18, rue du Vieil Hôpital
Rue du Vieil Hôpital n° 18 – VI 270 (Blondel), O 155 puis section 19 parcelle 54 (cadastre)
Façade, maître d’ouvrage Jean Frédéric Pfæhler, sellier, vers 1750
Façade classée à l’inventaire des monuments historiques – Bâtiment démoli, fin des années 1950
La maison dans les années 1950 (dossier du MRU, ADBR cote 424 D 434)
Même endroit en 2019. Le numéro 18 se trouvait à l’avant du grand bâtiment blanc, l’actuel n° 18 (bâtiment arrière de la rue du Maroquin) est le suivant à trois arcades
La maison est inscrite au nom du tailleur Loup Winter dans le Livre des communaux (1587). Simon Dannenfels passe en 1601 un accord avec ses voisins à l’arrière Thiébaut Kœbel et David Huber (maisons rue du Maroquin) en s’engageant à ne pas occulter leurs jours. La maison appartient aux tailleurs Georges Kress père et fils (1604-1696) puis au marchand de beurre réformé Daniel Fuhrmann (Daniel Chartier) et ses héritiers (1705-1747). La maison a un rez-de-chaussée et deux étages selon le billet d’estimation de 1742. Comme la façade caractéristique du XVIII° siècle ne figure pas parmi les déclarations de travaux relatées dans le registre conservé des Préposés aux feux (années 1763 et suivantes), il faut conclure qu’elle a été construite auparavant, en l’occurrence par le sellier Jean Frédéric Pfæhler, propriétaire de 1747 à 1764.
Elévations préparatoires au plan-relief de 1830, îlot 177 (Musée des Plans-relief) 1. Le repère (a) est l’angle de la ruelle des Tailleurs de pierres
L’Atlas des alignements (années 1820) mentionne un bâtiment à rez-de-chaussée et deux étages en maçonnerie. Sur les élévations préparatoires au plan-relief de 1830, la façade est la quatrième à gauche du repère (t) : deux fenêtres et une porte au rez-de-chaussée, deux étages à trois fenêtres, toiture à un niveau de lucarnes. La cour V montre l’arrière (4-1) du bâtiment sur rue qui forme l’aile (1-2) au nord, le bâtiment (2-3) qui dépend d’une maison rue du Maroquin et le mur aveugle (3-4) au sud.
La maison porte d’abord le n° 8 (1784-1857) puis le n° 18.
Cour V – Croquis et plan du rez-de-chaussée (dossier du MRU, ADBR cote 424 D 434)
Le cadastre (à partir de 1843) ne relate pas de modifications quant au nombre d’ouvertures ; l’étage en retrait qui ne figure pas à la description de 1819 ni sur les dessins préparatoires au plan-relief a donc été établi dans l’intervalle.
Le bâtiment dont la façade est classée à l’inventaire des monuments historiques est en partie détruit par le bombardement du 11 août 1944. Les formulaires joints au dossier du Ministère de la Reconstruction et de l’Urbanisme décrivent en détail le bâtiment dont le pourcentage de destruction s’étale entre cinquante et soixante-dix pour cent. « Le 23 septembre 1954, l’administration décida la démolition totale de ce bâtiment considéré comme sinistré à 100 % ».
Le magasin qui porte aujourd’hui le numéro 18 n’est pas construit sur le sol de l’ancien numéro 18 mais sur celui d’immeubles donnant dans la rue du Maroquin. Le sol des maisons jusqu’à l’ancien mur d’enceinte a été réuni à la voie publique (place).
Façade – Porte à encadrement à crossettes et imposte à motif en fer forgé (1945, images Charles Czarnowsky, © Denkmallarchiv, DRAC Grand Est, cotes ICO 482 B 222-8, 482 B 222-10)
L’actuel n° 18 (2020, image J. L. publiée sur Wikipédia)
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mai 2025
Sommaire
Cadastre – Police du Bâtiment – Dossier du M.R.U. – Relevé d’actes
Récapitulatif des propriétaires
La liste ci-dessous donne tous les propriétaires de 1582 à 1952. La propriété change par vente (v), par héritage ou cession de parts (h) ou encore par adjudication (adj). L’étoile (*) signale une date approximative de mutation.
| Loup Winter, tailleur, commissaire priseur, et (1558) Judith Ritter puis Marguerite Baumer et (1585) Agathe Reuler, d’abord (1573) femme du boucher Henri Gross puis (1596) du sellier Christophe Denger – luthériens | ||
| 1597 | v | Simon Dannenfels, tailleur, et (1593) Ursule Guckeisen – luthériens |
| 1602 | v | (vente résolue) Jean Hürrlé, ceinturier, et (1594) Sara Bernhard – luthériens |
| 1603 | v | Georges Boch, boulanger, et (1584) Barbe Weber, d’abord (1580) femme du boulanger Joseph Hess, puis (1595) Barbe Mornhinweg, d’abord (1573) femme du boulanger Jacques Gerlach – luthériens |
| 1604 | v | Georges Kress, tailleur, et (1592) Madeleine Guckeisen puis (1601) Susanne Steinbruck – luthériens |
| 1640* | h | Jean Georges Kress, tailleur, et (1641) Ursule Krauss puis (1677) Catherine Frentz – luthériens |
| 1696 | v | Jean Giess, tisserand, et (1687) Susanne Marie Stich – luthériens |
| 1705 | v | Daniel Fuhrmann (Daniel Chartier), revendeur, et (v. 1693) Susanne Ramser veuve Schwab – réformés (cohéritières) Agathe Schwab, femme (1708) du cordonnier Jean Allemann puis (1709) du marchand de fruits et légumes Jean Jacques Schmidt – réformés Catherine Salomé Fuhrmann, femme (1721) du tailleur Job Ruff – réformés |
| 1747 | h | Jean Frédéric Pfæhler, sellier, et (1749) Anne Judith Ruff – luthérien et réformée |
| 1764 | v | Ferdinand Milius, marchand de fruits et légumes, et (1758) Anne Marguerite Ruff, (1770) Marguerite Elisabeth Roos puis (1785) Marguerite Salomé Debus – luthériens |
| 1803 | v | Martin Freyss, menuisier, et (1777) Marie Barbe Reinboldt – luthériens |
| 1819 | h | Jean Philippe Freyss, faiseur de cribles, et (1819) Marie Madeleine Jæcklé |
| 1821 | v | Laurent Schnepp, marchand de faïence, et (1798) Barbe Kræmer puis (1804) Marie Salomé Hemmer |
| 1829 | v | Jean Willhammer, cabaretier, et (1823) Catherine Fries puis (1832) Madeleine Werly |
| 1846 | h | Jean Willhammer, tonnelier, et (1847) Madeleine Elisabeth Felten puis (1882) Christine Ferber |
| 1860 | v | Jean Hahn, marchand de charbons, et (1845) Joséphine Trabold |
| 1869 | h | Louis Hahn, marchand de charbons, et (1870) Joséphine Albertine° Ottmann puis (1889) Sophie Pauline Letrillard, remariée (1900) avec le menuisier Georges Hagenstein |
| 1891 | v | François° Xavier Guth, propriétaire, et Marie° Eugénie Françoise Kieffer |
| 1896 | v | Jean Nicolas Bergmann, contrôleur des contributions, et (1874) Eve Elisabeth Heintz puis (1877) Marie Christine Kapp |
| 1923 | v | Michel Hanss, boulanger, et (1918) Elise Lettry, divorcée Iselé |
Valeur de la maison selon les billets d’estimation : 225 livres en 1981, 550 livres en 1720 et en 1743, 400 livres en 1784
(1765, Liste Blondel) VI 270, Ferdinand Milius
(Etat du développement des façades des maisons, AMS cote V 61) Millies, 3 toises, 2 pieds et 5 pouces
(1843, Tableau indicatif du cadastre) O 155, Willhammer, Jean, rue de l’Hôpital 8 – maison, sol – 0,7 are
Locations
1846, Geoffroi Hutt, aubergiste, et Anne Marie Bohn
Livres des communaux
1587, Livre des communaux (VII 1450) f° 53
Le tailleur Loup Winter règle 2 sols 6 deniers pour sa maison, à savoir une marche en pierre (4 pieds de long, 1 pied de large). Remarque, il a aussi devant la porte des pièces en bois qu’il devra enlever.
Spittalgäßlin die Ein Seitten
Wolff Winter der Schneider hatt vor seinem Hauß ein steinerin Tritt 4 schu lang vnd i schu breit, Soll Allmendt sein vnd bleiben. Nota Hatt auch holtzwerckh vor der Thüeren solls hinweg thun, Bessert für alles, ij ß vj d
Protocole des Quinze
1711, Protocole des Quinze (2 R 115)
Les habitants de la ruelle de l’Hôpital demandent que le règlement contre les incendies soit respecté et que les débits de boissons soient interdits. Les préposés aux feux interdisent au marchand de beurre Daniel Fuhrmann d’entreposer du foin et de la paille dans une chambre.
(f° 2-v) Sambstags den 17.ten Januarÿ 1717 – pt° Verbietung Keine würtschafft in Spitthalgäßel zu treib.
Kun. noîe der Gesambten Nachbarschafft im Spitthalgäßlein Ersch. Johann Joseph Meÿer der Säckler et Cons. prod. vnderth. Memoriale vnd bitten, handelt innhalts. Erk. Soll beÿ der alten Feuerordnung gelaßen, vnd kein schanck noch schilt in ged. gäßlein mehr erlaubt noch erkandt werden, vnd wegen deß so genandten Butterlipsen namens Daniel Fuhrmann, die sach vor die obere fewer herren gewießen worden
(f° 43) Sambstags den 21.t Februarÿ 1711 – die Nachbarschafft im Spitthalgäßlein ca. Daniel Fuhrmann
Mittwochs den 21. Januarÿ 1711. Ist von denen Oberen Fewrherren gedachter Furhmann vorbeschieden vnd Ihme sein pferdt sambt hew vnd stroh innerhalb 14 tagen auß der Stubkammer vnd kuchen Zuthun aufferlegt vnd Künfftighin dergleichen darinnen nicht mehr Zuhaben beÿ Fünff pfund straff verbotten worden. Erk. Werden Obstehende bescheid confirmirt
Description de la maison
- 1742 (billet d’estimation traduit) La maison comprend au rez-de-chaussée un poêle, cuisine, vestibule, petite cour et cave sous solives, au premier et au deuxième étage un poêle, alcôve, cuisine, vestibule, le vieux comble est couvert de tuiles creuses, les greniers ne sont pas dallés, le tout estimé à la somme de 1100 florins
- 1819 (estimation) Ladite maison se compose d’un rez de chaussée où il y a une chambre, une cuisine, une petite cour, une pompe et des latrines et de deux étages surmontés d’un comble uni formant deux greniers au dessous du rez de chaussée il y a une cave couverte en solives. La façade donnant sur la rue est en maçonnerie, celle qui donne dans la cour en charpente.
Atlas des alignements (cote 1197 W 37)
3° arrondissement ou Canton sud – Rue de l’hôpital
nouveau N° / ancien N° : 15 / 8
Freis
Rez de chaussée et 2 étages bons en maçonnerie
(Légende)
Cadastre
Cadastre napoléonien, registre 25 f° 22 case 3
Willhammer, Jean, rue de l’hôpital N° 8
O 155, Maison, sol, R. de l’hôpital 8
Contenance : 0,70
Revenu total : 90,36 (90 et 0,36)
Folio de provenance : (42)
Folio de destination : Gb
Ouvertures, portes cochères, charretières :
portes et fenêtres ordinaires : 18
fenêtres du 3° et au-dessus : 3
Cadastre napoléonien, registre 26 f° 191 case 2
Willhammer, Jean
pr. 1862 Hahn, Jean, Md. de Charbon
1871 Hahn, Ludwig, Kohlenhändler
1892/93 Guth, Frantz, Eigenthümer, Metzgerau
98/99 Bergmann Johann Nikolaus, Steuraufseher
O 155, Maison, sol, Rue de l’hôpital 18
Contenance : 0,70
Revenu total : 90,36 (90 et 0,36)
Folio de provenance : (42)
Folio de destination : Gb
Ouvertures, portes cochères, charretières :
portes et fenêtres ordinaires : 18 / 14
fenêtres du 3° et au-dessus : 3 / 2
Cadastre allemand, registre 30 page 226 case 2
Parcelle, section 19, n° 54 – autrefois O 155
Canton : Altspitalgasse Hs N° 18
Désignation : Hf, Whs
Contenance : 0,65
Revenu : 650 – 800
Remarques :
(Propriétaire), compte 172
Bergmann Johann Nikolaus und Ehefr. d. Erben i. G.
1910 Bergmann Joh. Nikolaus Steuraufseher a. D. in Ruprechtsau
1925 Hanss Michel son épouse Elise née Lettry chacun pour moitié
(1817)
1789, Enquête préparatoire à l’Etat des habitants (cote VII 1295)
Canton VI, (166) Rue De L’hopital
8
pro. Milius Ferdinand bourgeois – Morès
loc. Böhrin fille couturière Bourgeoise
1789, Etat des habitants (cote 5 R 26)
Canton VI, Rue 166 De l’hopital p. 308
8
Pr. Milius, Ferdinand – Moresse
lo. Böhrin, fille couturière Bourgeoise
Annuaire de 1905
Verzeichnis sämtlicher Häuser von Strassburg und ihrer Bewohner, in alphabetischer Reihenfolge der Strassennamen (Répertoire de toutes les maisons de Strasbourg et de leurs habitants, par ordre alphabétique des rues)
Abréviations : 0, 1,2, etc. : rez de chaussée, 1, 2° étage – E, Eigentümer (propriétaire) – H. Hinterhaus (bâtiment arrière)
Spitalgasse (Seite 164-165)
(Haus Nr.) 18
Zetzner, Magazinier, 0
Brütmann, Tagner. 1
Hüsgen, Maler. 1
Bohnert, Wwe. 2
Fürderer, Tagner. 2
Knapp, Tagner. 3
Dossier de la Police du Bâtiment (cote 232 MW 15)
Rue du Vieil Hôpital N°18 (1884-1945)
Louis Hahn est autorisé sous conditions à transférer son commerce de charbons du 13 au 18, rue du Vieil Hôpital en 1886. Le propriétaire suivant, Guth, habite 26, rue de Rosheim (1897), Nicolas Bergmann 4, quai des Bateliers (1903). La maison est rendue inhabitable par les bombardements aériens du 11 août 1944.
Sommaire
- 1884 – Le maire notifie le marchand de charbons Louis Hahn (demeurant 8, rue Fritz) de faire ravaler la façade – La façade qui a été lavée a meilleur aspect, juin 1884
- 1886 – Dossier ouvert suite à un courrier du commissaire de police. Louis Hahn demande l’autorisation de transférer son commerce du 13 au 18, rue du Vieil Hôpital. L’architecte municipal Nebelung relate que le sous-sol a un plafond en bois. Conditions selon lesquelles l’autorisation pourrait être accordée (notamment en recouvrant le plafond d’un revêtement comme du plâtre)
- 1886 – Le maire notifie le marchand de charbons Louis Hahn (demeurant 8, rue Fritz) de faire ravaler la façade – Le propriétaire déclare que les travaux seront faits au printemps suivant – Pas de travaux, juin 1887
- 1895 – Le maire notifie le propriétaire Guth de se conformer au règlement du 30 novembre 1891 en supprimant deux volets qui s’ouvrent à moins de 2,20 mètres de la voie publique et une trappe. – Travaux terminés, novembre 1895
- 1897 – Le maire notifie le propriétaire Guth (demeurant 26, rue de Rosheim) de faire ravaler la façade – Le bâtiment a été repeint à l’huile, octobre 1897
1903 – Le maire notifie le propriétaire Nicolas Bergmann (demeurant 4, quai des Bateliers) de faire ravaler la façade – Travaux terminés, octobre 1903
1908 – Le maire notifie le propriétaire Nicolas Bergmann (demeurant 7, rue de la Carpe-Haute à la Robertsau) de faire ravaler la façade – Le propriétaire déclare qu’il a chargé au printemps le maçon Fink (11, rue d’Or) de réparer les murs donnant sur la cour ainsi que ceux de la façade et demande de reporter les travaux à l’été suivant – Travaux terminés, mai 1909 - Commission contre les logements insalubres. 1905, remarques en sept points (propriétaire, Bergmann, contrôleur des contributions, demeurant 7 rue de la Carpe-Haute à la Robertsau)
1908 (même propriétaire, demeurant à Plobsheim), rien à signaler
1910, remarques en cinq points – Travaux terminés, septembre 1911
Commission des logements militaires, 1915. Remarques en sept points - 1925 – Le Sydicat de la propriété bâtie demande au nom de son adhérent Hanss d’intervenir auprès du propriétaire voisin Trœsch (rue du Maroquin) dont le mur arrière a endommagé le nouveau toit vitré recouvrant la cour. – La Police du Bâtiment répond que la veuve Trœsch a chargé un entrepreneur de réparer le mur.
- 1945 – La maison est rendue inhabitable par les bombardements aériens du 11 août 1944. Certificat de sinistré accordé à Michel Hanss
Dossier de la Police du Bâtiment (cote 947 W 93)
Rue du Vieil Hôpital N°18 (1965-1995)
N.B. Le nouveau numéro 18 n’est pas construit sur le sol de l’ancien numéro 18 mais sur celui d’immeubles donnant dans la rue du Maroquin. Le sol des maisons jusqu’à l’ancien mur d’enceinte a été réuni à la voie publique (place).
Commerces, fleuriste Costanzer-Weitbuch
1971 Couture Shamar
1973 antiquités La Brocanterie
Sommaire
- 1965 – Le joailler Jean-Pierre Ganster, établi au 18, rue du Vieil Hôpital, se plaint de la suie provenant de la cheminée de la boulangerie pâtisserie d’Albert Beyler, 5, place de la Cathédrale. Le Service d’hygiène constate que la suie se trouve sur le trottoir devant les 18-20. – La Police du Bâtiment qui se rend sur place doute que le rehaussement de la cheminée donne satisfactiont et reporte les décisions jusqu’à ce que la clôture du chantier devant l’immeuble voisin soit retirée
- 1971 – Droit d’enseigne. Ancien débiteur Costanzer-Weitbuch, Fleurs de Paris, le nouveau débiteur est Couture Shamar
1973 – Ancien débiteur Couture Shamar, nouveau débiteur La Brocanterie - 1978 – La Brocanterie demande l’autorisation de remplacer l’ancien store par un nouveau – Autorisation du propriétaire Martin, demeurant 9, rue Schenkbecher à la Robertsau – Croquis – L’architecte des Bâtiments de France Jacques Ernest émet un avis défavorable, il propose un nouveau store en corbeille
1978 (mars) – L’architecte des Bâtiments de France E. During émet un avis favorable après s’être rendu sur place
1978 (mai) – Le store est posé mais ne correspond pas au dessin - 1977 – L’entreprise Jean Beyler (34, rue de Bussierre) est autorisée à poser un échafaudage sur la voie publique – Le ravalement est terminé, mai 1978
1978 (mars) – L’architecte des Bâtiments de France E. During émet un avis favorable pour les teintes que propose l’entrepreneur - 1980 – L’architecte des Bâtiments de France Jacques Ernest émet un avis favorable à la proposition de J.P. Ganster de remplacer la toile du store
- 1985 – Laurent Dach, gérant de la s.à.r.l. La Brocanterie demande l’autorisation de remplacer l’enseigne La Brocanterie par Antiquités Dach – Extrait du registre du commerce et des sociétés, modification suite à l’achat du fonds le 3 mars 1994
Dossier du Ministère de la Reconstruction et de l’Urbanisme (ADBR, cote 424 D 434)
Dossier NV 3683 Z
Le bâtiment est en partie détruit par le bombardement du 11 août 1944. La façade est classée à l’inventaire des monuments historiques. Le maison comprend un sous-sol (58 m²), un rez-de-chaussée (couloir, cuisine, chambre et alcôve, 65 m²), un premier étage (2 chambres 1 cuisine, 58 m²), un deuxième étage (3 chambres 1 cuisine, 58 m²), un troisième étage (3 chambres 1 cuisine, 49 m²) et un grenier (40 m²). Le mur de façade est en maçonnerie de briques (60 centimètres d’épaisseur), pignon en maçonnerie (36 centimètres), la façade arrière est en bois et briques (12 centimètres d’épaisseur). La toiture a une couverture double en tuiles plates. Le pourcentage de destruction s’étale entre 50 et 70 pour cent. « Le 23 septembre 1954, l’administration décida la démolition totale de ce bâtiment considéré comme sinistré à 100 % » – Photographie
Pièces principales
- Déclaration de sinistre, Strasbourg le 20 janvier 1946
- État descriptif d’un bâtiment partiellement détruit
Section 19 parcelle 54, Maison d’habitation antérieure à 1810 (façade classée M.H.). Immeuble partiellement détruit par le bombardement aérien du 11 août 1944
Sous-sol 58 m². Rez-de-chaussée couloir, cuisine, 1 chambre et 1 alcôve, 65 m². Premier étage 2 chambres 1 cuisine, 58 m². Deuxième étage 3 chambres 1 cuisine, 58 m². Troisième étage, 3 chambres 1 cuisine, 49 m². Grenier, séchoir, 40 m². Total 337 m²
Façade, murs en maçonnerie en briques de 60 cm, rez-de-chaussée et premier étage, cloisons intérieures 12 cm en briques, pignon en maçonnerie 36 cm façade postérieure en bois et briques de 12 cm
Charpente en bois de sapin, couverture double en tuiles plates
Entretien. Réfection de tous les planchers en 1930, couverture renouvelée en 1930, couloir au rez-de-chaussée fait en terrazzo en 1935, conduites d’eau, tuyaux en partie remplacés en 1935.
Strasbourg le 20 janvier 1946, M. Hanss - Ministère de la Reconstruction et de l’Urbanisme. Dossier n° N.V. 2683 Z
Procès verbal d’expertise
Adresse de l’immeuble – 18, rue du Vieil Hôpital à Strasbourg
Propriétaire – Hanss, Michel, 4, rue de l’Ecurie à Strasbourg
Personne convoquée – idem
Date de la convocation – 29 avril 1946
Personnes présentes – idem
Qualité en laquelle agit cette dernière : propriétaire
Date d’expertise – 4 mai 1946
Origine du sinistre – Bombardement du 11 août 1944
Consistance des dégâts – Bâtiment N° 1
Bâtiment élevé sur cave d’un rez-de-chaussée, de trois étages carrés et d’un grenier. Il comporte Au rez-de-chaussée couloir, chambre avec alcôve et cuisine. Au premier étage deux chambres et cuisine. Au deuxième étage trois chambres et cuisine. Grenier avec séchoir.
Construction en brique, charpente en sapin et couverture en tuiles plates. La façade est classée par les monuments historiques.
Ce bâtiment a beaucoup souffert du bombardement. Voir pourcentage de destruction. Quantum de destruction, de 50 à 70% - Etat descriptif d’un bâtiment d’habitation sinistré et de ses dépendances (Dossier n° NV 2683 Z, décision N°NV 5180 C)
Désignation du propriétaire : Michel Hanss
Adresse du bâtiment : Rue du Vieil Hôpital N°18 à Strasbourg
Habitation, antérieur à 1840 – gros œuvre, bon – menuiseries, médiocre – peinture, bon – couverture, bon
Façade, maçonnerie en briques et pierre de taille, 63 centimètres d’épaisseur
Murs latéraux, maçonnerie en brique, 10 à 40 centimètres d’épaisseur
Couverture en tuiles plates doubles. Planchers, solives en bois de sapin - Renseignements généraux. Croquis
Surface hors œuvre, sous-sol 58, rez-de-chaussée 65, premier étage 58, deuxième étage 58, troisième étage 49, comble aménagé 49 - Surfaces, sous-sol 64, caves 64, fondation sur terre plein 4, rez-de-chaussée 67,86, premier étage 68,90, deuxième étage 67,50, troisième étage 45,95, comble utilisable 46
Strasbourg le 10 décembre 1947, Charles G. Wolff, architecte, 1, quai au Sable - Dossier de destruction. Etat-civil du propriétaire.
Michel Hanss, né le 22 décembre 1883 à Hohfranckenheim (Bas-Rhin), français, pensionnaire, demeurant 4, rue de l’Ecurie à Strasbourg, conjoint Elisabeth Lettry, mariage le 7 décembre 1918 à Strasbourg, régime de communauté ordinaire
Immeuble acheté en 1924, loué en totalité (rez-de-chaussée, loyer 1560, 1° étage 1800, 2° étage habité par le propriétaire, 3° étage idem et son fils valeur locative 1600
Strasbourg le 20 janvier 1946, M. Hanss
(Pièces jointes, Actes de naissance, acte de mariage, certificat de nationalité - Dessin (élévation, plan des différents niveaux)
- Certificat du livre foncier
Certificat – Bescheinigung
Au livre des immeubles il n’est inscrit aucune restriction au droit de disposer, aucun privilège, aucune hypothèque – rente foncière ou séparation de patrimoines à – charge de l’immeuble décrit ci-dessous.
Section 19, N° 54
Lieu-dit Rue du Vieil-Hôpital Nr. 18
Contenance 65 ca
Nature de culture, sol, maison
Livre foncier de Strasbourg
Feuillet N° 1663. N° de la section 1
Sont propriétaires inscrits depuis le 4 octobre 1923 Hanss Michel, ouvrier aux chemins de fer, et son épouse Elise née Lettry, à Strasbourg, chacun pour la moitié
Ce certificat est délivré à titre gratuit en vertu de l’art. 15. de l’ord. Nr. 45-610 du 10-4-1945 pour être présenté au Ministère de la Reconstruction.
Strasbourg le 19 juin 1945
Tribunal cantonal (Service du livre foncier) - Certificat – Bescheinigung
A charge de l’immeuble désigné ci-dessous d’après le livre des immeubles est la propriété de
Hanss Michel, employé à la S.N.C.F. sa veuve Elise née Lettry à Strasbourg
Section 19, N° 54
Lieu-dit Rue du Vieil-Hôpital Nr. 18
Contenance 65 ca.
Nature de culture, sol, maison
Livre foncier de Strasbourg
Feuillet N° 1663. N° de la section -1-
Me. Offenstein, notaire Nr 2669 B
Strasbourg le 14 janvier 1953
Tribunal cantonal (Service du livre foncier) - 1954 (juin) – Elise Lettry veuve de Michel Hanss écrit au délégué général du ministère de la reconstruction et du logement.
L’architecte Scharf lui a rapporté que sa maison rue du Vieil Hôpital est atteinte du champignon et que la Police du Bâtiment interdit de continuer les réparations. Elle demande d’autoriser les travaux et d’allouer des crédits pour qu’elle puisse quitter la mansarde qu’elle habite au quatrième étage. Elle a perdu successivement ses seuls soutiens, son mari et son fils unique. - 1956 (mars) – Procès verbal de vérification. Le bâtiment en partie détruit a fait l’objet d’un devis établi par l’architecte Wolff en décembre 1947, vérifié par le vérificateur Schouler en 1951 (mise hors eaux, réfection des pignons). L’architecte reconstructeur Scharf a fait faire en 1954 des travaux intérieurs (menuiserie). « Le 23 septembre 1954, l’administration décida la démolition totale de ce bâtiment considéré comme sinistré à 100 % » – Photographie
- 1959 (mars) – Le directeur des services départementaux du ministère de la reconstruction délivre un certificat de conformité à la veuve Michel Hanss suite à l’attestation de l’architecte A. Wolff
Relevé d’actes
La maison est inscrite au nom du tailleur Loup Winter dans le Livre des communaux (1587).
