1, rue de la Demi-Lune
Rue de la Demi-Lune n° 1 – IV 395 (Blondel), N 860 puis section 60 parcelle 128-26 (cadastre)
Maître d’ouvrage, Charles Emile Hahn, 1904 – Architecte, Armand Richshoffer
Façades en 1910 (Arch-Wiki) et en avril 2017 – Façade rue Sainte-Barbe (mai 2014)
La maison qui appartient au receveur Thiébaut Petermann en 1587 a un encorbellement de 41 pieds de long et trois pieds et demi de large. Elle appartient ensuite au prévôt de Dangolsheim, au bailli de Westhoffen puis à Henri Clausmann de Marlenheim (1642). Ses héritiers la vendent en 1656 au menuisier Michel Reitzer. Originaire de la région de Lunebourg, Michel Dæhnichen supprime une avance de son encorbellement et agrandit les fenêtres en 1709. La maison appartient pendant soixante ans (1728-1789) au menuisier Henri Greiff puis à sa veuve qui ont dû faire d’importants travaux puisque sa valeur passe de 700 livres en 1725 à 1 000 livres en 1789.
Le tonnelier Jean Georges Braun achète en 1813 la maison qui se fissure l’année suivante. Frédéric Bœhlé y exploite un café en 1818. Elle appartient ensuite (1826) au serrurier puis entrepreneur en serrurerie Henri Schoop.
Elévations préparatoires au plan-relief de 1830, îlot 188 (Musée des Plans-relief) 1
L’Atlas des alignements (années 1820) mentionne un bâtiment à rez-de-chaussée en maçonnerie et deux étages en bois à encorbellement. Sur les élévations préparatoires au plan-relief de 1830, la façade rue de la Demi-Lune se trouve entre les repères (a-b) : deux portes et deux fenêtres au rez-de-chaussée, sept fenêtres au premier étage, cinq au deuxième et toiture à deux niveaux de lucarnes. Le bâtiment accolé (u-a) plus bas donne sur la rue Sainte-Barbe.
La maison porte d’abord le n° 5 (1784-1857) puis le n° 1 de la rue de la Demi-Lune.
Nouvel alignement, en retrait de l’ancien. La surface en jaune revient à la voie publique (dossier de la Police du Bâtiment 13, rue Sainte-Barbe)
Monogramme CH (Charles Hahn) et millésime 1904 (photographie Wilfred Helmlinger)
Marie Joséphine Stahl, veuve du brasseur Jacques Palmer, achète la maison en 1866. Elle fait abaisser la même année l’appui de fenêtre à droite de la porte d’entrée par l’entrepreneur en bâtiment Mathieu Jéhu. L’agent voyer note que le rez-de-chaussée en maçonnerie est aligné vers la rue de la Demi-Lune mais que les étages sont en encorbellement. La façade rue Sainte-Barbe se trouve en avant de l’alignement, le rez-de-chaussée est en maçonnerie et les étages en encorbellement.
D’abord propriétaire du bâtiment voisin sis 13, rue Sainte-Barbe, Charles Hahn achète la maison et fait démolir les anciens bâtiments en mars 1904. La Ville porte alors l’alignement en arrière de l’ancien, ce qui oblige l’architecte Armand Richshoffer à revoir ses plans. Charles Hahn est autorisé en juin 1904 à construire un bâtiment à trois étages à l’angle de la rue Sainte-Barbe et de celle de la Demi-Lune. Le pignon et la tour pourront par exception dépasser la hauteur réglementaire. Le gros œuvre est terminé en octobre 1904. Un théâtre cinématographique se trouve à l’arrière (voir le 13, rue Sainte-Barbe). Le mur commun avec le 3, rue de la Demi-Lune se fissure en 1911 après avoir été été mis à nu par les démolitions de la Grande Percée.
G. A. Billet est autorisé en 1912 à exploiter le débit de boissons Le Jardin d’hiver (Zum Wintergarten). La société cinématographique de Charles Hahn y a son siège (Hahn et Compagnie) après guerre. L’architecte Czarnowsky agrandit en 1928 le restaurant les Trois Roses qui est endommagé par le bombardement aérien du 25 septembre 1944. L’enseigne devient en 1965 Le Paris puis Le Petit Lutèce en 1967.
Intérieur du Jardin d’Hiver (Arch-Wiki)
Le 13, rue Sainte-Barbe et partie de la maison d’angle. On remarquera le coq (Hahn) sur le bulbe.
(1928, dossier de la Police du Bâtiment 13, rue Sainte-Barbe)
novembre 2021
Sommaire
Cadastre – Police du Bâtiment – Relevé d’actes
Récapitulatif des propriétaires
La liste ci-dessous donne tous les propriétaires de 1601 à 1952. La propriété change par vente (v), par héritage ou cession de parts (h) ou encore par adjudication (adj). L’étoile (*) signale une date approximative de mutation.
Georges Wolleben, prévôt de Dangolsheim, et Odile puis ses héritiers Jean Wolleben, prévôt de Dangolsheim Blaise Schuhmacher et Odile Wolleben, à Dangolsheim |
||
1639* | adj | Georges Wolleben, bailli de Westhoffen, et (1614) Barbe Vendenheim, auparavant (1600) femme de Laurent Ganser – luthériens |
1640* | h | Ulric Wolleben, et (1642) Marthe Kœnigsmann – luthériens |
1642 | v | Henri Clausmar (Clausmann) de Marlenheim et Brigitte puis ses héritiers Gaspard Lempfrid, tanneur à Saverne, et Madeleine Clausmann Odile, fille de Nicolas Fesch le jeune de Dahlenheim |
1656 | v | Michel Reitzer, menuisier, et (1652) Marie Herber puis (1662) Eve Merckel d’abord (1644) femme du menuisier Christophe Burger – luthériens |
1689 | v | Michel Dæhnichen (Michel Denniger), menuisier, et (1683) Catherine Steegmann – luthériens |
1728 | v | Georges Frédéric Zeissolff, marchand, et (1709) Catherine Elisabeth Hœlbé – luthériens |
1728 | v | Henri Greiff, menuisier, et (1723) Anne Elisabeth Baumheckel puis (1728) Marie Marguerite Rœhrer, d’abord (1720) femme du menuisier Raoul Foster – luthériens |
1789 | h | Jean Michel Greiff, menuisier, et (1776) Anne Marie Butz – luthériens puis les héritiers Marie Madeleine Beutelstetter femme du passementier Samuel Bruder et les enfants de Marguerite Beutelstetter, femme du menuisier Jacques Bauer |
1809 | v | André Spetzer, tailleur, et (1804) Thérèse Rieffel |
1813 | v | Jean Georges Braun, tonnelier, et (1812) Anne Marguerite Clerc puis (1817) Elisabeth Senter |
1826 | v | (Jérôme) Henri Schoop, serrurier, et (1814) Marie Madeleine Mayer |
1866 | v | Marie Joséphine Stahl, femme (1851) du cordonnier Charles Steydel puis (1858) du brasseur Jacques Palmer |
1903* | v | Ville de Strasbourg |
1905* | v | Charles (Emile) Hahn, marchand, et Marie Louise Hemmerlé |
1950* | h | Marie Joseph Laurent Agram et sa femme née Hahn et cohéritiers |
Valeur de la maison selon les billets d’estimation : 375 livres en 1689, 700 livres en 1725, 1 000 livres en 1789
(1765, Liste Blondel) IV 395, la veuve Jean Henri Greiff
(Etat du développement des façades des maisons, AMS cote V 61) Reiff Wittib, 11 toises, 1 pied et 10 pouces
(1843, Tableau indicatif du cadastre) N 860, Schopp, Jérôme Henri – maison, sol – 1,2 are
Locations
1818, (salle de café) Frédéric Bœhlé, aubergiste
1825, Pierre Sibill, menuisier, et Madeleine Voltz
Livres des communaux
1587, Livre des communaux (VII 1450) f° 157
Le receveur Thiébaut Petermann doit 8 sols pour sa maison dans la rue traversière Sainte-Barbe, à savoir un encorbellement de 41 pieds de long et 3 pieds ½ de large
Anderseits der Zwerchgaß Wider Sanct Barbaren gaß zu
Diebold Petermann der Schaffner hatt vor seinem Hauß an, wid. gegen Sanct Barbara hienumb oben ein Vsstoß untz das Eckh 41 schu lang und 3 ½ schu herauß, Bessert für das Niessen, viij ß d
Idem f° 157-v
Ledit Thiébaut Petermann a encore devant sa porte une marche en pierre (4 pieds de long, 15 pouces de saillie)
Anderseits der Zwerchgaß Wider Sanct Barbaren gaß zu
Dieboldt Petermann hatt nachmalen vor seinem Hauß vor d. Thüeren ein steinen staffel 4 schu lang und 15 Zoll heraußer, Bessert & j ß d
Préposés au bâtiment (Bauherren)
1709, Préposés au bâtiment (VII 1383)
Les préposés autorisent le menuisier Michel Dænninger à supprimer l’avance de son encorbellement et à agrandir l’encadrement des fenêtres à sa maison rue Sainte-Barbe
(f° 207-v) Sambstags den 29. Junÿ 1709. – Michael Dänninger pt° seines Überhangs
Augenschein eingenommen Vor Michael Dänningers, des Schreiners in der Barbaræ gaßen ligenden Eck behausung an deren Er die gantze außladung an seinem Überhang hinweg schneiden und die fenster: gestell umb etwas Vergrößern will. Erl. Willfahrt.
1747, Préposés au bâtiment (VII 1402)
La veuve du menuisier Henri Greiff demande l’autorisation de poser un tas de planches sous son encorbellement. Les préposés refusent quand l’assesseur des Quinze les informe que la Chambre de police prépare un règlement qui interdit de poser du bois et des planches sur le communal.
(f° 100) Donnerstags den 19. Januarÿ 1747. – Heinrich Greiffen Wittib
Augenschein eingenommen An Heinrich Greiffen des schreiners Wittiben Hauß gegen den Kleinen Capucineren über, welche um erlaubnus gebetten, Zweÿ stöße diehlen der Länge nach under den Überhang an jhr Hauß Zulegen. Herr XV. Kornmann erinnert, daß Ein Löbl. Policeÿ Gericht, wie er gehört, daran arbeite, daß alles Holtz und diehlen Von dem Allmendt Hinweggeschafft werden solle, deßwegen er der meinung, daß der Implorantin noch Zur Zeit mit ihrem begehren Abzuweißen seÿe. Erkannt, Angewießen.
1803, Voirie (283 MW 339)
Le propriétaire Greiff devra ôter un tuyau de poêle
Vu par le maire le 12 frimaire 11, Le Maire considérant que plusieurs Citoyens de cette ville ont dirigé depuis quelques années des tuyaux de poëles à travers des murs, cloisons et fenêtres donnant sur la rues et places publiques sans en avoir obtenu la permission préalable, considérant que ces tuyaux exposent non seulement les maisons a des dangers de feu mais repandent aussi une fumée desagréable dans les rues et tachent les habits des passants par l’eau noire qui en découle,
considérant enfin l’ordonnance de police publiée par l’ancien Magistrat le 1. dec. 1753 qui defent l’établissement de pareils tuyaux n’ayant pas été révoqué par aucune loi ou réglement postérieur dont être maintenu dans toute sa vigueur conformément a la loi du 21. juillet 1791
(…) de donner un délai de 15 jours a tous ceux qui ont établi de pareils tuyaux aux fins de se conformer aux dispositions de lad. ordonnance
– 28 prairial 11, vu aussi la lettre adressée le 30 du mois au commissaires de police de cette ville pour les inviter à surseoir aux poursuites contre ceux qui ne se seront pas conformés aux dispositions de l’ordonnance de police susalléguée et ce jusqu’à ce qu’il aura été prononcé sur les nombreuses réclamations présentées par des personnes qui se trouvent dans le cas d’oter de pareils tuyaux,
Le Maire considérant qu’il est instant de mettre a éxécution l’ordonnance de police concernant les tuyaux de fourneau donnant sur la voie publique ainsi que son arreté y rélatif et de prononcer en même temps sur les différentes réclamations présentes a cet égard afin que les particuliers ayent le temps d’ici a l’hiver prochain de faire ôter leurs tuyaux et d’aviser a d’autres moyens pour faite entrer dans des chemiées et à leur défaut d’en faire construire à cet effet
Arrete que le Citoyen Boudhors Inspecteur des Bâtiments et travaux publics de la ville accompagné du Commissaire de police de l’arrondissement respectif se transportera dans toutes les maisons qui lui seront indiquées par led. Commissaire pour avoir les tuyaux de poëles donnant sur la voie publique, il proposera des moyens les plus convenables pour leur donner une direction dans l’intérieur de la maison soit dans une cheminée déjà existante soit dans une nouvelle a construire (…)
61 rue de la demi lune 5, Greiff rentier, 2. a oter vû le grand passage où ils passent et celui au 2 étage en outre pour éviter des accidens à feu, à moins que le propriétaire ne veuille construire une cheminée pour les y conduire
Description de la maison
- 1725 (billet d’estimation traduit) la maison comprend plusieurs poêles, cuisines, vestibules, l’atelier et une cave sous solives, le tout estimé avec ses appartenances et dépendances à la somme de 1 400 florins
Atlas des alignements (cote 1197 W 37)
2° arrondissement ou Canton Nord – Rue de le demi Lune
nouveau N° / ancien N° : 6 / 5
Braun
Rez de chaussée en maçonnerie et 2 étages mauvais en bois et avance
(Légende)
Cadastre
Cadastre napoléonien, registre 21 f° 246 case 4
Schopp Jacques Henry à Strasbourg, rue des bouchers 19
N 860, maison, sol, R. de la demi-lune 5
Contenance : 1,20
Revenu total : 108,62 (108 et 0,62)
Ouvertures, portes cochères, charretières :
portes et fenêtres ordinaires : 23 / 18
fenêtres du 3° et au-dessus :
Cadastre napoléonien, registre 23 f° 1002 case 1
Schopp Jacques Henri rue des bouchers 39
1868 Palmer Jacques veuve née Stahl
1903 Strassburg die Gemeinde
1905 Hahn Karl Emil Kaufmann Ehefr. Marie Luise geb. Hemmerle
(ancien f° 750)
N 860, maison, sol, Rue de la demi lune 1
Contenance : 1,20
Revenu total : 108,62 (108 et 0,62)
Folio de provenance : (246)
Folio de destination : Gb – (sol) Weg
Année d’entrée :
Année de sortie : 1905
Ouvertures, portes cochères, charretières :
portes et fenêtres ordinaires : 23 / 18
fenêtres du 3° et au-dessus :
N 860, Hof
Contenance : 0,81
Revenu total :
Folio de provenance : 1002
Année d’entrée : 1905
Cadastre allemand, registre 32 p. 389 case 5
Parcelle, section 60, n° 36 – autrefois N 860.p (849.p)
Canton : St. Barbargasse Hs N° 13 – Rue Ste. Barbe
Halbmondgasse N° 1 – Rue de la Demi-Lune
Désignation : Hf, Whs u. N.G. – (1267, 2327)
Contenance : 5,97 – 3,89
Revenu : 3700 – 4100 – 7700
Remarques : B. V. 1907.155
(Propriétaire 1932), compte 2352
Hahn Karl Emil Ehefrau
1943 Hahn Karl, Sohn von Karl Emil 2/8 u. Miteig.
1950 Agram Marie Joseph Laurent son épouse pour 10/18 et cohéritiers
(552)
1789, Etat des habitants (cote 5 R 26)
Canton IV, Rue de la Demi Lune p. 199
5
pr. Greiff, J. Michel, Menuisier – Charpentiers
loc. Hoppé, J. Fred. fils mineur – Charpentiers
loc. Greiff, J. Henri, sculpteur – Echasse
loc. Memminger, veuve, Lunetière – Tanneurs
Annuaire de 1905
Verzeichnis sämtlicher Häuser von Strassburg und ihrer Bewohner, in alphabetischer Reihenfolge der Strassennamen (Répertoire de toutes les maisons de Strasbourg et de leurs habitants, par ordre alphabétique des rues)
Abréviations : 0, 1,2, etc. : rez de chaussée, 1, 2° étage – E, Eigentümer (propriétaire) – H. Hinterhaus (bâtiment arrière)
Halbmondgasse (Seite 56)
(Haus Nr.) 1, unbewohnt
Annuaire de 1914
1 BA 1914 Annuaire d’adresses p. 78 (i 368)
Halbmondgasse 1
Hahn, K, Filmfabrikant, E 2
Billet, A, Wirt Zum Wintergarten u. Casino Bar, 0
Marx A, Privat. 1
Tennenbaum, J. Synagog.-Diener 3
Gesell, J. Schriftsetzer. 4
Annuaire de 1924
1 BA 1924 Annuaire d’adresses p. 131 (i 71)
1, rue de la Demi-Lune
Hahn, Ch. directeur
Hahn et Cie, films et appar. de cinémas
Bertsch Fréd. c.-m
Bœhn, Jos, employé tramway
Restaurant des Trois Roses
Herschel Paul, restaur.
Tennenbaum Joseph, employé
Dossier de la Police du Bâtiment (cote 684 W 157)
Rue de la Demi-Lune 1 (1866-1985)
Voir aussi le dossier classé au 13, rue Sainte-Barbe (construction de la maison d’angle)
Le propriétaire Palmer fait abaisser l’appui de fenêtre à droite de la porte d’entrée par l’entrepreneur en bâtiment Mathieu Jéhu en 1866. L’agent voyer note que le rez-de-chaussée en maçonnerie est aligné vers la rue de la Demi-Lune mais que les étages sont en encorbellement. La façade rue Sainte-Barbe est en avant de l’alignement, le rez-de-chaussée est en maçonnerie et les étages en encorbellement.
Enseigne du relieur Charles Willer (1893)
(Nouveau bâtiment) Enseignes de la sage-femme Martzloff (1908), du Cinéma rural d’Alsace et de Lorraine (1929). Certaines fenêtres sont condamnées (1858) depuis que le pignon de la maison voisine (13, rue Sainte-Barbe) qui appartient au même propriétaire a été construit.
Le restaurant aux Trois Roses (enseignes en 1929 et en 1958) est endommagé par le bombardement aérien du 25 septembre 1944. L’enseigne Le Paris devient Le Petit Lutèce en 1967.
Sommaire
- 1866 – L’entrepreneur en bâtiment Mathieu Jéhu demande au nom du sieur Palmer l’autorisation d’abaisser l’appui de fenêtre à droite de la porte d’entrée et de ravaler les façade au 1, rue de la Demi-Lune.
Rapport de l’agent voyer. Le rez-de-chaussée en maçonnerie vers la rue de la Demi-Lune est aligné mais les étages sont en encorbellement. La façade rue Sainte-Barbe est en avant de l’alignement, le rez-de-chaussée est en maçonnerie et les étages en encorbellement. La largeur de la voie publique est fixée à six mètres.
L’ingénieur municipal fixe les modalités de son accord. - 1886 – Le maire notifie Joséphine Stahl veuve Palmer de faire ravaler les façades. Elle répond qu’elle doit faire des réparations intérieures, qu’elle n’a pas les moyens de réparer et de badigeonner le crépi. Le maire accorde un an de délai.
