3, rue Saint-Louis


Rue Saint-Louis n° 3 – VIII 72 (Blondel), P 1306 puis section 11 parcelle 7 (cadastre)

Boulangerie (XVI°-XX° siècles)
Deuxième étage sans doute ajouté vers 1820, propriétaire Michel Freysz


Côté oriental de la rue Saint-Louis : maison à l’angle de la rue du Dragon puis les n° 3, 5 et 7 (avril 2017) – Le n° 3 (avril 2010)

La maison appartient à des boulangers qui y ont leur fournil. La rue porte le nom de Sainte-Elisabeth jusqu’à ce que l’église Saint-Louis soit construite à la fin du XVII° siècle, dans les actes qui suivent jusqu’en 1697. Le boulanger Fridolin von Nürnberg constitue en 1527 au profit des administrateurs des Carmélites une rente d’un florin qui sera rachetée en 1714. Le boulanger Romain Mentzer accorde en 1609 à son voisin Sigismond Flach rue du Dragon le droit d’avoir deux fenêtres grillagées qui donnent dans sa cour. Jean Rinck achète en 1612 la maison qui reste aux mains de ses ayants droit jusqu’en 1778. A l’inventaire dressé en 1717 après la mort de Susanne Gartner, successivement femme de Jean Georges Harr et de Michel Wehrlin, la maison délabrée est estimée à la somme de 400 livres ; elle doit être remise en état par son fils Jean Georges Harr qui passe plusieurs obligations. Cédée au prix de 1 400 livres en 1726, elle est estimée à une valeur minimale de 900 livres en 1731. La maison comprend quatre poêles et trois cuisines d’après le billet d’estimation joint à l’inventaire dressé après la mort de Georges Eckert en 1778. Le boulanger Jean Georges Zier, originaire de Kehl, en est propriétaire de 1778 à 1811.


Elévations préparatoires au plan-relief de 1830, îlot 255 (Musée des Plans-relief) 1

L’Atlas des alignements (années 1820) mentionne un bâtiment à rez-de-chaussée en maçonnerie et deux étages en bois. Sur les élévations préparatoires au plan-relief de 1830, la façade sur rue se trouve entre les repères (p-q) : deux portes de part et d’autre d’une fenêtre, un étage à trois fenêtres, toiture à deux niveaux de lucarnes. La cour G montre la face arrière (5-6) du bâtiment sur rue, corrigée par une surélévation, le bâtiment latéral (4-5) à rez-de-chaussée et un étage, le bâtiment (3-4) au fond de la cour puis le bâtiment du voisin (3-2-1-7-6) rue du Dragon. Dans l’hypothèse que les élévations sur rue sont exactes, ce que semble corroborer la correction du dessin de la cour, le deuxième étage est dû au boulanger Michel Freysz. Le cadastre ne mentionne aucune modification par la suite.
La maison porte le n° 3 aussi bien suivant l’ancienne (1784-1857) que la nouvelle numérotation.


Cour G – Ouvertures du 2, rue du Dragon vers la maison rue Saint-Louis (1869 acte d’Hippolyte Momy)

Le serrurier Alexandre Wagner, propriétaire de la maison à l’angle de la rue du Dragon, achète la maison en 1862 et loue le fournil à des boulangers. Quand les deux immeubles sont à nouveau séparés en 1869, le propriétaire de la maison Antoine Fritsch est tenu de tolérer des jours (voir le dessin ci-dessous et la description). Joseph Fritsch rachète les parts de la maison qu’il loue, lui-même habite rue Saint-Urbain au Neudorf. Alphonse Schneider fait transformer en 1963 le fournil en y supprimant deux cloisons.


Etages (octobre 2024)

octobre 2024

Sommaire
CadastrePolice du BâtimentRelevé d’actes

Récapitulatif des propriétaires

La liste ci-dessous donne tous les propriétaires de 1585 à 1952. La propriété change par vente (v), par héritage ou cession de parts (h) ou encore par adjudication (adj). L’étoile (*) signale une date approximative de mutation.

Christophe Roll, boulanger, et (1572) Marie Burger – luthériens
1587 v Michel Brauch, boulanger, et (1583) Cunégonde Schremm, d’abord (1581) femme de l’aubergiste Thiébaut Scheffel – luthériens
1595 v Georges Appenzeller, boulanger, et (v. 1595) Barbe Leuprand – luthériens
1596 v Roch Zoller, boulanger, et (v. 1593) Eve Gug – luthériens
1606 v (vente annulée) Georges Hag, boulanger, et (1606) Jacqueline Rosenbrecher – luthériens
1607 v Romain Mentzer, boulanger, et (1597) Véronique Rauch – luthériens
1612 v Jean Rinck, boulanger, et (v. 1592) Marie Jung – luthériens
1630* h Jean Henri Rinck, boulanger, et (1616) Madeleine Kœbel puis (1625) Ursule Boch – luthériens
1644 h Jean Henri Rinck, boulanger, et (1644) Anne Marie Holtzschuh – luthériens
1654 h Martin Harr, boulanger, et (1654) Anne Marie Holtzschuh, d’abord (1644) femme du boulanger Jean Henri Rinck – luthériens
1696* h Jean Georges Harr, boulanger, et (1684) Susanne Gartner, remariée (1699) avec le boulanger Michel Wehrlin – luthériens
1717 h Jean Georges Harr, boulanger, et (1712) Anne Dorothée Nonnenmann – luthériens
1726 h Jean Philippe Maul, boulanger, et (1702) Catherine Eckert, d’abord (1694) femme du boulanger Jean Nonnenmann – luthériens
1727 h Jean Georges Maul, boulanger, et (1727) Anne Barbe Vogt – luthériens
1731 h Jean Georges Eckart, boulanger, et (1731) Anne Barbe Vogt, d’abord (1727) femme du boulanger Jean Georges Maul – luthériens
1778 v Jean Georges Zier, boulanger, et (1778) Catherine Barbe Rœderer – luthériens
1811 v Michel Freisz, boulanger, et (1811) Marie Salomé Strohl – luthériens
1862 v Alexandre (Thomas Régnard) Wagner, serrurier, et (1823) Marie Madeleine Sandmann – luthériens
1869 v Antoine Fritsch, boulanger, et (1863) Anne Diss – luthériens
1895 h Jean Joseph Fritsch, boulanger, et (1901) Marie (Rose Adèle) Scheyder – luthériens

Valeur de la maison selon les billets d’estimation : 400 livres en 1717, 900 livres en 1731, 750 livres en 1778

(1765, Liste Blondel) VIII 72, George Eckert
(Etat du développement des façades des maisons, AMS cote V 61) Eckert, 3 toises, 4 pieds et 6 pouces
(1843, Tableau indicatif du cadastre) P 1306, Reich, Michel, boulanger – maison, sol, cour, bâtiment – 2,65 / Freiss Michel

Locations

1631, Jean Israël Faust, boulanger
1632, Guillaume Wenck, boulanger
1647, Gaspard Fuchs, boulanger
1692, Jean Georges Harr, boulanger
1723, Michel Wœhrlé, boulanger (beau-père du propriétaire)
1861, Louis Seyder, boulanger
1862, Antoine Fritsch, boulanger (futur propriétaire)

Registre de revenus

1550, Hospice des vérolés (Blatterhaus, 1 AH 1186) Brieff Registratur
Par un acte passé en 1527, le boulanger Fridolin von Nürnberg constitue au profit des administrateurs des Carmélites une rente d’un florin, rachetable avec vingt florins, garantie sur sa maison rue Sainte-Elisabeth près du couvent des Carmélites. La maison appartient ensuite au fournier Christophe Roll. La quittance accordée en 1714 figure en marge d’un acte de 1644 (voir le relevé plus bas – le revenu passe ensuite à l’Hospice des vérolés)

Carmelitaru brieff in der Statt, f° 45.
Gibt Jetz Stoffell Roll der Hausbeck – Straßburg j guldin gelts vff Mathie vom Hauß vff S. Elßbethen gaß
Item ein Brieff mit des Hindern gerichts Insigell Versigelt, dessen Datum Kalend. Martÿ Anno xv. C. xxvij, Wÿset wie Fridolin vonn Nürnberg Brotbeck burger zu Straßburg Verkaufft den Pflegern des Frauwen Brüder Closter Ein guldin gelts Vff S. Mathÿs tag fallendt, mit Zwantzigk guldin Straßburger werung, von vff vnd abe Zweÿen heüsern Einem Vordern vnd hindern, mit Iren Houestet Höfflin vnd Stall, auch allen andern gebeüwen, begriffen, wÿthen, Rechten vnd Zugehördenn gelegenn Inn der Statt Straßburg vff S Elßbethen gaß vornen beÿ den Frauwen Brüdern, einsit nebent einem Eckhauß, vnd anderseit nebent Ulrich Klingell dem Küeffer, dauon gondt vier schilling vnnd vier pfenning ewigs gelts dem grossenn Spital. Item fünff guldin gelts ablösig mit hundert guldin Jacob Mÿßbach seligen witwen, So dann Achtzehenn schilling gelts widerlösig mit 80 Pfund Pfenning Cunradt keÿser dem Becken Zu Straßburg, Sonst ledig eigenn, dabeÿ gebunden Ein vnderpfands Brieff, N° 79
[in margine :] der hierinbemel. 1 fl. gelts Jährlichen Zinßes ist mit 21. fl. in jetzigenn Current abgelöst vnd ist derweg. ahm 4.t Junÿ 1714. quittirt word. wie in d. Statt Straßburg CContract stuben registrand. de aô 1644. fol. 238-b in margine mit mehrem zu befind.

Description de la maison

  • 1778 (billet d’estimation traduit) La maison comprend un bâtiment avant et un bâtiment latéral où se trouve un fournil voûté, quatre poêles, trois cuisines et plusieurs chambres, en outre une porcherie, le comble est couvert de tuiles plates, la cave est voûtée, le tout estimé avec la cour, le puits autres aisances et appartenances à la somme de 1500 florins

Atlas des alignements (cote 1197 W 37)

3° arrondissement ou Canton Sud – Rue St. Louis

nouveau N° / ancien N° : 5 / 3
Freiss
Rez de chaussée en maçonnerie et 2 étages médiocres en bois

(Légende)

Cadastre

Cadastre napoléonien, registre 28 f° 362 case 3

Freiss Michel Boulanger

P 1306, sol, Mon Bat et cour, Rue St Louis 3
Contenance : 2,65
Revenu total : 171,38 (122 et 1,38)
Année d’entrée :
Année de sortie : 1845
Ouvertures, portes cochères, charretières :
portes et fenêtres ordinaires : 30
fenêtres du 3° et au-dessus : 3

P 1306, maison
Revenu total : 162,38 (163 et 1,38)
Année d’entrée : 1845 (décision du 24 juin 1844)
Année de sortie :
Ouvertures, portes cochères, charretières :
portes et fenêtres ordinaires : 30
fenêtres du 3° et au-dessus : 3

Cadastre napoléonien, registre 26 f° 744 case 2

Freiss Jean, boulanger
1864 Wagner Alexandre Thomas
1871 Fritsch Anton, bäcker
1896/97 Fritsch Joseph Bäcker in Neudorf

P 1306, Maison, sol, Rue St Louis 3
Contenance : 2,65
Revenu total : 163,38 (162 et 1,38)
Folio de provenance : (362)
Folio de destination : Gb
Ouvertures, portes cochères, charretières :
portes et fenêtres ordinaires : 30
fenêtres du 3° et au-dessus : 3

Cadastre allemand, registre 29 page 139 case 7

Parcelle, section 11, n° 7 – autrefois P 1306
Canton : St. Ludwigsgasse Hs N° 3 / Rue Saint Louis
Désignation : Hf, 2 Whs u. N.G. / sol, deux maisons et bât. acc.
Contenance : 2,47
Revenu : 1400 – 1900
Remarques :

(Propriétaire), compte 417
Fritsch, Joseph
1940 Fritsch Jean Joseph
(1502)

1789, Etat des habitants (cote 5 R 26)

Canton VIII, Rue 285 Rue de Saint Louis, p. 438

3
pr. Ziehr, J. George, Mr boulanger – Boulang.
loc. Steinhaeuser, Martin, Journalier – Manant
loc. Jacob, Adam, Journalier – Manant

Annuaire de 1905

Verzeichnis sämtlicher Häuser von Strassburg und ihrer Bewohner, in alphabetischer Reihenfolge der Strassennamen (Répertoire de toutes les maisons de Strasbourg et de leurs habitants, par ordre alphabétique des rues)
Abréviations : 0, 1,2, etc. : rez de chaussée, 1, 2° étage – E, Eigentümer (propriétaire) – H. Hinterhaus (bâtiment arrière)

St. Ludwigsgasse (Seite 104)

(Haus Nr.) 3
Issenhuth, Bäckermeist. 0
Fritsch, Rentnerin. 1
Kaufmann, Metzger. 2
Klein, Uhrmacher. 2
Kaufmann, Drechsler. 3
Möckenmüller, Schloss. H 0
Weller, Tagner. H 0
Siegfried, Strassb.-Arb. H 1

Dossier de la Police du Bâtiment (cote 735 W 262)

3, rue Saint-Louis (1873-1977)

La préfecture constate en 1907 que l’atelier du boulanger Eugène Issenhuth n’a pas la hauteur réglementaire. Le propriétaire Joseph Fritsch fait construire en 1906 un cabinet d’aisance dans la cour. Le maître boulanger Emile Blæss installe en 1913 un pétrin mécanique. Marie Scheyder, veuve de Joseph Fritsch, autorise en 1951 sa voisine Thérèse Georg, veuve d’Emile Blæs (n° 5), à percer le pignon mitoyen et à y fixer un ancrage métallique. Alphonse Schneider fait transformer en 1963 le fournil en y supprimant deux cloisons.

Sommaire
  • 1873 – Le directeur de l’usine à gaz demande au nom du sieur Fritsch que le plombier Diehl soit autorisé à faire une prise pour environ deux becs
  • 1887 – Le maire demande à François Fritsch, demeurant sur place, de faire ravaler la façade – Le bâtiment est repeint, octobre 1887
    1904 – Le maire demande à Jean Fritsch, demeurant 47-a rue Saint-Urbain, de faire ravaler la façade – Le bâtiment est repeint, novembre 1904.
    1906 – Le maire demande à Jean Fritsch, demeurant 47-a rue Saint-Urbain, de faire ravaler la façade – Le courrier expédié au 17-a rue Saint-Urbain est retourné à l’expéditeur – Nouveau courrier à Joseph Fritsch, demeurant 47-a rue Saint-Urbain
  • 1907 – La préfecture constate que l’atelier du boulanger Eugène Issenhuth n’a pas la hauteur réglementaire mais seulement 2,55 mètres. – Dossier ouvert suite au courrier
  • 1898. Commission contre les logements insalubres. Boulangerie Fritsch. La chambre de l’apprenti est mal tenue. Les fenêtres du fournil sont si sales que le jour pénètre à peine. Le boulanger doit se conformer au règlement du 13 avril 1850. – Travaux terminés, juin 1899
    1903. Nouveau rapport. Boulanger Issenhuth. propriétaire, Fritsch demeurant 47, rue Saint-Urbain – La chambre est bien tenue
    1904. Remarques en trois points
    1906. Remarques en six points
    1907. Le raccord aux canalisations est en cours
    Commission des logements militaires, 1915. Remarques en quatre points – Travaux terminés, octobre 1915
  • 1906 – Communication du service d’architecture (canalisations). Joseph Fritsch prévoit d’établir un cabinet d’aisance dans la cour. – Joseph Fritsch transmet les plans, juillet 1907. – Joseph Fritsch, demeurant 47-a rue Saint-Urbain, est autorisé à agrandir le cabinet. – Travaux terminés, septembre 1907. – La Police du Bâtiment constate que les cloisons sont en bois, le propriétaire devra les remplacer par de nouvelles en maçonnerie ou les recouvrir de plâtre. – Les cloisons sont plâtrées, septembre 1907. – Plan
  • 1912 – Le maître boulanger Emile Blæss demande l’autorisation d’établir un pétrin mécanique – Rapport sur la boulangerie qui n’a pas la hauteur réglementaire mais seulement 2,50 mètres. Comme le fournil se trouve dans le passage qui sert d’issue aux locataires, il ne devra pas renfermer de matériaux qui s’enflamment facilement. – L’inspection du travail demande des renseignements complémentaires – Le commissaire de police écrit au préfet que le pétitionnaire pourrait continuer d’exploiter la boulangerie en observant les conditions du rapport. L’inspection du travail déclare qu’il n’est pas prévu de dispense au règlement
    1913 (10 janvier) – Le préfet autorise Emile Blæss à exploiter sous conditions la boulangerie tant qu’elle ne sera pas transformée
    1913 (mars) – Emile Blæss est autorisé à établir un pétrin mécanique – L’inspection du travail énumère les conditions à respecter. – Dessin
  • 1913 – Rapport d’incendie (feu de cheminée)
  • 1912 – Le maire demande à J. Fritsch, demeurant 47 rue Saint-Urbain, de faire ravaler la façade – Autorisation accordée une fois les travaux terminés, novembre 1913.
  • 1951 – L’architecte René Muller transmet la convention passée entre Maria Scheyder, veuve de Joseph Fritsch, propriétaire du 3, rue Saint Louis (demeurant 60, rue Saint-Urbain au Neudorf), et Thérèse Georg, veuve d’Emile Blæs, propriétaire du 5, rue Saint Louis (demeurant 4, rue Théophile Schuler), par laquelle la première autorise la seconde à percer le pignon mitoyen et à y fixer un ancrage métallique.
  • 1963 – Alphonse Schneider dépose une demande de permis de construire pour transformer le local commercial – Plan cadastral de situation – Plan (deux cloisons sont supprimées) – La Division VI fait remarquer que le bâtiment dépasse de l’alignement (deux mètres carrés) – Le maire transmet le dossier avec avis favorable à l’inspecteur départemental du Travail et de la Main d’œuvre – Le directeur départemental de la construction accorde le permis de construire, 21 mai 1963 – Le maire prend un arrêté portant permis de construire, 31 mai 1963 – Travaux terminés, juin 1963. Le local transformé servira de fournil au pétitionnaire.
  • 1977 – L’entreprise Magra et Compagnie (96, rue de la Liberté à Kolbsheim) est autorisée à poser un échafaudage sur la voie publique – Le ravalement est terminé, février 1978.

Relevé d’actes

La maison n’est pas inscrite dans le Livre des communaux (1587) à côté de la maison à l’angle de la rue du Dragon (f° 348 v°, propriété de la veuve Sigismond Flach). Elle appartient alors au boulanger Christophe Roll.

Originaire de Nagold (en Würtemberg), le fournier Christophe Roll épouse en 1572 Marie, fille d’Adolphe Burger.
Proclamation, Saint-Pierre-le-Vieux (luth. f° 153-v n° 38)
1572. Maius. Stoffel Roll von Nagolt der haußfeurer, J. Maria Adolph Burgers selig tochter von Straßburg zu St. Thoman Zu kirch gohn (i 156, pas célébré à Saint-Thomas)

Christophe Roll devient bourgeois par sa femme un mois après son mariage
1572, 2° Livre de bourgeoisie (4 R 104), p. 368
Stofel Roll von Nageld der böck hatt d. Burgkrecht Empfang. von Marien weÿland adolph burg. des becken sellig. wittwen seiner ehefraw. Act. Donnerstag den 25.t Junÿ 72

La maisonnée de Christophe Roll rue Sainte-Elisabeth comprend quatre personnes, lui-même, sa femme, son beau-frère et son domestique.
1573, Protocole des Quinze (2 R 3)
(f° 253-v) Zinstag den XXIX. Decembris – Stoffel Roll.
Stoffel Roll auff S. Elßbetten gaß, 1° er sey selbst vierdt, er vnd sein fraw sein schwiger vnd j Knecht, doch seye der schwiger nitt allezeit bey Ime gange Zu Zeitten Ins Calleium, 2° für 5. virt Zeichen gelöst, 3° derselben vff die Müel gethan, 4° eins vff der viij röder muehl eines vff dingsen muel, ij vff d. spitalmühl vnd noch eins vff Wilhelm muel.

Le fripier Jean Burger vend au nom des quatre enfants de Christophe Roll et de Marie Burger la maison au boulanger Jean Kober. L’acte n’est pas achevé.

1586 ([2/17. Aug.]), Chancellerie, KS 242-I (Imbreviaturæ Contractuum) f° 89
[non terminé] Kauff Hanns Kobers des becken
Erschienen Hanns Burg. d. Altgewender als verordneter vogt Stoffels, Niclausen, Salome vnd Jacoben weiland Stoffel Rollen des Becken mit Maria burgerin beder selig. Erzilten Kinder mit beÿstandt Conrad Braunen, des Meelmanns, so lhme von einem Ersamen Gericht (.wie er Braun sagt.) Zu geordnet worden, haben freÿwillig bekandt
in gegensein Hanns Kobers des becken so mit beÿstand Georg Theuringers Zugeg. solche bekandnuß Annamme das Er verkaufft vnd Zu kauff. geben habe
erstgedacht. Hanns Koberen
ein behausung hoff vnd hoffstatt mit allen Ihren Zugehörden geleg. alhie vff S: Elißbeth. gassen einseit neben Hanns Spitz. deß. Zimmerman erben anderseit (-) hinden auch vff Hans Spitz. stoßend, Dauon ghon vier schilling vier pfenning In den Mehrern Spital alhie ewigs ablösigs od. ehrschetzigs gelts oder wie die seind also hat sie d. Keuffen vber sich genommen. Mehr (-)

Le même vend l’année suivante la maison au boulanger Michel Brauch qui passe en son nom et en celui de sa femme Cunégonde Schremm une obligation au profit des vendeurs.

1587 (12. Junÿ), Chancellerie, vol. 249-I (Imbreviaturæ Contractuum) f° 72-v
Kauff Michel Brauch deß Beck. über ein hauß In St Elßbeth. gaß
Erschienen Hanns Burg. der Altgewender als verordnetter vogt Stoffels Niclausen vnd Salomeen weÿland Stoffel Rollen des beck. vnd Maria burgerin beeder selig ehelich hinderlaßener Kinder vnd hatt (verkaufft)
Michel Brauch. dem beck. burg. alhie der dann Zugeg.
Ein hauß hoflin vnd hoffstatt sampt derselb. weitten recht. Zugehörd. vnd gerechtigkeit. geleg. In der Statt Straßburg Jenseit Sanct Thomans Brucken In Sanct Elßbeth. gasen, neben einer behausung weÿland Sigmund flach. Erben Zugehörig vnd anderseit neben hans Spitz. des Zimmermans wittib vnd Erben, hinden vff dem Landsperg. hoff so Jetzund Jacob Reißhofer bewohnt stoßend, dauon gohnd Jahrs iiij ß iiij d gelts vff Creütz erhöhungs tag dem großen Spittal alhie es seÿ ablosig od. nit deren also hatt sie der Keüffer vf sich genommen, It. ein guld. Straßburg. wehrung vf Sant Veltins tag dem Blater hauß alhie losig mitt xx guld. gemelter wehrung, It. j lb d gelts vf Johannis Baptiste weÿland Caspar Rulmans glasers hinderlaßnen sohns mit xxv lb d wid.losig, It. Zwen guld. gelts Straßburg. wehrung weÿland Conrad von duntzenh. Erben Jetzo Daniel Schachen vf urbani mitt 50 guld. wehrung abzulösen, It. fünff guld. Straßburg. wehrung vff Martini mitt 100 guld. Reinisch In goldt abzulösen ermeltem Daniel Schach. vnd dann 18 schilling pfenning Zinß vff dem h. Christag Herrn Valentin Eber dem Rhatherrn mitt 18 lb d widerlösig, sonsten allerdings ledig vnd eigen vnd daruff alles Recht & Bekandt das der Kauff vber die beschwerd. Zugangen für vnd vmb 730 guld. Straßburger wehrung
Nota, soll vor Rhat bestettigt weden
(f° 73-v) Confessat. Erschienen Michel Brauch der Beck vnd Künigundt Schrömmin sein eheliche haußfrauw In obgeschribnen Kauff gesetzer Keüffere (…)

Originaire de Rohrdorf sur la Nagold, Michel Brauch épouse en 1583 Cunégonde Schremm, veuve de l’aubergiste Thiébaut Scheffel
Mariage, Saint-Thomas (luth. f° 349 n° 717)
1583. Eodem die [Dominica VII] Michel Brauch von Rhordorf der Beck kuenigundt schremerin Theobald Scheffl des wirds nachgelasne witwe 22 Julÿ (i 354)

Thiébaut Schepffel épouse en 1581 Cunégonde, fille de Georges Schremm de Tuchingen.
Mariage, Saint-Thomas (luth. f° 287 n° 604)
1581. Dominica Cantate. Theobaldt Schepffel und Kunigündt Schremmin Georg schremmen von Tuchingen* nachgelasne dochter 1. Maÿ (i 292)

Michel Brauch devient bourgeois par sa femme deux jours après son mariage
1583, 2° Livre de bourgeoisie (4 R 104) p. 516
Michaell Brauch vonn Rordorff ander Nagell der beck Hatt daß burgrechtt empfang. vonn Küngunda schrämin, dieboltt schöffelß sel. wittwenn seiner Hausfrauwenn Vnnd will Zuonn Beck. dienen actt. den 24.t. Jullj 83.