Originaire de Miltenberg (en Bavière), Loup Winter épouse en 1558 Judith, fille de Jean Ritter
Mariage, Saint-Thomas (luth. f° 104 n° 387)
1558. Dcâ 3. post epiphan. Wolff Winther von miltenburg, Judith Hans Ritters seligen verlassne dochter Zum ersten mal (i 109)
Loup Winter de Miltenberg acquiert le droit de bourgeoisie par sa femme Marguerite Baumer
1572, 2° Livre de bourgeoisie (4 R 104) p. 74
Wolf Winther von Multtenberg hatt das burgrecht Empfangen von Margereth Boümerin seiner Hußfrowen, will dienen Zu den schnÿdern. Actum den viij. Martÿ Anno & Lij
Le commissaire priseur Loup Winter se marie en 1585 avec Agathe, veuve du boucher Henri Gross
Mariage, Saint-Thomas (luth. f° 20 n° 54)
1585. Eodem die [Dom. post festum Circumcisionis] Wolff Winter der Keüffler, vnd Agatha Heinrich Grossen des Metzgers nachgelasne witwen eingesegnet 25. Januarÿ (i 22)
Le boucher Henri Gross épouse en 1573 Agathe, fille de Gaspard Reuler, d’Urach
Mariage, Saint-Thomas (luth. f° 70 n° 182-v)
1573. Dominica Esto mihi. Heinrich Groß der Metzker, Agatha Reulerin Caspar Reuler von Urach dochter seind eingesegnet ad 5.pstm. (i 72)
Le brossier Michel Bohner et Judith Reichenmüller vendent au commissaire priseur Loup Winter leur part de succession qui leur est échue de Judith Ritter, femme de l’acquéreur
1592 (xxj.ten Decembris), Chancellerie, vol. 281 (Registranda Kügler) f° 244
(Inchoat fo: 359) Erschienen Michell Boner der Bürstenbinder vnd Judith Rychenmüllerin sein ehel. hußfrouw haben (…) verkhaufft
Wolff Winthern der Statt Straßburg Kheufflern
Ein Sechstetheyl ane Zweÿtheÿl bemelter Judithen Verfangenschaffts wÿs gebürend ane all hab b guetter So Judith Ritterin Ir baaß bemelts Wolff Winthers hußfr. seligen Verlaßenschafft (…)
Salomé Reichenmüller, veuve du pêcheur Paul Reinbold, vend au commissaire priseur Loup Winter sa part de succession échue de Judith Ritter, tante de la venderesse
1593 (uts [xxij Septemb.]), Chancellerie, vol. 286 (Registranda Kügler) f° 308-v
(Inchoat fo: 380) Erschienen Salome Rÿchen müllerin wÿland Paulus Reymbolts des vischers selig witwe Mit beÿstand H Jörg Meÿer offener Notarius Ihres geschwornen vogts
haben bekhandt vndt In gegenwertigkheit des Ersamen wolff winthers Khoüfflers
Inn baren glt erlegen 8 pfund pfenning vnd damit ane sich erkhoufft das eÿgenth. ane eim Sechsten theÿl gebüren hatt ane allen der haab vnd gutter So wÿland Judith Ritterin bemts wolff Winthers hußfr. und gedachter Salome Mutter seligen Schwester nach Tod verlassen, welche verlaßenschafft aber bemelter wolff winther sein leben lang Zu nießen (…)
Agathe, veuve du commissaire priseur Loup Winter, se remarie en 1596 avec le sellier Christophe Denger, originaire de Mosbach
Mariage, Saint-Thomas (luth. f° 57-v n° 158)
1596. Dominica 22. Trinit. 7. Nouemb: Christoph Denger von Moßbach, Sattler, vnd Agatha, Wolff Winther des keüfflers Nachgelaß. Witwe. Eingesegnet Zinstag 7. Xbris (i 60)
Le sellier Christophe Denger devient bourgeois par sa femme Agathe, veuve de Loup Winter
1597, 2° Livre de bourgeoisie (4 R 104) p. 740
Christoph Denger, d. Sattler empfangt d. Burg. Von Agatha, Weÿland Wolff Winther des keufflers selig wittib seiner Haußfrauwen vnd will Zun Gerbern diehnen. Act. den 24. febr. 97.
Le sellier Christophe Denger, second mari de la veuve Loup Winther, demande un poste de commissaire priseur à trois reprises en deux mois. Les préposés répondent qu’aucun poste n’est vacant.
1597, Préposés au bâtiment (VII 1312)
(f° 148-v) Mittwoch den 21. Septemb. 97.
Christoff Denng. sattler, Wolff Winthers Nachkom sampt seiner haußfrauwen bitten Ihnen Zum Käuffler anzunemen, stellt Zu bürgen Georg Lauging. vnd Christman hetzel den Müller die seind vrpittig bürgschafft Zuuersprech. Ist Ihnen antzeigt.
(f° 171) Mittwochs den 12. Octob.
Christoffel Dennger d. sattler Wolff Winthers Nachkhom, bittet abermal Inen Zum Käuffler anzunemen & Erk. Ist Ihm antzeigt, Man weiß Ihm dißmal nit Zuhelffen, dan man Jetzo Kouffler genug. Ist Jetzo kein mangel die betten gantz freindlich sampt seiner frawen wider abdrett. Pleib beÿ vorig. bescheid.
(f° 190) Mittwochs den 2.t Nouemb.
Christoffel Dennger Wolff Winthers Nachkhom bittet abermal Ihnen Zum Käuffler anzunemmen begert Zu Inventieren & Ist Ihm antzeigt es sein d. Kauffler genug vnd laßt mans beÿ nechst. bescheid bleiben
Les enfants du menuisier Pierre Reichenmüller et de Salomé Ritter, la fille du menuisier Daniel Steinbruck et de Salomé Ritter (sœur de Judith Ritter, voir plus haut) vendent la maison au tailleur Simon Dannenfels
1597 (26. Apr.), Chancellerie, vol. 310-II (Imbreviaturæ Contractuum) f° 51-v
Kauff Simon Dannenfels deß Schneider vber eine behausung In Spittalgäßlin gelegen
(Extendirt in Lib : Contract: de hoc anno 164.) Erschienen Hannß Schnipffer der Schumacher alls ehevogt Barbare Reichenmüllerin, Bastian Pfaffenzeller der Bürstenbinder vnd Annen Reichenmüllerin sein ehelich haußfraun h. Paulus Haff Pfarrer Zu Niderwirisbach alls ehevogt Marie Reichenmüllerin weiland Peter Reichenmüllerin deß Schreiners s: mit Salome Ritterin seiner erst. hauß. beder erzielter döchter, So dan H Martin Leÿprandt d. Notarius alls vogt Susanne Steinbrückin, Daniel Steinbrucks deß schreiners alhie mit Salome Ritterin s: erzielter vnd hinderlaßener dochter vnd
hatt in gegenwertigkheit Simon Dannenfels deß Schneiders alhie (…) ihme und Ursule Guckheÿserin seiner ehelichen haußfrawen
Ein Behausung hoffestatt mit Allen derselben begriffen weiten recht. und gerechtigkeit. gelegen alhie Im Spittalgäßlin, einseit neben Jonas Meichßner dem Seckler, anderseit neben Hanns König dem Balgenmacher, hinden vff Caspar Hueber deß schreiners s. wittib vnd erben vornen In vorgemelt gäßlin gehend, Dauon geht Jars 10 fl S w dem mehrern Spittal mit 200 fl. w ablösig Sonst ledig vnd eÿg. Damit Ihme Kheüfferer aller Recht wie bestimpter Behausung vbergeben & vnd bekhandt das der Khauff vber bestimpte beschwerd. Zugang vnd beschehen für vnd vmb 137 pfund
Originaire de Deux-Ponts, Simon Dannenfels épouse en 1593 Ursule, fille du tisserand Joseph Guckeisen
Mariage, Saint-Pierre-le-Vieux (luth. f° 33 n° 19)
1593. Simon Dannenfels von Zweÿbrucken der schneider J. Vrsula Joseph Gugeisen des Webers Tochter. 7. Maÿ (i 35)
Simon Dannenfels demande l’autorisation de danser lors de son mariage avec la fille de Joseph Guckeisen
1593 Conseillers et XXI (1 R 72)
(f° 279) Simon Dannenfels so sich mit Joseph Guckeisens Tochter ehelichen Verheuratt Gnt p Buttelb. gleicher gestallt Zu vergonnen vber die ordnung Zulaß. vnd ein Täntzlein Zu haltt. gestatten. Erkandt Bey voriger erkannnuß Loß Ver Pleib.
Le tailleur Simon Dannenfels de Deux-Ponts devient bourgeois par sa femme Ursule Guckeisen quinze jours après son mariage
1593, 2° Livre de bourgeoisie (4 R 104) p. 697
Simon Dannenfels von zweybrucken Ein schneider hatt d. burgrecht empfangen von Ursula Joseph Guckeißen deß Zollers am Cronenburg. thor Ehelicher dochter seiner hausfrawen vndt will Zum schneideren dienen Act. 22 Maÿ 93.
Simon Dannenfels et sa femme Ursule passent un accord avec leurs voisins Thiébaut Kœbel et David Huber, tous deux menuisiers, propriétaires de maisons à l’arrière de la sienne. Le premier s’engage à ne pas occulter le jour de ses voisins qui pour leur part devront garnir leurs ouvertures de vitres et de barreaux pour empêcher que des immondices soient jetés dans la propriété Dannenfels.
1601 (24. Augusti), Chancellerie, vol. 333 (Registranda Kügler) f° 329-v
(Inchoat. fo: 363.) Erschienen Simon Dannenfelß, Schneÿder burger Zu Straßburg cit. Ursula sein eheliche haußfrauw ane Eim
So dan Diebolt Köbel vnd David Huober beÿde Schreÿner am andern theÿl
Haben beÿe Partheÿi, gegen einander bekhandt vnnd offentlich verÿehen das Sie sich wegen des tags Inn Iren beÿderseits Heußern nachbeurlich vnnd freündtlich mit einander verglichen vnd vereinbart wie hernach volgt, Namblich Wiewol erst gemelter Simon Dannenfelß, vff seiner gerechtigkeit Zu buwen, vnd Gäden vffzuführen fug vnd macht, die Weil aber vßer solchem bauwen beÿden seinen nachbauwren Diebolt Köbeln und David Huobern welche mit Iren Heusern hinden vff sein Simon Dannenfelß Behaußung stoßend derselben tag liechter, so sie Inn hindern seinem gebel haben, genommen vnd kein tag mehr hetten, Das bemelter Simon Dannenfelß alle seine erben vnd nachkommen bemelten beÿden Diebolt Köbeln vnd David Huobern, solche Ihr tagliechter nimmermehr Zu ewigen Zeiten verbuwen, oder Inn andere weg nemmen, Sondern den tag Jederzeit darin Zulaßen schuldig sein sollen, dagegen aber auch Sie solche taglichter gantz vor*or ein schalter verglaßt vnd mit Ÿßin gettern Zu Zumachen verbunden, damit nichts vnsaubers In sein Simon Dannenfelß behaußung geschüttet, od. ander unfall sich Zutragen mögt Für welche nachbürliche vergleÿchung obgedachte beÿde Diebolt Köbel vnd David Huober Sie Ime Sechzehen pfund pfenning Zu nachuolgenden Zweÿen Zielen Nemblich vff Michaelis 8 pfund pfenning vnd vff Michaelis beÿd Ziel nechstkünfftig, die vberige Acht pfund pfenning In baren gelt Zuerlegen gelopt
Hiebeÿ gewesen Christoffel Kleÿber Schreÿner vnd hans heinrich Mornhinweg Steinmetz
Simon Dannenfels hypothèque la maison au profit du tailleur Georges Kress
1602 (29. Martÿ), Chancellerie, vol. 341-I (Imbreviaturæ Contractuum) f° 28
Confessat für Georg Kressen den Schneider von Simon Tannenfels dem Schneideren beschehen
Erschienen Simon Danenfels der schneider Vnd
hatt in gegenwertigkeit Georg Kressen des schneiders – 25 alhieiger Straßburger pfund pfenning
Zum vnderpfand verlegt vnd eingesetzt sein eigenthümliche behaußung, gelegen alhie im Spithalgäßlin einseith neben Jonaßen Meichßner dem Seckler anderseit neben hanns Königen dem pulgenmacher, hind. vf Caspar Huberts des schreiners wittib vnd erben stoßend vber 10. fl. St. w. dem Mehrern Spithal allhie mit 200 guld. loßig, Item 50 fl. Zu 15 bz Paul Haffen dem Pfarrer zu Niderwießnach noch ahn dem Kauffschilling außstendig, Mehr 50 gulden hauptgutt zu 15 batz. in der allhieig. Müntz ledig vnd eigen
Simon Dannenfels hypothèque la maison au profit de Jean Hugwart, assesseur des Quinze
1602 (16. octob.), Chancellerie, vol. 341-I (Imbreviaturæ Contractuum) f° 108
Bürgschafft Versicherung Herrn Johann Hugwarten xv.rs
Erschienen Simon Dannenfels der Schneid. vnd Ursula Guckeÿsin sein eheliche haußfraw vnd
haben in gegenw. Herrn Johann Hugwarten XV.ern angezeigt und vermeldet, demnach sie Zu Irer notturfft Inn dem alhieigem Wexel 100 guld. zu xv batz gerechnet (…)
Zur Versicherung verschriben, Ihr bewohend. behausung gelegen alhie Inn Spittalgäßlin neben Jonas Meichßnern den Seckler, die ein vnnd anderseit hans König dem pulgermach. hind. vff Caspar Hubers selig. wittib und erb. stoßend, darvon Zuuor Jars gehn 10 fl. St. w. dem Mehrern Spital alhie mit 200 fl. lösig, It. 50 fl. zu xv. batz Paul Hoffen dem pfarrer zu Niderwinißbach noch am Kauffschilling vsstendig, Mehr 50 fl. hauptgut zu xv bz. Inn die Müntz, desgleichen Geörg Greßen dem Schneid. vmb 25. lb d. hauptg. sunst ledig vnd Eig.
Simon Dannenfels est huissier à la tribu des Tailleurs
1630 Chambre des Contrats, vol. 467 f° 236-v
Simon Dannenfelß Bütel beÿ einer Ers. Zunfft der Schneider
Simon Dannenfels et Ursule Guckeisen vendent la maison au ceinturier Jean Hürrlé et à sa femme Sara Bernhard.
1602 (23. Octob.), Chancellerie, vol. 341-I (Imbreviaturæ Contractuum) f° 110-v
Kauffverschreibung Hans Hürrle deß Gürttlers über ein behausung im Spitalgäßlein von Simen Dannenfelsen dem Schneider erkaufft
Erschienen Simon Dannenfelß der schneid. mit beÿstand Peter heÿnauwers deß Thuchscherers vnd hans Eigenbach des schneiders, beneben seiner ehelichen haußfrawen Ursul Guckeÿsein, haben (verkaufft)
Hans Hürrle dem Gürttler vnd Sara Bernhardtin beden Ehegemechten, die dann Zugegen waren, vndt mitt beistandt hans König deß Puluermachers vnd Bastian Pfaffenzellers bürstenbinders
Eine behausung sampt dero gerechtigkeit gelegen alhie In dem Spittal gäßlin, einseit neben Jonas Meißnern dem secklern anderseit neben Hans König dem Bullenmachern obgemelt, stosst hinden vff David Huber vnd Diebold Köbeln bede schreiner In Kurbengaß, vornen auß vff gemeltes spital geßlin Ziehend, Dauon geht Jährlich vff Johannis Baptistæ dem Mehrern Spital alhie 5. lb 5 ß mit 200 fl. Straßb. werung In hauptgut ablösig, Item j lb 10 ß Pauli Hafen Pfarrherrn Zu Niderweirspach In d herrschafft herrenstein auch vff bemelt. St Johanns tag In hauptgut ablösig mit 25. lb. Item j lb 5 ß der alhies. Müntz vngefahrlich. von Michaelis, In Hauptgut 26 fl. darfür vnd Andres Eck vnd Peter Schneid. bürg. vnd Zu ihrer Versicherung den haußbrieff über diße behaußung hand. ihnen haben, Item Zum vierten j lb 10 ß Jährlichs gelts vff den Palmtag Georg Kreßen schneidern alhie In hauptg. 25. lb, Item zum Fünfften so seÿ auch bemelte behausung vmb 100 fl. hauptguts zu 15 batz die er Verkeüffer nechst verschinen woch. Im Wixel alhie vffgenommen, darfür H Johann Hugwart xv. bürg verhafft, Sonst freÿ ledig vnd eigen, Vndt seÿ dieser Kauff mitt sambt obgemelten daruff stehend. beschwerd. alles darzu gerechnet vnd eingeschloßen zusammen vmb 730. fl.
Le ceinturier Jean Hürrle épouse en 1594 Sara, fille de Quirin Bernard de Blâmont (Blanckenburg)
Mariage, Saint-Thomas (luth. f° 12-v n° 47)
1594. Dominica 7. Trinit. 14. Julÿ. Hannß Hürle der Gürtler, vnd Sara, Kyro Bernhardten deß Krämers Zu Blanckenburg Nachgelaßene tochter. Eingesegnet den 23. Julÿ (i 13)
Simon Dannenfels et Ursule Guckeisen qui ne peuvent attendre le complet paiement des 240 florins dus sur le prix de la maison la vendent au boulanger Georges Boch. L’acte ne relate pas explicitement l’annulation de la vente précédente mais renvoie à l’acte pour quittance de cent florins qui y sont mentionnés.
1603 (17. Decemb.), Chancellerie, vol. 347 (Imbreviaturæ Contractuum) f° 92-v
Kauffverschreibung mit angehencker Quittung über 190 fl. Simon Dannenfelsen deß Schneiders gegen Georg Bochen
Erschienen Simon Dannenfelß der Schneider vnd Ursula Guckeisin sein eheliche haußfraw mit beÿstand zweÿer ihrer nechster Verwandt. benantlich Joseph Guckeisen ihres bruders vnd Georg Kressen ihres ihres schwagers
haben In gegenwertigkeit Georg Bochen deß weißbecken
bekandt und angezeigt, demnach ihnen beden eheleuten vff ihrem verkaufften hauß Im Spitel geßlin, für ihre besserung noch 240. fl. zu 15. batz. per rest gebühren, ihnen aber der Ziel, biß solche entrichtet werden möchte, Zuerwarten beschwerlich vnd unthunlich, Sondern baren geltt Jetzig. Zeitt vonnöt. Also hetten sie sich deßwegen mitt bemeltem Georg Bochen eines Kauffs verglichen, also dergestalt, das sie bede eheleut (…) ihme Bochen solche ihre restirende besserung der 240. fl. vff gedachtem hauß freÿ lediglich verkaufft vnd Zukauffen geben für vnd vmb 190 fl. Zu 15. batz. gerechnet, die sie auch so bar Von ihme Bochen Zu ihrem guten genügen empfangen, darfür sie ohne vnd seine Erben bester form q.ttiren heten. Sie haben auch darbei begert, hieher Zuverzeichnen, daß die vffgenommene 100 fl. hauptgut in d. Statt Wixel die Inn d. Kauffverschreibung In Imbreviat. vom nechst verschinnenen Jahr fol. 110. gemeldet Jetzo durch ihne Simon Dannenfeld dem Wixel erlegt und abgericht (…)
Le boulanger Georges Boch épouse en 1584 Barbe, veuve du boulanger Joseph Hess
Mariage, Saint-Thomas (luth. f° 1-v)
1584. Dom. 4. post Epiphan. Georg Boch der beck vnd Barbara Joseph Hessen des becken nachgelasne Wittib, eingesegnet 10. Feb. (i 3)
Originaire de Nürtingen, le boulanger Joseph Hess épouse en 1580 Barbe, fille d’Anastase Weber, de Villé
Mariage, Saint-Pierre-le-Vieux (luth. p. 231 n° 23)
1580. Joseph Heß von Nortingen ein beck, J. Barbara Anstet webers tochter von wiler, Eingesegnet 10. Maÿ (i 124)
Georges Boch se remarie en 1595 avec Barbe, veuve du boulanger Jacques Gerlach
Proclamation, Saint-Thomas (luth. f° 37 n° 83)
1595. Eodem die [Dominica Sexages: 23. Febr:] Görg Boch weÿßbeck vndt Barbara Jacob Gerlachen des Weÿßbecken Zum Überhanng Nachgelaßene Wittib. Eingesegnet Montag den 10. Martÿ Zum Jung. S. Peter (i 39)
Mariage, Saint-Pierre-le-Jeune (luth. f° 70-v n° 17) 1595. Sexagesima. Gorg Boch der weisbeck vnnd Barbara, Jacob Gerlachs des Weisbecken hinterlaßne witwe. Eingesegnet Montag den 10. Martÿ (i 39)
Le boulanger Jacques Gerlach épouse en 1573 Barbe, fille du prédiacteur Georges Mornhinweg
Proclamation, Saint-Pierre-le-Jeune (luth. f° 194-v n° 2)
1573. Dominica II Post Trinitatis. Jacob Gerlach der Beck Zum vberhang, vnnd Barbara h. Gorg Mornwecks selige nachgelaßene tochter. Sindt Zum alten S. Peter Zu Kirchen gangen. (i 102)
Mariage, Saint-Pierre-le-Vieux (luth. f° 158)
1573. Brachmonat. Jacob Gerlach Beck Zum Vberhang, J Barbara Mornwegin, h. Jeörg Mornenweg seliger des predigers nachgelaßne tochtern den 8. (i 160)
Le tuteur des trois filles nées du mariage de Barbe Weber et de Georges Boch vend les droits de ses pupilles, âgées respectivement de huit, six et quatre ans, à leur père Georges Boch. Les biens de la défunte s’élèvent à 1 228 livres
1595, Chancellerie, vol. 295 (Gemein Contract Buch)
(f° 112-v) Vertrag vnd außkauff zwisch. Georg Bochen vnd seinen Kindern
Wir (…) Thun Khund aller männiglichen das heüth dato vor uns beÿ offenem sitzendem Rath erschienen seind vnser Burg. Ruprecht Stollenmeÿer der Beck als von vns geordneter vogt Mariæ Magdalenæ, Susannæ vnd Barbaræ weÿland Barbaræ Weberin seligen mit Georg Bochen dem Weißbecken Iren haußwürtt vnd hind.laßenen wittibern ehelich erzeügter mind. Jeriger Kinder eines vnd Jetzernand Georg Boch der Kinder eheleÿblicher Vatter andern theÿls, vnd vns erzelen vnd fürpringen laßen, Nach dem ehegemelte Barbara Weberin der Kinder Muter seligen nach dem willen Gottes auß disem Jammerthal Zeÿtlichen tods abgangen sie alle derselben verlaßenschafft Ir gepurend. Zeÿt vnd nach geprauch vnd herkhommen diser vnserer Statt Straßburg durch vnsere darzu verordnete vnd geschworne Personen ersuchen, Inventiren, anschlagen, beschreÿben vnd ein ordentlich Inventarium darüber auffrichten laßen vnd auß demselben, das gleÿchwol obernannt treÿen Kinderen In gemein ane ohnveränd. vnd theÿlbaren gut ein namhaffts benantlichen 1228 Pfund 19 schilling gepüren thate befinden, mehr ermelte Kinder aber noch Jung, als Maria Magdalena acht, Barbara Sechs vnd Susanna vier Jahr alt, vnd also ohnerzogen vnd guter wartung vnd hilff bedörffig (…)
[in margine :] Confirmirt Donnerstags den ersten Aprilis A° & 96.
Dépôts de sommes par le tuteur Robert Stollenmeyer
1595, (VII 1310) Préposés à la Tour aux deniers et au bâtiment
(f° 62-v) Montag dne 16.ten Aprilis. – Georg Boch des becken Kind. begert vogtlich. weis 500 h. anzuleg. Ist Sambstags den 19. Aprilis bescheid.
(f° 65) Sambstags den 26. Aprilis – Vogtey gelt
Ruprecht Stollenmeÿer als vogt Magdalen Susanna vnd Barbara, Georg Bochen des becken Kinder mit Barbara Weberin seiner hußfr. selig. erzielter Kinder Ir lorin* gelüffert 500 h.
gemelten seinen vogtkind. In eigenthumbs weiß Erkaufft 25. h alblivressigs gelts vff S. Georgen tag fallendt. Ingeschrib (folio 237)
1596 VII (1311) Préposés à la Tour aux deniers et au bâtiment
(f° 198) Mittwoch den Ersten Septembris – Vogtey gelt
Ruprecht Stollenmeÿer als vogt Marien Magdalenen, Susannen vnd Barbaræ, Geörg Bochen des weißbecken mit Barbara Weberin selig. ehelich. erzeügt. Kind. hatt gelüffert 575 h.
Georges Boch et sa femme Barbe vendent la maison au tailleur Georges Kress et à sa femme Susanne
1604 (xij decemb.), Chancellerie, vol. 350 (Registranda Kügler) f° 342-v
(nil ad -) Erschienen Jeörg Boch der Brottbeck vnd burger allhie vnd Barbara sein eheliche haußfr.
haben In gegensein Geörg Kreßen des schneiders auch burgers alhie, vnd Susanna seiner ehegemahel (verkaufft)
hauß hoffestatt vnd höfflin mit allen anden Iren gebeuwen gelegen In bemelter vnserer Statt Im Spittelgässlin, einseÿt Jonas Meÿsner dem Seckler, anderseit hans König dem Bullenmacher stost hinden vff David Hubern vnd Thieboldt Köbelin beÿde Schreiner In Kurbengass, Davon gond Zehen guld gelt vff Johannis Baptistæ loßig mit 200 guld. SW dem mehrern Spittal sunst für freÿ ledig eÿgen, der Khauff vber solche beschwerden zugang v beschehen für vnd vmb 290 gulden zu xv batz
Originaire de Niedernhall (en Wurtemberg), le tailleur Georges Kress épouse en 1592 Madeleine, fille de Joseph Guckeisen
Mariage, Saint-Pierre-le-Vieux (luth. f° 14 n° 3)
1590 Jörg Kreß von Nidernhall der schneider, J. Magdalena Joseph Guckeisen des webers tochter. 20. Januarÿ (i 16)
Le tailleur Georges Kress de Niedernhall devient bourgeois par da femme Madeleine Guckeisen (ici Buckeisen)
1590, 2° Livre de bourgeoisie (4 R 104) p. 635
Georg Kreß von Niderhall ein Schneider hatt daß Burckrecht empfang. von Magdalena Joseph Buckeÿß. deß Zollers Am Cronenburg. thor, mit Susanna N ehelich. docht. vnd will Zu den Schneidern dienen. Act. 5. Feb. A° 90
Georges Kress se marie en 1601 avec Susanne, fille du menuisier Steinbruck
Mariage, Saint-Pierre-le-Vieux (luth. f° 77 n° 54)
1601. Jörg Kreß der schneider J. Susanna Daniel Steinbruck des schreiners tochter, 23. Novembris In Summo templo eingesegnet (i 79, rien à la cathédrale)
Le tailleur Georges Kress, Susanne Kress femme de Jean Philippe Werner et Elisabeth Kress, femme du cordonnier Alexandre Rœmer, tous trois héritiers de leur mère Susanne Steinbruck s’acquittent de la succession de Barbe Reichenmüller
1647 (28. April), Chambre des Contrats, vol. 498 f° 277-v
Erschienen Michael Köler von Niderwörßpach im Fürstenthumb Birckhenfeld alß Ehevogt Elisabethæ Haffin mit beÿstand deß Edel- hochgelehrten H Johann Ludwig Müeg dero rechten Doctoris Fürstl. Pfaltz Newburg. und Birckhenfeld. Rhats und deß Ritterstandts im undern Elsaß Sÿdici und H Philippi Simonis SS. Theol. Studiosi von Küren
hatt in gegensein H Michael Rueffen deß Meßerschmidts alß Ehevogts Annæ Pfaffenzellerin, und alß Vogts Elisabethæ Pfaffenzellerin Weÿl. hannß Rinßgewanthß deß Bürstenbinders nunmehr seel. Wittibin, Mehr H David Rudolph deß Kürschners alß Ehevogts Salomeen Pfaffenzellerin, Vnd dann Valentin Gräffen deß Bürstenbinders alß Ehevogts Barbaræ Pfaffenzellerin alle Weÿl. Annæ Reichenmüllerin seel: döchter, und Barbaræ Reichenmüllerin Zu einem tritten theil Erbinnen,
So dann hannß Georg Kreß deß Schneiders für sich selbst. hannß Philipß Wörners alß Ehevogts Susannæ Kreßin, vnd Alexand. Römers daß Schuhmachers alß Ehevogts Elisabethæ Kreßin, alle treÿ alß Weÿl. Susannæ Steinbruckhin Kind. und vorgemeldter Barbaræ Reichenmüllerin zum andern tritten theil Erben, bekannt
Wiewohlen eingangßgemelte Elisabetha Haffin, alß mehrgedachter Barbaræ Reichenmüllerin, Zum tritten theil mit Erbin, ahne deroselben Verlassenschafft so sich laut deß darüber durch H Casparum Medlern den Notarium in a° 1637 vffgerichteten Inventarÿ fol. 21. fac. 2 345 lib (…) zuerfordern gehabt
Jean Georges Kress, devenu propriétaire de la maison, l’hypothèque au profit du marchand Jean Charles Stœffel
1676 (8. Maÿ), Chambre des Contrats, vol. 545 f° 553-v
hannß Georg Kreß der Schneider mit beÿstand hannß Philipp Wörners und hannß Georg Wörners beÿder Schuemacher
in gegensein herrn Johann Carl Stöffels deß handelßmanns – schuldig seÿe 25 lb
unterpfand, hauß, hoffstatt, höfflein mit allen deren gebäwen undt zugehördten alhier im Spittalgäßlein, einseit neben hannß Conradt Hornen dem Seckler, anderseit neben Christian Schatzen dem barchet krämer, hinden Uff Michael Becker dem Rhatsbotten stoßend gelegen, Welche behausung Zuvor annoch umb 200. fl. de mehrern Hospital alhier Verhafftet
Fils de Georges Kress, Jean Georges Kress épouse en 1641 Ursule, fille de l’arquebusier Georges Krauss
Mariage, cathédrale (luth. p. 450)
1641. Domin: XIV Trinitatis. Hanß Georg Kreß der Schneider, Georg Kreßen deß geweßenen Schneiders vndt Burgers allhie nachgelaßener ehelicher Sohn vndt Jungfr. Ursula, Georg Kraußen deß Büchßenmachers Vnd Burgers allhie eheliche Tochter. Eingesegnet Im Münster Mont. den 4. Octob. (i 230)
Jean Georges Kress épouse en 1677 Catherine, fille du marchand de fruits et légumes Gérard Frentz : contrat de mariage, célébration
1677 (26.2.), Not. Oesinger (David, 37 Not 25) n° 973
Eheberedung Zwischen dem Ehrengeachten herrn Hannß Georg Kreßen, burgern und Schneidern alhie Zue Straßburg als Bräutigamb ahn einem
vnd der Tugendsamen Catharinæ Frentzin weÿl. H Gerhard Frentzen gewesenen burgers und fastenspeiß händlers alhie seel. dochter als hochzeiterin andern theils
Catharina Fräntzin
Beschehen inn gedachter Statt Straßburg auff Montags den 26.ten Monatstag Februarÿ A° 1677.
