13, Grand rue


Grand rue n° 13 – IV 7 (Blondel), P 705 puis section 56 parcelle 51 (cadastre)

Maître d’ouvrage du bâtiment avant, Georges Heitz (1825)
Démolie en 1912 lors de la Grande Percée


Le bâtiment à cinq arcades est construit à la place des anciens n° 17 et précédents
Vue de la cour (vers 1908, AMS cote 118 MW)

La maison comprend un bâtiment avant et un bâtiment arrière. Christophe Friedel en cède en 1630 ses parts à son frère Gabriel Fridel qui y établit son atelier de potier. Son fils Jean Georges Fridel vend la maison avant en ne conservant que la maison arrière. Le menuisier Jean Adam Boll acquiert les deux bâtiments qui ne forment plus qu’une seule propriété à partir de 1680. Après avoir appartenu un temps au propriétaire de la maison voisine, elle revient aux potiers Jean Sperer (1692) puis André Schulmeister (1721). La maison est le septième bâtiment à partir de la gauche sur l’image du plan-relief de 1727. Le chirurgien Jean Meyer l’acquiert en 1737 et son fils Frédéric y établit sa boutique de barbier. Les héritiers de sa femme morte sans enfant obtiennent la cassation du testament qu’elle a fait en sa faveur ; le chirurgien disparaît sans laisser de nouvelles après avoir été employé comme compagnon chez un barbier de la campagne. D’après la description de 1750 la maison comprend une cave voûtée, un rez-de-chaussée à deux poêles surmonté de deux étages dont la distribution est identique  un passage mène au bâtiment arrière à un étage. La maison appartient ensuite au tonnelier François Antoine Gilloth (1767) puis (1772) à Jean Ehrlenholtz, propriétaire de l’auberge au Cep de vigne sur la place d’Armes. Ses héritiers la vendent en 1824 au chaudronnier Georges Heitz qui fait reconstruire le bâtiment avant et revend la propriété en 1826 avant que les travaux ne soient achevés.



Plan-relief de 1725 (© Claude Menninger, Inventaire de la région)
Elévations préparatoires au plan-relief de 1830, îlot 147 et cour J

L’Atlas des alignements (années 1820) signale une maison à rez-de-chaussée et deux étages en maçonnerie, ce qui correspond à l’état avant travaux, voir le rapport d’experts de 1814 qui mentionne un pavillon à droite de la cour et un bâtiment arrière à un étage. Sur les élévations préparatoires au plan-relief de 1830 (1) qui représentent le nouveau bâtiment, la façade sur rue est la sixième après l’église : rez-de-chaussée à deux ouvertures en forme de porte, trois étages à deux fenêtres chacun. La cour J montre l’arrière (3-4) du bâtiment sur rue, le pavillon (2-3) renfermant la buanderie, le bâtiment arrière (1-2) en bois à rez-de-chaussée en forme de remise surmonté de trois étages d’après les dessins et de deux étages d’après le rapport.
La maison porte d’abord le n° 90 (1784-1857) puis le n° 13.


Elévation, coupe et plan de situation (Relevés du service d’architecture vers 1912, AMS cote 907 MW)

Comme le cadastre ne signale aucun changement de valeur, les transformations ultérieures doivent dater des années 1830 ; le pavillon à droite de la cour est alors surmonté des galeries que représentent les dessins de 1912 et la photographie prise avant les démolitions pour la Grande percée. Les enquêteurs qui visitent les maisons à détruire relèvent une porte Louis XVI dans le bâtiment arrière et un encadrement de fenêtre qu’ils datent de 1500 environ dans le bâtiment avant.
La maison appartient au boucher Jean Frédéric Kautz puis (1869) au maréchal ferrant Georges Riehm. La Ville de Strasbourg l’achète au début du XX° siècle et la fait démolir en 1912.

septembre 2018

Sommaire
CadastreRelevé d’actes

Récapitulatif des propriétaires

La liste ci-dessous donne tous les propriétaires de 1617 à 1912. La propriété change par vente (v), par héritage ou cession de parts (h) ou encore par adjudication (adj). L’étoile (*) signale une date donnée par les registres du cadastre.

Christophe Fridel, sellier, et (1600) Marguerite Negelé, remariée (1636) au sergent Gaspard Fischer – luthériens
1630 v Gabriel Fridel, potier, et (1616) Marguerite Ittel puis (1638) Madeleine Stampff – luthériens
1650 h Georges Fridel, potier, et (1650) Anne Marie Mahler – luthériens
1651 v Jean Boll, menuisier, et (1631) Susanne Œlkrug – luthériens
1666 h Jean Adam Boll, menuisier, et (1678) Catherine Schneider – luthériens
1685* v Susanne Lacher épouse (1655) du boulanger André Schneider puis (1681 ) du tonnelier Tobie Gundelwein – luthériens
1692 v Jean Sperer, potier, et (1691) Anne Farni puis (1712) Anne Marie Müller – luthériens
1721 v André Schulmeister, potier, et (1699) et Catherine Kayser – luthériens
1728 v Jacques Brohm, cloutier, et (1696) Anne Elisabeth Andres puis (1730) Marie Marguerite Gahr – luthériens
1737 v Jean Meyer, chirurgien, et (1697) Susanne Steg – luthériens
1742 h Frédéric Meyer, chirurgien, et (1743) Anne Marie Helmstætter – luthériens
1757* h Jean Daniel Würtz, orfèvre, et (1751) Marguerite Barbe Vogt – luthériens
1767 v François Antoine Gilloth, tonnelier, et (1766) Marie Salomé Nessmann puis (1781) Anne Marie Meyer, veuve du tailleur Ferdinand Schnee – catholiques
1772 v Jean Ehrlenholtz, marchand, et (1769) Anne Ursule Dietsch – luthériens
1815 h Jean Louis Steiner, négociant puis agent d’assurances, et (1809) Catherine Marguerite Ehrlenholtz
1824 v Georges Heitz, fondeur chaudronnier
1826 adj Jean Louis Steiner (supra)
1829 v Louis Neubert, musicien, et (1822 ) Sophie Krehmer
1840 v Jean David Schultz, fabricant d’huile, et (1803) Marie Madeleine Dugard
1844 h Jean Frédéric Kautz, boucher, et (1826) Marguerite Madeleine Schultz
1869 v Georges Riehm, maréchal ferrant, et 1848) Madeleine Etlensperger
1901* h Georges Frédéric Henri Adolphe Riehm, vérificateur à l’octroi
1908* v Ville de Strasbourg

Bâtiment arrière (1651-1680)

Jean Georges Fridel, supra
1668 h Orphelinat
1676 v Michel Huck, potier, et (1674) Marguerite Meyer – luthériens
1680 v Jean Adam Boll (supra)

Valeur de la maison selon les billets d’estimation : 800 livres en 1712, 500 livres en 1728, 850 livres en 1738, 800 livres en 1750

(1765, Liste Blondel) IV 7, Jean Daniel Würtz
(Etat du développement des façades des maisons, AMS cote V 61), Ehrlenholtz, 2 toises, 2 pieds et 6 pouces
(1843, Tableau indicatif du cadastre) P 705, Neubert, Louis, épicier – maison, sol, cour – 1,76 are / Schultz veuve Faubourg National

Locations

1689, Michel Giss, tisserand
1721, Jean Bernard Brand, potier
1732, Jean Michel Goppert, potier
1820, Jean Zahn, ciseleur, et Marie Catherine Faeller

Description de la maison

  • 1712 (billet d’estimation traduit) la maison comprend un bâtiment latéral, un bâtiment arrière, une cave voûtée, un puits, estimée avec la cour, toutes ses appartenances et dépendances à la somme de 1 600 florins
  • 1728 (billet d’estimation traduit) la maison comprend un bâtiment arrière, un passage, plusieurs poêles, chambres, vestibule dans lequel se trouve le fourneau, four de potier, atelier où se trouve un four, un puits, estimée avec la cour, toutes ses appartenances et dépendances à la somme de 1 000 florins
  • 1738 (billet d’estimation traduit) la maison comprend en entrant au rez-de-chaussée à droite une petite boutique de barbier, étroit vestibule, petite cuisine, chambre, cave voûtée, puits, au premier et au deuxième étages un poêle, chambre, vestibule où se trouvent le fourneau et l’évier, deux vieilles galeries en bois, un petit bâtiment arrière au rez de chaussée duquel se trouve un ancien atelier de potier et un four, dépense, à l’étage un poêle, chambres, petite cuisine et vestibule, vieux comble, le tout estimé avec la cour, appartenances et dépendances à la somme de 1 700 florins
  • 1750 (billet d’estimation traduit) la maison comprend à côté de l’entrée deux poêles, une cuisine, au premier étage un poêle, une chambre et un vestibule, le deuxième étage est pareil que le premier, le comble à double couverture de tuiles plates renferme la chambre à soldats dallée, la cave est voûtée, une cour, un puits, il y a en outre un bâtiment arrière et un passage latéral où se trouvent un poêle, une cuisine, le bûcher et plusieurs chambres, le comble a une simple couverture de tuiles plates, le tout estimé avec appartenances et dépendances à la somme de 1 600 florins
  • 1814 Rapport d’experts
  • 1825 Rapport d’experts

Atlas des alignements (cote 1197 W 37)

1° arrondissement ou Canton ouest – Grand’rue (en partie)

nouveau N° / ancien N° : 142 / 90
Ehrlenholtz
Rez de chaussée et 2 étages médiocres en maçonnerie
(Légende)

Cadastre

Cadastre napoléonien, registre 28 f° 161 case 2

Schultz, veuve, faub. national

P 705, maison et cour, sol, grand’rue 90
Contenance : 1,76
Revenu total : 117,92 (117 et 0,92)
Ouvertures, portes cochères, charretières :
portes et fenêtres ordinaires : 22 / 18
fenêtres du 3° et au-dessus : 3 / 2

Cadastre napoléonien, registre 22 f° 867 case 2

Schultz, veuve, faubourg national
1870 Riehm, Georges, Maréchal ferrant
1901 Riehm Georg Friedrich Heinrich Adolph, Oktroiverifikator
1908 (3010) Straßburg die Gemeinde
(ancien f° 615)

P 705, maison, sol, Grande rue 13
Contenance : 1,76
Revenu total : 117,92 (117 et 0,92)
Folio de provenance : (161)
Folio de destination : Gb
Ouvertures, portes cochères, charretières :
portes et fenêtres ordinaires : 22 / 18
fenêtres du 3° et au-dessus : 3 / 2

Cadastre allemand, registre 31 p. 285 case 1

Parcelle, section 56, n° 51 – autrefois P 705
Canton : Langestraße Hs. N° 13 – 429/14 – 236
Désignation : Hf, Whs
Contenance : 1,75
Revenu : 1300 – 2100
Remarques : ab. S. 281 F. 5
1912 Abbruch
1914 ab. S. 281 F. 5

(Propriétaire), compte 34
Strassburg die Gemeinde
1909 Gemeinde Strassburg / Ville de Strasbourg
(33)

1789, Etat des habitants (cote 5 R 26)

Canton IV, Rue 221 Grand Rue, p. 207

90
lo: Lez, Marie Elisabethe Veuve – Tailleurs
lo: Freis, Jean, tailleur – Tailleurs
lo: Jost, Ignace, Musicien – Privilégié

Annuaire de 1905

Verzeichnis sämtlicher Häuser von Strassburg und ihrer Bewohner, in alphabetischer Reihenfolge der Strassennamen (Répertoire de toutes les maisons de Strasbourg et de leurs habitants, par ordre alphabétique des rues)
Abréviations : 0, 1,2, etc. : rez de chaussée, 1, 2° étage – E, Eigentümer (propriétaire) – H. Hinterhaus (bâtiment arrière)

Langstrasse (Seite 95)

(Haus Nr.) 13
Ruggaber, Milchhändler. 0
Schäfer, Rentnerin. 1
Demand, Schneider. 2
Fender, Eisendreher. 3
Eck, Schreinermstr. H 0
Warle, Modistin. H 1
Bauer, Schneidermstr. H 3
Strohmenger, Ofensetz. H 3

Grille d’enquête, n° 13

Fragebogen
zur Feststellung der Altertümer in den für den Straßendurchbruch zum Abbruch bestimmten Häusern in Straßburg i. E. 1907
Questionnaire destiné à répertorier les antiquités dans les maisons vouées à la démolition pour réaliser la percée, Strasbourg, 1907]

Anmerkung. Den aufzuführenden Gegenständen ist ein Vermerk der Erhaltung hinzuzufügen und zwar bedeutet
+ sofort zu entfernen, * dringend zu erhalten, o an Ort und Stelle zu erhalten.
Diejenige Gegenstände die sofort zu entfernen sind, sind umgehend dem Kaiserlichen Denkmal-Archiv mitzuteilen.
[Remarque. On joindra aux éléments à répertorier une mention relative à la conservation, à savoir : (+) à démonter immédiatement, (*) à conserver absolument, (o) à conserver sur place. Il faudra signaler au Service impérial des monuments historiques les éléments à démonter immédiatement]

Haus : Langestrasse N° 13 [Maison : 13, Grand rue]

a) Geschichtliches : Zum grünen Fässel, Wirthsaus 1736, 1769, Neubau 1825 [Historique] au Tonnelet vert, auberge 1736, 1736 [sic, voir n° 15], nouvelle construction 1825

I. Das Äussere [Extérieur]

  • 11. Türeinfassungen – Hinterhaus, I. Stock, Gang, eine Louis XVI Thüre
    [Encadrement de porte] bâtiment arrière, 1° étage, couloir, une porte Louis XVI
  • 12. Fenstereinfassungen – gotische, ein Stein, um 1500, 1. Stock, Vorderhaus – auf Farbspuren auf* beim Abbruch
    [Encadrement de fenêtre] gothique, une pierre vers 1500, 1° étage du bâtiment avant – traces colorées (-) lors de la démolition

II. Im Inneren [Intérieur]

  • 5. Galerie auf dem Hofe – 2 frühgotische, ein 17.ten Jahrh. neu umgestattet mit schönen Balustern in der I. Etage
    [Galerie sur cour] 2 gothique ancien, une du XVIII° siècle transformée, à belles ballustres au premier étage
  • 25. Türbeschläge – 1) Vorderhaus, II. Stock, gegen Strasse, Binder und 1. Knopff, 2) Hinterhaus, II. Stock, Binder
    [Ferrures de porte] 1) Bâtiment avant, 2° étage vers la rue, boutisse et un bouton, 2) bâtiment arrière, 2° étage, boutisse

Relevé d’actes

La maison appartient au début du XVII° siècle au sellier Christophe Fridel qui épouse en 1600 Marguerite, fille du pasteur Mathias Negelé.

Mariage, Saint-Pierre-le-Vieux (luth. f° 69-v, n° 35)
1600. Christoffel Fridel Satler, J. Margareta H. Mathis Negelein seligen gewesten Pfarrers zu dem Wilhelmen, 15. Julÿ (i 72)

Une fois veuve, Marguerite Negelé se remarie en 1636 avec le sergent Gaspard Fischer
Mariage, Saint-Pierre-le-Vieux (luth. f° 33)
1636. Festo Paschatos. Caspar Fisch. d. Feldweibel, Margaretha Christoff Fridel deß Sattlers allhier nachgelaßene Wittib. 25. Apr. (i 34)

Les nouveaux mariés font dresser l’inventaire de leurs apports dans une maison au Faubourg Blanc. Ceux du mari s’élèvent à 212 livres.
1636 (16.3.), Not. Ursinus (Jérémie, 60 Not 4) n° 6
Inventarium darinnen Waß Herr Caspar Vischer, Sergeant under Herrn Majorn von Müllenheim, vndt fraw Margaretha Negellin, weÿlandt Christoph Friedells deß Sattlers, burgers alhie Zu Straßburg seel. hinderlaßene wittib einander in den Ehestandt Zubringen, zubefind. 1636 – vnder anderen vrsachen vndt Clärlichen abgeredt, vndt vglichen worden, daß beiderseiths in die Ehe Zusammen bringende nahrungan einem Jeden vndt ihnen beiden deßelbig. Erben unverändert sein und pleiben solle – Beschehen in beÿsein Peter Schnellers Huttmachers hannß Friedels der hochzeiterin in voriger ehe erzeugten Sohns, so ietzmahlen vff der wand. schafft geschwornen Vogts, Vff Jahr vnd tag wie obgemeltt.

Inn einer Behaußung der Statt Straßburg vor dem Zollthor vnder wagnern gelegen, Inn dieße Nahrung gehörig Ist befunden worden wie hernach volgt
Inn d. Cammern A, Vor dießer Cammer, Inn d. Cammern B, Inn d. Cammern C, Vor dieß. Cammern, Im obern haußöhren, Im vndern hauß öhren, Inn der Wohnstuben
Eigenthumb ane einer Behaußung. Item 2 heüßer ein vord.s vnd ein hind.s mit Ihren hoffstatten höfflein
Inn d. Statt Straßburg vorstatt vor dem Zollthor vnder wagnern gegen der Gastherberg Zur Linden vber (…)
Sa. Anschlags des H. Hochzeiters Zubringender Frucht, 5, Silber geschirr und Geschmeids 20, Sa. Guldener Ring 17, Sa. Bahrschafft 110, Sa. Schulden 59, Summa summarum 212 lb

Christophe Friedel vend la moitié de la maison composée d’un bâtiment avant et d’un bâtiment arrière à son frère potier Gabriel Fridel et à sa femme Marguerite Ittel. En marge, quittance (1648) de la venderesse Marguerite Negelé alors femme de Gaspard Fischer à Madeleine Stampff, deuxième femme de l’acquéreur, et au fils Jean Georges Friedel

1630 (5. Aprilis), Chambre des Contrats, vol. 467 f° 284-v
(Protocollat. fol. 34.) Erschienen Christoff Friedel der Satler burg. Zu St. vnd Margreth Neglerin sein eheliche haußfraw (verkaufft)
Gabriel Fridel dem haffner auch burger alhie, vnd Margreth Eütlerin deßen ehelichen haußfr. ihrem respectiué Bruder, schwager vnd Geschweÿern, so beede Zugegen
den halbentheil ihnen den V.keüffern für vngetheilt gebürend an Einem vordern vnd hinderhauß, deren hoff, hoffstäten, vnd allen andern ihren gebäwen, gelegen alhie an der obern straßen, nicht weit von der Pfarrkürchen Zum Alten S. Peter, neben hanß Schötel von holtzheim & neben Hanß Rüebel dem Weinhändler hinden vff ein Stiffts hauß Zum Alt. S. Peter gehörig stoßend, daran der Andere halbtheil ihnen Käuffern Zuuor Zustendig, vnd gehen von den beed. häusern Jährlich vff Marci 4 fl. St. dem Stifft S. Marx in hauptgut mit 100. fl.
[in margine :] Erschienen Margreth Neglerin vnd Barbara, hanß Adam Fechters deß Gartenmanns alhie haußfr. ihr Margreth dochter bekannt in gegensein der Käuffern (…) Act. 19. Maÿ 1635
Erschienen hieringemelte Margaretha Neglerin die Verkäufferin mit beÿstand H Caspar Fischers Sergeanten alhier vnder H major von Müllenheim ihres ietzigen Ehevogts, So dann Peter Schnell der huetmacher alhie, alß Vogt Hannß Friedelß deß huetmachers hieringemelts Verkäuffers nachgelaßenen Sohns so hiebeÿ auch zugegen war, haben in gegensein deß Käuffers vndt Magdalenæ Stampfin seiner ietzigen hausfrauen mit beÿstand hannß Georg Fridels sein deß Käuffers eheleiblichen Sohns vnd Hannß Peter Breitlers deß Kachlers sein hannß Georgen Vogts (quittirt) 80 Januarÿ A° 1648.

Le potier Gabriel Fridel épouse en 1616 Marguerite Ittel, fille du soldat Jean Schwickart Ittel. Il se remarie en 1638 avec Madeleine, fille du charpentier Jacques Stampff
Mariage, cathédrale (luth. f° 39)
1616. In die paschalis den 31. Martÿ. Gabriel Fridel der Kachler, Christoph Fridels des Stattkachlers e. sohn, und J. Margreth Hans Schwickart Ittels des Soldners e. tochter, eigesegnet Zistag den 9. Aprilis (i 24)

Mariage, Saint-Pierre-le-Vieux (luth. f° 42) 1638. Dominica XXI. post Trin. Gabriel Friedel d. Kachler B. Burger allhier J. Magdalena Jacob Stampfen deß Zimmermanns allhie nachgelaßene Tochter, 13. Augusti (i 44)

Gabriel Fridel hypothèque la maison au profit de l’adjudant Gaspard Fischer. Sont témoins Pierre Breitler, tuteur du fils en premières noces du débiteur, et le culottier Balthasar Fischer, frère du créancier

1638 (7. 9.bris), Chambre des Contrats, vol. 480 f° 750-v
Erschienen Gabriel Fridel der Kachler burger Zu Straßburg, undt beneben ihme Magdalena Stampffin sein eheliche haußfraw mit beÿstandt hanß Großmans Zimmermanns alhie ihres noch ohnentledigtenn Vogts
haben in gegensein Caspar Vischers Feldweibels under herrn Maior Müllnheim und burger alhie – schuldig seÿen 25. lb
dafür in specie Vnderpfand sein solle Ein Vorder vnd Hinderhauß, hoffstat vnd höfflein mit allen andern ihren gebäwen & gelegen in der Statt Straßburg an der Obern Strassen beÿ dem Stifft Alten Sanct Peter, einseit neben dem Grünen fässel, anderseit neben hanß Linßer von Holßheim et consorten, hinden vffs Stiffts Alten S. Peters Schaffneÿ stoßend gelegen, So Zuuor verhafftet vmb 100. R. Straßburg. Wehrung den Armen Sond.siechen Zur Rohten Kürchen, Item vmb 100. fl. wehrung dem Stifft Sanct Marx alhie, Mehr vmb 25. lb d hanß Fridel deß Creditoris Stieffsohn, So dann vmb 113. lb sein deß Bekenners Söhnlein hanß Georgen Müeterlich guth, vnd dann vmb 35. lb ihr der Schuldtbekennerin für versprochenen Morgengaab
Dabeÿ geweßen hanß Peter Breitler der Kachler alß sein Gabriel Fridels in voriger Ehe erzeugten Sohns Vogt, obgedachten und Balthasar Vischer Hoßenstricker, deß Schuldglaubigen bruders

Gabriel Fridel vend la maison composée d’un bâtiment avant et d’un bâtiment arrière à son fils potier Georges Fridel

1650 (11. Xbr), Chambre des Contrats, vol. 508 f° 1105
(Protocoll. fol. 268. et seqq.) Erschienen Gabriel Fridel der Kachler
hatt in gegensein Georg Fridelß deß Kachlers seines Sohns
Zweÿ häußer ein vorders und ein hinders mit deren hoff, hoffstätten und allen deren Gebäwen, alhie in der obern Straß. beÿ der Kirch Zum alt. St Peter, einseit neben hannß Schöttel von holtzheim, anderseit neben H Michael Rüebel LL Stud. hind. vff eine Behaußung dem Stifft alten St. Peter gehörig, davon gehnd iahrs vff Marci 4 fl. straßb. wehr. lößig mit 100. R. ermelter wehr. dem Stifft St Marx, Item 3 lib vff Marci lößig mit 60. lib dem stifft zur Roth. Kirch. So seind solche häußer auch noch verhafftet umb 25. lib. vorig. kauffschillingß rests weÿl. H Hannß Grünen groß. Rhats Verwanthens seel: Wittib, Item umb 50. lib H Hannß Jacob Ansorg dem handelßmann und altem groß. Rhats Verwanth alß Vogt hannß Daniel Würtz, Item umb 63. lib ihme dem Käuffern selbsten beed. Post. von seinem Müterlich. Gut herrührend, Item umb 16. lib hannß Samuel Nageln dem küffern, Item umb 25. lib Morgengaab und 10. lib. für die hochzeiter Kleidung Magdalenæ deß Verkäuffers ehelich. haußfr. sein deß Käuffers Stieff Mutter (…), und umb 25 lib Caspar Fischern dem Sergent. Und were dißer Verkauff und Kauff, ulmb so viel alß dieße ietzt ernanndte Post. sich in Capitalien und davon hindeständig. Zinnß und Marzahl belauffen Zugang.

Georges Fridel épouse en 1650 Anne Marie, fille d’Adam Mahler bourgeois à Oberlauterbach en seigneurie de Fleckenstein
Mariage, Saint-Pierre-le-Vieux (luth. f° 90-v)
1650. Donâ Quinquag. 24. Febr. Johann Geörg Fridel der Kachler Gabriel Fridel Burgers vnd Kachlers alhie Ehelicher Sohn, J. Anna Maria Adam Mahler Burg. Zu Oberlauterbach der Graffschafft Fleckenstein hind.laßene tochter. Mont. 4.ten Martÿ. (i 92)

Georges Fridel revend l’année suivante la maison avant au menuisier Jean Boll en se réservant la maison-arrière . La partie vendue comprend une cour de cinq pieds sur quatre, une porcherie. Les parties indivisent comprennent le puits, le four, les cabinets d’aisance et le droit de passage

1651 (30. Aug.), Chambre des Contrats, vol. 511 f° 665
(Prot. fol. 87.) Erschienen hannß Georg Fridel der Kachler
in gegensein hannß Bollen deß Schreiners mit beÿstand diebolt Nägelins deß ohlmanns
ein vorderhauß sampt d. hoffstatt wie auch im hoff 5. schuh lang und 4. schuh breit im liecht Zu einem Schweinstall ferners die gemeinschafft deß Bronnens deß Backhoffens deß Cloacs deß gangß darzu und deß übrigen hoffs, alhie in der obern Straß. beÿ der Kirch Zum alt. St. Peter einseit neben hannß Schöttel von holtzheim & Cons. anderseit neben H Michael Rüebeln LL. Stud. hind. vff den Verkäuffern stoßend geleg. für und umb 213. lib (…) umb 35. lib. Magdalenæ deß Verkäuffers Stieff Mutter (…)
iedoch mit der Erläuterung, Erstlich daß der Bronnen d. Bauchoffen daß Cloac und d. Gang darzu in gemeinen Costen erhalt. auff der Bronnen daß Camin und Cloac in gemeinen Cost. resp. gesaubert und außgeführt, Fürs Ander durch den Käuffern seine Erb. und Nachkommen in dem übrig gemeinen hoff überal nichts gebawen werd. Trittens dem Verkäuffern seinen Erb. und Nachkommen für und für die Gerechtigkeit beÿ tag und nacht durch die ietzverkauffte vordere Behaußung auß der hindern Behaußung und widerumn darein Zu gehen und den Stand vor der vordern Behaußung zu behalt. verbleib. solle

Originaire d’« Ernteregg » en Wurtemberg, Jean Boll épouse en 1631 Susanne, fille du salpêtrier Jérémie Œlkrug
Mariage, cathédrale (luth. f° 305) 1631. Montag den 25. Julÿ. Hanß Boll der Schreiner auß dem Württenberger Land vnd Susanna Jeremias Oelkrug des Salpetersieders n. tochter eingesgner montag den 19. 7.bris (i 157)
Proclamation, Saint-Pierre-le-Vieux (luth. f° 11) 1631. Hanß Boll d. Schreiner Thomæ Bollen deß Rebmanns Zu Entseuhing. im Würtenberg. land ehelicher Sohn J. Susanna Jeremiæ Oelkrug deß Salpetersieders allhie nachgelaßene tochter. 19. 7.bris im Münster (i 12)

Il devient bourgeois trois mois plus tard en s’inscrivant à la tribu des Charpentiers
1631, 4° Livre de bourgeoisie p. 122
Hannß Boll Von Ernteregg Auß dem Württenberg landt der schreiner Empfangt d. Burg.recht Von Susanna Jeremie ohlkrugs geweßenen Salpetersieders vnd burger Alhie eheliche tochter wüll Zu den Zimmerleuth dienen den 25. 8.bris 1631

Susanne Œlkrug meurt en 1666 en délaissant un fils. Le titre le plus ancien de la maison date du 7 novembre 1594. Les biens propres de la femme se réduisent à peu de chose à cause du procès contre son père assez fortuné Jérémie Œlkrug. La masse propre aux héritiers s’élève à 15 livres, l’actif de la communauté à 126 livres, le passif à 19 livres

1666 (22.5.), Not. Winter (Jean Christophe, 62 not 14) n° 19
Inventarium vnd beschreibung aller und Jeder Haab Nahrung v. Güetter, Lig.der v. vahrend., Veränd.ter v. Unveränderter, Keinerleÿ davon außgenommen noch hind.gesetzt, So weil. die tugendsame Susanna Ölkrugin, deß Ehrsamen Hannß Bollen Schreiners v. burgers Zu Str. geweßene Eheliche hfr., beÿ Ihrem d. 26. Monats tag Februarÿ deß 1666.sten Jahrs beschehenen seel. ableiben Verlaß. Solches vf erfordern vnd gegehren Ihrer d. Verstorbenen frawen seel. mit obgedachten hanß Bollen dem hind.bliebenen Wittiber ehelich erzeugter Kind. v. ab intestato nachgelaßener Erben, wie auch deroselben respectivé Ehe v. geschw. vogt – Actum v. angefang. In Str. Dienstags d. 22. Monats Maÿ A° 1666.
Die Abgeleibte fr. seel. hat ab intestato Zu Erben Verlaßen 1. Susannam, Michael Kelterers des Kieffers v. burgers alhier eheliche hfr. geg. wertig, 2. Annam Jacobo Edraßen deß Hoßenstrickers auch burgers alhie hfr. quæ præsens. 3. 4. Elisabetham v. Hanß Adam beed. nich ledig. Standts den geschw. Vogt d. Ehrsame Mr Hanß Leonhard Sippel hohltreger v. burg. Zu Str. sambtliche gegenwertig, Alle vier Geschwistrig. von bed. Band. Zu gleich portionen v. antheilen.