1598, Protocole des Quinze (2 R 27)
Michel Bruch. 18. (beck in Ruprechtsaw)

Le boulanger Michel Bruch et Cunégonde Schremm hypothèquent la maison au profit du boulanger Chrétien Ster et du cordonnier Jean Leibing

1595 (xxx May), Chancellerie, vol. 298 (Registranda Kügler) f° 232
(Inchoat. fo: 330.) Erschienen Michaell Bruch der Brottbeck vnnd Küngund Schrämmin sein eheliche hußfrauw
haben in gegensein Christmann Ster Brottbecken vnd Hanns Leübings Schumachers – 25 pfund pfenning Straßburger So er heutt dato ane der Statt Straßburg Münß, vff genommen sich für sich v Ire erben dafür Zum Burgen nennen verbunden v yngeschriben laßen (…)
Zum vnderpfand ernant v yngesetzt Huß hoffestatt hofflin gartlins vnd holtzhuß mit allen andern Iren gebeu gelegen Inn der SS Inn S. Elßbethengaß einsyt neben hanns Boch dem khüffer die andersyt herr Sigmund Flachen Wittwe stoßend hind. vff den Margrauischen hoff, davon gnd Zuuor 25 guldin glts losig mit 500 guldin Christoffel Roolen des Brottbecken selig. Kinder, Mehr 5 guldin glts mit 100 guldin In gold abzulößen It. Daniel Schochen, Item Zwen guldin gelts abloßig mit 40 guld. bemelt Daniel Schochen, Item Ein guldin gelts widerkheuffig mit 20 guldin den Armen des Blatterhußes, So dann Ein pfund pfenning gelts loßig mit 20 pfund pfenning wyland Caspar Rulman des glasers seligen erben, Item 18 schilling gelts widerkheuffig mit 18 pfund pfenning Martin Leuwbrand Notario vnd dann iiij ß iiij d Inn dem Spittel Zu S. sonst eÿg.

Michel Bruch et Cunégonde Schremm vendent la maison au boulanger Georges Appenzeller, originaire de Herrenberg

1595 (26.t Augusti), Chancellerie, vol. 300 (Imbreviaturæ Contractuum) f° 106-v
Kauff Geörg Appenzellers den Becken vber sein behausung Jenseit St. Thomans Bruck.
Erschienen Michel Breuch der beck vnd Kunigund Schrammin sein eheliche haußfraw
haben In gegensein Georg Appenzellers von Herrenberg deß beck (verkaufft)
eine behausung hoffstatt vnd höfflin sampt derselben gebaw. & geleg. alhie Jhenseit St. Thomans bruch. Zu Sanct Elisabeth. gaß. neben einer behausung w. Sigmund Flach. Erben Zugehörig die ein vnd and. seit hans Boch dem Küeffer hinden vf den Marckgräuisch. hoff stoßend, Dauon gehnd Jhars vier schilling vier pfenning gelts vf Creutz erhöhungs tag dem groß. Spithal alhie, sie seÿ ewig ablosig od. wie sie wollen, dann also haben sie d. Keüffer vf sich genommen, It. ein gld. gelts vnserer St. w. vf St Vrbans tag dem Blatterhauß losig mit 20 gld. vf Johannis Baptistæ Caspar Rulman deß Glasers hinderlaßenen sohn mit 20 pfund pfenning widerlösig, It. zwen gld. gelt mehgemelt. vnserer wehrung w. Cunrad v. Duntzenheims Erb. Jetzo Daniel Schach. vf Urbani mit 50 guld. gedachter wehrung widerkeüffig, It. 5 guld. St w. vf Martini mit 100 guld. Rheinisch. In gold abzulosen ermeltem Daniel Schach und 18 schilling pfenning gelts vf den heilig. Christag Martin Lewbrandt dem Notario mit 18 pfund pfenning wid. losig, Weiter ist die behausung auch noch verhafftet für 25 pfund pfenning die sie von Keüffere In d. Müntz alhie vfgenommen dafür Christmann Stör d beck vnd hans Lebing. d schumach. bürg. worden, vnd sÿ Ihnen dageg diße behausung Zu rückbürgschafft verschrib. (…) Mehr 25 guld. St. w. losig mit 500 gld. gedacht w. hans Burÿ Als Christoffel Rollen deß becken Kinder vnd soll er d. Keüffer In aller maß wie die verschreibung darub. vßwiest Zu erleg. schuldig sein, Sonst ledig vnd eÿg. vber hieuor gesetzte beschwerdten zugang. vnd bescheh. für vnd vmb 220 gulden Straßburg wehrung
Act. Zinstag den 26.t Augusti 95. In beÿsein Thoman Stören deß haußbeck. vnd Mathis Weinbrenners vnd Martin Winters vf sein deß Keüffers, vnd vf der Verkeüffer seith Jacob Didelers weißbecken vnd Eberhard Beer d. Notarÿ

Le boulanger Georges Appenzeller de Herrenberg achète le droit de bourgeoisie le 30 octobre 1595
1595, 3° Livre de bourgeoisie (4 R 105) p. 595
Jörg Appenzeller vonn Herrenbergh der Schwartzbeck hat daß burgerrecht Khoufft mit beÿstanndt thomann Störenn auch Schwartzbeckh, vndt wüll Zun Beckhenn diennen, Actum den 30.t. Octob. 95.

Le boulanger Georges Appenzeller et sa femme Barbe font baptiser Susanne en 1596.
Baptême, Saint-Thomas (luth. f° 68 n° 407)
1596. Eodem die [Sonntag den 5. sept] Parent. Georg Ap.Zeller d. schwartzbeck, Barbara. Inf. Susanna (i 70)

Georges Appenzeller et Barbe Leuprand vendent la maison au fournier Roch Zoller

1596 (23. Novemb.), Chancellerie, vol. 302 (Imbreviaturæ Contractuum) f° 98
Kauff Rochÿ Zollers des Hausfeurers vber ein haus Jenseit St. Thomans Brucken Inn Elsbeth. gaß
Erschienen Geörg Appenzeller der haußbeckh vnd Barbara Lewprandin sein eheliche haußfrauw
haben in gegensein Rochius Zoller deß Hausfeurers alhie (zu kauffen geben)
Ein behausung Hoffstatt vnd höfflin sampt derselben gebewen gelegen alhie Jenseit St: Thomans prucken Inn St: Elßbethen gaß neben einer behausung w. Sigmund Flach. selig Erben Zugehörig die ein vnd anderseit Hans Bochen dem Kieffer, hinden vff den Marggräuisch. hoff stoßend, dauon gehend Jars vier schilling vier pfenning gelts vff Creütz erhöhungstag dem großen Spittal alhier sie seÿen ewig ablösig oder wie wölt.dann also hatt sie der Kheuffer vff sich genommen, Item ein gulden gelts St. w. vff St: Urbans tag dem Blaterhauß lösig mit 20 guldeb ermelter wehrung, Item ein pfund pfenning gelts vff Johannis Baptistæ weiland Caspar Rulman deß Glasers hinderlaßener sohn mit 20 pfund pfenning widerlösig, Item Zwen gulden gelts mehrgemelter werung w. Conrad von Duntzenheims selig. erben Jezo Daniel Schach weg. seiner haußfr. vff St: Vrbans tag mit 50 gld. ermelter wh. widerlheuffig, Item fünff goldt gulden Rheinisch. Inn geld vf Martini mit 100 gold fl. abzulösen ermelt. Daniel Schachen und 18 schilling pfenning gelts vff d. heilig. Christags Martin Leÿpranden dem Notario mit 18 pfund pfenning widerlösig, Mehr vierthalben vnd zwantzig guld. vil ermelter wh. mit 470 guld. wh. hans Burgern alls vogt Christoff Rollen deß Becken s: Kind. vnd soll der Kheüffer Inn allemaß. wie die verschreibung darüber außweißt Zuerlegen schuldig sein, weiter Ist auch die behausung noch verhafftet vber obgerurte 10 pfund d. für vnd vmb 15 pfundt pfenning In der alhiesig. Müntz darfür Christmann Stör der Beckh vnd hanns Labing der Schuhmacher bürg. worden, darfür Ihnen diße behausung Zurück bürgschafft verschriben die er Kheüffer auch vf erfordern mit gepürelich Zins erlegen soll vnd daruff alles recht & vnd bekhandt das dißer kauff vber hieuor gesetzte beschwerden die der Kheüffer vff sich genommen Zugang. vnd beschehen für vnd vmb 155 gulden Straßb wehr.

Roch Zoller et sa femme Eve font baptiser André en 1594 et Daniel en 1596
Baptême, Saint-Pierre-le-Vieux (luth. p. 224) 1594. 29. Januarÿ. Rochus Zoller der beck, Eua, Andreas, Steffanus Keller der Wurt, Hns Kamm Metzger, f. Magdalena J Werner von landsperg Hausfraw (i 118)

Baptême, Saint-Pierre-le-Vieux (luth. p. 278) 1596. Eodem [1. Februarÿ] Rochus Zoller der beck, Eua, Daniel. Michael Diebolter Hauptkann, Hans Debes Spittalschmidt, J. Magdalena Nots Jacobs tochter (i 146)

Le boulanger Roch Zoller et sa femme Eve, fille de Nicolas Gug de Kuttolsheim, vendent la maison au boulanger Georges Hag.

1606 (5. Martÿ), Chancellerie, vol. 367 (Registranda Kügler) f° 62-v
Erschienen Rochias Zoller brottbeck vnnd Eua sein Eheliche hußfrauw, Claus Gugen Zu Küttelßheim dochter, Haben unverscheidenlich verkaufft vnd Zukhauffen geben
Georg Hagen auch Becken vnd burgern alhier
huß, hoffestatt vnd höfflin mit Iren gebeüwen & gelegen Inn der Statt Straßburg Jenseit S Thomas Brucken Inn S. Elßbethen gaß, einseit einer behaußung Sigmundt Flachen seligen erben Zuständig, andersit neben hanns Bochen dem Khüeffer stoßt hinden vff den Margräuischen hoff, Dauon gondt Jährlich vier schilling vier pfenning gelts vff der heiligen Creutz erhöhungs tag dem großen Spittal allhie, Item ein gulden gelts Straß. wehrung vff Sanct Urbans tag dem Blaterhuß lösig mit 20 guldin ermelter wehrung, Item ein pfund pfenning gelts vff Johannis Baptistæ wÿland N. Felsen gewesenen Schaffners Zu Sanct Marx seligen witwe vnd erben mit 20 pfund pfenning abzulösen, Item Zwen gulden gelts mehr gemelter wehrung wÿland Conrad von duntzenheims seligen erben Jetz Daniel Schachen wegen seiner hußfrauwen vff S. Urbans tag lösig mit 50 gulden ermelter wehrung, Item 5 goldguldin Rheinisch Inn Goldt Vff Martin mit 100 goldtgulden abzulösen gedachten Daniel Schachen, Item 15 schilling pfenning gelts vff den weÿhenachten tag Martin Leüprandt deß Notarÿ seligen erben mit 18 pfund pfenning abzulösen, Mehr vierthalben vnd 20 guldin Straßburger mit 470 guldin bemeler St: wehr. Gabriel Burgern alß Vogt Christoff Rollen deß Becken seligen Kinder vnd sindt auch wÿther Verhafftet für 15 pfund pfenning Vber 10 pfund pfenning, So daran bezalt, So Inn der alhiesigen Münßen Vffgenommen worden, dafür Hannß Lebing. der Schuomach. vnd Matthÿß Scholl zu Bürgen ÿngesetzt vnd sich ÿnschreib. laßen (…) sunst eÿgen, Der Khauff vber Vorbestimpte beschwerden daran der Kheüffer gewÿssen vnd über sich genommen Zugangen vnd beschehen für Vnnd Vmb 245 guldin
hiebeÿ gewesen Hans vnd Gabriel Burger beÿde Schreiner vnndt burg. alhie

Originaire de Waldenburg en comté de Hohenlohe (en Wurtemberg), Georges Hag épouse en 1606 Jacqueline, fille du serrurier municipal Guillaume Rosenbrecher (N.B. Georges Hag n’est pas inscrit dans les livres de bourgeoisie).
Mariage, Saint-Nicolas (luth. f° 67 n° 1)
1606. Den 28. Januarÿ seindt ehelich eingesegnet worden Jörg Hag Vonn Waldenburg inn der Graffschafft Hohenloë der Weißbeckh, Hanns Hagen des Burgers vnndt Wagners daselbsten Sohn, vnndt Jungfr. Jacobe Rosenbrecherin, weÿlandt Wilhelm Rosenbrechers gewesenen burgers vnndt Stattschlossers alhier nachgelaßene dochter (i 74)

La vente est portée dans le registre des expéditions de l’année suivante. L’acquéreur n’est plus Georges Hag mais le boulanger Romain Mentzer et sa femme Véronique. D’après les quittances, Roch Zoller est mort entre mars 1609 et juin 1610.

1607 (3.tag Augusti), Chancellerie, vol. 372 (Prothocollum Kügler) f° 230-v
Erschienen Sindt vnser burger Rochius Zoller Brottbeck vnnd Eua sein eheliche hußfrauw, Claus Gugen Zu Küttelßheim dochter, Haben
Inn gegensein auch vnser Romman Mentzer Brottbecken vnd Veronica seiner ehegemahel (verkaufft)
huß, hoffestatt vnd höfflin mit alle, andern gebeüwen & gelegen Inn bemelter vnserer Statt Jhenseyt Sanct Thomans bruck Inn Sanct Elßbethen gaß, einseyt einer Behußung Sigmundt Flachen seligen Witwe vnd erben Zustendig, anderseyt hanns Bochen dem Khüeffer stossent hinden vff heüsser Zu der Marggrauen hoff gehörig, Dauon gondt vier schilling vier pfenning gelts vff der heÿligen Creütz erhöhungs tag dem großen Spittal. Mehr ein guldin gelts vff Sannct Urbans tag ablösig mit 20 guldin Straßburger den Armen des Blaterhauses, Item ein pfund pfenning gelts vff Johannis Baptistæ widerkheüffig mit 20 pfund pfenning wÿland Johan Felsen Schaffners Zu Sannct Marx seligen witwe vnd erben, Item Zwen gulden gelts vff S. Urbans tag widerkheüffig mit 50 gulden Straßburger wyland Conrad von Duntzenheims seligen dochter Daniel Schachen seligen witwe, Item fünff goldguldin geht Vff Sannct Martins tag Stondt In hauptgut 100 guldin In gold abzulösen bemelts Schachen seligen witwe, Item 18 schilling pfenning gelts vff den heÿligen wÿhenacht tag widerkheüffig mit 18 pfund pfenningen Straßburger weÿland Martin Leüwenbrandts deß Notarÿ seligen erben, Item 20 vierthalben guldin gelts Straßburger vff Johannis Baptiste widerkheüffig mit 470 guldin bemeler werung Gabriel Burgern Schreÿnern alß vogt Christopffel Rollen des Brottbecken seligen Kinder (…) vnd sindt auch wÿther Verhafftet für 15 pfund pfenning Straßburger ane bemelter vnser Statt Müntz mit gebürendem Zinß Zubezalen, dafür hannß Lebing. der Schumacher vnd Mathÿß Schöll sich zu Bürgen Obligirt (…) sunst für freÿ ledig eÿgen, Vnd were disser Verkhauff vnd Khauff vber die beschwerden dauon hieoben meldung geschehen daran die Kheüffer gewÿssen vnd über sich genommen Zugangen vnd beschehen für Vnnd Vmb 305 guldin (…)
Hiebeÿ vnd mit sindt gegenwertig geweßen vnser burger Georg Meÿger Notarius, Hanns Burger und Andres Gug der verköufferin bruder harzu erbetten
[in margine :] Erschienen Rochias Zoller der v.khöuffer obgedacht, Hatt In gegensein Roman Mentzers des Khöüffers bekhandt (…) Quittiert vff den 9. Martÿ Anno 609.
[in margine f° 232-v] Erschienen Niclaus Kocher als geschworner Vogt Eua wÿland Rochia Zollers selig Witwe in gegensein Romman Mentzers (…) vff den 8. Junÿ 1610.
[in margine :] Erschienen Benedict Groß der Wÿßbeckh, allß geschworner Vogt Rochÿ wÿland Rochÿ Zollers des Brottbecken seligen Sohns In gegensein Hannß Rinckhen des Brottbeckhen allß Jetzigen besitzers vorgeschribner Behausung (…) Quittirt, vff den xxx Januarÿ Anno & 613.

Le boulanger Romain Mentzer épouse en 1597 Véronique, fille du tailleur Guy Rauch
Mariage, Saint-Pierre-le-Jeune (luth. f° 108-v n° 43)
1597. Dominica XI. Rumius Mentzer der beck vnnd Veronica, Veitt Rauchen des schneiders tochter. Eingesegnet Montag den 15. Augusti (i 58)

Le boulanger Romain Mentzer accorde à son voisin Sigismond Flach le droit d’avoir deux fenêtres qui donnent dans sa cour et qui devont être grillagées.

1609 (10. Novembr.), Chancellerie, vol. 380 (Imbreviaturæ Contractuum) f° 102
Khauff mit einem verzugt Herrn Sigmundt Flachen über die Gerechtigkeit Zweÿer Fenster In Romman Mentzers Behaußung
(Extendirt wie in dem Contractbuch de Anno 1609 folio 153. Zubefinden.) Erschienen Roman Mentzer der Schwartzbeck burger alhier
Vnd hatt in gegenwertigkeit Herrn Leonhardi Rosa der Rechten doctoren In nammen vnd auß befech herrn Sigmundt Flachen auch burgers alhie bekhant
das er verkaufft und Zukhauffen geben, die Gerechtigkeit Zweÿer fenster also und der gestalt das er Romman Mentzer seine erben und nachkommen nicht* macht haben sollen, Ime Herrn Flachen und seinen Erben In seiner Behaußung so auff Sanct Elßbethen gaß gegen der Kholscheüren hinüber gelegen, einseit dem verkheuffer selbs anderseit ein Eck, Hannß Wolffen dem Gartenmann zuständig, die ermelte Zweÿ Fenster, so In sein Rommans hoff sehen, Zuverbauwen, sondern das gebeuw, so Jetzund auffgeführt, In seinem standt und Wesen verpleiben lassen sollen, Auch In Khünfftigem, Weder er noch sein nachkommen macht und fug haben, solches höher Zuführen, als Vom laden an In H Flachen hoff dreizehenthalben Schuh biß an die fürst, Anderseit ins Verkheüffern hoff nur Siben Schuh mit sampt der Pfett* /:hergegen der Kheuffer obgedachte fenster mit eissen grembsen vnd fenstern In seinen costen Zuversehen und Zuerhalten schuldig sein soll:/ Solchem allem als obsteth, hatt er der Verkheüffer für sich seine erben und nachkommen versprochen und zugesagt, (nach zukommen auch das Ir Zinß* so abgeredt) steht vnd vest Zu haben und Zuhalten darwider nicht Zuthun noch schaffen oder gestand. gethan Zu werden In khein weiß noch weg & Vnd Ist dißer Khauff beschehen und Zugangen für vnd vmb 3 Pfund pfenning die er der Verkheüffer Von Ihme Herrn Rosa in nammen Herrn Flachen also bahr empfangen

1614, Conseillers et XXI (1 R 95) Veltin Sommer contra Ruman Mentzer. 205.

Romain Mentzer et sa femme Véronique vendent la maison au boulanger Jean Rinck. Un premier acte en octobre 1612 n’est pas terminé. La vente est passée le 9 novembre suivant.

1612 ([xiij / xiiij 8.bris]), Chancellerie, vol. 400 (Registranda Kügler) f° 278
(nil actum – für ledig eyg, lb 1250) Erschienen Rumman Mentzer Brottbeck vnd veronica sein eheliche hußfrauw hab. vnuer. Verkaufft
hanns Rinck Brottbeck
huß hoffestatt v hofflin mit all Ir gebeuwen geleg. Inn d. S S. Jhenseyt S thoman bruck Inn S Elßbethen gaß einseÿt hanns wolffen gartenmann andersyt hans Bochen dem Khüffer stoßen hind. vff heüser Zu der Marggrafen hoff gehörig, dauon gnd. Wie In pr 607 fo. 231. Zusnd*, Wÿther verhafftet für 120 guld. Zu xv batz So vor der Zeyt Zubezalen versilbern Rochÿ Zollers selig. erben, Mehr für xviij lb d Veyt Rüchen dem Schnÿder Zubezal. So dann f. xxviij lb d herrn Wolffgang Schötterlins Altameyster selig. erben (…) der Khauff vber die beschw. für [interrompu]
(vide 607. fo. 230)

1612 (ut spâ [9. 9.bris]), Chancellerie, vol. 400 (Registranda Kügler) f° 304
Erschienen Romman Mentzer der Brottbeck vnd Veronica sein eheliche hußfr. hab. vnuer: verkhaufft
hannß Rincken Brottbecken
huß hoffestatt V hefflin mit allen Ir gebew geleg. In d. St. Straßbg St Thomans bruck Inn S Elßbethen gaß einseÿt neben hanns Wolffen gartenmann and.sÿt hannß Bochen dem Khuffer stoßend hind. vff heüßern In des Margraffen hoff gehörig, dauon gnd iiij ß iiij d vff der heÿlig. Creütz erhöhung tag Sie seÿen ewig od. ablößig wie solche In hauptbrieffen befund. weren* also solle der Kheüffer vber sich nemm. Mehr 1 guld. gelts vff S Urbans tag loßig m xx g SW der Armen des Blaterhaußes, wyther lb d glts vff Joh. Bapt: lösig m xx lb d wyland Johann Felßen Schaffners Zu S Marx selig witwe v. erben, It. Zwen guld gelts vff S Veltins tag ablesig m 50 gulden SW herr Sebastian Schachen, Item 5 gold gulden gls Vff S Martins tag Std In hauptgutt j C guld gld abzulösen hieher* Jed. für xxvj batzen gerechnet vl*. Lxxxvj lb xiij ß iiij d, Item xviij ß d gelts vff d. heÿlig weÿhenacht. tag loßig m xviij lb d Martin Leuwebrandt Notarÿ selig. erb. Item zwantzig Vierthalb. guld gl. SW vff Johannis Baptistæ widerkeüffig mit 400 guldin SW Christoffell Rollen dem Brottbeck seligen Zweÿen Söhnen doch wann (…), weÿther verhafftet für xv lb d Conrad Menger Kurßner V hanß Rummel schuemacher für schadloßhaltung der Bürgschafft gegen den herren der Münßen 120 guldin zu xv batzen SW vor der Zuge* Zubezalen versilbern Rochÿ Zoller Brottbecken seligen erben, Mehr für xviij m d Veyt Ruchen dem Schnyder Zubezahl. ist bitzher (…), So dann xxvij lb d herr Wolffgang Schütterlins Altammeÿsters selig erben in (…) Sunst für ledig eÿgen, V all Recht & der Khauff vber obbestimpte beschwerd. Zugangen vmb 96 pfund
Es soll auch Inn dießen Kauff selbst gehörig die Meel s dÿlen Zum Becken handwerck gehörig die* In der weder*stube v gatter beÿ den fenstern (…)

Le boulanger Jean Rinck fait baptiser son fils Jean Henri le 25 février 1593
Baptême, Saint-Nicolas (luth. f° 233-v n° 16)
1593. den 25. Febr. Mit dieß. ist getauft worden Joh: Henricus Hans Rinck deß Becken Sohn. vnd sind gevettern gewesen (…)

Vente par les enfants de Jean Rinck l’aîné, dont son fils Jean Rinck marié avec Marie Jung.
1603 (xiij Julÿ), Chancellerie, vol. 348 (Registranda Kügler) f° 245
Erschienen Hannß Rinck der Brottbeck V Fr. Maria Jungin sein eheliche haußfr. burg. alhie Martin Meyger der Brottbeck Zu Woluißheim Vnd Marien sein eheliche haußfr. bmlts Hannß Rincken schwester für sich, So dann Diebolt Jäger Schiffman alls geschworner Andres v Salome bemelt. hannß Rincken v Marien geschwisterd, wÿland hanns Rincken des Brottbeck selig Kinder vögtlich weÿß Inn namen seiner vogtsdochtter für dieselb. (verkaufft)

Les Quinze dont le registre de 1603 manque autorisent le boulanger Jean Rinck à s’établir à Illkirch. Les préposés de la Taille le renvoient aux Conseillers et Vingt-et-Un pour une notification.
1603, Conseillers et XXI (1 R 82)
(f° 381-v) X. Decemb. – Hans Rinck der Beck es hetten Ime mhh xv vor dissem erlaubt gen Illkirch zu ziehen vnnd were er weg. eines Zeduls herauf Zu m hn von den *gern des Stalls gewisen. Bitt den werd. Zulassen. Erk. Ist willfahrt. h. Trenß Ego dedi eodem die

Jean Rinck demande aux Quinze le droit de construire un four dans la maison qu’il a achetée à Illkirch
1604, Protocole des Quinze (2 R 32)
(f° 73). Sambstag den 28. Aprilis – Hannß Rinck.
Hannß Rinck der beck p. pastolern übergibt ein Splôn, so verlesen, darinn referirt er sich vff ein Splôn, so er vor einem Jahr übergeben, vnd bittet Imle Zugönnen, das er ein bachoffen, In seiner erkaufft. behaußung Zu Illkirch bauwen vnd vffricht möge, auß eingeführten ursachen, & Ist der Receß Im ferndig. protocoll fol. 113. wie auch ein Receß fol. 105. daruff sich der vorig. referirt, gelesen. Erkandt Zubedacht Ziehen, der Vogt darüber hören oder auch den Schultheißen. Ist den Landtherren beuolhen B. Mr.