Mariage, cathédrale (luth. f° 41 n° 21)
1677. Dom. Invocavit. Zum 2. mahl Johann Georg Kreß der Schneider und Burger alhier, Jfr. Catharina, Weiland hr. Erhard Frantzen, gewesenen Burgers u. Grempen alhie nachgelaß : eheliche Tochter. Montag den 12. Mart. im hauß. Münster (im 43)
Jean Georges Kress meurt en 1681 en délaissant sa veuve pour héritière testamentaire. Les experts estiment la maison à 225 livres.
1681 (15.6.), Not. Winckler (Elie, 61 Not 3) n° 7
Inventarium über Weÿland deß Ehrsam und bescheidenen Meister Hannß Georg Kreßen, geweßenen Schneiders und Burgers alhie Zu Straßburg seel. Verlaßenschafft auffgerichtet in Anno 1681.
Inventarium und beschreibung aller Haab und Nahrung, ligender und vahrender keinerleÿ außgenommen, So weÿland der Ersame und bescheidene Meister Hans Georg Kreß, gewesener Schneider und burger alhier Zu Straßburg, nach seinem Sambstags den 5. Februarÿ lauffenden Jahrs aus dießer welt genommenen tödlichem hientritt hinderlaßen Welches alles auf freundliches ansuchen erfordern und begehren der Ehren und Tugendreichen frawen Catharinæ Frentzin deßen hinderlaßenen Wittib, als welche Krafft hernach inserirter Eheberedung, von dem verstorbenen seel. Zur einigen Erbin bestimmt worden, ersucht durch Sie mit assistentz deß Ehrengeachten und vorachtbaren herren Johann Friderich Lobsteins Paßmentirers Seidenhändlers und burgers alhie Zu Straßburg, Ihres geschwornen Curatoris und vogts (…) Actum Straßburg Mittwochs den 15. Junÿ Anno 1681.
Inn einer in der Statt Straßburg im Spithal gäßel gelegen Inn gegenwärtiger Verlaßenschafft gehörigen behaußung befunden worden wie volgt
In der Cammer A, In der Cammer B, In der Cammer C, Vor dießer Cammer, In der obern wohnstub, Im haußöhren, In der Kuchen, In der undern Stuben
Eÿgenthumb ane einer Behaußung der Erbin unverändert. Item ein behaußung, hoffstatt, mit allen derselben begriffen, weith. rechten und gerechtigkeiten gelegen alhie in d. Statt Straßburg, im Spitthalgäßel eins. neben Hans Conrad Hornen deß außgewichenen Secklers Kindern, Anderseith neben H Johann Christian Schatzen dem Barchetkrämer hinden Zum theil auf hans Michel Becken deß Rahtsbotten und übrigen theÿls auf Lorentz Webers behaußung stoßend, darvon gohnd Jahrs auf Johannis Baptistæ Zehen gulden fünff Schilling pfenning Straßburg dem Mehrern Hospithal alhier in hauptgut widerlößig mit 200 guldin ermelter wehrung sonsten ledig eig. und über ermelten beschwerd. durch die geschworne werckleüth æstimirt und angeschlagen worden für 120 lb
Darüber sagt ein Pergamentiner Kauffbrieff, mit d. Statt Straßburg anhangendem Kleiner Secret Insigel verwahrt, Datirt d. 28. Martÿ Anno & 1564. Ferner ein Pergamentiner Kauffbrieff, mit gerührter Statt Straßburg anhangendem Kleinerm Secret Insigel verwahrt, Datirt den 27. Aprilis Anno 1597. Signirt mit N° 1
Ergäntzung der Wittib unveränderten gutts. Vermög deß verstorbenen seel. eigengändig geschrieben und underschribener Designation (…)
Sa. haußraths, der Wittib 9, der Erbin 57, Sa. Werckzeug Zum Schneider handwerck gehörig E 5 ß, Sa. Silbers W 12, Sa. Guldin rings W (-), Sa. Eigenthums ane einer behaußung E 120, Ergäntzung W 150
Summa summarum der Wüttib unveränderten Vermögens 184 lb
Summa summarum der Erbin unveränderter Nahrung 179 lb – Schulden 281, Passiv onus 101 lb – Conclusio finalis Inventarÿ 82 lb
Copia der Eheberedung (…) Geschehen Inn gedachter Statt Straßburg, auff Montags den 26. Monatstag Februarÿ 1677
Extractus Aus dem Jenigen Testamento nuncupativo so der abgeleibte Meister hans Georg Kreß mit und beneben Frawen Ursulæ Kraußin seiner Ersten haußwürthin seel. vor Herrn Notario david ösingern dem ältern und gezeugen den 21. Aprilis Anno & 1671. auffgerichtet. Für daß dritte, (…) ernennt und bestimmt gedachter hanß Georg Kreß der Testator, zu seinen rechten unzweiffelich Erben hievorbenannten seinen lieben Sohn Hans Georgen, solte aber derselbe nicht mehr beÿ leben sein, auch keine kinder hinderlaßen haben, die auch seine Erben wären, so ernennt und bestimmt bey solchen falls in der beständigen form Rechtens den oder die Jenige, die Künfftiger Zeit, obberührten seiner lieben haußfrawen entweder ab intestato oder per Testamentum Erben sein werden (…) Hingegen und Zum Vierten nominirt erwehnet Ursula Kraußin die Testirerin mit hievorstehender maßen und gleicher weißen ebenmäßig, Zu ihren wahren und rechten Erben, den oder die Jenigen, welche künftiger Zeit erstbemelten Ihren lieben haußwürth Erben sein werden
Abschatzung Freÿtags den 17.ten Junÿ 1681. Weÿlandt deß Ehrsamen vndt bescheidenen Meister hanß Jerog Kressen, gewesenen burgers vndt schneiders alhie, nunmehr See. hinderlaßener Fraw wittib vndt Erben behausung, in dem spithalgäßlein, welche behausung allenthalben Wohl besichtiget, Zimblich alt vndt bawloß befundten, ist solche behausung, so Kheinen Keller hatt, vndt Klein höfflein, angeschlagen auff den herren Stall Vor Vndt Vmb Vier hundert Vndt Fünfftzig guldten. Bezeügt hanß Jeorg heckheler Werckhmeister beÿ dem Münster
Catherine Frantz vend la maison au marchand de futaine Jean Giess et à sa femme Susanne Marie Stich.
1696 (21. augusti), Chambre des Contrats, vol. 568 f° 447-v
(prot. fol. 54) Erschienen Catharina, gebohrne Frantzin Weÿland Johann Georg Kreßen, des Schneiders seel. Hinterlaßene wittib, mit beÿstand Hn Johann Friderich Lobsteins, des Seidenhändlers, ihres Vogts
hatt in gegensein Johann Gießen, des Barchet Krämers und Susannæ Mariæ geb. Stichin, deßen ehelicher Haußfrauen (verkaufft)
Eine behaußung, Hoffstatt und Höfflein, mit allen deren Gebaüen, begriffen, weithen, zugehördten, Rechten und Gerechtigkeiten allhier im Spittelgäßlein einseit neben hans Jacob Böris dem Krempen anderseit neben Hans Henrich Heinisch des gürtlers verlaßener Haußfrauen hinten auf Hans Wurtzen den Schuhmacher stoßend gelegen, darvon gehend Jährlich 10 gulden Straßburger Wehrung dem mehrern Hospital allhier ablösig mit 200 gulden besagter Wehrung sonsten seÿe dieselbe gegen Männiglich freÿ ledig und eÿgen vnd ist dießer Verkauff und Kauff uber die angegebenen beschwerden so die Käuffere übenommen (…) geschehen vmb 300 pfund
[in margine :] Erschienen abermahls vorged. H. [Johann Friderich] Lobstein deme die hievor restirte 200 lb. d. seiner außsag nach auch gehören Maßen Ihme solche Erbsweiß Zugekommen seÿen, Hatt in gegensein Annæ Fuhrmännin geborhner Ramserin Wittib als nunmahliger Besitzerin hievorbemelt. am Spithal gäßlein liegenden Haußes (…) quittierend, Act. d. 7.t Novembris 1720.
Fils du tisserand Daniel Giess, Jean Giess épouse en 1687 Susanne Marie, fille du notaire Jean Stich : contrat de mariage, célébration
1687 (12.5.), Chambre des Contrats, vol. 557 f° 272
(Eheberedung) Johannes Gieß, der leinenweber, alß hochzeiter mit beÿstand Georg Heinrich Musculi seines bißherigen Vogts, wie auch Samuel Flechtners Büttels beÿ den tuchern alß seiner Mutter, welche ohnpäßlichkeit halben nicht außgehen kan, Vogt, an einem
So dann Jgf. Susanna Maria weÿl. H Johann Jacob Stichen gewes. Notarÿ Publ. sel. hinderlaßene tochter alß hochzeiterin mit beÿstand Andres Thierbachs, deß hutmachers alß Vogts am andern theÿl
[unterzeichnet] Johannes Güß, S M S
Mariage, cathédrale (luth. f° 150-v n° 24)
1687. Dom. I post Trinit. Zum 2 mahl Johannes Gÿß der Leinen Weber, Weiland Daniel Gÿßen gewesenen Leinen Webers u. Burgers ehel. S. Jfr. Susanna Maria, Weiland hr. Joh: Jacob Stichen gewesenen Not. publ. ehel. T. Mittw. den 11.t Juni N.Kirch (im 153)
La tribu du Miroir s’oppose à ce que Jean Giess revende des tissus qu’il a achetés à moins de devenir tributaire. Il se propose de cotiser au Miroir en restant tributaire chez les Drapiers. La tribu du Miroir tient au respect de son règlement. Les députés proposent de donner au plaignant le choix de rester chez les Drapiers en ne vendant que sa production ou de passer au Miroir pour devenir marchand. Les Quinze rejettent la demande de Jean Giess.
1697, Protocole des Quinze (2 R 101)
(f° 186-v) Sambstag den 13. Julÿ – Johann Gieß Ca. E. E. Zunfft Zum Spiegel
Johann Gieß der burger und Leinen Weber alhier, per Künast, cit. per sched. E. E. Zunfft Zum Spiegel, weilen gedachte Zunfft ihme beÿ 5. lb Verbiethen will, nichts Zu verkauffen, was er von einem Andern Weber Kaufft, es were dann, daß er beÿ ihnen Leibzünfftig werde, als bitt er Zu mehrerm Bericht Deputation, Factaq. relatione, Weilen er Vier Kleine Kinder hatt, die er Kümmerlich ernehren muß, ihme solches gn. Zu verstatten, mit erbiethen, sich beÿ ihnen geldzünfftig Zu machen und h Saltzmann cit: S: setzts die gebettene Deputation, bitt aber Factâ relatione E E. Zunfft beÿ ihren articuln gn. Zu manuteniren. K. bitt wie erst. Erk. der Obern Handwercks H. gewießen.
(f° 191-v) Mittwoch den 2. Aug. – Johann Gieß Ca. E. E. Zunfft Zum Spiegel
Iidem [Obere Handwercks Herren] per me, daß Johann Gieß, d. leinenweber, geklagt, daß E. E. Zunfft Zum Spiegel Nicht gestatten wolle, d.jenige Waß er beÿ andern Webern Kaufft, Zu Verkauffen da doch er beÿ ihnen geldzünfftig Zu werden sich erbotten habe, Anbeÿ gebetten, hierinnen gn. Zu dispensiren, Worüber man gedachter Zunfft Zunfftmeister, herrn Johann Peter Kornmann, gehört, der beditten, daß Gegner sich unterstanden, gantze wahren ein Zu Kauffen, und auß Zu schneiden, deßweg. er beÿ gericht Vorgestellt, Und Weilen er Wieder articul laufft, Und ihme, als einen handwercksmann, Wahren Zu Kauffen und damit Zu handlen Nicht Zusteehet, solches ihm inhibirt worden seÿe, dabeneben gegenwärtigen Extractum auß E. E. Zunfft Zum Spiegel Memorial producirt, daraus Zu ersehen, daß er schohn den 15. 9.bris 1695. deßweg. angeklagt, Und damahlen ihme das was, er selbsten und sein gebröd gesind machet, Weg Zu geben und Zu Verkauffen vergönnet, der Ein: und Verkauf aber der Wahren ihme beÿ 3. lb d Verbotten, Und, da mann ihn den 2.ten Julÿ iüngst Wider beÿ gericht vorgestellt, solches nochmahlen confirmirt woden were. Worauff Kläger geantworthet, daß er gantz allein seÿe, Und auß mangel der Mittel Kein gesind halten Könne, Auch nichts anders als was Zu seinem handwerck /:als halb Leinen und Zwilch:/ gehörd, Kauffe, und wieder verkauffe, neben dem es Noch mehr Krämer gebe, die handelten Und doch Nicht leibzünfftig beÿ den Spieglern weren ex: grat: die tuchhändler Unter der Pfaltz, die er in specie genannt, Allein habe Herr Kornmann replicirt, daß Weg. der gedachten tuchhändler es seine schohn lang außgemachte sach were, Und wann [f° 192-v] andere, so nicht Zu ihnen mit dem Leib dienen, handelten, mann es Nicht wüße, Und solches ihnen Auch Niedergelegt werden würde, mit bitt, die Zunfft beÿ ihren articuln gn. Zu mainteniren.
davon Mann sich beÿ der Deputation wohl erinnernd, betterab*, daß es bißhero all Zeit beÿ Mghh. die meinung gehabt, daß was zur handlung gehörd, mann dabeÿ laßen, Und die handwerck leüth beÿ ihrem Handwerck bleiben sollen, darzu Noch komme daß d. præjudicium des Johann Georg Rothhahnen, der den 2.ten 7.bris 1695. ebenmäßiges gesucht, aber einen abschlägige antwordt bekommen, Noch gantz Neu seÿn, dahero mann dafür gehalten, daß dem Kläger die alternative gegeben werden Könte, entwed. beÿ den Spieglern Leibzünfftig Zu werden, und Nachgehends Nach belieben Zu handlen, oder beÿ seinem Handwerck Zu bleiben, Und allein dasjenige, so er Und sein gebröd gesind machet, Zu verkauffen, Allein stündte die genehmhaltung Zu Mghh. Erk. Soll Kläger mit seinem begehren abgewießen Und die beklagte Zunfft beÿ ihren articuln gelaßen werden.
Le marchand de futaine Jean Giess et Susanne Marie Stich vendent la maison au revendeur Daniel Fuhrmann moyennant 450 livres. L’acte est passé en présence des députés Leitersperger et Pfeiffer.
1705 (13.8.), Chambre des Contrats, vol. 578 f° 691-v
(450) Erschienen Joh: Gieß barchetkrämer u. Susanna Maria geb. Stichin seine eheliche haußfr.
haben in gegensein Daniel Fuhrmanns Grempen [unterzeichnet] Daniel fuarmann, Anna fuhrmännin)
eine behaußung hoffstatt und höfflein mit allen deren Gebäuen, begriffen, weithen, zugehörden, rechten u. Gerechtigkeiten allhier im Spithalgäßlein einseit neben Joh: Jacob Börs Grempen anderseit neben Valentin Eckart Spenglern hinten auf die alte Statt maur stoßend gelegen – (um 100 und 200 pfund verhafftet, geschehen um 150 lb)
in dießen Kaug seind eingedungen worden ein mauer bauchkessel u. diie Kunstöffelein (…)
Actum in præsentia Hn XXI Leiterspergers u. J. Rath Hn Pfeiffers hierzu deputiert kraft bescheids vom 12.ten hus.
[in margine :] quittung, weÿl. Daniel Fuhrmanns wittib Anna geb. Ramserin, den 16. junÿ 1742
Les Conseillers et les Vingt-et-Un autorisent le tisserand Jean Giess à vendre la maison au manant Daniel Fuhrmann pour environ 450 livres. La commission qui s’est rendue sur place rapporte que la maison comprend deux poêles, quatre chambres, deux cuisines et un petit grenier.
1705, Conseillers et XXI (1 R 188)
(f° 177) Montags den 3.ten Augusti 1705. – Joh. Gieß pt° hauß Verkauffs.
Ersch. Johannes Gieß burger vndt Leinenweber allhier, der ist willend eine in dem Spittelgäßell allhier ligende behaußung an Daniel Fuhrmann den schirms Verwanthen allhier vmb Vngefähr 900 fl. Zu verkauffen, bittet vmb obrigkeitliche erlaubnus. Erk. werden zuforderist H. XXI.er Leitersperger vnd H. Rath. Pfeiffer deputirt, vmb den Augenschein in der behaußung quæstionis einzunemmen.
(f° 180-v) Mittwochs den 12.ten Augusti 1705. – relation wegen Joh. Gießen hauß Verkauffs.
H. XXI.er Leitersperger, Vndt H. Rathherr Pfeiffer referiren, Sie hatten die den 3. huius Ihnen auffgetragener Commission zu volgen nicht ermangelt, den augenschein in der Jenigen Behaußung, so Johann Gieß der leinenweber ahn Daniel Fuhrmann den Schirmer allhier Verkaufften will, einzunehmen, da Sie dann gefunden, daß gesagte behaußung in dem Spittelgäßel gelegen, seÿe vnd in 2 stuben 4 Kammeren vnd 2 Kuchen sambt einem kleinen bühnlein bestundte, der kauff solle vmb 900 fl. vorgehen, daran der Käuffer gleich Baar 300 fl. Zu bezahlen die restierende 600 fl. aber bis Zu deren entrichtung à 5 pro Cento Zu Verzinnßen vnd im übrigen sich mit allen stuckhen mghheren ordnung Zu submittiren versprochen habe, die willfahrung der gebettenen erlaubnus mghhen überlaßendt.
Erk. wurdt in den Kauff Vndt respectivé verkauff der behaußung quæstionis zwar obrigkeitlich Consentirt es solle die verschreibung derselben aber in allhiesiger Constractstuben præsentibus D.D. Depp. sub Clausulis et Conditionibus assuetis Vorgenommen werdten.
Les réformés Daniel Fuhrmann et Susanne Ramser font baptiser leur premier enfant à Strasbourg en 1694
Baptême (réformés, f° 49)
MDCXCIV. den 7. dito [Novembris] liß ihr Kind tauffen Daniel Furmann Schirms Verwandter in Straßburg Anna Rhamserin. Testes. Herr Peter Hartmann von Basel, Sebastian Jäggi der Reformirte Sigrist an statt h Johann Ulrich Friden herrn Johann Ulrich Friden secretarÿ beÿ d. herrn XIII in Straßburg ehel. Sohns, so noch nicht Zum tisch des herren gegangen
Fr. Barbara gebohrer Erhardin weÿl. herrn Eliæ Brackenhofers sel. gew. Beÿsitzers des beständigen Regiments der herren XIII in Straßburg nachgel. wittib, anstatt ihrer Tochter Jfr. Catharina Barbara Brackenhoferin so gleichfals noch nicht communicirt – Infans Johann Daniel (i 57)
(autres baptêmes, 1696 Catherine Salomé f° 64-a, 1698 Georges Etienne f° 63-a, 1700 Johann Martin f° 68, 1701 Isaac Mathieu, 1702 Jeanne Chrétienne f° 74-a)
Agathe Schwab, fille adoptive du manant Daniel Fuhrmann, épouse en 1708 Jean Allemann, originaire de Sankt Stephan au canton de Berne
Mariage (réformés, f° 124-v)
MDCCVIII. den 26.t Februarÿ sind eingesegnet worden Sebastian Allemann, weÿl. Johannes Allemann vß St. Steffan Bernergebiets nachgel. ehel. Sohn handwercks ein Schumacher, Agatha gebohrne Schwabin Daniel Fuhrmanns Schirms Verwandten in Straßburg an Kindstatt angenommene Tochter (i 135)
Agathe Fuhrmann, veuve de Sébastien Allemann, se remarie en 1709 avec Jean Jacques Schmidt, originaire de Kallnach au canton de Berne
Mariage (réformés, f° 125-v)
MDCCIX. den 30.ten dito [Junÿ] sind eingesegnet worden Johann Jacob Schmidt weÿl. Leonhard Schmidts des Schmidts von Kollnach Bernergebiets nachgel. ehel. Sohn, Fr. Agatha Fuhrmännin weÿl. Sebastian Allemanns Gewesenen Schuhmachers von St. Steffan Bernergebiets nachgel. wittib (i 136)
Daniel Fuhrmann et Susanne Ramser hypothèquent la maison au profit du secrétaire Elie Brackenhoffer
1712 (ut ante [18.6.]), Chambre des Contrats, vol. 585 f° 450
Daniel Fuhrmann gremp und Anna geb. Romtzin beÿständlich Joh: Jacob Schmidt gremp ihres Tochtermanns und H. Blasii Sultzers auß mittel E.E. Kl. Raths in ermanglung verwanther deputiret
in gegensein H. Eliæ Brackenhoffers Actuarii beÿ löbl. ammeister audientz – schuldig seÿen 200 lb
unterpfand, ihr hauß c. appert. im Spithalgäßlein, einseit neben Schneider dem grempen anderseit neben velten Eckardt hinten auf (-)
Les réformés Daniel Fuhrmann et Susanne Ramser font dresser un état de leur fortune (1 205 livres) pour accéder à la bourgeoisie. La maison est estimée à sa valeur vénale de 200 livres.
1713 (21.8.), Not. Pantrion (Jacques Christophe, 40 Not 30)
Inventarium über Daniel Fuhrmanns Gremppen: undt frawen Annæ Fuhrmännin gebohrner Rambserin beed. reformirte Eheleüthe und Schirms Verwanthe alhier habende Nahrung auffgerichtet 1713. – welche auff deroselben Inständiges Ansuchen, erfordern vnd begehren Auß Ursachen Sie fürderlich beÿ Unserer Gnändigen Obrigkeit vnd Einem hochlöbl. Magistrat dießer Königlich. Statt Straßburg vmb das Burgerrecht anzuhalten vorhabend (…) Actum Straßburg, Montags den 21.ten Aug: Anno 1713.
In einer allhie Zu Straßburg In dem Spithalgäßlein gelegener, vnd in dieße Nahrung gehörig. behausung befunden worden, wie volgt
Eigenthumb ane einer behaußung. Item hauß hoffstatt und höfflein, mit allen deren gebeuwen, begriffen, Weiten, Rechten, Zugehördten vnd gerechtigkeiten, geleg. alhier Zu Straßburg In dem Spitalgäßlein, eins. neben Hanß Jacob Beris des Grempen Wittib vnd Erben, and.s. neben Valentin Eckart dem Spengler, hinden auff die alte Statt Maur stoßend. Davon Gehen Jahrs 4. lb 4 ß Straßb. Wehrung dem Mehrern Hospital alhier, in Capital ablößig mit 100 lb. d. besagter wehrung. Item 10. lb d. H Friedrich Lobstein dem handelßmann in Capital lößig mit 200. lb. d. Item 10. lb. d. H. Eliæ Brackenhoffern Cancelleÿ Verwanth. in Capital ablößig mit 200. lb d. Sonsten freÿ, ledig vnd eigen, über vorstehende beschwerd. angeschlag. wie solche behaußung der beÿden Eheleute bericht nach täglich verkaufft werd. Kan, vnd davon schon öffters gebotten worden vor 200. lb. Vnd besagt über vorstehende behaußung ein t. Perg. Kbr. mit der Cancelleÿ Contract stuben anhang: Insiegel de dato 13.t Aug: 1705
Series. Sa. haußraths 283, Sa. Leerer vaß 12, Sa. Gremppenwahren 440, Sa. Silbers 72, Sa. Goldener Ring 16, Sa. der baarschafft 180, Sa. Eigenthumbs ane einer behaußung 200, Schulden o, Summa summarum 1205 lb
Pro Not. Nach Schließung der vorher Inventirten Activ: Nahrung, haben beede Eheleuthe vff mein des Notarÿ befragen, ob Sie hingegen auch einige Passiva Zubezahlen hätten, die Ingleichem beschrieben vndt von obiger Summ abgezog. werden müßten geantwortet Nein /:außer ein: vnd a,deren gering. Pöstlein so Sie noch vor wahren Zubezahlen (…)
Daniel Fuhrmann demande aux Conseillers et Vingt-et-Un de transmettre au Grand Sénat sa requête de devenir bourgeois, selon la procédure habituelle pour les réformés
1713 Conseillers et XXI (1 R 196)
(p. 101) Sambstags den 26.ten Augusti 1713 – Daniel Fuhrmann der Schirmer vnd uxor pt° Civilegÿ obtinendi.
G. Ersch. Daniel Fuhrmann der schirmer vndt Kremp allhier wie auch deßen haußfrau anna gebohrner Ramserin beede Calvinister religion Zugethan die wollen sich in Mghhern burgerrecht begeben, prod. Confession vndt schirms schein auch jnventarium über beeder Vermögen mit unterthäniger bitt einige herren abzuordnen factaque relatione Sie pro obtinendo Civilegio ahn E. E. großen Rath Zu Verweißen. Erk. werden Zu Untersuchung beeder Imploranten Vermögen Herr XV.er Güntzer vndt Hr Rathherr Mollinger deputirt.
