59, rue de Zurich (X 170)


Rue de Zurich n° 59 – X 170 (Blondel), O 902 puis section section 34 parcelle 3 (cadastre)

Partie droite de l’actuel 59, rue de Zurich (partie gauche)
Brasserie aux Trois Lis (1746) puis au Télégraphe (1801)


Le bâtiment est le troisième à partir de la gauche (septembre 2016) – le troisième à partir de la droite (mai 2014)

Propriété des bouchers Jérémie Fritsch puis Jean Kamm l’aîné au début du XVII° siècle, la maison appartient ensuite aux bateliers Martin Heinrich qui devient en 1620 péager au Canal des Fleurs puis Jacques Stephan qui la vend en 1634 aux pêcheurs venus de Wittenweier en Bade, Jean Riebel l’aîné et Jean Riebel le jeune, en se réservant des bâtiments au sud. Elle sera transmise par héritage jusqu’en 1754. Le pêcheur Frédéric Weiss devient en 1665 ouvrier garde-bois. Le tonnelier Jean Georges Bürckel qui construit un bâtiment arrière passe en 1715 un accord au sujet du mur commun avec sa voisine (au sud). Il s’agit sans doute du nouveau bâtiment arrière que mentionne l’inventaire dressé en 1734. D’après l’estimation de 1743. il y a un rez-de-chaussée, un étage et des chambres sous combles. Le tonnelier Jean Jacques Bürckel acquiert une maison (B ci-dessous) dans la ruelle des Roses et établit en 1746 l’auberge aux Trois Lis qu’achète en 1755 Marie Sara Blessig, femme du brasseur absent Philippe Jacques Demuth. Elle fait exploiter la brasserie par Jean Henri Peter puis la vend au brasseur Jacques Strohl alors qu’elle est établie avec son mari à Saint-Petersbourg. Jacques Strohl achète successivement la maison voisine au nord et une maisonnette ruelle des Roses.

Première maison dans la ruelle des Roses, à l’arrière de l’actuel n° 61
Il s’agit sans doute du bâtiment que se réserve Jacques Stephan quand il vend la maison ci-dessus en 1634. Elle revient pas adjudication judiciaire à l’administrateur de la Tour aux deniers Georges Basile Geiger qui en transmet la propriété à son gendre Jean Raimbaud Friderici. Charpentier tyrolien, le manant Georges Kessler l’achète en 1704. Ses petits-enfants la vendent en 1752. Elle est ensuite propriété de Jean Henri Peter qui exploite la brasserie aux Trois Lis puis en 1776 de Chrétien Strohl qui la réunit à sa brasserie.

Deuxième maison dans la ruelle des Roses, à l’arrière de l’actuel n° 61
Jean Ernest Theurer la détache de son jardin situé à l’arrière en la vendant en 1746 à Jean Jacques Bürckel.
Jean Chrétien Strohl acquiert en outre en 1778 de la veuve Gori un bâtiment construit sur son terrain.
L’histoire ultérieure des bâtiments est relatée à la notice qui traite de l’ancienne parcelle X 169, partie gauche de l’actuel n° 59, rue de Zurich.


Le quai aux Chevaux d’après le plan-relief de 1725 (© Musée historique). La maion est la troisième à droite du pont au Brochet (au milieu de l’image). La ruelle des Roses s’ouvre sous le bâtiment suivant.
235 Elévations c'-g'
Elévations pour le plan-relief de 1830, îlot 235 (© Musée des Plans-relief)

L’Atlas des alignements (années 1820) décrit le bâtiment de droite (rez-de-chaussée en maçonnerie et deux étages en bois). Sur les élévations préparatoires au plan-relief de 1830, la façade sur rue est la deuxième à droite du repère (f) : rez-de-chaussée et deux étages à quatre fenêtres chacun, toiture à un niveau de lucarnes. La cour N’ montre l’arrière (1-2) du bâtiment sur rue, la remise (1-4) à l’est, le bâtiment (2-3), à l’ouest et celui (3-4) au fond de la cour.
La cour M’ représente l’arrière (15-16 et pignons adjacents) du bâtiment au fond de la cour N’, l’arrière (12-14) du premier bâtiment dans la ruelle des Roses et l‘arrière (10-12) du deuxième bâtiment dans la même ruelle. Les bâtiments (6 à 9) se trouvent au nord-ouest de la cour.
La cour O’ est la ruelle des Roses qui donne sur le quai par un passage voûté. La maison (A) est la deuxième à droite du repère (2), la maison (B) se trouve à gauche du repère (3). Toutes deux ont un rez-de-chaussée et deux étages.


Dessins préparatoires au plan-relief de 1830, îlot 235 : plan entre l’angle de la rue de l’Abreuvoir en haut à gauche et la ruelle de la Hallebarde (actuelle rue Fritz) en bas à droite – Cour M’, N’ et O’

mai 2021

Sommaire
Relevé d’actes

Récapitulatif des propriétaires

La liste ci-dessous donne tous les propriétaires de 1602 à 1775 (réunion à la voisine). La propriété change par vente (v), par héritage ou cession de parts (h) ou encore par adjudication (adj). L’étoile (*) signale une date approximative de mutation.

Jérémie Fritsch, boucher, et (1586) Marguerite Fischer – luthériens
1608 v Jean Kamm, boucher, et Catherine Kress, (1587) Susanne Suter, veuve du barbier Jacques Kessler puis (1609) Marguerite Marie Adolph, veuve du marchand Sebastian Ulrich – luthériens
1612 v Martin Heinrich, batelier, et (1608) Susanne Stahl – luthériens
1634 v Jacques Stephan, batelier, et (1613) Marie Hertrich – luthériens
1634 v Jean Riebel l’aîné, pêcheur († v. 1636), et Eve – luthériens
Jean Riebel le jeune, pêcheur, et Marie Schalck puis (1633) Catherine Herr, veuve de Jean Küntzel, prévôt de Wittenweier – luthériens
1641 h (copropriétaires avec les suivants) Jean Lutz, de Wittenweier, et (v. 1625) Eve Riebel – luthériens
1669 h Frédéric Weiss, pêcheur, ouvrier garde-bois, et (1645) Eve Marie Riebel – luthériens
1710 h Philippe Barthel, et (1680) Susanne Weiss puis (1711) Elisabeth Feigler, veuve de Jacques Holtzinger – luthériens
1714* h Jean Georges Bürckel, tonnelier, et (1707) Marie Salomé Barthel puis (1716) Anne Barbe Jung – luthériens
1736* h Jean Jacques Bürckel, tonnelier et brasseur, et (1743) Marguerite Salomé Christianus – luthériens
1754 adj Catherine Marguerite Beyerbach, épouse (1710) du receveur Jean Silberrad – luthériens
1755 v Philippe Jacques Demuth, brasseur, et (1743) Marie Sara Blessig – luthériens
1772 v Jean Chrétien Strohl, marchand de vins, et (1746) Catherine Braun – luthériens

Maison (A) donnant dans la ruelle des roses, à l’arrière de l’actuel n° 61

Jacques Stephan (supra)
1652* adj Georges Basile Geiger, triumvir de la Tour aux deniers, et (1645) Elisabeth Schmidt puis (1668) Barbe Erhard veuve de Jean Charles Wesener et de Jean Jacques Wieger – luthériens
1684* h Jean Raimbaud Friderici, consul, et (1684) Marie Marguerite Geiger, d’abord (1662) femme du juriste et professeur d’éloquence Jean Joachim Bockenhoffer, puis (1693) Susanne Richshoffer – luthériens
1704 v Georges Kessler, charpentier, et (v. 1675) Barbe Kœrner – catholiques, manants
(héritiers) Jean Litzge, charpentier, et (1697) Gertrude Kessler – catholiques
Henri Kessler, charpentier, et (1706) Catherine Schultz – catholiques
1714 h Charles Ringard, soldat puis manœuvre, et (1714) Barbe Kœrner veuve de Georges Kessler – catholiques
1752 v Jean Louis Kneischick, brocanteur, et (1731) Anne Barbe Scheuer, remariée (1760) avec le brocanteur Jean Chrétien Baur – catholiques
1762 v Jean Henri Peter, brasseur, et (1730) Catherine Marguerite Blessig – luthériens
1776 adj Jean Chrétien Strohl (supra)

Maison (B) donnant dans la ruelle des roses, à l’arrière de la précédente

1731 v Jean Ernest Theurer, secrétaire de l’hôpital, et (1712) Judith Reine Sachs
1746 v Jean Jacques Bürckel (supra)

Valeur de la maison selon les billets d’estimation : 225 livres en 1710, 500 livres en 1734 et en 1743

(1765, Liste Blondel) X 170, Marie Sara Démuthine
(Etat du développement des façades des maisons, AMS cote V 61) Strohl, 8 toises, 0 pied et 4 pouces (avec la voisine)

Locations

1754, Philippe Jacques Demuth, brasseur (futur propriétaire)
1760, Jean Henri Peter, brasseur (propriétaire de la maison A)
(maison A)1662 Jacques Steuss, boucher, et Anne Catherine Kuder

Livres des communaux

1587, Livre des communaux (VII 1450) f° 510-v

[Oben am Eckh gegen Samuel Örttels Hauß über, Vornen ane Sanct Johanns Giessen Wider Angemessen, vnd daselbs nach Wilhelmern Hinabwerts]
Melchior Murrlin der Garttner hatt an seinem Hauß vornen gegen dem Giessen über dem Thor ein Wettertach, xxvij schu lang, j schu herauß, bessert für das Nüessen, j ß iiij d

Préposés au bâtiment (Bauherren)

1772, Préposés au bâtiment (VII 1415)
Le maître maçon Jean Linckenhœle est autorisé au nom du brasseur Chrétien Strohl à repeindre sa brasserie aux Trois Lis

(f° 81-v) Dienstags den 21. Julii 1772 – Joh. Linckenhöle nôe. Christian Strohl Jun:
Johannes Linckenhöle, der Maurer Meister nôe. Christian Strohl, des Jüngern bierbrauers, bittet zu erlauben deßen bierhaus zu den 3. Lilien beÿ der Hechten Bruck anstreichen zu laßen. Erkannt, Willfahrt.

Description de la maison

  • 1734 (billet d’estimation traduit) La maison comprend plusieurs poêles, chambres, cuisines, vestibules, chambre à soldat, bâtiment latéral où se trouvent un petit poêle et une chambre, au rez-de-chaussée une petite cave solivée, bâtiment arrière à demi-toit comprenant une chambre et une cave solivée, le tout estimé avec le puits, appartenances et dépendances à la somme de 1000 florins
  • 1743 (billet d’estimation traduit) La maison comprend au rez-de-chaussée un poêle, une cuisine et un vestibule, une petite dépense, une buanderie, une cour, un puits, une cave solivée, à l’étage de nouveau un poêle, chambre, petite cuisine, vestibule, un petit poêle et une dépense, une chambre à vinaigre, passage sous le toit, trois anciennes chambres dont une sert de chambre à soldats, vieux comble, toit couvert en partie de tuiles creuses, deux pignons en bois, un grenier non dallé, estimée avec toutes appartenances et dépendances à la somme de 1 000 florins

Relevé d’actes

La maison appartient au début du XVII° siècle au boucher Jérémie Fritsch. Originaire de Haguenau, il épouse en 1586 Marguerite, fille du batelier Thomas Fischer et devient bourgeois quelques semaines plus tard.

Mariage, cathédrale (luth. p. 124)
1586. Dnica XXII post Trinitatis 30. Octobris. Jeremias Fritsch von Hagenaw der Metzger vnd Margaretha Thoman Fischer des Schifmans tochter eingesegnet Montags den 7.ten Novembris (i 64)

1586, 2° Livre de bourgeoisie (4 R 104) p. 572
Jheremias Fritsch Von Hagenauw, ein Metzger, Hat das Burgrecht empfangen, von Margretha, Thomæ Vischers des Schiffmans Tochter, seÿner Ehelichen Haußfrauwen vnd will Zu der Blumen dienen, Act. den 10.t Decembris Anno 86.

Jérémie Fritsch et Marguerite Fischer hypothèquent la maison au profit de Jean Rapp de Sundheim près de Kehl

1606 (9 Augusti), Chancellerie, vol. 367 (Registranda Kügler) f° 215-v
(Inchoat. fo: 266.) Erschienen Jeremias Fritsch der Metziger Vnnd Frauw Margred Vischerin sein eheliche haußfrau
haben in gegensein Hans Rappen von Sunthenheim – schuldig sigen 150 pfund
dafür Vnderpfand sein soll huß hoffestatt, höfflin mit allen andern Iren gebeuw, gelegen In der Vorstatt Straßburg Inn Crutenaw beÿ der Vndersten gedeckten Brucken j einseit Andreas Schnellen Schiff Zimmermann anderseit Adam Thomman Schiffer stoßend hinden vff denselben verhafftet für 100 guldin Martin Andres Schiffmann

Jérémie Fritsch et Marguerite Fischer vendent la maison au boucher Jean Kamm l’aîné, assesseur au Grand Sénat moyennant 285 livres

1608 (xiij tag Junÿ), Chancellerie, vol. 378 (Registranda Meyger) f° 299-v
(Inchoat. in Proth. fol: 250) Erschienen Jeremias Fritsch der Metziger burger Zu Straßburg vnd Margred Fischerin sein Eheliche haußfrauw haben (verkaufft)
herrn Hanß Khammen dem Eltern beÿsitzern des großen Raths Alhie
Hauß houetsatt, höfflin, Mit allen Ihren gebeüwen & gelegen Inn d. Vorstatt Straßburg Inn Crutenauw beÿ d. Understen gedeckten Brucken, einseit nebent Andres Schnellen dem Zoller Vff der Rheinbrucken, Andersit neben Adam Thoman Schiffer* Hinden Vff obgedachts Schnellen gartten, stost, für freÿ ledig vnd Eÿgen, Vnnd Alles Recht & Also das & Vnd Ist dißer Khauff Zugangen vnd beschehen für vnd vmb 285 pfund pfenning
[in margine :] Erschienen Jeremias Fritsch haben bekhandt vndt In gegenwertigkheit Gabriel Khammen Inn Nammen seines Vatters (…) Actum ii Julÿ Anno xvj C Acht

Assesseur au Petit Sénat, le boucher Jean Kamm et sa femme Susanne Suther font leur testament. Le mari institue pour héritiers ses enfants Jean, Catherine femme de Joachim Frantz, Jacques Philippe, Dorothée et Laurent, issus de sa première femme Catherine Kress et Gabriel de son deuxième mariage avec Susanne Sutter. La femme institue pour héritiers sa petite-fille, issue de Susanne Kessler et de Nicolas Frantz, et son fils Gabriel Kamm
1596 (9. 7.bris), Not. Strintz (Daniel, 58 not 60) N° 352
9. 7.bris 1596. Testamentum nuncupativum (Prothocollirt vnd verfertigt den 31. Martÿ 1609) persönlich erschienen seindt herr Hans Kamm, Metzger vnd dieser Zeit Cleinen Rhats bewandter alhier Zu Straßburg vnd Fr. Susanna Sutherin sein Jetzige geliepte haußfrauen, wie wol dieselb großen leib schwanger gende, vnd wenig ziel Zu Küfftiger glickseliglich hoffender frölichen geburth, mehr vor Ire habende, doch beede Jetzgedachten Ehegemechte gendes standes gesundes wafferndesn Leibs, guter verstendlicher sinne vnd vernunfft
dieweil nihn letstlichen die Insatzung vnd benennung der Erben Institutio hæredum zu latein gt. das fürneimbste und wesentlich hauptstück eines Jeden testaments, (…) so ernennt Instituirt vnd setzt Er Hanß Kamm der testator zu seinen Rechten wahren gewißen vnd vngezweiffelte testaments Erben so ohne das sind* seine söne döchter vnd also ab intestato wahr Erben seindt, Namblichen hannßen, Catharinam Jetz h: Joachim Frantzen oberschreibers Ime Spital alhie Ehefrauwen, Jacob Philips, Dorotheen vnd Lorentzen Kammen von wÿland Catharine Kresin seiner ehrenn haußfrauwen selig ehelich erzielt, deßgleichen Gabriel Kammen In Jetzigen anderer v letzter Ehe ehelichen erzeugt samp denen Posthumis (…)
Sie fraw Susanna Sutherin die testirerein aber benent vnd Instituire Zu Ihren testament erben gleichfalls obernanntem Gabriel Kammer Irem Jüngsten mit mehr ernanntem Ihrem lieben haußwirth ehelichen erbornen sohns vnd all Ire posthumis, darzu auch Jre Ecklelin Susannam Niclaus Frantzen des Metzgers mit weÿland Susanna Ketzlerin seiner haußfrauen selig ehelichen erzeugtet töchterlin

Jean Kamm épouse en 1587 Susanne Suter, veuve du barbier Jacques Kessler
Mariage, Saint-Nicolas (luth. f° 1, n° 5)
1587. den 27. februarÿ sind eingesegnet worden hans Kamm der Metzig. vnn Susanna Suterin weÿland Jacob Keßler des Scherers selig. hinderlaßene widwe (i 3)
Mariage, cathédrale (luth. p. 127) 1587. Dominica Sexagesima. 19. Februarÿ. Hanß Kamm der Metzger, vnd Susanna Jacob Keßler des Schärers nachg. wittib. Eingesegnet Montags den 27. Februarÿ (i 67)

Assesseur au Grand Sénat, Jean Kamm l’aîné épouse en 1609 Marguerite Marie Adolph, veuve du marchand Sebastian Ulrich
Mariage, Saint-Nicolas (luth. f° 79-v, n° 7)
1609. den 8. Maÿ seind ehelich eingesegnet worden Herr Hannß Kamm der Ellter vnd des großen Rhatts Beÿsitzer allhie, Vnndt Fraw Margaretha Maria Adolphin, Weÿland Herrn Sebastiani Ulrichs gewesenen Burgers vnndt handelsmanns alhie seligen nachgelaßene wittwe (i 89)

L’assesseur au Grand Sénat Jean Kamm l’aîné vend la maison au batelier Martin Heinrich moyennant 300 livres

1612 (ut spâ [x tag Novembris]), Chancellerie, vol. 399 (Registranda Meyger) f° 485-v
(Inchoat. in Proth. fol: 488.) Erschienen herr hannß Kahm der elter beÿsitzer des groß. Raths Alhie (verkaufft)
Martin Heinrich dem Schiffmann burger Zu Straßburg
hauß hoffestatt höfflin vnd Stall mit Allen Iren gebeüwen & geleg. Inn der vorstatt Straßburg Inn Crutenouw Zwüsch. den Zween gedeckten Brucken einsit neben Andres Schnell dem Zoller vff der Reinbrucken Andersit neben Adam Thomann dem schiffmann stost hinden vff ermelten Andres Schnellen Zum theil vnd Zum theil vf Urban Beÿers des schiffmanns selig. erbenn für freÿ ledig vnd eÿg. Vnd Alles Recht & Also das & Vnnd Ist dißer Khauff Zugangen vnd beschehen für vnd vmb 300 pfund pfenning Straßburger
[in margine :] Erschienen herr hannß Khamm hatt in gegensein Martin Heinrich des Kheüffers (…) Actum den vj Maÿ 1613.

