3, rue des Serruriers


Rue des Serruriers n° 3 – VII 9 (Blondel), P 1054 puis section 7 parcelle 58 (cadastre)


Les n° 1 à 5, rue des Serruriers (avril 2016)
Les n° 3 et 5 (septembre 2007)

La maison qui appartient au menuisier Conrad Buck a seulement une porte de cave inclinée en saillie sur le communal d’après le Livre des communaux (1587). Elle appartient pendant presque trente ans au tailleur Pierre Eichhorn (1609-1637) puis à son héritier et voisin (futur n° 5) le barbier Jean Philippe Spiegel (1637-1662) qui possède ainsi deux maisons contiguës. Les propriétaires suivants sont les cordonniers Jean Philippe puis son fils Jean Haffner (1662-1736). Le serrurier Dittmann est autorisé en 1768 à agrandir une arcade pour que les voitures puissent entrer dans l’atelier et à enlever la porte de cave inclinée, à condition de ne pas faire d’autres travaux à la maison qui pourra être avancée d’après le plan d’urbanisme. Le serrurier Charles Auguste Schmidt achète la maison en 1771, le menuisier Valentin Haas est autorisé en son nom à faire une nouvelle façade d’après le nouvel alignement en 1779 mais les transformations n’ont pas lieu puisque les préposés renvoient en 1781 à leur décision précédente le maître maçon Michel Nagel qui sollicite au nom de Charles Auguste Schmidt l’autorisation de modifier les croisées. Le tailleur de limes Jean Dieuloué Kleinitz achète la maison quelques mois plus tard, il est autorisé en août 1781 à ravaler la façade. La valeur minimale des bâtiments qui passe de 600 livres en 1781 à 1200 livres en 1788 fait penser qu’il reconstruit la façade, d’autant qu’elle devait être en partie en bois d’après la demande de 1771 et qu’elle est en maçonnerie dans les années 1820. Le plan Blondel représente par erreur deux maisons (n° 8 et 9) au lieu de trois.


Plan-relief, 1727 (Musée historique). La maison est la deuxième à droite de la rue qui s’ouvre à l’arrière du chœur de l’église Saint-Thomas
Extrait du plan Blondel (exemplaire avec les nouveaux alignements, AMS cote 1 PL 675)

Elévations préparatoires au plan-relief de 1830, îlot 173 (Musée des Plans-relief) 1

L’Atlas des alignements (années 1820) mentionne un bâtiment à rez-de-chaussée et trois étages en maçonnerie. Sur les élévations préparatoires au plan-relief de 1830, la façade (la deuxième à droite du repère a) comprend une porte et une arcade au rez-de-chaussée, trois étages à trois fenêtres chacun et une toiture à deux niveaux de lucarnes. La cour A représente l’arrière (6-1) du bâtiment sur rue, le bâtiment (5-6) à droite de la cour et les bâtiments à gauche appartenant au voisin (1 à 5).
La maison porte d’abord le n° 14 (1784-1857) puis le n° 3.


Plan et cour A

La veuve du cordonnier Jean Michel Wachsmuth vend en 1836 au coutelier Jean Daniel Lichtenberger la maison dont les descendants restent propriétaires jusqu’à la seconde guerre mondiale. La maison est louée en 1842 au pharmacien Antoine Béchamp (Adolphe Seyboth signale en 1846 la pharmacie à la Violette). Elle appartient à Ernest Lichtenberger pendant toute la période allemande. Ses héritières la vendent (1946) au photographe Arthur Hæspelé. La devanture (salon de coiffure) est remplacée en 1954 puis en 1981.



Ancienne et nouvelle devanture (1954)
Ancienne et nouvelle devanture (1981), dossier de la Police du Bâtiment

janvier 2025

Sommaire
CadastrePolice du BâtimentRelevé d’actes

Récapitulatif des propriétaires

La liste ci-dessous donne tous les propriétaires de 1583 à 1952. La propriété change par vente (v), par héritage ou cession de parts (h) ou encore par adjudication (adj). L’étoile (*) signale une date approximative de mutation.

Conrad Buck, menuisier, et (1567) Catherine Butz puis (1587) Susanne Schmidt, d’abord (1583) femme du serrurier Jean Chrétien Entringer – luthériens
1609 v Pierre Eichhorn, tailleur, et (1606) Susanne Rœmer – luthériens
1637 v Jean Philippe Spiegel, barbier, et (1609) Marthe Hauff – luthériens
1662 v Jean Philippe Haffner, cordonnier, et (1658) Agnès Meyer puis (1667) Marie Salomé Berger – luthériens
1705 h Jean Haffner, cordonnier, et (1700) Dorothée Gretzinger, (1702) Salomé Schrapp puis (1722) Marie Eve Winger – luthériens
1736 v Jean Théophile Dittmann, serrurier, et (1733) Marie Madeleine Steinbach – luthériens
1771 v Charles Auguste Schmidt, serrurier, et (1771) Marie Marguerite Jost puis (1782) Marie Marguerite Walter – luthériens
1781 v Jean Dieuloué Kleinitz, tailleur de limes, et (1779) Louise Wagner – luthériens
1791 v Jean Michel Wachsmuth, tonnelier, et (1788) Marie Münch, d’abord (1778) femme du tonnelier Erard Betz, puis (1813) Sophie Louise Adam – luthériens, à Jean Michel Wachsmuth seul, 1813
1836 v Jean Daniel Lichtenberger, coutelier, et (1795) Anne Catherine Saltzmann veuve de Jean Henri Hechler puis (1801) Marie Madeleine Mühlschlegel
1844 h Frédéric Daniel Lichtenberger coutelier, et (1830) Louise Emilie Burckhardt
1870 h Charles Ernest Lichtenberger, enseignant, et (1872) Marie Louise Valérie Siegel
1944* h Louise Marie Anne Lichtenberger et (1903) Frédéric Edouard Schneegans, enseignant
Emilie Marguerite Lichtenberger et (1920) Charles Marie Georges Garnier, enseignant, divorcé de Jeanne Julie Gabrielle Maritain
1947* v Joseph Arthur Hæspelé, photographe, et (1919) Madeleine Dürr

Valeur de la maison selon les billets d’estimation : 750 livres en 1715, 600 livres en 1781, 1200 livres en 1788

(1765, Liste Blondel) VII 9 [correspondant aux futurs n° 3 et 5], au Sr Vignerote
(Etat du développement des façades des maisons, AMS cote V 61) Schmitt, 2 toises, 5 pieds et 11 pouces
(1843, Tableau indicatif du cadastre) P 1054, Lichtenberger, Frédéric Daniel père coutelier Grand rue 2 – maison, sol, cour – 0,62 / Lichtenberger Daniel

Locations

1694, Augustin Clerc, horloger
1725, Catherine Salomé Kaufflin et sa fille Catherine Salomé Sandtrock
1842, Antoine Béchamp, pharmacien
1881, Charles Dober fils, marchand de cuir
1885, Charles Vollmer, fabricant de cordons de sonnettes

Livres des communaux

1587, Livre des communaux (VII 1450) f° 208
Le menuisier Conrad Buck doit 8 sols pour une porte de cave inclinée (6 pieds ½ de large, saillie de 4 pieds) devant la maison

Aber in Schloßergaßen
Conrad Buck der Schreiner hatt vor seinem Hauß ein Lehenete Kellerthüer vi+ schu breit, vnd iiij schu herauß, Bessert für das Niessen, viij ß d.

Préposés au bâtiment (Bauherren)

1768, Préposés au bâtiment (VII 1413)
Les préposés autorisent le serrurier Dittmann à agrandir une arcade pour que les voitures puissent entrer dans l’atelier et à enlever la porte de cave inclinée, à condition de ne pas faire d’autres travaux à la maison qui pourra être avancée d’après le plan d’urbanisme.

(f° 11-v) Dienstags den 15. Martÿ 1768. – NN Dittmann
NN Dittmann der schloßer läßt umb erlaubnus bitten an seinem hauß Rechter hand gegen dem thomas plan in einem bogen die brusthöhe auß zu brechen, damit man Gutschen in die werckstätt hinein schalten könne, wogegen er die auff dem Allmend liegende Kellerthür hinweg zumachen erbiethig ist.
Erkannt willfahrt unter dem beding daß er Keine weitere Reparationen am hauß weilen solches nachdem baw: project hervorgebauet werden Kan, machen solle.

1772, Préposés au bâtiment (VII 1415)
Le serrurier Charles Auguste Schmidt est autorisé à faire un soupirail

(f° 77-v) Dienstags den 7. Julii 1772 – Carl August Schmidt der Schloßer
Carl August Schmidt, der Schloßer, bittet ihme zu erlauben an seiner behausung oben an der Schloßergaß am Thomans Plan ein Kellerladen zu machen. Erkannt, Willfahrt.

1779, Préposés au bâtiment (VII 1418)
Le charpentier Valentin Haas est autorisé au nom du serrurier Charles Auguste Schmidt à faire une nouvelle façade d’après l’alignement qu’indiquera l’inspecteur des travaux

(f° 209) Dienstags den 26. Januarii 1779 – Mr Carl August Schmidt Schloßer
Mr Valentin Haas, der Zimmermann, nôe. Carl August Schmidt, des Schloßers bittet zu erlauben an deßen Behausung ane der Schlossergaß am St Thomæ Plan gelegen ein neue façade aufführen zu laßen. Erkannt, Nach dem durch Herrn Bau Inspector anweisende Alignement willfahrt.

1781, Préposés au bâtiment (VII 1419)
Le maître maçon Michel Nagel demande en avril 1781 au nom du serrurier Charles Auguste Schmidt l’autorisation de modifier les croisées, de réparer et de repeindre la façade. Les préposés le renvoient à leur décision du 26 janvier 1779. Le même est autorisé en août au nom du tailleur de limes Jean Dieuloué Kleinitz à réparer et à repeindre la façade.

(f° 211-v) Dienstags den 3. Aprilis 1781. – Carl August Schmidt, Schloßer
Hr. Michael Nagel, der Maurer nôe. Mr Carl August Schmidt, des Schloßers bittet zu erlauben an deßen behausung ane dem Thomans Plan gelegen, die Kreutz-Stöck verändern, die façade ausbeßern und anstreichen zu laßen.
Erkannt, Seÿe der Implorant nomine quô ab: und an die Erkanntnus vom 26. Januarii 1779. mithin an das alda zu beobachtende Alignement zu verweisen.

(f° 272) Dienstags den 28. August 1781 – Joh. Gottlob Kleinitz, Feilhauer
Idem [H. Nagel der Maurer] nôe. Johann Gottlob Kleinitz, des Feilhauers, bittet zu erlauben deßen behausung an dem Thomas Plan gelegen ausbeßern und ansteichen zu laßen. Erkannt, Willfahrt.

Description de la maison

  • 1719 (billet d’estimation traduit) La maison comprend une cave voûtée, une petite cour, estimée avec ses appartenances et dépendances à la somme de 1500 florins

Atlas des alignements (cote 1197 W 37)

3° arrondissement ou Canton Sud – Rue des Serruriers

nouveau N° / ancien N° : 34 / 14
Wachsmuth
Rez de chaussée et 3 étages médiocres en maçonnerie
(Légende)

Cadastre

Cadastre napoléonien, registre 28 f° 381 case 4

Lichtenberger Jean Daniel
Lichtenberger Frédéric Daniel (subst. 1846)

P 1054, sol, , Maison et cour, Rue des serruriers 14
Contenance : 0,62
Revenu total : 133,32 (133 et 0,32)
Folio de provenance : (381)
Folio de destination : Gb
Ouvertures, portes cochères, charretières :
portes et fenêtres ordinaires : 11 / 9
fenêtres du 3° et au-dessus : 4 / 3

Cadastre napoléonien, registre 26 f° 351 case 1

Lichtenberger Frédéric Daniel
1872 Lichtenberger Carl Ernst

P 1054, Maison, sol, Rue des Serruriers 3
Contenance : 0,62
Revenu total : 133,32 (133 et 0,32)
Folio de provenance : (381)
Folio de destination : Gb
Ouvertures, portes cochères, charretières :
portes et fenêtres ordinaires : 11
fenêtres du 3° et au-dessus : 4

Cadastre allemand, registre 29 page 87 case 6

Parcelle, section 7, n° 58 – autrefois P 1054
Canton : Schlossergasse Hs N° 3
Désignation : Hf, Whs
Contenance : 0,64
Revenu : 900 – 1400
Remarques :

(Propriétaire jusqu’à l’exercice 1944), compte 767
Lichtenberger Karl Ernst
gelöscht 1944

(Propriétaire à partir de l’exercice 1944), compte 6172
Schneegans Friedrich Eduard Ehefrau und Garnier Karl, Ehefrau
clos 1947

(Propriétaire à partir de l’exercice 1947), compte 6301
Haespele Arthur Joseph, photographe et son épouse
(1780)

1789, Etat des habitants (cote 5 R 26)

Canton VII, Rue 240 Rue des Serruriers p. 390

14.
Pr. Kleinitz, J. Theophil, tailleur de limes – Maréch.
loc. Metzger, Phil., peintre – Echasses
loc. Bechler, M. Thérèse, veuve – Manante
(ajout) loc. Riess* J. Michel, Schnallengieser – Privil. (délogé)

Annuaire de 1905

Verzeichnis sämtlicher Häuser von Strassburg und ihrer Bewohner, in alphabetischer Reihenfolge der Strassennamen (Répertoire de toutes les maisons de Strasbourg et de leurs habitants, par ordre alphabétique des rues)
Abréviations : 0, 1,2, etc. : rez de chaussée, 1, 2° étage – E, Eigentümer (propriétaire) – H. Hinterhaus (bâtiment arrière)

Schlossergasse (Seite 152)

(Haus Nr.) 3
Tröstler, Antiquitätenhändler. 0
Mayer, Näherin. 1
Dussolle, Magaziner. 2
Schreiner, Obsthändl. 3
Saenger, Waschfrau. 4

Dossier de la Police du Bâtiment (cote 849 W 246)

3, rue des Serruriers (1863-1981)

Le propriétaire Lichtenberger fait raccorder la maison aux canalisations en 1887. Le propriétaire Arthur Hæspelé charge en 1954 l’entrepreneur Charles Urban de remplacer l’ancienne devanture par une nouvelle en bois de chêne. L’architecte d’intérieur Alain Divry refait la devanture en 1981. Un premier projet qui prévoyait de recouvrir la façade d’aluminium est refusé ; la porte d’entrée en ferronnerie est conservée, la devanture est élargie.
Librairie Benoît Strauss (quitte le local en 1914). Salon de coiffure Alice Winter (1953) puis Simone Kohleb (1980)

Sommaire
  • 1863 – Le directeur de l’usine à gaz demande que le plombier Rhein soit autorisé au nom du sieur Lagerfeld à faire une prise pour environ deux becs
  • 1887 – L’entrepreneur A. Mertz (16, rue du Faubourg de Pierre) demande au nom du propriétaire Lichtenberger l’autorisation de faire un raccordement aux canalisations – Dessin – Autorisation
  • 1888 – Les services municipaux remarquent que l’entrepreneur Mertz refait sans autorisation le crépi – Le propriétaire Lichtenberger habite en France à Versailles. Emilie Diehl (demeurant 18, rue du Dôme) gère la maison.
    1889 (janvier) – Le maire notifie le propriétaire de faire rafraîchir la façade. Dossier classé
  • 1894 – L’entrepreneur E. Wieger (30, rue du Faubourg de Pierre) demande au nom du propriétaire Lichtenberger l’autorisation de réparer le crépi – Autorisation – Travaux terminés, novembre 1894
  • 1894 (avril) – Le maire notifie le locataire principal Charles Vollmer de faire ravaler la façade
    1894 (septembre) – Le professeur Ernest Lichtenberger déclare (sur papier à lettres de la pension Silberhorn à Wengen près d’Interlaken en Suisse) avoir fait de nombreuses réparations récemment et demande un délai. – La Police du Bâtiment note que la façade est abîmée et que l’emplacement de la maison exige une prompte remise en état – Travaux terminés, novembre
    1895 (avril) – Le maire notifie le gérant Charles Vollmer de faire ravaler la façade – La façade a été repeinte, octobre 1895
  • 1904 (juin) – Le maire notifie le gérant Kœrttgé (demeurant 1, rue du Bouclier) de faire ravaler la façade – Rappel, avril 1905 – Travaux terminés, juillet 1905
  • Commission contre les logements insalubres. 1900, locataire principal Vollmer, demeurant sur place. Toute la maison doit être rénovée, y compris les façades, la cour et les cabinets d’aisance. 1900 (septembre), le sieur Stiegelmann, demeurant 1, rue du Bouclier, est le représentant du propriétaire – Travaux terminés, décembre 1900.
    1906. Remarques en trois points – Travaux terminés, juillet 1907
    1909, Rien à signaler – 1912, Un ravalement est en cours
    1913. Remarques en trois points – Travaux terminés, juin 1913
    Commission des logements militaires, 1915. Remarques en trois points – Travaux terminés, janvier 1916
  • 1914 – Le libraire Benoît Strauss demande l’autorisation de poser cinq affiches – Accord – Exemplaire joint (Ab 1. April befindet sich mein Geschäft Schlossergasse 10 Ecke Brunnengasse)
  • 1920 (juillet) – Le maire notifie le gérant Stiegelmann (demeurant 1, rue du Bouclier) de faire ravaler la façade
    1920 (septembre) – Le peintre Louis Marx (3, rue des Orfèvres) demande l’autorisation de poser une échelle devant la façade – Le commissaire de police transmet au maire qui donne son accord. – Travaux terminés
  • 1925 – Albert Fiorio déclare avoir posé un store – Autorisation pour le store déjà posé – Les droits de voirie ne sont pas payés, novembre 1926
  • 1953 – La Police du Bâtiment constate que la coiffeuse Alice Winter a posé un store sans autorisation. – Alice Winter répond qu’elle a acheté le store avec le fonds de commerce et qu’elle n’a fait que remplacer la toile – Autorisation
  • 1954 – L’entrepreneur Charles Urban (1, rue Schertz à la Meinau) et le propriétaire Arthur Haespelé demandent l’autorisation de transformer la devanture du salon de coiffure Winter – Dessins – Description (remplacer l’ancienne devanture par une nouvelle en bois de chêne)
    L’architecte des Bâtiments de France Fernand Guri émet un avis favorable
    1954 (juin) – Arrêté portant permis de construire
    1954 (septembre) – Travaux terminés, la réception finale ne donne lieu à aucune objection
  • 1965 – La veuve Haespelé (demeurant 10, rue de Bapaume à Guebwiller) se plaint que ses voisins de droite et de gauche sont responsables de l’état du cabinet d’aisance dont se sert le salon de coiffure dans la cour. – La Police du Bâtiment déclare être incompétente, d’autant que les voisins ont fait les travaux nécessaires. Elle constate que la toiture du cabinet laisse passer l’eau lors de fortes averses. – La toiture de la remise est réparée, septembre 1965.
  • 1980 – La Fédération nationale du logement, Fédération du Bas-Rhin se plaint au nom de sa sociétaire Reinert (locataire au premier étage) que le plafond tombe par plaques (propriétaire, Pons, demeurant 10 rue Willy Blumenthal à Marly-le-Roi) – La Police du Bâtiment constate que le plafond est détérioré, les eaux pluviales qui descendent le long de la façade sur cour s’infiltrent au premier étage et que les marches de l’escalier sont en mauvais état)
    La dame Pons répond en mai au nom de sa mère, Mme Haespelé âgée de 92 ans, que les travaux sont prévus – Travaux terminés, mars 1981
  • 1980 – Simone Kohleb dépose une demande pour transformer la devanture sous la direction de l’architecte d’intérieur Alain Divry (3, rue des Ormes à Cronenbourg. Propriétaire, Pons, demeurant 8, rue Joseph Lambert à Saint-Cloud). Photographie de la devanture
    Description et estimation. La devanture en bois verni sera remplacée par une nouvelle en aluminium. Enseigne éclairée Coiffure Simone – Plan cadastral de situation
    1981 (janvier) – Une réunion de la Police du Bâtiment (Ziegler) et de l’architecte des Bâtiments de France (Ernest) conclut que la porte d’entrée en ferronnerie sera conservée, la façade crépie et non recouverte d’aluminium, l’enseigne en lettres détachées posée sur le crépi et que la devanture pourra être élargie.
    Nouvelle description. L’architecte des Bâtiments de France Jacques Ernest émet un avis favorable, mars 1981 – L’architecte devra présenter une fois de plus de nouveaux plans (lien esthétique entre les deux portes, concordance des plans)
    1981 (mai) – Le préfet accorde le permis de construire
    1981 (29 mai) – Déclaration d’achèvement des travaux
    1981 (juin) – Certificat de conformité
  • 1980 (décembre) – Simone Kohleb demande l’autorisation de poser une enseigne – Photographie de la devanture (comme plus haut) – L’architecte des Bâtiments de France Chantal Lavillaureix émet un avis favorable
    1981 (septembre) – Arrêté autorisant l’enseigne lumineuse en lettres détachées – L’enseigne est posée

Autre dossier
Ravalement, nouvelle couverture, réaménagement intérieur (2012-2013) cote 1689 W 1385


Relevé d’actes

La maison est inscrite au nom du menuisier Conrad Buck dans le Livre des communaux (1587)

Originaire de Riedlingen (en Wurtemberg), Conrad Buck épouse en 1567 Catherine, fille de Jean Butz
Mariage, Saint-Pierre-le-Jeune (luth. f° 87)
1567. Dominica Trinitatis II. Conrad Buck von Riedlingen, Catharina Hans Butz. dochter. Ingesegnet Zintag den 17. Junÿ h. 9. Sins außgangen vff dem kleinen Roßmarck vß Anthoni deß schreiners haußes (im 47)

Le menuisier Conrad Buck acquiert le droit de bourgeoisie par sa femme Catherine, fille du tisserand Jean Butz
1567, 2° Livre de bourgeoisie (4 R 104) p. 290
Conrath Buck von Riedling. der schreiner hatt das burgkrecht Empfang. von Catharinen weylandt hans butz. des webers sellig. docht. und dient Zun Zÿmerleüth. den 21.t Junj Lxvij