En marge, mention que la repasseuse Joséphine Stahl habite elle-même la maison d’une valeur de 16.000 marks dont elle doit encore 4800. Son revenu hebdomadaire est de 12 à 14 marks. - 1890 – Un agent constate que la fosse d’aisances n’est pas voûtée mais recouverte de bois. Le maire notifie le propriétaire de se conformer au règlement du 4 novembre 1857. Il accorde un an de délai. L’entrepreneur Nuss 44, route de Cronenbourg, (ensuite Faubourg de Saverne) fait les travaux, terminés en juin 1891.
- 1893 – L’agent municipal constate que le relieur Charles Willer a posé une enseigne perpendiculaire sans autorisation. Courrier du maire. Charles Willer fait une demande accompagnée d’un croquis en marge. Autorisation. L’enseigne est modifiée, elle est fixée sous l’encorbellement et en dépasse de 25 centimètres.
- 1896 – L’agent municipal constate que le propriétaire fait ravaler la façade sans autorisation. Le maire envoie un courrier au principal locataire Kappler.
L’entrepreneur Widmann (1, rue Saint-Louis) demande l’autorisation de ravaler la façade de la maison qui appartient à la veuve Palmer. – Autorisation – Travaux terminés, octobre 1896. - 1895 – Le maire notifie le sieur Willer de se conformer au règlement du 30 novembre 1891 en supprimant les six volets qui s’ouvrent à moins de 2,20 mètres de la voie publique. – Travaux terminés, décembre 1896.
- 1895 – Le maire notifie Adolphe Kappler de faire ravaler les façades. La veuve Palmer, propriétaire, demande deux ans de délai. L’agent note en marge que les façades sont très sales. Le maire accorde un an de délai.
Le crépi est en cours de réparation, septembre 1896. Il n’est pas encore peint, décembre 1896. Le maire envoie un courrier de rappel en avril 1897. Les frères Levy (140, Grand rue) ont terminé les travaux, août 1897 - 1908 – L’agent municipal constate que la sage-femme Martzloff a fixé sans autorisation une enseigne perpendiculaire – Demande de fixer l’enseigne au balcon – Autorisation – L’enseigne est fixée, août
- 1916 (juillet) – La caisse municipale envoie à Charles Hahn (à Bernkastel-Cues) une facture des droits de voirie (0,80 mark)
Lettre de l’office du logement de Munich. Hahn habite chez Seideln au 42, Landwehrgasse. – Lettre de l’office du logement de Nuremberg, Charles Hahn n’a pas laissé d’adresse – La caisse municipale envoie à Charles Hahn, domicilié à Munich, une facture pour deux ans de droits de voirie (deux fois 0,80 mark et 0,20 de frais) - Commission contre les logements insalubres – Propriétaire, Hahn, demeurant sur place
1911. Les lieux d’aisances sont hors d’usage
Commission des logements militaires – Les fissures dans la cage d’escalier sont dues à la démolition du bâtiment voisin – Les travaux sont reportés jusqu’à ce que la maison voisine soit reconstruite, juin 1919. - 1929 – L’architecte C. Czarnowsky (4, quai du Maire Dietrich) envoie au nom du propriétaire Charles Hahn un projet d’enseigne lumineuse – Autorisation de poser deux enseignes lumineuses – Dessin (Restaurant Trois Roses, Bière Météor pour Mme Hahn)
- 1928 – Suivi des travaux – La société Maulbecker a commencé les travaux, novembre 1928. Travaux en cours, décembre 1928, mars 1929 – Travaux terminés, mai 1929.
- 1929 (juin) – Le maire constate que le Cinéma rural d’Alsace et de Lorraine a posé une enseigne sans autorisation – Demande signée par Ch. Hahn – Autorisation
- 1946 – Certificat de sinistré accordé à Madeleine Hahn suite au bombardement aérien du 25 septembre 1944. Les locaux du restaurant ont été fortement endommagés.
- 1951 – Pierre Philippe Nibel (cabinet juridique et police privée) se plaint que l’écoulement des eaux usées soit bouché – Les réparations ont eu lieu entre temps
1954 – Le même avertit le gérant Georges Schæffer (35, rue du Maréchal Foch) qu’une partie de la corniche menace de tomber - 1954 – Mme Marie-Louise Agram née Hahn autorise l’architecte Haudenschild à consulter le dossier
1958 – Mme M. L. Agram née Hahn est autorisée à poser un échafaudage sur la voie publique. Les travaux au titre des dommages de guerre sont exempts de taxe. - 1958 – La Police du Bâtiment constate qu’une enseigne lumineuse a été posée sans autorisation – Demande par Joseph Schott (restaurant aux Trois Roses), dessin (Trois Roses, Bières Météor, Bière d’Alsace) – Autorisation, janvier 1959
- 1958 – Le locataire Mottet demande une visite de son logement. La Police du Bâtiment constate que des fenêtres ont été condamnées depuis que le pignon de la maison voisine (13, rue Sainte-Barbe) qui appartient au même propriétaire a été construit. La cheminée qui faisait l’objet de la plainte a été réparée entre temps.
Le maire demande à Marie-Louise Agram (demeurant 2, rue Sédillot) de faire ouvrir de nouvelles fenêtres vers la cour. Rappel, mars 1960. Les travaux sont reportés à cause du partage successoral.
1961 – Litige entre héritiers concernant la réfection des cheminées – Le ramoneur Albert Dorn et fils (20, rue du Général Rapp) conseille de chemiser les cheminées.
Les travaux (cheminées, fenêtres) ne sont toujours pas exécutés. - 1967 – La Police du Bâtiment constate que le restaurant Le Paris a fait poser sans autorisation une enseigne lumineuse – Demande par Robert Martin – Autorisation
1967 – Nouvelle demande, enseigne Le Petit Lutèce – Autorisation – Dessin - 1976 – Le droit d’enseigne dû par Gaston Schlaflang (19, rue du Ballon au Neudorf) est irrecouvrable
- 1979 – Propriétaire de l’immeuble à la limite du secteur sauvegardé, Mme Violette Andres demande à bénéficier des subventions de ravalement. Le maire rappelle que les subventions votées sont réservées au secteur sauvegardé. Le conseiller général Daniel Hœffel intercède en faveur du propriétaire. Le maire réitère la réponse précédente.
Relevé d’actes
La maison est inscrite au Livre des communaux (1587) au nom du receveur Thiébaut Petermann
Thiébaut Petermann épouse en 1554 Rebecca, fille du receveur Georges Nübelspach
Mariage, Sainte-Aurélie (luth. p. 15)
1554. Junÿ 22. Diepold petterman von nuwweiler, Rebecca Georg Nÿbelspachs tochter, schaffner in der herberg. Hochzeit gehabt am 30. Julÿ Anno 1554. (i 8)
Thiébaut Petermann devient bourgeois par sa femme en novembre 1554.
1554, 2° Livre de bourgeoisie (4 R 104) p. 101
Dieboltt petterman hatt das burgkrecht empfangen von Rebecca nibelspachin weÿlandt Jorg nibelspachs selligen verlaßen tochter seiner ehfrawen vnnd dientt zu den schneidern eod. die [xxvij. Novembris 1554]
Thiébaut Petermann se remarie vers 1568 avec Anne (Zoller)
Baptême, cathédrale (luth. f° 64-v) 1558. Den 9. Januarÿ. P. Dieboldt Peterman, Rebecca – I. Georgius (i 76)
Baptême, cathédrale (luth. f° 106-v) 1559. Sontag den Letzt. Aprilis. P. Dieboldt Peterman Schaffner, Rebeca – I. Agnes (i 119)
Baptême, cathédrale (luth. f° 152) 1561. Sontag den 30 Martÿ. P. Dieboldt Peterman schaffner Zun Barfussern, Rebeca – I. Othilia (i 165), etc.
Baptême, cathédrale (luth. f° 207-v) 1565. Sontag den 23 Hornung. P. Diebolt Peterman Schaffner im bruderhof, Rebeca – I. (-) (i 221)
Baptême, cathédrale (luth. f° 270-v) 1569. Donnerstag den – Martÿ. P. Dieboldt Peterman Schaffner, Anna – I. Susanna (i 284)
Les tuteurs des deux filles issues de Thiébaut Petermann et d’Anne Zeller déposent un capital à la Tour aux deniers
1595, Préposés au bâtiment (VII 1310)
(f° 74) Sambstags den 17. Maÿ – Wir Vogtey gelt, folio 241
H Veltin Volmar vnd Ulrich Diethrich als vogt Salome vnd Juliana Diebold Peterman des schaffners tochter mit Anna Zollerin selig. tochter gelüffert 110 f
Inen darumb Zukauff. geben 5 h 10 ß vff Urbani Jährlich fallenden. Zugeschriben
Filles de Thiébaut Petermann, Agnès épouse en 1576 Jean Henri Durne et Odile en 1580 Daniel Lieb, maître d’école à Lichtenau en Bade
Mariage, cathédrale (luth. p. 261) 1576. Suntag 22. Jenner. Hanß Heinrich Durne, Hanß Dietrich Durner deß schneid.* Son, Agnes, Diebolt Peterman, Schaffners dochter. Einngesegnet den 5.- Febr. (i 133)
Mariage, cathédrale (luth. p. 40) 1580. Dnica III. Aduentis. 11. Decembris. Daniel Lieb Schulmeister Zu Liechtenaw, vnd Otilia Theobald Petermanß des Schaffners tochter Eingesegnet Montags 19. Decembris (i 23)
Les Quinze notifient en avril 1592 Thiébaut Petermann de remettre au bureau de la Taille son inventaire et celui de son gendre sous peine d’amende. Thiébaut Petermann obtient en mai un nouveau délai d’un mois.
1592, Protocole des Quinze (2 R 21)
(f° 63) Sambstag den XXIX Aprilis – Thiebold Peterman
Zum andern das sÿ [die dreÿ des Stalls] Thiebold Peterman vngehorsam geschriben gebe, alß der vff alle gebott nichts gibt ist Erkandt, dieweil mans ernstlich angefang. aber hernach milter gefahren, So sollen B. Mr. vnbeschwert seÿn Ihne Zubeschicken vnnd Inn namen meiner herren Ime beÿ der vngehorsame Zugepietten Innerhalb 14 tag. sein vnd seines tochtermans Inventarÿ vff den Stall Zulüffern, mitt betrawung der straff. Solche soll man den dreÿen auch anzeig. damitt so er fehlt, sollen sÿs die XV.ner berichten, die sollens wider für mein H. pring. B. Mr.
(f° 71-v) Sambstag den XXVII Maÿ – Theobald Peterman
Diebold Peterman bringt Inn vnderthenigkeitt per Ulrich Dietrrichen für, es seÿ. Ime Zeitt eines Monats Zu Verfertigung Zweÿer Inventarien angestellt, hab man sich Inmittelst bearbeittet, die Zeit wöll sich aber Inn acht tagen verfließen, Wann Ime aber auch den Notario vnmöglich Inn der Zeitt die Inventaria Zufertigen, er auch noch allerhand Rechnung zusammen Zubringen, So bitt er auß dißem vnnd andern ursachen Ime die Zeitt noch vff ein Monat Zuprolongiren, Wöll er die Inventaria verfertig. sich vff den Stall verfüeg. vnd was er schuldig richtig machen, hoff auff dißem erheblichen Ursachen gnedige willfahrung Erkandt, Ime den begerten Monat bewillig. Inn der Zeitt soll er die Inventaria Verfertig. vnd vff den Stall lüffern. J. Böcklin vnd H Kniebß quasi ego.
Autres mentions de Thiébaut Petermann dans les registres (Quinze, Conseillers et les Vingt-et-Un)
1591 Conseillers et XXI (1 R 68) – Thiebold Peterman, Ulrich Thiedrich contra Martin Hartman. 14. Thiebold Peterman vmb fernere dilation. 197. wegen Thumbsprobsteÿ Rechnung. 217. 264. Thumb Capitul und Bruderhoff contra Thiebold Peterman. 229. Catharina Sultzbchin contra Diebold Peterman (Zabern schreiben) 371. Theobald Peterman contra Thumbprobst von Thengen. 508.
1592 Conseillers et XXI (1 R 70) – Wendling Volmar zu Scherlenheim (im Recht einer Dinckhoff Rodul) contra Thiebold Petermann. 41.
1597 Conseillers et XXI (1 R 76) – Jacob Bock von Erstein contra Diebold Peterman (um Rechnung)
1598 Conseillers et XXI (1 R 77) – Thoman Girbader (Thoman Braun Girbader) contra Diebold Petermans Erben (Rosheim schreiben, pt° mühl zu S Nabor). 55. 65. 224. 345. 355.
1599 Conseillers et XXI (1 R 78) – Thomas Girbader von Roßheim contra Diebold Petermans Erben. 85. (Georg Knorer als Curator Diebold Petermans verlaßenschafft)
La maison appartient d’après les tenants et aboutissants au prévôt Wolleben de Dangolsheim, (1602, 1614), à Jean Wolleben prévôt de Dangolsheim et ses cohéritiers (1614) ou aux héritiers de Thiébaut Petermann (1612)
Baptême, Dangolsheim. 1597. Margaretha, I Dominica Judica
P. Hanß Wolleben uxor Barbara
Rudolph Spiegel wurth zue Straßburg, Hanß Bartholomeus, Agnes chars Lorentz. haußfraw (i 4)
1598. Margaretha, 17. 7.bris – P. Hanß Wolleben uxor Barbara
Bartell Cleÿrsch, Hanß Bartholomei uxor Ottilia (i 5)
1602. Barbara, 24. Januarÿ – P. Hanß Wolleben uxor Barbara
Hanß Barthelme, Maria Barthel Clarschen uxor, Christina Hanß Georg. Turing.s uxor (i 11)
1603. Catharina, 2. Martÿ – P. Hanß Wolleben uxor Barbara
Hanß Barthomeus, Maria Barthel Klarsch. uxor, Christina Hanß Jacob. Turing.s uxor (i 12)
1605. Anna, 7. Febr – P. Hanß Wolleben der Beck uxor Barbara
Bartell Klarß, Anna Hanse des hürsters uxor zu haselach (i 15)
1606. Anna Maria, 5. Febr – P. Hanß Wolleb, Schultheiß, Anna uxor eius
Barthomomeus Clarsch, Christina uxor Hanß Jacob. Tiring.s (i 17)
1607. den 24. Martÿ Hab ich M. Sebastianus Vischorus Pfarrherr alhier dem Ehrbaren vnd fürgeachten Hn Johann Wolleben vnd seiner hausfrauwen Fr. Anna ein Junges Töchterlin getauft mit Namen Anna Maria. Matrina ist gewesen f. Christina, H, Hansen Georgi Thüringern Gerichts schreibern alhier eheliche hausfaw, Patrinus H Barthel Klarß, Burgermeister alhier (i 17)
1607. Ursula, 27 Maÿ – P. Johannes Wolleben p.tor uxor Anna
Joê Maÿ parocus et Maria Bartholomei Klarß uxor (i 18)
Georges Wolleben est prévôt en 1603, Jean Wolleben en 1605.
Parrains, Dangolsheim. (i 2) 1595 die 9. Aprilis. Georgius Wolleben alhie. Schultheis
(i 12) 2 febr. 1603. Georg Wolleben d schultheiß
(i 16) 1605. 13. 9.br. Hanß Wolleb. Schultheiß
Le prévôt de Dangolsheim Jean Wolleben déclare que son père a prêté au nom de sa mère Odile de l’argent seize ans auparavant
1607 Conseillers et XXI (1 R 86)
Hans Wolleben Schultheiß zu Danckoltzheim contra Hans Jacob Bettman. 348. 354.
(f° 348) XXIV. Decemb. – Landvogtey hagenaw sch.ben Hanß Wolleber Schultheißen zu Danckoltzheim vnd hette er wegen seiner Mutter Otilia angezeugt wie sein vatter vor 16 Jaren von Conrad Pfender alß befehlhaber Nicodemi von Geispoltzheim, welchen gewalt auch Urban Rosenberg. gesch[rib]en. etliche Zinß brieff aberkaufft (…)
Autres mentions de Jean Wolleben dans les registres (Quinze, Conseillers et les Vingt-et-Un)
1599 Conseillers et XXI (1 R 78) Hans Wolleben zu Danckolsheim contra Friderich Rihel. 141. 386.
1608 Conseillers et XXI (1 R 87) Hans Wolleber contra Hans Jacob Bettman. 75. Idem contra D. Sebastian Rauchen. 75. 140. 146.
1609 Conseillers et XXI (1 R 88) Hans Wolleber Schultheiß Zu Danckeltzheim contra D Sebastian Rauchen. 87. und Gregorium Kolben. 127.
1610 Conseillers et XXI (1 R 89) Hans Wolleber Schultheiss zu Danckoltzheim contra Aristarchi Mornhinwegs Erben. 6.
1618 Conseillers et XXI (1 R 100) Johann Wolleber zu Danckoltzheim Schultheissen und Lienhardt Stempffer contra Simon Ottman. 337.
La maison appartient en 1636 à Blaise Schuhmacher (voir ci-dessous). Deux Schuhmacher vivent à la même époque à Dangolsheim, l’un marié avec Odile, fille du prévôt, l’autre avec Dorothée
Baptême, Dangolsheim. 1600. Georg, 17. 7.br – P. Blasius Schomacher des Schultheißen Tochtermann uxor Odilia
Hanß Clarß, Simon Heintz, Christina Hanß Georg Thurings uxor (i 9)
1602. Maria, ult. Junÿ – P. Blasius Schomacher uxor Odilia
Simon Heintz, Christina Hanß Georg Thurings uxor, Catharina Hanß Clarsch. uxor (i 12)
1605. Blasius, 24. Martÿ – P. Blasius Schomacher der Jungster, Dorothea
Hanß Georg Turing. Catharina von Biett. (i 15)
Baptême, Dangolsheim. 1600. Blasius, 8 8.bris – P. Blasius Schomacher Junger, Dorothea
Hanß Kueffer, Georg Schultheissen filius von Berghietten, Christina, Hanß Georg.s uxor (i 9)
1605. Johes., 17 Martÿ – P. Blasius Schochmacher der Junger, Dorothea
Hanß Klarsche, Christina Thuringerin (i 15)
1611. Barbara, 23. Octobris – P. Blasius Schomacher der Jung. Margaretha
Georgius Sturinger Villicus R. D. Abbatis in Danckratzheim, Anna Onuphri Lamben uxor (i 21)
1613. Blasius †, 5. Februarÿ – P. Blasius Schuomacher der Jung. Margaretha uxor
Georgius Sturinger Villicus R. D. Abbatis in Danckratzheim, Anna Onuphrius Lamb Civis in Danckoltzheim, Kunigundis vxoe Georgÿ Seuringers (i 26)
1616. Maria, 5. Julÿ – P. Bläß Schumacher d. Jünger, Margred
Onophrius Lampb et Agata uxor ni Jois Danckÿ* p.thoscribæ. (i 32)
1618. Johannes, 30. Januarÿ – P. Bläß Schumacher d. Jüngere uxor eius Margaredra
Georgs Simon Civis in Bergbietten et Anna uxoe Onuphri Lampen (i 34)
Blaise Schuhmacher de Dangolsheim achète le droit de bourgeoisie en 1623 en s’inscrivant à la tribu des Jardiniers aux Charrons
1623, 3° Livre de bourgeoisie (4 R 105) p. 817
Blasius Schumach. Von Danckoltzheim khaufft d. Burg.recht vmb 20 goldguld. Ist bey deb Gartnern vnd. Wagnern Zünfftig sein den 8 Maÿ A° 1623
Blaise Schuhmacher hypothèque la maison au profit de Georges Wolleben, bailli de Westhoffen auquel elle est déjà engagée pour 400 livres
1636 (5. Februarÿ), Chambre des Contrats, vol. 474 f° 106
Erschienen Bleß Schuhmacher, burg. Zu St: mit beÿstand herrn Lienhard Metzgers und hanß Rüehlen beeder alß vß E. E. groß. Rhats mitel hierzu insond.heit deputirt und verordnet
hatt in gegensein herrn Georg Wohllebens Amptschaffners Zu Westhofen bekannt – schuldig seÿ LXXXV. lb
dafür in spê. Und.pfand verlegt und eingesetzt hauß und hoffstat, mit allen andern ihren gebäwen & alhie in S. Barbaræ gaßen neben H. D. Niclaus Acker & ist ein Eck, hinden vff Friderich Rüelen den Papÿrer stoßend gelegen, so zuuor verhafftet umb 400. lb gld. Str. w. dem H Glaubiger selbsten
La maison appartient ensuite à Ulric Wolleben, fils de Georges Wolleben (voir la vente ci-dessous).
