12, rue Saint-Marc
Saint-Marc n° 12 – VIII 159 (Blondel), P 1230, 1231, 1232 puis section 9 parcelle 45, maison, et 43, jardin (cadastre)
Ancienne auberge des pauvres passants (die alte Elende Herberg), 1619
Millésime 1687 sur la porte cochère – Démolie vers 1905
Les 10 à 14 rue Saint-Marc (août 2021)
Le docteur en droit Jean Jacques Riep qui a acquis en 1619 le domaine dit cour Lumbart (Lumbartshoff), comprenant une maison principale et six autres bâtiments, cède en 1620 au boulanger Jean Pfedersheim l’une d’elles, l’ancienne auberge des pauvres passants. La maison revient en 1634 au boulanger Laurent Feucht puis au barbier Philippe Hartdegen, banni en 1674. Déjà propriétaire du grand jardin à l’arrière, le marchand Jean Richshoffer l’achète en 1679. Adolphe Seyboth signale que la porte cochère est surmontée du millésimé 1687. Gendre du précédent, le docteur en médecine Melchior Sebizius vend la maison et le jardin en 1700 à l’horticulteur Jean Heffenbach, originaire de Courlande, dont la veuve se remarie avec Nicolas Struvé, horticulteur originaire du Holstein qui devient ensuite jardinier au jardin botanique (Doctor Garten). Propriétaire de 1768 à 1772, le jardinier André Gutwein vend la maison au marchand Jean Lichtenberger qui fait faillite. Le procureur de la Chancellerie Jean Frédéric Seyler la rachète en société avec lui en 1778 puis en devient seul propriétaire en 1782. Il la vend en 1795 à l’aubergiste Claude Naré. Devenue l’auberge dite au Jardin des Orangers (1804), elle change plusieurs fois de mains avant que le tanneur Jean Jacques Ott ne l’achète en 1804.
Plan-relief de 1725 (© Musée historique, cliché Thierry Hatt). La maison se trouve à gauche du passage qui part du milieu de l’image vers le bas.
Dessins préparatoires au plan-relief de 1830, îlot 256 : plan, élévations sur rue (© Musée des Plans-relief) 1
L’Atlas des alignements (années 1820) mentionne un bâtiment à rez-de-chaussée et un étage en maçonnerie. Sur les élévations préparatoires au plan-relief de 1830, la façade sur rue se trouve entre (o’-p’), suivie de la porte cochère (p’-q’). La cour F montre la même porte cochère (18-19) puis la façade (19-21) du bâtiment sur rue, suivie d’un deuxième bâtiment (21-22-23-24) qui donne en (22-23) sur la cour et en (23-24) sur le jardin, la porte étant précédée d’un escalier.
La maison porte d’abord le n° 2 (1784-1857) puis le n° 12.
Partie de la cour F proche des bâtiments
David Ott recueille la maison et le jardin dans les successions de son père et de son frère. Célibataire, il la vend en 1868 à l’établissement des Diaconesses, qui est déjà propriétaire de la maison numéro 8 et acquerra ensuite les numéros 10 et 14. Les bâtiments sont démolis, une partie du terrain réunie à la voie publique (exercice 1907), le bâtiment actuel est construit sur le terrain des anciens numéros 10, 12 et 14.
Plan Blondel (1765, exemplaire AMS cote 1 PL 675) – La parcelle 159 comprend une maison de jardinier qui a disparu sur les dessins préparatoires au plan-relief de 1830
décembre 2020
Sommaire
Cadastre – Relevé d’actes
Récapitulatif des propriétaires
La liste ci-dessous donne tous les propriétaires de 1606 à 1952. La propriété change par vente (v), par héritage ou cession de parts (h) ou encore par adjudication (adj). L’étoile (*) signale une date approximative de mutation.
Sigismond Flach et (1595) Marie Hochfelder puis (1606) Marguerite Fettich – luthériens | ||
1619 | v | Jean Jacques Riep, docteur en droit, et (1606) Anne Flach d’abord (1590) femme du docteur en droit Paul Graseck, puis (1611) Jeanne Marie Wolff dite Schœneck – luthériens |
1620 | v | Jean Pfedersheim, boulanger et fabricant d’amidon, et (1605) Brigitte Riehl, d’abord (1596) femme du boulanger André Würth, puis (1612) Sibille Træher, d’abord (1603) femme du tanneur Séverin Pfotzer – luthériens |
1634 | v | Laurent Feucht, boulanger, et (1615) Catherine Lehmann – luthériens |
1648* | v | Philippe Hartdegen, barbier, et (1650) Anne Marie Lung – luthériens |
1679 | v | Jean Richshoffer, marchand, et (1663) Cunégonde Kips – luthériens |
1691* | h | Melchior Sebizius, docteur en médecine, et (1691) Cunégonde Richshoffer – luthériens |
1700 | v | Jean Heffenbach, horticulteur, et (1692) Marie Ursule Redslob d’abord (1683) femme du chapelier Balthasar Schultz – luthériens |
1717 | h | Nicolas Struvé, horticulteur, et (1704) Marie Ursule Redslob veuve de Balthasar Schultz et de Jean Heffenbach, puis (1717) Marie Ursule Heyl – luthériens |
1753 | h | Jean Jacques Struvé, horticulteur, et (1753) Marie Marguerite Ebinger – luthériens |
1768 | v | André Gutwein, jardinier, (1743) Marie Salomé Busch – luthériens |
1772 | v | Jean Lichtenberger, marchand, et (1760) Marie Salomé Kruel, d’abord (1746) femme du marchand Jean Philippe Schatz, puis (1780) Madeleine Félicité Rittel – luthériens |
1778 | v | Jean Frédéric Seyler, procureur, et (1770) Marie Madeleine Couturier – luthérien converti, catholique |
1795 | v | Claude Naré, aubergiste, et Françoise Periat |
1797 | v | Jean Michel Müller, et (1789) Marie Elisabeth Ritleng – catholiques |
1798 | v | Jean Leberecht Rausch, marchand, et (1796) Frédérique Madeleine Rausch Cerf Jacob (puis Jacob Felsenberg), marchand, et (v. 1776) Fromett Weil (puis Rachel Weil) – juifs |
1801 | v | Jean Daniel Meyer, brasseur, et (1803) Marie Madeleine Meyküchel |
1804 | v | Jacques Ott, tanneur, et (1788) Marie Elisabeth Lyroth – luthériens |
1834 | h | Jean Jacques Ott, mercier à Kehl, et Salomé Bock veuve du bonnetier Michel Schoch puis Marie Scheer et David Ott, propriétaire, célibataire († 1876) |
1848 | h | David Ott, propriétaire, célibataire († 1876) |
1868 | v | Etablissement des Diaconesses |
Valeur de la maison selon les billets d’estimation : 1717 maison 575 livres, jardin 600 livres – 1751, maison 900 livres, jardin 120 livres
(1765, Liste Blondel) VIII 159, Jean Jacques Strohl
(Etat du développement des façades des maisons, AMS cote V 61) Seÿler, 8 toises, 9 pieds et 3 pouces
(1843, Tableau indicatif du cadastre)
P 1230, Ott, Jacques, fabricant de bas à Kehl (Bade) – maison, sol, cour écurie – 1,68 are
P 1231, Ott, David, rue du coin Brûlé, propriétaire, tourneur – maison, sol, cour écurie – 1,9 are
P 1232, Ott, Jacques et Ott David – jardin – 50,5 ares
Locations
1695 (jardin), Jean Wurtz, jardinier
1696, Marie Ursule Hærler, femme abandonnée de Jean Chrétien Schatz, pensionnaire à l’hôpital
1728 (jardin), Jean Wœrlé, jardinier manant
1737 (jardin), Abraham Datt, boucher, et Marie Dorothée Hatt
1762 (jardin), Jean Albert Ungerer et Jean Jacques Schlegel, bouchers
1766 (jardin), Jean Lamp le jeune, boucher
1768, Jean Lichtenberger, marchand, ensuite propriétaire
1803 (jardin), Michel Bœttiger, jardinier
1805 (jardin), Georges Bœttiger, jardinier
1809, Marie Reine Weiler femme du journalier François Collin
1810 (jardin), Georges Schœllhammer, horticulteur, et Marguerite Schœllhammer veuve de Daniel Schœllhammer
1798, Jean Joseph Macabry, cabaretier
Description de la maison
- 1717 (billet d’estimation traduit) La maison qui comprend une cave sous solives et une écurie est estimée avec ses appartenances et dépendances à la somme de 800 florins
Atlas des alignements (cote 1197 W 37)
3° arrondissement ou Canton Sud – Rue St. Marc
nouveau N° / ancien N° : 9 / 2
Ott
Rez de chaussée et 1° étage médiocre en maçonnerie
(Légende)
Cadastre
Cadastre napoléonien, registre 28 f° 348 case 2
Ott David
P 1231, sol, Maison cour écurie, Rue St Marc
Contenance : 1,90
Revenu total : 68,16 (0,99 et 25,25 et 50)
Ouvertures, portes cochères, charretières :1 / ½
portes et fenêtres ordinaires : 31 / 8
fenêtres du 3° et au-dessus :
P 1232, jardin
Contenance : 25,25
Revenu total : 17,17
Cadastre napoléonien, registre 28 f° 348 case 3
Ott Jacques, fabricant de bas à Kehl (Bade)
P 1230, sol, Maison cour écurie, Rue St Marc 2
Contenance : 1,68
Revenu total : 45,04 (0,87 et 27 et 17,17)
Ouvertures, portes cochères, charretières : ½
portes et fenêtres ordinaires : 23
fenêtres du 3° et au-dessus :
P 1232, jardin
Contenance : 23,25
Revenu total : 17,17
Cadastre napoléonien, registre 26 f° 676 case 2
Ott David
1870 L’Etablissement des dames diaconesses
P 1231, Maison, sol cour, Rue St Marc 12
Contenance : 1,90
Revenu total : 68,16 (0,99 et 25,25 et 50)
Folio de provenance : (348)
Folio de destination : Gb
Ouvertures, portes cochères, charretières : ½
portes et fenêtres ordinaires : 8
fenêtres du 3° et au-dessus :
P 1232.p, jardin
Contenance : 25,25
Revenu total : 17,17
Folio de provenance : (348)
Folio de destination : Gb
P 1230, Maison, sol cour, Rue St Marc 12
Contenance : 1,68
Revenu total : 113,20 (supra, 17,171,90 et 25,25 et 50)
Folio de provenance : 677
Folio de destination : Gb
Année d’entrée : 1870
Année de sortie :
Ouvertures, portes cochères, charretières : ½
portes et fenêtres ordinaires : 22
fenêtres du 3° et au-dessus :
P 1232.p, jardin
Contenance : 25,25
Revenu total : 17,17
Folio de provenance : (348)
Folio de destination : Gb
Cadastre napoléonien, registre 26 f° 677 case 1
Ott Jacques, fabricant de bas à Kehl (Bade)
P 1230, Maison, sol cour, Rue St Marc 12
Contenance : 1,68
Revenu total : 45,04 (0,87 et 27 et 17,17)
Folio de provenance : (348)
Folio de destination : 676
Année d’entrée :
Année de sortie : 1870
Ouvertures, portes cochères, charretières : ½
portes et fenêtres ordinaires : 22 / 18
fenêtres du 3° et au-dessus :
P 1232.p, jardin
Contenance : 25,25
Revenu total : 17,17
Folio de provenance : (348)
Folio de destination : 676
Année d’entrée :
Année de sortie : 1870
Cadastre allemand, registre 29 p. 117 case 3
Reporté en 1907 à la case 5 (8, rue Saint-Marc) et en partie à la case 4 du folio 101 (voie publique). N.B. La parcelle P 1231 est attribuée au 14, rue Saint-Marx (section 9 parcelle 44)
Parcelle, section 9, n° 45 – autrefois P 1230
Canton : St. Marxgasse Hs. Nr 12
Désignation : Hf, Whs u. NG.
Contenance : 2,93
Revenu : 200
Remarques : ab 1907 F. 5 u. S. 101 F 4
(Propriétaire), compte 61
Evangel. Diakonissenanstalt
1927 Etablissement des Diaconesses
(154) corrigé en (175)
Cadastre allemand, registre 29 p. 117 case 1
Parcelle, section 9, n° 43 – autrefois P 1232
Canton : St. Elisabethgasse
Désignation : G.
Contenance : 33,19
Revenu : 61
Remarques :
(Propriétaire), compte 61
Evangel. Diakonissenanstalt
1927 Etablissement des Diaconesses
(154) corrigé en (175)
1789, Etat des habitants (cote 5 R 26)
Canton VIII, Rue 280 Finckweiler Derrière la Mouche p. 434
2
pr. Seiler Jean fréd. Officier de la Ch. de subhastation – Jardiniers
loc. Berold, Jean, poissonier – Pêcheurs
loc. Nicolas Joseph Blanchisseur – Moresse
Registres de population
(1795) rue St Marc 2 (registre 600 MW 11) – légende
Claude Narret. 45. Vivandier, Bésançon, 1791
Françoise id. 35, épouse, Porrentruy, 1776
Cath: Gollon. 24 fille, Benfeld, 1re année
François Cortier. 33. journalier, petite fontaine, 1re année
elisab. id. 34 epouse, Ribeauvillé, 3° année
henry Comte. 28. garçon, id
(1798) 600 MW 22 (p. 463) rue St Marc 2 (i 234)
Macabry Jean Joseph, Cabaretier, 37 ans, Vauclusour (à Strasbourg depuis) 2 ans
Macabry Marie Anne, son épouse, 27, Verival, 7 ans
Simbs Madeleine, Servante, 18, Verival, 7 ans
(…)
Annuaire de 1905
Verzeichnis sämtlicher Häuser von Strassburg und ihrer Bewohner, in alphabetischer Reihenfolge der Strassennamen (Répertoire de toutes les maisons de Strasbourg et de leurs habitants, par ordre alphabétique des rues)
Abréviations : 0, 1,2, etc. : rez de chaussée, 1, 2° étage – E, Eigentümer (propriétaire) – H. Hinterhaus (bâtiment arrière)
St. Marxgasse (Seite 108)
(Haus Nr.) 12, unbewohnt
Relevé d’actes
Voir auparavant la notice du n° 8
Jean Jacques Riep et Jeanne Marie Wolff vendent une des maisons, appelée l’ancienne auberge des pauvres passants, au boulanger et fabricant d’amidon Jean Pfedersheim
1620 (20 Januarÿ), Chancellerie, vol. 440 (Imbreviaturæ Contractuum) f° 6
Kauffverschreybung Hans Pfederßheim vber sein Behausung Im Finckweyler
(Extendirt wie in dem Contractbuch de Anno 1620 folio 38. Zubefinden.) Erschienen der hochgelehrte Johann Jacob Riep der Rechten Doctor vnd
hatt in gegenwerigkeyt Hans Pfederßh. des Becken Bekant das er für sich vnd Johanna Maria Wolffin seiner ehelichen haußfr. (verkaufft) ernantem Hans Pfederßh. welcher Zugegen Ime vnd seinen erben mit beÿstand Ludwig vnd Hanß Adolph der Hans Pfederßh. seiner Brüd*
ein Behausung alhie Jhenseit d. Thomans Bruucken Im Finckweÿler vnd. den Fisch. einseit neben dem Lombardts Hoff, anderseÿt neben der Behausung Zum Engel hinden auff der Verkeuffern Garten vnd Zu der Ellenden Herberg. genandt, so ledig vnd eygen Vnd were der Kauff geschehen für vnd vmb 200 pfund
Jean Pfedersheim l’hypothèque le 9 juin au profit du peintre Georges Messerschmidt
1620 (ut spâ .[ix. Junÿ]), Chancellerie, vol. 439 f° 316
(Inchoat. in Prot. fol. 300.) Erschienen hannß Pfeterßheim der Amlungmacher burger Zu Straßburg
bekhandt hatt vndt In gegenwärtigkheit Geörg Meßerschmidt des Mohlers burgers Zu Straßburg – schuldig sige L. lb
Zum vnderpfand eingesetzt vnd verlegt, hoff, hauß hoffestatt Zu der Alten elenden herberg genandt mit Allen Ihren gebeüwen & gelegen Inn der St. St. Im Finckweiler zu beÿden seiten neben Doctor Johann Jacob Riepen hinden Auch Vff Doctoris Riepen gartten stoßend, dauon gend vij lb ß d gelts Ablößig mit j. C. L lb d gemeltem Doctori Johann Jacob Rieb
Jean Pfedersheim épouse en 1605 Brigitte, veuve du boulanger André Würth
Mariage, Saint-Pierre-le-Vieux (luth. f° 98, n° 43)
1605. Hans Pfedersheim beck, Brigitta Andreas Wurts des becken wittwe. 20. Augusti (i 100)
Originaire de Langenburg, le boulanger André Würth épouse en 1596 Brigitte, fille de Frédéric Riehl de Fessenheim. Il devient bourgeois sous le nom d’André Bürth par sa femme Brigitte, fille du journalier Frédéric Riehl
Mariage, Saint-Pierre-le-Vieux (luth. f° 39 n° 1)
1594. Andreas Wurt der Beck von Langenburg, J. Brigitta Rihels friderich von Fessenheim tochter. Eingesegnet 15. Januarÿ (i 41)
1593, 2° Livre de bourgeoisie (4 R 104) p. 708
Andres Bürth vonn Langenbergh der Schwartzbeck empfangt daß burg. recht von Brigida Friderich Rhüelen deß taglöhners dochter seiner haußfrauwenn vnndt will Zu denn Beckhenn dienen. Actum vt supra [19.t Januarÿ 94]
Jean Pfedersheim se remarie en 1612 avec Sibille, veuve du tanneur Séverin Pfotzer
Mariage, Saint-Pierre-le-Vieux (luth. f° 131, n° 60)
1612. 6. Octob. Hans Pfedersheim der Hausbeckh, Sibylla, Severini Pfotzers Rotgerbers wittib (i 133)
Originaire de Willstett en Bade, Séverin Pfotzer épouse en 1603 Sibille, fille du tanneur Gauthier Træher le 31 mai 1603 et devient bourgeois le 4 juin.
Mariage, Saint-Thomas (luth. f° 184 n° 498)
1603. Sontag 22. Maÿ. Seuerin pfotzer von Wilstet d. gerber Vnd sibilla Walther Dräher des gerbers alhe tochter. Eingeseg. 31 Maÿ (i 186)
2° Livre de bourgeoisie (4 R 104) p. 826
Seuerin Pfoltzer der Rhotgerber Vonn Willstett empfahet vonn Sibilla Walther Treÿher deß Bott. dochter seiner Haußfrawen, d. Burg. Will Zun Gerberen dienen, Vnnd sein Narung für 400 fl. angeben. Actum vt supra [4 Junÿ 1603]
Jean Pfedersheim hypothèque la maison au profit de Georges Lauginger
1623 (ut spâ [xiiij. Januarÿ]), Chancellerie, vol. 449 f° 39-v
(Inchoat. in Prot. fol. 59.) Erschienen Hannß Pfettersheim der Amblungmach. burger Zu Straßburg
hatt bekhandt vndt in gegenwärtigkheit H. Geörg Laugingers burg. Alhie – schuldig seÿe j. C. lb
zu vnderpfand verlegt, Hauß, Hoffstatt vndt höfflin mit Allen Ihren gebeüwen geleg. Im Finckweÿler, u. h. Dr. Johann Jacob Rieppen Anderseit neben Peter einem baur von Bleßen, hinden vff bemelts j. Dri: Rieppen gartten, dauon gnd 7 lb 10 ß lößig mit j. C. lb d Hr Dr. Johann Jacob Rieppen
Jean Pfedersheim hypothèque la maison au profit de l’apprêteur de chapeaux Jacques Spiess
1625 (ut spâ. [27. Maÿ]), Chambre des Contrats, vol. 455 f° 201-v
(Inchoat. in Prot. fol. 220.) Erschienen hannß Pfederßheim d. Amblungmacher
bekannte in gegensein Jacob Spießen deß hutstaffierers – schuldig 25 pfund
verkäuffer hauß vnd hann mit aller Zugehördt beim Blaterhauß neben H D. Johan Jacob Rieppen, j. v. 2. seit neb. Peter Klingler von Bleßh. hind. vff vorgents H D. Rieppen garten stoßend gelegen, dauon gehen Zuvor 7 lb 10 ß Zinß Jarß vff Mariæ Verkündung H. D. Riepen mehrgedacht in capital mit 150. lb, Item 5. lb d Zinß H Georg Laugingers Erben Jahrß vff Trium egum in hauptg. mit 100. lb d. abzulößen
Jean Pfedersheim hypothèque la maison au profit du messager Josse Müller
1629 (1. 7.bris), Chambre des Contrats, vol. 465 f° 547
Erschienen hanß Pfederßheim d. Jünglingbeck burg. Zu St.
hatt in gegensein Jost Müllers deß Einspenningers auch burgers Alhie – schuldig seÿ XX lb
vnd.pfand hauß vnd hoffstatt alhie im Finckweiler neben H D. Johann Jacob Riepen & neben Peter Klingler von Bleßheim hind. vf gedachts F. D. Rieppen garten, so zuuor v.hafft vmb 300. fl. mehrgntem D. Rieppen, Item vmb 100. fl. Jacob Spießen, So dann umb 80 fl. H. N. Lauginger
Nouvelle hypothèque au profit de Jacques Spiess
1630 (18. Junÿ), Chambre des Contrats, vol. 468 f° 457
Erschienen hanß Pfederßheim d. Amblungmacher burger Zu St.
hatt in gegensein Jacob Spießen deß huetstafierers auch burgers alhie bekannt – schuldig worden 50 pfund
dafür Vnderpfand sein soll hauß vnd hoffstat mit allen & alhie beim Blaterhauß, neben G D. Johann Jacob Rieppen & neben Peter Klingler von Bleßheim, hind. vff negst H D. Riepen garten stoßend gelegen, so zuuor v.hafftet vmb 150. lb d mehrgementen H D Rieppen, Item vmb 40. lb H Georg Laugingers Erb. Item vmb 50. lb d ihm glaubig. auch, Item vmb 20. lb d Jost Müller dem Einspenning.
Le curateur de Jeanne Marie Wolff femme de Jean Jacques Riepp expose que sa mandante a vendu le 20 janvier 1620 la maison à Jean Pfedersheim qui lui restait redevable de 300 florins. Il a obtenu résolution de la vente puis l’expulsion du créancier le 3 avril 1633 et revend le 30 septembre 1634 la maison au boulanger Laurent Feucht et à sa femme Catherine Lehmann. En marge, note par laquelle Laurent Feucht cède à Auguste Frédéric Fettich (devenu propriétaire de la maison voisine dite Lumbartshoff) ses droits suite à une sentence rendue au Petit Sénat le premier décembre 1641 et confirmée par le tribunal impérial le 20 septembre 1647.
1634 (30. 7.br), Chambre des Contrats, vol. 473 f° 649-v
Erschienen herr Johann Caspar Mockel alß Curator ad lites Fr Johanna Maria Wölfin, herrn D. Johann Jacob Rieppen ehelicher haußfr. mit beÿstand herrn Johann Thomæ Obrechten juris Consulti
hatt in gegensein Lorentz Feüchten deß Becken alhie vnd Catharinæ Lehemännin seiner haußfr. bekannt,
demnach Er H Curator die von ihme H D. Rieppen vndt besagter seiner haußfr. den 20. Januarÿ A° 1620. An hanß Pfederßheim v.kauffte Behaußung, von der vnbezahlten 300. fl. restirend. Kauffschillings wegen, nicht Allein mit ordentlichem Rechten und Ganthen erhalten vnd an sich, Sondern auch den 3. Aprilis 1633. die expulsion gehöriger orthen außgebracht vnd also noch im ruewigen possess hat, daß Er der Curator innamen obgenanter fr. Wölfin, ietzangezogene erlangte Rechten vfrecht & v.kaufft und Zukauffen geben, besagtem Feücht erwehnte Rechten vff ob angedeütter behausung und allen deren gebäwen & alhie im Finckhweiler vnd. den fischern neben dem Lumbardts hoff & neben der behausung Zum Engel, hind. vf der Verkäufferin garten stoßend gelegen, für freÿ ledig eÿgen Kauffen per 385. fl. a 15. bz.
