16, rue Sainte-Elisabeth
Rue Sainte-Elisabeth n° 16 – VIII 110 (Blondel) – P 1333 puis section 10 parcelle 37 (cadastre)
Ancienne maison (photographie Lucien Blumer, années 1930, AMS cote 8 Z 1003)
Maison actuelle qui suit l’ancien arrondi (août 2013)
La maison appelée au Grand Christophe (Zum großen Christoph) forme le coin arrondi de la rue et du Grünauel (« noue verte »), à l’entrée de la rue du Cumin (le Grünauel et la rue du Cumin sont tous deux actuellement englobés dans l’enclos de l’hôpital civil). Abraham Goll, originaire de Strasbourg et un temps grand prévôt d’Oberkirch, l’achète en 1665 avant de revenir dans sa ville natale. Comme son prix estimé par les experts de la Ville passe de 525 à 1 700 florins entre 1684 et 1719, il est probable que des transformations importantes aient eu lieu dans l’intervalle. La maison a une forme en U sur le plan Blondel (1765, dont la représentation est ici sans doute approximative) alors que les bâtiments ont une disposition différente sur les dessins préparatoires au plan-relief (1830).
Plan de 1765 (Blondel) et de 1830
La description précise de 1744 établit qu’il y avait un bâtiment principal à rez-de-chaussée et deux étages ainsi qu’un bâtiment accessoire à un étage, ce qu’on retrouve sur les élévations de 1830. Le bâtiment principal y est représenté entre les repères (y) et (x) dans la rue Sainte-Elisabeth, le bâtiment qui suit l’arrondi s’étend entre les repères (x) et (s). Les différents bâtiments entourent la cour (A) : les faces sud et est du bâtiment principal entre (6) et (7) d’une part et (7) et (8) d’autre part, l’arrière du bâtiment arrondi entre (8), (1) et (2), d’autres bâtiments accessoires entre (2) et (5), enfin une excroissance du bâtiment principal entre (5) et (6). On notera que l’Atlas des alignements semble se limiter à décrire les bâtiments accessoires arrondis, le bâtiment principal est sans doute décrit avec la maison voisine. Les bâtiments appartiennent aux Hospices Civils entre 1935 et 1968 puis au couvent voisin qui est autorisé à faire démolir les locaux inhabitables en 1972.
Plan-relief de 1830 – Elévations et cour A de l’îlot 252
Photographies des lieux avant destruction (dossier de la Police du Bâtiment)
On y reconnaît l’état de 1830, repères (t)-(v) d’une part et (x)-(y) d’autre part
août 2013
Sommaire
Cadastre – Police du Bâtiment – Relevé d’actes
Récapitulatif des propriétaires
La liste ci-dessous donne tous les propriétaires de 1598 à 1952. La propriété change par vente (v), par héritage ou cession de parts (h) ou encore par adjudication (adj). L’étoile (*) signale une date approximative de mutation.
Jean Loup von Molsheim | ||
1665 | v | Abraham Goll et (1638) Madeleine Christ – luthérien et catholique |
1690 | v | Jean Georges Hetzel, jardinier, et (1682) Marie Catherine Remp – luthériens Frédéric Kamm, boucher veuf de Salomé Hannsmetzger, et (1695) Marie Catherine Remp ci-dessus – luthériens |
1723 | h | Jean Conrad Reiff, boucher, et (1708) Marie Catherine Hetzel – luthériens |
1725 | adj | Jean Jacques Hirschel, pasteur, et (1702) Anne Marie Stigler puis (1723) Madeleine Reiff qui avait épousé Jean Adam Santer puis (1714) Jean Jacques Fischer, aubergiste – luthériens |
1736 | v | Jean Christophe Gambs, marchand, et (1722) Eve Marguerite Heckler – luthériens |
1779 | h | Philippe Jacques Gambs, artiste peintre à Paris, et Marie Anne Antoinette Aubry |
1807 | v | Philippe Jacques Brey, perruquier, et (1780) Marie Barbe Fettinger puis (1785) Marie Salomé Schæffer – luthériens, neveu du précédent |
1843 | v | Frédéric Charles Walder, ferblantier, et (1843) Elisabeth Heinrich, veuve du cordonnier Jacques Spitz |
Charles Treuschel | ||
1915* | Charles Frédéric Treuschel, rentier, la veuve née Ostermann | |
1933* | Charles Félix Helmstetter | |
1936* | v | Hospices Civils |
1968 | v | Association Maison Sainte-Julienne de Cornillon (congrégation de Marie Réparatrice) |
(1765, Liste Blondel) VIII 110 , à la veuve de Jean Christophe Gambs
(Etat du développement des façades des maisons, AMS cote V 61) Gamß, 15 toises, 1 pied et 6 pouces
(1843, Tableau indicatif du cadastre) P 1333, Brey, Philippe, perruquier rue de l’Homme de Pierre 4, maison, sol, cour, bât. – 1,92 are
Locations
1689, François Materne d’Ichtratzheim, seigneur de Hochfelden
Directeurs fonciers (Bauherren)
1779 (VII 1418)
(f° 277-v) Montags den 26. Julii 1779. Hr. Philipp Jacob Gambs Miniatur Mahler – Mr Härtelmeÿer der Maurer nôe. Herrn Philipp Jacob Gambs, des Kunst: und Miniatur Mahlers [bittet zu erlauben] an deßen behausung am Eck ane der St Elisabetha gaß gelegen etliche Kreutzstöck verändern, dieselbe auf beeden Seiten verblenden, und das Hinderhaus gegen dem Neuenburger hoff repariren zu laßen. Erkannt, Willfahrt.
(traduction) Lundi 26 juillet 1779. Sieur Philippe Jacques Gambs, peintre de miniatures – Le maçon Hærtelmeyer demande au nom du sieur Philippe Jacques Gambs, artiste peintre de miniatures, l’autorisation de changer plusieurs croisées de sa maison au coin de la rue Sainte-Elisabeth, de les grillager (?) des deux côtés et de réparer la maison arrière vers la cour de Neubourg. Décision, accord.
Description de la maison
- 1694 (billet d’estimation traduit) la maison comprend un passage latéral, une écurie, une cour, un puits et autres dépendances, estimée 800 florins
- 1731 (billet d’estimation traduit) la maison comprend plusieurs poêles, chambres, cuisines, vestibules, chambre d’officier, cave solivée au-dessus de laquelle se trouve le fenil, remise latérale dans laquelle se trouve la soue, estimée 1 400 florins
- 1744 (billet d’estimation traduit) la maison comprend au rez-de-chaussée un poêle, une chambre à cheminée, le vestibule, une cave voûtée et une petite cave solivée, au premier un poêle, chambre, vestibule où se trouve le fourneau, au deuxième de nouveau un poêle, chambre, vestibule où se trouve le fourneau et l’évier, deux passages (galeries) en bois, un vieux comble dans lequel se trouvent trois chambres séparées de lattes, le toit est couvert de tuiles creuses, d’un côté il n’y a pas de pignon, de l’autre un pignon en bois, cour et puits, un petit bâtiment latéral comprend au rez-de-chaussée une chambre à cheminée et une petite cuisine, au premier un petit poêle et un vestibule où se trouve le fourneau, une petite remise et toutes dépendances, estimés 1 600 florins
Atlas des alignements
3° arrondissement ou Canton Sud – Rue Ste. Elisabeth (f° 37 v°)
nouveau N° / ancien N° : 5 / 26
Breu
Rez de chaussée en maçonnerie et 1° étage médiocre en bois
(Légende)
Cadastre
Cadastre napoléonien, registre 28 f° 358 case 2
Brey Philippe perruquier Rue de l’homme de pierre N° 4
Walder Frédéric Charles, ferblantier (subst° 1845)
P 1333, sol, m.on bat. et cour, rue Ste. Elisabeth 26
Contenance : 1,92
Revenu total : 127 (126 et 1)
Ouvertures, portes cochères, charretières : 1
portes et fenêtres ordinaires : 33 / 36 / 29 (rect.)
fenêtres du 3° et au-dessus :
Cadastre napoléonien, registre 26 f° 728 case 1
Walder Frédéric Charles, ferblantier
P 1333, maison, sol, Rue Ste. Elisabeth 16
Contenance : 1,92
Revenu total : 127 (126 et 1)
Folio de provenance : (358)
Folio de destination : Gb
Ouvertures, portes cochères, charretières :
portes et fenêtres ordinaires : 36
fenêtres du 3° et au-dessus :
Cadastre allemand, registre 29 p. 126 case 8
Parcelle, section, 10 n° 37 – autrefois P 1333
Canton : St. Elisabethgasse Nr. 16 – Rue Sainte-Elisabeth – St. Elisabethgasse – Rue Ste. Elisabeth
Désignation : Hf 2 Whs. u. NG.
Contenance : 2,13
Revenu : 1300 – 1900
Remarques :
(Propriétaire jusqu’à l’exercice 1936), compte 1238
Treuschel Karl
1915 Treuschel Karl Friedrich Rentner Wittwe geb. Ostermann
1933 Helmstetter Charles Félix son épouse
1947 Helmstetter Charles Félix, industriel
(Propriétaire à partir de l’exercice 1936), compte 49
Civilhospizien, der Stadt Straßb. Bürgerspital
1927 Hospices Civils
(221) corrigé en (243)
1789, Etat des habitants (cote 5 R 26)
Canton VIII, Rue 284 De Ste Elisabethe (p. 449)
(maison n°) 26
pr. Knotterer, Eve Marg. veuve – tanneurs
loc. Gruell, Anne Marie veuve – Manante
loc. Glor, Françoise veuve
loc. Lützelmann, Barbe veuve
loc. Haffner, Philippe George – Maréchaux
loc. Schneller, Cath. Salomé – Lanterne
loc. Hermann, Francisque veuve – Boulangers
loc. Duliar, Anne Marie veuve – Tanneurs
loc. Prulang, Marie Salomé veuve
Annuaire de 1905
Verzeichnis sämtlicher Häuser von Strassburg und ihrer Bewohner, in alphabetischer Reihenfolge der Strassennamen (Répertoire de toutes les maisons de Strasbourg et de leurs habitants, par ordre alphabétique des rues)
Abréviations : 0, 1,2, etc. : rez de chaussée, 1, 2° étage – E, Eigentümer (propriétaire) – H. Hinterhaus (bâtiment arrière)
Elisabethgasse (p. 31)
(Haus Nr. )16
Decourtial, Schreiner. 0
Fournier, Schuhmacher. 0
Ringwald, Tagner. 0
Pigenot, Pensionär. 1
Steinberg, Bote. 1
Stolze, Rentnerin. 1
Louapre, Oktroibeamter. 2
Gangloff, Schreiner. 3
Kugler, Wwe. 3
Dossier de la Police du Bâtiment (cote 233 MW 1979)
Le dossier mentionne incidemment en 1904 que de grosses réparations ont eu lieu à l’intérieur de la maison. Un cordonnier, Chrétien Schübel, pose une enseigne en 1906, un autre, Alfred Fournier, en 1920. Les travaux réalisés en 1952 au couvent des Sœurs Marie Réparatrice (association Sainte-Julienne de Cornillon) concernent le numéro 14 bien que la demande ait été introduite pour le n° 16. Le couvent acquiert le n° 16 des Hospices civils en 1968. Comme les bâtiments sont inhabitables et qu’ils servent de refuge à des clochards, la Congrégation souhaite les faire démolir sans déroger à une clause du contrat d’achat. Le préfet accorde sans compensation l’autorisation de démolir en février 1972.
Sommaire
- 1884 – La Police du Bâtiment demande au propriétaire, Jean Jacques Trenschel (domicilié sur place), d’installer un tuyau d’aération à sa fosse d’aisances – Travaux terminés, novembre
- 1896 – L’entrepreneur Emile Widmann demande au nom du propriétaire Trenschel l’autorisation de ravaler la façade – Autorisation
- 1897 – La Police du Bâtiment notifie Charles Trenschel (domicilié 7 rue Apffel) de faire ravaler les façades – Travaux terminés, octobre 1897
- 1897 – La Police du Bâtiment demande au propriétaire de se conformer au nouveau règlement qui interdit que les volets s’ouvrent vers la voie publique (9 volets au 16 rue Sainte-Elisabeth) – Rappels, juin 1898, mars 1900 au sieur Trenschel – Nouveau rappel adressé à Frédéric Charles Walter, avril 1901. Charles Trenschel indique qu’il fera des travaux l’année suivante. La porte de cave a été modifiée mais pas les volets, décembre 1903 – Nouveau rappel, avril 1904– Travaux terminés, juillet 1904
- 1904 – La Police du Bâtiment notifie Charles Trenschel (domicilié 7 rue Apffel) de faire ravaler les façades – L’entrepreneur Emile Widmann demande un délai parce que de grosses réparations ont eu lieu à l’intérieur de la maison. La Police du Bâtiment accorde un an de délai. En juin 1905, l’entrepreneur répond qu’il est impossible de ravaler les façade à cause des travaux de canalisation – Nouvelle notification, juin 1906 – Travaux terminés, novembre 1906
- 1906 – La Police du Bâtiment constate que le cordonnier Chrétien Schübel a posé sans autorisation une enseigne perpendiculaire – Demande, modification – Autorisation – L’intéressé informe la Police du Bâtiment qu’il a retiré l’enseigne, mars 1913
- 1920 – L’entreprise de peinture Henri Flesch (quai des Bateliers) demande l’autorisation d’occuper la voie publique pour ravaler les façades – Accord du Directeur de police
- 1920 – Plainte de Berthe Wicky, locataire. Un incendie a eu lieu en décembre 1919 dans son logement qui n’est pas encore réparé en avril 1920. La maison qui appartient à Mme Dränschel est gérée par Stiegelmann (1, rue du Bouclier) – La Police du Bâtiment envoie un courrier au gérant après s’être rendue sur les lieux. Le gérant répond que la compagnie d’assurances se charge de la remise en état et qu’il soumettra les autres travaux à l’approbation du propriétaire – Travaux terminés, octobre
- 1920 – Le cordonnier Alfred Fournier demande l’autorisation de poser une enseigne perpendiculaire – Autorisation
- 1928 – Georges Brennstuhl demande l’autorisation de relier par une antenne le 16 rue Sainte-Elisabeth au n° 27 de la même rue et au 24 rue Saint-Louis – Autorisation – Travaux terminés, août
- 1904 – Commission contre les logements insalubres. Liste des travaux à réaliser – Nouvelle liste, avril 1914
1915 – Commission des logements militaires. Liste des travaux à réaliser - 1952 – L’architecte Joseph Schwab (3 rue Saint-Maurice) transmet à la Police du Bâtiment un projet pour transformer les combles en terrasse ouverte au 16 rue Sainte-Elisabeth, maison des Sœurs Marie Réparatrice, Sainte-Julienne de Cornillon – Devis descriptif et estimatif – Plan de situation, le bâtiment dépasse de près de 2,60 mètres de l’alignement légal, les travaux projetés auront lieu en arrière de l’alignement légal – Autorisation, section 10 n° 38 – Plans – Travaux terminés, septembre 1952 – Certificat du ramoneur Kieffer
- 1968 – Rapport de feu de cheminée
- 1970 – Dossier du Service du contentieux. La supérieure du couvent de Marie Réparatrice expose au maire que la Congrégation, représentée par l’association Maison Sainte-Julienne de Cornillon, a acquis en 1968 des Hospices civils le 16 rue Sainte-Elisabeth en s’engageant à ce que les bâtiments servent à l’habitation pendant au moins trois ans. Or les bâtiments ne sont plus habitables et servent de refuge à des clochards. La Congrégation souhaite faire démolir les bâtiments – Réponse des services municipaux qui proposent d’introduire une demande de démolir des bâtiments vétustes et frappés d’alignement
1972 – Le Maire adresse au préfet une demande d’autorisation de démolir qui porte une description des nouveaux bâtiments à construire. « Observations. L’immeuble 16, rue Sainte-Elisabeth de compose de 2 bâtiments juxtaposés, mais avec une seule entrée ; mitoyen du 14, rue Sainte-Elisabeth un bâtiment en R + 3 et côté couvent Marie-Réparatrice un R + 1. L’immeuble est construit partie en pas de bois non apparents, partie en maçonnerie avec toit en tuiles plates. L’immeuble n’est pas occupé et se trouve en très mauvais état. Il n’y a pas lieu de veiller à la récupération de matériaux. » – Photographies
Rapport du 22 décembre 1971 (teneur, voir les observations ci-dessus)
1972 (février) – Autorisation du préfet, sans compensation étant donnée la vétusté de l’immeuble - 1971 – Plans de l’agrandissement, par l’architecte Joseph Schwab (4 rue des Bateliers) – Plan de situation (exemplaire annulé)
Relevé d’actes
Les ayant-droit du maître d’escrime Jean Loup von Molsheim vendent 312 livres la maison à Abraham Goll, grand prévôt à Oberkirch en Bade avec l’autorisation du Conseil et des Vingt-et-Un puisque l’acquéreur n’est pas bourgeois
1665 (11. 9.br), Chambre des Contrats, vol. 531 f° 579
(Prot. fol. 32. fac. 2) Erschienen der Edel- Fürsichtig- hochweÿse- hochgelehrte herr Dominicus Dietrich dießer Statt alter Ammeÿster und Treÿ Zehener, wie auch der ehrenvest- Fromm- und wohl weÿse herr hannß Rhiel deß beständigen Regiments der Herren Fünffzehn beede alß /:beneben dem Freÿ Reichß Hochwohl Edelgebohrnen H Georg Dietrich Zornen von Plobßheim dißer Statt altem Stättmaÿstern und Treÿ Zehenern:/ wohlverordnete Pflegere deß mehren Hospitals, Ferners der Ehrenvest- From und wohlweÿse Herr Johann Philippß Friderich deß beständigen. Regiments der herrn Fünffzehn für sich selbst., so dann H Hannß Jacob Seüpel der Silberarbeiter alß Vogt H Hannß Wolffs von Molßheim deß Fechtmaÿsters in erster ehe erziehlter Kind.