Conrad Buck se remarie en 1587 avec Susanne, veuve du serrurier Jean Chrétien Entringer
Mariage, Saint-Thomas (luth. f° 62 n° 200)
1587. in festo Pentecostes. Conrad Buck, der Schreiner, und Susanna Hanß Christman Entringers des Schreiners nachgelasne witwe, eingesegnet den 12. Junÿ (i 68)

Jean Chrétien Entringer épouse en 1583 Susanne fille du menuisier Nicolas Schmidt
Mariage, Saint-Pierre-le-Jeune (luth. p. 314 n° 44)
1583. Dominica prima post Trinitatis. Hans Christmann Endringer vnnd Susanna, Niclaus Schmidts des schreiners hinterlaßne tochter. Eingesegnet Montag den 24. Junÿ (i 165)

Conrad Buck lègue à sa femme la jouissance viagère de sa maison place Saint-Thomas

1592 (26. Octobr.), Chancellerie, vol. 282 (Imbreviaturæ Contractuum) f° 80-v
Codicill Conrad Bucken vnd Susannæ Schmidin bed. Ehegemechd
Erschienen Conrad Buck d. schreiner vnd Susanna bede ehegemechd, haben Zuerken. geben, Nachdem sie ahn ein Zeythero mitteinand. ehelich gelebt vnd alle eheliche trew erwisen also einand. solch. trew Zuzegelt. entschloß. were sein Conrad Buck. will vnd meinung da er Vor Ir * tods abgehen werde, sie seine behausung vff S Thomans plan so er Jetzo bewohndt, Ir leben lang Zunieß. behalten, hergegen dieselb. Ir gt. wesen bote* d ehren erhalt. vnd alle dauon gefallende Jährliche Zinß dauon abrichten solle & Actum donertags den 26. Octobr. Ao & 92

Conrad Buck hypothèque sa maison au profit de l’ancien consul Nicolas Fuchs

1594 (11. Martÿ), Chancellerie, vol. 293 (Registranda Meyger) f° 115-v
(Inchoat in Proth. fol. 113.) Erschienen Cunradt Buck schreiners Burger Zu Straßburg vnd Claus Isehart von lingolsheim
Haben bekhandt vnd Inn gegenwertigkheit des fürsichtigen vnd weißen herrn Niclaus Fuchß Altammeisters Burgers Zu Straßburg – schuldig sigent 25 pfund pfenning
Zum vnderpfand eingesetzt vnd verlegt, Er Cunradt Buck obgemelt, hauß vnd hoffestatt, mit Allen Iren gebeüwen & gelegen Inn der Statt Straßburg Vnden Ane der Schlosser gaß beÿ sant Thomans Kirchen, Einseit neben einer behausung, den Cartheüsern beÿ Straßburg Zustendig, vnd Anderseit neben Hanß Christmann des schneiders seligen Erben, stoßt hinden Auch vff ettliche heüßer, Zu Sant Thomâ gehörig, dauon gond 30 schilling pfenning gelts sie sigent gleich ewig oder ablößig wie die Brieff darüber sagendt, Also vßweißend, den Cartheüßern Jährlichen, Mehr 5 guldin gelts Ablößig mit 100 guldin M. Theophilo Gollio p.fessori Academiæ Argentin. Jährlichen vff den heÿligen ostertag Jährlichen wie man sagt
Claus Isenhart Von Lingolßheim setzt Inn, hie nachgeschrieben güttere, Inn Lingolsheim Banns (…)

Marie, fille de feu Conrad Buck, fait son testament alors qu’elle est malade et habite chez son frère coutelier Tobie. Elle fait des legs à ses deux autres frères Conrad Buck et Frédéric Buck
1614, KS 392, Registranda instrumentorum Publicorum de Annis 1610-1615
(f° 303) Zuwissen das vff den Eilfften tag Maÿ Anno 1614 (…) Jungfrau Maria, wÿland Conrad Bucken schreÿners burgers alhie selig. dochter, wiewol etwas kranck (…) dieweÿl Thobias Buck Meßerschmidt Ir brud. v. Fr. Barbell sein ehegemahl Zu beÿ denen sie Jetzmals Ir vnderhaltung (…)
zum Andern Zeugte sie ane*, wie das sie Conrad Bucken dem Schreiner Irem Bruder (…) Item Jörg Bucken auch schreyner Irem bruder (…) und dann Friedrich Bucken auch schreynern Irem bruder (…)
Besch. Inn d. SS Inn einer Behußung obmeldtem Jonas onßle Zustendig ane der oberstraß ein seÿt Daniel Theußen dem Brotbeck andersyt Martin grosen Schultheiß Zu S.

Le tuteur des six enfants issus du premier mariage de Conrad Buck avec Catherine Butz et des quatre du deuxième mariage avec Susanne Schmidt ainsi que Christophe Endringer, fils adoptif de Conrad Buck issu du premier mariage de Susanne Schmidt, vendent la maison, sise en bas de la rue des Serruriers, au tailleur Pierre Eichhorn, assisté de son beau-père Jean Hauff

1609 (14 Junÿ), Chancellerie, vol. 380 (Imbreviaturæ Contractuum) f° 46
Kauffverschreÿbung Peter Eÿchhornnen deß Schneiders über ein Behausung vnden ane der Schloßergaßen gelegen
(Extendirt wie in dem contractbuch de Anno 1609 folio 131. Zubefind.) Erschienen Paulus Ohnsoldt der schreiner als geschworner vogt Conradts, Georgen, Mariæ, Hansen, Friderichs und Thobiæ, weiland Conradt Bucken des schreiners mit Catharinæ Butzin seiner ersten haußfrawen ehevogten erzeügter Kinder, Item Hans Eichardt der schreiner als auch geschworner vnd geordneter vogt Susannæ, Philippen, Ursulæ vnd Jacobs, ermelts Conradt Bocken mit Susanne Schmidin In anderer ehe vnd dann herr Hanns Martin Reüber der Notarius als vogts Christoff ermelter Susannæ mit Hannß Christoff Endringern dem Schreiber ehelichen erzeügten Sohns, Welchen Sohn er Conrad Buck selig. ane Kinder statt angenommen (verkaufft)
Peter Eÿchhornen dem schneider (…) mit beÿstandt Hanns Hauffen des Schneiders seines Schwehers
hauß, hoffestatt vnd höfflin mit allen andern deren gebeuwen, Zugehörden und gerechtigkeiten, gelegen In der Statt Straßburg unden an der Schlosser gaß, einseit neben ermeltem hans hauffen des kheuffers Schweher, anderseit Hans Carle dem Buchtrucker, hinden vff Hn Michael Boschen selig. Wittib und erben Behaußung stoßend, davon geht dreÿ gulden & xv batzen Boden Zinß, das halb vff Weihnachten vnd das vberig vff Johannis Baptistæ Jährlichen gefallendt etwan den Cartheußern Jetzo dem alhieig Cartheüsser hoff, Item fünff gulden gelts Zu xv batzen vff Georgÿ ablösig mit 100 gulden Hn Theophilo Gollen seligen erben, vnd dann Letztlichen Ist diese Behaußung auch noch verhafftet, weÿl. Salome Caspar Axten beeden schneidern und Hans Lautern dem Schreiner allen dreÿen als bürgen vmb 400 gulden alles Zu xv batz. Inn der Müntz alhie, sunsten ledig und eigen, Und were dießer Khauff für freÿ ledig vnd eigen Zugangen und beschehen für vnd vmb 900 gulden

Les mêmes vendent au secrétaire Laurent Schaumann un capital que leur doit Pierre Eichhorn sur le prix de la maison

1609 (17. Novembr.), Chancellerie, vol. 380 (Imbreviaturæ Contractuum) f° 103
Khaüff Herrn Laurentÿ Schawmans vber 250. fl. Ziel geltt vff einer Behausung gehörig Zu Schloßergaßen
Erschienen Paulus Ohnsoldt der Schreiner als geordnet und geschworener Vogt Conradts, Georgen, Mariæ, Hansen, Friderichs vnd Thobiæ, weilandt Conradt Bucken des Schreiners, mit Catharina Butzin In erster ehe erzeugter Kinder, von Welchen Zugegen gewesen, Item hanns Eichardt der schreiner als auch geschworner vogt Susannæ, Philipsen, Ursulæ vnd Jacobs, erstgemelts Conradt Bucken mit Susannæ Schmidin In anderer ehe erzeugter kindern, Mit beÿstandt und bewilligung herr Hans Esels Ir der Kinder Großmuter Vogt, und dann herr hannß Martin Reüber der Nots. als vogt Christoffs Ir Susannæ mit hanns Christoff Endringern dem Schreiber seligen erzeugten eh: Sohns, Welchen Sohn er Conradt Beck selig. ane Kindes statt angenommen, Unnd
haben in gegenwertigkeit Herrn Laurentÿ Schaumans Stattgericht schreibers (verkaufft)
250 gulden Zu xv batzen, Welche Peter Eichorn der Schneider Inen Verkheüffern per rest ane einer verkhaufften Behausung In Schloßergaß gelegen Schuldig (…) beschehen vmb 105 pfund

Fils du cultivateur Jean Eichhorn d’Oberliederbach près de Francfort, le tailleur Pierre Eichhorn épouse en 1606 Susanne, fille du tailleur Jean Rœmer : contrat de mariage, célébration
Eheberedungs Copeÿ (…) Zwischen dem Ersamen Peter Eichhorn dem ledigenn Schneider Von Oberliderbach beÿ Franckfortt am Meÿn gelegen, Hannß Eichhorns deß Buwerßmanns daselbsten Sohn, ane Einem: So dann der Erbarn vnd Züchtigen Jungfrauwen Susannæ Römerin, Weÿland Hannß Römers deß Schneiders Vnd burgers Zu Straßburg seeligen Hinderlaßenen dochter, Andern theils (…) verhandelt inn deß Heÿligen Römischen Reichß freÿen Statt Straßburg vff der Pfaltzen inn der Allmendtstuben, Sambstags den ersten Martÿ 1606. [unterzeichnet] Vff der Jung. Hochzeitterin seitten, Johann Dietheriich Edling Nots. Hannß Hauff der Stieffuatter – Collationirt, Daniel Strintz, Notarius

Mariage, Saint-Thomas (luth. f° 237 n° 621)
1606. Peter Eÿchhorn, Von Oberliderbach beÿ Franckfort, d. schneÿd. vnd Susanna Hannß Römers schneider Alhie Nachgelaßene tocht. Eingesegnet Montag nach Oculi (i 236)

Pierre Eichhorn (ici Einhorn) devient bourgeois par sa femme
1606, 2° Livre de bourgeoisie (4 R 104) p. 869
Peter Einhorn der Schneider Vonn Ober Liderbach bey franckfurt, empfahet das B: vonn Susanna Hanns Römers deß schneiders dochter Will Zun schneidern dienen Act. 3. Aprilis 606.

Susanne Rœmer meurt sans enfant après avoir institué pour héritière sa tante Marthe Hauff, femme du barbier Jean Philippe Spiegel. Elle a hérité des biens de sa mère Anne Schwentz, femme du tailleur Jean Hauff. Les experts estiment la maison à 345 livres, outre les capitaux dont elle est grevée. L’actif de la succession s’élève à 438 livres, le passif à 379 livres.

1634 (19.5.), Not. Ursinus (Jérémie, 60 Not 2) n° 29
Inventarium vndt beschreibung aller Haab vndt Nahrung, so weÿl. die Ehren: vndt tugendsame fraw Susanna Römerin, deß Ehrenhafften Peter Eichhorn d. Schneiders vndt burgers alhie Zu Straßburg haußfrau seel. nach Ihrem aus dießer weltt tödlich. Hienscheÿden Hinder Ihro verlaßen, welche vff ansuchen erfordern vndt begehren deß auch Ehrenhafften h hannß Philips Spiegells, Barbierers burgers alhie Zu Straßburg, als Eheuogt Marthanæ Häuffin der abgestorbenen fraw seel. mutterl. Schwester, vndt ab intestato nechste, wie auch p. Testamentum Instituirte einige Erbin (…) So beschehen in beÿsein deß Edlen Ehrenuesten vnd hochgelehrten Herrn Ernst Heüßen, der Rechten Doctoris vndt Advocaten alhie Zu Straßburg, d. frn. sel. ernanten Testamentarÿ auff Montag den 19.te, Maÿ A° 1634.
Eheberedungs Copeÿ (…) Sambstags den ersten Martÿ 1606

Copia Testamenti – 1634 (…) auff Zinstags den 25.tag Monats Februarÿ Zwischen Zweÿ vndt dreÿ Uhren nachmittag, inn der Statt Straßburg, vnnd der Testiererin äigenthumblichen behaußung, Vffm Thomans Plan, Zwischen herren Johann Caroli, Großen Raths verwanthen, vnd Hanß Philipp Spiegel dem Barbirern gelegen, Vnd darin Vnden Vf die gaßsehenden Stuben, vor mit nachbenanten Notarien Barbar den glaubwürdigen gezeügen, Persönlich erschienen seind der Ehrenhafft vnd Tugendsambe Peter Eichhorn Schneider, Burger Zu Straßburg vnd Susanna Römerin sein eheliche Haußfrauw, Er Eichhorn Von dem Gnaden Gottes gesunden, stehend vnd gehenden, sie Susanna aber krancken leibs im bett ligendt (…) dieweil dann sie beede obgenante Eheleüt Zu dießer Zeit Keine Kinder noch blutsfreündt in auf: oder abstigender linien haben, damit sie dann desto Weniger ihrer Zeittlichen hab vnd güttern halben (…) Zum andern, Alß sie beede obgenante Eheleüth dem 7. Februarÿ Anno & 1607 Ihre letste willen Zwar verfaßt, vnd der actum Vor herrn Jacob Küglern Notario (…) darüber gehalten, aber biß annoch Kein Instrument verfertigt worden, so ist hiemit ihr will vnd meinung, daß daßelbige Ihr geschäfft gantz todt vnd abe hiedurch auffgehoben vnd cassirt sein (…)
ernant Er Peter Eichhorn der Testator zue seinen wahren Testaments Erben seiner haußfrauwen Vatter halben Stieffschwestern Marthan Häuffin mit Hannß Philipps Spiegel dem Barbierer burgern Zu Straßburg ehelich erzielte dreÿ Kinder namens Anna Maria, Marthan vnd Ambrosium Zu dreÿen gleichen theÿlen (…) Sie Susanna Römerin setzt, ernent vnd erwöhlt Zu Ihrer wahren, rechten vnd vngezweiffelten eintzige Erbin obgenannte Ihre Vatter halbrechte Schwester Martha, Höuffin (…) Vnd dieweil Ich Jacobus Bärtsch von Honacker im Hertzogthumb Würtenberg auß Römischer Keÿ. May. macht vnd gewalt sambe Ein offener geschworner Notarius auch der Statt Straßburg verordneter Contractuum Notarius vnd Burger daselbsten [unterzeichnet] Jacob Bärtsch Notarius pub: ac civis Argentinensis
In hernach geschriebener in dieße Erbschafft gehörigen behaußung ist befunden worden, wie volgt
Inn der Cammer A, Inn der Cammer B, Inn der Cammer C, Inn der Cammer D, In der Stub Cam: In d. obern Stuben, Vor d. Stuben
Eÿgenthumb vndt Beßerung einer behaußung (th.) Item hauß hoffstatt vndt höfflin mit allen anderen derselben gebäwen, begriffen, weithen, Zugehörd. rechten vndt gerechtigkeiten gelegen alhie in d. Statt Straßburg vnden in der Schloßer gaßen vff St. Thomans Plan, j. seith neben H Johann Carlen E. Ers. großen Raths alhie beÿsitzern, 2 seith h Joh: Philips Spiegeln Barbierern, burger, alhie Zu Straßb. hind. vff weÿl. H Johann Reichardt Sebitzÿ verampten im Zollkeller sel. hind.laßene wittib vndt Erben behaußung stoßend, Dauon gehend Jährlichs 20. ß d bodenzinß vff weÿhenacht. vndt Joh. Bapt: Jedesmahl daß halbe in den Cartheüßerhoff alhie, Mehr 7 lib. d Zinnß H. Joh: Caspar Heppen Medicinæ Doctori als Ehevogten frn Magdalenæ Bernerin jährlich. vff den 22.t Jan: ablößig hauptgut mit 25 lib. d. Sonst ledig vndt eigen hiehero angeschlagen für vndt vmb 345 lib. d.
Darüber sagt j. t. P. Kauffbr: mit d. St. St. anhangendem Contrat Insigel, deßen datum Mittwoch den 14.ten Junÿ 1609. Inhaltendt wie Peter Eichhorn d. ietzige Wittwer diese behausung von Paulo Ohnselten dam Schreiner vndt burgern alhie seel. als Cunrad. Georg. Mariæ, Hanße, Frid.ichen vndt Tobiæ, weÿl. Conradt Bucken, deß Schreiners vndt Burgers alhie Zu Straßb. sel. mit Catharinæ Butzin inn erster Ehe erzeugter Kind. ferners Hannß Erhardten dem Schreiner als vogten Susannæ, Philipßen, Ursulæ vnd Jacoben: ermelts Conradt Bucken mit Susannæ Schmidin inn anderer seiner ehe vndt dann Johann Martin Reübern dem Not. als Christoffen von bemelter Susannæ Schmidin mit weÿl. hanß Christoph Entringern seel. erzeugten Sohns, welchen obgedachter Conradt Buch, Ihr geweßener eheuogt ane Kindes statt angenommen, erkaufft, signirt mit N° 1.
Ergäntzung der Erben unveränderten Gutts. Auß dem gemeinen Theilbuch über weÿl. fren Annæ Schwäntzin, Meister hannß Hauffen, deß Schneiders burgers alhie, Zu Straßburg gewesenen haußfraw der ietz v.storbenen fren Mutter nunmehr aller seel. V.laßenschafft
Ergäntzung deß wittwers ohnveränderten Gutts. Dem Wittwer seind heut dato den 1. Ap.lis 1635, in beÿsein H Ernst Heüßen, H Nicolai Ammians, beider d. fren seel. ernannter herren Testamentariorum vndt H Johann Georg Meÿgers deß Notÿ vnd d. St. St. Stallschreibers volgende posten, so er von seinem Vatter seel. ererbt Zuergäntz. v.glichen
Die Theilbahre Verlaßenschafft betreffendt, Sa. haußraths 63, Sa. deß werckzeugs Zum Schneider handwerck gehörig 16 ß, Sa. Silbers vnd Geschmeidts 6, Sa. Guldener Ring 4, Sa. Bahrschafft 14, Sa. Behaußung 345, Sa. Schuldt 3, Summa summarum 438 lb – Schulden 379, Nach deren Abzug 59 lib.
Conclusio finalis Inventarÿ 508 lib

Les députés à la succession de Pierre Eichhorn vendent la maison au barbier Jean Philippe Spiegel moyennant 600 livres sur lesquelles la femme de l’acquéreur a des prétensions suite à la liquidation de la succession.

1637 (29. Aprilis), Chambre des Contrats, vol. 477 f° 423
Erschienen Herr Samuel Hugwarth und Herr Johann Böller beeder alß auß E. E. Kleinen Rhats mitel Zue Weÿl. Peter Eÿchorns deß schneiders see: Verlaßenschafft insonderheit deputirt und verordnet
haben in gegensein hannß Philipps Spiegels deß Barbierers und Burgers Zue Str. (verkaufft)
hauß undt hoffstatt, mit allen Andern ihren gebäwen & alhie vnden an der Schloßer gaßen, vff S. Thomans plan neben Ihme dem Käuffer selbsten & weÿ: herrn Johann Caroli deß Buchtruckers seel. Wittib und Erben, hinden vff Susanna weÿ: hanß Reinhardt Sebitÿ see: wittib Zum theil und Zum theil auch uff den Käuffer selbsten stoßend, dauon gehen Jährlich vff (-) 1 lb 10 ß Bodenzinß der Carthausen Alhier, vnd were diser kauff, vber die beschwerdt geschehen für und vmb 600. lb
daran per 100 lb d vnd der Rest so sich vber abzug der Ansprach, die sein Kauffers haußfr. vff diser Behaußung prætendirt in guter Liquidation rechtmeßig befinden würdt vff nechstkünfftig Weÿhenachten sampt gebürlichem Zinß von dato anzurechnen, hinder EE Kleinen Rhat deponirt vnd hinderlegt wd. soll.

Fils du notaire Ambroise Spiegel, le barbier Jean Philippe Spiegel épouse en 1609 Marthe, fille du tailleur Jean Hauff : contrat de mariage tel qu’il est copié à l’inventaire, célébration
Eheberedungs Copeÿ – zwischen dem Ehrenhafften vnd bescheÿdenen Meister Hanß Philipps Spiegel, Burgern vnd Balbierern alhie, weÿland deß Ehrenuest. vndt Fürgeachten herrn Ambrosÿ Spiegens auch burgers alhie, vnd Notarÿ seelig ehelichen hinderlaßenen Sohns, eines theils, vnd der tugendsameen Jungfrauen Martha Mr hanß hauffen burgers vndt Schneiders alhie, mit Anna Schwentzlerin seiner ehelichen Haußfr. erzielten dochter anderntheils beschehen vnd vorgangen
Es haben Zum Fünfften Vorgedachter Jungfrau Hochzeiterin Vatter, wie auch ihre Liebe Mutter, sie beede newe angehende eheleüth, beÿ ihnen (.so lange es ihnen beeden beliebet, als dem Schwehren vnd dochtermann.) In ihrer bewohnenden behaußung in der Schlossergassen Jährlichen vmb 10. lb. hauß Zinß Zuhaben bewilliget (…)
Actum Straßburg, in ihr der Jungfrauw hochzeiterin Vatters Behaußung in d. Schloßergaßen, Donnerstags den 18.t Maÿ nach Christi gebuhrt im 1609.t Jahre. Jacobus Weÿßensteig. Nots. publ. vnd burg. in Straßb.