Dabeÿ gewesen Caspar Bischoff Zimmermann
[in margine :] Erschienen Lorentz Feucht der Schwartzbeck, hatt in gegensein H M. Johann Caspar Mockhelß Procuratoris am Stattgericht, bekannt, daß Er von demselben vff E.E. Kleinen Rhats Mittw. den 1. Xbr. a° 1641. ertheilte und von den delegirten Kaÿß: Cammergericht am 20. 9.br. a° 1647 confirmirt Urthel, weg. von weÿl. H. Augusto Friderich Fettich. seel. ihme dem Käuffern nicht recht evincirter* dißer Behaußung umb die im Kauffschilling bezahlten 90. lib. und 8. Rthaler, sampt von Zeit würcklich expulsion an verfallene Zinnß und in beeden Instantien vffgangene Uncosten, widerumb Zugenüeg befridigt word. seÿe, deroweg. Er denselben aller hierumb gehabte Ansprach halben bester form quitttirte, vnd Ihme seine Rechte cedirte. Versp. Actum d. 24. martÿ a° 1648. in p.sent. H Johann Valentin Wengers deß Notarÿ.
Le fournier Laurent Feucht épouse en 1615 Catherine Lehmann, originaire de Haguenau
Mariage, Saint-Pierre-le-Vieux (luth. f° 137-v, n° 16)
1615. 24. Aprilis. Lorentz Feücht der Hausbeckh, J. Catharina, Hans Lehmans von Hagenaw Tochter (i 142)
Laurent Feucht qui habitait hors les murs à la Chartreuse souhaite transférer son domicile à l’intérieur des murs et devenir l’un des huit boulangers autorisés à cuire du pain derrière la cathédrale. Il obtient la place laissée vacante par Jacques Plappenfus.
1634, Protocole des Quinze (2 R 60)
Lorentz Feicht. Brod hinder das Münster bachen. 161. 166.
(f° 161) Mittwoch den 30. Julÿ – Lorentz Feicht burger allhier Erschienen, sagt p. Pulian, seÿe vorhabens sein häußliche wohnung von der Carthauß anhero in die Statt vmb mehrer sicheheit willen Zu transferiren, bitt Ihme Zu vergonnen, das er brod hinder das Münster bachen, vnnd daselbsten feil haben möge. Dieweil man sich erinnert das ein gewiße anzahl bestimt, denen ein solches Zugelaßen, Als ist Erkanndt, das vffgeschlagen werden solle ob die Zahl noch nicht ergäntzt, inmittelst das geschefft gegen supplicanten Zu bedacht gebommen sein solle Mr.
(f° 166) Sambst. den 2. Augusti. – Ego, Lorentz Feichten des becken begehren hieob. ex fol. 161. reassumirt, dabeÿ berichtet, das die Zahl deren, so hinder das Münster bachen dörfen, vff 8. gesetzt, auch bereits zwar achten von meinen herren ein solches bewilligt worden, aber da eine, nemlich Jacob plappenfuß daruff wider verzüg gethan, also das noch sin stell für dißmal ledig, ob nun supplicanten solche solle widerfahren laßen, stehe zu meinen herren Erkanndt, Quoad sic, solle supplicanten willfahrt sein
[in margine :] Hatt Schein vff die Zunfft empfang.
Les boulangers derrière la cathédrale Nicolas Dürr, Laurent Feucht et Daniel Amman sont mis à l’amende pour avoir vendu du pain chez eux et acheté de la farine à des marchands. Comme ils cuisent le pain au poids, on leur attribue le double de farine.
1636, Protocole des Quinze (2 R 61)
Niclaus Dürr, Lorentz Feicht vnd Daniel Amman. Becken so hinders Münster bachen vmb stärcker wochengut
(f° 170) Donnerstag den 11. Augusti – Niclaus Dürr, Lorentz Feicht vnd Daniel Amman, die becken so hinders Münster bachen Erschinnen p. Dr. Knafel. weilen sie wegen erkauffen meels mit frefel angesehen worden, vmb dessen moderation fürs eine gebetten, für das ander weilen sie nun macht vffs gewicht bachen müßen Ihnen mehrers dann die 2. frtl. wochentlich zu bestimmen. Jr Botzheim H* et H. XV.Mr alß deputirt zu der becken abstraffung referiren, hetten supplicanten nicht allein brod auf dem hauß verkaufft, sondern auch Meel beÿ Meelleuthen erkaufft, so der Ordnung Zu wider lauffe darumb hie mit 10 und respectivé 5 lb d straff belegt aber auch bereits vff ihr bitten begnadigt worden. Erkandt, hab beÿ der angekündten vnnd bereits moderirten straff sein verpleibens sollen die in 8 tag Zahlen oder dafür in hafft büßen, nit übrigen solle Ihnen ane statt der 2. frtl hinfür die wochen 4 frtl. doch vermög Ordnung Zu verbachen, hiemit erlaubt vnd zugelassen sein.
La fille de Philippe Hartdegen vend la maison en 1679. Le barbier Philippe Hartdegen qui doit s’en être rendu propriétaire vers 1648 épouse en 1650 Anne Marie, fille du notaire Philippe Michel Lung.
Mariage, cathédrale (luth. f° 527-v)
1650. Dom: Misericord. Herr Hannß Philipp Hartdegen, der Balbierer, J. Anna Maria, H. Philippi Michaelis Lungen, deß geweßenen Notarÿ v. Burgers allhier nachgelaßene eheliche dochter, In der Ruprechtsaw, Mont. (i 276)
Mentions de Philippe Hartdegen dans les registres des Quinze (non cité chez les Conseillers et les Vingt-et-Un)
1652, Protocole des Quinze (2 R 70) Hanß Philipp Hardtegen. [Pfenningthurn Capitalien erhandlung] 43. [Frucht, wein] 62. [Wein] 185. [Wein] 298.
1653 XV (2 R 71) Hanß Philipp Hartteg. 205. [Wein]
1654 XV (2 R 72) Hanß Philipp Hardtegen. 44. [Wein, capital]
Les Quinze ordonnent qoe soit dresse l’inventaire des biens du banni Philippe Hartdegen.
1674, Protocole des Quinze (2 R 90)
(f° 187) Freit. den 14.ten Augusti – (…) MGhh den XV. geschrieben Zu geben, wie auch daß des Hans Philipp Hartegen /.so regegirt wart./ nahrung mit ehesten aufgezeichnet werden möchte
Anne Marie Hartdegen fille du barbier Philippe Hartdegen hypothèque la maison au profit de Jean Richshoffer, assesseur des Quinze.
1679 (9. 8.br:), Chambre des Contrats, vol. 548 f° 739
Anna Maria Hartdegin, Hannß Philipp Hartdegens des Barbierers eheleibliche dochter, mit beÿstand Herren Simon Wilborns deß barbierers ihres bekannten freündts
hatt bekandt, daß erwehnter Ihr eheleiblicher Vattern dem Edel-from und wohlweÿsen herrn Johann Richßhoffer deß beständigen Regiments der herren Fünff Zehn schuldig seÿe 25 fl.
unterpfand, hauß, hoffstatt, höfflein mit allen deren gebäwen, begriffen, rechten und zugehördten alhier im Finckweÿler einseit neben einer behaußung dem mehrern Hospital gehörig, anderseit neben ob Ehrenbesagtem herrn 15. Richßhoffern hinden auch uff denselben stoßend gelegen
Anne Marie Hartdegen vend la maison au même Jean Richshoffer moyennant 350 florins pour payer les dettes de son père. L’acquéreur est déjà propriétaire du jardin à l’arrière.
1679 (7. 9.br:), Chambre des Contrats, vol. 548 f° 813-v
(prot: fol: 59.) Erschienen Anna Maria Hartdegin, weÿland Hannß Philipps Hartdegens des Barbierers nachgelaßene eheliche dochter, mit beÿstand der Ehrenvest- fürsichtig und weÿsen Herren Hannß Ludwig Schneiders und herrn Johann Gumbrechts deß ältern beÿder alß aus E. E. Großen Rhats mittel /:weilen Sie Anna Maria ohnbevögtigt ist:/ hierzu insonderheit deputirter
hatt in gegensein deß Edelfrom und wohlweÿsen herrn Johann Richßhoffers deß beständigen Regiments der Herren Fünff Zehn
bekannt, daß Sie Anna Maria, umb ihres besten nutzens willen, auch daß Sie die Vätterliche Passiva, und Statt gebühren, gehörigen Orten abführen und richtigkeit treffen könne Ehrengedachten Herrn Fünffzehner Richßhoffer (verkaufft) Eine behaußung, hoffstatt und höfflein mit allen deren Gebäwen, begriffen, weithen, Zugehördten, Rechten und Gerechtigkeiten alhier im Finckweÿler, einseit neben Einem Hauß dem mehrern Hospital gehörig, anderseit wie auch neben und hinden uff den herren Käuffern stoßend gelegen, für allerdingß gegen männiglichen freÿ ledig und eÿgen. Vnd were dißer Verkauff und Kauff umb 350 fl.
Fils d’ancien consul et assesseur des Treize, le marchand Jean Richshoffer épouse en 1663 Cunégonde Kips, fille de l’assesseur des Treize Jean Jacques Kips
Mariage, Saint-Pierre-le-Vieux (luth. f° 131-v, n° 20)
1663. Dominica Misericordiæ. 3. May. Hr Johannes Reißhoffer der Handelsmann, deß Edlen, Ehrenvesten, Fromm, Fürsichtig Vndt Hochweÿßen Herrn Johann Reißhoffers Alten Ammeisters Vnd XIII.ners Eh. Sohn, Vnd Jfr. Künigundt, des Edlen Ehrenvesten Fromb, Fürsichtig Vnd Hochweißen Herrn Johann Jacob Kipsen deß Geheimen Regiments der Herren XIII. Beÿsitzer Vndt Scholarcha Ehl. Tochter. Copulavi Zinst. 12. Maÿ (i 144, Procl. Cathédrale f° 32-a)
La maison revient ensuite à sa fille Cunégonde qui épouse en 1691 le docteur en médecine Melchior Sebizius, fils du médecin Albert Sebizius : contrat de mariage, célébration
Copia der Eheberedung – Zwischendem Wohl Edel, Vest hochgelehrte und hocherfahrenen Herrn Melchiore Sebizio Medicinæ Doctore und Practico allhier Zu Straßburg, Weÿland deß hoch Edel Vest Hochgelehrt und hocherfahrenen herrn Johann Albrecht Sebizÿ, der Artzeneÿ Doctoris und beÿ hießiger Löblichen Universitæt Weitberühmten Professoris auch hochverdienten Statt Phÿsici und Einer Wohl Ehrwürdigen Collegiat Stiffts St: Thomæ in Straßburg hochansehnlichen Canonici Senioris seeligen Ehelich erzeügtem Herrn Sohn alß dem herrn Bräutigamb ane Einem So dann der Edlen, Viel Ehren und Tugendreichen Jungfrawen Künigunda Weÿland deß hoch Edel Vest, Fromm, Fürsichtig undt hochweißen Herrn Johann Richshoffers deß beständigen Regiments der Herren Fünffzehen beÿ Löblicher Statt Straßburg gewesenen hochverdienten beÿsitzers mit auch weÿland der hoch Edlen Viel Ehren und Tugendreichen Frawen Kunigunda Richshofferin gebohrner Kipßin nun seeligen Ehelich erzeugten und hinderlaßenen Jungfraw Tochter alß der Jungfer hochzeiterin am Andern theil – Straßburg den 12. Novembris Stÿli novi Anno 1691. [unterzeichnet] Melchior Sebizius Dr. als Hochzeiter
Mariage, Temple-Neuf (luth. f° 29, n° 178)
1691. Dom I. Adventus sind Zum I mahl ausgeruffen worden, Hr Melchior Sebitzius Med. D. Weiland Hrn Joh: Alberti Sebitzii Med. D. und Prof: P. Facultatis* und des Collegiat Stiffts Canonici Senioris nachgel. ehel. S. Jfr. Kunigunda des Weiland Wohl-Edlen Fromm Fürsichtig und Wohl Weisen herrn Johann Richshoffers des beständigen Regiments der Herren XV. Beÿsitzers nachgel. ehel. T. sind den 22.ten 10.bris offetlich copulirt [unterzeichnet] Melchior Sebizius Dr. als Hochzeiter, Künigunda Richshoffer als Hochzeiterin (i 29)
Notice biographique par Edouard Sitzmann
Né à Strasbourg le 18 janvier 1664, Melchior Sebizius devait clore la lignée des savants professeurs de la Faculté de médecine de Strasbourg. Ses humanités achevées au Gymnase protestant de sa ville natale, il suivit les cours de médecine à l’Université, continua ses études à Heidelberg et alla les finir à Paris où il assista aux cours de savants maîtres. La maladie qu’il fit pendant son séjour en France interrompit quelque temps ses études. Ce n’est que le 10 mai 1691 qu’il put soutenir sa thèse et fut reçu docteur en médecine. Nommé le 3 décembre 1695 professeur rerum naturalium ou de physique à la Faculté, il fut appelé à la chaire de botanique en 1700 et à celle de médecine en 1702. Ce savant professeur mourut prématurément comme chanoine au Chapitre de Saint-Thomas et rector magnificus de l’Université le 10 novembre 1704, ne comptant que 40 ans, enlevé par la fièvre pétéchiale. On a de lui plusieurs dissertations entre autre De ritu et fletu, 1684, De origine fontium et fluviorum, De sudore, etc (Edouard Sitzmann, Dictionnaire de biographie, 1909. p. 763)
Mentions dans les registres des Quinze
1691 XV (2 R 95) Melchior Sebitzius. [abschreibung Pfenningzinß hauptgüter capitalien] 81. 82, 86.
1692 XV (2 R 96) Melchior Sebitzius pt° compensatione Pfenningthurn Capitalien gegen Umbgeldts gebühr. 21.
Melchior Sebizius devient tributaire chez les Maçons
1693, Protocole de la tribu des Maçons (XI 233)
(f° 7) Dienstags den 7.ten Aprilis Anno 1693. – H. Melchior Sebitzius Med. Dr. producirrt Stallschein Krafft deßen Ihne gegen der gebühr Zu einem mit Zünfftigen anzunehmen bittend, Erkandt, Wird begehrtermaßen Willfahrt, Erlegt Zur gebühr 5. ß geneüßt seines Vatters Recht
Melchior Sebizius loue au nom de sa femme Cunégonde Richshoffer le jardin appelé Jardin Richshoffer au jardinier Jean Wurtz
1695 (26. 9.br), Chambre des Contrats, vol. 567 f° 687-v
H. Melchior Sebitzius, Medicinæ Doctor et Professor alß Ehevogt Fr. Künigundæ geb. Richshofferin
hans Wurtzen, deß Gartenmanns (si. W H)
entlehnt, den im Finckweiler gelegenen alßo genandt Richshofferischen Gartten Nemblich allen gebaüen, grund, d. jenige Stuck, so gleich beÿ eingang deß garttens auff der Recht. hand, an der Fettischen Gemeinen Maur, einseits, anderseits am breit. weg geg. dem Gartten hauß zu liegt, welches samt dem garttenhaüßel der H. Verleiher dem Entlehner gewiesen und sich vorbehaltet, Mehr d. hindere hauß, an den alt. Schauenburgischen hoff stoßend, d. vorderhauß aber bleibt auch dem H. Verleiher and.wertlich zu verlehnen reserviret, alles auff Sechs Jahr lang von Martini dieß Jahrs an zu rechnen, und sich endend auff Martini 1701. umb einen jährlich. Zinß nemblich 30 pfund
Inventaire après décès d’une locataire, Marie Ursule Hærler, femme abandonnée de Jean Chrétien Schatz, pensionnaire à l’hôpital.
1696 (2.8.), Not. Pantrion (Jacques Christophe, 40 Not 4)
Designatio und beschreibung aller Haab und Nahrung, so frauen Mariæ Ursulæ Schatzin, gebohrner Härlerin, Johann Christian Schatzen des gewesenen barchethändlers und Jetzmahlig. armen Pfrinders im Hospithahl alhier verlaßene Ehefrau annoch gehörig, und nach beschehener vergleich und bezahlung verblieben (…) Actum Straßburg d. 2. Augusti Anno 1696
In einer alhie in der Statt Straßburg Im finckweiler Gelegener behaußung so H. Doctori Sebitzio Zuständig ist befunden worden wie Volgt
Summa summarum 35. lb
Melchior Sebizius meurt le 10 novembre 1704 en délaissant trois filles et un fils. L’inventaire est dressé dans une maison canoniale rue de l’Ail. La masse propre à la veuve est de 8 232 livres, la masse propre aux héritiers de 690 livres. L’actif de la communauté s’élève à 2 140 livres, le passif à 8 294 livres
1705 (23.5.), Not. Pantrion (Jacques Christophe, 40 Not 15)
Inventarium und Beschreibung aller Haab vnd Nahrung, so weÿl. der Hoch Edel, Gestreng vnd Hochgelehrte Herr Melchior Sebizius, geweßener Hochberümbter Medicinæ Doctor et Professor beÿ allhießiger löbl. Universität Rector Magnificus und des Collegiat Stiffts zu St. Thomæ Canonicus, nunmehr seel. nach Seinem Montags den 10.ten Novembris Jüngst abgelegten 1704.ten Jahrs aus dießem mühesamen leben genommenen tödlichen ableiben Zeitlichen verlaßen, Welche auf freundliches ansuchen erfordern vnd begehren des Hoch Edeln, Gestrengen vnd Hochgelehrten Herrn Johann Heinrich Nicolai ebenmäßig hochberümbten Medicinæ Doctoris et Practici alhie Zu Straßburg, als geordnet und geschworenen Vogts Kunigundæ, Melchioris, Margarethæ Salome und Catharinæ Elisabethæ des In Gott ruhenden Herrn Doctoris seel: mit hernach gemelter Seiner hinterpliebenen höchstbetrübten Fraw Wittib ehelich erzeugte Kinder vnd ab intestato verlaßener Erben, inventirt, durch die Wohl Edle Viel Ehren: und hoch tugendbegabte Fraw Kunigundam Sebizusin gebohrne Richshofferin die hinderlaßene Fraw Wittib mit beÿstand des Wohl Edeln, Vesten vnd Großachtbahren Herrn Johann Binders, Vornehmen handelßmanns alhier Ihres geschwornen herrn Curatoris (…) Actum Straßburg Montags den 23. Martÿ 1705.
In einer alhie zu Straßburg vnden in der Knoblauchsgaßen neben dem Leichhöffel gelegener Canonicat behaußung Ist befund. worden wie volgt
Ane Hültzen: und Schreinwerck. In der Wohnstub, In der Stub Cammer, In der Nebens Stub Cammer, In der Cammer A, Cammer B, In der Kuchen, Im kleinen stübel, In der Cammer D, Im Haußöhren, In der undern Stub, In der Stub Cammer, Im undern Haußöhren, Im Keller
Wÿdemb So Fraw Susanna Gambßin gebohrner Richshofferin noch zeit lebens Zu usufruiren. Es hat erst edelgemelte Fraw Susanna Gambßin gebohrne Richshofferin, des hoch Edel Gestreng, fürsichtig vnd hochweiße Herr Johann Sebastian Gambsen hochmeritirten Alten Ammeisters allhießiger Königl. Statt Straßburg fraw Eheliebstin, von weÿl. Herrn Georg Friderich Richshoffern vornehmen handelsmann ihrem erstern Eheherrn seel. Zu Weÿland Herrn XV. Johann Richshoffers fraw Wittib herrn Vatters seel. Erben davon noch 2 Stammtheil übrig
Wÿdemb, So Fraw Margaretha Duppertin gebohrne Beütherin alhier ad dies vitæ Zugeniesen hat. Laut Inventarÿ über weÿl. Herrn Tobiæ Kipßen gewesenen handelßmanns und burgers alhie seel. Verlaßenschafft in Anno 1698. auffgerichtet (…) daß Fraw Margaretha gebohrne Beütherin H. Georg Jacob Dupperts handelsmann vnd burgers alhier eheliche haußfraw von weÿland Herrn Tobias Kipsen auch geweßenen handelßmann vnd burgers alhier ihrem ersten haußwürths seeL ad dies vitæ Wÿdembs weißen Zugenießen hat
Ergäntzung der Erben unverändert guth. Es hat zwar der Herr Dr seel. Seine In diese Ehe gebrachte unverändert Nahrung nicht inventiren laßen, daß mann eigentlich beÿ gegenwertiger Inventur hätte wißen Können warinnen solche bestand. mithin desto accurater der Erben Ergäntzung formiren mögen, dahero sich allein in Ersuchung derselben Vff Ihro Excellenz Herrn Doctoris Nicolai alß der Erben vogts Gegebenen Gewißehafften bericht fundirt
Ergäntzung der Fraw Wittib unverändert Guths. Laut einer durch Herrn Stephanum Cornelium Saltzmann Notarium publicum et Academicum in Anno 1691. gefertigten Designation, waß die Fraw Wittib von weÿland Herrn Johann Reichshoffern geweßenen hochverdientenen XV.ren des beständigen. Regiments alhier und auch weÿl. Frawen Kunigunda Richshofferin geborhner Kipßin Ihren hochgeehrten vielgeliebten Eltern seel. ererbt
Series rubricarum hujus Inventarÿ. Der Fraw Wittib Unverändert Guth. Sa. haußraths 115, Sa. Silber geschirr und Geschmeids 50, Sa. Guldenen Ring und geschmeids 206, Sa. der bahrschafft 160, Sa. Pfenningzinß hauptgüter 426, Sa. der Schulden 243, Sa. der Erg. 7029, Summa summarum 8232 lb
Dießemnach würd auch der Erben unveränderte Nahrung beschrieben, Sa. haußraths 86, Sa. Silbers 5, Sa. Guldener Ring 43, Sa. Pfenningzinß hauptgüter hauptgüther 97, Sa. Eigenthum an liegenden Güthern 17, Sa. Erg. 686, Summa summarum 935 lb – Schulden 245 lb, Nach solchem abzug 690 lb
Endlichen Würd auch das Gemein verändert und theilbar Guth beschrieben, Sa. haußraths 146, Sa. der Bibliothec 300, Sa. der Instrumenten und Machines Zur Physica Experimentali gehörig 171, Sa. Früchten 144, Sa. Wein vnd vaß 39, Sa. Silbers und geschmeids 131, Sa. Guldenen Ring und Geschmeids 53, Sa. baarschafft 3, Sa. Pfenningzinß hauptgüter 1150, Summa summarum 2140 lb – Schulden 8294 lb. Übertreffen also die Schuld. onus der theilbaren Verlaßenschafft Zubezahlend vmb 6154 lb
Conclusio finalis Inventarÿ 2768 lb
Copia der Eheberedung (…) Straßburg den 12. Novembris Stÿli novi Anno 1691. [unterzeichnet] Melchior Sebizius Dr. als Hochzeiter
Copia Testamenti – 1694 (…) auff Freÿtags so da war den 25. Monatgs tag Junÿ Neuen Calenders (…) in dem Finckweiler gelegenen, vormahls genanten Richßhofferischen Nunmehro hernach beschriebenen beeden Codicillierenden Ehepersohnen Eigenthümlich gehörigen Garthen und dem darinn New erbawten Gartenhauß, einer obern Stuben mit Sechß Fenstern in gemelten garten außsehend, (…) persönlich kommen und erschienen seind, der Wohl Edle, Vest, Hocherfahrne vnd Hochgelehrte Herr Melchior Sebizius, Medicinæ Doctor vnd Practicus vnd beneben Ihme die Wohl Edle, viel Ehren und tugendreiche Fraw Kunigunda Sebizusin gebohrne Richshofferin, beede Eheleuthe vndt burgere allhier zu Straßburg, durch Gottes gnad beede gesunden gehend: vnd stehenden, die Fraw Doctorin aber Hochschwangern Leibes (…) Stephan Cornelius Saltzmann Notarius Reg. publ. et Univers. Argent. juratus
Cunégonde Richshoffer veuve de Melchior Sebizius meurt en juillet 1738 en délaissant trois filles dont les deux cadettes sont célibataires. L’inventaire est dressé dans une maison rue Sainte-Barbe. L’actif de la succession s’élève à 2962 livres, le passif à 98 livres.