Originaire de Bucy-lès-Pierrepont (en Champagne), Daniel Chartier et sa femme Anne Rambser, originaire d’Oberwil en Suisse, achètent le droit de bourgeoisie en s’inscrivant à la tribu de la Mauresse
1713, 3° Livre de bourgeoisie n° 1289
Daniel Chartier, der Kremp Von Burssy le pierre pont vnd sein Fr. Anna Rambßerin Von Oberwith auß der Schweitz, erkauffen das burgerrecht pro 6. gold fl. 16 ß bringen 4. Kinder mit so beÿ ordnung gelaßen Worden, Wird Zur Möhrin dienen Jur. d. 30. 7.br: 1713
Le marchand de beurre Daniel Fuhrmann, manant qui sollicite le droit de bourgeoisie, est autorisé à conserver sa boutique pour que ses marchandises ne se gâtent pas
1713, Protocole des Quinze (2 R 117)
(f° 243) Sambstags den 9. Sept. 1713. – Daniel Fuhrmann pt° Erlaubnus seinen Laden öffnen Zu dörff.
G. noîe Daniel Fuhrmanns des Schirmers und Butterhändlers der ist willens in das burgerrecht Zu tretten, wie er dann schon würckl. sich darumb angemelt, bittet unterth. damit ihme seine wahr nicht verderbe, ihme Zu erlauben seinen Laden interim öffnen Zu dörffen. Erkannt Willfahrt
Daniel Fuhrmann meurt en 1720 en délaissant trois enfants. Les experts estiment la maison à 550 livres. La masse propre à la veuve est de 35 livres. L’actif de la communauté s’élève à 228 livres, le passif à 100 livres.
1720 (30.7.), Not. Pantrion (Jacques Christophe, 40 Not 42)
Inventarium und beschreibung aller Haab, Nahrung vnd gütere, so weÿland der Ehrenhaffte Daniel Fuhrmann geweßener Grempp und burger alhier, nach Seinem Mitwochs den 27.ten Martÿ Jüngsthin auß dießem mühesamen leben genommenem tödlichen ableiben Zeitlichen verlaßen, welche auf freündliches ansuch. erfordern vnd begehren, des Ehrengeachten Meister Melchior Steineckers Zimmermanns vnd burgers alhier, alß geordnet und geschwohrnen Vogts Daniel, noch ledigen huffschmidts, Jungfrauen Catharinä Salome und Johann Georg Fuhrmanns noch ledigen Paßmentirers, die sambtliche Majorennes, des verstorbenen seel: mit hernach gemelter seiner hinderbliebenen Wittwen ehelich erzeugter Söhne und dochter, vnd ab intestato verlaßene Erben, inventirt, weilen Sie die Kinder vnd Erben aber annoch unverburgert, alß hat der ordnung gemäß der Ehren vorgeachte vnd weiße herr Andreas Friedel, E. E. kleinen raths wohlmeritirtr beÿsitzer, alß auß wohlermelts Kleinen raths mittel hierzu insonderheit verordneter Deputatus dießem geschäfft beÿgewohnt, durch die Ehren: und tugendsame Fraw Annam Fuhrmännin geborhrne Rambßerin, die hinderlaßene Wittib, mit beÿstand des Ehren: und vorachtbaren Herrn Martin Manns, Metzgers vnd burgers alhier, ihres geschwohrnen Curatoris (…) Actum Straßburg, dinstags den 30. Julÿ 1720.
Bericht ane Statt der Eheberedung. Demnach die Wittib, gleich anfangs der Inventation auff geschehenes befragen, den begriff Erstatten, daß Zwischen Ihro vnd dero Verstorbenen haußwürth im geringsten Keine Pacta dotalia Auch in wehrender Ehe Einige Disposition oder Verordnung Nicht auffgerichtet worden, Als seind Ihro allein die Jenige Posten, So Sie in diese Ehe Gebracht Zu haben Handtrewlichen bekandt (…)
In einer alhie Zu Straßburg in dem Spitalgäßlein gelegener: vnd in dieße Verlaßenschafft gehöriger behausung ist befunden worden, wie volgt
Ane Haußrath. In der Soldaten Kammer, In der Cammer A
Eigenthumb ane einer behaußung. Item eine Behaußung, Hoffstatt vndt kleines höfflein, mit allen deren gebawen, begriffen, weiten, Rechten, Zugehörden vnd gerechtigkeiten, gelegen alhier Zu Straßburg in dem Spitalgäßlein, einseit neben Emanuel Schneider dem Gremppen, anders. neben Johann Baldner, dem Gürtler, hinden auff Johann Wurtzen den Schumacher stoßend. Davon gehen Jährlichen 4. lb 4 ß Zinß st. wehrung dem Mehrern Hospital alhier, in Capital ablößig mit 100 lb. d. Item 10. lb d. H Friedrich Lobstein, dem handelßmann ablößig in Capital mit 200. lb. d. Item 10. lb. d. Herrn Eliæ Brackenhoffern Senatori in haubtguth widerlößig 200. lb d. Sonsten ledig vnd eig., über vorstehende beschwerden annoch æstimirt durch der Statt Straßburg geschwohrne Werckmeister vermög überschickten beÿ mein des Notarÿ Concept ligend. vnd den 17. Julÿ 1720. datirten scheins pro 49 lb 16 ß. Vnd besagt über vorstehende behaußung i. t. Perg. Kauffbrieff mit d. St. Straßburg Cancelleÿ Contract stuben anhang: Insigel verwahrt, datirt den: 13. Aug: 1705
Eigenthumb ane einem Käßlad. hinder dem Münster. Item ein noch ohnaußgemachte Grempen lädlein mit allen seinen Zugehörd vnd gerechtigkeite, hinder dem Münster gegen dem Saltzhauß gelegen, vngefehr 8. Schu breit, vnd 10. Schu lang, davon mann Jährlich dem Pfenningthurn 1. lb. d bodenzinß Zuerlegen ist über erstgemelte beschwerde æstimirt Pro 5 lb
Series rubricarum hujus Inventarÿ. Der Wittib unveränderten hausraths 35 lb
Die Theilbahre Nahrung betr. Sa. haußraths 45, Sa. Gremppen wahren 85, Sa. Silbers 49, Sa. Eigenthumbs ane einer behaußung 49, Sa. Eigenthums an einem Käßladen 5, Sa. Schulden 41, Summa summarum 228 lb – Schulden 100, Nach solchem abzug 127 lb
Conclusio finalis Inventarÿ 165 lb
Originaire de Lorraine, le revendeur Daniel Fuhrmann meurt de fièvre pétéchiale la nuit du 27 au 28 mars 1720.
Sépulture (réformés, f° 12)
Daniel Fuhrmann, Burger v. Gremp in Straßburg gebürtig von (-) auß Lothring. starb des nachts Erkannt Willfahrt 27 v 28. Martÿ 1720 bey dem fleckfieber, v ward begraben den 29. d° vmb 3 Uhr nach Mittag auf St Gallen (i 16)
Anne Ramser veuve de Daniel Chartier meurt en 1743 en délaissant une fille de son premier mariage avec un nommé Schwab et deux enfants de son deuxième mariage. Les experts estiment la maison à 550 livres. L’actif de la succession s’élève à 1173 livres, le passif à 122 livres.
1743 (10. 8.bris), Not. Lichtenberger (Jean Frédéric, 6 E 41, 313) n° 303
Inventarium über Weÿl. Frauen Annæ Chartierin gebohrener Ramßerin, auch weÿl. Daniel Chartier, geweßenen Fastenspeishändlers und Burgers allhier Zu Straßburg längst seel. hinterbliebener Wittib, nunmehr auch seel. Verlaßenschafft, auffgerichtet Anno 1743. (…) nach Ihren Montags den 7. Octobris dießes 1743.sten Jahrs aus dießer welt genommenem tödlichem Hientritt hie Zeitlichen verlaßen – So beschehen in der Königl. Statt Straßburg auff Donnerstag den 10.ten Octobris A° 1743.
Die Defuncta hat ab intestato Zu Erben Verlaßen wie folgt.
1. Frau Agatham Schmidtin gebohrene Schwäbin, weÿl. Johann Jacob Schmidts geweßenen Fastenspeishändlers und Schirmers allhier, seel. hinterbliebene Wittib, der Defunctæ in erster Ehe mit weÿl. N Schwaben ehelich erzeugte Tochter, so mit beÿstand Meister Johann Michael Rooßen des Schneiders und Schirmers allhier, Ihres tochtermans hierzu in specie erbettenen Assistenten, dem Geschäfft persöhnl. beÿgewohnt.
2. Frau Catharinam Salome Ruffin, gebohrene Chartierin, Hiob Ruffen auch Fastenspeishändlers und burgers allhier Ehegattin, so mit beÿstand solch Ihres Ehevogt, dem Geschäfft in Persohn abgewartet und dann 3. Johann Georg Chartier, den ledigen Paßmentirer, so bereits längsten majorennis und seine Stelle hiebeÿ selbsten Vertretten, dieße beede der Defunctæ in Zweÿter Ehe mit eingangs gedachtem Daniel Chartier Ihren geweßenen Zweÿten Ehemann seel. ehelich erzeugte Tochter und Sohn, Und ist in sein Johann Georg Chartier, des Sohns Zweÿter: wie auch obernandter Frauen Agathæ Schmidtin, der Tochter erster Ehe nahmen, weilen dieße beÿde allhier ohnbevögtigt, hiebeÿ ferner erschienen, S. T. herr Johann Jacob Jung, der Fischhändler und E: E: Kleinen Raths alhier Jetzmahlig. wohlmeritirter beÿsitzer, als aus Ehrengedachten Raths mittel (…) hierzu in specie abgeordnet. Alle 3. der abgeleibten seel. in Zwoen Ehen ehelich erzeugte Töchtete und Sohn und ab intestato Zu gleichen portionen und antheilern Verlaßene Erben
In einer allhier Zu Straßburg ane dem Spithalgäßlein gelegener, in dieße Verlaßenschafft Zum theil gehöriger und hernach beschriebener behausung befunden worden, wie folgt
(f° 8) Eigenthumb ane Häußern. Erstl. Fünff Neundte theil Vor ohnvertheilt ane einer behausung, hoffstatt und höfflein, mit allen deren gebäuen, begriffen, Weithen, Rechten, Zugehördten und gerechtigkeiten, gelegen allhier Zu Straßburg ane dem Spithalgäßlein, einseit neben weÿl. Johann Baldners des geweßenen Zinn Knöpffmachers Wittib und Erben, anderseit neben Emanuel Schneiders des Grempen Wittib Erben, hind. auff die alte Statt Maur stoßend, so freÿ, ledig und eigen, und ist die gantze Behaußung durch (die Werckmeistere), vermög deroselben ad Conceptum geliefferter schrifftl. Abschatzung Vom 16.ten Octobris angeschlagen worden pro 550 lb. Machen die davon in der Defunctæ Succession gehörig Fünff neuendte theil 305. lb. Die übrige Vier neündte theil seind der Tochter und dem Sohn Zweÿter Ehe zu gleichen ratis Vor Vätterlich Guth gehörig. Wie weÿl. Daniel Chartier, der Defunctæ geweßener Zweÿter Ehemann die Völlige behausung ane sich kauffet hat, weiset ein teutscher pergamentener Kauffbrieff, in allhießiger Cantzleÿ Contractstub gefertiget und mit dero anhangendem größerem Insiegel verwahret datirt den 13. Augusti Anno 1705. Dabeÿ noch ein alter teutscher perg. auch in allhießiger C. C. stub gefertigter Kauffbrieff, mit dero anhangendem größerm Insigel corroboriret dedato 21. Aug. 1696.
It. eine Behaußung und Hoffstatt in gedachtem Spithalgäßl. (…)
(f° 12) Series rubricarum hujus Inventarÿ. Sa. haußraths 96, Sa. Grempen Waaren 30, Sa. Waaren und Werckzeugs Zur Paßmentirer profession gehörig 52, Sa. Silbers 6, Sa. Eigenthumbs ane Häußern 630, Sa. Schulden 357, Summa summarum 1173 lb – Schulden 122, Detrahendo verbleibt 1051 lb
Stall Summ 987 lb
Abschatzung dem 16. oct. 1742. Auff Begehren weillandt dero Ehr und tugenssamen Frauen anna fuhrmanin gebohrne ramserin seel. hinderlaßene Erben ist eine behausung alhier in der Statt Straßburg in der spitall gaßen gelegen ein seitß an Meister Jackob Baltnerß seel. Erben, ander seitß an Meister Emmanuell schneiters seel. Erben, hinden auff H. schuller dem Basmentirer Stosendt welche behausung unden einen Stuben Kuchen hauß Ehren ein Kleineß höffell und geträmten Keller oben ihm Ersten und 2.ten stock eine Stuben Cammer Kuchen hauß Ehren darüber ein alter tach stull daß tach mit alten hol Ziglen belegt unbesetzte bienen sambt aller gerëchtig Keidt wie solches turch der Statt Straßburg geschwornen werck Meistere sich in der besichtigung befundten und Jetzigen Preÿß nach angeschlagen wirdt Vor vnd vmb Ein Tausent und Ein hundert Gulten
er 2.t: Begriff ist auch allhier in der Statt Straßburg in der spitall gaßen gelegen (…) bezeichnuß der Statt Straßburg geschwornen wërckmeistere, [unterzeichnet] Pflug Statt Lohner, Michael Ehrlacher Werck Meister deß Meinsters, Johann Jacob Biermeÿer Werck Meister deß Zimmerhoffs
(f° 13) Eigenthumb ane Häußern berührend.
Anne Fuhrmann, veuve âgée de 77 ans, est inhumée au cimetière Saint-Gall le 9 octobre 1743.
Sépulture (réformés, f° 51)
Anna Fuhrmann, Wittib, begr. auf S. Galli 9. Oct. 1743. æt. 77. Jahr 8 Tag (i 60)
Les préposés de la Taille font figurer la succession dans leur registre parce que les héritiers non bourgeois doivent régler le droit de détraction que les Quinze réduisent de deux tiers.
1743, Livres de la Taille (VII 1179) f° 226-v
Möhrin N. 8969. – Weÿl. Fr. Annæ gebohrner Ramßerin auch weÿl. Daniel Chartier gewesenen Grempen und burgers alhier Wittib Verlaßenschafft inventirt H. Not. Lichtenberger jun.
Concl. Fin. Inv. ist fol. 46-b, 957. 16. 5, die machen 1900 fl. Verstalltte auch so viel
Ext. kein Stall geltt
Gebott 2 ß
Abhandlung 1. lb 5 ß 6 s, Summa 1 lb 7 ß 6 s
dt. 21. 8br. 174.
Abzug. Fr. Agatha gebohrne Schwabin weÿl. Johann Jacob Schmidt des Grempen und Schirmers alhier Wittib und Johann Georg Chartier der Ledige Paßmentirer haben von 700 lb 16 ß 4 s den Abzug zu erlegen mit 70 lb 1 ß 8 s. Vermög Erkantnus Gnäd. Herren der XV. Von 6. Junÿ 1744. moderirt auf die tertz macht 23. 7. 3.
dt. 30. Junÿ 1744.
Agathe Schwab et son demi-frère Jean Georges Fuhrmann arguent qu’ils sont enfants de bourgeois pour être dispensés du droit de détraction. La commission propose de réduire le droit de moitié. Les Quinze le réduisent des deux tiers.
1744, Protocole des Quinze (2 R 154)
(p. 392) Sambstag d. 30. May 1744. – Römer nôe Frawen Agathæ gebohrner Schwäbin, weÿl. Joh: Jacob Schmid gewesenen Krempen und Schirmers wittib, und Joh. Georg Uhrmanns ledigen Paßmentirers pt° Abzugs prod. Vnderth. Mem. sambt beÿlag Lit. A. Erk. Ober: Stallherren
(p. 395) Sambstag den 6. Juny 1744 – Weÿl. Johann Jacob Schmidts wittib und Johann Georg Fuhrmann pt° Abzugs
Obere Stall Herren laßen per me referiren, daß Agatha gebohrne Schwäbin, weÿl. Johann Jacob Schmidts des Krempen und Schirmers nachgelaßene wittib und Joh. Georg Fuhrmanns der ledige Paßmentirer in einem den 30. May jüngst producirten vnderth. Memoriale sambt beylag Sub Lit. A gehorsambst Vorgetragen, Es weiße sothane beÿlag wie daß Von Ihnen, Imploranten, auff der Statt Stall von 700 lb. 16 ß 4 d. ererbtem Mütterlichem Guth 70 lb 1 ß 8 d. für Abzug gefordert werde. Nun seÿen Sie, vnderthge Imploranten, in das hiesige Burger Recht gebrachte Kinder, und habe die Implorantin 2 Verheurathete Kinder, Welche bereits burger seÿen, und seÿe gesinnet die übrige auch burger werden Zu laßen, der Vnderth. Implorant aber seÿe auch gesinnet hier sich bürgerlich niederzulaßen, so bald eine Ihme anständige burgerliche Partheÿ sich eraigne, Wollen also Sie, Imploranten, gehorsambst gebetten haben Mgh geruhen wolten, Sie ex Speciali gratia von diesem abzug Zu befreÿen.
Auff geschehene Weisung hetten die Supplicanten sich auff den jnhalt Ihres Memoriales bezogen, undt petitum widerhohlet, mit dem beÿsatz sie seÿen von der Verstorbenen Mutter einbändige Geschwister Weilen nun die Imploranten hier gebohren auch in das burgerrecht gebrachte Kinder und Mgh allezeit in dergleichen fällen die milde dem rigor pflegten Vorzuziehen alß Vermeine man daß dieser Abzug auff die Helffte Zu moderiren. Es stehe aber Zu Mgh. was Sie Zu erkennen gndgst belieben werden. Erkant, wird dießer Abzug auff die Tertz moderirt.
Catherine Salomé Chartier, femme du marchand de fruits et légumes Job Ruff, et le passementier célibataire Jean Georges Chartier vendent leurs parts de maison à leur demi-sœur Agathe Schwab, veuve du manant Jean Jacques Schmidt
1743 (17.10.), Not. Lichtenberger (Jean Frédéric, 6 E 41, 313) Joint au n° 303 du 10. oct. 1743
(Inventarium über Weÿl. Frauen Annæ Chartierin gebohrener Ramßerin, auch weÿl. Daniel Chartier, geweßenen Fastenspeishändlers und Burgers allhier Zu Straßburg längst seel. hinterbliebener Wittib, nunmehr auch seel. Verlaßenschafft)
(f° 11) Eigenthumb ane Häußern berührend.
Belangend Erstlichen die in dem Inventario beschriebene, in der Defunctæ eigenthümliche Verlaßenschafft gehörige Fünff Neundte theil Vor ohnvertheilt ane einer behausung, hoffstatt und Höfflein, gelegen allhier Zu Straßburg ane dem Spithalgäßlein, einseit neben weÿl. Johann Baldners des geweßenen Zinn Knöpffmachers Wittib und Erben, anderseith neben Emanuel Schneiders, des Grempen Wittib Erben, hinden auff die alte Statt Maur stoßend, so freÿ, ledig und eigen, und waren Johann Georg Chartier dem ledigen Paßmentirer und dißorthigen Sohn, theils Vorhien schon vor sich eigenthümb. theils Von deßen Vollbändigen Schwester, Frauen Catharina Salome Ruffin, gebohrene Chartierin cedirter maßen, die übrige Vier neundte theil eigenthümlich zuständig und ane welchen Fünff Mütterl. Neundten theilen Jeedem der dreÿen Mütterl. Erben Zehn 24. theil vor ohnvertheilt gebührig, so hat obernandte Frau Catharina Salome Ruffin, gebohrene Chartierin, die Tochter Zweÿter Ehe, mit Consens und Einwilligung Hiob Ruffen, des Fastenspeishändlers und burgers allhier Ihres Ehevögtlich, Ihro Von Mütterl. Succession Ihre Zukommende Zehen 24. theil ane gedachter behaußung, und Johann Georg Chartier, der Sohn auch obernandt von seinen Ihme gebührigen Zehen 24. theilen, ane denen Mütterl. Antheilern erwehnter behaußung Sieben 24. mithien Sie beÿde Vollbäntige Geschwüsterde Zusammen wie wohl Zu ohngleichen portionen 17.24. theil Vor ohnvertheilt
Frauen Agathæ Schmidtin gebohrener Schwäbin, weÿl. Johann Jacob Schmidts geweßenen Fastenspeishändlers und Schirmers allhier hinterlaßener Wittib, der Tochter erster Ehe, Ihrer einbändigen Schwester,
in ohnvertheiltem Erbe eigenthümlichen Vor freÿ, ledig und eigen, cedirt und überlaßen, die gantze behaußung Zu 1800 Gulden hießig Currentgeld gerechnet, so Frauen Catharinæ Salome Ruffin Vor dero cedirte 10/24. theil 333 gulden und Johann Georg Chartier Vor deßen cedirte 7/24 theil 233 Gulden (…) So beschehen Zu Straßburg auff Donnerstag den 17. Octobris A° 1743.
Jean Georges Fuhrmann et Agathe Fuhhrmann veuve de Jean Jacques Schmidt vendent la maison à Anne Judith Ruff (leur nièce), assistée de son père Job Ruff
1747 (25.4.), Chambre des Contrats, vol. 621 f° 291-v
Johann Georg Stephan Fuhrmann der schirmer und deßen schwester Agatha geb. Fuhrmännin weÿl. Johann Jacob Schmidt des fastenspeishändlers und schirmers wittib beÿständlich ihres bruders
in gegensein Jgfr. Annæ Judith Ruffin mit beÿstand ihres vatters Hiob Ruff des fastenspeishändlers
eine behausung, höfflein und hoffstatt mit allen deroselben weithen, zugehörden und rechten im Spital gäßlein, einseit neben Johann Jacob Hammel dem huthmacher, anderseit neben Emmanuel Schneider des fastenspeishändlers erben, hinten auff die alte stadt maur – als ein elterliches erbguth – um 1200 pfund
Fils du menuisier Jean Ruff de Heidelberg, Job Ruff épouse en 1721 Catherine Salomé Fuhrmann : contrat de mariage dont la minute n’est pas conservée, célébration
Mariage (réformés, f° 135)
1721. April. den 14. Seind eingesegnet worden Mr Hiob Ruff, Schneider v. burger in Straßburg, Johann Ruff, Burger v. Schreiner in Heÿdelberg nach Tod hinterlaßener ehl. Sohn Jfr Catharina Salome Fuhrmännin, Daniel Fuhrmann, burgers in Straßburg nach Todt hinterlassene ehel. Tochter (i 145)
1721, Not. Pantrion (Jacques Christophe, répert. 65 Not 45, Eheberedungs Concepta, welche noch Zu expediren, f° 259 sqq)
1721 Hiob Rueffen Schneiders und Jfr Cath: Salome Fuhrmännin (Exp.)
1721 Conseillers et XXI (1 R 125)
Job Ruff und Cath. Salome Fuhrmännin Ref. Relig. sponsa halten pro Remissione an E. E. Großen Rath puncto Ciuilegÿ an.
Anne Judith Ruff épouse en 1749 le sellier Jean Frédéric Pfæhler, fils de l’huilier Jean Pfæhler : contrat de mariage, célébration
1749 (29.11.), Not. Dautel (Fr. Henri, 6 E 41, 285) n° 250
Eheberedung zwischen dem Wohl Ehren achtbaren Meister Johann Friderich Pfählern, dem ledigen Sattlern, weÿl. herrn Johann Pfählern, des geweßenen Ohlmanns undt burgers allhier, nunmehr seel. mit frauwen Margaretha gebohrener Schwartzin, seiner hinderbliebenen Wittib ehelich erzeugtem Sohn, als dem Hochzeitern, mit assistentz herrn Johann Daniel Pfählers, des Handelsmanns und burgers allhier seines geehrten herrn Vatters, und herrn Johann Daniel Pfählers des Ohlmanns und auch burgers allhier, seines Leiblichen bruders, ane einem,
So dann der Ehren: und tugendsamen Jungfrauen Annæ Judithæ Ruffin, herrn Hiob Ruffen, des fastenspeishändlers und burgers allhier mit weÿl. frauen Catharina Salome gebohrener Fuhrmännin, nunmehr seel. ehelich erzeugter tochter, als der Hochzeiterin, mit beÿstand vorgemeldeter ihres Leiblichen Vatters und S. T. Herrn Johann Jacob Altenbergers, Vornehmen handelsmanns, der Evangel. reformirten Gemeinde Zu Wolffisheim wolverdienten Eltisten und burgers allhier am andern theil
So beschehen allhier Zu Straßburg auff Sambstag den 29. Novembris anno 1749 [unterzeichnet] Johann Friedrich Pfähler als hoch Zeiter, Anna Judith Ruffin als hoch Zeiterin
Mariage, Saint-Pierre-le-Jeune (luth. f° 196)
1750. Dom.I et II post epiph. d. 11. et 18. Jan. wurd. proclamirt und Mittw. d. 21. ejusdem copulirt Joh. Friederich Pfähler, lediger sattler u. b. h. l. weÿl. Johannes Pfähler gew. Ohlmanns u. b. h. l. ehel. sohn, und Jgfr. Anna Judith Hiob Ruff, Ref. Rel. fastenspeishändlers u. b. h. l. ehel. Tochter [unterzeichnet] Johann Friedrich Pfähler als Hochzeiter, Anna Judith Ruffin als hochzeiterin (i 200)
Jean Frédéric Pfæhler devient tributaire à la Mauresse un mois avant son mariage
1749, Protocole de la tribu de la Mauresse (XI 259)
(f° 385) Donnerstags den 11.ten Decembris Anno 1749 – Neuer Leibzünfftiger Gremp E.R.
Johann Friderich Pfähler, der Leedige Sattler, Weÿland herrn Johannes Pfähler, geweßenen Ohlmanns und burgers allhier hinterlaßener ehelicher Sohn, weißt Stall Schein de dato 10.t Decembris Anno 1749. vor und bittet um Mittheilung des Zunfft: und Grempen Rechts.
Erkandt, gegen Erlag der Gebühr willfahrt
Zahlte vor den Pfenningthurn 13 ß 4 d, vor das Zunfft Recht 5 ß, vor das Grempen Recht 1 lb 10 ß, Vor die Feür Eÿmerer 3 ß 4 d, und Einschreibgeld 2 ß, Zusammen 2. lb 13. ß 8. d.
Les nouveaux mariés font dresser l’inventaire de leurs apports dans la maison de l’huilier Jean Jacques Pfæhler au Faubourg de Pierre. Ceux du mari s’élèvent à 166 livres, ceux de la femme à 188 livres (d’autres actes sur les conjoints Pfæhler seront présentés dans la notice d’une autre maison qui leur a appartenu).
1750 (14.3.), Not. Dautel (Fr. Henri, 6 E 41, 252) n° 427
Inventarium und Beschreibung aller derjenigen Haab und Nahrung, Keinerleÿ davon außgenommen, so des Ehrenachtbaren Meisters Johann Friderich Pfählers, des Sattlers und nunmaligen Fastenspeißhändlers und burgers allhier Zu Straßburg Ehefrau, fr. Anna Judith gebohrene Ruffin, zu erstgedacht ihrem Ehemann in die Ehe gebracht, und sich in Crafft der auffgerichteten Eheberedung vor ohnverändert vorbehalten hat. Welche auf freund. Ansuchen, Erfordern und Begehren ihr der Ehefrauen selbsten beÿständlich des Ehrengeachten Meisters Joh: Jacob Hannßen, des Meelmanns und burgers allhier, hierzu insonderheit erbetten fleißig inventirt (…) So geschehen allhier in der Königl. Stadt Straßburg, auff Sambstag den 14.ten Martii Anno 1750.
