kleinen deß Kirsners alhie eheliche Tochter. Copulirt den 18. Maÿ J S P (i 43)

1648 (16. Martÿ), Chambre des Contrats, vol. 501 f° 165-v
(Prot. fol. 207. – Eheberedung) Erschienen Hannß Sausenthaler der Kürschner Von Augspurg gebürtig so sich alhie burgerlich einzulaßen entschloßen, alß hochzeiter mit beÿstand H Daniel Kochen deß Kürschners und burgers alhie an einem
So dann Veronica Zippererin weÿl. H. Henrich Röhmers geweßenen Kürschners vnd Burgers alhie nunmehr seel. nachgelaßene wittib alß Hochzeiterin, mit beÿstand H Heinrich Blaichers wie auch Samuel Hellbeckhß beeder Kürschner Vnd Burgere Zu Straßburg ihres respectivé Vogts Vnd Sohns

Jean Henri Rœhmer hypothèque la maison au profit de Jean Philippe Braun, secrétaire de la Taille

1661 (23. Febr.), Chambre des Contrats, vol. 526 f° 130
Erschienen Hannß Henrich Röhmer der Kürschner
in gegensein H Johann Philipß Braunen des Statt Stallschreibers – schuldig seÿen 75 Pfund pfenning
Unterpfand sein sollen Zweÿ häußer ein vorders und ein hinders mit dero hoffstätten, höfflin, und allen übrigen Gebäwen, alhie und. der groß. Erbßlauben, einseit neben hannß Georg Dambach dem Meelmann, anderseit neben weÿl. Wolffgang Mößners deß Kürßners seel. Erben, hind. auch vff Ihne Dambach stoßend gelegen

Jean Henri Rœhmer hypothèque la maison au profit de Jean Léonard Frœreissen, ancien assesseur du Grand Sénat. En marge, quittance remise au même Jean Mathias Schmidtmeyer

1666 (9. 8.br), Chambre des Contrats, vol. 532 f° 517
Erschienen hannß Henrich Römer der Kürßner
in gegensein deß Ehrenvest- Fürsichtig- weÿsen H Johann Leonhard Fröreißens E.E. großen Rhats alten Beÿsitzers – schuldig seÿe 150 Pfund pfenning
Unterpfand sein sollen Zweÿ häußer ein vorders und ein hinders mit dero hoffstätten, höfflin und allen übrig. Gebäwen, & alhie under d. groß. Erbßlauben, einseit neben H hannß Georg Dambach dem Meelmann, anderseit neben weÿl. H. Wolffgang Mößners deß Kürßners seel. Wittibin und Erben hind. vff gemelten Dambach stoßend geleg. davon geh. iährlich. 2. lib vff weÿhenachten der roth. Kirch.
[in margine :] (…) in gegensein Johann Mathias Schmidtmeÿers Rauchwaarhändlers als nunmahligen proprietarÿ hierinn bem. vnter der großen Gewerbslauben liegend. Haußes (quittung) Act. d. 13.ten Novembris 1720.

Jean Mathias Schmidtmeyer épouse en 1671 Barbe Klein, veuve de Jean Henri Rœhmer : contrat de mariage, célébration

1671 (27.7.), Not. Oesinger (David, 37 Not 25)
Eheberedung – Zwischen Hanß Mathis Schmidmeÿer dem Ledig. Kürßner Gesellen Von Forchh. als Bräuttigam an Einem
Vnd Fr: Barbaræ Kleinen Weÿl. hanß Heinrich Röhmers gewestenern Kürßners und burgers alhie selig. nachgelaßener witwe als hochzeiterin Andern teils
Beschehen den 27. Julÿ A° 1671

Mariage, Saint-Pierre-le-Jeune (luth. f° 221-v, n° 35)
1671. Eâd. Dominicâ [VI Trinitatis]. Johann Matthæus Schmidtmeÿer der Kürschner Weÿl. Andres Schmidtmeÿern deß Kürschners V. burgers Zu Furchheim in dem Franckenlandt nachgel. Sohn, Vndt Barbara, Weÿl. Hans Heinrich Römern gewesenen Kürschners Vndt Burgers allhier nachgelas. Wittib. Eingesegnet J. S Peter, Eod. Die [7. Augusti]

Originaire de Forchheim en Franconie (ici par erreur Kirchheim), le pelletier Jean Mathias Schmidtmeyer devient bourgeois par sa femme deux mois après son mariage
1671, 4° Livre de bourgeoisie p. 390
Johann Mathæus Schmidtmeÿer, der Kürschner Weÿl. Andreß Schmidtmeÿer Von Kirchheim in Francken Sohn, empfangt das burger Recht von seiner Haußfrawen Barbara, Weÿl. Hannß Heinrich Römers, des Kürschners und burgers alhie Wittwen, umb 8 Gld. fl. welche er beÿ der Cantzleÿ erlegt. Ist Zuuor ledigen standts Geweßen und will Zu E. E. Zunft der Kürschner dienen. Jurav. den 2. 8.bris A° 1671.

Les nouveaux mariés font dresser l’inventaire de leurs apports dans la maison Rœhmer provenant de la femme. Ceux du mari s’élèvent à 19 livres, ceux de la femme à 744 livres.

1672 (30.1.), Not. Oesinger (David, 37 Not 23) n° 1
Inventarium vnd Beschreibung aller v. Jeder Haab Nahrung und Güethere, So der Ehrengeachte vnd Erbare Hanß Mattis Schmidmeÿer, burger und Kürßner alhie vnd die tugendsame Fr. Barbara Kleinin, beede Ehegemächt In Ihre Ehe zusammen gebracht (…) So bescheh. Dienstags 30.ten Januarÿ A° 1672.
In Einer in der Statt Straßb. vnd der groß. Erbslaub. gegen den marckh über gelegenen vnd hiehero gehörig. behaußung So hernach beschrieb. würdt Ist befund. word. wie volgt
In der Cammer A, In der Cammer B, In der Cammer C, In der Cammer D, Vor der Kammer, In der Cammer E deß hinderstocks, In der Wohnstub, Im hauß Ehren, In der hindern stub, In der küch, In der vndern Kuch, Unden im Hauß, Gerohr, Im Keller
Eigenthumb ane Einer behaußung (Fr.) It. 2. häußer ein vorder vnd ein hinder hauß sampt deren hoffstätten, höfflin, auch all andern Ihren Gebäwen begriffen, Zugehördten Rechten vndt gerechtigkeit. alhier vnder der groß. Erbis laub. einseith neben H. hanß Geörg dambachs deß Mehlmanns Kindern anderseith neben wolffgang Mößners gewesenen burgers alhie selig hinderlaßenen Wittiben vnd Erben, vnd hind. auff Ehrgemelt dambach stoßend, gelegen, davon gehendt Jahrs auff weÿhenacht. 2 lb d den Armen sondersiech. Zur Roth. Kirch ablößig mit 40. lb. d, It. 6 lb d gelts Jährlich auff ostern widerlößig mit 150. lb d capital H: Johann Leonhard Fröreiß. deß beständigen. Regiments der H: XV. wohlverordn. beÿsitzern, Mehr 6 lb d auff Michaelis widerkäuffig mit 160. lb Capital Erstgemelt. H. XV. Fröreiß. It. 5 lb Jährlich auff d 9.ten Februarÿ Ist in hauptguth abzulöß. mit 124. lb 10 ß d H Johann höllenbergern den Schwartzbeck deß geschwornenn Vogt wÿland Johann Götz gewesenen weißbeckh. alhie sel: hinderlaßenen Kindern s., It. 4. lb d gelts Jährlich auff liechtmeß H. Johann Philipp Braunen Not: Publ: vnd wohlbestellt. Stallschrb. alhie widerkäuffig mit 100 lb d Capital, Vnd dann 6 lb 5 ß d gelts Jährlich auff d. 9. Februarÿ H. Johann Gaspard Wolffen burgers vnd lautt.machern alhie ablößig 125 lb hauptguth samt allerdings freÿ ledig und Eig. vnd Ist hiehero über Jetz gehördte beschwerd. angeschlagen word. für vnd vmb 288 lb. Darüber sagt j. teutscher Pergamenter Kauffbrieff mit d. St: Str Cancelleÿ Contract stub. anhangenden Insiegel Verwahrt deß. datum d. 4.ten Martÿ A° 1658.notirt mit N° 2. It. noch j Pergament Khauffbrieff v.schrbg De auch mit ermelter St. St. contract stub anhangend. Insiegel deren datum d. 5. Martÿ A° 1658. So auch signirt mit N° 2.
Abzug in dießes Inventarium gehörig, Summa summarum hievorbeschriebener deß Manns in diese Ehe Zugebrachten Nahrung ist Zusammen dem anschlag benantlich 19 lb
Sa. hausraths 241, Sa. weins vnd lehren faßen 67, Sa. wahren vnd deß. werckzeugs 275, Sa. Silber geschier und Geschmeids 81, Sa. Guldener Ring 20, Sa. Baarschafft 27, Sa. Pfenningzinß hauptguths 37, Sa. Eÿgenthumbs an liegenden güthern 15, Sa. Eigenthumbs ahne Gülten 4, Sa. Eigenthumbs ane einer Beh. 288, Sa. Schulden 65, Summa summarum hievorbeschriebener der Fr. in dieße Ehe zugebracht, 1124 lb – Schulden 379, Nach deren Abzug 744 lb

Le conseil des Maçons convoque le maçon Jean Jacques Grassmann qui a travaillé pour le pelletier Schmidmeyer qui n’avait pas encore réglé d’autres maçons
1683, Protocole de la tribu des Maçons (XI 231)
(f° 175-v) Sontags den 24. Octobris Anno 1683 – Hanß Jacob Graßmanns halben Wird angebracht, von hanß Jacob Böhrel daß derselbe dreÿ Wochen einen gesellen gehabt und nicht schauen laßen.
Ferner Ward somit halben berichtet, daß Er N. Schmidmeÿern dem Kürschner under der großen Erbslauben arbeite, aber Clemens Schrepffern darumb nicht befragt, Herr Köhl klagt auch deßhalben. Erkant, solle Ihme vie E. E. Gericht gebotten werden.

(f° 186) Dienstags den 29.ten Februarÿ 1684. – Hanß Jacob Graßmann (…). Idem Ward ferner beklagt, daß Er Herrn Schmidmeÿern dem Kürschner under der Erbislauben gearbeitet, und Herrn Hannß Jacob Kühlen und Clemens Schrepffern, denen Er noch schuldig, nicht befraft, der Bericht, daß Schmidmeÿer gesagt, Herr Bleßig seÿe sein Maurer geweßen, darüber habe Er seinen Jungen Zu Herrn Bleßig geschickt, deme Er aber zur antwort ertheilt, daß Er nichts Von Schmidmeÿern wiße, auch sein Maurer nicht geweßen seÿe, Sio habe auch Schmidmeÿer Ihme Großmann, als Er nicht gleich machen Wollen, Was er begehrt, bedeutet, Wann Er Ihme die arbeit nicht machen, Er einen andern Maurer nehmen Wolle.
Erkandt, ist dieße sach Zu bedacht gezogen, und sollen herr hanß Jacob Kühl und Clemens Schrepffer darüber gehört Werden.

Barbe Klein meurt en 1688 en délaissant cinq filles de son premier mariage avec Jean Henri Rœhmer. L’inventaire est dressé dans la maison aux grandes Arcades. La masse propre au veuf s’élève à 39 livres, celle des héritiers à 190 livres. L’actif de la communauté s’élève à 867 livres, le passif à 185 livres

1689 (31.1.), Not. Lang (Jean Henri l’aîné, 27 Not 11) n° 1
Inventarium und Beschreibung aller der Jenigen Haab, Nahrung v. Güttere, so Weÿl. die Ehren vndt tugendsame Fraw Barbara Schmidmeÿerin gebohrne Kleinin deß Ehren vorgeachten Hn Johann Matthiæ Schmidtmeÿers Kürßners Und burgers alhier zu Straßburg gewesene Eheliche haußfrau nunmehr seel. nach Ihrem den 15. 8.bris deß nechst abgewichenen 1688.sten Jahrs genommenen tödlichen ableiben Zeitlichen verlaßen, welche Verlaßenschafft auf freundliches ansuchen erfordern und begehren der Tugendsamen Frauen Susannæ Römerin Mr hannß Martin Kalben auch Kürßners vnd burgers alhier Ehelich haußfrauen mit beÿstand deßelben ihres haußwürths, Mehr der Ehren vnd Tugendsamen Fraw Elisabethæ Römerin deß Ehrenhafften Mr Hannß Georg Gärtners Schuhmachers vnd burgers alhier Eheweibs beÿständlich erstgedacht ihres haußwürths, ferner deß Ehrenhafften Hannß Michel Küchels Paßmentirer vnd burgers alhier, alß geschwornen Theil Vogts Hannß Michel Küchels deßelben in Erster Ehe mit Weÿl. Frawen Barbaræ Römerin nunmehr seeligen Ehelich erziehlten Söhnleins, deßen Curator ordinarius obgemelter H Johann Matthias Schmidtmeÿer, dieße dreÿ mit fernerer assistentz deß Ehrenvesten u. Rechtsgelehrten herrn Johann Friderich Redwitzen Notarÿ v. alhiesigen burgers, So dann deß Ehrenvest vnd Weisen H. Johann Caspar Wolffen, Lauthenmachers Und E: E: Kleinen Raths Alten beÿsitzers, burgers alhie, als geordnet und geschworenen Vogts Jgfr. Marthæ vnd Annæ Catharinæ der Römerin, also aller fünff der in Gott ruhenden Frawen mit Weÿl. H. hannß Heinrich Römern geweßenen Kürßnern vnd burgern alhier nunmehr seelig in Erster Ehe erzeugter döchter und dochter Söhnleins auch zu gleichen portionen vnd antheilten sowohl ab intestato als p. Testamentum instituirter rechtsmäßiger Erben – Actum Montags den 31. Januarÿ Anno 1689.
Copia der Zwischen beeder Ehepersohnen vffgerichter Heüraths Verschreibung, p.ge in Prot: C. fol. 197.b et seqq.
Copia der abgeleibten auffgerichteten Testamenti nuncupativi, pgr. in Proth D. fol. 240. et seqq.

Copia der Eheberedung (…) Beschehen Zu Straßburg Donnerstag den 27. Julÿ Im Jahr Christi 1671, [unterzeichnet] Ich hannß Mathias schmidtmeier als hochzeidter bekenne wie obstehet
In Einer alhier Zu Straßburg under der Großen Erbslaub gelegenen und in diese Verlaßenschafft gehöriger hernach beschriebener Behaußung befunden worden wie volgt
Ane Hültzen und Schreinwerck. In der Cammer A, In der Cammer B, In der Cammer C, In der Cammer D, In der Cammer E, In der Cammer F, vor dießer Cammer, In der Cammer G, Im hindern Stübel, In der Wohnstub, Im obern Hauß öhren, Im untern Hauß öhren, In der hindern Küchen, Im Keller
Eÿgenthumb ane Einer Behaußung. (E. 4/9.te theil deß wittibers wÿdumb, 5/9.te theil gehören in der Verstorbenenn genoßenen Wÿdumb) Item 4/9 theil für ohngetheilt ane Zweÿen häußeren ein vorder vndt ein hinder hauß sampt deren hoffstätten, höfflin, auch all andern Ihren gebäuen, begriffen, Rechten vndt gerechtigkeit. alhier under der Großen Erbis lauben einseith neben H. Caspar de Beyer dem Materialisten anderseith neben H. Johann Mößner, Kürßnern und burgern alhier, hinden vff obgedachten H. de Beyer stoßend geleg., davon v. Zwar d. Gantz. Behaußung gehen Jahrs auff weÿhenacht. 2 lb d den armen Sondersiechen Zur Rothen Kirchen alhier in Cap. gerechnet per 40. lb. d, Ferner 6 lb d gelts Jährlichen auff ostern H: Joh. Leonh. Fröreißen alten Ammeistern lößig in Hg. mit 150. lb, Item 6 lb gelts ged. H. Ammeistern Fröreißen Jahrs vff Mich. widerk. in Cap. mit 150. lb. Item 5 lb d gelts Mr Christoph Spengenberg. dem buchb. et Consort. Ehevögtl. weiß Jahrs auff deb 9. febr: lößig in Hg. mit 124. lb 10 ß (ist die gantze behaußung nach Außweißung H. hanß Heinrich Römers seel. Verlaßenschafft Invent.), Item vnd dann 4. lb H. Johann Philipp Braunen XIII. des best. Reg. Jahrs vff liechtmeß lößig in Cap. mit 100 lb d. Sonst ledig eigen. vnd über obige beschwerden angeschl. wobeÿ es auch für dießes mahl gelaßen umb 413., thun daran die hiehero gehörige 4/9. theil 183. 11 ß 1 3/9. d.. Darüber sagt ein. teutscher Pergam. Kauffbrieff mit d. St: St Canzleÿ Contract stub. anh. Insieg. verw de dato den 4.ten Martÿ Anno 1638. ferner ein Perg: Khauffverschr. auch mit ermelt. St. St. anhangendem Insiegel becr. deren datum den 5. Martÿ Anno 1658. notirt Mit altem N° 1. vnd newen N° 2. Die übrige 5/9.te theil seind den Wÿdumbs Erben Zuständig auch hernach beÿ dem Zurückgefallene Wÿdumb eingetrag. Zugefind.
Ergäntzung der Erben manglenden unveränderten Gutts. Vermög deß über der Verstorbenen Fr. seel. und ihres hinderlaßenen Wittibers durch weÿl. H. David Ösinger Seniorem Not. in A° 1672 über derselben in die Ehe Zugebrachte Nahrung auffgerichteten Inventarÿ
Wÿdumb, Welche die Abgeleibt Fraw seel. von Weÿl. herrn hannß Heinrich Römern, Geweßenen Kürßner und burgern Zu Straßburg Ihrem vorigen Haußwürth seel. Zeit lebens genoßen (…) durch H. David Ösingern den Notarium den 19. Maÿ A° 1669. auffgerichteten Inventarÿ. Eÿgenthumb ane Einer Behaußung. Item 5/9. theil für ungetheilt von v. ane Zweÿ häußer, als einem vorder: vnd einem hinderhauß, sampt dero hoffstätten, höfflin, auch all andern Ihren gebäuen, begriffen, Rechten v. gerechtigkeiten Gelegen alhier under der Groß. Erbßlauben neben H. Caspar de Beyer dem Handelßmann & so über 5/9.te theil ane 564. lb 10 ß d Capital in 5. vnderschiedenen posten Ledig eig. vnd gewürdiget für 229 lb. Die übige 4. neünte theil seindt wie oben fol: (-) befindlich der Erben unverändert. Undt seind die darüber sagende brieffliche Documenta dicto loco beschriben.
Series rubricarum hujus Inventarÿ. Der Erben unverändert Vermög. Sa. haußraths 73, Sa. Leeren Vaß 4 Sa. Silber geschirr und Geschmeids 57, Sa. Guldener Ring 9 Sa. baarschafft 33, Sa. Eigenthums ane einer behaußung 183, Sa. pfenningzinß hauptgutts 6, Summa summarum 366 lb – Schulden 176, Nach Abzug deren 190 lb
Deß Wittibers unveränderte Nahrung, Sa. Silber Geschmeids 1, Sa. Schuld 37, Summa summarum 39 lb
Das Theilbar Gutt betr. Sa. haußraths 78, Sa. Wahren, Gemachter arbeit und Werckzeugs Zum Kürßner handwerck Gehörig 342, Sa. Wein und leeren Vä 18, Sa. Frucht 10, Sa. Silber geschirr und Geschmeids 11, Sa. Guldener Ring 7, Sa. baarschafft 109, Sa. Schulden 290, Summa summarum 867 lb – Schulden 185, Nach deren Abzug 682 lb
Conclusio finalis Inventarÿ 1175 lb

Jean Mathias Schmidtmeyer se remarie en 1691 avec Catherine Riff, fille de l’aubergiste à la Cave au Faucon
Mariage, Saint-Pierre-le-Jeune (luth. f° 18)
1689. Domin. IX et X post Trinit: seint proclamirt undt außgeruffen Word. Hr. Johann Matheis schmidtmeÿer der Vechhändler v. burger alhier, vndt Jfr. Catharina Weÿl. hrn Johann Jacob Ruffen, geweßenen gastgebers in dem falcken Keller auch beÿ E. E. grossen rath alhier alten beÿsitzers nachgel. ehl. tochter, Copulat. heut Mittw. d. 17 Augusti [unterzeichnet] Johann Mathias schmidmeÿer als hochzeitter, x Signum sponsæ (i 21)

Les nouveaux mariés font dresser l’inventaire de leurs apports dans la maison Rœhmer aux Grandes Arcades. Ceux du mari s’élèvent à 1 085 livres, ceux de la femme à 720 livres.
1689 (6. 7.br), Not. Lang (Jean Henri l’aîné, 27 Not 11) n° 18
Inventarium und Beschreibung aller der Jenigen Haab und Nahrung, so der Ehren vorgeachte Herr Johann Matthias Schmidtmeÿer Kürßner und die Viel Ehren und tugendreiche Fraw Catharina Schmidtmeÿerin Gebohrne Rueffin, beede Eheleuth und burgere Allhier Zu Straßburg einander für unverändert in den Ehestand zugebracht, welche Nahrungen der ursach halben, damit mann sich Künfftiger Zeit der Ergäntzung wegen, darnach zu reguliren haben möchte (…) Actum in fernerer præsenz deß Ehrenvesten, fürsichtig vnd weißen herrn Philipp Küblers E. E. wohlweißen Großen Raths alhie Alten Beÿsitzers, als der frawen noch Zur Zeit ohnentledigten Vogts, Dienstags den 6. 7.bris A° 1689.