in gegensein H Abraham Gollen Ampt und Ober Schultheiß. Zu Oberkirch, und Zwar vff d. am 13. 9.br. Jüngsthin obrigkeitlich ertheilen consens unserer gnädig Herren Rhät und Ein und Zwantzig Und H Seupel vögtlich. weiße Zumahl vff deß am 15. eiusdem von E.E. hochweÿsen groß. Rhat obrigkeitlich interponirt. Decretum alienendi
hauß hoffstatt höfflin mit allen deren Gebäwen, Begriffen, Zugehördten und Gerechtigkeiten, alhie in St. Elisabeth Gaßen, einseit neben Abraham Drechßlern dem Schneider, anderseit neben H Johann Wolffgang Heßlern großen Rhats Verwanth. hind. auch vff denselben stoßend geleg. und Zum groß. Christoph genannt – umb 312 Pfund
Angefangen den 11. und absoluirt den letst. 9.br. a° 1665
Inventaire après le décès d’Abraham Goll et de sa femme Madeleine Christ. Le mari est enterré suivant le rite luthérien, la femme suivant le rite catholique
La veuve Marie Madeleine Goll loue la maison à François Materne d’Ichtratzheim, seigneur de Hochfelden
1689 (28.6.), Chambre des Contrats, vol. 560 f° 338-v
/:salv. ubiq. titt:/ H. Josias Städel, dieser Statt alter Ammeister und dreÿ Zehener, alß Vogt Frauen Magdalenæ Gollin wittib
in gegensein /:tit:/ Hn Frantz Mattern von Ichtratzheim herrn zu Hochfelden
entlehnt, In der Gollischen an St. Elisabethen gaß gelegenen und zum großen Christopfel genandt. behaußung, erstlich die beed. Frucht Kästen, so dann d. undere Stüblein und Cämmerlein, sambt dem Holtzwinckel darneben, wie auch d. Kleine bauch küchlein im hoff, alles auff ein jahr lang vom 1.ten April diß jahrs anzu rechnen, umb 12 Pfund Zehen schilling
Und ist darbeÿ verglich. d.weil der H. entlehner an d. FruchtKäst. eine thür mach. und beschlüßen laß. die deßweg. außgelegte Unkost. beÿ künfftig außzug am haüßzinß abgeh. soll.
Après la mort de la veuve, les héritiers Goll louent à leur tour la maison au même locataire
1689 (12. 9.br), Chambre des Contrats, vol. 560 f° 548
H. Josias Städel dreÿer deß Pfenningthurns alß Ehevogts Fr. Elisabetæ Gollin und alß Constituirter Mandatarius übrig. Gollischen Interessent.
in gegensein Jr. Frantz Matern Von Ichtratzheim
verlühen, Eine behaußung, Hoff mit aller zugehörd Zum Großen Christoffel genand ammhier in der Elßbetten Gaß gelegen uff zweÿ Jahr lang Von Martini dieß jahrs anzurechnen umb einen Jährlichen Zinnß nemlich 20 Pfund
Les héritiers Goll vendent 475 livres la maison au jardinier Jean Georges Hetzel et à Marie Catherine Remp. C’est la première mention de la courbe que fait la maison vers le Grünauel.
1690 (5. 8.br), Chambre des Contrats, vol. 562 f° 531-v
H. Friderich Spielmann und H. Andreas Kauffmann E.E. großen Raths alter und E:E: kleinen Raths ietzmahliger beÿsitzer, und H.. Andreas Kauffmann ged. Kleinen Raths beÿsitzer beede alß alß ged. Kl. Raths Mittel hierzu insonderheit Deputierten von wegen Jacob Gollen Er H. Spielmann aber auch von wegen H. Matthiæ Gollen Pfarrh. Zu Ertzingen im Würtenberg. land geleg. H. Josias Städel alter dreÿer deß Pfenningthurns alß Ehevogt Fr. Elisabethæ gebohrner Gollin und alß Cessionarius Hn Johannis Gollen, deß würths im Falckenkeller und E.E. Großen raths ietzmahligen beÿsitzers, wie auch vermög eines hierbeÿ producirt. von nachgemeldter seiner ppâlin eÿgenhändig geschrieben und underschrievenen hierbeÿ bona fide recongiscirten am 3. huj. datirten Gewalds constituirte special mandatarius Fr. Mariæ Salome gebohrner Gollin, H. Johann Sebastian Schreibers, Ambtmanns zu Dörting. Fürrstl. Würtenberg. Herrschafft ehel. haußfr.
in gegensein hans Georg Hetzels, deß Gartenmanns und Mariæ Catharinæ gebohrner Rempin deßen ehelicher haußfrauen, mit beÿstand & Johann Daniel Hetzels auch Gartenmanns
hauß, hoffstatt, höfflein mit allen deren Gebäuen, begriffen, Zugehördten und Gerechtigkeiten allhier an St. Elisabethen Gaß, einseit neben Wolff drechßler d. led. Schneid. anderseit Zieht sichts mit einer ründe geg. dem Grünawel herumb auff d. alßo genandte Häßlerische höffel, anietzo Hn Johann Michael Gambsen dem Handelßmann Ehevögtlicher weiß gehörig, hind. auch darauff stoßend geleg. und zum Großen Christoph genandt – geschehen umb 475 pfund
Georges Hetzel a épousé en 1682 Marie Catherine Remp, originaire de Soultz dans la seigneurie de Fleckensetin (Soultz-sous-Forêts)
Mariage, Saint-Nicolas (luth. n° 19)
1682. Domin VIII & IX. Trinit. Georg Hetzel der ledige Gartenmann alhier Georg Hetzels des Burgers und Gartenmanns allhier ehelicher Sohn und Jungfr. Mari Catharina weÿland Lorentz* lb, Rempp* deß Metzgers und Burgers Zu Sultz* Fleckensteinischer Herrschafft nachgelaßene eheliche tochter. Copul. zu St Niclaus Mittw. 20/30 Julÿ (i 21)
Jean Georges Hetzel meurt quelques années plus tard. Sa veuve se remarie avec le boucher Frédéric Kamm. A l’inventaire des apports est annexée l’estimation de la maison par les experts de la ville, à l’origine jointe à l’Inventaire après décès du mari défunt.
1695 (10.8.), Not. Marbach (Jean Frédéric, 32 Not 9) n° 241
Inventarium über des Ehrengeachten Friderich Kammen deß Metzgers und der Ehren und tugendsahmen Mariæ Catharinæ Rempin beeder Eheleuth vnd burgere Zu Straßburg einander in ihren angetrettenen Ehestand gebrachte Nahrungen – in des andern persönlicher Gegenwarth und fernerem beÿsein des Ehrenhafft und Ehrengeachten Herrn hannß Daniel Hetzels und hannß Jacob Fritschen des Jüngern beeder gartenmänner und burgere allhier der frauen Kinder Erster Ehe und ihres geschwornen Vogts geäugt und gezeügt – beschehen in der wohlermeldter St: Straßburg Donnerstags d. 10. Augusti und volgende tag vollendet Anno 1695
vff dem Kasten, In der Cammer A, In der Kammer B, Inn der Kammer C, Vor dießer Cammer, Inn der Stuben, Inn der Undern Stuben, Inn der Stub Kammer, Inn dem haußöhren, Inn der Soldaten Cammer, Im hoff, Im Keller
Wüdumbs Verfangenschaft. (M.) So frauen Ursula Hannß Metzgerin gebohrne Kolbin von weÿland Herrn Clade Hannß Metzgern geweßenen Metzgern und burgers alhier ihrem Zweÿten haußwürth seelig ad dies vitæ Zugenießen hat
Eÿgenthumb ahne häußern der frawen gehörig (F.) Erstlichen fünff Neündte theÿl vor ungetheÿlt von und ahne hauß hoff hoffstatt höfflein mit allen dero gebäwen begriffen weithen Rechten, Zugehörden und gerechtigkeiten alhie in St Elisabethen Gaßen einseit neben auff dieselben &c. biß dorthin ledig eÿgen. Hierüber besagt biß dorthin lit: B. signirt. Ferner fünff Neüdte theÿl Ahne hauß hoffstatt sambt dem Stall &c biß dorthin so freÿ ledig Eÿgen. Darüber vorhanden mit N b notirt
Nota. Die überige 4/9.te theÿl seÿnd der frauwen noch lebenden beeden döchterlein Erser Ehe gehörig
Eÿgenthumb ahne Einer behausung dem Mann gehörig (M.), Item Ein 4.ter theÿl vor ungetheÿlt von und ahne hauß hoffstatt stallung und bronnen mit allen dero gebäwen begriffen weiten rechten zugehörden und gerechtigkeit gelegen in der statt Straßburg in St. Elßbethen gaß, eins. ein Eckh 2.s neben einer in die Ellend Herrberg gehörigen behausung (…)
– Abschatzung donnerstag d 27 Maÿ 1694. Weillandt deß Ehrbahren Und beschaidenen Johann Georg Hetzell burger Und Garten Mann See. hinder laßene fraw Wittib Und Erben Behaußung alhie in der Statt Straßburg in der Elisabetter gaß Zum großen Christoffel genandt, Eins eits Neben Wolff Dreßler, anderseits gegen der Reitschuoll hinden auff H Michael Hannß dem handelsmann Stoßent, Welche behaußung Sampt Neben gang Und Stallung Hoff Und bronnen auch überigen begriff recht Und gerechtig Keit wie solches in der besichtigung befunden und dem Jetzigen preiß Und Wahrt Nach angeschlagen Vor Und Umb, Acht hundert Gulden
Die andere behaußung auch alhie in der Statt Straßburg in der Crauttenaw (…). Bezeichnis der Statt Straßburg geschworne Werckhleithe, Joseph Lauttenschlager Werckmeister deß frawenwerckhs, Johannes Feÿlotter Werckmeister deß Zimmerhoffs, Jacob Staudacher Werck Meister des Maur hoffs.
Forma hujus inventarÿ. Deß Mannß vor unverändert in Ehestand gebracht Guth, hausrath 84, Früchten 1, Wein und faß 9, geschirr zum Metzger handw. gehörig 16, Wein 41, Silber und geschmeid 29 guldener Ring 1, baarschafft 80, Schulden in die Nahrung zugeltend 106, Eÿgenthumb ahne Einer behaußung o, Summa summarum 382 lb – Schulden 289 lb, Nach deren Abzug 92. lb
Hieruaf würd nuhn auch der frawen vor unverändert in den Ehestand gebrachte Nahrung beschrieben, haußrath 502, Früchten und Sahmen 58, Wein und faß 21, blumen und garten wahr 230, geschirr Zum garthenwerck gehörig 9, Silber geschirr und Geschmeid 113, Guldine Ring 40, baarschafft 179, Schulden in die Nahrung gehörig 16, Eÿgenthumb ahne häußern o, Eÿgenthumb liegenden veldgüthern o, Summa summarum 1172 lb – Schulden 261 lb, Verbleibt 910 lb
Mariage, Saint-Nicolas (luth. n° 6)
Auff heut Mittwoch den 20. Aprill st. n. 1695. seind nach zweÿmahliger Außruffung un der Pfarrkirchen Zu St Niclaus in Straßb. copulirt und eingesegnet worden Johann Friederich Kamm der Metzger und burger alhier, und frau Maria Catharina, weÿl. H Johann Georg Hetzelß gewesenen Gartenmanns und burgers alhie nachgelaßene wittwe [unterzeichnet] Hannß Friedrich Kamm als Hochzeiter, x ist das Zeich der Hochzeiterin, Georg Phüllip Hüffinger als Vatter (i 38)
Premier mariage de Frédéric Kamm et Salomé Hannsmetzger en 1683
Mariage, Saint-Nicolas (luth. f° 24-v, n° 23)
1683. Domin. IX. et X. Trinit. Friderich Kamm der Burger und ledige Metzger alhier weÿland H. Michael Kammen deß Burgers und Metzgers alhie nachgelaßener ehelicher Sohn, und Jungfr. Salome, Hrn Clade Hannß Metzger deß Burgers Und Metzgers alhier eheliche dochter. Copul. Zu St. Niclaus den Mont. 23/13. Augusti (i 26)
Marie Catherine Remp femme de Jean Frédéric Kamm hypothèque sa part de maison au profit d’Elie Brackenhoffer
1716 (30.6.), Chambre des Contrats, vol. 572 (Protocoles) f° 27
Johann Friderich Kamm Metzger und Maria Catharina geb. Rempin beÿständlich Daniel Hetzels Gartenmanns und Conrad Reif Metzgers ihrer tochtermänner
in gegensein herrn Eliæ Brackenhoffers E.E. Großen raths beÿsitzers – schuldig seÿen 150 pfund
unterpfand, der Debitricis antheil ahn einer behausung cum appertinentÿs allhier auff St. Elisabethä gaß einseit ist ein Eck geg. der reitschuel über anderseit neben Joh: Jacob Ritter leinenwebern hinten auf d. alt Heßlerische Hauß stoßend, zum großen Christoph genandt
Le jardinier Jean Daniel Hetzel et sa femme Marie Madeleine Hetzel hypothèquent leur part de maison au profit de Dorothée Sauer représentée par son tuteur Jean Conrad Reiff, aubergiste à Bischheim (père des Reiff ci-dessous)
1719 (19.1.), Chambre des Contrats, vol. 593 f° 25-v
Joh: Daniel Hetzel gartenmann und Maria magd: geb. Hetzelin seine hausfrau beÿständlich H. Joh. Friedrich Kamm metzgers und Joh. Martin Berger würths
in gegensein Joh: Conrad Reif würths zuem weißen Rößel zue Bischheim am Saum als vogts Dorotheæ Saurin – schuldig seÿen 100 pfund
unterpfand, der Correæ vätterlicher theil ahn einem hauß cum appert. ahn St Elisabetha gaß einseit neben d. grünaüel anderseit neben Frantz ackermann hinten auff H Gambs
Jean Frédéric Kamm meurt en 1719. Il délaisse cinq filles, trois de son premier mariage et deux du second. La maison est estimée 850 livres. La masse propre à la veuve s’élève à 2 502 livres, celle du défunt présente un déficit de 938 livres et la masse de la communauté un déficit de 492 livres après déduction des dettes (1 077 livres)
1719 (24.5.), Not. Baer (Christophe Evrard, 2 Not 12) n° 569, 561 (numéro XIX° s.)
Inventarium über Weÿl. deß Ehrengeachten V: Wohlbescheid. Herren Johann Friderich Kammen geweßenen Metzigers v. burgers allhier inn Straßburg nunmehr seel. Verlassenschafft – Nachdeme derselbe Sambstags alß den 4.ten tag deß monaths Martÿ dießes lauffenden 1719.ten Jahrs Göttl. willen nach dieße welt gesegnet, hinder Ihne verlaßen, auf beschehenes fleißiges erfordern und begehren auch ansuchen deß seel: verstorbenen sowohl mit auch Weÿl. der Ehr: und tugends: Fr. Maria Salomea gebohrner Hannß Metzigerin seiner geweß. Erstern Ehefraw, längst seel. alß auch mit der Ehr: v. tugendbegabten Fr. Maria Catharina gebohrner Rempin seiner Zweÿten Ehefr. alß Jetzig. hinderlaß. Wittibin ehel. erzeugter und ab intestato Erben – So beschehen alhier Inn der Königl. frantzösischen freÿen Statt Straßburg auff Mittwoch d. 24: Maÿ 1719.