Mariage, Saint-Thomas (luth. f° 279-v n° 780)
1609. Sonntag den 4. Junÿ Hanß Philips Spiegel d. Balbierer, vndt Martha, hanß Hauffen des schneÿders Alhie tocht. Eingeneg. 18. Junÿ (i 287)

Jean Philippe Spiegel prend en apprentissage Thierry, fils du barbier Etienne Bathisy ou Batisien de Saint-Mihiel
1618 (ij. Julÿ), Chancellerie, vol. 430 (Registranda Meyger) f° 273
(Inchoat. in Prot. fol. 199.) Erschienen hannß Philipß Spiegell d Balbirer burger Zu Straßburg Ane eim
So dann hannß Coppin handelßmann Zu Saint Miel Inn Lottring. so Zugeg. Inn nammen vnd von weg. Dietherich Steffan Bathisien des Balbierers daselbst Zu Saint Miel Sohn Am And. theil
vnd hatt obgenant hannß Philipß Spiegell bemelt. Dietherich Inn die Balbier stub ein Jahr lang so vff Johis Jetzo Angefang. angenommen, der gestalt das Ilme Inn seiner practeÿ dienen vnd den handwerck Abwarth. soll, dagegen (…) 30 gulden

Jean Philippe Spiegel meurt en délaissant trois enfants. La succession comprend deux maisons contiguës rue des Serruriers. La masse propre à la veuve est de 729 livres, celle des héritiers de 300 livres. L’actif de la communauté s’élève à 1979 livres et le passif à 511 livres.

1638 (24. 7.bris), Not. Ursinus (Jérémie, 60 Not 8) n° 28
Inventarium vndt beschreibung aller haab vnd nahrung, so weÿland der Ehrenhafft vnd Achtbahre herr Johann Philips Spiegel Barbierer, burger alhie Zue Straßburg nunmehr seeliger, nach seinem aus dießer welt tödltichem hinscheiden hinder ihme verlaßen, welche vf freündtliches ansuchen erfordern vnd begehren der Ehrenhafften, vorgeachten, Achtbahren vnd bescheidenen Herrn Marx Philips Haanen, Barbierers Burgers alhie, als eheuogt fraw. Annæ Mariæ Spiegellin, H Emanuel Gastelÿ, Glaßers vnd Glaßmahlers, auch burgers alhie als Frn Marthæ Spiegellin eheuogt, So dann H. Mathias Klinglers auch Barbierers, als geschwohrner vogt H. Ambrosÿ Spiegells, deß Barbierers, so noch ledigen standts, allle dreÿ deß abgestorbenen herrn seeligen mit der ehren vnd tugendtsammen fr.en Marthæ Hauffin, seiner nunmehr hind laßenen wittwen ehelich erziehlter vnd ab intestato hind.laßener nechster erben durch sie die wittib selbsten mit beÿstand deß auch Ehrnhafft vndt Achtbahren H Friedrich Spe* ebenmäßig Barbierers, burgers alhie, ihres geschwohrnen vogts, geeügt vnd gezeigt (…) So beschehen vf Montag den 24.t 7.bris 1638.
Eheberedungs Copeÿ (…) Donnerstags den 18.t Maÿ nach Christi gebuhrt im 1609.t Jahre. Jacobus Weÿßensteig. Nots. publ. vnd burg. in Straßb.

Inn Hernach geschriebener in dieße Erbschafft gehöriger behaußung ist befunden worden wie volgt
Auff dem obern Kasten, Im Obern Stüblein, vor dießer Stuben, Inn d. Cammer A, Inn der Kammer B, In der Cammer C, Inn d. Cammer D, Vor dießen Kammern, Inn d. Mittlern Stub Kammer, Inn der Mittlern Stuben, In d. vnd.n Stub Kammer, Inn d. barbierstuben, Inn der Kuchen, Im Keller
Eigenthumb vndt Beßerung ane Heußern. (W.) Item j. behaußung, hoffstatt vnd höfflin, sampt deren Zugehördt vnd gerechtigkeitten gelegen in d. St. Str. vff S. Thomans plan, j.s. neben weÿl. hannß Müllers deß Schloßers seel. erben, 2. seith neben hernach geschriebener behaußung, stoßt hinden vff Seÿfridt Meÿers deß Schneiders hinderheüßlein (…)
(W.) Item hauß, hoffstatt vndt höfflin, mit allen anderen derßelben gebeuwen, begriffen, weithen, rechten, Zugehörden vnd gerechtigkeiten, gelegen alhie in d. St. Str. vnd. in d. Schloßergassen, vf St. Thomans plan, j.s. neben nechst vorgeschriebener behaußung, 2.s. neben H Joh: Carlen, altten groß. Raths bewanthen alhie seel. wittib vnd erben, hind. vff weÿl. H. Johann Reinhardt Sebitÿ v.ampten im Zollkeller seel. hind.laßener wittib v. erben stoßend, dauon gehen Jahrs 30 ß d boden Zinß vf weÿhnachten v. Johis. Baptæ: Jedes mahls d. halbe dem Cartheuß. Schaffner alhie, sonst ledig vnd eigen, hiehero angeschlagen für 500. lb d.
Die altten brieff vber dieße behaußung sagendt, soll H. Dr. Ernst Heüß in handen haben, Wie aber d. v.storbene seel. dieße behaußung weg. Peter Eichhorns Creditores von E. Ehrs. Kl: Rath alhier an sich genommen* deßmahl* ist noch kein brieff außgeferttigt
Ergäntzung der Wittwen unverändert Gutts. Auß dem vber weÿl. fren Annæ Schwäntzin auch weÿl. Hannß Hauffen deß Schneiders burgers Zue Straßb. hfren d. Fr. wittwen Mutter seel. Verlaßenschafft auffgerichtetem Gemeinem Theilbuch
Der Wittwe unverändert Gutt, Sa. haußraths 35, Sa. Silber geschirr und Geschmeids 6, Sa. Guldener Ring 4, Sa. Pfenningzinß hauptgüter 68, Sa. Anschlags unveränderter heüßer 776, Sa. der Ergäntzung 177, Summa summarum 1069 lb – Schulden 340, Nach deren Abzug 729 lb
Der Erben unveränderte Nahrung, Sa. Silbergeschirr und Geschmeids 9, Sa. Guldener Ring 1, Sa. Ergäntzung 289, Summa summarum 300 lb
Die Theilbahre Verlaßenschafft betreffendt, Sa. haußraths 94, Sa. Weins vnd leerer vaß 5, Sa. Instrumenten und werckzeugs Zum Barbierer handwercks gehörig 23, Sa. Silber geschirr und Geschmeids 133, Sa. Bahrschafft 12, Sa. Pfenningzinß hauptgüter 1248, Sa. der Schulden 461, Summa summarum 1979 lb – Schulden 511, Verpleibt also 1457 lb
Conclusio finalis Inventarÿ 2457 lb

1627 Conseillers et XXI (1 R 109)
Matern Serrarius contra Joh: Philipp Spiegel [Barbierer als vogt Serrarii hausfrauen]. 23. 28.

Marthe Hauff meurt en 1661 en délaissant deux filles et un fils réduit à la légitime. Les immeubles sont les mêmes qu’à l’inventaire précédent. L’actif de la succession s’élève à 438 livres

1661 (13.2.), Not. Ursinus (Jérémie, 60 Not 28) n° 3
Inventarium vndt Beschreibung Aller haab vndt Nahrung so weÿlandt die Ehren: vndt Viel tugendtsame Fraw Martha Hauffin, Weÿland deß Ehrengeachten vndt Kunstreichen herren Johann Philipp Spiegels, Barbierers vndt wundtartzts, burgers alhie zu Straßburg hinderlaßene wittib, nunmehr beede seel. so Mittwochs den 9.ten Januarÿ Jüngsthin Göttichem willen nach Zeittlichen tods verblichen, nach Ihren aus dießer weldt tödtlichen Hinscheÿden hinder Ihro verlaßen (…) durch Fr. Annam Mariam Spiegellin, Hn Marx Philips Haanen Barbierers vnd wundt artztes burgers alhie eheliche haußfr. die ältiste dochter – So beschehen auff Mittwoch den 5. Februarÿ Anno & 1661.
Fraw Martha Hauffin die ietzt abgeleibte fraw seel. hatt sowohl ab intestato als auch per Testamentum Zu Erben verlaßen, wie volgt
1. Frau Annam Mariam Spiegellin, H Philips Marx Haanen, Barbierers vndt wundtartzts Burgers alhie eheliche haußfr. welche mit beÿstand erstehren ernandts ihres geliebten haußwürths, der Inventation selbsten beÿgewohnt, vor 1/3 theil, 2. Fraw Martha Spiegellin, H Emanuel Gastelÿ Glaßers Burgers alhie haußfr. auch mit beÿstandt deßelben vor dem and. dritten theill vndt 3. H. Ambrosium Spiegell, auch Barbierern vnd wundtartzt Burgern alhie, vor den überigen dritten theil, vndt zwahr Ihne H Ambrosium allein in legitimam, vnd in die vbrige Zwo tertzen deßelben entwed. noch in dießer od. einer and. v. Künftigen Ehe ehelich erziehlende Kind. denen obenante seine beede Schwesteren substituirt, vndt er H Ambrosius mit beÿstandt H Johann Lefers Notarÿ Publici Cæsarei Burgers Zu Straßburg
Alle 3. geschwisterdt, vnd d. ietz abgeleibten fren seel. mit Eingangs ernandtem H Johann Philips Spiegell, Ihrem haußwürth seel. ehelich erzeugte hind.laßene döchter vndt Sohn
Publicatio et Resolutio Testamenti

Inn einer alhie Inn der Schlossergassen gelegenen behaußung, so ein Eckhauß an d. dornsgaßen vndt eingangs ernandtem H. Philips Marx Haanen, dem Älttisten dochtermann gehörig, ist befund. worden wie volgt
Inn der Obern vordern Stuben
Eigenthumb vndt Beßerung ane Häußern. Erstlichen eine behaußung, hoffstatt vndt höfflin, sampt allen dero begriffen, weithen, rechten Zugehörd v. gerechtigkeiten gelegen alhie in d. St. Straßb. auff S. Thomans plan, j.s. neben weÿl. hannß Müllers deß Schloßers v. burgers alhie seel. erben, 2.s. neben hernach beschriebener behaußung, hind. vff eine dem Stifft St Marx gehörige behaußung, dauon gehen Jährlichen 12. fl. vff Michaelis von 300. fl. Straßb. wer. dem Stifft Zur Rothen Kirch der dieße beschwerd. freÿ ledig v. eigen, angeschlag. vmb 250 lb
Darüber v.handen j t. Perg. Kauffbr. mit d. St. Straßb. anhangendem Kleineren Insigel, deßen dat. den 13.t 10.bris A° 1581 (…)
Item hauß, hoffstatt vndt höfflin, mit allen deroselben gebeuwen, begriffen, weithen, rechten, Zugehörd. vndt gerechtigkeiten, gelegen alhie in d. Statt Straßb. vnd. an d. Schloßergassen, auff St. Thomans plan, j.s. neben nechst vorbemeltter behaußung, 2.s. neben H Frantz Christoph Carolo, vnßerer Gnedigen herren d. xv.er Secretario, hind. vff weÿl. Annæ Mariæ Huttin seel. Creditorn stossendt, dauon gehen 30 ß d boden Zinß jährlich vff wÿhnachten vnd Joh. Bapt: Jedes mahls d. halb in den Cartheuß. hoff alhie, sonsten freÿ ledig v. eigen, angeschlagen vmb 250. lb d.
Darüber v.hand. j. t. Perg Kauffbr mit d St. Straßb. anhangendem Kleineren Insigel, deßen dat. den 14.ten Junÿ A° 1609. besagend, wie Peter Eichhorn, Schneider. vnd burger alhie nechstgemeltte behaußung von Paul Ohnseltten dem Schreiner als Conrad Bucken deß Schreiners alhie seel. Erben vogt et Consorten an sich erkaufft mit altem N 1 ietz newem N° 5 signirt.
Sa. haußraths 110, Sa. Silber geschirr und Geschmeids 65, Sa. Baarschafft 94, Sa. Pfenningzinß hauptgüter 221, Sa. Eigenthums vnd beßerung ane heüßern 500 lb, Summa summarum, Conclusio finalis Inventarÿ 1000 lb
Legaten 53 lb, Nach dießem abzug 946

Anne Marie, femme du barbier Marc Philippe Hahn et Marthe, femme du vitrier Emmanuel Gasteliuis (les deux héritières) vendent la maison au cordonnier Jean Philippe Haffner

1662 (10. Junÿ), Chambre des Contrats, vol. 527 f° 343
(Prot. fol. 32. fac. 2) Erschienen fraw Anna Maria, H. Marx Philipß Haanen deß Barbierers: und fr. Martha, H. Emanuel Gastelÿ deß Glaßmachers: Eheweib, beede Schwester, Jede mit assistentz erstermelts ihres Ehevogts
in gegensein Hannß Philipß Haffners deß Schuhmachers mit beÿstand Mathæi Bleßig des Maurers und Steinhawers
Hauß, hoffstatt, höfflin mit allen deren Gebäwen, begriffen, Zugehördten, Rechten und Gerechtigkeiten alhie in der Schloßer Gaßen, einseit neben Ambrosio Spieglen dem Barbierern, anderseit neben H. Frantz Christoph Caroli fünff Zehen Secretario hind. uf H. Jacob Hoßern den handelßmann stoßend geleg. davon gehend iahrs 30. ß uf Joh. Bapt: und Weÿhenachten Jedeßmahlen Zur helffte der Carthaußen (übernohmen) – umb 270. lb

Fils du cordonnier du même nom, Jean Philippe Haffner épouse en 1658 Agnès, fille du chapelier Jean Meyer.
Mariage, cathédrale (luth. f° 89 n° XXII)
1658. Eodem [den 26.t Aprilis] Hanß Philipp haffner d. schuhmacher wÿland hanß Philipp haffners würth v burg.n alhie hind.laßener Ehelich. sohn, Jungfr. Agnes Johann Meyers hutmachers u. burg. eheliche tochter. montag post misericord. im Münster, außzug* Spiegel (i 90)

Jean Philippe Haffner se remarie en 1667 avec Marie Salomé, fille du marchand Daniel Berger
Mariage, Saint-Thomas (luth. f° 63)
1667. Dncâ Quinquagesimæ d. 17. Febr.) Johan Philipp Haffner, Schuhmacher vnd Burger allhie, J. Maria Salome, Weiland H. Daniel Bergers, handelsmanns v. burgers allhier nachgelaßene Eheliche Tochter. copulirt Donnerst. d. 28. Febr. Zu S. Thomæ (i 67)

Jean Philippe Haffner hypothèque la maison au profit de son beau-frère Philippe Berger, caporal au régiment de Stadelberg.

1676 (8. Apr.), Chambre des Contrats, vol. 545 f° 434
Hannß Philipp Haffner der Schuhmacher
in gegensein Philipp Bergers deß Corporals under dem Stadelbergischen Regiments seines Schwagers – schuldig seÿe 50. lb
unterpfand, hauß hoffstatt mit allen deren Gebäwen und Zugehördten alhier ahn St. Thomans Plan, einseit neben Johann Scherning dem buchkrämern, anderseit neben dem Spiegelischen Hauß gelegen
[in margine :] Cassirt, wegen der am 25. Junÿ a° 1685. in der Cancelleÿ Contract stuben uffgerichteter Verschreibung

Jean Philippe Haffner et sa femme Marie Salomé hypothèquent la maison au profit du tailleur Henri Reichard et du potier Paul Wagner

1685 (10.7.), Chambre des Contrats, vol. 555 f° 394
Johann Philipp Haffner der Schuhmacher und Maria Salome sein eheweib und Zwar Sie mit beÿstand Henrich Reichards deß Schneiders und Paul Wagners deß haffenmachers
in gegensein H. Heinrich Nicolai Med: Doct: aß Vogt H. Melchior Sebitÿ Med: Stud: – schuldig seÿen 100. fl.
unterpfand, eine behaußung allhier an St. Thomans Plan einseit neben Johann Tscherning dem buchbinder anderseit neben H. Philipp Hahnen nunmehr Seel. nachgelaßener Wittibin gelegen

Jean Philippe Haffner loue une partie de la maison à l’horloger Augustin Clerc.

1694 (31.8.), Chambre des Contrats, vol. 566 f° 549
Mre. Jean Philipp Hafner, Cordonnier
au Sr Augustin Clerc Horlogeur et bourgeois d’icy
bail, dans sa maison Scize au bas de la rüe des Serruriers vers l’entrée de la place de St. Thoma les commoditez suivantes, Sçavoir Le poël d’en bas auec la cuisine joignante, d’une partie de la cave pour s’en servir pour le bois et pour y mettre du vin, et la chambre des soldats en cas que le bailleur n’en aye point, pour un an à commencer au premier de septembre de l’année courrante – pour le prix et la somme de 23 Ecus par an c’est-à-dire 17 livres et 5 Schilling de Strasbourg

Marie Salomé Berger, veuve de Jean Philippe Haffner, meurt en délaissant cinq enfants ou leurs représentants. La succession s’élève à 279 livres. La défunte a fait des legs importants à deux fils exclus de la succession, les autres héritiers font remarquer que les legs sont presque plus importants que leur part de succession.

1714 (22.1.), Not. Pantrion (Jacques Christophe, 40 Not 31)
Inventarium Vnd beschreibung aller Haab vnd Nahrung, so weÿland die Ehren: vnd tugendsame Fraw Maria Salome Haffnerin gebohrne Bergerin, weÿl. des Ehrenhafft: vnd achtbahren H. Johann Philipp Haffners geweßenen Schuemachers und burgers alhier hinderlaßene wittib nunmehr seel. nach ihrem Donnerstags den 28.ten 10.bris, des nechst abgelegten 1713.sten Jahrs aus dießem mühesamen leben genommenen tödlichen ableiben Zeitlichen verlaßen, Welche auf freundliches Ansuchen erfordern und begehren, der Abgeleibten Frauen seel: hinderlaßener allhießig. Söhne wie auch der Abweßenden resp° vogts vnd herrn Assistenten (…) inventirt, durch Sie die dreÿ älten allhießig Verburgerte: vnd hernach benandte resp° noch lebende Söhne vnd des Verstorbenen hinterbliebene Wittib die Ehren: vnd tugendsame Fraw Saram Haffnerin gebohrne Langin alß Sohnsfraw beÿ welcher die abgeleibte Fraw seelige im Hauß gewesen – Actum Straßburg, Montags den 22° Jan: 1714.
Die abgeleibte Fraw seelige hat Zwar ab intestato Zu Erben verlaßen, wie volgt, 1. Meister Johann Haffner, Schumachern und burgern alhier, welcher dießer Inventur Persönlich beÿgewohnt, 2. Weÿland H Abraham Haffners geweßenen Gastgebers Zum Goldenen Apffel vnd burgers alhier seel: hinderlaßene beede Kinder, nahmentlich Abraham vnd Mariam Saram Haffnerin, deren geschworner Vogt obgemelter Johann Haffner, weilen aber derselbe dißorths selbsten Interessirt, alß hat in deßen nahmen Herr Eberhard Cappaun vornehmen handelßmann vnd burger alhier alß geschworner thei vogt dießen Geschäfft assistirt, 3. H: Johann Jacob Haffnern, Silberarbeitern und burgern alhier, so gleichfalls in Person Zugeg. war, 4. Johann Heinrich Haffnern, Schuhmacher, vndt burger, Zu Anspach, in deßen nahmen weilen er abweßend auch ohnverburgert S.T. Herr Gerhardt von Stöcken, E: E: Großen raths alter: vnd derzeit E. Kleinen raths alß Constoffler beÿsitzer, alß von wohlermelts Kleinen Raths mittel hierzu Insonderheit abgeordneter H Deputatus Zugeg. gewesen. vnd dann 5. Isaac Haffnern noch ledig Schu Knecht, welcher schon über 20: Jahr in die frembde od. wanderschafft begriffen, von welchem mann Keine Nachricht im geringsten hat, ob er nochlebendig od. todt, in deßen Nahmen Michael Beßwilwaldt haußfeurer vnd burger alhier deßen geschworner Vogt dem geschäfft beÿwohnte, Alle fünff der Abgeleibten Frawen seel: mit weÿland Johann Philipp Haffnern geweßenen Schuhmachern vnd burgern alhier ehelich erzeugte Söhne vnd Sohns Kind. vnd ab intestato verlaßene Erben
Pro Nota. Es hat aber die verstorbene Fraw seel: wie hernach zusehen, den 15.t Martÿ 1713. vor H Christoph Eberhard Bären Notario et Practico alhier ein Testamentum nuncupativum auffgerichtet, vnd in solchem die beede Jüngere vnd abweßende Söhne Johann Heinrich vnd Isaac Haffnern exhæredirt, hingegen die dreÿ ältere alß Johann vnd H Johann Jacob Haffnern, wie auch H Abraham Haffners seel. Kinder die Enckel Zu dreÿ gleichen portionen alß Hæredes instituirt: Jedoch beeden exhæredirten Söhnen fast stärckere legata verschafft alß hernach geschrieben dero gantze verlaßenschafft antrifft, mithin so zureden die Zech ohne den Würth gemacht, und dardurch die hæredes Institutos alßo lædirt, daß sie solchen Testament Zufolge, da Sie doch vermuthlich der testirend. Mutter Intention gemäß, von den excludirten eine præferenz haben solten, nachgesetzt, vndt solchen falls nicht einmahl ihre völlige legitimam bekämen, dahero dann beÿ so gestalten sachen denen sambtlichen Erben die legitima freÿ vnd ohngekränckt Zulaßen, vndt das residuum denen Legatarÿs nach proportion des ihnen verschafften quanti anzuweißen sein würd, Zum bericht.
Copia Testamenti nuncupativi. 1713 (…) auff Mittwochen den 15. Monats Tag Martÿ Morgens Zwischen Zehen und Eilff Uhren, allhier Zu Straßburg, inn einer inn Sanct: Elisabetha Gaß gelegener und mir Notario Eÿgenthümlich zuständiger behaußung (…)
In der Gastherberg Zum Guldenen apffel allhier alwo die abgeleibte seel. sich auffgehalten vnd ein Stub und Cammer gehabt hat sich befunden wie volgt.
Series rubricarum hujus Inventarÿ, Sa. haußraths 70, Sa. Silbers 6, Sa. guldenen Ring 3, Sa. Schuld 200, Summa summarum 279 lb
Hieran gebührt denen sambtlichenn Fünff Söhnnen vnd ab intestato Erben pro legitima die helftte thut 139 lb, die übrige helffte ist denen Legatarÿs 139 lb – Passiva 185

Marie Salomé Berger vend la maison à son fils cordonnier Jean Haffner moyennant 735 livres.