Fils du batelier Jean Heinrich, Martin Heinrich épouse en 1608 Susanne Stahl, fille du pêcheur Jean David Stahl : contrat de mariage, célébration
1608 (23. Junÿ), Not. Strintz (Daniel, Prothocollum, 1597-1605, 58 Not 53)
Eheberedung Zwüschen Martin Heinrich dem Schiffman vnd Jungfrawen Susannen Stahlin beeden verprochenen Ehepersonen vffgericht
Zwüschen dem Ersamen Martin Heinrich dem schiffman vnnd burgern Zu Straßburg Ane einem,
So dann der Zuchtigenn vnd tugendsamen Jungfrauwen Susannen Stahlin des Ehrenhafften Hannß David Stahlen, vischers vnd burgers Zu Straßburg eheleiblichen dochter Am Andern theÿl
durch Vnderhandlung der Ehrenhafften fürnehmen, Ersamen vnd bescheidenen Bernhard Neefen, Jacob Heinrich, Paulus Hören schiffleüth vnd H Eucharij schüblers deß Notari vff seiner deß hochzeiterers, So dann vff der Jungfrauwen hochzeiterin seÿten Diebold Stahlen vnd Martin Andreßen Ihres vatters vnd schwagers, Aller burger Zu Straßburg
Beschehen vnd verhandelt In deß heiligen reichß freÿen Statt Straßburg Donnerstags denn 23. Junÿ In dem Jar deß Herrn Alß man Zalte 1608
(minute signée, 58 Not 54)

Mariage, Saint-Guillaume (luth. f° 73 n° 28)
1608. Dominica VII Trinit. 10. Julÿ. Martin Heinrich der Schiffknecht Hanß Heinrichen des Schifmans seligen nachgelaßener Sohn, J. Susanna, Thiebolt Staalen de fischers tochter. Eingesegnet Montag 18. Julÿ hora 10. p. M. (i 75)

Le maître des Quinze rapporte que Martin Heinrich a embarqué 40 quartauts de pois en provenance du Sundgau en n’en déclarant que 24 à l’accise. Une enquête est ouverte sur l’éventuelle fraude. Comme il y aura davantage de pois de la même provenance, il faudra décider s’ils seront autorisés à quitter la ville qui pourrait en manquer.
1612, Protocole des Quinze (2 R 40)
(f° 241-v) Freÿtag den 30. Octobris. – Martin Heinrich. Erbsen. Zollentführen
der H. Fünffzehen meister Zeigt auch ahn Martin Heinrich der Schiffman hab 40. fiertell erbsten beÿm Kauffhauß eingelad. die führe er hienweg, Aber der Ungelter wüßten nur von 24 fiertel so angeben worden, Also mann Inen bevohlen, der 16. fiertell halben besser nachfrag Zuhaben. Solche erbßen kommen auß dem Suntgauw vnd sollen noch mehr hero gepracht werd. Seÿ ein gutt gemüeß, vnd derenwegen die frag, weÿl sie hierumb nicht gerathen ob mann sie alle müeß passiren lassen oder Zum theil hie behalten könne, damit nicht hernach beÿ vnns mangell erscheine. Erkant die Ungeltherren sollen im Ungeldt bevehlen, fleißig nachzuforschen ob mit deßen Erbßen betrug fürgangen vnnd könn man etwann, wann mann inn mehrerer anzahl beÿeinander, wid. davon reden.

Martin Heinrich est élu péager au Canal des Fleurs le 4 décembre. Les Conseillers et les Vingt-et-Un l’autorisent quelques jours plus tard à quitter la Ville pour régler ses affaires notamment à Worms, à Mayence et à Oppenheim où il a des marchandises pour plusieurs centaines de livres en lui demandant cependant de ne pas continuer son commerce.
1620, Conseillers et XXI (1 R 102)
Martin Heinrich, Zoller im Blumengiessen. 339. vmb erlaubnus etlich Reisen. 343.
(f° 339) Montag den IV Decemb. – Zoller dienst im Blumengiessen bestelt
Wegen Zollers im Blumengiessen In d. Amptbuchlin vberlasen vmbgefragt ob Jemandt gebetten, u hernach erkannt Martin Heinrich.

(f° 343) Sambstag den IX Decemb. – Martin Heinrich Zoller im Blumengiessen vmb erlaubnus etlich Reysen
Martin Heinrich der New angenommene Zoller ubergibt supplôn beenckt sich der befurderung. Er konne aber nit leugen d. er etlich hundert gulden an wahren angewandt, die Zu Wormbs Meyntz Oppenheim und andern orten lig. derentwegen er etlich Reisen thun müse, dan sein nahrung vast dorin bestehe, derwegen sein bitten mherren wollen Ime dazu willen* geben will er ein Man stellen dar den Zoll soll einnehmen. Erk. Man soll Ihme 3 Reisen erlauben aber Zeit biß Faßnacht setzen mit der Anzeug der Kauffmanschafft Künfftig enthalten. H Kugler, H Danenmeyer.

Martin Heinrich demande à être dispensé de l’accise et de la taxe sur le jardin que détenait son prédécesseur mais pas lui.
1621, Conseillers et XXI (1 R 103)
(f° 293-v) Mittwoch den XXI. Novemb. – Martin Heinrich Zoller am Blumengießen vmb Nachlaß Ungelts und wegen Garttens
Martin Heinrich der Zoller am Blumengießen ubergibt supplôn beclagt sich d. er den garten nit hab den sein vorfahr gehabt, und * haltet, * d. er d groß ungelt geben muß, d. der vorfahr doch befreyet geweßen, do er dich keine soviel vorschanckt alß er in die haushaltung bericht, Bat vmb den garten v befreyung des vngelts. beschieht bericht d. dar vorig den garten umbbruch und ein Almendt Zinß von Almend Hh darauf geschlagen, wurd bi=uch mitbringt.

Les Quinze s’adressent à la veuve après avoir constaté que son mari faisant commerce de grains avec un chaudronnier de Durlach en les faisant entrer en ville sans payer de droits
1625, Protocole des Quinze (2 R 53)
Martin Heinrich seÿ untrew geweßen. 196.
(f° 196-v) Donnerst. 25. Augusti – Martin Heinrich Zoller am Blumengießen
wurde gedacht Martin Heinrich der letzt verstorbene Zoller am Blumengießen, hab mit dem Kupferschmidt von durlach gemeinschafft mit früchten getriben, dahero vil frucht ohnverzollt paßiren laßen. E. Waß fürzunemmen. Erkandt, Ober Ungeltherren, sollen nach der wittib senden vndt deßwegen examiniren

Martin Heinrich meurt en délaissant deux filles. La veuve est remariée avec Martin Klein
1624 Chancellerie, vol. 452 f° 395 [in margine :] Erschienen Andreß Heinrich Als vogt Martin Heinrichs see. Kinder vnd Martin Klein Als Ehevogt Susannam Stahlin bekannte in gegensein Clauß Geÿers (…) Act. den 25.t Januarÿ Anno 1635.
1625 Chambre des Contrats, vol. 455 f° 508-v hatt in gegensein Andreß Heinrich schiffmanns burgers Zu Straßburg Als Vogt weÿland Martin Heinrichs selig. Khind. – schuldig seÿe ij C. L. lb
1626 Chambre des Contrats, vol. 459 f° 668-v hatt in gegensein Andreß Heinrichen deß Schiffmanns alß Vogts weÿ: seines Brud. Martin Heinrich gewesenen Zollers im Blumengüeßen see. Zweÿen töchterlin – schuldig seÿ. 150. Pfund

Susanne veuve de Martin Heinrich dispose en 1651 des 700 florins que lui doit son gendre Gabriel Waldeck sur le prix de sa maison rue Sainte-Madeleine
1651 (22. 8.br), Chambre des Contrats, vol. 511 f° 788
Erschienen Susanna weÿl. H Martin Henrichß deß Schiffmanns und Zollers am Blumengieß. alhie nunmehr seel. nachgelaßener wittib, gesund ahne leib und Gemüth, die verordnete, daß Sie vff ihres dochtermanns H Gabriel Waldeckhß deß Goltarbeiters Behaußung in der Vtengaßen 700. fl. angelegt hatt und nach ihrem Ableiben der dochter Mariæ H Daniel Bergers deß Weinhändlers ehelich haußfr. od. wann sie den Mütterlich. Fall nicht erlebet deroselben Kindern die helffte daran erblich heimfallen wirt (…)

Martin Heinrich vend la maison au batelier Jacques Stephan moyennant 450 livres

1620 (xxv. Aprilis), Chancellerie, vol. 439 f° 235-v
(Inchoat. in Prot. fol. 250.) Erschienen Martin Heinrich der schiffmann burger Zu Straßburg (verkaufft)
Jacob Steffan dem schiffmann burger Zu Straßburg So Auch Zugegen Ihme Vestiglichen Kauffte
hauß hoffstatt höfflin vnd schopff mit Allen Ihren gebeüwen gelegen Inn der Vorstatt Straßburg Inn Crutenouw beÿ der nidersten gedeckten brucken, einseit neben Marien Wÿland Adam Thoman seligen witwen anderseit neben Jost Zipff dem Kuttler hinden vff Christoff Guckenmuß würth Zum gärttenfisch stoßend freÿ ledig vnd eigen, Vnd Alles Recht & Also das & Vnnd Ist dißer Kauff Zugangen vnd beschehen für vnd vmb 450 pfund Straßburg

Jacques Stephan hypothèque la maison au profit de Valentin Jæger

1629 (5. 7.bris), Chambre des Contrats, vol. 465 f° 561-v
Erschienen Jacob Steffan d. Schiffman
hatt in gegensein Veltin Jägers – schuldig seÿ 100. lb
und.pfand hauß vnd hoffstatt alhie in Crautenaw beÿ der nidersten gedeckhten Brucken neben Maria Adam Thoman s: witib & neben Jost Zipfen deß eltern see. witib hind. vff Christoff Kuecumuß welche Zuuor v.hafftet vmb 350. fl. Martin Heinrichs see. witib

Jacques Stephan vend la maison moitié à Jean Riebel l’aîné et moitié à Jean Riebel le jeune moyennant 450 livres. Le vendeur reste propriétaire d’un terrain au sud. Les vendeurs s’engagent à conserver un chenal sous la remise.

1634 (20. Januarÿ), Chambre des Contrats, vol. 473 f° 33
(Protocollat. fol. 5.) Erschienen Jacob Steffan d. Schiffmann burg. Zu St.
hatt in gegensein hanß Rübels deß Eltern, vnd hanß Rüebels deß Jüngern, vaters und Sohns, beed. fischern burgern Alhie (verkaufft)
hauß, hoffstat, höfflin vnd ein schopff, mit allen and.en ihren gebäwen & alhie in Krautenaw beÿ der vnd.n Brucken, neben N. N. gartenmann & zum theil dem v.keüffer selbsten, vnd zum theil neben Adolff Weber dem schiffmann, hind. zum theil vff Christoff Kuckumueß Würths Zum Gaul garten vnd Zum theil vff Paul hoschen den schiffmann stoßend, so zuuor noch verhafftet ist vmb 50. lb d. Martin heinrichs s: witib Wiewol nun solch. hauß auch verpfändet vmb 25. lb d erstbesagter wittiben, Item vmb 175. Christoff hessen dem hagknecht, vnd dann vmb 100. lb Veltin Jäger, So hat doch der V.keüffer dise dreÿ letst gemelte posten vff ihme behalten – per 450. lb
Darbeÿ Auch abgeredt, daß die Käuffere einen Naach vnderm Schopff gegen deß Verkäuffers seiten, wie derselb albereit ist, Zuhalten schuldig sein sollen

Le pêcheur Jean Riebel l’aîné est marié à Eve, sa veuve en 1637. Ses enfants sont Jean Riebel le jeune et Eve, femme de Jean Lutz, pêcheur à Wittenweier en Bade
1634 Chambre des Contrats, vol. 473 f° 103-v
Erschienen hanß Rüebel der Alt, fischer Burger Zu Str.
[in margine :] Erschienen Hanß Rüebel der Jünger alß deß Verkäuffers s. Sohn für sich und innamen seiner Schwester Evæ hanß Lutzen deß Fischers Zu Wittenweÿher, ehelichen haußfrawen, So dann Christoph Heß der Hagknecht alß Vogt daß verkäuffers s. wittiben Evä, hab. in gegensein deß Käuffers (…) Act. den 14. febr. 1637.

Les Quinze dispensent Eve Riebel, domiciliée à Wittenweier (avec son mari Jean Lutz, voir ci-dessous l’accession à la bourgeoisie) de régler le droit de détraction après la mort de Jean Riebel (l’aîné)
1637, Protocole des Quinze (2 R 62)
(f° 187) Sambst. den 2. 7.bris – Hanß Riebels Abzugsfreÿ Erbschafft
Hanß Riebels des Fischers Tochter Eva, Jetzo zu Wittenweÿer wohnhaft, welche vf Ihres Vatters seel. Verlaßenschafft beÿ E. E. Kleinen Rath immittirt wegen Abzugs aber herein genießen. Erkandt, Ist als Undthann, meiner Herren deß Abzugsfreÿ gelaßen

Originaire de Wittenweier, Jean Riebel achète le droit de bourgeoisie le 13 février 1623
1623, 3° Livre de bourgeoisie (4 R 105) p. 815
Hannß Riebel Von Wÿttenweÿher d. Vischer Khaufft d. Burgerrecht p. 20 goldgulden vnd will Zu den Visch. dienen Actum deb 13. Februarÿ 1623.

Jean Riebel et sa femme Marie font baptiser Eve Marie en 1624
Baptême, Saint-Guillaume (luth. p. 257 n° 94)
1624. Dominica XX. post 10. Octobris. P. Hans Rübell fischer, M. Maria, I. Eva Maria. Comp. Lorentz Cham metzger, Maria David Gisbrechts, fischers uxor, & Maria, Claus Rosers des Jüngern fischers Tochter (i 140)

Jean Riebel le jeune se remarie en 1633 avec Catherine, veuve de Jean Küntzel, prévôt de Wittenweier
Mariage, Saint-Guillaume (luth. p. 46 n° 47)
1633. Dom. 1 & 2 Adv. Hanß Riebel d. Jung. fisch. v. burg. alhie, v. Catharina, wlld. hanß Küntzels gewesenen Schultheiß. zu wittenweih. hind.laßen witwe. cop. Mont. d. 9. Xbris

Jean Riebel meurt en délaissant deux enfants (Eve Marie et Jean) issus de sa première femme Marie Schalck et sa veuve Catherine Herr. L’inventaire est dressé dans la maison près des ponts couverts d’aval. La succession comprend deux autres maisons à la Krutenau. La masse propre à la veuve est de 139 livres. L’actif des héritiers et de la communauté s’élève à 922 livres, le passif à 372 livres

1638 (29.1.), Not. Ursinus (Jérémie, 60 Not 7) n° 2
Inventarium undt beschreibung aller Haab vndt nahrung, so weÿl. der Ehrsame hannß Riebel vischer vnd burger alhie Zue Straßburg, nunmehr seel. nach seinem aus dießer welt tödlichen hinscheiden hind. ihme v.laßen welche durch die erbahre vndt tugendsame fraw Catharin Herrin sein hinderlaßene witt. mit hülff vnd beÿstandt deß Ehrenhafften Hanß Caspar Schmutzen auch vischers, burgers alhie Zue Straßburg ihres geschwornen vogts, vf freundliches ansuchen erfordern vndt begehren deß Ehrenhafften Dieboldt Jungen ebenmäßig vischers burgers alhie, alß Evæ Mariæ vndt Johannißen, deß ietz verstorbenen seel. mitt auch weÿl. Mariæ Schalckin seiner vorig. hfren. seel. in erster ehe ehelich erziehlter Kind. vnd ab intestato hind.laßene nechster erben geschwornen Vogts geeügt vndt gezeügt, (…) So beschehen vff Montag den 29. Januarÿ Anno 1638.

Inn hernach geschriebener Zum halbentheill in dieße Erbschafft gehöriger behaußung ist befunden worden wie volgt.
Auff dem obern Kasten, inn der Obern stubkammer, Inn d. Obern stub. Inn der Kuch., Im haußöhren
Eigenthumb ahne heüßern, (Th.) Item hauß hoffstatt vnd höffl. mit allen andern ihren gebeuwen, begriffen, weithen, rechten Zugehörden vndt gerechtigkeiten, gelegen alhie in der vorstatt Straßb. in de Crautenaw, beÿ der Vndersten gezeckten Prueck. in einem nicht durchgehenden geßl. 1.s. neben H Martin Andreßen dem Geweßenen haagmeister alhie (…)
(th.) Item hauß hoffstatt vndt hoff. mit allen derselben gebewen, Weithen, Zugehörden vndt gerechtigkeiten gelegen in mehrermelter vorstatt Crautenaw im trenck gäßl. (…)
(th.) Item der halbe theil ahne einer Behaußung, daran der vberige halbe theil Weÿl. hannß Rübels deß Eltern, des ietz verstorbenen Vatters seel. hinderlaßenen Wittib vnd Erben Zuständig, mit allen derselben Zugehörd, vndt gerechtigkeiten geleg. in offtgedachter vorstatt Crautenaiw ahne der vndern gedeckten Brucken, j.s. lb hannß Ehrsamb den Gartner, 2.seith neb. hannß Adolph Webern dem Schiffmann, hind. vff herrn hannß Balthaßar Schießen des hutstaffierers garten, theils aber auch vff Paul hoschen den Schiffmann alhie stoßend, so gantz freÿ ledig vnndt eigen hiehero æstimirt für 175. lb Vber dise Behaußung sagt j. t. Perg. Kauffbrieff mit offtgedachter St. St. Cont: anhangendem Insigel verwahrt de dato 20. Jan: Anno 1634. mit Altem N° 3 et Newem N° 4 quotirt. Liegende Güether (im dorff Wittenweÿher gelegen)
Wÿdembs Verfangenschaft. Item es hatt Eva, weÿlandt Hannß Riebels deß Elttern auch Vischers Vndt Burgers alhie Zue Straßburg seel. hinderlaßene wittib deß ietz verstorbenen seel. Mutter v.mög auffgerichteten Codicills die ane d. hieuor fo. 61. beschriebenen behausung 2. dritte theil am halben theil ad dies vitæ Zugenießen, daran nach deselben absterben In dieße Theilbare Verlaßenschafft der halbe theil od. ane solcher halben behaußung ein dritter theil gehörig thutt dem Anschlag nach 58. lb
Der Wittib unverändert Guth, Sa. Haußraths 4, Sa. Liegender güter 22, Summa summarum 26 lb
Summa alles der Erben unveränderten guths, Ist vndt bestehet allein ahn hieuor geschriebener Behaußung, vndt thut dem Anschlag nach Nemblich 175. lib.
Das Gemein verändert vnndt Theilbare guth belangend, Sa. haußraths 48, Sa. früchten 28, Sa. Lehrer vaß 1, Sa. deß Zum vischer handwerckh gehörigen Schiff und geschirrs 20, Sa. Silbers 4, Sa. Bahrschafft 9, Sa. Pfenningzinß hauptgüter 328, Sa. Liegenden güter 79, Sa. haüßer 393, Sa. Schulden 9, Summa summarum 922 lb – Schulden 372 lb, Nach deren Abzug 640 lb
Conclusio finalis Inventarÿ 1072 lb
Wÿdem so der ietz verstorbene seeligen biß in sein Absterben genoßen, Item es hatt der ietz verstorbenen seeliger seiner vorigen haußfr. Mariæ Schalckin seeligen gantz verlaßenschafft, Inhaltt deß den 23. 9.bris A° 1633 Ihme vnd seiner Kinder geschwornen vogt auffgerichteten Vertrags dergestalten zu genießen gehabt (…)
Vergleichung d. Heüßer. Die behaußung Im Trenckhessel hatt die wittib Zugenieß. v. v.pleibt d. Eigenthum den Erben für unverändert
die behaußung beÿ der vndn gedeckten brucken in dem nicht durchgehennd. geßlein Ist angeschlagen vmb 200 ln
die andere halbe behaußung ist zwar vmb 250. ln bahrgeltt erkaufft, aber ietzig. Zeitt höher nicht angeschlagen dann auch vmb 200 lb
Theil Register

Eve, veuve de Jean Riebel (l’aîné) fait donation du quart qui lui appartient à la maison à sa fille Eve, femme du pêcheur Jean Lutz.