Der Verstorbene Herr Kamm hatt ab intestato Zu Erben Inn Stämme verlaßen alß Volget. In Erster Ehe mit weÿl. Maria Salome gebohrner Hanß Metzigerin seiner geweß. Ehefr. 1. Fr. Mariam Ursulam Martinin gebohrne Kammin deß Ehrenhafften v. Wohl bescheid. Herrn Simon Martin deß Gartenmanns, und burgers alhier ehel. haußfr. dieße alß älteste Tochter und i. Stamm Erbin, 2. Fr. Susannam Salomeam Grünin gebohrne Kammin deß Ehren und wohlbescheid. Herrn Johann Jacob Grünen Gastgebers Zur Cronen in der Cronenburger Straß v. burgers alhier ehel. haußfr. dieße alß ältere Tochter und 2. Stamm Erbin beede Eheleuth Zugegen und dem Geschäfft beÿgewohnt, 3. Fr. Annam Margaretham Storrin gebohrne Kammin deß Ehren undt vorachtbaren Herrn Benedict Storren, Glaßers v. burg. alhie Inn Straßburg ehel. haußfr. dieße alß jüngere Tochter erter Ehe, undt 3. Stamm Erbin
Inn Zweÿter oder anderer Ehe mit der Ehr v: tugendbegabten Frn Maria Catharina gebohrner Rempin seiner andern geweß. Ehefr: alß nunmahliger hinderlaß. Fr. Wittib, 4. Fr. Annam Mariam Bergnerin gebohr. Kammin deß Ehren Vesten, Vnd Vorachtbaren Herrn Johann Martin Bergners deß Gastgebers auff E:E: Zunfft der Schneider v. burgers alhier Inn straßb. ehel. haußfr. dieße alß ältere Fr. Tochter Zweÿter Ehe, dißorths 4. Stamm Erbin, beede Eheleuthe Zugegen, vnndt dem Geschäfft beÿgewohnet, 5. Jungfr. Mariam Barbaram Kammin beÿständlich deß Ehren vnnd Vorachtbahren herrn Johann Valentin Schneganßen deß Metzigers vndt burgers alhier Zue Straßburg ihres geordnet und geschworenen Herrn Vogten beede Zugegen, undt dem Geschäfft beÿgewohnet, dieße ledige Tochter alß Jüngere und letzte auch 5.ten Stamm Erbin
Inn Einer alhier Inn der statt Straßburg in St. Elisabetha Gaßen gelegenen Zum theil hiehero Eigenthümlich zum theil auff seiten der hind. laß. fr. Wittib Wÿdembs weiß von deren Erstern Manns seel. lebens Zeit im Genuß besitzendter auch bewohnender behaußung sich befunden, alß Volgen thut
Ahne Holtz V. Schrein Werck. auff der ohneins obersten bühn, Inn der Cammer A, Inn der Cammer B, Inn der Cammer C, Inn der Cammer D, Vor dießer Cammer, Inn der Wohnstub, Inn d. Stub: Cammer, Inn der Kuchen, Inn dem Mittlern Haußöhren, Inn der Cammer E, Inn dem unteren haußöhren, Inn der Knechts Cammer, In deß officiers Stub, In deßen Cammer
Eigenthumb v. Wÿdemb ahne Einer behaußung (W.) Item Ein hauß, hoff, hoffstatt, höffl. mit deren gebäwen, begriffen, Weithen, Rechten, Zugehördten v. Gerechtigkeiten, alhie in St. Elisabetha Gaßen, i. s: neben herrn Frantz Ackermann dem Einspänniger und burger alhier 2.s. Ziehet sichs, mit einer runde gegen dem Grünaugel herumb, auff das also genandte Heßlerische höffel anjetzo Hn Joh: Michel Gamßen dem handelßmann alhier Ehevögtl: weiß, hinden auff denselben stoßend gelegen, und Zum großen Christoph genandt, so gantz freÿ, led: v: eigen, daran g.hört 5/9.te theil vor ohnv: v: dann 4/9.te theil Ihren Kind. erst. Ehe als den Hetz. Erben eigenth. zuständig v. die wit: lebens Zeit solche 4/9.te theil Zugenieß. hatt, v. hiehero solche Völ. behaus. vermög Schrifftl. Abschatzung der Statt Straßbg: Werckmeister de dato d. 31.ten Maÿ 1719 æstimirt v. angeschl. vor 1700 fl. Hierüber besagt ein teutscher Pergament. Kauffbrieff mit der St: Straßbg. Contract Stuben ahn hangen Innsiegel verwahret, vnd datirt den 5. 8.bris Ao: 1690., Ferner i: dito mit dito, de dato 6: Aprilis Anno 1660., Annoch ferner j: dito mit dit de dato d: 11: 9.bris 1665: mit altem Lit: B.
Eigenthumb ahne Einem Gartenhäußel (W.) Item Eine Kleines Gartenhäusel, vorm Spitalthor (…)
Ergäntzung der Frau Wittib Ermanglenden ohnverändertt. Guths, Innhalt Inventarÿ durch Weÿl. Hn Notar. Joh: Frid. Marbach seel. in ao. 1695. d. 11.t Aug. aufger. v. verfertiget
Norma hujus inv. d. wittib Ihr ohnv: Eigenth. Verm. Sa. hausr. 83, Sa. Silbergesch. v: gesch. 72, Sa. gl. Ring 12, Sa. Eigenth. v. wÿd. ane i. behauß. 850, Sa. Eig. v. wÿd. ane i. gart.haus 75, Sa. Eig. v. wÿ. ane lieg. gütt. 750, Sa. gültt von eÿg. v. werwÿd. gütt. 35, Sa. d. activor: 175, Sa. Erg. ist (2965, abzug 2442, annoch) 523, Summa summarum 2577 lb – Schulden 75 lb, Abzug solcher 2502 lb
Auff solches Volgt nun auch d. 5. töchter v. Erbin Ihro ohnv. Ererbt Kamm. Vät. G., Sa. haußr. 29, Sa. leere Vaß 3, Sa. Silbers 1, Summa summarum 34, Erg. (443, abzug 941, pas. 498) – Passiva 973 lb, Übertreff. also solchemnach d. Erbin ohnv. pas. d.oselb. ohnv. Activ. Nahr. umb ben. 938 lb
So wird nun auch d. gem: Veränd. v. T. G. beschrieb. Sa. hausraths 40, Sa. d. blum auff d. veld 19, Sa. Silb. v. gesch. 5, Sa. d. bschafft 20, Sa. d. activor: 499, Summa summarum 585 lb – Passiva 1077 lb, Übersteug. also diesem nach dies. T. Passiva die T. act: Nahr. Umb 492 lb – Concl. fin: Inv: 1071. lb
– Außlüeffer: und Zugleich Resp: Abrechn: Zwischen weÿl. Frn Mariæ Salomeæ gebohr. Hanß Metzgerin mit auch Weÿl. Hn Johann Fried: Kammen gewesenen Metziger v. burgern allhier
Sa veuve Marie Catherine Remp meurt deux ans plus tard. Elle délaisse deux filles de son premier mariage avec Jean Georges Hetzel et deux de son second avec Jean Frédéric Kamm. L’actif de la succession est de 1 187 livres, le passif de 813 livres
1721 (28.4.), Not. Hoffmann (Christophe Michel, 19 Not 12) n° 451
Inventarium über Weÿl. frauen Mariæ Catharinæ Kammin gebohrner Rempin, auch weÿl. Hn Johann Friderich Kammen gewesten Metzgers und burgers, hinterlassene wittib beed. nunmehro seel. Verlassenschafft – nach ihrem am i. dießes zu end lauffenden Monats Aprilis genommenen tödlichen hientritt hie zeitlichen verlaßen – So beschehen in fernere beÿseÿn H Daniel Stammen des haubt Kandens beÿ E:E: Zunfft der Äncker und burger alhier als der Verstorbenen frauen seel. geweßenen Vogts, Straßburg den 28. Aprilis Anno 1721.
Die Verstorbenen Frau seel. hatt ab intestato Zu Kinder und Erben Verlaßen wie volgt. 1. Frau Mariam Magdalenam Hetzelin gebohrne Hetzelin weÿl. H. Daniel Hetzel gewesten Gartenmanns und burgers alhier nachgelaßene wittib dero geschwornenr ordinari Vogt ist Johann Conrad Reiff der Metzger und burger alhier, weÿlen aber derselbe hernach Vermelter maßen uxorio nomine beÿ dieser Erbschafft selbst interessirt alß ist in deßen Nahmen Zu einem Theÿlvogt denominirt worden H Daniel von fridolsheim E:E: Kleinen Raths ietzmahliger beÿsitzer welcher auch diesem Geschäft benebst seiner Curandin beÿgewohnt, 2. Fr. Mariam Catharinam gebohrne Hetzelin, H. Johann Conrad Reiffen des Metzgers und burgers alhier geliebte Ehegattin beede gegenwärtig, dieße Zwo töchtere mit auch weÿl. H. Georg Hetzel gewesten Gartnern und burgern alhier ihrem ersten Mann seel. ehelich erzeilt, 3. Frau Annam Mariam gebohrne Kammin, Hn Johann Martin Bergners des Gastgebers auff der Schneider Zunfftstub Ehegatte, præsentes, 4. Frau Mariam Barbaram gebohrne Kammin, Hn Johann Altzdorff des Knöpffmachers und burgers alhier geliebte haußfrau, so beÿde diesem Geschafft beÿgewohnt, diße beede letztere töchtere, mit eingangs gemelten Hn Johann Friderich Kammen dem Metzger ihrem 2.ten Ehemann seel. ehel. erzeugt, Alle Vier Zugleichen portionen u. antheÿlern hinterlaßene Kinder und Erben
In einer alhier Zu Straßburg ane der St. Elisabethen Gaß gelegenen in dieße Verlassenschafft gehörigen und deßwegen hernach beschriebener behausung Volgender maßen befunden
Schreinwerck. auff der obersten bühn, auff der underen bühn, auffm Gängel, In der Cammer A, In der Cammer B, In der Cammer C, Vor dießer Cammer, In der Cammer D, Vor dießer Cammer, In der Obern Wohnstuben, In der Stub Kammer, Im Haußöhren, In der Kuchen, In dem underen Haußöhren, In der officiers Stub, In der officier Cammer, In der Cammer im hoff, In der bauchkuchen, Im Keller, Auff Gang
Eigenthumb ahne Häußern. 5/9.te theil vor ohnvertheilt von und ane hauß, hoff, hoffstatt, höfflein m. allen deren gebäuen, begriffen, weithen, rechten, Zugehörden u. gerechtigkeiten gelegen alhier Zu Straßb. in St. Elisabethen Gaß, Einseith neben Hn Frantz Ackermann dem Einspänniger u. burger alhier, anderseit Ziehet sichs m. i. ründe gegen dem grünaugel herumb uff d. also genandte Heßlerische höffel anjetzo Hn Joh: Michel Gambßen dem handelsmann alhier Ehevögtlicher weiß gehörig, hinten uff denselben ebenmäßig stoßend u. Zum großen Christoph genant, so gantz freÿ ledig u. eigen, u. ist dei g. behaußung vermög schrifftl. abschatzung der Statt Straßburg werckmeister de dato den 31.ten Maÿ 1719 æstimirt u. angeschlagen word. per 850 lb, th. hiehero fünff Neündte theil 472 lb 4 4 ½. Die übrige vier neündte theÿl hat die verstorbene frau seel. von weÿl. Johann Georg Hetzeln gewesten Gartenmanns und burgern alhier ihrem ersten Mann seel. ad dies vitæ Zugenießen gehabt, wie circa finem under der rubric der Wÿdmbbs Verfangenschaft mit meherem zu ersehen. Über die g. behaußung besagt i. teutscher pergamentinen Kauffbrieff m. der Statt Straßburg Contract Stuben anhangend. Insigel verwahret datirt den 5. Octobris Anno 1690, Ferner i: teutscher pergamentenen Kauffbrieff m. der Statt Straßburg Contract stuben anhangenden Insigel verwahret datirt den 6: Aprilis Ao 1660, Weither i: teutscher pergamentenen Kauffbr. m. der Statt Straßburg Contract stuben anhangend. Insigel verwahret datirt den 11. Novembris 1665.
Fünff neunte theil ahne einem Gartenhauß, vorm Spitalthor (…)
Sa. haußraths 180, Sa. Leehre Faß 4, Sa. Silber 48, Sa. Goldene Ring 1, Sa. Frucht 10, Sa. Tabac 36, Sa. Eÿgenthumbs ane häußern 513, sß Eÿgenthumb ane liegende güthern 416, Blumen auf dem feld 10, Summa summarum 1187 lb – Schulden 813, Abgezogen verbleibt 373 lb
Darzu gelegt hernach specificirten Wÿdum 744 lb, Conclusio finalis Inventarÿ 1118 lb
Wÿdembs verfangenschafft. Es hatt die abgeleibte Frau seel. aux weÿland Johann Georg Hetzels gewesten Gartenmanns, ihres ersten Manns seel. Verlassenschafft lebtägig zu genießen gehabt, so nunmehro deroselben Zwo töchter erster Ehe nahmentlich Frauen Mariæ Magdalenæ gebohrner Hetzelin, weÿl. Johann Daniel Hetzel auch gewesten Gartenmanns seel. nachgelaßener wittib und frauen Mariæ Catharinæ gebohrner Hetzelin H. Johann Conrad Reiffen des Metzgers und burgers alhier Ehefrauen ieder Zur helfte als Vätterlich Guth eÿgenthümblich anheim fällt, benantlichen,
Vier neüde Theÿl ane einer behaußung, hoffstatt, höfflein mit allen deren Gebäuen, begriffen, weithen, rechten, Zugehörden und gerechtigkeiten alhier in St. Elisabethen Gaß, i.s. neben Frantz Ackermann dem Einspänniger 2.s Ziehet sichs mit einer ründe, gegen dem Grün äugel herumb auff das sogenannte Heßlerische höffel anietzo Hn Johann Michel Gambßen dem handelsmann alhier Ehevögtlicher weis gehörig, hinten auff denselben ebenmäßig stoßend gelegen, so freÿ ledig und eÿgen, und ist dieße behaußung vermög oballegirter der herrn Werckmeister Abschatzung de Anno 1719 æstimirt word. per 850 lb, machen obige Vier neüde Theÿl 377 lb
Item Vier Neündte Theÿl ane einem Gartenhauß (…)
La fille aînée de la défunte, Marie Madeleine Hetzel femme du jardinier Jean Joseph Jœss vend sa part de maison à Jean Conrad Reiff et à Marie Catherine Hetzel
1721 (11.9.), Chambre des Contrats, vol. 595 f° 439-v
(433) Maria Magdalena geb. Hetzelin Johann Jacob Jösten des gartenmanns ehefrau
in gegensein Johann Conrad Reiffen Metzgers und Mariæ Catharinæ Reiffin gebohrner Hetzelin
ihre von ihrem Vatter und Mutter seel. ererbten dreÿ und ein quart ahne einem 9.t ohnvertheilt ane einer behausung und hoffstatt mit allen derselben gebäuden und begriffen in St Elisabethæ Gaß, einseit neben Frantz ackermann dem Einspennigen anderseit ziehet sie sich mit einer Ründe gegen dem grünaüel herumb auff das alßo genanne häßlerische höffel, so anjetzo weÿl. Joh. Michael gambßen gewesten kauffhaußherren nachgelaßener wittib gehörig, hinten auff eben daßelbe stoßend gelegen und zum großen Christoph genannt, daren ahn einem 9.t theil gleich wie der Verkäuferin zugehörig, die übrige zweÿ und ein halber 9.der theil aber Anna Maria geb. Kammin Joh. Martin Bergners gastgebers Ehefrauen v: Maria Barbara geb. Kammin Johann alsdorff Knopffmachers Eheweibs ohnvertheilt zuständig – um 433 pfund
Jean Conrad Reiff et Marie Catherine Hetzel hypothèquent la maison au profit de l’aubergiste à l’Ecurie, Jean Jacques Fischer (sa femme Anne Marguerite Reiff est la sœur de Jean Conrad Reiff)
1721 (11.9.), Chambre des Contrats, vol. 595 f° 441
Johann Conrad Reiffen Metzgers und Maria Catharina geb. hetzelin beÿständlich Johann Jacob Jösten gartenmanns und Johann Alsdorff des Knöpffmachers
in gegensein Jacob Fischers Gastgebers zum Stall – schuldig seÿen 500 pfund zu bezalung der ahn unten beschriebener behausung unter heutigen tag erkaufft
unterpfand, vorerwehnte ersterkauffte dreÿ neudte theil und ein quart ahne einem 9.t ohnvertheilt so dann der correæ debendi schon zuvor eigenthümlich zuständige 3 neudte und ein quart ahne einem 9.t theil alßo zu 6 ½ neundte theil für ohnvertheilt ahne einer behausung und hoffstatt mit allen deren gebäuden, zugehörden, rechten und gerechtigkeiten in St Elisabetha Gaß, einseit neben Frantz ackermann dem Einspenniger anderseit neben auf das grünaüel hinten auff die gambßiche wittib geb. häßlerin
Les deux filles issus du deuxième mariage cèdent à leur tour leur part de maison à Jean Conrad Reiff et à Marie Catherine Hetzel
1723 (11.1.), Chambre des Contrats, vol. 597 f° 14-v
Fr. Anna Maria geb. Kammin Johann Martin Bergner des gastgebers Ehefrau und Fr. Maria Barbara geb. Kammin Johann Alsdorff des Knöpffmachers Ehefrau
in gegensein Johann Conrad Reiffen des Metzgers und Maria Catharina Reiffin geb. Hetzelin
zweÿ und ein halb 9.ten theil für ohnvertheilt ahne einer Behausung hoffstatt und höfflein mit allen derselben gebäuden, begriffen, weithen, zugehörden, Rechten und gerechtigkeiten in St Elisabetha gaß, einseit neben frantz ackermann dem Einspenniger anderseit ziehet sich dießelbe mit einer Ründe gegen dem grünaüel herumb auff daß alßo genannte häßlerische höffel so anjetzo weÿl. H. Johann Michael Gambßen gewesten kauffhaußherren allhier wittib geb. häßlerin gehörig, hinten auff eben daßelbe stoßend gelegen, und zum großen Christoph genannt, woran die übrige 6. und ein halber 9.ter theil denen kauffenden Reiffischen Eheleuthen eigenthümlich zuständig – um 361 pfund
Jean Conrad Reiff, boucher originaire de Bischheim, devient bourgeois en 1703. Il se marie en 1708 avec Marie Catherine Hetzel : contrat de mariage, célébration, inventaire des apports
1703, 3° Livre de bourgeoisie p. 1238
Joh: Conrad Reiff der Metzger Von Bischoffsheim Hannß Conrad Reiffen des Würths daselbst sohn, erkaufft das burgerrecht pro 6. goltR. und 16. ß. so auf dem Pfenningth. erlegt worden und Wird beÿ E.E. Zunfft der Blumen dienen. Jur. d. 15. Januarÿ 1703.