Inn einer allhier zu Straßburg ane der Steinstraß gelegenen H. Joh: Jacob Pfählern, dem ohlmann und burgern alhier eigenthümlich gehörigen behaußung folgender maßen sich befunden
Abzug dießes Inventarii, Sa. haußraths 59, Sa. Silber geschirr und geschm. 14, Sa. goldener ring 15, Sa. baarschafft 77, Summa summarum 166 lb
Darzuzulegen die Ihro ane denen gleich hernach beschrieben befindlicheb haußsteuren gebührige Helffte 21 lb. Damit alßo der Ehefrauen gesambt in den Ehestand gebracht Guth 188 lb
Anne Judith Ruff, femme de Jean Frédéric Pfæhler, vend la maison au marchand de fruits et légumes Ferdinand Milius et à sa femme Anne Marguerite Ruff
1764 (29.5.), Chambre des Contrats, vol. 638 n° 349
Fr. Anna Juditha geb. Ruffin H. Johann Friedrich Pfähler des fastenspeishändlers Ehefrau
in gegensein Ferdinand Milius des fastenspeishändlers und Annæ Margarethæ geb. Ruffin
eine behausung, höfflein und hoffstatt mit allen gebäuden, begriffen, zugehörden, rechten und gerechtigkeiten im Spithalgäßlein, einseit neben Johann Jacob Hammel dem huthmacher dermahlen Baldnerischen erben, anderseit neben (-), hinten auff den alten stadtgraben – als ein den 25. Aprilis 1747 erkaufftes guth – um 850 pfund
Anne Marguerite Ruff meurt en 1767 en délaissant pour héritière sa sœur Anne Judith Ruff femme du marchand de fruits et légumes Jean Frédéric Pfæhler. La maison n’est pas décrite dans son inventaire après décès par une confusion entre deux maisons différentes. Elle est cependant décrite à l’inventaire dressé après la mort de Marguerite Elisabeth Roos, deuxième femme de Ferdinand Milius
Le menuisier Jean Martin Freiss acquiert la maison par adjudication passée devant le juge de paix du troisième arrondissement, holomoguée par jugement du tribunal civil rendu le 18 ventôse et 5 germinal an XI (voir ci-dessous) le 8 germinal 11, et un ancien titre passé à la Chambre des contrats le 29 mai 1764
Fils du cultivateur Sébastien Freiss de Lingolsheim, le compagnon menuisier Martin Freiss épouse en 1777 Marie Barbe Reinboldt, fille du marchand de chevaux et manant Jean Henri Reinboldt
Mariage, Temple-Neuf (luth. f° 159-v n° 17)
Im Jahr Christi 1777 Montags den 2. Julÿ Mittags sind (…) copuliert und ehelich eingesegnet worden Martin Freÿß, leediger Schreiner-Gesell von Lingolsheim beÿ Straßburg gebürtig, Sebastian Freyß, Ackersmanns und burgers daselbsten mit weÿland Frauen Catharina geborner Leonhardtin ehelich erzeugter Sohn und Jungfer Maria Barbara Reinboldtin, weÿland Johann Heinrich Reinboldts geweßenen Pferd-Händlers und Schirmers allhier mit Frauen Maria Magdalena geborner Maurerin ehelich erzeugten tochter [unterzeichnet] Martin freÿß als hohzeiter, Mariabarara reinboldin als hochzeitrin (i 212)
Marie Barbe Reinbold meurt en 1804 en délaissant six enfants
1805 (24 vend. 14), Strasbourg 7 (21), Not. Stoeber n° 2068, 6741
Inventaire de la succession de Marie Barbe Reinbold épouse de Jean Martin Freiss, menuisier, décédée le 22 messidor an 12 – dressé à la requête du veuf et de Marie Barbe Freiss âgée de 26 ans, Marie Madeleine âgée de 24 ans, le veuf tuteur de Jean Guillaume âgé de 18 ans, Marie Salomé âgée de 16 ans, Jean Geofroi âgé de 12 ans, en présence de Jean Maurer, vannier, subrogé tuteur des enfants mineurs, les 6 enfants seuls et uniques héritiers de leur mère
en la maison rue de l’hopital n° 8
propres du veuf, meubles 8 fr, argenterie 30 fr, reprises 1782 fr, total de la masse 1820 fr, passif 100 fr, reste 1720 fr
propres des héritiers, meubles 246 fr, argenterie 11 fr, dettes actives 100 fr, remplacement 91 fr, total de la masse 398 fr
communauté : meubles 767 fr, outils pour la menuiserie 324 fr
Immeuble. Une maison cour appartenances et dépendances sise a Strasbourg rue de l’hopital N° 8, d’un côté le Sr Schmidt cordonnier, d’autre le Sr Geist farinier, aboutissant sur l’ancien mur de la ville. Sur l’acquisition de cette maison existe un jugement du tribunal civil du 18 ventôse 11 et 5 germinal suivant, portant homologation de plusieurs encheres devant le juge de paix du troisième arrondissement, quittance devant le soussigné notaire le 8 germinal 11, et un ancien titre passé à la Chambre des contrats le 29 mai 1764. Evaluée d’après la valeur locative à 6000 francs
total de l’actif 7091 fr, passif 3971 fr, déduction faite 1558 fr
Enregistrement, acp 97 F° 176-v du 3 brumaire 14
La maison est vendue par licitation devant le tribunal civil. L’acquéreur est un des héritiers, le faiseur de cribles Jean Philippe Freyss
1819 (4.12.), Hypothèque de Strasbourg, Transcription reg. 124, n° 45
Tribunal Civil de Première Instance (…) que M Claude Antoine de Vigneron, juge au Tribunal Civil a rendu un jugement d’adjudication par licitation de la maison appartenant à Jean Martin Freyss et consorts. Cahier des Charges, à la requête de Jean Martin Freyss, menuisier, Jean Philippe Freyss, faiseur de cribles pour lesquels occupe Me Philippe Jacques Bloechel, avocat avoué près le Tribunal civil de première instance demeurant rue du Bouclier n° 6, en présence de Marie Salomé Freyss femme d’Adolphe Brodbeck, Adolphe Frederich Vogt, tailleur d’habits, père et tuteur légal d’Amélie, mineure procréée avec Marie Madeleine Freyss, colicitants, pour lesquels occupe M Philippe Jacques Laemmermann, la fille mineure ayant pour subrogé tuteur Jean Martin Freyss, menuisier, encore en présence de Marie Barbe Freyss épouse de Pierre Charles Petitville, marchand, et Daniel Ehrenfried Stoeber, notaire nommé par la justice pour représenter Jean Guillaume et Jean Geoffroi Freyss, les deux militaires absents également colicitants pour lesquels occupe Jacques Frédéric Rauter, avocat avoué demeurant rue du Jeu des enfants n° 59 – jugement du Tribunal Civil rendu le 8 mars 1819 (…) maison de la communauté de Jean Martin Freyss père et Marie Barbe Reinbold, indivise entre le veuf et les six enfants
La propriété d cette maison est constatée par 1. un acte passé devant le notaire Stoeber le 8 germinal 11, vente par Jean Léonard Pfaehler et consorts, 3. Inventaire de la succession de Marie Barbe Reinbold par le susdit notaire le 24 vendémiaire 14
Désignation de l’immeuble, ladite maison située à Strasbourg rue de l’Hôpital n° 8 d’un côté le Sr Schmitt cordonnier, de l’autre le Sr Gast farinier, derrière l’ancien mur de la ville, et se compose d’un rez de chaussée ou il y a une chambre, une cuisine, une petite cour, une pompe et des latrines et de deux étages surmontés d’un comble uni formant deux greniers au dessous du rez de chaussée il y a une cave couverte en solives. La façade donnant sur la rue est en maçonnerie, celle qui donne dans la cour en charpente. Suivant rapport d’experts estimé à 5800 francs – fait le 25 mai 1819. Adjudication préparatoire, 8 juillet, adjudication définitive, 12 août
à M° Bloechel pour 4010 francs
Déclaration de command du 12 août, pour Jean Philippe Freyss, faiseur de cribles
Jean Philippe Freyss épouse en 1819 Marie Madeleine Jæcklé
Mariage, Strasbourg (n° 285)
Acte de mariage, célébré à l’hôtel de ville de Strasbourg à dix heures du matin le 25 septembre 1819. Jean Philippe Freyss, mineur d’ans, né en légitime mariage le 14 floréal an V à Strasbourg domicilié à Strasbourg, Tamisier, fils de Martin Freyss, menuisier en cette ville ci présent et consentant et de feu Marie Barbe Reinbold, décédée en cette ville le 22 messidor an XIII
Marie Madeleine Jaecklé, majeure d’ans, née en légitime mariage le 29 septembre 1786 à Barr (Bas-Rhin) domiciliée à Strasbourg, fille de feu Jean Martin Jaecklé, tricoleur de laine décédé à Haguenau (Bas Rhin) le 27 décembre 1815 et de feu Marie Madeleine Staehling décédée à Barr le 10 mars 1791 (signé) Johann Philipp Freÿß, Maria Magdalena Jäckle (i 10)
Registre de population 600 MW 67, 1815 sqq (i 57, 59) f° 391 Rue de l’hôpital N° 8
Freys, Martin, 1751, Menuisier, veuf, Lingolsheim, (à Str. depuis) 1768
id. Jn Philippe, 1797, Tamissier Epx de Jaecké M° M, Strasbourg – dél. Place des Canonniers 7
Freyss née Jaecklé, Marie Madeleine, 1786, Ep de Hn Phil. (auparavant) rue Petite boucherie 118 – E. 7.bre 1819
(f° 392) Freyss, Philippe, 1795, Strasbourg, (auparavant) rue des orphelins 23, E. Janv. 1823, dél. rue des orphelins 23
id. née Jaecklé, M. Madel. 1794, Ep., Strasbourg
id. Charles Edouard, 1820
Freyss, Martin, 1751, veuf, E. idem, entré à l’hôpital comme pensionnaire 1823
Jean Philippe Freiss et Marie Madeleine Jaecklé vendent la maison au marchand de faïence Laurent Schnepp et à sa femme Marie Salomé Hemmer moyennant 2 336 francs
1821 (20.10.), Strasbourg 2 (49), Me Weigel n° 1330
Jean Philippe Freiss, faiseur de cribles, et Marie Madeleine Jaecklé
à Laurent Schnepp, marchand de fayence, et Marie Salomé Hemmer
la maison avec toutes ses appartenances et dépendances sise à Strasbourg rue de l’Hôpital marquée du n° 8, d’un côté N Zimmermann marchand de comestibles, de l’autre N. Geist farinier, derrière l’ancien mur de la ville – acquise par licitation au Tribunal Civil le 12 août 1819 transcrit au bureau des hypothèques vol. 124 n° 45, de la communauté de Jean Martin Freiss père et de Marie Barbe née Reinbold. communauté établie par contrat de mariage reçu Stoeber le 8 germinal 11 et inventaire du 24 vendémiaire 14 – pour 2336 francs
acp 154 (3 Q 29 869) f° 126 du 22.10.
Originaire de Wingersheim, Laurent Schnepp épouse en 1798 à Haguenau (vendemiaire VII) Barbe Kræmer dont il divorce le 15 prairial X
Mariage, Haguenau (f° 3)
Aujourd’hui 2 vendemiaire l’an VII de la République française une et indivisible à neuf heures du matin (sont comparus) pour Contracter Mariage d’une part le Citoïen Laurent Schnepp, Laboureur âgé de 32 ans, natif de Wingersheim Département du Bas Rhin, y domicilié, fils de Michel Schnepp, Laboureur, et de Jeanne Barbe Arbogast, Conjoints domiciliés audit Wingersheim, d’autre part la Citoïenne Barbe Kraemer, âgée de 17 ans, native de Mastricht dans la République Batave, domiciliée à Haguenau, fille de Joseph Kraemer, Marchand, et de Barbe Lemfried, Conjoints domiciliés en cette Commune (…) 1° l’acte de naissance du futur en date du 27 juillet 1766 (…) 2° l’acte passé pardevant le Juge de paix de cette Commune d’haguenau en date du 8 vendemiaire Courant, Constatant que Barbe Kræmer a l’âge requis par la Loi à se marier et l’impossibilité de se procurer son extrait de naissance, attendu qu’elle est née à Mastricht dans la République Batave (signé) Laurent Schnepp, Barbara Krämer (i 5)
Laurent Schnepp se remarie en 1804 à Strasbourg où il s’est établi marchand de faïence avec Marie Salomé Hemmer
Mariage, Strasbourg (n° 171)
Du 15° jour du mois de Germinal l’an XII de la République française à neuf heures du matin. Acte de mariage de Laurent Schnepp, âgé de 37 ans, marchand de faïence, domicilié en cette ville depuis trois ans, né à Wingersheim le 27 juillet 1766, fils légitime de Michel Schnepp, cultivateur audit lieu, et de Jeanne Barbe Arbogast, divorcé de Barbe Kraemer
Et de Marie Salomé Hemmer, âgée de 43 ans, domiciliée en cette ville depuis neuf mois, née à Haguenau, Département susdit le 14 septembre 1760, fille légitime de feu Jean Hemmer, Meunier, et de feue Marie Barbe Dietrich (…) l’acte de divorce dressé par François Xavier Nebel, Maire de la ville d’haguenau le 15 Prairial l’an 10, enregistré le 6 du courant (signé) Lorentz schnepp, Salomé hemmer (i 89)
Registre de population 600 MW 57 (1815 sqq) Place du Temple Neuf N° 8 f° 67
Schnepp, Laurent, 1766, Md de fayance, Wingersheim, (à Strasbourg depuis) 1798, (auparavant) R. des Ecoles 1 – E décédé le 7 août 1827
id. née Hemmer, Salomé, 1761, Ep. Haguenau (à Strasbourg depuis) 1794, décédée le 11 8.bre 1828
Marie Salomé Hemmer meurt en 1828. Ses héritiers sont pour moitié ceux de son défunt mari.
1828 (10.11.), Strasbourg 2 (66), Me Weigel n° 5662
Inventaire de la succession de Marie Salomé Hemmer, veuve de Laurent Schnepp, marchand de fayance. Dressé à la requête de I. 1) Michel Schnepp, ouvrier à fabrique de toile cirée à Schiltigheim y domicilié, tant en son nom que comme tuteur naturel de 1. Hélène née à Bilwisheim le 7 janvier 1816, 2. Marguerite Salomé née à Strasbourg le 5 avril 1818, 3. Catherine Salomé née à Strasbourg le 30 mars 1822 issues de Madeleine Hans, 2) 1. Jacques Ulrich, garçon majeur laboureur à Hoenheim, 2. Corneille Ulrich, étudiant en théologie en son nom et mandataire de Georges Ulrich son père cultivateur à Wingersheim, Georges Ulrich tuteur naturel de 3. Georges Ulrich, garçon laboureur né le 7 janvier 1810, 4. Françoise née le 3 mars 1811, 5. Nicolas né le 6 mars 1816, tous cinq enfants de Georges Ulrich père et de Marie Anne Schnepp, 3) 1. François Antoine Schnepp, militaire retraité demeurant à Haguenau tant en son nom que comme tuteur naturel de 1. Joséphine Florentine née le 20 mai 1809, 2. François Félix né le 17 juillet 1811, 3. Thérèse née le 5 mars 1813 ses enfants mineurs, 2. François Joseph Schnepp coeffeur demeurant à Paris rue des filles St Thomas n° 16 tant en son nom qu’en qualité de mandataire d’Ignace Xavier Schnepp son frère coeffeur demeurant à Paris rue des filles St Thomas n° 16, tous cinq enfants nés de François Antoine Schnepp et de Marie Madeleine Groener, héritiers pour moitié chaque branche pour un tiers de cette moitié de Marie Salomé Hemmer, décédée le 1 octobre 1828 et lesdits Michel Schnepp père et François Antoine Schnepp père institués héritiers à vie,
II. encore à la requête de 1) Elisabeth Hemmer, majeure, 2) Joseph Hemmer, garde forestier à Schirrhoffen tant en son nom que comme mandataire d’Augusta Caroline Anastasie Hemmer, majeure à Wissembourg, 3) 1. Caroline Oberheiser épouse de Georges Bastian, tonnelier, 2. Georges Bastian mandataire de Michel Starch, revendeur, tuteur de 1. Catherine Oberheiser née le 8 janvier 1814, 2. François né le 25 mai 1816 tuteur des enfants de François Michel Oberheiser revendeur et d’Anne Marie Hemmer, enfants de Léopold Hemmer frère de la défunte décédée à Haguenau, institués chaque branche pour un tiers de cette moitié
dans une maison place du Temple Neuf n° 8, Testament reçu M° Weigel le 4 décembre 1827
dans une chambre au troisième étage prenant son jour sur la rue de l’école par une seule croisée 26 fr, garde robe 98 fr, dans une chambre au troisième étage éclairée sur la rue de l’Ecole, dans une chambre au troisième étage ayant vue sur la place du Temple Neuf, dans la cuisine ayant vue sur la cour, dans le corridor, au grenier, dans la cave
Titres et papiers. Cote A (1) M° Lacombe 25 octobre 1814, Chrétien Kohler, serrurier, et Elisabeth Bucher vendent une maison à rez de chaussée, trois étages, mansardes, petite cour, appartenances, dépendances située à Strasbourg rue du Jeu des Enfants n° 55, d’un côté la veuve Durné, de l’autre le Sr Bader de Haguenau, derrière le Sr Traiteur, pour 11.000 francs, transcrit au bureau des hypothèques vol. 78 n° 2. (9) M° Weigel 18 janvier 1824, bail à Thibaut Sontag, taillandier de ladite maison rue du Jeu des enfants n° 55
Cote B, Titres de propriété de la maison sise en cette ville rue de l’Hopital acquise de Jean Philippe Freyss, faiseur de cribles suivant acte reçu M° Weigel le 20 octobre 1821. Loué verbalement à M. Delacour le rez de chaussée pour 112 fr, le premier à M. Rey pour 152 fr, le second à M. Donnet/Dounet pour 120 fr,
Cote C, titres relatifs à la maison place du Temple Neuf, (1) bail à Aaron Liebemann pour 3, 6 ou 9 ans à commencer à la St Michel 1824 pour 1500 francs par an ; bail à Hechingen le 19 mars 1824 enregistré à Strasbourg le 19 novembre 1824 f° 183 au profit du défunt, sous loué le rez de chaussée de Charles Siegfried pour 800 fr y compris les rayons de la boutique qu’il occupe le rez de chaussée à M Gries pour 300 fr, le second étage & une boutique à M Lang, commerçant 450 fr, une petite boutique au Sr Pfirschig 100 fr
corps de biens à Wingersheim, créances, dettes actives 7878 fr, passif 11.331 fr, total de l’actif 25.901 fr
acp 198 (3 Q 29 913) f° 133 du 11 mars – Dernière vacation. La masse active se compose, savoir mobilier 2217, numéraire 999, dettes actives 7878, prix des immeubles vendus à Wingersheim 4962
Uine maison rue du Jeu-des-Enfants 8000, Une rue de l’hôpital 4060, Total 28.118 – La passif est de 11.331
Liquidation de la même succession
1830 (9.3.), Jean Jacques Weigel
Liquidation et partage de la succession de Marie Salomé Hemmer veuve Laurent Schnepp, marchand de fayance à Strasbourg où elle est décédée le premier octobre 1828, faite entre les parens collatéraux de feu son mari héritiers testamentaires pour moitié et par les parens de la défunte héritiers pour l’autre moitié, les héritiers sont Michel Schnepp et ses enfants pour un 6°, les enfants de Georges Ulrich pour un 6°, les enfants de feu Antoine Schnepp demeurant à Haguenau pour un 6°, Elisabeth Hemmer, majeure demeurant à Strasbourg pour un 6°, les enfants de Paul Hemmer pour un 6°, les enfants de François Michel Oberhaeusser revendeur à Strasbourg pour un 6°
acp 198 (3 Q 29 913) f° 133-v du 11.3. La masse active à partager est purement mobilière, elle se monte à 27.059 francs, le passif est de 11.331, reste 15.727 francs
Les héritiers vendent les maisons aux enchères. Jean Willhammer acquiert celle rue de l’Hôpital (voir aussi les actes ultérieurs pour les titres)
1829 (15.10.), Strasbourg 2 (67, 68), M° Weigel
Cahier des charges du 31 mai n° 5978 – Adjudication définitive n° 6167 – I. Michel Schnepp, ouvrier à la fabrique de toile cirée à Schiltigheim en son nom et administrateur des biens de 1. Hélène Schnepp, 2. Marguerite Salomé, 3. Catherine Salomé, ses trois enfants nés de Madeleine Hans,
II. 1. Jacques Ulrich, garçon majeur laboureur à Hoenheim, 2. Corneille Ulrich, écrivain, tant en son nom que comme mandataire de Georges Ulrich son père cultivateur à Wingersheim, suivant procuration annexée à l’inventaire dressé par M° Weigel le 10 novembre 1828, ledit Georges Ulrich père et tuteur légal de 3. Georges, 4. Françoise, 5. Nicolas Ulrich, ces trois derniers mineurs demeurant chez leur père, nés du mariage de Georges Ulrich père et de Marie Anne Schnepp,
III. 1. François Antoine Schnepp, militaire retraité demeurant à Haguenau en son nom et comme administrateur des biens de 1. Joséphine Florentine, 2. François Félix, 3 Thérèse, 2. Correille Ulrich, et comme mandataire de 1. François Joseph Schnepp, coeffeur demeurant à Paris rue des Filles St Thomas n° 16, 2. Ignace Xavier Schnepp, militaire au 19° régiment d’infanterie légère en garnison à Metz, les cinq enfants issus de François Antoine Schnepp et de Marie Madeleine Groener,
les enfants de Michel Schnepp, les enfants de Marie Schnepp, les enfants de François Antoine Schnepp institués héritiers conjointement pour moitié & chaque branche pour un tiers de la succession de Marie Salomé Hemmer, veuve de Laurent Schnepp, marchand de fayence, décédée le 1 avril 1828 et Michel Schnepp père, François Antoine Schnepp institués usufruitiers suivant testament reçu M° Weigel le 4 décembre 1827 enregistré le 1 octobre 1828. En présence de Corneille Ulrich subrogé tuteur
secondement I. Elisabeth Hemmer, célibataire majeure à Strasbourg, II. Joseph Hemmer, garde forestier à Schirrhoffen, tant en son nom que comme mandataire de 1. Augusta Caroline Anastasie Hemmer, majeure à Wissembourg, Joseph Hemmer et Caroline Anastasie, enfants de Léopold Hemmer décédé à Haguenau, III. 1. Caroline Oberheisser épouse de Georges Bastian, tonnelier à Strasbourg, ledit Sr Bastian mandataire de Michel Starck, commis revendeur, le Sr Starck tuteur de 1. Catherine Oberheisser, 2. François Oberheisser les deux mineurs, enfants de François Michel Oberheisser, revendeur, et d’Anne Marie Hemmer sa femme décédée. En présence d’Antoine Dossmann, subrogé tuteur des mineurs Oberheisser, Elisabeth Hemmer, enfants de Léopold Hemmer et enfants de Michel Oberheisser institués héritiers conjointement pour l’autre moitié de la succession de la veuve Schnepp. Jugement du 22 avril et rapport d’experts déposé en l’étude de M° Weigel
Désignation des immeubles. 1. une maison et dépendances sise à Strasbourg rue du Jeu des Enfants n° 55, d’un côté la veuve Hausser, de l’autre le Sr Bader de Haguenau, derrière le Sr Traiteur modo Kühl. Propriété, acquis par Laurent Schnepp et Marie Salomé Hemmer de Chrétien Kohler, serrurier, et Elisabeth Bucher par acte de vente reçu M° Lacombe le 25 octobre 1814 transcrit au bureau des hypothèques vol. 78 n° 2. Ledit Kohl l’avait acquise de Jacques Mauler, tailleur, et Dorothée Fritz par acte reçu M° Mayer le 15 thermidor 5. Mde Mauler avait recueilli l’immeuble dans la succession de Marie Madeleine née Grimmer sa mère. Louée à Thiébaut Sonntag, taillandier, et Elisabeth Wilhelm pour 9 années à commencer à la St Jean, estimée 24.650 francs
2. une maison avec toutes ses appartenances & dépendances sise à Strasbourg rue de l’Hôpital n° 8, d’un côté N. Zimmermann marchand de comestibles, de l’autre le Sr Geist farinier, derrière l’ancien mur de la ville. Propriété, acquise de Jean Philippe Freiss, faiseur de cribles, et de Marie Madeleine Jaecklé par acte reçu M° Weigel le 20 octobre 1821. Ledit Freiss l’avait acquise de Jean Martin Freiss, menuisier, et Barbe Reinbold ses père et mère, par jugement sur licitation au tribunal civil le 12 août 1819 transcrit au bureau des hypothèques vol. 124 n° 5. Le sieur Freiss l’avait acquis par acte reçu M° Stoeber le 8 germinal 11, inventaire dressé le 24 vendémiaire 14, la D° Schnepp était seule propriétaire en sa qualité de légataire universelle de Laurent Schnepp décédé le 7 août 1827 suivant testament reçu M° Knobloch le 13 juin 1809
Cahier des Charges, 31 mai 1829, adjudication préparatoire 30 septembre n° 6138. Mise à prix 3000 francs
Dépôt du 30 mai n° 5975 – Rapport d’experts du 23 mars. Jean Daniel Vogt maître charpentier, Jean Chrétien Henneberg les deux architectes, nous avons pris les détail en commençant part la maison sise rue du Jeu des Enfants n° 55, rez de chaussée un corridor d’entrée avec puits et pompe et cage d’escalier à droite en entrant un atelier avec forge dessus cave voutée divisée en quatre par des latttes derrière une petite cour avec entrée dans la cave, deux lieux et fosses d’aisances. Premier étage cage d’escalier, une chambre avec un cabinet séparé par une cloison en planches vers la rue, une décharge derrière ledit cabinet et une cusiine vers la cour. Second étage absolument semblable, troisième étage cage d’escalier, une grande chambre vers la rue, une cuisine au milieu servant de passage et un cabinet vers la cour. Mansarde, cage d’escalier, deux chambres vers la route et une vers la cour. Dessus comble contenant deux greniers dont l’inférieur a deux séparations en lattes couvert en tuiles doubles.
Ensuite nous nous sommes transportés dans l’autre maison sise rue de l’Hôpital n° 8. Le rez de chaussée consiste dans un corridor d’entrée avec escalier de la cave sous solives fermée en trappe et la cage d’escalier, au fond avec lieux d’aisances dessous, à droite en entrant une chambre vers la rue et une cuisine vers la petite cour qui contient un puits avec pompe. Premier étage, une chambre avec cabinet séparée par deux doubles portes vitrées vers la rue la cage d’escalier et une cuisine vers la cour. Second étage absolument pareil à l’exception qu’au lieu des portes vitrées c’est une cloison en planches, dessus comble contenant greniers dont l’inférieur est divisé en 4 chambres. La couverture en tuiles est en partie double et en partie simple. Première maison estimée 7000 francs, la seconde 5500 francs
procès verbal d’enchère, la maison rue de l’Hôpital n’a pas été portée à sa juste valeur, 11 août (acp 196 F° 11 du 20.8.)
(la maison rue de l’Hôpital) Joseph Pierre Collignon de Videlange, propriétaire à Nancy pour le compte de Jean Georges Grosz, garde magasin des hospices civils moyennant 4060 francs
Enregistrement, acp 196 F° 164 du 23.10.