1738 (3.9.), Not. Koch (Matthias, 6 E 41, 469) n° 121
Inventarium über Weÿland der Edlen, viel Ehr: und Tugendbegabten Frauen Kunigundä Sebiziußin, gebohrner Richshofferin, auch Weÿl. des Hoch Edelvest, Hocherfahren v. hochgelehrten Herrn Melchior Sebizius, geweßenen berühmten Medic. Dris et P. P. Ord. auch Capit. Thom. Canon. v. vornehmen Burgers allhier Zu Straßburg seel. Nachgelaßener Frau Wittib, nunmehr auch seel. Verlaßenschafft, auffgerichtet A° 1738. – nach ihrem den Letzten Julÿ dieses Lauffenden 1738.sten Jahs beschehenen tödlichen Ableiben, hie Zeitlichen verlaßen, Welche Verlaßenschafft auf freundl. ansuchen v. begehren der ane hernach folgendem folio benandter Erben inventirt v. ersucht (…) So geschehen in der Königl. Statt Straßb. auff Mittwoch den 3.ten des Monaths Septembris A° 1738.
Die Verstorbene Frau seelig hat ab intestato Zu Erben verlaßen, als folgt. 1. S. T. Fr. Kunigunda Blanckin, Gebohrne Sebiziußin, H. Johann Samuel Blancken, des Kunst: v. Silberdrehers auch burgers allhier Zu Straßb fr. Eheliebstin, Welche beÿständl. deßelben beÿ dem Geschäfft erschienen, 2. S. T. Jgfr Margaretham Salome und 3. Jgfr. Catharinam Elisabetham Sebiziußin, Welche beede Majorennes, deßwegen ohnbevögtigt, ebenmäßig beÿständlich S. T. H. Joh: Philipp Richshoffer E. E. Großen Raths alten Wohlverdienten beÿsitzers Vornehmen Handelsmanns burgers allhier dem geschäfft on Persohn abgewartet. Alle dreÿ der Verstorbenenn Frauen seel. mit Eingangs gedachtem ihrem Längst vorher verstorbenen H. Eheliebsten seel. erzeugte Frau v. Jfr. Töchter Zu dreÿ gleichen antheilen.
In einer allhier Zu Straßburg ane St. Barbara Gaß gelegenen, hiehero nicht gehörigen behaußung ist befunden Worden, als folgt.
Series rubricarum hujus Inventarÿ, Sa. Haußraths 134, Sa. Silbers 97, Sa. Goldener Ring 159, Sa. baarschafft 8, Sa. Pfenningzinß hauptgüter 1257, Sa. Eigenthums ane Liegenden güthern 20, Sa. Gülth von liegenden güthern 6, Sa. Schulden 1278, Summa summarum 2962 lb – Schulden 98 lb, Compensando verbleibt 2864 lb
Hierzu komt diejenige Ehesteur welche Frau Kunigunda Blanckin gebohrne Sebiziußin die älteste Tochter Zur Zeit ihrer Verheÿrathung erhalten 335, Macht die gantze Verlaßenschafft 3198 lb
Melchior Sebizius vend au nom de sa femme Cunégonde Richshoffer la maison et le jardin à l’horticulteur Jean Heffenbach moyennant 1 400 livres
1700 (19.4.), Chambre des Contrats, vol. 573 f° 242-v
H. Melchior Sebitzius, Med. Doctor & Phys. Professor, alß Ehevogt Fraun Kunigunda geb. Richshofferin
in gegensein Johannis Heffenbachs deß Kunstgärttners
Hauß, hoff hoffstätte, Garten, garttenhaüßlein, und trotthauß samt allen übrigen Gebaüen, begriffen, Recht. und Zugehördt. allhier im Finckweiler, darvon das hauß einseit neben einem hauß dem mehrern Hospital gehörig, anderseit neben Georg Fritschen dem weinhändlern, der gartten aber einseit zum theÿl neb. ged. Georg Fristch. Zum theÿl neben den alßo genanndt Schäffoltzheimer hoff od. Gartten, anderseit neben H. Georg Albrecht Steinheÿl JLto. und löbl. Ritterschafft im Undern Elsaß Consulent. Zum theÿl, und Zum theÿl neb. H. Francisco Reÿßeiß. alt. Amstr. und XIII.er Zum theÿl auch H. Joh: Georg Schwengs feur J Ct° und Pfaltz Sponheimsich. Rath & hinden auff Hn Stephan Gretzinger und Johann Egelus den Metzger stoßend gelegen, von welchem Gartten ein Stücklein am Eck an obehrenged. Hn Schwengsfeur cedirt word. im übrig. aber beschaff. die der hierbeÿ vorgewiesene v. dem Kaüffer auß d. alt. selbst gezogene grundriß außweiset – um 1400 pfund
Jean Heffenbach et sa femme Marie Ursule Redslob hypothèquent trois mois plus tard la maison au profit de Frédéric Wieger, greffier à la Chambre des Contrats
1700 (19.7.), Chambre des Contrats, vol. 573 f° 409-v
Johannes Häffenbach, der Blumengärtner, undt Maria Ursula geb. Redslobin und zwar dieselbe mit beÿstand Johann Peter Redslobs des Schuhmachers ihres leibl. bruders, undt Lorentz Bauren auch Schuhmachers ihres Schwagers
in gegensein H. Friderich Wiegers J. U. Doctorandi undt Cancellariæ contractuum Actuarÿ, schuldig seindt 200 pfund, Ihnen Zu reparirung und melioration hernach beschriebenen special unterpfandts
unterpfand, hauß, hoff, hoffstätten garten gartenhaüßel undt Trott od. Pommerantzen hauß, sambt allen übrigen gebaüen, Rechten und Zugehörden, allhier im Finckweiller gelegen, wie solches am 19. April: jüngst Von Herrn Melchior Sebitzio Med: Doctore et professore Ehevögtlicher weiß erkaufft und in der Contractstub verschrieben worden
Originaire de Courlande (Wittau), Jean Heffenbach épouse en 1692 Marie Ursule Redslob, veuve du chapelier Balthasar Schultz. Il devient bourgeois par sa femme en 1699 en apportant un enfant
Mariage, Saint-Nicolas (luth. f° 20 n° 1)
1692. Auff heuth Mittwochs den 16. Januarÿ st. n. Aô Christi 1692. seind nach zweÿmahliger proclamation in der Pfarrkirchen Zu St Nicolai alhie in Straßburg copulirt worden Johannes Heffenbach der ledige Blumengærtner von Wittaw auß Khurland, weÿland Johann Heffenbachs des Glaßblesers daselbs nachgelaßener ehelicher Sohn, vnd Maria Ursula, wÿland Balthasar Schultzen deß Burgers und Huthmachers alhie nachgelaßene wittib (signé) Johann heffenbach als hochzeitter, Andereaß Dirrbach im namen der hoch Zeiterin (i 21)
4° Livre de bourgeoisie p. 715
Johann Heffenbach, der blumengartner Auß Curland Mittaw, weÿl. Johann Heffenbachs gew: Glasers hint: sohn empfangt das burgerrecht Von Ursulen Retzlobin gratis, mit ihrem Kind ist es beÿ ordnung gelassen Worden, Vnd Wird beÿ E E. Zunfft der Weinsticher dienen. Jur. d. 12. Xbris 1699.
Fille du tisserand Jean Frédéric Redslob, Marie Ursule Redslob épouse en 1683 Balthasar Schultz, originaire de « Griesswald »
Mariage, Saint-Nicolas (luth. f° 24 n° 21)
1683. Domin. v. et vi Trinitatis. Balthasar Schultz der ledige Hutmacher Petri* Schultzen des burgers bey Greüses* walden ehelicher Sohn vnd Jungfr. Maria Ursula, Weÿland Johann Friderich Redslobs deß Burgers und Wollen Webers alhie nachgelaßene eheliche Tochter. Copul Mont 16 / 26. Julÿ zu St. Nicolai (i 25)
Balthasar Schultz devient bourgeois en mai 1686
1686, 4° Livre de bourgeoisie p. 519
Balthasar Schultz d. Huetmacher von Grißwaldt* empfangt das burgerrecht ab uxore Maria Ursula Redtslobin p. 2. golt fl. 15 ß 4 d s beÿ d. Cancelleÿ erlegt. Spiegel. Jur. 25. Maÿ.
Balthasar Schultz meurt le 13 avril 1691.
Sépulture, Saint-Nicolas (luth. f° 29 v° n° 12)
1691. Auff heuth den Charfreytag 13. Apr. St. B. Aô Christi 1691. ist Balthasar Schultz der Niehralle* verstorben Burger vnd Hutmacher alhier auff der St Urban s Auw begraben worden [unterzeichnet] hanß pilips Retzlob als schwager, Johannes Thomas weber alß schwager (i 33)
Le notaire Schmitt a dressé l’inventaire après la mort de Jean Heffenbach. La minute n’en est pas conservée mais l’inventaire figure au registre de la Taille parce que les impôts acquittés étaient calculés d’après une fortune sous-évaluée de 1 500 florins (750 livres) sur un total de 1 800 florins. L’affaire aurait été soumise aux Quinze mais les registres n’en font pas état.
1704, Livres de la Taille (VII 1173) f° 207
(Weinsticher, F., N° 906) Weÿl: Johann Höffenbachs deß geweßenen Kunst und Blumen Gärtners Burgers allhier, Verlaßenschafft, jnventirt Herr Nots. Schmid.
Die Concl: fin: Invent: ist fol: 66.a, 898. lb. 1. ß 10. d, die machen 1800. fl. hiengegen Verstallte er 300. fl. und also 1500. fl. Zu wenig.
Wavon nun, und noch 100. lb d. wegen allzugeringen anschlags der Pomerantzen; Granaten: und anderer Bäum, wie auch der Blumen Zwibeln, der Nachtrag gesetzt wird, auf vier jahr in duplo, macht à 5. lb. 2. ß. d. – 20. lb. 8. ß. d
Und auch auf Vier jahr in duplo trifft à 2. lb. 11. ß. – 10. lb. 4. ß. d
Dazu kombt daß Stallgelt pro 1703 – 1. lb. 16. ß. d
Item so ist vor gebott – 2 ß d
Und pro die Unkosten – 1. lb. 7. ß. 6. d. – Summa 33. lb 17 ß. 6 d
Straff. Weilen nun so viel Zu wenig verstallt worden, als wird ratione der Straaff daß geschäfft an unsere Hn. Herren die Fünffzehen verwiesen.
(rub.) Erkant, daß die Wit. 2. lb d Straaff erlegen, und ane dem Nachtrag nechgelaßen werden wollen 12. lb. 12. ß, Rest 21. lb. 5. ß 6 d
dt. omn: d. 26. Maÿ 1704.
Marie Ursule Redslob veuve de Jean Heffenbach hypothèque la maison au profit de Paul Flach, secrétaire en chef à l’hôpital
1704 (7.4.), Chambre des Contrats, vol. 577 f° 175-v
Maria Urßula geb. Redslobin weÿl. Joh: Häffenbachs geweßenen kunstgärtners wittib mit beÿstand H Joh: Georg Stechers Exs: ihres vogts u. Joh: Philipp Redslob schuem: alß vogt weÿl. Balthasar Schultzen geweßenen huetmachers mit ihro Maria Urßula in erster ehe erziehler KK so (dann) ihm Häffenbach zu EE eingesetzt word. seÿe
in gegensein Hn Paul Flachen oberschreibers im Spithal alß Vogts weÿl. Hn Joh: Schmids geweßenen Schaffners zu St. Marx wittib – schuldig seÿen 250 pfund
unterpfand, d.jenige Hauß Garten u. Gartenhäußlein so er Häffenbach von Hn Dre et Professore Melchior Sebizio erkauft allhier im finckweÿler gelegen Cum appertinentiis
Marie Ursule Redslob se remarie avec Nicolas Struvé, originaire d’Eutin près de Lubeck, en Schleswig-Holstein : contrat de mariage, célébration
Eheberedung (…) zwischen dem Ehrenhafften Niclaus Struve juniore dem leedigen Blumengärtner des Ehren und Vorgeachten Herrn Niclaus Struve senioris Wagners Zu Eütin beÿ Lübeck eheleiblichen Sohn, alsdem bräutigamb an einem, So dann der Ehren und Tugendbegabten Frauen Maria Ursula Redtslobin weÿland Herrn Johann höfenbachs gewesenen Blumengärtners und burgers alhier Zu Straßburg seligen nachgelaßener Wittben ams der Hochzeiterin am andern theil – Beschehen und Verhandelt in der Königlichen Statt Straßburg den 6. Augusti 1704. [unterzeichnet] Niclaus Struve Als Hoch Zeitter, maria ursela höfenbachin – Andreas Schmidt Not. publ. juratus
Mariage, Saint-Nicolas (luth. f° 86-v, n° 18)
Eodem [Mittwochs den 20. Aug. 1704.] seind copulirt und eingesegnet worden, Niclaus Struve der ledige Blumengärtner und burger alhier von Eithin bey Lübeck gehörig, Nicolai Struve, deß wagnerß und burgers daselbsten ehel. Sohn und Fr. Mar: Ursula Heffenbachin weÿland Johanneß Heffenbachs, geweßenen Blumengärtners und burgerß alhier nachgelaßene wittwe [unterzeichnet] Niclaus Struve als hoch Zeitter, ++ ist das Zeich der Fr. Hochzeiterin (i 91)
Nicolas Struvé devient bourgeois deux semaines après son mariage
1704, 4° Livre de bourgeoisie p. 753
Niclaus Struff der Blumengärtner B. Lutun auß Hollstein, Weÿl. Niclauß Struff gew. Wagners daselbst hint. sohn, empfangt das Burgerrecht V. seiner Fr. Maria Ursula Hirtzlebin p. 2. gold fl. 16. ß wird beÿ EE Zunfft der Weinsticher dienen. Jur. d. 4. Dito [8.bris] 1704.
Nicolas Struvé et Marie Ursule Redslob hypothèquent la maison au profit du boucher Daniel Fiedel
1706 (21.6.), Chambre des Contrats, vol. 579 f° 452
Niclaus Struven Kunstgärtner u. Maria Urßula Redslobin
in gegensein H Daniel fiedels metzgers – schuldig seÿen 600 lb
unterpfand, perge Reg: 1700 fol: 242-b ibi hauß usq. ad eÿgen
Marie Ursule Redslob meurt en février 1717 en délaissant deux filles de son premier mariage, le veuf ayant droit à une part d’enfant d’après son contrat de mariage. Les deux héritières cèdent la maison à leur beau père. Les experts estiment la maison à 575 livres et le jardin à 600 livres. La masse propre au veuf est de 289 livres, celle des héritières de 1 269 livres. Est joint un extrait de l’inventaire dressé par André Schmidt après la mort de Jean Heffenbach.
1717 (17.3.), Not. Lobstein (Jean, 31 Not 2) n° 44
Inventarium und Beschreibung aller der Jenigen haab, Nahrung und güttere, so Weÿl. die Ehren und tugendreiche frau Maria Ursula Struvin gebohrne Redslobin, des Ehren und Wohl vorgeachten Herrn Niclaus Struve, des Kunst: undt Blumengärthners, auch burgers allhier Zu Straßburg, geweßene eheliche haußfrau nunmehr seel. nach ihrem den 14. Februarÿ dießes Lauffenden 1717.ten jahrs aus dießer welth genommenen tödlichen hintritt, Zeitlichen verlaßen, welche Verlaßenschafft auf freundliches ansuch. erfordern und begehren des abgeleibt. fr. seel. Theils ab intestato und theils Crafft der Eheberedung Verlaßene Erb (…) ingleichem Jungfr. Mariam Ursulam Redslobin und Jgfr. Catharinam Hellmännin beede dienstmägd, wie nicht weniger Abraham Estras den Knecht, alle dreÿ Von hier gebürtig (…) So beschehen in Straßburg auf Mittwoch d. 17.ten Martÿ Anno 1717.
Die abgeleibte Fraw seelige hat theils ab intestato und theils Crafft der Eheberedung S.is ibiq. T.is Zu Erben Verlaßen wie volgt. 1.mo Frau Mariam Ursulam Kirschlägerin gebohrne Schultzin, Hn Johann Georg Kirschlägers des jüngern, Pastetenbeck. und burgers allhier ehelich haußfrau, welche mit und beneben ihrem Ehevogt und hn Johann Friderich Öhlingers Notarÿ jurati und burg. allhier Ihres erbettenen herrn Assistent. dem geschäfft abwartete. 2.do Frau Mariam Salome Lövemännin gebohrne Schultzin herrn Johann Lövemanns des Schreiners und burgers allhier haußwürthin, welche mit beÿstand deßelb. Zugeg. war, dieße beede der abgestorbenen Fr. seel. in erster Ehe mit weÿl. Hn Balthasar Schultzen, geweßenen huthmachern und burgern allhier ehelich erzielte fraw Töchter
und dann 3.tio Eingangs gedachten Herr, Nicolaum Strube den Hn Wittiber, welcher gleichweise dem geschäfft abwartete, Also alle dreÿ der in Gott ruhenden Fr. seel. theils ab intestato und theils Crafft f. Eheberedung zu gleichling. portionen und antheilen verlaßene Erben
Bericht wegen dießer Verlaßenschafft. (…) hat der H Wittiber mit beÿstand H Johann Wennemar Heÿlen, des Stattschmidts und burgers allhie, ane einem, So dann der abgeleibten frawen seel. hinderlaßene frau Töchter, ane dem andern theil (…) nachstehenden Vergleich güth: und freundlichen getroffen, wie unterschiedlichen hernach volgen thut. Nämblichen und Zum Ersten, so ist Ihme dem herrn Wittiber, Vermög eines deßhalben gefertigten sonderbahren Specification Verschiedene haußraths: posten, als sambtliche gartengewächs und Saamen ohne unterschied, wie nicht weniger die Spalier bäum, Meel, Pferdt sambt deren geschirr und 98 ohmen Lähre Vaß in Vier stück und dann hernach geschriebenes Silber geschirr und Geschmeid vor eigen überlaßen worden.
Vor das Zweÿte, haben die fraw Erbin ferner mit beÿhilff dero Herren Ehevögte und Hn beÿstands dem Herrn Wittiber eigenthümlich cedirt und abgetretten die behaußung, hoff, hoffstatt, Garthen und Garthenhauß, sambt allen deren Gebäwen, weithen, rechten, Zugehörden und gerechtigkeiten in dem Finckweÿler geleg. mit allen derjenig. so mann in den Garthen gebrauchen Kan, also und d.gestalt. daß Er der Hr Wittiber damit nach seinem belieben undt wohlgefallen Zuschalten und Zuwalthen berechtiget sein solle, ohngehindert, männiglichs jedoch haben Sie die Erben sich den freÿen eintritt in den garten expresse reservirt und vorbehalten. Zum dritten (…) So beschehen in Straßburg in der Sterb behaußung ane dem Finckweÿker dienstags den 24.ten Martÿ Anno 1717.
In einer in d. Statt Straßburg oberhalb d. Thomans bruckh, neben dem Bürckenfeldischen hoff Liegenden und in dieße Verlaßenschafft nicht gehörigen behaußung befunden worden wie volgt.
Eigenthumb ane einer behaußung und Garthen (W.) Eine Behausung, hoff, hoffstatt, Stallung, Garth. Sommer und Gewächs hauß, sambt allen übrig. d° gebäuwen, begriffen, weith. recht. Zugehördt. u. gerechtigkeit. geleg. allhier iù Finckweÿler beÿ d. Muckh.darvon d. hauß einseit neben Mr Johann Lampen, and.s. neb. Mr Georg Fritsch. beed. Metzg. d. gart. aber einseit neb. Hn N. Röschen dem Rothgerbern Zum theil und Zum theil neben dem also genant Schäffoltzheimisch. hoff, u. gart. and.s. neb. Hn Johann Georg Rosenzweig dem weinhändler Zum theil und Zum theil neb. H. Francisco Reißeißen J. U. Ddo. und d. Statt Straßb. Cancelleÿ Contract Actuario auch Zum theil ([biffé] Hn Georg Albrecht Steinheil J. U. Lt° und d. löblich Ritterschafft im Untern Elsaß) neb. H. Georg Schwencksfeÿrers gewesenen J. Cti. und Pfaltz Sponheimisch Raths seel. hind.laßene fraw Wittib und Erben, hinten auf Mademoiselle Margaretham Gretzingerin Zum theil und Zum theil auf Friderich Koch dem Metzg. stoß., Von welchem Garth. ein stück od. Eck an obgedacht. Hrn Schwencksfeÿrer cedirt worden, welche behaußung und Sommer: auch gewächs hauß dh. (die Werckmeistere) laut Abschatzungs Zedul vom 17.ten Martÿ 1717. Wor freÿ ledig u. eig. angeschlagen worden pro 575. lb. Der Gart. aber ist durch Hn Abraham Heÿdel Garthner Under Wagnern auch E. E. groß. Raths alt. beÿsitzern und geschwornen Schätzern Vor freÿ, ledig u. eig. taxirt word. umb 600. lb. Macht also beede post. Zusammen d. æstimation nach aus 1175 lb. Darüb. sagt ein teutsch. pergamentener Kffbrieff, mit d. Statt Straßb. anhangendem Cancelleÿ Contract Ins. v.wahrt, datirt d. 19. Aprilis Anno 1700. darbeÿ gebund. noch 3. alte pergamentener Kauffbrieff mit gedachter Statt Straßb. anh. Contract Ins. v.wahrt, sampt and. schrifftlichen bericht alles mit altem Lit. A. notirt.
Abzug in gegenwärtig Inventarium gehörig. Des Wittibers crafft vergleichs eÿgenthümblich guth. Sa. haußraths 36, Sa. Garthengewächs 239, Sa. Pferds 6, Sa. Meels 3, Sa. Lähre 9, Sa. Silber Geschirr und Geschmeids 11, Sa. Eigenthumbs ane einer behaußung 1175, Sa. Schuld 51, Summa summarum 1532 lb – Schulden 1821 lb, des Hn Wittibers Schulden übertreffen sein Guth 289 lb
Der beeden töchter Craft Vergleichs eigenthümlich Vermögen, Sa. haußraths 104, Sa. Weins und Lährer Vaß 2, Sa. Silber geschirr und Geschmeids 22, Sa. goldener Ring 6, Baarschafft 5, Sa. Schulden 1128, Summa summarum 1269 lb
Conclusio finalis Inventarÿ 1269 lb – Stall Summ 980 lb
Eheberedung (…)Straßburg den 6. Augusti 1704.