Contrat de mariage tel qu’il est copié à l’Inventaire après décès
Copia der Eheberedung – zwüschen dem Ehrsam und bescheidenen Johann Conrad Reiffen dem ledigen Metzger, deß Ehrengeachten Johann Conrad Reiffen Gastgeber zu Bischheim am Saum Ehelicher Sohn, alß dem Bräutigamb ahne Einem, So dann der Ehren und tugendsahmen Jungfrawen Mariæ Catharinæ Hetzelin weÿland deß Ehrengeachten Johann Georg Hetzels geweßenn Gartenmanns undt burgers Zu Straßburg seeligen hinderlaßener Eheleiblichen Tochter alß de Hochzeiterin Andern Theils. – zum achten (…), So beschehen und abgehandelt jnn Wohlgedachter Statt Straßburg, dinstags den 10. Januarÿ Anno 1708. Johann Friderich Marbach
Mariage, Saint-Nicolas (luth. n° 3)
Mittwochs den 29. Hornung 1708 seind nach Zweÿmahliger Außruffung un der Pfarrkirchen Zu St Niclaus copulirt und eingesegnet worden Johann Conrad Reiff der ledige Metzger und burger alhier, H Joh: Conrad Reiffen deß würths zum weißen Rössel Zeu Bischen am Saum ehel. Sohn und Jfr. Maria Catharina Hetzelin weÿland Georg Hetzels gewesenen gartenmanns und burgers alhie nachgelaßene ehel. Tochter [unterzeichnet] Johan Conrad Reiff als hochzeiter, Maria Catharina Hötzelin als hoh Zeiterin (i 116)
Inventaire des apports. Les biens du mari sont estimés 457 livres, ceux de la femme 929 livres
1709 (6.8.), Not. Marbach (Jean Frédéric, 32 Not 15)
Inventarium über des Ehrengeachten Johann Conrad Reiffen des Jüngern Metzgers und der tugendsamen frawen Mariæ Catharinæ Hetzelin beeder Eheleuth und burgere allhier zu Straßburg einander vor unverändert in den Ehestand gebrachte ligend und fahrende haab und Nahrung – in ihrem ohnlängst angetrettenen Ehestand vor unverändert zugebracht – Beschluß summa in Wohlgemelter Stat Straßburg Dienstags den 1. Augusti Anno 1709.
Eÿgenthumb ahne Einem Metzigbanck der Frawen gehörig (…)
Forma hujus inventarÿ. Des Ehemanns vor unverändert in den Ehestand gebrachte Nahrung, haußrath 108, Früchten 12, Sa. Silber 6, Sa. baarschafft 292, Sa. haussteuren 38, Summa summarum 457 lb
Volgt nuhn auch der Ehefrauen vor unverändert in Ehestand gebrachtes Gut, hausrath 151, Silber 9, Guldtine ring 28, baarschafft 721, Eÿgenthumb ahne einem Metzigbanck o, haussteuren (zusammen 57, lb daran der Ehefrauen Ein dritter theil gehörig thut) 19, Summa summarum 929 lb
Inventaire de l’actif et du passif de Jean Conrad Reiff et de Marie Catherine Hetzel (original non conservé)
1718, Not. Hoffmann (Christophe Michel, rép. 65 not 11) n° 262
Inventarium über Johann Conrad Reiffen des Metzgers und frauen Mariæ Catharinæ gebohrner Bezelin [sic] beeder Eheleuth habende Nahrung und Passiva
Inventaire de la succession de Jean Conrad Reiff. La masse propre à la veuve s’élève à 2 069 livres, celle du défunt et de la communauté à 1136 livres, supérieure au passif (3 482 livres).
1725 (27.2.), Not. Pantrion (Jacques Christophe, 40 Not 52)
Inventarium und beschreibung aller Haab und Nahrung so Johann Conrad Reiffen Metzgern und Frauen Mariä Catharina Reiffin gebohrner Hetzelin beed. Eheleuthen und burgere allh. zuständig und auf freundliches Ansuchen Erfordern und Begehren Ihro der Ehefrauen aus Ursachen das Manns Nahrung mit Zimlichen Schulden last belad. dahero gemüßiget word. sich bevögtigen Zu laßen, umb ihr Weibliches Recht gehöriger Orthen zu begehren gesucht durch Sie die Ehefrau mit beÿstand des Ehrengeachten und Wohlachtbahren H. Johann Alßdorffs Knöpffmachers und Seidenhändlers auch burgers alhier ihres ad lites geschwornen Curatoris – So beschehen in der Königlichen Statt Straßburg Dienstags den 27. Februarÿ Anno 1723.
In einer allhier Zu Straßburg auff der Elisabethä Gaß gelegener und in dieße Nahrung gehöriger behaußung befunden worden wie folgt.
Ane Höltzen und Schreinwerck, Auff der bühn, In der Wohnstub, Auff dem Gang, In d. Stub Cammer, Im Hauß Ehren, In der Kuchen, Im untern hauß Ehren, Im Keller, In der officiers Stub, In des Knechts Cammer
Eigenthum ane einer behaußung (F.) Dreÿ Neündte u. i. quart an einem Neündten theil von und ane i. behaußung hoffstatt u. höfflein m. allen deren Gebäuen, begriffen, Zugehörden, Recht u. Gerechtigkeiten allh. Zu Straßb. in St. Elisabethä Gaßen gelegen, eins. neben Frantz Ackermann dem Einspänniger, 2.s Ziehet sie sich mit einer ründe gegen dem Grünäuel herumb, auff ein Höfflein so anjetzo Weÿl. H Joh: Michel Gambßen geweßenen Kauff hauß Herrn allh. nachgelaßener Wittib gehörig, hinten auff dieselbe stoßend und Zum großen Christoph genandt, davon die übrige Fünff Neündte u. 3. Quart am 1. Neündten theil wie hernach Zu sehen in die theilbahre Nahrung gehörig, angeschlagen vff den fuß wie hernach gemelte theilbahre fünff Neündte und dreÿ quart ane einem Neündte theil von der Ehefrauen Geschwüsterden erhandelt, und Wehrend Ehe Käufflich angenommen, auch in allhießiger Cancelleÿ Contractstuben verschrieben worden pro 433. lb. Und besag. über die gantze behaußung 2. alt. teütsche Perg. Kauffbrieff mit d. St. Straßb. C.C. Contractstub anhang. Insigel dedatis 11. 9.bris 1665. und 5. 8.bris 1690.
(T.) Item fünff Neündte: Vnd dreÿ quart an einem 9.ten theil von v. ane hauß hoffstatt v. höfflein mit allen deren gebäuen, begriffen, weithen, rechten, Zugehörden v. Gerechtigkeiten, geleg. alhier zu Straßb. in St. Elisabethen gaßen Zum großen Christoph genandt, eins. neben Frantz Ackermann dem Einspänniger, ands. gegen dem Grünäwel rings umbher, hinden auff die Gambßiße wittib stoßend, davon die übrige 3. Neündte: und ein quart der Ehefrauen amß resp. vätter: und Mütterlich guth vor unverändert gehörig, angeschlagen wie solche erkaufft word. 794 ln. Darüber besagen 2. Underschiedene t. Perg: Kbrieff mit der Cantzleÿ Contractstuben anhang. Insigel, dedato 17. Jan: 1721. und 11. Jan: 1723.
Eigenthumb ane einem Garthen (F.) vor dem Spital thor (…)
Ergäntzung, Vermög Inventarÿ in Anno 1709 durch weÿland herrn Johann Friderich Marbach Notarium seel. auffgerichtet
Series rubricarum hujus Inventarÿ, Der Ehefrauen unveränderte Nahrung, Sa. hausraths 127, Sa. des silbers 4, Sa. der Guldenen Ring 21, Sa. des Eigenthums ane einer behaußung 433, Sa. des Eigenthums ane einem Garten 270, Sa. der Schuld 37, Sa. der Ergäntzung 1175, Summa summarum 2069 lb
Des Ehemanns unverändert und das Theilbare guth betreffend, Sa. haußraths 148, Sa. tabacks 31, Sa. Silbers 16 ß, Sa. Guldenen ring 4, Sa. Eigenthums ane einer behaußung 794, Sa. der liegende güther 100, Sa. der Schulden 56, Summa summarum 1136 lb – Schulden 3482 lb, Übertreffen also die vorhandene Passiva des Manns unverändert und theilbare Guth umb 2346. lb
Copia der Eheberedung (…) So beschehen und abgehandelt jnn Wohlgedachter Statt Straßburg, dinstags den 10. Januarÿ Anno 1708. Johann Friderich Marbach
La maison est vendue aux enchères en 1725 (référence aux actes ultérieurs, acte judiciaire détruit dans l’incendie du Tribunal par les obus en 1870). L’acquéreur est le pasteur Jean Jacques Hirschel qui vient d’épouser Madeleine Reiff (sœur de l’ancien propriétaire). La femme s’est mariée en premières noces avec un aubergiste de Gerstheim, elle vient habiter Strasbourg en se remariant avec Jean Jacques Fischer, aubergiste à l’Ecurie) : célébration, accession à la bourgeoisie, inventaire des apports
Mariage, Saint-Pierre-le-Vieux (luth. f° 45-v)
Anno 1714. d. 22. Aug. seind Ehelich eingesegnet Worden H. Jacob Fischer der Burger und gastgeber allhie Undt Fraw Anna Magdalena Reiffen Weiland herrn Johann Adam Santern gewesenen Burgers Und Gastgebers Zu Gerstheim nachgelaßene Wittwe [unterzeichnet] Jacob fischer Als hochzeiter, anna Magdalena feischerin als hochzeuderin (i 48)
1714, 4° Livre de bourgeoisie p. 808
Magdalena Reiffin Von Bischheim, Johann Conrad Reiff Würth daselbst Tochter, emp: das burgerrecht Von Ihrem Mann Jacob Fischer p. 2. gold fl. 16 ß. bringt 1 Kind so beÿ ordnung gelassen worden, wird beÿden Freÿburgern dienen. d. 29. Dito 1714
Inventaire des apports
1714 (10. Xbris), Not. Hoffmann (Christophe Michel, 19 Not 1) n° 95
Inventarium über Herrn Jacob Fischers des Gastgebers Zum Stall und frauen Mariæ Magdalenæ gebohrner Reiffin beeder Eheleuth und burgers alhier zusammen gebrachte Nahrungen (…)
Jean Jacques Hirschel est lui aussi veuf. Il a épousé en premières noces Anne Marie Stigler en 1702 ; célébration, inventaire des apports
Mariage, Saint-Nicolas (luth. f° 70, n° 18)
Mittwochs den 9. Novemb. 1701 seind nach zweÿmahliger außruffung in der Pfarrkirchen Zu St. Niclauß in Straßb. copulirt und. eingesegnet worden H Mag. Joh: Jacob Hirschel Helfer bey der Evangelischen Gemeinde Zu Mittelbergheim, H Joh: Jacob Hirschel des Fischhändlerß und E.E. Grossen Raths alten Beÿsitzerß, auch burgerß alhie ehelicher Sohn, und Jfr Anna Maria Stieglerin weÿl. H M Joh: Stieglerß, geweßenen Pfarrerß dieser Christlichen Gemeiner und Canonici deß Collegiat Stiffts S. Thoma nachgelaßene eheliche tochter [unterzeichnet] M Johann Jacob Hirschel als Hochzeiter, Anna Maria Stieglerin alß hochzeitterin (i 73) – Proclamation, Saint-Thomas (luth. f° 85 n° 463), i 87
Inventaire des apports
1702 (2.2.), Not. Pantrion (Jacques Christophe, 40 Not 11)
Inventarium und beschreibung aller Haab und Nahrung, so der wohl Ehrwürdig undt Wohlgelehrte Herr M. Johann Jacob Hirschel, der Zeit wohlmeritirter Diaconus zu Mitelbergh. und die Viel Ehren: und tugendreiche fraw Anna Maria Hirschelin gebohrne Stiglerin, beede Eheleüthe undt burgere zu Straßburg, alß krafft ihrer mit einand. auffgerichteter Eheberedung für unverändert in den Ehestand bederseits Zusammengebracht – und zwar Er der Eheherr mit assistentz H Johann Jacob Hirschels fischhändlers v: E: E: Großen raths beÿsitzers seines geliebten Vatters, Sie die Ehefrau aber beÿständlich H Christian Galli, barbierers und Wundartzts, dero Fraw Mutter geschwornen Vogts, inventirt – Actum Straßburg Donnerstags den 2.ten Februarÿ. 1702.