In d. Cammer A, In d. Cammer B
Eÿgenthumb ane Einer behaußung. Ein vord. hauß sambt d. Hoffstatt, wie auch ein Hoff fünff schuhe lang vnd vier schuh breit im liecht Zu einem s. h. Schweinstall, sambt d. Gemeinschaft des Cloacs, deß Gangs darzu, vnd des vbrig Hoffs, alhie Zu Straßburg in dero obern Straßen beÿ d. Kirch Zum alten St. Peter, Einseit neben Hanß Schötteln von Holtzheim et Consorten, 2.s. neben H. Michael Riebeln, Hinden vff Hannß Georg Fridels des Kachlers Wittib vnd Erben stoßend gelegenn dauon gend Jahrs vff Hannß Georg Fridels des Kachlers wittib vnd Erben stoßend geleg. dauon gend Jahrs vff S. Marx tag 3. lb 3 ß dem Stift d. Rothen Kirchen steth in Capital 63. lb. Item j lb 5 ß vff gemeltem tag etwan weÿland H. Hannß Grünen des Fischers und E. E. Großen Raths alten beÿsitzers seel. Erben modo H. Paulo Reinhtaler dem Strehlmachern Vögtlicher weiß, ablößig mit 20. lb ferner 15. ß aberwehntem Stifft d. Roth. Kirchen, Jährlich vf Michaelis steht in gutt abzulöß. mit 15. lb vnd dann 15. ß s. Zuuorhin j lb 5 ß gewesen vf Martini Caspar Fischern dem Sergeanten steth in restirenden ablößigen Capital mit 15. lb Sonsten über ietz gemelte beschwerden freÿ ledig vndt eig. vnd angeschlagen pro 95 lb
Darüber besagt ein teutsch. Pergmtner Khaufbrief in d. allhießig. Cantzleÿ Contractstuben gefertigt, vndt mit deroselben fürhangenden Insigel verwart, daß Inhalts, d. d. Wittiber berührte behaußung von weiland hannß Georg Frideln dem geweßenen Kachlern in aô 1651. mit samt denen darauf gestandenen beschwerd. umb 213. lb erkauft, de dato den 30. Aug. 1651. mit N° 1 notirt. Dareÿ ein alter Perg. Khaufbrieff mit d. St. St. Kleinen Insigel v.wahrt datirt den 7. 9.bris 1594. mit altem N° 2 ietz auch mit newem N° 1 bemerckt.
Ergäntzung. Es berichtet d Wittiber, d. Sie seine haußfrau seel. Zur Zeit angetrettener Ehe ihme ein mehrers nicht als ein betthlad (…). NB Im übrig. Ob Zwar dero vatter seel. Jeremias Öhlkrug geweßener Saalpeter Sied. v. burger alhier ein Mann beÿ guten Mittlen geweßen, So habe Sie iedoch weg. geführten schwerer Process vnd Rechtshändel von demselben allerdings gar nichts ererbt, dahero auch weiters nichts zu ergentzen geweß.
Rubricen, der Erben unverändt. gutt, Ergäntzung 15 lb
Theilbar gutt, haußrath 28, Werckzeug Zum Schreiner handwerckh gehörig 3, Eigenthumb ane Einer behaußung 65, Summa 126 lb – Schulden 19 lb, Nach deren Abzug 10 lb – Conclusio finalis Inventarÿ 121 lb

La maison revient ensuite à son fils Jean Adam Boll qui épouse en 1678 Anne Catherine Schneider, fille de l’aubergiste André Schneider

Mariage, Saint-Pierre-le-Vieux (luth. f° 178, n° 10)
1678 Eodem [27. Febr.] Hanß Adam Boll lediger schreiner Joh: Bollen burgers vnd schreiners ehelicher Sohn, J. Anna Catharina H. Andreas schneiders deß Wurths V. Gastgebers eheliche tochter (i 179)

Les nouveaux mariés font dresser l’inventaire de leurs apports dans la maison voisine au Tonnelet vert
qui appartient à la mère de l’épouse. Ceux du mari s’élèvent à 49 livres, ceux de la femme à 170 livres.

1678 (9.3.), Not. Winckler (Elie, 61 Not 1) n° (13)
Inventarium und beschreibung aller Haab und Nahrung, So der Ehrsam und bescheidene Meister Hans Adam Boll der Schreiner und Fr. Anna Catharina Schneiderin, beede Ehegemächd und Burgere alhie Zu Straßburg, einander in Ihren den 21. Februarÿ Jüngst angetrettenen Ehestand, für unverändert zugebracht – Actum Straßburg in gegensein fr. Susannæ Lacherin d. fraun liebe Mutter den 9. Marty Anno 1678.
[In einer in der Statt Straßburg gelegenen] ane der Straßen zum grünen faß [ge]nanten und d. Frau lieben Mutter gehörigen behausung befunden worden wie volgt
Sa. haußraths 80, Sa. Silber geschmeids 12, Sa. guldenen Ring 10, Sa. baarschafft 66, der Frawen unverändert Nahrung 170 lb
Sa. Hausraths So der Mann für unverändert in die Ehe gebracht 49 lb

Jean Adam Boll acquiert la maison-arrière et hypothèque les deux bâtiments au profit des enfants du pasteur Elie Kolb

1680 (18.5.), Chambre des Contrats, vol. 549 f° 362
Johann Adam Boll der Schreiner
in gegensein Johann Saltzmanns V. J. Ddj unt Cancelleÿ Secretarÿ alß Vogts Weÿl. H. Eliæ Kolben geweßenen Pfarrers Zum Jungen St. Peter nunmehr seel. nachgelaßener Kinder Zweÿter Ehe – schuldig seÿe 100 lb
unterpfand, Ein Vorder: undt hinder: behaußung mit allen deren gebäwen undt zugehördten alhier ahne der obern Straßen nechst der Pfarrkirchen zum Alten St. Peter, einseit neben (-) anderseit neben Susannæ Schneiderin, hinden uff eine behaußung dem Alten St Peter Zuständig stoßend gelegen

Anne Catherine Schneider meurt en 1680 en délaissant une fille. Le père du mari qui a cédé sa maison à son fils lors du contrat de mariage s’en est réservé la jouissance viagère ; comme le veuf n’est pas entré en possession du bâtiment, l’inventaire ne le décompte pas.

1680 (11.12.), Not. Winckler (Elie, 61 Not 2) n° 21
Inventarium über Weÿland Frawen Annæ Catharinæ Schneiderin Meister Hans Adam Bollen, Schreiners und burgers alhie Zu Straßburg haußfrawen seel. Verlaßenschafft auffgerichtet in Anno 1680. – nach Ihren Donnerstags den 13. Maÿ dießes Zu end eilenden Jahrs aus dießem mühesamen leben genommenen tödlichen hintritt, hinderlaßen. Welches alles auf freundliches ansuchen erfordern und begehren des Ehrsam und bescheidenen Meister Hans Georg Rosa Küffer und burgers alhie Zu gerührtem Straßburg als geordnet und geschwohrnen Tutoris und vogts Annæ Catharinæ, der abgeleibten Frawen seel. mit erstermelten Ihrem hinderblieben wüttwer ehelich erzeugtel döchterlins und so wohl ab intestato als per Testamentum instituirter und nach Tod verlaßene einiger Erbin Ersucht – Actum Straßburg Sambstags den 11 Decembris Anno 1680.

[In einer allhier zu Straßburg ane] d Obern S[traßen gelegenen] Zum alten S Peter [-]walderin gehörig und von Ihme Wittwern bewohnender behaußung befunden worden wie volgt.
(T.) It[em eine behaußung hoff un]d hoffstatt sampt [allen] gebäuden, [begri]ffen Zugehörd und Gerechtigkeiten in hiesiger Statt Straßburg ane d. Obern Straßen einseit (-) anders. Fr. Susannaæ Schneiderin gebohrne Lacherin d. fr. seel. lieben Mutter, hind. auf einer dem Stifft Alten St. Peter gehörigen vornen aber auf deß wuttwers vatters behaußung, behausung stoßend, darvon gend Jährlich vier guldin Straßburger wehrung Jährlich auf (-) dem Großen gemeinen Allmosen S. Marx alhier Zu Straßburg in haubtgutt wider lößig mit 100 gulden ermelter wehr. So dann ist diße behaußung noch verhafftet umb 100. lb welche h herr Johann Saltzmann j. v. Ddus und Secretarius beÿ hiesiger Cancelleÿ, Zu erlegung deß Kauffschillings dergleichen, sonsten ledig und eig. und Weilen dieße behaußung (nur dreÿ tag vor d. abgeleibten fr. seel. tod erkaufft) umb den gantzen Kauffschilling verhafftet als ist auch Nichts deßeg. alhier auß zu werffen. Darüber sagt ein pergamin Kauffbrieff mit der Statt Straßburg anhangenden Contract Insigel verwahret datirt den 11. Maÿ Anno 1680.
N.B. Obwohlen Zwar in hieoben inserirter Eheberedung §° Ferner und Zum fünfften der wittwer vader sein behaußung den wuttwer und d. abgeleibten frauen seel. mit gewißer Condition Cedirt, Weilen aber ermelter deß wittwers vader annoch beÿ leben einvolgig die bedingung annoch in seinem ungeänderten stand beruhet und nicht erloschen Als hat Zur Zeit deßentwegen beÿ gegenwärtiger Inventation nichts eingebracht werden können.
[Series rubricarum hujus Inventarÿ. Des Wittwers Nahrung] Sa. [haußraths 6] Sa. Schulden 8, Sa. Ergäntzung 1, Summa summarum 16 lb
Summa der Erben unveränderte haußraths 29, Sa. Silbers 7, Sa. Guldiner Ring 5, Sa. Ergäntzung (73, Sa. angangs 2, verbleibt) 69, Summa summarum 112 lb
Sa. Anschlag Theilbahrn haußraths 17, Sa. Werckzeugs und holtz Zum Schreiner handwerck gehörig 9,Sa. Eigenthum ane einer behausung, nulla, Sa. Schulden 6, Summa summarum 33 – Schulden 70 lb, Theÿlb. Passiv Schulden übertreffen solch gut umb 37 lb
Conclusio finalis Inventarÿ 91 lb
Wÿdems Verfangenschaft daran daß Eÿgenthumb dem Wittwer für unverändert gehörig. Vermög hieoben fol (-) vermelten Inventarÿ über weÿl. Frawen Susannæ Öhlkrugin deß wittwers Mutter seel. Verlaßenschafft d. 22. Maÿ Anno 1666 auffgerichtet (…)
Copia Testamenti nuncupativi – 1680 (…) auf Donnerstag den 29. Monats tag Aprilis Alten Calenders Zwischen Sechs und Süben Uhren vormittag die Ehren und tugendsahme Fraw Anna Catharina Schneiderin, des Ersam: und bescheidenen Meister Hans Adam Bollen, Schreiners und Burgers alhier Zu Straßburg geliebte Ehewürthin (…) zu sich erfordern laßen, da Ich selbige dann in einer in gedachter deß heÿligen Reichs Freÿer Statt Straßburg ohnfern der Kirchen Zum Alten St. Peter ane der Straßen gelegenen Meister hannß Bollen dem Schreiner gehörigen behaußung, oben in der wohnstuben, mit dem fenster auf die gaß oder erwehnte Straß außsehend, auf einem Bette ligend: schwach und Krancken leibs, von der gnade Gottes aber guter gebrechlicher Sinnen und richtiger vernunfft (…) Sie in gegenwärtiger Ihrer Kindbett, mit Leibes kranckheit Zwar beschwehrlich: aber gantz Vätterlich heimgesucht und angegriffen – Elias Winckler Nots. Cæs. Publ.

Jean Boll meurt en 1681. Son fils entre alors en jouissance de la maison avant.
Sépulture, Saint-Pierre-le-Vieux (luth. f° 95, n° 103)
1681. December. d (-) starb hans Boll schreiner æt. 82 jahr

La maison revient à Susanne Lacher, veuve en premières noces d’André Schneider (père de la femme d’Adam Boll) et femme en secondes noces de Tobie Gundelwein, propriétaire de la maison voisine au Tonnelet vert
Tobie Gundelwein loue au nom de sa femme la maison au tisserand Michel Giss

1689 (8. 7.br), Chambre des Contrats, vol. 560 f° 443-v
Tobias Gundelwein, der Ältere Kieffer alß Ehevogt Susannæ gebohrner Lacherin
in gegensein hans Michael Gÿßen, deß Leinenwebers
entlehnt, eine behaußung mit allen deren Gebäuen und zugehördten, allhier in der Obern straß, einseit neben dem hauß zum Grünen Fäßel dem Verleÿher auch gehörig, anderseit neben einer behaußung verschiedenen bauren von Eckbolßh. und Lingolßh. gehörig, auff ein jahr lang von insteh. Michaelis an zurechnen, umb 25 pfund zinß

Susanne Lacher vend la maison au potier Jean Sperer

1692 (17.4.), Chambre des Contrats, vol. 564 f° 284
Susanna gebohrne Lacherin, Tobiæ Gundelweins deß ältern Kieffers ehl. Haußfrau, mit beÿstand Ihres Ehevogts, wie auch Andres Gunelweins auch Kieffers Ihres leiblich. Sohns
in gegensein Johannis Spörers deß Kachlers
Zweÿ Haüßer, Nemblich ein vorders und ein hinders, dar zwischen ein hoff, sambt dero hoffstätten, Bronnen und allen übrigen deren Gebäuen, begriffen, Rechten und zugehördt, allhier an der Obern straß nächst der Kirchen Zum Alten St. Peter, einseit neben einer andern Behaußung der Verkaüfferin auch gehörig Zum grünen Fäßel genandt, anderseit neben (-) von wolffsheim, hind. auff einer Behaußung dem Stifft Zum alten St. Peter gehörig, darvon gehen jährlich 4 gulden Straßb. wehr, ablösig mit 100 fl. Capital, ged. Wehr. dem Allmosen zu St. Marx, so seÿe dieselbe auch umb 63 lb Capital (Item umb 15 lb Capital, Ferner umb 84 lb verhafftet) umb 435 pfund

L’acquéreur hypothèque le même jour la maison au profit du potier Tobie Garing

1692 (17.4.), Chambre des Contrats, vol. 564 f° 285
Johannes Spörer der Kachler
H. Tobiæ Garings, auch Kachlers – schuldig seÿe 150 pfund Zuerkauffng hernach beschriebener behaußung
unterpfand, Zweÿ Haüßer & perge auß imediate vorstehende Verschr.

Autre hypothèque le même jour au profit de Jean Christophe Wagner, aubergiste à l’Ancre

1692 (17.4.), Chambre des Contrats, vol. 564 f° 285
ut supra [Johannes Spörer der Kachler]
in gegensein Johann Christoph Wagners deß Würths zum Ancker – schuldig seÿe 100 pfund Zuerkauffung hernach beschriebener behaußung
unterpfand, Zweÿ Haüßer Nemblich ein vorders und ein hind.s mit allen deren gebäuen, Rechten und zugehördt, allhier an der Obern Straß einseit neben der behaußung Zum grünen Fäßel, and.seit neben (-), hind. auff eine Behaußung dem Stifft Zum alten St. Peter gehörig

Jean Sperer originaire de Waldenburg est inscrit en 1685 quand il est compagnon chez le potier Jean Bronner
1685, Protocole de la tribu des Maçons (XI 232)
f° 41 (Frembde Gesellen Legen das Jurament ab) Kachler
Johann Spirer Von Waltenburg, beÿ Mr Johann Bronnern

Le potier Jean Sperer originaire de Waldenburg devient bourgeois le 18 juin 1691 alors qu’il est célibataire
1691, 3° Livre de bourgeoisie p. 1072
Johann Spörer der haffner Von Waltenburg auß Francken, weÿl. Joh: Spörer auch geweßenen haffners daselbst hinterl: sohn, erkaufft das burgerrecht vor sich p. 2 gold fl. 16 ß. ist annoch ledig. standes Vnd will Zu E.E. Zunfft der Maurer dienen. Jur: d 18. Junÿ 1691

Originaire de Waldenburg en comté de Hohenlohe, Jean Sperer épouse en 1691 Anne Farni originaire de Schangnau dans le canton de Berne.
Mariage, Temple-Neuf (luth. f° 25, n° 147)
1691. Eod. [Dom. 2. post Trinit.] Seind Zum I. mal außgeruffen worden, Johann Spörer der Kachler Weiland Johann Spörrers auch Kachlers Zu Waldenburg Gräffl. hohenleÿher herrschafft nachgel: S. Jfr. Anna Weil. Christian Farnis Müllers* Zu Schangnau* Berner Gebiets nachg. ehel. T., Seind d. 2.. Julÿ Copulirt worden [unterzeichnet] Johaness spörer hochzeiter + der hochzeiterin handzeichen (i 25)

Jean Zittelin porte plainte contre Jean Sperer devant le conseil des Maçons. Les plaques du fourneau que Jean Sperer lui a installées se sont écartées de sorte que le feu est visible de la pièce, les carreaux sont en outre mal alignés. Jean Sperer répond qu’il a vérifié le fourneau et que le plaignant a payé la facture sans faire d’observation. Le conseil décide da faire vérifier les carreaux par deux potiers et demande au plaignant de prouver que les plaques sont fendues.
1708, Protocole de la tribu des Maçons (XI 234)
(f° 72) Freÿtags den 14.ten 7.bris
(Erk. Kfgrcht) Hr Johannes Zittelin Cl.t wid. Mstr. Joh: Sperrer, daß Er Ihme Vor einen Jahr einen eißeren offen Zu kauffen gegeben, den Er Ihme Vor guth verkaufft, nach deme aber in denselben eingefeurt worden, seÿen Zwo blatten daran gespalten geweßt, so daß man das feur in der Stuben siehet, üb. dießes were das Kachelwaren darauf gantz Krumm gesetzt, Verlange derowegen satisfaction.
Ille sagt nehme Ihn sehr Wunder, daß Er Anjetzo Klagen da Er doch Ihme Cl. die blatten ehe er Sie gekaufft in sein Bekl. hauß aufgesetzt und sie spalten gewießen, nach deme seÿe er ô. allein ein mahl wid. ein seinen hauß geweßt und Sie besehen, sondern seÿen auch 3. Wochen in des bek. hauß gestanden Ehe er aufgesetzt worden, habe Ihme auch den Zedul ohne einigen anspruch bezahlet, was endlichen d. Kachelw. anlangt gebe er wohl Zu d. etwas daran möchte sein.
Erkand, was das Kachelw. anbelangt, soll daßelbe durch H. Heÿer v. H. Röcklinger besichtiget, die blatten aber d. bekl. Ihn in solches gewießen d. sie gespalten, beweißen werden.

Anne Farni meurt en 1712 en délaissant un fils. Les experts estiment la maison 800 livres. La masse propre aux héritiers s’élève à 80 livres. L’actif du veuf et de la communauté s’élève à 377 livres, le passif à 281 livres

1712 (31.5.), Not. Goldtbach (6 E 41, 230) n° 96
Inventarium über Weÿland der Ehren: und tugendsahmen Frauen Annæ Spehrerin gebohrener Farnein, deß Ehren und Vorachtbahren herrn Johann Spehrers, deß hafners gewesener haußfrawen seel. Verlaßenschafft, auffgerichtet Anno 1712. – nach Ihren den 1. Febr. A° 1712. aus dießer welt genommenen tödlichen hintritt Zeitlichen verlaßen, Welche Verlaßenschafft auf freundliches ansuchen erfordern und begehren deß Ehrengeachten herrn Paul Heischmanns deß haußfeurers und burgers alhie, als geordnet und geschworenen Vogts Johann Spehrers, der abgeleibten seel. mit obgemeltem herrn Johann Speheres dero Ehemann und hinterbliebenen Wittiber Ehelich erzeugten Sohns und ab intestato Verlaßenen Eintzigen Erben – Actum Straßburg den 31.ten Maÿ A° 1717.

In einer allhier Zu Straßburg ane der Langen Straß gelegenen und hernach beschriebener behausung, befunden worden wie folget
Eÿgenthumb ane einer Behaußung. It. Zweÿ häußern, nembl. i. vorders v. i. hinders, dar zwischen ein höfl. s. dero hoffstätten, bronnen und allen deren übrige, gebäuwen, begrifen, Weithen, Rechten, Zugehörden und gerechtigkeiten gelegen alhier Zu Straßburg an der obern Straß, nächst der Kirchen Zum alten S. Peter, j. s neben herrn Diebold Hügel dem Garttner, 2.s. neben j. behausung etlichen Bauren gehörig, hinden auf eine behaußung dem Stifft alten St. Peter Zuständig, stoßend, darvon gehen Jährlichen 4 gulden Kraß w. Nahrung ablösig mit 100 gulden gedachter Wehrung, dem allmosen Zu St. Marx, Ferner seÿe dieselbe dem Corporj Pensionum vmb 15. lb. Weiter dem Mehren Hospithal allhier wegen der Rothen Kirchen vmb 63 lb, Item Weÿl. S: T Herrn Ds. Balthasar Friderich Saltzmanns seel. hinterlaßener Fraw Wittib umb 200. lb, So dann der Laden der herren barbierer gesellen vmb 75. lb Capital verhafftet, sonsten Freÿ Ledig v. eigen und über hievor geschriebener beschwerden durch der Statt Straßburg geschworne Werckmeister Crafft der, beÿ mein deß Notarÿ Concept befindlichen Abschatzung, Sub dato 4.to Aprilis A° 1712. æstimirt und angeschlagen worden pro 347. lb. Darüber besagt ein teutscher Pergamenter Kauffbrieff mit der Statt Straßburg anhangendem Cancelleÿ Contract Insigel Verwahret, datirt den 7.ten 9.br. A° 1594. Ferner j. teutscher Pergamentener Kauffbrieff mit der Stadt Straßb. anhangendem Cancelleÿ Contract Insigel verwahret datirt den 30.t Augusti A° 1651. Mehr j. teutscher Pergamentener Kauffbrieff mit der Stadt Straßb anhagandem Innsigel der Cancelleÿ Contract Stuben verwahret, datirt d. 11. Maÿ A° 1680. Und dann ein dergleichen teutscher Pergamenter Kauffbrieff mit der Stadt Straßb. anhangendem Cancelleÿ Contract Insigel verwahret, datirt den 17. Aprilis A° 1697. alles mit altem N° 1 und Jetzigem N° 2 notirt.
Norma hujus inventarÿ. Bericht.Zuwißen daß Zwar Zwischen der Verstorbenen seel. und dero hinterlaßenem Wittiber, Zur Zeit dero Verheurathung, Wie hernacher Zusehen eine Eheberedung auffgerichtet und auch darinnen einem Jeeden sein Zubringend: und Ererbenden Vermögen hiesiger gewohnheit nach vor unverändert vorbehalten worden Allein es habe dieselbe folglich die Inventation dero zubringenden Nahrungen underlaßen (…)
Deß Erben unverändertes Vermögen, Sa. haußraths 15, Sa. Ergäntzung 65, Summa summarum 80 lb
Dießemnach Wird auch die übrige Nahrung und Zwar Vor Theilbar beschrieben, Sa. haußraths 20, Sa. Werckzeugs wie auch Erden Kachelwaren Vnd gebrand Geschirr 6, Sa. Silbers 1, Sa. Goldener Ring 1, Sa. Eigenthumbs ane einer behaußung 347, Summa summarum 377 lb – Schulden 281 lb (verbleibt) 95 lb
Conclusio finalis Inventarÿ 175 lb
Abschatzung den 4. Aprilis 1712. Auff begehren deß Ehrenhafften undt bescheidenen herrn Johann Spährer Kachler ist eine behaußung allhier in der Statt Straßburg in der Straßen gelegen einseith neben H. Diebold Hügel dem Gertner, Anderseith neben einem Baurenhauß, hinden Zum Alten St Peter stoßend, Welche behaußung, Neben Hauß, Hinderhauß, gewölbter Keller, Hoff: hoffstatt undt brunnen, sambt aller Ihrer Recht: undt Gerechtigkeit Durch der Statt Straßburg Geschwohrne Werckmeister Jetzigem Preiß nach angeschlagen wird. Vor und umb Eintaußendt und Sechs hundert Gulden. Bezeichnüß durch der Statt Straßburg Geschwohren werckh leüthe, Jacob Staudacher werckh Meister des Maurhofs, Johann Jacob Osterrieth Werck Meister deß Zimmer Hoffs.

Jean Sperer hypothèque la maison au profit de Jean Frédéric Rebhan, substitut à la Chambre des Contrats

1712 (ut ante [8. Julÿ]), Chambre des Contrats, vol. 585 f° 491
Joh: Sperrer hafner
in gegensein H Joh: Friedrich Rebhans subst: C. Contractuum – schuldig seÿen 50 pfund
unterpfand, seine behaußung c. appert. allhier in der straß, einseit neben Martin burger anderseit neben H. Hügel hinten auf ein Stiffthauß nach alten St Peter gehörig

Le corps des potiers a infligé une amende à Jean Sperer qui porte l’affaire devant les Quinze. Jean Sperer a demandé au vitrier Eckel qui n’a pas réglé les sommes qu’il devait au potier Jean Dieuloué Nœdel de lui faire des fenêtres contre un autre travail, mais rien n’a encore été fait. La commission estime que l’amende n’a pas lieu d’être puisque le travail promis n’a pas été réalisé.
1717, Protocole des Quinze (2 R 121)
Johann Spöhrer Ca E. E. Meisterschafft der Kachler pt° mulctæ
(p. 537) Sambstag d. 13. Novembr. 1717 – Johann Spöhrer Ca E. E. Meisterschafft der Kachler pt° mulctæ
Saltz. nôe Joh. Spöhrer des Kachlers Ca E. E. Meisterschafft der Kachler allhier Under Meister Melchior Schrödter, Citati haben Ppalen laut hiebeÿ gehend. Extractus in 1. lb d mulctirt, die Er gar nicht Verwirckht hat, bitt Deput. und Facta relatione Ihne so wohl der angesetzten Straff als auch denen 8. ß unkosten gnädig zu absolviren. Schb. bitt Deput. und es beÿ dem bescheid Zu laßen. Erkandt Ober Handwerck Hh.

(p. 572) Sambstag d. 27. 9.br. 1717 – Johann Spöhrer Ca E. E. Meisterschafft der Kachler pt° mulctæ
Iidem [Obere Handwerck Hh] laßen ferner per Eundem [Secretarium] referiren, daß Johann Spöhrer der Kachler undt burger allhier C. E. E. Meisterschafft der Kachler geklagt, daß sie Ihne in Ein pfundt laut producirten handwerckh bescheids vom 29. 8.bris jüngst wie auch in 8 ß unkosten condemnirt hatten, Welche er gar nicht Verwirckt habe, anbeÿ gebetten, Ihne davon gnädig Zu absolviren. Alß man Ihne ferner hierüber gehört, habe er beÿgefügt daß er deßwegen seÿ gestrafft worden, Weilen er einen andern Meister nahmens Johann Gottlob Nödel einen Kunden abgespannet haben solle, nemlichen einen Glaßer nahmens Eckel, diesem habe er einige Fenster Zu machen gegeben mit dem beding daß Er Ihme Eckel ane statt bahrer bezahlung einige arbeith Verfertigen solle, habe aber noch Zur Zeit beÿ ihme Keinen streich gearbeitet.
Nomine E E Meisterschafft seÿe Vorgestand. Joh: Melchior Schröther, Welcher sich auff einen Articul de A° 1603. bezoge dahin gehend daß Keiner einen newen Kund. genehmen solle, es seÿe dann der Vorige Meister von Ihme Völlig bezahlt, weil aber Kläger noch Zur Zeit Keine arbeith beÿ Meister Eckel (nach deßen außsag, und der beklagten gestandnuß) verfertiget, alß vermeine man auff seithen Mghh. Depp. daß der handwerck bescheid allzufrühzeitig, dahero Kläger von der Forderung Zu absolviren seÿe, mit dem anhang daß Er Meister Eckel die Fenster bezahlen hiengegen diesem freÿ stehen solle einen Kachler nach seinem belieben anzunehmen, die Genehmhaltung Zu Mghh. stellend. Erkandt bedacht beliebt.

Jean Sperer se remarie en 1712 avec Anne Marie Müller, fille de cordonnier
Mariage, Temple-Neuf (luth. f° 242, n° 1054
1712 Mitwoch den 3.ten Aug. Seind nach 2. mahl Proclamation ehelich copuliret worden Johann Spörer der b. und Kachler auch witwer allhier vnd J. Anna Maria, Hanß Georg Müllers gew. b. und Schuhm. allhier hinterl. ehel. Tochtern [unterzeichnet] Johanneß Spörer Als hoch Zeidter, o Anna Margar. der Hochzeiterin handzeichen (i 241)

Jean Sperer et Anne Marie Müller hypothèquent la maison au profit du même Jean Frédéric Rebhan

1718 (28.11.), Chambre des Contrats, vol. 591 f° 581
Joh: Sperrer sen: hafner und Anna Maria geb. Müllerin beÿständlich Joh: Müller seÿlers und Joh: Paul Müllers huefschmidts [unterzeichnet] Spörer
in gegensein H. Joh: Friedrich Rebhan Subst: C.Contractuum – schuldig seÿen 50 pfund
sein hafners hauß c. appert: allhier in der Straß ohnfern der alten St Peter Kirch, einseit neben Philipp Wammer et Cons: anderseit neben den Hügelischen E. E. hinten auff ein Canonicat hauß

Un inventaire non conservé des biens de Jean Sperer est dressé en 1721

1721, Not. Brackenhoffer (Jean, répert. 65 Not 2) n° 13
Inventarium über Meister Johannes Spooren des Haffners revidirte Nahrung

Jean Sperer et Anne Marie Müller vendent la maison 1150 livres au potier André Schulmeister

1721 (7.6.), Chambre des Contrats, vol. 595 f° 289
(1150) Johann Spörer Kachler und Anna Maria geb. Müllerin
in gegensein Andreas Schulmeister Leinenwebers und Annæ Catharinæ geb. Kaÿßerin
Eine Behausung bestehend in vorder und hinder hauß hoff und hoffstatt mit allen deren übrigen gebäuden, begriffen, weithen, zugehörden, rechten und gerechtigkeiten ahne der langen straßen, einseit neben denen Hügelischen erben anderseit neben Bauren von Schäffolzheim, Breuschwickersheim und andern orthen hinten auff das Catholische Pfarrhauß zum Alten St Peter – anbeÿ ist verglichen daß die verkäufer in der verkauften behausung und zwar in denen von ihnen würcklich bewohnenden gemächern 2 nacheinander folgenden jahren von dato ahn zu rechnen freÿ und ohne haußzinß zu wohnen und zu verbleiben berechtiget sein sollen – um 355 pfund capitalien verhafftet, geschehen um 794 pfund

André Schulmeister loue une partie de sa maison au potier Jean Bernard Brand

1721 (21.6.), Chambre des Contrats, vol. 595 f° 321-v
Andreas Schulmeister Leinenweber
in gegensein Johann Bernhard Brandten haffners
in seiner in der Langen Straßen einseit neben denen Hügelischen erben anderseit neben unterschiedlichen Bauren von Schäffolzheim, Breuschwickersheim und andern orthen gelegenen behausung, in dem hinder hauß die werckstub, Brennoffen zweÿ Cammern, zwo buhnen, ein plaz oder Schopff im hoff zum holtz, auff 5 jahr lang anfangend auff Joh. Bapt. nächstkünfftig – um einen jährlichen Zinß nemlich 18 pfund

André Schulmeister et Catherine Kayser vendent la maison 1100 livres au cloutier Jacques Brohm et à sa femme Anne Elisabeth Andres

1728 (29.7.), Chambre des Contrats, vol. 602 f° 353-v
Andreas Schuelmeister Leinenweber und Catharina geb. Kaÿßerin
in gegensein Jacob Brom des Nagelschmieds und Annæ Elisabethæ geb. Andreßin
Eine Behausung bestehend in Vorder: und hinderhauß hoff hoffstatt mit allen derselben gebäuden, begriffen, weithen, zugehörden, Rechten und gerechtigkeiten ahne der langen straß, einseit neben Anna Salome geb. Fußingerin H. Johann Heinrich Lang Not. Publ. separirter Ehefrauen anderseit neben Bauren von Schäffoltzheim Breuschwischersheim und andern orthen hinten auff das Catholische Pfarrhaus zum Alten St Peter – um 466 pfund ausmachende capitalien verhafftet, geschehen um 633 pfund

Fils d’un tonnelier de Mittelbergheim, Jacques Brohm épouse en 1696 Anne Elisabeth Andres, fille de cloutier après avoir passé un contrat de mariage cité dans l’inventaire dressé en 1728
Mariage, Saint-Pierre-le-Jeune (luth. f° 66)
1696. Domin: Quadrages. et Reminisc. proclamati sunt Jacob Brehm er Nagelschmidt alhier, gebürthig von Mittelbergheim Bartholonei Brohm, deß Kieffers u. Burgers Zu Mittelbergheim ehl. Sohn, V. Jfr. Anna Elisabetha weÿl. Johann Andreßen geweßenen Nagelschmidts Vndt burgers alhier nachgel. Tochter, copulati sunt Mittw. d. 21. Martÿ [unterzeichnet] Jacob brom als hochzeiter, a signum Jfr. Anna Elisabeth Andreßin (i 68)

Jacques Brohm devient bourgeois quelques jours plus tard en s’inscrivant à la tribu des Maréchaux
1696, 4° Livre de bourgeoisie p. 673
Jacob Brohm der Nagelschmid, Von Mittelbergheim Bartholme Brommen Kieffers daselbst Ehl. sohn, empfangt das burg. recht Von Anna Elisabetha, weÿl. Johann Andreßen gewes. burgers V. Nagelschmidts allhier hint. tochter,seine jetzige haußfr. p. 2. gold fl. vnd 16 ß so bereits beÿ der Cantzleÿ erlegt, Vnd wird beÿ E. E. Zunfft der schmid dienen. Jur. d. 28. Martÿ 1696.