Fils de Jean Wolleben prévôt de Dangolsheim, Georges Wolleben épouse en 1614 Barbe Vendenheim, auparavant (1600) femme de Laurent Ganser.
Mariage, Westhoffen (luth.)
Anno 1614. Jörg Wolleben, Hanß Wollebens Schultheissen Zu Danckoltzheim Sohn mit Barbara, Lorentz Gansers, weiland gewesenen Burgers alhier hindelassenen witwen, den 31. Januarÿ eingesegnet word. (i 134)
Mariage, Westhoffen (luth.)
1600. Lorentz Ganser, Lorentz Gansers Weiland Burgers Zu Wangen verlassener Sohn, mit Barbara Ulrich Vendenheim weiland burgers alhier verlassener tochter den 8. Sept. eingesegnet worden.
Fils du bailli de Westhoffen, Ulric Wolleben épouse en 1642 Marthe, fille du marchand Robert Kœnigsmann
Mariage, cathédrale (luth. p. 456)
1642. Domin: Cantate. Herr Ulrich Wolleben, H. Georg Wolleben geweßenen Ampt vnd Kirchenschaffners Zu Westhoffen nachgelaßener ehelicher Sohn, Jungfrauw Martha H. Robert Königsmanns geweßenen Handelßmanns vnd Burgers allhier nachgelaßene eheliche tochter. Im Münster Mont. den 16. Maÿ (i 233)
Ulric Wolleben devient bourgeois par sa femme trois semaines après son mariage
1642, 4° Livre de bourgeoisie p. 207
Hr Ulrich Wolleben von Westhoffen empfahet d. Burgerrecht vmb 8. gld. gulden, die Er bereits beÿ der Cantzleÿ erlegt Von seiner Frauwenn Martha weÿl. Ropert Königsmanns dochter, ist lediger stand gewesen, Würd Zur Steltzen dienen Jur. den 7 Junÿ 642.
Ulric Wolleben cède la maison par échange à son beau-frère Gautier Kœnigsmann qui habite Ostwald
1642 (12. Novembris), Chambre des Contrats, vol. 489 f° 791-v
Erschienen Herr Ulrich Wohlleben Burger Zu Straßburg, an einem,
So dann Walter Königßmann Wonhaft Zu Illwickerßheim sein H Wollebers Schwager, mit beÿstand H Johann Carol Heßlers burgers Zu Str. seines Schwag. am andern theil, Zeigten an und bekannten, daß Sie einen Tausch mit einander getroffen
Erstlichen hatt Er herr Wohlleben, ermeldtem Walter Königßmann Tauschweiß vbergeben vnd abgetretten hauß, hoffstatt, höfflein Und Stallung, mit allen deren gebäwen undt Zugehördten, alhie beÿ Sanct Barbaræ, ist einseit ein Eck gegen S. Barbara hinüber, and.seit neben H. Nicolao Aggern, medicinæ Doctori hinden vff H Friderich Rühlen den Papÿrer stoßend gelegen, dauon gehen Jährlich Sechß schilling 8 d vff Weÿhenachten dem Stifft Sanct Marx alhie, es seÿe Bodenzinß, fürbietig, Ehrschätzig oder welcher gestalt es die darüber sagende brieff außweißen, also hatt Er H. Königßmann solchen zinß Jedoch mehrers od. weiters nicht alß solche gesetzte 6. ß 8 d Vbernohmen
Hiengegen hatt Er H Walter Königßmann für sich ihme H Wohlleben Vertauscht Vndt Vbergeben Einen Fünfftentheil, ihme für Unvertheilt gebührend ahne Einer Gewerbß Behaußung sambt deren Gaden, Undt allen anderen ihren gebäwen & gelegen in der Statt Str. Vorm Münster einseit neben herrn Martin Andreß König dißer Statt XXI.er and.seit ebenmäßig neben erstgemeldtem herrn König, hind. auch vff denselb. H. König stoßend, für freÿ ledig eigen Außerhalb daß sein H. Königßmanns Muter Fr. Martha Brauin, solchen antheil wie auch die Vbrige Antheiler dißer Behauß. ad dies vitæ Zuegnüßen hatt,
Ferners 360. fl. Capital, ahne 900. fl. mehrern Summen stehen vff hannß Georg Wetzels deß handelßmanns Behaußung alhie in der Krämer gaßen, einseit neb. Thoman Renter dem handelßmann, and.seit neben Samuel Emerichs see: Wittib und Erben gelegen, Vnd Werden Jährlich auff Michaelis mit 5. p. C° Verzinßt
Gautier Kœnigsmann vend le même jour la maison à Henri Clausmar (Clausmann) de Marlenheim
1642 (12. 9.bris), Chambre des Contrats, vol. 489 f° 792-v
(Prot. fol. 264 & seq.) Erschienen Herr Walter Königßmann Wonhaft Zu Illwickerßheim (…) zu kauffen gegeben
Heinrich Claußmar, burgern Zu Marlenheim, der auch zugegen, mit beÿstand Mathiß Junghanßen daselbsten
hauß, hoffstatt, höfflin, Vndt Stallung mit allen ihren gebäwen, & alhie beÿ Sanct Barbaræ, ist einseit ein Eck gegen S. Barbaræ hinüber, and.seit neben H. Nicolao Aggern, hinden vff H Friderich Rühlen den Papÿrer stoßend gelegen, dauon gehen Jährlich Sechß schilling Acht pfenning Vff Weÿhenachten dem Stifft S. Marx alhie, es seÿe Ewig, Ehrßätzig, fürbietig, Bodenzinß, oder welcher gestalt es die darüber sagende Brieff außweißen, also hatt solchen Zinß der Käuffer vff sich genohmen, Jedoch weiters nicht alß solche gesetzte 6. ß 8 d, geschehen und Zugang. umb 350. lb
Gaspard Lempfrid vend au nom de sa femme Madeleine Clausmann un sixième de la maison au menuisier Michel Reitzer. Un premier acte est remplacé par un autre plus complet dressé deux jours plus tard
1656 (24. Junÿ), Chambre des Contrats, vol. 518 f° 345-v
(vide infra sub dato 26. Junÿ a° 1656)
Erschienen Caspar Lembfrid Burger und Gerber Zu Elsaß Zabern, alß Magdalenæ Claußmännin seines Eheweibß vermög eines sub dato Zabern den 3. Junÿ St. N. iüngsthin mit H Henrich Krusenmeÿers Notarÿ publici und Stattschreibers zu mehrbesagtem Zabern eigenhändig Vnderschrifft und fürgetruckhtem Pitschafft ausgefertigten (…) Gewaltscheins, hierzu gevollmächtigter Ehevogt
hatt in gegensein Michael Raÿtzen deß Schreiners Burgers Zu Straßburg
einen sechßten theil, Ihro Magdalenæ für ohnvertheilt gebührendt ahne hauß, hoffstatt, höfflin, und allen deren Gebäwen, alhie geg. St. Barbaræ Kirchen hienüber, einseit neben H Dr. Nicolao Aggen, anderseit neben (-) hind. vff (-) stoßend gelegen – umb 40 lib
1656 (26. Junÿ), Chambre des Contrats, vol. 518 f° 350-v
(Protocoll. fol. 68) Erschienen Caspar Lembfrid Burger und Gerber Zu Elsaß Zabern, alß Magdalenæ Claußmännin seines Eheweibß, vermög eines sub dato Zabern den 3. Junÿ St. N. iüngsthin mit H Henrich Krusenmeÿers Notarÿ publici und Stattschreibers Zu mehrbesagtem Zabern eigenhändig Vnderschrifft und fürgetruckhtem Pitschafft ausgefertigten (…) Gewaltscheins, hierzu gevollmächtigter Ehevogt, mit beÿstand Clauß Urschen von dalenheim, seines Schwagers
hatt in gegensein Michael Raÿtzels deß Schreiners Burgers Zu Straßburg, mit beÿstand Georg Bruders deß Schreiners und burgers alhie
einen sechßten theil, Ihro Magdalenæ für ohnvertheilt gebührend, ahne hauß, hoffstatt, höfflin, und allen deren Gebäwen, alhie geg. St. Barbaræ Kirch. hienüber, einseit ein Eckh, anderseit neben H. Nicolao Agerio Med. Doct. hind. vff (-) Rhielen stoßend gelegen, von welcher gantz. Behaußung gehend iahrs 6 ß 8 d dem groß. gemeinen Allmosen Zu St Marx – umb 40 lib
Fils de Hartmann Reitzer de Meistratzheim, Michel Reitzer épouse en 1652 Marie, fille du tailleur Philippe Herber : contrat de mariage, célébration
1651 (15. 9.br), Chambre des Contrats, vol. 511 f° 849
(Prot. fol. 168 – Eheberedung) Erschienen Michael Raÿtzel der Schreiner von Maÿstratzheim so sich alhie burgerlich niderzulaß. gewillt ist alß hochzeiter mit beÿstand Georg Benders seines lehrmaÿsters und Daniel Schämels seines bißherig. Maÿsters beed. Schreiner und Burger alhie an einem,
So dann Jungfr. Maria weÿl. Philipß Herbers deß Schneiders und Burgers Zu Straßburg seel. nachgelaßene eheliche dochter alß hochzeiterin mit beÿstand Paul Schwartzen deß Schreiners ihres Vogts und hannß Georg Sonticus deß Altgewänders ihres Mütterlich. Bruders, beed. Burger alhie am andern theil
Mariage, cathédrale (luth. p. 541, n° V)
1652. Eodem [Dom. I. Epiphan. d. 11. Jan.)] Michael Reÿtzell der schreiner vonn Meistertzheim beÿ oberehenheim weilandt Hartmann Reitzels des baursmanns daselbsten hinterlaßener Ehelicher Sohn, Vnndt J. Maria weilandt Philipp Herbers des burgers vnd Schneiders alhier hinderlaßene Eheliche dochter (i 289)
Michel Reitzer devient bourgeois par sa femme trois semaines après son mariage
1652, 4° Livre de bourgeoisie p. 281
Michel Reitzel, von Meistertzh. der Schreiner, empf. d. burgerrecht, von seiner haußfr. Maria, Weÿl. Philipp Hubers deß Schneiders seel. alhie dochter vmb 8 gold fl. ist ledigen stands gewesen Würd Zu den Zimmerleuthen dienen, Jur. den 31. Jan: 1652.
Michel Reitzer hypothèque la maison au profit du docteur en droit Marc Ott pour en régler le prix qu’il doit à Odile, fille de Nicolas Fesch le jeune de Dahlenheim et à Brigitte, veuve de Henri Clausmar de Marlenheim
1657 (22. Aprilis), Chambre des Contrats, vol. 522 f° 188-v
Erschienen Michael Raÿtzel der Schreiner
in gegensein deß Edel- Vest- und hochgelehrten H Marx Otten, U.I.D. Undt dißer Statt Consiliarÿ et Advocati – schuldig seÿe 175 Pfund, Ihme du dem Ende gelühenen Gelts, daß Er damit, den Kauffschillings rest so besagter Raÿtzel, Otilia, Clauß Veschen deß jüngern Von dalenheim Eheweib, Vnd Brigita weÿl. Henrich Claußmars Von Marlenheim hinderbliebene Wittib,
Vff einer alhie gegen St: Barbaræ Kirchen hien über, einseit ein Eckh anderseit neben H. Nicolao Aggerio Med. Doct. gelegener Behaußung Vermög der in der Cancelleÿ Contractstuben am 17. Septembr. 1656. vffgerichteter Verschreibung noch schuldig Verblieben abstatten
Marie Herber meurt en 1661 en délaissant quatre fils. La masse propre aux héritiers s’élève à 172 livres. L’actif de la communauté et du veuf s’élève à 240 livres, le passif à 173 livres. L’inventaire est dressé dans la maison dont les deux titres sont datés des 26 juin et 27 septembre 1656.
1661 (12.8.), Not. Oesinger (David, 37 Not 16) n° 22
Inventarium vndt beschreibung Aller vndt Jeder Haab, Nahr. v. Güetere, So weÿl. die Ehren: v. tugendsame Fr. Maria Herberin deß Ehrnhafften Michel Reitzels burgers v. Schreiners Alhier Zu Straßb. verstorbene haußf. Seel. nach dem dieselbe den 18.ten Aprilis dießen Schwebend. 1661.t Jahrs Gottes vätterlichem willen nach diße welt gesegnet, hinder Ihro Verlaß. welche auff beschehen fleißig v. freundliches Ansuch., erfordern v. begehren, deß auch Ehrenhafften Pauli Schwartz. auch burg.s vndt Schreiners Alhie Alß Geschwornen Vogts Hannß Philipps, Hannß Michels, Andreas, v Hannß Peter, Alle Vier Geschwistrige v. obgedachter Abgeleibten Fr. Seel. mit obgementem Ihrem hinterbliebenen Wittwer Ehelich erzeugter Kinder v. rechtmäsiger ab intestato Erben, fleißig Ersucht (…) Si bescheh. den 12.ten Augusti Ao 1661.
In Einer In der Statt Straßb. nahe beÿ St. Barbara gelegenen v. In diese Verlaßenschafft gehörig. behausung wie hernach beschrieben würd Ist befund. Word. wie volgt
Auff d. bien, In der Cammern A, In der Cammern B, Auff dem hindersten bienel, Vor dießer Cammern, In der wohn Stuben, In der Stub Cammern, Im Obern Hauß Öhren, In der Kuchen, Im Keller
Waaren vndt werckzeug Zum Schreiner handtwerckh gehörig
Eigenthumb an Einer behaußung. Item Ein hauß hoffstatt, höfflin sambt allen deren gebäwen begriffen, rechten, Zugehördten v. Gerechtigkeit. in der St. St. geg. St. Barbaræ Kirch. hienüber, Einseith i Eckh, 2. seit neben dem Edlen v hochgelehrt. H Nicolao Agerio Med. Doct. hind. vff Frid. Rielen stoßend gelegen, davon Gehen Jährlich in hauptgut 8 lb. 15. ß d. abzulöß. in hauptgut mit 175 lb d dem Wol Edlen vnd hochgelehrt. H. Marx Otto Juris Consulto, Item 6 ß 8 d d. Stifft St. Marx sonst ledig v eig. v Ist diese behaußung über Jetz gehörte beschwerden gewürdiget word. pro 100. Darüber besagen 2. Perg. Kauffbrieff mit der St. St. Alhieig. Cancelleÿ Contract Insigel v.wahrt des einen datum d. 26.t Junÿ deß andern datum den 27. 7.bris A° 1656. beede Signirt mit N° 1
Abzug Inventarÿ, Sa. haußraths 18, Sa. Silbergeschmeids 1, Sa. Guldenen Ring 2, Sa. Pfenningzinß hauptgut 150, Sa. der Erben unveränderten guths 172 lb
Sa. theilbaren haußraths 105, Sa. Waaren und Werckzeugs 22, Sa. Silbers 6, Sa. Guldenen Ring 6, Sa. Eigenthumbs ane einer behaußung 100, Summa summarum 240 lb – Schulden 56, Rest 173 lb
Conclusio finalis Inventarÿ 355 lb
Michel Reitzel se remarie en février 1662 avec Eve Merckel qui a épousé en 1644 le menuisier Christophe Burger
Mariage, cathédrale (luth. f° 17-v, n° 8)
1662. Dom: L.ma, den 9. Febr. Zum 2 mahl Michel Reitzel der Schreiner undt Burger alhier undt Eva, Weiland hanß Christoff Burgers gewesenen Schreiners u. Burgers alhier hinterlaßene Wittib. Montags den 17.t Febr. Freÿburg st. Münster Hh stub (i 19)
1644 (29. Jan:), Chambre des Contrats, vol. 493 f° 66
(Eheberedung) Erschienen Christoph Burger der Schreiner Gesell, Weÿ: Gabriel Burgers geweßenen Schreiners Undt burgers alhie see: nachgelaßener Wohn, alß Hochzeiter, mit beÿstand Melchior Wehrlins deß Kürßners seines Vogts Vnd Schwagers an einem
So dann Jgfr. Eva weÿl. hannß Adam Merckels geweßenen holtzhändlers und burgers Zu Str. see. nachgelaßene eheliche dochter alß Hochzeiterin mit beÿstandt H Theodosÿ Monachi Siebner Gerichts procuratoris ihres Vogts am andern theil
Mariage, cathédrale (luth. p. 472)
1644. Domin: 5. Epiphanias. Christoff Burger der Schreiner, Gabriel Burgers deß schreiners vndt Burgers allhie nachgelaßener ehelicher Sohn, und Jungfrauw Eva, H Hanß Adam Merckel deß Geweßenen Holtzhendlers vnd burgers allhuer eheliche Tochter, Eingesegnet Im Münster, Zinst. den 13. febr. (i 241)
Michel Reitzel et Eve Merckel font dresser l’inventaire de leurs apports dans la maison qui appartient au mari. Ceux du mari s’élèvent à 655 livres, ceux de la femme à 169 livres.
1662 (24.4.), Not. Oesinger (David, 37 Not 17) n° 11
Inventarium und Beschreibung Aller vndt Jeder, Haab, Nahr. vndt Güthere, So der Erbare und bescheidene Michael Reitzel, burger vndt Schreiner Alhie, Vndt die Ehren: vndt tugendsahme Fr. Evæ Mercklerin beede Eheleüth einander in den Ehestand Zugebracht, welche Zu Verhütung Künfftiger streit v. ungelegenheit (…) inventirt (…) So bescheh. Donnerstags den 24.ten Aprilis Anno 1662.