Extractus Aus Weÿland Herrn Johann Höfenbachs geweßenen Blumengärtners und burgers alhie seligen durch auch weÿland Hern Andream Schmidt geweßenen Notarium publicum juratum und burgers, allhier Zu Straßburg seligen in anno 1703. auffgerichteten Verlaßenschafft Inventarii concepto
Abzug. Der Wittib ohnverändert Guht, Sa. haußraths 43, Sa. Silbers 4, Sa. Goldene Ring 4
Abschatzung den 17.ten Martÿ 1717. Auff begehren deß Ehrenhafften und bescheidenen Herrn Nicolaus Straub Gartner ist eine behaußung allhier inn der Statt Straßburg im Finckhweÿler beÿ der Muckhen Gegegen, Einseith neben Johannes Lamp dem Metzger, Anderseith neben Herrn Georg fritschen dem Metzger (der garth. ligt neb. dem Rösch. dem Rothgerber) hinden auff die Erben selbsten stoßend, Welche behaußung Hoff: Hoffstatt Stallung und Gebälckter Keller sambt aller Ihrer Recht: und Gerechtigkeit wie solche sich durch der Statt Straßburg Geschwohrne Werckmeister sich in der besichtigung befunden und Jetzigem Preiß nach angeschlagen wird. Vor und umb Acht Hundert Gulden
Der Andere begriff bestehet inn einem Sommer und Gewähßhauß welch sich durch der Statt Straßburg Geschwornen Werckmeistere in der besichtigung befunden und jetzigem Preiß nach angeschlagen wird, Vor und umb Dreÿ hundert und Fünffzig Gulden. Bezeichnüß durch der Statt Straßburg geschworen werckh leuthe, Jacob Staudacher werckh Meister des Maurhofs, Jacob schuller Werk Meister des Zimmer hoff, Michel Ehrlacher Werck Meister des Minsters
Nicolas Struvé se remarie en juin 1717 avec Marie Ursule Heyl, fille du maréchal municipal Jean Wennemar Heyl : contrat de mariage, célébration
1717 (27.4.), Not. Lobstein (Jean, 31 Not 75) n° 21
Eheberedung – Zwischen dem Ehren und Vorgeachten Herrn Nicolaus Struve dem Kunst: und Blumengärthner, auch burger allhier Zu Straßburg, als dem Bräutigamb ane einem,
So dann der Viel Ehren: und tugendsamen Jungfrauen Mariæ Ursulæ Heÿlin, des Ehrenvest und Großachtbahren Herrn Johann Wennemar heÿlen, des Stattschmidts und burgers allhier ehelich erziehlte Tochter, als der Jungfrauen hochzeiterin am andern theil
So beschehen in Straßburg (…) auf Dienstag den 27.ten Aprilis Anno 1717 [unterzeichnet] Niclaus Struve Als hochzeiter, Maria Ursula heÿlin als hochzeitrin
Mariage, Saint-Nicolas (luth. f° 156, n° 11)
Mittwoch den 2. Juni 1717. seind nach zweÿmahliger offentlichen Außruffung in der Evangelischen Pfarrkirch Zu St. Nicol. in Straßburg Ehelich copulirt vnd eingesegnet worden, Niclaus Struve, der Blumengärtner, Vnd burger alhier, vnd Jungfr. Maria Ursula Heÿlin, H. Johann Wilhelm Heÿlen deß Stattschmidts vnd burgers alhier Ehel tochter [unterzeichnet] Niclaus Struve alß hoch Zeitter, Maria Ursula heÿlin als hochzeiterin (i 160)
Les nouveaux mariés font dresser l’inventaire de leurs apports dans la maison propre au mari dont les apports s’élèvent à 232 livres, ceux de la femme à 568 livres.
1717 (22.7.), Not. Lobstein (Jean, 31 Not 2) n° 56
Inventarium und Beschreibung aller der Jenigen haab, Nahrung und Güttere, so der Ehren: und Wohl Vorgeachte Herr Nicolaus Struve, der Kunst: und Blumengärthner und die Ehren: und tugendsahme frau Maria Ursula Struvin, gebohrne Haÿlin, beede Eheleuthe und burgere allhier zu Straßburg einander vor ohnverändert in den Ehestand zugebracht, welche der ursachen allweilen Ihr beeder Eheleuthe mit einander auffgerichteten Heuraths Verschreibung expressé versehen daß eines jeden in die Ehe bringende Nahrung reservirt undt ohnverändert sein und bleiben solle (…) So beschehen in Straßburg in fernerem beÿsein des Ehrenvest und Großachtbahren herrn Johann Wennemar Haÿmen des Stattschmidts und der Viel Ehren und tugendreichen frauen Mariæ Ursulæ Haÿlin gebohrner Wernerin, beede Eheleuth und burgere allhier Zu Straßburg der Frauen hertzgeliebten auff Donnerstag den 22.ten Junÿ Anno 1717.
In einer in der Statt Straßburg ane dem Finckweÿler nahe beÿ dem Bürckenfeldischen hoff Liegenden und in dieße Zugebrachte Nahrung nicht gehörigen behaußung befunden worden wie volgt.
Ane Höltzen und Schreinwerck.. Auff der Mittlern bühn, In d. Magd Cammer, In d. nebens Cammer, In d. Wohnstub, In d. Kuch, Im vord. haußöhren, In des Knechts Cammer, In dem garthen hauß, In d. Bauchküch
Eigenthumb ane einer behaußung und Garthen (M.) Eine Behausung, hoff, hoffstatt, Stallung, Garth. Sommer und Gewächs hauß, sambt allen übrig. dero gebäuwen, begriffen, weithen rechten Zugehördt. und gerechtigkeiten geleg. allhier iù Finckweÿler beÿ d. Muckh. darvon das hauß einseith neben Mr Johann Lampen, and.seith neben Meister Georg Fritsch. beeden Metzgern, d. garth. aber einseit neben Hn N. Röschen dem Rothgerbern Zum theil und Zum theil neb. dem also genant Schäffoltzheimisch. hoff, und garth. and.seith neb. Hn Johann Georg Rosenzweig, dem Weinhändler Zum theil und Zum theil neb. Hn. Francisco Reißeißen J. U. Ddo. und der Statt Straßburg Cancelleÿ Contractuum Actuario auch Zum theil neb. Herrn Johann Georg Schwencksfeÿrers, gewesenen J. Cti. und Pfaltz Sponheimisch Raths seel. hind.laßene fr. Wittib und Erb. hinten auf Mademoiselle Margaretham Gretzingerin Zum theil und Zum theil auf Friderich Koch dem Metzg. stoß., Von welchem Garthen ein stück oder Eck an obgedacht. Herrn Schwencksfeÿrer cedirt worden, welche behaußung und Sommer: auch gewächs hauß durch die geschworne Werckleuth in des Hn ersterer haußfrawen seel. Verlaßenschafft Inventario angeschlagen und dißmahlen jedoch ohne præjudiz damahlen darbeÿ gelaßen pro 575. lb. Der Gart. aber dh. Hn Abraham Heÿdel Garthner Und. Wagnern auch E. E. groß. Raths alt. beÿsitzern und geschwornen Schätzern Vor freÿ, ledig u. eig. æstimirt und dißmahlen wid. jedoch ohne præjudiz damahlen darbeÿ gelaßen word. umb 1175 lb. Darüb. sagt j. T. pergamentener Kffbrieff, mit d. Statt Straßburg anhangendem Cancelleÿ Contract Insiegel verwahrt, dat. d. 19. Aprilis Anno 1700. darbeÿ gebunden noch dreÿ alte pergamentener Kauffbrieff mit gedachter Statt Straßburg anhangendem Cancelleÿ Contract Insiegel v.wahrt, sampt andern Schrifftlichen bericht alles mit altem Lit. A. notirt und dißmahlen nach beschehene besichtigung wid. darbeÿ gelaß.
Abzug in gegenwärtig Inventarium gehörig. Des Herr, in die Ehe gebracht Vermögen, Sa. haußraths 188, Sa. Gartegewächs 358, Sa. Lähren Vaß 17, Sa. Pferd 9, Sa. Silber Geschirr und Geschmeids 40, Sa. d. baarschafft 7, Sa. Eigenthumbs ane einer behaußung 1175, Sa. Schulden 231, Summa summarum 2028 lb – Schulden 1897 lb, In Vergleichung 130 lb, Hiezu ist nun ferner zurechnen der halbetheil an den verehrten haussteuren 101 lb, Beträgt also des Herrn sambtliche in die Ehe gebrachte Nahrung 232 lb
Der Frauen in die Ehe gebracht guth, Sa. haußraths 31, Sa. Silber geschirr und Geschmeids 38, Sa. goldener Ring 41, Baarschafft 171, Summa summarum 568 lb
– Deme beÿzurechnen der halbetheil an den verehrten haussteuren 101, So macht also der Frauen in die Ehe gebrachtes gantzes eigenthümliches Vermögen 669 lb
Le jardinier au jardin botanique Nicolas Struvé loue une partie de sa maison au jardinier manant Jean Wœrlé
1728 (15.7.), Chambre des Contrats, vol. 602 f° 331
Nicolauß Struve Doctor: gärttner
in gegensein Johannes Wörle des garttenmanns und Schirmers
seinen allhier im Finckweiler einseit neben Schwencksfeürischer Fr. wittib und Erben gartten anderseit neben H. von Bürckwaldts gartten und Roßenzweigischer wittib hinten auff das hauß vornen oder oben auff ged. Rosenzweigische wittib und Reißeißische Erben und unten auff Fr: Rheinin gelegenen gartten, sambt dem hindern gantzen garttenhauß so der verlehner wohnbar und in demselben eine Stub und zwo kammern zu recht machen zu laßen verspricht, In dem gartten aber sich zu seinem gebrauch und genuß vorbehaltet lincker hand des eingangs biß ahn den mittlern weeg allwo über zwerch eine zeil mit Bux stehet einen platz, Ferner rechter hand des eingangs einen hohen abricot baum und einen ahn der Maur stehenden Reebstock Ferner unter im gartten einen platz worauff anjetzo wilde Kösten bäum stehen (…) auff 9 nacheinander folgenden jahren anfangend von Martini fürwährenden jahrs, für das erstere jahr 75 gulden, das zweÿte 80 gulden, für jedes übrige 7 Jahr umb 90 gulden
Nicolas Struvé et Marie Ursule Heyl louent une partie du jardin au boucher Abraham Datt et à sa femme Marie Dorothée Hatt.
1737 (12.11.), Chambre des Contrats, vol. 611 f° 766
Nicolaus Struve der Kunstgärttner in hiesigem Horto Medico und Maria Ursula geb. Heÿlin
Abraham Datt des Metzgers und Maria Dorothea geb. Hattin
Einen platz garttens sambt darauff stehenden Bäumen und garttenhäußlein, auch übrigen Zugehörden, welcher platz 180 werckschuh in der länge und 41 dergleichen werckschuh in der breitte hält und an sein des verlehners eigenthum allhier im Finckweiler liegende gartten, einseit neben solchem gartten anderseit neben den käuffern selbst, oben des weÿl. wohlgebornen H. von Bürckenwaldts wittib und erben, unten Mlle Margaretham Gretzingerin
anbeÿ sich miteinander dahin verglichen, daß die beede gärtten so contrahirenden Parthen zugehörigen scheidende dielenwandt gemeinschafftlich sein und in gemeinsamen cösten unterhalten, aber auch durch legung beßerung weder solcher dielenwandt noch dem Struvischen gartten kein schaden noch andere incommoditaet zugefügt werden solle – um 225 pfund
Nicolas Struvé meurt en 1751 en délaissant deux fils et une fille. Les experts estiment la maison à 900 livres et le jardin à 120 livres. La masse propre à la veuve est de 1 321 livres. L’actif des héritiers et de la communauté s’élève à 1 322 livres, le passif à 2 054 livres
1751 (6.7.), Not. Lobstein (6 E 41, 786) n° 3
Inventarium und Beschreibung aller derjenigen Haab, Nahrung und Güthere, so weÿl. der Ehren: und wohl Vorgeachte herr Nicolaus Struve, der geweßene Kunst: und blumen, auch Doctor Gärthner und burger allhier Zu Straßburg nun seeliger, nach seinem dienstags den 27.ten Aprilis dießes 1751.sten Jahrs aus dießer welth genommenem tödlichen hintritt, Zeitlichen verlaßen, (…) ersucht und inventirt durch die Viel Ehren: und tugendsahme frau Mariam Ursulam Struvein gebohrner Haÿlin, die hinterbliebene Fr: Wittib beÿständl. des Ehren und wohlvorgeachten H. Philipp Jacob Haÿlen, des Wagners und burgers allhier, dero Eheleiblichen bruders (…) So beschehen in Straßburg auf Dienstag den 6.ten Julÿ 1751.
Der abgeleibte Herr seeliger hat ab intestato zu Erben Verlaßen wie volgt 1. S.T. Herrn Daniel Struve, S.S. Theologiæ Studiosum und Adjunctum der Evangelischen Gemeinde zu Seßenheim, so Majorennis und ohnbevögtigt, dahero derselbe in selbst eigener Persohn beÿ dem geschäfft erschienen. 2.do herrn Johann Jacob Struve, den Kunst: und blumen, auch dermahligen Doctor Gärthner, so gleichfalls Majorennis, welcher ebenfalls in selbst eigener Persohn dem geschäfft beÿwohnete, Und dann 3.tio Frau Mariam Dorotheam gebohrne Struvein, herrn Johann Friedrich Lauth, des Müllers auf der reichardischen Mühl und burgers allhier eheliche hausfrau, welche beÿständlich deßelben sich beÿ dem Geschäfft eingefunden. Alßo alle dreÿ des abgeleibten seeligen mit Eingangs gemelter seiner hinterbliebenen Wittib ehelich erziehlte Kinder und ab intestato Zu gleichen portionen und Antheilern Verlaßene Erben.
In einer allhier Zu Straßburg ane dem Finckweÿler beÿ Marx gelegenen und in dieße Verlaßenschafft gehörigen behaußung befunden worden, wie volgt
Eigenthumb ane einer behaußung Gewächshauß und Garten. (E. T.) Eine behaußung, hoff, hoffstatt, Garthen und Gewächß hauß sambt übrigen dero Gebäuden, begriffen, weithen, Rechten, Zugehörden und Gerechtigkeiten gelegen allhier im finckweÿler beÿ St Marx, davon das hauß einseitt neben wl. Mr Joh: Lampen, des geweßenen Metzgers hinterlaßener Wittib, 2.s neben N. Meÿer dem brüher, der garthen aber 1.s neben Sr Serdin, dem Zuckerbecker Zum theil v. z. theil neben der neuen Reith Schuhl gemeiner Statt gehörig, 2.s neben H. Rathh. Grauen Wittib Zum theil v. Z. theil neben wl. Mr Philipp Jacob Böris, des geweßenen Schloßers hinterlaßener Wittib, auch Zum theil neben H. Ref: Georg Wilhelm Fleischmann, hinten auff Mr Tuillar, den frantzösischen Sattler und Zum theil auf Abraham Dathen den Metzger stoßend, so freÿ Ledig und eigen, welche behaußung, hoff und Gewächßhauß durch (die Werckmeistere) laut abschatungs Zeduls vom 1. Julÿ 1751 angeschlagen worden pro 900 lb. Der Garthen aber ist durch (die) Schätzere inhalt abschatzungs Zeduls vom 5.ten Julÿ 1751 angeschlagen pro 120 lb. Machen alßo beede posten sammenthaft 1020 lb, Darüber sagt j. teutsch. perg. Kauffbrieff, mit der Statt Straßburg anhang. C.C. Insiegel verwahret, datirt den 19. Aprilis 1° 1700. Dabeÿ gebunden noch 3. alte perg. Kffb. mit gedacht. Statt Straßb. anhang. C. C. Insiegel verwahret, sambt anderen schrifftlichen bericht, alles mit altem Lit. A. datirt und dißmahlen nach beschehener besichtigung wider darbeÿ gelaßen.
Ergäntzung der Fraw Wittib abgegangen ohnverändert guths. Nach besag Invÿ über beeder geweßener Eheleuthe einander Vor ohnverändert in den Ehestand zugebrachte Nahrung in Anno 1717 durch Not. Johann Lobstein meinem geliebten Vatter auffgerichtet
Abzug In gegenwärtigen Verlaßenschafft Inventarium gehörig, Der Frau Wittib ohnverändert Vermögen, Sa. hausraths 37 lb, Sa. Silbers 3 lb, Sa. goldenen Rings 7 lb, Sa. Pfenningzinß hauptguths 75 lb, Sa. Schulden 112 lb, Ergäntzungs Rest 1084 lb, Summa summarum 1321 lb
Der Erben ohnverändert und Theilbahres Vermögen. Sa. hausraths 138 lb, Sa. garthenwgewächs 40 lb, Sa. Wein und Lährer Vaß 17 lb, Sa. Silbers 18 lb, Sa. goldener ringe 4 lb, Sa. baarschafft 34 lb, Sa. Eigenthumbs ane einer behaußung 1020 lb, Sa. Eigenthums ane liegenden güthern 30 lb, Sa. Schulden 18 lb, Summa summarum 1322 lb – Schulden 2054 lb, In Vergleichung 731 lb – Conclusio finalis 1321 lb, Stall summ 589 lb
– Vergleich zwischen Frauen Mariä Ursulä Struvein gebohrner Haÿlin beÿständlich H. Philipp Jacob Haÿlen, des Wagners und Burgers allhier Ihres bruders, als der hinterbliebenen Frau Wittib ane einem,
So dann Weÿl. H. Nicolaj Struvé des geweßenen Kunst und blumen gärthners seel. hinterlaßenen 2. Hn. Söhnen und Frau tochter auch dero Ehevogts, als ab intestato verlaßener Erben, ane dem anderen theil, getroffen
3.tio. der verstorbene seeliger in der mit seiner hinterbliebenen Wittib aufgerichteten heuraths Verschreibung §.pho 9.no deroselben den halben theil ane seiner eigenthümbl. behaußung und garthen in dem Finckweÿler gelegen cum appertinentiis umb 1500 gulden eigenthümlich versprochen, als hat dieselbe erklärt, daß Sie anjetzo sich noch nicht declariren könne, ob Sie solchen halben theil umb obangesetzten Preiß annehmen wolle oder nicht, sich aber Ihr recht optima forma reservirt und vorbehalten – Actum Straßburg auf Dienstag den 6. Julÿ A° 1751
Copia der Eheberedung (…) So geschehen in Straßburg auf Dienstag den 27. Aprilis 1717, Johann Lobstein Notarius juratus
Marie Ursule Heyl meurt en décembre 1773 en délaissant trois enfants ou leurs représentants. L’inventaire est dressé au Finckwiller près de Saint-Marc (voir ci-dessous, la jouissance qu’elle se réserve lors de la donation). L’actif de la succession s’élève à 1 571 livres, le passif à 303 livres.
1773 (14.1.), Not. Lobstein (J. Frédéric, 6 E 41, 816) n° 636
Inventarium über Weiland des Viel Ehren und Viel tugendsahmen Frn Mariæ Ursulæ Struvein, geb. Haÿlin, auch weiland H. Niclaus Struve, des geweßenen Kunst: und blumen: auch Dr. Gärthners und burgers allhier Zu Straßburg seel. nachgelaßener Wittib nun auch seel: Verlaßenschafft, errichtet in Anno 1773 – nach ihrem Sambstags d. 26.ten Decembris des zurückgelegten 1772.sten Jahrs aus dießer welt genommenen tödlichen hintritt, Zeitlichen verlaßen, Welche Verlaßenschafft, auf freundliches ansuchen erfordern und begehren der Verstorbenen Fr. seel. mit erstgedachtem Ihrem Ehemann seel. ehel. erziehltem H. Sohns und Enckel Vögte, als deroselben ab intestato Verlaßene 3. Stamm Erben (…) So beschehen allhier Zu Straßburg auf Donnerstag den 14.ten Januarÿ 1773.
Der Verstorbenenn Fr. seel. ab intestato Verlaßene Erben seind 1. H. Daniel Struve, treueifferiger Pfarrer der Evangelischen Gemeinde in Ruprechtsau und wohlansehnlicher burger alhier Zu Straßburg welcher in selbst eigener Persohn dießer Verlaßenschafft Inventur abwartete, in den Ersten dritten Stammtheil. 2.do Weiland H. Johann Jacob Struve des geweßenen Kunst: und blumen: auch Dr Gärtners und E: E: Kleinen Raths alhier alten beÿsitzers, mit Fr. Maria Margaretha geb. Ebingerin seiner hinterbliebenen Wittib ehel. erziehlte und nach tod verlaßene beede töchter als 1) Jgfr. Magdalena und Jgfr Dorothea der Struvein, deren geordnet und geschworener Vogt ist hr. Johann Daniel Haÿl, der Kieffer und Weinhändler auch burger alhier, welcher beÿ dießer Verlaßenschafft Inventur mit Zuziehung vorgemelter ihrer Fr. Mutter deir Interesse besorgt hat, I, In den Zweÿten dritten Stammtheil, und dann 3.tio Weil. Fr Mariæ Dorotheä Lauthin, geb. Struvein, mit acuh weil. H. Johann Friderich Lauth, dem geweßenen Meelmann und b. allhier ihrem Ehemann seel. ehelich erziehle noch lebende 3. KK. nahmentlich a) Hr Friderich Jacob, Philosophiæ Cultor, b) Jgfr. Maria Dorothea und c) Johann Daniel die Lauthen, deren geordnet und geschworener Vogt ist H. Philipp Jacob Höllbeck der Seyler und b. alhier, welcher beÿ gegenwärtiger Verlaßenschafft Inventur dero Nutzen besorgte In den dritten und letzten Stammtheil. Alle 3. seind der Verstorbenen Frn seel. mit weil. Niclaus Struve dem gewesenen Kunst und Blumen: auch D. Gärthner und b. alhier Ihrem Ehemann seel. ehelich erziehlte Jinder und Enckel und ab intestato Zu 3.en gleichlingen portionen und Antheilern Verlaßene Erben
Copia der Verstorbenen Frn. seel: selbsthändig v.schriebener und unterschriebener Verordnung unter Kindern und Enckel vom 10.ten Martÿ 1769.
In einer alhier Zu Straßburg ane dem Finckweiler nahe beÿ dem Stifft St. Marx gelegenen und in dieße Verlaßenschafft nicht gehörigen behaußung befunden worden, wie folgt
Series rubricarum hujus Inventarii. Sa. haußraths 69, Sa. Goldgeschmeids 2, Sa. Pfenningzinß hauptgüter 1500, Summa summarum 1571 – Schulden 303, Nach solchem abzug und Conclusio finalis Inventarÿ 1268 lb – Stall summ 968 lb
Marie Ursule Heyl fait donation de la maison à son fils Jean Jacques Struvé en s’y réservant un logement lors de son contrat de mariage avec Marie Marguerite Ebinger, fille de tonnelier
1753 (18.12.), Not. Lobstein (J. Frédéric, 6 E 41, 833) n° 22
Eheberedung – persönlich kommen und erschienen der wohlvorgeachte Herr Johann Jacob Struve, der Kunst: und blumen, auch Doctor Gärthner und burger allhier Zu Straßburg als Hochzeiter ane einem
und die Viel Ehren und tugendgezierte Jungfrau Maria Margaretha Ebingerin, weÿland Hn Johann Georg Ebingers, des gewesenen Kieffers und burgers allhier nunmehro seeligen nachgelaßenee Jungfer tochter, als die hochzeiterin ane dem andern theil
Siebendes, hat Frau Maria Ursula Struvein geb. Haÿlin, weÿland herrn Nicolai Struve, der des geweßenen Kunst: und blumen auch Dr Gärthner und burgers allhier seeligen nachgelaßener wittib als des herrn hochzeiters Mutter Versprochen, diesem Ihrem Sohn, das Ihro gehörige Eigenthum ane einer behaußung, hoff, hoffstatt, Garthen und Gewächß hauß, sambt allen deren Gebäuden, begriffen, Weithen, Rechten und Gerechtigkeiten gelegen allhier im finckweÿler beÿ St Marx, davon das hauß einseith neben weÿland Hn Johann Lampen des geweßenen Metzgers hinterlaßener Wittib, 2. seith neben N. Meÿer dem brüher, sambt dem Garthen so einseith neben Sr Serdin, dem Zuckerbecker Zum theil und Zum theil neben der Reith Schuhl, 2. seith neben Abraham Datten des Metzgers behaußung Zum theil und Zum theil auch den Schauenburger hoff stoßend gelegen, so freÿ Ledig und eigen, sambt allen Gärthen gewächß und der gesehten früchten und Gewächß hauß, wie nicht weniger dem Eigenthum ane einem liegenden Guth ohngefähr Zweÿ acker groß vor dem Metzgerthor am Bubenwäßerlein gelegen (…) Vor und umb 4800 Gulden (…) anbeÿ hat Er Herr Johann Jacob Struvé der Sohn und hochzeiter Versprochen seine frau Mutter Lebenslänglich in der Ihme abgetrettenen behaußung wohnen zu laßen und zwar ohne entgeld Ihro ein Stüblein und Cammer auf dem Zweÿten stock einzuraumen
[unterzeichnet] Johann Jacob Strubé als hochzeiter, Maria Ursula Struwen als mutter, Maria Margareth Ewingerin als hochzeiterin
Mariage, Saint-Nicolas (luth. f° 124-v, n°2)
1754. Mittwochs d. 23. Januar. Seind nach Zweÿmahliger Außruffung in der Evangelischen Pfarr Kirch Zu St Nicolai in dem Stand der Heiligen Ehe eingesegnet worden H Johann Jacob Struve Universitæts Gärtner v. burger allh. weÿland Herrn Nicolai Struve auch geweßten Universitæts Gärtners v. burgers allhier Hinterlaßener Ehelicher Sohn, v. Jfr. Maria Margaretha Ewingerin weÿl. H Johann Georg Ewingers geweßenen beÿsitzers und Kieffers allhier hinterlaßene Ehel. Tochter [unterzeichnet] Johann Jacob Struve als Hochzeiter, Maria Margaretha alß hochzeiterin (i 127)
Les nouveaux mariés font dresser l’inventaire de leurs apports dans sa maison, estimée à la somme de 1 300 livres et le jardin à celle de 300 livres. Les apports du mari s’élèvent à 595 livres, ceux de la femme à 506 livres.