In einer alhie in der Statt Straßburg in der Knoblauchsgaßen gelegenen, von der fraw Mutter lehnungs weis bewohnend. behaußung ist befund. word. wie volgt
Bibliothec (Catalogus librorum)
Series. Des Ehehern Unverändertes Vermögen Sa. hausraths 117, Sa. der Bibliothec 75, Sa. des Weins Und Vaß 104, Sa. des Silbers 19, Sa. des Guld. Rings 3, Sa. der baarschafft 153, Summa summarum 474 lb
der Ehefrauen Unveränderte Nahrung, Sa. des Hausraths 122, Sa. des Silbers 38, Sa. der Gold. Ring 28, Sa. der baarschafft 564, Sa. der Capitalien 500, Summa summarum 1254 lb
Jean Jacques Hirschel et Anne Madeleine Reiff, tous deux veufs, se marient en 1723 : contrat de mariage, célébration, inventaire des apports
1723 (15.2.), Not. Mader (6 E 41, 693)
Eheberedung – zwischen dem Wohl Ehrwürdig Großachtbahr und Hochgelehrten Herrn M. Johann Jacob Hirschel treüfleißigen Pfarr Herrn der Evangelischen Gemeind Zum Jungen St Peter und burgern allhier Zu Straßburg alß dem Herrn Bräutigamb ane Einem,
So dann der Tugendsahmen Frauen Annä Magdalenä gebohrner Reÿffin Weÿl. des Ehrengeachten Herrn Jacob Fischer geweßenen Würths und Gastgebers zum Stall und burgers allhier nunmehr seel. hinderlaßener Fraw Wittib alß der Fraw Hochzeiterin am andern theil – So geschehen in der Statt Straßburg auff Montag den 15.ten Februarÿ Anno 1723. [unterzeichnet] M. Johann Jacob Hirschel als Hochzeiter, Anna Magdalena fischerin als hochzeiterin
Mariage, Saint-Pierre-le-Jeune (luth. f° 60, n° IV)
Anno 1723. Dominica Quadragesima & Reminiscere proclamati sunt S.T. Herr M. Johann Jacob Hirschel Treueÿfferiger Pfarrer der Evangelischen Gemeinde zum Jungen st. Peter alhie und Fr. Anna Magdalena geb. Reiffin, Weÿl. Herrn Jacob Fischers geweßenen burgers und Gastgebers allhie nachgelaßene wittib. Copulati sunt Mittw. den 24. Febr. [unterzeichnet] M Johann Jacob Hirschel als Hochzeiter, Anna magdalena fischerin als hochzieta (i 64)
Inventaire des apports, les conjoints Hirschel ne possèdent pas de maison mais occupent un logement de fonction
1723 (8.7.), Not. Lobstein (Jean, 31 Not 11) n° 224* [haut de l’acte abîmé par l’humidité]
Inventarium über des Wohl Ehrwürdig und hochgelehrten Herrn M. Johann Jacob Hirschels, Wohlmeritirten treueifferigen Pfarrers und Seelsorgers der Evangelischen Gemeind zum Jungen St: Peter und der Viel Ehren und tugendreichen Frauen Annæ Magdalenæ Hirschelin geb. Reiffin, beeder Eheleuthe und burgere allhier einander vor ohnverändert in den Ehestand zugebrachte Nahrungen – der ursachen alldieweilen in Ihr beeder Eheleuthe mit einander aufgerichteten heuraths verschreibung expressé enthalten, daß eines jeden in die Ehe bringende Nahrung reservirt und ohnverändert sein und bleiben solle – So beschehen in Straßburg auf donnerstag den 8.ten Julÿ et seqq. Anno 1723.
In einer allhier zu Straßburg ane der blauwolckengaß gelegenen in diße zugebrachte Nahrung nicht gehörigen behaußung befunden worden wie volgt.
Ane Höltzen und Schreinwerck, In der Cammer A, In der Cammer B, In dem Nebens Stüblein, Im haußöhren, In der Cammer C, Im Haußöhren vor dießen Gemachen, Auf dem bühnl., In der untern hindern Stub, In der Kind. Cammer, In der Speiß Cammer, In der hindern Kuchen, Im Haußöhren vor dießem Gemach, In der Wohnstub, In der Kuchen, In der Magd Cammer, Im Hoff, In der Stub Cammer, Im Keller, Im Garthen
Eigenthumb ane einem Garthen und häußlein. (H.) Ein Garthen Und Kleines häußlein außerhalb der Statt Straßburg vor dem Fischer thor, Zwischen den waßern beÿ d. Lohmühlen (…)
Wÿdemb, Welchen der Herr Pfarrer Von Weÿland frauen Anna Maria Hirschelin geb. Stieglerin seines Erstern frauen Eheliebstin seel. theils ad dies vitæ und theils conditionaliter zu genießen hat. Vermög des (…) dh Hn Notarium Philipp Jacob Mader in Anno 1722. aufgerichteten Inventarÿ
Wÿdemb Welchen die Frau Pfarrerin Von Weÿland Jacob Fischer dem geweßenen Gastgeber Zum Stall und burgern allhier Ihrem Zweÿten haußwürth seel. theils Lebtägig und theils conditionaliter Zugenießen hat. Erstl. nach besag der frauen mit vorgedachtem Ihrem Zweÿten Haußwürth seel. getroffenen Eheberedung vom 25.sten Junÿ Anno 1714 verordnet (…)
Abzug gegenwärtig Inventarium. Des Herrn in die Ehe gebracht Vermögen, Sa. hausraths 1231, Sa. Bibliothec nihil, Sa. Frucht 390, Sa. Wein und Lährer Vaß 264, Sa. Silber geschirr und Geschmeids 658, Sa. Goldener Ring 122, Sa. baarschafft 1306, Sa. Pfenningzinß hauptgüter 4360, Sa. Eigenthumbs ane einem Garthen und häußlein 120, Sa. gülthen von liegenden güthern 185, Sa. Schulden 2709, Summa summarum 11 350 lb – Schulden 4459 lb, Detrahendo verbleibt 6890 lb
Der Frauen in die Ehe gebrachte Nahrung, Sa. Haußraths 980, Sa. Läher Vaß 33, Sa. Silber geschirr und Geschmeid 185, Sa. goldener Ring 137, Sa. baarschafft 1314, Sa. Pfenningzinß hauptgüter 4935, Sa. gülthen und geldzinnß von liegenden güthern 620, Sa. Schulden 213, Summa summarum 8441 lb – Schulden 3378 lb, Nach solchem abzug 5063 lb
Anne Marguerite Reiff meurt en 1731 en délaissant trois enfants de son mariage avec Jacques Fischer et un issu de son dernier mariage. La masse des héritiers s’élève à 3 800 livres. L’actif de la communauté et du veuf est de 6 583 livres, le passif de 5 836 livres.
1731 (21.5.), Not. Lobstein (Jean, 31 Not 31) n° 701
Inventarium und beschreibung aller derjenigen Haab Nahrung und Güethere, Liegend und Vahrender, Verändert und ohnveränderter, überall nichts davon ausgenommen, so Weÿland die Viel Ehren und hoch tugendgezierte Frau Anna Magdalena Hirschelin gebohrne Reiffin des Wohl Ehrwürdig großachtbahr und wohlgelehrten Herrn M. Johann Jacob Hirschels Wohlverdienten Pfarrers und treueifferigen Seelsorgers der Evangelischen Gemeinde Zum Jungen St Peter und burgers allhier zu Straßburg Frau Eheliebste nunmehr seel. als dieselbe dienstags den 13.ten Februarÿ dießes Lauffenden 1731.sten Jahrs dießes Zeitliche in das Ewige Verwechßelt, nach solch Ihrem aus dießer welt genommenen tödlichen hintritt Zeitlichen verlaßen – So beschehen in Straßburg auf Montag den 21.ten Maÿ er seqq. Anno 1731.
Die in Gott seelig entschlaffene Frau Pfarrerin hat Zu Ihren Erben sowohl per Testamentum als auch ab intestato Verlaßen, wie volgt, 1.mo Jungfer Mariam Magdalenam Fischerin, 2.do Jungfer Catharinam Fischerin, 3.tio Philipp Jacob Fischer, dieße dreÿ der abgeleibten Frauen Pfarrerin seel. in Zweÿter Ehe mit auch Weÿl. Herrn Jacob Fischer dem geweßenen Gastgeber Zum Stall und burgern allhie zu Straßburg seel. ehelich erziehlte Kinder deren geschworner Vogt Herr Johann Joachim Fischer der biersieder Zur Ketten und burger allhier welcher nomine seiner Curanden dem geschäfft in Persohn abwartete, So dann 4.to Johann Franciscum Hirschel der seelig Verstorbenen Frauen Pfarrerin mit Eingangs Ehrengedachtem Herrn Johann Jacob Hirschel Ihrem hinterbliebenen Herrn Wittiber ehelich erzeugtes Söhnlein, deßen geordneter Tutor Herr Johann Jacob Jung d. Mittler Fischhändler und burger alhier zu Straßburg – Also alle vier der in Gott ruhenden Frauen Pfarrerin seel. in zwoen Ehen ehelich erziehlte Kinder und sowohl per Testamentum als auch ab intestato zu Vier gleichen portionen und antheilern Verlaßene Erben
In einer allhier Zu Straßburg ane der Blauwolckengaß gelegenen und in dieße Verlassenschafft nicht gehörigen behausung befunden worden wie folgt
Ane Höltzen und Schreinwerck. Im obern hindern Stübel, In der Cammer A, Vor dießem Gemach, In der Cammer B, Im mittlern haußöhren, In der Studier Stub, In der obern Kuchen, In der Cammer C, In der Undern hindern Stub, In der hindern Kuchen, In der Cammer D, In der Wohnstub, Im hoff, Im Keller, Im Vordern Stok, In der Stub Cammer, Im garten
(f° 33-v) Eigenthumb ane einer behaußung auch einem Garthen und Garthenhäußlin (W.) Erstl. ein Garthen und ein Kleines häußlein außerhalb der statt Straßburg vor dem Fischerthor zwischen denen Waßern beÿ der Lohmühlen in dem so genanden Becken Wäldlein (…)
(T.) It. eine behaußung und hoffstatt mit allen deren Gebäwen, begriffen, Weithen Zugehörden, Rechten und gerechtigkeite gelegen allhier in der Statt Straßburg ane St. Elisabethen gaß einseit neben Frantz Ackermann dem Einspänniger anderseit ziehet dieselbe mit der Runde gegen dem grünäugel herumb auf ein höfflein hinden auf weÿl. Hn Johann Michael Gambßen seel. nachgelaßene Wittib stoßend Zum großen Christoph genand so gegen Männiglichen freÿ Ledig eigen und durch oben gedachte der Statt Straßburg geschwornene Werckleuthe Vermög vorherberichteten Abschatzungs Zeduls vom 22.ten Maÿ Anno 1731. æstimirt Vor 700. lb. Hierüber sagt ein teutscher pergamenter Ganth Kauffbrieff mit E:E: Kleinen Raths anhangendem Insiegel corroboirt de dato 7.ten Novembris Anno 1725.
– Abschatzung dem 22: Maÿ 1731. Auff begehren deß Herrn Pfarer hirschels Pfarrherrn beÿm Jungen St. Peter ist eine behaußung alhie in der Statt Straßburg auff der Elßbetter gaßen gelegen, einseits Neben Frantz Ackerman dem Einspeniger anderseits ein Eckh, hinden auff h Johann Michell Gampßen deß Kauffhauß Herrn seel. frau wittib Stoßent, welche behaußung Stuben, Cammren Kuchen hauß Ehren, officier Kammer, ein getrembter Keller worüber die heÿ binen Nebens schopff worinen die Zugen s.h. schwein Statt gewölbter Keller höfflin und Bronen sambt aller gerechtigkeit wie solches durch der Statt Straßburg geschwornen werckh Meistere sich in der besichtigung befunden und Jetzigem Preÿß nach angeschlagen wird Vor und Umb Ein Tausent und Vier hundert Gulten. Bezeichnuß der Statt Straßburg geschworne werckleuthe,
der 2:te begrieff (…) [unterzeichnet] Michael Ehrlacher Werck Meister deß Meinsters, Johann Jacob Biermeÿer Werck Meister deß Zimmerhoffs, Peter Peter Pflug Werckmeister deß Mauer hofs
(f° 40) Wÿdemb, Welchen die in Gott seelig entschlaffene Frau Pfarrerin Von auch Weÿl. herrn Jacob Fischer dem geweßenen Gastgeber Zum Stall und burgern allhier Ihrem Zweÿten haußwürth seel. Zeit lebens genoßen daran das Eigenthumb nunmehro sein herrn Jacob Fischers seel. Fünff Kindern Erster Ehe als der usufructuarÿn Stieffkindern anheim fällen
(f° 43) Wÿdem Welchen der Herr Pfarrer Von Weÿl. Frauen Anna Maria Hirschelin geb. Stieglerin seiner Estern Frauen Eheliebstin seel. ad dies vitæ zugenießen hat, Vermög des über gedachter des Hn Pfarrers geweßenen Erstern Frauen Eheliebstin seel. Verlassenschafft durch H Notarium Philipp Jacob Mader in Anno 1722. aufgerichteten Inventarÿ
Ergäntzung der Erben ermanglenden ohnveränderten Guths, Nach besag über beeder mehrehren besagter Geweßenen Eheleuthen einander für ohnverändert in den Ehestand zugebrachte Nahrungen in Anno 1723. durch mich Notm. aufgerichteten Inventarÿ
(f° 50) Abzug gegenwärtig Inventarium gehörig. Der Erben ohnverändert Vermögen, Sa. hausraths 277, Sa. Lährer Vaß 17, Sa. Silber geschirr und Geschmeids 52, Sa. Goldener ring 55, Sa. baarschafft 401, Sa. Pfenningzinß hauptgüter 3718, Sa. Güthen von liegende güthern 135, Sa. Matten im geÿdertheimer bann 42, Sa. beßerung ane lehengüthern Nullum, Sa. Schuld 225, Erg. Rest 1988, Summa summarum 6914 lb – Schulden 3114 lb, Detrahendo verbleibt 3800 lb
Des Herrn Wittibers ohnverändert und theilbahre Nahrung, Sa. hausraths 216, Sa. Bibliotheca 125, Sa. Frucht 119, Sa. Wein und Lehrer Vaß 209, Sa. Silber geschirr und Geschmeids 199, Sa. goldener Ring 38, Sa. baarschafft 718, Sa. Pfenningzinß hauptgüter 5921, Sa. Eigenthumb ane einer behaußung auch einem Garthen 805, Sa. Gülth von liegenden güthern 56, Sa. Schulden 172, Summa summarum 6583 lb – Sa. Schulden 5836 lb, Nach solchem Abgang 746 lb
Conclusio finalis Inventarÿ 11 734 lb
Copia der Eheberedung (…) den 15. Monaths tags Februarÿ Anno 1723. Philipp Jacob Mader Not. publ.
Copia Codicilli – im Jahr 1731 (…) auf Freÿtag den 9. Monatstag Februarÿ abends Zwischen Sieben und Neuin Uhren, beÿ Zweÿen hellbrennenden Liechtern in einem allhier zu Straßburg, ane dem Eck ane der burggaß gelegenen Zum Pfarrhauß Zum Jungen St. Peter gehörigen behaußung, dere obern in dem Zweÿten Stock befindlichen Studier Stuben, mit den fenstern Zum theil in den hoff und zum theil in der Burggaß außsehend (…) der Wohl Ehrwürdig, Großachtbahr und Wohlgelehrte Herr M. Johann Jacob Hirschel Wohlverdienter Pfarrer und treueifferiger Seelsorger der Evangelisch. Gemeinde (…) Johannes Lobstein
Les préposés de la Taille imposent la succession parce que la contribution annuelle était insuffisante
1731, VII 1177 – Livres de la Taille f° 113-v
Fischer F, N 5466 – Weÿl. Fr. Annæ Magdalenæ gebohrner Reiffin H. M. Johann Jacob Hirschel Pfarrers Zum Jungen St. Peter und burgers alhier gewesener Ehel. Haußfrauen Verlassenschafft inventirt H. Not. Lobstein
Concl. fil. Inv. ist fol. 322, 11 734 lb 8 ß 8 d
dazu gelegt die für Zweiffelhafft gebrachte Capitalien Warvon nur einnige Zinnße außstehen th. 760. lb, summa 12 494 lb 8 ß 8 d
Hiengehen gehet wiederumb der Hausraht welcher dißorts der Verstallung befreÿet macht 494 lb 6 ß 10 d
Und dann die außständige nicht genoßene Zinnße mit 135. lb 9 ß 7 d
Summa Abgangs ist 629 lb 16 ß 5 s
Compensando restiret 11 864 lb 12 ß 3 d, die machen 23 700 fl. verstallte 19 600 fl. alßo zu wenig 4100 fl.
demnach aber 1724. incl 26 600 fl. Verstallet worden alß wird der Nachtrag allein Von solcher Zeit an gerechnet und thut für 6 Jahr in duplo à 12. lb 6 ß, 73 lb 16 ß
Und 4 Jahr in simplo à 6 lb. 3 ß, 24. lb 12 ß
Ext. Stallg. pro 17321, 30 lb 15 ß
Gebott 2 ß
Abhandlung 13 lb 7 ß 6 d, Summa 142 lb 12 ß 6 d
Ob wohlen berichts wie oben gedacht 4100 fl. zu wenig Verstallet worden, so hat doch H Pfarrer den 6. Febr. currentis anno sich annoch 2000 fl. abschreiben laßen, ob nun deßwegen einige fernerer Straffe anzusehen wird der Herren dreÿ hoch vernunfftigem Judicio anheim gestellt
Erlaßen und dem Nachtrag 20 lb 9 ß, rest 122 lb 3 ß 6 d
dt. 22. Aug. 1731.