1705 (20.7.), Chambre des Contrats, vol. 578 f° 628-v
(735 brief, 588 pfundzoll) Maria Salome Haffnerin wittib geb. Bergerin beÿständlich Hn Heinrich Reichards schneiders u. käuflers ihres vogts
Joh: Haffners schuem: ihres sohns
Hauß, Hoff, Hoffstatt mit allen deren Gebäuen, begriffen, weithen, zugehörden, rechten u. Gerechtigkeit allhier ahn der Schlosser gass einseit neben Niclaus Denstätt schuem: anderseit neben Philipp Jacob Rothen silberar: hinten auf erwehnten Denstätt u. auf Joh: Jacob Steegmann Schloßer stoßend gelegen – um 50 und 135 pfund verhaffte&, geschehen um 550 lb
[in margine :] Quittung, hierinn gemeldter Maria Salome Haffnerin seel. nachgelaßene beeder Söhn nahmens Abraham Haffners gewesten gastgebers zum guldenen apffel und Johann Jacob haffners gewesten Silberarbeithers allhier nachgelaßener wittiben und zwar des erstern Wittib Fr: Maria Sara geb. Langin beÿständlich Johann Martin Böhmen weinhändlers ihres Ehevogts und des letztern wittib Fr. Maria Salome geb. Unßeltin mit beÿstand H. Joh: Friderich Unßelt Silberarbeiters ihres Vogts, den 5. junÿ 1721

Fils de feu Philippe Haffner, le cordonnier Jean Haffner épouse en 1700 Dorothée, fille du courtier Jean-Jacques Gretzinger
Mariage, Saint-Pierre-le-Jeune (luth. f° 100)
1700. Domin: XV et XVI post Trinit: proclamati sunt Johannes Haffner d. schuhmacher alhie weÿl. Philipp Haffners geweßenen schuhmachers v burgers alhie nachgel. Ehel. Sohn, V. Jfr. Dorothea, Weÿl. Hrn Joh: Jacob gretzingers, geweßenen Macklers v. burgers alhienachgel. ehel. tochter copulati sunt Mittw. d. 29. 7.bris [unterzeichnet] Johannes haffner als hoch zeiter, + Signum sponsæ (i 102 – proclamation Saint-Thomas f° 78-v n° 425)

Les nouveaux mariés font dresser l’inventaire de leurs apports dans la maison du tailleur Jean Jacques Ratz rue du Chaudron. Ceux du mari s’élèvent à 53 livres, ceux de la femme à 276 livres.
1701 (11. 8.bris), Not. Pantrion (Jacques Christophe, 40 Not 10)
Inventarium vnd Beschreibung aller Haab vnd Nahrung, so der Ehrsame Meister Johannes Haffner Schuemacher vnd die Ehren vnd tugendsahme fraw Maria Dorothea, gebohrne Gretzingerin, beede Eheleüthe und burgere alhier, als Crafft ihrer mit einander auffgerichteter Eheberedung vor ein unverändert Guth in den Ehestand Zusammen gebracht haben (…) Actum Straßburg, Montags den 11. 8.bris Anno: 1701.
In einer alhie In der Statt Straßburg In dem Keßelgäßel gelegener, Mr Hanß Jacob Ratzen dem Schneid. Zuständig. behausung, so beede Eheleuth lehnungs weiß bewohnen, ist befund. worden, wie volgt
Series rubricarum hujus Inventarÿ, des Manns Zugebrachte Nahrung, Sa. haußraths 34, Sa. Silbers 1, Sa. baarschafft 7, Sa. Schue, led. vnd Werckzeugs Zum Schuhmacher handwerckh gehörig 10, Summa summarum 53 lb
der frawen unverändert Guth, Sa. haußraths 93, Sa. Silbers 5, Sa. baarschafft 81, Sa. guldenen Ring 12, Sa. Pfenningzinß hauptgüter 83, Summa summarum 276 lb

Jean Haffner rachète les droits qui compètent à Marie Salomé Gretzinger, sœur et héritière universelle de sa femme défunte
1701 (15. Xbris), Chambre des Contrats, vol. 574 f° 631-v
Maria Salome Gretzingerin Weÿl. Joh: Jacob Gretzingers geweßenen Courtiers Tochter, so 26 jahr alt mit beÿstand u. Consens Joh: Sebastian Otten gerbers und lederbereithers ihres Vogts, hat in gegenseÿn
Joh: Hafners schuemachers alß geweßenen Ehevogts M. Dorotheæ geb. Gretzingerin, besagter Curandin Schwester,
angezeigt und bekant, demnach erwehnte M. Dorothea ihre Schwester nunmehr sel. in Dero letzten willen Sie Zuer universal Erbin dero Verlassenschafft doch dergestalt eingesetzt, daß der lebtägige genuß darvon ihm, Hafner, ihrem mariti u. nunmahligem wittiber gedeÿen solle, ihro aber unthunlich sein, Hafners Todfall zu erwarthen, zumahlen weilen Sie auch gesinnet ihm einige gutthat, für die ahn ihre Schwester seel. wehrender dero Kranckheit angewendene schweere un Kosten zuthun, deßwegen Sie sich mit ihm, Hafner, eines freundlichen außkaufs dergestalt wissentlich u. wohlbedächtlich Verglichen deß Er, Hafner, ihro, der Cedentin für d. eÿgenthum solcher Verlassenschafft so sich kraft hierbeÿ Vorgewießenen Summarischen Calculi s. c. auf 267 lb belauft, 100 pfund pfenning geben solle fürs erste, zweÿtens soviel die abführung solcher Versprochenen 100 lb d betrift ist verglichen (…), Worauf die Cedentin Versprach wie obigen conditionem auf alle wegen solcher Verlassenschafft gehabte jura et actiones zu renunciren

Jean Haffner se remarie en 1702 avec Salomé, fille du fournier Jean Jacques Schrapp
Mariage, Temple-Neuf (luth. f° 124-v n° 601)
1702. Mittw. d. 25. Jan. wurd. nach ordtl. außruff. p.clam. Johannes Haffner d. schuhmacher v. B. allhie v. J. Salome, weil. Johann Jacob schrappen des geweßenen haußfeurers v. B. allhie nachgelaßene ehel. tochter [unterzeichnet] Johannes haffner als hochzeiter, Salome Schrappin als hochzeiterin (i 124, proclamation Saint-Thomas f° 87-v n° 466)

Salomé Schrapp fait dresser l’inventaire de ses apports, soit 214 livres
1702 (27.2.), Not. Schatz (Jean Frédéric, 51 Not 3)
Inventarium und beschreibung aller der Jenigen haab und nahrung, so die viel Ehren und tugendsahme fraw Salome gebohrne Schrappin, Zu dem Ehrengeachten Meister Johann Haffnern, Schuhmachern und burgern allhier Zu Straßburg ihrem lieben Ehemann, alß ohnverändert in den Ehestand gebracht (…) geschehen in persönlicher Gegenwärtigkeit herrn Stephan Scheappen, Meelmanns und burgers allhier der Frawen annoch ohnentledigtenen vogts und deroselben Ehemanns selbsten Straßburg den 27.ten Februarÿ 1702.
Lüfferung so der Ehrsam und vorgeachte Herr Balthasar Bößwillwaldt der Haußfeurer und burger allhier Zu Straßburg vff heut dato Zu und gemeldt seiner Stieff dochter der Ehren und vorgeachten frawen Salome gebohrner Schrappin deß Ehrengeachten Meister Johann Haffners, Schuhmachers und auch burgers Zu gedachtem Straßburg ehelicher haußfrau wegen ihres vätterlichen ererbten guts gethan (…) crafft deß über weÿland deß Ehren und vorgeachten Meister Hanß Jacob Schrappen geweßenen haußfewrers und burgers Zu Straßburg nunmehr seeligen verlaßenschafft vffgerichten Inventarÿ de anno 1686 (…)
214 lb

Salomé Schrapp meurt en 1719 en délaissant six enfants. Les experts estiment la maison à 750 livres. La masse propre aux héritiers est de 414 livres. L’actif de la communauté s’élève à 817 livres, le passif à 813 livres

1719 (19.7.), Not. Oelinger (J. Frédéric, 36 Not 4) n° 105
Inventarium undt beschreibung aller der Jenigen haab vndt Nahrung, so Weÿl. die tugendsahme Fr. Salome gebohrne Schrappin Herr Johann Haffner Schuhmachers vndt burgers allhier Zu Straßburg geweßener Ehefr. nunmehr Seel. nach Ihrem d. 4. Martÿ dießes lauffenden 1719. Jahrs aus dießer welt genommenen tödlichen ableben Zeitlichen verlaßen, Welche Verlaßenschafft auf freundliches ansuchen erfordern und begehren deß Ehegattin, herrn Johann Jacob Schrappen glaßers vnd burgers allhier als geordnet und geschworenen Vogts Catharinæ Salome, Annæ Mariæ, Johann Philipp, Jacob, Mariæ Dorotheæ vnd Johann Daniel der Haffner, alle Sechs der verstorbenen Seel. mit obged. Johann Haffnern ehelich erzeugter Kind. vndt ab intestato nachgelaßene Erben fleißig inventirt (…) So beschehen in der Königlichen Statt Straßburg in fernerem gegensein H Johann Philipp Sänger Weißbecken vndt Burgers allhier als der Kind. Vettern Mittwoch den 19. Julÿ 1719.

In einer allhier Zu Straßburg ahne dem Thomans Plan gelegenen undt in dieße Verlaßenschafft gehörigen behaußung sich volgend. maßen befund.
Ane Höltzen und Schreinwerck, In der Cammer A, Vor dießem gemach, In der Cammer B, Vor dießer Cammer, In der untern Stuben, Im haußöhren
Eÿgenthumb ahne einer Behaußung (T.) It. eine behaußung vnd hoffstatt mit allen, deren gebäwen, Rechten, begriffen, Weith. Zugehörden v. gerechtigkeit, allhie Zu Straßburg ane der Schloßergaß, 1. neben herrn Daniel Otten Silberarbeithern a.s. neben Fr. Rothin vnd hind. vff Jacob Steegmann Schloßer, davon gehen Jahrs vff Joh. Bapt: 1 lb 10 ß d Erblehen Zinß dem Stifft Carthaus thut ohnvorgreifflich in Capital gerechnet 30 lb Sonsten freÿ leedig vnd eigen vndt ist solches hauß über abzug obige beschwerdte durch die allhiesig geschworne Werckmeistere Vermög einer beÿ mein Not. Concept befindlich. schrifftlicher Abschatzung datirt 15. Maÿ 1719. annoch æstimirt worden pro 720. Darüber sagt ein auß allhießiger Cantzleÿ Contract Stuben gefertigt. perg. teutscher Kffbrieff mit dero anhangend. Insiegel verwahrt datirt d. 20. Julÿ 1705. N° 1 notirt
Ergäntzung der Erben abgangenen ohnveränderten Vermögens, Vermög Invÿ über der abgeleibten Fr. Seel. in den Ehestand gebrachte Nahrung, so in Anno 1702. durch weÿl. Hn Johann Friderich Schatzen geweßen, Notm publ. gefertigt word.
Wÿdembs Verfangenschaft. Vermög deß sub dato 28. 7.bris A° 1711 Von Weÿl. Fr. Catharina Bößwillwaltin gebohrner Kipßin als der Erben Groß Mutter auffgerichten Codicilli §° 2. hat Hr Balthasar Bößwillwaldt der Haußfeurer und burger allhier tag lebens Wÿdembs weiß Zugenießen
Series rubricarum hujus Inventarÿ der Erben ohnveränderte Nahrung belangend, 1) haußrath 43, 2) Leere Vaß 1, 3) Goldene Ring 3, 4) Ergäntzung 340, Activ Schulden 25, Summa summarum 414 lb
Die Theilbahre Nahrung betreff. 1) haußrath 53, 2) Wahren vnd Werckzeug Zum Schumacher Handwerck gehörig 10, 3) Wein v leere Vaß 30, 4) Silber 2, 5) Goldene Ring 1, 6) Eÿgenthumb ane einer behaußung 720, Summa summarum 817 lb – Schulden 813 lb, Compensando 3 lb
Conclusio finalis Inventarÿ 393 lb
Abschatzung d. 15.t Maÿ anô 1719. Auff begehren, deß Ehrenhafften vnd bescheÿten H Johannes haffner, suhmacher, ist Eine behaußung Alhier, in der Statt Straßburg in der schlosser Gaßen gelegen, Ein Seith Neben H Daniel Ott Sülber bereÿter, Ander Seÿth neben Frau Rothen hinden Auff Jacob Reÿglen schlosser stoßendt Welche behaußung hoffstatt, Ein Gewölbter Keller vnd höffel, Sampt Aller Ihrer gerechtigkeith wie solches durch der Statt Geschwornen Werckhleüthen, in der besichtigung befunden vndt dem Jetzige preiß Nach, Angeschlagen Wirt Vor undt umb Ein tausendt Fünff Hundert Gulten Bezeichnuß, durch der Statt Straßburg Geschwohren Werckleüthen [unterzeichnet] Michael Ehrlacher Werck Meister deß Meinsters, Johann Jacob Biermeÿer Werck Meister deß Zimmerhoffs

Salomé Schrapp meurt à l’âge de 35 ans le 4 mars 1719.
Sépulture, Saint-Thomas (luth. reg. du jeune diacre 1688-1748 n° 275)
Sonntag d. 4. Mertz 1719. Morgens Zwischen 4. v. 5. Uhr starb alhier Fr. Salome Haffnerin geb. Schrappin, Johannes Haffners deß burgers u. Schumachers alhier geweßene ehel. haußfr. Ist geboren A. 1683. d. 25. Nov. u. waren ihr Eltern weil. Johann Jacob Schrapp, d. burger u. schwartzbeck alhie, u. weil. Fr. Catharina, geb. Kipsin, deßen ehel. haußfr. War Verheurathet mit obgemeltem Johannes haffner, burger u. schumacher alhier, mit welchem Sie 17. jahr u. 1. monath in d. ehe gelebet u. als Wittwer hinterlaßen Ihr gantzes alter war 35. Jahr 3. monath u. 4. Tage, dero Verblichener leichnam wurde montags d. 6. mertz auff dem Gottesacker S. Galli Christl. begraben nachdem vor mir Joh: Daniel Huth, diac. Thom. eine leich Pred. daselbst ist gehalten worden [unterzeichnet] Johannes haffer als witer, Johan Jacob Schrapp als bruder (i 45)

Jean Haffner hypothèque la maison au profit de Marie Hélène d’Andlau, veuve de François Ignace Streitt d’Immendingen.

1721 (9.6.), Chambre des Contrats, vol. 595 f° 292-v
Johann haffner Schuemacher
in gegensein H. Christian Friedrich Reÿßen Schaffners der wohlgeb. Fr. Mariæ Helenæ geb. von Andlau weÿl. Hn Frantz Ignatii Streitten von Immendingen gewesten Raths und Ausschußes beÿ E. löbl. Ritter: Drectorio des Untern Elsaßes wittib – schuldig seÿen 75 pfund
unterpfand, Eine Behausung und hoffstatt cum appertinentis in der Schloßergaßen, einseit neben Daniel Ott Silberarbeiter anderseit neben Philipp Jacob Rothen des Silberarbeiters wittib hinten auff Jacob Steegmann

Jean Haffner passe le 3 septembre 1722 un contrat de mariage avec Anne Catherine, veuve du tailleur Jean Jacques Busch
1722 (3.9.), Not. Brackenhoffer (Jean, 4 Not 26) n° 29
Eheberedung – Zwisch. dem Ehsam v. bescheidenen Mstr. Johannes Haffner dem Schumacher v. burger allhier alß wittiber v. hochzeitern ane einem
so dan d. Ehr v. tugendbegabte frawen Anna Catharina weÿl. Johann Jacob Buschen geweßenen Schneiders vnd burgers alhie hinterbliebenen wittib alß hochzeiterin andern theils
sich begeben vorzutrag. hat, daß darauff hin mit consens vnd.handel vndt vermittel. auf seith deß hochzeiteres Joh: Jacob Schrappen glaßers v. burgers alhier seines schwagers v. KK. vogts, auff d. fr. hochzeiterin seith aber Joh: Philipp Ulrici Schneiders v. burgers alhier, wie auch Christmann Müllers auch Schneiders v burgers allhier ihres geschwornen vogts
Actum Straßb. d. 3. 7.br. A° 1722 [unterzeichnet] Johannes haffner als hoch Zeiter, Anna Catharina buschin alls hoch Zeiterin

Jean Haffner passe le 16 septembre 1722 un contrat de mariage avec Marie Eve Winger, fille du meunier d’Oberweier (près d’Ettlingen). Le contrat est suivi d’une célébration
1722 (16. 7.br), Not. Lobstein (Jean, 31 Not 76) n° 78
Eheberedung Zwischen dem Ehrengeachten Meister Johann Haffner dem Schuhmacher und burger allhier Zu Straßburg ane einem
So dann der Ehren: und tugendsahmen Jungfrauen Mariæ Evæ Wingerin von Oberweÿher gebürtig, weÿland Mr Johann Wingers, des geweßenen Müllers vnd burgers daselbsten Hinderlaßene tochter, als der Jgfr. hochzeiterin ane dem andern theil, getroffen
So beschehen in Straßburg in beÿsein Mr Friedrich Schönfelder des Schuhmachers auf sein des bräutigambs (…) auff Mittwoch den 16.ten 7.bris 1722 [unterzeichnet] Johannes haffner als hoch Zeiter, M E W der Jgfr. Mariæ Evæ Wingerin handzeichen

Mariage, Saint-Thomas (luth. f° 180-v n° 1033)
Anno 1722. den 7. Octobr. seind nach geschehener ordentlicher außruffung in der Kirch Zu S. Thomas ehelich eingesegnet worden Johann Haffner, der burger und Schuhmacher alhie und Jungf. Maria Eva, weiland Johann Wingert deß gewes. burgers Zu Ober Weiher und Müller daselbs hinderlaßene tochter [unterzeichnet] Johannes haffner als hochzeiter, x der hochzeiterin Zeichen, Johan Jacob Schrapp als schwager (i 184)

Marie Eve Winger fait dresser l’inventaire de ses apports (117 livres) dans une maison rue de l’Ecurie
1722 (13. 8.bris), Not. Lobstein (Jean, 31 Not 9) n° 195
Inventarium und beschreibung aller derjenigen haab, Nahrung und güthere, so die Ehren und tugendsahme Frau Maria Eva Haffnerin gebohrene Wingerin, Zu dem Ehren und Vorgeachten Meister Johann Haffner dem Schuhmacher und burgern allhier haußwürthin Vor ohnverändert in den Ehestand zugebracht, welche der ursachen, allweilen in Ihr beeder Eheleute mit einander auffgerichteten heuraths Verschreibung expresse enthalten, daß eines Jeden in die Ehe bringende Nahrung reservirt und ohnverändert sein und bleiben solle (…) So beschehen in Straßburg auf Dienstag den 13.ten Octobris Anno 1722.
In einer allhier Zu Straßburg ane der Stall gaß Liegenden und in dieße Zugebrachte Nahrung nicht gehörigen behaußung befunden worden wie volgt
Abzug in gegenwärtig Inventarium gehörig, Sa. haußraths 90, Sa. Silber geschirr und Geschmeids 4, Sa. Goldener (ring) 6, Sa. baarschafft 53, Sa. Schulden 8, Summa summarum 163 lb – Hierzu Kombt ferner ein dritter theil ane denen haussteuren 13, Der Frauen sambtlich in die Ehe gebracht Vermögen 177 lb

Jean Haffner loue une partie de sa maison à Catherine Salomé Kaufflin et à sa fille Catherine Salomé Sandtrock

1725 (15.5.), Chambre des Contrats, vol. 599 f° 292
H. Peter Friedel Rothgeber im nahmen und als mandararius Fr: Catharina Salome Sandtrockin geb. Kaüfflinin der wittib so ohnbevögtigt und dero jüngere tochter Jfr. Catharina Salome Sandtrockin ahn einem [unterzeichnet] catarin salomé sanrock
und Johannes Haffner Schuemacher ahm anderen theil, daß er ihro Sandtrockicher Wittib verlühen
In sein haffners allhier unten ahn der Schloßer gaß ahm Thomans plan einseit neben H. Ott dem goldarbeiter anderseit neben der Rothischen wittib hinten auff Stegmann den Schloßer stoßend, gelegener behausung Eine stiege hoch vornen auff den Plan eine Stub Küche und haußöhren, Ferner zwo stiegen hoch zwo kammern deren eine auff ged. Plan und die andere in den hoff sehen, Mehr einen unterschlagenen Keller und eine Bühn umb die wasch auffzuhencken sambt dem gebrauch des höffleins auff 1 Jahr lang anfangend auff nächst bevorstehend Joh. Baptistæ – um einen jährlichen Zinß nemlich 40 gulden

Etat de la succession de Salomé Schrapp et décompte pour la fille aînée
1727, Not. Hoffmann (Christophe Michel, rép. 65 not 11) n° 854
Summarischer Calculus über weÿl. Fr: Salomeæ gebohrner Schrappin Mstr. Johann Haffners des Schuemachers undt burgers allhier geweßene ehel. haußfr. nunmehro Seel. Verlassenschafft, wobeÿ auch eine abrechnung wegen der ältern tochter Legitimæ befindl.

Jean Haffner hypothèque les treize dix-huitièmes qui lui appartiennent de la maison au profit du tailleur André Schaaff.