Le boulanger Jean Rinck hypothèque la maison au profit de Jean Christophe Küstner

1614 (4. tag Januarÿ), Chancellerie, vol. 413 (Registranda Kügler) f° 2
(Inchoat. fol. 2.) Erschienen hans Rinck der Brottbeck
hatt in gegensein herrn hannß Christophel Küstner – schuldig sige 800 pfund pfenning Straßburger darunder begriffen 625 pfund So herr Johann Christophel Kürstner vonn sein hanns Rincken an hernach geschribner erkhaufter Behaußung (…)
vnderpfand huß v. hoffestatt v. hofflin mit all Ir gebeu gel. Inn der S S Jhenseyt Sant Thomans bruck bey der Kol scheuren Inn der vberzwerchen gaß der Elßbethen gaßen Zu einsyt hanns Wolffen gartenmann andersyt hans Bochen Khuffer stossent hind vff heüßer In dem Margräuischen hoff gehörig, dauon gend. vier schilling vier pfenning dem mehrern Spittal Sunst eyg.

La maison revient à son fils Jean Henri Rinck qui épouse en 1616 Madeleine, fille du menuisier Thiébaut Kœbel

Mariage, Saint-Nicolas (luth. f° 109-v n° 18)
1616. den 11. Junÿ sind ehelich eingesegnet worden hannß Heinrich Rinckh der Schwartzbeckh, hanß Rinck des Schwartzbecken vnd Burgers alhie Sohn, vnd Jungfrauw Magdalena dieboltt Koebels des Schreiners vnnd Burgers alhie tochter (i 120)

Jean Henri Rinck se remarie en 1625 avec Ursule, fille du tonnelier Jean Boch (propriétaire de la maison voisine rue Saint-Louis)
Mariage, Saint-Nicolas (luth. f° 142 n° 28)
1625. Dominica III Trinitatis 1. vice. Hanß Heinrich Ringk der Beck und burger alhie vnd Jungfr. Ursula Hanß Bochen des Kieffers vnd burgers allhie Eheliche tochter (Zinst. Post 4. trin. Zu S. Claus (i 155)

Jean Henri Rinck qu habite rue des Bouchers demande l’autorisation de vendre de la farine.
1632, Protocole des Quinze (2 R 58) Hannß Heinrich Rinck umb Meelwerckh. 16. 28. (wohne im Metzgergießen)

Jean Henri Rinck loue la maison au boulanger Jean Israël Faust qui cède ses droits l’année suivante à Guillaume Wenck.

1631 (ut spâ. [19. octobris]), Chambre des Contrats, vol. 470 f° 524-v
Erschienen Hanß Israel Faust Schwartzbeckh vnd burger Zu St.
hatt in gegensein hanß Heinrich Rincken auch Schwartzbecken alhie,
bekant, daß Er von demselben Zweÿ Jarlang die von Jüngst verschinen Galli annechst nach einand. volgend, vffrecht entlehnet vnd bestanden (…) sein Behausung mit allen ihren gebäwen alhier in der Frawen Brüedergaßen, nicht weit von der Kohlschewren gelegen, verleühen hat für vnd vmb 64. fl. a 15. bz. Järlich Zinses
[in margine :] Erschienen hanß Israel Faust, hatt in gegensein Wilhelm Wencken bekannt, daß Er demselben dise Lehnung ubergeben für die noch restirende 5. viertel Jar umb 70. fl. vnd j. Reichßthaler, Jedoch will er Faust ein alß den andten weg gegen Rincken v.hafft verbleiben, vnd ihne Wencken gegen densemben v.treten Act. den 18. Junÿ 1632.

Jean Henri Rinck hypothèque la maison au profit du fondeur de pichets Isaac Faust

1631 (ut spâ. [19. octobris]), Chambre des Contrats, vol. 470 f° 525
Erschienen hanß heinrich Rinck d. schwartzbeck vnd burger Zu St.
hatt in gegensein Isaac Fausten, kannengüeßer auch burgers alhie – schuldig seÿ 50 Pfund
dafür Vnderpfand sein soll hauß und hoffstat mit allen and. ihren gebäwen & alhier in der Frawen Brüedergaßen, nicht weit von d. Kohlschewren, neben hanß Bochen dem küeffer & hanß Schwager Schloßer hind. vff den Marggäfischen hoff, stoßend gelegen, so zuuor noch v.hafftet vmb 100. goldgld. vnd 50. gld. St. w. H Sebastian Schachen XV. So dann vmb 1 lb d dem Blaterhauß alhie

Le cordonnier Adam Ferich et Anne Marie Rinck et Ursule Boch cèdent leurs parts de maison à leur frère et beau-frère Jean Henri Rinck, assisté de son ancien tuteur Jean Mœgelé

1644 (9. april.), Chambre des Contrats, vol. 493 f° 237-v
(Prot. fol. 351.) Erschienen Adam Förich der Schuhmacher alß Ehevogt Annæ Mariæ Rinckhin, weÿl. hannß Heinrich Rinckh deß Schwartzbeckh. seel. ehelich. dochter, und alß geschworner Vogt Ursulæ Bochin, deroselb. Stieff Schwester
hatt in gegensein hannß Henrich Rinckh deß Schwartzbeckh. seines Schwagers mit beÿstand hannß Mögele deß Meelmanns seines noch ohnentledigt. Vogts, und Hannß Nägele deß Biersieders Zum Rißen seines Vettern
Ihr der bed. Ehe: und Vogts Persohnen Antheiler ahne Einem Schwartzbeckhen hauß mit deren Hoff, hoffstatt, Bronnen, Bachoffen, Schopff, Stall, Bach Kuchen und allen andern deren Gebäwen, alhier in St: Elisabeth Gaß neben hannß Bochen ein: und anderseit neben hannß Schwagern dem Schloßer, hind. vff H Georg Jägern den Notarium und Vogteÿ Gerichtschreiber, stoßend geleg. daran daß übrige ihme käuffern Zuvor Zuständig, von welcher Behaußung gehend 4 ß 4 d iährlich vff Creutz Erfindung ewigß gelts dem mehrern hospitals, Mehr 5 gold fl. in specie alle Jahr vff Martini lößig mit 100. gold fl. Bastian Schranckhenmüllers Erben, It. 2. fl. gelts straßb. wehr. ied. Jahrs vff Urbani lößig mit 50. fl. berührter wehr. erstgemeldt. Erben, Vnd dann 1 fl. gelts lößig mit 20. fl. Wehr. vff Urbani dem Blaterhauß alhie (übernohmen), Zugangen umb 156 Pfund
[in margine :] Erschienen /:tit:/ Johann Jacob Richßhoffer, alter Ammeister, alß Pfleger und H Johann Paul Tromer Not. publ. alß Schaffneÿ Verweser hierinn bemelten Blaterhaußes, haben in gegensein Michel Wöhrle, Haußfeürers, im Nahmen Hannß Georg Harren deß Haußfeurers, alß proprietarÿ hierinn beml. Schwartzbecken haußes in St Elisabeth gaß liegend, welches Er Wöhrle alß Ehevogt Susannæ gebohrner Gärtnerin alß weÿl. Hannß Georg Harren, deß Haußfeurers seel. Wittib lebtägig zu genießen hat (quittung) Act. d. 4. Junÿ 1714.

Fils du précédent, Jean Henri Rinck épouse en 1644 Anne Marie, fille du tonnelier Georges Holtzschuh : contrat de mariage, célébration
1644 (1.4.), Not. Ursinus (Jérémie, 60 Not 44) f° 61-v
Eheberedung – Zwischen dem Erbahren undt Bescheÿdenen Hannß Heinrich Rincken, dem Becken, weÿland deß Ehrenhafften vnd Achtbahren Hannß Heinrich Rincken, geweßenen Schwarzbecken vndt burgers alhie Zue Straßburg seeligen hinderlaßenen Sohn, ane einem,
vndt der Ehren: undt Tugendsammen Jungfrawen Annæ Mariæ Holtzschuhin, auch weÿlandt deß Ehrenhafften Georg Holtzschuhs, geweßenen Küeffers undt burgers alhie seeligen hinderlaßener dochter am Andern theil
In beÿsein vndt auff underhandlung der Ehrenhafften, Achtbahren vnd Ehrsamen Herren Hannß Mægels Meelmanns sein deß hochzeiters geschwornen Vogts, Adam Ferichs Schuhmachers, seines Schwagers, herren Hannß Negellins, Biersieders Zum Riessen vndt Hannß Wolffen Garttenmanns seiner beeder Vetter, auff sein deß hochzeitters, So dann auf Ihr der Jungfrauwen hochzeitterin seithen Lorentz Arnoldts, Küeffers, Ihres Stiettuatters, vndt Christoph Gerings, Schuhmachers Ihres geschwornen Vogts, aller burgere alhie Zu Straßburg
So beschehen vndt verhandelt In dießer deß heÿligen Reichs freÿen Statt Straßburg auff Montag den ersten tag Aprilis Im Jahr deß Herren Alß mann Zahlte 1644.

Mariage, Saint-Nicolas (luth. f° 228-v n°8)
1644. Dominica Misericordiarum Hanß Heinrich Rinckh der Schwartzbeck vnd burger allhie Hanß Heinrich Rinckhen des Schwartzbecken vnd burgers allhie Ehelicher hinderlaßener Sohn, vnd Jungfrau Anna Maria Georg Holtz Schuhs gewesenen Kieffers vnd burgers all. Eheliche hinderlaßene tochter Copulatio Mont. post Jubilate ad S. N. (i 247)

Jean Henri Rinck hypothèque la maison au profit du cordonnier Adam Ferich

1646 (26. febr.), Chambre des Contrats, vol. 497 f° 97
Erschienen Hannß Heinrich Rinck der Schwartzbeck burger Zu Str.
hatt in gegensein Mr Adam Ferichs deß Schuhmachers auch Burgers alhie seines Schwagern
bekannt, demnach Weÿl. Tobias Holtzschuh der küeffer alhie seel. sein hans Henrichen, wie auch seiner Schwester Annæ Mariæ, ernants ferichs ietzmaliger haußfr. Vogts geweßen, Vnd in deßelben Rechnung de Anno 1634. biß 1639 befindlich seÿe (…)
deßen Zu gewißer V.sicherung hatt Er Debitor zu Und.pfandt verlegt hauß, hoff, hoffstatt, Stallung Und alle dero Übrige Zugehördt gelegen Jenseit S. Thomans Brucken hind. der Kohlscheuren, in der Elßbethen gaßen einseit neb. hannß Schag. dem Schloßer and.s. Philipß Boch. dem küeffer, hind. Vff herrn Georg Jeg. Notm. Vogteÿ gerichtßrbrn. stoßend, davon gehen Jahrs vff Creutz erfindung 4 ß 4 d. Ewigs Gelts dem Mehrern hospithal, Item 5. gold fl. in specie alle Jahr vff Martini, ablößig mit 100. gold fl. weÿl. Sebastian Schranckenmüllers seel. Erben, Mehr 2. fl. geltd str. wehr. Jahrs vff Urbani wid. Käuffig mit 50. fl. berüerter wehr. erstgemeldten Erben, Mehr 1. fl. geltd lößig mit 20. fl. weh. vff Urbani dem Blatehauß alhie, So ist diße Behaußung auch v.hafft. vmb 70. lb Ursulæ Bochin sein Debitoris Stieffschwester Rest am Kauffschilling

Jean Henri Rinck loue une partie de la maison au boulanger Gaspard Fuchs

1647 (29. Xbr), Chambre des Contrats, vol. 498 f° 670-v
Erschienen Hannß Heinrich Rinckh d. Schwartzbeckh
hatt in gegensein Caspar Fuchßen deß Schwartzbeckh.
Verlühen habe, in sein Rinckh. alhie in St. Elisabeth. Gaßen gelegener Behaußung, daß Bachhauß, Zwo Stuben, eine vff die Gaß und eine in den Hoff, den gantzen Frucht Kast. und eine Kammer in den Hoff, den halben theil am Keller Zweÿ Schweinställelein und daß Holtzhauß, vff zweÿ Jahr lang von nechstverwich. Weÿhenacht. angerechnet umb einen iährlich. Zinnß benantlich. 14. lib

Jean Henri Rinck hypothèque la maison au profit des enfants du farinier Jean Reuffel

1651 (5. martÿ), Chambre des Contrats, vol. 510 f° 187-v
Erschienen hannß Henrich Rinckh der Schwartzbeckh
hatt in gegensein Paul Schwanfelders deß schwertfegers alß Vogts weÿl. hannß Reuffelß deß Meelmanns seel. Kind. – schuldig seÿen 25. lib
Und.pfand sein soll sein deß Schuldners schwartzbeckhen hauß mit allen deßen Gebäwen alhie in St. Elisabethen Gaßen, einseit neben hannß Schwagern dem Schloßern, anderseit neb. Philipß Boch. dem Küeffern, hind. vff H Georg Jägern deß Not. und Vogteÿ gerichts schreibern stoßend gelegen, so Zuvor verhafftet ist umb 100. gold fl. und 50 fl. wehr. Michael Schranckhenmüllers Kind. Item umb 225. lib. Friderich Henningke dem schwartzbeck. so gehnd auch davon iahrs 10. ß ins Blaterhauß und 4. fl. in den hospital
Vnd deß. Zu mehrern Versicherung so ist auch hiebeÿ persönlich erschienen Lorentz Arnold der Küeffer sein deß Schuldners Schwäher, der hatt sich für diße Schuld biß Sie völlig Wirt bezahlt sein, Zum Bürg ernannt (…). Hierauff ist auch erschienen Anna Maria Holtzschuchin deß Schuldners eheliche haußfr. mit beÿstand obernannts Lorentz Arnoldts ihres stieffvatters und hannß Georg Holtzschuchß deß Küeffers ihres Bruders alß deroselb. hierzu erbettener nechster Verwanther

Anne Marie, veuve du fournier Jean Henri Rinck, se remarie en 1654 avec le fournier Martin Harr, fils du boulanger Martin Harr : contrat de mariage, célébration

1654 (14. Febr.), Chambre des Contrats, vol. 516 f° 99-v
(Eheberedung) Erschienen Martin Harrer haußfewrer und Burg. alhie alß hochzeiter, mit beÿstand Abraham Mentelß deß Fischers seines noch ohnentledigten. Vogts und hannß Hammen deß weißbeckhen beed. Burg. alhie, an einem,
So dann Anna Maria, weÿl. hannß Henrich Rinckh deß haußfewrers und Burgers alhie nunmehr seel. nachgelaßene wittib, alß hochzeiterin mit beÿstand Sebastian Rinckh. deß Küeffers ihres Vogts, Lorentz Arnoldts deß küeffers ihres Stieff Vatters, und Friderich Henningh deß haußfewrers ihrer Kind. Vogts, alle Burgere alhier, am andern theil

Mariage, Saint-Nicolas (luth. f° 248 n° 5)
1654. Eadem Dominica [Dominica Reminiscere] Martin harrer der Schwartzbeck, Martin harrer des weißbecken Sohn, und Anna Maria, hanß Heinrich Rincken des schwartzbecken hinderlaßene wittib. Mont. Clauß (i 263)

Anne Marie, femme de Martin Harr et le tuteur de ses trois enfants issus de Jean Henri Rinck hypothèquent la maison au profit de Balthasar Scheid, professeur en théologie et en langues orientales

1657 (2. 9.br), Chambre des Contrats, vol. 522 f° 474
Erschienen Anna Maria, Martin Haren deß haußfewrers eheliche haußfrau, mit beÿstand erstermelts ihres Ehevogts, Vnd Friderich Henning der haußfewrer alß Vogt Annæ Elisabethæ, hannß Henrichs und Heinrich Georgs, ihr Annæ Mariæ mit weÿl. H. Henrich Rinckh. dem haußfewrer nunmehr seel. ehelich erziehlter Kind.
in gegensein deß Wohl Ehrwürdig hochgelehrten H Balthasar Scheid. SS Theol. Doct. & linguarum orientalium Professoris in Vniversitate patriæ, alß auß mittel EE. Collegiat Stiffts Zu St. Thoman hierzu Deputirter mit beÿstand H Johann Jacob Mosetters alß Schaffners erstgedacht. Stifts
bekannt, daß Sie die Rinckhische wittib und Kinder, von H Probst. dechan und Capitul mehrgemelt. Stiffts St. Thoman ane denen, Zur reparation der gemeinen Mauren, welche Zwischen der Rinckhischen und etwann Bochisch: ietzo Thomannischen: neben einand, vff St. Elisabeth. Gaß. gelegenen Behaußung. stehet, verwendet 10. lb. 1 ß 8 d

Martin Harr et sa femme Anne Marie hypothèquent la maison au profit du cordonnier Michel Henning

1660 (16. febr.), Chambre des Contrats, vol. 525 f° 197
Erschienen Martin Harrer der haußfewrer, und Anna Maria seine eheliche haußfrauw, Und Sie Anna Maria insonderheit mit beÿstand Lorentz Arnoldts deß Küeffers ihres Stieffvatters und hannß Georg Holtzschuhs deß küeffers ihres eheleiblich. Bruders, alß deroselben hierzu erbettener nechster Verwanther
in gegensein Michael Hänningen deß Schuhmachers – schuldig seÿen 25 pfund
Unterpfand sein soll eingangß gemelter Annæ Mariæ Antheil Einer alhie in St. Elisabeth Gaßen gelegenen Schwartzbeckhen behaußung daran daß übrige ihren, mit weÿl. hannß Henrich Rinckh. den haußfewreren ihrem vorig. Ehemann erziehlten Zweÿen Kindern gehörig, Zumahlen die gantze Behaußung vorhero umb 4 ß 4 d ewigs Gelts dem mehrern Hospital, Item umb 100 Golt fl. (…)

Les mêmes hypothèquent la maison au profit de Jean Hartmann Wœrtz, receveur de l’Orphelinat, en l’occurrence les parts d’Anne Marie et de ses deux enfants en premières noces. En marge, quittance remise en 1697 à Susanne Gartner, femme du fournier Jean Georges Harr

1661 (25. Julÿ), Chambre des Contrats, vol. 526 f° 513
Erschienen Martin Harrer der haußfewrer und Anna Maria sein Eheweib Und Sie Anna Maria insonderheit mit beÿstand H Johann Peter Schmidts und H Andres Gerings beed. alß aus E.E. groß. Raths mittel ahne statt nechster Verwanth hierzu Deputirter
in gegensein H Johann Hartmann Wörtzen alß Schaffners deß Waÿsenhaußes – schuldig seÿenn 50 Pfund
Unterpfand sein soll ihr Annæ Mariæ Antheil an Einer alhie in St. Elisabeth Gaß gelegener Schwartzbeckhen behaußung daran daß übrig. ihren, mit weÿl. hannß Henrich Rinckh dem haußfeurern ihrem vorig. Ehemann erziehlten Zweÿen Kindern gehörig Zumahlen die gantze Behaußung vorhien umb 4 ß 4 d iährlich. und ewig. Zinnßes dem mehrern hospital, Item umb 100 gold fl. und 50 fl. straß. wehr. beede Capitalia H Hannß Wörnern großen Rhats Verwanth. so dann umb 20. fl. besagter wher. dem Blaterhauß verhafftet
[in margine :] (…) in gegensein Susannæ gebohrner Garttnerin, Hannß Georg Harren deß Haußfeurers ehelicher Haußfrauen, welchem die hierinn beschriebene becken behaußung nunmehro allein gehörig (quittung) act. d. 15. april 1697.

Martin Harr et Anne Marie Holtzschuh hypothèquent la maison au profit de l’Eglise Rouge pour rembourser des capitaux garantis sur la maison, dont celui d’une constitution de rente de 1501

1673 (8. Aug.), Chambre des Contrats, vol. 541 f° 447-v
Martin Harr der Haußfeurer und Anna Maria Holtzschuehin sein Eheweib und Zwar dieselbe insonderheit mit beÿstand hannß Georg Holtzschuehs deß Kieffers ihres eheleiblichen Bruders, und H. Christoph Bleÿfuß deß Saÿlers und E.E. Stattgerichts beÿsitzers ihres Vettern
in gegensein Philipp Jacob Erhardts deß Scribenten, im nahmen herren Johann Schmidts alß Schaffners der Rothen Kirch, bekannt daß Sie beÿde Eheleuth ohnverschaidentlich besagter Rothen Kirch uffrecht und redlich schuldig seÿen 392 fl. Ihnen Zu dem Ende bahr gelühenen Gelts, daß Sie damit weÿl. herren Johann Wörners Alten Großen Rhats Verwanthens nunmehr seel. nachgelaßene Kindern und Erben, Ursulæ Aÿdin, Catharinæ Gaßnerin, Ulrich Greiners deß Mehlmanns ehelicher Haußfrau und Lienhard Wöhrtlin dem Weißbeckhen Erstlichen die Jenige 100. Golt fl. so eingangß gemelte beÿde Eheleut, Vermög eines latinischen pergamentinen 7. t. Novembr: a° 1501 mit deß Hoffs Zu Straßburg anhangendem Insigel Verfertigten Zinnßbrieffs Jährlich. uff Martini mit 5. Golt fl.
Von uff und ab ihrer in St. Elisabethen Gaßen gelegenen Wohn behaußung Zu raichen schuldig, Vnd dann die Jenige 50. fl. straßburger wehrung so erwehnte beÿde Eheleuth nach besag eines lateinischen pergamentinen 9. Calend. Maÿ a° 1538. mit gedachts Hoffs anhangendem Insigel Von angezogener Behaußung Zugeben und iährlich. termino Urbani mit 2. fl. erwehnter wehr. Zu Ver interessiren Obligirt seind, ablößen und dann die ienige 32. fl. 5. ß 6. d davon uffgeloffene Zinnß Und Statt Gerichts Vnkosten bezahlen können, (…) inmaßen dann H. hannß Georg Wörner Zoller ahn der Rheinbruckh für sich selbst. und Herr Samuel Geudlin Med. Doct. et Practicus alß Ehevogt frawen Annæ Geudlin gebohrner Wörnerin und beede im nahmen Herrn Francisci Wörners Pfarrers Zu Kolbßheim ihres resp. eheleiblichen Bruders und Schwagers und Von weg. Ursulæ Aÿdin deren Vogt obg. Herrn hannß Wörner geweßenen, wie auch ihr Ulrich Greiner ehevögtlicher weißen (empfangen zu haben bekannten)
Dabeÿ geweßen hannß Wernhard Aÿd und Andres Rheinthaler beÿde Schuhmacher obg. Ursulæ Aÿdin resp. eheleiblichen Bruder und Schwager.

La maison appartient ensuite au boulanger Jean Georges Harr, fils des précédents, qui épouse en 1684 Susanne, fille du cordonnier Georges Gartner. Il devient seul propriétaire de la maison d’après la quittance mentionnée plus haut

Mariage, Saint-Pierre-le-Vieux (luth. f° 197-v n° 17)
1684. Junius d. 12. Hans Georg Harr, d. ledig. schwartzbeck, Hanß Martin Harren des schwartzb. v. burg. hint. ehl. sohn, J. Susanna, Georg Gartners des schumach. v. burgers hinterl. ehl. tochter (i 199)

Le fournier Jean Georges Harr vend la maison boulangerie à son frère apprêteur de tabac Martin Harr. La vente est résiliée pour lésion suivant sentence du 18 novembre 1694.