1754 (5.2.), Not. Lobstein (J. Frédéric, 6 E 41, 787) n° 34
Inventarium und Beschreibung aller derjenigen Haab, Nahrung und Güther, so der Ehren und Wohlvorgeachte auch Kunsterfahrne herr Johann Jacob Struve der Kunst und blumen auch Dr. Gärthner und die Viel Ehren: und tugendreiche frau Maria Margaretha Struvin gebohrne Ebingerin, beede Eheleuthe und burgere allhier Zu Straßburg einander Vor ohnverändert in den Ehestand zugebracht, welche der ursachen alldieweilen in Ihr beeder Eheleuthe den 18.ten Decembris 1753 vor mir Notario aufgerichteten heuraths Verschreibung expresse enthalten, daß eines jeeden in die Ehe bringende Nahrung reservirt und ohnverändert sein und bleiben solle (…) So beschehen in Straßburg in beÿsein H. Johann Philipp Frieß, deß Meßerschmids der Ehefrauen erbettenen Assistenten auf Dienstag den 15. Februarÿ 1754.
In einer allhier Zu Straßburg ane dem finckweÿler gelegenen und dem Eheherrn eigenthümlich Zuständigen behausung befunden worden, wie volgt
Eigenthumb ane einer behausung und Garthen, (H.) Eine behausung, hoff, hoffstatt, bronnen, Garthen und Gewächßhauß samt allen übrigen dero Gebäuden, begriffen, Weithen, Rechten, Zugehörden und Gerechtigkeiten, gelegen allhier im Finckweÿler beÿ St Marx, davon das hauß einseith neben weÿland Hn. Johann Lampen, des geweßene, Metzgers hinterlaßener Wittib, 2.s neben N. Meÿer dem brüher, der Garthen aber i.s neben Serdin dem ausgetrettenen Zuckerbecker Zum theil und Zum theil neben der neuen Reitschuhl, 2.s auf Abraham Datten, des Metzgers behaußung Zum theil und Zum theil auf den Schauenburger hoff stoßend, so freÿ, leedig, eigen und ist die behaußung, hoff und Gewächß hauß dißorths ohnpræjudicirlichen angeschlagen worden pro 1300 lb. Der Garthen aber auch ohnpræjudicirlich für 700 lb. Machen beede Posten zusammen 2000 lb Darüber sagt ein teutscher pergamentener Kaufbrieff mit der Statt Straßburg anhangendem C.C. Insiegel verwahrt d. d. 19.ten Aprilis A° 1700. Dabeÿ annoch 3 alte pergamentene Kaufbrieff mit gedachten der Statt Straßburg anhangenden C.C. Insiglen corroborirt sambt andern brieffliche bericht, alles mit Lit. A. notirt.
Garthen gewächs
Series rubricarum hujus Inventarÿ. Des Herrn in die Ehe gebracht Vermögen, Sa. hausraths 83 lb, Sa. garthen Gewächß 239 lb, Sa. Meels 8 lb, Sa. Weins 2 lb, Sa. Silbergeschmeids 33 lb, Sa. Eigenthumbs ane einer behausung 2000 lb, Sa. liegenden Lehen guths 400 lb, Summa summarum 2767 lb – Schulden 2260 lb, Nach solchem abzug 507 lb, Dazu kombt ferner die helffte ane denen Haussteuren 87 lb, Des Eheherren Völlig in die Ehe gebracht Vermögen in vero pretio 595 lb
Der Ehefrauen in die Ehe gebrachte Nahrung. Sa. hausraths 91 lb, Sa. Silbergeschmeids 17 lb, Sa. Goldene ringe 47 lb, Sa. baarschafft 262 lb, Summa summarum 418 lb – Beÿzusetzen die helffte ane denen haussteuren 87 lb, Der Ehefrauen Völlig in die Ehe gebracht Guth in vero pretio 506 lb
Jacques Struvé est élu échevin à la tribu des jardiniers
1762 Conseillers et XXI (1 R 245)
H. Johann Jacob Struwe wird schöff beÿ E. E. Zunfft der gartner und confirmirt. 203.
Le jardinier au jardin botanique Jacques Struvé loue une partie de sa maison aux bouchers Jean Albert Ungerer et Jean Jacques Schlegel.
1762 (19.7.), Chambre des Contrats, vol. 636 f° 231-v
H. Jacob Struwe der doctorgartner
in gegensein Johann Albrecht Ungerer und Johann Jacob Schlegel beede metzger
verlühen, in seiner im Finckweiler gelegenen behausung im hinter hauß der gantze untere und erstere stock, nichts davon ausgenommen, auff 9 nacheinander folgenden jahren, auff innstehenden Michaelis anfangend
vor der unterschrift ist verabschiedet worden, daß in dieser lehnung auch begriffen sein solle der keller und die obere bühn in gedachter behausung nebst einer cammer im hoff, zweÿ holtzhäußer allda dem gemeinschafftlichen gebrauch der bühn auf dem gewächshaus und dem schweinstall – um einen jährlichen Zinß nemlich 30 pfund
Les locataires ci-dessus sous-louent la maison au boucher Jean Lamp le jeune
1766 (13.2.), Chambre des Contrats, vol. 640 f° 124
Johann Albert Augerer vor sich und innahmen Johann Jacob Schlegel beede metzger
in gegensein Johann Lamp dem jüngen auch metzger
in einer allhier H. Johann Jacob Struve dem Doctor gärtner gehörigen ane dem Finckweiler gelegenen behausung in hinder haus auf dem boden und ersteren stock die sambtliche wohnung, die bühn in obgedachter behausung nebst einer cammer im hof, zweÿ holtzhäußer allda, der gemeinschaftliche gebrauch der bühn über dem gewächshauß und dem schweinstall – Lehnung auf 5 nacheinander folgenden jahren und 6 monath anfangend auff instehend Annunciatonis Mariae – um einen jährlichen Zinß nemlich 30 pfund
Jean Jacques Struvé meurt en 1770 en délaissant deux filles. L’inventaire est dressé dans une maison à côté du jardin botanique ruelle des Nonnes. La masse propre à la veuve est de 490 livres, la masse propre aux héritiers de 773 livres. L’actif de la communauté s’élève à 675 livres, le passif à 1 291 livres.
1770 (13.7.), Not. Lobstein (J. Frédéric, 6 E 41, 813) n° 561
Inventarium über Weiland des Wohl Ehrenvest: und Großachtbahr auch Kunsterfahrenen herrn Johann Jacob Struvé, geweßenen Kunst: und Blumen auch Dr. Gärthner und E. E. Kleinen Raths alten wohlverdienten beÿsitzers auch burgers dahier Zu Straßburg nun seeligen Verlaßenschafft errichtet in Anno 1770. (…) nach seinem Sonntags den 10.ten Junÿ dieses lauffenden 1770.sten Jahrs aus dießer Welth genommenen tödlichen hientritt Zeitlichen verlaßen, welche Verlaßenschafft auf freundliches ansuchen erfordern und begehren der Viel Ehren und Viel tugendgezierten Fr. Mariæ Margarethä Struvein geb. Ebingerin, der Hinterbliebenen Wittib, beiständlich H Johann Friderich Seÿlers, wohlbestellten Cancellariæ substituti dahier, wie auch H Johann Daniel Haÿl, des Kieffers, Weinhändlers und burgers dahier als geordnet und geschworenen Vogts Jungfer Margarethæ, so 16. Jahr alt und Jgfr. Dorotheæ so 15 Jahr zurückgelegt, der Struve, des Verstorbenen H. seel. mit erstgedachter der hinterbliebenen Wittib ehelich erziehlter Zwo töchter und ab intestato Verlaßener Erben – So beschehen alllhier Zu Straßburg, auf Freÿtag den 13.ten Julÿ 1770.
In einer alhier Zu Straßburg ane dem Nonnengäßlein gelegen und Zu dem allhiesigen Doctorgarthen gehörigen behaußung befunden worden, wie folgt
(f° 7-v) Eigenthum ane einem Garthen (E.) Neml. ein Garthen Von ohngefehr 2 Acker groß vor dem Metzger thor am Bobenwäßerlein (…)
(f° 8) Garthengewächß und fergleichen
(f° 10) Eigenthum ane Zweÿen häußlein (T.) Neml. Zweÿ neben einander ligende häußlein in der Vorstadt Krautenau i Nonnen Gäßl. gegen dem Doctorgarthen über (…)
(f° 11) Ergäntzung de hinterbliebenen Wittib durante Matrimonio abgegangen ohnveränderten Guths. Innhalt des über beeder nun zertrennter Eheleuthe einander für ohnverändert in den Ehestand Zugebrachte Nahrungen durch mich unterschriebenen Notarium in Anno 1754. errichteten Inventarii
(f° 15) Series rubricarum hujus Inventarii. Der hinterbliebenen Wittib ohnverändert Vermögen, Sa. haußraths 16, Sa. Silbers 4, Sa. goldener Ring 12, Sa. Schulden 75, Sa. der Ergäntzungs Rests 382, Summa summarum 490 lb
Dießemnach wird auch der Erben ohnverändert Vermögen beschrieben, Sa. haußraths 39, Sa. Gartengewächßes 15, Sa. Silbers 3, Sa. Eigenthums ane einem Garthen 50, Sa. Ergäntzungs Rests 739, Summa summarum 848 lb – Schuld 75 lb, Nach solchem abzug 773 lb
Endlich folgt auch die beschreibung des Gemein verändert und theilbahren guths, Sa. Haußraths 27, Sa. Weins und lährer Faß 11, Sa. Gartengewächßes 28, Sa. Silbers und dergleichen Geschmeids 8, Sa. Pfenningzinß hauptgüther 450, Sa. Eigenthumbs ane Häußlein 150, Summa summarum 675 lb – Schulden 1291 lb, In Vergleichung, passiv Onus 616 lb
Beschluß summ 647 lb – Stall Summ 557 lb
Zweiffelhaffte und Verlohrene Schulden in die Theilbahre Verlaßenschafft 40 lb
Cessio 464
Les préposés de la Taille font figurer la succession dans leur registre parce que les impôts acquittés étaient calculés d’après une fortune sous-évaluée de 100 florins (50 livres) sur un total de 1 100 florins
1770, Livres de la Taille (VII 1180) f° 112-v
Krautenau N° 2655 – Weÿl. H. Johann Jacob Struve geweßenen Kunst und blumen Gärtners allhier Verlaßenschafft jnvent. H Not. Lobstein.
Concl. final. jnvent. ist fol. 120. – 647 lb 14 ß 11 ½ d davon gehet aber wider ab wegen den a 4 pro Cento angelegten Capitalien 90 lb, Verbleibt 557 lb 14 ß 11 d die machen 1100 fl. verstallte 100 fl. zu wenig
wovon nachtrag 8 Jahr in duplo à 3 lb – 14 lb
und 6 Jahr in simplo 9
Ext. Stallgeldt 170 – 1 lb 10 ß
Geb. 2 ß
Abhandlung – 1 lb 7 ß 6 d, Summa 26. lb
Vermög Erkantnus dero obern Stallherren vom 3. 7.bris Ist der Nachtrag auff 16 lb moderirt worden, restirt 19. lb
dt. 3. 7.bris 1770
Marie Marguerite Ebinger meurt en 1781 en délaissant deux filles. L’inventaire est dressé dans une maison sise rue du Maroquin au marché aux Cochons-de-lait. La succession dont l’actif s’élève à 1 865 livres et le passif à 20 livres comprend un jardin hors la porte des Bouchers et une maison ruelle des Nonnes.
1781 (23.5.), Not. Lobstein (J. Frédéric, 6 E 41, 828) n° 915
Inventarium über Weiland der Viel Ehren: und Viel tugendgezierten Frn Mariæ Margarethæ Struvein, gebohrner Ebingerin, auch weiland Hn Johann Jacob Struve, des geweßenen Kunst: und blumen auch Dr. Gärtners, auch E: E: Kleinen Raths alten wohlverordneten beÿsitzers und burgers allhier Zu Straßburg seeligen, nachgelaßener Fr. Wittib, nun auch seeligen Verlaßenschaft, errichtet in Anno 1781. – nach ihrem Donnerstags den 29.ten Martÿ dießes lauffenden 1781.sten Jahrs aus dießer welt genommenen tödlichen Hientritt Zeitlichen verlaßen (…) So beschehen allhier Zu Straßburg auff Mittwoch den 23.ten Maÿ 1781.
Der Verstorbenen Fr. seel. ab intestato Verlaßene Erben sind 1.mo Fr. Margaretha Wolffin geb. Struvein, H. Johann Friderich Wilhelm des Meelhändlers und burgers alhier eheliche haußfrau, welche mit beÿhülff dieses Ihres mariti beÿ gegenwärtiger Verlaßenschaft Inventur Zugegen war, In den Ersten Zweÿen Stammtheil, und dann 2.do Frau Dorothea Scherzin geb. Struvein H. Johann Jacob Schertzers des Kunst und Blumen auch Dr. Gärtners und burgers allhier Ehegattin, welche mit assistentz dießes Ihres Ehewürts beÿ gegenwärtiger Verlaßenschaft Geschäft erschienen, In den Zweÿten und lesteten Stammtheil, beede seind der verstorbenen Fr. seel. mit mehrgemeltem weÿl. H. Johann Jacob Struve (ihrem) Ehemann seel. ehelich erziehlte töchtere und ab intestato Zu Zwoen gliechlingen portion und Antheilern Verlaßene Erben.
Bericht. Es hatt die Verstorbene Fr. seel. außweisl. Ihro mit Ihrem Ehemann vor mir Notario d. 18. Xbris a° 1753. errichteter Heuraths: Verschreibung §° 5.ro deßen gesamte nach tod Verlaßene Nahrunglebenslängl. salva legitima zu genießen (…)
In einer alhier Zu Strasburg ane dem Ferckel Marckt und der St. Urbans Gaß gelegenen und in dieße Verlaßenschaft nicht gehörige, Behaußung befunden worden als folgt
(f° 4-v) Eigenthum a,ne einem Garthen. Neml. I. Garthen von ohngefehr 2 acker groß vor dem Metzgerthor am buben Wäßerlein (…)
Eigenthum ane einem kleinen Häußlein. Neml. eun klein Häußlein, so ohnegin dem Stift St. Nicolai in undis eigenthüml. zuständig war im Nonnengäßel gegen dem Doctor Garthen über (…)
Series rubricarum hujus Inventarii. Sa. haußraths 56, Sa. Silbers und deros Geschmeids 14, Sa. goldener Ring 6, Sa. pfenningzinß hauptgüter 1675, Sa. Eigenthums ane einem kleinen Häußlein 37, Sa. Eigenthums ane einem Garthen 75, Summa summarum 1865 lb – Sa. Schuld 20, Nach solchem abzug, Conclusio finalis Inventarÿ 1845 lb – Stall Summ 1510. lb
Jean Jacques Struvé vend la maison au jardinier André Gutwein moyennant 1 250 livres
1768 (28.6.), Chambre des Contrats, vol. 642 f° 432-v
H. Johann Jacob Strüve der Doctor gartner
in gegensein Andreas Gutwein des gartenmanns
eine behausung, hoff, garten und hoffstatt mit allen gebäu, begriffen, zugehörden, rechten und gerechtigkeiten im Finckweiler ; als ein in der Eheberedung übergebenes guth, einseit neben Johann Lamp dem metzger, anderseit neben (-) Meÿer dem brüher, hinten auff Johann Pfeffinger dem metzger zum theil zum theil d. königl. Reitschuhl, H. Krantz und andere
der verkäuffer hat sich auch diejenige wohnung und gärthlein so seine mutter gedachte Fr. Strüve dermahlen innen hat so lang dieselbe im leben seÿn wird vor dieselbe zinßfrei zu bewohnen vorbehalten – 1250 pfund
Fils de jardinier, André Gutwein épouse en 1743 Marie Salomé Busch, fille de batelier : contrat de mariage, célébration
1743 (17.8.), Not. Koch (6 E 41, 498) n° 100
Eheberedung – persönlich erschienen seÿe, der Ehrengeachte Andreas Gutwein, leediger Gartenmann, des auch Ehrengeachten Andres Gutwein, Gartenmanns v. burgers allhier Zu Straßburg, mit Weÿl. Fr. Barb. geb. von Zabern seel. ehel. erzeugter Sohn, als bräutigam, Ane Einem
wie auch die Ehren v. Tugendsahme Jungfrau Maria Salome Buschin, H. Joh: Daniel Busch, des Schiffmanns v. burgers allhier, mit Weÿl. Fr. Anna Barb. geb. Luxin seel. ehelich erzeugte Tochter als hochzeiterin am Andern Theil
So geschehen in der Königl. Statt Straßburg in Gegenseÿn der Ehrengeachten Daniel Schöllhammers, Gartenmanns v. burgers allhier auff des Bräutigams v. auff d. Jgfr. hochzeiterin Seiten H Joh: Georg Artzners des Fischhändlers v b. allhier ihres geschwornen Vogts, (…) auff Sambstag d. 17. Aug. A° 1743. [unterzeichnet] Andreas gudwein als hochzeiter, Maria Salome buschin als hoh Zeiterin
Mariage, Saint-Guillaume (luth. f° 127 n° 19)
Aô 1743. den 28. Augusti. Seind nach Zweÿmahliger außruffung nemlich Dominica X et XI Trinitatis in der Kirch Zu St. Wilhelm ehl. copulirt und eingesegnet worden Andreß Gutwein der ledige Garten Mann und burger allhier, andreß Gutweins auch Garten Manns und burgers allhier und Maria Barbara von Zabern ehl. Sohn, und Jungfr. Maria Salome, Johann Daniel Buschen, Schiffmanns und burgers allhier und Annæ Barbaræ Luxin ehl. Tochter [unterzeichnet] Andreas gudwein Als hochzeider, Maria Salome buschin als hochzeiderin (i 124)
André Gutwein loue une partie de sa maison au marchand Jean Lichtenberger
1768 (16.7.), Chambre des Contrats, vol. 642 f° 489
Andreas Gutwein der gartenmann
in gegensein H. Johann Lichtenberger des handelsmanns
entlehnung, in seinem haus ane dem Finckweiler gelegenen garten ausgesteckten leeren platz so mit einem laten zaun soll zugemacht werden, ferner einen unterschlagegen platz in gewächßhaus so zweÿ creutzstock in sich haltet – auf 18 nacheinander folgenden jahren anfangend von verfloßenen Johannis Baptistæ, um einen jährlichen Zinß nemlich 20 pfund
André Gutwein vend la maison au marchand Jean Lichtenberger moyennant 2 750 florins
1772 (9.1.), Chambre des Contrats, vol. 646 f° 10-v
Andreas Gutwein der gartenmann
in gegensein H. Johann Liechtenberger des handelsmanns
eine behausung, hoff, garten und hoffstatt mit allen gebäuden, begriffen, zugehörden, rechten und gerechtigkeiten samt allen in dem garten sich befindlichen bäumen die nicht zur baum schuhl gehörig von einem theil davon außmachen im Finckweÿler einseit neben Johann Lamp dem metzger, anderseit neben H. Nicolaus Meÿer auch metzger, hinten auff Johann Pfeffinger d. metzger zum theil auff der könig. reitschuhl, H. Kratz, H. Groß und anderen particularen – als ein von Johann Jacob Struve dem doctorhartner den 28. Junÿ 1768 erkaufftes guth – um 1500, 150, 600, 500 capitalien beladen, um vorbeschriebenen capitalia
Natif de Colmar, Jean Lichtenberger qui a fait son apprentissage auprès de feu Jean Müssel demande à la tribu du Miroir une promesse d’admission une fois devenu bourgeois
1758, Protocole de la tribu du Miroir (XI 278)
(f° 37-v) Freÿtags den 14. Julii 1758 – Vertröstung
Hr Johannes Lichtenberger der leedige handelsmann von Colmar gebührtig so die handlung beÿ weÿl. H Johannes Müßel dem gewesenen handelsmann allhier wie recht erlernt, bittet jhme schein mitzutheilen, daß E: E: Zunfft Gericht ihne nach gnädig erlangten burgerrecht Leibzünfftig auff und annehmen wolle. Erkanndt Willfahrt
Devenu bourgeois, Jean Lichtenberger devient tributaire au Miroir le 19 août 1758
(f° 38-v) Sambstags den 19. Augusti 1758. – E. Neuzünfftiger
Hr Johannes Lichtenberger ist nunmehro Zufolg producirten Cantzleÿ und Stall scheins vom 7. et 12. hujus gegen Erlag dreÿ pfund Zehen schilling, leibzünfftig als handelsmann auff und angenommen worden, dt. et prom. obed. und declarirt den wollen Zeughandel führen zu wollen.
Fils du marchand Georges Guillaume Lichtenberger de Colmar, Jean Lichtenberger épouse en 1760 Marie Salomé Kruel, veuve du marchand Jean Philippe Schatz : contrat de mariage, célébration
1760 (21.8.), Not. Langheinrich (J. Daniel, 6 E 41, 739) n° 171
Eheberedung – entzwischen dem Edlen Wohl Ehren: Vest und Großachtbahrn Herrn Johannes Lichtenberger dem Leedigen Handelsmann und Burgern allhier Zu Straßburg S.T. Herrn M. Georg Wilhelm Lichtenbergers des Evangelischen Gymnasii Zu Collmar Wohlverdienten Rectoris und treueifferigen Predigers daselbst, mit S. T. Frauen Maria Margaretha gebohrner Wetzelin ehelich erzeugtem Herren Sohn, als dem Herrn Bräutigamb ane einem
So dann der Edlen Viel Ehr: und Hoch tugendgezierten Frauen Mariæ Salome Schatzin, gebohrener Kruelin, Weÿland ST. Herrn Johann Friderich Schatz, geweßenen Vornehme Handelsmanns und burgers allhier seeligen nachgelaßener Frau Wittib, als der Frauen Hochzeiterin ane dem andern Theil
So Beschehen in Straßburg auff Donnerstag den 21. augi 1760 [unterzeichnet] Johann Lichtenberger als Hochzeiter, Maria Salome Schatzin gebohrnee Kruelin als Hochzeiterin
Gegenwärtige Eheberedungs pacta seit in mein unterschriebenen Notarÿ Gegenseÿn Vorstehender maaßen abgeredet abgehandelt und beschloßen worden, solches wird von mir unter. attestirt Straßburg d.28. Augusti 1760.