In einer alhier zu Straßburg under der Großen Erbslaub gehöriger und in dieße Nahrung nicht gehörigen behauß. befund. worden wie volgt
Auff dem obern Kasten, In der Gesellen Cammer, In der Cammer A, In d. Cammer über d. Wohnstub, In der Wohnstub, Im Haußöhren, Im Hindern Stüblein, Im undern haußöhren, Im Gaden, Im Keller
Schulden aus der Nahrung zu bezahlend. Item mann solte Zwar deß Manns verstorbenen Erster Haußfrauwen seel. Erben (…)
Series rubricarum hujus Inventarÿ. Deß Manns unveränderte Nahrung, Sa. haußraths 149, Sa. Werckzeugs zum Kürßners handwerckh gehörig 799, Sa. Frucht und Meel 9, Sa. wein & leeren Vaß 45, Sa. Silbergeschmeids 10, Sa. Guldener Ring 4, Sa. baarschafft 68, Sa. Schulden 216, Summa summarum 1303 lb – Schulden 217, Nach solchem abzug 1085 lb
Der Fr. unverändert Vermög. betr. Sa. haußraths 176, Sa. Silber geschirr und Geschmeids 51, Sa. guldiner Ring 23, Sa. baarschafft 414, Sa. Pfenningzinß hauptgüter 55, Summa summarum 720 lb – Haussteuren 23 lb
Wÿdumb Welchen d. Mann 10. Jahr lang nach weÿl. fr. Barbara Schmidtmeÿerin gebohrner Kleinin als deß. Erster haußfr. d. 15. 8.br aô 1688. genommenen tödlichen hintritt wÿdumbs weiß Zugenießen hat, Innhalt eines beÿ vorgedacher fr. Barbaræ Kleinin seel. verlaßenschafft abtheilung den 29. Junÿ aô 1690. getroffenen v. beÿ mein Notarÿ concepto befindlich. v.gleichs

Les héritiers Rœhmer cèdent la maison à leur beau père Jean Mathias Schmidtmeyer

1690 (4. Julÿ), Chambre des Contrats, vol. 562 f° 364
(prot. fol. 69.b.) Susanna Hannß Martin Kolben deß Kürßners haußfr. gebohrne Röhmerin, ferner Elisabeth Römerin hanß Georg Gärttners deß Schuhmachers Eheweib beede mit beÿstand derer erstegd. Ehevögte, Weiter H. Johann Caspar Wolff der lautenmacher alß vogt Martæ und Annæ Catharinæ Röhmerin, so ledig. stands aber majorennis, So dann Johann Michael Küchel deß Paßmentirer alß Vatter und theÿlvogt deßen mit weÿl. Barbaræ gebohrner Röhmerin seinen abgel. Eheweib Seel. Erziehlten Söhnleins allen Weÿl. Johann Henrich Röhmers deß Kürschners mit Weÿl. Barbara gebohrner Kleinin beede Seel. erziehlter döchter und Enckel
in gegensein Johann Matthiæ Schmidmeÿers auch kirßners Ihres respec. Stieff Groß: und Vatters mit beÿstand Georg Sigmund Brömeßmäntels deß Zinngießers seines Schwagers
Eine behaußung, Hoff, Hoffstatt und Gaden, sambt einem hiender häuß. einseit neben Johann Mößner dem Kürßner, anderseit neben H. Caspar de Bayer, hinten auff wied. auff denselben stoßend gelegen, welche behaußung umb 40 pfund der Rothen Kirch, Item H. Johann Leonhard Fröreißen Ammeister 300 pfund, Item Christoph Spangenberg. den buchbinder et Cons. umb 120 pfund, ferner H. Johann Philipp Brunen* XIII. umb 100 pfund, Mehr obged. beeden ledig. döchtern weg. Ehesteur und Mütterlich prælegats umb 100 pfund verhafftet, sonsten über gegen männiglich freÿ ledig und eÿgen seÿe, (…) Zugangen umb 460 pfund
[in margine :] Erschienen hierinn gemeldte Martha Römerin, anietzo hans Peter Lößen deß Würts Zum Jäger eheliche haußfr. (quittung) den 28. 7.br 1690
94 Z 1 (Pièces produites à la Chambre des Contrats)
Auß Erkantnuß EE E großen Rhats der Statt Straßburg ist weÿland Joh: Friderich Römers geweßenen kürschners Zweÿer lediger döchter Vogts H. Joh: Gaspard Wolffen, und Joh: Michel Küchelß theil Vogtß parentis deß gebettenen decretum alienendi betreff. 3/9. theil ahn Einer behaußung under der großen Erbßlaub, auff der Kinder Vertragß angehörte relation und der Vogt pertenliche behabung Ertheilt d 13. Jullÿ 1690. und ist die behabung herrschafft Eod. d. – Scheffmacher Rhatschreib.

L’inventaire dressé après la mort de Catherine Rueff n’est pas conservé. Les préposés de la Taille font figurer la succession dans leur registre parce que les impôts acquittés étaient calculés d’après une fortune sous-évaluée de 1 000 florins (5000 livres) sur un total de 3 700 florins

1700, Livres de la Taille (VII 1173) f° 87
(Kürßner) Weÿl: Fr: Catharinæ Schmidmeÿerin gebohrner Rueffin, H. Johann Matthæi Schmidmeÿers deß Kürßners gewesener Haußfrauen Verlaßenschafft, Inventirt Herr Nots: Johann Heinrich Lang.
die Beschluß Summa Inventarÿ ist fol: 116.a 2116. lb, 8 ß 8 d, die thun 4700. fl.
Hingegen verstallte dieselbe 3700 fl. also 500 lb. Zuwenig davon stehet daß Stallgelt auß pro 1700, 6 lb 18 ß
Item so wird der Nachtrag als von theilbarem gesetzt auff Fünff jahr in duplo macht à 1 lb 10 ß – 7 lb 10 ß
Item in simplo auf dreÿ jahr macht à 15 ß – 2 lb 5 ß
Item si thun die Gebott – 1 ß 4 d
So dann die Abhandlung – 4 lb 2 ß 6 s, Summa 20 lb 16 ß 10 d
dt. 16. Aug: 1700 per Pf.thurnsschein

Jean Mathias Schmidtmeyer se remarie en 1700 avec Susanne Marguerite Spangenberger, fille d’enseignant
Mariage, Saint-Pierre-le-Jeune (luth. f° 99) 1700. Domin. XI et XII post Trinititat: proclamati sunt Hr. Johann Mathias schmidmeÿer, der Rauchwahr händler v. burger alhier, v. Jfr. Susanna Margaretha, herrn Johann Spangenbergers, geweßenen Kind. præceptoris alhier nachgel. ehl. tochter, Copulati sunt Mittw. d. 1. 7.bris [unterzeichnet] Johann Mathias schmidmeÿer als hochzeitter, Susanna Margretha Spanenbergerin alß hochzeiterin (i 102)

Le conseil des Tanneurs fait grief au pelletier Jean Mathias Schmidtmeyer de vendre du cuir. Il objecte que d’autres se livrent au même commerce sans avoir davantage de droits que lui.
1714, Protocole de la tribu des Tanneurs (XI 358)
Johann Mathiß Schmidtmeÿer der Fechhändler
(f° 86-v) Donnerstag den 27. Septembris A° 1714
Herr Mathhias Schmidtmeÿer der föchhändler Kürßner Vnd burger allhier ist beclagt daß er Weiß leder einkauffe vnd wider Verkauffe, so wider Ordnung.
Ille sagt Könne es nicht leugnen, gäbe es nich einzelich, sondern Wider en gros hienweg, hätte nicht gewußt daß es Verbotten wäre. Zu deme so thäten ja auch dergleichen die Baßler so hier nicht verburgert Zwischen den Meßzeiten, Item es Verkauffe solche wahr verschiedene handelßleüth allhier factor: und commissions weiße, mann möchte es auch denselbigen verbieten.
Erkand, würdt dißmahls beÿ seiner verantworttung gelaßen, soll aber ins Künfftig beÿ straff deß Articuls sich sothanen eingebührlichen leder Verkauffs enthalten, vnd da Ihme einige Persohnen wißend die gleich wie er wider dieße Zunfft ordnung gehandelt hatten solche mahnhafft machen, beÿ eröffnetem bescheid nante er Fr. Biehlerin der Eißenhändlerin, welche dergleichen thäte, bat anbeÿ Ihne als einem gelt Zudiener an zu nehmen, ferner Erkandt woll beÿ seinem erlernten handwerckh vnd profession mithien derjenigen Zunfft wohien er deßhalben gehörig, verbleiben.

Jean Mathias Schmidtmeyer meurt en 1715 en délaissant trois enfants de son deuxième mariage et trois du dernier. Les experts estiment la maison 1 900 livres. La masse propre à la veuve est de 266 livres, celle des héritiers de 3 111 livres. L’actif de la communauté s’élève à 2 157 livres et le passif à 3 434 livres.

1715 (9. 7.br), Not. Lang (Jean Henri l’aîné, 27 Not 40) n° 14
Inventarium über Weÿland deß Ehrenvest und Hochgeachten Herrn Johann Matthiæ Schmidtmeÿers, geweßenen Kürßners vnd Rhauwahrhändlers, auch Eines Ehrsamen Kleinen Raths Alten beÿsitzers, burgers zu Straßburg seeligen Verlaßenschafft, auffgerichtet Anno 1715. – Inventarium und beschreibung allerder Jenigen Haab, Nahrung und Güttere, so Weÿland der Ehren Vest: und hochgeachte Herr Johann Matthias Schmidmeÿer, geweßener Kürßner und Rhauwahrhändler, auch E: E: Kleinen Raths alter beÿsitzer, burger zu alhier Straßburg nach seinem den 30. Julÿ Jüngsten aus dießer Zeit und welt genommenen tödlichen Ableiben Zeitlichen verlaßen (…) durch die Viel Ehren und tugendreiche Fraw Susannam Margaretham Schmidtmÿerin gebohrene Spengenbergerin die hinterbliebene Wittib mit assistentz des Ehrenvest und Kunsterfahrnen herrn Johann Sebastian Kratzen barbierer undt wundartzten auch burgers alhier derselben geschwornen Curatoris (…) geäugt und gezeigt – Actum Straßburg Montags den 9.ten 7.bris 1715.
Der Abgeleibte Herr seel. hat in Zwoen Ehen ane Kinder erzielt und ab intestato zu Erben Verlaßen wie volgt. I, Zweÿter Ehe. 1. die Ehren und tugendreiche Jungfrauw Mariam Ursulam Schmidmeÿerin, 2. den Ehrengeachten Johann Matthiam Schmidmeÿern, Ledig. Kürßner gesellen, 3. Vnd H. Mr Johann Jacob Schmidmeÿern der heÿligen Schrifft befließenen, dieße dreÿ deß herrn seel. in Zweÿter Ehe mit Weÿl. Fr. Anna Catharina gebohrner Reiffin seel. Ehelich erzeugter H. Söhn und Jungfr. Tochter, deren geschworner Vogt H. Johann Wennemar Heÿl, Stattschmidt und burger alhie welcher dem geschäfft beneben denen Curanden Von anfang biß Zu end beÿgewohnt
In Letzter Ehe, 4. 5 et 6. Susannam Mariam, Johann Danieln und Mariam Salome die Schmidmeÿere, deß H. seel mit Eingangs gemelter Fr. Susanna Margaretha gebohrner Spangenbergerin, seiner hinterbliebenen Wittib ehelich erzeugte Kinder, deren geschwohrner Vogt der Ehrenveste H. Johann Friderich Keck Zinngießer und burger alhier, welcher dem geschäfft ebenmäßig abgewartet, Also alle Sechs deß Verstorbenen, herrn seel. Ehelich erzeugte Kinder und ab intestato nachgelaßene Rechtsmäßigen Erben, Jedes Vor ein Sechsten theil berührend.
Copia der Eheberedung – Copia Codicilli

In einer alhier Zu Straßb: ane der großen Gewerbslaub gelegener und in dieße Verlaßenschafft gehöriger behauß. befund. worden wie Volgt.
Ane Hültzen: und Schreinwerck. Auff d. obern vordern bühn, In der Cammer A, In der Cammer B, In der Cammer C, In der Cammer D, In der Cammer E, Im hind. Hauß, In der Wohnsrub, Imm obern haußöhren, Im undern haußöhren, In d. Kuchen, Im Kelller
Ergäntzung der Fr. Wittib ermanglenden unveränderten Guths. Auß dem über beÿder geweßener Eheleuth in die Ehe gebrachte Nahrungen durch mich Eingangs gemelten Notm. den 26. Maÿ A° 1702. auffgerichteten Inventario
Eÿgenthumb an einer Behaußung. (E.) Item eine behauß. hoff, hoffstatt und Gaden sampt einem hinterhäußl. auch übrigen dero gebäuwen, begriffen, weiten, rechten, Zugehörden und gerechtigkeiten, geleg. allhier in der Statt Straßb. fast mitten under d. großen Gewerbslauben, 1. s. n. Rudolph Schranckenmüller dem Weißbecken, 2. s n. Hn Joh: Jacob de Beÿer dem Materialisten hinten auch auff denselben stoßend, davon und Zwar dem newerbauten Vorgaden gehen Jahrs auff (-) 4 lb 10 ß d bodenzinß gemeiner Statt alhier, ferner ist ferner ist solche behauß. verhafftet umb 40. lb d Capital der Rothen Kirch allhier, so Jahrs m. 2. lb d Verzinßt wird, Item umb 300. lb d Hauptgutt weÿl. H. Mr Joh. Adam Schmidts gewesenen Pfarrers Zu Eckboltzh. seel. nachgelaßener Wittib, So dann umb 75. lb d restirend Capital Joh. Christoph Spangenbergers deß buchbinders hinderlaßenen Erben, sonsten gegen Menniglichen freÿ Ledig und Eigen, und ist diese behauß. durch der Statt Straßb; geschwohrene Werckhleüth, Vermög einer ad Conceptum überreichter schrifftlicher Abschatzung com 9. 7.bris 1715. über abzug Vorstehender beschwerden hiehero angeschlagen umb 1305. lb. Woran hiehero in der Erben unveränderte Nahrung Zween dritte theil gehörig thut 870 lb. der übrige eine dritte theil so thut 435 lb ist denen Kindern Voriger Ehe gehörig und unter dero Mütterlichem gutt so der H. seel. ad dies vitæ genoßen, wie hieunden befindlich begriffen. Darüber sagen 3. unterschiedl. perg. Kauffbrieff auß allhies. C C Stub deren der eine datirt den 4.ten der andere den 5.ten Martÿ A° 1658. der dritte aber d. 4. Julÿ A° 1690. alle mit alten Nis 1. 2. et 3. signirt und Vor dieses mahl wieder dabeÿ gelaßen.
Series rubricaru,m hujus Inventarÿ. Der Fraw Wittib unverändert Vermögen betreffend. Sa. haußraths 31, Sa. Silber geschirr und Geschmeids 10, Sa. Guldener Ring 10, Sa. baarschafft 35, Sa. Schulden 50, Sa. Ergäntzung (133, Abzug) 5, Remanet) 128, Summa summarum 266 lb
Dießemnach Wird auch der Kinder und Erben unveränderte Nahrung beschrieben, Sa. haußraths 150, Sa. Werckzeugs Zum Kürßner Handwerck vnd färben gehörig 4, Sa. Leeren Vaß 23, Sa. Silber Geschirr und Geschmeids 18, Sa. Guldener Ring 8, Sa. Baarschafft 20, Sa. Eigenthums An einer behaußung 870, Sa. Ergäntzung (3767, Abzug 488, Remanet) 3279, Summa summarum 4374 lb – Schulden 1263 lb, Nach deren Abzug 3111 lb
Endlichen wird auch das Gemein Verändert vnd theilbar Gutt beschrieben, Sa. haußraths 71, Sa. Wahren und Gemachter Arbeit zum Kürßner handwerck und Rhauwahrhandel gehörig 531, Sa. Weins 148, Sa. Silber geschmeids 12, Sa. baarschafft 35, Sa. Schulden 1358, Summa summarum 2157 lb – Schulden 3434, (passiv onus) 1277.
Conclusio finalis Inventarÿ 3725 lb
Abschatzung d. 9.ten 7.bris 1715. Weÿ Landt deß Ehrenhafften Vnd bescheÿtenen H. Johann Mathias schmitman, Kürschner Seel. hindter Laßenen: Frau: Witib Vnd Erben ist Eine behaußung Alhier in der Statt Straßburg, Vnder der Erbslaub geleg. Ein Seitz Neben H. De Baÿer Kauffman, Ander seitz Neben H. Rudtolph schrancken Müller hindten Auff denn Tomprobstischen hoff stoßent. Welche behaußung hoff hoffstatt, hindter gebeÿ, neben gang, Ladten, Gewölbter Keller Vnd hoff, Sampt Aller Ihrer Recht Vnd gerechtigkeit, wie solches durch der Statt Straßburg geschwohren werckhleüthe sich in der besichtigung befunden, Vnd dem Jetzigen preiß Nach angeschlagen wirt Vor vnd Vmb Dreÿ Tausendt Acht Hundert Gultenn. Bezeichnüß durch der Statt Straßburg geschworn. Werckhleuthe, Jacob Staudacher werckh Meister des Maur hofs. Jacob schuller Werck Meister des Zimmer hoff, Michel Ehrlacher Werck Meister deß Minsters

Les préposés de la Taille font figurer la succession dans leur registre parce que les impôts acquittés étaient calculés d’après une fortune sous-évaluée de 1 200 florins (600 livres) sur un total de 7 400 florins
1715, Livres de la Taille (VII 1175) f° 152
(Kürßner, F. N° 1601) Weÿl. H. Johann Matthiæ Schmidtmeÿers geweßenen Kürßners und burgers alhier Verlaßenschafft inventirt H. Not. Johann Heinrich Lang sen.
Concl. fin. Inv. ist fol. 141, 3735. lb. 15 ß 8 d, die machen 7400. fl, verstallte 5200. fl. Zu wenig 1200 fl.
Warvon der Nachtrag gerechnet wird auff acht Jahr in duplo macht à 3 lb 12 ß – 28 lb 16 ß
Und auff Sechß Jahr in simplo à 1 ln 10 ß d trifft – 10 lb 16 ß
Extat das Stallgeltt pro 1715. mit – 13 lb 13 ß
Gebott – 1 ß 4 d
Abhandlung – 4 lb 2 ß 6 d – Summa 57. lb 8 ß 10 d
In consideratione der in den übergebenen Memoriali enthaltenen Motiven haben die Herren dreÿ nachgelaßen 5. Jahr in duplo und 4. Jahr in simplo, trifft 25. lb
4 ß, rest 32. lb 4 ß 10 d
dt. 25° 9.br 1715.