1727 (29.11.), Chambre des Contrats, vol. 601 f° 626-v
Johannes Haffner
in gegensein Andreas Schaaff allhießigen Schneider – schuldig seÿen 50 pfund
unterpfand, 13. 18.te theil für ohnvertheilt ahne einer Behausung hof und hoffstatt mit allen derselben gebäuden, begriffen, weithen, zugehörden, Rechten und gerechtigkeiten unten ahn der Schloßergaß einseit neben H. Daniel Ott dem Seiler anderseit neben der Rothischen Wittib hinten auff Steegmann dem Schloßer stoßend gelegen, von solchem gantzen hauß gibt mann jährlich dem Stifft Carthauß allhier 1 lb 10 ß ane bodenzinß – ihme zu 13/18, seinen kindern aber zu 5/18 theil eigenthümlich zuständig

Jean Haffner hypothèque sa part de maison au profit de la confrérie des garçons cordonniers

1736 (26.3.), Chambre des Contrats, vol. 610 f° 323-v
Johannes Haffner der schuhmacher
der gesellschafft der hiesigen Schuhknecht, Ladenmeister Johann Georg Mößner des schuhmachers und Johann Philipp Lotsch des Altgesellen – schuldig seÿe 100 pfund
unterpfand, 13/18 theil für ohnvertheilt ane einer Behausung, hoff und hoffstatt mit allen derselben gebäuden, begriffen, weithen, zugehörden und gerechtigkeiten ahne der Schloßer: gaß, einseit neben H. Daniel Ott dem Silber und gewichtführer, anderseit neben H. Johann Jacob Braun dem ältern goldarbeiter, hinten auff Heinrich Bernhard Vaders den schreiner – davon gibt man hiesigem Stifft Carthauß 1 lb 10 ane bodenzinß – dem schuldner zu 13/18 seinen kindern aber zu 5/18 theil

Jean Haffner et ses enfants nés de Salomé Schrapp vendent la maison au serrurier Jean Théophile Dittmann et à sa femme Marie Madeleine Steinbach moyennant 1 150 livres

1736 (10.7.), Chambre des Contrats, vol. 610 f° 651-v
Johann Haffner der schuhmacher und deßen mit weÿl. Salome geb. Schrappin ehelich erzeugte tochter Anna Maria geb. Haffnerin Christoph Hauck des Buchbinders eheweib beÿständlich deßelben, Ferner Johann Jacob Schrapp der glaßer als vogt Johann Philipp Haffner ledigen von hier abweßenden schuhmachers und Johann Jacob wie auch Dorothea der Haffner, so dann Johann Willhelm der weinhändtler als vogt Johann Daniel Engelhard weÿl. Catharina geb. Haffnerin mit dero hinterbliebenen wittibern (-) Engelhard dem Garde im Umbgeldt erzeugten einigen kindts
in gegensein Johann Gottlieb Dittmann des Schloßers und Mariæ Magdalenæ geb. Steinbachin
Eine Behausung, höfflein und hoffstatt mit allen deren übrigen gebäuden, begriffen, zugehörden und gerechtigkeiten unten an der Schloßer gaß, einseit neben Daniel Ott gewichtfächer und Silberarbeiter anderseit neben H. Jacob Braun dem ältern goldarbeiter hinten theils auff ged. Ott theils auff Heinrich Bernhard Vaders dem schreiner vornen gegen St Thomans: Plan – davon gibt man dem stifft Carthauß 1 lb 10 ahne ewigen ehrschätzigen zinß 200 und 100 pf capitalien – als ein währender Ehe am 20. Julÿ 1705 erkaufftes guth zu 13/18 theilen so dann noch lebenden haffnerischen 4 Kindern und Engelhardischen Kind als erben zu 5/6.t stammtheilen anfangs genannter Hafferischen Ehefrau zu 5/18.t theilen eigenthümlich zuständig – um 300 pfund verhafftet, geschehen um 850 pfund

Les acquéreurs hypothèquent trois mois plus tard la maison au profit de leur père et beau-père respectif Jean Adam Steinbach

1736 (2.10.), Chambre des Contrats, vol. 610 f° 828
Johann Gottlieb Dittmann der Schloßer und Maria Magdalena geb. Steinbacherin mit beÿstand ihres bruders Johann Philipp Steinbach des gürttlers und ihres geschwistrig kindts Georg Ebersperger des küblers
in gegensein ihres respective vatters und schwähers Johann Adam Steinbach des gürttlers, schuldig seÿen 900 pfund zu bezalung des kauffschillings hiernach beschriebener behausung
unterpfand, Eine Behausung, höfflein und hoffstatt mit allen deren gebäuden, begriffen, weithen, zugehörden und rechten unten an der Schloßergaß, einseit neben Daniel Ott dem gewichtfächer und silberarbeiter anderseit neben H. Jacob Braun dem ältern goldarbeiter hinten auff ged. Ott theils Heinrich Bernhard Vaders den Schreiner vornen gegen St Thomas Plan über – davon gibt man hiesigen Stifft zu St Thomä 1 lb 10 ahne ewigen ehrschätzigen zinß – als ein am 10. Julÿ jüngst erkaufftes guth

Originaire de Hirschberg en Silésie, Jean Théophile Dittmann se plaint que le compagnon Jean Gaspard Wunschenmeÿer déclare qu’il a passé la nuit avec une servante. Le conseil des Maréchaux renvoie les parties à la chambre de police.
1728, Maréchaux XI 148 (Serruriers 1714-1729)
(f° 150-v) Dienstags den 10.ten Februarÿ [1728] – Johann Gottlieb Dittmann Von Hirschenberg aus Schleßien, der Schloßer gesell, clagt wider Johann Caspar Wunschenmeÿer den Gesellen von Hamburg, daß Er ohnlängstens auß gesagt habe, Er hätte beÿ der Magd geschlaffen.
Beklagter negirt die Anklag. Erkand seÿen die Parthen vor E. Löbl. Policeÿ Gericht Verwießen.

Les Quinze accordent une dispense à Jean Théophile Dittmann qui n’a fait que deux années d’épreuve pour faire son chef d’œuvre
1731, Protocole des Quinze (notes du secrétaire, 2 R 137)
(f° 27-v) Sambst. den 7. Aprilis – F. Joh: Gottlieb Dietmann led. schloßers gesell Von Hirschberg auß schlesien gebürtig Ca. E. E. Msch. schloßerhdwks H. ob.str. prod. uth. mem. und b. sambt beÿl. Nis. 1. et 2 pto. admiss. Zum mstk.
M. cit. b .uth. den gegner anzuhalten, d er die inn dem hwks articuln Verordnete muthjahr Zu vorderist V.arbeiten müsse, ref. exp.
F. b. d. * et ut ante. M. b. ut modo. Erk. Obhwks H.

(f° 31) Mittwoch 11. Aprilis – Iid. Lect. mem. d. d. d. in d. Johann Gottlieb Dietmann Ca. E. E. hdwkh d. schlosser.
Ille gehört, beziehet sich auff die producta nôe d. Msch Zu geg, Joh: Michael Kreützer u. Joh: Friedrich schuck, welche geantwortet, daß gegner erst 2. jahr zu der muthjahr ingeschriben seÿe, er seÿ zwar ein guter arbeither, und Werde daß allerschwerste Mstdl so von Mghh. einst approbirt word. machen, allein die msch könt. ô dispensiren. Hh. Dep. Implorant, alß ein guter arbeiter dispensando zu admitiren, gegen erlag 3. lb pto dispensatôe. Erk. in plenum.

(f° 32-v) Sambst. den 14. Aprilis – Ober Hwhs Hh. ref. in Joh: Gottlieb Dietmann Ca. E. E. Mschft der schloßer, Erk. bed. gefolgt

(f° 36-v) Sambst. den 21. Aprilis – F. Joh: Gottlieb Dietmann Ca. E. E. Mschft der schloßer b. uth. umb gn. com. deß ohnlängst ertheilten bescheidts. Erk. Willfahrt.

Fils du serrurier Melchior Dittmann de Hirschberg (im Riesengebirge, aujourd’hui Jelenia Góra), Jean Théophile Dittmann épouse en 1733 Marie Madeleine Steinbach, fille du ceinturier Jean Adam Steinbach : contrat de mariage, célébration
1733 (15. 7.br), Not. Lobstein (Jean, 31 Not 78) n° 302
Eheberedung – entzwischen dem Ehren und Wohlvorgeachten Meister Johann Gottlieb Dietmann, dem Ledigen Schloßer Von Hirschberg aus Schleßien gebürtig, weÿland Meister Melchior Dietmann des gewesenen Schloßers und burgers daselbsten nunmehr seel. nachgelaßenem ehelich erzeugtem Sohn als dem Bräutigamb ane einem
So dann der Ehren und tugendsamen Jungfrauen Maria Magdalena Steinbachin des Ehren und Wohlvorgeachten Herrn Johann Adam Steinbachs des Gürtlers und burgers allhier Zu Straßburg ehelich erziehlter Tochter, als der Jungfrauen hochzeiterin ane dem andern Theil
So beschehen in Straßburg in beÿsein hernach unterschriebenen Persohnen auf Dienstag den 15.ten 7.bris 1733 [unterzeichnet] Mstr Johann Gottlieb Dittmann als Hochzeiter, Maria Magdalena Steinbachin Als hochzeiterin

Mariage, Temple-Neuf (luth. f° 114-v n° 426)
1733. Mittw. d. 7. 8.br sind nach 2. maliger Proclamation ehelich Copulirt v eingesegnet worden, Joh: Gottlieb Dittmann der Ledige schloßer vonn Hirschberg in Schlesien, weÿl. Melchior Dittmanns geweßenen b. v. schloßers daselbst Nachgelaßener ehl. Sohn v. Jgf. Maria Magdalena H. Joh: Adam Steinbachs b. v. Gürtlers ehl. Tochter [unterzeichnet] Johann Gottlieb Dittmann als Hochzeiter, Maria Magdalena Steinbachin Als hochzeiterin (i 119)

Jean Théophile Dittmann devient bourgeois à titre gratuit le 19 décembre 1733
1733, 4° Livre de bourgeoisie p. 1005
Johann Gotlieb Dittmann d. schloßer Von hirschberg auß schlessien geb. erhalt d. b. gratis will beÿ E E Zunfft d. Schmidt dienen. Jur. d. 19. Xb. 1733

1747, Protocole des Quinze (2 R 157)
Schloßer Joh: Gottlieb Dittmann 590, 600 pt° Lehrjung

Jean Théophile Dittmann et Marie Madeleine Steinbach hypothèquent la maison au profit de Philippe Jacques Œsinger, receveur de la fondation du Corps des pensions

1753 (28.9.), Chambre des Contrats, vol. 627 f° 411
Johann Gottlieb Dättmann der schloßer und Maria Magdalena geb. Steinbachin mit beÿstand H. Johann Jacob Dannenreuther des gastgebers und Georg Ebersberger des küblers
in gegensein H. Philipp Jacob Oesinger des schaffners des Stiffts Corporis pensionum, schuldig seÿen 200 pfund
unterpfand, eine behausung, höfflein cum appertinentis unten ane der Schloßergaß einseit neben Christian Egelus dem schuhmacher, anderseit neben H. Braun dem goldarbeiter, hinten auff die Vatterischen erben – davon gibt man dem stifft Carthauß 1 lb 4 ß

Jean Théophile Dittmann déclare qu’il refusera d’être juré de la tribu en même temps que Jean Jacques Dürrbach qui demande réparation d’honneur. Jean Théophile Dittmann est condamné à une livre 10 sols d’amende et devra cesser d’importuner le plaignant.
1754, Protocole de la tribu des Maréchaux XI 139 (1754-1770)
(f° 16-v) Mittwochs den 11.ten Decembris 1754
Mr Johann Jacob Dürrbach, der Schuhmacher und burger allhier, stehet vor und clagt wider Johann Gottlieb Dittmann, den auch Schloßern und Burger, allhier, daß Er wider Ihne ausgesagt hätte, wann er geschworner bleibe so nehme Beklagter solches Ambt nicht mit Ihme an und andere dergleichen Sachen mehr, welches Ihme Klägern sehr nachtheilig, producirt anbeÿ Zween handwercks bescheid de datis 14.ten Septembris 1750. et 19.ten Novembris 1754. beede von denen hoch und wohlverordneten herren Obere handwercks herren ergangen, bittet umb abstraffung, reparation d’honneur und refundirung der Unkösten.
Ille Zugegen, sagt Er wiße nicht was Cläger beständig mit Ihme habe, läugnet anbeÿ Zum theil die von herrn Frantz Hilbert dem Büchßenmacher den 19.ten Novembris hujus Anni vor denen beeden hoch und hochverordneten herren Obern handwercks herren gethane Außsag, bittet dahero umb absolutionem und Ersetzung der Unkösten.
Worauffhin vorgedachter herr Frantz Hilbert abgehört worden, welcher seine beÿ E. E. handwerck gethane Außsag nochmahlen bekräfftigte.
Erkandt, weilen Ihme herrn Johann Gottlieb Dittmann, crafft der beeder hoch und hochverordneten Obern handwercks Herren Erkandnuß de dato 14.ten Septembris 1750. injungirt worden, Clägern wegen seinem Meisterstück nicht vorzuwerffen, sondern denselben vor einen ehrlichen Meister Zu erkennen, Er auch seith dießem selbsten Abschatzungen mit Ihme versehen und unterschrieben, als soll Er Beklagter 1. lb. 10. ß Straff Zahlen und Ihne Mr Johann Jacob Dürrbach umb Verzeihung bitten, idque refusis expensis, anbeÿ ist demselben beÿ 5 lb Straff injungiret worden, Künfftiger Zeit Ihne Mr Dürrbach ohntourbirt zu laßen.

1754, Protocole des Quinze (2 R 164)
521 Johann Gottlieb Dittmann Ca Joh: Jacob Dürrbach
(1755 deficit)

Jean Théophile Dittmann et à sa femme Marie Madeleine Steinbach hypothèquent la maison au profit des deux enfants d’Antoine Schæffer, prévôt d’Ebersheim

1757 (7.6.), Chambre des Contrats, vol. 631 f° 149-v
Johann Gottlieb Dittmann der schloßer und Maria Magdalena geb. Steinbachin mit beÿstand H Johann David Kuntz des gürtlers und H. Johann Jacob Dannenreuther des gastgebers
in gegensein H. Johann Jacob Schäffer des schaffners des teutschen haußes von Andlau als vogt weÿl. H. Anthony Schäffer gewesten schultheißen zu Ebersheim zweÿer kinder Johann Reichard und Maria Petronellä der Schäffer – schuldig seÿen 350 pfund
unterpfand, eine behausung cum appertinentis unten ane der Schloßergaß ane dem Thomans plan, einseit neben N. Egulus des schuhmacher, anderseit neben H. Braun dem goldarbeiter, hinten auff Bernard Vaders des schreiners erben

1759, Protocole de la tribu des Maréchaux XI 139 (1754-1770)
wieder Herrn Johann Gottlieb Dittmann den Schloßer puncto Lehrjungen Johann Dalbeÿ von Landau gebürtig. 85

1760, Protocole des Quinze (2 R 172)
Windenmacher Joh: Gottlieb Düttmann, Dittmann Ca Joh: Martin Hosch, Ca. Finck (T-41, 98, 133, 194) 41, 98, 133, 201, T-194

1761, Protocole de la tribu des Maréchaux XI 149 (Serruriers (1757-1791)
Anno 1761, Montags d. 14. Septembris – Andreas Mertzbach der ledige Schloßer wider Herrn Johann Gottlieb Dittmann. 32

Jean Jacques Dürrbeck se plaint que Jean Théophile Dittmann a travaillé chez un de ses clients, la fondation de la Haute Ecole, au mépris du règlement. Jean Théophile Dittmann déclaré qu’il n’a appris les faits qu’une fois le travail terminé. Le conseil de tribu lui inflige une amende en lui demandant de ne pas récidiver sous peine d’amende plus forte.
1762, Protocole de la tribu des Maréchaux XI 149 (Serruriers (1757-1791)
(f° 36) Montags den 17. Maÿ 1762
Mr Johann Jacob Dürrbeck, der Schloßer und burger dahier stehet vor und clagt wieder H Johann Gottlieb Dittmann, den auch Schloßer, und Burger alhier, daß er vor einiger Zeit in einem der hohen Schul gehörigen Stifftshauß auf der Elisabethä Gaß einige Arbeit ohne wißen des H. Schaffners verfertiget, mithien wieder Articul gehandelt, inmaßen solche Arbeit Ihme als Stiffts Schloßer zukommt, und Ihne wie schon mehrmalen geschehen mißhandelt habe, kan nicht negiren, daß solches ein dem Stifft hoher Schuhl gehöriges hauß seÿe, inmaßen Er solches selbsten dem H. Ober Meister bekannt, welcher die Sach Zu vergleichen gesucht hat, bittet dahero Ihne an den Articul Zu halten und in die aufgeloffene Uncosten zu condemniren.
Ille zugegen sagt, Er habe nicht gewußt daß solches ein Stiffthauß seÿe, als Er solche Arbeit verfertiget, Er habe solches erst nachgehends erfahren, da Er dann sie Sach selbsten für unbillig gehalten und solche Arbeit wider habe abrechen wollen, bittet dahero umb absolutionem.
Der hr. Ober Mr. referirte, wie er sich scho, Mühe gegeben habe auf Ansuchen Clägers es dieße Sach Zu vergleichen, beklager Mr Dittmann habe Zu Ihme selbsten geasagt, Er habe wohl gewußt, daß solches ein der hohen Schuhl gehöriges Stiffthauß seÿe, allein Mr Dürrbach solle nur hiengehen, wo er wolle, der Stifft Schaffner wird seine sach schon defendiren.
Erkanntnus, solle Beklagter die aufgeloffenen Handwercks Uncösten und 10 ß d Straff Zahlen, auch künftighien sich nich mehr in dergleichem Fall beÿ hoher Straff betretten laßen (Aufflaggelt dt. 7 ß, Straff dt. 10 ß)

Jean Théophile Dittmann et Marie Madeleine Steinbach hypothèquent la maison au profit du batteur d’or Georges Jacques Lichtenberger

1765 (22.4.), Chambre des Contrats, vol. 639 f° 304
Johann Gottlieb Dittmann der schloßer und Maria Margaretha Steinbachin mit beÿstand Johann Gottfried Röderer des pferdzeug zinnknopff machers und Johann Friedrich Dürr des schreiners
in gegensein H. Georg Jacob Lichtenberger des goldschlagers – schuldig sein 300 pfund
unterpfand, eine behausung cum appertinentis ane dem Thomansplan, einseit neben H. Braun dem goldarbeiter, anderseit neben H. Friedrich Vogel dem chirurgo nahrung H. Wingrott den tuchscherer

Jean Théophile Dittmann et Marie Madeleine Steinbach font dresser un état de leur fortune pour que la femme puisse demander le bénéfice de cession. La maison est estimée à son prix d’achat, soit 1 150 livres. La masse propre à la femme est de 2 108 livres. L’actif du mari et de la communauté s’élève à 1 428 livres, le passif à 2 953 livres

1767 (13.11.), Not. Lobstein (J. Frédéric, 6 E 41, 809) n° 471
Inventarium über Mr Johann Gottlieb Dietmann, des Schloßers und frauen Mariä Magdalenä Diettmännin gebohrener Steinbachin, beeder Eheleuthe und burgere dahier zu Straßburg dermalen besitzende Activ: und Passiv: Nahrung, auffgerichtet in Anno 1767. – welche Vermögenschafft auf freundliches ansuchen erfordern und begehren Vorgedachter Frauen Mariä Magdalenä Diettmännin, der Ehefrauen, beiständlich H Johann Martin Hosch, des Windenmachers und burgers dahier, auf Ursachen sein des Ehemanns Nahrung mit Passivis behafftet und die Ehefrau einer starcken Nachstand an ihrer Ergäntzung leidet, dahero dießelbe würcklichen beÿ E. E. Kleinen Rath umb das beneficium Cessionis in Unterthänigkeit eingekommen, umb salvirung ihres ohnveränderten und eigenthümlichen Guths willen, ersucht – So geschehen allhier Zu Straßburg auff Freÿtag d. 13.ten Novembris Anno 1767.
Copia beeder Eheleute vor weiland Hn Notario Johann Lobstein seel. d. 15.ten Septembris anno 1733. mit einander errichteter Heuraths Verschreibung

In einer allhier Zu Straßburg ane dem Thomans Platz gelegenen und in des Manns ohnverändert und theilbare Nahrung gehöriger behaußung befunden worden wie folgt
(f° 7) Eigenthum ane einer Behaußung (MT.) Nemlichen eine Behaußung, höfflin und hoffstatt, mit allen deren übrigen gebäuden, begriffen, Zugehörden und Gerechtigkeiten gelegen allhier Zu Straßburg untern an der Schloßergaß, einseit neben Hn Joh: Friderich Vogel dem Chirurgo, 2.s. neben H Jacob Braun dem alten Goldarbeiter, hinten theils auf gedachten H. Vogel und theils auf die Wengerothische Erben stoßend, Vornen gegen St. Thomans Plohn, davon gibt man Jährl. dem Stifft Carthauß alhier 1. lb 10. ß d ane ewigen ehrschätzigen Zinnß, sonsten außer den hernach bemelter darauf hafftenden Passiv Capitalien gegen männigl. freÿ leedig eigen und dißorths ohnpræjudicirlich angeschlagen wie selbige in A° 1736. erkauffet worden pro 1150. Dießerwegen ist vorhanden ein in allhießiger Cantzleÿ Contractstub gefertigter pergamentener Kauffbrieff, sub dato 10.ten Julii 1736. mit dero anhangenden Innsiegel verwahrt
Ergäntzung der Ehefrauen wehrend dieser Ehe abgegangen ohnveränderten Guths. Inhalt des über beeder Eheleute einander vor ohnverändert in den Ehestand gebrachte Nahrungen durch weil. Hn Notarium Johann Lobstein seel. in anno 1733. errichteten Inventarii
(f° 17) Series rubricarum hujus Inventarii. Der Ehefraun ohnverändert Vermögen, Sa. haußraths 56, Sa. Silbers und dergleichen Geschmeids 10 ß, Sa. Schulden 62, Sa. Ergäntzungs rests 1989, Summa summarum 2108 lb
Des Manns ohnverändert und theilbahr Guth, Sa. haußraths 178, Sa. Werckzeugs und gemachter Waar auch alten Eißens Zum Schloßer handwerck gehörig 78, Sa. Silbers und dergleichen Geschmeids 7, Sa. Eigenthum einer behaußung 1150, Sa. Schulden 15 – Summa summarum 1428 lb – Schulden 2953, Compensando 1525 lb