In Einer In der Statt Straßb. nahe beÿ St. Barbara gelegenen, v. in deß Mannß nahr. gehörig. behauß, so hernach beschrieben Ist, Ist befund. word. wie volgt
Eigenthumb an Einer behaußung. Item i. hauß hoffstatt v. höfflin, sambt deren allen gebäwen, begriffen, Rechten, Zugehördten v. gerechtigkeit. in d. St. St. geg. St. Barbaræ Kirch. hienüber, i. s. i eckh, 2 seit neb. dem Edlen v hochgelehrt. H Nicolao Agerio Med. D. hind. vff Friderich Rüelen stoßend geleg., davon gehen Jährlich vff Joh. Baptistæ 8 lb. 15 ß abzulöß. in hauptgut mit 175 lb d. d. wohl Edel uest v. hochgelehrt. H. Marx Otto J. Cons., It. 6 ß 8 d bod. Zinß d. Stifft St. Marx sonst ledig v eig. v Ist diese beh. über jetz gehörte beschwerdt. hieheroo angeschlag. word. p. 200. Darüb. besag. 2. Perg. Kauffbr. mit d. St. St. anh. Cancelleÿ Cont. Ins. verwahr. des einen datum d. 26. Junÿ v. deß and. d. 27. 7.br Anno 1656. beede Sign. mit alt. N° 1
Abzug In dißes Inventarium, Sa. des Manns zugebrachten haußraths 302, Sa. ohnaußgemachter arbeit 65, Sa. Silber geschirrs v. geschmeids 19, Sa. Guldenen Rings 12, Sa. Eigenthumbs ane einer behaußung 200, Sa. Schulden 56, Summa summarum 655 lb
Sa. der Fr. zugebrachten haußraths 83, Sa. Silber geschirrs v. geschmeids 5, Sa. Guldenen Rings 15, Sa. der baarschafft 45, Sa. Pfenningzünß hauptguths 20, Summa summarum 169 lb
Michel Reitzel hypothèque sa maison au profit du marchand de soie Chrétien Bruder . En marge, quittance remise en 1690 à Michel Dæhnichen, alors propriétaire
1670 (21.1.), Chambre des Contrats, vol. 537 f° 33
Erschienen Michael Reÿtzel der Schreiner
in gegensein H Christian Bruders deß Seidenhändlers – schuldig seÿe 50 Pfund pfenning
Unterpfand sein soll deß Debitoris Behaußung mit allen deren Gebäwen, Begriffen, Zugehördten und Gerechtigkeiten alhie geg. St. Barbaræ Kirch hienüber, einseit ist ein Eckh, anderseit neben der Aggerisch. Behaußung, hind. uff die Rhielische Behaußung stoßend geleg. davon gehen iahrs 6 ß. 8 d dem Allmosen zu St. Marx
[in margine :] Erschienen hierin gemelter H Creditor hat in gegensein Michael Dännige deß Schreiners alß ietzigen possessoris deß Und.pfands (quittung) Act. d. 20. 9.br 1690
Nouvelle hypothèque entre les mêmes parties
1673 (9. Aug.), Chambre des Contrats, vol. 541 f° 449-v
Michael Raitzel der Schreiner
in gegensein Herren Christian Bruder deß Saÿdenhändlers – über die am 21. Janaur. A° 1670. in der Cancelleÿ Contractstuben Verschriebener 50. lb noch ferner 50. lb schuldig seÿe
unterpfand, Eine behaußung mit allen deren Gebäwen Begriffen und Zugehördten alhier gegen St. Barbaræ Gaßen hinüber, einseit ist ein Eckh, anderseit neben der Aggerischen Behaußung, hinden uff die Rhielische behaußung stoßend gelegen, davon gehend iahrs 6. ß 8. d dem Allmosen Zu St Marx
[in margine :] (…) in gegensein Michael Dänninger, deß Schreiners alß ietzig. possessoris deß hierinn beschriebenen und.pfandts (quittung), Act. d. 20.ten 9.br. 1690
Michel Reitzel meurt en 1689 en délaissant deux fils. Les experts estiment la maison à la somme de 375 livres. L’actif de la succession s’élève à 459 livres, le passif à 587 livres.
1689 (24.3.), Auenheim (Wolfgang Régnard von, 1 Not 1)
Inventarium v. beschreibung aller v. jeder ligend. Vnd fahrend. Haab gütere V. Nahrung, so der Weÿl. Vorgeacht v. bescheÿdene H. Michael Reitzel geweßene burger v. Schreiner allhier nunmehr seel. Nach seinem den 22. Novembris 1688. auß dießem Mühseel. leben genommenen tödlich. hintritt, hinterlaß. welche auf dienstliches ansuch. erfordern v. begehrenn Hanß Heinrich Bucken, alß noch ohnentledigt. Curatoris Andres Reitzel deß seel. Verstorbenen Jüngst. Sohns, durch die sammentliche Erben hernach gemeldt (…) Actum donnerstag den 24.ten Mertzen 1689.
Der seel. Verstorbene hatt ab intestato Zu Erben hinderlaß. seine beede eheliche Söhne 1. Mstr. Philipp Reitzel, Burger v. Schreiner allhier v. 2. Andres Reitzel auch Schreinern so annoch ledig. standts
Inn einer in d Statt Straßburg, Nahe bey St. Barbaræ gelegenen, V. in diese Verlaßenschafft gehörige behausung, welche hernach beschrieb. wird, Ist befund. worden, wie folgt.
Ane Holtz v.Schreinwerck, In der Cammer A, im obern hauß öhren, in d. Wohnstuben, In Stub Cammer, im obern hauß Öhr, in der Kuch.
Eigenthumb ahne einer Behausung. It. ein hauß hoffstatt Vnd höfflein, sampt allen deren gebäwen begriff. recht. Zugehördt. v. gerechtigkeit. in der Statt Straßburg, gegen St. Barbaræ Kirch hinüber, 1. s. j. eck, 2. s. neben weÿl. J Sigmund Fettichs EE Kleinen Raths geweßenen beÿsitzers hinderlaßenen Erben, hind. auff H. Samuel Goldbach den Metzger stoßend gelegen, da Von geh. Jährlich. auff Joh. Bapt: 8. lb. s. in hauptguth mit 175. lb d dem Ottonianisch. Stipendio, ferner 6 ß 8 d boden Zinß, dem Stifft St. Marx weiters 5. lb d H Christian Bruder dem Paßmentirer V. burger allhier, alle Jahr auff Martini, lößig in Hauptguth mit 100. lb. d. sonst über freÿ ledig v. Eigen V. hiehero ohnaberzog. Vorgemeldter beschwerden, durch allhiesige d. Statt Werckmeistere angeschlag. pro 375. lb
Samtliche Nahrung 459 – Schulden 587 (Passiv onus) 128.
Abschatzung dinstags d. 29. Martzi 1689. Weillandt deß Ehrenhafften Vnd bescheiden herr Michaell Räitzell geweßener Burger Vnd schreiner See. hinder Laßene Erben Behaußung alhier in der so genandte barbara Gaß ein Eckh, Ein seitzes Neben Herrn N. N. Gamßen dem spetzerirer, hinden auff herrn Samuell Goldbach, Welche behaußung Sampt Stub Vnd Kamern Wie auch Werckhstatt Vnd Sonsten dero begriff recht Vnd gerechtigkeit Wie solches durch die geordnete werckleuthe befunden und dem Jetzigen preiß Vnd Wehrt Nach angeschlagen Vor Vnd Vmb Sibenhundert Vnd Vinfftzig Gulden. Bezeigens der Statt Straßburg geschwohrne Werckhleute, Joseph Lauttenschlager Werckmeister deß frawen Werckhs, Johannes Feÿlotter Werck Meister deß Zimmer hoffs, Johannes Berga Werck Meister des Maurhoffs.
Les deux fils et héritiers de Michel Reitzel vendent la maison au menuisier Michel Dæhnichen moyennant 450 livres
1689 (30.7.), Chambre des Contrats, vol. 560 f° 387-v
Hannß Philipp Reÿtzel der Schneider und Andreß Reÿtzel der ledige Schreinergesell so majorennis iedoch mit beÿstand Hannß Henrich Buck deß Schreiners seines Curatoris
in gegensein Michel Dännige auch Schreiners [unterzeichnet] Michel dähnichen
Eine behaußung, höfflein, mit allen deren Gebaüen und Zugehördten, in St. Barbaræ Gaß, einseit ist ein eck gegen St. Barbaræ Cappell, anderseit neben weÿl. Sigmund Fettichs Seel. Erben, Hinten uff Samuel Goldbach den Metzger stoßend gelegen, Von welcher behaußung gehen Jahrs Sechs Schilling Acht pfenning bodenzinß dem Stifft St. Marx, so seÿe dieselbe auch noch umb 175 pfund (Mehr umb 100 Pfund verhafftet), geschehen umb 175 Pfund
Originaire du bailliage de Meinersen (Meÿnersheim, Wackerwinckel) en juridiction de Lunebourg, Michel Dæhnichen épouse en 1683 Catherine, fille du menuisier André Steegmann : contrat de mariage tel qu’il est copié à l’inventaire, célébration
Copia der Eheberedung – zwischen dem Ehrsam und bescheidenem Meister Michael Dännigen Schreiner weÿland Ludwig Däningen seel. aus dem ampt Meiningen Lünenburgischer Jurisdiction hinterlaßenen eheleiblichen Sohn als bräutigam an einem, So dann der Ehren und tugendsamen Jungfrawen Catharina des auch weÿland Ersamen Andreas Steegmanns gewesenen Schreiners und Burgers allhier nachgelaßenen eheleiblichen tochter andern theils – Beschehen in der Königlichen Freyen Statt Straßburg Donnerstags den 15. Julÿ Anno 1683, Friderich Meÿl, Not. publicus, coll. Straßburg den Ersten Octobris Anno 1725. Christoph Michael Hoffmann
Mariage, cathédrale (luth. f° 14)
1683. Dom: 7. post Trinit. Zum 2. mal Michael dhäniger der schreiner weÿl. Ludwig dhäniger, burgers von Wackerwinckel, Fürstl. Braunschweig. Lüneburg. herrschafft ehel.S. Jfr. Catharina Weÿl. Andreß Stegmanns des schreiners und burgers allhier ehel. T. Mont. den 9.ten Aug. Zun Predigern (i 115)
Michel Dæhnichen devient bourgeois par sa femme avant son mariage
1683, 4° Livre de bourgeoisie f° 497
Michael Dännicher der Schreiner von Meÿnersheim empfangt das Burger Recht von seiner haußfr. Catharina Stegmännin pro 8. golt fl. welche beÿ der Cantzleÿ erlegt worden seind, wird Zu den Zimmerleüth dienen. Jur. d. 10. Julÿ 1683.
Michel Dæhnichen devient tributaire chez les Charpentiers une semaine après avoir reçu le droit de bourgeoisie
1683, Protocole de la tribu des Charpentiers (XI 30)
(f° 27-v) Montags den 17. Augusti 1683 – Neuzünfftiger
Michael Dännichen der Schreiner von Wacken Winder fürstl. Lünenburgischer Jurisdiction, producirt Cantzleÿ: Stall und Pfenningthurns schein sub dato 10. Julÿ 1683. und empfangt das Zunfftrecht umb die gewohnliche gebüre der 7 lb 3 ß 6 d die er gleich bezahlt
Michel Dæhnichen et Anne Catherine Steegmann hypothèquent la maison au profit du potier Tobie Garing
1690 (24. 9.br), Chambre des Contrats, vol. 562 f° 636-v
Michael Dänniger der Schreiner und Anna Catharina Gebohrne Stegmännin deßen eheliche haußfrau, und Zwar dieselbe mit beÿstand Hans Henrich Buck und Christian Hahn, beede Schreiner deroselben Schwäger [unterzeichnet] Michel dähnicher, C D
in gegensein Hn Tobiæ Garing, deß Kachlers – schuldig seÿen 100 pfund
Unterpfand, Eine behaußung höfflein, sambt dero Hoffstätt. und allen andern deren Gebäuen, recht. und gerechtigkeit. allhier in St. Barbara Gaß, einseit ist ein Eck geg. St. Barbaræ Capell anderseit neben Weÿl. H. Georg Sigmund Fettichs sel. Erben, hinten auff Samuel Goldbach d. Metzger stoßend gelegen, Von welcher behaußung gehen jährlich 6 ß 8 d bodenzinß dem Stifft St Marx
Michel Dæhnichen (Michel Denniger) demande à engager un compagnon en surnombre pendant trois mois pour honorer deux commandes. Les Quinze donnent leur accord pour deux mois.
1709, Protocole des Quinze (2 R 113)
(f° 111) Freÿtag den 4. May 1709 – Michael Denniger pt° eines gesellen über die geordnete Zahl
S. noîe Michael Denningers burgers vndt Schreiners alhie, Prplis, bittet unterth. weilen Er verschiedene nöthige arbeit so wohl vor den H. Cons. Kempffer als H. Cap.ne Meÿer Zu verfertigen, ihme einen Gesellen auff 3. Monat Zu erlauben, Zu mahlen viel gesellen weg gehen, die Keine arbeit haben können.
Erk. wird dem Imploranten ein gesell über die geordnete Zahl auff Zweÿ Monat willfahrt, soll aber nach Verfloßener Zeit selbigen wider abschaffen.
Michel Dæhnichen et Anne Catherine Steegmann hypothèquent la maison au profit du menuisier Jean Philippe Buck. Leur fils Michel Dæhnichen le jeune se porte garant.
1718 (21.6.), Chambre des Contrats, vol. 591 f° 318-v
Michel Dennchen schreiner und Catharina geb. Stegmännin beÿständlich Joh. Daniel Schmidt schuemachers und
in gegensein Joh: Philipp Buck schreiners – schuldig seÿen 800 pfund
unterpfand, ihr hauß c. appert: allhier in der St. Barb. gaß, einseit neben H. Andres Greum anderseit ist ein eck hinten auff Zeÿßolff
erschienen Michel Dennchen jun: schreiner der Sohn, der hat sich verbürgt
Michel Dæhnichen et Anne Catherine Steegmann hypothèquent la maison au profit du cordonnier Jean Daniel Schmidt
1719 (20.5.), Chambre des Contrats, vol. 593 f° 248
Michel Dennichen schreiner und Cath. geb. stegmännin beÿständlich Michel Dennichen schreiners deß sohns und
in gegensein Joh. Daniel Schmidt schuemachers – schuldig seÿen 50 pfund
unterpfand, ihr hauß c. appert: allhier beÿ St. Barbara Kirch, einseit neben H. Greum jun: anderseit ist ein eck hinten auf Zeÿsolff – darvon gehen 10 batzen ane bodenzinß nach St Marx
Anne Catherine Steegmann meurt en 1725 en délaissant trois enfants. Les experts estiment la maison à la somme de 700 livres. L’actif de la succession s’élève à 251 livres, le passif à 217 livres. En annexe, adjudication de la maison au profit du marchand Georges Frédéric Zeissolff moyennant 2 290 florins
1725 (1. 8.br), Not. Oelinger (J. Jacques, 35 Not 10) n° 377 (346)
Inventarium und Beschreibung aller der Jenigen Haab vnd Nahrung, nichts davon außgenommen, so weÿl. die Ehren und tugendsahme Frau Anna Catharina Dennichin gebohrene Steegmännin deß Ehrenachtbahren und bescheidenen Mr. Michael Dennichen deß ältern schreiners, vnd Burgers allhier Zu Straßb. geweßene Ehefr. Nunmehr seel. nach ihrem Vor 16. Wochen genommenen tödlichen hintritt Zeitlichen verlaßen, Welche Verlaßenschafft (…) durch Ihne den Wittiber vnd die Erben selbsten, Wie auch Margaretham Liechtenhanin die haußhälterin (…) geäigt und gezeigt (…) Actum Straßburg Monatgs d. 1. Octobris 1725.
Die abgeleibte seel. hat ab intestato Zu Erben Verlaßen als volgt. 1. den Ehrengeachten vnd bescheidenen Mr Michael Dennichen den Jüngern schreiner v. burgern allhier so dem geschäfft abgewartet, 2. die Ehren vnd tugendsame Fr. Annam Catharinam Rechin gebohrne Dennichin des Ehrsam: vnd bescheidenen Mr. Heinrich Rechen deß Kieffers vnd burgers allhier Eheliebstin Welche beede dem Geschäfft beÿgewohnt, 3. die Ehren: vnd tugendsahme Fr. Annam Mariam Schmidin gebohrne Dennichin deß Ehrsam: vnd bescheidenen Mr Daniel Schmidts Schuhmachers vnd burgers allhier Ehefr. Welcher auch benebst Ihrem Ehemann sich In dem Geschäfft eingefunden, Alle dreÿ der abgeleÿbten hinterlassene Kinder vnd Zu gleichen portiones vnd antheilern rechtmäsig Erben
Copia der Eheberedung – Copia Codicilli
In einer allhier Zue Straßburg ane der Barbara gaß gelegenen vnd hiehero eigenthümlich gehörige behaußung sich befunden als volgt
Eÿgenthumb ahne Einer Behausung. Item I. behaußung, höfflin vnd hoffstatt sampt allen deren begriffen, Weiten Zugehördten rechten vnd gerechtigkeiten allhier Zue Straßb. ane der St. Barbara gaß einseith neben H Andreæ Greuhmen E. E. Kl. Raths alten beÿsitzers anderseith gegen der St. Barbara Kirch vnd hinten auf die Zeÿßolffische behaußung stoßend, Davon gibt mann Jährlichen 6. ß 4 d Bodenzinß dem Stifft S Marx. It. 7. lb d Zinnß reicht man Jährlich vf den 25.ten Aprilis der Othonianischen Stifftung abzulößen In Cap. mit 175. lb. It. 11 lb d Zinß soll mann Jahrs vf den 22. Marcÿ fr. Annæ Ursulæ Buckin der Wittib ablößig in Capital mit 100 lb. It. 40 lb s Zinß H Sigmund Felckenhauren dem Statt Schloßer Jahrs Vf Joh: Bapt. Verfallend Ist widerkauffig in Capital 100. lb. It. 2. lb 10. ß d Zinß Weÿl. Hr Dr Burckels seel. Erben Jährl. Im monath Maÿ Verfallend th. In Cap. 50. lb. It. 2. lb 10 ß s Zinß Reicht mann H Rathh. Gerhardt Walter, Jahrs auch den 20. Aprilis th. In hpt Guth abzulösen 50. lb. It. 2. lb 3*.d Zinß Hr Daniel Schmiden dem schuhmacher vnd dießorths tochtermann Jahrs auf Michaelis Verfallend, th. In Cap. nach Straßb. Währung gerechnet Wie Er solches geschoßen 50 lb th. in Currentem Gelt 55 lb d. Summa obiger beschwerd 530. lb, Sonsten freÿ Ledig v eigen. Und Ist solche behausung durch der Statt Straßburg geschworne Werck Leuthe Vermög Einer Zu mein Notarÿ Concept gelüfferten schrifftlichen Abschatzung de dato 11. octob. 1725. dem heutigen werth nach æstimirt vnd angeschlagen word. pro 700 lb. d. Abgezogen die darauff stehenden Capitalia der 530. lb, So würd ane dem anderseit nebenlag in rest Verbleiben 170. lb
Darüber besagt Ein teutscher Pergamentener Kauffbrieff In allhießiger C. C. St. gefertiget vnd mit dero Größern Insiegel Verwahret Sub dato den 30. Julÿ 1689. darbeÿ befunden sich ferner 3. a. Pergamentene teutsche Kauffbrieff In allhießiger C C Stub gefertigt davon vnd mit dero Innsiegel Verwahrt davon beede mit altem N° 1 signirt Vnd dießmahl wieder dabeÿ gelaßen
Series rubricarum, Sa. haußraths 56, Sa. holtz vnd werckzeug Zum Schreiner handwerck 20, Sa. Silbers 2, Sa. goldener Ring 2, Sa. Eigenthum ane einer behaußung 170, Summa summarum 251 lb – Schulden 34 lb, Nach deren Abzug 217 lb
Copia der Eheberedung (…)
Abschatzung d. 4.t 8.bris 1725. Auff begehren des Ehrenhafften und bescheidenen Meister Johann Michael Denninger Schreiner ist eine behaußung allhier in der Statt Straßburg, ein Eckhauß in der Barbara gaß gelegen, einseits Neben Herrn Andres Kreym E. E. Raths alten beÿsitzers, anderseits neben den Zeÿsolvischen Erben, welche behausung Stuben, Cammern, Küchen, hauß Ehren, Werckstatt und gebälcktes Kellerlein, sambt aller gerechtig Keit wie solches durch der Statt Straßburg geschworne Werckleuthe sich in der besichtigung befunden, und Jetzigem preiß nach angeschlagen wird Vor und Vmb Ein Tausend und Vierhundert gulden. Bezeichnus durch der Statt Straßburg Geschworene Werckleuthe [unterzeichnet] Michael Ehrlacher Werck Meister deß Meinsters, Johann Jacob Biermeÿer Werck Meister deß Zimmerhoffs
(Haus Versteigerung) Zuwißen seÿe Hiemit, nachdeme Mstr Michael Dennichen der ältere schreiner und Vatter, ferner deßen dreÿ Kinder hernach benambstn nemblich Mstr Michael Dennichen der Jüngere Schreiner, Frau Anna Catharina gebohrne Dennichin, Mstr Heinrich Rehen des Kieffers Ehefrau, beÿständlich deßelben, So dann Frau Anna Schmidin gebohrne Dennichen, Mstr Daniel Schmid des Schuhmachers Ehefrau, mit assistentz deßelben, sich mit einander einmüthig dahien Verglichen vnd Vereinbahret, daß sie Ihre mit einander gemeinschaftlich annoch ohnvertheilt habende Behaußung, vf heut dato Zu endt gemeldt Nachmittags vmb 2 Uhr auf der herren stub wolten Versteigern und den Meistbieteten Überlaßen (…) Und ist solche behausung In der St. Barbara gaß allhier einseit neben H andrea Greuhmen Apothecker und E E Kl. Raths alten beÿsitzern anderseith gegen der St. Barbara Kirch und hinten vff die Zeÿßolphische behausung stoßend, cum appertinentÿs, nachdem ein: und andere gebott drauff gelegt worden und das letzt gebott darauff gelegt worden, und das letzt lichtlein außgeloschen, Herrn Georg Friderich Zeÿßolffen dem handelßmann umb den preiß der 2290 gulden – Actum Dienstags den 25.ten Maÿ 1728.