Anne Elisabeth Andres meurt en 1728 dans sa maison rue des Bouchers en délaissant cinq enfants. Les experts estiment la maison 500 livres. La masse propre au veuf s’élève à 139 livres, celle des héritiers s’élève à 448 livres. L’actif du veuf et de la communauté s’élève à 803 livres, le passif à 630 livres

1728 (17. 9.br), Not. Lobstein (Jean, 31 Not 22) f° 512
Inventarium und Beschreibung aller derjenigen Haab, Nahrung und güethere, so weÿland die Viel Ehren und tugendsame Frau Maria Elisabetha Brohmin geb. Andreßin, des Ehren und wohlvorgeachten Herrn Jacob Brhomen des nagelschmidts Und burgers allhier zu Straßburg gewesene eheliche haußfrau nunmehr seelige, nach Ihrem den 16. Augusti dießes Zuend eilenden 1728.sten Jahrs aus dießer welt genommenen tödlichen hintritt, zeitlichen verlaßen – So beschehen in Straßburg Mittwoch den 17.ten Novembris Anno 1728.
Die Abgeleibte frau seelige hat ab intestato Zu Erben Verlaßen 1.mo Frau Annam Catharinam Dißin gebohrne Brohmin Mr Lorentz dißen des huthmachers und burgers allhie ehel. haußfrau so mit beÿstand deßelben beÿ dem geschäfft erschienen. 2. Jungfer Annam Mariam Brohmin, noch ledigen Standts, so Majorennis dahero ohnbevögtigt, 3.tio Jungfer Mariam Elisabetham Brohmin ebenfalls noch ledigen Standts, so gleicher weiße Majorennis dahero ohnbevögtigt, dieße beede letztere Jungfer töchtere seind mit beÿstand Mr Johann Jacob Heischmannn deß haußfeurers und burgers allhier beÿ dem geschäfft præsentes geweßen, 1. Johann Jacoben, 5. Margaretham Salome die Brohmen, deren beeden jüngern Kinder geordnet und geschworenen Vogts ist H. Peter Gaglang der nagelschmid und burger allhier welcher nôe seiner beeden Curanden dem geschäfft abwartete. Alßo alle fünff der Abgeleibten Frauen seeligen mit obgedachtem Ihrem hinterbliebenen wittiber ehelich erziehlte und ab intestato Zu gleichlingen Antheiltern verlaßene Erben
Copia der Heuraths Verschreibung

In einer allhier Zu Straßburg ane dem Metzgergießen gelegenen und in dieße Verlaßenschafft gehöriger behaußung befunden worden wie volgt.
Ane Höltzen: und Schreinwerck. Ion der Gesellen Cammer, In der Soldaten Cammer, In der Meel Cammer, In der Nägel Cammer, In der Wohnstub, In der Wohnstub Cämmerlin, Im hintern Stübel, In der hintern Cammer, Vor dießer Cammer, Im haußöhren oder Kuchen, Im Keller
Eigenthumb ane Haüßern (T.) Ertsl. Ein vorder: und ein hinderhäusel allhier im metzgergießen (…)
Item ein Vorder und hinderhauß, hoff, und hoffstatt, mit allen derselben gebäuen, begriffen, Weithen, Zugehörden, Rechten und gerechtigkeiten, allhier ane der Langen Straß, 1. seit neben Fr. Anna Salome Langin geb. Füßingerin, H Joh: Heinrich Langen Notarÿ publici separirter Ehefrauen, 2. seit neben einigen Bauren von Schäffoltzheim, breüschwickersheim und andern orthen, hinden auff das Catholische Pfarrhauß Zum alten St: Peter allhier stoßend, gelegen, von dießer behaußung gibt mann Jährl. auf den 7.ten Aprilis 3. lb d zinnß der Gesellschafft derer barbierer allhier, ablößig in Capital mit 75. lb. Weiter dem Stifft St. Marx allhier reicht man davon Jährl. auff Marci tag 2. lb 2. ß d Zu Zinnß, redimibel in haubtguth mit 52. lb 10 ß, So dann Zahlt mann ferner auff Marci Evangelistæ oder den 25. Aprilis von Zweÿen untersch. Capitalien der Rothen Kirchen allhier 3. lb 3 ß Zu Zinnß, wieder Käuffig in Capital mit 63. lb, Sonsten gegen Männigl. und über dieße Beschwährden freÿ leedig Eigen und durch Vorgedachte herrn Werckmeistere crafft überreichten Abschatzung Zeduls vom 11. Septembris 1728. æstimirt pro 309. lb 10. ß. Darüber meldet j. teutscher pergamenter Kauffbrieff mit der Statt Straßburg anhängendem Cancelleÿ Contract Insiegel corroboriret, sub dato 29.ten Julÿ A° 1728. mit N° 2. bezeichnet
Ergäntzung deß Wittibers abgegangenen ohnveränderten guths, Nach besag Inventarÿ über beeder geweßener Eheleuthe einander Vor ohnverändert in den Ehestand Zugebrachte Nahrungen in Anno 1696 durch Herrn Notarium Johann Friderich Redwitzen nun seel. auffgerichtet
Abschatzung d. 11. 7.bris a° 1728. Auff begehren des Ehrenhafften und bescheidenen Meister Johann Jacob Brom Nagelschmidt ist eine behausung allhier in der Statt Straßburg im Metzger gießen (…)
Der 2.te begrif ist auch allhier in der Statt Straßburg in der langen Straß geleg. einseit neben Jacob Schäffer Küffer anderseits Neben H. Heinrich Lang Notario, hinden auf ein Stifft hauß Zum alten St. Peter gehörig stoßend welche behaußung hinder gebäu, Nebens gang, Stuben, Kammer, hauß Ehren ein Mit i. herd, Kachler bren offen, Werckstatt worin ein offen, höffell undt bronnen sambt aller gerechtigkeit wie solches durch der Statt Straßburg geschwornen Werckleüth sich in der besichtigung befunden und Jetzigem preis nach angeschlagen wird Vor und Umb Ein Tausend gulden Bezeichnuß durch der Statt Straßburg Geschworene Werckleuthe [unterzeichnet] Michael Ehrlacher Werck Meister deß Meinsters, Johann Jacob Biermeÿer Werck Meister deß Zimmerhoffs, Johann Peter Pflug Werckmeister deß Mauer hofs
Abzug In gegenwärtig Inventarium gehörig. Des Wittibers ohnverändert Vermögen, Sa. Ergäntzung (165, abgang 12 ß, verbleibt) 164 lb – Schulden 25, Nach solchem abzug 139 lb
Der Erben ohnverändert Guth, Sa. haußraths 45, Sa. goldenen Rings 10 ß, Sa. Ergäntzung (37, Abgang 2, remanet) 377 lb, Summa summarum 448 lb
Theibahre Verlaßenschafft, Sa. haußraths 88, Sa. Werckzeugs und gemachte Wahr zum Nagelschmidts handwerck gehörig 78, Sa. Meels 3, Sa. Weins und lährer Vaß 29, Sa. Silbers 7, Sa. goldener Ring 2, Sa. Eigenthum ane häußern 586, Sa. Schulden 10, Summa summarum 803 lb – Schulden 630, Nach deren Abzug 173 lb
Stall Summ et Conclusio finalis Inventarÿ 761. lb

Jean Jacques Brohm se remarie en 1730 avec Marie Marguerite, fille du meunier Jean Michel Gahr
Mariage, Saint-Nicolas (luth. f° 220, n° 1)
1730. Mittwoch den 1. Mertz seind nach Zweÿmal geschehener offentlicher proclamation in der Evangelischen Pfarrkirch Zu St. Nicolai durch priestlicher copulation in den Ehestand eingesegnet word. Jacob Brohm der Nagelschmidt und burger allhie, Wittwe, und Jgfr. Maria Magdalena, Weÿl. Joh: Michael Garen geweßten burgers allhier und Müller Zu Eckboltzheim hinterlaßene ehl. Tochter [unterzeichnet] Jacob brom als hochzeiter, Maria Magdalena Garin as hochzeiterin i 225)

Contrat de mariage non conservé
1730, Not. Pantrion (Jacques Christophe, répert. 65 Not 45)
Jacob Brohmen Nagelschmidt und Mariæ Magdalenæ Gahrin

Les nouveaux mariés font dresser l’inventaire de leurs apports. Ceux du mari s’élèvent à 1646 livres, ceux de la femme à 402 livres. Les maisons sont décrites comme à l’inventaire dressé après la mort d’Anne Elisabeth Andres

1730 (25.5.), Not. Lobstein (Jean, 31 Not 28) n° 629
Inventarium und Beschreibung aller derjenigen Haab, Nahrung und Güethere, so der Ehren : und Wohlvorgeacht Hr. Jacob Brohm der Nagelschmid und die Ehren: und tugendsahme frau Maria Magdalena Brohmin gebohrene Gahrin beede Eheleuthe und burgere allhier einander vor ohnverändert in den Ehestand zugebracht, Welche der ursachen alldieweilen inIhr beeder Eheleuth mit einander auffgerichteten Heuraths Verschreibung expressé enthalten, daß eines jeden in die Ehe bringende Nahrung reservirt und ohnverändert sein und bleiben solle – So beschehen Zu Straßburg in fernerem beÿsein Fr. Evæ Meÿerin gebohrner Bierlebachin desfr. eheleibl. Mutter vnd Mr Gottfried Webers des Zimmermanns und burgers allhier dero erbettenen beÿstands auf Donnerstag den 25.ten Maÿ Anno 1730

In Einer allhier Zu Straßburg ane dem Metzgergießen gelegenen und dem Ehemann Vor ohnverändert gehörigen behaußung befunden worden wie volgt.
Eigenthumb ane Haüßern (M.) Erstl. Ein vorder: und ein hinderhauß allhier im metzgergießen (…)
(M.) Item ein Vorder und hinderhauß, hoff, und hoffstatt, mit allen derselben gebäuen, begriffen, Weithen, Zugehörden, Rechten und gerechtigkeiten, gelegen allhier ane der Langen Straß, einseit neben Frauen Anna Salome Langin geb. Füeßingerin, weÿl. Hn Joh: Heinrich Langen Not. publ. seel. hinterlaßener Wittib, anderseit neben einigen Bauren von Schäffoltzheim, Prischwickersheim und andern orthen, hinden auf das Catholische Pfarrhauß Zum alten St: Peter allh. stoßend, von dießer behaußung gibt man Jährl. auf den 7.ten Aprilis 3. lb d zinnß der Gesellschafft derer barbierer allhier ablößig in Capital mit 75. lb. Ferner 2. lb 2. ß d Zinnß dem Stifft St. Marx allhier auff Marci tag, redimibel in haubtguth mit 52. lb 10 ß, So dann3. lb 3 ß Zinnß der Rothen Kirchen allhier auch Jahrs auf Marcj Evangelistæ oder den 25. Aprilis wider Käuffig in Zweÿen Capitalien mit 63. lb, Sonsten gegen Männiglichen freÿ ledig eigen und über angeregte Beschwährde in Vorgedachtem des Ehemanns Ersterer haußfrauen seel. Verlaßenschafft Inventario taxirt, dabeÿ es auch dißorths Jedoch allerseiths ohne præjuditz gelaßen wird pro 308. lb 10 ß. Hierüber meldet ein teutscher perg. Kauffbrieff mit der Statt Straßb. anhäng. Contract Ins. corroboriret, sub dato 29.ten Julÿ Anno 1728. mit altem N° 2. notirt und dabeÿ gelaßen.
Wÿdembs Verfangenschaft, Welche Frau Eva Meÿerin gebohrne Bierlebachin der Ehefrauen eheleibliche Mutter Von Weÿland herrn Joh: Michael Gaaren, dem geweßenen Müller Zu Eckboltzheim und burgern allhier Zu Straßburg nunmehr seel. Zeit lebens Zu usufruiren hat, das Eigenthum aber dißorts der Ehefrauen affectirt und Verfangen ist (…)
Abzug In gegenwärtig Inventarium gehörig. Des Manns in die Ehe grebracht Vermögen, Sa. haußraths 412, Sa. Werckzeugs und gemachte Wahr zum Nagelschmidts handwerck gehörig 332, Sa. Frucht und Meels 15, Sa. Weins und lährer Vaß 71, Sa. Silber geschmeids 15, Sa. goldener Ring 4, Sa. baarschafft 189, Sa. Eigenthum ane häußern 586, Sa. Schulden 44, Summa summarum 1671 lb – Schulden 25, Nach deren Abzug 1646 lb
Der Frauen in die Ehe gebrachte Nahrung, Sa. haußraths 182, Sa. Silbergeschmeids 10, Sa. goldener Ring 12, Sa. baarschafft 197, Summa summarum 402 lb
Zweiffelhaffte und Verlohrene Schulden in die Nahrung Zugelten so der Mann in die Ehe gebracht 30 lb – Haussteuren

Jacques Brohm meurt en 1731 en délaissant cinq enfants de son premier mariage et une fille du deuxième. Les maisons appartiennent pour deux tiers au veuf et pour un tiers aux enfants du premier lit. La masse propre à la veuve s’élève à 268 livres, celle des héritiers à 696 livres. L’actif de la communauté s’élève à 208 livres, le passif à 588 livres.

1731 (11.5.), Not. Lobstein (Jean, 31 Not 30) n° 697
Inventarium und Beschreibung aller derjenigen Haab Nahrung und Güethere, so Weÿland der Ehren und Wohlvorgeachte Meister Jacob Brohm, der geweßene Nagelschmid und burger allhier nunmehr seel.n als derselbe Mittwochs den 11.ten Aprilis dießes lauffenden 1731.sten Jahrs dießes Zeitliche in das Ewige Verwechßelt, nach solch seinem aus dießer welt genommenen tödlichen hintritt Zeitlichen verlaßen, Welche Verlaßenschafft auf freundliches ansuchen erfordern und begehren des abgeleibten seel. in Zwoen Ehen ehelich erzielter Kinder und sowohl per Testamentum als auch ab intestato Verlaßener rechtsmäßiger Erben, auch respectivé dero Ehe: und geschwornen Vögte (…) ersucht und inventirt, durch die Ehren und tugendsahme Frau Mariam Magdalenam Brohmin gebohrne Gahrin, die hinterbliebene Wittib mit assistentz des Ehrenvest und Wohlvorgeachten Herrn Joh: Philipp Lauthen des Spithal Müllers und burgers allhier Zu Straßburg Ihres geschwornen Curatoris – So beschehen in Straßburg auf Freÿtag den 11.ten Maÿ Anno 1731.
Der Abgeleibte seelige hat Zu seinen Erben sowohl per Testamentum als auch ab intestato Verlaßen, Wie volgt. 1.mo Frau Annam Catharinam Straußin gebohrner Brohmin, Meister Johann Friderich Straußen, des Meßerschmids und burgers allhier Zu Straßburg eheliche Haußfrau welche mit assistentz gedachtes Ihres haußwürths dem geschäfft in Persohn abwartete, 2.do Jungfer Annam Mariam Brohmin, 3.tio Jungfer Mariam Elisabetham Brohmin dieße bede Majorennes und ohnbevögtigt, Welche Zu ihrem Assistenten erbetten herrn Johann Anderam Käufflin Jurium Practicum der auch mit und beneben seinem Principalen sich in Persohn beÿ dem geschäfft eingefunden. 4. Johann Jacob Brohmen Ledigen Nagelschmidt gesellen, 5.to Jungfer Margaretham Salome Brohmin, dießer beeden geschworner Vogt Meister Peter Gacklang der Nagelschmid und burger allhier, Welcher nomine seiner Curanden, dem geschäfft persönlich beÿgewohnt, Vorherige Fünff des Verstorbenen seel. in Erster Ehe mit auch weÿl. Frauen Anna Elisabetha Brohmin geb. Andreßin seel. ehelich erziehlte Kinder
So dann 6.to Mariam Magdalenam Brohmin des Abgeleibten seel. in Letzter Ehe mit eingangs gedachter Frauen Maria Magdalena Brohmin geb. Gahrin seiner hinterbliebenen Wittib ehelich erzeugtes töchterlein, deßen geschwohrner Curator Meister Johann Georg Ernst der Nagelschmid und burger allhier welcher im Nahmen seines Pfleg Kindes in Persohn beÿ dem Geschäfft sich eingestelt. Alßo alle Sechs des seelig Verstorbenen in Zwoen Ehen ehelich erziehle Kinder und so wohl per Testamentum als auch ab intestato Zu gleichen portionen und antheilern Verlaßene Erben

In einer allhier Zu Straßburg ane dem Metzgergießen gelegenen und in dieße Verlaßenschafft Zum theil eigenthümlich gehörigen behaußung befunden Worden Wie folgt.
Ane Höltzen: und Schreinwerck. In der Gesellen Cammer, In derr Soldaten Cammer, In der Wohnstub, In der Kuchen, Auf der Bühn, In der Cammer A, Im hindern Stübel, Vor dießem Gemach, In der Wohnstub Cammer, Im Keller
Antheil ane Häußern. (E.) Erstl. Zween drittetheil Vor ohnvertheilt von und ane einem Vorder: und einem hinderhauß im Metzgergießen (…)
(E.) It. zween drittetheil Vor ohnvertheilt von und ane einem Vorder und hinderhauß, hoff, und hoffstatt, mit allen anderen derselben gebäuen, begriffen, Weithen, Zugehörden, Rechten und gerechtigkeiten, allhier ane der Langen Straß, einseit neben Frauen Anna Salome Langin geb. Füeßingerin, weÿl. Hn Joh: Heinrich Langen geweßenen Notarÿ publici seel. hinterlaßener Wittib, anderseit neben einigen Bauren von Schäffoltzheim, Prischwickersheim und andern orthen, hinden auf das Catholische Pfarrhauß Zum alten St: Peter allh. stoßend, gelegen von dießer gantzen behaußung gibt man Jährl. auf den 7.ten Aprilis 3. lb d zinnß der Gesellschafft derer barbierer allhier ablößig in Capital mit 75. lb. Ferner dem Stifft St. Marx allhier reicht man davon Jährl. auff Marci tag 2. lb 2. ß d Zu Zinnß, redimibel in haubtguth mit 52. lb 10 ß, So dann Zahlt mann ferner auf Marci Evangelistæ oder den 25. Aprilis von Zweÿen unterschiedlichen Capitalien, der Rothen Kirchen allhier 3. lb 3 ß Zu Zinnß, wider Käuffig in Capital mit 63. lb sonsten gegen Männiglichen freÿ ledig eigen und über angeregte Beschwährden in Vorgedachtem des Abgeleibten seel. geweßener Ersten haußfrauen auch seel. Verlaßenschafft Inventario de Anno 1728. fol. 28. fac: 2.da æstimirt vor 309. lb 10. ß. Betragen die hiehero gehörige Zween dritte theil 206. lb 6 ß 8 s. Über die Völlige behaußung meldet ein teutscher pergament. Kauffbrieff mit der Statt Straßburg anhäng. Cancelleÿ Contract Ins. corroboriret, sub dato 29.ten Julÿ Anno 1728. mit altem N° 2. notirt. Und ist der übrige eine dritte theil ane vorbeschriebenen beeden häußern in des Abgeleibten seel. Lebtägig genoßen Wÿdemb Von Erster Ehe wie hernacher fol: fac: Zu sehen, gehörig.
Wÿdembs Verfangenschaft, Welche Frau Eva Meÿerin gebohrne Bierlebachin der Wittib eheleibliche Mutter von Weÿl. Hn Joh: Michael Garren dem geweßenen Müller Zu Eckboltzheim und burgern allhier Zu Straßburg nunmehr seel. Zeit leben Zu usufruiren hat das Eigenthum aber dißorths der hinterbliebenen Wittib affectirt nun Verfangen ist. Inhalt des über vorgedachten Weÿl. herrn Johann Michael Gaaren der Wittib eheleiblichen Vatters seel. Verlaßenschafft in Anno 1711 durch H. Not. Johann Martin Brieffen auffgerichteten Inventarÿ (…)
Wÿdem, Welchen der Abgeleibte seeliger Von auch Weÿland Frauen Anna Elisabetha Brohmin geb. Andreßin seiner Erstern haußfrau seel. biß an sein tödliches Ableiben genoßen hat.
Erst. ein drittertheil Vor ohnvertheilt Von und ane dem hieoben fol: fac: et seqq. eingetragenen Vordern und hinderhauß cum appertinentÿs allhier Zu Straßburg ane dem Metzgergießen gelegen, so über 11 ß 5 s dem weÿhbischoff in Straßburg Jährlich abzurichten habenden Zinß freÿ Ledig eigen und der æstimation nach ane 277. lb 3 ß 4 d hieheri prorato antrifft, 92 lb 7 ß 9 1/3.d
It. ein drittertheil Vor ohnvertheilt Von und ane dem hievornen fol: fac: et seqq, specificirten Vorder: und hinderhauß, mit allen dero Zugehörden allhier Zu Straßburg ane der Langen Straß gelegen, so über 190. lb 10 ß in dreÿen posten darauff hafftenden Capitalien freÿ Leedig eigen und der Abschatzung nach ane 309. lb 10 ß d hiehero pro tertia parte ausmacht 103. lb 3 ß 4 d
Ergäntzung der Erben mangalenden ohnveränderten guths. Vermög hieoben geregten über beede geweßener Eheleuthe einander für ohnverändert in den Ehestand Zugebrachte Nahrung in Anno 1730. durch mich Not. auffgerichteten Inventarÿ
Abzug gegenwärtig Inventarium. Der Wittib ohnverändert Vermögen, Sa. haußraths 26, Sa. Silber geschmeids 4, Sa. goldener Ring 5, Sa. baarschafft 194, Sa. Schuld 37, Summa summarum 268 lb
Der Erben ohnveränderte Nahrung, Sa. haußraths 124, Sa. Werckzeugs zum Nagelschmid handwerck gehörig 17, Sa. Wein und Lahrer Vaß 37, Sa. Silber geschmeids 6, Sa. goldener Ring 1, Sa. der baarschafft 1, Sa. antheils ane häußern 391, Erg. Rest 476, Summa summarum 1057 lb – Schulden 360, Detrahendo 696 lb
Theibahre Verlaßenschafft, Sa. haußraths 5, Sa. Werckzeugs und gemachte Wahr zum Nagelschmidts handwerck gehörig 162, Sa. Frucht 3, Sa. baarschafft 9, Sa. Schulden 27, Summa summarum 208 lb – Schulden 588, Theilbares Passiv onus 380 lb
Conclusio finalis Inventarÿ 1075.
Copia der Heuraths Verschreibung
Copia Testamenti nuncupativi. 1730. (…) auf Montag den 8. Aprilis der Ehrenachtbare Meister Jacob Brohm der Nagelschmidt und burger allhier zu Straßburg (…) Zu sich in sein eigenthümliches in dem Metzgergießen ane dem Ochsengaßel gelegenes Wohnhauß erfordern laßen, und als Wir vormittag zwischen zehen und Eilff Uhren daselbsten in dem uff dem ersten Stockwerck befindlichen hintern stüblen mit denen Fenstern in ein Klein Höfflein und das Ochßengäßel außsehend eingefunden (…) Zum andern, meldet der Testirer in gegenarth seiner dreÿ ältern Töchtern so er Vor sein Kranckenbett kommen laßen, daß sein Will und Meinung wäre, daß dessen Wohn behaußung ane dem Ochsengäßel gelegen cum appertinentÿs sampt seinem Verlaßenden Werckzeug seinem einigen Sohn eigenthümlichen überlaßen werden solle, obschon solche bede rubricen laut seiner Frau seel. Verlaßenschafft Inventarÿ theilbar alßo er über die Mütterliche Tertz nicht Zu disponiren berechtiget Wäre, dahero wolle er Testirer auf die von denen dreÿen ältersten Töchtern gegen Ihme dem Vatter gethane declaration daß Sie solche deren bruder hertzlich gern gönnen gedachte behaußung ane dem Ochsengäßel gelegen mit allen deren Recht und Gerechtigkeiten wie auch dem Vorhandenen sambtlichen Werckzeug um den mit seinen dreÿ älteren Töchtern in mein Notarÿ gegenwarth abgeredeten Preiß nemlichen umb 1500 Guden Johann Jacob Brohmen seinem einigen Sohn dergestalten prælegirt haben, daß der Sohn auch den auff dem Hauß hafftenden dem Weÿbischoff allhier Jährlich auff Martini abzurichten habenden Zinß 11 ß 5 d ertragend übernehmen – Johann Philipp Lichtenberger, Notarius ad hunc actum in specie requisitus

Les préposés de la Taille font figurer la succession dans leur registre parce que les impôts acquittés étaient calculés d’après une fortune sous-évaluée de 1 000 florins (500 livres) sur un total de 2 500 florins
1731, Livres de la Taille (cote VII 1177) f° 86
Schmidt F. N. 5414 – Weÿl. Jacob Brohm geweßenen Nagelschmidt und burgers alhier Verlaßenschafft inventirt H. Not. Lobstein.
Concl. Fin. Inv. ist Fol. 163.b, 1075 lb 15 ß 6 d, deme beÿzufügen umb Wieviel die behaußung Von dem Verstorbenen seinem Sohn höher prælegirt als selbige Von denen Werckmeistern angeschlagen worden 445 lb 9 ß 8 d, Summa 1521 lb 5 ß 2 s
Hiengegen ist Wieder abzuziehen der Wittib ohnverändert Guht, alß welches dem Mann noch nicht zugeschrieben Worden und in der ihrer Mutter Verstallung annoch enthalten thut fol. 164.b, 230 lb 14 ß 7 d
Und dann die Theilbare activa welche der abgeleibte nicht genoßen 27 lb 19 ß 5 d, Summa Abgangs ist 258 lb 14 ß, restirt 1262 lb 11 ß 2 d
die machen 2500. fl. Verstallte allein 1500. fl. alßo Zu wenig 1000. fl.
Warvon der Nachtrag gerechnet wird auf acht Jahr in duplo à 3 lb, 24 lb
Und auf Sechs Jahr in simplo à 1 lb 10 ß, 9 lb
Extat kein Stallgeltt
Gebott, 2 ß
Abhandlung 1 lb 12 ß 6 d – Summa 34 lb 14 ß 6 d
Auff eingebrachte motiven, Zumahlen da des Sohns Vogt sich declarit daß Er die prælegirte behausung in dem angesetzten nicht annehmen könne, sodern sich mit denen Erbs Interessenten Zu vegleichen trachten werden haben die herren dreÿ nachgelaßen 16 lb 10 ß, Rest 18 lb 11 ß 6 d
dt. 18. Junÿ 1731.

Les héritiers Brohm louent la maison au potier Jean Michel Goppert

1732 (18.2.), Chambre des Contrats, vol. 606 f° 74
weÿl. Johann Jacob Brom Nagelschmidts ältesten Tochter Anna Catharina geb. Brohmin Ehevogtl. Friedrich Krauß Meßerschmidts, ferner deßen zweÿte tochter Anna Maria Bromin beÿständlich Johannes Schwartz Nagelschmidts, weither erstbenannter Schwartz als mandatarius Maria Elisabetha Brohmin Mehrjährig, Peter Gaglang nagelschmidts als vogt ged. Brohmen zweÿer jüngern Kinder erster ehe Johann Jacob und Margaretha Salome der Brohmin, So dann mehrerwehnten Brohmen in letster ehe erzeugten einigen Kindts Maria Magdalena Brohmin geordneter vogt Johann Georg Ernst des nagelschmidts
in gegensein Johann Michael Goppert des haffners
entIehnt, einer in der Obern straß ohnfern der Kirch zum alten St Peter, einseit neben Fr. Salome Langin der Wittib geb. Füßingerin anderseit neben Johann Michael Wanner dem Lebküchler gelegenen behausung, Unten auff dem boden die werckstatt samt dem Brennhauß geschirr gädel platz im Keller und eine kleine Kuchen samt einem unterschlagenen holtzplatz Eine stiege hoch den gemeinschaftlichen gebrauch des gangs umb das haffner gechirr dahin stellen zu können zwo stiegen hoch zwo kammern auff dem hindern stock, zwo übereinander liegende Bühnen gemeinschafft des hoffs – auff 9 nacheinander folgenden jahren anfangend von von nachstkommenden Annunciationis Mariæ, um einen jährlichen Zinß nemlich 28 gulden

Le coutelier Jean Frédéric Strauss et sa femme Anne Catherine Brohm hypothèquent leur part de la maison au profit du paveur Jean Georges Pressel et de Marie Madeleine Bœgner

1732 (2.12.), Chambre des Contrats, vol. 606 f° 487
Johann Friedrich Strauß Meßerschmidt und Fr. Anna Catharina geb. Brohmin mit beÿstand ihrer Mutter seel. Schwagers Johann Georg Geÿler des Nagelschmidts und ihres Schwagers Christoph Fruth des Metzgers
in gegensein Johann Georg Preßel des Pflästerers und Mariæ Magdalenæ geb. Bögnerin – schuldig 300 pfund
unterpfand, Eine Behausung bestehend in Vorder: und hinderhauß höfflein gemeinschaft des Bronnens und hoffstatt mit allen derselben gebäuden, begriffen, weithen, zugehörden, Rechten und gerechtigkeiten am Metzger: gießen einseit ist ein eck ahne dem Kleinen Vieh: gäßel anderseit neben Johann Michael Demuth dem weinhändler hinten auff weÿl. Johann Jacob Schwab gewesten meelmanns wittib – davon gibt man auff Martini dem jeweiligen H. weÿ Bischoff allhier 11 ß 5 d ane bodenzinß
Ferner hypotheciren sie 2/9 theil für ohnvertheilt ahne einer Behausung hindergebäu hoff Bronnen und hoffstatt cum appertinentis in der Obern straß, einseit neben Fr. Maria Salome geb. Füßingerin weÿl. Not. Johann Heinrich Lang Jun: seel. hinterlaßener wittib, anderseit neben einem dem Stifft zum alten St: Peter gehörigen hauß hinten auff auff eine erstged. Stifft gleichfalls zuständige behausung, ihro Kraußischen ehefrau zu ged. antheilen eigenthümlich zuständig und die übrige 7/9 theil ihren geschwisterden und Miterben ahne vätterlichen und mütterlichen Verlaßenschafft gehörig, die zu erste beschriebene behausung aber ged. Brohmischer ehefrau als ein von ihrem bruder seel. weÿl. Johann Jacob Brohm ledigen Nagelschmidt gesellen erhaltenes prælegat

Le fils Jean Jacques Brohm meurt célibataire en 1732. L’actif de la succession qui comprend sa part de la maison Grand rue s’élève à 881 livres, le passif à 641 livres.