1692 (24.9.br), Chambre des Contrats, vol. 564 f° 746
(prot. fol. 93.) Erschienen hans Georg Harr, der Haußfeurer
hatt in gegensein Martin Harr, deß ledig. Tabac bereiters, seines leiblich. Bruders, so majorennis mit beÿstand hans Jacob Riedels, deß Schwartzbeck. seines noch ohnentledigten Vogts
Eine Becken behaußung, mit hoff, hind. hauß und der hoffstätten, Bronnen, Bachoff., Schopff, Stalln bauchküch. und allen übrig. deren Gebaüen Recht und Zugehördt, allhier in der Elisabether gaß, ohnweit St. Louys Kirch. einseit neben Isaac Göbel, dem Schloßer Zum theil, und zum theil neb. Lorentz Bauren dem Schuhmacher, Zum theil auch neb. einer Scheur weil. H. Niclaus Clausen gewes. E.E. großen Raths beÿsitzers sel. Erben gehörig, anderseit neben H. Johann Henrich Lang, Not. Publ. hinten auff d. so genandten Marggräffisch. Hoff stoßend geleg. darvon gibt man 4 ß 4 d Ewiges gelds jährl. vff Creutz erhöhung dem Mehrern Hospital allhier, So seÿe dieselbe auch noch umb 143 lb der Roth. Kirch, umb 50 lb Capital dem waisenhauß, Noch umb 10 lb Capital dem blaterhauß verhafftet – umb 63 pfund
Darbeÿ ist verglich. (…) Drittens soll d. Kaüffer schuldig sein Ihrer beed. Schwester Annen Marien so übel siehet, und d. Verkaüffer Zu verpfleg. hat, lebtägig und ohnvertreib. Zumahl ohne Entgeld auff d. Fall da d. Verkaüffer vor Ihro versterb. solte, darin wohnen zu laß.
[in margine :] Pro Nota, dießer Verkauff ist durch E.E. Großen Raths am 28.ten Febr. 1693. ergangenen, am 4. Mart. Eod. publicirt. und durch E. hochlöbl. Cammergerichts allhier am 18. 9.br. 1694 ertheilte Sentenz confirmirt. bescheid, als collusione getroffen und für einen Pletschkauff erkand, demnach solche verschreibung wid. cassirt word.

L’apprêteur de tabac Martin Harr loue la maison à son frère Jean Georges Harr.

1692 (25.9.br), Chambre des Contrats, vol. 564 f° 753
Martin Harr, der Tabacbereiter mit beÿstand hans Jacob Riedels, haußfeurers seines noch ohnentledigten Vogts
hans Georg Harr, deß Haußfeurers, seines leiblich. bruders
entlehnt, diejenige behaußung, welche Er Meister Ihme hans Georg alllererst abgekaufft und gestrig. tags in d. Contractstub verschrieb. laßen, außerhalb denjenigen hind. Stock über den Keller welchen bißhero hans Georg ingehabt anietzo aber Martin d. Verleiher sich reservirt, aber allein Vor seine person zu bewohnen, auch solle der Keller und die bühnen beed. theilen Gemein zugebrauch. verbleiben, umb ein wochentlich. zinß nunmehr 8 ß d. in geld und einen halb. Sester brod alle Sambstag

Jean Georges Harr et Susanne Gartner hypothèquent la maison au profit de Jean Frédéric Sachs, receveur de l’Orphelinat

1697 (15.4.), Chambre des Contrats, vol. 569 f° 208
hans Georg Harr, der haußfeurer und Susanna geb. Gärttnerin und zwar dieselbe mit beÿstand hans Georg Gärttners deß Schuhmachers Ihres leiblich. Bruders und hans Henrich Reußners des Spillentrehers ihres Schwagers
haben in gegensein H. Johann Friderich Sachßen, Schaffner deß waisenhaußes, schuldig seÿen 50 pfund
unterpfand, Eine Schwartzbecken behaußung, sambt hoff und hoffstatt, bronnen, backoffen, Schopff, Stall, bauchküchen, und allen andern deren gebaüen, begriffen, weith., Recht. und Zugehörden allhier in St. Elisabethen Gaßen, einseit neb. Michael Bauren dem Küffer, anderseit neben Caspar Großen deß Schloßers Ehevögtlicher weiß, hind. auff lorentz Bauren und eine Stallung zu deß Hn Marquis de Chamilly behaußung gehörig stoßend gelegen, darvon gibt man 4 ß 4 d Ewigs gelds jährlich auff Creutz erhöhung dem Mehrern Hospital allhier
[in margine :] (in gegensein) Michel Wöhrle, Haußfeürers hierinn ged. Harren, des Schuldners seel. Ehe Nachkommens (Quittung), den 5. maÿ 1714

Veuve de Jean Georges Harr, Susanne se remarie avec le fournier Michel Wehrlin, originaire d’Ammendorf près de Nuremberg : contrat de mariage, célébration

1699 (18.5.), Not. Kolb (Jean Pierre, 23 Not 14)
Eheberedung Mstr Michael Wehrleins deß ledigen haußfeurers und burgers alhier
und Frn Susannæ weÿl. Mstr geörg Harren geweßenen haußfeurers vnd burgers Zu Straßb. hinderlaßener wittib auffgerichtet den 18. Maÿ Anno 1699.
zwischen dem Ehrengeachten Mstr Michael Wärleins dem ledigen haußfeürer und burgern alhier weÿland deß Ehrsamen und bescheidenen Jacob Wehrleins geweßenen burgers Zu Nammendorff beÿ Nürenberg gelegen ehelich hinderlaßenem Sohn, dem hochzeiter ane Einem
So dann der Ehren: und tugendsamen Frauwen Susannæ weÿl. Mstr Geörg harren geweßenen haußfewrers und burgers alhier Zu Straßburg seel. hinterbliebener wittib der fr. hochzeiterin andern theils
so beschehen und verhandelt in der Königl. freÿen Statt Straßburg auf Sontag den 17.ten Maÿ Anno 1699. [unterzeichnet] Michael Werlein Als hohzeiter be känne Wie ob steht, Sußanna harrin hozeitin

Mariage, Saint-Nicolas (luth. f° 56 n° 8)
Mittwochs den 17. Junÿ St. n. 1699 seind nach zweymahliger Außruffung in der Pfarrkirchen Zu S. Niclaus in Straßburg copulirt und eingesegnet worden Michael Werle der ledige Schwartzbeck von Ammendorff beÿ Nürnberg, vnd burger alhier weÿl. Jacob Werle, gewesen ackermans daselbsten nachgelaßener ehl. Sohn, und Fr. Susanna Harrin, weÿl. Johanneß Harren gewesenen Schwartzbecken und burgerß alhier nachgelaßene wittwe [unterzeichnet] Michael Werlein schwartz beck Alss hoch Zeiter, Susanna harrin als hoch Zeiterin (i 59)

Les nouveaux mariés font dresser l’inventaire de leurs apports dans la maison dont la femme a la jouissance viagère. Les apports du mari s’élèvent à 159 livres, ceux de la femme à 451 livres.

1699 (15. 8.br), Not. Kolb (Jean Pierre, 23 Not 2)
Inventarium und beschreibung aller der Jenigen Haab und Nahrung so Mstr. Michael Wörlein der haußfeurer und Fr. Susanna gebohrne Gärtnerin beede Eheleuthe und burgere alhier einander in dießen Ihren Ehestand unverändert Zusammen gebracht (…) Actum in der Königl. freÿen Statt Straßb. in ferneren beÿsein herrn Balthasar Biswiwalds der frawen annoch ohnentledigten vnd herrn Johann Jacob Brunnen deroselben Sohns geordneten vogten auff Donnerstag d. 15. 8.bris Anno 1694.
Copia Auß E. E Vogteÿ Gerichts des Statt Straßb. Memoriali de Anno 1709. Sambstag d. 21. 10.bris. Weÿl. Mstr. hanß geörg harren geweßenen Schwartzbeckens Verlaßenschafft in specie aber hanß geörg harren deß hinderlaßenen Sohns Legitimam betr. (…)
Inn einer alhier in der Statt Straßb. ohnfern St. Louis Kirchen gelegenen und von beed. Eheleuten bewohnend. behaußung ist befunden worden wie volgt
vf der obern bühnen
Auß E. E Vogteÿ Gerichts des Statt Straßb. Memoriali de Anno 1699. Mittwoch den 15. Julÿ. Zu Wißen: demnach Anna Maria Harrin weÿl. Martin Harren geweßenen schwartzbeckers tochter seit Anno 1685. beÿ Johann geörg harren auch schwartzbecken nunmehr seel. und Susanna gebohrner gärtnerinn seiner haußfr. in Kost, losament vnnd übriger Verpfleg. geweßen (…)
Norma hujus invent. deß Manns in den Ehestand gebrachte Varnus v. mobilien 159 lb
Hierauff wird auch der Frn Zugebrachte Nahr. beschrieben 451. lb
Bericht Ane statt Widembs Verfangenschaft. Es hätte zwar Fr. Susanna gebohrne gärtnerin, weÿl. hanß Geörg harren, dero Erstern Manns seel. gantze Verlaßenschafft vermög codicilli usq. ad legitimam lebtägig zu genießen gehabt worunder auch absonderlichen die becken behauß. begriffen, allein weilen aber sich beÿ dem geführten Calculo über solche Verlaßenschafft vnd laut darüber gefertigt. Inventarÿ hervorgethan, daß die theilbahre passiva deß Erben unverändert. v. theilbahe Nahr. ein Mercklichs über trefen, welchergestalt d. kein widemb Zu genieß. scheinen wollen, So haben demnach sich deß Sohns H vogt Jedes mit ratification E. E. vogteÿ gerichts dahin erklärt, Ihro f. wittib v. mutter auß consideration weg. deß curand. v zumahlen dieselbe ein Zimlichs weg dero Ergäntz. anoch auf die becken behauß. Zu fordern selbige ratione codicilli gemäß Zulaßen, Jedoch daß Sie alle obrigkeitliche beschwerd. auf sich allein ohne deß Curand. entgelt leid. solle

Michel Werlé devient bourgeois par sa femme en juillet 1699
1699, 4° Livre de bourgeoisie p. 711
Michael Werle, der schwartzbeck Von Ammendorff beÿ Nürnberg, Weÿl. Jacob Werlen gew. ackermanns daselbst hint. sohn empfangt das Burgerrecht Von Susanna Germerin seiner haußfrawen p. 2. gold fl. Vnd 16 ß so bereits auf der Cantzleÿ erlegt, Vnd wird beÿ E. E. Zunfft der becken diennen. Jur: d. 18. Julÿ 1699.

Susanne Gartner, femme de Michel Wœhrlé, meurt en 1717 en délaissant son fils Jean Georges Harr pour unique héritier. La maison lui a été attribuée par partage. Les experts estiment la maison rue Saint-Louis à 400 livres. La masse propre au veuf est de 171 livres, celle propre aux héritiers de 73 livres. L’actif de la communauté s’élève à 672 livres, le passif à 675 livres.

1717 (18.5.), Not. Baer (Christophe Evrard, 2 Not 11) n° 513, 512 (numéro XIX° s.)
Inventarium über Weÿl. der Ehr: undt tugendtsammen Fr. Susannæ Wöhrlenin gebohrner Gärtnerin deß Ehren V. bescheid. Meister Johann Michel Wöhrlen deß haußfeurers undt burgers alhier zu Straßburg geweßener Ehelicher haußfr: nunmehr seel. verlaßenschafft auffgerichtet vndt verfertiget Anno 1717. – nachdem dieselbe Sambstags den 10. Aprilis dießes lauffenden 1717. Jahrs dieße wel gesegnet, welche verlaßenschafft auf freundl. erfordern v. begehren, deß Ehren v. Wohl bescheid. Johann Georg Harren deß Schwartzbeclen, und burgers alhier In Straßburg alß der verstorbenen mit auch weÿl. deß Ehren b. bescheid. hanß Georg Harren geweß. Schwartzbecken v. burgern ihrem erstern Ehemann nunmehr längst in Gott ruhendt ehelich erzeugt und hinderlaßenen Sohns v: ab intestato Eintzigen Stamm Erben
So Beschehen (…) auff Dienstags den 18. Maÿ 1717.
Copia der Eheberedung (…) auff Sonntag den 17. Monats tag Maÿ im Jahr des Herren als man Zahlte 1699, Johann Peter Kolb, nots: juratus ac requisitus

Inn einer allhier Inn der Statt Straßburg Inn sanct Elißabetha gelegenen, undt dißorths Erben Eigenthümlich ohnverändert zuständiger behaußung sich befunden wie Volget
Ane Holtz und Schreinwerck, In der Cammer An Vor dießem Gemach, Inn der Soldaten Cammer, In der obern Stub, In der obern Stub Kammer, Inn der untern wohnstub, In dem hindern untern Stübl.
Eigenthum ahne Häußern (E.) Item ein Alte baufällige becken behaußung, samt hoff, hoffstatt bronnen, backöffen, Schopff, bauch Küchen, und allen andern gebäuen begriffen, weiten, rechten undt Gerechtigkeiten gelegen alhier Inn der Statt Straßburg Inn Sanct Elisabethä Gaß, 1.s: neben H. Rathh: Johann Peter Lascha dem Metziger, 2.s: neben Michel Bauren dem Kieffer, hinden auff ein gemein Statt hauß stoßendt gelegen, davon gibt man jährlich 4 ß 4 d Ewiges Gelts Zinß vff Creutz erhöhung dem mehrern hospittal alhier, welche behaußung noch abzug vorbeschriebene beschwerdt durch der Statt geschworne Werckmeistere Crafft Schrifftl: Extracts Abschatzung de dato den 5. Maÿ 1717. abgesch. 394 lb 13 ß 4 d. darüber sagt deß Erben Vatter seel: special theil Register, über weÿl. Frn Annä Mariæ harrin gebohrener holtzschuhin, auch weÿl. Meister Martin harren geweß. Schwartzbecken v. burgers alhier Zu Straßburg hinderlaß. wittib sein deß Erben Großmutter seel. Verlaßenschafft abtheilung darinn fol: 14. fac: a et b: enthaltenen Vergleichs gemäß dem Verstorbenen beÿ der abtheilung, die behaußung käufflichen überlaßen worden, auch weÿl. H: Notm: Joh: Christoph Stöffeln in Anno 1685. auffgerichtet befindlich. Ferner ein Pergamentener Kauffbrieff mit der Statt Straßburg anhangendem Contract Innsiegel verhafft, de dato den 9. Aprilis A° 1644. meldent, wie solche behauß: anno et die supra hanß Heinrich Rinck der Schwartzbeck Käufflich an sich gebracht, mit altem N° A sig. und darbeÿ gelaßen
(T.) Item eine alte schwartzbecken behaußung, samt hoff, hoffstatt bachoffen, Schopff, hoffstatt sampt allen andern deren gebäuen begriffen, weithen, rechten undt Gerechtigkeiten gelegen alhier Inn der Statt Straßburg auff dem roßmarck in der sogenandten Schiltiggass (…)
Eigenthumb ahne j. Gädlein Theilbar (…)
Ergäntzung des Manns und Wittibers unveränderten Guths. Dam über des Ehemanns den 15. 8.bris 1699. in den Ehestandt Zugebrachter Nahrung von Herrn Johann Peter Kolben Notario verfertigten inventario
Norma hujus inventarii. Des wittibers unverändert gut, Sa. Haußraths 12 ß Sa. Silber und Geschmeids 1, Sa. Schuldt 75, Ergäntzung (110, geht ab 16, Nach deren Abzug) 94, Summa summarum 171
Folgt nun auch der Erben unveränderte Nahrung, Sa. haußraths 39 lb, Leere faß 11 ß, Silber und geschmeid 3 lb, goldene Ring 2, Eigenthum ane einer behaußung 394, Ergäntzung (142, Abzug 316, passiv rest 173) Summa summarum 440 lb – Schulden 366, Nach deren Abzug 73 lb
Hierauff wird auch das gemein verändert und theilbahr Guth beschrieben, Sa. haußraths 53, Wein u. leere Faß 6, Schiff und geschirr Zum Schwartzbecken handwerck gehörig 6, Kleÿen meel 31, Brennholtz 3, Schwein 2, Silber und Geschmeids 6, Goldene Ring 4, Baarschafft 11, Eigenthum ahne Einem Hauß 374, Schulden 202, Summa summarum 672 lb – Schulden 675, Passiv onus 3 lb
Conclusio finalis Inventarÿ 241 lb

Jean Georges Harr et Anne Dorothée Nonnenmann hypothèquent la maison au profit du capitaine de cavalerie Jean Richshoffer

1719 (19.1.), Chambre des Contrats, vol. 593 f° 24
Joh: Georg harr haußfeurer und Anna Dorothea geb. Nonnenmännin beÿständlich Joh. Feigelmann grempen und Joh. Carl Hördter haußfeurers
in gegensein H. Joh. Richshoffer, Rittmeisters – schuldig sein 200 pfund
unterpfand, eine becken behausung sambt hoff hoffstatt brunnen cum appertinentÿs ahn St Elisabetha gaß, einseit neben H. Lascha anderseit neben Michel Baur dem kiefer hinten auff ein gemein Statthauß – davon gibt man 4 ß 4 d ewiges Geldzinß dem mehrern hospital, Item 7 lb 3 ß 6 d dem Stift zuer rothen Kirchen

Jean Georges Harr et Anne Dorothée Nonnenmann hypothèquent la maison au profit de Jean Frédéric Rebhahn, substitut à la Chambre des Contrats

1720 (16.2.), Chambre des Contrats, vol. 594 f° 75-v
Joh. Georg Harr haußfeurer und Dorothea geb. Nonnenmännin beÿständlich Joh. Carl härter haußfeurer und Joh. Feigelmann grempen
in gegensein H. Joh. Friedrich Rebhann Subst: C. Contractuum – schuldig seÿen 100 pfund
unterpfand, ihre schwartzbecken behausung cum appert. beÿ St. Elisabetha gaß ohnfern der Kirchen St Louis, einseit neben H. Latscha anderseit neben Michel Baur dem kiefer hinten auff die schwerdische scheur – davon gibt mann 4 ß 4 d ewig geldtzinß dem mehrern spithal

La maison est décrite à l’état de fortune dressé en 1721.
Anne Dorothée Nonnenmann, femme séparée quant aux biens de Jean Georges Harr, hypothèque la maison au profit de François Œsinger, greffier à la Chambre des Contrats

1722 (3.8.), Chambre des Contrats, vol. 596 f° 459-v
Anna Dorothea geb. Nonnenmännin Johann Georg harren schwartzbecken quoad bona geschidene Ehefrau mit beÿstand Hn Frantz Werners Pastetenbeckers und EE. kleinen Raths beÿsitzers ihres Curatoris wie auch Johann Michael Wehrle des weißbecken ihres Stieffvatters und Johann Georg Nonnenmann des haußfeurers ihres vettern
in gegensein herrn francisci ößingers U.J. Licentati et Cancellariæ contractuum actuarÿ – schuldig seÿen 200 pfund
unterpfand, eine schwartzbecken behausung mit allen deren übrigen gebäuden, begriffen, zugehörden und gerechtigkeiten Jenseit der St Thomas bruck ohnfern St Louis Kirch ahne St Elisabethä gaß, einseit neben N.N. Monpinot Traitteur anderseit neben Michel Baur küffer hinten auff die Schwerdische Scheur theils theils auf dem Gouvernement – davon gibt man 4 ß 8 d ewigen geldzinnß dem mehrern Spithal

Anne Dorothée Nonnenmann, femme de Jean Georges Harr, hypothèque la maison au profit de Marie Salomé Kau

1723 (1.4.), Chambre des Contrats, vol. 597 f° 192-v
Fr. Anna Dorothea geb. Nonnenmännin Johann Georg harren des haußfeurers ehefrau beiständlich ihres Curatoris H. Frantz wörner EE. kleinen Raths alten beÿsitzers mit fernerem beÿstand Michael wöhrle des haußfeurers ihres Stieffschwähers und Johann Peter Nonnenmann auch haußfeurers ihres oncle
in gegensein H. Johann Daniel Spielmann handelsmanns als Vogts Maria Salome Kauin – schuldig seÿen 115 pfund
unterpfand, Eine Schwartzbecken behausung cum appertinentis beÿ St Louis Kirch ohnfern der St Elisabethen gaß, einseit neben Michael Baur dem Kieffer anderseit neben Mompinot dem Traitteur hinten auff das gouvernement

Anne Dorothée Nonnenmann loue la maison au fournier Michel Wœhrlé (beau-père de son mari)

1723 (15.6.), Chambre des Contrats, vol. 597 f° 326-v
Fr. Anna Dorothea harrin geb. Nonnenmännin beÿständlich ihres Curatoris H. Frantz Wörner des Pastetenbecks
in gegensein Michael Wöhrle des haußfeurers
Ihre beÿ St Louis ohnfern St. Elisabethæ gaß gelegene Schwartzbecken behausung cum appertinentis nichts davon als eine auff dem ersten Stock befindliche in den hoff sehende Stub Stubkammer und haußöhren, Mehr einen plaz im Keller und einen plaz zum holz ausgenommen, auff 9 nacheinander folgenden jahren anfangend ahm 21. junÿ nächstkünfftig anzufangen, um einen wochentlichen Zinß nemlich 2 gulden

Anne Dorothée Nonnenmann, femme séparée quant aux biens de Jean Georges Harr, vend la maison au fournier Jean Philippe Maul et à sa femme Catherine Eckert (sa belle-mère par alliance, voir notamment l’inventaire dressé en 1778)

1726 (15.7.), Chambre des Contrats, vol. 600 f° 342
Fr: Anna Dorothea geb. Nonnenmännin Johann Georg harr des haußfeurers quo ad bona geschiedene Ehefrau mit beÿstand ihres geschwornen Vogts H. Frantz Werner E.E. großen Raths alten beÿsitzers und Pastettenbecks
in gegensein Johann Philipp Maul des haußferers und Catharinæ geb. Eckertin
Eine Schwartzbecken Behausung Nebens gebäu hoff und hoffstatt mit allen derselben gebäuden, begriffen, weithen, zugehörden, Rechten und gerechtigkeiten jenseith St Thomæ bruck ohnfern St Louis Kirch ahne St Elisabetha gaß, einseit neben Pierre L’Estournois dem Traitteur anderseit neben Johann Michael Baur dem Kieffer hinten auff die Schwerdtische Scheur zum theil theils auf das gouvernement – davon gibt man jährlich dem mehrern hospitahl allhier 4 ß 4 d ewiges geldts – auff den fueß von 1400 lb

Catherine Eckert, fille du boulanger Georges Eckert, épouse en 1694 Jean Nonnenmann qui s’est marié en premières noces en 1690 avec Anne Barbe Hoerter.
Mariage, Saint-Pierre-le-Vieux (luth. f° 25)
1690. den 10. maÿ seinnd von mir Copulirt Worden Hanß Nonnenman lediger Weisbeck Hanß Nonnenmans deß burgers v. Weißbecken alhie ehelicher Sohn vnd Jungfr. Anna Barbara Hanß Horters, schwartzbecken v. burgers alh. hinterlaßene eheliche tochter [unterzeichnet] Johannes Nonnen Man, Anna Barbara hortrin (i 26)

Mariage, Sainte-Aurélie (luth. f° 26-v)
Vff heut Mittwoch den 16. Junÿ 1694. Seind nach Zweÿmahliger Außruffung Zu St Aurelien eingesegnet worden Johannes Nunnenmann der junge weißbeck v. burg alhie Vnd Jungfr. Anna Catharina, Georg Eckhart des Schwartzbecken v. burgers alhie eheliche Tochter, [unterzeichnet] Johannes Nonnen Man als hochzeiter, Catarina Eckertin als hochzeiterin (i 28)

Originaire de Wiesbaden, Jean Philippe Maul épouse en 1702 Catherine Eckert, veuve de Jean Nonnenmann : contrat de mariage, célébration à domicile avec la permission du consul régent.
1702 (14.12.), Not. Scherer (Jean Louis, 53 Not 9)
Eheberedung Johann Philipp Maulers ledigen Haußfeurers vndt frawen Catharinæ Eckertin weÿl. Johann Nonnenmanns seel. Wittiben, Mont. d. 14. Xbris 1702.
zwischen dem Ehrbahren und bescheidenen Johann Philipp Maul, H Michael Maulen Beckers und burgers Zu Wißbaden ehel. Sohn, alß hohzeiters, an einem
So dann der Ehren: und tugendsamen frawen Catharinæ Eckertin, weÿl. Johannes Nonnenmanns des jüngern haußfeurers und burgers alhier hinderbliebener Wittib, alß hochzeiterin, andern theils
beschehen jnn der Königl. freÿen Statt Straßburg Mont. den 14. Decembris anno & 1702. [unterzeichnet] Johann Philippus Maul als hochzeiter, Catharina Nunenmenen als hochzeiehren

Mariage, Sainte-Aurélie (luth. f° 47-v)
1702. Zinst. den 26. Xbris sind auff schrifftl. erlaubnuß Regierenden Herrn Ammeisters Zu hauß copulirt word Johann Philipp Maul der ledige schwartzbeck und burger Johann Nicolai Maulen deß becken Zu wißbaden, Nassauischer herrschafft, ehl. Sohn, und Catharina Eckertin weÿland Johann Nonnenmans gewesenen schwartzbecken u. burgers alhie nachgelasene W. [unterzeichnet] Johann Philippus Maul als hoh Zeider, catring nunen mänen als hochzeidrin (i 49)

Jean Philippe Maul devient bourgeois par sa femme trois semaines après son mariage
1703, 4° Livre de bourgeoisie p. 741
Joh: Philipp Maul der beck von Wißbaden, Joh: Niclauß Maulen des becken daselbst sohn, empfagt das burgerrecht Von seiner Frawen Catharina weÿl. Georg Eckert gew: weißbecken allhier hint. tochter p. 2. gold fl. 16 ß so beÿ der Cantzleÿ erlegt worden, wird beÿ E. E. Zunfft der Becken dienen. Jur. d. 18. Dito. [Januarÿ] 1703.