Michel Dæhnichen fait vendre des effets mobiliers devant sa maison
1728 (13.7.), Not. Oelinger (J. Jacques, 35 Not 15) n° 532 (494)
Verkauff und Looßregisterlein so abe einigen Mobilien so Mr Michael Dennichen Sen. Schreiner und burger allhier ane heut dato (…) vor seiner Ihme Ehemals Zuständig geweßener behausung ane St. Barbaragaß gelegen Verkaufft (…) Actum Straßb. dienstags d. 13. Julÿ 1728.
Agé de quatre-vingts ans, Michel Dæhnichen demande son admission à l’hôpital. Les Conseillers et les Vingt-et-Un nomment une commission qui devra vérifier que ses enfants n’ont pas les moyens de l’entretenir.
1729, Conseillers et XXI (1 R 212)
(p.397) Montag d. 28. 9.bris – Michael Dennichen bitt umb Auffnahm in den Spithal.
Lt. Mosseder, Nomine gegenwärtigen Michel Dennichen des hiesigen burgers und schreiners, producirt unterthäniges Memoriale und Bitten mit Beÿlagen Sub Num.is 1. 2. 3. 4. et 5. umb genädige Auffnahm in den Hospital handelt innhalts, Ist Erkandt Wird das Geschäfft an die Herren Pfleger des Spithals Verwießen vmb zu untersuchen, Ob des Imploranten Kinder im stand seÿnd ihne Zu unterhalten oder nicht, und im fall sich das letztere befinden solte, Wolgedachten Herren Pflegern, denselbe, als einen achtzig iährigen unvermöglichen und armen burger darinn auffzunehmen und lebtägig verpflegen Zu lassen hiemit die hand geöffnet.
Deputati H. Rh Johann Friderich Richßhoffer und H Rh. Nauert.
Le menuisier Michel Denninger (Dæhnichen) meurt à l’hôpital le 13 octobre 1732 à l’âge de 85 ans.
Sépulture, Hôpital (luth. p. 223)
Johann Michael Denninger burger und schreiner allhier starb den 13. oct. 1732. liegt begrab, Zu S. Helenen seines alters 85 Jahr 3. monath (i 117)
Les enfants de Michel Dæhnichen et de Marie Catherine Steegmann vendent la maison au marchand Georges Frédéric Zeissolff suite à l’adjudication devant le notaire (voir plus haut)
1728 (22.6.), Chambre des Contrats, vol. 602 f° 289
Michael Denichen des älteren Schreiners und deßen mit weÿl. Maria Catharina geb. Steegmännin erzeugte dreÿ Kinder Michael Denichen der Jüngere Schreiner, Ferner Anna Catharina geb. Denicherin Johann Heinrich Reh kieffers ehefrau, so dann Anna Maria geb. Denicherin Johann Daniel Schmidt Schuemachers Eheweib
in gegensein H. Georg Friedrich Zeÿßolff des handelsmanns
Eine Behausung höfflein und hoffstatt mit allen derselben gebäuden, begriffen, weithen, zugehörden, Rechten und gerechtigkeiten ahn St Barbara gaß einseit ist ein eck ahn derselben gegen St. Barbara Kirch über, anderseit neben H. Andrea Greuhm dem Apothecker und EE. kleinen Raths alten beÿsitzer hinden auff die Zeÿßolffische modo H. Johann Saltzmann Med. D. et prof: publ: zuständige behausung – davon soll man dem Stifft zu St Marx 6 ß 8 ane bodenzinß – ihme dem vatter zu 6/9 theil jedem deßen dreÿer Kinder aber zu 1/9 theil für ohnvertheilt, in einer ahm 25.t Maÿi jüngst vorgegangenen freÿwilligen Versteigerung da obbemelter H. Zeÿßolff meist und letztbiethender ware – um 1145 pfund davon 537 capitalien
Fils du marchand Jean Philippe Zeissolf, Georges Frédéric Zeissolff épouse en 1709 Catherine Elisabeth Hœlbe, fille de l’aubergiste David Hœlbé : contrat de mariage tel qu’il est copié à l’inventaire dressé en 1757, célébration
Copia der Eheberedung, zwischen dem Wohl Ehrenvest und wohlgeachteten Herrn Georg Friderich Zeÿßolffen, ledigen handelßmann, Herrn Johann Philipp Zeÿsolffs des Handelsmanns und burgers allhier ehelichm Sohn, So dann der Ehren und tugendreichen Jungfrauen Catharinä Elisabethä Hölwein, Weÿland Herrn David Hölwe geweßenen Gastgebers am Waßerzoll und burgers zu Straßburg seeligen hinterlaßener ehelichen dochter – Actum auf Monat den 23. tag des Monats Decembris In dem Jahr 1709, Johann Heinrich Lang Sen. Not.
Mariage, Saint-Nicolas (luth. f° 120, n° 2)
Mittwoch den 12. febr. 1710 seind nach zweÿmahliger Außruffung copulirt und eingesegnet worden H. Görg Fridrich Zeißolff der ledige handelßmann, H. Johann Philipp Zeißolffs deß handelßmanns Vnd burgers alhier Ehel. Sohn, Vnd Jungfr. Catharina Elisabetha Hölbein weÿl. H. David Hölbe, geweßenen wirths auff dem Waßerzoll in der Ruprechtsaw hinterlaßene Eheliche tochter – (procl. St-Guillaume)
Georges Frédéric Zeissolff revend quelques jours plus tard la maison au menuisier Henri Greiff et à sa fiancée Marie Marguerite Rœhrer, veuve du menuisier Raoul Foster
1728 (31.7.), Chambre des Contrats, vol. 602 f° 359
H. Georg Friedrich Zeÿßolff der handelsmann
in gegensein Heinrich Greiff des Schreiners und Mariæ Magdalenæ geb. Röhrerin weÿl. Rudolph Foster gewesenen Schreiners wittib beÿständlich ihres Curatoris Christian Schurer und ihres vatters hannß Michael Röhrer beeder Schreinern zwar er Greiff zu zween dritten theil sie Fosterische wittib zu einem dritten theil
Eine Behausung höfflein und hoffstatt mit allen derselben gebäuden, begriffen, weithen, zugehörden und Rechten ahn St Barbara gaß, einseit ist ein eck ahn derselben gegen St Barbara Kirch über, anderseit neben H. Andreas Greuhm apothecker EE. kleinen Raths alten beÿsitzer hinten auff die Zeÿßolffische anjetzo H. Johannes Saltzmann Med. D. et prof. publ. allhier zuständige behausung – davon soll man dem Stifft St Marx 6 ß 8 ane bodenzinß – um 425 pfund ausmachende capitalien und 775 pfund
Le menuisier célibataire Henri Greiff demande en novembre 1721 aux Quinze à être admis à faire son chef d’œuvre bien qu’il lui reste trois trimestres pour finir ses années d’épreuves de quatre ans. Il ajoute lors de l’enquête que son maître a pris un cavalier et souhaite son départ. Les Quinze accordent le 22 septembre la dispense à Pâques suivantes puisqu’il ne restera alors que peu de temps avant la fin des années d’épreuve. Henri Greiff obtient en décembre une dispense de dix-huit semaines après avoir affirmé qu’il ne trouvait pas de travail.
1721, Protocole des Quinze (2 R 125)
(p. 450) Sambstag d. 15. 9.bris 1721 – Heinrich Greiff Ca. E.E. Handwerck der Schreiner pt° Meisterstück
Fuchs nôe Heinrich Greiff des ledigen Schreiners Cit. E. E. Handwercks der Schreiner Obermeister prod. undth. Memoriale und bitten mit beÿlag N° 1 umb g. admission Zum Meisterstück, Moss. Cit. bitt deputationem et facta relatione umb gn. manutenenz des in dieser Sach habenden Articuls. Fuchß bitt similiter umb Deput. Erk. Ober Handwerck hrn.
(p. 464) Sambstag d. 22. 9.bris 1721 – Heinrich Greiff Ca. E.E. Handwerck der Schreiner pt° Meisterstück
Obere Handwerck Herren laßen per Eundem [Secretarium] Referiren, Es habe Heinrich Greiff der ledige Schreiner C. E. E. Handwercks der Schreiner ein Memorial, sambt beygelegtem Zunfftbescheid vom 13. huj. prod. und gebetten, daß Weilen Er beÿ E.E. Handwerck umb Zu dem Meisterstück admittirt Zu werden angemeldet, daselbst aber erkandt word. er solle seine Vier Jahr außhalten, Ihme mithin nur noch 3. Viert. Jahr Zu endigung seiner muthjahr fehleten, alß bäthe er gn. Zu dispensiren und Ihne Zu Verfertigung des Wie sonst. G. Zu admittiren. Auff dieses Memoriale hätten die Bek. umb Deput. undthg. manutenenz habender Articul gebetten.
auff geschehene Remission habe der Kläger beygefügt sein bißheriger Meister Johann Georg Diemer habe einen Rittern beÿ sich in arbeit stehen, und förcht Er der Implorant möchte auff den Sommer abscheid bekommen. Nôe der Meisterschafft seÿen Zugegen gewesen, Georg Wildrich, Daniel Gießbrecht und Johann Jacob Fritz, welche nochmahlen gebetten wie in Recessu enthalten, Implorant habe replicirt, er bitte vmb gnad für die annoch restirder 3 Virtel. Jar, die Er noch zu Verarbeithen hätte, maßen obged. Meister Fritzen Bruder selbige auch erhalten habe.
Auff seithen der Hh Depp. halte man davor, daß wann der Implorant noch biß Künfftige Ostern beÿ seinem Meister bleiben undt alß Gesell arbeithen werde, wegen der übrigen Zeit so ein geringes antreffen werde, dispensirt werden Könte, die genehmhaltung Zu Mgh stellend, Erkandt bedacht gefolgt.
(p. 501) Sambstag den 13. X.bris 1721 – Heinrich Greiff Ca. E.E. Meisterschafft der Schreiner pt° Meisterstück
Fuchs nôe Heinrich Greiff des ledigen Schreiners Cit. E. E. Meisterschafft der Schreiner Ober Meister H Joh: Georg Willerich, Ppal berichtet es fehleten Ihme nur noch 18 wochen biß zu endigung seiner Muthjahr, vnd hätten Mghh. Ihme jüngst dispensando erlaubt, Zu arbeithen, er Könne aber ohngeacht er vmb schawen laßen Keine arbeith finden, bitte deßwegen Deputationem Factaque Relation beÿ umb wegen der 18. wochen zu dispensiren und Ihme Zu dem Meisterstück Zu admittiren. Moss noê des Ober: undt Under Meisters die berichten daß Sie Gegners begehren für billich finden, setzens. Erk. wird der Implorant dispensando Zu dem Meisterstück admittirt.
Originaire de Kaltensundheim en Saxe-Eisenach, Henri Greiff épouse en 1723 Anne Elisabeth, fille de l’horticulteur Jean Georges Baumheckel
Mariage, Saint-Guillaume (luth. f° 238-v, n° 10)
Mittwochs den 16.t Junÿ 1723. seind nach geschehener 2 maligen außruffung Dominica 2. Trin. in der Kirch Zu S Wilhelm ehelich eingesegnet w. Heinrich Greif der ledige Schreiner v. b. Georg Greifen Gerichtsmans in Kalten Sundheim Churfst. Sächsisch. Eisenachischer Herrschafft v. Margaretha Weigandin ehelicher Sohn, v. Jfr. Anna Elisabetha, Johann Georg Baumheckels Kunstgärtners v. burgers b. Annæ Elisabethæ Lungin ehel. dochter [unterzeichnet] Henrich Greiff als Hochzeiter, Anna Elisabeth baumhecklin als hoch Zeitrin (i 246)
Henri Greiff devient bourgeois par sa femme un mois après son mariage
1723, 3° Livre de bourgeoisie, p. 1337
Heinrich Kreiff von sachsen eißenach geb. d. schreiner vnd Anna Elisabeth Baumheckerin von hier erhalten das burgerrecht umb die tertz des neuen burger schillings, werden beÿ E. E. Zunfft d. Zimmerleüth dienen. Jur. et prom: den 14.t. Aug. 1723.
Il devient tributaire chez les Charpentiers quatre jours après avoir obtenu le droit de bourgeoisie
1723, Protocole de la tribu des Charpentiers (XI 31)
(f° 60-v) Donnerstags den 18. Aug. – Neuzünfftiger
Mr. Heinrich Greiff Von Eißenach producirt Stallschein de dato 14. Aug. 1723. bitt Ihme das Zunfftrecht gedeÿen Zu laßen. Erkand willfahrt, dt. 3. lb. d.
Anne Elisabeth Baumheckel meurt en 1728 en délaissant deux enfants. L’inventaire est dressé rue des Bouchers dans la maison du serrurier Jean Frédéric Schuck. La masse propre au veuf est de 27 livres, celle des héritiers de 22 livres. L’actif de la communauté s’élève à 47 livres
1728 (26.7.), Not. Oelinger (J. Jacques, 35 Not 15) n° 515 (479)
Inventarium und Beschreibung aller derjenigen haab und Nahrung, so weÿl. die Ehren und tugendsahme frau Anna Elisabetha Greiffin gebohrne Baumheckelin deß Ehrsahm und bescheidenen Mstr. Joh: Heinrich Greiffen Schreiners und Burgers allhier zu Straßburg geweßener Ehefrau nunmehr seel. nach ihren Vor ohngefähr 15. Wochen dießes fortlauffenden 1728.ten Jahrs genommenen tödlichen hientritt Zeitlichen verlaßen, welche Verlaßenschafft auf freundliches ansuchen, erfordern u. begehren deß Ehren und wohlvorgeachten H Johann Friderich Lungen, Schloßers und burgers allhier, alß geordnet und geschworenen Vogts Joh: Heinrichs, u Annæ Salome beeder der abgeleibten seel. ehelich erziehlte Mit vor ermelten ihrem hinterbliebenen Wittiber ehelich erzeilter Kinder und ab intestato rechtmäsige Erben, fleißig inventirt (…) Actum Straßburg Montags d. 26. Julÿ 1728.
Vergleich und Bericht gegenwärtigen Inventarÿ. Es berichtet der Wittib bey seiner abgelegten handtrew, daß sie beede im leben geweßene Ehepersohnen, Einander nicht allein ôts. alß auff seithen d. Ehefrauwen einige stuck betten und etwas von Getüch hiengegen aber Er d. Wittiber seine damals gehabten Werckzeug und Zwahr den meiste theil an dieße anjetzo Vorhandenen in die Ehe gebracht hatten aber deßwegen Kein Inventarium Zugebrachter Nahrung weniger eine Eheberedung mit einander auffgerichtet (…)
In einer allhier Zu Straßburg ane den Metzger gießen und H Joh: Friderich Schucken dem Schloßer allhier eigenthümlich zuständigen behaußung befunden Wie Volgt
Norma hujus inventarii, Des Wittibers Eÿgenthümblich Vermögen, Sa. werckzeugs 27
Dießemnach würd der Kinder undt Erben auf allem Mütterlich Vermögen beschrieben, Sa. haußraths 22 lb
Endlichen Volgt auch die beschreibung des gemein, verändert vnd theilbaren Guts, Sa. haußraths 21, Sa. holtz und ohngemachter arbeith 19, Sa. Silbers 1, Sa. Schulden 5, Summa summarum 47 lb – Schulden – Conclusio finalis Inventarÿ 89 lb
Jean Henri Greiff se remarie en 1728 avec Marie Madeleine Rœhrer, veuve de Raoul Foster : contrat de mariage, célébration
1728 (30.7.), Not. Oelinger (J. Jacques, 35 Not 74) n° 454
Eheberedung Zwischen dem Ehrsam vnd bescheidenen Meister Joh. Heinrich Greiffen, Schreinern Wittibern vnd Burgern allhier Zu Straßburg, beÿständlich H Johann Friderich Lungen schloßers alß dem hochzeitern ane Einem
So dann der Ehren: vnd tugendsamen fraun Mariæ Magdalenæ Fosterin gebohrner Röhrerin, weÿl. Mstr Rudolph Fosters geweßenen Schreiners und Burgers allhier seel. Nachgelaßener Wittib mit assistentz H Johann Michael Röhrer Ihres Vatters und H Christian Schuhrers Ihres Vogten beeden Schreinere vnd burgere allhier vf seiten der fr. hochzeiterin am andern theil
Actum vnd Unterschrieben Straßburg den 30. Julÿ A° 1728. [unterzeichnet] Johann henrich Greiff als hochzeiter, Magdalena fosterin Wittib
Mariage, Saint-Pierre-le-Vieux (luth. f° 126 n° 16)
1728. Domin: XXI. et XXII Trinit. seind außgeruffen vndt Mittwochs darauff als den 27. Octobris Ehelich eingesegnet worden, Johann Heinrich Greiff der Wittiber burger vnd Schreiner allhier, vndt frau Maria Magdalena gebohrne Rörin Rudolph Forsters geweßenen burgers vndt Schreiners alhie Nachgel. wittwe [unterzeichnet] Johann Henrich Greiff als hochzeiter, Maria Mahdalen forstrin als hohzeiterin (i 128)
Originaire d’Oberuzwil en Toggenburg (canton de Saint-Gall), Raoul Foster fait dresser un état de sa fortune
1719 (15.3.), Not. Oelinger (J. Jacques, 35 Not 2) n° 70 (66)
Designatio Allen der Jenigen Haab vnd Nahrung so Rudolph Forster Von Ober Utz wiel, doggenburger gebiets in der Schweitz gebürtig, dermahlen würcklich in eigenthumbs weiße besitzet (…) Act. Mittwochs d. 15.ten Martÿ 1719.