Autres affaires à la maîtrise des serruriers
Serruriers (XI 149) 1757-1791 – 1761, Andreas Mertzbach, Gesell, ca H. Gottlieb Dittmann, 31-v
1762, Mr Johann Jacob Dürrbach ca H. Johann Gottlieb Dittmann, 36
1764, Heinrich Joachim Heinrich und Johann Gottfried Dittmann, Gesellen, Straf, 45-v
geschworener : Johann Gottlieb Dittmann, 46
1766, H. Joh. Gottlieb Dittmann ca Mr Johann Friderich Fuchs, 56-v

Jean Théophile Dittmann est admis pensionnaire à l’hôpital.
1768, Conseillers et XXI (1 R 251)
(f° 97) Montags den 11.ten Aprilis – Joh: Georg Illinger, Joh: Jacob Inckel, Joh: Martin Weißmantel, Joh: Gottlieb Dittmann, Michael Leonhard werden in den spithal recipirt
Froersei nê Joh: Georg Illinger des tabackbereiters, Joh: Jacob Inckel des Kürschners, Joh: Martin Weißmantel des schloßers, Joh: Gottlieb Dittmann ebenfals schloßer und Michael Leonhard des metzgers samptlicher burger allhier, prod. unterth. Memoriale juncto petito samt beÿl. sub N° 1 biß 24 inclusiue pt° gnädiger auff,ahm in den mehrern Hospithal.
Nach in absentia H Syndici Regii, angehörtem voto des H gereral advocat Holden, in welchem derselbe auf die gebettene lebtägige reception angetragen.
Wurde absente Domino Prætore Regio Gayot auf hohen anspruch des auff dem obern banck vorsitzenden H. Stättmeisters Von Gail Vermittelst gehaltener Umbfrag unanimiter Erkandt, weren samtliche Imploranten puncto gebette,er auffnahm in den mehrern hospithal ane die daselbstige hochansehnliche Hhn Pfleger umb gegen einbringung ihres sowohl gegenwätigen, als etwa in Zukunfft überkommenden Vermögen, also lebtägig auffgenommen und verpflegt Zu werden gewießen. Deppi. H. Rathh. Fulgraff H. Rathh. Grauel

Marie Madeleine Steinbach meurt en 1772 en délaissant quatre enfants. L’inventaire est dressé dans une maison rue du Chaudron. L’actif de la succession s’élève à 94 livres, le passif à 45 livres.
1772 (23.4.), Not. Lobstein (J. Frédéric, 6 E 41, 815) n° 612
Inventarium über Weiland Frauen Mariä Magdalenä gebohrner Steinbachin, auch weiland Mr Johann Gottlieb Dittmanns, des geweßenen Schloßers und burgers dahier Zu Straßb. seel. nachgelaßener Wittib nun auch seel. Verlaßenschafft, errichtet in Anno 1772. – nach ihrem Montags d. 13.ten Aprilis dießes lauffend. 1772.t Jahrs aus dießer welt genommenen tödlichen hientritt Zeitlichen verlaßen, welche Verlaßenschafft auf Ansuchen des verstorbenen seel. mit gedachtem Ihrem Ehemann seel. ehelich erzielter anweßender 2. Kinder und deren beÿstandt (…) Geschehen allhier Zu Straßburg auf Donnerstag d. 23.t Aprilis 1772
Der Verstorbenen, seel. ab intestato verlaßene Erben sind. 1.mo Frau Margaretha Salome geb. Dittmännin, Mr Phil. Thomä Steinbachs des von hier ausgetrettenen Kurtzmeßerschmids u. b. verl. Frau, Welche mit beÿstand Hn Joh: Martin Hosch des Windenmachers u. b. alh. dießer Verlaßenschafft Inventur abwartete, in den Ersten vierten Stammtheil,
2.do Mr Joh: Gottlieb Dittmann, Schloßer u. b. in Pirna, so alhier frembd und ohnbevögtigt, in den Zweÿten vierten Stammtheil, In dießes Sohns Nahmen ist beÿ dißem Verlaßenschafft Geschäfft Zugegen geweßen Hr Johann Michael Hirschel, der Fisch Käufer und E. E. Kleinen Raths dermaliger beÿsitzer als Zufolg Ihro gnaden des jetzig regierenden H, Ammeister Erkanntnus d. 22.t hujus pendentibus feriis Zu solchen geschäfft ernannter Jr Deputatus,
3.tio Johann Peter Dittmann, leedigen Schreiners gesellen, so majorennis und ohnbevögtigt, welcher in selbst eigener Persohn dießer Verlaßenschafft Inventur beÿwohnte, in den dritten vierten Stammtheil, Und dann
4.to Christoph Friderich Dittmann, leediger Schloßers Gesellen, so gleichfalls majorennis und ohnbevögtigt, deßen aufenthalt dermahlen nicht wißend, dahero in deßen Nahmen vorgedachter Hr Johann Michael Hirschel, als Deputatus Zugegen ware, und deßen Interesse besorgte, in dem vierten und letzten Stammtheil, Alle Vier der Verstorbenen seel. mit eingangs gedachtem ihrem Ehemann seel. ehelich erziehlte Kinder und ab intestato Zu gleichlingen portionen und Antheileren Verlaßenen Erben
In einer allhier Zu Straßburg ane dem Keßelgäßlein gelegenen und in dieße Verlaßenschafft nicht gehörigen behausung befunden worden wie folgt
Series rubricarum hujus Inventarÿ, Sa. haußraths 62, Sa. Silbers 1, Sa. baarschafft 6, Sa. Schulden 25, Summa summarum 94 lb – Schulden 45, Nach solchem abzug 48 lb
Stall Summa 27 lb

Marie Madeleine Steinbach, veuve de Jean Théophile Dittmann, vend la maison dont elle est devenue propriétaire par cession des biens de son mari au serrurier Charles Auguste Schmidt : vente provisoire devant notaire, vente définitive le même jour par son mandataire à la Chambre des Contrats

1771 (7.6.), Annexes de la Chambre des Contrats (94 Z 68)
persönlich erschienen, Frau Maria Magdalena Dittmännin, gebohrene Steinbachin, weiland Meister Gottlieb Dittmann, des geweßenen Schloßers und Burgers dahier seeligen nachgelaßene Wittib, beÿständlich Herrn Johann Gottfried Röderer, des versilbert Pferdzeug: und Zinnknopffmachers auch burgers dahier Zu Straßburg, anzeigend demnach Sie vor einiger Zeit
an Meister Carl August Schmid, den Schloßer und burger, dahier
die Ihro als Cessionnariæ ihres Ehemanns seeligen ohnverändert und theilbahrer Nahrung Zuständig geweßene behaußung, höfflein und hoffstatt, mit allen deren übrigen Gebäuden, begriffen, Zugehörden und Gerechtigkeiten, gelegen allhier zu Straßburg unten an der Schloßergaß, einseit neben Johann Friedrich Vogel, dem Chirurgo, anderseit neben Herrn Jacob Braun, dem älteren Goldarbeiter, hinten theils auff gedachten Vogel und theils auf Meister Klingler dem schneider stoßend, so außer 1 lb 10 ß d. so man jährlichen dem Stifft Carthaus allhier ane ewigen und ehrschätzigen Zinnß Zu reichen hat, und denen darauf hafftenden Passiv Capitalien freÿ, leedig, eige, verkaufft aber selbige ehister Tagen in allhießiger Cantzleÿ Contract Stub Ordnungsmäßig Verschrieben werden solle, ihro aber Kranckheits wegen nicht noch wohlen möglich sich in selbst eigener Persohn, alldahien zu begeben und solche Verschreibung vernehmen Zulaßen, als wolle Sie hiemit und in Krafft dießes herrn Johann Martin Hosch dem Windenmacher und burger, dahier vollkommene Macht und Gewalth ertheilt haben, sich in ihrem Nahmen in gedachte Cantzleÿ Contract Stub zu begeben und der Verschreibung solcher behaußung beÿzuwohnen, de, Kauffschilling auf 1450 Pfund Pfenning zu setzen (…) Actum allhier zu Straßburg auf Freÿtag den 7. Junii 1771 – Johann Friedrich Lobstein, Notarius juratus

1771 (7.6.), Chambre des Contrats, vol. 645 n° 283
nahmens Fr. Maria Magdalena Dittmännin geb. Steinbachin weÿl. Mr Gottlieb Dittmann gewesenen schloßers wittib, Johann Martin Hosch der windenmacher mit assistentz Johann Gottfried Röderer des versilbert pferdzeug und zinnknopffmachers
in gegensein Mr Carl August Schmid des schloßers
das dominium utile oder nützliche herrschafft einer behausung, bronnen, höfflein und hoffstatt mit allen denen übrigen gebäuden, begriffen, weithen, zugehörden, rechten und gerechtigkeiten unten ane der Schloßergaß, einseit neben Johann Friedrich Vogel dem chirurgo, anderseit neben H. Jacob Braun dem älteren goldarbeiter, hinten auff theils ged. Vogel und Mr Klingler dem schneider – davon man alljährlich auff Johannis Baptisti löbl. Stifft Carthaus in recognitionem domini directi ane ewigen ehrschätzigen zinß 1 lb 10 s – als ein theils in Anno 1736, 10. Julÿ mit ihrem Ehemann erkaufftes theils nach deßen tod ihr anerwachßenes guth

Les experts estiment la maison à 600 livres lors de l’inventaire dressé après la mort de Marie Marguerite Jost.
Charles Auguste Schmidt est cessionnaire de la maison

1781 (26.9.), Not. Greis (Jean Frédéric 6 E 41, 880) Joint au n° 118 du 23 août 1781
Vorstehende Behausung nun Wird Von Hn. Carl August Schmid, dem hinterbliebenen Wittiber, ingleichem Von Hn Johann Andreas Recke, derer disortigen dreÿen Kinder und Erben geordneter Vogt vor richtig anerkannt und durchaus genehmiget anbeÿ hat er der Vogt
ihm dem Wittiber nicht nur alle vorher in Calculum gebrachte der Erben unveränderte fahrende Haab um den daselbst ausgeworffenen Preiß Käuflich und eigenthümlich abgetretten und entschlagen, sondern auch nahmens seiner Pupillen
auf die gesamte theilbahre Massam tam active quam passive Verzug gethan und selbige ihme dem Wittiber allein überlaßen, in welche theilbahre Massam insonderheit auch gehörig ist das vorher in Calculum gebrachte Dominum utile an einer Behaußung, Bronnen, Höflein und Hofstatt, mit allen deren übrigen Gebäuden, Begriffen, Weithen, Zugehörden, Rechten und Gerechtig Keiten, gelegen allhier Zu Straßburg unten an der Schloßergaß an dem Thomans Plan, einseit neben Mr Franck, dem dräher, anderseit neben N. Gamßin der Hebamm, hinten theils auf gedachten Franck und theils auf Mr Georg Friedrich Klingler, den Schneider stoßend, davon man jährlich auf Johannis Baptistæ löbl. Stift Carthauß in recognitionem Domini directi ane ewig ehrschätzigem Zinß Ein Pfund Zehn Schilling Zu Zahlen pflichtig, sonsten aber außer denen daroben hafftenden in deù disortigen Verlaßenschafft Inventario eingetragenen Passiv Capitalien gegen männiglich freÿ, leedig und eigen, welches alles auch also Von ihme dem Wittiber angenommen worden (…) Actum Straßburg den 26. Septembris Anno 1781

Charles Auguste Schmidt vend la maison au tailleur de limes Jean Dieuloué Kleinitz : vente provisoire devant notaire, vente défintive à la Chambre des Contrats après la cession ci-dessus

1781 (30.7.), Not. Heus (Phil. Fréd. 6 E 41, 1490) n° 37
Interims Kauf – H. Carl August Schmitt der Schloßermeister
an Johann Gottlob Kleinitz dem Feilhauermeister
das dominium utile oder nutzliche herrschaft einer behaußung, bronnens höflein und hofstatt mit allen deren übrigen Gebäuden, begriffen, Weithen, zugehörden, rechten und Gerechtigkeiten unten an der Schloßergaß, einseit neben Mr Franck dem hohldräher, anderseit neben Fr. Gambßin der hebamme hinten theils auf ged. Mr Franck theils N Klingler den Schneider – davon mann alljährlich auf Johannis Baptistæ Löbl. stifft Carthauß in recognitionem domini directi ane ewig ehrschätzigem zinß 1 lb 10 ß zu bezahlen pflichtig – um 200, 300 und 300 gulden verhafftet, geschehen um 1400 gulden
(enregistré à la Chambre des Contrats, vol. 655 f° 390)

1781 (27.9.), Chambre des Contrats, vol. 655 f° 390
H. Carl August Schmidt der schloßermeister
in gegensein Johann Gottlob Kleinitz des feÿlhauers und Luisæ geb. Wagnerin unter assistentz H. exsen. Johann Jacob Hentschel des klein uhrenmachers und H. Johann Jacob Heis des goldarbeiters
das das dominium utile das ist die nutzliche herrschafft einer behausung, höfflein und hoffstatt mit allen deren übrigen gebäuden, begriffen, weithen, zugehörden, rechten und gerechtigkeiten ane der Schloßergaß, einseit neben Mr Franck dem dreher, anderseit neben der verwittibten Fr. Gambßin hebam, hinten theils auff ged. Franck theils auff Mr Klingler dem schneider – davon gibt man auff Johannis Baptistæ dem löbl. Stifft Carthaus in recognitionem domini directi ane ewig ehrschätzigen zinß 1 lb 10 ß – als ein beÿ ableben seiner Ehefrau von deßen kindern vogt entschlagenes guth vor H. Not. Greiß – um 3000 gulden

Fils de Mathias Kleinitz, soldat de la garde du prince électeur de Saxe à Dresde, Jean Dieuloué Kleinitz épouse en 1779 Louise Wagner, fille du pasteur de Gerstheim Jean André Wagner : contrat de mariage, célébration
1779 (20.7.), Not. Heus (Phil. Fréd. 6 E 41, 1489)
Eheberedung – persönlich kommen und erschienen der Ehrengeachte Meister Johann Gottlob Kleinitz, leediger Feilhauer von Dreßden gebürtig, weil. Mathias Kleinitz geweßten Grenadier unter der Leib Garde Ihro hochfürstl. durchlaucht des Churfürsten in Sachsen mit Frauen Anna Sophia gebohrener Geißlerin ehelich erzeugt hinterlaßener Sohn, als Hochzeiter Ane einem
So dann die Viel Ehren und tugendgezierte Jungfrau Louisa Wagnerin, weil. des Wohl Ehrwürdig Großachtbar und wohlgelehrten H. M. Johann Andreas Wagner geweßten treueifrigen pfarrers beÿ der Evangelischen Gemeinde Zu Gerstheim und burgers allhier mit auch weil. S. T. Fraun Catharina Elisabetha gebohrener Heußin ehelich erzeugt hinterlaßene tochter, mit assistentz S.T. herrn Johann Jacob Hentschel des Klein Uhrenmachers und E. E. Großen Raths allhier alten wohlverdienten Beÿsitzers, ihres Oncle, als hochzeiterin am andern theil
So beschehen in der Königl. [Statt] Straßburg auf Dienstag den 20. Julÿ Anno 1779 [unterzeichnet] Johann Gottlob Kleinitz als Hochzeiter, Louisa Wagnerin als hochzeitterin

Mariage, Temple-Neuf (luth. f° 232, n° 30)
Im Jahr 1779, Dienstags den 21. Septembris (…) sind ehelich copulirt und christlic eingesegnet worden Johann Gottlob Kleinitz lediger Feÿelhauer und burger allhier von Dreßden gebürtig, weÿl. Mathias Kleinitz, gewesenen Arbeiters in der Chur Fürstl. Gold: Fabricque, auch burgers daselbst und Frau Anna Sophia Geißlerin, ehelich erzeugter Sohn, und Jgfr. Louisa Wagnerin weÿl. Hn M. Andreas Wagners gewesenen Evang. Pfarrers in Görstheim, auch burgers allhier und weÿl. Frau Catharina Elisabetha gebohrener Heußin, nachgelaßene eheliche Tochter [unterzeichnet] Johann Gottlob Kleinitz als Hochzeiter, Louisa Wagnerin als Höchzeiterin (i 44)

Les nouveaux mariés font dresser l’inventaire de leurs apports dans une maison Grand rue. Ceux du mari s’élèvent à 34 livres, ceux de la femme à 381 livres.
1779 (30.9.), Not. Heus (Phil. Fréd. 6 E 41, 1484) f° 56
Inventarium über Meister Johann Gottlob Kleinitz des Feilhauers und Fraun Louisæ gebohrener Wagnerin, beeder Eheleute und Burgere allhier Zu Straßburg einander für ohnverändert in die Ehe zugebrachte Nahrung, auffgerichtet in Anno 1779. – welche der ursachen alldieweilen in ihr beeder Ehepersohnen vor mir Notario den 20.ten Julÿ Anno 1779. auffgerichteten Eheberedung Paragrapho quarto expresse enthalten, daß einem jeeden theil seinem in die Ehe bringende und während derselben ererbende Nahrung ein freÿ eigen ohnverändert und vorbehalten Guth seÿn und bleiben wird (…) zwar die Ehefrau mit assistentz Herrn Johann Jacob Hentschel des Klein Uhrenmachers und E. E. Großen Raths allhier alten wohlverdienten Beÿsitzers auch beÿsitzers allhier, ihres Oncle – So beschehen in der Königlichen Stadt Straßburg auf Donnerstag den 30.t Septembris anno 1779.
In einer allhier Zu Straßburg ane der langen Straas gelegener und dißorts Zum theil Lehnungsweis bewohnender behaußung ist befunden worden wie folgt
Series rubricarum hujus Inventarÿ. Des Ehemanns in die Ehe gebrachten Vermögens, Sa. Silbers 8 und wann hierzu gerechnet wird, die ane hieunten beschriebenen haussteuren ihme gebührige helffte 25 lb, So wird sein des Ehemanns gesambtes in die Ehe gebrachtes Vermögen in vero pretio ertragen 34 lb
Dießemnach wird auch der Ehefraun in die Ehe gebrachtes Vermögen beschrieben, Sa. haußraths 127, Sa. Silbers 19, Sa. Goldenen Rings 10, Sa. der baarschafft 200, Summa summarum 356 lb – Dazu gelegt ane die hieunten beschriebenen Haussteuren Ihro gebührige helffte anlangen 25 lb – Der Ehefraun völligen Vermögen 381 lb

Louise Wagner meurt en 1788 en délaissant deux filles. Les experts estiment la maison à 1 200 livres. La masse propre aux héritiers s’élève à 453 livres. L’actif de la communauté et du veuf s’élève à 1 182 livres, le passif à 2 372 livres

1788 (16.6.), Not. Heus (Phil. Fréd. 6 E 41, 1488) n° 140
Inventarium über Weiland Fraun Louisæ Kleinitzin geborner Wagnerin, Meister Johann Gottlob Kleinitz, des Feÿelhauers und burgers allhier Zu Straßburg geweßter Ehefraun Bürgermeister seel. Verlassenschafft, aufgerichtet in Anno 1789. – nach ihrem Sambstag den 29.t Novembris des abgewichenen 1788.t Jahrs aus dießer welt genommenen tödlichen Hientritt hie zeitlichen verlaßen, Welche Verlaßenschafft auf geziemendes ansuchen und begehren Johann Gottlob Kleinitz, Vorbesagten hinterbliebenen Wittibers, wie auch derer gleich nach dem Eingang dieses Inventarii inspecie benamßter Kinder und Erben geschwohrnen Vogts, ersucht und inventirt durch gedachten Wittiber wie auch Catharina Körberin Von Wetzlar gebürtig die dißorts dienstmagd (…) So beschehen in der Königlichen Stadt Straßburg und einer daselbst unten ane der Schlossergaß gelegenen in diese Verlaßenschafft gehörigen und hernach beschriebenen behausung, auff Dienstag de, 16. Junÿ Anno 1789.
Die Verstorbene seel. hat mit Eingangs gemelt ihrem geweßten Ehemann nachbenannte Kinder ehelich erzogen und ab intestato Zu Erben Verlaßen als 1° Catharina Salome Kleinitzin, so 8 Jahr alt und 2° Friderica Sophia Kleinitzin, so 4 ½ Jahr alt deren in gegensein ist Johann Jacob Klein, Burger und Metzger allhier, welcher seiner Curanden iteresse bei diesem geschäfft bestens observirte.