Après la mort de Jean Jacques Hirschel, son inventaire (non conservé) dressé par Jean Lobstein est traité par les préposés de la Taille
1743, VII 1179 – Livres de la Taille f° 189
Fischer F, N 8757 – Weÿl. H. M. Johann Jacob Hirschel Pfarrherrn Zum Jungen St. Peter und burgers alhier Verlassenschafft inventirt H. Not. Lobstein
Concl. fil. Inv. ist fol. 196, 11 540 lb 7 ß 7 d
Gehet ab die Melioration auf den Rubricen 675 lb 4 ß 5 d
der Hausraht der Verstallung befreÿet 212 lb 12 ß 11 d
wegen 4225 lb Zu Vier und Vier und ein halben pro Cento angelegten Capitalien 778 lb 15. ß
Und dann die nicht genoßene Activa th. 202. lb 4 ß 7 d
Summa Abgangs ist 1869 lb 1 ß 11 s
Compensando restiret 9671 lb 5 ß 8 d, die machen 19.300 fl. verstallte allein 12 900 fl. alßo zu wenig 6400 fl.
Warvon der Nachtrag gerechnet wird auf acht Jahr in duplo à 19. lb 4 ß, macht 153 lb 12 ß
Und 4auch auff Sechs Jahr in simplo à 9 lb. 12 ß, macht 57. lb 12 ß
Extat kein Stallgeltt
Gebott 2 ß 4 d
Abhandlung 12 lb 7 ß 6 d, Summa 223. 14. 6
Auf die überreichte Memoriale eingebrachte Motiven haben die herren dreÿ nachgelaßen 57 lb 12 ß, restirt 166 lb 2 ß 4 d
Abzug – H. Johann Valentin Hirschel Med. et Philosophiæ Doctor Zu Lahr, hatt von anfallenden 2264. lb 15 ß 5 d Vätter: und Mütterlich Erbe den Abzug erlegen mit 226 lb 9 ß 6 d
Weilen der F. D. Vermög producirten attestati Von Not. Lobstein, Vor seiner Verheyrathung alß Er annoch in dem burgerrecht gestanden 540. lb 1 ß 10 d. erhalten alß gehet an obigem Abzug wieder ab 54 lb2 d, rest 172 lb 9 ß 4 d
dt. 19. Aug. 1744.
Premier compte de tutelle rendu pour le fils cadet Jean François Hirschel
1745 (27.2.), Not. Dinckel (J. Rodolphe, 6 E 41, 364) n° 182
Rechnung Mein Johann Jacob Jungen, Fischkäuffers und E:E: kleinen Raths alten beÿsitzers als geordnet: und geschworenen Vogts Johannis Francisci Hirschels, Ledigen Kieffers und bierbrauers, Weÿland herrn M. Johann Jacob Hirschels geweßenen Wohlverdienten Pfarrers und treueifferigen Seelsorgers der Evangelischen Gemeinde zum Jungen St. Peter und burgers allhier Zu Straßburg mit auch weÿland Frauen Anna Magdalena gebohrner Reiffin seiner Letstern Eheliebstin beeder nun seel. erzeugten Sohns, inhaltend alles das jenige was ich Vom 1.ten Maji Anno 1731 als da ich Zu dießer Vogteÿ gekommen, biß den 27.te Februarÿ Anno 1745. ermelten meines Curandi halben Eingenommen und hingegen wieder außgegeben auch sonsten Vögtlicher weiß Verrichtet und verhandelt. Erste Rechnung dießer Vogteÿ
Jean Jacques Hirschel vend 1 200 livres la maison au marchand Jean Christophe Gambs et à sa femme Eve Marguerite Heckler
1736 (26.7.), Chambre des Contrats, vol. 610 f° 694-v
H. M. Johann Jacob Hirschel der Pfarrer der evangelischen Gemeind zum Jungen St Peter
in gegensein H. Johann Christoph Gambs des handelsmanns und Fr. Evæ Margarethæ geb. Heckhlerin mit beÿstand seines vatters H. Johann Heckheler Med: D. et Pract:
Eine Behausung, Nebens: gebäu, höfflein, Bronnen und hoffstatt mit allen übrigen deren gebäuden, begriffen, weithen, zugehörden und gerechtigkeiten ahne St Elisabetha gaß, einseit neben Frantz Ackermann dem Einspenniger anderseit ziehet dieselbe mit der ründe sich gegen dem grünäuel herumb auff ein höfflein hinden auff das Stifft und H. Prælaten von Neuenburg stoßend gelegen, zum großen Christoph genannt – als ein am 7. nov. 1725 ahne hiesiger Ganth erkaufftes guth – um 1200 pfund
Jean Christophe Gambs, fils de marchand, a épousé en 1722 Eve Marguerite Heckler, fille de médecin : célébration, inventaire des apports
Mariage, Saint-Pierre-le-Vieux (luth. f° 94-v)
Anno 1722. Domin: Quas. et Min: seind außgeruffen undt Mittwochs daraff als den 22. april ehelich eingesegnet worden Herr Johann Christoph Gambs der Ledige Kauff: und Handelsmann wie auch burger allhie, herrn Johann Christoph Gambßen des Kauff: undt Handelßmanns, wie auch Burger alhier Ehel. Sohn, Und Jungfrau Eva Margaretha Hecklerin, Herrn Johann Hecklers Medicinæ Docoris undt Vornehmen Practici allhier auch wohlmeritirten Kirchenpflegers zum Alten St Peter [unterzeichnet] Johann Christoph Gambs Jünger als Hochzeitern Eva Margareth Hackhelerin als hochzeiterin (i 97)
Inventaire des apports (sans addition des rubriques), dressé dans la maison des parents de la mariée
1722 (5.5.), Not. Rohr (Daniel, 46 Not 53) n° 1718
Inventarium und beschreibung aller derjenigen haab und Nahrung, so die Viel Ehren und tugendsahme Frau Eva Margaretha Hecklerin zu dem Wohl Ehren Vest: und grosachtbahren herrn Johann Christoph Gambßen Vornehmen Handelßmanns und burgern allhier zu Straßburg in die Ehe zugebracht und vermög auffgerichteter Eheberedung sich vor unverändert Vorbehalten hat – So beschehen dienstags den 5.ten Maÿ 1722.
Inn einer allhier zu Straßburg ane der Fladergaß gelegenen und Von der Ehefr. geliebten Eltern jetzmahls bewohnenden behaußung sich Volgendermaßen befunden
Jean Christophe Gambs cotise à la tribu des Tonneliers pour avoir le droit de vendre du vinaigre.
1724, Tonneliers (XI 394)
(f° 65-v) Herr Johann Christoph Gambß der Specirer, erhielte auff sein ansuchen das Zunfftrecht als Zudiener mit geldt Wegen deß Eßigschancks, gegen 2 lb. 10 ß 6 d erlegter gebühr, und für Zfft Sr. v. büttel 2 ß 6 d
Jean Christophe Gambs meurt en 1743 en délaissant six enfants. Les experts estiment la maison 800 livres. La masse propre à la veuve s’élève à 1 375 livres. L’actif de la communauté et du défunt est de 1049 livres, le passif de 2 045 livres
1744 (31.1.), Not. Lichtenberger (Jean Frédéric, 6 E 41, 314) n° 318
Inventarium über Weÿl. des Wohl Ehren vest und Großachtbaren Herrn Johann Christoph Gambßen, geweßenen vornehmen Handelsmanns und burgers allhier Zu Straßburg nunmehr seel. Verlassenschafft – nachdeme derselbe Montags den 9.ten Decembris des nechsthiengelegten 1743.sten Jahrs von dem lieben Gott aus dieße Zeitlichkeit zu sich in die seelige Ewigkeit abgefordert worden, hie zeitlichen verlaßen, auf freundliches Ansuchen Erfordern und Begehren des Wohl Ehrenvest und Großachtbaren Herrn Johann Kürschners, Handelsmanns und burgers allhier, als geordnet und geschworenen Vogts Johann Christophs, ledigen Kiefers und biersieders, so ohngefehr 21. Jahr alt, Jungfr. Evä Margarethä so 17 ½ Jahr alt, Jungfrauen Margarethæ Magdalenæ, so 16 ½ Jahr alt, Frantz Wilhelms, so 11 ¾ jahr alt, Mariæ Sophiæ, so beÿ 9 ½ Jahr alt und Philipp Jacobs so ohngefehr 6 ½ Jahr alt, der Gambßen, alle Sechs des seel. H. Gambßen mit der Edlen, Viel Ehr: und tugendreichen Frauen Eva Margaretha gebohrner Heckhlerin deßen geweßenen Frauen Eheliebstin und nunmahlig erzeugter Kinder und ab intestato Vermaßene Erben inventirt, durch Sie die hinterbliebene Frau Wittib, mit beÿstandt des Wohl Edel Vest und Großachtbaren Herrn Johann Heinrich Jahreißen, Adelichen Schaffners und Wohlbestellten Oberschreibers des Löbl. Stiffts Frauenhaußes – So beschehen in der königl. Statt Straßburg auff Freÿtag den 31. Januarÿ et seq. Anno 1744.
In einer allhier Zu Straßburg ane St. Elisabethä gaß gelegener in dieße Verl. gehörigen und hernach beschriebenen behausung befunden worden wie folgt.
Ane Höltzen und Schreinerwerck. Auff der bühn, Im Meel Cämmerlein, Im Speiß Cämmerlein, Im Obern Hauß Öhren, In der obern Kuchen, In der Obern Stub, In der Obern Stub Cammer, Im mittlern Hauß Öhren, In der mittlern Stub, In der mittlern Stub Cammer, Im undern Stübel, Im undern Stub Cammerl., Im Cämmerl. vor dem undern Stübel, Im Obern Stübel des Neben Gebäudes, Im Keller, Ins Officiers Stübel
Eigenthumb ane einer behaußung. Eine behaußung, Nebens Gebäu, Höfflein, bronnen und hoffstatt mit allen übrigen deren Gebäuden, begriffen, Weithen, Rechten Zugehördten und Gerechtigkeiten Zum großen Christoph genannt gelegen allhier Zu Straßburg ane St Elisabethæ gaß einseit neben N. Gavet dem Commis anderseit mit der ründe gegen dem grünauel herumb auff ein höfflein sich Ziehend, hinden auff das stifft und Hn Prælaten Von Neuenburg stoßend, so außerhalb des hernach unter denen passivis eingetragenen darauff hafftenden Capitals freÿ ledig und eigen und durch (die Werckmeistere) vermög deroselben ad Concepum geliefferter schrifftlicher Abschatzung vom 12.ten Februarÿ 1744. angeschlagen Vor 800. lb. Wie beede geweßene Gambßische Ehe Persohnen dieße behaußung Von nun weÿl. H. M. Johann Jacob Hirschel geweßenen Pfarrern zum Jungen St. Peter allhier käuffl. ane sich gebracht, weiset ein teutscher pergam. Kauffbrieff in der Statt Straßburg C.C. stub gefertiget und mit deroselnen anhangendem Insiegel verwahret datirt den 26. Julÿ Anno 1736.. Dabeÿ ferner ein teutscher pergam. Ganth Kauffbrieff mit E: E: Kleinen Raths Zu Straßburg anhangendem Insiegel Versehen de dato 7.ten Novembris anno 1725.
– Abschatzung den: 12. febr: 1744. Auff begehren Weillandt deß wohll achtbahren und bescheitenen H. Johann Christoph Gampß deß geweßenen handelß Mann seel. hinderlaßenen frau wittib und Erben ist eine behausung alhie in der Statt Straßburg, auff der Elßbetter gaßen gelegen ein seitß ein Eckh gegen der reith schull, anderseitß an Frantz ackermann deß geweßenen soltnerß srtoßent hinden auf dem herren Prëllatten Von Neuen burg Stoßendt welche behausung unden ein gangß, ein Stuben Camin Cammer und daß haus Ehren ein gewölbter und kleiner getrëmbter Keller, oben dar über ein Stuben Cammer hauß Ehren darinen der herdt, ihm 2.ten Stock wiederum ein Stuben Cammer hauß Ehren mit herdt und waßer stein Zweÿ heltzer gäng, ein alter tach Stull darinen 3. Cammren mit diellen Zu geschlagen daß tach mit holziglen belegt einerseitß Keinen gebell, ander seitß ein höltzren gëbell der hoff und bronen, ein Klein Nebënß häußell darinen undten ein Camin Cammer und Kuchell oben darüber ein Stubell und hauß Ehren mit einen herdt ein Nebenß schöpffell sambt aller gerëchtig Keidt wie solches turch der Statt Straßburg geschwornen wërck Meister sich in der besichtigung befundten und Jetzigen breÿß nach angeschlagen wierdt Vor und Umb Ein Tausendt und sechß hundert Gulten. bezeichnuß der Statt Straßburg geschwornen wërck Meistere, [unterzeichnet] Pflug Statt Lohner, Michael Ehrlacher Werck Meister deß Meinsters, Johann Jacob Biermeÿer Werck Meister deß Zimmerhoffs
Ergäntzung der Frau Wittib wehrender Ehe abgegangenen ohnveränderten Guths, Vermög designationis (…) durch weÿl. H Daniel Rohren den 5.ten Maji 1722. auffgerichtet
Series rubricarum hujus Inventarÿ, Copia der Eheberedung
Der Frau Wittib ohnveränderte Nahrung, Sa. hausraths 35, Sa. Silbers 12, Sa. Goldener Ring 103, Sa. baarschafft 8, Sa. Schuld 150, Sa. Ergäntzung (1069, Abgang 3, verbleibt) 1066, Summa summarum 1375 lb
Dießemnach wird auch die übrige Verlassenschafft als der Erben ohnverändert und theilbar /: angesehen die hinterbliebene Fr. Wittib auff die letztere mit Consens Ihres Hn Assistenten tam active quam passive zu renunciren sich erkläret hat:/ unter einer Massa beschrieben, Sa. hausraths 179, Sa. Silbers 26 Sa. Goldener Ring 9, Sa. Eigenthums ane einer behaußung 800, Sa. Activ Schuld 35, Summa summarum 1049 lb – Sa. Schulden 2045 lb, der Erben ohnverändert und theilbar Passiv onus 996 lb – Stall summ 379
Wÿdembs Verfangenschaft Welche S.T. Frau Eva Margaretha Heckhlerin gebohrne Grießbachin weÿl. S.T. H. Johann Heckhlers geweßenen Medicinæ Doctoris et Practici auch vornehmen burgers allhier seel. hinterlassenen Frau Wittib (…) nach Inhalt des (…) den 23. Novembris Anno 1734. Vor H Notario Johann Philipp Lichtenberger auffgerichteten Testamenti nuncupativi
Eve Marguerite Heckler veuve de Jean Christophe Gambs hypothèque la maison au profit de Jean Georges Heckler
1758 (7.3.), Chambre des Contrats, vol. 632 f° 72
Fr. Eva Margaretha geb. Hecklerin weÿl. H. Johann Christoph Gambß des handelsmann wittib beÿständlich Johann Sigmund Schlehenacker des biersieders
in gegensein H. Johann Heinrich Jahreis des Oberschreibers des Stifft Frauenhauß als mandatarius H. Johann Georg Heckler – schuldig seÿe 500 lt
unterpfand, eine behausung mit allen gebäu, begriffen und rechten ane St Elisabethä gaß, einseit neben H N Walther dem handelsmann, anderseit neben dem Neuenburger hoff
Eve Marguerite Heckler meurt à son tour en 1779 à Paris auprès de son fils auquel elle a légué sa maison rue Sainte-Elisabeth. Elle délaisse cinq enfants. Les experts estiment la maison 850 livres. La succession s’élève à 1 991 livres. Une copie de la donation passée à Paris est annexée à l’inventaire
1779 (1.6.), Not. Fické (J. Charles, 6 E 41, 772) n° 707
Inventarium über Weiland der Viel Ehren und tugendbegabten Fraun Evæ Margarethaæ Gambsin, gebohrner Hecklerin, längst weiland Herrn Joh: Christoph Gambs, gewesenen Handelsmanns und burgers alhier zu Straßburg nachgelaßener Fraun Wittib, nunmehro auch seel. Vermögens Nachlassenschafft – nach ihren Freÿtags den 2.ten aprilis dieses 1779.sten Jahrs beÿ ihrem Aufenthalt zu Paris aus dießer Zeitlichkeit genommenen tödlichen Hintritt, verlaßen hat. – So beschehen Strasburg auf Dienstag den 1.ten Junii Anno 1779.