Crafft eines von H Jacob Webern, Ambtmann vndt Statthalter des freÿ gerichts Ober Utzwiel in seiner heimath ane würcklich angelegten Capitalien, 202, In baarem gelt 297, Werckzeug 25, Summa 52 lb
Raoul Foster s’adresse aux Quinze pour obtenir le droit de bourgeoisie (procédure habituelle pour les réformés). Les Quinze renvoient le 27 mars 1719 l’affaire au Grand Sénat après avoir constaté que le requérant dispose de la fortune réglementaire.
1719 Conseillers et XXI (1 R 202)
Rudolph Förster halt an umb d. Burgerrecht. 58. Relation Wegen dessen Vermögen und Weißungen an E. E. Großen Rath. 64.
(f° 57) Sambstag d. 18.ten Martÿ – Lt Gug Nôe Rudolph Försters des reformirten Ledigen Schreiner gesellen Von Ober utzweil aus der Schweitz Tockenburger Gebieths, Welcher sich in Eurer Gnaden burgerrecht begeben will, producirt dessen Geburts und Lehr: brieff Confession: Zunfft: und Vermögen: schein, bitt Zu untersuchung der sach einige Herren aus E. Gnaden mittel abzuordnen, und factâ Relatione den Imploranten an E. E. Großen Rath Zu Verweißen, ist Erkandt, Wird so Wohl Zu untersuchung der sach als Anzeugung des Bescheids mit gebettenner Deputation auff H. XV. Leiterßberger und H. Rhh. Reineri Willfahrt
(p. 65) Montag d. 27. Martÿ – Nachdeme H. XV. Leitersperger und H. Rhh. Reineri referirt, Waßmaßen Rudolph Förster der Reformirte ledige Schreiner gesell Von Ober utzweil aus der Schweitz Tockenburger Gebieths, nicht allein die im recess Vom 18. huius gemelts Schein in forma probante Vorgelegt, sondern auch sattsamb beschienen, daß sein Vermögen in angelegten Capitalien baarem Geld und Werckzeug sich auff Fünfhundert Zwantzig fünf Pfund Vier Schilling Zehn pfenning belauffe, mithin die gewohnliche hendtreu ane Eÿdes statt hierüber abgelegt habe, ist Implorant nach gehaltener umbfrag an E. E. Großen Rath pro obtinendo Civilegio Verwießen Worden. Deputati ÿdem umb den bescheid anzuzeigen.
Fils du tisserand Gaspard Foster d’Oberuzwil (ici comme souvent Forster), Raoul Foster épouse en 1720 Marie Madeleine Rœhrer, fille du menuisier Michel Rœhrer : contrat de mariage, célébration
1720 (12.3.), Not. Oelinger (J. Jacques, 35 Not 73) n° 116
Eheberedung Zwischen dem Ehrsam: vnd bescheidenen Meister Rudolph Forster dem leedigen schreiner von Ober Utzwiel Doggenburger gebiets gebürtig, des Ehrsamen Caspar Forster des leinenwebers und burgers allda Ehelich erzeugtem Sohn beÿständlich H Joh: Jacob Ziegler schneiders vnd H Isaac Zieglers Schumachers deßelben erbettener beÿständern vf eiten des hochzeiters ane Einem
So dann der Ehren vnd Tugendsahmen Jgfr. Mariæ Magdalenæ Röhrerin, des Ehrengeachten und bescheidenen Mr Michael Röhrers schreiners vnd burgers allhier Zu Straßburg Ehelich erzeugter Tochter, beÿständlich des Ehren vnd vorgeachten H Job Besten, Statt waffenschmidts vnd burgers allhier, so dann gmdt Ihres Vatters, vf seiten der hochzeiterin andern Theils
Actum Straßburg Dienstags den 12.ten Martÿ 1720. [unterzeichnet] Rudolff Foster alß hoch Zeitter, Maa Magdalena Röhner Alhochzeit
Mariage, Saint-Pierre-le-Vieux (luth. f° 183-v)
1720. d. 4. Maÿ seind Ehelich eingesegnet word. Rudolph Forster der ledige Schreiner Von Ober Ottwil der Graffschafft Toggenburg Caspar Forsters des Burgers vnd Leinenwebers daselbsten Ehelicher Sohn vndt Jungfr. Magdalena Johann Michael Röhrers des Burgers vndt Schreiners alhie Eheliche Tochter [unterzeichnet] Rudolff Foster als hoch Zeiter, Maria Madtlena Röherin als hochzeiterin (i 86)
Raoul Foster devient bourgeois par sa femme dix jours après son mariage au tarif ordinaire de deux florins.
1720, 4° Livre de bourgeoisie p. 851
Rudolph Foster d. Schreiner aus d. Graffschafft Toggenburg geb. Caspar Foster des Leinenwebers ehel. Sohn, erh. d. burg. recht Von seiner Ehefr. Maria Magdalena Röhrerin vmb 2. Gold fl. 16 s. w. beÿ E. E. Zunfft d. Zimmerleüth dienen. Jur. eodem [15. Maÿ 1720.]
Il est reçu tributaire chez les Charpentiers trois semaines plus tard.
1720, Protocole de la tribu des Charpentiers (XI 31)
(f° 43-v) Dienstags den 4. Junÿ – Neuzünfftiger
Mr Rudolph Foster der Schreiner Vnd burger allhier producirt Stallschein de dato 15.ten Maÿ 1720. bitt das Zunfftrecht Mitzutheilen, Erkand wilfarth, dt. 3. lb. d.
Les nouveaux mariés font dresser l’inventaire de leurs apports au Vieux-Marché-aux-Vins dans la maison qui appartient aux parents de l’épouse. Ceux du mari s’élèvent à 307 livres, ceux de la femme à 161 livres.
1720 (22.5.), Not. Oelinger (J. Jacques, 35 Not 3) n° 124 (117)
Inventarium und Beschreibung aller der Jenigen haab undt Nahrung, so der Ehrsam: und bescheidene Meister Rudolph Foster Schreiner und die Ehren vnd tugendsahme frau Maria Magdalena gebohrne Röhrerin beede Eheleuthe vnd burgere allhier zu Straßburg, einander in Ihren ohnlängst angetrettenen Ehestand Zugebracht vnd sich deren Jeedes Vermög der mit einander auffgerichteten Ehepacten Vor Unverändert Vorbehalten hat (…) Actum in der Königl. freÿen St. Straßburg in fernerem gegensein der Ehefrauen Leiblichen Eltern Mittwochs d. 22. Maÿ 1720.
In einer allhier Zue Straßburg vf dem altenweinmarckt gelegenen vnd der Ehefrauen Eltern eigenthümlich zuständiger behausung sich folgender maßen befunden
Series rubricarum hujus Inventarÿ. des Ehemanns Vermögen, Sa. haußraths 31, Sa. werckzeug Zum Schreiner handwerck gehörig 57, Sa. Silbers 2, Sa. baarschafft 187, Sa. Schulden 13, Summa summarum 292 lb – Dazugelegt Sein des Ehemanns Ime ane der haussteuren gehörigen antheil 15 lb, Demnach Würd sein deß Ehemanns samptlich unverändert Vermögen außwerffen 307 lb
Der Ehefrau Nahrung, Sa. haußraths 124, Sa. Silbers 6, Sa. Goldener Ring 7, Sa. baarschafft 7, Summa summarum 145 lb – Die Ihro von den haussteuren gebührige helffte so ist 15, Sofort würd sich der Ehefrauen gantzes Vermögen belauffen auff 161 lb
Raoul Foster meurt en 1727 en délaissant deux filles. L’inventaire est dressé dans une maison rue Sainte-Barbe. La masse propre à la veuve est de 68 livres. celle propre aux héritiers de 221 livres. L’actif de la communauté s’élève à 134 livres, le passif à 250 livres.
1728 (15.3.), Not. Oelinger (J. Jacques, 35 Not 15) n° 513 (477)
Inventarium und Beschreibung aller der Jenigen Haab vnd Nahrung so weÿlandt der Ehrsam: vnd bescheidene Mstr. Rudolph Foster geweßene Schreiner vnd burger allhier zu Straßburg nunmehr seel. nach seinem den 7. Decembris deß abgelegten 1727. Jahrs genommenen seel. tödl. hintritt Zeitlichen verlaßen, welche Verlaßenschafft auf freundliches ansuchen erfordern und begehren deß Ehrsam und bescheidenen Mstr Johann Philipp Lederlins, schneiders vnd burgers allhier, alß geordnet: und geschworenen Vogts Mariæ Magdalenæ und Margarethæ Barbaræ der Fosterin beede des abgeleibten seel. mit hernach gemelter seuner hinterbliebenen Wittib Ehelich erzeuge und nach tod hinterlaßene Kinder auch ab intestato rechtmäsige Ergen fleißig inventirt vnd ersucht, die Ehren vndt Tugendshme Frau Mariam Magdalenam gebohrne Röhrerin, die hinterbliebene Wittib mit beÿstandt des Ehrengeacht: vnd beschedenen Mstr Christian Schurr Schreiners Ihres geschwornen Curatoris (…) Actum Straßburg Montag den 15. Martÿ A° 1728.
In einer allhier Zu Straßburg ane der St. Barbargaß gelegener vnd lehnungs weiß bewohnenben behaußung sich befunden als volgt
Ane Höltzen und Schreinwerck. In der Gesellen Cammer, In der Wohnstub, In der Kuchen, In der Soldaten Cammer
Wÿdumb, Welchen Mstr Michael Röhrer der Schreiner vnd burger allhier Zu Straßburg der Wittib Vatter von weÿl. Mariæ Magdalenæ gebohrner Bestin Ihrer Mutter seel. auch In handen hat vnd geneußt, davon aber das Eÿgenthumbb der Wittib gehörig Ist
Ergäntzung der Wittib ermanglenden vor unveränderten guts, Inhalt Inventarÿ durch mich Not. in anno 1720. auffgerichtet
Norma hujus inventarii. Copia der Eheberedung – Copia Codicilli reciproci
Abzug dießes Inventarÿ. Der Wittib Vermögen, Sa. haußraths 14, Sa. Silbers 2, Sa. goldener Ring 2, Sa. baarschafft 1, Sa. Schulden 27, Sa. Ergäntzung (21, abzug 1, restirt) 20, Summa summarum 68 lb
Der Erben Nahrung, Sa. haußraths 11, Sa. Werckzeugs 5, Sa. Silbers 18 ß, Sa. Ergäntzungs rest 230, Summa summarum 248 – Schulden 27, Nach deren Abzug 221 lb
Die Theilbahre Verlaßenschafft, Sa. haußraths 20, Sa. holtz und werckzeugs 19, Sa. Silbers 1, Sa. baarschafft 87, Sa. Schuld 5, Summa summarum 134 lb – Schulden 250 lb, Theilbar assiv onus 115 lb
Beschluß und Stall summa 173 lb
Jean Jacques Œlinger dresse l’inventaire après la mort de Henri Greiff en 1744. L’acte manque bien que la numérotation ne signale pas de lacune. D’après l’acte suivant, il délaisse un fils de son premier mariage et un autre du deuxième.
1744, Registres annuels de la Taille (VII 1237) f° 318 (Zimmerleuth)
Heinrich Greÿff, Jur. 14 : Aug. 1723 – 2 lb 5 ß
dt. 10. Junÿ. Er tod, inventirt Not. Ölinger, W. Maria Magd.
Jean Henri Greiff meurt le 15 décembre 1743 de maladie consomptive à l’âge de 50 ans. Les témoins sont son fils Jean Henri et son beau-frère Jean Henri Buggelé
Sépulture, Saint-Pierre-le-Vieux (luth. reg. 1736-1757, f° 89)
1743. Sontag den 15. Decembr. abends zwischen 6 und 7 vhr starb an verzehreder Kranckheit Mstr. Joh: Heinrich Greiff, gewesener Schreiner und burger allhier seines alters 50 Jahr und 4 Tag und wurde dienstags darauff auff dem Gottes Acker St: Hel. beÿ gehaltener Leich predigt Christlich und ehrlich begraben, requiescat in pace [unterzeichnet] Johann Heinrich Greiff als Sohn, Johann Heinrich Buggele als schwager (i 93)
La veuve et les deux fils de Henri Greiff hypothèquent la maison au profit d’Anne Marie Wallner, veuve du péager Jean Jacques Hirschel
1745 (30.3.), Chambre des Contrats, vol. 619 f° 218-v
Erschienen weÿl. Heinrich Greiff des schreiners wittib Mariæ Magdalenæ geb. Röhrerin mit beÿstand ihres vogts Johann Heinrich Büglen des schreiners und der mit ihrem erstgemelten ehemann erzielten einigen kinds Johann Michael vogt Dietrich Wallhaußer auch schreiner, so dann H. Johann Friedrich Lung der schloßer als vogt gemelten Greiff in erster ehe mit weÿl. Fr. Annæ Elisabethæ geb. Baumheckelin erzeugten einigen kinds Johann Heinrich
in gegensein Fr. Annæ Mariæ geb. Wallnerin weÿl. Johann Jacob Hirschel des Zollers am Wickhäußel wittib mit beÿstand ihres vogts Johann Daniel Euler des biersieders in fernern gegenwärtigen vorgemelten Hirschels mit erstgedacht seiner wittib erzeugter zweÿ kinder Maria Barbara und Susanna Margaretha der Hirschel vogts /:Philipp:/ Abraham Lung des schloßers – schuldig seÿen 550 pfund
unterpfand, eine behausung, höfflein, hoffstatt cum appertinentis ane St Barbara gaß ist einseit ein Eck an derselben, anderseit neben dem Schaffneÿ haus derer Stifft Carthauß und St Nicolai in undis, hinten auff weÿl. H. Dr Saltzmanns Fr. wittib und erben – davon gibt man dem Stifft St Marx 6 ß 8 d ane bodenzinß
La veuve Marie Madeleine Röhrer meurt en 1788 en délaissant les représentants de sa fille Marie Madeleine Foster femme du menuisier Jean Philippe Beutelstætter et son fils Jean Michel Greif. La maison estimée 1 000 livres leur appartient pour un tiers, les deux autres tiers revenant au susdit Jean Michel Greif et à son frère célibataire Jean Henri comme héritiers de leur père. L’actif de la succession s’élève à 625 livres, le passif à 468 livres.
1788 (19.12.), Not. Schaeff (Jean Frédéric, 6 E 41, 871) n° 420
Inventarium über Weil. der Ehr: und Tugendsamen Fraun Mariæ Magdalenæ Greiffin gebohrener Röhrerin, längst Weil. Mr Heinrich Greiff, des gewesenen Schreiners und burgers allhier Zu Straßburg, seel. hinterlaßener Wittib nun auch seel. Verlaßenschaft auffgerichtet in anno 1788 – anch ihrem Mittwoch den 7. Xbr. gegenwärtigen 1788.sten Jahrs aus dießer Zeit und Welt genommenen tödlichen hintritt, nach sich verlaßen (…) Zuvorderist aber haben H Joh: Michael Greif der Sohn und Frau Maria Magdalena Bruderin gebohrne Beutelstetter die ältiste Enckelin (geäugt und gezeit) So beschehen alhier Zu Straßburg in einer ane der Barbara Gaß gelegener, hiehero Zum theil eigenthümlich gehöriger und hernach mit mehrerm beschriebener behaußung auff Freÿtag den 19.den Decembris Anno 1788.
Benamßung der Erben. Die Verstorbene seel. hat ab intestato Zu Ihren rechtmäsigen Erben Verlaßen namentlich und 1. Weil. Fraun Mariæ Magdalenæ Beutelstätterin gebohrner Fosterin, auch Weil. Mr Joh: Philipp Beutelstätter, des gewesenen Schreiners und burgers alhier gewesener Ehefrauen seel. hinterlaßene Kinder diesortige Encklen namentlich und a) die Ehr und tugendsame Frau Maria Magdalena Bruderin gebohrne Beutelstätterin, H Samuel Brudern des Seidenhändlers und burgers alhie Ehefrau, welche beiständlich dieses ihres marito sothanen Geschäft persönlich beigewohnet, und dabeÿ ihre eigene Interesse besorget, b) Johann Friderich Beutelstätter, den ledigen dermalen abwesenden Schreiner: Gesellen in weßen Nahmen Hr. Johannes Kamm, der gastgeber und E. E. großen Raths alhier wohlverdienter beisitzer, sothanem Geschäft persönlich abgewartet, und dabeÿ deßen Interesse bestens verwaltet und b) Weil. Frau Catharinæ Margarethæ Baurin gebohrner Beutelstätterin, Mr Joh: Jacob Baur des Schreiners und burgers allhier gewesener Ehefraun seel. hinterlaßene Kindere mit Nahmen und a) Catharina, b) Jacob und c) Philipp die Bauren, in welcher Nahmen Mr Joh: Philipp Fäsi der Schumacher und burger alhier, deroselben geordnet und geschworener Vogt, sothanen Geschäfft persönlich beigewohnt und dabeÿ die für seiner Curanden Interesse bestens besorget, diese in 1.er Ehe mit Weil. Mr Rudolph Foster dem gewesenen Schreiner und burgern alhier ehelich erzeugt
2.do H Johann Michael Greiff den Schreiner Meister und burgern alhier, dieser in letzter Ehe mit Weil. Mr Joh: Heinrich Greiff den gewesenen schreiner und burgern alhier ehelich erzeugt, Beÿde der Verstorbenen seel. in Zwoen Ehen ehelich erzeugte tochter und Sohn, auch davon abstammende Enckel und Uhrenckel und Zu Zwo gleichlingen portionen und Stammteileren Verlaßene Erben
(f° 8) Eigenthümlicher Antheil ane einer Behaußung. ämlich Ein dritter theil vor ohnvertheilt von und ane einer Behausung, höfflein und hoffstatt auch allen überigen deroselben begriffen, Weiten, Zugehörden, Rechten und Gerechtigkeiten, gelegen alhie Zu Straßburg ane der St. Barbara Gaß, einseit neben Frauen Chartel anderseit ist dieselbe Eck gegen der St. Helena Gaß und hinten auf N. Mohr den Lehnkutscher stoßend, davon gibt man jährlich dem Stift oder großen Allmosen Zu St Marx 6. ß 8 d ane bodenzinß, sonsten aber und außer den darauf haftenden und hernach passiv eingetragenen Capitalien, ist dieselbe gegen Männiglichen freÿ leedig eigen und dermalen durch (die Werckmeistere) vermög deroselben schriftlich ausgestelten und beÿ dieses Inventaraii Concepto verwahrlich liegenden Abschatzungs Scheins vom 7. hornung 1789. gewürdiget und angeschlagen worden, vor und um 2000 fl. oder 1000 lb. Wird aber hievon abgezogen obigen bodenzinßes der 6 ß 8 d doppelter Capitals-betrag mit 13. 6. 8. So verbleibet ane vorherigem Anschlag annoch übrig 986. 13. 4. Woran der hiehero gehörige dritte theil in Auswurf antrift 328. 17. 9 ⅓. Die überige Zween dritte theil daran seind H. Joh: Heinrich Greif, dem ledigen Bildhauer und H Joh: Michael Greif dem dißortigen Sohn und einter Miterben, vor vätterlich Guth Zuständig. Über diese gantze Behaußung besagt und ist vorhanden ein deutscher pergamentiner in alhiesiger C. C. Stub gefertigter, und mit dero anhangenden kleinerem Insiegel versehener Kauffbrieff dedato 30. Julii 1728.