Natif de Hanviller (près de Bitche), Jean Willhammer épouse en 1823 Catherine Fries, originaire de Still
Mariage, Strasbourg (n° 84) Acte de: mariage, célébré à l’hôtel de ville de Strasbourg à dix heures du matin le 17 mars 1823. Jean Willhamer, majeur d’ans, né en légitime mariage le 17 Pluviôse an III de la République à Hanwiller, Tisserand, fils de Léonard Willhamer, Journalier audit lieu ci présent et consentant et de feu Catherine Gertner, décédée à Hanwiller le 11 Germinal an Onze
Catherine Fries, Majeure d’ans, née en légitime mariage le 21 février 1787 à Still (Bas Rhin) domiciliée à Strasbourg, fille de feu Jacques Fries, vacher à Westhoffen, décédé audit lieu le 16 pluviose an Trois de la République et de feu Marguerite Hellig décédée au même lieu le 4 mars 1809 (signé) L’épouse a déclaré ne savoir signer, Johannes wilhammer (i 7)
Catherine Fries meurt en 1832 en délaissant une fille naturelle qui renonce à la succession et un fils qui est en conséquence son seul héritier
1832 (28.4.), Strasbourg 2 (73), M° Weigel n° 7604
Inventaire de la succession de Catherine Fries femme de Jean Willhammer, cabaretier, décédée le 18 février dernier – à la requête de I. le veuf père et tuteur légal de Jean issu de la défunte, II. Marie Anne Fries, majeure, fille naturelle de la défunte, en présence de Pierre Didio, cordonnier à Niedernai subrogé tuteur
biens immeubles, une maison et ses dépendances sise à Strasbourg rue de l’Hôpital n° 8, d’un côté la Ve Zimmermann marchande de comestibles, de l’autre le Sr Geist farinier, derrière l’ancien mur de la ville. Titres de propriété, acquis pendant la communauté sur les héritiers testamentaires de Marie Salomé Hemmer veuve de Laurent Schnepp suivant adjudication sur licitation reçue M° Weigel le 15 octobre 1829, transcrit au bureau des hypothèques vol. 230 n° 54, pour 6000 francs
dans une maison rue de l’Hôpital n° 8
acp 209 (3 Q 29 924) f° 186 du 1.5. – Il y a testament par la défunte passé devant le notaire sousdésigné du 11 février dernier portant institution au profit de son mari de la moitié de ses biens & au profit des deux enfants de l’autre moitié
La garde robe est estimée à 10 fr. Les meubles de la communauté 435 fr
une maison à Strasbourg rue de l’Hôpital n° 8 estimée en capital ci 6000, total général 6435 fr. Le passif s’élève à 6459 francs. L’acte porte sous la rubrique dite passif à classer lors de la liquidation diverses dettes montant à 199 francs
Registre de population 600 MW 67, 1815 sqq (i 57, 59) f° 392-a Rue de l’hôpital N° 8
Wilhammer, Jean, 1792, Hannwiller, (à Str. depuis) 1823
id. née Friess, Catherine, 1793, Ep. Still, (à Str. depuis) 1820, (auparavant) r. Schiltigh. 15 – E. Xbre 1829
id. Jean 1822, Strasbourg
Friess Anne Marie, 1811, F. N. de la femme, Still – dél. Quai St Jean 54.
Freyss, Martin, 1751, veuf, E. idem, entré à l’hôpital comme pensionnaire 1823
Jean Willhammer se remarie en 1832 avec Madeleine Werly
Mariage, Strasbourg (n° 320)
Du 20° jour du mois de septembre 1832, Acte de mariage de Jean Willhammer, Majeur d’ans, né en légitime mariage le 17 pluviôse an III à Hanwiller (Moselle) domicilié à Strasbourg, Cabaretier, veuf de Catherine Fries décédée en cette ville le 18 février dernier, fils de feu Léonard Willhammer, Journalier, et de feu Catherine Gantner, décédée à Hanwiller le 11 germinal an XI
et Madeleine Werly, majeure d’ans, née en légitime mariage le 22 vendémiaire an IX à Soultz sous forêts (Bas Rhin) domiciliée à Strasbourg, fille de Joseph Werly, cocher et de Madeleine Abert conjoints domiciliés en cette ville, ci présents et consentants (signé) Johannes Willhammer, Magdalena Werlÿ (i 12)
Jean Willhammer hypothèque sa moitié de maison au profit de Jean Dufour, militaire pensionné
1842 (1.3.), Strasbourg 2 (86), Not. Tinchant n° 2390
1 Mars 1842. Obligation – fut présent Monsieur Jean Willhammer, propriétaire domicilié et demeurant à Strasbourg, lequel a par ces présentes déclaré devoir de bonne et légitime dette
à Monsieur Jean Dufour, militaire pensionné domicilié et demeurant à Strasbourg, ci présent et acceptant, la somme principale de 1100 francs pour prêt de pareille somme (…)
le débiteur a affecté et hypothéqué spécialement la moitié indivise d’une Maison avec appartenances et dépendances sise à Strasbourg, rue de l’hôpital n° 8 tenant d’un côté à M. Zimmermann, marchand de comestibles, de l’autre côté au Sr Husch, pensionnaire de l’état, par devant ladite rue et par derrière l’ancien mur de la ville.
De laquelle moitié de maison le sieur Willhammer est propriétaire comme ayant été commun en biens avec la dame Catherine Fries, son épouse décédée en cette ville le 18 février 1832 ainsi qu’il résulte d’un inventaire dressé par M° Weigel alors notaire à Strasbourg le 28 avril suivant. Lesdits conjoints Willhammer avaient acquis la totalité de ladite maison en vertu d’un procès verbal d’adjudication dressé par ledit M° Weigel le 15 octobre 1829, enregistré et transcrit au bureau des hypothèques de cette ville le 31 décembre suivant volume 230 numéro 54 et inscrit d’office le même jour volume 202 Numéro 205. Le sieur Willhammer déclare que ladite maison est franche et libre de privilèges et hypothèque de quelque nature que ce soit à l’exception du privilège qui la grève encore au profit de la demoiselle Catherine Salomé Schnepp, mineure, pour une somme principale (…)
Jean Willhammer hypothèque sa moitié de maison au profit du marchand de bois André Kieffer
1843 (10.3.), Strasbourg 2 (88), Me Tinchant n° 2801
Obligation – fut présent Monsieur Jean Willhammer, propriétaire domicilié et demeurant à Strasbourg, lequel a par ces présentes déclaré et reconnu devoir de bonne et légitime dette
à Monsieur André Kieffer père, marchand de bois domicilié et demeurant à Strasbourg, ici présent et acceptant, la somme principale de 1100 francs pour prêt de pareille somme (…)
le débiteur a affecté et hypothéqué spécialement la moitié indivise d’une Maison avec appartenances et dépendances sise à Strasbourg, rue de l’hôpital n° 8
Testament de Jean Willhammer
1846, M° Roessel
18 août 1846 – Testament par lequel Jean Willhammer, propriétaire à Strasbourg, lègue à Frédérique Diehl, majeure en ladite ville, la somme de 2400 francs à prendre sur le plus clair de sa succession
acp 352 (3 Q 30 067) f° 14-v du 7.9.
Acte de notoriété dressé après la mort de Jean Willhammer père
1848 (28.9.), Strasbourg 2 (92), Auguste Roessel N° 1099
du 28. septembre 1846. Notoriété – (…) qu’ils ont parfaitement connu le Sr Jean Willhammer, cabaretier, demeurant à Strasbourg où il est décédéle 31 août dernier, qu’il n’a pas été fait d’inventaire après son décès, qu’il était marié en premières noces avec Catherine Fries, avec laquelle il a procréé avant son union un fils naturel nommé Jean Willhammer, aujourd’hui caporal à la compagnie des voltigeurs du 13° régiment d’infanterie de ligne en garnison à Dijon, département de la Côte d’Or, domicilié à Strasbourg, qu’il a reconnu par acte reçu M° Weigel, notaire à Strasbourg le 23 février 1822, que ce Sr Jean Willhammer, père, s’est remarié en secondes noces avec Madeleine Werly, décédée, qui de cette union il n’est point issu d’enfans, et qu’il a laiisé pour son seul et unique héritier ledit Sr Jean Willhammer fils, caporal au 13° régiment d’infanterie de ligne
Jean Willhammer fils, devenu seul propriétaire de la maison, l’hypothèque au profit du négociant Charles Baumann
1846 (28.9.), Strasbourg 2 (92), Auguste Roessel n° 1100
Du 28 septembre 1846. Obligation – A comparu M. Jean Willhammer,
à M. Charles Baumann, ancien négociant, propriétaire, demeurant et domicilié à Strasbourg, ci présent et acceptant, la somme principale de 4000 francs pour prêt de pareille (…)
affecte en hypothèque spéciale Une maison avec appartenances & dépendances sise à Strasbourg rue de l’hôpital N° 8, tenant d’un côté au Sr Zimmermann ancien marchand de comestibles, de l’autre côté au Sr Husch pensionnaire de l’état, par devant ladite rue & par derrière l’ancien mur de la ville
Etablissement de propriété. Le Sr Willhammer comparant déclare que cet immeuble dépendait de la communauté légale de biens qui avait existé entre ses père & mère le Sr Jean Willhammer, père, vivant propriétaire & Catherine Fries, sa femme demeurant à Strasbourg, pour avoir été acquis par ledit Sr Willhammer, père, durant cette même communauté des héritiers et légataires de dame Marie Salomé Hemmer, veuve de M. Laurent Schnepp, vivant marchand de fayence, demeurant à Strasbourg, aux termes d’un procès verbal d’adjudication dressé par M° Weigel, alors notaire à Strasbourg, le 15 octobre 1829, transcrit au bureau des hypothèques de Strasbourg le 31 décembre suivant volume 230 numéro 54 & inscrit d’office le même jour volume 202 Numéro 205. Cette adjudication a eu lieu aux clauses & conditions retenues dans un cahier des charges dressé par le même notaire, le 30 septembre de la même année, contenant en outre l’établissement de la propriété de ladite maison, tant entre les mains des vendeurs qu’entre les mains des précédents propriétaires. Le prix de cette adjudication s’élevait à la somme de 4060 francs que le Sr Willhammer comparant déclare avoir été entièrement soldé (…). La Dame Willhammer née Fries décéda en laissant pour héritiers le sieur Willhammer comparant fils naturel, légitimé, de la défunte & du sieur Willhammer père & en outre une Dlle Anne Marie Fries (plus tard épouse de Philippe Gaeckler cabaretier à Strasbourg) demeurant en cette ville, fille naturelle de ladite défunte, ainsi que le tout se trouve expliqué dans un inventaire dressé après le décès de la Dame Willhammer par ledit M° Weigel le 28 avril 1832. Le Sr Willhammer comparant déclare que ladite Dlle Fries a renoncé plus tard à ses droits sur la succession de sa mère naturelle, et il promet d’en justifier à première réquisition. Par acte passé devant ledit M° Weigel en présence de témoins le 11 février 1832 enregistré le 23 du même mois, la Dame Willhammer avait légué à son mari la moitié de sa succession, disposition qui aux termes de la loi était réductible à un quart en pleine propriété & un quart en usufruit. De sorte que ladite maison appartenait au Sr Willhammer père pour une moitié à cause de ladite communauté de biens pour 4/8, au même pour un 8° comme légataire en pleine propriété d’un quart de sa femme défunte, ensemble 5/8, indépendammet de ses droits en usufruit qui se trouvent éteints par suite du décès de ce dernier, & au fils Willhammer comparant pour les 3/8. Le Sieur Willhammer père est décédé à Strasbourg le 31 août dernier en laissant pour seul & unique héritier son fils le sieur Willhammer comparant ainsi que cette qualité héréditaire se trouve constatée par un acte de notoriété reçu par M° Roessel & son collègue Ce jourd’hui (…) Par suite le sieur comparant Willhammer déclare être devenu seul & unique propriétaire de ladite maison. Il déclare encore que l’immeuble hypothéqué est franc & libre de toutes dettes, privilèges & hypothèques à l’exception (…)
Jean Willhammer, garçon tonnelier alors caporal de voltigeurs, loue la maison à l’aubergiste Geoffroi Hutt et à sa femme Anne Marie Bohn
1846 (24.9.), Strasbourg 9 (94), Geoffroi Becker n° 3230
24 septembre 1846. Bail – A comparu le Sr Jean Willhammer, garçon tonnelier domicilié à Strasbourg actuellement caporal de voltigeurs au 13° régiment de ligne en garnison à Dijon, Lequel a, par ces présentes loué à titre de bai à loyer pour trois années entières et consécutivess qui commenceront le 29 du mois courant
au Sr Geofroi Hutt, aubergiste & à D° Anne Marie Bohn sa femme qu’il autorise à l’effet des par présentes demeurant ensemble en cette même ville rue des incendiaires N° 2, à ce présents & acceptant
Une maison avec cave rez de chaussée & deux étages appartenances & dépendances, située à Strasbourg rue de l’hopital N° 8, tenant d’un côté au Sr Zimmermann de l’autre au Sr Horst, par devant ladite rue & par derrière le Sr Holtzapfel.
Sont compris dans le bail les objets mobiliers ci après désignés qui se trouvent dans ladite maison savoir Six fourneaux en fonte & trois en tôle, le tout avec tuyaux et pierres, Deux bancs doubles, deux bancs simples, trois tables & un comptoir le tout en bois de sapin peint à l’huile. Ainsi que les objets loués se trouvent et se comportent – Ce bail est fait en outre pour & moyennant un loyer annuel de 1000 francs
acp 352 (3 Q 30 067) f° 88
Les parties résilient le bail quelques jours plus tard
1846 (7.10.), Strasbourg 9 (94), Geoffroi Becker n° 3246
7 octobre 1846. Résiliation de bail – ont comparu Le Sr Jean Willhammer, garçon tonnelier domicilié à Strasbourg, caporal de voltigeurs au 13° régiment de ligne en garnison à Dijon, d’une part
Et le Sr Geoffroi Hutt, aubergiste, muni de patente à lui délivrée à la mairie de cette ville pour l’année courante sous la date du 24 septembre dernier N° 495, demeurant à Strasbourg, d’autre part
Lesquels ont, d’un commun accord, résilié par les présentes, purement & simplement le bail d’une maison avec dépendances sise en cette ville, rue de l’hôpital N° 8 & de différents objets mobiliers s’y trouvant, consenti pour trois années à partir du 29 septembre dernier par led. Sr Willhammer au profit du Sr Hutt & de la D° Anne Marie Bohn son épouse par acte passé devant ledit M° Becker le 24 du dit mois de septembre dernier & moyennant un loyer annuel de 1000 francs
acp 353 (3 Q 30 068) f° 52-v
Le tonnelier Jean Willhammer hypothèque la maison au profit du maraîcher Daniel Ruhlmann
1847 (13.1.), Strasbourg 4 (101), Auguste Frédéric Lauth n° 2422
Du 13 Janvier 1847. Obligation – a comparu le Sr Jean Willhammer, célibataire majeur tonnelier demeurant et domicilié à Strasbourg, lequel a par les présentes reconnu devoir bien & légitimement
à M. Daniel Ruhlmann, propriétaire & jardinier cultivateur demeurant et domicilié à Strasbourg ci présent et acceptant, la somme principale de 2500 francs pour prêt de pareille (…)
hypothèque spécialement Une maison avec appartenances & dépendances sise à Strasbourg rue de l’hôpital N° 8, tenant d’un côté au sieur Zimmermann ancien marchand de comestibles, de l’autre côté au Sr Husch pensionnaire de l’état, par devant ladite rue & par derrière l’ancien mur de la ville
Le Sieur Willhammer débiteur déclare que cet immeuble dépendait de la communauté légale de biens qui avait existé entre ses père et mère le Sr Jean Willhammer vivant propriétaire & Catherine Fries, décédés conjoints à Strasbourg, pour avoir été acquis par ledit Sr Willhammer père durant cette même communauté des héritiers et légataires de dame Marie Salomé Hemmer, veuve de M. Laurent Schnepp, vivant marchand de fayence, demeurant à Strasbourg, aux termes d’un procès verbal d’adjudication dressé par M° Weigel, alors notaire à Strasbourg, le 15 octobre 1829, transcrit au bureau des hypothèques de Strasbourg le 31 décembre suivant volume 230 numéro 54 & inscrit d’office le même jour volume 202 Numéro 205. Cette adjudication a eu lieu aux clauses et conditions retenues dans un cahier des charges dressé par le même notaire le 30 septembre de la même année, contenant en outre l’établissement de la propriété de ladite maison, tant entre les mains des vendeurs qu’entre les mains des précédents propriétaires. Le prix de cette adjudication s’élevait à la somme de 4060 francs que le Sr Willhammer comparant déclare avoir été entièrement soldé (…). La Dame Willhammer née Fries décéda en laissant pour héritiers le sieur Willhammer comparant fils naturel et légitimé de la défunte et du sieur Willhammer père et en outre une Dlle Anne Marie Fries plus tard épouse de Philippe Gaeckler cabaretier à Strasbourg demeurant en cette ville, fille naturelle de ladite défunte, ainsi que le tout se trouve expliqué dans un inventaire dressé après le décès de la dame Willhammer par ledit M° Weigel le 28 avril 1832. Le Sieur Willhammer comparant déclare que ladite demoiselle Fries a renoncé plus tard à ses droits sur la succession de sa mère naturelle & il promet d’en justifier à première réquisition. Par acte passé devant ledit M° Weigel en présence de témoins le 11 février 1832 enregistré le 23 du même mois, la dame Willhammer avait légué à son mari la moitié de sa succession, disposition qui aux termes de la loi était réductible à un quart en pleine prioritéé & un quart en usufruit, de sorte que ladite maison appartenait au sieur Willhammer père pour une moitié à cause de ladite communauté de biens pour 4/8, au même pour un 8° comme légataire en pleine propriété d’un quart de sa femme défunte, ensemble 5/8, indépendammet de ses droits en usufruit qui se trouvent éteints par suite du décès de ce dernier, Et au fils Willhammer comparant pour les 3/8. Le Sieur Willhammer père est décédé à Strasbourg le 31 août dernier en laissant pour unique héritier son fils le sieur Willhammer comparant ainsi que cette qualité héréditaire se trouve constatée par un acte de notoriété reçu par M° Roessel et son collègue le 28 novembre 1846 (…) Par suite le sieur comparant Willhammer déclare être devenu seul & unique propriétaire de ladite maison. Il déclare encore que l’immeuble hypothéqué est franc & libre de toutes dettes, privilèges & hypothèques à l’exception (…)
Jean Willhammer épouse en 1847 Madeleine Elisabeth Felten, originaire de Pfaffenhoffen
Mariage, Strasbourg (n° 360) Du 30° jour du mois de septembre 1847 à dix heures du matin. Acte de mariage de Jean Willhammer, majeur d’ans, né hors le mariage le 9 septembre 1822 à Strasbourg, domicilié à Strasbourg, Tonnelier, fils reconnu de feu Jean Willhammer, Cabaretier décédé en cette ville le 30 août 1846 et de feu Catherine Freiss, décédée en cette ville le 18 février 1832
Et de Madeleine Elisabeth Felten, majeure d’ans, née en légitime mariage le 23 novembre 1823 à Pfaffenhoffen, domiciliée à Strasbourg, fille de feu Chrétien Felten, officier retraité décédé à Strasbourg le 16 mars 1838 et de Catherine Salomé Ledig, domiciliée à Strasbourg ci présente et consentante (signé) Jean Willhammer, Elisabeth Felden (i 18)
Jean Willhammer et Madeleine Elisabeth Felden hypothèquent la maison au profit de Pauline Kramp, veuve du négociant Gustave Schneegans
1849 (10.3.), Strasbourg 4 (103), Auguste Frédéric Lauth n° 3405
Du 10 mars 1849. Obligation – Furent presents M. Jean Willhammer, tonnelier, et Dame Madeleine Elisabeth Felden, son épouse de lui autorisée demeurant et domiciliés à Strasbourg, lesquels reconnaissent devoir bien & légitimement
à Dame Pauline Kramp, veuve de M. Gustave Schneegans, en son vivant négociant à Strasbourg, à ce présent et acceptant, la somme principale de 1000 francs pour prêt de pareille somme
hypothèquent spécialement Une maison avec droits, aisances, appartenances & dépendances sise à Strasbourg rue de l’hôpital N° 8, tenant d’un côté aux héritiers Zimmermann, de l’autre côté au sieur Husch
Les débiteurs déclarent que cet immeuble est frappé de deux hypothèques montant ensemble à 6500 francs mais que sa valeur est plus que suffisante pour ssurer le capital présentement emprunté. (…) Finalement déclarent les débiteurs être mariés en premières noces sous le régime de la communauté
Autre hypothèque au profit du tailleur Jean Geoffroi Sonntag – Remarque, d’autres actes sur Jean Willhammer et ses deux femmes seront présentés dans une notice d’une autre maison qui leur a appartenu
1857 (15.7.), Strasbourg 4 (115), Auguste Frédéric Lauth n° 8253
Du 15 juillet 1857. Obligation – ont comparu M. Jean Willhammer, propriétaire, et dame Madeleine Elisabeth Felden, son épouse de lui autorisée demeurant et domiciliés ensemble à Strasbourg, lesquels reconnaissent, par ces présentes, devoir bien et légitimement
à M. Jean Geoffroi Sonntag, tailleur demeurant et domicilié à Strasbourg, à ce présent et acceptant, la somme principale de 6000 francs pour prêt de pareille somme
hypothèquent spécialement Ville de Strasbourg. 1. Section O N° 155 Une maison avec droits, aisances, appartenances & dépendances, le tout sur une superficie de 70 centiares, sis rue de l’hôpital N° 8, tenant d’un côté au Sr Zimmermann marchand de comestibles, de l’autre côté au sieur Husch, pensionnaire de l’Etat et tirant par derrière sur l’ancien mur de la ville.
2. Et Section O N° 798. Une maison avec cour, bâtiments latéraux et de derrière, communauté de puits, droits, aisances, appartenances ét dépendancess, sise à Strasbourg rue des orphelins n° 9, sur une superficie de 2 ares 70 centiaresn tenant d’un côté aux héritiers de M. Ratisbonne, de l’autre côté à M. Hazard, capitaine en retraite et tirant par derrière sur une ruelle
Déclarent les débiteurs que ces immeubles leur appartiennent en toute propriété savoir 1. l’article premier à M. Willhammer pour l’avoir recueilli dans les successions de ses père et mère M. Jean Willhammer en son vivant propriétaire et dame Catherine Fries, décédés conjoints à Strasbourg, dont il était seul et unique héritier, ainsi qu’il est constaté par deux inventaires l’un dressé après le décès de la dame Willhammer née Fries par M° Weigel, notaire alors à Strasbourg le 28 avril 1832 et l’autre après le décès de M. Willhammer, père, par M° Roessel, notaire à Strasbourg le 28 novembre 1846, les deux actes enregistrés. Les époux Willhammer, père et mère, en avaient été propriétaires pour l’avoir acquis durant leur mariage des héritiers et légataires de dame Marie Salomé Henner, veuve de M. Laurent Schnepp, vivant marchand de fayence, demeurant à Strasbourg, aux termes d’un procès verbal d’adjudication dressé par M° Weigel, alors notaire à Strasbourg, le 15 octobre 1829, transcrit au bureau des hypothèques de Strasbourg le 31 décembre suivant volume 230 numéro 54 et inscrit d’office le même jour volume 202 Numéro 205, cette adjudication a eu lieu sous les charges, clauses et conditions retenues dans un cahier des charges dressé par le même notaire le 30 septembre de la même année, contenant en outre l’établissement de la propriété de ladite maison, tant du chef des vendeurs que du chef des précédents propriétaires. Le prix de cette adjudication s’élevait à la somme de 4060 francs que le vendeur déclare avoir été soldé (…). Etant encore à observer que la Dame Willhammer, mère avait délaissé une enfant naturelle, Mlle Anne Marie Fries, célibataire à Strasbourg, mais que celle-ci a renoncé à ses droits dans la succession de sa mère le 30 mars 1832.
2. Et l’article deux aux époux Willhammer
Jean Willhammer vend la maison au marchand de charbons Jean Hahn et à sa femme Joséphine Trabold
1860 (28.11.), Strasbourg 4 (119), Auguste Frédéric Lauth n° 9594
Du 28 novembre 1860. Vente. – A comparu Mr Jean Willhammer, propriétaire, demeurant et domicilié à Strasbourg Lequel déclare par ces présentes, vendre (…)
à Mr Jean Hahn, marchand de charbons, et à Dame Joséphine Trabold, son épouse demeurant et domiciliés en la même ville, acquéreurs solidaires à ce présents et acceptant, la femme du mari autorisée
Section O, Numéro 155. Une maison avec droits, aisances, appartenances et dépendances, le tout sur une superficie de 70 centiares, sise à Strasbourg, rue de l’hôpital N° 18 (ancien numéro 8) tenant d’un côté au Sieur Zimmermann ancien marchand de comestibles, de l’autre côté au sieur Husch, pensionnaire de l’Etat et tirant par derrière sur l’ancien mur de la ville. Ainsi que cet immeuble se poursuit et se comporte et sans en rien réserver (…) Sont expressément compris dans la vente tous les fourneaux et poêles avec tuyaux et dalles, la chaudière à lessive et tous les volets et jalousies. (…) Le vendeur déclare que l’immeuble présentement vendu est sa propriété pour l’avoir recueilli dans les successions de ses père et mère Mr Jean Willhammer en son vivant propriétaire et Dame Catherine Fries décédés conjoints à Strasbourg, dont il était seul et unique héritier, ainsi qu’il est constaté par deux inventaires dressés l’un après le décès de la Dame Willhammer née Fries par M° Weigel notaire alors à Strasbourg le 28 avril 1832 et l’autre après le décès de Mr Willhammer père par M° Roessel, notaire à Strasbourg le 28 novembre 1846, les deux actes enregistrés. Les époux Willhammer, père et mère en avaient été propriétaires pour l’avoir acquis durant leur mariage des héritiers et légataires de dame Marie Salomé Henner, veuve de Mr Laurent Schnepp, vivant marchand de fayence, demeurant à Strasbourg, aux termes d’un procès verbal d’adjudication dressé par M° Weigel, alors notaire à Strasbourg le 15 octobre 1829, transcrit au bureau des hypothèques de Strasbourg le 31 décembre suivant volume 230 numéro 54 et inscrit d’office le même jour volume 202 Numéro 205, cette adjudication a eu lieu sous les charges, clauses et conditions retenues dans un cahier des charges dressé par le même notaire le 30 septembre de la même année contenant en outre l’établissement de la propriété de ladite maison, tant du chef des vendeurs que du chef des précédents propriétaires. Le prix de cette adjudication s’élevait à la somme de 4060 francs que le vendeur déclare avoir été soldé (…). Etant encore à observer que la Dame Willhammer, mère avait délaissé une enfant naturelle, Mlle Anne Marie Fries, célibataire à Strasbourg, mais que celle-ci a renoncé à ses droits dans la succession de sa mère le 30 mars 1832. Les acquéreurs pourront faire, user et disposer de l’immeuble en véritables propriétaires et comme ils aviseront à partir de ce jour mais n’en prendre possession et en jouir qu’à compter du 25 décembre prochain – La présente vente a été conclue pour le prix de 12.000 francs
Finalement déclare le vendeur (…) qu’il est marié en premières noces avec Dame Madeleine Elisabeth Felden sous le régime de la communauté de biens réduite aux acquêts
acp 493 (3 Q 30 208) f° 82-v du 29.11.