1641 (11. 7.br), Chambre des Contrats, vol. 487 f° 587-v
(Mütterlich. Prælegat) Erschienen Eva Weÿl. hannß Rüebelß deß Fischers sel. wittib, Zwar hoh. alters, iedoch richtig. guter sinn und verstandts, hatt vß wohlbedachtem muth, alß sie sprach,
prælegirt ihrer eheleiblich. dochter Evæ hannß Lutzen deß Fischers und burgers alhie ehelich. haußfrawen,
einen Vierten theil ahne hauß, hoffstatt mit allen & alhie beÿ der gedeckht. bruckh. ohnfern vom Gaul, neben hannß Ehrsambß deß garten Manns Nachkomm. ein: und and.seit (-) Blawel dem schiffmann, hind. vff Jacob Stephan den schiffmann stoßend gelegen, Vnd dann ein außbereitt bett mit aller Zugehördt, so beständig in der Wohnstuben steht, auch einen vierten theil ane dem gartt. Zu wittenweÿhr

Le pêcheur Jean Lutz de Wittenweier, sa femme et leurs trois enfants André, Jean et Eve acquièrent le droit de bourgeoisie le 14 septembre 1637 (quand l’inventaire est dressé après la mort de Jean Riebel l’aîné, voir ci-dessus l’extrait du registre des Quinze)
1637, 3° Livre de bourgeoisie (4 R 105) p. 874
Hannß Lutz der Fischer von wittweÿer Erkaufft daß burgerrecht für sich sein haußfr. vnd dreÿ Kinder mit nahmen Andres, Johannes vnd Eua haben noch kein eigen guth vmb den Alten burger Schilling p. 8. gold fl. vnd ist beÿ den Fischern Zünfftig Jur. den 14. 7.bris 1637

Eve Marie Riebel devient seule héritiere de son père Jean Riebel le jeune après la mort de son frère Jean

1642 (13. Martÿ), Not. Ursinus (Jérémie, 60 Not 10) n° 30
Theil Registerlin Inhalttendt Waß Evæ Mariæ Riebelin, weÿlandt hannß Riebels deß Jüngern, geweßenen Vischers burgers alhie Zue Straßburg seel. hinderlaßenem döchterlin, in weÿl. Johann Riebells seines brüderlins seel. verlaßenschafft Abtheilung erblichen Zugefallen, 1640.
Zuwißen, daß vff tödtliches ableiben Weÿlandt Johann Riebels auch weÿl. Hannß Riebels deß Jüngersn geweßenen Vischers, burgers alhier Zue Straßburg vndt frn Mariæ Schalckin beeder Eheleuthe hinderlaßenen söhnleins, aller seel. vff hieunden gemeltes datum, die Ehren: vndt tugendsame fraw Eua, weÿland deß Ehrenhafften Hannß Riebells deß Elttern auch geweßenen vischers burgers alhie seel. hinderlaßene Wittib mit hülff vnd beÿstadts Christoph Heßen, deß Haagknechts burgers alhie ihres geschwornen vogts, ane einem
So dann die auch Ehrenhaffte Dieboldt Jung, gleicher gestaldt visch. burger alhie als Evæ Mariæ Riebelinin obgedachts deß ietz abgeleibten Söhnlins döchterlins geschwornen Vogt, als deßelben ab intestato hinderlaßene nechste Erben (…) so geschehen vff Freÿtag den 13. Martÿ A° 1640.
Beede heüßer, sowohl daß in dem nicht durchgehend. Geßel als auch die halbe Behaußung beÿ d. vndern gedeckten brucken seidt, weilen dießelb nicht wohl füeglich Zuvertheilen noch Zur Zeit für vngetheilt außgesetzt, dergestalt d. der darauß gefallende Zinß Jedes mahls pro rato gebührlich v.theilt vnd Evæ Mariæ antheil durch ihren vogt ordentlich. v.rechnet werden solle.

Jean Lutz de Wittenweier et sa femme Eve hypothèquent trois quarts de la maison au profit de Jean Jacques Scholl, assesseur au Grand Sénat

1651 (19. Decembr.), Chambre des Contrats, vol. 511 f° 896-v
Erschienen Hannß Lutz Von Wittenweÿher und Eva sein eheliche Haußfr.
hatt in gegensein H Hannß Jacob Schotten E.E. Großen Rhats alten Beÿsitzers – schuldig seÿen 50 Pfund
Underpfand sein sollen treÿ Vierte theil ahne einer Behaußung mit allen deren Gebäwen alhie in der Krautenaw beÿ der gedeckhten Brucken einseit neben Hannß Sturmen dem Schneider anderseit neben H Conrad Meÿern Stifft Schaffnern Zue St. Steffan hienden auff Vorgemelten Schaffnern stoßend gelegen, daran der übrige Vierte theil Friderich Weÿsen dem Fischern und burgers alhie gehört

Les trois enfants Lutz vendent leur part, soit un peu moins de la moitié de la maison, à l’ouvrier garde-bois Frédéric Weiss dont les enfants sont propriétaires du surplus

1669 (22. 8.br), Chambre des Contrats, vol. 536 f° 551
Erschienen Andres, hannß, und Eva, die Lutzische Geschwisterde von Witenweÿher
in gegensein Friderich Weißen deß haag Knechts
ihren Antheil, so nicht gar völlig die helffte ist, ahn hauß hoffstatt höfflin, Schopff und allen deren Gebäuen, Begriffen, Zugehördten und Gerechtigkeiten in vorstatt Krautenaw beÿ der undern Bruckh, einseit neben Chilian Haslern dem stattschiffer, anderseit neben hannß Jacob Feuchter dem Küeffern, hind, vff H Michael Haanen den handelßmann stoßend gelegen, daran daß übrige deß Käuffers Kindern gehörig seÿe – umb 165. fl.

Fils du pêcheur Henri Weiss, le pêcheur Frédéric Weiss épouse en 1645 Eve Marie Riebel, fille de Jean Riebel le jeune
Mariage, Saint-Guillaume (luth. f° 5, n° 17)
1645. Dominica Trinitatis 2 & 3. Friderich Weiß der fischer, Heinrich Weiß des fischers und burg. alhie Ehl. Sohn, Vnd Jungfr. Eva Maria, Hans Ruebel des Jung. des fischers, hindl. Ehl. Tochter. Copul. Mont. d. 21. Junÿ Wilh : horâ X.

Frédéric Weiss ci-dessus est ouvrier garde-bois d’après les aboutissants de la maison voisine
anderseit neben Friderich Weißen dem Hagknecht gelegen, 1676, Chambre des Contrats, vol. 545 f° 450-v, maison X 169

Les Quinze nomment Frédéric Weiss ouvrier garde-bois sur proposition des Préposés au bâtiment le 23 décembre 1665.
1665, Protocole des Quinze (2 R 82)
(f° 250-v) 1665. Sambstags den 23. 10.bris – Friedrich Weiß ist Hagknecht worden
Nach deme Obern Bauw Herren wegen vacirender Hagknecht stell Friedrich Weisen, Hans Adam Seÿfert, Melchior und Caspar Meningern In außschutz bracht vnd derentwegen ordentlich Vmbfrag gehalten worden, Ist der erste Friderich weis per majora Zue kommen.

Frédéric Weiss remplace Jean Michel Philips, licencié. Frédéric Weiss se plaint en février 1666 que la veuve de son prédécesseur ne libère pas le logement de fonction en faisant remarquer que Jean Michel Philips a vendu certains éléments qu’il a démontés
1665, Préposés au bâtiment (VII 1359)
Friderich Weiß der Newe hagknecht – hannß Michael Phillipß der erlaßene Hagknecht
(f° 126) 1665. Sambstags den 23. Xbris – Friderich Weiß
Jr Stettùstr. Bernoldt bereichet d. Friderich Weiß ahn statt hannß Michael Philipßen so abgeschafft Zu einem Hagknecht von den Herren fünffzehen angenommen word. seÿe.

(f° 143-v) 1666. Sambstags den 10. Febr. – Friderich Weiß der Newe hagknecht, Clagt d. hannß Michael Phillipß der erlaßene Hagknecht d. losament, darin er alß ein hagknecht gewohnet in deme sehr ruinire d. er eines vnd d. andere so nagelvest abbreche, auch die stützen vnd ander holtz an der rebhelden, so er doch in der Statt wehrten gehawen, außreÿße vnd verkauffe, auch nicht vor ostern d. Losament q.ttiren stoll*e. Erk. soll Ihme ferner außreißens vnd v.kauffes verbott gethan, vnd befohlen werd. d. losament fürerlich zu q.ttiren.

Frédéric Weiss prête serment le 13 janvier 1666
1666, Protocole des Quinze (2 R 83)
(f° 5-v), Sambstag den 13. Januarÿ – Friedrich Weiß der Newe Haagknecht, wird auch das Juramentum Zu præstiren dato vorgestelt.

Les Préposés au bâtiment donnent congé à Frédéric Weiss âgé de 74 ans qui demande une gratification aux Conseillers et aux Vingt-et-Un
1689, Conseillers et XXI (1 R 172)
Hannß Georg Hänßel und Friderich Weiß vmb gnaden gelt
(p. 49) den 21.ten Februarÿ – It. nôe Hannß Georg Hänßel vor sich und Friderich Weißen, geweßener hagknechten, prod. mem. und melden, der letztere habe 24 Jahr über Jener aber 26. solche dienste versehen, seÿe der Erste 66 Jahr und mit Einem schlagfluß getroffen word. dieser gehe in 74.ten Jahr und können nicht mehr fortkommen, deßelben Sie von denen oberen bauherren beurlaubet worden, Sie mögen aber albers halben ihr stücklein brodts nicht mehr vor sich bringen, sondern seÿen gemüßiget Mhh. herren umb hülffreiche hand anzuflehen, und Selbige Zu bitten Eine gnaden steur Ihnen Zukhommen Zulassen.
Erkant, ahne die Obere bauherren gewießen umb die merita causæ beeder Imploranten Zu examiniren und nach dürfftigkeit gegen denen selben Zu verfahren. H. XV. von Fridelsheimb, Rathh. Trahner.

Fille de Frédéric Weiss, Eve Marie Weiss épouse de Mathias Bolentz demande à être exemptée du droit de détraction en arguant qu’ 1) elle est redevenue bourgeoise après avoir perdu son droit de bourgeoisie par mariage, 2) que son mari apprêteur de tabac gagne mal sa vie, 3) qu’elle est chargée de cinq enfants. Les Quinze accordent l’exemption

1692, Protocole des Quinze (2 R 96)
(f° 92) Mittwoch den 25. Aprilis – Matthiß Bolentzen Frau pt° Abzugs
Obere Stallherren laßen per me referiren, daß Eva Maria Weißin, Matthiß Bolentzen, des tabac bereiters hausfrau, jnn einem und.th. Memorial berichtet, Wie daß Nach absterben ihres Vatters Friderich Weißen geweßenen Haag Knechts, sie, als sie Noch im schirm gestanden, etwas weniger Von ihme geerbet habe, und davor ihr 3. lb 11 ß abzug abgefordert werde, mit bitt, weilen sie ihr durch die mit ihrem ehemann gethane heurath verlohrnes burgerrecht Wider gratis erhalten, sie ebenfalls Zu begnadigen, und damit in integrum Zu restituiren, einfolgig sie dießes abzugs Zu befreÿen, jnn ansehung die Erbschafft gering, und der Verdienst ihres Manns beÿm tabac machen schlecht seÿe, Auch d. L. Gott sie bereits mit Fünff Kindern gesegnet habe, Von welchen petito mann geredt, Und dafür gehalten, daß weilen Nicht Nur die allegirte rationes erheblich sondern auch die summ gering seÿe, Auch die gethane erbschafft hier bleibe, Und die Imploranten, Lauth gegenwärtigen Schirms auß d. Cancelleÿ und H. Rentmeisters Würcklich Wied. inn burgerrecht stehe, ihr inn ihrem begehren willfahrt werde könte, allein sie genehmhaltung Zu Mghh. stündte. Erk. beliebt.

La maison revient à Susanne Weiss, fille de Frédéric Weisss, qui épouse en 1680 le tonnelier Philippe Barthel.
Les experts estiment la maison à la somme de 225 livres lors de l’inventaire dressé en 1710 après la mort de Susanne Weiss, somme reprise en 1715 à la mort de Philippe Barthel.
Leur fille et unique héritière Marie Salomé Barthel épouse en 1707 le tonnelier Jean Georges Bürckel, fils de l’aubergiste à l’Aigle Noir Ambroise Bürckel

Mariage, Saint-Guillaume (luth. f° 132-v, n° 35)
1707. Mittwoch den 19. Octobris, seind nach ordentlicher zweimahligen außruffung ehelich copulirt worden, Hanns görg Birckel, der ledige Kiefer, H. Ambrosi Birckels deß Würths zum schwartzen Adler, und fr: Margreth Würtzin Ehelicher Sohn, Und Jungfrau Maria Salome H. Philipps Barthels des küeffers und burgers, mit seiner Ehefrauen Susanna geb: Weissin erzeügte Eheliche tochter, Johann Georg Bürckel alls hoch Zeÿter, Maria Salome bartelin als hochzeitrin (i 138)

Jean Georges Bürckel fait dresser dans une maison derrière Saint-Nicolas l’inventaire de ses apports, soit 216 livres
1708 (20. 7.br), Not. Lang (Jean Henri l’aîné, 27 Not 31) n° 25
Inventarium über diejenige Haab und Nahrung, so der Ehrengeachte Meister Hannß Georg Bürckel, Küffer und Burger, Zu Straßburg, zu der Ehren: und tugendsamen Frawen Maria Salome, Gebohrner Barthelin seiner Geliebten haußfrawen, für unverändert in den Ehestand Zugebracht, auffgerichtet Anno 1708. – Welche Nahrung der Ursach halben, damit man sich künfftiger Zeit der in Ihr beeder Eheleuth auffgerichteten Eheberedung verglichenen Ergäntzung wegen darnach Zu reguliren haben möchte (…) Actum in fernerer præsentz H. Ambrosÿ Bürckels, Gastgebers Zum schwartzen Adler, deß Ehemanns v. herrn Philipp Barthels Küffers, der Ehefr. Gebleibten Vatters, Donnerstags den 20. 7.br. A° 1708.
In einer alhier Zu Straßburg Hinder S. Claus Pfarr Kirch Gelegener in dieß Nahrung nicht gehöriger Behaußung Befunden worden wie volgt
Norma hujus inventarÿ, Sa. Haußraths 85, Sa. Werckzeugs Zum Küeffer handwerck gehörig 25, Sa. Silbergeschmeids 5, Sa. baarschafft 100, Summa summarum 216 lb

Jean Georges Bürckel et Salomé Barthel hypothèquent la maison au profit de Susanne Kob née Kast

1714 (11.9.), Chambre des Contrats, vol. 587 f° 643
Joh: Georg Bürckel kiefer und Maria Salome geb. Bartlerin beÿständlich H. Joh: Gerhardt von Stöck und H. Joh: Michel Schenck in ermanglung verwandten
in gegensein fraun Susannæ Kobin wittib geb. Kastin beÿständlich Joh: Seubel Chirurgi weilen unbevögtigt – schuldig seÿen 200 pfund
unterpfand, ihre behaußung c. appert: ahn der hechtenbruck einseit neben Joh: Jacob haßler anderseit neben Joh: Jacob Riebel hinten auf H. Consulent Steinheil stoßend, so mit lebtägigem wÿdem deß debitoris vater verhaftet

Marie Salomé Barthel fait dresser l’inventaire de ses apports (431 livres) dans la maison qui appartient à son beau-père derrière Saint-Nicolas.
1708 (19. 7.br), Not. Oesinger (Jean Adam, 39 Not 12) n° 288
Inventarium und Beschreibung aller derjenigen Haab, Nahrung und Güettere, so die Ehren und tugendsamme fraw Maria Salomea gebohrne Barthelin deß Ehrsammen und bescheidenen Meister Johann Geörg Bürckels, Kieffers und burgers alhier zu Straßburg eheliche haußfr. Zu erstgedachtem Ihrem Ehewürth in den Ehestand zugebracht und sich Vermög Ihrer mit demselben auffgerichteten Eheberedung für eigenthümlich und ohnverändert vorbehalten hatt (…) Actum in der Königl. Statt Straßburg in fernerem beÿsein obgedachten der Ehefrauen haußwürths auch H Ambrosÿ Bürckels deß Würths Zum Schwartzen Adler alhie seines geliebten Vatters, So dann H. Philipp Barthels Kieffers und Fr. Susannæ gebohrner Weißin der Ehefrauwen geliebten Eltern, Mittwochs den 19. 7.bris Ano 1708.
In einer alhier in der Statt Straßb. hinder der Kirchen St. Niclaus gelegenen Herrn Ambrosio Bürckeln deß Ehemanns Vattern eigenthümlich zuständigen von beed. Eheleuthen bewohnend. behaußung befund. Word. Wie folgt.
Series rubricarum hujus Inventarÿ, Sa. haußraths 196, Sa. Eßigs vnd Vaß 24, Sa. des Silber geschirr und Geschmeids 5, Sa. der Guldenen Ringen 12, Sa. der Baarschafft 172, Summa summarum 411 lb – Darzu ist Zu legen die helffte der hernach beschriebenen Haussteuren 20 lb. Ist allso der Ehefrauen Jetzmahlige Nahrung 431 lb

Jean Georges Bürckel et Salomé Barthel hypothèquent la maison au profit du fabricant de pâtés Jean Philippe Wolff

1715 (16.4.), Chambre des Contrats, vol. 588 f° 318
Joh: Georg Bürckel Kiefer und Maria Salome geb. Bartlerin beÿständlich H. Benedict Villars und H. Friedrich Wolfgang Eberhardt
in gegensein Joh: Philipp Wolff pastenbeckers – 300 pfund
unterpfand, ihr hauß c. appert: allhier ahn der hechtenbruck, einseit neben Joh. Jacob Haßler anderseit neben Joh: Jacob Riebel hinten auff den Steinheilischen Garten

Jean Georges Bürckel passe un accord avec sa voisine (au sud) Marthe Greiner veuve du batelier Jean Jacques Hassler au sujet du mur commun du bâtiment arrière que Jean Georges Bürckel construit

1715 (12. Aug.), Not. Oesinger (Jean Adam, 39 Not 43)
Zuwißen, daß Zwischen Mstr Johann Geörg Bürckeln dem Kieffer und burgern allhier Ehe Vögtlich Weiß ane Einem
So dann frawen Mathanæ gebohrner Greinerin, weÿl. Johann Jacob Haßlers gewesenen Schiffmannn und burgers allhier seel. nachgelaßener Wittib beÿständlich Herrn Johann Georg Buschen Schneiders v. burgers allhier Ihrer dreÿ noch Ledigen Kinder Vogten, So dann auch Ihr fr. Haßlerin verheuratheten Kindern am andern theil hernach volgenden Vergleich güthlichen eingegangen und getroffen worden
Nemblichen, weilen beede Parthen zwischen Ihren beed. häußern am Gaulstaden geleg. eine gemeinschaffte Maur haben und Zwar ane dem orth wo gedachten Mstr Bürckel seinen Keller und Hinder Hauß Würcklichen auf führen Begriffen, so hatt sich gedachter Mstr. bürckel dahien güethlichen erkläret gedachte gemeinschaftliche Maur in dem sie gantz faul und ohntauglich ist so hoch alß sie Zuvorhien war nemblich ein stockhoch in seinen eigenen Kosten allen /:ab zubrechen und wieder new:/ auffbawen Zu laßen und Ihro Haßlern einen Weeg Wieder die helffte eigenthümlichen Zulaßen /:wie nicht weniger Ihro oben Wieder eine newe Maur bett* auch in seinem Costen Zuleg:/ Waß aber Er Mstr: Bürckel auff seiner seithen auff so bemelter gemeinen Mauren höher fahren Wird, daß soll auch Ihme Bürckeln und seinen Nachkommend allein eigenthümlich Zustehen. Er ist auch Mstr. Bürckel annebst deß güthigen erbiethens, Wann es nöthig seÿn Wieder Ihr fraw Haßler bauch Küchen Kammin höher Zuführen, alß es anjetzo stehet, daß Er es in seinem Kosten erhöhen Laßen wolle.
Uber dißes so haben beede Parthen noch weither eine gemeinschaftliche Maur eines stocks hoch Zwischen Mstr Bürckels Buchkuchen vnd Badstübel /:welches Mstr Bürckel auch new auffbawen und einen Kammin darauff setzen will:/ dero weg. anjetzo Es Mstr Bürckel die gemeinschaffliche Maur so weith in seinem Costen zu erhöhen versprochen biß Er den fall deß Waßers Haben Kahn damit Er den fall deß Waßers Von beeder seiths dachtrauffen durch einen steinern Noch Welchen Er auff seinen Kosten Legen und auch immerhien erhalten aber alle Zeit gemein bleiben solle, in Ihr Fr: Haaßlerin bereits habend. steuren nach Leÿden und also daß Waßer* durch ihren Nach den außlauff auff die gaß haben möge, Welchen Vorstehenden Vergleich beeder seits parthen güetlichen getroffen auch Wol und stäth Zuhalten gegen ein ander gelobt nun Versprochen, maßen davon Zweÿ gleich lautenden Exemplaria gefertigt allerseits vnderscheiben und jedem theil eines davon überlieffert (…)
Geschehen in der Königl. Statt Straßb. Montags den 12. Aug. Anno 1715.