(f° 11) Series rubricarum hujus Inventarÿ. Sa. haußraths 50, Sa. Holtzes und Werckzeug Zul Schreiner handwerck gehörig 59, Sa.Silber und dergleichen Geschmeids 4, Sa. der goldenen Ring 2, Sa. der baarschafft 12, Sa. Antheils ane einer behaußung 328, Sa. Schulden 167, Summa summarum 625 lb – Schulden 468 lb, Nach deren Abzug 156 lb
Marie Madeleine Rœhrer meurt le 10 décembre 1788 à l’âge de 88 ans deux mois
Sépulture, Saint-Pierre-le-Vieux (luth. f° 8-v, n° 31)
Im Jahr 1788 Freitag den 12. December ward, nach einer bei alten St. Peter gehaltenen Leichenpredigt, nach Mittag um drei Uhr Zu St Helenen beerdiget weiland Fr. Maria Magdalena Greifin geborne Rörerin, welche Mittwoch vorher, morgens um Zweÿ Uhr stab, War Verheirathet mit weiland Johann Michael Greif, Schreiner Mstr. und Burger allhier, Als Zeugen haben unterschrieben der Sohn Johann Michael Greif, Schreiner Mstr. und Burger dahier und Johann Heinrich Greif der Stiefsohn – alt 88 j. 2 M. 9 t. (i 25)
Fils du menuisier Jean Henri Greiff, le sculpteur Jean Henri Greiff devient tributaire à l’Echasse le 22 mars 1775.
1775, Protocole de la tribu de l’Echasse (XI 112)
(p. 235) Mittwochs deb 22.t Martÿ 1775 – Evangelischer Neuer Leibzünfftiger
Joh: Heinrich Greiff lediger Bildhauer weÿl. Joh: Heinrich Greiff geweßenen Schreiners und Burgers alhier seel. nachgelaßener Sohn stehet Vor prod. Stallschein Vom 22. Martÿ bittet um das Zunfftrecht.
Erkand Willfahrt, doch mit der Condition daß weilen Er das meisterstück nicht Verfertiget, Er nicht anderst Arbeiten Könne als Gesellen weiß beÿ einem der hiesigen Meistere, dt. 6 fl Vor das Zunfftrecht, 2 fl zu unterhaltung der Feuerspritz 13 ß 4 d Vor dem Pfenningthurn und 4 ß vor das Findlingshauß, jur. eod.
Le maître menuisier Jean Michel Greiff rachète les parts de la maison dont il devient seul propriétaire.
1789 (28. Febr.), Not. Schaeff (Jean Frédéric, 6 E 41, 871) Joint au ° 420 du 19 déc. 1788
Vor dem unterschriebenen geschwornen Notario als dem Verfaßer und besitzer Weil. Mr Johann Heinrich Greiff des gewesenen Schreiners und auch Weil. Frauen Mariæ Magdalenæ gebohrner Röhrerin beeder gewesener Eheleute und burgere alhier seel. Verlaßenschaft: Geschäften, sind heutigen Zu End gesetztem dato persönlich erschienen, Hr. Johann Heinrich Greiff, der bildhauer und burger alhier, Ferner Fr. Maria Magdalena Bruderin gebohrne Beuttelstetterin, Hrn. Samuel Bruder des Seidenhändlers und burgers alhier Ehefrau, beiständlich deßelben, Weiter Hr. Johannes Kamm, der Gastgeber und E. E. großen Raths alhier alter wohlverdienter beÿsitzer, mandatorio nomine Johann Friderich Beutelstatter, des abwesenden leedigen Schreiners, So dann Mr Johann Philipp Fäsi, der Schumacher und burger alhier, als geordnet: und geschworener Vogt Weil. Fraun Catharinæ Margarethæ Baurin, gebohrner Beuttlestetterin, Mr Joh. Jacob Baur des Schreiners und burgers alhier gewesener Ehefrau seel hinterlaßener dreÿ Kindern, namentlich Catharina, Jacob und Philipp, der Bauren, Welche samtiche Comparenten
in gegenwart Hrn Johann Michael Greiff des Schreiner: Meisters und burgers alhier, ihres respê. halb: bruders, Oncle und Groß: Oncle (abgetretten und überlaßen
Eine ihren der. respê Elter: groß: und uhrgroßelterliche Verlassenschafft gehörige Behausung, höfflein und hoffstatt, sambt allen übrigen deroselben Begriffen, Weiten, Zugehörden und Gerechtigkeiten, gelegen alhier zu Straßburg ane der St. Barbara Gaß, einseit neben Fraun Chartet der Wittib, anderseit ist dieselbe ein ein Eck gegen der St. Helena Gaß, und hinten auff N. Mohr dem Lehnkutscher stoßend, wovon man jährlich dem Stift oder großen Allmosen zu St. Marx 6 ß 8 d ane boden zinß Zu reichen schuldig – der darauf haftenden passiv: Capitalien der 7575 lb welche der H Cessionarius hiemit und in Kraft dieses übernimmt (…) zugangen und beschehen vor und um die Summam von 875 Pfund – So beschehen den 28. Februarÿ Anno 1789.
Copie, Chambre des Contrats, vol. 663 f° 213-v, 25 mai 1789 – auf ansuchen Johann Michael Greiff des schreiners, nachstehende erbscession
Jean Michel Greiff épouse le 4 mars 1776 Anne Marie Butz, fille du tailleur Jean Frédéric Butz
Mariage, Saint-Pierre-le-Vieux (luth. f° 16, n° 31)
Im Jahr 1776, Montag den 4. Martÿ seind nach vorher gegangener zweÿmaliger ordentlicher Proclamation Zu St. Thomæ und Zum alten st. Peter in der Stifts Kirche Zu St. Thomæ auf Erlaubnus des Herrn Ober Kirchenpflegers, ehelich copulirt und eingesegnet worden Johann Michael Greiff, der ledige Schreiner und burger allhier, weiland Johann Heinrich greiff gewesenen Schreiners und burgers allhier hinterlaßener ehelicher Sohn, und Jungfrau Anna Maria Butzin Johann Friderich Butz, des Schneiders und burgers allhier eheliche tochter [unterzeichnet] Johann Michael Greiff als hochzeiter, Anna Maria Butzin Als Hochzeiterin (i 19, procl. Saint-Pierre-le-Vieux f° 21)
Il devient tributaire chez les Charpentiers le 24 septembre 1776
1776, Protocole de la tribu des Charpentiers (XI 33)
(f° 143-v) Dienstags den 24. Septembris 1776 – (Neuzünfftiger)
Erschienen Mr Joh: Michael Greif der Schreiner und burger alhier, Weiland Heinrich Greif gewesenen Schreiners und burgers alhier ehelicher Sohn produciret Stallschein vom 23.ten Septembris 1776. bittend ihne beÿ dieser Ehrsamen Zunft als einen Zünftigen Zu recipiren, Sub oblato præstanda Zu præstiren.
Erkannt, Gegen Erlag der gebühr zu willfahren, juravit.
Ils font dresser l’inventaire de leurs apports dans une maison rue Sainte-Barbe face au couvent des Capucins. Ceux du mari s’élèvent à 146 livres, ceux de la femme à 283 livres.
1789 (2.2.), Not. Schaeff (Jean Frédéric, 6 E 41, 872) n° 423
Inventarium über H. Johann Michael Greiff, des Schreiner Meisters, wie auch der Ehr: und tugendsamen Fraun Annæ Mariæ gebohrner Butzin, beeder Eheleuthe und Burgere allhier Zu Straßburg einander in den Ehestand zugebrachte Vermögenschaften aufgerichtet in Anno 1789 – in ihren vor einigen Jahren angetrettenen Ehestand vor unverändert Zu: und eingebracht haben (…) So beschehen alhier Zu Straßburg in fernerem beiseÿn H. Johann Friderich Butz des Schneider: Meisters und Burgers alhier, der Ehefrau leiblichen Vaters und beistands, in einer an der Barbara gaß gegen dem kleinen Capuciner Kloster über gelegenen behausung auf Sambstag den 7.ten Februarÿ Anno 1789.
Series rubricarum hujus Inventarii. Des Ehemanns in die Ehe gebrachtes Vermögen, Sa. haußraths 64, Sa. Silbers und dergleichen Geschmids 33, Sa. der baarschafft 10, Summa summarum 108 lb – Wird nun darzu gelegt die ihm gebührige Helfte ane denen haussteuren anlangend 38 lb, So kommet des Ehemanns völlige in die Ehe gebrachte Vermögenschaft Zustehen auf 146 lb
Diesemnach so wird auch der Ehefraun in die Ehe gebrachte Vermögenschaft beschrieben, Sa. haußraths 97, Sa. Silbers und dergleichen Geschmeids 10, Sa. der goldenen Ring 29, Sa. der baarschafft 107, Summa summarum 244 lb – Wird auch darzu gelegt die ihro gleichfalls gebührige helfte ane denen Haussteuren 38 lb, So belaufet sich der Ehefraun völlige in die Ehe gebrachte Vermögenschaft in allem auf 283 lb
Jean Michel Greiff meurt en 1804 sans enfant. Ses héritiers sont les représentants de sa demi-sœur.
1804 (5 compl. 12), Strasbourg 7 (20), Not. Stoeber n° 1992, 6041
Inventaire de la succession de Jean Michel Greiff, menuisier décédé le 2 thermidor dernier – à la requête de 1. Marie Madeleine Beutelstetter femme du Sr Samuel Bruder Passementier demeurant à Strasbourg, 2. Sr Jean Jacques Bauer, cordonnier âgé de 22 ans, 3. Jean Philippe Bauer, garçon cordonnier âgé de 21 ans, 4. D° Anne Marie Butz veuve de Jean Michel Greiff menuissier assistée de Sr Georges Frédéric Doldé Praticien, la D° Bruder héritière du défunt son oncle maternel pour moitié, lesdits Baur héritiers de leur grand oncle maternel par représentation de Marguerite Beutelstetter, femme de Jacques Bauer, menuisier leur mère pour l’autre moitié
en la demeure de ladite veuve Greiff faisant partie de la maison sise rue de la demie lune n° 5 appartenant au défunt
Dépouillement de l’inventaire, propres de la veuve meubles 133 fr, argenterie 70 fr, or bijoux 42 fr, capital 2172 fr, dettes actives 200 fr, remploi 6631 fr, total 9250 fr
propres des héritiers, meubles 135 fr, argenterie 89 fr, garde robe 119 fr, maison o, remploi o, total 343 fr, passif 200 fr, reste 143 fr
communauté, meubles 415 fr, argenterie 15 fr, outils de menuisier 47 fr, dettes actives 3034 fr, total 3512 fr, passif 7031 fr, déficit 3518 fr
Maison appartenant en propre aux héritiers ([in margine :] dürr 120, hoppé 50, veuve 50, total 220), Une maison avec appartenante et dépendances sise à Strasbourg rue de la demi Lume N° 5, d’un côté la maison du Sr Colin cocher, de l’autre formant le coin de la rue Ste Hélène, aboutissant sur la maison du Sr Mohr cocher, laquelle maison doit annuellement à la fondation de St Marc une rente foncière de 1,35 fr – acquis par cession devant M° Schaeff le 28 février 1789, En outre il existe Contrat de vente à la Chambre des Contrats le 30 juillet 1728, remploi selon inventaire des apports reçu M° Schaeff le 17 février 1789, testament reçu M° Schaeff le 4 septembre 1789
Enregistrement, acp 94 F° 25 du 3 vend. 13
Les héritiers vendent la maison au tailleur d’habits André Spetzer et à sa femme Marie Thérèse Rieffel
1809 (9.12.), Strasbourg 12 (29), Not. Wengler n° 4465
Marie Madeleine Beutelstetter veuve de Samuel Bruder fabricant de boutons en soie, Jean Jacques Baur journalier et Jean Philippe Baur cordonnier en qualité de propriétaires par indivis savoir la première pour une moitié les deux dernierss conjointement pour l’autre moitié
à André Spetzer tailleur d’habits et Marie Thérèse Rieffel
une maison à rez de chaussée et deux étages avec trefond, petite cour et toutes ses autres appartenances, droits et dépendances sise à Strasbourg rue Ste Barbe plutôt rue de la Demi lune n° 5, formant d’un côté le coin de la rue Ste Barbe, d’autre Jacques Bieth cocher, devant la rue, derrière le Sr Mohr cocher – grévée envers l’hospice St Marc d’une rente perpetuelle de 1 fr 33 ou 26 sols 8 deniers – hérité de Jean Michel Greiff, menuisier leur oncle, lequel l’a acquis de Jean Henri Greiff, sculpteur et consorts devant Schaeff notaire le 28 février 1789 confimé par le Grand sénat le 13 mai et transcrit Chambre des Contrats le 25 du même mois – moyennant 8790 francs équivalant a celle de 8900 livres tournois
Enregistrement, acp 113 f° 158 du 11.12.
Tous deux originaires de Fegersheim, André Spetzer et Thérèse Rieffel se marient en 1804.
1804 (24 pluv. 12), Strasbourg 14 (23), Not. Lex n° 3759
Eheberedung – Andreas Spizer, Schneider gebürtig von Fegersheim allhier säshaft, weÿl. Andreas Spizer des Müllers zu gedachtem Fegersheim mit Katharina geb. Bitschenau ehelicher Sohn
und Theresia Rieffel gebürtig aus gedachtem Fegersheim, des br. Lorentz Rieffel des leinenwebers allhier mit Margaretha Fritsch erzeugte tochter [unterzeichnet] Andreas Spetzer, Riefell
Enregistrement, acp 90 F° 106 du 1 vent. 12
André Spetzer et Marie Thérèse Rieffel vendent la maison au tonnelier Jean Georges Braun et à sa femme Anne Marguerite Clerc
1813 (17.5.), Strasbourg 12 (50), Not. Wengler n° 7542
André Spetzer, tailleur d’habits, et Marie Thérèse Rieffel demeurant rue de la demi lune n° 5
à Jean Georges Braun, tonnelier, et Anne Marguerite Clerc demeurant rue de l’Arc en Ciel n° 15
une maison située à Strasbourg rue Ste Barbe au coin de la rue de la de la demi Lune consistant en un rez de chaussée, deux étages et greniers au dessus avec toutes ses autres droits, conditions, aisances, appartenances et dépendances, vers la rue Ste Barbe tenant au Sr Mohr cochern dans la rue de la Demi Lune à Jacques Bieth cocher, devant lesdites rues, derrière le Sr Mohr- chargé d’une rente de 1,33 franc envers l’hospice St Marc – avec cinq fourneaux de fonte dont trois mûrés et deux non mutés – acquis de Marie Madeleine Beutelstetter veuve de Samuel Bruder fabricant de boutons en soie et consorts moyennant 8900 fr. par acte reçu par le, soussigné notaire le 9 décembre 1809 – moyennant 10.500 francs
Enregistrement, acp 122 f° 95 du 18.5.
Originaire de Scherwiller, Jean Georges Braun épouse en 1812 Marguerite Clerc
1812 (15.2.), Strasbourg 14 (48), Not. Lex n° 5876
Contrat de mariage – Jean Georges Braun natif de Scherwiller arrondissement de Selestad, garçon tonnelier demeurant à Strasbourg fils majeur de Jean Braun, vigneron, et de Catherine Frey
Marguerite Clerc native de Strasbourg fille majeure de Joseph Clerc, emploié à la mairie, et de feu Joséphine Magigue
inventaire des apports 1444 fr
Enregistrement, acp 119 F° 17-v du 20.2.
Marguerite Clerc meurt le 23 novembre 1813 en délaissant pour seul héritier son père qui cède ses droits à son gendre. L’acte fait état des revers qu’a essuyés Jean Georges Braun et du mauvais état de la maison
1814 (8.12.), Strasbourg 6 (41), Not. Meyer n° 933
Arrangement – Jean Georges Braun tonnelier demeurant rue de la Demi Lune n° 5
Jacques Clerc employé à la mairie de cette ville demeurant rue de Schilligheim n° 26 d’autre part
Led. Sr Braun comme veuf d’Anne Marguerite Clerc sa femme décédée le 23 novembre dernier sans laisser d’enfant ni frère ni sœur, le Sr Clerc comme père et seul ascendant, les conjoints Braun se sont mariés au commencement de 1812 après avroit passé contrat de mariage devant M° Lex le 15 février même année, (contestation au sujet de 4000 fr données au contrat de mariage) ; suivant testament reçu Stoeber notaire le 10 novembre dernier, (il en résulte qu’il revient) au veuf la propriété de trois quarts et l’usufruit d’un quart et au père la nue propriété d’un quart.
Leur fortune bien loin d’augmenter dans les premiers tems de leur mariage s’est au contraire diminuée par l’effet d’une malheureuse spéculation du mari qui réduisit ces jeunes époux a un état de dénuement absolu. Néanmoins leurs affaires parurent s’améliorer (…) ils achetèrent devant M° Wengler le 17 mai 1813 une maison située au soin de la rue Ste Barbe et de la Demi Lune. Loin d’y éprouver le sort qu’ils y attendaient, lesdits epoux essuyerent de nouveaux revers, ladite maison qu’ils crurent solide et en bon état quoique bien vieille commença au printems dernier par jeter des fentes faire des crevasses et menacer ruine en divers endroits. Ils durent par conséquent songer à la réparer mais en exécurant cette entreprise Ils remarquèrent qu’au lieu de se tenir aux simples réparations nécessaires ils étaient forcés de démolir et de reconstruire, L’intérieur de la maison fut abattu mais les fonds destinés aux simples réparations étant déjà épuisés et la maladie de la défunte étant survenue les travaux furent suspendus. En sorte qu’aujourd’hui ladite maison se trouvant diminuée de sa valeur réelle, est estimée à la somme de 6000 francs
dettes 4937 fr, reste 1062 fr, reste prix vente 3000 fr, masse 1937 fr, à déduire 3000 fr, déficit de 4937 fr – mobilier 1774 fr (somme) 3163 fr
Enreg. F° 131 du 10.12.