Les enfants Schmidtmeyer cèdent leurs parts de la maison à leur frère pelletier Jean Mathias Schmidtmeyer moyennant 2 500 livres

1720 (2.8.), Not. Lang (Jean Henri l’aîné, 27 Not 40) Joint au n° 14 du 9 sept. 1715
Vergleich und übergaab der Behausung
Erschienen Fraw Maria Ursula Kuhnin Gebohrne Schmidtmeÿerin, anjetzo H. Johann Georg Kuhnen deß Weißbecken vnd burgers alhier Eheliche haußfrau, beÿständlich deßelben, Ihres haußwürths, Mehr S: T: Herr M. Johann Jacob Schmidtmeÿer der Heÿl. Schrifft Befließener, Ferner Frau Susanna Maria Pröbsterin Gebohrne Schmidtmeÿerin, Herrn Johann Wilhelm Pröbsters, deß Kürßners vnd Rhauwahrhändlers auch burgers allhier Ehewürthin, mit assistentz deßelben Ihres Ehemanns, So dann H. Johann Friderich Keckh, Zinngießer vnd burger allhier, Als Geschworner Vogt Johann Daniels und Mariæ Salomeæ der Schmidtmeÿere, An einem, Als Verkäuffere
Andern theils aber Herr Johann Matthias Schmidtmeÿer, Kürßner vnd Rhauwahrhändler Als Käuffer am andern theil, die bekandten, daß Sie sich wegen der biß dato noch Gemein vnd ohnvertheilten behaußung under der Großen Gewerbslaub, volgender Gestalt mit einander Verglichen, Nemblichen so haben die fünff Verkäuffende Geschwüsterd, wie auch dero Ehe: Vnd Vögte Ihme Johann Mathiæ Schmidtmeÿer dem Käuffer cedirt und übergeben
die Völlige Elterliche Behausung sampt dero Gebäwen, rechten, Zugehörden und Gerechtigkeiten, allhier Zu Straßb. vnder der Großen Gewerbslauben neben H. Debeyer gelegen, davon Gehen Jährlichen 4 lb 10 ß d bodenzinß Gemeiner Statt alhier, welche der Kaüffer übernimbt, sonsten für freÿ Ledig vnd eigen, vmb 5000 Gulden à XV Batzen (…) Zum andern solle der Käuffer schuldig sein der Alt Schmidtmeÿerischen Fr. Wittib die derselben in Wÿdumb Verordnete Gemach biß Zu dero Verheürathung oder Wÿdumbs fall Ruhiglich vnd ohne einige widerred Genüß. Zu laßen – Freÿtags den 2. Aug. 1720.

Jean Mathias Schmidtmeyer épouse en 1716 Marie Salomé Hansmetzger, fille de boucher : contrat de mariage, célébration
1716 (11.8.), Not. Lang (Jean Henri l’aîné, 27 Not 52) n° 347
Verglichene Heüraths: Puncten Zwischen Herrn Johann Matthiæ Schmidtmeÿern Ledigem Kürschner vnd Rhauwahrhandlern weÿl. H Johann Matthiæ Schmidtmeÿers Geweßenen Rauwahrhandlers vnd E E Kleinen Raths Alten Beÿsitzers burgers Zu Straßburg seel. hinderlaßenem Ehelichem Sohn, Als Hochzeitern, an einem, So dann
der Viel Ehrn; und Tugendreichen Jungfrawen Mariæ Salomeæ Hannßmetzgerin Herrn Isaac Hanßmetzgers deß Metzgers und burgers allhier Ehelichen dochtern als der hochzeiterin am Andern theil
Dienstags den 11. Augusti Anno 1716. Johann Mathias Schmidtmeyer als hochzeitern Maria Salome Hanß Metzgerin

Mariage, Saint-Nicolas (luth. f° 152-v n° 13)
Mittwoch den 23. Sept. 1716 seind nach Vorhergegangenen Zweÿmahligen Außruffung Zu St. Nicol. in Straßburg Ehelich copulirt vnd eingesegnet worden Johann Matthias Schmidmeÿer, der ledige Fechhändler vnd Burger alhier, weÿl. H. Johann Mathias Schmidmeÿers geweßenen Rauchwahrhändlers Vnd burgers allhier hinterlaßener Ehel. Sohn, Vnd Jfr. Maria Salome Hans Metzgers, Isaac Hanß Metzgers des Metzgers vndt Burgers allhier Eheliche Tochter [unterzeichnet] Johann Mathias schmidmeÿer Als hochzeitern Maria Salome Hanß Metzgerin als hoch Zeitterin (i 157)
Proclamation, Saint-Pierre-le-Jeune (luth. f° 28, n° XVI) 1716. Dominica XIV et XV post Trinit. proclamati sunt H. Johann Mathias Schmidt Meÿer, der ledige Rauchwaarhändler und Burger allhier, weÿl. H. Johann Mathias Schmidt Meÿer, gewesenen Rauchwaarhändlers auch E. E. Kleinen Raths alten Beÿsitzers allhier nachgelaßener Ehel. Sohn, und Jfr. Maria Salome H. Isaac Hanß Metzger, des Metzgers und Burgers allhier ehel. Tochter, Copulati sunt Mittw. d. 3. Septembris in der Kirche zu St Niclauß (i 32)

Les nouveaux mariés font dresser l’inventaire de leurs apports dans la maison qui apparrtient en partie au mari. Ceux du mari s’élèvent à 2 007 livres, ceux de la femme à 750 livres.

1716 (28. 8.bris), Not. Lang (Jean Henri l’aîné, 27 Not 42) n° 34
Inventarium und Beschreibung aller der Jenigen Haab Nahrung und Gütter, so der Ehrengeachte Herr Johann Mathias Schmidtmeÿer, Kürßner v. Rhauwahrhändler, und die Ehren und tugendsame fraw Maria Salome Schmidtmeÿerin gebohrne Hannßmetzgerin, beede Eheleuth und burgere alhier Zu Straßburg einander für ohnverändert in den Ehestand zugebracht,, der Ursach halben, damit man sich Künfftiger Zeit der, in Ihr beeder Eheleuth auffgerichteten Heürath Verschreibung Verglichener Ergäntzung wegen, darnach zu reguliren haben möchte, vorgenommen, ersucht und inventirt – Actum Straßburg in fernerer præsentz herrn Johann Winnemar Heÿlen, Stattschmidt und burgers alhier des Ehemanns noch Zur Zeit ohnentledigten Vogts und H. Isaac Hannßmetzger deß Metzgers als der Ehefr. geliebten Vatters, Mittwochs den 28.ten Octobris A° 1716.
Pro Nota. die zwischen beÿden Eingangs Gemelten Eheleuthen Auffgerichtete Eheberedung ist den (-) A° 1710. vor mir Notario verschrieben Zubefinden, So Zum Bericht deß Orths vermeldet wird.

In einer alhier Zu Straßburg ane der Großen Erblaub gelegenen und zum theil in des Ehemanns unveränderte Nahrung gehöriger behaußung befunden worden, Wie volgt
Eÿgenthumb an einer behaußung. Item ein dritterheil an einer tertz vndt 1/6.ter theil an Zwo tertzen das machen zusammen 2/9.te theil für ungetheilt Von und ane einer behausung, hoff, hoffstatt und Gaden, sampt dem hindehäußlein auch übrigen dero gebäwen, begriffen, weithen, rechten, Zugehörden u. gerechtigkeiten gelegen alhier in d. Statt Straßburg fast untten under der großen Erbslaub, einseith n. Rudolph Schranckenmüller dem weißbecken, 2.s n H. Johann Jacob de Beÿer dem Materialisten, hind. auch auff denselben stoßend, davon und zwar dem Newerbawten Vorgaden gehen Jahrs auff (-) 4 lb 10 ß d bodenzinß gemeiner Statt alhier, ferner ist die gantze behaußung verhafftet umb 40. lb Capital der rothen Kirch allhier, so Jahrs m. 2. lb d Verzinßt wird, Item umb 300. lb d Hauptgutt weÿl. H. Mr Johann Adam Schmidts gewesenen Pfarrers Zu Eckboltzheim seel. nachgelaßener fr. Wittib, So dann umb 75. lb d restirend Capital Johann Christoph Spangenbergers deß buchbinders hinderlaßenen Erben, sonst gegen männiglichen freÿ ledig und Eigen, welcher behaußung antheil aber deß orths nicht zu estimiren sondern wann selbiges fahrender dieser Ehe verkaufft werd. solte, dem darauß erlößten werth auch zu ergäntzen Vor gut angesehen worden. Darüber sag. 3. underschied. pergamente Kbr. auch allhies. C C stub deren d. eine datirt den 4.ten der andere den 5.ten Martÿ A° 1658. der dritte aber d. 4. Julÿ A° 1690. alle mit alten Nis 1. 2. et 3. signirt und Vor diesesmahl wieder dabeÿ gelaßen.
Series rubricarum hujus Inventarÿ. Des Ehemanns unveränderte Nahr. Sa. haußraths 150, Sa. Werckzeugs Zum Kürßner handwerck gehörig 20, Sa. Wahren und Gemachten Arbeit zum Rhauwahrhandel gehörig 2735, Sa. Silber geschmeids 39, Sa. Guldenen Rings 5, Sa. baarschafft 11, Eÿgenthumb an einer behausung o, Sa. Schulden 339, Summa summarum 3303 lb – Schulden 1296, Nach deren Abzug 2007.
Dießem nach wird auch der Ehefrauen unverändert Vermögen beschrieben, Sa. haußraths 341, Sa. Sibergeschmeids 33, Sa. Guldenen Ring 60, Sa. baarschafft 315, Summa summarum 750 lb
Haussteuren 142, daran eines Jeden Ehegatten Verglichene helffte 71 lb

Jean Mathias Schmidtmeyer hypothèque la maison au profit du juriste Daniel Kornmann

1725 (30.10.), Chambre des Contrats, vol. 599 f° 553
Johann Mathias Schmidtmeÿer der Kürßner Rauchwaarhändler und Fr. Maria Salome geb. Hannßmetzgerin mit beÿstand ihres vatters H. Isaac Hannßmetzger des Metzgers und EE. kleinen Raths alten beÿsitzers und ihres bruders Isaac Hannßmetzger ledigen Metzgers
in gegensein H. Friedrich Kornmann banquier als mandatarii seines H. bruders H. Lt. Daniel Kornmann Consulenten beÿ allhiesieger statt – schuldig seÿen 1750 pfund
hypothecirt, Eine Behausung bestehend in Vorder: und hinderhauß hoff und hoffstatt mit allen derselben gebäuden, begriffen, weithen, zugehörden, Rechten und gerechtigkeiten unter der großen gewerbslaub einseit neben H. De Bayer Materialisten anderseit neben Rudolph Schranckenmüller dem Becker hinten auff den domb: Probsteÿ hoff, wegen vorgeruckten ladens gibt man 4 lb 10 ß jährlichen allmend geldt hiesiger Stadt Pfenning Thurn

Jean Mathias Schmidtmeyer demande en décembre 1727 à cotiser à la tribu des Tanneurs pour pouvoir vendre du cuir. On lui oppose un refus en janvier 1728.
1727, Protocole de la tribu des Tanneurs (XI 358)
Johann Mathiß Schmidtmeÿer der Fechhändler
(f° 174) Mittwoch den 17. Decembris Anno 1727 – H Johann Mathiß Schmidtmeÿer der Fechhändler und burger allhier stunde Vor und bate, Weilen er gesinnet mit Weißgerber Leder Zuhandlen, Ihne alß einen Geld zünfftigen auff und anzunehmen.

(f° 176-v) Anno 1728. Donnerstags den 8.ten Januarÿ – Herr Johann Matthiß Schmidtmeÿer der Fechhändler allhier stunde Vor und begehrte, wie er neulich schon Ansuchung gethan, Ihme das Zunfftrecht, alß ein Geld Zudiener angedeÿen Zulaßen. Erkannt, seÿe Ihme in seinem begehren abzuschlagen.

La tribu des Tanneurs fait grief à Jean Mathias Schmidtmeyer de vendre des peaux de mouton. Il répond qu’il les a achetées à la foire de Francfort sans savoir que cela lui était interdit. Le conseil de la tribu ne lui inflige pas d’amende pour cette fois.
(f° 192-v) Mittwoch den 7. Septembris Anno 1729 – H. Johann Christmann Röderer proponirt, daß er Von Johann Buschard Jun. Vernommen hätte, daß Johann Matthiß Schmidtmeÿer wider ordnung mit loh rothen Schaff fellen handle, und Claudius Wilhelm Ihme dergleichen aberkaufft habe.
Johannes Buschard Jun. Zugegen bestätigte solches nochmahlen.
Erkant, Johann Matthiß Schmidtmeÿer soll auff nechstes gericht Vorgebotten, zugleich aber Johannes Buschard Ijun. und Georg Rüger als Zeügen citirt werden.

(f° 193) Donnerstag den 15. Decembris 1729. – Johann Matthiß Schmidtmeÿer der Föchhändler allhier wurde citirt und beclagt, daß er wider ordnung lohrothen Schaff felle eingehandelt und Wider verkaufft habe. Beklagter Wendete ein er hätte solhe Schaff fell in Letsterer Franckfurter Maß eingekaufft und solche wider allhier verhandelt, hättz aber nicht gewußt, daß ihme solches nicht erlaubt wäre.
Erkannt seÿe er Beklagter Vor dieses Mahl der Straff Zu erlaßen, Ihme aber solches ins Künfftige Zu thun, beÿ 10 lb d Zu inhibiren, so Ihme auch untersagt worden.

(f° 200-v) Dienstag den 1. Augusti Anno 1730 – Johann Matthiß Schmidtmeÿer der Föchhändler allhier wurde citirt und beclagt, daß er abermahlen über das Ihme den 18. Decembris 1729. angelegte verbott lohrothen Schaff fell verkaufft habe.
Ille wendete vor, daß er Von Johann Diebold Hetzel dem Rothgerber commission gehabt, einige quantitär Schaff fell Zu Franckfurt zu Kauffen, welches er dann gethan und Zu seiner Wahr gepackt, sofort anhero bringen laßen, nachgehends Ihme auß gelüffert, wie solches gedachter Hetzel bezeugen wird, Verhoffe nicht straff würdig Zuseÿn.
Erkannt weilen er Hetzel nicht Zugegen, alß bleibt diese Sach auff nechstes Gericht Verschoben.

Jean Mathias Schmidtmeyer achète des peaux à Francfort pour le compte du tanneur Jean Thiébaut Hetzel. Il demande à cotiser à la tribu des Tanneurs. Le conseil des Tanneurs ne lui inflige pas d’amende pour cette fois et renvoie le pétitionnaire à la précédente décision pour ce qui est de cotiser à la tribu.
(f° 204-v) Dienstag den 14. Novembris A° 1730 – Johann Matthiß Schmidtmeÿer der Fechhändler allhier wurde citirt und wiuder Ihne die den 1. Zug. jüngsthien eingeführte Klag widerhollet.
Ille berufft sich nochmahlen auff H. David Hetzels Außsag, von welchem er commission bekommen, vor Ihne lohrothen Schaff fell auß der Franckfurter Meß mit zu bringen.
Johann Diebold Hetzel zugegen bestättigte, daß er Ihme Schmidtmeÿer solche commission gegebeb habe. Nach deme man darauffhien Ihne Schmidtmeÿer gefragt, ob er dann alle Schaff fell so er auß der Franckfurter Meß gebracht, Ihme Hetzel Zu Kommen laßen, so antwortete er Schmidtmeÿer daß er noch einige übrig habe, weilen Ihme von Hetzel Keinne gewiße Quantitæt beste(l)t worden, aiff Welche antwort Ihme ferner replicirt Worden, daß unter dem Schein der commission wider den articul gehandelt wird, und Ihme nicht Verstattet Werden Könne, solche commission fernerhien anzunehmen. Worauffhien er Schmidtmeÿer eingewendet, daß er schon der Zweÿ Jahren das Zunfftrecht alß ein Gelt Zudiener erkauffen wollen, um mit leder gleich wie ein anderer Geld Zudiener handlen Zu Können und nochmahlen gebetten Ihme das Zunfftrecht gedeÿen Zulaßen
Erkannt, seye er Schmidtmeÿer mit seinem begehren wie schon den 8. Junÿ 1728. erkannt worden, weilen er Kein Kauffmann ist, welcher zu der Zunfft der Kauffleuthe dienet, abzuweißen und die commission handlung des Leders beÿ Straff des articuls gäntzlichen niderzulegen, um übrigen Vor dießmahlen der Straff Zu befreÿen.

Jean Mathias Schmidtmeyer et Marie Salomé Hansmetzger hypothèquent la maison au profit de l’aubergiste Georges Frédéric Jung

1741 (16.3.), Chambre des Contrats, vol. 615 f° 133-v
H. Johann Mathias Schmidtmeÿer der veechhändler und Maria Salome geb. Hanß Metzgerin beÿständlich ihres schwagers H. Johann Philipp Winther des metzgers und gechwistrigkinds ehemanns Johann David Papelier
in gegensein H. Georg Friedrich Jung des wirths zum Krebs – schuldig seÿen 750 pfund
unterpfand, eine behausung bestehend in vorder und hinderhauß, hoff und hoffstatt cum appertinentis ane der großen gewerbslaub, einseit neben H. Debeyer dem materialisten, anderseit neben Gangloff dem schneider, hinten auff gemelten H. Debeyer – davon gibt mann der Stifftung zur rothen kirch 2 lb ane unablößigen zinß

Le conseil des Pelletiers fait grief à Jean Mathias Schmidtmeyer d’employer un compagnon en surnombre. Le défendeur déclare que le quatrième est seulement pensionnaire chez lui et ne peut être tenu pour un compagnon à son service. La tribu objecte que le compagnon s’est fait inscrire auprès de la tribu. Elle inflige une amende au défendeur.
1744, Protocole de la tribu des Pelletiers (XI 331)
Klag wieder Herrn Johann Matthias Schmidmeÿern
(f° 210-v) Dienstags den 7.ten Julÿ Anno 1744 – Kauffgericht
Herr Rathherr Glocke stehet vor, klagt wieder Herrn Johann Matthias Schmidmeÿern, daß er wieder Articul handle und Vier Stühl besetze, bitte, daß er darumb möchte abgestrafft werden und den vierden Gesellen wegthun sollen. Herr Schmidmeÿern Zugegen replicirt wiße die Articul wol, habe nur dreÿ Gesellen, den Vierdten, nahmens, Nahmens Tobias Hurter, betreffend, gehe er beÿ ihme in Cost und seÿe nicht als ein Gesell anzusehen, wolte solches durch producirten Brieff beweißen, legts anbeÿ solchen vor, so an Ihne geschrieben Von Johann Jacob Geltzer, dem Kürschner Von Schaffhaußen, unterm 1.ten Junÿ A° 1744 und habe er solchen brief Zu Zurzach in der Meß schon empfangen Nach: deme der Brieff verleßen, antwortete hierauff Herr Rathherr Glocke, daß dießes Schreiben nur ein Recommandations schreiben, und darauß nicht Zu nehmen, daß er ein Costgänger, über das seÿe er beÿ dem Herrn Zunfftmeister gleich andern Gesellen angegeben worden, und habe der Mensch beÿ der Lad das aufflag Geld erlegt, auch sich nach der Art der Gesellen umbschauen laßen, mithin seÿe er nicht anders anzusehen, als ein ordentlicher Gesell. Herr Schmidmeÿer meldete, daß der quæstionirte Mensch beÿ Herrn Zunfftmeister angegeben worden, allein Käme derßelbe arbeiten oder müsig gehen, wie er wolle, und behauptte anbeÿ durchauß, daß er nicht anderst als ein Costgänger seÿe, bitt umb absolvirung der Klag.
Nach gehaltener Umbfrag ward Erkand, weilen sich nach allen Umbständen erfindet, daß der Mensch quæstionis nicht ein Costgänger, sondern als ein Gesell anzuhalten, und solches Klar wieder ordnung lauffet, als wird Herr Beklagter in die in dem Articul enthaltene dreÿ gulden Straff fällig erachtet, anbeÿ soll er die Gerichts Gebühr liegen laßen auch so bald den Vierdten erst Kürztich eingeschauten Gesellen wieder Von sich thun und ihme Abschied geben.