Jean Georges Bürckel et Salomé Barthel hypothèquent la maison au profit d’Anne Marie Pflaum née Quadt

1715 (6.9.), Chambre des Contrats, vol. 588 f° 649-v
Joh: Georg Bürckel kiefer und Maria Salome geb. Bartelerin beÿständlich H Joh: Friedrich Bahl und H Joh: Linder
in gegensein Annæ Mariæ Pflaumin wittib geb. Quadin beÿständlich H. Joh: Daniel Pflaum Studiosi Theologiæ ihres sohns weilen ohnbevögtigt, – schuldig seÿen 250 pfund
ihr hauß c. appert: in der Krautenau ahm Gaulstaden, einseit neben Joh: Jacob Riebel anderseit neben Martha haßlerin hinten auf H Steinheil

Jean Georges Bürckel hypothèque la maison au profit de Jean Frédéric Lobstein le jeune

1715 (26.11.), Chambre des Contrats, vol. 588 f° 822-v
Joh: Georg Bürckel kiefer
in gegensein Joh: Friedrich Lobstein jun: – schuldig seÿen 200 pfund
unterpfand, sein hauß c. appert: allhier ahn der hechten bruck, einseit neben Joh: Jacob Riebel anderseit neben der Haßlerischer wittib hinten auf den Steinheilischen Garten
[in margine :] des schulbekennenden verstorbenen Joh: Georg Bürckel gew. kiefers wittib anna Barbara geb. Jungin beiständlich ihres Curatoris Johann Daniel Stamm (…) den 6. Maÿ 1734

Jean Georges Bürckel hypothèque la maison au profit de Catherine Marguerite Wilwisheim

1716 (26.5.), Chambre des Contrats, vol. 589 f° 302
Johann Georg Bürckel kiefer
in gegensein Cath: Marg: geb. Wilvißheimin beÿständlich Joh: Mathæus Hebenstreith handelsmanns ihres mariti – schuldig seÿen 225 pfund
unterpfand, sein hauß c. appert: in der Krautenau, einseit neben Joh. Jacob Riebel anderseit neben haßlerin wittib hinten auff den Steinheilischen Garten

Jean Georges Bürckel dresse le compte de ce que lui doit la succession de son beau père Philippe Barthel après la mort de sa femme
1717 (7. 8.bris), Me Oesinger (Jean Adam, 39 Not 24) n° 626
Rechnung Innhaltend Was ich Johann Georg Bürckel Kieffer und burger allhier alß Erb Weÿl. Mariæ Salomeæ gebohrner Barthelin meiner Verstorbenen Ehefrauen ahne Weÿl. Mstr Philipp Barthel geweßenen Kieffers und burgers allhier meines verstorbenen Schwieger Vatters Verlassenschafft zu erfordern und hien gegen von solcher theils empfangen habe theils aber darein zu bezahlen schuldig bin den 7.ten octobris 1717.
Erstlichen Vermög einer Summarischer Ersuchung mit Lit. A. bemerckt über meiner Ehefrawen seel. Mütterliches Guth Folio 3.b gebührte meiner Verstorbenen haußfr. für Mütterlich Guth mit zu rechnung de Mütterlichen Ehesteür und der am Gaulstaden gelegenen Unveränderten Mütterlichen behausung in Summa 858 lb
Item Nach außweiß meiner berechnung sub lit. C. über weÿl. Mstr Philipp Barthels meines Schwiger Vatters Verlaßenschafft besagend fol: 4. gebührt mir von dem beÿm Capuciner Closter allhier und dem am Blumengießen allhier gelegenen und Verkaufften beeden theilbaren Häußlein für meiner haußfr. seel. daran Zuständig geweßene eine tertz deductis deducendis 48 lb (…)

Jean Georges Bürckel se remarie en 1716 avec Anne Barbe Jung, fille du tonnelier Jean Jung : contrat de mariage tel qu’il est copié à l’inventaire, célébration.
Copia der Eheberedung, zwischen dem Ehrengachten und Achtbahren Herrn Johann Georg Burckeln, Kieffern Weinhändlern wittiber und burger allhier, als hochzeiter an einem, So dann der Ehren und tugendbegabten Jungfraun Annæ Barbaræ gebohrner Jungin herrn Johannes Jungen, Kieffern und weinhändlers allhier mit der Ehren und Tugendbsammen Fraun Anna Barbara gebohrner Schuhmännin ehelich erzeugten tochter als der Jgfr. hochzeiterin am andern theil (…) So beschehen vnd verhandelt in der Königlichen Statt Straßburg (…) Dienstags den 12. Maÿ Anno 1716, Johann Adam Ößinger (…) collationirt Johann Jacob Ölinger Nots.

Mariage, Saint-Thomas (luth. f° 153-v, n° 888)
Anno 1716 den 27 Maji seind nach geschehener ordentlicher ausruffung in der Kirch zu St Thomas ehelich eingesegnet wordn Johann Georg Bürckel der Kieffer und burger alhier und Jungfr. Anna Barbara, Johannes Jung deß Kieffers und burgers alhier ehel. tochter [unterzeichnet] Johann Georg Bürckel Alls hochzeiter, Anna Barbara Jungin Alls hochzeiterin (i 153)

Jean Georges Bürckel hypothèque la maison au profit de la mineure Catherine Hirth

1725 (7.8.), Chambre des Contrats, vol. 599 f° 416-v
Johann Georg Bürckel der Kieffer
in gegensein Johann Peter Pfeiffer auch Kieffers als vogts Catharinæ Hürtin, Hannß Georg Hürt des Fuhrmanns mit weÿl. Marthæ geb. Jungin erezeugten einigen Kindts
demnach der hürtischen curandæ mütterliches guth Krafft des ahm 11. Septembris 1709 auffgerichteten Kinder vertrag sich auff 68 pfund belauffet
hypothecirt, Eine Behausung hof hinderhauß und hoffstatt mit allen derselben gebäuden, begriffen, weithen, Zugehörden und Gerechtigkeiten ahm Gaulstaden, einseit neben Johann Jacob Rübel dem Schuemacher anderseit neben der Haßlerischen wittib und erben hinten auff H. Consulent Steinheil gartten stoßend ohnfern der hechtenbruck

Jean Georges Bürckel hypothèque deux maisons au profit de Marie Cléophée Klein veuve du boucher Frédéric Egner

1726 (16.7.), Chambre des Contrats, vol. 600 f° 346
Johann Georg Bürckel Kieffer
in gegensein Fr: Mariæ Cleophé geb. Kleinin weÿl. Friedrich Egner des Metzgers wittib mit beÿstand ihres bruders und Vogts H. Johann Michael Klein Metzgers und Kirchen pflegers zu St Willhelm – schuldig seÿen 250 pfund
unterpfand, Eine Behausung bestehend in Vorder und hinderhauß hoff und hoffstatt cum appertinentÿs in der Vorstatt ahne Krauttenau ahm Gaulstaden ohnfern der Hechtenbruck einseit neben Hannß Jacob Riebel dem Schuemacher anderseit neben weÿl. hannß Jacob Haßler des Schiffmanns wittib und Erben hinten auff H. Consulent Steinheil gartten
Ferner Einen dritten theil für ohnvertheilt ahne der Gastherberg zum schwartzen adtler allhier in der Langen straß, einseit neben der Kuglerischen Erben anderseit neben Johann Jacob Haußer dem tabackhändler hinten auff H. XV. Ellwert, mit allen derselben gebäuden, begriffen, weithen, Zugehörden und gerechtigkeiten, die übrige zwo tertzen aber des Würthshaußes zum Adlter des schuldners bruders Andreas Bürckel dem würth zugehörig

Jean Georges Bürckel meurt en 1737 dans la maison quai des Chevaux en délaissant trois enfants issus de sa veuve. La masse propre à la veuve est de 573 livres. L’actif des héritiers et de la communauté s’élève à 658 livres, le passif à 1966 livres.

1734 (14.5.), Not. Marbach (Ph. Jacques, 33 Not 8) n° 122
Inventarium über Weÿl. H. Johann Georg Bürckels geweßenen weinhändl: Kieffers Verlaßenschafft, auffgerichtet Anno 1734 – nach seinem den Dienstags den 2.ten des Monats Martÿ gegenwärtigen 1737.ten Jahrs genommenen tödlichen hintritt Zeitlichen verlaßen, Welche Verlaßenschafft auf geschehenes geziemendes Ansuchen Erfordern und Begehren sowohl der hernacher genanten frau wittib alß auch des Ehrenachtbahren Herrn Johann Jacob Röschen deß Küffers undt burgers allhier Zu Straßb. alß geordnet und geschworenen Vogten Johann Jacob, so 14, Annæ Barbaræ welche 12 undt dann Mariæ Magdalenæ so 8. Jahr alt, aller 3. Bürckel deß selig verstorbenen mit hernach bemelter hinderblieben Fr. wittib ehelich erzeugter Kinder undt nach Tode ab intestato verlaßene rechtmäsige Erben (…), durch Frau Annam Barbaram Bürckelin gebohrner Jungin, der hinterbliebenen fr. Wittib mit assistenz deß auch Ehrengeachten Herrn Johann David Stammen, deß Kieffers Weinhändlers und burgers hieselbsten deroßelben geordnet und geschworenen Curatoris – So beschehen undt angefangen allhier in der Königlichen Statt Straßburg Montags den 22. deß Monats Martÿ et seqq. Anno Domini 1734.
Bericht Wegen Gegenwärtiger Verlaßenschafft. Zuwißen undt Kundt seÿe Hiermit daß nachdeme gegenwärtige Verlaßenschafft tam active quam passive Völlig inventirt gewesen und darauffhin über solche Verlaßenschafft ein Summarischer Calculus Gezogen und denen Interessenten communicirt, So hat die Fraw wittib (…) vernehmen laßen, welcher gestalten Sie ahne dem Theilbahren Zu participiren, nicht Gesonnen, sondern daruff tam active quam passive renunciren und solche denen Erben überlaßen wolle (…) Actum Straßburg den 6. Aprilis 1734.

In einer allhier Zu Straßburg ahne dem Gaulstaden beÿ der Höchtenbruck gelegenen in dieße Verlaßenschafft gehörig: dahero hi unten beschriebener Behausung alß volget, befunden
Ane Höltzen undt Schreinerwerckh. Auff der ohneins öberten Bühn, Inn der Soldaten Cammer, In der Kammer A, In der Kammer B, In dem neuen Stübel im Hoff, In dem Haußöhren in d. hoff, In der underen oder Wohnstuben, In dem undern Hauß Ehren
Ergäntzung der Frau Wittib in den Ehestandt gebracht aber darinnen abgegangenen ohnveränderten Vermögen.Nach Inhhalt deß über der Fr. wittib in Ehestand gebrachtes Vermögen vor mir dem vor: und hernach benandten Notario den 16. aug. 1729 auffgerichtet
(f° 14-v) Eÿgenthumb ane einer behausung und Garthen der Erben Ohnverändert. Item ein Hauß Hoff, Hoffstatt und Höfflein sambt einem Neu erbauten Hinder Häußlein /:und übrig. deßen zugehörden, weithen, rechten und Gerechtigkeiten:/ so gelegen allhier in der Statt Straßburg vorstatt Krauthenau am Gaulstaaden ohnfern der sogenanndten Höchtenbruckhen I. seith neben Johann Jacob Göppel dem Schiffmann 2. seith neben Johannes Hausser auch Schiffmann, hinden zum theil auf das sogenandte Rooßen gäßlein, Zum theil auch weÿl. H. N.N. Theurers gewesenen Mittel Schreibers in allhiesigem Mehrern Hospithal allhier seel. hinterlaßene Wittib und Erben stoßend, Welche behaußung auff denen hieunden à fol. 97.a biß ad fol. 100.a inclus. passive eingetragennen Capitalien gegen Männiglichen freÿ ledig und eÿgen Zumahlen vermög der durch der Statt Straßburg geschworene Werckmeistere (…) beschehener Abschatzung undt deß derhalben außgestellten den 29. Martÿ 1734. datirt und Zu mein Notarÿ Concept gelüfferten Scheins æstimirt und angeschlagen worden,ist für und umb 1000 gulden so allhier außzuwerffen mit 500 lb. Hierüber besagt und ist vorhanden ein teutscher Pergam: Kauffbrieff auß allhiesiger Contract Stuben gefertiget und mit deroselben aufgetrucktem Insiegel verwahrt so datirt den 20. Jan: 1634. welches mit altem Lit C: wie auch N° 2 et 4 anjetzo aber neuem Lit. A marquirt word. Sonsten hat sich hiehero nichts schrifftliches befunden.
(f° 15) Item ein Garten Häusel so gelegen vor dem Weißenthurnthor hinder St. Gallen (…)
– Abschatzung dem 29: Martÿ 1734. Auff begehren weilandt deß achtbahren und bescheitenen Meister Johann Jörg Pirckell deß geweßenen Küffers seel. hinder Laßenen frau wittib und Erben ist eine behaußung alhier in der Statt Straßburg ober halb der hëchten brucken am Gaull Statten gelegen, ein seits Neben hanß Jakob Gëpell schiffmann ander seits Neben Johannes Hußer schiffmann, hinden auff daß roßen gäßlein Stoßent, welche behaußung Stuben, Cammern Kuchen hauß Ehren soldaten Cammer, nebenhauß worinen ein stübell und Cammer, auff dem botten kleiner getrëmbter Keller, hinder häußlein wor under ein getrëmbter Keller oben darauff ein Cammer und halben tach hoff und bronnen sambt aller gerechtig Keidt, wie solches turch der Statt Straßburg geschwornen werckleute sich in der besichtigung befunden und jetzigen Preÿß nach angeschlagen wierdt Vor und Umb Ein Tausent Gulden
Der 2.te begriff ist auch alhier in der Statt Straßburg Vor dem Weißen thurn in dem Galla brüchell gelegen ein seits Neben Abraham Heitell dem Gartner, ander seits Neben hanß Wurtz und Zum theill auff H. allmendt stoßent, welches in einen Kleinen barëckell bestehet, so mit Abraham Heitell gemeinschafftlich ist, sambt aller gerechtig Keidt, wie solches turch der Statt Straßburg geschwornen wercklleute sich in der besichtigung befunden und jetzigen Preÿß nach angeschlagen wierdt Vor und Umb, die helffte darvon Eilff Gulden, [unterzeichnet] Michael Ehrlacher Werck Meister deß Münsters, Johann Jacob Biermeÿer. Werckmeister deß Zimmerhofs, Johann Peter Pflug wërck Meister des Mauer hoffs
Norma hujus inventarii. Der Fr. Wittib in Ehestand gebracht und annoch in Natura befunden, Sa. hausraths 4, Sa. Silbers 8, Sa. goldener Ring 5, Sa. Schulden 25, , ergäntzung (vide f° 8-b 532 lb et 10-b nach abzug bleibt zu ergäntzen), 530, Summa summarum 573 lb,
Dießemnach wird sowohl der Erben ohnverändert alß auch die Theilbare Nahrung /:weilen die Fr. Wit. hievornen gemelt auff die Letztere tam active quam passive renuncirte hievornen aber Ihr Ohnverändert Gut sich resoluirt:/ unter inem Titul der E. ohnv. und Theilbar inventirt beschrieben, Sa. hausraths 102, Sa. Werckzeug Reÿff und bandt zum Kieffer handwerck gehörig 16, Sa. deß verarbeiteten Thabakhß 18, Sa. Silber geschirrs 12, Sa. deß Eÿgenthumbs ahne einer behausung 505, Sa. der beßerung ahne einem Gartten und etliche Ackhern 4, Summa summarum 658 lb – Schulden 1966 lb, Compensando 1307 lb – Mehr schulden alß Nahrung dem Stall tax nach 734 lb
Copia der Vor weÿl. H. Johann Adam Ößinger auffgerichteten Ehepacten, Nota Weilen solche Eheberedung doppelt Nembl. von H. Not. Mader unterm 2. mart. 1729 und dann I.r von H. Not. Joh. Jacob Oelinger unterm 12. aug. dictj Annj Exped: und die Letztere beÿm Concept gelaßen word. deßhalben sur solche hiehero Copialiter zu inseriren vor unnötig Erachtet worden
Copia der Eheberedung (…) Dienstags den 12. Maÿ Anno 1716, Johann Adam Ößinger (…) collationirt Johann Jacob Ölinger Nots.

Veuve, Anne Barbe Jung se remarie en 1737 avec le batelier Jean Hausser. Les experts estiment la maison à la somme de 500 livres lors de l’inventaire dressé en 1743 après la mort d’Anne Barbe Jung veuve de Jean Georges Bürckel.

La maison revient au fils Jean Jacques Bürckel qui fait son apprentissage de tonnelier chez Jean Georges Rœsch de 1734 à 1737

1734, Protocole de la tribu des Tonneliers (XI 394)
(f° 338) Dienstags den 26.t 8.bris 1734 – Mstr Joh: Jacob Rösch d. Kieffer nimbt Zum Lehrjungen an Joh: Jacob Birckel weÿl. Joh: Georg Birckels gewesenen burgers und kieffers allhier Ehl. sohn, umb solchen das Kieffer handwerck 3 jahr lang zu lehren geg. 50 fl. Lehrgelt worvon die eine helffte gleich die ander aber Zu end der Lehrzeit Zu bezahlen, die Lehrzeit gehet an auff d. 25. 8.bris 1734. und endiget sich auff solche Zeit 1737. der jung leidet alle unkösten und deßen bürg seÿnd Joh: Fried. Grießbach und H Frantz Joseph werner, dt. 12. ß b. et prot. 2 ß 6 d

(f° 379) Dienstags den 26. Novembris 1737 – Mstr Jacob Rösch der Kieffer stellet vor Joh: Jacob Bürckel weÿl. Hanß Georg Bürckel geweßenen burgers und Kieffer meisters allhier Ehel. sohn, meldet daß schon d. 25.ten 8.bris seine Lehrzeit verfloßen auch beede wohl mit einand. Zufinden, bittet außthuung. Erkandt willfahrt dt. 15. ß p. prot. 2 ß 6 d p. Sig. 2 ß d

Jean Jacques Bürckel s’inscrit au chef d’œuvre qu’il présente en septembre 1743. Il est reçu maître mais doit régler une amende parce que le tonneau a des défauts et qu’il a occupé l’atelier plus longtemps que le temps imparti.
(f° 446-v) Dienstags d. 6. aug. 1743 – Joh: Jacob Birckel der Ledige Kieffer würdt zum mstr stück eingeschrieben, Zahlte werckstatt Zinß 3 ln pro protoc. 3 ß

(f° 449) Dienstags d. 15. 8.bris 1743 – Joh: Jacob Bürckel bittet ihme Zuerlauben, weilen Er sein holtz würcklich auff dem platz hat, und die werckstatt nicht Lähr, die tag aber immer kürtzer und das wetter kälter wird, sein meister stück auff dem tantzplatz Zummachen. Erkandt, wurde un deßen begehren willfahrt.