Jean Georges Braun se remarie avec Elisabeth Senter, originaire de Burnhaupt-le-Bas en Haute-Alsace. Le futur époux apporte la maison en mariage
1817 (27.5.), Strasbourg 7 (58), Not. Stoeber jeune n° 2772
Contrat de mariage – Jean Georges Braun, tonnelier domicilié en cette ville fils majeur de Jean Braun, vigneron à Scherwiller et de Catherine Frey, veuf de Marguerite Clerc
Elisabeth Senter fille majeure feu Joseph Senter, cultivateur, et de Madeleine Hürth à Bürnhaupt le bas
régime de communauté d’acquets avec réserve d’usufruit
apports du futur époux, une maison appartenances et dépendances sise à Strasbourg rue Ste Barbe au coin de la rue dite la Demi lune n° 5, tenant dans la rue Ste Barbe au Sr Mohr cocher, dans la rue de la Demi Lune à Jacques Rieth cocher, par devant les rues par derrière le Sr Mohr – acquis avec sa première femme d’André Spitzer tailleur d’habits et Marie Thérèse Rieffel suivant acte reçu Wengler notaire le 17 mai 1813, ledit Spitzer l’avait acquis de Marie Madeleine Beutelstaetter femme de Samuel Bruder, fabricant de boutons, suivant acte reçu par ledit Wengler le 9 décembre 1809 – devenu propriétaire exclusif de ladite maison suivant arrangement âssé devant M° Meyer le 8 décembre 1814 – passif 9600
apports de la future épouse 1383 fr et terres en sept pièces
Enregistrement, acp 134 F° 87-v du 30.5.
Georges Braun et Elisabeth Sender louent une partie de la maison qui sert de salle de café à l’aubergiste Frédéric Bœhlé
1818 (10.9.), Strasbourg 7 (59), Not. Stoeber jeune n° 4161
Bail de 3, 6 ou 9 ans à commencer le 25 décembre prochain – Georges Braun, tonnelier, et Elisabeth Sender
à Frédéric Boehle aubergiste demeurant place d’Armes n° 29
au rez de chaussée de leur maison sise en cette ville rue de la Demi Lune n° 5, la grande pièce à gauche en entrant ayant servi depuis à la salle de café, le cabinet et la cuisine à côté, sous la première pièce se trouve un comptoir et un fourneau en fer de fonte quarrée à vis de cuivre jaune dans le cabinet un tonnelet à vinaigre, la chambre au second étage à gauche de l’escalier, une cave au dessous de l’escalier et une chambre à linge sale – moyennant un loyer annuel de 400 francs
Enregistrement de Strasbourg, acp 140 F° 63-v du 14.9.
Elisabeth Sander veuve de Georges Braun loue la maison au menuisier Pierre Sibill et à Madeleine Voltz
1825 (3.9.), Strasbourg 4 (61), Me Hatt n° 2485
Bail de 6 années à commencer à la St Michel prochaine – Elisabeth Sander veuve de Georges Braun tonnelier
à Pierre Sibill, menuisier, et Madeleine Voltz
une maison avec appartenances et dépendances sise à Strasbourg rue de la Demi Lune n° 5 d’un côté le Sr Mohr cocher, d’autre M Collin, derrière le Sr Mohr, avec quatre fourneaux en fer de fonte et un fourneau en fayence – moyennant un loyer annuel de 600 francs
Enregistrement, acp 174 F° 155 du 7.9.
Elisabeth Sender meurt à l’hôpital en décembre 1825 en délaissant une fille naturelle (voir l’acte de vente ci-dessous)
1826 (14.6.), Strasbourg 1 (48), Me Rencker n° 4559
Inventaire de la succession d’Elisabeth Sender, veuve de Jean Georges Braun, tonnelier et marchand de vins, décédée à l’hospice civil le 23 décembre dernier – à la requête de François Louis Funck, menbre de la commission des prisons curateur établi à la succession vacante jugement du Tribunal civil du 5 juin courant
immeuble, une maison et dépendances sise à Strasbourg au coin de la rue de la Demi Lune n° 5 entre Sr Mohr & Bieth. Cette maison est louée à Pierre Sibill, menuisier, et Madeleine Voltz pour 6 ans à partir du 29 septembre 1825 suivant bail passé devant M° Hatt le 3 septembre 1825 pour un loyer annuel de 600 fr – passif 6700 fr
Enregistrement de Strasbourg, acp 179 f° 22-v du 14.6.
Le curateur à la succession vacante d’Elisabeth Sender et sa fille vendent la maison aux enchères au serrurier Henri Schoop
1826 (20.9.), Strasbourg 1 (48), Me Rencker
Cahier des charges du 25 juillet n° 4623, adjudication préparatoire du 6 septembre n° 4678, Adjudication définitive n° 4721 – à la requête de François Louis Funck, membre de la commission administrative des prisons, curateur établi à la succession vacante d’Elisabeth Sender veuve de Jean Georges Braun, marchand de vins à Strasbourg où elle est décédée à l’hospice civil le 23 décembre dernier, suivant jugement du tribunal civil de date du 5 juin dernier – vente ordonnée par jugement du 24 juillet dernier, rapport d’experts du 10 juillet par Chrétien Arnold, et de Claire Louise Elisabeth Sender, fille naturelle de ladite Braun, héritière universelle d’après l’article 758 du Code Civil
à Henri Schoop, serrurier domicilié rue Ste Barbe n° 12
Désignation de l’immeuble à vendre, une maison & dépendances sises à Strasbourg au coin de la rue de la Demi Lune n° 5, entre Sr Mohr & Bieth, estimée 6000 fr. Cette maison est louée à Pierre Sibill, menuisier, et Madeleine Voltz pour 6 ans, suivant bail pour six ans à partir du 29 septembre 1825 pasé devant M° Hatt le 3 septembre 1825 pour un loyer annuel de 600 fr – Titres de propriété, Jean Georges Braun et son épouse en premières noces Anne Marguerite Clerc ont acquis ledit immeuble d’André Spetzer, tailleur d’habits, et de Marie Thérèse Rieffel suivant acte reçu Wengler notaire le 17 mai 1813. Suivant testament reçu Stoeber notaire le 10 novembre 1814 enregistré le 23 du même mois, la D° Braun née Clerc a institué son mari son légataire universel. L’immeuble dépendait de la succession de la veuve Braun née Sender qui l’a reçu de son mari suivant yestament reçu Stoeber notaire le 31 décembre 1818 – moyennant 8175 francs
(Adjudication définitive), fait interposer saisie arret entre les mains de Pierre Sibill, locataire de ladite maison sur tous les loyers qu’il doit ou pourra devoir
Enregistrement de Strasbourg, acp 180 f° 93 du 22.9.
Originaire de Lunebourg, Jérôme Henri Schoop épouse en 1814 Marie Madeleine Mayer, fille de cabaretier
1814 (23.6.), Strasbourg 10 (53), Not. Zimmer n° 530, 6401
Contrat de mariage – Jérôme Henri Schoop, serrurier à Strasbourg fils de Hardwig Leonard Schoop, baquetier et de Rahel Charlotte Ehling demeurant à Lünebourg, né audit lieu le 1 avril 1787
Marie Madeleine Mayer née le 13 novembre 1789 de Jacques Frédéric Mayer, cabaretier et de Marie Madeleine Herz
Enregistrement, acp 124 f° 169-v du 24.6.
Jérôme Henri Schoop et Marie Madeleine Mayer hypothèquent la maison et une autre rue du Vieux-Seigle au profit du marchand de bois Frédéric Philippe Gœtz
1845 (23.1.), Strasbourg 12 (165), Me Noetinger n° 17.438
Obligation, 23 janvier 1845 – Ont comparu M. Jérôme Henry Schoop, serrurier et D° Marie Madeleine Meyer, sa femme qu’il autorisé tous deux demeurant à Strasbourg (devoir)
à M. Frédéric Philippe Goetz, marchand de bois demeurant à Strasbourg, à ce présent et acceptant, la somme principale de 25.000 francs pour prêt de pareille
hypothèque 1° Une maison avec cour, vieille tour, pompe, appartenances et dépendances, situér à Strasbourg rue du vieux seigle n° 1, formant le coin de la rue de la lanterne, tenant d’un côté à M. Michel Aron, de l’autre à la rue de la lanterne, par devant la rue du vieux seigle par derrière M. Louis Bloch
2° une maison avec dépendances, située en ladite ville rue de la Demi lune N° 5, formant le coin de la rue Ste Barbe, tenant d’un côté à M. Gros, de l’autre à la rue Ste Barbe, par devant à la rue de la demi Lune, par derrière à M. Porst.
Les débiteurs ont acquis la maison désignée sous l’article premier des Srs Benoit Berr & David Levy Négociants à Strasbourg, suivant procès verbal d’adjudication dressé par ledit Notaire Noetinger le 15 avril 1829 dont le prix a été entièrement acquitté (…). La maison désignée sous l’article 2 a été acqise par les débiteurs de Dlle Claire Louise Elisabeth Sender de cette ville, suivant procès verbal d’adjudication dressé par M° Rencker, notaire à Strasbourg le 20 septembre 1826 dont le prix a été soldé
Marie Madeleine Mayer meurt en 1859 en délaissant quatre enfants. La succession comprend les deux maisons ci-dessus hypothéquées
1860 (7.8.), M° Noetinger
Inventaire de la communauté de biens qui a existé entre Jérôme Henri Schoop, serrurier et Marie Madeleine Mayer sa femme à Strasbourg et de la succession de la D° Schoop décédée le 6 juillet 1859, dressé à la requête 1) du veuf, agissant comme commun en biens en vertu de son contrat de mariage reçu Zimmer Nre le 23 juin 1814, 2) Jérôme Henri Schoop, serrurier, 3) Frédéric Schoop, serrurier, 4) Auguste Schoop, architecte, 5) Madeleine Charlotte Schoop épouse de Laurent Guillaume Wiborg, peintre verrier, tous à Strasbourg
acp 490 (3 Q 30 205) f° 90-v du 14.8. (succession déclarée le 24 octobre 1860)
Communauté. mobilier 1152, argent 200, créances 18.515, loyers 59
une maison à Strasbourg rue du Vieux Seigle n° 6
une maison à Strasbourg rue de la demie lune n° 1
Passif 25.000
succession, garde robe 105
Jérôme Henri Schoop meurt le 11 juillet 1865
1865 (5.9.), M° Noetinger
Inventaire de la succession délaissée par Jérôme Henri Schoop, serrurier à Strasbourgn décédé le 11 juillet 1865, à la requête de 1) Jérôme Henri Schoop, entrepreneur de serrurerie à Strasbourg, 2) Geoffroi Frédéric Schoop, entrepreneur de serrurerie à Strasbourg, 3) Charles Auguste Schoop, architecte à Strasbourg, 4) Anne Madeleine Charlotte Schoop épouse de Laurent Guillaume Viborg, peintre sur verre à Viborg
acp 545 (3 Q 30 260) f° 97 du 11.9. (succession déclarée le 10 janvier 1769) – Succession, mobilier 506
moitié d’une maison à Strasbourg rue du Vieux Seigle n° 6
moitié d’une maison à Strasbourg rue de la demie lune n° 1
créances 3528, argent 110, loyers 267 – passif 13.083, autres 2128
1865 (31.7.), M° Noetinger
Dépôt du testament olographe de Jérôme Henri Schoop
acp 545 (3 Q 30 260) f° 24 du 4.8.
Enregistrement de Strasbourg, ssp 142 (3 Q 31 641) f° 39-v du 4.8.1865
26.8.1860. Testament – Jérôme Henri Schoop
Liquidation et partage après la vente des immeubles
1866 (15.11.) M° Noetinger
Liquidation et partage 1) de la communauté de biens qui a existé entre Jérôme Henri Schoop, serrurier, et Marie Madeleine Meyer sa femme à Strasbourg, 2) de la succession du Sr Schoop décédé le 11 juillet 1865, de celle de la D° Schoop décédée le 6 juillet 1859. Par testament olographe en date du 26 août 1860 le Sr Schoop père a légué 1) à sa belle sœur Sophie Wilhelmine Mayer une somme de 3000 francs 2) à des trois fils, déduction du legs, la portion disponible dont la loi lui permet de disposer
acp 559 (3 Q 30 274) f° 7 du 16.11. – Communauté. Masse active 84.819, fruits 831, total 85.651 – Masse passive 518, reste 85.135, moitié 42.566
Succession de Mde Schoop, bénéfice de la communauté 42.566, rapport de Jérôme Henri Schoop 2024, rapport de Frédéric Geoffroi Schoop 2024, rapport de Charles Auguste Schoop 5051, total 51.743 – Masse passive 9212, reste 42.530. le quart 10.632
Succession de Mr Schoop, bénéfice de la communauté 42.566, argent 110, loyers 267, total 42.943 – Masse passive 7134, reste 35.809
(à déduire le legs de 3000, du quart disponible 8952, reste 5921), reste 29.857
Attributions, I. Charles Auguste Schoop, II. Jérôme Henri Schoop, III. Geoffroi Frédéric Schoop, IV Anne Madeleine Charlotte Schoop épouse de Laurent Guillaume Wiborg
1865 (3.11.), M° Noetinger
Cahier des charges à la requête de Jérôme Henri Schoop entrepreneur de serrurerie à Strasbourg et de Geoffroi Auguste Schoop également entrepreneur à Strasbourg
pour parvenir à la vente d’une maison sise à Strasbourg rue du Vieux Seigle n° 6
et d’une autre rue de la Demi Lune n° 1
acp 547 (3 Q 30 262) f° 74 du 9.11.
Les héritiers vendent la maison à Marie Joséphine Stahl veuve de Jacques Palmer
1866 (31.10.), M° Noetinger
Vente par 1) Jérôme Henri Schoop, entrepreneur et Salomé Siegfried sa femme à Strasbourg, 2) Geoffroi Frédéric Schoop, entrepreneur et Louise Goerner sa femme à Strasbourg, 3) Charles Auguste Schoop, architecte et Eugénie Ott sa femme à Strasbourg, 4) le mandataire de d’Anne Madeleine Charlotte Schoop épouse de Laurent Guillaume Wiborg, peintre sur verre à Copenhague
à Marie Joséphine Stahl veuve de Jacques Palmer à Strasbourg
d’une Maison sise à Strasbourg rue de la Demi Lune n° 1, moyennant 16.000 francs dont 1500 francs payés – héritage de Jérôme Henri Schoop, serrurier décédé le 16 juillet 1865 et Madeleine Meyer décédée le 6 juillet 1859
acp 557 (3 Q 30 272) f° 82 du 7.11.
Originaire de Durbach près d’Offenbourg, le brasseur Jacques Palmer épouse Marie Joséphine Stahl veuve du cordonnier Charles Steydel
1858 (12.5.), Strasbourg 13 (nouv. 82), Not. Flach (Jean Georges) n° 3611
Contrat de mariage – Ont comparu M Jacques Palmer, garçon brasseur chez M° Fleischhauer brasseur à Strasbourg où il demeure, fils majeur du Sr Georges Palmer, vigneron et de D° Marie Anne Maennlé vivant conjoints à Durbach (grand duché de Bade) futur époux stipulant en son nom personnel d’une part
Et Mad. Marie Joséphine Stahl veuve avec un enfant du Sr Charles Steydel cordonnier à Strasbourg, future épouse stipulant en son nom personnel d’autre part
acp 469 (3 Q 30 184) f° 41 du 14.5. – stipulation de communauté de biens réduite aux acquêts, partageable par moitié, réserve d’apports et d’héritages
Le futur ne stipule aucun apport
Les apports de la future consistent en un mobilier estimé à 600
Donation par le futur à la future de la propriété de toute sa succession, réductible en cas d’existence d’enfant à un quart en propriété et un quart en usufruit et par la future au futur de l’usufruit de toute sa succession réductible en cas d’enfant
Le cordonnier Charles Steydel épouse Marie Joséphine Stahl en 1851
Mariage, Strasbourg (n° 295)
Du 21° juillet l’an 1851 à dix heures du matin. Acte de mariage de Charles Steydel, majeur d’ans né en légitime mariage le 2 octobre 1828 à Strasbourg, domicilié à Strasbourg, cordonnier, fils d’André Steydel, cordonnier, et de Gertrude Criqui, conjoints domiciliés en cette ville, ci présents et consentants, et Marie Joséphine Stahl, majeure d’ans, née en légitime mariage le 3 octobre 1829 à Strasbourg domiciliée à Strasbourg, fille de Jean Georges Stahl, imrpimeur en papier peint, et de Marie Madeleine Horst conjoints domiciliés en cette ville – il n’y a pas eu de de contrat, (signé) Charles Steÿdel, Josephine Stahl (i 18)
Registre de population 600 MW 314 (i 128)
Palmer, Jacques, Nesselried 1827, h.m., garçon brasseur, catholique, badois, (à Strasbourg depuis) 1855 – décédé le 22 8.b 1866, Marié le 15 mai 1858
id. née Stahl, Marie Joséphine, Strasbourg 1829, f.m., sa femme, catholique, française
Steydel, Joséphine, Strasbourg 1853, fille du 1° lit
Palmer, Jacques Edouard, Strasbourg 7 mai 1859, fils du brasseur
Jacques Palmer meurt en 1867 en délaissant pour héritiers son fils et la fille issue du premier mariage de sa femme.
1867 (18.12.), M° Noetinger
Inventaire de la communauté de biens qui a existé entre Jacques Palmer, brasseur et Marie Joséphine Stahl sa femme à Strasbourg et de la succession du Sr Palmer, décédé le 22 octobre 1866
dressé à la requête de la veuve, agissant comme commune en biens en vertu de son contrat de mariage reçu Flach Nre le 12 mars 1858 et comme donataire d’un quart en propriété et qu’un quart en usufruit de la succession de son mari, comme mère et tutrice de Joséphine Steydel enfant du premier lit de la veuve, légataire universelle du défunt et d’Edouard Palmer, issu du mariage avec ledit défunt
acp 560 (3 Q 30 275) f° 5-v du 26.12. (succession déclarée le 2 avril 1867
Communauté, maison estimé ci 533, argent 625
Succession, reprises de la veuve 69
1867 (6.11.), M° Noetinger
Dépôt du testament olographe de Jacques Palmer blanchisseur
acp 558 (3 Q 30 273) f° 6 du 12.11.
Enregistrement de Strasbourg, ssp 145 (3 Q 31 644) 50-v du 12.11.1867
13 septembre 1866. Testament – Je soussigné Jacques Frédéric Palmer donne en toute propriété à Marie Joséphine Steydel, fille de ma femme, tout ce que la loi me permet de donner afin qu’elle obtienne autant que possible le montant de la part qui reviendra sur notre fortune à son frère Edouard Palmer
(décès du 22 octobre 1866)