Jean Mathias Schmidtmeyer meurt en 1750 en délaissant quatre enfants. Les experts estiment la maison 2 100 livres. La masse propre à la veuve est de 1 285 livres, celle des héritiers de 3 064 livres. L’actif de la communauté s’élève à 2 164 livres et le passif à 6 739 livres.

1750 (12. 8.bris), Not. Dautel (Fr. Henri, 6 E 41, 253) n° 454
Inventarium und beschreibung allerderjenigen Haab Nahrung und Güthere, Keinerleÿ davon außgenommen, so weÿl. der Wohl Ehren Veste und Großachtbare Herr Johann Matthias Schmidmeÿer der geweßene Vornehmen Föchhändler und burger allhier zu Straßburg nunmehr seel. nach seinem den 19.ten Augusti dießes zu end lauffenden 1750. Jahrs aus dießer welt genommenen tödlichen ableiben Zeitlichen verlaßen (…) ersucht durch die Viel Ehren und tugendreiche Frau Mariam Salome Schmidmeÿerin gebohrne Hannßmetzgerin, die hinderbliebene frau Wittib, mit beÿstand herrn Johann David Papeliers des Handelsmanns und burgers allhier, ihres zwar erbettenen aber noch Zur Zeit nicht geschwornen herrn Vogten – So beschehen allhier zu Straßburg auff Montag den 12.ten Octobris anno 1750.
Der Verstorbene Herr seel. hat ab intestato zu seinen Erben verlaßen wie folgt. 1. Frau Mariam Salome gebohrne Schmidmeÿerin, herrn Christian Eberhards des Lang meßerschmidts burgers allhier Zu Str. frau Eheliebstin, welche mit assistentz dießes ihres Eheherrn dießer Inventur in person abgewartet. 2. Frau Mariam Elisabetham geb. Schmidmeÿerin, Herrn Johann Friderich Verius, des biersieders zum goldenen Greiff und burgers allh. Ehegattin, so mit und neben dießem ihrem Marito hiebeÿ præsens war. 3. Herrn Abraham Schmidmeÿern, den ledigen Kieffern und biersiedern, so zwar majorennis, jedoch beÿständlich S. T. Herrn Johann Daniel Langheinrich Notarii publ. jur. und berühmten Practici, auch burgers allh. welche beede dießer Inventur in person beÿgewohnt. 4. Jungfrau Susannam Mariam Schmidmeÿerin, so annoch minderjährig, dahero deroselben in crafft vogteÿ scheins vom 7. 8.bris A° 1750. Zwar zu einem herrn vogt ernennet S. T. Herr Johann Wilhelm Pröbster, vornehmer föchhändler und E E. Großen Rhats alter wohlmeritirter beÿsitzer und burger alhier, so aber der Zeit den vogteÿ Aÿd noch nicht abgeschwohren (…) Alle vier des Verstorbenen herrn seel. mit eingangs gemelter seiner hinderbliebenn frauwen Wittib ehelich erzeugte Herr Sohn, Frauen und Jungfrau töchtere, und ab intestato zu gleichen portionen hinderlaßene Erben

In einer allhier Zu Straßburg ane der großen gewerbslauben gelegenen in dieße Verlaßenschafft eigenthümlich gehörigen behaußung folgender maße sich befunden
Ane Höltzen und Schreinwerck. In der obern vordern Cammer auf d. Bühn, In der gesell Cammer, In der magd Cammer, In der obern Vordern Stub, Auff dem obern gang, In der obern hindern Cammer, Auff dem untern gang, In der mittlern hindern Stub, Im mittlern haußöhren, In der mittlern Kuchen, In der vordern mittlern Stub, Im untern hßöhren, In der Bauch kuchen
Wÿdumbs Verfangenschaft, welche her Johann Georg Fleck E. E. Großen Raths jetziger beÿs: v. b. allh. Zeit lebens Zugenießen berechtiget ist. Nehml. es hat nun weÿl. Fr. Susanna Maria Fleckin geb. Bilgerin der Frn. Wittib leibl. Mutter ihren hinderbliebenen H. Wittiber herrn Rathh. Joh: Georg Flecken (…) verordnet
Ergäntzung der fr: Wittib ermanglenden unveränderten Guths. Nach außweiß des über eingangs gemeldeter beeder un zertrennten Ehel. einander in den Ehestand vor unverändert zusammengebrachte Nahrungen in a° 1716. dh. nun weÿl. H Johann Heinrich Langen Sen: geweß. Not. publ. jur. et Practicum
Eigenthumb an einer behaußung. (E.) Nehml. eine behauß. bestehend in Vord. v. hinderhß, hoff, hoffstatt v. Gaden, mit allen deren gebäuen, begriffen, Weithen, Zugehörden, Rechten v. gerechtigkeiten, gelegen allhier Zu Straßb. ane der großen Gewerbslaubebn eins. neben weÿl. H. Joh: Jacob Debeyer des geweß. Materialisten seel. hinderbl. Fr. Wittib v. Erben, anders: neben H Joh: Martin Gangolffen dem Schneidern, hinden auff obgedachte Debeyerische behauß. stoßend, davon v. Zwar von denen neuerbauten Vorgädlein man alljährl. 4 lb 10 ß d löbl. stadt pfenningth. ane bodenzß zu geben pflichtig, sonsten aber außer denen darauff hattenden v. hernach eingetragenen passiv Capitalien leidig vnd eigen, v. ist dieße behaußung Crafft d. mir Notario Zum Concept eingeschickten schrifftl. Abschatzung de dato 29.ten 8.br. A° 1750. durch der Stadt Straßburg geschw. H. Werckmeistere æstimirt v. angeschlagen worden wor 2100. lb davon ist abzuziehen obiges onus der 4. lb 10. ß d Zu doppeltem Capital gerechnet antrifft 180. lb. restiret demnach annoch in außw. 1920. Ane welcher beh. dem verstorbenen H. seel. aus Vätter: v. Mütterl. Nahr. 2/9. theil erbl. Zustunden, die übrige 7/9 th. aber hat derselbe in der zwischen ihm v. seinen rechten v. halbgeschwüsterden, wie der von H.N Notar. Joh: Daniel Stöber, auß Weÿl. H. Joh: Matthiæ Schmidmeÿers des geweß. rauchwaarhändlers, Es En Kl. Raths alten beÿsitzers v. b. allh. des abgeleibten H. seel. leibl. H. Vatters längst seel. dh. auch Weÿl. H. Joh: Heinrich Langen Sen: geweß. Not. publ. jur: et Practicum seel. in A° 1716. Vergriffenen verl. Abtheilung gefertigte Extractus weißet, d. 2. Aug. A° 1720. vorgegangenen Cession Käufflichen angenommen. Und sagen dahero darüber allein, wie des verstorbenen H. Vatters seel. solche behaußung an sich erkaufft habe, 3. verschied. perg: Kffbr. in all. C C stub gef: v. m. dem anh. Ins. Verw. deren d. eine dat. d. 4. v. d. andere den 5.ten martii A° 1658. der dritte aber d. 4. Julÿ A° 1690. m. a. Nis 1. 2. et 3. signirt v. abernalen dabeÿ gelaßen.
Series rubricarum hujus Inventarÿ. Der Fr. W. unveränderten Vermögen, Sa. hßraths 22, Sa. Silbergesch. 14, Sa. gold. Ketten Ring v. dgl. gesch. 47, Sa. Schulden 75, Ergäntzung (1631, abgang 156, rest) 1475, Summa summarum 1633 lb – Schulden 348, Nach deren Abzug 1285 lb
Solchemnach wird auch der Erben unverändert Guth beschrieben, Sa. haußraths 7, Sa. Weins 85, Sa. Silbers 6 ß, Sa. gold. rings 2, Sa. Eigenth. ane einer beßg 1920, Schulden 567, Ergäntzung (4840, abgang 3965, rest) 875, Summa summarum 3458 lb – Schulden 393, Nach deren Abzug 3064 lb
Endlichen wird auch die theilbare Nahrung beschrieben, Sa. haußraths 162, Sa. Werckzeugs Zum Kürßner handwerck gehörig 5, Sa. Waaren zum Föchhandel gehörig 1399, Sa. weins v leerer Faß 15, Sa. Silber geschirr und Geschmeids 14, Sa. baarschafft 115, Sa. Schulden 452, Summa summarum 2164 lb – Schulden 6739 lb, In Compensatione 4575 lb
Satll summ 225 lb – Zweiffelhaffte Schulden in der Verl. zugeltend 1011 lb
Abschatzung Vom 29. 8.bris 1750. Auff begehren Weill. Herrn Johann Matthias Schmidtmeÿer des gewäßenen Föghändlters Seel. hinder lassene Frau Wittib und Erben ist eine behaußung alhie in der Statt Straßburg under der Großen Gewerbslaub gelegen, Einseÿts näben N. Ganggolff dem Schneider anderseÿts näben herr Wachder dem Materialisten und hindten Auff Erst bemelden herrn Wachder Stoßend, dieße behaußung hatt näben dem Eingang ein laden und hindten daran ein Stübel, in dem Ersten Stock ein Stube und haußöhren, worinnen die Küchen, in dem Zweÿden Stock ist eine Stube, ein Kammer, Küchen und hauß Öhren, der dritte Stock ist dem Erst Gemeldem Gleich, in dem Virden Stock befinden sich dreÿ besetzte Kammeren, darüber ist der dachstul mit breit Ziglen doppelt Gedeckt, worunder Zweÿ besetzte binnen, hatt auch einen Gewölbten Keller, höffell und brunen, Ferner ein hinder Gebäu und näbens gang, darinnen etliche Kammern und das holtz hauß die dach stüll, darüber seÿndt mit breid Zieglen doppelt Gedeckt, ist Von uns der underschriebenen der Statt Straßburg Geschwornene Werckmeistern nach vorher Geschehener besigtigung mit aller Ihrer Gerechtigkeit dem Jetzigen Werth nach æstimirt und angeschlagen worden um Vier Tausend und Zweÿhundert Gulden [unterzeichnet] Jacob Biermeÿer stadt Lohner, Michael Ehrlacher Werckmeister deß Meinsters, Werner Werckmeister
Copia der Eheberedung – zwischen dem Ehrengeachten und wolachtbahren herrn Johann Mathiæ Schmidmeÿern, ledigem Kürßner und Rauhwahr händlern, Weÿland des Ehrenvest und wohlgeachten Herrn Johann Mathiæ Schmidmeÿern geweßenen Kürßners und Rauwahr händlers auch Es En Kleinen raths alten beÿsitzers, burgers Zu Straßburg, dem. hinderlaßenem Ehelichem Sohn, als hochzeitern ane einem, So dann die Viel Ehren und tugendreichen Jungfrauen Mariæ Salome Hannßmetzgerin Herrn Isaac Hannß Metzgers des Metzgers und burgers allhier eheleiblichen tochter als der hochzeiterin am andern Theil (…) So geschehen und Verhandelt in der königlichen Stadt Straßburg Dienstags den 11. Augusti in dem Jahr als man nach der Gnadenreichen Geburt Jesu Christi 1716
Copia Codicillarischer disposition

Les héritiers Schmidtmeyer sont dispensés de régler le droit de détraction pour recueillir la succession de Marie Cléophée Schmidtmeyer femme du tonnelier Jean Georges Rinck, de Wachenheim en électorat palatin.
1753, Protocole des Quinze (2 R 163)
Johann Mathias Schmidtmeÿer pt° attestats den freÿzug betreffend
(p. 516) Sambstags den 10. Novembris – Christmann nôe H. Johann Mathias Schmidtmeÿers geweßenen b. und Föchhändlers Erben producirt unterth. memor. sampt beÿlagen sub litt a, b, c et D pt° des Freÿzug. Erk. Obere Stall Hh.

(p. 558) Sambstags den 24. Novembris – Schmidtmeÿer pt° attestats den freÿzug betreffend.
Obere Stall Hhn laßen per H. Secretarium Städel referiren, es hätten Weÿl. Johann Mathias Schmidtmeÿer geweßenen burgers und Vöch händlers allhier hinterlaßener Kinder und Enckel beÿ mghen den 10.ten Hujus ein unterth. memor. und bitte, mit beÿlagen sub lit. a b v et d übergeben, und darin vorgestelt was maßen ihr Verstorbene respectibé Vatter und groß Vatter in anno 1748. Von seiner in Wachenheim Churpfältzischer Herrschafft Verstorbenen baaße, Maria Cleophé gebohrner schmidtymeÿerin weÿl. Johann Georg Rinck des daßigen Kieffers und burgers Wittiben Einiges Vermögen als dero per testamentum jnstituirter universal Erb auff sich gebracht, welche Erbschafft derselbe zum theil beÿ seiner Lebzeith bezogen zum theil aber annoch davon in loco stehe, so die Imploranten anjetzo zu beziehen hätten, weilen dieselbe aber benachsrichtiget Worden, daß von seithen des Stattraths zu Wachenheim man denen Imploranten sothanes residuum nicht Verabfolgen laßen möchte (…)

Les enfants de Jean Mathias Schmidtmeyer vendent la maison au marchand de soie Jean Jacques Schæffer et à sa femme Marie Marguerite Birr moyennant 4 100 livres

1753 (15.1.), Chambre des Contrats, vol. 627 f° 12
weÿl. H. Mathias Schmidtmeÿer geweßenen veechhändler kinder und erben nahmentlich Fr. Maria Salome geb. Schmidtmeÿerin Johann Christian Eberhard des langmeßerschmidts Ehefrau, mehr Fr. Maria Elisabetha geb. Schmidtmeÿerin Johann Friedrich Verius des biersieders Eheliebstin, ferner Johann Abraham Schmidtmeÿer der gastgeber, so dann H. Johann Wilhelm Probster auch veech:händler eines E.E. großen raths alten beÿsitzer als vogt Jfr. Susannæ Mariæ Schmidtmeÿerin
in gegensein H. Johann Jacob Schäffer des seidenhändlers und Mariæ Margarethæ geb. Bierin – adjudication als letzt und meistbietenden
eine behausung bestehend in vorder und hinderhauß, hoff, bronnen und hoffstatt mit allen deroselben übrigen begriffen, weithen, zugehörden und rechten an der großen Gewerbslaub, einseit neben H. Johann Georg Wachter dem handelsmann, anderseit neben H. Martin Gangloff dem schneider, hinten auff H. Wachter – davon gibt man hiesiger Stadt Pfenning Thurn 4 ß 10 d und dem mehrern hospital 2 lb ewigen zinß – als ein vätterliches erbguth – umb 1412 lb (verhafftet), geschehen um 2695 pfund

Jean Jacques Schæffer fait son apprentissage chez son père Jean Schæffer de 1719 à 1724
1719, Miroir – Boutonniers, apprentis (XI 292)
(f° 11) Freÿtags den 29. Dec : 1719. – Lehrjung eingeschrieben
Mr Johannes Schäffer senior laset dato seinen Sohn Johann Jacob in die lehr einschreiben gehet die Zeit an den 1. Dec: jüngst vnd endet sich zu Solcher Zeit 1724.
[in margine :] ausgethan den 2. Dec. 1724.

(f° 22-v) Lehrjung außgethan – Mr Johannes Schäffer Senior quittirt dato Joh: Jacob Schäffer seinen Sohn überstandener fünff Jahriger lehrzeit, so den 1. hujus als gestrigen tags Sich geendet. Actum beÿ gehaltenem kleinen handwerck Sambstags den 2. Dec. 1724.

Jean Jacques Schæffer épouse en 1734 Marie Marguerite Birr qui s’est mariée en premières noces en 1726 avec le boutonnier Philippe Jacques Faust, fils de pasteur : contrat de mariage, célébration
1726 (25.6.), Not. Oelinger (J. Jacques, 35 Not 88) varia
Eheberedung – zwischen dem Ehrenvest und vorachtbahrem H. Philipp Jacob Fausten leedig. Knöpffmachern Weÿland deß Wohl Ehrwürdig und wohlgelehrten herrn Jacob Fausten geweßenen Treueifferigen Pfarrherren der Evangelischen Gemeind Zu Plobßheim und burgers allhier Zu Straßburg mit der Viel Ehren und tugendsahmen fraun Mariæ Marthæ geb. Braunin Ehelich erzeugtem Sohn, alß dem H. Hochzeiter ane Einem,
Sodann der Viel Ehren vnd Tugendreichen Jungfrauen Mariæ Margarethæ Birrin, deß Wohl Ehren Vest Vnd Großachtbahren herrn Martin Birren Handelßmanns und burgers allhier mit der Viel Ehren und Tugendsamen Fr. Catharinæ Margarethæ gebohrner Ölingerin Ehelich erziehlten dochter alß der Jgfr. Hochzeiterin am andern theil
Montags d. 25. Junÿ 1726.

Mariage, Saint-Guillaume (luth. f° 5, n° 15)
1726. Mittwoch d. 7. Aug. 1726. seind nach 2. maliger außrufung Dominica VI et VII Trin. in der Kirch Zu St Wilhelm eingesegnet word. H. Philipp Jacob Faust, der ledige Knöpffmacher v. burger, weiland S. T. Herrn M. Joh: Jacob Fausten, Wohlverdienten Pfarrers Zu Plobsheim v. Fr. Maria Marthæ Braunin ehelicher Sohn v. Jfr. Maria Margaretha Herrn Martin Birren deß Handelsmanns v. b. v. Catharinæ Margarethæ Oelingerin eheliche dochter [unterzeichnet] Philipp Jacob Faust alls hochzeiter, Maria Margaretha Birrin hochzeiterin (i 5)

Native de Colmar mais fille d’un marchand de Strasbourg, Marie Marguerite Birr devient bourgeoisse par son mari Philippe Jacques Faust en 1727
1727, 4° Livre de bourgeoisie p. 934
fr. Maria Marg: Birin Martin Biren b. undt Handelsmann allhier eheliche Tochter, erhalt das b. von ihren ehemann Philipp Jacob Faust b undt Knöpffmacher allhier umb die tertz d: alt b: will beÿ E: E: Zunfft Zum spiegel dienen, Prom. d: 3.ten Martÿ 1727.

Jean Jacques Schæffer épouse Marie Marguerite Birr : contrat de mariage, célébration
1733 (16. Xbr), Not. Oelinger (J. Jacques, 35 Not 75) n° 722
Eheberedung – entzwischen dem Ehrenhafft vnd Achtbahren Hn Johann Jacob Schäffern Leedigen Knöpffmachern Hn Johannes Schäfers auch Knöpffmacher vnd Seidenhändlers burgers allhier Ehelich erzeugtem Sohn ane Einem
So dann der Viel Ehren vnd tugendsameen fraun Mariæ Margarethæ Faustin gebohrner Birrin weÿl. H. Philipp Jacob Fausten geweßenen Knöpffmachers vnd Seidenhändlers auch burgers alhier seel. Ehelich hinterlaßener Wittib als der hochzeiterin am andern theil – auff der hochzeiterin seithen Hr. Martin Birr Handelsmann dero Vatter (…) Actum Straßburg Donnerstags den 16. Decembris 1733. [unterzeichnet] Johann Jacob Schäffer als Hochzeiter, maria margaretha Faustin als hoch Zeiteirin

Mariage, Saint-Guillaume (luth. f° 45)
aô 1734 den 10. Februarÿ Seind nach 2. maliger außrufung nemlich Dom. IV et V Epiphanias in der Kirch Zu St Wilhelm ehl. copulirt und eingesegnet worden H Johann Jacob Schäfer der ledige Knöpffmacher und burger allhier, H Johann Schäfers Knöpffmachers und burgers allhier und Fr. Anna Catharina Dürrmännin ehel. Sohn, und Fr. Maria Margaretha, Weÿl. H Philipp Jacob Fausten geweßenen Knöpffmachers und burgers allhier hinterlaßene Wittib [unterzeichnet] Johann Jacob Schäffer als Hochzeiter, maria margeretha Faustin als hochzeiterin (i 47)
Proclamation, Saint-Thomas (luth. f° 230-v n° 1322) 1734. Mittwoch d. 10. Februar. sind nach Zweÿmahliger ordenticher proclamation und außruffung so domin. IV et V Epiph. geschehen in der Kirch St. Thom. Zu S. Wilhelm ehelich copulirt und eingesegnet Worden H Johann Jacob Schäffer der ledige Knöpffmacher, H Johann Schäffer des burgers vnd Knöpffmachers allhier ehelicher sohn, Vnd Fr. Maria Margaretha gebohrne Birrin, H Philipp Jacob Fausten des geweßenen burgers und Knöpffmachers allhier hinterlaßene Wittib (i 235)

Les nouveaux mariés font dresser l’inventaire de leurs apports dans une maison aux Grandes Arcades qui appartient aux parents de l’épouse. Ceux du mari s’élèvent à 103 livres, ceux de la femme à 805 livres.
1734 (23.6.), Not. Oelinger (J. Jacques, 35 Not 25) n° 882 (837)
Inventarium vnd Beschreibung aller derjenigen Haab, Nahrung vnd Güther, so der Ehren vnd Vorgeachte Hr. Johann Jacob Schäffer Knöpffmacher vnd die Ehren vnd tugendsahme frau Maria Margaretha gebohrne Birrin beede Eheleuthe vnd burgere allhier Zue Straßburg einander in Ihren ohnlängst angetrettenen Ehestand zugebracht, vnd sich deren Jeedes, vermög Ihrer mit einander auffgerichteten Eheberedung vor unverändert Vorbehalten (…) Actum Straßburg in præsentia H. Martin Birren handelßmanns vnd Fr. Annæ Margarethæ gebohrner Ölingerin beeder Eheleuthe der Ehefrauen Eltern, Mittwoch d. 23. Junÿ 1734.