(f° 450-v) Mittwochs d. 27. 9.br 1743 ist Joh: Jacob Birckels des Ledigen Kieffers meisterstück Zum letzten mahl besichtiget und von den herrn Schauern referirt worden, daß in der erste schau sich verschiedene bickel und täschen befundten auch der bauch riß sehr ungleich waren, in der 2.ten schau ware ein eck umb 8 Zoll Zu kurtz und der hinterboden umb ¼ Zoll Zu wenig gesenckt, in der 3.ten schau waren die Haubtreiff so über angelegt, daß dieselbe herab Zumachen und andere daran Zu legen. Erkandt worden, jedoch wurde es durch Special Gnad des h. Obmanns ihne freÿgestellt solchen daran zu laßen wegen solchen, fehlern wurdte Ihme 2 lb d straff angesetzt, Er aber vor ein meister Erkandt.

(f° 453) Dienstags d. 17. Xbris 1743 – mstr. Joh: Jacob Birckel erlegt vor 2. neue faß 1 lb
Ille weilen est 10 tag über die Zeit am meisterstück gearbeitet werckstatt Zinnß 15 lb

Jean Jacques Bürckel épouse Marguerite Salomé Christianus, file de chaudronnier : contrat de mariage par lequel le futur époux donne à sa future épouse la jouissance viagère de sa maison, célébration

1743 (22. 9.bris), Not. Stoeber l’aîné (6 E 41, 1223) n° 142
Eheberedung – zwischen dem Ehrengeachten H Johann Jacob Birckel, leedigen Kieffer, weÿland H Johann Georg Birckel des geweßenen Kieffers und burgers allhier, mit auch weÿland Frauen Anna Barbara gebohrner Jungin nun beeder seel. ehelich erzeugtem Sohn, als dem H Hochzeiter ane einem
So dann der Viel Ehren und tugendsahmen Jgfr. Margarethä Salome Christianiin weÿl. H Christoph Christiani des geweßenen Kupferschmidts und burgers allhier, mit der Viel Ehren und Tugendbegabten Frauen Susanna Maria gebohrner Schatzin seiner hinterbliebenen Frau wittib ehelich erziehlten ältern Jgfr. tochter, alß der Jgfr. hochzeiterin ane dem andern theil

Endlichen und Zum Siebenden thut der H Hochzeiter hiermit wißend und wohnbedächtlichen seine allhier Zu Straßburg dero Vorstatt Krautenau ane dem Gaustaaden nechst der Hechtenbruck, einseit neben weÿland Johann Hußers des geweßenen Schiffmanns Erben, anderseit neben Jacob Göppels auch geweßenen Schiffers Erben, hinten auf den Theurischen garthen stoßend gelegene Behaußung mit allen dero gebäuen begriffen Weithen, Zugehörden, Rechten und gerechtigkeiten so annoch in circa umb 900 fl. verhafftet, sonsten aber freÿ, ledig eigen und Ihme Hochzeiter alß ererbt Mütterlich guth zuständig, seiner geehrten Jgfr. brauth zu einem lebtägigen wÿdemb verschrieben
So beschehen, Straßburg Freÿtags de, 22. Novembris Anno 1743 [unterzeichnet] Johann Jacob Bürckel Als hochzeiter, Margretha Salome Christianusin als hochzeiterin

Mariage, Saint-Thomas (luth. f° 46-v, n° 240)
1743. Mitwoch den 4. Decembr. seind nach Zweÿmaliger ordentlicher proclamation und ausruffung in der Neuen Kirch und Zu St Thomæ Zu St Thoma copulirt und eigesegnet worden Johann Jacob Bürckel lediger kieffer, weÿl. Johann Jacob Bürckel geweßenen Kiefers und burgers allhie hinterlaßener ehel. Sohn und Jungfr. Margaretha Salome Christianussin weÿl. Christoph Christianus geweßenen Kupfferschmidts und burgers allhier hinterlaßene ehel. Tochter [unterzeichnet] Johann Jacob bürckel als honzeitter, Margretha Salome Christianusin als Hochzeitterin (i 48)

Les nouveaux mariés font dresser l’inventaire de leurs apports. Ceux du mari s’élèvent à 359 livres, ceux de la femme à 348 livres. Le titre d’acquisition de la maison est celui de son entrée dans la famille en 1634.

1743 (30.12.), Not. Stoeber l’aîné (6 E 41, 1134) n° 212
Inventarium über des Ehrengeachten Mr Johann Jacob Birckel, Kieffers und der Ehren und tugendsahmen Frauen Margarethä Salome Birckelin gebohrner Christianiin, beeder Eheleuthe und burgere allhier Zu Straßburg in den Ehestand Zugebrachte Nahrungen auffgerichtet in Anno 1743.einander in den Ehestand zugebrachte Nahrungen – welche der Ursachen alldieweilen in ihrer vor mir Notario den 22. Novembris instehenden 1743.gsten Jahrs auffgerichteten Eheberedung §° IV.to expresse enthalten daß einem jeeden sein in die ehe bringendes Vermögen Vor ohnverändert verbleiben solle (…) So beschehen on fernerem beÿseÿn Frauen Susannä Mariä Christianiin gebohrner Schachin weÿl. H. Christoph Christianen deß geweßenen Kupfferschmidts und burgers allhier seel. hinderbliebener Wb.

In einer allhier Zu Straßburg dero vorstatt Krautenaui ane dem Gaulstaaden ohnfern der hechtenbruck gelegenen dem Ehemann eigenthümlich zuständigen Behaußung befunden worden wie folgt.
Eigenthumb ane einer Behaußung. Nembl. eine Behaußung, Höfflein und Hoffstatt mit allen deren gebäuen begriffen, weithen, rechten Zugehörden und gerechtigkeiten allhier Zu Straßburg dero Vorstatt Krautenau ane dem gaulstaaden ohnfern der Hechtenbruck über, 1.s. neben weÿland Johann Huser des geweßenen Schiffmanns und burgers allhier hinterlaßenen Erben, 2.s. neben Jacob Göppels auch geweßten Schiffmanns Erben hinten Zum theil auf das sogenannde Rooßen gäßel und Zum theil auf weÿland H. Johann Ernst Theurers des geweßenen Mittelschreibers in dem allhießigen mehrern Hospithal seel. hinterbliebene W. und Erben stoßend gelegen, so annoch H. Matthiä Koch Noto: publ. in Capital Jahrs auff Ostern à 4 p. Cto Verzinnßlich umb 150. lb. und dann vorgedachten Johann Hußers seel. Erben in Hauptguth Jahres am 6.ten Maÿ und A° 1744 Zum ersten mahl à 4 p Cto verzinnßlich umb 333. lb d Verpfändet sonsten aber gegen männiglich freÿ ledig eigen. Solche behaußung hat der Ehemann beÿ Vergleich und abtheilung weÿl. Frauen Annä Barbarä Hußerin gebohrner Jungin letztmahl weÿland H Johann Hußers geweßenen Schiffmanns und b. allh. Zu Straßb.seel. nachgelaßener wb. seiner eheleiblichen Mutter in ohnvertheiltem Erb Käufflichen angeonommen, sonsten besagt über die behaußung i teutscher perg. Kauffbr. in allh. C. C. Stub gefertiget mit dero anh. Innsigel Verw. datirt den 20. Januarÿ Anno 1634. mit alt. Lit. E u. N° 2 notirt so aber anjetzi ô in Vorschein gekommen
Abzug in gegenwärtigen Inventarÿ. Des Ehemanns ohnverändert guth, Sa. haußraths 55, Sa. holtz und werckzeugs zum Kieffer handwerck gehörig 17, Sa. Wein Brandenwein und Faß 117, Sa. Silbers 35, Sa. der baarschafft 134, Eigenthums ane j. behaußung (-), Lehengrund so zwischen dem Ehemann und seinen beeden geschwisterden gemeinschaftlich (-), Summa summarum 359 lb
Dießemnach wird auch der Ehefrauen in die Ehe gebrachtes guth beschrieben, Sa. haußraths 93, Sa. Silbers 33, Sa. goldener Ring 27, Sa. der Baarschafft 94, Summa summarum 348 lb
Haussteuren 125 lb, daran gebühret jeedem Ehegatt die helffte mit 62 lb

Jean Jacques Bürckel et Marguerite Salomé Christianus hypothèquent la maison qui comprend un bâtiment avant et un bâtiment arrière au profit de Jean Thomas Frœloch, receveur à Saint-Marc

1745 (23.2.), Chambre des Contrats, vol. 619 f° 125
Johann Jacob Bürckel der kieffer und Margaretha Salome geb. Christianußin so über 25 jahr alt zu seÿn versicherte mit beÿstand ihres vettern und annoch ohnentledigten vogts H. Johann Daniel Fettich senioris handelsmanns und Philipp Ehrmann des perruckenmachers auch ihres vettern
in gegensein des Stiffts St Marx Schaffner H. Lt Johann Thomas Frölich – schuldig seÿen 350 pfund
unterpfand, eine behausung bestehend in vorder und hinderhauß, hoff und hoffstatt cum appertinentis in der Vorstatt Krautenau am Gaulstaden, einseit neben Jacob Göppel schiffmanns, anderseit neben Johann Haußer dem schiffmann, hinten auff die Theurerische wittib – dem Ehemann als ein vätterliches erbguth

La tribu des Boulangers inflige une amende au tonnelier Jean Jacques Bürckel pour avoir vendu du pain à un voisin
1745, Protocole de la tribu des Boulangers (XI 10)
(f° 58-v) Mittwochs den 31.t Martÿ 1745 – Jacob Bürckell der Kieffer beÿ der hechtenbruckh dahier ist angeklagt daß Er brodt wider articul über die gaß verkaufft habe deßen beklagter nicht in abredt, sagt Er habe nicht gewust daß Er verbotten ist, Erkandt soll nebst 5 ß unkösten in 2 lb 10 ß Straff Condemnirt seÿn.

Jean Jacques Bürckel et son épouse Marguerite Salomé Christianus hypothèquent la maison au profit de Jean Silberrad, tant en son nom qu’en celui de receveur de la fondation Schenckbecher

1746 (22.4.), Chambre des Contrats, vol. 620 f° 298-v
Johann Jacob Bürckel der kieffer und dermalige biersieder und Margaretha Salome geb. Christianußin mit beÿstand Philipp Ehrmann des Perruckenmachers und Balthasar Emanuel Bilet des Unter: Schirmbotten beede ihrer vettern
in gegensein H. Johannes Silberrad des Schaffners der Schenckbecherischen und anderer Stifftungen auch alten dreÿers des pfenningthurns vor sich selbst und als Schaffner der Stifftung Kurtzlieb genannt Hartlieb – schuldig seÿen 500 und 750 pfund
unterpfand, erstlich eine behausung bestehend in vorder und hinderhauß, hoff und hoffstatt benebst der bierbrau gerechtigkeit in der Vorstatt Krautenau am Gaulstaden, einseit neben weÿl. Jacob Göppel des schiffmanns erben anderseit neben weÿl. Johann Haußers des schiffmanns erben hinten auff den schuldner selbst und die Theurerische wittib – ihme Bürckel als ein elterliches erbguth
eine behausung, höfflein und hoffstatt beÿ vorbeschriebenem hauß, einseit neben dem selben anderseit neben dem rooßengäßlein hinten auff vorgemelte Theurerische wittib – als ein am 14. hujus erkaufftes guth

Jean Jacques Bürckel et son épouse Marguerite Salomé Christianus hypothèquent la maison au profit de Jean Jacques Sachs, docteur en médecine et chanoine à Saint-Thomas

1746 (22.3.), Chambre des Contrats, vol. 620 f° 229-v
Johann Jacob Bürckel der kieffer und Margaretha Salome geb. Christianußin so über 25 jahr alt zu seÿn versichert mit beÿstand Philipp Ehrmanns des Peruquenmachers und Balthasar Emanuel Bilet unterschirmbotten beede ihrer vettern
in gegensein H. Johann Jacob Sachs Med. Doctoris et Professoris et Capituli Thomani Canonici – schuldig seÿen 750 pfund
unterpfand, eine behausung bestehend in vorder und hinterhauß, hoff und hoffstatt cum appertinentis ane der Vorstatt Krautenau am Gaulstaden, einseit neben weÿl. Jacob Göppel des schiffmanns erben, anderseit neben weÿl. Johann Haußers des schffmanns erben, hinten auff die Theurerische wittib – als ein elterliches erbguth

Jean Jacques Bürckel porte devant les Quinze une affaire qui l’oppose au corps des tonneliers. Le registre lacunaire doit aussi avoir porté permission de tenir la brasserie aux Trois Lis (voir l’acte suivant)
1746, Protocole des Quinze (2 R 156)
(p. 231.) Sambstags d. 26. Martÿ – Idem [Christmann] nôe. Joh: Jacob Bürckel, des burgers und Kieffers allhier Ca. E. E. Meisterschafft der biersieder, prod. unterth. Memoriale und bitten, mit beÿl. Sub Nis 1. 2. und will ad proximam dazu vekünden laßen.

Jean Jacques Bürckel s’inscrit à la tribu des Fribourgeois après que les Quinze l’ont autorisé à tenir la brasserie aux Trois Lis
1746 (19.7.), Protocole de la tribu des Fribourgeois (XI 166)
(f° 291-v) 3.te Gericht de 1746. Dienstags den 19.ten Julji A° 1746. – Johann Jacob Bürckhel, der heutige biersieder am Gaull Staaden Zu denen 3.n Lilien genandt, so von Gn. Herren denen XV. den Bier: Schanck erhalten, citirt, solle sich Krafft habenden Articuls dießorths als Zudiener Zünfftig machen. Ille præsens, bittet receptionem.
Hierauff ist Erkandt worden, daß derselbe gegen Erlag der 2. ln 4 s und 4 ß d Stuben gelt pro hoc anno amß Zudiener Zu recipiren, ded. et jur. auff den Ihme abgelesenen Articuls die biersieder betreffend.

Le brasseur Jean Jacques Bürckel et Marguerite Salomé Christianus hypothèquent la maison au profit de Catherine Salomé Andres veuve du marchand Jean Daniel Diebold

1746 (16.8.), Chambre des Contrats, vol. 620 f° 627-v
Johann Jacob Bürckel der biersieder und Margaretha Salome geb. Christianußin mit beÿstand H. Johann Jacob Schatz des Gymnasiarchæ ihres oncle und Philipp Ehrmann Practici ihres vettern
in gegensein Fr. Catharinæ Salome geb. Andreßin weÿl. H. Johann Daniel Diebold des handelsmanns wittib mit beÿstand H. Johann Daniel Städel des banquier – schuldig seÿen 750 pfund
unterpfand, die zu denen dreÿ Lilien genannte bierbehausung samt allen deroselben begriffen, weithen, zugehörden und rechten in der Vorstatt Krautenau am Gaulstaden, einseit neben weÿl. Jacob Göppel des schiffmanns erben, anderseit neben weÿl. Johannes Haußer des schiffmanns erben, hinten auff die Theurerische wittib

Le brasseur Jean Jacques Bürckel et Marguerite Salomé Christianus hypothèquent la maison au profit de Jean Raoul Stœsser, receveur à l’Hôpital

1749 (13.1.), Chambre des Contrats, vol. 623 f° 18
Johann Jacob Birckel der biersieder und Margaretha Salome geb. Christianußin mit beÿstand Philipp Ehrmann des perruckenmachers ihres vettern und ihres bruders Jacob Chistianus des kupfferschmidts – wobeÿ erschienen der schuldner respective schwiger und mutter Fr. Susanna Salome geb. Schatzin weÿl. Christoph Christianus des kupfferschmidts wittib mit beÿstand ihres schwagers Johann Philipp Chrristianus des knopffmachers, verbürgt
in gegensein des mehrern hospitals schaffners H. Lt. Johann Rudolph Stößer – schuldig seÿen 750 pfund
unterpfand, die zu denen dreÿ Lilien genannte bierbehausung samt deroselben zugehör und rechten in der Vorstatt Krautenau am Gaulstaden, einseit neben weÿl. Jacob Göppel des schiffmanns erben, anderseit neben weÿl. Johannes Haußer des schiffmanns erben hinten auff die Theurerische wittib

Le conseil de tribu fait grief à Jean Jacques Bürckel qu’il a livré du vin à son beau frère. Jean Georges Bürckel déclare que le charretier a déclaré par erreur que le vin était pour son beau frère.
1752, Protocole de la tribu des Tonneliers (XI 396)
(f° 31) Dienstags d. 12. Decembris 1752 – Mstr Joh: Jacob Bürckel wurde beklagt, daß er seinem Schwager Wein in den Keller gethan.
Ille sagte, daß es sein wein ware, welcher aber durch den Fuhrmann unbedachtsahmer weis an dem Zoll für seinem Schwager angegeben word. welches Er mit handtreu erhärtet. Woraufhien derselbe ref: tamen expensis absolvirt word.

Jean Jacques Bürckel expose infructueusement aux enchères la brasserie aux Trois Lis

1753 (20.12.), Not. Dinckel (6 E 41, 435)
Hausversteigerung – Auf Ansuchen und begehren Hn. Johann Jacob Bürckels dem bierbrauer zu denen dreÿen Lilien
deßen eigenthümlichen bierbehausung bestehend in vorder: mittel: und hinter: auch nebensgebäu sambt zweÿen höffen hoffstatt und bronnen auch allen mit allen übrigen deren zugehörden, Rechten und gerechtigkeiten ane der Vorstatt Krautenau am gaulstaden, einseit neben weÿl. Johann Hußers des schiffmanns seel. erben, anderseit neben neben weÿl. Philipp Jacob göppels des schiffmanns erben, hinten auff weÿl. herrn Johann Ernst Theurers gew. mittelschreiber in allhiesigen mehrern hospithal fr. wittib garthen, sambt der bier gerechtigkeit und allem zum bierbrauer profession gehörigen schiff und geschirr
in der Kieffer zunfft stueb – gebotten, Niemand

La maison est attribuée par enchère judiciaire le 15 juin 1754 à Catherine Marguerite Beyerbach veuve de Jean Silberrad (créancier d’après le titre de 1746 ci-dessus relaté).

Fils du notaire Jean Silberrad, de Heilbronn, Jean Silberrad épouse en 1710 Catherine Barbe Beyerbach
Mariage, Saint-Pierre-le-Vieux (luth.)
1710. d. 17. sept. sind ehel. eingesegnet word. Herr Johann Silberradt der adeliche Schaffner herrn Johannes Silberrads Notarÿ Publici Undt Stattgerichts Actuarÿ Zu Hellbrunn Ehelicher sohn, Und Jungfr. Catharina Margaretha Weiland Hn Johann Görg Beierbachs gewesenen Königl. dähnischen commissarÿ am Obern Rhein nachgelaßene Eheliche tochter [unterzeichnet] Johannes Silberrad als hochzeiter, Catharina Margaretha beÿerbachin hochzeiterin

Catherine Marguerite Beyerbach la revend l’année suivante à Sara Blessig, femme du brasseur Philippe Jacques Demuth

1755 (20.3.), Chambre des Contrats, vol. 629 f° 103
SS. TT. H. Johann Jacob Sachs Med. Doc. et Prof. alhier und Catharina Margaretha geb. Beÿerbachin weÿl. H. Johann Silberrad gewesten Schaffners der Schenckbecherischen und anderen Stifftungen wittwe beÿständlich ihres tochtermanns H. Heinrich Casimir Meinel des adelischen Schaffners
in gegensein Fr. Mariæ Saræ geb. Bleßigin Philipp Jacob Demuth des biersieders Ehefrau, beÿständlich ihres bruders H Johann Heinrich Bleßig des ledigen gastgebers
eine bierbehausung, zweÿ höfflein und hoffstatt mit allen deren gebäuden, rechten und gerechtigkeiten auch allen zu dem bierbrauen gehörigen schiff und geschirr, welches der käuffer zufolg d. 20. Julÿ jüngst getroffenen lehnung eingehändigt worden alhier ane der vorstatt Krautenau am Gaulstaden, anderseit neben den Göbelischen erben, anderseit neben weÿl. Johann Haußers erben, hinten auff Fr Theurerin garten – als ein den 15. Junÿ verwichenen jahrs ane der ganth ersteigten guth – um 2750 pfund
erschien der käufferin mutter Fr. Sara Bleßigin geb. Graßerin beÿständlich ihres ermelten sohns (die haben sich unverscheidenlich) um 2500 pfund verbürgt

Philippe Jacques Demuth s’incrit au chef d’œuvre qu’il présente en novembre 1742. Les examinateurs relèvent quelques défauts secondaires et nomment le candidat maître. Il devient tributaire en septembre 1743.
1742, Protocole de la tribu des Tonneliers (XI 394)
(f° 404) Montags d. 6. aug. 1742 – Philipp Jacob Demuth der Kieffer wurdte auf Ansuchen H. Joh: Jacob Demuths seines vatters Zum Meisterstück eingeschrieben, dt 30 ßd et pro protoc. 2 ß 6 d.