1732 (1.12.), Not. Lobstein (Jean, 31 Not 35) f° 777
Inventarium und beschreibung aller derjenigen Haab, Nahrung und Güethere, so Weÿland der Ehrengeachte Johann Jacob Brohm, der Ledige Nagelschmid gesell, auch weÿland des Ehren und Wohlvorgeachten Meister Jacob Brohmen des gewesenen Nagelschmids und burgers allhier Zu Straßburg nunmehr seel. hinterlaßener erziehlten Sohn nun ebenmäßig seel. als derselbe Sontags den 9.ten Novembris dießes Zu end eilenden 1732.sten Jahrs dießes Zeitliche in das Ewige Verwechßelt, nach solch seinem aus dießer welt genommenen tödlichen hintritt Zeitlichen verlaßen, Welche Verlaßenschafft auf freundliches ansuchen erfordern und begehren des seelig. Verstorbenen eheleibliche geschwüsterde und per Testamentum verlaßener rechtsmäßiger Erben (…) ersucht und inventirt durch die Erben selbsten wie auh den Ehren und vorgeachte Meister Peter Gacklang den Nagelschmid und burgern allhier des Abgeleibten seel. geweßenen gewesten Curatorem – So beschehen in Straßburg auf Montag den 1.ten Decembris Anno 1732.

Eigenthumb ane Häußern. Erstl. ein Vorder: und einem hinderhauß im Metzgergießen (…)
It. 16/45.ste theil Vor ohnvertheilt Von und ane einem Vorder und hinderhauß, hoff, und hoffstatt, mit allen derselben gebäuen, begriffen, Weithen, Zugehörden, Rechten und gerechtigkeiten, allhier ane der Langen Straß, einseit neben Frauen Anna Salome Langin geb. Füeßingerin, weÿl. Hn Joh: Heinrich Langen geweßenen Notarÿ publici seel. hinterlaßener Wittib, anderseit neben einigen Bauren von Schäffoltzheim, Prischwickersheim und andern orthen, hinden auf das Catholische Pfarrhauß Zum alten St: Peter allhier stoßend, gelegen, davon gibt man Jährl. auf den 7.ten Aprilis 3. lb d Zinnß E: E: Gesellschafft derer barbierer allhier ablößig in Capital mit 75. lb. Ferner 2. lb 2. ß d Zinnß Jährl. auff Marci dem Stifft St. Marx allhier redimibel in haubtguth mit 52. lb 10 ß, So dann3. lb 3 ß Zinnß Jahrs auf Marci Evangelistæ oder den 25. Aprilis dem Mehrern Hospital wegen der Rothen Kirchen allhier, wider Käuffig in Zweÿen unterschiedenen Capitalien mit 63. lb, Sonsten dißorths freÿ ledig eigen und über vorstehende Beschwährde in Vorgedachtem Weÿl. Mr Jacob Brohmen des abgeleibten seel. eheleibl. Vatters auch seel. Verlaßenschafft Inventario de Anno 1731. fol. 105. fac: 1.ma æstimirt per 309. lb 10. ß. Betragen die hiehero gehörige 8/45 theil 55. lb. und seind die übrige antheiler des Verstorbenen seel. eheleiblichen und halb geschwüsterden für ohnvertheilt, jedoch zu ohngleichen ratio eigenthümlich zuständig. Über die Völlige behaußung meldet ein teutscher pergamentener Kauffbrieff mit der Statt Straßburg anhängendem Cancelleÿ Contract Ins. corroboriret, sub dato 29.ten Julÿ Anno 1728. mit altem N° 2. notirt.
Wÿdembs Verfangenschaft, Welche Frau Maria Magdalena Brohmin gebohrne Gahrin Weÿl. Meister Jacob Brohmen des geweßenen Nagelschmidts und burgers allhier zu Straßburg nunmehr seel. Stieff Mutter von gedachtem Ihrem haußwürth Zeit Lebens zu genießen
Abzug gegenwärtig Inventarium gehörig. Sa. haußraths 9, Sa. Werckzeugs zum Nagelschmid handwerck gehörig 13, Sa. Wein und Lährer Vaß 15 ß, Sa. Silbers 2, Sa. Eigenthum ane häußern 855, Summa summarum 881 lb – Schulden 641, Detrahendo 240 lb – Stall Summ 240 lb
Vergleich und Abhandlung der Frauen Annæ Catharinæ Straußin geb. Brohmin prælegirten Behaußung (…)
Copia Testamenti nuncupativi. 1732. (…) auf Sontag den 13. Septembris zwischen Zehen und Erilff Uhren der Ehrengeachte Jüngling Johann Jacob Brohm, Lediger Nagelschmid Gesell, weÿland des Ehren und Vorgeachten Meister Jacob Brohmen geweßenen Nagelschmidts und burgers allhier mit auch weÿland der ehren und tugendsamen frauen Anna Magdalena gebohrnen Andresin deßen geweßener erstern Ehefrauen seel. ehelich erzeugter und nach tod hinderlaßener Sohn (…) Zu sich in hernach gemeldte behaußung berufen und Kommen laßen, woselbsten wir denselben Zwar ohnpäßlichen und Krancken leibes auff einem Seßel sitzend (…) Dießem nach und Vor das Zweÿte will der Testirer die beÿ Vätterlicher Verheurathet mit abtheilung Ihme zugekommene und prælegirte Vorder und hinder behaußung (…) – Johann Daniel Lang, Notarius publicus

Le cloutier Pierre Gachlang rend compte de la gestion des biens qui appartiennent à ses pupilles les enfant Brohm. Le compte relate les loyers de la maison rue des Bouchers
1732 (20. 9.br), Not. Lobstein (Jean, 31 Not 35) n° 775
Rechnung Mein Peter Gachlangs, Nagelschmids und burgers allhier zu Straßburg, als geordnet und geschworenen Vogts Johann Jacobs, Ledigen Nagelschmid gesellen nunmehr seel. und Jungfrauen Margarethä Salome der Brohmen, Weÿl. Mr Jacob Brohmen, geweßenen Nagelschmids und burgers allhier seel. mit auch Weÿl. Frauen Anna Elisabetha geb. Andreßin seiner Erstern haußfrauen ebenmäßig seel. ehelich erziehlter Zweÿer Kinder, Inhaltend alles dasjenige, was Ich vom 8. Novembris Anno 1728. als da Ich zu dießer Vogteÿ gekommen, biß den 20.ten Novembris Anno 1732. berührten meiner Curanden halben Eingenommen und hingegen wieder außgegeben, auch sonsten Vögtlicher Weiße Verrichtet und Verhandelt habe – Erste Rechnung dießer Vogteÿ
Haußzinß – ane dem Metzgergießen allhier gelegener behaußung (…)

Le boucher Christophe Fruth et Marie Elisabeth Brohm hypothèquent leur part de maison au profit de Jean Christophe Diebold, secrétaire en chef de la Tour aux Deniers

1733 (22.1.), Chambre des Contrats, vol. 607 f° 31
Christoph Fruth der metzger und Maria Elisabetha geb. Brohmin mit beÿstand ihres schwagers Johann Friedrich Strauß des meßerschmidts und ihres mutter schwagers Johann Schwartz des Nagelschmidts
in gegensein H. Johann Daniel Diebold hiesigen handelsmann als mandatarÿ seines H. vatters H. Johann Christoph Diebold Ober Secretarÿ allhiesigen Pfenningthurns – schuldig seÿen 100 pfund
unterpfand, 2/9 theil für ohnvertheilt ahne einer Behausung bestehend in Vorder und hinder hauß, hoff und hoffstatt mit allen derselben gebäuden, begriffen, weithen, zugehörden und gerechtigkeiten ahne der Langen straß, einseit neben weÿl. H. Not. Johann Heinrich Lang Junioris wittib anderseit neben einigen ackersleuthen von Schäffoltzheim, Preuschwickersheim und andern Orthen hinten auff das Catholische Pfarrhauß zu Alten St Peter – lauth eines von H. Not: Johannes Lobstein am 20. hujus attestati

Héritier de Marie Madeleine Gahr, Samuel Koch fait vendre ses meubles
1738 (29.5.), Not. Fingado (Jean Christophe 10 Not 4) n° 166
Looß Register über Weÿl. der Ehren und tugendsahmen Frauen Mariæ Magdalenæ geb. Gahrin, Weÿl. Meister Jacob Bronnen gewesenen Nagen Schmidts und burgers in Straßburg, auf requisition H. Samuel Kochen des burgers und Mehlmanns allhier als der Erben Vogt

L’inventaire de la succession de Marie Madeleine Gahr, dressé par Jean Christophe Fingado, nest pas conservé. Les préposés de la Taille font figurer la succession dans leur registre parce que les impôts acquittés étaient calculés d’après une fortune sous-évaluée de 200 florins (100 livres) sur un total de 1 400 florins
1738, Livres de la Taille (cote VII 1178) f° 303-v
Schmidt F. N° 7368 – Weÿl. Mariæ Magdalenæ gebohrner Gahrin auch weÿl. Jacob Brohm gewesenen Nagelschmidt und burger alhier Wittiber Verlaßenschafft inventirt H. Not. Fingado.
Concl. Fin Inv. ist fol. 32.b, 734. 18. 9., die machen 1400 fl. Verstalte nur 1200 fl, Zu wenig 200 fl.
Nachtrag auff Sechs Jahr in duplo à 12 ß, 3 lb 12 ß
Und Vier Jahr in simplo à 6 ß, 1 lb 4 ß
Extat kein Stallgeltt
Gebott 2 ß
Abhandlung 17 ß 6 d, Summa 5 lb 15 ß 6 d
Auff bitten des Vogts haben die Herren dreÿ nachgelaßen 1 lb 4 ß, restirt 4 lb 11 ß 6 d
dt. 10. Maÿ 1738.

Les héritiers Brohm vendent la maison 1040 livres au chirurgien Jean Meyer et à sa femme Susanne Steeg

1737 (3.2.), Chambre des Contrats, vol. 611 f° 2
Georg Jacob Strauß der Buchbinder und Anna Maria geb. Brohmin Johann Georg Metzgers des metzgers ehefrau, Mehr Maria Elisabetha geb. Brohmin Johann Christoph Fruth des Metzgers eheweib, weither Peter Gacklang der nagelschmidt als vogt Jfr. Margaretha Salome Brohmin und dann Johann Georg Ernst der Nagelschmidt als vogt Maria Magdalena Brohmin
in gegensein Johann Meÿer des Chirurgi Barbierers und Susannæ geb. Steegin – d. 13. Decembris jüngst obrigkeitlich confirmirten versteigerung
Eine Behausung bestehend in vorder: und hinderhauß, hoff und hoffstatt mit allen jeden derselben übrigen gebäuden, weithen, zugehörden und gerechtigkeiten ahne der obern straß, einseit neben Fr. Anna Salome geb. Füßingerin weÿl. H. Johann Heinrich Lang Jun: gewesten Notarÿ Publici wittib, anderseit neben verschiedene ackersleuthen und burger zu Schäffoltzheim Preuschwickersheim und andern orthen hinten auff das Catholisches Pfarhauß zum Alten St Peter – um 75, 52, 63, 250 und 100 pfund capitalien verhafftet, um angezeigte 290 pfund und wÿdumb von 250 pfund – geschehen um 454 pfund

Fils d’un administrateur de Güstrow en Mecklembourg, le chirurgien Jean Meyer devient bourgeois en 9 novembre 1696
1696, 3° Livre de bourgeoisie p. 1182
Johannes Maÿer Von Güstrow, der ledige barbierer Johannes Maÿers geweßenen Fürstl. Verwalthers auf der schönen Insel nachgel. sohn, erkaufft das burgerrecht p. 2. gold. fl. 16. ß bereits auf dem Pfenningth. erlegt worden und wird beÿ E E Zunfft Zur Lucern dienen. Jur. d. 9. 9.br. 1696.

Jean Meyer épouse le 17 avril 1697 Susanne Steg, fille de barbier : contrat de mariage tel qu’il est copié à l’inventaire, célébration
Copia der Eheberedung – Zwischen dem wohl Ehrenvesten v. wohlvorgeacht, H. Johann Meÿern, berühmten Chirurgo v. wundartzten auch b. Zu Str. Als dem H. Hochzeitern an einem, So dann d. Viel Ehren v. tugendreichen Jungfr. Susanna Steegin des wohl Ehr. v. wohlvorgeachten H. Rudolph Steegen berühmten Chirurgi v. wundartzens auch E. E. Kleinen Raths in Straßburg wohlverordneten alten beÿsitzers ehel. Jungfr. tochter, als der Jungfr. hochzeiterin am andern theil – So geschehen in d. Königl. St. Str. Donnerstag den 28.ten Martÿ A° 1697.

Mariage, Saint-Pierre-le-Jeune (luth. f° 76)
1697. Feso Pasch: et Domin. Quasimod. proclamati sunt hr. Johannes Meÿer d. Barbierer v. Wundtartzt allhier gebürtig auß d. Statt Gusterow in dem Mecklenburger landt Weÿl. Hrn Johann Meÿer geweßenen Verwalters in dem Mecklenburger landt nachgel. ehl. Sohn, v. Jfr. Susanna hr. Rudolph Steg deß barbierers v. Wundartzts v. beÿ E. E. Kleinen rath alhier alten beÿsitzer ehl. tochter, Copulati sunt Mittw. d. 17. April. [unterzeichnet] Johann Meÿer Als hochzeiter, Susanna Steegin als hoch Zeitterin (i 79)

Les nouveaux mariés font dresser l’inventaire de leurs apports. Ceux du mari s’élèvent à 220 livres, ceux de la femme à 397 livres.
1697 (13.6.), Not. Rohr (Daniel, 46 Not 3) n° 132
Inventarium undt Beschreibung aller derjenigen Haab vndt Nahrung, so der Ehrenveste und Kunsterfahrene Herr Johannes Meÿer berühmter Chirurgus und Wundartzt, vndt die Viel Ehren vndt Tugendreiche Frau Susanna gebohrne Steegin, beede Eheleuth vndt burgere allhier zu Straßburg einander in den Ehestandt zugebracht, und vermög auffgerichteter Eheberedung sich vor unverändert vorbehalten haben – Actum in der Königlichen freÿen Statt Straßburg in fernerem gegensein des wohl Ehrenvesten Kunstreichen fürsichtig vnd weißen herrn Rudolph Steegen berühmten Chirurgi und wundtatztes der Ehefrauen geehrten Vatters auff deroselben, So dann des auch wohl Ehrenvest vndt Kunsterfahren herrn Johann Friderich Meÿerlins gleichmäßigen Chirurgi vnd barbierers allhier auff des Eheherrn Seithen erbettenen beÿstandts, Donnerstags den 13. Junÿ Anno 1697.

Series rubricarum hujus Inventarÿ. Des Herrn Guth betr. Sa. haußraths 70, Sa. Olitaten, unguenten 43, Sa. Frucht 7, Sa. Silbers 40, Sa. Guldenen Rings 1, Sa. Baarschafft 15, Sa. Activorum 15, Summa summarum 194 lb – Dazu ist ferner Zu legen diejenige Zween dritte theil so dem herrn ane den haussteuren gebührig thun 25 lb, ist also des Herrn gesambten unverändert eÿgenthümbliches Guth 220 lb
Der Frawen Nahrung betr. Sa. Haußraths 130, Sa. Silbers 23, Sa. Guldener Ring 28, Sa. Baarschafft 148, Sa. Pfenningzinß hauptgüter 55, Summa summarum 384 lb – Darzu gelegt die Tertz so der fraw ane den haussteuren gebührig so ist 12 lb, Wirdt sofort der Frawen gantzes eÿgenthümblich in dieße Ehe gebrachtes Vermögen sich belauffen auff 397 lb

Susanne Steeg meurt en 1738 en délaissant une petit-fille issue de sa fille et deux fils. Les experts estiment la maison Grand rue 850 livres. La masse propre au veuf s’élève à 116 livres, celle des héritiers s’élève à 760 livres. L’actif de la communauté s’élève à 2 018 livres, le passif à 1 547 livres

1739 (1.6.), Not. Dautel (Fr. Henri, 6 E 41, 236) n° 95
Inventarium und Beschreibung aller derjenigen Haab Nahrung v. Güthere, Keinerleÿ davon außgenommen, so weÿl. die Viel Ehren v. tugendbegabte Fr. Susanna Meÿerin geb. Stegin des wohl Ehrenvesten v. Kunstberühmten H. Johannis Meÿers des geschwornen Chirurgi v. Wundartzten, auch b. allh. zu Str: gewes. Ehegattin nunmehr seel. nach ihrem den 9.ten Novembris des Letzt abgewichenen 1738.ten Jahrs aus dießer welt genommenen tödltl. ableiben, Zeitl. verlaßen – So beschehen allh. Zu Str. auff Montag den j. Junii A° 1739.
Die Verstorbene Frau seel. hat sowohl ab intestato als per Testamentum Zu Erben Verlaßen und instituirt wie folgt. 1. Weÿl. der Ehren v. tugendbegabten Fr. Mariæ Barbaræ Vogtin geb. Meÿerin, nunmehr seel. mit dem Ehrenachtbaren H. Johann Diebold Vogten, dem Holtzhändler v. b. allhier, ihrem hinderblieben Wittiber ehl. erzeugtes Töchterlein Nahmens Margaretham Barbaram, so annoch minderjährig, dahero bevögtigt mit eingangs gemeldeten H. W. vnd großvat. dieweilen er aber hiebeÿ selbsten interessirt war, als ist Zu j.m theilvogt ernannt worden der wohl Ehrenachtbare v. wohlvorgeacht, H. Johann Daniel Vogt der Holtzhändler v. b. allh., welcher mit assistentz Tit: H. Johann Daniel Stöbers Not. jur. v. Practici auch b. allh. beÿ dießer Inventur anweßend gewesen in den Ersten,
2. Carl Philipp Meÿern, den leedigen Chirurgum, so majorennis v. dermahlen in der Frembde sich auffhaltend, dahero in deßen Nahmen persönl. Zugegen gewesen der Wohl Ehrenveste v. Kunst Erfahrene h. Georg Gulden, der Barbierer v. gewesene wundartzt, auch b. allh. deßen nannoch ohnentledigter geschwohr. Vogt, in den Zweÿten, So dann 3. den wohl Ehrenachtbarn v. Kunsterfahrenen Herrn Friderich Meÿern, den ledigen Chirurgum v. Wundartzt auch b. allh., in dem dritten Stammtheil. Alle der Verstorbenen Frauen seel. respectivé ehel. erzeugte Söhne v. Töchter Kind und zu gleichlingen Stammtheilen Erben.

In einer allhier Zu Straßburg ane der Cronenburger straß gelegenen in dieße Verlaßenschafft gehörigen behaußung folgender maßen sich befunden
Ane Höltzen und Schreinwerck. Auff der Bühn, Im Obern Häöhren, In d. obern Vordern Cammer, Im obern Haußöhren, In der Obern Stub, In der Obern Stub Cammer, In der Obern Kuchen, Im Kämmerl. an der Kuchen, In der Barbier Stub, In des officiers Gemach, In des offociers Knechts Cammer, Im Hoff, In der untern stub Cammer
Eigenthum ane Häußern (T.) Eine Beh. hoff und hoffstatt v. Nebens, hinder gebäudlein in der Vorstadt Cronenburger Straß (…)
Item j. beh. v. hoffstatt im Grünen bruch (…)
(T.) It: eine beh. hoff, hoffstadt v. hind. hauß, sambt deren Gebäuden begriffen Weithen Zugehörden und Gerechtigkeiten, gelegen allh. ane der Langen Obern Straß, 1.s. neben nunmehro Weÿl. Fr. Annæ Salome geb. Füßingerin, weÿl. H. Joh: Heinrich Langen Jun: gewes. Not. publ. allh. seel. Wittib nun auch seel. hind. laßenen Erben, 2. s. neben weÿl. Mr Joh: Melchior Wanners gewes. Lebküchlers v. b. allh. Erben, hinden auff j. Canonicat hauß dem Stifft Alten St. Peter zugehörig stoßend, so außer denen darauf hafftenden v. hernach specifice eingetragenen passiv Capitalien, freÿ ledig eigen. gleicher weiß von offtgesagen Hh. Werckmeistern laut ihrer Abschatzung gewürdiget pro 850. lb. Hierüber ist vorhanden 1. teutscher pergam. Kffbrieff in allh. C. C. gefertiget v. m. dn. anhangende, Ins. bekräfftigt datirt d. 3. Januarii 1737. v. bezeichnet mit N° 2.
Ergäntzung, Vermög des über beeder nun zertrennten Ehe personen einander in den Ehestand zugebrachte Nahrungen in anno 1697. durch nun weÿl. H. Daniel Rohren gewes. Notarium publ. jur: und Practicum allh. seel. errichteten Inv. hat mann dem H. W. als abgegangen Zu ergänzen wie folgt
Series rubricarum hujus Inventarÿ. Des H. Wittibers Vermögen Sa. silbers 3, Sa. gold. Rings 14 ß, Sa. Erg. Rests 162, Summa summarum 166 lb – Schulden 50, Nach deren Abzug 116 lb
der E: unveränderte Nahr. Sa. Silbers 6, Sa. gold. R. 13. Sa. der activ schuld 50, Sa. der Erg. Rests 690., Summa summarum 760 lb
Das theilbare Guth, Sa. haußraths 103, Sa. der Unguenten 23, Sa. des weins v. leerer faß 34, Sa. Silbers 7, Sa. Eÿgenthumbs ane häußern 1820. Summa summarum 2018 lb – Schulden 1547 lb, Nach deren Abzug 470 lb
Conclusio finalis Inventarÿ 1347 lb
Copia der Eheberedung (…) So geschehen in d. Königl. St. Str. Donnerstag den 28.ten Martÿ A° 1697.
Copia Testamenti nuncupativi – 1698. (…) auff Montags den 16.Junii St. N. abends Zwischen 8 v. 9. uhren in j. allh. Zu Str: ane d. höllen faß gelegenen mit Notario eigenthümlich zuständigen wohnbeh. dero mittlern vordern stuben mit den fenstern in ein Klein höfflein v. auf die Gaß außsehend (…) persönlich kommen und erschienen seind d. wohl Ehrenveste v. Kunstberühmte H. Johannes Meÿer, Vernehme Chirurgus v. barbierer, Sodann die viel Ehren v. tugendreiche frau Susanna geb. Steegin beede Ehel. v. b. alhier – Daniel Rohr, Nots.
Copia Testamentum nuncupativum solennis inscriptis clausi – Ich Johannes Meÿer Chirurgus v. ich Susanna gebohrne Stegin beede Ehel. v. b. allh. Zu Str. – So geschehen allh. in d. Königl fr. St. Str. auff Mittwoch den 11.ten Aprilis in Jahr Christi 1736.
Abschatzung dem: 12. Decem: 1738. Auff begehren deß wohll achtbaren und bescheiten herrn Johannes Meÿer dëß baliberers, ist eine Behaußung alhie in der Statt Straßburg in cer Cronenburger Straß gelëgen (…)
Der 2.te begrieff ist auch alhie in der Statt Straßburg ihm Grunen bruch gelëgen (…)
Der 3.te begrieff ist auch allhier in der Statt Straßburg in der Langen Straßen gelëgen, Ein seits Neben der frau Langin seel. Erben anderseitys Neben Meister hannß Melchior wanner, hinden auff ein Cannonicat haus Zum alten st. Peter gehörig Stoßend wëlche behausung unden ihm eingang rechter handt ein Kleine balbier stuben, schmahleß hauß ehrn Küchell und Cammer gewölbter Keller hoff und bronen, oben dar auff ihm Ersten und Zweÿten Stock ein stuben Cammer hauß Ehren worinen der hërd und waßerstein 2: alte höltzre gäng ein hind.er haußell worinen unden auff dem botten ihm hoff ein alte Kagler wërckstatt und bren offen nebenß Cammer, oben dar auff ein stuben Cammren Kuchell und hauß Ehren, alter dach stull sambt aller gerechtig Keit wie solches durch der Statt Straßburg geschwornen wërck Meistere sich in der besichtigung befunden und Jetzigen Preÿß nach angeschlagen wird Vor und Umb Ein Tausent und Sieben hundert Gulten. bezeichnuß der Statt Straßburg geschwornen wërck Meistere, [unterzeichnet] Johann Peter Pflug Statt Lohner, Michael Ehrlacher Werck Meister deß Meinsters, Johann Jacob Biermeÿer Werck Meister deß Zimmerhoffs

Liquidation de la succession
1739 (10. 7.br), Not. Stoeber l’aîné (6 E 41, 1233)
Summarischer Calculus Über Weÿland Fr. Susannæ Meÿerin gebohrener Stegin, H. Johann Meÿers, des geschwornen Chirurgi und wundartzts auch burgers allhier gewesener Ehegattin nunmehr seel. Verlassenschafft nach anleÿtung des darüber in A° 1739. durch Hn Notarium Frantz Heinrich Dautel auffgerichteten Inventarÿ gefertigt

Jean Meyer meurt en 1752 en délaissant les mêmes héritiers que ceux cités à l’inventaire de sa femme. L’inventaire est dressé dans la maison Grand rue dont le défunt a fait donation à son fils lors de son contrat de mariage ; cette donation se limitait à la part disponible, c’est-à-dire deux tiers, le défunt étant usufruitier du troisième tiers qui appartenait à sa femme. L’estimation de la maison est reprise de l’inventaire précédent. L’actif de la succession s’élève à 1 461 livres, le passif à 1 449 livres.

1752 (19.12.), Not. Dautel (Fr. Henri, 6 E 41, 256) n° 529
Inventarium und beschreibung aller derjenigen Haab, Nahrung und Güthere, Keinerleÿ davon außgenommen, so Weÿl. der Wohl Ehren Veste und Kunsterfahrene Herr Johannes Meÿer, der geweßene geschwohrene Chirurgus und Wundartzt wie auch burger allhier Zu Straßburg, nunmehr seel. nach seinem den 10. Xbris dießes Zu end lauffenden 1752.sten Jahrs beschehenen tödl. Hienscheiden, nach sich Verlaßen – So beschehen allhier Zu Straßburg auf Dienstag den 19.ten Decembris Anno 1752.
Der Verstorbene Herr seelig hat ab intestato Zu erben verlaßen Wie folgt. 1° die Viel Ehren und tugendbegabte Frau Margaretham Barbaram gebohrne Vogtin, Herrn Johann Daniel Würtzen des Goldarbeiters und burgers allhier Zu Straßburg Frau Eheliebstin Weÿl. Fr. Mariæ Barbaræ geb. Meÿerin, H. Johann Diebold Vogten des Holtzhändlers und burgers allhier, längst abweßend geweßener Ehegattin, dißorts fr. tochter ehelich erzeugte Fr. Enckelin, welche mit und neben Ihrem H. Eheliebsten, dießer Inventur in Persohn abgewartet, 2° den Ehrenvesten und Kunsterfahren Herrn Carl Philipp Meÿern, den leedigen Chirurgum und Wundartzt auch burgern allhier, welcher weilen er majorennis dießem geschäfft in selbstiger Persohn beÿgewohnt, So dann 3° den Ehrenvesten und Kunsterfahrenen Herrn Friderich Meÿern, den Chirurgum und ebenmäßigen Wundartzt auch burgern allhier, so gleicherweiß beÿ dießer Inventur præsens war. beede vorgemeltete Herren Söhne und Fr. Enckelin des verstorbenen H. seel. mit Weÿl. der Viel Ehren und tugendbegabten Fr. Susanna gebohrner Stegin seiner Ehegattin längst seel. ehelich erzeugte Kinder und Enckelin und Zu gleichlingen Theilen ab intestato nach todt Verlaßene Erben
Copia letzten Willens Disposition

In einer allhier Zu Straßburg ane der Langen Obern straß ohnfern der Alten St. Peter Kirch gelegenen, und zum theil in dieße Verlaßenschafft gehörigen behaußung sich folgender laßen befunden
Eigenthum ane einer Behaußung. Nehml. 2/3. theil vor ohnvertheilt von und ane einer behausung und hoffestatt mit denen Gebäuden, begriffen, Zugehörden, Rechten und Gerechtig Keiten, nebst einem darzu gehörigen Kleinen Gärtlein, daran der überige 1/3. theil in hernach gemeldtem Wÿdum begriffen, gelegen allh. ane der Vorstadt Cronenburg und deren sogenandten Grünen bruch (…)
Wÿdum, Welchen der Abgeleibte Herr Meÿer seelig Zeitt lebens genoßen. Nehml. es hat Weÿl. fr. Susanna Meÿerin gebohrne Stegin dißorts Ehegattin seel. Vorgemeldetem ihrem hinterbiebenen H. Wittibern nunmehr auch seel. in ihrem vor nun Weÿl. H. Daniel Rohren gew. Notario jurato und Practico allhier und gezeugen in Anno 1698. den 16. Junÿ errichteten Testamento nuncupativo, welche sie in ihrem den 11. Aprilis Anno 1736 errichteten Testamento solenne in scriptis clauso wiederholet
Darunter ane Immobilien enthalten, Erstl. der dritte theil vor ohnvertheilt von und ane einer behaußung ane der Cronenburger straaß (…)
It: ein ohnvertheilter dritter theil von und ane einer behaußung, Hoff, Hoffstatt und hindergebäud, mit allen deren begriffen, Weithen, Zugehörden, Rechten und Gerechtigkeiten daran die übrige 2. Vätterliche dritte theil H. Friderich Meÿern, dißorts Jüngern H. Sohn, in seiner mit nun Weÿl. Fr. Anna Maria gebohrner Helmstätterin seiner geweßenen Ehegattin nun seel. errichteten und deen 18. Julÿ A° 1742. datirten Eheberedung §° 7° um einem gewißen Preiß eigenthümlich Zugedacht worden, gelegen allhier ane der Obern langen Straß, ohnfern der alten St. Peter Kirchen, 1.s. neben nun Weÿl. H. Joh: Georg Walters geweßenen handelsmanns allhier seel. hinterbliebene, Fr. Wb. und Erben, 2.s. neben Mst. Daniel Grießingern, dem Schuemacher allh. hinden auf eine behaußung löbl. Stifft Alten St. Peter gehörig stoßend, so außer denen darauf hafftenden passiv Capitalien, sonst leedig eigen und Zufolg deren geschwornen Hh. Werckmeistern beÿ vorgenemdeter Fr. Annä Mariä Meÿerin geb. Helmstätterin seel. Verlaßenschafft Inventur sub dato 29. 8.bris A° 1750. eingeschickter schrifftlicher Abschatzung æstimirt und angeschlagen, wabeÿ man es mit Genehmhaltung der Hh. 3. des Stadt Stalls dermalen gelaßen 800. lb. Daran also der 3.te theil außwirfft 266. lb Über die völlige behaußung ist vorhanden 1. teutscher pergamentener Kauffbrieff in allhießiger C. C. stb gefertiget und mit deren anhangendem Insiegel bekräfftiget datirt d. 3. Jan. A° 1737. so er hr. Friderich Meÿer beÿ seinen handen hat.
Abzug dießes Inventarÿ. Sa. haußraths 46, Sa. leerer Faß 25, Sa. Weins 9, Sa. Silber geschirrs und dergleichen Geschmeids 9, Sa. goldener Ring 6, Sa. Eigenthums ane 2. behaußungen 646, Sa. Schulden 718, Summa summarum 1461 lb – Schulden 1449, In Compensatione 12 lb – Stall Summa 665 lb

Fils du précédent, Frédéric Meyer épouse en 1743 Anne Marie Helmstætter, fille d’aubergiste. Le père fait donation à son fils et à sa bru des deux tiers qui lui appartiennent dans la maison Grand rue.