In einer alhier Zue Straßb: vnter der großen Gewerbslaub gelegenen vndt der Ehefrauen Eltern eÿgenthümblich Zuständigen behaußung sich befunden wie Volgt.
Series rubricarum hujus Inventarÿ. Des Ehemanns Nahrung, Sa. haußraths 12, Sa. Werckzeugs Zu der Knöpffmacher profession gehörig 2, Sa. Silber 7, Sa. goldenen Rings 2, Sa. baarschafft 62, Summa summarum 103 lb – Darzu gelegt die helffte ane den haussteuren 16, Des Ehemanns Nahrung 103 lb
Der Ehefrau Vermögen, Sa. haußraths 193, Sa. Werckzeugs Zu der Knöpffmacher profession gehörig 11, Sa. Waaren Zu der Knöpffmacher profession gehörig 595, Sa. Silber Geschirr und Geschmeids 51, Sa. goldenen Rings 35, Sa. Baarschafft 84, Sa. Schulden 163, Summa summarum 1135 lb – Adde die helffte ane den haussteuren 16, macht 1152, Schulden 346 lb, Der Ehefrau Vermögen 805 lb

Le conseil des Tanneurs fait grief à Jean Jacques Schæffer de vendre des courroies. Elle lui inflige une amende bien qu’il objecte n’être pas le seul en infraction.
1735, Protocole de la tribu des Tanneurs (XI 358)
(f° 247) Mittwoch den 26. Octobris Anno 1735
Vorged. beede Riehmenschneider [Johannes Ott und Johann Heinrich Alberthal] Klagen auch Wider Johann Jacob Schäffer dem Knopffmacher allhier deß Er auf lederne Knie und Stock riehmen feÿl habe, so Ihme nicht Zukomme.
Beklagter war geständig damit gehandelt Zuhaben, andere seine Mit meister mehr hätten solche Lederwahren auch feÿl, dahero Er Verhoffe das Recht darzu zuhaben.
Erkannt, wurde beklagtem beÿ 2 lb. d. straff Verbotten sich Künfftig des Verkauffs der angeregter Knie und Stock Riehmen Zuenthalten.

Jean Jacques Schæffer fait appel devant les Quinze d’une décision du corps des boutonniers après qu’il a fait fabriquer des boutons dans les casernes, ce qui contrevient au règlement. Il objecte que le travail au service du roi était urgent et qu’il n’a trouvé aucun maître qui accepte de s’en charger. Les Quinze renvoient aux trois affaires précédentes de même teneur. Les Quinze délivrent une expédition de leur décision.
1743, Protocole des Quinze (2 R 153)
Johann Jacob Schäffer Ca. die Knöpffmacher, 219, 232, 312
Abraham Jund. 218, 226, 309
Johann Philipp Martin, 219, 229, 310, 351, 389, 443, 476
(p. 219) Sambstag d. 4. Maÿ 1743. – Römer nôe Johann Jacob Schäffers b. und Knöpffmachers Cit. E. E. Handw. der Knöpffmacher Ober Meister.

(p. 232) Sambstag d. 11. May 1743. – Johann Jacob Schäffer Ca. die Knöpffmacher
Iidem [Obere Handwerck Herren] weither per Eundem referiren, daß Johann Jacob Schäffer der Burger und Knöpffmacher allhier den 24. Aprilis jüngst beÿ E. E. Handwerck der Knöpffmacher durch Joh: Philipp Martin den Knöpffmacher Vorgestellet und angeklaget worden, daß Er in denen Cazernen auff dem Handwerck arbeiten laßen, da auf des angeklagten Verantwortung daß er der Anklag Zwahr geständig, Es seÿe aber pressirte Königl. arbeit, er hette von sothaner Arbeit einigen Meistern solche Zu machen offerirt, welche solche nicht annehmen wollen, dahero er gezwungen gewesen, jedoch mit Wißen des hochgebietenden H. Ober Herrn Seiner Zunfft und eines der geschwornen solche arbeit in die Cazernen Zu machen zu geben, über das so hätte der Kläger auch in denen Cazernen biß daher arbeiten laßen, die Erkantnuß dahien ergangen, Wider E. E. Meisterschafft so Zugegen aus gesagt, daß beklagter sothane arbeit Zu machen Ihnen nicht angetragen, daß derselbe der ursachen in deme Er wider den ohnlängst deßha[l]ben erhaltenem Articul gehandelt, in die darinnen gesetzte Straaff der 2. lb d und in die helffte der Handwercks unkosten /:der Lad, so solche vorgeschoßen wieder Zu refundiren:/ Zu condemniren, anbeÿ derselbe nochmahlen an obigen newen Articul, deme Künfftighien folge Zu leisten, Zu verweißen. Welchem bescheid Er, Scheffer, den 4. huj. C. ged. L. Handwerckh der Knöpffmacher Ober Meister beÿ MGh. Vorgelegt, davon an dieselbe appellirt umb Deput. gebetten et facta relatione Zu erkennen daß der Appellant von angesetzter Straff Zu absolviren ref. Expensis, Worauff der Appellat auch per recessum geantwortet, wann Gegner annoch in tempore Legali so bitte er ebenmäßig umb Deput. et facta relatione des ergangenen bescheidts confirmation ref. Expensis. Beÿ bewilligter und beseßener Deputation habe der Appellant versichert, er hatte Verschiedenen Meistern die Arbeit angetragen, welche aber selbige nicht annehmen wollen, und weilen es Königl. arbeit so pressirt, so habe er aus noth in denen Cazernen arbeiten laßen. Nahmens der Meisterschafft hätten die in Vorigen 3. Sachen gemelte Vier Meister geantwortet, Es seÿe Wieder Ordnung in Cazernen arbeiten Zu laßen. Auß seithen der Hh. Deputirten erachte man das Zu erkennen wie in nechst Vorstehenden 3. Sachen. Erkanntus, Bedacht ebenmäßig gefolgt.

(p. 312) Sambstag d. 13. Julÿ 1743
Bescheid – Sambstag d. 11. May 1743. In Sachen Johann Jacob Schäffer des burger Ca. die Knöpffmacher
Iidem [Obere Handwerck Herren] weither per Eundem referiren, daß Johann Jacob Schäffer der Burger und Knöpffmacher allhier den 24. Aprilis jüngst beÿ E. E. Handwerck der Knöpffmacher durch Joh: Philipp Martin den Knöpffmacher Vorgestellet und angeklaget worden, daß Er in denen Cazernen auff dem Handwerck arbeiten laßen, da auf des angeklagten Verantwortung daß er der Anklag Zwahr geständig, Es seÿe aber pressirte Königl. arbeit, er hette von sothaner Arbeit einigen Meistern solche Zu machen offerirt, welche solche nicht annehmen wollen, dahero er gezwungen gewesen, jedoch mit Wißen des hochgebietenden H. Ober Herrn Seiner Zunfft und eines der geschwornen solche arbeit in die Cazernen Zu machen zu geben, über das so hätte der Kläger auch in denen Cazernen biß daher arbeiten laßen, die Erkantnuß dahien ergangen, Wider E. E. Meisterschafft so Zugegen aus gesagt, daß beklagter sothane arbeit Zu machen Ihnen nicht angetragen, daß derselbe der ursachen in deme Er wider den ohnlängst deßha[l]ben erhaltenem Articul gehandelt, in die darinnen gesetzte Straaff der 2. lb d und in die helffte der Handwercks unkosten /:der Lad, so solche vorgeschoßen wieder Zu refundiren:/ Zu condemniren, anbeÿ derselbe nochmahlen an obigen newen Articul, deme Künfftighien folge Zu leisten, Zu verweißen. Welchem bescheid Er, Scheffer, den 4. huj. C. ged. L. Handwerckh der Knöpffmacher Ober Meister beÿ MGh. Vorgelegt, davon an dieselbe appellirt umb Deput. gebetten et facta relatione Zu erkennen daß der Appellant von angesetzter Straff Zu absolviren ref. Expensis, Worauff der Appellat auch per recessum geantwortet, wann Gegner annoch in tempore Legali so bitte er ebenmäßig umb Deput. et facta relatione des ergangenen bescheidts confirmation ref. Expensis. Beÿ bewilligter und beseßener Deputation habe der Appellant versichert, er hatte Verschiedenen Meistern die Arbeit angetragen, welche aber selbige nicht annehmen wollen, und weilen es Königl. arbeit so pressirt, so habe er aus noth in denen Cazernen arbeiten laßen. Nahmens der Meisterschafft hätten die in Vorigen 3. Sachen gemelte Vier Meister geatwortet, Es seÿe Wieder Ordnung in Cazernen arbeiten Zu laßen. Auß seithen der Hh. Deputirten erachte man das Zu erkennen wie in nechst Vorstehenden 3. Sachen. Erkanntus, Bedacht ebenmäßig gefolgt.

Jean Jacques Schæffer demande aux Quinze le droit de prendre un nouvel apprenti après que Jean Winter l’a quitté pour s’engager dans l’armée. Comme le règlement stipule qu’un maître doit attendre deux ans avant de prendre un nouvel apprenti et qu’il ne reste que quelques mois pour satisfaire à cette stipulation, les Quinze lui demandent de prendre patience. Les Quinze délivrent une expédition de leur décision.
1746, Protocole des Quinze (2 R 156)
Johann Jacob Schäffer Knöpffmacher Ca. E. E. Handwerck der Knöpffmacher
(p. 445) Sambstags d. 18. Junÿ – Johann Jacob Schäffer Knöpffmacher Ca. E. E. Handwerck der Knöpffmacher
Iidem [Obere Handwerck Herren] lassen ferner per me referiren, es habe Johann Jacob Schäffer, der Knöpffmacher d. 11. hujus beÿ MGHhn Ca. E. E. Handwerck der Knöpffmacher Obermeister einen handwercks bescheid producirt, abreiten vermög welches er weilen sein Jung, Johannes Winther, nur ein Jahr lang beÿ Ihme in lehr gestanden, ihne darauff quittirt [p. 446) und sich in Königlichen Kriegsdienste engagiren laßen, er aber gebetten, daß derselbe wieder von Ihme ausgethan, ihme aber erlaubt werden möchte, einen andern Jungen wieder in die Lehre anzunehmen, an MGHh. mit dießem seinem gesuch verwießen worden, derßelbe habe depp.on begehrt et factâ relatione dießen petito gnädig Zu deferiren, der Implorat habe gleichfalls umb depp.on gebetten. Auf geschehene Weißung habe der Implorant nochmahlen gebetten, weilen sein Jung Johannes Winther von Ihme, als er 2 ½ Jahr in lehr gestanden, fortgelauffen, und sich engagirt, E. E. Handwerck dahin anzuhalten, daß dießer Jung ihme ausgethan werde, er aber einen anderwärtigen in die lehr annehmen dörffe. Nôe E. E. Handwercks seÿen Vorgestanden Joh: Friedrich Schäffer als Ober meister, Antoine Rimbert, Joh: Daniel Lung und Joh: Philipp Martin, als geschworne, welche sich auff den* artickel beruffen und deren nanutenenz gebetten. Auff seithen derer H. deputirten habe [man] ersehen, daß der artickel haben wolle, daß ein meister nach auslernung seines Jüngen Zweÿ Jahr warthen muße, ehe er wieder einen andern annehmen Können, da nun des Imploranten Jung in februario 1745. fortgegangen, mithin biß Künfftigen weÿhenachten die stipulirte 2 Jahr ohngefehr Ver(beschieden) seÿn werden, als halthen Sie dafür, daß der Implorant biß dahin Zur gedult Zu Verweißen, also aber ihme Zu erlauben seÿn, einen andern annehmen Zukönnen, die Unkosten auf E. E. handwerck zu refundiren habe. Erkanndt, bedacht gefolgt.

(p. 451) Sambstags. 30. July. Ego proponire, daß communication nachfolgenden bescheids begehrt, auch derßelbe Zu Papÿr gebracht worden wie folgt
Bescheid. – In Sachen Joh. Jacob Schäffer, des Knöpffmachers, Imploranten, ane einem, entgegen und wieder E. E. Handwerck der Knöpffmacher allhier Imploraten, am andern theil, auff producirten handwercks bescheid, vermög welches er, weilen sein Jung, Johannes Winther, nur ein Jahr lang beÿ Ihme in lehr gestanden, ihne darauff quittirt und sich in Königsdienste begeben, Er, Implorant, aber gebetten, daß derselbe wieder von Ihme ausgethan, und Ihme erlaubt werden möchte, einen andern Jungen wieder in die Lehre annehmen Zu dörffen, mit dießem seinem begehren an Uns verwießen worden, des Imploranten wiederhohltes petitum Ihme in dießer sach gnädig Zu deferiren, derer Imploraten gethane bitt, Sie beÿ Ihren habenden articklen zu manuteniren, mithin dem Implorant ab: und an die Ordnung Zu verweißen. Gebettene, bewilligte und beseßene deputation auch all übriges derer Parthen angehörtes Vor: und anbringen, ist derer herren deputirten abgelegter relation nach erkanndt, daß der Implorant biß Künfftigen weÿhenachten Zur geduld Zu verweißen, alls dann aber einen andern Jungen annehmen Zu können, auch die Unkosten E. E. handwerck zu refundiren schuldig seÿe.
Zu MGHh. stellend, ob sie erlauben wollen, daß dießer bescheid in forma prælecta expedirt und denen Parthen communicirt werden möge. Erkanndt, quoadsic

Les contrôleurs reprochent à Jean Jacques Schæffer de faire commerce de tissu. Sa femme déclare qu’elle a revendu à ses amies des morceaux de soie sans savoir que cela lui était interdit. Le conseil n’inflige pas d’amende pour cette fois.
1751, Protocole de la tribu du Miroir (XI 277)
(f° 73-v) Montags den 7. junÿ 1751 – Hr Johann Jacob Schäffer der Knöpffmacher angeklagt, mit seinden waar E. g. gros de Tour & Zu handlen und Zu verkaufen.
Beklagter Ehe frawen nomine mariti verständig, ist d. anklag geständig, sagt aber Sie habe auff Einer schuldt, kleine Stuck dergleichen, seiden angenommen, davon Sie Zuckhauben geschnitten, und jhren guthen Freundinnen verkaufft, allen Sie habe nicht gewußt, daß solches ihro verbotten seÿe.
Erkanndt, weilen Es Zum ersten mahl als ist solches recidiviren ihro beÿ Zehen pfund pfenning Straaff verbotten worden.

Les contrôleurs constatent que Jean Jacques Schæffer vend des marchandises sans en avoir le droit. Comme il s’agit de récidive, le conseil lui inflige une amende.
1758 (26.4.), Protocole de la tribu du Miroir (XI 278)
(f° 33) Mittwochs den 26. Aprilis 1758 – Eingriff in die handlung gestrafft
Johann Jacob Schäffer der Knopffmacher ex officiio vorgestellt und angeklagt, daß Er mit allerleÿ in die handlung allein ein fließender waaren handle, Zu deßen beweiß jhme ein paar graue wollene Strümpff und eine wollene manns Kapp, so beÿ jhme auff die prob erkaufft, vorgewießen worden, so wieder ordnung dahero Straafbahr.
Beklagter ist der klag geständig sagt anbeÿ daß ihme mit allerleÿ waaren, als Knopffmacher zu handlen erlaubt seÿe, wißen nichts von einer darwider sezenden ordnung.
Erkandt ist beklagter wegen selbst wohlwißende und ihme Ein solches übertretten inhibirenden ordnung, als welche Er mit verkauft verschiedener, in die handlung allein einfließender waaren schon lang übertreffen, in dreÿ pfund pfenning Straaff condemnirt, jhme anbeÿ beÿ desselber inhibirt, solche ordnung Zu transgressiren anbeÿ befohlen, daß Er das, vor solche obige waaren erlößte pretium der 12 schilling 6 pfenning gegen Zurück nehmung derselben heraus geben solle.

Jean Jacques Schæffer meurt en 1767 en délaissant une fille mariée au marchand Jean Georges Schweighæusser. Les experts estiment la maison 1 750 livres. La masse propre à l’héritière s’élève à 356 livres. L’actif de la communauté s’élève à 7 047 livres, le passif à 4 063 livres

1767 (15.6.), Not. Schweighæuser (6 E 41, 553) n° 172
Inventarium über Weÿland des Ehren: und vorachtbahren Herrn Johann Jacob Schäffers, geweßenen Knopff-Machers, Seiden-händlers und burgers allhie Zu Straßburg nunmehr seel. Verlaßenschafftn auffgerichtet in anno 1767. – nach seinem den 27. Maÿ lauffenden 1767.ten jahrs aus dießer Welt genommenen tödlichen hintritt, hie ehevogt, welche Nahrungs-Verlaßenschafft heut dato zu end stehend, auf Ansuchen und begehren der Viel Ehren und tugendbegabten Frauen Mariæ Margarethæ gebohrner Birrin der hinterbliebenen Fr. Wb: mit beÿstand Herrn Johann Martin Birr des Handels-Manns und burgers allhier ihres leiblichen bruders, wie auch der viel Ehren und tugendbegabten Frauen Mariä Margarethä Schweighäußerin gebohrner Schäfferin, Herrn Johann Georg Schweighäußers, ebenfalls Handels-Manns und burgers hieselbsten fr. Eheliebste als des Verstorbenen seel. mit vor benannter seiner hinterbliebenen Fr: Wittib ehelich erzeugter Tochter und ab intestato eintziger Erbin (…) So geschehen Straßburg auf Montag den 15.ten Junÿ Anno 1767.