(f° 437) Montags d. 19. 9.bris 1742 ist Philipp Jacob Demuths des ledigen Kieffers mstrstück besichtigt undt von den herrn Schauern referirt worden, daß in der ersten schau sich bückel und däschen befundten, waren aber in d. Zweÿten Verbeßert in der 3.ten schau ware das faß ein wenig unfleißig abgesäubert, also daß Sich noch däschen Zu bauch. befundten, weilen nun solche fehler von keiner sondern Consequentz, so wurdte das faß vor ein meisterstück Erkandt, und auch von H obmann also Confirmirt.

(f° 448-v) Dienstags den 10. 7.bris 1743 – Mstr Philipp Jacob Demuth der biersieder Erhaltet auff producirten Stallschein vom 9. 7.bris das Zunfftrecht, undt Zahlt als eines Zünfftigen Sohn 1. lb 1 ß d pro feüreÿmer 10 ß pro prot. 5 ß.

Les Quinze autorisent Philippe Jacques Demuth à ouvrir une nouvelle brasserie
1743, Protocole des Quinze (2 R 153)
(p. 106) Sambstag d. 9. Martÿ 1743. – Freund nôe Philipp Jacob Demuth des ledigen Burgers und Kieffers allhier beÿständlich seines ohnentledigten Vogts Joh: Saum, weinhändlers prod. Underth. Memoriale umb gn. Erlaubnus ein Newes bierschanck auffzurichten. Erkandt, Soll E. E. Mschft. der Biersieder hierzu Verkündt werd.

Fils du tonnelier et marchand de vins Jean Jacques Demuth, Philippe Jacques Demuth épouse en 1743 Marie Sara Blessig, fille de l’aubergiste à la Hache Jean Blessig : contrat de mariage, célébration
1743 (27. Martÿ), Not. Lichtenberger (Jean Frédéric, 6 E 41, 352)
Eheberedung – entzwischen dem Ehren: und Wohlvorachtbaren Herrn Philipp Jacob Demuth, ledigem Bierbrauer, Küffer und Weinhändler, des Wohl Ehrenvest und Großachtbahren Herrn Johann Jacob Demuths, Kieffers, Weinhändlers und Burgers allhier Zu Straßburg, mit weÿland der Viel Ehren und Tugendbegabten Frauen Anna Elisabetha gebohrner Schuhrerin ehelich erzeugtem Sohn als dem Herrn Bräutigamb ane einem,
So dann der Ehren und Tugendgezierten Jungfrauen Maria Sara Bleßigin des Wohl Ehren und Großachtbahren Herrn Johann Blessig, Gastgeberen und burgers allhier, mit der Viel Ehren und tugendreichen Frauen Sara, gebohrner Graßerin ehelich erziehlter Tochter, als der Jungfrau Hochzeiterin ane dem andern theil
So beschehen in der Königlichen Statt Straßburg auff Mittwoch den 27. Martÿ Anno 1743. [unterzeichnet] Philipp Jacob Demuth als Hochzeiter, Maria Sara Bleßigin als hochzeiterin – bezeugt Johann Friderich& Llichtenberger, Notarius publicus juratus et requisitus

Mariage, Saint-Nicolas (luth. f° 59, n° 4)
1743. Mittwoch den 24. April. seind nach Zweÿmal geschehener proclamation in der Evangelischen Pfarrkirch Zu St. Niclaus in den Ehestand eingesegnet word. Philipp Jacob demuth der ledige Kiefer, Weinhändler und Burger allhier, H. Johann Jacob demuths deß Kiefers Weinhändlers u. Burgers allhier ehl. Sohn u.Jgfr. Maria Sara H. Johann Bleßigs deß Gastgebers u. Burgers allhie ehl. Tochter [unterzeichnet] Philipp Jacob demuth als hochzeiter, Maria Sara Bleßigin als hochzeitrin (i 61)

Les nouveaux mariés font dresser l’inventaire de leurs apports dans l’auberge à la Hache. Ceux du mari s’élèvent à 480 livres, ceux de la femme à 1 382 livres.
1743 (24.Xbris), Not. Lichtenberger (Jean Frédéric, 6 E 41, 313) n° 312
Inventarium über des Wohl Ehren: und Wohlachtbaren Hn Philipp Jacob Demuths, Kieffers und Bierbrauers, wie auch der Viel Ehr: und Tugendreichen Fr. Mariä Sarä Demuthin gebohrner Bleßigin beeder Ehe Persohnen und burgere allhier Zu Straßburg einander in den Ehestand Zugebrachte Nahrungen, auffgerichtet Anno 1743 (…) welche der Ursachen halben, alldieweilen in Ihr beeder Eheleuthe mit einander den 27. Martÿ Jüngsthien auffgerichteter Eheberedung §° 4.to ausdruckl. Versehen, daß einem Jeeden derselben und dero Erben seine in die Ehe bringende und wehrender Ehe ererbende Nahrung ein freÿ eigen ohnverändert und vorbehalten Guth seÿn und bleiben (…) So beschehen in der Königl. Statt Straßburg, in fernerer Gegenwart des Ehrenvesten und Wohlvorgeachten H. Johann Bleßigs Gastgebers Zur Äxt und burgers allhier der Ehefr. eheleibl. hr. Vatters und hierzu in specie erbettenen Assistenten auff Dienstag den 24. Decembris Anno 1743.

In einer allhier Zu Straßburg gegen dem Kauffhauß über gelegenen der Ehefrauen H. Vatters eigenthümlich zuständigen, Zur Äxt genandten Gast behaußung folgendergestalt befunden worden
Series rubricarum hujus Inventarÿ. Des Ehemanns in die Ehe gebrachtes Vermögen, Sa. haußraths 112, Sa. lähren Faßes 20, Sa. Silbers 11, Sa. baarschafft 166, Summa summarum 311 lb (Deme beÿzufügen die haussteuren, dem Ehemann gebührige Helffte 168 lb, Des Ehemanns völlig in den Ehestand gebrachtes eigenthümbl. Vermögen 480 lb
Dießemnach wird auch der Ehefr. in die Ehe gebracht Nahrung beschrieben, Sa. haußraths 672, Sa. Silbers 70, Sa. Goldener Ring 74, Sa. baarschafft 396, Summa summarum 1213 lb – daferne nun hierzugerechnet wird die haussteuren 168 lb, Der Ehefrauen sambtliche in die Ehe gebrachte Nahrung 1382 lb

Marie Sara Blessig fait dresser un inventaire après que son mari a quitté la Ville. Les biens comprennent la brasserie à l’Agneau d’Or rue de l’Abreuvoir. La masse propre à la femme s’élève à 1 500 livres. L’actif du mari et de la communauté est de 5 513 livres, le passif de 9 858 livres.
1751 (16.7.), Not. Langheinrich (J. Daniel, 6 E 41, 707) n° 79
Inventarium über Philipp Jacob Demuths des von hier sich absentirten biersieders und frauen Mariä Sarä Demuthin gebohrner Bleßigin beeder Eheleuthe und Burgere allhier Zu Straßburg dermahlen besitzender Activ:und passiv Nahrung, auffgerichtet Anno 1751. (…) auf freundliches ansuchen erfordern und begehren obgedachter der Ehefrauen so um salvirung ihres ohnveränderten Guths beÿ Em En Kleinen Rath um das Beneficium cessionis unterthänig einzukommen willens ersucht und inventirt durch obgedachte frau Mariam Saram Demuthin die Ehefrau mit beÿstand S. T . Hn Johann Carl Ficke Notarÿ publici jurati und berühmbten practici Ihres geordnet und geschworenen Curatoris ad Lites, wie auch Johann Heinrich Peter den leedigen Bierknecht Vom Mummenheim (…) So beschehen in Straßburg auf Freÿtag den 16.ten Julÿ et Seq. A° 1751.

In einer allhier Zu Straßburg ane der Trenck Gaß gelegener und in in dieße Nahrung gehörigen behaußung befunden Worden wie folgt
Ane Höltzen und Schreinwerck. In der Cammer auf der Bühn, In der Schwartz Getüch Cammer, In der hintern Cammer Lit. B, In der Kindts Stub, In der Wohnstub, In der Stub darneben, In er Kuchen, In dem Untern Haußehren
(f° 15) Ergäntzung der Ehefraun abgegangenen unveränderte, Guths. Inhalt Inventarÿ über beeder Eheleuthe einander für ohnverändert on den Ehestand Zugebrachte Nahrungen in A° 1743. durch H Johann Friderich Lichtenberger Notarium publicum et practicum auffgerichtet
(f° 18) Eÿgenthumb ane einer Behaußung. Eine Behaußung das Bierhauß Zum goldenen Lamm genandt (…)
Series rubricarum hujus Inventarÿ. Der Frauen unverändert Vermögen, Sa. haußraths 327, Sa. Silbers 34, Sa. Goldener Ring 83, Sa. Schuld 128, Erg. Resr 1336. Summa summarum 1876 lb – Schulden 373 lb, Nach solchem abzug 1500 lb
Dießemnach wird nun auch des Manns unverändert und theilbare Nahrung unter einem titul beschrieben, Sa. haußraths 128, Sa. Biers und Lähren faß 247, Sa. Werckzeugs Zum Kieffer handwerck auch schiff und geschirr Zum bierschanck 19, Sa. Pferds 4, Sa. hopff und Maltzes 9, Sa. Silbers 8, Sa. Goldener Ring 7, Sa. der baarschafft 58, Sa. Eigenthums ane einer Bier behaußung 5000, Summa summarum 5513 lb – Schulden 9858 lb, Compensando 4345 lb
Zweiffelhaffte und Verlohrne Schulden 91 lb

Marie Sara Blessig fait vendre des effets mobiliers
1754, Not. Fické (Répertoire 6 E 41, 664-6) n° 40
Fr. Mariæ Saræ Demuthin geb. Bleßigin Inv: über das in dem 3. Lilien angetrettene Schif und geschirr

Les Quinze autorisent Marie Sara Blessig à exploiter la brasserie aux Trois Lis près du pont au Brochet à condition qu’elle règle les dettes de son mari

1754, Protocole des Quinze (2 R 164)
(p. 356) Sambstags den 17. Augusti 1754. – Idem [Pastorius] nôe frau Mariæ Saræ gebohrner Bleßigin Philipp Jacob Demuth des ausgetrettenen biersieders Ehefrau Ca. E E Meisterschafft der biersieder obermeister prod. unt. memor. und bitten samt beÿlag Sub litt A handelt und bitt innhalts. Christmann nôe E E Meisterschafft setzt gegentheiliges begehren zu mherren facta prælectione ist Erkandt, daß der Implorantin gegen erlag der unkosten und ihrem gethane oblato E E meisterlad das Jenige was ir ehemann etwa annoch schuldig seÿn möchte nachzutragen, mit dem bierschanck auff der Von ihr entlehnten ane der Krautenau allhier ohnfern der hechten bruck zu denen dreÿen Lilien genannten bier behaußung Zu willfahren seÿe.

Marie Sara Blessig loue la brasserie aux Trois Lis au brasseur Jean Henri Peter

1760 (21.6.), Chambre des Contrats, vol. 634 f° 190-v
Fr. Sara Demuthin geb. Bleßigin beÿständlich ihres curatoris ad lites H. Not. Johann Carl Ficke
in gegensein Johann Heinrich Peter des biersieders
verlühen, die bier behausung mit allen deren begriffen zu den dreÿ lilien genannt am Gaulstaden nebst verschiedenen mobilien – auff 12 nacheinander folgenden jahren auff innstehenden 1. Julÿ anfangend, um einen jährlichen Zinß nemlich 130 pfund

Nouvelle vente d’effets mobiliers. L’acquéreur est le brasseur Jean Henri Peter, locataire de la brasserie aux Trois Lis
1760 (21.7.), Not. Fické (6 E 41, 756) n° 145
Verkauf und Erlöß auch respe. Überlaßungs Register derjenigen Effecten, so Frau Maria Sara Demuthin gebohrne Bleßigin, Herrn Philipp Jacob Demuth, des dermaligen Weinhändlers in Petersburg und burgers dahier zu Straßburg fraun Eheliebstin (…) Zum theil herrn Johann Heinrich Peter den Biersieder käuflichen entschlagen, theils aber demselben Zum Bierhauß der 3. Lilien mit in Lehnung übergeben hat, auffgericht in Anno 1760.

Les Quinze autorisent Jean Henri Peter à exploiter la brasserie aux Trois Lis

1760, Protocole des Quinze (2 R 172)
(p. 302. Sambstags d. 2. Augusti – Idem [Froereisen] nôe Joh: Heinrich Peter des Burgers und Biersieders prod. Extractum E.E. Meisterschafft der biersieder dedato i. hujus bitt unterth. dem Imploranten den bierschanck in denen dreÿ Lielien Zu Zuerkennen, facta prælectione ist Erkandt, nach Ordnung Willfahrt.

Le mandataire de Marie Sara Demuth, femme du marchand de vins Philippe Jacques Demuth établi à Saint-Petersbourg, vend la brasserie au marchand de vins Jean Chrétien Strohl et à sa femme Catherine Braun moyennant 4 000 livres

1772 (4.4.), Chambre des Contrats, vol. 646 f° 200
nahmens Fr. Mariæ Saræ Demuthin geb. Bleßingin H. Philipp Jacob Demuth des weinhändlers zu St. Petersburg eheliebstin dero schwiegersohn H. Johann Klein der metzger
in gegensein H. Johann Christian Strohl des weinhändlers auch kieffers und Mariæ Catharinæ Braunin mit assistentz H. Johann Jacob Kopp des nadlers und H. Johann Michael Braun des seidenhändlers ihres bruders und schwäger
die zu den dreÿ lilien geschildete bierbehausung samt brauhaus, hoff, bronnen und hoffstatt mit allen denen übrigen gebäuden, begriffen, weithen, zugehörden, rechten und gerechtigkeiten, einseit neben Jacob Wolff dem schiffmann, anderseit neben Philipp Reich dem schiffbauer, hinten auff der Gorÿischen verlassenen Ehefrau garten, und den zum bier brauen gehörigen schiff und geschirr, bestehend in einem kupffern brau kößel, den kühlschiff, einen maltzfege, ein weich bütt einer hopffen bütt mit außnahm desjenigen platz des weÿl. H. Johann Heinrich Peter gewesenen bierbrauer als entlehner obbeschriebener behausung aus seinen eigenen mittlen erkaufft mit dem oben gedachten hoff vereiniget deßen größe und naturhafft aber durch das ehemalige fundament immer kantbar ist, ane dem Gaulstaden gegen der Hechtenbruck hinüber – als ein vermög kauffcontract de dato 20. mart. 1755 von weÿl. H. Dr. Sachs und Silberradischen Fr. wittib erkauffte behausung – um 2500 und 2500 guld. verhafftet, geschehen um 3000 gulden

Chrétien Strohl s’inscrit pour faire son chef d’œuvre en mars 1741. Il le présente en juillet 1744. Les examinateurs n’ont aucune remarque à faire et reçoivent le candidat maître
1741, Protocole de la tribu des Tonneliers (XI 394)
(f° 421) Dienstags d. 7. Martÿ 1741 – Mstr Joh: Georg Strohl der Kieffer Laßt Christian Strohlen seinen sohn zum meisterstück einschreiben und erlegte werckstatt Zinß pro protoc. 2 ß 6 d

(f° 460-v) Mittwochs d. 22. Julÿ 1744. ist Christian Strohlen des Ledigen Kieffers mstrstück Zum letzen mahl besichtiget nur von den hh. Schaueren referirt worden, daß sich in der Ersten schau etliche außfügen befunden, so aber in der 2. schau verbeßert waren, wid die 3.te ware gar nichts einzuwenden, weßhalben derselbe vor ein mstr. Erkandt undt von H. obmann auch confirmirt wurde.

Chrétien Strohl devient tributaire le 15 juillet 1745
(f° 472) Donnerstags d. 15. Julÿ 1745 – Mstr Joh: Christian Strohl der Kieffer erhalt vermög scheins von d. statt stall das Zunfftrecht und Zahlt als eines Zünfftigen sohn 1 lb 1 ß pro protic. 5. ß & feureÿmer 10 ß d.

Fils du tonnelier Jean Georges Strohl, Chrétien Strohl épouse en 1746 Marie Catherine Braun, fille du passementier Martin Braun : contrat de mariage, célébration
1746 (25. 9.br), Not. Oelinger (J. Jacques, 35 Not 77) n° 1125
Eheberedung – entzwischen dem Ehrenhafften vnd bescheidenen Herrn Christian Strohl, leediger Kieffer, deß Ehrenachtbaren H. Joh: Geörg Strohl auch Kiefers vnd burgers allhier Zu Straßburg mit weÿland fraun Annæ Mariæ gebohrner Meyerin Ehelich erzeugt vnd nach tod verlaßenem Sohn, als hochzeiter ane Einem,
So dann der Ehren und Tugendreichen Jungfrau Mariæ Catharinæ Braunin deß Ehren vnd Vorachtbahren H. Martin Braun Paßmentirer vnd Seidenhändlers auch burgers allhier mit der Viel Ehren und tugendbegabten fraun Mariæ Barbaræ gebohrner Kammerreuterin Ehelich erziehlter dochter alß der Jgfr. hochzeiterin andern theils
So geschehen in der Königlichen Statt Straßburg (…) Freÿtags den 25.ten Novembris A° 1746 [unterzeichnet] Christian Strohl als hochzeiter, Maria Catharina Braunin als hochzeiterin

Mariage, Saint-Nicolas (luth. f° 84-v n° 5)
1747. Eod. die [Mittw. den 15. Febr.] wurden gleichfalls nach Zweÿmahl Vorher geschehener Proclamation, in den Stand der H. Ehe eingesegnet Johann Christian Strohl, der ledige Kiefer, Weinhändler und burger allhier H Johann Georg Strohl des Kiefers Weinhändlers und burgers allhier ehel. Sohn, und Jungfrau Maria Catharina Braunin H Johann Martin Braun des Posamentirers und burgers allhie ehel. Tochter [unterzeichnet] Joh: Christian Strohl als hochzeiter, Maria Catharina Braunin Als Hochzeiterin (i 87, procl. Saint-Thomas f° 62 n° 338, i 63)

Les nouveaux mariés font dresser l’inventaire de leurs apports dans une maison rue de l’Eglise. Ceux du mari s’élèvent à 1 056 livres, ceux de la femme à 863 livres.
1747 (6.4.), Not. Oelinger (J. Jacques, 35 Not 51) n° 1372
Inventarium und Beschreibung aller derjenigen Haab vnd Nahrung, so der Ehrengeachte vnd Bescheidene Meister Christian Strohl, Kiefer vnd die Ehren vnd tugendsahme frau Anna Catharina gebohrne Braunin beede Eheleuthe vnd Burgere allhier Zu Straßburg einander in Ihren ohnlängst angetrettenen Ehestand Zugebracht vnd sich deren Jeedes Vermög Ihres mit einander auffgerichteten Eheberedung Vor unverändert Vorbehalten (…) Actum in der Königlichen Statt Straßburg in fernerer gegenwarth H Joh: Geörg Strohl Kiefers des Ehemanns Vatter, ferner H Joh: Friderich Käß J.u.Lri und Controlleur beÿ E. Löbl. Ehrsamb gericht der Ehefraun annoch ohnentledigten Vogts, H Joh: Martin Braun Paßmentirers deroselben Eheleib. Vatter vnd Fr. Maria Barbara Kammin deroselben Groß Mutter, Mittwochß d. 6. Aprilis 1747.
In einer allhier Zu Straßburg ane der Großen Kirchgaß gelegenen und lehnungsweiß bewohnenden behaußung sich befunden als volgt
Series rubricarum hujus Inventarÿ. Des Ehemanns Nahrung, Sa. haußraths 64, Sa. werckzeugs Zum Kiefer handwerck gehörig, so des Ehemanns unverändert 37, Sa. Brandenwein und Eßig 696, Sa. Silbers und dergleichen geschmeids 24, Sa. der baarschafft 95, Summa summarum 918 lb – Adde die an denen haussteuren Ihme gebührige helffte so macht 138 lb Des Ehemanns Vermögen 1056 l
Der Ehefraun Nahrung, Sa. haußrath 103, Sa. Silbers und dergleichen Geschmeids 56, Sa. Goldenen Ring 32, Sa. der baarschafft 533, Summa summarum 725 lb – Darzu gelegt Ihre helffte ane denen gleich hierauf bschriebenen haussteuren 138, der Ehefraun Nahrung 863 lb

Le maître de tribu fait grief à Jean Chrétien Strohl de vendre du bois à tonneaux au-dessus du prix courant et de le revendre. Il est condamné à une amende mais autorisé à écouler la marchandise achetée suivant les contrats qu’il a passés.
Protocole de la tribu des Tonneliers (XI 396)
(f° 266) Dienstags den 18.ten Julÿ 1769 – Klag
Hr Rathh. Breßle als Zunfftmeister Klagt Contra Johann Christian Strohl den Kieffer, daß beklagter taugenholtz auf Mehrschatz gekaufft, und solches wieder Verkauffte, Bittet ihme dem Articul Gemäß abzustraffen, und in die Unkosten Zu Condemniren.
Beklagter Zugegen sagt, der Articul seÿe ihme unbekannt gewesen, über daß handeltten Andere auch sogar ein Meeelmann damit, undt hätte er einen Vorrath welchen ernicht so leicht Looß werden Könnte, bittet absolutionem, Refusis Expensis.
Erkannt, seÿe Beklagter in die Straff des Articuls Von 5 Pfund Pfenning und in die Unkosten Zu Condemniren anbeÿ aber ihme Zuerlauben seinen Vorrath und daßjenige Was er veraccordirt hat Zuverkauffen.