Mariage, Saint-Nicolas (luth. f° 161 n° 26)
1760. Dienstag d. 2. Sept. wurden auff Gnädige Erlaubnuß Regirenden Herrn Ammeisters nach Zweÿmahliger Außruffung Zu Hauß Ehelich eingesegnet Herr Johannes Liechtenberger Lediger Handels Mann v. burger allhier, Herrn M. Georg Willhelm Liechtenbergers des Evangel. Gymnasii Rectoris v. Predigers in Colmar Ehelicher Sohn, und Frau Maria Salome geb. Kruelin, weÿl. Herrn Johann Friderich Schatz geweßten Handelsmanns v. burgers Allhier hinterlaßene Wittib [unterzeichnet] Johannes Lichtenberger als Hochzeiter, Maria Salome Schatzin als hochzeiterin (i 163)
Les nouveaux mariés font dresser l’inventaire de leurs apports dans la maison dite au Saut de lièvre rue de l’Homme de Pierre (partie de l’actuelle rue de l’Ail). Les apports du mari s’élèvent à 1 954 livres, ceux de la femme à 2 069 livres.
1760 (10.11.), Not. Langheinrich (J. Daniel, 6 E 41, 716) n° 358
Inventarium über des Wohl Ehrenvest und Großachtbahren Hn Johann Lichtenbergers Vornehmen handelsmanns und der Viel Ehr: und hoch tugendgezierten Frauen Mariä Salome Lichtenbergerin gebohrner Kruelin, beeder Vornehmer Eheleuthe und burg. einander für ohnverändert in den Ehestand Zugebrachte Nahrungen, auffgerichtet Anno 1760. – und sich vermög dero mit einander auffgerichteten heuraths Verschreibung Vom 21. Augusti dießes Jahrs Vor unverändert Vorbehalten haben (…) So beschehen in præsentia S. T. Hn Christian Heinrich Kruel Vornehmen handelßmanns und burgers allhier der Ehefrauen Vielgeliebten Hr Vatters auf Montag den 10.den Novembris A° 1760.
In einer allhier Zu Straßburg ane den Steinern Manns gaß gelegener Zum haßensprung genandter und in dieße Zugebrachte Nahrung nicht gehöriger behaußung befunden worden wie folgt.
Series rubricarum hujus Inventarÿ. d. Herrn in die Ehe gebracht Vermögen, Sa. haußraths 229, Sa. Handlung 1506, Sa. Wein und lährer Faß 34, Sa. Silber geschirr und Geschmeids 41, Sa. Goldener Ring und dergl. Geschmeids 142, Summa summarum 1954 lb
So dann der Ehefrauen Zweÿer Kinder Erster Ehe Zu erfordern habende Vätterliche Nahrung, so die Ehefrau theils lebtägig Zu genießen 2069 lb
Haussteuren 235 lb
Marie Salomé Kruel meurt en 1769 en délaissant deux enfants de son premier mariage et un fils du deuxième. L’inventaire est dressé dans une maison de location au Vieux-Marché-aux-Poissons. La masse propre aux héritiers s’élève à 8 310 livres. L’actif de la communauté et du veuf s’élève à 26 957 livres, le passif à 34 372 livres.
1770 (8.3.), Not. Langheinrich (J. Daniel, 6 E 41, 729) n° 761
Inventarium über Weÿl. der Wohl Edlen Viel Ehr und Hoch tugendgezierten Frauen Mariä Salome Lichtenbergerin geb. Kruelin, des Wohl Ehrenvest und Großachtbahren Herrn Johannes Lichtenbergers Vonehmen Handelsmanns und Burgers allhier Zu Straßburg Frauen Eheliebstin nunmehr seel. Verlaßenschafft auffgerichtet Anno 1770. – als dieselbe Dienstags den 28.ten 9.bris des zurückgelegten 1769.ten Jahrs dießes Zeitliche mit dem Ewigen verwechßelt, nach solch Ihrem aus dießer Welth genommenen seel. Absterben hie Zeitlichen Verlaßen (…) So beschehen in Straßburg auff Donnerstag den 8.ten Martÿ et seq. Anno 1770.
Die seelig Verstorbene Frau Lichtenbergerin hat ab intestato Zu Erben Verlaßen Wie folgt. 1. Herrn Johann Friderich Schatz den leedigen Handelsmann, In den Ersten dritten Stammtheil, 2.do Jgfr. Christinam Cleophe Schatzin in dem Andern dritten Stammtheil, dieße beede der Verstorbenen frauen seel. in erster Ehe mit auch Weÿland Herrn Johann Friderich Schatz dem geweßenen Vornehmen Handelsmann und burgern allhier ehelich erzeugte beede nach tod Verlaßene Kinder, Welche mit dem Hoch Edel und Hochgelehrten Herrn Joh: Daniel Cappaun JV Lti und hochverdienten Hn Procuratori fisci beÿ allhießiger Löbl. Statt Straßburg auch Vornehmen Burgern allhier bevögtigt welcher dann auch mit und beneben dem H Sohn als seinem H Curandi beÿ gegenwärtiger Inventur erschienen
So dann 3.tio Johannes Lichtenberger, der Verstorbenen, Frauen seel. mit eingangs gedachtem Ihren hinterbliebenen Hn Wittiber ehelich erzeugt und nach todt Verlaßenes Söhnlein, so mit dem wohl Ehrenvest und Großachtbahrn Herrn Joh: Heinrich Kruel dem Handelsmann und burger, allhier bevöftigt, welcher auch noê seines Curandi dem geschäfft persönlich beÿgewohnt, In den dritten und letzten Stamtheil, Alßo alle 3 der Verstorbenen, Frauen seel. in Zwoen Ehen ehelich erzeugte Kinder und ab intestato Zu dreÿen gleichlingen portionen und Stammtheilen Verlaßene Erben.
In einer allhier Zu Straßburg ane dem Fischmarck gelegener und in diese Verlaßenschafft nicht gehörigen Behaußung befunden Worden Wie folgt.
Ergäntzung der Erben wehrender Ehe abgegangenen unveränderten Guths. Zufolg Inventarÿ über beeder ob Ehrengedachter geweßener Eheleuthe einander für unverändert in den Ehestand Zugebrachte Nahrungen in Anno 1760. durch mich unterschriebenen Notarium auffgerichtet
Eigenthum ane Liegende güthern, Collmarer Banns
Wÿdum, Welche die Verstorbene frau seel. Wegen Ihrer beeden Kinder Erster Ehe biß an Ihr seel. Ende genoßen
Series rubricarum hujus Inventarÿ. Copia der Eheberedung
Copia der Verstorbenen frauen seel. A° 1760. auffgerichteten ersten verschloßenen Codicilli – Copia der Verstorbenen frauen seel. A° 1769. auffgerichteten Zweÿten Codicilli clausi
Der Kinder und Erben unverändert Vermögen, Sa. haußraths 391, Sa. faß 20, Sa. Silbers und dergl. geschmeids 61, Sa. Goldener Ring 55, Erg. rest 10.113, Summa summarum 10.641 lb – Schulden 2331 lb, Nach solchem abzug 8310 lb
Dießemnach Wird nun auch des Hn Wittibers unverändert und theilbare Nahrung unter einem titul beschrieben, maßen der Kinder und Erben H. Vögte aig die theilbare Nahrung tam active quam passive renunciren und solche dem H. Wittiber allein überlaßen worden, Sa. haußraths 222, Sa. Wahren Zur handlung gehörig 18.320, Sa. Wein und lährer faß 194, Sa. Silbers und dergleichen Geschmeids 71, Sa. Goldener Ring und dergl. Geschmeids 216, Sa. der baarschafft 477, Sa. Eigenthums ane Liegenden güthern 500, Sa. Schulden 6954, Summa summarum 26.957 lb – Schulden 34.372 lb, In Vergleichung, passiv onus 7414 lb – Stall summ 3012 lb
Zweiffelhaffte und Verlohrene Schulden in des Hn Wittibers unverändert und theilbare Nahrung 756 lb
Jean Lichtenberger est élu échevin au Miroir en 1775.
1775 Conseillers et XXI (1 R 258)
H. Johannes Lichtenberger wird Schöff beÿ E. E. Zunft Zum Spiegel. 288.
Jean Lichtenberger se remarie en 1780 avec Madeleine Félicité Rittel : contrat de mariage, célébration
1780 (7.4.), Not. Lacombe (6 E 41, 178) n° 14
Contrat de mariage – Sr Jean Lichtenberger négociant veuf de Marie Salomée née Kruel
Madeleine Félicité née Rittel fille majeure de Jean Rittel caissier à la Chambre des pauvres et Cécile Félicité née Wetzel
pas de communauté – Etat des meubles, 6887 Livres
Mariage, Robertsau (luth. f° 38-v)
Montag den 17. Aprilis 1780 sind auf Erlaubnis Ihro Gnaden des Regierenden Herrn Ammeisters nach Zweÿmaliger Proclamation sowohl in der Prediger als auch St Nicolai Kirche in Straßburg in SS. TT. Hern Stättmeisters Baron von Berckheim Landhauß Ehelich copulirt und eingesegnet worden Herr Johannes Lichtenberger Handels Mann Wittwer vnd burger in Straßburg und Jungfrau Magdalena Felicitas Ritterin weÿl. Hrrn Johannes Ritter burgers und Caissier in den Allmosen stub daselbst Eheliche Tochter [unterzeichnet] Johannes Lichtenberger als Hochzeiter, Madalena Felicitas Ritterin Hochzeiterin (i 42)
La maison du failli Jean Lichtenberger est vendue par enchère à Jean Frédéric Seyler moyennant 18 500 livres tournois ou 4 625 livres de Strasbourg : adjudication devant le notaire royal Lacombe et vente définitive à la Chambre des Contrats
1778 (27.4.), Not. Lacombe (6 E 41, 170) n° 50
Procès verbal – L’an 1778 le 16° Jour d’avril a trois heures de relevée (…) sont comparus Mr Jean Georges Schertz bourgeois & Negociant de Strasbourg, Syndic de la Masse du Sieur Jean Lichtenberger, Bourgeois Negociant de cette ville et Mre Thomas Vachter et Frédéric Bernard de Turckheim bourgeois Banquiers de cette même ville, ces derniers adjoints nommés audit Sieur Schertz par délibération des créanciers de ladite Mase du 18 novembre 1777 dument homologuée au Grand Sénat de cette ville (…)
ils auroient mis les Jardins, Maisons, Scituées en cette ville au quartier de finckwiller dépendant de ladite Masse, ensemble arbres, Vignes, plantes, fleurs, orangerie, outils et ustensiles en dépendants et y existans en vente au plus offrant et dernier enchérisseur (…) dans L’état ou le tout se trouve maintenant et suivant que led. Jardin et Bâtimens sont énoncés au Contrat d’achapt du 9 janvier 1772 passé à la Chambre des Contrats de cette ville – crié 16.000 livres, Et personne n’ayant voulu faire de Mise et surenchérir,la présente vente et enchere a eté Remise a Lundt prochain quatre May.
Cejjourd’huiy quatre du mois de may (…) Laquelle mise a été couverte par le Sieur Jean Laforgue Bourgeois de cette ville de cent livres, 16.100 livres,
Et par le sieur Jean Frédéric Seyler à la somme de 18.500 livres
(Joint) Conditions La maison, jardin, appartenances et dépendances, arbres, vignes, plantes, fleurs, orangerie, outils, ustensiles, le 27 avril 1778 [Jointes les affiches] 18.500 livres
1778 (8.5.), Chambre des Contrats, vol. 652 n° 157
H. Johann Georg Schertz der handelsmann als zu H. Johann Liechtenberger des handelsmann credit massa creditorum bestellter syndicus und H. Thomas Wachter und H. Friedrich Bernhard von Türckheim beede banquier alß deßelben beordnenen adjuncti
H. Johann Friedrich Seÿler des ganthrichters, als letzt und meistbietenden
eine behausung bestehend aus zweÿ corps de logis, hoff, garten und hoffstatt nebst denen im garten vorfindigen bäumen, reeben, pflantzen, blumen, orangerie bäumen, garten geschirr mit all denen übrigen gebäuden, begriffen, weithen, zugehörden, rechten und gerechtigkeiten im Finckweiler, einseit neben Johann Lemp dem metzger, anderseit neben H. Nicolaus Meÿer gewesten metzegrs erben, hinten auf Johann Pfeffinger den metzger zum theil theils königl. reitschuhl, H. Kratz, H. Groß und anderen particularen – um 525, 575, 750, zusammen 2250 lb. oder 4500 fl. beladen – um 9250 fl. worunter die capital summen begriffen
Contrat conclu entre Jean Frédéric Seyler et Jean Lichtenberger d’après lequel le premier acquiert pour moitié la maison qui appartient au second. L’acquéreur s’engage par ailleurs à fournir des marchandises d’horticuteur
1778, 94 Z 60 (Pièces produites à la Chambre des Contrats)
Societaets Project Zwischen Herrn Johann Friderich Seÿler, Burger und Stadtrichters Adujuncto, und Herrn Johannes Lichtenberger, Burger und Handelsmann alhier, über die vor Herrn Notario Lacombe den 4. May 1778. durch den ersten ersteigerte, im finckweiler dahier gelegenen Garten, Häußer, Blumen, Zwiebeln, Bäume, orangerie, Geschirr und überige Zugehörde de, 8. Maÿ 1778 errichtet
1° Gibt Herr Seÿler, wie abgeredet worden, dem Herrn Lichtenberger die Hälfte Antheil ane dem ersteigerten objecto und zwar um die nämliche Summa, und unter den nämlichen Bedingungen, wie es solches ersteigert hat, welches Herr Lichtenberger auch also annimmt
2° Wurde abgeredet, daß dieses objectum Zu Keinerzeit unter Ihnen getheilt, sondern gemeinschaftlich bleiben musse. Sollte aber über kurz oder lang einer oder der andere nicht in die Societät bleiben wollen, so mußte derselbe seine Hälfte dem andern überlaßen (…)
9° Weilen aber Herr Seÿler einen besondern fond von blumenzwibeln, Gewächsen, Gartengeschirr u.s.w. hat, und solches in den gemeinschaftlichen Garten zu fourniren sich engagirt, soll darüber sobald thunlich ein ordentlicher Etat verfertiget und nach der Billigkeit eine Abschätzung gemacht
Straßburg den 8. Maÿ 1778. [unterzeichnet] Johannes Lichtenberger, Seyler
Les préposés en chef de la Chancellerie nomment Jean Frédéric Seyler procureur ordinaire à l’audience du consul le premier octobre 1763 eu égard qu’il travaille depuis trois ans à la Chancellerie sans rétribution en donnant toute satisfaction.
Fils du tenancier luthérien du Jeu de paume, Jean Frédéric Seyler épouse en 1770 la catholique Marie Madeleine Couturier, fille d’un marchand de Lille
1770 (20.8.), Not. Humbourg (6 E 41, 139)
Contrat de mariage – Sr Jean frederic Seyler, secrétaire de Chancellerie du Magistrat de Strasbourg fils majeur de feu Sr Jean Frédéric Seyler, maître Paumier, et anne marte ahlingerin
dlle Marie Catherine Couturier fille majeure de Jean Pierre Couturier, marchand de Galanterie de lille, et de Susanne Catherine Couturier
Jean Frédéric Seyler est élu échevin à la tribu des Jardiniers en 1785
1785 Conseillers et XXI (1 R 268)
H. Johann Friderich Seiler wird Schöff auf E. E. Zunft der Gartner. 266.
Ancien juge au tribunal du Bas-Rhin, Jean Frédéric Seyler meurt en délaissant pour héritiers ses frères et sœurs. L’inventaire est dressé dans la maison Weitersheim rue des Mineurs. L’actif de la succession s’élève à 15 467 livres, le passif à 4 094 livres
1796 (9 pluviose 4), Strasbourg 4 (6), Not. Greis n° 893 altes 609 (abîmé par l’humidité)
Inventarium über und bescheibung alles alles deßen was weiland der burger Johann Friedrich Seÿler, geweßene Richter beÿ dem Tribunal des Niederrheinischen Departement nach seinem den 25. frimaire jüngst erfolgten absterben an Vermögen hinterlassen hat, auf Ansuchen des burgers Johann Carl Seÿler, Gastgebers im Ballhaus, als des verstorbenen mitteren bruders, wie auch auf begehren des burgers Heinrich Joseph Wenglers, offenen Notarii als Curatoris des verstorbenen jüngern von hier abwessenden bruders Johann Christoph Seÿlers, wie auch des verstorbenen [abge]lebter Schwester weÿl. Margaretha friderika geb. Seÿler des burgers Johann Georg Simon, Goldarbeiters allhier Ehefrau hinterlaßenen zween dermalen von hier abweßender Söhnen namentlich Georg Heinrich und Friedrich Sigmund Simon
in gegenwart burgerin Maria Catharina geb. Couturié des verstorbenen Wittib in gefolg ihrer mit dem verstorbenen am 20. aug. 1770 errichtet eodem beÿ Not. Humbourg hinterlegten Eheberedung
in einer ane der bergknappen vormaligen Bergherrengaß gelegen mit N° 13 bis bezeichneten dem bürger Weitersheim zuständigen behausung
hausrath 848 li, silbers 38 li, gold 119 li, baarschafft 14 460 li, summa summarum 15.467 li, schulden 4094 li, Nach deren Abzug 11.372 li – Activ schulden so zweiffelhaft 1397 li
Copia des Ehe Contracts
Enregistrement, acp 39 F° 56 du 19 plu. 4
Jean Frédéric Seyler est receveur des consignations en 1793.
Garde magasin des effets militaires à Landau, Jean Frédéric Seyler vend la maison dont il est unique propriétaire depuis la cession datée du 18 février 1782 au négociant Claude Naré
1795 (27 brumaire 3), Strasbourg 13 (1, nouvelle cote 2), Not. Bremsinger n° 17
le Cit. Pierre Engelmann, employé à l’administration des Charrois de l’Armée du Rhin demeurant a Strasbourg, en qualité de mandataire special du Cit. Jean Frédéric Seyler présentement garde magasin des effets militaires dans la place de Landau
au Citoïen Claude Narré négociant (signé) nare
une Maison consitante en deux corps de logis avec un jardin y attenant de la contenance d’environ deux arpents et demi mésure locale contenant toutes sortes d’arbres fruitiers une orangerie et d’autres sortes d’arbres, plantes rares et fleures en pots de 600 pièces ou environ, une grande quantité d’oignons de fleurs avec une grande Salle au fond du jardin une chambre a coté une petite Cave, deux gloriettes un jeu de Quilles et autres agrements appartenances aisances et dépendances, sans y comprendre cependant le billard et ustencilles qui se trouvent dans ladite salle lesdits bâtiment et jardin, se trouvant en cette commune rue ci devant finckwiller N° 2 aboutissant d’un côté à Jean Lamp le boucher d’autre à Nicolas Meyer derrière le Sr Jean Pfeffinger le boucher et sur le ci devant harras, N Gratz, N Gross et d’autres jardins de particuliers – audit C. Seyler pour les avoir acquis de la masse des créanciers de feu Jean Lichtenberger, négociant en cette commune suivant contrat d’acquisition du 8 maÿ 1778 et Cession du 18 février 1782, aux conditions portées ez procès verbaux d’encheres passés souss. 29 fructidor 14 et 24 vendemiaie dernier – moyennant 55.000 livres
(Autres actes) n° 3 du 29 frimaire. 2, Première enchere, estimé 40.000 livres, à Wolfgang Paul Spelter 41.000 li
N° 4 du 1 sans Culottide, Camille Barbier 45.000 livres
N° 8, deuxième enchere le 14 vendemiaire III, J. Phil. Nerking 54.000 livres
N° 9, troisième enchere le 24 vendrmiaire à Wolfgang Paul Spelter 54.500 livres
Enregistrement, acp 29 F° 89 du 27 brum. 3
Claude Naré et Françoise Periat déposent leur contrat de mariage sous seing privé. Le registre de population de 1795 porte que le vivandier Claude Naré natif de Besançon a 45 ans, sa femme Françoise née à Porrentruy 35 ans.
1798 (18 fructidor 6), Strasbourg 9 (26 n.c.), Not. Bossenius
Dépôt de contrat de mariage – sont comparus le Citoyen Claude Naré, aubergiste à Strasbourg et la Citoyenne Françoise née Periat son épouse assistée de de Sondit mari et encore du Citoyen Georges Charles Guillaume Léopold de lad. Commune, lesquels ont déclaré qu’ayant fait rédiger par écrit pendant leur mariage les articles et Clauses dont ils furent convenus avant leur mariage, il leur importe à les savoir exécutés le cas échéant C’est pourquoi ils présentèrent à moi Notaire un écrit sous seing privé daté du 18 fructidor an 6 enregistré à Strasbourg le 6° frimaire dernier
Claude Naré expose la maison aux enchères en 1797
1797 (2 frimaire 6), Strasbourg 9 (anc. cote 25), Not. Bossenius n° 116
1° enchere, n° 116, le Cit. Claude Naré demeurant en cette commune, adjudication publique
Une Maison consistante en deux Corps de Logis avec Un Jardin y attenant de la Contenance d’environ deux Arpents & demi une grande sale au fond dudit Jardin une Chambre a côté & une petite Cave deux Gloriettes un jeu de Quilles & autres Agrémens appartenances Aisances & Dépendances le tout situé en cette ville Quartier du finckwiler N° 2, d’un côté Jean Lamp boucher, d’autre Nicolas Meyer, parderrière Jean Frédéric Pfeffinger père rentier en partie & en partie sur le cidevant Harras plusieurs jardiniers de Particuliers, estimée 18.000 fr – personne ne s’est présenté
2° enchère n° 120 pour 18.500 fr, Cit. Guillaume Leopold
3° enchère n° 125 pour 19.500 fr, Cit. Guillaume Leopold – N° 128 pour 20.200 fr Cit. Beau Commandant du deuxième bataillon de la 68° demi brigade
4° enchère n° 132 pour 20.400 fr, Henry Comte
Il passe vente sous seing privé le 16 floréal 6 au profit de l’architecte Jean Michel Müller qui ne remplit pas ses obligations
L’aubergiste Claudé Naré et sa femme Françoise Periat font dresser un état de leur fortune.