1742 (18 .7), Not. Dautel (Fr. Henri, 6 E 41, 284) n° 114 b (grosse)
Eheberedung – zwischen dem Ehrenvesten und Kunsterfahrenen Herrn Friederich Meÿer, dem ledigen Chirurgo und barbierer allhier des Wohl Ehren Vesten und Kunstberühmten herrn Johann Meÿers, ebenmäßigen und geschwornen Chirurgi und Barbierers auch burgers allhier Zu Straßburg mit nun weÿland der Viel Ehren und tugendbegabten Frauen Susanna gebohrner Regin seiner geweßten Frauen Eheliebstin nunmehr seeligen ehelich erzeugtem Sohn, als dem herrn Bräutigamb ane einem
So dann der Ehren und tugendreichen Jungfrauen Anna Maria Helmstätterin, weÿland des Wohl Ehren und Wohlvorachtbaren herrn Johann Adam Helmstetters gewesenen Gastgebers Zum blauen Hechten und burgers allhier Zu Straßburg nunmehr seeligen mit der viel Ehren und tugendbegabten Frauen Anna Catharina gebohrner Fischerin seiner hinderbliebenen Frauen Wittib, so aber nunmehr wieder an den wohl Ehrenvesten und wohlvorgeachten Herrn Johann Hucken den ebenmäßigen Gastgebers daselbst und burger allier Verheurathet, ehelich erzeugter Tochter als der Jungfrauen Hochzeiterin am andern Theil

Ane dem Siebenden will des herrn Hochzeiters geehrten herr Vatter Zu beßeren behuff ihnen beeden Verlobten Persohnen und deroselben Erben hiemit wißend und wohlbedächtlichen in bester Rechtsform eigenthümlich cedirt, abgetretten und überlaßen haben seine Zwo unvertheilte tertzen ane der Vorder: und hinder Behausung, hof, hoffstatt, mit allen deren Gebäuden, Zugehörden, Rechten und Gerechtigkeiten gelegen allhier ane der Obern langen Straß ohnweit der alten St. Peter Kirch, einseit neben weÿl. Frauen Annä Salome Langin gebohrner Füßingerin seeligen Erben anderseit neben weÿland Meister Johann Melchior Wanners geweßenen Leb Küchlers Erben, hinden auf ein Canonicat hauß dem Stift alten St. Peter Zugehörig stosend, so außer einigen darauff hafftenden passiv Capitalien sonst ledig eigen davon bereits Ihme herrn hochzeitern Von Mütterlich anerstorbenen Verlaßenschafft her ein Neunter Theil vorhin gebühriig und die übrige Zween Neünte Theil seinem herrn Brudrern und Schwester Kind auch solcher maßen Zuständig seind, umb den preis die gantze behaußung auf den fuß von 3000 gulden gerechnet – Geschehen und verhandelt seind dieße ding allhier in der Königlichen freÿen Stadt Straßburg auff Mittwoch den 18. tag des Monats Julÿ Im Jahr Christi 1742. [unterzeichnet] Friderich Meÿer alß hochzeiter, Anna Maria helmstätterin Als hochzeiterin

Mariage, Saint-Pierre-le-Vieux (luth. f° 186, n° 23)
1742. Mitwoch den 8. Aug: sind nach ordentlicher zweÿmahliger Außruffung ehelich copulirt und eingesegnet worden, H. Friderich Meÿer der Ledige Chirurgus burger allhier H. Joh: Meÿer Chirurgi und burgers allhier ehel. Sohn und Jfr. Anna Maria weÿl. H. Adam Helmstetters gewesenen burgers und Gastgebers alhie hinterl. ehel. Tochter. [unterzeichnet] Friderich Meÿer als hochzeiter, Anna Maria helmsteterin hoch Zeiterin (i 188)

Jean Frédéric Meyer s’adresse aux Quinze pour obtenir le droit d’ouvrir une échoppe de barbier. Il expose qu’il pratique le métier depuis 10 ans, qu’il a fait son tour de compagnon et qu’il souhaite s’établir en ouvrant une nouvelle échoppe puisque son père chirurgien est encore en vie, bien que la tribu de la Lanterne a rendu une décision contraire. La commission constate que des trois pièces produites par le corps des chirurgiens deux n’ont pas de rapport avec l’affaire et que la troisième est en faveur du pétitionnaire. Les Quinze infirment la décision des chirurgiens en les condamnant aux dépens. Ils délivrent une expédition de leur jugement à la demande des parties
1736, Protocole des Quinze (2 R 145)
Joh: Friderich Meÿer Ca. E. E. Meisterschafft der Barbierer
(p. 197) Sambstag d. 19. May 1736. Moss. nôe. Johann Friderich Meÿer ledigen burgers und Chirurgi Cit. derer Herrn Chirurg. Alt Meister prod. Appellations Schrifft mit beÿlag Lit. A. Christ. bitt Cop. et T. ord. Moss. laßt Copeÿ Zu bitt aber Deput. Erk. Copeÿ und T. Ord. Willfahrt.

(p. 232) Sambstag d. 9. Junÿ 1736. – Joh: Friderich Meÿer Ca. E. E. Meisterschafft der Barbierer
Iidem [Ober Handwercks herren] laßen ferner per eundem [Secretarium] referiren, daß Johann Friderich Meÿer der [burger] und Chirurgus allhier Johann Meÿer des geschwornen [Chirurgi] dahier ehelicher Sohn, Contra E. E. Meisterschafft [der allhie]ßigen Chirurgorum den 19. Maÿ jüngst mit [einem] Appellations: Schrifft mit beÿlag sub Lit. A. producirt, darinnen er gehorsambst Vorträgt, es weiße ged. beÿlag Lit. A /:so ein Extractus aus ged. E Meisterschafft der Chirurgorum Protocollo de dato 7. Maÿ 1736./ wie er mit seinem bitten Ihme Zu dem Examine Chirurgico, und zu der Verfertigung des Meisterstücks, wie auch Zur auffrichtung einer Barbierstube Zu admittiren, abgewießen worden. Er, Implorant, seÿe aber schon 10 Jahr beÿ dießer profession, und wolle auch der 16. Articul aus derer Wundärtzten allhier Articul buch daß ein allhießiger Meisters Sohn, der nach Verricheter Wanderschafft seinen Vatter annoch im Leben antreffe nach Völlig außgestandener Handwercks Zeit, und Examine, und Recht Verfertigem Meisterstück eine newe Werckstatt anrichte, und sein erlerntes Handwerck wie recht ist darinn treiben möge, seÿe alßo sein demüthige bitten appellando Mghh. geruhen gnädig den bescheid lit. A. dahin [gnä]dig Zu reformiren, daß er Supplicant Zu dem Examine Chirurgico und Zum Meisterstück, folgendts auch præstitis præsandis Zu Auffrichtung einer Barbierstub, gratiose admittirt werden möge.
Worauff die Meisterschafft umb Deput. und Manutenenz des bescheids refusis Expensis gebetten habe.
Beÿ bewilligt und beseßener Deputation habe der Appellant beÿständlich seines Vatters sein petitum wiederhohlet. Nomine der Appellanten seÿen Vorgestanden Andres Schneller, Georg Friedrich Linck und Daniel Gottlieb Ziegenhagen, welche dem Articul Vorgelegt, und sich auff den 14. 15. und 16. bezogen.
Man habe aber gefunden daß die zweÿe erstere gar nicht auff den heutigen Causum Zu appliciren, der letztere aber die Sach Völlig in favor des appellanten decidirt, maßen die formalia allda also lauten,
XVI. Gleichförmige Meinung hat es auch mit einem solches Meisters Sohn der nach Verrichteten Wanderschafft seinem Vatter noch im Leben antrifft, dann der mag nach Völlig Zugebrachte handwercks Zeit, außgesatandenem Examine, und Recht Verfertigtem Meisterstück wohl eine newe Werckstatt anrichten, und sein erlerntes handwerck wie recht darinnen treiben,
habe man alßo davor gehalten, daß an 1.a jnstantia übel gesprochen, hiengegen wohl appellirt worden, mithien die sententia â quâ Zu reformiren, dem Appellanten in seinem begehren Zu willfahren, und die Appellaten in die auffgeloffene unkosten Zu condemniren seÿen. Die Genehmhaltung Zu Mgh. stellend. Erkant bedacht gefolgt.

(p. 238) Sambstag d. 16. Junÿ 1736. Moss. nôe Friderich Meÿer bitt Comm. bescheids W. Barbierer Meisterschafft. Erk. Willfahrt noê M. Christ bitt auch Comm. Erk. Willfahrt.

(p. 258) Sambstag d. 23. Junÿ 1736.
Bescheid. Sambstag d. 9. Junÿ 1736. In Sachen Johann Friderich Meÿer des ledigen burgers und Chirurgi allhier Johann Meÿer des geschwornen Chirurgi dahier ehelicher Sohns, Appellanten, ane einem, entgegen und wider E. E. Meisterschafft der allhießigen Chirurgorum, Appellaten, am andern theil. Auff producirte Unterthänige Appellations: Schrifft mit beÿlag Sub Lit. A. und angehencktem bitten den bescheid Lit A. dahien Zu reformiren, daß er Appellant, Zu dem Examine Chirurgico und Zum Meisterstück, folglich auch præstitis præsandis Zu auffrichtung einer Barbierstub, gratiose admittirt werden möge. Der Appellaten darüber gethane Verantwortung juncto petito Deputationem Zu erkennen, und sie beÿ dem ergangenen bescheid gnädig zu manuteniren refusis Expensis.
Bewilligte und beseßene Deputation, auch all übriges angehörte beeder seithige Vor: und Anbringen, Ist der Herrn Depp. abgelegten Relation nach, mit Urthel Zu Recht Erkandt, daß an prima jnstantia übel gesprochen, hiengegen wohl appellirt worden, mithien die Sententia â quâ Zu reformiren, dem Appellanten in seinem begehren Zu willfahren, undt die Appellaten in die auffgeloffene unkosten, Salva taxâ Zu condemniren seÿen. Als Wie hiemit reformiren, Willfahren und condemnirt [worden].

Frédéric Meyer est reçu tributaire à la Lanterne le 6 novembre 1736
1736, Protocole de la tribu de la Lanterne (XI 211)
(f° 102-v) Dienstag den 6. 9.bris 1736 – Herr Friderich Meÿer Chirurgus dahier prod. Statt Stall schein Crafft deßen Er beÿ E.E. Zunfft Zur Lucern will Zünfftig werden. In deme Er burger recipirt it bittet Ihme in solcher qualitæt Vndter denen Chirurgis ahnzunehmen. Erkannt Willfahrt

Frédéric Meyer et Anne Marie Helmstetter font dresser l’inventaire de leurs apports dans la maison qui leur ppartient en partie Grand rue. Ceux du mari s’élèvent à 125 livres, ceux de la femme à 342 livres.

1743 (30.4.), Not. Dautel (Fr. Henri, 6 E 41, 240) n° 190-a
Inventarium v. beschreibung aller derjenigen Haab v. Nahrung, Keinerleÿ davon außgenommen, so der Ehrenveste v. Kunsterfahrene Hr Friderich Meÿer der Chirurgus v. barbirer und die Ehren und tugendsame fr. Anna Maria geb. Helmstätterin beede Ehe personen v. b. allh. Zu Straßb. einander in den Ehestand zugebracht, und sich in Crafft der mit einander in den Ehestand Zugebracht, und sich in Crafft der mit einander auffgerichteten Eheberedung §° 4.to Vor unverändert Vorbehalten hat – So geschehen allhier in der Königl. Stadt Straßburg auff dienstag den 30.ten Aprilis Anno 1743. In præsentia Frauen Annæ Catharinæ Huckin geb. Fischerin, der Ehefr. Leibl. Mutter.

In einer allh. Zu Straßburg ane der langen Straß ohnfern dem alten St Peter gelegenen denen beeden Ehepersohnen Zum theil eigenthümlich zuständigen barbier beh. folgend. masen sich befunden.
Wÿdumbs Verfangenschaft. Welche Fr: Anna Catharina Huckin, gebohrne Fischerin H. Johann Hucken des Gastgebers Zum blauen Hechten v. b. allh. fr. Eheliebstin Von Weÿl. H. Joh: Adam Helmstätterin auch geweßenen Gastgebern Zum bl. hechten v b. allhier ihrem erstern Eheliebsten seel. her Zeit Lebens geneüßt
Wÿdumbs Verfangenschaft Welche Herr Johannes Meÿer der Barbierer und Wundartzt, des Eheh. geliebten Vatter, auch b. allh. von weÿl. Fr. Susanna geb. Stegin seiner gewesenen Ehegattin, des Eheh. leibl. Mutter seel. Verl. Zeit lebens Zugenißen hat
Series rubricarum hujus Inventarÿ. Des Eheherrn gutt, Sa. haußraths 47, Sa. Vasorum zue barbierer Kunst gehörig 8, Sa. Silber geschirr und Geschmeids 20, Summa summarum 75 lb – darzugelegt die helffte ane denen haussteuren so ist 49, Welchem nach des Eheherrn gesambt in de Ehestand gebracht Vermögen dem billigen Werth nach antrifft 125. lb
Der Ehefrauen Nahrung, Sa. haußraths 79, Sa. Silber geschirr und Geschmeids 25, Sa. goldener Ring 28, Sa. baarschafft 160, Summa summarum 293 lb – darzu gelegt die helffte ane nach beschriebenen haussteuren antrifft 49 lb, Dießemnach macht der Ehefrauen gesambte in dieEhe gebrachte Nahrung dem billigen werth nach 342 lb
Nota, Wie in der zwischen beeden eingangs gedachten Ehepersohnen auffgerichteten Eheberedung ersehentlich, so hat des Eherrn herr Vatter herr Johannes Meÿer der barbierer und wundartzt auch b. allhier sowol §° 7° ihnen beeden Ehepersonen seine Zwo eigenthümliche und unvertheilte tertzen ane der Vorder: und hinder behaußung, hof, hoffstatt, mit allen deren Gebäuden, Zugehörden, Weithen, Rechten und Gerechtigkeiten gelegen allh. ane der Langen Straß ohnweit der alten St. Peter Kirchen, i. s. neben weÿl. H. N. Bauren des gewes. beamtbten in dem allhies. umbgeld v. b. allh. seel. wittib und Erben, 2. s. neben weÿl. Melchior Wanners des gewes. Leb Küchlers Erben, hinden auf ein Canonicat hauß dem Stift alten St. Peter gehörig stosend, so außer einigen darauff hafftenden passiv Capitalien sonst ledig eigen, ane deren 3. tertz 1/3 so ein 9.t theil dem Eheherren von seiner Mutter seel. Verl. her ererbt zuständig seÿe umb den preis die gantze beh. auf den fuß von 1500 lb gulden gerechnet

Jean Meyer rend compte de la tutelle des biens qui appartiennent à sa nièce Marguerite Barbe Vogt, fille du marchand de bois Jean Thiébaut Vogt et de Marie Barbe Meyer
1746 (30.6.), Not. Koch (Matthias, 6 E 41, 509) n° 104, 108, 118, 125
Rechnung Mein Johann Meÿers, des geschwornen Chirurgi und wundartzts auch burgers allhier zu Straßburg als geordnet und geschworenen Vogts Margarethä Barbarä Vogtin, weÿland Frauen Mariä Barbarä Vogtin gebohrener Meÿerin mit Herrn Johann Diebold Vogt Juniore dem holtzhändler und burger allhier erzeugten nochlebenden eintzigen töchterleins /:Maßen Susanna Catharina das andere töchterlein bald nach der Mutter verstorben:/ Inhaltend alles dasjenige was ich vom 4. februarii Anno 1736. als dem anfang meiner Vogteÿ biß den 30.ten Junii 1746 vor dieselbe eingenommen und außgegeben auch sonsten Vögtlicher weiß verrichtet habe – Erste Rechnung dießer Vogteÿ

(108) fernere Rechnung Mein Johann Meÿers, des geschwornen Chirurgi und Wundartzts auch burgers allhier als geordnet und geschworenen Vogts Margarethä Barbarä Vogtin weÿland Frauen Mariä Barbarä Vogtin geb. Meÿerin mit Herrn Johann diebold Vogt Juniore dem holtzhändler erz. noch lebende einzig. töchterl., Inhaltend alles dasjenige was ich vom 30. junÿ 1746 biß d. 18. feb. 1747 vor dieselbe eingenommen v. außgegeben
– (118) Rechnung Mein Johann Meÿers, geschwornen Chirurgi v. b. allh. als geordnet und geschworenen Vogts Margarethä Barbarä Vogtin weÿl. Fr. Mariä Barb. Vogtin geb. Meÿerin mit H. Joh. diebold Vogt Jun.e dem holtzh. erzeugter Tochter, Inhaltend alles dasjenige, was ich vom 30. junÿ 1746 biß d. 30. sept. 1749 vor sie eingenommen v. außgegeben auch sonst Vögtl. weiß verrichtet habe – Zweÿte Rechnung dieser Vogteÿ
– (125) Rechnung Mein Johann Meÿers, geschwornen Chirurgi und burgers allhier als geordnet und geschworenen Vogts Margarethä Barbarä Vogtin weÿland Frauen Mariä Barbarä Vogtin geb. Meÿerin mit Johann diebold Vogt dem Jüngern holtzhändler erzeugter Tochter, Inhaltend alles dasjenige, was ich vom 30. 7.bris 1749 biß den 31. julÿ A° 1750 vor sie eingenommen und außgegeben auch sonst Vögtlicher weiß verrichtet habe – Dritte Rechnung dieser Vogteÿ

Anne Marie Helmstetter meurt en 1750 après avoir institué son mari légataire universel de ses biens. Les experts estiment la maison 800 livres. L’inventaire est suspendu comme les frères et sœurs de la défunte se pourvoient en cassation du testament en nommant un commissaire séquestre

1750 (19.11.), Not. Dautel (Fr. Henri, 6 E 41, 253) n° 458
Inventarium v. beschreibung aller derjenigen Haab, Nahrung und Güthere, Keinerleÿ davon außgenommen, so weÿland die Viel Ehren: v. tugendbegabte Fr. Anna Maria geb. Helmstätterin, des Ehren Vest und Kunsterfahrenen Hn Friderich Meÿers, des Chirurgi und barbierers auch burgers allhier Zu Straßburg geweßene Fr. Ehegattin nunmehr seel. nach ihrem den 16.ten tag des Verwichenen Monats Septembris dießes Zu end lauffenden 1750. Jahrs aus dießer welt genommenen tödlichen ableiben zeitlichen verlaßen, Welche Verlaßenschafft auf freundliches ansuchen erfordern und begehren Vorwohl ermeldeten H. Wittibers, als des von der Abgeleibten Fr. seel. in ihrem hernach copialiter eingetragenen Testamento nuncupativo §° 4° instuirten eingen Erbens fleißig inventirt und ersucht – So geschehen allhier in der Königl. Stadt Straßburg auff Donnerstag den 19.ten Novembris Anno 1750.

In einer allhier Zu Straßburg ane der langen Straß gelegenen in dieße Verlaßenschafft eigenthümlich gehörigen behaußung folgender maßen sich befunden.
Ane Höltzen: v. Schreinwerck. In der Soldaten Cammer, In der gesellen Cammer, In der Magd Cammer, In der Barbierstub, In der obern Wohnstub, Im obern hßöhren, Im obern hindern Zimmer, Im Keller
Eigenthumb ane einer behauß. Nehml. Zwo unvertheilte tertzen ane einer Vord. v. hinderbeh. hoff v. hoffstatt, mit allen deren Gebäuden, begriffen, Weithen, Zugehörden, Rechten v. Gerechtig Keiten, gelegen allh. ane d. obern langen Straß, ohnweit d. alten St. Peter Kirchen, i. s. neben (-) Waltern dem handelßmann, 2. s. neben Mr Daniel Grießingern dem Schuhmachern, hinden auf ein Canonicat beh. dem stosend, so außer denen darauff hafftenden passiv Capitalien ledig eigen, v. ist die gantze beh. durch der St. Str. geschw. Hh. Werckmeistere Zufolg d. zu mein Not. Concept eingeschickten schrifftl. abschatz. datirt den 29. 8.br 1750. æstimirt v. angeschlagen worden vor 800 lb. daran vor die daran hiehero gehörig.ohne fangene tertz außzuwerffen 533. Ane der übrigen tertz, welche H. Joh: Meÿer d. geschw. Chir. barbierer v. Wundartzt, auch b. allh. des H. W. laibl. Vatter Zeit lebens zu usufruiren berechtiget, v. deßwegen hernach unter der Wÿd. Verfangenschaft eingetragen befindl. d. h. W. einen 3.t theil H. Carl Phil. Meÿer der Chir: auch ein 3. theil und weÿl. Fr. Mariæ Barb: geb. Meÿerin, mit Joh: Diebold Vogten dem abweßenden holtzhändlern v. b. allh. ehel. erzeugten töchter Mar. Barb. Würtzin geb. Vogtin auch ein 3.theil zugehörig.
Abschatzung Vom 29. 8.bris 1750. Auff begehren Herren Friderig Meÿer ist eine behaußung alher in der Statt Straßburg in der langen Straß Gelegen ein seÿts näben Johan Georg Waldern anderseÿts näben Danniel Grießinger und hinden auff ein Canonicad hauß Zum Stifft Alten St Peter Gehörig Stoßend, dieße behaußung hatt näben dem Eingang Zweÿ Stuben und Ein Küchen, in dem Ersten Stock I. Stube, I. Kammer und I haußöhren der 2.te Stock ist dem Erst bemeldem Gleich darüber ist der tagstull mit breidt Zieglen doppelt Gedeckt warunder die soldatten Kammer, welche besetz hatt auch ein Gewölbten Keller, hoff und brunnen, ferner befindet sich ein hinder Gebau und näbens Gang, darinnen Ein stube Ein Küchen das holtz hauß und etliche Kammeren die tachstüll darüber seÿndt mit breit Zieglen Einfag Gedeckt, ist Von den under schriebenen der Statt Straßburg geschworene Werckmeistere, nach vorher Geschehener besigdigung, mit aller Ihrer Gerechtigkeit dem Jetzigen werdt nach æstimirt und angeschlagen wordten Vor und um Ein Taussendt und Sechs Hundert Gulden [unterzeichnet] Jacob Biermeÿer stadt Lohner, Ehrlacher Werckmeister deß Münsters, Werner Werckmeister
– Ane dato zu end gemeld sind vor mir offenbarem geschwornen und zu weÿl. Fr. Annä Mariä Meÿerin gebohrner Helmstätterin, H. Friedrich Meÿers des Chirurgi und Wundartzts auch burgers allhier geweßener Fr. Eheliebstin seel. Verlaßenschafft Inventur adhibirtem Notario persönlich erschienen 1° vorwohlermelter Hr Friedrich Meÿer, 2° Herr Joh: Sebastian Helmstätter, der nunmahlige Gastgeber Zum blohen Hechten und burger allhier 3° Frau Margaretha Barbara gebohrrne Helmstätterin Hn Joh: Friedrich Hollen ebenmäßign Chirurgi und Wundartzts auch burgers allhier Eheliebstin unter assistentz deßelben, So dann hr. Johannes Schuler, der Gastgeber und burger allhier als annoch ohnentledigter Vogt Herrn Andreæ undt Georg Friedrich, dießer beeden Zeÿßen, alle vier aber er Verstorbenen Fr Meÿerin seel. Leibl. Ein und Vollbändige Geschwüstrige auch durch die Cassation ihr Fr. Meÿerin letztern vor H. Not° Matthæ Kochen und Gezeugen errichteten Testamentum nuncupativum ab intestato nach Todt Verlaßene Erben, dieselbe sambtl. haben theils proprio nomine theils in dicto qualitatibus und unter assistentz wie gemeld, in gegensein Hn Joh: Jacob Sauren des bierbrauers und burgers allhier, welcher von denen parthen Vorgemeld in Streitsache, und zwar in puncto impugnirten vorangeregten vor H. Not° Kochen errichteten Testamenti, die Verlaßenschaffts Massam betreffend, zu einem Commissaire sequestre vorgeschlagen undt crafft arrêt du Conseil souverain d’Alsace vom 31.ten aug. A° 1752. Obrigkeitlichen constituirt worden, declarirt (…)
So geschehen allhier zu Straßburg auff Donnerstag den 28.ten Aug. A° 1755

Les héritiers de Jean Meyer vendent les parts de maison qui leur reviennent dans la succession de leur mère à Frédéric Meyer qui devient ainsi seul propriétaire de la maison, sauf les prétentions des héritiers naturels de sa femme défunte

1753 (12.1.), Not. Dautel (Fr. Henri, 6 E 41, 256) Joint au n° 529 du 19 déc. 1752
[Inventarium und beschreibung aller derjenigen Haab, Nahrung und Güthere, so Weÿl. der Wohl Ehren Veste und Kunsterfahrene Herr Johannes Meÿer, der geweßene geschwohrene Chirurgus und Wundartzt]
Erschienen ane dato Zu end gemeld vor mit zu dießen Geschäfft in specie adhibirtem Inventir Notario Frau Margaretha Barbara Würtzin gebohrne Vogtin, Herrn Johann Daniel Würtzen des Goldarbeiters und burgers allhier Fr. Eheliebstin und Carl Philipp Meÿer, der leedige Chirurgus und burger allhier, beede mit Erbs Interessenten, dieße haben
in gegensein Herrn Friderich Meÿers, auch Chirurgi und burgers allhier, ihres herrn Vettern und bruders, freÿ offntlich dcelarirt, wie daß sie vor sich und ihre Erben, Ihme herrn Friderich Meÿern und seinen Erben (…) eigenthümlichen cedirt und überlaßen hätten in ohnvertheiltem Elter: und Groß Elterlichem Erbe
ihre ohnvertheilte zween dritte Theil ane einer Tertz der behaußung, Hoff, Hoffstatt und hindergebäud, mit allen deren begriffen, Weithen, Zugehörden und Gerechtigkeiten gelegen allhier ane der langen obern Straaß, ohnfern der alten St: Peter Kirch, 1.s. der Walterischen fr. Wittib und Erben & wie solche in dem Vätterlichen Verlaßenschafft Inventario mit mehrerm beschrieben zu befinden, woran die überige Zwo Tertzen Ihme Friderich Meÿern und deßen Verstorbenener Fr. Eheliebstin, Weÿl. Fr. Annä Mariä gebohrner Helmstätterin seel. in ihrer mit einander auffgerichteten Eheberedung §° 7° von dem H. Vattern seel. um 3000. fl. die gantz behausung gerechnet, eigenthümlichen verschrieben worden, und dieße Tertz der Herr Vatter seel. alß Mütterlich guth in lebenslänglichem Wÿdum genoßen gehabt, mithin auch daran Ihren G. Friderich Meÿern ein dritter Theil, das ist zusammen 7/9. Theil angebührig – um den Preiß der obbesagten 3000 Gulden die gantz behaußung gerechnet mithin also zu dem mütterlichen dritten Theil 1000 gulden antrifft – So geschehen auf Freÿtag den 12. Januarÿ Anno 1753.

Révision, non conservée, de l’inventaire des biens appartenant à Anne Marie Helmstætter

1753, Not. Stoeber l’aîné (répert. 6 E 41, 1127-1) n° 862
Revision in Sachen weÿl. Fr. Anna Maria Meÿerin geb. Helmstätterin H. Friderich Meÿer des Chirurgi Ehefr. Erben contra ihne H. Friderich Meÿer den Wittiber

Nouvel inventaire des biens appartenant à Anne Marie Helmstætter après que ses frères et sœurs ont obtenu cassation du testament ; l’annulation par le Grand Sénat le 9 décembre 1751 a été confirmée par arrêt rendu au Conseil souverain d’Alsace le 17 juillet 1755. Le veuf demande que soient appliquées les dispositions précédentes de la défunte, d’après lesquelle il a l’usufruit viager de ses biens. Le notaire relève que la donation à la défunte et à son mari faite lors du contrat de mariage aurait dû être transcrite à la Chambre des Contrats, ce qui n’a pas eu lieu. Les héritiers Helmstætter ont aussi des prétentions sur la part de maison que Frédéric Meyer a héritée de son père au faubourg de Cronenbourg. La masse propre aux héritiers est de 1 694 livres. L’actif du veuf s’élève à 844 livres, le passif à 2 213 livres.