La femme de Chrétien Strohl demande aux Quinze d’être exemptée de payer une amende.
1772, Protocole des Quinze (2 R 183)
(p. 417) Sambstags den 22. Augusti 1772. – Rang nôe Maria Catharina Strohlin, Johann Christian Strohl des burgers und Kiefers Ehefrau producirt unth. Memoriale samt bitten und anerbieten puncto gnädiger erlaßung der Straf. Erkandt Wird die angesetzte straf von 50. auf 30. lib. moderirt.

Chrétien Strohl meurt en 1793 en délaissant huit enfants. L’inventaire est dressé dans une maison au Faubourg de Pierre. La masse propre à la veuve est de 15 182 livres tournois, la masse propre aux héritiers de 10 677 livres tournois. L’actif de la communauté s’élève à 55 734 livres, le passif à 42 848 livres tournois,
1793 (3.6.à, Strasbourg 3 (1), Not. Schweighaeuser n° 517
Inventarium über Weiland des burgers Johann Christian Strohl, des ältern im Leben gewesenen Weinhändlers alhier Zu Straßburg Verlaßenschafft auffgerichtet im Jahr 1793. – nach seinem den 8. Februarÿ laufenden 1793.sten Jahrs aus dießer welt genommenen tödlichen Hintritt hie Zeitlichen verlaßen hat. Welche Nahrungs Verlaßenschafft dato Zu End stehend auf Ansuchen Fraun Anna Catharina geb. Braunin der hinterbliebenen Wittib hierzu mit dem Burger Johann Philipp Helk hiesigem bierbrauer verbeistandet (…) So geschehen in einer alhier Zu Straßburg ane der Vorstadt Steinstraß gelegenen mit N° 89 bezeichneten in diese Verlaßenschaft gehörigen daher hernach mit mehrerù beschriebenen Behaußung auf Montag den dritten Junii 1793 zweiten Jahr der frantzösischen Republik.
Der Verstorbene Burger Strohl hat in seinem hernach copialiter einverleibten Testament Zu Erben eingezetzt, Seine mit der Eingangs benannten wittib ehelich erzeugte Acht Kinder namentlich 1. den Burger Johann Christian Strohl hiesigen Biersieder, 2. den Burger Johann Friderich Strohl, den Kiefer so seit ungefehr eilf Jahe abwesend auf Reisen sich befindlich, 3. der Burger Johann Georg Strohl, Kiefer und Gastgeber alhier, diese dreÿ nur allein in legitimam. In den überrest der Verlaßenschafft ber zu gleichen theilen 4. Frau Maria Catharina geb. Strohlin des Bürgers und Metzgers allhier Joh: Andreas Klipfels Ehefrau, 5. Frau Susanna Barbara geb. Strohlin, des Burgers und Hoffconditors in Pirmasens Frantz Alexander Victor Otto Ehegattin, 6. den Bürger Johann Philipp Strohl, den Rothgerber dermalen Zu Thiel in Gelderland säßhaft, 7. Frau Maria Magdalena gebohrne Strohl des Lieutenants in Hessen Darmstätdischen Kriegs: diensten Gottlieb Wilhelm Keim Eheliebste in Pirmasens wohnhaft und 8. den hiesigen ledigen Burger und Kiefer Johann Diebold Strohl

Haußrath, Aufm ersten Stock im Hausöhren, Soldaten Kammer, Auf der hintern Bühn, In der Hintern Stub, In der Vordern Stub, In des Sohns Kammer, In der Kuche
Eigenthum ane Häußern. Erstl. eine behaußung bestehend in Vorder, Mittel und Hinter Gebäuen ane der Vorstadt Steinstraß (…)
Item sieben und einem dach stehende kleinen Häußlein vorlängst Zum goldenen faß geschildet, und Von Alters her der Engelmann Hof genant ane der Vorstast Steinstraß (…)
(f° 11) Ergäntzung der Wittib manglenden unveränderten Guths, Nach Ausweis Invent. Illat. d. A° 1747. durch weil. Not. Joh: Jacob Oelinger
Copia der Eheberedung (…) Straßburg, freitags den 25. Novembris Anni 1746. [unterzeichnet] Johann Jacob Oelinger Notarius juratus
Copia Testamenti clausi (…) So Geschehen Straßburg auf Donnerstag den 17. des Montahs Julii im Jahr der Gnaden 1783 – Actus Depositionis, Schweigheuser
(f° 24) Summarische Berechnung über gegenwärtige Erb: und Verlaßenschaft. Der Wittib unverändert guth, Sa. hßraths 120, Sa. Silbers 19, Sa. goldenen Ring 61, Sa. der Schuld 300, Sa. der Ergäntzung 14.670, Summa summarum 15.182 livres
Diesemnach wird auch der Erben unverändert väterl guth beschrieben Sa. Wiesen gezeugs 98, Sa. Ergäntzung 10.879, Summa summarum 10.977 livres – Schulden 300 ; Detrahendo bleibt 10.677. livres
Endlichen folgt auch die Beschreibung des gemein verändert und theilbaren Guts, Sa. haußraths 627, Sa. Brandweins Essig und leerer Vaß 12.269, Sa. Taugenholtzes Reif und Band 5109, Sa. Schiff und geschirrs zum Kiefer handwerck gehörig 451, Sa. Silbers 86, Sa. baarschafft 1414, Sa. häusern 32.000, Sa. Schulden 3774, Summa summarum 55.734 livres – Schulden 42.848 livres, Nach deren Abzug 12.866. livres

La veuve met en vente des effets mobiliers.
1797 (2 floreal 4), Strasbourg 3 (2), Not. Schweighaeuser n° 553
Verkauf Register, den 2. floreal 4. Auf Ansuchen der bürgerin Anna Catharina Strolin geb. Braunin weÿl. des burgers Johann Christian Strohl sen: im Leben geweßenen Weinhändlers hinterbliebenen Wittib sind vor ihrer an der Vorstatt Steinstraß gelegenen mit N° 89 bezeichneten behaußung hernach beschriebene Effecten Versteigt
summa looßung 155 lb
enregistré 3 floréal 4

Marie Catherine Braun meurt en 1802 en délaissant six enfants ou leurs représentants.

1802 (20 prairial 10), Strasbourg 3 (24), Not. Übersaal n° 740, 1405
Inventarium über weÿl. Frau Maria Catharina Strohl geb. Braun auch weÿl. brs Johann Christian Strohl des ältern gewesenen Kiefers Wittib Verlaßenschafft nach ihrem den 18. floreal X erfolgten absterben
die verstorbene hat mit dem wittiber bürger Johann Christian Strohl ältern erzeugt und ab intestato zu ihren Erben hinterlassen 1. des weÿl. brs Johann Christian Strohl jüngern bierbrauers mit Frau Maria Barbara geb. Pick beÿde Kinder a) Fr. Margaretham Salome geb. Strohl des b.rs Nicolas Gardien Capitaine au deuxième Régiment d’Artillerie à cheval Ehegattin, b) den br Johann Georg Strohl ledigen großjährigen bierbrauer, 2. den br Johann Georg Strohl Kiefer, 3. Fr. Mariam Catharinam geb. Strohl des b.rs Claude Gachée Wagners Ehegattin, 4. Frau Susannam Barbaram geb. Strohl herrn Frantz Alexander Victor Otto pensionirten hof: Conditoris zu Darmstadt Ehegattin, 5. den br Johann Philipp Strohl Wirth, 6. Fr. Mariam Magdalenam geb. Strohl des im ersten bataillon des fürtslich: hessen; darmstättischen Regiments Erbprintz stehenden hauptmanns herrn Gottlieb Wilhelm Keim Ehegattin

in einer an der Steinstrase gelegen in diese Verlaßenschafft gelegenen behausung N° 89 – hausrath 133 und 25 fr [sans suite]
n° 2753 du 29. ventose 13 – Répartition et décompte sur le Prix de vente de la maison avec cour écurie jardin appartenances et dépendances située a Strasbourg au Fauxbourg de pierres N° 89 d’un côté le C. Barthelemi Gross Charpentier d’autre le Sr Jean Pierre Clause patissier par derrière sur la rue de la Soupe à l’eau et ayant une issue faisant partie de la succession de feu le C. Jean Chrétien Strohl tonnelier et de feue Marie Catherine Braun, en vertu d’un procès verbal d’enchère définitive reçu M° Bremsinger le 22 floreal 12 au Sr François Antoine Wiedemann pour 9000 francs [Joint extrait Bremsinger]
[Joint] 9. jährige lehnung vom 26. junÿ 1776, vor dem Juden tor unten an der bruck Lincker hand der Landstraß unten am Contades
[Joint] Testament, Johann Christian Strohl Weinhändler den 17. julÿ 1783 enregistré Strasbourg le 1. junÿ 1793 Actus depositionis Not. Schweigäußer 17. julÿ 1783
[Joint] Designation dererjenigen hausräthlichen Mobilien und anderer Effecten welche in Johann Christian Strohl des jüngern abwesenden ehemaligen Bierbrauers falliments: Massam gehörig den 10. Aprilis 1780 Not. Übersaal
[Joint] Summarische berechnung 27. Januarÿ 1780
[Joint] Liasses de quittances XVIII, actes Chambre des Contrats année 1785 f° 210-b et 361a
[Joint] Aus des Friedens gerichts des Ersten Gerichts bezircks der Gemeinde Straßburg Audienz Memorial – Am dritten Jahr des fränckiscen und unzertheilbaren Freÿstaats den 9. thermidor, erschiene die bürgerin Maria Catharina Strohl wittib Klägerin Contra bürger Graß beklagten, Klägerein beÿständlich ihres sohns concludirt beklagten anzuhalten nach aussag Experten den ihro verursachten Schaden an ihrem hauß in der Streinstraß N° 89 gelegen zu bezalen und ernennt bürger Stahl Maurer als ihren Expert
beklagter durch Matias Laugel Glaser seinen bevollmächtigten erscheinend sagt er habe keinen Schaden verursacht und ernenne bürger burger Maurer für seinen Expert (…)
Abschrift der Expertise, Aufs Jahr 1795 heute dato den 12. thermidor im dritten Jahr (…) in die behausung der besagten bürgerin Strohlin Wittib um allda 1. den Schaden abzuschätzen eines halb dächleins warunter mit s:v: Ein Schwienstall auf welches ohngefehr beÿ grosen Wind ein oder zwei ziegel von des burgers Graß seiner dachung konnten herabgestürtzt seÿn und wie wir nach genauer Untersuchung gefunden, daß der Schaden aus 18 breit ziegel bestehe ebenfalls aber auch auf den dach des Wohnhauses der bürgerin Strohlin welcher Schaden aber sich auf die summ von 3 breit ziegel belauft jedoch ist bürger Graß gesinnt diese sogleich zu ersetzen
2. beschwehret sich bürgerin Strohl daß das Gäßlein so das Waßer beÿ den häusern gemeinschafftlich aufnimmt, öfters verstöckt durch verschiedenen Unrath der darein geworfen wird zu sehen so daß dem Waßer der Lauf versperrt wird, so haben unterschriebene Experten für nöthig erachtet, weil bürger Groß seine fenster Lichter vergremset, damt nichts könne in gemeldtes Gäßlein geworfen werden, bürgerin Strohlin möchte die vier Lichter so in dieses Gäßlein gehen, ebenfalls so vergremsen laßen, um allen Streitigkeien vorzukommen,
3. weilen bürgerin Strohl sich beschwehrt daß der Wasserfall des dachs des bürgers Groß dem Gebel des hauses Schaden zufüget, so haben Wir Experten nach genugsamen Untersuchung eingesehen, daß dieser Schaden hauptsächlich daher kommt, weilen des Wasser des dachs des Wohnhauses der bürger Strohl auf das dach des bürgers Groß seines hauses fällt und also an den Gebel Spritzen muß, demnach haben wir erachtet um diesen fernerern Klagen vorzukommen es möchten beide Parteÿen und jede für sich auf die gantze länge ihrer dachungen einen Nach machen lassen, der als dann das Waßer ohne daß dem einen oder dem andern Schaden zufügen könne aufnehmen wurde,
4. begehrt bürgerin Strohl daß b. Groß die diehlen, wandpfösten, so die scheidung ihres gartens macht, acurat senkel recht setzen laßen möchte, weilen diese reparation auf die gantze länge gemeinschaftlich wird so sind sie beÿde gehalten selbige vorzunehmen (unterschrieben)
Und heute den 16. thermidor drites Jahr der republick (…) die zerbrochene ziegel der Klägerin zu ersetzen Verordnet daß beklagter die zerbrochen gefundene ziegel ersetzen und gantze an deren Stelle stecken laßen solle, sofort sind beede angehalten ihre Lichter in das Schlupfgäßlein so zu vergremsen daß kein Unflath mehr hingeworfen werden kann, eine jeede partei an ihre dächer einen Nach zu machen gemeinschafftlich die dielen scheidwand pfösten grad stellen und die kösten zur helfte zu bezalen, Krafft Juge de paix
Enregistrement de Strasbourg, acp 84 F° 141 du 21 pr 10


Maison (a) donnant dans la ruelle des Roses

La maison doit faire partie de celles que mentionne l’acte suivant par lequel le batelier Jacques Stephan hypothèque deux maisons au profit de Georges Basile Geyer (Geiger).

1649 (4. Julÿ), Chambre des Contrats, vol. 503 f° 481
Erschienen Jacob Stephan der Schiffmann
hatt in gegensein H Georg Basilÿ Geÿers – schuldig seÿen 100 Pf
dafür in specie Vnderpfand sein sollen Zweÿ häußer geg. einander in der Krautenaw und. halb der herberg Zum Gaul, im Rosengäßlin gelegen, hatt eines Peter Baldnern und hannß Sturmen, daß and. hauß ([biffé] hannß Scheren Eck) den Fischen und hannß Sturmen Zu Nachbauren, so Zuvor verhafftet seind umb 100 lib Agens Schollin

La maison doit ensuite revenir par enchère au créancier Georges Basile Geyer
Inventaire dressé après la mort d’une locataire, Anne Catherine Kuder femme du boucher Jacques Steuss dans la maison qui appartient à Georges Basile Geyer dans la ruelle des Roses

1662 (15.3.), Not. Oesinger (David, 37 Not 17) n° 10
Inventarium und Beschreibung aller undt Jeder Haab Und Nahrung, So Weÿl. die Ehren und tugendsahme Anna Catharina Kuoderin deß Erbaren vndt bescheidenen Jacob Steußen burgers und Metzgers Alhie Zu Straßb. haußfrau Seel.
In Einer in der Statt Straßburg in der Crautenaw In dem Roßen gäßlin Vndt H Basilio Geigen Eigenthümlich zuständigen behaußung Ist gefunden Worden wie volgt

La maison revient ensuite à son gendre Jean Raimbaud Friderici qui épouse en 1684 Marie Marguerite, veuve du juriste et professeur d’éloquence Jean Joachim Bockenhoffer

Mariage, Temple-Neuf (luth. f° 124-v, n° 28) 1684. Dom. X post Trin. Zum 2 mahl Hr Johann Reinbold Friderici des Weiland Wohl Ehrn Vest Fromm Fürsichtig u. Wohlweisen Hn Johann Philipp Friderici des bestand. Regiments der Hn XV. gewesenen Beisitzers nachgelaßener ehel. S. Fr. Maria Margaretha Weiland hr Johann Hr Johann Joachim Bockenhofers UJD u.. prof. Eloquentiæ und gewesenen * beÿ dem Collegiat Stifft St Thomas nachgel. W. Donnerst. den 17.t Aug. Zun Predigern (i 126)

Fils du libraire du même nom, Jean Joachim Bockenhoffer épouse en 1662 Marie Marguerite, fille de l’assesseur au Grand Sénat Georges Basile Geyer.
Mariage, Temple-Neuf (luth. f°100, n° 12) 1682. Zum 2. mahl hr. Johann Joachim Bockenhofer U.J. Drnd. u. Prof. Eloq. Weiland hr. Johann Joachim Bockenhofers geweßenen Buchhändlers u. Burgers ehel. S. Jfr. Maria Margaretha des Weiß Wohl Edlen Fürsichtigen u. Wohl Weisen hr. Georg Basilÿ Geigers des geheimen beständigen Regiments der Hhrn XIII. Beisitzers nachgelaß. ehel. T. Donnerst. den 16.t April. Zun Predigern (i 101)

Jean Raimbaud Friderici se remarie en 1693 avec Susanne Richshoffer, fille de l’ancien consul Daniel Richshoffer
Mariage, Temple-Neuf (luth. f° 39, n° 31) 1693. Dom: VII post Trinit. seÿnd Zum I mahl außgeruffen worden der Wohl Edel Fromm Fürsichtig und Wohlweÿse Herr Johann Reinbold Frideridi, deß beständigen Regiments der Herren XV. beÿsitzer, Jfr. Susanna, deß auch hoch Edel Gestreng, Fürsichtigen und hochweÿsen H Daniel Reichshoffers Alten Ammeisters Ehel. T. Seÿnd copulirt Worden deh 15. Julii [unterzeichnet] Johann Reinbold Frideridi alß hochzeiter, Susanna Richshofferin alß Hochzeiterin (i 39)

L’ancien consul et administrateur de l’université Jean Raimbaud Friderici vend en 1704 la maisonnette au charpentier Georges Kessler et à sa femme Barbe Kœrner moyennant 109 livres

1704 (22.4., Chambre des Contrats, vol. 577 f° 210
(109) S.T. Hr. Joh: Reinbold Friderici alter A.ster u. Scholarcha
in gegensein Georg Kesslers zimmermanns u. Barb: geb. Körnerin
ein kleines Hauß Hoffstatt sambt der gemeinschafft deß Höffleins wie es biß dato geweßen u. allen übrigen dero gebäuen begriffen weithen zugehörden rechten u. Gerechtigkeit allhier im Roßengäßlein ahm Gaulstaden einseit neben Hn. Lti Steinheils Garten anderseit neben Hannß Jacob Bartel kiefers hinten auf (-) Haßlern schiffmann stoßend gelegen – um 109 pfund

Les Conseillers et les Vingt-et-Un autorisent le manant Georges Kessler à acheter du consul Friderici une maison près du pont au Brochet moyennant 218 florins

1704, Conseillers et XXI (1 R 187)
(p. 126) Montags den 21.ten Aprilis 1704. – Georg Keßler der Schirmer vmb permission eine ahne der hechtenbruck gelegene kleine behaußung Zukauffen
G. Ersch Geörg Keßler Schirmer alhier der ist willens Von S. T. Hn . Ammeister Friderici eine kleine behaußung ahn der Hechtenbruckh gelegen vmb 218. fl. Zu erkauffen bittet Unterthänigst Vmb Obrigkeitliche permission.
Erk. würdt Zwar mit gebettener Erlaubnus Willfahrt, es solle die Verschreibung aber in gegenseÿn H. XV.er Lempen vndt H. Rathh. Randtenraths in allhiesiger Contract Stuben sub Clausilis assuetis Vorgenommen, Vndt denen Procuratoribus angezeugt werd. ins Künfftigen dergleichen permissiones nahmens des Verkäufers Zu suchen.