Der abgeleibten Fraun Gambsin hat ab intestato verlaßene Erben resp. sind und solten seÿn. 1° Mr Joh: Christoph Gambs, der Kiefer und burger alh. Angesehen aber derselbe schon längst durch Erkantnus Gnädiger Hh. Räth und XXI. in den alhiesigen mehrern Hospital Sub conditione des Einbringens seines damaligen und künftigen erlangenden Vermögens, als ein armer Pfründer Zum deßelben lebtägigen Versorgung aufgenommen worden, so hätte aber solcher Hospital den Anspruch auf deßelben mütterl. Erbs Portion in so fern dem selben über seinen schuld bis herigen Empfang und damit schuldigen Einschuß noch etwas ausfällig werden könnte und hat H. Nots. Georg Friderich Fettich der Hospitals wohlbestellter Mitterschreiber die Commission auf sich deshalb das Interesse Zu besorgen.
2° Frau Eva Margaretha Knodererin, gebohrne Gambsin, H. Johannes Knoderer des Sattlers und burgers alh. Frau Eheliebstin, unter desselben Verbeÿstanung hiebeÿ persönlich zugegen,
3° Weil. Frau Margarethæ Magdalenæ Breÿin gebohrner Gambsin H: Reinhard Balthasar Breu dem Perruquier und burger alhier ehel. erzeugte 3. Kinder, hierorts Enckel namentl. und a) Philipp Jacob, b) Johann Friderich und c) Jungfr. Margaretha Magdalena die Breu diese waren ehemaligen mit obermeltem Mr Joh: Christoph Gambs dem Kiefer und burger alh. ihrem Oncle bevögtiget, Heutiges tags aber ist denen selben zu einem anderwärtigen Vogt geordnet und verpflichtet worden Tit: Hr: Joh: Daniel Weile der Metzger und E.E. großen Raths alter wohlverdienter beisitzer,
4° H. Frantz Wilhelm Gambs der Handelsmann und burger alhier,
5° S.T. H: Jacob Gambs der erste Mahler des Königs Majestats in Spanier und Professor der accademie in Paris allda wohnhaft, dieser aber hat in Rücksicht auf die Ihm von der Frauen Mutter seel. beschehene Schanckung des hiernach inventirten hauses an der S: Elisabethæ Gaß, davon jedoch die Frau defuncta als donatrix den lebtägigen Genuß sich vorbehalten hat, durch den hienach copeÿlich einverleibten Acte die authentische Erklärung gethan, daß er sich mit solcher Schanckung für sein Erbs ratum vollkommen begnügen und also auf alles übrige der mütterl. Succession zu gunsten der Mit Erben ein vor allemal gäntzlich renincirt haben wolle.
In einer allhier Zu Strasburg im Metzger gießen gelegenen hieher nicht gehörigen behaußung hat sich befunden wie folgt.
Eigenthum ane einer behaußung. Näml. eine behaußung, Nebens Gebäu, Höfflein, bronnen und Hoffstatt mit allen übrigen deren Gebäuden, begriffen, Weithen, Zugehördten Rechten und Gerechtigkeiten, Zum großen Christoph genannt, gelegen allhier Zu Strasßburg an der St Elisabethæ Gaß einseit neben H. – dem Koch beÿ Ihro Gnaden H. Delort, dem Königs Lieutenant anderseit mit der Ründe gegen dem Grünäuel herum, auf ein höffel sich ziehend, hinten auf das Stift und Hn Prælaten von Neuenburg stoßend, Solche behaußung ist weder mit einem reale onere verhaftet noch sonsten verpfändet, sondern gegen männigl. freÿ, leedig, eigen, auch solcher Art durch (die Werckmeistere) besag ihres unterm 17.ten Junii jüngst schriftl. ausgestellten und unterschriebenen Abschatzung Scheins gewürdiget und abgeschätzt worden pro 850. lb. darüber besagt und ist vorhandeneine deutsche in alhiesiger C:C: Stube am 26.ten Julii 1736. vorgegangenen und auf Pergament ausgefertigte Kauffverschreibung mit dem großeren anhangeden Insiegel verwahrt. dabeÿ ferner befindlich ein deutsch: pergamentener Ganth Kauffbrief mit E: E: Kl. Raths Zu Strasburg anhangendem Insiegel versehen datirt den 7.ten 9.bris anno 1725. Es sind aber bereits solche beÿde Kauffbrief H. Phil. Jacob Gamßen dem donatorio solcher behausung ausgeliegert worden.
Series rubricarum hujus Inventarii. Sa. Hausraths 26, Sa. Silbers 1, Sa. Goldstücks 2, Sa. Eigenthus an einer behaußung 850, Sa. Pfenningzinß hauptguths 1100, Sa. der Schulden 11, Summa summarum 1991 lb – Schulden 74 lb, Nach deren Abzug 1916 lb
Lit. AM H. Phil. Jacob Gampbs des jüngsten Sohns mutterl. Schanckung 850 lb, Nach deren Abzug 1066 lb
Beschluß und Stall summa 1916 lb
Par devant Les Conseillers du Roy Notaires au Chatelet de Paris soussignés fut présente De Eve Marguerithe Hæckler veuve de M Jean Christophe Gambs Negociant à Strasbourg demeurante mad. D° V° Gambs actuellement à Paris rue de Condé paroisse St. Sulpice, Laquelle voulant donner une marque particulière d’amitié à M. Philippe Jacques Gambs son fils premier peintre du Roy d’Espagne et professeur de L’Accadémie demeurant à Paris (…) donation entre vifs irrévocable en la meilleure forme et maniere quue donation puisse valoir (…) d’une maison Scize à Strasbourg au Coin de la rue Ste Elisabeth vis à vis le vieux gouvernement consistante en deux corps de logis l’un des quels a trois étages, deux greniers au dessous et l’autre un étage et grenier audessus, porte cochère, cour, aisances et dépendances sans en rien réserver ny excepter, tenant d’une part à la ruë Ste Elisabeth, par devant et par derrière à la place du bâtiment des fiacres appartenante laditte Maison à la d° De. V° Gambs pour par mond. S. Philippe Jacques Gambs ses héritiers et ayant cause jouir disposer de la même propriété de la d° maison à Compter de ce jour et de L’usufruit et jouissance d’icelle à Compter du jour du décès de la d° D° V° Gambs, la quelle s’en réserve L’usufruit et jouissance pendant sa vie à titre de constitut et précaire pour après son décès ledit usufruit demeuré réuni et consolidé au fond et propriété de lad. maison (…), Fait à Paris en la demeure de mes ds. Sr et D° Gambs mere et fils l’an 1777. Le 2° aoust – M° Horque de Cerville. L’acte de donation entre vifs cy dessus et d’autre part a été en exécution du décret du grand sénat de Cejourd’huy insinué ez registres du dt. Senat à Strasbourg Le 27. 7.bre 1777. Signé Zäepffel avec paraphe
L’acte de donation et la renonciation à la succession sont déposés auprès du notaire royal Humbourg puis transcrits à la Chambre des Contrats
1779 (19.6.), Chambre des Contrats, vol. 653, Not. royal Humbourg, 22. avril 1779
auff ansuchen H. Notarii Johann Friedrich Schatz mandatario nomine H. Philipp Jacob Gambs des königl. miniature mahlers, nachstehende donatio inter vivos
(voir ci-dessus)
Acte de renonciation – Jean Frédéric Schatz, notaire juré et publique, mandataire de Philippe Jacques Gambs peintre en miniature habile à se porter héritier pour 1/5 d’Eve Marguerite Haeckler veuve de M. Jean Christophe Gambs par procuration M° Toulat au Châtelet, 15. avril 1779, renonce purement et simplement à la succession de à ladite De sa mère, ensemble la Donation qu’elle lui a faite d’une maison scitué à Strasbourg au coin de la rue St Elisabeth, M° Horque de Cerville le 4. août 1777
Philippe Jacques Gambs (légataire de sa mère) hypothèque la maison au profit de sa sœur Eve Marguerite Gambs femme du sellier Jean Knoderer
1779 (31.8.), Chambre des Contrats, vol. 653 f° 319
H. Philipp Jacob Gambs peintre du roy
in gegensein Fr. Evæ Margarethæ Knottererin geb. Gambsin Johann Knotterer des sattlers ehefrau seiner leiblichen schwester – schuldig seÿe 2000 gulden
unterpfand, eine behausung samt zugehörden ane der St Elisabethä gaß gegen der alten reithschuhl über einseit neben Sr Francin anderseit neben dem Neuenburger hoff
Philippe Jacques Gambs meurt à Vaugirard en 1815. Un acte de notoriété donne la liste de ses héritiers collatéraux
1816 (24.12.), Strasbourg 7 (57), M° Stoeber jeune n° 2183
Notoriété (…) avoir parfaitement connu Philippe Jacques Gambs ancien peintre en miniature natif de Strasbourg & qui depuis plus années s’était retiré à Vaugirard près Paris où il est décédé dans le courant de novembre denier, qu’ils savent qu’il était l’un des enfants de Jean Christophe Gambs, négociant à Strasbourg et d’ Eve Marguerite Haeckler, qu’il avait pour frères et sœurs germains
1. Christophe Gambs tonnelier décédé,
2. François Gambs négociant décédé,
3. Eve Marguerite Gambs décédée veuve de Jean Knoderer sellier,
4. Marguerite Madeleine Gambs décédée femme de Régnard Balthasar Brey perruquier,
qu’il est à leur connaissance 1. que Christophe Gambs a laissé deux enfants l’un Christophe Gambs pasteur de l’église luthérienne a l’autre une fille domiciliée à Strasbourg, 2. que François Gambs n’a point laissé de postérité, 3. que ladite Eve Marguerite Gambs veuve de Knoderer a laissé une seule fille aujourd’hui veuve Schwartz, 4. que lad. Marguerite Madeleine Gambs femme Brey a laissé trois enfants 1) Frédéric Guillaume portier consigne de l’une des portes de la ville de Strasbourg, 2) Philippe Jacques perruquier demeurant rue de l’Homme de pierre, 3) Marie Madeleine veuve du Sr Bay huissier à Strasbourg
(Joint) extrait de la paroisse St Nicolas le 6 décembre 1755, Philippe Jacques fils de Regnard Balthasar Breu perruquier et Marguerite Madeleine Gams
Eve Marguerite Gambs femme de Jean Knoderer hypothèque au profit de l’orfèvre Jean Henri Schultz la somme que lui doit son frère sur la maison
1783 (20.3.), Chambre des Contrats, vol. 657 f° 139-v
Fr. Eva Margaretha Knottererin, geb. Gambßin beÿständlich Johannes Knotterer des sattlers ihres ehemans
in gegensein H. Johann Heinrich Schultz des goldarbeiters – schuldig seÿe 300 gulden
verlegt, so sie die debitrix laut contract verschreibung vom 30. jan. 1779 ane ihrem bruder Philipp Jacob Gambß peintre du roy à Paris und burger allhier zu erfordern auff deßen eigenthümlich zuständig ane St Elisabetha gaß gegen der alten reit schuhl über einseit neben Sr Francin anderseit neben dem Neuenburger hoff
Jean Knoderer meurt en 1786 dans une maison rue Sainte-Elisabeth, sans doute celle qui appartient à son beau frère et qui figure à l’Etat des habitants de 1789 sous le nom de sa femme Eve Marguerite Knoderer
1786 (16.8.), Not. Lederlin (6 E 41, 907) n° 339
Inventarium über weÿl. H. Johannes Knoderer des ältern sattler meisters verlassenschafft – nach seinem d. 9. junÿ dieses gegenwärtigen 1786. jahrs genommenen tödlichen hinscheiden, ersucht durch Evam Margaretham geb. Gamßin die wittib beÿständlich H. Philipp Jacob Faudels des ältern sattlermeisters
Benennung der Erben, der abgeleibte hat ab intestato zu seinen erben verlassen 1. Fr. Maria Dorothea geb. Knodererin H. Andreas Reith des Zundelfabricanten Ehegattin, 2. H. Johannes Knoderer der sattlermeister dieße beede mit längst weÿl. Fr. Maria Salome geb. Kleinin seiner ersten Ehegattin erzeugt
so dann 3. Jfer Maria Margaretha Esther Knodererin majorennis, mit der wittib in zweÿer ehe erzeugt
in einer ane der St Elisabethä gaß nicht hiehero gehörigen behausung
der wittib vermögen, pfenning zinß und deßen hauptguths 1000 lt, schulden 20 lt, ergäntzung 1212 lt, summa summarum 2262 lt,
der erben unverändert und das theilbare nahrung, hausrath 58 lt, waaren und werkzeug 17 lt, silbers 8 lt, gold 8 ß, summa summarum 84 lt, schulden 2244 lt, compensando der erben passiv onus 2459 lt
Eheberedung – zwischen wolehren und vorachtbaren H. Johannes Knoderer dem sattler wittiber an ainem, und Jfr Eva Margaretha Gamßin weÿl. H. Johann Christoph Gambs des handelsmanns ehelichen tochter – 9.ten, Fr. Eva Margaretha Gamßin geb. Häcklerin der braut mutter – d. 21. mart. 1759, Johann Carl Fické
Déclaration d’hérédité selon laquelle la seule héritière d’Eve Marguerite Gambs est sa fille Marguerite Esther femme de Frédéric Chrétien Schwartz
1812 (14.7.), Strasbourg 9 (anc. cote 19), M° Bossenius n° 525, 5521 – Enregistrement de Strasbourg, acp 120 F° 46-v du 16.7.
Déclaration d’hérédité d’Eve Marguerite Gambs veuve de Jean Knoderer sellier carossier – à la requête de Marie Marguerite Esther Knoderer femme de Frédéric Chrétien Schwartz commis négociant, héritière de sa mère ab intestat
meubles 419 fr, créances 10 563 fr, total 10 982 fr – à déduire 50 fr, reste 10 932 francs
Philippe Jacques Gambs de Vaugirard expose la maison aux enchères sur une mise de 5 000 francs
1806 (14.10.), Strasbourg 7 (38), M° Stoeber n° 2732, 7487
Sr Philippe Jacques Gambs propriétaire demeurant en la commune de Vaugirard près de Paris agissant pour lui le Sr Philippe Jacques Brey perruquier
enchere d’une maison consistant en trois Corps de logis, Cour, Cave, puits avec toutes ses autres appartenances et dépendances située rue Elisabeth N° 26 faisant le Coin de la rue, d’un côté – d’autre – aboutissant -, mise à prix 5000 francs
La vente a lieu l’année suivante devant un autre notaire. L’acheteur est le perruquier Philippe Jacques Brey et sa femme Marie Salomé Schæffer
1807 (4.6.), Strasbourg 4 (35), M° Stoeber n° 422 – Enregistrement de Strasbourg, acp 102 F° 174 du 5.6.