In einer allhier zu Straßburg ane der grosen Gewerbs: laub gelegenen, in dieße Verlaßenschafft gehörigen und hernach mit mehrerm beschriebenen Behausung befunden worden, wie folgt
(f° 7-v) Ergäntzung der Frau Tochter und Erbin manglenden unveränderter Vätterlichen guths, nach außweißung des über beeder nun zertrennten Ehe Persohnen einander in den Ehestand zugebrachte Nahrung durch herrn Notm. Joh: Jacob Oelinger in Anno 1734. auffgerichteten Inventarÿ, Not. Johann Jacob Oelinger in anno 1734
(f° 12) Eigenthum an einer Behausung. (T.) Nemlichen Eine Behausung, bestehend in Vorder und hinder hauß, hof, bronnen und hoff-statt, mit allen derselben übrigen begriffen, Weithen, Zugehörden und Rechten, allh. ane der großen Gewerbs-Laub, 1. s. neben weÿl. H. Joh. Georg Wachters des Handels-Manns fr: Wb, 2. s. neben Joh. Jacob Michel dem Weiß: beck, hinten auf gedachte Wachterische fr. Wittib stosend gelegen, davon gibt mann Jährl. Löbl. Stadt Pfenning Thurn 4 lb 10 ß ane boden-Zinß und dem Mehrern hospithal 2 lb d ane ewigem Zinnß, sonsten aber ist solche freÿ, leedig und eigen, und durch hießiger Statt geschwornen (Werckmeistere) zu dem Concept gelüfferten Abschatzungs-Scheins dedato 27. Junÿ 1767 æstimirt worden pro 1750 lb, Wovon obige 6. lb. 10. ß. Zinnß zu doppeltem Capital ad 5 p° C° gerechnet, abzuziehen, mit 260 lb, Nach welchem abzug hier in Außwurff zu bringen 1490 lb. Über dieße behausung besagt und ist vorhanden ein teutscher pergamentener Kauff: brieff in allhießiger C. C. Stub Verschrieben und mit dero anhangendem Innsiegel Verwahrt dedato 15. Januarÿ 1753.
– Abschatzung Vom 27.t Junÿ 1767. Auff Begehren Weil. Johann Jacob Scheffer des gewesener Seiden Handlers seil: hiender Lasener Erben ist eine behausung alhier in der Statt Strasburg Under der grose gewerbslaub gelegen Einseits Neben Jacob Michaell dem weisbecken ander Seits und hienden auff Weil. H. Wachter Stosent gelegen, solche behausung besteht in Einem Laden und Laden Stuben, Ferner in Ettlichen Stuben Kamern und Kichen dar jber ist der dach Stuhl mit breitzieglein belegt hatt auch ein Gewölbten Keller hoff und brunen. Von uns Unterschriebenen der Statt Strasburg Geschwornen Werckmeister nach Vorher geschehener besichtigung mit aller Ihrer Gerechtigkeit Dem jetzigen wahren werth nach Estimirt und angeschlagen worden Vor und Vmb, Dreÿ Thausent Finff hundert gulden [unterzeichnet] Werner, Huber
(f° 15-v) Series rubricarum hujus Inventarii. Copia der Eheberedung. Copia des verstorbenen den 11. maÿ 1765 errichteten Codicilli – Der Fraun Wittib unveränderten Vermögens, Sa. silber 1 lb, Sa. gold. Rings 6 lb, Sa. der Schulden, nihil, Sa. Ergäntzungsrests 1728, Summa summarum 1736 lb
Solchemnach wird der Frauen Tochter und resp. Erbin unveränderte Nahrung beschrieben. Sa. kleÿdung 60 lb, Sa. Silbers 6 lb, Sa. Schuld nihil, Sa. Ergäntzungs rest 288 lb, Summa summarum 356 lb
Endlichen wird auch das gemein verändert und theilbar guth verzeichnet, Sa. hausraths 119 lb, Sa. Werckzeug zur Knöpffmach. Profession gehörig 1 lb, Sa. Handlungs Waaren 4339 lb, Sa. Wein v: leerer gaß 317 lb, Sa. Silber 60 lb, Sa. gold. O. 43 lb, Sa. Baarschafft 177 lb, Sa. behausung 1490 lb, Sa. Schuld 498 lb, Summa summarum 7047 lb – Schulden 4063 lb, In compensatione 2984 lb – Stall summa 5076 lb. Zweiffelhaffte Schulden in die theilbahre Verlaßenschafft zugeltend 983 lb
Copia der Eheberedung (…) den 16. Decembris. 1733, Johann Jacob Ölinger Not.

La maison revient à sa fille Marie Marguerite qui épouse en 1763 Jean Georges Schweighæusser, fils de pasteur : contrat de mariage, célébration

1763 (27.10), Not. Schweighaeuser (6 E 41, 566) n° 92
Eheberedung – zwischen dem Hoch Edlen und Großachtbaren Herrn Johann Georg Schweighäußer, leediger Handelsmann, S. T. H. M. Joh: Georg Schweighäußers treueifferigen Pfarrers und Canonici Zu St Thomä mit weÿl. Fr. Prisca Barbara geb. Ehrlerin seel. ehelich erziehltem H. Sohn, als Bräutigam ane Einem,
So dann der Hoch Edlen, viel Ehren und tugendbegabten Jungfrauen Maria Margaretha Schäfferin S. T. H. Joh: Jacob Schäffers Knöpffmachers und Seidenhändlers auch angesehenen burgers allher mit Frauen Maria Margaretha geb. Bürrin ehelich erzeugter Jgfr. tochter als Brauth am andern theil
Straßburg auf Donnerstag den 27. Octobris Im Jahr der Gnaden 1763 [unterzeichnet] Johan Georg Schweighäuser als Bräutigam, Maria Margaretha Schäfferin als Brauth

Mariage, Saint-Thomas (luth. f° 119 n° 743)
Anno 1763 Mittwoch den 13. Novembris seind nach Zweÿmaliger ordentlicher proclamation und Außruffung Zu St. Thomæ copulirt und eingesegnet orden, herr Johann Georg Schweighäußer lediger handelßmann Hrn M. Johann Georg Schweighäußer canonici, Pastoris zu St Thomæ und burger allhier ehelicher Sohn, und Jungfrau Maria Margaretha Schäfferin Herrn Johann Jacob Schäffer Knöpffmachers und Seidenhändlers und burgers allhier eheliche Tochter [unterzeichnet] Joh: Georg Schweighäußer als Bräutigam, Maria Margaretha Schäfferin als Brauth (i 121)

Jean Georges Schweighæusser demande à devenir tributaire au Miroir. Le conseil refuse parce que l’apprentissage a eu lieu pour la forme seulement chez les frères Schweighæusser
1763, Protocole de la tribu du Miroir (XI 278)
(f° 167-v) Dienstags den 13. Decembris 1763 – Abweisung
Johann Georg Schweighäuser von hier gebürtig stehet vor, producirt Stallschein vom 18. Novembris letzthin, bittend, daß, weil er die Handlung bei denen Hh. gebrüderern Schweighäuser, denen Handelsleüten, allhier erlernt, man ihn dißorts leibzünfftig als Handelsmann auf und annehmen wolle.
Auf Befragen aber : ob er in des Lehrherrn Gäden die Lehrzeit vollbracht ? und des Petentes Declaration : daß er mit seines Lehrherrn Consens solche Zeit Zu London Zugebracht, als ist, Weil Petent als Handels Lehrjung nur pro forma eingeschrieen und ausgethan worden, derselbe mit seinem begehren abgewiesen, die Hh Gebrüder Schweighäuser aber, weil sie das Ehrsamen Zunfft gericht mit solcher Einschreibung und Austhuung listig hintergangen, in 20 Pfund Pfenning Straf condenmirt worden, es wäre dann, daß die bey nächsthaltendem Gericht das wiederspiel Clärlich probirten.

Jean Georges Schweighæusser s’adresse aux Quinze. Il expose que durant ses voyages il n’a pas exercé le métier de boutonnier mais seulement celui de marchand. Quand il a séjourné à Mayence chez un boutonnier il s’est occupé du commerce de la soie, de la boutique et de la correspondance en français. Il a ensuite fait commerce pour son compte lors de son séjour de deux ans et demi à Londres. Ses maîtres de Strasbourg ont trouvé plus avantageux qu’il s’exerce à l’étranger plutôt que de simplement tenir leur boutique. A son retour à Strasbourg il a obtenu une promesse d’admission auprès du Miroir et s’est marié. Il conclut que les objections sur son apprentissage relèvent de ses maîtres et de la tribu. Les représentants du Miroir doutent que le défendeur puisse simplement rejeter la faute sur les autres. La commission pose trois questions. 1) Un règlement interdit-il à un apprenti de passer la plupart de son temps ailleurs qu’auprès de son maître ? 2) Un apprenti peut-il apprendre plusieurs métiers ? 3) Si oui, est-il tenu d’exercer le dernier qu’il ait appris ? La commission constate qu’aucun règlement ne règle la première question, qu’il arrive souvent d’apprendre plusieurs métiers puis d’en choisir un. Elle estime qu’il faut éviter que l’apprentissage ait lieu loin des maîtres. Elle décide que la tribu devra recevoir le pétitionnaire marchand et l’exhorte à vérifier que l’apprentissage s’est passé dans les règles avant d’attribuer un certificat.
Les Quinze délivrent une expédition de leur décision

1764, Protocole des Quinze (2 R 176)
Johann Georg Schweigheußer Ca E. E. Zunfft der Spiegel
(p. 25) Sambstags den 28. Januarÿ 1764 – Claus nôe H Johann Georg Schweigheußer in aîs Ca. E. E. Zunfft der Spiegel H. Zunfftmeister auch in âis producirt unterthänige appellations Klag juncto petito samt beÿl. sub Nis 1 & 2 bittet unterthänig Deputationem. Freund bitt Cop. et T O, obt

(p. 61) Sambstags den 11. Februarÿ 1764 – Schweigheußer Ca Spiegel
Claus nôe H Johann Georg Schweigheußer in aîs Ca. E. E. Zunfft der Spiegel H. Zunfftmeister auch in âis erholt appellations Klag vom 28.ten Januarii j. bitt unterthänig Deputationem Freundt prod. unterth. Verantwortung juncto petito und bitt similiter Depuâon. Claus H. p.lis bitt ihme vor diesem producto Copiam gnädig angedeÿhen Zu laßen, und Wie Vor Erk. mit gebettener Copiâ und Deputatione Willfahrt.

(p. 122) Sambstags d. 10. Martii 1764. – Schweigheußer Ca Spiegel
Obere Kauffhauß Hh. laßen per me referiren, es habe Johann Georg Schweigheußer von hier Ca. E. E. Zunfft der Spiegel H. Zunfftmeister den 19. Xbris jüngst einen Von erstgedachter Zunfft Gericht wieder ihn ertheilten bescheid beÿ MGHh prod. vermög deßen, Weilen er als Handels: Lehrjung nur pro forma eingeschrieben und ausgethan worden, derselbe mit seinem begehren als Handelsmann leibzünfftig auf und angenommen Zu werden abgewießen, die Hh. Gebrüdere Schweigheußer aber, weilen sie das Ehrsame Zunfft Gericht mit solcher Einschreib und austhuung listig hintergangen, in 20. lb straf condemnirt worden, es wäre dann, daß sie beÿ nächsthaltendem Gericht das Wiederspiehl clärlich Probirten.
Von diesem bescheid habe Er an Mghh. in tempore legali appellirt, appellationis verzeichnus gebetten und erhalten, auf den 28. Januarÿ jüngst seine unter Hh appellations Klag damit beÿl. N° 1 & 2 übergeben, juncto petito, Mghh. gnädig geruhen wolten zu erkennen und aus Zusprechen, daß in prima instantia übel gesprochen, wohl appellirt worden, einfolglich die sententa à quâ besonders in soviel sie dem appellanten berühret, Zu infimiren und deme Zufolg der appellant auf E. E. Zunfft Zum Spiegel als Leibzünfftig und handelsmann auf und anzunehmen seÿe, idq. refusis expensis.
Hierüber habe appellatischen H. Zunfftmeister d. 11.ten Februarii seine schrifftl. Verantwortung dahin überreicht MGHh. geruheten Deputationem ab [p. 124] zuordnen et factâ relatione gnädig Zu erkennen, daß die sententia à quâ durchaus Zu confirmiren seÿe, refusis expensis.
Auf geschehene Weißung habe der Appellant præsens contenta seiner appellations Klag wiederholet, anbeÿ seine fernere anmerckungen dahin übergeben, Er habe so wening die handlung p. formâ und malâ fide erlernet, als er seit seiner abreÿße Von hier niemalen als Knöpffmacher gereißet, sondern sich jeder Zeit als einem handelsmann aufgeführet und wann er gleich wie gegnern vorgeben in Maÿntz beÿ einem Knöpffmacher in condition gestanden, so seÿe es deßlangen geschehen Weilen ged.er Knöpffmacher Zugleich einen Seiden handel und offenen laden gehabt, deme er haubtsächlich vorgestanden, und dabeÿ die Frantzösische corrsespondanz geführet, So habe er auch Zu London beÿ ordentlichen handelsleuthen serviret, nachgehends 2 ½ jahr lang für sich selbst trafiquirt, und von dar seÿe er nach ausweißung prod. passeport als ein handelsmann und niemalen als Knöpffmacher [p. 125] gereiset, daß er aber anfangs die Knöpffmacher profession erlernet, könne ihme Keines wegen hinderlich seÿn, weilen einem jedem freÿ stehe, soviel professionen, als er lust findet, Zu erlernen, wann er nur nicht alle Zugleich treiben wolle, sondern beÿ seinem etablissement eine davon erwähle. der ihme vorgeworffene fehler, daß er nicht in seiner lehr Hh. laden in persona geabeitet sonden seine Lehrzeit in den auswärtigen geschäfften Zugebracht, seÿe wiederumb ohne erheblichkeit, maßen solches auf ihre beederseitige Zufridenheit allein angekommen und hätte seine lehrherren hierinnen mehr auf seine als ihrem eigenen nutzen gesehen, weilen Sie gefunden, daß er in verrichtung auswärtiger Geschäfften mehr als durch das laden hüten und den hand verkauff, welchen er bereits beÿ H. Schäfers Gewerb erlernet profitiren Könte. So seÿe über das dieser Verwurff anjetzo nicht mehr de tempore, sondern hätte ihme, wann eine Ordnung, wie doch nicht ist, hierüber beÿ handels leüthen vorhenden wäre, damals [p. 126] sollen gemacht werden, als ihn seine lehrherren seiner lehrjahr entschlagen hatten, da ihme nun eben sowenig als seinen lehrhh. damalen etwas deßwegen vorgerücket worden, so seÿe er optimâ fide bißhero als handels bedienter gereißet, habe sich auch in dieser Zuversicht umb das handelsrecht beÿ gg.schem H. Zunfftmeister in der Zeit gemeldet, und auf deßen Vertröstung sich in zwischen verheurathet und sein gewerb angefangen, Eben so hinfällig seÿe, wann H. Weÿher als damals geweßter Zunfftmeister anjetzo einwenden Wolle, er habe nicht gewußt, ob appellant als handelsmann oder als Knöpffmacher das Zunfftrecht behehre, da ihme doch bekannt seÿn muß, daß appellant sich letztern falls nicht beÿ ihme, sondern denen Knöpffmachern und deren Obermeister hätte melden müßen. Seÿe schließlichen, wie er doch nicht einsehen könne, ein fehler beÿ seiner einschreibung und looßsprechung Von der lehr Vorgegangen, so seÿe solches nicht ahn ihme [p. 127] sondern an seinen lehrherren, Welche es beßer als der Lehrjung wißen sollen, Zu ahnden, andern theils aber hätten die damahlige Hh. Zunfft gerichts assessores die behörige Vorisicht und anfrage gegen seine Lehrherren gebrauchen sollen, haben aber beede theile hierinnen gefehlet, so könne er anjetzo nicht darunter leiden.
Nôe appellatischer Zunfft seÿen vorgestanden H. André Jaccoud als dermaliger und. H. Cornelius Jacob Weÿher, als abgegangener Zunfftmeister, welche nochmalen umb manutenenz der Ordnung gebetten, mit dem Zusatz daß Wann dergleichen surprises und hinterlistungen platz greiffen sollen, nichts mehr, als die handelschafft mißhandelt werden müßte, und seÿe es eine schlechte ausflucht, wann appellant sein unordentliches Verfahren durch die nicht genugsame gebrauchte Vorsicht und unterlassene anfrage des damaligen Gerichts Zu bemänteln suche, maßen die schuld jederzeit Zu seiner schande auf ihn und seine lehrherren [p. 128] als welche das Gericht hintergangen, Zurück falle. Sie wolten deßhalben die decision Mghh. in undterhänigkeit anheim gestellet laßen, allenfalls aber gehorsamst gebetten haben, in das fürkünfftige eine empfindliche Strafe gegen dergleichen listige begangenschafften beÿ einschreibung und austhuung derer handels Lehrjungen anzusetzen.
Nach anhörung derer Parthen und derern sowohl schrifftlich als mündl. Vor und anbringens hätten die Hh. Depp. 1° darauf gesehen, ob ein lex oder reglement vorhanden welches sie persönliche und ohnunterbrochene gegenwarth eines handelsjungen in seines lehrherren laden oder häußlichem Gewerb erfordern, oder ob es einem Lehrherren bißhero freÿ gestanden seinen Lehrjung nach guthbefunden hievon Zu dispensiren und ihn währender lehr zeit in auswärtigen geschäfften Zugebrauchen ? 2.do ob einen aus gelernten handwerck gesellen verbotten seÿe, noch eine andere profession [p. 129] oder die handlung zu erlernen ? und 3.tio ob in letzerem fall es einem freÿ stehe nach seinem willkuhr eine derer erlernten professionen Zu erwählen, oder aber en die erstere oder letztere schlechterdings gebunden seÿe ?
Was die Erste frage betreffe, hätten hochdieselbe nichts anders ausfindig machen können, als daß die natur der sache selbsten zu erfordern scheine, daß einer welcher ein Gewerb mit der Zeit exerciren wolle, solches nach ordnung solle erlernt haben, wie er es aber erlernen solle, seÿe ratione der handlung nirgends determinirert, ob solches in seinem laden oder in einem Comtoir oder hin und herreÿßen in des lehrherren geschäfften geschehen solle, und seÿn ab analogia derer handwercker nimmer mehr auf die handlung zu schließen indeme ein handwerck immer das nemliche, die handelschafft aber gar mannigfaltig und ein Lehrjung nach ausgestandener handels lehrzeit sehr offt ein völlig unterschiedenes Gewerb als seine geweßte lehr: [p. 130] herren unternimmt, so dann erheische die obligation derer handwercker in Verfertigung derer Meisterstücke, oder abzulegender Examinis, daß sie gewiße handgriffe von ihren lehrmeistern, welches nirgends anders als in denen Werckstatten geschehen kan, erlernen und absehen, die handelschafft aber verbinde weder zu einem, noch dem andern, mithin seÿen auch die artickel Von jenen nicht auf diese applicables, woraus sich dann schließen laße, daß ein handels Lehrjung nicht so straicté an die persönliche gegenwarth und Laden bedienung gebuncen seÿe, sondern garwohl von seinem lehrherren, wofern beede theile damit zufrieden, davon dispensirt werden können, daß aber einer Zweÿ dreÿ und mehrere professionen nach und nach erlernen könne, seÿe nirgends verbotten, wann er nur nicht Zweÿ oder mehrere Zugleich treiben wolle, Vielmehr seÿe ein solches löblich und nützlich, da eine profession der andern die hand bietet, und man öffters ohne die eine nicht Zu gehöriger erlernung der andern gelangen können, dahero auch leicht zu decidiren, daß in solchem fall die wahl lediglich beÿ einem jeden selbst brauche, und er weder [p. 131] an die erste noch andere absolute gebunden seÿn könne. In diesen umbständen und da des appellanten einschreibung in die lehr sowohl als deßen austhuung der form nach ordnungsmäßig und ohne wiederspruchs des damaligen Gerichts geschehen, als hätte auch deßen nunmahliges begehren als leibzünfftig und handelsmann angenommen zu werden, beÿ appellatischem Gericht keinen anstand leÿden sollen. Weilen aber damahl theils aus des appellanten eigener declaration beÿ Gericht, theils aus denen übrigen umbständen erhellen wollen, daß in der that einige hinterlistung von seiten des appellanten und seiner lehrherren vorgegangen, der appellant auch mehr in seinen eigenen als seiner lehrherren geschäfften Zu London und anderswo abwesend geweßen und es allerdings von gefährlicher folge seÿe, daß ein Lehrjung seine lehrzeit vollkommen außerhalb seines lehrherren Gewerb Zubringe, andern theils aber der appellant heutigen tags solchem fehler, besonders nach seiner vorgegangenen verheurathung nicht mehr rectificiren könne, als habe die Herren Depp: der meinung seÿn wollen, daß Zwar der appellant aus bewegenden ursachen als leibzünfftig und handelsmann [p. 132] beÿ E. E. Zunfft Zum Spiegel auf und anzunehmen seÿe, wegen vorgegangener irregularitæt aber in Zwölff pfund d halb löbl. Statt, halb appellatischem Gericht hinfällig, wie nicht weniger in der Ersetzung derer Gerichts Kösten fällig zu erachten. übrigens E. E. Zunfft Gericht Zum Spiegel alles ernstes anzubefehlen sich künfftighin beÿ austhuung und loßsprechung derer Lehrjungen genau zu erkündigen, ob die lehrzeit nach ordnung vollführet worden seÿe.
Die Confirmation stehe Zu Mghh. Erkandt, Confirmirt mit den Zusatz, daß wofern E. E Gericht Zum Spiegel hierüber eine Verordnung nöthig erachten würde, sich deßwegen beÿ MGHh. geziemend zu melden.