Les actes suivants établissent que Georges Kessler est originaire de la juridiction de Landeck en Tyrol et Barbe Kœrner de Villingen en Forêt-Noire. Leur premier enfant qui naît à Strasbourg est porté dans les registres en 1681.
Baptême, Saint-Laurent (cath. f° 9) (-) Maÿ 1682. Sebastianus. Parentes Görg Keßler, Barbara Kirnerin, auß dem Landteckher gericht Tyrolis. Patr. Sebastian Scherber von breÿsach, Matr. Barbara Stentzin vo* boßwill in d. Schweitz (i 7)
Baptême, Saint-Laurent (cath. p. 66) 16. 7.bris 84. Thomas, Georgius Keßler Tyrolensis et vnda Kürnerin Von Fillingen am Schwartzwaldt, Patr. Georgius Mutschler Argent: et Maria Elisabetha Kißl[er]in nomine Mariæ (-) Müllerin aus Tiroll (i 40)
Baptême, Saint-Laurent (cath. p. 231) 1687. Januarius. 23. fuit baptizatus Henricus Georgÿ Kessler Commiranti in hac civitate Et Barbaræ Kirnerin ex philingen, Ex sacro fonte suscepit Henricus Moser solodoranus, Anna Margaretha Hugin Marchionatus todirsÿ* (i 123)

Georges Kessler et Barbe Kœrner, assistés de leur fis Henri Kœssler et de leur gendre Jean Litgy, hypothèquent la maison au profit de l’avocat Jean Adam Goll

1710 (ut supra [31.7.]), Chambre des Contrats, vol. 572 (Protocoles) f° 39
Joh: Georg Kessler zimmermann und Barb: geb. Körnerin beÿständlich Heinrich Kosslers zimmermann deß. sohns u. Joh: Lißt zimmermann deß tochtermanns
in gegensein H. Joh: Adam Goll U.J. Ddi auch Advocati u. Procuratoris beÿ E.E. G. R.,
unterpfand, ihr hauß cum appert: allhi im Roßen gässlein, einseit neben H. Lt. Streicher anderseit neben (-) hinten auf hn H. Steinheil stoßend

Georges Kessler et Barbe Kœrner font un codicille par lequel il se lèguent mutuellement la jouissance viagère de leurs biens
1712 (22. 9.br), Not. Goldtbach (6 E 41, 231)
Codicill – persönlich kommen und erschienen Hannß Geörg Kößler, der Zimmermann und beneben Ihme fraw Barbara Kößlerin gebohrne Körnerin, Beede Eheleuthe und hintersassen alhie zu Straßburg, so viel der man betrifft, krancken und schwachen Leibes auf einem bette Ligend, die fr. aber gesund stehend und gehenden Leibs, doch aber von der gnade Gottes guetther richtiger Sinnen Vernunfft Verstandt vnd gesprächs
(dem letztlebenden das völlige usumfructum)
Welches alles beschehen und zugangen in der Königlichen freÿen Statt Straßburg in der daselbst ohnfern d. hechtenbruck in dem Rooßengäßel gegenene en und beeden Codicillirende Ehepersonen Zuständigem häußlein und dero stübleiin mit den fenstern in das gäßel und höflein aussehend (…) auff Dienstags abends Zwischen 5. v. 6. uhren d. 22. 9.bris A° 1712
[unterzeichnet] x, +

Jean Henri [sic] Kessler mari de Barbe Kœrner meurt sexagénaire en novembre 1712. Les témoins sont Henri Kessler et Jean Litzg
Sépulture, Saint-Etienne (cath. f° 139-v)
Hodie 24 die Novembris Anni 1712 fuit a me infra scripto sepultus Joannes Henricus Kessler Sexaginta et ultra annos natus pridie defunctus circa horam decimam matutinam conjux legitimus Barbaræ Kürnerin provisus Ecclesiæ sacramentis. Testes aderant Henricus Kessler et Joannes Litzg incolæ argentinenses (i 146)

Originaire de Sankt-Marx (Laas) dans le comté du Tyrol et le diocèse de Brixen, Jean Litzge épouse en 1697 Gertrude Kessler
Mariage, Saint-Louis (cath. p. 81.)
Eodem die 29. Aprilis A° p.fato 1697. Joannes filius Michaelis Litzge defuncti et Mariæ Jenin Coniugum ex loco d. ad Sm Marcum in Tyrolensi Comitatu, Brixiensis Diœcesis, hic autem iam plures annos commoratus ex una parte, et Gertrudes, filia Georgÿ Kessler fabri lignarÿ et Barbaræ Kürnerin Conjugum hic habitantium Parochianorum nostrum ex alterâ parte, in veros ac legitimos Conjuges in facie Sanctæ Matris Ecclesiæ desponsati sunt (signé) Johanneß Litzg, signum sponsæ + (i 44)

Henri Kessler épouse en 1706 Catherine Schultz
Mariage, Saint-Etienne (cath. f° 88)
Die Tertia mensis Maÿ anni 1706 (…) in facie Eâ nuptias celebrarunt solemniter Henricus Kessler et Catharina Schiltzin ambo argentinenses, + signum sponsi + signum sponsæ (i 90)

La veuve Barbe Kirner se remarie en 1714 avec l’ancien soldat Charles Ringard, originaire d’Essuiles dans le diocèse de Beauvais.
Mariage, Saint-Etienne (cath. f° 135) Hodie die 28. Maÿ Anno 1714 (…) sacro matrimonÿ vinculo fuerunt copulati Carolus Ringard oriundus es Essuiles diœceseos Bellovacensis miles cohortis de Kiensin* in legione Tormentoriorum et Barbara Kirnerin vidua Joannis Georgÿ Kessler (i 137)

Charles Ringard et Barbe Kirner hypothèquent la maison au profit du notaire Jean Adam Œsinger

1723 (4.10.), Chambre des Contrats, vol. 597 f° 515
Charles Rayngard der handlanger und Barbara geb. Kiernerin beÿständlich H. Eberhard und Neufviant beeder EE. kleinen Raths beÿsitzers [unterzeichnet] + +
in gegensein H. Johann Adam Ößinger Notarÿ Publici – schuldig seÿen 50 pfund
unterpfand, der correæ debendi Behausung, gemeinschafft des höffleins und hoffstatt mit allen derselben gebäuden, begriffen, weithen, zugehörden, Rechten und gerechtigkeiten allhier ahm Gaulstaden im Roßengäßlein, einseit neben H. Consulent Steinheil anderseit neben hannß Georg Bürckel dem kieffer hinten auff weÿl. Hannß Jacob Haßler des Schiffmanns hinterlassene wittib

La maison revient en partie au batelier Jean Georges Kessler, fils de Jean Henri Kessler, qui épouse en 1752 Dorothée Sibylle Pfanzelt, fille de maçon, puis en 1755 Anne Marguerite Schiller, fille d’apprêteur de tabac.

Mariage, Saint-Laurent (cath. p.. 270)
Hodie 26 junii anni 1752 (…) sacro Matrimonii vinculo in facie Ecclesiæ conjuncti fuerunt joannes georgius Kæssler filius legitimus defuncti Joannis Henrici Kæssler dum viveret civis ac fabri lignarii hujatis et annæ Catharinæ Schultz viduæ ejus superstitis civis ac nauclerus proessione suâ et Dorothea Sibilla Pfalntzelt filia legitima volgangi pfandtzeldt tutelarii ac murarii hujatis et annæ rosinä ellrieder viduæ ejus superstitis ambo parochiani hujus parochiæ (signé) Johann görg Kößler, Dorothea sibila Panzeltin (i 138)

Mariage, Saint-Laurent (cath.)
Hodie 22 Septembris Anni 1755 (…) sacro Matrimonii vinculo in facie Ecclesiæ Conjuncti fuerunt Joannes Georgius Kessler civis et nauta hujas, viduus Annæ Dorotheæ Pfanzelltin in parochia Sti Stephani hujus urbis Commorans, et Anna Margaritha Schiller argentinensis, Joannis Michaelis Schiller olim vivis et tabaci concinnatoris hujatis et salomeæ Meyerin conjugum defunctorum filia legitima parochiana nostra (signé) Johann görg Kößler, margaretha schöllerin (i 178)

Le mandataire de Jean Georges Kessler et de son frère Chrétien Kessler vend la maison au fabricant de pipes Jean Louis Kneischick et à sa femme Anne Barbe Scheuer

1752 (5.6.), Chambre des Contrats, vol. 626 f° 276
Johann Georg Zinck der zimmermeister als vogt Johann Georg Keßler des Zimmer gesellen und als mandatarius deßen bruders Christian Keßler des schiffknechts
in gegensein Johann Ludwig Kneischick des tabac: pfeiffmachers und Annæ Barbaræ geb. Scheÿerin – versteigerung
ein häußlein, höfflein und hoffstatt mit allen deroselben übrigen begriffen, weithen, zugehörden und rechten in dem Roosen gäßlein am Gaulstaden einseit neben der Theurerischen wittib, anderseit neben Jacob Göppel dem schiffmann, hinten auff weÿl. H. Johann Georg Birckel des kieffers erben – als ein vätterliches erbguth – um 105 pfund

La veuve de Jean Louis Kneischick se remarie en 1760 avec le brocanteur Jean Chrétien Baur.
Anne Barbe Scheyer femme de Jean Chrétien Baur vend la maison au brasseur Jean Henri Peter

1762 (26.7.), Chambre des Contrats, vol. 636 f° 238-v
Fr. Anna Barbara geb. Scheÿrin Johann Christian Baur des gimpelkauffers ehefrau
in gegensein Johann Heinrich Peter des bierbrauers
eine behausung, höfflein samt allen deren begriffen, rechten und gerechtigkeiten am Gaulstaden im Roßengäßlein, einseit neben der bier behausung zur dreÿ lilien anderseit neben Johann Philipp Reich dem schiffbauer, hinten wieder auf die bier behausung – als ein theils erkaufftes theils ererbtes guth – um 112 pfund

Fils du boucher Jean Jacques Peter de Mommenheim, le brasseur Jean Henri Peter épouse en 1730 Catherine Marguerite Blessig, fille de l’aubergiste à la Hache Jean Blessig : contrat de mariage, célébration
1760 (23.6.), Not. Fické (6 E 41, 774) n° 65
Eheberedung – zwischen dem Ehren wohl vorgeachten Herrn Johann Heinrich Peter, dem leedigen Biersieder, Weÿland Hn Johann Jacob Peter, des gewesenen Metzgers und burgers Zu Mommenheim Ritterständischer Jurisdiction ehelich erzeugt hinterlaßenem Sohn eines,
und am andern Theil der Viel Ehren und tugendbegabten Jungfrauen Catharinæ Margarethæ Bleßigin, weÿl. des Wohl Ehren und Großachtbaren herrn Johannes Bleßig des gewesenen Gastgebers Zur Äxt und b. dahier zu Straßburg seel. ehelich erziellt nach tod hinterlaßener Tochter
So beschehen dahier zu Straßburg (…) auf Montag den 23. Junÿ 1760.
[unterzeichnet] Johann Heinrich Peter als hochzeiter, Catharina Margaretha Bloßigin alß hochzeiterin

Mariage, Saint-Nicolas (luth. f° 160-v, n° 21)
1760. Mittwoch d. 16. Jul. wurde nach Zweÿmahliger außruffung in der Evangelischer Pfarrkirche Zu S. Nicolai ehelich eingesegnet Johann Heinrich Peter, Lediger bierbrauer v. burger allhier H Johann Jacob Peters gew. Metzgers v. Gerichts Verwantdten in Mommenheim Ritterschafftlicher Jurisdiction hinerl. Ehel. Sohn, V. Jfr. Catharina Margaretha Plesigin weÿl. H. Johannes Bleßigs, gew. Gastgebers und burgers allhier Hinterl. Ehel. tochter [unterzeichnet] Johann Henrich Peter Alß Hochzeiter, Catharina Margaretha bleßigin hochzeiterin (i 163, procl. Saint-Pierre-le-Jeune i 225)

Les nouveaux mariés font dresser l’inventaire de leurs apports dans la brasserie aux Trois Lis dont ils sont locataires. Ceux du mari s’élèvent à 260 livres, ceux de la femme à 1 087 livres.

1760 (19.8.), Not. Fické (6 E 41, 756) n° 146
Inventarium über des Wohl Ehren und Vorachtbaren Herrn Johann Heinrich Peter, des biersieders und der Ehren: und Tugendsamen Frauen Catharinæ Margarethæ gebohrner Bleßigin, beeder Eheleuthe und burgere alhier zu Straßburg einander vor unverändert einander in die Ehe Zugebrachte Nahrungen, auffgerichtet Anno 1760. – in ihrem den 16.ten Julÿ dießs Jahrs angefangenen Ehestand einander zu und eingebracht haben (…) So beschehen in Straßburg in fernerer Gegenwart Hn Johannes Bleßig des Würths und Gastgebers Zum Falckenkeller auch b. alhier der Ehefr. hierzu erbettenen beÿsitzers den 19.ten Augusti 1760.
In einer alhier Zu Straßburg in der Krautenau ohnfern der hechtenbruch gelegenen diesorts Lehnungsweiße bewohnenden bier behaußung Zu den dreÿ Lilien hat sich befunden als
Series rubricarum hujus Inventarÿ. Des Ehemanns in die Ehe gebrachten Vermögens, Sa. Haußraths 31, Sa. Holtzes und Werckzeugs Zum Kiefer wesen gehörig 51, Sa. Weins, bier und leerer Faß 112, Sa. Silbers und dergleichen Geschmeids 25, Sa. Baarschafft 39, Summa summarum 260 lb
Diesemnach so wird auch der Ehefrauen in die Ehe gebrachte Haabschafft beschrieben, Sa. haußraths 241, Sa. Silbers und dergleichen Geschmeids 75, Sa. goldener Ring 33, Sa. Baarschafft 38, Sa. Schulden 698, Summa summarum 1087 lb
Haussteuren70, Macht deren jeden Ehegatten Zur helffte 35 lb.

Le notaire Charles Fické dresse en 1764 l’inventaire, non conservé, après la mort de Jean Henri Peter. L’inventaire des biens de Jean Chrétien Strohl et Marie Barbe Pick, dressé en 1778, mentionne que la maison a été vendue par adjudication judiciaire le 14 août 1776.

1764, Not. Fické (Répertoire 6 E 41, 664-6) n° 257
weil. H: Johann Heinrich Peter d. gew: biersieders zu den 3. Lilien u. b. alh: seel. Verl. Inv:


Maison (b) donnant dans la ruelle des Roses

Le mandataire des créanciers de Georges Albert Steinheil vend une maison et un jardin au secrétaire de l’hôpital Jean Ernest Theurer

1731 (15.2.), Chambre des Contrats, vol. 605 f° 74
H. Lt. Johann Wilhelm Chasseur Ritterschafftlicher Ambtmann und Syndicus weÿl. H. Georg Allbrecht Steinheil gewesten Jcti. und Consulenten beÿ dem Löbl. Ritter Diectorio des Undern Elsaßes Creditorum
in gegensein H. Johann Ernst Theurer Mittelschreibers beÿ allhiesigen Mehrern hospital
Eine Behausung garttenhauß kleines Sommerhäußleinn höfflein hoffstatt und gegenüber liegendes holtzhäußlein Baum: und Kuchen: gartten mit allen derselben gebäuden, begriffen, zugehörden, Rechten und gerechtigkeiten in der Vorstatt Krauttenau hinder dem zum Gaul genannten hauß oben beÿ dem eingang des haußes und garttens auff das Hechtengäßlein sehend, einseit neben weÿl. H. Johann Friedrich Lobstein handelsmanns Erben, dem Runckelisch: und Ohlischen gartten neben dem sogenannten Spießischen hoff, unten weÿl. hannß Brack Fuhrmanns wittib und Erben – um 800 pfund

Fils du receveur à l’Œuvre Notre Dame Jean Frédéric Theurer, le secrétaire de l’hôpital Jean Ernest Theurer épouse en 1712 Judith Reine Sachs, fille du pharmacien Jean Conrad Sachs
Mariage, Saint-Nicolas (luth. f° 130 n° 3)
Mitwoch den 6. Aprilis 1712. seind nach zweÿmahliger Außruffung in der Pfarrkirch Zu St. Nicol. alier in Straßburg Ehelich copulirt Vnd eingesegnet worden H. Johann Ernst Theurerr, der Mittel Schreiber im Mehren Hospithal alhier weÿl. H. Johann Fridrich Schaffners im Frawen Hauß Vnd burgers alhier, Ehelicher Sohn, Vndt Jungfr Judith Regina Sachßin, H Johann Conradt Sachßen des Apotheckers vndt burgers alhier Eheliche Tochter [unterzeichnet] Johann Ernst Theürer als hochzeiter, Juditha Regina Sachßin als hochzeiterin (i 134)

Judith Reine Sachs détache de sa propriété une maison donnant dans la ruelle des Roses pour la vendre au tonnelier Jean Jacques Bürckel moyennant 250 livres

1746 (14.4.), Chambre des Contrats, vol. 620 f° 277
Fr. Judith Regina geb. Sachsin weÿl. H. Johann Ernst Theurer des Mittelschreibers beÿ dem Mehrern hospital wittib mit beÿstand ihres bruders H. Johann Friedrich Sachs des Apotheckers
in gegensein Johann Jacob Birckel des kieffers
eine behausung, höfflein, bauchküchen und hoffstatt mit allen deroselben begriffen, weithen, zugehörden und rechten in der Vorstatt Krautenau am Gaulstaden im rooßengäßlein einseit neben einem Allmendgäßlein, anderseit neben der verkäuferin selbst, hinten auff ihren garten – theils als ein am 15. feb. 1731 erkaufft theils in guths liefferung angewießenes guth – um 250 pfund


Bâtiment (c)

Femme abandonnée du maraîcher Jean Jacques Gori, Marie Diehl céde un bâtiment construit au-dessus d’une cave qui appartient à l’acheteur Jean Chrétien Strohl

1778 (23.5.), Chambre des Contrats, vol. 652 f° 176-v
Fr. Maria geb. Diehlin Johann Jacob Gorÿ des von hier längst abweßenden gartenmanns verlassene ehefrau unter assistentz H. Joseph Leonhard Haaß des Zimmermeisters
in gegensein H. Johann Christian Strohl des bierbrauers
das über einem Keller in des H. Käuffers eigenthümlichen hoff /:seiner am Gaulstaden zu den dreÿ Lilien geschildete bierbehausung:/ stehende gebäude mit allen deßen begriffen, weithen, zugehörden, rechten und gerechtigkeiten wovon der fundus und mithin der keller deßelben dem H. käuffer vorhin schon eigen war – 120 gulden


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