Jean Philippe Maul et Catherine Eckert font donation de la maison à leur fils Jean Georges lors de son contrat de mariage avec Anne Barbe Vogt, fille du marchand de bois Daniel Vogt

1727 (2.1.), Not. Lang l’aîné (Jean Daniel, 25 Not 104) n° 58
Eheberedung – entzwischen dem Ehren und Vorgeachten Herrn Johann Georg Maulen, dem ledigen Haußfeurer, des Ehren und Vorgeachten Herrn Johann Philipp Maulen, auch haußfeurers und burgers allhier mit der Ehren und tugendsamen frauen Catharina gebohrener Eckartin, seiner ehelichen haußwürthin, ehelich erzeugtem Sohn, als dem H. Bräutigam ane einem
So dann der Ehren und tugendsamen Jungfrauen Annæ Barbaræ Vogtin, des Ehren undt wohlvorgeachten Herrn Daniel Vogten, holtzhändlers und burgers allhier, mit weÿland der Ehren und tugendsamen frauen Anna Barbara gebohrener von Fridolsheim, seiner Verstorbenen erstern Ehewürthin seel. erzielter und nach tod verlaßerner tochter, als des Jgfr. hochzeiterin ane dem andern Theil
Zu dem Siebenden, haben eingangs gedachter Herr Johann Philipp Maul und frau Catharina gebohren Eckertin des herrn hochzeiters geliebte Elterndie Jenige behaußung, hoff und hinter häußlein, gelegen allhier Zu Straßburg beÿ der Kirchen Zu St Louis ohnfern der Elisabethæ Gaß, einseith neben einem frantzösischen Traiteur, anderseit neben Michel Bauwers dem Küeffern hinden auff das Gouvernement stoßend, so Sie beede Eheleute zwischen Johannis Baptistæ und Michaelis nechst verwichenen Jahrs Von Dorothea gebohrener Nonnenmännin, Johann Georg Harrens, des haußfeurers und burgers allhier Ehefrauen, Ihrer Stiefftochter, umb 2800 Gulden, ane sich erkaufft, mit allen deroselben weithen, begriffen, Gebäuen, Zugehörden, rechten und gerechtigkeiten, eingangs vermeltem herrn Johann Georg Maulen dem hochzeiter, Ihrem geliebten Sohn, hiemit und in Krafft dieses eigenthümlichen cediret, abgetretten und übergeben, cediren, abtretten und übergeben, Sie auch demselben hiemit nochmalen eigenthümlich, also und dergestalten, daß solche von stund an sein des Sohns wahres und ohnwiederruffliches Eigenthum seÿn und bleiben, die von Ihnen denen beeden Elttern auf dem Kauffschilling würcklich bezahlte 300 gulden Ihme dem Sohn hiemit geschencket und Zu einer Ehesteur mit in die Ehe gegeben (…)
So beschehen Zu Straßburg (…) auff Donnerstag den 2.ten Januarÿ 1727. [unterzeichnet] Johann Georg Maul Als hoch Zeider, Anna Barbara Vögtin als hochzeiterin

Mariage, Sainte-Aurélie (luth. f° 118 n° 2)
1727. Domin: III et III. post Epiphan: seindt außgeruffen vndt Mittwochs darauff den 29. Januarÿ ehelich Eingesegnet worden Johann Georg Maul Lediger haußfeurer v. burger alhier, Johann Philipp Maulen deß haußfeurers vndt burgers allhier Ehl. Sohn, vndt Jungfrau Anna Barbara Vogtin H. Daniel Vogts des burgers vndt holtzhändlers allhie Ehl. Tochter [unterzeichnet] Johann Georg Maul alß hoch Zeider, anna Barbara Vögtin (i 120 – proclamation Saint-Aurélie, f° 112-v)

Les nouveaux mariés font dresser l’inventaire de leurs apports dans la maison dont la femme a la jouissance viagère. Les apports du mari s’élèvent à 317 livres, ceux de la femme à 253 livres.

1727 (6.11.), Not. Lang l’aîné (Jean Daniel, 25 Not 19) n° 195
Inventarium über des Ehren und Vorgeachten H. Johann Georg Maulen, haußfeurers wie auch der Ehren und Tugendsamen frauen Annæ Barbaræ Maulin gebohrener Vogtin beeder Eheleuthe und burgere allhier einander in die Ehe Zugebrachte Nahrungen auffgerichtet Anno 1727 (…) welche der ursachen, allweilen in Ihre beeder den 2.ten Januarÿ dieses lauffenden 1727.ten Jahrs mit einander auffgerichteten Eheberedung außdrucklich Versehen, daß einem Jeeden derselben seine in die Ehe bringende undt wehrender Ehe ererbende Nahrung ein freÿ, eigen, ohnverändert und vorbehalten Guth seÿn und bleiben (…) So beschehen in Straßburg in fernerer gegenwarth des Ehren und vorgeachten herrn Johann Philipp Maulen haußfeurers, des Ehemanns geliebten Vatters, wie auch des Ehren undt Wohlachtbaren herrn Daniel Vogts, holtzhändlers und burgers allhier der Ehefrauen geliebten Vatters auff Donnerstag den 6.ten Novembris aô 1727.
Dießem nach werden auch der Ehefrauen in die Ehe gebrachte rubricen und Posten worund. aber weÿl. fr. Aureliæ Schellin gebohr. Voltzin b Zum theil von weÿl. Jgfr. Margaretha Von Fridelßheim beede Ihren baaßen seel. Verlaßenschafft herrührenden Nahrung ingl. ane Mütterl. Guth erlanget hat

In einer allhier Zu Straßburg beÿ der Kirchen Zu St Louis gelegen und dem Ehemann Zuständigen undt hernach beschriebener behausung befunden worden, wie volgt
Eigenthumb ane einer Behaußung (M.) Eine behaußung, hoff und hinder häußlein mit dero hoffstatt und allen übrigen gebäuen, begriffen, weithen, zugehörden, rechten v. gerechtigkeiten, gelegen allhier Zu Straßburg beÿ der Kirchen Zu St Louis, einseith neben einem frantzösischen Traiteur, anders. neben Michel Bauwer dem Küffer, hinden auf das Gouvernement stoßend, so über 4 ß 4 d ewigen Zinnses welche dem mehrern hospithal allhier Jährlichen davon gefallen, eigen und hiehero umb dem nemlichen preis wie des Ehemanns beede Elttern selbige in nechst verwichenem 1726.ste Jahr Von Dorothea gebohr. Nonnenmännin, Joh. Georg Harrens, des haußfeurers v. burgers allhier Ehefrauen, Ihrer Stiefftochter, ane sich erkaufft und diesem Ihrem herrn Sohn in deßen, mit seiner nunmahligen Eheliebstin auffgerichteten Eheberedung eigenthümbl. cediret und verschrieben, wiewol ohne præjudiz in Anschlag Zubringen beliebet worden nemblichen, pro 2800 fl. oder 1400 lb, d. Wavon aber wiederumb wegzurechnen hernachgemelte auff solcher behaußung annoch hafftende und Ihme dem H Sohn Zugleich mit übergebene auch Von Ihme übernommene passiv capitalia. Als erstl. dem allhiesigen mehrern Hospithal solle man in haubtguth so Jährl. mit 5. lb 5 ß d Zinnßbar 100 Gold guld., die thun disssem Zinß nach dem Gold fl. zu 1. lb 1 ß (…) Solche Von obigem Kauffschilling abgezogen, so verbleibt ane dem obigen Anschlag und Kauffschilling annoch per rest übrig so des Ehemanns Elttern würcklichen darauff bezahlet und Ihme diesem Sohn Zu einer Ehesteur mit in die Ehe gegeben haben, benantlichen 150. lb. Wie solches alles in beed. Ehepersohnen mit einander auffgerichteter Eheberedung mit meherem beschrieben Zuersehen.
Series rubricarum hujus Inventarÿ. Des Ehemanns in die Ehe gebrachtes Guth, Sa. haußraths 105, Sa. Schiff und geschirr zum becken handw. gehörig 8, Sa. Silbers 12, Sa. Eigenthums ane einer behaußung 150, Summa summarum 276 lb, Warunder ane Ehesteur begriffen 185 lb – Deme beÿzufügen sein des Ehemanns ane hernach geschriebenen haussteuren 41 lb, Beträgt demnach sein des Ehemanns in die Ehe gebrachtes Völliges Guth 317 lb
Der Ehefrauen Zugebrachte Nahrung, Sa. haußraths 179, Sa. Silbers 12, Sa. goldener Ring 15, Sa. baarschafft 4, Summa summarum 212 lb, Warunter ane Ehesteur begriffen 74 lb – Deme beÿzusetzen die Ihro der Ehefraueen ane gleich hernach beschriebenen haussteuren, in denen Ehepactis accordirte helffte mit 41 lb 17 ß, Welchem nach Ihro der Ehefrauen gesambtes in die Ehe gebrachtes guth und haussteuren antheil außwirfft 253 lb

Jean Georges Maul meurt en 1731 en délaissant pour héritiers ses père et mère

1731 (21.6.), Not. Lang l’aîné (Jean Daniel, 25 Not 35) n° 323
Inventarium über Weÿl. des Ehren und Vorgeachten Herrn Johann Georg Maulen, gewesenen haußfeurers und burgers allhier seel. Verlaßenschafft auffgerichtet Anno 1731.
Inventarium und beschreibung aller derjenigen Haab, nahrung und güthere so weÿl. der Ehren und Vorgeachte Herr Johann Georg Maul, gewesener haußfeurer und burger allhier nachdeme derselbe 13.ten Maji dieses lauffenden 1731.t Jahres Von dem lieben Gott aus dießer seel. abgefordert worden, zeitlichen hinder sich verlaßen, welche Verlaßenschafft auf freundliches ansuchen erfordern und begehren des Ehren und vorgeachten H. Johann Philipp Maulen, auch haußfeurers und burgers allhier, wie auch der Ehren v. tugendsamen Fr. Catharinæ gebohrenen Eckardtin beede Ehepersohnen v burgere allhier als deß verstorbenen, seel. Eltern, und in mangel einiger hinderlaßenen Kinder und Leibes Erben Zu Zweÿen gleichen antheiltern ab intestato Verlaßener Erben, inventirt durch die Ehren v. tugendsame Fr. Annam Barbaram Maulin gebohrene Vogtin die hinterbliebene wittib mit beÿstand deß Ehren v. vorgeachten H Johann Christoph Saumen, Seilers v. burgers allhier, deroselben geschwornen Vogts, ingleichem obgedachten H Johann Philipp Maulen den Vattern selbsten (…) So beschehen Zu Straßburg auff Donnerstag den 21. Junÿ 1731. in fernerer gegenwarth S. T. H. Frantz Benedict Saltzmanns Jurius Practici Mehrermelten herrn Maulen deß Vatters erbettenen herrn assistenten ingleichem herrn Daniel Vogts holtzhändlers und burgers allhier der wittib eheleibl. Vatters.

In einer allhier Zu Straßburg ohnfern der Kirchen Zu St Louis gelegenen in diese Verlaßenschafft gehörigen und hernach beschriebenen behausung befunden worden wie volgt.
Ane Höltzen und Schreinwerck. In der Cammer A, Auff der ohneins obersten bühn, Im obersten haußöhren, In der Knecht Cammer, In der obern wohn stub, In der nebens Cammer, In der Kuchen, In der Soldaten Cammer, Im Keller
Eigenthumb ane einer Behaußung (E.) Eine behaußung hoff und hinder häußlein mit dero hoffstatt und allen übrigen gebäuen begriffen weithen zugehörden rechten und gerechtigkeiten gelegen allhier Zu Straßburg beÿ der Kirch Zu St Louis einseith neben einem frantzösischen traiteur anderseith neben Michel Bauwers deß Küffers Erben hinden auf das gouvernement stoßend so über hernach gemelte beschwerden eigen und durch (die Werckmeistere) vermög deroselben ad conceptum geliefferten schrifftlichen Abschatzung vom 27.ten Junÿ A° 1731. angeschlagen pro 900. lb d. Davon gefallen Jährl. dem mehrern hospithal allhier 4 ß 4 d ewigen Zinnses so zu doppeltem capital ohnverfäng gerechnet antreffen 8. lb 13 ß 4 d. Mehr reicht man davon ermeltem Hospithal jährl. 5. lb 5 ß d Zinnß so in Capital ablösig mit 100 Gold Gulden, die thun diesem Zinnß nach dem gold. fl. zu 1. lb 1 ß ohnpræjudicirlich gerechnet 105. lb. Weiter hat gedachter hospithal in Straßburger wehrungs Capital so Jährlich mit 1. lb 2 ß Zinnßbar daroben Zuerfordern 50 gulden machen hies. Current 26. lb 5 ß; Item Zinnßt man dahie noch ferner jährl. 16 ß 3 d wiederlösig in hauptgut mit 16. lb 5 ß 6 d. Ferner gefallen davon weÿl. H. Joh: Friedrich Rebhahns Contractuum substituti seel. Erben jeweilen auf den 1. Aprilis 4. lb d Zinnß redimibel in capital mit 100. lb. Und dann gehen davon Jgfr. Mariæ Salome Kauin Jährl: auf den 1. Aprilis 4 lb 12 ß Zß stehen in haubtguth zu redimiren mit 115. lb, Machen dieße auff der behaußung hafftende beschwerden zusammen 371. lb. 3. ß 10. d. Solche Von Vorherigem abschlag deß haußen abgezogen so verbleibt daran annoch per rest übrig und dißorts auszuwerffen 528. lb 16 ß 2 s. Wie Er Johann Philipp Maul deß Verstorbenen seel. eheleibl. Vatter diese behaußung von Dorothea gebohrner Nonnenmännin, Johann Georg Harren deß haußfeurers und burgers allhier Ehefrauen deßen Stiefftochter ane sich erkaufft, weißet ein teutscher pergam. Kauffbrieff in allhiesiger Cancelleÿ Contract stuben gefertiget und mit dero anhangendem Insiegel verwahrt datirt den 15. Julÿ aô 1726.
Ergäntzung der Erben ohnveränderten Guths. Nach besag Inventarÿ über Ihr beeder nun durch den Zeitlichen todt Zertrennter Ehepersohnen einander Zugebrachte Nahrungen Von mir Not in A° 1727. auffgerichtet
Ergäntzung der Wittib abgegangenen ohnveränderten Guths. Vermög sonderbahrer Designation inhaltend alles das jenige was der Frau Wittib beÿ abtheilung der Theils von weÿl. Fr: Aureliæ Schellin gebohrner Voltzin v Zum theil von weÿl. Jgfr. Margarethæ von Fridolßheim Verlaßenschafft herrührender rubricen und Posten (…) durch mich Notarium in A° 1727. auffgerichtet
Antheil ane Holtzplätzen in dem Kageneckerbruch (…)
Series rubricarum hujus Inventarÿ. Der Wittib Eigenthümlich ohnverändert Vermögen, Sa. haußraths 36, Sa. Silber geschirr und Geschmeids 5, Sa. Golden Ring 6, Sa. baarschafft 15, Sa. Pfenningzinß hauptguths 73, Sa. Antheil ane Holtplätzen 30, Sa. Schulden 100, Ergäntzung (1175, abzuziehen 31, Nach deren Abzug) 1144, Summa summarum 1411 lb
Dießem nach wird auch des Verstorbenen seel. ohnveränderte Nahrung verzeichnet, Sa. haußraths 37, Sa. Schiff und geschirr Zum schwartzbecken handwerck gehörig 2, Sa. Silbers 3, Sa. baarschafft 3, Sa. Eigenthumbs ane einer behaußung 528, Sa. wehrender Ehestandts abgegangenen ohnveränderten Guths (23, bezahlet 740, In conferirung beeder Summen 716) Summa summarum 574 lb – Schulden 966 lb, Passiv onus 391 lb
Endlich wird auch das gemein verändert und theilbar Guth beschrieben, Sa. haußraths 31, Sa. Schiff und geschirr Zum schwartzbecken handwerck gehörig 1, Sa. Früchten 22, Sa. Silbers 11 ß, Sa. baarschafft 60, Sa. Schulden 791 Summa summarum 907 lb – Schulden 1217, Compensando 309 lb

Les préposés de la Taille font figurer la succession dans leur registre parce que les impôts acquittés étaient calculés d’après une fortune sous-évaluée de 1 100 florins (550 livres) sur un total de 2 400 florins
1731, Livres de la Taille (VII 1177) f° 111-v
Becker F. N. 2455. Weÿl. Johann Georg Maulen gewesenen haußfeurers und burgers allhier verlaßenschafft inventirt H. Not. Lang
Concl. fin. Inv. ist fol. 124-v, 710 lb 14 ß 3 d
darzu gelegt umb wie viel die behaußung dem Verstorbenen Von deßen Eltern hoher überlaßen alß selbige Von denen Werckmeistern angeschlagen worden thut nach besag der Eheberedung 500 lb, Summa 1210 lb 14 ß
die machen 2400. fl. es wurde allein Verstallet 1300. fl. also Zu wenig 1100 fl. Weilen Sie aber nicht länger dann Vier Jahr in der Ehe und burger gewesen, alß wird der Nachtrag allein von solcher Zeit an gerechnet und thut für Vier Jahr in duplo à 1. lb 6 ß – 13. lb 4 ß
Und auch für Vier Jahr in simplo à 1. lb 13 ß – 16 lb 12 ß
Extat das Stallgeltt pro 1731 mit 3. lb 6 ß
Gebott – 2 ß
Abhandlung 1 lb 7 ß 6 d – Summa 24 lb 11 ß 6
Auff die Von denen Obern Stallherren an die Hhn dreÿ des Stalls geschehener remission dießes Geschäffts, und der Interessenten wegen schlechter beschaffenheit des haußes quæstionis eingebrachte erheblich motiven haben dieselbe an dem angesetzten Nachtrag nachgelaßen 14. lb 17. ß, restirt 9. lb 14. ß. 6.d
dt. 6° Octobris 1731

Anne Barbe Vogt se remarie avec le fournier Jean Georges Eckart : contrat de mariage, célébration
1731 (20.12.), Not. Lang l’aîné (Jean Daniel, 25 Not 104) f° 101
Eheberedung – entzwischen dem Ehren und vorgeachten H. Johann Georg Eckhardt, ledigem Haußfeurer des Ehren und vorgeachten H. Johann Jacob Eckhardts auch Haußfeurers und burgers allhier mit der Ehren und tugendsamen Frawen Anna Maria, gebohrener Hügelin, seiner Ehefrauen, ehelich erzeugtem Sohn, als dem Bräutigamb, ane einem
So dann der Ehren und tugendsamen Frauen Anna Barbara Maulin, gebohrener Vogtin, Weÿl. des Ehren und vorgeachten herrn Johann Georg Maulen geweßenen Haußfeurers und burgers allhier seel. nachgelaßener wittib, als der Frauen Hochzeiterin ane dem andern theil
So beschehen Zu Straßburg, auff Donnerstag den 20.ten Decembris Anno1731. [unterzeichnet] Johann Georg Eckert als hochzeiter, Anna Barbara Maulin gebohrne Vögtin als hochzeitrin

Mariage, Sainte-Aurélie (luth. f° 127-v n° 4)
1732. Mittw; den 13. Februarÿ sind nach Zweÿmahliger proclamation copulirt v. eingesegnet worden, Georg Eckhardt lediger Schwartzbeck v. burger allhier Mstr. Johann Jacob Eckhardt burgers v. Schwartzbecks allhier ehel. Sohn, und Fr. Anna Barbara geb. Vogtin, weÿl. Johann Georg Maul gewesenen burgers v. Schwartzbecks alhie nachgelaßene Wittib [unterzeichnet] Georg Eckert als hochzeider, Anna Barbara Maulin als hochzeidrin (i 131)

Les Conseillers et les Vingt-et-Un autorisent Anne Barbe Vogt à se remarier avec le cousin de son premier mari.
1732, Conseillers et XXI (1 R 215)
(f° 41) Montag d. 21. Januarÿ – Anna Barbara Maulin erhalt Dispensation in Ehe: Sachen.
Ego der XIII Secretarius referirte, daß Ein Ehrwürdiges hiesiges Kirchen Convent, Zufolg Mghh. Interlocuti vom 29.ten 10.bris iüngst verwichenen iahrs, in Sachen die Von Anna Barbara Vögtin Weÿland Johann Georg Maulen gewesenen Schwartzbecken und burgers allhier hinterlaßenen Wittiben mit beÿstand Cristoph Saumen ihres Curatoris gesuchte Dispensation, umb sich mit Johann Georg Eckart dem ledigen becken, Welcher mit ihrem Verstorbenen Ehemann geschwistrig Kind geweßen, Verheurathen Zu dörffen, Währender annoch kurtzer Trauerzeit, betreffend, sein unvorgreifliches gutachten mir vor einiger Zeit haben einhändigen lassen, Summarié dahin gehend, daß Nemblichen der H. Præses und Sambtliche Mitglieder besagten Convents sich d. 3.ten hiuis nach gewohnheit versammlet und wären ihr meÿnungen einmüthiglich dahingegangen, daß Zwar diser fall in hießiger Kirchen Ordnung p. 388. und 390. Verbotten seÿe, nichts destoweniger, weilen Ein Löbl. Magistrat Selbst geber dieses Verbotts ist, Solches aber Weder gegen göttliche noch wieder gemeine Rechte laufft, darum Von demselben ohne bedencken die Verlangte Dispensation ertheilt Werden kann.
H. Aduocat Hold, war der meinung, daß aus deren in den abgeleßenen gutachten des Kirchen Convents enthaltenen ursachen der Implorantin gegen erlag einer gewissen Summ, deren bestimmung Er zu Mghh. Belieben ausgesetzt haben wolte, in ihrem begehren könte Willfahrt Werden.
Herr Prætor Regius sagte, der heutige Casus wäre also beschaffen, daß Von Meinen Herren, alß Welchen von der gleichen fürfallenheiten die Jura Episcopalia Zu exerciren Zukombt, Wohl möge dispensirt Werden, Wie Er es dann seines orts dafür halte, damit aber Solche geringe Leüth ebenmäßiger Dispensationes künfftighin Zu begehren abgeschreckt Werden, Vermeine Er, daß der Implorantin eine erklöckliche Summ nemblichen Zwantzig Pfund pfenning in das gemeine Allmoßen anzusetzen seÿe. Betreffend die traur: Zeit, Weilen der Ehemann laut des todes Schein schon d. 13. Maÿ iüngst Verwichenen iares gestorben, folglichen deroselben beÿ der anderwerten Copulation Wenig daran fehlen wird, wäre gleichfalls in ihr Begehren einzuwilligen.
Erkandt, Wird der Implorantin in annoch währender kurtzer traur: Zeit sich mit Johann Georg Eckart dem ledigen becken, So mit ihrem verstorbenen Ehemann geschwistrig Kind. gewesen, anderwertig Zu Verheurathen Obrigkeitlich Erlaubt, und ihro die dazu nöthige Dispensation gegen erlag Zwantzig pfund In das gemeine Allmoßen ertheilt.
Deputati H. Rht. Klock und H. Rht. Cristman

Georges Eckert et Anne Barbe Vogt hypothèquent la maison au profit de Susanne Marie Richshoffer, veuve du boutonnier Jean Frédéric Brantz. La maison a été abandonnée à la veuve de Jean Georges Maul lors de la liquidation du 25 octobre 1731.