Le serrurier Jean Hahn épouse en 1845 Joséphine Trabold, originaire de Vendenheim
Mariage, Strasbourg (n° 243)
Du 23° jour du mois de juin 1845 à dix heures du matin. Acte de mariage de Jean Hahn Majeur d’ans, né en légitime mariage le premier octobre 1823 à Strasbourg, domicilié à Strasbourg, serrurier, fils de Jean Hahn, Marchand de Charbons, et de Marie Madeleine Kessler, conjoints domiciliés en cette ville, ci présents et consentants
Et de Joséphine Trabold, mineure d’ans, née le premier janvier 1825 à Vendenheim (Bas Rhin) domiciliée à Strasbourg, fille de feu Daniel Trabold, revendeur décédé à Strasbourg le 9 mai 1833 et de feu Françoise Zinck, décédée à Strasbourg le 4 mars 1841 (…) Ladite épouse est assistée de de Alexandre Hahn, Marchand de charbons son tuteur, ci présent et consentant (signé) J Hahn, J Trabold (i 29)
1865, Auguste Frédéric Lauth
30 juin 1863, Donation entre vifs par Jean Hahn, marchand de charbons à Strasbourg à Joséphine Trabold sa femme, de l’universalité de sa succession en usufruit – décès du 20 août 1865
acp 546 (3 Q 30 261) f° 34-v du 27.9. succession le 20 9.bre 1865)
Jean Hahn meurt en 1865 en délaissant deux fils
1865 (6.11.), Strasbourg 4 (123) Auguste Frédéric Lauth
Inventaire de la communauté de biens qui a existé entre Jean Hahn, marchand de charbons, et Joséphine Trabold
Du 6 novembre 1865. à la requête de Dame Joséphine Trabold, marchande de charbons, demeurant et domiciliée à Strasbourg, veuve de M. Jean Hahn, en son vivant marchand de charbons en la même ville, agissant dans les qualités suivantes 1) à cause de la communauté de biens légale qui à défaut de contrat de mariage avait existé entre elle et son défunt mari, 2) comme donataire en usufruit pendant sa vie, sans être tenue de donner caution ni de faire emploi, de la moitié de tous les biens meubles et immeubles sans exception, dépendant de la succession de son dit mari, aux termes d’un acte passé devant M° Lauth, l’un des notaires soussignés, en présence de témoins, le 30 juin 1863, enregistré à Strasbourg le 28 septembre dernier et dont une expédition sera ci-après inventoriée, 3) comme tutrice légale de Louis Hahn, né le 30 novembre 1845 et de Jean Hahn, né le 19 mars 1848, ses deux fils mineurs, issus de son mariage avec son dit défunt mari et demeurant avec elle, 4) et comme ayant la jouissance légale des biens de sondit fils Jean Hahn jusqu’à ce qu’il soit émancipé ou qu’il ait atteint sa 18° années, aux termes de la loi et aux charges de droit. Ledits mineurs Louis Hahn et Jean Hahn, frères germains habiles à se dire et porter seuls héritiers chacun pour moitié du dit feu M. Hahn leur père. Et en présence de M. Geofroi Fries, batelier, demeurant et domicilié à Strasbourg, agissant en qualité de subrogé tuteur des dits deux mineurs
le tout trouvé dans une maison sise à Strasbourg rue de l’hôpital n° 18
Titres de propriété. Donation par le défunt à son épouse (…)
Acquet de la communauté. Contrat d’acquisition de la maison. Cote deuxième. 1. La première l’expédition d’un contrat reçu par M° Lauth le 28 novembre 1861, enregistré contenant vente par M. Jean Willhamer, propriétaire demeurant et domicilié à Strasbourg au profit du défunt et de sa veuve requérante d’une Maison avec droits, aisances, appartenances et dépendances, le tout sur une superficie de 70 centiares, sise à Strasbourg, rue de l’hôpital N° 18 (ancien numéro 8) inscrite au cadastre Section O, Numéro 155, tenant d’un côté au sieur Zimmermann, ancien marchand de comestibles, de l’autre côté au sr Husch, pensionnaire de l’Etat et tirant par derrière sur l’ancien mur de la ville. Cette vente a eu lieu pour le prix de 12.000 francs que les acquéreurs se sont obligés sous leur garantie solidaire de payer de la manière suivante (…). Cette expédition porte au bas mention qu’elle a été transcrite au bureau des hypothèques de Strasbourg le 4 décembre 1860, volume 834 N° 17 et inscrite d’office Volume 769 N° 229 pour sûreté du prix de vente. (…)
Héritage fait par le défunt. La veuve requérante déclare que le père du défunt M. Jean Hahn, porteur de morts à Strasbourg est décédé courant de l’année dernière et que sa succession a été liquidée et partagée suivant acte dressé par M° Zimmer, notaire à Strasbourg le 25 février dernier.
Déclaration passive 985 francs
acp 547 (3 Q 30 262) f° 72-v du 9.11. (succession déclarée le le 9. 9.bre 65) Communauté, mobilier estimé 2801, argent 1012
Une maison sise à Strasbourg rue de l’hôpital N° 18
Succession, garde robe 87
Joséphine Trabold hypothèque la maison au profit du négociant Antoine Model
1867 (31.8.), Strasbourg 4 (126), Auguste Weiss n° 217
Du 31 août 1867. Crédit – Ont comparu M. Antoine Model, négociant demeurant et domicilié à Strasbourg d’une part
Dame Joséphine Trabold, marchande de charbons demeurant et domiciliée en la même ville, veuve de M. Jean Hahn en son vivant marchand de charbons aussi en cette ville et M. Louis Hahn, employé chez la veuve Hahn sa mère, demeurant et domicilié à Strasbourg, ces deux d’autre part
Lesquels comparans ont par les présentes arrêté ce qui suit. M. Model ouvre à Dame veuve Hahn & à M. Hahn, ce acceptant, à titre de crédités solidaires un crédit de caisse jusqu’à concurrence d’une somme de 4000 francs
affectent et hypothèquent spécialement l’immeuble dont la désignation suit
Les trois quarts indivis de Section O N° 155, une maison avec droits, aisances, appartenances et dépendances sise à Strasbourg, rue de l’Hôpital N° 18 (ancien N° 8), tenant d’un côté à M. Zimmermann, de l’autre à M. Huck et tirant par derrière sur l’ancien mur de la ville.
Ces derniers déclarent sous les peines de droit I. que l’immeuble hypothéqué dépend de la communauté de biens qui a existé entre ladite veuve Hahn et son mari défunt, au moyen de l’acquisition qu’ils en ont faite aux termes d’un contrat de vente passé devant le M° Lauth, prédécesseur de M° Auguste Weiss le 28 novembre 1860, enregistré et transcrit au bureau des hypothèques de Strasbourg le 4 décembre suivant volume 834 n° 17 & inscrit d’office volume 769 n° 229. III. Que par suite du décès de M. Jean Hahn la moitié audit immeuble est restée à sa veuve requérante comme ayant été commune en biens vec son défunt mari, & l’autre moitié est échue aux héritiers du Sr Hahn savoir les deux enfants M. Louis Hahn comparant et M. Jean Hahn encore mineur sans état demeurant à Strasbourg, ainsi qu’il est constaté par un inventaire dressé par M° Lauth le 6 novembre 1865, III. que l’immeuble n’est frappé d’aucune autre dette que de la somme (…) ; IV. qie M. Louis Hahn est en célibat (…)
Lors de la liquidation, la maison est attribuée à la veuve Joséphine Trabold
1869 (6.10.), Strasbourg 4 (130) Auguste Weiss n° 1780
Du 6 octobre 1869. Liquidation et partage de la communauté entre Jean Hahn et Joséphine Trabold
Ont comparu Mme Joséphine Trabold, marchande de charbons en la même ville, Agissant à cause de la communauté de biens légale qui a existé entre entre elle et feu sondit mari et en sa qualité d’usufruitière avec dispense de fournir caution de la moitié de la fortune délaissée par ce dernier aux termes d’un acte passé devant M° Lauth prédécesseur immédiat de M° Weiss l’un des notaires soussignés le 3 juin 1863, enregistré,
M. Louis Hahn, employé demeurant et domicilié aussi à Strasbourg Et M. Jean Hahn, militaire au service de France, demeurant à Strasbourg, agissant les deux en leurs qualités de seuls héritiers chacun pour moitié de feu ledit Sr Jean Hahn leur père
Lesquels comparants désirant liquider et partager la communauté de biens légale (…)
Préalablement à cette liquidation et à ce partage il s’agit d’arrêter le compte de tutelle que la dame veuve Hahn a à rendre à M.M. Hahn, ses deux fils de la gestion et de l’administration qu’elle avait de leurs biens en sa qualité de tutrice légale, suivant acte reçu par M° Holtzapffel notaire à Strasbourg, ayant substitué M° Weiss soussigné le 17 septembre dernier
Préliminaires. M. Jean Hahn, père, est décédé à Strasbourg le 28 août 1865 et a délaissé pour ses seuls héritiers M.M. Hahn, ses fils comparants. Par acte du 30 juin 1863 précité, M. Hahn a assuré à sa veuve l’usufruit viager et gratuit de la moitié de sa fortune avec dispense de fournir caution et de faire emploi. Le 6 novembre 1864 le susdit M° Lauth a procédé à l’inventaire de la communauté de biens légale qui avait existé entre les époux Hahn et de la succession de M. Hahn
Etablissement des Masses. La Communauté. Masse active (…) 4. Et une Maison avec droits et dépendances sise à Strasbourg, rue de l’Hôpital N° 18, inscrite à la matrice cadastrale Section O N° 155 avec une superficie de 70 centiares et que les parties estiment à la somme de 15.000 francs. Cet immeuble a été acquis par les conjoints Hahn de M. Jean Wilhammer, propriétaire à Strasbourg, aux termes d’un contrat reçu par ledit M° Lauth le 28 novembre 1860, transcrit au bureau des hypothèques de Strasbourg le 4 décembre suivant volume 834 n° 17 et inscrit d’office volume 769 n° 229 pour sûreté de la somme de 6000 francs (…)
acp 587 (3 Q 30 302) f° 7-v du 7.10. – Communauté, 1) mobilier 2801, 2) argent 1012, 3) extances 300, 4) une maison à Strasbourg rue de l’hôpital N° 18 estimée 15.000, total 19.113
Masse passive 9115, reste 9998, moitié 1999
Succession, moitié de la communauté 4999, reliquat de compte de tutelle 851, total 5850 – Masse passive 452, reste 5337
mais la veuve ayant l’usufruit de moitié revenant à chaque héritier 1349
Abandonnements. La veuve reçoit 1) la maison, 15.000
Joséphine Trabold meurt en décembre 1869. Jean Hahn cède sa moitié de maison à son frère Louis Hahn qui en devient seul propriétaire
1869 (24.12.), Strasbourg 4 (130), Auguste Weiss n° 1984
Du 24 décembre 1869. Licitation – ont comparu M. Louis Hahn, marchand de charbons, demeurant et domicilié à Strasbourg
Et M. Jean Hahn, militaire au service de France, demeurant et domicilié en la même ville, les comparants frères germains, seuls héritiers, chacun pour moitié de mère mère Dame Josephine Trabold, en son vivant marchande de charbons, demeurant et domiciliée à Strasbourg, veuve de M. Jean Hahn, décédé marchand de charbons en la même ville, lesquels comparans déclarent qu’ils possèdent indivisément
Une maison avec droits, aisances, appartenances et dépendances sise à Strasbourg rue de l’hôpital n° 18 (ancien numéro 8), inscrite à la matrice cadastrale section O numéro 155 avec une superficie de 70 centiares, tenant d’un côté au Sr. Hamm, de l’autre côté au Sr Ignace Duba, ramoneur et tirant par derrière sur l’ancien mur de la ville.
Etablissement de la propriété. La propriété qui vient d’être décrite est échue aux comparants dans la succession de leur mère cidessus nommée décédée à Strasbourg le 17 décembre courant dont ils sont les seuls héritiers chacun pour moitié. Feu Mme Hahn née Trabold avait été propriétaire du dit immeuble pour lui être echu dans le partage de la communauté de biens légale qui avait existé entre elle et son défunt mari, aux termes d’un acte de liquidation et de partage dressé par M° Weiss l’un des notaires soussignés le 6 octobre dernier, enregistré. Par cet acte feu Mme Hahn avait été déléguée de payer (…). L’immeuble dépendait de la dite communauté de biens légale Hahn-Trabold au moyen de l’acquisition que feu les époux Hahn, père et mère, en avaient faite de M. Jean Wilhammer propriétaire demeurant et domicilié à Strasbourg aux termes d’un contrat de vente passé devant le susdit M° Lauth le 28 novembre 1860, enregistré et transcrit au bureau des hypothèques de Strasbourg le 4 décembre suivant volume 834 n° 17 et inscrit d’office volume 769 n° 229 pour sûreté de la somme de 12.000 francs montant du prix de vente (…).
M. Willhammer avait été propriétaire du même immeuble pour l’avoir recueilli dans les successions de ses père et mère M. Jean Willhammer, en son vivant propriétaire, et D° Catherine Fries, décédés conjoints à Strasbourg, dont il était seul et unique héritier, ainsi qu’il est constaté par deux inventaires dressés l’un après le décès de la D° Willhammer née Fries par M° Weigel alors notaire à Strasbourg le 28 avril 1832 et l’autre après le décès de M. Willhammer, père, par M° Roessel aîné, alors notaire à Strasbourg le 28 novembre 1846. Les époux Willhammer, père et mère en avaient été propriétaires pour l’avoir acquis durant leur mariage des héritiers et légataires de dame Marie Salomé Henner, veuve de M. Laurent Schnepp, vivant marchand de fayence, demeurant à Strasbourg, aux termes d’un procès verbal d’adjudication dressé par M° Weigel, notaire sus dit, le 15 octobre 1829, transcrit au bureau des hypothèques de Strasbourg le 31 décembre suivant volume 230 N° 54 et inscrit d’office le même jour volume 202 N° 205. Cette adjudication a eu lieu sous les charges, clauses et conditions retenues dans un cahier des charges dressé par ledit notaire Weigel le 30 septembre de la même année, contenant en outre l’établissement de la propriété de ladite maison, tant du chef des vendeurs que du chef des précédents propriétaires. Le prix de cette adjudication s’élevait à la somme de 4060 francs que le vendeur déclare avoir été soldé (…). Etant encore observé que la Dame Willhammer, mère, avait délaissé une enfant naturelle, Mlle Anne Marie Fries, célibataire à Strasbourg, mais que celle-ci a renoncé à ses droits dans la succession de sa mère le 30 mars 1832.
Licitation. Les comparants désirant faire cesser l’indivision qui existe entre eux relativement au dit immeuble sont convenus de le liciter amiablement entre eux, ce qui a eu lieu de suite et M Louis Hahn, comparant a offert le prix d 15.000 francs. M. Jean Hahn n’ayant pas voulu couvrir cette offre, a, par les présentes délaissé et abandonné à titre de licitation (…) à M. Louis Hahn
acp 589 (3 Q 30 304) f° 16 du 30.12.
Louis Hahn épouse en 1870 Joséphine Albertine Ottmann
Mariage, Strasbourg (n° 129)
Du 5° jour du mois de mars 1870 à dix heures du matin. Acte de mariage de Louis Hahn, majeur d’ans, né en légitime mariage le 30 novembre 1845 à Strasbourg, domicilié à Strasbourg, marchand de charbons, fils de feu Jean Hahn, marchand de charbons décédé à Strasbourg le 20 août 1865 et de feu Joséphine Trabold, décédée à Strasbourg le 17 décembre 1869
et de Joséphine Albertine Ottmann, mineure d’ans, née en légitime mariage le 15 octobre 1851 à Strasbourg, domiciliée à Strasbourg, repasseuse, fille de Louis Ottmann, forgeron, et de Anne Marie Dauger, conjoints domiciliés à Strasbourg, ci présents et consentants (…) il n’a pas été fait de contrat de mariage. Et aussitôt l’épouse a déclaré se reconnaître mère de Joséphine Albertine Hahn, née à Strasbourg le 24 janvier 1869 et inscrite le 25 du même mois dans les registres de l’état-civil de cette ville (i 12)
Louis Hahn et Joséphine Albertine Ottmann hypothèquent la maison au profit du taillandier Geoffroi Sonntag
1872 (12.3.), Strasbourg 4 (136), Auguste Weiss n° 3449
Du 12 mars 1872. Obligation – Ont comparu Mr Louis Hahn, marchand de charbon et Mme Joséphine Albertine Ottmann, son épouse qu’il autorise, demeurant et domiciliés ensemble à Strasbourg, Lesquels ont par les présentes reconnu devoir bien et légitimement
à M. Geoffroi Sonntag père, propriétaire ancien taillandier demeurant et domicilié à Strasbourg à ce présent et acceptant, la somme principale de 2500 francs pour prêt de pareille (…)
Affectation hypothécaire. Ville de Strasbourg. Une maison avec droits, aisances, appartenances et dépendances, sise à Strasbourg rue de l’Hôpital n° 18 (ancien n° 8), inscrite à la matrice cadastrale section O n° 155, avec une superficie de 70 centiares, tenant d’un côté à M. Hamm de l’autre côté à M. Ignace Duba, ramoneur, et tirant par derrière sur l’ancien mur de la ville.
Etablissement de la propriété. La maison ci-dessus affectée dépendait de la succession de Mme Joséphine Trabold, vivant marchande de charbon à Strasbourg, veuve de M. Jean Hahn, décédé marchand de charbon en la même ville, et elle échut à ses deux fils M. Louis Hahn, co-débiteur et M. Jean Hahn, militaire au service de France, demeurant à Strasbourg à chacun pour moitié. Suivant acte reçu par M° Weiss l’un des notaires soussignés le 24 décembre 1869, M. Jean Hahn a vendu à titre de licitation à M. Louis Hahn, son frère, la maison prédésignée moyennant le prix de licitation de 15.000 francs (…) Feu Mme Hahn née Trabold avait été propriétaire du dit immeuble pour lui être echu dans le partage de la communauté de biens légale qui avait existé entre elle et son défunt mari, aux termes d’un acte de liquidation et de partage dressé par M° Weiss sus-dit le 6 octobre 1869. Par cet acte feu Mme Hahn avait été déléguée de payer (…). Et le même immeuble dépendait de ladite communauté de biens légale Hahn-Trabold au moyen de l’acquisition que feu lesdits époux Hahn, père et mère, en avaient faite du sieur Jean Wilhammer, prédénommé, suivant acte passé devant M° Lauth notaire sus-dit le 28 novembre 1860 transcrit au bureau des hypothèques de Strasbourg le 4 décembre suivant volume 834 n° 17 et inscrit d’office volume 769 n° 229 pour sûreté du prix (…) Situation hypothécaire (…) Subrogation d’hypothèque légale (…) Assurance contre l’incendie (…) Les débiteurs affirment qu’ils sont mariés en premières noces sans contrat de mariage (…)
Autre obligation au profit du tailleur Daniel Brandstetter
1872 (26.4.), Strasbourg 4 (136) Auguste Weiss n° 3561
Du 26 Avril 1872. Obligation – Ont comparu Mr Louis Hahn marchand de charbon et Mme Joséphine Albertine Ottmann son épouse qu’il autorise, demeurant et domiciliés ensemble à Strasbourg, Lesquels ont par les présentes reconnu devoir bien et légitimement
à M. Daniel Brandstetter, tailleur d’habits demeurant et domicilié à Strasbourg présent et acceptant la somme principale de 2500 francs pour prêt de pareille somme (…)
Affectation hypothécaire. Ville de Strasbourg. Une maison avec droits, aisances, appartenances et dépendances sise à Strasbourg rue de l’hôpital n° 18, ancien n° 8, inscrite à la matrice cadastrale section O n° 155 avec une superficie de 70 centiares, tenant d’un côté à M. Hamm de l’autre à M. Ignace Duba, ramoneur et tirant par derrière sur l’ancien mur de la ville.
Etablissement de la propriété. La maison ci-dessus affectée dépendait de la succession de Mme Joséphine Trabold vivante marchande de charbon à Strasbourg veuve de M. Jean Hahn, décédé marchand de charbon en la même ville, et elle échut à ses deux fils M. Louis Hahn, co-débiteur et M. Jean Hahn militaire au service de France demeurant à Strasbourg à chacun pour moitié. Suivant acte reçu par M° Weiss l’un des notaires soussignés le 24 décembre 1869 M. Jean Hahn a vendu à titre de licitation à M. Louis Hahn son frère la maison prédésignée moyennant le prix de licitation de 15.000 francs (…) Feu Mme Hahn née Trabold avait été propriétaire du dit immeuble pour lui être echu dans le partage de la communauté de biens légale qui avait existé entre elle et son défunt mari, aux termes d’un acte de liquidation et de partage dressé par M° Weiss sus dit le 6 octobre 1869. Par cet acte feu Mme Hahn avait été déléguée de payer (…). Et le même immeuble dépendait de la communauté de biens légale Hahn Trabold au moyen de l’acquisition que feu lesdits époux Hahn père et mère en avaient faite du sieur Jean Wilhammer prédénommé suivant acte passé devant M° Lauth notaire sus dit le 28 novembre 1860 transcrit au bureau des hypothèques de Strasbourg le 4 décembre suivant volume 834 n° 17 et inscrit d’office volume 769 n° 229 pour sûreté du prix (…) Situation hypothécaire (…) Subrogation d’hypothèque légale et assurance contre l’incendie (…) Les débiteurs affirment qu’ils sont mariés en premières noces sans contrat de mariage (…)
Louis Hahn et Joséphine Albertine Ottmann hypothèquent la maison au profit de la Banque de Mulhouse
1884 (11.10.), Strasbourg 4 (163), Charles Lauterbach n° 9190
Crediteröffnung – Erschienen Herr Edmund Ehrmann, Direktor der Straßburger Zweigniederlassung der Banque de Mulhouse zu Straßburg wohnhaft Einerseits
und Herr Ludwig Hahn, Furhmann und Kohlenhändler, und dessen von ihm hierzu ermächtigte Ehegattin Frau Josephine Albertine Ottmann, zusammen in Straßburg wohnhaft, Anderseits
Artikel eins. Herr Ehrmann eröffnet Namens der hiesigen Zweigniederlassung der Banque de Mulhouse den dies empfangenden Ehegattin Hahn einen Credit bis zum Belauf von 8000 Mark (…)
Verpfändung 1. Einem Besitzthum von einer Fläche vo, 480 Quadratmeter darauf ein Wohnhaus Fritzgasse N° 8 (…)
2. Ein Wohnhaus sammt sammt Rechten & Zugehörden Spitalstraße N° 18 früher N° 8 katastrirt Sektion O Nr. 155 für eine Fläche 71. Centiar, einserseits Hamm anderseits Duba Ignatz, beide Immobilien zu Strassburg gelegen
Eigenthumsnachweise. Ehegatten Hahn haben die Gebäulichkeiten dieser Liegenschaft selbst erbauen lassen und den Grundboden erworben (…)
B. betreffend das Immöbel ad 2. Diese Liegenschaft gehörte zum Nachlasse der zu Straßburg wohnhaft gewesenen und daselbst verstorbenen Frau Josephine Trabold, Wittwe des Kohlenhändlers Herrn Johann Hahn, welche zu einzigen Erben hinterlassen hat je zur Hälfte ihre zwei Söhne a) den obengenannten Herrn Ludwig Hahn b) und Hn Johann Hahn, Militär in Frankreich. Der Frau Wittwe Hahn ist diese Liegenschaft angefallen durch die Theilung der gesetzlichen Gütergemeinschaft, welche zwischen ihr und ihrem verstorbenen Ehemann bestanden hat, wie hervorgehet aus einer Theilungsurkunde aufgenommen durch Notar August Weiss in Straßburg den 6. October 1869. Laut eines Aktes errichtet von demselben Notar den 24. Dezember 1869 hatt Herr Johann Hahn dem genannten Herrn Ludwig Hahn seinen Antheil an dieser Liegenschaft licitationsweise verkauft. Ehegatten Hahn-Trabold hatten dieselbe Liegenschaft von Herrn Johann Willhammer, Gutsbesitzer in Straßburg gemäß einer Urkunde errichtet von dem früheren Notar Lauth daselbst am 28. November 1860, überschrieben beim Hypothekenamte zu Strassburg den 4. Dezember darauf Band 834 N° 17.
Subrogation in die Legalhypothek der Frau Hahn (…), Feuerversicherung (…) Erklärungen. Ehegatten Hahn erklären 1. Sie seinen in erster Ehe unter dem Rechtberhältniß der gesetzlichen Gütergemeinschaft verheirathet, in dem sie vor ihre Verehelichung Keinen Ehevertrag errichtet haben
Louis Hahn renonce à la donation que lui a faite sa femme
1888 (26.4.), M° Ritleng aîné
Verzicht durch Ludwig Hahn, Fuhrunternehmer hier, auf die ihm durch seine Ehefrau Josephine Albertine Ottmann laut Urkunde Lauterbach vom 2. Mai 1882 gemachte Schenkung
acp 802 (3 Q 30 517) f° 8 n° 442 du 26.4. (Sterbf. Erk. vom 26.4.1888 Bd. 155 N° 37)
Acte de notoriété dressé après la mort d’Albertine Ottmann à Aubure près de Ribeauvillé
1889 (7.1.), Emile Ritleng jeune
Offenkunde über das Ableben der am 26. Oktober 1887 zu Altweier gestorbene Albertine Ottmann Ehefrau des Kohlenhändlers Ludwig Hahn, hier, beerbt durch ihren Sohn
acp 809 (3 Q 30 524) f° 68 n° 3808 du 8.1.