Eigenthum ane einer Behausung (T.) Nemlichen das Dominium utile, das ist die nutzliche Herrschafft einer behausung, bronnen, höffleins und hoffstatt, mit allen deren übrigen begriffen, Weiten, Zugehörden, Rechten und gerechtigkeiten, allhier Zu Straßburg unten ane der Schloßergaß gelegen, einseit neben Martin Franck dem Dräher, anderseit neben der verwittibten Frau Gambsin der Hebammen und hinten theils auf gedachte Fr. Franck und theils auf H. Exsenat. Klingler, den Schneider meister stoßend, davon Zalt man Jährlich auf Johannis Baptistæ Löbl. Stifft Carthaus in recognitionne dominii directi ane ewig ehrschätzigen Zinns 1. lb. 10. ß d sonsten aber auser denen darauf haftenden und hernach passive eingetragenen Capitalien, leedig und eigen, und durch Löbl. Stadt geschworne Werckmeister, Zufolg deroselben darüber gefertigten und Zu dieses Inventarÿ concept gelieferten schrifftlichen Abschatzung Zeduls vom 20. hujus jüngst gewürdiget worden vor die summ von 1200. lb, davon gehet ab, das real onus, so vorher in doppeltem Capital austrägt 60, Nach Abzug deßen Verbleibt ane dem Anschlag annoch in rest 1140. lb. Darüber besagt einer in allhiesiger C. C. Stub gefertigter teutscher papÿrener Kauffbrieff, de dato 27. Septembris 1781.
Ergäntzung der Erben Währender Ehe abgegangen ohnveränderten Vermögen Zufolg des über beeder gewesener Eheleute einander für ohnverändert in die Ehe Zugebrachte Nahrungen durch auch Eingangs gemelten Notarium in Anno 1779. auffgerichteten Inventarii
Series rubricarum hujus Inventarii. Copia der Eheberedung
Der Erben ohnverändert, Vermögens. Sa. Hausraths 46, Sa. Versetzter Effecten 8, Sa. Silbergeschmeids 16 ß, Sa. Schulden 100, Sa. der Ergäntzung 298, Summa summarum 453 lb
Diesemnach wird auch des Wittibers ohnverändert und theilbare Nahrung und zwar wegen vorhandenem Schuldenlast unter einer Masse beschrieben, Sa. haußraths 13, Sa. Werckzeug Zur Feÿelhauer Profession gehörig 15, Sa. Silber und dergleichen Geschmeids 2, Sa. Eigenthums ane einer Behausung 1140, Sa. Schulden 11, Summa summarum 1182 lb – Schulden 2372, ln Compensando 1190 lb
Copia der Eheberedung (…)

Le tribunal du district de Strasbourg adjuge la maison de Dieuloué Kleinitz au tonnelier Jean Michel Wachsmuth pour 2 660 florins (1 330 livres strasbourgeoises)

1791 (31.3.), Chambre des Contrats, vol. 664 n° 97
auff ansuchen Johann Michael Wachsmuth des kübler meisters, nachstehende haus adjudication
Auszug aus den registern des Straßburger district gerichts – Johann Michael Wachsmuth der kübler meister, den 15 dieses vorgenommene 5.te versteigerung der Gottlob Kleinitz dem feÿelhauer und deßen kinder zuständige behausung ane der Schloßergaß
innengedachte behausung ist in den vorgewiesenen procès verbal vom 25. Januarii jüngsthin folgender wise bezeichnet, eine behausung, bronnen, höfflein und hoffstatt mit allen, rechten und gerechtigkeiten ane der Schloßergaß N° 14, einseit neben Mr Franck dem dräher, anderseit neben Fr. Gambs hinten theils auf gedachten Franck theils H. Klingler den schneider – davon gibt man auff Johannis Baptistæ löbl. Stifft Carthaus ane ewigen ehrschätzigen zinß 14 pfund 10 s. – um 2660 gulden
enreg. 1.4. F° 28

Originaire de Tharandt en Saxe, Jean Michel Wachsmuth épouse en 1788 Marie Münch, veuve du tonnelier Erard Betz : contrat de mariage, célébration
1788 (6.11.), Not. Lauth (6 E 41, 652) n° 116
Eheberedung – persönlich kommen und erschienen seÿen, der Ehrsam und bescheidene Mr Johann Michael Wachsmuth, der ledige Kübler, von Tharant in Chur:Sachsen gebürtig, Weil/ Joh: Wachsmuth, gewesenen Bierbrauers und Burgers daselbst seel. mit Fr. Johanna Elisabetha gebohrener Bischoffin, dessen hinterbliebener Wittwe ehelich erzeugt nachgelaßener Sohn, dieser beiständlichen Mr Caspar Ströhlen, des auch Küblers und Burgers hieselbsten, als Hochzeiter an einem,
So dann die Tugendreiche Fr: Maria Bätzin geborne Münchin, Weiland Mr Joh: Erhard Bätz des ebenfalls geweßenen Küblers und Burgers dahier seel. hinterbliebene Wittwe, und Zwar unter assistentz Mr Joh: Gottfried Groß des gleichmäßigen Küblers und Burgers allhier, als Hochzeiterin, am andern Theil
So geschehen Straßburg auf Donnerstag den 6. Novembris Anno 1788 [unterzeichnet] Meister Johann Michael Wachsmuth, als hochzeider, Maria Bätzin als hochzeiterin

Mariage, Saint-Nicolas (luth. f° 10 n° 19)
Im Jahr 1788 Dienstag den 25. Novembris wurden (…) copulirt Johann Michael Wachsmuth der ledige Kübler u. burger allh. weÿl. Johannes Wachsmuth, geweßenen bierbrauers und burgers in Tharand in Sachsen mit Fr. Johanna Elisabeth gebohrner bischoffin ehel. erzeugter Sohn, 34 Jahr alt u. Fr. Maria gebohrne Münchin weÿl. Johann Ehrhard Betz, geweßnen Küblers u. burgers allhier nachgelaßene Wittib [unterzeichnet] Johann Michael Wachsmuth, als Hochzeiter,Maria Bätzin, Als Hochzeiterin (i 11)

Fille du cultivateur Jacques Münch à Eckbolsheim, Anne Marie Münch épouse en 1778 le tonnelier Jean Erard Betz, veuf de Marie Salomé Specht
Mariage, Saint-Nicolas (luth. f° 21-v, n° 32)
1779, Dienstag den 7. Christmonat nach ordentlich geschehener ausruffung in der Kirch Zu St. Nicolai ehelich eingesegnet worden Johann Erhard Betz, Kübler Meister burger, und weÿland deße gewester Ehefrauen Maria Salome, geborner Spechtin hinterlaßener Wittwer, und Jungfer Anna Maria Münchin, weÿland Jacob Münch, gewesten Ackersmanns Zu Eckboltzheim mit deßen hinterlaßenen wittib Barbara gebohrner Leonhardin ehelich erzeugte tochter [unterzeichnet] Johann Erhanrt betz als hochzeiter, Anna Maria Münchin als hochzeitern (i 25)

Anne Marie Münch fait dresser l’inventaire de ses apports , soit 170 livres, dans une maison au Finckwiller
1781 (24.Xbr), Not. Dautel fils (Fr. Henri, 6 E 41, 296) n° 14
Inventarium über der tugendsamen Frauen Annä Mariä Betzin gebohrener Münchin, des Ehren und vorgeachten Meisters Johann Ehrhard Betzen, des Küblers und burgers allhier Zu Straßburg ehelicher Hausfrauen Zu gedachtem ihrem Ehemann für ohnverändert in den Ehestand Zugebrachte Nahrung, auffgerichtet Anno 1781. – aus ursachen willen in ihr beeder Eheleute mit einander auffgerichteter Heuraths Verschreibung hiebeÿ errichteter masen expresse enthalten seÿe, daß einem jeeden in die Ehe bringende Nahrung reservirt und ohnverändert seÿn und bleiben solle (…) So beschehen allhier Zu Straßburg auf Montag den 24.ten Decembris Anno 1781.
In einer allhier Zu Straßburg ane dem Finckweiler gelegenen in diese Nahrung nicht gehörigen behausung folgender masen befunden worden
Series rubricarum hujus Inventarii. Sa. Haußraths 53, Sa. Silbergeschmeids 6, Sa. goldenen Rings 3, Sa. baarschafft 100, Summa summarum 162 lb – Hierzu ist zu setzen die Helffte ane denen haussteuren 8 lb
Conferendo ergiebet sich daß der Ehefrauen gantzes Zu ihren Ehemann in die Ehe gebrachten Vermögen dem billigen Werth nach sich belauft auf 170 lb

Etat des biens délaissés par Jean Erhard Betz à la requête du tuteur de ses quatre enfants issus de Marie Salomé Specht et de celui né de la veuve. L’actif de la succession s’élève à 15 livres, le passif à 159 livres.
1783 (15.4.), Not. Dautel fils (Fr. Henri, 6 E 41, 297) n° 56
Designatio aller derjenigen Haabseligkeiten so Johann Erhard Betz, der Küblermeister und burger dahier zu Straßburg seel. nach seinem den 3.ten April dießes 1783.sten Jahrs aus dießer Welt genommenen tödlichen Hintritt Zeitlichen verlaßen, welche auf Requisition Mstr Johann Balthasar Wöhrle, des Schneiders und Burgers allhier als geschworenen Vogts des Defuncti mit auch Weil. Fraun Maria Salome gebohrner Spechtin seiner geweßenen Zweiten Ehegattin seel. ehelich erzeugter nachgelaßener Kinder namens Mariæ Salome, Mariæ Magdalenæ Dorotheæ und Johann Ehrhard der Betz, alle samt annoch minderjährig und von Meister Johann Gottfried Groß, des Küblers und burgers dahier als geordnet und geschworenen Vogts des abgeleibten mit der hinterbliebenen wittib nachgemelt ehelich erzeugten Söhnleins Johann Gottfried Beetz namens, so in 2 und ein Viertel Jahr alt ist, samtbliche des abgeleibten seeligen und ab intestato nach tod verlaßener Erben, wabeÿ aber deren Vögte sogleich declarirt, daß sie Keines wegs ane dießer Verl. Zu Erben gehen, vielmehr wollen sie sich das Beneficium abstentionis ab hæreditate paterna Zu suchen bestend vorbehalten haben, inventirt und ersucht durch Frau Annam Mariam gebohrener Münchin die hinderlaßene Wittib beÿständlichen Meister Diebold Münch des Kiefers (…) So geschehen Straßburg den 15.ten Aprilis Anno 1783.
Declaratio der Wittib. Gleich anfangs der Inventur declarirte die Wittib, daß da in* deßen sich nichts mehr von ihren unveränderten Posten in der Verl. fürfindet, sondern alles den an Kinderen Erster Ehe als welchen in A° 1777. die Vätterliche Nahrung auf Abschlag ihres Mütterlichen Guths entschlagen worden Zuständig ist, Sie im mindersten keine Ansprach an dieße Verl. Zu thun gesinnet seÿe, dahero sie hernach beschriebenes alles gedachten ihren Stief Kindern will überlaßen (…) haben, Straßburg den 10. Xbris 1784.
In einer allhier Zu Straßburg ane dem Finckweiler gelegenen nicht hiehero gehörigen behaußung folgender laßen sich befunden
Werckzeug Zum Kübler Handwerck gehörig, 2
Summa summarum gesamter Verlaßenschafft 15 lb – Passiva 159, Passiv onus 143 lb

Anne Marie Münch demande à la tribu des Tonneliers un certificat pour bénéficier de l’Aumône
1784, Protocole de la tribu des Tonneliers (XI 397)
(f° 37) Dienstags den 4. Maÿ 1784 – Allmosen
Anna Maria gebohrne Münchin, weÿl. Johann Erhard Betz des Küblers wittib, bittet ebenmäßig um Schein Zum Allmosen. Erkannt Willfahrt

Le compagnon tonnelier Jean Michel Wachsmuth demande une dispense pour faire son chef d’œuvre en arguant qu’il va épouser une veuve, qu’il a travaillé chez elle pendant cinq ans et sept ans et demi ailleurs à Strasbourg. La tribu le renvoie aux Quinze.
1788, Protocole de la tribu des Tonneliers (XI 397)
(f° 79) Dienstags den 1.ten April 1788 – Meisterstück verwiesen
Joh: Michael Wachsmuth der Kübler Gesell stehet vor und bittet, weilen er gesonnen, weiland Meister Erhard Betzen Wittib zu heurathen, und überdas 5 Jahr bei derselben, auch 7 ½ Jahr anderwärts alhier gearbeitet, ihne dispensando von der Muthjahren zum Meisterstück einzuschreiben.
Erkant, wann Implorant vordersamst seinen Lehrbrief den Herrn Zunfftmeister wird vorgewiesen haben, so seÿe er als dann wegen begehrten Dispensation an Ghh. XV.en Zu verweisen (dt. Protoc. 3 ß)

Les Quinze accordent la dispense moyennant le droit habituel
1788, Protocole des Quinze (2 R 199)
(p. 200) Sambstags den 7.ten Junii 1788
Wilhelm nomine Johann Michael Wachsmuth des Küblers gesellen von Tharaude beÿ Dreßden, contra E E Zunft der Küffer H. Zunfftmeister producirt unterthäniges memoriale und bitten samt beÿlagen sub N° 1 & 2 um Gnädige dispensation von der muth zeit und admission zum meisterstück. Osterrieth setzt Zu E. G. Erkandt, wird Imploranten gegen ersetzung der uncosten und erlag dreÿ pfund d. zwischen Löbl. Stadt dem Findlinghauß und Imploratischer Zunfft theilbar von der muth zeit dispensirt, sofort seÿe derselbe Zum meisterstück Zu admittiren.

La tribu autorise Jean Michel Wachsmuth à faire son chef d’œuvre.
1788, Protocole de la tribu des Tonneliers (XI 397)
(f° 81-v) Dienstag den 15. Juli 1788 – Meisterstück
Joh: Michael Wachsmuth des Küblers Gesell von tharand bei Dresden, prod. bescheid von ghh. XV. vom 7. Junii jüngst Kraft desen Er gegen Erlag von 3. lb d. so zwischen Löbl. Stadt dem Findlinghauß, und der E. Zunft theilbahr, auch ersetzung der unkosten von den Muthjahren dispensirt, sofort Zur verfertigung des Meisterstücks zu admittiren, bittet ihn Zum Meisterstück einzuschreiben.
Erkannt Willfahrt. dt pro dispens. 3 lb, Werckstatt Zins 6 lb, proto. 3 ß, Findl. 3 ß, Zunft recht 37 lb 10 ß

Jean Michel Wachsmuth devient tributaire le 12 février 1789
(86-v) Donnerstag den 12. Hornung 1789 – Leibzünfftiger
Joh: Michel Wachsmuth der Kübler von tharand bei Dresden, producirt Stattschein vom 4.ten Decembris 1788 vermög desen Er als burger angenommen worden, bittet ihn als leibzünfftigen auf und anzunehmen.
Erk. Willfahrt. dt pro recept. 2 lb 15 ß, Feuer Eimer 10 ß, prot. 3 ß, Findl. 1 lb 6 ß

Marie Münch meurt en 1810 en délaissant pour héritier son fils en premières noces.

1810 (21.7.), Strasbourg 12 (32), M° Wengler n° 4974
Inventaire de la succession de Marie Münch femme en secondes noces de Jean Michel Wachsmuth, bacquetier, décédée le 16 février 1810 – à la requête de Jean Geofroi Baetz bacquetier seul et unique héritier de sa mère – Contrat de mariage reçu M° Lauth le 6 novembre 1780
dans la maison dépendant de la présente succession place St Thomas n° 14
Immeuble, Une maison et petite cour, tréfond et fontaine avec toutes ses autres appartenances, droits et dépendances sise à Strasbourg rue des serruriers sur la place de St Thomas n° 14, d’un côté le Sr Nitschel cordonnier, de l’autre le Sr Hantjen aubergiste devant la rue, derrière en partie le Sr Voltz cordonnier en partie la veuve Unsinn – acquise de Gottlob Kleinitz, faiseur de limes et de ses enfants par adjudication judiciaire au ci devant tribunal du district de Strasbourg le 23 mars 1791, inscrit à la Chambre des Contrats le 31 du même mois – rapporte le rez de chaussée et le premier étage 80 fr, le second étage 60 fr et le troisième étage 48 fr, ensemble 188 fr de revenu faisant en capital 3760 fr
Et une petite maison avec ses appartenances et dépendances sise en lad. ville rue de la hache n° 2, d’un côté le Sr François Antoine Schweighaeuser menuisier, de l’autre la veuve Sohn, devant rue derrière veuve Didel – acquise de Jean Louis Klauhold, homme de lettres et ses enfants, M° Stoeber le 15 germinal 10, estimée 2000 fr
meubles 1680 fr, immeubles 576 fr, ensemble 7440 fr, passif 4221 fr
Enregistrement, acp 115 f° 51 du 25.7.

Jean Michel Wachsmuth se remarie avec Sophie Louise Adam, native de Bouxwiller
1813 (22.6.), Strasbourg 10 (33), M° Zimmer n° 507, 6041
Contrat de mariage – Jean Michel Wachsmuth baquetier veuf sans enfants de Marie Münch décédée le 16 février 1810
Sophie Louise Adam, demeurant à Strasbourg, née à Bouxwiller le 23 octobre 1765 fille de feu Nicolas Adam, cultivateur, et de Marie Sophie Mattern
Enregistrement, acp 122 f° 153 du 23.6.

Inventaire des apports
1813 (2.10.), Strasbourg 10 (22), M° Zimmer n° 521, 6141
Inventaire des apports de Jean Michel Wachsmuth, baquetier, et de Sophie Louise Adam, suivant contrat de mariage reçu par le soussigné notaire le 22 juin 1813 mariés le 1 juillet suivant
Enregistrement, acp 123 f° 115 du 4.10.

Lors du partage de la succession de Marie Münch, la maison place Saint-Thomas revient à Jean Michel Wachsmuth

1813 (9.6.), Strasbourg 10 (56), M° Zimmer n° 6020, 3740
Partage entre Jean Michel Wachsmuth baquetier veuf de Marie Münch
et Jean Geofroi Beetz baquetier seul enfant unique héritier de la défunt suivant inventaire dressé par M° Wengler le 21 juillet 1810
à Wachsmuth la maison place St Thomas n° 14 évaluée 8000 fr
à Beetz la maison rue de la Hache n° 2 évaluée 4000 fr
qu’ils possèdent conjointement en commun indivisément à parts et portions égales deux maisons à Strasbourg l’une sise place St Thomas n° 14, d’un côté la maison du Sr Hocheux traiteur, de l’autre le Sr Mitschler cordonnier, derrière celle de la veuve Unsinn, chargée d’une rente foncière de 5,80 fr
et l’autre reconstruite à neuf située rue de la hâche n° 2 entre la maison du Sr Schweighäuser ménuisier celle de la veuve Sohn, derrière celle de la veuve Siedel à laquelle appartient la cave voûtée qui se trouve au dessous de ladite maison
acquis par les conjoints Wachsmuth la première par adjudication à la barre du tribunal du ci devant district de Strasbourg le 15 mars 1791 inscrite à la Chambre des Contrats le 30 dudit mois, l’autre par acte reçu M° Stoeber le 16 germinal 10
Enregistrement, acp 122 f° 135 du 10.6.

Sophie Louise Adam que Jean Michel Wachsmuth a instituée pour sa légataire universelle expose la maison aux enchères puis l’en retire.

1836 (9.4.), Strasbourg 10 (91), M° Zimmer
Cahier des Charges, 26 mars n° 2204 – Sophie Louise Adam veuve de Jean Michel Wachsmuth, baquetier
Désignation de la maison à vendre, une maison avec appartenances et dépendances sise à Strasbourg rue des Serruriers n° 14, d’un côté la maison du Sr Hocheux restaurateur, de l’autre celle du Sr Conrad cordonnier, derrière celle des héritiers de la veuve Unsinn, mise à prix 6000 francs
Etablissement de la propriété – la veuve Wachsmuth est propriétaire de la maison en sa qualité de légataire universelle de son mari suivant testament olographe du 18 mars 1814 et codicille du 26 décembre 1827 déposé au rang des minutes de M° Zimmer le 13 février 1836 enregistré le 11* février f° 89, elle a été envoyée en possession du legs par ordonnance du Président du Tribunal Civil en date du 19 février 1836. Suivant acte de notoriété dressé par M° Zimmer le 5 mars 1836, elle n’a point laissé d’héritier à réserve. Jean Michel Wachsmuth a acquis le même immeuble pendant son mariage avec Marie Münch son épouse en premières noces par adjudication définitive à la barre du Tribunal du District de Strasbourg le 15 mars 1791, inscrite à la Chambre des Contrats le 30 dudit mois enreg. le 1 avril. Le Sr Wachsmuth en est devenu seul propriétaire lors du partage avec Jean Geoffroi Betz, baquetier, seul et unique héritier de la D° Wachsmuth née Münch sa mère, dressé par M° Zimmer le 9 juin 1813. Ladite maison est chargée d’une d’une rente foncière de de 5 fr 92 ou 6 livres tournois envers la ville
Adjudication préparatoire, 9 avril, mise à prix 6000 francs. Mise par Georges Michel Callenberger, loueur de voitures, 6500 fr – Retrait
Enregistrement, acp 239 f° 91 du 11.4

Sophie Louise Adam vend la maison au coutelier Jean Daniel Lichtenberger

1836 (20.4.), Strasbourg 10 (91), M° Zimmer n° 2225
Sophie Louise Adam veuve de Jean Michel Wachsmuth, baquetier
à Jean Daniel Lichtenberger, propriétaire ancien marchand coutelier
une maison avec appartenances et dépendances sise à Strasbourg rue des Serruriers n° 14, d’un côté la maison du Sr Hocheux restaurateur, de l’autre celle du Sr Conrad cordonnier, derrière celle des héritiers de la veuve Unsinn – Jean Michel Wachsmuth a acquis ladite maison pendant son mariage avec Marie Münch son épouse en premières noces suivant adjudication définitive à la barre du Tribunal du District de Strasbourg le 15 mars 1791 inscrite à la Chambre des Contrats le 30 dudit mois enreg. le 1 avril. LeSr Wachsmuth en est devenu seul propriétaire suivant partage avec Jean Geoffroi Betz, baquetier. La veuve Wachsmuth est légataire universelle de son mari par son testament olographe en date du 18 mars 1814, elle est chargée de délivrer à Jean Guillaume Wachsmuth baquetier à Rabenau près Dresde en Saxe, frère du défunt, et un codicille daté du 26 décembre 1827, déposé au rang des minutes de M° Zimmer le 13 février 1836 enreg. le 11 février f° 89. La veuve a été envoyée en possession par Ordonnance du Président du Tribunal Civil de Strasbourg le 19 février 1836, et notoriété établie par M° Zimmer le 5 mars 1836, par laquelle le défunt n’a point laissé d’héritier à réserve et héritier de la D° Wachsmuth née Münch sa mère, M° Zimmer 9 juin 1813 – chargé d’une rente foncière de 5 fr 92 ou 6 livres tournois envers la ville
Adjudication préparatoire, 9 avril mise à prix 6000 fr – mise par Georges Michel Callenberger, loueur de voitures, 6500 francs
Enregistrement, acp 240 f° 38 du 27.4

Jean Daniel Lichenberger loue la maison à Antoine Béchamp, élève en pharmacie, pour y établir une pharmacie et son laboratoire.