1737 (5.11.), Chambre des Contrats, vol. 611 f° 747
Georg Eckert der haußfeurer und Anna Barbara geb. Vogtin mit beÿstand ihres vatters Daniel Vogt des holtzhändlers und ihres bruders Johann Diebold Vogt ehemaligen holtzhändler
in gegensein Fr. Susannæ Mariæ geb. Richshofferin weÿl. Johann Friedrich Brantz versilbert Knopff und Pferdzeugmachers wittib beÿständlich obgenannten Daniel Vogt ihres Curatoris – schuldig seÿen 125 pfund
unterpfand, Eine Schwartzbecken Behausung bestehend in Vorder und hinder hauß, höfflein und hoffstatt mit allen derselben gebäuden, begriffen, weithen, zugehörden und gerechtigkeiten jenseith St Thomæ Bruck ohnfern St Louis kirch und St Elisabetha gaß einseit neben weÿl. Michael Baur des kieffers erben, anderseit neben der gastbehausung zum Ritter, Sr George Pierre L’Etournay dem gastgeber gehörig, hinten auff die stallung und Office des Gouvernements – davon gibt man 4 sch. 4 d ewigen zinß dem mehrern hospital – ihre Eckertin nach deme sie ihres ersten ehemanns weÿl. Johann Georg Maul gewesenen haußfeurers verlassenschafft zufolg durch H. Not. Johann Daniel Lang am 25. Octobris 1731 darüber gezogen Calculi tam active quam passive übernommen hat

Georges Eckert et Anne Barbe Vogt hypothèquent la maison au profit de Jean Thomas Frœlich, receveur de la fondation Saint-Marc

1741 (23.1.), Chambre des Contrats, vol. 615 f° 29
Georg Eckert der haußfeurer und Anna Barbara geb. Vogtin mit beÿstand ihres bruders Johann Diebold Vogt des holtzhändlers und ihres vatters seel. schwagers H. Johann Michael Stamm des Paßmentirers
in gegensein H. Lt. Johann Thomas Frölich Schaffners des Stiffts St Marx – schuldig seÿen 150 pfund
unterpfand, eine schwartzbecken behausung, Nebens gebäu, hoff und hoffstatt mit allen übrigen derselben gebäu, begriffen, weithen, zugehörden, rechten und gerechtigkeiten jenseits St Thomas bruck ahne St Elisabethä gaß einseit neben Pierre L’Estournois dem traitteur, anderseit neben den Baurischen kindern, hinten auff N. Beÿgert den kübler zum theil theils das gouvernement – davon gibt man dem mehrern hospital 4 ß 4 d ane ewigen gelds – ihro in ausweißung ihrer guths ergäntzung von ihrem erstern ehemann weÿl. Johann Georg Maul dem haußfeurer erben eigenthümlich überlassen worden

Georges Eckert et Anne Barbe Vogt hypothèquent la maison au profit de Marie Madeleine Mosseder, veuve du greffier Georges Philippe Ehrmann

1757 (22.7.), Chambre des Contrats, vol. 631 f° 193-v
Georg Eckert haußfeurer und Anna Barbara geb. Vogtin mit beÿstand ihres sohns Georg Friedrich Eckert haußfeurers und Hiob Best huffschmitt
in gegensein Fr. Mariæ Magdalenæ geb. Moßederin weÿl. H. Georg Philipp Ehrmann gewesten ambtscheÿber zu Wörth wittib beÿständlich H. Rathh. Johann Friedrich Keck des biesieders – schuldig seÿen 100 pfund
unterpfand, eine behausung cum appertinentis ane St Elisabethä gaß, einseit neben Pierre Letournay gewesten wirths wittib und erben, anderseit neben Johann Schäffer dem hutmacher hinten auff das alte gouvernement

Georges Eckert et Anne Barbe Vogt hypothèquent la maison au profit de l’orfèvre Jean Georges Stuber

1765 (21.6.), Chambre des Contrats, vol. 639 f° 446
Georg Eckert der haußfeurer und Anna Barbara geb. Vogtin mit beÿstand ihres sohns Georg Friedrich Eckert des becken und H. Johann Daniel Würtz des goldarbeiters
in gegensein H. Johann Georg Stüber des goldarbeiters – 500 pfund
unterpfand, eine behausung cum appertinentis jensteits der Thomas bruck gegen St Louis kirch über, einseit neben Alexis Letournay dem sattler, anderseit neben Johannes Schäffer dem huthmacher, hinten auff das alte gouvernement

Georges Eckert et Anne Barbe Vogt hypothèquent la maison au profit du tailleur Jean Michel Remund

1771 (11.7.), Chambre des Contrats, vol. 645 f° 323
Georg Eckert der schwartzbeck und Anna Barbara geb. Vogtin mit assistentz Jacob Bruder des schuhmachers und Johann Schäffers des hutmachers
in gegensein H. Johann Michael Remund des schneiders, als geordneter und geschworener vogt weÿl. Jacob Jung des gewesten müllers zu Eckboltzheim hinterlassener tochter Jungfer Catharinæ Jungin – schuldig seÿen 100 pfund
unterpfand, eine behausung cum appertinentis ane der St. Louis gaß einseit neben Alexis Letourné dem sattler, anderseit neben Johann Schäffer dem hutmacher, hinten auff das Gouvernement – davon gibt man der rothen Kirchen des mehrern Hospitals ane ewigen unablößigen zinß alljährlich 4 ß – als ein in weÿl. Georg Mühl des gewesten becken Verlassenschaft übernommenes guth

Jean Georges Eckert meurt en 1778 en délaissant deux enfants. Les experts estiment la maison à 750 livres. L’actif de la succession s’élève à 812 livres, le passif à 1 238 livres.

1778 (27.5.), Not. Lauth (6 E 41, 647) n° 58
Inventarium über Weild. des Ehrengeachten Herrn Johann Georg Eckert, gewesenen Hausfeurers und Burgers allhier Zu Straßburg nunmehr seel. Verlaßenschaft aufgerichtet in Anno 1778 – nach seinem den 24. Aprilis laufenden 1778.sten Jahrs aus dießer welt genommenen tödlichen Hintritt hier Zeitlichen verlaßen, Welche Verlaßenschafft auf freundliches Ansuchen Erfordern und Begehren Frn. Annæ Barbaræ Eckertin gebohrner Vogtin, der hinterbliebenen Wittib (…) So beschehen allhier Zu Straßburg in præsentia H. Joh. Friedrich Vogt, des Holtzhändlers und burgers dahier, als der Fr. Wittib leibl.n Bruders und Von Ihro hierzu Angesprochenen Beistands, auf Mittwoch den 27.ten Maji Anno 1778.
Der Verstorbene seelige hat ab intestato zu seinen Erben verlaßen wie folgt, 1° Herrn Georg Friedrich Eckert, den hiesigen Stadt: Garde und Burgern, so dermalen 43 Jahr alt Und 2° Frau Margaretham Magdalenam gebohrenen Eckertin, Herrn Johann Gottfried Mentzers, des Paßmentirers und Burgers hieselbsten Ehegattin, welche ihr 38. jähriges Alter zurückgelegt hat. Beede von dem Verstorbenen Hn Eckert seel. mit Fr. Anna Barbara gebohrner Vogtin, deßen nachgelaßener Wittib erzeugter Sohn und Frau Tochter, ab intestato zu gleichlingen Portionen hinterbliebene Erben, und majorennes

In einer allhier zu Straßburg ohnfern der Kirchen zu St Louis gelegenen in diese Verlaßenschafft gehörigen und hiernach beschriebenen Behausung befunden worden wie folgt
Eigenthum an einer Becken: Behausung. Nemlichen eine Becken: Behausung Hoff u: Hinterhäußl. m: dero Hoffstatt u: allen übrigen Gebäuden, Begriffen, Weithen, Zugehörden, Rechten u: Gerechtigkeiten, gelegen allh. Zu Straßburg bei der Kirchen zu Saint Louis, 1.s: neben Hn Pierre Letournay, dem Sattler, 2.s: Fr. N. Baurin des Kiefers Wittib, hinden auf Hn Joh. Jacob Hitschler den Courtier stoßend, so über 4. ß. 4. d. ewigen Zinnses, so man jährl. dem Mehrern teutschen Hospital reichet, Wie auch außer hernach befind. darauf haftenden Passiv: Capitalien, freÿ ledig und eigen. Und ist diese Behaußung Zufolg der Zum Concept schriftlich angehenckten u. von H. Hueber u. H. Kaltner unterschriebenen Abschatzung, dedato 20.ten Maji 1778. æstimirt worden pro 1500. fl. oder 750 lb. Wovon hinwegzuziehen erstged. ewigen Zinnß von 4. ß 4. d. so zu doppeltem Capital gerechnet antrift 8. lb. 13. ß. 4. d Solche von dem Anschlag des Hauses abgezogen, so verbleibt davon annoch per rest übrig u. dißorts auszuwerfen 741 lb. 6 ß 8 d. Wie weild. Joh. Philipp Maul, auch weild. H. Joh. Georg Maul, des gewes. Hausfeurers v. Brs allh: als disortiger Fr. Wb. erstern Ehemanns seel. eheleibl. Vater, auch geweßter Hausfeurer und hiesiger Burger, diese Behausung von Dorothea geb. Nonnenmännin, Joh. Georg Harren, des Hausfeurers u. Brs hieselbsten Ehefr. deßen Stieftochter an sich erkauft soll besagen 1. Teutscher perg. Kauf: Br. in allh. C.C. St. gefertiget u. m. dero anh: Ins. verwahrt datirt d. 15.ten Julii A° 1726. Wie aber diese Behausung an die hieseitigen Fr. Wb. gelanget, hat sich darüber nichts schriftl. hervorgethan.
Hausrath 64 lb, schiff und geschirr zur becker: Profession gehörig 3 lb, sil: Geschmeid 1 lb, goldener Ring 2, Eigenthums an einer Behausung 741 lb, Summa summarum 812 lb – Schulden 1238 lb, In Vergleichung Passiv onus loco Stall Summ 425 lb
– Abschatzung Vom 20.t Maÿ 1778. Auff begeren Weÿland Herr Georg Eckert des geweßenen Haußfeurer ist Eine behausung allhir in der statt straßburg beÿ St louÿ gelegen Ein seÿts neben Monsieur pierre le tournaie dem sattler anderer seÿts neben frau baurin Wittib und hinten auf herr Hitschler dem gurtie stoßend gelegen solche behausung bestehet in forder und nebens gebäu worinnen Eine bachstube und bach Kuchen welche gewölbt, ferner in Vier stuben, dreÿ Küchen, und Etlichen Kammern wie auch Ein s.v. schweinstall darüber seÿn die dachstühl mit breitzigel belegt, hat auch Ein gewölbter Keller hoff und brunnen. Von uns unterschriebene der statt straßburg geschwohrenen Werckmeister und Vorhero geschehener besichtigung mit aller jhrer gerechtigkeit dem jetzigen wahren werth nach Estimirt und angeschlagen worden Vor und umb Ein Tausend fünff Hundert gulden, [unterzeichnet] Hueber, Kaltner WMst
Copia der Eheberedung coram H. Not. J. Daniel Lang den 20. Xbris 1731 (…) Collationnirt Joh: Michael Grauel, Notarius

Les deux enfants de Georges Eckert vendent la maison au boulanger Jean Georges Zier moyennant 2 100 livres. Un état des outils et ustensiles de métier est joint à la vente.

1778 (19.10.), Not. Lauth (6 E 41, 647) Joint au n° 58 du 27 mai 1778
Persönlich erschienen H. Georg Friedrich Eckert, der hiesige Stadt: Garde und Burger, Wie auch Frau Margaretha Magdalena Mäntzerin gebohrne Eckertin, Hn Joh: Gottfried Mänzers, des Paßmentirers und Burgers dahier Ehegattin unter authorität und Verbeiständung desselben, diese
haben in Gegenwart Hn Johann Georg Zier, des Weisbecken: Meisters und Burgers hieselbsten angezeigt und bekandt, wie daß Sie ihme Hn Zier aufrecht steet und redlich verkauft (…)
eine Becken: Behausung gelegen allhier Zu Straßburg bei der Kirchen zu Saint Louis, so Ihnen denen Verkäufern in die Erbschaft derrerst Kürzlich verstorbenen Fr. Annä Barbarä Eckertin gebohrner Vogtin seel. ohnlängst Weil. Hn Joh: Georg Eckert gewesenen Hausfeurers und burgers dahier nachgelaßener Wittib, als deroselben Leibl. Mutter eigenth. angefallen und bis dahier gemeinschaftlichen Verblieben, beneben Hof, Hinterhauß und Hoffstatt samt übrigen Gebäuden, Begriffen, Weithen, Zugehörden, Rechten und Gerechtigkeiten, einseit neben Hn Pierre Letournay, dem Sattler Mr, anderseit neben Fr. Catharina Barbara Baurin des Kiefers Wittib, hinden auf Hn Joh: Jac: Hitschler, den Courtier stosend, so über 4. ß. 4. d. ewigen Zinnses, welche man jährlichen dem mehrern teutschen Hospital reichet, Wie auch außer denen darauf haftenden Passiv: Capitalien (…) um die summ von 4200 gulden currenter Elsaßer Währung oder 8400 Livres tournois, der Hr Käufer verspricht desweg. von Dato in drei Wochen in alhiesiger C. S. Stub bey der alldasigen Verschreibung (…) baar zu erlegen
So geschehen alhier Zu Straßburg (…) auf Montag den 19. Octobris Anno 1778.
Verzeignuß derjenigen effecten so in dem Hauß Kauff mit inbegriffen sind.
Erstlich Zweÿ trätene Meel sippen die grose und Kleine
Item Zweÿ frucht sippen und ein semmel sipp
Item schauffel ring und scheid deller
Item die teig wag sammt eylff* gewigt
Item der Meel Kasten in der back stub
Item 15 teigdielen und daß teigsamständel
Item 7 Kuchen brether
Item eine Kupferne teig oder waßer Pfann
Item Meel schragen und brod schragen Vor dem beck offen wie auch holß axt vnd back ampel
Item die beyde schein trög
Item alle Krucken, halter und Hutel wisch, wie auch alle brod Zeigen die in daß hauß gehören
Item alle stuben öffen im ganzen hauß ohne auß nahm
Item die back Multen samt den Mult scharren
Item der rück Korb
Item ein stuhl und banck in der backstub
Item 2 sester und i Halb sester Nebst Kehrwisch und wahl Höltzer
Item die zusammen gelegte schreib taffel in der Laden stub
Item die Zweÿ Bank Tröglein in der Laden stub
Item der Bauch Keßel und der waßer Keßel in der V in der Back Stub Nebst der legerling im den Kelleren
Item die trog bahr Zum holtztragen
Straßburg den 19.ten 8.bris Anno 1778.

Vente définitive passée à la Chambre des Contrats à Jean Georges Zier et à sa femme Catherine Barbe Rœderer

1778 (15.11.), Chambre des Contrats, vol. 652 f° 345
Georg Friedrich Eckert der dermahliger garde am Steinstraßer thor, Maria Magdalena Mäntzerin geb. Eckertin Johann Gottfried Mäntzer des paßmentirers
in gegensein Johann Georg Ziehr des weißbecken und Catharinæ Barbara geb. Roedererin unter assistentz H. Georg Friedrich Albrecht des vöchhändlers und H. Johann Jacob Fischer des handelsmanns ihrer schwägern
eine unter ihnen als von ihrer eltern ererbt auch unvertheilt gebliebene becken behausung bestehend aus vorder und hinter haus, hoff, bronnen und hoffstatt mit allen denen übrigen begriffen, weithen, zugehörden, rechten und gerechtigkeiten beÿ der St Ludwigs kirchen, einseit neben Pierre Letournay dem staller, anderseit neben der verwittibten Fr. Catharina Barbara Baurin, hinten auff H. Johann Jacob Hitschler den wexel courtier – davon gibt man dem mehrern hospital 4 s 4 p – um 115 und 600 pfund beladen, geschehen um 1500 pfund

Fils du maréchal ferrant David Zier de Kehl, Jean Georges Zier épouse en 1776 Catherine Barbe, fille du boutonnier Jean Geoffroi Rœderer : contrat de mariage, célébration
1776 (2.9.), Not. Lobstein (J. Frédéric, 6 E 41, 834) n° 422
Eheberedung – persönlich erschienen der Ehren und wohlvorgeachte hr. Johann Georg Ziehr, der leedige Weißbeck, Weiland Meister David Ziehr, des geweßenen hueffschmidts im dorff Kehl jenseith rheins nachgelaßener Sohn so majorennis und ohnbevögtigt, als hochzeiterer ane einem
und die Viel Ehren: und tugendsahme Jungfer Catharina Barbara Rödererin, weil. hn Johann Gottfried Röderers, des geweßenen Versilbert Pferdzeug: und Zinn Knöpffmachers auch burgers allhier seel. nachgelaßene tochter, unter assistentz H. M. Johann Gottfried Röderers, theologiæ Candidati, dero Hn bruders und ohnentledigten Vogts, als hochzeiterin ane dem andern theil
auf Montag den 2. Septembris Anno 1776. [unterzeichnet] Johan Georg Ziehr, Als hoch Zeiter, Catharina Barbara Rödererin als Hochzeiterin

Mariage, Temple-Neuf (luth. f° 138-v)
Im Jahr Christi 1776, Mittwochs den 18. Septembris vor mittag umb Zehen uhr sind nach vorhergegangenen ordentlichen Proclamationen (…) ehelich copulirt und Christlich eingesegnet worden Johann Georg Ziehr lediger Weißbeck, von Kehl gebürtig, und burger allhie, weÿl. David Ziehrs, gewesenen Huffschmidts und burgers in Kehl, mit Fr. Magdalena, gebohrner Metzin ehelich erzeugter Sohn, und Jgfr. Catharina Barbara Rödererin, weÿl. H. Johann Gottfridt Röderers, gewesenen versilbert Pferdtzeug und Knöpffmachers auch burgers allhier mit Frau Maria Salome gebohrener Isenheimin als seiner hinterlaßenen wittib ehelich erzeugte Tochter [unterzeichnet] Johann Georg Ziehr Als hoch Zeider, Catharina Barbara Rödererin als Hochzeiterin (i 191)

Jean Georges Zier devient bourgeois par sa femme le lendemain de son mariage : inscription au livre de bourgeoise, registre de traitement des demandes.
1776, Livre de bourgeoisie 1769-1777 (VI 286) p. 160
Johann Georg Ziers der beck von Kehl geb. erhalt das burgerrecht von seiner Ehefr. Cath. Barbara weÿl. Joh: Gottfried Röderers gewes. versilb. pferd Zeugmacher u. burgers allh. hinterl. ehel. tochter umb den alten burger schilling, will dienen beÿ E.E. Zunfft d. becker. Jur. den 19. 7.bris 1776.

p. 404 (VI 286 bis) Becker, N° 46, 7. 7.brr 1776.
Joh: georg Ziehr, der leedige Weißbeck von Kehl gebürtig Weÿl. David Ziehr gewehsenen b. und huffschmid alda, mit fr. Magdalena gebohrener Mätzin Eheliche tochter [sic], Verlobt an Jgfr. Catharina Barbara Weÿl. Joh: gottfried Roederern gewehsenen Zin Knopffmacher u. b. alhier hinterlaßene Eheliche Tochter, erweiset durch Vorgelegte schein Seine Eheliche geburth der augs. Conf. Zugethan, daß seiner Sponsa Stallgebühr in richtigkeit, er die erforderliche Statt Stall Caution geleistet und das Zunfftrecht beÿ E.E. Zunfft der Becker Vertröstet Worden, daß erforderliche Vermögen hatt derselbe laut einer designation vom amtschulth. Zu Kehl bestätiget, bestehen an einem antheil hauß liegenden gütheren u. baarem geld belaufend à 500 fl. und als dessen Wahren eigenthum mit Eid erhärtet auch 100 fl. 5 ß ad protocolum deponirt. jmpl. bittet E: G: unterthänig Ihne à sponsa um den A. B. sch das b. recht Zu Vertrösten
Receptus um d. a. b. sch.

Les nouveaux mariés font dresser l’inventaire de leurs apports dans une maison au Faubourg de Pierre. Les apports du mari s’élèvent à 97 livres, ceux de la femme à 687 livres.
1776 (16.10.), Not. Lobstein (J. Frédéric, 6 E 41, 821) n° 763
Inventarium über des Ehren und wohlgeachten Herrn Johann Georg Ziehr, des Weißbecken und der viel Ehren u. tugendsahmen Fraun Catharinä Barbarä Geb. Rödererin beeder Eheleuthe u. b. dah. Zu Straßb. einander für ohnverändert in die Ehe zugebrachte Nahrungen, aufgerichtet in Anno 1776. (…) welche der Ursachen aldieweilen in ihr beeder Eheleute d. 2. 8.bris dießes laufend. 1776. Jahrs vor mir Notario mit einander errichteten Eheberedung §. 3.tio expresse enthalten, daß eines jeed. illata reservirt und ohnverändert seÿn v. bleiben solle – Actum alh. Zu Strb. in fernerem beÿseÿn H. Joh: Jacob Fischers des handelsmanns u. b. alh. der Ehefr. G. Schwagers u. dißorths assistenten auf Mittwoch d. 16. 8.bris 1776.
In einer alhier Zu Straßburg ane der Steinstraß gelegenen und in dießer Zugebrachten Nahrung nicht gebürtigen behaußung befunden worden als volgt
Series rubricarum hujus Inventarÿ. (des Ehemanns Vermögen) Sa. haußraths 5, Sa. Silbers 17, Sa. baarschafft 20, Summa summarum 53 lb – dazu gerechnet die demselben vermög der Eheberedung paragrapho 5° gebührige helffte ane denen hßstren 43 lb, bestehet also des Ehemanns gesamt vor ohnverändert in die Ehe gebrachte guth um 97 lb
(der Frauen Vermögen) Sa. hßrths 111, Sa. Silbers und dergleichen Geschmeids 7, Sa. Goldener o. und dergleichen Geschmeids 37, Sa. baarschafft 488, Summa summarum 645 lb – dazu gelegt die derselben vermög helffte ane denen haußstren 43 lb, So belauft sich der Ehefr. völlig in die Ehe gebracht guth um 689 lb

La tribu des Boulangers délivre le 31 août 1776 une promesse d’admission à Jean Georges Zier qui devient tributaire le 26 septembre suivant
1776, Protocole de la tribu des Boulangers (XI 13)
(f° 93-v) Kauf: Gericht. Sambstags den 31. August 1776 – Vertröstungs: Schein
Johann Georg Ziehr, lediger Becker aus dem Dorf Kehl gebürtig, stehet Vor und begehrt man möchte ihme dahin einen Vertröstungs: Schein mittheilen, daß sobald er wird præstanda præstirt und beÿ gnädiger Hoher Obrigkeit das Burger: Recht erlangt haben, man ihne dißorts gegen Erlag der Gebühr als Leibzünfftigen Weißbecken: Meister auf producire Burger: Urkund und resp° Stallschein auf: und annehmen möchte.
Erkandt, Seÿe Imploranten in seinem Begehren zu willfahren.

(f° 94-v) Quartal-Gericht. Mittwochs den 26. Septembris – Fremder Neuzünfftiger
Johann Georg Ziehr, der Becker, producirt Burger: Urkund vom 19.ten 7.bris und darbeÿ gesetzten Stall Schein de 25.ten 7.bris beedes h: a: bitt daraufhin ihme gegen erlag der Gebühr dißorths als Leibzünfftigen Weißbecken Meister auf: und anzunehmen. Erkannt Willfahrt
(f° 111-v) Quartal-Gericht, Donnerstags den 17. Decembris 1777 – Handwercks Änderung
Mr Johann Georg Ziehr, der Weißbeck, bitt ma, möchte ihme erlauben sein Handwerck in die Schwartz: beckerei Zu vereändern. – Erkannt Willfahrt (dt. 1. lb. d.)

Deux boulangers font grief à Jean Georges Zier de vendre du pain aux œufs à l’encontre du règlement. Il répond que le pain est réservé à ses clients mais que sa femme en a vendu. Le contrôleur de la tribu déclare que le défendeur a été plusieurs fois mis en garde. Le conseil de tribu inflige une amende à Jean Georges Zier.
(f° 121-v) Kauf: Gericht Donnerstags den 13.ten Januarii 1780
Mr Johann Daniel Braun und Mr Johann Jakob Böschett, beede Weisbecken, Klagen Wieder Mr Johann Georg Ziehr, den Schwartzbeck, daß er Wieder Artickel durch Bachung allerlei Eier: Brod auf den Kauf handle und dadurch ihnen als denen benachbarten Weisbecken grosen Schaden Zufüge, Bitten dahero Beklagten dem Artickel nach abzustrafen und in alle unkosten Zu condemniren, Bekl. Zugegen gab zur Verantwortung, daß er Wahr seÿe, Eÿer Brod aber nur für Kundten und nicht auf den Kauf gebachen haben, und er nichts dafür Könne, daß seine Frau ohnwißend seiner um Geld weggebene habe, Bitt deswegen um absolution. Der geschwohrene Rüeger auch gegenwärtig replicirte hierauf, daß beklagter nicht wird läugnen können, daß er Ihn vorhero zu verschiedenen mahlen auf befehl H. Zunfftmeister gewarnet habe.
Nach gehaltener Umfrag wurde Erkanndt, Seÿe Beklagter Zwar in der Straf des Zwölften Artickels Von Fünf Pfund Pfenning Verfällig, allein die Kauf: Gerichts Kösten von 4 fl. 2 ß sollen Klägerern wieder aus dieser Straf erstattet werden, mithin H. Zunft: Mr wird deswegen nur 5. fl. 8 ß in seine Rechnung Zu verrechnen haben.

Catherine Barbe Rœderer meurt en 1811 en délaissant cinq enfants dont l’un meurt peu de temps après elle.