1755 (14.7.), Not. Dautel (Fr. Henri, 6 E 41, 259) n° 616
Inventarium und Beschreibung aller derjenigen Haab, Nahrung und Güthere, Keinerleÿ davon außgenommen, so weÿl. die Viel Ehren und Tugendsame Frau Anna Maria gebohrene Helmstätterin, des Ehrenvest und Kunsterfahrenen herrn Friedrich Meÿers, des Chirurgi und Wundartzts, auch burgers allhier Zu Straßburg geweßene Eheliebstin seel. nach ihrem den 16.ten Septembris des längst abgewichenen 1750.ten Jahrs aus dießer welt genommenen tödlichen ableiben Zeitlichen verlaßen, welche Verlaßenschafft nunmehro auf freundliches ansuchen erfordern und begehren, derer gleich nach dem Eingang dießes Inventarii ordentlich benahmster und zufolg bescheid E. E. Großen Rhats vom 9. Xbr A° 1751. und auff beschehenes appel von seithen des Conseil souverain d’Alsace sub dato 17.ten Junÿ h: a: erfolgten arrest ab intestato erkander Erben fleißig inventirt und ersucht, und Zwar weilen in deßen herr Johann Jacob Saur, der biersieder Zum goldenen Löwen und burger allhier als Commissaire sequestre über diese sambtliche Verlaßenschafft durch besonder arrest vom 31. Aug. 1752. constituirt und dahero demeselben theils durch die Ganth in Executionis, und theils sonsten per publica acta die sambtliche effecten eingreiffert worden, theils durch ihne Herrn Sauren nach deme hierüber auffgerichteten Designationen beÿ deren er sich jeeden mal unterschrieben, und theils durch obgemelten H. Wittibern und anch Eingang dießes Inventarÿ benannte anweßende Erben (…) geäugt und gezaigt – So geschehen allhier Zu Straßburg auff montag den 14. Julÿ anno 1755.
Der Verstorbenen Frauen seel. nach außweiß hievor im Eingang allegirten E. Großen Rhats bescheid und Arrêt ab intestato erkandte Erben. 1. he Johann Sebastian Helmstätter der gastgeber Zum blohen Hechten burger allhier, der den einen Vierden Stammtheil welcher dem Geschäfft in person abgewartet, 2. Frau Margaretha Barbara gebohrne Helmstätterin, herrn Johann Friderich Hollen, des Chirurgi und wund artzts auch burgers allhier, Eheliebstin, welche beÿ dießes Inventur Zugegen geweßen, in den andern Völligen Vierdten Stammtheil, 3. H. Johann Andreas Zeÿß, der ledige Gastgeber und burger allhier majorennis und abweßend in den 3.ten Völligen vierdten Stammtheil, So dann 4. H. Georg Friderich Zeÿß, auch leediger Gastgeber und burger allhier, ebenfalls Großjährig und außwärts in condition, in den letzten Vierten Völligen Stammtheil, deren beeder Zeÿßischer öhne annoch ohnentledigter Vogt herr Johann Schuler, der Gastgeber und burger allhier, in deren Nahmen Zumalen sie Curanden abweßend, derselbe auch dießer Inventur von Anfang biß zu end beÿgewohnt, Alle Vier der Verstorbenen frauen Meÿerin seel. Zweÿ und Einbändigen Geschwüstrig undt nach cassation deroselben durch H. Notm Mathiam Kochen auffgerichteteten Testamenti nuncupativi zugleichen portionen ab intestato Erben.
Bericht in gegenwärtig Inventarium nöthig. Es will sonders nothwendig fallen, mit bericht vor anzugehen, was maßen die Defuncta eine testamentliche letzte willens Disposition Vor H. Notario Mathia Kochen und denen adhibirten Gezeugen den 10.ten 7.br. A° 1750. alßo Kurtz Vor ihrem tödlichen hinscheiden errichtet, und darinnen außer einigen Legaten mit hülff erhaltenen Indulti testandi eingangs gemeldeten herrn Friderich Meÿern, den hinderblieben Wittibern Zu ihrem Erben ex asse ernennet habe. Wie nun solche Verordnung demselben, nach Testamento anleitung gegeben, sich vor den universal Erben gegen præstirenden Außliefferung derer Legaten Zuerkennen, alßo Vermeinte er auch macht zu haben, die Inventur der Verlaßenschafft ohne weitere und nöthige Zuziehung der Verstorbenen Fr. Eheliebstin seel. ein: und Vollbändiger Geschwistrigen, welche sonst ab intestato ihre Erben gewesenen wären auch seinem gefallen anzustellen und Zubestimmen, um deß willen er auch solche den 19.t 9.br. A° 1750. durch mich Notm. und herrn Johann Georg Lederlin den geschwornen Käufflern in behöriger Ordnung Vornehmen maßen, solcher gestalten daß ane dem geweßen, daß darüber das Inventarium expedirt worden wäre, Allem es entstunde hieruaff über oben angezogenen Testaments Validität Von seithen der defunctæ Voll: und Einbändigen Geschwistrigen, in Zweiffel und haben dahero die selbige solches ex cupite suggestionis obrigkeitlichen impugnirt, wie nun solches in erfahrung gebracht habe ich Notarius, weilen dießes letzte Willen, die richtschnur seÿn solte, die Expedition unterlaßen und biß zu dießer Erörterung außgesetzt Nach beschehener der sachen hetten* inventirung ist endlichen E. E. Großen Rath den 9. Xbr ° 1751. die Sententia dahin außgefallen, daß das quæstionus Testamentum als denen Gemeinen rechten Zu wieder annullirt worden. Es appellirte Zwar der Hr Wittiber Von dießem Spruch au Conseil souverain d’Alsace, allein er mußte durch arrêt vom 17. Julÿ A° 1755 gleiches schicksal erfahren, in deme die erstere Sentence dardurch confirmirt worden. In Zwischen auff ansuchen derer prætendirenden Erben über die gantze succession herr Johann Jacob Saur, der biersieder Zum goldenen Löwen und burger allhier craft arrêt Vom 31. Aug. A° 1752. als Commissaire sequestre gesetztet und demselben theils durch Huissier royal par acte und theils durch die ganth per Executionem die mehreste effecten in seine verwahr Zuhanden gegeben weden, weßentwegen dann und dieweilen sich der Zustand der damalig vorgegangenen Inventur theils in ansehung Testaments Erben selbsten, alß deßen Platz der Defunctæ ein: und vollbändige Geschwistrige, als ab intestato Erben nunmehro eingenommen und theils die effecten und mobilien da und dorthin Verzogen worden, auch wol gar abgangen, deßgleichen des Wittibers Vatter herr Joh: Meÿer geweßener geschworner Chirurgus v. b. allh. seel. den 10.ten Decembris A° 1752. dießes Zeitliche gesegnet und von dießer Succession die Erbs portion hiehero zugefloßen, Völlig Verändert, so hat man gegenwärtiges Inventarium neurdingen und Zwar denen jetzigen umbständen nach alßo mit einbringung deßen so von Vätterl. Erbschafft angewachßen, obschon solches eigentlich nicht hiehero gehörig, eingerichtet und verfaßet. Hiernechst ist zu melden, daß, nach deme nun sein H. Notÿ Kochen Testamentum Zernichtet und in dem selben Von keiner cassatione der frn. Defunctæ vorhergehenden Letzten Willens gedacht, hingegen aber sie vor mir Notario und gezeugen den 19.ten Aprilis A° 1743. eine testamentliche Verordnung auffgerichtet, und darinnen nebst deme, daß sie dieße ihro Vorgemeldete Voll und einbändige Geschwüstrige welche nunmehro auch diejenige sind, Zu ihren Erben instituirt ihrem Ehegatten und nunmahligen hinderbliebenen herrn Wittiber den lebenslänglichen Wÿdumbs Genuß Zugedacht habe, sich der hinderblieben Hr. Wittiber dießer Erstern Letzten Willens Disposition bedienen und dahero den usumfructum generalem prætendiren will, worüber noch Zur Zeit sie Erben Keine antwort ertheilt,sondern sich deßen beÿ ihrem H. Procuratore Zu Collmar, ob sie deme* nach zu geleben hätte, beßer erkundigen wollen. In deßen jedoch aller seits ohnpræjudicirlichen, Extractus solchen testaments allein dießen Wÿdumb betreffend, dießem Inv° wie folgt einverleibt worden.
Extractus Auß dem der Defunctæ vor mit Notario und gezeugen debn 19. Aprilis A° 1743. erricheten Testamento nuncupativo (…)

In einer allhier Zu Straßburg ane dem Schiffleut Staden gelegenen Bierhauß Zum goldenen Löwen genandt folgender maßen sich befunden.
Eigenthumb ane einer behaußung (W. et T.) Nehmlichen eine forder: und hinder behausung, Hoff und Hoffstatt, mit allen deren Gebäuden, begriffen, Weithen, Rechten, Zugehörden und Gerechtig Keiten, gelegen allhier ane der obern Langen Straß, ohnweit der alten St. Peter Kirchen, einseit neben der behaußung zum grünen Fäßlein genant, modo herrn Joh: Georg Waltern dem handelßmann alllhier Zuständig, 2. s. neben Meister Daniel Grießingern dem schuhmachern, hinden auff eine dem Stifft Zum Alten St. Peter Zugehörige Canonicat behausung stoßendt, so außer denen darauff hafftenden passiv Capitalien hernach beschrieben ledig eigen und Zu mein Notarii schon beÿ erster Inventur eingeschickten schrifftlichen Abschatzung dahero datirt den 29. 8.br 1750. angeschlagen umb 800 lb. Hierüber bes.j. teut. perg. Kffbr. in allhies. C. C. st. gef. v. m. deren anhang. Ins. bekräfftiget datirt den 3.ten Januarÿ A° 1737.
Nota. Ane dießer beh. hat weÿl. Hr Joh: Meÿer der älter Geschwohr. Chirurgus und Wundartzt auch burger allh. des hinderbliebenen Wittibers Leibl. hr. Vatter seel. in der hievor in copia eingetragenen Eheberedung §° 7° ihnen beeden nun zertrenneten Ehe Persohen seine Vätterl. 2/3. theil auff den fuß der 3000. fl. alßo daran zu 2000. fl cedirt und abgetretten, mithin wäre solcher gestalten denen Erben ein dritter theil oder die helffte solcher 2/3. Vor eigenthümlich zu zu schreiben, hingegen aber 1/3. theil ane dem damals darauff hafftenden passiv Cap. Zu assigniren und da dießer dritte theil ane solchen passiv Cap. gegen denen 1000 fl. nicht zureichte, sofort der rest ane derenselben Erg. ermanglenden unveränderten Guths in Abzug Zubringen, Allein in betrachtung auch in gedachtem articulo 7° der Eheberedung expresse Versehen, daß dieße übergaab respectu der Verstorbenen Ehefrauen seel. in allhießiger Cancelleÿ contract stub Verschreiben werden sollen, solches aber biß an deren Absterben nicht geschehen, und dahero die Erbs Interessenten deren in Vollkommennheit soutenirt, demnach dieße tertz ane dießer behaußung, zumalen beÿ jetziger Zeitläuffen die häußer in solchen niedrigen preiß abgekommen, um dieße 1000. fl. anzunehmen refusirt, weßwegen auch solches hier nicht geschehen, sondern Zur Künfftigen decision außgesetzt werden.
(W. et T.) Anbeÿ solle annoch ½. viertel Grunds im mittelhaußbergheim bann (…)
(W. et T.) Nicht weniger prætendiren die Erben, daß der Hr Wittiber seinen ererbten ohnvertheilten 3. theil ane der beÿ weÿl. H. Joh: Meÿers gewes geschwornen Chirurgi v. Wundartzt auch burgers allhier seines Vatters seel. Verl. Abtheilung außgesetzten beh. hoff,statt und Kleinen gärtl.
ane der Vorstadt Cronenburg, und deren Grünen bruch (…)
Ergäntzung der Erben ermanglenden unveränderten Guths. Vermög des über beider nun zetrennter Ehepersonen einander in den Ehestand Zugebrachte Nahrungen durch mich Notarium in A° 1743. gefertigten Invm. hat man denen Erben als mangend zu ergäntzen
Wÿdumbs Verfangenschaft. Nehml. es hat Weÿl. Fr. Anna Catharina Huckin gebohrne Fischerin dißorts leibliche mutter herrn Johann Hucken den nunmahligen Weinhändlern v. b. allh. ihrem hinterbliebenen Wittibern in der mit einander auffgerichteten Eheberedung und deren 7.den §° j.m lebenslänglichen Vor Wÿdumb Verordnet. Eine Erblehens Gerechtigkeit oder das dominium utile auff der Würths behaußung bestanden
auff dem alten Weinmarckt ane der Kinder spielgaß (…)
Series rubricarum hujus Inventarÿ. der Erben unverändert Vermögen, Sa. haußraths 81, Sa. leerer vaß 11, Sa. Silber geschmeids 9, Sa. gold. Ring 16, Sa. Pfenningzinß hauptgüter 333, Sa. Schulden 4, Sa. Ergäntzung (1383, davon gehet ab 31, restirt) 1351, Summa summarum 1807 – Schulden 113, Detrahendo verbleibt 1694 lb
Des Wittibers unverändert und theilbar Guth, Sa. haußraths 43, Sa. leere Faß 2 ß, Sa. Silber Geschmeids 13 ß, Sa. Eigenthums ane einer behaußung 800, Summa summarum 844 lb – Schulden 2213, In Compensatione 1368 lb – Stall Summa 326 lb
Zweiffelhaffte Schulden in den Erben unverändert 17, Zweiffelhaffte activa so des h, W. unverändert und theilbar 99 lb
Copia der Eheberedung (…)

Etat des biens qui appartiennent à Frédéric Meyer, chirurgien qui était employé comme compagnon par Adam Schwartz de Dossenheim et qui a disparu depuis dix jours sans qu’on ait de ses nouvelles. Les meubles inventoriés se trouvent dans la maison Grand rue qui appartient désormais à Jean Daniel Würtz (mari de sa nièce)

1757 (14. Christmo.), Not. Greis (Phil. Jacques, 6 E 41, 579) n° 19
Designatio Alles desjenigen was Hr. Friderich Meÿer, der hiesige burger und Chirurgus, deßen Person schon seit dem 4. hujus alhier mangelt, und von deßen jetzigem aufenthalt, ingleichem ob er annoch im Leben oder wie und auf was Ortes etwa verunglücket seÿn, oder sonsten sein Leben eingebußt haben möchte, man bißher nichts gewißes in Erfahrung bringen können, ane Zeitlicher Haab und Nahrung Zurückgelaßen, welches auf seines bruders H. Carl Philipp Meÿers, des ebenmäßigen Chirurgi und H. Johann Daniel Wurtz, des Goldarbeiters beeder burgern allhier gethanen requisition, auf zuvorhin ane dieselb, wie auch Johann Adam Schwartz von Doosenheim, so beÿ dem mangelnden H. Meÿer als barbier gesell in Condition und Ursulam Jonerin von Schlettstatt, so beÿ demselben als Magd in diensten gestanden, (geäugt und gezeigt)

in einer alhier Zu Straßburg ane der obern langen straß gelegenen oberwehntem H Würtz eigenthümlich zuständigen behaußung
In der barbierstub, Auff dem obern Gang, In der Kuchen, In des Gesellen Cammer, In dem Stüblein hinter der barbierstub, Im Keller, Summa 69. lb
Schulden in diese Nahrung Zugeltend 112 lb, Summa summarum 182 lb
Schulden aus der Nahrung zu bezahlend 57 lb, Nach deren Abzug 124 lb

Fils du préposé adjoint à la Grue, l’orfèvre Jean Daniel Würtz épouse en 1751 Marguerite Barbe Vogt, petit-fille de Jean Meyer par sa fille Marie Barbe : contrat de mariage, célébration à Wasselonne
1750 (23. 9.br), Not. Dautel (Fr. Henri, 6 E 41, 285) n° 265
Eheberedung – zwischen dem Wohlvorachtbaren und Kunsterfahrenen Herrn Johann Daniel Wiertzen, dem ledigen Goldarbeiter, weÿl. herrn Johann Daniel Wiertzen geweßenen unter Cran meisters und auch weÿl. Frauen Mariæ Salome gebohrner Flachin beeder Ehepersonen und burgere allhier seel. ehelich erzeugten Sohns, dem herrn Hochzeiter, ane Einem,
So dann der Ehren und tugendgezierten Jungfrauen Margarethæ Barbaræ Vogtin, her, Johann Diebold Vogten, des abweßenden holtzhändlers und burgers allhier mit weÿl. frauen Maria Barbara gebohrner Meÿerin seiner Eheliebstin seel. ehelich erzeugter tochter, als der Jungfer Hochzeiterin ane andern theil
So beschehen allhier zu Straßburg auff Montag den 23. Novembris Anno 1750. In præsentia herrn Johann Christoph Flachen des Kieffers undt Weinhändlers und burgers allhier seines herrn Oncle auff sein des herrn Hochzeiters, So dann herrn Johannes Meÿer des geschwornen Chirurgi und Wundartzts, des hern Groß Vatter und herrn Friderich Meÿers ebenmäßigen Chirurgi und Würtzartzts des Oncle und geschwornen Vogts, beeder burgere allhier auff seith der Jungfer Braut [unterzeichnet] Johann Daniel Würtz als Hochzeuther, margaretha barbara Vögtin als hochzeitherin

Mariage, Wasselonne (luth. f° 144-v) A. 1751. Januarius. Dienst. d. 12. dieses seind nach zweÿmaliger Proclamation in den H. Ehestand eingesegnet worden H. Johann Daniel Würtz burger und Goldarbeiter in Straßburg Weil. H. Johann Daniel Würtz gew. Krahn Meister und burgers Zu Straßburg und auchweil. Fr. Maria Salome geb. Flachin ehelich erzeugter Sohn und Jungfrau Margaretha Barbara weÿl. H. Theobald Vogt gew. burgers und Holtzhändlers in Straßburg mit auch Weÿl. fr: Mariæ Barbaræ geb. Meÿerin hinderlaßene Ehl. tochter [unterzeichnet] Johann Daniel Würtz als hochzeither, Margaretha Barbara Vögtin als hochzeiterin (i 145)
Proclamation, Saint-Nicolas (luth. f° 111) Anno 1751. wurden in der Evangelischen Pfarrkirch Zu St. Nicolai Dom. post Nov. Annum Zum ersten und Dom I. post Epiph. Zum andern mahl proclamirt, und hernach Zu Waßlenheim copulirt Herr Johann Daniel Wurtz der ledige Goldarbeiter und burger allhier, Weÿl. h. Johann Daniel Wurtz geweßten Cranmeisters vnd burgers allhier hinterlaßener ehel. Sohn, Und Jungfr. Margaretha Barbara Vogtin H. Johann Diebold Vogt des holtzhändlers und burgers allhier ehl. Tochter (i 113)

Les nouveaux mariés font dresser l’inventaire de leurs apports dans une maison rue des Serruriers qui appartient au mari. Ceux du mari s’élèvent à 1868 livres, ceux de la femme à 1 791 livres.
1751 (18.3.), Not. Stoeber l’aîné (6 E 41, 1154) n° 744
Inventarium über des Ehrenvesten und Kunsterfahrenen Herrn Johann Daniel Würtz, des Goldarbeiters und der Viel Ehren und tugendsamen Fr. Margarethä Barbarä Würtzin, gebohrner Vogtin beeder Eheleuthe und burgereren allhier Zu Straßburg einander in den Ehestand zugebrachte Nahrungen auffgerichtet in Anno 1751. – in ihrem ohnlängst angetrettenen Ehestand Zugebracht, Welche der Ursachen, alldieweilen in ihrer vor H. Notario Frantz Heinrich Dautel den 23.ten Novembris des abgewichenen 1750.gsten Jahrs auffgerichteten Eheberedung §° 5° expresse abgeredet und Verglichen, daß einem jeden sein on die Ehe bringende Vermögen ihme und seinen Erben vor ohnverändert Verbleiben solle – So beschehen in fernerem beÿwesen S. T. H. Friderich Meÿes, Chirurgi und burgers allhier der Ehefrauen noch ohnentledigten Curatoris Straßburg Donnerstags den 18.ten Martÿ Anno 1751.

In einer allhier Zu Straßburg ane der Schloßergaß gelegene dem Eheherrn zuständigen behaußung befunden worden wie folgt
Eigenthumn ane einer behaußung (H.) Nembl. j. behaußung und hoffestatt mit allen deroselben begriffen, Weithen, Zugehörden, Rechten und Gerechtig Keiten allhier Zu Straßburg ane der Schloßergaß (…)
Eigenthumb ane einer Behaußung und Holtzplätzen. (F.) Nembl. j. behaußung, gemeinschafft js. ohnvertheilten Hoff ane dem grünen bruch hinter dem bierhauß Zum Sternenberg (…)
Item die abgetheilte helffte 2.r Holtzplätz (…)
Wÿdembs Verfangenschaft Welche Fr. Anna Margaretha Vogtin gebohrne Engelhardin, Weÿland H. Daniel Vogts geweßenen Holtzhändlers und Kirchenpflegers Zum alten St. Peter seel. hinterbliebenen Fr. Wb. lebtägig Zu genießen hat
Die helffte des 12.ten theil vor ohnvertheilt (…)
(f° 13) Antheil ane einer Behaußung (F.) Nembl. ein 12.ter Theil Vor ohnvertheilt Von und ane jr. behaußung, Hoff, hoffstatt, Scheur und Stallung auch allen deren Gebäuen außerhalb des Speÿrthors (…)
Abzug gegenwärtig Inventarium. Des Eheherrn eigenthümlich Vermögen, Sa. haußraths 98, Sa. Werckzeugs Zur goldarbeiter profession gehörig 40, Sa. Silber Geschmeids 13, Sa. Goldener Ring, Jubelen und übrige gemachte Arbeit wie auch Silber und Gold Zur Goldarbeiter profession gehörig 1208, Sa. der baarschafft 20, Sa. Eigenthums ane jr. behausung 2000, Summa summarum 3375 lb – Schulden 1507, Nach deren Abzug 1868 lb
Dießemnach wird auch der Ehefraun in die Ehe gebrachtes gut beschrieben, Sa. hausraths 111, Sa. Silber geschmeids 60, Sa. Goldener Ring 90, Sa. der baarschafft 2, Sa. Pfenningzinß hauptgüter und deren hauptgüther 600, Sa. Eigenthum ane häußern 1062, Sa. activ Schulden 35, Summa summarum 1961 lb – Schulden 170, Nach deren Abzug 1791 lb

Vente de meubles qui avaient appartenu à feu Frédéric Meyer, à la requête des héritiers Helmstætter
1758 (25.7.), Not. Dautel (Fr. Henri, 6 E 41, 262) n° 719
Distractio derer von seithen E. E. Kl. Rhats durch bescheid vom 22. Maÿ A° 1759 weÿl. Frn. Annæ Mariæ Meÿerin geb. Helmstätterin seel. Erben entschlagen und in weÿl. H. Fried. Meÿern geweßenen Chirurgi Verl. gehörig geweßener Effecten

L’orfèvre Jean Daniel Würtz vend la maison au tonnelier François Antoine Gilloth et à sa femme Marie Salomé Nessmann

1767 (5.3.), Chambre des Contrats, vol. 641 /1 f° 129-v
Johann Daniel Würtz der goldarbeiter
in gegensein Franz Antoni Gilloth des kieffers und Maria Salome geb. Neßmännin [unterzeichnet] Giloth
eine behausung, hoff und hoffstatt mit allen gebäuden, begriffen, zugehörden, rechten und gerechtigkeiten ane der obern Langenstraß ohnweit der Alten St. Peter Kirch, einseit neben Jacob Stöß dem hoßenstricker, anderseit neben Johann Grießinger dem schumacher, hinten auff Stifft Alt St. Peter gehörigen haus – um 150 und 50 pfund verhafftet, geschehen um 975 pfund

Fils de tonnelier, François Antoine Gilloth épouse en 1766 Marie Salomé Nessmann, originaire d’Oberschæffolsheim : contrat de mariage auquel est joint un état des apports, célébration
1766 (10.5.), Not. Humbourg (6 E 41, 122)
Mariage – Sr François Antoine Giloth Mr Tonnelier Marchand de Vins Bourgeois de cette ville fils majeur du Sr Jean Adam Giloth, aussi Tonnelier marchand de Vin et De Marie Elisabeth née Moritz
Marie Salomé Nessmann fille majeure de feu Laurent Nessmann, bourgeois Laboureur de Schaeffolsheim dépendance de la Noblesse de la Basse alsace et de défunte Anne Kolapp
Inventarium derjenige Mobilien so Frau Maria Salomé Gilothin des jüngern geb. Neßmännin von Schäffelsheim mit in die ehe gebracht, hausrath 46, 81, 43 und 4, goldene ringe 1, silber 1, baar empfangen 370, antheil behausung 65, summa 613, silber dem ehemann gehörig 24, baarschafft 250, den 5. jan. 1767

Mariage, Saint-Pierre-le-Vieux (cath. p. 211)
Anno domini 1766. (…) joannem franciscum Antonium Giloth vietorem filium Legitimum joannis adami giloth civis et vietoris hujus urbis et mariæ Elisabeth moritz conjugum parochianum meum dimisi ad R. D. Walter parochum in ober Schæffolsheim quatenus per eum matrinomio jungat Elisabethum Maria Salomea nessmann filia Legitima Laurentii nessmann et Annæ Kolap defunctorum conjugum ciuium olim Dicti loci parochiana Sua
quæ partes supraditcæ *lata Sententia factis tribus proclamationibus in schaeffolsheim Et (…) a me Subscripto Sacro matrimonii vinculo in facie ecclesiæ conjuncti fuerunt die 26. currentis mensis et anni (signé) Giloth, Neßman (i 108)

Marie Salomé Nessmann meurt en 1780 en délaissant quatre enfants. L’inventaire est dressé dans une maison faubourg de Cronenbourg. La masse propre aux héritiers s’élève à 1 190 livres. L’actif du veuf et de la communauté s’élève à 828 livres, le passif à 2 246 livres.

1780 (22.4.), Not. Greis (Jean Frédéric 6 E 41, 879) n° 81
Inventarium über Weÿland Fraun Mariæ Salome gebohrner Neßmännin, Herrn Johann Frantz Anthoni Giloth, des Kiefermeisters und burgers allhier zu Straßburg geweßener Ehefraun seelig Verlaßenschafft auffgerichtet Anno 1780 – nach ihrem den 22. Novembris leztverfloßenen 1779.ten Jahrs erfolgten Absterben hinterlaßen hat, welche Verlaßenschafft ad Requisitionem erstgedachten des hinterbliebenen Wittibers, wie auch auf fernerers Ansuchen Herrn Frantz Bronners, des Kiefermeisters und burgers allhier, als geordnet: und geschworenen Vogts Johann Frantz Joseph, Mariä Salome, Annä Mariä und Mariä Magdalenä, der Gilothen, aller Vier der Defunctæ mit vorbenahmßten dem hinterbliebenen Wittiber ehelich erzeugter Kinder und ab intestato zu gleichlingen Antheilen verlaßene Erben (…) Geschehen allhier Zu Straßburg in einer an der Cronenburger Straß gelegen hiehero gehörigen und hernach inventirten behaußung, Sambstags den 22. Aprilis Anno 1780.
Bericht in dießes Inventarium gehörig. Es ist aus erst vorher eingetragener Eheberedung §° 3.tio zu ersehen, daß beder dißortige nub Zetrennte Eheleuth ihr in die Ehe gebrachtes und Wehrend derselben ererbtes Vermögen sich vor unverändert vorbehalten und wegen dem davon abgegangenen die Ergäntzung stipulirt haben diesem Zufolg hätten deri beÿderseitige Illata ordnungsmäßig inventirt werden sollen, welches aber nicht geschehen (…)

(f° 6 v) Eigenthum ane einer behaußung. (W.T.) Nemlich eine Behaußung, Hoff und Hoffstatt mit allen und deren Gebäuden, begriffen, Zugehörden und Gerechtigkeiten, gelegen allhuer Zu Straßburg ane der Vorstadt Cronenburger Straß (…)
(f° 7) Ergäntzung der Kinder und Erben wegen der verstorbenen seel. Wehrend dieser Ehe angegangenen ohnveränderten Guths. (…) So dann hat die Verstorbene wehrender Ehe von ihrer geweßenen Tante Barbara Kolappin Von Schäffolsheim geerbet
(f° 8-v) Series rubricarum hujus Inventarii. Der Erben ohnverändert Vermögen, Sa. hausraths 42 lb, Sa. Silbers 7 ß, Sa. goldenen Rings 16 ß, Sa. Schulden 75 lb, Sa. der Ergäntzung 1071 lb, Summa summarum 1190 lb
Des Wittibers ohnverändertes und das theilbahre Guth, Sa.hausraths 50 lb, Sa. Werckzeugs zur Kiefer Profession gehörig 11 lb, Sa. lähren Faß 5 lb, Sa. Silbers 1 lb, Sa. Eigenthums ane einer behaußung 750 lb, Sa. Schulden 9 lb, Summa summarum 828 lb – Schulden 2246 lb, Compensando 1418 lb – Mehr schulden als Nahrung dem Stall tax nach 228 lb
Contrat de mariage (…) le 10. maÿ 1766 Not. royal Humbourg

Jean François Antoine Gilloth se remarie en 1781 avec Anne Marie Meyer, veuve du tailleur Ferdinand Schnee : contrat de mariage, célébration
1781 (15.2), Not. Roessel (6 E 41, 936) n° 58
Eheberedung – persönlich erschienen Herr Johann Franz Anton Giloth, Wittiber, Kiefermeister, Weinhändler auch burger alhier Zu Straßburg als Hochzeiter, ane einem
so dann Frau Anna Maria geborene Meÿerin Weiland Meister Ferdinand Schnee des geweßenen Schneiders und burgers allhier hinterlaßene Wittib beiständlich Herrn Frantz Bernhard Meÿer Jur. Pract. und hiesigen burgers als Hochzeiterin ane dem andern theil
Straßburg den 16. Februarÿ Anno 1781 [unterzeichnet] Johann frantz Antoni Giloth Als Hochzeiter, x handzeichen fr. Annæ Mariæ Schnee gebohrne Meÿerin der Hochzeiterin

Mariage, Saint-Pierre-le-Vieux (cath. p. 330)
Hodie die 26 Februarii anni 1781 (…) sacro matrimonii vinculo in facie ecclesiæ conjuncti fuerunt Joannes Franciscus Antonius Giloth civus hujas viduus Salomeæ Nessmann parochianus ad S. Marcum hujus Civitatis et Anna Maria Meÿer vidua Ferdinand Schne parochiana nostra (signé) Johann Giloth, sponsæ x (i 172)

Les nouveaux mariés font dresser l’inventaire de leurs apports
1782 (20.2.), Not. Roessel (Jean Georges, 6 E 41, 934) n° 33
Inventarium über H. Frantz Anton Giloth des Kiefermeisters und frauen Annæ Mariæ gebohrner Meÿerin, beeder Eheleuthe und burgere alhier Zu Straßburg einander für ohnverändert in die Ehe gebrachter Nahrungen, auffgerichtet Anno 1782 – welche der ursahen, alweilen in ihrer vor mir Notario unterm 16. febr. 1781. mit einander auffgerichteten Eheberedung expresse enthalten, daß eines jeder Einbringen ohnverändert und reservirt seÿn solle (…) So geschehen in Straßburg, und einer daselbst ane der Vorstadt Cronenburger Straß gelegener dem disortig. Ehemann Zuständiger behaußung auf Mittwoch den 20. Februarÿ Anno 1782., in fernerer Gegenwarth H. Jacob Wilhelm Doldé Jur. Pract. und burgers hieselbst, der Ehefrauen bestands.
Eigenthum ane einer Behaußung (M.) Neml. I. behaußung, höflein und hoffstatt
in der Vorstadt Cronenburger Straß (…)

François Antoine Gilloth et Anne Marie Meyer font dresser l’inventaire de leur actif et de leur passif. La masse propre à la femme s’élève à 403 livres. L’actif du veuf et de la communauté s’élève à 2 568 livres, le passif à 2 677 livres
1782 (23. 9.br), Not. Roessel (Jean Georges, 6 E 41, 923) n° 44
Inventarium über Frantz Anthon Giloth, Kiefer Meisters und Annæ Mariæ gebohrner Meÿerin beeder Eheleuthe und burg. alh. zu Straßburg dermalen besizender Activ Nahrungen und hingegen wieder zu bezahlen habender Passiv Schulden, aufgerichtet Anno 1782 – der ursach halben, aldieweile sich ein Schulden last hervorgethan und die Ehefrau um d. Benef. Cessionis der Ehemann aber pro Benef. fleb. Cession. unterthänig einzukommen und beÿ E. E. Kl. Rath zu imploriren willens sind, inventirt – So geschehen alh. Zu Straßb. und einer daselbst an der Cronenburg. Stras gelegenen hernach beschriebenen behausung in fernerer Gegenwarth M. Philipp Jacob Steinbach Sattlers und hießig. bs. der Ehefr. beistands, Auf Sambstag d. 23. Novembris Anno 1782.