1843 (16.5.), Strasbourg 10 (101), M° Zimmer n° 4775
Bail – a comparu Mr Jean Daniel Lichenberger, propriétaire demeurant à Strasbourg, lequel a par les présentes donné à bail à loyer pour neuf années entières et consécutives qui commencent le 29 septembre prochain et finiront à pareil jour de l’année 1852
à M. Antoine Béchamp, élève en pharmacie demeurant à Strasbourg ci présent et acceptant
Une maison avec appartenances et dépendances, sise à Strasbourg rue des serruriers n° 14 entre le Sr Hocheux et le Sr Conrad, par derrière la veuve Dorveaux, de laquelle maison il sera dressé un état des lieux entre les parties dès le commencement du bail. Ainsi que cette maison et ses dépendances parfaitement connues de M. Bechamp qui declare les avoir vues et visitées se trouvent et poursuivent sans aucune exception ni réserve. M. Lichtenberger a acquis cette maison et ses dépendances de Mme Sophie Louise Adam, demeurant à Strasbourg, veuve du Sr Jean Michel Wachsmuth, en son vivant baquetier, suivant contrat de vente passé devant M° Zimmer soussigné le 20 avril 1836.
Le présent bail est fait et accepté moyennant un loyer annuel de 1200 francs (…)
Le preneur aura la faculté d’établir dans ladite maison une pharmacie avec laboratoire et tout ce qui est nécessaire à l’exploitation d’une pharmacie, de faire toutes les constructions et embellissements qu’il jugera convenables soit en dedans soit en dehors de la maison (…)
Aux présentes est intervenu Monsieur Joseph Picquet négociant demeurant à Strasbourg, lequel, après avoir pris lecture de ce que dessus, a déclaré se constituer caution solidaire dudit Sr Bechamp envers M. Lichtenberger
acp 310 (3 Q 30 025) f° 24-v

Lors du partage dressé en 1844, la maison revient à Frédéric Daniel Lichtenberger qui épouse en 1830 Louise Emilie Burckhardt

1830 (8.9.), Strasbourg 10 (83), M° Zimmer n° 862
Contrat de mariage – Frédéric Daniel Lichtenberger fils, coutelier, fils de Jean Daniel Lichtenberger, marchand coutelier, et de feu Marie Madeleine Mühlschlegel
Louise Emilie Burckhardt née le 30 décembre 1812 fille de Jean Léonard Burckhardt, agent de change, et de Marie Salomé Blessig
acp 200 (3 Q 29 915) f° 156-v du 9.9. – réserve d’apports et des habillements et linges propres à chacun, communauté d’acquets partageable par moitié au décès de l’un deux, usufruit au survivant de la succession du prédécédé
Don de survie par le futur à la future d’une somme de 2000 francs
Le futur se constitue en propre en meubles, créances et numéraire 43.787 francs, Plus son père lui consititue en dot une somme de 7500 francs
Les père et mère de la future épouse lui constituent en dot en meubles et numéraire 8609 francs payables le lendemain du mariage

Frédéric Daniel Lichtenberger et Louise Emélie Burckhard consentent au mariage de leur fils pasteur
1858 (25.1.), Strasbourg 10 (135), M° Zimmer (Louis Frédéric) n° 12.389
Consentement à mariage – Ont comparu Mr Frédéric Daniel Lichtenberger, rentier et D° Louise Emélie Burckhard, son épouse qu’il autorise à l’effet des présentes, les deux demeurant et domiciliés à Strasbourg, lesquels déclarent par les présentes consentir au mariage de leur fils Mr Frédéric Auguste Lichtenberger, pasteur de l’église de la confession d’Augsbourg demeurant à Strasbourg avec Mlle Fanny Koenig, majeure sans état demeurant à Sainte Marie aux mines (Haut-Rhin)
acp 466 (3 Q 30 181) f° 58 du 30.1.

Louise Emilie Burckhardt meurt en 1868 en délaissant trois fils

1869 (12.5.), Strasbourg 10 (162), M° Kœrttgé (Jean Théodore) n° 1095
Inventaire 1) de la communauté de biens qui a existé entre Mr Frédéric Daniel Lichtenberger, propriétaire, et dame Louise Emilie Burckhardt sa défunte épouse, 2) et de la succession de cette dernière décédée à Strasbourg le 29 novembre 1868.
L’an 1869 le mercredi 12 Mai à huit heures du matin, à la requête de I) Mr Frédéric Daniel Lichtenberger propriétaire demeurant et domicilié à Strasbourg, agissant en son nom personnel a) à cause de la communauté de biens réduite aux acquêts et partageable par moitié qui a existé entre lui et dame Louise Emilie Burckhardt son épouse susmentionnée aux termes de leur contrat de mariage passé devant M° Louis Frédéric Zimmer alors notaire à Strasbourg le 8 septembre 1830, b) à cause des reprises en deniers qu’il peut avoir à exercer sur ladite communauté pour biens propres aliénés ou dénaturés pendant le mariage et des reprises en nature des biens propres encore existans, c) et à cause des avantages matrimoniaux résultant à son profit du contrat de mariage susallégué
II) Mr Frédéric Auguste Lichtenberger, Professeur à la faculté de théologie de Strasbourg, III) Mr Paul Emile Lichtenberger, architecte, IV) Mr Charles Ernest Lichtenberger, licencié ès lettres, les trois demeurant et domiciliés à Strasbourg, agissant en qualité de seuls enfants et uniques et héritiers chacun de pour un tiers de la défunte dame Louise Emilie Burkhardt leur mère susnommée comme étant issus mariage de cette dernière avec Mr Frédéric Daniel Lichtenberger son veuf requérant
acp 582 (3 Q 30 297) f° 90 du 13.5. – Communauté, Mobilier estimé à 2000, créances 165.310, total 167.310 – Masse passive 141.040
Succession, garde robe 400, reprises 19.197, bénéfice de la communauté 13.134, créances propres 1400, rapport 45.000

Frédéric Daniel Lichtenberger meurt en 1868. Lors du partage, la maison rue des Serruriers revient à Ernest Lichtenberger, licencié ès lettres et professeur au lycée de Sens

1870 (30.11.), Strasbourg 10 (165), M° Kœrttgé (Jean Théodore) n° 1843
Liquidation et partage des biens meubles et immeubles dépendant de la communauté de biens entre Frédéric Daniel Lichtenberger et Louise Emilie Burkhardt et des successions respectives de ces derniers
ont comparu I) Mr Frédéric Auguste Lichtenberger, Professeur à la faculté de théologie de Strasbourg, demeurant et domicilié en ladite ville, agissant en son nom personnel
II) Mr Paul Emile Lichtenberger, architecte demeurant et domicilié à Strasbourg, agissant tant en son nom personnel qu’au nom et comme mandataire de Mr Charles Ernest Lichtenberger, licencié ès lettres, Professeur au lycée de Sens (Yonne) demeurant audit lieu, (…) M. M. Lichtenberger agissant en qualité de seuls et uniques enfants et héritiers de feu Mr Frédéric Daniel Lichtenberger vivant propriétaire et de feu dame Louise Emilie Burkhardt, décédés le premier le 29 septembre 1866 et la dernière le 29 novembre 1868, ainsi que ces qualité résultent 1) d’un inventaire dressé après le décès de Madame Lichtenberger par ledit M° Koerttgé notaire soussigné le 12 mai 1869, 2) et d’un acte de notoriété qui sera dressé à la fin des présentes

Immeubles. Ville de Strasbourg. mm) une maison avec petite cour, droits, appartenances et dépendances sise à Strasbourg grand’rue N° 152 (…)
Cet immeuble appartenait à feu Mr Frédéric Daniel Lichtenberger, pour un tiers pour l’avoir recueilli dans la succession de sa mère dame Marie Madeleine Mühlschlegel décédée épouse de Mr Jean Daniel Lichtenberger vivant propriétaire en cette ville, ainsi qu’il est établi par l’inventaire de sa succession dressé par M° Georges Frédéric Zimmer alors notaire à Strasbourg le 28 octobre 1824 et les deux tiers restants ont été attribués à feu Mr Lichtenberger par le partage de la succession de Mr Jean Daniel Lichtenberger son père susnommé fait entre majeurs et sans soulte et dressé par M° Louis Frédéric Zimmer notaire susnommé le 18 décembre 1844
(…)
nn) une maison avec droits, appartenances et dépendances sise à Strasbourg, rue des serruriers N° 3, autrefois N° 14, tenant d’un côté à M. Schmid serrurier, de l’autre à M. Conrad. Cet immeuble appartient également au défunt pour lui avoir été attribué par l’acte de partage du 18 décembre 1844 sus allégué. Et le défunt Jean Daniel Lichtenberger en est lui-même devenu propriétaire pour en avoir fait l’acquisition de dame Sophie Louise Adam veuve de Mr Jean Michel Wachsmuth, vivant baquetier en cette ville aux termes d’un contrat de vente passé devant le dit M° Louis Frédéric Zimmer le 20 avril 1836, transcrit au bureau des hypothèques le 21 mai suivant, volume 307, N° 22 et inscrit d’office le même jour volume 252 N° 140. Le prix de cette acquisition est aujourd’hui entièrement soldé ainsi qu’il résulte en partie d’un acte reçu par ledit M° Zimmer le premier juillet 1836. Cet immeuble d’un revenu annuel de 800 francs est évalué pour les opérations du présent partage à un capital de 16.000 francs.
acp 595 (3 Q 30 310) f° 84-v du 1.12. Actif Masse. Gemeinschafft, sie belauft sich auf 146.678, sie ist vob 47.278, Ein Haus lange Straße N° 152 abgeschättzt zu 90.000, Ein Haus Schlossergasse N°3 zu 14.000, 4 ha 52 a 84 Feld in Littenheim 5600
Erbschaft von Mr Lichtenberger, sie ist von 1468
Zurückbringung August Lichtenberger 30.000, Emil Lichtenberger 30.111, Ernst Lichtenberger 21.255, Total summ 388.281, 1/3 129.427
Abtretungen 1) Friedrich August Lichtenberger hat zu bekommen 129.427, Man überläßt ihm 2) das Haus Langestraße N° 152
II. Emil Lichtenberger (…)
III. Ernst Lichtenberger. Er bekommt das Haus Schlossergasse N°3

Charles Ernest Lichtenberger épouse en 1872 Marie Louise Valérie Siegel. On trouve sur la Toile plusieurs curriculum vitæ d’Ernest Lichtenberger (Persée)
1872 (15.8.), Strasbourg 10 (169), M° Kœrttgé (Jean Théodore) n° 2798
Contrat de mariage, 15 août 1872. ont comparu I) Mr Charles Ernest Lichtenberger, Professeur au lycée de Sens (Yonne) demeurant audit lieu, né à Strasbourg le 22 septembre 1847 du légitime mariage de feu M. Frédéric Daniel Lichtenberger et de feu Dame Louise Emilie Burkhardt, conjoints, stipulant comme futur époux
II) Mlle Marie Louise Valérie Siegel, sans état, en jouissance de ses droits, demeurant à Strasbourg née en cette dernière ville le 11 juillet 1847 du légitime mariage de M. Sigel ci-après nommé et de feue dame Louise Dorothée Diehl, stipulant comme future épouse
III) Mr Frédéric Charles Siegel, propriétaire demeurant et domicilié à Strasbourg, agissant ès présentes à cause de la constitution de dot qu’il va faire ci après en faveur de la dlle future sa fille
régime de la communauté de biens réduite aux acquêts
A° que les apports du futur époux consistent dans les immeubles, créances, rentes et obligations de chemin de fer dont le détail suit.
Immeubles. une maison avec droits, appartenances et dépendances sise à Strasbourg, rue des serruriers N° 3 tenant d’un côté à M. Schmid serrurier, de l’autre à M. Conrad. Cet immeuble a été attribué au futur par le partage de la succession de feu son père susnommé dressé par M° Koerttgé, notaire soussigné, le 30 novembre 1870
acp 608 (3 Q 30 322) f° 16 n° 2989 du 16.8. – Annahme der Gütergemeinschaft nach dem C.C, Rückbringen des mitgebrachten und ererbten, das überlebende behält die Nutznießung der halben Gemeinschaft
Der Bräutigam bringt in die Ehe 1) ein Haus in Straßburg Schlossergasse N° 3, 2) ein Feldgut Bann von Littenheim und Lupstein, 3) Schuldscheine 107.080
Die Braut bringt in die Ehe ihre Antheil von dem Nachlass ihrer Mutter bestätigt durch Inventar vor Notar Becker vom 19. Juli 1855, wovon sie schon eine Summe von 49.000 Francken in Händen hat
Schenkung von H. Siegel an seiner Tochter, annehmend, von einer Summe von 11.000 Franken

Professeur à Versailles, Charles Ernest Lichtenberger loue la maison au marchand de cuir Charles Dober fils

1881 (24.8.), Strasbourg 10 (195), M° Frédéric Pierron n° 4247
Miethvertrag. 24. August 1881 – Ist erschienen Herr Friedrich Karl Siegel, Eigenthümer zu Straßburg wohnend, handelnd nach seiner Angabe als Bevollmächtigter des Herrn Karl Ernst Lichtenberger, Professor zu Versailles wohnhaft, welcher vorgenannt erklärt hat hiemit auf eine Dauer von drei, sechs oder neun auf einander folgenden Jahren zu vermiethen, welche den 29. September nächsthin beginnen werden, um am betreffenden Tage des Jahres 1884 zu endigen (…)
an Herrn Karl Dober, Sohn, Lederhändler zu Straßburg wohnhaft, Miether, hierzugegen und annehmend
Beschreibung. Ein dreistöckiges Wohnhaus mit Hof, Kellern, Rechten & Dependenzien, gelegen zu Straßburg Schlossergasse N° 3 zwischen Eigenthum des Herrn Karl Schmid und der Frau Conrath, vorn genannte Gasse, Sowie dieses Haus sich befindet, ohne Ausnahm noch Vorbehalt (…). Mitvermiethet sind folgenden Gegenstände, die zum Hause gehören 1. Im Erdgeschoß, ein Ofen mit Rohr
2. Im ersten Stocke, ein Porzellanofen mit Rohr, ein nußbäumener Sekretär & ein Wandschrank, sowie ein eiserner Gas-Kochherd
3. Im zweiten Stocke ein Porzellanofen mit Rohr, ein zwischen den beiden Fenstern sich befindlicher Trumeau Spiegel mit Rahmen & eine Console mit Marmorplatten
4. Im dritten Stocke, ein Gußofen mit Rohr
Lasten und Bedingungen (…) Mietzins 960 Mark (…) Domizilwahl (…)
acp 716 (3 Q 30 431) f° 71 du 1.9.

Charles Ernest Lichtenberger loue la maison à Charles Vollmer, fabricant de cordons de sonnettes

1885 (11.11.), Strasbourg 10 (212). M° Frédéric Pierron n° 7344
Vermiethung – Ist erschienen Herr Friedrich Karl Siegel, Eigenthümer zu Straßburg wohnend, handelnd als Bevollmächtigter des Herrn Karl Ernst Lichtenberger, Professor zu Versailles (Frankreich) wohnend (…), welcher vorgenannt erklärt hat hiemit auf eine Dauer von sechs oder neun aufeinander folgenden Jahren zu vermiethen, welche den 25. Dezember nächsthin beginnen werden um am betreffenden Tage des Jahres 1894 zu endigen (…)
an Herrn Karl Vollmer, Schellenzeug Fabikant zu Straßburg wohnend, Miether, hierzugegen und annehmend
Beschreibung. Ein dreistöckiges Wohnhaus mit Hof, Kellern, Rechten und Dependenzien, gelegen zu Straßburg Schlossergasse N° 3 zwischen Eigenthum des Herrn Zivy und der Frau Conrath, vorn genannte Gasse, Sowie dieses Haus sich befindet ohne Ausnahm noch Vorbehalt (…). Mitvermiethet sind folgenden Gegenstände, die zum Hause gehören
Im ersten Stocke ein Porzellan Ofen mit Rohr, ein nußbäumener Sekretär und ein Wandschrank, sowie ein eiserner Gas-Kochherd
2. Im zweiten Stocke ein Porzellan Ofen mit Rohr
3. Im dritten Stocke ein Porzellan Ofen mit Rohr, ein zwischen den beiden fenstern sich befindlicher Trumeau Spiegel mit Rahmen und eine Console mit Marmorplatten
und im verten Stocke ein Porzellan Ofen mit Rohr.
Lasten und Bedingungen (…) Mietzins 960 Mark (…) Domizilwahl (…) Hier ist auch erschienen Frau Luise Marie Valerie Siegel, Ehegattin des genannten H. Lichtenberger, bei ihm wohnhaft aber zur Zeit in Strassburg sich aufhaltend, und hat erklärt nach Verlesung von allem Vorstehenden mit u*en zu wollen
acp 770 (3 Q 30 485) f° 90 du 16.11.

Charles Ernest Lichtenberger meurt à Versailles en 1913.
Décès, Versailles (n° 1119)
Du jeudi 4 décembre 1913, dix heures du matin, Acte de décès de Charles Ernest Lichtenberger, Professeur honoraire de la Faculté des Lettres de Paris, Chevalier de la Légion d’Honneur, né à Strasbourg (Bas-Rhin) le 22 septembre 1847, fils de Frédéric Daniel Lichtenberger et de Louise Emilie Burckhardt, son épouse, décédé ce jourd’hui à trois heures du matin en sa demeure à Versailles, boulevard du Roi 17, Epoux de Marie Louise Valérie Siegel, sans profession, même demeure (i 190)

La maison est inscrite à partir de 1944 au nom de Louise Marie Anne Lichtenberger et d’Emilie Marguerite Lichtenberger

Louise Marie Anne Lichtenberger épouse en 1903 à Versailles le professeur Frédéric Edouard Schneegans
Mariage, Versailles (n° 220)
Du Jeudi 30 juillet 1903, onze heures un quart du matin. Acte de Mariage de Frédéric Edouard Schneegans, Professeur Agrégé à l’Université d’Heidelberg, demeurant à Heidelberg, Grand duché de Bade (Allemagne), né à Strasbourg (Bas-Rhin) le 5 mai 1867, âgé de 36 ans, fils majeur de Charles Frédéric Schneegans, décédé, et de Charlotte Emma Jung, sa veuve, sans profession demeurant à Strasbourg, dont le consentement sera énoncé ci après, Et Louise Marie Anna Lichtenberger, sans profession, demeurant à Versailles, Boulevard du Roi 17 avec ses père et mère, née à Sens (Yonne) le 23 septembre 1873, âgée de 29 ans, fille majeure de Charles Ernest Lichtenberger, Professeur à la Sorbonne, Chevalier de la légion d’honneur, et de Marie Valérie Louise Siegel, son épouse, sans profession, tous deux ci présents et consentants (…) ont déclaré qu’il a été fait un Contrat de mariage entre les futurs et ils nous ont présenté un Certificat délivré le 23 juillet courant par Mr Stader, notaire à Kehl (Allemagne), constatant que ledit contrat a été passé devant lui le premier dudit mois (…) en présence de Frédéric Théodore Schneegans, Général de Brigade du Cadre de réserve, Commandeur de la légion d’honneur, âgé de 72 ans, demeurant à Montbéliard (Doubs) oncle paternel de l’époux, de Charles Frédéric Reussner, Ingénieur âgé de 44 ans, demeurant à Paris rue Fourcroy 20, cousin germain de l’époux, de Armand Siegel, rentier âgé de 52 ans, demeurant à Courbevoie (Seine), oncle maternel de l’épouse, et de Maurice Lichtenberger, Ingénieur âgé de 44 ans, Chevalier de la Légion d’Honneur, demeurant à Paris, Boulevard Berthier 95, cousin germain de l’épouse (i 114)

Emilie Marguerite Lichtenberger épouse en 1920 à Versailles le professeur Charles Marie Georges Garnier, divorcé de Jeanne Julie Gabrielle Maritain
Mariage, Versailles (n° 333)
Le 12 Mai 1920, seize heures six minutes,devant nous ont comparu publiquement en la maison commune Charles Marie Georges Garnier, Professeur agrégé à l’Université demeurant à Paris rue de l’Arbalète 35, divorcé de Jeanne Julie Gabrielle Maritain, transcription faite à Paris (sixième arrondissement) le 9 avril dernier, né à Chartres (Eure et Loir) le 21 mai 1869, âgé de 50 ans, fils majeur de Gustave Louis Léon Garnier, décédé, et de Anna Luce Marie Lefevre, sa veuve, sans profession, demeurant à Paris rue de l’Arbalète 35, d’une part
Et Emilie Marguerite Lichtenberger, sans profession, demeurant à Versailles rue Emile Deschamps 4, née à Strasbourg (Bas-Rhin) le 24 mars 1874, âgée de 45 ans, fille majeure de Charles Ernest Lichtenberger et de Marie Louise Valérie Siegel, son épouse, décédés d’autre part (…) les futurs époux déclarent qu’il a été fait un contrat de mariage passé le 27 avril dernier devant M° Marcon, notaire à Versailles (i 170)

Naissance, Strasbourg (n° 934)
Den 23. März 1875 um eilf Uhr vormittags. Geburts-Urkunde von Emilie Margaretha geboren Münstergasse 15 den 24. März 1875 um zehn Uhr Nachts, Kind von Karl Ernst Lichtenberger, alt 26 Jahre, Lehrer an dem Lyceum von Sens (Frankreich) wohnhaft zu Straßburg und dessen Ehefrau Marie Luise Valeria Siegel alt 27 Jahre. Das Kind, welches mir vorgezeigt ist, wurde von Geschlecht befunden als weiblich (…)
[in margine:] Mariée à Versailles le 12 mai 1920 avec Garnier Charles Marie (i 69)

La maison est inscrite dans le cadastre à partir de 1947 au nom d’Arthur Hæspelé.

Le photographe Joseph Arthur Hæspelé épouse en 1919 l’institutrice Madeleine Dürr, tous deux natifs de Bühl dans le Haut-Rhin.
Mariage, Strasbourg (n° 2072)
Strasbourg le 10 novembre 1919. Par devant l’Officier de l’Etat-Civil soussigné ont comparu aujourd’hui dans le but de contracter mariage 1° Monsieur Joseph Arthur Haespele, photographe, de religion catholique, né le 22 septembre 1882 à Buhl (Haut-Rhin) demeurant à Strasbourg rue du jeu des enfants 17, fils de feu Joseph Haespele, vigneron né à Lauterbach (Haut-Rhin) et de Madeleine Durr née à Buhl, demeurant à Strasbourg
2° Mademoiselle Marie Anne Angélique Unternehr, institutrice, de religion catholique, née le 13 juillet 1887 à Buhl (Haut-Rhin) demeurant à Zeurange commune de Flastroff (Moselle), fille de feu Jean Martin Unternehr, menuisier à Buhl, et de Marie Anne Gerrer née à Buhl, demeurant à Buhl (im 336)


Les Maisons de Strasbourg sont présentées à l’aide de Word Press.