1798 (12 frimaire 7), Strasbourg 9 (anc. cote 11), Not. Bossenius n° 70
Inventaire de la Masse du Cit. Claudé Naré Aubergiste et de la Cit. Françoise née Periat
Copie du contrat de mariage dépose le 18 fructidor 6 devant le soussigné
apports de la femme, argenterie 13 fr, meubles meublants 1842 fr
au mari et à la masse commune, vins 510 fr, argenterie 13 fr, remploi de la Cit. Naré 5000 fr, dettes actives à l’épouse 3000 fr, total général des propres résevés à la Cit. Naré 5313 fr
Masse commune, meubles 1842 fr, vins 510 fr, total 5352 fr, passif 9783 fr, Excédent de passif 7430 fr
Le C. Naré déclare que par acte passé s.s.p. le 16 floreal 6 il a vendu au Cit. Michel Müller architecte de cette ville une maison avec un jardin y attenant Quartier Finckwiler Rue St Marc N° 2 pour 19.000 fr, le Cit. Müller n’ayant pas satisfait a tous ses engagemens par ledit Contrat le jugement ayant été rendu au Tribunal Civil (…)
Enregistrement de Strasbourg, acp 64 F° 130 du 16 frim. 7
L’architecte Jean Michel Müller cède la maison qu’il a acquise par acte sous seing privé du 16 floréal 6 aux marchands Jean Leberecht Rausch et à Cerf Jacob
1798 (22 therm. 6), Strasbourg 2 (10), Not. Knobloch n° 188
br Johann Michael Müller baumeister
an bürger Johann Lebrecht Rausch und Cerf Jacob beeder handelsleuten
Eine behaußung und dran gelegenen ohngefähr 2 und ein halb acker großer garten, samt weithen, begriffen, Rechten und gerechtigkeiten gelegen allhier in dem finckweiler an der marxgaß N° 2, einseit neben Johannes Lang dem metzger, anderseit neben Niclauß Meßer hinten auf due Pfeffingerische Erben zum theil und zum theil auf die Emalige Reitschuhl und verschiedene garten – anbeÿ verpflichet sich br Michael Müller der Verkäufer an das hauß in obgesagtem garten eine Kuche an des gärtners wohnung allda 10 schue lang auf die nemliche breite und höhe des Nebens gebäudes jnnerhalb vier wochen auf seine Kösten zu bring. zu fertig zu machen – ul 13 000 livres
(Joint) 18. thermidor 6, br Michael Müller baumeister, Johann Lebrecht Rausch und Cerf Jacob eine behausung (…) wie solches alles in dem zwischen br Müller und Narré getroffenen Verkauf sous seing privé de 16. floreal 6 beschrieben
Enregistrement de Strasbourg, acp 62 F° 145-v du 1 fruct. 6
D’après le jugement rendu en 1804, l’acquéreur doit être Jean Leberecht Rausch fils qui épouse en 1796 Frédérique Madeleine Rausch
1796 (23 floreal 4), Strasbourg 7 (28), Not. Stoeber, n° 621
Eheberedung – erschienen Burger Johann Lebrecht Rausch, Handelsmann und Courtier alhier, so ledig und großjährigen Alters, burgers Johann Lebrecht Rausch des Handelsmanns alhier mit frauen Maria Cunigunda gebohrner Petzel ehelich erzeugter Sohn, als Bräutigam unter autorisation seines gebliebten Vaters,
und Burgerin Friderica Magdalena Rausch die ledige, weiland burgers Joh: Gottfried Heinrich Rausch alhier mit frauen Christina Magdalena gebohrner Wiedemännin erzeugte tochter als Braut
Straßburg en 6. Germinlal im Vierten Jahr der Republick [unterzeichnet] Johann lebrecht Rausch Sohn als Bräutigam, Friderika Magdalena Rausch als Braut
Enregistrement, acp 40 f° 85 du 23 flor. 4 – revenu industriel 360
Originaire d’Obernai, Rachel Weil femme du marchand Jacques Felsenberg ci-devant Cerf Jacob meurt en 1813 en délaissant six enfants
1813 (22.11.), Strasbourg 9 (anc. cote 19), Not. Bossenius n° 571, 6001
Inventaire de la succession de Rachel Weil femme de Jacques Felsenberg ci devant Cerf Jacob négociant décédée le 18 septembre dernier – à la requête du veuf tuteur d’Adele, Rosalie et Jacques, Mathias Levy Lanzenberg commerçant à Dambach subrogé tuteur, plus ledit Lanzenberg poursuivant les droits de Rachel Felsenberg sa femme et fondé de pouvoir de Lisette Felsenberg femme de Moise Lang marchand de chevaux à Ribeauvillé, enfin Babette Felsenberg majeure
dans la maison sise grande rue de la Grange N° – dernier domicile de la défunte
garde robe 56 fr
communauté 1193 fr, déduire 62 fr, reste 1131 fr
Enregistrement, acp 123 F° 189 du 23.11.
Décès, Strasbourg (n° 1529)
Déclaration de décès le 19 septembre 1813. Rachel Weil, âgé de 55 ans, née à Obernai, Bas Rhin, épouse de Jacob Felsenberg, Colporteur, morte en cette mairie le 18 du mois courant à 5 heures du soir, dans la maison située n° 7 Grande Ruë de la Grange, fille de feu Levy Weil, marchand, et de feu Rachel Rehlé [in margine :] f. hectique (i 32)
Décès, Nidernai (n° 21)
Le colporteur Cerf Jacob prend le nom de Jacob Felsenberg, sa femme Frommet Weil celui de Rachel Weil. Le père déclare en outre le nom de ses quatre enfants mineurs
Déclaration des noms par les Juifs, Strasbourg (1808)
n° 118 (…) s’est par présenté Cerf Jacob, Colporteur, domicilié en cette ville grand rue de la grange N° 7, lequel nous a déclaré prendre le nom de Felsenberg pour nom de famille et conserver celui de Jacob pour prénom et a signé avec nous le présent acte le 20 septembre 1808 (signé) Cerf Jacob apresent Jacob felsenberg (i 22)
n° 119 (…) s’est par présentée Frommet Weil Epouse de Cerf Jacob, Colporteur qui a pris les prénom et nom fixes de Jacob Felsenberg demeurant grand rue de la grange N° 7, laquelle nous a déclaré conserver le nom de Weil pour nom de famille et prendre celui de Rachel pour prénom. La déclarante ayant déclaré ne savoir signer son mari assistant a signé avec nous le présent acte le 20 septembre 1808 (i 22)
n° 120 (…) s’est par présenté Cerf Jacob, Colporteur, qui a pris les prénom et nom fixes de Jacob Felsenberg demeurant grand rue de la grange N° 7, lequel nous a déclaré donner à Besselé sa fille Mineure née à Niedernai en 1791 le nom de Felsenberg pour nom de famille & celui de Barbe pour prénom et a signé avec nous le présent acte le 20 septembre 1808 (i 22)
n° 121 (…) s’est par présenté Cerf Jacob, Colporteur, qui a pris les prénom et nom fixes de Jacob Felsenberg demeurant grand rue de la grange N° 7, lequel nous a déclaré donner à Elle sa fille Mineure née à Niedernai en août 1793 le nom de Felsenberg pour nom de famille & celui de Adèle pour prénom et a signé avec nous le présent acte le 20 septembre 1808 (i 22)
n° 122 (…) s’est par présenté Cerf Jacob, Colporteur, qui a pris les prénom et nom fixes de Jacob Felsenberg demeurant grand rue de la grange N° 7, lequel nous a déclaré donner à Rehl sa fille Mineure née en cette ville le 21 Frimaire an trois le nom de Felsenberg pour nom de famille & celui de Rosalie pour prénom et a signé avec nous le présent acte le 20 septembre 1808 (i 22)
n° 123 (…) s’est par présenté Cerf Jacob, Colporteur, qui a pris les prénom et nom fixes de Jacob Felsenberg demeurant grand rue de la grange N° 7, lequel nous a déclaré donner à Jacob son fils mineur né en cette ville le 13 Prairial an cinq le nom de Felsenberg pour nom de famille & conserver celui de Jacob pour prénom et a signé avec nous le présent acte le 20 septembre 1808 (i 22)
Jacob Felsenberg (Cerf Felsenberg) meurt à Nidernai en 1818.
Déclaration de décès le 31 mai 1818. Cerf Felsenberg âgé de 70 ans, né à Niedernai, revendeur, veuf de feue Fromet Leopold, domicilié à Niedernai, mort en cette mairie le 31 mai du mois courant à onze heures du matin dans la maison située n° 252, fils de feu Jacob Moyses, vivant revendeur, et de feue Rachel Cerf. (…) deuxième déclarant, Nathan Felsenberg, âgé de 72 ans, revendeur frère du décédé (i 8)
Jean Leberecht Rausch et Cerf Jacob vendent la maison au brasseur Jean Daniel Meyer
1801 (6 frimaire 10), Strasbourg 5 (12), Not. F. Grimmer n° 1257
bürger Johann Lebrecht Rausch und Cerf Jacob beede handelsleute
an bürger Johann Daniel Meÿer dem bierbrauer
Eine behausung hof hoffstatt bronen Stallung Garten mit allen deren Gebäuden, begriffen, Weithen, Zugehörden, Rechten und Gerechtigkeiten zu Straßburg an dem Finckweiler in der Marxgaß N° 2, einseit neben Johannes Lamm, anderseit neben N. Meÿer hinten auff Johannes Pfeffinger, die Reitschul, br. beck und andere – vor mir am 6. floreal 8.t jahr passirten Kauf und Verkauf an der bierbehausung zum storchen zu fordern – um 22.000 francken
Enregistrement, acp 82 F° 89 du 11 frim. 10
Fils du brasseur Jean Georges Meyer et de Marie Salomé Pick, Jean Daniel Meyer épouse en 1803 Marie Madeleine Meyküchel, fille du cafetier Jean Jacques Meyküchel
1803 (14 pluv. 11), Strasbourg 10 (32), Not. Zimmer n° 289, 1483
Eheberedung – br Johann Daniel Meyer, lediger Gastgeber, weÿl. Johann Georg Meyer, bierbrauer, mit auch weÿl. Fr. Maria Salome geb. Pick ehelicher Sohn
Jungfrau Maria Magdalena Meÿküchel, weÿl. Johann Jacob Meÿküchel, Caffesieders mit Maria Magdalena geb. Schott erziehlte Tochter
Enregistrement, acp 86 f° 186 du 15 pluv. 11
L’aubergiste Daniel Meyer loue le jardin au jardinier Michel Bœttiger
1803 (8 fruct. 11), Strasbourg 13 (17), Not. Bremsinger n° 1136
Sechs jährige lehnung – bürger Daniel Meyer der gastgeber
an burger Michael Betiger den gärdner allhier [unterzeichnet] böttiger
seinen in dem Finckweiller N° zwei gelegen gemüß und obsgarthen sambt denen in dem garthen befindlichen garten häusern und an: zugehörden, einseit neben bu. Freÿß dem Metzger und theils der Reitschul anderseit neben bu. Diehlmann und mehrere andere Particularen oben b brack und burger Schneider, ohngefähr 2 acker groß oder 60 ares – um einen jährlichen Zinß nemlich 400 francken
Enregistrement, acp 88 F° 176-v du 15 fruct. 11
Cahier des charges de l’auberge dite au Jardin des Orangers par le cafetier Jean Daniel Meyer
1804 (12 nivose 12), Strasbourg 7 (37), Not. Stoeber n° 2296, 5177
bürger Johann Daniel Meÿer Cafféesieder
die demselben gehörige behausung hoff hoffstatt bronnen Stallung Garten mit deren Gebäuden, zugehörden und Rechten in Straßburg ane dem Finckweiler in der Marxgaß m Numéro 2 bezeichnet, einseit neben Johannes Lamm anderseit neben N. Meÿer und hinten auff Johannes Pfeffinger, die Reitschul, bürger beck und andere Particularen, ausgerufen 16.000 fr.
[Affiche] Une maison avec Ecuries puits cour et un beau Jardin de la contenance de 4 ares dit Auberge au Jardin des Orangers située au quartier Finckweiler dans la rue St Marc N° 2 très-commode pour une auberge ou autres établissements – Eine große Behausung samt Stallungen Bronnen hof und zween großen Garten worinnen die besten Obstbäume und viele Reblauben stehen im Finckweiler in der Marxgasse N° 2
(Joint acte d’opposition)
La maison est vendue à la barre du tribunal civil à la requête de Jean Lebrecht Rausch fils. Le tanneur Jean Jacques Ott s’en porte acquéreur
1804 (4 floréal 12), Hypothèque de Strasbourg, Transcription reg. 19, n° 18
le Tribunal Civil a rendu le jugement suivant, audience du 15 germinal 12 entre Jean Lebrecht Rausch fils négociant à Strasbourg [publication : demeurant place Thomas n° 3] demandeur en expropriation forcée defendeur en intervention comparant par le C. Kern avoué d’une part et Jean Daniel Meyer aubergiste en ladite ville defendeur en expropriation forcée defaillant et encore Michel Böttinger jardinier demandeur en intervention comparant par le Cit. Momy avoué d’ultérieure part (…) laisser l’intervenant en jouissance jusqu’à la St Martin ou 21 brumaire prochain
par le poursuivant Rausch
(déclaration de command le) 6 germinal 12, déclare avoir enchéri pour Jean Jacques Ott tanneur, moyennant 14.200 francs
une maison cour écurie et grand jardin y attenant aisances appartenances et dépendances situé au quartier finckwiller rue St marc N° 4 a Strasbourg d’un côté ci devant Jean Lamm actuellement Hoffmann, d’autre ci devant le Cit Meyer actuellement Klein boucher, devant ladite rue, derrière le harras, les Cit. Jean Pfeffinger, Breck et autres, évalué en produit net à un revenu de 112 francs, mise à prix par le poursuivant 4000 francs
Fils du tanneur David Ott, le tanneur Jacques Ott épouse à Bischwiller Marie Elisabeth Lyroth, fille du marchand de vins Jean Pierre Lyroth : contrat de mariage, célébration
Copia Ehe Contracts Extractus aus dem Eheberedungs Protocollo des Notariats und ehemaligen Greffe zu bischweiler vom 1. sept. 1788, H Jacob Ott der ledige Rotgberger L david Ott burger und Rothgerger zu Straßburg Sohn So dann jungfrau Maria Elisabetha Lyroth H. Joh: Peter Lyroth Weinhändlers auch gerichtsschoffens hieselbst
Mariage, Bischwiller (luth. f° 27-v)
Den 6. Weinmonats im Jahr 1788 wurden nach vorhergegangener zweÿmaligen proclamation in Straßburg und dreymaligen dahier, mit einwilligung beyderseitiger Eltern und auf Erlaubnus hiessiger hertzoglich Pfalz: Zweybrückischen Canzelley öffentlich ehelich eingesegnet Herr Johann Jacob Ott, Bnürger und Rothgerber Zu Strassburg, alt 26 Jahre, und ehelicher Sohn Herrn Johann David Otts, des Bürgers und Rothgerbers zu Straßburg und Jungfrau Maria Elisabeth, alt 25 Jahre, ehelich erzeugte Tochter Herrn Peter Lyroth des bürgers, Weinhändlers und Gerichtsschöffen dagier [unterzeichnet] Johann Jacob Ott als Hochzeiter, Maria Elisabeth Luroth als Hochzeiterin (i 18)
Marie Elisabeth Lyroth meurt en 1798 en délaissant deux fils
1798 (23 frimaire 7), Strasbourg 4 (24), Not. Roessel n° 425
Inventarium und beschreibung all derjenige Haab Nahrung und Güther so weÿl. bürgerin Maria Elisabetha Lÿroth burgers Johann Jacob Ott des jüngers rothgerbers Ehefrau, nach ihrem den 25. brumaire an 7 genommenen tödlichen hintritt
Die Erblaßerin hat ab intestato zu Erben verlaßen ihre mit dem Wittiber zwey Kinder als Joh: Jacob 10 Jahr und Joh: david 3 Jahr und 2 monath alt, als tuteur subrogé b. Joh: Jacob Ott der mittlere rothgerber
Copia Ehe Contracts Extractus aus dem Eheberedungs Protocollo des Notariats und ehemaligen Greffe zu bischweiler vom 1. sept. 1788 (…)
im Sterbhaus am brand ein End N° 7
(f° 8 v) Eigenthum an häußern. Nemlich und erstlich eine behaußung bronnen und hoffstatt mit allen deren gebäuden, begriffen, weithen, zugehörden und rechten stehend auf der Spizengas n° 24 bezeichnet einseit neben brumterische Wittib anderseit neben b. harrs Garten, hierüber besagen Kaufbrieff vor Not. Dinckel sub dato den 27. vend. 5
Item eine behaußung bronnen und hoffstatt mit allen deren gebäuden, begriffen, weithen, zugehörden, rechten und Gerechtigkeiten am Finckweiler im Mühlgäßel mit N° 87 bezeichnet einseit neben einem dem b. bartheußer zustendigen mit N° 88 bezeichneten haus, anderseit neben Joh: Philipp heucher Schneider hinten auf b. Dillmanns magazin stoßend, samt gegen über sich befindliche Stallung so vorhien von Abraham Thalwitzer birstenbunder zuständig wan welche haus und Stallung, außer 1 franc 20 c so man jährlich ahn solcher stallung ane bodenzinß zahlt frei und ledig, besagt hierüber Kauffverschreibung vor Not. Dinckel sub dato 29. mes. 5
Eigenthum ane Feld-Ackeren in bischweiler
Series rubricarum hujus Inventarÿ. Des wittibers ohnverändert Vermögen, hausrath 433 fr, silbers 30 fr, Erg. 8000 fr, Summa summarum 8463 fr – Passiva 400 fr, Deducendo verbleiben 8063 fr
Der Kinder und beneficial Erben ohnverändert. guth, hausrath 366 fr, silbers 36 fr, activ schulden 400 fr, Ergäntzung 896 fr, feld acker 800 fr, Summa summarum 2468 fr
Endlichen wird die gemein verändert und theilbare Verlassenschaffts mass beschrieben, hausrath 3645 fr, (barré : häußern 8000), Summa summarum 11 645 fr. – Schulden 9146 fr, Deducendo 2499 fr
Enregistrement, acp 64 f° 150-v du 23 frim. 7
Le chamoiseur Jean Jacques Ott loue la maison au jardinier Georges Pœttiger fils
1805 (30 vend. 14), Strasbourg 13 (23), Not. Bremsinger n° 2803
Jean Jacques Ott chamoisseur
à Georges Pöttiger fils jardinier (corrige : bettiger)
Bail 6 ans à commencer le 21 brumaire prochain – un jardin dit le Jardin de Seyler avec la maison au bout du jardin toutes ses circonstances les Gloriettes le Jeu de quilles une Cave dont l’issue donne dans le jardin, Le tout situé au Finckwiller, d’un côté le Sr Dillemann et plusieurs Particuliers, en haut M Breck, en bas le Sr Schneider, contenant environ 2 arpents ou 60 ares
(Charges, clauses et conditions) 2. le bailleur se éserve pendant toute la durée du bail la jouissance de la moitié du Berceau garni de vignes qui se trouve du côté gauche en remontant le Jardin du côté des propriétés des SS Koch & Dillemann, Il aura le choix de prendre la partie haute ou la partie basse qu’il fera fermer – moyennant un loyer annuel de 300 francs
Enregistrement de Strasbourg, acp 97 F° 177 du 3 brum. 14
Inventaire de séparation d’une locataire, Marie Reine Weiler femme du journalier François Collin
1809 (22.3.), Strasbourg 11 (7), Not. Thurmann n° 303
Inventaire de séparation de Marie Reine Weiler épouse de François Collin journalier, par jugement du Tribunal Civil le 1 mars courant
en la maison où ils demeurent à Strasbourg rue St Marc n° 2
Contrat de mariage Me Grimmer le 3 thermidor 9
propres de la femme : meubles 245 fr, dettes actives 1006 fr, passif point
propres du mari : apports 100 fr
communauté : meubles 125 fr, dettes passives 2475 fr
Enregistrement, acp 111 f° 17-v du 27.3.
Jean Jacques Ott loue le jardin à l’horticulteur Georges Schœllhammer et à Marguerite Schœllhammer veuve de Daniel Schœllhammer
1810 (27.6.), Strasbourg 7 (48), Not. Stoeber n° 831, 9801,
Bail – Jean Jacques Ott tanneur
à Georges Schoellhammer Jardinier fleuriste et Marguerite Schoellhammer veuve de Daniel Schoellhammer jardinier
Bail 9 de années années consecutives qui commencent a courir a la fete de St Martin prochaine. Un Jardin situé au quartier finckweiler dans la rue de St Marc avec tous les arbres Vignes treilles et Berceaux bâtiments au fond du jardin, Un logement dans la Maison de devant au premier étage consistant en un poele salon remise de bois et planche sur le grenier avec l’usage de l’une des fosses a fumier, sans rien y réserver que la moitié d’un berceau a main droite dont le bailleur se réserve la jouissance – moyennant un loyer annuel de 480 francs
Enregistrement, acp 115 F° 20 du 2.7.
Jean Jacques Ott meurt en 1834 en délaissant deux fils
1834 (27.11.), Strasbourg 12 (135), Me Noetinger n° 6811
Inventaire de la succession de Jean Jacques Ott, propriétaire décédé le 30 septembre 1834 – à la requête de Jean Jacques Ott, marchand à Kehl (Grand Duché de Bade) et Jean David Ott, propriétaire à Strasbourg, seuls et uniques héritiers de leur père
1. une maison avec cour écurie, grand jardin y attenant avec aisances, appartenances & dépendances située au quartier Finckwiller rue St Marc n° 2, d’un côté le Sr Roser, d’autre le Sr Grätzinger, derrière le jardin, estimée 12.000 fr – acquise par expropriation forcée poursuivie contre Jean Daniel Meyer, aubergiste à Barr, au tribunal civil le 15 germinal 12 et déclaration de command, transcrit au bureau des hypothèques volume 19 n° 18
2. une maison avec cour, puits, droits, appartenances & dépendances située à Strasbourg rue des Dentelles n° 24 d’un côté Ernest Kübler, d’autre la veuve Schwalbach, derrière le Sr Mathis, estimée 3000 fr – acquise de Jérémie David Zimmermann, fabricant de chandelles, par acte reçu Dinckel le 27 vendémiaire 5
3. la moitié d’une maison avec appartenances & dépendances située à Strasbourg rue du Coin Brûlé n°6 d’un côté la veuve Doerffer, d’autre le Sr Schafflitzel, derrière le fossé des Tanneurs, estimée à 250 fr de revenu, la moitié à 125 fr, ou un capital de 2500 fr
masse active 17.695 fr, aucune dette
Enregistrement, acp 228 f° 178 du 2.12.
Décès, Strasbourg (n° 1780)
Déclaration faite le 30 septembre 1834 du décès de Jean Jacques Ott, âgé de 72 ans, né à Strasbourg, Tanneur, Veuf d’Elisabeth Luroth, domicilié à Strasbourg, mort en cette mairie le 30 du mois courant à quatre heures du marin dans la maison située N° 6 Coin brûlé, fils de feu Jean David Ott, tanneur, et de feu Marie Madeleine Krieg. Premier déclarant, David Ott, âgé de 39 ans, Journalier, fils du défunt [in margine :] Péritonite (i 49)
Le mercier Jean Jacques Ott meurt à Kehl où il s’est marié avec Salomé Bock veuve du bonnetier Michel Schoch puis avec Marie Scheer. David Ott devient seul propriétaire des biens de son frère en France.
1848 (5.8.), Strasbourg 12 (174), Not. Noetinger n° 20.388
Inventaire ou état de fortune de Jean Jacques Ott
Ont comparu 1° Dame Marie Scheer veuve du Sieur Jean Jacques Ott, négociant décédé à Kehl où il demeurait, agissant comme ayant été commune en biens avec feu son mari, 2° Mademoiselle Caroline Schoch, fille majeure demeurant à Kehl, issue du mariage de feu Michel Schoch, bonnetier aud. lieu & de Salomé Bock, sa veuve remariée avec led. Jean Jacques Ott dont elle était la première femme, 3° M. David Ott, propriétaire demeurant à Strasbourg frère germain dudit défunt Jean Jacques Ott & son seul et unique héritier.
Lesquels ont, par ces présentes, déclaré, savoir La veuve Ott & la Dlle Schoch qu’elles n’ont, ni l’un ni l’autre, aucun droit d’hypothèque légale, de propriété ou d’usufruit à exercer sur les biens meubles & immeubles que led. défunt Jean Jacques Ott a délaissés en France
Et le Sieur David Ott, qu’il n’a aucun droit à la propriété ou autre à exercer sur les biens meubles & immeubles que feu son frère a peu délaisser à l’étranger & notamment dans l’étendue du Duché de Bade & dont le défunt a valablement disposé en faveur d’étrangers.