Eigenthum ane einer Behaußung (M.) Neml. I. behaußung, höflein und hoffstatt in der Vorstadt Cronenburger Straß (…)
Series rubricarum hujus Invent. – Copia der Ehebered.
Der Ehefraun ohnveränderte, Nahrung, Sa. haußraths 200, Sa. versetzter Kleÿdungs Posten 22, Sa. Silbers 2, Sa. versetzter Silber Posten 16, Sa. Goldenen Rings 2, Sa. Activ Schulden 100, Sa. Ergäntzung 59, Summa summarum 403 fl.
Diesemnach wird auch das übrig vorhandene Sub una massa & Titulo als des mariti ohnverändert und theilb. beschrieben, Sa. haußraths 150, Sa. Werckzeugs Zur Kiefer Profession gehörig 58, Sa. leerer Faß 53, Sa. Silber Posten 6 ß, Sa. Versetzten Silber Posten 2, Sa. Activ Schulden 103, Ergäntzung 2200, Summa summarum 2568 fl – Schulden 2677 fl, Compensando 109 fl
Copia der Eheberedung (…)

Jean François Antoine Gilloth meurt en 1790 en délaissant trois enfants issus de son premier mariage. La masse propre à la veuve s’élève à 277 livres. L’actif des héritiers et de la communauté s’élève à 3 386 livres, le passif à 5 407 livres.
1790 (1.12.), Not. Greis (Jean Frédéric 6 E 41, 893) n° 511.a
Inventarium über Weiland Johann Frantz Anton Giloth gewesenen Kiefermeisters und burgers alhier Zu Straßburg Verlaßenschaft errichtet Anno 1790. – nach seinem den 26. Novembris jüngst erfolgten an Vermögen hinterlaßen hat, Welche Verlaßenschafft auf Ansuchen Fraun Mariæ Annæ Gilothin gebohrner Meÿerin, der hinterbliebenen Wittib, beiständlich H. Notario Johann Georg Rößels, wie auch auf requisitionem H. Blaise Rondot, des Concierge au Departement alhier, als geordneter und geschworener Vogts des Defuncti mit weiland Fraun Maria Salome gebohrner Neßmännin seiner gewesenen erstern Ehefraun ehelich erzeugten noch lebender dreier kinder namentlich Johann Frantz Joseph, ledigen kiefers, Jungfer Mariæ Salome und Jungfer Annæ Mariæ der Giloth, als sein des defuncti ab intestato zu gleichlingen Antheilern verlassener Erben (…) Geschehen allhier Zu Straßburg in hernach inventirter ane der Cronenburger Stras gelegenen behausung, angefangen Mittwoch den 1. Decembris im Jahr 1790.

Werckzeug Zum Liefer handwerck gehörig (…)
Eigentum ane einer behausung. (E.T.) Nemlich eine Behausung, Höflein und Hoffstatt samt allen deroselben Begriffen, Weithen, Zugehörden, Rechten und Gerechtigkeiten gelegen alhier zu Straßburg ane der Vorstadt Kronenbugerstraß (…)
Series rubricarum hujus Inventarii. Der Wittib unverändert vermögen,Sa. hausraths 68, Sa. Silber geschmeids 9, Sa. goldene Rings 2, Sa. Activ schuld 100, Sa. der Ergäntzung 96, Summa summarum 277 fl.
Diesemnach wird auch der Erben unverändert und das theilbare Gut beschrieben, Sa. hausraths 269, Sa. der Wein und leerer faß 28, Sa. Werckzeug zum Kiefer handwerck gehörig 32, Sa. des Eigentuls en einer behausung 3000, Sa. Schulden 56, Summa summarum 3386 fl – Schulden 5407 fl, compensando 2021 fl
Endlicher Passiv recess 1743 fl.
Copia der Eheberedung (…) den 16. Februarÿ 1781, Roessel, Notarius

Jean François Antoine Gilloth expose la maison aux enchères. Le dernier enchérisseur est le maître maçon Bernard Rottler

1771 (1 et 8.7.), Not. Anrich (6 E 41, 1519) n° 89
Versteigerung der hrn Johann Franz Antoni Giloth dem kieffer und Weinhändler
nach besag einers in allhiesigen Cantzleÿ Contract stub gefertigten Kaufbrieffs de dato 5. martÿ 1767 eigenthümlich zuständigen ane der obern langen straß ohnweit der alten St Peter kirch gelegenen behausung, hoff und hoffstatt mit allen deren gebäuden, begriffen, weithen, zugehörden, rechten und gerechtigkeiten, einseit neben Johann Michael Mähnen des meelmann zum grünen fäßlein genannter behaußung anderseit neben Johannes Grießinger dem schuhmacher hinten auf ein dem Stift alten St. Peter gehöriges hauß, 1450 fl, in deßen hrn Vatters hrn Johann Adam Giloth auch ane der obern straß gegen der hahnen gaß hinüber gelegenen behausung, ausgeruffen 2600 fl.
den 8. Julÿ durch hrn Frantz Bernhard einen dießer Statt geschwornen Kauffler um den Von hrn bernhard Rottler dem Maurermeister 2620 gulden. den 15 hujus weiter hinausgesetzet

Jean François Antoine Gilloth et Marie Salomé Nessmann vendent la maison 1300 livres au marchand de vins Jean Ehrenholtz

1772 (6.7.), Chambre des Contrats, vol. 646 n° 342
Johann Franz Antoni Giloth der kieffer und Maria Salome geb. Neßmännin
in gegensein H. Johann Erlenholtz des weinhändlers
eine behausung, hoff, gompbronnen und hoffstatt mit allen deren gebäuden, begriffen, weithen, zugehörden, rechten und gerechtigkeiten ane dem obern Langen straß ohnweit der Alten St Peter kirch, einseit neben Michel Möhr dem meelmann, anderseit neben Johann Grißinger dem schuhmacher, hinten auff besagten Stifft Jungen St. Peter zuständigen behausung – alß eine von weÿl. H. Johann Daniel Würtz dem goldarbeiter vermög kaufcontract de dato 5. Martÿ 1767 erkauffte behausung – um 2600 gulden

Fils d’aubergiste, l’aubergiste Jean Ehrlenholtz épouse en 1769 Anne Ursule Dietsch, fille d’un drapier de Barr : contrat de mariage, célébration. Le père cède à son fils l’auberge à l’enseigne du Cep de Vigne lors du contrat de mariage
1769 (16.8.), Not. Dautel (Fr. Henri, 6 E 41, 286) n° 553
(Eheberedung) zwischen dem Wohl Ehrenachtbaren herrn Johannes Erlenholtz dem ledigen Gastgeber, herrn Johannes Erlenholtz des Gastgebers und frauen Jacobeæ gebohrner Stempelin burgere in Straßburg ehelich erzeugtem Sohn
so dann der Ehren und tugendsahmen Jungfrauen Annæ Ursulæ Dietschin, weÿl. herrn Johann Georg Dietschen, geweßenen Thuchmachers und burgers in barr, Straßburgischer herrschafft seeligen mit frauen Catharina gebohrner Kleinmännin so nunmehr an herrn Niclaus Dietschen, dem Schwartz und Schönfärbers auch burgern zu gedachtem barr Verheurathel, ehelich erzeugter tochter in Barr

Sechstens, erklären sich des herrn Hochzeiters geliebten Eltern und sonderlich die frau mutter ihre eigenthümliche Gast behaußung mit allen deren zugehörden, begriffen, rechten und gerechtigkeiten gelegen allhier zu Straßburg ane dem baarfüßer platz und dem sogenanden rubenloch gäßlein, zum Weinstock genand, wavon man biß her 3 pfund 12 schilling der Stadt Straßburg Pfenningthurn gegeben harn und zum theil nich giebet, beneben dem in gedachtem rubenloch gäßlein ohnfern gegen über liegenden hinder hauß, dero herrn Sohn als Hochzeitern und der Junfer braut als lang Sie beede Eltern im leben seÿn werden oder da dero herrn Sohn vor seiner Jungfer braut, es seÿe mit oder ohne Verlaßung Kinder Vor ihnen Eltern verstürben, Ihro der Jungfer braut und als dennigen wittib nun einen jährlichen zinß von 300 Gulden hießig current hiemit dergestalten im Lehnung verschrieben zu haben und so gleich nach beschehener Copulation abzutretten

Mariage, Saint-Thomas (luth. f° 206 n° 915)
Im Jahr 1770, dienstag den 13. Februarÿ sind nach zweÿmahliger ordentlicher Proclamation und Außruffung (…) ehelich copulirt und eingesegnet worden Herr Johannes Ehrlenholtz, der ledige gastgeber und burger allhier, Herrn Johannes Ehrlenholtz, des gastgebers und burgers allhier ehelicher sohn, und Jungfrau Anna Ursula Dietschin, weiland Johann Georg Dietsch gewesenen wollenwebers und burgers in Barr hinterlassene eheliche Tochter

Les nouveaux mariés font dresser l’inventaire de leurs apports. Ceux du mari s’élèvent à 1 996 livres, ceux de la femme à 442 livres.
1770 (12.3.), Not. Dautel (Fr. Henri, 6 E 41, 274) n° 1188
Inventarium und beschreibung aller derjenigen Haab Nahrung und Güthere, Keinerleÿ davon ausgenommen, so der Wohl Ehrenachtbare herr Johannes Ehrlenholtz, der Gastgeber zum Weinstock und die Ehren und tugend same Frau Anna Usula gebohrne Dietschin, beede Ehepersohnen und burgere allhier einander in den Ehestand zugebracht und sich crafft der mit einander aufgerichteten Eheberedung §° 4° vor unverändert vorbehalten haben – die Ehefrau mit assistentz des Ehrengeachten herrn Niclaus Dietsch des Schwartz und Schönfärbers und burgers in barr der Ehefrauen Stieffvatters – So geschehen allhier zu Straßburg auf Montag den 12.ten Martÿ 1770.

In einer allhier zu Straßburg ane dem baarfüßer platz gelegenen Zum Weinstock genandten Gast behaußung folgender maßen sich befunden
Series rubricarum hujus Inventarÿ, des Ehehern unveränderte Nahrung betreffend, Sa. hausraths 205, Sa. silber geschirr und geschmeids 26, Sa. Goldener Ring 40, Sa. baarschafft 1524, Summa summarum 1797 lb, haussteuren 198 lb, (Summa) 1996 lb
der Ehefrauen ihr Zugebracht Vermögen, Sa. hausraths 147, Sa. silber geschirr und Geschmeids 26, Sa. Goldener Ring 70, Summa summarum 243 lb, Haussteuren 198 (Summa) 442 lb
beeder Ehel. einander Zugebracht guth 2438 lb

Jean Ehrlenholtz qui a appris le métier d’aubergiste auprès de son père devient tributaire chez les Fribourgeois. Le conseil le renvoie aux Quinze pour obtenir le droit d’auberge au Cep de Vigne
1770, Protocole de la tribu des Fribourgeois (XI 168)
(f° 390-v) 2.te Gericht de 1770. Donnerstag den 5. mensis Aprilis in Anno 1770 – Neuzünfftiger
Hr Johannes Ehrlenholtz Junior, der Künfftige Würth undt Gastgeber Zum Weinstockh vnd burger Zu Straßburg, Herrn Johannes Ehrlenholtz Senioris auch geweßenen Würths vndt Gastgebers allda ehelich erzeugten Sohns, Ist dato wegen producirten den 15. deß Monaths Januarÿ datirten Statt Stall Schein wie auch Extractu Gerichts Protocolli wegen nach Ordnung Krafft Articul vom 17. Septembris 1746. Paragrapho 4.to beÿ vorgemeldtem Seinem Vatter Erlerter profession der Würtschafft Undt weilen Er auch nachgehendts der Würthschafft auch Zum theil ausserhalb vnd in der Frembde der profession deß Kochens obgelernt auff deßelben geschehenes Ansuchen alß ein Würth Leibzünfftig angenommen Mithin Ihme das völlige Zunfft: undt würths Recht Und Zwar alß einer, so derhalben alle Nöthige præsandi præstiret gehabt, gegen Erlag der 7. lb d mit Einbegriff deß protocoll: vndt Stubengeldts pro hoc anno wie auch 1 lb 15 ß d vor den Lehr Brieff sambt der Zunfft gebühr hiervon conferiret Jedoch aber auch wegen Erlangung deß Weinschancks inn dem Vor: ermeldten Würths hauß Zum Weinstockh ahne S.T. Unßere Gnädige Herren Verwießen worden. dedit et juravit eodem auff die ordnung

Ursule Dietsch devient bourgeoise par son mari : inscription au registre, traitement de la demande
1770, Livre de bourgeoisie 1769-1777 (VI 286) p. 19
Mar. Ursula Dietschin von barr geb. erhalt das burgerrecht von ihrem Ehemann Johannes Ehrlenholtz gastgeber und burgern allhier um den alten burger schilling, Will dienen beÿ E.E. Zunfft d. freÿburger, prom. eod.

(VI 286 bis, p. 74) N° 11 den 27.ten aug. 1770. Freÿburger
Jgfr. Anna Ursula Joh: Georg Dietsch deß burgers und wollenwebers zu barr eheliche tochter Verlobt an Johannes Ehrlenholtz den burger und gastgeber alhier, Erweißet durch scheine ihro eheliche geburt, Augsb. Conf. und deß Sponsi stall gebühr richtigkeit.
500 fl. baar geld hat Implorantin Vorgewießen und den aÿd deß Eigenthumbs abgelegt auch 100 fl. nach ordnung beÿ dem burger prothololl deponirt
Bittet a Sponso umb den alten burger schilling die auffnahm in das hießige burgerrecht
A. b. sch.

Anne Ursule Dietsch meurt en 1803 en délaissant trois enfants ou leurs représentants. L’inventaire est dressé dans la maison place d’armes

1804 (26 germinal 12), Strasbourg 3 (27), Not. Übersaal n° 822, 2417
Inventarium über Fr. Anna Ursula Ehrlenholtz geb. Dietsch des burgers Johannes Ehrlenholtz Güterbesitzers Fr. Eheliebste vermögens Nachlassenschaft, nach ihrem den 3. frimaire 12 erfolgten absterben
die Verstorbene Fr. Ehrlenholtz hat ab intestato zu ihren Erben hinterlassen die mit dem Wittwer erzeugte beÿde töchter mit der wittib Fr. Catharina Margaretha geb. Ehrlenholtz erstmals des weÿl. Johann Ehrlenholtz Sattlers Ehegattin und nachmals des weÿl. burgers Johann Christian Höltzler ebenmäßigen Sattlers hinterbliebenen Wittib welche den 24. thermidor 11 gestorben 1) Catharina Margaretha Ehrlenholtz so ohngefähr 12 Jahr alt, 2) Charlottam Sophiam ohngefähr 8 Jahr alt, 3) Fridericam Charlottam Höltzler ihres Alters 3 Jahr.
Nota In zwoter Ehe hat dieselbe ein Söhlein Namens Christian Höltzler erzeuget welches aber den 14. brumaire 12 mithin nach der Mutter aber vor seiner großmutter gestorben ist, dieser Enckel natürlicher Vogt ist Johannes Ehrlenholtz deroselben großvater ihr subrogirtes Vogt aber Jakob Martin Lutz Glaser
II. Fr. Susannam Catharinam geb. Ehrlenholtz des burgers Johann Daniel Stromeyer handelsmanns Eheliebste
III. Jfr. Catharinam Louisam Ehrlenholtz so geb. den 25. Augusti 1785 dermalen in das 19 jahr ihres Alters gehet

in einer an dem Waffenplatz gelegenen von dem Wittwer bewohnenden behausung N° 12
Ergäntzung, (lauth) Inventarium illatorum Not. Dautel am 12 martÿ 1770
Ergäntzung des Wittwers 9260 fr, passiva 600 fr, Nach deren Abzug 8660 fr
der Erben unveränderte Gut, Kleidung 644 fr, Activ schulden 600 fr, Ergäntzung 12 267 fr, abzuziehen 802 fr, Nach deren Abzug 11.465 fr, summa summarum 12.709 fr
Theilbare Massa oder Errungenschafft, hausrath 4371 fr, Früchte 672 fr, Wein und Faesser 5461 fr, Silber 2447 fr, baarschafft 3061 fr, Angelegte Capitalien 103.041 fr
Eigenthum an häusern so theilbar. Erstlichen eine behausung samt allen Gebäuden, Zugehörden und Rechten an dem Waffenplatz N° 12 einseit neben bu. Bößwillwald Knopffmacher anderseit formiert dieselbe das Eck des Pfahlgäßleins hinten auf die Gastbehausung zum Einhorn so dem bürger Kiefer Gastgeber gehörig, 18.000 francken
Und eine behausung samt zugehörden und Rechten gelegen zu Barr, 8000 francken
summa häusern 26.000 fr
Liegende güther Barrer banns, Mittelbergheimer Banns, Heiligensteiner banns, Wanzenauer banns, In dem bann Bossendorf, Eschau, Morschweiler, Hiltzheim, Niederschäffolsheim, Minversheim, Straßburg, Gimbrett, Geispolsheim, Hindisheim, Wittisheim 58.128 fr, Summa summarum 203.182 fr, passiva 26.726 fr, Nach deren abzug 176 456 fr
Eheberedung Not. Dautel am 16. aug. 1769 (…) Copia des fernern Ehe: Contracts vor unterschr. Notario den 22. nivos 10
Enregistrement de Strasbourg, acp 91 F° 34-v du 27 ger 12

Jean Ehrenholtz meurt en 1807 en délaissant pour seuls héritiers ses deux filles ou leurs représentants

1807 (24.2.), Strasbourg 10 (19), Not. Zimmer n° 348, 3066 (6340)
Inventaire de la succession de Jean Ehrenholtz décédé le 27 octobre dernier – à la requête de Catherine Susanne Ehrenholtz épouse de M Jean Daniel Stromeyer Propriétaire héritière pour moitié
les seuls et uniques héritiers 1. les trois enfants et héritières mineures délaissées par Catherine Marguerite née Ehrenholtz fille du défunt veuve en premières noces de Jean Ehrenholtz et en dernier lieu épouse de Jean Chrétien Hoeltzer les deux selliers a) Catherine Marguerite Ehrenholtz, b) Charlotte Sophie Ehrenholtz, c) Frédérique Charlotte – tuteur ordinaire Jean Daniel Ehrenholtz négociant, subrogé tuteur Jean Martin Lutz vitrier – Codicille, Me Übersaal 16 prairial 13

dans la maison mortuaire place d’armes N° 12
propres du défunt, garde robe 886 fr, meubles 6166 fr, argenterie 4661 fr, vins 9185 fr, grains numéraire 56.107 fr, déduire sommes placées 19.700 fr, reste 36.407 fr, créances hypothécaires bonnes 69.925 fr, douteuses 16.615 fr, créances chirographaires bonnes 6274 fr, douteuses 6889 fr
Maisons a Strasbourg – Premièrement une maison avec cour puits appartenances et dépendances sise a Strasbourg rue de l’outre N° 10, d’un côté celle du Sr Heckel tailleur, d’autre celle du Sr Saltzmann cordonnier, derrière M Storck Luthier – louée jusqu’au 25 mars 1808 au Sr Jean Baptiste Bontems menuisier pour 400 fr, A l’appuy de la propriété a) contrat de vente signé par Beguin greffier du petit sénat, que ladite maison a été expropriée devant la Chambre des Subhastations sur Jean Jacques Larouette tailleur et Eve Dorothée Knoderer et que dans cette expropriation le pere du défunt est devenu propriétaire, b) bail ssp audit Bontems 10 pluviose 13
Plus une auberge et dépendances ayant pour enseigne le Cep de vigne sise a Strasbourg vieux marché aux grains n° 24 a côté de la boulangerie a l’Ecrevisse faisant le coin de la place d’armes et de la ruelle dite Rubenlochgässelin dans laquelle elle a une issue – louée à Jean Michel Müntzer aubergiste et Catherine Madeleine Bédicam pour 6 années qui finiront le 24 juin 1809 pour 1382 francs suivant bail reçu Me Übersaal le 15 germinal 11, A l’appuy de la propriété a) contrat de vente du 15 nov. 1635 par lequel Laurent Roser tonnelier comme tuteur des enfants de Nicolas Welt aubergiste a vendu la maison à Jean Hammerer boucher, b) contrat de vente du 8 février 1658 par lequel Jean Fronhöffer aubergiste a acquis la maison des enfants du Sr Hammerer, c) contrat de vente 10 juillet 1697 par lequel Jean Wittmar passementier curateur aux enfants d’Ursule Fronhöffer femme Dietsch a vendu la moitié par indivis de ladite auberge à Jean Fronhöffer déjà propriétaire de l’autre moitié, d) contrat de vente du 30 mars 1709 que Jean Jacques Stempel aubergiste a acquis la propriété dudit Jean Fronhöffer – Nota. Ladite maison doit avoir été acquise par le père du défunt et être échue du défunt comme son seul et unique héritier, Mais il ne s’est trouvé ni contrat ni Inventaire de la succession
Plus une maison et dépendances sise a Strasbourg rue de la Soupe a l’eau N° 51, d’un côté celle de la veuve Hess, d’autre le Sr Duclot maçon, derrière la caserne – occupée par le Sr Stemmer cordier pour 72 francs et la veuve Michel pour 60 francs, ensemble 132 francs – Contrat de vente à la Chambre des Contrats le 5 oct. 1734 par lequel ladite maison a été vendue à Jean Geofroi Stahl tailleur d’habits à Marie Ursule Klencker sa femme, le 27 octobre 1740 les conjoints Stahl ont transmis la propriété à Anne Marie Roos veuve Kilian – Nota. ladite maison doit aussi avoir été acquise par le pere du défunt et être échue a ce dernier comme son seul et unique héritier
Plus une maison et dépendances sise à Strasbourg grand rue N° 90, d’un côté celle du Sr Galomme rentier, d’autre celle du Sr Nortz propriétaire, derrière une maison dépendante de la paroisse de St Pierre le Vieux, de laquelle maison les parties déclarent être occupées par 1. le Sr Trenner fourbisseur pour 168 francs, 2. le Sr Sollinger cordonnier pour 136 francs, 3. le Sr Zahn fondeur pour 120 francs, 4. le Sr Hoffmann cordonnier pour 96 francs, ensemble 520 francs, A l’appuy de la propriété a) Contrats de vente de mai 1584, juillet 1532, aout 1533, mars 1580 et aout 1547, b) Chambre des Contrats 5 mars 1767 Jean François Antoine Gillioth tonnelier et Marie Salomé Nessmann sont devenus propriétaire de ladite maison, c) contrat de vente du 6 juil. 1772 les conjoints Gillioth ont transporté la propriété au père du défunt
Plus 13/24 ou 26/48 par indivis dans une maison et dépendances sise à Strasbourg place d’armes n° 12, d’un côté du Sr Boeswillwald fabricant de boutons, d’autre faisant le coin de la ruelle du poteau, derrière l’auberge a la licorne, occupée par M. Vivet pour 400 francs, Loeb Weil pour 300 francs, le défunt pour 300 francs, total 1000 francs, la portion 541 francs – acquis de Jean André Zeyss Aubergiste et Anne Marie Hebenstreit pendant le mariage de feue son épouse Anne Ursule Dietsch Chambre des Contrats le 6 mai 1788 – la moitié ou 20/48 appartenant au défunt comme ayant été commun en biens avec la défunte et 1/24 ou 2/48 héritier pour un quart de la succession de Catherine Louise Ehrenholtz sa fille, 26/48, Quant aux 11/24, 8/24 échus à la De Stromeyer faisant son tiers dans la succession maternelle et 3/48 de la succession de sa sœur et auxdites héritieres mineures par représentation de leur mère (idem)
Biens fonds au ban de Strasbourg 13/24 dans un jardin de la contenance d’environ 10 ares ou un demi arpent hors la porte des Bouchers dite d’Austerlitz sur la gauche de la chaussée du Rhin N° 26 cultivent les héritiers Helmstetter d’autre communal donnant devant sur la chaussée derrière le communal, lequel jardin dont le domaine direct appartient a la ville de Strasbourg, grevé d’une rente emphythéotique de 4 francs par an, jouissance évaluée à 48 francs par an faisant pour les 13/24 26 francs, les 11/24 dévolus auxdites héritières, À lappui de la propriété dudit jardin a) contrat de vente reçu Me Dinckel le 21 frimaire 6 suivant lequel Georges Frédéric Fettich secrétaire en chef de l’hospice de cette ville a vendu le domaine util dudit jardin à Jean Michel Zeitler marchand et Anne Marie Huntzinger, Me Übersaal 11 frimaire 7, les conjoints Ehrlenholtz ont acquis des conjoints Zeitler
corps de biens à Altenheim, Wantzenau, Minversheim, Wittisheim, Niederschaeffolsheim, Bosendorf, Hilsenheim, Eschau, Morschwiller
rentes emphythéotiques et censitiques à Geispolsheim et Blaesheim, Hindisheim, Gimbrett
créances hypothécaires bonnes 72.703 fr, grains, numéraire 36.407 fr, remboursements 71.642 fr, créances hypothécaires 36.829 fr
masse à Barr, inventaire Me Schwind du 8 décembre 1806 – mobilier 3995 fr, Immeubles à Barr, Mittelbergheim, Heiligenstein, Gertweiler
passif 66.560 fr
succession de Catherine Louise Ehrlenholtz 19.777 fr, garde robe bijoux 2536 fr
Récapitulation, total général de la succession paternelle 102.550 fr (registre de vente) – annexé acte du 28 avril 1814 Compte de gestion
Enregistrement de Strasbourg, acp 102 f° 32 du 5.3.

Les héritiers Ehrlenholtz vendent différents immeubles. Le rapport des experts est annexé au cahier des charges. La maison Grand rue revient à la cohéritière Catherine Marguerite Ehrenholtz femme de Jean Louis Steiner

1815 (20.1.), Strasbourg 10 (59), Not. Zimmer
N° 4128 Cahier des charges (eneg. f° 81 du 22 février 1815) 1. Susanne Catherine née Ehrlenholtz épouse de Jean Daniel Stromeyer, 2. ledit Jean Daniel Stromeyer tuteur ordinaire de Frédérique Charlotte Hoeltzler fille mineure de Catherine Marguerite née Ehrlenholtz sa mère issue du mariage en secondes noces de Jean Chrétien Holtzler sellier, 3. Nicolas Dietsch subrogé tuteur de ladite mineure Hoeltzler, 4. Catherine Marguerite Ehrlenholtz épouse de Jean Louis Steiner commissionnaire de roulage, 5. Charlotte Sophie Ehrlenholtz fille mineure de la De Ehrlenholtz en premières noces de Jean Ehrlenholtz sellier épouse mineure émancipée par le mariage avec Chrétien Charles Steiner négociant, 6. Jean Louis Steiner curateur établi à l’émancipation de la De Charles Steiner, seuls et uniques héritiers de Jean Ehrlenholtz leur père et ayeul respectif, la De Stromeyer pour moitié, les De Steiner et Hoeltzler par représentation de leur mère pour l’autre moitié. inventaire dressé par Me Zimmer le 24 février 1807, jugement de tribunal de première instance du 7 avril 1814, rapport d’experts du 14 juin et jugement du 21 juin
Déclaration de command, la maison rue de l’Outre pour 10.100 fr à Georges Kieffer marchand d’eaux minérales, le 2 mai n° 6841 (f° 193 du 2.5.)
Déclaration de command, la maison Grand Rue pour 8500 fr à Catherine Marguerite Ehrenholtz femme de Jean Louis Steiner du 2 mai n° 6842 (f° 194 du 2.5.)
Désignation sommaire des immeubles à vendre. 1. une maison avec cour, pompe, droits, appartenances et dépendances sise à Strasbourg Grand rue n° 90, d’un côté la maison du Sr Haas farinier, d’autre celle du Sr Nortz propriétaire, derrière une maison dépendant de la paroisse de St Pierre le Vieux, estimée 6000 francs
2. une maison avec droits appartenances et dépendances sise à Strasbourg rue de la Soupe à l’Eau n° 51, entre la maison du Sr Haas et celle du Sr Duclos, derrière la Caserne de la Finckmatt, estimée 1500 francs
3. une maison avec cour, puits, droits, appartenances et dépendances sise rue de l’Outre n° 10, d’un côté la maison de la veuve Heckel, d’autre Sr Saltzmann, derrière propriété du Sr Storck luthier, estimée 6200 francs
4. et un jardin avec petite gloriette de la contenance de 1113 mètres carrés plantés d’arbres fruitiers entourée d’une haie vive hors la porte des bouchers dite d’Austerlitz sur la gauche de la chaussée du Rhin n° 32, d’un côté n° 26 cultivent les héritiers Helmstetter d’autre communal devant la chaussée derrière le communal estimée 550 fr
Titres de propriété, la maison grand rue est échue aux vendeurs dans la succession du Sr Ehrlenholtz leur père auquel elle est avenue dans la succession de feu son père du même nom, suivant inventaire dans lequel sont relatés à l’appui de la propriété de ladite maison a) cinq contrats de vente de mai 1524, juillet 1532, août 1533, mars 1580, et août 1547, b) Chambre des Contrats le 5 mars 1777 par lequel François Antoine Gilloth tonnelier et Marie Salomé Nessmann sont devenus propriétaires de cette maison, c) Chambre des Contrats le 6 juillrt 1772 les conjoints Gilloth ont cédé la maison au père du défunt Ehrlenholtz
La maison rue de la Soupe à l’Eau n° 51 échue dans la succession du Sr Ehrlenholtz leur père qui le tenait du chef de son père, 1. vente à la Chambre des Contrats le 5 octobre 1734 vendu à Jean Geofroi Stahl tailleur et Marie Ursule Klenckner, 2. le 27 octobre 1740 le Sr Stahl a transmis ledit immeuble à Anne Marie Roos veuve Kilian, Il était affecté sur ladite maison une rente foncière de 4 francs dont les héritieres Ehrlenholtz ont été déchargées suivant déclaration de M le maire de cette ville le 24 décembre 1814
La maison rue de l’Outre n° 10 est avenue aux vendeurs dans la succession de son père, à l’appui, expropriation à la Chambre des Subhastations sur Jean Jacques Larouette tailleur et Eve Dorothée Knoderer le 6 juin 1775
Le jardin, 13/24 appartiennent aux héritiers du chef de leur père et ayeul respectif et 11/24 chef de feue Anne Ursule Dietsch épouse Ehrlenholtz leur mère et ayeule et Catherine Louise Ehrlenholtz leur sœur suivant inventaire susallégue et celui de la succession d’Anne Ursule Dietsch reçu Me Ubersaal le 26 germinal 12. Il existe encore à l’appui de la propriété 1. Me Dinckel 21 frimaire 6, Georges Frédéric Fettich secrétaire en chef de l’hospice de cette ville a vendu le domaine utile dudit jardin à Jean Michel Zeitler marchand et Anne Marie Huntzinger, 2. Suivant contrat reçu Me Übersaal le 11 frimaire 7 Ehrlenholtz acquis des conjoints Zeitler, 3. plan levé par M Petin inspecteur des Ponts et Chaussées d’Alsace le 29 avril 1789 enreg. 9 fev. 1815, 4. rachat de rente emphythéotique délivré par M le maire le 24 dec. dernier
adjudication préparatoire n° 6802 du 10 avril – adjudication du 28 avril n° 6835 la maison rue de la Soupe à l’Eau et jardin sans amateur (enreg. f° 193 du 2.5.)
Adjudication définitive du 1 mai n° 6840 des maisons grand rue et rue de l’outre
la maison grand rue De Stromeyer 8500 fr
rue de l’Outre, De Stromeyer 10.100 fr (enreg. f° 193 du 2.5.)
Rapport d’experts du 14. juin 1814, Frédéric Arnold, Michel Gruber, Jacques Stotz les trois architectes – la maison sise grand’rue n° 90, 1. cet immeuble consiste en un bâtiment donnant sur la rue à rez de chaussée et deux étages en maçonnerie avec cave voutée le tout terminé d’un comble uni, D’un pavillon situé a droite dans une petite cour à rez de chaussée et deux étages en galendures terminé par un mi toit, Et d’un bâtiment de fond à rez de chaussée et deux étages terminé par un comble uni. La facade de ce bâtiment est en galendure le pignon du fond donne contre une ruelle, La maison de devant contient au rez de chaussée un vestibule, deux chambres et une cuisine au premier et second étage se trouve dans chacun deux chambres et une petite cuisine. Le Pavillon contient au rez de chaussée une petite chambre et une buanderie le premier et le second étage forme cage d’escalier et galerie couverte. La maison de fond est distribuée au rez de chaussée en bûcher, latrines et petite chambre. Le premier étage contient une chambre avec une cuisine le second étage ne contient qu’une chambre, estimée 6000 francs, les tenants et les aboutissants sont la maison du Sr Haas d’autre celle du Sr Nortz au fond un egoût entre une maison appartenant à la paroisse St Pierre le vieux
2. maison sise rue de la Soupe à l’Eau n° 51. Cet immeuble situé d’un côté la maison de le veuve Hess d’autre le Sr Duclos et au fond sur la caserne de la Finckmatt est construit à rez de chaussée et premier étage en galendure terminé par un comble uni. Le rez de chaussée contient vestibule et cuisine avec deux chambres. Le premier étage a la même distribution 1500 francs
3. maison sise rue de l’Outre n° 10. Cet immeuble est contigu d’un côté à la veuve Heckel d’autre celle du Sr Saltzmann au fond celle du Sr Storck luthier, la maison donnant sur la rue est construite a rez de chaussée et premier étage en maçonnerie avec cave voutée et comble uni. D’une petite cour avec un Pavillon a gauche a rez de chaussée et premier étage en galendure terminé d’un mi toit, D’une maison du fond à rez de chaussée et un étage en maçonnerie couvert d’un mitoit. Le rez de chaussée de la maison principale contient vestibule et deux chambres. Et au grenier une chambre militaire. Le pavillon construit en galendure contient au rez de chaussée cage d’escalier cuisine et buanderie au premier étage cage d’escalier cuisine et chambre. La maison du fond contient au rez de chaussée bucher et latrines et au premier étage une chambre, estimée 6200 francs
N° 4, maison sise place d’armes n° 12, Cet immeuble est contigû d’un côté à la maison de feu Sr Boeswilwald d’autre ruelle du poteau et au fond sur la cour du cabaret à la licorne. Il consiste en une maison donnant sur le place d’armes à rez de chaussée et deux étages en maçonnerie avec cave solivée le tout terminé d’un comble uni, D’un pavillon à droite dans la petite cour à rez de chaussée et deux étages en galendure terminé par une mansarde et mi toit et D’une maison de fond à rez de chaussée et deux étages en maçonnerie terminée d’une mansarde et comble uni cette maison prend la communication de la maison de devant par le moyen d’une galerie en dalles avec grillage en fer. La maison de devant est distribuée au rez de chaussée en trois chambres avec vestibule. Au premier étage trois chambres avec vestibule et cuisine. Au second étage la même distribution. Le premier grenier est distribué en trois chambres. Le pavillon contient au rez de chaussée une chambre et l’escalier. Au premier et second étage la cage d’escalier. La maison de fond contient au rez de chaussée buanderie, magasin aux bois et Latrines. Au premier étage trois chambres et latrines. Au second étage deux chambres et latrines. Et aux mansardes trois chambres, estimée 28 000 francs
5. Jardin sis hors la porte des Bouchers. Ce jardin est enclavé de biens communaux est est entouré d’une haie vive avec une petite gloriette de la longueur de 3 m 34 cm 4 mm sur 2 m 34 cm 4 mm de largeur. Le terrain total de contient 1113 m quarrés il est planté d’arbres fruitiers, estimé 550 francs

Originaire de Ribeauvillé, le négociant Jean Louis Steiner épouse Catherine Marguerite Ehrlenholtz en 1809
1809 (18.11.), Strasbourg 10 (32), Not. Zimmer n° 429, 4210
Contrat de mariage – Mr Jean Louis Steiner Négociant demeurant à Strasbourg né à Ribeauvillé département du Haut Rhin le 27. juil. 1785 du Sr Jean Louis Steiner propriétaire et de De Caroline Finck
Mademoseille Catherine Marguerite Ehrlenholtz née à Strasbourg le 27. jan. 1792 de feu Jean Ehrlenholtz, sellier et de feue De Catherine Marguerite née Ehrlenholtz
Enregistrement de Strasbourg, acp 113 f° 130-v du 20.11.