Albertine Ottmann meurt en 1887 en délaissant un fils. L’inventaire décrit la maison propre au veuf rue de l’Hôpital et celle nouvellement construite rue Fritz
1889 (1.4.), Strasbourg 14 (201) Emile Ritleng jeune n° 25.340
1. April 1889. Inventar nach dem Ableben von Albertine Ottmann Ehefrau des Kohlenhändlers Ludwig Hahn
Auf Anstehen und in Gegenwart des Herrn Ludwig Hahn, Kohlenhändler wohnhaft in Strassburg Fritzgasse N° 8, handelnd eigenen Namens wegen der zwischen ihm und seiner zu Altweier Kreis Rappoltsweiler am 26. Otober 1887 verstorbenen Ehefrau Albertine gebornen Ottmann, nach den Bestimmungen des bürgerlichen Gesetzbuches in Ermanglung einer die Clauseln und buergerlichen Bedingungen ihrer Verbindung regelnden Ehevertrags bestandenen Gütergemeinschaft, Wie auch Namens und ams gesetzlicher Vormund seines in der Ehe mit der verlebten Albertine gebornen Ottmann erzeugten noch minderjährigen Sohnes Ludwig Hahn geboren den 16. Mai 1871 zu Straßburg
Und in Gegensein des Herrn Johann Burgi, Bierbrauer wohnhaft in Strassburg Züricherstraße Nr 59, handelnd im Namen und als Nebenvormund des obengenannten minderjährigen Ludwig Hahn (…)
Gütergemeinschaft. I. Fahrnissen. Haushaltungsmobilien. Im Schlafzimmer, Im Esszimmer, In der Wohnstube, In der Kinderstube, In der Küche
II. Immobilien. Ein zu Straßburg in der Fritzgasse N° 8 belegenes neu erbautes Wohnhaus (…)
Im Bann von Strassburg 1. Ungefähr 50 Ar Feld Gewann genannt Kammatt im Heyritz
Sondergut des Wittwers. Section O Nr. 155. Ein zu Strassburg in dem Spitalgässchen (Spittelgässel) Nr 18 belegenes Wohnhaus von einem Flächeninhalt von 70 Quadratmeter mit Zubehörungen. Eigenthumsnachweis. Herr Hahn erklärt, deß diese Liegenschaft vom Nachlass seiner verlebten Mutter Frau Josephine Trabold, bei Leben Wittwe des Kohlenhändlers Johann Hahn herrührt, welche als einzige Erben ihre zwei Söhne Johann Hahn und Ludwig Hahn hinterlassen hat. Der genannte Wittwe Hahn ist diese Liegenschaft angefallen durch die Theilung der gesetzlichen Gütergemeinschaft, welche zwischen ihr und ihrem verstorbenen Ehemann bestanden hat, wie hervorgehet aus einer Theilungsurkunde aufgenommen durch den damaligen Notar August Weiss in Straßburg den 6. October 1869. Laut eines Aktes des genannten Notars Weiss vom 24. Dezember 1869 daß Johann Hahn dem genannten Hn Ludwig Hahn seinem Bruder seinen Antheil an dieser Liegenschaft licitationsweise verekauft. Die Eheleute Hahn-Trabold hatten dieselbe Liegenschaft von Herrn Johann Willhammer, Gutsbesitzer in Straßburg erworben, gemäß einer Urkunde des damaligen Notars Lauth zu Straßburg vom 28. November 1860, überschrieben beim Hypothekenamte von Strassburg den 4. Dezember nachher Band 834 N° 17. Hypothekarische Lage (…)
acp 814 (3 Q 30 529) f° 59 n° 85 du 4.3. (Sterbefall Tab. 73 Bl 132 N° 40, Stebfallerk. v. 26.4.88, Bd. 156 N° 37) Gemeinschafft I. Fahrnissgegenstände geschätzt zu 2498
Ein zu Straßburg in der Fritzgasse N° 8 gelegenes Wohnhaus
Bann Straßburg 1) 50 A Feld untere Kammatt, 2) section G 193 & 194, 18 a 20 Wiese canton Hinter Schachenfeld, 3) ungefähr 30 a Feld in drei Parzellen vor dem Kronenburgerthor
Bann Dorlisheim 14 a. canton am Bronnenberg, welches ihm gerichtlich durch einen Prozess zugesprochen worden ist
Schulden der Gemeinschaft 56.712, Kleider 138, Kosten der letzten Kranckheit 1573
Sondergut des Wittwers, Ein in Straßburg Spitalgäßchen N° 18 gelegenes Wohnhaus, auf diesem Hause bestehet eine Schuld im Betrage von 5200
Louis Hahn se remarie en 1889 avec Sophie Pauline Letrillard : contrat de mariage, célébration
1889 (1.4.), Strasbourg 14 (201), Emile Ritleng jeune n° 15.341
1. April 1889. Ehevertrag – sind erschienen Herr Ludwig Hahn, Furhunternehmer Wittwer in erster Ehe mit einem Kinder der Frau Albertine gebornen Ottmann, wohnhaft in Strassburg, handelnd für sich und in seinem eigenen Namen Einerseits
Und Fräulein Sophie Pauline Letrillard, ledig, großjährig, Rentnerin wohnhaft in Straßburg Tribunalgasse N° 3, handelnd für sich und in ihrem eigenen Namen Anderseits
Artikel zwei. Das Vermögen welches die Künftige Ehefrau in die Ehe einzubringen erklärt bestehet I. In einem Wohnhaus mit Bodengeschoß und drei Stockwerken kleiner Hof und Zubehörungen zu Strassburg Tribunalgasse N° 3 (…)
acp 814 (3 Q 30 529) f° 59-v n° 86 du 4.3. – Eheeinbingen der Braut I. ein Wohnhaus Tribunalgasse N° 3, II Fahrnisgegenstände geschätzt zu 10.842. Auf dem vorbezeichneten Wohnhause lasten Schulden im Betrage von 22.400
Das Vermögen des Bräutigam ist in dem vorregistrirten Erbverzeichnisse bezeichnet
Der Bräutigam schenkt der Braut die gesetzlich Quote in vollem Eigenthum. Die Braut schenkt dem Bräutigam die lebenslängliche Nutznießung der Hälfte ihres Nachlasses
Mariage, Strasbourg (n° 195)
Strassburg am 2. April 1889. Vor dem Standesbeamten erschienen heute zum Zwecke der Eheschließung 1. der Fuhrunternehmer Ludwig Hahn, katholischer Religion geboren den 30. November des Jahres 1845 zu Strassburg, wohnhaft zu Strassburg, Wittwer von Josephine Albertine Ottmann, gestorben zu Altweier (Ober-Elsass) den 26. October 1887, Sohn der verstorbenen Eheleute Johann Hahn, Kohlenhändler, und Josephine Trabold, zuletzt wohnhaft zu Straßburg
2. die Eigenthümerin Pauline Sophie Letrillard, evangelischer Religion, geboren den 3. September des Jahres 1846 zu Niederroedern (Unter-Elsass), wohnhaft zu Strassburg, Tochter der verstorbenen Eheleute Carl Anton Letrillard, Pensionär, und Maria Salomea Maintzer zuletzt wohnhaft zu Strassburg (i 83)
Louis Hahn et son fils mineur hypothèquent les deux maisons au profit de l’entrepreneur de transport Charles Lorentz
1890 (18.1.), Strasbourg 14 (202), Emile Ritleng jeune n° 25.634
18. Januar 1890. Schuldbekenntnis – ist erschienen Herr Ludwig Hahn, Fahruntenehmer wohnhaft in Straßburg Fritzgasse Nr 8, handelnd sowohl eigenen Namens wie auch im Namen und als gesetzlicher Vormund seiner in der Ehe mit seiner am 16. October 1887 zu Altweier verstorbenen Ehefrau Albertine gebohrnen Ottmann erzeugte, noch minderjährigen Sohnes namens Ludwig Hahn, geboren zu Strassburg den 16. Mai 1871, und zu nachfolgenden Zwecken besonders ermächtiget auf Grund einer Beschlsses des Familienraths (…)
gegenwärtigen anwesenden Herrn Karl Lorentz Fuhrunternehmer wohnhaft zu Straßburg Rehgase N° 2 schuldig zu sein, den Betrag von 8500 Mark für Darlehen einer gleichen Summe (…)
ein besonders Unterpfandsrecht an hernach beschrienene Liegenschaften, nämlich
I. Ein zu Straßburg in der Fritzgasse N° 8 belegenes neu erbautes Wohnhaus mit Keller, Bodengeschoß, drei Stockwerken und Speicher, Hof, Schuppen und Stallungen, das Ganze von einem Flächeninhalt von 450 Quadratmeter zwischen Eigenthum Füllhart und Neunreiter
II. Ein Wohnhaus sammt Rechten und Zugehörden Spitalgaße N° 18 früher N° 8 in Kataster der Stadt Strassburg eingetragen unter Section O Nr. 155 für eine Fläche 71. Centiar, einserseits Hamm anderseits Duba
Eigenthumsnachweise. Herr Hahn erklärt das des hieoben bezeichnete in der Fritzgasse N° 8 belegene Wohnhaus von der gesetzlichen Gütergemeinschaft herrühre (…)
In Betreff der Eigenthumsnachweise der zu Strassburg Spitalgaße Nr. 18. belegenen Wohnhause erklärt Herr Hahn, daß diese Liegenschaft vom Nachlass seiner verlebten Mutter Frau Josephine Trabold, bei Leben Wittwe des Kohlenhändlers Johann Hahn herrühre, welche als einzige Erben ihre zwei Söhne Johann Hahn und Ludwig Hahn hinterlassen hat. Daß der genannte Wittwe Hahn diese Liegenschaft angefallen ist durch die Theilung der gesetzlichen Gütergemeinschaft, welche zwischen ihr und ihrem verstorbenen Ehemann bestanden hat, wie hervorgehet aus einer Theilungsurkunde aufgenommen durch den damaligen Notar August Weiss in Straßburg den 6. October 1869. Daß laut eines Aktes des genannten Notar Weiss vom 24. Dezember 1869 er von seinem Bruder Johann Hahn dessen Antheil an der gedachten Liegenschaft licitationsweise abgekauft hat. Und daß die Eheleute Hahn-Trabold die nämliche behaußung von Herrn Johann Willhammer, Eigenthümer in Straßburg erworben haben laut Urkunde des damaligen Notars Lauth zu Straßburg vom 28. November 1860, überschrieben am Hypothekenamte von Strassburg den 4. Dezember nachher Band 834 N° 17.
Verpflichtung zue Versicherung (…) Hypothekarische Lage (…)
Autre hypothèque au profit d’Anne Marie Heit, veuve du farinier Théophile Fischer
1890 (18.1.), Strasbourg 14 (202), Emile Ritleng jeune n° 25.633
18. Januar 1890. Schuldbekenntnis – ist erschienen Herr Ludwig Hahn, Fahruntenehmer wohnhaft in Straßburg Fritzgasse Nr 8, handelnd sowohl eigenen Namens wie auch im Namen und als gesetzlicher Vormund seiner in der Ehe mit seiner am 16. October 1887 zu Altweier verstorbenen Ehefrau Albertine gebohrnen Ottmann erzeugte, noch minderjährigen Sohnes namens Ludwig Hahn, geboren zu Strassburg den 16. Mai 1871, und zu nachfolgenden Zwecken besonders ermächtiget auf Grund einer Beschlsses des Familienraths (…)
gegenwärtiger anwesenden Frau Anna Maria Heit, Wittwe des im Leben gewesenen Mehlhändlers Herrn Théophile Fischer, wohnhaft zu Straßburg schuldig zu sein, den Betrag von 650 Mark für Darlehen einer gleichen Summe (…)
ein besonders Unterpfandsrecht an hernach beschrienene Liegenschaften, nämlich
I. Ein zu Straßburg in der Fritzgasse N° 8 belegenes neu erbautes Wohnhaus mit Keller, Bodengeschoß, drei Stockwerken und Speicher, Hof, Schuppen und Stallungen, das Ganze von einem Flächeninhalt von 450 Quadratmeter zwischen Eigenthum Füllhart und Neunreiter
II. Ein Wohnhaus sammt Rechten und Zugehörden Spitalgaße N° 18 früher N° 8 im Kataster der Stadt Strassburg eingetragen unter Section O Nr. 155 für eine Fläche 71. Centiar, einserseits Hamm anderseits Duba
Eigenthumsnachweise. Herr Hahn erklärt das des hieoben bezeichnete in der Fritzgasse N° 8 belegene Wohnhaus von der gesetzlichen Gütergemeinschaft herrühre (…)
In Betreff der Eigenthumsnachweise der zu Strassburg Spitalgaße Nr. 18. belegenen Wohnhause erklärt Herr Hahn, daß diese Liegenschaft vom Nachlass seiner verlebten Mutter Frau Josephine Trabold, bei Leben Wittwe des Kohlenhändlers Johann Hahn herrühre, welche als einzige Erben ihre zwei Söhne Johann Hahn und Ludwig Hahn hinterlassen hat. Daß der genannte Wittwe Hahn diese Liegenschaft angefallen ist durch die Theilung der gesetzlichen Gütergemeinschaft, welche zwischen ihr und ihrem verstorbenen Ehemann bestanden hat, wie hervorgehet aus einer Theilungsurkunde aufgenommen durch den damaligen Notar August Weiss in Straßburg den 6. October 1869. Daß laut eines Aktes des genannten Notars Weiss vom 24. Dezember 1869 er von seinem Bruder Johann Hahn dessen Antheil an der gedachten Liegenschaft licitationsweise abgekauft hat. Und daß die Eheleute Hahn-Trabold die nämliche behaußung von Herrn Johann Willhammer, Eigenthümer in Straßburg erworben haben laut Urkunde des damaligen Notars Lauth zu Straßburg vom 28. November 1860, überschrieben am Hypothekenamte von Strassburg den 4. Dezember nachher Band 834 N° 17.
Verpflichtung zur Versicherung (…) Verzicht auf gesetzliches Hypothek (…) Hypothekarische Lage (…)
Louis Hahn meurt en 1896 en délaissant un fils de son premier mariage
1896 (31.10.), M° Ritleng jeune n° 29.422
Inventar nach Ableben von Ludwig Hahn, früher Fuhrunternehmer, Wittwer I. Ehe von Albertine Ottmann und Ehemann II. Ehe von Sophie Pauline Letrillard, gestorben zu Straßburg am 4. Mai 1896.
Auf Anstehen 1. des Bevollmächtigten der Wittwe, Schenknehmerin eines Viertels des Nachlasss laut Art. 7. des Ehevertrags vor dem amt. Notar vom 1. Aprilis 1889, Verzicht vorbehalten, 2. des Bevollmächtigten des einzigen Erben Ludwig Hahn, großjährig in Straßburg, Kind erster Ehe
Laut Ehevertrag besteht Gütertrennung
acp 919 (3 Q 30 634) f° 5 n° 3629 du 2.11. (St. Tab. Bd. 82 Bl. 62 N° 66 – Erkl. vom 2/11 96 Bd. 228 N° 360)
Inventar nach Ableben der ersten Ehefrau geb. Ottmann vor dem amtierenden Notar vom 1. April 1889 von den damaligen Mobilien sind heute noch vorhanden solche geschätzt zu M 577. also nicht mehr vorhanden & durch den Erblasser zu vergeüten M. 1622
Immöbel der I. Gesellschaft, 4 a 50 Wohnhaus auf Keller, Erdgeschoß, 3 Stockwerken, Speicher Hof, Schuppen und Stallungen zu Straßburg Fritzgasse N° 8
Bann Dorlisheim 2. B 2142, 4 a 60 Feld, B 2127, 3 a 75 Feld
Mietzins des obigen Hauses M 302 wovon dem Nachlasse die Hälfte 154 – Passiva der Gesellschaft 56.712. Während der 2. Ehe wurden bezahlt 9129, bleiben 47.589.
Nachlass. 1) Garderobe geschätzt zu 100, 2) Forderung von Jakob Klein Bauunternehmer 6873, 3) Chirographschulden 8022 und 521, (Zusammen) 88.544
Samtverbindliche Schulden der Eheleute Hahn-Letrillard 1250
Wittwe Hahn nahm ihre eingebrachten Mobilien in Natur zurück
Sophie Pauline Letrillard se remarie en 1900 avec le maître menuisier Georges Hagenstein, de la Robertsau
1900 (25.9.), Gustave Edouard Loew n° 33.271
Ehevertrag – Georg Hagenstein, Schreinermeister zu Ruprechtsau Bann Straßburg Wittwer mit einem Kinde von Regina Schmitt
Sophie Pauline Letrillard Wittwe ohne Kinder von Ludwig Hahn, Fuhrunternehmer in Strassburg-Ruprechtsau
acp 975 (3 Q 30 690. III) f° 21 n° 1151 du 1.10. – Gütertrennung lt 1427 bis 1430 BGb
Im Falle die Frau zur Bestreitung des ehelichen Auf* ihr *vermögen an* werden k$ zu diesem Z* etwas aus ihrem *vermögen überlässt, so hat sie Ersatz zu beanspruchen. Der Bräutigam erklärt daß sein Einbringen beschrieben ist in der Theilung des amt. Notars vom 24.900 registrirt unter 1152 * das Einbringen ist mit 7254 M Schulden belastet
Die Braut bringt in die Ehe ein
1. Ein Wohnhaus mit Erdgeschoß und 3 Stockwerken nebst Rechten und Zubehör Tribunalgasse N° 3 hier, erbaut auf einem Terrain erworben laut Akt Ritleng d. äl. vom 3. Januar 1874.
2. verschiedene Mobiliargegenstände zusammen geschätzt zu 10.841
Die Braut schuldet auf dieses Haus an mehrere Gläubiger 24.000
Die Brautleute verzichten wechselseitig auf das gesetzliche Erbrecht, welches dem Ueberlebenden an dem Nachlasse des Zuerstvorsterbenden zustehet
Die Brautleute schenken sich gegenseitig im Ueber*ungs* den lebenslänglichen & unentgeltlichen Nießbrauch am gantzen beweglichen und unbeweglichen Nachlass
Louis Hahn et Pauline Sophie Letrillard vendent la maison à François Guth, demeurant hors la porte des Bouchers
1891 (5.6.), Strasbourg 9 (188) Jean Mossler n° 10.967
5 & 9 Juni 1891. Verkauf – erschienen H. Ludwig Hahn Fuhrunternehmer und seine von ihm hierzu ermächtigte Ehefrau Pauline Sophie Letrillard, zusammen zu Straßburg Fritzgasse N° 8 wohnhaft, welche Comparenten erklärten sie hätten verkaufft und andurch in volles Eigenthum übertragen (…)
an den mit anwesenden dies annehmenden H. Frantz Guth, Eigenthümer vor dem Spitalthor, Ort genant Metzgerau, Bannweile von Straßburg wohnhaft
Ein Wohnhaus mit Erdgeschoß und zwei Stockwerken, Rechten und Gerechtigkeiten Zu Straßburg in der Spitalgasse N° 18 gelegen, section O Nr 155 Fläche 70 Quadratmeter, einerseits Wittwe Duba, anderseits H. Roser, vorn die bemelte Gasse, hinten Eigenthum Sutter und Pfitzenmeyer
Gewährleistung & Genussantritt (…). Eigenthumsherkunft. Verkäufer erklären daß der obige Immöbel Sondergut des H. Hahn ist. Derselbe gehörte ehedem zum Nachlasse von Frau Joséphine Trabold, lebend Kohlenhändlerin in Straßburg wohnhaft, Wittwe von Johann Hahn, Mutter des heutigen Verkäufer, verstorben zu Strassburg den 17. Dezember 1869. Dieselbe hinterlies als einzige Erben je zur Hälfte ihre Söhne, nämlich den benannten Ludwig Hahn und Johann Hahn, Soldat in Strassburg wohnhaft gewesen. H. Hahn als Eigenthümer der einen Hälfte erwarb die andere unventheilte Hälfte desselben Anwesens in Gemäßheit einer Licitation errichtet vor dem damaligen Notar August Weiss zu Straßburg den 24. Dezember 1869. Der damalige Licitationspreis betrag 12.000 Mark für das ganze Anwesen (…)
Dasselbe Anwesen gehörte zur Gütergemeinschaft der zwischen den benannten verlebten Eheleuten Hahn-Trabold bestanden hatte, da dieselben solcher erwarben von Johann Willhammer Eigenthümer in Straßburg wohnhaft gemäß einer Kauffvertrages errichtet vor dem damaligen Notar Lauth zu Straßburg den 28. November 1860, registrirt und überschrieben auf dem Hypothekenamte zu Strassburg den 4. Dezember darauf Band 834 N° 17 um eine Kaufpreissumme von 9600 Mark. Gemäß einer Liquidation und Theilung errichtet vor dem benannten Notar Weiss den 6. October 1869 wurde dasselbe Anwesen der benannten Wittwe Hahn zum allein Eigenthum zugetheilt mit der Anweisung folgende Beträge zu bezahlen (…). Benannter H Willhammer ererbte fragliches Anwesen am Nachlasse seiner Eltern, Johann Willhammer Eigenthümer und Catharina Fries, lebend Eheleute in Straßburg wohnhaft gewesen sowie dies bestätigt its durch zwei Inventare errichtet das eine über den Nachlass des H. Willhammer vor den damaligen Notar Weigel zu Strassburg den 28. Aprilis 1832 und das andere über den Nachlass seiner Ehefrau vor dem damaligen Notar Roessel dem ältern zu Straßburg den 28. November 1846. Letztere Eheleute Willhammer erwarben fragliches anwesen von den Erben und Legataren der Frau Marie Salomé Henner Wittwe von Lorentz Schnepp lebend Porzellanhändler in Straßburg wohnhaft gemäß eines Versteigerungsprotokolles errichtet vor dem benannten Notar Weigel den 15. October 1829 überschrieben auf dem Hypothekenamte zu Straßburg den 31. Dezember darnach Band 230 N° 341 der dermalige Kaufpreis betrug 3248 Mark – Kaufpreis 8000 Mark
acp 843 (3 Q 30 558) f° 77-v du 16.6.
Originaire de Neugartheim, François Xavier Guth meurt à l’âge de quatre-vingts ans, le 19 janvier 1920 en délaissant une veuve Marie Eugénie Françoise Kieffer (le déclarant est son fils Oscar, né en 1890 à Strasbourg)
Décès, Strasbourg (n° 2785)
Straßburg le 20 décembre 1920. Par devant l’Officier de l’Etat-Civil soussigné a comparu aujourd’hui Monsieur Oscar Guth, chef de bureau, demeurant à Strasbourg 26, Rue de Rosheim, et a déclaré que Monsieur François Xavier Guth, époux de Marie Eugénie Françoise Guth née Kieffer, âgé de 80 ans, de religion catholique demeurant à Strasbourg, 26 Rue de Rosheim, né à Neugartheim (Bas Rhin) le 13 décembre 1840 fils d’Antoine Guth né à Neugartheim et de Barbe née Elbel née à Ittlenheim (Bas Rhin) est décédé à Strasbourg 26, Rue de Rosheim le 19 janvier 1920 à six heures (i 83)
François Guth et Marie Kieffer vendent la maison au contrôleur des contributions Jean Nicolas Bergmann
1896 (10.11.), Jean Hammann n° 1882
Verkauf – Frantz Guth, Eigenthümer und Maria Kieffer, Eheleute in Straßburg
an Johann Nikolaus Bergmann, Steueraufseher Zu Straßburg
Stadt Strassburg O 155, 0 a 70 Wohnhaus mit Erdgeschoß und 2 Stockwerken in der Spitalgasse N° 18
Erkauft Mossler hier 6 & 9 Juni 1891. Genuß und Steuren sofort. Preis 11.000 Mark, worauf baar bezahlt 3000 M
acp 919 (3 Q 30 634) f° 26 n° 3747 du 11.11.
Jean Nicolas Bergmann hypothèque quelques jours plus tard la maison au profit du rentier Charles Treuschel
1896 (1.12.), Jean Hammann N° 1913
Schuldbrief – Johann Nikolaus Bergmann, Steueraufseher Zu Straßburg
zugunsten von Karl Treuschel, Rentner hier, über ein darlehen von 8000 Mark
Unterpfand, Haus Spitalgasse N° 18
Subrogation, Frantz Guth, Eigenthümer und Maria Kieffer, Eheleute in Straßburg bekennen die gelühenen 8000 M in Zahlung ihrer Forderung laut Kauf das amt. Notars vom 10. November 1896 erhalten zu haben
acp 920 (3 Q 30 635) f° 4-v n° 4247 8.12.
Originaire de Birkenbühl dans le royaume de Bavière, Jean Nicolas Bergmann épouse en 1874 à Plobsheim Eve Elisabeth Heintz, originaire de Minfeld (en Palatinat)
Mariage, Plobsheim (n° 7)
Den 15. Juni 1874 um ein Uhr des Abends. Heirathsurkunde öffentlich abgeschlossen im Gemeindehause zu Plobsheim von Johann Nicolas Bergmann, geboren zu Birkenbühl, Königreich Bayern den 12. Juni des Jahres 1838, Steueraufseher wohnhaft zu Plobsheim, großjähriger Sohn von Johann Christoph Bergmann, Schuhmachermeister, wohnhaft zu Birkenbühl, einwilligend laut anliegender authentischer Urkunde, und von Margaretha Dorothea Legat zu Birkenbühl, einwilligend laut anliegender authentischer Urkunde
und von Eva Elisabetha Heintz, geboren zu Minfeld, Königreich Bayern den 10. Mai 1856 (…) wohnhaft zu Minfeld, minderjährige Tochter von Adam Heintz, als 61 Jahre, Ackersmann wohnhaft zu Minfeld, hier anwesend und einwilligend, und von Catharina Müller, alt 52 Jare, wohnhaft zu Minfeld, hier anwesend und einwilligend (i 7)
Jean Nicolas Bergmann se rmarie en 1877 avec Marie Christine Kapp, originaire de Plobsheim
Mariage, Plobsheim (n° 13)
Plobsheim am 19. November 1877. Vor dem Standesbeamten erschienen heute zum Zwecke der Eheschließung 1. der Steueraufseher Johann Nicolaus Bergmann, evangelischer Religion geboren den 12. Juni des Jahres 1838 zu Birkenbühl (Bayern) sehen die Heurath zu Plobsheim N° 7 1874, wohnhaft Zu Enzheim, Wittwer der verstorbenen Eva Elisabeth geb. Heintz, verstorben zu Plobsheim, Sohn der Eheleute Johann Christoph Bergmann und Margaretha Dorothea Legat zu Birkenbühl in Bayern
2. die Maria Christine Kapp, ohne Stand, evangelischer Religion, geboren den 3. April des Jahres 1854 zu Plobsheim, wohnhaft zu Plobsheim, Tochter des verstorbenen Johann Kapp, Ziegler verstorben zu Plobsheim und dessen Wittwe Barbara geb. Felsz wohnhaft zu Plobsheim (i 15)
Marie Christine Kapp meurt en 1901 en délaissant quatre enfants
1901 (16.11.), Jean Hammann n° 9994
Inventar über den Nachlass der hier am 30. Oktober 1901 verlebten Maria Christine Kapp Ehefrau des Steueraufsehers Johann Nikolaus Bergmann
für I. den Wittwer handelnd a) eigenen Namens 1. wegen der bestehender Fahrnisgemeinschaft, 2. als Erbe zu einem Viertel am Nachlass seiner Ehefrau, b) als im Namen und als Inhaber der elterlichen Gewalt über seine minderjährigen Kinder Gustav Emil, Maria Lydia, Adolph
II. Karl Alfred Bergmann, Schreiber in der Papiermanufaktur in Ruprechtsau, III. Edmund Bergmann, einzige Erben ihrer Mutter zu 3 Viertel – Verheirathung 1877.
acp 991 (3 Q 30 706. II) f° 19 n° 2790 du 20.11. (Tab. Bd. 94 N° 298 – Stberk. 24/11 02, 270/297) Gesamtgut. Fahrnißgegenstände 488, Werthpapiere 2371, Forderungen 1319
Bann Straßburg. Ein Wohnhaus mit Erdgeschoß und Zwei Stockwerken In der Spitalgasse N° 18, O Nr 155, 0,70 Fläche, Nutz. 650. M
Ersatzforderung des Nachlasses 2848 – Schulden 8291
Nachlass. Garderobe 60. Grundstücke Bann Plobsheim (28 Stücke) 148,97 Ar
S*kassegeld 354, Krankheits und Begräbnißkosten 238
1909 (10.7.), Jean Hammann n° 9797
Theilung des Nachlasses der am 30. Oktober 1901 verstorbenen Maria Christina Kapp, Ehefrau des Steueraufsehers Johann Nikolaus Bergmann in Ruprechtsau
auf Anstehen 1. des Wittwers, Erbe zu ¼, 2. der Kinder Erben zu 3 Viertel je zu 3/20 1) Carl Alfred Bergmann, Kaufmann in Pirmasens, 2) Edmund Bergmann, Angestellter in der Pepier Manufaktur Ruprechtsau, 3) Gustav Emil, Sergent in Berlin, 4) Maria Lydia, geb. 15. November 1889, 5) Adolph geb. 18. Oktober 1892.
acp 1090 (3 Q 30 805. III) f° 93 n° 1145 du 2.8. (E.E. 24 II 02 270/597) Vorbemerkung. Heirat 1877 ohne Ehevertrag. Inventar amt. Notar 16. November 1901
Aufstellung der Masse A. Gütergemeinschaft Bergmann-Kopp, Aktiv 1) Fahrnisse 488, 2) Wertpapiere 2360, 3) Zinsen daraus durch de Wittwer bezogen 35, 4) Forderung 1200, 5) Ausstände 119
6) Anwesen, Strassburg Spitalgasse N° 18 Flur 19 54, 0,65 ar Hf Whs, 12.500
7) Ersatzleistung des Wittwers 2000, Summa 18.700.
Passiv 1) Ersatzforderung der Erblasserin 2640, 2) Hypothekarschuld an Rentner Carl Treuschel hier laut Obligation amt. Not. vom 1.12.96, 8000, 3) Zinse der Fdu&² 30 und sonstige Passiva 261, 4) Betrag (…) 35, 5) Kosten der letzten Krankheit 88, Kosten des Inventars 74, Summa 11.130. Aktivrest 7570
B. Nachlass Aktiv, 1) Hälfte der Gütergemeinschaft 3785, 2) Ersatzforderung der Verstorbenen 2640, 3) Garderobe 60, 4) Grundstücke Gemarkung Plobshiem 3400 5) Sterbkassengeld 354, Summa 10.239
Passiv 1) Begräbniskosten 170, Erbschaftssteuren 91, Summa 261, Aktivrest 9977
Rechnung des Wittwers (…) – Zuteilungen, des Wittwers, er erhält 2) das Anwesen in Straßburg (…)
La maison est inscrite au cadastre à partir de 1923 au nom de Michel Hanss
Originaire de Hohfranckenheim, le boulanger Michel Hanss épouse en 1918 Elise Lettry, originaire de Bindernheim, divorcée Iselé
Mariage, Strasbourg (n° 960)
Strassburg am 17. Dezember 1918. Vor dem Standesbeamten erschienen heute zum Zwecke der Eheschließung 1. der Bäcker Michael Hanss, evangelischer Religion geboren den 22. Dezember des Jahres 1883 zu Hohfrankenheim (Unter-Elsass), wohnhaft zu Strassburg Langstraße 76, Sohn des verstorbenen Webers Georg Hanss und seiner verstorbenen Ehefrau Eva geborenen Hamm, zuletzt wohnhaft in Hohfrankenheim
2. die geschiedene Tagnerin Elise Isele geborene Lettry, katholischer Religion, geboren am 7. Dezember des Jahres 1886 zu Bindernheim (Unter-Elsass), wohnhaft in Strassburg Langstraße 76, Tochter des verstorbenen Webers Joseph Lettry und seiner verstorbenen Ehefrau Maria Anna geborenen Schrodi, zuletzt wohnhaft in Bindernheim (im 559)