En conséquence les biens situés en France appartiendront en totalité aud. sieur David Ott qui déclare que ces biens se composent uniquement de la moitié que le défunt possésait par indivis avec lui dans les immeubles dont la désignation suit
1° Une maison à un étage sur rez de chaussée sise à Strasbourg rue du coin brûlé n° 6, louée verbalement à divers moyennant un loyer annuel de 300 francs, représentant au denier vingt un capital de 6000 francs.
2° Une autre maison à rez de chaussée & un étage sise à Strasbourg rue des Dentelles n° 24, louée verbalement à divers moyennant un loyer annuel de 300 francs, représentant au denier vingt un capital de 6000 francs.
3° Une propriété sise en cette ville rue St Marc n° 2 consistant en jardin de la superficie de 50 ares avec cour & deux maisons à un étage sur rez de chaussée, droits & appartenances en dépendant, le tout loué verbalement à divers moyennant un loyer annuel de 600 francs, représentant au denier vingt un capital de 12.000 francs. Total 24.000 francs Dont la moitié revenant à la succession du défunt fair 12.000 francs
acp 374 (3 Q 30 089) f° 44
David Ott loue le jardin au jardinier Pierre Lameyer
1851 (13 et 17.1.), M° Noetinger
Bail par David Ott propriétaire à Strasbourg pour 9 ans du 25 mars 1851
à Pierre Lameyer, Garçon jardinier à Strasbourg
de 50 ares de jardin sis à Strasbourg rue St Marc N° 2, plus le logement du Jardinier formant le rez de chaussée, le bail fait moyennant un canonannuel de 320 francs et sous le cautionnement de Jean Lameyer Cordonnier et Catherine Müller sa femme de Meistratzheim père et belle sœur
acp 398 (3 Q 30 113) f° 3-v du 17.1.
Jean David Ott, propriétaire célibataire, hypothèque la maison au profit de Jean Georges Trumpf
1859 (5.12.), Strasbourg 4 (118), Not. Lauth n° 9207
Obligation – A comparu M. Jean David Ott, célibataire, propriétaire demeurant et domicilié à Strasbourg, lequel reconnaît par ces présentes devoir bien et légitimement
à M. Jean Georges Trumpf, propriétaire, demeurant et domicilié en la même ville – la somme principale de 5000 francs
hypothèque spécialement. Ville de Strasbourg. 1. Une maison avec droits, aisances appartenances et dépendances sise rue du coin brûlé n° 20 et donnant par derrière sur la rue des tanneurs où elle porte le n° 25, tenant d’un côté au Sr Digel, de l’autre côté au Sr Hediger et inscrite au cadastre Section N. N° 690.
2. Une autre maison avec droits, aisances appartenances et dépendances sise rue des Dentelles n° 5 tenant d’un côté au Sr Rasp, de l’autre côté au Sr Schwalbach et tirant derrière sur divers particuliers et inscrite au cadastre Section P numéro 976.
3. Et une maison autre avec jardin, droits, aisances appartenances et dépendances sise rue St Marc n° 12 sur une superficie de 50 ares 50 centiares tenant d’un côté à M Roser, de l’autre côté à M Kroetzinger et donnant par derrière au séminaire épiscopal à la maison Debenesse et au couvent du bon Pasteur et inscrite au cadastre Section P. Numéros 1230, 1231 et 1232.
(Le débiteur) déclare que ces immeubles lui appartiennent en toute propriété pour les avoir recueillis savoir Pour moitié dans les successions de ses père et mère M. Jean Jacques Ott, tanneur décédé à Strasbourg le 30 septembre 1834, et de Dame Marie Elisabeth Luroth décédée en la même ville le 11 brumaire an VII de la première république (ou le premier novembre 1798), et pour l’autre moitié dans la succession de son frère M. Jean Jacques Ott, mercier à Kehl, décédé en cette ville le 5 janvier 1848.
Autre obligation entre les mêmes
1860 (26.5.), Strasbourg 4 (118), Not. Lauth n° 9417
Obligation – A comparu M. Jean David Ott, célibataire, propriétaire demeurant et domicilié à Strasbourg, lequel reconnaît par ces présentes devoir bien et légitimement
à M. Jean Georges Trumpf, propriétaire, demeurant et domicilié en la même ville – la somme principale de 10.000 francs
hypothèque spécialement. Ville de Strasbourg. 1. Une maison avec droits, aisances appartenances et dépendances sise rue du coin brûlé n° 20 et donnant par derrière sur la rue des tanneurs où elle porte le n° 25, tenant d’un côté à M. Digel, de l’autre côté à M. Hediger et inscrite au cadastre Section N. N° 690.
2. Une autre maison avec droits, aisances appartenances et dépendances sise rue des Dentelles n° 5 tenant d’un côté à M. Rasp, de l’autre côté à M. Schwalbach et tirant derrière sur divers particuliers et inscrite au cadastre Section P numéro 976.
3. Une maison avec jardin, droits, aisances appartenances et dépendances sise rue St Marc n° 12 sur une superficie de 50 ares 50 centiares tenant d’un côté à M Roser, de l’autre côté à M Kroetzinger et donnant par derrière à la maison Debenesse et au couvent du bon Pasteur et inscrite au cadastre Section P. Numéros 1230, 1231 et 1232.
(Le débiteur) déclare que ces immeubles lui appartiennent en toute propriété, savoir pour les avoir recueillis savoir pour moitié dans les successions de ses père et mère M. Jean Jacques Ott, tanneur décédé à Strasbourg le 30 septembre 1834, et de Dame Marie Elisabeth Luroth décédée en la même ville le 11 brumaire an VII de la première république (ou le premier novembre 1798) dont il avait été héritier pour moitié, et pour l’autre moitié dans la succession de son frère M. Jean Jacques Ott, mercier à Kehl, décédé en cette ville le 5 janvier 1848, dont il avait été seul et unique héritier et que lui-même avait été héritier pour moitié des conjoints Ott père et mère, et que la veuve de M. Ott, frère, a renoncé à tous droits de propriété, de privilège et d’hypothèque qui auraient pu leur résulter sur lesdits immeubles suivant acte passé devant M° Noetinger, notaire à Strasbourg, le 5 août 1848, enregistré. La propriété antérieure des trois immeubles se trouve constatée, des deux premiers articles suivant contrat passé à la cidevant chambre des contrats de la Ville de Strasbourg, le 3 septembre 1757 et l’article troisième suivant jugement d’adjudication prononcé à la barre du tribunal de Strasbourg le 15 germinal an XII ère républicaine et déclaration de command du lendemain 16 germinal. Le débiteur déclare en outre (…)
Jean David Ott hypothèque la maison au profit du passementier Jean Jacques Fuchs
1863 (10.6.), Strasbourg 4 (121), Not. Lauth n° 10.715
Obligation – A comparu M. Jean David Ott, célibataire, propriétaire demeurant et domicilié à Strasbourg, lequel reconnaît devoir bien et légitimement
à M. Jean Jacques Fuchs, ancien passementier, demeurant et domicilié à Strasbourg – la somme principale de 1500 francs
hypothèque spécialement. Ville de Strasbourg. 1. Section N. Numéro 690. Une maison avec droits, aisances appartenances et dépendances sise rue du coin brûlé n° 20 et donnant par derrière sur la rue des tanneurs où elle porte le n° 25, tenant d’un côté au Sr Digel, de l’autre côté au Sr Hediger
2. Section P numéro 976. Une maison avec droits, aisances appartenances et dépendances sise rue des Dentelles n° 5 tenant d’un côté au Sr Rasp, de l’autre côté au Sr Schwalbach et tirant derrière sur divers particuliers.
3. Section P. Numéro 1231 et 1232. Une maison avec jardin, droits, aisances appartenances et dépendances sise rue St Marc n° 12 tenant d’un côté au Sr Roser, de l’autre côté au Sr Groetzinger et donnant par derrière sur la propriété Debenesse, celle du couvent du bon Pasteur et celle du séminaire épiscopal et le tout sur une superficie de 50 ares 50 centiares
(Le débiteur) déclare que ces immeubles lui appartiennent en toute propriété, savoir pour en avoir recueilli la moitié dans les successions de ses père et mère M. Jean Jacques Ott, tanneur, et De Marie Elisabeth Luroth, conjoints à Strasbourg, décédés la femme le 11 brumaire an VII (premier novembre 1798) et le mari le 30 septembre 1834, et dont il avait été héritier pour moitié, et pour en avoir recueilli l’autre moitié dans la succession de son frère M. Jean Jacques Ott, mercier à Kehl, décédé le 5 janvier 1848, dont il avait été seul et unique héritier et que lui-même avait été héritier pour moitié des époux Ott cidessus nommés, ses père et mère,et que la veuve de M. Ott frère a renoncé à tous droits de propriété, de privilège et d’hypothèque qui pouvaient lui compéter sur lesdits immeubles, aux termes d’un acte passé devant M° Noetinger, notaire à Strasbourg le 5 août 1848, et que la propriété antérieure des trois immeubles se trouve constatée, savoir celle des deux premiers articles par un contrat passé à la cidevant chambre des contrats de la Ville de Strasbourg, le 3 septembre 1757 et celle de l’article troisième par un jugement d’adjudication prononcé à la barre du tribunal de Strasbourg le 15 germinal an XII et déclaration de command du lendemain 16 erminal. Le débiteur déclare encore que les immeubles qu’il vient d’hypothéquer sont frappés savoir 1° d’une dette de 15.000 francs (…)
David Ott meurt en 1876 en délaissant pour héritiers ses parents du côté maternel
1876 (19.4.), M° Pierron
Inventar des Nachlaßes des zu Straßburg am 21.ten März 1876 ledig gestorbenen Rentners David Ott, Auf Ansuchen von 1. Julie Emma Luroth, Ehefrau von Julius Saeger Steuerempfänger zu Straßburg, 2. Carolina Julie Luroth, Ehefrau von Friderich Ludwig Jaeger, Pfarrer in Hangenbieten, 3. August Arnold, Kaufman zu Bischweiler, 4. Caroline Arnold, Ehefrau von Carl Otto August Thelemann, Consistorial-Rath zu Detmold, einzige Erben zi ¼.tel des verstorbenen, von welchem sie Nachgeschwisterkinder sind.
Nachlass 1. Mobiliar Gegenstände veschrieben angeschlagen zu 224, 2) baares Geld 2231, 3. Ein Forderung an die Diakonessen-Anstalt von Straßburg laut Act vor Notar Holtzapffel vom 20. Juni 1868, 32.000
acp 650 (3 Q 30 365) f° 62 du 20.4. n° 1354 (Sterbfall zahlt am 18/9 76 Bd 121 N° 382)
Partage de la même succession
1876 (8.12.), M° Loew
Theilung des Nachlasses des zu Straßburg am 21. März 1676 verstorbenen David Ott Rentner
unter dessen Erben, Nachgeschwister Kinder mütterlicher Seits des Verstorbenen nämlich 1. Julie Emma Luroth, Ehefrau von Julius Saeger Steuerempfänger, beide in Straßburg wohnhaft, 2. Caroline Julie Luroth, Ehefrau des Pfarrers Friderich Ludwig Jaeger in Hangenbieten, 3° August Arnold, Kaufman in Bischweiler, 4° Caroline Arnold, Ehefrau von Carl Otto August Thelemann, Consistorial-Rath beide in Detmold wohnhaft, vertreten durch August Arnold zufolge registrirter Vollmacht
Activ Masse 1) Steigpreis der Mobilien, 280, 2) Ausstand bei der Diakonessen-Anstalt 32.000, 3) baares Geld 2231, Summa 34.511
Passiv Masse, 202, Netto 34.309
Anweisungen (…)
acp 658 (3 Q 30 373) f° 81-v du 18.12. n° 3987. (Sterbfall bezahlt vom 18/9 76 Bd 121 N° 382)
David Ott passe une promesse de vente au profit de l’Etablissement des Diaconesses
1868 (20.6.), M Holtzapffel subst. Noetinger
Promesse de vente – David Ott, propriétaire à Strasbourg
au profit de l’Etablissement des Diaconesses de Strasbourg
d’une propriété sise à Strasbourg rue St Marc n° 12, moyennant 57.500 francs, laquelle vente ne sera définiive qu’après l’approbation de l’autorité supérieure
acp 574 (3 Q 30 289) f° 9-v du 22.6.
La vente est confirmée suite au décret impérial rendu le 24 octobre 1868
1868 (17.11.), M° Noetinger
Réalisation par suite d’un décret impérial en date du 24 octobre 1868 d’un acte reçu Holtzapffel subst. Noetinger le 20 juin 1868 portant vente par David Ott, propriétaire à Strasbourg
à l’Etablissement des Diaconesses de Strasbourg
d’une propriété d’une superficie de 49 ares 22 cent. sise à Strasbourg rue St Marc n° 12, consistant en un jardin, maison de jardinier, cour et dépendances moyennant 57.100 francs – le vendeur est propriétaire par suite d’héritage de son père Jean Jacques Ott décédé en 1834.
acp 577 (3 Q 30 292) f° 56-v du 18.11.
Jean Philippe Schatz, et (1745) Marie Salomé Kruel – luthériens
Fils du marchand Jean Philippe Schatz et de Susanne Catherine Bæhr, le marchand Jean Frédéric Schatz épouse en 1746 Marie Salomé Kruel, fille du marchand Chrétien Henri Kruel et de Salomé Hitschler : contrat de mariage, célébration
1746 (10.2.), Not. Lang l’aîné (Jean Daniel, 25 Not 105) n° 230
Eheberedung – entzwischen dem Edlen Wohl Ehrenvest und Großachtbaren Herrn Johann Friderich Schatzen, ledigen handelsmann, des Edlen Wohl Ehrenvest und Großachtbaren Herrn Johann Philipp Schatzen des ältern Vornehmen Handelsmanns und burgers alhier mit weÿland der Edlen Wohl Ehren und tugendreichen Frauen Susanna Catharina gebohrner Bährin deßelben geweßter Frauen Eheliebstin seelig ehelich erzeugtem ohneins älterem Sohn als den Herrn bräutigambs ane einem
So dann der Edlen, Wohl Ehr und tugendgezierten Jungfrauen Maria Salome Kruelin des Edlen, Wohl Ehrenvest und Großachtbaren Herrn Christian Heinrich Kruels ebenmäßig Vornehmen Handelsmanns und burgers allhier mit der Edlen Wohl Ehr: und Tugendbegabten Frauen Salome gebohrner Hitschlerin deßen Frauen Eheliebstin ehelich erzeugten tochter als der Jungfrauen Hochzeiterin ane dem andern theil
Geschehen und verhandelt seind diese ding in der Königlichen freÿen Statt Straßburg auff Donnerstag den 10. Februarÿ im Jahr als man nacch Unsers einigen Erlösers Heÿlandes und Seeligmaches gnadenreicher Geburth und Menschwerdung Zahlte 1746 [unterzeichnet] Johann Friderich Schatz als Hochzeiter, Maria Salome Kruelin als hochzeiterin
Mariage, Saint-Nicolas (luth. f° 76-v, n° 7)
1746. Freÿt. den 2 Martÿ seÿnd nach zweÿmahl Vorher beschehener Proclamation in den Stand der H. Ehe eingesegnet worden, Herr Johann Fridrich Schatz der ledige Gartenmann u. burger allhier, Herrn Joh: Philipp Schatz des Aeltern auch Handelßmanns u. burgers alhier ehel. Sohn und Jungfr. Maria Salome, Herrn Christian Heinrich Kruel des Handelsmanns u. burgers allhier ehelich erzeugte Tochter, [unterzeichnet] Johann Friderich Schatz als Hochzeiter, Maria Salome Kruelin als Hochzeiterin (i 79)
Les nouveaux mariés font dresser l’inventaire de leurs apports dans la maison des parents de l’épouse au coin du Vieux-Marché-aux-Poissons et de la rue Mercière. Les apports du mari s’élèvent à 1 036 livres, ceux de la femme à 1 092 livres.
1746 (5.5.), Not. Lang l’aîné (Jean Daniel, 25 Not 87) n° 744
Inventarium über des Wohl Edlen und Ehrenvesten, Auch Großachtbaren Herrn Johann Friderich Schatzen, Vornehmen Handelsmanns, ingleichem der Wohl Edlen, Viel Ehren und tugendgezierthen Fr. Mariä Salome Schatzin gebohrner Gruelin, beeder Ehepersohnen und burgere allhier einander in die Ehe Zugebrachte Nahrungen, auffgerichtet in Anno 1746. – in ihrer den 10.ten Februarÿ dießes Jahrs mit einander auffgerichteter Eheberedung §° 4.to sich Vor ohnverändert Vorbehalten haben (…) So beschehen Zu Straßburg, in beÿseÿn und persönlicher Gegenwarth des Wohl Edlen Ehren Vesten und Großachtbaren Hn Johann Philipp Schatzen, des Ältern Vornehmen handelsmanns und burgers allhier des Eheherrn geehrten H. Vatters, wie auch des Wohl Edlen Ehrenvesten und Großachtbaren H. Christian Heinrich Kruels auch Vornehmen handelsmanns in gleichen der Wohl Edlen Viel Ehr und Tugendbegabten Fr. Salome Kruelin gebohrner Hitschlerin beeder Ehepersohnen und burgere allhier der Ehelichen geehrten Eltern auff Donnerstag d. 5. Maÿ 1746.
In einer allhier Zu Straßburg ane dem Fischmarckt und Krämergaß gelegener der Ehefrauen beeder Eltern Zuständigen Eck behaußung sich befunden, wie folgt.
Series rubricarum hujus Inventarÿ. Des Eheherrn Zugebrachtes Vermögen. Sa. haußraths 77, Sa. Silbers 26, Sa. Goldener Ri,g 114, Sa. baarschafft 704, Summa summarum 923 lb – Deme beÿzufügen deßelben ane denen haussteuren participirende helffte 112 lb, des Eheherrn völliges in die Ehe gebrachtes Vermögen 1036 lb
Dießem nach wird auch der Ehefrauen in die Ehe gebrachte Nahrung beschrieben, Sa. haußraths 183, Sa. Silbers 41, Sa. Goldener Ketten, Ring, Perlein und dergl. Geschmeids 278, Sa. baarschafft 407, Summa summarum 980 lb – Und wann hierzu gerechnet wird der ane gleich hernach beschiebenen haussteuren Ihre gebührige halbe theil mit 112 lb, der Ehefrauen gesambtes in die Ehe gebrachtes guth 1092 lb
Wÿdumbs Verfangenschaft, Welche S. T. Herr Johann Philipp Schatz der ältere Vornehmer Handelsmann und burger allhier des Eheherrn eheleibl. H. Vatter niß a,e das E,de seines Lebens Zugenießen hat. Vermög eines über weÿl. S.T. Fraun Susannæ Catharinæ Schatzin gebohrner Bährin, sein Herrn Schatzen des ältern gewester und in dem Herrn seelig entschlaffener frauen Eheliebstin als des dißortigen Eheherrn eheleiblichen frauen Mutter Verlaßenschafft durch mich darzu adhibirten Notarium den 11. Nov. besagten 1743. Jahrs dem vero pretio nach (…) Summarischen Calculi (…)
Le marchand Jean Frédéric Schatz meurt en 1758 en délaissant deux enfants. L’inventaire est dressé dans la maison à la Ménagerie (zum Thiergarthen) près du pont Saint-Nicolas. Le défunt est associé pour moitié avec son frère Jean Philippe Schatz. La masse propre à la veuve est de 1 236 livres, la masse propre aux héritiers de 806 livres. L’actif de la communauté s’élève à 1 411 livres, le passif à 1 900 livres
1758 (31.7.), Not. Langheinrich (J. Daniel, 6 E 41, 714) n° 278
Inventarium über Weÿland des Wohl Ehrenvest und Großachtbahren Herrn Joh: Friderich Schatz des geweßenen Vornehmen Handelsmanns und burgers allhier nunmehr seel. Verlaßenschafft, auffgerichtet Anno 1758. als derselbe Mittwochs den 15.ten Märtz dießes lauffenden 1758.sten Jahrs dießes Zeitliche mit dem Ewigen Verwechßelt, nach solch seinem aus dießer welth genommenen tödlichen Ableiben hie Zeitlichen Verlaßen, Welche Verlaßenschafft dann auf freundliches ansuchen erfordern und begehren des wohl Ehrenvest und Großachtbahren Herrn Joh: Gottfried Schatzen ebenmäßigen Vornehmen handelsmanns und burgers allhier als geordnet und geschworenen Hn Vogts Joh: Friderichs und Christinæ Cleophe der Schatzen des seel. Verstorbenen mit hernach gemelter seiner hinterbliebenen Frau Wittib ehelich erziehlter beeder Kinder und ab intestato Verlaßener Erben ersucht und inventirt durch die Edle, Viel Ehren und hoch tugendgezierte Frau Mariam Salome Schatzin gebohrner Kruellin die hinterbliebene Frau Wittib, beÿständlich des wohl Ehrenvest und Großachtbahrn herrn Christian Heinrich Kruell, ebenmäßigen Vornehmen Handelsmann und burgers allhier Ihres geliebten Herrn Vatters (…) So beschehen in Straßburg auf mo&& den 31.ten Julÿ A° 1758.
In einer allhier Zu Straßburg beÿ der St. Nicolai Bruck gelegener Zum Thiergarthen genandter und in dieße Verlaßenschafft nicht gehörigen behaußung befunden worden wie folgt
Ergäntzung der Erben ermanglenden unveränderten Guths. Zufolg Inventarÿ über beeder Eingangs Ehrengedachter geweßener Eheleuthen einander für ohnverändert in den Ehestand Zugebrachte Nahrungen A° 1746. durch H. Joh: Daniel Langen Notm. publ. et Pract. seel.
Wÿdumbs Verfangenschaft, Welche S. T. Herr Joh: Philipp Schatz der ältere Vornehmer Handelsmann und burger allhier des Verstorbenen Herrn seel. eheleiblicher Herr Vatter Lebtägig Zugenießen hat. Vermög eines durch weÿl. Herrn Joh: Daniel Lang Notm. publ. et Pract. seel. über weÿl. Fraun Susannæ Catharinæ Schatzin geb. Bährin , obehrengedachten Herrn Joh: Philipp Schatzen senioris frauen Eheliebstin als des Verstorbenen seel. Geliebter frau Mutter seel. Verlaßenschafft den 11. 9.bris 1743. gefertigten (…) Summarischen Calculi (…)
Copia der Eheberedung (…) den 10. Februarÿ 1746, Johann Daniel Lang
Antheil ane der zwischen dem Verstorbenen H. seel. und seinem H. Bruder gemeinschaftlichen Handlung so theilbar. Zufolg eines beÿ mein unterschriebenen Notarÿ Concept befindlichen Etat über dasjenige Inventarium so wegen der Zwischen dem verstorbenen Hn seel. und Hn Joh: Philipp Schatz dem jüngern handelsmann und burgern allhier seinem gel. H. Bruder gemeinschaftlich führenden handlung
Series rubricarum hujus Inventarÿ. Der hinterbliebeneen Frau Wittib unverändert Vermögen, Sa. haußraths 36, Sa. Silbers 13, Sa. goldener Ring 80, Sa. Schulden 150, Erg. Rest 956. Summa summarum 1236. lb
Dießemnach wird nun auch der Kinder und Erben unveränderte Nahrung beschrieben. Sa. hausraths 81, Sa. Silbers 4, Sa. goldenen Rings 21, Erg. rest 849, Summa summarum 956 lb – Schulden 150, Nach solchem abzug 806 lb
Endlichen wird nun auch das gemein Verändert und theilbar Guth beschrieben, Sa. haußraths 112, Sa. Antheils ane der Zwischen dem verstorbenen H seel. und seinem Hn Bruder gemeinschaftlichen handlung 1252, Sa. Wein und Faß 33, Sa. Silbers 8, Sa. Goldener Ring 4, Summa summarum 1411 lb – Schulden 1900 lb, In Vergleichung 489 lb
Stall Summ 1450 lb