Les locataires Jean Zahn et Marie Catherine Fæller consentent au mariage de leur fils

1820 (8.2.), Strasbourg 9 (anc. cote 41), Me Hickel n° 410
Consentement par Jean Zahn, ciseleur, et Marie Catherine Faeller au mariage que leur fils Jean Zahn ciseleur est intentionné de contracter avec Frédérique Hoffmann fille de feu Geoffoi Hoffmann, imprimeur, et Catherine Nobis, dans la demeure des comparants grand rue n° 90
Enregistrement de Strasbourg, acp 146 F° 52-v du 9.2.

La maison est citée à l’inventaire dressé après la mort de Susanne Catherine Ehrlenholtz femme du négociant Jean Daniel Strohmeyer

1823 (2.1.), Strasbourg 2 (53), Me Weigel sans n°
Inventaire de la succession de Susanne Catherine Ehrlenholtz épouse de Jean Daniel Strohmeyer, négociant, décédée le 26 décembre 1822 – à la requête de I. Bernard Wartmann, négociant, tuteur principal Jean Daniel Strohmeyer, ci devant négociant, privé de ses droits par jugement du Tribunal Civil du 13 avril 1818, II. a) Catherine Marguerite Ehrlenholtz épouse de Jean Louis Steiner, négociant, b) Charlotte Sophie Ehrlenholtz épouse de Chrétien Charles Steiner, négociant à Ribeauvillé, c) Frédéric Schreider, notaire à la résidence de Strasbourg, au nom de son fils mineur Frédéric, seul et unique héritier de Charlotte Frédérique Hoeltzler – les De Strohmeyer, Schreider par représentation de leur mère Catherine Marguerite Ehrlenholtz veuve en premières noces de Jean Ehrlenholtz et en secondes noces de Chrétien Hoeltzler les deux selliers, en présence de Philippe Frédéric Leiter ci devant agent de change tuteur subrogé
Contrat de mariage reçu Übersaal le 4 fructidor 4, testament olographe du 20 septembre 1822 déposé au rang des minutes de Me Weigel le 30 décembre

dans la maison mortuaire grand rue n° 38, dans un appartement au second étage éclairée sur la rue
Meubles. dans une chambre au 1er étage éclairée sur la rue, dans la chambre à côté, dans la cuisine, dans la chambre de derrière au second étage, dans une chambre éclairée sur la rue, dans une chambre au second étage éclairée sur la rue, dans la chambre à côté éclairée sur la rue, dans la chambre de la domestique, dans une chambre au 1er étage donnant sur une ruelle, dans la chambre au troisième étage éclairée sur la, dans un chambre donnant sur le derrière, dans la petite cuisine au troisième étage, au grenier, dans la chambre au linge sale, (nouvelle vacation, au troisième) dans la chambre à côté, au grenier, dans la cave, dans la cave grand rue n° 70 (f° 22 et suiv., dans la campagne de Plobsheim)
Titres et papiers, 9) vente de 4/9 par indivis d’une maison n° 90 Vieux Marché aux Poissons à Jean Daniel Strohmeyer par acte reçu Me Zimmer le 17 brumaire 10 transcrit au bureau des hypothèques volume 5 n° 37, 10) vente des quatre autres 9° de ladite maison devant Me Zimmer le 17 brumaire 10
13) acte passé à la Chambre des Contrats le 5 octobre 1734 relatif à la maison rue de la Soupe à l’Eau n° 51, 14) à la Chambre des Contrats le 27 octobre 1840, rue de la Soupe à l’Eau n° 51
54) acte reçu Dinckel le 20 frimaire 6 (11 décembre 1797) un jardin hors la porte des Bouchers à Jean Michel Zeitler marchand et Marie Huntzinger cette vente ne porte que sur le domaine utile, le domaine direct appartient à la ville de Strasbourg, 55) Me Ubersaal le 11 frimaire 7 les conjoints Zeitler ont vendu le domaine utile du jardin à M Ehrlenholtz, 56) plan dudit jardin dressé par M Petin ingénieur, enreg. le 9 février 1815, 57) quittance par le maire de 91 fr le 24 décembre 1814 d’une rente affectée sur ledit jardin hors la porte des Bouchers enreg. 27 décembre 1814
92) par acte reçu Me Bossenius le 8 novembre 1813 transcrit au bureau des hypothèques volume 94 n° 228 Jean Philippe Rauschenbach marchand de fer et Marie Salomé Weber ont vendu à Jean Daniel Strohmeyer la maison sise à Strasbourg grand rue n° 38, 93) Chambre des Contrats le 22 mai 1786 Marie Madeleine Sommer veuve en secondes noces de Pierre Baillet graissier a vendu à Jean Georges Kamm et Salomé Foettinger la maison désignéd au contrat suscoté, 94) Me Bossenius le 14 floréal 10 (3 mai 1802) Jean Geoffroi Stahl orfèvre ensemble la masse des créanciers de Jean Georges Kamm et son épouse née Foettinger ont vendu à Louis Ignace Chayron officier de santé ladite maison, 95) Me Bossenius le 22 novembre 1806 transcrit au bureau des hypothèques volume 31 n° 1 le Sr Chayron et Marie Marguerite Hausser ont vendu à Jean Philippe Rauschenbach et son épouse née Weber ladite maison et dépendances
immeubles de la communauté à Willgottheim, Donnenheim et Bilwisheim, Plobsheim, Bosselshausen
6. une maison sise à Strasbourg grand rue n° 38, d’un côté M. Lipp boulanger, d’autre M. Endlich, acquise de Jean Philippe Rauschenbach, marchand de fer et Marie Salomé Weber par acte reçu Me Bossenius le 8 novembre 1816 cote 92 pour 12.000 francs
total des immeubles 60.850 fr, total des dettes actives 158.687 fr, passif de la communauté, remploi du à M Strohmeyer 32.735 fr remploi du à la défunte 20.789 fr, passif de la communauté 327.863 fr
propres (f° 112) à Willgottheim, Cosswiller, Souffelweyersheim, Plobsheim, Schlestadt
propre à la défunte, Bossendorf, Mutzenhausen, Schwindratzheim, Morschwiller, Niederschaeffolsheim, Wittisheim, la moitié par indivis d’un petit jardin sur la chaussée du Rhin, la moitié d’une rente à Gimbett, pré à la Wantzenau
VIII. 1) la moitié par indivis d’une maison rue de la Soupe à l’Eau n° 51, d’un côté la veuve Gass d’autre le Sr Duclos, cet immeuble provient de la succession de paternelle et maternelle
2) la moitié par indivis d’une maison grand rue n° 90, d’un côté le Sr Gatomme rentier, d’autre le Sr Nortz, derrière une maison appartenant à la fabrique St Pierre le Vieux, cet immeuble provient des mêmes sources
immeubles de la succession de Ferdinand Strohmeyer son fils, à Willgottheim, Cosswiller, Plobsheim, Soufflenheim, Schlestadt
passif personnel de M Strohmeyer 450 fr
Récapitulation, communauté mobilier 7243 fr, or et argenterie 3986 fr, argent comptant 8065 fr, créances 138.680 fr, créances douteuses 20.006 fr, immeubles de la communauté 60.850 fr, total 238.832 fr, prélèvements 237.863 fr
Enregistrement de Strasbourg, acp 161 F° 19 du 13.1.- vacation du 3.1., acp 166 F° 50-v du 8.1.

Les copropriétaires vendent la maison 7 500 francs au fondeur chaudronnier Georges Heitz

1824 (14.7.), Strasbourg 12 (94), Me Wengler n° 13.560
1. Catherine Marguerite Ehrlenholtz épouse de de Louis Steiner, négociant, 2. Jean Louis Steiner en son nom et lui même mandataire de Chrétien Charles Steiner son frère propriétaire à Ribeauvillé et Charlotte Sophie Ehrlenholtz, 3. Frédéric Schreider, notaire, père et tuteur légal de Frédéric Schreider son fils procréé de Frédérique Charlotte Holtzler
à Georges Heitz, fondeur chaudronnier
une maison à rez de chaussée et deux étages sur le devant, bâtiment de derrière et latéral, petite cour, pompe, caves, grenier, appartenances et dépendances, droits, aisances le tout situé à Strasbourg grand rue n° 90, d’un côté le Sr Nortz tonnelier, d’autre Henri Hass farinier, devant la rue, derrière une maison appartenant à la fabrique de St Pierre le Vieux, plus la chaudière dans la buanderie et les chantiers dans la cave.
La De Steiner et le mineur Schreider ont recueilli la moitié indivise de la succession de Susanne Catherine Ehrlenholtz leur tante et grand tante, femme de Jean Daniel Stromeyer ancien négociant, suivant acte reçu Me Weigel le 2 janvier 1823, La De Steiner et le mineur Schreider avaient recueilli deux tiers de l’autre moitié dans la succession de Jean Ehrlenholtz, propriétaire, leur grand père, suivant inventaire dressé par Me Zimmer le 4 février 1807, enfin le Sr Steiner a acquis le dernier tiers de la moitié par licitation dressée par Me Zimmer le 1 mars 1815, Ledit immeuble appartenait au Sr Ehrlenholtz leur aïeul et bisaïeul de la succession de son père qui l’avait acquise de François Antoine Gilloth, tonnelier, et Marie Salomé Nessmann par vente à la Chambre des Contrats le 6 juillet 1772 – pour 7500 francs
Enregistrement de Strasbourg, acp 169 F° 51-v du 20.7.

Georges Heitz n’est pas mentionné dans le registre de population (cote 600 MW 121, f° 251 sqq, Grande Rue N° 90)
Georges Heitz reconstruit la maison avant qui n’est pas encore terminée lors de l’adjudication par expropriation forcée en 1826. Jean Louis Steiner, précédent propriétaire, se rend adjudicataire

1826 (25.5.), Hypothèque de Strasbourg, Transcription reg. 190, n° 67
Tribunal Civil de Première Instance – vente et adjudication par voie d’expropriation forcée d’une maison sise à Strasbourg grand rue réellement saisie sur Georges Heitz, fondeur chaudronnier. Cahier des charges. Me Gebhard, avoué près le tribunal civil de première instance, déclare que Catherine Marguerite Ehrlenholtz épouse de Jean Louis Steiner, négociant, et Charlotte Sophie Ehrlenholtz épouse de Chrétien Charles Steiner propriétaire à Ribeauvillé, Frédéric Schreider notaire royal père et tuteur légal de Frédéric Schreider son fils mineur procéee avec Frédérique Charlotte Hoeltzel son épouse en premières noces, sont créanciers de Georges Heitz de 175 francs formant les intérêts d’une somme principale de 7000 francs en vertu d’une vente passée devant Me Wengler le 14 juillet 1824
Me Klauhold
Déclaration de command du 5.5. pour Jean Louis Steiner, négociant 5350 fr
Désignation de l’immeuble, une maison sise à Strasbourg grand rue n° 90, d’un côté la maison du Sr Henri Haas farinier n° 89, d’autre celle de David Nortz tonnelier n° 91
La maison de devant est nouvellement construite non achevée et hors d’état d’être habitée, elle consiste en rez de chaussée, trois étages couverts de tuiles construite en pierres, elle prend jour du devant par six croisées sans vitres et sans volets, et dans la cour par trois croisées vitrées. Elle a son entrée de la grande rue par une porte ordinaire et à côté de cette porte elle a une entrée dans la boutique, à droite en entrant dans la cour se trouve l’entrée dans une cave voutée qui est au dessous de la maison de devant, à côté de cette entrée le puits, plus loin la buanderie et en face le bâtiment de derrière à rez de chaussée & deux étages prenant jour par deux croisées vitrées à chaque étage et au rez de chaussée par une croisée sans vitres, ce bâtiment est construit en bois et en pierres et couvert de tuiles, le second étage est occupé par Jean Bruner, charpentier, et sa femme à titre de locataire, le reste de ces bâtiments n’est pas en état d’être habité – mise à prix 600 fr, élection de domicile Me Gebhard grand rue n° 146, fait le 17 décembre 1825
Adjudication préparatoire le 3 mars – Adjudication définitive le 5 mai

Ancien directeur d’assurances, Jean Louis Steiner meurt en 1862 en délaissant trois enfants
1862 (18.12.), Me Grimmer
Inventaire de la communauté de biens qui a existé entre Jean Louis Steiner, ancien directeur d’assurances à Strasbourg, et Catherine Marguerite Erlenholtz sa veuve et de la succession du dit Sr Steiner décédé le 10 décembre 1862
dressé à la requête de 1) la veuve agissant comme commune en biens en vertu de son contrat de mariage reçu Zimmer le 8 novembre 1809, 2) le mandataire d’Edouard Louis Steiner demeurant à l’île de la Réunion, 3) Caroline Constance Steiner épouse d’Emile Constant Schreider, agronome à la Wantzenau, 4) Louise Emma Fanny Steiner, célibataire à Strasbourg

Communauté, mobilier estimé 3807, argent comptant 37
Succession, garde robe 244
acp 517 (3 Q 30 232) f° 30-v du 20.12. (succession déclarée le 27 février 1863)
(vacation du 23 février) Commerc, mobilier 3805, argent comptant 437, créances 40.998
Succession, garde robe 244, reprises de la veuve 96.855
acp 5189 (3 Q 30 234) f° 53 du 26.2.

Testament de Marguerite Elisabeth Ehrlenholtz veuve de Louis Steiner
1863 (15.3.), Me Grimmer

Testament de Marguerite Elisabeth Ehrlenholtz veuve de Louis Steiner, propriétaire à Strasbourg, par lequel elle lègue à Constance Steiner femme Schreider et à sa petite fille Marguerite Steiner les deux à Strasbourg tout ce dont la loi lui permet de disposer – 15 mars 1863
acp 520 (3 Q 30 235) f° 19-v du 17.3. (succession déclarée le 13 juin 1863)

Catherine Marguerite Ehrlenholtz meurt en 1863 en délaissant trois enfants
1863 (20.4.), Me Grimmer
Inventaire de la succession délaissée par Catherine Marguerite Ehrlenholtz veuve Jean Louis Steiner rentier à Strasbourg, décédée le 15 mars 1863
dressé à la respect de 1) Ferdinand Steiner, agent d’assurances à Strasbourg comme mandataire d’Edouard Louis Steiner, domicilié à l’île de la Réunion & encore comme tuteur de Marguerite Steiner fille du dit Sr Steiner issus du mariage avec Herminie Braun, 2) Emile Constant Schreider, agronome à la Wantzenau comme poursuivant les droits de Caroline Constance Steiner sa femme, 3) Louise Emma Fanny Steiner, célibataire à Strasbourg
Mobilier de la communauté, estimé 3807, créances 38.733
garde robe 794, argent 1687, créances propres 59.000, deux rentes de 16 litres de méteil dues par Valentin Litt de Gimbrett – Passif 1338
acp 521 (3 Q 30 236) f° 48-v du 25.4. (succession déclarée le 13 juin 1863)

Jean Louis Steiner et Catherine Marguerite Ehrlenholtz vendent la maison 7 000 francs au musicien Louis Neubert et à sa femme Sophie Krehmer

1829 (17.10.), Strasbourg, Me F. Grimmer – Hypothèque de Strasbourg, Transcription reg. 228, n° 64 du 29.10.
Jean Louis Steiner, directeur général pour le département du Bas Rhin pour l’assurance royale contre l’incendie, et Catherine Marguerite Ehrlenholtz
à Louis Neubert, musicien, et Sophie Krehmer
une maison à rez de chaussée et trois étages sise à Strasbourg Grand rue n° 90, d’un côté la maison du Sr Heinrich Haas, d’autre celle de David Nortz, tonnelier, avec toutes aisances, appartenances et dépendances, plus cinq fourneaux en fer de fonte avec tuyaux et pierre – adjugée à la barre du Tribunal Civil expropriation contre Georges Heitz, fondeur chaudronnier, adjudication définitive et déclaration de command le 5 mai 1826 – moyennant 7000 fr
Enregistrement de Strasbourg, acp 196 F° 155-v du 19.10.

Originaire de Langenfeld outre Rhin, Auguste Louis Neubert épouse en 1822 Elisabeth Sophie Kremern fille d’orfèvre
1822 (29.5.), Strasbourg, Me F. Grimmer
Contrat de mariage, communauté d’acquets partageable par moitié – Auguste Louis Neuberth, muscien, fils de feu Gottlob Frédéric Neuberth et de Sophie Caroline Bezult demeurant à Langenfeld outre Rhin
Elisabeth Sophie Kremer fille majeure de feu Chrétien Kremer, orfèvre et de Marie Elisabeth Kieffer
Consulté Enregistrement de Strasbourg, acp 157 F° 173-v du 1.6.

Louis Neubert et Sophie Krehmer vendent la maison 10 000 francs à Marie Catherine Tuchart veuve du fabricant d’huile Jean David Schultz

1840 (4.4.), Hypothèque de Strasbourg, Transcription reg. 356, n° 105 – Strasbourg, Me F. Grimmer du 19.3.
Louis Neubert, professeur de musique, et Sophie Krehmer
à Marie Catherine Tuchart veuve de Jean David Schultz, fabricant d’huile
une maison à rez de chaussée et trois étages ayant bâtiment de devant et de derrière, cour, pompe, droits et dépendances située à Strasbourg Grand rue n° 90 à côté de celle de la femme Kientzel, sont compris quatre fourneaux en fer de fonte avec tuyaux et pierres et les rayons qui se trouvent dans la boutique d’épicerie et dans le magasin – acquis de Jean Louis Steiner, négociant, et de Catherine Marguerite Ehrlenholtz, par acte reçu par le soussigné Me Grimmer le 17 octobre [sic] transcrit au bureau des hypothèques volume 228 n° 64, les époux Steiner en étaient propriétaire suivant adjudication à la barre du tribunal civil dans l’expropriation poursuivie contre Georges Heitz, chaudronnier, adjudication définitive et déclaration de command le 5 mai 1826 – pour 10.000 fr
Enregistrement de Strasbourg, acp 276 f° 88 du 23.3.

Fils d’apprêteur de tabac, Jean David Schultz épouse en 1803 Marie Madeleine Dugard originaire de Romanswiller
Mariage, Strasbourg (n° 435)
Du 5° jour complémentaire l’an XI de la République française. Acte de mariage de Jean David Schultz agé de 26 ans, apprêteur de tabac né en cette ville le 5 décembre 1776, y domicilié, fils légitime de feu Michel Schultz, apprêteur de tabac, et de Marguerite Weiss, Et de Marie Madeleine Dugard, âgé de 26 ans, domiciliée en cette ville depuis son enfance, née à Romanswiller département du Bas Rhin fille née hors le mariage de feu Guillaume Dugard tailleur audit lieu et de Barbe Froelich (…) en présence de mesure Richshoffer, agé de 44 ans, consigne adjoint, beau père de l’épouse, de Jean Georges Nicklaus, agé de 37 ans, tisserand, oncle de l’épouse (signé) Johann David Schultz, maria Catrina duchgardin (i 78)

Testament de Marie Catherine Tuchard
1844 (6.7.), Me Grimmer
Testament par lequel Marie Catherine Tuchard veuve Jean David Schultz vivant huilier à Strasbourg légue à ses deux petits enfants Frédéric et Frédérique, issus du mariage de sa fille Marguerite Madeleine Schultz avec Jean Frédéric Kautz, boucher à Strasbourg, chacun d’eux la somme de 4000 francs, avec accroissement de 4000 francs, Desquels legs ils jouiront au décès de sa fille sus dénommée à laquelle est léguée la jouissance et usufruit de la dite somme – le 6 juillet 1844
acp 325 (3 Q 30 040) f° 40 du 10.7.

Marie Catherine Tuchard meurt en 1844 en délaissant pour seule héritière sa fille Madeleine Schultz femme du boucher Jean Frédéric Kautz et leurs enfants

1844 (13.8.), Me Grimmer
Inventaire de la succession délaissée par Marie Catherine Tuchard veuve Jean David Schultz, vivant huilier à Strasbourg décédée audit lieu le 25 juin dernier, à la requête de Madeleine Schultz épouse de Jean Frédéric Kautz, boucher à Strasbourg, 2° du Sr Kautz susnommé, agissant en qualité d’administrateur de ses enfants mineurs Emile Frédéric Kautz et Madeleine Frédérique Kautz, la dame Kautz agissant comme légataire universelle et les mineurs Kautz comme légataires particuliers de la Dame Schultz suivant testament reçu Grimmer le 6 juillet 1843
Il dépend de ladite succession. Un mobilier évalué 1284 francs
Des créances 1189
Une maison sise à Strasbourg grand’rue n° 90
Passif évalué 18.100 francs
acp 326 (3 Q 30 041) f° 79 du 17.8.

Fils de boucher, Jean Frédéric Kautz épouse en 1826 Marguerite Madeleine Schultz
1826 (18.10.), Strasbourg 3 (75), Me Schreider n° 3056
Contrat de mariage, communauté d’acquets partageable par moitié – Jean Frédéric Kautz, garçon saucissier, fils de feu Philippe Jacques Kautz, boucher, et d’Anne Marie Glock
Marguerite Madeleine Schultz, fille majeure de Jean David Schultz, fabricant d’huile, et de Marie Catherine Duchardt
Enregistrement de Strasbourg, acp 180 F° 182-v du 21.10.

Les héritiers Kautz vendent la maison au maréchal ferrant Georges Riehm et à sa femme Madeleine Etlensperger

1869 (2.3.), Me Flach
Frédéric Kautz, pâtissier, Madeleine Frédérique Kautz épouse d’André Schott, brasseur à Strasbourg
à Georges Riehm, maréchal ferrant, et Madeleine Allensperger sa femme
une Maison sise à Strasbourg grand rue n° 13, moyennant 20.000 francs, jouissance date du 25 mars 1769
acp 581 (3 Q 31869 296) f° 29-v du 3.3.

Originaire de Bouxwiller, Georges Riehm épouse en 1848 Madeleine Etlensperger native d’Achenheim
Mariage, Strasbourg (n° 29)
Du 23° janvier l’an 1849. Acte de mariage de Georges Frédéric Riehm, majeur d’ans, né en légitime mariage le 17 mars 1817 à Bouxwiller (Bas Rhin) domicilié à Strasbourg, maréchal ferrant, fils de feu Georges Riehm, brasseur décédé à Bouxwiller le 4 juillet 1833 et de feu Elisabeth Dorothée Heber décédée au même lieu le 17 avril 1833, et de Madeleine Etlensperger, mineure d’ans, née en légitime mariage le 4 juillet 1829 à Achenheim (Bas Rhin), domiciliée à Strasbourg, fille de Joseph Etlensperger, journalier domicilié à Strasbourg et de Marie Thiboust domiciliée en cette ville ci présente et consentante (signé) Riehm, Ellensperger (i 17)

Maison arrière (1651-1680)

Après la mort de Jean Georges Fridel qui s’est réservé la maison arrière, deux de ses enfants sont placés à l’hôpital

1668, Conseillers et XXI (1 R 151)
Hanß Georg Fridels KK. 54.
(f° 54) Sambstag d. 11.ten Aprilis – Nôe Weÿl. Hanß Georg Fridels Haffners vndt burgers alhier hinderlaßener K.K. erscheint deren Vogt Leonhardt Sippel der hohltreher überreicht p. Reußnern unterth. supplication mit beÿlag N° 1 hette selbiger 3. KK hinderlaßen, darunder daß Mittlere Zuvor in diensten Kommen, die 2 Andere Aber alß daß ältere von 17 vndt dann daß jüngere von 13. Jahren wegen leibes gebrechlichkeit nicht wohl vntergebracht Werden könten, Alß bitte Er Weilen nuhnmehr die Mutter auch Gestorben vnd dero nahrung vermög beÿkommenden Inventarÿ sich Gleichwohlen Annoch auff 117. lb 18 ß 4 d erstreckt, Ged. Armselige Kinder nebens derselben in daß Waisenhauß Auff vndt Anzunehmen. Erk. Ahn die Hh. Pfleger deß Mehrern Spithals Gewiesen.
H. XV. Riehl, H. Andreas Fischer

L’administrateur de l’orphelinat vend la maison arrière au potier Michel Huck. Le vendeur déclare ignorer ce qu’est devenu le troisième enfant qui n’a pas été pensionnaire à l’orphelinat

1676 (3 Jan:), Chambre des Contrats, vol. 545 f° 4
Herr Johann Hartmann Wörtz alß Schaffner deß Waÿsenhaußes
in gegensein Michael Huckhen deß Kachlers
ein hinder hauß hoffstatt mit allen deren Gebäwen, begriffen, weiten, zugehördten und Gerechtigkeiten sambt der gemeinschafft deß bronnens und bauchoffens, wie auch Zugangß und Gebrauchß deß Cloacs alhier ahn der Obern straßen nechst beÿ der Pfarrkirch zum alten St Peter einseit neben – anderseit neben (-) hinden uff eine behaußung dem alten St Peter Zuständig stoßend gelegen, und gehört die vordere behausung hannß Bollen dem Schreiner eÿgenthümblich zur, Von welcher ietz erkaufften behaußung gehend iährlichen 4. fl. straßb. wehrung widerlößig mit 100. R. erwehnter wehrung dem großen Gmeinen Allmosen Zu St. Marx – umb 100 lb
[in margine :] Erschienen hierinn gemelter herr Wörtz in schaffners weiß, hatt bekannt und offentlich angezeigt, Es seÿen Von weÿl. hannß Georg Fridels deß Kachlers nunmehr seel. nachgelaßenen Kindern, zweÿ, in daß waÿsenhauß uff: und eingenommen worden, Vom dritten aber, habe Er der Schaffner nichts gewußt, und die behaußung im nahmen deß waÿsenhaußes allein Verkaufft, gleich wie nun Ihme ietzt Kundbahr, daß 3. Kinder Vorhanden, und daß eine außer dem Waÿenhauß sich uffhalte Susanna heiße /:und mit David Meÿern dem hohlträhern p.sente bevögtiget seÿe:/ also habe Er deßen Vogt Von denen Jenigen 50. lb so der Käuffer hiebeÿ Zugegen erlegt, 33. lb Zugestellt (…) Act. 14. 8.br: a° 1676.

Michel Huck vend le bâtiment au menuisier Jean Adam Boll qui est déjà propriétaire du bâtiment avant

1680 (11.5.), Chambre des Contrats, vol. 549 f° 343
Michael Huckh der Kachler
in gegensein Johann Adam Bollen des Schreiners
Ein hinderhauß hoffstatt mit allen deren gebäwen und zugehördten, Rechten und gerechtigkeiten alhier ahne der obern Straßen nechst der Pfarrkirchen Zum Alten St. Peter einseit neben (-) anderseit neben Susannæ Schneiderin, hinden uff eine behausung dem Stifft alten St. Peter Zuständig stoßend gelegen, und gehört die Vordere behausung Ihme dem Käuffern Zue, Von welcher jetzt Verkaufften behausung gehend Jährlichen 4 fl. Straßb. Wehr. widerlößig mit 100. fl. erwehnter Wehr. dem großen gemeinen allmoßen Zu St. Marx – umb 100 lb


Les Maisons de Strasbourg sont présentées à l’aide de Word Press.