(p. 133) Sambstags d. 10. Martii 1764. – Bescheid
In Sachen Herrn Johann Georg Schweigheußer von hier appellanten ane einem, entgegen und wieder E. E. Zunfft der Spiegel H. Zunfftmeister appellaten am andern theil, Auf prod.ten Zunfft Gerichts bescheid vermög deßen, weilen er als Handels: Lehrjung nur pro formâ eingeschrieben und ausgethan worden, mit seinem begehren als Handelsmann leibzünfftig auf und angenommen Zu werden abgewießen, die Hh. Gebrüdere Schweigheußer aber, weilen sie das Zunfft Gericht mit solcher Einschreib und austhuung listig hintergangen in 20. lb d straf condemnirt worden, es wäre dann, daß sie beÿ nächtshaltendem Gericht das Wiederspiehl Klärlich probirten, interponirte und verzeichete appellation und hierauf übergebene unterthänige appellatiions Klag samt beÿl. Sub N° 1 & 2 juncto petito, Wir gnädig geruhen wolten zu erkennen und aus Zusprechen, daß in primâ instantiâ übel gesprochen, wohl appellirt worden, einfolglich die sententa à quâ besonders in soviel sie dem appellanten berühret, Zu infimiren und deme Zufolg der appallant auf E. E. Zunfft Zum Spiegel als Leibzünfftig und handelsmann auf und anzunehmen seÿe, idque refusis expensis.
Die hierüber von seiten appellatischen H. Zunfftmeister überreichte unterthänige Verantwortung dahin gehend, Wir geruheten Deputationem abzuordnen & factâ relatione gnädig Zu erkennen, daß die sententia à quâ durchaus Zu confirmiren seÿe, refusis expensis.
Gebettene, bewilligte und beseßene Deputation, auch all übrig deß Parthen so schrifft als mündlich beschehene vor und anbringen ist der Herren Deputirten abgelegten relation nach Erkanndt daß Zwar der appellant aus bewegenden ursachen als leibzünfftig und handelsmann beÿ E. E. Zunfft Zum Spiegel auf und anzunehmen, wegen vorgegangener irregularitæt aber in 12 lb d halb löbl. Statt, halb appellatischem Gericht hinfällig, wie nicht weniger in der Ersetzung derer Gerichts Cösten fällig zu erachten. übrigens E. E. Zunfft Gericht Zum Spiegel alles ernstes anzubefehlen sich künfftighin beÿ austhuung und loßsprechung derer Lehrjungen genau zu erkündigen, ob die lehrzeit nach ordnung vollführet worden seÿe. Zu dem Ende E. E. Gericht Zum Spiegel wann es eine Verordnung hierüber nöthig erachtet würde sich deßwegen beÿ Uns geziemend zu melden. angewiesen wird.

La tribu du Miroir reçoit Jean Georges Schweighæusser qui déclare exercer le métier de marchand de soie et de rubans. L’amende de 20 livres est ramenée à 12 livres.
1764, Protocole de la tribu du Miroir (XI 278) (f° 175) Dienstags den 3. Aprilis 1764 – E. Leibzünfftiger
H. Johann Georg Schweighäuser producirt bescheid gnädiger Herren der XV. Vom 10. Martii letzthin, krafft dessen er auß bewegenden ursachen als leibzünfftig und Handelsmann auf und anzunehmen, wegen vorgegangener irregularitæt aber Zwölff Pfund Pfenning halb löbl. Statt, halb E. E. Zunfft heimbfällig, zu erlegen habe, die er auch sogleich erlegen habe, die er auch solgleich erlegt.
So dann auf producirten Stallschein vom 18. Novembris letzthin gegen Erlag 2 lb 13 ß leibzünfftig als Handelsmann auf und angenommen worden, und declarirt mit Seiden Waaren und Banden handlen Zu wollen.
Ille bittet zugleich Namens derer Hh. Gebrüder Schweighäuser, Handelsleut, um moderation der den 13. Decembris Jüngsthin andictirten Straf derer 20. lb d.
Erkannt, ist solche Straf ad Zölf Pfund Pfenning moderirt, so auch in ihrem Namen von Comparenten erlegt worden.

Les nouveaux mariés font dresser l’inventaire de leurs apports dans la maison Schæffer aux Grandes Arcades. Ceux du mari s’élèvent à 1 431 livres, ceux de la femme à 2 120 livres.

1764 (30.4.), Not. Schweighæuser (6 E 41, 553) n° 139
Inventarium über des Hoch Edlen und Großachtbaren Herrn Johann Georg Schweighäußer Handelsmanns, und der hoch Edlen viel Ehren und tugenbegabten Fraun Mariæ Margarethæ geb. Schäfferin beeder Eheleuthe und burgere allhier zu Straßburg einander für unverändert in den Ehestand Zugebrachte Nahrungen auffgerichtet in Anno 1764. – in ihrem den 30.ten Novembris letztabgewichenen 1763.sten Jahrs angetrettenen Ehestand Zugebracht und sich in ihrem vor mir den 27. Oct:. erstbesagten Jahrs auffgerichteten Eheberedung für unverändert vorbehalten haben (…) Geschehen, in Praesentia H. Joh: Jacob Schäffers des Knopffmachers und Seidenhändlers auch burgers allhier zu Straßburg der Ehefrauen leiblichen H. Vaters und hierzu erbettenen beÿsitzer Straßburg auf Montag den 30.ten Aprilis Anno 1764.

In einer allhier Zu Straßburg abe der Großen Gewerbs: Laub gelegen der Ehefrauen H, vater Zuständigen von beden Eheleuthen bewohnenden behaußung befunden worden wie folgt
Series rubricarum hujus Inventarii. Des Eheherrn Zugebrachten Guths, Sa. haußraths 106, Sa. Silbers 59, Sa. Goldener Ring und dergl. Geschmeids 58, Sa. der Baarschafft 1110, Summa summarum 1333 lb – Darzu gelegt die Ihme gebührige Helffte ane denen hernacher beschriebenen Haussteuren 97, So erstreckt sich des Eheherrn völlig in die Ehe Zugebrachter Guth auff 1431 lb
Dießmnach wird auch der Ehefrauen zugebrachtes Vermögen beschrieben, Sa. haußraths 318, Sa. Silbers 56, Sa. Goldener Ring und dergleichen Geschmeids 359, Sa. der Baarschafft 1287 lb, Summa summarum 2022 lb – Darzu gelegt die derselben gebührige helffte ane denen hernacher beschriebener haussteuren 97 lb, Belaufft sich demnach der Ehefrauen sammenthafft in diße Ehe zugebrachtes Vermögen dem vero pretio nach auff 2120 lb

Jean Georges Schweighæusser loue la maison au marchand libraire Jean Gay

1778 (26.2.), Chambre des Contrats, vol. 652 f° 73
Sr Jean Georges Schweighaeusser marchand
bail de 6 années consécutives à commencer à la fête de St Jean Baptiste, au Sr Jean Gay marchand libraire
une maison appartenant en propre au Sr bailleur sous les Grandes Arcades d’un côté le Sr Wachter marchand, d’autre le Sr Schlag pelletier, sans rien réserver ni excepter que les deux petites boutiques qui sont aux pilles des arcades et que le Sr bailleur se réserve – moyennant un loyer annuel de 824 livres

Jean Georges Schweighæusser et Marie Marguerite Schæffer font dresser un état de leur fortune dans leur maison rue des Hallebardes. Les biens de la femme s’élèvent à 88 133 francs. L’actif de la communauté et du mari est de 55 292 francs, le passif de 150 637 francs.
1798 (25 vend. 7), Strasbourg 15 (2), Not. Lung n° 229
Inventarium über bgrs. Johann Georg Schweighäuser handelsmanns und brin Maria Margaretha geb. Schäffer beder Eheleuthe dermalen besitzende Activ Nahrung und Passiv Schuden, die Ehefrau beiständlich des bgrs Joh: Gottfried Schweighäuser Seidenhändlers
Eheberedung errichtet den 27. Octobris 1763 vor H. Not. Schweighäuser

in der hieher gehörigen und hernach beschriebenen behausung
Ergäntzung A° 1764 durch Notarium Joh: Daniel Schweighäuser aufgerichteten Inventarium
Eigenthum ane einer behausung. Näml. eine behausung hof hoffstatt und gemeinschaftlichen bronnen mit allen deren übrigen Gebäuden, Zugehörden, Rechten und Gerechtigkeiten theils ane der Spießgaß N° 20 theils an der Goldschmidgaß N° 27 wovon Sie ein Eck ausmachet einseit neben. weÿl. bgrn hieronimus Kolb hinterbliebenen Wittib und erben anderseit neben bgr. Joh: Christian Walch dem Silberarbeiter und hinten auff besagten bgr. Walch und Kolbische Verlaßenschafft, durch burger Vogt und Kersten angeschlagen für 32.000 fr, [abschatzung beigefügt] Wie der Ehemann diese behausung währender Ehe erkaufet habe weißet C.C.Stb. kaufbrieff vom 16. Decembris 1777, übigens ist darüber besagend vorhanden ein Pack verschiedener alter Kaufbrieff und Documenten
Series rubricarum hujus Inventarÿ, der Ehefraun für unverändert vorbehatenen Guths, hausrath 383 fr, gold. geschmeid 72 fr, schuld 600 fr, Ergäntzung 87.077 fr, Summa summarum 88.133 fr
das übrige alles unter eine mass als in des Ehemanns Nahrung gehörig beschrieben, hausrath 1878 fr, silber 276 fr, waaren 12.982 fr, baarschafft 500 fr, behausung 32.000 fr, Gült 7500 fr, schulden 155 fr, Summa summarum 55.292 fr – Schulden 150.637 fr, Compensado 95.344 fr
Enregistrement de Strasbourg, acp 63 F° 142 du 25 vend. 7

Jean Georges Schweighæusser meurt en 1806 en délaissant cinq enfants.
1806 (8.7.), Strasbourg 7 (22), Not. Stoeber n° 2130, 7232
Inventaire de la succession de Jean Georges Schweighaeusser, Négociant décédé le 26 avril 1806 – à la requête de 1. Jean Georges Schweighaeusser officier retiré, 2. Jacques Frédéric Schweighaeusser Docteur en Médecine, 3. Louise Schweighaeusser fille majeure, 4. Marie Marguerite Schweighaeusser femme de Jacques Nicolas Hell employé a l’artillerie, 5. Chrétien Schweighaeusser 31 ans, 5. Marie Cléophé Schweighaeusser fille majeure héritiers procréés avec Marie Marguerite Schaeffer sa veuve – Contrat de mariage passé le 27 octobre 1765
Maison, Une Maison avec cour communauté du puits appartenances et dépendances située à Strasbourg rue des Orfèvres n° 27, d’un côté faisant le coin de la rue des hallebardes n° 20, les veuve et héritiers Jean Jerome Kob, d’autre Jean Chrétien Walch orfèvre, aboutissant sur les mêmes – acquis des héritiers Sigismond Falckenhauer serrurier par contrat de vente passé à la Chambre des Contrats le 16 décembre 1777, et deux contrats de vente à lad. Chambre les 27 mars 1747, 18 mars 1754 portés dans l’inventaire du 17 vend. 7, estimée 32.000 francs
meubles 1112 fr, argenterie 69 fr, maison 32 000 fr, bien rentier à Wahlenheim 7500 fr, total 40 681 fr, passif 150 261 fr, déficit 109 579 fr
Enregistrement de Strasbourg, acp 100 F° 63-v du 16.7.

Marie Marguerite Schæffer femme de Jean Georges Schweighæusser vend la maison 5 000 livres au marchand de verre Jean Geoffroi Eckel

1781 (2.3.), Chambre des Contrats, vol. 655 f° 115-v
Fr. Maria Margaretha geb. Schäfferin H. Johann Georg Schweighäußer des seidenhändlers ehegattin
in gegensein H. Johann Gottfried Eckel des glaßhändlers
eine behausung bestehend aus vorder und hinter haus, hoff, bronnen und hoffstatt mit all deroßelben übrigen begriffen, weithen, zugehörden, rechten und gerechtigkeiten unter der großen Gewerbslaub, einseit neben H. Johann Heinrich Wachter dem materialisten, anderseit neben H. Ludwig Schlag dem vöchhändler, hinten auff vorgedachten H. Wachter – savon gibt man löbl: Stadt Pfenning Thurn 4 pfund 10 s. ane bodenzinß, dem Mehrern hospital 2 pfund ane ewigen zinß – als ein von ihren eltern ererbtes guth – um 10.000 gulden

Jean Geoffroi Eckel devient tributaire à l’Echasse en 21 décembre 1769
1769, Protocole de la tribu de l’Echasse (XI 112)
(p. 84) Donnerstags den 21.ten Decembris 1769 – Evangelischer Neuer Leibzünfftiger
Joh: Emanuel Gottfried Eckel, der leedige Glaßer, Hn Emanuel Eckels Glaßer und burgers allhier seel. nachgelaßener Sohn prod. Stallschein vom 31. 7.bris 1769. bittet Ihme Vor 1. Leibzünfftigen auf und anzunehmen. Erkand, willfahrt dt. 15 ß, jur: eod.

Fils de marchand de verre Jean Geoffroi Eckel (Jean Emanuel Geoffroi) épouse en 1770 Marie Cléophée Otto, fille de marchand : contrat de mariage, célébration
1770 (22.2.), Not. Langheinrich (J. Daniel, 6 E 41, 740) n° 368
Eheberedung – zwischen dem Ehren und Wohlvorgeachten Herrn Johann Emmanuel Gottfrid Eckel dem Leedigen Glashändler und Burgern allhier, Weiland Herrn Johann Emanuel Eckels, auch geweßenen Glashändlers und burgers allhier seligen nachgelaßenem Herrn Sohn, als dem Herrn Bräutigamb, ane einem
Sodann der Viel Ehr: und Tugendgezierten Jungfer Mariä Cleophe Ottoin Weiland Herrn Johann Christoph Otto geweßenen vornehmen Handelsmanns und Burgers allhier seeligen nachgelaßenener ehelich erzeugter Tochter, als der Braut, ane dem andern theil
Sp Beschehen in Straßburg auf Donnerstag den 22. Februarÿ als man nach unßers Herrn und Heilands Geburth Zahlt 1770 [unterzeichnet] Johann Emanuel Gottfriedt Eckel als Hochzeiter, Maria Cleophe Ottoin als Hochzeiterin

Mariage, Sainte-Aurélie (luth. f° 97, n° 8)
Anno 1770 Sonntag den 18. Martii seind /:krafft Erlaubnus von Ihro Gnaden dem Regierenden Hn Ammeister vom 10. Mart. 1770:/ auf ordentlichen Dominica Reminiscere et Oculi geschehenen Proclamationen in den Heil. Ehestand eingesegnet Worden H. Johann Emanuel Gottfried Eckel, der ledige Glashändler und burger allhier Weÿl. H. Emanuel Eckel geweßenen Glashändlers und burgers allhier nachgelaßener ehel. Sohn und Jgfr. Maria Cleophea Ottoin, Weÿl. H Johann Christoph Otto geweßenen vnd Handelsmann und burgers allhie nachgelaßene ehel. Tochter [unterzeichnet] Johann Emanuel Gottfriedt Eckel als Hochzeiter, Maria Cleophe Otto als Hochzeiterin (i 102)

Les nouveaux mariés font dresser l’inventaire de leurs apports dans une maison au Marché aux Grains. Ceux du mari s’élèvent à 2 790 livres, ceux de la femme à 3 120 livres.
1770 (16.5.), Not. Langheinrich (J. Daniel, 6 E 41, 729) n° 771
Inventarium über des Ehren und Wohlvorgeachten Herrn Johann Emanuel Gottfried Eckels, Glaßhändlers und der Viel Ehr und Tugendgezierten Fraun Mariä Cleophe Eckelin geb. Ottoin beede Eheleuthe und burgere allhier Zu Straßburg einander für unverändert in den Ehestand zugebrachte Nahrungen, aufgerichtet Anno 1770. – und sich vermög der Vor und unterschriebenenem Notario unterm 20. febr. 1770. errichteten heuraths Verschreibung als ein unverändert Guth Vorbehalten haben – So beschehen und angefangen auff Mittwoch den 16. Maÿ A° 1770 geendet aber in Præes. h. Jacob Fried: Röderers Canc: Subst: u: Proc: Vic: der Ehefr. erbettenen H. Beistandts auf Mittw: d. 5. Jan: 1774.
In einer allhier Zu Straßburg ane dem alten Kornmarckt gelegenen und in dießen Zugebrachte Nahrung nicht gehörigen Behausung befunden Worden Wie folgt.
Antheil ane einer Behaußung (F.) Nembl 2/9.te theil Vor un Vertheilt Wovon die überige 7/9.te theil der Ehefraun gehörig Soll, und halbbändigen Geschwisterden zu ungleichen Antheilen gehörig von und ane eine behausung ane dem Metzgergießen (…)
Series rubricarum hujus Inventarÿ. Des Herrn in die Ehe gebracht eigenthümliches Vermögen, Sa. haußraths 182, Sa. Waar und Werckzeugs Zum Glaß und Spiegel handel gehörig 1611. Sa. Lährer Faß 16, Sa. marquirten Silbers und dergleichen Geschmeids 25, Sa. goldenen Rings 57, Sa. der baarschafft 40, Sa. pfenningzinß und deren hauptgüter 1300, Sa. Schulden 226, Summa summarum 3460 lb – Schulden 750, Nach solchem Abzug 2710 lb, Dazu gelegt die helffte ane denen haussteuren 79, Des Eheherren samblich Vermögen 2790 lb
Dießemnach Wird nun auch der Frauen in die Ehe gebrachte Nahrung beschrieben, Sa. haußraths 6, Sa. Silbers 28, Sa. goldener Ring 198, Sa. baarschafft 1870, Sa. Antheils ane einer Behaußung 533, Sa. Pfenningzinß hauptgüter 1190, Summa summarum 4045 lb – Schulden 1005, Nach deren Abzug 3040 lb, Dazu gerechnet die Ihro der Ehefrauen helffte ane denen haussteuren 79, Der Ehefrauen Vermögen 3120 lb

Jean Geoffroi Eckel cotise à la tribu du Miroir comme marchand de verre
1778, Protocole de la tribu du Miroir (XI 279)
(f° 190-v) Montags, den 23. Martii 1778 – E. Geldzünftiger
Hr Joh: Gottfried Eckel, welcher bei E. E. Zunft zur Steltz mit dem Leib dienet, ist gegen Erlag 2. lb 13 ß 4 d diesorts geldzünftig als Glashändler mit dem Beding aufgenommen worden, daß er aller anderen Handlung, wie auch commission und spedition sich enthalten soll. prom.

Jean Geoffroi Eckel meurt en 1794 en délaissant deux enfants. L’inventaire est dressé dans une maison place d’Armes. La masse propre à la veuve est de 14 768 livres tournois, celle des héritiers de 12 514 livres. L’actif de la communauté s’élève à 190 369 livres et le passif à 45 931 livres.