Mr Jean Daniel Stoeber Notaire Impérial en cette ville en qualité de Mandataire de M. Philippe Jacques Gambs Propriétaire demeurant à Vaugirard près Paris grand rue N° 116
au Sieur Philippe Jacques Brey perruquier en cette ville et à Marie Salomé Schaeffer son épouse
Une Maison consistante en trois Corps de logis, Cour, Caves, puits avec toutes les autres appartenances et dépendances située en cette ville rue Elisabeth n° 26, faisant d’un côté le Coin et face de la rue Elisabeth, de l’autre le Sr Mannberger fabriquant de tabac abboutissant sur le Sr Mannberger, franche et quitte de toutes rentes et redevances foncières que le Vendeur a aquis de la succession paternelle. La présente vente et cession a été faite sous les Charges et Conditions suivantes, 1° Les acquéreurs seront tenus de rembourser en l’aquit de lui constituant (…) à De Marguerite Gambs Veuve de feu le Sr Jean Knoderer sellier en cette ville la somme de 2962 francs équivalent à 3000 livres tournois à elle due suivant obligation passée à la cidevant Chambre des Contrats le 31 août 1779 de manière que led. Constituant ne soit aucunement inquieté, poursuivi ni recherché à cet égard, 2° de payer au Constituant et à De Marie Anne Antoinette Aubry son Epouse et au survivant d’eux, leurs vies durantes 250 francs de rente annuelle et viagère
Philippe Jacques Brey, neveu du vendeur, a épousé en premières noces en 1780 Marie Barbe Fettinger : contrat de mariage, célébration, inventaire des apports dressé dans la maison des parents de la femme, rue des Tonneliers
1779 (9. 8.br), M° Stoeber (6 E 41, 1260) n° 73
Eheberedung – erschienen Meister Philipp Jacob Breu, lediger Perruquenmacher, Mr Reinhard Balthasar Breu des Perruquenmachers und brs. allhier in erster Ehe mit weiland Fraun Maria Magdalena geb. Gambsin erzeugter Sohn als hochzeiter, beiständlich und unter Autorisation seines Vaters wie auch seines noch ohnentledigten Vogts H. Johann Daniel Weiler des Metzgers und E.E. großen Raths allhier alten beisitzers an einem
So dann Maria Barbara Fettingerin, H. Johann Adam Fettinger des Kuttlers und brs. allhier mit Fraun Maria Barbara geb. Scharbächin erzielte tochter als Hochzeiterin unter Autorisation solchen deren Vatters wie auch unter assistentz H Johann Michael Grämer Weinhändlers u. brs allhier am andern theil – Straßburg Dienstags den 9. Novembris Anno 1779 [unterzeichnet] Philipp Jacob Breÿ als hochzeiter, Maria Barbara Fettingerin als hochzeiterin
Mariage, Temple-Neuf (luth. f° 14-v, n° 15)
Im Jahr 1780, Montag den 24. aprilis Nachmittags um Fünff Uhr sind (…) ehelich eingesegnet worden Philipp Jacob Breu, lediger Perruquen macher Meister und burger allhier, Reinhard Balthasar Breu Perruquen-machers, und burgers allhier mit Weÿland Fraun Mariæ Magdalenæ geb. Gambsin ehelich erzeugter Sohn, und Jungfer Maria Barbara Fettingerin Johann Adam Fettigers Metzgers und burgers allhier mit Frau Maria Barbara gebohrner Scharbachin ehelich erzeugte Tochter [unterzeichnet] Philipp Jacob Breÿ als hochzeiter, Maria Barbara Fettingerin als hochzeiterin (i 16)
Inventaire des apports
1780 (17.7.), Not. Stoeber (6 E 41, 1241) n° 193
Inventarium über M. Philipp Jacob Breÿ des Peruquenmachers und Fr. Maria Barbara Breÿin geb. Fettingerin einander in den ehestand zugebrachte Nahrung – in ihrem den 24. apr. diesen Jahrs angetrettenen ehestand, vor mir den 9. 9.br. vorigen Jahrs errichteten Eheberedung, in Gegensein Mr Johann Adam Fettinger des Kuttlers und Fr. Maria Barbara geb. Scharbächin der Ehefrau eltern
In einer an der Kiefergaß gegen der Lungengaß über gelegenenen der Fr. geliebten Eltern zuständigen behausung
Norma hujus inventarii, der Ehemanns vermögen, hausrath 18 lb, Werckzeug und haar 16 lb, silberene Geschmeids 17 lb, summa summarum 52 lb, haussteur 67 lb, Des Ehemanns vermögens 119 lb
der Ehefr. in die ehe gebrachtes Gut, hausrath 117 lb, silberen Geschmeids 15 lb, goldenen Ring und Geschmeids 11 lb, baarschafft 85 lb, summa summarum 230 lb, haussteur 67 lb, der F. Gut 297 lb
Marie Barbe Fettinger meurt quelques années plus tard en délaissant un fils. L’inventaire est de nouveau dressé dans la maison des parents Fettinger. Il est traité par les préposés de la Taille parce que la somme imposable est légèrement inférieure aux sommes versées.
1784 (16. 7.bris), Not. Stoeber (6 E 41, 1248) n° 403
Inventarium über weÿl. Fraun Mariæ Barbaræ breÿin geb. Fettingerin Philipp Jacob Breÿ des Peruquenmachers Ehefrau Verlassenschafft – nach ihrem donnerstags den 26. augusti jüngst jahrs aus dießer welt genommenen tödlichen hintritt – auff ansuchen des Wittibers wie auch des abgeleibten mot ihme erzeugten einzigen Söhnleins u. ab intestato verlaßenen Universal Erbs Philipp Jacob, so den 25. apr. 1781 zur Welt gekommen, deßen geordneter und geschworener Vogt ist Johann Friedrich Fettinger des Seidenknopffmachers
in einer an der Kiefergaß gelegenen der Verstorbenen eheleiblichen Eltern zuständigen behausung
Norma hujus inventarii. Der Erben ohnverändertes gut, hausrath 94 lb, silbers 3 lb, goldene ringe 2 lb, baarschafft 5 lb, activ schulden 37 lb, Ergäntzung 133 lb, Summa summarum 277 lb
Alles übrige vorhandene unter I. Rubric als des Wittibers Nahrung gehörig, hausrath 28 lb, Werckzeug und haar zur Peruquenmacher Profession gehörig 10 lb, silbers 3 lb, Summa summarum 42 lb – Schulden 193 lb, Passiv Onus 151 lb – Stall summ 126 lb
Eheberedung(…) den 9. nov. 1779 Not. Johann Daniel Stöber
1784, VII 1180 – Livres de la Taille f° 355-v
(Mittwoch den 29. dito [Septembris]) Weinsticher N° 284 – Weÿland Fr. Mariä Barbarä gebohrner Fettingerin, Philipp Jacob Breÿ des Perruckenmachers und burgers alhier gewesener Ehefr. Verlassensch. inventirt Hr Not. Stöber
Concl: fin: Invent: ist fol: 48.b, 126 lb 4 ß 1 ½ d die machen 200. fl. verstallte 100. fl. also zu wenig 100. fl.
Anestatt des Nachtrags wird das Stallgeld von Vier Jahr, als lang diese Ehe gedaurt, von der zu wenig verstallten summ nur in simplo nachzuholen seÿe, thut à 3. ß des Jahrs, 12. ß
Ext: kein Stallgeld
Gebott 2 ß 6 d
Abhandlung 7 ß, summa 1 lb 1 ß 6 d
dt. 27.t Septembris 1784.
Veuf, Philippe Jacques Breu se remarie en 1785 avec Marie Salomé Schæffer : contrat de mariage, célébration, inventaire des apports
1785 (7.5.), Not. Stoeber (6 E 41, 1260) n° 204
Eheberedung – erschienen Philipp Jacob Breu, Perruquenmacher, Wittiber u. br. allhier als hochzeiter an einem,
und Jungfer Maria Salome Schäfferin, weiland H. Johann Philipp Schäfer gew. Seidenknopfmachers u. Seidenhändlers auch brs. allhier mit fraun Maria Salome geb.r Weÿelin seines hinterbliebenen We. dermalen H Johann Wilhelm Krahmer des ebenmäßigen Seidenknopfmachers u. Seidenhändlers auch brs. allhier Ehegattin ehelich erzeugte tochter als braut so majorennis – Straßburg Montags den 7. Maÿ Anno 1785 [unterzeichnet] Philipp Jacob Breÿ als hochzeiter, Maria Salome Schäfferin als Hochzeiterin
Mariage, Temple-Neuf (luth. f° 177-v, n° 16)
Im Jahr Christi 1785 Montags den 25. Aprill Nachmittags um dreÿ Uhr sind (…) ehelich eingesegnet worden Philipp Jacob Breu, Perruquen macher und burger allhier, wittwer des in ersten Ehe lebte mit weÿland Frau Maria Barbara gebohrner Fettichin, und Jungfer Maria Salome Schäferin, weÿland Johann Philipp Schäfers gewesenen Knöpffmachers Seiden-händlers und burgers alhier und Frauen Mariä Salome gebohrner Weigelin eheliche tochter [unterzeichnet] Philipp Jacob Breÿ als hochzeiter, Maria Salome Säffferin als hochzeiterin (i 179)
Inventaire des apports, dressé rue du Poumon dans la maison du cuvelier Kieffer
1785 (18. 9.br), Not. Stoeber (6 E 41, 1250) n° 482
Inventarium über herrn Philipp Jacob Breÿ des Perruckenmachers und Fr. Maria Salome geb. Schäfferin einander in die ehe zugebrachte Nahrung – nach ihrem den 28. apr. jüngst angetrettenen Ehestand, vor mir Notario den 7. mart. jüngst errichteter Eheberedung
in der an der Lungengaß gelegen H. Kiefer dem Kübler zuständig und dißorts zum theil lehnungsweiße bewohnenden behausung
Norma hujus inventarii. des M. Vermögen, hausrath 106 lb, Werckzeug 9 lb, Silbers 17 lb, goldene Uhr 24 lb, Summa summarum 156 lb – haussteur 20 lb, des Ehemanns gesamtes zugebrachte vermögen 177 lb – Schulden 100 lb, Nach dero Abzug 77 lb
der Ehefrau eingebrachte Vermögen, hausrath 73 lb, Silbers 9 lb, goldene ringe 9 lb, Summa summarum 92 lb – haussteur 20 lb, der Ehefrau gesamtes vermögen 113 lb
Philippe Jacques Brey meurt en 1822 en délaissant un fils de son premier mariage et une fille du second. Les biens comprennent deux maisons, la maison mortuaire rue de l’Ail et celle rue Sainte-Elisabeth
1822 (11.9.), Strasbourg 4 (53), M° Hatt n° 538 – Enregistrement de Strasbourg, acp 159 F° 51 du 17.9.
Inventaire de la succession de Philippe Jacques Brey, perruquier, décédé le 10 juin dernier – à la requête de Marie Salomé née Schaeffer veuve, à cause de la communauté établie par contrat de mariage passé devant M° Stoeber le 7 mai 1785, de Philippe Jacques Brey, perruquier fils du premier lit avec feu Marie Barbe née Fettinger, de Madeleine Caroline Brey femme de Jean Georges Doerrer, parcheminier, procréée en secondes noces avec Marie Salomé Schaeffer
dans la maison rue de l’Homme de Pierre n° 4
maison dépendant de la communauté, une maison avec pompe, appartenances et dépendances sise à Strasbourg rue de l’Homme de Pierres n° 4, d’un côté M. Pfeffinger, d’autre M Kamm aubergiste, derrière Mde Pfeffinger à acquis à la Chambre des Contrats le 18 août 1787, estimée 1200 francs
plus une maison consistant en trois corps de logis, cour, cave, puits avec toutes ses autres appartenances et dépendances située en cette ville rue Elisabeth n° 26, d’un côté un coin et face de la rue Elisabeth, d’autre M Mannberger, derrière les mêmes – acquise par acte M° Stoeber le 4 juin 1807, estimée 3000 francs
propres, meubles 187 fr, communauté, meubles 41 fr
passif du défunt 1443 fr, passif de la communauté 7806 fr, total de la masse du défunt 4428 francs
Les héritiers exposent la maison aux enchères mais aucun acheteur ne se présente
1833 (22.6.), Strasbourg 15 (53), M° Lacombe n° 10 029
Enchère préparatoire – Philippe Jacques Brey, perruquier, et Madeleine Caroline Brey femme de Jean Georges Doerr, parcheminier
Désignation de la maison. Cette maison située à Strasbourg rue Ste Elisabeth n° 26, des deux côtés et derrière propriété de M. le professeur Hepp, elle forme l’angle de la rue Ste Elisabeth et d’une petite place. La partie de ladite maison donnant sur la rue Ste Elisabeth est composée d’un rez de chaussée, deux étages et grenier, celle donnant sur la petite place ne consiste qu’en un rez de chaussée un étage et grenier. La maison contient une cour, avec un puits, cave et autres appartenances et dépendances. Etablissement de la propriété, recueilli dans la succession de Philippe Jacques Brey, perruquier, et Marie Salomé Schaeffer leurs père et mère dont ils sont les seuls et uniques héritiers – les conjoints Brey avaient acquis la maison de Philippe Jacques Gambs, propriétaire à Vaugirard près Paris par acte reçu M° Stoeber le 4 juin 1807 transcrit au bureau des hypothèques vol. 34 n° 30
mise à prix 7500 francs, personne ne s’est présenté, le 2 juillet
Les héritiers Brey vendent la maison au ferblantier Frédéric Charles Walder et à sa femme Elisabeth Heinrich
1844 (1.10.) Strasbourg 9 (91), M° Becker n° 2454
1° Mr Philippe Jacques Brey perruquier, 2° Dme. Caroline Brey épouse dûment assistée et autorisée de Mr Georges Doerrer tanneur, demeurant tous à Strasbourg
à Mr Frédéric Charles Walder, ferblantier, et à Dame Elisabeth Heinrich, épouse de ce dernier, demeurant et domiciliés audit Strasbourg
Une maison consistant en trois corps de logis, cour, cave, puits, avec toutes ses appartenances et dépendances, située à Strasbourg, rue Ste Elisabeth N° 26, se trouvant enclvée des deux côtés et par derrière des propriétés de Mr Hepp. Cette maison est vendue telle et en l’état où elle se trouve (…) y compris dix poêles en fonte avec tuyaux et pierres ainsi que les réchauds qui peuvent se trouver dans ladite maison – Cet immeuble appartient aux vendeurs pour l’avoir recueilli dans la succession de feus Philippe Jacques Brey et Marie Salomé Schaeffer épouse de ce dernier décédés tous deux à Strasbourg, savoir au Sieur Philippe-Jacques Breÿ comparant pour un quart comme étant héritier pour moitié de la succession dudit feu Philippe-Jacques Brey son père, procréé du mariage de ce dernier avec feue Barbe Fettinger, sa première épouse, et à la dame Doerrer pour les trois autres quarts tant du chef dudit feu PhilippeJacques Brey, son père, que de celui de la dite Marie-Salomé Schaeffer sa mère, seconde épouse dudit sieur Brey, de laquelle elle est la seule représentante comme étant le seul enfant issu de ce second mariage, pendant lequel la maison susdésignée fut acquise. Les époux Philippe-Jacques Brey avaient acquis cette maison de M Philippe-Jacques Gambs, demeurant en son vivant à Vaugirard près Paris aux termes d’un acte passé devant M° Stoeber le 4 juin 1807, cette vente avait été consentie sous la condition se servir au vendeur et à son épouse une rente viagère et de payée à Dame Marguerite Gambs veuve du sieur Jean Knoderer de Strasbourg une somme de 2962 francs – moyennant 12 000 francs
Frédéric Charles Walder a épousé en 1843 Elisabeth Heinrich, veuve du cordonnier Jacques Spitz
1843 (31.7.), Strasbourg 10 (101), M° Zimmer n° 4868
Contrat de mariage – M. Frédéric Charles Walder, ferblantier, demeurant et domicilié à Strasbourg
De Elisabeth Heinrich, demeurant et domiciliée à Strasbourg veuve en premières noces du Sr Jacques Spitz en son vivant cordonnier en cette ville
Article 3. Que les apports du futur époux consistent a) dans une Maison sise à Strasbourg rue du fossé des tailleurs N° 8, tenant d’un côté à M. Ehrmann négociant, de l’autre à M. Reichard, donnant par devant sur la rue et par derrière sur le fossé dit Ulmergraben. M. Walder a acquis cette maison su Sieur Jean Daniel Bilger, Menuisier, et de Barbe Scheer conjoints demeurant à Strasbourg, suivant contrat de vente passé devant M° Kratz le 13. avril 1841, transcrit au bureau des hypothèques de Strasbourg le 17 du même mois volume 369 N° 44.
Mariage, Strasbourg (f° 168-v, n° 335)
Du 5° jour du mois d’août 1843, acte de mariage de Charles Frédéric Walder, majeur né en légitime mariage le 5 germinal an huit à Strasbourg, domicilié à Strasbourg, ferblantier, fils de feu Jean Léonard Walder tailleur décédé en cette ville le 30 janvier 1830 et de feu Elisabeth Meyer décédée en cette ville le 16 Mars 1835, et de Sophie Elisabeth Heinrich, majeure, née en légitime mariage à Strasbourg le 15. décembre 1813 domiciliée à Strasbourg veuve de Jacques Spitz cordonnier décédé en cette ville le 18. juillet 1841, fille de feu Laurent Heinrich Chargeur à la douane décédé en cette ville le 21 novembre 1814 et d’Elisabeth Reffolft épouse actuelle de Georges Schini tisserand domicilié en cette ville, ci présente et consentante (signé) C. Fr. Walder, Sophie Elisabeth Heinrich (i 33)