1811 (31.5.), Strasbourg 7 (27), M° Stoeber n° 2381, 10.397
Inventaire de la succession de Catherine Barbe Roederer, épouse de Jean Georges Ziehr boulanger, décédée le 13 février dernier – dressé à la requête du veuf, héritier pour un quart de Jean David Zier son fils décédé le 8 mars dernier et fondé de procuration de Jean Georges Zier son fils majeur Caporal aux voltigeurs du deuxième bataillon du 69° régiment de ligne, donnée au camp de Glogau le 21 juillet 1808 et tuteur naturel de Jean Geoffroi âgé de 18 ans, 2. Catherine Barbe Zier majeure, 3. Louis Bartholmé Zier boulanger majeur, tous cinq héritiers de leur mère et pour trois quarts de leur frère – en présence de Jean Geoffroi Roederer négociant subrogé tuteur du mineur
en la maison rue du Vent n° 3
maison, Une maison avec cour derrière maison et appartenances sise en cette ville rue du vent n° 3, d’un côté Sr Thomas Goerner serrurier, de l’autre le Sr Rauscher frippier donnant sur Frédéric Wagner serrurier – chargée de 86 c de rente perpétuelle due à l’hôpital bourgeois – estimée à 450 fr de revenu faisant en capital 9000 fr – acquise par contrat passé devant M° Lauth le 9 octobre 1778
Inventaire des apports, M° Lobstein le 16 octobre 1776, remplacements au veuf 717 fr, aux héritiers 5778 fr
Etat de la masse, meubles 348 fr, bijous 3 fr, maison 9000 fr, total 9351 fr, passif 10.736 fr, déficit 1384 fr
prétentions des héritiers, meubles 298 fr, bijoux 26 fr, remplacements 5778 fr
Enregistrement, acp 117 F° 69 du 5.6.

Les héritiers Zier font vendre la maison par adjudication au tribunal civil de Strasbourg le 20 décembre 1811 (voir les actes ultérieurs, la vente ne semble pas transcrite aux hypothèques). Le boulanger Michel Freisz s’en porte acquéreur.

Originaire de Lingolsheim, Michel Freisz épouse en 1811 Marie Salomé Strohl
1811 (28.6.), Strasbourg 9 (anc. cote 33), M° Bossenius n° 368, 5010
Contrat de mariage – Michel Freiss boulanger en cette ville fils de feu Jean Freiss, cultivateur, et de feu Barbe Marz à Lingolsheim
Marie Salomé Strohl fille majeure de Jean Strohl, chanvrier, et de Marie Salomé Kammerer
Enregistrement, acp 117 F° 109 du 2.7.

Inventaire des apports
1812 (30.1.), Strasbourg 9 (anc. cote 18), M° Bossenius n° 507, 5276
Inventaire des apports de Michel Freyss boulanger et de Marie Salomé Strohl mariés le 5 août 1811, contrat de mariage devant le notaire soussigné le 28 juin de la même année
dans la demeure des conjoints grand rue n° 140
le mari, prix de biens à Lingolsheim et montre 10 080 fr
la femme, meubles, or, numéraire (1200 fr), total 2364 fr
Enregistrement, acp 118 F° 197-v du 6.2.

Marie Salomé Strohl meurt en 1811 en délaissant deux petites-filles issues du mariage de Madeleine Caroline Freysz et du fabricant de pianos Georges Frédéric Steegmüller

1861 (15.7.), Strasbourg 9 (122), M° Becker n° 9112
Inventaire après le décès de Mad° Marie Salomé Strohl, en son vivant épouse de M. Michel Freysz, ancien boulanger, propriétaire à Strasbourg où elle est décédée le 26 avril 1861.
L’an 1861 le lundi 15 juillet à trois heures de relevée, à la requête 1) de M. Michel Freysz, ancien boulanger, propriétaire demeurant à Strasbourg, agissant 1° à cause de la communauté de biens réduite aux acquêts qui a existé entre entre lui et Mad° Marie Salomé Strohl, son épouse défunte aux termes de leur contrat de mariage passé devant M° Bossenius notaire à Strasbourg le 28 juin 1811 dûment enregistré, 2° comme donataire en vertu du même contrat de l’usufruit sa vue durant de la totalité de la succession de la défunte sauf la réduction que cette donation aurait à subir par suite de l’existence de descendants de la défunte, 3° comme donataire en vertu d’un acte passé devant M° Becker l’un des notaires soussignés le 28 juillet 1853 soit de la pleine propriété d’un quart et de l’usufruit viager d’un autre quart de la succession de ladite D° Freysz, soit de l’usufruit pendant la vie du donataire avec dispense de fournir caution de la moitié de la même succession, le tout au choix de M. Freysz qui déclare se réserver tous les droits et actions de faire son option à cet égard et pour accepter ou répudier les donations dont il est question ci-dessus, 4° comme subrogé tuteur des mineurs ci après nommés (…)
2. de M. Georges Frédéric Steegmüller, fabricant de pianos, demeurant à Strasbourg, agissant au nom et comme tuteur légal d’Emma Steegmüller et d’Alfred Steegmüller, ses deux enfants mineurs issus de son mariage avec Mad° Madeleine Caroline Freysz son épouse défunte. Lesdits mineurs Steegmüller habiles à se dire et porter seuls héritiers chacun pour moitié de feu la dite Dame Freysz, leur grand-mère, par représentation de feu ladite D° Steegmüller leur mère qui était seule et unique enfant de feu ladite Dame Freysz
dans une maison sise à Strasbourg rue Saint-Louis N° 3 dépendant de la dite communauté et où Mad° Freysz est décédée le 26 avril 1861.

n° 9205. 21 octobre 1861. Suite des titres et papiers. Cote trois. Part de Mad° Freysz dans la succession de Mad° Roederer sa tante. Reprises (…)
Cote quatre. Part indivise de Mad° Freysz dans une maison sise à Strasbourg quai de l’abattoir N° 2 (…)
Cote cinq. Maison sise à Strasbourg rue Saint-Louis n° 3 dépendant de la communauté d’entre les époux Freysz. – Treize pièces dont la première est une expédition sous forme exécutoire d’un jugement d’adjudication prononcé à la barre du tribunal civil de Strasbourg le 20 décembre 1811, enregistré et d’une déclaration de command du même jour aussi enregistrée au moyen desquels M. Freysz est devenu propriétaire d’une maison avec cour, écurie et autres dépendances, le tout sis à Strasbourg rue du vent N°3, inscriyte aujourd’hui aux registres du cadastre de la même ville comme sise rue Saint Louis N° 3. La vente de ladite maison a eu lieu par suite de la licitation qui avait été poursuivie au dit tribunal entre le sieur Georges Ziehr, père boulanger à Strasbourg et les enfants ci après nommés issus de son mariage avec sa femme défunte et qui étaient le Sr Louis Ziehr boulanger, Dlle Catherine Barbe Ziehr, fille majeure, le Sr Georges Ziehr, garçon majeur et Geofroy Ziehr fils mineur des dits époux Ziehr, tous demeurant à Strasbourg. L’immeuble en question qui dépendait de la communauté d’entre les dits époux Ziehr appartenait pour moitié au sieur Georges Ziehr père et pour neuf huitièmes à chacun des enfants Ziehr susnommés. Le prix d’acquisition de l’immeuble susdésigné était de 16.800 francs (…) M. Freysz déclare que lors du décès de sa femme il était dû pour loyer la somme de 36 francs (…)
N° 9206. 22 octobre 1861. Suite des titres et papiers. Cote six. Immeuble sis à la Robertsau
acp 500 (3 Q 30 215) f° 72 du 18.7. (succession déclarée le 25. Xbre 1861) Mobilier 807, garde robe 285.
acp 503 (3 Q 30 218) f° 45 du 24.10. (vacation du 24 octobre) Communauté, argent 1130
Une maison à Strasbourg rue St Louis N° 3
dix ares de terre à la Robertsau au canton dit Kleinniedersand
créances et intérêts 36.251
reprises de la défunte 23.973, indemnités dues par la défunte 11.180, reprises du veuf 4080
moitié de la communauté 21.638, garde robe 385
le tiers d’une maison quai de l’abattoir
rapport dû par les héritiers

1861, M° Becker
28 juillet 1858 – Donation entre vifs par Marie Salomé Strohl épouse Michel Freysz, propriétaire à Strasbourg à sondit mari, de l’universalité de sa succession en propriété, réductible en cas d’enfants
acp 500 (3 Q 30 215) f° 57-v du 13.7. (succession déclarée le 25. 8.bre 1860, décès du 26 avril 1861)

Michel Freysz loue en son nom et en celui de ses petits-enfants la maison au boulanger Antoine Fritsch

1862 (10.7.), Strasbourg 9 (123), M° Becker n° 9482
10 Juillet 1862. Bail – A comparu M. Michel Freysz, ancien boulanger, propriétaire demeurant à Strasbourg, agissant tant en son propre nom qu’au nom d’Emma Steegmüller et d’Alfred Steegmüller, ses deux petits enfants mineurs pour lesquels il se porte fort et qui sont nés du mariage d’entre Mad° Madeleine Caroline Freysz sa fille défunte & M. Georges Frédéric Steegmüller, fabricant de pianos, demeurant à Strasbourg, tuteur des dits mineurs
au sieur Antoine Fritsch, garçon boulanger, demeurant à Strasbourg, quai des chevaux N° 13
Les localités ci après désignées faisant partie d’une maison sise à Strasbourg rue Saint Louis N° 3 savoir
1° tout le rez de chaussée du bâtiment de devant,
2° deux chambres & une écurie au rez de chaussée du bâtiment latéral à droite en entrant,
3° un bucher se trouvant au rez de chaussée du bâtiment de derrière,
4° une chambre de domestique au premier étage du bâtiment latéral, l’entrée de cette chambre exise en haut de l’escalier à droite de la cour,
5° une mansarde pour conserver la farine et située au-dessus du premier étage du même bâtiment,
6° deux autres petites mansardes dans ledit bâtiment dont l’une sert de chambre de domestique,
7° une chambre à linge sale située au-dessus de la chambre de domestique,
8° une partie de la cave se trouvant sous le bâtiment latéral, laquelle partie est séparée du surplus par une séparation en lattes,
9° l’usage commun avec les autres locataires de la maison de la partie des lieux d’aisances destinés aux locataires occupant une partie de la maison,
10° l’usage commun avec tous les habitants de la maison de la cour, de la pompe, de la buanderie & d’un grenier pour sécher le linge,
ainsi au surplus que ces localités se poursuivent & se comportent (…)
L’âtre et la voûte du four de la boulangerie se trouvant au rez de chaussée du bâtiment de devant devra être en parfait état au commencement du bail & ils seront censés l’avoir été si le locataire laisse passer quinze jours sans réclamation à partir du jour de son entrée en jouissance. (…)
Le présent bail commencera le 25 mars prochain & il sera d’une durée de trois, six ou neuf ans au choix de chacune des parties (…) moyennant un loyer de 13 francs par semaine (signé) Michael Freÿß, Antoni Fritsch
acp 512 (3 Q 30 227) f° 58-v du 15.7.

Liquidation de la succession
1863 (30.1.), Strasbourg 9 (124), M° Becker n° 9649
Liquidation et partage de la de la communauté de qui a existé entre Michel Freys et Marie Salomé Strohl
Liquidation et partage, 30 janvier 1863 – Ont comparu 1° Mr Michel Freys agissant 1° comme ayant été marié sous le régime de la communauté de biens réduite aux acquêts avec Mad° Marie Salomé Strohl, son épouse défunte, aux termes de leur contrat de mariage passé devant M° Bossenius, notaire à Strasbourg le 28 juin 1811. 2° comme donataire en vertu du même contrat et d’une donation passée devant ledit M° Becker le 28 juillet 1853 de l’usufruit vaiger de la moitié de la succession de la dite dame, en faisant observer que d’après ledit contrat, la défunte avait gratifié son mari de l’usufruit viager de la totalitté de la dite succession, mais que, vu l’existence des enfants Steegmüller ci après nommés, cette disposition se trouve réduite à la moitié, quei d’après le dit acte du 28 juillet 1853, la même a fait donation à son mari soit de la moitié de la succession de la donatrice en usufruit soit d’un quart seulement en usufruit et d’un quart en pleine propriété & en dispensant l’usufruitier de donner caution & de faire emploi des valeurs mobilières & que par la vacation en date du 19 octobre 1861 de l’inventaire ci après mentionné, le comparant a opté pour l’usufruit viager de la moitié de la succession dont s’agit
2. et M. Georges Frédéric Steegmüller, fabricant de pianos, demeurant à Strasbourg, agissant 1) au nom et comme tuteur légal d’Emma Steegmüller et d’Alfred Steegmüller, ses deux enfants mineurs issus de son mariage avec Mad° Madeleine Caroline Freysz son épouse défunte, 2) et en son nom personnet comme ayant l’usufruit légal de la fortune de ses enfants jusqu’à leur âge de 18 ans. Lesdits mineurs Steegmüller seuls héritiers chacun pour moitié de feu la dite Dame Freysz, leur grand-mère, par représentation de feu ladite D° Steegmüller leur mère qui était seule et unique enfant de feu ladite Dame Freysz avant laquelle elle est décédée ainsi que cette qualité d’héritiers est constatée par l’intitulé de l’inventaire après le décès de la Dame Freysz dressé par ledit M° Becker en date au commencement du 15 juillet 1861.

Observations préliminaires. 1° observation. Contrat de mariage des époux Freysz
2° observation, Part de Mad° Freysz dans les successions de ses père et mère. Reprises en nature, Indemnité due à la communauté
3° observation. Part de Mad° Freysz dans la succession de Mad° Roederer. Reprises en deniers & en nature. Indemnité due à la communauté
4° observation Acquisition par Mad° Freysz de part d’immeubles indivis. Constructions. Indemnité. Vente. Reprises en nature & en deniers.
5° observation. Décès de Mad° Freysz. Inventaire, Vente de la maison de la communauté. Rapport. Indemnité.
6° observation, Administration des biens à partager depuis le décès de Mad° Freysz. Compte de M. Freysz. Calcul des intérêts.
acp 518 (3 Q 30 233) f° 83-v du 4.2. – Communauté, mobilier 807, argent 1130, loyers 70, créances 62141, intérêts 5090, Total de la communauté 69.239
Masse passive 19.040, reste 50.199
Succession, moitié de la communauté 25.099, reprises et intérêts 13.855, le tiers d’une maison à Strasbourg quai de l’abattoir N° 5 8000, rapport des enfants Stegmüller 6000, intérêts 1038, total 54.277
Masse passive 268, reste 24.009
Compte du veuf (…)

Michel Freysz meurt en 1868
1869 (29.1.), M° Becker
Notoriété constatant que Michel Freys, rentier à Strasbourg est décédé le 8 octobre 1868 laissant pour héritiers Emma et Alfred Stegmüller à Strasbourg, neveu et nièce [corriger en petits-enfants]
acp 578 (3 Q 30 293) f° 85 du 2.2.

Michel Freysz et ses petits-enfants vendent la maison au serrurier Alexandre Thomas Wagner

1862 (18.9.), Strasbourg 9 (123), M° Becker n° 9532
18 septembre 1860. Vente – Ont comparu Monsieur M. Michel Freysz, ancien boulanger, propriétaire demeurant à Strasbourg, agissant tant en nom personnel qu’au nom d’Emma Steegmüller et d’Alfred Steegmüller, ses deux petits enfants mineurs pour lesquels il se porte fort en s’obligeant de les faire ratifier les présentes à leurs frais, au fur et à mesure de leur majorité, Et M. Georges Frédéric Steegmüller, fabricant de pianos, demeurant en la même ville, agissant au nom et comme tuteur légal des dits deux enfants mineurs issus de son mariage d’entre Mad° Madeleine Caroline Freysz sa fille défunte, pour lesquels deux mineurs il se porte également fort (lesquels) ont par les présentes vendu
à Monsieur Alexandre Thomas Wagner, ancien serrurier, propriétaire demeurant en ladite ville, ci présent et acceptant
Désignation de l’immeuble vendu. Une maison deux étages, dont le rez-de-chaussée est affecté à une boulangerie, avec puits, cour, bâtimens dans cette cour contenant une buanderie, bucher, écurie à porcs, appartenances et dépendances le tout situé à Strasbourg rue Saint Louis N° 3, autrefois rue du Vent Numéro 3, tenant d’un côté à M. Klein, de l’autre à l’acquéreur lui-même et au Sr Schneider, et par derrière au Sr. Klinghammer.
Sont compris dans cette vente six poêles et fourneaux avec tuyaux et pierres, une chaudière en cuivre rouge, les doubles fenêtres de la boulangerie et en généralement tout ce qui étant placé à perpétuelle demeure dans la maison sus désignée et réputé immeuble par destination.
Etablissement de propriété. Au sujet de l’origine de la propriété de ladite maison, Mr Freysz a fait les déclarations suivantes. Il a acquis cet immeuble suivant procès verbal d’adjudication sur licitation dressé à la barre du tribunal civil de Strasbourg le 20 décembre 1811 et déclaration de command du même jour. La dite licitation avait été poursuivie entre le Sieur Georges Ziehr, père, boulanger à Strasbourg et les enfants ci après nommés issus de son mariage avec sa femme défunte et qui étaient le Sr Louis Ziehr boulanger, Dlle Catherine Barbe Ziehr fille majeure, le Sr Georges Ziehr, garçon majeur et Geoffroi Ziehr fils mineur des dits époux Ziehr, tous demeurant à Strasbourg. L’immeuble en question qui dépendait de la communauté de biens d’entre les dits époux Ziehr appartenait pour moitié au sieur Georges Ziehr père et pour neuf huitièmes à chacun des enfants Ziehr susnommés. (quittance) à D° Catherine Barbe Ziehr femme du St Chrétien Rheinacher, cordonnier à Strasbourg, au Sr Georges Ziehr, sergent au 69° régiment d’infanterie de ligne et au dit Sr Louis Ziehr suivant une autre quittance passée devant le même notaire Bossenius le 5 janvier 1814 (…)
Ladite acquisition a eu lieu pendant la durée du mariage d’entre Mr Freysz et D° Marie Salomé Strohl son épouse défunte, et l’immeuble en question dépendait donc de la communauté de biens réduite aux acquêts que Mr et Mad° Fretsz avaient établie entre eux â leur contrat de mariage passé devant le dit M° Bossenius le 28 juin 1811. Ladite Dame Freysz est décédée le 26 avril 1861 en laissant pour seuls et uniques héritiers lesdits deux mineurs, Steegmüller, ses petits enfants chacun pour moitié, par représentation de feu ladite D° Steegmüller leur mère qui était la seule et unique enfant de la dite D° Freysz, le tout ainsi qu’il est constaté par l’intitulé de l’inventaire dressé après le décès de cette dernière par le dit M° Becker le 15 juillet 1861. Ladite maison était donc devenue la propriété de M° Freysz pour une moitié et celle des dits mineurs Steegmüller pour l’autre moitié, sauf l’usufruit viager compétant à M. Freysz sur la moitié de la part qui appartenait aux dits mineurs dans le dit immeuble
Baux. La maison présentement vendue est louée en partie au Sieur Louis Seyder, boulanger, suivant bail verbal qui expire le 25 mars prochain. Et les mêmes localités de cette maison ont été louées suivant bail passé devant le dit M° Becker le 6 juillet dernier, à partir du dit jour 25 mars prochain, au Sieur Antoine Fritsch, garçon boulanger demeurant à Strasbourg pour une durée de trois, six ou neuf ans (…)
Prix, 24.000 francs
acp 514 (3 Q 30 229) f° 48-v du 23. 7.bre
N° 11.974. Du 20 juillet 1869. Ratification. Ont comparu Mademoiselle Emma Steegmüller, sans état demeurant à Strasbourg, majeure depuis le 14 mai 1867 comme étant née me 14 mai 1846 Et M. Alfred Steegmüller, fabricant de pianos demeurant en la même ville, majeur depuis le 24 mars 1869 comme étant né le 24 mars 1848.

1862 (25.10.), M° Becker
Cession éventuelle – Alexandre Thomas Wagner, ancien serrurier demeurant à Strasbourg
au profit de Michel Freysz ancien boulanger à Strasbourg agissant tant en son nom qu’au nom d’Emma Steegmüller et d’Alfred Steegmüller, ses petits enfants
de l’indemnité en cas d’incendie d’une maison à Strasbourg rue Saint Louis n° 3 affectée pour sûreté d’une somme de 20.000 francs due suivant acte M° Becker notaire le 18 septembre dernier
acp 515 (3 Q 30 230) f° 42-v du 28.10.

Le serrurier Alexandre Thomas Régnard Wagner épouse en 1823 Marie Madeleine Sandmann, originaire de Kogenheim
1823 (4.4.), Strasbourg 12 (91), M° Wengler n° 13.088
Contrat de mariage – Alexandre Thomas Renard Wagner, serrurier, fils de Henri Wagner, serrurier, et de Marguerite Catherine Dreher
Marie Madeleine Sandmann, fille mineure de François Joseph Sandmann, marchand de vin à Kogenheim, et de feu Anne Marie Drach
régime de la communauté d’acquets partageable par moitié
article 7, en faveur du présent mariage le père du futur époux cède au futur époux son fils l’exercice de son métier de serrurier, ensemble toutes les pratiques et tous les outils et ustensiles de métier
fait par ailleurs donation entre vifs irrévocable de la moitié appartenant au père de la maison et dépendances sise à Strasbourg rue des Dragons n° 26 entre le Sr Goerner et la veuve Klinghammer avec ses appartenances et dépendances, dont cependant le fils ne pourra entrer en jouissance qu’après le décès de son père – mais en attendant le fils occupera et jouira de la boutique ou de l’attelier et du logement au premier étage – moyennant 3000 francs
Enregistrement, acp 162 F° 95 du 12.4.

Marie Madeleine Sandmann institue son mari héritier universel de ses biens
1854 (14.12.), M° Hippolyte Momy
14 décembre 1854. Dépôt du testament olographe de Marie Madeleine Sandmann épouse Alexandre Wagner, serrurier à Strasbourg décédée le 13 décembre 1854
acp 435 (3 Q 30 150) f° 96-v du 20.12.
Enregistrement de Strasbourg, ssp 119 (3 Q 31 618) f° 13 du 20.12. (succession déclarée le le 8 mars 1855)
11 août 1852, Testament. Je soussignée Marie Madeleine Sandmann épouse de Alexandre Wagner demeurant à Strasbourg ai fait mes dispositions de dernière volonté. Je donne toute ma fortune en pleine propriété à mon mari Alexandre Wagner que j’institue mon héritier universel. Je donne et lègue à Eugénie Sandmann ma nièce épouse de Jules Christiani chapelier demeurant à Strasbourg une somme de 15.000 francs. Je donne et lègue à Julie Sandmann ma nièce épouse de Charles Braunnagel une somme de 10.000 francs. Je donne et lègue à Alexandre Sandmann mon neveu une somme de 15.000 francs. Je donne et lègue à Xavier Hürstel mon frère à Hütsheim une somme de 4000 francs. Tous ces legs resteront soumis à l’usufruit viager de mon mari auquel j’en donne la jouissance

Strasbourg 15 (91), Hippolyte Momy, N° 1845. Notorieté du 26. 8.bre 1854. (…) Lesquels ont attesté pour notoriété connaître parfaitement Mr Alexandre Thomas Wagner, serrurier, propriétaire domicilié & demeurant à Strasbourg, né en cette ville le premier Nivose de l’an Dix, ainsi qu’il est justifié par un extrait du registre des Naissances de la Ville de Strasbourg (…) savoir que mon dit sieur Alexandre Thomas Wagner et bien réellement propriétaire de sept Inscriptions de Rentes (…)

Alexandre Thomas Wagner meurt à Paris le 8 mars 1867 au 2, rue Saint-Honoré. Un inventaire de ses biens est dressé à Paris.
1869 (23.3.), M° Hippolyte Momy
Notoriété constatant qu’Alexandre Thomas Wagner, rentier à Strasbourg est décédé accidentellement à Paris le 8 mars 1867, domicilié à Strasbourg
acp 578 (3 Q 30 293) f° 132 du 24.3.

1869 (12.3.), Strasbourg 15 (122), Hippolyte Momy n° 13.330
Dépôt du testament olographe d’Alexandre Wagner, propriétaire à Strasbourg, du premier janvier 1868, enregistré ce jourd’hui
Dépôt du testament olographe du même, du premier janvier 1868, enregistré ce jourd’hui (dépôt 10 mars 1869)
acp 578 (3 Q 30 293) f° 123 du 15.3.