1795 (21 fructidor 3), Strasbourg 4 (5), Not. Greis n° 907, altes 586
Inventarium und Erörterung Weiland Burgers Johann Emanuel Eckel, gewesenen Spiegelhändlers alhier Zu Straßburg, so am 14. Vendemiaire laufenden Jahrs verstorben Verlassenschafft, wie auch dessen was die hinterbliebene Wittib burgerin Maria Cleophe geb. Otto gemeiner mass wegen eingetauscht, erkaufft, angelegt und gehandelt hat, Welches samtliches als in diese Verlaßenschafft gehörig auf Ansuchen ged. hinderlaßener Wittib beiständlich des bürgers Ludwig Spielmann, Richters bei dem alhier zu Straßburg niedergesetzten district tribunal, wie auch des verstorbenen mit gemeldter seiner Wb. ehelich erzeugt nachgelaßener großjährigen Tochter und des noch minderjährigen Sohns Vogts, benandlich 1. der burgerin Maria Cleophe Eckel, unter Assistentz des burgers Carl Caspar Wegelin, Handelsmanns alhier wonhafft und 2. ihr der obgenannten Wb. und Mutter als natürlichen Vormünderin wie auch burgers Friderich Jacob Röderer, Notarii hieselbst als deroselben (…) beeidigten Vogts Sebastian Emanuel Eckel so erst 13 Jahr alt
Abschrift der Eheberedung ded. 22. feb. 1770, (…) Not. Joh: Daniel Langheinrich
Abschrifft des Codicills dedato 15. sept. 1772, H. Johann Emanuel Gottfried Eckel Glashändler, Not. Joh: Daniel Langheinrich

(p. 17) Eigentum ane einer behaußung (T.), Nemlich Eine Behaußung bestehend in einer vorderen, mitlern und hindern Gebäud auch Gang, Zween Höffen, Einem bronnen und Zween Kellern, samt Hoffstatt und allen übrigen dero Gebäuden, Weithen, Zugehörden, Rechten und Gerechtigkeiten gelegen unten am Waffenplatz mit N° 39 bezeichnet, 1. s. neben dem Wirtshauß zum blauen Hechten br. Baumann des Handelsmanns Ehefr. geb. Helmstätter gehörig, (…)
Ergäntzung der hinterbliebenen Wittib abgegangenen unverändert Guts, Nach Anleitung des durch Notar. Joh: Daniel Langheinrich am 16. Maÿ 1770 angefangen und am 5. Januarÿ 1774 geendeten Inventarii
Series rubricarum hujus Inventarii, der hinterbliebenen Wittib unveränderten Guts, Ergäntzung 14.768 liv
Diesemnach wird auch der beeden Kinder und Erben verändert Vermögen beschrieben, Sa. Kleidung und weisen Gezeugs 1378, Ergäntzung Rest 11.136, Summa summarum 12.514 liv
Endlich wird auch das gemein, verändert und theilbare Gut beschrieben, Sa. Hausraths 13.021, Sa. Hausraths auf dem Landgut zu Scharrachbergheim 996, Sa. Waaren zum Spiegelhandel gehörig auch Glaus und Porcellan 62 692, Sa. wein und Faß 4292, Sa. der Chaise 720, Sa. Silbers und dergleichen Geschmeids 716, Sa. goldener Ring und dergl. Geschmucks 2350, Sa. behausung alhier zu Straßburg 20.000, Sa. Lmandguth zu Scharrachbergheim und sonstige Orten 14.200, Sa. baarschafft 3769, Sa. der pfenningzinß hauptgüter 68.011, Summa summarum 190.369 lb, Schulden 45.931, Nach deren Abzug 144.438 liv – den 21. fructidor 3
enregistré 26 fruct. 3

Marie Cléophée Otto et ses enfants vendent la maison à l’aiguilletier Jean Théophile Kusian et à sa femme Marguerite Salomé Griesbach moyennant 60 000 livres tournois ; vente provisoire devant notaire, vente définitive à la Chambre des Contrats

1794 (5 frimaire 2), ssp, Joint à l’acte Greis n° 907
Die burgerin Maria Cleophe geb. Otto Weiland des burgers Joh. Emanuel Gottfried Eckel geweßten Spiegelhändlers alhier Wittib sowol für sich selbsten als Namens ihrer zweÿ Kinder, der bürgerin Maria Cleophe Eckel so großjährig und Sebastian Emanuel Eckel des minderjährigen deßen natürlichen Vormünderin sie ist, beiständlich des burgers Friderich Jacob Röderer, Inwohner dahier, verkaufft
an burger Joh: Gottlieb Cusian, Nadler, und Margaretham Salome geb. Griesbach beistdl. ihres Ehemanns und ihres Vaters Georg Friderich Griesbach auch Nadlers
die in die Eckel’sche theilbare Verlassenschafft gehörige alhier zu Straßburg unter der grosen Gewerbslaub gelegene mit N° 36 bezeichnete behaußung nebst Hoff, Hoffstatt und aller Zugehörd auch Gumpbronnen ein seit Joh: Heinrich Wachter Materialist anderseit Johann Jacob Remp Säckler hinten auf vorgenannten burger Wachter stosend, davon man jährlich der Gemeind Straßburg ane boden und Lehnung Zinß 18 Livres und dem Merern Hospital ane bodenzinß 8 Livres zu bezalen schuldig für eine Summ von 60.000 livres
sind mitbegriffen der grose porcellanene Offen in der Stub des erstern Stocks auf die Straß gehend, das Öffelein in der Magdstub, das Öffelein in der Schlaffstub im hintern Gebäud, das Öffelein in der Kindsstub darüber, und der Offen im dritten stock, ferner der Caminspiegel samt Gemäld im Zweÿten stock und der trumeau nebst darunter stehendem nußbaumenen Tischel zwischen beeden Thüren im ersten Stock der Stub auf die Straß nebst allen im Hauß aufgemachten Tapeten (…)- auch solle wärend Zehen Jahren von dato solche behausung an keinen Spiegel oder Glaß händler verkauft werden dörfen (die Verschreibung geschah in der Contract stub d. 7. ejud.)

1794 (7 frimaire 3), Chambre des Contrats, vol. 672 n° 150
b. Maria Cleophe geb. Otto weil. b. Johann Emanuel Gottfried Eckel des spiegelhändlers wittib sowohl für sich als auch namens Sebastian Emanuel Eckel minderjährig deßen natürlichen vormünderin, ihre ehelich erzielte tochter b. Maria Cleophe Eckel so großjährig beiständlich b. Friedrich Jacob Röderer sous chef du bureau de comptabilité du district de Strasbourg
in gegensein Johann Gottlieb Kusian des nadlers und Margarethæ Salome geb. Griesbach beiständlich b. Georg Friedrich Griesbach des nadlers ihres vatters und Johann Borst des küblers
eine behausung, hoff, bronnen und hoffstatt mit N° 36 bezeichnet unter der grosen Gewerbslaub ein seit b. Johann Heinrich Wachter dem Materialisten anderseit b. Johann Jacob Remp dem Säckler hinten auf gedachten b. Wachter stosend, davon man jährlich der Gemeind Straßburg ane boden und Lehnung Zinß 18 Livres und dem Mehrern Hospital ane bodenzinß 8 Livres zu bezalen schuldig
(mit) einem grosen porcellanenen ofen in der Stub des ersten Stocks auf die Stras gehend, dem öfelein in der magdstub, dem öfelein in der schlafstub im hintern Gebäud, dem öfelein in der kindsstub darüber, dem öfelein im dritten stock, dem camin spiegel samt gemälden im Zweÿten stock, dem trumeau nebst darunter stehenden nußbaumeneb tische zwischen beeden thüren im ersten stock der stub auf die straß – um 60.000 livres
Enregistrement de Strasbourg, acp 29 F° 177 du 17 fri 3

Jean Théophile Kusian et Marguerite Salomé Griesbach vendent la maison 22000 francs au selllier Jean Philippe Leinert et à sa femme Salomé Harnack. Une clause interdit de céder la maison à un marchand de verre pendant dix ans.

1801 (1 brumaire 10), Strasbourg 3 (46), Not. Übersaal n° 790, 1091
b. Johann Gottlieb Kusian Nadler unter der grosen Gewerbslaube N° 36 wohnhaft und Fr. Margaretha Salome geb. Grießbach
an bürger Johann Philipp Leinert Sattler unter der grosen Gewerbslaube N° 39 wohnhaft und Fr. Salome geb. Harnack
die denen Kusianischen Eheleuthen eigenthümlich zuständige behausung hoff bronnen und hoffstatt samt allen mit allen Zugehörden, Rechten und Gerechtigkeiten mit N° 36 bezeichnet, gelegen unter der großen Gewerbslaube einseit neben weÿl. brs Johann Heinrich Wachter Materialists Wittib und Erbschaft anderseit neben dem b. Johann Jakob Remp Säckler hinten auff das Wachter’sche haus, davon ist man jährlich auf d. 21 brumaire von einem Platz und Schwibbogen der Gemeinde Straßburg 16 fr an boden und lehnungzinns und dem bürger Hospital jährlich auf den 5.ten nivose 8 fr an Erblehenzinns zu entrichten verbunden – welche dieselbe von des weÿl. bürgers Johann Emanuel Gottfried Eckel Spiegelhändler Erbschaft und Wittib Fr. Maria Cleophe geb. Otto zufolg Kauf Contract in der C.C. Stuben den 7. frimaire 3 passirt – 22.000 Francken
1. sind die Käufer nicht berechtigt die erkaufte behausung während 10 Jahren vom 7. brumaire des 3.t jahr an zu rechnen an einen Spiegel oder Glashandler zu verkaufen oder zu verlehnen so wie solches in dem Kauf Contract vom 7. frimaire 3 stipulirt
Enregistrement de Strasbourg, acp 81 F° 86 du 2 brum. 10

Fils d’un fabricant de courroies de Landau, Jean Philippe Leinert épouse en 1791 Marie Salomé Harnack, fille d’un fabricant de courroies : contrat de mariage, célébration
1791 (20. 8.bris), Not. Lung (6 E 41, 1528) n° 95
Eheberedung – persönlich erschienen Hr Johann Philipp Leinert, Riemermeister und burger alhie, weiland H. Johann Gotthelf Leinert gewesenen Riemermeisters zu Landau mit auch weiland Fr. Maria Magdalena gebohrner Mülbergerin ehelich erzeugt: und hinterlaßener Sohn, so majorennis, als hochzeiter ane einem
So dann Jungfrau Maria Salome Harnackin, weiland H. David Harnack auch gewesenen Riemermeisters und hießigen burgers hinterlaßene, mit Fr. Maria Barbara gebohrner Loe, dermalen H. Joh: Gottlob Leiners des ebenmäßigen Riemetmeisters und burgers dahier Ehegattin ehelich erzeugte hinterlaßene tochter, unter assistentz H. Peter Daniel Ottmann des Handelsmanns und burgers alhie, als Braut ane dem andern theil
Auf Donnerstag den 20. Octobris Anno 1791 [unterzeichnet] Johann Philipp Leinert als Hochzeÿter, Maria Salome Harnackin als hoch Zeÿterin

Mariage, Temple-Neuf (luth. f° 138-v, n° 63)
Im Jahr Christi 1791 den 31. Octobris Abends um Vier Uhr wurden nach vorhergegangenen gewöhnlichen Proclamationen Dominica 18 et 9 post Trinitatis in der hiesigen Prediger Kirche offentlich Zur Ehe eingesegnet, Johann Philipp Leinert, lediger Riemen schneider von Landau nun burger alhier, weÿland Hanns Gotthelf Leiners gewesenen Riemers und burgers dasebst und weÿland Fraun Maria Magdalena einer gebohrener Mülbergerin hinterlassener ehelich erzeugter Sohn, 27 Jahr alt, und Jungfrau Salome Harnackin, weÿl. Johann David Harnacks gewesenen Riemers und burgers alhier und Frauen Maria Barbara einer gebohrner Lohin ehelich erzeugte Tochter, 25 Jahr alt – [unterzeichnet] Johann Philipp Leinert als Breÿtigam, Salome Harnaclin als Braut (i 130)

Les nouveaux mariés font dresser l’inventaire de leurs apports
1795 (28 pluviose 3), Strasbourg 15 (1), Not. Lung n° 177
erschienen der bürger Johann Philipp Leinert, Riemer alhier, und deßen Ehegattin die bgrin Maria Salome geb. Harnackin beiständlich des bgrs Joh: Philipp Hörter Handelsmanns dahier, Anzeigend daß Sie in ihrer den 20. Octobris 1791 vor mir Notario errichteten Eheberedung deroselben in die Ehe gebrachtes Vermögen als unverändert sich vorbehalten
des Ehemanns in die Ehe gebrachtes Guth, Nämlich es zeigte derselbe an, daß zufolg der durch seinen gehabten Vormund zu Landau den 20. Octobris 1791 abgelegten Rechnung Er den 12. Julÿ 1791 (…) eine Summ von 790 Livres erhalten (…) – Summa 2385 lb
der Ehefraun in die Ehe gebrachtes Vermögen, vätterlichen Erbtheil 400 lb
die haussteuren betreffend, 600 lb
Enregistrement de Strasbourg, acp 31 F° 59-v du 29 plu 3

Inventaire après décès d’une locataire, Caroline Wilhelmine Christine de Bernhold veuve du colonel Jean Leopold Dettlingen

1807 (1.10.), Strasbourg 12 (16), Not. Wengler n° 2759
Inventaire de la succession de Caroline Wilhelmine Christine de Bernhold veuve de Jean Leopold Dettlingen Colonel retiré décédée le 21 septembre 1807 – à la requête de M Frédéric Louis René de Wurmser, ancien maréchal de camp en service de France, Chevalier de l’ordre de la fidélité de S.A. Royale le Grand duc de Baden demeurant à Carlsruhe, poursuivant les droits et se portant fort de Pauline Henriette Charlotte de Bernhold son épouse seule et unique héritière sa sœur – sur l’indication de Marie Elisabeth Henning femme de chambre et Elisabeth Zimm* servante de la défunte
dans la maison mortuaire appartenante au Sr Leinert marchand bourrelier sous les grandes arcades n° 36
meubles, numéraire 254 fr, créances 1350 fr, rente emphythéotique 1411 fr, total 7192 fr, immeuble bien rentier valeur en capital 58.445 fr, total général 65.637 fr – passif 7481 fr
Enregistrement de Strasbourg, acp 103 f° 165-v du 510.

Inventaire après décès d’une locataire, Madeleine Reine Dupré veuve du perruquier Joseph Schmalbach

1817 (22.3.), Strasbourg 8 (17), Not. Roessel n° 4105
Inventaire de la succession de Madeleine Reine Dupré veuve de Joseph Schmalbach, perruquier, décédée le 18 courant – à la requête de Jean Ignace Dupré, propriétaire à Haguenau son ayeul maternel et père et tuteur légal des enfants – Mathias Marck menuisier subrogé tuteur de Jeannettte Madeleine et Joseph Aloyse
dans une maison sise grandes arcades n° 36
mobilier apporté en mariage désigné dans l’inventaire de la succession du mari dressé par nous le 15 mars 1816, 231 fr, moitié du mobilier de la communauté 493 fr, sommes et garde robe, total 3146 fr, passif 273 fr
Enregistrement de Strasbourg, acp 133 F° 95-v du 25.3.

Le créancier de Jean Philippe Leinert et de Salomé Harnack fait vendre la maison par enchère judiciaire au tanneur Jean Jacques Ott

1820 (1.5.), Hypothèque de Strasbourg, Transcription reg. 129 , n° 11
Tribunal Civil de Première Instance, adjudication par voie d’expropriation forcée de la maison réellement saisie sur Jean Philippe Leinert, sellier, et Salomé Harnack – Cahier des Charges, M Engelbach avoué du Sr François Henry Hoerter fils, seul et unique héritier François Henri Hoerter, confiseur, est créancier de 9875 francs de principal, suivant obllgation passée devant Me Ubersaal le 18 ventose 10
à Me Klauhold avoué, moyennant 25.000 francs – Déclaration de command du 8 avril pour Jean Jacques Ott, marchand tanneur
suivant procès verbal dressé par le Sr Doss, huissier à Strasbourg le 8 septembre 1819, fait saisir sur le syndic de la faillite la maison sise à Strasbourg rue dite sous les Arcades n° 36, d’un côté la maison du Sr Georges Henri Wachler droguiste, d’autre celle du Sr Jean Jacques Remps gantier, cette maison batie en piere, brique et charpente est composée d’une cave d’un rez de chaussée formant sur le devant, une arcade a laquelle sont adossées deux petites boutiques et dans l’intérieur d’une boutique de sellier à côté du corridor et derrière une petite cour, de quatre étages surmontés d’un comble couvert de tuiles, au premier étage il y a une petite avenue qui a trois croisées a côté de laquelle il y a deux autres et les trois autres étages ont chacun deux croisées dont le premier étage a des volets à coulisses et le second des jalousies, la superficie de cette maison est de la contenance d’environ 1 are. La maison et ses dépendances sont habities occupés par les conjoints, saisie transcrite le 22 février et 28 septembre 1819 – le poursuivant a mis à prix la maison à 3000 francs, le 12 novembre 1819
adjudication préparatoire du 3 février, adjudication définitive du 6 avril

Lors du partage des biens de Jean Jacques Ott, la maison aux Grandes Arcades revient à son fils tanneur Chrétien Ott.

Inventaire après décès d’un locataire, le serrurier Casimir Blanc

1839 (2.12.), Strasbourg 3 (87), Me Kratz n° 913
Inventaire de la succession de Casimir Blanc, serrurier, décédé le 30 août 1839, dressé à la requête de Salomé Griesbach, commune en biens suivant contrat de mariage reçu Kratz le 15 octobre 1835, mère et tutrice naturelle de ses deux enfants mineurs Salomé Louise née le 30 décembre 1828 reconnue et légitimée au mariage à la mairie de Strasbourg le 17 octobre 1835 et Salomé Elisabeth née le 31 décembre 1837 – en présence de Jean Faber, receveur des contributions directes, subrogé tuteur
dans une maison aux Grandes Arcades n° 36 où le défunt est décédé
dans la petite boutique sous les Grandes Arcades
Enregistrement de Strasbourg, acp 273 F° 61-v du 6.12.

Chrétien Ott loue la maison au pelletier Gustave Henri Eyrich (qui achète en 1863 la maison voisine, actuel n° 53, et la maison qu’il prend à bail en 1878)

1862 (26.6.), Enregistrement de Strasbourg, ssp 135 (3 Q 31 634) f° 85-v du 28.6.
Bail – Le soussigné Sr Chrétien Ott, propriétaire à Strasbourg, donne à bail
au Sr Gustave Henri Eyrich, pelletier en la dite ville
dans une maison sise à Strasbourg grandes arcades n° 51 un logement au 2° étage devant et derrière, une grande chambre au 4° servant d’atelier et deux autres par derrière, plus au rez de chaussée boutique, comptoir, cuisine, bucher et cave. Ce bail est fait pour douze années à compter du 25 mars 1863 au 25 mars 1875, le loyer annuel est fixé à 1200 francs

Fils de gantier, Gustave Henri Eyrich épouse en 1858 Fanny Sophie Vierschrodt, fille de drapier

1858 (6.7.br), Strasbourg 9 (115), Not. Becker subst. par Roessel Jeune
Contrat de mariage – Ont comparu Mr Gustave Henri Eyrich, pelletier demeurant à Strasbourg, fils majeur de M. Georges Frédéric Eyrich en son vivant gantier et de Mad. Marguerite Salomé Jost sa veuve demeurant en la même ville, Mr Eyrich fils stipulant pour et en son nom personnel à cause du mariage dont il va être question, d’une part
Et Madlle Fanny Sophie Vierschrodt, demoiselle de magasin fille majeure de Monsieur Ferdinand Vierschrodt drapier de son état et de Anne Marie Weick son épouse tous deux demeurant audit Strasbourg, Madlle Vierschrodt stipulant pour elle et en son nom personnel à cause du dit mariage, d’autre part

acp 472 (3 Q 30 187) f° 26 du 10.7.br – stipulation de communauté de biens réduite aux acquêts, partageable par moitié, réserve d’apports et d’héritages
Les apports du futur consistent eu une valeur de 7835 francs, quatre actions de la compagnie du chemin de fer de l’Est
les apports de la future consistent en un mobilier évalué 676
Donation par le futur époux à la future épouse en cas de survie d’une somme de 4000 francs en toute propriété
Donation réciproque par les futurs époux au survivant d’eux de l’usufruit viager de toute la succession réductible à moitié en cas d’existence d’enfants


Les Maisons de Strasbourg sont présentées à l’aide de Word Press.