Enregistrement de Strasbourg, ssp 151 (3 Q 31 650) 12-v à 15-v du 15.3.
Testament, 1 janvier 1868 – Alexandre Wagner serrurier entrepreneur

1869 (30.6.), Strasbourg 15 (122), M° Momy (Hippolyte) n° 13.548
Dépôt de l’expédition des Procès verbaux d’inventaire dressé par M° Ernest Bertrand et son collègue notaires à Paris sur la succession délaissée par Mr Alexandre Wagner ancien serrurier entrepreneur domicilié & demeurant habituellement à Strasbourg décédé à Paris le 8 mars de la présente année dans la maison où il était alors logé Rue Saint Honoré Numéro 2 premier arrondissement
L’an 1869 le 30 mars neuf heures du matin En une Maison sise à Paris Rue Saint Honoré Numéro 2 (premier arrondissement), à la requête (…)
acp 584 (3 Q 30 299) f° 21 du 9.7.
acp 584 (3 Q 30 299) f° 78 du 17.9. – Dépôt d’acte de décès, le 17 septembre

Alexandre Wagner laisse pour héritiers testamentaire ses neveux et nièces ou leurs représentants.

1869 (30.6.), Strasbourg 15 (122), Hippolyte Momy n° 13.547
Inventaire de la succession d’Alexandre Wagner, serrurier
Inventaire du 30 juin 1869. en la maison sise à Strasbourg rue des Hallebardes N° 27 appartenant à Monsieur Alexandre Wagner, ancien serrurier entrepreneur domicilié à Strasbourg où il demeure habituellement et qui est décédé à Paris rue Saint-Honoré N° 2 le 8 mars de la présente année.
A la requête et en présence de 1° M. Louis Jules Constantin Christiani, marchand chapelier demeurant à Strasbourg, 2° M. Eugène Christiani, employé à la Mairie de Strasbourg, 3° Madame Amélie Christiani veuve de MonsieurJoseph Lambert en son vivant employé des douanes, les trois domiciliés à Strasbourg
agissant M. Louis Jules Constantin Christiani, tant en son nom personnel en sa qualité de légataire à titre universel pour partie et exécuteur testament de M. Alexandre Wagner défunt ainsi qu’il sera établi ci après,n qu’en sa qualité de mandataire de A. Martial Louis Frierdich sergent au 26° régiment d’infanterie de ligne en garnison à Cherbourg (…), B. de M. Frédéric Auguste Wagner, architecte demeurant à Mulhouse (…)
4° de M. Ferdinand Vix, bachelier en droit domicilié à Strasbourg, agissant et qualité de mandataire de a) M. Hubert Wagner, lieutenant au 7° regiment d’infanterie de ligne en garnison au fort de Charenton, b) Mad° Eléonore Wagner, rentière demeurant à Pirmasens, veuve de Conrad Ritter, c) Madlle Eugénie Wagner, célibataire majeure sans profession demeurant à Vincennes, e) Mademoiselle Emilie Wagner, dame de Compagnie demeurant chez M Fievet de Chaumont, propriétaire à Marchiennes-Campagne (…)
5° Monsieur Charles Frierdich, propriétaire, 6° Monsieur Félix Frédéric Frierdich, tailleur d’habits, 7° Monsieur Auguste Victor Frierdich, ancien menuisier, 8° Mademoiselle Caroline Elisa Marie Frierdich, mineure mais émacipée et pourvue d’un curateur en la personne de Monsieur Auguste Victor Frierdich, son frère comparant (…)
9° Dame Victoire Nieul, veuve de M. Augustin Geoffroi François Frierdich, sans profession demeurant aussi à Strasbourg (…) habiles à se dire et porter seuls et uniques héritiers de feu M. Alexandre Wagner aux termes du testament olographe fait par ce denier à Paris le 19 décembre 1868 et dont l’orpginal a été déposé au rang des minutes de M° Momy notaire soussiggné par acte de son ministère en date du 10 mars dernier, conformément à l’ordonnance rendue par M. le Président du tribunal civil de première instance de Strasbourg à la suite du procès verbal de présentation du dit testament dressé par ce Magistrat le même jour, 10 mars dernier. M. Wagner défunt ayant par ledit testament légué l’universalité de sa succession à ses onze parents appelés dans l’ordre établi au titre des successions du Code Napoléon savoir, Aux deux Messieurs Christiani frères et à Madame Vve Lambert leur sœur, ses neveux et nièce ensemble pour un tiers, soit à chacun des trois pour 15/135°, aux deux Messieurs Wagner et à leurs deux sœurs ses neveux et nièces ensemble pour un tiers, soit à chacun des trois pour 9/135°, Enfin à M.M. Charles et Félix Frierdich et aux trois enfants et représentants d’Auguste Frierdich qui sont Martial Louis Frierdich, Auguste Victor Frierdich et la mineure émancipée leur sœur, ensemble pour un tiers, soit à chacun des deux premiers neveux du défunt pour 15/135°, et aux trois derniers petits neveux et petite nièce pour 5/135° cette dernière part étant grevée de l’usufruit viager de Mad° Victoire Nieul veuve de Monsieur Geoffroy François Frierdich leur mère, aux termes du testament sus visé.
en certaines localités des maisons sises à Strasbourg rue des Hallebardes N° 27, rue du Dragon N° (-) appartenant au défunt

Et cejourd’hui vendredi 2 juillet 1869. I. Immeubles. 1. Une maison rue des Hallebardes N° 26 (…)
II. une maison avec appartenances et dépendances rue du Dragon N° 27 (…)
III. Une maison à deux étages, dont le rez-de-chaussée est affecté à une boulangerie, avec puits, cour, bâtiment dans cette cour contenant une buanderie, bucher, écurie à porcs, appartenances et dépendances, le tout situé rue Saint Louis N° 3 autrefois rue du Vent N° 3, tenant d’un côté à M. Klein de l’autre à M. Wagner lui-même et au Sr Schneider par derrière au S. Klinghammer.
Titres de propriété. Cote C. Une liasse de quatre pièces qui sont La première Expédition d’un contrat de vente passé devant M° Becker et son collègue notaires à Strasbourg le 18 septembre 1862, enregistré, transcrit au bureau des hypothèques de Strasbourg le 26 septembre 1862 Vol. 914 N° 44 et inscrit d’office Vol. 825 N° 15 contenant vente au profit de M. Wagner par Michel Freysz, ancien boulanger propriétaire demeurant à Strasbourg ayant agi tant en son nom personnel qu’en celui et comme se portant fort d’Emma Steegmüller et Alfred Steegmüller ses deux petits enfants mineurs et par Georges Frédéric Stegmüller facteur de pianos ayant agi comme tuteur légal des dits deux enfants mineurs issus de son mariage avec Madeleine Caroline Freysz son épouse défunte, moyennant le prix de 24.000 francs (…) les parties déclarent qu’il reset encore du sur le prix de la dite maison la somme de 20.000 francs – Location. Cote D. Une pièce qui est la grosse du bail de différentes localités de la maison rue St Louis par devant ledit M° Becker le 10 juillet 1862.
Testament de Mad° Marie Madeleine Sandmann décédée épouse de M. Alexandre Wagner
Testaments de M. Alexandre Wagner
acp 585 (3 Q 30 300) f° 30 du 10.7. (succession déclarée le le 6 7.b 1869) Il dépend de ladite succession, mobilier 1985
maison rue des Hallebardes N° 26
maison rue du Dragon N° 27
maison rue Saint Louis N° 3
Inventaire par récolement de la succession du Sr Wagner dressé par M° Bertrand notaire à Patosle 30 mars 1869
acp 585 (3 Q 30 300) f° 85 du 6.8. (vacation du 29 août) Passif de la succession 73.464

1869 (27.12.), Strasbourg 15 (123), M° Momy (Hippolyte) n° 13.951
Compte, par l’exécuteur testamentaire de M. Alexandre Thomas Wagner

Les héritiers vendent les différents immeubles. Le boulanger Antoine Fritsch achète la maison rue Saint-Louis. Une convention établit les servitudes avec la propriété voisine à l’angle de la rue du Dragon dont Alexandre Wagner était propriétaire depuis 1834.

1869 (12.11.), Strasbourg 15 (123), M° Momy (Hippolyte) n° 13.846
du 12. 9.b. 1869. Cahier des charges, clauses et conditions sous lesquelles il sera procédé par M° Hippolyte Momy, notaire à la résidence de Strasbourg soussigné, à ce commis par le jugement ci après relaté, à la vente par licitation 1° d’une maison à quatre étages et belles mansardes sise à Strasbourg rue du Dragon 2, 2° d’une autre maison à deux étages, dont le rez-de-chaussée est affecté à une boulangerie, sise en la même ville rue Saint Louis N° 3
Enonciation du jugement ordonnant la vente. Par jugement rendu par le tribunal civil séant à Strasbourg le 30 août 1869 entre 1° M. Louis Jules Constantin Christiani, marchand chapelier, 2° M. Eugène Christiani, employé à la mairie de Strasbourg, 3° Madame Amélie Christiani veuve de MonsieurJoseph Lambert en son vivant employé des Douanes, 4° Frédéric Auguste Wagner, architecte demeurant à Mulhouse, 5° M. Hubert Wagner, lieutenant au 7° regiment d’infanterie de ligne en garnison au fort de Charenton, 6° Mad° Eléonore Wagner, rentière demeurant à Pirmasens, veuve de Conrad Ritter, 7° Madlle Eugénie Wagner, célibataire majeure sans état demeurant à Vincennes, 8° Madlle Emilie Wagner, dame de Compagnie demeurant à Marchiennes-Campagne, 9° M. Charles Frierdich, propriétaire demeurant à Strasbourg, 10° M. Félix Frédéric Frierdich, tailleur d’habits demeurant en ladite ville, 11° M. Martial Louis Frierdich sergent au 26° régiment d’infanterie de ligne en garnison à Cherbourg, demandeurs ayant comparu par Mr Hervé, avoué à Strasbourg, y demeurant, d’une part
Et 2° Auguste Victor Frierdich, ancien menuisier domicilié à Strasbourg tant en son nom personnel qu’en qualité de curateur et pour l’assistance de la mineure émancipée Caroline Elisa Marie Frierdich, ci après nommée, 2° Caroline Elisa Marie Frierdich, mineure émancipée, sans état, domiciliée à Strasbourg, 3° Victor Christiani autrefois tapissier à Strasbourg, 4° Léon Christiani ancien sergent major au 18° régiement d’infaterie légère, ces deux derniers sans domicile conu, défendeurs défaillants, d’autre part
Le tribunal civil de première instance séant à Strasbourg a ordonné que sans expertise préalable et sur les mises à prix ci après indiquées il sera procédé devant M° Momy notaire à Strasbourg, soussigné à ce commis à la vente par licitation

1° D’une maison à quatre étages et belles mansardes, appartenances et dépendances, sise à Strasbourg rue du Dragon 2, nouveau et Numéro 2 ancien formant d’un côté le coin de la dite rue et de la rue St Louis, de l’autre côté et par derrière l’immeuble ci après indiqué
2° d’une autre maison à rez-de-chaussée et deux étages, affecté à une boulangerie, cour puits bâtiments contenant buanderie bucher appartenances et dépendances sise rue St Louis N° 3, tenant d’un côté à M. Klein de l’autre à la maison ci-dessus désignée et au Sr Schneider par derrière le S. Klinghammer.
Origine de propriété. Les immeubles ci-dessus décrits dépendent de la succession de M. Alexandre Thomas Wagner, ancien serrurier entrepreneur domicilié à Strasbourg décédé à Paris le 8 mars 1869 en laissant comme habiles à se dire et porter héritiers et légataires à titre universel M.M. Christiani et la veuve Lambert leur sœur, M.M. Wagner et les demoiselles Wagner leurs sœurs, M.M. Frierdich et la demoiselle Frierdich aux termes de son testament fait olographe à Paris le 19 décembre 1869 et dont l’original a été déposé au rang des minutes de M° Momy notaire soussigné par acte de son ministère en date du 10 mars dernier, conformément à l’ordonnance rendue par Monsieur le Président du tribunal civil de première instance de Strasbourg (…), Monsieur Wagner défunt ayant par le dit testament légué l’universalité de sa succession à ses onze parents appelés dans l’ordre établi au titre des successions du Code Napoléon savoir 1° aux deux Messieurs Christiani frères et à Madame Vve Lambert leur sœur, ses neveux et nièce ensemble pour un tiers, 2° aux deux Messieurs Wagner et à leurs deux sœurs ses neveux et nièces ensemble pour un tiers, 3° Enfin à M.M. Charles et Félix Frierdich et aux trois enfants et représentants d’Auguste Frierdich qui sont Martial Louis Frierdich, Auguste Victor Frierdich et la mineure émancipée leur sœur, ensemble pour un tiers, les deux premiers ses neveux et les trois derniers ses petits neveux. La part de ces trois derniers étant grevée de l’usufruit viager de Madame Victoire Nieul veuve de Monsieur Geoffroy François Frierdich leur mère, aux termes du testament sus visé.
Origine de propriété du chef de M. Wagner. M. Wagner était propriétaire
1° De l’immeuble situé rue du Dragon (…)
3° De l’immeuble situé rue Saint-Louis pour en avoir fait l’acquisition de M. Michel Freysz, ancien boulanger propriétaire demeurant à Strasbourg ayant agi tant en son nom personnel qu’en celui d’Emma Steegmüller et Alfred Steegmüller ses deux petits enfants mineurs pour lesquels il s’est porté fort en d’obligant à rapporter leur ratification au fur et à mesure de leur majorité aux termes d’un contrat de vente passé devant M° Becker et son collègue notaires à Strasbourg le 18 septembre 1862, enregistré, transcrit au bureau des hypothèques de Strasbourg le 26 septembre 1862. (…) Au contrat de vente précité, l’origine de propriété se trouve établie de la manière suivante. M. Freysz avait acquis cette maison suivant procès verbal d’adjudication sur licitation dressé à la barre du tribunal civil de Strasbourg le 20 décembre 1811 et déclaration de command du même jour. La dite licitation avait été poursuivie entre le Sieur Georges Ziehr, père boulanger à Strasbourg et les enfants ci après nommés issus de son mariage avec sa femme défunte et qui étaient le S. Louis Ziehr boulanger, demoiselle Catherine Barbe Ziehr fille majeure, Georges Ziehr, garçon majeur et Geoffroi Ziehr fils mineur des dits époux Ziehr, tous demeurant à Strasbourg
Charges et conditions (…) Clause particulière. Feu M. Wagner, ayant fait communiquer l’immeuble de la rue du Dragon avec celui de la rue Saint-Louis au moyen d’une porte pratiquée dans le mur appartenant à la maison rue du Dragon qui sépare les deux propriétés et de plus ayant fait percer dans ce même mur des jours et vues de grandeur différentes dont certaines à verre mouvant et d’autres à verre dormant. Ces jours sont placés à une hauteur moindre que celle requise par l’article 677 du Code Napoléon et ne sont pas garnis pour la plupart des treillis exigés par l’article 676 du même code. L’adjudicataire de la maison rue Saint Louis devra supporter la servitude de ces jours et vues tels qu’ils existent en ce moment et se trouvent désignés sur un plan dressé sur timbre lequel est demeuré ci-annexé après avoir été certifié véritable par les parties et revêtu d’une mention d’annexe, lequel sera enregistré avec les présentes. Il ne pourra en demander soit la suppression soit la modification ni faire aucune construction qui puisse boucher ces jours, à l’exception cependant ce ce qui va être dit ci après.
Comme il existe dans la cour de la maison rue Saint-Louis un bucher présentement affecté à la jouissance de M. Seiler fabricant de chaises, un des locataires de la maison rue du Dragon, il est entendu que l’adjudicataire de la maison rue Saint-Louis devra tolérer l’entrée du Sieur Seiler et de ses ouvriers et domestiques dans sa cour par la porte de communication existant présentement entre la maison rue du Dragon et celle rue Saint Louis jusqu’au 25 mars prochain. Par contre l’adjudicataire devra immédiatement après le délai de la surenchère munir les dits vues et jours de treillis de fer et de châssis à barre dormant conformément aux dispositions de l’article 676 sus-visé, à l’exception cependant des trois jours rectangulaires disposés sur une même ligne horizontalale, immédiatement au dessous de la terrasse et éclairant le palier du quatrième étage de la maison rue du Dragon. Ces trois jours désignés sur le plan sus visé par les lettres M.N.O. tant à une hauteur moindre que celle requise par l’article 677 du Code Napoléon, celui du milieu et à verre dormant les deux extrêmes ont chacun in battant mouvant et un dormant. Ils devront toujours être maintenus dans leur état actuel.
Œuvre à faire à frais communs par les acquéreurs de la maison rue du Dragon et celle rue St Louis. Dès le 25 mars 1870, le propriétaire de la Maison rue du Dragon ainsi que le propriétaire de la maison rue St Louis seront tenus à première demande l’un de l’autre de faire murer à frais commuis le porte de communication existante actuellement entre les deux propriétés et le jour contré éclairant un des ateliers du rez de chaussée de la maison rue du Dragon et désigné sur le plan par le lettre E.
Baux et locations. Maison sise rue du Dragon N° 2. La maison sise rue du Dragon est louée verbalement à divers locataires pour un loyer annuel de 3308 francs ainsi que les parties l’ont décmate
Maison sise rue St Louis N° 3. Le rez de chaussée de la maison sise rue St Louis est affecté à une boulangerie est loué jusqu’au 25 mars 1872 avec différentes localités à Monsieur Antoine Fritsch boulanger, demeurant à Strasbourg moyennant un loyer de 13 francs par semaine, suivant bail reçu àat M° Becker et son collègue notaires à Strasbourg le 10 juillet 1862. Leuqeul représente à raison de 52 semaines par an un loyer annuel de 676 francs. Le reste de la maison est loué à différents locataires moyennant un loyer annuel de 772 francs. Total du reveu annuel de ladite maison 1448 francs (…) Mises à prix. Les immeubles dont il s’agit seront adjugés celui rue du Dragon sur la mise à prix de 60.000 francs. Celui rue Saint-Louis sur la mise à prix de 27.000 francs.
acp 584 (3 Q 30 299) f° 135-v du 22.11.
N° 3717. Procès verbal d’adjudication du 9 Décem: 1869. (…) Maison rue Saint-Louis. Plusieurs bougies ayant été successivement allumées il a été fait pendant la durée de leurs feus plusieurs mises dont la dernière et la plus forte de 29.400 francs par M. Antoine Fritsch, boulanger demeurant à Strasbourg
acp 588 (3 Q 30 303) f° 91 du 18.12.

Originaire de Knœrsheim, Antoine Fritsch épouse en 1863 Anne Diss, native de Crastatt.
Mariage, Strasbourg (n° 131)
Du 19° jour du mois de Mars 1863 à dix heures du matin. Acte de mariage de François Antoine Fritsch majeur d’ans, né en légitime mariage le 27 octobre 1832 à Knoersheim (Bas-Rhin), domicilié à Strasbourg, boulanger, fils de feu Joseph Fritsch, cultivateur décédé à Knoersheim le 11 octobre 1856 et de feu Anne Fritsch, décédée à Knoersheim le premier mars 1834
et d’Anne Diss, majeure d’ans, née en légitime mariage le 21 novembre 1831 à Crastatt (Bas-Rhin), domicilié au Hâvre (Seine Inférieure) cuisinière, fille de Maurice Diss, journalier décédé à Crastatt le 17 février 1838 et de feu Anne Diebolt décédée à Crastatt le 29 janvier 1847 (…) il n’a pas été passé de contrat de mariage (i 12)

Anne Diss meurt en 1891 en délaissant sept enfants.

1891 (24.8.), M° Loew
Erbverzeichnis über den Nachlass der zu Straßburg am 8. April 1891 verlebten Anna Diss, Ehefrau des Bäckermeisters Anton Fritsch
auf Betreiben 1) des Wittwers Anton Fritsch hier, 2) der sieben Kinder und Erben als 1. Joseph Fritsch, Bäcker zu Straßburg, 2. Gustav Fritsch, Apotheker zu Mülhausen, 3. Emil Fritsch, Handlungsangestellter hier, 4. Ludwig Fritsch, emancipirter Minderjähriger hier, 5. Anna Fritsch, emancipirte Minderjährige hier, 6. Eduard Fritsch, Bäcker hier, 7. Karl Fritsch, Handlungsangestellter hier. Die Eheleute Diss Fritsch waren in Ermanglung eines Ehevertrags unter der gesetzlichen Gütergemeinschaft verheirathet
acp 846 (3 Q 30 561) f° 61-v du 18.8. (Erbsch. Erk. vom 2. September 1891 Band 184 N° 285) Gütergemeinschaft. Mobilien und Waarenvorräthe 1228, Kleider der Erblasserin 59, Forderung an Melanie Fritsch in Friedolsheim für Darlehen 2400
Passiv, die Gütergemeinschaft schuldet an Johann Risch in Knoersheim 1600.
Immöbel der Gütergemeinschaft. Ein Wohnhaus mit 2 Stockwerken auf Erdgeschoß, enthaltend Bäckerei, Hof, Brunnen, Nebengebäude, Waschküche, An- Zubehör St. Ludwigsgasse N° 3, Werth 24.000.
Erbantheil an dem Nachlass von Anton Diss gestorben zu Neuhof am 6. März 1891.

Joseph Fritsch rachète les parts de ses cohéritiers

1895 (25.7.), M° Loew n° 27.518
1. Anton Fritsch, Bäcker hier, 2. Gustav Fritsch, Apotheker zu Mülhausen, 3. Emil Fritsch, Handlungsangestellter hier, 4. Ludwig Fritsch, Pastetenbäcker hier, 5. Anna Fritsch, ohne Gewerbe hier, 6. Eduard Fritsch, Bäcker in Neudorf, 7. Karl Fritsch, Briefhalter hier
Joseph Fritsch, Bäcker
von 13/14 an einem Hause mit zwei Stockwerken auf Erdgeschoß, enthaltend Bäckerei, Hof, Brunnen, Nebengebäude, Waschküche, An- Zubehör zu Straßburg St. Ludwigsgasse N° 3
gehört zur Gemeinschaft Anton Fritsch und Anna Diss, letztere verstarb am 8. April 1891, Erben sieben Kinder obgenannt – um 24.000 M
acp 901 (3 Q 30 616) f° 79-v n° 1835 du 29.7.

Le maître boulanger Jean Joseph Fritsch épouse en 1901 Marie (Rose Adèle) Scheyder, fille du maître boulanger François Joseph Scheyder
Mariage, Strasbourg (n° 1133)
Strassburg am 28. Oktober 1902. Vor dem Standesbeamten erschienen heute zum Zwecke der Eheschließung 1. der Bäckermeister Johann Joseph Fritsch, katholischer Religion, geboren am 19. März des Jahres 1865 zu Straßburg, wohnhaft in Straßburg Neudorf, Sankt Urban 47.a, Sohn des verstorbenen Bäckermeisters Frantz Anton Fritsch und seiner verstorbenen Ehefrau Anna geborenen Diss, beide zuletzt wohnhaft in Straßburg
2. die Maria Rosa Adelheid Scheyder, ohne Beruf, katholischer Religion, geboren am 30. April 1866 zu Straßburg, wohnhaft in Colmar, Ober Elsass, Schöpflinstraße 6, Tochter des verstorbenen Bäckermeisters Frantz Joseph Scheyder und seiner verstorbenen Ehefrau Adelheid, geborenen Linder, beide zuletzt wohnhaft in Straßburg [unterzeichnet] Joseph Fritsch, Marie Fritsch geb. Scheyder (i 268)

Joseph Fritsch hypothèque la maison au profit d’Abraham Schwartz
1901 (30.8.), M° Loew n° 34.559
Obligation – Joseph Fritsch, Bäcker ledig in Neudorf
zu Gunsten von Abraham Schwartz, Eigenthümer in Straßburg über 2000 Mark baar Darlehen
Unterpfand, Anwesen hier St Ludwigsgasse N° 3
acp 987 (3 Q 30 702. III) f° 90-v n° 1797 du 4.9.

Jean Joseph Fritsch, né en 1895, meurt en 1945.
Naissance, Strasbourg (n° 623)
Acte de naissance. Le 30 mars 1865 à une heure du soir (…) a comparu François Antoine Fritsch, âgé de 32 ans, boulanger domicilié à Strasbourg, lequel nous a présenté un enfant du sexe masculin né à Strasbourg le 19 mars 1865 à dix heures du matin en la maison N° 3 rue des St Louis et nommé Jean Joseph, fils de lui déclarant et d’Anne Diss son épouse âgée de 33 ans
[in margine :] Décédé le 12 avril 1945 à Strasbourg (i 39)

Marie Scheyder, née en 1866, meurt en 1959.
Naissance, Strasbourg (n° 940)
Acte de naissance. Le deux Mai 1866 à dix heures du matin (…) a comparu François Joseph Scheyder, âgé de 35 ans, boulanger domicilié à Strasbourg, lequel nous a présenté un enfant du sexe féminin né à Strasbourg le 30 avril 1866 à cinq heures du soir en la maison N° 22 rue des juifs et nommé Marie Rose Adèle, fille de lui déclarant et d’Adèle Linder, son épouse âgée de 30 ans
[in margine :] Décédée le 4 décembre 1959 à Strasbourg (i 2)


Les Maisons de Strasbourg sont présentées à l’aide de Word Press.